Un rendez-vous est agendé à la policlinique d'orthopédie pour le 08.01.2018 à 14h30. Nous faisons un certificat médical de 7 jours à la patiente (elle est réflexologue). Malgré la contention physique, le patient reste très agité, raison pour laquelle nous lui donnons 1 mg im d'Haldol, qui arrive à le calmer. Après cela, le patient dit que c'était tout comme un terrible cauchemar mais il a une amnésie circonstancielle par rapport aux événements survenus. Après avis de l'assistante de pédopsychiatrie de garde, nous organisons un transfert à Fribourg pour évaluation psychiatrique. Le patient sera pris en charge dans le service de pédiatrie de l'Hôpital cantonal de Fribourg. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire, par contre une créatinine s'élève à 83 mg/l, une albumine à 50,1 g/l, les CK sont montés à 468 U/l et une alcoolémie revient positive à 1,83°. LDH à 478 U/l. Malgré l'absence de phlyctène, la douleur vive montre à l'examen clinique une plaie ouverte, mais non saignante (avec une conservation des éléments profonds de l'épiderme), mais il y a un liquide séreux qui coule. Nous considérons la brûlure au 2ème degré superficielle et nous appliquons du Ialugen, ainsi qu'un pansement sec. Nous effectuons une délimitation des pourtours et nous recommandons à la patiente de reconsulter demain à la filière des urgences ambulatoires pour contrôle clinique. Malgré l'amélioration clinique, nous expliquons au patient que la volumineuse hernie discale est conflictuelle et qu'il peut donc y avoir une nouvelle aggravation de la symptomatologie. De plus, il existe des troubles urinaires, motivant un geste chirurgical. M. Thaci souhaite encore réfléchir à notre proposition. Nous le reverrons donc dans 3 semaines pour discuter des suites. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Dans l'intervalle, nous restons à disposition en cas d'aggravation de la situation. Malgré une consolidation incomplète, on peut tout de même débuter une physiothérapie de mobilisation avec reprise progressive de la charge. La patiente travaille comme serveuse et comme instructrice de gymnastique à Pro Senectute. Elle peut recommencer à travailler à 10% pour les prochaines 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X dans 6 semaines, soit le 08.03.2018. Malheureusement après 3 mois post-accident, nous ne notons pas d'amélioration clinique. Le genou ne présente plus de tuméfaction, mais la patiente reste douloureuse, surtout à la flexion. Je pense que le conflit mécanique de la lésion de la corne postérieure du ménisque externe est responsable des douleurs présentées. La stabilité du genou reste cependant satisfaisante, malgré la lésion du LCA. En accord avec la patiente, l'indication pour une arthroscopie diagnostique avec résection partielle de la corne postérieure du ménisque externe est posée. La patiente est clairement informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé pour cette intervention prévue en ambulatoire le 23.01.2018. Mallet Finger D3 main G le 20.09.2016. Mallet Finger osseux du 5ème doigt de la main droite délaissé avec subluxation. Réduction sanglante et ostéosynthèse de la 3ème phalange du 5ème doigt de la main droite à l'aide d'une vis Aptus 1.5 et ostéosuture. Mallet Finger P3 D3, main G le 17.11.2017. Malnutrition légère • Prot 54.5 g/l (23.01.2018) • Alb 27.8 g/l (23.01.2018) Malnutrition protéine-énergétique le 26.01.2018 • NRS 3 points Malnutrition protéo-calorique • NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique • BMI: 47.8 (14.11.2017) • Protéine totales: 55.8 g/l, albumine : 32.8 g/l (13.11.2017) • Préalbumine: 0.16 g/l le 20.11.2017 Malnutrition protéino-énergétique : • Laboratoire • Consultation diététique Hypertension artérielle État anxio-dépressif majeur depuis 3-4 mois État anxio-dépressif majeur sous Cipralex Bronchopneumopathie chronique obstructive stade IV selon Gold avec dyspnée stade 4 selon NYHA, sur : • Tabagisme ancien 60 unités paquets par an et consommation actuelle occasionnelle • Emphysème pulmonaire massif • Oxygénothérapie à domicile à 1l/min 24h/24h Malnutrition protéino-énergétique avec : • carences vitaminiques (acide folique et vitamine D) le 05.01.2018 • hypomagnésémie 0.77 mmol/l le 05.01.2018 Malnutrition protéino-énergétique avec : • NRS-2002 (National Risk Screening) score 5 points • Hypoprotéinémie et hypoalbuminémie • Perte pondérale non volontaire rapide avec ICM = 15.2 • carence en vitamine D et acide folique • troubles électrolytiques multiples Malnutrition protéino-énergétique avec : • Surpoids • Protéines totales 60.1 g/L, Albumine 35.0 g/L le 09.10.2017 • Retrait de la sonde nasogastrique le 31.10.2017 Malnutrition protéino-énergétique conséquente Malnutrition protéino-énergétique de degré léger avec : • NRS à 2 le 29.12.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • Déconditionnement important Malnutrition protéino-énergétique grave avec : Hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésémie le 04.01.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave avec BMI à 13Kg/m2 • probablement sur anorexie avec comportement purgatif (DD : syndrome de Münchhausen avec troubles factices) • bilan extensif cf. dossier médecine • PAFA (justice de paix) Malnutrition protéino-énergétique grave • Avec BMI à 17 kg/m2 Malnutrition protéino-énergétique grave avec BMI à 17 kg/m2 Malnutrition protéino-énergétique grave avec hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésémie le 04.01.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave avec NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte de 4kg en un mois Malnutrition protéino-énergétique grave avec troubles de la déglutition le 01.01.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave avec troubles électrolytiques Malnutrition protéino-énergétique grave dans le contexte d'une tumeur avec : • perte de 15.5% du poids corporel en 2 mois • BMI : 19.4 • NRS : 4/7 Malnutrition protéino-énergétique grave, le 01.01.18 Malnutrition protéino-énergétique grave le 28.12.2017 • poids actuel 40.7 kg (BMI 15.89) pour poids cible de 49 kg (moyenne entre en poids idéal et poids actuel) • NRS à 5 Malnutrition protéino-énergétique grave • NRS à 5 Malnutrition protéino-énergétique grave • perte pondérale 6kg en 5 mois Malnutrition protéino-énergétique grave (-6kg en 5 mois) Malnutrition protéino-énergétique graveNRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique le 22.12.17 • dans contexte d'alcoolisme chronique Malnutrition protéino-énergétique le 27.12.2017 Malnutrition protéino-énergétique le 31.12.2017 Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère : • Status après carcinome gastrique en 1990, avec gastrectomie et splénectomie Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence démontrée par apport oral 49 - 75 % de ses besoins et NRS 3/7 Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence démontrée par un NRS à 3 • ingesta à 73% de ses besoins énergétiques Malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une inappétence et une dysphagie, démontrée par une perte de 5 kg (8.3%) en 3 mois, des ingestas couvrant 56% de ses besoins énergétiques et un NRS à 3/7 le 05.01.2017. Malnutrition protéino-énergétique légère • perte d'appétit • perte de poids (5 kg en un mois) Malnutrition protéino-énergétique légère • Prot. 49.2 g/l, Alb 26.4 g/l et Préalb. 0.12 g/l (23.12.2017) Malnutrition protéino-énergétique massive Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec dysphagie dans un contexte de mucite Malnutrition protéino-énergétique modérée dans le cadre de la BPCO sévère • NRS 4/7 • poids actuel 40.1 kg et BMI à 14.7 kg/m2 Malnutrition protéino-énergétique modérée dans le cadre de la BPCO sévère le 24.12.2017 • NRS 4/7 • Poids actuel 38 kg et BMI à 13 kg/m2 Malnutrition protéino-énergétique modérée dans un contexte post-opératoire • Obèse, BMI : 47.8 (14.11.2017) • Protéine totales : 59.3 g/l, Albumin : 31.3 g/l (08.01.2018) • Préalbumine : 0.16 g/l (20.11.2017), 0.19 g/l (09.01.18) Malnutrition protéino-énergétique modérée le 06.01.2018 Malnutrition protéino-énergétique modérée le 06.01.2018 Malnutrition protéino-énergétique modérée sur troubles de la déglutition. Malnutrition protéino-énergétique • Nutrition par la PEG au besoin Malnutrition protéino-énergétique. • Nutrition par la PEG au besoin. Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère. Malnutrition protéino-énergétique sévère et chronique, en lien avec une inappétence chronique, démontrée par : • Un indice de masse corporelle à 15 kg/m2 Malnutrition protéino-énergique modérée • BMI 35.7 kg/m2 (01.12.2017) Malnutrition sévère avec NRS à 7/7 à l'entrée • NRS : 3/7 • BMI : 21.5 (14.12.2017) Malnutrition sévère, PYMS score 4, E 43.0 Maltodextrine et alimentation précoce Contrôles glycémiques Gazométrie Maltofer Maltofer Maltofer Maltofer dès le 29.12.2017 Epo- et Ostéo-Screening 2x/semaines dès le 05.01.2018 Maltofer per os. Maltofer 100 mg pour 3 mois. Maltofer 100 mg 1x/jour pendant 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j Maltofer 100 mg 1x/j Maltofer 100 mg 1x/j pendant 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j pendant 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j pendant 3 mois. Maltofer 100 mg 2x/j Maltofer 100 mg 2x/j Maltofer 100 mg 2x/j pendant 3 mois Maltofer 6 mg/kg/j FSC (14.12. et 02.01. : Gazométrie aligné, hémoglobine : 100 g/l et 85 g/l, Anémie néonatale, Thrombocytes élevés : 420 G/l et 364 G/l) Maltraitance physique et psychique Malvoyance œil droit Fibrillation auriculaire permanente sous Sintrom Prolapsus de la valve mitrale avec insuffisance mitrale légère (2009) Asthme sous Anoro : • Avec décompensation en avril 2015 et avril 2017 Malvoyant. Malvoyant. Maman prendra rendez-vous chez Dr. X pour suivi de la dilatation Mammographie de dépistage le 30/01/2017 Dahler : En ordre Groupe sanguin : A Rhésus positif Sérologies le 28.11.2017 : VHB nég, VHC négatif, VIH négatif Hémoglobine post-opératoire : Hb 123 g/L Mammographie du 10.11.2017 : comparé à celle du 07.03.2017 : majoration d'une opacité rétro-mammelonnaire, mesurant 19x16 mm, suspecte, BIRADS-IV US mammaire : sein gauche lésion de 15.9x16x12.7 mm Biopsie mammaire du 17.11.2017 : sein gauche : carcinome invasif de grade 2, Marqueurs tumoraux : ER 100%, PR 90%, HER absence d'amplification, Ki67 20% TDM thoracique et IRM abdominal le 23.11.2017 : Pas de signe de métastases lymphatiques ou hématogènes, multiples kystes hépatiques et deux petits kystes corticaux rein gauche, aspect banal. PAP test 10.11.2017 : pas de cellules suspectes de malignité Groupe sanguin AB Rhésus positif Sérologies VHB négatif, VHC négatif, VIH négatif Biologie du 24.01.2018 : Hb 146, Ht 0.44, Biologie du 25.01.2018 : Hb 116, Ht 0.35 Mammographie effectuée en ambulatoire, suite de prise en charge ambulatoire à préciser avant sortie des soins aigus svp Mammographie le 23.10.2017 Mammographie et US mammaire, IRM mammaire le 08.11.2017 Positivité des cellules pour E-cadhérine - ER + 100% - PR + 100% - Ki67 + 10% - Absence amplification du gène HER 2 Tumorboard le 21.11.2017 Mise en place du harpon le 09.01.2018 Envoi de la pièce opératoire en anatomo-pathologie Mammographie le 23.10.2017 Mammographie et US mammaire, IRM mammaire le 08.11.2017 Positivité des cellules pour E-cadhérine - ER + 100% - PR + 100% - Ki67 + 10% - Absence amplification du gène HER 2 Tumorboard le 21.11.2017 Mise en place du harpon le 09.01.2018 Envoi de la pièce opératoire en anatomo-pathologie 2 redons Mammographie le 23.10.2017 Mammographie, US mammaire et IRM mammaire le 08.11.2017 : sein G ; 2 nodules BIRADS-V à 3h et entre 6h-7h. Biopsie nodules : 2 nodules ; carcinome canalaire invasif de grade histopronostique 2 Positivité des cellules pour E-cadhérine ER + 100 % PR + 100 % Ki67 + 10 % Absence amplification du gène HER 2 Groupe sanguin : AB Rhésus positif Mammographie le 23.10.2017 Mammographie, US mammaire et IRM mammaire le 08.11.2017 : sein G ; 2 nodules BIRADS-V à 3h et entre 6h-7h. Biopsie nodules : 2 nodules ; carcinome canalaire invasif de grade histopronostique 2 Positivité des cellules pour E-cadhérine ER + 100 % PR + 100 % Ki67 + 10 % Absence amplification du gène HER 2 Groupe sanguin : AB Rhésus positif Laboratoire du 10.01.2018 : Hb 131, plq 194, GB 4.7, ionogramme en ordre, fonction rénale en ordre Laboratoire du 11.01.2018 : Hb 121, plq 183, GB 5.4 Mammoplastie bds (Kinik Zürich), 14.12.2017 Hyterektomie, 2010 APP, 1986 Manoeuvre de Hallpike : vertige déclenché, nystagmus visualisable. Manoeuvre libératrice effectuée. Primperan 10mg iv. Avis de la Dr. X, hospitalisation à l'HFR Tavel en raison du manque de place à l'HFR Riaz, départ avec son épouse. Manoeuvre de Hallpike : légers vertiges en faisant la manoeuvre à droite. Retour à domicile avec traitement symptomatique, suite de prise en charge chez l'ORL traitant. Consigne de reconsulter en cas de modification des vertiges ou d'apparition de symptômes d'allure centrale. Ne pas conduire. Manoeuvre de Hallpike positive à gauche. Enseignement de la manoeuvre de Semont, reconsulter si péjoration clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures. Manoeuvre de réduction Manoeuvre de réduction Manoeuvre de réduction aux urgences Daflagn en réserve si douleur Manoeuvre de réduction Rx de l'avant-bras face/profil Manque de sommeil. Marche avec rollator. Marche avec 2 béquilles. Physiothérapie de mobilisation. Fin de traitement (suite chez un autre médecin selon le désir de la patiente). Marche en décharge complète à l'aide de 2 cannes. Prochain contrôle radio-clinique le 31.01.2018. Marche en décharge complète. Prochain contrôle radio-clinique le 31.01.2018. Marche vers l'intérieur. Mariscectomie le 25.10.17 (Dr. X) Colonoscopie (25.10.16) : polype sessile 3 mm du sigmoïde, diverticulose légère du cadre colique, hémorroïdes stade I, inflammation chronique périanale. OGD (02.02.16) : hernie hiatale de 3 cm, pas de trace de sang frais ni coagulé. Epistaxis sévère dans le cadre de la maladie de Rendu-Osler, hémostase et sclérose au laser KTP en anesthésie générale, le 14.08.2015. Réaction transfusionnelle avec fièvre 38,1 °C, sans hémolyse le 14.08.2015. Status post-sclérose endonasale au laser KTP en mars 2013 et juin 2012. Bactériémie à Staphylococcus aureus avec arthrite septique inter-facettaire dorsale gauche D5-D6 le 21.01.2016 traitée par - Cubicine 500mg 1x/jour du 22.01 au 28.01.2016 - Floxapen 2g 4x/jour du 28.01 au 01.02.2016 - Cubicine 500mg 1x/jour du 02.02 au 04.03.2016 Retrait du PAC le 29.01.2016 (posé pour maladie de Rendu-Osler) Pose de Picc-Line le 29.01.2016, retrait à 6 semaines Mr. Y est hospitalisé pour surveillance respiratoire après avoir reçu de l'adrénaline dans un contexte de faux croup avec stridor au repos. La surveillance se passe sans particularités. Mr. Y ne présente pas de détresse respiratoire ni de stridor au repos. Il ne persiste plus qu'une toux aboyante. Lors de l'hospitalisation, aucune désaturation n'a été mise en évidence. Il reste afébrile. Au vu de l'évolution favorable, il peut retourner à domicile le 20.01.18 avec du Betnesol en réserve. Marsupialisation droite au Portugal. 3 AVB. Marsupialisation sous anesthésie générale le 18.01.2018 Méchage Massage de l'œil avec compresse de thé noir Masse au sein au QSED, de 1 cm à peu près, non inflammatoire déjà connue Masse cérébelleuse hémisphère droite de 4.5 x 4.1 cm avec œdème périphérique et lésion pariétale gauche Masse cervicale douloureuse. Masse de la tête du pancréas avec compression du canal du cholédoque le 24.12.2017 Masse du plancher vésical de 3 x 2.8 cm, stable par rapport au CT de juillet 2017 Masse du sein gauche Masse du sein gauche (kyste ?) - mammographie janvier 2018 Masse exophytique face ant. du corps gastrique avec : - thrombopathie mineure diagnostiquée en avril 2016 Masse hilaire spiculée dans la région lingulaire de 4 cm avec : - multiples adénopathies médiastinales et hilaires des deux côtés - masse tissulaire de la glande surrénale gauche Masse intramusculaire du muscle oblique externe gauche (4 x 3 x 2 cm) - IRM 02.11.2017 : lésion hétérogène avec un discret rehaussement siégeant dans le muscle oblique externe gauche au-dessus des crêtes iliaques et mesurant 24 x 32 mm. - PET 22.08.2017 : Mise en évidence d'une faible captation correspondant à la masse tumorale musculaire connue. Impossible d'exclure une origine maligne de cette lésion, surtout une tumeur peu avide en glucose. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte d'éventuelle métastase. - TB du 08.11.2017 : résection chirurgicale Masse kystique pelvienne Masse kystique pelvienne d'origine indéterminée le 27.12.2017 - DD : tumeur ovarienne, échinococcose - CT abdominal externe du 27.12.2017 Masse pancréatique d'origine indéterminée le 19.01.2018 - CT abdominal (18.01.2018, Affidea Fribourg) Masse testiculaire droite le 06.01.2018. Masse tissulaire accolée à la paroi antérieure de la vessie DD : implant tumoral métastatique versus tumeur vésicale Masse vésicale d'origine incertaine mais suspecte de néoplasie (probable adénocarcinome) le 12.01.18 avec : - Hématurie macroscopique intermittente anémiante Mastectomie gauche et curage axillaire gauche le 10.01.2018 Envoi de la pièce opératoire en anatomo-pathologie Mise en place de 2 redons (axillaire et mammaire) Mastite puerpérale sein droit Mastoïdite gauche Mastoïdite gauche sur otite moyenne aiguë perforée Matériel de grossesse expulsé spontanément, envoyé au service d'anapathologie. Matériel d'ostéosynthèse gênant sur : - status post réduction fermée et ostéosynthèse par clou LFN fémur gauche le 13.06.16 pour fracture diaphysaire transverse. Mathys qui est un nourrisson de 7 semaines, qui est pris en charge pour un événement compatible selon anamèse de malaise du nourrisson dans le contexte de régurgitation. Pendant les 5 jours d'hospitalisation, nous réalisons une surveillance clinique avec monitoring cardio-respiratoire et contrôle des symptômes associés aux régurgitations. Il ne présente pas de nouvel événement de cyanose, pause respiratoire, stridor, ni hypotonie, saturation d'oxygène dans la norme, gazométrie en ordre, mais on constate des régurgitations répétitives qui s'accompagnent d'irritabilité et distorsion positionnelle (Sandifer). Dans la plupart des repas, il présente des remontées de lait généralement post-prandial avec pleurs. Au vu d'une suspicion de reflux gastro-œsophagien associée à des symptômes, nous réalisons des mesures initialement conservatrices avec positionnement de l'enfant après les repas, maintenir l'épaississant à 2 % mais il ne manifeste pas de changement cliniquement significatif. C'est pour cela que nous instaurons le traitement avec Esoméprazole avec lequel nous observons moins de régurgitations et moins d'irritabilité. Un avis auprès de la Dr. X s'effectue pour un suivi clinique de Mathys en ambulatoire. Plusieurs changements de lait artificiel se sont produits avant sa prise en charge avec finalement du lait semi-élémentaire que nous laissons tel quel pour une évaluation clinique dans les semaines qui suivent en fonction de l'évolution. Il prend tous ses biberons de 130-140 ml approximativement en 6 repas, pas de refus alimentaire, stabilisation du poids avec une prise de 130 gr par rapport au poids d'entrée. Selles irrégulières mais de consistance normale, pas de produits pathologiques. Pas d'antécédent familial d'allergies aux protéines de lait de vache. Pas de vomissement ni hématémèse. Pas de clinique infectieuse. Au vu de son amélioration clinique et pas de nouvel événement de malaise, Mr. Y rentre à domicile le 23.01 avec continuation de traitement sous Omeprazole et contrôle en ambulatoire. J'explique également les gestes basiques de réanimation. Mr. Y est hospitalisé pour oxygénothérapie dans le cadre d'une crise d'asthme péri-infectieuse. Sur le plan respiratoire, il présente des désaturations, nécessitant de l'oxygène du 28.01 au 29.01. Par la suite, il présente une saturation normale à l'air ambiant y compris lors du sommeil. Le ventolin est progressivement espacé. Il reçoit du betnesol pendant 72h. Sur le plan alimentaire, il ne présente pas de difficulté alimentaire et prend tous ses apports per os. Devant la bonne évolution, il peut rentrer à domicile le 30.01 avec un schéma dégressif de ventolin. Nous proposons un contrôle à votre cabinet dans 48h. Mr. Y est hospitalisé pour surveillance neurologique suite à un traumatisme crânio-cérébral mineur. Durant son hospitalisation, les contrôles neurologiques sont dans la norme. Il ne présente pas de céphalée. Il bénéficie d'une perfusion de NACL 0.9% qui peut être stoppée le 14.01 au vu de la bonne tolérance alimentaire; il ne présente pas de récidive de vomissements. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 14.01 accompagné par sa mère. Les conseils en cas de traumatisme crânio-cérébraux sont expliqués. Maturation pulmonaire par Celestone Chronodose Provocation par Propess pour de pré-éclampsie. Consentement éclairé signé. Anesthésie par péridurale. Suites des couches. Mauvais état dentaire chronique. Mauvaise évolution cicatrice. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge. Maux de gorge + œdème du visage. Maux de gorge et dysphagie. Maux de gorge et dysphagie. Maux de gorge et fièvre. Maux de gorge et toux. Maux de gorges. Maux de ventre. Max est un patient de 12 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 14.01.2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 12h. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire et un ultrason abdominal pose le diagnostic d'appendicite aiguë. Le patient bénéficie le 14.01.2018 d'une appendicectomie par laparoscopie. Les suites opératoires sont simples. Max rentre à domicile le 15.01.2018. Il sera revu par son pédiatre traitant dans 3 jours. Pas d'ablation des fils (matériel résorbable). Mr. Y est hospitalisé pour surveillance neurologique dans le cadre d'une péjoration récente des crises convulsives malgré une augmentation des doses de traitement. Lors de la surveillance, nous mettons en évidence des crises convulsives à répétition, parfois accompagnées de mouvement de flexion du tronc, sans réelle perte de connaissance, avec un réflexe nauséeux et une déglutition bruyante. Nous notons également une hypersalivation plus importante, bien que celle-ci soit présente tout le temps. Mr. Y présente des désaturations en fin de crises, furtives, d'une durée inférieure à 5 sec, qui remontent seules. Il présente des crises rapprochées, raison pour laquelle un stesolid est administré, ne permettant pas une amélioration clinique, mais une augmentation de l'agitation selon sa mère. Un EEG diurne montre une imprégnation en rythmes rapides d'origine médicamenteuse, en lien avec le Clonazepam et l'administration de Diazepam à 5h. Tracé EEG uniquement d'éveil, artefacté, qui montre des pointes en région fronto centrale droite, parfois gauche. Sur le plan thérapeutique, le bilan sanguin effectué montre des transaminases dans les limites de la norme et un taux de Lévétiracétam à 9.2mcg/ml infra-thérapeutique (10-40) qui peut être expliqué par l'intervalle inadéquat entre les deux prises (10h et 17h). On propose à la maman de donner le Keppra au coucher et au lever, soit à 12 h d'intervalle. Nous effectuons le 16.01 une dose de charge IV 25mg/kg, puis reprenons les doses habituelles. Un contrôle de taux résiduel est organisé le 18.01 matin. Nous stoppons le Clonazepam, ainsi que le stesolid en réserve, car il semble exister un effet paradoxal aux benzodiazépines lors de la prise de stesolid la nuit de l'hospitalisation (péjoration pour la maman). Concernant le retard de développement de langage, nous prévoyons un bilan en logopédie et un bilan auditif. L'enfant sera suivi par la neurologue pédiatre Dr. X, qui organisera en fonction de l'évolution un avis en hôpital universitaire, avec réévaluation de l'indication d'un EEG nocturne. Médicament: bain de Kamilosan Contrôle si péjoration du status local. Médicament en suspens (patient à jeun) Suivi glycémie Schéma de correction. Médicament en suspens (patient à jeun) Suivi glycémie Schéma de correction. Médicaments: • Tachycardie sinusale sous Beta-bloquants • Endométriose stade IV Chirurgicaux: Résection nodule endométriotique cloison recto-vaginale, épreuve au bleu de méthylène.Médicamenteux : Tentamen médicamentueux. Médicaments à la sortie : • Dafalgan sirop (30 mg/ml) soit 8 ml max 4X/j per os en réserve si douleur • Algifor junior sirop (20 mg/ml) soit 8 ml max 3X/j per os en réserve si douleur • Collublach spray max 1 nébulisation 3 à 6 x/j spray Médicaments acides méfénamiques 125 mg max 2X/j i.r. suppositoire, Dafalgan suppositoire 150 mg max 3X/j Conseil alimentaire et hydratation Contrôle chez le Dr. X mercredi si persistance de la fièvre (5j) Médicaments : • Dafalgan sirop (30 mg/ml) soit 10 ml max 4X/j en réserve si douleur Contrôle aux urgences si péjoration de l'état général ou apparition de signes neurologiques (expliqués au père) Médicaments inconnus Médication à la sortie : Clexane 100 mg 2x/jour. Consilium angiologique demandé pour bilan dès le 22.01.2018. Nous invitons le patient à reconsulter si apparition d'un état fébrile ou tout autre symptôme nouveau. En cas d'exclusion du diagnostic de thrombose veineuse profonde, une hospitalisation pour antibiothérapie i.v. devra être réévaluée. Médication à la sortie : TAMSULOSIN Actavis caps ret 0.4 mg (hc 10/16), 1x/jour. Suivi chez le médecin traitant et évaluation pour une consultation en urologie. Médicaux : • AVC à 7 jours de vie sur lequel je ne reviens pas • myopie, pas de correction pour le moment Chirurgicaux : opéré récemment d'un épiblépharon avec traitement local en cours Médicaux : Hypothyroïdie auto-immune subclinique 2014 : FC non curetée Obstétricaux : voie d'accouchement : césarienne, Date : 24.01.2005, lieu : Turquie, sexe : M, poids (g) : 3800, allaitement (mois) : 5, voie d'accouchement : césarienne, Date : 24.01.2007, lieu : Turquie, sexe : M, poids (g) : 3400, allaitement (mois) : 18, voie d'accouchement : AVB, Date : 2000, lieu : Turquie, sexe : M, particularités : Dit que le bébé est venu au monde mort-né, à terme voie d'accouchement : césarienne, Date : 18.12.2015, anesthésie : Rachi, lieu : HFR Fribourg, sexe : M, SA : 38.6, poids (g) : 3450 Médicaux : • Pseudo crise d'épilepsie au Portugal 2000 • Dysarthrie et hémisyndrome sensitivo-moteur gauche d'origine probablement fonctionnelle spontanément régressif le 27.06.2017 Soins intensifs unité stroke monitorisée du 27.06.2017 au 28.06.2017 ; EEG et Doppler des artères carotides le 29.06.2017 ; IRM cérébrale prévue le 10.07.2017 • Odynodysphagie aux solides depuis 3 mois le 27.06.2017 avec perte de poids de 7 kg en 2 mois, exploration en ORL à l'HFR sans diagnostic trouvé. Gynécologique : • 2005 Intervention de conisation du col utérin sur carcinome in situ • 2001 Fausse couche spontanée 5 semaines d'aménorrhée • 2007 : 2x fausse couche tardive à 14 semaines d'aménorrhée avec curetage et 22 semaines d'aménorrhée sans curetage, sur béance cervicale Obstétricaux : 2010 Accouchement par voie basse à 37 semaines d'aménorrhée avec cerclage à 14 semaines d'aménorrhée Missed abortion d'une grossesse intra-utérine à type d'œuf clair en cours d'expulsion chez une patiente de 36 ans G5 P1. Médicaux : • Status après lombalgies non déficitaires en octobre 2013 • Colique néphrétique gauche 12/2013 (pose puis ablation de sonde JJ) • Syndrome douloureux abdomino-pelvien droit récidivant • Infiltration des blocs ilio-inguinaux bilatéraux 2010-2015-2016 Chirurgicaux : • Arthroplastie épaule D 2008 • Laparoscopie exploratrice en 2009 Obstétricaux : Césarienne 1999 Gynécologiques : • Curetage évacuateur 2002 • Hystérectomie totale avec conservatrice par laparotomie en 2010 pour ménométrorragies Familiaux : Ca ovaire tante maternelle Médicaux : • Accouchement eutocique, né à terme avec cordon autour du cou, ventilation en salle de naissance et suivi en maternité. • Infection de l'œil en cours de suivi lors de la consultation du 10.11.2007 (glande lacrymale). • Angines fébriles avec indication posée d'adénomygdalectomie en attente au vu des antécédents familiaux de trouble de coagulation. • Chirurgicaux : aucun, pas d'anesthésie générale. Médicaux : • Diabète de type II non insulino-requérant. • Hypertension artérielle traitée. • Reflux gastro-oesophagien traité. • Double sciatique gauche et droit sur arthrose. • Calculs rénaux à répétition en 1990. Chirurgicaux : • appendicectomie. • morsure de chat poignet et thénar G, parages des berges, ttt par antibiotiques (en décembre 2017). Gynécologiques : Ablation par laser de condylomes vaginaux en 1997. Obstétricaux : 1 césarienne pour condylomes vaginaux. Familiaux : Cousine maternelle DCD 40 ans Ca mammaire. Médicaux : HTA traitée par Amlodipine Obstétricaux : 2 Accouchements par voie basse Médicaux : Polyarthrite rhumatoïde Mutation hétérozygote facteur V de Leiden hétérozygote TVP MI gauche en 2008 2011 mastite puerpérale droite. Obstétricaux : Accouchement par voie basse en 2011, HFR Fribourg, sexe : F, 2965 g Accouchement par voie basse en 2012, HFR Fribourg, sexe : F, 3430 g Accouchement par voie basse en 2015, Petit Prince, sexe : F, 3500 g Accouchement par voie basse en 2016, Petit Prince, grossesse gémellaire monochoriale biamniotique. Familiaux : Thrombose (mère et grand-mère, en post-partum). Médicaux : Suivi psychiatrique durant la grossesse Médicaux : • Embolies pulmonaires segmentaires ou sous-segmentaires basales bilatérales en septembre 2011 et 2016/Thrombophlébite en 02/2009. • Suspicion AIT 02.09.2017 • Malnutrition protéino-énergétique le 25.11.2015. • Pancréatite aiguë, le 25.11.2015 • Déconditionnement, le 25.11.2015, dans un contexte de sevrage d'opiacés et benzodiazépines. • Hyponatrémie dans contexte de potomanie le 25.02.2015. • Hypovitaminose D sévère à 15 nmol/l le 10.04.2013. • Crise d'épilepsie tonico-clonique, le 26.11.2012, dans un contexte de sevrage. • Cholécystite clinique en avril 2011 • Gastrite à Helicobacter pylori en 2005. • Colopathie fonctionnelle dans le cadre d'un trouble somatoforme chronique en 2001. au laser du col utérin. Chirurgicaux : • Amygdalectomie dans l'enfance. Obstétricaux : 2 AVB Médicaux : • Status post pneumonie lobaire inférieure droite en novembre 2009 • Bactériémie avec sepsis sévère à Proteus mirabilis d'origine incertaine (pulmonaire vs urinaire) le 18.04.2011 • Nodule pulmonaire stable depuis 2008 Chirurgicaux : • Ostéosynthèse du fémur G en 2010 Obstétricaux : • 2 AVB Mefenacide 125 mg. Mefenacide 125 mg et Dafalgan 300 mg en réserve. Contrôle si péjoration ou persistance >3 j. Mélanome abdominal opéré à de multiples reprises, ainsi que pectoral avec curage ganglionnaire en octobre et novembre 2015. Abcès du site de résection d'un mélanome du flanc gauche à Serratia marcescens, S. Aureus. Mélanome Métastase pulmonaire G du mélanome 12/10 exérèse en 2010 actuellement en rémission Tremor essentiel Mélanome nodulaire de l'omoplate gauche, initialement classé pT4a pN0 cM0, stade IIC, indice de Breslow 7 mm non-ulcéré, Clark IV diagnostiqué le 16.02.2011 : • excision totale le 16.02.2011 • récidive métastatique pulmonaire bilatérale en avril 2014 • 4 cycles d'immunothérapie de première ligne par ipilimumab (Yervoy) du 10.12.2014 au 10.02.2015, avec PD • progression tumorale pulmonaire, musculaire, osseuse et récidive locale le 15.04.2015Vemurafenib (Zelboraf) et Cobimetinib (Cotellic) d'avril 2015 à janvier 2017 • 9 cycles d'immunothérapie palliative de 2ème ligne de type pembrolizumab (Keytruda) du 14.02.2017 au 03.08.2017 • PET-CT du 30.10.2017 : forte progression des métastases hépatiques tant en nombre qu'en captation, stabilité des lésions des membres inférieurs, apparition de nouvelles lésions dorsales et osseuses • Actuellement : progression tumorale ; immunothérapie combinée de type Ipilimumab (Yervoy) et Nivolumab (Opdivo) ; 1er cycle le 15.11, 2ème prévu le 06.12 annulé • Perturbation des tests hépatiques le 06.12.2017 sur progression des métastases hépatiques (DD : sur immunothérapie) Suivi par Dr. X. Mme. Y melena melena Mme. Y, hématémèse Mme. Y est hospitalisée pour suivi de céphalées. Une ponction lombaire réalisée aux urgences montre une pression d'ouverture normale, avec une chimie normale, excluant la présence d'une hypertension intracrânienne. Nous renouvelons le fond d'œil, et l'ophtalmologue met en évidence une papille droite au bord nasal légèrement surélevée sans œdème ni enfouissement des vaisseaux. Concernant l'œil gauche, visualisation d'une papille avec bord OG surélevé sans œdème franc ni enfouissement vaisseaux. L'ophtalmologue émet l'hypothèse d'un possible œdème papillaire débutant ou régressant. Cette image et l'asymétrie peuvent aussi être physiologiques. Les autres investigations neurologiques étant rassurantes et les céphalées moindres, elle propose un suivi clinique dans 3 semaines et reconvoquera la patiente pour un suivi ophtalmologique. Elle ne présente pas de douleurs lors de la nuit en surveillance. Nous n'excluons pas la possibilité d'une intoxication chronique au CO, et l'absence de valeur sanguine haute d'HbCO s'expliquerait par la faible dose présente. Nous invitons les parents à ne plus utiliser ce système de chauffage avant d'avoir fait réviser l'installation par un spécialiste. En accord avec Dr. X (neurologue), nous proposons un retour à domicile. Elle reste à disposition de la famille pour une consultation en ambulatoire en cas de besoin. Elle peut donc rentrer à domicile le 19.01, avec un contrôle en cas de péjoration des douleurs et une consultation en ophtalmologie dans 3 semaines. Membranes déchirées, sans hémorragie, sans atonie utérine Membre supérieur gauche : Syndrome de compression du nerf inter-osseux postérieur. Probable syndrome de Wartenberg. Même si les infiltrations se sont soldées par un échec, l'image clinique est assez claire pour un conflit sous-acromial. J'arrive à convaincre le patient de réaliser une nouvelle infiltration qui sera effectuée par mes soins le 16.02.2018. Par la suite, nous rediscuterons la suite de la prise en charge. Prochain contrôle à ma consultation le 09.03.2018. Menace d'accouchement prématuré le 02.01.2018 à 33 6/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 27 ans 3G1P avec contractions utérines douloureuses Menace d'accouchement prématuré modéré avec col à 17 mm à 31 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 28 ans, G2 P0 Méningiome atypique fronto-temporal droit grade II selon l'OMS diagnostiqué en 03.2007 : • Status post-craniotomie frontale droite pour méningiome atypique fronto-temporal droit grade II selon l'OMS, suivie de radiothérapie par 60 Gy fractionnés en 30 doses en 2007, • Status post-récidive en 2011, traitée par gamma Knife, • Status post-récidive en 2015, traitée par chirurgie avec complément de traitement par gamma Knife, • Status post-récidive en 2016, traitée par chirurgie avec complément de traitement par Gamma-Knife, • Status post-récidive traitée par exérèse par craniotomie frontale droite le 30.11.2016 (CHUV), • Status post-plastie de la base du crâne post-craniotomie frontale bilatérale le 16.06.2017 au CHUV, • Status post empyème sous-dural frontal avec multiples abcès frontaux au niveau sous-cutané le 08.08.2017, • IRM neurocrânienne du 21.11.2017 : nette diminution en taille de la collection liquidienne centrée sur les vestiges du sinus frontal droit. Status post-craniectomie frontale droite avec séquelles de gliose bi-frontale. Majoration en taille des multiples méningiomes dont l'augmentation la plus importante se situe dans la région temporale droite avec apparition d'un œdème de la substance blanche au contact. Lombalgies chroniques. Épilepsie frontale gauche traitée par phénytoïne. Dépendance aux benzodiazépines. Ancienne dépendance à l'alcool. Suspicion de syndrome frontal d'origine somatique le 28.08.2017 : • Demande de curatelle à la Justice de Paix, • Transfert sous PAFA à Marsens pour suite de prise en charge. Méningiome de l'étage antérieur avec : • Compression des nerfs optiques et du chiasma • Dislocation de la tige pituitaire Méningiome de l'étage antérieur avec compression des nerfs optiques et du chiasma et dislocation de la tige pituitaire Méningiome frontal, diagnostiqué en février 2015 • Refus initial du traitement chirurgical (consultation Dr. X, Inselspital) Méningiome multi-récidivant grade 1 temporal gauche diagnostiqué en 1985 : • Status post exérèse en 1985, 1988, 1998, 2003, 2005 et 2006 • Status post radiothérapie de 60 Gy en 1988 • Status post radiochirurgie 24.05.2008 pour 2 nodules récidivants et nouvelle lésion temporo-occipitale gauche • IRM 09.09.2009 : récidive de deux nodules sous le volet temporal • Ablation de 4 nodules méningiomateux au niveau temporal gauche 16.10.2009 (HUG) • Suspicion d'un petit méningiome en arrière de C2 à l'IRM du 24.11.2009 • Possible crise comitiale inaugurale anamnestique avec perte de connaissance • Séquelles post-résection : • Aggravation de troubles phasiques (type aphasie de Wernicke) en phase postopératoire avec manque du mot, difficulté de dénomination et désorientation temporo-spatiale • Hémianopsie latérale homonyme droite • Syndrome dysexécutif • Crise d'épilepsie et syndrome de Todd • Paralysie faciale périphérique droite • Hypoacousie bilatérale (appareillée) • États confusionnels transitoires récurrents • Suivi par Dr. X (neurologue-Fribourg) et Dr. X (neurochirurgien-HUG) Méningiome ptérional gauche de 4 cm de diamètre Méningiome ptérional gauche Méningite aiguë d'origine probablement virale le 18.10.2017 avec : • Pléocytose de type lympho-monocytaire, hyperprotéinorachie, normoglycorachis • Examen direct ne révélant pas de coloration Gram • Antécédent de sinusite aiguë lors d'un voyage en Espagne il y a 1 mois traité par Amoxicilline Clavulanate • Diarrhées aiguës durant 48h précédant la méningite DD : bactérienne décapitée, zona territoire V2, médicamenteuse sur Ibuprofen. Méningite bactérienne à cocci Gram positif par contiguïté le 14.01.2018 • Sur otite moyenne perforée compliquée d'une mastoïdite Méningite bactérienne à coques Gram + le 14.01.2018 • Dans le cadre d'une otite moyenne perforée et mastoïdite Méningite carcinomateuse sur adénocarcinome de l'antre gastrique métastatique (hépatique et os) • Date du diagnostic : 29.06.2017 • Histologie (Promed P7136.17) du 29.06.2017 : adénocarcinome peu différencié de type intestinal ulcéré antral dans le cadre d'une gastrite chronique avec Helicobacter pylori.• Immuno-histochimie : expression conservée des protéines de réparation MMR. Tumeur micro-satellite stable (MSS). HER2 score 0. • OGD du 27.06.2017 (Dr. X) : lésion tumorale sténosante circonférentielle de l’antre gastrique au niveau de la petite courbure jusqu'à quelques centimètres au-dessous du cardia. • PET CT du 05.07.2017 : plusieurs foyers hypermétaboliques multifocaux du gastre en rapport avec la tumeur connue. Métastases ganglionnaires para-gastriques rétropéritonéales en inter-aorto-cave et claviculaire interne gauche, métastases hépatiques et osseuses multiples. • Status post-3 cures de chimiothérapie palliative de 1ère ligne par Cisplatine et 5-FU du 13.07 au 13.09.2017 avec excellente réponse partielle. • 4ème cure de chimiothérapie par Cisplatine et 5-FU, puis instauration d’une maintenance par 5-FU • Masse ovarienne sur probable syndrome de Krukenbert (CT 30.11.2017) • IRM 15.12.2017 : probables infiltrations méningées au niveau de la queue de cheval • État confusionnel aigu le 18.12.2017 • Crises d'épilepsies multiples d'allure toniques Méningite en 1983 Phakectomie droite Hystérectomie Surinfection au niveau de l'avant-droit sur corps étranger pénétrant il y a plus de 2 semaines Méningite fulminante à pneumocoques le 21.02.2014, avec : • Dissémination hématogène (infiltration para-lombaire, psoas gauche, genou gauche, cheville gauche) • Intubation orotrachéale du 21 au 26.02.2014 (Hôpital de l'Ile) • Dérivation ventriculaire externe du 21 au 26.02.2014 (Hôpital de l'Ile) Arthrite septique de la cheville gauche le 25.02.2014 : • Arthrotomie, débridement, drainage, rinçage le 25.02.2014 (Hôpital de l'Ile) • Débridement talo-naviculaire gauche le 25.02.2014 (Hôpital de l'Ile) • Débridement, biopsie et mise en place d'un pansement Renasis (Dr. X) le 14.03.2014 : • Débridement, rinçage et changement du pansement Renasis (Dr. X) le 17.03.2014 • Débridement, rinçage et changement du pansement Renasis (Dr. X) le 21.03.2014, avec : • Débridement, rinçage et fermeture de la plaie (Dr. X) le 04.04.2014 Sarcopénie marquée avec : • Paraparésie des membres inférieurs probablement sur neuro-myopathie des soins intensifs • IRM du rachis lombaire et psoas le 04.03.2014 : pas de compression, abcès du psoas en diminution • IRM cérébrale et cervico-dorsale le 07.03.2014 : pas de myélopathie, signes de ventriculite des cornes occipitales • ENMG le 13.03.2014 : signes discrets de neuropathie axonale aux membres inférieurs Dissection aortique type B (découverte fortuite au CT) en 2014 Méningite virale il y a plusieurs années. Urolithiase avec calcule de 4 cm de diamètre à la jonction urétéro-vésicale le 01.02.2015. Méningite (1953) compliquée d'atteinte vestibulo-cochléaire (Surdité) Méningite, 1983. Phakectomie droite. Hystérectomie. Surinfection avant-droit sur corps étranger pénétrant. Méningo-encéphalite virale à HSV-2 avec : • CT cérébral natif du 19.12.2017 HFR Fribourg : dans la norme, pas de saignement • IRM du 21.12.17 HFR Fribourg : altérations compatibles avec une encéphalite DD : limbique VS virale • Ponction lombaire le 19.12.2017 HFR Fribourg : PCR avec HSV-2 positif Méniscectomie bilatérale il y a 30 ans. Méniscectomie interne droite et ponction de kyste de Baker en 2016 Fracture ouverte du nez sur chute (CT cérébral, mars 2013) Souris articulaire sur chondromatose coude gauche en 2003 Discectomie C5/C6 et C6/C7 pour hernie discale en 1997 Fracture métaphysodiaphysaire péronière distale 1991 Cure de hernie discale lombaire en 1987 Amygdalectomie et adénoïdectomie non datée Ménorragies anémiantes sur utérus poly-myomateux avec : • Hystérectomie totale conservatrice des deux ovaires par laparoscopie avec morcellation et colporraphie par voie vaginale le 23.10.2013 • Adhésiolysis. Réaction allergique de stade I à un produit de nettoyage le 06.10.2015. Ménorragies anémiantes avec suspicion d'adénomyose chez une patiente 4G3P de 40 ans. Ménorragies anémiantes sur utérus poly-myomateux avec : • Hystérectomie totale conservatrice des deux ovaires par laparoscopie avec morcellation et colporraphie par voie vaginale le 23.10.2013 • Adhésiolysis. Réaction allergique de stade I à un produit de nettoyage le 06.10.2015. Ménorragies anémiantes sur utérus poly-myomateux avec : • Hystérectomie totale conservatrice des deux ovaires par laparoscopie avec morcellation et colporraphie par voie vaginale le 23.10.2013 • Adhésiolysis. Réaction allergique de stade I à un produit de nettoyage le 06.10.2015. Ménorragies chez patiente 2G2P de 56 ans. Ménorragies chez une patiente 2G2P de 43 ans. Meopa Désinfection Suture avec 1 point prolène 5-0 Vaccins à jour Ablation fils à 5 jours Merci de contacter rapidement le service de liaison. Madame seule avec son mari travaillant à 100% et ses enfants. Nécessité de l'aide à domicile le temps de l'hospitalisation et également pour la suite pendant la convalescence. Merci de pister les résultats de Holter et IRM Merci de faire le dosage de l'hémoglobine glyquée pour compléter le bilan d'AIT Merci de faire un remler si vous le jugez nécessaire et introduire un traitement si besoin Merci de pister les résultats microbiologiques (hémocultures ; microbiologie liquide cérébrale). Merci de prendre en charge Mme. Y, étant donné la nécessité de surveillance rapprochée ne pouvant être procurée dans notre établissement par manque de place. Le frottis de la grippe n'a pas été effectué, car étant en dehors des heures ouvrables, le résultat n'arriverait que demain. De plus, nous n'effectuons pas de capacité vitale aux urgences du HFR. Merci de refaire une Rx de thorax pour recontrôler la lésion nodulaire centimétrique en surprojection de l'arc postérieur de la 8ème côte droite Merci d'évaluer l'indication à une nouvelle colonoscopie. Mme. Y prendra contact avec son diabétologue, le Dr. X à Clarens. Mère avec reflux gastro-œsophagien. Mère : B Rhésus négatif Nouveau-né : Rhésus positif Rhophylac 300 mcg fait le 13.01.2018. Mère Rh négatif, nouveau-né Rh positif. Rhophylac 300 le 20.01.2017. Mère : Rhésus négatif Enfant : Rhésus négatif Mère : Rhésus négatif Enfant : Rhésus négatif Mesure de glycémie en ambulatoire. Adaptation du traitement antidiabétique par le médecin traitant. Proposition d'exclure un syndrome de Cushing au vu de l'hypertension (diabète, vergetures cutanées et hirsutisme). Mesures préventives Contention pharmacologique Résolu Métastase cérébrale pariétale gauche d'un mélanome malin. Métastase pulmonaire du lobe inférieur droit et du supérieur gauche d'un carcinome rénal à cellules claires : • Date du diagnostic radiologique : 17.10.2017 Métastase surrénalienne gauche solitaire d'un adénocarcinome pulmonaire. Métastase thalamique et mésencéphale droite le 20.12.2017 d'un carcinome à petites cellules avec : • Héminégligence G et probable hémiparésie G dès le 05.01.2018 Métastases cérébelluse de l'hémisphère droit de 45 x 41 mm avec œdème périphérique et cérébral pariétal gauche. Métastases hépatiques et osseuses d'un carcinome du sein droit invasif diagnostiqué en 2015. • Type NST, pT2, pN1mi(sn), (i+)(1mi/6), pL1, pV1, pPn1, R0, G2 • Mastectomie et excision du ganglion sentinelle et accessoires le 23.06.2015 (sein droit) • ER 100 %, PR -1 %, MIB1 10 à 20 %, HER2 négatif • Radiothérapie et chimiothérapie renoncée en 2015 • Hormonothérapie par Letrozole depuis 2015 jusqu'au 28.09.2017 • Mammographie et ultrason (Affidea) de contrôle 07.06.2017: absence de lésion évolutive au niveau du sein gauche, pas de récidive à droite • CT-thoraco-abdominal le 12.09.2017 : lésions multiples probablement métastases hépatiques et osseuses (L2 et D12 avec effet de masse). Pas de cancer primaire visualisé. • Ponction osseuse sous CT le 19.09.2017, crête iliaque antérieure droite: métastase osseuse d'un carcinome d'origine mammaire • IRM cérébrale le 26.09.2017: pas de métastases • Anatomopathologie: Carotte osseuse avec ostéosclérose et fibrose des espaces médullaires. Absence de tissu hématopoïétique. Au sein de la fibrose, cellules atypiques à noyaux agrandis, parfois nucléolés, à cytoplasme abondant, isolées ou groupées en amas discohésifs. Analyses immunohistochimiques: positivité pour CK116 et GATA3, absence d'expression des récepteurs oestrogéniques et progestéronique, index de prolifération Ki67: 15 %, HER2: négatif • Consilium oncologique le 13.09.2017 (Dr. X): Chimiothérapie palliative sera introduite dès 2 semaines après l'arrêt du Letrozole (Stop le 28.09). • Consilium oncologique Dr. X le 12.10.2017: proposition d'introduction de Taxol hebdomadaire • Début de chimiothérapie par Taxol le 26.10.2017 et le 02.11.2017 • Organisation de mise en place de Port-à-cath (Dr. X) le 07.11.2017 sous anesthésie locale Métatarsalgie du pied D avec lymphoedème épifacial et pied plat associé. Métatarsalgies de la tête des 3ème et 4ème métatarsiens post-entorse de l'avant-pied avec fracture de P3 O3 pied gauche le 23.09.2017. Métatarsalgies II-III du pied G. DD : névrome de Morton. Métatarsalgies 2-3 symptomatiques à G sur hallux valgus bilatéraux et angle entre les métatarses 1-2 de 15° ddc. Metformin le 06.12.2017 chez Mr. Y avec insuffisance rénale GFR 38 ml/min) pausé. Insulin Lantus le 11.12.2017. BZ Metformin en suspens (hyperlactatémie) Schéma correcteur Insuline Metformin en suspens Correction de la glycémie Metformin en suspens Zaldiar en suspens Co-Aprovel en suspens Spot urinaire à pister Metformine et Irbesartan en pause. Hydratation 500 ml aux urgences. Hydratation à l'étage. Metformine 500 mg 2x/jour. Contrôle chez son médecin traitant. Metformine. Enseignement diabétologique. Surveillance glycémie. Méthergin 1 cpr 3x/j pour 5 jours Mr. Y est hospitalisé pour oxygénothérapie dans le cadre d'une bronchite obstructive. La recherche de RSV est revenue négative. Sur le plan respiratoire, il présente des désaturations au sommeil, nécessitant de l'oxygène du 15.01 au 17.01. Par la suite, il présente une saturation normale en air ambiant y compris lors du sommeil. Le ventolin est progressivement espacé. Il reçoit du béthnesol pendant 72h. Sur le plan alimentaire, il ne présente pas de difficulté alimentaire et prend tous ses apports par voie orale. Devant la bonne évolution, il peut rentrer à domicile le 18.01 avec un schéma dégressif de ventolin. Nous proposons un contrôle à votre cabinet dans les 72h. Metoprolol, Lisinopril introduits dès le 31.12.2017, à adapter selon clinique Atorvastatine dès le 31.12.2017 Metoprolol, Lisinopril introduits dès le 31.12.2017. Lisinopril stoppé le 03.01.2018 au vu d'hypotension. À réintroduire selon évolution du profil tensionnel Atorvastatine dès le 31.12.2017 Metoprolol stoppé 48h avant la provocation. Surveillance de la fréquence cardiaque dans la norme durant l'hospitalisation Metozerok cf liste de médicaments. Laboratoire : cf. annexes. Métronidazole le 28.12.2017 en suspens Suivi clinique-biologique Métrorragie post-ménopause avec • hyperplasie endométriale et un kyste ovarien droit • hydrosalpynx à gauche et kyste ovarien droit Métrorragies Métrorragies Métrorragies Métrorragies Métrorragies anémiantes Métrorragies du 2ème trimestre, d'origine indéterminée, chez une patiente de 34 ans, primigeste à 25 4/7 semaines d'aménorrhée Métrorragies post-ménopausiques d'exploration difficile, kyste ovaire droit de bénignité incertaine et hydrosalpinx gauche. Métrorragies post-ménopausiques et masse exophytique cervicale chez une patiente de 64 ans G3P3 Métrorragies sur rétention de matériel post-fausse couche le 21.11.2017 Métrorragies sur volumineux myome utérin de 13 x 10 cm localisé sur la paroi antérieure FIGO2-5 chez une patiente 3G 3P de 52 ans MGF type 2 Accouchement par césarienne en urgence 2 pour échec de provocation sur probable disproportion fœto-pelvienne à 41 4/7 semaines d'aménorrhée le 05.02.2017 MGF type 2. Accouchement par césarienne en urgence 2 pour échec de provocation sur probable disproportion fœto-pelvienne chez une patiente de 26 ans 1 geste devenue 1 pare à 41 4/7 semaines d'aménorrhée le 05.02.2017. Micro-adénopathie jugulo-carotidienne droite. Microbiologie : • Hémocultures 2 paires le 11.10.2017 : Bacillus cereus (2 bouteilles / 4, anaérobies). • Hémocultures 15 paires au total entre le 13.10 et 26.10.2017 : négatives. • Culture VVC le 12.10.2017 : négative. • 1 CE en culture le 14.11.2017 (H00501702292122 ; transfusé le 11.10.2017) : négatif. • Culture d'aspiration bronchique le 15.10.2017 : négative. • Recherche C. difficile dans les selles le 17.10, 19.10 et 22.10.2017 : négatif. • Urotubes le 15.10, 19.10 et 26.10.2017 : négatifs. CT cérébral 13.10 et 14.10.2017 IRM cérébrale 17.10.2017 IRM cérébrale 25.10.2017 : lésions stables ; augmentation de l'œdème vasogénique périlésionnel (à corréler avec la sortie d'agranulocytose) ; lésions se situant dans le pons en étroit contact avec la paroi de l'artère basilaire. IRM cérébrale le 09.11.2017 : lésions en légère diminution (30 %). IRM cérébrale le 04.01.2018 : Disparition quasi-totale des lésions / abcès précédemment visualisées. ETT 16.10.2017. ETO 17.10.2017 : pas d'argument pour une éventuelle endocardite. Avis et suivi infectiologique (Dr. X / Dr. X). Cefepime du 11.10.2017 au 12.10.2017 Meronem du 12.10. au 15.10.2017 Caspofongine du 15.10.2017 au 22.10.2017 Piperacilline / Tazobactam du 15.10.2017 au 22.10.2017 Vancomycine iv continu 3 g / 24h du 12.10 au 08.11.2017, avec taux itératifs (cible 20-30 mg/ml) : • 13.10.2017 : 15 mg/ml • 15.10.2017 : 25 mg/ml • 17.10.2017 : 23 mg/ml • 19.10.2017 : 24 mg/ml • 22.10.2017 : 22 mg/ml Ciprofloxacine dès le 13.10.2017, dose augmentée à 400 mg iv 3x/j dès le 03.11.2017, puis 750 mg po 3x/j dès le 07.11.2017 • Taux résiduel de Ciprofloxacine le 30.10.2017 : 1.2 ng/l • Taux résiduel de Ciprofloxacine le 10.11.2017 : 0.6 ng/l Moxifloxacine po dès le 13.11.2017 400 mg 2x/j • taux résiduel de Moxifloxacine le 8.82 mg/l (cible 2.5 mg/l) Dexaméthasone du 03.11.2017 au 07.01.2018. ASA en suspens, reprise le 23.10.2017. Changement de VVC le 12.10.2017 Microbiologie : Streptocoque gr. anginosus/milleri sensible à la Pénicilline. Biopsie : Inflammation aiguë abcédante et nécrosante. Pas de signe de malignité.Microbiologie de l'oreille moyenne gauche : culture aérobie : nég. à 2 jours. Microcarcinome papillaire de la thyroïde droite (0.85 cm) pT1a, pN0, pM0, R0 et adénome microfolliculaire avec différenciation oncocytaire de la thyroïde gauche (4 cm) : • thyroïdectomie totale le 20.06.2013 (Tiefenau Berne) • lymphadénectomie totale • atteinte récurrentielle unilatérale actuellement sous Prednisone. Adénocarcinome du rectum pT3N0 (0/16) M0G2 au niveau de la jonction recto-sigmoïdienne avec : • résection antérieure basse en avril 2006 • fuite anastomotique postopératoire traitée conservativement • chimiothérapie adjuvante par 5-FU et Leucovorin d'août 2006 à septembre 2006 • iléostomie de protection par laparoscopie en août 2006 • cholécystectomie, ampoulectomie, plastie de la papille pour adénome de la papille tubulaire (dysplasie de bas grade) et révision de la stomie avec mise en place d'un filet en novembre 2007 • ablation du port-à-cath à droite en novembre 2007 • laparotomie, adhésiolyse étendue et résection antérieure basse avec mucosectomie et anastomose colo-anale pour sténose de l'anastomose colo-rectale avec fistule chronique en 05/2008 • re-laparotomie, adhésiolyse, résection de l'anastomose colo-rectale avec moignon supra-anal ; résection grêle segmentaire et colostomie descendante 09/2010 (Tiefenau Berne) • hernie para stomiale gauche. Trouble dépressif. Fibromyalgie avec syndrome douloureux chronique. Dysesthésie du membre supérieur droit sur probable lésion du plexus inférieur sur abduction prolongée lors de l'intervention en novembre 2006 (IRM cervicale : exclusion d'une hernie cervicale). Infections urinaires récidivantes. Ostéoporose traitée par Prolia. Cardiopathie hypertensive (old lady heart syndrome) avec • sclérose minime de l'arbre coronarien • EF 70% • absence de sténose des artères rénales • dernière coronarographie le 12.05.2017 (Dr. X) Microcéphalie. Microcéphalie, épilepsie. Microdiscectomie L5-S1 D en 2015 (Dr. X) 2 interventions de plastie du LCA du genou D. Cure hernie inguinale dans l'enfance. Multiples corps étrangers sur jambes, bras et visage. Micro-hématurie persistante. Microhématurie probablement post-traumatique. Midazolam iv le 08.01.2018. CT Time-is-brain le 08.01.2018. Consilium neurologique le 08.01.2018 (Dr. X). Résolu après correction de la natrémie. Midazolam 6 mg iv le 05.07.2018. Halopéridol iv du 07 au 08.01.2018. Clonidine du 07 au 08.01.2018. Quetiapine du 08 au 17.01.2018. VVC sous-clavière D du 08.01.2018 au 17.01.2018. CT cérébral le 06.01.2018 : pas de lésion hémorragique nouvelle. Mifegyne le 06.01.2018. 1ère prise de Cytotec le 08.01.2018. 2ème cure de Cytotec le 24 et 25.01.2018. Groupe sanguin B+. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine. Migraine accompagnée. Migraine accompagnée d'un hémisyndrome sensitif gauche, confusion et hémianopsie gauche. Migraine avec aura. Migraine avec aura de type phosphènes : • contre-indication aux triptans au vu de l'AVC. Migraine avec aura ophtalmique et hypoesthésie de l'hémicorps gauche. Migraine avec aura ophtalmique le 04.01.2018. Migraine avec aura. DD : syndrome de POTS, céphalées de tension. Migraine avec vertige rotatoire. Migraine cathaméniale. Migraine (crises traitées par Relpax 40 mg). Migraine (dernier épisode en 2007). Infection herpétique avec bouton de fièvre. Migraine temporale gauche chronique sans aura depuis l'âge de 16 ans, suivie au CHUV (Dr. X) : • status postcéphalées sur abus médicamenteux avec sevrage en automne 2016 • IRM cérébrale (01.09.2016) : légère asymétrie mésio-temporale, sinusite maxillaire et ethmoïdale • status post-crise migraineuse temporale gauche sans aura le 31.08.2016 • état de mal migraineux sans aura le 14.03.2017 • sous traitement de Saroten d'office et Maxalt, Tramal et Dafalgan en réserve • le patient a des infiltrations de corticoïdes dont la dernière le 04.05.17 au CHUV. Exacerbation de migraine temporale gauche chronique le 14.08.2017 et le 21.09.2017. Epigastralgies chroniques. État dépressif. Migraine. Asthme d'effort (traitement occasionnel). Migraine. Asthme traité. Migraine. Hépatomégalie idiopathique connue. Syndrome dépressif avec forte anxiété et trouble de la personnalité de type borderline, cyclothymie et histrionique. Fibromyalgie. Migraine. Intolérance au lactose et au gluten. Migraine. Luxation de l'épaule gauche en antérieur spontanément réduite le 11.10.2016. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines avec des douleurs frontales 1-2 fois par an. Migraines depuis 17 ans sans aura. Migraines hémicrâniennes droites pulsatiles. Hypoacousie bilatérale d'allure congénitale d'apparition tardive en 2009, actuellement appareillée. Thyroïdectomie subtotale en 1991. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique, le 07.10.2014. Vertiges périphériques d'origine indéterminée, le 07.10.2014. Migraines (maman connue pour des migraines ophtalmiques). Asthme (traitement de fond Sérétyde + Montélukast). Migraines traitées par Triptan. Migraine. SAOS sous CPAP du 2002-2012. Dyslipidémie. Asthme bronchique. HTA. Anémie normocytaire normochrome à Hb 125 g/L. Migräne. Mild cognitive impairment d'origine vasculaire : • MMS 15.11.2016 : 8/30 • CAM 14, 15, 16, et 17.11.2016 : pas de changement aigu de l'état cognitif, léger trouble d'attention, pas de désorganisation de la pensée, pas d'altération de l'état de conscience. • IRM 17-11-2016 : encéphalopathie : microangiopathie périventriculaire, grade III, probablement causée par hypertension chronique. Artérite de Horton, sous Prednisone. Appareil auditif à gauche. Hyponatrémie à 130 mmol/l sur prise de diurétiques le 11.11.2016. Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Chutes à répétition avec dernière chute le 09.11.2016 --- fracture transversale de la rotule D (confirmée par CT le 10.11.2016) • Gonarthrose tricompartimentale à D • trouble de la sensibilité et de la proprioception des membres inférieurs • démence vasculaire • hyponatrémie actuellement résolue • carence de vitamine D • albumine à 34 g/l • suspicion de syndrome akineto-rigide. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Stop metfin le 10.11.2016 pour une clearance < 30 ml/min, n'a pas été reprise au vu d'un bon contrôle glycémique. HTA (thérapie multimodale dans le passé). Adaptation du traitement anti-hypertenseur (cardura en pause), n'a pas été repris au vu d'un bon profil tensionnel. Insuffisance rénale chronique stade modéré à sévère avec :• Atrophie du rein droit sur artère rénale grêle et insuffisance rénale progressive • Stenting de l'artère rénale, date impossible à préciser anamnéstiquement • Clearance d'après Cockroft-Gault habituellement mesurée à 28 ml/min • Créatinine 108 mcmol/L, clearance mesurée d'après Cockroft-Gault: 27 mL/min, poids 49,6 kg le 29.11.2016 Milhan est hospitalisé pour surveillance neurologique suite à une crise convulsive tonique. Sur le plan métabolique, les contrôles glycémiques reviennent dans la norme. Une gazométrie ne montre pas de troubles électrolytiques. Sur le plan infectieux, Milhan est afébrile à l'arrivée des ambulances et pendant toute l'hospitalisation. Les analyses de selles reviennent négatives pour un rotavirus et adénovirus. Nous retenons la possibilité d'une crise convulsive dans un contexte infectieux (gastro-entérite au décours). Sur le plan cardiaque, nous n'avons pas d'arguments pour d'autres investigations dans un premier temps. Sur le plan neurologique, Milhan présente un examen neurologique entièrement normal et selon l'anamnèse, il présente un développement dans les limites de la norme. Tout au long de l'hospitalisation, il ne manifeste pas de nouvelles crises. Après notre discussion téléphonique avec le Dr. X (neurologue pédiatre), nous proposons une consultation neurologique avec un EEG à distance à Paris, vu qu'une épilepsie débutante ne peut pas être complètement exclue même si nous avons peu d'arguments. Devant une bonne évolution, Milhan peut alors rentrer à domicile le 07.01.2018. Milo est transféré de la salle de réanimation pour suite de prise en charge dans le contexte de trouble de l'adaptation primaire suite à une réanimation cardio-pulmonaire, sans critère d'une acidémie périnatale. Sur le plan neurologique, il reste irritable initialement à la manipulation. L'examen neurologique revient dans la norme. Il est actif et réactif, présente des mouvements spontanés symétriques, et les réflexes archaïques (Moro, grasping, marche) sont conservés. Cliniquement, il ne présente pas de crises convulsives pendant son hospitalisation. L'ultrason cérébral dans les premières heures de vie exclut une hémorragie ou œdème. La gazométrie à une heure de vie montre EB -14, lactate 11 mmol/L sans répercussion sur pH, qui se normalise au contrôle suivant avec une diminution du lactate. Sur le plan hémodynamique, il reste stable, avec une tension artérielle et fréquence cardiaque dans la norme, pas de bradycardies. Au niveau respiratoire, il ne nécessite pas de support ventilatoire ni d'oxygénothérapie. Sur le plan alimentaire, il mange progressivement per os toutes les quantités et tolère bien. Il élimine méconium et urine dans les premières 24 heures de vie. Sur le plan infectieux, dans le contexte d'un streptocoque B positif (malgré la prophylaxie chez la maman), nous réalisons des contrôles cliniques rapprochés aux 4h revenant dans la norme. Il reste afébrile tout au long de l'hospitalisation. Un bilan sanguin montre une CRP <5 mg/l, augmentant jusqu'à 9 après 12h de vie, sans répercussion sur la formule leucocytaire. Au vu d'une évolution favorable et d'une clinique rassurante, Milo peut regagner son domicile le 27.12.2017. • Minerve + Planchée • Rx colonne cervicale (f/p/transbuc.) + thoracique (f/p) + lombaire (f/p) • Avis orthopédiste de garde (Dr. X) • Antalgie + Myorelaxants, • Contrôle à 1 semaine chez le MT (si pas d'amélioration, adresser la patiente à la team spine). • Arrêt de sport pour 2 semaines • Minerve mousse à viser antalgique pour 48h max • Antalgie. • Minerve rigide aux urgences. • Radiographie cervicale: décrite ci-dessous. • CT cervical: décrit ci-dessous. • Antalgie. • Arrêt de travail. • Mini-Doppler artériel: Pouls présents au niveau tibial et pédieux des 2 côtés • Dosage vitaminique • Minime lésion de la muqueuse oropharyngée • MIPO tibia D par plaque LCP métaphysaire 4.5, 3.5, 11 trous le 10.11.2017 sur fracture spiroïde diaphysaire tibia D le 09.11.2017. Mme. Y est hospitalisée pour une suspicion de BRUE (Brief Resolved Unexplained Events) après mise au sein, connue pour une agénésie du septum pellucidum diagnostiquée en prénatal et confirmation selon les preuves complémentaires. Suivi à partir de ce moment par le service de neuropédiatrie et endocrinologie, qui réalisent la demande pour une IRM et fonction hypophysaire. Durant les 72 heures d'hospitalisation, elle reste sous monitoring cardio-respiratoire, surveillance clinique et des investigations dans ce contexte sont réalisées. Nous n'objectivons pas d'épisodes similaires et reste stable neurologiquement. Pas de cyanose, pâleur, hypotonie, perte de conscience ou désrégulation de la respiration. Les constantes vitales restent dans la norme, FC basal 120-130 bpm, FR minimal à 30 rpm, TA moyenne 80/50 mmHg, puis afébrile sur toute sa prise en charge. Cliniquement, elle reste asymptomatique, l'examen physique ne manifeste pas de signes d'alarme ni anomalie anatomique. • Sur le plan neurologique: après discussion avec le Dr. X, une cause neurologique ou un lien avec l'agénésie du septum pellucidum est peu probable dans notre cas. Nous discutons l'IRM avec l'équipe de radiologie qui, sur les images, ne trouve pas de troubles de l'hypophyse avec les images obtenues sans sédation. • Sur le plan cardiologique: un ECG revient normal (pas d'arythmie, ni autre altération électrique), tension artérielle et saturation pré et post ductal sans anomalies, pas de souffle. Dans ce sens, nous voyons moins probable une cause cardio-vasculaire. • Du point de vue respiratoire, il n'existe pas de clinique obstructive, pas de sécrétions nasales, ni malformations des voies respiratoires ni apnées pendant le sommeil. Saturation d'oxygène >95% à l'air ambiant, juste quelques épisodes de désaturation mais non stimulés et aucune répercussion clinique. • Pas de notion d'état fébrile ou de foyers infectieux faisant penser à une cause infectieuse. • Sur le plan gastroentérologique: nous constatons qu'elle ravale l'alimentation et présente quelques régurgitations jusqu'au 8.1.17, puis au début une difficulté alimentaire pour l'allaitement. Dans ce contexte d'un possible ALTE sous reflux gastro-œsophagien et l'apparition de cet événement après l'allaitement, nous indiquons des mesures conservatrices (positionnement du bébé, apprentissage alimentaire, petit lit à 30°) et explication à la maman. Reprise du poids pendant son hospitalisation. • Pas d'ingestion de médicament pour la maman et donc pas de risque pour l'allaitement. • Sur le plan métabolique: la glycémie est en ordre, lactate qui revient dans la norme au dernier contrôle, pas de dysélectrolythémie (sauf hyperpotasémie dans le contexte d'une extraction capillaire). Nous consultons Dr. X (endocrinologue) pour les résultats TSH/T4 et cortisol qui semblent dans la norme pour l'âge. Dans ce contexte, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile après 3 jours d'hospitalisation le 09.01 avec contrôle chez le pédiatre en 48-72 heures. J'informe la maman des signes à observer à domicile et j'explique la manœuvre de réanimation basique. • Mise en place de PCA avec morphine puis relais par fentanyl suite à une suspicion de neurotoxicité • Adaptation du traitement anxiolytique • Poursuite du traitement avec aérosols d'atrovent et ventolin • Poursuite d'oxygénothérapie • Poursuite de physiothérapie respiratoire et mobilisation Mis en suspens traitement diurétique Hydratation NaCl 1000ml/24h Mise à l'abri en médecine interne. Becozyme, Benerva aux urgences. Seresta en réserve. Hydratation parentérale. Surveillance neurologique pendant 12 heures. Intervention brève concernant la consommation d'alcool à risque. Mise à plat faux anévrisme + reconstruction du carrefour fémoral avec prothèse intergard silver le 22.01.2018 Angio-CT (24.01.2018) Mise au repos dans une attelle "rhizarthrose" pour 3 semaines, contrôle clinique à Tavel dans 6 semaines. Mise au repos durant 2 semaines. Contrôle clinique début mars. Mise en charge progressive et abondant des cannes ce week-end. Prochain contrôle jeudi 01.02.2018. Mise en pause de l'insulino-thérapie et du Gliclazid en raison d'hypoglycémies Selon accord avec Dr. X : reprise du Toujeo à dosage réduit à la sortie Mise en pause du traitement par Fenofibrate et Pravastatine en cours d'hospitalisation Reprise du Fenofibrate à dose réduite (50 mg) à la sortie Consilium pharmacologie clinique (Dr. X) Propositions : • contrôle lipidique chez son médecin traitant • contrôle de la fonction rénale post-réintroduction du traitement • contrôle de CK, fonction rénale et homocystinémie 1x/mois pour les trois premiers mois, puis périodiquement • en cas de récidive de myalgies ou d'insuffisance rénale, évaluer combinaison de statine avec Ezetimibe Mise en place bandelette TOT sous anesthésie générale Mise en place d'attelles sur mesure D4 et D5 du côté gauche en ergothérapie dès lundi 11 décembre 2017. Suite de prise en charge à la consultation du médecin traitant. Mise en place de sonde vésicale Mise en place d'ergothérapie pour attelle d'extension et mobilisation. Contrôle clinique dans 3 mois. Si échec de la thérapie, nous envisagerions une cure de pouce à ressaut. Mise en place d'un drain thoracique le 15.12.2017 Décision du tumorboard du 20.12.2017 : traitement par chimiothérapie Mise en place d'un fils de Seton prévu le 31.01.2018 (Dresse X), se présenter à 7h au C12 Consultation en anesthésie le 30.01.2018 à 10h20 Mise en place d'un gantelet pendant 4 semaines. Mise en place d'un pacemaker (Adapta ADDR01) en 2001 Mise en place d'un plâtre AB circulaire. Prochain contrôle clinique hors plâtre à 4 semaines de l'accident. Mise en place d'un plâtre AB prenant le pouce pendant une semaine puis attelle velcro poignet droit pendant une semaine. Arrêt de travail pour 1 semaine. Mise en place d'un plâtre scaphoïde circulaire à garder pour un total de deux mois. Lors du prochain contrôle, nous ferons un contrôle rx standard avec projection de Sanders et en cas de doute clinique sur la consolidation, un scanner sera organisé. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Mise en place d'un plâtre Schlupfgips à porter pendant les prochaines 4 semaines. Surélévation de la jambe et glaçage. Reprise du travail à 100% dès le 13.01.2018 (pas de longs périodes dans la position debout permis). Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 07.02.2018. Mise en place d'un rapid rhino de 5.5 cm. Laboratoire : cf annexes. Crase alignée. Adalat 20 mg. Avis ORL le 13.01 (car patient sous O2 à domicile). Reconsultation si réapparition de la symptomatologie. Mise en place d'un rhino-rapide selon protocole des urgences. Consultation en ORL à 24h. Mise en place d'une aide au ménage 1x/semaine, une aide à la toilette 1x/semaine et un passage infirmier 1x/semaine (à réévaluer) Mise en place d'une attelle Jeans à 20° de flexion pendant 3 semaines. Antalgie. Cannes anglaises. Clexane. Mise en place d'une attelle plâtrée postérieure BAB pendant 10 jours. Mise en place d'une botte plâtrée circulaire pour 6 semaines. La patiente sera vue à la consultation du team pied. Lors du prochain rendez-vous, ablation du plâtre, examen clinique avec testing du Lisfranc. Prolongation du plâtre pour encore deux semaines en cas de douleurs à la mobilisation du Lisfranc. Mise en place d'une bretelle pendant 2 semaines Physiothérapie Antalgie Mise en place d'une prothèse cervico-céphalique de la hanche droite le 15.11.2017 Mise en place d'une sonde double J le 15.09.2016 pour néphrolithiase de 9 mm dans l'uretère lombaire droit. Laparoscopie le 08.02.2017 pour sténose de l'uretère distale droit avec : • résection de l'uretère distale par voie laparoscopique • anastomose urétéro-urétérale droite • mise en place d'une sonde double J dans l'uretère droit Mise en place d'une sonde nasogastrique du 28.12.2017 au 05.01.2018 Nutrition entérale avec Isosource du 28.12.2017 au 05.01.2018 Rx thorax le 28.12.2017. Mise en place d'une sonde urinaire Consultation urologique le 15.01.2018 à 9h30, Dr. X Mise en place d'une structure sociale avec soins à domicile mise en suspens du Sintrom le 21.1 et mise en place de fraxiparine 0.7 ml du 21.1 au 24.1.2018 Mise en place sonde 3 voies Ultrason FAST (Dr. X) : pas de liquide libre visible, globe urinaire à 800 ml Mise en suspens Mise en suspens Mise en suspens Calcimagon D3 et ViDe3 le 26.12.2017 Suivi biologique Mise en suspens clexane et sintrom Hémostase en chambre Mise en suspens de la Clexane thérapeutique Mise en suspens du Nivolumab CT thoracique le 09.01.2018 Avis pneumologique (Dr. X) Corticostéroïdes (Prednisone 50mg) à partir du 10.01 Pas de bronchoscopie compte tenu du contexte général Poursuite oxygénothérapie Discuter introduction Bactrim en ambulatoire (prophylaxie PCP, en fonction durée corticostéroïdes) Mise en suspens de l'anticoagulation thérapeutique par Eliquis au profit de la Clexane prophylactique à rediscuter par la suite Mise en suspens de l'Escitalopram (selon souhait du patient également) Correction partielle après résolution des troubles électrolytiques Mise en suspens de l'Escitalopram (selon souhait du patient également) Correction partielle après résolution des troubles électrolytiques Mise en suspens des médicaments potentiellement néphrotoxiques Traitement de l'insuffisance cardiaque Mise en suspens des traitements néphrotoxiques Hydratation 1000ml aux urgences Stop eliquis Introduction liquémine IV continu 21600UI Suivi PTT Mise en suspens du Candesartan et à réévaluer en ambulatoire par le médecin traitant Mise en suspens du Cotenolol Substitution IV puis p.o Résolu le 04.01.2018 Mise en suspens du Janumet, Eliquis, repris le 15.1.2018 Traitement diurétique Mise en suspens du Litalir au vu du contexte clinique Mise en suspens du methotrexate et du plaquenil Majoration de la prednisone à 30mg/j Hospitalisation en rhumatologie Mise en suspens du Motilium. Konakion 2 x 10 mg iv/jour. Suivi TP/INR. Mise en suspens du Nivolumab (dernière injection le 08.01.2018) Pas de nouveau traitement oncologique proposé Suivi oncologique ambulatoire (Dr. X, Prof. X) RDV le 22.01.2018 à 10h30 Dr. X Mise en suspens du Sintrom le 21.01.2018. Mise en place de Fraxiparine 0.7 ml du 21 au 24.01.2018. Intervention chirurgicale le 25.01.2018 à l'HFR Fribourg. Mise en suspens du Sintrom Beriplex 1500 UI aux urgences Konakion 10 mg IV aux urgences Mise en suspens du Sintrom Hydratation Suivi biologique Reprise du Sintrom Mise en suspens du sintrom suivi biologique Mise en suspens du traitement Afinitor le 08.01.2018 Suivi par Dr. X Mise en suspens du traitement de Vimovo. Réhydration. Mise en suspens du traitement habituel par immuno-suppresseur (Humira, MTX) Avis rhumatologique : reprise du MTX le 05.01.2018, acide folique le 07.01.2018 Contact avec Dr. X le 08.01.2018 : poursuite du MTX 15 mg/semaine per os et acide folique 7.5 mg/semaine. Rendez-vous de contrôle en février 2018 Mise en suspens du traitement habituel par immuno-suppresseur (Humira, MTX) Avis rhumatologique Reprise du MTX le 05.01.18, acide folique le 07.01.18 Contacter Dr. X le 08.01.18 pour la suite de prise en charge. Mise en suspens du traitement oral. Insuline en schéma. Suivi des glycémies. Mise en suspens du ttt d'Emselex le 12.01.2018 (double thérapie avec Betmiga) Poursuite du traitement de Betmiga. Mise en suspens Eliquis du 13.12. au 22.12.2017 Reprise Eliquis le 22.12.2017 et jusqu'au 24.12.2017 Eliquis en suspens du 24.12.2017 au 08.01.2018 Reprise Eliquis le 09.01.2018. Mise en suspens Entresto le 16.01.2018 Traitement par Lasix IV 16.01.2018 au 18.01.2018. Mise en suspens Héparine ; bottes antithrombotiques puis reprise Arixtra le 29.12.2017 (au vu de la suspicion de HIT) Dosage des Ac-anti-PF4 le 03.01.2018 négatif. Mise en suspens péri-opératoire du Sintrom Konakion 10 mg iv Beriplex 1250 en préopératoire. Mise en suspens Torem, reprises à doses plus faibles en vue de la stabilité clinique. Mise en suspens transitoire du Sintrom Sonde vésicale 3 voies avec rinçage du 28.12.2017 au 01.01.2018. Mise en travail spontané Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée à terme 41 1/7 semaines d'aménorrhée. Mise sous ventilation auto-adaptative ASV. Mise sous ventilation auto-adaptative ASV le 08.01.2018 : AirCurve 10 CS PaceWave, EPAP 4.0 cmH2O, IPAP 10.0 cmH2O, AI min/max 3.0/10.0 cmH2O Polygraphie nocturne de mise sous VNI + capnographie transcutanée nocturne du 08.01.2018 FPC le 09.01.2018. Mise sous ventilation servo-adaptative. M. Marthe, le patient de 82 ans, qui consulte pour une asthénie et inappétence depuis le 2 janvier avec une rhinorrhée et toux avec des expectorations jaunâtres. Il a consulté son MT le 03.01. avec un traitement par Co-Amoxi sans un effet favorable sur le plan respiratoire et présente également un épisode de vomissement le 03.01.2018. Aux urgences, un bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire, les urines sont propres. À l'examen clinique, nous notons un patient avec un La radiographie de thorax montre une condensation pulmonaire dans le lobe inférieur droit en surprojection de la coupole diaphragmatique évoquant un foyer pulmonaire. Le patient est mis sous Clarithromycine et Ceftriaxone en raison d'une semaine avec une bonne évolution clinique et biologique. Notons une lésion nodulaire centimétrique en surprojection de l'arc postérieur de la 8ème côte droite sur la Rx de thorax à l'entrée chez le patient qui n'a pas d'historique de tabagisme et sans symptômes B, sauf une inappétence depuis son infection. Nous vous prions de bien vouloir refaire une radio de thorax à distance de cet état infectieux et de donner la suite selon les résultats. Sur le plan neurologique, nous notons un tremblement de repos intéressant les deux membres supérieurs à prédominance D, une rigidité, roue dentée au niveau des membres supérieurs, un ralentissement des gestes et de la marche. Nous suspectons une maladie de Parkinson. Le patient n'est pas gêné par ses symptômes, il n'est pas limité dans les activités de la vie quotidienne, la raison pour laquelle nous ne proposons pas de traitement pour le moment. Au vu d'une bonne évolution clinique, M. Marthe rentre à domicile le 12.01.2018. Mme Ansermot est envoyée aux urgences par les soins à domicile pour une bradycardie symptomatique à 35/min, constatée depuis le 22.12.2017, se manifestant par une dyspnée et un orthostatisme. En raison d'une instabilité hémodynamique pendant le transport en ambulance, une perfusion d'adrénaline est débutée, ce qui provoque des troubles du rythme. Une surveillance hémodynamique est faite aux soins intensifs du 25.12 au 27.12.2017. Après un échec d'Atropine aux urgences, une dose moyenne d'Isoprénaline permet d'augmenter la fréquence cardiaque à environ 45/min mais provoque des multiples extrasystoles. Un pacemaker endoveineux est rapidement mis en place à son arrivée aux soins intensifs, permettant un sevrage de l'Isoprénaline. Un pacemaker définitif est mis en place le 27.12.2017. Le contrôle du pacemaker le 28.12.2017 ne met pas en évidence d'anomalie et l'échographie cardiaque montre une fonction contractile segmentaire et globale normale. Un nouveau contrôle du pacemaker sera organisé en ambulatoire à un mois de la sortie. Dans le contexte de bradycardie, nous stoppons également le traitement d'ivabradine dont l'indication n'était pas claire. À noter un épisode d'hallucination et d'agitation psychomotrice durant son séjour aux soins intensifs, possiblement déclenché par l'hospitalisation et aggravé par l'introduction de Zolpidem. En raison d'une insuffisance rénale aiguë pré-rénale, le Lisinopril et le Torasémide sont substitués par l'Amlodipine. Le Lisinopril est réintroduit dès amélioration de la fonction rénale. En raison d'un profil tensionnel satisfaisant sous Amlodipine et Lisinopril, nous ne réintroduisons pas le traitement de Torasémide. Suite au séjour aux soins intensifs, Mme Ansermot présente un déconditionnement physique ainsi qu'une difficulté à la réalisation des activités de la vie quotidienne. Au moment de la sortie, la patiente se mobilise correctement à l'aide d'un rollator, sans risque de chute et est partiellement autonome pour la réalisation de la toilette. Un retour à domicile est organisé le 04.01.2018 avec majoration de l'aide à domicile avec un passage matin et soir. Mme Bapst est admise aux soins intensifs pour surveillance après une poly-intoxication sur tentamen médicamenteux. Il s'agit d'une patiente de 21 ans, connue pour un lymphome de Hodgkin en mai 2017 et plusieurs antécédents psychiatriques, qui prévient l'ambulance après avoir consommé des médicaments (emballages d'Irfen 300 g, Lexotanil 180 mg, Fluoxétine 600 mg, Aspirine 2 g, Dormicum 150 mg, Zolpidem 250 mg, Mefenacide 10 g, Rivotril 400 mg, Oxycontin 25 g retrouvés dans sa voiture) à but suicidaire. À l'arrivée des ambulanciers, elle présente un GCS à 3/15 et des pupilles en miosis, motivant un traitement d'Anexate et de Naloxone à l'arrivée aux urgences de l'Hôpital de Riaz. Elle est transférée aux soins continus à Fribourg en raison d'un manque de place. À l'admission, la patiente est somnolente avec un GCS à 13 points et est stable au niveau hémodynamique. Le traitement de Naloxone et Anexate est poursuivi en iv continu, puis progressivement sevré au vu d'une évolution favorable. La surveillance rythmique et hémodynamique est sans particularité. Un globe vésical est résolu après mise en place d'une sonde urinaire. La sonde peut être retirée le 21.01.2018. Une insuffisance rénale aiguë probablement d'origine mixte évolue favorablement avec une hydratation. Mme Bapst est évaluée par nos collègues psychiatres le 21.01.2018 avec l'indication à un transfert en milieu psychiatrique. La situation somatique étant réglée, la patiente est transférée sous PAFA à Marsens le 21.01.2018. La curatrice est avertie du transfert. La médication habituelle (Temesta et Rivotril) est toujours en suspens au moment du transfert, elle pourra être réintroduite selon nécessité. Mme Bastian, patiente de 85 ans, tabagique active et connue pour un syndrome restrictif avec composante obstructive, est transférée dans notre service le 05.01.18 suite à un séjour de 8 jours (du 29.12.17 au 05.01.18) aux soins intensifs pour insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique et hypercapnique consécutive à une pneumonie, probablement à Haemophilus influenzae. Aux soins intensifs, la patiente bénéficie de séances de ventilation non invasive avec bronchodilatateurs et corticostéroïdes ainsi qu'une antibiothérapie Ceftriaxone/Klacide avec relais de Co-amoxicilline, permettant une évolution favorable sur le plan respiratoire. A l'étage, un traitement par CPAP avec aérosols est poursuivi transitoirement. Sur le plan cognitif, Mme Bastian présente un état confusionnel aigu durant son séjour aux soins intensifs, en amélioration après introduction de Quétiapine et traitement des pathologies aiguës. A l'étage, la patiente présente des troubles cognitifs connus avec des épisodes d'agressivité verbale, de refus de prise de traitement et d'agitations nocturnes qui sont partiellement contrôlés par le traitement de Quétiapine. Nous vous proposons de poursuivre ce traitement à domicile. Nous souhaitons attirer votre attention sur cette situation qui est aussi rapportée par les soins à domicile. L'ETT réalisé le 03.01.18 met en évidence une hypokinésie ventriculaire gauche avec FEVG à 49%, raison pour laquelle un traitement de Lisinopril 5mg 1x/j est ajouté à l'aspirine. Les cardiologues proposent d'organiser une coronarographie ou un bilan fonctionnel diagnostique à distance, à revoir selon l'évolution globale de la patiente. Suite à des douleurs mal caractérisées du mollet droit et de la région poplitée, associées à un cordon veineux induré du mollet, un US est réalisé le 11.01.18 et permet d'exclure une thrombose veineuse. Au vu du status variqueux important, les angiologues recommandent une contention élastique par bandes du lever au coucher jusqu'aux genoux des deux jambes sans anticoagulation prophylactique. Enfin, au vu de sa pneumopathie chronique et des troubles cognitifs, Mme Bastian bénéficie d'un screening multidimensionnel en médecine palliative, avec la mise en évidence notamment d'une malnutrition protéino-énergétique grave pour laquelle des suppléments nutritifs sont proposés. Mme Bastian rentre à domicile le 12.01.18 avec reprise du suivi à domicile 3x/semaine par les infirmières à domicile. Mme Berset se présente aux urgences, adressée par son médecin traitant en raison de douleur rétrosternale, oppressive et irradiante dans le bras gauche, survenue au repos et présente depuis le 07.01.18. La patiente a présenté ce type de douleur depuis 3-4 mois mais d'intensité et de durée moindre. Aux urgences, l'ECG montre des ondes T négatives en territoire inférieur, parlant pour un syndrome coronarien aigu. La coronarographie le 08.01.17 montre une occlusion aiguë de l'artère coronaire droite proximale pour laquelle un stent actif a été posé. L'aspirine est à poursuivre à vie et le Prasugrel pendant 12 mois. La surveillance rythmique et hémodynamique du 08 au 09.01.17 aux soins intensifs se déroule sans particularité. L'échographie cardiaque montre une fonction ventriculaire gauche conservée à 51% avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. Un traitement par Lisinopril est introduit à petite dose et sera conservé pour une durée de 6 à 12 mois selon le profil tensionnel. En raison d'une fréquence cardiaque de base en dessous de 60/minutes, nous n'introduisons pas de bêta-bloquant. Un retour à domicile est organisé le 13.01.18. Le patient sera recontacté pour débuter prochainement une réhabilitation cardio-pulmonaire en ambulatoire à Billens. Mme Bertschy, 84 ans, connue pour un diabète de type II avec insuffisance rénale chronique stade IV, artériopathie oblitérante des membres inférieurs et insuffisance cardiaque NYHA IV ischémique et valvulaire, est admise aux soins intensifs pour une suspicion de STEMI. À l'entrée, elle se plaint d'une aggravation de dyspnée avec orthopnée depuis deux jours et d'un sentiment d'oppression thoracique intermittent, motivant sa présentation aux urgences de Meyriez où l'on suspecte un STEMI inférieur au vu de troubles de repolarisation au territoire inférieur, raison pour laquelle elle nous est adressée en filière STEMI. Étant donné la situation globale ainsi qu'un traitement conservateur d'un ancien STEMI en 2012, nous n'effectuons pas de coronarographie. De plus, l'ECG ne montre pas de STEMI aigu au vu de développement d'ondes Q en inférieur, correspondant à l'infarctus de 2012. Une insuffisance cardiaque sur bas débit avec des taux de digoxine mesurés à 1.8 (supra-thérapeutique) est mise en évidence. La digoxine est mise en suspens et une dose de Lasix est administrée. Cette dose de Lasix engendre une chute tensionnelle nécessitant l'administration d'amines et d'une dose d'atropine ainsi qu'un remplissage. Une échocardiographie transthoracique met en évidence une FEVG à 25-30% sans comparatif. Dans la suite de l'hospitalisation, au vu de l'amélioration de la situation rénale, nous continuons le traitement diurétique, puis instaurons un traitement par IEC. De même, nous instaurons un traitement de carvedilol 125mg 3x/j dès le 22.03.17. Du point de vue rénal, l'insuffisance rénale aiguë sur hypotension se corrige avec l'arrêt de la digoxine et atteint ses valeurs habituelles en cours d'hospitalisation. Au vu de l'anémie et de l'état de fatigue important de la patiente, nous décidons de réaliser un bilan de l'insuffisance rénale chronique. La PTH est à 309 ng/l et la vitamine D à 14 ng/l nécessitant une substitution. Un traitement par aranesp est débuté le 19.02.17 et sera poursuivi 1x/semaine. De même un bilan d'anémie est réalisé et met en évidence un B12 à 387 pg/l, une TSH à 5.83 mU/l que nous décidons de ne pas substituer. Nous ne redosons pas le folate étant donné que celui-ci avait été substitué lors de la dernière hospitalisation il y a moins d'un mois. Une hyperkaliémie dans le contexte de l'insuffisance rénale est corrigée par Insuline et Actrapid. En cours d'hospitalisation, nous constatons une infection urinaire asymptomatique avec toutefois une CRP à 80 g/L. Nous instaurons un traitement par ciprofloxacine à posologie adaptée : 2x 250mg/jour pendant 3 jours. Mme Bertschy reste hospitalisée au sein de l'HFR en attente d'une réadaptation palliative à Meyrier. Mme Betticher, 66 ans, traitée par Prednisone et cyclophosphamide pour un Wegener, est hospitalisée pour un état fébrile d'origine indéterminée. Pour rappel, la patiente a reçu une perfusion de cyclophosphamide le 12.01.2018, elle a présenté le soir même de très fortes céphalées accompagnées de vertiges, myalgies, douleurs abdominales crampiformes et d'un état fébrile à 39°C. Le lendemain, les symptômes se sont amendés, mais il subsiste une importante fatigue avec asthénie, raison pour laquelle Mme Betticher se présente aux urgences.A son arrivée aux urgences, la patiente n'a pas de plainte focale. Le statut clinique est sans particularité, mais nous mettons en évidence un important syndrome inflammatoire au laboratoire. Nous effectuons une radiographie du thorax ainsi que des analyses d'urine qui ne permettent pas de retenir un foyer infectieux raison pour laquelle la patiente est hospitalisée pour surveillance clinique sans traitement antibiotique d'office. La patiente ne représentant pas de nouvel état fébrile, une origine bactérienne est peu probable, la cause virale est la plus probable. Sur le plan rhumatologique, le traitement par cyclophosphamide explique difficilement à lui seul une telle augmentation de la CRP à l'entrée. Une pancréatite aiguë sur cyclophosphamide n'est pas exclue, la patiente ayant présenté de vives douleurs abdominales avant son arrivée aux urgences. La patiente sera hospitalisée pour surveillance de 24 heures après la prochaine injection, le 26.01.2018. L'évolution clinique est favorable, la patiente ne présente pas de nouvel état fébrile, raison pour laquelle elle rentre à domicile le 16.01.2018 sans qu'une étiologie claire n'ait pu être retenue. Mme Bochatey est une patiente de 85 ans, polymorbide, qui est réhospitalisée le 18.01.2018 une semaine après son hospitalisation en raison d'une insuffisance cardiaque. A l'entrée, elle se plaint à nouveau d'une dyspnée NYHA IV avec depuis 5 jours une toux productive sans expectoration. Elle se plaint également de paresthésies dans la jambe gauche, connue depuis longtemps. Elle ne présente pas d'autre plainte particulière. A noter qu'elle n'a pas pris ses médicaments, dont diurétiques, régulièrement la semaine avant l'hospitalisation. Au statut d'entrée on retrouve à l'auscultation pulmonaire des râles grossiers bibasaux d'environ 10 cm au-dessus du diaphragme. Sinon, le reste du statut est dans la norme. Une radiographie du thorax et le laboratoire confirment une récidive de l'insuffisance cardiaque. La patiente est hospitalisée pour traitement diurétique, suivi tensionnel et contrôle des électrolytes. Elle reçoit à l'entrée 40 mg de Lasix auquel elle répond favorablement. Elle présente le jour de son entrée un épisode de diarrhée, ce pourquoi elle reçoit de l'Imodium en réserve. Une infection des voies respiratoires hautes est traitée symptomatiquement. Des douleurs passagères de la hanche gauche d'origine probablement arthrotique sont soulagées localement sous Ecofenac. La diurèse se fait sous maintien de Lasix intraveineux, dont les doses sont gentiment adaptées afin de revenir au Torasémide le 25.01.18, que nous augmentons à 40 mg par jour. La symptomatique de dyspnée et les œdèmes des membres inférieurs montrent une bonne amélioration clinique. Au niveau laboratoire, nous observons une hypokaliémie, que nous substituons oralement pour quelques jours. Une discussion avec la patiente sur les risques de la conduite l'amène à prendre la décision de renoncer à son permis. Mme Bochatey peut rentrer à la maison le 25.01.18 en bon état clinique avec mise en place de soins à domicile quotidiens, repas à domicile et soutien de sa fille de cœur. Mme Bochatey est une patiente de 85 ans, polymorbide, qui est réhospitalisée le 18.01.2018 une semaine après son hospitalisation en raison d'une insuffisance cardiaque. A l'entrée elle se plaint à nouveau d'une dyspnée NYHA IV avec depuis 5 jours une toux productive sans expectoration. Elle se plaint également de paresthésies dans la jambe gauche, connue depuis longtemps. Elle ne présente pas d'autre plainte particulière. A noter qu'elle n'a pas pris ses médicaments, dont diurétiques, régulièrement la semaine avant l'hospitalisation. Au statut d'entrée on retrouve à l'auscultation pulmonaire des râles grossiers bibasaux d'environ 10 cm au-dessus du diaphragme. Sinon, le reste du statut est dans la norme. Une radiographie du thorax et le laboratoire confirment une récidive de l'insuffisance cardiaque. La patiente est hospitalisée pour traitement diurétique, suivi tensionnel et contrôle des électrolytes. Elle reçoit à l'entrée 40 mg de Lasix auquel elle répond favorablement. Mme Boschung est admise aux soins intensifs pour un sepsis avec insuffisance rénale aiguë anurique AKIN III le 21.01.2018. Patiente de 75 ans, connue pour un rein unique, qui présente depuis 3 jours une asthénie avec inapétence et myalgies diffuses, raison pour laquelle elle consulte les urgences. Une insuffisance rénale aiguë anurique, un syndrome inflammatoire, ainsi qu'une thrombopénie sont mis en évidence, raison pour laquelle la patiente est admise aux soins intensifs. L'insuffisance rénale aiguë est mixte avec une composante majeure prérénale sur hypovolémie et sepsis couplée à une composante rénale de nécrose tubulaire aiguë dans le cadre du sepsis avec hypotension. Malgré remplissage et traitement diurétique, une récolte urinaire met en évidence une clairance de la créatinine à 5 ml/min, raison pour laquelle une hémofiltration continue est débutée le 25.01 jusqu'au 28.01.2018. Une récolte d'urine le 28-29.01 montre une clairance de la créatinine à 8 ml/min, une dialyse intermittente sera à rediscuter avec les collègues néphrologues. Les hémocultures révèlent une bactériémie à E. Coli à point de départ indéterminé (uricult stérile) pour lequel une antibiothérapie par Ceftriaxone débutée le 20.01.18 est à poursuivre pendant 14 jours. Elle présente une insuffisance respiratoire persistante avec une image scanographique compatible avec un ARDS (DD surcharge). L'évolution sera à réévaluer après normalisation de la volémie sous diurétiques. À noter que Mme Boschung présente deux épisodes de fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide, cardioversion par charge d'amiodarone, probablement dans le contexte d'une déplétion volémique rapide. Une échocardiographie effectuée devant un bloc de branche droit nouveau révèle une fonction conservée et un bombement du septum interauriculaire vers la droite, faisant suspecter un kyste ou une malformation de l'oreillette gauche. Une nouvelle échocardiographie, éventuellement transœsophagienne, sera à prévoir. Sur le plan hématologique, on note une thrombopénie sévère, entrant probablement dans le contexte du sepsis avec composante de CIVD. Une MAT a été exclue vu le taux d'haptoglobine. L'hyponatrémie est attribuable à une déshydratation et se corrige sous hydratation par NaCl 0.9%. La patiente présente une cachexie sévère (BMI à 16) chronique. Une sonde naso-gastrique est mise en place jusqu'au 28.01.2018, retirée accidentellement par la patiente. L'alimentation est cependant reprise au vu de l'amélioration d'une mycose orale importante, sous traitement de Mycostatine. La patiente est transférée à l'étage le 29.01.2018. Mme Bovet présente des douleurs dans le contexte d'un status adhérentiel post-colectomie et ablation de la matrice. N'ayant pas d'arguments cliniques ou paracliniques pour une organicité autre, nous n'envisageons pas d'autres examens complémentaires dans un premier temps. La patiente arrivant aux 5 ans de la date de son dernier contrôle par colonoscopie, nous lui proposons de réaliser ce contrôle au plus vite auprès du Dr. X et de lui évoquer ces troubles intestinaux. Mme Burla est une patiente de 60 ans, en bonne santé habituelle, opérée le 06.12.17 d'une crossectomie et stripping au membre inférieur gauche, qui a été hospitalisée tout d'abord à Meyriez le 18.12.17 pour suspicion initiale de pyélonéphrite.La patiente présente le 19.12.17 une crise d'épilepsie tonico-clonique généralisée motivant son transfert à Fribourg, où une méningo-encéphalite à HSV2 est mise en évidence. Un traitement par Aciclovir est débuté le 20.12.2017. L'épilepsie est également traitée avec Keppra. À la suite, la patiente peut revenir à Meyriez le 27.12.2018 pour suite de prise en charge et poursuite du traitement antiviral pendant 21 jours avec hydratation IV. Un contrôle infectiologique est prévu chez le Dr. X au lendemain de la sortie. Concernant les crises d'épilepsie, le traitement par Keppra est poursuivi à un dosage de 500 mg 3x/jour. Un avis neurologique est demandé au Dr. X. Ce dernier propose la poursuite du traitement anti-épileptique, ainsi qu'un contrôle à distance de l'hospitalisation. La patiente est convoquée pour le 23.01.2018 à sa consultation, pour un contrôle clinique et une réévaluation du traitement par Keppra. La patiente présente également au cours de l'hospitalisation des troubles électrolytiques légers multiples. Une substitution per os de l'hypokaliémie est effectuée, et à poursuivre avec contrôle régulier des électrolytes. L'indication du Xarelto dans un cadre post-crossectomie et stripping des grandes veines des membres inférieurs en novembre n'est plus actuelle, en accord avec les angiologues de l'HFR. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente peut retourner à la maison le 10.01.2018. Mme. Y présente une gêne thoracique au niveau supra-sternale, peu spécifique. Les bilans radiologiques par CT pulmonaire et scintigraphie pulmonaire se révèlent sans particularité. L'ECG réalisé ce jour est superposable à l'ECG de la veille. Nous proposons une échocardiographie en ambulatoire pour suivi de la fuite mitrale et de la dilatation de l'aorte. Nous proposons également la réalisation d'un Holter en cas de persistance des palpitations. Mme. Y est amenée aux urgences en ambulance après avoir chuté à domicile dans des circonstances peu claires. La patiente est retrouvée le lendemain matin par son fils, après avoir passé la nuit au sol. À son arrivée aux urgences, la patiente n'a pas de plainte et un état fébrile est objectivé. Concernant la cause de la chute, une origine multifactorielle est retrouvée : pneumonie lobaire droite à Pneumocoque qui évolue favorablement après antibiothérapie par Co-Amoxicilline durant sept jours et séance de physiothérapie respiratoire, carence en vitamine D que nous substituons per os après une dose de charge, malnutrition protéino-énergétique pour laquelle nous mettons en place des repas enrichis et des suppléments nutritifs oraux, déconditionnement physique pour lequel la patiente bénéficie de physiothérapie et possible trouble cognitif que nous n'investiguons pas durant son séjour. À son arrivée, nous diagnostiquons un NSTEMI possiblement secondaire à la chute et à la pneumonie sous-jacente. Au vu de l'âge de la patiente et après avis cardiologique, un traitement conservateur est décidé avec introduction d'Aspirine cardio et Clopidogrel. Le traitement par Clopidogrel serait à poursuivre pour une durée de 6 à 9 mois. Nous laissons le soin au médecin de Tavel de réévaluer la durée du traitement par Clopidogrel en fonction du risque de saignement et notamment du risque de chute. Un transfert à l'hôpital de Tavel en gériatrie aiguë est organisé le 08.01.2018 pour suite de prise en charge. Mme. Y, une patiente de 67 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée par Vascord, est admise aux soins intensifs le 28.01.2018 depuis Riaz pour un bloc atrio-ventriculaire de 3ème degré. Elle s'est présentée aux urgences de Riaz pour une fatigue en péjoration depuis une semaine sans angor ou signe de décompensation cardiaque. On met en évidence un BAV de 3ème degré sans argument pour une origine ischémique. Elle est transférée aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Pendant son séjour au SIB, la patiente reste stable hémodynamiquement. L'implantation d'un pacemaker est effectuée le 29.01.2018 sans particularité. La patiente retourne au domicile le 29.01.2018. Un rendez-vous avec le cardiologue est prévu le 26.02.2018. Un contrôle de plaie est à prévoir à 10 jours chez le médecin traitant. Mme. Y présente une bonne évolution clinique à 6 semaines postopératoires. Elle est satisfaite du résultat. Elle doit poursuivre la marche avec charge de 20 kg pour une durée totale de 4 mois avec décharge. On la reverra à notre consultation à 4 mois postopératoires pour un contrôle radio-clinique. On conseille la patiente d'arrêter le tabac. Prochain contrôle le 08.05.2018. Mme. Y se présente aux urgences en raison d'une asthénie évoluant depuis 3-4 semaines avec fatigue, manque de force et difficulté à la mobilisation à domicile. Le patient présente également des nausées survenant essentiellement en position couchée avec inappétence et diminution de l'hydratation dans ce contexte. Hormis une déshydratation, le statut d'entrée est sans grande particularité. Après majoration du traitement IPP de fond et introduction de Primperan en réserve, la patiente note une disparition de la symptomatologie digestive permettant une alimentation correcte (termine la totalité des plateaux repas) et une hydratation per os. L'insuffisance rénale aiguë présente à l'arrivée sur déshydratation se corrige rapidement aux valeurs habituelles après hydratation IV, per os et mise en suspens transitoire des traitements diurétiques et du Diamicron. Au vu de contrôles glycémique satisfaisants et de l'insuffisance rénale chronique, nous ne réintroduisons pas le Diamicron. Les glycémies seront contrôlées régulièrement à domicile par la patiente et les infirmières à domicile. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement insulinique si jugé nécessaire. Du point de vue oncologique, un CT abdominal de contrôle était agencé pour le 11.01.18, au vu de l'insuffisance rénale, une IRM est réalisée sans injection de produit de contraste et montre une stabilité des lésions hépatiques du foie à gauche avec des signes d'hypertension portale, notamment splénomégalie déjà présente sur le comparatif de novembre 2017. Concernant le traitement habituel, nous stoppons le Zanidip au vu d'un profil tensionnel correct durant le séjour. Un retour à domicile avec encadrement infirmier 2x/j est organisé le 16.01.18. À la sortie, Mme. Y se mobilise correctement, sans risque de chute à l'aide d'un rollator et est partiellement autonome pour la réalisation des AVQ, la MIF de sortie est à 90. Mme. Y présente une contusion de la malléole externe. En cas de persistance des douleurs, malgré l'antalgie simple, la patiente est informée de reconsulter les urgences afin d'exclure un syndrome des loges. Mme. Y est une patiente de 83 ans, connue pour une insuffisance rénale chronique grade 3 ainsi qu'une cardiopathie ischémique bitronculaire stentée, hospitalisée dans notre service le 12.01.18 pour des diarrhées non invasives avec suspicion d'hémorragie digestive haute. Ces symptômes se déclarent au cours d'une IVRS traitée symptomatiquement.Les diarrhées se tarissent spontanément durant l'hospitalisation avec une recherche de sang occulte qui revient négative à trois reprises. De plus, aucune extériorisation de sang n'est objectivée durant son hospitalisation. Après avis gastro-entérologique et dans le contexte de la cirrhose hépatique CHILD A, nous prévoyons une OGD de contrôle en ambulatoire dans un mois (la patiente sera convoquée directement par le service de gastro-entérologie). Jusqu'à l'intervention, nous poursuivons le traitement par Pantozol 40 mg 2x/jour, posologie à réévaluer après les résultats de l'OGD. De plus, nous vous recommandons d'effectuer un US hépatique ainsi qu'un dosage d'alpha-foeto-proténine en ambulatoire tous les 6 mois. Une fibrillation auriculaire asymptomatique est mise en évidence au cours de son hospitalisation, motivant l'introduction d'héparine prophylactique du 13.01.18 au 15.01.18 avec relais par Clexane thérapeutique du 15.01.18 au 18.01.18. Le bilan est complété par une échocardiographie montrant un FEVG à 55%. Sur avis cardiologique, nous majorons le traitement de Beloc à 50 mg 1x/jour et introduisons de l'Eliquis 5 mg 2x/jour en raison du risque cardio-embolique. En raison de l'introduction de l'Eliquis et étant à plus d'un an de la mise en place des stents cardiaques, nous arrêtons le traitement d'Aspirine. Une crise de goutte des articulations métatarso-phalangiennes des deux côtés se déclare le 15.01.18 que nous traitons par de la Prednisone 20 mg 1x/j du 15.01.18 au 19.01.18 ainsi que par de la Colchicine 0.5 mg 1x/j du 15.01.18 au 29.01.18. Nous vous laissons le soin de doser l'acide urique à distance de l'hospitalisation et d'introduire un traitement de l'hyperuricémie. Une anémie d'allure chronique d'origine carentielle et péjorée dans le contexte infectieux est mise en évidence. Nous substituons avec de la vitamine B9 pour un mois ainsi que de la vitamine B12. Nous vous laissons le soin de contrôler la normalisation de ces vitamines d'ici la fin du traitement. De plus, nous substituons un trouble électrolytique multiple que nous attribuons à une déshydratation ainsi qu'à une malnutrition d'entrée dans le contexte des diarrhées. Un consilium ORL est réalisé en raison d'une dysphonie persistante consécutive à une IVRS précèdant l'hospitalisation et met en évidence une laryngite d'allure subaigüe que nous traitons symptomatiquement par fumigations, Angina MCC et Alucol gel. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y rentre à domicile le 19.01.18 avec reprise de son aide à domicile. Mme. Y est une patiente de 65 ans, admise pour des TSV récidivantes. Il s'agit d'une patiente connue pour des épisodes de flutter depuis 2015 avec échec de traitement médicamenteux, thermoablation en novembre 2017 et récidive de flutter le 06.01.2018, traitée par cardioversion électrique. Elle reconsulte le 12.01 pour des palpitations sur un flutter auriculaire, spontanément cardioversée aux urgences. Une charge d'amiodarone per os et un traitement de Métoprolol sont introduits et la patiente rentre à domicile. Le lendemain, le 13.01.2018, elle reconsulte aux urgences en raison de palpitations avec mise en évidence d'une TSV à plus de 200/min. Elle est transitoirement cardioversée par adénosine mais la TSV récidive quelques heures plus tard. Au vu de ces épisodes récidivants de tachyarythmies, il est décidé d'une surveillance rythmique aux soins intensifs. Un avis cardiologique propose de poursuivre la charge en Amiodarone initialement iv puis per os, avec mise en suspens du bêtabloquant. Un pacemaker de type Biotronik est posé le 15.01.2018 en mode VVI actuellement. Mme. Y ne présente pas de récidive de tachyarythmies depuis le 14.01.2018 et la surveillance hémodynamique se déroule sans complication. Au vu de la stabilité rythmique et hémodynamique, Mme. Y est transférée dans le service de médecine interne le 16.01.2018, dans l'attente d'une thermoablation du noeud AV, prévue le 18.01.2018 à 9h à la Clinique Cécil à Lausanne. L'anticoagulation est à suspendre après une dernière dose le matin du 17.01.2018. Mme. Y consulte les urgences en raison d'un syndrome grippal évoluant depuis 3 jours, avec toux sèche, fièvre, myalgie et asthénie. La patiente rapporte ne pas s'être alimentée et hydratée correctement depuis 48h. En salle d'attente des urgences, la patiente présente un malaise avec prodrome et possible perte de connaissance, une hypotension artérielle à 70/50 est mise en évidence. Cliniquement et anamnestiquement nous n'avons pas d'argument pour une décompensation cardiaque ou une origine cardiaque au malaise. L'évolution est rapidement favorable aux urgences après hydratation intra-veineuse. Nous posons le diagnostic de syncope d'origine hypotensive sur déshydratation dans un contexte fébrile sur Grippe Influenza type B et manque d'apport le 03.01.18. Après traitement symptomatique par fébrifuge et stimulation de l'hydratation per os, un retour à domicile est organisé le 05.01.18. Nous majorons le suivi infirmier à domicile avec un passage trois fois par semaine (au lieu d'une fois) pour suivi des paramètres. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs par les urgences le 26.12.2017 pour une insuffisance respiratoire globale. La patiente de 61 ans, connue pour BPCO stade IV oxygénodépendante à domicile (sous 1-2L d'O2 à domicile), est amenée par ambulance pour une dyspnée d'apparition progressive depuis la veille sans présentation de toux ni de changement des expectorations. La patiente décrit également trois épisodes de diarrhée avec légères douleurs épigastriques et des nausées sans vomissement. À l'admission aux urgences, une insuffisance respiratoire globale avec acidose est mise sur le compte d'une exacerbation de BPCO. Un traitement de VNI est rapidement initié. Elle reçoit de plus une dose de Ceftriaxone aux urgences, l'antibiothérapie n'est pas reconduite au vu de l'absence de foyer pulmonaire et de syndrome inflammatoire. L'évolution est lentement favorable sous séances régulières de VNI progressivement espacées, aérosols et Prednisone. A noter un pic fébrile le 27.12.2017, pour lequel des hémocultures réalisées le même jour reviennent négatives. Une thrombocytopénie est mise en évidence le 27.12.2017, faisant suspecter soit une origine médicamenteuse (Ceftriaxone), soit une origine virale voire idiopathique. Sous conseil du Dr. X, nous réalisons un bilan large de la thrombopénie qui revient négatif (sous réserve du dosage des anticorps anti-phospholipides, encore en cours à la sortie). De même, nous instaurons un traitement Prednisone 1 mg/kg suite auquel les valeurs de thrombocytes reviennent à la normale. Au vu de ces résultats et de l'évolution, l'origine la plus probable reste médicamenteuse, ce qui contre-indique dorénavant tout traitement par Céphalosporine. Une anémie hypochrome est également mise en évidence, dans le contexte inflammatoire et avec composante ferriprive. Au vu de la thrombopénie, nous renonçons actuellement à une substitution ferrique, que nous vous proposons d'effectuer à distance. La patiente rentre à domicile le 05.01.2017 sous son traitement habituel et avec des soins à domicile. Mme. Y présente des céphalées et des douleurs abdominales dans un contexte de crise hypertensive. Nous majorons le traitement antihypertenseur avec un effet satisfaisant sur les douleurs. Nous la laissons rentrer avec la recommandation de reconsulter son médecin traitant pour discuter d'une introduction d'un thiazidique. Mme. Y est une patiente de 81 ans, connue pour un diabète de type I insulino-dépendant, hospitalisée dans notre service le 21.01.18 pour un état confusionnel aigu dans un contexte infectieux, une infection urinaire basse. A son arrivée aux urgences, le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire sans foyer clinique franc sous réserve d'une patiente difficilement évaluable en raison de la confusion. Le sédiment urinaire réalisé aux urgences est pathologique et la culture urinaire revient positive pour un E. Coli multi-sensible le 23.01.18. Nous concluons ainsi à une infection urinaire basse probablement en l'absence d'état fébrile. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Tazobac 4,5 g IV le 21.01.18 avec relais par Ceftriaxone 2 g IV du 22.01.18 au 23.01.18 puis Ciproxine 500 mg po le 24.01.18 et Co-Amoxicilline du 25.01.18 au 27.01.18. Ces traitements permettent une évolution clinique et biologique favorable. Parallèlement, la patiente présente à son entrée une toux, raison pour laquelle nous réalisons une radiographie du thorax le 21.01.18 ne mettant pas en évidence de foyer pulmonaire franc ainsi que des antigènes urinaires qui reviennent négatifs au Pneumocoque et au Légionnelle le 22.01.18. En raison d'hypoglycémies nocturnes en début d'hospitalisation, nos diabétologues remplacent le traitement anti-diabétique de Novomix par de la Lantus et de la Novorapid + schéma correcteur permettant une normalisation des glycémies nocturnes. De plus, la patiente présente un état confusionnel le 21.01.18 bien contrôlé durant l'hospitalisation par de la Distraneurin le soir. Ces troubles se résolvent après traitement de l'épisode infectieux. Un retour à domicile n'est pas envisageable. Mme. Y n'arrive plus à gérer seule son traitement d'insuline et ses troubles cognitifs se péjorent depuis plusieurs mois. Après discussion avec la patiente, ses proches et le médecin traitant, tous les intervenants sont d'accord avec un transfert de la patiente à l'EMS les Bonnes Fontaines avec un éventuel passage par l'UATO en fonction des places disponibles à l'EMS. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 61 ans, connue pour un état dépressif majeur traité depuis 10 ans, présente depuis 1 mois une dyskinésie de la mâchoire. Sous neuroleptique depuis 2 ans, la psychiatre de la patiente (Dr. X) introduit un traitement par Bipéridène 4 mg/j, sans bénéfice, et arrête le traitement neuroleptique par Lévomepromazine il y a 7 jours. Dès lors, la patiente présente une akathisie des membres inférieurs, cessant aux mouvements et l'empêche de dormir. Dans ce contexte, un traitement par Lormétazepam 1 mg est introduit avec effet partiel sur la symptomatologie, ce qui motive la consultation aux urgences. Mme. Y est hospitalisée afin d'adapter la thérapie. Après évaluation neurologique et psychiatrique, nous majorons le traitement de Bipéridène à 4 mg 2x/j puis introduisons du Lorazépam sans bénéfice sur l'akathisie des membres inférieurs. Nous remplaçons le Lorazépam par du Clonazépam le 26.12.2017 sans amélioration; raison pour laquelle nous arrêtons ces traitements. En raison d'une suspicion de syndrome des jambes sans repos, nous complétons le bilan laboratoire par un contrôle de la ferritine et du fer qui reviennent dans la norme et effectuons un test au L-DOPA après lequel nous n'objectivons pas d'amélioration de la symptomatologie. Après réévaluation neurologique et psychiatrique, il est possible que les mouvements soient venus dans le contexte du sevrage de Benzodiazépine et de possible syndrome sérotoninergique. Dans ce contexte, l'Escitalopram est diminué à 10 mg et remplacé par une petite dose de Mirtazapine. Un traitement par Prégabaline est introduit et sera à augmenter selon efficacité et tolérance (max 130 mg/j). Nous revenons aux doses de benzodiazépines antérieures et introduisons du Clorazépate (au vu de sa durée d'action plus longue) à dose équivalente à l'Alprazolam. Un sevrage progressif devra se faire en ambulatoire avec diminution de 10 mg tous les mois à effectuer par le psychiatre traitant de la patiente. Un retour à domicile avec passage des soins infirmiers 1x/semaine pour préparation du semainier est organisé le 04.01.2018. Les fils de la patiente l'aideront à faire le tri dans les médicaments avant le 1er passage des infirmières à domicile. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 26.01.2018 pour surveillance post-opératoire après exérèse d'un méningiome. Il s'agit d'une patiente de 57 ans, qui est hospitalisée en électif pour une exérèse d'un méningiome par craniotomie bicoronale. Pour rappel, Mme. Y présentait depuis plusieurs mois une apathie et des céphalées, accompagnée d'une anosmie avec apparition récente d'une cécité quasi complète de l'œil gauche. Durant l'intervention, on note un saignement diffus avec des pertes estimées à 600 cc, raison pour laquelle Mme. Y reçoit un culot érythrocytaire et plaquettaire, ainsi que du remplissage. Elle présente également une tension artérielle labile dans les limites supérieures et reçoit de l'Ebrantil et du Labetalol au bloc opératoire. À l'arrivée aux soins intensifs, Mme. Y est extubée et présente un score de GCS à 8 points. L'évolution neurologique est fluctuante avec amélioration initiale du GCS (14/15 le 27.01) puis légère péjoration le 28.01 (GCS à 12 points) avec persistance d'une somnolence importante, raison pour laquelle un CT cérébral est réalisé le 28.01.2018. On note une plage hypodense frontale devant correspondre à la cavité de résection et de l'œdème avec petit saignement en frontal droit et le long de la faux du cerveau, compatibles avec le statut post-opératoire. Au vu d'une masse de taille importante, les corticoïdes sont poursuivis sur avis de nos collègues neurochirurgiens. Un traitement anti-épileptique préventif n'est pas introduit (privilégier Keppra/Rivotril). L'antalgie est assurée par du paracétamol et des opiacés (pas d'AINS). Un traitement de Zinacef préventif est poursuivi pour 24h. Sur le plan tensionnel, le traitement anti-hypertenseur habituel est progressivement réintroduit, avec bonne évolution, permettant le sevrage du labetalol introduit en post-opératoire. Un traitement d'insuline en continu est introduit puis progressivement remplacé par de l'Insulatard deux fois par jour, chez cette patiente connue pour un diabète de type deux sous insuline mixte. Mme. Inwinkelried connue pour cardiopathie mixte, pontage aorto-aortique au CHUV en novembre 2017 et BPCO stade II selon GOLD se présente aux urgences en raison d'une dégradation de sa dyspnée habituelle depuis 1 semaine, avec toux en augmentation sans expectoration ou état fébrile associé. Elle note également des œdèmes des membres inférieurs et une nycturie en augmentation. Elle est admise initialement dans le service de médecine, mais développe une insuffisance respiratoire globale nécessitant l'introduction de ventilation non invasive en continu et un transfert aux soins intensifs du 04.01.18 au 07.01.18. Une échocardiographie montre des signes de surcharge du ventricule droit secondaire à une hypertension pulmonaire. Une embolie pulmonaire a été exclue au CT-scanner. Une exacerbation de BPCO a donc été retenue, nécessitant l'intensification de la ventilation non invasive, des bronchodilatateurs, une antibiothérapie empirique de Tavanic et de la Prednisone pour 5 jours au total. Les hémocultures, antigènes urinaires Legionella et pneumocoque et les frottis pour la grippe sont négatifs. L'hypertension pulmonaire a nécessité l'introduction de diurétique initialement intraveineux puis per os. Sous ce régime, la patiente évolue favorablement permettant une diminution des séances de ventilation non invasive et la reprise du traitement ventilatoire par l'appareillage propre de la patiente. Durant le séjour, la patiente présente des saturations à l'air ambiant oscillant entre 83 et 90 %, et présente à la gazométrie à l'air ambiant une PO2 de 6.5 kPa, la patiente n'est par ailleurs pas symptomatique de cette hypoxémie. Après avis auprès de son pneumologue traitant, nous n'introduisons pas d'oxygénothérapie pour le domicile en raison du tabagisme actif de la patiente. La patiente se dit motivée à arrêter de fumer et souhaite être suivie pour cela par son médecin traitant. Un suivi chez son pneumologue traitant est organisé dès la sortie de l'hôpital afin de réévaluer l'indication à l'oxygénothérapie. Un retour à domicile avec encadrement infirmier pour semainier et contrôle des paramètres bi-hebdomadaire est organisé le 12.01.18. Mme. Inwinkelried connue pour cardiopathie mixte, pontage aorto-aortique au CHUV en novembre 2017 et BPCO stade II selon GOLD se présente aux urgences en raison d'une dégradation de sa dyspnée habituelle depuis 1 semaine, avec toux en augmentation sans expectoration ou état fébrile associé. Elle note également des œdèmes des membres inférieurs et une nycturie en augmentation. Elle est admise initialement dans le service de médecine, mais développe une insuffisance respiratoire globale nécessitant l'introduction de ventilation non invasive en continu et un transfert aux soins intensifs du 04.01.18 au 07.01.18. Une échocardiographie montre des signes de surcharge du ventricule droit secondaire à une hypertension pulmonaire. Une embolie pulmonaire a été exclue au CT-scanner. Une exacerbation de BPCO a donc été retenue, nécessitant l'intensification de la ventilation non invasive, des bronchodilatateurs, une antibiothérapie empirique de Tavanic et de la Prednisone pour 5 jours au total. Les hémocultures, antigènes urinaires Legionella et pneumocoque et les frottis pour la grippe sont négatifs. L'hypertension pulmonaire a nécessité l'introduction de diurétique initialement intraveineux puis per os. Sous ce régime, la patiente évolue favorablement permettant une diminution des séances de ventilation non invasive et la reprise du traitement ventilatoire par l'appareillage propre de la patiente. Durant le séjour, la patiente présente des saturations à l'air ambiant oscillant entre 83 et 90 %, et présente à la gazométrie à l'air ambiant une PO2 de 6.5 kPa, la patiente n'est par ailleurs pas symptomatique de cette hypoxémie. Après avis auprès de son pneumologue traitant, nous n'introduisons pas d'oxygénothérapie pour le domicile en raison du tabagisme actif de la patiente. La patiente se dit motivée à arrêter de fumer et souhaite être suivie pour cela par son médecin traitant. Un suivi chez son pneumologue traitant est organisé dès la sortie de l'hôpital afin de réévaluer l'indication à l'oxygénothérapie. Un retour à domicile avec encadrement infirmier pour semainier et contrôle des paramètres bi-hebdomadaire est organisé le 12.01.18. Mme. Jemelin est admise aux soins intensifs le 25.01.2018 en raison d'un état de mal épileptique nécessitant une intubation, puis réadmise pour une insuffisance respiratoire hypoxémique. Il s'agit d'une patiente de 74 ans, connue pour une démence probablement mixte, qui est retrouvée au sol par les soignants de son EMS après avoir chuté de son lit. Elle présente alors des mouvements tonico-cloniques des 4 membres, qui persistent à l'arrivée des ambulanciers et pendant le transport, malgré l'administration de 1 mg de Midazolam. Elle arrive aux urgences avec un GCS à 4 et est intubée immédiatement. Un CT cérébral injecté permet d'exclure un saignement ou une lésion structurelle. Sur avis neurologique (Dr. X), un traitement de Keppra est introduit et la patiente est admise aux soins intensifs. Un EEG réalisé le lendemain permet d'exclure un foyer épileptique. Elle est rapidement extubée avec bonne évolution sur le plan neurologique (orientation partielle dans le temps (mois et année), absence de latéralisation et pas de trouble de l'élocution ni de la déglutition) et transférée à l'étage de médecine interne. Au vu des résultats de l'EEG, un nouvel avis neurologique (Dr. X) propose la poursuite du Lévé tiracétam avec réduction des doses dès le 26.01.2018. Hormis la démence connue, nous n'avons pas identifié de facteurs précipitants évidents à l'origine des crises comitiales susmentionnées. Une antibiothérapie par co-amoxicilline est introduite à l'entrée au vu de foyers pulmonaires multiples compatibles avec une broncho-aspiration. Un frottis de grippe revient négatif. La patiente est initialement peu symptomatique à son entrée mais développe après son arrivée à l'étage de médecine interne une désaturation importante, raison pour laquelle elle est retransférée aux soins intensifs le 26.01.2018 pour bénéficier de VNI et d'oxygénothérapie à haut débit, cependant mal tolérée par la patiente. L'évolution sous oxygénothérapie est cependant progressivement favorable, permettant un retour à l'étage de médecine interne dès le 27.01.2018.A noter que Mme. Jemelin présente une aggravation de son état général depuis deux semaines, avec troubles du comportement et mouvements stéréotypés. Une IRM cérébrale avait été effectuée en ambulatoire le 24.01.2018 sur demande de sa psychiatre traitante (Dr. X, Marsens) et n'avait pas montré d'événement aigu mais une atrophie marquée et globale, compatible également avec une démence d'Alzheimer. La situation globale est discutée avec le fils et la soeur de la patiente, au vu du problème respiratoire et des directives anticipées de la patiente. Une intubation serait uniquement envisageable pour une courte durée (en cas de crise d'épilepsie) mais pas en cas de péjoration respiratoire, en accord avec la famille. Un traitement par VNI n'est également pas envisageable au vu de mal-tolérance par la patiente. Mme. Jemelin est retransférée en médecine interne le 27.01.2018. Mme. Jemelin est admise aux soins intensifs le 25.01.2018 en raison d'un état de mal épileptique nécessitant une intubation. Il s'agit d'une patiente de 74 ans, connue pour une démence probablement mixte, qui est retrouvée au sol par les soignants de son EMS après avoir chuté de son lit. Elle présente alors des mouvements tonico-cloniques des 4 membres, qui persistent à l'arrivée des ambulanciers et pendant le transport, malgré l'administration de 1 mg de Midazolam. Elle arrive aux urgences avec un GCS à 4 et est intubée immédiatement. Un CT cérébral injecté permet d'exclure un saignement ou une lésion structurelle. Sur avis neurologique (Dr. X), un traitement de Keppra est introduit et le patient est admis aux soins intensifs. Un EEG réalisé le lendemain permet d'exclure un foyer épileptique. Elle est rapidement extubée avec bonne évolution sur le plan neurologique (orientation partielle dans le temps (mois et année), absence de latéralisation et pas de trouble de l'élocution ni de la déglutition). Au vu des résultats de l'EEG, un nouvel avis neurologique (Dr. X) propose la poursuite du Lévétiracétam avec réduction des doses cependant dès le 26.01.2018. Hormis la démence connue, nous n'avons pas identifiés de facteurs précipitants évidents à l'origine des crises comitiales susmentionnées. Au vu de foyers pulmonaires multiples compatibles avec une broncho-aspiration, un traitement d'Augmentin est initié à l'entrée, que nous vous proposons de poursuivre pour 5 jours si l'évolution est favorable. Le frottis de grippe est négatif. A noter que Mme. Jemelin présente une aggravation de son état général depuis deux semaines, avec troubles du comportement et mouvements stéréotypés. Une IRM cérébrale avait été effectuée en ambulatoire le 24.01.2018 sur demande de sa psychiatre traitante (Dr. X, Marsens) et n'avait pas montré d'événement aigu mais une atrophie marquée et globale, compatible également avec une démence d'Alzheimer. Mme. Jemelin est transférée à l'étage de médecine le 25.01.2018 pour suite de la prise en charge de sa pneumonie, étant actuellement toujours oxygénodépendante. Mme. Jungo se présente aux urgences en raison d'une péjoration depuis une journée de sa dyspnée de stade III habituelle, associée à des frissons, une toux grasse nouvelle et une asthénie. Sur la base d'un CT pulmonaire, nous diagnostiquons une décompensation d'une probable BPCO sur foyer pulmonaire droit débutant. L'évolution est rapidement favorable sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline, Prednisone, majoration des aérosols et physiothérapie respiratoire. L'oxygénothérapie peut être sevrée en 48 heures. Un retour à domicile est organisé le 03.01.18. Mme. Kaeser est retrouvée le 11.01.2018 à 7h15 par son mari au lit avec un trouble de l'état de conscience, une dysarthrie et un hémisyndrome moteur gauche et une perte d'urine. A l'arrivée des ambulanciers, la patiente présente un GCS 13. La symptomatologie est spontanément résolutive. La patiente est directement adressée aux urgences de Bern pour une suspicion de wake-up Stroke. A l'arrivée aux urgences, le NIHSS est à 0. Elle reçoit 100 mg d'Aspirine et l'IRM cérébrale ne montre pas de lésion d'allure ischémique ou hémorragique. Elle nous est transférée pour suite de prise en charge avec initialement un séjour en Stroke unit pour surveillance neurologique au vu d'une suspicion d'AIT. Durant la surveillance, Mme. Kaeser présente une crise d'épilepsie généralisée tonico-clonique avec morsure de langue et perte d'urine, et un état post-critique d'une heure. L'EEG du 11.01.2018 montre un foyer fronto-temporal gauche. Un traitement de Keppra est mis en place et le reste de la surveillance aux soins intensifs puis à l'étage se déroule sans particularité. Un suivi neurologique serait à organiser en cas de nouvelle crise épileptique malgré le traitement en place. A noter sur l'IRM cérébrale la mise en évidence d'une leucoencéphalopathie diffuse avec dilatation des ventricules, possiblement rentrant dans un contexte d'hydrocéphalie à pression normale. La patiente rapporte une incontinence urinaire depuis 1.5 ans de type urge et présente des troubles de la marche modérés, aspécifiques, survenus suite à une intervention orthopédique en 2016 pour une fracture du plateau tibial médial droit. Le bilan neuropsychologique met en évidence des troubles cognitifs légers, aspécifiques, et non compatibles avec une hydrocéphalie à pression normale. Selon évaluation neurologique, il n'y a pas d'indication à effectuer une ponction lombaire évacuatrice au vu du diagnostic incertain et de l'absence de répercussion sur les activités de la vie quotidienne. A l'heure actuelle, une ponction lombaire évacuatrice sera de faible bénéfice chez cette patiente peu symptomatique. La situation sera à réévaluer dans le futur. En cas de péjoration des troubles cognitifs ou des troubles de la marche, la patiente pourra être réadressée en neurologie. Un retour à domicile de manière autonome est organisé le 18.01.2018. Mme. Kaeser est une patiente de 81 ans, connue notamment pour un antécédent de syncope d'origine indéterminée en octobre 2017, investiguée à l'InselSpital, qui est hospitalisée pour une bradycardie sinusale symptomatique avec syncope à l'emporte-pièce. Le bilan étiologique réalisé aux urgences ne retrouve pas d'origine ischémique à cette syncope. En l'absence de place monitorisée disponible à l'HFR Fribourg, nous proposons un transfert aux soins continus de l'hôpital de Payerne que la patiente refuse. A l'étage, la patiente reste hémodynamiquement stable. Nous complétons le bilan étiologique avec un US-doppler des vaisseaux pré-cérébraux qui ne retrouve pas de sténose carotidienne. Un R-test est demandé et la patiente sera convoquée en ambulatoire. Nous ne percevons pas de troubles rythmiques ni bradycardie significative durant le séjour. La patiente rapporte régulièrement des sensations de malaise, principalement après le petit déjeuner, accompagnées de sensation de vide dans la tête, pression thoracique, sudation et flou visuel. Nous ne retrouvons par ailleurs pas de modification hémodynamique lors de ces épisodes. Une origine vagale est probable, le test de Schellong étant sans anomalie objective ou subjective.Au vu de la bonne évolution clinique, sans signe de gravité, la patiente rentre à domicile et sera convoquée pour un R-Test. Elle est informée de reconsulter en cas d'évolution défavorable. Mme. Lambelet, connue pour des troubles anxieux traités par antidépresseurs, neuroleptiques et anxiolytiques, est retrouvée par son mari au sol à 10h45 le 08.01.2018, aphasique. Il rapporte de plus une consommation hydrique de plus de 4l d'eau par jour depuis plusieurs mois. Lors du bilan, un CT cérébral ne montre pas d'AVC constitué ou de saignement intra-crânien. Une hyponatrémie sévère à 110 mmol/l est mise en évidence, motivant une hospitalisation aux soins intensifs du 08 au 09.01.2018, puis une prise en charge à l'étage de médecine. Le trouble de l'état de conscience avec aphasie de la patiente est possiblement secondaire à une crise d'épilepsie dans le contexte de l'hyponatrémie. Nous mettons en place une restriction hydrique en plus d'un arrêt des médicaments potentiellement incriminés (Duloxetine, Quetiapine, Torasémide), les benzodiazépines sont également arrêtées dans le cadre des troubles de l'état de conscience avec une correction rapide de la natrémie, bien tolérée. Nos collègues aux soins intensifs ralentissent tout de même la remontée avec du G5% et une dose unique de Minirin le 08.01. Nous réintroduisons les traitements de Duloxetine et de Benzodiazépines à la sortie, mais laissons la Quetiapine et le Torasémide en suspens que nous vous proposons de réévaluer en ambulatoire. Le jour de la sortie, Mme. Lambelet nous fait part de dysurie à J2 de l'ablation d'une sonde urinaire mise en place du 09 au 11.01. Chez cette patiente connue pour de multiples infections urinaires, traitées de manière empirique par Monuril, nous administrons une dose unique de Monuril le 12.01.2018. Un contrôle clinique et biologique est prévu d'ici 10 jours chez le Dr. X. Mme. Leva, 84 ans, a été admise aux soins intensifs pour un STEMI inférieur le 22.01.2018. Elle est connue pour une HTA traitée et a présenté subitement le 22.01.2018 vers 14h des douleurs rétrosternales typiques accompagnées d'une sensation de malaise généralisé avec nausées. L'électrocardiogramme montre un STEMI inférieur avec bloc atrio-ventriculaire de grade incertain (Wenckebach vs 3ème degré). Une coronarographie met en évidence une occlusion aiguë de la coronaire droite proximale, recanalisée par angioplastie et pose de deux stents actifs. Il existe également une lésion significative de l'IVA, dont la prise en charge est prévue dans trois semaines. Au vu du BAV de grade incertain, un pacing endoveineux per-opératoire est réalisé. Le pacemaker est retiré après la coronarographie, la patiente présentant à nouveau un rythme sinusal. L'introducteur est toutefois laissé en place jusqu'au 23.01.2018. Durant l'intervention, plusieurs épisodes de fibrillation ventriculaire ont nécessité une conversion électrique par 5 chocs et médicamenteuse (Amiodarone). La surveillance hémodynamique et rythmique se déroule sans complication après la coronarographie. Le pic de CK s'est élevé à 742 U/l. L'échocardiographie transthoracique du 23.01.2018 montre une bonne fonction avec une légère hypokinésie en inféro-basal. L'Aspirine est à poursuivre à vie et le Prasugrel pour 12 mois. Un traitement d'Irbesartan et de Metoprolol est progressivement introduit et nous poursuivons son traitement habituel d'Amlodipine. Le bilan des facteurs de risque cardio-vasculaire montre une dyslipidémie mixte motivant l'introduction d'une statine. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. Mme. Leva est transférée dans le service de médecine interne à Riaz le 24.01.218. Une nouvelle coronarographie sera prévue à 3 semaines pour traiter la subocclusion de l'IVA. Mme. Lipp présente le plus vraisemblablement une gastro-entérite d'origine bactérienne, sans signe de gravité, pouvant expliquer les diarrhées hémorragiques, avec une hémoglobine à 125 g/L, pas de syndrome inflammatoire et un ultrason abdominal dans les limites de la norme. La patiente reste stable hémodynamiquement. Nous initions un traitement par Ciprofloxacine pour 5 jours et un rendez-vous en F34 est agendé pour le 15.01.2018 pour un contrôle biologique et clinique. Nous lui recommandons de reconsulter en cas de récidive d'hématochézie, de fièvre, de douleurs abdominales en péjoration. Mme. Magnin présente une évolution radio-clinique postopératoire très favorable. On l'autorise à abandonner les cannes surtout à domicile et de les utiliser hors du domicile. Prescription de physiothérapie avec école de marche, vélo d'appartement, renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique à la fin mars, soit le 27.03.2018. Mme. Morand, patiente de 88 ans, a été admise à l'HFR-Fribourg en électif le 11.01.2018 pour une pose de pacemaker en raison d'une bradycardie sinusale chez une patiente présentant une dyspnée. À l'entrée, la patiente n'a pas d'autres plaintes hormis une dyspnée d'effort dernièrement également présente au repos. Hormis la bradycardie connue, le statut est sans particularité. L'intervention se déroule sans complication et les suites sont simples. La plaie est calme. Mme. Morand peut regagner son domicile le 12.01.2018 dans un bon état général. Un contrôle chez le Dr. X est prévu à un mois. Mme. Plavci nous est transférée de Genève pour une suite d'hospitalisation après une récidive de décompensation bilatérale cardiaque. Pour rappel, la patiente s'était présentée avec des douleurs rétrosternales, une dyspnée, une orthopnée et des œdèmes des membres inférieurs ainsi qu'un épisode de vomissements. Des changements médicamenteux de diurétiques avaient été entrepris au cours de l'hospitalisation à Genève. À Meyriez, une bonne évolution de la surcharge pulmonaire est remarquée, ainsi qu'une disparition d'œdèmes au niveau des membres inférieurs. La dose de torasémide est maintenue. Les autres diurétiques, ainsi que les médicaments anti-hypertenseurs, sont temporairement stoppés pour éviter une dégradation de l'insuffisance rénale aiguë, puis repris progressivement avant la sortie. Le suivi de la créatinine montre une légère dégradation de la fonction rénale, pour les valeurs de base connues pour la patiente autour des 100umol/l. Un contrôle à distance des valeurs de créatinine est à faire chez le médecin traitant, ainsi que la discussion d'une reprise du traitement de Metformine sous fonction rénale améliorée. Un call du petit orteil II du pied droit est surveillé dans le cadre d'un diabète insulinorequérant, et soigné conservativement après un consilium diabétologique. Nous pouvons renvoyer la patiente au home de Meyriez le 10.1.18 en bon état clinique général. Mme. Privet consulte les urgences le 29.12.2017 en raison d'une baisse de l'état général avec myalgies, arthralgies, toux et dyspnée depuis deux jours. Elle présente à la gazométrie d'entrée une hypoxémie sévère et des infiltrats alvéolaires diffus à la radiographie du thorax compatibles avec un ARDS. Une origine infectieuse pulmonaire à cet ARDS est retenue. La patiente est hospitalisée aux soins intensifs du 29.12.2017 au 03.01.2018 où une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Clarithromycine est administrée pendant 5 jours avec relais par Levofloxacin (Tavanic) jusqu'au 08.01.2017. Un germe n'a pas pu être identifié. Au vu d'une suspicion initiale de grippe, la patiente a été traitée 24h par Oseltamivir (Tamiflu), arrêté au vu d'un frottis de grippe négatif. Mme. bénéficie également de VNI intermittente. À l'aide de ces traitements, l'évolution est favorable.Une échocardiographie réalisée par les médecins des soins intensifs met en évidence une hypertension pulmonaire. Toutefois, cette échographie est peu interprétable dans le contexte aigu d'un ARDS. Aussi, nous vous proposons d'effectuer une échocardiographie à distance par un cardiologue afin de confirmer ce diagnostic, d'autant plus en raison de la présence de petits défauts d'opacification sur certaines artères du lobe supérieur gauche pouvant éventuellement parler pour des embolies pulmonaires chroniques. Son épisode infectieux a été accompagné d'une thrombopénie de consommation qui s'est résolue spontanément ainsi que par une insuffisance rénale pré-rénale qui a été corrigée par une hydratation. Au moment de sa sortie, il persiste une légère perturbation de sa fonction rénale (créatinine à 106 umol/l). Nous vous proposons d'effectuer un suivi biologique lors de votre prochain contrôle. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 11.01.2018. La durée de son traitement de Budénoside-Formotérol (Symbicort) est à discuter lors de votre prochain contrôle clinique. Mme. Repond, connue pour une cardiopathie rythmique et hypertensive, se présente initialement aux urgences de Tavel le 31.12.2017 pour une dyspnée en péjoration depuis 5 jours et une faiblesse généralisée. Les investigations mettent en évidence un choc septique sur une infection probablement pulmonaire devant une péjoration de la symptomatologie respiratoire (toux et dyspnée), sans documentation microbiologique ni foyer franc retrouvé à la radiographie. Madame Repond séjourne du 31.12.2017 au 01.01.2018 aux soins intensifs où sont initiés une expansion volémique, un soutien aminergique par noradrénaline, une antibiothérapie intra-veineuse par Rocéphine et de la VNI, avec une bonne évolution permettant un transfert à l'étage de médecine. À l'étage, Madame Repond bénéficie de sessions de VNI intermittentes, une oxygénothérapie ainsi qu'une antibiothérapie pour 2 semaines au total, menant à une bonne réponse clinico-biologique. Nous ajoutons du Flagyl le 06.01.2018 devant la positivité d'une bouteille d'hémoculture anaérobe qui se révèle être un Propionibacterium Acnes, que nous interprétons comme un contaminant. De plus, nous suspectons une BPCO jamais bilanisée dans le contexte tabagique et Madame Repond sera convoquée en ambulatoire pour des fonctions pulmonaires à distance de l'épisode aigu. Du point de vue cardiaque, la patiente présente un œdème aigu des poumons dans le contexte septique ainsi qu'une fibrillation auriculaire connue, répondant bien à la CPAP et aux diurétiques. Nos collègues cardiologues effectuent une échographie transthoracique montrant une cardiopathie valvulaire multiple (tricuspide, mitrale et aortique) ainsi qu'une hypertension pulmonaire. La patiente sera convoquée en ambulatoire pour une échographie trans-thoracique de contrôle début février. Une insuffisance rénale préexistante est aggravée pendant l'épisode septique et se corrige après correction de la volémie. Nous suspendons l'hydrochlorothiazide présent dans le Co-Lisinopril et face à des tensions stables, décidons de ne pas le réintroduire. Nous vous laissons le soin d'évaluer son indication en ambulatoire. Mme. Roessli Jacqueline présente des adénopathies disséminées, associées à une perturbation des tests hépatiques ainsi que des symptômes d'IVRS. Le diagnostic différentiel comprend une origine infectieuse ainsi qu'une origine oncologique de type lymphome. La suite de prise en charge est organisée avec une adénectomie qui sera prévue par la suite. Mme. Roulin se présente avec une tendovaginite sténosante de Quervain à gauche. Ce problème persiste depuis 2 ans. Les attelles et les séances d'ergothérapie n'ont pas pu calmer l'inflammation. Nous expliquons à la patiente qu'il existe 2 possibilités de traitement, d'une part une infiltration, d'autre part une cure chirurgicale du 1er compartiment. Mme. Roulin souhaite un traitement chirurgical. L'opération est planifiée à Tavel pour le 06.02.2018 car la patiente part en voyage au Mexique fin février. Mme. Schmid est une patiente de 82 ans, connue pour une BPCO avec emphysème pulmonaire, qui est hospitalisée pour des lombalgies non déficitaires apparues brutalement suite à un faux mouvement en essayant de se relever. La patiente décrit également une péjoration de la dyspnée avec toux sèche depuis une semaine. Le bilan étiologique ne retrouve pas d'argument pour une fracture des corps vertébraux et l'antalgie est adaptée aux douleurs. Concernant la suspicion de décompensation de BPCO, une corticothérapie est initiée avec rapide amélioration de la symptomatologie. Nous dosons l'Unifil pour une suspicion de surdosage, le taux revient à 44 microlM, donc légèrement en-dessous de la norme, infirmant la suspicion de surdosage. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 25.01.2017. Elle bénéficiera de soins à domicile pour un contrôle de santé 1x/semaine. Mme. Schouwey présente le plus vraisemblablement une gastro-entérite d'origine virale avec une déshydratation avec pli cutané à l'entrée. Après réhydratation, la patiente reprend des forces et rentre dormir chez sa belle-fille. Concernant les douleurs thoraciques intermittentes et le souffle systolique, au vu de l'absence de signe de gravité aux urgences, nous proposons un contrôle chez un cardiologue en ambulatoire. Nous proposons également d'adresser Mme. Schouwey chez un gynécologue pour un examen des seins, au vu des douleurs irradiant dans le sein gauche. Mme. Spicher se présente pour des céphalées légères suite à un traitement d'abcès dentaire. Au vu d'un examen clinique rassurant avec une patiente qui ne présente pas de fièvre, il n'y a pas lieu de penser à une complication de type abcès ou thrombose septique. Toutefois, en cas de persistance de la symptomatologie ou péjoration, une imagerie devrait être effectuée en urgence d'autant plus que la patiente présente un souffle 2-3/6 au foyer d'Erb non décrit en 2016. Mme. Spicher se présente pour des céphalées légères suite à un traitement d'abcès dentaire. Au vu d'un examen clinique rassurant avec une patiente qui ne présente pas de fièvre, il n'y a pas lieu de penser à une complication de type abcès ou thrombose septique. Toutefois, en cas de persistance de la symptomatologie ou péjoration, une imagerie devrait être effectuée en urgence d'autant plus que la patiente présente un souffle 2-3/6 au foyer d'Erb non décrit en 2016. Mme. Vaucher est admise aux soins intensifs pour surveillance après pose d'un Mitraclip le 25.01.2018. Patiente de 84 ans, connue pour une insuffisance mitrale sévère et cardiopathie ischémique, ayant déjà bénéficié d'un Mitraclip en 2014 et d'une TAVI en 2013 (FEVG à 65% le 18.01.2018), est hospitalisée pour pose d'un nouveau Mitraclip. L'intervention se déroule sans complication mis à part une tension artérielle labile avec nécessité d'un soutien aminergique en début d'intervention puis de TNT à la fin.Aux soins intensifs, Mme Vaucher reste stable sur le plan hémodynamique et rythmique. La TNT peut rapidement être sevrée sur la nuit. La surveillance se déroule sans particularité avec un bilan négatif. L'ETT de contrôle met en évidence un bon emplacement du clip avec rétrécissement mitral non serré et insuffisance mitrale jugée légère à modérée avec diminution des pressions artérielles pulmonaires. A noter un épanchement péricardique connu stable. L'anticoagulation par Marcoumar est à reprendre dès ce soir sans relais. Le Clopidogrel est à poursuivre pour 3 mois. Le point de ponction au niveau inguinal D est calme et le fil est retiré. Nous proposons d'évaluer l'indication à l'introduction d'un IEC. Au vu de l'évolution favorable, la patiente est transférée à l'étage de médecine interne le 26.01.2018. Mme Vlad présente des douleurs abdominales en hypochondre droit et en épigastre d'origine indéterminée. Le bilan ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. La patiente refuse une échographie, malgré les explications qu'en cas de cholécystite, elle risque de manquer la fenêtre opératoire en aigu. Elle consultera son médecin traitant prochainement pour suite de prise en charge. Nous recommandons de reconsulter en cas de péjoration clinique. Mme Wicht présente une déformation de la hanche avec status post luxation de Perthès dans l'enfance qui provoque cette douleur sur hanche dysplasique résiduelle. Pour le moment, étant donné la clinique présentée par la patiente, il n'y a pas d'indication chirurgicale par l'implantation d'une prothèse totale de hanche. Nous reverrons la patiente en cas de besoin. Mme Wohlgemuth est hospitalisée le 10.01.2018 en raison de la survenue de 4 crises d'épilepsies tonico-cloniques objectivées par les soignants de son EMS et une par notre service d'urgences. La patiente a présenté ses derniers jours une diminution de son état général ainsi qu'une toux sèche, sans fièvre. Un CT cérébral ne montre pas d'anomalie autre qu'une atrophie cérébrale. Sur avis du neurologue de garde, la patiente est chargée en Keppra. L'EEG à 24h met en évidence quelques dysrythmies, sans arguments pour une encéphalite herpétique. La ponction lombaire est dans la norme et la recherche de HSV revient négatif. La patiente conserve un état de conscience diminué, et nous répétons un EEG qui reste superposable à celui de l'entrée. Avec l'aval des neurologues, nous diminuons les doses de Keppra, sans amélioration de la vigilance. Dans le contexte d'un syndrome inflammatoire avec état fébrile, la patiente bénéficie initialement de Rocephine pour une suspicion de pyélonéphrite en raison d'un sédiment urinaire pathologique. L'urotube met en valeur la présence d'un contaminant, les hémocultures restent négatives. En raison de troubles de la déglutition évolutifs, nous diagnostiquons ensuite une pneumonie de broncho-aspiration et changeons l'antibiothérapie sur conseil de nos collègues infectiologistes, sans réelle amélioration de l'état de conscience. Un CT cervical est fait à la recherche d'un abcès cervical au vu d'une rigidité nucale ne montre qu'un débordement de C5-C6 qui pourrait péjorer les troubles de la déglutition de la patiente, probablement pré-existant dans le contexte démentiel avancé. En présence d'un syndrome inflammatoire à la hausse sous antibiotiques, d'une somnolence qui persiste, et ce malgré un traitement quasi-maximaliste jusque-là, ainsi qu'une démence en péjoration rapide depuis quelques mois, il est discuté le 19.01.2018 avec les représentantes thérapeutiques de la patiente, sur la base de ses directives anticipées, d'un retrait thérapeutique avec un transfert en EMS pour des soins de confort. Mme Wohlgemuth retourne à l'EMS ISRF le 23.01.2018. Mme Zehr est une patiente de 65 ans hospitalisée aux soins intensifs le 09.01.2018 pour une insuffisance rénale aiguë AKIN 3, d'origine pré-rénale dans un contexte de diarrhées profuses. La patiente est connue pour un adénocarcinome du sigmoïde avec sigmoïdectomie en août 2017, iléostomie à double canon et mise en place d'une sonde double J. Au vu d'une résection en R1, la patiente bénéficie actuellement d'une radio-chimiothérapie adjuvante. Suite à la dernière chimiothérapie (FOLFOX) le 27.12.2017, la patiente décrit une baisse d'état général avec inappétence, perte pondérale et nausées avec vomissements, ainsi que des diarrhées importantes sur les 4 jours précédant l'hospitalisation. Une insuffisance rénale aiguë sur chronique est mise en évidence lors de la consultation de contrôle en oncologie le 09.01.2017 et la patiente est hospitalisée aux soins intensifs pour la prise en charge. Le CT natif du 09.01.2018 ne montre pas de dilatation pyélocalicielle ni de complication au niveau de l'anastomose. Le spot urinaire parle en faveur d'une étiologie pré-rénale. Suite à un remplissage, la patiente reprend une diurèse avec une amélioration progressive de son insuffisance rénale permettant un transfert à l'étage de médecine le 10.01.2017 pour la suite de la prise en charge. Une hydratation intraveineuse est poursuivie afin de compenser les importantes pertes digestives, jusqu'au 19.01.2018. Une hypokaliémie secondaire aux pertes digestives est substituée et l'acidose liée à l'insuffisance rénale et aux pertes digestives de bicarbonate est traitée par bicarbonate intraveineux et oral, avec une normalisation de la gazométrie finalement le 16.01.2018. Concernant la symptomatologie digestive, les prélèvements de selles restent négatifs pour des Norovirus, Clostridium et d'autres germes bactériens. Nous administrons un traitement avec Lopéramide d'office dès le 12.01.2018 plus un traitement antalgique avec des opiacés avec une lente amélioration clinique. Dans le contexte de la diarrhée prolongée malgré un traitement ralentissant le transit, nous organisons une gastroscopie plus endoscopie par l'iléostomie, qui ne montre pas de signes dans le sens d'une mucite sévère, des biopsies duodénales et gastriques révèlent une inflammation de la muqueuse, indiquant un traitement avec un inhibiteur de la pompe à protons. Une hypotonie artérielle symptomatique suite à la perte hydrique de la patiente nous motive à suspendre le traitement antihypertenseur avec Zanidip. Nous vous laissons le soin de redémarrer le traitement après la normalisation des tensions artérielles. Après une diminution importante de la quantité de diarrhée, la patiente rentre à la maison le 23.01.2018. Un suivi en ambulatoire concernant la radio-chimiothérapie sera organisé, la patiente prendra contact avec Dr. X. Un bilan d'une anémie normochrome, macrocytaire reste sans particularité, on l'interprète dans le probable contexte tumoral. La patiente reçoit un concentrat érythrocytaire le 22.01.2018. Mme Zehr est une patiente de 65 ans hospitalisée aux soins intensifs le 10.01.2018 en raison d'une insuffisance rénale aiguë AKIN 3. La patiente est connue pour un adénocarcinome du sigmoïde avec sigmoïdectomie en août 2017, iléostomie à double canon et mise en place d'une sonde double J. Au vu d'une résection en R1, la patiente bénéficie actuellement d'une radio-chimiothérapie adjuvante. Suite à la dernière chimiothérapie le 27.12.2017, elle décrit une baisse de l'état général avec inappétence, perte pondérale et nausées avec vomissements. A noter également des diarrhées importantes sur 4 jours précédant l'hospitalisation. Une insuffisance rénale aiguë sur chronique est mise en évidence lors de la consultation de contrôle en oncologie le 9.01.2017 et la patiente nous est adressée pour la prise en charge. Le CT natif du 9.01.2018 ne montre pas de dilatation pyélocalicielle ni de complications au niveau de l'anastomose. Le spot urinaire parle en faveur d'une étiologie prérénale. Suite à un remplissage, la patiente reprend une diurèse avec une amélioration progressive de son insuffisance rénale permettant un transfert à l'étage de médecine le 10.01.2017 pour la suite de la prise en charge. Mme Zosso est admise pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie trilobaire avec ARDS. Il s'agit d'une patiente connue pour une BPCO stade II et un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche traité par radio-chimiothérapie, qui présente une dyspnée avec toux et expectorations. Elle consulte son médecin traitant qui la met sous Co-amoxicilline et Clarithromycine le 08.01.2018. En raison de la persistance des symptômes et de l'apparition de fièvre et frissons, elle consulte aux urgences le 12.01.2018. Une pneumonie droite est suspectée et elle est hospitalisée sous traitement de Céfépime et Clarithromycine. Elle présente une péjoration sur le plan respiratoire avec une hypoxémie sévère motivant son transfert aux soins intensifs le 14.01. Un CT montre des infiltrats en verre dépoli dans tous les lobes mais surtout du côté droit. Les prélèvements microbiologiques ne permettent pas d'identifier un germe. Le traitement empirique par Tamiflu est administré pendant 24h puis arrêté à l'obtention du résultat de grippe négatif. L'antibiothérapie par Céfépime est changée pour du Co-Amoxicillin sur avis infectiologique dans un contexte d'infection communautaire dès le 18.01.2018. L'antibiothérapie de Clarithromycine (pour un éventuel germe atypique non documenté) est poursuivie pour un total de 21 jours et la Co-Amoxicilline pour 14 jours. Un soutien ventilatoire par lunettes à oxygène à haut débit est nécessaire jusqu'au 23.01.2018. Des séances de VNI sont également introduites mais rapidement stoppées au vu de l'absence d'amélioration et d'une mauvaise tolérance. La situation évolue peu les premiers jours. Du Solumedrol est ajouté dans le contexte de l'ARDS à partir du J7. Nous vous proposons un schéma dégressif de type Prednisone 1mg/kg pendant 1 semaine, puis 0.5 mg/kg pendant 1 semaine, puis dégression rapide avant sevrage complet. Par la suite, l'évolution est progressivement favorable. On note une perturbation des tests hépatiques le 16.01.2018 avec persistance d'un état fébrile, raison pour laquelle un US abdominal est réalisé et montre un foie d'aspect hétérogène mais sans autre particularité. Dans ce contexte, un taux de Céfépime est également effectué et revient en dessous du seuil thérapeutique. L'évolution est spontanément favorable. Une anémie normocytaire normochrome hyporégénérative est mise en évidence. Le bilan montre un déficit en folate, qui est substitué pour un mois. La patiente est transférée à l'étage de médecine le 25.01.2018 pour la suite de la prise en charge. MMS, clock, GDS Évaluation ergo Substitution B12 MMS, Clock Test GDS MMS, Clock-test, GDS non réalisables en raison d'une démence trop avancée et manque de collaboration de la patiente. Morphine en gouttes pour anxiolyse et diminution de la dyspnée. Réorientation. Arrêt du traitement de Quetiapine le 16.12.2017 et introduction d'Haldol 0.25 mg fixe 3x/jour et en réserve. Contention physique à partir du 26.12.2017, allégée selon état. MMS le 09.01.2018 : 25/30. Organisation réadaptation gériatrique. MMS le 09.01.2018. Test BME refusé par la patiente le 11.01.2018. MMS, test de l'horloge et GDS impossibles à réaliser le 24.01./25.01.2018 en raison de l'alternance d'agitation et de somnolence du patient. MMS, test de l'horloge et GDS le 11.01.2018. MMS, test de l'horloge et GDS le 16.01.2018. Bilan neuropsychologique avec évaluation de la capacité de conduite demandé. MMS 12/2017 : 27/30, test de l'horloge 9/9. MMS 13/30, Clock 2/7 et GDS 3.5/15 points (22.12.2017). MMS : 21/30, GDS : 5/15, Clock Test : 7/7 (13.12.2017). MMS 22/30, Clock 0/6, GDS 10/15 le 30.12.2017. Labo : B12 le 04.01.2018. Appel fille. Consilium neuropsychologique. Consilium psychiatrique Dr. X. Ad Quetiapine 25mg 1-0-1. ECG de contrôle le 16.01 : QT corrigé 450ms (dans la norme pour une femme). MMS 22/30, Clock 0/6, GDS 10/15 le 30.12.2017. Labo : B12 le 04.01. Appel fille. MMS 26/30, Clock 3/7, GDS 1/15. Bilan neuropsychologique Dr. Perren le 20.12. MOKA (ergothérapeute) le 05.01 : 14/30. MMS 27/30, Clock 6/9, GDS 2/15 le 08.01. MOKA (ergothérapie). MMS 27/30, Clocktest 6/6, GDS 1/15 (30.12.17). Apport d'une thérapie complexe de réadaptation gériatrique précoce min. de 14 jours indiquée par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur trouble de la marche avec chutes à répétitions et par réduction des capacités fonctionnelles/perte d'autonomie de l'état général, autonomie, locomotion, cognition. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 23 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la nutrition, la neuropsychologie, les soins médicaux (soins thérapeutiques actifs ou accompagnés par du personnel qualifié - 7j/7), des travailleuses sociales (évaluation sociale de niveau 5) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, conseils en nutrition, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine, un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre activement part. Mobilité (Tinetti) 10/28. Autonomie FIM (Mot./Kogn.) 60/26. MMS/CLOCK 27/30 - 7/7. GDS 1/15. Soz. Ass. (5-stufig) 29.12.2017. TEAM-Sitzung 1 03.01.2018. TEAM-Sitzung 2 08.01.2018. Évaluation pour le départ. Mobilité (Tinetti) 18/28. Autonomie FIM (Mot./Kogn.) 84/26. MMS 30/30, Clock test 7/7 et GDS 3.5/15 points (28.12.2017). Apport d'une thérapie complexe de réadaptation gériatrique précoce min. de 7 jours indiquée par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur décompensation cardiaque globale et pneumonie basale droite le 14.12.2017 et par réduction des capacités fonctionnelles/perte d'autonomie sur le plan de la locomotion et de l'état général.Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 17 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l’ergothérapie, la logopédie, la nutrition, la neuropsychologie, les soins médicaux (soins thérapeutiques actifs ou accompagnés par du personnel qualifié - 7j/7), des travailleuses sociales (évaluation sociale de niveau 5) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, conseils en nutrition, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l’évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine, un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l’aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d’en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Mobilité (Tinetti) 26/28 Autonomie FIM (Mot./Cogn.) 81/31 MMS/CLOCK 30/30 - 7/7 GDS 3,5/15 Ass. sociale (5-stufig) 28.12.2017 TEAM-Sitzung 1 03.01.2018 Entlassungs-Assessment Mobilité (Tinetti) 27/28 Autonomie FIM (Mot./Kogn.) 87/33 MMSE à 23/30 MMS/GDS le 05.01.2018: MMS-Test 30/30. Clock's Test 6/6. Pas de dépression (GDS 4/15). ECG de contrôle le 05.01.2018: Compatible avec l'ECG du 30.11.2018. Rythme sinusal régulier, fréquence 85 batt/min. Onde P élargie de 0.15 s, amplitude normale max de 0.15 mV en DII. Intervalle PQ normal. Ondes Q d'aspect normal en DI et aVL. Axe gauche. Complexe QRS déformé avec une configuration de rsR' en V1, RSr' en V2 et rSr' en DIII et aVF, élargi de 0.18 s. Progression de R est retardée, zone de la transition R/S est décalée en V4-V5. Onde S est large et empâtée en DI et aVL. Crochetages dans le segment ascendant/descendant du complexe QRS en V3-V6, DII. Il existe une onde T négative en V1-V3, DIII et aVF. Conclusion: Bloc de branche droite (BBD) complet. Hypertrophie auriculaire gauche. Troubles de la repolarisation ventriculaires non spécifiques. Apport d’une assessment multidisciplinaire Mobilité (Tinetti) 4/28 am Arjo Autonomie FIM (Mot./Kogn.) 47/29 MMS/CLOCK 30/30 - 6/6 GDS 4/15 Ass. sociale (5-stufig) 08.01.2018 TEAM-Sitzung 1 10.01.2018 TEAM-Sitzung 2 17.01.2018 Entlassungs-Assessment Mobilité (Tinetti) 17/28 am Arjo Autonomie FIM (Mot./Kogn.) 64/31 Mobilisation avec charge partielle 15 kg max Mobilisation avec charge selon douleurs. Contrôle rx-clinique avec des rx en charge la semaine prochaine. Mobilisation du genou G sous narcose. (OP 12.12.2017) Résultats bactériologiques négatifs. Mobilisation en charge de 15 kg. Nous lui prescrivons de la physiothérapie et le reverrons dans 3 semaines pour un contrôle radioclinique. Mobilisation en charge de 15-20 kg sans le plâtre. Physiothérapie pour mobilisation. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines et nous planifierons l'ablation des 2 broches. Mobilisation en charge selon douleurs dans le Vacopedes qu'on a changé de L à M, la patiente étant beaucoup plus confortable. Pas de restriction de la charge. Contrôle rx-clinique dans 6 semaines. Mobilisation en charge selon douleurs et sans restriction. Nous lui prescrivons de la physiothérapie. Elle refera elle-même les pansements. L'ablation des fils se fera à J14 chez le médecin traitant. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Mobilisation en charge selon douleurs. Les contrôles de plaies se font chez le médecin comme l'ablation des fils à J14. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Mobilisation en charge selon douleurs. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Reprise du travail à 50% dès le 01.03.2018 puis à 100% dès le 01.04.2018. Mobilisation en charge selon douleurs. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 15.02.2018. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Mobilisation en charge selon douleurs. Reprise du travail dès le 19.01.2018. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Mobilisation en physiothérapie pour regagner la mobilité. Protection pour les activités en groupe avec une syndactylie. Incapacité de sport jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. Mobilisation immédiate du genou qui est bien tolérée par la patiente. Prochain contrôle prévu le 7.2.2018. La patiente continuera la physiothérapie pour la rééducation à la marche. Mobilisation libre. Contrôle à ma consultation le 16.2.2018. Mobilisation libre de l'épaule. Contrôle clinique en janvier 2018 à la consultation du Dr. X. Mobilisation par le patient lui-même en évitant les activités à risque pour quelques semaines encore. Prochain contrôle dans 6 à 8 semaines. Si la mobilité ne devait pas être bonne, à ce moment-là, on pourrait alors envisager une physiothérapie. Mobilisation pratiquement normale, patiente asymptomatique, nous mettons un terme à la thérapie. Mobilisation sans le Schlupfgips. Poursuite de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin février. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Mobilisation selon douleur Physiothérapie Ergothérapie Bilan vitaminique (B12, folate, vitamine D déjà sous substitution) Schellong du 22.12.2017 : normal Évaluation facteur extrinsèque de chute Arrêt liquéminé le 22.12.2017 Si symptômes queue de cheval (anesthésie en selle, incontinence fécale ou perte de force en péjoration) appel orthopédie Fribourg Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 1.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 1.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 14.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 15.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 15.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 15.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle et résultat de l'infiltration à la ma consultation le 14.02.2018. Mobilisation selon douleurs. Poursuite d'une physiothérapie douce. Contrôle selon évolution. À savoir que la patiente part en voyage en Inde d'ici 10 jours. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 14.2.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle chez moi le 12.2.2018. Mobilisation selon douleurs Limitation de la flexion à 90° pour 4 semaines.Moderater Vitamin D Mangel • Labor 04.01.2018: 34nmol/l • Substitution mit 1000IE/Tag po bis am 16.01.2018 und Wechsel auf 14000IE/Woche ab 17.01.2018 Modification ECG asymptomatique Modification ECG avec sous-décalage territoire latéral Modification ECG sans comparatif Modification ECG sans comparatif Modification ECG sans élévation enzymatique, le 17.11.2014 • probablement angor dans un contexte d'anémie • avis cardiologique : pas d'investigation supplémentaires pour le moment Insuffisance rénale aiguë stade AKIN II, le 17.11.2014 Changement de cotyle de la hanche gauche avec ablation de la tête fémorale métallique, de l'acétabulum et mise en place d'une nouvelle prothèse, le 21.09.2014 • séjour de réadaptation à l'HFR Tavel jusqu'au 24.10.2014 • luxation de la hanche suite à une chute le 05.11.2014 • révision chirurgicale le 06.11.2014 Hémorragie digestive haute avec hématémèse le 04, 11 et 16.11.2014, dans un contexte d'anticoagulation (Aspirine, Xarelto), sans lésion claire objectivée Escarre talon gauche, le 24.11.2014 Infection urinaire basse, le 28.11.2014 à E. Coli ESBL Prothèses de hanches et genoux des deux côtés Status après cholécystectomie par laparoscopie le 05.07.2015 Modification ECG sans symptomatologie le 23.01.2018. Modifications ECG probablement sur administration de desflurane le 28.12.2017: • asymptomatique Modifications ECG sans comparatif le 15.01.2018 : • T nég I-II-AVL et V4-V5-V6 • DD : secondaire à l'AVC, cardiopathie hypertensive Modifications ECG sans comparatif le 15.01.2018: • T nég I-II-AVL et V4-V5-V6 DD: secondaire à l'AVC Möglicher distaler Radius unklar • Rx Hand rechts • Vd.a. skapholunäre Läsion mollusca contagiosa • currettage de mollusca contagiosa le 25.08.2015 Molluscum Monitoring cardio-respiratoire aux urgences. sp Betnesol 14 comprimés de 0.5 mg o.u. aux urgences Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 13.01.2018 Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 10.01 Caféine jusqu'au 24.12.2017 Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 13.01.2018 Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardio-respiratoire Bilan biologique (trauma abdo): dans la norme Stix/sédiment urinaire: pas d'érythrocytes US abdominal dans la norme Hospitalisation pour surveillance neurologique et abdominale Monitoring cardio-respiratoire dès le 28.12.2017 Inhalation Ventolin Betnesol Monitoring cardiorespiratoire dès l'entrée jusqu'au 23.12.2017 Monitoring respiratoire jusqu'au 29.12.2017 Monitoring cardio-respiratoire ECG le 06.01. Gazométrie capillaire Glycémie capillaire Saturation pré et post-ductale Tension aux 4 membres Évaluation alimentation avec doubles pesées Surveillance sur 72h Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 03.12 Caféine 4 mg/kg/j jusqu'au 29.11.17 Saturation en continu jusqu'au 05.12.17 Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 04.01 Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 23.1.2018 CPAP du 25.12.-29.12.2017(5j) Oxygénothérapie le 29.12 (1j) Monitoring cardio-respiratoire pendant 40min environ avec saturation 100% à l'air ambiant, FC 130-150/minute. Nous prenons le temps de rassurer la maman, nous lui expliquons également les signes de gravité devons motiver une consultation aux urgences. Au vu de la pâleur notée par les parents et retrouvée au status de l'anamnèse familiale d'anémie ferriprive, nous réalisons un bilan sanguin qui permet d'infirmer la présence d'une anémie. monitoring cardiorespiratoire Avis cardiopédiatre de Bern Dosage du taux de keppra Monitoring cardio-respiratoire Caféine 5mg/kg/dose jusqu'au 31.12 Monitoring cardio-respiratoire Gazométrie Bilan sanguin US cérébral le 24.12 Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie Médecine anthroposophique Gazométrie Monitoring cardio-respiratoire Stésolid en R Contrôle à la consultation de Dr. X (neurologue) prochainement Monitoring cardio-respiratoire. Lit chauffant Vitamine K 2 mg per os à J1 et J4 Vitamine D au J8 Guthrie à J4 et prévoir J14 (sage-femme) OEA passe Monitoring continu en unité stroke du 04.01.2018 au 06.01.2018 Thrombolyse intra-veineuse par Actilyse le 05.01.2018 CT cérébral le 04.01.2018 : pas d'hémorragie, pas d'obstruction des vaisseaux précérbraux, asymétrie non spécifique de la perfusion sylvienne gauche (portion M3 gauche) CT cérébral natif du 05.01.2018 : Pas d'AVC constitué, pas de transformation hémorragique Avis neurologique du 04.01.2018 (Dr. X) et 05.01.2018 (Dr. X) Monitoring de la SpO2 aux urgences pendant le sommeil (SpO2 minimum à 95%) Monitoring de la SpO2 Suivi de l'alimentation Médecine anthroposophique Monitoring, pose de voie veineuse, perfusion par NaCl, Morphine intraveineuse 14 mg. Observation, recommandation d'usage. Intervention thérapeutique brève en faveur d'un sevrage du cannabis. On convient avec le patient d'un projet d'abstinence et d'effectuer un test de dépistage lors d'une éventuelle prochaine consultation. Monitoring respiratoire Monitoring respiratoire Monitoring saturomètre en continu Monitoring VVP jusqu'au 24.1. Bilan sanguin Hémoculture Uroculture (Sondage) Ceftriaxone iv 50mg/kg/j (3 doses) Amoxicilline-clavulanique (80 mg/kg/j) US abdominal Monoarthrite cheville gauche récidivante le 30.01.2018. • dans un contexte de psoriasis. Monoarthrite du genou droit d'origine microcristalline le 05.05.2017 avec : • ponction articulaire le 05.05.2017 mettant en évidence des cristaux de pyrophosphate • culture de ponction stérile à 5 jours. Fibrillation auriculaire rapide à 157/min le 11.05.2017 avec : • status post-fibrillation auriculaire inaugurale le 08.02.2012 traitée par cardioversion interne (35 j) et Cordarone • douleurs rétrosternales d'apparition brutale soulagées par un bêtabloquant • cardioversion spontanée. Choc vasoplégique et hypovolémique d'origine mixte le 18.03.2017: • interaction médicamenteuse entre Ciprofloxacine et Sirdalud (CYP 1A2 : majoration de l'effet du Sirdalud avec médication concomitante de Ciprofloxacine) • déshydratation et médication anti-hypertensive. Cervicalgie sur arthrose cervicale le 17.03.2017 • récidive le 28.03.2017. Constipation récalcitrante avec • fécalome le 17.05.2017 • rhagades suite à l'extraction • évacuation manuelle + Cololyt 1 litre + Laxoberon 15 gouttes. Subiléus post-opératoire le 26.09.2014 • laparoscopie exploratrice, adhésiolise et section de bride sur iléus sur bride le 22.09.2014. Sepsis sur probable infection pulmonaire ou empyème le 28.02.2012. Tamponade cardiaque hémorragique avec défaillance multi-organique (rénale, hépatique) post-pose de pacemaker défibrillateur (CRT-D) (02.02.2012) le 14.02.2012. Hallucinations visuelles transitoires le 13.02.2012. Probable zona du dermatome C5 à droite en décembre 2011. Carcinome lobulaire invasif moyennement différencié G2 avec composante intra-lobulaire des quadrants supéro-externe et externe du sein gauche, stade DAP, pT2, G2,pN1a, CMo, RoE positif, HER-2 négatif, diagnostiqué en avril 2004 • tumorectomie et curage axillaire gauche le 18.05.2004 • chimiothérapie par 4 cycles de FEC de 6-9/2004 • hormonothérapie par Tamoxifen de 9/2004-2008 • récidive locale en 5/2009 • mastectomie gauche le 15.06.2009 • 1 cycle de Taxol-Carboplatine 08.07.2009 • 1 cycle d'EC 100 le 28.07.2009 • 1 cycle de Navelbine le 29.09.2009 associé au Xeloda, intolérance cutanée et gastro-intestinale de grade 1-2 • 3 cycle d' EC 1000 le 13.10.2009, 10.11.2009 et 01.12.2009. • Varicectomie des deux côtés en 1970 avec œdèmes des membres inférieurs chroniques. • Monoarthrite du poignet droit. • chez patiente connue pour arthrite psoriasique. • Mononucléose. Monsieur Abdou présente les lésions susmentionnées. Dans un premier temps, je propose un traitement conservateur et lui prescris de la physiothérapie à but antalgique, ensuite pour regagner la mobilité et plus tard pour stabiliser le genou et tonifier la musculature. Le patient reste pour l'instant en arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain rendez-vous qui est prévu pour le 23.02.2018. La genouillère peut être enlevée, le patient peut marcher en charge complète. Monsieur Abdullah est un patient de 31 ans en bonne santé habituelle, qui est connu pour une gynécomastie unilatérale droite. Il est hospitalisé en électif pour résection Benelli et lipoaspiration de la poitrine droite le 23.01.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Il devra porter un gilet compressif durant 6 semaines et sera vu à la consultation du Prof. X la semaine prochaine. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, le patient peut rentrer à domicile le 25 janvier 2018. Monsieur Acri est un patient de 80 ans connu pour un abcès récidivant de la fesse gauche sur décubitus traité deux fois par des lambeaux musculaires, le dernier en mars 2017. Il consulte les urgences en raison d'un écoulement au niveau de la fesse gauche. Une collection est mise en évidence cliniquement et le patient est pris au bloc opératoire le 28.11.2017. On découvre une infection profonde s'étendant jusqu'à l'os iliaque qui est débridée. Les prélèvements reviennent positifs pour du Staphylococcus aureus et un traitement de Floxapen 6 fois par jour est mis en place après avis de nos collègues infectiologues. Le patient bénéficie d'un pansement à pression négative jusqu'au 18.12.2017, puis d'un pansement simple avec Prontosan dont nous proposons de poursuivre la réfection 2 fois par jour jusqu'à la prochaine consultation chez nous. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 12.01.2018 avec les soins à domicile pour les changements de pansement. L'antibiothérapie est adaptée pour être compatible avec le retour à domicile, soit en introduisant la Cubicine 1 fois/jour au lieu du Floxapen, sur avis infectiologique. Le traitement sera à poursuivre pour un total de 3 mois. La situation sera réévaluée à notre consultation le 23.01.2018. À noter l'apparition d'une pneumonie du lobe moyen droit que nous traitons par Lévofloxacine dès le 29.12.2017 avec une évolution tout à fait favorable. Monsieur Aebischer nous est transféré depuis l'Inselspital pour suite de prise en charge d'un AVC ischémique sylvien gauche. Le 21.12.2017, le patient a consulté l'hôpital de Riaz car il a présenté à 17h30 un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit et une aphasie complète, correspondant à un NIHSS à 22. Le CT cérébral montre une occlusion sylvienne gauche au niveau M1 avec une zone de pénombre fronto-temporo-pariétale gauche, ainsi qu'une sténose d'environ 60 % au départ de l'artère carotide interne gauche. Étant donné des antécédents d'hémorragie digestive, une thrombolyse à dose réduite est effectuée et le patient est transféré à l'Inselspital pour bénéficier d'une thrombectomie. Cette dernière se déroule sans complication avec reprise du flux sanguin. Le CT cérébral de contrôle ne montre pas de complication hémorragique mais une petite zone d'infarcissement. Dans le cadre du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une FEVG abaissée à 45 %, une sténose aortique modérée à sévère avec possible low flow-low gradient au vu de la FEVG abaissée, une dysfonction diastolique importante et une HTP importante. Au vu de la situation globale, de l'âge du patient et la symptomatologie peu présente, nous n'effectuons pas de cathétérisme afin de bilanter la sténose aortique. Les cardiologues sont à disposition en cas de péjoration clinique. L'examen d'Holter ne montre pas d'arythmie emboligène et la pose d'un R-Test sur 7 jours est proposée, puis l'examen neurosonologique ne confirme pas la sténose significative de > 50 % tel que décrit à l'Angio-CT initial, une thrombendartériectomie n'est donc pas retenue. Durant son hospitalisation, le patient présente une anémie normochrome normocytaire qui nécessite la transfusion de culots érythrocytaires. Le patient ayant fait un NSTEMI sur anémie dans un contexte d'ulcère de Dieulafoy en octobre 2017, nous effectuons une OGD qui montre une hernie hiatale, la présence des clips mais pas de saignement actif. L'évolution neurologique est favorable avec une amélioration sur le plan moteur avec persistance d'un hémisyndrome droit résiduel léger et d'une force à M4. Une progression notable est également observée sur le plan logopédique avec amélioration de la compréhension et de la production mais persistance d'une aphasie qui reste sévère et nécessite une poursuite de la prise en charge logopédique. Il présente également une héminégligence droite, une apraxie bucco-linguo-faciale et une dysphagie, raison pour laquelle un régime mixé-lisse est poursuivi. La compagne de Monsieur Aebischer a récemment été installée en EMS suite à la découverte d'un cancer et Monsieur Aebischer vivait seul à domicile les semaines avant son AVC et il conduisait encore sa voiture. Sa famille avait déjà constaté une fatigue plus importante avant l'événement et désormais ne le voit pas rentrer seul à la maison. Ils ont déjà organisé une pré-inscription en EMS avec notre infirmière de liaison. Nous n'avons pas formellement informé Monsieur Aebischer de cette pré-inscription et attendions la réadaptation afin de mesurer l'étendue de sa progression. Un colloque de famille est souhaitable à la fin de la réhabilitation afin de décider de la meilleure orientation (retour à domicile avec encadrement ou EMS) pour Monsieur Aebischer. La conduite est contre-indiquée et nous vous laissons le repréciser à Monsieur Aebischer lors de sa sortie de Billens. Monsieur Aebischer est transféré à Billens le 17.01.2018 avec un rendez-vous de suivi en neurologie le 26.03.2018 à 16h. Monsieur Aeby, patient de 66 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire métastatique diagnostiqué en 2012 traité par radio- et chimiothérapie, un antécédent d'embolie pulmonaire en septembre 2017 ainsi qu'une péritonite sur diverticulite sigmoïdienne perforée avec status post résection sigmoïdienne est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur épanchement pleural gauche massif et embolies pulmonaires d'allure chronique. Le patient s'était présenté aux urgences en raison d'une péjoration de sa dyspnée subite le 26.12.2017 de stade NYHA-IV. Le scanner thoracique à l'entrée met en évidence un épanchement pleural massif à gauche nécessitant la pose d'un drain thoracique le 30.12.2017, retiré le 09.01.2018 car il ne drainait plus l'épanchement. Celui-ci est un excudat, probablement tumoral et sur embolies pulmonaires. Notons qu'une cytologie n'a pas été effectuée. La persistance de l'épanchement en base pulmonaire motive la pose d'un nouveau drain le 10.01.2018 sous contrôle US. Celui-ci peut rapidement être enlevé et le poumon s'est bien expansé. Si Monsieur Aeby devait à nouveau présenter un tel épanchement, la pose d'un pleurix serait à envisager.A l'imagerie, on retrouve également des embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires intéressant notamment la pyramide basale droite avec possible infarctus en regard traitées par Clexane thérapeutique à poursuivre à vie en raison de la maladie tumorale. On visualise également une progression de la maladie oncologique à l'étage thoracique et à l'étage abdominal mais ne retrouvons pas de métastase cérébrale à l'IRM. A noter que le patient présente un épisode d'insuffisance rénale aiguë pré-rénale le 01.01.2018 suite à la réintroduction du traitement habituel par hydrochlorothiazide. Pour cette raison, nous remplaçons ce traitement par du Torasémide. Au vu du profil tensionnel normal sans anti-hypertenseur, nous arrêtons son traitement par Candesartan. Le 12.01.2018, le patient présente une anémie d'origine probablement mixte dans un contexte tumoral et inflammatoire avec possible saignement à bas bruit ainsi qu'une élévation des marqueurs de l'inflammation d'origine indéterminée. Nous optons pour une surveillance et l'évolution est favorable avec stabilité de l'hémoglobine et diminution des paramètres inflammatoires. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Aeby peut regagner son domicile le 16.01.2018 dans un bon état général. La suite de prise en charge oncologique sera discutée lors de son prochain rendez-vous de contrôle le 22.01.2018 à 13h30. Monsieur Agbenouvon est un patient de 41 ans qui consulte pour de nouvelles douleurs thoraciques et spasmes musculaires. A noter que ce patient revient avec un bilan cardiaque négatif aux urgences avec cinétique de tropo à H0 8 et H1 8. Nous décidons de le faire convoquer à nouveau en rhumatologie pour de nouvelles investigations, même si ces dernières au CHUV étaient revenues sans particularité ; dans ce contexte, il semble qu'une biopsie musculaire soit indiquée. Monsieur Alemi est un patient de 22 ans qui se présente aux urgences le 25.01.2018 avec une clinique d'appendicite confirmée à l'ultrason. Il bénéficie le 25.01.2018 d'une appendicectomie laparoscopique. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont contrôlées par l'antalgie. Le patient rentre à domicile le 27.01.2018 et consultera son médecin traitant à J12 pour l'ablation des fils. Monsieur Allaman est un patient de 78 ans, connu pour une démence vasculaire, une fibrillation auriculaire et un statut après accident vasculaire cérébral ischémique temporal droit en décembre 2016, adressé aux urgences le 11.01.2018 par son médecin traitant, le Dr. X, pour des troubles de la conscience et désaturation dans le cadre d'une fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide à 140 battements par minute. Le patient y reçoit 5 mg de Beloc ZOK intraveineux, avec réduction de la fréquence cardiaque à 60 battements par minute et reprise de conscience. Monsieur Allaman est afébrile mais dyspnéique avec une toux grasse et quelques râles crépitants bibasaux à l'auscultation. Les troponines sont négatives, et la radiographie du thorax effectuée aux urgences ne montre pas de foyer pulmonaire. La gazométrie ne révèle pas de troubles acido-basiques ni d'hypoxémie. A son arrivée dans notre service de gériatrie aiguë, le patient présente un état de conscience normal avec un score de Glasgow à 15/15, mais est ralenti et désorienté. Il est hémodynamiquement stable, afébrile et sature bien à l'air ambiant. A l'anamnèse par système, Monsieur Allaman n'a aucune plainte. Sur le plan social, il vit au home de la Vallée de la Jogne à Charmey. Sa seule proche est sa nièce. Le patient ne marche plus tout seul, mais il fait de la physiothérapie dans son home. L'examen clinique met en évidence une mycose orale, que nous traitons par Mycostatine pour une durée de 10 jours au total. Le bilan biologique objective un syndrome inflammatoire peu important avec une CRP à 14 mg/l et une absence de leucocytose. Le sédiment urinaire est négatif. Les hémocultures prélevées à froid aux urgences reviennent négatives à cinq jours. Nous constatons la présence d'une hypovitaminose D à 8 nmol/l, que nous substituons par voie orale. Dans le service, Monsieur Allaman présente des épisodes de fausses routes alimentaires. Un test de déglutition est effectué, confirmant un risque de fausses routes présent en raison d'un passage altéré des aliments de la bouche vers le pharynx, avec une tendance à prendre de grandes quantités de liquide et d'aliments à la fois en bouche. Un régime haché fin avec boissons de consistance nectar est instauré. Le 15.01.2018, le laboratoire de contrôle montre une hypokaliémie à 3.3 mmol/l, que nous substituons par du KCl retard, prévu jusqu'au 18.01.2018. Nous vous proposons de recontrôler la kaliémie à cette date. Durant le séjour, le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire et de mobilisation. Ce dernier peut marcher 10 mètres avec une courte pause, de façon non sécuritaire avec un risque de chute. Les escaliers ne sont pas testés. A la sortie, la mesure d'indépendance fonctionnelle est de 29/126 (MIF physio : transferts 4/7, marche 4/7, escaliers 1/7), en comparaison avec une MIF d'entrée de 30/126 (MIF physio : transferts 4/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le 17.01.2018, Monsieur Allaman retourne au home de la Vallée de la Jogne de Charmey où il réside. Monsieur Allemann est un patient de 71 ans qui se présente le 07.01.2018 avec une clinique de céphalées, d'acalculie et d'agraphie. Un CT cérébral met en évidence deux lésions cérébrales pariétales gauches. Le patient est hospitalisé en chirurgie et un traitement de Dexaméthasone en intraveineux est initié. Le 08.01.2018, un CT thoraco-abdominal retrouve un nodule pulmonaire para-médiastinal droit. Le cas de Monsieur Allemann est discuté avec au Tumor Board du 10.01.2018 qui propose de compléter le bilan par un PET CT et une IRM cérébrale. Le PET CT ne montre pas d'activité hypermétabolique du nodule pulmonaire et ne retrouve aucune autre lésion. L'IRM confirme les deux lésions cérébrales pariétales gauches sans en retrouver de nouvelles. Le 13.01.2017, Monsieur Allemann rentre à domicile après une amélioration de la symptomatologie neurologique sous corticostéroïdes. Le patient sera convoqué par le service de neurochirurgie pour suite de prise en charge. Monsieur Allemann, un patient de 71 ans, hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-craniotomie et exérèse d'une masse gliale pariétale postérieure gauche. Le patient a présenté le 06.01.2018 une acalculie ainsi que des troubles de l'écriture et de la compréhension. Le bilan met en évidence une masse gliale pariétale gauche. Il bénéficie d'une craniotomie le 26.01.2018 avec exérèse de la masse. L'intervention se passe bien et le patient est admis en surveillance post-opératoire aux soins intensifs. A son arrivée, le patient présente une hypertension artérielle nécessitant l'introduction de Labétalol jusqu'au 27.01.2018 relayé par Amlodipine puis Diltiazem PO. Au niveau neurologique, il ne présente pas de déficit neurologique majeur mise à part une légère désorientation temporelle et une légère ataxie du MSG. La surveillance neurologique se déroule sans problème particulier.Le patient est anticoagulé en prophylactique avec de la Clexane 40 mg à partir du 27.01.2018. Le Xarelto indiqué pour sa fibrillation auriculaire est gardé en suspens et sera à reprendre sur avis de l'opérateur. L'évolution favorable permet le transfert de Monsieur Allemann en service de chirurgie pour suite de soins. Monsieur Alvarez est un patient de 56 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans le contexte d'une polyarthrite para-infectieuse. En effet, il présente depuis quelques semaines des douleurs articulaires de type inflammatoire en ceinture avec atteinte également symétrique des poignets, mains et genoux. Le status d'entrée révèle des douleurs des épaules et des hanches plus fortes en mobilisation active ainsi que des synovites touchant les articulations métacarpophalangiennes et le poignet droit. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire (CRP 80 mg/l, VS à 44 mm/h) et les différentes sérologies et auto-anticorps reviennent négatifs. Un diagnostic de polyarthrite para-infectieuse (probablement virale) est à retenir en première hypothèse au vu du caractère sub-aigu de ses plaintes. Une injection de Methylprednisolone (Depo-Medrol) à visée antalgique est réalisée avant la sortie et nous reverrons le patient en consultation de contrôle à 1 mois. Une Polymyalgia rheumatica avec atteinte périphérique versus une polyarthrite rhumatoïde séronégative sera évaluée si l'évaluation à distance révèle une chronicité. Concernant les multiples lésions de la substance blanche mises en évidence à l'IRM de décembre 2017, nous concluons à une leucoaraiose Fazekas grade I. En effet, une nouvelle IRM cérébrale met en évidence des séquences d'imagerie négatives pour une vasculite et une ponction lombaire revient dans les normes. Selon avis neurologique, il n'y a pas d'indication à poursuivre un traitement anti-agregant plaquettaire. Nous lui proposons de réévaluer avec vous la nécessité de garder ce traitement pour une autre indication avant d'éventuellement l'arrêter. Il n'y a pas d'indication à suivre l'imagerie cérébrale. Monsieur Alvarez rentre à domicile le 24.01.2018. Monsieur Andrey, connu notamment pour un cancer pulmonaire métastatique et une BPCO, nous est adressé depuis le domicile en raison d'une baisse de l'état général avec aggravation d'une dyspnée devenue au moindre effort. À l'entrée, il décrit en effet des difficultés de plus en plus marquées pour respirer, sa mobilisation s'en trouvant considérablement réduite (quelques pas à domicile). Nous poursuivons le traitement aérosol et instaurons un traitement de fond de morphine avec titration des doses et amélioration partielle de la dyspnée. On ne note pas à l'entrée de signe de surcharge pulmonaire. Le patient rapporte en outre une baisse de son état général depuis quelques semaines, se sentant fatigué et ne plus être en sécurité à domicile, sachant qu'il y vit seul. Il décrit enfin des douleurs de l'épaule gauche d'allure somatique squelettique, que nous traitons également par de la morphine per os d'office et en réserve. L'état général de Monsieur Andrey se dégrade rapidement durant le weekend prolongé du nouvel an, dans un contexte d'OAP avec bonne réponse initiale aux diurétiques. On constate cependant une récidive des symptômes le 01.01.2018 et Monsieur Andrey décède rapidement ce même jour. Monsieur Andrey est un patient de 52 ans, hospitalisé en électif pour une oesophagectomie totale avec tubulisation de l'estomac et anastomose oeso-gastrique intra-thoracique, ainsi que jéjunostomie d'alimentation le 14.12.2017 en raison d'un adénocarcinome de la jonction oeso-gastrique. L'intervention se déroule sans complication majeure, mis à part un pneumothorax droit sur des brèches pleurales importantes suite à une adhésiolyse étendue peropératoire. Le patient présente des états fébriles récidivants dès le 17.12.2017 malgré une antibiothérapie prophylactique par Tazobac. Un CT scan thoraco-abdominal le 20.12.2017 montre une collection en regard de l'anastomose. Une oeso-gastro-duodénoscopie ne met toutefois pas en évidence de fuite macroscopique. La couverture antibiotique est élargie empiriquement par Meronem et Cancidas afin de couvrir également une possible infection fongique, la collection n'étant pas accessible à une ponction. Le CT scan thoraco-abdominal le 03.01.2018 de contrôle montre que la collection et la fuite sont stables par rapport au comparatif. Une oeso-gastro-duodénoscopie le 03.01.2018 permet de visualiser la fuite et la collection qui est drainée le 05.01.2018 avec pose d'une naso-médiastinale dans la collection. Cette sonde est rincée 2x/j avec 10 cc de NaCl du 05.01.2018 au 12.01.2018. Sur avis de l'infectiologue Dr. X, le traitement par Meronem et le Cancidas peuvent être stoppés le 05.01.2018 une fois la collection drainée. Une oeso-gastro-duodénoscopie est réalisée le 16.01.2018 avec pose de stent Pigtail dans la collection. L'évolution par la suite est favorable, toutefois le patient ne peut pas manger per os ni boire autre chose que de l'eau, jusqu'à nouvel avis du Prof. X. Le 18.12.2017, le patient présente une éventration sur lâchage des points de suture nécessitant une reprise au bloc opératoire avec mise en place d'un VAC sous-cutané, la peau est fermée le 21.12.2017. L'évolution clinique et biologique étant favorable avec le stent Pigtail en place, le patient peut rentrer à domicile le 18.01.2018. Il sera vu à la consultation du Prof. X lundi prochain. Monsieur Arnesto est un patient de 46 ans, connu pour un carcinome épidermoïde du poumon droit, qui bénéficie en électif d'une biopsie de la plèvre. L'intervention prévue en thoracoscopie est convertie en thoracotomie en raison du status néoplasique avancé avec de multiples adhérences. Les suites opératoires sont marquées par l'apparition d'une tuméfaction sous la cicatrice de thoracotomie, compatible avec une dermo-hypodermite qui évolue favorablement sous traitement antibiotique. À noter qu'aucune collection n'est mise en évidence lors de l'ouverture partielle de la plaie. M. Arnesto peut donc rentrer à domicile le 29.12.2017 avec la poursuite de l'antibiothérapie pour 7 jours. Nous reverrons le patient à notre consultation de chirurgie thoracique le 05.01.2018 pour un contrôle de la plaie et l'ablation des fils. Concernant la suite de la prise en charge, un traitement par Keytruda est débuté dès le 29.12.2017. Le suivi s'effectuera en oncologie. Nous restons bien entendu à disposition en cas de nécessité. Monsieur Arnesto nous est adressé par nos collègues de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour gestion de l'antalgie. À son arrivée, le PPS est estimé à 30% et l'index de Barthel à 30. Son état général est fortement diminué, Monsieur Arnesto étant très affaibli et dépendant. Il décrit des douleurs du gril costal droit en regard du processus néoplasique primaire et du site de thoracotomie, partiellement soulagées par le traitement d'oxycodone, d'AINS et de prégabaline instauré jusque-là. Nous décidons donc d'en augmenter les doses dans un premier temps, parallèlement à une adaptation de l'anxiolyse médicamenteuse. Monsieur Arnesto décrit en effet une importante angoisse de mort qu'il peine à élaborer et qu'il nous semble parfois exprimer sous la forme de plaintes algiques. On constate une certaine ambivalence quant à la gravité de la situation médicale, tant du côté de Monsieur Arnesto que de ses proches. Plusieurs entretiens de famille ont donc lieu afin d'accompagner au mieux Monsieur Arnesto et ses proches dans l'évolution rapide de la maladie.Son état se détériore ensuite rapidement et l'antalgie est modifiée au profit de morphine iv, les traitements per os ne pouvant plus être pris et afin d'avoir également un effet sur les difficultés respiratoires, qui sont de plus en plus présentes. Monsieur Arnesto décède en présence de sa sœur le 28.01.2018. Monsieur Arnesto nous est adressé par son oncologue-traitant en raison d'une asthénie avec fatigue importante et acutisation de douleurs thoraciques droites apparues suite à la thoracotomie en décembre 2017. Concernant les douleurs, celles-ci sont partiellement soulagées après majoration de l'Oxycontin et réserve par Effentora et Oxynorm. Il bénéficie d'une consultation anesthésique afin d'évaluer l'indication à une PCA mais celle-ci est refusée par le patient au vu d'une crainte vis-à-vis des traitements d'opiacés. En raison d'un état d'anxiété important, nous majorons également le 24.01.2018, son traitement habituel de Tranxilium et Monsieur Arnesto bénéficie d'un soutien psychologique par l'onco-psychologue. En raison d'une malnutrition protéino-énergétique grave, un soutien nutritionnel est mis en place. À noter qu'avant son hospitalisation, le patient suivait un régime alcalin, sur conseil de ses proches, et rapporte avoir perdu du poids sans pouvoir quantifier. Nous mettons en place un régime normal qui est apprécié et consommé dans sa totalité permettant une prise de 4,1 kg durant son séjour. Du point de vue oncologique, on retrouve au CT thoraco-abdominal des lésions métastatiques hépatiques nouvelles. Le patient bénéficie de sa 2ème cure d'immunothérapie le 22.01.2018, la prochaine est agencée d'ici trois semaines. Un contrôle des tests hépatiques et de la fonction rénale est à prévoir à une semaine de l'immunothérapie soit le 29.01.2018 ainsi qu'un contrôle de la TSH 1x/mois. Le patient sera recontacté par le service d'oncologie. À noter, la nuit précédant le transfert à la villa St-François, une chute, sans conséquence, durant la nuit, survenue dans des circonstances peu claires, possiblement sur faiblesse des membres inférieurs. Un transfert à la villa St-François en réhabilitation palliative est organisé le 25.01.2018. Monsieur Asani est un patient de 31 ans, hospitalisé en raison de douleurs en fosse iliaque droite avec un syndrome inflammatoire élevé. Le scanner abdominal met en évidence une appendicite débutante, raison pour laquelle le patient bénéficie le 21.01.2018 d'une appendicectomie par laparoscopie. L'évolution postopératoire est favorable et le patient peut rejoindre son domicile dès le 22.01.2018. Monsieur Astorina est un patient de 56 ans connu pour un adénocarcinome pulmonaire lobaire supérieur gauche diagnostiqué en 2016, traité par radio-chimiothérapie avec actuellement une métastase surrénalienne solitaire visualisée au PET CT du 21.12.2017. Le patient est pris en charge en électif pour une surrénalectomie gauche laparoscopique le 15.01.2018, qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 17.01.2018. Il sera vu à la consultation du Dr. X la semaine prochaine. Son cas sera présenté au tumor board du 24.01.2018 pour discuter des résultats histo-pathologiques. Monsieur Avila est un patient de 53 ans, connu pour un statut post-cholécystectomie en 2014, qui se présente en raison de douleurs à l'hypochondre droit en péjoration depuis une semaine. Le patient décrit des douleurs crampiformes pour lesquelles il consulte son médecin traitant et les urgences de Meyriez où une origine indéterminée est retenue. Le matin du 22.01.2018, il ressent une forte douleur abdominale péri-ombilicale droite. Le laboratoire montre une bilirubine directe de 4.7 µmol/l. L'IRM ne met pas en évidence un calcul ni de dilatation des voies biliaires. Monsieur Avila est hospitalisé pour une antalgie et un contrôle laboratoire le 23.01.2018 qui montre une baisse de la bilirubine à 4.1 µmol/l et pas de signe d'infection. Le patient regagne son domicile le 23.01.2018. Monsieur Ayer, connu pour une sténose du cholédoque d'origine incertaine, possiblement sur pancréas auto-immune, est porteur d'un stent biliaire depuis décembre 2016. Il se présente au service des urgences en raison de douleurs de l'hypochondre droit évoluant depuis environ un mois, avec apparition d'un ictère depuis 48h avec décoloration des selles, urines foncées et état fébrile. Une cholangite à E. Coli ESBL sur obstruction du stent du cholédoque est diagnostiquée. Le patient bénéficie d'une 1ère ERCP le 24.12.2017 avec débouchage du stent. En raison d'une nouvelle obstruction du stent, une 2ème ERCP est organisée le 28.12.2017 avec mise en place d'un stent Pigtail. En raison d'une bactériémie initiale à E. Coli ESBL, un traitement par Méropénème est introduit dès le 24.12.2017 avec en plus introduction de Vancomycine dès le 28.12.2017 soir en raison de la présence d'Enterococcus faecium le 28.12.2017 suite à la ré-obstruction du stent. L'évolution est rapidement favorable avec disparition de l'état fébrile et de l'ictère. Les tests hépatiques et cholestatiques sont à la baisse. Un retour à domicile de manière autonome est organisé le 06.01.2018. Monsieur Ayer, résident au foyer de Sorens, est amené aux urgences en ambulance le 15.12.2017 en raison d'une aggravation de sa dyspnée de base avec une saturation à 77% sous 3 litres d'oxygène. À noter que depuis 2 jours, il bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxi pour une infection broncho-pulmonaire, sans amélioration clinique. Le patient ne rapporte pas de fièvre, de palpitations ni de douleur rétrosternale. À l'admission, le patient est en état général diminué, sarcopénique et tachypnéique à 30/min. Au statut cardiaque, B1B2 bien frappés, sans souffle. Au niveau pulmonaire, absence quasi totale du murmure vésiculaire bilatéralement, plus marquée à gauche, sibilances audibles. Le statut digestif est non contributif. Aux urgences, nous débutons une oxygénothérapie à haut débit avec amélioration de la dyspnée. Par la suite, sous 3 l/min, les saturations sont stables à 89 et 92%. L'ECG est en rythme de pacing ventriculaire, sinusal. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 36 mg/l et une leucocytose à 11,9 G/l, une créatininémie à 226 umol/l, une hypernatrémie à 140 mmol/l et hyperkaliémie à 5,6 mmol/l, ainsi qu'une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 108 g/l. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire de type 2. Pas de net foyer à la radiographie du thorax. Nous retenons le diagnostic d'exacerbation de BPCO d'origine non infectieuse. Nous débutons une hydratation iv, mettons en suspens la médication néphrotoxique au vu de l'insuffisance rénale aiguë AKIN 2 et Monsieur Ayer est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. L'évolution est favorable sous traitement bronchodilatateur, Prednisone et physiothérapie respiratoire. L'oxygénothérapie est diminuée à 1 l/min au repos avec un pO2 à 64 mmHg. Un contrôle biologique montre une résolution du syndrome inflammatoire, de l'hypernatrémie et de l'insuffisance rénale aiguë. Monsieur Ayer regagne le Foyer de Sorens le 22.12.2017. Monsieur Baechler a appelé les urgences le 19.12.2017 pour une cécité monoculaire et des céphalées. Il a été transféré aux urgences pour une suspicion d’AVC qui a été écartée. Au service d’ophtalmologie, Monsieur Baechler a été diagnostiqué d’un glaucome aigu avec 62 mmHg de pression inaugurale. Un traitement de Diamox 500 mg i.v., Cosopt 2 x/j., Iopidine 4x/j. et Pred Forte 3x/j. a été mis en place, faisant baisser la tension à 42 mmHg le lendemain matin. L'évolution sur le plan tensionnel oculaire a été favorable avec disparition des douleurs permettant un suivi en ambulatoire. Le suivi ultérieur en ambulatoire permettra de clarifier l'origine du saignement une fois la visibilité du fond de l'œil rétablie. Si absence d'évolution, il sera pris en charge de manière chirurgicale par vitrectomie. Monsieur Baechler est hospitalisé aux soins intensifs le 10.01.2018 dans le contexte d'une tachycardie ventriculaire. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique avec une obstruction d'un stent sur l'IVA et équipé par un pace/défi au vu d'une tachycardie ventriculaire. Le patient se plaint depuis 2 jours d'une dyspnée avec diminution de l'état général. Il est initialement mis sous Aziclav par le médecin traitant puis adressé aux urgences de Tafers pour effectuer un CT thoracique qui met en évidence des épanchements pleuraux bilatéraux avec atelectasie hillaire droite. On met de plus en évidence une tachycardie ventriculaire lente, raison pour laquelle il est transféré à Fribourg pour suite de prise en charge. Sur avis des collègues de la cardiologie, le patient est chargé en cordarone. Après interrogation du pace/défi et échec d'overdrive, une cardioversion avec 40 J est effectuée avec reprise d'un rythme sinusal. À son arrivée aux soins intensifs, le patient est hémodynamiquement stable. La cordarone iv en continu est poursuivie jusqu'au 11.01.2018 avec un relais PO. Une échocardiographie montre une hypokinésie globale sévère avec une FEVG à 15-20 % et une dysfonction diastolique modérée. Une hyperkaliémie à l'admission, probablement dans un contexte d'une insuffisance rénale aiguë sur bas débit dans les suites des troubles de rythme, est traitée par actrapid et Gluconate en intraveineux. Après la cardioversion, la fonction rénale et le potassium se normalisent. Un épanchement pleural est ponctionné (1000 ml) le 11.01.2017, correspondant à un exsudat chronique. Le patient bénéficie des séances de ventilation non invasive, avec un bon effet. Nous constatons également une perturbation des tests hépatiques, probablement suite au bas débit cardiaque sur la tachycardie lente. Nous proposons un suivi ainsi qu'une échographie abdominale. À noter un état grippal pour lequel nous effectuons un frottis en recherche d'une grippe Influenza qui revient négatif. L'évolution clinique favorable permet son transfert en service de médecine pour la suite de sa prise en charge. Monsieur Baechler est un patient de 79 ans, hospitalisé pour prise en charge d'une décompensation cardiaque sur bas débit le 10.01.2018 avec tachycardie ventriculaire et épanchements pleuraux bilatéraux dans un contexte d'insuffisance cardiaque sévère. En effet, le patient, connu pour cardiopathie ischémique et rythmique avec une occlusion chronique d'un stent sur l'IVA et équipé par un pace/défi au vu d'une tachycardie ventriculaire, présentait depuis 2 jours une dyspnée avec baisse de l'état général. Initialement mis sous antibiothérapie par Augmentin, vous l'avez adressé aux urgences de Tafers pour une imagerie par CT thoracique qui met en évidence des épanchements pleuraux bilatéraux. Une tachycardie ventriculaire lente est mise en évidence, raison pour laquelle il est transféré à Fribourg pour suite de prise en charge. Après une charge en cordarone, et après interrogation du pace/défi et échec d'overdrive, une cardioversion avec 40 J est effectuée avec reprise d'un rythme sinusal. La cordarone iv continue est poursuivie jusqu'au 11.01.2018 avec un relais PO. Une échocardiographie montre une hypokinésie globale sévère avec une FEVG à 15-20 %. Au vu de la tachycardie ventriculaire, il est décidé d'effectuer une coronarographie de contrôle qui montre une maladie coronarienne stable depuis 2016. Un épanchement pleural gauche est ponctionné à deux reprises durant le séjour. Il s'agit d'un transudat. Le traitement d'insuffisance cardiaque est adapté avec majoration du Carvedilol et introduction d'un diurétique. Un rendez-vous de contrôle en cardiologie avec Dr. X est prévu le 02.02.2018. À l'admission, on note une hyperkaliémie dans le cadre d'une insuffisance rénale aiguë sur bas débit, qui est traitée par Insuline/Glucose et Gluconate de Calcium. D'un point de vue diabétique, nous notons un mauvais contrôle glycémique. Selon avis diabétologique et au vu de la FEVG 15-20%, nous interrompons le traitement de metformine tout en poursuivant le traitement de Januvia. Nous introduisons un traitement de Lantus 14 UI le matin, et une insuline rapide fixe ainsi qu'une correction en réserve. Le but étant d'avoir une insulinothérapie fixe optimale. L'introduction d'un traitement de Jardiance pourra être discutée dans un deuxième temps. Une perturbation des tests hépatiques est également mise en évidence, probablement sur foie de stase suite au bas débit cardiaque. Une échographie abdominale reviendra normale. D'un point de vue social, le patient vit seul dans un appartement protégé proche d'un EMS. Il est décidé d'un retour dans son appartement avec des soins à domicile quotidiens, notamment pour l'administration de l'insulinothérapie. Monsieur Baeriswyl est hospitalisé pour une crise tonico-clonique inaugurale, apparue durant son sommeil et d'une durée d'environ 2 minutes avec phase post-critique d'environ 20 minutes. À son arrivée aux urgences, il est orienté et ne présente aucun signe clinique. Un CT cérébral natif et un EEG sont normaux, raison pour laquelle le patient peut rentrer à domicile. Dans l'après-midi, il présente une nouvelle crise d'environ 5 min avec phase post-critique d'une heure pour laquelle il est renvoyé aux urgences. Un traitement par Keppra est initié et le patient est transféré dans notre service de médecine interne. Le bilan est complété par un IRM qui revient dans les limites de la norme. À noter qu'à son entrée, le patient présente un rash sous-orbital ne disparaissant pas à la vitropression. Une cause infectieuse ou hématologique est écartée. Après 48h d'observation, le patient peut rentrer à domicile avec un EEG de contrôle et une consultation chez Dr. X prévue pour le 01.03.18. Monsieur Baeriswyl est un patient de 82 ans qui a bénéficié le 21.12.2017 d'une cure d'hydrocèle bilatérale. Il chute à domicile sans traumatisme, mais ne peut se relever seul, d'où l'appel de l'ambulance. Les ambulanciers mettent en évidence un état fébrile et amènent le patient à l'hôpital. Le bilan met en évidence comme foyer unique le status post-cure d'hydrocèle. L'ultrason testiculaire est compatible avec une épididymite gauche. Une antibiothérapie en intraveineux est débutée avec une évolution favorable tant sur le plan biologique que clinique. Au vu de l'évolution favorable, un switch par antibiothérapie par voie orale est réalisé et le patient est transféré en home le 05.01.2018. Il sera revu à la consultation de Dr. X.Monsieur Barbey, connu notamment pour un mélanome métastatique, nous est adressé en urgence depuis son domicile dans un contexte de baisse de l'état général. Monsieur Barbey vivant seul à la maison, il ne s'y sent plus en sécurité en raison d'une baisse rapide de la mobilité ces dernières semaines. Il exprime sa lassitude et son souhait de mourir le plus rapidement et le plus confortablement possible. A l'entrée, il décrit en effet une asthénie de plus en plus marquée, Monsieur passant le plus clair de son temps au lit ou au fauteuil. Il se dit principalement gêné au quotidien par une sensation d'oppression abdominale qui nous semble être liée principalement à la progression tumorale au niveau des métastases hépatiques, une ponction d'ascite n'ayant ramené que 900 ml de liquide citrin. Le traitement diurétique est cependant poursuivi dans l'éventualité d'une implication de l'ascite dans les symptômes du patient. Monsieur Barbey décrivant également une dyspnée au moindre effort, un traitement de morphine d'office est introduit. L'état général de Monsieur Barbey se dégrade rapidement et il décède dans la nuit du 02.01 au 03.01.2018. Monsieur Barbey présente une fracture d'impression peu déplacée du plateau tibial postéro-externe par-dessus des kystes osseux suite à une entorse de son genou droit. Le cas est discuté également avec le Dr X, spécialiste du genou à l'HFR Fribourg. Vu que le genou droit se trouve dans une position favorable avec un axe en varus qui d'emblée décharge le compartiment fémoro-tibial externe, nous pouvons tenter un traitement conservateur dans un premier temps. Le patient est équipé d'une genouillère articulée qu'il portera pour une durée de 6 semaines. Cette genouillère est limitée à une flexion de 30°. Le patient ira en physiothérapie pour la mobilisation du genou droit sans charge pour garder la souplesse. Il marchera en décharge du MID pendant 6 semaines. Je le reverrai dans 6 semaines pour une réévaluation radio-clinique le 21.2.2018. En cas de persistance de douleurs ou non-guérison de la fracture du plateau tibial externe, éventuellement un changement de prothèse pour une prothèse totale du genou droit, éventuelle prothèse de révision, serait indiqué. Dans ce cas, le Dr X serait d'accord de suivre le patient à Fribourg. Monsieur Barras est un patient de 74 ans, connu pour un adénocarcinome gastrique fundique superficiel, qui bénéficie d'une adhésiolysé et gastrectomie atypique cunéiforme par laparotomie le 24.01.2018. L'intervention se déroule sans complication et la réalimentation postopératoire est bien tolérée. Le bilan histologique montre un adénocarcinome gastrique fundique superficiel, pT1 L0 V0 G1 pR0. Le patient rentre à domicile le 29.01.2018. En colloque interdisciplinaire le 31.01.2018, le cas de Monsieur Barras est discuté et on propose un suivi clinique par le Prof. X et le Dr X. Monsieur Barras présente des gonalgies gauches d'origine indéterminée, en rémission actuellement. Comme diagnostic différentiel, on pourrait s'imaginer qu'éventuellement il s'est coincé une possible plica medio patellaire. Je n'ai, à l'heure actuelle au status clinique, aucun signe pathologique. Je n'ai donc rien à proposer au patient du point de vue thérapeutique. Monsieur Barras présente également un affaiblissement de la chaîne musculaire des fléchisseurs plantaires des deux côtés, avec un pied planovalgus modéré qu'il corrige actuellement avec des semelles orthopédiques, me semblant bien adaptées. Je propose par contre de rajouter une série de séances de physiothérapie qui aura comme but de donner des instructions au patient pour entraîner la chaîne musculaire du tibial postérieur, du long fléchisseur de l'hallux et du long fléchisseur des orteils. Le patient peut reprendre le travail à 100% dès le 10.01.2018. Un contrôle d'emblée n'est pas prévu à ma consultation, le patient me recontactera en cas de besoin. Sinon, fin du traitement. Monsieur Baumli est adressé le 28.12.2017 par le service de radiothérapie pour un syndrome cérébelleux aigu d'apparition brutale le jour même avec impossibilité à se maintenir debout. Le CT cérébral et une IRM cérébrale montrent de multiples métastases déjà connues avec une discrète augmentation de taille pour certaines et discrète diminution de taille pour d'autres, sans engagement ni franc œdème. Nous mettons le syndrome cérébelleux sur le compte de l'augmentation en taille des métastases et majorons le traitement de corticostéroïdes et instaurons un traitement de Betaserc avec nette amélioration de la symptomatologie. Monsieur Baumli sera convoqué pour une consultation en oncologie pour discuter d'une thérapie anti B-RAF à envisager après la radiothérapie, qui se termine le 05.01.2018. À la sortie, le status neurologique montre une persistance d'un Romberg instable (yeux fermés) avec danse des tendons ainsi qu'une dysdiadococinésie principalement à gauche et une ataxie cérébelleuse. Monsieur Baumli rentre à domicile le 02.01.2018. Monsieur Bavaux est un patient de 80 ans connu pour une cardiopathie ischémique stentée en octobre 2017 sous Aspirine et Efient qui est hospitalisé pour une surveillance neurologique suite à une chute mécanique d'env. 10-15 marches le 30.12. Un scanner cérébral et cervical ne retrouvent pas de saignement cérébral ni fracture. Monsieur est asymptomatique et le status neurologique est normal raison pour laquelle il peut rentrer à domicile le 01.01.2017. Monsieur Bean est un patient de 67 ans connu pour un épisode de passage lithiasique biliaire en août 2016 et une cholécystite le 21.11.2017 traitées conservativement, ainsi qu'une hernie ombilicale graisseuse, retrouvée cliniquement et radiologiquement. Le patient nous est adressé pour une cholécystectomie laparoscopique et une cure de hernie ombilicale en électif le 03.01.2018. Les suites opératoires sont simples, hormis un petit hématome au niveau de la plaie ombilicale le 05.01.2018 que nous avons dû évacuer. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, le patient peut rentrer à domicile le 06.01.2018. Monsieur Beaud est amené aux urgences en ambulance le 27.12.2017 après avoir été retrouvé au sol par ses proches qui, n'arrivant pas à le joindre, se sont rendus à son domicile. Dernier contact visuel le 23.12.2017. À l'admission aux urgences, le patient n'a pas de plainte. Il est désorienté et dit être sous le choc car la nuit du 24 au 25.12.2017, il aurait été cambriolé, mais n'a averti personne. Il rapporte également avoir chuté la nuit du 25 au 26.12.2017. Pas de notion de traumatisme crânien ni de perte de connaissance selon lui. Il n'est pas arrivé à se relever en raison d'une faiblesse des membres inférieurs. Il est également angoissé et dénutri. Le laboratoire met en évidence des CK à 4733 U/l, CKMB à 92 U/l, urée à 19.8 mmol/l, lactate à 2.9 mmol/l et CRP à 80 mg/l, sans leucocytose. Monsieur Beaud est hydraté et hospitalisé pour la suite de la prise en charge. En raison d'une désaturation à 89% à l'air ambiant, il bénéficie d'une oxygénothérapie à 2 litres/min avec bonne réponse et une saturation remontant à 92%. Nous débutons également une substitution en acide folique et en phosphate ainsi qu'une physiothérapie de mobilisation. Au vu du déconditionnement important et de son âge, Monsieur Beaud est transféré dans le service de gériatrie aiguë le 29.12.2017 pour la suite de la prise en charge. Monsieur Benoît, connu pour un AVC ischémique sylvien gauche d'origine probablement cardio-embolique en 10/2016, est hospitalisé pour prise en charge d'un AVC ischémique temporo-occipital droit le 31.12.2017 sur occlusion de l'artère cérébrale postérieure droite. Il a présenté vers 14h45 une hémianopsie gauche ainsi que des vertiges d'apparition subite le 31.12.2017. Le NIHSS à l'admission au service des urgences est à 9 points avec confirmation de l'hémianopsie gauche et d'une héminégligence au status. Le CT scanner met en évidence une pénombre dans le territoire postérieur droit avec occlusion de P2. En l'absence d'hémorragie intracérébrale, une thrombolyse intraveineuse est administrée avec bonne évolution clinique mais persistance d'une hémianopsie homonyme gauche, confirmée par les champs visuels automatisés par nos collègues ophtalmologues. L'IRM cérébrale réalisée le 03.01.2018 confirme les lésions ischémiques temporo-occipital et limbique droit. Le bilan est complété par une échocardiographie trans-thoracique ne montrant pas de cause structurelle cardiaque à l'AVC. Un holter était revenu négatif en 2016, raison pour laquelle nous proposons d'effectuer un R-test sur 7 jours pour une recherche agressive de la fibrillation auriculaire, il aura lieu du 31.01 au 07.02.2018. Monsieur Benoît sera reconvoqué en ambulatoire pour la pose du dispositif. Le bilan neuropsychologique met en évidence, par rapport à l'examen précédent l'apparition de difficultés exécutives. Ces difficultés légères à modérées dépassent le contexte de l'AVC et évoquent plutôt une étiologie mixte (vasculaire et dégénérative). Le traitement anti-agrégant est changé pour du Plavix et le traitement hypolipémiant est conservé. Du Lisinopril est introduit en raison de valeurs tensionnelles élevées. Nous vous proposons d'adapter le traitement à votre cabinet. Pendant son séjour aux soins intensifs, le patient présente un épisode unique de salve de tachycardie ventriculaire non soutenue de 2 secondes, asymptomatique nécessitant du magnésium intraveineux et reste stable au niveau de l'hémodynamique. Au vu des difficultés cognitives et visuelles, la conduite automobile et du vélo est contre-indiquée pour le moment. Il sera revu en ophtalmologie dans un mois. À la sortie, l'hémianopsie persiste mais est bien compensée dans les AVQ ainsi que des troubles de l'équilibre, raison pour laquelle un transfert en neuroréhabilitation intensive à Meyriez est prévu le 11.01.2018. Un rendez-vous de contrôle en neurologie est prévu le 20.04.2018. Monsieur Berchier est hospitalisé dans un contexte d'insuffisance respiratoire aiguë chez un patient connu pour une BPCO et fibrose pulmonaire débutante. Le patient nous est adressé par vous à cause d'une fatigue et d'une dyspnée NYHA III nouvelle depuis ce jour sans notion de douleur thoracique. Une semaine auparavant, Mr. Berchier décrit avoir souffert d'un épisode de frissons sans autre signe clinique associé. À l'examen clinique, on trouve un patient de 84 ans, normocarde, normotendu, afébrile, avec une saturation à 85% à l'air ambiant au repos, et une désaturation jusqu'à 67% et symptomatique lors du moindre effort. L'auscultation pulmonaire retrouve des crépitations basales bilatérales et au niveau cardiaque, un souffle holosystolique mitral. Le CT permet d'exclure une embolie pulmonaire. Les images sont compatibles avec un emphysème pulmonaire, associé à une fibrose débutante bi-basale. On constate un discret syndrome inflammatoire au laboratoire et une hypoxémie marquée à la gazométrie (PaO2 5.7 kPa en air ambiant). Le patient est hospitalisé pour une oxygénothérapie continue et des examens complémentaires. Une échocardiographie en recherche d'une origine cardiaque met en évidence une hypertension artérielle pulmonaire à 60 mmHg avec dilatation modérée des cavités droites et une dysfonction ventriculaire droite modérée également, compatibles avec une hypoxémie chronique. Une pathologie valvulaire peut être exclue. Dans le contexte des frissons décrits par le patient avant l'hospitalisation et au vu du syndrome inflammatoire, nous interprétons l'étiologie des signes comme décompensation respiratoire sur une infection virale chez un patient avec peu de réserve pulmonaire. Selon l'avis des pneumologues, nous administrons une corticothérapie pendant 5 jours, associée à un traitement diurétique à faible dose. Le patient bénéficie également d'un traitement diurétique à petite dose pour la diminution du preload cardiaque. Nous vous laissons le soin d'adapter la dose selon l'évolution clinique. L'évolution clinique est lentement favorable avec une amélioration de la saturation de base et une diminution du syndrome inflammatoire. Par contre, on observe une hypoxémie persistante à la gazométrie (PaO2 7.2 kPa en air ambiant), ainsi qu'une désaturation rapide et une limitation importante à l'effort (80 m au test de marche de 6 minutes, sous O2 4l aux lunettes). Confirmant une nécessité d'une oxygénothérapie à la maison avec ces valeurs et une attente indéterminée pour une réhabilitation pulmonaire, qui est finalement refusée par le patient, il rentre à domicile avec oxygène à la maison installé par la ligue pulmonaire. Le patient sera vu par le Dr. X le 21.03.2018 pour le suivi clinique et la décision sur la poursuite de l'oxygénothérapie. Monsieur Berger est hospitalisé le 22.12.2017 pour une insuffisance respiratoire sur grippe Influenza B avec probable surinfection bactérienne. Le patient est connu notamment pour une insuffisance rénale terminale dialysée, et présente des symptômes grippaux depuis environ 5 jours associés à une dyspnée en péjoration le motivant à consulter les urgences. Une hypoxémie sévère sur une possible pneumonie basale gauche est mise en évidence et le patient est admis aux soins intensifs. Les examens paracliniques mettent en évidence une grippe Influenza B, chez un patient pourtant vacciné. Un isolement gouttelettes est mis en place. Le patient ayant des symptômes grippaux depuis au moins 5 jours, nous n'initiations pas de Tamiflu. Le patient présentant vraisemblablement une surinfection bactérienne avec un foyer basal gauche, pour laquelle il bénéficie d'une antibiothérapie empiriquement par Klacid et Rocéphine. Les antigènes urinaires n'ont pas pu être réalisés chez ce patient quasiment anurique. Sous ces traitements, associés à une oxygénothérapie par Oxyflow, l'évolution est favorable, motivant un transfert à l'étage. Les hémodialyses habituelles sont poursuivies pendant le séjour, avec une interruption le 28.12.2017 suite à la mise en évidence d'une thrombose de la fistule artério-veineuse. Une embolectomie avec patch d'élargissement est effectuée par les chirurgiens vasculaires le 29.12.2017 avec mise en place d'une anticoagulation prophylactique par héparine. Monsieur Berger bénéficiera également d'une phlébographie/plastie qui permet de traiter deux sténoses de la veine céphalique. Par la suite, les dialyses sont à nouveau poursuivies.Une fibrillation auriculaire dans le contexte infectieux est cardioversée par Amiodarone aux soins intensifs par Amiodarone. La dernière interrogation du Pacemaker le 28.09.2017 mettait déjà en évidence des épisodes de fibrillation auriculaire 1 % du temps et nous laissons le soin au Prof. Descombes de rediscuter d'une anticoagulation. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Berisha est un patient de 27 ans qui présente une lithiase urinaire bilatérale de 3 mm à droite et de 2 mm à gauche non compliquées. Le patient est hospitalisé en raison d'une incapacité de prise de médicaments antalgiques par voie orale. Le patient présente une bonne évolution clinique avec amendement des nausées et diarrhées avec un traitement symptomatique en intraveineux et il décrit avoir retrouvé les calculs urinaires en filtrant les urines. Cependant, nous ne les retrouvons pas dans les filtres. Le patient rentre à domicile le 05.01.2017. Monsieur Bernard est hospitalisé pour son 3e cycle de chimiothérapie d'un lymphome Hodgkin sur EBV stade IIIB, diagnostiqué en 08.2017. Pour rappel, le patient était hospitalisé jusqu'au 21.11.2017 pour les premiers cycles de chimiothérapie selon protocole BreCADD, souffrant de deux épisodes d'agranulocytose, compliqués par une mucite colique importante, nécessitant un séjour aux soins intensifs pour un choc septique sans identification d'un germe pendant le premier épisode. L'évolution était finalement favorable, avec un retour à domicile le 21.11.2017. Nous administrons la chimiothérapie selon protocole, mais à dose réduite, du 27.11. au 30.12.2017 pour le 3e et du 18.12. au 21.12.2017 pour le 4e cycle. La tolérance clinique est cette fois meilleure, avec des symptômes de mucite intestinale modérés, avec des douleurs abdominales importantes et des diarrhées sans documentation microbiologique. Un traitement antalgique avec Oxycontin et Butylscopolamine est installé avec bonne évolution clinique. Le patient est en agranulocytose afébrile du 05.12.2017 au 08.12.2017, sans nécessité de soutien transfusionnel. La 2e période d'agranulocytose du 26.12. au 29.12.2017 suite au 4e cycle de chimiothérapie est marquée par un pic fébrile le 29.12.2017. L'antibiothérapie prophylactique par Ciprofloxacine et Bactrim (selon protocole) est modifiée pour la Cefepime. Au vu d'un syndrome inflammatoire en régression, de l'absence de récidive de fièvre et des hémocultures négatives à 5 jours, la Cefepime est arrêtée le 03.01.2018. Cet épisode reste d'origine indéterminée, possiblement dans le contexte de la sortie de l'agranulocytose, sans qu'une translocation bactérienne digestive ne puisse être exclue. Sur le plan infectiologique, le patient souffre encore d'une très probable candidose oesophagienne dès le 04.12.2017, traitée durant 14 jours par Fluconazole avec une diminution des signes cliniques. Au J3 du troisième cycle de la chimiothérapie, le patient décrit une péjoration d'un tremblement symétrique au niveau des mains, lequel était apparu déjà pendant le deuxième cycle de chimiothérapie. Une interprétation comme effet secondaire sur la Dexaméthasone à haute dose semble probable. La dose habituelle de bétabloquant est augmentée. Ensuite, on observe une légère amélioration du tremblement. En raison d'une dysgueusie sur le traitement de chimiothérapie et des douleurs sur la candidose, le patient n'est plus capable de s'alimenter. Une sonde nasogastrique est posée le 04.12.2017 pour une nutrition entérale. Une augmentation des glycémies sur la cortico-thérapie et suite à la nutrition entérale motive une adaptation du traitement insulinique avec des glycémies satisfaisantes. La médication avec Januvia est alors stoppée sur avis des diabétologues. La nutrition entérale est arrêtée le 03.01.2018 avec une bonne reprise de l'alimentation normale par le patient. Depuis le 01.01.2018, le patient décrit des douleurs anales en lien avec la défécation. Un traitement topique par corticostéroïdes n'obtient pas une amélioration satisfaisante. Selon l'avis du chirurgien, nous effectuons un CT-Scanner pelvien, qui permet d'exclure un abcès, mais met en évidence un discret épaississement pariétal du bas rectum, compatible avec une proctite. Suite au traitement antalgique, le patient décrit une amélioration clinique. Un consilium en ambulatoire en proctologie pour le 17.01.2018 est alors organisé. Après la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 09.01.2018. Il aura un rendez-vous oncologique en ambulatoire le 16.01.2018. Monsieur Bernard est hospitalisé pour son 3e cycle de chimiothérapie d'un lymphome Hodgkin sur EBV stade IIIB, qui était diagnostiqué en 08/2017. Pour rappel, le patient était hospitalisé jusqu'au 21.11.2017 pour les premiers cycles de chimiothérapie selon protocole BreCADD, souffrant de deux épisodes d'agranulocytose, compliqués par une mucite colique importante, nécessitant un séjour aux soins intensifs pour un choc septique sans identification d'un germe pendant le premier épisode. L'évolution était finalement favorable, le patient sortait à la maison le 21.11.2017. Nous administrons la chimiothérapie selon protocole du 27.11. au 30.12.2017 pour le 3e et du 18.12. au 21.12.2017 pour le 4e cycle, qui est bien supportée par le patient. Sur le plan hématologique, le patient est en agranulocytose afébrile du 05.12.2017 au 08.12.2017. Des transfusions de plaquettes ou d'érythrocytes ne sont pas nécessaires. L'agranulocytose du 26. au 29.12.2017 suite au 4e cycle de chimiothérapie est marquée par un pic fébrile le 29.12.2017. Comme on ne trouve pas de corrélat microbiologique et le patient ne souffre pas d'une clinique correspondante, on l'interprète dans le contexte de la sortie de l'agranulocytose. Sur le plan infectiologique, le patient souffre d'une candidose oesophagienne dès le 04.12.2017, traitée par Fluconazole avec une diminution des signes cliniques. Selon le protocole, le patient est couvert par une antibiothérapie de Ciprofloxacine plus Bactrim pendant les chimiothérapies jusqu'à la sortie de l'agranulocytose. Dans le contexte du pic fébrile le 29.12.2017 avec une minime augmentation du syndrome inflammatoire, on change la médication par Cefepime. Au vu des hémocultures négatives, nous arrêtons l'antibiothérapie le 03.01.2018. Au J3 du troisième cycle de la chimiothérapie, le patient décrit une péjoration d'un tremblement symétrique au niveau des mains, lequel était apparu déjà pendant le deuxième cycle de chimiothérapie. Une interprétation comme effet secondaire sur l'admission de Dexaméthasone à haute dose semble probable, la médication du bétabloquant est augmentée. Ensuite, on observe une légère amélioration du tremblement. La complication principale de la chimiothérapie est une mucite intestinale avec des douleurs abdominales importantes et des diarrhées sans documentation microbiologique. Un traitement antalgique avec Oxycontin et Butylscopolamine est installé avec bonne évolution clinique. Suite à une constipation sur des opiacés, le patient souffre d'une probable fissure anale avec douleurs importantes, soulagées par l'application topique des corticostéroïdes.Suite à la notification d'un goût désagréable et des douleurs sur la candidose, le patient n'est plus capable de manger. Une sonde nasogastrique est admise le 04.12.2017 avec une nutrition entérale. Une augmentation des glycémies sur la cortico-thérapie et suite à la nutrition entérale motive une adaptation du traitement insulinique avec des glycémies satisfaisantes. La médication avec Januvia est stoppée lors d'un effet suboptimal en combinaison avec l'Insulatard. La nutrition entérale est stoppée le 03.01.2018 avec une bonne reprise de l'alimentation normale par le patient. Depuis le 01.01.2018, le patient décrit des douleurs anales suite à la défécation. Un traitement topique par corticostéroïdes n'obtient pas une amélioration satisfaisante. Selon l'avis du chirurgien, nous effectuons un CT-Scanner pelvien, qui permet d'exclure un abcès. Une amélioration clinique peut ensuite être observée sous traitement antalgique. Après la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 09.01.2018. Il aura un consilium oncologique en ambulatoire le 16.01.2018. Mr. Y est hospitalisé pour une suspicion d'AVC ischémique mineur sylvien droit le 09.01.2018. Il présente le 09.01.2018 vers 20h un trouble d'élocution remarqué par son amie ainsi qu'une parésies du membre supérieur gauche mise en évidence par son amie et les ambulanciers. À l'arrivée au service des urgences, les symptômes articulatoires se sont amendés mais persiste au status une force diminuée à M4 au membre supérieur gauche et une pronation de la main à l'épreuve des bras tendus. Le CT cérébral ne montre pas de lésions ischémiques ou hémorragiques aiguës. Le bilan est complété par une IRM cérébrale qui montre de multiples AVC ischémiques aigus hémisphériques droits dans deux territoires vasculaires distincts (artère cérébrale moyenne et postérieure droite) évoquant une origine embolique proximale. L'échocardiographie met en évidence une fonction systolique légèrement abaissée avec une hypokinésie globale, mais en l'absence de symptômes, il n'y a pas la nécessité d'autres examens selon nos collègues cardiologues. Les résultats du Holter restent en cours à la sortie de Mr. Y, en cas de résultats négatifs, nous proposons la recherche agressive d'une fibrillation auriculaire par R test sur 7 jours répétitifs. Une antiagrégation par Aspirine ainsi qu'un hypolipémiant par Atorvastatine est introduit. Le bilan neuropsychologique met en évidence une héminégligence visuelle gauche ainsi que des troubles exécutifs qui évoluent favorablement à une semaine ; ces troubles contre-indiquent néanmoins la conduite automobile. Le patient sera revu à distance par nos collègues neuro-psychologues pour l'évaluation de la conduite. Un rendez-vous en ophtalmologie est également prévu le 01.02.2018. À la sortie, il persiste également une légère parésie du membre supérieur gauche et une altération de la motricité fine nécessitant de l'ergothérapie en ambulatoire. Durant l'hospitalisation, il présente plusieurs épisodes d'épistaxis antérieure dans le contexte d'une hypertension mal contrôlée et du traitement anti-agrégant. Une consultation ORL permet de cautériser la tâche vasculaire et des rinçages nasaux ainsi que de la pommade Bloxang sont prescrits. Un syndrome de sevrage d'alcool est mis en évidence à l'admission, raison pour laquelle du Seresta ainsi que du Benerva sont introduits pendant l'hospitalisation, avec une bonne évolution. En raison de la bonne évolution neurologique, Mr. Y peut rentrer à domicile avec un contrôle en neurologie prévu le 25.04.2018. Mr. Y, patient de 60 ans, polymorbide, connu pour une BPCO non stadée, qui nous est transféré des soins intensifs pour suite de prise en charge. Pour rappel, le patient a été adressé par le médecin de garde pour une dyspnée rapidement progressive avec sibilances et désaturation. Le bilan d'entrée met en évidence une insuffisance respiratoire hypercapnique sur probable décompensation BPCO et pneumonie bibasale d'acquisition communautaire. Aux soins intensifs, le patient bénéficie d'un traitement d'aérosols, corticoïdes, antibiothérapie et oseltamivir. En raison d'un prélèvement négatif pour la grippe, ce dernier est stoppé. Le patient bénéficie également de séances intermittentes de VNI. Au vu d'une évolution progressivement favorable, le patient est transféré à l'étage de médecine le 05.01.2018 pour la suite de la prise en charge. Sur le plan pulmonaire, l'antibiothérapie par Tavanic, introduite aux soins intensifs, est poursuivie à l'étage de médecine pour une durée totale de 7 jours. Le patient bénéficie d'aérosols et de physiothérapie respiratoire, qui permettent une bonne évolution clinique et un sevrage d'oxygène le 09.01.2018. Nous introduisons également un traitement régulier par Seretide, qui se révèle efficace. En raison d'une suspicion de SAOS, nous vous proposons d'effectuer une polysomnographie en ambulatoire à distance de l'événement aigu. Le patient présente un diabète cortico-induit pour lequel un suivi régulier des glycémies est effectué à l'étage de médecine ; les glycémies sont bien contrôlées par le traitement d'insuline en continu mis en place et le traitement peut être arrêté à la fin de la corticothérapie avec un maintien des glycémies dans la cible thérapeutique. Sur le plan social, Mr. Y vit avec son frère et a une sœur très présente qui s'occupe beaucoup de lui. Il bénéficie d'une aide au ménage, de repas à domicile, d'un contrôle de santé hebdomadaire ainsi que d'une aide à la douche hebdomadaire. La situation est stable depuis la diminution de consommation d'alcool de Mr. Y. Mr. Y rentre à domicile le 10.01.2018 avec réintroduction des aides à domicile. Mr. Y est hospitalisé en état de choc dans le cadre d'une dyspnée progressive depuis plusieurs semaines et des diarrhées profuses. Nous mettons le choc sur le compte d'une hypovolémie sur des diarrhées profuses et d'un état septique sur pneumonie basale droite. Aux soins intensifs, le patient bénéficie d'un remplissage vasculaire, l'adjonction de Noradrénaline et de VNI avec une amélioration rapide de son état. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est relayée par co-amoxicilline avec bonne évolution. Un frottis de grippe est positif pour Influenza B. Les coprocultures et les hémocultures restent négatives. Dans le contexte de l'insuffisance rénale, nous mettons transitoirement en suspens son traitement de Xarelto avec un relais par héparine en intraveineux continu. La fonction rénale se normalise après remplissage vasculaire. Le traitement anti-hypertenseur est mis en suspens au vu de l'hypotension dans le contexte de choc. Nous reprenons les traitements du patient dès la correction de l'insuffisance rénale et résolution du choc. Devant un NTproBNP augmenté et des enzymes cardiaques positives, nous retenons une composante de décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire rapide et le choc mixte, qui se ralentit spontanément avec résolution du choc.Au vu d'une surcharge par la suite, nous majorons le traitement des diurétiques et diminuons les autres antihypertenseurs au vu des tensions basses. Nous constatons un globe vésical post-ablation de sonde pour lequel nous introduisons le Pradif avec une nouvelle pose de sonde. Cette sonde est retirée après quelques jours sous Pradif et un résidu post-mictionnel significatif persiste. Le patient refuse la mise en place d'une nouvelle sonde au vu d'un retour à domicile, malgré les explications quant au risque encouru, notamment l'insuffisance rénale post-rénale. Une consultation chez son Urologue le Dr. X est prévue le 24.01.2018. Monsieur Y rentre à domicile le 17.01.2018. Monsieur Y est un patient de 70 ans qui est hospitalisé en chirurgie le 06.01.2017 pour un anévrisme de l'artère iliaque gauche symptomatique. Il s'agit d'un patient connu pour une hypertension artérielle traitée ainsi qu'une fibrillation auriculaire sous Xarelto qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales. L'opération de ces deux anévrismes se déroule en 3 temps. Une première intervention le 09.01.2018 est faite en radiologie interventionnelle par le Dr. X qui procède à un coiling artérielle iliaque interne droite. La deuxième intervention est un pontage hybride ilio-iliaque gauche (iliaque interne gauche vers iliaque externe gauche) avec Prothèse Viabahn 8mm x 10 cm + Fusion Bioline 6mm x 80 cm effectuée au bloc opératoire le 10.01.2018 par les Drs. X et Y. La troisième intervention est une exclusion de l'anévrisme iliaque gauche par implantation endovasculaire d'une endoprothèse bifurquée aorto-bi-iliaque le 12.01.2018 par les Drs. X et Y. Les interventions se déroulent sans complication, la perfusion des membres inférieurs est satisfaisante au 13.01.2018 (pouls présents au Doppler). Le patient séjourne 6 jours aux soins intensifs en post-opératoire pour la gestion du traitement antihypertenseur. Il retourne à l'étage de chirurgie le 13.01.2018. Un traitement de Prednisone a été introduit selon schéma de chirurgie vasculaire, pour diminuer l'atteinte inflammatoire locale sur l'endoprothèse. Une médication par Aspirine Cardio et Atorvastatine est également introduite. Un bilan angiologique afin de compléter la prise en charge est effectué le 08.01.2018 et ne montre pas d'anévrisme au niveau poplité des deux côtés. Durant le séjour aux soins intensifs, une hypertension a été contrôlée par traitement intraveineux, avec relais par voie orale. À la fin du séjour, la bithérapie antihypertensive habituelle est reprise (BBQ-IEC). À l'étage, le traitement est adapté par la suite par reprise du Coversum. Des contrôles de la tension artérielle devront être organisés chez le médecin traitant. Le patient est connu pour une cardiopathie hypertensive et une fibrillation auriculaire chronique, sans décompensation lors de l'hospitalisation. L'anticoagulation thérapeutique est reprise en post-opératoire par héparine, avec un switch par Xarelto le 14.01.2018. Une infection urinaire est traitée par Rocephine avec un relais par Ciproxine à poursuivre jusqu'au 20.01.2018. De multiples plages de rehaussement aspécifiques du parenchyme hépatique laissant suspecter des hémangiomes sont mises en évidence de façon fortuite au CT scan du 10.01.2018. Un IRM hépatique devrait être réalisé à distance de l'épisode aigu afin de préciser le diagnostic, nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser l'examen. Nous restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. Y est prévu le 18.04.2018 à 15:30. Un Angio-CT sera effectué au préalable le 06.04.2018 à 10:30 avec un contrôle au laboratoire le même jour à 09:30. L'évolution étant favorable, le patient retourne à domicile le 17.01.2018. Monsieur Y, 70 ans, est hospitalisé en chirurgie le 06.01.2017 pour un anévrisme de l'artère iliaque gauche symptomatique d'environ 60 mm de diamètre et un deuxième anévrisme fusiforme de l'artère iliaque interne droite. Il s'agit d'un patient connu pour une hypertension artérielle traitée ainsi qu'une fibrillation auriculaire sous Xarelto qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales. L'opération de ces deux anévrismes se déroule en 3 temps. Une première intervention le 09.01.2018 est faite en radiologie interventionnelle par le Dr. X qui procède à un coiling artérielle iliaque interne droite. La deuxième intervention est un pontage hybride ilio-iliaque gauche (iliaque interne gauche vers iliaque externe gauche) avec Prothèse Viabahn 8mm x 10 cm + Fusion Bioline 6mm x 80 cm effectuée au bloc opératoire le 10.01.2018 par les Drs. X et Y. La troisième intervention est une exclusion de l'anévrisme iliaque gauche par implantation endovasculaire d'une endoprothèse bifurquée aorto-bi-iliaque le 12.01.2018 par les Drs. X et Y. Les interventions se déroulent sans complication, la perfusion des membres inférieurs est satisfaisante au 13.01.2018 (pouls présents au Doppler). Le patient séjourne 6 jours aux soins intensifs en post-opératoire pour la gestion du traitement antihypertenseur Il retourne à l'étage de chirurgie le 13.01.2018. L'angioscanner post-opératoire de contrôle montre l'ablation complète de l'anévrisme de l'iliaque commune gauche, thrombose de l'anévrisme de l'iliaque interne droite, beau positionnement de l'endoprothèse aorto-bi-iliaque externe et pontage iliaque externe vers l'iliaque interne gauche perméable, sans endofuite. Un traitement de Prednisone a été introduit selon schéma de chirurgie vasculaire, pour diminuer l'atteinte inflammatoire locale sur l'endoprothèse. Une médication par Aspirine Cardio et Atorvastatine est également introduite. Un bilan angiologique afin de compléter la prise en charge est effectué le 08.01.2018 et ne montre pas d'anévrisme au niveau poplité des deux côtés. Durant le séjour aux soins intensifs, une hypertension a été contrôlée par traitement intraveineux, avec relais par voie orale. À la fin du séjour, la bithérapie antihypertensive habituelle est reprise (BBQ-IEC). À l'étage, le traitement est adapté par la suite par reprise du Coversum. Des contrôles de la tension artérielle devront être organisés chez le médecin traitant. Le patient est connu pour une cardiopathie hypertensive et une fibrillation auriculaire chronique, sans décompensation lors de l'hospitalisation. L'anticoagulation thérapeutique est reprise en post-opératoire par héparine, avec un switch par Xarelto le 14.01.2018. Une infection urinaire est traitée par Rocephine avec un relais par Ciproxine à poursuivre jusqu'au 20.01.2018. De multiples plages de rehaussement aspécifiques du parenchyme hépatique laissant suspecter des hémangiomes sont mises en évidence de façon fortuite au CT scan du 10.01.2018. Un IRM hépatique devrait être réalisé à distance de l'épisode aigu afin de préciser le diagnostic, nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser l'examen. Nous restons bien évidemment à disposition en cas de nécessité. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. Y est prévu le 18.04.2018 à 15:30. Un Angio-CT sera effectué au préalable le 06.04.2018 à 10:30 avec un contrôle au laboratoire le même jour à 09:30.L'évolution étant favorable, le patient retourne à domicile le 17.01.2018. Monsieur Bilat est un patient de 61 ans, connu pour une cholécystite aiguë traitée par drainage percutané et antibiothérapie le 03.12.2017, qui bénéficie le 17.01.2018 d'une cholécystectomie laparoscopique (Prof. X). Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont contrôlées par l'antalgie. La peau est suturée à l'aide de fils résorbables. Le patient rentre à domicile le 19.01.2018 et sera revu à la consultation du Prof. X le 26.02.2018 à 11 h. Monsieur Bochud, connu pour un lymphome non hodgkinien de haut degré de malignité, le plus probablement de type B avec composante T, de stade IVA depuis 2014, est hospitalisé pour sa 6ème cure de chimiothérapie type R-ICE. Le cycle est débuté le 17.01.2018 et se déroule sans complication. Le suivi biologique est prévu le 25.01.2018, avec un PET-CT le 30.01.2018 et consultation chez Dr. X le 07.02.2018. Monsieur Boesiger nous est transféré depuis le service de médecine le 28.12.2017. Il avait été hospitalisé pour investigations de troubles de la marche ayant donné lieu à plusieurs chutes à domicile. Le transfert est motivé par une prise en charge gériatrique avec réhabilitation précoce en vue d'un retour à domicile. Avant d'être hospitalisé, Mr. Boesiger vivait seul en appartement. Il doit y monter une quinzaine de marches d'escalier munies d'une rampe, reliant sa chambre à coucher au parterre. Il dispose d'aide à domicile pour sa toilette, effectuée dans une baignoire avec assise. Un chauffage au bois nécessite de porter des charges entre son garage et l'appartement. Il gère encore sa comptabilité lui-même. À son entrée dans notre service, le patient est en état général conservé, mais clairement déconditionné avec signe d'une sarcopénie soulevant une suspicion de malnutrition. Il déplore une difficulté et une instabilité à la marche - toutefois en amélioration, ainsi que des chevilles gonflées. Le statut cardiovasculaire ne révèle que de très légers crépitants fins en base droite, ainsi qu'un œdème prenant le gode aux chevilles, plus marqué à gauche. Durant son séjour, une adaptation du traitement diurétique en raison des œdèmes s'avère nécessaire, de même qu'une poursuite du traitement antibiotique pour son infection chronique de la prothèse au genou droit. Parallèlement, des mesures de réadaptation individualisées et précoces sont mises en place. À l'entrée, le patient peine à marcher avec rollator sur une quinzaine de mètres, en raison de douleurs. Des progrès rapides sont observés, avec régression des douleurs et assurance croissante, de sorte que la marche avec rollator est possible sur quelques mètres de manière autonome. Une suspicion de troubles cognitifs n'est pas confirmée avec les tests cognitifs de base (MMS et clocktest dans la norme), par contre au vu de doutes sur la capacité de conduire, nous demandons une évaluation neuropsychologique à ce but. Celle-ci aura lieu durant le séjour de réhabilitation. Au vu de la bonne progression fonctionnelle et des déficits encore présents, il est décidé de poursuivre par une réadaptation musculo-squelettique, plus intensive. Celle-ci aura pour but de consolider les progrès acquis par une meilleure stabilisation du genou droit, de sorte que le retour à domicile puisse s'effectuer dans les meilleures conditions. Monsieur Bôle, 84 ans, nous est adressé par son oncologue traitant (Dr. X) en vue d'une prise en charge palliative en raison d'un carcinome pulmonaire avancé avec métastases osseuses multiples et hépatiques récemment diagnostiquées et présentant, au premier plan, des douleurs thoraciques et dorsales ainsi qu'un affaiblissement général. À l'entrée, nous rencontrons un patient accablé par la nouvelle du diagnostic, exprimant verbalement et non verbalement sa tristesse. À l'examen clinique, nous relevons hormis les douleurs, un état général diminué et des œdèmes aux deux chevilles. L'antalgie est quotidiennement adaptée initialement avec oxycontin retard et des réserves conséquentes d'oxynorme, permettant une amélioration des douleurs. Au final, Monsieur Bôle manifestant des difficultés à avaler l'oxycontin, ce dernier est remplacé par du Sevre-long (Morphine) dès le 28.12.2017. Un traitement de Prednisone est également introduit, progressivement réduit jusqu'à la dose de 10 mg/jour que nous proposerions de poursuivre au long cours si bien toléré par le patient. Le traitement antiviral de l'hépatite B, le Zeffix, est stoppé dans une vision palliative de l'état actuel de Monsieur Bôle. Un retour à domicile est dans un premier temps exclu par le patient lui-même, ne se voyant plus vivre seul vu son grand état de fatigue. Sa décision est saluée par son frère cadet par ailleurs très investi. De ce fait, une annonce dans divers homes de la région est effectuée par notre service de liaison et Monsieur Bôle peut être transféré au Home de Sugiez le 15.01.2018. Monsieur Boschung est un patient de 57 ans qui présente une exacerbation de BPCO, initialement traitée en ambulatoire par Co-Amoxicilline, Ventolin, Symbicort et Prednisone depuis le 25.12. Malgré le traitement, Monsieur remarque une nouvelle augmentation de la toux ainsi que de la dyspnée, raison pour laquelle il est hospitalisé pour une oxygénothérapie, physiothérapie respiratoire et adaptation du traitement. Au cours de l'hospitalisation, nous mettons en évidence une hypertension artérielle nouvelle, possiblement dans un contexte d'hypoxémique ou réactionnelle au Ventolin, qui sera à recontrôler en dehors de l'épisode aigu. Au vu d'une bonne évolution, Monsieur Boschung peut rentrer à domicile le 01.01.2018. Monsieur Boschung nous est transféré pour la suite de prise en charge d'un anévrisme de l'aorte abdominale. À l'examen biologique, nous notons une hémoglobine dans la norme à 140 g/L. Le patient n'est pas symptomatique, il n'a pas de douleur abdominale. Nous prenons l'avis de nos collègues de chirurgie générale et de chirurgie vasculaire (Dr. X) qui ne posent pas d'indication opératoire en urgence mais en électif après un bilan pré-op complet. Ils ne posent pas non plus d'indication à garder le patient hospitalisé au vu de l'absence de critères de gravité et proposent un retour à domicile. Le patient présente également une insuffisance rénale probablement aiguë sur chronique (GFR à 28 ml/min le 31.01 selon Cockroft-Gault), nous proposons de stopper le Torasémide jusqu'au prochain contrôle de laboratoire à 48 h. Le patient désire se rendre chez son médecin traitant pour effectuer ce contrôle biologique de la créatinine. Nous expliquons au patient de reconsulter immédiatement aux urgences du HFR en cas de douleurs abdominales. Monsieur Bosson est revenu ce jour pour discuter des résultats de l'IRM native de son genou droit du 16.10.2017. À ma surprise, sur l'IRM, on note une nouvelle lésion en regard de la corne postérieure du ménisque interne. En fait, sa racine s'est complètement détachée du plateau tibial. Je n'ai pas d'explication pour cette nouvelle lésion. Le patient ne se rappelle pas avoir eu un nouveau traumatisme. Étonnamment, les douleurs du patient se trouvent plutôt dans la partie antéro-interne du genou droit. Les tests cliniques ne parlent pas en faveur d'une atteinte du ménisque interne. Je propose à Monsieur Bosson de continuer la physiothérapie et je le reverrai en janvier 2018 pour une réévaluation clinique.Pas d'arrêt de travail. Monsieur Bosson présente toujours des gonalgies droites que je n'arrive pas à définir exactement. L'image clinique ne correspond pas à l'image d'IRM de contrôle du 16.10.2017. L'IRM montre clairement un arrachement de la racine de la corne postérieure du ménisque interne. Le patient signale par contre une douleur qui apparaît après environ 2 heures de course à pied, dans la partie antéro-interne du genou droit. Du côté externe, le patient est asymptomatique. Je propose d'adresser le patient à la consultation spécialisée du genou chez le Dr. X à l'HFR Fribourg pour un 2ème avis. Le patient sera convoqué. Un certificat d'arrêt de sport est remis au patient : du 10.01.2018 au 28.02.2018. Pas d'arrêt de travail. Monsieur Bosson présente une toux, un état fébrile, des céphalées depuis une semaine. Il vous consulte le 05.01.2018 et vous débutez un traitement symptomatique. En raison d'une dyspnée en aggravation, il vous reconsulte le 08.01.2018 et une radiographie du thorax effectuée à Givision met en évidence une pneumonie bibasale prédominant à droite. Le patient ne rapporte pas de douleur thoracique ni de palpitation. A l'admission aux urgences, Monsieur Bosson est en état général diminué et tachypnéique à 30/min. Au status pulmonaire, notons des râles crépitants bibasaux prédominant à droite ainsi que quelques sibilances diffuses. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 224 mg/l et leucocytes à 10,1 G/l, une hyponatrémie à 130 mg/l qui évolue favorablement durant le séjour et la gazométrie sous 4 litres d'oxygène met en évidence une saturation à 95% avec une alcalose respiratoire partielle hypoxémiante. Nous initions un traitement antibiotique par co-amoxicilline iv en ordre unique aux urgences et Monsieur Bosson est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A l'étage, l'antibiothérapie est relayée par ceftriaxone iv puis par co-amoxicilline 1 g 2x/j per os pour une durée d'antibiothérapie totale de 7 jours. Les hémocultures et la recherche d'antigènes urinaires prélevées à l'admission reviennent négatives, raison pour laquelle nous stoppons la Clarithromycine en date du 09.01.2018. Le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire. Sous le traitement introduit, l'évolution clinique et biologique est favorable et Monsieur Bosson peut regagner son domicile le 13.01.2018. Monsieur Both présente une gonarthrose tri-compartimentale du genou droit pour laquelle nous prévoyons l'implantation d'une prothèse totale du genou le 7.2.2018. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. Le patient entrera la veille de l'intervention et sera vu par l'anesthésiste en consultation pré-anesthésique. Il faudra prévoir une rééducation de 1 à 2 semaines à l'HFR Billens dès le 5ème jour post-opératoire. Monsieur Brasey, âgé de 72 ans, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réadaptation suite à un AVC ischémique jonctionnel des territoires frontalières de l'ACM droite et ACP droite le 01.12.2017. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status neurologique, le patient est orienté et collaborant. Pupille isocores-isoréactives, NC sp. Force de la main à M3+ à gauche, M5 à droite. Force quadriceps G côté à M4 ddc. Pas de déficit sensitif. ROT hypervifs au niveau du membre supérieur à gauche, normovif à droite. Signe de Babinski et Hoffman absent. Pallesthésie à 5/8 ddc. Épreuves cérébelleuses avec légère ataxie à gauche. Le reste de l'examen clinique est non contributif. Durant le séjour, le patient présente un prurit important et érythème au niveau du dos et des avant-bras, nous arrêtons son traitement de Pravastatine avec nette amélioration clinique après 4 jours. Nous essayons de réintroduire le traitement avec une demi-dose mais le prurit reprend après 1 jour. Nous décidons donc de mettre en suspens son traitement de statine et contrôlons le LDL-cholestérol qui se trouve à 2.9 mmol/l. Lors de la précédente hospitalisation, il avait changé son traitement d'Atorvastatine pour du Pravastatine pour les mêmes raisons (prurit et érythème). Nous vous laissons le soin de réévaluer la situation à distance de l'hospitalisation. Au vu d'un profil tensionnel stable durant l'hospitalisation, nous reprenons le Losartan à une dose de 50 mg et ne reprenons pas l'Esidrex. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement anti-hypertensif en regard des valeurs tensionnelles à distance de l'hospitalisation. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence un léger dysfonctionnement exécitif sur le versant comportemental (légère tendance à la familiarité, précipitation et au tutoiement) et sur le versant cognitif (incitation verbale limite, programmation, récupération en mémoire à long terme) ainsi qu'un ralentissement de la vitesse de traitement. En regard de l'examen du 05.12.2017, le profil cognitif est globalement superposable et reste compatible avec l'atteinte vasculaire connue. MMSE à 27/30. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie, avec une évolution favorable. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un bâton de marche sur une distance de plus de 100 m. Il est autonome pour monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Brasey peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 17.01.2018, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. Monsieur Brodard est un patient de 67 ans, qui se présente pour un polype caecal d'environ 10-15 mm de diamètre, non résectable endoscopiquement avec une dysplasie de haut grade. Le patient a bénéficié d'une résection iléo-caecale sans complication. L'analyse histologique a montré une résection complète et n'a pas montré d'autres pathologies. Monsieur Brodard rentre à domicile le 15.01.2018. Monsieur Bruelhart, âgé de 57 ans, connu pour une notion de BPCO stade II selon Gold, nous est adressé par le HIB Payerne pour une réadaptation respiratoire suite à une décompensation respiratoire d'origine infectieuse sur une pneumonie lobaire gauche, le 20.11.2017. Les vaccins ne sont pas à jour. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il travaille comme mécanicien. A l'admission, le patient n'a pas de plainte spontanée. En général, il rapporte une dyspnée stade II selon NYHA, sans toux ni expectoration. Le status général montre un patient obèse avec une hernie ombilicale connue. Le status pulmonaire met en évidence une diminution du murmure respiratoire diffuse. L'auscultation cardiaque met en évidence un souffle systolique à 2/6 prédominant au foyer aortique. La spirométrie d'entrée montre un rapport de Tiffeneau dans les normes infirmant le diagnostic de BPCO. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 93% avec une hypoxémie légère, sans hypercapnie.La radiographie du thorax met en évidence une cardiomégalie ainsi qu'un aplatissement des coupoles diaphragmatiques. La capnographie nocturne objective une tcpCO2 à 5.5 kPa et infirme la rétention de CO2. L'oxymétrie nocturne à l'air ambiant, réalisée dans le même temps, montre une SpO2 moyenne à 97.5% avec un index de désaturation à 10.7/heure. Dans ces conditions, nous majorons les paramètres de la BIPAP à 18/9. Sous ces paramètres, l'IDO diminue à 4.2/heure à l'oxymétrie de contrôle. La tolérance et l'adhérence thérapeutique à sa VNI sont excellentes. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y a été pris en charge pour une obésité de stade III ainsi qu'un risque d'apport protéo-énergétique non conforme (besoins très élevés). Pour améliorer la couverture des besoins, nous avons mis en place des collations protéinées ainsi que des enrichissements (potage). Il a assisté à la conférence sur l'alimentation dans le cadre des maladies respiratoires et nous avons effectué une mesure de la composition corporelle (BIA). Malgré son obésité et un taux de masse grasse important (50%), son taux de masse musculaire est également supérieur à la norme pour un BMI normal. Nous l'avons encouragé à reprendre le suivi à Estavayer et avons transmis les résultats de la BIA au service diététique. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 405 m à 465 m mais le patient reste plus ou moins stable à la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 1.13 km à 1.11 km. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 05.01.2018, en bon état général. Mr. Y est un patient de 64 ans connu pour un diagnostic récent de probable carcinome pancréatique avec métastases hépatiques, spléniques et rénales, qui est admis en ambulatoire le 27.12.2017 pour une ponction-biopsie d'une lésion hépatique sous Ultrason. À noter qu'il est habituellement sous Xarelto thérapeutique pour des embolies pulmonaires et des thromboses des membres inférieurs dans le contexte d'un syndrome de Trousseau. Il développe en post-opératoire des douleurs abdominales importantes motivant un CT qui montre un hémopéritoine périhépatique. Une angiographie est effectuée pour une éventuelle embolisation mais aucune source de saignement actif n'est mise en évidence. Une surveillance aux soins intensifs est sans particularité, avec une hémoglobine qui reste stable sans transfusion après la chute initiale. Le CT met également en évidence des embolies pulmonaires segmentaires lobaires inférieures gauches, survenues sous anticoagulation thérapeutique par Xarelto. La pose d'un filtre cave est discutée et la décision de ne pas en poser un d'emblée est prise, notamment en raison du probable syndrome de Trousseau avec risque de thrombose du filtre lui-même. L'anticoagulation est reprise avec Héparine puis Clexane qui sera à poursuivre pour minimum 6 mois. À noter également l'apparition d'une thrombose veineuse superficielle basilique gauche surinfectée pour laquelle nous introduisons la Co-Amoxicilline. La biopsie hépatique confirme la suspicion d'adénocarcinome du pancréas. La situation est discutée au colloque oncologique multidisciplinaire du 03.01.2018 avec la décision d'une chimiothérapie. La pose d'un port-à-cath est prévue le 09.01.2018. La suite de la prise en charge sera effectuée par Dr. X, oncologue. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 05.01.2018. Mr. Y sera donc revu en oncologie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y nous est envoyé pour une prise en charge stationnaire suite à une infection urinaire fébrile et un état confusionnel. À l'entrée de la permanence, un changement de cathéter urinaire est entrepris sous antibiothérapie débutante de Rocephin. Sous thérapie antibiotique de Ciprofloxacine, prévue pour 7 jours au total, et une hydratation intraveineuse, on remarque une amélioration rapide de l'état général. Dans le cadre d'une hyperthyroïdie connue, la dose de Néo-Mercazole et de Prednison est adaptée le jour avant l'entrée à l'hôpital. Un prochain contrôle est prévu chez Dr. X, en endocrinologie à l'HFR Fribourg le 26.01.2018. Nous pouvons renvoyer Mr. Y dans son home le 22.01.2018 au vu d'un état clinique bon. Mr. Y est transféré aux soins intensifs depuis les urgences de Payerne en raison de 5 épisodes de rectorragie le 29.12.2017. Le patient ne rapporte pas de malaise ou de douleurs abdominales associées. À l'arrivée, le patient est hémodynamiquement compensé. Une OGD et une colonoscopie réalisées le 29.12.2017 ne montrent pas de saignement actif. La colonoscopie montre un ulcère caecal chronique de 1 cm sans signe de saignement actif, traité par un clip. L'OGD montre 4 angiodysplasies au niveau duodénal sans signe de saignement actif, traitées au laser Argon. La source d'hémorragie la plus probable est une origine basse, sur l'ulcère caecal au vu de la stabilité hémodynamique en présence de sang frais rectal. Un transfert en médecine interne a lieu le 29.12.2017. Durant son séjour, nous n'observons pas d'extériorisation et l'hémoglobine se montre stable, même après reprise de l'Aspirine, avec une valeur à 86 g/l à la sortie. Un retour à domicile est organisé le 04.01.2018 avec aide à la toilette 1x/semaine et préparation du semainier par la pharmacie. Mr. Y présente un status post-entorse du genou D avec une suspicion clinique d'une rupture du LCA associée d'une lésion du ménisque interne +/- distorsion du LLI. Afin de préciser le diagnostic, nous demandons une IRM native du genou D. Le patient sera revu le 26.01.2017 suite à l'IRM pour discuter les résultats et le traitement. Jusque là, il garde son genou D immobilisé dans une attelle Jeans à 20° avec 2 cannes anglaises en charge selon douleurs, sous thromboprophylaxie par Clexane 40 mg 1x/jour. Arrêt de travail prolongé à 100% jusqu'au prochain rendez-vous, le 26.01.2018. Mr. Y présente une rupture complète du ligament croisé antérieur dans sa portion moyenne associée à une distorsion du ligament collatéral interne et une déchirure du ménisque interne en regard de la corne moyenne qui s'étend dans la corne postérieure. Je propose dans un premier temps un essai de traitement conservateur. Le patient est équipé d'une orthèse articulée pour son genou droit pour protéger les ligaments. Il va faire de la physiothérapie à but antalgique puis pour regagner la mobilité et la musculature puis entraînement de la proprioception. Le patient sera réévalué cliniquement d'ici 6 semaines le 09.03.2018 à ma consultation et on verra en cas d'instabilité importante à ce niveau-là s'il faut éventuellement envisager une plastie ligamentaire.L'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 9.3.2018. Prescription de Néo-Décongestine Pommade à appliquer 2x/jour et une ordonnance pour une genouillère articulée type Genu-Train S que le patient portera pour une durée minimum de 6 semaines. • Mr. Cadurisch est un patient de 72 ans qui se présente aux urgences le 01.01.2018 avec des douleurs abdominales d'apparition brutale, transfixiantes au niveau épigastrique, associées à EF à 38.6 et des frissons. Il n'a notamment plus eu de transit depuis 3 jours alors qu'habituellement il va à selle 2 fois par jour. Au laboratoire, il y a un syndrome inflammatoire avec une CRP à 82, une leucocytose à 11.6, des tests hépatiques dans la norme et une lipase à 108. Le CT abdominal met en évidence une image compatible avec une pancréatite aiguë de la tête et du processus unciforme du pancréas, sans dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques et sans signe de cholécystite. Il bénéficie d'une antibiothérapie par Imipénème en intraveineux du 01.01.2018 au 04.01.2018 ainsi que d'une hydratation en intraveineux. Des hémocultures ainsi qu'un uricult sont prélevés dont les résultats sont négatifs. Le bilan est complété par une cholangio-IRM, qui montre une vésicule alithiasique et l'absence de calcul au niveau des voies biliaires. Au vu des tests pancréatiques normaux à l'arrivée, nous retenons le diagnostic probable de duodénite avec inflammation de contact du pancréas. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable, permettant un retour à domicile le 04.01.2018 avec poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl pendant 7 jours. Il aura un CT abdominal de contrôle le 05.02.2018 à 8h, puis sera revu à la consultation du Dr. X pour discuter de la suite de la prise en charge. • Mr. Cardoso est un patient de 44 ans connu pour 5 lésions cutanées (3 lipomes : crural gauche, scapulaire gauche et paravertébral lombaire droit et deux excroissances cutanées axillaires gauche et droite) qui bénéficie d'une excèse de ces dites lésions le 18.01.2018. Les suites opératoires sont simples. Le patient rentre à domicile le 19.01.2018. Les fils seront enlevés à J14 chez le médecin traitant. Le patient sera revu à la consultation des Chefs de clinique le 06.02.2018 à 11h30. • Mr. Cardoso est un patient de 61 ans qui a été envoyé au service des urgences par son médecin traitant le 03.01.2018 dans un contexte de lipothymie avec palpitation et mise en évidence d'une fibrillation auriculaire paroxystique rapide. A l'arrivée aux urgences, un NSTEMI est mis en évidence et une coronarographie démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion subaiguë à chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et une FEVG estimée à 40%. Une recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation d'un stent actif est effectuée. Une double anti-agrégation par Aspirine cardio à vie et Efient pour une durée de 6 mois est introduite. Le patient est transféré dans le service de médecine après 24h de surveillances aux soins intensifs. Sur le plan cardiaque, la double antiagrégation plaquettaire par Aspirine cardio et Efient, est poursuivie à l'étage de médecine. Le patient bénéficie également d'un IEC, d'un bêta-bloquant et d'un traitement par statine, en raison d'une hypercholestérolémie. Au cours de l'hospitalisation, le patient présente un nouvel épisode de fibrillation auriculaire rapide nous faisant suspecter ce trouble du rythme comme origine du NSTEMI plutôt que comme conséquence de l'événement ischémique. Un traitement de cordarone à dose de charge est introduit avec normalisation des troubles de la conduction. La cordarone sera maintenue à 400 mg 2x/j jusqu'au 17.01.2018 puis sera diminuée à 200 mg/j. Suite à cet épisode, un traitement anti-coagulant par Xarelto est introduit et l'Efient est remplacé par du Plavix et l'aspirine cardio est maintenue. Un traitement de l'insuffisance cardiaque est également mis en place avec introduction de l'aldactone et majoration du Métoprolol, le Lisinopril est poursuivi. Un contrôle par un Holter sur 24h est également effectué dans le cadre de la fibrillation auriculaire le 08.01.2018. Les résultats suivront. Le prochain contrôle cardiologique est prévu à 1 mois à la consultation du Professeur X avec adaptation des traitements cardiologiques et de la tri-thérapie par Plavix, Aspirine cardio et Xarelto. Une ergométrie de suivi à 1 an a également été organisée. Suite à la coronarographie, le patient développe un hématome fémoral gauche, sans autres complications locales. Un suivi clinique est effectué pour le reste de son séjour montrant une bonne évolution de l'hématome. Une adénopathie para-œsophagienne droite est découverte fortuitement au CT thoracique d'entrée. Durant son séjour, le patient mentionne une gêne sous-mandibulaire, avec mise en évidence de plusieurs adénopathies sous-mandibulaires et une adénopathie sus-claviculaire gauche à la palpation; ces adénopathies régressent au cours de l'hospitalisation. Une consultation ORL est réalisée avec mise en évidence d'une lésion de type polype au niveau de la partie postérieure de la corde vocale D, d'allure bénigne, et d'origine probablement virale. Un contrôle dans le service d'ORL de l'HFR Fribourg est prévu le 23.01.2018 pour évaluer l'évolution de cette lésion. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient débutera une réadaptation cardio-vasculaire le 10.01.2018 à l'HFR Billens. Il quitte notre service le 09.01.2017. • Mr. Cardoso, 61 ans, a été admis aux soins intensifs pour un NSTEMI sur occlusion subaiguë à chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Le patient a présenté une fatigue récente avec des épisodes de lipothymie récidivants depuis quelques semaines. Il a été adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une lipothymie récidivante avec palpitations le 03.01.2018. L'ECG a mis en évidence une fibrillation auriculaire paroxystique rapide. Un NSTEMI est mis en évidence. La coronarographie a démontré une maladie coronarienne monotronculaire avec occlusion subaiguë à chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Une recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation d'un stent actif a été effectuée. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 40%. Le pic de CK s'est élevé à 440 U/l. Une double antiagrégation plaquettaire d'Aspirine cardio (à vie) et Efient pour 6 mois a été débutée, associée à un IEC et un bêta-bloquant. Une hypercholestérolémie est traitée par statine. La fibrillation auriculaire n'a pas récidivé. Cette dernière est probablement consécutive au NSTEMI. Un holter a été demandé afin d'exclure une récidive. Un hématome fémoral gauche au point de ponction artériel, mais sans souffle audible, est suivi cliniquement. Le prochain contrôle cardiologique est prévu à 1 mois à la consultation du Professeur X. Une ergométrie de suivi à 1 an sera à organiser. • Mr. Castella est un patient de 62 ans connu pour un adénocarcinome moyennement différencié du moyen-rectum à 9cm de la marge anale de stade ypT2 ypN0 (0/12) G2 L0 V0 Pn0 R0 M0 avec status post-radio-chimiothérapie jusqu'au 07.04.2017. Le patient avait bénéficié d'une résection antérieure basse avec iléostomie de protection le 24.05.2017.Le patient est hospitalisé afin de bénéficier de la fermeture de l'iléostomie le 18.01.2018. Les suites opératoires sont simples et les douleurs sont contrôlées par l'antalgie. Nous enlevons le drain Penrose le 21.01.2018 et Monsieur Castella rentre à domicile le 23.01.2017. Monsieur Cerf nous est adressé par Voltigo pour de sévères crises de douleurs abdominales associées à des nausées et vomissements dans le contexte d'une suspicion d'iléus. Pour rappel, M. Cerf, connu pour un cholangiocarcinome et un carcinome du côlon ascendant d'emblée métastatique au foie avec actuellement carcinose péritonéale, se plaint de douleurs abdominales depuis le mois de septembre, traitées à domicile par Voltigo. Le CT thoraco-abdominal met en évidence un sub-iléus paralytique sur la carcinose ainsi qu'une stabilité des métastases, comparé aux CT fait à Payerne en octobre 2017. Au vu de la situation complexe, nous faisons appel à nos confrères des soins palliatifs. Ensemble, nous introduisons un traitement de corticoïde et octréotide avec bonne tolérance, ceci dans le but de réduire l'incidence et l'intensité des crises douloureuses. À noter que le patient n'en présentera aucune pendant son séjour. Un schéma dégressif de Dexaméthasone est prévu au vu de la prise au long cours. Un schéma de traitement des crises est en possession de Voltigo en cas de récidive à domicile. Dans le contexte de perte de poids avec inappétence et impossibilité à s'alimenter pendant les crises, M. Cerf bénéficie de l'introduction d'une nutrition entérale par sonde nasogastrique, qu'il continuera à domicile. Un enseignement lui est prodigué, ce qui permet au patient de gérer lui-même sa nutrition et les injections d'octréotide. M. Cerf rentre en bon état général à domicile le 03.01.2018. Monsieur Ceru, 73 ans, suivi par le Dr. X pour une polyarthrite rhumatoïde traitée par Xeljanz avec atteinte pulmonaire en cours d'investigation, est hospitalisé le 24.01.2018 pour une dyspnée, de la toux avec des expectorations avec traces de sang 5 jours post-bronchoscopie. La patiente a également mesuré un état fébrile à 38.4°C à domicile. Nous suspectons une surinfection pulmonaire dans un contexte de silicose que nous traitons par Ceftriaxone et Prednisone durant 5 jours avec bonne évolution clinique et sevrage rapide en oxygène. Nous prenons contact avec le Dr. X pour la discussion des résultats de bronchoscopie qui permettent de poser le diagnostic de syndrome de Caplan associant une polyarthrite rhumatoïde et une pneumoconiose (silicose). Nous arrêtons le Xeljanz et demandons un test au Quantiferon en prévision d'un traitement par Rituximab qui sera débuté en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Ceru peut regagner son domicile le 29.01.2018 dans un bon état général. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est déjà planifié le 02.02.2018 où la suite de la prise en charge sera discutée. Monsieur Chamodot, patient de 64 ans, se présente aux urgences en raison de nausées et vomissements répétées depuis deux jours, dans un contexte d'otite moyenne droite traitée pendant 48h par Co-Amoxicilline. Il décrit également des otalgies puis hypoacousie, avec tinnitus et otorrhée, sans photo-/phonophobie. Le bilan d'imagerie met en évidence une oto-mastoïdite droite avec probable lyse osseuse de la face endo-crânienne provoquant une pneumencéphalie, faisant suspecter une méningite. Suite à une ponction lombaire pathologique, le diagnostic de méningite bactérienne à cocci Gram positif par contiguïté est posé. Selon avis infectiologique, le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Ceftriaxone dès le 13.01.2018 à poursuivre jusqu'au 27.01.2018. Les hémocultures reviennent négatives. Le patient est également traité par Dexaméthasone 10 mg 4xj du 13.01.2018 au 17.01.2018. Un schéma dégressif est à suivre, selon la prescription ci-dessous. Sur le plan ORL, un drain transtympanique est mis en place le 14.01.18. Malheureusement, l'audiométrie met en évidence une perte auditive estimée à 50%. Le patient sera revu en ORL le 26.01.18. Le laboratoire d'entrée met en évidence une anémie normocytaire avec Hb à 101 g/l. Un dosage de l'acide folique et de la vitamine B12 revient dans la norme. Un suivi biologique est réalisé durant son séjour, avec une valeur de l'hémoglobine à 114 g/l au laboratoire du 19.01.18. Le patient présente un épanchement intra-articulaire du genou gauche le 14.01.2018, suite à un traumatisme sans choc direct. Il rapporte avoir effectué un faux mouvement peu avant son admission. Une surveillance clinique est effectuée, sans apparition de signe inflammatoire. Durant son hospitalisation, l'évolution clinique est marquée par l'apparition d'un hoquet coercitif, raison pour laquelle le patient bénéficie d'un traitement par Buscopan, primpéran et Motilium. De l'Haldol est également introduit, avec bonne évolution. Malgré l'évolution très nettement favorable de cette pathologie grave et dont les conséquences auraient pu être plus sérieuses, nous préconisons un suivi rapproché. Le patient est informé de reconsulter sans attendre en cas d'évolution défavorable, d'état fébrile, de céphalées ou de signes neurologiques. Il sera revu en fin de semaine en ORL et nous vous serions gré de le revoir une fois la semaine suivante. Il nous fait part de sa réticence à effectuer la vaccination Prevenar 13 et nous vous laissons le soin de rediscuter avec lui de cette problématique. Monsieur Chassot a été diagnostiqué d'un syndrome d'obésité hypoventilation lors de son hospitalisation du mois d'avril 2017. Une VNI avait alors été mise au bénéfice du patient. Le patient mentionne passer des nuits pénibles avec une sensation de sommeil superficiel, avec des réveils fréquents en raison d'importantes fuites. De plus, la pression occasionnée par le masque a entraîné des rougeurs cutanées. Plusieurs tentatives de changement de masques ont été effectuées avec la ligue pulmonaire sans résoudre les problèmes rencontrés. Lors de son hospitalisation, en raison d'une hypoxémie, nous majorons le débit d'oxygène à 1.5-2L avec une SO2 moyenne passant de 88.9 à 95%. En raison de l'hypercapnie, les paramètres ventilatoires sont modifiés afin d'augmenter le volume courant, avec à la sortie du patient, une PCO2 en fin de nuit à 5.4kPa tcpCO2 moyenne à 6kPa. Nous adaptons le masque afin que les pressions cutanées soient minimes tout en ayant le moins de fuites possibles. En ce qui concerne le suivi de l'hypertension pulmonaire, nous souhaitons que le patient puisse bénéficier d'un contrôle cardiologique avec la réalisation d'une nouvelle échocardiographie. Le patient rentre à domicile le 19.01.2018. Monsieur Chassot, connu pour une BPCO stade II selon Gold avec insuffisance respiratoire partielle sous oxygénothérapie à domicile et traitement par aérosols humides, est amené aux urgences en ambulance le 14.12.2017 en raison d'une dyspnée avec cyanose massive, désaturation à 67 % et fréquence respiratoire supérieure à 40 actes par minute. Le patient est également fébrile à 40°C. À noter que Monsieur Chassot a chuté le 13.12.2017 sans fracture mise en évidence au bilan radiologique. Le patient a également été hospitalisé dans notre service de médecine du 24.08 au 01.09.2017 dans le même contexte, suivi d'un séjour en réadaptation gériatrique du 01 au 18.09.2017 avec par la suite un placement au home de Vuisternens-dt-Romont.A l'admission, Monsieur Chassot est dyspnéique sous 12 litres d'oxygène. Il est en état général diminué et cyanotique aux extrémités. Il rapporte une douleur costale gauche, basithoracique, respiro-dépendante et exacerbée à la toux. Au status cardio-vasculaire, pas de souffle mis en évidence. Présence d'oedèmes des membres inférieurs jusqu'à mi-mollet des deux côtés. Au niveau pulmonaire, présence de râles crépitants diffus sur toutes les plages pulmonaires, mais prédominant en base gauche. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 117 mg/l et une leucocytose à 10,7 g/l, une créatinine à 69 µg/l, sans troubles hydroélectriques, une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine 134 g/l et la gazométrie effectuée sous 12 litres d'oxygène montre un pH à 7,43, pO2 22 kPa, pCO2 5 kPa, bicarbonates 24 mmol/l. La radiographie du thorax montre un important foyer basal gauche ainsi qu'une hypertension pulmonaire des deux côtés. Monsieur Chassot est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Des hémocultures sont prélevées. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv du 14 au 19.12.2017 et Klacid 500 mg 2x/j per os du 14 au 18.12.2017. L'évolution est favorable avec résolution du syndrome inflammatoire et amélioration du status clinique. Le patient reste afébrile. Les hémocultures, la recherche d'antigènes urinaires Légionelle et Pneumocoques ainsi que la recherche d'ESBL reviennent négatives. Sous traitement antibiotique et support ventilatoire par VNI, une évolution favorable est observée, permettant un retour au foyer le 18.12.2017. Monsieur Chatagny, âgé de 74 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une luxation de prothèse totale de hanche G et fracture du fémur périprothétique après tentative de réduction le 02.11.2017 avec révision de la PTH G le 06.11.2017. Sur le plan social, le patient est célibataire. Il vit seul à domicile. A l'admission, le patient se plaint d'une fatigue ainsi que d'une légère dyspnée depuis quelques jours. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche G est possible jusqu'à 50° en passif. La force du quadriceps G est à M3 et la sensibilité est conservée. Il présente une paralysie des releveurs du pied à G à M0 avec une diminution de la sensibilité sur la face médiale du mollet G. Il présente par ailleurs une hépatomégalie ainsi qu'un clubbing. Durant son séjour, le patient présente plusieurs épisodes d'état confusionnel dans le cadre de la cirrhose hépatique. Nous adaptons donc le traitement de Duphalac en conséquence à 20 ml 4x/j avec un bon effet. Nous introduisons par ailleurs un traitement de Xifaxan 550 mg 1x/j. Nous essayons de diminuer le lactulose progressivement avec la réapparition le 27.12.2017 d'un nouvel état confusionnel qui nous motive à reprendre le traitement de lactulose initial à 20 ml 4x/jour. Sur le plan neurologique, le patient présente une incontinence urinaire nouvelle suite au retrait de la sonde vésicale le 06.12.2017. Il développe par ailleurs, dans le contexte de l'administration de Duphalac, une incontinence fécale qui persiste malgré la diminution de ce dernier. L'examen clinique met en évidence une anesthésie périanale ainsi qu'une diminution du tonus sphinctérien nous faisant suspecter un syndrome de la queue de cheval. Une IRM de la colonne lombo-sacrée permet d'infirmer ce diagnostic et d'exclure la présence d'une compression médullaire. Le patient bénéficie par ailleurs d'un US des voies urinaires qui infirme une incontinence par regorgement. Par ailleurs, le patient présente une plégie des releveurs du pied à G séquellaire d'une lésion lors de la pose de la PTH en 2017. Après avis auprès du Dr. X, nous organisons une hospitalisation en médecine pour bilanter cette incontinence urinaire et fécale. Il est proposé d'organiser un ENMG pour les releveurs du pied, d'une ponction lombaire pour écarter une cause infectieuse ou néoplasique aux incontinences ainsi que d'effectuer une sérologie à HIV, HCV et Lyme. Sur le plan de la réadaptation, durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. L'évolution est peu favorable et limitée par une charge limitée à 20 kg sur le membre opéré. Le patient est par ailleurs aussi limité par les autres comorbidités et la collaboration parfois difficile. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est peu favorable et Monsieur Chatagny peut quitter notre service pour rejoindre l'HFR Fribourg pour bilanter l'incontinence urinaire et fécale nouvelle ainsi que la plégie des releveurs du pied G. Monsieur Chatagny est un patient de 71 ans, traité par Rocéphine puis Ciproxine pendant 2 semaines en raison d'une infection urinaire, qui présente depuis quelques jours une tuméfaction douloureuse du testicule droit en péjoration. On met en évidence une orchi-épididymite à l'ultrason qui permet d'exclure un abcès testiculaire. Le patient est mis sous traitement de Tazobac avec une évolution favorable tant du point de vue clinique que biologique. Le patient peut quitter notre service le 23.01.2018 et sera revu en contrôle le 24.01.2018 à 10h15 à la consultation du Dr. X. Monsieur Chatagny, 74 ans, connu notamment pour une cirrhose hépatique Child-Pugh B sur éthylisme sevré en 2006, nous est transféré depuis l'HFR-Billens où il était hospitalisé pour une réhabilitation musculo-squelettique pour le bilan d'une incontinence urinaire et fécale. L'incontinence urinaire serait présente depuis la TURV dont le patient a bénéficié en février 2017 pour une tumeur intravésicale, mais se serait péjorée transitoirement après le retrait de sonde vésicale le 06.12.2017. Une IRM de la colonne n'a pas montré de compression médullaire ou de queue de cheval. Dans ce contexte, nous planifions un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X le 20.02.2018. Concernant l'incontinence fécale, lors de son hospitalisation, le patient n'a plus présenté de perte et l'examen neurologique exclut une anesthésie en selle. A l'entrée, nous notons un épanchement pleural droit massif ponctionné à 3 reprises d'origine cirrhotique. La pose d'un pleurix n'est pas possible au niveau abdominal en raison de la quantité d'ascite trop faible et un pleurix pleural n'est pas indiqué. Nous optons pour une optimisation du traitement médicamenteux avec majoration de l'Aldactone et du Torasémide. Nous prenons contact avec notre collègue hépatologue qui ne voit pas d'autres alternatives aux traitements médicamenteux. Nous décidons désormais de se baser sur les plaintes et si le patient devait devenir symptomatique de cet épanchement, une nouvelle ponction en ambulatoire serait indiquée. A sa sortie nous agendons un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X le 06.02.2018.En raison d'un pied tombant à gauche suite à la pose de prothèse de hanche en 2017, une ENMG est réalisée et confirme l'atteinte sciatique pour laquelle le patient bénéficie d'une attelle et de physiothérapie. Au vu de la bonne évolution clinique et du gain en autonomie, Monsieur Chatagny peut rejoindre l'UATO en attendant de pouvoir mettre en charge complètement sa jambe gauche. À ce moment-là, nous proposons d'effectuer une réhabilitation musculo-squelettique. Le patient a rendez-vous le 30.01.2018 en orthopédie pour discuter de la mise en charge et de la prophylaxie anti-thrombotique. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Chavaillaz présente des gonalgies droites d'origine indéterminée. Comme diagnostic différentiel, je retiens une dégénérescence cartilagineuse +/- associée à une dégénérescence du ménisque interne. Afin de préciser le diagnostic, je demande un bilan radiologique et une IRM de son genou droit le 15.1.2018. Je reverrai le patient suite à ces examens pour discuter des résultats et du traitement. Un arrêt de travail n'est pas attesté. Monsieur Chavaillaz présente une lésion horizontale isolée du ménisque interne type dégénératif. J'ai proposé au patient un traitement conservateur dans un premier temps. Il continuera la physiothérapie pour mobiliser son genou et prendra des anti-inflammatoires au besoin. Nous prévoyons un contrôle clinique à distance pour voir l'évolution. Le patient n'a pas besoin d'arrêt de travail. Monsieur Chinello est un patient de 41 ans connu pour les antécédents chirurgicaux sus-mentionnés, qui présente une éventration multi-lobulée médiane ainsi qu'au niveau de l'ancien orifice de colostomie. Il est hospitalisé en électif en vue d'une cure selon Rives. L'intervention se déroule sans complication le 08.01.2018. Le premier Redon est enlevé le 13.01.2018, l'autre le 17.01.2018. Les suites de l'intervention sont simples. Monsieur Chinello rentre à domicile le 17.01.2018. Monsieur Citak, patient de 68 ans connu pour une BPCO de stade GOLD IV non oxygène-dépendant sur ancien tabagisme et une maladie hypertensive, est hospitalisé pour une exacerbation de BPCO. Le patient avait consulté les urgences pour une péjoration de dyspnée de stade III avec toux et expectoration blanchâtre sans état fébrile. Nous entamons une corticothérapie par Solu-Medrol puis Prednisone pour 5 jours avec aérosols d'Atrovent et Ventolin. Nous n'introduisons pas d'antibiothérapie en l'absence de clinique pour une surinfection bactérienne et en l'absence de syndrome inflammatoire. L'évolution est simple mais un sevrage de l'oxygène n'est pas possible. Nous prescrivons donc de l'oxygène à domicile pour 3 mois et organisons un suivi chez le Dr. Burdet (pneumologue à Payerne) le 14.02.2018 à 13h30 pour la réalisation de fonction pulmonaire et une réévaluation de l'indication à une oxygénothérapie à long terme. Nous informons le patient des risques d'inflammation liés à l'oxygène et des symptômes d'hypercapnie. À sa sortie, le patient est mis sous traitement par Spiriva et Vannair avec réserve de Ventolin et un apprentissage des techniques d'inhalation est effectué. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Citak peut regagner son domicile le 12.01.2018 dans un bon état général. À noter qu'un rendez-vous chez le Dr. Meilz (cardiologue à Estavayer-le-lac) avait été planifié pour le 22.01.2018 à 16h45 par le médecin traitant. Monsieur Clément est un patient de 66 ans, connu pour une résection antérieure du rectum en février 2017 pour un adénocarcinome, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales péri-ombilicales associées à des vomissements. Le CT abdominal met en évidence un iléus grêle mécanique sur bride, sans signe de souffrance intestinale. Un traitement conservateur avec une sonde naso-gastrique de décharge et de la Gastrografin permet une évolution favorable avec la reprise d'un transit et un amendement de la symptomatologie. La réalimentation progressive est bien tolérée. M. Clément peut alors rentrer à domicile le 30.12.2017. Il consultera en cas de réapparition de la symptomatologie. Monsieur Collaud est un patient de 62 ans, connu pour des fistules entéro-cutanées récidivantes dans le contexte oncologique d'un côlon irradié. Il avait présenté une nouvelle récidive en juillet 2017. La fistule étant actuellement formée, l'indication opératoire est posée. L'intervention, consistant en une laparotomie avec résection d'un filet infecté (probablement en cause dans la formation de la fistule) et suture de la fistule, se déroule sans complication. Vu le contexte de chirurgie sale avec contamination de la plaie par les selles, cette dernière est laissée ouverte et un VAC est mis en place et changé de manière itérative au bloc opératoire. Le 07.09.2017, lors du changement de VAC, nous objectivons une réitération de la fistule qui est prise en charge par deux points de PDS 5-0. Nous débutons alors une prise en charge par VAC avec instillation. Au vu de la bonne évolution, nous effectuons le 28.11.2017 une plastie de recouvrement afin de diminuer la superficie de la plaie. La fistule est ensuite appareillée avec un petit drain et le pansement VAC autour, et changé itérativement jusqu'au 27.12.2017. Par la suite, le pansement au niveau de la fistule est fait à l'aide d'une sonde rectale qui collecte les selles dans une poche de stomie (selon protocole stoma). Une antibiothérapie par Tazobac est introduite du 31.08 au 08.09.2017. M. Collaud bénéficie aussi de Sandostatine du 31.08 au 14.09.2017 et d'une nutrition parentérale par VVC du 03.09.2017 au 12.10.2017 et de nouveau du 17.10.2017 au 21.11.2017. Monsieur Collaud présente des bradycardies en per et post-opératoire qui sont investiguées par nos cardiologues. Ils mettent en évidence un bloc atrio-ventriculaire de second degré. Le Dr. Graaf pose l'indication à la pose d'un pacemaker et Monsieur Collaud bénéficie de la mise en place de ce pacemaker le 14.09.2017. Au vu de la bonne clinique, M. Collaud peut rentrer à domicile le 18.01.2018. Il sera suivi par les soins à domicile au quotidien pour le changement de pansement de la fistule et par la stomathérapie 1x/semaine. Monsieur Copparoni, connu pour un diabète de type 2 mal contrôlé sur mauvaise compliance et cardiopathie ischémique et hypertensive présumée, est adressé aux urgences par son médecin traitant, le Dr. Michaud, le 03.01.2018, en raison d'une surcharge liquidienne malgré son traitement diurétique. Le patient décrit en effet une péjoration de son état depuis 3 semaines avec une prise pondérale de 10 kg, des nausées/vomissements et des diarrhées entre le 23 et le 25.12.2017, sans pouvoir préciser l'intervalle et le nombre de ces épisodes. Il note également des oedèmes des membres inférieurs en aggravation depuis 10 jours environ. Le patient a présenté de plus des épisodes d'hypoglycémies à répétition.Au status clinique, Monsieur Copparoni est hémodynamiquement stable et orienté aux 3 modes. Il est déshydraté et en état général diminué avec anasarque. Au niveau pulmonaire, on note une auscultation symétrique mais limitée aux bases. Oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux cuisses des deux côtés. L'abdomen est distendu sans défense, ni signes de péritonisme, avec des bruits gastro-intestinaux dans la norme en fréquence et en tonalité. Le bilan biologique montre une Créatinine à 779 umol/l (créatinine à 225 umol/l début décembre chez le médecin traitant) et une urée à 35 mmol/l. La gazométrie montre une PaO2 à 8,7, PaCO2 à 4,8 et des bicarbonates à 20 mmol/l avec pH à 7,38 sans troubles électrolytiques. Une radiographie du thorax montre une surcharge hydrique avec des épanchements bilatéraux et un ultrason abdominal ne met pas en évidence d'étiologie obstructive post-rénale. Le patient est hospitalisé à l'ELM dans le contexte de cette insuffisance rénale aiguë surajoutée à une insuffisance rénale chronique d'origine diabétique connue. L'étiologie semble être une cause pré-rénale sur déshydratation et traitement diurétique. Malgré l'hypervolémie, on initie un remplissage hydrique sans effet sur la diurèse mesurée par une sonde vésicale. Sur proposition du Dr. X, néphrologue de garde, nous débutons un traitement par Lasix sans effet (7 mg/h et bolus de 250 mg). Le patient reste anurique malgré ce traitement avec une diurèse à 95 ml depuis son arrivée et une créatinine qui s'élève. Sur avis du Dr. X, Monsieur Copparoni est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 04.01.2018 pour la suite de la prise en charge. À noter qu'une anticoagulation prophylactique par héparine 10.000 UI/24h en IV continu initiée à l'admission est mise en pause pendant le transfert. Monsieur Copparoni, 71 ans, est transféré de l'HFR Riaz aux soins intensifs de Fribourg dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 oligo-anurique d'origine pré-rénale au décours d'une gastro-entérite. Le patient, qui réside dans un appartement protégé, est adressé aux urgences de Riaz le 03.01.2018 dans le contexte d'une diminution de l'état général avec oedèmes des membres inférieurs et prise pondérale de 10 kg depuis un épisode de gastroentérite en fin d'année 2017. On met en évidence une insuffisance rénale aiguë sévère d'étiologie initiale pré-rénale dans le contexte d'une gastro-entérite avec par la suite une décompensation cardiaque avec syndrome cardio-rénal. Le patient présente une anurie et ne répond pas aux remplissages ni au Lasix. Une épuration extra-rénale continue avec anticoagulation au citrate a été effectuée du 04.01.2018 au 05.01.2018. Il présente par la suite une reprise de la diurèse sous Lasix et l'hémofiltration peut être stoppée. Le patient est suivi par nos collègues de la néphrologie qui prévoient selon l'évolution une reprise de l'épuration par des dialyses en intermittence. Une échocardiographie a mis en évidence une dysfonction ventriculaire gauche modérée avec des troubles de la cinétique segmentaire qui ont progressé, évoquant une cardiopathie ischémique pour laquelle une coronarographie sera à discuter à distance de l'épisode aigu. Une ascite d'origine indéterminée a été drainée du 05.01.2018 au 06.01.2018 et retrait de 6500 ml. Une compensation d'albumine a été effectuée. Les analyses révèlent un transsudat. Un ultrason abdominal est demandé à la recherche d'une éventuelle cirrhose avec hypertension portale. Le diagnostic différentiel est un foie de stase. Le patient a été transféré dans le service de médecine interne le 06.01.2018. Monsieur Corboz, âgé de 69 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées, nous est adressé par le Salem Spital pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une décompression d'un canal lombaire étroit L3-S1 le 18.12.2017. Sur le plan social, le patient est célibataire. Il vit avec son frère à domicile. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Il n'a pas de plainte d'incontinence fécale ni urinaire. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Il ne présente pas de trouble sensitivomoteur aux membres inférieurs. Les amplitudes articulaires sont conservées et il ne présente pas de signe de Lasègue. Les ROT sont absents aux membres inférieurs. Sur le plan nutritionnel, Monsieur Corboz a été pris en charge pour un apport insuffisant en protéines. Lors de notre intervention, nous avons constaté une perte pondérale de 5 kg depuis l'entrée (dont une partie d'oedèmes). La perte pondérale étant certainement en lien avec un meilleur équilibre des repas, moins de grignotages et souhaitée par le patient, elle ne nous a pas inquiétée. Nous avons fait des adaptations pour améliorer les apports en protéines (60% au départ, environ 80% après adaptations). Nous avons aussi averti le patient que si la perte pondérale se péjorait à domicile de manière involontaire, il devait s'adresser à son médecin traitant. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un rollator ou 2 cannes anglaises sur un périmètre de 200 m. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe sous surveillance. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Corboz peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 23.01.2018 en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. Monsieur Corminboeuf, connu pour une BPCO non stadée, est hospitalisé en raison d'une récidive des douleurs rétrosternales post-coronarographie du 11.01.2018. Devant la maladie tritronculaire mise en évidence à la coronarographie, un geste de revascularisation par pontage ou angioplastie de l'IVA unique est proposé. Le patient ne souhaite pas de prise en charge invasive, et répète à plusieurs reprises sa décision de renoncer même à toute nouvelle coronarographie. Le traitement médicamenteux est majoré, notamment les nitrés. L'évolution est rapidement favorable sans récidive significative de douleurs thoraciques pendant l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à un bêtabloquant en fonction de l'évolution clinique. Sur le plan de la BPCO, le traitement d'inhalation est majoré pendant l'hospitalisation en association avec une oxygénothérapie contrôlée. Le patient regagne son domicile avec son traitement habituel. Monsieur Cornioley, patient de 64 ans, polyvasculaire connu pour des antécédents d'EP, de pneumothorax spontanée, opéré pour une AOMI et connu pour une BPCO sévère, qui nous est transféré du service de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour un séjour de réhabilitation palliative dans le cadre d'une pneumonie à S Pneumoniae le 24.12.2017.A son entrée le PPS est estimé 50% ainsi que l'index de Barthel à 50. Il présente une dyspnée stade IV lors de son arrivée à notre unité accompagnée d'une toux grasse, une tachypnée à 32 bpm au repos et péjoration de la dyspnée lors des déplacements courts avec présence de tirage. Nous poursuivons le traitement mis en place en médecine interne et ajoutons des réserves de fentanyl intranasal afin de mieux gérer la dyspnée lors des efforts. Mr. Y ne ressent cependant pas le besoin d'utiliser le fentanyl. Les infirmières remarquent par contre le bon effet du Xanax sur ces épisodes de dyspnée aiguë. Nous avons pu sevrer l'oxygène peu après son arrivée. Il bénéficie de séances régulières de physiothérapie respiratoire et pour la mobilisation. A noter que le patient se plaint de crises d'angoisse à raison de 1 à 2 par jour qui s'accompagnent de douleurs épigastriques descendant à la région ombilicale, puis à l'hypogastre et qui cèdent après une heure de la prise du Xanax. Durant son séjour, nous notons que les crises d'angoisse sont déclenchées par les changements, surtout inattendus. Donc, nous anticipons avec lui chaque changement en lui laissant le temps pour intégrer les informations et effectuons les changements ensemble. Au cours des entretiens avec le patient, nous abordons la thématique des crises d'angoisse par rapport aux événements de cette dernière année et demie. Un ajustement du dosage de la mirtazapine à 15mg a été privilégié afin de profiter de son effet anxiolytique. Il ressent moins d'angoisse lorsqu'il est dans des espaces communs. Le patient évoque un intérêt pour des séances d'hypnose, raison pour laquelle nous lui proposons d'intégrer l'accueil de jour à la Villa St-François afin de profiter des séances d'hypnose ainsi que d'un soutien psychologique, ce qu'il accepte avec enthousiasme. Mr. Y présente une malnutrition protéino-énergétique modérée avec un NRS à 4/7 et un poids à l'entrée de 38kg et BMI à 14 kg/m2 pour lequel il n'a pas de plainte et réfère avoir toujours eu un poids aux alentours de 40kg. Il est décidé d'un commun accord de retirer la sonde le 15.01.2018. Nous constatons une évolution favorable avec une prise de poids progressive (40.1kg le 17.01.2018). Nous organisons avec l'accord de Mr. Y une suite de prise en soins étoffée et ajustée à ses besoins actuels, notamment avec les soins à domicile, aide pour le ménage, un suivi palliatif par Voltigo et une possible aide pour faire les courses, ainsi que l'accueil du jour. Mr. Y peut regagner son domicile le 18.01.2018. Nous gardons le lit 48h00 si besoin. Mr. Y est un patient de 53 ans connu pour un carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit en rémission et une BPCO qui se présente aux urgences pour une dyspnée stade IV en péjoration et des expectorations sanguinolentes. Une décompensation BPCO ainsi qu'une décompensation cardiaque sont retenues. Le patient bénéficie d'un traitement de Salbutamol, Atrovent et Prednisone pour sa décompensation BPCO et un traitement par Furosemide puis Torem est introduit pour sa décompensation cardiaque. Le CT thoracique ne montre pas de foyer infectieux ni d'embolie pulmonaire. Nous notons cependant un petit syndrome inflammatoire biologique, raison pour laquelle il bénéficie d'une antibiothérapie avec une bonne évolution clinique et biologique. A sa sortie, le patient reste cependant oxygénodépendant avec une dyspnée et une saturation diminuant au moindre effort. Dans ce contexte, nous organisons une oxygénothérapie à domicile, ainsi qu'une prise en charge physiothérapeutique en ambulatoire. Nous suggérons la poursuite de la prise en charge auprès de sa pneumologue traitante, chez laquelle un rendez-vous est déjà fixé au 28.02.2018. Lors du CT thoracique, on met en évidence un épanchement péricardique de 2cm confirmé à l'échocardiographie lequel nous introduisons un traitement de Prednisone et Colchicine. Nous effectuons des échocardiographies de contrôle qui montrent une diminution lente de l'épanchement péricardique. Nous ne retenons pas l'indication à un drainage étant donné qu'il n'y a pas assez de liquide et que la mortalité d'une ponction (5-10%) surpasse le bénéfice diagnostique attendu. Le patient sera par ailleurs convoqué pour un contrôle échocardiographique dans un mois. Le patient rentre à domicile. Etant donné qu'il vit seul, en cas de péjoration de son état, une aide à domicile pourrait être envisagée. Mr. Y, 81 ans, est admis aux soins intensifs le 30.01.2018 pour une surveillance post opératoire après thrombendartériectomie de la carotide interne droite. Il s'agit d'un patient connu pour une FA asymptomatique anticoagulée par Xarelto, HTA traitée, ainsi qu'une artériopathie cérébro-vasculaire importante avec notamment une sténose à plus de 75% de l'artère carotide interne droite avec une plaque instable. Compte tenu de la morphologie de la plaque ainsi que de l'anamnèse familiale positive (2 frères décédés d'AVC) l'indication à une opération est retenue. Il bénéficie le 30.01.2018 d'une TEA de l'artère carotide interne droite avec plastie d'élargissement. Il est initialement très labile au niveau tensionnel avec nécessité de hautes doses de nitroprussiate, qui peut être rapidement sevré. Afin de maintenir une pression artérielle dans les cibles post-opératoires de 120-130 mmHg, il nécessite cependant une quadrithérapie par candesartan, amlodipine, phyiotens et labetalol. Au vu d'une évolution favorable, il est transféré dans le service de chirurgie le 31.01.2018. Mr. Y présente des coxarthroses avancées suite à des nécroses avasculaires des têtes fémorales du côté droit de stade FICAT III et du côté gauche stade FICAT II. Le patient est par contre plus symptomatique à gauche qu'à droite raison pour laquelle nous posons d'abord l'indication opératoire pour la hanche gauche. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Je le rends attentif au fait que les douleurs qui proviennent de son problème de dos ne sont pas gérées par l'implantation de prothèse totale de la hanche. Le patient a bien compris. Le consentement est signé. Il est prévu l'implantation d'une prothèse totale hanche gauche par voie antérieure. Mr. Y présente, depuis de nombreuses années, une tuméfaction épigastrique modérément douloureuse. Ces douleurs épigastriques augmentent depuis environ 3 semaines et sont plus marquées si le patient soulève des charges lourdes ou s'assoit. Il ne présente pas de nausée, ni de vomissement, ni de constipation. Au status, abdomen souple, sans défense ni détente, sensible en fosse iliaque droite. Bruit hydroaériques normaux en tonalité et en fréquence. Lors de la manœuvre de Valsalva, palpation d'une volumineuse hernie de la ligne blanche xipho-ombilicale par diastasis des muscles grands droits. Cette hernie est réductible et douloureuse. Elle est de plus en plus gênante pour le patient, raison pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication le 17.01.2018, puis le patient bénéficie d'une surveillance à l'unité de lits monitorés durant 24 heures. Les suites sont simples, le patient est afébrile et la reprise de l'alimentation et du transit se passe sans difficulté. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard habituelle. Le contrôle biologique effectué avant la sortie montre une hémoglobine à 137 g/l, la CRP est en baisse à 59 mg/l. La cicatrice est calme et propre. Mr. Y peut retourner à domicile le 22.01.2018. Nous lui avons recommandé d'effectuer de la physiothérapie respiratoire, 3 à 4 fois par jour, et de porter la ceinture abdominale durant 6 semaines.Monsieur Cotting Alphonse, patient de 76 ans, connu pour un adénocarcinome colorectal avec métastases tibiale, iliaque et sacrée, opéré par recto-colectomie avec iléostomie et actuellement sous chimiothérapie et radiothérapie palliatives, nous est adressé par son oncologue traitant, le Dr. X, pour des douleurs sur fistule ano-cutanée connue de longue date et suivie par de nombreux intervenants. L'examen clinique met en évidence une fistule ano-cutanée ainsi qu'une nouvelle fistule cutanéo-cutanée para-anale avec écoulements d'urine, mélangés à des écoulements purulo-sanguinolents ainsi qu'une absence de revêtement cutané allant des fesses au scrotum. Nous réalisons une IRM pelvienne qui met en évidence une fistule vésico-anale et la fistule ano-cutanée. Nous contactons les différents spécialistes s'occupant du patient (Dr. X, Dr. X et Dr. X) afin de mettre en place une prise en charge multidisciplinaire. Du point de vue oncologique, la chimiothérapie prévue le 19.01.2018 est annulée. Du point de vue proctologique, le Dr. X ne propose pas de traitement avant la résolution du problème de fistule vésico-anale. Cette attitude est à rediscuter dès la résolution du problème d'écoulement vésico-anal. Du point de vue urologique, le Dr. X propose de revoir le patient dans le courant de la semaine du 29.01 au 02.02.2018 afin de discuter des différentes alternatives de traitement chirurgical. Le patient n'ayant pas encore été vu le 31.01.2018, nous vous proposons de recontacter le Dr. X qui a proposé de voir le patient dès son transfert à Meyriez. Du point de vue stomatologique, le patient est vu par l'équipe de stomatothérapie de l'HFR Fribourg qui instaure un nouveau protocole de pansement. Le patient sera également suivi par l'équipe de l'HFR Fribourg lors de son séjour à Meyriez. Du point de vue de la gestion de l'antalgie, nous maintenons dans un premier temps le traitement par effentora et patch de fentanyl avec une réponse thérapeutique mitigée. Nous instaurons ensuite un traitement de prégabaline 50 mg 2x/jour. Puis, au vu de l'échec thérapeutique avec cette combinaison médicamenteuse, nous décidons d'instaurer un traitement par méthadone avec morphine en pompe. Le patient tolère bien la méthadone, mais la gestion des douleurs est encore suboptimale au moment de son transfert à Meyriez. Nous vous proposons la poursuite de ce traitement jusqu'à obtention d'une antalgie optimale avec un relais de la morphine par des réserves d'effentora. Nous recommandons également le maintien de la prégabaline dans le traitement d'office. De même, en prévision d'un éventuel retour à domicile, l'équipe Voltigo passera à Meyriez dans le courant de la semaine du 05.02 au 09.02.2018 afin de présenter les différentes options de suivi au patient. À noter que le patient présente un état fébrile le 27.01.2018, spontanément résolutif. Les hémocultures sont négatives. La culture de prélèvement de la fistule anale met en évidence quelques staphylococcus aureus, quelques serratia marcescens, quelques proteus sp. et la culture de prélèvement de la plaie du cystofix met quelques serratia marcescens et quelques proteus sp. en évidence. Aucune antibiothérapie n'est instaurée et le patient ne présente pas de récidive d'état fébrile. De même, un syndrome inflammatoire est spontanément régressif avec une CRP de sortie à 39. Nous vous laissons le soin de poursuivre la prise en charge antalgique ainsi que d'assurer le suivi par les différents intervenants. Monsieur Crausaz, âgé de 82 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'Inselspital pour une neuro-réadaptation suite à un AVC ischémique cortical para-central gauche le 06.12.2017 avec thrombolyse le jour même et endartériectomie de la carotide gauche le 11.12.2017. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il souhaite récupérer totalement la force au niveau de l'hémicorps droit. Il dit présenter une dysesthésie des trois premiers doigts de la main droite. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. Les nerfs crâniens sont intacts. Le tonus est normal. Force musculaire à M4 à l'hémicorps droit avec trouble de la marche et de l'équilibre. Apallesthésie malléolaire ddc ainsi qu'une hypopallesthésie géniculaires sans trouble sphinctérien. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence un profil cognitif d'intensité légère et compatible avec l'AVC ischémique cortical para-central gauche du 06.12.2017 (cf rapports détaillés en annexe). Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie avec une évolution favorable. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec une canne dans tout le périmètre de l'hôpital, et sans moyen auxiliaire sur de courtes distances. Il peut monter/descendre les escaliers avec la rampe. Le test de Tinetti à la sortie est de 26/28. En ergothérapie, un traitement de la cicatrice de l'endartériectomie a été effectué avec évolution favorable. Une désensibilisation des trois premiers doigts droits ainsi qu'un travail de la dextérité ont permis une évolution assez favorable. Après six semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Crausaz peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 24.01.2018, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire. Monsieur Crausaz sera revu pour une consultation interdisciplinaire le 21.03.2018 à l'HFR Billens. Monsieur Crausaz est un patient de 40 ans qui a bénéficié le 13.12.2017 d'une résection laparoscopique d'un adénome inflammatoire du segment VII du foie. Il consulte en raison de douleurs de l'hypochondre droit accompagnées d'une dyspnée et d'un état fébrile. Le CT met en évidence une collection sur le lit de résection hépatique ainsi qu'un épanchement pleural droit. Un drain thoracique est mis en place, permettant une évolution favorable de cet épanchement probablement réactionnel. La collection hépatique est drainée sous guidage scannographique et rend de la bile, confirmant le diagnostic de biliome post-opératoire surinfecté. Des cultures des liquides du drain thoracique et du Pigtail du biliome ont été effectuées et reviennent négatives. Entre-temps, l'antibiothérapie par Ceftriaxone puis par Ciprofloxacine a dû être arrêtée pour cause de réactions allergiques. Après discussion avec les infectiologues, le patient bénéficie d'un traitement par Métronidazole pour une durée de six jours. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le drain thoracique peut être enlevé le 13.01.2018. Le patient rentre à domicile après le retrait du Pigtail du biliome le 16.01.2018.Monsieur Cudré-Mauroux, 63 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et valvulaire avec pose de bioprothèse aortique et pontage aorto-coronarien le 02.11.2017, nous est adressé le 24.01.2018 par les urgences du HiB Payerne en raison d'une suspicion d'endocardite sur valve prothétique. Le patient présente depuis 3 semaines une baisse de l'état général avec état fébrile et syndrome inflammatoire marqué. Cliniquement, hormis un souffle aortique systolique possiblement déjà présent, le reste du status est sans particularité notamment pas de signe pour un foyer infectieux ni d'embolisation septique. Le 24.01.2018, les deux paires d'hémoculture prélevées à Payerne se positivent pour un coque en chaînette. Une échocardiographie transoesophagienne montre une possible végétation sur la valve mitrale et une image qui pourrait correspondre à un abcès au niveau de la bioprothèse aortique. Sur avis infectiologique, nous remplaçons le Co-amoxicilline par de la Vancomycine et de la Gentamycine. Monsieur Cudré-Mauroux est transféré au CHUV le 25.01.2018 pour suite de la prise en charge en chirurgie cardiaque. Monsieur Curty, porteur d'une bioprothèse aortique posée en 2007, désinsérée partiellement en 2010, d'un pace-défribrillateur pour des épisodes de flutter ventriculaire et connu pour un status post AVC cérébelleux en 2010, est hospitalisé le 01.01.2018 pour une pneumonie multilobaire à Pseudomonas aeruginosa sur des poumons très emphysémateux avec bronchiectasies. Le patient avait consulté le service des urgences en raison d'une dyspnée en péjoration avec toux, expectoration et hémoptysies. Il avait présenté également un état fébrile à 39.2° avec frissons solennels. À noter l'introduction d'un traitement par céfuroxime par le médecin traitant pendant une semaine sans amélioration clinique. La clinique associée à un syndrome inflammatoire marqué et une radiographie thoracique montrant de multiples foyers motivent une antibiothérapie par Tazobac IV accompagnée de physiothérapie respiratoire et aérosols. Pendant son séjour, une adaptation des doses antibiotiques en fonction de la fonction rénale et des taux résiduels est effectuée. Le Sintrom est mis en pause en raison des hémoptysies avec un INR supra thérapeutique à l'entrée. L'évolution n'est pas favorable avec persistance des hémoptysies et de l'insuffisance respiratoire hypoxémique. Il présente une insuffisance rénale aiguë d'origine rénale avec hématurie microscopique et protéinurie. L'anamnèse retrouve dans le passé des plaintes au niveau ORL avec épistaxis et sinusites à répétition. Les ANCA anti MPO reviennent positifs. Une granulomatose avec polyangéite (maladie de Wegener) est fortement suspectée. Une bronchoscopie diagnostique suite à une insuffisance respiratoire hypercapnique dans un contexte d'hémorragie alvéolaire est réalisée le 11.01.2018. Le patient est admis aux soins intensifs pour surveillance. L'évolution post-bronchoscopie est marquée par un état d'agitation post retrait du masque laryngé nécessitant une intervention après échec de VNI. L'évolution est favorable permettant une extubation le 13.01.2018 puis en raison de la stabilité clinique, le patient est transféré à l'étage le 16.01.2018. Un traitement par Endoxan 750 mg IV est débuté (1ère dose) le 12.01.2018 sur avis néphrologique avec prochaine dose éventuelle le 22.01.2018. Le patient a été mis initialement sous solumedrol et un switch par Prednisone oral 1 mg/kg est fait le 15.01.2018. La fonction rénale s'améliore initialement puis se péjore à nouveau avec probable composante de syndrome cardio-rénal et glycosurie dans un contexte de diabète cortico-induit. Sur avis des pneumologues et néphrologues, le patient est mis sous antibiothérapie prophylactique pour le Pneumocystis. Des biopsies rénales transjugulaires et de la muqueuse de la narine à droite sont effectuées le 18.01.2018. Le 19.01.2018, les résultats histologiques sont encore en attente. Le 19.01.2018, dans un contexte de surcharge volémique, une ETT est effectuée qui montre une insuffisance aortique importante (grade 4/4) périprothétique sur déhiscence complète de sa bioprothèse aortique avec FEVG conservée à 60%. Nous prenons l'avis de la chirurgie cardiaque qui suggère un transfert avant une possible intervention chirurgicale. Le patient est transféré au CHUV en chirurgie cardiaque le 19.01.2018 dans un contexte de prise en charge multidisciplinaire chez un patient nécessitant une chirurgie cardiaque. Monsieur Da Costa Barbosa, 56 ans, a été admis le 23.01.2018 pour une insuffisance respiratoire hypoxémique multifactorielle. Il s'agit d'un patient aux lourds antécédents oncologiques et infectieux cités ci-dessus. Il est réadmis aux soins intensifs dans un contexte de dyspnée et tachypnée depuis plusieurs jours d'origine probablement mixte (suspicion d'hémorragie alvéolaire, possible infection avec bactériémie mixte à Stenotrophomonas maltophilia, Staphylococcus epidermidis et Enterococcus faecium le 18.01.2018). Le bilan montre un infiltrat du lobe inférieur droit compatible avec l'hémorragie alvéolaire versus infiltrat d'origine infectieuse. Le patient bénéficie de séances de ventilation non invasive et de physiothérapie respiratoire sans autre modification de ses traitements antibiotiques et corticothérapie. L'évolution est favorable avec récupération dès le 24.01.2018 de son état préexistant avec une tachypnée à 35/min au repos et jusqu'à 50/min au moindre effort mais une bonne saturation à 93-94% sous air ambiant. À noter une légère hyperurémie et hyperphosphatémie sans signes pour un syndrome de lyse. Le patient est également orthostatique et légèrement tachycarde à 110/min. Dans ce contexte, son traitement diurétique est mis en suspens. Le patient est retransféré à l'étage le 24.01.2018. Monsieur Da Costa Duarte nous est adressé par son médecin traitant pour bilanter une anémie sévère mesurée à 35G/L le 23.01.2018. Le patient rapporte une fatigue avec pâleur depuis plusieurs années, péjorée récemment par une dyspnée à l'effort associée à des DRS oppressantes et un épisode de syncope sans perte de connaissance avec voile noire. Le patient bénéficie de plusieurs transfusions érythrocytaires et de Ferinject avec amélioration de l'hémoglobine et une production de réticulocytes. Au vu de la bonne tolérance de l'anémie sévère du patient, nous suspectons une origine spoliative à bas bruits raison pour laquelle nous faisons des examens endoscopiques et commençons un traitement d'IPP en IV. Dans l'absence de saignement visualisé à l'OGD, nous faisons une colonoscopie qui ne montre pas de saignement non plus. Pour compléter le bilan, une entéro-IRM est prévue à la recherche d'une source de malabsorption ou une tumeur stromale digestive. Les recherches d'anticorps anti Transglutaminase, Anti-endomysium et de sang occultes sont négatives. Dans le contexte d'une clinique parlant pour une hépatomégalie avec des valeurs de bilirubines élevées, un ultrason abdominale est organisé qui ne montre pas d'hépatomégalie ni de splénomégalie. Monsieur Da Costa Duarte rentre à domicile le 30.01.2018. Monsieur Da Costa nous est adressé depuis son domicile pour adaptation de l'antalgie et dans un contexte d'épuisement du réseau.A son entrée, il décrit des douleurs irradiant depuis la mâchoire en cervical et en occipital. Ces douleurs sont parfois progressives et parfois sous forme de pics intenses et brutaux. Nous proposons donc à Mr. Y une augmentation des réserves d'oxynorme (qui soulagent bien les douleurs progressives mais pas assez longuement), ce qu'il accepte, et l'introduction d'effentora pour les pics incidents, ce que Mr. Y refuse, en ayant déjà reçu sans grand effet par le passé. Cette modification permet selon Mr. Y une amélioration de son antalgie. L'hospitalisation avait initialement également été proposée dans le but de permettre à l'épouse de Mr. Y de reprendre un peu d'énergie, celle-ci s'occupant beaucoup de Mr. Y en plus de ses 3 enfants et de son travail de nuit, le couple vivant dans un certain isolement par ailleurs. L'évocation de cette situation est source d'importantes tensions dans le couple, le contexte aigu de progression oncologique et l'arrivée dans l'univers des soins palliatifs nous semblant aggraver un conflit de couple déjà présent de longue date. Plusieurs entretiens interdisciplinaires, notamment en présence du psychologue de l'équipe, peuvent avoir lieu. Mr. Y se montre alors très projectif et dénigrant à l'égard de son épouse en notre présence, lui reprochant d'être la cause de tous ses maux. La mort est décrite comme un sujet tabou par Mr. Y et Mme. Y, aucun ne parvenant à l'élaborer, que cela soit au sein du couple ou avec d'autres personnes. Les trois enfants ne seraient en outre pas au courant de la gravité de la situation médicale de leur père. Nous proposons au couple notre soutien s'il souhaite les informer durant l'hospitalisation, ce que Mme. Y et Mr. Y refusent. Mr. Y évoque par la suite des idées suicidaires scénarisées, sans pouvoir s'engager à ne pas passer à l'acte, avant de se rétracter et d'accepter une augmentation de l'anxiolyse. Nous demandons l'avis téléphonique du Dr. X (psychiatrie de liaison) qui ne retient pas l'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique, mais suggère une augmentation du traitement anxiolytique de fond, raison pour laquelle nous introduisons du tranxilium en plus du temesta après discussion avec Mr. Y. L'hospitalisation est plus décrite comme une source de souffrance que comme un soutien, la confrontation à la mort étant insoutenable. Nous convenons donc d'un retour à domicile avec suite de prise en charge comme prévu en oncologie (Dr. X pour le suivi général et la gestion de l'antalgie, Dr. X pour les chimiothérapies) et en ORL. Le PPS à l'entrée est estimé à 70% et l'index de Barthel à 90%. Le retour à la maison peut avoir lieu avec reprise des soins à domicile le 23.01.2018. Mr. Y, 56 ans, a été admis aux soins intensifs le 29.12.2017 pour une néoplasie myéloproliférative compliquée d'une CIVD et d'un syndrome d'activation macrophagique, nécessitant une chimiothérapie en urgence. Il est hospitalisé dans le service de médecine interne depuis le 13.12.2017 pour prise en charge d'une néoplasie myéloproliférative liée aux chimiothérapies. La chimiothérapie d'induction a été repoussée au vu d'une infection de la paroi abdominale à Nocardia. L'évolution a malheureusement été défavorable avec un syndrome d'activation des macrophages motivant l'initiation de la chimiothérapie en urgence le 29.12.2017 par Cytosar et Zavedos (7+3). Les suites sont compliquées d'un syndrome de lyse tumorale traité par hyperhydratation, avec une hyperphosphatémie nécessitant l'introduction de phosphonorm, avec évolution favorable. Il développe une CIVD nécessitant des transfusions plaquettaires récurrentes, du fait d'une mauvaise réponse. Le seuil transfusionnel est fixé pour les plaquettes à 5 G/l et pour l'hémoglobine à 70 g/l. De l'acide tranexamique est poursuivi au vu du risque hémorragique. Une insuffisance respiratoire hypoxémique dans le contexte d'une surcharge hydrique a évolué favorablement sous ventilation non invasive, oxygénothérapie à haut débit (Optiflow) et diurétiques. L'hématome de paroi infecté par Nocardia a été drainé chirurgicalement le 21.12.2017. Une antibiothérapie de Bactrim sera poursuivie pour une durée minimale de 3 semaines, à adapter selon l'avis des infectiologues. Des soins locaux ont été effectués avec mise en place d'un pansement aspiratif (VAC) sous-cutané dès le 03.01.2018 en chambre et qui sera à changer de façon itérative tous les 3 jours environ par nos collègues chirurgiens. Une insulinothérapie a été initiée dans le contexte d'hyperglycémies secondaires à la corticothérapie. Cette dernière se terminant le 04.01.2018, les doses d'insulatard seront à adapter. Mr. Y est un patient âgé de 33 ans, connu pour un épisode de colique néphrétique droit le 29.12.2017 qui se présente le 02.01.2018 avec une récidive de symptôme. L'uro-CT met en évidence un calcul de 4x5mm à la jonction urétéro-vésicale. Le patient est hospitalisé en urologie pour antalgie. L'évolution est favorable avec un patient asymptomatique à J-1, sans expulsion du calcul à la filtration des urines. Le patient peut quitter notre service le 04.01.2018 avec comme consigne de filtrer ses urines et continuer le traitement d'alpha-bloquant. Il sera revu à la consultation du Dr. X à 10 jours. Mr. Y est un patient de 33 ans, connu pour une colique néphrétique droite avec lithiase de 4mm à la jonction urétéro-vésicale diagnostiquée le 29.12.2017, qui présente une deuxième récidive de symptomatologie. Un ultrason confirme la présence encore actuelle du calcul et le patient bénéficie le 05.01.2018 d'une urétéroscopie avec fragmentation du calcul et pose de sonde double J au bloc opératoire. L'évolution est favorable avec bonne reprise de la miction suite à l'ablation de la sonde vésicale. Le patient quitte notre service le 06.01.2018 pour un retour à domicile. Il sera revu en ambulatoire à la consultation du Dr. X. Mr. Y, patient de 89 ans, connu notamment pour une sténose aortique modérée, des troubles du tonus de l'hémicorps droit suite à un AVC en 2012 est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine probablement multifactorielle. Le patient avait consulté les urgences pour une baisse de l'état général avec chutes récidivantes à domicile sans traumatisme crânien ou perte de connaissance accompagnées d'une gêne respiratoire décrite comme une oppression avec dyspnée et toux grasse sans expectoration. A noter qu'un scanner thoracique en 2014 montrait déjà une atteinte pulmonaire avec bronchectasies, des zones d'air trapping et un épaississement bronchique diffus pouvant entrer dans le cadre d'une exposition professionnelle à des toxiques et d'un tabagisme passif ancien. Un ECG et des troponines normales permettent d'exclure un SCA. En raison d'une différence tensionnelle significative aux deux bras, nous réalisons un scanner qui ne montre pas de dissection aortique. Au vu de la clinique, d'un syndrome inflammatoire et de l'imagerie scannographique, nous retenons une pneumonie communautaire bibasale que nous traitons par antibiothérapies et physiothérapie respiratoire. Dans un contexte de décompensation cardiaque gauche légère, nous majorons également les diurétiques qui permettent une nette amélioration des symptômes et un sevrage en oxygène rapide. L'ETT réalisée montre une bonne fonction d'éjection du ventricule gauche sans autre anomalie notable. Au scanner nous découvrons fortuitement un tassement L4 avec discret recul du mur postérieur et une thrombose occlusive de l'artère iliaque interne. Au vu du contexte général et étant donné que le patient n'est pas symptomatique, nous n'effectuons pas plus d'investigations. La situation semblant précaire à domicile, nous prenons contact avec la famille de Monsieur Dafflon. Rapidement il ressort qu'un retour à domicile est désormais compromis. En accord avec le patient et ses proches, le patient sera admis en EMS à sa sortie de l'hôpital. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Davet est hospitalisé le 08.01.2018 pour mise en place de pacemaker pour une dysfonction du sinus avec bradycardie sinusale. Pour rappel, le patient a bénéficié d'une coronarographie début novembre 2017 avec mise en place d'un stent actif dans l'IVA au vu d'une subocclusion en corrélation avec des douleurs rétrosternales oppressantes et de la dyspnée. Cette dyspnée persiste malgré l'intervention et un test d'effort le 04.01.2018 met en évidence une bradycardie sinusale sur dysfonction sinusale. Le patient bénéficie ainsi de la pose d'un pacemaker en mode AAI-DDD, avec un rythme programmé à une fréquence cardiaque de 60/min, avec amélioration de la dyspnée dans les suites. Cliniquement on note la présence d'un hématome en regard du site opératoire, sans emphysème sous-cutané, qui ne nécessite pas d'intervention. Monsieur rentre à domicile le 09.01.2018. Monsieur Davet est un patient de 74 ans, connu pour de nombreuses comorbidités, qui présente une hématurie macroscopique depuis une chute de sa hauteur le 10.01.2018. Le patient se présente aux urgences avec une rétention urinaire aiguë et une sonde vésicale 3 voies est posée pour un décaillotage. Le rinçage continu associé à des rinçages manuels permet de retrouver des urines claires et la sonde vésicale peut être retirée le 13.01.2018 avec une bonne reprise des mictions. Aux urgences, le patient présente également une insuffisance aiguë dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique probablement d'origine pré- et postrénale. Après avis de nos collègues infectiologues, nous arrêtons les traitements diurétiques et introduisons le Néphrotrans et le Résonium le 19.01.2018. Malgré cette modification du traitement habituel, la créatininémie ne se corrige que partiellement et reste supérieure à 200 mcmol/l. Monsieur Davet présente également une baisse d'état général probablement dans le contexte d'une virose dont il souffre depuis maintenant 10 jours. L'état général s'améliore nettement dès le 22.01.2018. Le patient est transféré dans le service de réhabilitation de Billens le 24.01.2018. Nous laissons le soin à nos collègues de Billens de suivre l'évolution de la fonction rénale et de réadapter le traitement si nécessaire. Monsieur de Hennezel est un patient connu pour une cardiopathie ischémique qui présente une dyspnée d'effort en aggravation. Un test d'effort et un Holter effectués en ambulatoire amènent à l'indication d'une pose de pacemaker. L'intervention est effectuée sans complication et les contrôles radiologique et électronique sont dans la norme. La plaie reste calme et le patient sera revu dans une semaine par son médecin traitant pour un contrôle local. Il sera contacté par le service de cardiologie pour un contrôle à distance. Nous proposons uniquement une antalgie par Dafalgan et Tramal. Le patient est informé de reconsulter précocement en cas d'évolution défavorable de la plaie. Monsieur De Phino Soares est un patient de 27 ans connu pour des abcès cutanés récidivants. Il se présente aux urgences avec un abcès périnéal. Il bénéficie d'une incision au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans particularités. Monsieur De Phino Soares rentre à domicile le 18.01.2017. Monsieur Decorvet, connu pour une BPCO GOLD IV, consulte le service des urgences le 17.01.2018 pour une péjoration de sa dyspnée depuis deux semaines. Depuis environ 10 jours, le patient a bénéficié d'une oxygénothérapie à domicile dans ce contexte sans réelle amélioration des symptômes. Les investigations mettent en évidence une décompensation de BPCO avec une insuffisance respiratoire globale, motivant une hospitalisation. Comme facteur déclenchant, nous retrouvons une mauvaise compliance médicamenteuse chez un patient avec des troubles cognitifs et mnésiques, avec des possibles oublis selon l'hétéro-anamnèse. Nous mettons en place un traitement bronchodilatateur, une corticothérapie per os ainsi que des séances de VNI intermittentes menant à une bonne évolution des symptômes. Cependant, le patient reste tout de même symptomatique du point de vue de la dyspnée avec amélioration mais persistance de l'insuffisance respiratoire globale et désaturation. Après un téléphone avec le Dr. X (pneumologue), ce dernier nous raconte avoir vu le patient en 2016 pour un bilan et avait alors proposé une réhabilitation pulmonaire dont Monsieur Decorvet n'a jamais bénéficié. Nous encourageons le patient à prendre contact avec le Dr. X pour reprendre le suivi pulmonaire au vu de l'insuffisance respiratoire persistante. Au vu de l'âge du patient et des comorbidités, nous organisons une réadaptation gériatrique. De plus, nous retenons l'indication à la mise en place d'une aide à domicile dans le contexte des oublis médicamenteux, et vous laissons le soin d'organiser en fonction de la date de sortie prévue de la réhabilitation. Parallèlement, nous mettons en évidence une décompensation cardiaque dans le contexte de la décompensation BPCO. Nous introduisons un traitement diurétique et majorons la Digoxine, avec une bonne évolution clinico-biologique (Digoxinémie à 1 nmol/l après 3 doses supplémentaires). Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication aux diurétiques au long cours. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le patient est en attente d'une réadaptation gériatrique à HFR Tafers. Monsieur Decroux est un patient de 76 ans connu pour un carcinome de la vessie qui a bénéficié le 08.01.2018 d'une résection transurétrale de la vessie par le Dr. X au Daler. Les suites opératoires ont été simples jusqu'au 20.01.2018, jour où le patient présente subitement des douleurs para-vertébrales droites suivies d'un état fébrile qui poussent le patient à consulter aux urgences de l'HFR-Fribourg. Devant ce tableau clinique avec un syndrome inflammatoire et des urines présentant des leucocytes, des nitrites et une flore bactérienne, nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite et introduisons une antibiothérapie par Ceftriaxone intraveineux dès le 21.01.2018. Un ultrason des voies urinaires le 22.01.2018 ne montre pas de dilatation pyélocalicielle. Le patient est transféré en accord avec le Dr. X au Daler le 22.01.2018 pour la suite de la prise en charge.Monsieur Defferrard est un patient de 61 ans, connu pour une hypertension artérielle et porteur d'un défibrillateur non dépendant pour une hypertrophie ventriculaire, qui consulte les urgences pour des douleurs abdominales d'installation progressive en fosse iliaque gauche accompagnées de diarrhées et de frissons à répétition. Le CT abdominal montre une diverticulite sigmoïdienne, vraisemblablement perforée mais secondairement couverte. Nous instaurons un traitement conservateur par Pipéracilline / Tazobactam intraveineux pour une durée de 5 jours avec une évolution favorable. Nous effectuons un relais per os par Co-Amoxicilline pour une durée totale de 14 jours. Le patient rentre à domicile le 23.01.2018 avec une colonoscopie de contrôle prévue dans 6-8 semaines. Monsieur Degex est un patient de 84 ans connu pour des troubles de déglutition d'origine mixte (carcinome ORL) alimenté par PEG, une FA à conduction rapide sous Sintrom et pacemaker qui est hospitalisé dans un contexte de décompensation cardiaque. Rappelons que Monsieur était hospitalisé du 07.12 au 20.12 pour une pneumonie bibasale à Riaz où le traitement habituel aurait été modifié. Nous effectuons une ETT le 03.01 qui montre une insuffisance mitrale sévère (grade 4/4) déjà connue et stable selon le Dr X. L'indication à une prise en charge conservatrice avait déjà été discutée auparavant. Nous concluons à une insuffisance cardiaque sur insuffisance de traitement et nous ajustons le traitement de diurétique jusqu'à résorption des œdèmes et retour au poids habituel de 67 kg. Le patient peut rentrer à domicile le 08.01.2018. Monsieur Delaloye nous est adressé en urgence depuis le domicile en raison d'une aggravation rapidement progressive de sa dyspnée. À son arrivée dans l'unité, il se plaint effectivement d'une dyspnée de repos intense et est visiblement en détresse respiratoire. En raison d'un état fébrile et de râles à l'auscultation, cette péjoration est mise sur le compte d'une pneumonie surajoutée aux multiples pathologies respiratoires de Monsieur Delaloye. Il exprime alors clairement son souhait que nous traitions ce nouvel événement aigu. Après discussion également avec la famille, il est décidé de débuter un traitement antibiotique mais de ne pas effectuer de plus amples investigations ou traitements. En cas d'évolution défavorable, des soins de confort seraient décidés. Le patient ayant en outre pris du poids les jours précédents à domicile, le traitement diurétique est augmenté. Un traitement symptomatique par fentanyl en continu est également instauré. À l'entrée, le PPS est estimé à 20 % et l'index de Barthel à 0. L'évolution est marquée par un état confusionnel aigu mixte pour lequel le traitement habituel de quétiapine est repris en plus des traitements étiologiques. L'état clinique de Monsieur Delaloye s'améliore ensuite progressivement. On constate une certaine ambivalence de sa part concernant son état de santé et l'avenir qu'il peut envisager. Il exprime en effet tantôt le regret que l'on ne l'ait pas laissé mourir, tantôt son souhait de retrouver des forces afin de rentrer à domicile. Ce sentiment d'impuissance et d'incertitude occasionne des réactions de colère que nous tâchons d'explorer en équipe interdisciplinaire. Monsieur Delaloye peut verbaliser une certaine angoisse de mort, mais ne souhaite pas élaborer plus en détails. Plusieurs entretiens de famille peuvent avoir lieu et permettent à chacun d'exprimer son vécu de la situation, les fluctuations brutales et fréquentes de l'état de santé de Monsieur étant très pénibles pour tout le monde. Le passage à des soins purement de confort en cas de nouvelle détérioration est décidé, et semble clair pour chacun. Les conditions pour que le retour à domicile puisse s'effectuer de manière adéquate sont discutées et le réseau à domicile renforcé, ce également dans l'idée de soutenir Mme. Y en plus de Monsieur Delaloye, celle-ci étant épuisée. Le volibris étant connu pour occasionner fréquemment une rétention hydrosodée et Monsieur ayant été hospitalisé à plusieurs reprises dans un contexte de décompensation cardiaque, nous mettons ce traitement en suspens avec l'accord de Monsieur Delaloye et de ses proches. Son indication sera rediscutée par les spécialistes suivant le patient pour sa sclérodermie et son HTAP. L'état général de Monsieur Delaloye s'améliore encore par la suite, notamment grâce aux efforts qu'il fournit lors des séances de physiothérapie. Le retour à domicile peut avoir lieu le 26.01.2018 avec le soutien de soins à domicile (infirmière indépendante) et de Voltigo. Nous gardons le lit 48 h si besoin. Le poids sera à surveiller de près avec une augmentation rapide et agressive des diurétiques en cas de besoin. Un contrôle biologique (potassium et INR) sera à effectuer dans la semaine suivant la sortie. Monsieur Delley, connu principalement pour un cancer prostatique métastatique (notamment au niveau osseux), nous est adressé depuis le domicile en raison d'une situation instable avec gestion complexe de l'antalgie et épuisement familial. À son arrivée, il décrit d'intenses douleurs osseuses devenues insupportables depuis environ deux semaines malgré l'augmentation du traitement de fentanyl (patch + réserves sublinguales). À noter que de nombreuses molécules antalgiques (tramadol, oxycodone, méthadone) avaient déjà été essayées par le passé et dû être arrêtées, en raison d'une mauvaise tolérance. Une certaine confusion s'est également installée les derniers jours à domicile, accompagnée d'hallucinations visuelles. Dans le contexte d'antalgie insuffisante et de probable neurotoxicité au fentanyl, nous effectuons une rotation au profit de la morphine qui donne des résultats satisfaisants après quelques adaptations de doses. Nous diminuons en outre le traitement de benzodiazépine, celui-ci pouvant être impliqué dans la confusion, et remplaçons le clorazépam par l'oxazépam (plus courte demi-vie, métabolisme plus simple à gérer). Monsieur Delley décrivant également des douleurs des extrémités de type neurogène, nous augmentons son traitement de prégabaline. En raison d'une suspicion de neurotoxicité à la morphine (apparition de myoclonies), une nouvelle rotation d'opiacés est effectuée au profit de l'hydromorphone. Monsieur Delley peut exprimer avoir été envahi par ses angoisses durant les dernières semaines, se faisant également beaucoup de soucis pour ses proches (s'inquiète de ce qu'il adviendra de son épouse lorsqu'il ne sera plus là, se sent actuellement une charge). Plusieurs entretiens, individuels et de couple, peuvent avoir lieu afin d'en discuter, ce également avec le psychologue et l'aumônier de l'unité. Nous introduisons en outre de petites doses de risperidone à visée anxiolytique et dans un contexte où la pensée de Monsieur Delley nous semble passablement accélérée et parfois un peu désorganisée. La posologie sera à adapter par la suite. Monsieur Delley dit son souhait de ne pas mourir à domicile afin de préserver son épouse, celle-ci n'y étant en revanche pas opposée, raison pour laquelle ils en reparleront par la suite.Un entretien peut également avoir lieu au cours duquel Monsieur exprime son inquiétude concernant son épouse, celle-ci confirmant avoir vécu des moments difficiles et ressentant le besoin d'en parler en thérapie individuelle, afin qu'un espace lui soit consacré à elle, sans que son mari y soit impliqué. Mme. Delley prendra donc contact de son côté avec un thérapeute privé. Monsieur Delley apprécie également beaucoup les massages et la physiothérapie. En raison d'une certaine fatigue et du projet de retour à domicile, nous effectuons une prise de sang qui met en évidence une hémoglobine à 84 G/l avec stabilité des plaquettes. Deux culots érythrocytaires sont donc transfusés le jour même. L'état de Monsieur Delley se stabilisant avec un contrôle satisfaisant des douleurs, et des congés à domicile s'étant bien déroulés, le retour à la maison peut être organisé avec adaptation du domicile et renforcement du réseau (soins à domicile et Voltigo). Monsieur Delley rentre à domicile le 09.01.2018 et poursuivra la prise en charge à l'accueil de jour. Monsieur Delley est hospitalisé le 29.12.2017 pour une récidive de crise d'épilepsie, de type absence. Pour rappel, le patient fut hospitalisé pour une crise d'épilepsie du 25 au 28.12.2017 dans notre service. Lors de ce séjour, il avait bénéficié de l'introduction d'un traitement par Keppra sans récidive de crise après qu'un CT cérébral a exclu un saignement intracrânien. Nous mettons l'actuelle récidive d'épilepsie sur le compte d'un problème de prise médicamenteuse, le patient n'ayant pas reçu le Keppra de la pharmacie par manque de stock. Dans ce contexte, nous ne faisons pas d'autres investigations quant à l'épilepsie et majorons les doses de Keppra sur recommandation de nos confrères neurologues. Après discussion avec le patient et sa famille, il est décidé d'entreprendre une réadaptation gériatrique car un retour à domicile semble difficile dans le contexte d'un risque de chute important et de co-morbidités multiples avec un potentiel de récupération significatif. Dans l'attente d'une place pour une réadaptation, M. Delley reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement. Vous recevrez à sa fin un courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Monsieur Deschenaux est un patient de 56 ans qui nous est transféré de Riaz suite à la découverte d'une masse sub-sténosante perforée du sigmoïde. Le CT met également en évidence de multiples lésions hépatiques compatibles avec des métastases. Nous retenons alors l'indication à une hémicolectomie gauche oncologique. L'intervention se déroule sans complication le 05.01.2018. L'anastomose colo-rectale est faite dans de bonnes conditions et une iléostomie n'est pas nécessaire. L'évolution post-opératoire est marquée par l'apparition d'un état fébrile avec péjoration des paramètres inflammatoires, motivant la réalisation d'un scanner qui ne retrouve pas de fuite de l'anastomose ni de collection intra-abdominale ou autre complication. L'évolution est par la suite favorable et nous expliquons l'épisode fébrile par le contexte post-opératoire et les atélectases. La situation de Monsieur Deschenaux est présentée le 10.01.2018 à notre colloque oncologique multidisciplinaire, avec une décision de chimiothérapie adjuvante, raison pour laquelle le patient bénéficie de la pose d'un port-à-cath le 11.01.2018. Il sera convoqué en oncologie à Riaz pour la suite de la prise en charge. Il rentre à domicile le 13.01.2018. Monsieur Devaud est un patient de 49 ans qui glisse de son tracteur et chute sur les talons le 16.12.2017, occasionnant un traumatisme fermé de son talon gauche. Le 20.12.2017, le patient consulte et le bilan radiologique objective une fracture multi-fragmentaire du calcanéum avec un œdème local modéré. L'indication chirurgicale est retenue, l'intervention étant différée au 22.12.2017, une fois le status local calme. Les suites post-opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre. La plaie chirurgicale présente un écoulement discret dans sa partie distale, se tarissant progressivement jusqu'à la sortie. À ce moment, la cicatrice est calme et sèche, sans signe infectieux. Le membre inférieur gauche est immobilisé dans un Vacoped, la marche se faisant en décharge complète sous la protection de cannes anglaises. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 0,4 ml sc/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines. Le 30.12.2017, Monsieur Devaud peut regagner son domicile avec une antalgie standard efficace. Monsieur Devaud nous est adressé par le Dr. X le 09.01.2018 pour suite de prise en charge d'une dyspnée avec toux grasse et expectorations verdâtres depuis 3 jours ainsi qu'un syndrome grippal avec myalgies et arthralgies depuis environ 10 jours. À l'admission aux urgences, le patient est normocarde, normotendu, fébrile à 38°C et sature à 92% à l'air ambiant. À noter qu'une radiographie du thorax effectuée en ambulatoire a mis en évidence un foyer basal droit. À l'auscultation pulmonaire, nous notons des crépitants fins au niveau de la base droite, sans sibilance. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 121 mg/l et une leucocytose à 13 G/l, et la gazométrie effectuée à l'air ambiant montre une hypoxémie à 7.5 kPa sans hypercapnie. Au vu de l'état fébrile, nous prélevons deux paires d'hémocultures et des antigènes urinaires. Nous concluons à une pneumonie basale droite et instaurons un traitement par Rocéphine 2 g iv. Les antigènes urinaires et les hémocultures reviennent négatives. Nous poursuivons l'antibiothérapie orale par co-amoxicilline 1 g 2x/jour jusqu'au 16.01.2018. Sous antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable, Monsieur Devaud rentre à domicile le 13.01.2018. Monsieur Devaud sera revu en policlinique d'orthopédie pour réfection de pansement et contrôle de cicatrice. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et ablation des fils à 3 semaines post-opératoires. Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. Monsieur Dewarrat, 51 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI subaigu antérieur du 03.01 au 04.01.2018 puis en médecine interne jusqu'au 10.01.2018. Le patient s'est présenté le 02.01.2018 au CHUV avec des symptômes atypiques (dyspnée, asthénie) et un STEMI subaigu antérieur avec dysfonction ventriculaire gauche (FEVG à 37%) a été mis en évidence. Le patient est transféré à l'HFR pour bénéficier d'une coronarographie par le Dr. X avec mise en place d'un stent sur l'IVA moyenne. À noter des lésions sur la coronaire droite et la circonflexe pour lesquelles une coronarographie est prévue le 12.01.2018 en ambulatoire. La fonction ventriculaire gauche est sévèrement abaissée avec une dyskinésie apicale (FE 30%).Une double anti-agrégation plaquettaire d'Aspirine à vie et Brilique pendant 6 mois a été débutée. La dysfonction ventriculaire gauche étant associée à des troubles segmentaires sévères étendus, une anticoagulation thérapeutique par énoxaparine a été initialement introduite puis stoppée en raison de l'absence de thrombus à l'échocardiographie de contrôle avec contraste le 05.01.2018. Du Lisinopril a été débuté prudemment vu le profil tensionnel plutôt bas. Une bradycardie sinusale spontanée à 45/min empêche l'introduction de bêtabloquant. Une hypercholestérolémie est traitée par statine, dont la tolérance devra être évaluée en ambulatoire du fait des antécédents de myalgies secondaires à ce médicament. Le patient a recommencé à se mobiliser selon les paliers habituels à l'aide des physiothérapeutes. Il sera convoqué pour une réadaptation cardio-vasculaire ambulatoire à l'HFR Billens. Il faut noter une thrombocytose modérée à l'admission et dont l'évolution devra être contrôlée à distance. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Dewarrat peut regagner son domicile le 10.01.2018 dans un bon état général. Il se rendra donc à sa deuxième coronarographie du 12.01.2018 en ambulatoire et sera revu le 12.02.2018 à 11h30 par le Dr. X. De plus, nous proposons un suivi des FRCV et de la créatinine post coronarographie par le médecin traitant. Monsieur Dewarrat, 51 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI subaigu antérieur le 03.01.2018. Le patient s'est présenté le 02.01.2018 au CHUV avec des symptômes atypiques (dyspnée, asthénie) et un STEMI subaigu antérieur avec dysfonction ventriculaire gauche (FEVG à 37%) a été mis en évidence. Le patient est transféré à l'HFR pour bénéficier d'une coronarographie par le Dr. X avec mise en place d'un stent sur l'IVA moyenne. À noter des lésions sur la coronaire droite et la circonflexe pour lesquelles une coronarographie est prévue le 12.01.2018. La fonction ventriculaire gauche est sévèrement abaissée avec une dyskinésie apicale (FE 30%). Une double anti-agrégation plaquettaire d'Aspirine à vie et Brilique pendant 12 mois a été débutée. La dysfonction ventriculaire gauche étant associée à des troubles segmentaires sévères étendus, une anticoagulation thérapeutique par énoxaparine a été maintenue dans l'attente des résultats de l'échocardiographie de contrôle avec contraste, prévue le 05.01.2018. Du Lisinopril a été débuté prudemment vu le profil tensionnel plutôt bas. Une bradycardie sinusale spontanée à 45/min a empêché l'introduction de bêtabloquant. Une hypercholestérolémie est traitée par statine, dont la tolérance devra être évaluée en ambulatoire du fait des antécédents d'arthralgies secondaires à ce médicament. Le point de ponction fémoral droit est calme, sans souffle. La mobilisation a été débutée à l'aide du physiothérapeute. Le patient a été transféré dans le service de médecine interne le 04.01.2017. Il faut noter une thrombocytose modérée à l'admission et dont l'évolution devra être contrôlée à distance. Une réadaptation cardio-vasculaire en ambulatoire devra être planifiée à l'HFR Billens. Monsieur Do Carmo Jordao est un patient de 44 ans connu pour une insuffisance rénale chronique de stade avancé, qui est opéré le 23.01.2018 en urgence à l'Hôpital de Aarberg pour une hernie ombilicale incarcérée avec une sortie dans la soirée pour manque de lit. Le patient nous est adressé le 24.01.2018, par son médecin traitant, en raison d'une douleur abdominale diffuse avec signe de subiléus à la radiographie. Le scanner ne montre rien de particulier. Le patient est hospitalisé pour l'adaptation de l'antalgie et une surveillance. L'évolution est favorable sous le traitement conservateur. Monsieur Do Carmo Jordao rentre à domicile le 26.01.2018. Monsieur Domon est un patient de 82 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences suite à un malaise, ayant provoqué une chute le 24.01.2018 dans l'avant-midi, alors qu'il promenait son chien. Traumatisme crânien et amnésie circonstancielle post-grade. Monsieur Domon ne se souvient pas de la suite des événements mais son épouse le retrouve en train de marcher à petits pas en direction de la maison, confus et avec une plaie occipitale. À l'anamnèse, le patient n'émet aucune autre plainte. À l'admission, le patient est en bon état général, bien hydraté, bien perfusé, anictérique et sans cyanose, hémodynamiquement stable, afébrile. Auscultation cardio-vasculaire et pulmonaire sans particularité. L'abdomen et les loges rénales sont souples et indolores. Sur le plan neurologique, le patient est collaborant, orienté dans les trois modes, pupilles isocores et isoréactives. Nerfs crâniens dans la norme. Mingazzini tenu aux membres supérieurs. Force, tonus et sensibilité conservés aux quatre membres. Réflexes ostéo-tendineux vifs et symétriques aux quatre membres. Épreuves cérébelleuses sans particularité. Rachis indolore à la percussion. Présence d'une plaie superficielle de 0,5 cm au niveau occipital, sans atteinte des structures profondes, sans écoulement, ni saignement. Celle-ci est désinfectée et recouverte d'Opsite spray. À noter une vaccination antitétanique à jour. Monsieur Domon est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique. Un CT cérébral est effectué le 25.01.2018 en raison d'un Romberg positif à l'examen neurologique. Le CT permet d'exclure toute lésion d'allure traumatique. Par contre, il met en évidence une probable sinusite fongique au niveau maxillaire gauche et une sinusite chronique sphénoïdale. L'insuffisance rénale aiguë s'améliore avec une créatinine passant de 148 à 122 umol/l le 26.01.2018. Nous vous laissons le soin de procéder à un contrôle de la fonction rénale 1 semaine après la sortie. L'évolution est favorable, avec un status neurologique normal, et Monsieur Domon peut retourner à domicile le 26.01.2018. Monsieur Dorthe consulte les urgences le 02.01.2018 suite à un malaise après le repas. Pas de notion de traumatisme crânien, mais perte de connaissance et apparition d'une oppression thoracique. À l'admission, le patient est pâle et ressent des palpitations. Il est dyspnéique sans tachypnée. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont lointains sans souffle surajouté. Au niveau respiratoire, pas de tirage, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Au niveau digestif, colostomie en place. Le reste du statut est non contributif. L'ECG montre une tachycardie supraventriculaire avec sous-décalage de ST en V4-V5. Nous effectuons les manœuvres vagales, sans effet, raison pour laquelle nous administrons 6 mg d'adénosine iv avec retour à un rythme sinusal à 93/min. La tension artérielle se normalise également et la symptomatologie disparaît. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 117 mg/ et une leucocytose à 11,9 G/l. Le laboratoire met également en évidence une hyponatrémie légère à 134 mmol/l et la créatinine est à 164 umol/l avec Cockroft calculé à 33 ml/min. La radiographie du thorax est suspecte pour un foyer basal droit mais pour rappel le patient est connu pour une masse pulmonaire du lobe inférieur droit non investiguée. À noter que dans ce contexte, un CT scan thoracique est organisé à l'HFR Riaz le 09.02.2018 afin de bilanter la progression de cette lésion diagnostiquée en octobre 2017.Monsieur Dorthe est hospitalisé pour surveillance rythmique. Nous adaptons le traitement de Beloc Zok à 25 mg 2x/j et introduisons le Dilzem 60 mg 2x/j. Durant la surveillance à l'ELM nous ne mettons pas en évidence de tachycardie supra-ventriculaire. Monsieur Dorthe peut regagner son domicile le 04.01.2018. Monsieur Dos Santos est un patient de 36 ans connu pour un goitre nodulaire qui bénéficie d'une thyroïdectomie totale gauche le 24.01.2018. Les suites post-opératoires sont simples. Un contrôle par laryngoscopie le premier jour post-opératoire montre une bonne mobilité des cordes vocales. Après l'ablation du Redon, Monsieur Dos Santos peut retourner à domicile le 27.01.2018. Monsieur Dougoud est un patient de 70 ans, connu pour un hépatocarcinome hépatique du lobe droit et un carcinome adénosquameux pulmonaire du lobe supérieur gauche, qui est hospitalisé de manière élective pour une thermo-ablation d'une lésion du segment iv hépatique dans le cadre d'une récidive de son hépatocarcinome. L'intervention se déroule sans complications. L'US de contrôle s'est révélé sans particularité. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons le patient rentrer à son domicile. Monsieur Dougoud, 55 ans, hospitalisé le 15.01.2018 depuis son domicile pour une réhabilitation palliative dans le cadre d'un cancer pulmonaire métastatique au niveau osseux. En effet, le patient présente depuis juillet 2017 des douleurs lombaires. Les investigations radiologiques-biologiques ont révélé une métastase osseuse au niveau L4 d'un cancer probablement d'origine pulmonaire. Suivi sur le pan oncologique par le Dr. X (HFR Riaz), le patient a déjà bénéficié d'une cure de radiothérapie et de 2 cures de chimiothérapie. Malheureusement en complication de la deuxième cure, le patient a souffert d'un choc septique d'origine pulmonaire ayant nécessité une hospitalisation aux soins intensifs du HFR Fribourg. Au niveau social, Monsieur Dougoud vit dans une maison avec son épouse à la Tour-de-Trême. Il a 3 enfants de 31, 22 et 17 ans. Ancien charpentier, il a dû faire une reconversion professionnelle avec le soutien de l'AI pour un travail de bureau en raison d'une polyarthrite rhumatoïde. À l'entrée, le patient se plaint principalement d'une grande fatigue et d'une dysgueusie survenue suite à la chimiothérapie qui est en amélioration. L'appétit est conservé. Il relate également des douleurs neuropathiques (fourmillements) au niveau de la cuisse gauche aggravées par la mobilisation ainsi qu'une dyspnée à l'effort (a souvent besoin d'oxygène après un effort important). En cours d'hospitalisation, l'antalgie est adaptée en majorant la Pregabaline à 2x100 mg/jour en plus de la poursuite de la morphine permettant un bon contrôle des douleurs. Grâce aux séances de physiothérapie en plus de balades et de séances de fitness en individuel, Monsieur Dougoud récupère progressivement son souffle et sa condition physique. Après deux semaines de réhabilitation, ayant permis une amélioration de la capacité pulmonaire ainsi qu'un reconditionnement global, Monsieur Dougoud peut rentrer à domicile le 26.01.2018. La famille n'éprouve pas le besoin d'intégrer les soins à domicile dans la situation. Ils seront cependant soutenus et accompagnés par l'équipe mobile des soins palliatifs (Voltigo) ainsi que par la ligue contre le cancer. Monsieur Ducarroz est un patient de 53 ans, connu pour une néovessie dans le contexte d'un carcinome urothélial et une maladie thrombo-embolique, qui nous est transféré des soins intensifs pour suite de prise en charge d'une décompensation diabétique mixte acido-cétosique et hyperosmolaire. Pour rappel, il présente depuis quelques semaines une asthénie progressive avec dyspnée, accompagnée d'une polyurie, polydipsie et inappétence. La dyspnée devenant majeure, il est amené en ambulance aux urgences le 14.01.2018. Une décompensation diabétique mixte acido-cétosique et hyperosmolaire avec une glycémie à 54 mmol/l est mise en évidence, et le patient est admis aux soins intensifs pour la suite de prise en charge. Durant son séjour aux soins intensifs, le patient bénéficie d'un traitement d'insuline en IV continue, couplé à des bolus et une hydratation IV. Un relais par insuline lente associée à des bolus d'insuline rapide en pré-prandial peut être fait dès le 15.01.2018. Sur le plan cardiaque, un arrêt de la médication habituelle par Escitalopram est effectué, en raison d'un QT long et du souhait du patient. Les troubles électrolytiques sont également substitués, permettant par la suite une correction partielle du QT long. La surveillance hémodynamique se déroule sans complication et le patient peut être transféré à l'étage de médecine dès le 17.01.18. Sur le plan diabétique, après avis auprès de nos collègues de diabétologie, le traitement introduit aux soins intensifs est adapté avec introduction de Tresiba 100 UI dès le 19.01.2018, et poursuite de l'Humalog d'office et en schéma de réserve. Les glycémies se normalisent par la suite. Le patient sera revu à la consultation de diabétologie de l'HFR Fribourg pour la suite de prise en charge. Nous vous proposons de réaliser les contrôles usuels en ambulatoire concernant le diabète (fond d'œil 1x/an, neuropathie/artériopathie avec contrôles réguliers, LDL cholestérol <2.6 mmol/L, TA <130/80 mmHg). À noter que le patient prendra rendez-vous chez un ophtalmologue à sa sortie de l'hôpital. Le trigger de cette décompensation diabétique pourrait être une infection au vu d'un syndrome inflammatoire élevé, chez un patient toutefois afébrile et sans piste clinique franche. Un urotube revient positif pour Raoultella à 10°5. Après avis infectiologique, il est décidé d'adopter une surveillance clinique. La sonde urinaire est ôtée avec reprise des auto-sondages par la suite. Durant son séjour à l'étage de médecine, le traitement d'Amlodipine est poursuivi, en raison d'un profil tensionnel aux limites supérieures de la norme. Un suivi du profil tensionnel est à effectuer en ambulatoire, avec réévaluation de la thérapie actuelle. Un éventuel relais par IEC pourrait être effectué selon évolution de la fonction rénale. À noter un score de risque PROCAM évalué comme faible. Le patient présente une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale, ayant nécessité une hydratation IV. La valeur de la créatinine s'élève à 140 micromol/l au laboratoire du 22.01.2018. En raison d'une insuffisance rénale probablement chronique, un contrôle régulier de la fonction rénale est à effectuer en ambulatoire. Un rapport micro-albuminurie/créatinurie est à effectuer tous les trois mois (stade KDIGO G3a A2). Au vu de l'évolution clinique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 23.01.2018. À noter qu'à sa sortie, une des bouteilles d'hémoculture revient positive à 5 jours pour un P.acnes, que nous attribuons à un contaminant au vu du bon état général du patient et de l'absence de fièvre. Monsieur Dula, connu pour un diabète de type 2, sous traitement oral depuis 20 ans, présente depuis environ 10 jours un état grippal avec état fébrile non mesuré, toux et sensation de courbatures diffuses. Le patient signale également une pollakiurie, associée à une perte pondérale de 10 kg ces derniers jours, avec perte d'appétit. Ses glycémies sont mal contrôlées. À noter qu'une modification du traitement antidiabétique a déjà été discutée avec vous-même.A l'admission, tension artérielle 129/74 mmHg, index de choc négatif, fréquence cardiaque 79/min, fréquence respiratoire 15/min, saturation 96% à l'air ambiant, température 36,8°C, HGT 23,1 mmol/l. Le status d'entrée est dans la norme. Le bilan biologique montre une CRP à 19 mg/l sans leucocytose. Aux urgences, nous constatons un diabète décompensé pour lequel nous introduisons transitoirement l'insuline. Le 01.01.2018 on note un HbA1C à 10.5 %. Le patient présente notamment des hyperglycémies post-prandiales, sans autre variation pendant la journée. Il nous paraît pour l'instant compliqué d'introduire une insulinothérapie qui n'est pas essentielle pour la sortie de Monsieur Dula que ce dernier réclame au plus vite. Nous organisons un enseignement avec suivi diabétologique à l'HFR Riaz pour l'éducation du patient. Un premier rendez-vous est prévu le 05.01.2018. L'introduction du traitement d'insuline sera organisée en collaboration avec vous-même et le service diabétologique à partir du 05.01.2018 si possible. Monsieur Dual regagne son domicile le 04.01.2018 avec surveillance des glycémies et poursuite de son traitement habituel jusqu'au rendez-vous en diabétologie. Monsieur Dupasquier est un patient de 77 ans qui se présente aux urgences le 16.01.2018 pour un trouble de la marche et altération de l'état de conscience. Un CT cérébral natif met en évidence un hématome sous-dural chronique des deux hémisphères présentant des composantes hémorragiques récentes. Le patient bénéficie d'une trépanation bilatérale et d'une évacuation de ces hématomes le 17.01.2018 (Dresse Dr. X). Le 20.01.2018, le patient rentre à domicile après une résolution complète de la symptomatologie neurologique. Monsieur Duthovex, institutionnalisé et connu pour un syndrome de Wernicke-Korsakoff, est amené aux urgences le 04.01.2018 suite à deux chutes avec suspicion de trauma crânien précedant une péjoration des troubles de la marche, une agitation et deux épisodes de vomissement. Les investigations ne montrent pas de saignement intracranien mais une hyponatrémie sévère hypo-osmolaire à 112 mmol/l avec des critères de SIADH, motivant un séjour aux soins intensifs du 04 au 05.01.2018, puis à l'étage de médecine interne. L'évolution est favorable sous restriction hydrique et arrêt des médicaments causaux (citalopram, risperdal), et dans un 2e temps, nous initions un traitement par capsules de NaCl qui permet une correction progressive de la natrémie. Une malnutrition protéino-calorique avec de multiples troubles électrolytiques sont mis en évidence et substitués et une vitaminothérapie est introduite. Le patient présente à plusieurs reprises un état d'agitation dans le contexte de l'encéphalopathie connue, motivant tout d'abord l'introduction d'Haldol et la majoration de la Distraneurine, puis l'introduction de Zyprexa dès le 10.01.2018. Les investigations ne retrouvent pas d'argument pour une infection, une coprostase ou un globe urinaire. L'évolution neurologique est favorable avec une situation superposable à son état habituel dans l'EMS. Le patient retourne en EMS le 12.01.2018 avec un contrôle de la natrémie prévu la semaine suivante par le Dr. X et une restriction hydrique à 1500 ml/jour. Monsieur Duthovex, 69 ans, a été admis aux soins intensifs dans le contexte d'une hyponatrémie sévère secondaire à une probable sécrétion inappropriée d'ADH. Le patient est institutionnalisé et connu pour un syndrome de Korsakoff et des troubles de la marche intermittents. Dans la soirée du 04.01.2018, il présente 2 chutes non-objectivées, avec notion de traumatisme crânien, puis péjoration des troubles de la marche, perte d'équilibre et agitation avec deux épisodes de vomissements. Aux urgences, un CT-cérébral a exclu une hémorragie intra-parenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Une hyponatrémie à 112 mmol/l avec des critères de SIADH a été identifiée. L'évolution est favorable sous restriction hydrique et arrêt des médicaments causaux (citalopram, risperdal). Les autres troubles électrolytiques ont été substitués et une vitaminothérapie a été introduite. Un état d'agitation dans le contexte de son encéphalopathie a été jugulé par de l'Haldol et majoration de la Distraneurine. L'état neurologique du patient est superposable à son état habituel dans l'EMS. Au vu de l'évolution favorable de la natrémie, le patient est transféré dans le service de médecine interne le 05.01.2018. Au vu des comorbidités, nous ne proposons pas de réadmission aux soins intensifs à l'avenir. Monsieur Egger, âgé de 83 ans, connu pour les antécédents susmentionnés et une SEP, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une neuro-réhabilitation suite à des AVC ischémiques subaigus du pont partie paramédiane à gauche, du thalamus postérieur droit et de la corona radiata à droite évoquant une origine embolique le 15.10.2017. Pour rappel, Monsieur Egger a dû être transféré à la suite d'une faiblesse des membres inférieurs sur probable poussée de sclérose en plaques en médecine à l'HFR Fribourg le 11.12.2017 où une faiblesse musculaire des membres inférieurs, secondaire à une aggravation de la SEP dans le contexte infectieux avec une pneumonie du lobe inférieur gauche nécessitant une antibiothérapie par Tazobac du 11.12 au 18.12.2017 est retenue. Le patient est retransféré à Billens le 21.12.2017 pour la suite de la prise en charge. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. A l'anamnèse par systèmes, le patient signale une fatigue en augmentation depuis la précédente hospitalisation. Au status, le patient est orienté et collaborant. A l'examen clinique, pupilles isocores-isoréactives, NC sp, légère ataxie à l'épreuve doigt-nez, force des membres supérieurs à M5, diadococinésie fluide, légère pronation à gauche à l'épreuve des bras tendus, force des membres inférieurs à M4+ à droite et M4- à gauche, Babinski absent et Hoffmann absent. Durant son séjour, il présente un syndrome de fatigue dans le contexte de la sclérose en plaques. Sur avis du Prof. X, nous essayons un traitement de Symmetrel 1x/j puis 2x/j après 4 jours avec tout de même un effet légèrement positif sur le syndrome de fatigue. Cependant, nous notons l'apparition de sensations vertigineuses depuis l'introduction du traitement. D'entente avec le patient, le traitement de Symmetrel est suspendu. Si les symptômes de fatigue devaient à nouveau apparaître, une reprise du Symmetrel à raison de 100 mg/j pourrait être proposée. Durant l'hospitalisation, nous profitons de changer la sonde vésicale du patient car il y avait des fuites importantes et qu'elle avait été posée depuis bientôt 3 mois. On objective 2 épisodes de fuite avec amélioration sur la fin du séjour. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie avec une évolution favorable. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un tintébin sur une distance de 2 x 20 m selon fatigue. Il peut monter/descendre les escaliers avec la rampe (10 marches d'escaliers testées).Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 10.01.2018, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile pour maintenir les acquis. Les soins à domicile sont activés. Monsieur Y est un patient de 29 ans connu pour un syndrome des anticorps anti-phospholipides sous Sintrom qui consulte pour une douleur abdominale accompagnée de vomissements. Le CT laisse suspecter une appendicite aiguë débutante. Une appendicectomie laparoscopique est effectuée sans problème. Les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 04.01.2018. À noter que le Sintrom est repris dès le 04.01.2018 sous couverture par Clexane et nous laissons le soin au médecin traitant d'en poursuivre l'adaptation. Monsieur Y est un patient connu pour un diabète de type 2 IR et suivi en cardiologie dans un contexte de désaturation aux tests d'effort et d'une hypertension, qui est hospitalisé pour antalgie le 20.01.2018 dans les suites d'un traumatisme thoracique le 15.01.2017 avec de multiples fractures costales. Le patient bénéficie d'un cathéter péridural du 20.01.2018 au 25.01.2018. Les douleurs sont ensuite contrôlées par une antalgie par voie orale. Sur le plan cardiaque, le patient présente une tachycardie supraventriculaire à l'entrée, résolue grâce à une manœuvre vagale ainsi qu'un poids supérieur de 8 kg à son poids habituel. Le patient présentant également une surcharge respiratoire, nous introduisons un traitement diurétique. Nous organisons une échocardiographie transthoracique en ambulatoire qui aura lieu le 06.02.2018 à 16h15. Le patient rentre à domicile le 27.01.2018. Monsieur Y, âgé de 71 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé pour une neuro-réadaptation et rééducation à la marche suite à des chutes à répétition et un déconditionnement global dans le cadre d'une maladie de Parkinson sous neurostimulateur et des investigations concernant une dyspnée en péjoration. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. À l'admission, le patient se plaint de chutes à répétition ces 3 dernières semaines avec une douleur au niveau de la colonne lombaire. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. L'examen neurologique est dans la norme au niveau des nerfs crâniens. Il présente une baisse de la force à droite à M4 au membre supérieur et inférieur. Il n'a pas de trouble de la sensibilité. Il présente des mouvements choréiformes du membre supérieur gauche. Il présente une augmentation du tonus au niveau de l'hémicorps D, prédominant au membre inférieur D. Les ROT sont hypervifs à droite et les épreuves cérébelleuses globalement dans la norme. Il présente par ailleurs un clonus au membre inférieur D. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence un profil cognitif d'intensité modérée compatible avec le diagnostic connu de maladie de Parkinson. Un consilium psychiatrique recommande un maintien du traitement actuel mais avec remise en question de l'efficacité de l'Escitalopram. Un switch au Brintellix pourrait être essayé en ambulatoire. Notons que Monsieur Y est connu au Centre psychosocial de Fribourg où il a consulté (poussé par son épouse) à deux ou trois reprises à la fin de l'année passée, mais où il ne souhaite plus retourner. Il aimerait continuer à être suivi par le Dr X pour tous ses problèmes de santé. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes en sécurité. Il peut monter/descendre les escaliers avec l'aide de la rampe. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Monsieur Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 16.01.2018, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie/ergothérapie à domicile. À noter que le patient refuse l'instauration de soins à domicile. Monsieur Y est hospitalisé pour un AVC hémorragique intra-parenchymateux capsulo-thalamique droit le 15.01.2018. M. Y présente subitement le 15.01.2018 vers 16h30 une parésie du membre supérieur gauche. Dans la voiture qui le mène à l'hôpital, il présente une hémiplégie du membre supérieur gauche et plusieurs épisodes de vomissements alimentaires. À l'arrivée aux urgences, le patient présente un GCS fluctuant entre 12 et 14 avec au status initial une somnolence, un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche avec héminégligence sensitive, une dysarthrie modérée et une légère parésie du regard à gauche. Un CT cérébral met en évidence un AVC hémorragique intra-parenchymateux capsulo-thalamique droit. Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. L'AVC hémorragique est probablement dû à une microangiopathie hypertensive. Des doses importantes de Labétalol sont nécessaires pour maintenir la tension artérielle dans la cible avec un passage à un traitement per os par Amlodipine, Lisinopril, Hydrochlorothiazide et Beloc zok par la suite permettant une normalisation de la tension artérielle. Des modifications ECG sont notées à l'admission, sans DRS ni mouvement de troponines. Elles s'inscrivent probablement dans le contexte de l'hémorragie cérébrale et de la cardiopathie hypertensive. Une ETT est effectuée le 17.01 montrant une hypertrophie concentrique avec dysfonction diastolique et dilatation de l'OG évoquant en premier lieu une cardiopathie hypertensive. Il sera suivi dans 3 semaines par nos collègues cardiologues. Une TSH revient dans la norme. En cas de non réponse à la quadrithérapie, nous proposons la recherche d'une hypertension secondaire avec un ultrason des artères rénales. Un bilan ophtalmologique est prévu à la recherche d'une rétinopathie hypertensive. Un spot urinaire à la recherche d'une néphropathie hypertensive revient dans la norme. Nous proposons à Monsieur Y de mesurer sa tension artérielle à domicile et d'effectuer des contrôles réguliers à votre cabinet afin d'adapter au mieux le traitement. Une polysomnographie est organisée dans 3 mois afin de dépister un syndrome d'apnée du sommeil. Le patient est connu pour une consommation éthylique à risque pour laquelle il reçoit une charge en Thiamine. Il ne nécessite pas de traitement par benzodiazépines pendant son séjour. L'évolution neurologique est favorable avec persistance d'une parésie du membre supérieur gauche avec une force à M4 en proximal et M3 à la main, une héminégligence sensitive nécessitant de l'ergothérapie. Le bilan neuropsychologique met en évidence des troubles attentionnels contre-indiquant la conduite pendant 3 mois avant une nouvelle consultation de suivi.Le jour avant son départ, il chute de manière accidentelle avec contusion de l'épaule gauche. Nous lui prescrivons une antalgie et de la physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y rentre à domicile le 24.01.2018 avec un arrêt de travail d'un mois et un rendez-vous en neurologie prévu dans 3 mois avec IRM cérébrale de contrôle préalable. • Mr. Y et cher Collègue, Merci de m'avoir adressé Lucie que j'ai vue à plusieurs reprises d'abord accompagnée de son papa le 10.10.2017, puis le papa seul le 24.11.2017, ensuite en hospitalisation de jour le 15.12.2017 accompagnée de sa maman et ce 16.01.2018 la maman seule. Vous l'avez adressée pour troubles de la crase avec histoire familiale de Willebrand, et chirurgie ORL en suspens. • Mr. Y et cher Collègue, Merci de m'avoir adressé en consultation Fatma que j'ai vue accompagnée de sa maman et d'un oncle/tante le 05.12.2017 et accompagnée de sa maman le 12.12.2017 ainsi que ce 16.01.2018, car la famille vous a signalé qu'elle fait souvent des hématomes avec un bilan de coagulation en dehors de la norme. • Mr. Y et cher Collègue, Merci de m'avoir adressé la famille Bourguet pour recherche de maladie de Willebrand dont la maman est atteinte. Je les ai vus tous les trois accompagnés de leur maman, le 24.11.2017 et fait part des résultats par consultation téléphonique le 05.12.2018 à la maman. • Mr. Y et cher Collègue, Merci de m'avoir adressé le jeune Kilian que j'ai vu accompagné de sa maman ce 12.01.2018 ainsi que le 16.01.2018 pour avis hématologique suite à un épisode d'hémarthrose du genou droit. • Mr. Y et cher Confrère, J'ai vu en consultation Youssef le 15 décembre 2017 accompagné par sa maman, un interprète (langue arabe) et d'une dame de leur famille d'accueil. C'était une consultation 72h après sa sortie d'hospitalisation pour anémie sévère transfusée. Je les ai revus le 9 janvier 2018 (maman + interprète) pour annonce du diagnostic. • Mr. Y et cher confrère, Je vous adresse Dr. X, né le 16.06.1969, patient en BSH, agriculteur, qui rapporte des paresthésies palmaires et surtout des douleurs épicondylaires à gauche. Un ENMG effectué le 14.12.2017 montre une lésion du nerf inter-osseux postérieur de l'arcade de Frohse. Nous nous permettons de vous adresser le patient susmentionné, pour une infiltration diagnostique du nerf inter-osseux postérieur. Le patient sera ensuite revu à une semaine de l'infiltration à la consultation du Dr. X à l'HFR-Riaz. En vous remerciant d'avance de faire le nécessaire pour le convoquer, recevez Mr. Y et cher confrère, mes meilleures salutations. • Mr. Y est un patient de 52 ans qui vous consulte le 10.01.2018 en raison d'une constipation depuis trois jours, accompagnée de douleurs en fosse iliaque gauche. Vous adressez le patient pour un CT abdominal qui met en évidence une diverticulite perforée. À noter qu'après le lavement reçu avant le scanner, Mr. Y se sent soulagé et ne se plaint plus de douleurs. À l'admission, patient en bon état général, bien hydraté, bien perfusé, anictérique sans cyanose centrale. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. L'abdomen est souple, sans défense, ni détente. Bruits normaux en fréquence et en tonalité, douleurs à la percussion du flanc gauche et de la fosse iliaque gauche. Signe de Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre une CPR à 121 mg/l, sans leucocytose. Une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl est instaurée et Mr. Y hospitalisé dans le service de chirurgie. Le lendemain de l'admission, la CRP est à la baisse (90 mg/l), sans leucocytose. Une alimentation pauvre en fibres est reprise dès le 11.01.2018 et, en raison de brûlures épigastriques, un traitement de Nexium est initié. L'évolution, tant clinique que biologique, est favorable (CRP 14 mg/l le 14.01.2018), le patient ne décrit aucune douleur et est hémodynamiquement stable et afébrile. Après avoir reçu un enseignement diététique pour la poursuite d'un régime pauvre en fibres, le patient peut retourner à domicile le 14.01.2018. L'antibiothérapie, relayée per os, est à poursuivre jusqu'au 19.01.2018 inclus. Nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie à distance. • Mr. Y présente donc un pouce à ressaut de la main G. L'indication pour une cure de pouce à ressaut est donc posée. Il est informé clairement du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est programmée pour le 16.01.2018. • Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle traitée par Candesartan 32 mg, est amené aux urgences en ambulance le 09.01.2018 en raison de douleurs rétrosternales survenues au repos vers 16h30, oppressives, respiro-dépendantes, angoissantes avec irradiation aux épaules et dans la mâchoire et avec des fourmillements au niveau des membres supérieurs, légèrement améliorées par la prise d'Aspirine 100 mg, mais reprenant intensément vers 19h30 et accompagnées depuis lors d'une dyspnée. Dans l'ambulance, le patient reçoit un push d'isoket et 4 mg de morphine avec une légère amélioration des symptômes. À son arrivée aux urgences, les douleurs rétrosternales sont d'intensité 6/10. Le patient relate également une céphalée frontale d'intensité 8/10 et une vision floue. L'auscultation pulmonaire révèle des sibilances bilatérales diffuses sans râles ni ronchis et l'auscultation cardiologique est normale, sans signes de décompensation cardiaque. Le reste du status est normal. L'ECG ne montre pas de signe d'ischémie active ni de trouble rythmique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les troponines sont à T0 : 9 ng/ml, T1 : 10 ng/ml, T3 : 10 ng/ml, sans delta significatif. Les D-Dimères sont à 327 nmol/ml. La radiographie de thorax est normale. Nous excluons raisonnablement un syndrome coronarien aigu et une embolie pulmonaire. Par contre, au vu des facteurs de risque cardiovasculaire (âge, tabagisme actif, hypertension artérielle) nous proposons de prévoir une ergométrie en ambulatoire. Concernant l'hypertension, le patient reçoit de l'Adalat 20 mg avec une bonne réponse et une diminution progressive de la tension artérielle à 150/75 mmHg. Aux urgences, il bénéficie également d'un patch de Deponit 5 mg avec une bonne évolution et diminution des douleurs à 2/10. Au vu du tabagisme actif et de l'auscultation pulmonaire pathologique, nous suspectons également un syndrome obstructif (BPCO débutante?). Le Peakflow est à 58% du prédit avant aérosols, à 75% du prédit après aérosols. Une gazométrie à l'air ambiant montre une hypoxémie à 9.4 kPa sans hypercapnie. Nous proposons un traitement par Seretide 250 mg 2x/jour et recommandons une consultation pneumologique en ambulatoire afin d'effectuer des fonctions pulmonaires et d'adapter le traitement si nécessaire.La surveillance rythmique et tensionnelle est sans particularité. Le patient est asymptomatique et ne présente pas de douleur thoracique. Monsieur Federiconi rentre à domicile le 10.01.2018. Monsieur Ferreira Pinho est un patient de 54 ans connu pour de multiples interventions abdominales décrites ci-dessus. Il se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales avec un arrêt du transit. Le CT abdominal met en évidence un iléus grêle mécanique sans signe de souffrance intestinale. Un traitement conservateur avec de la Gastrografin permet une évolution favorable avec retour d'un transit. La réalimentation progressive est bien supportée. M. Ferreira Pinho peut alors rentrer à domicile le 09.01.2018. Il consultera en cas de réapparition de la symptomatologie. Monsieur Fessler a fait une infection locale à la base de l'ongle de hallux D que j'avais opéré en octobre 2016. Il a été correctement traité par des bains de Bétadine, prescrits par son médecin de famille. Vu que la plaie est guérie et le patient asymptomatique, je n'ai pas d'autre proposition de traitement. Un contrôle à ma consultation n'est pas nécessaire. Le patient me recontactera en cas de récidive. Monsieur Feyer est amené par ambulance le 21.01.2018 après une chute sur le derrière suivie d'une position couchée prolongée pendant la nuit à la maison, à la suite de laquelle il n'a pas pu se relever de lui-même. Le patient se plaint à l'entrée d'une faiblesse, d'une toux sans expectorations, d'une légère dyspnée ainsi que d'une fièvre mesurée jusqu'à 39°. Monsieur Feyer est connu pour un lymphome en rémission quasi-complète, avec un traitement de maintenance sous Mabthera aux deux mois. Une suspicion d'infection fébrile avec diagnostic différentiel de pneumonie vu une CRP à 80g/l au laboratoire est traitée par antibiose sous Rocéphine intraveineux, puis par Co-Amoxi per os pour une durée de 7 jours au total. Au niveau radiologique, une superposition d'une ancienne image du thorax montre plutôt une absence de pneumonie, mais un état stable de plaques pleurales, DD fibrose pulmonaire, DD status post exposition à l'amiante. Au niveau des conséquences de la chute, une hydratation par la veine et une pause de la Pravastatine durant le temps de l'hospitalisation sont mises en place après constatation d'une valeur élevée des CK (2719 U/l). Un ultrason permet de constater une fracture des côtes antérolatérales droites 9 et 10 suite à des douleurs prolongées des côtes inférieures à l'inspiration et au mouvement. Une ceinture abdominale, de la physiothérapie ainsi qu'un traitement antalgique par Palexia améliorent quelque peu les douleurs costales. Au niveau laboratoire, nous observons une hypokaliémie, que nous substituons par voie orale. Au cours de l'hospitalisation, une leucopénie stable à 2.9 G/l est notifiée, sans état fébrile, probablement sur effet secondaire du Co-Amoxi. Nous proposons un contrôle de formule sanguine chez le médecin traitant dans un futur proche, ainsi qu'un contrôle des valeurs hépatiques également légèrement élevées. Un épisode de diarrhée est mis dans le contexte d'un effet secondaire probable du Co-Amoxi, avec cultures qui reviennent négatives pour un Clostridium. Nous pouvons renvoyer Monsieur Feyer à la maison le 27.01.18 au vu de la bonne évolution clinique, avec mise en place de soins à domicile par une infirmière spécialisée à raison de deux fois par semaine. Monsieur Folly est adressé aux urgences de l'HFR Fribourg le 21.12.2017 par le foyer non médicalisé Des Peupliers en raison d'une désaturation. À noter qu'une antibiothérapie a été débutée la veille. À l'admission, tension artérielle 120/80 mmHg, fréquence cardiaque 80/min et saturation à 96% sous 3 litres d'oxygène. Le patient est afébrile, eupnéique et acyanotique. L'auscultation cardiaque met en évidence B1 et B2 bien frappés, pas de souffle ni d'œdème des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire révèle une hypoventilation à la base droite, avec râles. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP 85 mg/l et leucopénie à 3.3, ainsi qu'une acidose respiratoire avec un pH à 7.29 à la gazométrie sous 3 litres d'oxygène. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer bien systématisé. Nous prélevons des hémocultures, effectuons une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque et Monsieur Folly est transféré à l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge. La recherche d'antigènes urinaires Legionelle et pneumocoque ainsi que les hémocultures reviennent négatives. En raison d'une somnolence importante le 22.12.2017, le traitement par Rispéridone, Oxycontin et Xatral, ainsi que l'antibiothérapie par Klacid sont stoppés. Le traitement neuroleptique et antalgique est par la suite repris avec bonne tolérance. Durant le séjour, Monsieur Folly bénéficie de séances de physiothérapie respiratoire et de mobilisation. Au vu d'une évolution favorable, l'oxygénothérapie est progressivement sevrée et l'antibiothérapie iv est relayée per os par Co-Amoxi dès le 27.12.2017. En raison de plaies type escarre au niveau des deux talons, nous débutons un suivi stomatothérapeutique et ergothérapeutique avec prescription de chaussures orthopédiques. Le 04.01.2018, nous introduisons un traitement par Tamsulosine pour une probable hypertrophie bénigne de la prostate et nous essayons de retirer la sonde vésicale mais sans succès. En raison d'un globe urinaire, le patient a été sondé. Nous vous laissons évaluer le retrait de la sonde. Un rendez-vous chez le Dr. X, urologue, est agendé pour le 19.01.2018. Au vu d'une perte d'appétit progressive depuis des années, on introduit également un supplément alimentaire - Fresubin 2x/jour. Monsieur Folly regagne le foyer des Peupliers le 10.01.2018. Monsieur Fragnière, patient de 18 ans, en bonne santé habituelle, qui présente depuis le 08.12.2017 des adénopathies cervicales gauches. Il a consulté initialement son médecin traitant en raison d'un état fébrile, ce dernier réalise diverses sérologies qui reviennent négatives. Le patient est par la suite adressé en ORL, sans investigations supplémentaires réalisées. En raison d'un agrandissement des adénopathies, d'un état fébrile et d'une toux sèche, le patient consulte le service des urgences. Le bilan d'entrée montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 64 sans leucocytose. Un CT est effectué, mettant en évidence de multiples adénopathies, ainsi qu'une splénomégalie. Des sérologies sont répétées et montrent un test HIV négatif, une infection ancienne à CMV et EBV et des sérologies de Bartonella, Coxiella (fièvre Q) et Toxoplasmose négatives. Les Bêta-2-microglobulines sont augmentées. Le patient présente également des LDH et des D-Dimères augmentés. Dans ce contexte, le patient bénéficie d'une cytoponction le 16.01.2018 par les ORL qui ne permet pas de préciser le diagnostic. Le bilan est complété par une ponction biopsie de moelle le 18.01.2018 qui ne met pas évidence d'élément pouvant concorder avec une néoplasie lymphoproliférative. Une exérèse ganglionnaire le 18.01.2018, avec analyse anatomo-pathologique permet de poser le diagnostic d'une maladie de Kikuchi-Fujimoto avec rares petits foyers de nécrose et présence de rares cellules positives pour EBV. Ce résultat est concordant avec la clinique (état fébrile et adénopathies) ainsi que les examens paracliniques (tests hépatiques augmentés, ferritine augmentée, anémie à 124g/l, d-dimères et LDH augmentés).Le traitement par Prednisone mène à une nette amélioration clinique et le patient peut rentrer à domicile le 25.01.2018 avec un schéma dégressif de prednisone. Nous vous laissons donc le soin de réévaluer le schéma dégressif de prednisone en fonction de l'évolution clinique (persistance de symptômes parfois plusieurs semaines). De même, il est à noter que le Kikuchi-Fujimoto est associé à une prévalence plus élevée de lupus érythémateux. C'est dans ce contexte que nous effectuons également une recherche d'ANA qui reviennent à 80. Il s'agira de rester attentif à l'apparition de symptômes nouveaux pouvant évoquer cette pathologie. De plus, une bactériémie à Enterobacter cloacae sur infection de cathéter est traitée par cefepime durant 5 jours en cours d'hospitalisation. Enfin, un érythème maculaire diffus du tronc et des membres le 18.01.2018, spontanément résolutif mène à la suspicion d'une réaction allergique à deux nouveaux traitements introduits les jours précédents (Makatussin et Allopurinol). Sachant qu'un rash cutané peut également être causé par la maladie de Kikuchi-Fujimoto, nous ne réalisons pas de tests d'allergie. Monsieur Fragnière rentre le 25.01.2018 à domicile avec un schéma dégressif de prednisone et un contrôle prévu chez vous à deux semaines. Monsieur Francelet est un patient en bonne santé habituelle, sans facteur de risque pour une infection sexuellement transmissible, qui présente depuis le 2.1.2018 d'importantes brûlures mictionnelles dans les suites des bains prolongés en station thermale. Il décrit également une douleur sus-pubienne en forte aggravation le 3.1.2018, motivant sa consultation à la permanence de Morat. Constatant des signes d'infection urinaire compliquée avec impossibilité de miction, deux tentatives de sondage urinaire sont effectuées alors sans succès. Le patient est transféré à Fribourg où une sonde béquillée est mise en place. On confirme une infection urinaire aiguë avec globe vésical, sans signe clinique pour une prostatite, ce diagnostic restant toutefois possible. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire très élevé, avec une CRP à plus de 250mg/ml et une leucocytose. Nous administrons empiriquement un traitement de Rocéphine de même qu'un traitement alpha-bloquant. L'évolution est partiellement favorable. Après une tentative infructueuse d'ablation de la sonde, nous en remettons une en place qui sera enlevée à la fin de la semaine prochaine. En raison d'un germe (E. Coli) multi-résistant, nous modifions le traitement antibiotique avec administration d'un Carbapénèmes, qui sera poursuivi en ambulatoire durant deux semaines, à l'hôpital de Morat. Monsieur Francioli est un patient de 79 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale sur polykystose hépatique-rénale, hospitalisé pour la mise en place d'un Perm-cath avec tentative infructueuse et dissection de la veine cave supérieure et occlusion de la jonction de la jugulaire interne et la veine innominée. Une deuxième pose de Perm-cath est effectuée avec succès le 09.01, et les dialyses sont reprises le 10.01. Celles-ci seront poursuivies à Payerne, où le patient est suivi. En per-opératoire, le patient présente des douleurs thoraciques pour lesquelles nous effectuons un bilan cardiaque montrant des troponines élevées et des modifications ECG connues, pour lesquelles nous n'effectuons pas d'investigation supplémentaire sur avis de nos collègues cardiologues. Un CT thoracique est effectué, excluant une embolie pulmonaire malgré des D-dimères élevés et un pneumothorax. À noter une découverte fortuite de lésion kystique du pancréas à l'imagerie pour lequel nous proposons un suivi chez le médecin traitant. Monsieur Frossard, connu pour de multiples comorbidités, dont une cardiopathie rythmique, ischémique et valvulaire, un syndrome des apnées nocturnes sévère et une hypertension pulmonaire traitée par oxygénothérapie à domicile, consulte les urgences le 30.12.2017 en raison de la péjoration d'une dyspnée depuis 2 semaines, sans toux ni crachat. Le patient ne rapporte pas d'autres plaintes. À l'admission, Monsieur Frossard est normocarde, normotendu, afébrile et sature à 93% à l'air ambiant. Au status cardiaque, B1B2 sont lointains, irréguliers, avec un souffle systolique connu en aortique et mitral ainsi que des œdèmes des membres inférieurs importants remontant jusqu'aux genoux des deux côtés. Signe de Homans négatif des deux côtés. Mollets souples, ballant conservé. À l'auscultation pulmonaire, notons des crépitations bibasales. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale chronique avec une créatinine à 140 mmol/l et une clairance à 42 ml/mn selon MDRD. Pas de trouble électrolytique. Pas de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax montre une surcharge cardiaque importante. Nous administrons 60 mg de Lasix iv en intraveineux, ce qui soulage rapidement le patient. Monsieur Frossard est hospitalisé et nous poursuivons le traitement par Lasix 40 mg iv 3x/jour, majoré à 4 x 40 mg iv du 05 au 08.01.2018 avec une bonne réponse et une perte pondérale de 3 kg. Nous reprenons le Torasemide 60 mg que nous majorons à 70 mg avec une évolution favorable. En raison d'une anémie ferriprive avec hémoglobine à 95 g/l et ferritine à 26 ug/l, le patient bénéficie de la perfusion de Ferinject 500 mg iv le 11.01.2018. Nous ne proposons pas une transfusion érythrocytaire au vu de la chronicité de l'anémie, l'absence de symptômes et le risque de surcharge cardiaque. Nous proposons un suivi biologique en ambulatoire et si nécessaire une transfusion érythrocytaire à distance de la décompensation cardiaque aiguë. Monsieur Frossard présente une bonne évolution clinique et biologique et rentre à domicile le 12.01.2018. Monsieur Gaillard est un patient de 92 ans qui consulte les urgences de l'HFR Riaz le 06.01.2018 en raison de nausées et vomissements pendant la nuit. Aux urgences, ce dernier se présente avec une température de 38.5°C. Des hémocultures sont prélevées et reviendront négatives. Au status fait aux urgences, le patient n'a pas d'autre plainte et ne présente plus de nausées ni de vomissements. Au niveau cardiovasculaire, le rythme est irrégulier et rapide (120/minute) avec un souffle surajouté à 3/6 maximal au foyer mitral, sans irradiation. Dans la sphère neurologique, le patient est orienté et collaborant, et présente une mydriase de la pupille droite, qui est connue. L'abdomen est souple et indolore. L'auscultation pulmonaire est sans particularité. Le reste du status n'est pas contributif. Le laboratoire révèle une CRP à 12mg/l avec des leucocytes à 15.9G/l. Les tests hépatiques sont dans la norme. Le patient est hospitalisé pour surveillance. Au niveau social, Monsieur Gaillard vit avec son épouse dans un appartement avec 5 marches d'accès. Son appétit est conservé et il n'y a pas de perte de poids, de troubles du sommeil ou de nycturie rapportés. Il n'y a pas non plus de notion de chutes chez ce patient marchant sans moyens auxiliaires à l'intérieur et avec une canne à l'extérieur.Pendant l'hospitalisation, le patient présente une bonne évolution clinique de la gastroentérite sans nausée, vomissements, ou diarrhées. Au bilan biologique du 08.01.2018, nous notons un syndrome inflammatoire avec une CRP à 126 mg/l, qui baisse à 22 mg/l le 10.01.2018. Devant ce syndrome inflammatoire chez un patient qui développe des râles crépitants à la base pulmonaire droite, une radiographie du thorax est effectuée afin d'exclure un foyer sur broncho-aspiration le 09.01.2018, qui se montre dans la norme. L'évolution clinique et biologique sera ensuite favorable sans aucun traitement supplémentaire. Sur le plan médicamenteux, la thérapie habituelle du patient est poursuivie mais nous avons remarqué que le patient est sous traitement antiagrégant plaquettaire et anticoagulant. Nous n'avons pas d'indication pour l'antiagrégant plaquettaire autre que l'accident vasculaire cérébral de 2010. Si celle-ci est l'unique indication, nous vous proposons d'interrompre l'Aspirine et de poursuivre uniquement l'antiagrégation par Sintrom. Nous vous proposons également d'interrompre l'Isoptin pour lequel nous n'avons pas non plus trouvé d'indication chez ce patient qui a un profil tensionnel satisfaisant et qui n'a pas d'anamnèse d'angor. Par rapport au traitement par Sintrom, nous recommandons au patient de prendre un rendez-vous à votre consultation pour le prochain TP le 15.01.2018. Durant l'hospitalisation, Monsieur Gaillard bénéficie d'un bilan cognitif qui met en évidence des performances cognitives légèrement altérées avec un MMS à 28/30 et un test de la montre à 3/7. Un déficit en vitamine B12, B9 et D a motivé la substitution de celles-ci qui sera à poursuivre. Durant son séjour, Monsieur Gaillard effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide de deux cannes est de 180 mètres sans moyen auxiliaire. Le patient peut gravir 18 marches. Le TUG est à 11.83 secondes. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126 par rapport à 82/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le risque de chute est bas. Devant une bonne évolution clinique, Monsieur Gaillard peut regagner son domicile le 10.11.2018. Monsieur Gameiro Ribeiro est un patient de 61 ans qui a bénéficié d'une cholécystectomie par laparotomie le 20.12.2017. Il est adressé aux urgences en raison d'une mauvaise évolution de la cicatrice. Une collection est mise cliniquement en évidence au niveau de la cicatrice latéralement, sans syndrome inflammatoire biologique ni signe de dermohypodermite de contact. La cicatrice est ouverte pour drainer la collection. Des soins locaux de la plaie sont mis en place, avec une évolution favorable. Nous proposons de poursuivre le rinçage de la plaie au NaCl quotidiennement avec réfection du pansement avec de l'Aquacel argent. Le but est une fermeture par intention secondaire. Nous reverrons M. Gameiro en consultation pour le suivi de la plaie. Monsieur Gashi, patient de 20 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans le contexte de douleurs musculaires avec rhabdomyolyse associée. Pour rappel, il consulte les urgences en raison de l'apparition, depuis le 07.01.18, d'importantes douleurs au niveau de la ceinture scapulaire et des bras, le limitant dans ses mouvements. Il mentionne avoir fait du Fitness avec la même intensité que d'habitude. Il affirme ne pas avoir consommé de drogue ni pris de nouvelle thérapie. Il consomme chaque jour des protéines, mais pas d'anabolisant. Il mentionne également un rhinorrhée claire depuis quelques jours. Au laboratoire des urgences, une rhabdomyolyse est mise en évidence avec un pic de CK à 70 000. Une myosite para-infectieuse ou auto-immune est suspectée dans un premier temps. Dans ce contexte, un bilan est effectué, avec une TSH qui est dans la norme, une recherche de grippe revient négative. Un test HIV est négatif. Un avis rhumatologique est également demandé, ces derniers suspectant une rhabdomyolyse probablement secondaire à l'exercice physique intense dans un contexte de virose. Le suivi clinique et biologique montre une amélioration des CK et une diminution des douleurs musculaires. En raison de la rhabdomyolyse marquée, le patient bénéficie d'une hydratation IV. Un suivi de la fonction rénale est effectué et reste dans la norme. Le laboratoire d'entrée met en évidence une perturbation des tests hépatiques, probablement en lien avec la rhabdomyolyse. Le suivi biologique montre une amélioration progressive des tests hépatiques, hormis de l'alanine aminotransférase. Un contrôle biologique à distance de l'événement aigu est prévu en rhumatologie. Au vu de l'évolution clinique et biologique rassurante, le patient peut rentrer à domicile le 16.01.18. Il sera revu à la consultation de rhumatologie d'ici 3 semaines pour la suite de prise en charge, avec un contrôle clinique et biologique. Nous laissons le soin à nos collègues de rhumatologie de pister les résultats de laboratoire qui sont encore en cours. À noter que nous informons le patient de ne pas effectuer de sport ces prochaines semaines et de reconsulter les urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes ou péjoration de l'état général. Monsieur Gautsch est un patient de 69 ans connu pour une hyperparathyroïdie primaire sur deux adénomes parathyroïdien au pôle inférieur gauche et droit, confirmée dans un PET-FCH CT le 27.09.2017, qui bénéficie le 17.01.2018 d'une parathyroïdectomie bilatérale (Prof. X). La PTH se normalise en per-opératoire et la calcémie dès J1. Deux drainages de type Manovac laissés dans le lieu de résection sont retirés le 19.01.2018. Le patient rentre à domicile le 20.01.2017 après ablation des fils de surjet intradermique. Le patient sera revu à la consultation du Prof. X le 26.02.2018 à 14 h et à la consultation du Dr. X le 29.01.2018 à 8h15. À noter que le patient a présenté des douleurs thoraciques dans la nuit du 17.01 au 18.01.2018, puis à nouveau du 18.01.2018 au 19.01.2018. Un ECG est superposable au contrôle, deux trains de troponines ne montrent pas d'augmentation significative et les douleurs cèdent à l'aide d'une antalgie simple. Un consilium de cardiologie ne retrouve aucune étiologie cardiaque de ces douleurs et un CT thoracique exclut une EP. Monsieur Gay est un patient de 56 ans connu pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal opéré en 2010, en rémission jusqu'à l'hospitalisation, qui se présente aux urgences avec une clinique de dysarthrie et de trouble de l'équilibre. Un CT scanner cérébral met en évidence une masse dans l'hémisphère cérébelleux droit provoquant un important effet de masse sur le 4ème ventricule ainsi qu'une seconde lésion dans le lobe pariétal gauche. Une corticothérapie est rapidement débutée, permettant une amélioration de la symptomatologie. Il bénéficie d'une exérèse par craniotomie le 03.01.2017 puis est transféré intubé aux soins intensifs en raison d'une hypercapnie post-opératoire. Il a été extubé quelques heures après l'intervention. L'évolution sur le plan neurologique est favorable avec une régression presque complète des symptômes initiaux, avec une discrète dysmétrie résiduelle. Une IRM de contrôle à 24 h montre une levée complète de l'effet de masse comprimant le 4ème ventricule. Le 09.01.2018, les résultats d'histopathologie de cette masse cérébelleuse sont compatibles avec une métastase du carcinome épidermoïde du plancher buccal.Le 04.01.2018, un bref épisode de fibrillation auriculaire rapide sans répercussion hémodynamique s'est résolu spontanément. Nous avons substitué du magnésium. Il n'y a pas d'indication à une anticoagulation thérapeutique, au vu de l'intervention opératoire et des comorbidités du patient, avec un CHADSVASC à 1 point. Un Holter est effectué le 05.01.2018. Le 05.01.2018, le patient bénéficie d'une CT thoraco-abdominale mettant en évidence une masse spiculée lingulaire de 4 cm de grand axe avec plusieurs adénopathies médiastinales, une petite masse tissulaire de la glande surrénale gauche, fortement suspecte de métastase, une masse tissulaire accolée à la paroi antérieure de la vessie ouvrant le diagnostic différentiel entre un implant tumoral métastatique versus une tumeur vésicale et une lésion nodulaire hypodense de la vésicule séminale gauche. Un consilium d'ORL le 09.01.2018 propose la réalisation d'un PET CT dans ce contexte de récidive de carcinome épidermoïde. Nous présenterons le cas de Mr. Y au Tumor Board du 10.01.2018 pour la prise en charge oncologique à adopter face à cette lésion pulmonaire et cette métastase de carcinome épidermoïde. Le patient sera ensuite convoqué par le service d'oncologie en ambulatoire pour la suite de la prise en charge. Du point de vue urologique, le patient sera convoqué pour une cystoscopie en ambulatoire. Les résultats de l'ECG Holter réalisé le 05.01.2017 ne sont pas encore analysés le 09.01.2018, jour de la sortie du patient, nous laissons le soin au médecin traitant de pister ces résultats et évaluer l'indication à une anticoagulation. Mr. Y présente une rupture du ligament croisé antérieur associée à une probable re-rupture d'une ancienne lésion du ligament collatéral interne. Je propose dans un 1er temps un traitement conservateur. Une physiothérapie ayant pour but tout d'abord l'antalgie, puis regagner l'amplitude et plus tard stabiliser le genou en tonifiant la musculature et entraînant la proprioception est prescrite au patient. En cas d'instabilité restante malgré la physiothérapie, une plastie du ligament croisé antérieur pourrait être discutée. Le patient étant à l'AI à 100%, pas d'arrêt de travail prescrit. Prochain contrôle le 21.02.2018. Mr. Y est un patient de 83 ans, qui est hospitalisé en chirurgie pour un angio-CT de contrôle dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique. Il s'agit d'un patient connu pour une maladie vasculaire anévrysmale multiple, ainsi qu'une insuffisance rénale chronique qui bénéficie en urgence le 09.11.2017 d'une résection d'un anévrisme iliaque interne avec fermeture de l'ouverture de l'iliaque par un patch péricardique, ainsi qu'une sigmoïdectomie selon Hartmann avec colostomie terminale pour une fistule artério-digestive qui s'était présentée sous forme d'hématochézie massive. Au vu de l'insuffisance rénale importante, le patient est hospitalisé le 15.01.2018 pour une angio-CT de contrôle avec protocole néphro-protecteur par Fluimicil et hydratation. L'angio-CT le 16.01.2018 montre une diminution de l'hydronéphrose avec une petite récupération du parenchyme rénal gauche, une bonne perméabilité du patch au niveau du départ de l'iliaque interne gauche et thrombose d'un anévrisme iliaque interne gauche. Le patient présente également un volumineux anévrisme de l'artère iliaque interne droite, la prise en charge va être discutée à notre colloque multidisciplinaire le 22.01.2018. La suite de la prise en charge sera communiquée au patient ultérieurement. Les contrôles de la créatinine sont satisfaisants. Le patient sera suivi par la suite au cabinet médical de Givisiez par Dr. X et une néphrologue installée. Le patient mentionne également être connu pour une infection urinaire persistante qui est suivie par son médecin traitant. Le patient retourne à domicile le 17.01.2018. Mr. Y, dont les antécédents médico-chirurgicaux connus à notre connaissance sont mentionnés, consulte les urgences le 02.01.2018 à 09h00 en raison d'une difficulté respiratoire apparue depuis la veille avec toux importante et état fébrile à 39,6°C. Il a également présenté des nausées/vomissements, sans autres symptômes digestifs, notamment pas de douleurs thoraciques. Vaccin contre la grippe fait en octobre 2017 (hétéro-anamnèse). À l'admission, le patient est en état général diminué, fébrile à 39,4°C, fréquence respiratoire 26/min, stable hémodynamiquement (TA 160/80 mmHg, pulsation régulière 80/min), bien hydraté et bien perfusé en périphérie, sans altération neurologique. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec sibilances sur les deux plages pulmonaires. Au niveau cardiovasculaire, les B1-B2 sont lointains, réguliers, sans souffle audible. Pas d'oedèmes des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Les pouls périphériques sont palpables, sans signe de thrombose veineuse profonde. Au status ORL, pas de stridor, otoscopie dans la norme, fond de gorge hyperémique avec présence de glaires au niveau postérieur, pas d'adénopathies palpées. Le status digestif est non contributif. Les loges rénales sont sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 125 mg/l et leucocytose à 10,2 G/l, sans anémie (Hb 139 g/l) ni thrombopénie (plaquettes 250 G/l). La gazométrie artérielle montre une hypoxémie à 9.6 kPa sous 2 litres d'oxygène. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux constitué. Un ECG fait aux urgences ne révèle pas de signe d'ischémie myocardique. Des hémocultures sont prélevées (stériles le 07.01) et une analyse microbiologique des expectorations est réalisée. Même en l'absence de foyer pulmonaire identifié radiologiquement et cliniquement, une antibiothérapie par Co-amoxicilline intraveineuse est instaurée. En raison des sibilances auscultées, des aérosols bronchodilatateurs sont réalisés avec une bonne efficacité. Un soutien par oxygénothérapie entre 4 et 6 litres d'O2 est mis en place pour assurer une oxygénation supérieure à 90%. Le patient est calme, orienté, confortable et sans douleurs. En fin d'après-midi, le patient présente une expectoration teintée de sang. Vers 21h30, le patient appelle l'infirmière pour signaler qu'il ne se sent pas bien. Le patient avait été à l'oxygène qui lui a été remis rapidement par l'infirmière. Vers 21h50, le patient est retrouvé par l'infirmière sans réaction à l'appel ni au stimulus douloureux. L'alarme réanimation est de suite instaurée. D'emblée, une asystolie est constatée par le défibrillateur. Un massage cardiaque externe et ventilation suivis d'une intubation oro-trachéale sans difficulté sont rapidement pratiqués. L'administration d'Adrénaline jusqu'à 6 mg est parallèlement effectuée. Les manœuvres de réanimation ne permettent malheureusement pas de rétablir d'activité cardiaque. Le décès est constaté à 22h12.A noter qu'il n'a pas été rapporté durant l'intubation et le massage cardiaque d'extériorisation de sang par la bouche. La famille a pu être avertie en fin de soirée du décès. Initialement, après le premier contact avec la famille et l'infirmière de la nuit, une autopsie n'avait pas été souhaitée. Une nouvelle rencontre avec la famille, à leur demande, (épouse et deux enfants) effectuée le 08.01.2018 a permis de rediscuter de l'ensemble de la prise en charge et d'apporter les renseignements demandés. Suite à cet entretien, une autopsie a été décidée et réalisée par l'institut de pathologie du CHUV le 09.01.2018. Les résultats ne sont pas encore connus. En regrettant l'issue défavorable de votre patient et en restant à disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons nos meilleures salutations. Monsieur Genoud, connu pour une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale AKIN III dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique sur néphroangiosclérose diabétique et hypertensive, est amené aux urgences en ambulance le 28.12.2017 en raison d'une baisse de l'état général et d'une faiblesse des membres inférieurs rendant la marche impossible. Le patient ne rapporte pas d'autre plainte. A l'admission, le patient est orienté, calme et collaborant. Le statut clinique est rassurant. Le laboratoire met en évidence une acutisation de l'insuffisance rénale chronique dans un contexte mixte avec une composante pré-rénale dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique sur néphroangiosclérose diabétique et hypertensive et une composante post-rénale sur rétention urinaire, avec une créatinine à 610 mmol/l et une urée 87.7 mmol/l. Au vu de la rétention urinaire, nous posons une sonde urinaire aux urgences et Monsieur Genoud est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. La Dr. X, néphrologue, ne propose pas de dialyse en urgence au vu de l'absence de symptomatologie urémique ou de frottement péricardique. Le laboratoire met également en évidence un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Un urotube revient positif pour Klebsiella Oxytoca. Nous retenons une infection urinaire et débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 625 mg 1x/jour du 31.12 au 04.01.2018. En raison d'une balanite probablement d'origine fongique, nous mettons en place un traitement local par Pevaryl. Les suivis biologiques montrent une amélioration progressive de la fonction rénale. Toutefois, en raison d'un déconditionnement et d'une dépendance pour les AVQ, Monsieur Genoud est transféré dans le service de réadaptation gériatrique le 05.01.2018 pour la suite de la prise en charge. Monsieur Genoud, connu pour une maladie de Parkinson en évolution depuis 10 ans, consulte les urgences le 01.01.2018 en raison de troubles de l'équilibre et d'une somnolence en augmentation ce jour. La veille au soir, le patient a également présenté des douleurs abdominales difficilement localisables et ce jour, il a eu un épisode de selles liquides. Les nausées ne se seraient manifestées que dans la matinée mais en raison de l'appréhension des vomissements, le patient ne s'est pas alimenté pendant toute la journée. Il s'est plaint de douleurs thoraciques à l'accueil aux urgences sous forme d'oppression mais sans irradiation. A l'admission, Monsieur Genoud est somnolent mais réveillable. Le statut cardio-pulmonaire est dans la norme. Au statut neurologique, les nerfs crâniens sont dans la norme. Force M4 aux quatre membres mais symétrique et sensibilité symétrique aux quatre membres, augmentation du tonus musculaire, réflexes vifs aux quatre membres mais symétriques. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence et en intensité. L'abdomen est souple mais douloureux à la palpation dans l'hémibile abdomen inférieur. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 10.6 G/l et une CRP à 19 mg/l. Les douleurs thoraciques évoquées n'étant pas typiques et l'ECG étant dans la norme, nous ne dosons pas les troponines. En raison d'une difficulté à se mobiliser et du ralentissement psychomoteur important, Monsieur Genoud est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Durant le séjour, le patient ne présente pas de symptômes évocateurs d'une gastro-entérite, il développe même une constipation pour laquelle il reçoit du Movicol sachet 1x/jour. Concernant la mobilisation, le patient bénéficie d'un suivi physiothérapeutique. A la sortie, il peut faire ses transferts seul, sous surveillance et lentement. Accompagné, il marche avec un tinet-bin à 2 roues sur 130 mètres. Il présente un risque de chute s'il marche sans moyens auxiliaires. Pour ce qui est des escaliers, il a pu faire 9 marches sous surveillance avec main courante à gauche à la montée. A la sortie, il poursuivra ses séances de physiothérapie 1x/semaine et d'ergothérapie 1x/semaine comme habituellement. Monsieur Genoud peut regagner son domicile le 06.01.2018. Monsieur Genoud est un patient de 55 ans, suivi pour un mélanome au CHUV, opéré en 2016, qui est envoyé par son médecin traitant, la nuit du 30.09.2017 aux urgences de Riaz pour CT cérébral dans un contexte d'aphasie et douleurs derrière l'oreille gauche en péjoration depuis environ 3 semaines. Le CT d'entrée met en évidence une masse cérébrale pariétale gauche avec déviation de la ligne médiane. Monsieur Genoud est immédiatement transféré chez nous et un traitement médicamenteux avec Keppra et Dexaméthasone est débuté. Une IRM cérébrale le 02.10.2017 évoque en première ligne une métastase du mélanome déjà connu. Le CT thoraco-abdominal du 02.10.2017 ne met pas en évidence de lésion focale suspecte d'atteinte tumorale. Le 06.10.2017, Monsieur Genoud bénéficie d'une craniectomie avec exérèse complète de cette masse. L'histopathologie confirme la suspicion d'une métastase cérébrale de mélanome malin. Le statut neuropsychologique post-opératoire met en évidence une aphasie globale modérée évoluant vers une aphasie de conduction et des troubles exécutifs et praxiques associés. Sur le plan neurologique, Monsieur Genoud montre une bonne évolution sous traitement de Keppra 500 mg 2x/j avec un EEG montrant la persistance d'un foyer lent au niveau fronto-temporal gauche, mais sans phénomène irritatif. La conduite sera a priori à réévaluer du point de vue de l'évolution neuropsychologique vu l'absence de crise comitiale jusqu'à présent et le bilan électro-clinique rassurant. Compte tenu du contexte oncologique avec une radiothérapie cérébrale encore prévue et une maladie métastatique d'emblée, la poursuite d'un traitement antiépileptique à long terme semble judicieux, pour autant que le traitement soit bien toléré et étant donné que le patient souhaite reprendre la conduite dès que possible. Le Keppra sera réévalué par les neurochirurgiens lors de sa consultation post-opératoire. La radiothérapie du 17 au 29.11.2017 est très bien supportée par le patient. L'évolution clinique est favorable et nous renonçons à une réhabilitation neurologique. Il peut retourner le 30.11.2017 à son domicile et sera suivi par les logopédistes en ambulatoire. Le patient doit annoncer immédiatement tout événement suspect pour une crise comitiale et poursuivre des contrôles électro-cliniques au moins 1x par année.Monsieur Genoud sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle à 1 semaine post-opératoire. Monsieur Gerber est admis pour suspicion d'AIT vertébro-basilaire le 31.12.2017. Il a présenté le 31.12.2017 vers 13h30 un épisode de troubles de l'équilibre et de dysarthrie d'une durée d'environ 1h30 motivant une consultation à l'hôpital de Tavel. Il aurait fait un épisode similaire en juin avec une parésie du bras droit. À son arrivée aux urgences, les symptômes sont déjà résolutifs. L'angio-CT cérébral ne met pas en évidence d'événement ischémique ou hémorragique aigu mais montre une sténose serrée de l'artère vertébrale gauche en V4. Dans ce contexte, une double anti-agrégation plaquettaire par Plavix et Aspirine est introduite pendant un mois avec poursuite par Plavix seul par la suite. Le traitement hypolipémiant est également augmenté. La surveillance en lit monitoré se passe sans complication. Le bilan cardiologique par échocardiographie transthoracique ne montre pas de cause structurelle à l'AVC sous réserve d'un Holter en cours d'évaluation. À noter que Monsieur ne conduit plus la voiture, raison pour laquelle le bilan neuropsychologique n'est pas réalisé. L'évolution est favorable durant l'hospitalisation avec l'absence de récidive de symptômes neurologiques permettant un retour à domicile avec un rendez-vous de contrôle en neurologie le 27.04.2018 à 16h. Monsieur Giammarino, patient de 51 ans hospitalisé aux soins intensifs le 19.01.2018 dans le contexte d'une insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte sur pneumonie à Pneumocystis confirmée avec suspicion d'une composante de toxicité à l'évérolimus surajoutée. Pour rappel, le patient est sous traitement de 2ème ligne d'Évérolimus depuis septembre 2016 pour un carcinome du rein droit en cellules chromophobes avec métastases osseuses. Il est hospitalisé depuis le 08.01.2018 pour une pneumonie à pneumocystis jirovecii avec mise en pause de l'Évérolimus. Initialement traité par Clarithromycine et Primaquine au vu d'une thrombocytopénie puis dès le 17.01.2018 sous Bactrim. La Prednisone débutée en parallèle à 2x 40 mg est diminuée depuis le 17.01.2018 à 20 mg/j. Depuis le 18.01.2018, une dégradation sur le plan respiratoire est notée suite à la dégression de la corticothérapie. Un CT scan thoracique met en évidence une majoration de l'image en verre dépoli dans les deux poumons, pouvant entrer dans le cadre du PCP ou d'une pneumopathie interstitielle dans le cadre de l'Évérolimus. Dans ce contexte, sur avis des infectiologues, oncologue et pneumologue, un traitement de Solumédrol est instauré à 2x 2mg/kg. Aux soins intensifs, le patient nécessite un support continu par oxygénothérapie à haut débit. Il présente une dégradation de son insuffisance respiratoire le 21.01.2018 nécessitant une intubation et un transfert au SIB. Une bronchoscopie ne met pas en évidence d'importantes sécrétions. La clinique évolue rapidement favorable, faisant suspecter une atélectasie comme cause à la décompensation. Les prélèvements bronchiques sont négatifs. Le patient est extubé sans nécessité de relais par oxygénothérapie à haut débit, il bénéficie de 2 séances de VNI par jour. Après discussion multidisciplinaire, il est décidé de majorer la thérapie de stéroïdes à 2x 4 mg/kg afin de traiter d'une manière optimale l'inflammation causée par le traitement du PCP ainsi que la pneumopathie toxique à Évérolimus. Cette dose est à maintenir jusqu'au 25.01.2018 et sera baissée à 2x 2mg/kg dès le 26.01.2018 après discussion avec Dr. X. Monsieur Girard, hospitalisé du 11 au 23.12.2017 pour suspicion d'hémorragie digestive haute, consulte les urgences le 29.12.2017 en raison de l'apparition d'un prurit sur tout le corps. Il rapporte que la symptomatologie a débuté lors de la précédente hospitalisation mais s'est péjorée depuis 3 à 4 jours. Pas d'autre plainte. À l'admission, le patient est en bon état général et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status cardiopulmonaire, murmure vésiculaire symétrique avec ronchis. Nous ne retrouvons pas de lésion cutanée. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 avec une créatininémie à 113 micromol/l et une urémie normale ainsi que des troubles électrolytiques avec une hypokaliémie à 2,9 mmol/l. Nous débutons une hydratation et Monsieur Girard est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous mettons en suspens les médicaments néphrotoxiques et diminuons de moitié le dosage de l'Eliquis. L'évolution bio-clinique est favorable avec normalisation de l'insuffisance rénale et des troubles électrolytiques. Nous vous laissons réaliser un contrôle biologique à distance et d'adapter le traitement en conséquence. Monsieur Girard regagne son domicile le 04.01.2018. Monsieur Gomes De Sousa nous est adressé par son oncologue traitant en raison d'une asthénie associée à une acutisation depuis un mois de douleurs chroniques des lombaires, du bassin et de la cage thoracique. À noter que le patient est connu pour des métastases osseuses du rachis, du bassin et de la cage thoracique d'un adénocarcinome de la prostate actuellement en progression biologique. Concernant les douleurs, nous majorons le traitement de fond de Targin et introduisons du Paracétamol avec bon effet sur les douleurs. Pour l'asthénie, nous introduisons un traitement par Prednisone pour 7 jours. Le patient bénéficie également d'un support transfusionnel permettant une amélioration du point de vue de la fatigue. Nous majorons de manière provisoire le traitement par Metformine durant le temps de la corticothérapie. Avec le traitement en place, Monsieur Gomes De Sousa est autonome pour la réalisation des activités de la vie quotidienne et ne souhaite pas mettre en place d'aides pour le domicile. Du point de vue oncologique, le CT thoraco-abdominal retrouve une stabilité des métastases osseuses sans présence de nouvelles métastases notamment pulmonaires ou hépatiques. Le rapport de scintigraphie osseuse du 19.01.2018 ne nous est pas parvenu au moment de la sortie, mais un rendez-vous est déjà agendé chez son oncologue traitant le 24.01.2018 pour suite de prise en charge. À noter qu'en raison de tensions artérielles plutôt basses, nous diminuons de moitié le traitement habituel d'Exforge et ne réintroduisons pas l'hydrochlorothiazide au vu de l'insuffisance rénale et d'une déshydratation à l'arrivée. Monsieur Gomes De Sousa rentre à domicile le 19.01.2018. Monsieur Gothuey est un patient de 84 ans qui se présente aux urgences le 08.12.2017 en raison d'une douleur au niveau du pied droit et d'un œdème des deux pieds, sans notion de chute ou de traumatisme à ce niveau. Après les investigations, y compris un bilan angiologique, le diagnostic d'arthrite goutteuse avec fistule surinfectée est retenu. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline a été instaurée. Relevons toutefois que le patient est déjà sous Augmentin en raison d'un érysipèle, avec bonne évolution. Le patient est pris une première fois au bloc opératoire le 15.12.2017 pour résection de la fistule et résection suspendue de l'AMP, O1 droit, puis pour un second look le 17.12.2017. L'évolution est favorable, l'antibiothérapie peut être stoppée le 19.12.2017 sur avis infectiologique, les prélèvements étant revenus négatifs. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard.L'évolution est bonne, la réfection le 21.12.2017 montre une plaie calme et propre, sans signe infectieux. Le patient est transféré dans le service de réhabilitation gériatrique le 22.12.2017 pour suite de la prise en charge. En raison de diarrhées, des coprocultures sont prélevées révélant un clostridium difficile, raison pour laquelle une antibiothérapie par Flagyl 3 x 500 mg/jour est instaurée dès le 21.12.2017 pour une durée de 14 jours. Monsieur Goumaz, connu pour un adénocarcinome du pancréas, est amené aux urgences en ambulance le 31.12.2017 en raison d'une récidive d'état fébrile avec frissons et douleurs abdominales. En effet, le patient a consulté les urgences la veille pour la même symptomatologie. Il a pu rentrer à domicile avec un traitement par Dafalgan et un rendez-vous à la FUA pour contrôle le 03.01.2018. Pour rappel également, le patient a été hospitalisé du 18 au 22.11.2017 pour un état fébrile probablement à départ digestif et en raison des antécédents de bactériémie à E. coli multisensible, une antibiothérapie prophylactique par Ciproxine est débutée selon avis de la Dr. X, infectiologue, traitement stoppé par le patient sans avis médical. Ce jour, vers 11h00, il présente des frissons avec état fébrile à 38,2°C qu'il traite par Dafalgan, une asthénie ainsi qu'une faiblesse au niveau des membres inférieurs. Il signale également des douleurs au niveau de l'hémi-abdomen inférieur, sans irradiation avec nausées et vomissements. Présence également de sudations nocturnes depuis le mois d'octobre ainsi que de selles formées de couleur jaunâtre depuis 2 semaines. Au status cardiaque, B1B2 sont bien frappés avec un souffle mitral à 3/6, sans irradiation dans les carotides. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Au status digestif, cicatrice calme au niveau de l'hémi-abdomen supérieur. Vives douleurs à la palpation de la fosse iliaque gauche et sensibilité à la palpation de l'hypochondre droit. Pas de défense ni de détente, les loges rénales sont indolores à la percussion. Le laboratoire montre une leucopénie avec une progression de la CRP à 69 mg/l et une perturbation des tests hépatiques. Nous réalisons un US abdominal qui est compatible avec une cholangite. À noter que les hémocultures effectuées la veille reviennent positives pour un Bacille Gram - et nous effectuons des hémocultures complémentaires. De ce fait, nous introduisons une antibiothérapie par Tazobac 3x/j et Monsieur Goumaz est hospitalisé à l'ELM pour la suite de la prise en charge. En raison de la prise d'antibiotiques à plusieurs reprises récemment, nous effectuons une recherche de C. difficile dans les selles qui revient positive en tant que porteur le 02.01.2018. De ce fait, le patient est mis en isolement de contact jusqu'au 04.01.2018, (patient porteur sain). Après avis infectiologique par la Dr. X, nous relayons le traitement de Tazobac par l'Augmentin 2,2 g 4x/j dès le 03.01.2018 pour une durée totale de 7 jours (jusqu'au 07.01.2018). Nous introduisons également une prophylaxie antibiothérapeutique par Augmentin 625 mg 2x/j à maintenir jusqu'à la fin de la chimiothérapie. Le patient bénéficie de sa cure de chimiothérapie par Gemzar le 08.01.2018 et dans le contexte d'une anémie, il bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 08.01.2018. Après avis oncologique, nous renonçons à la mise en place du portacath prévue le 12.01.2018. Monsieur Goumaz peut regagner son domicile le 10.01.2018. Un contrôle à la consultation de la Dr. X, oncologue, est agendé pour le 15.01.2018. Monsieur Grand consulte les urgences de l'HFR Riaz le 17.12.2017 en raison d'un angor persistant depuis près de 48 heures, sous forme d'oppression thoracique avec irradiation dans l'épaule gauche. L'ECG montre un STEMI inférieur. Nous administrons 500 mg d'Aspirine iv, 60 mg d'Efient et 5000 UI de Liquemine et le patient est transféré à l'HFR Fribourg. La coronarographie du 17.12.2017 montre une occlusion subaiguë thrombotique de l'artère coronaire droite moyenne, avec pose d'un stent actif avec bon résultat et une angioplastie simple (au ballon) d'une sténose de l'ACD distale. Au vu d'une sténose serrée de l'IVA, une nouvelle coronarographie est prévue dans 1 mois. Une rééducation cardiaque est à organiser après celle-ci. Un traitement d'Aspirine et Efient pour 3 mois est introduit. La courte durée de la double antiagrégation est motivée par les chutes à répétition du patient. Nous complétons le traitement par des IEC et statines. L'échocardiographie du 18.12.2017 montre une hypokinésie sévère du septum, de la paroi inférieure moyenne et de la paroi inféro-basale avec une hypokinésie modérée de la paroi postérieure et inféro-apicale avec une FEVG à 48 %. Après une surveillance rythmique et clinique aux lits monitorés ainsi qu'une adaptation du traitement cardiaque, Monsieur Grand reste hémodynamiquement stable et asymptomatique. Il est transféré dans le service de médecine le 21.12.2017 puis peut regagner son domicile le 23.12.2017. Monsieur Grangier, connu pour une silicose pulmonaire et deux épisodes de bronchopneumonie d'aspiration, nous est adressé par l'Hôpital de Château-d'Oex le 05.01.2018 pour la suite de la prise en charge d'une dyspnée au moindre effort et d'une toux sèche depuis 4 jours. Le patient rapporte avoir probablement fait une fausse route avec du Champagne pendant le repas du 31.12.2017. Les jours suivants, il mentionne des épisodes de diarrhées (3x/j le 02 et le 03.01.2018). Pour rappel, il consulte les urgences de Château-d'Oex le 04.01.2018. Le diagnostic de pneumonie est posé et une antibiothérapie par Co-Amoxi est débutée. Dans notre service, Monsieur Grangier signale une dyspnée intermittente, sans relation aux efforts ainsi qu'une perte d'appétit depuis plusieurs mois, sans perte pondérale. Pas de douleur thoracique, d'état fébrile, d'expectoration ni de douleur abdominale. Au status, le patient est en bon état général, bien perfusé et hydraté. L'auscultation cardio-pulmonaire montre des B1B2 bien frappés sans souffle et un murmure vésiculaire présent et globalement rude avec des ronchis diffus, plus marqués à gauche ainsi que des râles bibasaux. L'abdomen est souple et indolore, avec une cicatrice visible inférieure à la crête iliaque droite. Les extrémités sont non œdémateuses avec des pouls périphériques amples et arythmiques. À l'examen neurologique, la force est à M4+ au niveau des 4 membres et la sensibilité grossière est préservée. La marche est hésitante et le Romberg non tenu, avec un rapide déséquilibre en arrière. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Monsieur Grangier est hospitalisé pour une pneumonie probablement sur broncho-aspiration et au vu des troubles de la déglutition, nous optons pour une antibiothérapie iv par Rocéphine. Le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire. Au niveau nutritionnel, le patient bénéficie d'une évaluation qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère, en lien avec une inappétence et une dysphagie. Monsieur bénéficie d'une substitution nutritionnelle orale par Fresenius 200 ml.Dans le cadre de la dysphagie aux solides, nous organisons un passage oeso-gastro-duodénal le 12.01.2018 qui met en évidence un trouble moteur fonctionnel de l'oesophage moyen essentiellement aux solides, avec l'absence d'une compression extrinsèque ou intrinsèque visualisée. Monsieur et son épouse bénéficient d'un enseignement alimentaire adapté à sa problématique et nous initions un traitement par Motilium. Nous vous laissons le soin d'évaluer en ambulatoire l'efficacité de ces mesures. Au niveau infectieux, au vu de la bonne évolution clinique et biologique, l'antibiothérapie est passée per os 1 g 2x/j dès le 07.01.2018. À noter que des hémocultures ainsi qu'une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque effectuées à l'Hôpital de Château-d'Oex reviennent négatives. Monsieur Grangier peut regagner son domicile le 13.01.2018. Monsieur Gremaud est un patient de 75 ans entre autres connu pour un carcinome pulmonaire non à petites cellules diagnostiqué en 2016, sous immunothérapie, suivi par Dr. X. Depuis environ deux mois, le patient se plaint de douleurs abdominales, allant en augmentant pour finalement s'accompagner de nausées et de vomissements post-prandiaux depuis 10 jours. Il relate également une constipation depuis quelques jours avant l'admission, puis des selles liquides le 21.01.2018. Vous le voyez à votre consultation et lui proposez une hospitalisation que Monsieur Gremaud refuse dans un premier temps. Il est amené par ambulance aux urgences le 22.01.2018. À l'examen clinique, patient en état général diminué, pâle, bien hydraté, anictérique sans cyanose, afébrile, normotendu, tachycarde. Hormis la tachycardie, le statut cardio-vasculaire est sans particularité. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétriques, avec des sibilances bilatérales. L'abdomen est souple. Présence d'une hernie ombilicale douloureuse à la palpation, irrécductible. Pas de défense, ni de détente. Signe de Murphy négatif. Pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Bruits abdominaux diminués en fréquence et en tonalité. Le toucher rectal est douloureux, il n'y a pas de masse, ni de sang mais des selles liquides sur le doigtier. Le reste du statut est sans particularité. Monsieur Gremaud est hospitalisé dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge. Le 25.01.2018 en raison de la suspicion d'une hernie ombilicale incarcérée, le patient est pris au bloc opératoire où Dr. X réalise une cure de hernie ombilicale incarcérée par filet Progrip 9 x 9 cm, prépéritonéal. Dans les suites opératoires, le patient bénéficie d'une surveillance à l'unité des lits monitorés. Celle-ci se déroule sans complication et Monsieur Gremaud revient à l'étage de chirurgie. La réfection des pansements montre une cicatrice calme et propre. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard habituelle et la reprise de l'alimentation légère est bien tolérée. Sur le plan biologique, on note une glycémie fluctuante motivant, après avis internistique, l'introduction de Lantus 8 unités le matin et d'Humalog selon le schéma. Le traitement sera adapté ensuite par nos collègues du service de gériatrie. En raison d'une bronchite chez ce patient connu pour carcinome pulmonaire, nous instaurons une antibiothérapie intraveineuse pour 5 jours, sous forme de Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g par jour du 23 au 27.01.2018. L'évolution est favorable sous traitement conjoint de CPAP et physiothérapie respiratoire. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, sans bruit surajouté. Notons, le 28.01.2018, l'apparition de pétéchies à la face dorsale des deux pieds. Au laboratoire, les thrombocytes et la crase sont sans particularité. Le lendemain, Monsieur Gremaud présente des oedèmes des membres inférieurs jusqu'à mi-jambes, raison pour laquelle nous introduisons un traitement de Lasix 20 mg iv, qui reste sans effet. Relevons une prise pondérale de 3 kg depuis le 25.01.2018. Parallèlement, les valeurs de protéines totales et de l'albumine sont en augmentation, respectivement à 57,9 g/l et à 28,1 g/l. Cette situation n'étant pas réglée durant le séjour dans le service de chirurgie, nos collègues de gériatrie procèderont à une surveillance tant clinique que biologique. Le traitement diurétique sera également adapté dans le service de réhabilitation gériatrique. Sur le plan abdominal, l'évolution est simple, l'abdomen est souple, la cicatrice est calme et propre. Monsieur Gremaud est transféré dans le service de réhabilitation gériatrique le 30.01.2018 pour suite de la prise en charge. Monsieur Gremaud est un patient de 89 ans qui présente une coxarthrose invalidante du côté G. Au statut clinique, la fonction de la hanche n'est pas si mauvaise. Le patient garde une mobilité légèrement diminuée par rapport au côté D, mais n'est néanmoins encore bonne. Tenant compte de l'âge du patient, qu'il présente des risques péri-opératoires non négligeables (CPAP pour apnée du sommeil depuis 1997, HTA) et qu'il est témoin de Jéhovah qui refuse en cas de nécessité une transfusion de sang, je ne suis pas d'accord d'intervenir chirurgicalement. Je pense par contre qu'à l'heure actuelle nous avons encore un potentiel de traitement symptomatique, raison pour laquelle je prescris au patient du Voltarène 75 mg retard 2 cp./jour fixe pendant 2 semaines, puis en réserve, à terme d'essai, combiné à du Dafalgan 1 g 3 cp./jour en réserve, ceci sous protection gastrique par Pantozol 40 mg 1 cp./jour. Je revois le patient pour une réévaluation clinique dans 1 mois (23.02.18). Monsieur Gremaud a bien compris la situation et reste en accord avec le traitement instauré. Monsieur Gremion est surveillé aux soins intensifs dans les suites post-opératoires d'un Whipple le 25.01.2018. L'opération se déroule sans complications, il est hémodynamiquement stable sous un léger soutien aminergique qui peut rapidement être sevré après des remplissages qui permettent également de reprendre une diurèse. L'antalgie est contrôlée de manière satisfaisante avec une péridurale. La surveillance se complique par l'apparition d'une FA dans le contexte aigu. La cardioversion est obtenue après une dose de charge de Cordarone qui sera relayée par un traitement par bêtabloquant. Une anticoagulation prophylactique est reprise en peropératoire. La nécessité d'une anticoagulation thérapeutique et une prise en charge de son FA est à discuter avec nos collègues cardiologues. On note une élévation des tests hépatiques en post-opératoire, secondaire à la mobilisation du foie et du clampage du cholédoque en peropératoire. Le suivi biologique montre une évolution favorable. L'évolution clinique favorable permet son transfert en service de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Monsieur Grivel, âgé de 71 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation pulmonaire suite à une pneumonie lobaire droite communautaire le 07.12.2017 dans un contexte de BPCO stade III D selon GOLD avec DLCO à 25 % et carcinome épidermoïde du poumon gauche (post-traitement par radiothérapie, dernière séance le 15.12.17).Sur le plan social, le patient est veuf depuis 2004. Il vit avec son fils de 37 ans à domicile. Il est à la retraite (ancien assureur). À l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée en augmentation ces derniers jours avec augmentation de la toux. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA, avec légère toux sans expectoration. Le status pulmonaire met en évidence une prolongation de l'expirium sur les 2 plages pulmonaires avec absence de murmure respiratoire jusqu'à mi-plage pulmonaire gauche. Oedème des chevilles prenant le godet ddc. Nous n'effectuons pas de spirométrie d'entrée car le patient n'est cliniquement pas en mesure de réaliser cet examen. La gazométrie d'entrée sous O2 1lt/min montre une saturation à 95% avec hypoxémie légère, sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence une atélectasie du LIG possiblement dans le contexte oncologique. En raison de la volonté du patient et du contexte clairement palliatif, nous ne pratiquons ni CT-scan ni examen endoscopique. En réponse à l'augmentation de la dyspnée, probablement sur l'atélectasie de la base du poumon gauche, nous introduisons un traitement de nébulisations par Atrovent et Ventolin, Prednisone 40 mg et Morphine 5 mg 4x/j. Nous démarrons un traitement de CPAP 4x/j avec bonne évolution clinique et radiologique. Nous pouvons sevrer l'oxygène même à l'effort. Concernant les oedèmes importants au niveau des 2 chevilles, nous majorons le traitement de Torem à 15 mg 1x/j. Après 2 semaines d'hospitalisation, nous effectuons un schéma dégressif de Prednisone et diminuons les diurétiques. Nous n'arrivons pas à sevrer la CPAP. Au status pulmonaire, nous notons une augmentation du murmure respiratoire en base gauche. En fin de séjour, le patient se plaint d'une augmentation de la toux avec un laboratoire montrant un syndrome inflammatoire en augmentation et une neutrophilie. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Nous retenons une probable exacerbation de sa BPCO que nous traitons par Céfépime 1g 2x/j pendant 7 jours et Prednisone 20 mg avec schéma dégressif sur 15 jours. Sur le plan nutritionnel, Monsieur Grivel présente une malnutrition protéo-énergétique modérée avec NRS à 4/7 et perte de >5% de son poids 1-2 mois et 10% de son poids par rapport au poids de forme (masqué au début par des oedèmes, perte de poids estimée hors H2O). Il a un appétit conservé mais qui ne compense pas l'hypermétabolisme de sa pathologie respiratoire naturellement. Des repas enrichis, fractionnés et 1 SNO support plus par jour ont permis de stopper la perte de poids et devront être poursuivis à l'EMS. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge en physiothérapie respiratoire avec désencombrement bronchique et adaptation de la CPAP. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire à domicile afin de maintenir les acquis. Après 4 semaines d'hospitalisation, Monsieur Grivel peut quitter notre service pour rejoindre le home de Vuadens pour un long séjour, le 18.01.2018, en état général conservé. Monsieur Hasny, connu pour deux épisodes de dermo-hypodermite de la jambe gauche, consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 13.12.2017 en raison d'une rougeur et de douleurs dans la jambe gauche, notamment à la marche, avec une fièvre à 40.6° et des frissons depuis la veille. Il mentionne une plaie interdigitale entre le 4ème et le 5ème orteil du pied ipsilatéral depuis une semaine, sans signe inflammatoire ni écoulement. Pas de notion de traumatisme direct, pas d'autre plainte. À l'admission aux urgences, le patient est en état général diminué, tachycarde, tachypnéique et fébrile à 41°C. Au niveau du membre inférieur gauche, on note un érythème douloureux à la palpation au niveau de la face antérieure de la jambe avec un trajet lymphatique irradiant vers la région inguinale. Une plaie interdigitale entre le 4ème et le 5ème orteil du pied ipsilatéral est visible, sans signe inflammatoire ou écoulement. La force du quadriceps est tenue et la mobilisation active en flexion et extension des orteils est non algique. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 13.6 G/l avec déviation gauche et une CRP à 128 mg/l. Des hémocultures sont prélevées. Une antibiothérapie par Co-Amoxi 2.2 g 3x/j iv est débutée et Monsieur Hasny est transféré à l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge. Malgré la prise en charge, l'érythème progresse et l'état fébrile persiste raison pour laquelle nous ajoutons de la Clindamycine 600 mg 3x/j iv dès le 16.12.2017. Par la suite, l'évolution est favorable avec diminution de la douleur et de l'érythème, résolution de la fièvre et disparition du syndrome inflammatoire. Les hémocultures reviennent négatives. L'antibiothérapie est relayée per os dès le 20.12.2017 par Co-Amoxi 1 g 2x/j et Clindamycine 300 mg 3x/j. Malgré la bonne évolution, nous proposons au patient de rester hospitalisé encore quelques jours, ce qu'il refuse. Monsieur Hasny quitte donc notre service le 21.12.2017 contre avis médical. Monsieur Hayoz, 58 ans, connu pour un diabète de type 2, est hospitalisé le 31.12.2017 en raison d'un rash morbiliforme d'origine indéterminée. Le patient s'était présenté aux urgences en raison d'un rash cutané généralisé légèrement prurigineux sans autre plainte, notamment pas d'atteinte des muqueuses ni d'état fébrile. À l'anamnèse médicamenteuse, il rapporte une utilisation intermittente d'un patch anti-douleur à base de plantes (Powerstrips patch à base de Germanium, Ginseng Rouge de Corée et Phytoplancton Marin). Il n'y a pas d'allergie connue ni de changement dans son alimentation. Le laboratoire montrait une éosinophilie à 6% sans syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire était propre. Le patient reçoit une dose de Solumedrol et Tavegyl aux urgences avec relais par du Xyzal en réserve. L'origine de l'éruption reste peu claire. Nous évoquons une origine virale ou médicamenteuse (Patch). Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Hayoz peut regagner son domicile le 02.01.2018. Nous recommandons désormais l'éviction de ce patch et prescrivons du Xyzal en réserve. Selon l'évolution, une consultation dermatologique pourrait être envisagée. Monsieur Hoehn est un patient de 56 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales crampiformes après consommation de viande pas fraîche. Un CT-scan abdominal met en évidence du liquide libre intra-péritonéal en quantité importante et les examens biologiques montrent un syndrome inflammatoire, raison pour laquelle nous effectuons une ponction du liquide péritonéal et une antibiothérapie intraveineuse est débutée. Les suites sont favorables avec une amélioration clinique et biologique constante. À noter que le patient développe une pancréatite probablement d'origine médicamenteuse, raison pour laquelle l'antibiothérapie est changée par du Ciproxine le 28.12.2017. Les coprocultures effectuées ainsi que la culture du liquide péritonéal reviennent négatives. En raison de la bonne évolution clinique et de l'amélioration constante des paramètres inflammatoires, le patient peut retourner à domicile le 29.12.2017. Nous proposons un contrôle clinique chez le médecin traitant dans 1-2 semaines. Monsieur Hosseini est un patient de 19 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 21.01.2018 pour un tableau douloureux en fosse iliaque droite d'apparition brutale associé à quatre épisodes de vomissements. Le laboratoire met en évidence une leucocytose à 15 G/l et une CRP < 5.Nous organisons un CT abdominal qui met en évidence une iléite et pas de signe d'appendicite. Le patient est mis sous Rocéphine-Flagyl du 21.01 au 23.01.2018. Sur avis du gastro-entérologue le Dr. X, nous ne réalisons pas de colonoscopie d'emblée. Il nous propose de prélever des coprocultures, de mesurer la calprotectine et éventuellement de répéter un CT abdominal dans 6 semaines ainsi que la calprotectine qui est négative. Le patient n'a pas de transit durant l'hospitalisation, raison pour laquelle il enverra un échantillon de ses selles au laboratoire de l'hôpital. Au vu de la bonne évolution clinique, avec notamment une régression totale des douleurs abdominales, le patient peut rentrer à domicile le 23.01.2018. Monsieur Hugli est un patient de 93 ans, connu pour des troubles démentiels avec un méningiome frontal, qui a chuté sur la glace le 06.12.2017 avec TC, qui est transféré le 18.12.2017 depuis le service de médecine interne de Meyriez dans le service de gériatrie aiguë pour la suite de la prise en charge dans le contexte de plusieurs chutes sur un déficit musculaire et une probable dénutrition. À l'entrée, Monsieur Hugli se plaint de douleurs du vertex à 5/10 ainsi qu'un manque de force, d'une paresthésie de la main gauche depuis une année et de faiblesses des membres inférieurs (G>D), d'une dyspnée NYHA II, sans orthopnée. Il parle également d'une toux chronique associée à des expectorations jaunâtres. À l'hétéroanamnèse, progression de troubles cognitifs depuis mai 2017, fortement aggravés depuis la chute. Au niveau social, le patient vit seul et n'a pas d'enfants. Ses voisins s'occupent de lui et sont ses curateurs depuis 12.2017. Il bénéficiait de l'aide de Spitex 3x/j pour les médicaments, l'aide aux soins du corps et les repas. Au status d'entrée, on retrouve un patient de 93 ans, orienté sur sa personne, mais désorienté dans le lieu et le temps en état nutritif diminué. Au niveau pulmonaire, des râles crépitants fins basaux bilatéraux sont auscultés. Au niveau de la main gauche, une diminution de la sensibilité et de la musculature interdigitale est notée. La force reste cependant symétrique. À l'entrée, le patient présente de nombreuses limitations. Au niveau des AVQ, le patient est dépendant d'une aide importante pour l'habillement/lavage de la partie inférieure du corps et d'une supervision pour l'habillement/lavage de la partie supérieure. Au vu de troubles importants de l'équilibre et d'un patient peu collaborant, les déplacements et transferts sont possibles sous supervision, mais très limités. Au cours de l'hospitalisation, un bilan laboratoire pour une suspicion d'état confusionnel est réalisé et se révèle sans particularité. Monsieur Hugli a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire à base de physiothérapie et d'ergothérapie. Dans le contexte de la démence progressive, la compliance du patient s'est vue limitée. Au vu d'une dépendance aux aides importante, d'un trouble de l'équilibre rendant les transferts et les déplacements limités et dangereux sans supervision, une demande pour un placement en home est proposée. Monsieur Hugli est transféré à l'EMS Clair Vully à Salavaux le 19.01.2018. Monsieur Hurni est un patient transféré le 01.12.2017 de l'hôpital de Fribourg après avoir été opéré d'une fracture instable de T12. À son retour, le patient est alité dû à une paralysie complète de la partie inférieure du corps. À l'entrée, l'anamnèse est extrêmement limitée au vu de la démence du patient qui refuse systématiquement de répondre aux questions. Le patient ne semble pas avoir de douleurs. Il n'a pas de plainte particulière. À l'examen clinique d'entrée, nous avons un patient à l'état général diminué et peu coopératif. Au niveau neurologique, les réflexes sont augmentés des 2 côtés avec un Babinski positif également des 2 côtés, la sensibilité semble partiellement diminuée des 2 côtés et la force est absente (M0). Au niveau abdominal, nous déclenchons une douleur à la palpation en fosse iliaque droite. Sinon, l'abdomen est souple sans signe de péritonisme. Au niveau pulmonaire, le patient semble encombré, mais l'auscultation ne révèle pas de crépitant clair. Au niveau cardiaque, l'auscultation est lointaine mais semble normale et les pouls sont palpés. Nous ne notons pas d'œdème des membres inférieurs. La mobilité est extrêmement diminuée avec un patient complètement paralysé dépendant d'une aide infirmière dans tous les domaines de la vie quotidienne. Au cours de l'hospitalisation, une prise en charge physio et ergothérapeutique a été mise en place, mais sans grand succès. Suite à une discussion avec l'équipe pluridisciplinaire d'un côté et avec la famille de l'autre, il est conclu que les possibilités de progrès sont très limitées. Les résultats de la pathologie osseuse envoyée lors de son opération à Fribourg sont revenus positifs pour des métastases de carcinome prostatique. Dans le contexte de vie et de confort du patient, il a été décidé de ne pas procéder à de nouvelles investigations. À noter qu'au cours de son hospitalisation, le patient a bénéficié d'une évaluation de la dysphagie par des logopédistes, suite à laquelle il a été recommandé d'ajouter de l'épaississant dans les boissons. Si le patient venait à ne plus boire à cause de cet épaississant, il a été convenu avec la famille que nous repassions en boisson normale, en acceptant un risque de broncho-aspiration. Enfin, au vu des glycémies encore relativement élevées, le schéma d'insuline est continué à la sortie. Il sera important de réévaluer régulièrement le diabète et la nécessité de continuer cette prise en charge. Enfin, une sonde urinaire a été posée chez le patient dans le contexte d'une globe sur hyperprostatismes, nous recommandons de réévaluer à distance la possibilité d'enlever la sonde. Au vu du faible potentiel de guérison et du souhait de la famille d'une prise en charge modeste, le patient retourne à son home à Morat le 08.12.2017. Monsieur Hurni est un patient transféré le 01.12.2017 de l'hôpital de Fribourg après avoir été opéré d'une fracture instable de T12. À son retour, le patient est alité dû à une paralysie complète de la partie inférieure du corps. À l'entrée, l'anamnèse est limitée au vu de la démence du patient qui ne pouvait pas répondre aux questions. Le patient ne semble pas avoir de douleurs. Il n'a pas de plainte particulière. À l'examen clinique d'entrée, nous avons un patient à l'état général diminué et peu coopératif. Au niveau neurologique, les réflexes sont augmentés des 2 côtés avec un Babinski positif également des 2 côtés, la sensibilité semble partiellement diminuée des 2 côtés et la force est absente (M0). Au niveau abdominal, nous déclenchons une douleur à la palpation en fosse iliaque droite. Sinon, l'abdomen est souple sans signe de péritonisme. Au niveau pulmonaire, le patient semble encombré, mais l'auscultation ne révèle pas de crépitant clair. Au niveau cardiaque, l'auscultation est lointaine mais semble normale et les pouls sont palpés. Nous ne notons pas d'œdème des membres inférieurs. La mobilité est extrêmement diminuée avec un patient complètement paralysé dépendant d'une aide infirmière dans tous les domaines de la vie quotidienne.Au cours de l'hospitalisation une prise en charge physio et ergothérapeutique a été mise en place mais seulement avec petit succès. Suite à une discussion avec l'équipe pluridisciplinaire d'un côté et avec la famille de l'autre, il est conclu que les possibilités de progrès sont limitées. À noter qu'au cours de son hospitalisation le patient a bénéficié d'une évaluation de la dysphagie par des logopédistes suite à laquelle il a été recommandé d'ajouter de l'épaississant dans les boissons. Si le patient venait à ne plus boire à cause de cet épaississant, il a été convenu avec la famille que nous repassions en boisson normale en acceptant un risque de broncho-aspiration. Les résultats de la pathologie osseuse envoyée lors de son opération à Fribourg sont revenus positifs pour des métastases de carcinome prostatique. Dans le contexte de vie et de confort du patient il a été décidé de ne pas procéder à de nouvelles investigations. Enfin au vu des glycémies encore relativement élevées le schéma d'insuline est continué à la sortie. Il sera important de réévaluer régulièrement le diabète et la nécessité de continuer cette prise en charge. Enfin une sonde urinaire a été posée chez le patient dans le contexte d'un globe sur hyperprostatisme, nous recommandons de réévaluer à distance la possibilité d'enlever la sonde. Au vu du faible potentiel de guérison et du souhait de la famille d'une prise en charge modeste, le patient retourne à son home à Morat le 08.12.2017. Monsieur Hyseni est hospitalisé pour prise en charge d'un AVC ischémique sylvien droit survenu le 08.01.2018. Il a présenté le 08.01.2018 au volant de sa voiture en rentrant de vacances du Kosovo un hémisyndrome facio-brachio-crural gauche en Slovénie. Son fils également présent dans la voiture l'amène environ 1h30 après l'apparition des premiers symptômes à l'hôpital le plus proche. La status initial montre un hémisyndrome facio-brachio-crural sensitivo-moteur gauche, une héminégligence gauche ainsi qu'une aphasie initiale. Le CT-scanner cérébral met en évidence une occlusion proximale de l'artère cérébrale moyenne droite sans ischémie constituée et sans sténose significative des vaisseaux pré-cérébraux. La thrombolyse n'est pas réalisée pour des raisons indéterminées et le CT cérébral à 24h montre une ischémie fronto-pariétale droite étendue du territoire sylvien. Ils introduisent une double antiagrégation plaquettaire, un traitement anti-hypertenseur ainsi qu'un hypolipémiant. Il est rapatrié en Suisse par la REGA le 12.01.2018. Le status d'entrée montre la persistance d'un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural gauche avec héminégligence multimodale gauche, probable hémianopsie homonyme latérale gauche, chez un patient par ailleurs orienté et sans aphasie. Le bilan est complété par une IRM cérébrale montrant un volumineux AVC ischémique subaigu intéressant le territoire sylvien droit entier sur occlusion M1 avec de petites plages de transformation hémorragique, un engagement sous-falcoriel et début d'engagement uncal. L'échocardiographie montre une oreillette gauche dilatée et un Holter est demandé afin de rechercher une fibrillation auriculaire. Le résultat reste à pister à la sortie. Un suivi neuropsychologique est mis en place durant l'hospitalisation et montre de légers progrès concernant l'héminégligence visio-spatiale et devra être poursuivi en neuroréhabilitation. Un état dépressif moyen réactionnel est mis en évidence et un traitement antidépresseur est introduit après avis auprès de nos collègues psychiatres. Monsieur se plaint de lombo-sciatalgies aiguës non déficitaires survenues de manière brutale le 07.01.2018 en sortant de la douche pour lesquelles il a consommé des anti-inflammatoires à haute dose le même jour. Elles s'améliorent durant l'hospitalisation et sont traitées par antalgie et par nos collègues physiothérapeutes. À noter également une notion de chute du lit sans traumatisme crânien à l'hôpital en Slovénie pour laquelle des radiographies du rachis, du bassin et du bras ont été réalisées et ne montrent pas de fractures. L'évolution est lentement favorable avec persistance de l'hémisyndrome moteur facio-brachio-crural sensitivo-moteur gauche complet avec plégie du MSG, parésie sévère à M2 du MIG et de l'héminégligence multimodale droite ainsi qu'une probable hémiparésie G surajoutée (DD : extinction visuelle G) raison pour laquelle il est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez le 26.01.2018. Monsieur Igreja Lourenco est un patient de 34 ans connu pour un pneumothorax suite à une chute à vélo le 28.07.2017, avec récidive le 10.08.2017. Le 25.01.2018 au matin, le patient se réveille avec une gêne thoracique centrale droite lui évoquant la douleur ressentie lors de son dernier pneumothorax. Pas de dyspnée, mais douleurs augmentées à l'inspiration profonde. Le patient se rend à votre consultation et vous réalisez une radiographie du thorax confirmant la suspicion de pneumothorax droit. À l'admission, le status cardio-vasculaire est sans particularité. À l'auscultation pulmonaire, hypoventilation apicale droite, sans râles de stase, ni sibilance. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le patient est stable, avec une saturation à 98% à l'air ambiant, il ne présente pas de dyspnée. Le Dr X procède à la mise en place d'un drain thoracique en aspiration avec 15 cm d'eau. La radiographie de contrôle montre un poumon de retour à la paroi. Sur avis du Dr X, chirurgien thoracique à l'HFR Fribourg, Monsieur Igreja Lourenco y est transféré le 26.01.2018 pour une prise en charge chirurgicale. Monsieur Islami est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour l'exploration de crachats hémoptoïques depuis 1 mois sans autre symptôme. Il est en état général conservé et le status est sans particularité. Pour rappel, il a été hospitalisé du 12.01.18 au 18.01.18 en Stroke unit pour un AVC ischémique fronto-pariétal droit dans le territoire sylvien droit. Durant son séjour, nous observons une évolution favorable de la parésie de sa main gauche et proposons de poursuivre le suivi par ergothérapie. Un scanner thoracique met en évidence une masse de 6x6x3 cm dans le lobe inférieur droit suspecte de néoplasie. Un PET-CT montre une hypercaptation de la masse ainsi que de multiples adénopathies médiastinales et hilaires. Une biopsie guidée par scanner est effectuée et le diagnostic d'adénocarcinome pulmonaire primitif de type NSCLC est posé. Des analyses génétiques NGS sont en cours. L'indication à un EBUS est retenue pour un staging final mais doit être repoussée en raison du haut risque d'une anesthésie générale chez un patient ayant souffert d'un AVC récent. L'EBUS est programmé pour le 27.02.18 et les oncologues convoqueront Mr. Islami pour la suite de la prise en charge. Après discussion avec les neurologues, les pneumologues et Mr. Islami, nous décidons d'introduire une anticoagulation thérapeutique par Clexane en confrontant les risques de saignement avec ceux de récidive d'AVC, au vu de l'étiologie cardio-embolique ou état pro-coagulant dans le contexte oncologique.Au PET-CT, une lésion nodulaire hyperactive est mise en évidence dans le lobe thyroïdien gauche. Nous organisons un CT du cou qui confirme la localisation intra-thyroïdienne du nodule et une biopsie à l'aiguille fine est effectuée mais aucun tissu ne peut être prélevé. Un rendez-vous de contrôle est prévu à 3 mois. Mr. Y rentre à domicile le 26.01.18. Monsieur Jacqueroud est un patient de 57 ans, qui se présente aux urgences avec des douleurs abdominales de la fosse iliaque droite apparues en fin de nuit. Les examens complémentaires effectués aux urgences, comprenant un CT abdominal, mettent en évidence une appendicite aiguë débutante. Le patient bénéficie d'une appendicectomie par laparoscopie. Les suites opératoires sont favorables et le patient quitte notre service le 07.01.2018 pour un retour à domicile. L'ablation des fils est à effectuer à J-14 chez le médecin traitant. Monsieur Jakob, patient de 66 ans, connu pour un carcinome de l'œsophage actuellement sous chimiothérapie par Farmorubicin, Platinol et 5-Fluorouracil (dernière chimio mercredi passée), nous est adressé par le Dr. X en raison d'une embolie pulmonaire de découverte fortuite, diagnostiquée au scanner thoraco-abdominal de contrôle du 17.01.18. Le patient n'a pas de plaintes mais il décrit deux épisodes de palpitations, associées à une faiblesse soudaine entraînant une lipothymie. Pas de fièvre ni frissons. Concernant les embolies pulmonaires, le patient bénéficie d'une anti-coagulation par Clexane thérapeutique dès le 17.01.18. La surveillance à l'étage de médecine est marquée par un nouvel épisode de palpitation avec tachycardie et sensation de malaise. Un ECG est réalisé, montrant des modifications sur les dérivations droites par rapport au comparatif. Dans ce contexte, une échocardiographie transthoracique est effectuée, revenant dans la norme, sans répercussion sur le cœur droit. À noter que nous mettons en pause le traitement d'Aspirine (prévention primaire) durant la période d'anti-coagulation par Xarelto. Sur le plan oncologique, le patient est suivi par le Professeur X. Le CT montre une réponse partielle avec diminution de taille des adénopathies. Une hypomagnésémie à 0.55 mmol/l et une hypokaliémie à 3.4 mmol/l sont mises en évidence au laboratoire, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une substitution per os. Au vu de l'évolution clairement favorable après surveillance clinique, le patient peut rentrer à domicile le 22.1.2018 et sera revu le 24 à la consultation du Professeur X. Monsieur Jaquet est un patient de 60 ans connu pour un adénocarcinome du duodénum et du pylore classé cT3-4 cN0 cM0 avec chimiothérapie palliative et croissance au dernier PET-CT d'octobre 2017, ainsi qu'un adénocarcinome du rectum classé ypT4 ypN2b (4/50 + 15) ; G2 – G3 ; L1 ; Pn1 ; R1, stade IV diagnostiqué en janvier 2015 avec un statut post-chimiothérapie d'induction puis amputation abdomino-périanale et colostomie terminale en fosse iliaque gauche, un statut post-radio-chimiothérapie concomitante adjuvante et un épisode de récidive oligométastatique en avant du psoas gauche en juillet 2016. Le patient est également connu pour un antécédent d'iléus mécanique sur une masse tumorale en fosse iliaque gauche infiltrante opérée le 13.12.2016 par laparotomie avec une dérivation iléo-iléale interne. Le patient consulte le 19.11.2017 aux urgences en raison de nausées et vomissements présents depuis 3 jours parlant pour une clinique de subiléus. Une radiographie puis un CT-scan de l'abdomen sont réalisés le 19.11.2017 et montrent une obstruction duodénale au niveau D1-D2 sur la masse tumorale duodénale connue avec une probable croissance de celle-ci. Aux urgences, le patient est mis à jeun et une sonde nasogastrique est mise en place. À son arrivée à l'étage, le patient bénéficie d'une nutrition parentérale. Après discussion avec les oncologues qui pensent administrer une immunothérapie dans le futur, le patient est pris au bloc opératoire le 23.11.2017 avec réalisation d'une anastomose gastro-jéjunale et un maintien de la sonde nasogastrique. Au vu de la bonne évolution clinique, nous pouvons retirer la sonde nasogastrique, arrêter la nutrition parentérale et reprendre une alimentation normale. Nous transférons le patient à Meyriez le 06.12.2017 afin d'effectuer une réadaptation. Nous vous laissons le soin de retirer les points de suture le 07.12.2017. Un contrôle à la consultation du Dr. X n'est pas nécessaire au vu du suivi rapproché que le patient bénéficie en rapport avec sa pathologie oncologique. La reprise du traitement par immunothérapie n'est pas contre-indiquée. Monsieur Jaquet est un patient de 86 ans transféré de l'hôpital de Fribourg le 06.12.2017 dans le service de gériatrie aiguë pour la fin de la prise en charge post-opératoire suite à une prise en charge chirurgicale le 19.11.2017 dans le contexte d'un iléus mécanique sur progression tumorale duodénale. À noter que le patient est connu pour un adénocarcinome du rectum (cT4d, cN2, cM1) et un adénocarcinome du duodénum et du pylore (cT3-4, cN0 cM0). La dernière chimio a eu lieu le 4 octobre 2017. À l'entrée, mis à part une faiblesse musculaire des membres inférieurs depuis l'opération, le patient n'a pas de plainte particulière. Le reste de l'anamnèse met en évidence une perte de poids de 14 kilogrammes depuis le début de l'année. Le patient parle d'un appétit légèrement diminué. Au niveau neurologique, le patient se plaint d'une sensation de froideur des pieds et des mains associée à un fourmillement présent depuis les chimiothérapies. À la maison, le patient vit dans une villa avec de nombreux escaliers avec son épouse et ne nécessitait d'aucune aide. Actuellement, le patient se décrit comme complètement indépendant dans les AVQ. Il s'habille, se douche et gère sa stomie seul. Au niveau du statut, nous avons un patient à l'état général diminué avec des signes de sarcopénie dans le cadre d'une malnutrition grave. L'auscultation cardiaque est lointaine mais normale. Les pouls sont palpés. Au niveau neurologique, un léger nystagmus épuisable est noté en fin de course horizontale. La plaie chirurgicale est propre, sans signe infectieux. Les fils sont encore présents et sont enlevés le 07.12.2017. Le patient est porteur d'une stomie qui ne présente aucun signe infectieux. À noter une pancytopénie dans le laboratoire faite la veille. À l'entrée, le patient est indépendant dans la plupart des AVQ, il nécessite cependant une supervision pour l'habillement et le lavage de la partie inférieure du corps. Au niveau moteur, il présente un trouble de l'équilibre, dans ce contexte, il nécessite une supervision dans les transferts et les déplacements. Au cours de son hospitalisation, le patient reçoit la première cure d'une immunothérapie nouvellement introduite avec une évolution favorable. Le patient, connu pour une pancytopénie, a présenté une chute des valeurs d'hémoglobines. Au vu d'une fatigue importante suite à son immunothérapie, le patient reçoit 2 concentrés érythrocytaires. Monsieur présente en seconde partie d'hospitalisation, une déhiscence de sa plaie chirurgicale, propre et sans signe infectieux. Dans ce contexte, un avis auprès de chirurgien et des infirmières spécialisées en stomathérapie permet d'instaurer un protocole pour le pansement avec une évolution favorable. Celui-ci sera poursuivi à domicile à l'aide de Spitex.Monsieur Jaquet bénéficie d'une prise en charge à base de physio et d'ergothérapie avec un entraînement de la marche, de l'équilibre et de la force des membres inférieurs et supérieurs. Au niveau ergothérapeutique, une évaluation du domicile et un entraînement des activités quotidiennes est réalisé. Grâce aux progrès réalisés, le patient est complètement indépendant. Monsieur Jaquet sort le 22.12.2017 en bon état général avec un suivi en oncologie agendé la semaine suivante. Monsieur Jeannin est hospitalisé pour la poursuite de la chimiothérapie d'une LLA diagnostiquée en 09/2017 selon le protocole GRAAL 2014, hospitalisé jusqu'au 11.01.2018. Après une semaine de séjour à domicile, le patient n'a pas de plainte particulière, dans l'examen clinique à l'entrée, on constate des œdèmes légers des membres inférieurs. La chimiothérapie est admise selon le protocole du 20 au 26.01.2018. Nous substituons l'acide folinique selon les taux de Méthotrexate, la fonction rénale reste stable. L'hyperhydratation dans le contexte de la chimiothérapie provoque des œdèmes des membres inférieurs, un traitement diurétique est admis avec amélioration clinique. Suite à la diurèse forcée, on constate une hypokaliémie importante au laboratoire, une substitution intraveineuse et orale est installée avec bonne évolution au laboratoire. Pendant le séjour, nous arrêtons le traitement avec Pregabaline, introduit pendant la dernière hospitalisation pour une polyneuropathie chimio-induite. L'arrêt est bien supporté par le patient. Des diarrhées observées dès le 24.01.2018 sont traitées symptomatiquement. La recherche d'une infection à Clostridium reste négative. Après avoir obtenu un taux négatif de Méthotrexate, le patient rentre à domicile le 26.01.2018. Il sera convoqué par les hémato-oncologues pour la poursuite du traitement en ambulatoire. Monsieur Jenny est hospitalisé pour une baisse d'état général associée à des vertiges et des épisodes d'état fébrile avec frissons. Il est adressé aux urgences en état de choc. Le bilan d'entrée met en évidence un sepsis d'origine urinaire et une antibiothérapie par Tazobac est initiée. Il est surveillé aux soins intensifs pendant 24 heures puis transféré à l'étage de médecine interne. Des hémocultures ainsi qu'une culture des urines reviennent positives pour E. Coli résistant au Bactrim, Amoxicilline et Augmentin. Au vu d'une évolution rapidement favorable, nous complétons 48 heures d'antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine puis effectuons un relais per os par Ciprofloxacine pour une durée totale de 10 jours. Pour rappel, Mr. Jenny a été hospitalisé du 17 au 18.01.18 pour une embolie pulmonaire de découverte fortuite sur un scanner de suivi oncologique. Une anticoagulation thérapeutique par Clexane avait été introduite, que nous relayons par de l'héparine de bas poids moléculaire au vu d'une insuffisance rénale aiguë. Pour des questions pratiques, nous remplaçons les injections d'HBPM par du Xarelto une fois la fonction rénale rétablie. La chimiothérapie est mise en suspens jusqu'à la résolution de l'épisode septique actuel. Nous réintroduisons progressivement son traitement anti-hypertenseur mais laissons en suspens le Torasemide au vu d'un profil tensionnel favorable. Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de reprise de ce traitement. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Jenny peut rentrer à domicile le 26.01.18. Monsieur Jenny, patient de 62 ans, connu pour un carcinome rectal diagnostiqué en 2010 avec résection antérieure basse et confection d'une iléostomie, suivi d'une cure de radio-chimiothérapie, présente une récidive en septembre 2017 nécessitant une reprise de chimiothérapie depuis 2 mois par 5-FU, Campto et Erbitux (dernière dose ce jour). Il bénéficie d'un CT de contrôle dans ce contexte avec découverte fortuite d'embolie pulmonaires segmentaires du LID latéral et postérieure avec tronc pulmonaire élargi sans élargissement des cavités D, raison pour laquelle il est adressé aux urgences. Le patient n'a aucune plainte, pas de dyspnée, pas de palpitations, pas d'OMI, pas de douleurs des MI, pas d'orthopnée, pas de toux ni expectoration ni hémoptysies. Concernant l'embolie pulmonaire, le patient bénéficie de Clexane thérapeutique dès le 17.01.18. Sur le plan cardiaque, le patient présente une insuffisance cardiaque d'origine peu claire (possiblement toxique sur chimiothérapie) et nous prévoyons à moyen terme une nouvelle échocardiographie. Sur le plan oncologique, le patient est suivi par le Dr. X. La suite de la prise en charge oncologique aura lieu comme prévu. À sa sortie, le patient passe au C4 pour signaler l'organisation de l'échocardiographie. Monsieur Jenny, patient de 62 ans, hospitalisé aux soins intensifs dans le contexte d'un sepsis probablement d'origine urinaire le 21.01.2018. Le patient est actuellement sous chimiothérapie par Erbitux, Campto et 5-Fluorouracil pour une récidive ganglionnaire d'un adénocarcinome rectal. Il a été diagnostiqué pour une embolie pulmonaire le 17.01.2018 (découverte fortuite au CT de contrôle sous chimiothérapie) et mis sous Clexane. Depuis le 19.01.2018, le patient présente une diminution de l'état général avec des vertiges et un épisode d'état fébrile et frisson. Il se présente ce matin aux urgences où l'on met en évidence un sepsis. L'origine est probablement urinaire devant une polyurie avec une leucocyturie sans autres points d'appel. Le patient est cultivé, mis sous Tazobac et rempli avec 2,5 l. À son arrivée aux soins, le patient est hémodynamiquement stable avec des tensions dans les limites inférieures de la norme. L'antibiothérapie par Tazobac est switchée pour de la Ceftriaxone avec une hémoculture positive pour un bacille gram -. Le patient reste fébrile sur la nuit du 21 au 22.01.2018. Pour compléter le bilan infectieux, des coprocultures sont prélevées le 22.01.2018 au vu de selles plus liquides que d'habitude par la colostomie. Le 22.01.2018, nous notons une évolution favorable avec un patient hémodynamiquement stable en bon état général. Il est donc transféré à l'étage de médecine interne pour la suite de la prise en charge. Nos collègues de l'oncologie sont avertis de la situation et la chimiothérapie est mise en suspens. Une insuffisance rénale d'origine pré-rénale est traitée par remplissage intraveineux. En cas de mauvaise évolution, nous recommandons une imagerie pour exclure une cause post-rénale. L'anticoagulation thérapeutique pour les embolies pulmonaires par Clexane est switchée pour de la liquémine IV en continu au vu de l'insuffisance rénale. Le patient est suivi chez le Dr. X au vu d'une persistance d'une plaie du périnée post-amputation abdomino-périnéale. Il bénéficie d'un rinçage de Prontosan 1x/semaine le dimanche. La plaie, vue par nos collègues de la chirurgie, est calme sans signes infectieux. Monsieur Jenny, patient de 85 ans, connu pour un diabète de type 2 et une artériopathie des membres inférieurs, présente des plaies des orteils du pied droit depuis une année, avec péjoration ces derniers jours (signalé par le Spitex, pansement 3x/semaine). À noter que le patient a bénéficié d'une angioplastie le 09.01.18.Concernant les plaies du pied droit, un nouveau bilan angiologique est réalisé et montre l'absence d'ischémie critique du membre inférieur droit, avec bonne perméabilité des artères revascularisées précédemment. Un avis au team pied est également demandé, préconisant une surveillance de l'évolution clinique, avec re-discussion de la suite de prise en charge en fonction de l'évolution. Le patient présente une insuffisance rénale chronique pour laquelle un suivi biologique régulier est réalisé. La valeur de la créatinine s'élève à 120 mmol/l au laboratoire du 17.01.18 (clairance créatinine à 53 selon MDRD). Un contrôle biologique est à prévoir à distance de l'événement aigu. En raison de troubles cognitifs majeurs et de soins impossibles à domicile, un placement à l'EMS avait été décidé avant l'hospitalisation de Mr. Y par ses proches. Dans ce contexte, en raison d'une place vacante au home des Epinettes à Marly, le patient peut être institutionnalisé le 22.01.18. Il sera suivi en ambulatoire par nos collègues d'orthopédie team pied pour la suite de prise en charge au niveau du membre inférieur droit. Mr. Y est un patient de 50 ans qui a présenté une cholécystite lithiasique aiguë traitée conservativement le 10.09.2017, posant l'indication opératoire. Le patient est hospitalisé le 19.01.2018 en électif pour une cholécystectomie laparoscopique qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont favorables. Le patient peut rejoindre son domicile dès le 21.01.2018. Mr. Y est un patient de 82 ans qui est amené aux urgences vers 03h00 du matin le 25.01.2018 en raison de douleurs abdominales localisées au flanc droit, d'apparition subite vers 17h00, sans irradiation, ni migration. Celles-ci sont continues, de type difficilement caractérisable, non soulagées par le Buscopan mais soulagées par l'Ecofenac. Il a également présenté des nausées, ainsi que trois épisodes de vomissements alimentaires, sans sang, ni marc de café. Absence de diarrhées, de constipation, de sang frais, de méléna ou de mucus dans les selles. Dernières selles la veille au matin, bien formées et de couleur brune. Urines troubles, non malodorantes, le matin aux urgences. Le reste de l'anamnèse est sans particularité, notamment un poids stable. Relevons que Mr. Y a présenté un état grippal avec état fébrile à 38,9°, raison d'une consultation à votre cabinet. Vous avez instauré alors un traitement empirique à l'Azithromycine. Actuellement le patient est afébrile et ne tousse pas. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 40 mg/l, sans leucocytose, une gamma GT à 137 U/l (chroniquement perturbée selon vos informations), des tests pancréatiques alignés, une urée et une créatinine dans la norme. Au sédiment urinaire, hématurie, leucocyturie, protéinurie, nitrites négatifs. Hormis une tachycardie sinusale, l'ECG est sans particularité. L'ultrason abdominal révèle une vésicule biliaire à parois épaissies avec un aspect feuilleté et une lame de liquide dans sa périphérie, ainsi qu'un contenu hyperéchogène compatible avec de la boue biliaire, toutefois sans calcul nettement discernable à l'intérieur. Le pancréas est lipomateux et la rate est sans particularité. Les deux reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. Le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie, sous antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl, ainsi qu'antalgie. L'évolution est rapidement favorable, avec disparition des douleurs et une diminution du syndrome inflammatoire avec, à la sortie, une CRP à 112 G/l, sans leucocytose. Le 26.01.2018, Mr. Y peut retourner à domicile après avoir reçu une dernière dose de Rocéphine. L'antibiothérapie sera poursuivie per os à raison de Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour jusqu'au 04.02.2018 inclus. Mr. Y sera revu à votre consultation le 24.01.2018 pour contrôle de la crase et réglage du Sintrom. Le patient sera convoqué par le cabinet de gastro-entérologie de l'HFR Fribourg par courrier en vue d'une coloscopie en février 2018. Mr. Y est un patient de 80 ans connu pour un status post-néphrectomie droite dans le cadre d'un carcinome à cellules claires, chez qui on note l'apparition de plusieurs nodules pulmonaires suspects lors du suivi oncologique. En raison de l'échec de la réalisation d'une biopsie transthoracique, et suite au Tumor board, il est décidé d'effectuer une thoracoscopie droite avec résection atypique du lobe inférieur droit à but diagnostique. L'intervention a lieu le 04.01.2018 et se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples et après ablation du drain thoracique, le patient peut retourner à domicile le 05.01.2018. Mr. Y est hospitalisé pour une péjoration de sa dyspnée habituelle. Le bilan d'entrée met en évidence l'exacerbation d'une BPCO stade III dans un contexte de probable pneumonie basale droite et de grippe. Une antibiothérapie et le Tamiflu sont menés avec un bon effet clinique et biologique. Une physiothérapie respiratoire est initiée avec des séances de VNI en raison d'une hypercapnie. L'évolution est favorable mais Mr. Y reste plus dyspnéique à l'effort que d'habitude. En accord avec le patient et son pneumologue traitant, le Dr. X, nous organisons une réhabilitation pulmonaire stationnaire à Billens, où le patient peut être transféré le 16.01.18. Devant la pneumopathie avancée et irréversible, nous organisons également une évaluation primaire palliative avec le Dr. X dans le but d'une identification précoce. Mr. Y est un patient de 76 ans connu pour un carcinome de l'oesophage sous radiothérapie et chimiothérapie, suivi par le Dr. X, qui nous est référé dans le contexte de fièvre, baisse de l'état général ainsi que troubles de l'équilibre. Le bilan radiographique et biologique met en évidence une pneumonie basale droite. Nous instaurons un traitement par Co-Amoxicilline du 27.12.2017 au 03.01.2018 menant à une nette amélioration clinique. De même, un traitement par Clarithromycine débuté le 27.12.2017 est stoppé le 28.12.2017 (antigènes urinaires négatifs). Concernant son carcinome, Mr. Y bénéficie d'une poursuite des séances de radiothérapie en cours d'hospitalisation. La dernière séance de radiothérapie a lieu le 03.01.2018 comme prévu. Les chimiothérapies prévues sont quant à elles repoussées le 18.12 et le 22.12.2017. Elles seront rattrapées dès le 05.01.2018. Au vu d'une neutropénie sur chimiothérapie, le Dr. X nous propose un traitement par Neupogen 30 mio du 28.12 au 30.12.2017. Du point de vue des troubles de la marche, nous réalisons une IRM cérébrale qui se révèle dans la norme. De même, un test de Schellong est sans particularité. Nous optons donc pour un diagnostic de troubles de l'équilibre sur probable neuropathie en relation avec la chimiothérapie. Mr. Y bénéficie de physiothérapie en cours d'hospitalisation. Enfin, Mr. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui mène au diagnostic d'une malnutrition protéino-énergétique grave qui sera suivie en ambulatoire en parallèle de la prise en charge oncologique.Monsieur Kaltenrieder est un patient de 74 ans, connu pour un status post-pontage coronarien et un anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale, qui nous est transféré de Meyriez pour des douleurs abdominales et une symptomatologie urinaire avec mise en évidence d'une prostatite aiguë. En raison de ses antécédents vasculaires, un CT abdominal est effectué montrant un anévrisme de 48 mm relativement stable avec une diminution des douleurs abdominales sous antibiothérapie. C'est pourquoi, nous ne proposons pas d'intervention en urgence, mais un suivi à la consultation du Dr. X en vue de programmer une intervention en électif. Le patient sera vu le 01.02.2018 à 14h00 à la consultation du Dr. X. Concernant la problématique urinaire, l'antibiothérapie sera maintenue pour un total de 14 jours et le patient prendra rendez-vous chez son urologue, en ambulatoire. Monsieur Karakoc est un patient de 61 ans qui consulte les urgences en raison de douleurs épigastriques associées à des vomissements depuis 4 jours. Le bilan biologique et scannographique fait poser le diagnostic de cholécystite aiguë débutante avec probable cholangite débutante. Au vu de la durée des douleurs, nous décidons pour un traitement conservateur avec cholécystectomie en distance. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole est introduite. L'évolution est défavorable avec péjoration des douleurs et du syndrome inflammatoire, indiquant un drainage percutané trans-hépatique de la vésicule biliaire. L'évolution est ensuite favorable avec une normalisation des paramètres de cholestase et inflammatoires. Concernant l'hypertension artérielle non traitée, nous installons un traitement par Lisinopril. Durant l'hospitalisation, le patient a fait deux épisodes de désaturation avec œdème des membres inférieurs et une prise de 4 kg que nous avons traitée avec du Torasémide. Sur le plan diabétologique, le patient a décompensé en post-opératoire avec des glycémiques trop élevées. Son traitement habituel a été réintroduit et nous vous laissons le soin d'en adapter la posologie. Nous laissons le drain en place jusqu'à la cholécystectomie prévue dans 6 semaines. Le patient rentre à domicile le 15.01.2018 avec des soins à domicile qui se chargeront de rincer la sonde 1x/jour. Prochain contrôle dans 4 semaines à la consultation des Chefs de clinique. Monsieur Karatay est un patient de 49 ans qui présente le 30.12.2017 vers 11h une douleur épigastrique subite irradiant en rétrosternal, respiro-dépendante, associée à des sudations profuses. Il consulte aux urgences de la Chaux-de-Fonds où un bilan complet est effectué, y compris un CT thoracique initialement décrit comme normal. Le patient est libéré dans un premier temps puis recontacté par la Chaux de Fonds après relecture du CT et mise en évidence d'une bulle d'air dans le médiastin. Il reconsult à Fribourg dans ce contexte (était en visite à la Chaux-de-Fonds). Un traitement de Pantozol est instauré, ainsi qu'une antibiothérapie par Tazobac pour la suspicion d'une perforation œsophagienne. L'OGD effectuée ne met en évidence aucune perforation ni fissure de l'œsophage. Après relecture du CT, un diagnostic de kyste paratrachéal est retenu, sans évidence de pneumomédiastin. Le traitement antibiotique est alors stoppé et le patient rentre à domicile le 01.01.2018. Il consultera en cas d'apparition d'une symptomatologie ou de fièvre. Le traitement de Pantozol est poursuivi en suspectant une possible gastrite vu la localisation initiale des douleurs. Monsieur Karth présente une lésion au moins partielle du ligament croisé antérieur associée à une distorsion du ligament collatéral interne en regard de son genou droit. Il n'y a pas de lésion autre associée, surtout pas du ménisque. Je propose donc dans un premier temps un traitement conservateur. Le patient est déjà équipé d'une genouillère articulée qu'il portera pour une durée de 6 semaines. Je propose de la physiothérapie ayant pour premier but l'antalgie, puis pour regagner la mobilité et plus tard pour tonifier la musculature et stabiliser le genou par des exercices de proprioception. Je reverrai le patient à ma consultation d'ici 6 semaines pour une réévaluation clinique. Pas d'arrêt de travail. Le patient est confortable dans la genouillère et il arrive à travailler en tant qu'enseignant. Prochain rendez-vous le 21.02.2018. Monsieur Kaya est un patient de 22 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 02.01.2018 avec des douleurs abdominales aiguës péri-ombilicales et en fosse iliaque droite. Au status abdominal, il présente un Mc Burney positif et une douleur à la détente. L'ultrason abdominal met en évidence une appendicite aiguë. Il bénéficie par la suite d'une laparoscopie exploratrice qui confirme le diagnostic d'appendice aigu non compliqué et une appendicectomie est réalisée sans complication. Les suites opératoires sont simples. Au vu de la bonne évolution biologique et clinique, le patient peut rentrer à domicile le 03.01.2018. Monsieur Khaled est un patient de 23 ans, en bonne santé habituelle, qui bénéficie le 20.12.2017 d'une cure de sinus pilonidal selon Lord Millar. La mèche est enlevée à J-1, des saignements sont arrêtés avec un point de Vicryl et le patient rentre à domicile le 21.12.2017. Monsieur Khali est un patient de 73 ans, en bonne santé habituelle, qui est suivi à notre consultation de pneumologie pour une hyper-réactivité bronchique. À l'anamnèse, on met en évidence des épisodes de dyspnée nocturne avec ronchopathie motivant la réalisation d'une polygraphie nocturne permettant de diagnostiquer un syndrome d'apnées/hypopnées centrales du sommeil de degré modéré. Après un échec de mise sous CPAP (persistance des événements respiratoires nocturnes), le patient vient ce jour en hospitalisation élective dans notre laboratoire du sommeil pour une mise sous ventilation auto-adaptative ASV. La polygraphie nocturne de mise sous ASV met en évidence une diminution significative des événements respiratoires nocturnes, avec un IAH au diagnostic de 23.7/h et un IAH résiduel de 16.5/h. Malgré ces bons résultats, le patient a passé une mauvaise nuit (sentiment d'oppression par le masque, n'arrive pas à respirer de lui-même, peur de faire tomber la machine en bougeant, très anxieux par l'air reçu de la machine, etc.). Après une longue discussion avec le patient sur la période nécessaire à une adaptation à un tel appareillage, les bénéfices escomptés sur les symptômes nocturnes ainsi que la prévention primaire des maladies cardio-vasculaires, Monsieur Khali est catégorique quant au refus d'appareillage et rentre à domicile sans ordonnance de thérapie ventilatoire. À noter que les fonctions pulmonaires du jour mettent en évidence une obstruction des petites voies aériennes ainsi qu'un piégeage gazeux, chez un patient suivi pour une hyperréactivité bronchique, au bénéfice d'un traitement inhalateur de Séréttide. Le patient relate une bonne prise en charge de ses symptômes (principalement toux et expectorations). Sous ces conditions, nous renouvelons l'ordonnance de Séréttide et organisons un suivi dans 6 mois avec répétition des fonctions pulmonaires, afin d'évaluer l'adaptation du traitement inhalateur.Avec nos meilleures salutations. Monsieur Kifle consulte en raison de douleurs de la 1ère articulation métacarpophalangienne du pied gauche. Nous retenons une probable crise de goutte et il refuse une ponction de l'articulation. Il refuse également dans un premier temps l'ordonnance puis revient la chercher 5 minutes plus tard. La situation est expliquée par téléphone à un ami qui fait la traduction. Nous lui recommandons de reconsulter immédiatement en cas d'apparition de fièvre ou de persistance des douleurs malgré le traitement symptomatique. Monsieur Kirsch est un patient de 81 ans connu pour une cardiopathie ischémique sous Aspirine et une diverticulose, qui est hospitalisé en chirurgie le 31.12.2017 pour un premier épisode d'hémorragie digestive basse. Une colonoscopie le 02.01.2018 met en évidence plusieurs diverticules, sans saignement actif. Une gastroscopie le 03.01.2017 ne montre pas de saignement actif. Pendant son séjour, le patient présente plusieurs épisodes d'hématochésies et une déglobulisation, nécessitant la transfusion de 2 culots érythrocytaires les 02.01.2018 et 03.01.2017. En raison de la persistence de l'hématochésie, le patient bénéficie d'une sigmoïdectomie et anastomose termino-latérale le 03.01.2017 et est transféré aux soins intensifs pour la surveillance post-opératoire. Au niveau hémodynamique, une hypertension artérielle passagère est traitée par Trandate iv qui est rapidement sevré. Par la suite, le profil tensionnel reste plutôt bas, raison pour laquelle le traitement antihypertenseur habituel de Valsartan est mis en suspens, et le traitement par Bisoprolol est repris à demi-dose (1 fois par jour au lieu de 2 fois par jour). Le traitement est à adapter en fonction du profil tensionnel. Nous constatons une anémie pendant son séjour sans nouvel épisode d'hématochésie. Au vu des comorbidités du patient, nous transfusons un culot érythrocytaire le 04.01.2017. Pendant la transfusion, le patient présente une possible réaction transfusionnelle légère (vertiges, fourmillements) et la transfusion est stoppée. Il reçoit un nouveau culot le 09.01.2018 et le 12.01. et 13.01. sans complications. L'antalgie est gérée dans un premier temps par une PCA de Morphine et la Lidocaïne iv. Sous ce régime, l'évolution est compliquée par un état confusionnel et la lidocaïne est diminuée puis stoppée. En raison d'un retard de reprise du transit et de nausées, la morphine est également arrêtée. La perfusion de Lidocaïne est reprise le 06.01.2018 pour quelques heures et l'antalgie par paracétamol est complétée par de la Novalgine. Par la suite, le patient reste confortable. Un état subfébrile et un syndrome inflammatoire était en augmentation au 4ème jour post-opératoire. Le CT thoraco-abdominal a mis en évidence uneatélectasie des deux bases pulmonaires prédominant à droite et des épanchements pleuraux, du liquide libre intra-abdominal sans obstacle ni collection, une cholécystolithiase. Une leucocyturie asymptomatique était aussi présente. Une antibiothérapie préemptive de Levofloxacine et Metronidazole a été administrée du 06.01.2018 au 09.01.2018, après discussion avec l'infectiologue. Par la suite, le patient reste afébrile avec une nette amélioration sur le plan respiratoire permettant l'arrêt de la substitution en oxygène. Une nutrition parentérale à 50 % est débutée le 06.01.2018, d'abord en périphérie puis par cathéter central le 07.01.2018 à cause d'un sub-iléus post-opératoire ne permettant pas une alimentation entérale. Un syndrome de renutrition est diagnostiqué, avec une dysélectrolytémi qui nécessite une substitution. L'alimentation parentérale est augmentée à dose complète dès le 09.01.2018 et peut être progressivement diminuée dès le 14.01.2018 après une réalimentation orale suffisante et la reprise du transit intestinal. L'évolution étant progressivement favorable, le patient est transféré en Allemagne le 18.01.2018 pour la suite de la prise en charge. Monsieur Kleiss, connu pour une épilepsie partielle complexe secondairement généralisée, est adressé au service des urgences en raison de 2 épisodes d'absence d'une durée d'environ 30 minutes survenus à quelques heures d'intervalle le 06.01.2018, sans perte de connaissance ou mouvement tonico-cloniques. Il a présenté un autre épisode de ce type au service des urgences. Selon son entourage, le patient a pris tous les jours son traitement de Levetiracétam (Keppra), mais a présenté des diarrhées les jours précédents ayant pu causer une diminution de son absorption. Sur avis du Dr. X, neurologue de garde, son traitement de Levetiracetam est poursuivi, et le patient est chargé en Clobazanum puis est transféré aux soins continus pour une surveillance neurologique. Un EEG effectué le 07.01.2018 met en évidence un foyer épileptique fronto-temporal droit légèrement plus actif que sur les comparatifs. Le laboratoire d'entrée ne met pas en évidence de trouble électrolytique ou de syndrome inflammatoire. Durant son hospitalisation, le patient n'a pas eu de récidive épileptique. Un taux de Levetiracetam s'est révélé dans la cible. De ce fait, sa posologie n'a pas été modifiée. Suite à une discussion entre sa neurologue pédiatrique, la Dr. X et le Dr. X, son traitement est majoré avec introduction de Lacosamide. Un schéma dégressif de Clobazanum est mentionné sur l'ordonnance de sortie. Au vu de son âge, le patient sera désormais suivi en neurologie de l'adulte. Il sera revu à la consultation du Dr. X avec EEG le 15.03.2018. Monsieur Knobel est un patient de 78 ans, connu pour un myélome multiple à IgG et un s/p embolie pulmonaire le 21.11.2017 sous anticoagulation, qui a été adressé en gératrie aiguë pour la suite de la prise en charge après un séjour à l'hôpital cantonal suite à un choc hémorragique sur un saignement actif d'une branche de l'artère iliaque droite, non clippée, avec un hématome du muscle iliaque droit d'origine probablement mécanique le 30.11.2017. À l'entrée, le patient se plaint de douleurs persistantes en regard de l'hématome du flanc D et de la cuisse D avec une faiblesse de tout le MI (EVA 6/10), une constipation depuis 2 jours, des troubles d'équilibre et de la marche et une fatigue. Le patient se déplace avec un fauteuil roulant. Avant son hospitalisation, le patient habitait seul dans un appartement au 3ème étage avec un ascenseur. Il était indépendant pour les activités quotidiennes et se mobilisait sans les moyens auxiliaires. L'objectif global exprimé par le patient est un retour à domicile, la stabilisation de la marche et normalisation de l'équilibre. À l'entrée se présente un patient en bon état général, hémodynamiquement stable. Sur le plan clinique, se révèle un hématome 16 x 32 cm au flanc droit, sur la partie génitale et la cuisse droite avec une faiblesse de tout le MI. Des discrètes râles basales gauche. La force musculaire M5 aux MS, et au MI - M4 à gauche et M2 à droite. Les réflexes de MS et les réflexes rotuliens ont été hypovifs. Il se présentait aussi une aréflexie achilléenne bilatérale, une légère hypométrie droite avec les yeux fermés et une altération de la sensibilité superficielle dans la hanche droite côté extérieur (L2). Le passage de la position couchée-assise et assis-debout était impossible sans aide importante (MIF 4). Le patient n'a pas pu marcher (MIF 1) et se déplaçait avec fauteuil roulant. L'escalier n'était pas franchi (MIF 1). Tinetti 4/28 avec Arjo.Ad le diagnostic principal: Durant l'hospitalisation, le patient reste cliniquement et hémodynamiquement stable. Nous effectuons le traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie et une adaptation antalgique avec une bonne réponse. Grâce au assessment multidisciplinaire et des thérapies intensives et individuellement adaptées, à la sortie le patient peut faire les transferts de manière autonome, marcher de manière autonome >120 m avec Arjo. Tinetti: 17/28 avec Arjo. Ad le diag. 1: Nous poursuivons le traitement habituel du patient. La prochaine adaptation du traitement nous laissons pour le service d'oncologie (Dr. X, HFR-Fribourg). Ad le diag. 2 et l'antécédent d'une thrombose veineuse membre inférieur droit le 26.12.2017: Nous continuons anticoagulation par Clexane 80 mg 2x/jour et bandage de deux jambes. Ad les diag. 3, 4, 5 et 6: Durant l'hospitalisation tous les paramètres étaient bien contrôlés. Ad le diag. 7: La carence en Vitamine D est substituée. Nous conseillons de continuer la substitution préventive après l'hospitalisation. Ad le diag. 8: Suite à la suspicion des altérations de l'état nutritionnel un suivi diététique est mis en place avec les adaptations nécessaires. Ad le diag. 9: Suite à l'adaptation du traitement laxatif la constipation est résolue. Ad le diag. 10: Aucun traitement antihypertenseur n'a été introduit pendant l'hospitalisation vu aux valeurs tensionnelles dans la norme. Nous vous laissons réévaluer l'indication à un traitement antihypertenseur. En raison de la stabilisation de l'état général, diminution des douleurs et amélioration de la force durant l'hospitalisation, le patient est transféré en réadaptation gériatrique pour un reconditionnement et la suite de prise en charge le 24.01.2018. Monsieur Y, nous est transféré des soins intensifs le 18.01.2018 pour suite de prise en charge d'un choc hémorragique sur saignement digestif haut. Pour rappel, il consulte initialement au service des urgences suite à des douleurs épigastriques et plusieurs épisodes d'hématémèses et méléna depuis l'après-midi du 16.01.2018 l'hémoglobine d'entrée est à 58 g/l. Le patient bénéficie de deux OGD montrant des varices oesophagiennes de stade II, des ligatures élastiques sur 5 varices sont mises en place associées à un traitement par IPP, Sandostatin en continu et prophylaxie antibiotique. A l'OGD on retrouve également une gastropathie congestive compatible avec une hypertension porte. Un traitement par Indéral est introduit dès le 26.01.2018. A l'ultrason abdominal on retrouve un foie d'aspect cirrhotique dont l'origine la plus probable est éthylique. En raison de la présence de liquide péri-hépatique un traitement par Aldactone est introduit ainsi qu'une restriction hydrique à 2000 ml/24h. Le patient est informé des risques et conséquences en cas de poursuite de la consommation d'alcool. Il ne souhaite pas aborder ce sujet d'avantage durant l'hospitalisation mais plutôt avec son médecin traitant qu'il contactera dès la sortie. Aux soins intensifs il présente une insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte: pneumonie bi-basale mise en évidence sur un CT-scan et surcharge hydrique suite au remplissage successif. L'évolution est favorable sous antibiothérapie par Ceftriaxone, physiothérapie respiratoire et traitement diurétique permettant un sevrage progressif de l'oxygénothérapie. Une fracture Weber B multifragmentaire à droite ainsi qu'une fracture avulsion du Lisfranc sont diagnostiquées. Après avis orthopédique un traitement conservateur est mis en place avec botte plâtrée et décharge totale. Le patient sera revu à 6 semaines de la fracture par le service d'orthopédie. Monsieur Y nous est transféré du service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour reconditionnement et suite de traitement après un NSTEMI et décompensation cardiaque gauche le 03.12.2017 dans le cadre d'une cardiopathie coronarienne et hypertensive ainsi qu'une pneumonie basale droite débutante avec décompensation BPCO Gold III secondaire le 03.12.2017. À l'entrée, il se sent toujours dyspnéique au moindre effort (NYHA III-IV). Le patient se plaint également d'une constipation depuis 3 jours sans nausée ou vomissement associés. Cliniquement, il se présente comme un patient de 80 ans dans un état général diminué. À l'examen pulmonaire, le murmure vésiculaire est globalement diminué avec quelques sibilances diffuses ainsi que des râles à la base droite. D'ailleurs, on constate des douleurs à la palpation épigastriques sans signes de péritonisme. Le patient habite avec sa femme dans un appartement au 5e étage avec accès par ascenseur. Avant l'hospitalisation, le patient était autonome dans les AVQ, et il marchait avec un rollateur de manière autonome. À l'entrée, Monsieur Y est capable de faire les transferts sous supervision, et de marcher avec un rollateur sous supervision sur une distance moyenne, limitée par une dyspnée importante au moindre effort. Le Tinetti montre d'ailleurs un risque de chute élevé avec un score de 17/28. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de la mobilisation et de l'autonomie sont objectivés. À la sortie, le patient est capable d'effectuer les transferts seul, de se déplacer sur plus de 300 m avec un rollateur de manière autonome et de faire 2 étages d'escalier de manière sûre et autonome. À la fin de l'hospitalisation, le Tinetti montre une amélioration de la sécurité de marche avec une diminution considérable du risque de chute (24/28). Sur le plan cardiaque, le traitement avec de la double antiagrégation plaquettaire est poursuivi. Le Holter-ECG ne montrant pas de signes d'une fibrillation auriculaire, et le patient ne présentant plus de troubles de rythme durant le séjour en réadaptation, nous ne prenons pas d'autres mesures par rapport à la FA paroxystique objectivées au scope le 04.12.2017. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution. Par rapport à la BPCO stade III, le traitement habituel est poursuivi. En raison de la troisième épisode d'exacerbation en une année, nous prenons contact avec la pneumologue traitante qui propose de réessayer d'introduire le Relvar elliota pour compléter la thérapie de base. Un nouvel enseignement des techniques d'inhalation est également entrepris. En vue d'une légère malnutrition protéino-énergétique, un suivi diététique a lieu durant l'hospitalisation. Une hypovitaminose D modérée est substituée. Après adaptation du traitement laxatif, le transit s'est rapidement normalisé. Monsieur Y peut regagner son domicile le 04.01.2018 en bon état général. Monsieur Y, 53 ans, a été admis aux soins intensifs pour une surveillance post opératoire d'une discectomie et spondylodèse L4-L5 avec mise en place d'une cage TLIF le 22.01.2018. L'intervention s'est déroulée sans particularité. Le patient a été admis pour une surveillance respiratoire dans le contexte d'un SAOS non appareillé. Il n'a pas présenté de désaturation. Les diurèses étant basses, un remplissage vasculaire a été nécessaire avec bon effet. La sonde vésicale a été retirée le 23.01.2018. Le patient a l'habitude d'effectuer des auto-sondages vésicaux en cas de dysurie. Le patient est transféré dans le service d'orthopédie le 23.01.2018. Monsieur Lambert est un patient de 60 ans, connu pour une fibrose pulmonaire d'origine indéterminée, motivant la réalisation d'une bronchoscopie le 05.01.2018. Le geste se complique d'un pneumomédiastin et le patient est hospitalisé en chirurgie. Nous introduisons une antibiothérapie prophylactique. La surveillance est sans particularité, le patient restant totalement asymptomatique. Il rentre à domicile le 10.01.2018 et sera revu en consultation par les pneumologues le 12.01.2018. Monsieur Latorre se présente au service des urgences en raison d'hématomes spontanés survenus aux quatre membres depuis 7 jours, associé à un épistaxis récidivant. Le patient ne rapporte pas de prise de nouveau médicament ou de syndrome grippal récent. Il n'a aucune plainte systémique. Hormis quelques hématomes et pétéchies sur les membres, le reste du statut est sans particularité. On note une thrombopénie à 3 G/l. Au vu du bilan infectieux (hépatites B et C, HCV, CMV, HIV, FAN, EBV, H. Pylori), immunologique (FAN) et vitaminique (Vitamine B12, acide folique) qui revient dans la norme, nous suspectons un purpura thrombopénique idiopathique en premier lieu. Une cause médicamenteuse est également possible sur prise de Fluoxetine depuis le mois d'octobre 2017. L'évolution de la thrombopénie est rapidement favorable après introduction d'une corticothérapie et d'un traitement par immunoglobuline pour 48h00. Concernant la Fluoxetine, nous mettons celle-ci en suspens et proposons au patient de reprendre contact avec son psychiatre traitant afin de changer de molécule si un traitement antidépresseur est toujours indiqué. Un retour à domicile est organisé le 24.01.2018 avec un contrôle à 48h00 de la sortie en hématologie. Des instructions sont données au patient concernant la corticothérapie au long cours. Monsieur Laufer est un patient de 76 ans, connu pour une maladie de Crohn late onset et s/p ileus sur bride en avril 2017, qui se présente aux urgences pour acutisation des douleurs abdominales associées à une absence de transit depuis plusieurs jours. Le CT abdominal met en évidence un iléus grêle sur bride et un traitement conservateur avec pose de SNG de décharge est mis en place. Le Sintrom est mis en suspens. Suite à l'échec du traitement conservateur, une laparotomie exploratrice avec adhésiolyse et pose de VAC sous-cutané est effectuée le 25.12.2017. Le patient reçoit de la co-amoxicilline et Flagyl au vu de sa valve biologique, puis une antibiothérapie par Tazobac est débutée. Un second look avec résection segmentaire du grêle et splitstomie est effectué le 26.12.2017. Le transit est rapidement repris par la stomie et l'alimentation progressive est bien tolérée. La peau est finalement fermée le 01.01.2018 avec pose de VAC épicutané. En post-opératoire, il présente une globe vésicale qui nécessite un sondage sur la nuit. Deux jours après ablation de la sonde vésicale, il présente le même tableau clinique et bénéficie à nouveau d'une sonde vésicale du 05.01 au 11.01.2018. À noter que le patient présente à deux reprises des saignements: la première fois le 03.01.2018 au niveau de la stomie et de la plaie de laparotomie qui s'amendent rapidement après compression et cautérisation d'une artériole au niveau de la cicatrice médiane. L'anticoagulation par Clexane thérapeutique est alors mise en suspens ce jour. Il présente un deuxième saignement de la stomie le 08.01.2018 s'arrêtant après suture du vaisseau. L'hémoglobine reste stable à 90 g/l. Le Sintrom est repris le 11.01.2018 avec INR à 1 et le 13.01.2018 à 1.3. Il sort sous anticoagulation par Clexane et Sintrom. Au vu de l'évolution clinique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 15.01.2018. Monsieur Laufer est un patient de 76 ans, connu pour une maladie de Crohn late onset et status post-iléus sur bride en avril 2017, qui se présente aux urgences pour acutisation des douleurs abdominales associées à une absence de transit depuis plusieurs jours. Le CT abdominal met en évidence un iléus grêle sur bride et un traitement conservateur avec pose de sonde naso-gastrique de décharge est mis en place. Le Sintrom est mis en suspens. Suite à l'échec du traitement conservateur, une laparotomie exploratrice avec adhésiolyse et pose de VAC sous-cutané est effectuée le 25.12.2017. Le patient reçoit de la co-amoxicilline et Flagyl au vu de sa valve biologique, puis une antibiothérapie par Tazobac est débutée. Un second look avec résection segmentaire du grêle et splitstomie est effectué le 26.12.2017 en raison d'une zone d'ischémie. Le transit est rapidement repris par la stomie et l'alimentation progressive est bien tolérée. Après mise en place d'un VAC sous-cutané, la peau est finalement fermée le 01.01.2018 avec pose de VAC épicutané. En post-opératoire, le patient présente une globe vésicale qui nécessite un sondage. Deux jours après ablation de la sonde vésicale, il présente le même tableau clinique et bénéficie à nouveau d'une sonde vésicale du 05.01 au 11.01.2018, avec bonnes mictions par la suite. À noter que le patient présente à deux reprises des saignements: la première fois le 03.01.2018 au niveau de la stomie et de la plaie de laparotomie qui s'amendent rapidement après compression et cautérisation d'une artériole au niveau de la cicatrice médiane. L'anticoagulation par Clexane thérapeutique est alors mise en suspens ce jour. Le patient présente un deuxième saignement de la stomie le 08.01.2018 s'arrêtant après suture du vaisseau. L'hémoglobine reste stable à 90 g/l. Le Sintrom est repris le 11.01.2018 avec INR infra-thérapeutique à 1 et à 1.3 le 13.01.2018. Il sort sous anticoagulation par Clexane et Sintrom. Nous vous laissons le soin de contrôler l'INR mercredi 17.01.2018. Au vu de l'évolution clinique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 15.01.2018. Monsieur Lehmann, 87 ans, connu pour deux épisodes de fibrillation auriculaire paroxystiques en 2016 et 2017, sans anticoagulation en raison d'une hémorragie digestive basse sur diverticulose sous Xarelto en septembre 2017, qui consulte son médecin traitant pour une dyspnée à l'effort cédant spontanément au repos sans douleurs rétrosternales ni palpitations. Le patient nous est adressé par la suite pour la prise en charge d'une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide. Le patient rapporte avoir diminué de moitié son traitement par Bêta-bloquants depuis une semaine. À noter un contrôle chez le cardiologue traitant le 23.01.2018 (Dr. Vona) avec réalisation d'une échocardiographie transthoracique qui était normale et d'un ECG qui montrait un rythme sinusal régulier normocarde. Au service des urgences, l'administration de Beloc Zok, de Diltiazem et de Digoxine permet une cardioversion en rythme sinusal normocarde. En vue d'une éventuelle fermeture de l'auricule, une échocardiographie transoesophagienne est effectuée le 26.01.2018. Celle-ci montre une oreillette gauche non dilatée, sans thrombus visible. Il n'y a pas non plus de thrombus visible au niveau de l'auricule gauche. La fraction d'éjection est par ailleurs conservée et on note un foramen ovale perméable degré 1 au repos et de haut degré au Valsalva. Au vu des résultats de cet examen, une fermeture de l'auricule est possible. Toutefois, une discussion impliquant les cardiologues de l'HFR Fribourg, le Dr. Vona et le médecin traitant va être entreprise et le patient sera convoqué pour cette intervention le cas échéant.Monsieur Lehmann peut regagner son domicile le 26.01.2018. Monsieur Lepore est un patient de 71 ans, connu pour un statut post-sigmoïdectomie selon Hartmann pour diverticulite sigmoïdienne perforée en 2015 avec multiples complications post-opératoires, porteur d'une colostomie gauche terminale depuis 2016. Le patient consulte les urgences de Riaz pour des douleurs abdominales, nausées et vomissements le 17.12.2017. Un iléus grêle sur herniation para-stomiale est mis en évidence au CT scan. Le patient est transféré à Fribourg pour la prise en charge chirurgicale et une surveillance post-opératoire aux soins intensifs. Le patient bénéficie le 18.12.2017 d'une laparotomie exploratrice avec adhésiolyse, résection segmentaire du grêle à 160 cm de l'angle de Treitz, cure d'hernie parastomiale et lavage abdominal. Le 19.12.2017, le patient présente une tachycardie supraventriculaire à 230 bpm symptomatique avec instabilité hémodynamique nécessitant une intubation. Après échec d'une cardioversion électrique par deux chocs, une charge en cordarone permet un retour à un rythme sinusal. Le patient sera suivi en cardiologie le 19.03.2018 après un traitement de 3 mois de Cordarone. Comme cause sous-jacente de ses troubles de rythme, nous retenons un choc septique couvert par antibiothérapie et substitution cortico-surrénalienne, ainsi que la mise en évidence d'une embolie pulmonaire centrale droite découverte au CT thoraco-abdominal le 20.12.2017. Une anticoagulation par Liquémine est débutée, un relais par Héparine de bas poids moléculaire est réalisée durant l'hospitalisation, et enfin le patient rentre à domicile avec une anticoagulation par Xarelto. Sur le plan abdominal, l'évolution est favorable. L'antibiothérapie par Tazobac peut être arrêtée le 02.01.2017. Une réalimentation progressive permet de stopper la nutrition parentérale le 09.01.2018. Le patient présente un aspect inflammatoire de la cicatrice abdominale sous-ombilical, qui est ouverte au bloc opératoire le 26.12.2017. La bactériologie retrouve des bactéries probablement contaminantes cutanées de l'échantillon, et en l'absence de syndrome inflammatoire, nous ne retenons pas, en accord avec nos collègues d'infectiologie, l'indication à une antibiothérapie. Nous effectuons des changements itératifs de VAC sur cette plaie abdominale jusqu'au 17.01.2018, jour où nous rapprochons les berges de la plaie bien granulée et mettons en place un pansement simple avec une mèche d'Aquacel. Le patient sera suivi pour cette plaie par les soins à domicile et sera revu en consultation de stomathérapie à Riaz le 31.01.2017. Le patient présente d'importantes pertes liquidiennes par l'iléostomie qui se tarissent le 12.01.2018 sous un traitement combiné de teinture d'opium, d'Imodium, d'Optifibre et de Creon. Le patient rentre à domicile. Nous laissons le soin au médecin traitant du patient de diminuer progressivement le traitement par corticostéroïde en vue du rétablissement de continuité, et de diminuer également dans la mesure du possible le traitement par teinture d'opium. Nous reverrons le patient à la consultation des CDC le 27.02.2018 pour un contrôle post-opératoire et l'organisation de la fermeture d'iléostomie. Monsieur Leuba présente une douleur chronique suite à l'ostéosynthèse des deux calcanea, probablement due à une arthrose sous-astragalienne. Je discute longuement avec le patient quant aux différentes options de traitements. Finalement, un rendez-vous à la consultation spécialisée du pied, chez le Dr. X, afin de discuter de l'éventuelle nécessité d'une arthrodèse sous-astragalienne. Toutefois, comme première mesure thérapeutique, mais aussi à but diagnostique, on pourrait effectuer une infiltration de l'articulation sous-astragalienne bilatérale. Je prie le Dr. X de bien vouloir convoquer le patient à sa consultation, pour avis spécialisé. Monsieur Lopes Viegas consulte les urgences le 16.01.2018 en raison d'un état fébrile à 41°C max, avec des frissons, dyspnée au repos et toux productive avec expectorations d'aspect brunâtre depuis 24 heures. Il signale également une asthénie progressive depuis quatre jours. Il aurait consulté son médecin traitant le matin de l'admission et aurait reçu une dose de Rocephin, puis Co-Amoxi et Klacid en raison d'une probable pneumonie. Le patient était déjà sous Tarivid depuis une semaine en raison d'une prostatite. En arrivant aux urgences, le patient se plaint des mêmes symptômes, sans nette amélioration malgré le traitement débuté par le médecin traitant. Au statut, on trouve un patient tachycarde, fébrile à 39°C, normotendu et saturant à 90% à l'air ambiant, avec une hypoventilation basale gauche et des crépitants à l'auscultation pulmonaire. L'auscultation cardiaque est dans la norme. L'abdomen et les loges rénales sont souples et indolores, et l'examen neurologique est dans la norme. Le bilan biologique fait aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 22 G/l et une CRP à 332 mg/l, une hyponatrémie à 131 mmol/l et un TP à 40. Les radiographies effectuées chez le médecin traitant ne montrent pas de foyer apparent. Le CURB-65 est calculé à 0. Nous lançons des hémocultures et une recherche des antigènes urinaires pour Légionnelle et pneumocoque. Nous débutons une antibiothérapie par Rocephine et Klacid, et Monsieur Lopes Viegas est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Quelques heures après l'hospitalisation, le patient désature à 80% et reste fébrile entre 38° et 39°C, raison pour laquelle il est transféré à l'ELM pour VNI avec augmentation de la saturation à 95-97% sous 4 l/min, malgré de multiples pics fébriles pendant la journée du 17.01.2018. Une radiographie du thorax montre un foyer basal gauche et une consolidation au niveau du lobe supérieur droit. Un bilan biologique de contrôle montre une diminution de la leucocytose et une CRP en augmentation. Les hémocultures ainsi que la recherche d'antigènes urinaires restent négatives, raison pour laquelle le Klacid est arrêté. L'évolution clinique par la suite est faible avec une progressive désaturation de 95% à 90%. Les gazométries sériées montrent une hypoxémie à 8.9 puis 8.3 kPa à 4 l/min. Nous prenons contact avec la Dr. X, infectiologue, qui suppose une pneumonie dans un contexte grippal, raison pour laquelle nous effectuons un frottis nasopharyngé et le traitement antibiotique est relayé par du Tavanic 750 mg 1x/j per os, auquel on ajoute du Tamiflu. Le patient désature pendant la nuit du 18 au 19.01.2018, avec nécessité d'une oxygénothérapie à 9 litres/min afin de maintenir une saturation de 94% et une pO2 qui baisse de 13.6 à 10.7 kPa le matin du 19.01.2018. Le patient est toujours fébrile. Une radiographie de thorax de contrôle montre des infiltrats globaux dans toutes les plages pulmonaires. Au laboratoire, la CRP commence un profil descendant, malgré une leucocytose qui remonte. Vu la détérioration globale, Monsieur Lopes Viegas est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 19.01.2018 pour la suite de la prise en charge. Monsieur Maeder est un patient de 81 ans, hospitalisé en chirurgie pour une cure d'anévrisme de l'aorte infra-rénale par voie endovasculaire (EVAR) le 15.01.2018.Il s'agit d'un patient connu pour une hypertension artérielle, un bloc atrio-ventriculaire avec pose de Pacemaker en octobre 2017, qui présente un anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale découvert fortuitement lors d'un contrôle de routine. En raison d'une évolution rapide et importante, en 6 mois passage de 46 mm à 52 mm, l'indication à un traitement endovasculaire est posée. Il bénéficie le 15.01.2018 d'une cure d'anévrisme de l'aorte par voie endovasculaire (EVAR) avec pose d'endoprothèse bifurquée. L'opération se déroule sans complication. Les fils doivent être retirés chez le médecin traitant à J2 post-opératoire, soit le 22.01.2018. Un protocole par Prednisone est instauré et devra être suivi selon un schéma dégressif jusqu'au 22.01.2018. Un angio-CT de contrôle le 18.01.2018 met en évidence deux endofuites de type II au niveau de l'artère mésentérique inférieure et d'une artère lombaire, sans modification de la taille de l'anévrisme. Un contrôle du Pacemaker est effectué le 16.01.2018 et revient normal. Une hypertension artérielle probablement d'origine essentielle est mise en évidence lors de l'hospitalisation. Un traitement par Lisinopril est introduit avec bon effet. Des contrôles de la tension artérielle sont à prévoir chez le médecin traitant. Le patient présente également des contractures musculaires lombaires gauches, un traitement de Sirdalud est prescrit avec bon effet. L'évolution étant favorable, Monsieur Maeder retourne à domicile le 19.01.2018. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 19.04.2018 à 14:30. Le patient aura un nouvel angio-CT dans l'intervalle et sera directement convoqué par le service de radiologie afin de suivre l'évolution de l'anévrisme. Monsieur Y, connu pour une rectocolite ulcéro-hémorragique, ainsi que pour un adénocarcinome pulmonaire avec métastase cérébelleuse en rémission complète, est adressé aux urgences le 13.12.2017 par le Dr. X, oncologue traitant, en raison d'une baisse de l'état général. Le patient décrit des hématochésies 2 à 3x/jour depuis un mois lors du passage des selles, en péjoration depuis 1 semaine, associées à une inappétence avec perte de 11 kilos depuis le mois d'août. Pas de nausées ni de vomissements, pas de symptôme urinaire. Il se plaint cependant de douleurs nouvelles au niveau temporal rétro-auriculaire apparues progressivement depuis 2 mois, sans déficit neurologique ainsi que de lombosciatalgies bilatérales chroniques non déficitaires en péjoration. Monsieur Y rapporte également une dyspnée à l'effort, mais stable. À l'admission le patient est normocarde, normotendu et afébrile. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le toucher rectal est sans particularité, les loges rénales sont souples et indolores. Au niveau ostéoarticulaire, la palpation du rachis est indolore. Au status neurologique, le patient est collaborant et orienté dans les 3 modes. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Les nerfs crâniens sont grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Mingazzini tenu aux membres supérieurs, sans pronation. Force, tonus et sensibilité conservés aux 4 membres. Réflexes ostéotendineux vifs et symétriques aux 4 membres. Épreuves cérébelleuses : doigt-nez : normale, pas d'adiadococinésie. Lasègue négatif des deux côtés. Le laboratoire est aligné. Concernant les lombosciatalgies, nous instaurons une antalgie par Oxycontin et Oxynorm en réserve avec une évolution favorable. Le patient bénéficie également d'une physiothérapie de mobilisation. Sur avis oncologique et au vu des antécédents du patient, nous effectuons une IRM cérébrale et un CT scan thoraco-abdomino-pelvien qui ne montrent pas de récidive oncologique. Au vu des antécédents de rectocolite ulcéro-hémorragique, nous effectuons un hémofecatest qui revient positif. Le suivi biologique montre une hémoglobine stable et dans la norme durant le séjour. Le Xarelto, mis transitoirement en suspens, est repris. Nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie en ambulatoire dès amélioration de l'état général. En raison de troubles du sommeil et d'un état dépressif, nous mettons en place un traitement par Remeron 15 mg dès le 17.12.2017. Durant le séjour, en raison d'un risque de dénutrition, nous demandons une évaluation et un suivi nutritionnels, qui mettent en évidence une malnutrition protéino-énergétique sévère, pour laquelle des propositions sont faites et seront mises en place durant le séjour en réadaptation gériatrique. Dans ce contexte de malnutrition sévère, de douleurs lombaires chroniques, de troubles du sommeil et d'un déconditionnement important, nous proposons au patient un séjour en réadaptation gériatrique. Dans cette attente et dès le 20.12.2017, Monsieur Y reste hospitalisé dans notre service de médecine malgré que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Monsieur Y est admis dans le service de réadaptation gériatrique le 21.12.2017. Monsieur Y est un patient de 73 ans, qui est connu pour un diabète de type II non insulino-requérant et suivi à la consultation du Dr. X pour une maladie anévrismale avec 2 volumineux anévrismes poplités bilatéraux. Un bilan angiologique et angio-CT sont effectués. Les résultats sont discutés au colloque vasculaire interdisciplinaire le 16.10.2017. L'indication à une prise en charge chirurgicale est posée. Le patient bénéficie le 16.01.2018 d'un pontage fémoro-poplitée droit à l'aide de la grande veine saphène ipsilatérale inversée. L'opération se déroule sans complication. Les agrafes doivent être retirées le 06.02.2018. Un angio-CT de contrôle le 19.01.2018 montre un pontage perméable. Nous introduisons également une médication par Atorvastatine au vu de la pathologie anévrismale dès le 17.01.2018, ainsi qu'une anticoagulation par Xarelto qui devra être poursuivie et stoppée 2 jours avant la prochaine intervention qui aura lieu le 05.03.2018. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 15.02.2018 pour une consultation pré-opératoire. L'évolution étant favorable, le patient retourne à domicile le 15.02.2018. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 25.01.2018 à 9h30 pour un suivi de plaies en raison d'un léger écoulement séreux sur le tronçon médial de la plaie suspect d'une petite fistule lymphatique. Monsieur Y, 82 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs dans le contexte d'un NSTEMI secondaire à une subocclusion de l'artère circonflexe. Le patient est connu pour une coronaropathie des 3 vaisseaux, qui avait été traitée par 2 stents nus sur la circonflexe en 2014, ainsi que pour une fibrillation auriculaire chronique anticoagulée. Il note depuis quelques temps un angor à l'effort qui s'est aggravé au cours des 3 derniers jours. Un NSTEMI a été diagnostiqué aux urgences. Une coronarographie en urgence a identifié une subocclusion de l'artère circonflexe proximale et moyenne, qui a été traitée par angioplastie et mise en place de 2 stents actifs. Des sténoses serrées pluri-étagées de l'IVA seront à traiter ultérieurement (convocation à 2 semaines). La troponine T hss'est élevée à 34 ng/l sans mouvement de CK. Une double antiagrégation plaquettaire par aspirine (pour 1 mois) et clopidogrel (pour trois 3 mois) est à poursuivre en association avec l'anticoagulation thérapeutique au long cours. Nous introduisons un IEC dont la posologie sera adaptée à la fonction rénale. Un traitement anti-angineux de Dancor sera administré jusqu'à la 2ème coronarographie. La décompensation cardiaque gauche modérée consécutive à l'ischémie myocardique s'est corrigée sous diurétique. Nous remplaçons le traitement d'hydrochlorothiazide par du torasémide et vous laissons le soin d'adapter ce traitement. L'échocardiographie transthoracique du 23.01.2018 a mis en évidence une dilatation modérée du ventricule gauche avec une hypokinésie latéro-basale et inféro-postérieure (FE à 47 %). La FA chronique est lente avec une fréquence jusqu'à 45/min asymptomatique. Les cardiologues préconisent un enregistrement Holter de 24h en ambulatoire. L'indication à un pacemaker devrait être considérée en cas de bradycardie sévère symptomatique ou en cas d'aggravation de la fonction rénale. Le patient a été transféré dans le service de médecine interne à l'HFR Riaz le 23.01.2018. Monsieur Maillard, connu pour une hypertension artérielle traitée par Coversum, présente le 19.12.2017 alors qu'il est en train de conduire, une brûlure au niveau thoracique, d'apparition progressive, avec irradiation dans le membre inférieur gauche. Il vous consulte et en raison d'un ECG pathologique, vous nous l'adressez en ambulance pour la suite de la prise en charge. Au niveau des risques cardiovasculaires, patient non fumeur, pas d'antécédent cardiaque, anamnèse familiale positive (mère a eu un pontage à 50 ans et son père est décédé à 60 ans d'un infarctus). A l'admission aux urgences, le patient est hypertendu à 185/100 mmHg, tachycarde à 120/min et sature à 96 % à l'air ambiant. Au statut cardiovasculaire, B1B2 bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire ni d'œdème des membres inférieurs. Signe de Homans négatif des deux côtés. Mollets souples, ballant conservé. Pouls périphériques tous palpés. Au niveau pulmonaire, murmure vésiculaire symétrique sans râle de stase ni sibilance. Le reste du statut d'entrée est dans la norme. Le laboratoire montre une élévation des troponines avec un delta significatif. En raison d'un probable NSTEMI, nous débutons un traitement par Aspirine cardio, Brilique et Arixtra. La patiente reçoit également 5 mg iv de Beloc Zok au vu de la crise hypertensive et il est hospitalisé aux lits monitorés. Le 20.12.2017, Monsieur Maillard bénéficie d'une coronarographie à l'HFR Fribourg. L'examen montre une maladie coronaire anévrismale, sans sténose significative avec fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées. Sur proposition du Dr X, nous débutons une anticoagulation orale par Sintrom. Concernant le traitement antihypertenseur, le traitement par IEC est poursuivi et nous introduisons un traitement diurétique ainsi qu'un traitement antihypertenseur d'action centrale. À noter que les dérivés nitrés et anticalciques sont contre-indiqués en raison de leur effet vasodilatateur. Un contrôle cardiologique pour un suivi clinique reste à organiser à distance. Monsieur Maillard rentre à domicile le 22.12.2017 en état cliniquement et hémodynamiquement stable. Monsieur Maillard est un patient de 72 ans, qui bénéficie ce jour d'une oesogastroduodénoscopie avec biopsie dans le cadre d'une masse médiastinale diagnostiquée suite à un bilan d'un adénocarcinome de la prostate. En raison d'un saignement post-biopsie arrêté par adrénaline, le patient reste hospitalisé pour surveillance pendant une nuit. Les suites sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 12.01.2018. Poursuite des investigations et de la prise en charge à Payerne. Monsieur Maillard présente une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche associée à une rupture du ligament collatéral interne. À noter que le ligament collatéral interne a déjà été rupturé dans le passé, étant donné que l'on visualise des calcifications type Pelligrini Stieda en regard du condyle fémoral interne. Je propose au patient un traitement conservateur comme 1er essai. Il ira faire de la physiothérapie dans le but 1er de dégonfler puis mobilisation du genou, ensuite tonification musculaire et stabilisation en entraînant la proprioception. Pour ce faire, il portera pour un minimum de 6 semaines une orthèse articulée du genou type Secutec genu. Je propose un prochain contrôle clinique d'ici 6 semaines. En cas de forte instabilité résiduelle ce jour-là, on pourra éventuellement discuter de la nécessité d'une plastie ligamentaire. Le patient reste en arrêt de travail jusqu'au prochain rendez-vous du 09.03.2018. Monsieur Maiq est un patient de 52 ans, connu pour un bypass gastrique en décembre 2015 avec perte de 37 kg. Il consulte les urgences adressé par son médecin traitant en raison de douleurs abdominales de l'hémisphère droit avec nausées et vomissements. Le scanner montre un iléus du grêle. Nous retenons alors l'indication pour une laparoscopie exploratrice, résection bride et révision grêle en urgence. L'intervention se déroule sans complications. Le patient rentre à domicile le 28.01.2018. Monsieur Maradan, patient de 78 ans, connu pour un FA non anticoagulée ainsi qu'une cardiopathie ischémique, est hospitalisé dans le contexte d'une FA rapide symptomatique. Pour rappel, le patient s'est présenté aux urgences en raison d'une dyspnée à l'effort, avec présence de palpitations. Le patient mentionne ne pas avoir pris le traitement de cordarone qu'il prend d'habitude dans ce genre de cas. Le bilan d'entrée met en évidence une fibrillation auriculaire persistante à conduction rapide à 150 bpm. Dans ce contexte, une anticoagulation par Xarelto est introduite, avec arrêt du traitement habituel d'Aspirine cardio. Un traitement par Bêta-bloquant et Digoxine sont également introduits. Sous réserve de mauvaises conditions techniques, une ETT est réalisée, montrant une FEVG à 58 %. Un avis cardiologique est demandé, dont le résultat est un arrêt de la digoxine introduite aux urgences. Le bilan cardiaque est complété par une ETO, permettant d'exclure un thrombus dans l'auricule gauche et permettant la réalisation d'une cardioversion électrique. L'ECG de contrôle post-cardioversion électrique montre un rythme sinusal. La suite de la prise en charge cardiologique est prévue le 06.02.18, avec réalisation d'une nouvelle ETT. Une hypomagnésémie à 0,79 mmol/l est mise en évidence au laboratoire du 14.01.2018. Le patient bénéficie d'une substitution IV aux urgences. Un contrôle biologique est à prévoir en ambulatoire à distance de l'événement aigu. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 19.01.18. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences ou d'appeler en cardiologie en cas de réapparition de la symptomatologie. En cas de réapparition de fibrillation auriculaire, l'introduction de cordarone est à rediscuter avec nos collègues de cardiologie.Monsieur Maret est un patient de 26 ans qui présente des douleurs abdominales depuis la veille, initialement péri-ombilicales, avec migration secondaire en fosse iliaque droite. Cliniquement, il présente des douleurs diffuses en fosse iliaque droite. Le laboratoire montre une leucocytose à 14.5 G/l. Le diagnostic est complété par un ultrason abdominal qui montre une image d'appendicite aiguë. Nous retenons alors l'indication pour appendicectomie par laparoscopie. Le 12.01.2018, l'intervention se déroule sans complication. Le patient rentre à domicile le 13.01.2018. Monsieur Marthe est amené aux urgences par la police le 19.12.2017 suite à un accident de la voie publique. Il a percuté des pots de fleurs avec son véhicule, raison pour laquelle des témoins ont appelé la police. Le patient présente une amnésie circonstancielle et ne se souvient pas du déroulement de l'accident. Pas de notion de traumatisme crânien. Le patient signale une consommation occasionnelle d'alcool. Il rapporte avoir bu ce jour 2 verres de cognac ainsi que 6 dl de vin rouge. À l'admission aux urgences, Monsieur Marthe est normotendu à 139/87 mmHg et tachycarde à 104/min. À l'examen clinique, absence de plaie au niveau du cuir chevelu, ou d'hématome indiquant un traumatisme crânien. Le reste du statut clinique, notamment neurologique, est normal. Le bilan biologique met en évidence une alcoolémie à 2.1 pour mille sans autre anomalie. En l'absence de personne pouvant surveiller le patient pendant la nuit, nous proposons de l'hospitaliser à l'étage pour surveillance neurologique qui se passe sans complication. Selon l'hétéroanamnèse effectuée auprès de l'épouse, le patient ne consomme pas d'alcool de manière régulière. Il ne présente pas de troubles de mémoire ni de troubles comportementaux. Nous effectuons une intervention brève concernant la consommation d'alcool à risque et Monsieur Marthe rentre à domicile le 20.12.2017. Monsieur Marthe est un patient de 78 ans transféré dans notre service depuis la réadaptation de Billens pour un épanchement pleural post-opératoire afin de mettre en place un drain thoracique. L'intervention se déroule sans complication, les suites sont favorables. L'antibiothérapie est arrêtée le 15.12.2017, le patient reste afébrile avec un syndrome inflammatoire en régression. Après l'ablation du drain thoracique et un contrôle radiologique sans pneumothorax résiduel, Monsieur Marthe rentre à domicile le 26.12.2017. Le patient sera convoqué par le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Un rendez-vous en chirurgie thoracique est prévu pour le 05.01.2018 à 11h30. Monsieur Matusadila présente donc une rupture au moins partielle du MPFL suite à une luxation de la rotule droite due à une dysplasie de la trochlée. Je propose dans un premier temps un essai de traitement conservateur. Le patient est équipé d'une orthèse de genou qui stabilise et centre la patella par un coussin de silicone. Il va faire des séances de physiothérapie régulièrement pour au maximum muscler le vaste médial pour centrer la rotule. Il portera la genouillère articulée pour une durée totale de 2 mois. Je le reverrai pour un prochain contrôle clinique dans 6 semaines, le 9.3.2018 à ma consultation. Le patient est gardé en arrêt de travail à 100% pour encore un mois. Reprise du travail prévue à 100% mais à terme d'essai le 26.2.2018. Si cette reprise ne devait pas être possible, le patient me recontactera rapidement pour prolonger l'arrêt de travail. On verra jusqu'à quel point le patient pourra stabiliser sa rotule et, en cas d'échec du traitement conservateur, une reconstruction du MPFL sera éventuellement nécessaire. Monsieur Matusadila présente un statut post-luxation de la rotule droite. Afin de compléter le bilan, nous demandons une IRM native du genou droit le 19.1.2018. Le patient gardera son genou immobilisé dans l'attelle Jeans. Il se déplace en charge selon douleurs à l'aide de 2 cannes anglaises et il continue la thromboprophylaxie. Je reverrai le patient suite à l'IRM le 26.01.2018, jusque-là poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Monsieur Maudonnet, patient de 78 ans connu pour un cancer de la prostate, nous est adressé des soins intensifs pour suite de prise en charge. Pour rappel, le patient a présenté plus de 10 épisodes de diarrhées aqueuses depuis le 24.12.2017 et 1 épisode de vomissement, motivant sa venue au service des urgences. Au service des urgences, mise en évidence d'une insuffisance rénale aiguë mixte, avec une composante pré-rénale sur diarrhées et post-rénale dans un contexte de globe urinaire. Le patient présente également une acidose métabolique et une hyperkaliémie. Une sonde urinaire est posée. Aux soins intensifs, une hydratation IV est débutée, avec bonne réponse clinique. En raison de l'évolution favorable, avec correction des troubles électrolytiques, le patient est transféré à l'étage de médecine le 26.12.2017 pour la suite de prise en charge. Concernant la problématique du globe urinaire, au vu d'un retour à domicile, un essai d'ablation de sonde vésicale a lieu lors de son séjour en médecine. Le patient ne reprenant pas de miction spontanée, avec un US des voies urinaires montrant une hyperplasie prostatique, avec une vessie de lutte et dilatation urétérale et pyélocalicielle du rein gauche, il est décidé de reposer une sonde urinaire. L'évolution est marquée par deux épisodes de macrohématurie de grande abondance. Un avis urologique est demandé, ne posant pas l'indication à une mise en place de sonde 3 voies, mais de poursuivre les rinçages. Par la suite, on observe une diminution de l'hématurie macroscopique. Un avis urologique est demandé à son urologue traitant, le Dr. X, proposant la mise en place d'un bouchon vésical. Dans ce contexte, le patient sera revu à sa consultation afin de discuter de la suite de prise en charge urologique. Le rendez-vous est fixé au 12.01.2018. Sur le plan de l'insuffisance rénale aiguë, un suivi régulier de la fonction rénale est effectué durant son séjour en médecine. En raison de l'amélioration de la créatinine, l'hydratation IV instaurée aux soins intensifs peut être rapidement arrêtée. Au laboratoire du 04.01.2018, la valeur de la créatinine s'élève à 126 micromol/l (clairance de la créatinine à 51 selon MDRD). Un contrôle biologique est à prévoir en ambulatoire à distance de l'événement aigu. Concernant la symptomatologie digestive, le patient ne présente plus de diarrhées durant son hospitalisation. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 05.01.2017. Des soins à domicile sont introduits 1x/semaine. Monsieur Mauron se présente aux urgences après avoir glissé dans les escaliers et s'être frappé la tête. Nous pouvons exclure des fractures cervicales et des vertèbres thoraciques ainsi qu'un saignement intracérébral. Par l'anamnèse, nous découvrons que le patient chute à répétition. Au laboratoire, nous notons une insuffisance rénale avec une hypokaliémie. Nous interprétons la leucocytose à 15.6 G/l à la suite de la chute, n'ayant trouvé aucun foyer infectieux. Nous hospitalisons le patient en gériatrie à Riaz. Monsieur Meier, nous adressé par le service d'oncologie ambulatoire le 12.01.2018 pour investigations et une gestion de l'antalgie dans le contexte d'une suspicion de myélome multiple en raison d'une anémie, d'une insuffisance rénale, d'une hypercalcémie ainsi que des fractures vertébrales. Le patient se plaint de douleurs dorsales avec une perte de poids de 6 kg en 1 mois associée à une inappétence et une faiblesse des membres inférieurs.Pour rappel, plusieurs fractures de tassements ont été mises en évidence avec une suspicion d'infiltration fin 2017. Au vu de l'antécédent d'adénocarcinome de la prostate, une récidive est initialement suspectée. En présence d'une PSA indétectable et d'un CT thoraco-abdomino-pelvien sans évidence de récidive, nous écartons une étiologie métastatique d'un carcinome prostatique. Le laboratoire met en évidence à l'immunofixation des chaînes légères IgG kappa, retrouvées également dans les urines. Pour compléter le bilan, une ponction avec biopsie de la moelle osseuse avec cytométrie de flux permet de confirmer le diagnostic de myélome multiple à IgG Kappa avec une infiltration médullaire de 10-20%. La scintigraphie osseuse ne montre pas d'autre lésion. Une consultation ambulatoire en oncologie est organisée. Le CT thoraco-abdomino-pelvien met en évidence des embolies pulmonaires bilatérales, asymptomatiques. Le patient bénéficie d'une anticoagulation par Clexane thérapeutique avec bonne tolérance. Concernant les fractures vertébrales L1 et L5, nos confrères neurochirurgiens ne proposent pas d'intervention dans l'immédiat, les douleurs étant contrôlées par Oxycontin et Dexaméthasone. Nous favorisons ainsi un traitement conservateur avec de la physiothérapie. Dans le cas d'une péjoration des douleurs ou des tassements vertébraux, une intervention chirurgicale sera alors à considérer. Une consultation orthopédique en ambulatoire est prévue à cet effet le 06 février 2018. Dans le contexte de l'hypercalcémie et de l'insuffisance rénale, le patient bénéficie initialement d'une hydratation importante et de diurétiques avec amélioration de la calcémie et de la fonction rénale. La récolte d'urine de 24h évalue la clearance de créatinine à 75 ml/min. Au vu de l'hypercalcémie et des fractures vertébrales, nous introduisons un traitement par Zometa le 17.01.2018. Monsieur Meier rentre à domicile le 18.01.2018. Monsieur Mercier est un patient de 48 ans qui se présente aux urgences pour une récidive de fièvre dans le cadre d'un écoulement chronique séro-purulent depuis le mois d'août de la plaie d'un port-à-cath posé en février 2017. Un ultrason du site du PAC le 27.12 effectué par les oncologues avait montré un épanchement autour du PAC et une antibiothérapie par Augmentin a été débutée. Sous antibiothérapie, le patient présente une récidive de fièvre et persistance de l'écoulement. Une ablation du port-à-cath avec prélèvements bactériologiques est donc effectuée le 30.12.2017 revenant négatifs. L'évolution par la suite est favorable avec une diminution rapide des douleurs et de l'état fébrile. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 12 jours. Nous laissons le soin au médecin traitant de suivre la plaie et restons à disposition en cas de mauvaise évolution. Monsieur Mettraux est un patient de 77 ans, actuellement en cours d'investigation pour une suspicion de néoplasie prostatique, qui a bénéficié le 08.01.2018 d'une biopsie prostatique. Il se présente aux urgences pour une rétention urinaire aiguë sur macro-hématurie. Le patient bénéficie de la pose d'une sonde urinaire 3 voies et d'un décailottage aux urgences. Les rinçages ont par la suite permis de retrouver une urine ; la sonde urinaire a pu être retirée le 14.01.2018. Le patient a développé le 14.01.2018 un état fébrile à 39° avec des hémocultures ainsi qu'une culture d'urine positive à Klebsiella pneumoniae ESBL. Le patient est mis sous un traitement d'Ertapenem pour une durée de 3 semaines sur avis de nos collègues d'infectiologie. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut quitter notre service le 18.01.2018. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 22.01.2018. Monsieur Mettraux est un patient de 83 ans qui consulte les urgences pour un état fébrile, polyurie et incontinence urinaire nouvelle accompagnée d'un état confusionnel aigu. Nous retenons comme étiologie de ce tableau clinique une infection urinaire basse et un traitement antibiotique est initié avec bonne évolution clinique et biologique. Un ultrason écarte une pathologie des voies urinaires ou autre complication. Un Enterococcus faecalis multisensible et un Escherichia coli résistant au Bactrim poussent dans les cultures urinaires, pour lesquels nous adaptons l'antibiothérapie orale. À noter que le patient présente une réaction de type irritative après l'injection de Ciprofloxacine aux urgences, raison pour laquelle nous stoppons ce traitement, sans évidence d'allergie. Durant son hospitalisation, Mr. Mettraux présente une thymie triste, en relation avec le deuil de sa femme. Nous vous proposons d'évaluer l'indication à un traitement médicamenteux ou une thérapie de soutien. Nous mettons en évidence un profil tensionnel plus élevé que les valeurs usuelles à domicile et proposons à Mr. Mettraux de suivre ses tensions à domicile avec un contrôle à votre cabinet dans la semaine suivant sa sortie. Monsieur Mettraux peut rentrer à domicile le 19.01.18. Monsieur Mettraux est un patient de 84 ans, connu pour un adénocarcinome hépatique (probable cholangio-carcinome) suivi par Dr. X, une maladie coronarienne tri-tronculaire, une HTA et une FA anti-coagulée par Sintrom, qui se présente aux urgences pour des frissons solennels et douleurs péri-ombilicales quelques heures après sa chimiothérapie par 5FU le 28.12.17. Le bilan inclut une radiographie de thorax, un scanner abdominal et des hémocultures prises dont 3 reviennent positives à Pasteurella multocida à 6h d'intervalle. Nous demandons un avis infectiologique qui conclut à une possible infection endovasculaire (infection de PAC), probablement par voie hématogène à partir d'une porte d'entrée cutanée contaminée par la flore orale du chien du patient. Pasteurella multocida peut exceptionnellement provenir des voies respiratoires (et être responsable de pneumonie) ou d'origine digestive humaine. Dans ce contexte, nous proposons de maintenir le port-à-cath et nos collègues infectiologues préconisent de poursuivre une antibiothérapie par Rocéphine durant 15 jours, puis répéter les hémocultures à 5 et 10 jours après l'arrêt de l'antibiothérapie. Si le germe devait persister, le retrait du cathéter serait nécessaire. Au vu de la bonne évolution, le traitement antibiotique peut être poursuivi en ambulatoire et Monsieur Mettraux rentre à domicile le 05.01.2017. Monsieur Meuwly présente une fracture du tiers moyen de la clavicule droite. Le patient étant quasiment asymptomatique, avec une bonne tolérance du pansement en sac à dos et, radiologiquement, un site fracturaire non raccourci et déplacé de moins de 2 cm, je propose au patient un traitement conservateur. Je lui explique les avantages et les désavantages d'une éventuelle opération. Monsieur Meuwly a bien compris et nous optons ensemble pour un traitement conservateur. Le patient continuera à porter le pansement sac à dos pour une durée totale de 6 semaines. Je le reverrai dans un mois pour un contrôle radio-clinique. Jusque là, il reste en arrêt de travail à 100% en tant qu'agriculteur. L'arrêt de travail est attesté jusqu'au 09.02.2018.Monsieur Meyer, 82 ans est hospitalisé pour une syncope à l'EMS. Durant le transport en ambulance, le patient présente des troubles de l'état de conscience avec mise en évidence d'une bradycardie avec possible BAV. L'ECG aux urgences se révèle normal. Nous concluons à une bradyarythmie sur bêtabloquants. La majorité des médicaments sont initialement suspendus puis réintroduits progressivement hormis le bêtabloquant. Au vu du contexte global nous n'effectuons pas d'examens complémentaires. Au cours de l'hospitalisation, le patient chute à plusieurs reprises durant les nuits dans un contexte d'état d'agitation. Nous poursuivons initialement le traitement de Nozinan, qui sera remplacé par du Risperdal en raison d'effets secondaires extrapyramidaux moindres. Pour le bilan des chutes, la radiographie de la hanche montre une probable fracture péri-prothétique du grand trochanter droit, tandis que le scanner cérébral ne montre pas de saignement intracrânien. Après discussion avec les orthopédistes, aucune sanction chirurgicale n'est retenue. Nous adaptons l'antalgie et initiations des séances de physiothérapie. Au vu des chutes multiples, nous suspendons l'anticoagulation malgré le risque thrombo-embolique et nous vous laissons le soin d'évaluer sa réintroduction. De plus, l'attitude palliative est également reclarifiée avec la famille et le Dr. X avant le retour en home de Monsieur Meyer. L'équipe mobile de Voltigo est également informée de l'hospitalisation. Monsieur Milchevski est un patient de 38 ans, hospitalisé en chirurgie le 26.01.2018 pour la confection d'une fistule artério-veineuse dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique sur polykystose hépatique. Le patient a déjà été hospitalisé en décembre 2017 pour la confection d'une fistule radio-brachiale du membre supérieur gauche qui s'est soldée par un échec en raison d'un réseau veineux de mauvaise qualité, non visible sur les examens pré-opératoires. Monsieur Milchevski bénéficie le 26.01.2018 d'une confection de fistule artério-veineuse brachio-céphalique par boucle Omniflow. L'opération se déroule sans complication avec en post-opératoire un bon thrill ressenti tout le long de la prothèse. Le pansement Comfeel sur les plaies doit être retiré le 30.01.2018 et les fils doivent être retirés chez la Dr. X le 09.02.2018, les rendez-vous doivent être organisés par le patient. Une hyperkaliémie motive l'introduction de Résonium avec un retour dans les normes le 29.01.2018. Nous discutons avec la Dr. X, néphrologue du patient, qui nous informe que ces valeurs sont connues et habituelles chez ce patient. Du Résonium lui avait déjà été prescrit mais est mal toléré par le patient. Un rendez-vous de contrôle est prévu à son cabinet le 30.01.2018 à 14h45 pour la suite de la prise en charge. Le patient retourne à domicile le 29.01.2018. Monsieur Mollard est hospitalisé en raison d'une exacerbation de BPCO d'origine infectieuse à Influenza A. Un traitement de Tamiflu est introduit, ainsi qu'une antibiothérapie devant la suspicion d'une surinfection bactérienne. Ceci en association avec la majoration du traitement bronchodilatateur et une corticothérapie orale a permis une évolution rapidement favorable. L'isolement gouttelettes est poursuivi pour 5 jours après le début des symptômes de grippe. Le patient bénéficie d'une physiothérapie respiratoire de désencombrement et mobilisation qui lui est bénéfique. Nous proposons la poursuite de la réadaptation pulmonaire selon son schéma habituel en ambulatoire. Les examens de laboratoire mettent en évidence un diabète (HBA1c 6.7%, à interpréter dans le contexte d'une anémie à 124G/l). La surveillance des glycémies révèle un profil plutôt aligné. Dans le contexte actuel, nous ne proposons pas de traitement ni de suivi glycémique à domicile. Nous vous proposons des contrôles itératifs en ambulatoire. Pour le retour à domicile, le patient accepte l'introduction d'un encadrement infirmier quotidien pour contrôle de santé. Monsieur Monnard, connu pour un alcoolisme chronique et un trouble de la marche nécessitant l'utilisation d'une canne, consulte les urgences le 17.12.2017 suite à un épisode de malaise après s'être levé rapidement. Il rapporte des vertiges de type tangage avec sensation de tomber vers la gauche et voile noir devant les yeux suivis de 4-5 épisodes de vomissements en jet. Il ne rapporte ni perte de connaissance, ni traumatisme crânien. Pas de chute ni de consommation d'alcool avant l'épisode. Monsieur Monnard rapporte un tiraillement sus-orbitaire il y a une semaine, d'une durée de 3 jours. A l'admission aux urgences le 17.12.2017, le status d'entrée est dans la norme et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 10 mg/l et une leucocytose à 13 G/l. Un ECG montre un bloc atrio-ventriculaire du 1er degré nouveau ainsi qu'un bloc de branche droit. Le test de Shellong est positif, raison pour laquelle nous concluons à un malaise orthostatique et le patient rentre à domicile en fin d'après-midi. Le soir même il présente un nouvel épisode identique de vertiges et de vomissements en jet, associés à un nystagmus qui persiste malgré l'atténuation des autres symptômes. Il est conduit au CHUV, où un CT scan cérébral effectué met en évidence un hématome sous dural frontal gauche sans effet de masse ainsi qu'une sinusite ethmoïdale bilatérale. Il est réadressé à l'HFR Fribourg le 18.12.2017, puis à l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge. A l'admission aux urgences de l'HFR Fribourg, le patient ne rapporte plus de symptôme si ce n'est un trouble de l'équilibre. Il dit habituellement marcher avec une canne pour la sûreté, mais que le déséquilibre extrême actuel est nouveau. Au status, Monsieur Monnard est en état général conservé mais négligé. Il est stable hémodynamiquement et afébrile. On note un nystagmus bilatéral léger et épuisable, un trouble marqué de l'équilibre avec tendance à tomber à gauche, rendant la marche pratiquement impossible malgré la canne et une aide. La pallesthésie est à 5/8 au niveau malléolaire bilatéralement. Les nerfs crâniens sont dans la norme, la force et la sensibilité conservées. Le reste du status est non contributif. Il avoue une consommation d'alcool de 2 litres de bière par jour et un tabagisme à 25 UPA. Il est mis sous Becozyme, Benerva 300 mg iv 3x/jour et Seresta 15 mg en réserve 6x/jour. Durant le séjour à l'HFR Riaz, le patient ne présente pas de signe de sevrage alcoolique. Un bilan vitaminique montre une carence en vitamine D à 14 nmol/l que nous substituons. Un bilan thyroïdien met en évidence une hypothyroïdie subclinique que l'on ne traite pas. Après une intervention brève concernant sa consommation d'alcool, il s'engage à arrêter de boire. On note une diminution progressive de son déséquilibre et le patient ne présente rapidement plus de vertige. L'évolution étant favorable, Monsieur Monnard peut regagner son domicile le 22.12.2017. Monsieur Monnard est un patient de 70 ans, sous anticoagulation par Xarelto pour une fibrillation auriculaire, qui est retrouvé à terre par son épouse au domicile, suite à une chute d'origine indéterminée. Traumatisme crânien occipital avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Le patient dit ne pas avoir ressenti de palpitations, de douleurs rétrosternales ou de sudations avant sa chute. A l'entrée, il se plaint de douleurs occipitales et cervicales. Le reste de l'anamnèse est sans particularité.A l'examen clinique, Glasgow 15/15, patient orienté, collaborant, pas d'aphasie, ni de dysarthrie. Pupilles isocores et isoréactives, nerfs crâniens dans la norme. Motricité et sensibilité conservées aux quatre membres. Les réflexes ostéo-tendineux sont hypovifs et symétriques aux membres supérieurs, normovifs aux membres inférieurs. Le réflexe cutanéo-plantaire est indifférent des deux côtés. Épreuves cérébelleuses dans la norme. Cervicalgies C5-C6 sans irradiation, ni fourmillements dans les membres. Omalgies droites connues, sans changement. Auscultation cardio-pulmonaire et reste du status sans particularité. Au laboratoire, PTT 38', sous Xarelto. Pas de troubles électrolytiques. Le CT cérébral et cervical permet d'exclure toute hémorragie et/ou fracture du crâne et du rachis cervical. Monsieur Monnard est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. Celle-ci se déroule sans complication, le status neurologique répété reste dans la norme et la reprise de l'alimentation est bien tolérée. Le 06.01.2018, Monsieur Monnard regagne son domicile. Le traitement de Xarelto sera repris dès le 07.01.2018. Monsieur Monnard prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle. Monsieur Monney est amené aux urgences en ambulance le 15.12.2017 en raison d'une baisse de l'état général avec péjoration de la dyspnée chronique, actuellement stade III depuis une semaine. Le patient rapporte également une toux productive avec crachats hémoptoïques et asthénie. Pas d'autre plainte. A l'admission aux urgences, tension artérielle 100/78 mmHg, fréquence cardiaque 78/min, saturation 92% à l'air ambiant et température 35°C. Monsieur Monney est en état général diminué, sans signe de déshydratation. L'auscultation cardiopulmonaire met en évidence une diminution du murmure vésiculaire de la base droite avec des crépitants. B1B2 sont bien frappés, irréguliers avec un souffle systolique en decrescendo, d'intensité 4/6, plus intense sur le foyer mitral et aortique. L'abdomen est souple et indolore et le toucher rectal sans particularité. Les loges rénales sont souples. Pouls périphériques amples sans œdème. L'ECG montre une fibrillation auriculaire connue. Le laboratoire met en évidence une CRP à 32 mg/l sans leucocytose, une créatinine à 130 umol/l (superposable aux anciens contrôles biologiques) ainsi qu'une cholestase. La gazométrie montre une insuffisance respiratoire de type 1 avec une alcalose respiratoire compensée. La radiographie de thorax montre un épanchement pleural droit avec une atélectasie du lobe moyen droit. Deux paires d'hémocultures sont prélevées, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g 1x/jour iv ainsi qu'un traitement diurétique et Monsieur Monney est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Malgré une amélioration initiale de la dyspnée et diminution de l'oxygénothérapie supplémentaire, les suites de la prise en charge sont difficiles au vu de la présence d'un très probable syndrome cardio-rénal de type 2 : le contrôle de la volémie avec des diurétiques implique une péjoration de la fonction rénale, avec une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 et une hypernatrémie hypovolémique à 148 mmol/l et l'arrêt par la suite de la Furosemide engendre une prise pondérale ainsi qu'une péjoration de la cholestase. La prise en charge initiée entraîne une péjoration de la fonction cardiaque et rénale. Le 21.12.2017, on constate une diminution de l'état de conscience avec un Glasgow à 12/15, une hypotension et une douleur abdominale sans défense. La gazométrie montre une acidose métabolique de gap normal compensée mais avec des lactates à 7.7 mmol/l et une radiographie abdominale montre une cropostase du colon ascendant sans autres particularités. Vu la dysfonction multi-organique dans un probable contexte de choc cardiogénique chez un patient co-morbide, nous optons pour des soins de confort. Monsieur Monney décède le 22.12.2017. Monsieur Monney est un patient de 73 ans, hospitalisé le 25.12.2017 pour une insuffisance hépatique-cellulaire aiguë accompagnée d'un syndrome hépatique-rénal, dans le contexte d'une cirrhose CHILD C d'origine alcoolique. Pour rappel, le patient était hospitalisé pour une hépatite E aiguë du 10.12.17 au 21.12.17. Le patient s'est présenté aux urgences en raison d'une péjoration de son état général et de la présence d'une oligo-anurie. Une insuffisance rénale aiguë, sur syndrome hépatique-rénal, est initialement traitée par expansion volémique et transfusion d'albumine. Malgré ce traitement, la fonction rénale se péjore, raison pour laquelle le patient est transféré aux soins intensifs pour une thérapie par Terlipressine durant deux jours, sur conseil des hépatologues de l'Inselspital à Berne. Le patient répond favorablement à ce traitement et sa créatinémie se stabilise aux alentours de 120 mcmol/l avec une bonne diurèse. Dans le cadre du bilan étiologique de la cirrhose, des anticorps anti-mitochondrie et anti-muscles lisses étaient négatifs en juin 2015 et sont complétés lors du précédent séjour par l'alpha-1-antitrypsine, des facteurs antinucléaires et une ferritine, excluant une hépatite auto-immune, un déficit en alpha-antitrypsine et une hémochromatose. Le céruloplasmine est dans la limite supérieure de la norme, permettant d'écarter raisonnablement une maladie de Wilson. L'origine la plus probable reste donc éthylo-toxique. A noter que le patient est abstinent depuis plus de 2 ans (valeur CDT dans la norme). Concernant la suite de la prise en charge spécifique, les hépatologues de Berne ne retiennent pas d'indication à une greffe au vu de l'âge du patient, ni à un TIPS pour le moment. Dans le contexte d'un syndrome inflammatoire et d'ascite, une antibiothérapie par Ceftriaxone pour une suspicion de péritonite bactérienne spontanée est débutée. Devant le peu d'ascite et les troubles de la crase, une ponction d'ascite n'a pas été effectuée. Cette probable infection semble être le principal facteur à l'origine de la décompensation du syndrome hépatique-rénal actuel. Une coagulation intravasculaire disséminée biologique est fortement suspectée et l'aspirine est mise en suspens. Un traitement par Prednisone est instauré au vu d'une suspicion de composante auto-immune à la thrombopénie brusquement péjorée. Nous vous proposons de stopper ce traitement à partir du 12.01.18. Les valeurs de thrombocytémie se stabilisent à 26 G/l à sa sortie. Devant la gravité de la situation, avec notamment un risque élevé de saignement massif en raison des troubles de la crase et de la thrombopénie, et en l'absence de projet thérapeutique (greffe hépatique), nous mettons en place un suivi à domicile par Voltigo. La situation est expliquée clairement au patient et sa compagne. Monsieur Monney est un patient de 79 ans qui se présente aux urgences le 16.01.2018 à la suite d'un traumatisme du genou droit. Le 15.01.2018, le patient a fait une chute mécanique dans les escaliers, avec réception sur le genou droit. On note également un traumatisme crânien sans perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. Le patient présente des douleurs du genou droit accompagnées d'une impotence fonctionnelle. Par ailleurs, présence d'un hématome péri-orbitaire gauche et d'une dermabrasion sous l'œil gauche. Pas de nausées, ni de vomissements. Le bilan radiologique réalisé aux urgences met en évidence une fracture longitudinale de la rotule droite.L'évolution dans le service est favorable. Un avis ORL est demandé et le patient se rend à la policlinique ORL de l'HFR Fribourg le 18.01.2018. Aucune indication chirurgicale n'est retenue et un traitement par Triofan gouttes nasales 3 x/jour est prescrit, ainsi qu'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour pendant 10 jours. En cours d'hospitalisation, on assiste à une disparition de l'emphysème péri-orbitaire et les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard habituelle. En ce qui concerne le genou droit, une attelle jeans à 20° de flexion avait été mise en place aux urgences. Celle-ci est retirée durant le séjour, remplacée par une attelle articulée avec une flexion autorisée entre 0 et 90°. Une physiothérapie de rééducation à la marche est entreprise durant le séjour, sous la protection d'un rollator, en charge selon douleurs. Nous avons instauré une prophylaxie thromboembolique par Clexane 0,4 ml sc/jour pour une durée de 4 semaines. Devant l'évolution favorable, Monsieur Monney peut retourner à domicile le 22.01.2018. Monsieur Monney est un patient de 80 ans, hospitalisé suite à une amputation infra-géniculée droite le 22.11.2017, et qui a présenté le 24.12.2017 un état fébrile avec désaturations et douleurs pleurétiques importantes, avec oedèmes des membres supérieurs, un syndrome inflammatoire biologique en péjoration et une radiographie du thorax du 24.12.2017 montrant un foyer basal droit et des signes de surcharge cardiaque. Nous suspectons une pneumonie de broncho-aspiration dans le cadre d'une hypoglycémie induisant une baisse de l'état de vigilance. Dans le contexte d'une hypoxémie importante, Monsieur Monney est transféré aux lits monitorés le 24.12.2017 et bénéficie d'un traitement par CPAP. Un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline intraveineux est introduit le 24.12.2017 pour une durée totale de sept jours, jusqu'au 31.12.2017. De plus, en raison de la surcharge hydrique importante, Monsieur Monney bénéficie de deux séances supplémentaires de dialyses entre le 24.12.2017 et le 29.12.2017. Nous tentons aussi d'augmenter la diurèse avec du Lasix et de la Metolazone, sans succès au vu de l'insuffisance rénale terminale oligurique (250 ml/24 heures). Au vu des douleurs pleurétiques importantes, nous majorons son traitement antalgique par Fentanyl patch de 50 à 75 µg/h. La culture d'expectorations prélevée le 27.12.2017 revient positive pour Klebsiella pneumoniae sensible à la Co-Amoxicilline. Les cultures urinaires des 28.12.2017 et 04.01.2018 reviennent négatives avec une flore mixte. La sonde urinaire est changée le 04.01.2018. Le traitement d'insuline est modifié par l'arrêt du Ryzodeg et mise en place de l'Insulatard. Durant le séjour, le patient présente régulièrement des pics hyperglycémiques dans le contexte de l'état infectieux aigu, raison pour laquelle nous majorons son traitement d'Insulatard à 22 UI le matin et 8 UI le soir, et l'Humalog d'office est également augmenté de 5 à 6 UI le matin. Monsieur Monney est par ailleurs suivi par la diabétologie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, avec qui nous restons en contact afin d'adapter son traitement. Le patient évolue bien cliniquement par la suite, avec un syndrome inflammatoire biologique à la baisse et disparition de la leucocytose, et peut revenir en chambre normale le 28.12.2017. Une nouvelle radiographie de contrôle du thorax effectuée le 04.01.2018 ne montre plus d'infiltrat. Le 04.01.2018, Monsieur Monney présente à nouveau un épisode d'état fébrile à 38.1°C. Cette fois-ci, nous n'avons pas d'arguments pour un nouvel épisode infectieux et suspectons une exacerbation de bronchopneumopathie chronique obstructive d'origine virale. Pour cette raison, nous renonçons à une antibiothérapie et traitons le patient par Prednisone 40 mg durant 3 jours, en parallèle d'un traitement bronchodilatateur. L'évolution est favorable. Les hémocultures prélevées les 04.01.2018 et 05.01.2018 reviennent négatives à cinq jours. Le 04.01.2018, nous constatons également la présence d'une mycose orale pour laquelle nous introduisons un traitement de Mycostatine pour une durée de dix jours. Le 05.01.2018, Monsieur Monney est pris en charge en réadaptation gériatrique au vu de la stabilisation de son état général. Monsieur Monney, patient de 73 ans, connu pour une cirrhose Child C d'origine alcoolique et hépatite E, a été hospitalisé du 12.01.2018 au 17.01.2018 dans le service de médecine interne de l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal suite à un retour à domicile mal vécu par la compagne malgré la mise en place du réseau Voltigo. Au vu de l'aggravation des symptômes et du souhait de Monsieur Monney, il nous est transféré le 17.01.2018 pour suite de prise en charge palliative. À l'entrée, le PPS est estimé à 10 % et le Barthel à 10. À son arrivée dans notre unité, Monsieur Monney présente un état de conscience très diminué avec une somnolence extrême, une confusion modérée et présence d'une légère asterixis qui nous évoquent un état confusionnel aigu de type hypoactif au début puis mixte avec des épisodes d'agitation et de somnolence extrême sur une encéphalopathie hépatique. Nous traitons par du Temesta par voie sous-cutanée avec de bons résultats. À noter que depuis son entrée, le patient présente un ictère important qui se péjoré au cours de son hospitalisation avec prurit incoercible et généralisé, que nous traitons par de la cold crème, méthylnaltrexone avec des résultats modérés. Les massages avec la cold crème lui ont apporté le plus de soulagement. Monsieur Monney exprime une souffrance globale, avec des douleurs partout et une sensation de mal-être étendue. Il arrive à signaler toutefois la région rétrosternale et épigastrique comme source principale des douleurs nociceptives viscérales dans un contexte de cirrhose hépatique, varices oesophagiennes et antécédent d'ulcère gastrique. Nous mettons en place un traitement par du fentanyl en continu avec un bon effet par la suite. Monsieur Monney présente une toux irritative que nous soulageons par du dextrométhorphane. En outre, il rapporte une anxiété importante que nous soulageons par des doses minimales de Temesta, ainsi qu'un sentiment de mort imminente pour lequel nous lui offrons du soutien et accompagnement. Un entretien de famille avec la compagne de Monsieur Monney a eu lieu le jour de son entrée dans notre unité, où il a pu manifester son désir de ne pas revenir sur le passé, il souhaite rester tranquille et confortable. L'état de Monsieur Monney se dégrade rapidement et il décède le 20.01.2018. Monsieur Moradi n'ayant jusqu'à présent pas de médecin traitant, nous suspectons que la gastroscopie du 10.10.2017 retrouvant la présence d'H. pylori n'a pas été traitée par une antibiothérapie adaptée. Nous effectuons donc ce jour le test d'antigène dans les selles qui se montrent négatif. Étant donné les douleurs épigastriques connues du patient, nous effectuons à nouveau un test au Pantozol pendant 2 semaines. Si ce dernier s'avère négatif, nous conseillons de procéder à une nouvelle gastroscopie. En l'absence d'amélioration, nous conseillons de procéder à une nouvelle gastroscopie.Monsieur Morand, connu pour des crises d'épilepsie à répétition (sous traitement de Depakine et Lamotrigine et Levetiracetam) sur lésion séquellaire G post-polytraumatisme avec hémisyndrome D séquellaire, ainsi qu'une maladie de Parkinson, nous est adressé par le home en raison d'une péjoration de son hémisyndrome droit motivant le transfert aux urgences pour une suspicion d'AVC. Le patient présente 1 crise d'épilepsie tonico-clonique dans l'ambulance. Le bilan radiologique et l'avis neurologique concluent à un probable phénomène de Todd. Nous réalisons une IRM cérébrale permettant d'exclure un phénomène ischémique. Il n'y a pas de charge supplémentaire en anti-épileptiques réalisée. Le taux des antiépileptiques est fait et revient dans la norme pour l'acide valproïque et le Lévétiracetam. Un EEG est réalisé le 05.01.2017 par le Dr. X qui revient dans la norme. Nous ne changeons donc pas les traitements. Sur le plan neurologique, le patient récupère rapidement son état neurologique habituel. Durant l'hospitalisation, nous mettons en évidence des désaturations à 85% sous air ambiant. Le bilan radiologique s'avère dans la norme. Au vu d'une auscultation pulmonaire pathologique avec une importante spasticité chez ce patient fumeur, nous suspectons une BPCO et instaurons un traitement de Symbicort et de Spiriva. Nous ne réalisons pas d'investigation supplémentaire au vu du projet thérapeutique limité chez M. Morand. Monsieur Morand, patient de 86 ans connu notamment pour une cardiopathie ischémique et rythmique (fibrillo-flutter lent avec pacemaker, sous Xarelto), une BPCO de stade indéterminé (II en 2005) avec exacerbations à répétition, est hospitalisé pour une exacerbation de BPCO avec décompensation cardiaque dans le contexte infectieux. Le patient s'était présenté au service des urgences en raison d'une baisse de l'état général avec dyspnée NYHA III, toux et crachats gris hémoptoïques. Nous retenons une exacerbation de BPCO que nous traitons par Prednisone et antibiothérapie par Ceftriaxone IV puis Céfuroxime PO pour une durée totale de 7 jours. L’évolution est favorable, le syndrome inflammatoire est à la baisse et un sevrage de l'oxygène est rapidement possible. À la sortie, nous reprenons le traitement inhalateur habituel et proposons la réalisation de fonctions pulmonaires à distance. Dans le contexte infectieux, nous observons des signes de décompensation cardiaque globale que nous traitons par Furosémide IV. À la sortie, nous augmentons le Torasémide à 10 mg/j et laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement diurétique si nécessaire. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Morand peut regagner son domicile le 09.01.2018. Monsieur Morard nous est adressé depuis le domicile par nos collègues d'oncologie pour une réadaptation palliative. Il décrit une baisse progressive de son état général depuis quelques semaines, avec asthénie, perte d'autonomie et de mobilité (multiples chutes à domicile). Il s'inquiète dans ce contexte que son épouse ne s'épuise et décrit des angoisses de mort et une certaine tristesse en lien avec ces multiples pertes. Nous constatons effectivement un état général diminué avec des difficultés pour effectuer les transferts et un risque de chutes élevé. Monsieur Morard rapporte des douleurs devenues ingérables à domicile au niveau du rachis cervico-dorsal et des épaules, aggravées à la mobilisation et en position couchée. À l'examen clinique, ces douleurs sont reproductibles à la palpation de C7 et du rachis dorsal. Elles ne sont que peu soulagées par le traitement de fentanyl instauré depuis peu. Nous augmentons donc dans un premier temps le patch de fentanyl avec ajout de réserves d'oxycodone. En raison d'une suspicion de neurotoxicité (au fentanyl ou à l'oxycodone) avec myoclonies et confusion, une rotation d'opiacés est effectuée au profit de la morphine en pompe avec une bonne efficacité antalgique. Un traitement neuroleptique est en outre instauré afin d'agir sur la confusion et l'anxiété. L'état confusionnel et les myoclonies ne font cependant qu'empirer, avec une altération rapide de l'état de conscience nous faisant par la suite suspecter un événement aigu central, soit un saignement dans un contexte de thrombopénie, soit une progression oncologique cérébrale. L'état de Monsieur Morard se détériore très rapidement et il décède entouré de ses proches le 26.01.2018 dans la soirée. Monsieur Moscatello présente des gonalgies droites du côté interne suite à une entorse du genou le 12.1.2018. Cliniquement, je suspecte une distorsion du ligament collatéral interne qui est éventuellement associée à une lésion du ménisque interne. Afin de préciser le diagnostic, le patient est envoyé pour une IRM native du genou droit le 30.1.2018. Je le reverrai le 1.2.2018 pour discuter des résultats et du traitement. Un arrêt de travail à 100% lui est donné jusqu'au prochain rendez-vous du 1.2.2018. Monsieur Mueller, connu pour un adénocarcinome pulmonaire métastatique, traité par chimiothérapie palliative, est hospitalisé dans notre service depuis la permanence suite à un épisode de probable hémoptysie d'origine tumorale suivi d'une lipothymie. Au niveau social, Monsieur Mueller vit avec sa compagne dans une maison. Il a deux enfants avec qui il a plus de contact. Une oxygénothérapie est déjà mise en place à domicile. Comme réseau, il reçoit le soutien de Voltigo. Les soins à domicile ne sont pas impliqués dans la situation, car le patient et son épouse ne le jugent pour l'instant pas nécessaire. Durant l'hospitalisation, Monsieur Mueller ne présente plus d'hémoptysie et reste stable sur le plan hémodynamique. Au niveau pulmonaire, il est gêné par des expectorations abondantes pouvant faire suite à une bronchite ou alors à la progression tumorale, pour lesquelles un traitement d'acétylcystéine est prescrit avec bon effet. Monsieur Mueller souhaite un retour à domicile au plus vite. Dans ce contexte, un protocole d'urgence est établi pour que l'épouse puisse s'appuyer sur des consignes claires sur quoi faire et dans quel ordre en cas d'urgence. À noter qu'en cas de ré-hospitalisation, Monsieur Mueller souhaite être hospitalisé directement au HFR Meyriez-Murten. Monsieur Mueller rentre à domicile le 26.01.2018. Monsieur Mueller est un patient de 64 ans connu pour une connectivite mixte associant une polyarthrite périphérique chronique de type polyarthrite rhumatoïde, une aphtose récidivante, une photosensibilité et une sclérose, qui est hospitalisé pour une péjoration de ses douleurs tendino-myo-articulaires dans un contexte de virose, avec toux expectorante et vomissements depuis plusieurs jours. Sur le plan pneumologique, une radiographie thoracique montre une cardiomégalie avec redistribution vasculaire aux apex, stable par rapport aux comparatifs. L'évolution est favorable avec la poursuite des traitements habituels du patient (oxygénothérapie, budésonide/formotérol, Montélukast, salbutamol) et quelques séances de physiothérapie respiratoire, raison pour laquelle nous retenons un diagnostic de virose.Sur le plan rhumatologique, les traitements habituels du patient • Methotrexate, hydoxychloroquine (Plaquenil), apremilast (Otezla), tofacitinib (Xeljanz) • sont mis en suspens dans l'hypothèse d'une infection. La corticothérapie est transitoirement majorée à 30 mg et les antalgiques habituels sont poursuivis (étoricoxibe, oxycodone, pregabaline). Un ultrason est réalisé et met en évidence un épanchement au niveau du poignet gauche (status-post opération orthopédique), sans atteinte contra-latérale. Le laboratoire montre un discret syndrome inflammatoire (CRP max 23 mg/l, VS max 14 mm/h) qui reste stable durant le séjour. L'évolution clinique est spontanément favorable, avec amélioration des douleurs et de la mobilisation. Nous retenons une exacerbation de ses douleurs habituelles dans le contexte de virose. Sur le plan dermatologique, Monsieur Mueller présente une dermatose faciale qui, selon nos collègues dermatologues, est d'origine probablement mixte sur exacerbation de la rosacée papulo-pustuleuse préexistante et sur eczéma séborrhéique. Le traitement topique habituel d'Ivermectine est repris et un traitement anti-bactérien et fongicide (Procutol et Nizoral shampoing) est introduit avec amélioration immédiate de la dermatose. À noter qu'un traitement d'Aciclovir a été transitoirement administré pour une suspicion initiale de zona, qui n'a pas été retenue (frottis PCR à la recherche de HSV/VZV en attente). Au vu de l'amélioration de l'état général, Monsieur Mueller rentre à domicile le 05.01.2018. Monsieur Nagenthiran est un patient de 37 ans qui bénéficie d'une thyroïdectomie totale bilatérale dans le cadre du diagnostic sus-mentionné. En post-opératoire, le patient présente une raucité de la voix, une laryngoscopie faite par nos collègues de l'ORL montre une parésie récurrentielle gauche, raison pour laquelle une corticothérapie est débutée. Un test de déglutition ne met pas en évidence de troubles de la déglutition. L'évolution par la suite est favorable et après ablation des drains, Monsieur Nagenthiran peut retourner à domicile le 15.01.2018. Le traitement par corticoïdes sera poursuivi jusqu'au 22.01.2018, le patient sera convoqué par le service d'ORL pour un rendez-vous dans 1 mois. Monsieur Nesrat est un patient de 30 ans qui présente des douleurs diffuses en fosse iliaque droite. Le laboratoire montre une augmentation de CRP de 27 mg/l et l'ultrason abdominal montre l'image d'appendicite aiguë. Nous retenons alors l'indication pour une appendicectomie par laparoscopie. Le 23.01.2018, l'intervention se déroule sans complication. Le patient rentre à domicile le 25.01.2018. Monsieur Nguyen nous est transféré du service des urgences de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour une prise en charge d'importantes douleurs au niveau de la masse tumorale sous-maxillaire depuis une dizaine de jours. Il souffre aussi de nausées et vomissements, biliaires et sanguinolents, et d'une forte sensation vertigineuse depuis la veille. En arrivant dans notre unité, Monsieur Nguyen ressent un effet rapide de l'halopéridol et reprend une alimentation presque immédiatement. Concernant les douleurs, nous mettons en place un traitement par de la morphine 5 mg 6x/j. et du froid avec un bon effet. Nous instaurons un traitement laxatif en prévention d'une possible constipation sur opiacés qui maintient un transit régulier. Pour ce qui est de la sonde vésicale mise en place dans le cadre des urgences pour une anurie de 24 h, Monsieur Nguyen l'enlève la première nuit. Une récidive de globe urinaire nous fait en poser une nouvelle. Monsieur Nguyen présente un état fébrile que nous traitons symptomatiquement et que nous attribuons à une probable origine tumorale. En raison de vertiges évoquant une hypotension et du contexte de fin de vie, nous simplifions le traitement anti-hypertenseur en laissant que le Coversum et des réserves d'Amlodipine. La famille de Monsieur Nguyen étant très présente, et au vu de la barrière linguistique et culturelle, nous communiquons grâce à eux. Les soins d'hygiène sont prodigués par un des membres de la famille. Au vu du désir du patient et de l'ensemble de la famille, nous organisons un retour à domicile dans un premier temps chez son fils, avec un rollateur pour les déplacements, ils contacteront Pro-Senectute afin d'avoir un lit électrique livré à domicile. Ils prendront soin de Monsieur Nguyen en famille. Nous leur donnons également une prescription de soins à domicile pour Voltigo, en cas de besoin. En raison d'un risque hémorragique important, nous mettons en place un protocole d'urgence à domicile par du dormicum intranasal. Tant la famille que Monsieur Nguyen comprennent et sont rassurés d'avoir un médicament qui puisse le soulager si un événement de ce type se produit. Monsieur Nguyen quitte notre service le 19.01.2018 accompagné de sa famille. Monsieur Nicolier, connu pour une cardiopathie hypertensive, un asthme et un diabète de type 2 insulino-requérant, consulte les urgences le 01.01.2018 en raison d'une toux grasse avec impossibilité d'expectorer. Il présente depuis 5 jours un état grippal avec myalgies. Il serait également plus dyspnéique au repos mais de manière stable depuis quelques jours. Pas de notion d'état fébrile ni de frissons, mais sensation de froid. Le patient n'a pas été vacciné contre la grippe. Notons un tabagisme actif à 2-3 paquets de cigarettes par jour depuis 48 ans. À noter également que le syndrome obstructif n'a jamais été bilanté jusqu'à présent. Le patient présente des œdèmes importants des membres inférieurs chroniques remontant jusqu'aux genoux des deux côtés. Pour rappel, en raison d'une prise pondérale, vous avez augmenté le traitement diurétique et introduit le Bilol début décembre. Au statut cardiaque, B1B2 sont lointains, sans souffle audible. Présence d'œdèmes des membres inférieurs bilatéraux avec dermite ocre. Au niveau pulmonaire, sibilances diffuses avec râles crépitants à droite. Au statut digestif, l'abdomen est globuleux. Le reste du statut d'entrée est dans la norme. Monsieur Nicolier bénéficie d'un traitement bronchodilatateur. La gazométrie met en évidence une insuffisance respiratoire globale et nous débutons une VNI avec effet favorable. Le laboratoire met en évidence une CRP à 57 mg/l sans leucocytose et une insuffisance rénale aiguë, d'origine pré-rénale à 272 mcmol/l. La créatinine se corrige graduellement durant le séjour. La radiographie du thorax montre un possible foyer en base pulmonaire gauche. Nous initiions une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid puis nous hospitalisons le patient à l'ELM dans le cadre d'une exacerbation d'un syndrome obstructif chronique, non bilanté, sur probable pneumonie. Comme diagnostic complémentaire, nous retenons une insuffisance cardiaque sur cardiopathie hypertensive. À l'ELM, le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire et de mobilisation et nous poursuivons la VNI avec correction de l'hypercapnie, mais persistance de l'hypoxémie sans confirmation de la pneumonie. Au vu de l'absence d'antigènes urinaires pour Légionelle, le Klacid est arrêté le 02.01.2017 et nous poursuivons le traitement par Rocéphine iv jusqu'au 03.01.2018 avec relais par co-amoxicilline 1 g per os 2x/j à poursuivre jusqu'au 12.01.2018. Malgré une évolution partiellement favorable, Monsieur Nicolier demande sa sortie de l'hôpital en raison d'une baisse de moral et d'une difficulté à trouver du sens dans l'hospitalisation actuelle. En effet, malgré les bénéfices liés à l'ajustement du traitement médicamenteux lors de l'hospitalisation et de la correction des valeurs biologiques, le patient ne voit pas d'évolution. Suite à une discussion avec son épouse, qui entend sa décision, Monsieur Nicolier rentre à domicile le 05.01.2018. Nous informons le couple qu'il s'agit d'une sortie contre avis médical et des risques encourus.A noter qu'à la sortie, au vu des perturbations de la fonction rénale nous laissons en suspens les médicaments néphrotoxiques (Coversum N et Diamicron) que nous vous laissons le soin de réintroduire en fonction des résultats d'un prochain contrôle biologique. Nous recommandons également à Monsieur Nicolier de prendre rendez-vous à votre consultation et de bien contrôler son poids. Un ajustement du traitement diurétique doit être effectué en cas de prise pondérale de plus de 1% du poids actuel. Nous vous laissons également le soin de prévoir un bilan cardiologique avec échocardiographie transthoracique en ambulatoire. Monsieur Oesch est un patient de 42 ans qui s'est présenté aux urgences avec des brûlures au second degré recouvrant 5% de la surface corporelle du bas ventre et sur le flanc droit. Le patient est alors hospitalisé pour antalgie. Lors du changement des pansements, 1-2x par jour, les plaies montrent une évolution favorable. Monsieur Oesch rejoint son domicile le 14.01.2018. Les changements de pansements seront faits 1x par jour par les soins à domicile. Monsieur Osmani est un patient de 56 ans connu pour une polyarthrite rhumatoïde traitée par Leflunomide, un reflux gastro-oesophagien et plusieurs FRCV qui est hospitalisé pour une pneumonie basale gauche le 31.12.2017. Nous entamons un traitement empirique de Rcéphine et Klacid jusqu'à ce que les Antigènes urinaires à la recherche de Pneumocoque et Légionnelle reviennent négatifs. Nous passons à un relais par Amoxicilline 1g 2x/j dès le 04.01.2018. Le laboratoire retrouve une hypokaliémie à 3.1 mmol/l que nous substituons au cours de l'hospitalisation. Au vu d'une bonne évolution, le patient peut rentrer à domicile le 05.01.2017. Monsieur Pasquier est un patient de 60 ans, connu pour un adénocarcinome colorectal sous chimiothérapie adjuvante à visée curative de FOLFOX avec une fistule entéro-urétrale droite avec dernier changement de sonde double J le 22.12.2017, qui est transféré aux soins intensifs le 11.01.2018 en raison d'un choc septique sur urosepsis dans le contexte de la fistule. Le patient est mis sous un traitement d'antibiothérapie intraveineuse avec une bonne réponse clinique et biologique, permettant un sevrage rapide des amines et un transfert à l'étage de chirurgie. Le Dr X propose dans le contexte actuel, une opération abdominale ouverte pour la résection de la fistule avec anastomose uretéro-urétérale. L'opération est agendée pour le 05.02.2018. L'évolution étant favorable sous antibiothérapie, le patient peut quitter notre service le 22.01.2018 avec une antibiothérapie adaptée et des soins à domicile jusqu'à l'intervention. Monsieur Pasquier, patient de 80 ans connu pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur droit traité par 4 cycles de Nivonumab, une maladie coronarienne bitronculaire ainsi qu'une BPCO stade 3 se présente à la consultation d'oncologie du 09.01.2018 avec une baisse d'état général ainsi qu'une dyspnée et une toux en augmentation avec crachats hémoptoïques. Le bilan paraclinique permet d'exclure une cause infectieuse. Nous réalisons un scanner thoracique qui met en évidence l'apparition de multiples foyers de condensation pulmonaire au niveau du segment apical du lobe inférieur gauche et postéro-basal gauche associés à des infiltrats en verre dépoli. En l'absence d'argument en faveur d'une infection, la décompensation respiratoire est donc mise sur le compte d'une probable pneumonite sur Nivolumab. Nous interrompons le traitement par clexane. D'entente avec nos collègues oncologues (Dr. Rochat) et pneumologues (Dr. Krieg), nous interrompons le traitement par Nivolumab. Enfin, nous introduisons un traitement par Prednisone 50mg du 10.01. au 15.01.2018 avec instauration d'un schéma dégressif dès le 16.01.2018 avec proposition de baisse de 10 mg toutes les 2 semaines. En cours d'hospitalisation, Monsieur Pasquier nécessite les mêmes besoins en oxygène (1L au repos) et nous constatons la persistance de crachats hémoptoïques, en quantité diminuée. Après surveillance dans notre service de médecine interne, il peut rentrer à domicile sans aide avec une prochaine consultation en oncologie prévue le 22.1.18 avec la Dr. Rochat. Nous recommandons une prophylaxie PCP par Bactrim dans le cas où la corticothérapie devait être maintenue au-delà de 4 à 6 semaines. De même, nous vous proposons une réévaluation du traitement anticoagulant en ambulatoire si les crachats hémoptoïques venaient à disparaître, avec clexane à dose réduite (120 mg/jour). Monsieur Pauchard est un patient de 58 ans connu pour des abcès récidivants péri-anaux dans le contexte d'un adénocarcinome du rectum. Il consulte les urgences pour une nouvelle récidive. Il bénéficie d'un drainage de l'abcès au bloc opératoire qui se déroule sans complication. Étant donné le contexte oncologique avec chimiothérapie en cours, nous introduisons un traitement par Co-Amoxicilline pour 5 jours. Monsieur Pauchard peut rentrer à domicile le 11.01.2018 avec des douches pluri-quotiéennes de la plaie et il sera revu à la consultation de proctologie le 15.01.2018. Monsieur Pauchard est un patient de 58 ans qui est hospitalisé en chirurgie le 25.01.2018 pour un abcès anal et fistule péri-anale. Il s'agit d'un patient connu pour un adénocarcinome du rectum métastatique au niveau pulmonaire diagnostiqué en 2016 suivi par la Dr. Odermatt (dernier rendez-vous il y a 7 jours) ainsi que de multiples drainages pour des abcès para-anaux. Il se présente pour une gêne anale apparue le jour précédent, actuellement en péjoration avec l'apparition d'un état fébrile jusqu'à 38.9°C. Au laboratoire, un syndrome inflammatoire est mis en évidence. Un CT abdominal le 25.01.2018 montre une progression tumorale avec des métastases pulmonaires et un nodule suspect surrénalien droit. Deux collections sont également mises en évidence à 5h en PG, ainsi qu'une deuxième collection et fistule à 06h en PG. Le patient bénéficie d'un drainage de l'abcès avec mise en place de Penrose en urgence le 26.01.2018. Une antibiothérapie par co-Amoxicilline est instaurée et devra être poursuivie jusqu'au 30.01.2018. Un frottis de l'abcès est encore en cours. L'évolution de la plaie est favorable et permet l'ablation du Penrose le 26.01.2018. Concernant la fistule à 6h en PG, une intervention est prévue en ambulatoire le 31.01.2018 avec une consultation en anesthésie au préalable le 30.01.2018. L'intervention et les complications y liées sont expliquées au patient qui signe le consentement éclairé. Les résultats du CT scanner abdominal montrant une progression tumorale ont été signalés aux oncologues du patient. Il sera convoqué directement par le service de l'oncologie pour organiser la suite de la prise en charge. Le patient retourne à domicile le 27.01.2018. Monsieur Pedroso, patient portugais de 79 ans, en vacances en Suisse, qui présente depuis 4 jours une dyspnée avec présence d'une toux, associée à des crachats jaunâtres et un état fébrile. Son épouse est actuellement hospitalisée pour une grippe.Le bilan d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 124 et leucocytose à 16.4 G/l. La radiographie du thorax montre plusieurs opacités pulmonaires. Au vu de la notion de contage, le diagnostic de pneumonie virale est retenu dans un premier temps. Un avis infectiologique est demandé, ne proposant pas d'introduire une antibiothérapie d'emblée, avec surveillance clinique et biologique des paramètres inflammatoires. Le patient bénéficie d'un traitement par Tamiflu pour une durée de 5 jours. Par la suite, l'évolution clinique et biologique est favorable, avec un patient restant afébrile et un syndrome inflammatoire à la baisse. De ce fait, une antibiothérapie n'est pas introduite. L'oxygénothérapie peut être sevrée progressivement. Une radiographie du thorax est à effectuer d'ici 1 mois au Portugal. A son arrivée, le patient présente une insuffisance rénale aiguë, se corrigeant rapidement par hydratation IV. Par la suite, un suivi régulier de la fonction rénale est effectué, avec une valeur de créatinine à 85 micromol/l au laboratoire du 03.01.18 (clairance de la créatinine à 80 selon MDRD). Un contrôle biologique à distance de l'événement aigu est à prévoir. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 04.01.2018. A noter que le patient rentre à domicile avec une copie du laboratoire, de l'ECG et de la description de la radiographie de thorax. Un CD des images radiologiques lui est également fourni. Monsieur Pellat, connu pour de multiples comorbidités comprenant une BPCO, une insuffisance cardiaque avec HTAP et une embolie pulmonaire, nous est adressé par nos collègues de l'HFR Riaz pour une fin de vie. A l'entrée, il peut exprimer son intense lassitude concernant les multiples hospitalisations des derniers mois et son désir de mourir, estimant que sa qualité de vie actuelle est insatisfaisante. Monsieur Pellat nous informe en outre qu'il a d'ores et déjà fait les démarches afin de recourir à Exit si sa fin de vie devait se prolonger, préférant toutefois l'idée de mourir à la VSF, opinion que partage son épouse. A l'entrée, l'index de Barthel est évalué à < 35% et le PPS à 20%. Les directives anticipées de Monsieur Pellat sont consignées dans le dossier infirmier. Monsieur Pellat souffre en premier lieu d'une dyspnée au repos avec sensation permanente d'oppression thoracique sans franche douleur, raison pour laquelle nous introduisons un traitement de fentanyl en continu avec amélioration partielle des difficultés respiratoires. Il rapporte également une anxiété importante qu'il met en lien avec sa mauvaise qualité de vie actuelle et sa dyspnée. A sa demande, une anxiolyse par mirtazapine et quétiapine est instaurée avec un bon effet. L'état clinique de Monsieur Pellat se détériore rapidement et il décède en présence de son épouse le 06.01.2018. Monsieur Perrin, 84 ans, est hospitalisé en chirurgie pour une sténose de la carotide gauche symptomatique. Il s'agit d'un patient connu pour deux antécédents d'AVC ischémiques en 2006 et 2008 avec une dysarthrie résiduelle, et un status post pontage aorto-coronarien. Il consulte les urgences le 03.01.2018 pour l'apparition d'une paresthésie du MSD et une péjoration de sa dysarthrie séquellaire depuis 3 jours. Il relate également une perte d'équilibre nouvelle avec tendance à la chute sur la droite. Sa fille rapporte également une asymétrie faciale. Le NIHSS à l'entrée est évalué à 4. Une IRM met en évidence des AVC ischémiques punctiformes thalamiques gauche et frontaux gauche probablement artério-artériels sur sténose subocclusive (>90%) de l'A. carotide commune gauche. Le patient est hospitalisé en Stroke Unit monitorée pour surveillance neurologique. Au vu d'un INR supra-thérapeutique, le Sintrom est mis en suspens. Un doppler des vaisseaux pré-cérébraux et transcrânien est effectué le 05.01.2018 et met en évidence une sténose de 80% de l'artère carotide commune gauche, sténose de 60% de la carotide interne gauche, et une sténose très serrée (>50%) de l'artère vertébrale droite, pas de signal de l'artère cérébrale moyenne gauche M1-M2 qui est probablement occluse. Il bénéficie le 08.01.2018 d'une thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne gauche le 08.01.17. Les suites post-opératoires sont simples, un soutien transitoire par Noradrénaline a été nécessaire durant la surveillance aux soins intensifs. Une anticoagulation est introduite en post-opératoire, premièrement par héparine puis par Clexane thérapeutique, qui est relayée par du Xarelto dès le 17.01.2018. Un Duplex de la carotide gauche pour contrôle post-opératoire le 17.01.2018 par le Dr. X montre un bon flux au niveau de la carotide gauche sans sténose résiduelle. Durant la surveillance aux soins intensifs, un traitement par Bilol et Cordarone en per os sont mis en place dès le 09.01.17 (cible TAS 140 et 160 mmHg). Des contrôles de la tension artérielle doivent être faits régulièrement. D'un point de vue neurologique, une amélioration de l'hémisyndrome droit est observée avec cependant une persistance de la dysarthrie qui est modérée et des troubles de la déglutition. La dysarthrie est suivie par nos collègues ergothérapeutes. Concernant les troubles de la déglutition, une sonde de Pichard pour l'alimentation entérale est mise en place dès le 10.01.2018. Un suivi par les physiothérapeutes est effectué pour la rééducation du pharynx, et un suivi par les diététiciens pour l'apport calorique. Les contrôles des tests hépatiques, des triglycérides et des électrolytes doivent être effectués une fois par semaine. Si les troubles de la déglutition devaient persister, nous vous proposons de poser une PEG par nos collègues gastro-entérologues. Une probable bronchite débutante dans un contexte également de légère surcharge hydrique est suspectée le 16.01.2018. Une radiographie du thorax ne révèle pas de foyer, chez un patient afébrile et sans syndrome inflammatoire. Un traitement par Fluimicil et physiothérapie pour aide à l'expectoration est instauré. Une réhabilitation à Meyriez est organisée pour suite de prise en charge, devant le manque de place, un transfert en médecine à Meyriez est proposé. Le patient est transféré le 18.01.2018. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour un contrôle le 14.03.2018 à 15:30. Lors de l'hospitalisation à Meyriez, nous augmentons les doses de nourriture par la sonde naso-gastrique. Cette dernière se bouche le 19.01.18, et nous posons une nouvelle sonde avec contrôle radiologique. Nous observons une légère amélioration des paramètres inflammatoires au laboratoire. Une réadaptation logopédique est mise en place. Monsieur Perrin peut être transféré en neuroréhabilitation intensive le 22.01.18 en bon état clinique. Monsieur Perroud est un patient de 63 ans connu depuis mars 2017 pour syndrome d'apnées/hypopnées obstructif du sommeil, de degré sévère. Le patient a initialement bénéficié d'un appareillage par CPAP, avec une bonne tolérance. Toutefois, face à une hypercapnie légère, probablement dans un contexte de syndrome d'hypoventilation/obésité, une mise sous VNI a eu lieu le 20.09.2017. Le patient vient ce jour en hospitalisation élective dans notre laboratoire du sommeil pour un suivi de sa VNI.Monsieur Perroud relate une très bonne tolérance de l'appareillage, l'utilisant de manière quotidienne. Pas de difficulté avec l'interface (pas de fuite ni de point d'appui). Il bénéficie d'un humidificateur. Depuis son appareillage, le patient relate une diminution de sa fatigue diurne et se sent moins fatigué au lever. Utilise l'Anoro Ellipta de manière quotidienne, mais ne ressent pas de soulagement concernant la dyspnée. Pour rappel, le patient a présenté un pneumothorax droit en 1985, avec depuis lors une dyspnée d'effort stade NYHA II-III, mMRC de stade II. Le patient adapte son rythme de marche lors de l'effort. À noter qu'un CT thoracique avait complété le bilan en octobre 2017 permettant d'exclure toute récidive de pneumothorax ainsi que d'exclure une atteinte parenchymateuse chez cet ancien tabagique à 100 UPA. La polygraphie sous VNI du 15.01.2018 montre une excellente prise en charge des événements respiratoires nocturnes avec un IAH résiduel à 3.5/h, pour un IAH au diagnostic à 41/h. La capnographie transcutanée nocturne montre l'absence d'hypercapnie (PCO2 moyenne nocturne de 5.7 kPa), mais la présence d'une hypoxémie nocturne légère avec une SpO2 à 91.5%, avec un index de désaturation en oxygène élevé à 37.8/h. Face à ces résultats, nous proposons de réitérer les enregistrements sous VNI avec adjonction d'oxygène à 1 l/min. La polygraphie nocturne sous VNI + O2 à 1 l/min montre une augmentation des événements respiratoires nocturnes par rapport à l'enregistrement de la veille, avec un IAH résiduel à 10.0/h contre 3.5/h la veille. Nous remercions donc la ligue pulmonaire qui nous lit en copie de bien vouloir majorer les pressions ventilatoires à EPAP 9 cmH2O et IAPA 17 cmH2O. La capnographie montre une amélioration significative de l'oxygénation nocturne sous 1 l/min d'O2, avec une SpO2 moyenne passant de 91% sans oxygène, à 94% actuellement. La gazométrie artérielle, sous VNI et oxygénothérapie à 1 l/min confirme cette amélioration avec un PO2 à 12 kPa pour une SaO2 de 97%. Dans ces conditions, et au vu de l'absence de rétentions de gaz carbonique (PCO2 moyenne nocturne de 5.92 kPa), nous proposons d'introduire une oxygénothérapie nocturne à raison de 0.5 l/min. Nous remercions la ligue pulmonaire de prendre contact avec Monsieur Perroud pour ce faire. À noter que le patient n'a jamais bénéficié d'échocardiographie et qu'au vu de l'hypoxémie nocturne, nous adressons un courrier à nos collègues afin de pouvoir agender une consultation en ambulatoire pour ce faire et investiguer une possible hypertension pulmonaire. Le patient rentre donc à domicile avec des nouveaux paramètres de ventilation (IPAP 17 cmH2O, EPAP 9 cmH2O), ainsi que l'introduction d'une oxygénothérapie nocturne à 0.5 l/min. Au vu des modifications précitées, nous proposons d'effectuer un contrôle à notre laboratoire du sommeil dans 2 mois. En restant à disposition pour tout renseignement complémentaire, nous vous adressons, Monsieur et cher Confère, nos meilleures salutations. Monsieur Philipona, connu pour un mélanome multimétastatique, est hospitalisé en raison d'une baisse de l'état général dans un contexte de progression oncologique le 23.01.2018. Le CT thoraco-abdominal effectué met en évidence des épanchements pleuraux bilatéraux avec une augmentation de lésions au niveau hépatique et splénique. Sur le plan thoracique, l'examen parle en faveur d'une lymphangite carcinomateuse. En raison d'une suspicion de composante infectieuse avec un syndrome inflammatoire au bilan biologique, un traitement antibiotique de Rocephine est introduit. Le frottis Influenza infirme une grippe permettant l'arrêt de l'isolement gouttelettes. Le CT thoraco-abdominal évoque une possible colite ascendante. Suite à l'apparition de diarrhées le 26.01.2018, un traitement de Flagyl est introduit. Devant l'absence d'amélioration, le traitement est arrêté le 29.01.2018. Dans un premier temps, devant l'absence de symptomatologie neurologique significative, l'avis radio-oncologique propose les séances de radiothérapie dans un deuxième temps. Le patient présente néanmoins une péjoration rapide de l'état général avec dyspnée et troubles de la vigilance motivant l'introduction de soins de confort dès le 29.01.2018. Monsieur Philipona bénéficie d'un traitement complexe en médecine palliative avec prise en charge multidisciplinaire. Il décède le 30.01.2018 en présence de sa famille. Monsieur Philipona est un patient de 76 ans connu pour une lourde histoire d'artériopathie des membres inférieurs gauche et droite, transféré en réhabilitation le 28.12.2017. En orthopédie à Fribourg, il a dû bénéficier d'une amputation infragéniculaire selon Burgess au membre inférieur droit le 26.05.2017 et d'un pontage poplitée-pédieux gauche le 22.12.2017 (Dr. X). Le pontage n'ayant pas pris et au vu d'une vascularisation apparemment encore suffisante, la décision d'une prise en charge conservatrice est posée avec une surveillance rapprochée des signes infectieux. À l'entrée, le patient se plaint d'une fatigue physique importante associée à une perte de poids de 8 kilogrammes. Il parle également de douleurs fantômes qu'il décrit comme supportables, de constipations depuis 2-3 ans et d'une peine à initier la miction. Sur le plan neurologique, le patient décrit une vision qui fatigue lors de la lecture avec l'apparition d'une légère déformation des lignes après un effort de lecture soutenu. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. Sur le plan social, le patient vit dans un appartement avec son épouse qui a de forts troubles de la vision. L'appartement bénéficie d'un ascenseur. Au statut, nous trouvons un patient à l'état général conservé. Les plaies chirurgicales en regard de la malléole interne et du dos du pied présentent des croûtes associées à un œdème mais sans signe infectieux. L'orteil gauche, présentant un début de nécrose connu, est noir avec un pourtour rosé. Celui-ci serait en amélioration d'après le patient. Le moignon est couvert d'un érythème avec des desquamations et des bords bien délimités s'étendant jusqu'en dessous du genou. Au niveau neurologique, un nystagmus fatigable en fin de poursuite oculaire horizontale est noté. Concernant les pouls, seul le pouls radial droit est palpé. Concernant la prothèse, Mr. Philipona se plaint d'inconfort en raison de points de pression subgéniculaires. De l'avis de notre service de physiothérapie (Carole Schneider) et de Monsieur Hefti (Orthoconcept, Fribourg), le moignon est encore trop fragile et fluctuant (œdèmes) pour une adaptation. Malgré des discussions répétées concernant une probable amputation du membre inférieur gauche, le patient semble avoir des difficultés à accepter sa possible amputation. Un soutien psychologique - également suite à une notion de suicidalié (29.12.2017) - serait à considérer. Le 03.01.2018, le laboratoire révèle une leucocytose de 11.8 et une CRP, à la baisse, de 50 mg/l. La plaie sur le dos du pied droit présente encore un aspect macéré, accompagné de sécrétions en quantité importante. Une consultation avec le Dr. X le 04.01.2018 aboutit, en raison d'un risque de surinfection, à un retrait des fils de ladite plaie. Celle-ci s'avérant déhiscente, la pose de deux Vac pico est décidée (l'un sur le dos du pied, l'autre au niveau tibial postérieur). Le changement de ce Vac le 08.01.2018 devrait être effectué avec l'aide de Monsieur Thierry Menoud, représentant commercial de Smith and Nephew, 079/277.98.89). Quant aux autres plaies, celle de la cuisse gauche montre une bonne évolution, tandis que celle située infragéniculaire à gauche s'avère modérément rouge et chaude. Le bilan de la situation artérielle au niveau de la jambe gauche est tel qu'une amputation est probable, ce dont le patient est informé. Dans l'attente, il est impératif de garder le membre inférieur abaissé au maximum (dixit Dr. X).Une élévation des paramètres infectieux, combinée à une rougeur et une turgescence de la plaie du pontage poplité-pédieux gauche, est constatée le 05.01.2018. Ceci motive un transfert à Fribourg pour une possible prise en charge chirurgicale, en raison d'une suspicion de surinfection. Monsieur Piller, connu pour un cancer testiculaire en rémission depuis 2002, se présente aux urgences le 10.01.2018 sur conseil du Dr. X, oncologue. En effet, lors du contrôle oncologique annuel le 09.01.2018, le laboratoire met en évidence une perturbation des tests hépatiques. Le patient signale un état grippal avec un épisode de vomissement le 31.12.2017 qu'il a traité par Aspegic 1x/jour, Ibuprofène 1 à 2 x/jour du 31.12 au 02.01.2018 ainsi que Neocitran 1x le 02.01.2018 avec apparition d'urines brunâtres dès le 31.01.2017. À l'admission, le patient est en bon état général, bien hydraté, bien perfusé, anictérique sans cyanose centrale. Au status digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Le Murphy est négatif. Pas de masse pulsatile ni d'organomégalie palpable. Les loges rénales sont souples et indolores. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Monsieur Piller est hospitalisé pour investigations. Nous effectuons un ultrason abdominal qui met en évidence une lithiase vésiculaire et une splénomégalie modérée, mais pas d'atteinte hépatique. Nous complétons les investigations par la recherche des hépatites A, B, C revenant négative. Le bilan biologique met en évidence une ancienne infection à EBV et à CMV, négative pour la syphilis. L'évolution biologique est favorable avec une diminution significative de la cholestase et de la cytolyse. Le patient ne développe aucun symptôme. Nous suspectons, au vu de ce tableau, une origine probablement médicamenteuse. Monsieur Piller regagne son domicile le 12.01.2018 en bon état général. Monsieur Pillonel est transféré dans notre service le 05.01.2018 depuis le service de médecine interne du HFR Meyriez en raison d'une baisse progressive de son état général survenue dans un contexte de pancytopénie probablement causée par un syndrome myélodysplasique, de bronchopneumonie d'aspiration provoquée par des troubles de la déglutition, de décompensation cardiaque globale et d'embolie pulmonaire multisegmentaire gauche et finalement d'un état confusionnel aigu. Dès l'entrée, Monsieur Pillonel présente d'importantes fluctuations de son état de vigilance provoquées par un état confusionnel aigu engendré par la progression de ses multiples comorbidités malgré tous les efforts diagnostiques et thérapeutiques jusqu'à présent. Il est convenu avec la famille de renoncer à poursuivre toutes investigations étiologiques et de centrer la prise en charge sur des soins de confort. Au fil de la semaine, Monsieur Pillonel est de plus en plus somnolent, nécessitant une adaptation régulière de la médication. Le patient ainsi que la famille sont accompagnés quotidiennement par l'équipe multidisciplinaire des soins palliatifs. Finalement, Monsieur Pillonel décède le 13 janvier 2018 avec l'encadrement de sa famille et de l'équipe. Monsieur Pinto est un patient de 61 ans connu pour une hernie inguinale gauche symptomatique. Le patient est hospitalisé en électif le 26.01.2018 pour une cure de hernie inguinale gauche selon Lichtenstein. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Nous informons le patient qu'il ne doit pas porter de charges de > 5-10kg pendant 6 semaines. Le patient peut rentrer à domicile le 27.01.2018. Monsieur Pittet est un patient de 21 ans qui se présente pour une appendicite. La prise en charge chirurgicale est posée. L'intervention se déroule sans complication, l'appendice étant d'aspect nécrotique, une antibiothérapie est gardée pour 24h. Les suites sont simples et le patient rentre à domicile le 15.01.2018. Monsieur Poffet, connu pour une cardiopathie ischémique et valvulaire, est hospitalisé pour une pneumonie communautaire bi-basale droite avec une insuffisance rénale aiguë et légère décompensation cardiaque globale. Le patient s'était présenté aux urgences pour un état fébrile avec toux, expectorations et une dyspnée NYHA III. Nous retenons le diagnostic de pneumonie. L'évolution est simple sous Céftriaxone iv puis Co-amoxicilline po pour une durée totale de 7 jours. La Clarithromycine est rapidement stoppée en raison de l'absence d'antigène urinaire pour Légionelle. Dans ce contexte infectieux, nous observons une IRA probablement pré-rénale spontanément résolutive. Nous proposons un nouveau contrôle à distance. Finalement, en raison d'une légère décompensation cardiaque dans un contexte septique, une dose de Furosémide iv est administrée aux urgences. Le patient, ne montrant pas de signe de surcharge durant son hospitalisation, nous n'introduisons pas de diurétique et laissons le soin au médecin traitant d'évaluer la nécessité d'en introduire. Au vu de la bonne évolution sur le plan clinique et biologique, Monsieur Poffet peut regagner son domicile le 03.01.2018 dans un bon état général. Monsieur Principe, connu pour un lymphome à cellules B matures de type lymphome lymphocytique de stade IV, actuellement en rémission partielle et hospitalisé en médecine pour une gingivo-stomatite du 25 au 29.11.2017, consulte les urgences le 28.12.2017 pour une sensation vertigineuse et un malaise avec perte de connaissance de 2-3 secondes. Pas de traumatisme crânien. Il relate également un épisode de vomissement alimentaire, sans douleur abdominale et une pollakiurie sans brûlure mictionnelle. À noter qu'après la dernière hospitalisation, le patient a bénéficié de l'extraction d'une dent et que l'extraction de 5 dents est prévue en janvier 2018. À signaler également que le patient présente toujours une immunosuppression dans le contexte du lymphome lymphocytique avec des IgM quasi indétectables. Le patient a fait le vaccin contre la grippe en octobre. À l'admission, Monsieur Principe est asthéniaque et fébrile à 38,3 °C. À l'auscultation pulmonaire, notons des crépitants à la base droite sans râle de stase ni sibilance. Au niveau de la cavité buccale, les muqueuses buccales sont œdématiées, l'hygiène dentaire est mauvaise, le fond de gorge est calme sans adénopathie palpable. Le reste du status d'entrée est dans la norme. Le laboratoire d'entrée montre une CRP à 25 mg/l sans leucocytose. Le sédiment urinaire ne parle pas en faveur d'une infection urinaire. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Au vu de l'état fébrile à 38,3 °C, nous prélevons deux paires d'hémocultures et en l'absence de foyer infectieux, une antibiothérapie en urgence n'est pas instaurée.Concernant le malaise, nous effectuons un ECG qui nous permet d'exclure une ischémie active et des troubles rythmiques. Un test de Schellong effectué aux urgences revient positif et nous retenons une hypotension orthostatique. Le patient présente une évolution clinique et biologique favorable sans antibiothérapie. Nous retenons un état grippal et Monsieur Y rentre à domicile le 02.01.2018. Monsieur Y, connu notamment pour une BPCO et un adénocarcinome pulmonaire métastatique en stade terminal, nous est adressé depuis son domicile pour une probable fin de vie avec un double projet d'éventuel retour à domicile en cas d'amélioration. A l'entrée, il rapporte principalement des douleurs thoraciques gauches suite à une chute d'allure mécanique ayant eu lieu 3 jours auparavant. Le traitement d'oxynorme ne le soulageant pas de manière satisfaisante, un traitement de morphine aux 4 heures et d'ibuprofène est introduit avec une excellente réponse. Les douleurs ne lui permettent en outre plus de tousser et de respirer efficacement, aggravant ainsi une dyspnée connue de longue date et actuellement présente même au repos. Cette dyspnée est également traitée par de la morphine. L'amélioration n'étant pas suffisante, un traitement de prednisone est ensuite introduit dans l'éventualité d'une lymphangite carcinomateuse, sans changement notable. Monsieur Y exprime son sentiment que la chute a été l'élément déstabilisant dans une situation qui était déjà fragile depuis plusieurs mois et que rien ne va plus depuis cet événement. Ses proches rapportent en effet une détérioration depuis un certain temps déjà, avec alitement complet et besoin d'aide important ces dernières semaines, ayant entraîné un épuisement de la famille. A l'entrée, l'index de Barthel et le PPS sont tous deux estimés à 20%. Monsieur Y peut dire sa lassitude et son souhait de mourir. Il s'affaiblit progressivement et décède le 13.01.2018 entouré de sa famille. Monsieur Y est en nette amélioration clinique depuis 48 h et présente un sevrage alcoolique de bonne évolution. Le laboratoire montre une amélioration des paramètres hépatiques. En raison d'une démarche ébrieuse, nous dosons l'alcoolémie qui confirme l'abstinence. La suite de la prise en charge est à effectuer par son médecin traitant Dr. X, et un rendez-vous est pris durant la consultation. En cas de persistance des troubles neurologiques, une IRM devrait être réalisée pour écarter définitivement une atteinte cérébelleuse ischémique ou une atteinte carentielle (encéphalopathie de Gayet-Wernicke). Actuellement chez un patient avec une amélioration de ses troubles neurologiques et une bonne reprise de son alimentation, nous ne recommandons pas cette imagerie. Monsieur Y est un patient de 31 ans qui bénéficie d'une thyroïdectomie totale bilatérale avec curage ganglionnaire central et cervico-latéral le 11.01.2018 dans le cadre du diagnostic susmentionné. Les suites postopératoires sont favorables, un contrôle par laryngoscopie en postopératoire met en évidence une légère parésie du nerf récurrent droit sans répercussions cliniques. Le patient bénéficiera d'un traitement logopédique en ambulatoire. En raison d'une hypocalcémie symptomatique nous débutons une substitution de calcium et Rocaltrol le 12.01.2018. Après ablation des drains, Monsieur Y peut rejoindre son domicile le 16.01.2018. Monsieur Y est une patiente de 62 ans, qui est transférée de l'hôpital de Riaz dans notre service de chirurgie le 05.01.2018 pour la prise en charge d'une AOMI stade IV membre inférieur droit avec une occlusion nouvelle de l'artère fémorale superficielle droite et des nécroses au niveau des orteils 4 et 5. Il s'agit d'un patient connu pour une hypercholestérolémie non traitée qui était hospitalisé en orthopédie à Riaz pour une nécrose des orteils 4 et 5 à droite suite à une plaie sur hématome traitée par Co-amoxicilline en intraveineux. Un bilan angiologique le 05.01.2018 est effectué à Fribourg et montre une occlusion courte de l'artère fémorale superficielle, raison de son transfert. Un angio-CT pour compléter le bilan montre une occlusion de 3 cm de l'artère fémorale superficielle pour lequel, le patient bénéficie d'une angioplastie de recanalisation avec stenting, le 09.01.2018 (Dr. X). Monsieur Y est également connu pour une AOMI du membre inférieur gauche pour laquelle un pontage avait été discuté au mois de décembre refusé dans un premier temps par le patient et annulé en raison d'une amélioration clinique et au Doppler. Un contrôle en angiologie à la consultation du Dr. X est prévu le 26.04.2018 à 11:15. Un traitement de statine et d'aspirine cardio est introduit et doit être poursuivi à vie, ainsi qu'un traitement de Plavix pour une durée de 3 mois. Une amputation des 4ème et 5ème orteils est effectuée après recanalisation le 11.01 avec mise en place d'un pansement VAC. L'évolution de la plaie est favorable avec visualisation d'un tissu bien vitalisé. L'antibiothérapie par co-amoxicilline est maintenue pour une durée totale de 10 jours. Des changements de VAC itératifs sont prévus en ambulatoire à la consultation de stomatothérapie. Les rendez-vous sont les suivants : le 19.01.2018 à 09:30, le 23.01.2018 à 10:00, le 26.01.2018 à 10:15, le 30.01.2018 à 10:00 ainsi que le 02.02.2018 à 11:00. Les fils seront retirés en stomatothérapie à J14 postopératoire, soit le 26.01.2018. Concernant une plaie de l'hallux droit qui est sèche, un protocole pansement est élaboré comme suit : rinçage par Prontosan, application de compresse avec Plurogel et bandage simple non compressif. Les pansements seront changés en stomatothérapie en même temps que les VAC. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 19.04.2018 à 15:00. Le patient retourne à domicile le 17.01.2017. Monsieur Y présente une ostéomyélite chronique avec un ulcère en regard de la malléole externe duquel s'évacue du pus. Je propose au patient de l'hospitaliser ce jour et l'adresse directement aux urgences. Le patient doit être opéré rapidement pour l'ablation du matériel d'ostéosynthèse et traitement de l'ostéomyélite chronique par des antibiotiques en i.v. Monsieur Y nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal en vue d'une réadaptation palliative. Suite à son hospitalisation pour un choc septique, lui-même et son épouse étaient en effet désécurisés avec un retour à domicile leur semblant encore prématuré. A l'entrée, il décrit principalement une asthénie et une inappétence qui nous semblent être d'origine multifactorielle avec un événement aigu (choc septique d'origine pulmonaire) dans un contexte de maladie oncologique évolutive et avancée. Le PPS est estimé à 70% et l'index de Barthel à 90%. L'état général de Monsieur Y s'améliore rapidement lors de son séjour dans l'unité, Monsieur appréciant particulièrement les repas en commun et la physiothérapie. D'un commun accord avec Monsieur Y et sa femme, le retour à domicile peut avoir lieu le 19.01.2018.Monsieur Racine, connu pour des douleurs neuropathiques chroniques dorsales avec irradiation vers l'hémithorax gauche, consulte les urgences le 04.01.2018 en raison d'une péjoration des douleurs depuis le 03.01.2018 malgré le traitement antalgique en cours. Les douleurs sont à point de départ thoracique (entre D3 et D5), irradiant vers l'hémithorax gauche, sans déficit sensitivomoteur. Pas de plainte respiratoire, urogénitale ni gastro-intestinale. A noter que le patient est vacciné contre la grippe et que le jour de l'admission, son épouse est hospitalisée à l'HFR Fribourg pour une grippe. A l'admission, le patient est fébrile à 38,5 °C. Au status pulmonaire, notons une hypoventilation basale droite avec présence de râles crépitants bibasaux à prédominance droite. Au status ostéoarticulaire, le patient est algique à la palpation de la colonne (D3 à D5) ainsi qu'à la palpation de l'hémithorax gauche. Présence d'un important globe complètement indolore à la palpation de la région suspubienne. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 74 mg/l et leucocytose à 19,2 G/l. Nous effectuons un bladder scan et un ultrason de la vessie de débrouillage, les deux examens mettent en évidence une rétention urinaire aiguë avec la présence de 950 ml de résidu post-miction, après miction par débordement de 400 ml. Sur avis du Dr. X, urologue, nous complétons le bilan par un dosage du PSA qui revient dans la norme, toutefois le quotient PSA/PSA est pathologique. Nous effectuons un toucher rectal qui est indolore. Une sonde vésicale est posée et nous introduisons un traitement par Pradif 400 mcg. La sonde vésicale est à garder jusqu'au contrôle chez le Dr. X le 23.01.2018. Le bilan urinaire est positif pour nitrites et montre une pyurie. Nous retenons le diagnostic d'une infection urinaire compliquée survenue dans le contexte d'une rétention urinaire chronique avec mictions par débordement. La cause la plus probable de cette rétention urinaire chronique est le traitement antalgique par Fentanyl administré à haute dose (DD rétention urinaire aiguë sur prostatite aiguë). Une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. est débutée. La radiographie du thorax montre une infiltration basale droite d'origine communautaire. Les hémocultures et une recherche d'antigènes urinaires pour légionelle et pneumocoques reviennent négatives. Le patient est hospitalisé en médecine, l'antibiothérapie par Rocéphine 2 g est poursuivie du 04 au 07.01.2018 avec relais par Ciproxine 500 mg per os à poursuivre jusqu'au 13.01.2018. Monsieur Racine bénéficie encore d'une physiothérapie respiratoire. Le bilan urinaire est complété par une échographie du système urogénital qui ne montre pas de complication. Concernant les douleurs neuropathiques chroniques, et en accord avec vous-même, nous ne modifions pas le traitement antalgique habituel du patient. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Monsieur Racine quitte notre service le 10.01.2018 pour se rendre quelques temps chez sa fille avant un retour à son domicile. Monsieur Ramos consulte les urgences le 06.01.2018 en raison d'un état fébrile avec toux productive, crachats blanchâtres, sans hémoptysie. A noter que le patient est sous corticothérapie par Prednisone 20 mg et sous antibiothérapie prophylactique par Bactrim. A l'anamnèse, le patient ne rapporte pas de nausées ni vomissements. Il a été vacciné contre la grippe en octobre. Pas de notion de voyage récent ni d'immobilisation. A l'admission aux urgences, le patient est fébrile et sature à 88% à l'air ambiant. Au status, l'auscultation pulmonaire met en évidence des crépitants à la base droite, sans sibilances. L'abdomen est souple, sans défense ni détente et le toucher rectal ne relève pas de sang sur le doigtier. Le reste du status clinique est sans particularité. Le contrôle biologique montre une anémie macrocytaire avec hémoglobine à 67 g/l pour laquelle Monsieur Ramos bénéficie de la transfusion d'un concentré érythrocytaire aux urgences et d'un syndrome inflammatoire biologique avec CRP à 106 mg/l et leucocytose à 11,9 G/l. La gazométrie montre une hypoxémie à 6,7 kPa et la radiographie du thorax met en évidence un foyer basal droit. Au vu du syndrome inflammatoire, nous débutons une antibiothérapie par Cefepime 2 g iv 3x/j avec relais par co-amoxicilline 1 g per os 2x/j dès le 09.01.2018 et en raison d'une dyspnée importante, le patient est hospitalisé aux lits monitorés. Nous complétons le bilan par une recherche d'antigènes urinaires, une culture d'expectorations ainsi que des hémocultures qui reviennent toutes négatives. Concernant l'anémie macrocytaire, en raison d'une hémoglobine qui reste basse, le patient bénéficie de la transfusion de 3 concentrés érythrocytaires pendant le séjour, avec une hémoglobine qui remonte à 86 g/l le 11.01.2018. Dans le contexte d'une suspicion d'anémie spoliative d'origine digestive, un traitement par IPP est instauré et nous recommandons une gastroscopie à distance. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Monsieur Ramos peut regagner son domicile le 12.01.2018. Monsieur Rawyler présente depuis une semaine une baisse d'état général avec état fébrile, confusion, pollakiurie et brûlures mictionnelles. En raison d'un épisode de douleur rétrosternale à domicile, le patient est transféré au service des urgences en ambulance. Nous mettons en évidence un sepsis à point de départ urinaire sur prostatite aiguë à Proteus Mirabilis associée à une insuffisance rénale aiguë sur chronique, et un état confusionnel. Une antibiothérapie par Ciproxine 500 mg 2x/j est débutée puis changée pour du Bactrim Forte, adaptée à la fonction rénale, pour une durée de 3 semaines au total. L'évolution est lentement favorable après début de l'antibiothérapie et hydratation. En raison de plaintes urinaires avec pollakiurie, faux besoin et d'un résidu post-mictionnel élevé à plus de 150 ml, nous introduisons un traitement par Pradif qui permet de réduire les plaintes du patient. Un ultrason des voies urinaires n'a pas montré de dilatation pyélocalicielle. Concernant les douleurs rétrosternales présentes à l'arrivée, une origine secondaire à l'état septique est retenue au vu de l'absence de cinétique enzymatique. L'échographie cardiaque du 09.01.2018 montre une fonction ventriculaire gauche conservée à 53% avec une hypokinésie modérée antéro-septale. Monsieur Rawyler présente également des douleurs ostéo-articulaires chroniques en péjoration, de l'épaule droite, sternal et du bassin, pour lesquels une antalgie par Temgesic est mise en place avec bon effet sur les douleurs. Au vu d'un déconditionnement important suite à l'état septique, des séances de physiothérapie et mobilisation sont débutées dans ce contexte, une place en réhabilitation gériatrique est en attente. Au moment du transfert, Monsieur Rawyler se mobilise correctement sur de courtes distances à l'aide d'un cadre de marche en étant accompagné, il est autonome pour la prise des repas et partiellement autonome pour la réalisation de la toilette. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient est reclassé le 19.01.2018 dans l'attente du transfert en réhabilitation gériatrique à l'HFR Meyriez. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Monsieur Rey est hospitalisé pour investigations d'une baisse de l'état général avec perte de poids significative et syndrome inflammatoire biologique. Il présente également une douleur para-lombaire droite invalidante, plus mécanique qu'inflammatoire mais associée à une raideur du segment dorsolombaire à la clinique. Une IRM lombaire montre une discopathie multi-étagée de type inflammatoire, un canal lombaire étroit ainsi qu'une enthésite inter-épineuse L3-L4. Un PET-scan est réalisé et révèle des hypercaptations pluri-articulaires (sterno-claviculaire G, épaule G, jonction lombo-sacrée, hanche D) d'origine très probablement inflammatoire. L'absence de diagnostics alternatifs, la clinique et les examens complémentaires nous laissent suspecter une spondyloarthrite de la personne âgée. À noter que ce patient est suivi en rhumatologie pour une polyarthrite asymétrique avec dactylite. Ce tableau peut également rentrer dans le cadre de ce diagnostic. Un traitement anti-inflammatoire par Celecoxib est débuté durant l'hospitalisation avec amélioration nette des douleurs lombaires et de la mobilisation générale. Monsieur Rey bénéficie de physiothérapie intensive (mobilisation, fango, piscine) qui participe à l'amélioration de la mobilité. Sur le plan biologique, on note une amélioration du syndrome inflammatoire biologique. Par ailleurs, une mesure de la calprotectine fécale revient élevée, motivant l'organisation d'une coloscopie afin d'exclure une atteinte intestinale inflammatoire. Sur le plan hématologique, le patient présente une anémie d'origine probablement mixte, inflammatoire et ferriprive, pour laquelle une infusion de Ferinject est administrée durant le séjour. Le patient est informé de la nécessité de surveillance des selles (signes de spoliation digestive) et de reconsulter en cas de fatigue. Il prendra rendez-vous à votre consultation à 3 semaines pour un contrôle de la formule sanguine (hémoglobine à la sortie 81 g/l). Le traitement d'Ameprilast (Otezla) est poursuivi à la sortie, les douleurs habituelles de nuque, des épaules et du 2e doigt droit étant bien contrôlées sous ce traitement. À distance, l'introduction d'un traitement d'anti-TNF-alpha pourra être discutée. Après un séjour dont il estime les effets bénéfiques, le patient rentre à domicile le 18.01.2018 avec une suite de prise en charge de physiothérapie en ambulatoire. Monsieur Rey est un patient de 41 ans connu pour un antécédent de pancréatite aiguë d'origine indéterminée, qui se présente aux urgences en raison de douleurs abdominales aiguës. Le patient rapporte que depuis une année et demie après chaque repas copieux accompagné d'alcool, il présente des douleurs aiguës épigastriques en ceinture, selles diarrhéiques et décolorées. Le patient décrit que ces épisodes étaient au départ très courts (quelques heures) et qu'au fil du temps, ils sont devenus de plus en plus longs (jusqu'à deux jours). Le patient n'a jamais ressenti d'irradiation dans le dos. Il rapporte ces derniers temps une consommation d'alcool augmentée dans un contexte de stress professionnel. Du sludge vésiculaire est mis en évidence, mais les contrôles laboratoires ne relèvent aucun mouvement enzymatique hépatique, raison pour laquelle l'étiologie de la pancréatite reste indéterminée. Le CT du 24.09.2017 met en évidence une pancréatite Baltazar E. Nous introduisons alors un traitement par hyperhydratation en suivant la diurèse ainsi qu'une antibiothérapie prophylactique par Imipenem. Un CT abdominal est répété le 01.10.2017 en raison d'une baisse de l'état général du patient et de la persistance du syndrome inflammatoire. Il montre par rapport au comparatif du 24.09.2017, une progression des collections nécrotiques en rapport avec la pancréatite, associées à une duodénite ainsi qu'à une probable gastrite de contact. À noter l'apparition d'épanchements pleuraux modérés qui sont pris en charge par la physiothérapie respiratoire et qui se résolvent rapidement. À noter également la présence de thromboses non occlusives de la veine porte et de la veine mésentérique supérieure pour lesquelles une anticoagulation thérapeutique est introduite le 24.09.2017 et sera poursuivie jusqu'au 24.03.2017 et sera rediscutée avec son médecin traitant en fonction de l'évolution. Nous organisons dans ce contexte un contrôle par scanner abdominal le 06.11.2017 à 13h30. Il sera ensuite vu à la consultation des chefs de clinique pour rediscuter de l'évolution le 14.11.2017 à 8h30. Monsieur Ribeaud est un patient de 85 ans, traité par double antiagrégation dans un contexte de stenting de l'artère rénale gauche, qui se présente aux urgences pour une rétention urinaire aiguë sur macrohématurie. On met en place une sonde urinaire 3 voies avec des rinçages manuels associés à un rinçage continu, qui permettent un décailotage et un éclaircissement des urines. Le traitement de Clopidogrel est arrêté en accord avec son angiologue le Dr X. L'évolution par la suite est favorable avec une ablation de la sonde vésicale le 13.01.2018 et une bonne reprise des mictions. Le patient sera revu à la consultation du Dr Y le 17.01.2018 à 14h00 pour discuter d'une nouvelle TURP en raison d'une récidive de prostatisme. Monsieur Richli est un patient de 92 ans, connu pour un adénocarcinome de la prostate avec statut post-trois résections transurétrales en 2002, 2004 et février 2017, suivi par le Dr Z. Le patient se présente aux urgences le 26.12.2017 en raison d'une dysurie apparue la veille au soir, allant en s'aggravant et accompagnée de douleurs. Il décrit par ailleurs une hématurie depuis trois jours. À l'entrée, le patient est en état général conservé, bien hydraté. À l'auscultation cardiaque, B1-B2 bien frappés, souffle 2/6 dans tous les foyers, œdème des membres inférieurs prenant le godet des deux côtés jusqu'à mi-mollets. Auscultation pulmonaire sans particularité. Abdomen souple, sensible au niveau sus-pubien, sans défense, ni détente. Bruits normaux en fréquence et en tonalité. Loge rénale gauche sensible, loge rénale droite indolore. Douleurs lors de la palpation sus-pubienne. Le bilan biologique met en évidence une anémie à 83 g/l d'hémoglobine, pas de trouble de la crase. Nous prenons contact avec l'urologue de garde, Dr X, qui pose l'indication à la mise en place d'une sonde à trois voies. Toutefois, le rinçage manuel ne s'avère pas possible, raison pour laquelle une échographie fast est effectuée, mettant en évidence la présence d'un caillot. Après un rinçage vigoureux avec une sonde 22, le Dr X parvient à détruire le caillot, ce qui permet de restaurer un flux satisfaisant. Monsieur Richli est hospitalisé dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge, notamment des rinçages goutte-à-goutte toutes les 2 secondes. L'Aspirine Cardio est mise en suspens. Une antibiothérapie par Ciproxine 2 x 500 mg/jour est débutée et sera à poursuivre jusqu'au 05.01.2018 inclus.A l'entrée, le bilan biologique met en évidence une anémie à 83 g/l d'hémoglobine, s'abaissant à 63 g/l, ce qui motive la transfusion de deux culots érythrocytaires. Le contrôle réalisé le 28.12.2017 montre une valeur à 90 g/l. Après l'élimination de plusieurs caillots, les urines redeviennent progressivement claires et la sonde vésicale peut être retirée le 29.12.2017. Monsieur Richli regagne son domicile le 29.12.2017 après une bonne reprise des mictions. Monsieur Richli prendra rendez-vous à la consultation du Dr X pour contrôle dès que possible. Monsieur Richoz est un patient de 70 ans ayant bénéficié d'une résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie bénigne le 13.12.2017 par le Dr X. Le 25.12.2017, le patient consulte en raison de l'apparition d'une hématurie macroscopique, avec expulsion d'un caillot de taille importante, puis une incontinence urinaire. Après sa consultation, Monsieur Richoz regagne son domicile et revient le 26.12.2017 pour un contrôle clinique. Le Dr X, urologue de garde, propose alors une hospitalisation dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge. A l'admission, patient en bon état général, apyrétique. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. Abdomen plat, souple et indolore, sans défense, ni détente. Bruits normaux en fréquence et en tonalité. Loges rénales souples et indolores. Une sonde vésicale à trois voies est mise en place, permettant un rinçage continu. Le patient est placé sous antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour, traitement qui doit être poursuivi jusqu'au 05.01.2018 inclus. L'Aspirine Cardio est mise en suspens. Le 28.12.2017, le Dr X effectue un rinçage manuel permettant l'ablation de quelques caillots. Les urines redeviennent progressivement claires et la sonde vésicale peut être retirée. L'après-midi même, une rétention urinaire motive la remise en place d'une sonde vésicale. Les rinçages manuels sont poursuivis, ramenant des urines progressivement claires. Devant l'évolution favorable, le Dr X, qui a repris la garde urologique, propose un retour à domicile avec la sonde vésicale en place et Monsieur Richoz quitte donc notre service le 30.12.2017. Monsieur Richoz est un patient de 70 ans, sous Aspirine Cardio suite à un stenting en mai 2017, qui a bénéficié d'une résection transurétrale de la prostate le 13.12.2017 par le Dr X. L'évolution initiale est favorable et le patient regagne son domicile le 16.12.2017. Monsieur Richoz se présente aux urgences le 25.12.2017 en raison d'une hématurie macroscopique. La présence de caillots motive alors la pose d'une sonde vésicale et le patient est hospitalisé dans notre service du 25 au 30.12.2017 où des rinçages réguliers sont effectués. Après un essai d'ablation de la sonde se soldant par une nouvelle obstruction, le patient rentre à domicile le 30.12.2017 avec une sonde vésicale 16 G en place. Le 01.01.2018, le patient remarque à nouveau une hématurie macroscopique et des fuites d'urines autour de la sonde vésicale, raison pour laquelle il consulte les urgences, puis retourne à domicile après un rinçage. Le 02.01.2018, il consulte à nouveau pour le même problème et la sonde est changée pour une 20G. Finalement, Monsieur Richoz revient le 03.01.2018 devant une persistance de l'hématurie. A l'entrée, patient hémodynamiquement stable, afébrile. Auscultation cardio-respiratoire dans la norme. Bruits abdominaux conservés, abdomen souple et indolore, pas de défense ni détente. Loges rénales souples et indolores. Urines rosées dans le sac de la sonde. Le bilan biologique montre une hémoglobine conservée à 92 g/l (98 g/l le 28.12.2017). Le sédiment urinaire met en évidence la présence d'érythrocytes, sans leucocytes et quelques flores bactériennes. Un urotube est effectué, qui reviendra négatif. Le rinçage permet de débloquer la sonde suite à l'extraction de caillots, mais celle-ci se rebouche après quelques minutes. Nous prenons l'avis du Dr X, urologue de garde, qui préconise une hospitalisation en chirurgie pour un rinçage continu accompagné, associé à de fréquents rinçages à la seringue. Le traitement d'Aspirine Cardio est maintenu étant donné la pose récente de stent (mai 2017). Des rinçages sont réalisés avec la sonde à trois voies, puis, dès le 05.01.2018, poursuivis par des rinçages manuels ramenant de multiples caillots, puis des urines progressivement claires. Le 06.01.2018, la sonde vésicale est retirée, avec bonne reprise des mictions, en petite quantité. Monsieur Richoz est hémodynamiquement stable et peut retourner à domicile le 07.01.2018. Il poursuivra l'antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour pour encore 5 jours. Monsieur Riedo est un patient de 81 ans qui nous est adressé de Meyriez en raison d'une infection de plaie de laparotomie sur status post-résection iléo-caecale et splitstomie de l'iléon terminal le 07.11.2017 suite à une perforation caecale iatrogène. Le patient est pris au bloc opératoire pour un débridement avec application d'un pansement VAC le 16.12.2017, changé de manière itérative. Une tentative de fermeture cutanée se solde par un échec et les frottis effectués lors de cette intervention montrent la présence de Candida Albicans. Nous introduisons alors un traitement de Fluconazole et remplaçons le pansement VAC simple par un pansement VAC avec instillation, avec pour but final une fermeture de la plaie par intention secondaire. L'évolution après changements itératifs du VAC instillation est favorable. La plaie caudale est bien granulée et n'a plus besoin du traitement VAC. À la plaie crâniale, on change le VAC à instillation par le VAC normal selon le frottis négatif pour Candida Albicans. Monsieur Riedo rentre à domicile le 18.01.2018. Monsieur Rizzi, patient porteur d'une sonde sus-pubienne à demeure avec colonisation à Pseudomonas, se présente au service des urgences en raison d'une asthénie avec état subfébrile et gêne sus-pubienne depuis moins de 24h. Au vu de la colonisation chronique connue à Pseudomonas, un traitement empirique par Tazobac est débuté. Nous diagnostiquons une infection urinaire basse à Escherichia Coli et Enterococcus faecalis que nous traitons par Nitrofurantoïne pour une durée de 7 jours dès réception de l'antibiogramme, selon avis des infectiologues. Un retour à domicile de manière autonome est organisé le 16.01.2018. Monsieur Robatel est un patient connu pour une cardiopathie hypertensive et ischémique avec maladie coronarienne bitronculaire et anévrysme du territoire septo-apical, apical et apico-inférieur motivant une anticoagulation par Marcoumar. Il se présente aux urgences le 28.01.2018 en raison de douleurs rétrosternales constrictives avec irradiation dans le bras gauche. Le bilan aux urgences met en évidence des troponines négatives et un ECG inchangé, faisant retenir le diagnostic de probable angor instable. Sur avis du cardiologue consultant, le patient est hospitalisé et une coronarographie réalisée le 30.01.2018 montre une resténose tardive in-stent de l'ostium de l'IVA proximale, traitée par l'implantation d'un stent actif, sans complication liée au geste. Le patient rentre à domicile le 31.01.2018 avec un contrôle prévu à votre consultation le 01.02.2018. Comme discuté par téléphone avec vous, nous vous proposons l'introduction d'une statine. Selon l'évolution clinique, le traitement par nitrés peut également être arrêté.Monsieur Robatel présente donc une bursite chronique de l'olécrâne G. Après plusieurs ponctions et traitements conservateurs de cette bursite chronique, je pose l'indication à une révision chirurgicale. Une bursectomie du coude G est prévue pour le 23.01.2018. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. Monsieur Rochat nous est adressé par nos collègues de médecine interne de l'HFR Riaz pour une fin de vie. À son entrée, Monsieur Rochat présente une importante dyspnée avec signes de détresse respiratoire ne permettant pas une anamnèse très détaillée. Il est partiellement soulagé par un traitement de morphine et de Temesta IV avec augmentation de l'oxygénothérapie. Nous titrons ensuite la morphine afin d'obtenir le plus possible de confort sur le plan respiratoire. Il peut exprimer une certaine anxiété en lien avec la fin de vie et la dyspnée. Son état général diminué ne permettant pas une grande élaboration de ces angoisses, une anxiolyse médicamenteuse est instaurée en première intention avec évolution satisfaisante selon les proches de Monsieur Rochat. Nous rencontrons notamment son épouse qui l'accompagne tout au long de son séjour aux soins palliatifs. L'état de Monsieur Rochat se détériore rapidement et il décède en présence de son épouse et de sa belle-fille le 20.01.2018. Monsieur Rody sera revu à la consultation du Dr. X dans 2 semaines. Monsieur Roethlisberger est un patient de 75 ans qui nous est transféré de l'hôpital de Meyriez en raison de la découverte d'un corps étranger intravésical. En effet, Monsieur Roethlisberger a été transféré aux urgences de Meyriez de son home en raison de douleurs sus-pubiennes intenses. On découvre au CT abdominal un fragment d'environ 10-15 cm de ce qui semble être un cathéter. Le patient est alors transféré à l'hôpital cantonal de Fribourg pour une cystoscopie dont il bénéficie le 17.01.2018 et qui retrouve un morceau d'environ 15 cm de Cystofix sectionné. Le corps étranger est retiré par cystoscopie. Le patient peut quitter notre service le 18.01.2018 pour un retour au home. Nous proposons que le prochain changement de Cystofix se fasse dans 2 mois à Meyriez par le Dr. X lui-même. Monsieur Rolle est hospitalisé dans un contexte de gastro-entérite virale ayant entraîné une chute à domicile avec amnésie circonstancielle suivie d'une impossibilité de se relever. Durant son hospitalisation, les symptômes se résolvent spontanément et la recherche de bactéries pathogènes dans les selles revient négative. Le patient présente à l'entrée une péjoration de son insuffisance rénale chronique qui s'améliore avec une hydratation. Le sédiment urinaire montre initialement une leucocyturie et une protéinurie légère, qui disparaissent au contrôle. Un urotube est encore en attente. Une hypertension artérielle est traitée par un traitement d'Amlodipine avec bon effet, même si les tensions restent élevées. Un suivi tensionnel sera permis par un passage infirmier hebdomadaire et par le médecin traitant, avec probable augmentation du traitement selon tolérance. D'un point de vue social, une aide au ménage, une aide à la toilette ainsi qu'un passage infirmier 1x/ semaine est organisé. La poursuite de cette aide sera à réévaluer avec le médecin traitant chez qui nous conseillons un suivi régulier. Monsieur Rolle rentre à domicile accompagné par ses proches le 03.01.2018. Monsieur Romanens est un patient de 42 ans en bonne santé habituelle qui se présente aux urgences le 10.01.2018 avec des douleurs abdominales aiguës d'apparition brutale. Le CT abdominal met en évidence une image compatible avec une recto-colique ulcéro-hémorragique et une lésion au niveau du colon transverse pouvant faire évoquer une lésion tumorale. Les douleurs abdominales sont rapidement soulagées par la prise de Paracétamol en intraveineux, Buscopan et après être allé à selle plusieurs fois ayant reçu la préparation de Moviprep en vue de la colonoscopie. La colonoscopie du 12.01.2018 infirme les diagnostics de recto-colique ulcéro-hémorragique et de masse tumorale et il n'y a aucune lésion. Au vu de l'évolution clinique rapidement favorable, le patient peut rentrer à domicile le 12.01.2018. Monsieur Romanens souffre beaucoup de sa coxarthrose bilatérale sur nécrose avasculaire des têtes fémorales. Surtout symptomatique du côté G, le patient désire l'implantation d'une prothèse totale de la hanche. Je réexplique clairement au patient les risques et les bénéfices liés à une telle intervention. Le patient a bien pris note des risques et le consentement est signé. L'implantation d'une PTH G est prévue le 31.01.2018 par voie antérieure. Le patient sera encore vu par l'anesthésiste pour une consultation pré-anesthésique. Je rends attentif le patient que sa consommation d'alcool est à risque, actuellement 6-7 verres de vin par jour. Pour cette problématique, il est également suivi par son médecin de famille. Le traitement par Celebrex 100 mg 2x/jour peut être arrêté aujourd'hui, car son efficacité est plutôt relative, selon les dires du patient, il a eu des troubles gastriques. Monsieur Ropraz, résident au foyer St-Joseph de Sorens, présente le 31.12.2017 une dyspnée aiguë. À l'arrivée des ambulanciers, le patient est en détresse respiratoire avec une saturation à 83% à l'air ambiant. Il est amené aux urgences de l'HFR Fribourg où il est rapidement intubé. L'insuffisance respiratoire hypoxémique est secondaire à un œdème aigu du poumon, précipité soit par une fibrillation auriculaire rapide, un pic hypertensif ou une ischémie myocardique. L'évolution est favorable sous ventilation mécanique et diurétiques, permettant une extubation le lendemain. Par la suite, le patient fait des œdèmes aigus du poumon récidivants répondant bien à la ventilation non invasive, diurétiques et nitrés. Une échocardiographie montre une dysfonction ventriculaire gauche modérée (FEVG à 40%) avec une hypokinésie globale, plus marquée en antérolatéral, ainsi qu'une insuffisance mitrale et aortique modérées. Un NSTEMI est suspecté vu l'élévation de la troponine et les troubles de repolarisation dans le même territoire. Dans l'hypothèse d'une composante ischémique pouvant aggraver transitoirement l'insuffisance mitrale, une coronarographie a été effectuée et a mis en évidence une maladie coronarienne tritronculaire. Une sténose serrée de la coronaire droite a été traitée par stent actif. L'évolution est favorable avec absence d'OAP depuis cette procédure et l'adaptation du traitement médicamenteux. La double antiagrégation plaquettaire par aspirine (à vie) et Clopidogrel sera maintenue pendant 1 mois. Selon l'évolution, une angioplastie de l'artère circonflexe pourrait être aussi envisagée ultérieurement. La fibrillation auriculaire rapide de durée indéterminée a été bien contrôlée après l'introduction de bêtabloquant. Une anticoagulation thérapeutique a été débutée le 01.01.2018. Une suspicion de broncho-pneumonie d'aspiration a été traitée par Augmentin pendant 5 jours. Une thrombose résiduelle a été découverte dans la veine fémorale superficielle droite. Une anticoagulation a déjà été débutée dans le contexte de la fibrillation auriculaire. Une recherche pour une néoplasie sera encore à discuter pour compléter le bilan.Devant une évolution favorable, Monsieur Ropraz est transféré dans le service de médecine de l'HFR Riaz le 07.01.2017. L'attitude générale a été discutée avec la famille et des limitations thérapeutiques ont été décidées (pas de réanimation, pas de nouvelle intubation). A Riaz nous mettons en évidence une hématurie macroscopique, sans caillots sanguinolants, chez un patient dément sous double antiagrégation qui aurait tiré sur sa sonde urinaire. Nous effectuons un rinçage de la vessie jusqu'à ce que les urines reviennent claires. Le patient arrache la sonde urinaire le 12.01.2018 et reprend une diurèse normale par la suite. Les suivis biologiques montrent une hypernatrémie à 152 mmol/l sur déshydratation et nous mettons en place une hydratation par G5 1000 ml/24h avec bonne réponse. En raison d'une désaturation à 80% à l'air ambiant, nous effectuons une radiographie de thorax qui montre des épanchements pleuraux bilatéraux de faible abondance, raison pour laquelle nous mettons du Lasix 20 mg iv le 11.01.2018 et majorons le Torem à 20 mg dès le 12.01.2018. Pendant son séjour, nous constatons un état confusionnel persistant d'origine multifactorielle, sur hypernatrémie à 152 mmol/l et fécalome le 09.01.2018. Un traitement par Seroquel et Distraneurin est instauré mais nécessite tout de même une contention transitoire sur la nuit. Durant le séjour, la fonction rénale et les troubles électrolytiques se normalisent, le poids est stable et le patient reste eupnéique à l'air ambiant. Au vu du déconditionnement à l'effort et de la dépendance pour les AVQ, Monsieur Ropraz est transféré dans le service de réadaptation gériatrique le 15.01.2018. Monsieur Ropraz, 79 ans, a été admis pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur un œdème aigu du poumon, dont l'étiologie est une maladie coronarienne tritronculaire. Il présente le 31.12.2017 une dyspnée aiguë dans son foyer. A l'arrivée des ambulanciers, le patient est en détresse respiratoire avec une saturation à 83% à l'air ambiant. Il est amené aux urgences de Fribourg où il est rapidement intubé. L'insuffisance respiratoire hypoxémique est secondaire à un OAP, précipité soit par une fibrillation auriculaire rapide, un pic hypertensif ou une ischémie myocardique. L'évolution est favorable sous ventilation mécanique et diurétiques, permettant une extubation le lendemain. Par la suite, le patient fait des OAP récurrents répondant bien à la ventilation non invasive, diurétiques et nitrés. Une échocardiographie montre une dysfonction ventriculaire gauche modérée (FEVG à 40%) avec une hypokinésie globale, plus marquée en antérolatéral, ainsi qu'une insuffisance mitrale et aortique modérées. Un NSTEMI est suspecté vu l'élévation de la troponine et les troubles de repolarisation dans le même territoire. Dans l'hypothèse d'une composante ischémique pouvant aggraver transitoirement l'insuffisance mitrale, une coronarographie a été effectuée et a mis en évidence une maladie coronarienne tritronculaire. Une sténose serrée de la coronaire droite a été traitée par stent actif. L'évolution est favorable avec absence d'OAP depuis cette procédure et l'adaptation du traitement médicamenteux. La double antiagrégation plaquettaire par aspirine (à vie) et clopidogrel sera maintenue pendant 1 mois. Selon l'évolution, une angioplastie de l'artère circonflexe pourrait être aussi envisagée ultérieurement. Une FA rapide de durée indéterminée a été bien contrôlée après l'introduction de bêtabloquant. Une anticoagulation thérapeutique a été débutée le 01.01.2018. Une suspicion de broncho-pneumonie d'aspiration a été traitée par Augmentin pendant 5 jours. Une thrombose résiduelle a été découverte dans la veine fémorale superficielle droite. Une anticoagulation a déjà été débutée dans le contexte de sa FA. Une recherche pour une néoplasie sera encore à discuter pour compléter le bilan. Un état confusionnel aigu est traité par Seroquel et Distraneurin mais nécessite tout de même une contention transitoire sur la nuit. Devant une évolution favorable, le patient a été transféré à l'hôpital de Riaz le 07.01.2018. L'attitude générale a été discutée avec la famille et des limitations thérapeutiques ont été décidées (pas de réanimation, pas de nouvelle intubation). Monsieur Roubaty, connu pour un carcinome prostatique en progression, est hospitalisé pour drainage d'épanchement pleural droit d'origine néoplasique. Le patient rapporte une dyspnée en péjoration (actuellement NYHA 3) avec une baisse de l'état général depuis 1 mois. Il bénéficie de la mise en place d'un PleurX le 19.01.2018 permettant un drainage de 2L pendant l'hospitalisation. L'analyse cytologique du liquide pleural montre des cellules mésothéliales aréactives. Lors du retour à domicile, Monsieur Roubaty accepte l'introduction d'un passage infirmier pour suivi au niveau du drain pleural et réfection du pansement. Un rendez-vous à votre consultation est prévu la semaine du 29.01.2018. Monsieur Rufer, connu pour une maladie coronarienne bitronculaire et NSTEMI le 07.11.2017 avec angioplastie de l'IVA proximale et implantation d'un stent actif, sous Aspirine et Efient, également connu pour un diabète de type 2 non insulino-requérant, consulte les urgences le 05.01.2018 en raison d'une faiblesse au niveau du membre inférieur gauche survenant brutalement la nuit du 01.01.2018 puis après 48 heures, apparition d'une faiblesse intermittente au niveau du membre supérieur gauche. Pas céphalée, vertige ou trouble visuel. Pas d'état fébrile. A son arrivée, le patient est collaborant, orienté dans les 3 modes, Glasgow à 15/15. Le status neurologique révèle une diminution de la force des membres inférieur et supérieur gauches à M4, des troubles de la coordination et une ataxie probablement en lien avec l'atteinte motrice. Atteinte sensitive au niveau des membres inférieur et supérieur gauches. Pas d'atteinte faciale objectivée. Le bilan biologique montre une hyperglycémie à 18 mmol/l avec une HbA1C à 11%. Devant ce tableau clinique, nous effectuons en urgence un angio CT-scan cérébral et carotidien qui montre une petite image hypodense dans le bras postérieur de la capsule interne droite pouvant éventuellement correspondre à un accident vasculaire cérébral ischémique aigu lacunaire dans cette localisation. Au niveau des vaisseaux pré-cérébraux, nous notons quelques sténoses non significatives des artères cérébrales postérieures des deux côtés. Au vu de la symptomatologie depuis 4 jours, nous prenons un avis neurologique auprès du Dr. X qui propose une hospitalisation à l'ELM afin d'effectuer un bilan AVC. De plus, l'angio-CT scan met en évidence une malformation veineuse au niveau frontal partiellement calcifiée. Selon avis cardiologique et neurologique, nous arrêtons le traitement par Efient au vu du risque de saignement et poursuivons avec l'Aspirine et le Plavix. Nous complétons le bilan par une IRM neurocrâne qui montre un accident vasculaire cérébral lacunaire du bras postérieur de la capsule interne à droite et un accident vasculaire cérébral para-trigonal gauche, d'intensité différente probablement asynchrone faisant évoquer une origine cardio-embolique. Toutefois, la surveillance rythmique à l'ELM ainsi que l'ECG ne montrent pas de trouble du rythme. Un R-Test est agendé en ambulatoire le 05.02.2018 à 09h15 à l'HFR Riaz et nous vous proposons de prévoir un deuxième R-Test dans 3 mois. Nous effectuons également un US doppler des vaisseaux pré-cérébraux qui montre une sténose 55% au départ de la carotide interne droite, 1 cm après la bifurcation. Selon avis angiologique et neurologique, nous ne proposons pas de plus amples investigations ou traitement.Nous notons un diabète de type 2 non insulino-requérant mal contrôlé avec une HbA1C à 11%. Nous instaurons un traitement par Insulatard majoré progressivement à 30 UI le matin et 25 UI le soir, avec une bonne réponse sur la glycémie. Monsieur Rufer est transféré en réadaptation neurologique à l'HFR Billens le 11.01.2018. Monsieur Ruffieux présente une coxarthrose à prédominance gauche pour laquelle une implantation de PTH par voie antérieure est prévue le 02.02.2018. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci; il nous donne son accord et le consentement est signé. L'admission est prévue la veille de l'opération, le 01.02.2018. Il est prévue une hospitalisation de 3 à 5 jours. Le patient précise qu'il envisage un retour à domicile sans rééducation. Monsieur Rug est un patient de 33 ans, qui se présente aux urgences avec une anamnèse et une clinique suggestive pour une appendicite. Il bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique au bloc opératoire qui se déroule sans complication. Étant donné le diagnostic d'une appendicite aiguë nécrotique perforée, nous introduisons un traitement par Rocephin pour 72h avec une bonne évolution. Monsieur Rug peut rentrer à domicile le 12.01.2018. Monsieur Rumo consulte les urgences le 23.12.2017 en raison de douleurs abdominales paroxystiques (10 épisodes/jour), type coup de couteau, au niveau de l'hypochondre droit depuis une semaine, en p aggravation progressive. Pas de relation avec les repas. Pas d'autre plainte. Au status digestif, l'abdomen est globuleux avec des bruits normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est indolore à la palpation et sans signe d'irritation péritonéale. Pas de masse ni d'organomégalie palpable. Les loges rénales sont souples. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. Le bilan biologique montre une augmentation de la créatinémie à 116 mmol/, une élévation isolée de la GGT à 114 U/l et une dyslipidémie. Monsieur Rumo est hospitalisé pour investigations. Un ultrason abdominal effectué le 24.12.2017 montre une stéatose hépatique sans liquide libre. Au vu des douleurs persistantes, nous complétons le bilan par un CT scan abdominal le 25.12.2017 qui montre une hernie hiatale mais pas d'autre anomalie abdominale significative. Au vu des antécédents de gastrite à H. pylori, nous effectuons une culture de selles qui revient négative pour H. pylori. Nous retenons le diagnostic de dyspepsie sur hernie hiatale ou sur une gastrite et proposons un traitement par double IPP. Une ODG est à évaluer en ambulatoire selon la réponse au traitement d'épreuve. Le 27.12.2017, le séjour se complique avec un delirium tremens sur sevrage alcoolique forcé. Le patient devient désorienté et agité, avec une tachycardie, une hypertension et une augmentation de la température, et un traitement par Seresta, Becozym et Benerva est instauré avec contrôle symptomatologique et résolution du problème aigu le 05.01.2018. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Rumo rentre à domicile le 09.01.2018. Monsieur Salvisberg est un patient de 77 ans, sous chimiothérapie pour un adénocarcinome des poumons de stade IV (métastases osseuses) diagnostiqué en décembre dernier, envoyé par la clinique de jour, où il venait en contrôle laboratoire après une première séance de chimiothérapie le 10.1.18 (Carboplatine et Alimta), pour une fièvre sans focus clinique clair, avec une CRP à 156g/l et une leucopénie à 1.4 G/l. À l'entrée, le patient se plaint d'un refroidissement depuis 2-3 semaines avec une toux empirée et des expectorations blanches à jaunâtres, ainsi qu'une fièvre mesurée jusqu'à 39°. De plus, des douleurs au flanc droit à l'inspiration le dérangent depuis la nuit dernière. Le patient présente également une dyspnée à l'effort, connue. Au niveau laboratoire, un statut urinaire avec protéinurie, ainsi qu’une culture d’urine négative excluent une cause infectieuse des voies rénales. Des cultures sanguines reviennent négatives à 5 jours. Des douleurs dorsales et irradiant dans la nuque à gauche depuis la biopsie de la clavicule gauche sont traitées avec Oxycontin. Le patient reste stable au niveau des paramètres vitaux dans la nuit du 17 au 18.01.2018. Au matin du 18.01, la tension descend à 90mmHg de systole, asymptomatique, puis reste stable et s'améliore dans l'après-midi sous remplissage avec deux litres de NaCl au total. Un laboratoire montre une rapide baisse de l'hémoglobine à 75g/l le 19.1.18, que nous interprétons dans le cadre de la chimiothérapie et de l'hémodilution causée par le remplissage de la veille. Le patient, toujours asymptomatique, reçoit deux concentrés érythrocytaires dans la soirée avec augmentation des valeurs d'hémoglobine à 86g/l le lendemain. Le 21.01.2018, vers 9h20, le patient présente un saignement d'origine probablement pulmonaire, DD digestif d'environ 3 décilitres de sang frais sur hématémèse. Un scanner est effectué en urgence et montre un saignement pulmonaire, venant probablement de la tumeur. Un transfert sur Fribourg n'est malheureusement pas faisable au vu de l'absence de place. Vu la dégradation rapide de la clinique respiratoire du patient, un transfert vers l'Inselpital n'est plus possible et nous optons pour une thérapie de confort sous Fentanyl d'abord, puis sous dose continue de Morphine et Dormicum avec bon effet antalgique et calmant. La famille est avertie et le patient décède paisiblement le 22.1.18 en soirée. Monsieur Sanchez est un patient connu pour une consommation d'OH, adressé par sa médecin traitante pour une aggravation de vomissements quasi quotidiens matinaux, ainsi que des symptômes de sevrage. Le patient rapporte que ces vomissements surviennent systématiquement au réveil, associés à une sensation de malaise et une forte anxiété. Il dit boire parfois de l'eau le matin afin de parvenir à vomir. Concernant les vomissements, un amendement a lieu dès le 2e jour d'hospitalisation et nous n'effectuons pas d'OGD, après consultation de nos gastro-entérologues. Une gastrite chronique étant très probable, le traitement de Pantozol est mis à dose de 40mg 2xJ pour un mois et l'évolution est favorable. La problématique de sevrage est bel et bien présente avec apparition de signes cliniques et symptômes aux 3e jour d'hospitalisation. Le patient bénéficie d'une thérapie par Seresta durant 36 heures avec évolution favorable. Concernant les multiples lésions vésiculaires cutanées, nous demandons un avis rhumatologique et concluons à une folliculite chronique, pour laquelle des biopsies ont été effectuées. Le patient sera re-convoqué dans six semaines pour un contrôle clinique en dermatologie.Sur le plan psychologique, le patient manifeste un grand soulagement d' être hospitalisé, mais refuse l'entretien avec les psychiatres. Nous proposons qu'il reprenne un suivi avec le centre des addictions, mais il manifeste sa ferme volonté à être suivi plutôt par sa médecin traitant. • Monsieur Sardinha présente donc un syndrome du tunnel carpien de la main droite qui est confirmé par EMG. L'indication pour une neurolyse du nerf médian est posée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue en ambulatoire le 8.2.2018. • Monsieur Savoy fait une chute mécanique dans sa salle de bains, en se tapant le poignet gauche contre la baignoire. D'emblée, il présente une impotence fonctionnelle et une déformation de ce poignet, raison pour laquelle il se présente aux urgences. Le bilan radio-clinique permet de poser le diagnostic et l'indication opératoire. Les suites post-opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre et la cicatrice, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est calme et propre. Les douleurs sont contrôlées par l'antalgie simple habituelle et l'examen clinique du membre supérieur gauche ne montre aucun trouble neuro-sensitif. Vu la bonne évolution, Monsieur Savoy peut retourner à domicile le 03.01.2018. • Monsieur Schenker est hospitalisé le 17.01.2018 pour une décompensation diabétique avec une polydipsie et une polyurie associée à une fatigue et une perte de poids. Pour rappel, le patient sort d'une hospitalisation à Marsens le 15.01.2018. Nous mettons en évidence une hyperglycémie chronique au vu d'une HbA1c mesurée à 9.7%. Le bilan d'entrée ne montre pas d'infection comme facteur de décompensation. Nous mettons la décompensation diabétique sur le compte d'une mauvaise compliance (contrôles glycémique et prise d'insuline), en raison de difficultés liées au logement et aux économiques ainsi que sa maladie psychique. Le patient bénéficie d'un régime d'insuline lente et rapide avec bonne évolution des glycémies malgré quelques difficultés de collaboration. En vue d'un retour à domicile, le Dr. X propose un schéma simplifié, consistant en un traitement uniquement par Insuline Glargine, sans correction par insuline rapide pour augmenter la compliance du patient. Au vu de symptômes parlant fortement pour un sevrage de Valium, nous adaptons le traitement du patient après intervention de nos confrères psychiatres, avec bonne évolution clinique. À noter que, malgré l'absence de décompensation psychiatrique actuelle, Monsieur Schenker s'est montré peu collaborant durant son hospitalisation avec notamment plusieurs refus de contrôle glycémique et d'injection d'insuline, ainsi que des difficultés à respecter le cadre hospitalier. Monsieur Schenker rentre à domicile le 23.01.2018. • Monsieur Schmidt est un patient de 72 ans, qui se présente aux urgences avec des douleurs aiguës de l'hypochondre droit. Le bilan biologique et scannographique font poser le diagnostic de cholécystite aiguë. Il bénéficie le 17.01.2018 d'une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie per-opératoire. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont contrôlées par l'antalgie. Le scanner abdominal le 17.02.2018 montre aussi un épaississement irrégulier de la paroi vésicale. Le résultat était discuté avec le patient. Il est informé de la nécessité d'effectuer une cystoscopie et il préfère de prendre lui-même rendez-vous avec son urologue de référence. Le patient rentre à domicile le 20.01.2018 avec un traitement antibiotique par voie orale. • Monsieur Schneuwly, patient de 94 ans connu pour une cardiopathie ischémique rythmique et hypertensive, une BPCO non stadée oxygèno-dépendante et un diabète de type II se présente aux urgences en raison d'une dyspnée NYHA IV depuis 1 semaine avec augmentation des œdèmes des membres inférieurs des deux côtés. Le bilan clinique et para-clinique met en évidence une insuffisance cardiaque décompensée sur fibrillation auriculaire. Nous instaurons un traitement diurétique de Digoxine et Aldactone. Monsieur Schneuwly présente une nette amélioration clinique avec toutefois persistance de signes de surcharge avant son transfert en réadaptation gériatrique. Nous recommandons la poursuite de son traitement diurétique. Le taux de Digoxine le 22.01.2018 étant supra-thérapeutique, nous réduisons la posologie à 0,125 mg 1 jour sur deux. Nous recommandons un prochain contrôle le 29.01.2018. Du point de vue respiratoire, nous instaurons un traitement par aérosols. En cours d'hospitalisation, Monsieur Schneuwly présente une nette amélioration respiratoire avec sevrage d'oxygène en fin d'hospitalisation. Nous recommandons toutefois le maintien de l'oxygénothérapie à domicile en cas d'épisodes de dyspnée. De même, un traitement bronchodilatateur est prescrit en réserve. En cours d'hospitalisation, Monsieur Schneuwly développe une crise de goutte. Un traitement par Colchicine à dose réduite (étant donné l'insuffisance rénale) est introduit et mène à la résolution de la symptomatique. Ce traitement est à continuer jusqu'au 30.01.2018. De même, le patient présente plusieurs épisodes de confusion nocturne en cours d'hospitalisation. Un traitement par Distraneurine en réserve ne mène qu'à une résolution partielle de cet état confusionnel. Ce traitement est à réévaluer lors de son séjour en réadaptation. Finalement, après discussion avec la famille et le patient, Monsieur Schneuwly est inscrit en réadaptation gériatrique à Morat. De même, le patient vivant seul à domicile, il est difficile d'imaginer un retour sans aide. Nous entamons les démarches pour une inscription dans le home médicalisé de Jeuss et une visite est prévue le vendredi 26.01.2018. • Monsieur Schorderet, âgé de 75 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressé pour une réadaptation respiratoire suite à une bronchopneumonie avec foyers multiples dans un contexte de BPCO stade II selon Gold nécessitant une hospitalisation du 04.12 au 15.12.2017 avec retour à domicile dans l’intervalle. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. À l'admission, le patient se plaint de douleurs importantes au MIG au niveau des ulcères et du 2ème orteil. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA sans toux ni expectoration. Le statut général est sans particularité hormis un murmure respiratoire diminué sur les 2 plages pulmonaires sans bruit surajouté. Au niveau angiologique, sur le pied gauche, ulcère au niveau du talon et 2ème orteil de couleur violacée. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré modéré et confirme le diagnostic de BPCO stade II selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 93.6% avec une hypoxémie légère, sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence une distension pulmonaire avec disparition de la trame vasculaire compatible avec son diagnostic de BPCO.Durant son séjour, il a présenté des épisodes d'hyperglycémie (plusieurs entre 21h-22h) ainsi que des épisodes d'hypoglycémie non symptomatiques jusqu'à 2.4 mmol/l. La situation est suivie par les diabétologues de l'HFR Fribourg. La Lantus est diminuée jusqu'à 10 U puis est switchée par de l'Insulatard avec la Novorapid d'office 2x/j à partir du 10.01.2018. La situation doit être réévaluée rapidement en fonction du profil glycémique. Sur le plan angiologique, le patient se plaint de douleur en augmentation au niveau des ulcères du MIG notamment au niveau du talon ainsi que l'orteil 2 sur lequel une démarcation violacée plus nette ce jour. Nous avions majoré l'antalgie ce weekend en passant au Transtec 52 mcg/h malgré cela le patient est très gêné par ses douleurs notamment à la marche mais aussi en station debout. Au vu de l'exacerbation des douleurs et de la clinique, le patient est vu par le Dr. X et une angiographie antérograde est prévue le 24.01.2018 (dernier jour d'anticoagulation le 20.01.2018). Le 13.01.2018, Monsieur Schorderet présente une suspicion d'exacerbation de sa BPCO. Les constantes se sont péjorées au fil de la matinée pour arriver à une TA à 112/56 mmHg (perte de 25-30 mmHg), une FC à 77 bpm, une saturation à 85% sous 3 lt/min, un état fébrile à 38.1°C et une polypnée à 20/min. Le patient ne se sent pas plus dyspnéique que d'habitude. Le status pulmonaire retrouve un murmure respiratoire bilatéral avec des ronchis diffus, en péjoration. La respiration est bruyante. L'examen cardiovasculaire est sans anomalie, notamment sans OMI/TJ/RHJ. L'ECG est inchangé. Dans ce contexte, compte tenu de l'état de fragilité importante du patient, nous transférons Monsieur Schorderet aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Monsieur Schouwey nous est adressé par les urgences de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge d'une gastro-entérite. Le patient se présente aux urgences le 06.01.2018 en raison de plusieurs épisodes de vomissements et diarrhées depuis la veille. Il rapporte également des nausées. Il ne rapporte pas d'état fébrile. Notion de contage chez l'épouse. Pas de voyage récemment. À l'admission, le patient est en état général diminué. Au status digestif, les bruits intestinaux sont augmentés. L'abdomen est souple, indolore, sans défense ni détente. Pas de masse abdominale palpable. Les loges rénales sont souples et indolores. Le reste du status d'entrée est non contributif. Le laboratoire met en évidence une hyponatrémie à 122 mmol/l, une insuffisance rénale probablement pré-rénale et une bicytopénie, pas de syndrome inflammatoire. Le patient est hospitalisé pour hydratation IV. L'évolution est rapidement favorable. Les coprocultures et les hémocultures reviennent négatives. Monsieur Schouwey rentre à domicile le 09.01.2018 en bon état général. Monsieur Sciboz, patient de 69 ans, qui est adressé depuis la consultation d'oncologie aux urgences en raison d'une baisse de l'état général avec dyspnée en progression, toux grasse et désaturation à 83% à l'air ambiant. Le patient a bénéficié d'un CT thoracique de contrôle le jour même, mettant en évidence une pneumonie bibasale. À noter que le dernier cycle de chimiothérapie a eu lieu en décembre 2017. Au vu de nombreuses antibiothérapies précédentes avec plusieurs germes mis en évidence, une antibiothérapie par Pipéracilline-tazobactam a été introduite le 09.01.2018, pour une durée totale de 7 jours. L'évolution biologique est favorable, avec une nette diminution du syndrome inflammatoire. Au vu d'une hypercapnie à la gazométrie d'entrée, sans troubles de l'état de conscience, plusieurs séances de ventilation non invasive ont été réalisées ainsi que de la physiothérapie respiratoire. Le patient a également bénéficié d'un traitement de Prednisone pendant 5 jours et de bronchodilatateurs à courte durée d'action. Sur le plan oncologique, le CT thoracique de contrôle a mis en évidence une réponse dissociée avec diminution de sa masse pulmonaire mais progression de ses métastases osseuses. Le CT a également mis en évidence une possible thrombose veineuse profonde au niveau de la veine fémorale gauche. Après reprise de l'anamnèse, le patient mentionne l'apparition subite depuis le 05.01 d'œdème au niveau de ses 2 membres inférieurs, plus marqués à gauche qu'à droite. Dans ce contexte, un bilan angiologique est réalisé avec mise en évidence de thromboses veineuses profondes bilatérales. De ce fait, une anticoagulation par Clexane thérapeutique est introduite. L'anticoagulation est à poursuivre pour une durée minimale de trois mois, mais au vu de son contexte oncologique, un traitement à long cours est recommandé. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Sciboz peut regagner son domicile le 19.01.2018 avec une aide à domicile pour les repas, en raison de l'hospitalisation de sa femme. Un rendez-vous de contrôle en oncologie chez la Dr. X est agendé au 31.01.2018 à 14h30. Nous laissons au médecin traitant le soin de planifier le prochain contrôle pneumologique. Monsieur se présente aux urgences à J17 d'une laryngectomie partielle de type CHEP avec un stridor inspiratoire et une gêne hypopharyngée. Il garde des constantes vitales normales aux urgences. L'administration de Ventolin et d'Atrovent à deux reprises n'a que peu d'effet sur la symptomatologie du patient. Une fibroscopie transnasale faite au lit du patient met en évidence un obstacle sous forme de clapet et d'allure fibrineuse ou cartilagineuse qui bloque en partie la lumière trachéale. Ceci pose l'indication à une endoscopie en AG pour exploration/réouverture du trachéostome et contrôle laryngé en urgence. Au bloc opératoire, des granulations et de la fibrine sont retrouvées comme cause d'obstacle au niveau du site de suture. Monsieur est hospitalisé par la suite en ORL sous couverture antibiotique et corticoïde. Les suites opératoires sont simples et afébriles. Monsieur ne présente que peu de douleurs post-opératoires et n'a plus de plainte en faveur d'une gêne hypopharyngée. À deux jours post-opératoires, nous sommes en mesure de transcanuler Monsieur sans complication. Par la suite, nous mettons en place un bouchon occlusif avec lequel le patient passe une nuit calme. Ceci nous permet de retirer la canule par la suite et de laisser la trachéotomie se refermer conservativement. Sur le plan alimentaire, nous gardons le patient sous nutrition entérale par SNG. Afin de ne pas mettre trop tôt sous tension le site opératoire, nous décidons de ne pas sevrer Monsieur de sa sonde avant sa sortie d'hospitalisation. En date du 22.12.2017, Monsieur présente une clinique tout à fait rassurante. Les derniers examens endoscopiques sont, par ailleurs, tout à fait satisfaisants. Nous pouvons dès lors laisser le patient rentrer à domicile en l'instruisant sur la nécessité de reconsulter en cas de tout nouveau trouble ORL ou respiratoire. Nous reverrons Monsieur le 27.12.2017 pour un contrôle clinique et un éventuel sevrage de SNG. Par la suite, le patient sera suivi dans le cadre de sa pathologie oncologique. Monsieur Seghetto est un patient de 64 ans connu pour un adénocarcinome multi-métastatique du caecum depuis mai 2017. Le 06.01.2017, il consulte en raison de douleurs de l'hémie-abdomen supérieur présentes depuis 15 jours, accompagnées d'un état fébrile depuis le jour de l'admission. Les douleurs sont en coups de poignard, sans irradiation, prédominant dans l'hypochondre droit et la région épigastrique, péjorées par la mobilisation et l'inspiration profonde.L'anamnèse systématique révèle une dyspnée depuis une semaine, une inappétence et une asthénie depuis trois semaines, ainsi qu'une constipation traitée par laxatifs. Le traitement actuel de Monsieur Seghetto se compose de Xarelto, Tamsulosine, Quetiapine et d'injections de Gui (plante) 3 x/semaine. Dernière chimiothérapie per-os le mois dernier : Lonsurf, Trifluridine, Tipiracil 3 cpr le matin et 3 cpr le soir à J1, J5, J8 et J12. À l'entrée, patient en état général diminué, transpirant. À l'auscultation cardiaque, B1-B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle. Il n'y a pas de turgescence jugulaire. L'auscultation pulmonaire révèle des râles crépitants aux deux bases. L'abdomen est souple, douloureux à la palpation de l'hémiabdomen inférieur, avec détente en région épigastrique et en hypochondre droit, avec un signe de Murphy positif. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Aux urgences, les douleurs sont soulagées par l'administration de 17 mg de morphine. Le laboratoire montre un important syndrome inflammatoire avec une CRP à 262 mg/l, ainsi que des signes de cholestase, sans signe d'atteinte pancréatique. Un CT abdominal est effectué, concluant à une nette majoration de la taille et du nombre des métastases hépatiques. Dans ce contexte, apparition d'une ascite modérée des quatre quadrants à attribuer en premier lieu à une hypoprotéinémie dans le contexte métastatique. L'épaississement des parois du caecum, siège de la maladie tumorale primaire, est un peu plus marqué par rapport à l'examen précédent, sans argument pour une perforation. De même, majoration en taille des ganglions rétro-péritonéaux atteignant pour certains la taille d'adénopathies notamment en inter-aortico-cave. Monsieur Seghetto est hospitalisé dans le service de chirurgie pour suite de la prise en charge et antalgie. En raison de la suspicion d'une cholécystite aiguë avec lame de liquide autour de la vésicule biliaire au CT abdominal, le patient est mis sous antibiothérapie intraveineuse pour 48 heures. Celle-ci est stoppée vu le contexte de la progression tumorale hépatique. Sur le plan biologique, l'évolution est marquée par une diminution du syndrome inflammatoire, avec une CRP à 140 mg/l à la sortie (valeur maximale à 278 mg/l durant le séjour), sans leucocytose. Par contre, les tests hépatiques restent toujours perturbés, avec une cholestase importante. Il n'y a pas de perturbation au niveau pancréatique. Les douleurs sont bien contrôlées par de l'Onxycontin 2 x 10 mg/jour. Le 10.01.2018, le patient est vu à la consultation de Dr. X, oncologue, pour suite de la prise en charge oncologique. Vu la bonne gestion des douleurs et la diminution du syndrome inflammatoire, Monsieur Seghetto regagne son domicile le 10.01.2018. Monsieur Seghetto sera revu à la consultation de Dr. X, oncologue, pour suite de la prise en charge. Il sera convoqué directement par son secrétariat. Monsieur Sehovic, 72 ans, est hospitalisé le 12.01.2018 pour une décompensation cardiaque gauche. Le traitement de l'insuffisance cardiaque est majoré (diurétiques, Bêtabloquants et IEC) avec une bonne réponse clinique permettant une diminution des diurétiques à la sortie. L'échographie cardiaque effectuée le 19.01.2018 met en évidence une progression de la cardiopathie avec une péjoration de la FEVG à 28 %. Nous réalisons une coronarographie qui retrouve une stabilité des lésions coronaires. En raison d'une carence martiale relative, nous initions une substitution ferrique le 25.01.2018. Après discussion avec nos collègues cardiologues, nous laissons rentrer le patient et prévoyons une IRM cardiaque en ambulatoire avec un suivi cardiologique à l'HFR. Le traitement cardiaque sera réévalué. L'indication à l'Entresto en cas de mauvaise réponse au traitement actuel ainsi que la pose d'un défibrillateur seront rediscutées. Au laboratoire, nous constatons un syndrome inflammatoire. Une radiographie du thorax et un CT abdominal ne retrouvent pas de foyer infectieux. Sans traitement anti-infectieux, le syndrome inflammatoire diminue après quelques jours. Nous concluons à une virose. À l'admission, Monsieur Sehovic nous relate un épisode de mélena sans récidive durant l'hospitalisation et avec une hémoglobine stable. Nous ne voyons pas l'indication à une oesogastroduodénoscopie en urgence et prévoyons un examen en ambulatoire. Du point de vue pulmonaire, le patient est connu pour un nodule spiculé au niveau du lobe supérieur droit découvert sur un CT en mars 2017 avec proposition de radiothérapie que Monsieur Sehovic a pour l'instant refusée. Après nouvelle discussion, le patient accepte un rendez-vous en radio-oncologie le 26.01.2018 avec un interprète afin de discuter des bénéfices d'un traitement. En raison des glycémiess pré-prandiales continuellement élevées (autour de 14.5 mmol/l à midi), nous majorons le traitement insulinique. Un bilan des complications est entamé, avec une microalbuminurie et une protéinurie sur 24h qui est en cours. Une consultation ophtalmologique sera à prévoir en ambulatoire. Monsieur Seider présente une distorsion du ligament collatéral interne stade II du genou gauche associée à une lésion horizontale de la corne postérieure du ménisque interne et une distorsion de l'aileron rotulien interne. Je propose un traitement conservateur. Le patient doit aller en physiothérapie pour la rééducation à la marche, tonification musculaire et finalement pour exercer la proprioception. Je lui prescris une nouvelle orthèse articulée qu'il portera pour une durée de 6 semaines pour protéger le ligament collatéral interne. La prophylaxie thrombo-embolique par Clexane n'est plus nécessaire vu que le patient arrive à charger complètement le MIG. Prochain rendez-vous le 21.2.2018. Jusque-là, le patient reste en arrêt de travail à 100 % en tant que ramoneur. Monsieur Seydoux, âgé de 79 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Riaz pour une neuro-réhabilitation suite à une hémorragie intraparenchymateuse frontale gauche ainsi qu'une sidérose corticale superficielle prédominant à gauche dans un contexte d'angiopathie cérébrale amyloïde. Sur le plan social, le patient est célibataire. Il vit seul à domicile. Il est à la retraite. Au status, le patient est orienté dans les 3 modalités, logorrhéique avec syndrome frontal, pupilles isocores-isoréactives. NC sp. Force cotée à M5 aux 4 membres, pas de déficit de sensibilité objectivé. Pallesthésie à 6/8 ddc, ROT normovifs et symétriques. Épreuves cérébelleuses dans la norme. Babinski et Hoffman absents. Durant son séjour, il a présenté des glycémies élevées nécessitant l'introduction du Januvia 50 mg 2x/j avec bon profil glycémique en fin d'hospitalisation. Nous vous proposons de réévaluer le traitement anti-diabétique à distance de l'hospitalisation. Sur la base du consilium psychiatrique et l'évaluation neuropsychologique montrant des troubles de la mémoire, de l'organisation, du raisonnement, une curatelle de gestion provisoire établie sur un mode volontaire est demandée. La lettre à la justice de Paix est déjà envoyée.Sur le plan nutritionnel, le patient est obèse, diabétique mais avec une masse musculaire aux membres inférieurs diminuée. L'évaluation nutritionnelle a montré un apport excessif en sucre simple (commandait du bircher et du pain en plus de sa portion entière) et ses glycémies dépassaient parfois 10 mmol/l. Nous avons revu les repas hospitaliers afin de stabiliser le poids et les glycémies. Le patient n'a pas souhaité d'enseignement supplémentaire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie, ergothérapie et neuropsychologie, avec une évolution relativement favorable. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Il peut monter ou descendre les escaliers sans moyen auxiliaire. Le patient étant convoqué à une commission de conciliation pour le 19.01.2018 pour un litige. Au vu de son état de santé actuel, nous fournissons un certificat médical permettant à Monsieur Seydoux de ne pas se rendre à cette séance. La séance est repoussée à mi-mars et nous vous laissons le soin de réévaluer, à ce moment, si Monsieur Seydoux est apte à se présenter à cette convocation. Après 6 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Monsieur Seydoux peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 17.01.2018, en bon état général. Le patient sera revu par les neuropsychologues le 21.03.2018 et nous organisons un colloque interdisciplinaire le 29.03.2018. Monsieur Seydoux est un patient de 66 ans qui est transféré le 19.12.2017 du service de médecine interne du HFR Fribourg pour une neuroréhabilitation intensive en raison d'un syndrome de Guillain-Barré diagnostiqué le 04.12.2017. Pour rappel, le patient a présenté un épisode de gastro-entérite aiguë à la mi-novembre 2017. Trois semaines plus tard, il note l'apparition de douleurs de type picotement au niveau des cuisses, du dos et des pieds accompagnés d'une grande fatigue. Par la suite, il note une hyposensibilité aux 4 extrémités. Il consulte le Dr. X qui suspecte un syndrome de Guillain-Barré et l'adresse aux urgences. L'ENMG ainsi que la ponction lombaire permettent de confirmer la suspicion diagnostique. Une perfusion d'immunoglobulines est administrée pendant 5 jours permettant une régression de la symptomatologie et des douleurs neuropathiques. Au niveau social, Monsieur Seydoux habite à Vaulruz dans une ferme avec sa femme. Il a deux enfants. Sa femme s'occupait des tâches ménagères et des factures. Lui s'occupe du jardin et des animaux (poules et lapins). À l'entrée en neuroréhabilitation intensive, le patient se plaint d'un engourdissement persistant au niveau des mains et des pieds, les douleurs neuropathiques au niveau du dos et des cuisses sont évaluées à 2/10. Il évoque également une grande asthénie et une tendance à la constipation. L'examen neurologique d'entrée révèle une ptose palpébrale droite (connue dans un contexte d'opération de glaucome oculaire et de la cataracte), une atrophie musculaire légère, une force segmentaire à M5- au niveau de la main gauche, un ralentissement de la motricité fine des doigts ddc, une force à M4 au niveau du quadriceps gauche, à M1/M2 au niveau du releveur du pied et du gros orteil gauche, à M3/M4 au niveau du releveur du pied et du gros orteil droit, une pallesthésie à 6/8 ddc au niveau de l'éminence thénar et de la malléole latérale, pas de perturbation du sens de position dans l'espace des membres supérieurs, discret trouble du sens de position dans l'espace du gros orteil ddc, une hypoesthésie au niveau de la plante des pieds et des mains avec conservation de la discrimination du toucher/piquer, une hyporéflexie/aréflexie aux 4 membres, une ataxie cinétique gauche avec dysmétrie à l'épreuve doigt nez, dysdiadococinésie et talon genou à gauche. Reste des nerfs crâniens sans particularité. Romberg tenu. Marche avec discret stepping. Marche du funambule et sur la pointe des pieds pas possible. Sur le plan fonctionnel à l'entrée, Monsieur Seydoux est indépendant pour les transferts et marche avec l'aide de deux bâtons de Nordic Walking et peut monter les escaliers seul sous supervision. L'examen neurologique de sortie montre une amélioration de la force qui est à M5 aux bras pour tous les groupes musculaires, M5- au serrage des poings, M2/M3 au releveur des pieds et des gros orteils, M4+ aux autres groupes musculaires des jambes. Les réflexes sont normovifs aux membres supérieurs et absents aux membres inférieurs. L'ataxie est à peine perceptible. Sur le plan fonctionnel à la sortie, le patient marche sans moyens auxiliaires à l'intérieur et à l'extérieur. Il est sécuritaire y compris en situations complexes. Il est capable de marcher durant 35 min sans pause à un rythme soutenu. Durant le séjour, le patient développe des œdèmes des membres inférieurs avec une prise de poids de 2-3 kg sans plainte douloureuse. Il y a de très fins râles en base droite et une légère turgescence jugulaire. Une radiographie thoracique montre l'absence de cardiomégalie ou de signes de surcharge radiologique. Au laboratoire, la fonction rénale est conservée, le taux d'albumine augmente. Les œdèmes sont probablement d'origine veineuse. Le patient est déjà porteur de bas de contention. Nous n'instaurons pas de traitement supplémentaire et vous laissons la suite de la prise en charge. Monsieur Seydoux peut rentrer le 06.01.2018 à domicile. Monsieur Shurdhaj, âgé de 37 ans, en bonne santé habituelle, nous est adressé pour une réadaptation musculo-squelettique dans un contexte de lombosciatalgies chroniques irritatives non déficitaires avec discopathie L5/S1 et discopathie stagées ainsi qu'un œdème des plateaux vertébraux L5/S1 de type Modic I. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il travaille en tant que soudeur de voies de chemin de fer ; en arrêt de travail depuis 9 mois. À l'admission, le patient se plaint de douleurs lombaires avec douleur type sciatalgie prédominant à droite. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, le patient signale une dysurie depuis plusieurs années. Au statut, le patient est orienté et collaborant. La force du quadriceps est cotée à M4 à droite et M5 à gauche et la sensibilité est conservée. ROT hypovif mais symétrique. Pallesthésie sp. La manœuvre de Lasègue est non douloureuse ddc. Durant son séjour, le patient a présenté une augmentation des douleurs lombaires correspondant au territoire L5 et S1 avec dysesthésies bilatérales, notamment à l'extension du rachis faisant suspecter une composante de canal lombaire étroit. Il décrit aussi une péjoration des paresthésies au niveau des pieds notamment à droite. Au vu de l'évolution clinique de Monsieur Shurdhaj et du peu de bénéfice pendant cette hospitalisation, nous référons le patient à la consultation du Dr. X pour un avis chirurgical. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. La physiothérapie consiste en des exercices de mobilisation segmentaire, d'étirements musculaires et de proprioception. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et pour la marche sans moyen auxiliaire. Il peut monter/descendre les escaliers.Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est peu favorable et Monsieur Shurdhaj peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 05.01.2018, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintenir les acquis. Monsieur Simonet est hospitalisé de manière élective pour la pose d'un pacemaker dans le cadre d'une fibrillation auriculaire tachycarde. Monsieur Simonet présente une fibrillation auriculaire symptomatique depuis décembre 2017. Une cardioversion électrique est effectuée début janvier, mais la fibrillation auriculaire récidive, ce qui motive le Dr. X à mettre en place un pacemaker avec en projet une thermoablation du nœud A-V. Le suivi cardiologique est déjà organisé. La pose de pacemaker se déroule sans complication et le patient peut donc rentrer à domicile le 30.01.2018. Monsieur Slucki nous est transféré pour la poursuite de la prise en charge d'un lymphome B diffus à grandes cellules compliqué d'une atteinte lymphomateuse méningée des racines de la queue de cheval. L'hospitalisation est compliquée dans un premier temps par une agranulocytose fébrile sous Ceftriaxone le 24.11.2017. Un isolement agranulocytose est introduit du 24.11 au 27.11.2017 avec traitement antibiotique (Meronem) selon l'avis infectiologique. Le traitement de Neupogen est poursuivi et l'évolution est favorable. Nous constatons néanmoins, dans un deuxième temps, une infection urinaire à Pseudomonas aeruginosa le 03.12.2017, motivant un changement de la sonde urinaire et une antibiothérapie par Ciprofloxacine. Comme autre complication infectieuse, Monsieur Slucki développe une pneumonie nosocomiale le 15.01.2018 sur possible bronchoaspiration. L'évolution est favorable sous antibiothérapie. Dans le contexte infectieux, il présente des douleurs rétrosternales avec mouvement enzymatique sans modification ECG. L'avis cardiologique conclut à un right ventricular heart strain et propose une surveillance. Aucun geste de revascularisation n'est entrepris vu l'évolution rapidement favorable. La prise en charge multidisciplinaire favorise la poursuite du traitement de Methotrexate haute dose, dont les deux protocoles effectués le 01.12.2017 et le 12.01.2018 se déroulent sans complication majeure. Sur le plan neurologique, le patient présente initialement une paraparésie des membres inférieurs, en amélioration pendant l'hospitalisation. Le suivi neuropsychologique confirme également une amélioration suite au premier cycle de chimiothérapie. Le CT abdominal du 11.01.2018 confirme une régression de plus de 50% de la masse rétro-péritonéale. L'avis oncologique propose une suite de prise en charge par Methotrexate haute dose aux 3 semaines avec prochain cycle prévu le 02.02.2018 à l'HFR Fribourg. À savoir, l'accès central (PICC line) a été enlevé à deux reprises de manière accidentelle par le patient. Dans les suites du CT abdominal injecté, le suivi biologique confirme une insuffisance rénale aiguë, AKIN 1. Nous retenons comme étiologie une néphropathie d'origine multifactorielle. Nous vous proposons une surveillance biologique. En raison d'une dénutrition protéo-énergétique sévère et d'une mucite grade 2 sur chimiothérapie (R-CHOP le 16.11.2017), une évaluation nutritionnelle est demandée. Le bilan calorique confirme l'indication à la pose d'une sonde nasogastrique, soutenue par la présence d'une mucite. Devant deux ablations accidentelles de la sonde, nous procédons à une alimentation parentérale par le PICC line suivi de la pose de gastrotube le 14.12.2017. La nutrition entérale est bien tolérée par le patient, permettant une amélioration de l'état nutritionnel. La prochaine mobilisation du gastrotube est prévue le 21.03.2018. Vu le contexte polymorbide, le patient bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire en médecine palliative. Nous mettons en place un programme de reconditionnement et de maintien des acquis en physiothérapie et ergothérapie. L'échelle de Barthel confirme une limitation importante de l'autonomie (10/100) et MIF à 54 points, le patient demeure dépendant pour les transferts. La visite ergothérapeutique en présence de l'équipe de Voltigo permet de lancer l'aménagement du domicile en vue d'un éventuel retour à domicile. Nous proposons une réadaptation neurologique suivie du 3e cycle de chimiothérapie, Methotrexate haute dose le 02.02.2018 à l'HFR Fribourg. Monsieur souffre en premier lieu d'une entorse bénigne du ligament collatéral externe du genou droit. Je propose dans un premier temps un traitement conservateur avec des anti-inflammatoires selon besoin et une physiothérapie pour mobiliser le genou. Arrêt de sport attesté du 12.01.2018 au 12.03.2018. Pas d'arrêt de travail. L'attelle jeans et la thromboprophylaxie ne sont plus nécessaires, vu que le patient arrive à charger complètement. Le patient sera réévalué cliniquement le 21.02.2018. Monsieur Staehlin consulte les urgences le 20.12.2017 en raison d'une toux grasse avec expectorations jaunâtres, associées à un état fébrile à 40°C et une douleur respiratoire dépendante au niveau de l'hémithorax droit. Il relate également des vomissements et des diarrhées sans douleur abdominale. Pas d'antibiothérapie récente. Voyage au Vietnam cet été. Aux urgences, le patient est tachycarde à 100/min, normotendu à 106/70 mmHg, fébrile à 38.5°C et sature à 96% à l'air ambiant. L'auscultation pulmonaire est libre et symétrique. L'abdomen est souple, indolore, sans défense ni détente. Les bruits hydroaémiques sont normaux en fréquence et en tonalité. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 228 mg/l et une leucocytose à 13 G/l. La radiographie de thorax montre un foyer du segment apical du lobe inférieur droit. Nous concluons à une pneumonie droite et mettons en place un traitement par co-amoxicilline 2.2 g 3x/jour iv. Les antigènes urinaires et deux paires d'hémocultures sont prélevés. Au bilan biologique, nous notons également une hyperbilirubinémie totale à 56 umol/l et directe à 6.4 umol/l, qui se normalise le 22.12.2017 et en lien avec un ictère oculaire, faisant évoquer un syndrome de Gilbert. Une perturbation de la crase est également mise en évidence dans le contexte de malnutrition. Le patient reçoit une ampoule de Konakion 10 mg iv avec une normalisation de la crase. Sous antibiothérapie, le patient présente une bonne évolution clinique et biologique. Il reste asymptomatique et afébrile. La recherche d'antigènes urinaires pour Legionelle et pneumocoque ainsi que les hémocultures reviennent négatives. L'antibiothérapie est relayée per os par co-amoxicilline 1 g 2x/jour dès le 22.12.2017, à poursuivre jusqu'au 27.12.2017. Monsieur Staehlin peut regagner son domicile le 22.12.2017. Monsieur Stephan est un patient de 72 ans connu pour une bronchopneumopathie obstructive chronique, un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit pT1a pN0 (0/2) L1 V0 Pn0 G3 R0 et un statut post-résection segmentaire grêle (30 cm) le 20.04.2017 pour iléus sur bride traité par résection iléale d'env. 30 cm en 2017, qui se présente aux urgences le 06.01.2018 avec un tableau douloureux épigastrique avec un transit conservé. Le CT abdominal met en évidence un iléus grêle sur bride avec saut de calibre, sans signe de souffrance. Après échec du traitement conservateur avec sonde nasogastrique de décharge, le patient est pris au bloc opératoire pour une laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse le 09.01.2018 qui se déroule sans complication. La sonde nasogastrique est retirée le 11.01.2018 après plusieurs tentatives de clampage bien tolérées.Le 13.01.2018, le patient présente plusieurs épisodes de vomissements, raison pour laquelle une nouvelle sonde nasogastrique est posée, qui le soulage rapidement. Elle est retirée le 17.01.2018. Il présente également une dyspnée nouvelle au repos avec désaturation à 70% à l'air ambiant le 14.01.2018 avec au laboratoire un syndrome inflammatoire à la hausse avec CRP à 90 et leucocytes à 11.7 G/l. La radiographie du thorax et le CT thoracique mettent en évidence un foyer pulmonaire para-hilaire gauche probablement sur broncho-aspiration, que nous traitons par Tazobac pendant 10 jours. Le patient évolue favorablement par la suite sous oxygénothérapie et séances de ventilation non invasive intermittente du 15.01.2018 au 23.01.2018. Le patient est reclassé le 25.01.2018, en attente d'une place à Billens pour réadaptation pulmonaire. Monsieur Stern est un patient de 33 ans qui consulte à 2 reprises les urgences pour des douleurs de l'hypochondre droit apparues le 25.01.2018. Après un premier bilan par ultrason abdominal aux urgences le 25.01, le diagnostic d'une cholélithiase symptomatique est posé et une consultation en chirurgie en vue de planifier une cholécystectomie est prévu pour le 20.02.2018. Lors de la deuxième consultation le 28.02, un nouvel ultrason abdominal ne montre pas de signes de cholécystite, les leucocytes à l'entrée sont dans la norme avec une CRP à 26. En raison des fortes douleurs décrites par le patient, nous décidons d'effectuer un CT abdominal pour exclure une perforation digestive. Le scanner met en évidence une cholécystite lithiasique. Le patient bénéficie alors d'une cholécystectomie laparoscopique le 28.01.2018 et d'une antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine et Flagyl. L'évolution post-opératoire est favorable et le patient peut retourner à domicile le 30.01.2018. Une ablation des fils est conseillée à J-12 post-opératoire chez le médecin traitant. Monsieur Stucki consulte le service des urgences en raison d'un état fébrile isolé survenu à domicile le 11.01.2018 associé à un frisson solennel, sans autre plainte rapportée. Le patient a été mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Céfuroxime pour une semaine dans ce contexte. Le patient consulte le service des urgences en raison d'une inquiétude. Le reste de l'anamnèse et le statut se révèlent sans particularité. Le bilan réalisé met en évidence un syndrome inflammatoire léger sans leucocytose. Nous ne retrouvons pas de foyer infectieux à la radiographie thoracique, le sédiment urinaire revient propre et nous ne retrouvons pas de signe d'endocardite à l'échographie trans-oesophagienne. Au vu du bon état général du patient, de l'absence de plainte et de fièvre durant son séjour, nous n'investiguons pas d'avantage ce pic fébrile isolé. À noter la mise en évidence d'un thrombus de l'auricule gauche sur l'échographie cardiaque malgré des INR thérapeutiques durant le séjour. Un retour à domicile de manière autonome est organisé le 18.01.2018. Monsieur TAS, 58 ans connu pour un status post thyroïdite de Quervain, une hernie ombilicale sur cicatrice de laparotomie pour plaie de couteau dans le passé, se présente au service des urgences après l'ingestion d'eau de javel accidentelle le 19.01.2018. Depuis, il présente des brûlures dans le cou avec pyrosis et des douleurs abdominales diffuses. Un bilan endoscopique ORL montre une muqueuse laryngée œdématiée érythémateuse sans lésion ulcérative visualisée. Nos collègues intensivistes ne posent pas l'indication à une surveillance aux soins intensifs. Nous entamons une prophylaxie par Co-amoxicilline et Pantoprazol. L'évolution est simple et la réalisation d'une OGD en urgences n'est pas indiquée. Toutefois, si des plaintes abdominales devaient survenir, nous proposons une OGD en ambulatoire. Le jour de sa sortie, le patient bénéficie d'un nouveau contrôle ORL. Le 22.01.2018, le patient présente une paralysie faciale nouvelle. L'IRM cérébrale ne montre pas d'origine centrale à cette paralysie. Après consultation de nos collègues neurologues, nous retenons le diagnostic de paralysie de Bell que nous traitons par corticoïde pendant 10 jours au total avec doses régressives dès le 5ème jour. Une protection oculaire n'est pas nécessaire, le patient pouvant fermer complètement son œil gauche. Le bilan sérologique revient négatif. Au vu de la bonne évolution, Monsieur Tas peut regagner son domicile le 25.01.2018 dans un bon état général. Nous proposons un contrôle à 1 semaine chez le médecin traitant. Monsieur Tellier se présente aux urgences de l'HFR Fribourg le 04.01.2018 en raison d'un état fébrile persistant depuis 3 semaines jusqu'à un maximum de 39,8°C. Il vous consulte le 14.12.2012, vous effectuez une radiographie du thorax et prescrivez des antibiotiques qu'il ne prend pas en raison d'une amélioration de son état général. Le 25.12.2017, il décrit une péjoration de la symptomatologie avec apparition d'une toux avec expectorations verdâtres et persistance de l'état fébrile. Le patient signale également une oppression thoracique fluctuante en lien avec l'inspiration. Il consulte une première fois les urgences de l'HFR Fribourg le 01.01.2017 où le diagnostic de bronchite virale est retenu et un traitement symptomatique par Dafalgan et Irfen est introduit avec une évolution clinique défavorable. Le patient décrit des douleurs rétrosternales, péjorées lors de l'inspiration. En parallèle, Monsieur Tellier signale une chute sur le coccyx le 11.12.2017 avec une douleur locale en augmentation depuis ces derniers jours, irradiant dans les fesses. À l'auscultation pulmonaire, présence de crépitants basales gauches. Un foyer infectieux basal gauche est visible sur le CT scan thoracique et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire. Concernant les douleurs rétrosternales respirodépendantes, les troponines ainsi que l'ECG parlent contre une origine cardiaque. Nous posons le diagnostic de pneumonie communautaire basale gauche. Monsieur Tellier est hospitalisé à l'HFR Riaz et nous débutons une antibiothérapie à large spectre par Rocéphine 2 g iv 1x/jour du 05 au 08.01.2018 avec relais par co-amoxicilline 1 g 2x/jour per os à poursuivre jusqu'au 13.01.2018. Une couverture antibiotique élargie par clarithromycine qui est rapidement arrêtée en raison du dépistage des antigènes urinaires négatif. Le patient bénéficie encore d'une physiothérapie respiratoire. Concernant les douleurs au niveau du coccyx, les radiographies du bassin et du sacrum effectuées ne mettent pas en évidence de fracture. Nous prescrivons du tramadol. L'évolution étant favorable, Monsieur Tellier rentre à domicile le 09.01.2018. Monsieur Tornare est un patient de 79 ans connu pour une démence vasculaire, amené aux urgences de l'HFR Riaz dans un contexte de baisse d'état général. Ce dernier n'a aucune plainte et à l'anamnèse par systèmes, il évoque des palpitations occasionnelles. Selon sa fille, Monsieur Tornare accuse une asthénie depuis 2 à 3 ans, en péjoration depuis 10 jours, demandant une assistance accrue lors de ses activités de la vie quotidienne. Il aurait des selles liquides depuis 2 jours, en amélioration le jour de la consultation. Son appétit est conservé et il n'a pas perdu de poids. Le patient ne présente pas non plus de troubles du sommeil ni de nycturie et n'a pas de notion de chutes. Il se déplace sans moyens auxiliaires.Au status cardiovasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés et réguliers, avec un souffle mitral à 3/6 irradiant dans les carotides. Il n'y a pas de turgescence jugulaire ni d'oedème des membres inférieurs. Au status pulmonaire, des râles crépitants sont présents aux deux bases, en prédominance à droite. Le signe de Homans est négatif des deux côtés. Les mollets sont souples et le ballant conservé. Les pouls périphériques pédieux sont difficilement palpables. Au niveau cutané, nous remarquons une plaie au niveau du 5ème orteil. Le reste du status n'est pas contributif. Le laboratoire revient dans la norme. L'ECG ne montre pas d'altération et la radiographie du thorax pas de foyer. Selon sa fille, il est difficile de maintenir le patient à domicile, car depuis 10 jours, ce dernier est devenu dépendant et a besoin d'avantage d'aide. Nous hospitalisons donc Monsieur Tornare au service de gériatrie aiguë pour soins impossibles à domicile. A l'entrée dans notre service, le patient est en bon état général, bien hydraté, bien perfusé et anictérique. Le bilan biologique du 09.01.2018 met en évidence une carence vitaminique (acide folique, vitamine B12 et vitamine D) qui est substituée. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. Suite à la présence de la plaie au niveau du 5ème orteil, une radiographie du pied est effectuée le 09.01.2018 et exclut des lésions osseuses ou des signes d'infection. Un protocole de désinfection est mis en place par la stomatothérapeute. Un bilan angiologique est prévu en ambulatoire pour vendredi 12.01.18 à 13h. Monsieur Tornare présente des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Le test de Shellong effectué sans bas de contention le 09.01.2018 se montre positif. Nous recommandons par conséquent d'évaluer l'utilisation des bas de contention après le résultat du bilan angiologique. Sur le plan médicamenteux, nous mettons en place un traitement par Quétiapine en réserve, à prendre en cas d'agitation. Durant son séjour, Monsieur Tornare bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seul est de 120 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 71/126 par rapport à 69/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 6/7, escaliers 1/7). En raison d'un état anxieux lié au changement de lieu de vie et d'une tendance à quitter constamment le service dans ce contexte, nous discutons avec la fille de la possibilité d'une hospitalisation en milieu psychogériatrique afin de réévaluer son traitement psychotrope et rediscuter le projet concernant le lieu de vie. La fille refuse catégoriquement une éventuelle hospitalisation en psychogériatrie et préfère reprendre son papa à domicile de suite, se sentant encore apte à s'en occuper sans aide supplémentaire pour le moment. Dans ces conditions, Monsieur Tornare regagne son domicile le 09.01.2018 accompagné par sa fille. Dès sa sortie, il bénéficiera du passage des soins à domicile 1x/j. Monsieur Tornare revient aujourd'hui à 6 semaines post-opératoires pour le contrôle radio-clinique après la pose de PTH G par voie antérieure le 15.12.2017. Le patient doit continuer la physiothérapie. Je lui propose de changer de physiothérapeute et il va poursuivre la physiothérapie à l'HFR Riaz. Je le revois dans 6 semaines pour une nouvelle réévaluation radio-clinique le 09.03.2018. Monsieur Trachsel est hospitalisé pour une 5ème récidive d'AVC ischémique de la circulation postérieure (bi-occipitale et pontique paramédian gauche) d'origine artério-artérielle (DD : cardio-embolique) le 08.01.2018. Il consulte initialement les urgences suite à l'apparition d'une parésie des membres supérieurs et inférieurs droits, associée à une dysarthrie nouvelle objectivée par son épouse. La dysarthrie dure environ dix minutes puis régresse spontanément, mais l'hémisyndrome moteur droit persiste. Au status neurologique, mise en évidence d'un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit léger ainsi qu'une ataxie au membre inférieur droit. Le CT cérébral initial met en évidence des séquelles ischémiques et vasculaires superposables au comparatif, sans lésion aiguë, qui est complétée par une IRM cérébrale montrant un AVC ischémique aigu des territoires postérieurs, avec occlusion de la dernière partie de V4 droit et plaque d'athérome ulcérée au départ du tronc basilaire avec sténose de plus de 80 % en aval, qui est confirmée au duplex des vaisseaux pré-cérébraux et intra-crâniens. L'examen neurosonologique montre en plus une sténose >50 % de l'artère vertébrale gauche en V4, ainsi que de l'artère cérébrale postérieure gauche (P1). Une discussion avec nos collègues, neurologues et neuroradiologues de l'Inselspital est actuellement en cours pour une éventuelle intervention avec mise en place d'un stent dans le tronc basilaire. Nous vous communiquerons la décision finale dès que possible. La surveillance en lit monitoré se passe sans complications. À relever une tendance aux désaturations nocturnes légères chez ce patient déjà connu pour un SAOS non appareillé (saturation min. 86 % observée). Monsieur est connu pour une FA intermittente et dans le contexte du nouvel AVC et après discussion avec les cardiologues, l'Eliquis à 2x5 mg/j est introduit. En raison des nouveaux stents coronariens mis en place en novembre 2017 et de l'athéromatose vasculaire cérébrale étendue, le Plavix est poursuivi en parallèle pour une durée de 3 mois. Dans le contexte des nombreuses intolérances aux statines avec inconfort digestif et douleurs musculaires et de la réticence de Monsieur à reprendre un traitement, nous demandons un avis auprès de nos collègues endocrinologues. Une réelle intolérance ou myopathie sur statines n'a jamais pu être identifiée après appel aux deux derniers médecins traitants de Monsieur Trachsel. Nous lui proposons de retenter une médication par Atorvastatine 80 mg pendant en tout cas un mois et, en cas de non-tolérance, de vous consulter afin qu'un dosage des CK soit effectué. Nous réintroduisons l'Atorvastatine, qui est reprise dès le 09.01.2018 sans complications. Nos collègues endocrinologues proposent un traitement combiné d'ézétimibe et atorvastatine à raison de 3x/semaine (Atozet) comme alternative en cas d'échec ou d'adresser Monsieur à la consultation lipides du Pr. X Rodondi de l'Inselspital pour un éventuel traitement par Repatha (Evolocumab). Une consultation angiologique permet d'exclure une artériopathie des membres inférieurs. Le 13.01.2018, jour du départ prévu, Monsieur présente des rectorragies probablement sur hémorroïdes et dans le contexte de l'anticoagulation et de l'antiagrégation. Il a déjà présenté des épisodes similaires auparavant et avait bénéficié d'une colonoscopie et gastroscopie sans signes de gravité en 2017. Nous lui proposons de rester en surveillance à l'hôpital, ce qu'il refuse.En cas de récidive, nous vous proposons de réduire la dose d'Eliquis à 2x 2.5mg et d'envisager une cure d'hémorroïdes. A la sortie, Monsieur présente une persistance de son hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit léger avec ataxie pour lequel de la physiothérapie en ambulatoire est prescrite. Il sera revu en contrôle en neurologie le 18.04.2018 à 16h30. Monsieur Tschachtli est un patient de 81 ans, connu pour une résection d'une tumeur neuroendocrine à cellule de Merkel au niveau frontal en septembre 2016, qui est hospitalisé en électif pour la prise en charge d'une lésion du grêle suspecte d'être une métastase de la tumeur neuroendocrine. Il bénéficie le 22.12.2017 d'une laparotomie exploratrice avec lavage abdominal avec prélèvement pour cytologie, résection segmentaire du grêle, anastomose latéro-latérale iléo-iléale à 20 cm de la valve de Bauhin. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 29.12.2017. Le patient sera revu en consultation par le Dr X le 06.02.2017 à 14h30. Monsieur Tsegay souhaite profiter de son passage pour tester le HIV et l'hépatite C. Nous l'informons de la durée du test et de ses implications. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant afin qu'on l'informe des résultats ainsi que pour faire un contrôle clinique. Monsieur Uldry a bénéficié le 10.01.2018 de la pose en électif d'un stent au niveau du tronc commun (clinique Cécile). Il présente le 11.01.2018 au soir des douleurs rétro-sternales oppressives sans autre symptôme associé, persistantes jusqu'au lendemain, ce qui motive son hospitalisation. On met en évidence un NSTEMI attribuable à une thrombose partielle dans le stent du tronc commun, posé 48 heures avant. Une dilatation au ballon permet de rétablir le flux vers l'artère circonflexe. La perfusion de l'IVA et de l'intermédiaire est assurée par deux ponts, perméables. Le tableau étant évocateur d'une résistance au Clopidogrel, un switch au Prasugrel est effectué. La surveillance post-coronarographie aux soins intensifs se déroule sans complication, permettant un retour à domicile. Monsieur Uldry est hospitalisé aux soins intensifs pour une cure de Levosimendan dans le contexte d'une insuffisance cardiaque sévère décompensée sur cardiopathie dilatée. L'indication est une nouvelle décompensation cardiaque à distance de la dernière injection. Le lévosimendan est donné sans aucune complication immédiate, avec une bonne tolérance hémodynamique. Nous recommandons un suivi de la kaliémie pendant 1 semaine post-cure en vue d'une possible hypokaliémie. L'Entresto et ses diurétiques habituels sont repris après la fin de la cure. Le patient sera prochainement présenté à la consultation d'insuffisance cardiaque à Berne, une discussion avec le patient et les cardiologues (Dr X) est en cours. L'insuffisance rénale aiguë sur chronique s'améliore le 19.01.2018. Monsieur Uldry, patient de 67 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance après pose d'un MitraClip le 25.01.2018. Le patient est hospitalisé en médecine depuis le 16.01.2018 pour une décompensation cardiaque avec insuffisance rénale aiguë sur chronique dans le contexte d'un syndrome cardio-rénal dans le contexte d'une insuffisance cardiaque sévère. Un traitement de diurétiques initialement intraveineux puis oral permet une bonne évolution. Au vu de l'absence d'un projet de transplantation cardiaque, M. Uldry bénéficie de l'intervention susmentionnée sous anesthésie générale avec soutien aminergique per-opératoire, rapidement sevré. A l'arrivée aux soins intensifs, il est stable sur le plan hémodynamique. La surveillance se déroule sans particularité avec un bilan négatif sous diurétiques. L'ETT de contrôle met en évidence un bon emplacement du clip avec une insuffisance mitrale légère et une diminution nette des pressions artérielles pulmonaires. L'anticoagulation par Xarelto est à reprendre dès le 27.01.2018 au matin à 15 mg/j et le Clopidogrel est à poursuivre pour 3 mois. Le point de ponction au niveau inguinal D est calme et nous vous prions de reprendre contact avec les cardiologues pour savoir quand l'ablation du fil peut avoir lieu. A noter en per-interventionnel une interrogation du pace-défibrillateur qui met en évidence une FA sous-jacente. Le patient est à l'étage sous réserve de Lexotanil, Temesta et Zolpidem. Nous proposons de réduire la réserve à une seule molécule. Au vu de l'évolution favorable, le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 26.01.2018. Monsieur Ummel est un patient de 85 ans, connu pour une fibrillation auriculaire paroxystique qui est hospitalisé le 28.12.2017 pour une dyspnée stade IV et des œdèmes des membres inférieurs remontant jusqu'aux hanches. Nous mettons en évidence une décompensation cardiaque globale dans un contexte de bradycardie sur un traitement de digoxine introduite par son médecin traitant pour une FA paroxystique. Nous avons donc suspendu la digoxine ainsi que le Belok Zok avec bon contrôle de la fréquence cardiaque. Nous introduisons un traitement de diurétique par lasix puis torasémide en fonction du poids. Le bilan laboratoire retrouve une anémie normochrome macrocytaire à 100 g/L et une carence en vitamine B12 que nous substituons. Les symptômes de Monsieur Ummel évoluent rapidement favorablement et Monsieur Ummel peut rentrer à domicile le 05.01.2018. Monsieur Vallélian, connu pour une hypertension artérielle, présente depuis le début de l'année un mollet droit douloureux et tuméfié. Il se traite par AINS. Le patient note par ailleurs une dyspnée à l'effort inhabituelle depuis la période des fêtes de fin d'année. Vous adressez votre patient au cabinet d'imagerie de la Gruyère le 05.01.2018 où l'on diagnostique une thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit par ultrason ainsi qu'une embolie pulmonaire par CT scan thoracique, raison pour laquelle le patient nous est adressé pour la suite de la prise en charge. Au status, le patient est eupnéique au repos avec une saturation à l'air ambiant de 96%, une fréquence respiratoire à 15/min, une fréquence cardiaque à 71/min et une température corporelle à 36°C. Il est discrètement hypertendu. L'auscultation cardiaque et pulmonaire est normale. Il présente les signes d'une thrombose veineuse profonde au membre inférieur droit. Malgré la présence d'un embole central, il s'agit d'une embolie pulmonaire à risque intermédiaire bas et Monsieur Vallélian est hospitalisé au lit monitoré pour surveillance. Celle-ci se déroule sans problème avec la possibilité de faire les escaliers et le couloir sans plaintes thoraciques hormis sa gêne au mollet. Monsieur Vallélian peut regagner son domicile le 07.01.2018. L'anamnèse est négative pour un facteur de risque et il s'agit donc d'une embolie pulmonaire idiopathique. Le bilan sanguin (FSC, tests hépatiques) est rassurant et Monsieur Vallélian a réalisé une coloscopie et bénéficie d'un suivi régulier de sa prostate par vos soins. Nous ne recommandons donc pas d'autre bilan. L'anticoagulation par Xarelto est à poursuivre au long cours selon nous dans cette situation. Monsieur Vallélian sera vu en consultation d'angiologie le 31.01.2018 à 09h00 à l'HFR Riaz pour en discuter. Monsieur Vaucher nous est transféré du service d'orthopédie de l'HFR Fribourg pour suite de traitement et reconditionnement après une fracture pertrochantérienne du fémur droit traitée par clou gamma le 15.12.2017.À l'entrée, il se plaint de douleurs au repos à la cuisse droite et de constipation depuis 3 jours. Cliniquement, il se présente un patient de 87 ans dans un état général diminué, partiellement orienté dans le temps et l'espace. Au niveau de la hanche droite, les cicatrices postopératoires sont calmes sans signes inflammatoires avec un hématome proximal important. Le statut neurologique montre des signes extrapyramidaux avec des tremblements au repos et un phénomène cogwheel aux deux membres supérieurs. L'adaptation de l'antalgie avec une majoration de l'Oxycontin permet un contrôle satisfaisant des douleurs. Suite à une chute du lit le 04.01.2018, un bilan radiologique permet d'exclure une nouvelle fracture. Le 29.12.2017, le patient présente une baisse de l'état général avec une diminution de l'hémoglobine de plus de 20 g/l en 24h et une aggravation de l'hématome de la cuisse droite. Après exclusion d'autres sources d'hémorragie, un traitement symptomatique par transfusion de 4 CE est instauré selon avis orthopédique chez ce patient qui reste stable au niveau hémodynamique. De suite, l'évolution clinique et biologique est favorable. Malheureusement, le patient présente une nouvelle diminution de son état général le 12.01.2018. Un bilan biologique met en évidence des paramètres infectieux élevés et de nouveau une baisse d'hémoglobine. Au niveau de la cuisse droite, nous notons une augmentation de la circonférence avec un hématome agrandi de la face interne associé à des légers signes inflammatoires cette fois. L'examen clinique ne mettant pas en évidence d'autre foyer infectieux, nous retenons une probable surinfection de l'hématome postopératoire avec la suspicion d'une nouvelle hémorragie interne locale. Un traitement antibiotique par Co-Amoxi pour une durée totale de sept jours est débuté, et le patient reçoit de nouveau 2 CE. Selon discussion avec le patient qui ne souhaite pas d'autres investigations et dans le cadre de la situation globale, nous renonçons à d'autres mesures diagnostiques et thérapeutiques. En raison d'un syndrome extrapyramidal d'origine probable médicamenteuse à l'entrée, le traitement habituel par Haldol avec une indication peu claire est progressivement diminué durant l'hospitalisation. De plus, l'Escitalopram est arrêté en raison d'un risque de syndrome sérotoninergique en association avec les opiacés. De suite, les symptômes neurologiques constatés à l'entrée disparaissent lentement. Un bilan biologique de routine met en évidence une légère hypothyroïdie qui est substituée. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution et de réévaluer l'indication à ce traitement dans 6-8 semaines. À l'entrée, le patient a besoin d'une aide importante de deux personnes pour effectuer les transferts. Grâce à des thérapies intensives et individuellement adaptées, une amélioration de la mobilisation est observée. À la sortie, il est capable d'effectuer les transferts avec l'aide moyenne d'une personne et de pouvoir se tenir assis dans une chaise. En raison de la décharge complète de la jambe droite ne permettant que des transferts lit-fauteuil jusqu'au prochain contrôle orthopédique, Monsieur Vaucher est retransféré à l'EMS le Foyer des Peupliers le 15.01.2018 en état général conservé. Monsieur Vauthey, 76 ans, connu pour une dysfonction de la valve mitrale sur dégénérescence valvulaire, présente des états fébriles récidivants depuis plus d'un mois, accompagnés d'une perte de poids de 10 kg involontaire et d'une asthénie. L'examen clinique ne met pas en évidence de foyer infectieux, hormis un souffle systolique déjà connu. Nous effectuons des hémocultures qui se positivent pour du S. Mitis probablement d'origine buccale sur gingivite. Malgré l'absence de végétation visible à l'échocardiographie transoesophagienne, nous retenons le diagnostic d'endocardite sur valve mitrale native que nous traitons par Ceftriaxone intraveineuse pour une durée totale de 4 semaines sur avis infectiologique (Dr. Erard). La pose d'un Picc-line permet la poursuite du traitement en ambulatoire assuré par les soins à domicile. À noter que les hémocultures se négativisent dès le 25.01.2018 et que le bilan par imagerie ne montre pas de signe d'embolisation septique, notamment au niveau cérébral. Le CT thoracique et cervical effectué à l'admission montre des lésions nodulaires de la thyroïde sans franche répercussion sur la fonction thyroïdienne. Selon nos collègues endocrinologues, l'image parle pour un goitre. Le patient sera revu le 26.03.2018 à 8h00 en consultation d'endocrinologie pour la réalisation d'un ultrason de la thyroïde avec contrôle de la TSH à distance de l'événement infectieux. À la sortie, les résultats des auto-anticorps ne sont pas encore disponibles et seront discutés lors de la prochaine consultation. Au CT, nous constatons également la présence d'une sténose carotidienne asymptomatique à 90 %. Sur avis des chirurgiens vasculaires, un traitement médicamenteux par Aspirine et statines est introduit. Le 29.01.2018, le cas de Monsieur Vauthey sera discuté au colloque vasculaire et le patient sera convoqué à distance pour la suite de la prise en charge. Finalement, nous corrigeons une insuffisance rénale pré-rénale apparue dans le contexte septique. Pour cette raison, nous réintroduisons le Co-Diovan à demi-dose à la sortie. Le dosage est à augmenter par le médecin traitant. Nous suivons également une anémie inflammatoire qui se corrige progressivement. Un contrôle à distance est recommandé. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Vauthey peut regagner son domicile le 30.01.2018. Monsieur Verdon, patient connu pour un diabète de type 2 non insulino-requérant, des troubles anxieux ainsi qu'une obésité avec bypass gastrique en 2006 se présente aux urgences suite à plusieurs épisodes de vertiges à domicile avec impressions de perte d'équilibre. Ayant un manomètre à domicile, Monsieur objective une bradycardie à 40 bpm, raison pour laquelle il consulte aux urgences le 10.1.18. L'ECG met en évidence une bradycardie sinusale sans autre trouble du rythme associé. L'échocardiographie met en évidence un cœur de morphologie normale avec une FEVG et une cinétique conservées. De même, nous excluons une cause thyroïdienne. Un traitement par atropine 2 x 0.5 mg ne permet pas de corriger la fréquence. Nous gardons Monsieur Verdon en observation jusqu'au 16.1.18. Un R-test est posée le 15.1.18 pour une durée de 7 jours. Nous prévoyons un rendez-vous chez son médecin traitant pour lecture des résultats du R-test le 26.1. à 10h pour discuter des résultats du R-test. Le matin du 12.1.18, le patient présente une asymétrie de la commissure labiale, nouvelle selon lui. Nous débutons un traitement par aspirine cardio 100 mg et réalisons une IRM qui ne montre pas de signe d'AVC. Une alcalose respiratoire est mise en évidence aux urgences. Nous excluons une composante métabolique concomitante. L'alcalose est mise sur le compte d'une hyperventilation psychogène. Après surveillance jusqu'au 16.1.18, Monsieur rentre à domicile avec le R-test. Un rendez-vous chez son médecin traitant le 26.1. à 10h pour discuter des résultats du R-test.Monsieur Viebahn est un patient de 36 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences le 19.12.2017 en raison de douleurs épigastriques avec nausée et vomissements. Le bilan met en évidence une vésicule biliaire multilithiasique sans signe de cholécystite. Une OGD met en évidence une gastrite légère, pour laquelle le patient bénéficie d'un traitement par Pantozol. Une recherche d'helicobacter pylori est en cours. Au vu de l'apparition d'un syndrome inflammatoire le 20.12.2017 avec suspicion de cholécystite débutante, nous posons l'indication à la réalisation d'une cholécystectomie par laparoscopie. M. Viebahn est transféré à l'hôpital de Tavel le 20.12.2017 pour bénéficier de cette opération (bloc opération non disponible à Fribourg en raison du nombre important d'urgences). Monsieur Vieira Nogueira est un patient de 60 ans, connu pour un adénocarcinome colique et d'une lésion suspecte d'hypernéphrome au niveau du pôle inférieur du rein gauche, qui bénéficie le 20.12.2017 d'une laparotomie exploratrice avec hémicolectomie gauche et néphrectomie partielle gauche. Les suites opératoires initiales aux soins intensifs ont permis un rapide sevrage des amines, permettant un transfert à l'étage de chirurgie le 21.12.2017. L'évolution est par la suite favorable tant du point de vue biologique que clinique, avec une bonne reprise du transit. Le cathéter péridural peut être retiré le 26.12.2017, permettant le retrait de la sonde vésicale. Un retour à domicile est possible le 29.12.2017. La situation de M. Vieira a été discutée au colloque multidisciplinaire d'oncologie le 27.12.2017 où une surveillance est préconisée. Le patient sera revu à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Monsieur Villard, connu pour un HIV mais qui ne prendrait plus son traitement antiviral par Genvoya depuis une année, est amené aux urgences en ambulance le 07.12.2017 en raison de l'apparition d'une dyspnée soudaine associée à une toux productive. Il mentionne également une dysphagie et odynophagie depuis quelques semaines avec anorexie. Pas de douleur thoracique. Dans l'ambulance, le patient présente une désaturation à 57% à l'air ambiant, qui remonte partiellement sous oxygénothérapie. Il reçoit 20 mg de Furosemide durant le transport. A l'admission, Monsieur Villard est en état général diminué. Il est sarcopénique, tachypnéique, diaphorétique et pâle avec cyanose périphérique. À l'auscultation cardiopulmonaire, B1B2 sont bien frappés sans souffle. Notons une hypoventilation au niveau de la base droite avec des crépitants diffus. L'abdomen est souple et indolore. Les extrémités sont froides, sans œdème. L'examen neurologique est sans particularité hormis la marche qui est impossible à tester en raison de la dyspnée. Le laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 340 mg/l et leucocytose à 34 G/l et la gazométrie met en évidence une insuffisance respiratoire de type 1 avec une légère acidose métabolique de gap normal avec une lactacidémie à 5.7 mmol/l. L'ECG est sans particularité et la radiographie du thorax montre un foyer. Le patient est mis sous VNI avec bonne réponse et amélioration de la saturation à 85%. Nous prélevons des hémocultures, effectuons une recherche d'antigènes urinaires pour Légionelle et pneumocoque, débutons une antibiothérapie par Cefepime, Klacid et Bactrim, supposant une infection pulmonaire gauche, ainsi que solumedrol 125 mg iv et Monsieur Villard est hospitalisé à l'ELM. Les hémocultures reviennent positives pour S. pneumoniae et après avis de la Dr. X, infectiologue, l'antibiothérapie est relayée par la Rocéphine dès le 09.12.2017 avec une évolution favorable sur la dyspnée et le syndrome inflammatoire. La VNI est arrêtée le 10.12.2017 et le patient est transféré à l'étage de médecine le 12.12.2017 où l'oxygénothérapie est complètement sevrée. La saturation est à 95% à l'air ambiant. Concernant l'infection HIV, les CD4 sont mesurés à 140 cell/ml et sur avis de la Dr. X, le Genvoya est réintroduit en ajoutant une prophylaxie par Bactrim. Nous mettons en évidence une mucite oropharyngée pour laquelle un frottis revient positif pour C. albicans. Le patient présente également une lésion au niveau de la colummelle nasale et, posant le diagnostic d'une candidose œsophagienne avec possible infection à Herpès simplex, nous introduisons un traitement par Fluconazol et valacyclovir avec soins de bouche. L'évolution est favorable. Au vu de l'état de dénutrition, une sonde nasogastrique est posée et nous introduisons un régime entéral par Isosource avec substitution électrolytique. La sonde et le régime sont bien tolérés. Finalement, on mentionne la présence d'une escarre interfessière de stade 3, plus importante au niveau de la fesse droite, que nous traitons par soins locaux avec une évolution favorable. Au vu de la bonne évolution et de la résolution du problème aigu, Monsieur Villard est admis dans le service de réadaptation gériatrique le 22.12.2017. Monsieur Von Deschwanden est un patient de 80 ans qui nous est adressé par son médecin traitant pour prise en charge d'un iléus grêle mis en évidence par CT abdominal le 09.01.2017. Le patient est traité conservativement par sonde nasogastrique de décharge et reçoit de la Gastrographine avec contrôle radiologique de l'abdomen par la suite, qui ne montre pas de passage. Nous répétons l'examen radiologique après nouvelle prise de Gastrographine avec cette fois-ci un passage du liquide de contraste et un transit avec des selles liquides à plusieurs reprises dès le 11.01.2018. Le patient est connu pour un transit irrégulier avec notamment des épisodes de diarrhées aiguës depuis juillet 2017, 2-3x/mois nécessitant la prise d'Imodium par intermittence, raison pour laquelle nous organisons une colonoscopie en ambulatoire. Le patient recevra un courrier pour la convocation. L'évolution clinique étant favorable avec reprise du transit et l'alimentation étant bien tolérée après l'ablation de la sonde nasogastrique, le patient peut rentrer à domicile le 13.01.2018. Monsieur Wandeler est un patient de 36 ans connu pour une hématurie macro- et microscopique depuis 2012 suite à une angine à streptocoque du groupe A. Le patient bénéficie le 22.01.2018 d'une biopsie rénale droite pour une suspicion de néphropathie, voire glomérulo-néphropathie. L'évolution post-opératoire est tout à fait favorable et le patient peut rejoindre son domicile le 23.01.2018. M. Wandeler sera suivi par le Dr. X et le Dr. Y pour la suite de la prise en charge. Monsieur Wicht est hospitalisé pour un AVC ischémique subaigu thalamique gauche le 19.01.2017. Il a présenté le 09.01.2018 un malaise avec affaissement à table sans perte de connaissance ni traumatisme crânien ainsi qu'une aphasie non fluente de 4 minutes pour laquelle il vous consulte le 12.01.2018 où vous mettez en évidence une hypertension artérielle à 200 mmHg de systole ainsi qu'une hyponatrémie hypovolémique à 126 mmol/l. Depuis le 15.01.2018, il décrit des troubles de l'équilibre d'apparition nouvelle ainsi qu'une lourdeur du membre supérieur droit ainsi qu'un ralentissement psychomoteur remarqué par son épouse. Vous nous l'adressez le 19.01.2018 pour une suspicion d'AVC après avoir mis en évidence un syndrome cérébelleux cinétique avec ataxie et dysdiadocokinésie du membre supérieur droit. Au status d'entrée, on retrouve encore une hémiparésie ataxique facio-brachiale droite. L'IRM cérébrale montre une ischémie aiguë touchant le thalamus gauche. Un traitement antiagrégé par Aspirine et hypolipémiant par Atorvastatine est introduit. Le bilan étiologique est complété par une échocardiographie montrant une fonction cardiaque dans la norme et l'absence de cause structurelle. L'examen d'holter ne met pas d'arythmie emboligène en évidence. L'étiologie microangiopathique de l'AVC est probable chez ce patient présentant une hypertension artérielle mal contrôlée et concordant avec la localisation morphologique de la lésion ischémique et des signes à l'IRM de microangiopathie cérébrale hypertensive. Le traitement est optimisé par de l'Amlodipine et du Metoprolol en plus du Losartan. Concernant le traitement de Rythmonorm (Propafénone) qu'il prend depuis plus de 30 ans pour une arythmie X, il est contre-indiqué en présence d’une coronaropathie sous-jacente raison pour laquelle un test d’effort sur tapis est réalisé par nos collègues cardiologues et met en évidence des salves de TV polymorphes ainsi qu'une hypotension faisant suspecter une coronaropathie. Le traitement de Rythmonorm est arrêté et une coronarographie est prévue le jeudi 1er février. Le traitement anti-hypertenseur est majoré avec du Metoprolol, de l'Amlodipine et le Losartan est poursuivi. Nous proposons à Monsieur Wicht de prendre sa tension artérielle à domicile et de prendre rendez-vous à votre cabinet pour un contrôle tensionnel. Une hyponatrémie hypoosmolaire hypovolémique sévère sur hydrochlorothiazide et perte extra-rénale (déshydratation sur le spot, notion de diarrhées) est corrigée lentement par une perfusion de NaCl IV et une restriction hydrique avec à la sortie une natrémie à 131 mmol/l. Nous proposons un contrôle dans le cours de la semaine à votre cabinet. Le bilan neuropsychologique montre des difficultés en mémoire antérograde verbale et la présence d’un ralentissement dans une tâche exécutive, le reste de l'évaluation se trouvant dans les limites de la norme. La conduite automobile est interdite pendant deux semaines. Monsieur Wicht rentre à domicile le 26.01.2018 avec un rendez-vous en neurologie le 30.04.2018 à 15h15 et de l'ergothérapie et physiothérapie en ambulatoire en raison de la persistance de légères difficultés avec la motricité fine de la main droite et de contractures musculaires cervicales paravertébrales. Monsieur Wirth, connu pour un AVC ischémique pontique gauche en octobre 2017 avec hémiparésie du membre supérieur droit totalement résolutif et une cardiopathie ischémique avec infarctus en 2015 avec troubles de la cinétique segmentaire sévères dans le territoire de l'IVA avec anévrisme apical connus (FEVG à 35-40 %) sous Lixiana est hospitalisé pour des troubles de l'équilibre d'origine indéterminée. Il présente le 05.01.2018 vers 19h30 des troubles de l'équilibre au lever et à la marche d'apparition subite, sans vertiges avec l'impression de dévier vers la droite sans autres symptômes neurologiques. Le status neurologique initial met en évidence une minime ataxie du membre supérieur droit ainsi qu'une hypopallesthésie des membres inférieurs, une marche avec polygone élargi et une marche du funambule difficile. Un CT cérébral permet d'exclure une lésion ischémique ou hémorragique. Un Schellong est réalisé et revient négatif, une origine orthostatique n'est néanmoins pas exclue chez ce Monsieur sous traitement antihypertenseur à dose optimale et avec une hypotension probablement sur faible débit cardiaque. En raison d'une hyperkaliémie, le traitement d'Aldactone est mis en suspend temporairement puis repris à demi-dose. Nous vous proposons de suivre la kaliémie à votre cabinet et de reprendre la dose optimale de 25 mg 1x/j une fois celle-ci normalisée. La diminution de la dose pourrait également avoir un effet bénéfique sur la potentielle hypotension orthostatique. Enfin l'hypopallesthésie est probablement le reflet d'une polyneuropathie sensitive d'origine multifactorielle qui pourrait contribuer aux troubles de l'équilibre. Un déficit en acide folique est substitué pendant un mois. Nous vous proposons un contrôle sanguin à votre cabinet à la fin du traitement. Une sténose de 70% d'origine athéromateuse de l'artère sous-clavière gauche reste inchangée au CT scan et au duplex des vaisseaux pré-cérébraux, le vol sous-clavier intermittent étant actuellement considéré comme asymptomatique nous ne proposons pas plus d'investigations. S'il devenait symptomatique nous vous proposons de le réadresser en angiologie ou chirurgie vasculaire où un pontage pourrait être envisagé. Une bactériurie asymptomatique est mise en évidence au stix urinaire raison pour laquelle une antibiothérapie est débutée par Ciproxine pendant 7 jours. Le résultat de l'urotube vous sera transmis dès réception. Nous vous proposons de compléter l'anamnèse sexuelle de Monsieur Wirth à votre cabinet. L'évolution est favorable durant l'hospitalisation avec persistance d'un léger déséquilibre lors des changements de position sans risque de chute selon nos collègues physiothérapeutes. Monsieur Wirth rentre à domicile le 09.01.2017 avec rendez-vous en neurologie le 14.02.2018 à 15h30. Monsieur Wirth est un patient de 17 ans connu pour un lymphome de Hodgkin de type scléro-nodulaire IIB stade intermédiaire pour lequel il a reçu une première cure de chimiothérapie par BEACOPP le 08.01.2018 qui présente à l'arrivée aux urgences un état fébrile associé à de la toux et une odynophagie ainsi que des diarrhées aqueuses. Le bilan met en évidence une leucocytose et le frottis de fond de gorge est positif pour Influenza A. Les hémocultures reviennent négatives. Du point de vue des diarrhées, les recherches de pathogènes reviennent négatifs. Lors de la dernière hospitalisation (du 17.01 au 22.01.2018), Monsieur Wirth souffrait d'un sepsis sur phlegmon anal qui avait été traité par antibiothérapie et dont il ne persiste qu'une petite plaie para-anale sans écoulement. Un scanner thoraco-abdomino-pelvien réalisé à l'entrée, le 27.01.2018 permet d'exclure la présence d'un foyer infectieux. Nous concluons donc à un état fébrile sur grippe Influenza A que nous traitons par Oseltamivir du 27.01 au 31.01.2018. De même, le deuxième cycle de chimiothérapie étant prévu le 29.01.2018, nous contactons les oncologues (Dr. X) afin de définir un nouveau rendez-vous. Le patient sera contacté par le service d'oncologie pour une nouvelle chimiothérapie en principe dans le courant de la semaine du 5 au 9 février. L'évolution clinique étant favorable et en l'absence de récidive d'état fébrile depuis le 28.01.2018, le patient peut rentrer à domicile le 31.01.2018. Monsieur Wirth, un patient diagnostiqué d'un lymphome Hodgkin stade IIB intermédiaire le 21.11.2017, actuellement au J10 d'une chimiothérapie de BEACOPP, est hospitalisé dans le contexte d'une sepsis sur agranulocytose fébrile. Depuis la veille le patient souffre de nausée avec un épisode de vomissement et des douleurs anales. L'examen clinique aux urgences montre un patient de 17 ans en état général diminué avec un index de choc positif, nécessitant un remplissage hydrique étendu. Comme piste infectieuse des douleurs anales et une induration palpable sont constatées. Au laboratoire une agranulocytose et un syndrome inflammatoire important sont confirmés. Le CT abdominal confirme un épaississement rectal sans collection visible, d'autres foyers infectieux ne sont pas mis en évidence. Le frottis en recherche d'une infection de l'Influenza reste négatif.Le patient est isolé, une triple antibiothérapie par Cefepime, Metronidazole et Vancomycine pour couvrir des entérocoques est débutée, la dose de Prednison selon le schéma de chimiothérapie est doublée passagèrement du 17. au 18.01.2018 pendant la phase aiguë de l'infection. Le patient bénéficie d'une hydratation intraveineuse et d'une antalgie. L'évolution clinique et laboratoire est rapidement favorable avec une sortie de l'agranulocytose le 19.01.2018. La lésion anale, encore observée pendant les jours suivants après la normalisation des leucocytes, reste superficielle. La fièvre reste d'origine indéterminée suite aux hémocultures négatives. Le 22.01.2018 le patient se plaint des douleurs thoraciques suite à l'effort physique. Un ECG montre une sous-décalage inférieur et des signes d'une hypertrophie du ventricule gauche. Selon l'avis des cardiologues une échocardiographie est effectuée et permet d'exclure une hypertrophie du ventricule gauche et des signes ischémiques, comme possible origine des signes cliniques on constate un petit épanchement péricardique postérieur pas significatif cliniquement actuellement. Un traitement symptomatique antalgique est mis en réserve. Le patient rentre à domicile le 22.01.2018. La poursuite de la chimiothérapie est planifiée dès le 29.01.2018. Monsieur Wyss est un patient de 77 ans, qui suite à l'hospitalisation de son épouse dans notre service et au vu de l'impossibilité du maintien à domicile seul ainsi que la fragilité de son état, nous l'hospitalisons sur demande du Dr. X. À son arrivée, il présente une dyspnée lors des efforts que nous surveillons, et qui reste inchangée lors de son séjour. Monsieur Wyss bénéficie de séances de physiothérapie régulières. Monsieur Wyss présente également une sensation vertigineuse constante que nous retenons à l'origine des multiples chutes par le passé. Nous diminuons progressivement les antihypertenseurs avec un bon résultat du point de vue du profil tensionnel ainsi que des sensations vertigineuses ressenties par le patient. Au vu d'une augmentation de 6 kg, nous introduisons du Lasix et métolazone avec une perte de poids progressive jusqu'au poids d'entrée dans notre unité et convenons avec vous d'une simplification du traitement antihypertenseur. Nous vous laissons le soin de le suivre en regard et d'ajuster la médication par la suite. Monsieur Wyss se plaint d'une fatigue chronique qui reste stable lors de son séjour. Suite à un contrôle biologique le 29.12.2017 nous constatons la persistance d'une anémie chronique retenue à la base de la fatigue avec le SAOS non appareillé. Au vu de l'évolution favorable et la possibilité d'un retour à la maison de son épouse, Monsieur Wyss quitte notre service le 03.01.2017. Les soins à domicile effectueront un passage par jour pour contrôle de santé, soins de base et gestion de la médication. Monsieur Yerly nous est adressé des urgences de l'HFR Fribourg suite à un probable épisode inaugural d'angine stable le 08.01.2018 et chute avec contusion de la tête humérale droite et fracture de l'os nasal non déplacée. À l'entrée, le patient se plaint d'un nez bouché, d'une légère dyspnée et de douleurs au niveau de l'épaule droite (5/10). Il est en état général légèrement diminué. Nous notons des sibilances diffuses sur toutes les plages pulmonaires. Le patient présente un hématome au niveau du dos du nez, une légère déviation vers la gauche et des croûtes sanglantes des deux côtés (gauche > droit), mais sans hématome du septum nasal (après lavage). La mobilisation de l'épaule droite est limitée par la douleur au niveau de l'antéversion et de l'abduction, sans troubles neurovasculaires associés. Ad diagnostics principal et supplémentaires 2 et 3 L'ECG suite à ce premier épisode d'angor montre un BAV I. Un contrôle des facteurs de risque cardio-vasculaires met en évidence un LDL trop élevé, raison pour laquelle une thérapie par statine à dose modérée est introduite en vue d'un CK et des paramètres hépatiques dans la norme. De plus, un profil glycémique élevé motive l'ajout de Januvia à la médication habituelle par Metformine, permettant une amélioration des valeurs de glucose préprandiale. Pour compléter le bilan cardiologique, M. Yerly profite d'une échocardiographie transthoracique montrant juste une ectasie de l'aorte ascendante, et une ergométrie n'est pas concluante. Selon avis de Dr. X, un traitement par IECA à petite dose est débuté pour compléter la thérapie cardiovasculaire, et une échocardiographie de stress par dobutamine est organisée en ambulatoire. Ad diagnostic secondaire 1 et 4 Le CT de l'épaule permet d'exclure définitivement une fracture. La contusion est traitée par physiothérapie et antalgie avec une bonne évolution clinique. Concernant la fracture du nez, une réduction n'est pas nécessaire selon la consultation ORL. Un test de Schellong revient négatif. Ad diagnostic secondaire 5 Au début du séjour le patient se plaint de douleurs épigastriques, raison pour laquelle un traitement par IPP est introduit. Nous proposons de réévaluer la nécessité de ce traitement dans le futur. Simultanément au traitement de la maladie aiguë nous avons commencé une rééducation gériatrique précoce. À l'entrée, le patient fait les transferts déjà de manière autonome et marche avec une canne. La distance de la marche est par contre limitée à 100 m. À la sortie, il se déplace sans moyens auxiliaires sur une distance de plus de 350 m et peut monter plus de 10 marches d'escalier de manière sûre et autonome. Monsieur Yerly peut regagner son domicile le 19.01.2018 en bon état général. Monsieur Zahnd est un patient de 79 ans, connu pour un status post Bricker en 2014 pour un carcinome urothélial qui se présente aux urgences pour une macrohématurie dans un contexte d'anticoagulation thérapeutique par Xarelto. Après mise en suspens du traitement anticoagulant oral, la macrohématurie se résout rapidement. Un CT scan abdominal permet d'exclure une masse ou autre lésion au niveau du système urinaire. Le Xarelto est repris le 30.12.2017 avec récidive de l'hématurie. Une tentative d'introduction de l'Arixtra, médicament utilisé les premiers mois après le diagnostic de MTEV avec bonne tolérance, se solde également par un échec. Nous discutons alors la pertinence du traitement et décidons, en accord avec le patient et après lui avoir expliqué les risques, d'un arrêt du traitement anticoagulant pour au moins 3 semaines. Les risques et bénéfices de la réintroduction du traitement d'anticoagulation sont à réévaluer à 3 semaines. Monsieur Zazone est une patiente de 92 ans, hospitalisée en chirurgie en électif pour une endofuite de type III par séparation des composants de la jambe droite de l'endoprothèse. Il s'agit d'un patient connu pour une insuffisance rénale chronique sur des reins à fer à cheval, qui est suivi par le Dr. X pour un anévrisme de l'aorte sous-rénale, avec status post endoprothèse aortique et prolongation du jambage à gauche à cause d'une endofuite de type IIa. Une imagerie de contrôle le 06.11.2017 décrit une augmentation du sac anévrismal avec apparition d'une petite fuite de produit de contraste à la phase tardive, faisant évoquer un endoleak probablement de type II ou III, chez un patient parfaitement asymptomatique. Étant donnée l'augmentation de la taille du sac anévrismal et un risque de décollement de l'endoprothèse au niveau du jambage à droite, l'indication à une prise en charge opératoire est posée.Il bénéficie le 16.01.2018 d'une extension du jambage droit de l'endoprothèse sous anesthésie locale. L'opération se déroule sans complications. Les fils ainsi que le pansement doivent être retirés chez le médecin traitant dans une semaine, soit le 23.01.2018. Un angio-CT de contrôle le 18.01.2018 montre une bonne perméabilité du stent sans signes d'endofuites. Une insuffisance rénale chronique motive la mise en place d'un protocole néphroprotecteur en vue de l'angio-CT que le patient refuse initialement. Suite à l'apparition d'une insuffisance rénale aiguë sur chronique en lien avec le produit de contraste et probablement une déshydratation, le patient bénéficie d'une hydratation avec suivi biologique qui montre une amélioration. Un contrôle est à prévoir chez le médecin traitant dans une semaine. Un déficit en vitamine D est mis en évidence, une substitution est effectuée dès le 18.01.2018. Un contrôle est à prévoir chez le médecin traitant par la suite. L'évolution étant favorable, Monsieur Zazone retourne à domicile le 19.01.2018. Un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 21.06.2018. Le patient sera convoqué directement par le service de radiologie pour un angio-CT au préalable. Monsieur Zillweger, patient de 66 ans, fumeur à 70-80 UPA, se présente aux urgences avec une dyspnée progressive depuis 4 semaines associée à une baisse importante de l'état général. Le bilan clinique et paraclinique met en évidence un syndrome inflammatoire avec un foyer infectieux à la radiographie du thorax ainsi qu'une raréfaction du parenchyme pulmonaire. Monsieur bénéficie de plusieurs séances de VNI, d'une physiothérapie respiratoire, d'une oxygénothérapie ainsi que d'un traitement antibiotique par Rocéphine du 10.01.2018 au 17.01.2018, associée à une corticothérapie et à des aérosols. L'évolution clinique est favorable. Monsieur Zillweger est transféré à Billens en réadaptation respiratoire pour suite de prise en charge. De même, une anémie macrocytaire est mise en évidence. Le bilan biologique ne met pas en évidence de carence martiale, vitaminique ou de trouble thyroïdien. De même, l'anamnèse ne révèle pas de consommation de médicaments pouvant induire une anémie macrocytaire. L'anémie est mise sur le compte d'une possible composante éthylique. De plus, une évaluation par l'équipe de nutritionnistes met en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave avec un BMI à 17 kg/m2. Un suivi est mis en place. Monsieur Zouaoui est un patient de 40 ans, connu pour un antécédent de lithiase rénales bilatérale et un status post-lithotripsie à l'hôpital Daler en décembre 2017, qui se présente aux urgences pour des coliques néphrétiques droites. Un uro-CT met en évidence une lithiase dans l'urètre proximal droit de 5 mm, sans dilatation pyélo-calicielle. Le patient est hospitalisé pour une antalgie et l'évolution est favorable sous traitement conservateur, raison pour laquelle le patient peut retourner à domicile le 30.12.2017. Un contrôle à la consultation du Dr. X est prévu (le patient sera convoqué). Monsieur Zukanovic présente les lésions susmentionnées. Nous instaurons dans un premier temps un traitement conservateur avec une genouillère articulée que le patient portera pour une durée de 6 semaines. Il commencera une physiothérapie dans le but de diminuer l'inflammation puis augmenter l'amplitude articulaire et finalement entraîner la musculature stabilisatrice du genou et la proprioception. Nous verrons, suite à la physiothérapie, s'il y a une instabilité résiduelle qui nécessiterait une prise en charge chirurgicale. Le patient reste en arrêt de travail à 100 % jusqu'au 08.02.2018, date de la prochaine consultation. Monuril Monuril dose unique Monuril dose unique 3 g le 29.12.2017 Urotube du 29.12.2017 : flore mixte +++ Monuril en dose unique. Reconsulte si persistance des symptômes et/ou apparition d'état fébrile. Monuril 3 g p.o. le 30.12.2017 Bactrim forte p.o. 2x/j du 31.12.2017 au 03.01.2018 Avis urologie (Dr. X, Dr. Y) : pose SV, rinçage manuel, ablation SV le 08.01.2018 Monuril 3 g le 02.01.2018 puis le 04.01.2018 Urotube négatif Morbus Bechterew (sous Remicade 1 x/mois). Schizophrénie. Troubles mixtes de la personnalité. Morbus Bechterew sous Remicade 1 x/mois (spondylarthrite ankylosante). Schizophrénie. Troubles mixtes de la personnalité. Morbus Bechterew sous Remicade 1 x/mois (spondylarthrite ankylosante). Schizophrénie. Troubles mixtes de la personnalité. Morphine aux 4 heures Ibuprofène Morphine d'office et en réserve Morphine d'office et en réserve Diurétiques Poursuite des traitements aérosols Morphine donnée au tri. Morphine IV Morphine IV aux urgences avec amendement complet des douleurs. Poursuite des traitements habituels par Tramal, motilium et Esoméprazole. Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant. Morphine iv continu Buscopan Morphine sc aux 4 heures Prednisone Morphine 4 heures Bexine en réserve Morphine 5 mg per os aux urgences. Traitement symptomatique. Consultation ambulatoire chez le dentiste (rendez-vous sera pris par le patient). Morsure. Morsure avec dermohypodermite débutante d'évolution favorable. Morsure chat poignet droit le 10.01.2018. Morsure de chat Morsure de chat. Morsure de chat. Morsure de chat à la main gauche Morsure de chat à l'avant-bras droit. Morsure de chat à l'avant-bras droit. Morsure de chat au niveau de la 2ème phalange du pouce de la main droite. Morsure de chat au niveau de la 2ème phalange du pouce droit. Morsure de chat au poignet droit le 10.01.2018. Morsure de chat au poignet droit le 10.01.2018. Morsure de chat avant-bras gauche le 22.01.2018. Morsure de chat inconnu. Morsure de chien au niveau de la cuisse gauche face médiale en 2013. Morsure de chien au niveau de la cuisse gauche face médiale en 2013. Morsure de chien le 09.01.2018. Morsure de loutre au II Dig G Morsure punctiforme superficielle et griffures de chat sur la face antérieure de la cuisse droite. Morsure punctiforme superficielle et griffures de chat sur la face antérieure de la cuisse droite le 11.01.2018 : • status post-exploration à l'aiguille boutonnée et rinçage abondant au NaCl le 11.01.2018. Motif d'entrée Mouvements cloniques du membre supérieur gauche le 12.01.2018 • probablement d'origine musculaire Mouvements dystoniques de la face d'origine indéterminée Mouvements dystoniques vs dyskinétiques (choréiques) sur probable surdosage de Madopar Movicol movicol Movicol en systématique Movicol fixe 2x/j Suivi clinique OK le 22.12. Ad optifibre 1x/j dès le 04.01 Movicol Junior pour 3 mois Contrôle chez le pédiatre dans 1-2 semaines Movicol junior 1-2 sachets / jour Movicol 1 sachet/j jusqu'à contrôle chez Dr. X (dans 5j), si >48h sans selles 2 sachet/j. Contrôle prévu chez Dr. X le 05.02.18. Movicol 1x/j pendant 1 semaine. Contrôle si péjoration ou persistance >3j. Movicol 1x/j pendant 1-2 semaines. Algifor et Dafalgan en réserve. Contrôle si péjoration ou persistance >3j. Movicol 1x/jour. Movicol 1-2 sachets par jour Movicol 3 sachet/j jusqu'à selles, puis 2x/j pendant 1 semaine, puis 1x/j pendant 1 semaine. Contrôle si péjoration ou persistance >2j. Movicol Bilan urinaire Movicol Contrôle chez le pédiatre dans 10-15j Mr. Y âgé de 86 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et dysrythmique, un diabète de type 2 et une HTA, présente depuis le 24.12.17 des douleurs abdominales avec apparition de diarrhées le 25.12.17 diminuant le 26.12 et absence de selles dès le 27.12.2017 avec nouvelles douleurs au flanc gauche. Il consulte son médecin traitant le 28.12.2017 qui l'envoie aux urgences pour suspicion de diverticulite. À noter l'absence de frissons et de fièvre. Aux urgences, le bilan d'entrée met en évidence un léger syndrome inflammatoire. L'examen clinique révèle une sensibilité à la palpation abdominale avec des signes de péritonisme, motivant la réalisation d'un scanner abdominal qui met en évidence un sub-iléus avec discrète distension grêle, quelques niveaux hydro-aériques du flanc droit et de la FID, un saut de calibre en FID, et un iléon distal plat sur les 10 cm avant sa jonction avec la valve iléo-caecale. Le patient a été évalué cliniquement par les chirurgiens aux urgences sans critère pour une hospitalisation en chirurgie, puis hospitalisé en Frailty care pour une surveillance clinique et biologique. L'évolution à l'étage est favorable avec résolution des douleurs abdominales et normalisation progressive du transit intestinal. Le scanner abdominal met en évidence la masse vésicale connue superposable à l'examen scannographique de juillet 2017. Sur le plan biologique, on note une acutisation de l'insuffisance rénale avec créatinine aux alentours de 200 mcmol/l, motivant la mise en suspend du traitement d'Entresto et de Janumet, permettant une amélioration de la fonction rénale à 160 mcmol/l. Dans ce contexte, avec bon profil tensionnel et au vu d'une FEVG à 30% selon rapport cardiologique, nous ne réintroduisons pas l'Entresto mais poursuivons le Comilorid et le Torasemide, et vous laissons le soin ainsi qu'au Dr. X, cardiologue traitant qui nous lit en copie, de réévaluer le traitement cardiologique à distance. Sur le plan diabétique, nous laissons le Janumet en suspend et vous proposons de doser une HbA1c dans un délai de 3 mois afin d'évaluer la nécessité d'un traitement. Le patient peut donc rentrer à domicile le 04.01.2018. Mr. Y nous est transféré depuis le service d'oncologie de l'hôpital de l'Ile le 24.01.2018. Pour rappel, ce patient avait été hospitalisé début novembre en raison d'un état de mal épileptique, dont la cause s'est avérée être un lymphome cérébral. Après stabilisation du patient, une chimiothérapie avait pu être débutée (2 cycles à ce jour). La poursuite du traitement dépend des résultats d'un IRM cérébral prévu mi-février à Berne. Le patient avait initialement été annoncé par téléphone à Dr. X pour une neuroréhabilitation intensive. Après consultation du dossier et examen du patient, il est toutefois décidé de le prendre en charge dans le service de gériatrie aiguë. A l'entrée, le patient est calme mais somnolent, désorienté dans les trois modes. Il n'émet pas de plaintes spontanées, mais concède des douleurs fluctuantes à la tête, difficilement caractérisables, des difficultés récentes avec la mémoire à court terme et avec la parole (ne trouve plus ses mots, peine à articuler avec "cheveu sur la langue"). A également une jambe droite "plus faible". Aurait des lunettes, mais voit mal actuellement. L'anamnèse par système (cardio-pulmonaire, urogénital, digestif) ne révèle rien de particulier. La consommation de tabac et nicotine est impossible à déterminer vu la désorientation temporelle. À l'auscultation, le rythme cardiaque est régulier (80/min) mais l'on entend un dédoublement de B2. On ne dénote aucun souffle sur les foyers cardiaques ou aux carotides, mais un souffle paraombilical D>G et fémoral G. Le pouls est palpé au niveau radial, tibial postérieur et dorsal du pied ddc. Les plages pulmonaires sont libres, avec MVS. Le ventre est souple et indolore, avec bruits légèrement diminués en fréquence; pas de douleurs à la percussion des loges rénales. Le statut neurologique montre un visus proche de 0 ddc (lunettes introuvables), l'oculomotricité est difficile à tester (somnolence), avec doute sur difficulté au regard vers la droite. L'examen du reste des nerfs crâniens est dans les limites de la norme. On note une faiblesse à droite (M3 au MS et M3- au MI, contre M4 et M3 à droite), ainsi que des réflexes abolis aux MI. Un bilan logopédique a lieu, autorisant la prise de médicaments broyés dans du yogourt. Il est toutefois décidé de poursuivre la nutrition parentérale pour le moment. Le soir du 24.01.2018 et durant la nuit du 25.01.2018, le patient présente des phases d'agitation avec agressivité verbale et physique. Des mesures de contention (ceinture abdominale) sont nécessaires pour éviter une chute, en plus de l'administration de réserves d'Haldol (1 mg le soir du 24.01.2018 et doses de 0,5 mg le 25.01.2018). Ne disposant pas de Vimpat (Lacosamid) sous forme iv en suffisance, la dose du 25.01.2018 est donnée per os, à la même posologie. De plus, la dose de Fluconazol po prévue pour jeudi 24.01.2018 est repoussée au lendemain, également faute de stock. Le 25.01.2018, une agranulocytose est constatée au laboratoire (leucocytes à 0,3 G/l, différentiel suit). Le patient reste afébrile et ne présente cliniquement pas de foyer infectieux. Cette complication nécessite un isolement et une intensification des soins excédant les capacités de notre service. Ceci, combiné à l'alternance de somnolence et d'extrême agitation rendant toute mesure de réhabilitation impossible, nous conduit à retransférer Mr. Y à l'Hôpital de l'Ile le jour même pour la suite de la prise en charge aiguë. Si son état venait à drastiquement s'améliorer, et qu'une neuroréhabilitation pouvait être entreprise, nous nous tenons volontiers à disposition pour peu qu'une garantie de remboursement ait été obtenue. Mr. Y, patient de 69 ans polymorbide et institutionnalisé suite à un AVC hémorragique en 2004, est hospitalisé pour la prise en charge d'une bronchite asthmatiforme. Il présente une dyspnée et une orthopnée durant la nuit du 25 au 26.12.2017. L'évolution est défavorable malgré les aérosols et le traitement antibiotique de Céfuroxime prescrit par le médecin traitant, raison pour laquelle il est amené en ambulance aux urgences le 29.12.2017. Le bilan biologique montre un faible syndrome inflammatoire, ainsi qu'une hypercapnie à la gazométrie. La radiographie thoracique montre un infiltrat interstitiel diffus ainsi qu'un émoussement du récessus diaphragmatique gauche, évoquant une décompensation cardiaque. Cependant, cette dernière est exclue au vu des enzymes cardiaques dans la norme.Nous retenons le diagnostic d'une bronchite asthmatoïde et l'évolution est favorable avec des séances de VNI, la majoration des aérosols et l'introduction de Pulmicort. À noter que le frottis pour la grippe revient positif pour l'Influenza B, raison pour laquelle il est mis en isolement durant quelques jours. Au vu de la bonne évolution, le patient peut rejoindre son foyer le 02.01.2018. Mr. Y est adressé aux urgences le 09.01.2018 en raison de douleurs abdominales avec troubles de l'état de conscience. Pour rappel, le patient a été traité pour une pneumonie par Co-amoxicilline pendant une semaine jusqu'au 02.01.2018. À l'admission, Mr. Y est stuporeux et difficilement réveillable. Les examens radiologiques et le bilan biologique écartent une pathologie abdominale malgré les plaintes initiales du patient. L'ultrason cardiaque aux urgences met en évidence une dysfonction cardiaque terminale avec une FEVG effondrée et le CT thoracique des épanchements pleuraux bilatéraux importants. Au vu de ce tableau clinique et du contexte médical global, notamment l'absence de réversibilité évidente, nous effectuons, après discussion avec le curateur de portée générale et en respect des directives anticipées du patient, un passage à des soins de confort. Dans ce contexte, nos collègues des soins palliatifs participent à cette prise en charge. Mr. Y décède le 13.01.2018 d'une insuffisance respiratoire. Aucune autopsie n'est demandée par les proches. Mr. Y sera revu en contrôle le 26.01.2018 à la policlinique d'ORL. Mr. Y, un patient de 77 ans, est admis le 27.01.2018 aux soins intensifs pour un NSTEMI. Il est connu pour une maladie coronarienne avec six stents posés en Turquie, un tabagisme actif et obésité. Il est amené par son fils en raison de l'apparition de douleurs thoraciques typiques vers 17h ce jour. Aux urgences, l'ECG est dynamique avec ondes T biphasiques dans les territoires antéro-latéraux (V2-V4 et I-aVL) lors des douleurs, puis normalisation complète en l'absence de douleurs. Le patient est chargé en aspirine, Efient et héparine puis est transféré pour coronarographie qui met en évidence une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CX et CD), traité par des stents. La FEVG est conservée. La surveillance aux soins intensifs ne montre pas de complications. Le point de ponction est calme. Une insuffisance globale est traitée par des bolus de diurétiques. Une échographie transthoracique est encore à effectuer. On diagnostique un nouveau diabète avec un HbA1c à 6.8. Un traitement par antidiabétiques est à introduire. Il est transféré en médecine le 28.01.2018 pour suite de prise en charge. Mr. Y, 17 ans, a été admis aux soins intensifs le 07.01.2017 pour des crises épileptiques de type absence. Il est connu pour des crises épileptiques partielles complexes secondairement généralisées en 2015. Il a présenté dans son foyer trois épisodes d'absences avec un quatrième épisode aux urgences. Lors de la surveillance aux soins intensifs, aucune récidive n'a été observée. Un EEG montre un foyer épileptique temporo-pariétal droit, légèrement en augmentation par rapport au comparatif de décembre 2017. Le traitement habituel par Keppra est complété par de l'Urbanyl jusqu'à la réévaluation par Dr. X qui suit habituellement le patient. La concentration plasmatique de Keppra a été déterminée (en cours) lors de l'arrivée du patient en raison de diarrhées les jours précédant l'hospitalisation et qui auraient pu mener à une malabsorption du médicament. Le patient est transféré dans le service de médecine interne le 07.01.2018. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire sévère le 23.01.2018. Patient de 66 ans hospitalisé depuis le 22.01.2018 en médecine interne pour un sepsis sur une pneumonie dans le contexte d'une grippe traitée par Tamiflu et Co-amoxicilline. Durant l'après-midi du 23.01.2018, il présente une détresse respiratoire sur un œdème aigu du poumon nécessitant une intubation et son transfert aux soins intensifs. L'évolution est rapidement favorable sous pression positive et diurétiques, permettant une extubation le lendemain. Il bénéficie par la suite de physiothérapie respiratoire et VNI intermittente. Une échocardiographie à l'entrée montre une dysfonction sévère sans troubles de la cinétique segmentaire, probablement dans le contexte septique. Une deuxième échocardiographie le 29.01.2018 montre une amélioration de la fonction cardiaque mais une insuffisance mitrale sévère secondaire. Une nouvelle échocardiographie sera à prévoir à distance. Une hypertension artérielle réfractaire nécessite une adaptation du traitement habituel du patient. Les IEC seront à reprendre en fonction de l'évolution de la fonction rénale. Il présente une insuffisance rénale aiguë, probablement mixte cardiorénale, puis secondaire à une hypovolémie suite aux diurétiques et dans le contexte septique. L'évolution est stagnante et la suite de la prise en charge sera évaluée avec les néphrologues chez ce patient connu pour une insuffisance rénale chronique probablement d'origine diabétique et hypertensive avec une protéinurie importante. En raison de troubles de la déglutition post-extubation, il nécessite une alimentation par sonde naso-gastrique. L'évolution favorable permet de reprendre une nutrition normale le 29.01.2018. Le patient est transféré le 29.01.2018 dans le service de médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive avec une FEVG à 36% au bénéfice d'un défibrillateur depuis 2008 ainsi que sous anticoagulation par Sintrom qui est transféré le 20.12.2017 du service de médecine interne Fribourg pour une neurologie intensive en raison d'hémorragies cérébrales multiples post-traumatiques dans le contexte d'une syncope. L'étiologie de la syncope est peu claire. En raison d'un EEG suspect, un traitement anti-épileptique (Keppra) est introduit dont la poursuite sera réévaluée après un EEG de contrôle auprès du neurologue traitant. Bien qu'une étiologie cardiaque ne puisse être exclue vu le contexte du patient, aucun élément concret n'est mis en évidence au bilan réalisé dans le service de médecine interne de l'HFR. Pour rappel, le patient a présenté une syncope avec perte de connaissance le 03.12.2017. Concernant le saignement cérébral, le patient bénéficie de Konakion et d'une mise en suspens du Sintrom. L'interrogation du défibrillateur interne du patient ne met pas de troubles du rythme en évidence et l'appareil fonctionne de façon correcte. Monsieur Y est originaire du Kosovo, vit en Suisse depuis 1978, il vit avec sa femme dans un appartement au rez-de-chaussée à Châtel-Saint-Denis. Il a 3 filles, dont 2 qui habitent dans la même ville. Actuellement à la retraite, il travaillait dans la construction et conduit encore. À l'entrée, le patient se plaint d'un manque de force et d'un déconditionnement global avec dyspnée à l'effort. L'examen neurologique d'entrée démontre une instabilité à la marche avec l'impossibilité d'exécuter une marche en funambule. À noter également une dysdiadochokinésie bilatérale et une dysmétrie à l'épreuve doigt-nez bilatérale plus marquée à gauche. Il y a également une hypoesthésie subjective du dos de la main (connue depuis longtemps suite à une fracture du poignet droit) avec conservation de la discrimination du toucher/piquer. Les nerfs crâniens, le Romberg, les réflexes cutanéo-plantaires, la force, la sensibilité, les réflexes ostéo-articulaires, l'épreuve des bras tendus, la marche sur les talons et les pointes sont sans particularité. Au niveau fonctionnel à l'entrée, Mr. Y est indépendant pour les transferts, la marche et pour montrer les escaliers avec l'aide de la rampe. Il bénéficie d'une neuroréhabilitation intensive et participe avec beaucoup de motivation. À la sortie, il est indépendant pour toutes ces activités sur de longues distances. L'endurance s'est beaucoup améliorée. Le test de Checodke des activités est à 100/100 (avant 81/100). Au test des 6 minutes, il fait 499 m (avant 220 m). Le BBS est à 55/56 (avant 50/56). Sur le plan ostéo-articulaire, le patient se plaint de douleurs à l'épaule et au poignet droit. À noter qu'il a souffert d'une fracture du poignet droit en été 2017 avec traitement conservateur. Sur le plan clinique, le poignet est douloureux et la mobilité est réduite. Un traitement de physiothérapie et d'ergothérapie ambulatoire pour le poignet droit est donc proposé. La capacité de conduire sera réévaluée à la consultation de contrôle avec le Dr. X compte tenu des plaintes cognitives et des difficultés de concentration du patient que nous n'avons pas davantage investiguées. Le CT cérébral du 03.01.2017 ne met pas en évidence de nouvelle lésion et principalement pas de récidive d'hémorragie. Après discussion avec les cardiologues, l'anticoagulation thérapeutique peut être reprise dès le 04.01.2018. Un relais par Sintrom pourra être effectué en ambulatoire dès que possible par le médecin traitant. Mr. Y peut rentrer à domicile le 06.01.2018. Il bénéficiera dans un premier temps d'aide à domicile 1x/jour pour l'administration de la Fraxiforte. Mr. Y, 71 ans, connu pour diabète de type I, et une AOMI stade IV des 2 membres inférieurs, est hospitalisé pour infection des plaies des hallux des deux côtés, sans état fébrile. Le patient décrit une claudication du mollet gauche nouvelle depuis quelques semaines à la marche, d'apparition progressive. Au bilan, nous trouvons un syndrome inflammatoire élevé. Une radiographie des pieds révèle une ostéomyélite au niveau du pied G. L'IRM nous permet de confirmer une ostéomyélite dans les phalanges distales de l'hallux et une fracture de la phalange proximale à gauche. Nos collègues angiologues et orthopédistes proposent de d'abord faire un bilan angiologique des membres inférieurs et une revascularisation avant une possible amputation. Le bilan angio et la revascularisation du MIG ont lieu le 14.12.2017. L'angiographie met en évidence un statut après stenting de l'artère iliaque commune sans particularité, mais elle révèle également la présence d'une sténose significative au niveau du tiers moyen de l'artère iliaque externe et la présence d'importantes sténoses au niveau de la portion proximale de l'artère fémorale commune. Le contrôle après angioplastie est tout à fait satisfaisant avec une disparition des sténoses précédentes. Au niveau du membre inférieur gauche, l'examen montre de multiples sténoses pluri-étiquetées au niveau de l'artère fémorale superficielle ainsi que la présence de multiples sténoses sur le reste du réseau artériel ; une angioplastie au ballon actif est réalisée sur toute l'artère fémorale superficielle suite à laquelle on constate une nette amélioration au niveau proximal et moyen avec toutefois une persistance de la sténose au niveau distal. Le résultat final montre une nette amélioration de la vascularisation du tronc tibio-péronier et de l'artère fibulaire. Cette amélioration et la présence de collatérales rendent probable une bonne cicatrisation ce qui permet une amputation de l'hallux G le 19.12.2017 puis des phalanges distales des orteils 1 et 2 à droite le 22.12.2017. La cicatrisation est favorable à D, mais la plaie G nécessite une reprise le 22.12.2017 ainsi que la pose d'un VAC le 06.01.2018. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie post-opératoire par co-amoxicilline dès le 19.12.2017, arrêt à réévaluer selon l'évolution clinique. Le patient est connu pour un diabète de type 1 et fait des hyperglycémies malgré son traitement de base, il a une augmentation de l'hémoglobine glyquée à 7.7 % ; nous majorons avec nos collègues diabétologues, avec un bon résultat. Vu la bonne évolution de la clinique infectieuse, le patient est transféré dans le service d'orthopédie pour la suite de la prise en charge le 09.01.2018. Mr. Y consulte aux urgences le 26.01.2018 suite à une baisse d'état général, avec des diarrhées et perte de force depuis quelques jours. Aux urgences, des troubles électrolytiques sévères sont mis en évidence (hypokaliémie à 1.9 mmol/l avec répercussion ECG, hypophosphatémie, hypomagnésémie, hypochlorémie) nécessitant un séjour aux soins intensifs pour surveillance, puis à l'étage de Médecine. Les troubles électrolytiques se corrigent rapidement sous substitution intraveineuse et per os. L'introduction récente de Metolazone, accompagnée d'une diarrhée à domicile, semble être les facteurs étiologiques les plus probables. À noter que le patient a présenté la même symptomatologie en novembre dernier mise sur le compte d'un autre diurétique. De plus, au vu de la récidive, une possible composante médicamenteuse sur IPP pourrait être évoquée. Nous maintenons le médicament en suspens et vous laissons le soin d'évaluer sa réintroduction à distance. À noter également des myoclonies diffuses généralisées d'origine indéterminée, également présentes lors de la dernière hospitalisation. Des investigations neurologiques n'avaient pas mis en évidence de cause centrale (CT, EEG) et les myoclonies s'étaient résolues après correction électrolytique. Un diagnostic différentiel de myoclonies sur Prégabaline avait également été évoqué et cette dernière mise en suspens depuis. Dans le contexte actuel, une origine métabolique sur troubles électrolytiques semble la plus probable. Sur le plan rhumatologique, une goutte du talon gauche est suspectée le 28.01.2018 et nous introduisons un traitement de colchicine avec une évolution initiale favorable. Toutefois, après avis du Dr. X ainsi qu'un dosage de l'acide urique, nous ne maintenons pas ce diagnostic et mettons en suspens le traitement chez un patient présentant une stabilité clinique. Nous vous laissons le soin d'évaluer la symptomatologie au décours. Après résolution des troubles électrolytiques (hormis une hypomagnésémie persistante) et une évolution clinique favorable, nous laissons le patient rentrer à domicile avec une poursuite des substitutions per os et un contrôle prévu chez le Dr. X à une semaine. Mr. Y, 84 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique, est hospitalisé le 06.01.18 pour une décompensation cardiaque globale dans le contexte d'une fibrillation auriculaire nouvelle ainsi que suite à l'arrêt de son propre chef de son traitement par IEC et Torem en raison d'une mauvaise tolérance avec hypotension orthostatique.Un traitement par Furosémide intraveineux est initié puis un relais per os par Torasemide est instauré au vu d'une bonne évolution clinique. Un ECG met en évidence une fibrillation auriculaire nouvelle et l'interrogation du pacemaker confirme l'apparition d'une FA depuis le 01.01.2018. Une anticoagulation par Xarelto est introduite. L'aspirine cardio est mise en suspens et le Clopidogrel poursuivi. Une échocardiographie ne met pas en évidence de lésion nouvelle mais laisse suspecter une lésion ischémique d'une coronaire droite dominante au vu de la baisse de la fonction et de l'hypokinésie du ventricule gauche. Sur avis cardiologique (Dr. X), nous vous proposons une cardioversion à 3 semaines puis de discuter l'indication à une CRTP selon l'évolution. En présence d'une insuffisance rénale, probablement chronique, nous réintroduisons prudemment le Lisinopril, sans récidive d'hypotension. A noter que Mr. Y présente un rash morbiliforme sur le tronc et les cuisses, non-prurigineux, suite aux premières injections de Lasix. Nous suspectons une réaction allergique et remplaçons le Lasix par Torem avec bonne évolution des lésions. Nous vous proposons un contrôle allergologique à distance de l'épisode aigu. Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.01.18 avec un rendez-vous prévu chez le Dr. X dans la semaine suivante. MSD : • Syndrome du canal carpien à droite. • Tendinite de De Quervain droite. • Tendinite du flexor carpi radialis droit. • Syndrome des supinateurs à droite. • Epicondylite radiale droite. • Surpoids et trouble de la statique (probablement dans le contexte d'une poitrine forte) MSD : • syndrome de tunnel carpien • épicondylopathie humérus ulnaris Mucite dans contexte oncologique post-chimiothérapie en août 2017 Mucite généralisée post-chimiothérapie Mucite, grade 2 • sur chimiothérapie Mucite surinfectée à C. albicans et probable VHS Muguet buccal Muguet buccal Multidisciplinaires geriatrics Basisassessment: Aufnahme-Assessment Mobilité (Tinetti) 7/28 avec Rollator Selbsthilfe FIM (Mot./Kogn.) 46/25 MMS/CLOCK 26/30 - 3/7 GDS 1/15 Soz. Ass. (5-stufig) 11.12.2017 TEAM-Sitzung 1 12.12.2017 TEAM-Sitzung 2 19.12.2017 TEAM-Sitzung 3 27.12.2017 TEAM-Sitzung 4 03.01.2018 TEAM-Sitzung 5 09.01.2018 Entlassungs-Assessment Mobilité (Tinetti) 7/28 avec Rollator Selbsthilfe FIM (Mot./Kogn.) 59/28 Rx Thorax (03.01.2018) : En comparaison au 27.12.2017 légère augmentation de la volume du lobe moyen droit et baisse du volume de la consolidation alvéolaire dans le segment latéral du lobe moyen maintenant avec une forme arrondie. Autres segments pulmonaires ventilés normalement. Taille du cœur et circulation pulmonaire dans la normale. Hile et médiastin sans anomalie. Peu de pleurésie à droite. Multifactorielle perturbation du mouvement du haut du corps et déséquilibre chez : • Aiguë douleur exacerbée le 07.12.2017 à cause d'une hémarthrose à l'épaule gauche suite à un surmenage et une déviation de l'INR • connue omarthrose à gauche avec déchirure irréparable de la coiffe des rotateurs, ED 02/2016 • 07.12.2017 CT-Thorax Angio : Pas de preuve de dissection aortique ou d'un autre corrélat pour la clinique • 08.12.2017 Radio épaule gauche : Légère subluxation inférieure et latérale de la tête humérale gauche, probablement avec un gros épanchement articulaire. Changements dégénératifs prononcés, cependant, radiologiquement conventionnel pas de fracture délimitée • 12.12.2017 ponction d'épaule : Hémarthrose, microbiologiquement pas de croissance bactérienne, pas de preuve de cristaux • État après fracture humérale sous-capitale droite le 18.10.2017 • traitement conservateur • 08.12.2017 Radio épaule droite : Dans une position de pression et d'inclinaison postérieure, consolidation de fracture sous-capitale humérale droite avec un espace de fracture encore bien délimitable et élévation de l'épaule. • 18.12.2017 Radio épaule droite (après chute avec contusion à l'épaule droite) : Connu comme fracture humérale sous-capitale impactée droite en position stationnaire. Élévation de la tête humérale stationnaire (ACHD 4 mm). Arthrose glénohumérale modérée et arthrose avancée de l'articulation acromio-claviculaire. Multiparitée Multiparitée Multiparitée Multiparitée Multiparitée Multiparitée Multiparitée Multiples contusions. Multiples adénopathies hilaires et médiastinales de découverte fortuite le 19.06.2017 Multiples anévrismes cérébraux Polykystose hépatique-rénale autosomique dominante Hypertension artérielle Épanchement péricardique minime d'origine indéterminée le 21.11.2017 • échocardiographie le 22.11.2017, 30.11.2017 et 14.12.2017 (Dr. X et Dr. X) multiples bronchites (plusieurs hospitalisations). Ancien prématuré de 31 0/7 (a une sœur jumelle). Multiples calculs rénaux. Multiples calculs rénaux bilatéraux. Multiples contusions : • Épaule droite. • Hanches des deux côtés. • Genoux des deux côtés. Multiples contusions sur chute à ski avec : • douleur paravertébrale bilatérale de colonne cervicale • douleur à la palpation des apophyses épineuses D5-L5 • douleur à la palpation de la crête iliaque bilatéralement Multiples crises d'angoisse avec convulsions, non datées. Statut post-intoxication médicamenteuse par Trittico 600 mg, Temesta 1 mg, Dafalgan 3 g, non datée. Multiples décompensations / surinfections de BPCO stade IV Insuffisance respiratoire hypoxémique plurifactorielle sur : • emboles de ciment pulmonaires (hilaire D et LSD), intra-cardiaques (artère pulm. D et au travers de la valve tricuspide) et para-vertébraux D post-cyphoplastie le 07.12.2016 • exacerbation de BPCO de stade IV selon GOLD (VEMS 43% avec pO2 7.7 kPa) avec composante emphysémateuse sévère • broncho-spasmes sévères intermittents et atelectasies post-opératoires. Fracture pathologique de D11 type A1 et une ancienne fracture de D12 type A1 : • cyphoplastie bipédiculaire de D11 par système Spine Jack 5.0 • cimentage par Cohésion 3.66, vertébroplastie bipédiculaire de D12 par Cohésion 2cc et biopsie osseuse de D11 le 17.10.2016 • biopsie osseuse de D11 (17.10.2016) : remaniement osseux compatible avec une zone de fracture en voie de consolidation. Tendinite du fascia lata gauche le 27.12.2016. Notion de tuberculose dans l'enfance. Multiples déficits vitaminiques et électrolytiques • Hypomagnésémie, hypovitaminose D, hypocalcémie, hypokaliémie Multiples dermabrasions : • 2 dermabrasions superficielles ulnaires proximales, en face postérieure, sur 5 cm et 3 cm de grand axe • dermabrasion millimétrique de l'articulation métacarpophalangienne en face postérieure du 5ème doigt gauche • dermabrasion de 1 cm au niveau du coude droit, en face postérieure dermabrasion de 0.5 cm au niveau de la face postérieure ulnaire de la phalange moyenne de l'index gauche. Multiples dermabrasions : • 2 dermabrasions superficielles ulnaires proximales face postérieure sur 5 cm et 3 cm de grand axe. • dermabrasion millimétrique de l'articulation métacarpophalangienne, face postérieure du 5ème doigt gauche. • dermabrasion de 1 cm au niveau du coude droit, face postérieure. • dermabrasion de 0.5 cm au niveau de la face postérieure ulnaire de la phalange moyenne de l'index gauche. Multiples embolies pulmonaires en mars 2011 Thrombose occlusive des veines iliaque, fémorale et poplitée gauches en mars 2011 Ulcère oesophagien et gastrite antrale de probable origine peptique en mars 2011 Sténose peptique oesophagienne avec vomissements à répétition sur oesophagite de reflux : • dilatation endoscopique le 04.02.2009 au ballonnet (calibre oesophagien passant de 8 à 12 mm) Crise d'épilepsie inaugurale le 11.11.2008 Hémorragie digestive haute sur érosions oesophagiennes multiples le 18.09 et le 01.10.2012 sous anticoagulation thérapeutique sur reflux gastro-oesophagien • dénutrition • atteinte toxique alcoolique possible Thrombose de la veine poplitée gauche le 23.09.2012 Fracture/tassement split A2.3 L3 le 11.10.2008 : • Cyphoplastie L3 le 14.10.2008 (Dr. X) avec fuite musculaire paravertébrale de ciment Fracture/tassement vertébral D7-D11 sur chute pendant une crise d'épilepsie : • Cyphoplastie D7 des 2 côtés, D8 droite, D9 gauche, D10 à droite et D11 à gauche le 14.01.2009 (Dr. X) Fracture clavicule Fracture poignet AVP piéton/voiture à faible cinétique le 20.02.2017 avec : • TC sans PC, pas d'hémorragie intracrânienne • Fracture nez pluri-fragmentée déplacée • Fracture col de la mandibule gauche avec luxation ATM, opérée le 24.02.2017 • Fracture crête iliaque gauche plurifragmentaire, traitée conservativement • Fracture côtes 2 à 6 gauche avec pneumothorax au contact de la côte <1 cm • Fracture épineuse de C5 et S1, traitée conservativement • Minime pneumothorax gauche infra centimétrique, traitée conservativement • Lésions micronodulaires champ pulmonaire droit (DD : contusion pulmonaire, néoplasie) Dermohypodermite sur surinfection d'ulcères veineux chroniques des membres inférieurs le 02.12.2017, traitée conservativement Multiples entorses de cheville à droite. Multiples entretiens inter-disciplinaires (soutien à Mr. Y et à son épouse) Changement et diminution des benzodiazépines Introduction de risperidone Multiples épisodes de tachycardie : • 21.11.2017 : tachycardie non sinusale supraventriculaire régulière, DD flutter atypique vs rythme jonctionnel • 27.11.2017 : passage en FA unique avec HAS-BLED 3 et CHA2DS2-Vasc à 2 points Multiples escarres sacrées Multiples fractures Multiples fractures de l'arc latéral des côtes droites d'origine traumatique le 01.01.2018 • possiblement ancienne (indolore, chute sur le côté gauche) Multiples fractures du pied gauche avec ostéosynthèse en 2008. Appendicite perforée avec abcès et péritonite en février 2015. Éventration cicatrice de laparotomie sous-ombilicale le 01.08.17 avec iléus grêle. Réduction herniaire et cure d'éventration par filet selon Rives en août 2017. Embolies pulmonaires centrales bilatérales post-opératoires en août 2017. Trouble de la vigilance d'origine toxico-métabolique (toxique sur héroïne, benzodiazépines et cannabis, sepsis, rhabdomyolyse) en septembre 2017. Pneumonie bilatérale de bronchoaspiration en septembre 2017. Multiples hernies discales. Hypothyroïdie substituée BPCO stade II selon GOLD Maladie coronarienne tritronculaire Insuffisance aortique modérée Multiples interventions au niveau du dos Boursite septique à Staphylococcus aureus olécrane droit avec boursectomie le 10.04.2015 Multiples interventions aux orteils à droite Suspicion d'iléus paralytique le 26.12.2012 Lombalgies aiguës non datées Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche en juin 2015 Multiples kératoses actiniques. Épisode de lombosciatalgie droite. Hypertrophie prostatique. Polymyalgia rheumatica il y a 3 ans, sevrée puis réintroduction de Calcort 30 mg le 20.01.2015 pour exclure une détérioration de sa dyspnée par cette affection. BAV 1er degré avec des passages en bloc du 2ème degré type Mobitz I. Multiples lésions de la substance blanche à prédominance sous-corticale probablement dans le contexte d'une leuco-araïose Fazekas grade I Multiples lésions de morsure aux avant-bras des 2 côtés le 26.07.2014. Multiples opérations de résection d'un carcinome urothélial par le Dr. X à l'Hôpital Daler Multiples opérations orthopédiques Multiples pancréatites dans le cadre de déficit en lipoprotéine lipase, dernier épisode en 2015 Cholécystectomie en 2002 Otite moyenne perforée gauche sur état grippal en 03.2015 Multiples pancréatites dans le cadre de déficit en lipoprotéine lipase, dernier épisode en 2015. Cholécystectomie en 2002. Otite moyenne perforée gauche sur état grippal en 03.2015. Contamination du Port-à-Cath à droite à Staphylocoques hominis • sous traitement par Co-Amoxicilline depuis le 27.12.2017 • ablation du PAC. Multiples plages de rehaussement aspécifiques du parenchyme hépatique sur probable malformation vasculaire • découverte fortuite au CT du 07.01.2018 • DD : malformation vasculaire, hémangiome, tumoral Multiples plages de rehaussement aspécifiques du parenchyme hépatique sur probable malformation vasculaire • découverte fortuite au CT du 07.01.2018 • DD : malformation vasculaire, hémangiome, tumoral Multiples plages de rehaussement aspécifiques du parenchyme hépatique sur probable malformation vasculaire • découverte fortuite au CT du 07.01.2018 • diagnostic différentiel : malformation vasculaire, hémangiome, tumoral Multiples plaies au niveau de la main gauche. Multiples plaies de scarification au niveau de la face postérieure de l'avant-bras droit le 18.01.2018. • dont une de 4 x 0.1 cm et une 5 x 0.2 cm. • Tétanos à jour. Multiples plaies des pieds avec mal perforant gauche connu depuis le 05.12.2017, escarre talon gauche, plaies unguales des hallux bilatéralement depuis le 13.01.2018 • Traitement par Clarithromycine du 16 au 22.11.2017 • Clindamycine du 16.11.17 au 26.11.17 pour mal perforant du pied gauche débutant • Suivi Dr. X • Syndrome inflammatoire biologique chronique (CRP stable à 50 mg/ml) • IRM le 05.12.2017 : pas d'ostéomyélite • Avis orthopédique Dr. X/ Dr. X : Pas d'option orthopédique d'emblée, pas d'antibiothérapie nécessaire • Avis infectiologique (Dr. X) Multiples plaies des pieds avec mal perforant gauche connu depuis le 05.12.2017, escarre talon gauche, plaies unguales des hallux bilatéralement depuis le 13.01.2018 • Traitement par Clarithromycine du 16 au 22.11.2017 • Clindamycine du 16.11.17 au 26.11.17 pour mal perforant du pied gauche débutant • Suivi Dr. X • Syndrome inflammatoire biologique chronique (CRP stable à 50 mg/ml) • IRM le 05.12.2017 : pas d'ostéomyélite • Avis orthopédique Dr. X/ Dr. X : Pas d'option orthopédique d'emblée, pas d'antibiothérapie nécessaire • Avis infectiologique (Dr. X) Multiples transfusions sanguines au Congo dans l'enfance. Mutation du facteur V Leiden avec antécédents de thromboses Mutation hétérozygote du Facteur V Leiden avec :• Médicaux: Status post 3x TVP mollet gauche en 2002 (sous pilule)/2004 (pilule)/2008 • Lésions substance blanche à l'IRM en janvier 2015: séquellaires de thrombose (données anamnestiques) • Mutation hétérozygote facteur V Leiden • Mutilation génitale de type I. • Mutilation génitale féminine type I • Mya a été hospitalisée dans un contexte d'intoxication alcoolique aiguë, avec trouble de conscience. Elle a nécessité une perfusion de NaCl 0.9 pendant 12h. Les contrôles neurologiques effectués régulièrement ont mis en évidence une amélioration spontanée du trouble de conscience. Au moment de la sortie, elle présente un status neurologique en ordre. Au vu de la conduite à risque, l'anamnèse est reprise et met en évidence une situation familiale complexe, avec des parents séparés. Mya vivait avec sa mère jusqu'en septembre dernier, où elle a demandé à vivre chez son père dans le cadre d'un conflit fréquent entre la mère et la fille. Elle a néanmoins une relation de confiance avec sa mère, qui est présente au lendemain de son hospitalisation et avec qui elle a pu rediscuter des risques relatifs à l'abus d'alcool. Elle n'a pas d'autre conduite à risque en dehors de la consommation occasionnelle d'alcool ou de tabac. Elle n'a pas d'idées noires. Elle est critique envers sa conduite et dit avoir compris les dangers relatifs à l'alcool. Dans ce contexte, nous proposons un suivi ambulatoire en pédopsychiatrie, le Dr. X est contacté et suivra Mya suite à sa sortie. Au vu de la bonne évolution, Mya peut rentrer à domicile le 01.01.2018. • Myalgies. • Myalgies - Toux - Fièvre. • Myalgies - Toux - Fièvre. • Myalgies à la suite d'un effort physique. • Myalgies, asthénie et toux. • Myalgies des membres supérieures droits. • Myalgies des muscles adducteurs bilatéraux DD: sur exercice physique, sur statines • Myalgies des trapèzes et dorsales diffuses dans un contexte d'infection des voies respiratoires supérieures. • Myalgies diffuses. • Myalgies diffuses, suspicion de Pseudo-polyarthrite rhizomélique le 24.01.2018. • Myalgies d'origine non déterminée. Idées suicidaires + tentamen • Myasthénie gravis (sous Prednisone et Cellcept). • Mycose • axillaire gauche • de la vulve • Mycose au niveau des plis inguinaux et sus-pubien le 15.01.18 • Mycose au niveau des plis inguinaux et sus-pubien le 15.01.2018 • Mycose au niveau d'une pli cutané suspubien. • Mycose au pied droit surinfectée. • Mycose buccale • Mycose buccale le 05.01.2018 • Mycose buccale le 24.01.2018 • Mycose des cuisses et au niveau génital le 23.11.2017 • Mycose du siège • Mycose du siège • Mycose génitale • Mycose inguinale • Mycose inguinale le 06.01.2017 • Mycose inguinale le 23.12.2017 • Mycose inguinale le 23.12.2017 • Mycose interdigitale le 16.05.2017. Rhinoseptoplastie. • Mycose interdigitale surinfectée au pied droit datant du 17.01.2018. • Mycose linguale • Mycose orale • Mycose orale le 09.01.2018 • Mycose oropharyngée étendue le 03.01.2017 • Mycose oro-pharyngée le 26.01.2018 • Mycose oropharyngée sous traitement de Symbicort le 18.12.2017 • Mycose oropharyngée sur traitement par Symbicort le 18.12.2017. • Mycose oropharyngée le 09.01.2018 • Mycose péri-ombilicale et inguinale • Mycose péri-ombilicale et inguinale surinfectée • Mycose unguéale. Tabagisme actif. Consommation d'alcool à risque. • Mycose vaginale. • Mycose vaginale récidivante. Infection urinaire basse. • Mycose vaginale status post-antibiothérapie. • Mycose vaginale sur antibiothérapie. • Mycoses submamaires bilatérales • Toujours, érythémateux, mal délimité eu niveau submamaires le 14.12.2017 • Mycoses sub-mammaires bilatérales • Mycostatin du 16 au 22.12.2017. Rinçage buccal après utilisation de Symbicort. • Mycostatin du 18.12 au 22.12.2017 Rinçage buccale après utilisation de Symbicort • Mycostatin et Daktarin jusqu'à 48h post-disparition des lésions. Contrôle chez le pédiatre dans 1 sem si pas d'amélioration. Reconsultent avant si apparition de difficultés respiratoires. • Mycostatin 1ml 4x/j du 23.12.2017 au 02.01.2018 • Mycostatine dès le 07.01.2017 Fluconazole 200 mg dose unique le 09.01.2017 • Mycostatine dès le 26.01 • Mycostatine du 05.01.18 au 12.01.18 • Mycostatine du 09.01 au 19.01.2018 • Mycostatine du 12.01.2018 au 22.01.2018 • Mycostatine du 28.12.2017 au 07.01.2018 • Mycostatine Daktarin pour la mère • Mydocalm 150mg 3x/jour en réserve maximum. • Mydriase bilatérale péri-opératoire spontanément résolutive d'origine indéterminée le 12.11.2017 sans argument pour une origine ischémique • CT cérébral Time is brain et thoracique le 13.11.2017 • IRM cérébrale le 13.11.2017: Lésion ischémique aiguë punctiforme corticale frontale droite. Lésion parenchymateuse séquellaire frontale droite et temporale gauche. • Avis neurologique Inselspital le 13.11.2017: pas d'indication à une thrombolyse intra-artérielle ou thrombectomie • Avis neurologique le 14.11.2017 (Dr. X): pas de contre-indication à l'anticoagulation • Mydriase œil droit le 03.01.2018 • Mydriase œil droit le 03.01.2018 DD: origine médicamenteuse (Scopolamine) • Myélographie CIMF le 16.02.2018 Prochain contrôle le 20.02.2018 • Myélographie fonctionnelle: diagnostic susmentionné avec maladie de Baastrup L3-L4, de l'air intra-articulaire L3-L4, une arthrose importante L4-L5. • Myélographie fonctionnelle avec CT du 27.12.2017 (PACS): Sténose foraminale L5-S1 importante, plus marquée du côté G. Importante arthrose facettaire L5-S1. • Myélographie fonctionnelle (CIMF) le 20.02.2018 ENMG le 20.02.2018 Prochain contrôle le 27.02.2018 • Myélographie fonctionnelle et CT du 21.12.2017 (PACS): Pas de sténose canalaire mise en évidence. Pas de sténose foraminale. Matériel de spondylodèse bien en place. Pas d'autre lésion mise en évidence. • Myélographie le 08.02.2018 Prochain contrôle le 15.02.2018 • Myélographie le 15.02.2018 au CIMF Prochain contrôle le 27.02.2018 • Myélome multiple à IgG kappa • Diagnostiqué le 21.06.17 : hyperprotéinémie à 105g/l, Gammaglobuline IgG Kappa à 28.2g/l, infiltration de la moelle de 22%, pas de critères CRAB • bilan d'extension par IRM du 10.07.2017 : normal • Traitement par Velcade : premier cycle dès 07.08.17, arrêté pour intolérance (asthénie), 2ème cycle le 28.08.17 au 29.09.2017 avec Dexaméthasone (6 injections). En tout 9x2.5mg de Velcade entre le 7.08 et le 29.09.2017= 22.5mg Suivi Dr. X et son remplaçant Dr. Y 079 908 72 23 (HFR). Arrêté Bactrim et Valtrex le 07.11.17 Bilan de la polyneuropathie périphérique: • Bilan autres causes fréquentes polyneuropathies: B12, acide folique dans la norme. TSH: normal le 4.11.2017 • Bilan vitaminique (B1, B6, B12, folate): normal • confirmation du diagnostic par ENMG (prévu le 05.12.2017 Fribourg) Diagnostic origine amyloïde: • éventuellement d'envisager une biopsie de la graisse abdominale (moins invasive qu'une biopsie du myocarde) La probabilité d'une carcinomatose méningée dans un contexte de myélome étant rare; nous vous proposons de ne pas réaliser de PL, des imageries du SNC récentes ayant été réalisées et la patiente ne présentant pas de troubles neurologiques parlant pour une atteinte centrale Dernier bilan myélome (10.11.2017): • quantification IgG• électrophorèse sérique des protéines • électrophorèse urinaire des protéines • immunofixation : IgG Kappa monoclonal • urines de 24h : pas de protéinurie • chaînes légères : normal • Crase : INR : 1 le 29.11.2017 Pas de critères CRAB le 05.12 : Calcémie (ca ionisé) 1.25mmol dans la norme, pas d'anémie, pas d'insuffisance rénale, pas de plaintes de douleurs osseuses. Consilium neurologique 24.11.2017 avec Dr. X : • Status : amyotrophie membre inférieur, réflexe quadriceps droite abaissé ++, gauche +. Force nettement moins atteinte que sensibilités. Pallesthésie 0/8 tout le membre inférieur et sensibilité profonde diminuée. • Ad recherche cryoglobulinémie : négatif le 28.11.2017 Consilium Dr. X (neurologie) le 12.12.2017 : Étant donné les résultats de l'ENMG, le diagnostic le plus probable est une atteinte dysimmunitaire dans le contexte du myélome (chaîne monoclonale IgG kappa). (Effet secondaire du Velcade ou amyloïdose moins probable) Pas de trouble du sommeil depuis l'introduction de la prednisone. Anxiété importante. Parfois nauséeuse. Selon le Prof. Kunzer, un POEMS est possible dans la situation. On peut rechercher un marqueur. Prise en charge actuelle correcte. Le 20.12, la patiente remarque une diminution des douleurs. Par contre, il est remarqué par l'équipe soignante que la patiente devient plus nerveuse. Possible effet secondaire de la cortisone. Baisser la cortisone dès le 21.12 à 40mg/j. Myélome multiple à IgG Kappa avec infiltration médullaire plasmocytaire à 20-30% le 11.12.2017 avec : • découverte fortuite de plusieurs lésions lytiques osseuses au niveau D5, D10, L2 et aile iliaque droite • anciennes fractures des 7ème, 8ème et 9ème côtes droites • anémie avec hémoglobine à 112 g/l • Ca+ corrigé à 2.74 mmol/l • hyperprotéinémie 87,7 g/l • beta-2-microglobuline à 3,9 mg/l Myélome Multiple à IgG Kappa, le 12.01.2018 • Présence de CRAB : Hypercalcémie, insuffisance rénale, anémie, lésions ostéolytiques L1, L5 (datant de début novembre 2017) Myélome multiple à IgG kappa, stade III (2015), sous traitement palliatif par Dexaméthasone avec : • aggravation de l'anémie normochrome et macrocytaire • plasmocytome de l'orbite gauche • status post-fracture pathologique C6, D5 et invasion tumorale C4 (IRM, 2015) Myélome multiple à IgG lambda depuis 2014 avec : • Infiltration plasmocytaire IgG lambda à 40-50% • Pancytopénie et présence de lésions à IRM du rachis de plus d'un 1cm le 08.09.2017 • Introduction d'un traitement de VRD (Revlimid + Velcade + dexaméthasone) C1 le 10.10.2017, C2 le 30.10.2017 et C3 débuté le 20.11.2017 • Fracture/tassement D12 avec cunéiformisation le 27.10.2017 avec plastie le 10.11.2017 et biopsie révélant une infiltration plasmocytaire • Réponse partielle après C2 avec diminution de la chaîne légère libre lambda • IRM du 07.11.2017 : 3 lésions rondes dans les corps de D5, L2, et S1 suspectes d'une origine tumorale superposables avec les lésions visibles sur l'IRM du 07.09.2017 • Biopsie per-opératoire fracture D12 le 10.11.2017 : infiltration (10-15%) plasmocytes monotypiques. Absence d'amyloïdose. • Récolte de cellules souches au CHUV le 17.12.2017 • Neupogen 30 2x/j du 14.12 au 17.12.2017 Myélome multiple à IgG Lambda stade II selon ISS et stade III selon Salmon et Durie • date du diagnostic : 07.12.2016 • bilan biologique initial : Hg 120 g/l, calcium 2,38 mmol/l, créatinine 106 µmol/g. IgG 26.90 g/l, Lambda libre 615 mg/l, β-2-microglobuline 3,9 mg/l • histologie (Promed P13118.16) : infiltration diffuse à > 30% par des plasmocytes matures monotypiques IgG Lambda, dans le cadre d'un myélome plasmocytaire • médullogramme du 06.12.2016 : infiltration plasmocytaire jusqu'à 50% de la cellularité compatible avec un myélome plasmocytaire. Rapport Lambda/Kappa > 100/1 • cytométrie de flux du 06.12.2016 : en cours • cytogénétique du CHUV du 06.12.2016 : population plasmocytaire clonale compatible avec un myélome multiple • urines de 24h du 06.12.2016 : immunofixation urinaire positive • IRM lombaire du 14.11.2016 : multiples lésions nodulaires osseuses dont la plus volumineuse est située à la partie latérale gauche du segment L3-L4 comprimant le fourreau dural et les racines L3-L4 gauches • IRM du corps entier du 07.12.2016 : multiples lésions focales osseuses disséminées dans le squelette axial et le squelette appendiculaire, les plus volumineuses étant situées dans les corps vertébraux L3-L4 ainsi que postérieurement du cotyle droit compatibles avec des lésions de myélome multiple • Suivi Dr. Rhyner Fracture pathologique du plateau supérieur de L4 le 18.12.2016 : • Dans contexte de myélome multiple • Sans troubles neurologiques associés Hypercalcémie à 2.75mmol/l le 22.12.2016 • secondaire à myélome multiple Hémochromatose génétique avec : • mutation homozygote du gène C-282-Y • status post-saignées avec ferritine à 968 µg/l le 30.11.2016 • IRM hépatique du 07.12.2016 : surcharge hépatique modérée en fer Hypogonadisme hypogonadotrope sur hémochromatose Hypercholestérolémie HTA Myélome multiple à IgG Lambda stade II selon ISS et stade III selon Salmon et Durie • date du diagnostic : 07.12.2016 • bilan biologique initial : Hg 120 g/l, calcium 2,38 mmol/l, créatinine 106 µmol/g. IgG 26.90 g/l, Lambda libre 615 mg/l, β-2-microglobuline 3,9 mg/l • histologie (Promed P13118.16) : infiltration diffuse à > 30% par des plasmocytes matures monotypiques IgG Lambda, dans le cadre d'un myélome plasmocytaire • médullogramme du 06.12.2016 : infiltration plasmocytaire jusqu'à 50% de la cellularité compatible avec un myélome plasmocytaire. Rapport Lambda/Kappa > 100/1 • cytométrie de flux du 06.12.2016 : en cours • cytogénétique du CHUV du 06.12.2016 : population plasmocytaire clonale compatible avec un myélome multiple • urines de 24h du 06.12.2016 : immunofixation urinaire positive • IRM lombaire du 14.11.2016 : multiples lésions nodulaires osseuses dont la plus volumineuse est située à la partie latérale gauche du segment L3-L4 comprimant le fourreau dural et les racines L3-L4 gauches • IRM du corps entier du 07.12.2016 : multiples lésions focales osseuses disséminées dans le squelette axial et le squelette appendiculaire, les plus volumineuses étant situées dans les corps vertébraux L3-L4 ainsi que postérieurement du cotyle droit compatibles avec des lésions de myélome multiple • status post-radiothérapie au niveau L3-L4 (30 Gy en 10 fractions) • status post-3 cures par RVD du 06.01.2017 au 06.03.2017 • status post-chimiothérapie à hautes doses par Alkeran le 30.03.2017 • status post-autogreffe de cellules souches le 31.03.2017 • status post-traitement par Revlimid de maintenance (10 mg/jour) du 01.06 au 29.08.2017, stoppé en raison d'une intolérance avec perte de poids majeure, baisse de l'état général, asthénie • PBM le 25.09.2017 avec médullogramme : moelle hypocellulaire trilinéaire sans signe de dysplasie significative, ni excès de plasmocytes ou de blastes : rémission hématologique complète du myélome multiple connu • cytométrie de flux le 25.09.2017 (Inselspital) : cellules plasmocytaires sans particularité polyclonale, pas de persistance du myélome multiple connu • cytogénétique du 09.10.2017 : anomalie observée précédemment, en particulier le réarrangement IgH-FGFR3 non retrouvé • biopsie médullaire (Promed P2017.11532) du 03.10.2017 : infiltrat interstitiel à plasmocytes biclonaux kappa-lambda sans atypie cytologique en cellules isolées ou en petits groupes de < 5% • actuellement : poursuite du Zometa mensuel, arrêt du Revlimid en maintenance (cf. intolérance), surveillance Myélome multiple IgG Kappa Stade II selon ISS, stade IIIA selon Durie-Salmon Dernière lettre du 13.12 (Dr. X) montrant une évolution favorable associant Revlimid à Dexaméthasone bien toléré. Thérpie à poursuivre sans modification. Le traitement n'avait pas été repris par Fribourg lors de l'hospitalisation. Devrait être repris après le contrôle par Dr. X le 15.01.2018 • date du diagnostic : 28.01.2016 • biopsie médullaire (hématologie CHUV) : infiltration médullaire par des plasmocytes de 43% • cytométrie de flux (moelle osseuse) : population plasmocytaire monoclonale CD56+, CD19 -, Kappa+ • cytogénétique et biologie moléculaire: délétion du gène IgH, pas de mutation du gène TP53 • formule sanguine du 23.01.2016 : hémoglobine 102 g/l, leucocytes 7.9 G/l, thrombocytes 209 G/l • chimie clinique du 23.01.2016 : calcium corrigé 3.2 mmol/l, albumine 30 g/l, créatinine 98 µmol/l, ß-2-microglobuline 2.1 mg/l • paraprotéinémie IgG Kappa : 53 g/l, chaînes légères Kappa 21.9 mg/l (rapport Kappa/Lambda, 3.4) • bilan osseux : lésion ostéolytique du crâne, à l'humérus, au fémur, bassin (IRM) • fonction cardiaque du 28.01.2016 : fraction d'éjection 65% • status post-chimiothérapie selon protocole MVP (Alkeran, Velcade et Prednisone) de février à septembre 2016, très bonne réponse avec stabilisation de la paraprotéinémie IgG à 19 g/l • progression tumorale avec élévation de la paraprotéinémie IgG à 29 g/l, avril 2017 • thérapie par Revlimid associée à Dexaméthasone et Zometa avril à juillet 2017, 3 cycles • actuellement : baisse progressive de l’immunoglobuline à 19 g/l Bilan CRAB le 04.01: Calcémie le 04.01: 2.58 (hypercalcémie), GFR selon CKD EPI 54ml/min (en péjoration), anémie en péjoration : de 100 à 89g/l Le 08.01: 2.53 hypercalcémie en amélioration, GFR selon CKD EPI 66ml/min en amélioration, anémie stable à 92 g/l Myélome multiple IgG Kappa Stade II selon ISS, stade IIIA selon Durie-Salmon Dernière lettre du 13.12.2017 (Dr. X) montrant une évolution favorable associant Revlimid à Dexaméthasone bien toléré. Thérapie à poursuivre sans modification. Le traitement n'avait pas été repris par Fribourg lors de l'hospitalisation. Devrait être repris après le contrôle par Dr. X le 15.01.2018 • date du diagnostic : 28.01.2016 • biopsie médullaire (hématologie CHUV) : infiltration médullaire par des plasmocytes de 43% • cytométrie de flux (moelle osseuse) : population plasmocytaire monoclonale CD56+, CD19 -, Kappa+ • cytogénétique et biologie moléculaire: délétion du gène IgH, pas de mutation du gène TP53 • formule sanguine du 23.01.2016 : hémoglobine 102 g/l, leucocytes 7.9 G/l, thrombocytes 209 G/l • chimie clinique du 23.01.2016 : calcium corrigé 3.2 mmol/l, albumine 30 g/l, créatinine 98 µmol/l, ß-2-microglobuline 2.1 mg/l • paraprotéinémie IgG Kappa : 53 g/l, chaînes légères Kappa 21.9 mg/l (rapport Kappa/Lambda, 3.4) • bilan osseux : lésion ostéolytique du crâne, à l'humérus, au fémur, bassin (IRM) • fonction cardiaque du 28.01.2016 : fraction d'éjection 65% • status post-chimiothérapie selon protocole MVP (Alkeran, Velcade et Prednisone) de février à septembre 2016, très bonne réponse avec stabilisation de la paraprotéinémie IgG à 19 g/l • progression tumorale avec élévation de la paraprotéinémie IgG à 29 g/l, avril 2017 • thérapie par Revlimid associée à Dexaméthasone et Zometa avril à juillet 2017, 3 cycles • actuellement : baisse progressive de l’immunoglobuline à 19 g/l Bilan CRAB le 04.01.2018 : Calcémie le 04.01.2018 : 2.58 (hypercalcémie), GFR selon CKD EPI 54ml/min (en péjoration), anémie en péjoration : de 100 à 89g/l Bilan du 15.01.2018 : 2.62 calcium corrigé, GFR selon CKD EPI 75ml/min (en amélioration), anémie en amélioration (104g/l). Pas de douleurs osseuses actuellement. Consultation Dr. X le 15.01.2018 : reprise du traitement par Revlimid 25mg 1x/jour + dexaméthasone 20mg 1x/sem pour 3 semaines. Myélome multiple IgG Lambda en stade 2A selon Durie - Salmon, ISS stade III (diagnostiqué le 23.03.2015) : • MGUS à IgG lambda connu depuis 1985 • Nouvelle progression tumorale avec augmentation du taux des IgG en 09.2017 • Traitement actuel par Revalid (dernier cycle le 13 et 14.11) et Dexaméthasone 20 mg 1x/semaine • S/p traitement Zometa en mai 2015 • S/p palliatif de 1ère ligne par VMP (Velcade, Melphalan, Prednisone) du 18.05.2015 à 01.2016 (rémission partielle avec diminution des IgG à 25 g/l après 5 cures, arrêt du traitement par VMP au vu d’une toxicité) • S/p traitement par Velcade et Dexaméthasone de 02.2016 au 06.06.2016 Myélome multiple IgG Lambda en stade 2A selon Durie - Salmon, ISS stade III (diagnostiqué le 23.03.2015) : • MGUS à IgG lambda connu depuis 1985 • Nouvelle progression tumorale avec augmentation du taux des IgG en 09.2017 • S/p traitement Zometa de 05.2015 • S/p palliatif de 1ère ligne par VMP (Velcade, Melphalan, Prednisone) du 18.05.2015 à 01.2016 • S/p traitement par Velcade et Dexaméthasone de 02.2016 au 06.06.2016 Myélome multiple stade II • Diagnostic: Août 2002 • Histologie: 20-30% d'infiltration de la moelle osseuse avec cellules myéloïdes, IgG Kappa 27 g/l • 3 cycles de chimiothérapie avec schéma VAD 09-11.2002, chute de la paraprotéinémie de 27 à 18 g/l (IgG) • Chimiothérapie à haute dose avec Endoxan et Leucophérèse le 05.12.2002 • Chimiothérapie à haute dose avec Melphalan et transfusion de cellules souches autologues le 21.01.2003 • Thérapie par Aredia de 2003 à 2012 • Thérapie par Revlimid combiné à la Dexaméthasone (en suspens actuellement dans le contexte du NSTEMI du 14.11.2017) • Antibioprophylaxie de Ciprofloxacine et Bactrim (en suspens actuellement dans le contexte du NSTEMI du 14.11.2017) • Suivi par Dr. X Myélome plasmocytaire à IgG kappa • date du diagnostic : septembre 2015 • status post-traitement par 2 cycles de Velcade hebdomadaires en juillet 2016 • status post-traitement par Velcade du 11.01.2017 au 23.02.2017 • progression tumorale avec hypercalcémie, insuffisance rénale, augmentation du taux d’IgG circulant, douleurs osseuses le 27.02.2017 • CT du 01.03.2017 : lésions ostéolytiques des ailes iliaques, du sacrum, des corps vertébraux D10 et L1-L5, sans fracture-tassement. Volumineuse lésion des côtes 4 à 5 gauches. • actuellement le 18.10.2017 (J20) : Chimiothérapie par Revlimid et dexaméthasone Myélome plasmocytaire IgG Kappa en stade ISS • date du diagnostic : 26.06.2017 • laboratoire : anémie, hypercalcémie et insuffisance rénale modérée • ponction-biopsie de moelle du 21.06.2017 : histologie Promed P6908.17 : myélome plasmocytaire IgG Kappa, infiltration diffuse à environ 90%, cytogénétique : risque intermédiaire• imagerie de la colonne : pas d'ostéolyse • traitement de 1ère ligne par Revlimid et Dexaméthasone dès le 28.06.2017 • chaînes légères Kappa du 28.06.2017 : 5'785 • chaînes légères Kappa du 27.09.2017 : 1'587 • chaînes légères Kappa du 27.11.2017 : 3'110 • actuellement : progression du myélome, surveillance clinique et biologique et introduction d'un traitement de Velcade de 2ème ligne selon évolution clinico-biologique en janvier/février 2018 Myoclonies Myoclonies. Myoclonies. Myoclonies diffuses généralisées d'origine indéterminée le 26.01.2018 • DD : sur troubles électrolytiques Myoclonies diffuses généralisées d'origine indéterminée le 26.01.2018 • DD troubles électrolytiques, effet secondaire médicamenteux (prégabaline) Myoclonies négatives du 16.12 au 18.12.2017 sur encéphalopathie par accumulation médicamenteuse dans contexte de l'IRA (Lyrica DD : Sifrol, Nervifene, Lyrica), récidive le 26.12.2017 Myomectomie par laparoscopie et curetage endocervical pour utérus polymyomyteux et persistance LSIL avec Cintec positif chez une patiente de 36 ans G4 P3 Myopathie de Duchenne • délétion de l'exon 49-50 du gène de la dystrophine, • symptômes depuis l'âge de 6 ans, • amyotrophie sévère, • insuffisance respiratoire chronique avec VNI durant 24h (aide 16cmH2O et PEEP 3cmH2O) et "cough assist", • syndrome de Chilaïditi, • cardiomyopathie avec FEVG 35% en 04.2009, • status après stabilisation rachidienne par spondylodèse D4-S2 pour scoliose dorso-lombaire d'origine neurogène, 1999, • status après pneumonie d'aspiration, 01.2013 et broncho-pneumonie bi-basale à germe indéterminé en 2005, • mise en place de gastrostomie en 2015 (Dr. X), • actuellement : augmentation importante des sécrétions le 10.12.2017. Myopathie inflammatoire multifocale associée à un rash cutané diffu maculaire : • myosite paracervicale et des cuisses démontrée à l'IRM • multiples collections au sein des adducteurs avec rehaussement périphérique • positivité anti-PL-12 à 1+ Evolution spontanément favorable. Origine paravirale en première hypothèse, toxique (polytoxicomanie) ? Myo-péricardite le 24.01.2018 Myopie. Myopie très forte. Myosite avec rhabdomyolyse • DD : effort physique, para-infectieux, auto-immun peu probable Myosite dans le contexte d'un syndrome grippal Myosite dans un contexte viral Myosite virale Myosite virale Myosite vs rhabdomyolyse le 11.01.18 avec CK à 70'230U/l • DD : parainfectieux, auto-immun N'a pas pu uriner aux urgences Attitude Spot à demander NaBic iv le 09.01.2018 > Nach Rücksprache mit DA Orthopädie, HFR Kantonspital : Skaphoidgips Analgesie Klinische Kontrolle bei der Orthopädie HFR Kantonspital in 10 Tage Sportdispens für 2 Wochen CT organisiert für 17.1.18 um 16 Uhr > Nach Rücksprache mit dem DA Orthopädie, Dr. X, der Gips soll insgesammt 5 Wochen getragen werden. Le patient avec la mère sont rentrés chez eux, sans attendre la discussion. Le père du patient a exprimé des doutes quant à la nécessité du plâtre. Le père du patient (dernière de téléphone laissée) a été informé par téléphone qu'il doit porter le plâtre pendant un total de 5 semaines. Les recommandations du DA Orthopädie lui ont été communiquées et expliquées en détail. > Nach Rücksprache mit der DOAe Pédiatrie, Inselspital - symptomatische Therapie mit Algifor 3x10ml (26 kg). Sofortige Wiedervorstellung bei Zustandsverschlechterung. CK- und klinische Kontrolle beim KA nächste semaine. > Nach Rücksprache mit der Kinderärztin (Frau Dr. X), Verlegung nach Inselspital bei persistierenden tachycardie und tachypnée. Nächste Termin chez Dr. X en mars 2018 NaCl 0.9% NaCl 0.9% aux urgences Suivi biologique NaCl 0.9% 1000 ml aux urgences Stimulation de l'hydratation per os Schellong le 04.01.18 NaCl 0.9% 1000 ml le 03.01.2018. Laboratoire : cf. annexes. ECG : cf. annexes. NaCl 0.9% 1000ml/24h jusqu'au 11.12.2017 Torem mis en pause jusqu'au 11.12.2017 Ad spot urinaire et laboratoire NaCl 0.9% 1500 ml/24h du 21.12.2017 au 03.01.2018 NaCl cpr p.o. dès le 04.01.2018 Restriction hydrique p.o. NaCl 0.9% 1500 ml/24h iv le 04.01.2018. Suivi biologique. NaCl 0.9% 1500 ml/24h Restriction hydrique per os NaCl 0.9% 500ml/24h Suivi biologique NaCl 3000 ml /24h Labo : CK 105000 ; fct rénal normal Sédiment urinaire : .... Screen tox urinaire : .... ECG : RSR à 93/min ; normal ; repolarisation précoce dans les précordiales Rx thorax : sp Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : mesuration loges : pied G : 25mmHg, pied D : 20mmHg ; surélévation, observation et antalgie, à jeun ; pas de syndrome de loge. NaCl suivi Naevus congénital de la face antérieure et médiale de la jambe droite de 25 X 26 cm • mise en place d'un expanseur tissulaire sous-cutané le 25.10.2016 Naevus le 03.01.2018. • DD : • mélanome, le 03.01.2017 Naevus plantaire D le 15.01.2018 Naissance au daler, prématurité à 36 4/7, ictère sous PT durant 18h, Naissance à l'HFR à 35 6/7 PN 2.340 (P10-25), taille 45 cm (P5-P10) PC 32 (P10-P25), grossesse gégénellaire, sérologies maternelles (Rub + CMV, HBC, HIV syphilis nég), SB nég, AVB par ventouse et kiwi, Naissance à terme 37 6/7 par césarienne, bonne adaptation néonatale apgar 10/10/10, PH 7.31 PN 2430 kg, 44 cm, PC 33cm Naissance à l'HFR par césarienne à 38 6/7 SA, PN 3900g (P 90), TN 50 cm (P 25-50), PC 36 cm (P75-90), bonne adaptation néonatale Apgar 10/10/10, bon PH, sérologies maternelles en ordre, strepto B négatif Naissance à terme par césarienne pour siège. PN 4530 g, TN 52 cm. S/p Pyélonéphrite, 1er épisode août 2013 Naissance à terme par voie basse Reflux oesophagien non pathologique Coliques du nourrisson Naissance à terme par voie basse Reflux oesophagien non pathologique Coliques du nourrisson Naissance à 39 5/7 SG, PN 3840g, TN 50cm, PCN 36cm, APGAR 9/10/10 Naissance par césarienne en urgence pour CTG pathologique chez J2, Adaptation primaire : absence de respiration spontanée, support ventilatoire par ventilation avec FiO2 40% puis augmentée à 100%, suivi de trois compressions thoraciques au vu d'une fréquence cardiaque < 60/min, puis cri avec respiration spontanée. Suivi de normalisation de la fréquence cardiaque. CPAP en raison de désaturation et signe de détresses respiratoire. La radiographie de thorax est compatible avec une maladie des membranes hyalines en lien avec la prématurité et manque de surfactant. Elle présente un SDR qui nécessite une CPAP pendant toute l'hospitalisation avec une FIO2 à 40%, puis une intubation par l'équipe de néonatologie de l'inselspital au vu de l'augmentation des besoins en oxygène jusqu'à 70%. Sur le plan hématologique, la gazométrie capillaire montre une Hb à 176 g/l dans le cadre d'un syndrome transfuseur-transfusé. Un cathéter veineux ombilical (8 cm), 5 french est mis en place. Aucun contrôle radiologique n'a pu être effectué après la mise en place du cathéter. Sur le plan hémodynamique, elle est hémodynamiquement stable. À noter une hyperthermie max à 40.3°C peu avant son transfert qui se normalise par la suite. Une sonde nasogastrique est mise en place avant le transfert et une dose de konakion 0.5mg IV est administrée.Urines et méconium à la naissance. Naissance par césarienne en urgence pour CTG pathologique chez J2, Adaptation primaire: bonne adaptation avec premier cri immédiat, respiration spontanée, support ventilatoire par CPAP en raison de désaturation et signes de détresse respiratoire qui se maintiennent stables postérieurement. Oxygénothérapie au maximum de 40%, qui est diminuée à 30%. Dans le contexte du SDR, nous réalisons une radiographie du thorax qui est compatible avec une maladie des membranes hyalines sur manque de surfactant (maturation pulmonaire le 27.01 incomplet) en lien avec la prématurité. Sur le plan hématologique, la gazométrie capillaire confirme une anémie minimale à 79 g/l dans le cadre d'un syndrome transfuseur-transfusé. Un cathéter ombilical (6 cm), 5 french est mis en place. Il bénéficie d'un culot érythrocytaire (transfusion) de 15 cc (10 ml/kg) sur 30 minutes de O négatif. Hb de contrôle à 118 g/l. Un test de Guthrie est effectué avant la perfusion. Sur le plan hémodynamique en raison d'une hypotension (TAM 23 mmHg au minimum) il bénéficie de 2 bolus (érythrocytaire/sérum physiologique) de 15 cc (10 cc/kg) avec bonne réponse, puis il bénéficie d'une perfusion de G10% 4 mg/kg/min pour maintenir la glycémie. Les contrôles glycémiques sont en ordre. Une sonde oro-gastrique est mise en place avant le transfert, une dose de konakion 0.5 mg IV est administrée. Urines et méconium à la naissance. Naloxone 0.1 mg IV à 2 reprises : GCS 15, amélioration des constantes et du contact. Radiographie du thorax : infiltrat base droite. Pose de sonde vésicale : pas d'information sur la quantité des urines suite au sondage. Hémocultures : négatives. Urotube : Germes/ml globalement <10E3. Ceftriaxone 2 g 1x/jour du 28.12.2017 au 03.01.2017. Reprise de Morphine au dosage plus bas, pour éviter le syndrome de sevrage chez la patiente connue pour des douleurs chroniques. Vu somnolence, mise en suspend Remeron et Risperidone le 03.01.18 et perfusion Ringer Lactate 100 ml/24h avec substitution KCl 40 mmol/24h. Naloxone 2x 0.2 mg intraveineux. Temgesic en suspens. NASH. Nasivine, poursuite traitement de co-amoxicilline jusqu'au 22.01. Pérentérol. Contrôle le 22.01 chez le MT. Nasivine 0.01% spray nasal, poursuite sérum physiologique. Conseil alimentation. Contrôle si péjoration respiratoire ou de l'état général. Contrôle en début de semaine chez le MT si état fébrile persistant. Nasivine 0.025% spray nasal max 5 jours d'office durant 48h. Traitement symptomatique, Dafalgan sirop 9 ml max 4x/j par os et Algifor junior sirop (30 mg/ml) 9 ml max 3x/j par os. Contrôle ORL et respiratoire chez le MT vs Fast track. Nausée d'origine probablement iatrogène sur opioïde morphinique. Fracture au niveau de l'insertion tendineuse du long extenseur de l'index gauche : • avis orthopédique : traitement conservateur par attelle en hyperextension DIP de l'index main gauche, glace, surélévation du membre. Erythème facial transitoire avec pic hypertensif avec DD : phéochromocytome (normétylamine augmentée à 29,72 le 21.05.13). Insuffisance rénale de stade AKIN 1 d'origine rénale probablement sur rhabdomyolyse. Cystite aiguë le 01.05.2013 traitée par Uvamine. Gonalgie droite dans le cadre d'une prothèse genou droite opérée le 26.03.2013 (Dr. X, Clarens). Accident vasculaire cérébral sylvien droit le 26.03.2013. Opération d'hernie discale. Appendicectomie. Nausée, vomissement. Nausée, vomissement. Nausées dans un contexte de grossesse. Nausées et céphalées occipitales. Nausées et vertiges. Nausées et vertiges. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements de probable origine médicamenteuse chez patient naïf d'opioïdes suite à la prise d'oxycontin. Nausées et vomissements le 08.05.2016. Vertiges dans le cadre de manipulations cervicales probablement d'origine irritative (neuromusculaire) sur mauvaise posture chronique (scoliose, asymétrie épaule D>G) le 29.01.2013. (DD : composante d'angoisse) s/p cure de varice MID. s/p appendicectomie. s/p hystérectomie et ovariectomie. Vertiges dans le cadre d'un pré-malaise vaso-vagal le 19.11.2017. DD : VPPB. Nausées et vomissements probablement sur sub-iléus sur carcinose péritonéale/envaississement local. Nausées et vomissements récurrentes sur sub-iléus. DD : carcinose méningée ne peut pas être exclue. Nausées persistantes, DD : médicamenteuses sur double antibiothérapie, sur cholestase. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements. Nausées, vomissements accompagnés de diarrhées le 19.01.2018 de probable origine virale. Nausées, vomissements et diarrhées depuis le 30.12.2017. Nausées, vomissements et douleurs épigastriques d'étiologie indéterminée. DD : dans le cadre de l'insuffisance rénale terminale sur hyperurémie, sur masse pancréatique d'allure tumorale (cf. comorbidités). Nausées/vertiges/céphalées/asthénie. Nausées/vomissements. Né à AVB à terme. Né à terme à 36 4/7 par césarienne, PN 2550 g (P10-25), TN 45 cm (P 3), PC 33.5 cm (P25). Né à terme par césarienne pour non-progression, grossesse sur fécondation in vitro. Né à terme 40+4/7, par AVB, PN 4155 g, TN 52 cm. Né à 37 1/7 par césarienne, bonne adaptation. Né à 37 5/7, à terme, par AVB, PN 3320 g, TN 49 cm, PCN 32.5 cm. Né à 38 SG, PN 3060 g, bonne adaptation. BSH. Né à 38 0/7 SG, par césarienne élective, pas de risque infectieux néonatal. Gastro-entérite à Rotavirus. Né à 38 4/7 SG, PN 3620 g (P75), TN 50 cm (P25), PCN 34 cm (P10-25), bonne adaptation, sérologies mère s.p. Né à 39 SA, par AVB, PN 2880 g, TN 47 cm, PCN 33 cm. Né à 39 1/7 SA, PN 4160 g, TN 51 cm, PC 36.5 cm, Apgar 9/9/10 sans complications. s/p Pieds mains bouche. Né à 39 6/7 SG, PN 4070 g (P>90). Hosp : tachypnée isolée et hyperthermie sur adaptation néonatale, infection néonatale infirmée (thérapie : Garamycine et Clamoxyl). s/p Mycose génitale. Né à 40 SG, bonne adaptation. BSH. Né à 40 6/7 SG, PN 3530 g (P25-50), TN 50 cm (P10), PCN 34.5 cm (P10-25), APGAR 9/10/10, césarienne. s/p 1ère Pyélonéphrite à E.Coli le 17.04.2017 (résistant à l'Augmentin, sensible aux céphalosporines). Né à 41 1/7 avec PN à 3360 g, TN à 49 cm et PCN à 33 cm. Né par AVB à 39 SA 4/7, P 3.54 kg (P 50-70), T 50 cm (P 10-25), PC 34 cm (P 10-25). Bronchiolite à RSV. Difficultés alimentaires sur bronchiolite. Né par AVB à 40 0/7, PN 3300 g, PCN 34 cm, TN 49 cm, BSH, vaccins à jour. Pyélonéphrite à E. Coli. Né par AVB (anamnestiquement). Né par AVB, 40 + 6/7, premier enfant, PN 3600 g, TN 51 cm. Né prématurément à 33 5/7 SG, PN 2210 g (P50-P75) périmètre crânien 32 cm (P50-75), taille 47 cm (P75-90). Né 2 semaines avant le terme, GIPI, par AVB. Né à 39 6/7 SG par AVB, bonne adaptation. PN 3300 g. GEA (2 mois de vie). Hémorragie digestive basse avec opération pour iléus (Berne) à 6 mois de vie.Nécrose aseptique de la tête fémorale droite probablement sur OH. Nécrose avasculaire tête fémur gauche FICAT stade II. Nécrose avasculaire tête fémur droit FICAT stade III. Nécrose cutanée sèche de la plaie 1/3 distal jambe D, sans syndrome inflammatoire. Nécrose de la tête humérale droite avec rupture transfixiante de la coiffe des rotateurs. Status post-AVC. Leucémie myéloïde actuellement en rémission. Nécrose de la tête humérale, status post-AMO plaque Philos et ténodèse du long chef du biceps à gauche le 30.11.2017 sur status post-ostéosynthèse d'une fracture 3 part de l'humérus proximal gauche. Nécrose du tibia distal dans le cadre d'une réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole médiale pour une fracture de Volkmann et mise en place de 2 vis de positionnement péronéo-tibial le 14.07.2016 pour une lésion selon Maisonneuve cheville D le 08.07.2016. Status post troubles de guérisons en postopératoire. Status post AMO des vis de positionnement le 08.09.2016. Arthrose tibio-astragalienne D débutante. Nécrose humide face dorsale MTP I D. Status post incision d'un abcès en regard de la tête du 1er métatarsien D avec rinçage, arthrotomie MTP I et rinçage articulaire le 04.01.2018. Nécrose humide face dorsale MTP I D. Status post incision d'un abcès en regard de la tête du 1er métatarsien D avec rinçage, arthrotomie MTP I et rinçage articulaire le 04.01.2018. Nécrose sèche O1 pied gauche et O2 pied D le 29.12.2017. DD: emboles septiques. Nécrose tubulaire aiguë sur Floxapen • IRA AKIN III de type rénale. Nécrose vasculaire tête fémorale G et suspicion de nécrose vasculaire tête fémorale D débutante. Arthrite psoriasique sous traitement par Methotrexat 1x par semaine et Cosentyx 1x par mois (anticorps IGG contre l'Interleukine 17). Nécrose 4ème et 5ème orteils droits. Née à terme, PN 4175 gr, bonne adaptation. BSH. Née à terme 37+5/7, par AVB, PN 3kg, TN 50 cm, PCN 33cm, avec bonne adaptation (APGAR 10/10/10). Née à terme 37+5/7, par AVB, PN 3kg, TN 50 cm, PCN 33cm, avec bonne adaptation (APGAR 10/10/10). Née à terme (39 0/7 SA?), PN 2980 g, au Petit Prince. Née à terme (39 0/7 SA?), PN 2980 g, au Petit Prince. Née à terme 40 3/7, par AVB, PN 3280g, TN 50 cm, PCN 35cm, bonne adaptation (Apgar 9/10/10). Née à 36SG, grossesse gémellaire. Née à 37 1/7, PN 3120 g, T 49cm, PC 35 cm, Apgar 9/9/10 par césarienne. Née à 37 4/7 SG, PN 2980 gr, PCN 33 cm, APGAR 9/10/10, pH 7.18/7.33, bonne adaptation. S/p Hyperbilirubinémie max 370 umol/l avec 24h de photothérapie à 4J de vie. Née à 38 et 5/7 par césarienne pour antécédent de césarienne, suspicion de placenta praevia durant la grossesse infirmée, sérologies maternelles en ordre, pas de risque infectieux, bonne adaptation néonatale (Apgar 9/10/10), PN 2865 g (P25-P10), PCN 32 cm ( 80%). Analyse immunohistochimique positive pour CD20, CD79a et Pax-5. Faible positivité pour BCL6 et très questionnable pour MUM1. Négativité pour BCL2, c-myc, EBV. • PET-CT du 06.09.2017 : lésion hypermétabolique unique de D7 avec extension sous forme d'un manchon tissulaire autour de cette vertèbre. SUV: 27,6. • ETT du 12.09.2017 : FEVG à 65%. • PBM du 15.09.2017 (Promed P2017.11199) : tissu hématopoïétique normocellulaire avec modifications réactives non spécifiques (une biopsie ostéomédullaire, épine iliaque postéro-supérieure gauche). • Cytométrie de flux : absence de cellules malignes. • Sérologies : Hépatite B (Ag-HBs- , Ac anti-HBs-, anti-HBc IgG- et IgM-, anti-HBe), Hépatite C (Ac anti-VHC-) et HIV- (04.09.2017). • Sérologies (04.09.2017) CMV IgG et IgM nég, EBV IgG pos et IgM nég EBNA pos. • Chimiothérapie à but curatif: R-CODOX (19.09.2017), Methotrexate (06.10.2017), R-IVAC (23.10.2017), R-CODOX (21.11.17), Methotrexate (04.12.2017). Suivi oncologique: Dr. X. Néoplasie myélodysplasique myéloproliférative associée aux chimiothérapies. Syndrome restrictif sur toxicité médicamenteuse (chimiothérapie). Néoplasie myélodysplasique/myéloproliférative liée aux chimiothérapies (t-MDS/MPN) selon OMS 2017, en accélération blastique (10% de blastes médullaires). Néoplasie myéloproliférative de type myélofibrose primaire selon la classification OMS 2016, CALR muté, de haut risque selon IPSS (3 points) et de risque intermédiaire-2 selon DIPSS (3 points) et DIPSS-plus (2 points), diagnostiquée le 01.02.2017 avec : • hémogramme au diagnostic : Hb 124 g/l, GB 35,3 G/l (PMN 50%, eo 3,5%, baso 4,5%, mono 3,5%, lympho 4,5%, blastes 3,0%, myélocytes 9,0%, métamyélocytes 1,5%, érythroblastes 2,5%), Tc 185 G/l. • ponction-biopsie de moelle du 01.02.2017 : moelle relativement riche, trilinéaire, avec hyperplasie myéloïde mais sans excès de blastes au médullogramme (empreintes médullaires) ; tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec hyperplasie de la mégacaryopoïèse avec formation de groupes/amas, atypies et rares mégacaryocytes intrasinusoïdaux, érythropoïèse peu représentée avec maturation complète, myélopoïèse relativement bien représentée avec signes de maturation complète et légère fibrose réticulinique focale (MF-0/1) à la biopsie ostéomédullaire. • Cytométrie en flux médullaire du 01.02.2017 : pas d’excès de blastes. • Cytogénétique médullaire du 01.02.2017 : caryotype 46,XY, del(13)(q12q ?22)[19]/ 46,XY, [1]. • Biologie moléculaire du sang périphérique du 31.01.2017 : présence de la mutation de type 1 (délégation de 52bp sur exon 9) du gène CALR. Recherche de la mutation JAK2V617F et du gène de fusion BCR-ABL négative. • NGS médullaire du 01.02.2017 : présence de mutations « non-MPN restricted » touchant les gènes TET2, RAD21, CEBPA, ZRSR2, et BCOR, ne conférant pas un mauvais pronostic dans le cadre de la PMF. • CT thoraco-abdominal du 17.02.2017 : importante splénomégalie (volume mesuré à 982cc) et probable hypertension pulmonaire artérielle et cardiomégalie avec dilatation des 4 chambres et hypertrophie du myocarde du ventricule gauche. S/p surveillance du 01.02.2017 au 07.09.2017. • Traitement : Ruxolitinib (Jakavi) dès le 08.09.2017, en raison d'apparition de symptômes systémiques (fatigue, sudations profuses). (suivi Dr. X) • Néoplasie prostatique avec radiothérapie et hormonothérapie en 2015. • Néphrectomie D en 1994. Dilatation pyélo-calicielle gauche avec calculs intra-rénaux et probable maladie de la jonction pyélo-urétérale le 13.07.2015 avec : • pyélonéphrite aiguë gauche à E. Coli 02.2016. • Néphrectomie droite pour carcinome rénal à cellules claires en 1998. • Lobectomie thyroïdienne gauche de nature bénigne en 2007. • Cholécystectomie. • Pancréatite lithiasique en 1998. • Fracture humérus proximal gauche juillet 2014. • Anémie à 82 g/l d'origine carentielle en 2014. • Hypovitaminose D. • Escarre du talon gauche le 25.08.2014. • Infection urinaire à E. Coli sur ESBL en 2016. • Néphrectomie droite pour indication inconnue. • Erysipèle membre inférieur gauche sur ulcère post-traumatique et variqueux 2014. • Néphrectomie partielle gauche le 21.12.2017. • Néphrolithiase gauche avec calcul de 3 mm obstructif à la jonction urétéro-vésicale gauche avec un bassinet mesuré à 12 mm. • Néphrolithiase multiple en 2011. Diverticulite Hansen stock IIb 20.10.2017 • 3ème épisode. • Colonoscopie 23.11.2016 : diverticulose sigmoïdienne. • Antibiothérapie : Rocephin-Flagyl 21.10.2017-25.10.2017 puis Ciprofloxacine + Flagyl jusqu'au 31.10.2017. • CT-abdominal le 20.10.2017. • Néphrolithiases gauche. Embolie pulmonaire centrale bilatérale le 16.02.2017 actuellement sous Xarelto. • Néphropathie à IgA avec : • insuffisance rénale terminale sous dialyse (HFR Riaz, depuis le 19.12.2017). • anémie macrocytaire. • hyperparathyroïdie secondaire. • hypertension artérielle secondaire. • Néphrotrans dès 24.11.2017. • Stop IEC. • Substitution en vitamine D. • Acétate de calcium. • Consilium néphrologique (Dr. X). • Nette amélioration des douleurs après traitement antalgique. • Nette amélioration des douleurs après une dose d'Algifor (2-3/10). • Nette amélioration 1h après Betnesol avec persistance du stridor seulement à l'agitation, persistance d'un tirage très léger, bonne entrée d'air. • Nettoyage à l'eau oxygénée, désinfection à l'Hibidil, pose de champ stérile. Anesthésie à la Lidocaïne-HCO3. Rinçage abondant à l'eau stérile et à l'Hibidil. Suture en 3 points simples avec fil 4.0. Pansement Opsite spray. Antalgie par Paracétamol 1g et Irfen 400mg. Arrêt de travail du 11.01.2018 au 14.01.2018. Information donnée au patient, de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant pour ablation des fils à 9-10 jours. Pas de vaccin anti-tétanos car il était à jour (2016). • Nettoyage au sérum physiologique. • Rinçage nasal. • Gouttes oculaires Euphrasia. • Dafalgan/Algifor en réserve. • Contrôle chez pédiatre dans 48h si pas d'amélioration. • Nettoyage au sérum physiologique. • Rinçage nasal. • Gouttes oculaires Euphrasia. • Dafalgan/Algifor en réserve. • Contrôle chez pédiatre dans 48h si pas d'amélioration. • Nettoyage de la lésion aux urgences, application locale de fucidine crème, pose d'adaptic et pansement. • Nettoyage, désinfection. Anesthésie lidocaïne 1 %. Suture 2 points simples Prolène 4-0. Vaccination antitétanique. • Nettoyage et inspection de la plaie. 2 agraphes mises aux urgences. • Neupogen 48 Mio U 2x le 17.01.2018 et 18.01.2018, arrêt du Neupogen en accord avec Dr. X. Contrôle biologique en ambulance. • Neurapraxie du nerf médian sur status post réduction ouverte et embrochage d'une fracture supra-condylienne (type IV) humérus distal gauche, opération le 12.02.2015. • Neurinome acoustique (suivi à Bern). Hypothyroïdie substituée. • Neurochirurgien (Dr. X) non joignable (message laissé sur combox). Retour à domicile en accord avec l'orthopédiste de garde (Dr. X, avis oral). Antalgie simple. Reconsulter si déficit neurologique nouveau ou détérioration des douleurs. Monsieur sera recontacté si Dr. X rappelle et propose une prise en charge spécifique. • neurofibromatose. • Neurofibromatose de type I (Maladie de von Recklinghausen). • fibrome de la base du cervelet. Perte de connaissance à répétition d'origine indéterminée sur probable orthostatisme retenu : • IRM (Juin 2017) : fibrome du cervelet stable en taille. • EEG (Juillet 2017) : sans particularité. • Test de Schellong négatif. • Neurofibromatose de type I (Maladie de von Recklinghausen). • fibrome de la base du cervelet. Perte de connaissance à répétition d'origine indéterminée sur probable orthostatisme retenu ou maladie du sinus : • IRM (Juin 2017) : fibrome du cervelet stable en taille. • EEG (Juillet 2017) : sans particularité. • Test de Schellong négatif. • Pose de Pacemaker le 22.01.2018. • Neurome de la branche sensitive dorso-radiale D3 de la main gauche. Epicondylite radiale coude D. • Neuronite vestibulaire. • Neuronite vestibulaire suite à un état grippal. • Neuropathie cicatricielle malléole interne cheville G sur status post AMO le 24.02.2015 sur ostéosynthèse cheville G le14.05.14 à Berne. • Neuropathie du nerf saphène en regard de la malléole interne de la cheville gauche. Légère tendinite du muscle tibial postérieur. Status post neurolyse et excision d'un névrome du nerf saphène malléole interne G le 26.10.2010. Status post réduction sanglante et ostéosynthèse LC-DCP en titane 4.5 mm le 21.04.2001 pour une fracture diaphysaire du tibia G. Status post AMO le 14.06.2002. • Neuropathie nerf cubital gauche. • status post-neurolyse et transposition sous-musculaire du nerf cubital gauche le 16.01.2017. • Neuropathie sur maladie critique le 28.01.2018. • Neuropraxie du nerf musculo-cutané et du nerf radial, post-bloc de plexus. • neuropsychologique : ralentissement psychomoteur important avec augmentation de temps de réaction. Mise en évidence des problèmes de lecture (difficultés de lecture, pas une alexie). • Apport d'une thérapie complexe de réadaptation gériatrique précoce min. de 21 jours indiquée par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur une fracture fémorale périprothétique droite et par réduction des capacités fonctionnelles/perte d'autonomie avec une détérioration de la marche et une immobilité secondaire. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 34 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la nutrition, la neuropsychologie, les soins médicaux (soins thérapeutiques actifs ou accompagnés par du personnel qualifié - 7j/7), des travailleuses sociales (évaluation sociale de niveau 5) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, conseils en nutrition, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine, un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre activement part.Mobilité (Tinetti) 12/28 Autonomie FIM (Mot./Cogn.) 66/32 MMS/CLOCK 29/30 • 6/6 GDS 3/15 Soz. Ass. (5-stufig) 22.12.2017 TEAM-Sitzung 1 03.01.2018 TEAM-Sitzung 2 10.01.2018 Entlassungs-Assessment Mobilité (Tinetti) 19/28 avec cannes Autonomie FIM (Mot./Cogn.) 79/31 Neuro-réadaptation intensive • Videofluoroscopie le 29.12.2017 : pas de trouble de la déglutition détecté Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Ablation des fils le 21.12.2017 R-test effectué et en cours d'évaluation à l'Inselspital (résultat à pister par le médecin traitant) Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Marche en charge selon douleurs Adaptation de l'antalgie Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Bilan et suivi neuropsychologique Mise en suspens de la Pravastatine pour intolérance (prurit + rash maculo-papuleux) à réévaluer Reprise progressive des traitements anti-hypertenseurs habituels à réévaluer Conduite automobile contre-indiquée, à réévaluer en fonction de l'évolution Neuro-réadaptation intensive post AVC Neuro-réadaptation suite à un AVC ischémique Neuro-réhabilitation intensive Neuro-réhabilitation intensive Neuro-réhabilitation intensive Neuro-réhabilitation intensive Neuro-réhabilitation intensive Neuro-réhabilitation intensive avec physio-ergothérapie Arrêt de la Clexane prophylactique le 20.11.2017 Neuro-réhabilitation intensive • CT-scanner cérébral de contrôle (03.01.2018) : Absence de signe d'hémorragie Neuro-réhabilitation intensive • ENMG le 11.01.2018 à 13h30 au HFR Fribourg (Dr. X), si le patient est encore hospitalisé faire une demande informatique pour un ENMG (consilium, neurologie) • RAD le 06.01.2017 avec physiothérapie et ergothérapie en ambulatoire (initialement 2 séances par semaine) • Prochain contrôle chez le Dr. X à organiser (si nécessaire) Neuro-réhabilitation intensive • Lamictal 25 mg/jour dès le 27.10.2017, majoré à 50 mg/jour le 03.11.2017, puis à 75 mg/jour le 10.11.2017 • Rivotril i.v. 2x 0.5 mg en réserve • Introduction de Fluoxétine 10 mg/jour dès le 20.11.2017, stoppé le 29.11.2017 • Arrêt de l'anticoagulation prophylactique le 12.12.2017 • Retrait de la sonde urinaire le 14.11.2017 avec résidu post-mictionnel à 90 ml • IRM cérébrale prévue le 09.11.17 pas effectuable en raison de l'absence de collaboration du patient Neuro-réhabilitation intensive pour Guillain-Barré Neuro-réhabilitation intensive pour Guillain-Barré Neuro-réhabilitation intensive pour polyneuropathie sensitivo-motrice sur vasculite Neuro-réhabilitation intensive Surveillance tensionnelle et glycémique Neuro-réhabilitation neurologie intensive Neuro-réhabilitation suivi d'un retour à domicile. Adaptation du domicile avec lit médicalisé et majoration de l'encadrement infirmier. Poursuite de la prise en charge podologique. Si dosage HLA-B*58:01 effectué le 08.01.2018 est : • positif : proposition de traitement hypouricémiant par Febuxostat (Adenuric) • négatif : proposition de traitement par Allopurinol 50 mg, à titrer progressivement aux 2-3 semaines par palier de +50 mg jusqu'à atteinte de la cible d'acide urique (<360 umol/l). Poursuite de traitement hypouricémiant au long cours avec suivi de la fonction rénale, tolérance digestive, réaction allergique (DRESS). En parallèle, pour prévenir les crises associées à l'introduction du traitement hypouricémiant, prévoir introduction de la Colchicine à adapter à la fonction rénale (0.5 mg/jour) et à poursuivre 6 mois après atteinte de l'uricémie cible. Suivi dentaire avec consultation dentaire à but d'évaluer un appareillage à distance. Neurotoxicité à la Céfépime le 25.01.2108 DD : sur insuffisance rénale et hypoalbuminémie Neurotoxicité au fentanyl le 20.01.2018 Neutropénie modérée le 31.12.2017 DD : Progression tumorale, contexte infectieux Névralgie cervico-brachiale C6. Lombalgie simple. Pneumonie bilobaire droite le 12.11.2016. Névralgie d'Arnold. Angoisse. Migraines. Dépression. Fissures anales. Névralgie d'Arnold. Angoisse. Migraines. Dépression. Fissures anales. Névralgie d'Arnold. Angoisse. Migraines. Dépression. Fissures anales. Névralgie du trijumeau DD formes d'algie faciale : IRM cérébrale le 21.05.2012. Douleurs thoraciques atypiques en 11/2017. DD : pariétales : (CK 267) vs sur pic hypertensif et/ou sur stress. Névralgie du trijumeau de la branche V2 le 12.01.18. Névralgie occipitale. Névrodermite. Névrodermite. Névrome de Morton entre le 3ème et le 4ème orteil pied G. Nexium (Esoméprazole) 12.01 Épaississement de lait Mesures conservatrices Lait semi-élementaire (Pregomin Pepti) Consilium Dr. X (gastro-entérologue pédiatrique) Nexium 20 mg pendant 2 semaines Nexium 40 mg 1x/j Nexium 40 mg 2x/jour par voie orale OGD et colonoscopie avec hospitalisation préalable, programmées le 06.04.2018 par le Dr. X Consultation préalable par le Dr. X le 26.02.2018 à 14h Fonction rénale • Kreat 46 umol/l, eGFR nach CKD EPI 103.8 ml/min (11.12.2017) • Kreat 44 umol/l, eGFR nach CKD EPI 105.4 ml/min (23.12.2017) Nifédipine Nifédipine (Adalat) 20 mg aux urgences. Nifédipine 20 mg 1x/j Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil NihilNihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil.Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil au vu de la récupération rapidement favorable avec résolution spontanée des douleurs. Nihil. Appendicite phlegmoneuse. Appendicectomie par laparoscopie le 24.12.2011. Nihil. Colique néphrétique gauche le 03.06.2014. Nihil. Douleurs thoraciques pariétales dans un contexte de bronchite avec hyperventilation d'origine mixte (douleurs et anxiété). Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline (10 jours au total). Traitement symptomatique par Dafalgan, AINS et Temesta en réserve. Suspicion de vertiges positionnels paroxystiques bénins. Stugeron, Primperan. Contrôle par ORL. Nihil. Embolie pulmonaire massive le 21.03.2016. Nihil. Familiaux: Mère: HTA. Nihil. Gastro-entérite aiguë le 30.08.2012. Antalgie. Buscopan. Contrôle chez le MT la semaine prochaine. nihill. Nihil. Plaie arcadaire surciliaire droite. Plaie superficielle occipitale de 2 cm de longueur. Nihil. Pollakiurie nocturne. Nihil. S/p Diabète inaugural Diabète Type 1 avec légère acidose le 19.08.2016. S/p Corps étranger fosse nasale droite 24.08.2016. S/p Maladie Pied-Main-Bouche. Nihil. Sténose significative de l'artère carotide droite symptomatique sous forme de : • Multiples AIT avec notamment dysarthrie transitoire le 3.11.2012. • AVC cérébral le 03.11.2012 avec discret hémisyndrome gauche résiduel avec une parésie de la jambe gauche, une hyperréflexie gauche et un abaissement de la bouche à gauche. Sténose significative de l'artère carotide gauche non symptomatique sur le plan clinique. Insuffisance rénale aiguë le 3.11.2012.DD: hypovolémie Hypertension artérielle NIHSS = 3. Le patient est traité par Co-Diovan 1-0-0 et Seresta 15 mg. Suite à la suspicion d'accident vasculaire cérébral, le protocole AVC est suivi avec l'accord du Dr X, de médecine interne, et le patient est transféré à l'HFR Fribourg en ambulance. NIHSS à 1 Laboratoire ECG CT cérébral injecté avec visualisation des vx pré-cérébraux : pas de lésion ischémique visible Attitude discutée avec la Dr. X (neurologue) • Hospitalisation aux SI monitorisé • Aspirine cardio 250 mg IV puis 100 mg 1x/j • IRM le 04.01.2018 • Bilan cardiaque + holter • Clexane 40 mg 1x/j • Lit strict, surélévation 30° max • Mobilisation selon tolérance dès demain • Bilan cholestérol, glycémique • Recherche d'anticorps anti-phospholipides et B2 glycoprotéine (au vu du jeune âge et antécédents de 2 fausses couches) NIHSS à 1. Laboratoire : cf. annexes. Avis neurologique de la Dr. X. Transfert à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. NIHSS. Examen clinique. Laboratoire : cf. annexes. Transfert à Fribourg, départ en ambulance. Nikotinabusus Rezidivierende depressive Störung, aktuell leichtgradig • sous Venlafaxin Dyslipidémie Nitrés en patch le 23.01.2018 Poursuite du traitement habituel de Losartan et Torem Nitrés Esidrex dès le 22.01.18 MAPA prévu en ambulatoire le 12.02.18 Nitrofurantoïne du 05.01.2018 au 06.01.2018 Ciprofloxacine du 06.01.2018 au 12.01.2018 Nitrofurantoïne du 28.12.2017 au 04.01.2018 Avis infectiologique : pas de traitement de E. faecalis (couvert souvent par Nitrofurantoïne) Avis urologique : pas d'indication à l'ablation de la double J en urgence, mais en électif comme déjà prévu Nitrofurantoïne durant 5 jours. Antalgie. Nitrofurantoïne durant 5 jours. Antalgie au besoin. Nitrofurantoïne durant 5 jours. Uricult envoyé en raison des IU fréquentes, la patiente appellera le 4. ou le 5.01 pour connaître l'antibiogramme. Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j du 29.01 au 02.02.2018 Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j jusqu'au 15.12.2017 Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pendant 5j Nitroglycérine aux urgences Carvedilol 6,25 mg aux urgences Réévaluation reprise Entresto Nitroglycérine aux urgences Charge en Aspirine et Clopidogrel puis poursuite avec Aspirine et Clopidogrel jusqu'à la coronarographie ETT le 30.01.2018 Coronarographie en ambulatoire dès amélioration du syndrome inflammatoire (prière au cabinet du Dr X de reprendre contact avec le service de cardiologie de Fribourg pour reprogrammer la coronarographie) Nitroglycérine en continu du 31.12.2017 au 01.01.2017 Lisinopril + amlodipine Nizoral crème, 2x/j 16.01.2018 - 26.10.2018 Nizoral Shampoing jusqu'au 04.01.2018 NN à 37 4/7, PN 1960 g ( P90), PC 33 cm (P 10-50) avec : • Suspicion d'asphyxie néonatale avec : apnée secondaire (premier gasp à 3 min.), Apgar 3/6/7, premier lactate 10.8 mmol/l (à 60 min.), BE au cordon : - 7.6 mmol/l, atteinte hépatique • SDR sur Maladie des membranes hyalines, DD : hypertension pulmonaire persistante du nouveau-né, cardiopathie • Foetopathie diabétique sur diabète maternel type I avec erythroblastose foetale (163 %o) • Hypoglycémies néonatales répétées sur diabète maternel type I (min 0.8 mmol/l à 70 min.) • Suspicion d'infection néonatale • Hépatomégalie à 4 cm au RB (DD : cardiaque, hypertension pulmonaire persistante néonatale, métabolique, hémochromatose) à la naissance • Hydrocèles bilatérales, DD : ascite NNT à 38 3/7 SA PN 1960 g < P3, taille 42 cm, PC 32.5 cm, Apgar 10/10/10, séro eo, SB+ NNT, ABV avec ventouse, bonne adaptation. Ictère traité par photothérapie. BSH NNT, AVB sans complication. Bonne adaptation. NNT né à 38 2/7 SG par césarienne, PN 3150 g (P25-50), TN 49 cm (P10-25), PCN 33.5 (P5-10) Bonne adaptation néo-natale. Grossesse : la mère a eu des nausées et des vomissements pendant toute la grossesse. Insuffisance respiratoire dans le contexte de probable bronchiolite à RSV positif Épisodes de bradycardie avec apnée DD sur reflux, sur RSV Suspicion de RGO NNT né à 39 6/7 SG, PN 3890 g, TN 52 cm. AVB, période sp. Grossesse sp, pas de prise de médicament, maman pas tabagique. BSH NNT, polyhydramnios, césarienne pour décélérations, PN 3260 g, pas LM. Consultation en gastroentérologie pédiatrique pour diarrhées chroniques à l'âge de 7 mois, améliorées en excluant les protéines de lait de vache, gluten et pommes de terre. IgE RASTs pour ces aliments négatifs, aTTG négatifs. Poids à cet âge sur P25. NNT 39 2/7, AVB sans complication, bonne adaptation. NNT 39 3/7, AVB avec ventouse métallique, bonne adaptation. Céphalématome avec bonne évolution. BSH NNT 40 1/7, césarienne pour non progression et CTG patho, Apgar 3/9/10, CPAP 30 sec puis bonne récupération. PN 3220 g Diabète gestationnel insulino-dépendant. NNT 40 1/7, sérologie en ordre PN : 2890 g, taille 48 cm, PC 33 cm apgar 6/9/9 NNT 40 3/7, apgar 9/10/10, PN 3780 g, TN 50 cm, séro en ordre, CMV +, SB nég NNT 40 3/7, AVB sans complications, bonne adaptation, pas de RI, PN 3780 g. NNT 40 4/7, AVB par ventouse sans complication, bonne adaptation. RI présent avec SB positif (maman 1 dose ATB), contrôle à la mat en ordre. PN 3270 g. NNT 41 2/7, AVB par ventouse pour CTG intermédiaire et non progression, bonne adaptation, pas de complication hormis bosse séro-sanguine avec bonne évolution. Noa est un garçon de 7 ans qui consulte plusieurs fois aux urgences depuis le 31.12.2017 pour des douleurs abdominales diffuses associées à des vomissements. Un ultrason effectué le 02.01 permet de diagnostiquer une appendicite aiguë et une appendicectomie laparoscopique est effectuée. Les suites postopératoires sont favorables et Noa retourne à domicile le 04.01.2018. Une ablation des fils n'est pas requise, fils résorbables. Nous conseillons un contrôle clinique chez le pédiatre traitant dans 1-2 semaines. Nodule lobaire inférieure droite • de taille augmentée par rapport comparatif 2016 Nodule en verre dépoli 20x11x12 mm du lobe supérieur droit le 05.01.2017 : • de découverte fortuite Nodule en verre dépoli 20x11x12 mm du lobe supérieur droit le 05.01.2017 Nodule paramédiastinal spiculé du LSD mesurant 16 mm le 20.12.2017 avec: • Nodule spiculé de 6 mm de la lingula • Multiples adénomégalies aspécifiques du médiastin Nodule péri-urétréal gauche. Endométriose stade III. Nodule pulmonaire aspécifique du LSD de 10 mm Nodule pulmonaire basal gauche, le 13.01.2018 Nodule pulmonaire de 15 x 20 mm au niveau du lobe supérieur droit en inter bronchique sus hilaire Diagnostic différentiel: origine tumorale, granulomateuse, infectieuse Nodule pulmonaire de 7 mm dans le lobe supérieur gauche connue • 8-9 mm lors du dernier bilan à Paris Nodule pulmonaire lob supérieur D de 2 cm Nodule pulmonaire para-hilaire gauche Nodule pulmonaire postérieur lobaire supérieur droit Nodule pulmonaire postérieur lobaire supérieur droit • métastase pulmonaire d'origine digestive Nodule pulmonaire spiculé de 7 mm à l'apex du lobe supérieur droit découvert au CT thoracique Nodule pulmonaire spiculé de 7 mm à l'apex du lobe supérieur droit découvert au CT thoracique (03.2017) Nodule pulmonaire 9 mm apical lobaire supérieur droit de découverte fortuite au CT Nodule surrénalien de découverte fortuite sur le CT du 29.05.2017 Nodule surrénalien de découverte fortuite sur le CT du 29.05.2017 Nodule thyroïdien de découverte fortuite le 08.01.2018 Nodule thyroïdien d'origine indéterminée Nodule thyroïdien d'origine indéterminée Nodules de < 6 mm sur les deux plages pulmonaires le 19.01.2018. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance neurologique dans un contexte de traumatisme crânien avec des vomissements. La surveillance neurologique se passe sans particularités avec de bons contrôles. Elle ne présente plus de vomissements mais présente un épisode de selles diarrhéiques. Dans ce contexte, nous attribuons les vomissements à une gastro-entérite virale. À noter que Mme. Y reste afébrile. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y peut retourner à domicile le 21.01.18. Nolan est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse pendant 48 h dans le cadre d'une otite moyenne aiguë droite perforée compliquée par une mastoïdite. Tout au long de l'hospitalisation, il reste afébrile et montre une bonne réponse aux antibiotiques avec diminution de l'érythème péri-auriculaire et une diminution des douleurs. Après discussion avec les ORL et au vu de sa clinique rassurante, Nolan peut regagner son domicile avec une antibiothérapie per os le 07.01.2018. Nous expliquons à la patiente qu'avec l'examen du 29.11.2017, nous avons écarté l'éventualité d'une infection à bas bruit, nous ne pouvons pas visualiser l'origine des douleurs. Par rapport à l'activité professionnelle, elle commencera une réinsertion professionnelle avec une formation à l'aide de l'AI. Actuellement, elle travaille comme décoratrice à 25 %. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique à 5 ans de recul de l'opération, soit en mai 2021. Entre-temps, nous restons à disposition en cas de besoin. Nombreuses contusions du poignet D Non Non fait ce jour. Non-stérilisation tumorale 4 mois post-curiethérapie de la lèvre inférieure après exérèse d’un carcinome épidermoïde invasif moyennement différencié de la lèvre inférieure médiane, classé ycT1 ycN0 ycM0 • 28.06.2017 : exérèse tumorale de la lèvre inférieure • 14 au 18.08.2017 : HDR Brachy-thérapie (36 Gy) Non-union tibia proximal droit. Status post-réduction ouverte, OS tibia proximal D par plaque LISS 4.5/5.0 7 trous et 2 vis libres 4.5 le 02.02.2017 sur : Status post-fermeture fasciotomies jambe D le 26.01.2017. Fracture tibia proximal et tête péroné jambe D (AO 4.1-C2); le 22.01.2017 avec : Status post-fasciotomies médiale et latérale jambe D, mise en place d'un fixateur externe fémoro-tibial le 22.01.2017. Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 03.02. au 04.02.2017, gérée par les anesthésistes. Nopil forte 1-0-1 pendant 5 jours. Hydratation orale. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Nopil 11 ml 2x/j pendant 5 j (7 mg/kg/j de TMP). Contrôle si EF, péjoration ou persistance > 3 j sous ATB. Noradrénaline du 14 au 15.01.2018 Ceftriaxone dès le 14.01.2018 Sonde de rinçage de 3 voies (posée à Payerne), rinçage vésical continu du 14 au 15.01.2018 US voies urinaires et uro-CT 14./15.01.2018: multiples calculs dans la vessie, obstruction intermittente de la jonction urétérale-vésicale possible Hémocultures le 14.01.2018 à Payerne: 1 bouteille positive pour un anaérobe gram + Hémocultures le 14.01.2018 au HFR (1 paire): 1 bouteille anaérobe positive pour un cocci gram + Avis urologiques, Dr. X puis Dr. X le 15.01.2018: prise en charge chirurgicale nécessaire pour extraction des calculs en semi-urgence Noradrénaline 09 au 10.01.2018 Dobutamine le 09.01.2018 Noradrénaline 09 au 10.01.2018 Dobutamine le 09.01.2018 Noradrénaline 09.01 au 10.01.2018 Dobutamine le 09.01.2018 Vu fréquence cardiaque basse, pas d'introduction de bêta-bloquant. Normalisation de la kaliémie et de la fonction rénale aux urgences après réhydratation et substitution en potassium. Normocarde post réanimation volémique Liquémine iv à visée thérapeutique, suivi anti-Xa Normochrome, normocytaire Anémie DD i. R des hémarthros et de la GI-blutung avec: • Hb 89 g/l, MCV 96 fl, MCH 32 pg am 25.12.2017 • Hb 97 g/l am 03.01.2018 Normochrome normocytaire Anémie avec/chez: • Hb 108 g/l (23.12.2017) • Folsäuremangel 2.9 ng/ml (11.12.2017) • sonstige Anämieparameter normwertig Normochrome normocytaire Anémie et Thrombozytopenie 138 G/l • Hb 109 g/l, Er 3.80 T/l, MCV 88 fl, MCH 29 pg Normokarde Vorhofflimmern ohne Zeichen von Herzdekompensation • sous Aspirin cardio, Meto Zerok 100 mg 1-0-0 Arterielle Hypertonie Unklare Rheumerkrankung : • mit etwas unklarer Diagnose • anamnestisch vor allem Fussschmerzen avec Besserung sur Nivagquin et Leflunomid • Medikamenteninduzierte Diarrhoe (Leflunomid) Normolytoral Normolytoral aux urgences et à domicile Perentérol 1 sachet/j durant les symptômes de gastro-entérite Conseil alimentation et hydratation Contrôle si péjoration de l'état général Normolytoral aux urgences et à domicile Perentérol 1 sachet/j durant les symptômes de gastro-entérite Contrôle si péjoration de l'état général normolytoral aux urgences, normolytoral en réserve à domicile pour compenser les pertes. Normolytoral aux urgences boit 200 ml bien toléré, 2 mictions aux urgences Normolytoral. Contrôle si péjoration. normolytoral et perenterol Normolytoral et perentérol Conseil alimentation et hydratation Normolytoral, Paracétamol, Hydratation fractionnée Consulter si signes de déshydratation et/ou baisse de l'état général normolytoral, perenterol contrôle si vomissements Normolytoral 200 ml Normolytoral 200 ml Normolytoral 500 ml --> bien bu. Stix/sédiment urinaire: s.p. (cf annexe) Normolytoral 500-100 ml/24 h pendant 2-3 j. Perenterol 1x/j si diarrhée. Dafalgan 500 mg en réserve. Contrôle si péjoration ou persistance > 4 j. Normolytoral Stimulation hydratation fractionnée Dafalgan/Algifor en réserve Normolytoral Stimulation hydratation fractionnée Dafalgan/Algifor en réserve Reconsultera si échec hydratation, péjoration état général, vomissement incoercible ou débacle de selles. Normolytoral Stimulation hydratation fractionnée Fébrifuge en réserve Notion d'hématochézie d'origine indéterminée. Notion d'angor stable sous TNT patch (mais sensation intermittente de vertiges sous traitement) en 2011. Thrombendartériectomie et plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne gauche le 23.02.2009. Carcinome de la corde vocale D traitée par excision en 1998. Cholecystectomie non datée. Notion de BPCO non stadée avec emphysème radiologique • dans un contexte d'exposition professionnelle (chauffagiste) et tabagisme à 30 UPA • séquelles pulmonaires de tuberculose sans argument microbiologique pour une tuberculose active. Notion de calculs rénaux et insuffisance rénale dans l'enfance. Kyste paratubaire droit de 81 x 82 x 65 mm chez une patiente de 24 ans, 2G 1P avec cystectomie. Status post-appendicectomie. Status post-amygdalectomie. Status post-accouchement par voie basse. Status post-fausse-couche avec curetage. Suspicion de pyélonéphrite vs calcul rénal droit le 29.12.2017. Notion de cancer de la vessie opéré il y a 20 ans. Notion de contage clair. Clinique très évocatrice avec myalgie, rhinorrhées, odynophagie. RX du thorax : pas de foyer visualisé. Traitement symptomatique. Hydratation per os. Arrêt de travail 7 jours. Notion de crise de goutte MTP I pied D. Notion de crise de panique inaugurale avec hyperventilation, paresthésies et tétanie transitoires le 10.01.2018. Notion de kyste osseux du genou droit. Notion de labilité de l'humeur. Notion de longue date du diagnostic de porphyrie aiguë intermittente récidivante, traitée avec perfusion de Normosang, puis perfusion de solution glycosée, mais dont le diagnostic est infirmé par le Dr. X du Centre des Porphyries de l'hôpital universitaire de Zurich le 20.12.2016. Dyslipidémie. HTA. Tabagisme actif à 45 UPA. Cardiopathie ischémique avec stent coronaire droit 2001 (Dr. X Inselspital). Insuffisance artérielle périphérique de stade 1. Asthme d'effort. Insuffisance veineuse chronique. s/p thrombendartériectomie. Maladie de Forestier (Hyperostose vertébrale ankylosante). Carcinome pulmonaire gauche T4 N3 M1 (pulm), limited • date du diagnostic : 24.01.2017 • histologie : carcinome neuro-endocrine à petites cellules (EBUS para-trachéale inférieure gauche 4L et infra-carinaire 7, ainsi que para-trachéal inférieure droite 4R) (Promed P830.17) • status post-bronchoscopie et ultrasonographie endo-bronchique le 24.01.2017 : invasion de la muqueuse de tout l’arbre bronchique gauche, circonférentiel débutant à 1 cm au-dessous de la carène principale avec infiltration sévère • PET-CT du 01.02.2017 : hypercaptation pulmonaire bilatérale avec envahissement massif du médiastin à gauche et à droite ainsi que deux tumeurs pulmonaires synchrones métastatiques • IRM cérébrale du 25.01.2017 : sans évidence de métastase • Scintigraphie osseuse du 23.01.2017 : sans évidence de métastase • Facteur de risque : tabagisme actif jusqu’au diagnostic, 50 UPA • anamnèse familiale : mère décédée d’un carcinome mammaire à 70 ans • colloque multidisciplinaire du 24.01.2017 : chimiothérapie éventuellement concomitante à la radiothérapie • status post-5 cycles de chimiothérapie par Platinol et Gemzar (Etopophos contre-indiqué en raison d’une porphyrie) du 30.01 au 10.05.2017, rémission complète • suspicion de crises d’épilepsie sous chimiothérapie fin mars 2017, traitées par Keppra (2 x 500 mg/jour) • contrôle IRM cérébrale sans évidence de métastase, juillet 2017 • progression tumorale au niveau hilaire gauche avec épanchement pleural gauche, août 2017 • actuellement : introduction d’une corticothérapie par Prednisone 20 mg/jour, proposition de chimiothérapie par Farmorubicine. Syndrome douloureux chronique avec crises algiques • Notion de longue date du diagnostic de porphyrie aiguë intermittente récidivante, traitée avec perfusion de Normosang, puis perfusion de solution glycosée, mais dont le diagnostic est infirmé par le Dr. X du Centre des Porphyries de l'hôpital universitaire de Zurich le 20.12.2016. Notion de maladie de Suddeck. Carcinome épidermoïde corde vocale droite et larynx le 01.12.2017, avec : • Panendoscopie le 27.11.2017 • IRM • Scanner cervico-thoraco-abdominal Syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire selon l'OMS 2008, de score IPSS-1 (très bas risque) diagnostiqué le 08.10.2013 : • hémoglobine cible en 90 et 100 g/l. • suivi par le Dr. X. Cardiopathie valvulaire et rythmique avec • Fibrillation auriculaire paroxystique à réponse ventriculaire rapide anticoagulée par Xarelto. • Sténose aortique légère (1/3) d'origine dégénérative et insuffisance mitrale légère de degré 1 à 2/3 (ETT de 07.2016). • Maladie du sinus avec chronotropie insuffisante à l'effort. irritabilité auriculaire, pacemaker bicaméral implanté en septembre 2016. Neuropathie optique ischémique antérieure droite (NOIA). Diverticulose sigmoïdienne. BPCO stade II selon Gold, avec VEMS à 68% en mars 2016. Tremor essentiel (mains). Ostéoporose fracturaire (tassements vertébraux en 2013). Cervico-discarthrose avec discopathie sévère C6-C7, uncarthrose à prédominance droite en C5-C6 et C6-C7 et arthrose interfacettaire postérieure modérée étagée (IRM cervicale du 19.07.2016). Arthrose acromio-claviculaire bilatérale. Gonarthrose du genou droit. Coxarthrose fémorale droite. Notion de schizophrénie traitée, peu claire. Notion de tachycardie transitoire. Diagnostic différentiel : angoisse. Notion de trouble de l'adaptation (réaction psychique au problème de santé somatique - lombosciatalgies) avec introduction de Cymbalta (Dr. X). Notion d'état grippal présent depuis 2 semaines. Notion d'hématochézie de faible abondance présente depuis 6 jours, actuellement résolution complète. Notion d'hématochézie d'origine indéterminée sur probables hémorroïdes internes. Nourrisson de 18 mois en bon état général, avec dyspnée inspiratoire brutale transitoire sans signe de lutte ni désaturation. Début de laryngite. Nourrisson sain avec probable colique. Nous administrons de l'Adrénaline 0.5 mg im, Solu-Medrol 125 mg et Tavegyl 2 mg. Le patient profite d'une surveillance aux urgences pendant 4 heures et il reste stable. Les symptômes sont résolus et le patient regagne son domicile. Il doit visiter un allergologue pour pister la cause de son allergie. Nous administrons de l'oxygène. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 25 mg/l sans leucocytose et une hypokaliémie à 3.1 mmol. L'ECG est sinusal à 70 bpm sans signe d'hypokaliémie. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer ni d'épanchement pleural (avis de la Dr. X, de médecine interne). Nous administrons des aérosols d'Atrovent et de Ventolin. La gazométrie montre une hypoxie avec PO2 à 7.3 kPa et SaO2 à 90% à l'air ambiant. La patiente habite seule et alors nous proposons une hospitalisation pour traiter sa symptomatologie, avec des aérosols et de l'oxygène. Étant donné le manque de place à l'HFR Riaz, nous proposons l'HFR Tafers, mais la patiente refuse l'hospitalisation à Tafers et elle signe une décharge de responsabilité. Elle doit revenir à la filière des urgences ambulatoires le 03.01.2018 pour contrôle clinique et laboratoire (avec K), car son médecin traitant est en vacances.Nous administrons des aérosols d'Atrovent-Ventolin, de Rocéphine iv et de Prednisone 50 mg. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 317 mg/l et une leucocytose à 11.5 G/l. La gazométrie montre une hypoxémie avec PO2 à 8.2 et PCO2 à 7.2. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer, mais un petit émoussement du recessus costo-diaphragmatique gauche. Nous mettons la patiente sous VNI (IPAP 10, EPAP 5). Nous effectuons des gazométries à répétition, qui ne sont pas améliorées malgré le traitement et les changements des paramètres de VNI. Nous transférons la patiente aux soins intensifs à l'HFR Fribourg, départ en ambulance. Nous administrons du Nexium 20 mg per os qui soulage la patiente. Le laboratoire est sans particularité. La patiente regagne son domicile avec un traitement de Nexium et elle devra prendre rendez-vous chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Nous administrons du Xyzal 5 mg qui ne soulage pas la patiente. Ensuite, nous administrons du Tavegyl iv et la patiente est améliorée. Nous remplaçons par de la Co-Amoxicilline avec Dalacine et Ciproxine. Elle peut regagner son domicile avec du Xyzal 5 mg pour 3 jours. Elle reviendra pour un contrôle à la policlinique d'orthopédie le 03.01.2018. Nous administrons un cp de Dafalgan 1 g. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 127 mg/L sans leucocytose et une flore bactérienne dans les urines. Après avis de la Dr. X, la patiente peut regagner son domicile avec Ciproxine et elle devra revenir pour un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 04.01.2018. Nous adressons la patiente à nos collègues du team membres supérieurs afin de définir la suite du traitement. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie pour le traitement dans l'eau. Nous avons augmenté la capacité de travail à 70%. Nous adressons le patient en ORL pour le 31.12. à 8 heures afin d'extraire le bouchon de cérumen et de regarder l'éventualité d'une otite moyenne aiguë. Nous allons effectuer un scanner à coupe fine L4-L5 pour voir s'il y a des manques de guérison complète qui peuvent justifier la sensation d'instabilité rapportée par la patiente. Nous la reverrons ensuite. Nous allons observer la situation et la maman nous recontactera lorsque Nolan marchera tout seul. Nous déciderons à ce moment-là si une semelle est nécessaire. Nous allons revoir la patiente à une année de l'intervention pour une nouvelle radiographie. Pour l'instant, pas de traitement chirurgical. Poursuite de la physiothérapie. Nous restons à disposition en cas de besoin. Nous anesthésions localement avec EMLA et désinfectons à l'Hibidil. L'exploration de la plaie n'a pas montré de structure profonde ni de corps étranger. Nous rinçons ensuite abondamment par NaCl. Nous suturons par 3 points à l'Ethilon 4-0. Sa mère fixera un rendez-vous chez le médecin traitant pour un contrôle de plaie à 48 h et pour enlever les fils dans 5 jours. La mère a une antalgie simple au domicile. Le tétanos est à jour. Nous expliquons à la mère les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence et lui avons donné la feuille de surveillance post-traumatisme crânien. Nous appellerons demain matin au service de l'ORL du CHUV pour avancer le RdV. Explication aux parents de la surveillance clinique à faire à domicile (cyanose, apnée, pâleur, péjoration stridor, SDR, rhinite, rhume, EG,..) et contrôler selon la surveillance. Consignes pour dormir et donner les repas. Nous appelons le Dr. X, de garde pour l'ophtalmologie à l'HFR Fribourg, qui recommande de mettre de la pommade de Vitamine A dans l'œil gauche, puis un pansement occlusif et de faire venir le patient à la consultation d'ophtalmologie à l'Hôpital cantonal de Fribourg à 8 h le lendemain. Nous appelons le neurochirurgien de garde pour lui transmettre le résultat de l'IRM. La secrétaire nous dit que le médecin nous appellera dès que possible. La patiente rentre à la maison étant donné l'attente prolongée. La patiente sera convoquée pour consultation en neurochirurgie le lendemain. Nous attribuons les vomissements à un début de GEA. Nous autorisons la patiente à reprendre les entraînements de foot, par contre elle attendra encore 3 semaines pour les matchs. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 1 mois. Nous avons adressé la patiente à la consultation de la Dr. X. En raison de l'attente, la patiente a décidé de partir volontairement, mais la gynécologue a réorienté la patiente vers son gynécologue traitant afin d'effectuer un ultrason trans-vaginal la semaine prochaine. Nous avons consulté la Dr. X qui a accepté l'hospitalisation à Marsens. Le patient est d'accord avec l'hospitalisation. Il part avec sa femme qui a la responsabilité de l'amener à la réception du RFSM de Marsens. Nous avons déjà pré-réservé une date opératoire pour une révision de la plaie, du nerf et du tendon le 09.01.2018. Incapacité de travail pré-établie jusqu'à fin mars. Le patient est de nouveau informé des risques et bénéfices de l'opération, nous complétons le consentement éclairé qui est à nouveau signé par le patient. L'opération sera effectuée à Tavel pour des questions d'organisation. Nous avons désinfecté la plaie avec de la Bétadine. Nous avons fait une exploration sous lidocaïne/bicarbonate qui n'a pas mis en évidence de structure profonde ni de corps étranger. Nous avons rincé avec du NaCl et effectué 4 points de suture Ethilon 4.0. Le rappel antitétanique a été fait. Nous proposons un contrôle de plaie à 48 h et les fils à enlever à 12 jours. Le patient a été évalué par la psychiatre de garde Dr. X, qui décide d'une hospitalisation à Marsens. Il part avec les ambulanciers pour l'hospitalisation volontaire. Nous avons discuté le cas au colloque préopératoire du 24.11.2017 et une attitude expectative a été proposée pendant 3 mois. Introduction de l'Esmya cependant, afin de diminuer la taille du myome et maximiser les chances d'une myomectomie laparoscopique (réévaluation par IRM sera organisée pour fin février 2018). Selon l'avis du Dr. X, un consilium de hémato-oncologie vous est demandé étant donné l'absence de plages libres rapidement disponibles sur Fribourg et aussi vu la proximité de son domicile. Nous vous prions de bien vouloir convoquer la patiente pour l'évaluation de l'étiologie des adénopathies et exclure une étiologie maligne. Nous avons donné à la patiente une dose de Rocéphine 2 g par intraveineuse et une injection de 1 g de paracétamol par intraveineuse. Un avis avait été demandé au Dr. X, urologue qui a proposé un traitement par Rocéphine 2 g chaque 24 h jusqu'au résultat de l'antibiogramme, puis passer à une antibiothérapie per os selon le résultat, pendant 15 jours. Si péjoration des symptômes ou clinique, il faudra considérer une hospitalisation. La patiente reviendra demain à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico biologique, une injection de Rocéphine 2 g par intraveineuse et pour pister les résultats de l'antibiogramme avec un relais antibiotique par voie orale pour une durée de 15 jours. Le Dr. X, urologue sera recontacté demain pour voir si la patiente nécessite un rendez-vous chez lui dans 15 jours.Nous avons donné du Buscopan et du Dafalgan pour antalgie. Nous avons donné du Practomil 1000 ml sans efficacité. Nous débutons Moviprep et la patiente rentre chez elle en attendant l'effet. Nous lui proposons une consultation demain aux urgences si pas d'efficacité. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons effectué un laboratoire, qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, un sédiment urinaire qui était également dans la norme et un test de grossesse qui est revenu négatif. Nous administrons du Brufen 400 mg et du Dafalgan 1 g iv ainsi que 500 ml de NaCl, 25 gouttes de Tramal et du Buscopan sans amélioration des symptômes. Nous prenons l'avis du Dr. X et la patiente est transférée avec un transporteur à l'HFR-Fribourg pour une suspicion de torsion d'ovaire. Nous avons effectué une incision, un drainage et un rinçage avec méchage. L'ablation et un rinçage se feront à 24h chez le médecin traitant si pas de disponibilité en policlinique de chirurgie le 30.01.2018. Un rendez-vous chez le Dr. X, chirurgien devra être pris par le patient. Nous avons effectué une manœuvre de Hallpike avec vertige déclenché, nystagmus visualisable et ensuite la manœuvre libératrice effectuée qui a soulagé de façon temporaire le patient mais malheureusement les vertiges, les nausées et vomissements sont réapparus. Étant donné le manque de place à l'HFR Riaz, le patient est d'accord d'être hospitalisé à l'HFR Tavel. Il quitte les urgences de l'HFR Riaz pour l'HFR Tavel accompagné par sa famille. Nous avons exclu une infection systémique avec une atteinte organique. Nous introduisons alors un traitement symptomatique et proposons un suivi par le médecin traitant. Nous avons fait des radiographies du pouce et scaphoïde qui n'ont pas montré de fracture. Nous avons pris l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui est passé voir le patient. Nous retenons le diagnostic d'une entorse bénigne du ligament collatéral ulnaire du pouce droit. Le patient rentre chez lui avec antalgie optimisée et un certificat de dispense de sport. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Si persistance ou péjoration des symptômes, le patient prendra rendez-vous chez le Dr. X. Nous avons fait un ECG et un laboratoire, qui sont dans la norme. Nous avons fait un test de Schellong et des manœuvres de Hallpike qui étaient négatifs. Nous retenons le diagnostic de malaise de probable origine anxieuse et de céphalées dans le contexte d'une fatigue due à l'insomnie. Nous instaurons un traitement symptomatique et la patiente rentre chez elle accompagnée de sa famille. Nous avons fait un ECG long qui montrait un BAV Mobitz I intermittent avec passages en Mobitz II et un bloc de branche droit complet, sans altérations du segment ST. Une bradycardie était mise en évidence sur le scope. Nous avons aussi fait un laboratoire qui était dans la norme. Nous avons discuté le cas avec le cardiologue de garde à Fribourg (Prof. X) et le patient a été transféré aux soins intensifs de Fribourg, départ en ambulance. Nous avons fait un ECG qui est dans la norme, donné de l'Isoket et de l'Aspegic 500 mg. Nous avons fait un laboratoire qui montre des troponines à 21ng/L (>3h des douleurs) et un deuxième train à 20ng/L. Le troisième train à 16ng/L permet d'écarter raisonnablement une atteinte coronarienne. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement antalgique et au vu de l'âge du patient, nous proposons au médecin traitant l'organisation d'une consultation spécialisée en cardiologie. Nous avons fait un ECG qui était dans la norme et un laboratoire avec preuves hépatiques et pancréatiques qui étaient aussi dans la norme. Nous avons fait un sédiment qui ne montre pas d'érythrocytes. Nous retenons le diagnostic d'une contusion basi-thoracique et laissons rentrer le patient à domicile avec antalgie optimisée. Nous avons fait un ECG qui était dans la norme et un laboratoire qui est dans la norme avec troponines à 1h et 3h des douleurs qui étaient à 3ng/L. Nous avons fait une radiographie du thorax qui ne montre pas de surcharge ou de foyer. Nous retenons le diagnostic d'une crise d'angoisse sur des extrasystoles symptomatiques. Nous conseillons à la patiente de garder son rendez-vous en cardiologie la semaine prochaine pour le bilan cardiaque. Nous avons fait un ECG qui était dans la norme. Nous avons fait un laboratoire et un sédiment urinaire qui étaient dans la norme. Nous retenons comme diagnostic une probable gastrite sur un état d'anxiété. Nous donnons du Nexium per os et du Temesta sublingual à la patiente, avec amélioration des symptômes. La patiente rentre chez elle avec un traitement d'épreuve et sera suivie chez son médecin traitant. Nous avons fait un ECG qui était dans la norme, un laboratoire qui montrait une fonction rénale dans la norme et un CT-scan thoracique qui a permis d'identifier une embolie pulmonaire sous-segmentaire basale gauche. Nous calculons un PESI Score à 40 - Très bas risque - et laissons la patiente rentrer à domicile anticoagulée par Xarelto 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines puis 20 mg/jour pendant au moins 3 mois. La patiente sera vue en angiologie le 06.04.2017 à 09H00, pour discuter de la durée de l'anticoagulation pour cet événement idiopathique hormis la prise de contraceptif oral. La patiente consultera son gynécologue pendant la semaine pour discuter d'autres options de contraception et elle sera suivie chez son médecin traitant. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un ECG qui était dans les limites de la norme et une radiographie du thorax qui était sans particularité. Nous avons fait un laboratoire qui était dans la norme avec un TS à H0 à 6 (>3h depuis la fin de la douleur) et à H1 à 6. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques liées à l'angoisse (DD : angor stable) et la patiente rentre à domicile. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant pour organiser un bilan cardiologique (y compris un test d'effort) prochainement. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un ECG qui était superposable aux précédents, un laboratoire qui était dans la norme, hormis une anémie déjà connue. Nous avons fait un lavement avec succès et soulagement de la patiente, et donné du Nexium et du Ulcar. La patiente rentre chez elle avec un traitement symptomatique et sera suivie chez son médecin traitant pour la suite des investigations (éventuellement gastroscopie et test H. pylori). Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un ECG qui montrait un rythme sinusal à 90 bpm, superposable à ses ECG précédents et une radiographie du thorax qui était dans la norme. Nous avons fait aussi un laboratoire qui était sans particularité. Pendant le séjour aux urgences, le rythme cardiaque s'est ralenti spontanément jusqu'à 75 bpm. Nous retenons comme diagnostic une tachycardie sinusale paroxystique sur un hyperthyroïdisme. La patiente rentre chez elle avec son traitement habituel et du Beloc Zok 50 mg en réserve pour un dosage maximal de 200 mg/jour. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge de l'hyperthyroïdisme. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un ECG qui montrait une fibrillation auriculaire à 65 bpm, et un laboratoire qui montrait une CRP à 9 mg/l, sans leucocytose. Nous avons retenu le diagnostic d'un syndrome grippal et d'une syncope vagale probablement dans le contexte de la déshydratation. Nous hydratons le patient et instaurons un traitement symptomatique. Le patient rentre chez lui et sera suivi chez son médecin traitant. Nous avons fait un ECG qui montre une FA à 72 bpm, des QRS fins, une inversion des ondes T en DI et aVF, superposable à l'ECG précédent. Nous avons donné de l'Adalat vu l'hypertension artérielle. Nous avons fait un bilan sanguin qui montre une cinétique de troponine descendante (51 -> 44) avec une anémie à 109 g/l, sans indication à transfuser. Nous faisons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer ou d'épanchement pleural. Nous retenons le diagnostic d'un angor stable sur anémie (DD: progression de la maladie aortique) et nous intensifions le traitement anti-angineux et proposons une réévaluation à distance du besoin d'intensifier aussi le traitement anti-hypertenseur. La patiente a un contrôle avec un échocoeur chez le Dr. X en février. Nous proposons aussi un nouveau bilan d'anémie (ferritine, vitamine B12 et B9) et une recherche de sang occulte dans les selles. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une consultation en urgence. Nous avons fait un ECG qui montre une fibrillation auriculaire à 65 bpm, sans signe d'ischémie, un laboratoire qui est dans la norme. Le patient est rassuré par les résultats et sa tension descend à 154/85 mmHg. Vu le risque d'interaction médicamenteuse, nous conseillons au patient d'arrêter son traitement homéopathique et il ira demain chez son cardiologue traitant pour rediscuter d'autres options d'anticoagulation avec lesquelles il soit d'accord. Nous avons fait un laboratoire avec des tests hépatiques et pancréatiques qui sont dans la norme. Nous avons donné du Nexium 40 mg avec soulagement de la douleur. Nous retenons le diagnostic d'une gastrite. Le patient rentre chez lui avec un traitement d'épreuve. Il sera suivi chez son médecin traitant, si persistance des symptômes avec une investigation plus approfondie. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un laboratoire avec une troponine qui était dans la norme, hormis une leucocytose à 14 g/l et un électrocardiogramme qui était dans la norme. Nous retenons le diagnostic d'une douleur thoracique de probable origine musculo-squelettique (DD: péricardite débutante). Nous avons donné un traitement symptomatique par AINS et un rendez-vous de contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 10.01.2018 selon l'avis du Dr. X, chef de clinique de la médecine. Nous avons fait un laboratoire et un ECG qui étaient dans la norme, le test de Schellong était négatif. Nous retenons le diagnostic de vertiges positionnels paroxystiques bénins. Le patient reste asymptomatique, nous le laissons rentrer à la maison avec des consignes de consulter un ORL en cas de nouvelle crise. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un laboratoire qui a montré un syndrome inflammatoire avec CRP à 56 mg/l et une leucocytose à 12 g/l. Nous prenons l'avis de Dr. X et faisons une PCR des selles. Nous instaurons un traitement symptomatique et la patiente rentre chez elle. Elle sera revue à la filière des urgences ambulatoires le 09.01 pour un contrôle clinique, biologique, résultats de la PCR et éventuel US abdominal. Le 08.01.2018, nous recevons le résultat de la PCR qui montre la présence de campylobacter, et nous envoyons la copie au médecin traitant, qui prendra contact avec la patiente. Nous avons fait un laboratoire qui est dans la norme hormis une CRP à 10 mg/l et une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer. Nous avons mis en place un traitement symptomatique et des anti-asthmatiques. La patiente rentre à la maison soulagée et eupnéique. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un laboratoire qui montrait une CRP à 14 mg/l, sans leucocytose ni atteinte rénale et un ultrason des voies urogénitales qui ne montrait pas de calcul rénal. Le sédiment urinaire montrait des leucocytes ++, sans autre particularité. Nous suspectons une pyélonéphrite et instaurons un traitement par Ciproxine 500 mg 2x/jour. La patiente sera réévaluée à la filière des urgences ambulatoires le 06.01.2018 pour résultats de l'urotube. Nous avons fait un laboratoire qui montre des d-dimères à 639 ng/ml. Nous suspectons une thrombose veineuse profonde à gauche. Nous donnons à la patiente du xarelto 15 mg à 02h00 du matin. La patiente reviendra à 08h00 pour un ultrason de la jambe et une prescription d'anticoagulation en cas de confirmation de la thrombose veineuse profonde. Nous avons fait un laboratoire qui montre un INR à 0.9 (la patiente raconte qu'elle n'est pas sûre si elle a changé le Sintrom par un des nouveaux anticoagulants récemment) et un CT cérébral qui a permis d'exclure une hémorragie intracrânienne. Nous désinfectons les trois plaies et explorons sous anesthésie locale. Pas de structure profonde visible, pas de saignement actif, pas d'écoulement. Nous avons pris l'avis de Dr. X et suturé avec 3 points de rapprochement au niveau de l'avant-bras, 2 points au niveau du menton et 1 point à l'extérieur de la lèvre, bains de bouche 4x/j pendant 10 jours. Nous avons fait le rappel antitétanique. Suivi des plaies dans 48h chez le médecin traitant. Enlever les points dans 6-10 jours chez le médecin traitant. Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 114 mg/l (à la hausse par rapport à la veille) avec une leucocytose à 10.4 G/l (stable par rapport à hier). Le Dr. X, assistant d'orthopédie, est passé voir la patiente hier et il lui a mesuré les pressions au niveau des loges (delta en intérieur à 60 et en extérieur à 70). Ce jour, nous mesurons le périmètre des mollets qui est superposable à hier sans augmentation ni diminution et la patiente dit se sentir mieux. Nous discutons du cas avec le Dr. X, assistant d'orthopédie. Au vu de l'augmentation de la CRP, nous prévoyons un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 10.01.2018 à 17h pour un suivi clinique et biologique (syndrome inflammatoire). La patiente ne tolère pas bien les AINS, raison pour laquelle nous lui prescrivons du Pantozol 40 mg une fois par jour. Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 186 mg/l et une leucocytose à 14.0 G/l, et un sédiment urinaire qui montre une leucocyturie avec hématurie. Nous avons fait un urotube qui est en cours, donné de la Rocéphine 2g et fait un CT-scan low dose qui a montré une très discrète augmentation de l'hydronéphrose par rapport à son dernier scanner en février, sans évidence de calcul. Nous avons discuté le cas avec l'urologue Dr. X qui a proposé un traitement par Rocéphine 2g chaque 24h jusqu'au résultat de l'antibiogramme puis passer à antibiothérapie per os selon le résultat pendant 15 jours. Si péjoration des symptômes ou clinique, considérer une hospitalisation.Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 20mg/l sans leucocytose, et une radiographie qui ne montre pas de foyer. Nous avons fait une paire d'hémocultures à froid et un test de Schellong qui était positif. Nous retenons le diagnostic d'une syncope dans le contexte d'une déshydratation et d'une bronchite virale. Nous mettons en place un traitement symptomatique avec des consignes d'hydratation et expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 20mg/l, sans leucocytose. Nous faisons une radiographie du thorax qui laisse suspecter un foyer para-cardiaque gauche. Nous laissons en place l'antibiothérapie par Levofloxacine jusqu'à mercredi 10.01.2018 (7 jours de traitement) et le patient sera suivi chez son médecin traitant. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 51 et leucocytose à 14.9 g/l et un sédiment urinaire qui était dans la norme. Nous avons fait une US abdomen qui montre une image compatible avec une appendicite. Nous appelons Dr. X et la patiente est prise au bloc opératoire ce soir. Nous avons donné Co-Amoxi 2,2 g iv. Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 72mg/l avec leucocytose à 10.5G/l et D-dimères à 512 ng/ml. Nous avons fait un ultrason de la jambe qui a montré un hématome entre les muscles jumeaux et le muscle soléaire. Nous avons pris l'avis orthopédique (Dr. X) qui est passé voir la patiente et lui a mesuré la pression au niveau des loges (delta en intérieur à 60 et en extérieur à 70) qui était rassurante. Nous laissons rentrer la patiente avec un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le lendemain pour mesurer le périmètre des mollets et évaluation des symptômes. Si les symptômes ne sont pas péjorés et le diamètre pas augmenté, suivi chez le médecin traitant, si péjoration demander un nouvel avis orthopédique. Nous avons fait un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 14.5G/l et une CRP à 14mg/l et un sédiment urinaire qui montre une hématurie avec faible présence de leucocytes et de flore bactérienne sans nitrite. L'ultrason réalisé par le Dr. X montre une dilatation pyélo-calicielle de 11 mm, pas de visualisation de l'uretère distal. Nous effectuons un Uro-CT qui montre une dilatation de 11 mm confirmée, calcul de 3x2 mm au niveau de l'uretère distal. La patiente bénéficie de Paracétamol 1 g + Ecofenac 75 mg iv, qui calme les douleurs. Le test de grossesse revient négatif. Nous prescrivons du Pradif 0.4 mm + AINS en réserve. Nous avons fait un laboratoire qui montre une lésion hépatique avec ASAT à 164 U/l, ALAT à 359 U/l, phosphatase alcaline à 725 U/l et GGT à 562 U/l, une hyperbilirubinémie à 185µmol/l et une bilirubine directe à 170µmol/l. Pas de leucocytose, CRP à 12mg/l. La bili-IRM montre le calcul sur le canal cholédoque. Nous prenons l'avis chirurgical du Dr. X et organisons une ERCP à l'hôpital cantonal de Fribourg pour le 15.01.2018. Nous informons le patient qu'il doit consulter les urgences s'il a des douleurs, des frissons ou de la fièvre. Nous avons fait un laboratoire qui montre une lésion hépatique. L'ultrason montre une dilatation des voies biliaires sans calcul visible. Le CT-scan abdominal confirme la dilatation des voies biliaires avec épaississement de la paroi de la vésicule sans calcul visible. Nous prenons l'avis du Dr. X, le patient commence un traitement avec Zinat 150mg 2x/jour et il devra revenir pour une bili-IRM le 11.01.2018. Nous avons fait un laboratoire qui ne montrait pas de syndrome inflammatoire ni d'atteinte rénale. Nous avons fait un sédiment urinaire qui montrait une micro-hématurie et un ultrason des voies urinaires qui montrait une légère dilatation pyélo-calicielle à gauche. Nous laissons rentrer le patient avec un traitement symptomatique et un filtre pour les urines. Il viendra demain le 04.01.2018 pour un Uro-CT-scan et contrôle à la filière des urgences ambulatoires. Nous avons fait un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous avons aussi fait une radiographie du thorax qui était superposable à l'examen de 2012. Pendant le séjour aux urgences, le patient a représenté des douleurs épigastriques avec nausées, c'est pourquoi nous lui avons donné du Nexium 40 mg, du Primperan 20 mg et de l'Ulcar. Nous retenons le diagnostic d'un syndrome grippal et le patient rentre chez lui avec un traitement symptomatique. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un status neurologique qui était dans la norme. Vu l'absence de facteur de risque, nous laissons rentrer la patiente avec surveillance neurologique. Nous donnons et expliquons les consignes de surveillance. Par rapport à son coude, la patiente refuse absolument une radiographie du coude, vu qu'elle bouge le coude sans douleur. Nous lui expliquons les risques de refuser la radiographie et donnons une antalgie simple pour la maison. Nous avons fait une prise de sang qui montre une CRP en légère amélioration avec une hypokaliémie aussi en amélioration à 3.4 mmol. Nous n'avons pas refait une gazométrie vu que la patiente ne le voulait pas et elle saturait à 97% à l'AA. Nous avons gardé la substitution en K+ et la patiente est rentrée chez elle accompagnée par sa fille, des soins à domicile sont déjà en place. Elle fera un contrôle en fin de semaine chez son médecin traitant. Nous avons fait une radiographie de la cheville qui n'a pas montré de fracture, nous retenons le diagnostic d'une entorse bénigne du ligament collatéral latéral de la cheville gauche. Nous conseillons un protocole RICE, anti-inflammatoire, marche selon douleurs et contrôle chez le médecin traitant. Nous avons fait une radiographie du coude qui n'a pas montré de fracture, du pouce et du poignet qui ne montrent pas de fracture claire mais nous suspectons une fracture du scaphoïde. Nous avons pris l'avis orthopédique du Dr. X et mis en place une plâtre antébrachiale du pouce, fendue, avec une radiographie de contrôle post-plâtre. La patiente rentre chez elle avec antalgie simple et sera revue en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Nous lui avons donné un arrêt de travail. Nous expliquons les consignes de surveillance post-traumatisme cranien à la patiente, et les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait une radiographie qui n'a pas montré de fracture. Nous suspectons une entorse de la métacarpophalangienne du 3ème doigt droit. Vu que ça fait 1 mois sans amélioration et que la patiente mentionne des chocs électriques, nous prenons rendez-vous à la consultation du Dr. X, orthopédiste, pour évaluation de la nécessité de plus d'investigations. Nous avons fait une radiographie qui ne montrait pas de fracture. Nous avons mis en place une bretelle et une antalgie simple au domicile. Le patient sera suivi chez son médecin traitant. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence.Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture ni de luxation. Nous lui proposons un traitement conservateur. Le patient veut absolument voir un spécialiste, c'est pourquoi nous le référons à la consultation orthopédique du Dr. X. Nous avons fourni au patient une liste de médecins traitants. Nous avons l'impression que la consultation du jour a été générée dans un contexte d'anxiété suite aux récentes hypoglycémies et des adaptations thérapeutiques. Sur l'évocation des symptômes semblant chroniques (mais l'anamnèse est difficile) nous n'avons pas d'arguments pour un syndrome coronarien aigu. Nous évoquons un pyrosis malgré le traitement d'IPP. Cette hypothèse pourrait être investiguée par une OGD et rechercher une hernie hiatale et/ou une gastroparésie diabétique. Nous avons l'impression que la douleur ressentie par le patient soit plutôt d'origine musculaire au niveau des abducteurs de la hanche (tensor fascia late) petit et moyen fessier, nous prescrivons pour les 3 prochains mois une physiothérapie pour stretching, massage, amélioration de la fonction musculaire, le patient reprendra contact dans 3 mois en cas de péjoration ou non amélioration de la symptomatologie. Nous avons mis de la Bépantène crème et fait une ordonnance pour la maison. La patiente sera revue le 05.01.2017 en policlinique de chirurgie. Nous avons mis en place un traitement symptomatique et donné un arrêt de travail pour 3 jours. La patiente sera suivie chez son médecin traitant. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons mis en place un traitement symptomatique et le patient est rentré à la maison soulagé. Il sera suivi chez son médecin traitant. Nous avons mis un Rapid-rhino antéro-postérieur. L'hémoglobine est stable à 134 g/l. La PTT est à 45 sec. Nous contactons l'ORL de garde Dr. X et prenons un rendez-vous à son cabinet le 29.01.2018. Nous avons mis une antalgie avec Paracétamol iv et donné des consignes à la patiente par rapport aux antalgiques permis pendant chaque trimestre de la grossesse. La patiente est soulagée et nous la laissons rentrer à domicile. Nous avons mouché le patient et mis du Triofan sans réussite de l'hémostase. Nous avons mis en place un RhinoRapid postérieur à gauche avec réussite de l'hémostase. À la réévaluation à 15 minutes il n'y avait pas d'écoulement postérieur. Le laboratoire montre une hémoglobine à 158G/l avec un INR à 1.5. À noter aussi une insuffisance rénale chronique de stade III. Le patient est hémodynamiquement stable, nous le laissons rentrer au domicile et il ira chez son ORL traitant à 17h à l'HFR Fribourg. Nous avons prescrit à la patiente une antalgie et du Clexane jusqu'au 25.01.2018. L'examen clinique est rassurant. On met une botte fendue en pré tibial et la patiente regagne son domicile. La patiente revient à la policlinique le 25.01.2018 comme prévu. Nous avons pris l'avis de Dr. X et donné de l'Ichtolan à la patiente. Elle sera revue en policlinique de chirurgie pour évaluation et décision d'incision. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons procédé à l'exploration de la plaie sous anesthésie locale à la Xylocaine. La plaie ne franchit pas le tissu graisseux. On procède à une suture par deux points au fil Ethilon 4.0. L'ablation des fils se fera dans 12 jours à la consultation de son médecin traitant. Nous avons profité de la prise de sang effectuée avec grande peine, pour mesurer la fonction thyroïdienne que le Dr. X pourra obtenir auprès de notre laboratoire. Nous avons pu rassurer la patiente car il ne s'agit pas de goutte. Par contre, il s'agit d'un conflit avec les chaussures. Elle est contente de cette explication. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous avons retenu le diagnostic d'une contusion et mise en place d'une antalgie optimisée et une bande élastique. Mobilisation selon douleurs. Contrôle chez le médecin traitant. Retour à Marsens. Nous avons rincé abondamment la plaie avec du NaCl. Nous avons fait une exploration qui n'a pas montré de structure profonde ou de corps étranger. Nous avons fait une désinfection avec de la Bétadine et mis en place un pansement simple, n'ayant pas besoin de suture. Le patient sera revu par son médecin traitant dans 48h. Nous calculons un Centor Score à 3 et effectuons un streptotest qui revient négatif. Après discussion avec Dr. X, de médecine interne, nous décidons de laisser rentrer la patiente avec un traitement symptomatique par Angina, Dafalgan et Irfen. Nous conseillons à la patiente de consulter son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Nous changeons la flexion plantaire jusqu'à 20° à la place de 30° à l'essai ces prochaines 3 semaines. Le pansement sera changé par sa conjointe à domicile. Ablation des fils à deux semaines postopératoires. Nous changeons l'attelle SplintPod de taille S à M et la patiente est rapidement soulagée. Elle sera revue à la policlinique d'orthopédie le 05.02.2018 pour la suite de la prise en charge. Nous changeons le plâtre de soft Cast par un plâtre de Paris fendu. À noter que les fourmillements disparaissent après ablation du plâtre et réapparaissent de nouveaux dans le plâtre. Nous retenons des fourmillements probablement d'origine vasculaire. Nous laissons le plâtre de Paris fendu et la patiente sera revue dans une semaine en policlinique d'orthopédie. Nous concluons à des douleurs dues à une tension musculaire. Le patient rentre à domicile avec une antalgie et un myorelaxant. Nous concluons à une anaphylaxie. La patiente reçoit 0.5 mg d'Adrénaline intra-musculaire, 2 mg de Tavegyl en intraveineuse et 125 mg de Solumédrol en intraveineuse. Après une surveillance clinique aux urgences, il y a une résolution complète des symptômes. La patiente peut regagner son domicile le jour même avec une prescription de Xyzal 5 mg pendant 5 jours, Prednison 50 mg un seul comprimé le 20.01.2018, ainsi qu'un nouvel antibiotique par Uvamin cpr 100 mg 2x/jour pendant 5 jours pour l'infection urinaire basse. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de réapparition des symptômes. Nous concluons à une conjonctivite irritative sans signe alarmant. Traitement par Vitamine A, larmes artificielles et bandage de l'œil. Contrôle à 24h chez l'ophtalmologue. Nous concluons à une crise migraineuse et donnons 75 mg d'Ecofénac iv, et titrons la morphine iv jusqu'à 8 mg avec un soulagement passager des douleurs. Nous administrons également de la Novalgine avec un effet similaire. D'un commun accord avec la patiente, nous lui prescrivons un traitement antalgique avec de la Novalgine et un autre Triptan qu'elle supporte mieux. En cas de persistance de la symptomatologie, nous recommandons de référer la patiente à une consultation spécialisée de neurologie. Nous concluons à une gastro-entérite virale. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan et Irfen. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant pour suivre l'évolution de cette gastro-entérite et de cette toux probablement sur bronchite.Nous concluons à une urticaire médicamenteuse sur Céfuroxime. Mme. Y reçoit du Tavegyl iv avec une bonne diminution des démangeaisons. Elle rentre donc à domicile avec du Xyzal 5 mg 1x/jour pour 5 jours. Nous lui conseillons d'arrêter son traitement de Céfuroxime et de réévaluer la nécessité de la poursuite d'une antibiothérapie avec son médecin traitant. Nous lui proposons également une recherche de Clostridium difficile dans les selles en raison de diarrhées dans le contexte d'une longue antibiothérapie mais la patiente ne veut pas aller à selles ni nous amener des selles dans le futur. Suite chez le médecin traitant. Nous concluons donc à un syndrome grippal d'origine probablement virale et le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous confectionnons un nouveau plâtre redressant. Nous la reverrons dans 1 semaine pour faire un nouveau plâtre. Nous conseillons à la patiente d'arrêter l'Ibuprofène. Nous lui prescrivons du Pantozol 40 mg pour une durée de 15 jours. Elle doit continuer à prendre le reste de son traitement et bien s'hydrater. Un arrêt de travail est prescrit pour deux jours. Nous conseillons à la patiente de garder les cannes mais de marcher en charge selon ses douleurs encore pour 3 semaines. Ensuite, elle pourra les abandonner gentiment. Nous la reverrons pour un contrôle à 6 semaines. Jusque là, arrêt de travail à 100%. Nous conseillons à la patiente de poursuivre les séances de physiothérapie avec des exercices pour renforcement du quadriceps. Elle peut gentiment reprendre la marche, la natation mais il faut éviter encore les sports avec possibilité d'entorse vu aussi l'insuffisance de la plastie de son LCA. Nous reverrons la patiente début avril où l'on pourra éventuellement parler d'une plastie du LCA. La patiente est très motivée pour refaire cette opération vu son attitude très sportive. Nous conseillons à la patiente d'utiliser des chaussures plates. Mobilisation selon douleurs. Contrôle rx-clinique dans 4 mois. Nous conseillons à la patiente un rendez-vous de contrôle dans 5 ans à notre consultation au vu du fait que le dernier opérateur est actuellement à la retraite. Entre-temps, nous restons à disposition en cas de besoin. Nous conseillons au patient de commencer les séances de physiothérapie afin qu'il se réadapte à l'activité sportive. Nous lui conseillons de ne pas reprendre le hockey avant 3 semaines et ensuite de recommencer gentiment. Nous ne fixons pas de nouveau rendez-vous mais nous restons à disposition s'il y a une péjoration après 6-8 semaines pour effectuer une IRM. Nous conseillons au patient de continuer à se mobiliser selon les douleurs et de poursuivre les séances de physiothérapie, sans faire d'effort ni exagérer avec la marche. Contrôle rx-clinique dans 6 mois pour déterminer s'il ne s'agit d'une pseudarthrose ou seulement d'une guérison tardive. Le patient reste à l'arrêt de travail à 100%. Nous conseillons au patient de faire adapter ses semelles pour enlever la charge sur le 3ème métatarsien. Nous le reverrons dans 2 mois pour voir le résultat de l'adaptation des semelles. Nous conseillons au patient de poursuivre la physiothérapie associée au traitement de la cicatrice. Il doit continuer l'entraînement à la course en physiothérapie et reprendre progressivement les activités sportives légères. Contrôle dans 3 mois pour évaluer la reprise totale du sport. Nous conseillons au patient de poursuivre les séances de physiothérapie pour école du dos. Antalgie en réserve. Nous lui expliquons que les douleurs peuvent encore persister durant plusieurs mois. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois. Nous conseillons au patient de poursuivre les séances de physiothérapie pour muscler les quadriceps et pour avoir un bon relâchement de la chaîne postérieure. À notre avis, il est encore trop tôt pour reprendre des activités physiques, comme la gymnastique avec des acrobaties. Nous conseillons au patient de faire du vélo d'appartement. Contrôle clinique dans 3 mois. Nous conseillons au patient de se rendre chez son médecin traitant s'il note une péjoration des symptômes. Nous conseillons au patient quelques jours de repos. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire. Il peut faire du sport mais uniquement à pivot central. Prochaine consultation dans un mois pour évaluer l'évolution. Nous conseillons de poursuivre le fitness médical avec renforcement du quadriceps. Prochain contrôle radio-clinique à une année de l'opération. Nous conseillons un contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant dans 3 jours. Le patient reconsultera en cas d'extériorisation de sang, de céphalées, de vertiges, de douleurs abdominales ou de dégradation de l'état général. Nous constatons des douleurs pelviennes, avec comme diagnostic différentiel le plus probable une infection urinaire (DD : douleurs liées aux règles, problème gynécologique autre...). Au vu de l'âge de la patiente, nous demandons à la mère de la patiente d'aller consulter aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg pour bilan. La patiente quitte les urgences avec sa mère pour se rendre à Fribourg. Nous contactera après l'IRM. Nous contactons la psychiatre de garde. Au vu du danger, la psychiatre recommande une hospitalisation à l'hôpital psychiatrique à Marsens à l'unité de crise Venus. La patiente étant d'accord avec cette décision se laisse accompagner par sa curatrice à l'hôpital de Marsens pour la suite de la prise en charge. Nous contactons la psychiatre de garde qui décide de venir discuter avec la patiente et nous dit ensuite qu'elle peut rentrer à domicile sans risque suicidaire. Nous contactons le Dr. X, qui propose de voir le patient ce jour à 17h15. Au vu d'un arrêt spontané de l'épistaxis, nous laissons rentrer le patient à domicile jusqu'au rendez-vous avec le Dr. X. Nous contactons le médecin traitant qui nous adresse par fax le dernier laboratoire du 24.11.2017 qui était sans particularité. Il nous confirme avoir réalisé une radiographie du thorax qui ne montrait pas de foyer ni de masse particulière au niveau des apex pulmonaires. L'ECG réalisé est sans particularité. Nous rassurons le patient en lui disant que nous avons pu exclure des étiologies graves à ses douleurs, qu'il est probable qu'il fasse une infection des voies respiratoires supérieures avec odynodynphagie et lui suggérons que, peut-être, l'angoisse joue un rôle dans cette attaque de dyspnée paroxystique. Nous lui suggérons une consultation psychologique ou psychiatrique et le patient semble ouvert à cette proposition. Nous lui prescrivons un emballage de Temesta à prendre en cas de crise d'angoisse. Il verra le Dr. X comme prévu le 24.01.2018 afin de rediscuter de l'étiologie de son tinnitus. Nous contactons le psychiatre de garde qui accepte l'hospitalisation du patient à Marsens. Nous contactons le psychiatre Dr. X qui après une longue discussion avec le patient autorise son retour à domicile avec un traitement de Relaxane 3 fois par jour. Le patient cherchera un suivi en ambulatoire par le CSM de Bulle. Nous continuons avec la physiothérapie et avec les exercices de mobilisation par le patient à la maison. Nous le reverrons pour un prochain contrôle dans 4 semaines. Nous lui prescrivons dans l'intervalle du Miacalcic 100 1x/jour. Nous continuons avec le même traitement conservateur avec charge selon douleur et attelle. Nous reverrons la patiente pour un contrôle dans 4 semaines.Nous continuons avec les séances de physiothérapie pour renforcer le quadriceps. Prochain contrôle radio-clinique à une année de l'opération pour discuter de l'opération de l'AMO. Nous contrôlons la plaie qui est en bonne évolution. Nous changeons le pansement. La patiente prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle à 48h. Nous débutons un traitement par physiothérapie en piscine. Nous organisons une infiltration du genou droit pour le 05.02.2018. Nous le reverrons par la suite pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous décidons de confectionner des attelles pour la nuit. Nous montrons aux parents comment faire les massages quotidiennement. Nous la reverrons dans 2 semaines. Nous décidons de faire revenir le patient demain pour un contrôle clinique, une discussion des résultats de viro-sérologie et du test thyroïdien le 09.01.2018 à la filière des urgences ambulatoires. Nous décidons de procéder à l'AMO en ambulatoire. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices et un formulaire de consentement est rempli et signé. L'opération est agendée au 28.2.2018 en ambulatoire. Nous décidons de traiter comme une scabiose, donnons des conseils d'hygiène par rapport aux linges, déconseillons au patient d'avoir un contact proche avec d'autres personnes, et prescrivons Stromectol, Lyclear et Atarax. Nous demandons au Dr. X de convoquer le patient pour un bilan d'allergologie et immunologie comme le patient a déjà eu cette réaction locale à répétition. Nous demandons l'avis de la Dresse X qui ne voit pas d'indication pour une surveillance en milieu somatique et préconise un avis psychiatrique afin d'évaluer le risque suicidaire. Nous demandons l'avis de la Dresse X, psychiatre, qui ne voit pas d'indication pour une hospitalisation sous PAFA à Marsens. Le RUD est évalué comme faible en ce moment. Par contre, la patiente présente ses troubles psychiques chroniques à un degré plus marqué qu'en état de compensation. Pour cette raison-là, elle lui a proposé une hospitalisation en milieu psychiatrique pour observation, mise à l'abri des angoisses envahissantes et évaluation de la réintroduction d'un traitement psychotrope. La patiente et son mari refusent très catégoriquement cette proposition dans la conviction qu'un séjour à Marsens ne pourrait qu'empirer son état. Au vu d'un RUD faible, d'un manque de danger pour autrui et du fait que le mari de la patiente se porte garant à une surveillance permanente ces prochains jours, nous accordons à la patiente le retour à domicile. Elle a accepté un rendez-vous ambulatoire au CSSM de Bulle, qui a été fixé par le triage pour le 29.01.2018 à 10h30, chez le Dr. X. Son mari emporte le numéro de la permanence psychiatrique et s'engage à l'appeler en cas de crise durant ces prochains jours. Nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde, qui propose de continuer le traitement de Ialugen et de revoir la patiente en policlinique de chirurgie le 08.02.2018. La patiente devra vérifier sa carte de vaccination et contacter son médecin traitant demain. Nous demandons l'avis du Dr. X, et après une désinfection à la Bétadine, nous effectuons une incision et un rinçage sous anesthésie locale par lidocaïne. L'intervention se déroule sans complication et du pus sort en bonne quantité. Au vu de la douleur, nous prescrivons du Dafalgan et 10 mg de morphine per os pendant l'intervention. Nous fixons un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 29.01.2018 pour rinçage et contrôle clinique. Nous prescrivons Ecofenac 50 mg et Dafalgan pour gérer l'antalgie et un certificat d'arrêt de travail pendant 4 jours. Nous demandons l'avis du psychiatre de garde, le Dr. X, qui ne pose pas d'indication d'hospitalisation et propose un suivi psychiatrique au réseau Fribourgeois de santé mentale. Nous prenons un rendez-vous pour le 31.01 à 10h. Nous demandons l'avis du psychiatre de liaison, Dr. X, qui demande une hospitalisation à Marsens, mais laisse la patiente rentrer à domicile au vu du manque de place, avec une prescription de Relaxane 3 fois par jour et Redormin 500 mg le soir. La patiente sera vue au CSSM de Bulle le lendemain à 11h. Nous demandons un avis à la psychiatre de garde, la Dresse. X, qui recommande de continuer le traitement par Temesta 1 mg 3 fois par jour jusqu'au rendez-vous du 19.01.18 avec son psychiatre et de discuter avec son médecin traitant pour avancer l'injection d'Abilify le 17.01.18 au lieu du 18.01.2018. Si le patient continue de se présenter souvent aux urgences, on songe à une hospitalisation à Marsens. Le patient ne présente aucune idée suicidaire, sans risque d'auto ou hétéro-agressivité, nous le laissons rentrer à domicile avec le traitement susmentionné. Nous demandons un avis au psychiatre de garde, le Dr. X, qui préconise une hospitalisation en milieu psychiatrique. Le patient accepte et quitte les urgences de Riaz pour le RFSM de Marsens, accompagné par sa femme, en mode volontaire. Nous demandons un avis au psychiatre de garde, le Dr. X, qui recommande un traitement par Temesta 1 mg 3x/jour jusqu'au rendez-vous du 19.01.2018. Le patient ne présentant aucune idée suicidaire, sans risque d'auto- ou hétéro-agressivité, nous le laissons rentrer avec ce traitement. Nous demandons un avis auprès du Dr. X, orthopédiste, qui confirme l'absence de fracture à la radiographie. Nous concluons donc à une contusion du genou gauche et laissons rentrer le patient à domicile avec une bande élastique et une antalgie au vu de la charge complète conservée. Nous proposons de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant à 1 semaine, à annuler en cas de résolution des douleurs. Nous demandons une IRM qui se fera jeudi. Nous organisons la cure du tunnel tarsien, ainsi que l'évaluation du kyste pour vendredi. D'autre part, la sensibilité est marginale au niveau de la plante du pied, ce qui nécessite que l'on fasse une intervention rapidement. Nous demandons une radiographie du nez, qui ne met pas en évidence de fracture. Selon avis du Dr. X, chirurgien, la patiente rentre à domicile avec surveillance par son mari et soeur pendant les 24h après la chute avec antalgie simple avec Dafalgan 1g. Patiente avertie des signes d'alarme qui méritent une rentrée aux urgences. Nous désinfectons la plaie à la Bétadine et faisons un champage stérile. L'anesthésie se fait en bague avec de la Bicarbonate et de la Lidocaïne. Nous rinçons au NaCl 0.9% et explorons la plaie. Nous suturons par 6 points d'Ethilon 4.0 et prescrivons au patient des AINS et une antalgie au besoin. L'ablation des fils se fera dans 14 jours chez le médecin traitant. Nous désinfectons les plaies à la Bétadine et faisons un pansement stérile. Sur avis du Dr. X, nous laissons rentrer la patiente. Elle sera vue demain en policlinique de chirurgie, pour également contacter un plasticien et faire un frottis aux plaies. Nous discutons avec la patiente de l'AMO. Elle est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques per et post-opératoires, elle donne son accord écrit. L'intervention est agendée pour le 14.08.18. La patiente devra revenir pour signer un nouveau consentement au vu du long délai jusqu'au mois d'août. Nous discutons avec la patiente et lui expliquons la technique utilisée, à savoir par DIDT. Elle nous donne son consentement en signant le formulaire.Nous discutons avec la patiente que la plastie du LCA présente une certaine laxité, mais pourrait être compensée avec la rééducation musculaire. En conséquence, nous lui proposons qu'elle soit suivie par nos physiothérapeutes de l'HFR du sport. Reprise des activités selon tolérance. Contrôle par la suite. Nous discutons avec le patient de la possibilité d'enlever le matériel d'ostéosynthèse et cette opération sera effectuée dans le courant du mois de mai. Le patient sera revu 2 semaines avant pour signer le consentement éclairé. Prochain contrôle le 10.04.2018. Nous discutons avec le patient des différentes options de traitement soit l'infiltration avec la Cortisone, la semelle rigide en carbone, la chéilectomie, l'arthrodèse et les anti-inflammatoires. Le patient a pris note et va discuter avec son médecin traitant. Il se réannoncera lorsqu'il aura pris une décision. Nous discutons avec le patient des 2 options de traitement. Première option : immobilisation dans un plâtre scaphoïde pour 8 semaines, 2ème option : ostéosynthèse scaphoïde et refixation de la fracture de l'os hamatum. Nous expliquons au patient les risques et les bénéfices des 2 traitements ainsi que du risque de pseudarthrose du scaphoïde si nous ne faisons pas l'opération. Le patient se décide pour une ostéosynthèse qui est planifiée pour le 19.12.2017 à Tavel. Nous discutons avec le patient et lui réexpliquons (comme en pré-opératoire), qu'il va probablement faire des adhérences du tendon. En outre, sous immunosuppression, une fracture ouverte guérit pas très bien. Pour le moment, nous préconisons de ne pas mobiliser l'IPP jusqu'à la consolidation complète de la fracture. Le patient peut continuer l'ergothérapie pour une mobilité active libre au niveau du MCP et l'IPD et pour les massages des adhérences cicatricielles. Il faut laisser l'IPP en extension et le patient doit porter une attelle. Prochain contrôle radio-clinique le 30.01.2018. Si à ce moment-là la fracture est consolidée, le patient pourra reprendre la mobilité de l'IPP. Nous discutons avec le patient et sa maman de la poursuite du traitement conservateur avec une immobilisation totale de 6 semaines et une décharge de 15 kg. Poursuite des injections de Clexane 40 mg/1xj jusqu'à la charge complète. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 02.02.2018. Nous discutons avec le patient pour la reprise de la charge selon douleurs avec l'aide des cannes comme sécurité. Le patient peut stopper les injections de Clexane lorsqu'il pourra charger complètement. Prochain contrôle radioclinique dans 8 semaines. Nous discutons de la prise en charge chirurgicale avec le patient et programmons l'intervention pour le 26.01.2018. Il s'agira d'une amputation de P3 du 3ème orteil G avec plus ou moins amputation de P2. Il y aura également un débridement de la plaie de la jambe D avec une greffe de Thiersch. Il accepte l'intervention en signant le formulaire de consentement. Nous discutons longuement avec la patiente, pour l'instant, l'attitude est conservatrice, sans effort et sans physiothérapie. Nous lui conseillons de prendre pendant une semaine avant de dormir un comprimé de Voltarène, nous la rassurons. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. Pour l'instant, une chirurgie n'est pas totalement exclue, nous regardons l'évolution naturelle de la symptomatologie. Nous donnons à Monsieur Jungo un bon de physiothérapie pour mobilisation libre selon douleur mais pas contre résistance, renforcement musculaire du quadriceps, rééducation à la marche en charge selon douleur avec abandon progressif des cannes anglaises et drainage lymphatique. Nous lui prolongeons l'arrêt de travail pour les 6 prochaines semaines à 100%. Nous lui donnons une ordonnance pour des bas de soutien et une ordonnance pour des anti-inflammatoires. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Nous donnons au patient un rendez-vous en anesthésie pour un contrôle de ses douleurs persistantes. Nous lui redonnons une ordonnance de physiothérapie pour la poursuite du renforcement musculaire. Nous lui expliquons que pour le moment il peut reprendre le vélo et la natation, surtout le crawl, mais il doit attendre les 3 mois post-opératoires pour la course à pied et une année post-opératoire pour le foot. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous donnons au patient un bon de physiothérapie pour massages et stretching du quadriceps et renforcement musculaire. Nous lui conseillons de garder les cannes pour la saison d'hiver, lorsqu'il sort du domicile, par contre chez lui, il peut marcher sans moyen auxiliaire s'il se sent en sécurité. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique du fémur dans 4 semaines. Nous donnons des anti-douleurs qui soulagent la patiente. Le laboratoire montre une leucocytose à 14 G/l sans CRP. La patiente a un rendez-vous chez le dentiste déjà prévu pour le 24.01.2018. Nous donnons du Sirdalud 2 mg qui soulage le patient. Devant l'absence de signe alarmant, le patient regagne son domicile avec des AINS et du Sirdalud. Nous informons le patient qu'il ne faut pas conduire après la prise de Sirdalud. Le patient devra consulter son médecin traitant le 02.02.2018. Nous donnons du Tavegyl iv avec amélioration de la symptomatologie. Le patient peut retourner chez lui avec la thérapie habituelle. Il consultera son dermatologue et il va avoir un rendez-vous au CHUV également en février 2018. Nous donnons du Tramal 50mg qui soulage le patient. Nous concluons à des douleurs musculo-squelettiques et le patient regagne son domicile avec antalgie et physiothérapie. Nous donnons du Xyzal 5mg à la patiente. Elle est également examinée par le Dr. X, de médecine interne. Le laboratoire est sans particularité. La tryptase et les IgE sont en attente. La patiente est améliorée et elle peut regagner son domicile. Elle doit visiter son médecin traitant et organiser un rendez-vous chez un allergologue. Nous donnons un traitement symptomatique pour la toux. Nous proposons de faire un ECG-Holter en ambulatoire. Le patient sera vu comme prévu le 18.01.2018 par le cardiologue. Nous drainons l'abcès et proposons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 90 mg/kg/j po pour 7 jours. Nous organisons un contrôle clinique dans 48h, ou dans 24h si péjoration locale ou fièvre. Nous écartons une infection urinaire au vu de la gêne lors des mictions et retenons un syndrome grippal que nous proposons de traiter symptomatiquement. Nous écartons une lésion hépatique ou rénale mais ne pouvons exclure une lésion costale. Nous proposons donc une antalgie et Natheo reconsultera en cas de difficultés respiratoires. Nous effectuerons un bilan biologique qui est rassurant avec une CRP à 19 mg/l sans leucocytose et une Hémoglobine à 135 g/l. La radiographie du thorax n'a pas montré de foyer ni d'épanchement. Nous retenons donc le diagnostic de bronchite. Aux urgences, nous administrons des aérosols par Atrovent et Ventolin. En raison de l'épigastralgie, nous avons administré un comprimé de Nexium avec un bon effet. Comme la patiente ne présente pas de critère pour une hospitalisation en médecine interne aiguë et vu que le laboratoire et la radiographie du thorax sont rassurants, nous la laissons regagner son domicile avec une antalgie. Nous effectuerons un laboratoire qui a montré une hyponatrémie à 131mmol/l et une légère hypokaliémie à 3,5mmol/l. Une CRP est à 7mg/l, sans leucocytose. Présence d'une anémie normochrome normocytaire. Nous poursuivrons une hydratation avec 1000 ml de NaCl 0.9 %. Nous proposons à la patiente une hospitalisation à l'HFR Tavel, en raison du manque de place à l'HFR Riaz. La patiente refuse cette hospitalisation et rentre à domicile, accompagnée de sa famille.Nous effectuerons un laboratoire qui est rassurant sans perturbation des tests hépatiques et sans syndrome inflammatoire. Mme. Y va continuer à poursuivre le traitement de Cétirizine et nous lui proposons de prendre un rendez-vous avec un dermatologue. Nous effectuons des radiographies de la cheville qui mettent en évidence une fracture Weber A. Au vu de douleurs à la palpation du péroné proximal et de la base du 5ème métatarsien, nous complétons l'examen radiologique, qui ne montre aucune fracture additionnelle. Nous demandons avis auprès du Dr. X, orthopédiste, qui recommande de mettre en place une attelle SplintPod avec décharge, cannes et thromboprophylaxie. Mme. Y regagne son domicile avec antalgie et AINS, et sera revue par le Dr. X le 07.02.2018. Nous effectuons des radiographies de l'épaule droite, des hanches et des genoux, ne montrant pas de fracture évidente. Au vu de la désorientation complète, chez cette patiente sous Aspirine Cardio avec une chute sans témoin, nous effectuons un CT-scan cérébral au vu de l'impossibilité d'exclure un traumatisme crânien. Le scanner est normal. Le sédiment urinaire révèle une infection urinaire. Nous introduisons une antibiothérapie empirique par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/jour jusqu'au résultat de l'antibiogramme. Nous demandons un avis du psychiatre de garde en vue d'une hospitalisation en psycho-gériatrie. Nous effectuons des radiographies du pied droit et du majeur droit qui ne montrent pas de fracture. Nous prescrivons un traitement par AINS et Dafalgan, à prendre selon besoin et nous laissons le patient regagner son domicile. Le suivi sera effectué chez le médecin traitant. Nous effectuons la sérologie pour l'hépatite C et pour le VIH du patient source qui revient négative. Mme. Y sera recontactée par l'infirmière du travail pour la suite de la procédure. Nous effectuons le bilan radiologique qui montre un corps étranger dans l'éminence thénar droite. Nous effectuons un rappel tétanos. Avis pris auprès du Dr. X, le patient est pris en charge au bloc opératoire. Nous effectuons le bilan radiologique qui montre une fracture du radius distal gauche. Le Dr. X, orthopédiste, effectue la réduction et met un plâtre brachio-antébrachial de Paris fendu en cubital. Nous effectuons une radiographie de contrôle post-plâtre. Nous proposons au patient la prise en charge chirurgicale le lendemain, mais le patient après discussion avec son entourage, refuse la prise en charge à l'hôpital de Riaz. Il décide de trouver un orthopédiste et d'organiser l'opération avec son médecin traitant. Nous effectuons le rappel antitétanique. Les radiographies ne montrent pas de fracture. Le Dr. X, orthopédiste, effectue une désinfection, un champage et une exploration de la plaie qui se veut superficielle sans lésion de structure profonde. Le lambeau cutané est conservé. Nous effectuons alors un pansement avec Adaptic et laissons rentrer la patiente avec une antalgie simple et des AINS. Elle sera revue par le Dr. X, orthopédiste le 24 ou le 25 janvier 2018 en policlinique d'orthopédie. Nous effectuons un bilan biologique, qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Après discussion avec le Dr. X, de médecine interne, nous laissons rentrer la patiente à domicile avec du Dafalgan et Motilium. Nous lui conseillons de s'hydrater et de revenir en cas d'apparition d'un état fébrile. Elle verra son médecin traitant dans une semaine. Nous effectuons un CT-scan cérébral qui ne montre pas de lésion post-traumatique, pas d'hémorragie. Nous contactons la fille qui nous confirme que la patiente est connue pour des troubles de la mémoire. Nous effectuons une désinfection par Hibidil aux urgences. Nous effectuons une exploration sous Lidocaïne et Bicarbonate qui ne montre pas de structure profonde exposée ni de corps étranger visible. Nous effectuons un rinçage abondant par NaCl aux urgences. Nous suturons avec 2 points d'Ethilon 4.0. Un contrôle de plaie doit être effectué chez le médecin traitant dans 48h. Fils à enlever chez le médecin traitant dans 7 jours. Nous conseillons une antalgie simple par paracétamol si nécessaire. Le tétanos est à confirmer avec le médecin traitant le 12.01.2018. Nous effectuons un laboratoire qui a montré un syndrome inflammatoire avec CRP à 11,4 mg/l et leucocytose à 12 G/l avec une légère hypokaliémie avec Potassium à 3,5 mmol/l. Nous hydratons la patiente avec 1000 ml de NaCl 0,9%. Nous dosons également les troponines qui reviennent négatives à 3 ng/L après plus de 3 heures ce qui nous a permis d'exclure un NSTEMI. L'ECG effectué ne met pas en évidence de signe d'ischémie et la radiographie du thorax est dans la norme. Les douleurs ont diminué en intensité, mais elles restent présentes, raison pour laquelle nous administrons de la Morphine 2 mg iv avec un bon effet. La patiente ne présente pas de facteur de risque cardiovasculaire (pas de thrombose veineuse profonde, elle ne fume pas, pas de diabète, pas d'hypertension, pas de voyage récent, pas d'hormonothérapie, pas d'opération abdominale, pas d'entorse de cheville). Au vu d'un bilan biologique avec ECG et radiographie du thorax rassurant, nous laissons partir la patiente avec une antalgie par Brufen 400 mg 3x/jour et Dafalgan 1 g 4x/jour, et Nexium 40 mg 1x/jour. Nous lui recommandons de faire un bilan cardiologique. Nous effectuons un laboratoire qui est aligné, un test de grossesse qui revient négatif et un test de Schellong également négatif. L'ECG effectué est normal. Devant une clinique rassurante, la patiente rentre à domicile accompagnée de sa mère. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 13,8 G/l et une CRP à 97 mg/l. Nous complétons le bilan par une radiographie de thorax qui ne montre pas de foyer. De ce fait, nous avons laissé partir la patiente avec un traitement symptomatique avec comme recommandation de consulter son médecin traitant à 48 heures pour un contrôle biologique du syndrome inflammatoire et pour un contrôle de l'évolution clinique. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 154 mg/l, sans leucocytose. Aux urgences, sa température est à 36,8°C. Le sédiment urinaire montre une pyurie sans germe mis en évidence. L'IRM confirme la présence des adénomégalies en région péri-splénique et montre une rate homogène, mais la taille des ganglions rétropéritonéaux est en augmentation par rapport au CT-scanner. Après discussion avec le Dr. X et le Dr. X, radiologues, nous organisons un ultrason testiculaire, qui revient dans la norme. Nous rajoutons un test de dépistage contre le VIH (p24 + anticorps) et une sérologie est envoyée à Berne pour une recherche de Gonorrhée et de Chlamydia. La PCR est impossible à effectuer à cause de l'impossibilité à prélever un frottis. Le patient peut rentrer à domicile et nous lui informons de reconsulter dans les prochains jours afin de clarifier son diagnostic et pour effectuer des investigations supplémentaires. Nous effectuons un laboratoire qui revient aligné, et nous gardons la patiente en surveillance avec une perfusion d'1L de Glucosalin 5% avec 10 mg de Primpéran. Elle se sent tout de suite mieux, les vertiges se calment.Elle regagne son domicile, avec des consignes de s'hydrater suffisamment, ainsi qu'une ordonnance pour Dafalgan et Primpéran. Elle nous recontactera si les symptômes persistent voire se péjorent, sinon elle vous verra en consultation le 07.02.2018, comme prévu pour le contrôle du 1er trimestre. Nous effectuons un lavement par Freka qui soulage grandement la patiente. Elle rentre donc à domicile avec une augmentation de son traitement de Movicol à 2x/jour, du Laxoberon en réserve et des conseils alimentaires. Nous effectuons un rappel de la vaccination anti-tétanique du patient. Selon les recommandations de l'OFSP, après confirmation par le Dr. X, infectiologue, nous effectuons également la vaccination anti-rabique avec une dose de RabiPur ce jour. La prochaine dose est à faire au 3ème jour, et sera administrée au cabinet du Dr. X le 18.01.2018. Nous demandons un avis auprès du Dr. Juan, orthopédiste, qui, après désinfection et champagne, effectue son exploration qui ne montre aucune atteinte des structures profondes. Il effectue ensuite un rinçage abondant des plaies et immobilise le doigt avec une attelle intrinsèque. Nous administrons une dose de Co-Amoxicilline 2.2 g intraveineuse, puis prescrivons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pour 5 jours. Le patient sera revu par le Dr. Juan le 17.01.2018. Nous effectuons un rappel de la vaccination anti-tétanique et un pansement avec Adaptic. Le patient regagne son domicile et verra son médecin traitant si besoin. Nous effectuons un rappel de vaccination anti-tétanique. Nous désinfectons, effectuons une anesthésie en bague et explorons la plaie. La plaie est profonde et révèle une arthrotomie de l'articulation interphalangienne proximale du 5ème doigt droit avec une probable dissection du tendon extenseur. Nous demandons l'avis du Dr. Juan, orthopédiste, qui préconise une prise en charge au bloc opératoire en urgence. Le patient part pour le bloc opératoire. Nous effectuons un rinçage et nous enlevons la mèche. Le patient bénéficie de 10 mg de Morphine per os et nous le laissons regagner son domicile avec une recommandation sur la correcte hygiène à tenir. Il reconsultera les urgences en cas d'aggravation de la symptomatologie. Nous effectuons un rinçage suite auquel les fuites semblent diminuer malgré l'absence d'extraction de gros caillots. Nous décidons d'augmenter le calibre de la sonde vésicale afin de tenter de diminuer les fuites urinaires. Le patient rentre ensuite à domicile. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez le Dr. Hugonnet, urologue, dès son retour de vacances. Nous effectuons un sondage avec mise en place d'une sonde à demeure de 20 CH. Pas d'hématurie macroscopique au décours du sondage. Patient non algique après sondage. Le sondage permet l'évacuation de 800 cc d'urine. Le laboratoire est aligné sans syndrome inflammatoire ni infectieux. Le sédiment est propre. Avis du Dr. X : pas d'indication d'hospitalisation. Il reverra le patient lundi 15.01.2018 à son cabinet. Des soins à domicile sont organisés pour surveillance de la sonde matin et soir car d'après l'amie du patient, ce dernier aurait tendance à avoir des troubles de mémoire. Nous effectuons un Strepto-test qui revient négatif. Nous concluons donc à une angine probablement d'origine virale et laissons rentrer le patient avec un traitement symptomatique. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant la semaine prochaine. Nous effectuons un strepto-test qui revient négatif. Nous recommandons au patient une bonne hygiène vu la présence de symptômes similaires dans sa famille. Nous concluons à une pharyngo-tonsillite virale et nous prescrivons un traitement par AINS, Dafalgan et Resyl plus. Le suivi se fera chez le médecin traitant. Nous effectuons un Uro-CT qui montre un calcul de 2 mm en arrière de la paroi vésicale gauche sans dilatation rénale gauche. Nous laissons rentrer le patient à la maison avec filtre urinaire, recommandation de bien s'hydrater et de garder les médicaments débutés hier. Le patient aura un rendez-vous prochainement avec l'urologue (Dr. Hugonnet) afin de clarifier le récidive d'urolithiase. Nous effectuons une désinfection à la Bétadine aux urgences. Nous effectuons une exploration sous lidocaïne et bicarbonate qui ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Nous effectuons un rinçage abondant par NaCl aux urgences. On suture avec 4 points Ethilon 4-0. Un contrôle de plaie doit être effectué chez le médecin traitant dans 48 h. Les fils seront à enlever chez le médecin traitant dans 10 jours. Nous conseillons une antalgie simple à paracétamol si nécessaire. On effectue le rappel du vaccin contre le tétanos. Nous effectuons une désinfection à la Bétadine. L'évolution des plaies est favorable et l'ongle prothétique est resté en place. Nous refaisons le pansement de tulle gras et remettons en place l'attelle Stax. Le patient regagne alors son domicile avec l'antalgie, les AINS déjà prescrits la veille, ainsi que de la Co-Amoxicilline, encore une dose ce soir. Il sera revu à la filière des urgences ambulatoires le 14.01.2018. Nous effectuons une désinfection avec Bétadine aux urgences, une exploration sous Gel Let qui ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible, un rinçage abondant par NaCl aux urgences. Nous suturons avec 4 points Ethilon 4-0. Un contrôle de plaie doit être effectué chez le médecin traitant dans 48 h. Les fils à enlever chez le médecin traitant dans 14 jours. Le vaccin anti-tétanique est à jour. Nous effectuons une désinfection. L'évolution des plaies est favorable et l'ongle prothétique est resté en place. Nous refaisons le pansement de tulle gras et remettons en place l'attelle Stax. Le patient regagne alors son domicile avec l'antalgie, les AINS prescrits le 12.01. Il sera revu en policlinique d'orthopédie le 16.01.2018. Nous effectuons une désinfection par Hibidil aux urgences. Nous effectuons une exploration sous lidocaïne et bicarbonate qui ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Nous effectuons un rinçage abondant par NaCl aux urgences. Nous suturons avec 5 points d'Ethilon 4.0. Un contrôle de plaie doit être effectué chez le médecin traitant dans 48 h. Les fils sont à enlever chez le médecin traitant dans 7 jours. Nous conseillons de l'antalgie simple par du paracétamol si nécessaire, le vaccin anti-tétanique est à jour. Devant l'examen neurologique normal, le patient peut regagner son domicile et il doit être surveillé par les parents. Nous effectuons une radiographie de la cheville gauche qui montre une fracture au niveau du 5ème métatarse. Au vu de la clinique compatible, nous posons une attelle postérieure que la patiente utilisera en décharge complète. Nous lui donnons deux cannes anglaises et prescrivons de la Clexane 40 mg prophylactique. La patiente prendra contact pour fixer un rendez-vous de contrôle à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Nous effectuons une radiographie de la main, du poignet et de l'avant-bras gauche, sans mettre en évidence de fracture (Dr. Aellen). Nous prescrivons du Ecofenac 50 mg ainsi que du Dafalgan 1 g. Le suivi sera effectué chez le médecin traitant. Le patient fait des efforts physiques au travail, raison pour laquelle nous lui prescrivons une semaine de repos.Nous effectuons une radiographie de l'épaule gauche et du coude qui ne mettent pas en évidence de fracture, ni de luxation. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste. Nous posons une bretelle avec bras à 90°, nous proposons une physiothérapie pour améliorer la fonction articulaire. La patiente regagne son domicile avec antalgie de base par Ecofenac 50 mg et Dafalgan 1 g. Elle prendra contact avec le cabinet du Dr. X, orthopédiste, pour une consultation par rapport à l'épaule. Nous effectuons une radiographie de l'épaule gauche qui ne montre pas de fracture. Nous réglons la tachycardie par un comprimé de Beloc Zok 25 mg qui s'avère efficace. Nous effectuons un bilan biologique montrant une insuffisance rénale aiguë, probablement sur déshydratation. Nous hydratons avec 1500 ml/24h et laissons rentrer le patient en lui recommandant de bien s'hydrater à domicile, avec un rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine au Danemark. Au vu d'un tremblement important, nous lui prescrivons du Seresta 15 mg 4x/jour. Nous effectuons une radiographie du genou droit qui ne montre pas de fracture. Nous posons une bande élastique au genou droit, que le patient gardera pendant 15 jours. Nous lui donnons des cannes anglaises pour une décharge à effectuer pendant 7-10 jours. Le suivi sera effectué chez le médecin traitant. Nous effectuons une radiographie du poignet droit qui met en évidence une fracture de l'extrémité distale radiale gauche. Après avis du Dr. X, nous posons un plâtre AB (bien positionné sous contrôle radiologique) et nous prescrivons du Ecofenac et Dafalgan, avant de laisser rentrer la patiente à la maison. Mme. Y fixera un rendez-vous dans 1 semaine dans une clinique orthopédique du canton de Vaud. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de pneumothorax. L'ECG et le laboratoire reviennent dans la norme. Nous laissons rentrer le patient avec une antalgie standard. Il doit consulter le médecin traitant dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Nous enlevons le plâtre et examinons le pied. L'examen clinique est rassurant. Nous mettons en place une attelle jambiére postérieure et la patiente regagne son domicile. On ne prescrit pas plus d'antalgique car elle a fini une bouteille de Tramal en 10 jours. Nous lui donnons un comprimé pour le soir du 04.01.2018. Elle reviendra comme prévu pour un contrôle à la policlinique d'orthopédie le 05.01. Nous enlevons le Vacopedes. Elle peut se mobiliser avec une chaussure plate et une semelle rigide. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Lorsque le pied D sera calme, elle souhaite une correction du pied G. Nous examinons le patient avec le Dr. X (médecin-adjoint du team genou) et nous retenons le diagnostic susmentionné. Nous proposons un traitement par physiothérapie et un contrôle clinique à la consultation du Dr. X dans un mois. Nous excisons les points d'entrée, rinçons et appliquons une tulle bétadinée. Nous immobilisons par un gros pansement. Aux urgences, nous lui administrons de la Co-Amoxicilline 2.2 g en intraveineuse. Le patient reviendra en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle de plaie le 03.01.2018. Nous excluons raisonnablement l'embolie pulmonaire avec les D-Dimères négatifs, nous excluons également un syndrome coronarien aigu au vu des troponines négatives à 2 reprises et l'absence de signe d'ischémie aux ECG effectués. Un angio-CT aortique permet également d'exclure une dissection de l'aorte. Au vu de la diminution des douleurs aux urgences, de l'examen clinique et des examens complémentaires rassurants, Mme. Y rentre à domicile avec les conseils de vigilance. Cependant, au vu de la dyspnée à l'effort depuis quelques mois, nous proposons d'effectuer un bilan cardiologique en ambulatoire. Nous excluons raisonnablement une embolie pulmonaire ainsi qu'un syndrome coronarien aigu. Il s'agit le plus vraisemblablement de douleurs thoraciques pariétales sur efforts de toux, pour lesquelles nous proposons un traitement antalgique, et recommandons au patient de reconsulter chez son médecin traitant ou aux urgences en cas de péjoration des douleurs thoraciques, de dyspnée, hémoptysie ou de fièvre. Nous excluons un infarctus cardiaque ou une cause pulmonaire, et recommandons de procéder à une ergométrie en ambulatoire. Nous excluons un syndrome coronarien aigu, ainsi qu'une embolie pulmonaire à l'origine de la symptomatologie actuelle. Le caractère respiro-dépendant de la douleur nous suggère une origine pariétale. Nous débutons un traitement antalgique et proposons au patient de consulter son médecin traitant pour organiser éventuellement une consultation cardiologique, en cas de persistance des symptômes, afin d'effectuer un test d'effort ou un US transthoracique. En cas de réapparition de signes de gravité, le patient est informé de reconsulter les urgences immédiatement en appelant le 144. Nous excluons un syndrome coronarien aigu avec des troponines négatives et un ECG dans la norme. Il n'y a pas de piste clinique pour une embolie pulmonaire. Le test de Schellong étant négatif, nous excluons une cause orthostatique. Au laboratoire, nous mettons en évidence fortuitement des troubles électrolytiques d'origine indéterminée qui se sont normalisés après substitution per os. Nous proposons que le médecin traitant investigue en ambulatoire la fonction rénale (protéinurie sur 24h, imagerie rénale) et investigations endocriniennes. La symptomatologie ayant totalement disparu et l'état clinique du patient étant rassurant, nous le laissons rentrer à domicile. Nous excluons un syndrome coronarien aigu l'ECG ne montrant pas de sus-décalage du segment ST et les troponines étant négatives, ainsi qu'une embolie pulmonaire les Ddimères étant négatifs et une décompensation cardiaque. Nous excluons un syndrome coronarien aigu, les troponines étant négatives et l'ECG ne montrant pas de sus-décalage ST. Au vu de la clinique et d'un épisode de syncope aux urgences, nous excluons également par un CT thoraco-abdominal une dissection aortique ainsi qu'une embolie pulmonaire. Au vu de l'amélioration clinique et de la symptomatologie, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec traitement antalgique. Nous excluons une cause neurologique aiguë, et retenons un déconditionnement avec légère déshydratation. La patiente se présentera chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous excluons une embolie pulmonaire grâce à un angio-CT thoracique. Il n'y a pas d'argument clinique pour une décompensation cardiaque, ni d'argument biologique, les pro-BNP étant dans la norme. Il n'y a pas d'argument pour un syndrome coronarien aigu. La patiente explique avoir eu une consultation chez le pneumologue avec exploration des fonctions pulmonaires qui se sont avérées dans la norme. Elle mentionne avoir eu un traitement occasionnel de Ventolin qui l'avait soulagée à l'époque. L'inhalation de Ventolin aux urgences la soulage et nous lui en prescrivons suite à sa demande. Nous lui expliquons également la nécessité de stopper le tabac. Nous excluons une embolie pulmonaire ou un syndrome coronarien aigu à l'origine de la symptomatologie. Nous concluons à une probable origine dorsale au vu du statut et des antécédents. Elle prendra contact avec son médecin traitant pour organiser la suite des investigations (ad consulte Neurochirurgie/IRM). Elle discutera d'un début de traitement de l'hypertension artérielle avec le médecin traitant, nous lui conseillons de noter sa TA 1x/j sur les prochains jours pour faciliter le travail de celui-ci.Nous excluons une infection expliquant les hyperglycémies ainsi qu'une acido-acétose. Nous augmentons le Novorapid de 1 unité (33-25-25 UI) ainsi que le Lantus à 60 UI. Nous excluons une origine urgente à la symptomatologie. A l'aide des D-Dimères, nous excluons une embolie pulmonaire et les troponines nous permettent d'exclure un syndrome coronarien aigu. Il est également nécessaire de noter une composante anxieuse associée à cette douleur. Nous expliquons à la patiente de traiter la douleur probablement résiduelle sur sa pneumonie gauche avec de l'antalgie et de reconsulter son médecin traitant en cas de persistance de la douleur ou se présenter aux urgences en cas de signes de gravité. Nous expliquons à la maman que l'enfant marche vers l'intérieur à cause de l'angle de la hanche et que ceci va diminuer avec l'âge. Il n'y a pas d'indication pour des semelles. Nous le reverrons dans 1 an pour un contrôle clinique. Nous expliquons à la patiente de reconsulter si apparition d'un état fébrile ou frissons. Contrôle clinique chez le médecin traitant à 48 heures pour réfection du pansement et évaluation de la plaie. Nous expliquons à la patiente de reconsulter si apparition d'un état fébrile ou frissons. Contrôle clinique à la filière 34 à 48h pour réfection du pansement. Nous expliquons à la patiente le cadre radiologique qui justifie tout à fait les symptômes actuels. Nous discutons de la possibilité d'une prise en charge chirurgicale qui consisterait en une spondylodèse L4-L5, discectomie, décompression du canal lombaire et mise en place d'une cage. Elle est informée des risques et des bénéfices de l'intervention. Elle souhaite pour l'instant repousser cette intervention étant donné que les douleurs sont bien gérables. Elle nous recontactera au besoin, si elle souhaite bénéficier d'une opération. Dans l'intervalle, pas de contre-indication à la physiothérapie. Nous expliquons à la patiente les différentes possibilités thérapeutiques. C'est-à-dire une réinsertion des deux moignons par Ligamys à effectuer au maximum 3 semaines post-accidents ou une rééducation du genou avec réévaluation à 2-3 mois avec possibilité d'effectuer une reconstruction du ligament par tendon rotulien, demi-tendineux, ligament patellaire. La patiente, qui est très sportive, va réfléchir durant le week-end et nous rappeler au début de la semaine pour nous informer de son choix. Nous expliquons à la patiente les options, ainsi que les résultats possibles avec les traitements conservateur et chirurgical. La patiente n'est pas très dérangée par les hallux valgus, raison pour laquelle elle préfère réfléchir à ses options. Elle reprendra contact en automne ou plus tôt si nécessaire. Nous expliquons à la patiente qu'au vu de la grande taille de la hernie et sa localisation, la probabilité d'un traitement conservateur reste moindre. Nous pré-réservons donc d'ores et déjà une date opératoire pour une herniectomie et la reverrons pour un nouveau contrôle clinique dans 1 semaine. En cas d'amélioration de la symptomatologie, nous annulerons alors l'intervention. Mme. Viegas est clairement informée des risques et des bénéfices de l'intervention. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Elle nous l'apportera signé lors de la prochaine consultation si l'intervention est confirmée. Nous expliquons à la patiente que la chirurgie est une sanction lourde, surtout qu'elle tolère assez bien les douleurs pour l'instant. Nous maintenons donc le traitement par physiothérapie et exercices posturaux. Nous lui conseillons également d'utiliser de l'alcool de genièvre. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Nous expliquons à la patiente que la symptomatologie fait évoquer plutôt un névrome de Morton et n'est pas liée à la cheville. Nous organisons une IRM afin de confirmer le diagnostic et nous reverrons la patiente suite à cet examen. Nous expliquons à la patiente que les symptômes qu'elle ressent peuvent être liés à un impingement dû à la plaque au niveau du mur postérieur, également à la présence d'un fragment osseux à l'intérieur de l'articulation à ce niveau, mais que nous remarquons au niveau de la partie antéro-inférieure de la jonction tête/col du fémur la présence d'un épaulement osseux probablement en réponse à la luxation chirurgicale de la hanche. Pour l'instant, la patiente préfère réfléchir et attendre sur une évolution naturelle des symptômes. Elle nous recontactera en cas de péjoration ou non amélioration des symptômes pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Une voie d'abord postérieure devrait être complétée par Watson Jones pour permettre l'ablation de l'épaulement antérieur. Nous restons à disposition en cas de besoin. Nous expliquons à la patiente que l'origine de ses douleurs peut être l'hallux valgus, mais nous ne pouvons pas exclure des douleurs d'origine arthrosique au niveau de la MTP I, raison pour laquelle nous organisons une infiltration à ce niveau afin de mieux mettre en évidence l'origine des douleurs, avant de proposer une intervention chirurgicale. Nous expliquons à la patiente que l'unique solution est la prothèse avec une butée et plus ou moins l'utilisation de l'anneau de Ganz. Durant l'intervention, nous allons rallonger le membre inférieur droit, nous lui expliquons les risques et les troubles nerveux du nerf ischiatique, même étant consciente qu'il s'agit d'un raccourcissement secondaire. Nous n'avons pas besoin de faire de démarche pour la demande extra-cantonale (convention), la patiente souhaiterait aller en réadaptation 1 à 2 semaines à Estavayer-le-Lac suite à l'opération du fait que l'opération est conséquente avec un rallongement du membre inférieur droit et au vu du fait qu'à domicile elle a 2 étages d'escaliers sans ascenseur. Par la suite, nous lui prescrirons également une aide de ménage durant 3 mois. Le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices de l'intervention ont été expliqués à la patiente qui signe le consentement. Intervention le 08.03.2018. Nous expliquons à la patiente que, vu son âge et l'état du genou, nous déconseillons absolument l'implantation d'une prothèse. Nous proposons éventuellement d'effectuer une AMIC associée à une ostéotomie de la TTA avec une plastie en Z et ablation des ostéophytes. Nous fixons déjà une date opératoire pour début juillet et une prochaine consultation en juin. Nous laissons ainsi la patiente réfléchir et elle continue entre temps la physiothérapie pour bien se préparer en vue de l'opération. Nous expliquons à la patiente qu'elle a probablement surchargé la musculature et elle a développé une tendinite. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie avec ultrasons et lui conseillons de prendre de l'Irfen au besoin avec protection gastrique si nécessaire. Actuellement, la gêne due à l'arthrose n'est pas si importante et la patiente ne pense pas encore à la mise en place d'une prothèse. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. D'ici là, la patiente nous contactera pour renouveler la physiothérapie. Nous expliquons à la patiente qu'elle est toujours en croissance et que, si jamais nous devons envisager n'importe quel geste chirurgical pour stabiliser le genou, cela ne sera pas avant la fin de la croissance.Pour l'instant nous continuons avec le renforcement musculaire à l'aide de la physiothérapie et nous prolongeons l'arrêt de sport jusqu'à fin février. Nous ne prévoyons pas de prochain rendez-vous mais restons à disposition. Nous expliquons à la patiente qu'il n'y a pas d'indication chirurgicale, nous lui conseillons du stretching des chaînes antérieure et postérieure pour les contractures majeures du quadriceps à gauche, sur le bon de physiothérapie, nous rajoutons l'école du dos avec rebalancement du tronc et stretching des abdominaux pour l'hernie L5-S1 récidivante. Nous restons à disposition en cas de besoin. Nous expliquons à la patiente qu'il n'y a pas d'indication opératoire. Une rééducation fonctionnelle de son genou est toujours d'actualité. Nous lui conseillons d'enlever l'attelle jeans en extension et de mettre une genouillère élastique pour sa sécurité. Nous restons à disposition pour la revoir pour un contrôle clinique dans 2 semaines, contrôle également pour un soutien moral. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 2 semaines. Nous expliquons à la patiente qu'une prothèse totale de la hanche à gauche est indiquée, mais qu' avec la thérapie par Methotrexat, nous ne pouvons pas l'opérer. Nous discutons avec le Dr. X et selon elle, avec le Methotrexat, les infections plus récurrentes sont avec des virus et non bactériennes. Si nous le stoppons pour l'opération, il faut attendre entre 3 et 6 mois, la patiente a un rendez-vous chez Mr. Y le 15.02.2018 et si possible à cette date, il faut stopper les immunosuppresseurs. Nous la reverrons pour discuter de l'opération à la fin avril-début mai et nous pré-réservons une date pour une PTH gauche début juin. Prochain contrôle le 24.04.2018. Nous expliquons au patient que la configuration osseuse de sa hanche présente un conflit fémoro-acétabulaire type CAM et qu'il présente également une dégénérescence du labrum supérieur, l'opération envisageable serait de fraiser le surplus d'os qui provoque l'impingement et également la résection du labrum qui est dégénéré. Le patient désire discuter avec ses parents, il reprendra contact s'il se décide pour l'intervention. Nous expliquons au patient que la conformation des hanches à porter à la destruction du cartilage de l'articulation de la hanche, mais actuellement, ceci n'est pas sa gêne principale au vu du fait qu'il est autonome dans la vie quotidienne et qu'il pratique de la marche en montagne durant des heures. Par contre les douleurs sont plutôt au niveau lombaire, raison pour laquelle nous débutons un traitement conservateur en physiothérapie pour école du dos, rebalancement musculaire, stretching des abdominaux. Nous lui conseillons au vu du fait qu'il fait du travail de bureau un ballon physiothérapeutique. Nous lui expliquons l'importance de l'hygiène du dos, la physiothérapie sert pour l'instruction, mais après il devra répéter les exercices tous les jours. Nous ne prévoyons pas d'ultérieur rendez-vous, mais restons à disposition en cas de besoin, si les douleurs du pli de l'aine augmentent et à ce moment-là on pourra discuter de la nécessité d'une prothèse de hanche. Nous expliquons au patient que les douleurs au pli de l'aine sont expliquées par cette coxarthrose dérivant d'un conflit type CAM, mais au vu du fait que la gêne fonctionnelle et la douleur sont bien tolérées nous ne lui proposons pas pour l'instant une intervention. L'option de la mise en place d'une prothèse sera toujours réalisable, le patient reprendra contact en cas de besoin. Nous lui donnons une ordonnance pour du Condrosulf et pour du Voltarène en réserve en cas de douleurs avec une protection gastrique par Pantozol. Nous expliquons au patient que pour les douleurs au niveau du tendon rotulien, il est important de faire du stretching des chaînes antérieures et nous lui montrons des exercices qu'il pourra effectuer quotidiennement chez lui et nous lui donnons également un bon de physiothérapie. Il est libre de pratiquer tous les sports qu'il désire. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous expliquons au patient que radiologiquement la conformation du bassin et de la hanche G est à la limite de la norme, cliniquement par contre, on retrouve la symptomatologie pour un impingement type CAM et une Snapping hip. Nous organisons une arthro-IRM de la hanche G pour évaluer la couche cartilagineuse et le labrum au vu du fait que l'arthro-IRM effectuée date de 2014. Au vu du fait que le patient demande une opération si possible pour résoudre la problématique, nous ferons tout d'abord une infiltration test. Nous lui donnons une ordonnance de physiothérapie pour stretching de l'ilio-psoas et des membres inférieurs des deux côtés. Arthro-IRM le 16.01.2018. Prochain contrôle clinique le 23.01.2018. Nous expliquons au patient qu'il n'y a pas d'autre solution que l'implantation d'une prothèse totale de la hanche. Le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices sont expliqués au patient qui signe le consentement éclairé. L'opération est pré-réservée pour le 01.02.2018 (patient ayant une assurance au Canada et doit voir pour la prise en charge). Nous demandons une anesthésie générale pour avoir un bon relâchement musculaire durant l'intervention. Nous expliquons au patient qu'il peut abandonner la canne lorsqu'il se sentira en sécurité et nous lui conseillons de continuer les exercices pour récupérer le trophisme musculaire et une déambulation sans boiterie. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous expliquons avec nos collègues orthopédistes, la nécessité d'une opération. Le patient est réticent dans un premier temps. Après explications des risques d'un traitement conservateur, le patient accepte l'opération. Nous organisons la chambre et l'anesthésie, après accord du patient. 5 minutes plus tard, le patient nous dit refuser catégoriquement l'opération et qu'il est au clair avec les risques encourus, à savoir: un déficit fonctionnel définitif du doigt V. Nous expliquons en détails l'imagerie au patient, ainsi que la nécessité d'une prise en charge chirurgicale. En fonction du résultat de l'histologie, une suite radio-chimiothérapie sera probablement à organiser. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est signé. Une date opératoire est fixée au 26.01.2018 et une consultation pré-hospitalisation auprès du service de chirurgie est agendée au 22.01.2018. Le patient devra stopper le Xarelto 48 heures avant l'intervention. On contacte également le service de neuropsychologie pour un bilan pré-opératoire. Nous expliquons la nature inoffensive des poux et rassurons le père quant à l'absence de dangerosité. Nous expliquons la contagiosité et recommandons le lavage à 90° des draps et des habits. Nous retenons également une OMA G pour laquelle nous prescrivons de l'Amoxicilline pour 5 jours. Nous expliquons le déroulement de l'intervention (AMO de la vis de positionnement de la cheville droite) au patient et nous programmons de faire une petite ouverture en externe pour l'ablation de la tête de la vis et une petite ouverture en interne avec repérage scopique pour ablation depuis le côté interne du reste de la vis.Le patient signe le formulaire de consentement éclairé. Nous expliquons les divers examens réalisés à la maman et prenons le temps d'expliquer la suite de prise en charge à la famille. Nous expliquons les divers traitements thérapeutiques comme des protections en silicone, des semelles avec un appui latéral ou une ténotomie avec un embrochage temporaire des articulations IPP/IPD. Nous commençons donc avec les protections en silicone. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous expliquons les risques et les bénéfices de l'intervention à la patiente qui les accepte en signant le formulaire de consentement. Nous faisons à nouveau des plâtres redressants. Nous la reverrons la semaine prochaine et nous confectionnerons probablement des attelles pour la nuit. Nous lui prescrirons également de la physiothérapie. Nous faisons appel à l'association se comprendre.ch afin de compléter l'anamnèse au téléphone avec un interprète parlant le Farsi. Au vu du statut ORL montrant une tuméfaction amygdalienne et d'une notion de fièvre et de frissons anamnistique, nous évaluons le score Centor à 2 points et nous effectuons un strepto-test qui revient négatif. Nous retenons le diagnostic d'un état grippal sur virose respiratoire haute et nous introduisons un traitement symptomatique avec Dafalgan, Fluimare et Angina MCC. Concernant les épisodes intermittents de douleurs abdominales diffuses, nocturnes et apparus il y a plusieurs mois, l'examen clinique et le reste de l'anamnèse se révèlent rassurants. La patiente et son mari ne souhaitent pas effectuer d'investigations supplémentaires ce jour (16.1.2018) aux urgences. Nous laissons donc le soin au médecin traitant, le Dr. X, de lancer des investigations s'il le juge nécessaire. La patiente peut regagner son domicile après la consultation médicale. Nous donnons comme consigne de reconsulter le médecin traitant en début de semaine prochaine pour un contrôle clinique. Nous l'informons également qu'il est important de reconsulter sans attendre un médecin en cas de péjoration aiguë des douleurs abdominales, de fièvre, des frissons ou du sang dans les selles. Nous faisons des examens cliniques et radiologiques qui ne montrent pas de fracture. Nous laissons rentrer la patiente à domicile avec immobilisation par syndactylie et antalgie simple, et consultation chez son pédiatre traitant dans une semaine. Arrêt du sport. Nous faisons un frottis de la plaie et nous organisons une IRM pour voir s'il y a une communication avec l'os et s'il y a déjà des signes radiologiques d'ostéomyélite. Nous demandons au Service d'angiologie de reconvoquer la patiente pour évaluer éventuellement la nécessité de faire un angio-CT. Nous refaisons le pansement avec l'Askina qui doit être refait tous les deux jours. Contrôle chez nous après l'IRM. Nous faisons une radiographie du poignet et de l'avant-bras, ne montrant pas de fracture apparente. Dès que le patient reste avec sa mère, il est calme et s'endort, malgré toujours une absence de mouvement actif du bras, avec une manipulation qui déclenche les douleurs. Vu l'absence de fracture, nous retenons un diagnostic de contusion du poignet et laissons le patient rentrer avec ses parents avec une antalgie per os en réserve. Nous faisons une radiographie qui n'a pas montré de fracture. Nous retenons le diagnostic d'entorse bénigne du ligament collatéral latéral de la cheville droite. Nous suivons le protocole RICE et prescrivons un anti-inflammatoire, le patient marchera en charge selon les douleurs. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle. Nous fermons le plâtre aujourd'hui. La patiente doit continuer la décharge avec les cannes pour encore 4 semaines. Contrôle rx-clinique dans 4 semaines. Nous gardons Raphael en surveillance aux urgences durant une heure, pendant laquelle nous notons une amélioration clinique (de plus en plus actif, souriant). Après vérification des paramètres vitaux (T° 36.5°C, FR 36/min, FC 92/min) et réassurance parentale, nous laissons Raphael rentrer à domicile avec un traitement symptomatique pour son IVRS. Information sur les crises convulsives fournies aux parents (notamment risque de récurrence dans les premières 24h). Nous hydratons la patiente avec du NaCl 0.9%. Le bilan sanguin montre une leucocytose à 14.3G/l sans CRP. Pendant son séjour aux urgences, la patiente n'a plus de nausées ni de diarrhée. Devant le bon état de la patiente, elle peut regagner son domicile avec un traitement symptomatique. Elle doit visiter son médecin traitant si persistance des symptômes. Nous immobilisons avec une bande élastique. Consignes de mobilisation avec charge selon douleur. Suite chez le médecin traitant dans 1 semaine. Le patient habite à Fribourg. Nous immobilisons la cheville par une Aircast et proposons des anti-inflammatoires que Jimmy et sa mère refusent car cela déclencherait un épistaxis. Jimmy sera vu chez son pédiatre dans 10 jours pour l'évaluation de la reprise du sport. Nous immobilisons le bras par un BAB et organisons un contrôle en orthopédie dans 7 jours. Nous immobilisons le pied droit à l'aide d'une attelle Splint Pod puis nous prescrivons à la patiente une thromboprophylaxie par Clexane 40 mg. La patiente prendra un rendez-vous à une semaine en policlinique d'orthopédie. Nous immobilisons le poignet par un plâtre AB et organisons un contrôle clinique dans 1 semaine en orthopédie. Nous informons la maman qu'il faut essayer au maximum de laisser l'attelle Denis Brown et si ce n'est vraiment pas possible, il faut mettre uniquement l'attelle. Nous reverrons le patient dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous informons la patiente de la luxation et de la marche à suivre. Nous organisons une hospitalisation pour réduction fermée éventuellement ouverte et éventuellement changement des inserts prothétiques. Le formulaire d'informations et de consentement est rempli dans ce sens. Nous informons la patiente par téléphone dès la réception des résultats de la patiente source qui reviennent tous négatifs. Nous introduisons pour ces douleurs encore un traitement local. La patiente a déjà un prochain rendez-vous chez son médecin traitant le 29.01.2018. Nous ne retenons pas d'indication de faire plus d'investigations durant notre consultation au vu d'une absence de gravité. Nous invitons la patiente à reconsulter en cas d'aggravation de la symptomatologie. Nous invitons la patiente à reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie et à effectuer un contrôle clinique chez son médecin traitant dans le courant de la semaine prochaine. Nous la reverrons dans 10 jours pour un contrôle clinique. Poursuite de la charge partielle. Nous la reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radioclinique. Lors du prochain contrôle, nous organiserons une cure d'ongle incarné des hallux. Une fois la guérison complète de cette 2ème intervention, nous discuterons d'une cure d'orteil en marteau pour le 2ème orteil du pied D. Nous laissons au médecin traitant le soin d'évaluer la nécessité d'introduire un traitement de biphosphonates au vu de ce deuxième épisode de fracture ostéoporotique, et de recontrôler la TSH à trois mois. • Nous laissons en suspens la metformine et vous laissons le soin de la réintroduire si la lactatémie devait disparaître. • Revoir la pertinence du traitement diurétique à distance. • Revoir le traitement par Itraconazole à distance. Nous laissons la situation telle quelle et observons l'évolution. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition.Nous laissons la situation telle quelle. Il serait bien que le patient puisse adapter ses chaussures de sécurité de travail afin que le calcanéum proéminent puisse avoir un peu de place. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous laissons le soin au médecin traitant d'organiser un bilan cardio-vasculaire en ambulatoire. Nous laissons le soin d'évaluer la nécessité du traitement de Pantoprazole 40 mg une fois par jour. Le prochain rendez-vous oncologique auprès de Dr. X est prévu pour le 17.01.2018 à 16h, HFR Riaz. Nous le reverrons à 1 année de la fracture pour un contrôle radioclinique final. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Nous le reverrons fin février pour un contrôle radioclinique (rx long axe jambe f/p en charge). Nous lui proposons une arthrodèse avec une correction de l'axe. Nous planifierons ceci lors du prochain contrôle. Nous lui conseillons d'attendre que la croûte tombe naturellement. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique final. Nous lui conseillons de continuer à porter l'attelle dorsale lift G. Nous prolongeons l'arrêt de travail et le reverrons dans 4 mois pour un contrôle radioclinique. Nous lui prescrivons également du Dafalgan et de l'Ecofenac 50 mg en réserve ainsi qu'une protection gastrique par Pantozol 20 mg. Nous demandons à nos collègues de l'antalgie de bien vouloir convoquer le patient pour une évaluation de traitement. Le patient doit également prendre contact avec l'AI pour discuter de la suite. Nous lui conseillons de limer l'hyperkératose avec une pierre ponce et de mettre un pansement protecteur. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de marcher en charge selon les douleurs avec le Schlupfgips pendant 2 semaines, puis il pourra marcher avec une chaussure Burato en charge progressive. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la mobilisation et rééducation à la marche. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous lui conseillons de poursuivre l'ergothérapie. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de poursuivre une marche en charge normale. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons d'utiliser plutôt des chaussures rigides pour la marche. Il n'est pas nécessaire de faire une cure d'antibiotique. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous l'informons de l'importance de se représenter d'urgence en cas de signe d'infection ou de fièvre. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'intervention qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement. Nous lui prescrivons du Miacalcic 1 jour pré-opératoire et 10 jours post-opératoires pour prévenir un nouveau syndrome de Sudeck (en accord avec Dr. X, rhumatologue). Nous lui expliquons que nous pouvons essayer de traiter cela en adaptant une semelle. Toutefois, elle préfère une intervention chirurgicale. Nous lui expliquons donc l'intervention qui consiste en une arthrodèse MTP 1 et une cure d'orteil en marteau avec un PIP Tree. La patiente signe le formulaire de consentement. Nous lui expliquons qu'il s'agit d'une surcharge au niveau de la 2ème tête métatarsienne. Toutefois, nous devons d'abord traiter la fasciite plantaire avant de lui prescrire une semelle. Nous lui montrons des exercices de stretching à faire et lui prescrivons également de la physiothérapie avec US et stretching. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Si l'évolution est favorable, nous lui prescrirons des semelles avec support de la 2ème tête métatarsienne. Nous lui indiquons de marcher et de charger de plus en plus. Nous le reverrons pour un prochain contrôle mi-mars et nous réservons une date opératoire pour fin mars consistant en une ablation du fixateur externe. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec renforcement du muscle tibial postérieur. Nous lui conseillons de faire également les exercices à domicile. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la fibrose cicatricielle, pour améliorer la marche et pour la proprioception. Prochain contrôle dans 1 mois. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la mobilisation et proprioception de la cheville ainsi que de la rééducation à la marche en charge. Poursuite de la Clexane pendant 1 semaine. Prolongation de l'arrêt de travail à 100%. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour le renforcement de la musculature. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour le renforcement musculaire du tibial postérieur. Nous le reverrons dans 1 année pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour renforcer la musculature postérieure de la jambe. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons des bas de contention avec les orteils à l'air. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie avec mobilisation de la cheville D et des drainages lymphatiques DDC. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons le matériel pour la réfection régulière du pansement. Nous le reverrons dans J14 pour l'ablation des fils. Nous lui prescrivons le matériel pour la réfection régulière du pansement. Prochain contrôle clinique à J14 pour l'ablation des fils. Nous lui prescrivons une semelle avec une décharge négative au niveau du sésamoïde. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Nous lui proposons d'adapter les semelles avec une surélévation de la voûte plantaire à titre d'essai pour 3 mois. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Si les semelles testées lui conviennent, nous lui en prescrirons des définitives. S'il n'y a aucune amélioration, nous discuterons d'une intervention chirurgicale. Nous lui proposons de continuer la physiothérapie avec renforcement du muscle tibial postérieur. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous lui proposons de faire en premier une excision de l'hyperkératose plantaire qui est la source des douleurs. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'opération qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement. Par la suite, nous organiserons une arthrodèse temporaire de la MTP 2-3 pied D par broche pour la cure d'orteil en griffe. Nous lui proposons de la physiothérapie afin d'apprendre des exercices de stretching pour les faire à domicile. Nous lui conseillons de faire ces exercices surtout avant les activités physiques. Nous lui prescrivons également une talonnette en silicone à mettre lors d'apparitions des douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous lui proposons de réaliser une infiltration au niveau de la MTP 1. Nous la reverrons 3 semaines après ce geste. Nous lui proposons une cure d'ongle incarné avec ablation du fragment de l'ongle. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués au patient qui les accepte en signant le formulaire de consentement. Nous maintenons le diagnostic précédent de grippe et proposons la poursuite du traitement symptomatique. Au vu de l'absence de critères évoquant une pneumonie, nous ne débutons pas d'investigations complémentaires mais conseillons un nouveau contrôle en cas de détérioration respiratoire.Nous maintenons le traitement conservateur et reverrons le patient dans 6 semaines. Il n'a plus besoin de porter le plâtre qui est remplacé dès ce jour par une chevillère de compression. Il marche en charge selon douleur au moyen de 2 cannes pour 2 semaines puis en charge totale, il arrêtera la Clexane à 6 semaines de la fracture. Si les douleurs devaient se péjorer, nous restons bien évidemment à votre disposition. D'ici là nous vous souhaitons nos meilleures salutations. Nous mettons au courant la patiente de l'éventualité d'un cancer, ainsi qu'à sa petite-fille et sa fille. Toutefois la patiente refuse d'être hospitalisée le 11.01.2018. Elle préfère revenir 1 jour avant la colonoscopie pour la préparation, date encore non fixée. Nous mettons en évidence les nouvelles apparitions des douleurs sur une inflammation de l'insertion du sus-épineux. Nous proposons d'abord un traitement anti-inflammatoire en physiothérapie avec mobilisation de l'épaule. Nous prescrivons également une antalgie anti-inflammatoire pour la nuit. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. S'il présente toujours les mêmes douleurs, nous discuterons à ce moment-là d'une nouvelle infiltration. Nous mettons en place ce jour un plâtre Schlupfgips qu'il peut enlever pour les séances de physiothérapie de mobilisation douce. Augmentation de la marche en charge partielle à 15 kg. Reprise du travail à 40% depuis le domicile. Prochain contrôle radiologique et clinique dans 1 mois, le 21.02.2018. Nous mettons en place de l'oxygène et des aérosols. Nous effectuons un bilan biologique et une radiographie du thorax. Nous envoyons les expectorations en culture. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire important, ainsi que des D-Dimères élevés à 977 ng/ml. Au vu de ce résultat, nous effectuons un scanner en urgence, qui ne montre pas d'embolie pulmonaire. Nous retenons le diagnostic d'une BPCO décompensée sur probable pneumonie. Nous contactons l'HFR-Fribourg pour un transfert aux soins intensifs vu la tachypnée avec fatigue respiratoire et probable nécessité de VNI. Vu que la patiente est à 38.1°C de température, nous faisons 2 paires d'hémocultures et débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g et Klacid 500 mg 2x/jour. La patiente quitte notre service en ambulances pour l'HFR-Fribourg. Nous mettons en place un gantelet. Le contrôle post-plâtre est sp. Nous prescrivons des antalgiques et un arrêt de sport. Le patient sera revu dans une semaine à la policlinique orthopédique pour un contrôle radio-clinique. Nous mettons en place un pansement avec de la Flammazine. Rendez-vous prévu à la filière des urgences ambulatoires à 24H le 02.01.2018. Antalgie. Nous mettons en place une chaussure de Barouk avec une syndactylie des orteils 4 et 5. Le patient arrive à marcher correctement avec sa chaussure. Il dispose de traitement antalgique à domicile. Il rentre à domicile et sera revu dans une semaine à la policlinique d'orthopédie pour ablation de la chaussure de Barouk. Un arrêt de sport est prescrit pour 4 semaines. Nous mettons le crachat de sang en lien avec l'épistaxis et retenons une angine virale pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique. Nous mettons le patient sous antibiotique au vu de la symptomatologie et lui conseillons de consulter son médecin traitant ou de reconsulter les urgences s'il devait noter une péjoration ou une persistance des symptômes. Nous mettons le patient sous 15 litres d'oxygène, avec lesquels il sature à 85%. Nous le perfusons également avec 2,5 litres de NaCl 0.9%. Au vu de la persistance de l'instabilité hémodynamique, nous instaurons une pompe de noradrénaline à 2µg/h. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas d'agranulocytose, mais une leucopénie à 1.2 G/l et un syndrome inflammatoire avec CRP à 302 mg/l. Nous effectuons également un uricult, des hémocultures, des cultures de crachats et des antigènes urinaires qui restent à pister. La radiographie du thorax montre un infiltrat pulmonaire gauche important qui nous motive, après discussion avec les soins intensifs de Fribourg chez qui nous allons transférer le patient, à compléter l'examen par un CT-scan thoracique. Celui-ci permet d'exclure une embolie pulmonaire. Au vu de la présence d'un point douloureux thoracique gauche dans un contexte oncologique, nous effectuons les troponines qui reviennent positives à 20 ng/l, puis à 21 ng/l à la 1ère heure. Nous administrons 2g de Rocéphine, puis 500 mg de Klacide en intraveineux. Le patient est transféré à l'hôpital cantonal de Fribourg avec le SMUR au vu de l'instabilité hémodynamique et de la nécessité d'hospitaliser le patient aux soins intensifs. L'attitude est discutée avec le patient avant son départ pour Fribourg, celui-ci désire une intubation si nécessaire et une réanimation maximale. Les troponines seront à répéter à 12h30. Nous mettons un terme à la thérapie, la situation est connue par le patient, si la symptomatologie devait se péjorer il reprendrait contact avec nous. Nous n'avons pas d'arguments pour une arthrite au niveau de la hanche comme elle ne présente pas de douleurs ou de difficulté à la marche, ainsi qu'une mise sous tension de l'articulation coxo-fémorale indolore. Elle présente des douleurs à la palpation des muscles quadriceps, pouvant aller avec ses symptômes grippaux. Nous ne faisons pas d'investigations supplémentaires dans un premier temps. Si une persistance des symptômes, nous proposons un contrôle chez le pédiatre le lundi 29.01.2018 avec investigation supplémentaire pour myosite ou arthrite septique. En cas de péjoration des symptômes avec état fébrile, nous proposons une consultation aux urgences. Une analyse des urines est envoyée, en cas de présence d'infection, nous contacterons la famille pour mise en place d'antibiothérapie. Nous n'avons pas d'arguments pour une arthrite au niveau du genou, ni pour un problème au niveau de la hanche (comme une épiphysiolyse fémorale). Nous pensons à des douleurs suite à une probable surcharge du genou suite à une asymétrie des deux membres inférieurs. Nous proposons un traitement antalgique en réserve et si persistance des symptômes un contrôle clinique chez le pédiatre dans 48h. Nous ne détectons pas de sang dans les urines ni de syndrome inflammatoire dans le sang, raison pour laquelle nous ne poursuivons pas la recherche d'urolithiase chez Monsieur Y. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Il va avoir un entretien avec le médecin conseil de l'AI. Il est actuellement rentier de la SUVA à 50% et est à l'arrêt de travail à 50% (à savoir qu'il ne travaille pas depuis 2014). La suite de l'incapacité de travail sera traitée par son médecin traitant. Nous ne retenons pas d'indication à effectuer d'investigations complémentaires chez un patient qui est toujours fébrile et déjà sous antibiothérapie. La radiographie du thorax effectuée a pu exclure une pneumonie.En cas de persistance de toux/état fébrile au-delà de 10 jours après le 1er diagnostic, nous proposons une consultation afin d'exclure une complication. Nous retenons plutôt une bronchite ou une grippe à l'origine de ses plaintes. Le patient sera revu à la consultation de son médecin traitant. Nous ne retenons pas d'indication à effectuer un bilan chez un patient qui ne présente pas de perte de force ni de trouble sphinctérien. Nous adaptons son antalgie en attendant la prochaine consultation chez le Dr. X. Nous ne retrouvons pas de foyer à la radiographie du thorax. Nous retenons un syndrome grippal comme origine de la symptomatologie, et prescrivons un traitement symptomatique. En cas de persistance de la toux, malgré le traitement, le patient est informé de consulter son médecin traitant dans les prochains jours. Nous ne voyons aucune indication à une prise en charge. Si le patient est toujours gêné, il devra être vu par un dermatologue, voire un podologue. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne voyons pas quelque chose de mécaniquement incorrect dans la prothèse implantée. Nous proposons à la patiente des séances de physiothérapie pour relâchement du tenseur fascia lata et voir si cela apporte une bonne évolution. Nous lui proposons aussi de discuter de la possibilité d'une infiltration avec anesthésie afin de diagnostiquer l'origine des douleurs. Nous lui expliquons tout de même que ce geste comporte des risques d'infection au niveau de la prothèse, raison pour laquelle il serait mieux soit de discuter avec le Dr. X, soit si elle désire faire le suivi chez nous, reprendre contact avec nous. Nous n'effectuons pas d'examen au vu du statut neurologique rassurant, la patiente et sa mère sont tenues informées de se présenter aux urgences si récidive d'un tel événement. Nous notons une très bonne évolution radio-clinique à 3 mois post-opératoires. La patiente a presque regagné toute la mobilité. Il lui manque encore de la force. En tenant compte du fait qu'il y a eu une forte contusion musculaire, ceci ne m'étonne pas. Il y a certainement une bonne partie de la musculature qui s'est cicatrisée avec, comme conséquence, une diminution de la force. Néanmoins, il y a encore du potentiel pour récupérer de la force, raison pour laquelle il est impératif que la patiente continue la physiothérapie et l'ergothérapie. La dysensibilisation dans le territoire de la branche superficielle du nerf radial est en amélioration. Pour ceci, la patiente continue l'ergothérapie. Je propose de la garder en arrêt de travail à 100 % pour encore un mois avec reprise prévue (taux de travail de 25 %) à partir du 5.02.2018. Je reverrai la patiente le 23.02.2018 pour un contrôle clinique. Nous objectivons l'exonération de 3 boules de selles dures avec présence de sang lors de l'essuyage du siège. Nous observons également la présence de vomissements lors des efforts d'expulsion comme décrit par la famille. De ce fait, nous introduisons un traitement par Lactulose à raison de 1 ml/kg/j et proposons de réaliser un contrôle à votre consultation dans 2-3 jours afin d'évaluer l'efficacité du traitement. Nous expliquons à la maman comment réaliser un massage du ventre pour faciliter l'exonération des selles (ne pas retirer les selles avec les doigts). Nous objectivons une bonne évolution clinique à 48h de la dernière présentation aux urgences ainsi qu'une absence de signe inflammatoire dans le laboratoire et absence de perturbation des tests hépatiques. Devant cette évolution favorable, nous prescrivons encore du Primpéran en cas de nausées. Pour le moment, nous ne retenons pas d'indication à un arrêt de travail pour lundi, mais si la patiente ressent des plaintes, nous proposons une nouvelle consultation chez le médecin traitant pour évaluation de la situation. Nous objectivons une bonne évolution, sans signe de lâchage absolu d'un point. Ablation des fils à la filière 34 le 22.01.2017. Nous objectivons une évolution constante de la plaie avec une persistance d'écoulement séreux sanguin, raison pour laquelle nous refaisons le pansement avec de l'Aquacel argent. Le patient sera revu à 48h à la filière 34 si persistance de l'écoulement à 48h, le patient sera revu lundi 29.01.2018 par le Dr. X. Nous objectivons une mauvaise évolution de la plaie, ce pourquoi nous proposons un contrôle en filière 34 le 24.01.2018 avec un avis orthopédique. Nous observons Mme. Y durant son séjour aux urgences jusqu'à 4h après l'accident et au vu de son excellent état général et de l'absence de signes de gravité, nous la laissons rentrer à domicile après avoir instruit les parents sur la surveillance nécessaire. Nous observons une différence de longueur de 5 mm à G sans symptomatologie. Il n'y a rien à faire actuellement. Si la situation s'aggravait, nous pourrions effectuer un orthoradiogramme pour avoir une mesure correcte. Nous organisons une IRM pour bilanter l'état de la syndesmose. L'IRM est organisée pour vendredi 19.01.2018. Nous reverrons le patient suite à cet examen, soit le 30.01.2018 (le traducteur n'était pas disponible le 23.01 et il n'y avait personne d'autre pour venir avec). Nous organisons l'AMO du clou de Prévôt. Le jeune patient et son papa sont informés du déroulement de l'intervention ainsi que des risques per et post-opératoires, le papa signe le consentement. L'intervention est agendée pour le 13.02.18. Nous organisons l'AMO du clou et de la plaque pour la fin mars 2018. Il sera suivi par son médecin traitant par rapport au Sintrom. Il aura de la Fraxiparine 10 jours avant et 3 jours après l'opération. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire et pour traitement de la tendinite au tendon d'Achille ainsi que stretching des chaînes postérieures. Il nous donne son accord écrit en signant le formulaire de consentement éclairé. Nous organisons l'AMO et on explique bien au patient qu'il est possible que la vis cassée reste dans l'os. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices et un formulaire de consentement est rempli et signé. Nous organisons l'opération qui consistera en une arthroscopie diagnostique avec éventuelle microfracturing ou méniscectomie partielle, ainsi qu'une ostéotomie valgusante du tibia proximal. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices et un formulaire de consentement est rempli et signé. Nous organisons un CT-scanner bassin et hanche D avec reconstruction sagittale, coronale et axiale pour mieux analyser le degré d'arthrose et nous reverrons la patiente suite à cet examen. La patiente va réfléchir sur la mise en place d'une prothèse, nous lui expliquons que cela dépend de sa gêne fonctionnelle et des douleurs. CT-scanner le 05.02.2018. Prochain contrôle le 06.02.2018. Nous organisons un scanner de la cheville pour juger de l'état osseux et de la distribution des ostéophytes. Nous reverrons la patiente après cet examen pour discuter de la prise en charge par infiltration, chéilectomie par voie ouverte dans la mesure du possibilité ou arthroscopique. Nous organisons un scanner et un rendez-vous à notre consultation pour évaluer la bonne guérison de l'os. Ensuite, nous pourrons éventuellement organiser l'opération pour ablation du fixateur externe. Nous organisons une infiltration loco dolenti au niveau antéro-latérale de la cheville. Nous la reverrons 3 semaines après ce geste.Nous organisons une IRM afin de mieux bilanter la lésion au niveau du genou. Nous le reverrons une fois cet examen réalisé. Nous organisons une IRM afin de mieux bilanter le kyste et nous reverrons le patient suite à cet examen pour discuter d'une éventuelle intervention chirurgicale. Nous organisons une IRM afin de rechercher une fracture de fatigue, une tendinite ou un névrome de Morton. Arrêt de travail à 100% pour 2 semaines. Nous la reverrons dans 2 semaines pour discuter des résultats de l'IRM. Nous organisons une IRM afin de visualiser une éventuelle déchirure au niveau du ligament collatéral médial. La patiente refuse notre proposition d'arrêt de travail. Prescription d'une genouillère élastique avec renforcement latéral. Prochain contrôle après l'IRM. Nous organisons une IRM du pied afin de voir l'extension de l'infection. Nous prévoyons une amputation du gros orteil G et nous déciderons du niveau selon les résultats de l'IRM. Nous la reverrons donc suite à cet examen. Nous organisons une IRM pour bilanter une éventuelle lésion ligamentaire ou la présence de corps intra-articulaires. Entre-temps, la patiente gardera encore son attelle. Prochain contrôle après l'IRM. Nous passons du Algifor 15 ml avec amélioration des douleurs. Vu la bonne réponse à l'antalgie et l'absence d'une impotence fonctionnelle, d'une déformation ou de douleur articulaire ou osseuse évocatrice, nous optons pour ne pas faire des examens complémentaires. La patiente rentre chez elle. Nous pensons à un hyper-appui des têtes métatarsiennes et nous proposons de mettre un coussin avec appui rétro-capital à porter pendant 6 semaines. En cas de bonne tolérance, nous prescrirons des semelles orthopédiques. Contrôle clinique dans 6 semaines. Nous planifions l'ablation des vis. La patiente va réfléchir pour une date opératoire et nous recontacter. Nous planifions l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en ambulatoire. Nous planifions l'intervention. Les risques et les bénéfices sont expliqués au patient qui les accepte en signant le formulaire de consentement. Nous planifions une ablation du matériel d'ostéosynthèse de la plaque, de la vis au niveau de la styloïde ulnaire ainsi qu'une révision du 3ème compartiment à hauteur du tubercule de Lister pour égaliser le niveau de la corticale. L'opération sera effectuée à Tavel pour des questions d'organisation. La patiente signe le consentement éclairé. Nous planifions une AMO du clou et de la plaque. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués à la patiente qui les accepte en signant le formulaire de consentement. Nous posons donc l'indication opératoire à une suture du tendon d'Achille G en mini-invasif. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'intervention qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement. Nous posons le diagnostic de fasciite plantaire ddc et nous introduisons un traitement de physiothérapie avec anti-inflammatoires, ultrasons et étirements tous les jours. Contrôle clinique dans deux mois. Nous posons l'indication opératoire à une cure de pseudarthrose, ablation de la plaque du tibia, greffe spongieuse de la crête iliaque G et ré-ostéosynthèse par plaque du tibia distal. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués au patient qui les accepte en signant le formulaire de consentement. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à l'opération. Nous pouvons exclure un saignement cérébral ainsi qu'une fracture des cervicales ou de l'humérus. Nous ne voyons pas de problème à ce que la patiente prenne l'avion lundi. Nous conseillons à la patiente de ne pas faire de sport pendant 2 semaines. Nous pouvons exclure une origine cardiaque ou pulmonaire durant le séjour aux urgences. Comme le status neurologique est superposable au dernier, nous ne retenons pas de critère de gravité. Nous débutons un traitement symptomatique avec une antalgie simple et proposons un contrôle clinique à la consultation chez le médecin traitant. Si persistance des plaintes, nous proposons une imagerie thoraco-abdominale pour exclure une origine néoplasique. Nous pouvons planifier une reconstruction du scaphoïde avec prise de greffe au niveau du bassin si le service d'immigration est d'accord avec cette proposition, la curatrice va encore faire les démarches nécessaires. À titre provisoire, le patient signe le consentement éclairé et l'opération est planifiée pour avril 2018. Nous préconisons une nouvelle intervention chirurgicale avec élargissement de l'orifice de plaie. Probable abcès sous-jacent (induration présente). Le patient refuse une telle prise en charge étant donné les douleurs importantes, il refuse également d'être transféré aux urgences afin de réaliser une anesthésie par meopa. Nous préconisons dans ce cas un rinçage NaCL et antiseptique avec nouveau méchage par compresse Bétadine et nous prévoyons un contrôle à 24h pour discuter de l'évolution ainsi que d'une prise en charge chirurgicale. Il devra également être discuté des antibiotiques selon l'évolution. Nous prenons avis du Dr. X qui nous demande de contacter le Tox Zentrum pour demander des informations sur le produit, qui préconise une prise en charge avec un pansement gras, pas d'autre mesure nécessaire. Ensuite, nous réalisons un rinçage abondant avec du NaCL puis nous réalisons un pansement gras avec du Ialugen. Nous convoquons la patiente le lendemain à la filière des urgences ambulatoires pour une réfection du pansement. Nous prenons contact avec la Dresse X le 22.01 afin d'expliquer la prise en charge aux urgences. Un contrôle sera réalisé à sa consultation dans 2-3 jours avec organisation d'une IRM en cas de persistance des symptômes. Un RDV en ortho-urgences sera fixé dans 7 jours comme proposé par le Dr. X. Nous prenons contact avec le Dr. X, chirurgien de garde, qui propose de la Bepanthène et un avis ophtalmologique. Selon avis ophtalmologique de la Dresse X, nous proposons de la vitamine A crème et un pansement occlusif, ainsi qu'une consultation ophtalmologique à l'HFR Fribourg le 26.01.2018 à 08h00 pour suite de la prise en charge. Nous prenons l'avis chirurgical du Dr. X et nous remettons un pansement en place, avec Flammazine. Le patient reviendra le 05.01.2018 en policlinique de chirurgie pour un contrôle. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, et faisons une radiographie du crâne qui ne montre pas de fracture. Nous donnons une pommade à la Fucidine pour la dermoabrasion du front. Nous prenons aussi l'avis du Dr. X, chef de clinique en médecine, et nous prescrivons une pommade à la vitamine A pour l'œil, selon son avis. Le patient prendra un rendez-vous chez l'ophtalmologue pour le 20.01. Nous lui donnons un traitement symptomatique pour le syndrome grippal. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous prenons l'avis du médecin de garde des urgences de pédiatrie de l'HFR Fribourg qui confirme notre diagnostic et notre attitude, c'est-à-dire au vu de la crise déjà passée, de laisser rentrer la patiente à son domicile accompagnée de sa mère sans traitement anxiolytique. La patiente consultera son médecin traitant le 11.01.2018. En cas de récidive en dehors des heures de bureau, elle pourra consulter les urgences de Riaz ou de Fribourg.Nous prenons l'avis du neurologue de garde qui conseille de ne pas activer la filière stroke, de réaliser un CT cérébral natif puis une IRM à distance. Le CT cérébral permet d'exclure un saignement. Concernant l'hypertension, elle diminue à 160/100 mmHg après réception de l'Adalat 20 mg. La patiente reçoit encore un comprimé de Beloc 25 mg per os puis elle rentre à domicile. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant demain afin de rediscuter de son traitement anti-hypertenseur et de prévoir une IRM cérébrale en ambulatoire. Nous prenons le temps de rassurer la patiente. Nous lui donnons quelques conseils pour éviter une récurrence de crise de panique si réapparition des douleurs. Nous prenons une sérologie HIV. Les résultats seront transmis au médecin traitant. Nous conseillons vivement au patient d'arrêter les injections de stéroïdes. Nous prescrivons à nouveau de la physiothérapie avec US anti-inflammatoire. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous prescrivons à nouveau des séances de physiothérapie pour renforcement abdominal et rééducation posturale. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 70% pour encore 2 mois. Nous prescrivons des patchs chauffants et reverrons le patient dans 6 semaines. Nous l'informons de l'importance d'avoir une bonne posture et de bien s'investir dans cette rééducation. Nous prescrivons au patient une attelle aircast avec charge progressive selon douleurs avec abandon des cannes d'ici 1 semaine, avec un schéma d'aircast, 3 semaines jour et nuit, 3 semaines durant la journée et 3 mois pour les activités sportives. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie, car le patient joue beaucoup de football et est sportif. Prochain contrôle dans 6 semaines chez le médecin traitant, mais nous restons à disposition en cas de nécessité. Nous prescrivons de la physiothérapie à but de proprioception et coordination pour stabiliser le genou. La patiente va être prise en charge par son orthopédiste traitant le 20.02.2018. Nous prescrivons de la physiothérapie avec des exercices dans l'axe et sans exercice à pivot. La rééducation est à faire entre 3-6 mois. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous lui expliquons que si le traitement conservateur ne donne pas de résultat satisfaisant d'ici quelques mois et que la patiente ressent toujours des lâchages au niveau du genou, une plastie du LCA sera peut-être envisagée. Nous prescrivons de la physiothérapie. Il peut reprendre le travail à 100% dès le 25.01.2018. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous prescrivons de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail et reprise à 100% le 01.03.2018. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous prescrivons de la physiothérapie se basant surtout sur la rectification de la posture rachidienne. Nous prescrivons du Mydocalm. Nous reverrons la patiente dans 2 mois pour évaluation clinique. Nous prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie à but de tonification musculaire et proprioception et une attelle Vaco Ankle à mettre lors des activités sportives qu'il pourra débuter à partir de maintenant. Reprise du travail prévue le 16.1.2018. Contrôle clinique dans deux mois. Nous prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie avec mobilisation douce, renforcement musculaire, bandages compressifs et massages. Nous suspectons un début de syndrome de Sudeck et nous prescrivons donc en prévention un traitement de Vitamine C pour 3 mois ainsi que du Miacalcic 1 fois par jour durant 2 semaines. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. Nous suspectons également de l'ostéoporose. Nous prions donc son médecin généraliste d'organiser une densitométrie dès que le traitement sera terminé. Nous prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie avec ultrason anti-inflammatoire et taping et prévoyons un prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous prescrivons des nouvelles séances de physiothérapie avec schéma San-Antonio et mobilisation sans charge pour 6 semaines. Pas de reprise du travail, ni du sport jusqu'au 01.03.2018. Prochain contrôle clinique et radiologique dans 6 semaines. Si lors de ce contrôle l'évolution est bonne, nous pourrions proposer à la patiente du fitness médical. Nous prescrivons des séances de frictions transversales en physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour un mois, puis reprise à 50% pour encore un mois. Contrôle clinique dans deux mois. En cas de persistance des douleurs, nous organiserons une IRM du coude droit pour exclure une affection de la tête radiale ou des ligaments collatéraux. Nous prescrivons des séances de physiothérapie et procédons à l'ablation définitive du plâtre AB ce jour. Nous prévoyons un prochain contrôle radio-clinique à notre consultation dans 6 semaines. Nous prescrivons des séances d'ergothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% avec reprise à 50% sans port de charges lourdes le 05.02.2018, puis à 100% le 19.02.2018. Prochain contrôle clinique et radiologique le 14.03.2018. Nous prescrivons des semelles orthopédiques à 3 points et nous reverrons le petit dans 6 mois. Nous prescrivons la mise en place d'un gantelet thermoformé du pouce à faire en ergothérapie, puis des séances de physiothérapie de mobilisation à débuter 4 semaines post-accident. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Nous prescrivons le matériel pour refaire le pansement 2 à 3 fois par semaine. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Reprise du travail à 100% mi-février. Nous prescrivons un traitement antibiotique par voie orale ainsi qu'un traitement par AINS ce jour. On revoit la patiente dans 2 jours le 11.01.2018 à la filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique. Nous prescrivons un traitement symptomatique chez une patiente avec une douleur probablement d'origine musculaire. Si persistance des douleurs ou apparition de symptômes neurologiques comme une perte de force ou une aggravation de l'hypoesthésie, nous proposons une consultation aux urgences. Nous prescrivons une attelle thermoformée type Metacarpal brace avec syndactylie D4-D5 et reste des doigts libres, à faire en ergothérapie. Poursuite de l'immobilisation pour un total de 4 semaines puis mobilisation douce et progressive en ergothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans à 1 mois post-traumatisme. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à cette date. Nous prescrivons une nouvelle ordonnance de physiothérapie. Nous suggérons à la patiente d'aller également à l'ergothérapie pour le traitement de la cicatrice. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Elle reste à l'arrêt de travail à 100%. Nous prévoyons une ablation des 2 ECMES le 14.03 prochain. La maman a été informée du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et bénéfice et elle signe le consentement. Nous procédons à l'ablation définitive du plâtre et mettons en place une attelle VacoAnkle. La patiente peut appliquer du Néo-Décongestine sur la cheville et continuer la surélévation et le glaçage. Prochain contrôle pour évaluation de la suspicion du syndrome de Sudeck le 31.01.2018, puis contrôle radio-clinique à 6 semaines de la fracture. Nous procédons à l'ablation définitive du Schlupfgips et nous mettons en place un Vacoped à 10° de flexion plantaire pour 2 semaines, puis à 0° pour encore 2 semaines. Il peut commencer à marcher en charge partielle de 5-10 kg avec les cannes. Reprise du travail à 50% le 22.01.2018. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines.Nous procédons à l'ablation définitive du Schlupfgips. Nous lui prescrivons de la physiothérapie. Poursuite de marche en touch down avec les cannes anglaises. Nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radioclinique. Nous procédons à l'ablation du plâtre. Nous prescrivons de la physiothérapie intensive avec une lutte anti-équin. Poursuite de la charge partielle de 15 kg avec les cannes. Prolongation de l'arrêt de travail à 100%. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous procédons ce jour à la circularisation du plâtre BAB qu'il devra garder pour un total de 4 semaines. Par la suite, changement du BAB par un AB. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre à 6 semaines à notre consultation. Arrêt de sport pour un total de 3 mois. Nous procédons ce jour à l'ablation de l'attelle et prescrivons les séances de physiothérapie pour une mobilisation sans charge. Dispense de sport pendant les prochaines 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique le 07.03.2018. Nous proposons à la patiente de consulter son médecin traitant pour effectuer un Holter et un profil de la tension artérielle sur 24h. Nous proposons à la patiente de consulter un dermatologue afin d'investiguer la réaction allergique et si le prurit devait continuer. Nous proposons à la patiente de finir les séances de physiothérapie actuellement en cours avec sevrage progressif des cannes anglaises. Nous la reverrons à notre consultation pour un prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous proposons à la patiente de finir les séances de physiothérapie et ergothérapie actuellement en cours et prévoyons un prochain contrôle clinique et évaluation de la reprise du travail à 100% dans 6 semaines. Nous proposons à la patiente de finir les séances de physiothérapie et nous prévoyons un contrôle en juillet 2018, soit à 5 ans de la prothèse et à une année de la fracture. Nous proposons à la patiente de manger du citron pour une excrétion du calcul. En cas d'apparition d'état fébrile/frisson, écoulement purulent ou d'une douleur importante au niveau des glandes salivaires, la patiente est informée de reconsulter les urgences. Nous proposons à la patiente de poursuivre l'ergothérapie. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous proposons à la patiente de poursuivre un traitement par physiothérapie avec ultrason anti-inflammatoire. Au cas où lors de la prochaine consultation, la symptomatologie neurologique devait persister, nous pourrions proposer d'effectuer un IRM ou un ENMG. Reprise du travail possible à 50% à partir du 01.03.2018. Prochain contrôle le 22.02.2018. Nous proposons à la patiente de prendre 3 mg de Sintrom aujourd'hui, 2 mg de Sintrom le 06.01.2018 avec un contrôle laboratoire le 07.01.2018. Nous expliquons aussi à la patiente les aliments très riches en vitamine K et qui pourraient diminuer l'effet des anti-vitamines K. Nous proposons à la patiente de reconsulter son médecin traitant si elle notait une péjoration des douleurs, notamment au niveau des loges rénales ou si elle présentait un état fébrile. Nous proposons à la patiente de reprendre rendez-vous chez les ORL la semaine prochaine. Nous proposons à la patiente d'effectuer régulièrement de la physiothérapie et de faire des marches régulières pour renforcement et mobilisation de la cheville et décoaptation de la rotule, mobilisation, renforcement et antalgie. Contrôle dans deux mois à notre consultation pour la cheville. Nous proposons à la patiente la poursuite de la physiothérapie avec antalgie et mobilisation. Nous proposons également de surélever de 5 mm le bord latéral pour mieux distribuer les charges. Si ceci procure une amélioration, nous effectuerons des semelles définitives avec une surélévation de 5 mm latéralement. Contrôle rx-clinique dans deux mois. Nous proposons à la patiente qu'elle s'inscrive au plus vite à l'Assurance invalidité. Elle sera vue par le Service d'antalgie et nous la reverrons pour un contrôle clinique dans deux mois. Prescription de séances de physiothérapie. Nous proposons à la patiente une ablation du plâtre ce jour et lui prescrivons une chevillère souple. Poursuite de la marche en charge partielle de 15 kg à l'aide de cannes anglaises. Début de la mobilisation douce en physiothérapie. Prochain contrôle clinique et radiologique dans 4 semaines, le 21.02.2018. Nous proposons à la patiente une antalgie standard, puis d'effectuer des séances de physiothérapie avec également un renforcement global de la musculature dorsale. En cas de persistance ou de péjoration de la symptomatologie, elle a été invitée à consulter son médecin traitant à 1 semaine. Nous proposons à la patiente une hospitalisation en médecine. En raison du manque de place, la patiente devrait être transférée au site HFR de Tafers. Elle refuse et préfère rentrer à domicile. Elle rentre donc avec une antibiothérapie pour 5 jours et des conseils d'hygiène des mains. Nous proposons à la patiente une opération de l'hallux à droite qui est plus symptomatique, en mini-invasif. La patiente est informée du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices, et un formulaire de consentement est rempli et signé. Nous proposons à la patiente une prise en charge pour la suite par son médecin traitant. En cas d'apparition d'un état fébrile ou de frissons, nous proposons une nouvelle consultation aux urgences. Nous proposons au patient de lui remettre le matériel pour réaliser une culture de selles, mais ce dernier préfère organiser cela avec sa doctoresse traitante en cas de persistance des symptômes. Nous proposons au patient de poursuivre l'antibiothérapie pendant deux jours et l'immobilisation dans le Schlupfgips. Contrôle rx-clinique à 6 semaines de l'opération. Nous proposons au patient de reprendre progressivement les activités sportives (vélo). Contrôle dans un mois. Nous proposons au patient de se mobiliser avec une attelle Vaco talus. Infiltration de l'articulation sous-astragalienne sous scopie. Le patient sera revu après cette infiltration. En cas d'échec de l'infiltration et du traitement conservateur, une arthrodèse sous-talienne sera à discuter à long terme. Nous proposons au patient de se renseigner sur la durée du traitement par Humira. Contrôle clinique dans deux mois et nous déciderons de la prise en charge chirurgicale en tenant compte de l'évolution du psoriasis et du traitement immunosuppresseur. Nous proposons au patient d'effectuer une imagerie, ce qu'il refuse. Nous débutons un traitement antibiotique et laissons rentrer le patient à domicile, en l'informant de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie. Nous proposons au patient les différentes options thérapeutiques, il souhaite pour le moment un traitement conservateur avec antalgie. Pour le problème des paresthésies, comme il en présente que la nuit, nous décidons de ne pas faire d'investigation supplémentaire. Le patient nous contactera pour un prochain rendez-vous s'il ressent une persistance ou une péjoration de la symptomatologie, dans ce cas-là, nous pourrons organiser une ENMG.Nous proposons au patient une reprise progressive du travail : • 80% dès le 29.01.2018, puis à 100% dès le 12.02.2018. • Prescription de nouvelles séances de physiothérapie. • Prochain contrôle clinique le 12.03.2018. Nous proposons de continuer le traitement avec Keppra et de faire un RDV chez son neurologue traitant. Nous proposons de faire des lavages environ 6x/jour avec gel douche, avec par la suite désinfection et pansement simple. Contrôle à la filière 34 à 48h pour suite de prise en charge. Contrôle en urgence si apparition d'un état fébrile ou de frissons. Nous proposons de faire une nouvelle infiltration du 3ème métatarsien à droite, mais la patiente la refuse. Nous lui proposons alors de poursuivre les activités habituelles en stimulant la mobilisation. Contrôle clinique dans deux mois. Nous proposons de poursuivre le même protocole des pansements avec un contrôle clinique dans 4 semaines. Selon l'évolution, nous pourrons discuter de la mise en place d'une greffe de Thiersch. Nous proposons de poursuivre le port des semelles. Nous le reverrons dans 1 année pour un contrôle clinique. Nous proposons de poursuivre le traitement conservateur avec 6 semaines de Vacoped à 30° et marche en charge selon douleurs, puis 2 semaines à 15° et 2 semaines à 0°. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Arrêt de travail à 100% pour 2 mois. Nous proposons de poursuivre le traitement de fitness médical qu'il effectue à l'HFR de Riaz et nous discuterons de l'indication à l'ablation du matériel d'ostéosynthèse après avoir reçu le rapport de l'expertise. Nous proposons de poursuivre une dernière série des séances d'ergothérapie. Prochain contrôle clinique le 12.04.2018. Nous proposons de réaliser une cheilectomie de la cheville droite. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués à la patiente qui les accepte en signant le formulaire de consentement. Si la situation ne s'améliore pas après cette intervention, nous pourrons également proposer une arthroplastie de la cheville vs arthrodèse tibio-astragalienne. Nous proposons de recontrôler la fonction rénale et la tension de la patiente dans une semaine chez le médecin traitant. Si la tension devait encore être élevée, nous proposons de reprendre l'Adalat à petites doses. Une TSH est en cours, dont le résultat parviendra au médecin traitant. Par ailleurs, au vu d'une grande anxiété chez cette patiente, nous lui avons suggéré un suivi psychiatrique et laissons son médecin revoir la situation avec elle. Nous proposons d'effectuer un pansement simple. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Nous proposons des investigations complémentaires et organisons une IRM du genou droit ainsi qu'un ultrason pour évaluation des muscles ischio-cruraux, surtout gracilis semi-tendineux afin de mieux évaluer les douleurs ressenties par le patient. Nous le reverrons après ces examens pour discussion des résultats et discussion de la suite de la prise en charge. Nous proposons d'une part de continuer avec les exercices de physiothérapie pour relâchement des chaînes antérieures et instruction pour mobilisation autonome par les physiothérapeutes. Poursuite du gainage par le quadriceps. Nous reverrons le patient début mai pour un contrôle clinique selon besoin. Nous proposons d'une part de poursuivre la rééducation physique pour améliorer la trophicité musculaire du genou. Le patient est à la recherche d'un travail à 100% adapté à ses possibilités. Contrôle dans un an pour un contrôle clinique. Nous proposons la poursuite du traitement conservateur avec antalgie et repos. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois afin d'évaluer une éventuelle progression du tassement. Si celui-ci reste stable et que les douleurs s'améliorent, nous continuerons alors le traitement conservateur. Dans le cas contraire, nous discuterons d'une cyphoplastie. Nous proposons l'introduction du Dafalgan et l'adaptation des doses d'Algifor. Nous proposons l'introduction d'une antibiothérapie par co-Amoxicilline pour une durée de 5 jours. La patiente sera revue à la consultation de la filière 34 dans 48 heures. En cas de persistance d'écoulement purulent, nous proposons une prise en charge chirurgicale au bloc opératoire. Nous proposons pour ce patient un traitement par physiothérapie. Nous le reverrons dans deux mois et dans le cas où la déformation devait être très importante, nous attendrons la fin de la croissance pour évaluer une indication chirurgicale. Nous proposons un contrôle à votre cabinet dans 48h. Ventolin si nécessaire. Nous proposons un contrôle à votre cabinet dans 72h. Nous proposons un contrôle à 3 jours chez le médecin traitant. Nous proposons un contrôle chez un cardiologue si persistance du souffle cardiaque. Contrôle en urgence si signe d'insuffisance cardiaque (expliqué aux parents). Nous proposons un contrôle dans votre cabinet avec adaptation de la médication dans la semaine suivant la sortie (la patiente prendra rendez-vous). Ultrason thyroïdien et consultation en endocrinologie organisée le 15.03.2018 chez le Dr. X à 8h30. Nous proposons un suivi biologique en ambulatoire +/- ultrason selon évolution. Nous proposons un suivi clinique avec contrôle ResScan à trois mois au vu des modifications ventilatoires précitées. Nous proposons un suivi urologique chez un urologue de votre choix. Nous proposons un traitement antalgique d'une durée de 3 jours chez un patient avec multiples opérations cardiaques. En cas de persistance de la symptomatologie, nous proposons un RDV chez le médecin traitant. Nous proposons un traitement conservateur. Nous expliquons au patient que les douleurs peuvent rester pendant 3 mois. Il va marcher avec des cannes anglaises jusqu'au prochain contrôle dans 2 mois. Pas d'activité lourde. Séances de physiothérapie pour stretching. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. Nous proposons un traitement de Tamiflu au vu de la durée des symptômes inférieurs à 48h, ainsi qu'en raison des comorbidités de la patiente. Nous lui conseillons de reconsulter en cas de péjoration clinique. Nous proposons un traitement par Rocéphine 50 mg/kg/j iv en attendant l'obtention de l'antibiogramme. Dès réception de celui-ci, possibilité de traiter per os si les bactéries sont sensibles à autre chose que le Podomexef. Nous proposons un traitement symptomatique avec contrôle clinique dans notre service en cas de persistance de la fièvre dans 48h. Yorkabel reconsultera plus tôt si difficultés respiratoires, alimentaires ou baisse de son état général. Nous proposons une ablation du plâtre. Arrêt de la Clexane. Réduction de la marche en charge selon douleur avec l'ablation progressive des cannes. Physiothérapie de renforcement et de mobilisation. Arrêt de sport pour 6 semaines. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous proposons une attelle articulée. Commencer tout d'abord pour une semaine à 40-0-0°, puis 2 semaines à 60-0-0°, ensuite 2 semaines à 90-0-0° comme la patiente présente une laxité au niveau du LLI. Des séances de physiothérapie ont été également prescrites pour mobilisation avec l'attelle articulée et renforcement musculaire selon douleurs. Nous reverrons la patiente dans 5 semaines pour un contrôle clinique. Nous proposons une colonoscopie à 6 semaines à organiser par le médecin traitant. Cultures des selles à pister. Nous proposons une continuation de la rééducation par physiothérapie pour renforcement musculaire, école de la marche pour se déshabituer de la canne. Nous lui proposons plutôt de marcher avec deux cannes au lieu d'une. Prise d'antalgique par Novalgine selon besoins. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique à 3 mois au plus tard à un an post-opératoire pour un contrôle radio-clinique. Nous proposons une immobilisation par une attelle articulée pour encore 2 semaines à 60-0-0°. Puis 2 semaines à 90-0-0°. Charge selon douleurs complète. Nous prescrivons encore des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire avec l'attelle articulée. Arrêt de travail jusqu'au 25.02.2018. Nous reverrons la patiente dans un mois pour un contrôle clinique. Nous proposons une nouvelle adaptation de la semelle. Elle souhaite d'abord continuer le traitement en chiropraxie pour la colonne. Nous discutons également des options chirurgicales de correction de l'hallux valgus et un éventuel raccourcissement du 2ème métatarse. Elle va réfléchir à ces options. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous proposons une nouvelle infiltration à droite avec un contrôle à 3 semaines. Nous rassurons la mère et le patient, et au vu de l'amélioration clinique nous laissons rentrer le patient avec le même traitement prescrit précédemment et son attelle Aircast en place. Nous recommandons un contrôle chez le pédiatre à une semaine. Nous réalisons la manœuvre de réduction et le laissons rentrer à domicile après objectivation d'une mobilisation spontanée et indolore du membre supérieur gauche. Nous réalisons un bilan urinaire qui revient dans la norme, permettant d'exclure une infection urinaire et peu probable une lithiase urinaire. Au vu d'un statut de la norme et l'absence de signe de gravité, nous laissons Yannick rentrer à domicile avec un traitement antalgique et pour consigne de réaliser un contrôle à votre consultation si persistance des douleurs d'ici 2-3 jours ou avant si péjoration ou apparition de signes de gravité (expliqués aux parents). Nous réalisons un ECG qui montre une tachycardie de QRS fins, très probablement une tachycardie de ré-entrée nodale. Nous effectuons des massages du sinus carotidien sans succès, puis la manœuvre de Valsalva modifiée avec cardioversion et retour au rythme sinusal. La patiente se sent bien et les palpitations ont disparu. L'auscultation cardio-pulmonaire est dans la norme. Nous réalisons un ECG qui montre un rythme sinusal régulier avec des sous-décalages non significatifs en V3 et V4. En suspectant une myopéricardite, nous demandons des troponines, le premier train revient à 5 ng/l et le deuxième à 4 ng/l. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer clair, par contre, nous remarquons des signes d'inflammation bronchique. En raison de la persistance de la fièvre et de la douleur après la prise du Dafalgan, nous lui donnons de l'Aspegic 1000 avec un bon effet antalgique. Nous concluons à une bronchite avec des douleurs thoraciques sur les efforts de toux. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan, AINS et Resyl plus. Elle consultera son médecin traitant pour un contrôle. Nous réalisons un laboratoire qui montre une créatinine à 115 umol/l, Na 133 mmol/l, K 3.4 mmol/l, Hb 158 g/l, CRP <5 mg/l, leucocytes 15.7 G/l, crase TP 16%, TP INR 3.7 et PTT 43. Les résultats de la crase sont discutés avec le Dr. X, qui propose de ne pas modifier le traitement mais de faire un contrôle de la crase et FSS le 20.01 à la filière des urgences ambulatoires. Il aurait aimé rester en hospitalisation, mais une suite chez le médecin traitant est nécessaire pour une orientation psychologique du patient. En vue de la clinique rassurante, le patient peut regagner son domicile accompagné d'un ami. Il a un rendez-vous prévu à la filière des urgences ambulatoires le 20.01 pour un contrôle clinico-biologique. Il faudra orienter le patient vers une prise en charge psychologique par son médecin traitant. Nous réalisons un pansement compressif avec un Hémostop. Le saignement actif est stoppé. Il peut regagner son domicile. Si les saignements persistent, il devra reconsulter aux urgences. Il a rendez-vous pour un contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 07.01.2018. Nous réalisons un score pour la thrombose veineuse profonde Wells : 17% qui montre une probabilité modérée, nous demandons un dosage des D-dimères qui reviennent à 4960ng/mL. Nous réalisons un ultrason Doppler (par le Dr. X) qui montre une thrombose veineuse profonde étendue du segment distal de la veine fémorale superficielle gauche jusqu'à la veine iliaque primitive, avec veine cave perméable. Après avis du Dr. X, de médecine interne, nous mettons la patiente sous Clexane 60 mg sous-cutanée 2x/jour et consultation chez le médecin traitant dans 1 semaine. La Clexane sera à garder pendant toute la grossesse. Nous réalisons un Streptotest en raison d'un score de Centor à 4, qui revient négatif. Nous prélevons un frottis que nous cultivons à la recherche de bactéries suite à l'avis de Dr. X. Nous prescrivons du Brufen 500 mg + Dafalgan 1 g. Nous agendons un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires dans 2 jours pour contrôle clinique et commenter les résultats de la culture. Nous réalisons une gazométrie ne montrant pas de troubles électrolytiques. Tiago parvient à boire 100 ml de Normolytoral dans la salle d'attente. Au vu de la faible quantité de vomissements avec absence de diarrhées ce jour, nous proposons une attitude expectative avec plus d'investigations en cas de persistance des symptômes >3 semaines. Nous réalisons une radiographie de la cheville et du pied gauche, qui ne montre pas de signe d'atteinte osseuse. Le laboratoire montre des leucocytes dans la norme, une CRP à 8mg/l, une glycémie à 6,7 mmol/l. Après avis du Dr. X, de médecine interne, nous concluons à un érysipèle du membre inférieur gauche et le patient bénéficie de Co-Amoxicilline 2,2 g aux urgences iv, avec retour à domicile et relais per os. Le patient doit consulter le médecin traitant dans 1 semaine pour le suivi clinique. Nous réalisons une Rx de l'abdomen et prenons avis auprès des radiologues qui confirment la présence du corps étranger dans l'estomac. Au vu de l'absence de signes de gravité (notamment pas de nouveau vomissement, non algique), nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un contrôle radioclinique le lendemain afin de s'assurer du passage de la pièce hors du pylore. Nous donnons pour consignes d'être à jeûn dès minuit et de reconsulter avant le contrôle si apparition de signes de gravité. La prise en charge en cas de non-passage du pylore a été expliquée aux parents. Contrôle du 29.01: pas de douleurs, pas de vomissements. Statut: abdomen: bruits normaux en fréquence et en tonalité abdomen souple diffusément sensible sans défense ni détente. RX. pièce toujours dans l'estomac. Discussion avec Dr. X: vu la taille de l'objet et du fait qu'il ne s'agit pas d'une pile la patiente peut retourner à la maison, la pièce peut prendre entre 4 jours et 4 semaines à sortir. Att.: RAD avec suivi des selles (à la fourchette), si pas d'évacuation de l'objet d'ici 2 semaines consulter à nouveau pour une nouvelle RX, en cas de vomissements ou de douleurs abdominales consulter les urgences.Nous réassurons le patient. Nous proposons un traitement anxiolytique par de la Valériane que le patient refuse. Nous n'effectuons pas d'arrêt pour demain. Nous proposons une consultation chez son médecin traitant demain pour la suite de la prise en charge. Nous recommandons à la patiente un traitement conservateur avec une genouillère et du repos jusqu'à lundi. La patiente aura des examens de sport en début de semaine prochaine auxquels elle peut assister. Nous lui prescrivons un traitement par Arthrotec 75 mg 2 x par jour. En cas de persistance des douleurs, la patiente se représentera. Nous recommandons au médecin traitant de recontrôler les valeurs de TSH et T4 libre d'ici 3 mois. Nous recommandons au médecin traitant d'organiser une consultation dermatologique. Nous recommandons au patient de consulter le dentiste de garde le lendemain, mais celui-ci insiste pour recevoir une antibiothérapie jusqu'à la consultation auprès du dentiste. Après discussion avec le Dr. X, médecin de garde de médecine interne, celui-ci accepte de prescrire de la Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 3 jours. Le patient regagne son domicile avec une antalgie, des AINS et la Co-Amoxicilline. Nous lui donnons également le numéro du dentiste de garde afin qu'il prenne rendez-vous pour le lendemain. Nous recommandons au patient de prendre rendez-vous chez le médecin traitant pour le prochain TP le 15.01.2018. Nous vous laissons le soin de recontrôler les valeurs de la vitamine B12, des folates et de la vitamine D à distance. Rendez-vous organisé le 22.01.2018 à 14h auprès du Dr. X, service de chirurgie HFR Riaz. Nous recommandons un contrôle de la kaliémie à distance. Suivi régulier de la plaie du membre inférieur gauche. Concernant les troubles de la vision, nous recommandons un contrôle ophtalmologique en ambulatoire. Nous reconfectionnons une botte de marche, mais cette fois-ci fermée pour une durée de 4 semaines. Marche en charge selon douleurs dans le plâtre. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois, soit le 13.02.2018. Nous reconnaissons un certain épuisement chez Monsieur Y et retenu une nécessité dans un temps proche à hospitaliser le patient afin d'investiguer ces diarrhées chroniques. Nous ne disposons cette nuit d'aucune place hospitalière correspondante au besoin du patient dans le réseau de l'HFR. Le patient en est informé. Il se présentera chez son médecin traitant afin d'organiser une hospitalisation élective dans les meilleurs délais, nous restons à disposition en cas de péjoration du statut. Nous recontacterons le patient en cas de résultats positifs pour les MST ou s'il est nécessaire de changer le traitement antibiotique. Nous redonnons à la patiente un bon de physiothérapie pour école du dos, rebalancement musculaire du tronc et stretching des abdominaux, cette fois la patiente effectuera les séances en physiothérapie à l'HFR. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois pour voir si amélioration. En cas de persistance de douleurs à la hanche droite, nous effectuerons un CT-scanner à la recherche d'une arthrose qui ne pourrait pas être visualisée à la radiographie standard. Prochain contrôle le 10.04.2018. Nous refaisons des plâtres redressants ddc pour 10 jours, puis je reverrai la petite pour remettre d'autres plâtres le 18.1.2018. Nous remarquons une amélioration des paramètres inflammatoires avec une évolution clinique favorable. Nous avons demandé un avis à notre chirurgien référant, Dr. X, qui propose de ne rien faire de plus et d'attendre la fin du traitement antibiotique. En cas de persistance des douleurs au-delà, la patiente a été invitée à consulter son médecin traitant ou à se présenter aux urgences. Nous remplaçons le traitement antibiotique avec de la Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 7 jours. Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire. Vous trouvez ci-joint une copie du suivi Obstétrical du Gynécologue traitant. Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire. Vous trouvez ci-joint une copie du suivi Obstétrical du Gynécologue traitant. Dr. X Joignable au 026 306 29 72 Nous retenons chez cette patiente des douleurs dorsales d'origine musculo-squelettique associées à une possible gastrite avec reflux. Nous proposons un traitement symptomatique associé à de la physiothérapie. En cas de modification de la symptomatologie avec notamment une dyspnée ou des douleurs de type thoraciques, oppressives, nous préconisons à la patiente un nouveau contrôle. Si tel n'est pas le cas, elle reverra son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Nous retenons chez Monsieur une esquinancie droite. La clinique et les plaintes du patient, notamment la difficulté de s'hydrater et de manger correctement, nous font l'hospitaliser pour surveillance et traitement intraveineux. Au vu du diabète, nous ne sommes pas en mesure d'utiliser des corticostéroïdes. L'évolution durant l'hospitalisation est initialement de type on/off, avec des périodes sans douleur ni plainte et d'autres avec de la difficulté à s'alimenter. Nous traitons Monsieur Y durant 72 heures par antibiothérapie i.v. avant d'observer une nette amélioration clinique, avec une dysphonie quasiment résolue et une reprise de l'alimentation avec peu de douleurs. De ce fait, nous ne posons pas l'indication à une intervention d'emblée. Nous proposons dès lors de laisser le patient rentrer à domicile en date du 18.01.2018 avec un traitement per os et prévoyons de le revoir le lendemain matin à jeun afin de faire le point sur la situation. Si la clinique venait à se péjorer, nous organiserons le jour-même une amygdalectomie avec drainage chirurgical. Nous instruisons Monsieur Y sur la nécessité de reconsulter avant si les symptômes venaient à s'empirer rapidement ou en cas d'état fébrile important. Nous retenons comme diagnostic un état grippal avec une pharyngite associée. Le score de CENTOR est à 0. Un traitement symptomatique a été mis en place. Des gouttes de Makatussin ont été données le soir et le patient ne doit pas conduire après la prise du médicament. Le suivi est conseillé chez le médecin traitant. Nous retenons comme diagnostic un syndrome grippal et nous donnons un traitement symptomatique. La patiente rentre chez elle avec des consignes de mesures hygiéno-diététiques et nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. La suite de la prise en charge se fera chez le médecin traitant. Nous retenons comme diagnostic une probable atteinte de la coiffe des rotateurs sans signe de rupture. Nous proposons dans un premier temps un traitement conservateur avec écharpe antalgique, un traitement symptomatique et de la physiothérapie. Nous lui recommandons d'enlever régulièrement le bras de l'écharpe pour mobiliser l'épaule. Reprise du travail en fonction de l'évolution des douleurs et contrôle chez le médecin traitant dans une semaine pour suivi de l'évolution et discuter de l'indication à une IRM. Nous retenons comme diagnostic un Zona au niveau du dermatome T9 à gauche. Nous mettons en place un traitement par Valaciclovir 1 g 3 fois par jour pendant 7 jours, ainsi qu'un traitement symptomatique avec un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Le patient est informé des motifs qui devraient motiver une nouvelle consultation en urgence.Nous retenons des céphalées et vertiges d'origine indéterminée, que la patiente dit présenter de manière chronique. Un scanner cérébral permet d'exclure une hémorragie sous-arachnoïdienne et dissection carotidienne. Nous proposons à la patiente de consulter son ORL traitant. Nous mettons en évidence un bloc de branche droit au contrôle électrocardiographique, sans argument clinique pour une embolie pulmonaire ni des douleurs rétrosternales, nous n'entreprenons pas d'autre investigation. Nous retenons des douleurs sur contracture musculaire suite à un effort musculaire inhabituel. Il n'y a pas d'élément en faveur d'une atteinte cervicale, pas non plus de la coiffe des rotateurs (rupture). Nous retenons la détresse de la patiente sans pouvoir lui proposer une thérapie en aigu. Nous prenons contact avec nos rhumatologues qui conseillent la patiente et l'informent sur les différentes thérapies et leurs différents protagonistes. Nous rassurons la patiente qui va prendre contact dès que possible avec son anesthésiste, le Dr. X. La patiente est priée de se représenter si elle présente une péjoration de son état physique ou psychique. Nous retenons le diagnostic d'abcès péri-anal. Nous effectuons une incision de 1 cm sous anesthésie locale par Lidocaïne-bicarbonate. La collection purulente est évacuée, ce qui soulage les douleurs. Un rinçage abondant à l'aiguille boutonnée est effectué avec de la Bétadine diluée au NaCl 0.9% stérile. Nous appliquons une mèche. Le patient peut ensuite retourner à domicile avec une antalgie simple. Nous lui donnons la consigne d'enlever la mèche dans 24h, d'effectuer une réfection du pansement chaque jour et de bien rincer la plaie en la douchant quatre à six fois par jour. Nous l'informons également de reconsulter un médecin en cas de fièvre, frisson et/ou aggravation des douleurs et de prendre un rendez-vous à la policlinique de chirurgie pour un contrôle le 23.01.2018. Nous retenons le diagnostic d'adénopathies réactives à un syndrome grippal, avec une bonne amélioration. La prise de sang est rassurante et toutes les sérologies reviennent négatives. Nous rassurons le patient qui rentre à domicile. Nous retenons le diagnostic de bursite pré-rotulienne. Au vu de l'anamnèse, de l'examen clinique et du laboratoire de ce jour qui sont plutôt rassurants, nous n'approfondissons pas les investigations et décidons de suivre l'évolution clinico-biologique à 48h. Nous prescrivons une antalgie par Dafalgan, Irfen et Sportusal Emgel, ainsi qu'une paire de cannes. Monsieur Y sera revu par le Dr. X le dimanche 23.01.2018 à 7h30. Nous retenons le diagnostic de conjonctivite virale bilatérale avec suspicion de surinfection bactérienne à droite. Nous introduisons un traitement d'onguent antibiotique à appliquer bilatéralement au cours des trois prochains jours. Nous expliquons à Mme. Y comment appliquer l'onguent et lui conseillons également d'acheter des sachets de thé noir à appliquer à froid 2 à 3 fois par jour sur ses paupières fermées au cours des prochains jours. Nous prenons contact avec le secrétariat du Dr. X (ophtalmologue) qui propose aimablement de revoir la patiente pour contrôle clinique le mercredi 07.02.2018 à 14h10. Mme. Y peut quitter les urgences en taxi avec la consigne de passer chercher le médicament prescrit à la pharmacie et de ne pas tarder à reconsulter un médecin en cas de péjoration des symptômes oculaires. Nous retenons le diagnostic de contracture musculaire et l'antalgie a été majorée. L'ordonnance pour le Mydocalm et la physiothérapie ont été faites par le médecin de garde. Nous proposons un suivi chez le médecin traitant. Nous retenons le diagnostic de crise d'hyperventilation sur un premier épisode d'attaque de panique. Le patient bénéficie d'une ventilation dans un cornet plastique (donné au tri), ce qui améliore ses symptômes de paresthésie. Par la suite, la crise se calme spontanément durant l'anamnèse et l'examen clinique, qui se révèlent par ailleurs rassurants. Nous n'effectuons pas de gazométrie artérielle au vu des paramètres vitaux dans la norme, de l'absence de pathologie cardio-pulmonaire sous-jacente, de l'examen cardio-pulmonaire normal et de la résolution des symptômes. Monsieur Y peut repartir accompagné de sa compagne. Nous lui remettons un arrêt de travail du 17 au 18.01.2018, ainsi que le contact de l'infirmière psychiatrique de garde à appeler en cas de besoin. Nous lui remettons également une liste de médecins généralistes afin qu'il prenne contact rapidement avec l'un d'entre eux (il n'a pas de médecin généraliste). D'un commun accord avec lui, nous lui conseillons également de reprendre contact avec son ancien psychothérapeute (Dr. X à Bulle). Nous ne prescrivons pas de traitement anxiolytique, car la compagne de Monsieur Y affirme avoir une boîte de Lexotanil 1.5 mg à domicile. Nous expliquons qu'il peut prendre un comprimé en début de crise s'il en ressent le besoin. Nous retenons le diagnostic de lombosciatalgie non déficitaire suite à une chute dans la baignoire 2 jours auparavant. Nous proposons un traitement symptomatique avec contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs d'ici 1 semaine, avec réévaluation de l'indication à effectuer de la physiothérapie. Nous retenons le diagnostic de lymphadénite suppurée axillaire gauche. Nous effectuons une incision sous anesthésie locale par Lidocaïne-bicarbonate de 1.5 cm respectant les plis cutanés axillaires. La collection purulente est évacuée ce qui soulage les douleurs. Un rinçage abondant à l'aiguille boutonnée est effectué avec de la Bétadine diluée à de l'eau stérile. Nous appliquons ensuite une mèche. La patiente peut repartir des urgences avec une antalgie simple et la poursuite du traitement de Co-Amoxicilline 2g/jour (introduit lors d'une consultation en Autriche) pour les trois prochains jours. Nous lui donnons la consigne d'enlever la mèche dans 24h, d'effectuer une réfection du pansement chaque jour et de bien rincer la plaie en se douchant 3x/jour. Nous l'informons également de reconsulter un médecin en cas de fièvre, frissons et/ou aggravation des douleurs ou de l'inflammation au creux axillaire lors de son voyage. Nous l'informons de retourner consulter son médecin traitant en Australie lorsqu'elle sera rentrée de voyage. Nous retenons le diagnostic de pharyngite dans le contexte de la grippe. Nous donnons à la patiente une ordonnance pour un traitement symptomatique. La suite de la prise en charge se fera chez le médecin traitant. Nous retenons le diagnostic de photokératite bilatérale sur exposition professionnelle à lumière UV de chalumeau à arc électrique. Sur avis de l'ophtalmologue de garde de l'HFR Fribourg (Dr. X), nous introduisons un traitement de pommade oculaire de Vitamine A, ainsi que des gouttes Optava et une antalgie en réserve par Dafalgan et Irfen. Nous informons également le patient de reconsulter les urgences ophtalmologiques d'ici 24 heures (après-midi du 31.01.2018) en cas de non amélioration et/ou péjoration des symptômes oculaires. Monsieur Y quitte les urgences avec un arrêt de travail jusqu'au 04.02.2018 compris et la consigne de protéger ses yeux du soleil et des sources de lumière intense, que ce soit durant son activité professionnelle et/ou ses loisirs. Nous retenons le diagnostic de plaie frontale superficielle et suturons par deux points simples à l'Ethilon 5-0 sous anesthésie locale. Un pansement par stéri-strips et cutiplast est ensuite appliqué. Le patient bénéficie d'un rappel anti-tétanos aux urgences. Nous l'informons de ne pas mouiller la plaie jusqu'à ablation des fils et des stéri-strips ainsi que de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de plaie le 22.01 et de prévoir également chez lui l'ablation des fils à 5 jours. Il ne se plaint pas de douleur et ne souhaite pas prendre d'antalgie. Il peut regagner son domicile accompagné d'un collègue de travail. Nous lui demandons de re-consulter les urgences en cas de péjoration de son état clinique. Nous retenons le diagnostic de vertige paroxystique positionnel bénin pour lequel nous faisons la manœuvre de Semont thérapeutique mais avec échec. La patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle prendra rendez-vous pour une consultation chez un ORL en cas de persistance de la symptomatologie après quelques jours. Nous retenons le diagnostic d'entorse de grade I du ligament latéral interne du genou gauche. Mme. Roux peut rentrer à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Irfen et avec un bandage élastique au genou gauche. Nous l'informons de reposer son genou et de ne pas faire de sport excessif dans les 4-5 semaines prochaines, ainsi que de reconsulter chez le Dr. X, orthopédiste. Nous retenons le diagnostic d'IVRS comme origine des plaintes. En cas de persistance des douleurs malgré le traitement, nous conseillons à la patiente de reconsulter les urgences, en soulignant l'importance d'organiser le RDV avec un traducteur. Nous retenons le diagnostic d'IVRS et introduisons donc un traitement symptomatique. Si persistance de la symptomatologie malgré le traitement, nous proposons une consultation chez le médecin traitant. Nous retenons le diagnostic d'otite externe gauche pour lequel le patient reçoit du Dafalgan 1 g et du Voltarène 50 mg aux urgences. Il peut rentrer à domicile avec un traitement par antalgie et Panotile gouttes. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant en cas de persistance ou d'aggravation des symptômes. Nous retenons le diagnostic d'une fracture Salter I du radius distal gauche et mettons en place un plâtre circulaire pour encore 3 semaines. Prochain contrôle clinique hors plâtre le 21.02.2018. Dispense de sport pendant 2 mois. Nous retenons le diagnostic d'uréthérolithiase obstructive gauche sur un calcul de 8 mm x 8.5 mm situé à la jonction pyélo-urétérale gauche. Le cas est présenté au Dr. Xafis (urologue de garde) qui accepte que la patiente soit transférée à son cabinet pour la pose de sonde double J ce jour (29.1.2018) ou demain, selon la disponibilité du bloc opératoire. La patiente peut partir des urgences de Riaz accompagnée de sa sœur et elle se rend directement au cabinet du Dr. Xafis. Nous maintenons le traitement antalgique par Ecofénac et Dafalgan introduit durant la nuit du 28.01.2018 au 29.01.2018. Nous retenons le diagnostic susmentionné et nous prescrivons des séances de physiothérapie avec massages, ultrasons. Pas de stretching pendant un mois. Anti-inflammatoires par Ecofenax 75 mg retard 2 x/jour avec protection gastrique par Pantozol. Fin du traitement. Nous retenons l'hypothèse sur probable piqûre d'insecte raison pour laquelle nous la traitons avec un antihistaminique et une crème à la cortisone locale. Nous retenons l'indication pour une intervention chirurgicale et nous organisons l'excision du tophus goutteux de la MTP de l'hallux droit. Le patient signe le formulaire de consentement éclairé. Pour le coude droit, nous proposons au patient d'acheter un accoudoir en silicone et de prendre un traitement par AINS en réserve. Nous retenons un diagnostic de lombalgie/colique néphrétique gauche chez une patiente soulagée après la prise de Voltaren et Dafalgan au triage. Migration de calcul? Lombalgie non déficitaire? Nous retenons un diagnostic d'infection urinaire expliquant la fièvre et l'hyperglycémie, que nous traitons par Ciprofloxacine durant 7 jours. Contrôle à 1, 2 et 6 semaines en orthopédie. Le patient sera convoqué. Nous retenons un malaise d'origine probablement vaso-vagal et proposons un contrôle chez le pédiatre dans 1 à 2 semaines. Nous retenons un simple trauma nasal mais au vu de l'insistance du père qui trouve que le nez est déformé, proposons un contrôle en ORL à distance. Nous retenons un syndrome grippal que nous proposons de traiter symptomatiquement. Mr. Y reconsultera en cas de persistance de la fièvre >72 h. Nous retenons un torticolis pour lequel nous proposons du repos et des anti-inflammatoires. Concernant l'état fébrile, nous ne constatons pas de foyer franc, mais ceci est probablement en lien avec la consultation précoce suite à l'apparition de la fièvre. Mr. Y reconsultera en fin de semaine si persistance de celle-ci, ou plus tôt en cas de symptômes méningés. Nous retenons une angine à Streptocoques et proposons un traitement par Ospen pour 10 jours. Nous retenons une angine à Streptocoques et proposons un traitement symptomatique pour 3 jours et de l'Ospen pour 10 jours. Mr. Y reconsultera en cas de persistance de la fièvre >72 h. Nous retenons une angine à Streptocoques et proposons un traitement par Ospen pour 10 jours. Nous retenons une angine probablement virale et proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une angine probablement virale et proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une angine virale avec une OMA G que nous proposons de traiter par Amoxicilline pour 5 jours. Nous retenons une angine virale et mettons la gêne respiratoire dans le contexte de la tuméfaction amygdalienne. Nous proposons un traitement symptomatique par Ponstan (au vu de l'intolérance à l'Algifor) et conseillons un contrôle si persistance de la fièvre >72 h. Nous retenons une angine virale et proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une angine virale et proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une angine virale et proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une angine virale et proposons un traitement symptomatique avec un contrôle clinique si persistance de la fièvre >72 h. Nous retenons une angine virale et proposons un traitement symptomatique avec un nouveau contrôle en cas de persistance de la fièvre >48-72 h. Nous retenons une angine virale que nous proposons de traiter symptomatiquement. Nous retenons une bronchite avec une angine et proposons dans ce contexte un traitement symptomatique. Nous retenons une constipation et nous administrons un traitement symptomatique. Nous retenons une contracture musculaire et proposons un traitement symptomatique avec contrôle chez le pédiatre dans 7 jours. En cas de persistance des symptômes, Mme. Y pourra être adressée en orthopédie pour des examens complémentaires. Nous retenons une infection locale au niveau du cul-de-sac de la paupière inférieure gauche. Nous mettons la patiente sous Tobradex collyre après discussion avec le Dr. X avec un contrôle chez l'ophtalmologue à 48 heures. Nous retenons une infection urinaire et proposons un traitement par Nopil pour 5 jours. Nous retenons une IVRS avec angine et mettons les frissons ainsi que les probables marbrures sur le compte de la montée de la fièvre. Nous proposons un traitement symptomatique, et Mr. Y reconsultera en cas de péjoration de son état général. Nous retenons une IVRS pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une OMA D et proposons une antibiothérapie par Amoxicilline pour 5 jours.Nous retenons une OMA G et proposons une antibiothérapie par Amoxicilline pour 5 jours. Nous retenons une OMA perforée et proposons une antibiothérapie pour 5 jours par Amoxicilline. Nous retenons une probable angine débutante et proposons un traitement symptomatique. Nous retenons une probable gastro-entérite débutante et donnons les consignes d'hydratation. Nous retenons une probable OMA perforée et proposons donc un traitement d'Amoxicilline pour 10 jours au vu de l'âge. Nous retenons une sinusite aiguë et nous mettons un traitement de Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours avec un traitement symptomatique. Le patient est informé dans quels cas il devra reconsulter les urgences. Nous reverrons le patient à une année post-opératoire pour lui donner le feu vert pour la reprise du foot. Entre-temps, nous restons à disposition en cas de besoin. Le patient va partir à l'armée jusqu'à fin novembre. Nous reverrons le patient le 23.2.2018 et nous pourrons juger de l'évolution. Il nous apportera les images faites par le Dr X et ses conclusions. Poursuite du traitement prescrit jusqu'ici. Nous reverrons Mme. Y en mai 2018 pour réitérer un suivi VNI afin de s'assurer de la normalisation de la capnie. Nous revoyons la patiente en contrôle avec un status abdominal inchangé et des examens de laboratoire revenant parfaitement dans la norme. La patiente ne présentant pas de signe de gravité, nous lui proposons un traitement symptomatique avec recommandation d'aller consulter son médecin traitant en cas de péjoration clinique. Nous ne retenons pas d'indication à effectuer une imagerie complémentaire de type scanner. Nous sommes à 5 semaines. La fracture est consolidée. La clinique est tout à fait favorable. J'explique au patient qu'à l'âge du patient, une correction est possible de l'inclinaison dorsale. Une bosse peut rester visible sur le dos de l'avant-bras, tiers distal dorsal de l'avant-bras pendant encore une année. Contrôle clinique de la mobilité dans 3 semaines. Nous sommes face à une fracture du carpe non déplacée, pas visualisée sur les clichés standards, mais diagnostiquée par un CT scanner. Pour confirmer la consolidation de la fracture, nous aurons besoin d'un CT scan coupes fines, mais nous décidons, suite à l'examen clinique tout à fait favorable, de ne pas l'effectuer pour l'instant. Nous laissons le patient bouger librement. Pas de sport pour un mois encore, mais reprise de la course à pied, de la natation et le vélo. Nous suspectons des céphalées d'origine médicamenteuses sur la Betahistine et lui conseillons d'essayer de l'arrêter et de voir si les maux de tête continuent. Nous le rassurons sur la nature bénigne de son adénopathie dans un contexte infectieux et lui conseillons de reconsulter rapidement son ORL pour un nouvel examen et une adaptation du traitement. Nous suspectons un abcès rétro-pharyngé gauche (DD para-pharyngé gauche) s'étant partiellement évacué spontanément au cours des dernières 24h. Au vu du trismus, de l'impossibilité d'examiner correctement le fond de gorge du patient et de la suspicion d'abcès rétropharyngé gauche, nous prenons contact avec l'ORL de garde qui propose de l'adresser à l'Hôpital cantonal pour l'évaluation ORL. Il quitte les urgences de Riaz accompagné de son épouse qui l'amène à l'HFR-cantonal. Nous suspectons un ganglion douloureux. Nous conseillons à Mme. Ferrari un traitement anti-inflammatoire pour 1 semaine. En cas d'une augmentation du ganglion, péjoration des douleurs, un état fébrile ou sans diminution dans une semaine, elle prendra contact avec Medhome pour un contrôle. Nous suspectons un urticaire (DD virose) raison pour laquelle nous adressons la patiente au service des urgences pédiatriques de l'HFR sur le site de Fribourg pour un traitement antihistaminique et la suite de la prise en charge (prévoir un bilan allergologique, si indiqué). Nous suspectons une gastrite d'origine probablement virale (DD : à Helicobacter pylori). La pédiatre, la Dr. X étant absente, nous adressons la patiente aux urgences pédiatriques de l'HFR site de Fribourg pour bilan. Nous avertissons le père qui amène sa fille à Fribourg. Nous suspectons une infection urinaire simple débutante. Nous instaurons un traitement par Nitrofurantoïne et Dafalgan en réserve. La suite se fera chez le médecin traitant. Nous suspectons une paralysie faciale périphérique. Nous prenons l'avis de la Dr. X, neurologue de garde, qui conseille un traitement par Valtrex 1 g 3x/jour pour 7 jours et de Prednisone 80 mg 1x/jour pour 5 jours puis un schéma dégressif de 10 mg par jour. La patiente reste très inquiète de ses nouveaux médicaments à prendre pendant sa grossesse malgré le fait que nous lui assurions leur sécurité en se basant sur le site CRAT. Nous contactons la gynécologue de garde qui confirme ses informations. La patiente rentre à domicile avec ce traitement, nous lui conseillons de consulter son médecin traitant la semaine prochaine pour un suivi de l'évolution et de contacter la policlinique de neurologie à l'HFR Fribourg pour prendre un rendez-vous à 2 semaines. Nous suturons la plaie à l'aide de 3 points d'Ethilon 5.0, après désinfection, champagne, anesthésie locale et exploration. Nous mettons en place une attelle Alu pour éviter les contraintes sur la suture. La patiente sera revue à 48h par son pédiatre et à 10 jours pour l'ablation des fils. Nous suturons la plaie avec 2 points à l'Ethylon 5.0 après une désinfection à l'Hibidil, puis nous mettons en place un pansement par ADAPTIC. Les points devront être enlevés dans 5 jours chez le pédiatre. Le pansement doit être gardé 2 jours, puis doit être enlevé sans être remplacé. Une feuille de surveillance post-traumatisme crânien est remise au père du patient. Nous prescrivons un traitement antalgique pour le domicile. Nous suturons la plaie par 1 point d'Ethilon 5.0 après désinfection, champagne et exploration. Nous la couvrons de Stéristrips. La patiente regagne son domicile avec ses parents et sera vue par le pédiatre à 48h pour contrôler la plaie, puis à 7 jours pour l'ablation des fils. Nous traitons les cervicalgies avec 5 jours d'anti-inflammatoires, Brufen 600 mg 3x/jour, arrêt de travail à 100% pendant 2 jours et contrôle chez le médecin traitant. Nous transférons la patiente à Marsens avec l'accord du psychiatre de garde (Dr. X). Nous transférons le patient à Tavel pour une hospitalisation pour suspicion de décompensation cardiaque sur pneumonie. À la clinique, un stridor à l'expiration ainsi que des crépitations sont audibles. Une thérapie avec Co-Amoxicilline est commencée. Nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs vitaminiques (acide folique, vitamine B12 et vitamine D) qui ont été substituées à distance. Nous recommandons d'évaluer l'utilisation des bas de contention après le résultat du bilan angiologique. Nous vous prions de pister les résultats de la broncoscopie, le patient sera également revu en consultation par la Dr. X par la suite. Merci de contrôler l'hémoglobine à distance. Nous vous prions d'effectuer un contrôle clinique et biologique et si besoin également une imagerie conventionnelle à la fin de son traitement antibiotique (25.01.2018). Anémie probablement inflammatoire que nous vous laissons le soin de recontrôler à distance. Nous vous proposons de répéter la radiographie thoracique à distance de l'état infectieux au vu de l'aspect nodulaire de la condensation.Nous vous proposons d'organiser une investigation du probable SAOS à domicile. Contrôle de la formule sanguine dans 1 mois. Nous vous remercions de répéter le Zometa dans 3-4 semaines. Schéma dégressif de Dexaméthasone à continuer dès le 24.01.2018 Contrôle en Oncologie à l'HFR le 24.01.2018 Contrôle en Chirurgie à l'HFR le 06.02.2018 Nous voyons cette patiente avec le Dr. X de l'équipe du membre supérieur. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie et mobilisation surtout en flexion-extension en position de pronation. Contrôle à la consultation du team membre supérieur. Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas. Nouveau cas / suite 2016 Nouveau cas / urgence Nouveau né de 41 1/7 SG, PN 2965 g (P 5-10), T 50 cm (P 10-25), PC 36 cm (P 50-75). S/p pneumothorax G à naissance Nouveau né à terme à 38 4/7. AVB ventouse, pas de risque infectieux, PN 3.620 kg (P75), taille 50 cm (P25), PC 34 cm (P10) Nouveau-né prématuré à 32 2/7 PN 1350 g, PC 28 cm, T: 40 cm Nouveau-né à terme Nouveau-né à terme à 41 SA, accouchement par voie basse sans particularité; poids de naissance 4140 g Nouveau-né à terme à 37 0/7 SA, PN 3010 gr (P50-75), TN 45 cm ( sous Zithromax jusqu'au 18.01.18 Nouveau-né à terme Bronchiolite à RSV (hospitalisation du 05 au 08.01) Nouveau-né à 39 SA 1/7, PN 3200 g (P25-50), T 51 cm (P50), PC 34 cm (P25-50) S/p Hypertension artérielle pulmonaire persistante symptomatique, DD: léger syndrome d'aspiration méconiale Nouveau-né à 39 1/7 avec PN à 2680 g (P3), TN à 46 cm (P<3) et PCN à 33.5 cm (P5-10) Nouveau-né à 39 1/7, PN 3330 g (P 25-50), TN 48 cm (P 5), PCN 36 cm (P 50-75) BSH Nouveau-né à 40 4/7, PN 3060 (P10-P25), TN 50 cm (P10-P25), PCN 34 cm (P10-P25) S/p Wet lung avec insuffisance respiratoire avec Syndrome apnées-bradycardie S/p Thyroïdite subaiguë lymphocytaire maternelle sous Euthyrox pendant la grossesse S/p Erythème oreille gauche en 2016 traité sous AB Nouveau-né de 34 0/7e SG, PN 2550 g (> P 90), adaptation néonatale moyenne avec • SDR initial probablement sur wet lung • Hyperbilirubinémie indirecte • PC à la limite supérieure Ventilation pendant 1 minute puis CPAP durant les 20 premières minutes de vie Glucose 10%, 60 ml/kg/j Konakion 2 mg i.v. Photothérapie du 4.01 au 5.01. Nouveau-né de 38 2/7 SG, Poids 3720 g (P75), taille 49 cm (P10-25), PC 34 cm (P10-25) avec 1) Difficultés d'adaptation en post natal immédiat: pHa 7.28 / pHv 7.36, Apgar 0/7/9, ventilation pendant 4 min, CPAP 25 min Sérologies maternelles négatives 2) Hypoglycémie (min 1,6 mmol/l) 3) Hypotension néonatale (MAP min 22 Hgmm) DD: ductus art. DD: choc hypovolémique sur céphalhématome ou choc septique 4) Suspicion d'infection néonatale: échec d'hémocultures, Gentamycine 5 mg/kg/j aux q24h dès le 24.03.2015, Clamoxyl 25 mg/kg/dose aux q8h dès le 24.03.2015 5) Souffle pansystolique 2-3/6 irradiant dans tous les foyers, p.m. ERB: échocardiographie du 24.03: petite CIA, canal artériel persistant avec légère HTAP; échocardiographie de contrôle à une semaine (Dr. X) Céphalhématome Nouveau-né de 8 jours de vie adressé par son pédiatre pour investigations de crise convulsives. La neuropédiatre étant absente ce jour et les investigations ne pouvant pas être effectuées au HFR, nous la transférons en voiture avec les parents aux soins continus du CHUV, avec l'accord de la neuropédiatre du CHUV, la Drsse X, pour suite de prise en charge. Nouveau-né, né à 41 0/7, Poids 3640 g (P25-50), Taille 50 cm (P5-10), PC 36 cm (P50) Nouveau-né né à 41 3/7 avec PN à 3860 g (P50-75), TN à 52 cm (P25-50) et PCN à 36.5 cm (P50-75) A l'entrée J1 avec poids à 3700 g (P25-50) Nouveau-né, née à terme dépassé, née par césarienne pour non réponse à la provocation avec poids de naissance de 4.5 kg et taille de 53 cm. Traumatisme crânien mineur avec perte de connaissance 09.10.2017. Nouveau-né prématuré de 34 3/7 SG, PN 2430 g (P 50), TN 44 cm, PCN 31.5 cm, par AVB. Nouveau-né sain Nouveau-né (38 SG) avec hyperbilirubinémie indirecte physiologique • Photothérapie 20.-21.08.10 (J5-J6) (bili. max. 383 umol/l) Nouveau-née à terme, 37 2/7 SG; Poids 1755 g (P<3); PCN à 31 cm (P<3) et TN 41 cm (P<3). Nouvel accident. Nouvel épisode de tentamen. Nouvel ulcère de la face dorso-latérale du 5ème métatarsien pied D avec ostéite du moignon osseux associée sur statut post amputation du 5ème rayon au niveau épibasal du 5ème métatarsien D le 18.08.2017 • Bactériologie du 12.12.2017 : négative à J14. Nouvelle actualisation d'une insuffisance rénale chronique hypertensive d'allure pré-rénale (FE Urée à 31%) le 14.11.2017 avec • Clairance à la créatinine selon CKD-EPI à 30 ml/min (Créatinine à 198 umol/l) le 14.11.2017 • Après réhydratation amélioration de la clairance à la créatinine selon CKD-EPI à 60 ml/min le 21.11.2017 • Créatinine clairance d'après CKD-EPI à 45 ml/min le 01.12.2017 • Pas de cylindre ou de protéinurie au sédiment urinaire du 14.11.2017 Nouvelle consultation du 03.01 : persistance de la fièvre max 40°C, impression qu'il a toujours des difficultés à respirer, depuis la dernière consultation il présente des vomissements (6 épisodes), pas de diarrhées, boit bien Status : 11.46 kg, TC 38.1, FR 48/min, SpO2 à 100%, bon état général, BHBP, cardio : B1B2 bien frappés sans souffle audible, TRC à 2 secondes, pas de marbrures, pulm. : léger tirage sous-costal, expirium prolongé, quelques sibilances, ORL : tympans calmes ddc Att. : Betnesol 5 cp et 3 x 6 pushs de Ventolin RAD avec rinçage nasal, Betnesol et Ventolin en R Nouvelle consultation du 15.01 : persistance des douleurs en FID qui sont toujours plus fortes, pas de diarrhées, nausées et pas de vomissements, jeûne ou alimentation ne changent rien aux douleurs, douleurs irrégulières qui partent et reviennent, en position debout pas de bosse visualisée, appétit conservé, pas de perte de poids, pas de sang dans les selles, va à selles 2-3 x jour habituel, ne doit pas beaucoup pousser, fait des saucisses, ne reste pas longtemps aux toilettes, le matin et le soir l'après-midi se calme, pas de stress, école se passe bien, pas de symptômes urinaires, pas d'AF pour cholécystite/cholélithiase Status : cardio-pulm. : sp, abdo : bruits N en F et en T, souple sans défense ni détente, LRSI, ORL sp, OA : hanches sp Bilan biologique : pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques, pas de cholestase, bilan urinaire : pas d'argument pour calcul rénal Att. : antalgie, ad US abdo le 19.01 Nouvelle consultation le 29.01 : persistance des douleurs abdominales avec irradiation au niveau de la jambe droite, dit avoir plus mal vers la hanche, mais sinon il s'agit toujours des mêmes douleurs que décrit ci-dessus STATUS : Afébrile Cardio-pulm. : sp Abdo : superposable aux précédents OA : pas de franche douleurs à la palpation du bassin et de la hanche, pas de limitation Testicules : pas de rougeur ni de tuméfaction, palpation des 2 testicules douloureux avec crémaster présent ddc RX bassin et hanche droite : sp Avis ortho : pas problème ortho Att. : RAD avec antalgie et US testiculaire en ambulatoire Nouvelle consultation du 26.01 : • pas d'EF • cette nuit pire que hier, toux très sèche • a hurlé pendant 1 heure • rhume depuis mardi • respirait 3-4x puis fait des pauses de quelques secondes -> impression de respiration difficile • pas de cyanose ou de pâleur associées • habituellement mange toutes les 3 heures au sein • hier soir moins bien tété mais ce matin a pris normalement • pas de vomissements, selles habituelles STATUS : afébrile, FR 36/min, SpO2 à 100%, FC à 128 bpm, poids à 6.315 kg, cardio : B1B2 bien frappés sans souffle audible, TRC à 2 secondes, pulm. : léger tirage sous-costal intermittents, râles nasaux transmis, abdo : souple sans organomégalie, ORL : tympans calmes ddc Att. : contrôle à 24 heures avec poursuite du traitement Nouvelle consultation en cas d'apparition de symptômes ou de fièvre Nouvelle consultation le 15.01 : 1 an 9 mois traité à cause des problèmes respiratoires, allergie aux pollens Mr. Y est en bonne santé habituelle, depuis vendredi problème respiratoire, consulté hier, problème s'est aggravé cette nuit. Maman lui donne du Ventolin 4 pushs, à noter qu'il n'est pas sous Betnesol pour sa bronchite, pas d'état fébrile dans les derniers jours, pas de céphalées, pas de rhume, pas de mal aux oreilles. Poids 27.9 Kg, T 35.8°C, FR 29, SpO2 à 98%, FC 107 bpm, excellent état général. ORL : muqueuses bien hydratées, fond de gorge sp, tympans calmes. Cardio : B1-B2 bien frappés, sans souffles ou bruits surajoutés. Pulm : pas de SDR, expiration un peu prolongée, quelques sibilances Abdomen : souple et indolore Att. : poursuivre avec du Ventolin en R et Betnesol, consulter le pédiatre à 48 heures, avant si difficultés respiratoires. Nouvelle consultation le 16.01 : • Consulte le 16.01 pour un EF max à 40° depuis le 11.01 • Rhume et toux depuis vendredi • Vomissements sur quinte de toux et selles liquides 3x/jour • Boit encore bien mais ne mange rien STATUS : Poids 12.66 kg (vs 12.7 kg il y a 3 jours), T°C 37.7°C, FR 32/min, SpO2 98%, FC 132 bpm Bon état général, BHBP Cardio : B1B2 bien frappés sans souffle audible, TRC à 2 secondes, pas de marbrures Pulm. : eupnéique, MVS sans bruits surajoutés Abdo : souple sans organomégalie palpable ORL : tympans calmes, fond de gorge érythémateux sans exsudat Stimuler à l’hydratation per os Fébrifuges en R Médecine anthroposophique Consulter le pédiatre à 48 heures si persistance de la fièvre Nouvelle lésion du ménisque interne de la corne postérieure type bec de perroquet sur : • status post plastie LCA par arthroscopie selon Kenneth Jones et résection partielle de l'anse de seau du ménisque interne du genou droit le 02.03.2017 Nouvelle réadaptation musculo-squelettique suite à l'auto-greffe au CHUV Contrôle postopératoire au Team rachis à l'HFR Fribourg le 30.01.2018 à 10h00 Novalgine 1 g par intraveineuse. Laboratoire : ASAT : 66 ALAT : 41 HB : 145 Le : 14.5 CK : 1786. Cf annexes. sédiment urinaire : microhématurie : 6-10 érythrocytes, flore bactérienne +. Cf annexes. US abdominal : décrit ci-dessous. Bilan chez le médecin traitant dans une semaine Novalgine 3x/j en réserve Tramal caps 50 mg en ordre unique Envisager consultation spécialisée en rhumatologie/orthopédie Novalgine 8 gttes Nozinan et rivotril Sédation pour symptôme réfractaire par nozinan, dormicum et phénobarbital Nozinan le 21.01.2018 Switch pour Risperdal dès 22.01.2018 (cf. diagnostic 2) NSAR, Dafalgan, Nobalgin AUF 100% bis am 23.01.2018 NSAR pour 1 semaine Contrôle clinique b.Bedarf beim HA NSAR pour 5 jours Contrôle clinique b.Bedarf beim HA ou sur la Permanence NSCLC de type adénocarcinome pulmonaire à cheval sur les lobes supérieur et moyen droit, classé pT2a pN1 (2/16) cM0 avec réarrangement du gène ROS1, stade IIA • date du diagnostic : 04.07.2013 • status post bilobectomie supérieure droite avec curage ganglionnaire des zones 2R, 4R, 7-9 et 10R par thoracotomie le 04.07.2013 • status post 4 cures de chimiothérapie adjuvante par Cisplatine et Navelbine du 04.08 au 05.10.2013 NSTEMI NSTEMI NSTEMI le 03.01.2018 dans le cadre d'une FA rapide avec occlusion subaiguë à chronique de l'IVA moyenne • Pic de CK à 440 U/l, troponine T hs à 445 ng/l CT thoracique protocole embolie pulmonaire le 03.01.2017 : EP exclue Coronarographie du 03.01.2017 (Dr. X) : maladie coronarienne avec occlusion subaiguë à chronique de l'IVA moyenne. Recanalisation de l'IVA moyenne avec implantation d'un stent actif. Résultat final satisfaisant. FEVG à 40% ETT du 07.01.2017 : VG non dilaté avec hypokinésie sévère de la paroi antéro-septo-apicale. FEVG à 43% (méthode de Simpson). Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. IA minime (1/4). Pas de RM. IM modérée (2/4) secondaire (fonctionnelle). Discrète augmentation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. OG discrètement dilatée. OD normale. VD non dilaté. Fonction systolique du VD discrètement altérée. Valve tricuspide normale. IT minime (1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique.NSTEMI antérieur sur subocclusion de l'IVA proximale le 17.10.2016 traitée par l'implantation d'un stent actif. fecit Dr. X (HFR Fribourg) le 18.10.2016 pour maladie monotronculaire. Status post-ligamentoplastie de l'épaule gauche. Traumatisme tympanique. Contusion de l'avant-bras. NSTEMI antérolatéral le 29.01.2018 • possiblement secondaire à l'infection • DD: myocardite (peu probable) NSTEMI dans contexte gastro-entérique au décours. NSTEMI de type II sur bas débit (hypotension). NSTEMI inférieur le 08.01.18 avec : • sur resténose intrastent serrée de la CD moyenne traitée par angioplastie et pose d'un stent actif. NSTEMI inférieur le 08.01.2017 sur occlusion de l'artère coronaire droite proximale. NSTEMI inférieur le 08.01.2017 sur occlusion de l'artère coronaire droite proximale • pose stent actif le 08.01.17 • FEVG à 51 % le 10.01.18 NSTEMI inférieur le 08.01.2017 : • sur resténose intrastent serrée de la CD moyenne traitée par angioplastie et pose d'un stent actif. NSTEMI inférieur le 08.01.2017 DD: STEMI inférieur au décours. NSTEMI inférieur le 11.11.18. NSTEMI inférieur sur occlusion de l'IVA moyenne et de la CD le 11.11.18 • pose 2 stents CD, 2 stents IVA moyenne. NSTEMI intermédiaire / secondaire DD: contexte infectieux le 30.12.2017 / station prolongée au sol • Avis cardiologique (Dr. X): traitement conservateur par double antiagrégation avec Plavix et Aspirine. • Echographie cardiaque (le 03.01.18): HVG sévère sans signe d'obstruction au repos, FEVG à 70%. Augmentation du débit cardiaque. • ECG (le 04.01.2018): rythme sinusal à 95/minutes, nombreuses ESV. BBD incomplet. Ondes T négatives en aVL, V1-V3. • ECG (le 09.01.2018): NSTEMI phase intermédiaire avec négativation des ondes T en DI, DII, aVF, V1-V6. NSTEMI le 05.10.2017 avec maladie coronarienne bitronculaire (IVA / Diagonale, CD) avec dysfonction systolique G sévère (FEVG à 30%) • Coronarographie/angioplastie le 05.10.2017 (Dr. X) : PCI/DES D1 1x, PCI/DES IVA moyenne et distale 3x • Resténose complète intrastent de l'ACD moyenne rétroperfusée par le réseau G. IRM de stress pour étude de viabilité dans un 2ème temps. • ETT du 05.10.2017 : FEVG à 30-35%, avec atteinte de la cinétique segmentaire diffuse. NSTEMI le 06.09.2017 Décompensation cardiaque aiguë globale d'origine mixte : cardiopathie hypertensive, ischémique et rythmique avec bradycardie extrême sur rythme d'échappement le 09.03.2015. Décompensation cardiaque gauche d'origine mixte le 19.09.2016 • surcharge volémique, ischémique et rythmique sur flutter rapide. Malaise d'origine indéterminée le 14.01.2017 DD : tachycardie ventriculaire (non objectivée sur scope), orthostatisme. Rectorragies d'origine indéterminée le 13.05.2015 et 12.02.2016 (sous Marcoumar). Colite à Clostridium difficile le 27.03.2015. Infection urinaire basse à Enterobacter le 11.04.2015. NSTEMI le 15.01.2018 • probablement secondaire (DD étiologique: insuffisance chronotrope ? pic hypertensif ?) NSTEMI le 22.01.2018. NSTEMI le 23.01.2018. NSTEMI le 25.01.2018. NSTEMI le 25.01.2018. NSTEMI le 27.01.2018 : • Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CX et CD) • Hypokinésie inféro-postéro-basale • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 55-60%). NSTEMI le 31.01.2018. NSTEMI probablement secondaire. NSTEMI probablement secondaire DD: contexte infectieux le 30.12.2017, station prolongée au sol. NSTEMI secondaire le 17.11.2017 • troponines 51 le 17.11, 62 le 19.11. NSTEMI silencieux per-opératoire le 10.03.2017 traité par Aspirine. PTG droite en 2004 et gauche en 2012. Prothèse de l'épaule droite pour fracture en 2009. HWI mit E. coli (bactrim résistant) (02/2017). Zona hémifacial gauche avec parésie faciale (2016). Tunnel carpien opéré (1999). Épicondylite droite (1999). NSTEMI sur atteinte du tronc commun le 13.01.2018. NSTEMI sur occlusion coronaire droite le 29.01.2018. NSTEMI sur probable passage en fibrillation auriculaire rapide • avec occlusion subaiguë à chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 03.01.2018 : • Fraction d'éjection VG 40 % • Pic de CK à 440 U/l, troponine T hs à 264 ng/l • Hypercholestérolémie le 03.01.2018 • EP exclue. NSTEMI sur sténose du tronc commun et de l'artère circonflexe le 13.01.2018. NSTEMI sur sténose serrée et calcifiée de l'IVA proximale au départ de la 1ère diagonale le 20.12.2017. NSTEMI sur sténose significative de l'a. circonflexe proximale le 10.01.2017. NSTEMI sur sténose significative de l'artère circonflexe proximale le 10.01.2018. NSTEMI sur sténose significative de l'artère circonflexe proximale le 10.01.2018. Aspirine à vie, Efient pendant 6 mois. Contrôle cardiologique à 1 mois chez Dr. X, ergométrie à 1 an. Réadaptation cardiaque en ambulatoire. Gastrite récidivante jusqu'en 2010 (dernière gastroscopie il y a 10 ans). Résection d'un polype dans le colon (5 coloscopies dont la dernière en 2011). Cystites récidivantes (jusqu'en 2010). Thrombophlébite superficielle de la jambe gauche en 2016. Chirurgie de varices bilatérales, sans précision. Hystérectomie en 1980. Ablation de kyste mammaire gauche. NSTEMI sur sténose significative de l'IVA moyenne et de la CD le 11.01.2018. NSTEMI sur sténose significative de l'IVA moyenne et de la CD le 11.11.2018. NSTEMI sur subocclusion de l'artère circonflexe proximale et moyenne le 22.01.2018. NSTEMI sur thrombose partielle intrastent au niveau du tronc commun le 12.01.2018 • pic de CK à 228 U/L le 13.01.2018 • discrète dysfonction VG : FE 50 %. NSTEMI sur vasospasme le 01.01.2018. NSTEMI sur vasospasme le 01.01.2018. NSTEMI vs Angor instable le 08.01.2017. NSTEMI 1° VS 2° dans contexte infectieux. NT-pro BNP, CK et Troponine augmentés le 09.01.2018. Majoration du Torasémide. NT-pro BNP 10000 le 09.01.2018 CK et troponine positifs. Suivi clinique. NT-proBNP et CK le 17.01.2018 : dans la norme. ECG le 17.01.2018 : normal. Rx thorax le 18.10.2018. Consilium ORL le 18.01.2018. Augmentation du traitement IPP à 40 mg 2x/j pour 4 semaines 19.01.2018 - 19.02.2018. Fonctions pulmonaires en ambulatoire. Nucalgie. Nucalgies avec vomissements d'origine indéterminée. Nucalgies et vomissements. Numéro de la curatrice : Fabienne Chouvey 026 411 25 91. Suivi par le Dr. X (psychiatre). Syndrome de dépendance à l'alcool avec hépatite alcoolique et stéatose alcoolique, crise convulsive sur sevrage en 2006, 2009, 3x en 2010, status post pancréatite aiguë, en 2002. Polyneuropathie alcoolique. Hypertension artérielle. Tabagisme actif (1 paquet/jour). Nurofen supp 125 mg. Dafalgan supp 450 mg. Xylocaïne spray. Elma. Strepto-Test négatif. Nurofen 125 mg. Rx pouce D : Fracture tête de P1 Dig I D avec déplacement de 2 mm en latéral + suspicion fracture transverse extra-articulaire (discuté avec radiologue). Avis ortho Dresse Niasme (méd. ass.) et Dr. X (CdC). Réduction fermée sous Fentanyl i.n. 12 mcg et MEOPA par Dr. X (CdC). Plâtre AB (Dr. X). Rx pouce D post-réduction: réduction peu concluante sur RX de contrôle, patiente sera revue à la consultation du Dr. X jeudi prochain pour un contrôle radio-clinique. Nutrition entérale dès le 30.11.2016 Suivi diététique Nutrition entérale par anse efférente du 25.01.2018 au 29.01.2018 Nutrition parentérale du 29.01.2018 au 31.01.2018 Nutrition entérale Sonde naso-gastrique dès le 29.12.2017 Nutrition par SNG Nutrition parentérale du 04.12.17 au 11.12.17 SNG jusqu'au 25.01 Fortifiant de lait maternel Nutrition parentérale du 26.01.2018 au 29.01.2018 Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement Addaven Cernevit Nutrition parentérale périphérique du 06.01.2018 au... Nycturie persistante (DD: vessie neurogène) avec: • sédiment urinaire sans particularité le 07.11.2017 OAP dans le contexte ischémique aigu le 04.01.2018 OAP d'origine cardiogénique le 09.08.2017, récidive le 08.09.2017 Suspicion d'AIT, score ABCD2 5 points (risque modéré) le 01.12.2016 avec: • hémisyndrome moteur gauche • ataxie gauche Suspicion d'AIT le 14.04.2015 avec: • troubles de la marche • incontinence urinaire • séquelles d'anciens AVC ischémiques mineurs à répétition visualisées à l'imagerie cérébrale • occlusion totale de l'artère carotidienne interne droite Polytraumatisme sur AVP en scooter le 20.11.2008 OAP d'origine cardiogénique le 09.08.2017, récidive le 08.09.2017 Suspicion d'AIT, score ABCD2 5 points (risque modéré) le 01.12.2016 avec: • hémisyndrome moteur gauche • ataxie gauche Suspicion d'AIT le 14.04.2015 avec: • troubles de la marche • incontinence urinaire • séquelles d'anciens AVC ischémiques mineurs à répétition visualisées à l'imagerie cérébrale • occlusion totale de l'artère carotidienne interne droite Polytraumatisme sur AVP en scooter le 20.11.2008 OAP d'origine cardiogénique le 09.08.2017, récidive le 08.09.2017. Suspicion d'AIT, score ABCD2 5 points (risque modéré) le 01.12.2016 avec: • hémisyndrome moteur gauche. • ataxie gauche. Suspicion d'AIT le 14.04.2015 avec: • troubles de la marche. • incontinence urinaire. • séquelles d'anciens AVC ischémiques mineurs à répétition visualisées à l'imagerie cérébrale. • occlusion totale de l'artère carotidienne interne droite. Polytraumatisme sur accident de la voie publique en scooter le 20.11.2008. OAP le 04.01.2018 OAP le 10.01.2018 d'origine indéterminée avec: • cardiopathie hypertensive • FA à réponse ventriculaire rapide • épanchements pleuraux importants d'origine indéterminée OAP récidivants les 04 et 06.01.2018 OAP (récidive) d'origine indéterminée le 06.01.2018 OAP réfractaire le 01.01.2018 OAP sur IM sévère sur flail du feuillet postérieur (probable rupture cordage?). ETT: FEVG 65%, pas de troubles segmentaires francs, bonne fonction VD, HTAP 45 mmHg. végétation non exclue • épanchement pleural bilatéraux modérés • BBG complet connu Contexte de dyspnée NYHA III depuis 1 semaine, notion de vice valvulaire depuis plusieurs années. Transfert à Inselspital. Obésité Obésité Obésité Obésité Obésité Obésité Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité abdominale. Hernie ombilicale à contenu épiploïque. Hypertension artérielle. Hyperlipidémie. Stéatose hépatique. Discarthrose pluri-étagée prédominant en C3/C4 avec discret rétrolisthésis. Syndrome du tunnel carpien bilatéral. Synovite des fléchisseurs sur les doigts 4 et 5 des deux côtés. Kyste rénal cortical. Compression du nerf cubital au niveau du coude des deux côtés. Polyarthrose: • arthrose scapulo-humérale bilatérale avec probable lésion de la coiffe des rotateurs. • gonarthrose tricompartimentale à prédominance fémoropatellaire. Porokératose actinique (DD: psoriasis annulaire ou eczéma nummulaire sec) et Stuccokératose. Obésité Angor stable Oesophagite peptique de stade III (OGD en 2003) sur reflux gastro-oesophagien avec hernie hiatale Insuffisance veineuse chronique de stade C5 selon CEAP (dernier contrôle en mars 2017 Dr. X) Asthme chronique anamnestique TCC grave en 1985 (hémisyndrome D régressif sur hémorragie superficielle sylvienne gauche, hémianopsie partielle bitemporale résiduelle) Ostéoporose fracturaire (pas de densitométrie effectuée) Douleurs lombaires basses d'origine multifactorielle: • Fracture-tassement de L1 et L2 d'allure ostéoporotique sans caractère pathologique. (Rx et IRM lombaire en juin 2017) • Trouble dégénératif avec discopathie L3-L4 et L4-5 • Discopathie multi-étagée, rétrécissement canalaire surtout visible en L1-L2 et L2-L3. Hémangiome de la vertèbre D11 (juin 2017) Diverticulose (colonoscopie 2003) Arthropathie destructrice probablement microcristalline (mixte sur CPPD et cristaux d'urates de sodium) • Possible chondrocalcinose sur hypomagnésémie et hyperparathyroïdisme (signes rx au niveau des mains avec diastasis scapho-lunaire bilatéral, arthrose de l'art scapho-trapézo-trapézoïde). • Hyperuricémie chronique dans un contexte d'IRC et de syndrome métabolique avec notion anamnestique de crise de goutte depuis l'âge de 18 ans. Obésité avec BMI à 35 avant la grossesse. Immunité rubéole limitée. Priorix en post-partum. Obésité avec BMI à 35 kg/m2 Arthropathie cristalline HTA traitée Obésité avec BMI à 43,7 kg/m2 (taille 165 cm) dans diagnostic suppl. Remplacement valvulaire aortique par une prothèse biologique (Perimount Magna Ease 25 mm) et remplacement de l'aorte ascendante jusqu'à l'hémiarc inclus (Gelweave Vascutek Anteflow 28 mm) le 04.08.2014 à l'Inselspital par le Dr. X sur sténose aortique sévère (gradient moyen 64 mmHg, surface à 0.9 cm2) et anévrisme de l'aorte ascendante, symptomatique sur dyspnée à l'effort NYHA 2: • absence de maladie coronarienne significative (irrégularité pariétale IVA moyenne) • FEVG conservée. Carcinome médullaire de la thyroïde en 2004, traité par thyroïdectomie et curage cervical et médiastinal, sans récidive; depuis, hypothyroïdie substituée (04.01.2018: TSH 0.409 mU/L) Obésité avec BMI à 55.6 kg/m2. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 non insulino-requérant. Syndrome des apnées du sommeil appareillé. Obésité avec BMI 31.6 kg/m2 HTA Insuffisance cardiaque: • ETT du 21.04.2015: bonne performance contractile du VG, FEVG 65%, avec remodelage concentrique avec discrète dysfonction diastolique. Pas de valvulopathie hémodynamiquement significative. Cavités D de taille normale. FEVD dans la norme, pas d'HTAP. Anévrisme du septum inter-auriculaire probablement sur foramen ovale perméable Syndrome des jambes sans repos Obésité avec BMI 55.6. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 non insulino-requérant. SAOS appareillé. Obésité avec BMI 55.6. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 non insulino-requérant.SAOS appareillé. Obèse (BMI à 31 kg/m2). Obèse (BMI à 31 kg/m2). Obèse BMI à 33,2 kg/m2. Obèse (BMI à 40 kg/m2). HTA chronique. Obèse (BMI à 40 kg/m2). HTA chronique. Obèse (BMI 30kg/m2). Hypertension rénovasculaire sur sténose de l'artère rénale bilatérale, prédominante à droite (70%), probablement sur dysplasie fibromusculaire avec stenting des artères rénales bilatérales le 20 janvier 2012. Obèse (BMI 31 kg/m2). État dépressif. Hypertension labile. Intolérance au glucose. Palpitations intermittentes. Obèse BMI 37.5 kg/m2 Cysto-prostatectomie radicale avec confection d'une néovessie cutanée cathétérisable (Duke pouch) le 25.09.2014 pour un carcinome urothélial pT2/pT1 pN0 cM0, actuellement en rémission (Dr. X à Genève). • Reprise laparotomie pour un lâchage d'anastomose avec choc septique, résection iléo colique et iléostomie terminale en septembre 2014. • Laparotomie médiane, résection d'iléostomie, mise à plat de l'abcès et iléostomie terminale au flanc gauche le 24.02.2015 pour rétraction de l'iléostomie et collection parastomiale droite. • Le 03.12.2015 : repositionnement du canal de cathétérisation de la néovessie, renforcement de sa valve de continence. • Status post chimiothérapie. Obèse BMI 37.5 kg/m2 Maladie thromboembolique avec : • TVP en 2007 • EP du segment latéro basal du lobe inférieur droit en avril 2014 • EP secondaire antérieure du lobe supérieur droit en Juillet 2014 Obèse BMI 41.4 Obèse BMI : 63,7. Hypertension artérielle traitée. Cardiopathie hypertensive. Fibrillation auriculaire inaugurale le 09.05.2017. • CHADS-VASc 1 point. Consilium médecine interne le 15.05.17 (cf annexe) : Faire un HbA1c (car risque de diabète et ça changerait le CHADS-VASc à 2 points avec indication à l'anticoagulation thérapeutique). Actuellement pas d'indication formelle à une anticoagulation thérapeutique (si HbA1c < 6.5%). Demander un Holter-ECG. Holter ECG le 19.05.2017 (rapport en annexe) : FA constante avec une fréquence cardiaque moyenne à 75 bpm, max. 158 bpm, minimale 46 bpm. Extrasystolie ventriculaire simple de faible incidence. Echographie cardiaque ETT le 20.05.2017 : FEVG 65%, cardiopathie hypertensive avancée, dysfonction diastolique Grade II. Proposition de contrôle de la fréquence cardiaque. Au décours de la phase infectieuse, si la FA persiste, une tentative de cardioversion est possible avec ETO préalable afin d'exclure un thrombus intra-auriculaire. Obèse classe I (BMI 34,3kg/m2) Obèse de classe I avec BMI à 34,9 kg/m2 le 26.03.2014 Hyperphagie Lombalgies Aménorrhée secondaire probable Syndrome des ovaires polykystiques Hypercholestérolémie Carence modérée en vitamine D Notion d'eczéma Troubles du sommeil Anxiété dans le contexte d'une personnalité émotionnellement labile type borderline Troubles de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive en novembre 2010 avec : • tentamen médicamenteux le 26.08.2015 • tentamen médicamenteux en septembre 2010 • tentamen médicamenteux le 04.11.2013 • tentamen médicamenteux et à l'alcool le 26.04.2017 • dernier séjour à Marsens en automne 2017 Situation socio-professionnelle et familiale précaire avec : • retard mental léger (QI de 63) - F70.1 • difficultés liées à l'entourage immédiat (sa mère, le père de son enfant) - Z63 Obèse de classe I selon l'OMS (BMI à 30.9 kg/m2) Hypertension artérielle non traitée Obèse de classe II selon l'OMS Obèse de grade III selon l'OMS • BMI 41.86 kg/m2 Obèse de stade II selon la classification OMS (BMI 32 kg/m2) avec : • Apport actuel insuffisant en protéines • Besoins protéino-énergétiques couverts à 50% Obèse de stade IV selon l'OMS avec chirurgie par By-pass gastrique le 27.03.17 Hypertension artérielle Stéatose hépatique Maladie de reflux gastro-oesophagien sur une hernie hiatale Trouble affectif bipolaire traité Mastocytose intestinale (suivi par Dr. X) Ovaire multi-folliculaire gauche avec exploration laparoscopique en 2014. Obèse de stade IV selon l'OMS avec chirurgie par bypass gastrique le 27.03.17 Hypertension artérielle Stéatose hépatique Maladie de reflux gastro-oesophagien sur une hernie hiatale Trouble affectif bipolaire traité Mastocytose intestinale (suivi par Dr. X) Ovaire multi-folliculaire gauche avec exploration laparoscopique en 2014. Obèse de stade OMS II avec BMI à 39.8 kg/m2. Tabagisme actif (60 UPA). Hypertension artérielle traitée. Bradycardie intermittente asymptomatique sur troubles de la conduction atrioventriculaire. • BAV de 2ème degré Mobitz 2 le 25.11.2015. • BAV de 3ème degré (DD : secondaire à l'hypoxémie) le 25.11 et le 26.11.2015. Lésions cutanées nodulaires aux membres inférieurs d'origine indéterminée en cours d'investigation. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil très sévère, avec : • polygraphie respiratoire le 17.12.15 : IHA à 86.3/h ; IDO à 86.5/h • score Epworth à 16/21 (pas de conduite automobile) le 05.01.2016 • Pose de CPAP avec polygraphie le 05.01.2016. Obèse (IMC=44) Obèse Insuffisance rénale chronique Stade G3a Angor stable Oesophagite peptique de stade III (OGD en 2003) sur reflux gastro-oesophagien avec hernie hiatale Insuffisance veineuse chronique de stade C5 selon CEAP (dernier contrôle en mars 2017 Dr. X) Asthme chronique anamnestique TCC grave en 1985 (hémisyndrome D régressif sur hémorragie superficielle sylvienne gauche, hémianopsie partielle bitemporale résiduelle) Ostéoporose fracturaire Douleurs lombaires basses d'origine multifactorielle : • Fracture/tassement de L1 et L2 d'allure ostéoporotique sans caractère pathologique • Trouble dégénératif avec discopathie L3-L4 et L4-L5 • Discopathie multi-étagée, rétrécissement canalaire surtout visible en L1-L2 et L2-L3. Hémangiome de la vertèbre D11 (juin 2017) Diverticulose (colonoscopie 2003) Arthropathie destructrice probablement microcristalline (mixte sur CPPD et cristaux d'urates de sodium) • Possible chondrocalcinose sur hypomagnésémie et hyperparathyroïdisme (signes rx au niveau des mains avec diastasis scapho-lunaire bilatéral, arthrose de l'art scapho-trapèze-trapézoïde). • Hyperuricémie chronique dans un contexte d'IRC et de syndrome métabolique avec notion anamnestique de crise de goutte depuis l'âge de 18 ans. Obésité modérée avec BMI à 33 Paralysie du diaphragme d'origine indéterminée sur DD : • paralysie du scalène séquellaire à intervention à l'épaule droite en 2013 • ancienne Borréliose de Lyme • IgG blot positive • atteinte du motoneurone Obésité modérée avec BMI 32.5 le 09.07.16 Hypertension artérielle non traitée Obésité morbide Obésité morbide avec BMI à 37.4. Obésité morbide avec BMI 42.2 kg/m2 (122 kg pour 170 cm) Hypogammaglobulinémie médicamenteuse (Rituximab) Diverticulose sigmoïdienne Glaucome • status après trabéculectomie et Mitomycine de l'œil D en 2010 • révision de bulles le 16.02.2010 Pseudophakie OD Sclérose sévère Cataracte Obésité morbide avec score d'Epworth 8 points le 17.11.2014. Hernie hiatale. Obésité morbide avec un BMI à 44,7 kg/m2. Hypertension artérielle traitée avec hypertrophie ventriculaire gauche, extrasystoles.Diabète mellitus type 2. Oesophage de Barrett. Syndrome d'apnée du sommeil, appareillé. Hypercholestérolémie sous traitement. Syndrome de Bernard-Soulier. Hernie discale lombaire L5-S1 gauche avec antalgie mal adaptée le 02.06.2013. Stéatohépatite non-alcoolique (NASH) le 02.06.2013. Obésité morbide • BMI : 63,7 • Suivi par Dr. X • Anneau gastrique en place • Projet d'une chirurgie bariatrique Obésité morbide : BMI à 44 Obésité morbide BMI à 45 (en début de grossesse). OMPK Obésité morbide (BMI 33) Hypoxémie chronique d'origine mixte : • maladie obstructive sur tabagisme actif • probables broncho-aspirations sur trouble de la motilité oesophagienne • syndrome restrictif sur obésité Trouble de la déglutition de type broncho-aspiration : • objectivé cliniquement le 30.05.2015 • absence de trouble de la déglutition sur le transit du 30.05.2016 • dans le contexte de troubles du comportement alimentaire avec binge eating Trouble de l'état de vigilance et troubles cognitifs sévères le 28.05.2016, anamnestiquement en progression depuis 3 mois, d'origine mixte : • syndrome de dépendance à l'alcool avec multiples TCC • composante psychiatrique DD : démence sous-jacente méconnue ? Image radiologique de plaque molle d'athérose de l'arc aortique et de l'aorte descendante (28.05.2016) Obésité morbide (BMI 33) Hypoxémie chronique d'origine mixte : • maladie obstructive sur tabagisme actif • probables broncho-aspirations sur trouble de la motilité oesophagienne • syndrome restrictif sur obésité Troubles de la déglutition de type broncho-aspiration : • objectivé cliniquement le 30.05.2015 • absence de trouble de la déglutition sur le transit du 30.05.2016 • dans le contexte de troubles du comportement alimentaire avec binge eating Syndrome de Korsakoff, avec ataxie et troubles de la marche depuis 2008 Trouble de l'état de vigilance et troubles cognitifs sévères le 28.05.2016, d'origine mixte : • syndrome de dépendance à l'alcool avec multiples TCC • composante psychiatrique • probable Korsakoff Image radiologique de plaque molle d'athérose de l'arc aortique et de l'aorte descendante (28.05.2016) Obésité morbide (BMI 43) Obésité morbide (BMI 52 kg/m2). Obésité morbide : BMI : 46 Scoliose Intolérance au glucose Obésité morbide de grade II selon l'OMS avec BMI à 36,6 kg/m2 (104 kg, 167 cm) Obésité morbide (de grade II selon l'OMS) avec BMI à 39,7 kg/m2 (130 kg ; 181 cm) Obésité morbide stade III avec : • status post-mise en place d'un anneau gastrique en 2003, • status post-révision chirurgicale en 2006, • status post-bypass gastrique le 29.01.2013 (Dr. X) • status post abdominoplastie 10/2016 (Payerne) Obésité morbide. Insuffisance chronique bilatérale débutante. Hypertension artérielle traitée depuis 2000. Obésité sévère (BMI 43 kg/cm2) Obésité stade I selon l'OMS avec BMI à 32.3 kg/m2. Hypertension artérielle traitée. Tabagisme à 40 UPA arrêté il y a 12 ans. Remplacement valvulaire aortique biologique à l'aide d'un anneau Edwards de 25 mm et triple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, veineux/CD, veineux/Cx), (CHUV) le 12.01.2014, dans le cadre d'une maladie coronarienne tri-tronculaire accompagnée d'un rétrécissement aortique (0.8 cm2). Anévrisme de l'aorte abdominale. Lombalgies sur tassements dans un contexte ostéoporotique probable, au niveau L1 et L3 à L5, non datés. Consommation alcoolique à risque. Obésité stade III selon l'OMS avec BMI à 40.1 kg/m2 en juillet 2016 (100 kg pour 158 cm) Obésité stade III Ablation anneau gastrique par laparoscopie et résection hépatique atypique avec développement d'un bilome en mars 2011 Rétablissement du bypass et implantation d'un anneau gastrique en 1999 Opération selon Scopinaro en 1990 Troubles dépressifs chroniques SAOS appareillé Obésité stade III Ablation anneau gastrique par laparoscopie et résection hépatique atypique avec développement d'un bilome en mars 2011 Rétablissement du bypass et implantation d'un anneau gastrique en 1999 Opération selon Scopinaro en 1990 Troubles dépressifs chroniques SAOS appareillé Obésité stade III Ablation anneau gastrique par laparoscopie et résection hépatique atypique avec développement d'un bilome en mars 2011 Rétablissement du bypass et implantation d'un anneau gastrique en 1999 Opération selon Scopinaro en 1990 Troubles dépressifs chroniques SAOS appareillé Obésité stade III Ablation anneau gastrique par laparoscopie et résection hépatique atypique avec développement d'un bilome en mars 2011 Rétablissement du bypass et implantation d'un anneau gastrique en 1999 Opération selon Scopinaro en 1990 Troubles dépressifs chroniques SAOS appareillé Obésité stade III Migraines chroniques Obésité (120 kg) Obésité. Anémie ferriprive. Diabète type 2. Adénocarcinome endométrioïde de l'endomètre classé pT3a pNx pM1, stade FIGO IVB. Hypertension artérielle traitée. Obésité Dyslipidémie non traitée. Obésité HTA Obésité HTA traitée Obésité. Hypercholestérolémie. BPCO sur tabagisme. Obésité Hypercholestérolémie Arthrose vertébrale Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative d'origine plurifactorielle : • Bêta-thalassémie hétérozygote (thalassémie mineure) • Possible composante ferriprive Cardiopathie hypertensive et ischémique anamnestique avec : • Coronarographie en Italie en 1992 (résultat ?) Obésité Hypercholestérolémie Diverticulite en 2009 Fracture du condyle fémoral G opérée en 2004 Appendicectomie Tabagisme stoppé en 2000 Obésité. Hypertension artérielle. État dépressif traité. Obésité. Hypothyroïdie. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, appareillée. Obésité. Hypothyroïdie. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, appareillée. Obésité. Hypothyroïdie. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, appareillée. Obésité. Status post-bypass gastrique en octobre 2014. Bradycardie sinusale depuis bypass de 2014. Obésité. Status post-bypass gastrique en octobre 2014. Bradycardie sinusale depuis bypass de 2014. Obésité. Tabagisme actif à 96 UPA. Status post-bronchopneumonie. Status post-bronchite asthmatiforme. Obésité. Tabagisme actif à 96 UPA. Status post-bronchopneumonie. Status post-bronchite asthmatiforme. Obésité. Tachycardie supraventriculaire paroxystique (suivie par Dr. X). Syndrome du tunnel carpien gauche qui sera opéré en février 2018. Obésité. Trouble anxieux probable. Obésité Trouble dépressif QTc 540 ms le 18.02.2017 Obésité Trouble dépressif QTc 540 ms le 18.02.2017 Objectivement bonne évolution. Subjectivement, l'évolution est moins bonne, par contre il ne faut pas sous-estimer le contexte psycho-social très difficile chez cette patiente qui est à l'aide sociale. Je n'arrive pas à objectiver un problème somatique méritant une prise en charge. Je conseille la poursuite de l'ergothérapie pour une désensibilisation cicatricielle et rééducation sensitive et motrice. Prescription de Neurodol patchs comme traitement local. Un prochain contrôle est programmé chez moi dans 6 semaines. Prochain rendez-vous le 14.02.2018. Observation Observation. Observation clinique. Observation clinique. Observation clinique. • Antalgie • Lavage nasal. • Consultation à nouveau aux urgences (absence de médecin traitant) si péjoration de la symptomatologie. Observation clinique. • Antalgie. • Pansement avec Ecofenac et bande. • Mise en place de bretelles. • Contrôle chez le médecin traitant si signe d'aggravation. • Traitement antalgique. • Arrêt médical. Observation clinique, arrêt du Plavix et reprise de l'Aspirine Cardio le 15.01.2018. Observation clinique. • Laboratoire • Radiographies de l'épaule : tendinite calcifiante sous épineuse gauche. • Avis orthopédique : Dr. X : mise en place d'un traitement anti-inflammatoire, antalgique et myorelaxant. • Utilisation d'une bretelle à but antalgique. • Contrôle chez le médecin traitant déjà prévu pour le 23.01.2018 (1er rdv chez le Dr. X). • Évaluation auprès du médecin traitant pour un éventuel consilium rhumatologique. Observation clinique. • Antalgie selon protocole. • Mise en place d'un traitement antalgique pour le retour à domicile. • Arrêt de travail de 2 jours. Observation clinique. • Consignes de soins à domicile (crème hydratante). Observation clinique. • Désinfection. • Réfection du pansement. • Rendez-vous pour ablation des fils le 12.01.2018 à la filière 34 (médecin traitant absent jusqu'au 15.01.2018). Observation clinique. • ECG. • Test de Schellong. • Psycho-éducation concernant les crises d'anxiété et méthode de gestion des crises à travers la respiration. Observation clinique. • Laboratoire. • Mise en place de traitement anti-inflammatoire. Observation clinique. • Majoration de l'antalgie. Observation clinique. • Mise en place de traitement antihistaminique à but symptomatologique. • Contrôle chez médecin traitant si pas d'amélioration. Observation clinique. • Mise en place de traitement nasal par corticoïde. • Antalgie par Dafalgan. Observation clinique. • Pansement selon protocole avec Ialugen Plus et Mepilex transfert. • Nous donnons les coordonnées d'un médecin traitant pour qu'elle puisse consulter en cas de non résolution de la symptomatologie. • Traitement par antalgie (Mme. Y a déjà du Dafalgan et de l'Irfen à domicile). Observation clinique. • Prescription d'un traitement antalgique et anti-inflammatoire. • Prescription de lavage nasal. • Coordonnées pour un nouveau médecin traitant donnée à la patiente. Observation clinique. • Traitement anti-inflammatoire et antalgique. Obstétricaux : 2013 accouchement par voie basse. Obstétricaux : 2013 AVB Obstétricaux : • S/P AVB en 2017 à 38 3/7 semaines d'aménorrhée, provocation pour diabète gestationnel insulino dépendant. • S/P AVB en 2012 à 38 semaines d'aménorrhée, provocation diabète gestationnel insulino dépendant. Naissance d'une fille de 2790 g. • S/P AVB en 2011 à 41 semaines d'aménorrhée, Naissance d'un garçon de 3250 g. • S/P AVB en 2005 à 41 1/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'un garçon de 3070 g. Gynécologique : • S/P Fausse couche spontanée en mars 2016. • S/P Fausse couche avec curetage en 2007 • S/P interruption volontaire de grossesse par curetage en 2004 Médicaux : • S/P Pancréatite en 2002 • S/P APP dans l'enfance Obstétricaux : S/P 3 accouchements par voie basse Gynécologiques : interruption volontaire de grossesse chirurgical en 1994 Chirurgicaux : ostéosynthèse nasale 2004 (notion d'ACR sur table) Obstétricaux : • 2009 Accouchement par voie basse après provocation à 38 2/7 semaines d'aménorrhée pour DG, dystocie des épaules résolutives par Mc Roberts et appui sus-pubien, F 3300 g. • 2012 césarienne pour dystocie de démarrage, G 4100 g. Obstétricaux : • S/P 2009 accouchement par voie basse, G de 3400 g. • S/P 2010 accouchement par voie basse, F de 3600 g. • S/P 2012 accouchement par voie basse, F de 3800 g. Obstétricaux : • Voie d'accouchement : AVB, 06/2010, sexe : M, poids (g) : 3800. Lésion génitale : EMLD. • AVB spontanée après provocation par Misoprostol pour dépassement du terme et désir maternel. • Colonisation vaginale par streptocoques groupe B. Obstruction de la sonde vésicale. Obstruction du PAC le 10.10.2017 Stripping du PAC sous radiologie interventionnelle le 11.10.2017 (Dr. X) avec excellent résultat. Obstruction granulo-fibrineuse des voies aériennes supérieures au niveau du site de suture dans un contexte de S/P CHEP le 28.11.2017. Obstruction nasale Obstruction nasale. Obstruction nasale bilatérale d'origine mécanique sur déviation septale gauche et hypertrophie turbinale inférieure bilatérale avec concha bullosa droite. Obstruction nasale chronique bilatérale avec rhinorrhée post-traumatique : • deux traumatismes nasaux en 1998, 2006 • septo-turbinoplastie bilatérale, 13.12.2007 • 4 opérations au niveau de l'astragale D • 3 opérations au niveau des genoux • Cure de hernie inguinale bilatérale • APP Obstruction nasale chronique sur hypertrophie des végétations adénoïdes Adénoïdectomie le 02.02.2017 (Prof. X). Occlusion canalicule lacrymal droit ; (dacryo-cysto-rhinostomie en 2012 ?) Probable vertige paroxystique positionnel bénin le 11.04.2013 Hypertension artérielle mal contrôlée le 02.01.2015 Acutisation AKIN I d'une insuffisance rénale chronique de stade II. Douleurs rétrosternales le 15.05.2017 DRS le 26.05.2017 • DD : Insuffisance cardiaque gauche vs cause extra cardiaque (dlr pariétale, spasme oesophagien) • ECG : sus décalage V2-V4 nouveau par rapport au comparatif du 17.05.2017 • Coronographie : état coronarien stable Douleurs rétrosternales le 28.05.2017 DD : spasme oesophagien. Infection urinaire basse symptomatique à E.Coli multisensible le 28.05.2017 Dacryocystite droite le 11.06.2017 • Patiente connue pour une obstruction chronique du canal lacrymal droit Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire CT face natif et injecté (Dr. X) : pas de cellulite, simple dacryocystite Avis ophtalmologique (Dr. X) • Augmentin 1 g 2x/jour, Tobradex 4x/jour et consultation en ophtalmologie (patiente sera convoquée). Occlusion canalicule lacrymal droit ; (dacryo-cysto-rhinostomie en 2012 ?) Probable vertige paroxystique positionnel bénin le 11.04.2013 Hypertension artérielle mal contrôlée le 02.01.2015 Acutisation AKIN I d'une insuffisance rénale chronique de stade II. Douleurs rétrosternales le 15.05.2017 DRS le 26.05.2017 • DD : Insuffisance cardiaque gauche vs cause extra cardiaque (dlr pariétale, spasme oesophagien) • ECG : sus décalage V2-V4 nouveau par rapport au comparatif du 17.05.2017 • Coronographie : état coronarien stable Douleurs rétrosternales le 28.05.2017 DD : spasme oesophagien. Infection urinaire basse symptomatique à E.Coli multisensible le 28.05.2017 Dacryocystite droite le 11.06.2017 • Patiente connue pour une obstruction chronique du canal lacrymal droit Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire CT face natif et injecté (Dr. X) : pas de cellulite, simple dacryocystite Avis ophtalmologique (Dr. X) • Augmentin 1 g 2x/jour, Tobradex 4x/jour et consultation en ophtalmologie (patiente sera convoquée). Occlusion de la veine jugulaire interne droite sur probable thrombus. Occlusion intestinale opérée il y a 2 mois Appendicectomie à l'âge de 3 ans. Occlusion ostiale de l'artère vertébrale gauche et sténose athéromateuse de l'artère carotide interne gauche à 80 %, et droite à 50 % asymptomatiques. Occlusion ostiale de l'artère vertébrale gauche jusqu'à hauteur de C7 avec reprise vasculaire en distalité, sténose post-ostiale d'origine athéromateuse de l'artère carotide interne gauche à 50 %, à 80 % à droite asymptomatique.Odansétron 4 mg Normolytoral Dafalgan/Algifor en réserve Stimulation hydratation fractionnée Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie et épigastralgies. Odynodysphagie et fièvre. Odynodysphagie sur toux sèche le 27.01.2018. Odynodysphagie/fièvre. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. • absence d'argument clinique et radiologique en faveur d'une impaction alimentaire. Œdème aigu des poumons le 28.12.2017. Œdème aigu du poumon. Œdème aigu du poumon le 26.12.2017. Œdème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide le 03.01.2018. Œdème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide le 03.01.2018. Œdème aigu pulmonaire (OAP) d'origine mixte (fibrillation auriculaire, pic hypertensif) le 17.11.2017. DD : probable composante ischémique associée. Œdème aigu pulmonaire récidivant sur sténose aortique sévère et ischémie myocardique secondaire le 06.01.2018. Œdème aigu pulmonaire sur sténose aortique sévère. DD infarctus cardiaque. Œdème cérébral à 13 ans. Céphalées inhabituelles probablement sur déshydratation depuis le 16.11.2016. • 5 épisodes de diarrhées le 16.11.2016. • dysarthrie et troubles visuels depuis le 19.11.2016. Opération du tunnel carpien en 2017. Œdème de la lèvre. Œdème des membres inférieurs probablement sur insuffisance veineuse avec port de bas de contention : • Clinique : Œdèmes bilatéraux, D>G jusqu'aux genoux. Examen cardiaque normal hormis une légère turgescence jugulaire, auscultation respiratoire montrant des râles très fins en base droite. • Augmentation du poids de 2.6 kg durant l'hospitalisation poids à 106.2 kg le 05.01.2018. • DD sur insuffisance cardiaque légère d'origine hypertensive et rythmique avec BAV 1er degré. Œdème des membres inférieurs probablement sur insuffisance veineuse avec port de bas de contention : • DD sur insuffisance cardiaque légère d'origine hypertensive et rythmique avec BAV 1er degré. • Clinique : Œdèmes bilatéraux, D>G jusqu'aux genoux. Examen cardiaque normal hormis une légère turgescence jugulaire, auscultation respiratoire montrant des râles très fins en base droite. • Augmentation du poids de 2.6 kg durant l'hospitalisation poids à 106.2 kg le 05.01.2018. Œdème des MI avec dermite de stase et décompensation lymphatique secondaire d'origine multi-factorielle. Œdème du membre inférieur gauche. Œdème d'un membre. Œdème d'un membre. Œdème et douleurs du membre supérieur gauche. Œdème et douleurs du membre supérieur gauche sur possible tendinite le 04.01.2018. • DD : • thrombose veineuse profonde membre supérieur gauche : exclu par US. • dermohypodermite : pas d'argument clinique ni biologique. • traumatisme mineur avec hématome sous anti-aggrégant : exclu par US. Œdème et gonalgie suite à un faux-mouvement genou G le 14.01.2018. • s/p PTG en 12.2017. Œdème et rougeur + anémie. Œdème et rougeur du membre inférieur gauche. Œdème et suspicion de phlébite au niveau du bras et de l'avant-bras droit. • en premier lieu sur Venflon. Œdème laryngé post-opératoire le 25.09.2017 d'origine indéterminée. • Pas de sensibilité au Rocuronium, Propofol, Chlorhexidine, Ceftriaxone, Flagyl, Latex. • Recommandations (Dr. X) : Antihistaminiques préopératoires, changement d'antibiothérapie préopératoire avec pénicilline et Co-Amoxicilline, changement de relaxant musculaire avec Atracurium. Laparoscopie exploratrice, adhésiolyse (30 min), résection sigmoïdienne avec anastomose colo-rectale latéro-terminale mécanique et iléostomie de protection en électif le 25.09.2017. • Insuffisance respiratoire sur atélectasies bilatérales e 28.09.2017. Appendicectomie. Vésicopexie. Cholecystectomie. Hystérectomie 1996. Fracture de Lisfranc du pied droit 01.2011. Œdème main. Œdème main : • sur griffure de chat. Œdème membre inférieur gauche. Œdème membre inférieur gauche > droit d'étiologie indéterminée, DD : post-opératoire, vasoplégique. Œdème membre supérieur gauche. Œdème membres inférieurs et visage le 17.02.2017 avec : • introduction du Lamicatal il y a 7 jours. • DD : médicamenteux (sur Lamictal), idiopathique. Absences durant l'enfance. Traumatisme crânien et dorsal dans le cadre d'une crise d'épilepsie généralisée le 15.12.2016. Œdème pédicule L4 droit. Œdème pénien. Œdème pulmonaire aigu, le 12.12.2017 : • probable composante médicamenteuse (bêtabloquant). Œdèmes chroniques des membres inférieurs sur : • Insuffisance veineuse stade C6. • Insuffisance rénale chronique modérée. • Insuffisance cardiaque. Œdèmes des membres inférieurs. Œdèmes des membres inférieurs. Œdèmes des membres inférieurs D>G jusqu'au bassin sur hypoalbuminémie, IRA et traitement par Prednisone. Œdèmes des membres inférieurs D>>G. DD cardiaques. Œdèmes des membres inférieurs gauche > droite dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë. Œdèmes des membres inférieurs récents d'origine indéterminée. Œdèmes des membres inférieurs sur : • Insuffisance veineuse stade C6. • Insuffisance rénale chronique modérée. Œdèmes des membres inférieurs sur Zanidip en 2009. Réaction allergique de type 1 sur ingestion de crevettes le 18.02.2017. Crise de goutte sur prise de diurétique en 2004. État de mal épileptique partiel avec foyer fronto-temporal droit le 11.11.2014 : • EEG (en ambulatoire chez Dr. X : foyer rythmique fronto-temporal droit). • EEG le 13.11.2014 : persistance d'un foyer rythmique temporal droit. • EEG le 14.11.2014 : persistance d'une activité irritative. • EEG le 17.11.2014 : disparition du foyer irritatif corne temporal droite. • bilan neuropsychologique le 17.11.2014. Encéphalite herpétique HSV1 avec atteinte de la corne temporale droite en avril 2010 : • crise d'épilepsie tonico-clonique avec phénomène de Todd (hémisyndrome gauche) en avril 2010. • état de mal épileptique focal, fronto-temporal droit non convulsif en juillet 2010. • bilan neuropsychologique en décembre 2010. État confusionnel avec légère désorientation temporelle le 26.09.2014 : • globe urinaire. • contexte d'encéphalopathie herpétique. • MMS 28/30 et test de l'horloge 3/7 (fait le 30.09.2014). Troubles anxio-dépressifs en 2010. Sinusite ethmoïdale et sphénoïdale. Plastie conjonctivale en août 2014 par Dr. X. Œdèmes des MI. • surcharge pondérale. Œdèmes du MI. Œdèmes du visage et membre supérieur (droit > gauche) le 12.01.2018; angio-dème probablement secondaire à la toxidermie médicamenteuse. Œdèmes membres inférieurs sur Zanidip en 2009. Réaction allergique sur ingestion de crevettes le 18.02.2017. Crise de goutte sur prise diurétique en 2004. État de mal épileptique partiel avec foyer fronto-temporal droit le 11.11.2014 : • EEG (en ambulatoire chez Dr. X : foyer rythmique fronto-temporal droit).• EEG le 13.11.2014 : persistance d'un foyer rythmique temporal droit • EEG le 14.11.2014 : persistance d'une activité irritative. • EEG le 17.11.2014 : disparition du foyer irritatif corne temporal droite • Bilan neuropsychologique le 17.11.2014 Encéphalite herpétique HSV1 avec atteinte de la corne temporale droite avril 2010 : • crise d'épilepsie tonico-clonique avec phénomène de Todd (hémisyndrome gauche) en avril 2010 • état de mal épileptique focal, fronto-temporal droit non convulsif en juillet 2010 • bilan neuropsychologique en 12.2010 État confusionnel avec légère désorientation temporelle le 26.09.2014 : • globe urinaire • contexte d'encéphalopathie herpétique • MMS 28/30 et test de l'horloge 3/7 (fait le 30.09.2014) Troubles anxio-dépressifs en 2010 Sinusite ethmoïdale et sphénoïdale Plastie conjonctivale en 08.2014 par le Dr. X Oeil rouge et céphalées péri-orbitaires post infection virale respiratoire supérieure. Oesogastroduodénoscopie avec biopsies le 10.01.2018 : duodénite localisée à la partie distale du 2ème duodénum Traitement symptomatique Oeso-gastro-duodénoscopie le 05.12.2017 Biopsie prélevée : examen anatomo-pathologique Oesogastroduodénoscopie le 11.01.2018 : polype pédiculé de 2 cm à 35 cm des arcades dentaires. Suspicion d'un carcinome de l'œsophage distal situé de 37 à 40 cm des arcades dentaires, biopsies prélevées. Saignement post biopsies, interrompu après injection d'Adrénaline et d'Hémospray. Poursuite des investigations et de la prise en charge à Payerne Oesophagectomie totale en électif Oesophagite à éosinophile diagnostiquée en mars 2015. Oesophagite caustique sur ingestion accidentelle d'eau de Javel le 02.01.2018 Oesophagite caustique sur ingestion accidentelle d'eau de Javel le 02.01.2018 Oesophagite, DD : hernie hiatale. Oesophagite de grade III sur reflux gastro-oesophagien. Mycose bucco-pharyngo-laryngée. Ethylo-tabagisme chronique actif. Emphysème pulmonaire connu. Grands pseudokystes péri-pancréatiques sur pancréatite chronique connue. SAOS. Oesophagite ulcéro-érosive type 4 selon Savary avec hernie hiatale axiale sous-jacente. Oesophagite ulcéro-érosive type 4 selon Savary traitée par Pantoprazole. Hernie hiatale axiale sous-jacente. Oesophagite HTA Côlon irritable Diabète Hypercholestérolémie Oeuf clair à 8 3/7 SA chez une patiente de 47 ans, 5G2P OGD à agender après l'hospitalisation à Marsens. Contrôle de l'hémoglobine la semaine du 15.01.2018 OGD à l'HFR Riaz le 08.03.2018, avec consultation pré-anesthésique le 28.02.2018 à 13h45. OGD de contrôle à prévoir lundi 08.01.2018 OGD en ambulatoire le 19.02.2018. Contrôle orthopédique à la consultation du Dr. X, le 02.03.2018 8h30. OGD en 2008 qui a conduit à un traitement d'épreuve contre H. Pylori. OGD en novembre 2010 : pas de pathologie. Status post probable gastrite traitée par Pantozol 40 mg per os. Status post hystérectomie en raison de polypes utérins. Cystite non compliquée le 08.10.2015. Traumatisme oculaire sur gaz poivre non daté. OGD et colonoscopie avec hospitalisation préalable, programmées le 06.04.2018 auprès du Dr. X, HFR Riaz. Consultation préalable par le Dr. X le 26.02.2018 à 14h, HFR Riaz. En raison d'un test de Schellong positif mais asymptomatique, nous proposons au médecin traitant, s'il le juge nécessaire, d'introduire des bas de contention (ce qui n'a pas pu être effectué durant l'hospitalisation en raison d'un psoriasis des membres inférieurs). Rendez-vous de contrôle dermatologique prévu le 16.01.2018 au cabinet du Dr. X à Bulle. OGD le 19.12.2017 Pantozol 80 mg intraveineux le 19.12.2017 puis 40 mg 2x/j OGD le 24.01.2018 : absence de saignement Colonoscopie le 26.01.2018 : Pas de signe de saignement actif, quelques diverticules dans le colon ascendant. Hémorroïdes stade II US abdominale le 29.01.2018 : Examen abdomino-pelvien dans la norme. Pas d’hépatosplénomégalie. Pas de nette stéatose hépatique. OGD 08.01.2018 : Une varice oesophagienne stade I avec une tache rouge sur le tiers distal de l'œsophage. Importante gastropathie congestive probablement responsable du saignement. Proposition d'optimaliser le traitement de l'hypertension porte en ajoutant un bétabloqueur. OH chronique OH chronique et alcoolisation aiguë à 2.6/1000 OH chronique Démence vasculaire Encéphalopathie de Wernicke chronique, DD Syndrome de Korsakoff 30.03.2015 OH chronique Démence vasculaire Encéphalopathie de Wernicke chronique DD Syndrome de Korsakoff 30.03.2015 OH chronique. Tabagisme actif à 33 UPA. Consommation de cannabis. Gastrite sur OH chronique. Vomissements journaliers depuis 25 ans. Hémorroïdes. Arthrose des épaules. Plaie superficielle péri-anale de 4 cm le 25.06.2016 OH chronique. Tabagisme actif à 33 UPA. Consommation de cannabis. Gastrite sur OH chronique. Vomissements journaliers depuis 25 ans. Hémorroïdes. Arthrose des épaules. Plaie superficielle péri-anale de 4 cm le 25.06.2016 Oleovit D3 24'000 UI 1x/semaine à poursuivre pendant 4 semaines (1e dose le 25.01.2018) Oleovit 24'000 UI 1x par semaine pendant 4 semaines (première dose donnée le 23.01.2018) Oligoamnios Oligo/polyarthrite depuis novembre 2017 d'origine indéterminée : cheville gauche, poignet gauche ; décembre 2017 : poignet et coude droit ; puis épaules ddc, coudes ddc, poignets ddc et chevilles ddc. Oligurie sur sepsis OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale au décours OMA bilatérale au décours OMA bilatérale débutante et suspicion de pneumonie débutante OMA bilatérale (D>G) OMA bilatérale G > D OMA bilatérale (récidive en < 1 mois) OMA bilatérale • perforée à D OMA D OMA D OMA D OMA D OMA D OMA D OMA D OMA D OMA D perforée OMA D perforée OMA D perforée OMA D perforée OMA D (récidive en <1 mois) OMA débutante à G OMA débutante à G OMA débutante à G OMA débutante à G OMA débutante à G OMA débutante à G OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite. OMA droite débutante OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G OMA G débutante OMA G perforée OMA G perforée OMA G perforée OMA G (récidivant en < 1 mois) OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche/ conjonctivite gauche OMA gauche débutante vs non guérie OMA gauche et IVRS OMA gauche perforée OMA gauche perforée OMA G • avec angine probablement virale OMA perforée gauche OMA perforée gauche mastoidite OMA traitée par amoxicilline depuis ce jour Omalgie D chronique : • Ostéonécrose de la tête humérale sur traitement par corticoïdes. • Tendinopathie de la coiffe des rotateurs avec déchirure complète du sus-épineux • Omarthrose avec nette pincement de l’interligne articulaire et ostéophytose sous-acromiale. Omalgie droite sur status post-arthroscopie ténodémie ténodèse du LCB bursectomie de l'épaule droite le 27.04.2016. Status post infiltration AC à droite le 29.08.2016. Status post-implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule gauche et résection AC le 29.08.2016 sur omarthrose et lésion chronique de la coiffe des rotateurs avec arthrose AC symptomatique à gauche. Omalgie droite sur status post-arthroscopie ténodémie ténodèse du LCB bursectomie de l'épaule droite le 27.04.2016. Status post infiltration AC à droite le 29.08.2016. Status post-implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule gauche et résection AC le 29.08.2016 sur omarthrose et lésion chronique de la coiffe des rotateurs avec arthrose AC symptomatique à gauche. Omarthrose droite Arthrose acromio-claviculaire droite Omarthrose avancée des côtés le 10.01.2018 et arthrose acromio-claviculaire des deux côtés. • tendinite calcarea du tendon du sus-épineux à droite. Omarthrose avancée sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs. Omarthrose bilatérale avec dysesthésie et perte de force membre supérieurs (DD atteinte plexus, syringomyélie, canal carpien, autres ?) Atteinte doigt I-V non compatible avec un canal carpien. Tinel et Phalen négatif. Force distalement préservée. Diminution de force et d'amplitude des bras au niveau de l'épaule Avait fait un IRM 2 ans auparavant pour symptômes identiques et n'avait pas montré d'autres problèmes que de l'arthrose. Le patient note des maladresses et des pertes d'objet. Pas de changement aigu. Omarthrose bilatérale avec dysesthésie et perte de force membre supérieurs (DD atteinte plexus, syringomyélie, canal carpien, autres ?) Atteinte doigt I-V non compatible avec un canal carpien. Tinel et Phalen négatif. Force distalement préservée. Diminution de force et d'amplitude des bras au niveau de l'épaule Avait fait un IRM 2 ans auparavant pour symptômes identiques et n'avait pas montré d'autres problèmes que de l'arthrose. Suspicion clinique de lésion chronique du supraspinatus des deux côtés (test job +, abd limitée à 80°) Omarthrose débutante sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré ainsi que rupture du sous-épineux, ténopathie du long chef du biceps avec arthrose AC hypertrophique. Omarthrose débutante sur rupture chronique du sus-épineux de l'épaule droite avec arthrose acromio-claviculaire oligosymptomatique avec • rupture chronique du sus-épineux et rétraction du 2ème degré avec atrophie musculaire Goutalier II à III • ténopathie sous-scapulaire et sous-épineux avec légère sub-luxation du long chef du biceps. Omarthrose débutante sur rupture chronique du sus-épineux de l'épaule droite avec arthrose acromio-claviculaire oligosymptomatique avec • rupture chronique du sus-épineux et rétraction du 2ème degré avec atrophie musculaire Goutalier II à III • ténopathie sous-scapulaire et sous-épineux avec légère sub-luxation du long chef du biceps. Omarthrose épaule gauche avec insertionite du muscle deltoïde gauche. Omarthrose excentrée sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs épaule droite. Status post-vertiges rotatoires d'origine périphérique sur neuronite vestibulaire gauche en 2015. Omarthrose G de stade 3, avec possible rupture de coiffe des rotateurs Omarthrose primitive ddc prédominante à droite. Omarthrose primitive droite avec : Rerupture chronique tendon sous-scapulaire après une refixation de la coiffe des rotateurs sous-scapulaire, sus-épineux avec ténodémie ténodèse du long chef du biceps et décompression sous-acromiale et résection AC à droite le 07.01.2014 (Dr. X). OMI avec IRA sur IRC OMI prenant le godet jusqu'aux cuisses DD : cardiaque, rénal, veineux OMI sur compression locale (adénopathies rétropéritonéales) On adapte de nouveaux plâtres en dorsi-flexion maximale à mettre la nuit. En raison de la persistance de la symptomatique, on demande une consultation auprès du Service d'orthopédie pédiatrique du CHUV pour un deuxième avis. La patiente sera revue à notre consultation à la suite de ce contrôle. On conseille à la patiente de commencer des séances de physiothérapie pour renforcement du quadriceps. On discute d'une opération de reconstruction du LCA qui sera effectuée au printemps 2018. Entre-temps, la patiente devra faire des séances de physiothérapie pour renforcer la musculature et pour lutter contre le flexum. Prochain contrôle dans 6 semaines. On conseille au patient de continuer avec les séances de physiothérapie et la thérapie médicamenteuse. Il doit rester au repos, on prolonge donc l'arrêt de travail jusqu'au prochain RDV. On conseille au patient la pratique du sport pour garder la mobilité de l'épaule (natation ou fitness) pour améliorer la force au niveau du deltoïde. Prochain contrôle clinique le 11.07.2018. On constate une évolution favorable à plus de 2 semaines après l'incision de l'abcès susmentionné. Dans ce contexte, nous pouvons considérer le traitement comme terminé. Il n'y a pas lieu de poursuivre les contrôles. Toutefois, nous invitons la patiente à consulter immédiatement en cas de récidive de douleur, de tuméfaction ou de tout autre signe inflammatoire. On contacte le psychiatre de garde qui refuse l'hospitalisation en urgence vu l'absence des symptômes de sevrage. Le patient doit prendre contact avec l'hôpital de Marsens le 22.01.2018 pour une hospitalisation programmée. On décide de l'ablation de l'attelle Jeans ce jour. Le Clexane peut être arrêté à partir d'aujourd'hui. Les séances de physiothérapie pour la tonification du quadriceps et mobilisation du genou sont prescrites ce jour, ainsi qu'une antalgie adaptée. La patiente consultera son médecin traitant dans une semaine pour un contrôle clinique. Ce jour marque la fin du suivi dans notre service. On décide de l'ablation de l'attelle avec un contrôle radiologique hors attelle qui met en évidence la consolidation de la fracture sans déplacement secondaire. Vu la bonne évolution clinique nous concluons à une fin de traitement. La patiente est invitée à s'abstenir de pratiquer du sport pour une durée totale de 6 semaines supplémentaires. Elle sera revue à la consultation du Dr. X si nécessaire à 3 mois de la fracture. On demande à la patiente de nous envoyer la liste de toutes ses allergies. On lui demande également d'effectuer, en Valais, un CT scanner cervical pour évaluer s'il y a une arthrose haut (C0-C1 et C1-C2). On profite également de cet examen pour évaluer le positionnement de la cage et de la prothèse au niveau cervical bas. La question est d'évaluer si dans la plaque il y a éventuellement du matériel qui pourrait être à l'origine de l'allergie chronique de la patiente. Dans ce cas, nous pourrions éventuellement procéder à une AMO. Nous reverrons la patiente dès que les examens sont effectués. On demande un test de grossesse qui revient négatif; un labo qui ne met pas en évidence un syndrome inflammatoire; sédiment urinaire avec leucocyturie mais sans nitrites ou autres altérations; et US abdominale qui met en évidence un follicule ovarien droit de 15 mm et une quantité de liquide libre négligeable. Mme. Y a reçu Dafalgan 1 g et Ecofenac 75 mg et devient afébrile, avec bonne diminution des douleurs. Selon discussion avec Dr. X, on demande des hémocultures et au vu d'une clinique suggestive, déjà sous 4 jours d'antibiothérapie avec Co-Amoxi, une antibiothérapie empirique est initiée. Les résultats seront envoyés à son médecin traitant et sa gynécologue. Mme. Y aura RDV chez Dr. X le 21.12.2017. On discute avec la patiente et l'accompagnant de faire des pansements secs avec Bétadine et du Nugel pour enlever la fibrine. Un grattage et un sondage est à éviter. On va revoir la patiente dans 2 semaines pour un contrôle radio-clinique à 8 semaines de l'intervention. Si la plaie montre une aggravation avec un écoulement persistant ou des signes d'inflammation, elle nous recontactera avant ou elle se présentera aux urgences. On discute avec le patient de faire des pansements secs. Il va mettre de la Bétadine et laisser sécher à l'air, puis pansement sec avec compresse stérile. Il va changer le pansement chaque 1 à 2 jours. Prochain contrôle clinique le 30.01.2018. Il faut éviter les rinçages et des débridements de la croûte pour le moment. S'il remarque des signes d'inflammation ou des écoulements purulents, il va nous recontacter ou se présenter aux urgences. On discute avec le patient de faire la ponction prévue le 01.02.2018 dans la fenêtre antibiotique. Si les cultures prolongées sont négatives, ablation du spacer et réimplantation d'une prothèse totale de hanche que l'on planifie pour le 07.03.2018. Le patient va discuter avec son médecin traitant afin de savoir si pour la sarcoïdose on peut diminuer la cortisone sous 5 mg. Le soir précédent la ponction, il va arrêter la Clexane pour 7 jours. Poursuite de la décharge de 15 kg, éviter les mouvements rotatoires. On va revoir le patient à la consultation le 27.02.2018 pour signer le consentement. On discute avec le patient de faire un contrôle radio-clinique à 1 année postopératoire. En cas de problème, il pourra nous recontacter. On discute avec le patient de faire une IRM pour voir le ligament au niveau de l'articulation acromio-claviculaire. Il peut poursuivre la mobilisation avec une bretelle ou un gilet orthopédique selon les douleurs. Mobilisation libre si le coude est sur le ventre pour la rotation externe/interne. Pas d'abduction/élévation sur l'horizontal. Prochain contrôle après IRM. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin février 2018. On discute avec le patient de la reprise de la charge à 10 kg à augmenter chaque 2 semaines sans Schlupfgips. Il peut faire des séances de physiothérapie pour la mobilisation de la cheville et la reprise de la charge. Prochain contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires à la consultation du Dr. X. On discute avec le patient de la reprise de la charge et selon douleurs sous protection des cannes, il marche depuis longtemps avec des cannes en raison de douleurs chroniques au niveau de la colonne lombaire. Le patient sera revu pour un contrôle radio-clinique dans 6 semaines, soit le 06.03.2018. Le patient ne souhaite pas faire de séances de physiothérapie pour renforcement musculaire. On discute avec le patient de poursuivre le travail à 50%. On le reverra dans 6 mois pour un contrôle clinique. On discute avec le patient de poursuivre les séances d'ergothérapie pour rééducation des troubles de la sensibilité et également traitement de la cicatrice. On reverra le patient pour un contrôle clinique dans 3 mois. Mobilisation libre de la cheville. On discute avec le patient de reprendre un peu plus de charge de 10 kg à augmenter chaque 1 à 2 semaines selon douleurs. Physiothérapie pour la reprise de la mobilité de la cheville selon douleurs. On reverra le patient pour un contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires. La prophylaxie thromboembolique avec Xarelto 10 mg est à poursuivre jusqu'à la charge complète. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin février 2018, puis à voir si le patient peut reprendre la partie administrative à la police. On dispose d'un scanner lombaire datant de 2013 : montre un canal lombaire dégénératif étagé. On dit à la patiente de poursuivre les séances d'ergothérapie et de physiothérapie pour renforcer la musculature. Elle peut mobiliser et charger librement. Nous prévoyons un prochain contrôle clinique dans 3 mois, soit le 12.04.2018. On dit à la patiente qu'elle doit poursuivre les séances de physiothérapie avec traitement local par ultrasons et massages au niveau du trochanter majeur. Il faut également traiter l'articulation sacro-iliaque. On a prévu un contrôle radio-clinique à 1 année postopératoire, soit le 17.04.2018. On donne un Temesta 2,5 mg per os au patient et expliquons au patient qu'il faut discuter avec son médecin traitant la modification de son traitement anxiolytique. On effectue en salle de consultation, une infiltration de 4 cc de Ropivacaïne au niveau de cette zone qui est probablement un granulome au niveau de la plaie. Le patient présente un bénéfice sur ses douleurs. Nous le reverrons la semaine prochaine pour juger si l'effet positif dure et si ça confirme le diagnostic de probable granulome. Nous restons à disposition. On est devant une situation qui est seulement légèrement améliorée comparée au statut avant l'arthro et ténolyse qui a été effectuée en juillet 2017. J'aimerais adresser la patiente au Dr. X à la clinique Générale pour un 2ème avis et pour une éventuelle prise en charge. Je me tiens à disposition. On est face à une légère dysplasie résiduelle de cette hanche gauche. Tandis que la droite est complètement normale. La couche cartilagineuse est bien conservée et la hanche et la tête siègent concentriquement dans sa cavité. L'explication pour la douleur peut être une lésion du labrum due à une surcharge qui est due à la dysplasie résiduelle. Si la douleur se remet, la patiente peut gentiment reprendre quelques activités sportives avec des mouvements plutôt dans un plan comme faire de la bicyclette, peut marcher, course à pied, un peu de peau de phoque ou autre, la natation (crawl). Si la situation s'aggrave ou si la symptomatologie ne s'améliore pas, la patiente nous recontactera et on devrait analyser la situation au niveau des tissus mous, labrum, cartilage avec un arthro-IRM. Si la patiente appelle, il faut directement organiser un arthro-IRM avec reconstructions standards avec question de lésion cartilagineuse, lésion ou arrachement du bourrelet et si l'arthro-IRM montre un arrachement du labrum, il faut réfléchir si l'on ose pratiquer un geste opératoire minimal par voie d'abord Smith Petersen en enlevant uniquement le labrum, mais avec le risque d'éventuellement déstabiliser la hanche ou faudrait-il procéder à une ostéotomie péri-acétabulaire, opération suffisamment lourde. La logique parlerait plutôt pour l'ostéotomie. Si la patiente souhaite l'arthro-IRM, on souhaite adresser la patiente pour un 2ème avis à la clinique universitaire à Bern chez Professeur X.On explique à la patiente l'absence de place de lit monitoré actuellement à l'hôpital cantonal et lui trouve une place aux soins continus de l'hôpital de Payerne. Elle refuse le transfert et accepte une hospitalisation non monitorée au cantonale. On explique à la patiente les différentes alternatives thérapeutiques, y compris la cimentoplastie, comme il existe un tassement vertébral évolutif. La patiente juge que les douleurs s'améliorent nettement, elle est réticente par rapport à la chirurgie. Nous maintenons donc le traitement conservateur. Nous allons revoir la patiente dans 6 semaines pour contrôle radio-clinique. On explique à la patiente les implications de sa maladie et les gestes qu'elle pourrait effectuer en autonomie. Nous prenons un rendez-vous avec Dr. X, fixé pour le 22.01 à 10h00. On explique à la patiente qu'il s'agit d'un problème de perte de force et de masse musculaire du dos qui est extrêmement difficile à récupérer et de pouvoir espérer remarcher droit. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie pour renforcement de la musculature du dos et stretching de la musculature abdominale, éducation pour exercices à faire à la maison, bonne posture lors de l'utilisation du tintébin. Nous lui montrons également des exercices qu'elle pourrait faire chez elle. Nous lui conseillons de prendre des mesures de sécurité comme par exemple un bouton d'alarme, car elle vit seule. Il serait préférable qu'elle trouve une place dans un home ou dans sa famille où elle n'est pas seule, car c'est risqué qu'elle tombe au niveau des fractures, comme elle est ostéoporotique. On explique au patient la situation, à savoir qu'il y a cette rupture non opérable du sus-épineux ainsi qu'une arthrose. Si une intervention devait être envisagée, il s'agirait alors d'une prothèse d'épaule. Pour l'instant, on propose de continuer avec le traitement conservateur en faisant de la physiothérapie à sec et en piscine. On prescrit une cure d'anti-inflammatoires par Novalgine pour 2 semaines. Le patient sera réévalué d'ici 2 à 3 mois pour refaire le point sur la situation. On explique au patient l'effet de l'anesthésie locale puis plus tard l'effet de la cortisone qui a été injectée. Poursuite de la physiothérapie et prochain contrôle comme prévu. On explique au patient que la symptomatologie qu'il rapporte est liée à une arthrose avancée de la hanche droite. Nous expliquons au patient qu'une éventuelle indication opératoire peut aider à contrôler la symptomatologie. Étant donné les importantes comorbidités du patient, nous organisons un consilium anesthésique pour évaluer la possibilité d'une intervention chirurgicale. Après ce consilium, le patient prendra le temps de réfléchir à l'option thérapeutique d'intervention par mise en place d'une prothèse totale de la hanche D ou s'il veut poursuivre le traitement conservateur. On laisse la possibilité au patient de se représenter chez nous pour discuter encore une fois d'une intervention en régime électif. Il faudrait penser également à une rééducation à Estavayer en postopératoire. Consilium le 31.01.2018. On explique la situation à la patiente à savoir qu'au vu du CT scan il y a une zone où on peut espérer que le pontage se fasse mais que cela n'est pas encore garanti. Dans ce sens, on poursuit encore avec le traitement conservateur et on rediscutera de la suite lors du prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Entre-temps, on réalisera également une IRM afin de s'assurer de l'état de la coiffe des rotateurs et de celui du long chef du biceps. Si la radiographie ne montre pas d'amélioration, on pourra dès lors discuter d'une cure de pseudarthrose. On explique que le motif de reconvocation est une erreur sur le document DDS écrit le 23.01.2018 où un ancien diagnostic apparaît comme récent. On fixe le prochain RDV dans 2 mois lors duquel nous profiterons de faire une RX de contrôle qui n'a pas pu être faite aujourd'hui. On lui donne du Benerva 300 mg à prendre tous les jours, 1x par jour. La patiente doit continuer les séances de physiothérapie. Si lors du prochain contrôle, elle présente toujours la même symptomatologie avec la diurèse, on fera d'autres investigations. On garde donc le diagnostic de contusion. Je conseille un arrêt de sport pour 2 semaines, puis une reprise progressive. Pas de nouveau contrôle prévu à notre consultation, hormis si persistance des douleurs. On informe la patiente de poursuivre la mobilisation selon douleurs, elle peut également faire des séances de physiothérapie pour reprise de la marche. Elle sera revue pour contrôle à la consultation du Dr. X dans 6 semaines, soit le 08.03.2017. On informe le patient d'éviter encore les activités sportives jusqu'à la fin janvier 2018, après il peut reprendre les activités sportives en évitant les activités à risques de chutes et les activités avec beaucoup de contact. On reverra le patient à 1 année postopératoire pour un contrôle radio-clinique pour les zones de croissance. On instaure un traitement conservateur avec une rééducation du genou en physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% pour 4 semaines, puis reprise à 100%. Nous allons revoir le patient dans 2 mois pour un contrôle clinique. On juge que l'évolution est globalement stable actuellement. On maintient le traitement conservateur avec physiothérapie, piscine. On revoit la patiente dans 2 mois. On ne fixe pas de RDV d'office. La patiente peut reprendre ses activités physiques selon douleurs. Nous restons à disposition. On note une évolution favorable avec une récupération fonctionnelle complète et une patiente libre de tout symptôme. Dans ce contexte et compte tenu de la bonne évolution, on renonce à la radiographie de contrôle. La dernière radiographie du poignet datant du 29.11.2017 avant l'ablation de la broche ayant déjà démontré la présence d'un cal significatif, la patiente peut dès à présent reprendre toute activité sportive sans limitation particulière, mais on recommande la prudence. Nous ne prévoyons pas de revoir la patiente à notre consultation, mais nous restons à disposition. On note une évolution favorable suite à l'ablation du matériel susmentionné. La récupération fonctionnelle est pratiquement complète et on n'estime pas nécessaire d'entreprendre un traitement physiothérapeutique pour accélérer la récupération de l'amplitude. Le patient reçoit seulement un enseignement pour des exercices d'assouplissement effectués régulièrement à domicile. On lui recommande aussi le massage des cicatrices. Nous ne prévoyons pas d'emblée de le revoir à notre consultation mais nous restons à disposition. On organise l'ablation de la vis pour le 08.02.2018. En raison de la position postérieure de la vis, on devra d'abord procéder à une neurolyse du nerf ulnaire afin de ne pas léser ce dernier. Le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices, ont été expliqués aux parents qui signent le consentement. On peut considérer les lésions comme guéries. L'arrêt de travail allait jusqu'au 05.01.2018. Le patient reprendra donc le travail après cette semaine de vacances. Pas de prochain contrôle prévu à notre consultation.On poursuit avec un traitement conservateur avec marche en charge maximale de 5 kg jusqu'à la fin des 6 semaines post-traumatisme, puis on augmentera progressivement. Prochain contrôle radio-clinique avec bassin de face à 6 semaines post-traumatisme, soit le 30.01.2018. On poursuit les changements de pansement 1x tous les 2 jours et contrôle clinique la semaine prochaine, le 06.02.2018. On prescrit un traitement local avec Flector patch. On arrête le traitement avec la physiothérapie. On reverra le patient en cas de nécessité, si pas d'amélioration clinique. À ce moment-là éventualité d'effectuer un ultrason. On prévoit un contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire chez le Dr. X, soit le 11.06.2018. On prévoit une AMO dans 4-6 semaines, on réalisera encore des radiographies de l'avant-bras le jour même de l'intervention. On procède à l'ablation du plâtre ce jour. J'ai represcrit de la physiothérapie pour mobilisation, tonification et proprioception. Prochain contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires, soit le 20.02.2018. On propose au patient de poursuivre le port de l'Aircast et des cannes jusqu'à la fin de l'année puis de les abandonner progressivement. Prochain contrôle le 11.01.18. On refait le même pansement avec Aquacel argent. On discute avec la patiente pour le prochain contrôle, mais elle refuse de faire d'autres contrôles à notre consultation, en raison de difficultés de déplacement. Elle préfère poursuivre les contrôles avec Spitex et avec son médecin traitant. Pas d'ultérieur rendez-vous à notre consultation, mais nous restons à disposition en cas de nécessité. On retient, chez ce patient connu pour des malaises sans perte de connaissance sur troubles paniques avec hyperventilation, une récidive de malaise cette fois avec perte de connaissance. L'origine suspectée est un malaise vaso-vagal suite à une douleur intense au niveau de l'épaule gauche. Nous n'avons pas d'argument pour une cause cardiaque au vu de l'anamnèse et de l'ECG, il n'y a pas non plus de suspicion pour une cause neurologique de type épilepsie en l'absence de convulsion, de morsure de langue ou de perte des urines, phase post critique et en l'absence d'anamnèse positive. Nous réassurons le patient et ne préconisons pas de bilan particulier en ambulatoire. Fera un bilan uniquement en cas de modification de la symptomatologie ou de récidive d'un tel événement. On se retrouve aujourd'hui à 12 semaines post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos d'une fracture 3 parts de la tête de l'humérus gauche ainsi qu'une boursectomie totale suite à la boursite traumatique du genou gauche. En ce qui concerne le genou, la patiente est asymptomatique. Fin du traitement. En ce qui concerne son épaule gauche, la patiente est suivie en physiothérapie où elle fait des progrès en ce qui concerne la récupération de la mobilité. Il faut quand même noter une forte suspicion de déficience de la coiffe des rotateurs spécialement du sus-épineux et du infra-épineux. J'explique à la patiente qu'éventuellement nous n'arriverons pas à récupérer la fonction de la coiffe des rotateurs. Il y a à mon avis encore du potentiel de récupération raison pour laquelle elle doit continuer la physiothérapie schéma San Antonio pour tonifier la musculature de la coiffe des rotateurs et pour mobiliser son épaule. Une nouvelle ordonnance de 9 séances de physiothérapie est donnée à la patiente. La patiente sera réévaluée cliniquement et également par radiographie d'ici 6 semaines le 7.3.2018. Le traitement par anti-inflammatoires est à poursuivre en fonction des douleurs. Oncologie (Dr. X): sera convoqué en consultation Néphrologie (Dr. X): sera convoqué en consultation ondansetron aux urgences 4 mg 0.u., boit un verre d'eau bien toléré. Ondansétron 4mg o.u. aux urgences Boit un verre d'eau aux urgences, refuse le normolytoral Conseil hydratation et alimentation Poursuite traitement symptomatiques à domicile: normolytoral, perentérol et itinerol B6 Ondes pardiformes en III et AVF avec ondes T nég en I et AVL, images en miroir en V2 à V4 Aspirine 500 mg iv, Efient 60 mg po et liquémine 5000U iv Coronarographie en urgences Ongle incarné à gauche 05/2017 Maladie variqueuse avec varices de la petite saphène du côté droit Rétention urinaire le 31.05.2017 Nécrose humide du 3ème et 4ème orteil du pied droit le 10.05.2017 Amputation sous capitale MT5 D, débridement, rinçage (Op le 07.06.2016) Amputation épibasale du 5ème orteil à droite, prise de biopsies (Op le 17.05.2016) Débridement de la plaie du 5ème orteil droit, rinçage et prise de biopsies (Op le 27.05.2016) Bloc périphérique poplité (Dr. X) pour sympathique à lysis périphérique et augmenter le flux sanguin du 25.05.2016 Angioplastie artère tibiale postérieure + artère fibulaire droite (Dr. X) Ongle incarné au bord latéral et médial de l'hallux gauche Ongle incarné au niveau de la face médiale du gros orteil gauche et ongle incarné au niveau de la face latérale du gros orteil droit. Ongle incarné bord interne hallux ddc.. Ongle incarné chronique et mycotique du gros orteil pied G Ongle incarné hallux D bord latéral. Ongle incarné hallux G face interne. Status post cure d'ongle incarné selon Kocher hallux D interne et externe. Ongle incarné O5 D Ongle incarné pied gauche 1er orteil. Ongle incarné 1er orteil D Ongles incarnés. Ongles incarnés des 1ers orteils à gauche et à droite. Ongles incarnés 1er orteil de chaque pied. Op à planifier dans le courant du mois d'avril. Op à Tavel Op à Tavel le 06.02.2018 Op à Tavel le 09.01.2018 Prochain contrôle le 28.02.2018 OP à Tavel le 19.12.2017 Op à Tavel Prochain contrôle le 26.03.2018 Op ambu le 01.02.2018 à droite. Op ambu le 01.03.2018 à gauche. Op ambu le 01.03.2018 Op ambu le 05.02.2018 Op ambu le 11.01.2018 Op ambu le 12.02.2018 Op ambu le 14.05.2018 Op ambu le 19.04.2018 OP canal lombaire en 2007. OP canal lombaire étroit en 2009 OP canal lombaire étroit en 2015 - Dr. X OP épaule - Dr. X OP cataracte Ulcère duodénal en 1987 Réduction mammaire en 1979 APP en 1974 OP de chirurgie esthétique. Pyélonéphrite gauche 08/2012. Pouce du skieur main droite traité conservativement en juin 2012. Contusion musculaire épaule droite en juin 2012. OP de l'uvula 2003 Prostatectomie 2000 OP hernie inguinale Community-Acquired Pneumonie basal 06.2011 OP de l'uvula 2003 Prostatectomie 2000 OP hernie inguinale Community-Acquired Pneumonie basal 06.2011 OP des deux épaules Sigmoïdectomie en 2006 sur diverticulose Spondylodèse L4-S1 (Pangea Synthes) + greffe DBX, décompression L4-S1 par laminectomie L5 en 2009 sur syndrome facettaire L4-S1 + sténose. • Ablation du système de spondylodèse le 11.02.2011 sur gêne du matériel avec un liseré autour des deux vis au niveau S1 bilatéral sur status post spondylodèse L4-S1 Libération, section partielle nerf péroné superficiel jambe D le 16.02.2010 sur compression du nerf péroné superficiel jambe D post OS fracture diaphysaire du tibia et péroné distal à D par clou UTN et plaque 1/3 tubulaire le 15.07.2007, syndrome des loges avec status post-fasciotomie avec fermeture secondaire par greffe de Thiersch à la jambe D.Neurolyse nerf péroné superficiel cheville D sur névrome et AMO 4 vis clou UTN le 19.08.2008 • douleurs neuropathiques dans le territoire périphérique du nerf péroné superficiel pied D. • Insertionite tendon d'Achille pied G. OP des varices des MI Cholécystectomie Op en ambulatoire le 6.2.2018 Op en urgence OP fibrome sein 2005. OP Fracture radius distal D. Fracture dorsale base P3 D5 main D (Mallet Finger). OP genou droit pour Fracture Schatzker IV à droite suite à accident de moto 09.2014. Dermohypodermite avec lymphangite du membre inférieur droit le 28.12.2015 avec: • suspicion pustulose plantaire et des deux malléoles internes et en regard de la tubérosité tibiale antérieure droite. • antécédent de dermohypodermite du membre inférieur droit en septembre 2014 dans le contexte d'une opération du genou droit pour une fracture Schatzker IV. Probable déficit en facteurs de la coagulation avec: • PTT à 60 secondes, corrigé à 40 secondes après mélange. • tests hépatiques dans la norme. • pas d'autres investigations proposées. OP hernie discale L3-L4 agendée au 11.01.2018, à réévaluer selon évolution. OP hernie discale L4-L5 en 2015 Op hernies discales L4-L5 (2015) OP Kyste abdomen dans l'adolescence Prothèse genou gauche Douleurs abdominales diffuses et rectorragies intermittentes Hypotension orthostatique d'origine médicamenteux : Madopar, Furospir DD : dysautonomie dans le cadre de la maladie de Parkinson Echocardiographie transthoracique le 19.05.2017 : pas d'HTAP Fonctions pulmonaires le 22.05.2017 OP kyste sacro-coccygien en 2010 et 2012 (Tavel et Daler) OP kyste sacro-coccygien 2010 et 2012 (Tavel et Daler) OP kyste sacro-coccygien 2010 et 2012 (Tavel et Daler) Op. le 06.02.18. OP le 12.02.2018 Op. le 13.02.18. Op. le 16.01.18. OP le 16.01.2018 à Tavel Prochain contrôle le 07.02.2018 Op. le 17.01.18. OP le 19.01.2018 OP le 19.02.2018 Op. le 20.12.17. OP le 22.01.2018 OP le 23.03.2018 Op. le 30.01.18. OP le 30.01.2018 OP ligament annulaire Dig III D en 06/2014 pour tendinite sténosante OP orteils en griffe II-III G en 07/2012 Cholécystectomie OP rupture sus-épineux épaule D Stripping de varices des MI OS fracture déplacée trochiter épaule G le 30.07.2015, Dr. X PTH G OP ménisques genou ddc OP poignet droit Cure d'invagination avec appendicectomie à l'âge de 8 mois OP rupture coiffe des rotateurs épaule D Implantation hémi-prothèse genou G en 2010 Cure d'éventration avec filet rétro musculaire (Rives) le 30.01.2013 Sepsis sévère sur pneumonie communautaire d'évolution défavorable le 17.09.2016 • insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale • insuffisance respiratoire hypoxémique • état confusionnel aigu Fracture de fémur G pendant l'enfance OP rupture coiffe des rotateurs épaule droite. Implantation hémi-prothèse genou gauche en 2010. Cure d'éventration avec filet rétro-musculaire (Rives) le 30.01.2013. Sepsis sévère sur pneumonie communautaire d'évolution défavorable le 17.09.2016 • insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale • insuffisance respiratoire hypoxémique • état confusionnel aigu. Fracture de fémur gauche pendant l'enfance. Fracture diaphysaire fémur gauche type AO 32.B2; le 05.11.2017 • réduction fermée, OS fémur gauche par clou LFN 380 mm, 12 mm (OP le 05.11.2017). OP rupture coiffe des rotateurs épaule droite. Implantation hémi-prothèse genou gauche en 2010. Cure d'éventration avec filet rétro musculaire (Rives) le 30.01.2013. Sepsis sévère sur pneumonie communautaire d'évolution défavorable le 17.09.2016. • insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale. • insuffisance respiratoire hypoxémique. • état confusionnel aigu. Fracture de fémur gauche pendant l'enfance. Fracture diaphysaire fémur gauche type AO 32.B2; le 05.11.2017. • Réduction fermée, OS fémur gauche par clou LFN 380 mm, 12 mm (OP le 05.11.2017). OP : Thoracoscopie droite avec biopsie pleurale et Drainage thoracique droit avec mise en place d'un PleurX le 25.01.2018 OP trauma : épaule, nez OP hernie inguinale 2x OP tunnel carpien ddc OP ligaments genou G OP tunnel tarsien D Opacité linéaire lobaire supérieure gauche de nature indéterminée : • Diagnostics différentiels : plaque pleurale, atelectasie, masse tumorale, infectieux avec retard radiologique Opacités nodulaires situées dans le lobe inférieur gauche de découverte fortuite à la radiographie thoracique du 29.12.2017 Opération abdominale pour hernie de la ligne blanche il y a 30 ans Opération des chevilles des deux côtés pour entorse ligamentaire. Suspicion de cupulolithiase DD : névrite vestibulaire. Opération abdominale pour hernie de la ligne blanche Opération des chevilles des deux côtés pour entorse ligamentaire Suspicion de cupulolithiase diagnostic différentiel : névrite vestibulaire Contusion de P1 et P2 du pouce droit Radiographie main droite Opération au début d'année 2017 pour résection d'adhérence sur brides. Opération dans l'enfance au niveau du rein gche pour malformation rénale. Opération au niveau d'un pied après fracture Pneumonie basale gauche en 2015 Opération canal lombaire étroit L4-L5 en septembre 2017 au CHUV Plastie des ligaments croisés et de ménisque du genou droit en 2016 par le Dr. X. Fracture cheville et calcanéum sans précision. Opération : cholécystectomie laparoscopique et cholangiographie peropératoire le 26.01.2018 Opération de cataracte bilatérale en 2016. Fracture du radius distal extra-articulaire. Gale en 2016. Anémie chronique microchrome microcytaire hyporégénérative le 03.08.2017 avec hémoglobine à 69 g/l de probable origine spoliative. Insuffisance rénale aiguë AKIN I de probable origine rénale avec créatinine à 123 µmo/l à l'entrée (GFR à 28 ml/min). Décompensation cardiaque globale le 09.10.2017 avec : • échocardiographie trans-thoracique (Prof. X) : -- FEVG à 20%. -- HTAP secondaire modérée à sévère. -- insuffisance mitrale modérée (probablement secondaire). -- insuffisance tricuspidienne modérée à sévère. Accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche aigu avec occlusion M2 d'origine indéterminée le 05.12.2017. • Hémisyndrome moteur brachio-crural droit. • Aphasie globale. • Trouble de la déglutition. • Possible hémianopsie droite. • NIHSS à l'entrée à 16/42. • NIHSS lors du transfert en Frailty Care le 07.12.17 : 13/42 (désorientation (2 pts), aphasie sévère globale (2 pts), impression d'hémianopsie D (pas de réflexe à la menace) (2 pts), légère asymétrie faciale (1 pt). Plégie MSD (3 pts), mobilisation jambe droite mais n'arrive pas à le maintenir 5 sec (2 pts), impression hypoesthésie MS et MI droite (1 pt)). • NIHSS à la sortie : 13/42 (désorientation (2 pts), aphasie sévère globale (2 pts), impression d'hémianopsie D (pas de réflexe à la menace) (2 pts), légère asymétrie faciale (1 pt). Plégie MSD (3 pts), mobilisation jambe droite mais n'arrive pas à le maintenir 5 sec (2 pts), impression hypoesthésie MS et MI droite (1 pt)). Opération de cryptorchidie dans l'enfance. Opération de hernie hiatale dans la jeunesse. Opération de hernie inguinale. Fracture diaphysaire sous-capitale du 5ème métacarpe de la main gauche avec plaie associée le 05.09.2014. Rupture complète du tendon du muscle quadriceps à gauche, le 27.01.2017. Opération de hernie inguinale. Fracture diaphysaire sous-capitale 5ème métacarpe main G avec plaie associée le 05.09.2014. Rupture complète du tendon du muscle quadriceps à gauche le 27.01.2017. Refixation du tendon du quadriceps selon la technique transosseuse avec du FibreWire 5.0 genou gauche (OP le 01.02.2017). Hypokaliémie avec K à 3,1 mmol/l. Opération de la cataracte à gauche en 2011. Greffe cutanée membre inférieur droit, compliquée d'une pneumonie en 2011. Cholécystectomie. Hystérectomie. Opération pour fracture malléolaire droite. Acutisation d'une insuffisance respiratoire hypoxémique connue, d'origine indéterminée. Opération de la cataracte œil gauche en 2011 environ. Urosepsis avec bactériémie à E. Coli le 07.11.2017. Rhabdomyolyse sur décubitus prolongé le 07.11.2017. Hypothermie à 33.4°C le 07.11.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN III probablement combinée pré-rénale et rénale le 07.11.2017. Suspicion de pneumonie nosocomiale le 19.11.2017. Opération de la cheville gauche. Pancréatite biliaire en 2008 avec cholécystectomie. Opération de la cheville gauche. Pancréatite biliaire en 2008. Cholécystectomie en décembre 2008. Ongle incarné de l'hallux gauche le 29.04.2014. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 11.07.2014, DD pancréatite aiguë. Surveillance biologique et antalgie. Opération de la cloison nasale il y a 10 ans. Cure hallux valgus bilatéral. Ablation masse bénigne mandibule D en 1999. OS par plaque 1/3 tube dorso-médial, dorso-latéral malléole externe + cerclage-haubanage malléole interne sur fracture-luxation trimalléolaire cheville G le 23.02.12. AMO cheville G (OP le 11.01.2013). AIT sylvien gauche superficiel d'origine indéterminée avec aphasie motrice transitoire. - score ABCD2 3 pts, score de RoPE 7 pts. DD : migraine avec aura atypique. CT cérébral Time is brain le 11.10.2016. Charge en ASS 250 mg IV. Introduction d'Aspirine 100 mg, Atorvastatine 40 mg. IRM cérébrale le 12.10.2016. Echocardiographie le 12.10.2016. Holter sur 3 jours le 13.10.2016. Bilan thrombophilie le 12.10.2016 : Antithrombine III 95%, Facteur V 138%, anticorps anti-phospholipidiques en cours. Prise en charge en Stroke Unit non monitorée. Opération de la cloison nasale il y a 10 ans. Cure hallux valgus bilatéral. Ablation masse bénigne mandibule D en 1999. OS par plaque 1/3 tube dorsomédiale, dorsolatérale malléole externe + cerclage-haubanage malléole interne sur fracture-luxation trimalléolaire cheville G le 23.02.12. AMO cheville G (OP le 11.01.2013). AIT sylvien gauche superficiel d'origine indéterminée avec aphasie motrice transitoire. - score ABCD2 3 pts, score de RoPE 7 pts. DD : migraine avec aura atypique. CT cérébral Time is brain le 11.10.2016. Charge en ASS 250 mg IV. Introduction d'Aspirine 100 mg, Atorvastatine 40 mg. IRM cérébrale le 12.10.2016. Echocardiographie le 12.10.2016. Holter sur 3 jours le 13.10.2016. Bilan thrombophilie le 12.10.2016 : Antithrombine III 95%, Facteur V 138%, anticorps antiphospholipidiques en cours. Prise en charge en Stroke Unit non monitorée. Opération de la cloison nasale il y a 10 ans. Cure hallux valgus bilatéral. Ablation masse bénigne mandibule D en 1999. OS par plaque 1/3 tube dorso-médiane, dorso-latérale malléole externe + cerclage-haubanage malléole interne sur fracture-luxation trimalléolaire cheville G le 23.02.12. AMO cheville G (OP le 11.01.2013). AIT sylvien gauche superficiel d'origine indéterminée avec aphasie motrice transitoire. - score ABCD2 3 pts, score de RoPE 7 pts. DD : migraine avec aura atypique. CT cérébral Time is brain le 11.10.2016. Charge en ASS 250 mg IV. Introduction d'Aspirine 100 mg, Atorvastatine 40 mg. IRM cérébrale le 12.10.2016. Echocardiographie le 12.10.2016. Holter sur 3 jours le 13.10.2016. Bilan thrombophilie le 12.10.2016 : Antithrombine III 95%, Facteur V 138%, anticorps anti-phospholipidiques en cours. Prise en charge en Stroke Unit non monitorée. Opération de la colonne vertébrale sans matériel (OP le 07.05.2010). Ostéosynthèse USS D3-D7. Suspicion de neurinome cicatriciel intercostal. Révision de la plaie, névrectomie et adhésiolyse intercostale (Op le 25.07.2016). Opération de la hanche. Contusion basi-thoracique D le 14.09.2016. Opération de la prostate pour dysplasie (versus carcinome ?). Néphrectomie. Appendicectomie à l'âge de 11 ans. Cure d'hernie inguinale bilatérale dans l'enfance. Prolongation de m. demi-tendineux gauche, le 23.05.2017. Hernie lombaire L4/L5 en cours d'investigation chez Dr. X. - Status post infiltration par corticoïdes. Opération de la thyroïde. Opération de l'épaule droite le 15.09.2013 (Dr. X, Clinique Sainte-Anne Fribourg). Démarche cardiaque droite aiguë NYHA IV sur hypertension pulmonaire probablement NICE III le 05.04.2017 avec : - insuffisance respiratoire aiguë globale. - atélectasie du lobe moyen droit. - syndrome obésité-hypoventilation. - parésies diaphragmatique droite. Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche avec thrombose péronière distale le 05.04.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN II le 05.04.2017. État confusionnel aigu mixte hypo- et hyper-actif, le 09.04.2017, 11.04 : - sur accumulation d'opiacés à visée sédative. - hypernatrémie. - contexte infectieux. - CAM-ICU positif le 12.04.2017 et négatif le 15.04.2017. Possible pneumonie nosocomiale sous ventilation mécanique à Citrobacter Koseri le 09.04.2017. Opération de l'épaule gauche. Rétention urinaire aiguë probablement dans le cadre d'une hyperplasie bénigne de la prostate. Orchiépididymite droite le 28.11.2012, traitée par antibiothérapie. Opération de l'intestin grêle (résection selon la patiente). Opération de scoliose en 2000. Opération de varices. Opération des ligaments du genou gauche en 1980 environ. Césarienne en 2004. Opération des orteils des deux côtés en 2000. Opération du bras gauche en 1994 pour fracture. Opération du bras gauche en 1994 pour fracture. Opération du dos. Opération genou gauche suite à un accident. Plaie superficielle côté radial pouce gauche, 2012. Lésion ligament extenseur IPP 4ème rayon main droite, 2017. Opération du genou droit dans l'adolescence. Opération du genou droit il y a 30 ans. Cure de hernie inguinal bilatérale dans l'enfance. Opération du genou ménisque gauche en novembre 2017. Opération cervicales 2008 et 2010. Genou gauche méniscectomie en 2016. Méniscopathie du ménisque interne du genou droit sur status post arthroscopie pour déchirure du ménisque interne en 2016. Opération du ménisque gauche en 1995. Appendicectomie en 2001. Opération du nez en 2011. Opération gynécologique (enlever la matrice) en 2002. Débridement des 4 lésions au niveau de l'avant-bras gauche sous anesthésie locale. Opération du nez en 2011. Opération gynécologique (enlever la matrice) en 2002. Status post-pseudarthrodèse luno-triquétrale par vis HCS 3.0 mm poignet droit. AMO vis HCS 3.0 mm poignet droit et capsulolyse radio-carpienne dorsale. Débridement des 4 lésions au niveau de l'avant-bras gauche sous anesthésie locale.Sinusite. Syndrome de Sudeck du membre supérieur droit. Amygdalectomie dans l'enfance. Opération du tendon d'Achille gauche en 2008. Opération de tuberculose ganglionnaire le 29.09.2014. Opération d'un genou. Traumatisme crânien simple le 13.08.2016 avec fracture des os propres du nez. Suspicion de hernie inguinale droite le 04.01.2018. Opération d'un goitre interne et externe. Opération d'un kyste rénal à l'âge de 1 an pour double-rein. Derniers examens l'année passée en ordre. Plaie <2cm au niveau du menton. Suspicion d'entorse versus luxation de l'articulation temporo-mandibulaire droite. Opération d'un pancréas annulaire avec ulcère duodénal en 1988 sans complication hémorragique. Opération d'un strabisme. Opération des cornets nasaux. Opération des végétations. Neuronite vestibulaire gauche. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 01.05.2016 : • résolution spontanée avec absence de douleurs et de dyspnée aux urgences • probablement d'origine pariétale Angiokératome de Fordyce le 18.07.2016. Douleur paracervicale gauche probablement sur coup de lapin sur accident de la voie publique. Opération d'une hernie discale compliquée d'une section d'une artère iliaque gauche et d'une thrombose pelvienne en octobre 2017. VPPB. Traumatisme de l'œil gauche. Opération d'une hernie inguinale à l'âge de 5 ans. Opération d'une scoliose durant l'adolescence. Opération d'une scoliose durant l'adolescence. Opération d'une tumeur bénigne X abdominale en 1997. Opération élective (parents contacter pour opération le lundi 29.01.2018). Consentement signé ce jour pour un embrochage du 5e métacarpien. Opération épaule D pour déchirure du tendon de biceps 2015. Cure de canal carpien D. Zona dans le territoire D 11-12 à D le 06.11.2016. Mycose buccale le 06.11.2016. Déhiscence de plaie chirurgicale lombaire avec infection à Staph. aureus R pénicilline : • État fébrile à 39,2°C le 22.12.2016 • Status post tumeur Debulking avec résection en bloc musculaire multifidus L3-L5, lame L4 ddc, pédicule D L4 et transverse L4 et biopsies, décompression intra-canalaire et ablation de la tumeur, spondylodèse avec Viper L3-L5, vis 6.0/50, radiofréquence par la D et cimentage avec Vertecem le 24.10.2016 pour métastase invasive intra-canalaire du tissu mou, musculaire et ligamentaire du complexe postérieur et osseux de L4 sur cholangiocarcinome du segment hépatique IV diagnostiqué en novembre 2014. Opération épaule. Acné rosacée atypique. Opération fémur il y a 30 ans. Opération fracture clavicule et épaule gauche suite à AVP en 1999. Opération hernie discale cervicale en 1990 à Berne. Cholécystectomie en 1980. Hystérectomie en 1978. Appendicectomie dans l'enfance. Opération fracture clavicule et épaule gauche suite à AVP en 1999. Opération hernie discale cervicale en 1990 à Berne. Cholécystectomie en 1980. Hystérectomie en 1978. Appendicectomie dans l'enfance. Opération genou gauche 3x, dernière en 2005. Opération épaule droite en 2010. Césarienne en 2004 et 2002. Hystérectomie 2012. Opération hépatique néonatale X. Opération hépatique néonatale X. Opération hernie inguinale. Fracture diaphysaire sous-capitale 5ème métacarpe de la main gauche avec plaie associée le 05.09.2014. Rupture complète du tendon du muscle quadriceps à gauche le 27.01.2017. Refixation du tendon du quadriceps selon la technique transosseuse avec du FibreWire 5.0 du genou gauche. (OP le 01.02.2017). Hypokaliémie avec K à 3,1 mmol/l. Substitution p.o. Suivi biologique. Opération hernie ombilicale en mars 2017. Opération intestinale en 2009 pour diverticulite perforée, cholécystectomie et appendicectomie. Sub-iléus sur adhérences et status post-événement en 2015. Status post-hystérectomie en 2006. Status post-cholécystectomie. Neuro-toxilité à la méthadone (clonies en 04/17). Chute sur somnolence sur Duloxetine le 13.09.2017. Neuro-toxilité sur morphine retard (clonies en 10/17). Opération LC et LLE à l'âge de 30 ans. Opération le 06.01.2018 : extraction expandeur tissulaire jambe droite et excision névus congénital jambe droite (45% de la lésion existante). Co-amoxicilline du 06.01.2018 au 18.01.2018. Lit strict du 06.01.2018 au 11.01.2018. Marche avec des cannes anglaises. Opération le 12.11.2015 d'une plaie étendue de la 4ème commissure de la main droite sur chute avec : • contusion du nerf digital collatéral palmaire cubital de D4 • section du nerf digital collatéral palmaire radial de D5 • section de l'artère digitale palmaire radiale de D5. Décompensation diabétique non acido-cétosique, non hyperosmolaire le 29.08.2014. Décompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire rapide le 29.08.2014. PTG bilatérale. Fracture pertrochantérienne du fémur proximal droit traitée par DHS 4 trous le 16.03.2012. Fracture péri-prothétique du fémur droit traitée par réduction sanglante et ostéosynthèse par plaque LISS le 21.12.2010 : • surinfection de la plaque ayant nécessité plusieurs prises en charge chirurgicales pour lavages et antibiothérapie au long cours. Fracture Weber B de la cheville droite le 29.12.2010, ostéosynthésée. Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative ferriprive spoliative avec hémoglobine à 64 g/l le 27.07.2017. Opération le 13.2.2018 à gauche. Opération le 20.02.2018. Opération le 22.01.2018. Opération le 22.02.2018. Opération le 2.2.2018 : excision du tophus goutteux MTP hallux à droite. Opération le 23.1.2018. Opération le 23.2.2018. Opération le 24.01.2018. Opération le 25.01.2018. Opération le 27.03.2018. Opération le 28.2.2018. Opération le 31.01.2018. Opération le 4.4.2018. Opération le 6.2.2018. Opération maxillaire dans l'adolescence. Opération ménisque à droite en 2016. Lombalgie aiguë non déficitaire le 04.01.2017. • après port de charge lourde. RX colonne lombaire le 04.01.2017. Traitement anti-inflammatoire. Contusion main droite le 30.10.2017. Radiographie de la main droite : ancienne fracture de la base du 5ème métacarpe, pas de nouvelle fracture. Avis orthopédique : anti-inflammatoires et repos pendant 7 jours puis réévaluation par médecin traitant. Opération nettoyage de la hanche droite en 2013. Conisation du col de l'utérus. Opération du genou gauche pour luxation avec rupture du cartilage à l'âge de 16 ans. Fracture de la 7ème côte le 20.12.2017. Opération oesophagienne pour achalasie au Daler pour sténose ? Ablation du rein gauche avec splénectomie et ablation partielle du pancréas en 1980 en raison d'une pyélonéphrite xanto-granulomateuse. Ca sein bilatéral en 1995 traité par chirurgie et Tamoxifène au long cours. Dyslipidémie. Opération périanale. Opération rate (mise en place d'un filet) en 1995. Tentamen médicamentueux le 27.05.17. Opération pied bot en 1948. Opération pied pour os surnuméraire, 2011. Contusion épaule droite, 2016. Opération pour abcès anal. Opération pour fracture tête radiale gauche en 2002. Opération pour pose de filet dans la vessie Status post cholécystectomie. Opération pour rupture coiffe des rotateurs épaule droite. Implantation hémiprothèse genou gauche en 2010. Cure d'éventration avec filet rétromusculaire (Rives) le 30.01.2013. Sepsis sévère sur pneumonie communautaire d'évolution défavorable le 17.09.2016 • insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale • insuffisance respiratoire hypoxémique • état confusionnel aigu. Fracture fémur gauche pendant l'enfance. Fracture diaphysaire fémur gauche type AO 32.B2 le 05.11.2017 • Réduction fermée, OS fémur G par clou LFN 380 mm, 12 mm (OP le 05.11.2017). Opération pour un souffle au cœur dans l'enfance. Opération pour une hernie épigastrique en 2008. Accident de la voie publique en 2012 avec des troubles d'incontinence fécale traités et suivis par le Dr. X à Romont. Opération pour une hernie (inguinale ?) dans l'enfance. Opération prévue le 01.03.2018. Opération prévue le 27.03.2018. Opération prévue le 01.03.2018. Opération prévue le 02.02.2018. Opération prévue le 06.02.2018. Opération prévue le 09.02.2018. Opération prévue le 09.04.2018. Opération prévue le 12.03.2018. Opération prévue le 16.02.2018. Opération prévue le 16.02.2018. Opération prévue le 19.01.2018. Opération prévue le 19.03.2018. Opération prévue le 20.02.2018. Opération prévue le 20.02.2018. Opération prévue le 23.01.2018. Opération prévue le 23.01.2018. Opération prévue le 26.01.2018. Opération prévue le 26.01.2018. Opération prévue le 26.01.2018. Opération prévue le 26.01.2018. Opération prévue le 26.01.2018. Opération prévue le 26.04.2018. Opération prévue le 27.03.2018. Opération prévue le 30.01.2018. Opération prévue le 30.01.2018. Opération prévue le 30.01.2018. Opération prévue le 30.01.2018. Opération probablement du coccyx en 2000. Opération varices aux 2 jambes en 2012 Fractures 4ème, 5ème orteil G traitées conservativement. Opération varices en 2010. Opération X de l'épaule D. Opération X de l'épaule D. Opérations pour fracture de l’humérus gauche, à 2 reprises en 2016. Opérée d'un problème ovarien (les parents ne savent pas dire quel était le problème). Oppression du cou. Oppression hémicrânienne droite. Oppression thoracique. Oppression thoracique. Oppression thoracique. Oppression thoracique. Oppression thoracique. Oppression thoracique • DD: sur angoisse. État anxio-dépressif. Appendicectomie, hystérectomie. Oppression thoracique dans un contexte d'anxiété. Oppression thoracique. DD : crise d'angoisse. Oppression thoracique depuis 17h le 22.01.2018. Oppression thoracique d'origine indéterminée. Oppression thoracique d'origine indéterminée. Oppression thoracique d'origine peu claire. • pas déclenché à l'effort. DD: • angor, bradycardie symptomatique (descend jusqu'à 45/min sinusal), squelettique, pas d'argument pour une embolie pulmonaire. Oppression thoracique. DD : sur probable angoisse. Optimisation de la thérapeutique antihypertensive. Retour aux urgences si récidive. Substitution orale. Orchi épididymite droite. Orchidectomie G il y a 20 ans pour carcinome testiculaire. Appendicectomie dans l'enfance. Orchidopexie gauche le 10.12.2015. Orchi-épididymite droite. Orchi-épididymite droite le 16.01.2018 • antibiothérapie par Rocéphine intraveineux du 01.01 au 04.01.2018 et Ciproxine per os du 04.01 au 16.01.2018. Orchiépididymite gauche avec lame d'hydrocèle le 20.01.2018. Ordonnance de Co-Amoxicilline. Consultation dentaire le 06.01.2018. Ordonnance d'un emballage original d'Oxynorm goutte. Ordonnance pour poursuite du traitement antitussif et anti-inflammatoire. Poursuite de l'arrêt de travail. Information sur la durée possible de la symptomatologie. Consulter chez son médecin traitant si non amélioration de la symptomatologie la semaine prochaine. Organisation consultation ambulatoire de rhumatologie. Organisation d'un bilan neurologique complet à la consultation du Dr. X, HFR Fribourg, le 04.01.2018. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X, anesthésiste, le 18.01.2018. Organiser colonoscopie lors du séjour à Tavel Contrôle taux de fer (1x à la sortie) et contrôle de la créatininémie 1x/semaine à la sortie de l'hôpital chez le médecin traitant. Hospitalisation au HFR Fribourg le 15.01.2018 pour angio-CT et contrôle (le patient sera convoqué). Rendez-vous au cabinet du Dr. X le 31.01.2018 à 09h45 pour le retrait de la sonde double J. Organiser des séances de physiothérapie au décours : proprioception + renforcement des muscles everseurs. Organiser Holter en ambulatoire. Organiser réunion de famille pour suites après stabilisation chirurgicale du cas (CT le 11.01.18). Organiser suivi nutritionnel, physiothérapie. Organiser un rendez-vous à la consultation du Dr. X en oncologie. RdV de contrôle ORL dans 4 semaines, le patient sera convoqué. Nous vous proposons d'organiser une OGD et une consultation par un gastroentérologue en ambulatoire. Nous vous proposons d'effectuer des fonctions pulmonaires. Orgelet paupière inférieure gauche. ORIF cheville D par plaque tiers tube 3.5 LCP le 08.11.2017 sur fracture cheville D type Weber B le 31.10.2017 (AO 44 B1). Troubles de cicatrisation malléole externe D. ORIF cheville G le 07.10.2017 sur fracture trimalléolaire cheville G et fracture de Lisfranc G le 30.09.2017. Suspicion de CRPS de type I avec allodynie. ORIF le 08.11.2017 d'une fracture/luxation cheville G type AO 44-B3 le 26.10.2017. Suspicion d'une lésion ligamentaire du Chopart G. ORIF olécrâne D avec 2 broches de Kirschner 1.6 et haubannage avec fils 1.25 le 11.10.2017 sur fracture intra-articulaire peu déplacée de l'olécrâne D type AO 21-B1.1 le 10.10.2017. ORIF plaque APTUS radius distal G le 08.10.2017 sur fracture intra-articulaire radius distal G. OS fémur proximal D par système DHS et vis anti-rotatoire (OP le 28.12.2017) OS fracture déplacée fémur distal G le 28.08.2011 Hémorragie cérébrale cérébelleuse D, bifrontale et sous-arachnoïdienne D d'origine traumatique avec fracture occipitale D sur malaise le 27.05.2008 avec : • suspicion crise d'épilepsie le 03.06.2008 • aphasie régressive • légère ataxie résiduelle • amnésie circonstancielle • léger fléchissement des fonctions exécutives Troubles du comportement avec pensées au contenu diminué, déraillements au niveau formel sur infection urinaire Lombo-cruralgies D L3 non déficitaires, irritatives probablement sur troubles dégénératifs Névralgie trijumeau Néphrectomie pour tuberculose Hystérectomie et ovariectomie bilatérale APP OP cataracte bilatérale OS fracture multifragmentaire olécrâne G le 09.07.2016 Remplacement valvulaire aortique par implantation transcutanée (TAVI) d'une prothèse biologique en 2015 Hystérectomie en 1978 OS fracture sous-capitale humérus proximal D par plaque Philos 3 trous le 09.01.2015 OS humérus G par plaque Philos 3.5 8 trous, ténotomie du biceps (OP le 14.12.2017) OS le 22.09.2017 d'une fracture pathologique sous-capitale méta-diaphysaire humérus proximal D le 19.09.2017 sur chute de sa hauteur • Diagnostic anatomopathologique Promed : foyer de fracture intramédullaire humérus proximal D avec métastase en partie ostéolytique d'un carcinome mammaire de type canalaire avec fracture et lésion réactionnelle. Cardiopathie rythmique : • FA rapide avec pose de pacemaker puis thermo-ablation de la jonction AV mars 2017 • Interrogation du PM le 19.09.2017 (Dr. X) : FA permanente • Sous Xarelto Métastases hépatiques et osseuses d'un carcinome du sein D invasif diagnostiqué en 2015 • Type NST, pT2, pN1mi(sn), (i+)(1mi/6), pL1, pV1, pPn1, R0, G2 • Mastectomie et excision du ganglion sentinelle et accessoires le 23.06.2015 (sein D) • ER 100%, PR -1%, MIB1 10 à 20%, HER2 négatif • Radiothérapie et chimiothérapie renoncée en 2015 • Hormonothérapie par Letrozole depuis 2015 jusqu'au 28.09.2017 • Mammographie et ultrason (Affidea) de contrôle 07.06.2017 : absence de lésion évolutive au niveau du sein G, pas de récidive à D • CT-thoraco-abdominal le 12.09.2017 : lésions multiples probablement métastases hépatiques et osseuses (L2 et D12 avec effet de masse). Pas de cancer primaire visualisé. • Ponction osseuse sous CT le 19.09.2017, crête iliaque antérieure D : métastase osseuse d'un carcinome d'origine mammaire • IRM cérébrale le 26.09.2017 : pas de métastases • Anatomopathologie : carotte osseuse avec ostéosclérose et fibrose des espaces médullaires. Absence de tissu hématopoïétique. Au sein de la fibrose, cellules atypiques à noyaux agrandis, parfois nucléolés, à cytoplasme abondant, isolées ou groupées en amas discohésifs. Analyses immunohistochimiques : positivité pour CK116 et GATA3, absence d'expression des récepteurs oestrogéniques et progestéroniques, index de prolifération kI67 : 15%, HER2 : négatif • Consilium oncologique le 13.09.2017 (Dr. X) : chimiothérapie palliative sera introduite dès 2 semaines après l'arrêt du Létrozole (Stop le 28.09). • Consilium oncologique Dresse Guttierres le 12.10.2017 : proposition d'introduction de Taxol hebdomadaire • Début de chimiothérapie par Taxol le 26.10.2017 et le 02.11.2017 • Organisation de mise en place de Port-à-cath (Dr. X) le 07.11.2017 sous anesthésie locale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : MMSE à 18/28 le 09.10.2017 Diabète de type II insulino-requérant OS par DHS d'une fracture pertrochantérienne fémur G le 16.03.2010 OS par DHS d'une fracture pertrochantérienne gauche le 26.07.2010. OS fracture olécrâne D le 23.10.2014 ; accident du 08.10.2014 • ablation broches et cerclage coude D le 03.12.2014 pour déplacement secondaire du matériel d'OS et infection précoce du site opératoire à Corynebacterium amycolatum. Traumatisme de la main G avec lésion du nerf médian Cure de Dupuytren par aponévrectomie palmaire 5e rayon main D (OP le 23.04.2015) Probable hémorragie digestive haute le 13.12.2017 Pantozol iv continu du 13.12.2017 au 14.12.2017, puis per os Suspicion de méningite bactérienne le 13.12.2017 avec • convulsions fébriles CT cérébral le 13.12.2017 Ponction lombaire le 14.12.2017, PCR Neisseria meningitis, Listeria monocytogenes, Streptococcus pneumoniae, Haemophilus influenzae, Herpes simplex de type 1 et 2, Varicelle-zoster : négative Électroencéphalogramme le 14.12.2017 Hémocultures à froid le 13.12.2017 Tazobac le 13.12.2017 Rocéphine + Clamoxyl du 14 au 20.12.2017 Troubles électrolytiques multiples le 15.12.2017 sur jeûne prolongé : • hypomagnésémie • hypokaliémie • hypophosphatémie • DD : syndrome de renutrition substitution électrolytique OS par plaque LISS 5 trous d'une fracture spiroïde du fémur D en 2007 Nouvelle fracture spiroïde du fémur D le 23.07.2011 avec • Réduction sur table de traction, mise en place d'un fixateur externe Hoffmann II le 23.07.2011 • Ablation plaque LISS 5 trous, ablation fixateur externe, OS par plaque longue 17 trous fémur D le 02.08.2011 Ostéomyélite chronique fémur G à Propioniacterium acnes post • OS fracture transverse médio-diaphysaire fémur G • AMO et lavage le 11.09.2014 Anémie postopératoire le 13.09.2014 et 17.10.2014 Infection asymptomatique de la VVC à Klebsiella pneumoniae et Staph. epidermidis le 11.10.2014 Contusion cheville G le 15.05.2015 Os propre du nez du 08/01/2018 : pas d'image de fracture des os propre du nez. Pas d'autre anomalie visible dans les limites de l'incidence faite. Colonne cervicale face, profil et axiale du 08/01/2018 : pas d'image de tassement vertébral. Alignement conservé des murs vertébraux. Pas d'image de luxation vertébrale décelable. Pas de signe de luxation rotatoire dans les limites de l'incidence C1-C2 bouche ouverte. Genou et rotule droite du 08/01/2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés, pas d'anomalie visible en projection des parties molles. Cheville droite du 08/01/2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X). OSG droits en 2 E vom 06/01/2018 : Débutant schwellung der periartikulären Weichteile rechts, dd posttraumatisch, vorbestehendes Beinödema? Minimaler Gelenkserguss des rechten OSG. Keine sicheren frischen ossären Läsionen. Beginnende OSG-Arthrose bei auffälligem Osteophyten des ventralen Tibiaplafonds (kissing osteophyte). Prominentes Os trigonum. OSG-Distorsion OSG-Distorsionstrauma rechts Osgood Schlatter décompensé à droite. Osmolarité urinaire et sanguine. Ospen 5 ml 3x/jour pendant 10 jours Algifor 17 ml 3x/jour pendant 2 jours Dafalgan 17 ml 4x/jour en réserve si fièvre Dispense d'école pendant 3 jours Ospen 750, 5 ml 3x/jour pendant 10 jours Médecine anthroposophique : Wala Aspis/Belladonna/Mercurius Globuli 5 granules 3-5x/jour continuer avec Algifor. En réserve si fièvre ou douleurs : Dafalgan 500 mg eff 4x/jour Dispense d'école pendant 24h OST de flexion et déviation ulnaire, fixation radius distal G par plaque LCP 3,5 le 07.11.2005 sur consolidation vicieuse d'une fracture radius distal traitée conservativement à l'âge de 14 ans, avec arthrose radio-carpienne et instabilité.• cure tunnel carpien G le 07.11.2005. • PTG D sur gonarthrose sévère en 2007 (Dr. X). • PTG G le 25.04.2017 sur gonarthrose tri-compartimentale • OST de valgisation du tibia G en 1997 • Cure de cataracte à l'œil D en 2016 • Syndrome sacro-iliaque G • Ostéoarthrite chronique de l'inter-phalangienne distale du troisième orteil du pied droit à Klebsiella pneumoniae, staphylocoque doré, streptocoque agalactiae, Klebsiella oxytoca, streptocoque dysgalactiae • Amputation du 3ème orteil droit au niveau de la première phalange le 25.04.2012, Dr. X • Opération œil gauche le 29.10.2015 et œil droit le 09.12.2015 (œil gauche : extraction extra-capsulaire de la cataracte par phako-émulsification et mise en place d'une lentille pliable de chambre post de type ACRYSOF SN6CWS de 22.0 dioptries). • Ostéoarthrite septique naviculaire et cunéiforme du pied G sur dermohypodermite à strepto. dysgalactiae le 24.04.2017 avec 8 débridements entre avril et juin 2017. • Ostéomalacie dans l'enfance 2012 : opération excroissance os talon (Anglung) 2015 : septo-rhino-plastie 2010 : fracture du coccyx • Ostéomyélite à Staphylococcus aureus ulna-proximal droit sur status post ostéosynthèse d'une fracture de l'olécrâne droit. AMO et débridement de plaie le 19.12.2017. Démangeaisons vaginales associées à des lésions cutanées et pertes vaginales d'origine indéterminée. DD infection urinaire - herpès vaginal • Ostéomyélite à Staphylococcus aureus ulna-proximal droit sur status post ostéosynthèse d'une fracture de l'olécrâne droit. AMO et débridement de plaie le 19.12.2017. Démangeaisons vaginales associées à des lésions cutanées et pertes vaginales d'origine indéterminée. DD infection urinaire - herpès vaginal Douleurs cheville gauche sur pes plano valgus traumatique après fracture du calcanéum gauche traitée conservativement en 2014. • Ostéomyélite chronique de la malléole externe de la cheville droite sur status post ostéosynthèse d'une fracture bimalléolaire Weber C en 2003 (Dr. X). • Ostéomyélite chronique de la tubérosité ischiatique gauche à S. aureus sur ulcère de décubitus profond de la fesse • status post-multiples opérations (débridements etc.) • Ostéomyélite chronique sur infection de PTG G le 21.09.2016, avec : • débridement de la plaie, rinçage et mise en place d'un VAC le 22.09.16 • contamination par Granulicatella adiacens, K. oxytoca, S. warneri, S. hominis • ablation de prothèse avec mise en place d'un Spacer et couverture avec lambeaux le 10.10.2016 • ablation du Spacer avec ostéotomie TTA et réimplantation prothèse charnière rotatoire le 13.12.2016 • fracture uni-corticale de la diaphyse fémorale G Changement de PTG G avec implantation de prothèse à charnière sur déscellement le 16.08.2011 PTG G en 2010 • Toxidermie sur prise de Co-Amoxicilline le 13.10.2016 puis de Vancomycine le 28.10.2016 avec : Eczéma craquelé le 16.11.2016 Pneumonie lobe inférieur gauche en 2015 Cholécystectomie par laparotomie médiane et cure d'éventration avec suture primaire le 03.01.2014 Hémorragie post-ERCP avec papillotomie le 26.11.2013 • Embolie pulmonaire dans le segment antérieur du lobe supérieur droit sur interruption de l'anticoagulation le 13.09.2011 • Hémicolectomie droite pour un carcinome du côlon (pT3 pN0 M0, G2, R0) en 2006 • Sepsis à Pseudomonas aeruginosa multisensible d'origine urinaire le 16.06.2017 • Oedème aigu des poumons hypoxémique le 03.06.2017 • Syndrome brady-tachycardie sur traitement par bêtabloquant le 22.05.2017 • Hyposphagma gauche et micro-hématurie sur anticoagulation thérapeutique le 17.05.2017 • Ostéomyélite de P2 hallux G. • Ostéomyélite de P2 hallux G. • Ostéomyélite du 5ème métatarsien et de P1 D5 à gauche. • Ostéomyélite D2 pieds ddc le 18.01.2018 • Ostéomyélite tibiale à Pseudomonas aeruginosa avec destruction du tendon tibial postérieur et avulsion du tendon fléchisseur digitorum avec plaie chronique face interne cheville G post • débridement plaie, rinçage, mise en place d'un pansement VAC cheville G le 13.08.2017 • débridement plaie, prélèvements et rinçage, cheville G le 11.08.2017 • cure du tunnel tarsien et ablation séquestre osseux à G le 29.06.2017 • débridement, excision de la fistule, curetage péroné et tibia distal, biopsie, comblement par Bone Alive, lambeau de rotation du court péronier et pansement VAC jambe G le 15.05.2015 et greffe de peau totale jambe G avec prise de greffe à la cuisse ipsilatérale le 22.05.2015 sur récidive d'ostéomyélite chronique vs aiguë tibia distal G, à flore mixte E. coli et Staph. aureus • débridement plaie latérale jambe G, curetage tibia distal, biopsies, greffe spongieuse, fermeture secondaire et pansement VAC le 15.05.2014 sur ostéite chronique sur E. coli et Actinobact. schaalii • greffe de peau totale face latérale jambe G le 16.12.2013 (greffe prélevée à la cuisse G) • débridement, ablation de séquestre, comblement du défaut osseux sur récidive d'ostéomyélite chronique post curetage, greffe spongieuse, fermeture secondaire d'une ostéite chronique à E. coli et Actinobacteria tibia distal G • AMO pilon tibial G le 02.05.2013 • OS définitive le 03.02.2012 d'une fracture ouverte au 2ème pilon tibial le 23.01.2012 avec déchirure complète du tibial postérieur et du long fléchisseur des orteils. • Ostéonécrose de la mâchoire, iatrogène sur bisphosphonates : • Ostéonécrose mandibulaire droite avec défaut cutané • Infection chronique du canal auriculaire droit à Pseudomonas Aeruginosa • contexte de multiples interventions ORL • Ostéopénie du prématuré • Ostéopénie du rachis modérée à sévère avec discopathie L1-L2 avec rétrolisthésis, discarthrose L2-L3 • Cardiopathie valvulaire (sur maladie de Barlow) avec insuffisance mitrale modérée, stable au contrôle du 18.10.2016 • Consommation d'alcool à risque, diminuée depuis novembre 2014 (env. 6 verres/j le 05.06.2015) • Insuffisance veineuse stade IV, avec : • ulcère du membre inférieur G, récidivant depuis fin années 90, traité par le médecin traitant • État anxio-dépressif non traité • Ostéopénie (fortuit) • Ostéopénie sans ostéoporose • Ostéoporose • Ostéoporose • Ostéoporose • Ostéoporose • Ostéoporose. • Ostéoporose. • Ostéoporose. • Ostéoporose avancée • fracture déplacée fémur distal G AO 33-C2. (réduction ouverte et ostéosynthèse MIPO par plaque LISS 11 trous fémur G le 28.08.2011) • status post cyphoplastie sur fracture-tassement de D12 en 2009 • traitement depuis 2 ans par Fosamax + Calcimagon D3 Status post hémorragie cérébrale cérébelleuse D, bifrontale et sous-arachnoïdienne D d'origine traumatique avec fracture occipitale droite sur malaise le 27.05.08 avec • suspicion crise d'épilepsie le 03.06.08 • aphasie régressive • légère ataxie résiduelle • amnésie circonstancielle • léger fléchissement des fonctions exécutives • Surdité complète oreille D d'origine indéterminée et hypoacousie oreille G • Maladie thrombo-embolique avec malaises à répétition • Crises d'hyperventilation depuis l'enfance • Status post troubles du comportement avec pensées au contenu diminué, déraillements au niveau formel sur infection urinaire.Status post lombo-cruralgies D L3 non déficitaires, irritatives probablement sur troubles dégénératifs Status post névralgie trijumeau Status post néphrectomie pour tuberculose Status post hystérectomie et ovariectomie bilatérale Status post APP Status post OP cataracte bilatérale • Ostéoporose avec fracture et tassements multiples. • Hypertension artérielle traitée. • Ostéoporose avec fractures/tassements multiples sous traitement de Bonviva aux 3 mois • Hypertension artérielle traitée • Ostéoporose diagnostiquée en 2015 sous traitement • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire : • Dernière densitométrie osseuse en novembre 2016 • Ostéoporose fracturaire (Calcium 2.19 mmol/l, Vit D2-3 : 114 nmol/l, PTH : 15) • Fracture tassement des corps vertébraux L1 et L3 le 31.07.2017 • Fracture type Barton dorsale poignet gauche le 30.08.2017 • Ostéoporose fracturaire chez la patiente avec corticothérapie systémique au long cours • Fracture tassement D9 • Ostéoporose fracturaire. • Dénutrition protéino-énergétique grave. • Tabagisme actif à 40 UPA. • Ancienne consommation abusive d'alcool. • État anxiodépressif chronique. • BPCO stade I selon GOLD. • Ostéoporose fracturaire traitée • Omalgies bilatérales chroniques • Lombalgies chroniques avec : • IRM de la colonne lombaire du 23.12.2013 : tassements modérés aigus de D9, D11, D12, L1 d'aspect non tumoraux • hernie discale ne pouvant être opérée en raison de son cancer Carcinome bronchique de type épidermoïde du lobe inférieur gauche, T2 N1 M0, stade IIA • date du diagnostic : 19.06.2013 • CT thoraco-abdominal du 16.07.2013 : masse tumorale spicuée à cheval sur les segments postérieur et latéro-basal du lobe inférieur gauche de 35 x 30 mm de plus grand diamètre. Adénopathie hilaire G et sous carinaire. Lésion nodulaire de 21 mm de la branche latérale de la surrénale gauche, parlant en faveur d'un adénome • PET du 05.60.2013 : intense hypercaptation pulmonaire postéro-inférieure gauche correspondant à une lésion tumorale maligne primitive, mais absence de lésion hypermétabolique nette en faveur d'éventuelles métastases à distance • IRM du neurocrâne du 07.06.2013 pas de métastases cérébrales • status post-chimiothérapie par Platinol et Navelbine du 20.08 au 22.10.2013 associée à de la radiothérapie par 60 Gy sur la tumeur et 38 Gy sur les ganglions hilaires gauches et infra-carinaires du 18.09.2013 au 29.10.2013 avec bonne rémission partielle • status post-4 cures de chimiothérapie par Carboplatine et Taxol d'octobre 2014 à janvier 2015 en raison d'une progression tumorale au niveau de la masse primaire • apparition d'un nodule accolé à la scissure droite ainsi que de micronodules au niveau des deux plages pulmonaires en septembre 2015 • sous Nivolumab dès octobre 2015 • actuellement : rémission partielle, poursuite du traitement par Nivolumab 2x/mois SAOS de degré très sévère selon polygraphie du 31.07.2014 • index d'apnée/hypopnée à 69/h • appareillé par CPAP depuis le 18.08.2014 Diabète mellitus de type II non insulino-requérant avec : • décompensation hyperglycémique sous Prednisone 50 mg • Ostéoporose sous Fosamax de 2005 à 2011 • Anémie de Biermer (inj de B12 chaque 3 mois) • Gammapathie monoclonale • Ostéoporose sous Fosamax de 2005 à 2011. • Anémie de Biermer (injection de vitamine B12 chaque 3 mois). • Gammapathie monoclonale. • Ostéoporose suivie depuis plus de 2 ans, traitement par vitamine D et calcium • Dorsalgie chronique depuis des années • Notion de traumatisme rachidien bénin il y a plus de 10 ans • Ostéoporose traitée par Bonviva • Ostéoporose • Douleurs rhumatoïdes • Absences : • sous traitement de Keppra • Ostéoporose • HTA • Diabète de type 2 (non traité) • Ostéoporose. • Hypercholestérolémie. • Probable reflux gastro-oesophagien et gastrite. • Ostéoporose • Hypertension artérielle • Presbyacousie • Ostéoporose. • Malnutrition protéino-énergétique grave. • Ostéoporose • Pacemaker (2010) dans le contexte d'une FA anticoagulée par Lixiana 60 mg • Dégénérescence maculaire • Hypertension artérielle traitée • Trouble de la marche et de l'équilibre suite à la pose PTH G le 30.11.2017 • Possible décompensation cardiaque d'origine iatrogène traitée par Torem 10 mg depuis l'hospitalisation à Lindenhof • FEVG : 71 % (novembre 2017) • Trouble du sommeil avec dépendance aux benzodiazépines • Ostéoporose. • Reflux gastro-oesophagien. • Migraines. • Ostéoporose. • Rhumatisme. • État dépressif traité par Deroxat (Paroxétine). • Insomnies traitées par Normison (Temazépam). • Carence martiale traitée par Ferrostrane. • Hypotension artérielle traitée par Effortil. • Ostéoporose • Status post appendicectomie • Fracture DXI en 2011 non opérée • Gastrite chronique atrophiante • Tachycardiomyopathie sur FA tachycarde • Insuffisance mitrale légère et tricuspidienne sévère • Cardiopathie valvulaire et rythmique • Coronographie 2015 : sp • Diverticulose sigmoïdienne • Candidose oesophagienne • Hémangiome hépatique segment II • Fléchissement cognitif progressif • Ostéoporose. • Tabagisme actif. • Hernie hiatale. • Ostéo-radionécrose de la mandibule gauche sur : • panendoscopie le 25.01.2013 (Dr. X). • résection partielle de la mâchoire gauche et extraction dentaire le 25.01.2013 (Dr. X). • résection plancher buccal antérieur, glossectomie partielle avec reconstruction par lambeau myocutané du peaucier pour carcinome épidermoïde moyennement différencié kératinisant du plancher buccal antérieur droit pT2, pN0, pMx, G1-G2 stade II en 2001. • radio et chimiothérapie pour carcinome épidermoïde invasif moyennement différencié de la base de langue au niveau des 3 replis G (2ème localisation métachrone) en 2008. Status post-résection radicale pour adénocarcinome de la prostate cT2-3, Gleason 6 en 2011. Troubles érectiles partiels. Discopathie L4-L5 et L5-S1. • Ostéosynthèse après une fracture de tibia, péroné plus cheville à gauche en 2011. • Césarienne en 2014. • Interruption de grossesse à 11 1/7 en septembre 2016. • Stérilisation tubaire en septembre 2016. • Ostéosynthèse après une fracture de tibia/péroné et cheville à gauche en 2011. • Césarienne en 2014. • Ostéosynthèse clavicule droite non datée • AVC ischémique aigu para-ventriculaire gauche d'origine micro-angiopathique probable le 22.03.2015 avec : • hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit • Hernie fémorale droite incarcérée le 05.12.2014 • Fracture oblique de la diaphyse distale du 5ème métacarpien D en mars 2015, traitée conservativement • Ostéosynthèse clavicule droite non datée. • AVC ischémique aigu para-ventriculaire gauche d'origine micro-angiopathique probable le 22.03.2015 avec : • hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural droit • Hernie fémorale droite incarcérée le 05.12.2014 • Fracture oblique de la diaphyse distale du 5ème métacarpien D en mars 2015, traitée conservativement • Ostéosynthèse de correction selon Chevron 5ème métatarsien pied droit le 02.12.2008 sur 5ème orteil en adductus douloureux • Ostéosynthèse de Scarf MTP I pied droit le 07.12.2001 • Ostéosynthèse de Weil 2ème orteil pied droit • Pseudarthrose MTP I sur • arthrodèse MTP I avec système hallux sur hallux valgus sévère pied G le 06.09.2011 • arthroplastie de résection MTP II, fixation par 1 broche de Kirschner sur arthrose MTP II pied gauche le 06.09.2011 • cure hallux valgus et OST de Weil 2ème métatarsien, cure selon Hohmann 2ème orteil pied gauche en 1999 • AMO et réarthrodèse par plaque LCP 2.7 6 trous MTP I pied gauche le 13.03.2012 Ostéosynthèse du fémur D pour fracture ouverte 1969 Arthrodèse cheville D Intervention x intestin 1940 Hépatite A et B AVC sylvien gauche le 30.10.16 d'origine probablement embolique avec : • Hémiparésie MSD à 13h, NIHSS à 1 H8, 1 H12 Ostéosynthèse du fémur D pour fracture ouverte 1969 Arthrodèse cheville D Intervention x intestin 1940 Hépatite A et B AVC sylvien gauche le 30.10.16 d'origine probablement embolique avec : • Hémiparésie MSD à 13h, NIHSS à 1 H8, 1 H12 Ostéosynthèse d'une fracture du radius distal gauche en 1986 • AMO en 1987. AS genou gauche en 2015 (Clinique générale, Dr. X). Fracture multifragmentaire, intra-articulaire, radius distal gauche type AO 23-C3; le 30.07.2016 • Réduction fermée, OS provisoire par F.E. poignet G (OP le 30.07.2016) • Ablation F.E. poignet G. Réduction sanglante, OS par plaque palmaire Aptus radius distal G (OP le 02.08.2016) Insuffisance cardiaque aiguë NYHA II le 04.08.2016 • sur surcharge hydrique postopératoire. Ostéosynthèse d'une fracture ouverte du fémur à gauche et opération ligaments croisés droits suite à un accident de la voie publique en 1988. Ostéosynthèse et révision PTH pour une fracture de l'os iliaque et de la branche ilio-pubienne en regard de cupule de PTH D, le 21.12.2017 Ostéosynthèse humérus proximal à gauche par plaque Philos et plaque Aptus avec ténotomies ténodèse du long chef du biceps et réinsertion des rotateurs sous-scapulaires sous-éneux et sus-éneux le 21.11.2017 sur fracture 4 parts comminutive de l'humérus proximal gauche avec lésion de la coiffe des rotateurs sous-éneux totale et sous-scapulaire à 50% avec instabilité du long chef du biceps. Ostéosynthèse le 15.12.2017 d'une fracture périprothétique fémorale D type Vancouver B2 le 12.12.2017 Ostéosynthèse par clou PFNA fémur proximal D + 2 cerclages (OP le 12.01.2018) Transfusion de 2 CE en peropératoire le 12.01.2018 Ostéosynthèse par plaque 1/3 tube LCP 4 trous le 06.10.2017 pour une fracture type Weber B malléole externe D et rupture complète du ligament deltoïde de la cheville D. Ostéosynthèse radius distal G par plaque Aptus d'une fracture radius distal G type 23 A-3, le 26.02.2014 Intervention sur le côlon pour probable occlusion il y a 10 ans Plusieurs opérations cataracte bilatérale Fracture tassement D12 type A2.3 et L5 type A1.2 traités par cyphoplastie Fracture radius distal G multifragmentaire intra-articulaire déplacée avec Sp ORIF en 2014 AMO, ré-ostéosynthèse radius distal G par plaque Aptus radius (OP le 11.04.2017) Bilan ostéoporotique 18.04.2017 Ostéotomie de valgisation tibial gauche le 15.11.2017 sur status post-plastie de reconstruction du PAPE par gracilis genou gauche le 28.03.2017 sur : Laxité du point d'angle postéro-externe genou gauche (tendon poplité et ligament poplitéo-fibulaire). Instabilité rotatoire genou gauche. Ostéotomie d'extension et raccourcissement au niveau sous-capital du 4ème métatarsien du pied droit le 9.1.2018 pour des métatarsalgies du pied droit avec hyper-appui plantaire de la tête du 4ème métatarsien post-traumatique. Otalgie. Otalgie. Otalgie. otalgie Otalgie bilatérale. Otalgie bilatérale : otite moyenne aiguë gauche, otite séro-muqueuse droite. Otalgie droite. otalgie droite Otalgie et vertiges. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche dans un contexte de bouchon de cérumen et début OMA Otalgie, toux. Otalgies droites. Otalgies droites. Otalgies gauches. Othématome G le 27.01.2018 Otite à fin février 2013. Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale Otite bilatérale dans un contexte d'IVRS Otite bilatérale (D>G) Otite D Otite de l'oreille moyenne sans signe de surinfection bactérienne. Otite droite Otite droite Otite droite Otite droite probablement perforée Otite externe chronique le 29.01.2018 avec bouchon de cérumen bilatéral. Otite externe de l'oreille droite le 28.01. Otite externe droite Otite externe droite. Otite externe droite. Otite externe droite. Otite externe droite. Otite externe droite et moyenne gauche le 12.01.2018. Otite externe et probablement moyenne gauche : • dans le contexte d'un syndrome grippal. Otite externe gauche. Otite externe gauche. Otite externe gauche. Otite externe sur IVRS. Otite externe Syndrome pied-mains-bouche au décours Otite G perforée Otite gauche Otite gauche Otite moyenne à répétition avant l'opération Bronchite asthmatique, traitée par Ventolin Otite moyenne à répétition Bronchite obstructive à répétition, pas d'antécédent d'hospitalisation Bronchitespastique à répétion Pose de drains tympaniques des deux côtés le 28.12.17 Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite. Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite Otite moyenne aiguë à droite avec perforation. Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë congestive gauche. Otite moyenne aiguë D Otite moyenne aiguë de l'oreille gauche le 27.01.2018. otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite avec otorrhée et hypoacousie de transmission. Otite moyenne aiguë droite le 29.12.2017 Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche. Otite moyenne aiguë gauche • persistante après 48h de traitement symptomatique Otite moyenne aiguë oreille gauche le 08.01.2018. Otite moyenne aiguë perforée, il y a 5 ans. Otite moyenne aiguë purulente à gauche avec probable perforation tympanique. Otite moyenne bilatérale Otite moyenne gauche Otite moyenne gauche le 12.01.2018. Otite moyenne perforée droite Otite moyenne 08/10 : opération des amygdales Otite perforée à D avec otorragie Otite perforée à G Otite perforée droite le 05.01.2018. Otite perforée gauche. Otite perforée sous podomexef depuis le 12.01 Otite séreuse ddc Otite séreuse gauche. Otite séreuse gauche au décours d'une virose. Otite séro-muqueuse avec mastoïdite accompagnée gauche. Otites à répétition à <1 an OMA bilatérale, sans indication à une antibiothérapie Poursuite de l'algifor 3x/j Contrôle à 24h au fast track avec l'accord de la famille. Otites à répétitions Otites de répétition avec pose de drain ddc et ablation des adénoïdes le 08.01.18 (a été sous amoxicilline et co-amoxicilline en décembre 2017) Otites de répétition Angines de répétition Otites moyennes aiguës à répétition avec hypertrophie adénoïdienne. 11.04.2013, Dr. X : paracentèse bilatérale et pose de drains transtympaniques bilatéraux, adénoïdectomie, selon protocole. Circonsicion. Otites moyennes bilatérale associée à une vasculite à ANCA (anti-MPO) compliquée d'hypoacousie sous Prednisone - schéma de décroissance accélérée sous schéma d'Endoxan (6 x 500mg) Otoplastie bilatérale le 15.10.2015. Tentative de suicide en mai 2015 : intoxication aiguë au Benocten avec QT prolongé. Otorragie bilatérale sur otite virale. DD : lésions avec coton-tige. Otrivin Natural et Otrivin spray. Cefuroxin 500 mg 2x/jour pour 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Ouate hémostatique Ouverture de la cicatrice latéralement et drainage de la collection sous-cutanée Soins locaux de la plaie avec pour but une fermeture secondaire Ouverture du plâtre et examen de la jambe sans le plâtre, remise du plâtre fendu --> sans douleur. Ouverture traumatique de la bourse olécrânienne du coude D en octobre 2011 Accident de travail avec symptomatologie au dos (physio, antalgie) en 2012 Entorse de la cheville G le 11.02.2013. Cervicalgies sur torticolis en 05.2014 Contracture musculaire paravertébrale, suite à un traumatisme par hyper-élongation le 05.10.2016, avec : • Douleur à la palpation de l'insertion des muscles petits rhomboïdes et supra-épineux sur l'omoplate G • Douleur thoracique paravertébrale D10-12 D avec irradiation dans la fesse et le MID Ovariectomie G en 2012 Notion de néphrectomie au Portugal en 2001 pour carcinome rénal selon l'anamnèse (pas de document chez le médecin traitant) Cholécystectomie (date inconnue) Tentamen par injection d'insuline en mars 2014 sur • Possible épisode dépressif sévère avec symptômes psychotiques F32.3 • DD : trouble psychotique aigu et transitoire • Transfert à Marsens Hypokaliémie sévère en mars 2014 Hypophosphatémie sévère en mars 2014 Ovariectomie gauche en 2012 Notion de néphrectomie au Portugal en 2001 pour carcinome rénal selon l'anamnèse (pas de document chez le médecin traitant) Cholecystectomie (date inconnue) S/p Tentamen par injection d'insuline S/p Possible épisode dépressif sévère avec symptômes psychotiques F32.3 DD : trouble psychotique aigu et transitoire S/p Hypokaliémie sévère S/p Hypophosphatémie sévère Oxazépam dès le 30.12.2017 Thiamine à doses de charge du 30.12.2017 au 01.12.2017 Oxazépam en réserve dès le 30.12.2017 Thiamine à doses de charge du 30.12.2017 au 01.01.2018 IRM cérébrale à prévoir le 03.01.2018 Oxazépam 30 mg 2x aux urgences. Laboratoire : cf annexes. Benerva 300 mg IV. Hospitalisation volontaire à Marsens, départ avec son mari. Oxyflow du 14.12 au 16.12.2017 Ventilation non-invasive intermittente du 15.12.2017 au 12.01.2018 Physiothérapie respiratoire Diurétique Cf. complication 1 Oxygène à la maison à sevrer en ambulatoire. Contrôle clinique la semaine prochaine (patient prendra RDV). Oxygène du 17.01 au 22.01 3 x Ventolin 1ml + Atrovent 250 mcg (aux urgences) Ventolin 4 push aux 2h puis espacement progressif Atrovent 250 mcg aux 6h Betnesol 0.25 mg/kg/dose du 16 au 18.01 Médecine anthroposophique Physiothérapie Frottis RSV Oxygenothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygénothérapie Oxygène à haut débit du 19.01 au 20.01.2018 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique du 20.01.2018 au 28.01.2018 Décubitus ventral intermittent du 20.01.2018 au 25.01.2018 Curarisation du 20.01.2018 au 25.01.2018 Ventilation non invasive du 28.01 au 30.01.2018 Noradrénaline du 20.01.2018 au 25.01.2018 Solumédrol du 25.01.2018 au 30.01.2018 Prednisone dès le 31.01.2018 pour 28 jours (ad 22.02.2018) Bronchoscopies de toilettage le 20.01.2018, le 21.01.2018, le 22.01.2018, le 24.01.2018, le 25.01.2018 Ceftriaxone du 16.01 au 18.01.2018 Clarithromycine du 16.01 au 17.01.2018 Levofloxacine du 18.01 au 25.01.2018 Oseltamivir du 18.01 au 23.01.2018 Céfépime du 21.01.2018 au 26.01.2018 Cathéter artériel radial droit du 19.01.2018 au 30.01.2018 Voie veineuse centrale jugulaire gauche du 20.01.2018 au 29.01.2018 Sonde urinaire du 20.01 au 30.01.2018 Sonde nasogastrique du 20.01 au 29.01.2018 Oxygénothérapie au masque à 3 lt/min Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg pour la suite de prise en charge Oxygénothérapie du 12.01.2018 au 21.01.2018 Torem 10 mg dès le 19.01.2018 Suivi du poids Oxygénothérapie et alimentation par SNG Oxygénothérapie et antibiothérapie iv Oxygénothérapie et sonde nasogastrique Oxygénothérapie VVP et hydratation IV avec glucosaline Clamoxyl 80-100 mg/kg/jour en 3 doses Bilan hydrique Médecine anthroposophique Oxygénothérapie. Aérosols d'Atrovent et de Ventolin. Rocéphine 2 g iv/jour du 31.12.2017 au 06.01.2018. Schéma dégressif de Prednisone avec 50 mg per os le 04.01.2017, 40 mg le 05.01, 30 mg le 06.01, 20 mg le 07.01.2017. Oxygénothérapie. Peak Flow. Aérosols d'Atrovent et de Ventolin. Prednisone. Hydratation iv. Surveillance à l'ELM (lit monitoré) du 05.01 au 06.01.2018. Oxygénothérapie Physiothérapie respiratoire Prednisone po 20 mg dès le 23.01.2018 Culture d'expectorations : Pseudomonas RX thorax : opacité spiculée du lobe inférieur droit. Pas de foyer Oxygénothérapie Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 31.01.2018 à 11h Oxymétrie nocturne Avis Dr. X Appareillage au domicile à introduire Introduction CPAP avec EPAP à 6 avec 3 L d'O2 le 22.12.2017 : bien toléré par le patient Oxynorm en réserve. Oxynorm 10 mg aux urgences Hospitalisation pour gestion de l'antalgie Oxyplastine Oxyplastine pendant 1 semaine. Consignes de mesures basiques (fesses à l'air, bains, ...). Contrôle si péjoration ou persistance > 4j. Oxyures Oxyurose P : 22 kg Temp : 37.4 FR : 20 Satu 98 FC : 116 Toux sèche, auscultation OK. Pacemaker bicaméral AAI-DDD suite à BAV I et bloc sino-auriculaire (Mobitz I vs Mobitz II) avec épisodes de bradycardie en 2009 Diabète type 2 non insulino-requérant. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie traitée. Pacemaker tricaméral avec pace-défibrillateur en 2008 Fibrillation auriculaire de découverte fortuite suite au contrôle du pace-défibrillateur le 06.10.2011 Décompensation cardiaque gauche sur perte du synchronisme atrio-ventriculaire sur FA le 30.09.2017 Antécédent d'insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine mixte: rénale et prérénale (diurétiques et décompensation cardiaque) Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale probablement sur syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë sur chronique sur syndrome cardio-rénal type 2 Adaptation traitement cardiaque Suivi biologique Perturbation légère des tests hépatiques (transaminases et cholestase) sur foie de stase le 05.12.17 • trouble de la crase: PTT 60%, facteur V 42% • Ultrason hépatique le 07.11.17 : Foie de stase avec hépatomégalie. Konakion 10 mg p.o du 07.12.17 au 09.12.17 Adaptation traitement cardiaque Suivi biologique Pacemaker tricaméral avec pace-défibrillateur en 2008 Fibrillation auriculaire de découverte fortuite suite au contrôle du pace-défibrillateur le 06.10.2011 Décompensation cardiaque gauche sur perte du synchronisme atrio-ventriculaire sur FA le 30.09.2017 Antécédent d'insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine mixte: rénale et prérénale (diurétiques et décompensation cardiaque) Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale probablement sur syndrome cardio-rénal Insuffisance rénale aiguë sur chronique sur syndrome cardio-rénal type 2 Adaptation traitement cardiaque Suivi biologique Perturbation légère des tests hépatiques (transaminases et cholestase) sur foie de stase le 05.12.17 • trouble de la crase: PTT 60%, facteur V 42% • Ultrason hépatique le 07.11.17 : Foie de stase avec hépatomégalie. Konakion 10 mg p.o du 07.12.17 au 09.12.17 Adaptation traitement cardiaque Suivi biologique Pacemaker triple chambre (Feb 2017) pour maladie du SA avec bradycardie symptomatique avec status post-multiples pertes de connaissance. Epilepsie vasculaire pariéto-temporale gauche sous valproate : • status post-accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche avec foyer épileptique résiduel, sous Clopidogrel (2016). Hypotension orthostatique avec status post-multiples syncopes vaso-vagales confirmées par du Tilt test (Dr. X, 2013). Hernie hiatale avec oesophage de Barrett (Dr. X). Pacemaker triple chambre (Feb 2017) pour maladie du SA avec bradycardie symptomatique • S/p multiples pertes de connaissance Hypotension orthostatique avec s/p multiples syncopes vaso-vagales confirmées par du Tilt test (Dr. X, 2013) Hernie hiatale avec oesophage de Barrett (Dr. X) Palliative Basic Assessment à l'entrée ESAS : Douleurs oui ; Fatigue très forte ; Somnolence très forte Barthel Index : 25 Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : cf hospitalisation précédente Mme. Y, bien connue de notre service, nous est adressée en urgence depuis son domicile dans un contexte de baisse de l'état général avec somnolence, myoclonies, polyurie et polydipsie sur hyperglycémie. À l'entrée, elle n'a pas d'autre plainte spontanée qu'une intense fatigue avec tendance à la somnolence depuis quelques jours, somnolence que l'on retrouve en effet durant l'entretien. Nous ne retrouvons pas d'autre cause qu'une décompensation diabétique sur corticothérapie à cette détérioration rapide de ces symptômes. Son état clinique s'améliore en effet rapidement après réhydratation et correction de la glycémie. Mme. Y ayant souhaité au début de l'hospitalisation interrompre temporairement son traitement de Revlimid, nous ne reprenons pas ce dernier et laissons le soin au Dr. X d'en décider l'indication, sachant que Mme. Y refuse toute reprise parallèles d'une corticothérapie. Au niveau antalgique, nous reprenons le traitement initial sans adaptation ultérieure Un entretien de réseau peut avoir lieu durant l'hospitalisation avec Mme. Y, sa colocataire, son fils, sa bru, Isabelle Scherrer des soins à domicile et Véronique Yerly de Voltigo. Nous décidons d'un commun accord un retour à domicile avec médicaments inchangés en dehors de la mise en pause des corticoïdes et du Revlimid et reprise des soins instaurés jusque-là, Mme. Y ayant retrouvé son état de base habituel et tenant beaucoup au maintien à domicile, le retour doit cependant être repoussé, Mme. Y ayant contracté la grippe. Un traitement d'oseltamivir est administré durant 5 jours après confirmation de l'infection par Influenza B et l'évolution est progressivement favorable. Nous saisissons l'occasion de l'hospitalisation pour effectuer le changement de picc-line nécessaire. Celui-ci se déroule sans complication. Le retour à domicile peut avoir lieu le 29.01.2018 avec suite de prise en charge à l'accueil de jour. Palliative Basic Assessment ESAS : Barthel Index : 123 Palliative Performance Scale : Advanced Care Planning - TESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitifTESTdéfinitif Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs de type nociceptif viscérales, elle signale le long de l'oesophage, puis au niveau de la poitrine d'une façon très inespécifique sans facteur déclenchant. Pas de douleur à la mobilisation ; Dyspnée: Pas de plainte par rapport à la dyspnée, dit ne pas ressentir un manque de souffle ; Nausée: Exprime avoir des nausées parfois et pour cela une diminution de l'appétit ; Fatigue: Elle ressent une fatigue constante sans pouvoir dire plus ; Somnolence: Pas de somnolence, elle fait une longue sieste de 2 h l'après-midi ; Inappétence: Diminution de l'appétit ; Anxiété: Réfère ressentir des fortes angoisses parfois mais qu'elle n'arrive pas vraiment à élaborer plus, facteurs déclenchants ou si cela est en relation avec la nuit, la solitude, etc... La fille la met en relation avec des rendez-vous, ou des événements hors de l'habituel, et se manifeste par un visage plus contracté. Barthel Index : 0 Palliative Performance Scale : 10 Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : La fille Nicole est très présente et impliquée dans la prise en charge de ses parents. Florence habite à Genève, mais aussi impliquée. Notion d'épuisement du père qui est lui-même malade et n'arrive plus à la prendre en charge lorsque Nicole n'est pas là. Soins deviennent plus difficiles à la maison ; Projet du patient / des proches : Projet ? réévaluer fin de vie à domicile ? souhait de la dernière hospitalisation Mme. Y, patiente de 71 ans, connue pour carcinome pulmonaire multimétastatique est hospitalisée à sa demande ainsi que celle de son entourage pour une baisse de l'état général et des soins impossibles à domicile. En raison de l'absence de douleur, nous choisissons de titrer la morphine. Elle se plaint également d'une dyspnée lors des efforts, qui s'aggrave rapidement pendant son séjour et qui s'accompagne de crises d'angoisse. Dans la matinée du 26.01.2018, la patiente souffre brutalement d'une dyspnée aiguë, soulagée par du midazolam et fentanyl intranasal. Après quelques heures de répit, Mme. Y fait des pauses respiratoires et décède entourée de sa famille le 26.01.2018. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 2/10 Elle ressent un fond douloureux inchangé depuis la dernière hospitalisation "supportable" ; Dyspnée 0/10 Pas de dyspnée, mais présence de respiration erratique connue ; Nausée 6/10 Moins de nausées depuis 3-4 jours mais toujours présentes et gênantes ; Fatigue 8/10 Se sent très fatiguée toute la journée, n'arrive pas à récupérer ; Somnolence: Réfère avoir dormi très mal depuis qu'elle est hospitalisée (31.12) ; Inappétence 5/10 Dit ne pas avoir faim, n'a plus d'envie ; Dépression Voudrait être mieux, ne voit pas de "guérison", d'amélioration, sensation de frustration ; Autres Sensations vertigineuses, d'être saoule en continuation (4/10) Toux sèche depuis 1 semaine qui la gêne passablement (8/10) présente surtout la nuit mais aussi pendant la journée. Barthel Index : 15 Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Projet du patient / des proches : Elle aimerait être mieux, pouvoir dormir la nuit, être entourée par nous et sa famille, aimerait reprendre des forces. N'a pas envie de rentrer à la maison au moins pour le moment (à revoir projet?) Mme. Menoud nous est transférée pour une prise en soins palliatifs suite à sa demande. Au début de l'hospitalisation, Mme. Menoud se plaint de nausées persistantes sans vomissement accompagnées d'une importante fatigue qui l'oblige à rester complètement alitée. Nous adaptons le traitement antiémétique avec de l'Haldol et poursuivons une alimentation plaisir, qu'elle apprécie. Nous pouvons par la suite augmenter les portions au vu de la nette amélioration des nausées et de la bonne tolérance. En ce qui concerne les troubles du transit, nous constatons la disparition des bruits métalliques du début du séjour. Durant l'hospitalisation, elle arrive à se déplacer au fauteuil et aux toilettes, cependant, cela reste un effort majeur pour elle et elle a besoin d'aide. Lorsqu'elle est arrivée dans notre unité, Mme. Menoud se plaint de troubles du sommeil. Elle signale la suppression du traitement par Clopixol effectué lors de l'hospitalisation à Riaz, comme cause des insomnies. Nous poursuivons le traitement par du Nozinan instauré avant son transfert, en le majorant par la suite avec un bon résultat. Une fois résolu le sub-iléus et au vu d'un malaise d'origine hypotensive le 20.01.2018, nous envisageons en accord avec Mme. Menoud de reprendre le Clopixol. Cependant après une nuit, elle demande à nouveau le Nozinan en raison d'un meilleur effet sur le sommeil. Nous vous laissons le soin de surveiller le profil tensionnel. Mme. Menoud se plaint toujours d'une sensation vertigineuse de type tangage lorsqu'elle se lève, qui reste inchangée par rapport à la dernière hospitalisation, que nous surveillons et l'accompagnons pour tous les déplacements. Un entretien de famille est organisé le 16.01.2018, nous discutons la nécessité d'un nouveau projet au vu de la stabilisation de l'état de santé de Mme. Menoud et évoquons la possibilité d'une intégration dans un foyer à Bulle. Au début, ce nouveau projet est difficilement accepté par tous, néanmoins tant la famille que Mme. Menoud sont conscients de la situation et de l'impossibilité d'un retour à domicile. Nous les accompagnons dans le processus d'acceptation et trouvons une place au Foyer de Bouleyres. Nous aidons Mme. Menoud à remplir des directives anticipées selon le souhait de la famille, que nous transmettons avec les documents au Foyer de Bouleyres à Bulle. Mme. Menoud quitte notre service le 29.01.2018 accompagnée de sa fille. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 4/10 constantes au niveau lombaire, et au niveau sus pubienne, avec des pics douloureux à 8/10 lors des mobilisations ; Dyspnée 2/10 lors des pics douloureux car elle se crispe et devient vite fatiguée et dyspnéique ; Nausée 0/10 ; Fatigue 3/10 dit n'avoir pas les forces pour une activité ; Somnolence 2/10 avec le lyrica ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 2/10 en raison de la douleur Barthel Index : 30 Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit seule, a perdu son compagnon de 28 ans il y a deux ans d'un cancer à l'amygdale. Elle s'en est occupée jusqu'à la fin. A un fils, Maurice, deux petits-enfants et un arrière petit-enfant qui aura 6 ans le prochain février. Le fils habite à Saillon. Son compagnon a un fils, Frédéric, qui s'occupe de toutes ses affaires administratives, il garde une promesse faite à son père. Mme. Mauron était coiffeuse depuis l'âge de 14 ans et demi, à 20 ans elle a pris la gestion du local où elle a fait son apprentissage. Elle l'a géré pendant 30 ans, puis a continué encore à travailler comme coiffeuse dans un autre local afin de faire un passage doux vers la retraite, qu'elle a prise légèrement anticipée. Elle dit avoir vécu dans la belle époque des belles coiffures et en parle avec beaucoup de plaisir. ; Projet du patient / des proches : Préfère ne pas se projeter pour l'instant, selon évolution. Mme. Mauron, patiente de 83 ans, nous est adressée par le service de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour gestion de la douleur. Dès son entrée dans notre service, Mme. Mauron se plaint de douleurs de type nociceptif, somatiques et viscérales au niveau lombaire, qui forment une ceinture au-dessous de l'abdomen, une douleur constante avec des pics douloureux, intenses lors des mobilisations surtout du tronc. Malgré la douleur, elle arrive à faire des courts déplacements les premiers jours et encore d'aller revoir une fois à sa maison. Suite à cela, les douleurs se sont péjorées ne lui permettant aucune mobilisation hors du lit. Au début, nous poursuivons le traitement mis en place avant son transfert par du Temgesic et un patch de Transtec, que nous arrêtons rapidement au vu de l'inefficacité. Nous arrêtons également la prégabaline, en raison de la nature des douleurs décrites par la patiente. Nous relayons par du fentanyl surtout lors des mobilisations, ce qui se révèle aussi insuffisant et nous procédons à un débit continu de fentanyl, que nous augmentons progressivement et devons combiner à de la Kétamine en continu pour réussir à gérer de façon satisfaisante la douleur et permettre à la patiente des mouvements confortables au lit. La patiente présente de plus en plus un syndrome de glissement dans le cadre d'une souffrance globale. En ce qui concerne les importants œdèmes des membres inférieurs, nous les traitons par du Lasix et Aldactone avec une résolution par la suite permettant une mobilisation plus confortable. Nous relayons la Prednisone par de la dexaméthasone afin d'éviter au maximum une rétention hydrosaline. Au cours des entretiens médico-infirmiers réalisés lors de son séjour, elle peut exprimer ses craintes par rapport à la souffrance en général, elle parle de sa vie, arrivant à parcourir un chemin qu'elle décrit comme soulageant pour l'esprit. Mme. Mauron est consciente du stade avancé de la maladie et malgré le sentiment de souffrance globale, elle arrive à profiter de la stabilisation des douleurs pour partager des bons moments avec ses proches, famille et amis qui viennent la trouver régulièrement. L'état général de Mme. Mauron se dégrade davantage au cours de la dernière semaine d'hospitalisation, nous ajustons le traitement en conséquence permettant un confort du point de vue respiratoire et antalgique. Mme. Mauron décède le 25.01.2018 Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations Palpitations chez une femme enceinte 37 SA - possible tachycardie supra-ventriculaire. Palpitations d'étiologie indéterminée. Diagnostic différentiel : Tachycardie supra-ventriculaire, angoisse dans le contexte de fausse couche récente. Palpitations d'origine anxiogène probable le 09.01.2018. Palpitations d'origine indéterminée le 31.01.2018. Douleurs thoraciques gauches d'origine indéterminée le 29.01.2018. Palpitations ESV traitées par Rytmonorm, depuis 2003 Hypertension artérielle blouse blanche Carcinome urotélial papillaire de bas grade, G2, avec suspicion de micro-invasion extrêmement focale, avec : • Récidive multifocale d'un carcinome papillaire de la vessie avec TURV, en 2015 • TURV et instillation d'Epirubicine, en 2011 Palpitations et dyspnée. Palpitations le 07.01.2018. Palpitations le 19.01.2018 sans troubles du rythme objectivés. Palpitations sur présence d'extrasystoles auriculaires sur : • consommation excessive de café. Palpitations sur stress Palpitations sur tachycardie connue avec des douleurs rétrosternales spontanément résolutives. Palpitations/malaise (2ème consultation du jour). Panaris Panaris dig II G Panaris du gros orteil droit. Plaie de la face palmaire de la main droite de 3 cm le 07.02.2014. Contusion pied droit, le 16.12.2014. Panaris du gros orteil droit. Plaie de la face palmaire de la main droite de 3 cm le 07.02.2014. Contusion pied droit, le 16.12.2014. Entorse cheville droite de grade I le 11.12.2017. Panaris du V Dig G. Panaris du 1er orteil du pied droit, le 02.01.2015. Bain d'Amuchina. Bétadine pommade. Panaris gros orteil droit le 28.01.18. Panaris péri-unguéal stade inflammatoire III 1er doigt main droite. Panaris phalange distale côté ulnaire Dig. III droite Panaris stade inflammatoire. Panaris 5ème doigt droit face externe le 25.01.2018. Panaritium Dig IV Fuss links Panarthrose poignet droit avec rhizarthrose avancée. Pancolite à germe indéterminé le 22.01.2018 DD : poussée de RCUH Pancolite de clostridium, le 22.01.2018 Pancolite et proctite (DD MICI) le 25.01.2018 Pancréatite aiguë. Pancréatite aiguë Balthazar C d'origine indéterminée, le 07.03.2017. Pancréatite aiguë Balthazar D de la tête et du processus unciforme du pancréas le 01.01.18 Pancréatite aiguë Balthazar E d'origine indéterminée le 24.09.2017 DD alcoolique, biliaire (sludge dans la vésicule) Pancréatite aiguë (cf. synthèse). Pancréatite aiguë le 17.01.2018 Pancréatite aiguë sur pancréas divisum Pancréatite Balthazar B le 29.01.2018 Pancréatite biliaire avec calcul au niveau de la papille le 31.01.2018 Pancréatite chronique d'origine indéterminée avec des exacerbations régulières durant l'enfance. Pancréatite d'origine indéterminée, Balthazar C. Diagnostic différentiel : origine virale. Œil gauche : plaie du bord libre de la paupière supérieure. Pancréatite d'origine indéterminée • DD médicamenteuse Pancréatite légère. Pancréatite probablement au décours. Pancréatite subaiguë Balthazar B le 09.03.2015 traitée par Tienam du 03.03.2015 au 09.03.2015. IRA AKIN II avec oligurie sur hypoperfusion rénale (artère rénale D occluse par la fausse lumière de la dissection) le 17.02.2015. Endocardite infectieuse sur cholécystite aiguë en 2002. Cholécystectomie par laparotomie en 2003. Sigmoïdectomie pour adénocarcinome en 2009. Adhésiolyse pour iléus en juillet 2010. Cure par mise d'un filet pour une éventration abdominale sus-ombilicale le 11.07.2012. Pancréatite subaiguë Balthazar B le 09.03.2015 traitée par Tienam du 03.03.2015 au 09.03.2015. Status post IRA AKIN II avec oligurie sur hypoperfusion rénale (artère rénale D occluse par la fausse lumière de la dissection) le 17.02.2015. Endocardite infectieuse sur cholécystite aiguë en 2002. Cholécystectomie par laparotomie en 2003. Sigmoïdectomie pour adénocarcinome en 2009. Adhésiolyse pour iléus en juillet 2010. Cure par mise d'un filet pour une éventration abdominale sus-ombilicale le 11.07.2012. Pancytopénie chronique sur hypersplénisme secondaire à cirrhose hépatique avec : • agranulocytose périphérique transitoire les 25.07, 30.07 et 31.07.2014 avec composante médicamenteuse probable (Intratec, méthotrexate). Thrombopénie immune primaire, diagnostiquée le 24.07.2014 (suivi Dr. X). Syndrome myélodysplasique de type cytopénie réfractaire avec dysplasie multilinéaire selon la classification OMS 2008, diagnostiquée le 24.07.2014. Polyarthrite rhumatoïde séropositive (depuis 2001) (suivi Dr. X). Cirrhose Child A avec varices oesophagiennes. Gastrite chronique à Helicobacter pylori avec : • excision d'une lésion de Dieulafoy de la face postérieure de l'estomac en mai 2000. Hypoacousie bilatérale. Tabagisme à 40 UPA. Kyste rénal droit. Pancytopénie dans un contexte de chimiothérapie • Anémie microcytaire hypochrome à 63 G/l • thrombopénie 34 G/l • neutropénie Pancytopénie dans un contexte de chimiothérapie • Anémie microcytaire hypochrome à 63 G/l • thrombopénie 34 G/l • neutropénie Pancytopénie d'origine probablement virale le 21.01.2018 Pancytopénie le 08.01.2018 avec, • Thrombopénie à 88 G/l • Anémie à 96 g/l • Leucopénie à 3.2 G/l Pancytopénie le 15.12.2017 Pancytopénie le 31.12.2017 dans le contexte de chimiothérapie. Pancytopénie modérée d'origine possiblement multifactorielle (cirrhose Child B +/- consommation OH à risque +/-, composante spoliative +/-, inflammatoire) Pancytopénie post-chimiothérapie avec : • thrombopénie à 65 G/l • leucopénie à 2.1 G/l • anémie à 88 G/l. Pancytopénie probablement dans le cadre d'un syndrome myélodysplasique, DD : lymphome Panendoscopie + MLS avec exérèse lésion au laser CO2 en électif. Panendoscopie + MLS avec exérèse lésion au laser CO2 le 16.01.2018. Hospitalisation pour surveillance et hydratation. Panendoscopie le 05.07.2017 (Dr. X) Panendoscopie le 27.11.2017. IRM du cou. CT scan cervico-thoraco-abdominal. Suite de prise en charge par radio-chimiothérapie à l'HFR Fribourg. Panhypopituitarisme post-opératoire traité par hydrocortisone et Euthyrox • suivi par Dr. X Pan-hypopituitarisme secondaire à un traumatisme crânio-cérébral en 2002, suivi au CHUV. Goutte. Panotil goutte. Traitement symptomatique. Pansement + contrôles réguliers à la policlinique d'orthopédie. Rappel tétanos réalisé aux urgences. Zinacef 1,5 mg i.v. dose unique aux urgences. Attelle Stacks pouce gauche. Pansement avec cicatrisation dirigée. Pas de rappel DiTe au vu de l'âge et des vaccins à jour d'après le patient. Pansement avec Flammazine. Ialugel et Dafalgan prescrits. Rendez-vous le 02.01.2018 à la filière des urgences ambulatoires. Arrêt de travail. Pansement de VAC dès le 02.01.2017. Prélèvement du fond de la plaie : en cours. Mise en place Filet ultrapro suturé au niveau de l'aponévrose antérieur ddc mise en place d'un VAC à -100mmHg le 03.01.2017. Changement itératif jusqu'au ____ Pansement de VAC dès le 02.01.2017. Prélèvement du fond de la plaie : en cours. Mise en place Filet Ultrapro suturé au niveau de l'aponévrose antérieur ddc mise en place d'un VAC à -100mmHg le 03.01.2017. Changement itératif les 02.01, 03.01, 05.01, 09.01.2018 Pansement du pacemaker à changer le 06.01.2018 par les soins à domicile. Prochain contrôle du pacemaker fin janvier à la consultation de Dr. X. Suivi biologique de l'anémie. Pansement écossais. Antibiothérapie par Dalacin 600 mg 2x/24h pour 5 jours. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 48h : contrôle de plaie et changement de pansement. Pièce prélevée envoyée pour analyse bactérialogique. Pansement gras. Antalgie. Contrôle à 48h le 05.01.2018 en filière 34 : contrôle plaie et réfection pansement. Pansement : Ialugen plus et Mépilex standard. Traitement antalgique. Contrôle le 06.01.2018 en filière 34 pour suite de la prise en charge. Pansement sec 1x tous les 2 jours. Pansement simple. Pansement 1x/j. Nettoyage au Protosan, Askina possible, Mepilex border. Suivi en stomathérapie. Pansements avec protocole établi et modifié par la chirurgie vasculaire à Fribourg; actuellement (mise à jour 24.01.2018): • cuisse/mollet : Betadine liquide + gaze + pansement "à sec" • rétro-malléolaire médial et entre orteils 2 et 3 : protocole inchangé (désinfection, plurogel et compresses) • dos du pied : débridement des parties pâteuses (et si possible de la nécrose sur le pourtour), reste inchangé (cf. ci-dessus) Pansinusite aiguë. Pan-sinusite avec bronchite associée le 27.12.16. Douleurs loges rénales gauche d'origine musculo-squelettique probable (DD : gynécologique, urinaire, psychogène) le 22.06.2016. • Uro-CT injecté : plusieurs Phlébolithes dans le bassin. Calcul de 3 mm non obstructif au niveau du calice à gauche, superposable au comparatif. Douleurs abdominales d'origine indéterminée chez une patiente connue pour un status post-laparoscopie exploratrice, avec : • colonoscopie et gastroscopie du 29.10.15 sans particularité • résultat de la laparoscopie exploratrice : possible volvulus intermittent sur caecum mobile et adhérences. Notion d'inflammation des cervicales diagnostiquée le 27.10.2015 par IRM cervicale réalisée à Givision. Notion de thrombose veineuse superficielle du membre supérieur gauche diagnostiquée à l’ultrason le 27.10.2015 à Givision. Migration du stérilet Mirena dans le pelvis en fosse iliaque gauche intra-péritonéal avec laparoscopie et ablation du stérilet le 10.07.2014. Status après césariennes en 2011 et 2013. Métrorragies sur Cérrazette. Probable infection à Chlamydia traitée à Nyon en 2007. Anémie normocytaire normochrome arégénérative à 102 g/l le 20.09.2015 : • ferriprive : ferritine 10 • carence en acide folique. Lithiase rénale gauche avec pose de sonde urétérale double J à gauche en novembre 2014 au CHUV. Malaise avec vertiges rotatoires sans perte de connaissance post-alcoolisation aiguë : • déshydratation • dénutrition • hypokaliémie à 2.9 mmol/l. Angine à streptocoque le 21.01.2017. Douleur thoracique pariétale droite d'origine musculo-squelettique le 21.01.17. Suspicion de sevrage aux opiacés • avec syndrome douloureux diffus. Pantoprazol. Pantoprazol aux urgences. ECG. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire ; pas de Troponine. Au vu de la bonne évolution clinique avec disparition des symptômes, RAD. Patient consultera médecin traitant si péjoration de l'état clinique. Pantoprazol aux urgences. ECG. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire ; pas de Troponines. Au vu de la bonne évolution clinique avec disparition des symptômes, le patient rentre à domicile. Il consultera le médecin traitant si péjoration de l'état clinique. Pantoprazol aux urgences. Laboratoire : Troponines négatives. ECG (au moment douloureux). Radiographie thorax. Au vu de la bonne évolution clinique, retour à domicile avec traitement par IPP. Si pas d'amélioration sous ce traitement, consultation auprès du médecin traitant. Pantoprazol aux urgences. Laboratoire. Sédiment urinaire. Retour à domicile avec traitement IPP. La patiente reconsultera auprès du médecin traitant si persistance des douleurs sous ce traitement. Pantoprazol 40 mg/jour à diminuer progressivement après l'arrêt de la corticothérapie. Pantoprazol 40 mg/jour à diminuer progressivement après l'arrêt de la corticothérapie. Pantoprazol 40 mg/jour à diminuer progressivement après l'arrêt de la corticothérapie. Pantoprazol 80 mg bolus, 8mg/h en continu. Pantoprazol 80 mg bolus, 8mg/h en continu. Pantoprazole 80mg. Suivi labo anémie. Dosage acide folique le 04.12. Arrêt Substitution acide folique le 05.12.2017. Allucol gel à 2h d'écart des 2 repas le 06.12. Stop Alucol gel le 12.12. Sang occulte dans les selles. Stop aspirine cardio le 12.12. Pantoprazol. Isolement contact. Pantozol. Pantozol. Pantozol aux urgences. Traitement symptomatique prescrit. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Pantozol du 10.01.2018. Pantozol du 11.01.2018 au 16.01.2018. Pantozol 40 mg. Pantozol 40 mg iv, poursuivi avec Pantozol 40 mg 2x/jour pendant 2 semaines (à réévaluer par le médecin traitant). Antalgie avec Morphine 18 mg iv par palier de 3 mg. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, tests hépatiques et pancréatiques alignés. Rx thorax : pas d'air libre sous la coupole. ECG : RSR à 64/min ; PQ dans la norme ; QRS fin, axe normal, ST-iso, pas de trouble de la repolarisation. Merci d'organiser une gastroscopie et recherche d'Hélicobacter Pylori en ambulatoire. Pantozol 40 mg i.v. Nexium 40 mg 2x/jour à la sortie. Avis chirurgical (Dr. X) : probable gastrite, traitement par IPP, consultation en chirurgie à distance. Pantozol 40 mg n pour 7 jours. Pantozol 40 mg und Dafalgan 1 g in Reserve bei Schmerzen. Pantozol 40 mg 1x/jour pendant 7 jours. Pantozol 40 mg 1x/jour pour 4 semaines, contrôle à la Permanence le 20.02.2018 à 13h30. Pantozol 40 mg 2x/jour pendant un mois. OGD à évaluer en ambulatoire. Pantozol 40 mg. Ulcar. Suivi chez le médecin traitant. Pantozol 40mg aux urgences. Coronarographie : exclure une maladie coronarienne significative (irrégularités pariétales sur les 3 troncs), avec des fonctions systoliques globales et régionales du ventricule gauche conservées. Bilan sanguin. Angio CT aortique : pas de dissection ; lésion fois gauche / hémangiome ; ectasie aorte thoracique ascendante 4cm, cardiomégalie. Retour à domicile avec augmentation de son traitement par IPP. Pantozol 40mg iv. Avis chir (Dr. X) : probable gastrite, ttt pantozol, ad consultation en chir. Pantozol 40mg 4 semaines, Alucol Gel en réserve.Contrôle à 1 mois chez le médecin traitant • Conseils sur l'arrêt du tabac • Conseils sur la diminution et gestion du stress > Pantozol 80 mg bolus puis en continu (8 mg/h) dès le 29.12.2017 • Remplissage • Konakion 10 mg iv • Transfusion 3 CE + 1 PFC le 29.12.2017 • CT cérébral le 29.12.2017 : pas de saignement • Cathéter artériel radial droit du 29.12.2017 au 30.12.2017 • Rocéphine dès le 29.12.2017 • Flagyl dès le 29.12.2017 > Pantozol 80 mg en bolus puis 8 mg/h i.v. continu le 12.01.18 • Pantozol 40 mg 2x/j dès 12.01.18 • Hydratation iv le 12.01.18 • Sang occulte dans les selles négatif à trois reprises > OGD de contrôle dans un mois • PAP test ASC-US • CINtec PLUS positif • Conisation à l'anse diathermique et curetage endocervical le 24.01.2018 > PAP test du 08.01.2018 • Rendez-vous en colposcopie après expulsion > PAP test du 25.09.2017 : ASC-H • Colposcopie le 16.10.2017/biopsies cervicales : co-existence de lésions LSIL et HSIL focalement • Biopsie endométriale le 30.10.2017 : absence d'hyperplasie atypique et de carcinome • US mammaire et mammographie le 26.10.2017 : sein D lésions classées BIRADS-II et III, sein G lésions classées BIRADS-III et IV • Biopsie le 30.10.2017 : sein D : discrets changements fibrokystiques et un foyer d'adénose, pas de signe de malignité, sein G : changements fibrokystiques modérés, pas de micro-calcifications, pas de signe de malignité. • Biopsie stéréotaxique le 08.11.2017 : papillome intra-canalaire non atypique et nombreux foyers d'adénose, avec nombreuses microcalcifications et foyers de fibrose péri-canalaire. • Laboratoire du 12.01.2017 : Hb 135, Lc 10.2, Tc 252 > PAP test 01.12.2016 : ASC-US avec typisation HPV positive à HPV HR type 33 • PAP test 12.01.2017 : ASC-US • Biopsie cervicale du 12.09.2017 : matériel insuffisant pour analyse • CINtec Plus positif le 28.09.2017 • Sérologies 18.12.2017 : VHB vaccinée, VHC nég, VIH nég • Groupe sanguin : A Rhésus positif > PAP test 12.04.2017 : L-SIL, • Typisation HPV 19.04.2017 : positif pour HPV autres 31,33,35,39,45,51,52,56,58,59,66,68 • 12.04.2017 : test CINtec Plus positif • Laparoscopie sous anesthésie générale pour myomectomie • Épreuve tubaire au bleu de méthylène positive • Blair-Donaty et points simples à la peau - Prolène 3-0 • Ablation fils J7-10 > PAP test • Échec pipelle de Cornier • Marqueurs tumoraux • Anesthésie par AG et bloc TAP • Laparotomie diagnostique et opératoire selon Pfannenstiel • Washing péritonéal envoi en cytologie • Envoi des pièces opératoires en anapathologie • Fermeture à la peau par Blair-Donaty Vicryl et agrafes • Ablation agrafes et fils J10 > Papillome du sein gauche > Paquet variqueux inguinal gauche. > Par Dr. X, orthopédiste : • Examen clinique. • Vaccin antitétanique à jour. • Désinfection. • Champage. • Suture à l'Ethilon 4.0, 3 points. • Pansement simple. • Contrôle chez le médecin traitant le 15.01. • Ablation des fils à J15 chez le médecin traitant. • Arrêt de travail. > Paracentèse + adénoïdectomie 09.06.2015 • Bronchite spastique • Antécédent d'hospitalisation en raison de gastro-entérite aiguë avec déshydratation estimée à 5% > Paracentèse bilatérale en 2017 > Paracentèse droite avec aspiration de glue organisée et pose de drain transtympanique en or de 1,5 mm de diamètre. Reprise de paracentèse à gauche avec aspiration de glue très organisée. Antromastoïdectomie gauche de drainage. (OP le 07.11.2017) • Status post-ulcère gastrique opéré et vagotomie sélective de l'estomac • Status post-tumorectomie bénigne du sein > Paracentèse et pose de drain Tübingen 1.25 le 12.01.2017. • Antibiothérapie par Dalacin i.v. les 12.01.2018 et 13.01.2018. • Corticothérapie po. • Antalgie. > Paracétamol, AINS. • Consignes de surveillance. > Paracétamol et AINS. • Oxycontin et Oxynorm. • Avis Team Spine. • Vitamine D et calcium. • Schéma dégressif de Prednisone. • Physiothérapie. • Rendez-vous à la Team Spine le 18.01.2018. > Paracétamol supp 125 mg en réserve. • Weleda camomille en réserve. • Alimentation et hydratation fractionnées. • Rinçage du nez au besoin. • Contrôle si péjoration ou persistance >2j. > Paracétamol 1 g - Diclofenac 50 mg - Fentanyl i/v. • RX épaule droite, face-Neer : luxation antérieure. • Réduction de luxation sous Meopa et Fentanyl i/v. • RX de contrôle épaule droite, face-Neer : épaule en place. • Avis orthopédique, Dr. X : Immobilisation gilet orthopédique - Contrôle en orthopédie dans 3 semaines - Puis physiothérapie pour renforcement musculaire. > Paracétamol 1 g cpr, Novalgine 500 mg cpr : amélioration des céphalées. • Laboratoire. • Radiographie thorax : légère opacité lobe inférieur droit compatible avec une pneumonie débutante. • Début d'un traitement antibiotique et suivi chez médecin traitant. > Paracétamol 1 g cpr, Novalgine 500 mg cpr. • Radiographie colonne dorsale face et profil le 26.01.2018 : possible lésion de D4, image pas claire, à compléter avec scanner. • Scanner lombaire de contrôle (la patiente sera appelée pour un rendez-vous de contrôle), puis contrôle chez le médecin généraliste. > Paracétamol 1 g cpr, Novalgine 500 mg cpr. • Scanner cérébral le 26.01.2018 (Dr. X) : dans la norme. > Paracétamol 1 g. • Voltarène 50 mg. > Paracétamol 100 mg en réserve. • Alimentation fractionnée. • Contrôle si péjoration ou persistance >3j. > Paracétamol 100 mg en réserve. • Rinçage du nez. • Contrôle si péjoration ou persistance >3j. > Paracétamol 15 mg/kg/dose 4x/j • Ibuprofen 10 mg/kg/d 3x/j • Contrôle à 48h si pas d'amélioration et avant si péjoration clinique > Paracétamol 200 mg en réserve. • Contrôle si péjoration ou persistance >2j. • Sur le diagnostic 2, contrôle chez le pédiatre durant la semaine prochaine pour évaluer, si nécessaire un traitement ou des investigations. > Paracétamol 200 mg en réserve. • Mesurer la température à domicile. • Contrôle demain chez le pédiatre si persistance ou avant si péjoration. > Paracétamol 200 mg 4x/j et Weleda camomille 4x/j en alternance. • Novalgine 8 gouttes en réserve. • Continuer crème PoxClean-CoolMousse et Feniallerg. • Contrôle si péjoration ou persistance >3j. • Paracétamolémie le 17.01.2018 : < 5 mg/l • Narcan en continu du 16.01.2018 au 20.01.2018 • Anexate en continu du 16.01.2018 au 18.01.2018 et du 19.01.2018 au 21.01.2018 • Avis psychiatrique le 21.01.2018 > Paralysie bras gauche. > Paralysie bras gauche. > Paralysie membre supérieur droit. • Paralysie cérébrale ataxique • Paralysie de Bell D le 04.01.2018. > Paralysie de Bell D le 04.01.2018. > Paralysie de Bell le 22.01.2018 • Paralysie des releveurs du pied G séquellaire à la pose de PTH en 2017 (lésion du nerf sciatique) • Paralysie des releveurs du pied gauche sur lésion du nerf sciatique sur : • séquellaire post pose de prothèse totale de hanche gauche en 2017 • Paralysie du releveur du pied gauche (post-opératoire ?). • Paralysie faciale. • Paralysie faciale d'allure centrale le 01.01.2018 avec ptose labiale gauche et NIHSS à 4. • Paralysie faciale droite périphérique datant de 2008. • Paralysie faciale droite d'origine indéterminée. • Fracture type Tongue, déplacée, du calcanéum gauche en 2015, traitée conservativement. • Fracture ouverte de l'os propre du nez en 2016, (déviation pyramide nasale ancienne). • Pseudarthrose de l'humérus distal gauche post ostéosynthèse d'une fracture complexe intra-articulaire de l'humérus distal le 06.05.2016 • Ablation du matériel d'ostéosynthèse, implantation d'une prothèse totale du coude, résection de la tête radiale le 29.09.2016. Paralysie faciale droite d'origine indéterminée. Fracture type Tongue, déplacée, du calcanéum gauche en 2015, traitée conservativement. Fracture ouverte de l'os propre du nez en 2016, (déviation pyramide nasale ancienne). Pseudarthrose de l'humérus distal gauche post-ostéosynthèse d'une fracture complexe intra-articulaire de l'humérus distal le 06.05.2016 : • ablation du matériel d'ostéosynthèse, implantation d'une prothèse totale du coude, résection de la tête radiale le 29.09.2016. Paralysie faciale droite isolée en 2014 Tumeur bénigne sein gauche en 1990 Kyste sébacé en 2013 Entorse LLE genou gauche Paralysie faciale droite périphérique datant de 2008. Paralysie faciale droite périphérique, diagnostic différentiel paralysie de Bell 2013. Déchirure ligaments croisés du genou droit opéré en 2015. Paralysie faciale gauche périphérique ou paralysie de Bell 2010. Gastro-entérite virale. Paralysie faciale périphérique. Paralysie faciale périphérique droite d'origine idiopathique de grade 5 selon House & Brackmann le 6.11.2013. Paralysie faciale périphérique gauche. Paralysie faciale périphérique gauche connue depuis 1964 Cancer du sein 1997 gauche, Tamoxifen pendant 5 ans, radiothérapie, reconstruction plastique Status post-hystérectomie totale pour ménorragies Opération des deux épaules, rupture de ligaments, les deux fois traumatiques Opération des cataractes des deux côtés Artérite giganto-cellulaire (maladie de Horton) le 04.05.2017 avec biopsie positive CT thoraco-abdominal le 10.05.2017 : AAA infra-rénale de diamètre de 45 mm avec parois thrombosées, la lumière opacifiée maximale a un diamètre de 36 mm, ectasie du départ de l'aorte descendante avec un calibre maximal de 37 mm sur le plan axial, le reste de l'aorte descendante présente des discrets thrombus pariétaux avec petites plaques calcifiées mais sans lésion significative. Hydrocéphalie d'allure pression normale le 04.05.2017 • troubles de l'équilibre, Romberg pathologique avec rétropulsion • incontinence urinaire • troubles démentiels probables Paramètre ventilatoire à l'entrée : AutoSet CS-A, EPAP min/max 4/15 cmH2O, AI min/max 3/15 cmH2O, masque Amara View, taille M Polygraphie respiratoire nocturne + capnographie transcutanée nocturne le 22.01.2018 + le 23.01.2018 Fonctions pulmonaires 22.01.2018 Paramètres ventilatoires à la sortie : Lumis VPAP 150 ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 16 cmH2O, Ti min/max 0.7/1.5, trigger moyen, masque Amara View, taille M Paramètres de cholestase légèrement élevés avec : DD : médicamenteux, état inflammatoire • Traitement par Dafalgan/Novalgine • PA 293 U/l le 30.11.2017, 333 le 06.12.2017 • GGT 47 U/l le 30.11.2017, 159 le 06.12.2017 • Bilirubine directe 4.1 umol/l le 30.11.2017 • Bilirubine totale 6.4 umol/l le 30.11.2017 • ALAT et ASAT dans la norme Paramètres ventilatoires à l'entrée : BiPAP S9 VPAP ST, IPAP 18 cmH2O, EPAP 8 cmH2O, FR 10/min, Ti min/max 0.6/2.0 sec, masque facial Air Fit F20 taille M Fonctions pulmonaires complètes du 10.01.2018 Polygraphie nocturne avec capnographie sous VNI et O2 à 1 l/min le 10.01.2018 + le 11.01.2018 Gazométrie artérielle, au repos, sous VNI et O2 à 1 l/min le 11.01.2018 + le 12.01.2018 Gazométrie artérielle, au repos, à l'air ambiant le 11.01.2018 Paramètres ventilatoires de sortie : BiPAP S9 VPAP ST, IPAP 20 cmH2O, EPAP 8 cmH2O, FR 10/min, Ti min/max 0.6/1.9 sec, masque facial Air Fit F20 taille M Paraparésie amyotrophiante à prédominance distale avec hypoesthésie en chaussette et aréflexie achiléenne : • DD : 1) atteinte radiculaire L5- S1 bilatérale, 2) décompensation d'une vascularite avec atteinte neurologique, atteinte médullaire avec processus expansif (peu probable car absence de syndrome pyramidal) Paraparésie flasque des membres inférieurs avec : • cure de hernie discale L4-L5 le 10.11.2004 (Clinique St-Anne) • spondylodiscite L4-L5 le 06.12.2004 avec abcès épidural, méningite d'accompagnement et troubles neurologiques des membres inférieurs et incontinence aux selles et urines (EMG du 04.07.2005 lésions axonales importantes à partir de la racine L3) • hémilaminectomie L3 et laminectomie L4 pour abcès épidural à MRSA le 28.12.2004 • évacuation d'un hématome post-laminectomie le 01.01.2005 • plaie béante au niveau L4-L5 et escarre sacrée depuis janvier 2005 • récidive d'abcès épidural et du psoas droit le 12.03.2005 • vessie neurogène Incontinence urinaire et fécale, avec : • ulcère de décubitus de grade III au niveau pré-sacré en 2013 • pose de Cystofix en 2005 • hémicolectomie avec Hartmann en 2005 • hernie para-stomiale avec sonde supra pubienne Asthme bronchique Insuffisance rénale chronique stade III Hypovitaminose D substituée Opacités lobulaires pulmonaires supérieure droite sans indication de bilan d'extension en vue de la situation générale Léger fléchissement cognitif : MMS 07.03.2014 28/30, test de la montre 2/7 Cardiopathie ischémique et hypertensive : • infarctus intra-opératoire 12/2004 Polyarthrite rhumatoïde anciennement traitée par Arava Paraparésie spastique familiale. Paraphymosis Paraplégie ASIA C (L1-L5) sur abcès lombaire L1-L5 avec fracture du plateau supérieur de L5 et abcès épidural post-spondylodèse L4-L5 le 14.09.2017 avec : • Clinique à l'entrée : syndrome de la queue de cheval sensitivo-moteur L1/L2 incomplet à nette prédominance gauche • ENMG du 18.10.2017 et du 07.11.2017 : Examen compatible avec une lésion de la queue de cheval à nette prédominance gauche stable. Du côté droit, l'atteinte est plutôt de type myélinique alors qu'à gauche la myographie montre des signes d'une lésion axonale. Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009. Douleurs chroniques avec douleurs neuropathiques des deux membres inférieurs. Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles. Vessie neurogène, sonde sus-pubienne à demeure. Cystocèle et hystérocele stade 2-3. Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne. Volumineuse hernie hiatale. Hypovitaminose D sévère substituée. Obésité avec indice de masse corporelle (IMC) compris entre 30 et 35 kg/m2. Anémie normocytaire normochrome à 113 g/l, d'origine ferriprive et résistante à la substitution de Ferinject sans argument pour une origine urinaire ou gynécologique. Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009. Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles. Vessie neurogène, sonde sus-pubienne à demeure. Cystocèle et hystérocele stade 2-3. Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne. Hypovitaminose D sévère, substituée. Obésité stade 2. Anémie normocytaire normochrome à 113 g/l, d'origine ferriprive et résistante à la substitution de Ferinject sans argument pour une origine urinaire ou gynécologique. Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014) Paraplégie de niveau L3 ASIA A depuis 1990 à la suite d'un accident, vessie neurogène (L3: quadriceps, dermatome à mi-cuisse) Sensibilité préservée partiellement au niveau L1 L2 L3, absente dès L4. Motricité également absente dès L3. Pas de sensibilité ni motricité au niveau sacral. Brûlures bilatérales des jambes au 3ème degré Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec: • Angio-CT du bassin 17.06.15 (Payerne): sub-occlusion des artères fémorales gauches et droites • Débridement chirurgical des ulcères avec mise en place de pansements VAC Presbyacousie? Paraplégie de niveau L3 ASIA A depuis 1990 à la suite d'un accident, vessie neurogène (L3: quadriceps, dermatome à mi-cuisse) Sensibilité préservée partiellement au niveau L1 L2 L3, absente dès L4. Motricité également absente dès L3. Pas de sensibilité ni motricité au niveau sacral. Brûlures bilatérales des jambes au 3ème degré Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec: • Angio-CT du bassin 17.06.15 (Payerne): sub-occlusion des artères fémorales gauches et droites • Débridement chirurgical des ulcères avec mise en place de pansements VAC Presbyacousie? Paraplégie sensitivo-motrice complète par fracture-luxation D5-D6 en 1975 suite à un accident de moto avec: • spasticité • trouble végétatif de la partie inférieure du corps • infections urinaires à répétition, port d'un cystofix Extrasystoles supraventriculaires complexes de haute incidence investiguées cardiologiquement par Dr. X Hémorroïdes Troubles du sommeil Hypercholestérolémie Paraplégie sensitivo-motrice complète par fracture-luxation D5-D6 en 1975 suite à un accident de moto avec: • spasticité • trouble végétatif de la partie inférieure du corps • infections urinaires à répétition, port d'un cystofix Extrasystoles supraventriculaires complexes de haute incidence investiguées cardiologiquement par Dr. X Hémorroïdes Troubles du sommeil Hypercholestérolémie Paraplégie sur: • Fracture D12 reversed Chance avec hématome épidural de T12-L3 le 15.12.2017 • dans le contexte d'une chute le 23.10.2017 • décompression par hémilaminectomie gauche L1-L4, et cyphoplastie de D12 et une spondylodèse cimentée de T11 à L1 le 20.12.2017 • contexte de paraplégie Post-Polio-Syndrom (DD: sur canal lombaire étroit) diagnostiqué en 2002 Paraplégie sur fracture instable de D12 avec recul du mur postérieur et compression médullaire le 27.11.2017 avec décompression par laminectomie T12 et spondylodèse T10-L2 (OP le 27.11.2017) • Fracture pathologique D12 • Lésions ostéolytiques L1 et L5 • Denosumab 60mg s.c. le 27.11.2017 • Pathologie prélèvements osseux (Promed): Positif pour une métastase de tumeur prostatique 05.12.2017 Paraspasticité douloureuse prédominant à gauche, post-opération du dos en 2014 DD: effet secondaire du Crestor (peu probable) Parathyroïdectomie bilatérale inférieure le 17.01.2018 Manovac en aspiration dans les loges de résections du 17.01.2018 au 19.01.2018 Suivi à la consultation du Prof. X le 26.02.2018 à 14 h Suivi à la consultation du Dr. X, endocrinologie, le 29.01.2018 à 8 h15 Parésie de la corde vocale droite post-opératoire Parésie du IVème nerf cranien. DD: accident ischémique transitoire. Parésie du membre supérieur gauche. Parésie du membre supérieur gauche d'origine indéterminée le 10.01.2018. Parésie du quadriceps G à M2 en postopératoire sur probable lésion du nerf fémoral gauche Parésie du quadriceps G à M2 post-opératoire sur probable lésion du nerf fémoral gauche Parésie hémicorps G sur statut post-rupture anévrisme cérébral il y a 7 ans. Parésie hémicorps gauche Parésie MSD parésie MSD, dysarthrie en péjoration parésie MSD, dysarthrie en péjoration parésie MSD, dysarthrie en péjoration Parésie partielle du plexus brachial G avec résolution Parésie récurrentielle gauche post-opératoire Parésie/dysarthrie Paresthésie. Paresthésie des doigts III et V main D d'origine indéterminée Paresthésie des 4 membres spontanément résolutives probablement sur anxiété. Paresthésie du bras gauche. Paresthésie du membre supérieur gauche. Paresthésie intermittente d'origine indéterminée. Paresthésie nerf poplité, sciatique poplité externe. Névralgie contusionnelle post-traumatique. Paresthésies. Paresthésies de l'hémiface gauche et de l'hémicorps gauche. Paresthésies et mouvements involontaires. Parietales hématome des muscle rectus abdominis im Rahmen einer supratherapeutischen Antikoagulation im 06/2017 Multiple kardio-embolische CVIs (04/2015) bei Prophylaxe-Aussetzung (oraler Antikoagulation) CVI im 12/2014 (non-séquélaire) Bactérienne conjonctivite droite am 05.06.2015 Parotidectomie G Parotidectomie. Epistaxis gauche le 19.06.2014 avec déviation septale gauche. NSTEMI sur subocclusion thrombotique du TC distal, sténose de la RCx moyenne et de la 1ère diagonale le 20.05.2016. Coronarographie du 20.05.2016 (Prof. X) : PCI et 2 DES du TC-IVA-Cx (kissing stent) et PCI 1 DES de la diagonale. Parotidite bactérienne DD marantique, une présentation du myélome multiple n'est pas exclue mais peu possible Rhinosinusite aiguë G Parotidite DD: viral, gastro-entérite récente. Paroxysmales Vorhofflimmern unter Marcoumar und Amiodarone 200mg Parsonage Turner épaule droite Parti sans consultation médicale. Parti sans consultation médicale. Partie sans consultation médicale. Pas connue pour des problèmes rénaux. Pas d'antécédents personnels ORL. Status post appendicectomie à l'âge de 20 ans. Status post tonsillectomie à l'enfance. Pas d'amélioration majeure en ce qui concerne la mobilité. Par contre, l'épaule gelée se trouve en phase II. Je propose donc une physiothérapie dans le but de récupérer les amplitudes articulaires. Un prochain contrôle est prévu chez moi dans 3 mois le 26.4.2018. Pas d'anticoagulation (avis angiologique 11/17 vu chronique et risque hémorragique élevé) Pas d'argument clinique pour une urétrite. Ad traitement par antibiotiques type Ciproxine 500 mg 2x/jour pendant 5 jours. Patient appellera le laboratoire dans 48 heures pour les résultats de l'analyse d'urine. Pas d'argument pour une embolie pulmonaire/dyspnée. Poursuite du traitement habituel et contrôle chez le médecin traitant. Pas d'arguments pour invagination: pas de pâleur au moment des crises, pas d'asthénie, pas de masse palpée abdomen souple et indolore, pas de vomissement ni de sang dans les selles, les parents sont informés de venir aux urgences en présence de ces signes/symptômes. Pas d'arguments pour un Kawasaki. Pas d'attitude active de ma part. Le patient va reprendre ses activités sportives. En fonction de l'évolution, on va refaire le point. J'ai programmé un prochain rendez-vous pour le 26.04.2018. Pas d'attitude active de ma part. Vu la bonne évolution, on peut partir du principe que la situation s'est stabilisée telle quelle. Je ne retiens donc pas d'indication opératoire. J'avertis par contre le patient qu'il faudra me recontacter rapidement en cas de péjoration de la fonction de son épaule droite. Je n'ai pas prévu de rendez-vous d'office. Pas d'attitude active de ma part. Je vais adresser le patient en physiothérapie chez Mr. Y pour une bonne rééducation de l'épaule. Je reverrai le patient dans 4 mois le 26.4.2018 pour faire le point. Pas d'attitude active en ce moment. Automobilisation. Prochain contrôle à ma consultation le 11.04.2018. Pas d'attitude active en ce moment. Dans 9 mois le 11.10.2018, on refera le point éventuellement proposer l'AMO ou échange de plaque. Pas d'attitude active en ce moment. De ma part, poursuite d'une auto-mobilisation sans aucune limitation. Poursuite de l'incapacité de travail à 25%. Un prochain contrôle est programmé chez moi pour le 11.4.2018. Pas d'attitude active en ce moment. Mobilisation selon douleurs. Je conseille au patient de faire du stretching. Un contrôle intermédiaire est programmé à ma consultation le 24.05.2018. Pas d'attitude active. Le patient va enlever le Comfeel après 14 jours. Dans le cas où le pansement deviendrait non étanche, il faudra l'enlever et poser des stéristrips avec un pansement normal. Le patient va continuer son traitement de physiothérapie à sec et dans l'eau à partir de la semaine prochaine. Je le reverrai à 6 semaines postopératoires. Prochain rendez-vous le 21.02.2018. Pas d'attitude active pour ma part. J'encourage la patiente à se rendre à la consultation du Dr. X pour un avis spécialisé. Je n'ai pas prévu de nouveau rendez-vous à ma consultation. Pas d'attitude active pour ma part. Par contre, je fais une confirmation auprès de l'armée pour rediscuter l'aptitude au service militaire du patient. Je reste à disposition. Pas d'autres investigations. Pas d'avis ORL au vu de la résolution complète des symptômes. Reconsulte en cas de récidive ou péjoration clinique. Pas de clinique de EP : pas de dyspnée, pas de douleur thoracique, hémodynamiquement stable. Pas de traumatisme, pas de chirurgie, pas d'immobilisation, pas de voyage en avion. ATT : • ad bilan angiologique US doppler : cf. supra et selon consilium d'angiologie. • ad anticoagulation par Xarelto pour 3 mois avec suivi en angiologie +/- traitement des varices. Pas de composante inflammatoire ni ferriprive. Bilan thyroïdien et vitaminique (B9-B12) aligné. Pas d'EPO (HTA). Pas de consigne particulière. RX colonne dorso-lombaire. Pas de contrôle biologique vu amélioration des symptômes. Pas de déficit en fer. Hypovitaminose B9, B12 aligné. Bilan thyroïdien aligné. Pas de déficit en fer. Hypovitaminose B9. Bilan thyroïdien aligné. Pas de déficit en protéine S (71 %, HUG, 24.11.2017) et pas d'autres anomalies du bilan thrombophilique. Pas de dictée, problème informatique. Pas de DRS. Thorax avec élargissement médiastin et signes de surcharge. Trop 18, CK 280. DD dissection, OAP sur pic HTA, bronchoaspiration. Suivi biologique et évolution. Pas de DRS. Thorax avec élargissement médiastin et signes de surcharge. Trop 18, CK 280. DD dissection, OAP sur pic HTA, bronchoaspiration. Suivi biologique et évolution. Pas de fracture visible à la radiographie. Immobilisation à 20 ° avec attelle Jeans. Clexane, cannes. AINS/Dafalgan. Contrôle à une semaine chez Dr. X. Arrêt de travail 1 semaine. Pas de fracture visible à la radiographie. Immobilisation par bande élastique avec charge selon douleur. Dafalgan en réserve. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine si persistance des symptômes, contrôle en policlinique orthopédique. Pas de fracture visible à la radiographie, mais arthrose avancée. Examen clinique rassurant. Anamnèse évocatrice d'une probable crise d'arthrose. Traitement par AINS, antalgie avec Dafalgan et Tramal en réserve. Suite chez le médecin traitant et consultation orthopédique à distance si nécessaire. Pas de laboratoire. Ad Perenterol pendant 5-7 jours. Pas de maladie osseuse. Pas de maladies chroniques. Pas de modification du traitement. Contrôle rapproché prévu en oncologie et proposition de diminuer la dose de diurétiques si persistance. Pas de perte de vision de l'œil gauche, pas de lacération de la cornée, volumineux hématome de l'arcade sourcilière gauche. CT du massif facial : hématome péri-orbitaire pas de composante rétro-orbitaire. Ad suture paupière arcade sourcilière par fils 5.0; retrait des fils à 7 jours chez le médecin traitant. Pas de suture de la paupière inférieure : plaie minime ne nécessitant pas de suture. Pas de radiographie de thorax. Poursuite du traitement symptomatique. Recommandation de contrôle en cas de péjoration clinique. Recommandation de contrôle à 6 semaines pour effectuer une radiographie de thorax chez le médecin traitant. Pas de Reds Flags : pas de traumatisme, pas de fièvre, pas de déficit neurologique. Facteurs déclenchant clairement objectivés. Attitude : • antalgie : par Irfen sous couvert IPP 5 jours + Dafalgan + Sirdalud. • application de chaleur. • consignes de ne pas conduire en cas de prise de Sirdalud. Pas de signe de descellement. Pas de migration des implants. Pas de signe d'infection locale. Poursuite de la physiothérapie avec des drainages lymphatiques. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Pas de signe pour une arthrite ou une crise des gouttes. Contrôle clinique chez son médecin traitant dans 10 jours. En cas de persistance, rediscussion pour un traitement chirurgical avec une prothèse de la hanche gauche. Pas de signes en faveur d'une origine bactérienne (0 critères de Centor). Pas de signes en faveur d'une origine pulmonaire. Dépistage HIV. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Patient invité à reprendre contact d'ici 1 semaine pour les résultats. Pas de soutien respiratoire à l'entrée chez nous. Bilan hydro-urinaire du 18.12 au 27.12.2017. Restriction hydrique du 18.12 au 30.12. Pas de sport durant 1 mois. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 08.01.2018. Le patient sera revu à votre consultation le 11.01.2018 pour contrôle et ablation des fils. Pas de suture. Pas de suture, pas d'exploration car atteinte superficielle. Pas de saignement actif. Pansement simple. Vaccin antitétanique à jour. Suivi de prise en charge chez le médecin traitant. Pas de traitement anti-grippe au vu de la durée des symptômes. Traitement symptomatique. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pas de traitement au vu d'absence clinique. Pas de traitement étiologique pour HSC. Suivi chez le médecin traitant pour des symptômes de reflux. Pas de traitement indiqué. Pas de trouble neurovasculaire. Avis orthopédique : contusion contrôle à 48h chez le médecin traitant ou avant si troubles neurologiques. Attelle velcro et surélévation du membre. Tétanos. Reconsulte si péjoration. Epigastralgies sur AINS ad Pantozol 40 mg pour la durée du traitement AINS. Si épigastralgies stop AINS. Pas d'examen complémentaire. Retour à domicile avec un traitement symptomatique. Pas d'examen complémentaire, au vu de l'absence de symptômes et signes cliniques concernant l'ingestion/aspiration de corps étranger. Consigne de consulter en cas de signes respiratoires. Pas d'examen complémentaire au vu de l'évolution spontanément favorable.Pas d'examen supplémentaire au vu de la symptomatologie. Retour à domicile avec traitement symptomatologique. Reconsulter les urgences ou le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. Pas d'examens complémentaires au vu de l'évolution rapidement favorable, discussion avec le médecin cadre concernant les rares pétéchies, probablement dans un contexte viral, conseil de consulter en cas d'apparition de péjoration cutanée (pétéchies/purpura), hématomes/saignement ou d'aggravation de l'état général. Pas d'examens complémentaires effectués. Pas d'hématome intra-crânien, pas de fracture du crâne au CT du 03.01.2018. Agrafes + 1 point de suture plaie cuir chevelu le 03.01.2018; ablation à J10. Surveillance neurologique. Pas d'hémogloblinopathie, activité pyruvate kinase normale. Pas d'hémogloblinopathie (pas de thalassémie, pas de drépanocytose). Concernant le trait drépanocytaire: n'est pas porteur, il est donc AA (Aarau 19.09.2017). Pas d'indication à une radiographie car : • non déficitaire • non hyperalgique • pas de trouble sphinctérien. Antalgie adaptée. Physiothérapie lombaire posturale. Pas d'indication chirurgicale à la lumière des résultats de la scintigraphie. Prescription de Dafalgan et de Mydocalm. Nous lui conseillons également d'utiliser une ceinture Lombostat étant donné que le test du corset avait permis un bon soulagement. Prochain contrôle dans 3 mois. Pas d'indication chirurgicale au niveau rachidien. Prolongation des séances de physiothérapie pour école du dos et US au niveau de la hanche D. Prescription de Mydocalm pour tenter de détendre la musculature et permettre au patient de mieux se reposer la nuit. Prochain contrôle clinique en avril. Pas d'indication chirurgicale au vu de la bonne évolution radio-clinique. Prescription de physiothérapie en piscine pour décontraction musculaire et renforcement postural. Prochain contrôle radio-clinique fin février, à 2 mois post-traumatisme. Pas d'indication chirurgicale en ce qui concerne la colonne lombaire. On discute des résultats de la RX avec Dr. X et le Professeur Gautier du team hanche qui retiennent, comme il s'agit d'un patient actif malgré les comorbidités, une possible indication à une prothèse totale de la hanche G. Le patient va réfléchir et recontactera le secrétariat pour la décision. Pas d'indication chirurgicale en urgence au vu de l'absence de déficit neurologique. Les douleurs présentées par le patient correspondent au trajet de L4. Nous organisons donc une infiltration foraminale L4-L5 D à but diagnostique et antalgique. Prochain contrôle après ce geste. Pas d'indication chirurgicale en urgence au vu de l'absence de déficit neurologique. Pour essayer de calmer les douleurs dans la cuisse, on décide d'effectuer une infiltration foraminale L4-L5 G sous scanner. On reverra le patient après pour discuter de la suite. Il est encore en arrêt de travail depuis l'AVC. On préconise une reprise à 50% jusqu'au prochain contrôle. Pas d'indication chirurgicale en urgence au vu de l'amélioration progressive sous traitement conservateur. Prochain contrôle dans 3 semaines, à la fin du traitement par corticoïdes pour réévaluer la situation. En cas de persistance des douleurs, nous organiserons une infiltration sous CT. Pas d'indication chirurgicale en urgence. Comme les images datent du mois de septembre et que la clinique a changé, on décide de réeffectuer une nouvelle imagerie avec une IRM lombaire. En attendant, on prescrit 10 jours de corticoïdes avec des myorelaxants et protection gastrique. On reste à disposition. Pas d'indication chirurgicale en urgence. On conseille un arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. On organise, au vu de la persistance des douleurs depuis 6 semaines, une infiltration scanno-guidée du foramen L3-L4 à D. Nous reverrons le patient pour évaluer l'évolution. Pas d'indication chirurgicale en urgence. Prescription d'un schéma de corticoïdes sur 10 jours. Mme. Y a prochainement rendez-vous chez un neurologue et un 2ème avis neurochirurgical est prévu. Prochain contrôle à la fin du mois de janvier pour faire le point sur la situation et éventuellement discuter d'une herniectomie L4-L5 D. Pas d'indication chirurgicale. On prescrit du Valium 5 mg le soir pour détendre la musculature et améliorer le repos. On prie le service de rhumatologie de convoquer la patiente pour écarter la présence d'une fibromyalgie. On reste à disposition. Pas d'indication chirurgicale pour cette patiente au vu de l'absence de lésion post-traumatique. En ce qui concerne les douleurs au niveau du rachis cervical, on propose un traitement conservateur avec de la physiothérapie pour école du dos, rebalancement postural. On prescrit également du Mydocalm à prendre le soir durant 3 semaines. Nous restons à disposition mais ne prévoyons pas de prochain contrôle. Pas d'indication chirurgicale. Prescription de patchs chauffants et d'essence de Genévrier pour massages. Nous restons à disposition au besoin mais ne prévoyons pas de contrôle d'office. Pas d'indication clinique à une radiographie. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Pas d'indication pour des examens complémentaires. Traitement symptomatique par Irfen et spray nasal. Pas d'indication pour une RX. Reconsulter si boiterie ou autre symptôme. Pas d'opération récente. Pas d'antécédent de thrombophilie dans le passé. Pas d'urgence chirurgicale pour cette patiente au vu de l'absence de déficit neurologique. Prescription d'un traitement de Cortisone sur 10 jours avec protection gastrique. Nous organisons également une infiltration foraminale L5-S1 G sous CT afin de tenter de diminuer l'inflammation du nerf L5, coincé par la sténose foraminale. Prochain contrôle pour discuter de l'évolution. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas fait aujourd'hui. Pas réalisé aujourd'hui. Passage au soins de confort le 09.01.18. Passage bref en fibrillation auriculaire lente le 30.01.2018. Passage de calcul biliaire avec cholangite débutante le 08.07.2016. OH chronique. Diabète. Passage en fibrillation auriculaire rapide dans le contexte de l'OAP récidivant le 07.01.2018. Passage en fibrillation auriculaire rapide le 04.01.2017. • conversion au rythme sinusal spontané • CHADS Vasc 1 point. Passage oeso-gastro-duodénal: tant au liquide qu'au solide on retrouve après mastication, une bonne initialisation de la déglutition avec surélévation conservée du voile du palais. Propulsion du bol alimentaire. Surélévation de l'os hyoïde et abaissement de l'épiglotte conservés. Bonne protection des voies aériennes supérieures sans fausse route. Franchissement aisée de la bouche œsophagienne sans argument pour une hypertonie du sphincter cricoïdien. Pas de diverticule de Zenker. Progression rapide du bol alimentaire le long de l'œsophage. Pas d'onde tertiaire. Pas d'irrégularité pariétale ou d'argument pour une compression extrinsèque. Franchissement aisée du cardia. Pas de reflux objectivé lors de l'examen. Franchissement du pylore et opacification rapide du cadre duodénal. Angle de Treitz dans l'hypocondre gauche. CONCLUSION: opacification œsophagienne sans argument pour une sténose, un trouble de motilité ou un diverticule visible. (Dr. X).Pat in gutem AZ, afebril mit blandem Labor und UST und fehlenden red flags mit persistierenden krampfartigen Unterbauchschmerzen. Zum ZP der Untersuchung sehen wir keine Indikation für eine Notfall-CT und empfehlen vorerst eine symptomatische Therapie mit Buscopan, Novalgin und Dafalgan mit Wiedervorstellung bei Zustandsverschlechterung. Calprotectin ausstehend und bei hoch positivem Ergebniss empfehlen wir Durchführung einer Koloskopie. Pat in gutem AZ, afebril mit komplett unauffälligem Neurostatus. Pat in gutem AZ, afebril mit stattgehabtem viralem Infekt der OLW. Aktuell trockener Reizhusten und beginnende Symptome einer Sinusitis. Kein purulenter Nasensekret. Der Pat plant ein Aufenthalt in einer Berghütte für 1 Woche und ist daher besorgt, ob es mit der Sinusitis gut gehe. Der Befund zum aktuellen ZP lässt sich noch mit dem Beginn einer Antibiotikatherapie abwarten. Aufgrund von einem Aufenthalt im Region mit schwer zugänglicher Zivilisation ein Rezept für Antibiotika ausgehändigt. Das Procedere mit dem Pat besprochen. Pat in gutem AZ bei St.n. 2-maligem Epistaxis in 48h. Aktuell keine aktive Blutung. Pat wirkt motorisch unruhig, autopersonell orientiert, sonst unscharf orientiert, s.w. i.R. der bekannten Demenz. Im Labor zeigten sich unauffällige Entzündungsparameter, Hämatogramm und Elektrolyten. Bei beschwerdefreier Pat könnte sie zurück ins Beaulieu entlassen werden. Sie wurde von der Fahrdienst abgeholt. Pat in gutem AZ mit deutlichen Miktionsbeschwerden wie Pollakisurie, Nykturie und Algurie, Fieber bis 38.6, Leukozyturie, Bakteriurie und erhöhten Entzündungsparameter (CRP 109, Leuk 27.6), klinisch fiel eine klopfempfindliche Nierenloge rechts>links und leichte Druckdolenz im Unterbauch auf. Wir gehen von einem Pyelonephritis aus, beginnen antibiotische Therapie mit Ciproxin 500mgx2 für 7 Tage und empfehlen im Verlauf eine Konsultation bei einem Urologe. Diese ist am 09.01.2018 bereits vorgesehen bei Dr. X. Pat in gutem AZ mit nach der langen Sitzreise aufgetretenen Wadenschmerzen rechts. Anamnestisch rezidivierende TVT, bis zum 07.2018 unter Xarelto. Trotz normalen D-Dimeren bei rezidivierende TVT in der Anamnese, dem klinischen Verdacht auf eine TVT rechts beginnen wir Xarelto 15mgx2. Am 08.01. kommt der Patient für eine Dopplersonographie mit anschliessender Besprechung und Reevaluation der Indikation für Xarelto. Pat in gutem AZ mit selbstlimitierenden stechenden retrosternalen nächtlichen Schmerzen (ohne Belastung) mit leicht positivem Troponin T und unauffälligem EKG. Während der Überwachung auf der Permanence blieb die Pat hämodynamisch stabil. Troponin T zeigte nach 3 Std keine Dynamik und EKG blieb ebenfalls stabil. Pat in gutem AZ mit starken Schluckbeschwerden ohne Fieber, ohne grippalen Symptomen. Obschon Schnell-Streptest negativ auffiel entschieden wir uns anhand der klinischen Symptomen für eine antibiotische Therapie. Pat in gutem AZ, mit trockenem Husten seit 4 Tagen, afebril, labor-chemisch leichter CRP-Anstieg bis auf 54 mg/l ohne Leukozytose und ohne Linksverschiebung, radiologisch unauffälliger Befund. Klinisch unauffällige Auskultation. Bei Pat mit hohem Krankheitsgefühl entschieden wir uns für ein Beginn der antibiotischen Therapie mit Klacid 500mgx2 für 7 d. Pat in gutem AZ mit wiederholtem Erbrechen und Diarrhoe seit 2 Tagen, afebril. Labor-chemisch zeigten sich keine erhöhten Entzündungsparameter und keine Elektrolytenstörungen. Unter Ringerlactat und Primperan verbesserte sich der Zustand der Patientin rasch. Sie könnte nach Hause entlassen werden. Pat in leicht reduziertem AZ, immobilisierenden Schmerzen und Steifigkeit in den Schultern und Becken/Oberschenkel symmetrisch seit 2 Wochen zunehmend. Afebril. Im Labor zeigten sich erhöhte Entzündungsparameter CRP 29, leuk 12.1. Da die Pat alleine wohnt, nach Rücksprache mit der Patientin, empfehlen wir eine Kurzhospitalisation. Pat in leicht reduziertem AZ mit ausgeprägtem Krankheitsgefühl, Fieber seit 4 d und grippalen Symptomen seit ca. 1 Woche. Im Rx Thorax zeigte sich eine Transparenzminderung an der Grenze Oberlappen links, leicht erhöhte Entzündungsparameter. Wir entschieden uns in Angesicht der Krankheitsdauer, dem reduzierten AZ und Rx Thorax-Befund zu Beginn der antibiotischen Therapie. Pat mit in der Nacht aufgetretenem Taubheitsgefühl in der rechten Gesichtshälfte, spontan regredient nach 1.5 Std, zeigte auf der Permanence bereits einen unauffälligen Neurostatus bei unauffälligem CT Schädel. CVRF ausser Raucherin keine. Nach Rücksprache mit DAe Neurologie, Inselspital, empfehlen wir Beginn mit der Sekundarprophilaxe mit Aspirin cardio und Atorvastatin, zudem 7d-Holter EKG 3x, Echokardio und im Verlauf Kontaktaufnahme mit einem Neurologe und Durchführung eines MRI Schädel. Pat wurde genäht unter LA, Verband sollte täglich gewechselt werden. Fadenentfernung in 14 Tagen im Bellechasse. Patient a déjà eu 5 épisodes de syncopes légers avec des paresthésies et hypoesthésies passagères à deux épisodes des syncopes et il n'y a jamais eu d'investigation des symptômes. Patient adressé en filière 34. Patient adressé en ORL pour extraction du CE. Patient adressé par Dr. X en raison des soins impossibles à domicile et état de santé fragile. Patient adressé par Dr. Y pour dyspnée. Patient adressé par la permanence de l'HFR Meyriez en raison d'une douleur aiguë et impotence fonctionnelle de l'épaule D avec état fébrile. Le patient se plaint depuis 1 mois de douleurs progressives de l'épaule D, sans notion de traumatisme. A noter une griffure de lapin à l'avant-bras D 4 semaines auparavant avec bonne guérison. Une ponction articulaire de l'épaule D est réalisée aux urgences le 13.10.2017 ramenant un liquide purulent. Une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. est instaurée. Le 14.10.2017, le patient est pris au bloc opératoire pour une arthroscopie, débridement articulaire, biopsies et rinçage épaule D. Les biopsies reviennent positives pour un Staph. aureus, les hémocultures sont également positifs pour le même germe. Le diagnostic d'arthrite septique à Staph. aureus est posé. Selon ordre des infectiologues, le traitement antibiotique est adapté avec introduction de Floxapen 2 g 4x/j i.v. dès le 14.10.2017. Au vu de la bactérémie à Staph. aureus visualisée sur les hémocultures avec un état fébrile de 2 à 3 jours ayant suivi les douleurs, une échocardiographie ETT est réalisée le 16.10.2017 ne permettant pas de diagnostiquer une endocardite. Reprise au bloc opératoire le 16.10.2017 pour un second look avec rinçage, prélèvements, débridement du cartilage et acromioplastie épaule D. Les prélèvements reviennent à nouveau positifs pour un Staph. aureus. Le 18.10.2017 nouveau débridement, ablation de la tête humérale, implantation d'un spacer et de pellets à la Vancomycine épaule D. Poursuite de l'antibiothérapie par Floxapen.Le 23.10.2017, pose d'une PICC-Line pour l'antibiothérapie i.v. Durant l'hospitalisation, nous notons une hypokaliémie persistante traitée par substitution i.v. et p.o. ainsi que par des TA élevées. Un consilium de médecine interne est demandé (cf annexe) et un traitement par Coversum et Aldactone est introduit. L'évolution des TA et de la kaliémie est satisfaisante. La plaie opératoire épaule D évolue favorablement. Le 08.11.2017, absence de signes infectieux ou de douleurs épaule D. En accord avec les infectiologues, le Floxapen i.v. est stoppé et remplacé par la co-amoxicilline 1 g 2x/j p.o. pour encore 3 semaines. Retour à domicile le 08.11.2017. Patient adressé par le RFSM de Marsens, pour des douleurs thoraciques. Patient adressé par MT pour dyspnée/onde T négative sur ECG. Patient adressé par MT pour dyspnée/onde T négative sur ECG. Patient âgé de 63 ans, connu pour un diabète type II non insulino-requérant et pour un tabagisme actif, qui se présente aux urgences pour une dyspnée en péjoration, associée à une toux et des expectorations jaunâtres depuis 3 jours. Le patient ne relate pas d'état fébrile ni de frissons. Il est dyspnéique avec une saturation à 87% AA, tachypnéique à 28/min et fébrile à 38°C. L'auscultation pulmonaire révèle des râles basaux droits, sans sibilance. Le reste du statut est dans la norme. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 100 mg/l et une leucocytose à 13.9 G/l. À la gazométrie, on constate une hypoxémie à 7.2 kPa sans hypercapnie. La radiographie de thorax révèle une discrète infiltration bronchitique basale droite. Nous retenons une pneumonie basale droite comme diagnostic et instaurons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. Les antigènes urinaires reviennent négatifs pour Legionelle et Pneumocoque. Les hémocultures reviennent également négatives. La culture d'expectorations revient positive pour Stenotrophomonas maltophilia. Nous poursuivons l'antibiothérapie per os par Co-amoxicilline 1 g 2x/jour jusqu'au 01.01.2018. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique sous antibiothérapie, Monsieur Y peut retourner à domicile le 28.12.2017. Patient âgé de 68 ans, connu pour une cirrhose Child C, est amené par ambulance aux urgences le 25.12.2017. Sa soeur habitant au Danemark, n'avait pas de nouvelles de son frère depuis quelques jours; elle fait appel à la police qui, une fois sur place, retrouve un patient avec un état général très diminué et fait venir les ambulanciers. Aux urgences, Monsieur Pihl relate des douleurs au niveau des membres inférieurs (G>D) depuis 3 mois, surtout à la marche. Il ne présente pas d'état fébrile ni de frissons. Depuis 3 jours, il se mobilise à l'aide d'une chaise. Patient en état général diminué. Il ne rapporte pas de dyspnée, pas de douleur rétrosternale, pas de douleur abdominale ni de déficit sensitivomoteur. Membres inférieurs œdématiés, rouges, chauds et suintants, mais le patient ne peut nous dire depuis quand. Pas de notion de chute. À noter un patient ictérique depuis 1 1/2 ans. À l'admission, TA 139/82 mmHg, FC 112/min, température 37.5°C, saturation O2 94% AA. Patient en état général diminué, hygiène négligée. Cardiovasculaire : B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Pas de turgescence jugulaire, œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux cuisses des deux côtés. Signe de Homans négatif des deux côtés. Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique, sans râles ni sibilance. Digestif : abdomen distendu, indolore, sans défense ni détente. Bruits abdominaux diminués en fréquence et en tonalité. Percussion avec matité, ombilic déplissé. Urogénital : loges rénales souples et indolores. Neurologique : patient peu collaborant, orienté dans les 3 modes, pas de signe de latéralisation ni de trouble sensitivomoteur. Cutané : douleur au niveau des 2 membres inférieurs tuméfiés, rouges, chauds et suintants. Pas d'intertrigo. Les examens de laboratoire révèlent une insuffisance hépatique avec hyperbilirubinémie à 310 mcmol/l, hypo-albuminémie, trouble de la crase avec TP spontané à 22% et thrombopénie à 70 g/l, hyponatrémie normo-osmolaire, léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 53 mg/l. La RX du thorax montre un épanchement pleural de faible abondance à droite plus qu'à gauche, sans foyer visible. Nous retenons le diagnostic de décompensation ascitique et ictérique sur cirrhose Child C. En raison de la présence importante d'ascite, une paracentèse est indiquée mais, face à des troubles importants de la crase, nous renonçons à ce geste. Toujours aux urgences, en raison de la perturbation de la crase et d'une thrombopénie, nous administrons du Konakion 10 mg iv et demandons 2 flacons de plasma pour une perfusion agendée au 26.12.2017. Puis le traitement pour cirrhose décompensée est instauré et le patient est admis dans le service de médecine pour la suite de la prise en charge. Un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée (erysipèle versus PBS) se développe, pour lequel nous débutons un traitement empirique par Ceftriaxone, en attendant les résultats microbiologiques. Le 25.12.2017 à 21h15, nous retrouvons Monsieur Pihl décédé dans son lit. La famille est informée (Dahl Margarita, soeur). Une autopsie n'est pas souhaitée. Patient âgé de 85 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, adressé aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant (Dr. X) en raison d'une dyspnée de stade III, d'installation rapidement progressive depuis 3 jours, associée à des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux, sans orthopnée ni dyspnée paroxystique nocturne. Il n'y a pas de toux ni de fièvre, ni de douleurs thoraciques. Le bilan sanguin effectué par son médecin traitant montre un NT-proBNP à 7355 pg/ml et des troponines à 117 (quantitatif). À l'arrivée aux urgences, Monsieur Tercier est dyspnéique avec un pic tensionnel à 226/107 mmHg, associé à des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux remontant jusqu'au dessous des genoux, sans autre signe d'insuffisance cardiaque. Un laboratoire est prélevé et montre une hyperleucocytose à 15.5 G/l, sans CRP, une insuffisance rénale à 306 umol/l, une hyperkaliémie à 6.2 mmol/l et des troponines à 100 à H0 puis à 99. À la radiographie du thorax, on retrouve des signes de décompensation cardiaque avec des lignes de Kerley, sans épanchement pulmonaire. Devant ces signes de décompensation cardiaque, un traitement diurétique iv par Lasix 3 x 40 mg est introduit. L'hyperkaliémie est traitée par Resonium et gluconate de calcium en dose unique. Enfin, l'hypertension artérielle est traitée en PSE par nitroglycérine 1 mg/h (début à 19h30) avec une bonne évolution tensionnelle (TAS passant de 226 à 190 mmHg). Monsieur Tercier est ensuite admis dans le service de médecine interne pour poursuite de la prise en charge. Lors de son séjour, le patient n'a pas représenté de signes de décompensation cardiaque. La TA est élevée le matin avant la prise des médicaments (autour de 160/100 mmHg) mais se normalise dans la journée. La kaliémie est dans la norme, restant stable. Sur le plan médicamenteux, le Torem a été augmenté à 30 mg devant une prise de poids durant le séjour. A noter que le dimanche 24.12.2017, Monsieur Tercier a quitté l'hôpital pour revenir le soir, sans notre accord et sans nous en informer. Il n'a pas non plus pris les médicaments. La compliance médicamenteuse est à surveiller chez ce patient. Nous vous proposons de contrôler la créatininémie qui est en augmentation chez ce patient connu pour une insuffisance rénale chronique stade III, ainsi que les électrolytes (la kaliémie étant légèrement élevée à 5.1 mmol/l le jour de la sortie). Monsieur Tercier peut retourner à son domicile le 28.12.2017. • Patient amené en ambulance avec tube endotrachéal suite à un ACR et AESP. Suite à la confirmation des souhaits du patient avec le Dr X, au vu de la situation et avec l'accord de la compagne du patient, nous extubons le patient et passons en soins de confort. • Patient avec probable gastro-entérite et avec une absence de syndrome inflammatoire au laboratoire et des tests hépatiques dans les limites de la norme, nous proposons un contrôle clinique et biologique à 48 heures à notre consultation. Jusque là, nous proposons un traitement symptomatique. • Patient avec un panaris sans complication, nous proposons de continuer avec le même protocole avec les bains à faire minimum 6x/jour. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. • Patient connu pour des lombo-sciatalgies suivi en consultation team spine qui a bénéficié le 09.01.2018 d'une infiltration de l'articulation facettaire L5-S1 bilatérale sous scopie. Injection sans complication de 9cc de Ropivacaïne et de 1mg de Dépo-Medrol de chaque côté. Suite à l'injection, le patient développe une anesthésie de la partie distale des MI ddc jusqu'à mi-tibia avec une très forte instabilité l'empêchant de tenir debout. Le patient est donc hospitalisé en orthopédie pour surveillance. Un CT scanner ne montre pas de fracture, pas d'hématome. L'évolution est favorable avec une régression des symptômes et absence des douleurs. Mobilisation par physiothérapie et indépendant. Le patient rentre à domicile le 11.01.2018. Avant la sortie, il présente une légère hyposensibilité L5/S1 bilatérales sans troubles musculaires, sans déficit sphinctérien. • Patient connu pour un carcinome de l'œsophage cT3 cN3 M1 stade IVc métastatique au niveau hépatique avec pour complications plusieurs épisodes de cholangite sur obstruction ayant bénéficié de la pose de 2 stents dans les voies biliaires. Monsieur présente depuis fin décembre une baisse de l'état général avec des épisodes de fièvre. À la consultation d'oncologie le 03.01.18, le bilan paraclinique met en évidence une récidive de cholangite, raison pour laquelle il est mis sous antibiothérapie par Ciprofloxacine et Metronidazole du 3 au 8 janvier. Le laboratoire du 8 janvier met en évidence une aggravation de la cholestase et du syndrome inflammatoire. Les hémocultures réalisées reviendront positives pour un E. coli multi-résistant. Une antibiothérapie, d'abord par Imipenem du 08.01 au 10.01 puis par Ertapenem du 10.01 au 14.01.2018 amène à une nette amélioration. Au vu de cet épisode d'infection à ESBL, en cas de récidive, le patient devra bénéficier d'emblée d'un traitement couvrant les germes multirésistants. Au vu d'une hémoglobine à 84g/L, nous décidons de transfuser 1 culot érythrocytaire le 10.01.2018. Du point de vue de la maladie oncologique, un traitement de chimiothérapie palliative sera mis en place par le service d'oncologie de l'HFR (Dr X). Le patient sera convoqué pour un nouveau rendez-vous en ambulatoire. Nous discutons également des désirs de prise en charge du patient et remplissons avec Monsieur Perriard un formulaire de directives anticipées avec pour instruction d'éviter un acharnement thérapeutique. Ainsi, Monsieur Perriard ne désire notamment pas être réanimé en cas d'arrêt cardiaque. Le patient désirant rentrer à domicile le vendredi 12.01.2018, l'antibiothérapie est organisée avec les soins à domicile par son médecin traitant et un rendez-vous de contrôle chez son médecin traitant est prévu le 15.01.2018. • Patient, connu pour une maladie de Parkinson, qui a perdu l'équilibre et fait une chute dans les escaliers d'environ 20 marches le 26.12.2017 avec traumatisme crânien occipital avec une plaie ouverte, sans perte de connaissance. Aux urgences, le patient a été surveillé pendant quelques heures, a été suturé au niveau de sa plaie, et a bénéficié d'un CT cervical et cérébral qui ne montre pas de fracture ni de saignement. Le labo ne met pas de particularité en évidence hormis une légère anémie et légère hyponatrémie qui se corrigent par la suite, de même qu'une insuffisance rénale avec une créat à 108 mcmol/l qui se corrige également par la suite. Monsieur Gerber est connu pour un Parkinson depuis 6 mois, suivi par son médecin traitant. Un traitement de Madopar a été introduit il y a 6 mois à 125 mg (0.5 cpr 3x/j) et augmenté il y a 3 mois à 125 mg 3x/j. Monsieur Gerber se plaint de troubles de l'équilibre péjorés depuis 2-3 semaines et sa femme décrit également une marche en traînant des pieds ces derniers temps. Nous demandons un avis auprès de nos collègues neurologues qui proposent de majorer le traitement de Madopar à 250 mg sous forme retard et d'effectuer un bilan neuropsychologique à distance. Lors de son séjour, le patient présente des petites mictions et également une incontinence urinaire, ce qui motive une échographie des voies urinaires et qui montre des reins de taille et de configuration normale, sans dilatation pyélocalicielle visible, le rein droit mesurant 90 mm de grand axe et le gauche 96 mm. La prostate est de taille conservée (20 cc), sans argument pour une vessie de lutte. Un épisode d'état fébrile a été remarqué, sans le syndrome inflammatoire notable et sans piste claire pour une origine infectieuse. Nous n'effectuons pas d'investigation supplémentaire au vu de l'absence de nouvel épisode. Au vu d'une mobilité réduite et d'un appartement non adapté avec des travaux en cours, un retour à domicile n'est pas faisable à la fin de son séjour à l'hôpital et nous convenons à un transfert à l'UATO le 03.01.2018 avant un retour à domicile. • Patient de 13 ans, admis aux soins intensifs le 08.01.2018 suite à une récidive de tachycardie ventriculaire soutenue pauci-symptomatique (palpitations). L'évolution est rapidement favorable après cardioversion médicamenteuse par Cordarone iv bolus (300mg), avec retour de suite en sinusal. La Cordarone est poursuivie en iv continu sur la nuit, sans récidive de TV. Dans l'intervalle et sur avis cardiologique, le traitement par Metoprolol 37.5mg 2x/j po, qui est bien toléré. Le 09.01.2018 en matinée, au retrait du venflon, il présente un malaise vagal avec lipothymie, bradycardie transitoire et pâleur, d'évolution spontanément rapidement favorable. Un rendez-vous de contrôle est prévu à la consultation du Dr X le 24.01.2018 à Insel. Un certificat de dispense de sport dans l'intervalle lui est transmis. • Patient de 15 ans, victime ce jour d'un accident de voie publique, patient est percuté par une voiture qui roulait à une vitesse de 40 km/h, alors qu'il était sur un passage piéton, la voiture l'a percuté sur les jambes, puis le patient a fait une chute avec réceptions sur les mains puis a tapé la tête, pas de perte de connaissance, le patient se souvient du déroulement des événements, pas de nausée ni de vomissement. Il a pu faire quelques pas. Le patient rapporte une perturbation de la vision à droite.Patient conscient, Glasgow à 15, Bon état général, BHBP. Cardio : Normocarde, B1B2 bien frappé, pas de souffle. Resp : Eupnéique, pas de signe de SDR, murmure vésiculaire symétrique, pas de bruits surajoutés, pas de foyer. Palpation du sternum et de la cage thoracique est indolore. Abdomen : souple, indolore, pas de défense ni de détente. Loges rénales libres. Neuro : Alerte, bon contact, pupilles iso iso, NC sp, testing des muscles oculomoteurs dans la norme, pas de déficit sensitivomoteur, pas de trouble de la coordination. OA : examen du bassin indolore, mouvements passifs et actifs des hanches indolores et les amplitudes articulaires complètes, patient décolle les talons du plan du lit. Palpation des vertèbres dorso-lombaires indolore, palpation de vertèbres cervicales à hauteur de C5-C6 déclenche des douleurs. L'examen ostéo-articulaire est dans la norme. ORL et face : énorme hématome de la paupière supérieure droite, hématome de la lèvre supérieure, palpation de la face déclenche des douleurs au niveau du pourtour du cadre orbitaire droit, pas de crépitation ou de touche de piano. Mouvement de la mâchoire dans la norme. Examen de la dentition et de la langue est dans la norme. Pas d'hématotympan. Ophtalmo : paupière droite avec énorme hématome, après une deuxième évaluation, le patient ne signale pas de trouble de la vision à droite. Patient de 18 ans admis pour un état confusionnel aigu dans le contexte d'engelures des 4 membres et d'une rhabdomyolyse. Il s'agit d'un patient d'origine marocaine sans domicile fixe en errance selon ses dires depuis presque deux ans en Europe, qui est retrouvé le 19.01.2018 en train de dormir dans une buanderie par des habitants de l'immeuble. Selon ses dires, il serait en train d'essayer de rejoindre la Belgique à pied et aurait marché dans la neige depuis plusieurs jours. La police est avertie qui amène le patient aux urgences. À l'admission, il est confus et agité, voulant quitter l'hôpital. Il présente une tuméfaction douloureuse des 4 extrémités et le bilan sanguin montre une rhabdomyolyse avec des CK à >10'000 U/L. Les tuméfactions des pieds et des mains sont compatibles avec des engelures avec un risque de syndrome des loges. La pression des loges est mesurée au niveau des pieds à la limite supérieure de la norme. En raison de douleurs importantes des membres inférieurs avec augmentation de la pression des loges, nos collègues de l'orthopédie procèdent à une fasciotomie bilatérale au niveau des pieds. La rhabdomyolyse se corrige sous hydratation sans trouble électrolytique ni insuffisance rénale. Le patient parle uniquement un dialecte marocain. Il présente initialement un état d'agitation sur non-compréhension de la situation et douleurs. Par la suite, il reste peu coopératif surtout pour faire le suivi biologique. Les plaies sont contrôlées avec changement des pansements par les orthopédistes le 22.01.2018. Le patient est enregistré dans un centre d'accueil à Lucerne qui attend son arrivée depuis une semaine. Au vu de l'évolution favorable, le patient peut être transféré à l'étage. Étant donné son enregistrement en tant que réfugié dans le Canton de Lucerne, nous prenons contact avec le Luzerner Kantonsspital pour transférer le patient à l'étage d'orthopédie. Le Dr X (orthopédiste) est avisé du transfert. Patient de 21 ans admis aux soins intensifs pour une myopéricardite le 24.01.2018. Monsieur X avait initialement consulté les urgences en raison d'une odynodysphagie associée à des douleurs thoraciques le 20.01.2018. Un diagnostic d'angine avait été retenu et le patient mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Clindamycine. Les douleurs thoraciques avaient été classées comme d'origine psychogène au vu de l'absence de troponine avec un ECG normal et d'un antécédent de douleurs identiques en 2015 suite au décès du père du patient. Le patient reconsulte le 23.01.2018 en raison d'une récidive de douleurs thoraciques, mise sur le compte d'une crise d'angoisse. Il consulte à nouveau le 24.01.2018 pour des douleurs thoraciques oppressives gauches avec irradiation dans l'épaule gauche. L'anamnèse est initialement très difficile en raison d'une crise d'hyperventilation, qui répond rapidement à du Temesta et de la morphine. Le patient présente cette fois une forte élévation des enzymes cardiaques, des modifications à l'ECG, ainsi qu'une légère hypokinésie inférieure à l'échocardiographie. Un diagnostic de péri-myocardite est retenu. Le patient est admis aux soins intensifs pour surveillance rythmique et hémodynamique. Le suivi des enzymes cardiaques montre initialement une fluctuation des CK. Dans ce contexte, le traitement d'AINS débuté est rapidement interrompu au vu de l'atteinte plutôt myocardique avec un risque plus élevé d'insuffisance cardiaque post-myocardite sous traitement d'AINS. Au vu de la stabilité hémodynamique, de l'absence de trouble du rythme et des CK à la baisse, le patient peut être transféré le 26.01.2018 en médecine interne pour la suite de la prise en charge. À noter que le traitement de Clindamycine pour une angine érythémato-pultacée a été poursuivi. Un lien de causalité entre l'angine et la péri-myocardite ne peut pas être exclu au vu de la cinétique d'apparition des symptômes. L'antalgie est progressivement contrôlée par Paracétamol et Oxynorm. Un suivi cardiologique est organisé chez le Dr X le 26.02.18 ainsi qu'une IRM cardiaque à Riaz le 08.02.2018. Le patient est informé qu'il ne doit pas pratiquer de sport de manière stricte dans les six prochains mois. Nous vous laissons réévaluer la durée et le pourcentage de l'arrêt de travail chez ce jeune patient en bâtiment. Patient de 21 ans admis aux soins intensifs pour une myo-péricardite le 24.01.2018. Mr X avait initialement consulté les urgences en raison d'une odynodysphagie associée à des douleurs thoraciques le 20.01.18. Un diagnostic d'angine avait été retenu et le patient mis au bénéfice d'une antibiothérapie par Clindamycine. Les douleurs thoraciques avaient été classées comme d'origine psychogène au vu de l'absence de troponine et d'un antécédent de douleurs identiques en 2015 au décès du père du patient. Le patient reconsulte le 23.01.18 en raison d'une récidive de douleurs thoraciques, mise sur le compte d'une crise d'angoisse. Il consulte à nouveau le 24.01.2018 pour des douleurs thoraciques oppressives gauches, respiratoires et position dépendantes, avec légère irradiation dans l'épaule gauche. L'anamnèse est initialement très difficile en raison d'une crise d'hyperventilation, qui répond rapidement à du Temesta et de la morphine. Le patient présente cette fois une forte élévation des enzymes cardiaques, des modifications à l'ECG, ainsi qu'une légère hypokinésie inférieure à l'échocardiographie. Un diagnostic de péri-myocardite est retenu. Le patient est admis aux soins intensifs pour surveillance rythmique et hémodynamique. Un traitement anti-inflammatoire par Ibuprofen est débuté associé à une antalgie simple par Paracétamol et Morphine. Le suivi des enzymes cardiaques montre une fluctuation des CK. Dans ce contexte, un traitement d'AINS est débuté mais rapidement interrompu au vu de l'atteinte plutôt myocardique avec un risque plus élevé d'insuffisance cardiaque post-myocardite sous traitement d'AINS.Au vu de la stabilité hémodynamique, de l'absence de trouble du rythme et de CK à la baisse, le patient peut être transféré le 26.01.2018 en médecine interne pour suite de la prise en charge. Nos collègues cardiologues proposent un suivi cardiologique à un mois, ainsi qu'une IRM cardiaque dès que possible, qui restent à organiser. A noter que le traitement de Clindamycine pour une angine érythémato-pultacée a été poursuivi pendant le séjour aux soins intensifs. Un lien causal entre l'angine et la péri-myocardite ne peut pas être exclu au vu de la cinétique de l'apparition des symptômes. Patient de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences suite à l'apparition d'un ralentissement de la parole depuis le 29.12.2017, avec recherche du mot et désorientation passagère. Il explique une probable gastro-entérite depuis le 28.12.2017, avec diarrhées et état fébrile, en amélioration depuis hier. Il ne relate pas de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance, pas de prise de drogues. Il ne décrit pas de vertiges, pas de trouble sensitivo-moteur, ni de nausées ou de vomissements. A l'examen clinique d'entrée, patient en bon état général, légèrement déshydraté, bien perfusé, anictérique sans cyanose, hémodynamiquement stable, afébrile. Sur le plan neurologique, patient collaborant, orienté dans les 3 modes. Pupilles isocores et iso-réactives. Nerfs crâniens grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Mingazzini aux membres supérieurs tenu, sans pronation. Force, tonus et sensibilité conservés aux 4 membres. Réflexes ostéotendineux vifs et symétriques aux 4 membres. Epreuves cérébelleuses : doigt-nez normal, talon-genou normal, pas d’adiadococinésie. Unterberger normal sans augmentation du polygone de sustentation, Romberg négatif. Pas de méningisme. Dénomination normale, répétition normale, exécution d'ordres complexes normale, compréhension normale, fluence verbale ralentie. Pas de paraphasie. Nous effectuons un CT cérébral qui se révèle normal. Un avis neurologique est demandé au Dr. X qui propose une ponction lombaire afin d'exclure une méningite. L'examen se révèle sans particularité. Monsieur Y est hospitalisé en médecine pour surveillance. Il quitte notre service pour se rendre à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour un EEG organisé pour 11h, suivi d'une consultation auprès du Dr. X, neurologue. Patient de 31 ans admis aux soins intensifs le 17.01.2018 en raison d'une pneumonie acquise en communauté avec ARDS sévère, choc septique réfractaire et défaillance multi-organique associés. Il présente un état fébrile traité par co-amoxicilline en ambulatoire dans les 48 heures précédant son admission. Le 16.01.2018, il consulte aux urgences à Riaz suite à un malaise avec traumatisme crânien simple. Un CT cérébral met en évidence une fracture de l'os du nez et permet d'exclure une hémorragie intracrânienne. Devant un état septique avec tachycardie à 170/min, compliqué par un état d'agitation, le patient est transféré aux soins intensifs à Fribourg pour une suite de prise en charge. A son arrivée, il présente une insuffisance respiratoire sévère avec une hypoxémie majeure malgré une ventilation non invasive, motivant une intubation oro-trachéale. Le geste est effectué sans complication. L'évolution est rapidement défavorable, avec persistance d'une hypoxémie sévère réfractaire malgré une sédation profonde et une curarisation continue. Il développe parallèlement une instabilité hémodynamique majeure avec des besoins en noradrénaline à hautes doses. Un cathétérisme cardiaque droit met en évidence une hypertension artérielle pulmonaire sévère, à près de 90 mmHg de PAP systolique. Une échocardiographie transœsophagienne met en évidence une bonne fonction ventriculaire gauche mais une dilatation significative des cavités droites. Un CT scan thoraco-abdominal exclut une embolie pulmonaire mais révèle des infiltrats pulmonaires bilatéraux compatibles avec un ARDS primaire secondaire à une pneumonie. En l'absence d'amélioration significative malgré l'élargissement du spectre antibiotique par du Tienam, la mise en décubitus ventral et après une augmentation de la noradrénaline jusqu'à 1 mcg/kg/min, nous décidons d'un retrait thérapeutique d'entente avec les parents du patient, au vu des importantes comorbidités et de l'absence de sanctions thérapeutiques supplémentaires raisonnablement envisageables. Le patient décède paisiblement le 17.01.2018. Nous n'avons pas demandé d'autopsie médicale. Patient de 35 ans, admis aux soins intensifs le 17.01.2018 suite à un arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique sur pendaison. Il s'agit d'un patient connu pour un état dépressif qui est retrouvé pendu par son épouse. La dernière preuve de bonne santé remonte à près de 30 minutes auparavant. Elle le dépêche et avertit le 144. A l'arrivée des secours, le patient est en ACR. Une réanimation cardio-pulmonaire est débutée avec intubation, mise en place d'une voie intra-osseuse et administration d'1 mg d'Adrénaline, suite à quoi le patient récupère un pouls (ROSC à 15' de low flow, temps de low flow incertain avec un maximum de 30'). A noter une mydriase aréactive sur site. Pendant le transfert, il est hypotendu et reçoit 3x10 mcg d'adrénaline, avec bonne stabilisation hémodynamique par la suite. Il est amené aux urgences où un CT cérebelo-cervico-thoraco-abdominal est effectué qui est sans particularité. Il est alors admis aux soins intensifs pour suite de prise en charge. L'évolution est marquée par un coma profond secondaire à une encéphalopathie post-anoxique sévère. Celle-ci est confirmée par l'examen clinique sérié à distance de toute sédation, l'EEG et l'IRM cérébrale. En l'absence de passage en mort cérébrale après plus de 72 heures de prise en charge, et au vu du pronostic neurologique sombre, nous décidons de soins de confort exclusifs dès le 19.01.2018 et d'entente avec les proches. Monsieur Y décède le soir même à 21h03, entouré par les siens. Après accord du Procureur de garde, aucune autopsie médico-légale n'est ordonnée. Patient de 35 ans admis aux soins intensifs pour un choc anaphylactique le 15.01.2018. Monsieur Y, en BSH, est initialement admis le matin du 15.01.2018 pour la prise en charge chirurgicale d'un kyste sacro-coccygien récidivant infecté. Lors de l'intervention, il présente suite à l'injection de Bridion un choc anaphylactique avec érythème généralisé associé à un œdème palpébral et cervical nécessitant l'administration d'adrénaline. Du Tavegyl et des corticoïdes sont également administrés dans ce contexte et il est transféré aux soins intensifs intubé pour suite de la prise en charge. Un soutien aminergique transitoire est nécessaire. Le patient présente encore à son admission aux soins intensifs un érythème thoracique antérieur avec œdème palpébral et cervical. Après une évaluation du statut ORL par les collègues ORL, le patient est extubé le 16.01.18. Le patient doit poursuivre un traitement par Prednisone et Cétirizine du 16 au 18.01.18. Nous vous laissons le soin d'organiser une consultation chez un allergologue. Selon l'avis des chirurgiens, des douches 3 fois par jour sont à poursuivre. Une cicatrisation secondaire est prévue. Le patient a un RDV le 22.01.2018 en policlinique de proctologie. Un naevus plantaire D est mis en évidence et devrait être investigué à distance de l'épisode aigu. L'évolution clinique rapidement favorable permet le retour du patient à domicile le 16.01.18. Patient de 35 ans hospitalisé aux soins intensifs pour un polytraumatisme suite à une chute en parapente le 12.01.2018. Mr. Y, en bonne santé habituelle, fait une chute en parapente de 3 mètres de haut dans l'après-midi du 12.01.2018 avec réception sur l'épaule et le flanc droit, sans traumatisme crânien. A l'arrivée des ambulanciers, le patient présente une dyspnée importante avec désaturation à 80% ainsi qu'une forte douleur à la clavicule droite. Un pneumothorax droit avec important emphysème sous-cutané est mis en évidence aux urgences et drainé, avec résolution de la dyspnée. Le patient présente de plus de multiples fractures costales droites avec volet thoracique, une fracture de la clavicule droite, des fractures processus transverses vertébraux droit, une contusion pulmonaire bilatérale ainsi que des possibles contusions myocardiques et hépatiques. Mr. Y présente également un pneumomédiastin. Le patient, stable hémodynamiquement, est transféré aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et adaptation de l'antalgie. Une prise en charge chirurgicale des fractures costales et claviculaire n'est pas indiquée dans l'immédiat pour nos collègues chirurgiens thoraciques et orthopédiques, mais sera à réévaluer. Une IRM le 15.01.18 exclut une fracture instable de D12. Une péridurale ne peut pas être posée initialement au vu des multiples fractures des processus transverses. Le patient est mis au bénéfice d'une PCA de Fentanyl puis de morphine associée à la Kétamine en IV continue. La Kétamine peut être arrêtée le 15.01 avec un bon contrôle de l'antalgie par PCA de morphine seule. Au vu d'une évolution favorable, il est transféré dans le service de chirurgie le 15.01.2018. Patient de 35 ans hospitalisé en chirurgie pour un polytraumatisme suite à une chute en parapente le 12.01.2018. Il a été hospitalisé au SIB pour surveillance hémodynamique et adaptation de l'antalgie du 12 au 15.01.18. Réadmission au SIC le 29.01.2018 pour une surveillance postopératoire d'une ostéosynthèse de la clavicule et thoracotomie exploratrice pour stabilisation des côtes 6-9 à droite. Le patient est admis au SIC pour surveillance respiratoire et gestion de l'antalgie postop. Les suites postopératoires sont simples et sans complications. Un drain thoracique droit est en place. L'antalgie est assurée par une prise en charge multimodale (péridural, paracétamol, novalgine, Targin, Lyrica). Ce jour-là, la physiothérapie respiratoire n'a pas été possible car le patient présente des douleurs à la mobilisation. Après l'avis des anesthésistes, une pompe de Kétamine a été débutée le 30.01.2018. Un rajout de morphine dans la péridurale a aussi été proposé, mais le patient refuse de rester au SIC pour la suite, malgré une antalgie pas encore optimale. Des risques de ne pas faire la physiothérapie respiratoire dans ce contexte ont été expliqués. Un soutien psychologique est aussi refusé pour l'instant. Au bloc opératoire, le patient a bénéficié d'un bloc cervical superficiel droit. Pas de difficultés techniques décrites dans la feuille d'anesthésie. En salle de réveil, il a présenté des douleurs et paresthésies du MSD dans le territoire du nerf cubital. Selon le patient, des douleurs du MSD étaient déjà présentes avant l'intervention, probablement dans le contexte d'une compression du plexus. Un traitement par Solumédrol est introduit pendant 48h (jusqu'au 30.01.2018). Aucune plainte ou déficit ce jour. Au vu du refus du patient de rester au SIC, il est transféré à l'étage le 30.01.2018. Patient de 36 ans qui a consulté la permanence de l'HFR Meyriez le 09.12.2017 à la suite d'une chute mécanique en arrière avec réception sur les 2 mains en hyperextension. Le bilan Rx a mis en évidence les diagnostics susmentionnés. L'indication à une arthroscopie diagnostique puis ostéosynthèse de la fracture du radius distal D est posée. Traitement conservateur à G. L'intervention chirurgicale se déroule le 15.12.2017, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Retour à domicile le 16.12.2017. Patient de 38 ans admis aux soins intensifs suite à un traumatisme crânio-cérébral modéré le 27.01.2018. Mr. Y, en bonne santé habituelle, consulte les urgences suite à une chute à vélo le 27.01.2018. Un traumatisme crânio-cérébral modéré avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle est diagnostiqué. Un CT cérébral met en évidence des hémorragies punctiformes multiples et un saignement subarachnoïdien. Le patient est admis aux soins continus pour une surveillance neurologique. A l'admission, le patient présente une GCS 14 avec une désorientation spatio-temporelle. Au vu d'une péjoration neurologique avec barre positif à droite, le patient bénéficie d'un nouveau scanner qui ne montre pas de péjoration des hémorragies. Le status neurologique s'améliore rapidement par la suite, avec disparition de la parésie légère du membre supérieur D, mais avec persistance d'une désorientation temporelle partielle. Le patient peut être transféré en chirurgie le 29.01.2018 pour suite de la prise en charge. Un IRM est réalisé le 29.01.2018 à la recherche de lésions axonales diffuses, et son résultat reste à pister. Le patient présente un othématome ayant été drainé initialement aux urgences, probablement par ponction. Au vu d'une péjoration de l'othématome, un drainage chirurgical est effectué le 28.01.2018 par nos collègues ORL avec mise en place d'un ourlet de compresses stériles fixées avec deux points en U transfixiants. Un traitement antibiotique local par Fucidine et per os par Ciproxine est débuté. Nos collègues ORL suivront cliniquement le patient durant son hospitalisation. Le patient, ne se rappelant pas la date de son dernier rappel tétanique, a reçu un rappel. Patient de 38 ans connu pour une dépendance à l'alcool plusieurs épisodes de sevrage compliqués, dont un delirium tremens en 2013. Mr. Y est amené aux urgences par des amis en raison de crampes abdominales avec vomissements nombreux sans hématémèse. Le patient rapporte avoir repris une consommation éthylique suite à la fête de nouvel an et boit depuis 1 litre de whisky par jour, il n'aurait rien bu le 09.01.2018. Nous retenons donc le diagnostic de sevrage, raison pour laquelle le patient est hospitalisé avec traitement par benzodiazépine que nous diminuons progressivement, sans apparition de nouveau signe de sevrage. Pour rappel, Mr. Y a fait plusieurs hospitalisations à Marsens qui ont toutes permis une période d'abstinence à la suite. La dernière hospitalisation à Marsens, en juillet 2017, a été suivie d'une abstinence de 5 mois. Sur le plan social, le patient se dit très isolé et est actuellement au chômage, ce qui favorise la reprise de l'alcool. Il est suivi par son médecin traitant qui le voit toutes les 3 semaines et par le centre cantonal d'addictologie (CCA). Nous organisons une évaluation psychiatrique avec un traducteur; cette évaluation ne met pas en évidence d'autre maladie sous-jacente ou de trouble de l'humeur. Mr. Y ne souhaitant pas retourner à Marsens, nous organisons la suite du suivi en ambulatoire avec le Dr. X, psychiatre au CCA, en présence d'un traducteur, Mr. Y parlant tamoule, mais très peu le français ou l'allemand.Sur le plan hépatique, Mr. Y présente une élévation des enzymes hépatiques stables par rapport à la dernière hospitalisation de juillet 2017. Il a bénéficié d'une échographie hépatique lors de cette dernière hospitalisation, montrant une stéatose hépatique sans signe de cirrhose, nous n'effectuons donc pas de nouvel examen radiologique. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 17.01.2018. Il quitte l'hôpital sans ordonnance de benzodiazépine, mais avec 2 comprimés de réserve. • Patient de 41 ans admis pour une insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine indéterminée le 24.01.2018. Mr. Y consulte initialement les urgences pour un œdème du pénis. Il rapporte avoir présenté un état grippal avec état fébrile, rhinorrhée, toux légère environ 10 jours auparavant. Il a bénéficié d'une consultation de Medhome, qui lui prescrit de l'Azithromycine jusqu'au 19.01.2018. Depuis une semaine, il présente des œdèmes des membres inférieurs en augmentation, associés à une dyspnée d'effort stade II-III selon NYHA, et une tuméfaction du pénis depuis le matin du 24.01. Le patient rapporte de plus avoir bu environ 4 l d'eau par jour ces dernières semaines. À l'arrivée aux urgences, le patient est tachypnéique à 30/min avec une désaturation à 80% sous air ambiant ainsi qu'une hyperglycémie à 17 mmol/l. Le patient est admis aux soins intensifs pour suite de la prise en charge. Une décompensation cardiaque est initialement suspectée avec introduction d'un traitement transitoire de Furosemide auquel le patient répond excessivement bien, avec un bilan à plus de -8 litres sur les premières 24 heures. Une ETT ne montre toutefois pas de trouble de la cinétique segmentaire avec un FEVG conservé. Le patient présente à l'admission une hyperglycémie sans acido-cétose ni critères pour une décompensation hyperosmolaire (osmolalité calculée basse). Elle est traitée par insuline iv puis reprise du traitement habituel de Tresiba après correction du profil glycémique. Dans le cadre de l'insuffisance respiratoire hypoxémique avec un probable syndrome d'apnées du sommeil sévère et des apnées obstructives objectivées même en position assise, un traitement par CPAP continue la nuit est débuté avec une diminution des épisodes d'apnée. Nos collègues pneumologues proposent des examens approfondis à distance de l'épisode aigu afin d'affiner les réglages et de confirmer le diagnostic clinique. Le patient présente une infection urinaire basse initialement traitée empiriquement par Ceftriaxone. Le spectre est modifié pour de la Co-amoxicilline, l'urotube étant positif pour un E. Faecalis. Mr. Y présente également un érysipèle du membre inférieur droit, également traité par Co-amoxicilline. À noter une précédente hospitalisation en 10/2017 pour la même raison. L'origine de l'insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë reste indéterminée. Elle est possiblement multifactorielle avec participation d'un anasarque, possiblement suite à une polydipsie sur diabète déséquilibré par un état infectieux, un syndrome obésité-hypoventilation et un syndrome d'apnées du sommeil sévère. Il y a peu d'arguments pour une décompensation cardiaque ou une infection pulmonaire. Le patient présente à l'admission une hyponatrémie probablement mixte dans le cadre de la surcharge, l'alcoolémie et l'hyperglycémie se corrigent rapidement après correction des facteurs causaux. Une hyperlactatémie sur hyperglycémie, alcool, et possiblement la Metformin se corrigent également. Mr. Y est connu pour une cirrhose CHILD B (actuellement stadiée A), avec un éthylisme sevré depuis 10.2017 selon son épouse, et une reprise de la consommation sur les derniers jours (environ 1,5 bouteilles de vodka/j). L'alcoolémie à l'admission est à 1,8 pour mille. Le patient présente dès le lendemain de l'admission des symptômes de sevrage (anxiété/tremor). Il reçoit une charge en Thiamine et un traitement par Oxazépam avec disparition des symptômes de sevrage. Stabilisé sur le plan respiratoire, il peut être transféré en médecine interne le 27.01.2018 pour suite de la prise en charge. • Patient de 41 ans, hospitalisé pour des douleurs abdominales essentiellement en fosse iliaque gauche et plusieurs épisodes de vomissements dans un contexte de diagnostic récent d'une sigmoïdite et iléite traitées par Ciprofloxacine et Metronidazole jusqu'à fin décembre ; ainsi que de consommation régulière de cannabis. Durant son hospitalisation, la patiente bénéficie d'une hydratation iv et d'un traitement antalgique avec une évolution clinique favorable. Le diagnostic différentiel comprend un syndrome cannabinoïde, et de manière moins probable, une gastro-entérite virale. Nous avons suggéré au patient une diminution de sa consommation de cannabis, voire un arrêt complet. Par ailleurs, le patient est connu pour des hémorroïdes avec du sang frais habituellement dans les selles. Une prise en charge chirurgicale est prévue en fin janvier. Le patient rentre à domicile avec poursuite de son suivi habituel auprès de son médecin traitant. • Patient de 42 ans, admis aux soins intensifs en raison d'un STEMI infero-latéral le 07.01.2017. Il nous est initialement adressé depuis les urgences de Riaz où il consulte en raison d'un angor typique sous forme de douleurs thoraciques oppressives, irradiant dans le bras droit. La coronarographie réalisée en urgence met en évidence une occlusion de la coronaire droite proximale. Une dissection de la coronaire droite survient durant la procédure. Une reperméabilisation est impossible malgré injection de Reopro. L'examen se complique par plusieurs épisodes de bradycardies avec hypotension secondaire sur BAV de haut grade. L'évolution est initialement favorable après remplissage iv, atropine et adrénaline iv, avec sevrage des amines en fin de coronarographie. Durant les premières 12 heures de surveillance aux soins intensifs, le patient présente un rythme jonctionnel puis un bigéminisme auriculaire, suivi par un rythme sinusal légèrement tachycarde qui motive l'introduction d'un bêtabloquant. Ces derniers sont majorés rapidement, avec pour effet secondaire une insuffisance cardiaque chronotrope transitoire le 09.01.2018 motivant l'introduction transitoire de Dobutamine et Noradrénaline à faibles doses (sevrés dès le 10.01.2018 au matin). Le bêtabloquant est mis en suspense et un traitement par IOC et une statine, ainsi que l'aspirine à vie et Efient pendant 6 mois est introduit. Les points de ponctions sont calmes. Dès l'admission, nous mettons en évidence un diabète inaugural avec une hémoglobine glyquée à 11,8%. Un traitement d'insuline lente est introduit et le patient est déjà vu et sera suivi par les diabétologues. Une réadaptation cardiaque est proposée au patient et sera organisée dans son canton d'origine (Vaud).Il nous est initialement adressé depuis les urgences de Riaz où il consulte en raison d'un angor typique sous forme de douleurs thoraciques oppressives, irradiant dans le bras droit. La coronarographie réalisée en urgence met en évidence une occlusion de la coronaire droite proximale. Une dissection de la coronaire droite survient durant la procédure. Une reperméabilisation est impossible malgré injection de Reopro. L'examen se complique par plusieurs épisodes de bradycardies avec hypotension secondaire sur BAV de haut grade. L'évolution est initialement favorable après remplissage iv, atropine et adrénaline iv, avec sevrage des amines en fin de coronarographie. Durant les premières 12h de surveillance aux soins intensifs, le patient présente un rythme jonctionnel puis un bigéminisme auriculaire, suivi par un rythme sinusal légèrement tachycarde qui motive l'introduction d'un bêtabloquant. Ces derniers sont majorés rapidement, avec pour effet secondaire une insuffisance cardiaque chronotrope transitoire le 09.01.2018 motivant l'introduction transitoire de Dobutamine et Noradrénaline à faibles doses (sevrés dès le 10.01.2018 au matin). Dès l'admission, nous mettons en évidence un diabète inaugural avec une hémoglobine glyquée à 11,8%. Un traitement d'insuline lente est introduit et le patient est déjà vu et sera suivi par les diabétologues. Une réadaptation cardiaque est proposée au patient et sera organisée dans son canton d'origine (Vaud). Patient de 42 ans, connu pour une schizophrénie, actuellement hospitalisé dans votre établissement initialement en raison d'idées suicidaires, qui est amené aux urgences en raison d'un état fébrile avec frissons et myalgies depuis la veille dans le contexte d'une odynodysphagie depuis quelques jours. Il est traité depuis le 27.12.2017 par Co-Amoxi 1 g - 3 x/jour pour une pneumonie de broncho-aspiration contractée au CHUV où il a séjourné pour une intoxication aux benzodiazépines. À l'anamnèse par systèmes, il signale une prise de 17 kg depuis le mois d'octobre dernier. À l'examen clinique d'entrée, TA 125/75 mmHg, fréquence cardiaque 110 bpm, fréquence respiratoire 24/min, saturation O2 95% à l'air ambiant, patient afébrile. Au status neurologique, M4 aux quatre membres en raison des myalgies, la sensibilité est conservée. Fond de gorge érythémateux, amygdales tuméfiées avec de discrets dépôts blancs. Pas de point d'entrée ou d'infection des tissus mous visibles sur le corps. Le reste du status est dans la norme. Le laboratoire réalisé dans votre établissement met en évidence un important syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 21.4 G/l et une CRP à 141 mg/l. Nous demandons un avis au Dr. X, infectiologue, qui oriente le diagnostic en faveur d'une pneumonie ou d'un sepsis avec comme porte d'entrée une angine et qui propose de compléter les investigations par des hémocultures puis d'ajouter une antibiothérapie par Tazobac 4.5 g pendant une période de 7 jours, à ajuster selon l'évolution clinique. Au vu du risque suicidaire inexistant selon l'avis du psychiatre traitant, Monsieur Latoui est hospitalisé en médecine pour antibiothérapie iv. Le 01.01.2018, le patient présente une amélioration de l'état inflammatoire avec normalisation des leucocytes. La CRP reste à 155 mg/l, sans état fébrile ni réapparition de frissons. Monsieur Latoui quitte notre service sans nous avertir et regagne son domicile. Après un appel téléphonique de son épouse, inquiète, le patient accepte de revenir à l'hôpital. De retour dans notre service, il verbalise des idées suicidaires à répétition et déclare qu'il ne se sent pas en sécurité et qu'il aimerait retourner à Marsens. Il accepte toutefois de rester à l'hôpital pour recevoir le traitement antibiotique iv à 15h00, qui sera poursuivi, sur avis infectiologique, par un traitement antibiotique per os de Co-Amoxicilline 1 g jusqu'au 08.01.2018, soit un total d'antibiothérapie de 10 jours. Sans attendre sa sœur qui devait l'accompagner, Monsieur Latoui quitte notre établissement le 01.01.2018 pour retourner dans votre établissement, à l'unité Atlas. Patient de 45 ans, connu pour une maladie coronarienne bitronculaire (CD et IVA) avec STEMI inféro-postérieur le 31.12.2017. Il est reconvoqué le 29.01.2018 pour une coronarographie en électif pour le traitement de l'IVA. Comme prévu, il est procédé à l'intervention sur l'IVA avec pose d'un stent actif et bon résultat final. L'ACD stentée à la fin de l'année montre dans un premier temps un très bon résultat. La fraction d'éjection du VG est estimée à 46% avec persistance de l'akinésie inférieure. Au niveau médical, on poursuit l'Aspirine 100 mg/j à vie et l'Efient 10 mg/j pour 12 mois au total (stop le 31.12.2018). On majore l'IEC (Lisinopril de 2.5 mg à 5 mg 1x/j) avec reste du traitement inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 30.01.2018. Patient de 46 ans, connu pour une sarcoïdose pulmonaire de stade 1, en février 2016, qui présente un taux et des hémoptysies persistantes sous Co-Amoxicilline initié fin décembre. Selon avis pneumologique, nous arrêtons l'antibiothérapie au vu de l'absence de foyer franc actuellement au bilan radiologique. L'évolution est rapidement favorable avec absence de récidive de saignement. Une culture d'expectoration est actuellement en cours. Par ailleurs, le patient rapporte une douleur aigüe de la loge rénale gauche irradiant dans le flanc gauche. Un Uro-CT montre une lithiase urinaire de grande taille à gauche, posant l'indication à la mise en place d'une sonde double J. Le patient est transféré à l'HFR Riaz ce jour en chirurgie en vue de la prise en charge urologique. Patient de 46 ans, connu pour une sarcoïdose pulmonaire de stade 1 en février 2016, avant antécédent d'hémopysie massive en 2016, qui présente depuis le 28.12.2017, une toux avec expectoration depuis 2 semaines avec hémoptysie en diminution. Il consulte son médecin traitant qui lui prescrit de la Co-Amoxicilline. Cependant, devant la persistance de la toux et de l'hémoptysie, il se présente aux urgences le 06.01.2018 avec dernier épisode d'hémoptysie le jour même. Selon avis pneumologique, nous arrêtons l'antibiothérapie au vu de l'absence de foyer franc actuellement. L'évolution est rapidement favorable avec absence de récidive de saignement. Une culture d'expectoration est actuellement en cours. Par ailleurs, le patient rapporte des douleurs aigües de la loge rénale gauche irradiant dans le flanc gauche avec nausées et un épisode de vomissement sans hématémèse. Un Uro-CT montre plusieurs lithiases urinaires de grande taille, posant l'indication à la mise en place d'une sonde double J. Le patient quitte notre service et sera hospitalisé à Riaz ce jour en chirurgie en vue de la prise en charge urologique. Patient de 47 ans, en BSH, qui est hospitalisé pour une suspicion d'érysipèle cervical gauche. Une antibiothérapie par Co-Amoxi IV puis PO est initiée avec une rapide amélioration de la symptomatologie. En raison d'adénopathies cervicales et de l'absence de porte d'entrée, nous effectuons un bilan ORL à la recherche d'une étiologie autre. L'US cervical suspecte une thrombose de la veine jugulaire gauche. Le CT cervical retrouve en effet un défaut d'opacification d'un segment de la jugulaire interne gauche ne parlant pas en faveur d'une thrombose aiguë mais soit d'une thrombose jugulaire ancienne, soit d'une compression extrinsèque, soit d'une hypoplasie. Dans ce contexte, nous ne retenons pas d'indications à une anticoagulation thérapeutique. Une adénopathie cervicale a été ponctionnée et les résultats seront transmis au patient lors d'une consultation ORL le 31.01.2017.Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 24.01.2017. • Patient de 49 ans qui présente depuis le 27.12.2017 des diarrhées aqueuses sans nausées ni vomissements. Le 31.12.2017, suite à la prise d'Imodium et de Bioflorin, les diarrhées cessent. Le lendemain, le patient présente des douleurs crampiformes du bas ventre, bilatérales. Le 02.01.2018, ces douleurs abdominales sont très intenses, avec absence de selles et de gaz. Vous pratiquez un abdomen sans préparation le 03.01.2018 montrant quelques niveaux hydro-aémiques, un laboratoire qui se révèle normal, et débutez une antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl. Dans l'après-midi, le patient consulte les urgences au vu de la persistance des douleurs. À l'examen clinique d'entrée, patient afébrile et hémodynamiquement stable. Au status abdominal, les bruits sont conservés mais de fréquence ralentie et de tonalité métallique, avec prédominance au flanc gauche. L'abdomen est distendu mais ne présente pas de signes de péritonisme. Palpation profonde du flanc gauche douloureuse. Toucher rectal négatif, sans sang sur le doigtier. Le reste du status clinique est sans particularité. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 40 mg/l, sans leucocytose, et les enzymes hépatiques sont alignées en dehors d'une gamma GT élevée connue. Nous débutons une hydratation et hospitalisons le patient en médecine pour surveillance et antalgie. Afin d'exclure un iléus paralytique ou une diverticulite perforée, sur avis des chirurgiens, nous pratiquons un CT abdominal qui montre un fécalome sigmoïdien. Le patient bénéficie d'un lavement, avec résolution de la symptomatologie. L'alimentation est reprise progressivement. Monsieur Friedli regagne son domicile le 08.01.2018. Il se présentera à votre consultation dans une semaine pour contrôle. • Patient de 51 ans, admis aux soins intensifs le 16.01.2018 en raison d'un épanchement péricardique avec répercussion hémodynamique modérée. Il consulte initialement les urgences de Riaz le 15.01.2018 en raison de lipothymies associées à une dyspnée, des palpitations de courte durée et douleurs de l'épaule gauche depuis le 14.01.2018. Le bilan d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire et une insuffisance rénale aiguë, ainsi qu'un élargissement de la silhouette cardiaque à la radiographie de thorax. Une échocardiographie transthoracique met en évidence un épanchement péricardique d'aspect hétérogène avec répercussion hémodynamique modérée, motivant un transfert aux soins intensifs de Fribourg. Un avis est pris auprès de nos collègues cardiologues qui renoncent à une péricardiocentèse (risque d'échec élevé au vu de l'aspect hétérogène) et proposent une prise en charge chirurgicale. Il bénéficie d'une fenestration péricardo-péritonéale le 17.01.2018 avec drainage de 1300ml de liquide sanguinolent, dont les analyses encore en cours font suspecter une origine néoplasique (cytologie en cours à Promed). La surveillance hémodynamique se déroule sans complication après l'intervention. En accord avec les chirurgiens, l'anticoagulation prophylactique est reprise le jour même, puis à dose thérapeutique dès le 18.01.2018. Nous vous proposons de poursuivre l'héparine en iv continu pendant 48-72h après l'intervention, avant de reprendre un traitement par Arixtra. Sur le plan antalgique, les douleurs de l'épaule gauche disparaissent après l'intervention mais M. Donzallaz se plaint de douleurs modérées au niveau du site opératoire, bien soulagées par du Fentanyl patch, avec de la novalgine en réserve. M. Donzallaz est transféré dans le service de médecine interne à Riaz le 18.01.2018. • Patient de 51 ans, connu pour une maladie coronarienne, qui consulte le service des urgences suite à des douleurs thoraciques depuis le matin. À noter un épisode de diarrhée et vomissement la veille. Au moment de l'admission, le patient ne présente plus de plaintes digestives et une légère oppression thoracique. L'ECG ne met pas en évidence de modification significative. La coronarographie démontre un excellent résultat à long terme après PCI de l'IVA, et de la PCI CX/1ère marginale, une lésion intermédiaire (50%) inchangée de l'IVP. De même, l'examen met en évidence une composante vasospastique dominante motivant un changement de traitement en faveur d'un anticalcique (zanidip 10 mg/j) dès le 03.01.2018. En cours d'hospitalisation, le patient présente un nouvel épisode de DRS le 04.01.2018 sans modification de l'ECG motivant le traitement des douleurs par Nitroglycerin caps et l'introduction d'office de Corvaton. Nous réalisons également une échocardiographie qui met en évidence une fonction ventriculaire gauche à 69% et l'absence d'anomalie cinétique ou morphologique autre. Le patient décrivant des palpitations ponctuelles, nous décidons de réaliser un Holter le 05.01.2018 dont l'analyse n'est pas encore complétée au moment de la sortie. De plus, Monsieur Moghaddas bénéficie d'un suivi de physiothérapie en cours de séjour. Un rendez-vous est prévu chez le professeur Stauffer le 06.02.2018. Le traitement par Aspirine + Plavix est à poursuivre pour 3 mois. • Patient de 51 ans qui a eu une coronarographie le 03.01.2018 en raison d'un STEMI sub-aigu mettant en évidence une cardiopathie ischémique tritronculaire (ACD, IVA, Marginale). La coronarographie du 03.01.2018 a permis de traiter par dilatation/stenting l'IVA. Une coronarographie en électif est organisée le 12.01.2017 pour le traitement de l'artère coronaire droite. L'examen invasif du jour démontre un bon résultat après PCI de l'IVA le 3 janvier dernier. Comme convenu, on effectue l'angioplastie des deux sténoses serrées de l'ACD. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 35%. On poursuit l'Aspirine 100mg 1x/j à vie et le Brilique 90mg 2x/j pour 12 mois avec le reste du traitement inchangé. Le patient sera aussi convoqué pour un Holter de 48 heures dans 2 mois avec un contrôle dans 3 mois à la consultation du Prof. Cook. Après une surveillance rythmique et hémodynamique sans particularité, le patient rentre à domicile le 13.01.2018. • Patient de 52 ans, hospitalisé aux soins intensifs le 10.01.2018 en raison d'une embolie pulmonaire centrale à risque intermédiaire-haut. Il présente depuis novembre 2017 une dyspnée d'apparition progressive, initialement lors d'efforts importants et désormais au moindre effort depuis quelques jours. Suspectant une embolie pulmonaire, son médecin traitant initie un traitement par Fraxiparine et adresse de suite le patient aux urgences. Le CT thoracique effectué aux urgences le 10.01.2018 confirme une embolie pulmonaire bilatérale centrale avec répercussion sur les cavités cardiaques droites à l'échocardiographie. Les troponines reviennent positives. Il nous est alors transféré pour suite de prise en charge. L'origine de l'événement thrombo-embolique actuel est à ce stade inconnue. Nous n'avons pas identifié en l'état d'éventuel facteur précipitant. De l'avis de nos collègues hématologues, une recherche de thrombophilie n'est pas recommandée à ce stade. L'anticoagulation à visée thérapeutique par HBPM puis Sintrom est à poursuivre pour une durée totale prévue de 6 mois. Un bilan angiologique par Doppler des membres inférieurs est demandé.Une consultation de cardiologie avec échographie de contrôle est à prévoir dans 3 mois. Lors de son séjour, le patient reste asymptomatique y compris lors d'effort léger à modéré dans le service. Il est transféré à l'étage de médecine pour la suite de la prise en charge le 11.01.2018. • Patient de 53 ans, admis aux soins intensifs en raison d'un AVC hémorragique intra-parenchymateux capsulo-thalamique D le 15.01.2018. Il consulte initialement aux urgences en raison d'une hémiplégie complète du membre supérieur gauche d'apparition brutale. A son arrivée, il présente un GCS fluctuant entre 12 et 14 avec un NIHSS estimé à 11. Un CT cérébral met en évidence un AVC hémorragique intra-parenchymateux capsulo-thalamique G. Il est alors admis en Stroke unit monitorée pour suite de prise en charge. A l'admission dans notre service, il est somnolent avec un GCS à 14 et un NIHSS à 13 (somnolence [1], hémisyndrome G [6], héminégligence [1], dysarthrie modérée [2], parésie faciale partielle [2] et légère parésie du regard [1]). L'AVC hémorragique est attribué en premier lieu à un pic hypertensif. Des doses importantes de Labétalol sont initialement nécessaires pour maintenir la tension artérielle dans la cible. Un traitement d'Amlodipine et de Lisinopril est introduit par la suite, avec un bon effet. Des modifications ECG sont notées à l'admission, sans angor ni mouvement significatif des troponines. Une ETT est effectuée le 17.01 (rapport en cours). Les modifications s'inscrivent probablement dans le contexte de l'hémorragie cérébrale, sans investigations complémentaires envisagées à ce stade. Le patient est connu pour une consommation éthylique à risque pour laquelle il reçoit une charge en Thiamine. Il ne nécessite pas de traitement par benzodiazépines pendant son séjour aux soins intensifs. Aucune prophylaxie thrombo-embolique n'est administrée dans le contexte de l'hémorragie cérébrale. Nous vous proposons de la débuter dès que possible selon avis neurologique. Le patient est transféré à l'étage de médecine le 17.01.2018 pour la suite de la prise en charge. • Patient de 53 ans, admis aux soins intensifs en raison d'une décompensation diabétique mixte acido-cétosique et hyperosmolaire inaugurale le 14.01.2018. Il consulte initialement aux urgences en raison d'une asthénie progressive sur quelques semaines, associée à une dyspnée de stade III, une polyurie, une polydipsie et une inappétence. Une décompensation diabétique mixte acido-cétosique et hyperosmolaire inaugurale est mise en évidence, avec une glycémie d'entrée à 54 mmol/l. Il est alors admis aux soins intensifs pour suite de la prise en charge. Le patient est mis au bénéfice d'un traitement d'insuline en iv continu, couplé à des bolus et une hydratation par NaCl 0.9%. Sous ce traitement, l'évolution est lentement favorable, permettant un relais par insuline lente sc associée à des bolus d'insuline rapide en pré-prandial (dose fixe et correction) dès le 15.01.2018. A noter que les glycémies restent relativement élevées en cours de séjour. Le facteur déclenchant de la décompensation diabétique inaugurale demeure à ce stade incertain. Une possible infection intercurrente (urinaire?) est suspectée au vu d'un syndrome inflammatoire élevé, chez un patient toutefois afébrile et sans piste clinique franche. Un urotube revient positif pour Raoultella à 10^5. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, nous nous abstenons d'introduire une antibiothérapie empirique en cours de séjour. L'ECG d'entrée met en évidence un QT long, se corrigeant partiellement après résolution des troubles électrolytiques (QTc 464ms). Le traitement d'Escitalopram est mis en suspens dans ce contexte et selon souhait du patient. En raison de profils tensionnels aux limites supérieurs de la norme, un traitement d'Amlodipine vient compléter son bêtabloquant et sera à ré-évaluer pour un éventuel relais par IEC. A noter un score de risque PROCAM évalué comme faible. L'insuffisance rénale aiguë est mise sur le compte d'une déshydratation importante et se corrige progressivement. Une récolte d'urine sur 24h est effectuée dès le 17.01.2018, dans le bilan du diabète inaugural. Le traitement de Sintrom est initialement mis en suspens à l'entrée en raison d'un INR supra-thérapeutique. Ce traitement est repris dès le 16.01.2018, avec relais transitoire par HBPM transitoire. Un suivi de l'INR est à prévoir. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y est transféré en médecine pour poursuite des suivis glycémique et adaptation de traitement. • Patient de 54 ans admis aux soins intensifs pour un NSTEMI le 08.01.2018. Mr. Buri, connu pour un STEMI en 2013 avec pose d'un stent sur la coronaire D moyenne en 2013 à Bern, est adressé aux urgences par son cardiologue traitant (Dr. X) en raison d'une douleur oppressive récurrente depuis le 06.01.2018. Le 06.01.2018, le bilan pour un infarctus était négatif, cette fois on retrouve un NSTEMI avec élévation significative des marqueurs myocardiques et modification de l'ECG. La coronarographie montre une resténose intrastent serrée de la CD moyenne. Une angioplastie est réalisée avec pose d'un stent actif au niveau de la sténose. Le patient est mis au bénéfice d'une double anti-agrégation pour une durée d'un an. Un contrôle cardiologique sera à organiser à un mois chez son cardiologue traitant, suivi d'une ergométrie à un an. Le traitement habituel avec IEC, bêtabloquant et statine est poursuivi. La surveillance rythmique et hémodynamique étant sans particularité, le patient peut être transféré en médecine interne le 09.01.2018 pour suite de la prise en charge. • Patient de 54 ans connu pour les antécédents et comorbidités sus-mentionnés qui bénéficie en électif d'une coronarographie le 10.01.2018. Le patient avait présenté un NSTEMI en décembre 2017 mettant en évidence une maladie coronarienne tritronculaire avec dilatation/stenting de l'artère coronaire droite. Une re-coronarographie avait été organisée en électif ce jour pour le traitement des lésions restantes sur l'IVA et la Cx. L'examen invasif montre un bon résultat à court terme de la double PCI de l'artère coronaire droite moyenne et une guérison de la dissection en aval qui avait été causée par le guide lors de cette procédure. Il est complété par la revascularisation avec une PCI/2 DES de l'IVA proximale et moyenne avec un bon résultat final. On poursuit l'Aspirine 100mg 1-0-0 à vie et le Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois avec le reste du traitement inchangé. On propose un contrôle dans 1 mois chez le cardiologue traitant (Dr. X) avec ergométrie dans 6 mois. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie qui est sans particularité, le patient rentre à domicile le 11.01.2018. • Patient de 55 ans, admis aux soins intensifs le 30.12.2017 en raison d'une pneumonie à Pneumocoque avec choc septique et détresse respiratoire survenant à J3 post chimiothérapie. Il consulte initialement aux urgences de Riaz en raison d'une dyspnée de stade IV en aggravation sur 24 heures, associée à un état fébrile à 38° et des pleurodynies gauches nouvelles. Le diagnostic de choc septique sur pneumonie est posé d'emblée devant un état de choc vasoplégique associé à une hypoxémie sévère, un syndrome inflammatoire important, et un infiltrat pulmonaire gauche radiologique. Un CT-scan thoracique initial permet d'infirmer une embolie pulmonaire. Un remplissage vasculaire et un soutien par de la noradrénaline sont initiés, conjointement avec une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Klacid. Le patient nous est alors adressé pour suite de prise en charge. L'évolution clinique est rapidement favorable après réanimation volémique ciblée, permettant un sevrage de la noradrénaline dès le 31.12.2017. Le spectre antibiotique est restreint avec poursuite de la Rocéphine seule dès le 31.12.2017 au vu des expectorations et de l'antigénurie positives pour un Pneumocoque. Nous vous proposons de réaliser un CT-scan pulmonaire de contrôle d'ici au 05.01.2018 afin d'investiguer la survenue d'éventuelles complications (abcès, empyème), avant de discuter de la durée totale de l'antibiothérapie (prévue initialement pour 10 jours). Dans le contexte de leucopénie suite à la chimiothérapie et de corticothérapie au long cours (>3 mois), une prophylaxie du Pneumocystis par Trimethoprim / Sulfamethoxazol est initiée. En raison d'épisode de FA isolée asymptomatique, un traitement par Cordarone iv est instauré du 31.12 au 01.01, avec relais par la suite par bêtabloqueurs permettant un retour en rythme sinusal avec un contrôle satisfaisant de la fréquence cardiaque. Seule une anticoagulation prophylactique est préconisée à ce stade. Une insuffisance rénale aiguë associée à des troubles électrolytiques se corrige par remplissage vasculaire à minima par NaCl 0.9%. Patient de 56 ans, bonne santé habituelle mais FRCV (HTA, DM type 2 NIR et une AF positive) avec un angor à l'effort depuis 1 année (mis par le patient sur le compte du stress : décès de l'épouse d'un cancer fin de l'année 2017) et qui a présenté début janvier 2018 des douleurs thoraciques importantes après un effort (ski). Une consultation ambulatoire chez Dr. X le 16.01.2018 montre une ETT avec une FEVG conservée mais une hypertrophie VG. Vu les FRCV, une coronarographie en électif est organisée pour le 16.01.2018. L'examen invasif du jour démontre une sténose subocclusive de l'IVA proximale. Il est procédé à une dilatation avec mise en place d'un stent actif avec bon résultat final. On poursuit l'Aspirine 100mg 1x/j à vie et on introduit l'Efient 10 mg 1x/j pour 6 mois avec reste du traitement inchangé. On propose un contrôle dans 1 mois chez Dr. X avec une ergométrie dans 1 année. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 17.01.2018. Patient de 57 ans connu pour BPCO sévère et asthme. Présente depuis le 25.12.17 une IVRS avec fièvre et syndrome grippal lors de son voyage au Portugal. Un traitement par Co-amoxi a été débuté le 01.01.2018 avec la Prednisone 50 mg/j avec une mauvaise évolution et apparition d'une dyspnée et douleurs basithoraciques gauches. Un CT thoracique révèle un foyer sup. D et basal G avec épanchement pleural G et suspicion d'abcès au lobe inférieure gauche. Aux urgences le patient est hémodynamiquement stable, afébrile, algique au niveau basithoracique gauche présentant une dyspnée au moindre effort. Un laboratoire montre un important syndrome inflammatoire et une ponction pleurale parle pour un exsudat. Le patient reste symptomatique malgré la ponction pleurale et nous décidons de poser le drain pleural qui a été effectué par nos collègues radiologues avec l'aide de l'US. Le liquide reste citrin sans présence de pus, le pH du liquide n'a pas été mesuré au vu du liquide coagulé. La LDH est élevée à 1047 U/l. Les cultures restent stériles au niveau du liquide pleural et également 4 bouteilles sous 4 des hémocultures restent stériles à 5 jours d'incubation. Au niveau du diagnostic cyto-pathologique, il révèle une forte inflammation neutrophilique, sans bactérie à la coloration de Gram et sans cellule tumorale maligne. Sur le plan clinique et biologique le patient évolue bien sous traitement du co-Amoxicilline 2,2 g 4 fois par jour. Le drain ne ramène plus de liquide le 18.01.2018 et un US pleural ne montre plus de liquide mais autour du parenchyme pulmonaire alectasié, un net épaississement pleural avec de multiples cloisons. Nous demandons également l'avis auprès de nos collègues chirurgiens thoraciques qui, au vu de l'état clinique et une bonne évolution biologique, proposent de retirer le drain et selon les propositions des infectiologues de garder l'antibiothérapie en tous 2 semaines, avec le passage per os dès le retrait du drain. Le drain a été retiré le 19.01.2018 sans complication par la suite. Lors de son séjour, le patient reste afébrile, avec un CRP qui passe de 228 mg/L à 37 mg/l et persistance d'une leucocytose à 12.8 G/l, chez le patient sous Prednisone depuis 19 jours. À sa sortie, nous poursuivons un schéma dégressif pour la Prednisone qui est à poursuivre sur 10 jours. Les antibiotiques sont à poursuivre jusqu'au 25.01.2018 et nous vous prions d'effectuer un contrôle clinique et biologique et si besoin également une imagerie conventionnelle à la fin de son traitement. Notons une anémie probablement inflammatoire que nous vous laissons le soin de recontrôler à distance. Au vu des hémoptysies connues chez ce patient avec des bronchoscopies effectuées par le passé sans origine retrouvée, un bilan des vascularites a été effectué, qui revient négatif. Au vu de bonne évolution biologique et clinique, Mr. Y rentre à domicile le 20.01.2018, avec un arrêt du travail pour une semaine, ce que nous vous laissons le soin de réévaluer selon l'évolution. Patient de 58 ans, connu notamment pour un syndrome métabolique, une cardiopathie hypertensive et des douleurs épigastriques chroniques multi-investiguées, qui est hospitalisé le 13.01.2018 en raison d'un decompensation cardiaque globale sur fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide inaugurale. Le patient avait consulté les urgences pour une sensation de palpitations intermittentes depuis 3 jours, accompagnée d'une douleur thoracique épigastrique irradiant dans le bras gauche. Il note également une dyspnée NYHA II avec œdèmes de membres inférieurs depuis une dizaine de jours. Une coronarographie montre des coronaires sans sténose en 2017 et un ECG et des troponines permettent rapidement d'exclure un syndrome cardioversion aigu. Le patient présente une tachycardie sur fibrillation auriculaire que nous ralentissons initialement par Digoxine puis Metoprolol. Un traitement diurétique permet rapidement de soulager le patient. Nous entamons une anticoagulation thérapeutique par Eliquis. Un ETT de contrôle montre une cardiopathie hypertensive avec FEVG conservée et discrète dilatation de l'oreillette gauche. Le patient sera convoqué pour une cardioversion après 3 semaines d'anticoagulation. Nous reprenons le traitement par diurétique thiazidique et ajoutons du Torasémide pour 3 semaines. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter les diurétiques selon la volémie et les bêtabloquants selon la fréquence cardiaque. Nous arrêtons l'Aspirine cardio donnée en prévention primaire que nous proposons de reprendre en cas d'arrêt de l'anticoagulation après la cardioversion. Un contrôle des FRCV est également nécessaire. Finalement, le patient sera convoqué pour une polygraphie respiratoire en ambulatoire à la recherche d'un SAOS en raison d'une anamnèse suspecte.Concernant les épigastralgies chroniques, Monsieur Limani avait bénéficié d'une gastroscopie en 2015 qui montrait une petite hernie hiatale avec signes de gastrite. Un H. pylori avait été éradiqué et une thérapie par IPP initiée. À l'entrée, à l'US abdominal, on note la présence d'une lithiase vésiculaire sans signe de cholécystite. Nous proposons que le patient soit vu par des chirurgiens viscéraux une fois la problématique cardiaque résolue si les plaintes devaient persister. En raison de l'anticoagulation, nous majorons le traitement par IPP, jusqu'à la date de cardioversion, puis une seule administration devra suffire. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Limani peut regagner son domicile le 17.01.2018 dans un bon état général. Patient de 58 ans envoyé par son médecin traitant en raison d'une baisse de l'état général accompagnée d'une dyspnée progressive et de toux sèche depuis fin décembre 2017, dyspnée actuellement NYHA III. Pour rappel, M. Vienne, connu pour un status post lobectomie supérieur D pour un adénocarcinome localisé, a présenté 4 jours d'état fébrile au moment de l'apparition de cette dyspnée, il a alors été consulté par sa Médecin traitant qui lui a prescrit de la Prednisone avec une antibiothérapie par Co-amoxicilline. La symptomatologie persistant, l'antibiotique a été remplacé par de l'Avalox ce qui n'a pas entraîné d'amélioration. Le patient a donc consulté le médecin de garde le 15.01.2018; un CT injecté pulmonaire et cervical a été réalisé ne mettant pas en évidence de pathologie pulmonaire, mais révélant une adénopathie cervicale D kystique de 2cm. Devant la persistance des symptômes respiratoires, le patient nous est envoyé. Sur le plan pulmonaire, le status clinique et le scanner sont sans particularité en dehors du status post lobectomie supérieur D. Nous effectuons une radiographie du thorax qui met en évidence une hyperinflation des poumons avec un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, compatible avec une BPCO. Nous vous proposons d'effectuer des fonctions pulmonaires en ambulatoire. Sur le plan ORL, un examen est effectué le 18.01.2018, qui ne met pas en évidence de pathologie de la sphère ORL et une cytoponction de l'adénopathie cervicale est réalisée. Les résultats, parvenus après le départ du patient, évoquent la présence de cellules d'un carcinome épidermoïde. M. Vienne sera reconvoqué pour un contrôle ORL à 4 semaines mais nous vous proposons d'adresser votre patient à la consultation d'oncologie en parallèle (Dr. X), à qui nous adressons une copie de cette lettre. Concernant la déglutition, nous effectuons un transit baryté qui met en évidence une hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien ainsi qu'une béance oesophagienne avec contraction tertiaire de l'œsophage durant le passage du bol alimentaire. Nous augmentons les doses de Pantoprazol 40 mg pour 1 mois et vous proposons d'organiser une gastroscopie en ambulatoire avec une consultation chez un gastro-entérologue afin de compléter le bilan. Devant la bonne évolution clinique et ayant exclu une pathologie urgente, nous laissons rentrer le patient à domicile le 20.01.2018. Patient de 60 ans admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypercapnique sur décompensation BPCO d'origine infectieuse. Il s'agit d'un patient connu pour une BPCO non stadée qui présente depuis le 31.12.2017 une dyspnée rapidement progressive. L'anamnèse est par ailleurs peu contributive. Il est adressé aux urgences en raison de cette dyspnée avec désaturation à 83% à l'arrivée des ambulanciers. Le bilan aux urgences est compatible avec une décompensation BPCO avec une suspicion de foyer basal droit. Un traitement d'aérosols, corticoïdes, antibiothérapie et Tamiflu est débuté après prélèvement de cultures et le patient est hospitalisé aux soins pour la suite de la prise en charge. Patient de 60 ans admis pour un urosepsis sur fistule grêlo-urétérale le 11.01.2018. Patient hospitalisé en médecine à Meyriez depuis le 10.01.2018 dans un contexte de baisse d'état général depuis le 8.01.2018 avec mise en évidence d'un syndrome inflammatoire avec tachycardie et hypotension au contrôle en oncologie du 10.01.2017, motivant l'hospitalisation du patient. À noter que le patient est connu pour un cancer colorectal sous chimiothérapie adjuvante à visée curative de FOLFOX avec une fistule entéro-urétérale avec pose de sonde double J. Dernière chimio le 3.01.2017. À noter que le patient a présenté un urosepsis en 12.2017 traité par Cefepime et Métronidazole en intraveineux du 22.12.2017 au 24.12.2017 puis Cefuroxim et Flagyl per os pour 10 jours. Suite à la péjoration clinique, le patient présente une tachycardie supraventriculaire à 200 bpm, avec hypotension TAM 60 mmHg, il a reçu 2 doses d'Adenosine et un remplissage de 2500 ml et il nous est transféré pour la suite de la prise en charge. Un traitement de Meronem est introduit ainsi qu'un remplissage et un bolus de digoxine 0.5 mg avec bonne évolution clinique par la suite. Le CT abdomino-pelvien du 10.1.18 montre une augmentation de la fistule grêlo-urétérale entre l'iléon et l'uretère droit et d'un enhancement du bord de la vessie et du bassinet du pyélon, associés à une pyélonéphrite et cystite chronique. Un avis des urologues est à prévoir. Le patient présente une pancytopénie probablement dans le contexte de chimiothérapie et d'hémodilution post-réglage, nécessitant 2 concentrés érythrocytaires le 11.01.2018. L'évolution est rapidement favorable, le patient est transféré en chirurgie le 12.01.18. Patient de 60 ans, aux multiples facteurs de risque cardiovasculaires, admis aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque gauche sur possible NSTEMI dans un contexte d'infection à RSV le 29.01.2018. Le patient a consulté aux urgences le 29.01.2018 suite à une dyspnée sans douleur thoracique et une baisse d'état général avec toux sèche, sudations, faiblesses et inappétence depuis 4 jours. Notion de fièvre mais pas mesurée à domicile. À noter que le patient était traité pour une bronchite par Vibramycine il y a 3 semaines, et qu'il présente une dyspnée d'effort progressive depuis plusieurs mois. Le bilan initial révèle une décompensation cardiaque gauche, des modifications ECG diffuses avec une élévation des troponines et un syndrome inflammatoire important, associé à un frottis naso-pharyngé positif pour un RSV. Une échocardiographie le 30.01.2018 montre une FEVG à 20-25% avec une hypokinésie globale et une dilatation du VG, compatible avec une probable cardiopathie ischémique chronique. Au vu de l'infection virale et de l'élévation des troponines, un NSTEMI est possible, une coronarographie sera organisée par les cardiologues dans quelques jours, après normalisation du syndrome inflammatoire. Dans l'attente, une double anti-aggrégation et une anticoagulation thérapeutique sont initiées. Le diagnostic différentiel de cette insuffisance cardiaque sévère est ouvert avec une myocardite para-infectieuse. Une étiologie toxique est peu probable en l'absence d'exposition anamnestique. Un traitement d'insuffisance cardiaque est initié progressivement.Le patient est connu pour un diabète non insulino-requérant mal compensé (HbA1c à 9%). Au vu de l'insuffisance rénale, les antidiabétiques oraux sont suspendus avec relais par insuline. Il est transféré à l'étage de médecine le 31.1.2018 pour suite de prise en charge. • Patient de 60 ans connu pour une maladie coronarienne bitronculaire (IVA et ACD) avec une coronarographie en 2016 qui avait permis de traiter l'IVA. En raison d'une recrudescence angineuse sans modification électrique ni biologique, une coronarographie est organisée en électif le 12.01.2018. • L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat après PCI de l'IVA. Il y a par contre une sténose serrée de la RCx et une atteinte intermédiaire de l'ACD. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Dr. X, il est procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation d'un stent actif et avec bon résultat final. On poursuit le Clopidogrel 75mg 1x/j à vie et l'Aspirine pour 6 mois avec le reste du traitement inchangé. • Après une surveillance rythmique et hémodynamique sans particularité, le patient rentre à domicile le 13.01.2018. • Patient de 61 ans admis aux soins intensifs en raison d'une hyponatrémie sévère le 13.01.2018. • Mr. Y, poly-vasculaire connu, présente ce matin une syncope avec prodrome alors qu'il vient de se lever pour se rendre aux toilettes. Il se réveille au sol, incapable de se relever avec une importante douleur à la hanche gauche. Il est amené aux urgences de Riaz où une fracture des colonnes antérieure et postérieure du cotyle gauche est mise en évidence. Une intervention chirurgicale est toutefois actuellement contre-indiquée selon l'orthopédiste de garde, le patient présentant des troubles électrolytiques multiples dont une hyponatrémie et une hypokaliémie sévère et nécessitant de plus une prise en charge chirurgicale complexe. Dans ce contexte, le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour suite de la prise en charge. • Le patient ayant présenté un TCC léger sous Clopidogrel il y a plus de 12 heures au moment de son admission aux soins intensifs, avec un statut neurologique sans particularité, nous renonçons à réaliser une imagerie cérébrale dans l'immédiat. La surveillance neurologique reste sans particularité. Une plaie pariéto-occipitale gauche profonde d'environ 4cm est suturée. Les points sont à retirer dans 7-10 jours. • Concernant la fracture du cotyle, nos collègues orthopédistes proposent d'effectuer un bilan pré-opératoire au vu des comorbidités importantes, afin d'évaluer les risques/bénéfices d'une telle intervention. Un bilan angiologique pour suivi des sténoses carotidiennes et vertébrales ainsi qu'une échocardiographie transthoracique sont demandés, avec avis anesthésologique. • Mr. Y décrit une inappétence nouvelle depuis 2-3 semaines, sans nausée ni vomissement, mais avec une semaine de diarrhées. Il aurait quasiment arrêté de s'alimenter depuis et fortement diminué ses apports hydriques, dans un contexte de surcharge psychique, le patient étant le principal proche-aidant de l'amie avec qui il vit. L'insuffisance rénale pré-rénale ainsi que l'hypokaliémie sévère entrent probablement dans ce contexte. • L'hyponatrémie hypoosmolaire chez un patient hypovolémique est prudemment corrigée par hydratation. L'origine en reste toutefois peu claire. • Une perturbation des tests hépatiques et pancréatiques avec cholestase et cytolyse est mise en évidence. Un US montre une hépatomégalie stéatosique avec des contours hépatiques bosselés mais sans présence d'ascite. Nous vous proposons de compléter le bilan par un CT thoraco-abdominal et un bilan de cirrhose. • Un BBG nouveau a été mis en évidence par nos collègues à Riaz l'ECG. La cinétique enzymatique permet d'exclure un NSTEMI, chez un patient qui ne présente pas de douleurs thoraciques typiques ou atypiques. Un ultrason cardiaque est demandé pour évaluation de la fonction cardiaque. • Mr. Y est transféré en médecine interne le 15.01.2018 pour suite de prise en charge. La prise en charge chirurgicale sera rediscutée avec Dr. Gauthier et en fonction du bilan pré-opératoire. • Patient de 61 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire d'une sigmoïdectomie par laparotomie suite à un saignement digestif bas sur diverticulose le 03.01.2018. • Il s'agit d'un patient connu pour une cardiopathie ischémique sous Aspirine, et une diverticulose, qui est hospitalisé en chirurgie le 31.12.2017 pour un premier épisode d'hémorragie digestive basse. Une colonoscopie le 02.01.2018 met en évidence plusieurs diverticules, sans saignement actif. Une gastroscopie le 03.01.2017 ne montre pas de saignement actif. Pendant son séjour, le patient présente plusieurs épisodes d'hématochésie et une déglobulisation, nécessitant la transfusion de 2 culots érythrocytaires les 02.01.2018 et 03.01.2017. • Le patient est pris au bloc pour une laparotomie avec sigmoïdectomie et anastomose termino-latérale le 03.01.2017 et transféré aux soins intensifs pour suite de prise en charge. • En post-opératoire, les profils tensionnels sont à la limite inférieure, raison pour laquelle le traitement antihypertenseur habituel de Valsartan est mis en suspens, et le traitement par Bisoprolol est repris à demi-dose (1 fois par jour au lieu de 2 fois par jour). Le traitement est à adapter en fonction du profil tensionnel. • Nous constatons une anémie pendant son séjour, sans nouvel épisode d'hématochésie. Au vu des comorbidités du patient, nous transfusons un culot érythrocytaire le 04.01.2017. Pendant la transfusion, le patient présente une réaction transfusionnelle légère (vertiges, fourmillements) et la transfusion est stoppée. Il reçoit un nouveau culot le 09.01.2018, sans complications. • L'antalgie est gérée dans un premier temps par une PCA de Morphine et la Lidocaïne IV. Sous ce régime, l'évolution est compliquée par un état confusionnel et la lidocaïne est diminuée puis stoppée avec une bonne évolution. En raison d'un iléus paralytique, la morphine est également arrêtée. La perfusion de lidocaïne est reprise le 06.01.2018 pour quelques heures et l'antalgie par paracétamol est complétée par de la Novalgine. Par la suite, le patient reste confortable. • Une nutrition parentérale est débutée le 06.01.2018, d'abord en périphérie puis par cathéter central le 07.01.2018 dans le contexte d'un sub-iléus post-opératoire ne permettant pas une alimentation entérale. Un syndrome de renutrition est diagnostiqué, avec une dysélectrolytémie qui nécessite une substitution. Les boissons sont reprises dès le 08.01.2018. • L'évolution est compliquée par une insuffisance rénale aiguë oligurique pré-rénale post-opératoire, qui se résout sous hydratation intraveineuse. • Un état subfébrile et un syndrome inflammatoire étaient en augmentation au 4ème jour post-opératoire. Le CT thoraco-abdominal a mis en évidence une atélectasie des deux bases pulmonaires prédominant à droite et des épanchements pleuraux, du liquide libre intra-abdominal sans obstacle ni collection, une cholécystolithiase. Une leucocyturie asymptomatique était aussi présente. Une antibiothérapie préemptive de Levofloxacine et Metronidazole a été administrée du 06 au 09.01.2018, après discussion avec l'infectiologue.L'évolution étant progressivement favorable, le patient est transféré en chirurgie le 09.01.2018. • Patient de 61 ans admis aux soins intensifs pour une suspicion de NSTEMI. • Mr. Y, patient tritronculaire connu, est adressé aux urgences de Tafers par son médecin traitant pour une infection des voies respiratoires avec douleurs thoraciques depuis le 24.01.2018. Le patient rapporte une baisse de l'état général avec une toux productive accompagnée d'expectorations jaunâtres, une odynodysphagie, une rhinite et des douleurs thoraciques. Les douleurs thoraciques sont atypiques médio-thoraciques avec irradiation dans le membre supérieur D et d'intensité variable. Monsieur rapporte également une péjoration de ses douleurs occipito-frontales chroniques. Un NSTEMI antérieur est mis en évidence aux urgences avec élévation des troponines et modification ECG dans le territoire antéro-latéral. Le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour la suite de la prise en charge. Le patient est chargé en Aspirine et Plavix. La surveillance se déroule sans particularité avec une ETT le 30.01.2018 qui met en évidence une FEVG à 35% (45% en 2016). Le NSTEMI est probablement secondaire à l'épisode infectieux pour nos collègues cardiologues. Une coronarographie en ambulatoire est à organiser une fois résolution du syndrome inflammatoire. Nous prions donc le médecin traitant d'informer le service de cardiologie une fois que la coronarographie peut être agendée. Pour l'instant, le patient est mis au bénéfice d'une double anti-agrégation par Aspirine et Plavix. Si le patient devait présenter un nouvel épisode de DRS, nous l'informons de se présenter sans délai aux urgences du HFR Fribourg. Le patient présente un IVRS avec une radiographie ne montrant pas de foyer pulmonaire. L'évolution est favorable. Au vu d'une CRP encore à 144 mg/l à la sortie du patient, nous proposons un contrôle clinique et biologique chez le médecin traitant le lendemain de la sortie. À noter pendant l'hospitalisation, un profil glycémique souvent > 10 mmol/l avec une Hb glyquée à 9.3 %. Nous proposons un suivi chez le médecin traitant. • Patient de 61 ans, qui nous est transféré des urgences d'Inselspital le 30.12.2017 en raison d'une suspicion d'endocardite sur valves prothétiques mécaniques, associée à un état confusionnel aigu. Il consulte initialement en raison d'un état fébrile en progression sur 48 heures, associé à un état confusionnel. Des hémocultures prélevées aux urgences se révèlent positives en moins de 24 heures pour des Cocci Gram+. Dans l'intervalle, un CT-scan cérébral est effectué, qui ne montre pas de lésion focale nouvelle. Cet examen est complété par un CT-scan thoracique, qui est compatible avec un possible foyer pulmonaire basal droit débutant. Un traitement empirique par Rocephine puis Augmentin à hautes doses est instauré, et le patient nous est alors adressé pour la suite de la prise en charge. Les hémocultures reviennent positives pour un MSSA. La source infectieuse primaire est attribuée à ce stade à une boursite du coude gauche, traitée conservativement après avis orthopédique (Dr. X). À noter la présence de lésions cutanées à la face dorsale de O1 au pied gauche et O2 au pied D le 29.12.2017, compatibles soit avec des emboles septiques soit avec des nécroses sèches secondaires à une polyneuropathie toxique. Un suivi clinique quotidien de ces lésions est préconisé. Le bilan est complété par une échocardiographie trans-thoracique le 31.12.2017, qui ne montre pas de végétation ni d'aggravation des fuites paravalvulaires déjà connues. Dans ce contexte, une échocardiographie transoesophagienne est à organiser pour le 03.01.2018. En cas de dégradation clinique dans l'intervalle, cet examen est à réaliser en urgence. Sur avis infectiologique (Dr. X) et au vu de la présence d'un MSSA, le traitement antibiotique initié à l'arrivée à Fribourg (Vancocin, Garamicine, Rifampicine et Tavanic) peut être simplifié dès le 01.01.2017, avec un relais par Co-amoxicilline pour 6 semaines au moins, Rifampicine et Gentamycine pour 5 jours (taux résiduels à suivre le 01.01.2018). Des hémocultures sériées, réalisées aux 24 h, sont à suivre. Dans ce contexte, nous vous proposons d'organiser la pose d'un cathéter Picc-line d'ici au 05.01.2018. En raison de douleurs lombaires basses non déficitaires et de l'état confusionnel au décours, nous vous proposons de compléter les investigations radiologiques par une IRM cérébrale et lombaire dès le 03.01.2018, à la recherche d'une éventuelle dissémination bactériologique à ces niveaux. Un consilium ophtalmologique avec fond d'œil est à prévoir dès le 03.01.2018. Un traitement freinateur par bêtabloquants est introduit le 01.01.2018 devant des épisodes itératifs de FA rapide asymptomatique. En raison d'un INR infra-thérapeutique en date du 01.01.2018 chez ce patient porteur de 2 valves cardiaques mécaniques, nous introduisons un traitement transitoire par Clexane à visée thérapeutique. • Patient de 62 ans admis pour un AVC ischémique fronto-pariétal droit lyse le 12.01.2018. Il s'agit d'un patient connu pour deux AIT en 2013 et 2007 qui se présente aux urgences pour une paralysie de son bras gauche accompagnée par une hypoesthésie depuis 10h00 le 12.01.18, qui a commencé brusquement, sans douleur au niveau du bras, pas de céphalée et pas de douleur thoracique/dyspnée. À noter que le patient rapporte une hémoptysie depuis environ 3 semaines avec des expectorations sanguines de petites quantités 3-4x/jour. Aux urgences, on met en évidence une légère ptose de la lèvre à gauche, une dysarthrie discrète et un déficit moteur distal MSG (M0 main gauche) avec hypoesthésie au niveau de tout le bras gauche (NIHSS 3). Un CT cérébral montre un AVC ischémique pariétal à droite et une lyse est débutée après avis des neurologues (Dr. X). Le patient est admis au SIC en lit monitoré Stroke Unit pour la suite de la prise en charge. La lyse est effectuée en dose réduite vu l'anamnèse de hémoptysies. L'évolution neurologique est partiellement favorable avec une résolution de l'hypoesthésie, de la dysarthrie et de la ptose mais une persistance de la parésie de la main gauche à M0. Le CT de contrôle à 24h post-lyse ne montre pas de saignement et l'Aspirine cardio est donc reprise. Une décompensation cardiaque radiologique est mise en évidence à l'admission avec des besoins en oxygène à 2-4L/min mais sans signes autres de surcharge auscultatoire ou clinique. Aucun traitement diurétique ou nitré n'est instauré au vu du profil tensionnel plutôt bas et dans le contexte de l'AVC aigu. L'évolution est spontanément favorable. • Patient de 64 ans, admis aux soins intensifs le 09.01.2018 en raison d'une pneumonie sévère sur infection grippale à Influenza B avec décompensation cardiaque gauche secondaire. Il consulte initialement aux urgences en raison d'une dyspnée de stade IV en progression sur 24h, survenant dans un contexte d'état grippal récurrant depuis 3 jours. Le bilan radiologique montre un foyer pulmonaire basal droit associé à des signes de surcharge cardiaque gauche discrets. Il est admis dans notre service en raison d'un tableau clinique de détresse respiratoire, pour VNI et suite de prise en charge.L'évolution respiratoire est rapidement favorable sous VNI et traitement par Tamiflu. Les PCR reviennent positives pour une grippe Influenza B. Le Tamiflu instauré dès l'admission est à poursuivre pour une durée de 5 jours. En l'absence de signes cliniques et biologiques francs de co-infection pulmonaire bactérienne et des cultures négatives, les antibiotiques sont interrompus le 11.01.2018. En raison d'une insuffisance rénale aiguë attribuée en premier lieu à une origine pré-rénale dans le contexte infectieux, l'Entresto et le traitement diurétique habituel sont mis en suspens. Les posologies d'Eliquis sont réduites de moitié. Nous vous laissons le soin de suivre le poids et la fonction rénale quotidiennement et de reprendre ces traitements aux posologies habituelles en fonction de l'évolution clinique. • Patient de 64 ans avec de multiples FRCV (HTA, tabagisme actif, obésité, sédentarité et diabète mellitus type 2 NIR) ainsi qu'AAA avec un dernier CT-scan en 04.2015 qui montrait un diamètre de 4.5 cm sur 4.8 cm sur une longueur de 8.5 cm. Il est adressé par son cardiologue traitant pour une coronarographie en électif. Le patient n'a pas d'antécédents cardiaques connus mais présente depuis quelques mois 2 à 3 épisodes de douleurs thoraciques suspectes pour angor mais sans lien avec l'effort. Au vu du profil des risques cardio-vasculaires, une coronarographie est organisée d'emblée le 23.01.2018. L'examen invasif montre une sténose importante de la circonflexe proximale/moyenne chez un malade avec dominance gauche (petite coronaire droite). Légère dysfonction ventriculaire gauche. Il est procédé à la mise en place de deux stents actifs RCX proximale/moyenne avec excellent résultat final. On propose un traitement avec l'Aspirine à vie et le Plavix 75 mg/j pour la durée de 6 mois. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 24.01.2018. • Patient de 65 ans qui a fait un infarctus du myocarde de type NSTEMI le 18.12.2017 avec mise en évidence d'une cardiopathie ischémique tritronculaire. En décembre 2017, l'IVA et la première diagonale sont dilatées et stentées. Le patient est re-convoqué en électif le 23.01.2018 pour le traitement de la RCA. L'examen invasif montre un excellent résultat du stenting de décembre 2017 (sur IVA moyenne-proximal et sur la première diagonale). Comme planifié, il est procédé à une dilatation/stenting de la RCA avec implantation de 2 stents actifs. La fonction du ventricule gauche est estimée à 35%. Dans ce contexte, nous proposons au cardiologue traitant (Dr. X) d'effectuer une ETT de contrôle dans 4 semaines et de réévaluer l'indication à l'implantation d'un défibrillateur. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 24.01.2018. • Patient de 65 ans, en BSH, connu pour un s/p PTH D le 11.01.2018 par le Dr. X, qui est hospitalisé pour une grippe B. Le patient bénéficie d'un traitement par Tamiflu. En raison de la pose récente d'une PTH, nous décidons de prescrire une antibiothérapie prophylactique pendant 48 heures. Les suites de prise en charge sont marquées par une rapide amélioration de la symptomatologie permettant un retour à domicile le 24.01.2017. Le patient se rendra en consultation chez son orthopédiste traitant tel que prévu. • Patient de 66 ans, transféré de l'hôpital de Bern et admis au SIC de Fribourg pour un état délirant, hyperactif avec hétéro-agressivité dans les suites d'un TCC sévère avec plusieurs interventions chirurgicales crâniennes. Le 11.11.2017, le patient présente un TCC sévère suite à une chute dans le contexte d'une alcoolisation aiguë. Le bilan lésionnel retrouve un saignement intracérébral, une fracture de la calotte temporale G et une thrombose veineuse du Sinus transverse. Au vu d'une péjoration du saignement avec une déviation de la ligne médiane à droite, une hémicraniectomie G est réalisée le 17.11.2017 à l'inselspital à Bern. Le 19.12.2017, la calotte était réimplantée et le patient est transféré en Neuro-réhabilitation, sous traitement par Trittico et Quetiapine pour un état d'agitation. Suite à une hétéro-agressivité importante (le patient a essayé d'étrangler son fils), il est retransféré à l'Inselspital et sur avis des psychiatres, le traitement avec Trittico et Quetiapine est stoppé. Un traitement par Catapresan, Valium et Haldol est débuté avec un effet satisfaisant. Une sonde naso-gastrique pour une alimentation entérale est mise en place devant le refus du patient de manger. Le patient est transféré pour une suite de prise en charge aux soins continues de Fribourg. À l'admission, le patient est somnolent et présente un état fébrile à 38,6 °C. Des hémocultures et une uriculture (urines purées) sont réalisées. Devant un syndrome inflammatoire à la hausse et une suspicion de pneumopathie d'inhalation, un traitement par Tazobac est débuté. L'état neurologique restant fluctuant entre somnolence et agitation et après consilium auprès de nos collègues neurologues, un EEG est réalisé permettant d'éliminer une épilepsie et le CT cérebro-thoracique retrouve une discrète augmentation de taille de la collection frontale gauche en regard du volet de craniotomie avec discrète augmentation de la déviation de la ligne médiane controlatérale avec une régression quasi-complète de la thrombose du sinus sigmoïde à droite. À l'étage thoracique, on retrouve des foyers de broncho-aspiration bi-basaux. Au vu du syndrome fébrile et de l'augmentation de taille de la collection frontale gauche, le patient est retransféré après consilium et à la demande de nos collègues neurochirurgiens à l'inselspital (Dr. X) pour suite de sa prise en charge. L'épouse de Mr. Y est informée de l'évolution clinique et de son transfert en service de neurochirurgie de Bern. • Patient de 66 ans, admis aux soins intensifs le 05.01.2018 en raison d'une pneumonie avec choc septique associé survenant dans le contexte d'un adénocarcinome pulmonaire métastatique. Il est initialement adressé aux urgences le 05.01.2018 en raison d'un EF jusqu'à 40 °C avec frissons, survenant dans un contexte de toux non productive et douleurs basi-thoraciques D depuis la veille avec lipothymies secondaires. Le tableau clinique évoque un choc distributif avec une tension artérielle à 70/40 mmHg, tachycardie à 144/min, et une désaturation franche à l'air ambiant à 75%. Il nous est alors adressé pour suite de prise en charge. L'évolution hémodynamique est progressivement favorable sous Noradrénaline et après une réanimation volémique ciblée, en association avec une antibiothérapie à large spectre. Le Tienam est à poursuivre pour un total de sept jours, sous réserve des cultures en cours (à suivre). La Noradrénaline est définitivement sevrée le 07.01.2018. En raison de bilans hydro-urinaires fortement positifs au décours de la réanimation initiale, un traitement de Lasix est initié et permet de normaliser progressivement ces bilans. En raison d'une hypoxémie initiale sévère, il bénéficie de ventilation non invasive durant son séjour.Le patient présente initialement une insuffisance rénale aiguë oligurique prérénale secondaire au choc septique, qui répond bien au remplissage et se corrige rapidement. Le 08.01.2018, la néphrostomie droite fuit de manière importante, avec de l'urine s'écoulant par l'orifice de ponction. Une injection de produit de contraste montre une migration sous-cutanée de la sonde avec un trajet fistulaire entre le rein droit et la peau. La néphrostomie est enlevée sur avis urologique (Dr. X). Un ultrason des voies urinaires montre une légère dilatation pyélocalicielle qu'il s'agira de suivre dans les prochains jours. En l'état, l'urine s'écoule en grande quantité par la fistule et aucun geste complémentaire n'est préconisé. L'ultrason ayant également mis en évidence du liquide libre, celui-ci est ponctionné et exclut la présence d'urine intra-abdominale. La bactériologie est encore pendante. Une pose de néphrostomie sera à agender dans les prochains jours, suivant l'évolution clinique du patient. Le patient est transféré en division de médecine le 08.01.2018. Patient de 66 ans admis aux soins intensifs pour une crise d'asthme sévère le 15.01.2018. Le patient est connu pour un asthme depuis plus de 20 ans traité par Salbutamol quotidien, mais sans exacerbation récente. Il présente le 15.01.2018 une crise d'asthme sévère, sans élément déclencheur clair. Le frottis nasopharyngé revient négatif pour la grippe. L'évolution est favorable après traitement bronchodilatateur, aérosol d'adrénaline et corticostéroïdes. Un traitement de Symbicort est mis en place chez un patient prenant du Salbutamol 5x/j depuis plus de 20 ans. La posologie est à garder pour 4 semaines, puis une diminution progressive jusqu'à la dose minimale efficace est à effectuer. Le traitement de Prednisone est instauré pour une durée totale de 5 jours. Durant le séjour, le patient présente une hypertension artérielle avec des TAS jusqu'à 220 mmHg motivant l'introduction d'un traitement antihypertenseur par Nifédipine avec un bon effet. Le patient rentre à domicile le 16.01.2018. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter le traitement de l'asthme au long cours. Patient de 66 ans, admis initialement aux soins intensifs pour un choc septique sur une pneumonie dans le contexte d'un adénocarcinome pulmonaire métastatique. Un traitement antibiotique par Tazobac et Klacid est débuté le 05.01.2018, puis changé pour du Tienam le 06.01.2018 au vu d'une antibiothérapie récente dans le cadre d'un sepsis urinaire et d'un état de choc persistant malgré un remplissage vasculaire avec nécessité d'amines jusqu'au 07.01.2017. D'un point de vue infectieux, l'évolution clinique et biologique sera par la suite favorable, permettant un relais de l'antibiothérapie per os. Le patient présente initialement une insuffisance rénale aiguë oligurique prérénale secondaire au choc septique, qui répond bien au remplissage et se corrige rapidement. Le 08.01.2018, la néphrostomie droite fuit de manière importante, avec de l'urine s'écoulant par l'orifice de ponction. Une injection de produit de contraste montre une migration sous-cutanée de la sonde avec un trajet fistulaire entre le rein droit et la peau. La néphrostomie est enlevée sur avis urologique. Par la suite, une ultrasonnographie hépato-rénale est réalisée et met en évidence une augmentation de la dilatation pyélocalicielle droite, mais ne montre aucun signe d'hypertension portale. Au vu de l'obstruction des voies urinaires droites, le patient bénéficie le 10.01.2018 de la mise en place d'une sonde de néphrostomie droite, sans complications. Par ailleurs, le patient présente un discret ascite mis en évidence à l'ultrason. Celui-ci est ponctionné et exclut la présence d'urine intra-abdominale. Enfin, le patient montre des signes de malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec sa pathologie oncologique avec une inappétence (ingesta à maximum 60% des besoins) démontrée par un NRS à 5 et un BMI à 15.4. Il bénéficie d'une prise en charge nutritionnelle générale avec des suppléments nutritifs oraux. Le patient est transféré à la villa Saint-François pour la suite de la prise en charge dans un objectif de réhabilitation palliative. Dès la fin de séjour en réhabilitation, le patient contactera son oncologue traitant le Dr. X pour refaire le point sur la situation oncologique. Patient de 66 ans avec une FA anticoagulée par Xarelto à risque de saignement (anti-agrégation pour AVC et cardiopathie ischémique). Comme convenu avec Dr. Y, nous avons procédé à une occlusion de l'auricule gauche avec un LAA Occluder 25 mm sous anesthésie générale et contrôle ETO effectué par PD Dr. X. Vu l'histoire de la maladie coronarienne, nous avons aussi injecté les coronaires et trouvé une sténose significative de la première marginale. Nous avons traité cette lésion avec un stent actif avec un bon résultat. Nous proposons un traitement avec l'Aspirine à vie, Plavix 75 mg/d pour minimum 1 mois et contrôle ETO après 1 mois. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA. Le patient rentre à domicile le 19.01.2018. Patient de 66 ans qui a eu une coronarographie en électif le 10.01.2018 en raison d'une ergométrie pathologique (arythmie ventriculaire complexe à l'effort) réalisée dans le cadre d'un bilan ambulatoire vu les nombreux facteurs de risque cardiovasculaire chez un patient asymptomatique. La coronarographie du 10 janvier 2018 avait mis en évidence une maladie coronarienne bitronculaire (ACD et IVA) avec stenting de l'artère coronaire droite. Le patient est reconvoqué en électif le 31.01.2018 pour le traitement de l'IVA. L'examen invasif montre un bon résultat à court terme de la double PCI de l'artère coronaire droite effectuée le 10.01.2018. Il est procédé à la revascularisation avec une PCI/1 DES de l'IVA distale. À noter que lors de la première coronarographie, le patient mentionnait une allergie à l'Aspirine. Il a toutefois été chargé en Aspirine (500mg) et Plavix (75mg) puis Aspirine 100mg/j à vie et Plavix 75mg/j pour 6 mois sans noter de réaction depuis lors. Le traitement double anti-agrégant plaquettaire est ainsi maintenu. Le reste du traitement (Exforge 5/160mg 1x/j et Crestor 20mg 1x/j) est maintenu sans changement. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile. Patient de 66 ans qui bénéficie d'une coronarographie en électif le 10.01.2018 pour bilan d'un test d'effort douteux (ergométrie maximale doublement négative, mais apparition d'une arythmie ventriculaire complexe). L'examen invasif du jour montre une maladie coronarienne de 2 vaisseaux (coronaire droite et IVA), avec une bonne fonction systolique ventriculaire gauche. Il est procédé à une PCI/1 DES de l'artère coronaire droite distale et PCI/1 DES de l'artère coronaire droite moyenne avec un bon résultat final. Une recoronarographie avec PCI élective de l'IVA distale est prévue dans 1 mois. On introduit Aspirine 100mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois avec le reste du traitement inchangé.Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 11.01.2018. • Patient de 67 ans connu pour un carcinome pulmonaire épidermoïde non à petites cellules de stade IV, est initialement hospitalisé le 09.01.2018 pour une insuffisance respiratoire globale sur progression de la masse tumorale médiastino-hilaire droite avec une sténose trachéale et une occlusion de la bronche souche droite. La prise en charge se poursuit par la mise en place d'un stent endo-trachéo-bronchique par nos collègues de Berne, réalisée avec succès le 19.01.2018. Le patient revient ce jour pour suite de prise en charge avec notamment une immunothérapie de Tecentriq. Suivant le Tumor board de nos collègues de l'Insel Berne, une radiothérapie est suggérée pour un contrôle local de la tumeur. Il bénéficie d'une physiothérapie respiratoire palliative, l'aidant à expectorer. Par ailleurs, il bénéficie également d'une bronchoscopie de nettoyage, juste avant sa sortie. L'intervention s'est révélée difficile avec un mucus très visqueux, raison pour laquelle on instaure un aérosol de Fluimucil et on programme des bronchoscopies de nettoyage itératives. La prochaine intervention est prévue le 29.01.2018. En ce qui concerne les directives anticipées, le patient manifeste clairement le choix de ne pas être réanimé si toutefois la situation venait à se péjorer brutalement. Il est favorable à une simple bronchoscopie de toilettage, mais ne souhaite aucune mesure active ou artificielle prolongeant sa vie, comme une intubation. Par ailleurs, un protocole d'urgence est mis en place et expliqué au patient et sa compagne, à savoir, un traitement par Dormicum intranasal et de la Morphine 5 mg en réserve en cas de détérioration respiratoire. L'équipe Voltigo est mise au courant de la situation clinique du patient. Pour le reste, différents rendez-vous sont prévus avec le patient notamment pour le suivi de la prise en charge oncologique et palliative, ainsi que radio-oncologique tel que repris ci-dessous. Le patient retourne ce jour à domicile sans aide mais avec de la physiothérapie respiratoire quotidienne et un soutien Voltigo si nécessaire. • Patient de 67 ans connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnées et qui a eu une coronarographie en urgence en décembre 2017 pour un STEMI inférieur sur occlusion sub-aiguë de l'artère coronaire droite. La coronarographie de décembre 2017 met en évidence une maladie coronarienne bitronculaire. Une coronarographie en électif est organisée le 12.01.2018 pour le traitement de l'IVA. Le patient ne présente pas d'angor résiduel depuis l'intervention de décembre 2017. L’examen invasif du jour démontre un excellent résultat après stenting de la CD moyenne. Comme convenu avec M. GRAND, nous traitons l'IVA moyenne, puis proximale, par 2 stents actifs avec un excellent résultat final. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 35%. On poursuit l'Aspirine 100 mg 1-0-0 et l'Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois depuis le STEMI (stop juin 2018). On intensifie le traitement d'insuffisance cardiaque en majorant le Beloc-Zok à 25 mg 2x/j et introduction d'Inspra 25 mg 1x/j (avec poursuite du Lisinopril 10 mg 1x/j). Un contrôle dans 1 mois à la consultation du Prof. Cook est prévu avec une ergométrie dans 1 année. Après une surveillance rythmique et hémodynamique sans particularité, le patient rentre à domicile le 13.01.2018. • Patient de 67 ans, connu pour un diabète de type II qui consulte le service des urgences pour une toux sans expectorations depuis 2 jours avec un état fébrile à 38,8 et dyspnée nouvelle. Une radiographie du thorax montre des infiltrats bibasaux. Les hémocultures et les antigènes urinaires sont négatifs. Nous débutons un traitement antibiotique par Rocéphine intraveineux puis relais par Co-Amoxicilline pour une durée totale de 7 jours. En raison d'un diabète mal contrôlé, nous introduisons un traitement d'insuline et demandons un avis des diabétologues qui proposent pour la sortie l'introduction d'insuline rapide le matin, la Lantus et la Metformine 2 x/jour. Il sera revu en contrôle en diabétologie le 16.01.2018. En raison d'une tuméfaction et limitation de la mobilité du genou gauche, nous demandons un avis des orthopédistes ainsi qu'une radiographie du genou qui montre une arthrose tri-compartimentale. Monsieur sera convoqué en consultation d'orthopédie chez le Dr. X. • Patient de 67 ans, en cours d'investigation pour une suspicion de granulomatose avec polyangéite est admis le 11.01.2018 aux soins intensifs pour une surveillance post bronchoscopie suite à une insuffisance respiratoire hypercapnique dans un contexte d'hémorragie alvéolaire. Monsieur Curty est hospitalisé dans le service de médecine depuis le 01.01.2018 pour une pneumonie multilobaire à Pseudomonas aeruginosa sur des poumons très emphysémateux avec bronchiectasies. Le bilan met en évidence des hémorragies alvéolaires ainsi qu'une insuffisance rénale associée à des ANCA anti-MPO positifs faisant suspecter une granulomatose de Wegener. Une bronchoscopie diagnostique le 11.01.2018 confirme les hémorragies alvéolaires. L'évolution est marquée par un état d'agitation post retrait du masque laryngé nécessitant une IOT après échec de VNI, et le patient est transféré aux soins intensifs. L'évolution est favorable permettant une extubation le 13.01.2018. Il ne présente pas de récidive d'hémoptysies. Des séances de VNI ne sont pas tolérées par le patient. Concernant la suspicion de Wegener, une corticothérapie par Solumédrol puis prednisone est initiée, associée à une dose d'Endoxan 750 mg le 12.01.2018 sur avis néphrologique. Une biopsie rénale transjugulaire est organisée pour le 18.01.2018 à 10h (Dr. X). La fonction rénale s'améliore progressivement. Sur avis des pneumologues et néphrologues, le patient est mis sous prophylaxie par Bactrim. Au vu d'une évolution favorable, il est transféré à l'étage de médecine le 16.01.2018. • Patient de 67 ans, institutionnalisé, qui est hospitalisé pour une pneumonie bi-basale. Une antibiothérapie par Ceftriaxone puis Co-Amoxicilline est initiée avec une évolution clinique favorable. À noter qu'à l'entrée, le patient présente également une acutisation de son insuffisance rénale chronique d'allure pré-rénale. Le patient bénéficie d'une hydratation IV permettant une correction de l'acutisation avec un retour à des valeurs habituelles de créatininémie. Au vu de l'insuffisance rénale pré-rénale, des valeurs tensionnelles normales et de l'hyperkaliémie, nous stoppons transitoirement l'IEC, l'Aldactone et le Torasémide. Nous proposons une réintroduction progressive par le médecin traitant. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à l'EMS le 26.01.2018. • Patient de 68 ans, restaurateur retraité, atteint d'un syndrome métabolique sévère avec HTA, obésité, diabète de type 2 connu depuis 10 ans et sous insuline depuis 7 ans et une dyslipidémie. À noter dans les autres FRCV un tabagisme actif à 70 UPA et une sédentarité. Le patient se plaint d'une dyspnée en aggravation au cours des derniers mois. Une échocardiographie est réalisée en ambulatoire chez son cardiologue traitant (Dr. X) avec une FEVG à 50 % sous réserve d'images échocardiographiques de mauvaise qualité. Dans ce contexte, une coronarographie est réalisée en électif afin d'investiguer la dyspnée comme possible équivalent angineux.L'examen invasif du jour montre une sténose significative de la circonflexe proximale. La fonction systolique du VG est normale. Après discussion avec le patient, il est procédé à un primary stenting RCX prox/moyenne avec excellent résultat final. Il est proposé un traitement d'Aspirine 100 mg/j à vie et d'Efient 10 mg/j pour 6 mois. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 17.01.2018. Patient de 69 ans connu pour une maladie coronarienne bitronculaire et qui mentionne lors de son contrôle annuel en cardiologie en janvier 2018 avoir eu 4 à 5 épisodes d'angor typique au cours de l'année 2017. Une coronarographie de contrôle est ainsi agendée en électif le 18.01.2018. L'examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne avec lésions bitronculaires. Il est procédé à l'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale (implantation de 2 stents actifs) et l'angioplastie de l'artère coronaire droite distale (implantation de 1 stent actif). Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie dans 1 année. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 19.01.2018. Patient de 69 ans, en bonne santé habituelle, amené aux urgences par l'ambulance en raison de céphalées présentes depuis le 04.12.2017, d'apparition progressive, à 8/10, sans amélioration sous Dafalgan et Ecofenac, en casque, pulsatiles, sans photophobie ni phonophobie, sans nausées ni vomissements. Il a déjà consulté les urgences pour la même symptomatologie les 05 et 25.12.2017. Un CT cérébral natif effectué le 28.12.2017 n'a pas montré d'hémorragie aiguë intra ou extra-axiale. L'examen clinique d'entrée est sans particularité. Le patient bénéficie d'Imigran et de Temesta, sans nette amélioration de la symptomatologie. Sur avis du Dr. X, neurologue, nous pratiquons un CT cérébral natif et injecté et un CT injecté des tissus mous du cou à la recherche d'une éventuelle thrombose, d'anévrisme ou d'hémorragie, mais l'examen ne retrouve aucune anomalie. Le patient est hospitalisé en médecine pour adaptation de l'antalgie. Monsieur Moura présente des épisodes d'anxiété paroxystique avec des crises de panique et des idées suicidaires dans un contexte d'insomnie chronique depuis une année, d'épuisement suite au diagnostic de cancer de son épouse et d'un problème de communication avec son fils. Un consilium psychiatrique est réalisé le 03.01.2018 par le Dr. X, psychiatre de liaison, qui retient le diagnostic de trouble anxieux, sans précision, et instaure un traitement par Trittico retard 150 mg/jour le soir, en association avec du Temesta 1 mg en réserve la journée (jusqu'à 3 fois), ainsi que la mise en place d'un suivi ambulatoire psychiatrique au CSSM de Bulle. Un traitement hypnotique par zopiclone est également instauré. Avec ce traitement, le patient relate avoir un sommeil adéquat et se sentir mieux psychiquement. Le 05.01.2018, le patient ne se plaignant plus de céphalées, il peut regagner son domicile. Patient de 70 ans, admis aux soins intensifs le 07.01.2017 en raison d'un anévrisme de l'artère iliaque gauche non rompu mais symptomatique. Il consulte initialement les urgences le 07.01.2018 en raison de douleurs abdominales survenues le jour-même. Au vu des antécédents précités, un CT abdominal révèle la présence d'un anévrisme de 3.5 cm avec thrombose intra-luminale de l'artère iliaque commune gauche avec infiltration de la paroi et graisse en contact de l'anévrisme, sans argument pour une rupture. Nos collègues chirurgiens ne retiennent pas d'indication à une prise en charge en urgence mais un contrôle rapproché de la tension artérielle est nécessaire, raison pour laquelle le patient est admis aux soins intensifs. Un traitement de Labétalol est débuté afin de maintenir des TAS inférieurs à 100 mmHg, chez ce patient sous bithérapie de traitements anti-hypertenseurs. Après l'adjonction d'Amlodipine, le traitement de Trandate peut être sevré et changé pour du Métoprolol per os le 08.01.2018. Une thromboprophylaxie par clexane est débutée le 07.01.2018. L'indication à une intervention en semi-urgence est retenue par nos collègues chirurgiens. Dans le cadre du bilan pré-opératoire, une échocardiographie est réalisée le 08.01.2018, qui est compatible avec une cardiopathie hypertensive avec FEVG conservée. Un bilan angiologique des membres inférieurs est demandé, qui est à suivre. La date de l'intervention est à préciser. À l'entrée, une leucocyturie asymptomatique est diagnostiquée. Une culture d'urine est en cours, qui est à suivre. En l'absence de symptômes, nous n'avons pas introduit d'antibiothérapie en l'état. Le patient est transféré à l'étage de chirurgie le 08.01.2018. Patient de 70 ans, connu pour un cholangiocarcinome du hile du foie (tumeur de Klatskin) métastatique au niveau hépatique ainsi qu'une thrombose porte actuellement sous Clexane prophylactique, qui est hospitalisé depuis le service d'oncologie où il est venu consulté en raison d'une grande fatigue avec un épisode de frisson solennel sur la nuit et un état fébrile à 38°. Ceci est associé à des douleurs en flanc G depuis plusieurs mois avec une discrète péjoration ce jour, ainsi que des douleurs reproductibles à la palpation en latéro-thoracique gauche. Les examens biologiques et radiographiques d'entrée ne mettent pas en évidence de cause étiologique ni aux douleurs ni à l'état fébrile. Nous mettons en place une antibiothérapie empirique par Metronidazole et Ceftriaxone pour dix jours pour couvrir une cholangite probable. L'évolution est favorable, le patient ne représente pas de nouvel état fébrile. Dès son arrivée, le patient rapporte des douleurs et paresthésie des membres supérieurs fluctuantes depuis un accident de travail il y a plusieurs années. Nous ne mettons pas en évidence de déficit neurologique et n'effectuons donc pas d'autres examens paracliniques. Nous instaurons un traitement d'épreuve par Becozym pour soulager l'apparente neuropathie et majorons le traitement de Lyrica mis en place par le service d'oncologie. Nous remarquons un malaise et une grande anxiété chez ce patient polypatient qui reparle souvent de son accident; nous contactons donc les psychiatres de liaison pour une évaluation d'un possible PTSD et la mise en place d'un suivi en ambulatoire, mais le patient refuse de les rencontrer. Durant l'hospitalisation, Mr. Y présente une crise de goutte sur la première métatarsophalangienne gauche. Nous introduisons un traitement par Dafalgan et Prednisone pour 3 jours. Mr. Y se présentera chez son médecin traitant en cas de mauvaise évolution. Mr. Y rentre à domicile le 17.01.2018 avec remise en place des aides à domicile. Patient de 70 ans, hospitalisé le 06.01.2017 en raison d'un anévrisme de l'artère iliaque gauche non rompu se manifestant par des douleurs abdominales. Un séjour de 6 jours aux soins intensifs est nécessaire pour la gestion du traitement anti-hypertenseur et le traitement endovasculaire en trois temps. Monsieur est transféré en chirurgie le 13.01.2018.L'anévrisme de l'artère iliaque gauche est de 3.5 cm, avec une thrombose intra-luminale de l'artère iliaque commune gauche et infiltration de la paroi et graisse en contact de l'anévrisme. Il y a des signes de pré-rupture, sans extravasation de produit de contraste. Il existe en plus un anévrisme de l'artère iliaque interne D, qui sera mis à plat par coiling. Ensuite, on procède à un pontage hybride ilio-iliaque G, puis finalement à la mise en place d'une endoprothèse bifurquée aorto-bi-iliaque le 12.01.2018. Les interventions se déroulent sans complication, la perfusion des membres inférieurs est satisfaisante au 13.01.2018 (pouls présents au Doppler). Un traitement de Prednisone a été introduit selon schéma de chirurgie vasculaire, pour diminuer l'atteinte inflammatoire locale sur l'endoprothèse. L'hypertension a été contrôlée par traitement intra-veineux, avec relais po. À la fin du séjour, la bithérapie anti-hypertensive habituelle est reprise (BBQ-IEC). Le traitement reste à adapter dans les jours à venir. Le patient est connu pour une cardiopathie hypertensive et une fibrillation auriculaire chronique, sans décompensation lors du séjour. L'anticoagulation thérapeutique est reprise en post-opératoire par héparine, un switch au Xarelto est à faire dès que la situation chirurgicale le permet. Au soir du 12.01.2013, le patient présente un état fébrile avec comme cause potentielle la situation post-opératoire ou une infection urinaire. Il avait en effet présenté à l'entrée une leucocyturie asymptomatique, avec présence d'E. coli à la culture d'urine. Un traitement de Rocéphine a été introduit dont la durée reste à déterminer. De multiples plages de rehaussement aspécifiques du parenchyme hépatique laissant suspecter des hémangiomes sont mises en évidence de façon fortuite au CT scan du 10.01.2018. Un IRM hépatique devrait être réalisé à distance de l'épisode aigu afin de préciser le diagnostic. Patient de 70 ans, porteur d'une trachéotomie, hospitalisé pour une perturbation d'une dyspnée NYHA III avec changement des sécrétions par la trachéostomie. On conclut à une décompensation de BPCO, sans foyer de pneumonie sur la radiographie du thorax. Cependant, la culture d'expectorations nous permet de mettre en évidence un staphylocoque doré multi-sensible que nous traitons par huit jours d'antibiothérapie, associée à une majoration des aérosols, oxygénothérapie et physiothérapie respiratoire. Nous proposons à Monsieur Haas de continuer l'Atrovent, introduit durant l'hospitalisation, à la sortie. Au vu de la bonne évolution, nous laissons le patient rentrer à domicile le 30.01.2018. Du point de vue ORL, Monsieur Haas bénéficie d'un contrôle par le Dr. X le 29.01.2018 qui revient sans particularité, hormis la mise en évidence d'un herpès buccal et péri-buccal que l'on traite par antiviraux topiques. Patient de 71 ans amené aux urgences par son épouse en raison d'une désorientation spatio-temporelle aiguë avec confusion et agitation psychomotrice. Plus précisément, la confusion est survenue le matin alors que le patient, parti en voiture, ne retrouvait plus son chemin pour rentrer à domicile. Selon l'hétéro-anamnèse effectuée avec l'épouse, elle relate un comportement bizarre depuis trois semaines, avec une labilité émotionnelle (le patient pleure souvent sans vraie raison), des réponses qui deviennent moins cohérentes, des oublis, sans hétéro-agressivité. Elle dit que son mari se sent stressé par rapport au voyage au Costa-Rica qu'il doit faire pour aller trouver son fils. Monsieur Bersier mentionne une chute de sa hauteur dans des circonstances peu claires. Aux urgences, le patient est désorienté dans le temps et dans l'espace. Il présente des troubles de l'attention fluctuants et le discours n'est pas toujours cohérent, il semble mal comprendre les informations reçues et n'arrive pas à retenir tous les ordres, surtout quand ils sont complexes. Le statut clinique, notamment neurologique, revient dans la norme hormis une légère tuméfaction au niveau temporal droit. Au vu du tableau clinique et d'un doute quant à un traumatisme crânien, nous effectuons un CT cérébral qui permet d'exclure une hémorragie intra-crânienne mais qui met en évidence une ancienne lésion thalamique gauche. Le laboratoire met en évidence une hyperglycémie à 9,8 mmol/l. Il n'y a pas d'anémie, de troubles électrolytiques ni d'insuffisance rénale. Monsieur Bersier est hospitalisé en médecine pour investigations de cet état confusionnel aigu. Nous complétons le bilan par une IRM du neurocrâne qui ne montre pas de signe d'AVC récent au niveau thalamique, mais une leucopathie vasculaire avancée et une dilatation des espaces de Virchow Robin, signes de vieillissement cérébral. Une ponction lombaire est également réalisée le 27.12.2017 et revient sans particularité. La cortisol basale et la TSH sont dans la norme. Nous effectuons également un cortisone suppression test qui est normal. Lors de son hospitalisation, le patient présente une accélération psychomotrice maniforme importante le soir du 27.12.2017 avec logorrhée, instabilité émotionnelle et propos incohérents, raisons pour lesquelles nous proposons un traitement par Haldol et Distraneurin. Le Dr. X, psychiatre de liaison, effectue un consilium le 03.01.2018 et conclut à un delirium possiblement surajouté à une démence de survenue récente. Malgré le traitement mis en place, le patient reste toujours en état confusionnel, raison pour laquelle nous proposons, en accord avec la Dr. X, psychiatre de liaison, une hospitalisation à l'hôpital de Marsens à l'Unité de Jasmine le 05.01.2018. Patient de 71 ans, hospitalisé aux soins intensifs le 05.01.2018 en raison d'une maladie de Wegener nouvellement diagnostiquée avec atteinte pulmonaire sévère. Il est initialement hospitalisé à Riaz depuis le 19.12.2017 pour suspicion de pneumonie abcédante d'évolution défavorable. Les multiples investigations permettent de poser le diagnostic de maladie de Wegener le 05.01.2018, avec atteinte pulmonaire, rénale, ophtalmique, cutanée (purpura) et articulaire. Il nous est alors adressé pour suite de prise en charge. La bronchoscopie met en évidence un ulcère paratrachéal D sous-glottique, des sténoses multi-étagées avec desquamation trachéale et une trachéomalacie débutante. L'indication pour une biopsie rénale pour confirmer le diagnostic de maladie de Wegener n'est pas retenue devant l'atteinte sévère pulmonaire et le tableau clinique typique avec des PR3-ANCA positifs. Une immunosuppression est introduite dès le 05.01.2018 sur avis des pneumologues, rhumatologues et néphrologues. Un bilan ophtalmologique a également été effectué avec introduction de gouttes de vitamines A pour la scléro-malaicie de l'œil gauche et un contrôle à prévoir d'ici au 12.01.2018. Des bronchoscopies de contrôle le 06.01. et le 08.01.2018 montrent une évolution globalement favorable sous immunosuppression par Cyclophosphamide et Solumédrol, avec la persistance des ulcères couverts de fibrine et des légers saignements. Les inhalations d'adrénaline sont à poursuivre sur avis du Dr. X, qui prévoit une nouvelle bronchoscopie pour le 10.01.2018. L'évolution clinique est simple à ce stade, sans signe de détresse respiratoire tout au long du séjour dans notre service.L'antibiothérapie de Clindamycine est poursuivie sur avis des infectiologues en raison des abcès pulmonaires et de l'immunosuppression. Une antibioprophylaxie et une prophylaxie d'ostéoporose seront à introduire à la sortie de l'hôpital. Dans le contexte d'insuffisance rénale, un traitement de bicarbonate et de chélateur de phosphate a été introduit et le patient sera suivi par les néphrologues. La créatinine est à la baisse et la diurèse est conservée. Il persiste des oedèmes des deux membres inférieurs modérés au moment du transfert en division. En accord avec Dr. X, le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 08.01.2018. • Patient de 71 ans, tabagique ancien, qui consulte les urgences en raison d'un état fébrile accompagné d'une toux grasse et d'expectorations jaunâtres. Pas de dyspnée, pas de douleur thoracique. A l'examen clinique d'entrée, patient normocarde, normotendu, fébrile à 38.1°C avec une saturation à 90% à l'air ambiant. A l'auscultation pulmonaire, présence de râles bi-basaux (G>D), sans sibilances. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 63 mg/l, sans leucocytose. La gazométrie montre une légère hypoxémie à 10.2 kPa. La radiographie du thorax révèle un infiltrat interstitiel bilatéral diffus aux bases avec des épaississements bronchiques pouvant traduire une pneumonie bi-basale. Nous prélevons deux paires d'hémocultures et des antigènes urinaires et instaurons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. L'antigène urinaire pour le Pneumocoque revient positif, raison pour laquelle nous poursuivons l'antibiothérapie. Les hémocultures reviennent négatives. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y regagne son domicile le 08.01.2018, avec poursuite d'une antibiothérapie per os par Amoxicilline 1 g - 2 x/jour jusqu'au 12.01.2018. • Patient de 72 ans admis aux soins intensifs pour des troubles électrolytiques sévères le 26.01.2018. Mr. Y, connu pour une cirrhose hépatique, anticoagulé par Xarelto pour FA, consulte aux urgences suite à une baisse d'état général, avec des diarrhées et une perte de force depuis quelques jours. Aux urgences, des troubles électrolytiques sévères (hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésémie, hypochlorémie) sont mis en évidence et une substitution est débutée. Le patient est admis aux soins intensifs pour suite de la prise en charge. Les troubles électrolytiques se corrigent rapidement sous substitution intraveineuse et per os. L'introduction récente de Métolazone, accompagnée d'une diarrhée à domicile, semble être les facteurs étiologiques les plus probables. A noter que le patient a présenté la même symptomatologie en novembre dernier, mise sur le compte d'un autre diurétique. Au vu de la récidive, une possible origine médicamenteuse sur IPP pourrait être évoquée. Nous vous laissons le soin d'évaluer son arrêt selon votre appréciation. A noter également des myoclonies diffuses généralisées d'origine indéterminée, également présentes lors de la dernière hospitalisation. Des investigations neurologiques n'avaient pas mis en évidence de cause centrale (CT, EEG). Les myoclonies s'étaient résolues après correction électrolytique. Un diagnostic différentiel de myoclonies sur Prégabaline avait également été évoqué et cette dernière est mise en suspens depuis. Dans ce contexte, une origine métabolique sur troubles électrolytiques semble la plus probable. Au vu de l'évolution favorable sur le plan biologique, le patient peut être transféré le 27.01.2018 en médecine interne pour suite de la prise en charge. • Patient de 72 ans, connu pour une maladie coronarienne monotronculaire stentée en 2010, une obésité et une suspicion de syndrome de Ménière, qui est amené en ambulance aux urgences en raison d'une toux persistante avec EF à 38.8°C, de même que deux épisodes de troubles neurologiques sous forme de vertiges et dysarthrie sans nausée ni vomissement, de durée de 2h (à 1h et 7h du matin). A l'arrivée aux urgences, le patient présente un NIHSS à 0 pts et une température à 38.2°C. Un angio-CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux est réalisé, qui ne met pas en évidence de sténose ou de foyers ischémiques constitués. Un avis neurologique est demandé et le diagnostic de probable AIT est retenu avec proposition d'effectuer un bilan à la recherche de causes cardio-emboliques, de même qu'une IRM cérébrale. Nos collègues proposent concernant le traitement, un remplacement de l'Aspirine cardio par du Plavix 75 mg, ce que nous poursuivons. Nous remarquons une tension labile et vous proposons également un Remler en ambulatoire et, selon les résultats, de réévaluer le traitement antihypertenseur. Au niveau du bilan, un ETT de qualité très limitée sans cause structurelle expliquant l'AVC. FOP non recherché avec microbulles. Examen cependant de qualité non suffisante pour exclure une origine structurelle cardio-embolique. Nos collègues ne proposent pas d'emblée une ETO mais restent à disposition selon les résultats du reste du bilan d'AIT (Holter, IRM cérébrale). Le Holter est posé le jour de départ et nous vous prions de bien vouloir suivre les résultats et demander éventuellement un ETO si vous le jugez nécessaire. Une IRM cérébrale ouverte à cause d'une claustrophobie est organisée en ambulatoire et sera faite le 11.02.2018 à 14h15 au Centre d'Imagerie de Fribourg SA, Villars-sur-Glâne. Nous vous prions de pister les résultats. Notons un bilan lipidique dans la norme et nous vous prions de bien vouloir faire un Hgb glyquée en ambulatoire pour compléter le bilan. Au vu des symptômes respiratoires et de l'état fébrile, un frottis de grippe est réalisé et revient positif à l'Influenza A. Le patient étant symptomatique depuis plus de 48h, un antiviral de type Tamiflu n'est pas débuté. Une radiographie pulmonaire est réalisée, qui ne met pas en évidence de foyer. Le patient reste hospitalisé pour surveillance, avec évolution favorable sur le plan respiratoire et sans représentation d'une symptomatologie neurologique lors de son séjour chez nous. Au vu d'une bonne évolution, le patient rentre à domicile le 10.01.2018. • Patient de 72 ans connu pour une maladie coronarienne tritronculaire et qui consulte les urgences de Fribourg le 22.01.2018 pour une douleur thoracique survenue au repos. Le bilan biologique et électrique est négatif. Vu les antécédents du patient (notion de triple pontage aorto-coronarien en France en 2013) et l'épisode de douleur thoracique typique, une coronarographie est effectuée en semi-urgence le 23.01.2018. L'examen invasif montre un excellent résultat à long terme après opération de pontage en 2014, avec tous les pontages perméables (AMIG sur IVA, AMID sur bissectrice, Veine saphène sur marginale). Il existe une sténose subocclusive de la circonflexe moyenne. Après discussion avec le patient, il est procédé à une dilatation avec mise en place d'un stent actif RCX moyenne avec bon résultat final. On poursuit l'Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg/j pour 6 mois, avec reste du traitement inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile. • Patient de 72 ans connu pour une maladie coronarienne tritronculaire et qui consulte les urgences de Fribourg le 22.01.2018 pour une douleur thoracique survenue au repos. Le bilan biologique et électrique est négatif. Vu les antécédents du patient (notion de triple pontage aorto-coronarien en France en 2013) et l'épisode de douleur thoracique typique, une coronarographie est effectuée en semi-urgence le 23.01.2018.L'examen invasif montre un excellent résultat à long terme après opération de pontage 2014 avec tous les pontages perméables (AMIG sur IVA, AMID sur bissectrice, Veine saphène sur marginale). Il existe une sténose subocclusive de la circonflexe moyenne. Après discussion avec le patient, il est procédé à une dilatation avec mise en place d'un stent actif RCX moyenne avec bon résultat final. On poursuit l'Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg/j pour 6 mois avec reste du traitement inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile. Patient de 72 ans connu notamment pour un s/p thoraco-plastie apicale et segmentaire gauche dans le cadre d'une tuberculose en 1964, des bronchiectasies séquellaires et une aspergillose pulmonaire chronique du LSG, qui présente un état subfébrile et une désaturation avec besoin de 5 l de O2 pour saturer à 92 %. M. Y présente depuis 5 jours une baisse de l'état général et un état subfébrile. A consulté le médecin du Medhome il y a 4 jours avec instauration de Co-amoxiciline avec une péjoration de son état général et une dyspnée 2 fois 1000 mg (depuis le 14.01 le soir), avec une péjoration le lundi au niveau des dyspnées et consulte de nouveau le médecin du Medhome qui propose une hospitalisation mardi et le patient décide d'aller à l'hôpital ce jour. Le patient présente des crachats foncés, sans changement récents en couleur ni abondance. Un laboratoire aux urgences montre un syndrome inflammatoire avec le CRP à 272 et un PCT à 0.81 sans leucocytose. Une radio de thorax montre des infiltrats diffus dans les deux poumons et un épaississement bronchique. Le patient bénéficie d'un traitement par Ceftriaxone et Klacid pour couvrir les germes atypiques. Les expectorats sont stériles chez le patient déjà traité par les antibiotiques. Au vu de son aspergillose chronique, nos collègues infectiologues proposent la poursuite de la thérapie antifongique par Itraconazole au même dosage. Un scanner thoracique effectué le lendemain de son arrivée confirme des foyers de condensation pulmonaire bilatéraux prédominant à droite avec condensation en verre dépoli et petit foyer de consolidation au centre, correspondant à des foyers infectieux d'une pneumonie atypique ou une aspergillose invasive ou autre. Infiltrat interstitiel avec épaississement des septas interlobulaires, épaississement broncho-vasculaire pouvant correspondre à une surcharge ou une décompensation cardiaque, sans embolie pulmonaire. Quelques ganglions agrandis dans le médiastin et dans le hile pulmonaire droit. Épanchements pleuraux ddc de petite à moyenne abondance à droite, avec atelectasie postéro-basale de contact. Au vu d'une bonne évolution sous ce traitement antibiotique, nous optons pour un diagnostic de pneumonie atypique. Le patient bénéficie d'une physiothérapie respiratoire et mobilisatrice et au cours de son séjour, une oxygénothérapie a pu être sevrée avec succès. Notons une lactatémie à 3.1 mmol/l qui diminue à 2.4 mmol/l dès l'arrêt de la metformine. Nous laissons en suspens la metformine et vous laissons le soin de le réintroduire si la lactatémie devait disparaître. La surveillance des glycémies lors de son séjour est dans la norme. Le patient bénéficie en complément du traitement par Lasix d'abord iv, puis per os dans le cadre d'une décompensation cardiaque gauche dans le contexte infectieux avec une bonne repose volumique. Une ETT montre une fonction systolique conservée. Une hypokaliémie sous manque d'apport et traitement par Furosemide a été d'abord substituée iv puis per os avec succès. Sur le plan nutritionnel, au vu d'une inappétence et perte pondérale, le patient bénéficie d'une prise en charge par nos collègues diététiciens et à la fin de son séjour, au vu d'une amélioration de l'appétit, le patient n'a plus besoin d'un suivi à domicile. M. Y peut rentrer à domicile le 29.01.2018. Patient de 73 ans, connu pour une cardiomyopathie rythmique (flutter auriculaire) avec une cardioversion en octobre 2017 qui a permis un retour en rythme sinusal. Malgré la cardioversion, persistance d'une dyspnée d'effort et absence d'amélioration échocardiographique (FEVG 25-30 %). Coronarographie organisée en électif le 16.01.2018 pour évaluer si substrat ischémique à la dyspnée et à la mauvaise FEVG. À noter que le patient sera vu le 18.01.2018 chez le Dr. X pour discuter de l'ablation du flutter. L'examen invasif du jour démontre une sclérose coronarienne sans lésion significative et qui n'explique pas la dysfonction VG sévère (FEVG 25 %) avec hypokinésie diffuse. Angiographiquement, l'insuffisance mitrale est modérée. On propose de poursuivre le traitement d'insuffisance cardiaque avec suite de prise en charge par la DRESSE STOLT. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 17.01.2018. Patient de 74 ans, connu depuis novembre 2013 pour une FA non anticoagulée (HAS-BLED 3 et CHA2DS2VAsc 3) ainsi qu'une cardiopathie hypertensive chez qui une fermeture de LAA est agendée le 18.01.2018 (contre-indication à une anticoagulation car chutes à répétition avec multiples hématomes). Comme convenu avec le patient, il est procédé à une occlusion de l'auricule gauche avec un LAA Occluder 28 mm sous anesthésie générale et contrôle ETO effectué par Dr. X. Vu l'angor décrit par le malade, nous avons aussi injecté les coronaires et nous avons démontré deux sténoses de l'IVA que nous avons traitées avec deux stents actifs. Nous proposons un traitement avec l'Aspirine à vie, Plavix 75 mg/d pour minimum 3 mois et contrôle ETO après 3 mois. Une prophylaxie de l'endocardite bactérienne selon la carte orange doit être effectuée jusqu'à confirmation de l'occlusion du LAA, soit jusqu'au contrôle échocardiographique trans-oesophagien de 3 mois. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 19.01.2018. Patient de 74 ans, connu pour un NSTEMI secondaire à une fibrillation auriculaire en novembre 2017 et un myélome multiple avec IRC, qui consulte le service des urgences de Tafers en raison d'une récidive de douleurs rétrosternales typiques, dans le contexte de la mise en suspens de son traitement de bêtabloquant pour une échocardiographie de stress prévue dans les prochains jours. Un NSTEMI est mis en évidence et l'introduction de nitroglycérine permet l'amélioration des symptômes. Sur avis de nos collègues cardiologues, il est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. La coronarographie effectuée le 20.12.2017 met en évidence une lésion significative de l'IVA proximale, nécessitant une prise en charge par rotablator, non effectuable au vu d'un abord radial (patient sous Sintrom). Une reprise est prévue le 22.12.2017 par abord fémoral et dans l'intervalle, l'aspirine est poursuivie et le Sintrom mis en suspens avec relais par héparine thérapeutique. Lors de la coronarographie du 22.12.2017, une angioplastie des deux branches gauches au niveau des bifurcations proximales avec 2 stents actifs de 3ème génération est réalisée. L'échocardiographie réalisée le 27.12.2017 met en évidence une FEVG conservée sans trouble de la cinétique.Du point de vue de l'anticoagulation, l'Efient à poursuivre pendant 1 mois, puis, si nécessité de passer à une anticoagulation orale, l'Efient peut être arrêté avec un passage au clopidogrel avec anticoagulation orale. En cas de décision de ne pas introduire un traitement anticoagulant, une poursuite de l'Efient pour 6 mois est proposée. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à une anticoagulation à 1 mois de la coronarographie et d'adapter l'anti-agrégation/anti-coagulation. Dans le courant de son hospitalisation, le patient présente un état fébrile le 27.12.2017 accompagné de toux que nous investiguons par une radiographie de thorax qui ne met pas en évidence de foyer franc, des frottis de grippe qui reviennent négatifs et des hémocultures qui reviennent négatives. Nous traitons empiriquement par rocéphine du 28.12.2017 au 01.01.2018 et Klacid du 28.12 au 29.12.2017. L'évolution est favorable et l'antibiothérapie est rapidement arrêtée en l'absence d'infection documentée. Le 28.12.2017, Monsieur Raemy présente une récidive de fièvre avec des douleurs articulaires au niveau du genou droit et du coude gauche. Les ponctions articulaires évoquent une probable origine micro-cristalline motivant l'introduction de kineret du 29.12.2017 au 02.01.2018. L'évolution clinique est bonne. Nous vous proposons l'introduction d'un traitement hypouricémiant à distance de l'événement. Du point de vue oncologique, le patient sera revu par le Dr. X le 24.01.2018. Monsieur Raemy est transféré à Billens pour un séjour en réadaptation cardiologique le 09.01.2018. Patient de 74 ans réhospitalisé aux soins intensifs depuis l'hôpital Daler pour une insuffisance respiratoire sur broncho-aspiration le 26.12.2017. Patient de 74 ans hospitalisé au Daler pour une hémicolectomie droite dans un contexte de suspicion de néoplasie le 15.12.2017. L'intervention se déroule sans complications. Le 19.12.2017 dans la nuit, le patient présente plusieurs épisodes de vomissements avec développement d'une détresse respiratoire avec mise sous CPAP et instabilité hémodynamique nécessitant un soutien par noradrénaline. La radiographie du thorax montre un infiltrat bilatéral à prédominance marquée au lobe supérieur gauche. Un traitement de Tazobac est instauré et il est hospitalisé aux soins intensifs pour 24h pour un choc septique d'origine pulmonaire sur pneumonie d'aspiration avec une évolution rapidement favorable. Une FA paroxystique dans le contexte septique est cardioversée sans récidive par la suite. Il est retransféré au Daler où l'évolution est lentement favorable avec 1 épisode de reprise de transit et un drainage d'abcès de la paroi. Le 26.12.2017 sur la nuit, le patient présente de nouveau des épisodes de vomissement avec une broncho-aspiration. Il développe une détresse respiratoire avec tachypnée et désaturation à 80% sous 8 L d'O2. Un traitement de CPAP est instauré avec administration d'une dose de ciproxine p. o. et pose de SNG avec retrait de 1500 ml de liquide gastrique. Le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge. À son arrivée, le patient est rapidement intubé au vu de l'insuffisance respiratoire hypoxémique sévère. Il est curarisé pendant 24h. Une bronchoscopie de toilettage est effectuée le 28.12.2017. Une extubation est possible le 29.12.2017. Après extubation, le patient est très encombré, il bénéficie des séances de VNI avec amélioration clinique et gazométrique. Un CT thoraco-abdominal met en évidence des foyers pulmonaires bilatéraux au niveau inférieur et supérieur. L'antibiothérapie est changée pour de l'Imipénème. Les hémocultures restent négatives ainsi que l'aspiration bronchique du 28.12.2017. Il nécessite un soutien aminergique dans le contexte de la sédation et probablement septique jusqu'au 28.12.2017. L'évolution est une nouvelle fois défavorable avec syndrome inflammatoire et état subfébrile. Un CT thoraco-abdominal le 01.01.2017 ne met pas en évidence de foyer nouveau, mise à part par la suite d'une collection sous-cutanée au niveau de la laparotomie médiane. La collection est drainée avec mise en place d'un VAC le 02.01.2017 en chambre qui sera changée le 03.01.2017 au bloc opératoire avec mise en évidence d'une éviscération couverte avec mise en place d'un filet ultrapro et d'un VAC abdominal. Le VAC sera à changer au bloc opératoire dans 3 jours. Une anticoagulation thérapeutique est débutée par de l'héparine au vu d'embolies pulmonaires segmentaires et lobaires à droite. Un switch liquémine pour la clexane est fait le 29.12.2017. Au vu d'un iléus paralytique, le patient bénéficie d'une SNG jusqu'au 29.12.2017. Des procinétiques sont également administrés dans ce contexte. Une alimentation entérale a pu être débutée progressivement dès le 28.12.2017. Une sonde Freka a été posée le 29.12.2017. L'alimentation parentérale est poursuivie jusqu'au 29.12.2017. Le patient présente des troubles de la déglutition. Un bilan ORL est dans la norme. L'alimentation per os est reprise progressivement avec un régime mixé-lisse et liquide épaissi. L'alimentation entérale est poursuivie sur la nuit en complément. L'évolution clinique favorable permet le transfert du patient en service de chirurgie pour suite de soins. Patient de 75 ans, admis en unité stroke monitorisée le 08.01.2018 en raison d'une récidive d'AVC ischémique aigu des territoires postérieurs. Il consulte initialement les urgences suite à l'apparition d'une parésie des membres supérieurs et inférieur droits, associée à une dysarthrie nouvelle objectivée par son épouse. Les symptômes durent dix minutes environ puis régressent spontanément. À l'entrée aux urgences, le NIHSS est à 0 point. Un CT cérébral met en évidence des séquelles ischémiques et vasculaires superposables au comparatif, sans lésion aiguë. Sur avis neurologique, Mr. Y est transféré aux soins intensifs pour suite de prise en charge. L'évolution dans notre service est simple, sans troubles du rythme objectivé. À relever une tendance aux désaturations nocturnes légères (saturation min. 86% observée). L'IRM cérébrale du 09.01.2017 montre un AVC ischémique aigu des territoires postérieurs, avec occlusion de la dernière partie de V4 droit. Selon avis des neurologues (Dr. Medlin) le 09.01.2017, une anticoagulation thérapeutique par Apixaban (FA intermittente) est à introduire le 12.01.2018 en association avec le traitement habituel par Plavix, après accord des cardiologues (stents sur la CD en fermeture de FOP le 20.11.2017). L'aspirine sera alors suspendue. L'atorvastatine est reprise dès le 09.01.2018. Les CK sont à suivre. En cas d'intolérance répétée aux statines, l'introduction de Repatha est à discuter avec les endocrinologues. Patient de 75 ans connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés qui bénéficie en électif d'une coronarographie le 15.01.2018. À noter que suite à une ergométrie pathologique chez un patient connu de longue date pour une insuffisance mitrale légère, une coronarographie en électif en décembre 2017 avait mis en évidence une maladie coronarienne tritronculaire (IVA, Cx et CD) avec pose d'un stent dans la RCX distale et introduction d'une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine et Efient pour 6 mois. Pas d'angor résiduel depuis lors. Une re-coronarographie en électif a été agendée le 15.01.2018 pour le traitement des lésions résiduelles.Comme prévu les lésions sur l'IVA et l'ACD ont pu être traitées avec succès avec la coronarographie du 15.01.2018. Chaque sténose a bénéficié d'un stent actif avec bon résultat final. Il existe un excellent résultat après stenting de la RCX. La fonction systolique du VG est normale et estimée à 65%. On poursuit l'Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois (stop mi-juillet 2018) avec le reste du traitement inchangé. On propose aussi un contrôle strict des facteurs de risque cardiovasculaire et un contrôle dans 1 mois chez Dr. X pour évaluer l'introduction d'un traitement anti-hypertenseur. Le patient sera convoqué par le service de cardiologie pour une Ergométrie/ETT dans 1 année. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie puis une surveillance clinique en division, le patient rentre à domicile le 16.01.2018. Patient de 75 ans, qui est admis aux soins intensifs en raison d'un choc mixte (hypovoluémique et septique) secondaire à des diarrhées profuses depuis quatre jours et à un sepsis sur grippe B. L'évolution est rapidement favorable après réanimation volémique ciblée, permettant un sevrage de la Noradrénaline quelques heures après son admission dans notre service. Il n'y a pas de récidive d'instabilité hémodynamique par la suite et l'insuffisance rénale tend à se corriger. L'origine de l'insuffisance rénale est attribuée à des diarrhées profuses depuis quelques jours. Les cultures de selles sont à suivre. Devant une suspicion de foyer pulmonaire droit à la radiographie du médecin traitant, un frottis de grippe est effectué et revient positif pour Influenza B. En raison d'une suspicion de co-infection bactérienne, une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est débutée (à réévaluer d'ici au 12.01.2018 en fonction des cultures en cours). Dans le contexte de sepsis et d'hypovolémie sévère, le patient présente initialement une fibrillation auriculaire avec décompensation cardiaque gauche modérée secondaire (proBNP augmenté). L'évolution est rapidement favorable après réanimation volémique. Dans la phase aiguë, le traitement habituel par Xarelto est substitué transitoirement par de la liquÉmine iv à visée thérapeutique. Patient de 75 ans qui nous est adressé de l'Hôpital de BIllens où il a bénéficié d'une réhabilitation respiratoire suite à une hospitalisation en décembre pour une décompensation BPCO et bronchopneumonie, en raison d'une suspicion de décompensation BPCO nouvelle. Les paramètres avant le transfert montraient une TA à 112/56 (perte de 25-30 mmHg), une Fc à 77 bpm, une saturation en O2 à 85% sous 3L, un état fébril à 38.1°C et une polypnée à 20/min. Lors du transfert, les ambulanciers relèvent une saturation à 94% sous 2 litres, une FC à 77 min et une TA 141/64. Aux urgences, le patient ne se plaint ni de dyspnée, ni de toux/expectorations. Cliniquement, le patient présente des râles grossiers diffus à l'auscultation pulmonaire mais pas de sibilances. Il présente en outre un escarre stade 3 au talon gauche avec hématome sous-muqueux, une petite plaie plantaire superficielle à la base du 5ème métatarse et deux plaies légèrement purulentes ungales et sous-unguales des 2 hallux, en nette amélioration d'après le patient. Les pouls pédieux ne sont pas palpés bilatéralement. Au cours de son hospitalisation, le patient se plaint principalement de douleur aux membres inférieurs qui sont finalement contrôlées par une antalgie simple. Nous relançons une prise en charge podologique en diabétologie qui décrit les plaies comme étant ischémiques mal délimitées et en péjoration depuis la dernière consultation, mais sans signes infectieux. Un protocole de pansement de plaie est mis en place avec prontosan gel et aquacel imbibé de prontosan liquide. Une IRM du pied gauche exclut tout signe d'ostéomyélite. Un bilan angiologique est prévu le 23.01.2018 avec possiblement une revascularisation des membres inférieurs. D'un point de vue diabétologique, nous notons un dérèglement de son diabète nécessitant une insulinothérapie fixe par Insulatar et Novorapid, ainsi qu'un schéma de correction. D'un point de vue pulmonaire et infectieux, le patient présente une toux grasse mais avec des expectorations peu efficaces, et une désaturation. L'auscultation pulmonaire est marquée par des râles grossiers diffus. Ce tableau clinique s'inscrit dans un contexte de traitement par Cefuroxime depuis plusieurs semaines, puis par Vancomycine. Nous arrêtons l'antibiothérapie devant le manque d'évidence d'une infection et encore moins le bénéfice de l'antibiothérapie initiée. D'un point de vue social, le patient habite avec son épouse qu'il souhaite retrouver. Nous réactivons les services des soins à domicile bi-quotidiennement, initialement organisés lors de son séjour en réhabilitation à Billens. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suivi et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patient de 76 ans admis aux soins intensifs le 02.02.2018 en raison d'une suspicion de NSTEMI. Mr. Y est retrouvé au sol le 02.01.2018 vers midi par ses voisins. Il est amené aux urgences de Tavel où un CT cérébral permet d'exclure une hémorragie chez ce patient sous Xarelto au long cours pour une FA. Une plaie frontale G est suturée. Le bilan biologique mettant en évidence des troponines faiblement positives, il nous est adressé aux soins intensifs de Fribourg pour une surveillance rythmique et suite de prise en charge. L'origine de la chute est peu claire. Le patient présente une amnésie circonstancielle. Il ne décrit toutefois pas de symptômes prodromaux. À noter que le Spitex passé en début de matinée le jour même rapporte un discret état confusionnel. Une chute accidentelle sur éléphantiasis et des troubles de la marche dans un contexte de sepsis débutant semblent l'hypothèse la plus probable. Des troubles du rythme dans un contexte d'hypokaliémie et QT long (patient sous cordarone pour FA) ne peuvent être exclus. L'hypokaliémie est substituée et la cordarone est mise en suspens jusqu'à normalisation du QT (ECG à suivre). Une échographie cardiaque est réalisée qui est pratiquement normale en dehors d'une dilatation importante de l'oreillette G. La pertinence d'un Holter est à réévaluer avec nos collègues cardiologues. Un syndrome inflammatoire avec un état fébrile est constaté à l'admission avec un patient qui tousse avec un frottis de grippe pour Influenza B positif. Un traitement par Tamiflu et Co-amoxicilline est débuté pour couvrir une surinfection pulmonaire (CRP élevée). Nous constatons également un érythème de la face antéro-externe de la jambe D avec un doute sur un érysipèle débutant qui sera couvert par l'antibiothérapie probabiliste commencée.La stabilisation de l'état clinique du patient permet son transfert en service de médecine pour la suite de sa prise en charge. • Patient de 76 ans, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, qui vit seul à domicile avec des SAD pour un diabète de type 2, qui consulte les urgences en raison d'une dyspnée d'apparition progressive depuis 3 semaines, associée à une toux sèche. Il note une péjoration de la dyspnée avec un inconfort à l'effort depuis 3 jours et un œdème au niveau de la jambe gauche. Pas de fièvre objectivée par le patient. Une prise pondérale d'environ 10 kg comparativement à la dernière hospitalisation en mars 2017 est remarquée. Le reste de l'anamnèse par système n'est pas contributif. Le patient aux urgences se présente bien hydraté, bien perfusé, subfébrile à 37.3 °C, anictérique sans cyanose centrale. À l'auscultation pulmonaire, on note la présence des crépitants bibasaux avec prédominance à droite, avec signes d'hypoventilation à gauche. Sur le plan cardiovasculaire, le patient présente des OMI prenant le godet jusqu'au genou de deux côtés. Absence de turgescence jugulaire. Le reste du status clinique est sans particularité. Au vue d'une désaturation à l'air ambiant, une oxygenothérapie est lancée aux urgences et le patient est mis sous 3 L d'oxygène. La radiographie du thorax montre un épanchement bilatéral. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 138 mg/l sans leucocytose. La gazométrie sous 4 L d'O2 montre un pH à 7.41, une pCO2 à 4.8, une pO2 à 9.4 et des bicarbonates à 22. Nous retenons une décompensation cardiaque sur mal-compliance médicamenteuse et un traitement diurétique par Lasix en iv a été lancé aux urgences. Au vue de la présence du syndrome inflammatoire biologique, ainsi que du status clinique avec une limitation à l'image radiologique au vue de la présence des épanchements bilatéraux, une antibiothérapie par Rocéphine 2g iv 1x/j a été introduite et le patient est admis dans le service de médecine. Relevons également une insuffisance rénale chronique, sur néphropathie diabétique avec une créatinine à 180 micromol/l et une clairance à 25.4 micromol selon MDRD. Le bilan biologique met en évidence une anémie microcytaire hypochrome avec Hb à 89 g/l d'origine probablement mixte : inflammatoire, rénale et carentielle. Le bilan d'anémie montre une hypovitaminose B12 à 152 pg/ml. La TSH est normale. Le patient bénéficie d'une substitution de vitamine B12 per os du 13.12.2017 au 17.12.2017, au vue d'une hypovitaminose présente d'origine carentielle avec réponse positive. En raison d'une hypoxémie avec pO2 à 8.3, Monsieur Droux est transféré en lit monitoré le 14.12.2017 afin de bénéficier de la CPAP avec échec, puis de la BPAP du 14.12.2017 au 18.12.2017. Suspectant une insuffisance rénale sur Beri Beri, nous réalisons un dosage de la Thiamine qui revient négatif. Le 18.12.2017, avec la résolution du syndrome inflammatoire biologique et de l'état fébrile, nous pouvons arrêter l'antibiothérapie débutée le 13.12.2017. Le bilan métabolique révèle une dénutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence et une insuffisance respiratoire lors de la moindre effort. Nous introduisons des suppléments nutritionnels et le patient bénéficie d'un suivi nutritionnel pendant l'hospitalisation. Monsieur Droux relate une amélioration au niveau de la dyspnée. Dans le contexte d'une suspicion de syndrome d'apnées du sommeil, une oxymétrie nocturne est réalisée le 21.12.2017 par le Dr. X, qui met en évidence un syndrome d'origine centrale. Avec la mise en place d'une CPAP à faible pression (6-8 cm H20) et de la physiothérapie, on note une bonne amélioration sur le plan respiratoire. Le 27.12.2017, Monsieur Droux est transféré dans le service gériatrique pour rééducation au niveau de la mobilisation, renforcement musculaire et poursuite de la réadaptation respiratoire. • Patient de 77 ans admis aux soins intensifs pour un AVC ischémique. Mr. Y, connu pour de nombreuses comorbidités cardiaques et vasculaires, présente une perte subite de force à la jambe gauche le 27.01 à 22h15, suivie par des paresthésies du MSG. Les paresthésies cèdent après 15 minutes, mais la parésie demeure. Un diagnostic de suspicion d'accident vasculaire cérébral ischémique est retenu au vu de la symptomatologie. Le CT ne montre pas de lésions ischémiques ou hémorragiques. Sur avis des neurologues, le traitement antiagrégant avec Aspirine est remplacé par Clopidogrel et le patient est transféré aux soins intensifs pour une suite de prise en charge. La surveillance hémodynamique et rythmique est sans particularité et le patient peut être transféré en médecine interne le 28.01.2018, avec un NIHSS stable à 4 (parésie MIG [2] et MSG [1], héminegligence sensitive MIG [1]). Un IRM sera réalisé le 29.01.2018 afin de confirmer le diagnostic clinique. Un bilan étiologique par échocardiographie et Holter a également été demandé. À noter la découverte d'une intolérance au glucose pour laquelle nous vous laissons le soin de débuter une prise en charge. La statine du patient a également été majorée au vu d'un LDL >1.8. À noter une insuffisance rénale aigu AKIN 1 probablement pré-rénale au vu de la correction rapide sous hydratation simple, malgré une FeUrée à 47%. Cette valeur est d'autant plus à relativiser le spot ayant été réalisé le lendemain de l'admission après correction partielle de l'IRA. • Patient de 77 ans, adressé par le Dr. X pour une péjoration d'une insuffisance rénale chronique, apparue à distance de la dernière chimiothérapie pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur et inférieur gauche (dernière séance le 25.10.2016). Le patient rapporte une incontinence urinaire nocturne depuis le début de la chimiothérapie, sans trouble de la sensibilité pendant la journée, pas d'incontinence fécale. Il a donc arrêté de boire, pour ne pas avoir à changer les draps de son lit. On note une perte de 8-10 kg sur baisse d'appétit depuis le début de la chimiothérapie. On conclut à une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte, pré-rénale sur déshydratation et post-rénale sur hypertrophie prostatique. L'évolution est favorable après hydratation et sondage. Dès le 14.11.2016, on constate un sepsis sur pneumonie basale droite. Sous antibiothérapie, l'évolution est stagnante, ce qui fait évoquer une infection à pneumocystis dans un contexte d'immunosuppression post-chimiothérapie. Malgré traitement antibiotique ciblé et corticothérapie, l'évolution sera stagnante, avec finalement une dégradation et une insuffisance respiratoire hypoxémique motivant son transfert aux soins intensifs le 29.11.2016. • Patient de 77 ans, avec de multiples facteurs de risque cardiovasculaire mais sans antécédents cardiaques qui présente depuis janvier 2018 une dyspnée progressive à l'effort. Il est vu en consultation de cardiologie ambulatoire (Dr. X) le 10 janvier 2018 et relate un malaise difficilement précisable qui aurait eu lieu en début janvier avec vertiges et sensation de troubles de l'équilibre. Un ultrason est dans les normes et une ergométrie montre des extrasystoles ventriculaires complexes. Dans ce contexte, une coronarographie en électif est agendée pour le 30.01.2018.L'examen invasif du jour confirme une sténose significative de la coronaire droite distale et deux sténoses à 70% de l'IVA proximale. La fonction systolique du VG est normale. Ectasie de l'aorte ascendante. Après discussion avec Dr. X, il est procédé à un primary stenting DES de la coronaire droite. Le patient sera reconvoqué pour une intervention au niveau de l'IVA dans 1 mois. On poursuit l'Aspirine à vie avec une charge en Plavix de 600 mg puis Plavix 75 mg/j pour la durée de 6 mois dès le 31.01.2018. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus (lit cardiologie) de 5-6 heures post-coronarographie, le patient est transféré en division le 30.01.2018. Il rentre à domicile le 31.01.2018. Patient de 78 ans admis pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie de broncho-aspiration. Il s'agit d'un patient ayant présenté un iléus sur bride le 11.01.2018 avec échec de traitement conservateur. Une laparotomie exploratrice, adhésiolise, réduction hernie inguinale avec fermeture de l'orifice inguinale profond est effectuée en urgence le 14.01.2018. Il est réalimenté per os (régime liquide) depuis le 21.01.2018. Il présente un retard de reprise de transit avec premières selles post-opératoires le 23.01.2018. Il développe dans la nuit du 22.01 au 23.01 un état fébrile avec toux grasse, désaturation et tachypnée. À noter que l'équipe soignante à Tavel suspecte des fausses routes avec une toux lors de la prise per os. Dans ce contexte, des cultures sont prélevées et une antibiothérapie par Imipenem débutée. Le 24.01, il présente une tachycardie sur flutter auriculaire avec hypotension artérielle. Il est transféré aux soins intensifs à Fribourg dans ce cadre pour surveillance respiratoire et hémodynamique. La pneumonie d'aspiration est traitée par Imipenem avec une résolution de l'état fébrile et un syndrome inflammatoire à la baisse dès le 25.01.2018. Les hémocultures sont encore en cours au moment du transfert. Une décompensation cardiaque gauche était suspectée à Tavel, raison pour laquelle le patient a reçu du Furosemide en bolus, mal toléré au niveau tensionnel. À son admission, il est cliniquement euvolémique. Nous ne poursuivons pas de traitement diurétique pendant son séjour aux soins intensifs. Le patient est en rythme sinusal normocarde à son admission aux soins intensifs. Par la suite, il reste parfaitement stable sur le plan rythmique. Une anticoagulation thérapeutique est poursuivie, le patient ayant dans tous les cas une indication dans le cadre d’embolies pulmonaires récidivantes. Sur le plan chirurgical, le patient présente un abdomen souple avec des bruits abdominaux conservés, un transit et une absence de résidus gastriques lors de la pose d'une nouvelle sonde naso-gastrique. Une alimentation entérale serait donc à débuter dès que possible. À noter que ce patient présente un risque élevé de syndrome de renutrition. Nous recommandons un suivi des électrolytes avec une reprise alimentaire progressive en collaboration avec l'équipe de la nutrition clinique. Un test de déglutition est effectué dans le cadre des probables broncho-aspirations à répétition qui revient pathologique. Nous recommandons un bilan ORL à distance de l'épisode de pneumonie une fois la situation respiratoire stabilisée. Patient de 79 ans, admis aux soins intensifs en raison d'un NSTEMI le 15.01.2018. Il présente initialement un angor le 15.01.2018 au matin, résolutif après prise de nitroglycérine. Il consulte chez son médecin traitant qui, sur avis cardiologique, l'adresse aux urgences. La cinétique des troponines est positive et l'ECG montre des sus-décalages dans le territoire inférieur. Le patient bénéficie d'une échographie cardiaque le 15.01.2018 qui montre des troubles de la cinétique segmentaire d'aspect ancien. La coronarographie du 16.01.2018 montre une bonne perméabilité des pontages veineux sur l'IVA et la CD, sans lésion significative pouvant expliquer un NSTEMI primaire. Le patient est mis sous traitement double antiagrégant, à poursuivre pendant 3 mois. À noter une bradycardie sinusale sous beta-bloquants motivant la mise en suspens puis la reprise à doses moindres du Metoprolol. Le profil tensionnel étant à la limite supérieure de la norme, nous introduisons du Lisinopril. Nous retenons comme diagnostic un probable NSTEMI secondaire (insuffisance chronotrope ? pic hypertensif ?). L'évolution étant favorable, sans récidive d'angor ni troubles du rythme, il rentre à domicile après adaptation de son traitement le 17.01.2018. Patient de 79 ans, admis aux soins intensifs pour un choc septique dans le cadre d'une grippe Influenza type B avec probable co-infection bactérienne d'origine indéterminée (DD urinaire versus pulmonaire) le 09.01.2018. Il est initialement adressé aux urgences de Tafers pour un état septique associé à une hémorragie digestive haute. Au vu de l'instabilité hémodynamique, il est transféré aux soins intensifs de Fribourg pour suite de prise en charge. Un soutien aminergique transitoire avec remplissage est nécessaire. Une grippe Influenza B est mise en évidence. L'état septique est probablement secondaire à une co-infection bactérienne dont le foyer est encore peu clair. Une piste pulmonaire ou encore urinaire est évoquée au vu d'un sédiment urinaire pathologique avec leucocyturie, mais est toutefois à pondérer chez un patient sondé à demeure et asymptomatique. Dans ce contexte, du Tamiflu est débuté, associé à une antibiothérapie empirique par Céfépime, avec une évolution clinique rapidement favorable. En accord avec nos collègues néphrologues, la ciclosporine est transitoirement mise en suspens durant la phase aiguë. Des taux résiduels sont à suivre. Pendant son séjour aux soins intensifs, le patient développe passagèrement des troubles de l'état de conscience dans le cadre septique et d'un surdosage en Céfépime chez un patient dialysé. Le patient, connu pour une maladie de reflux avec ulcère en 2002, présente aux urgences de Tafers des épisodes d'hématémèse de type marc de café sous anticoagulation thérapeutique avec Marcoumar. L'hémoglobine restant relativement stable avec amendement des épisodes d'hématémèse, nous renonçons à la réalisation d'une OGD en urgence et commençons des IPP. À noter que l'insulinothérapie habituelle du patient a été mise en pause pendant la durée du séjour aux soins intensifs, le patient étant gardé à jeun. Nous vous laissons le soin de la débuter progressivement dès la reprise de l'alimentation, d'entente avec les diabétologues, et de suivre les profils glycémiques de manière rapprochée. Patient de 79 ans, admis aux soins intensifs pour un choc septique. Mr. Y a présenté lors de la dialyse du 08.01.2018 un état fébrile et est mis sous traitement de Céfépime. Le jour même, il est adressé aux urgences de Tafers pour un état septique associé à une hémorragie digestive haute. Au vu de l'instabilité hémodynamique, il est transféré aux soins intensifs. Un soutien aminergique transitoire avec remplissage est nécessaire. L'état septique est probablement secondaire à une infection bactérienne pulmonaire. Une grippe Influenza B est mise en évidence, mais n'explique pas le tableau clinique. Du Tamiflu est initialement débuté puis stoppé sur avis des infectiologues, et le patient isolé. L'antibiothérapie empirique par Céfépime est poursuivie. En accord avec nos collègues néphrologues, la ciclosporine est mise en suspend durant 2 jours durant la phase aiguë et la Prednisone substituée par du Solumedrol transitoirement.Pendant son séjour aux soins intensifs, le patient développe des troubles de l'état de conscience, probablement dans le cadre d'un surdosage en Céfépime qui a été donné une fois le 08.01.2018 post-dialyse et le 09.01.2018 chez ce patient à insuffisance rénale. Le taux de Céfépime est encore thérapeutique le 12.01.2018. Dans ce contexte et après avis infectiologique, nous arrêtons la Céfépime. Dans le cadre de l'hémorragie digestive haute, du Pantozol i.v. est débuté avec un relais per os. L'hémoglobine restant relativement stable avec amendement des épisodes d'hématémèse, nous renonçons à la réalisation d'une OGD en urgence. L'origine de cette hémorragie digestive reste peu claire, mais est peut-être à mettre en relation avec une anticoagulation supra-thérapeutique chez un patient avec antécédent d'ulcère et sans IPP. Au vu de l'évolution clinique sans nouvelle extériorisation, nous renonçons à l'OGD. Une colonisation urinaire avec C. parapsilosis est à nouveau observée durant ce séjour et motive un changement de la sonde vésicale. À noter que l'insulinothérapie habituelle du patient a été mise en pause pendant la durée du séjour aux soins intensifs, le patient étant gardé à jeun. Nous réinstaurons progressivement l'insuline sur avis de nos collègues diabétologues. Patient de 79 ans connu pour un glioblastome stade IV (résecé en juin 2017 avec RT, puis récidive en oct 2017), une FA sous Xarelto, qui se présente en raison d'une baisse de l'état général avec chute à répétition depuis environ 15 jours. En effet, le patient rapporte que depuis le mois de juin, il présente une diminution progressive de la force au niveau des MI, des troubles de la mémoire ainsi qu'un manque du mot. Ce jour, chute sur épisode de faiblesse des MI avec TC sans PC. Aux urgences, le patient bénéficie d'un CT cérébral qui ne montre pas de fracture ni saignement, par contre, il montre une progression de la maladie de base. Une nette majoration de la lésion du septum pellucide, ayant un grand qui passe de 6 à 30 mm. Il n'y a pas d'effet de masse ou d'hydrocéphalie associée. Stabilité de la lésion de l'hippocampe droit venant au contact de la tente du cervelet. Discrète diminution du petit nodule de la partie interne du lobe temporal. Le bilan biologique est sans particularité, il n'y a pas de syndrome inflammatoire ni de troubles électrolytiques non plus. Le patient reste hospitalisé dans le service de Frailty care. Lors de son séjour dans notre service, M. Delabays reste stable, mais sans amélioration sur le plan fonctionnel. Nous tentons dans un premier temps le Dexaméthasone avec une péjoration au niveau de la mobilité et une rigidité générale, sans signes de méningisme. Nous essayons le traitement par le Diamox à petites doses, avec une légère amélioration. Le patient reste dépendant pour les transferts, et au vu de la situation et du mauvais pronostic, nous organisons un colloque de famille et le patient et nous optons de ce diriger vers les soins palliatifs et une inscription à Villa St. François est effectuée. Au niveau du traitement, nous supprimons le Risperdal et introduisons le Madopar pour essayer d'améliorer les transferts sans un véritable effet. Le reste de son séjour, le patient présente une légère baisse de l'état général et une diminution de la mobilité. Il peut être transféré le 22.01.2018 à la Villa St. François. Patient de 79 ans, connu pour une maladie de Parkinson, une maladie d'Alzheimer et un status après accident vasculaire cérébral thalamique en 2012, hospitalisé du 25.12.2017 au 28.12.2018 en médecine interne à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal suite à une crise d'épilepsie de type absence, suivie d'une crise tonico-clonique des membres supérieurs. Il s'agissait de son deuxième épisode de crise épileptique, le premier ayant eu lieu en 2009 suite à un traumatisme crânio-cérébral sans récidive jusque-là et sans traitement. Le patient était sorti avec un traitement de Keppra 250 mg deux fois par jour. Cependant, le traitement prescrit n'est pas pris car le patient ne trouva plus de pharmacie ouverte, raison pour laquelle ce dernier est réhospitalisé à Fribourg le lendemain, suite à une récidive de crise de type absence. Monsieur Delley est transféré en réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz le 11.01.2018. À l'arrivée dans notre service, le patient est dans un bon état général et orienté aux trois modes. Il n'a pas de plainte à l'anamnèse par système. Monsieur Delley vit avec son amie dans une maison avec quinze marches d'escaliers et rampe. Il est autonome, sans soins à domicile. Monsieur Delley est connu pour une consommation d'alcool depuis des années, mais ne boit plus depuis une dizaine de jours. Il n'a pas fait de chute durant l'année écoulée. Il signale une perte pondérale pendant l'hospitalisation précédente de 2 kg en dix jours. Il est porteur de bas de contention. L'examen clinique d'entrée est dans la norme, y compris le status neurologique qui ne montre pas de latéralisation nette. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale chronique et qui se pèjore légèrement avec un spot pré-rénal. Le traitement diurétique est mis en suspens dans ce contexte. Durant le séjour, Monsieur Delley bénéficie de physiothérapie, d'ergothérapie et d'un suivi nutritionnel. En physiothérapie, le patient fait ses transferts de manière autonome, marche 150 mètres sans moyen auxiliaire et monte 26 marches d'escaliers à l'aide d'une rampe. Le TUG est à 8.58 secondes. À sa sortie, la mesure d'indépendance fonctionnelle est de 96/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7), en comparaison avec une MIF d'entrée de 93/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). En ergothérapie, le bilan modulaire constate un léger fléchissement de la mémoire à court terme avec une très bonne remémoration, une très bonne attention provoquée et une bonne capacité de concentration. Le patient est orienté du point de vue temporo-spatial. Nous constatons une légère difficulté de compréhension et d'expression. Il lit facilement sans lunettes, mais présente parfois une vision double, pour laquelle il est suivi par un ophtalmologue. Son audition est légèrement limitée sans appareil auditif. Un siège et une poignée de douche sont proposés par l'ergothérapeute afin d'adapter le domicile. L'évaluation nutritionnelle met en évidence des apports insuffisants en lien avec une inappétence et des troubles neurologiques, ce qui est démontré par un NRS à 3/7. Des suppléments nutritifs oraux sont introduits, avec obtention d'une couverture de 56% des besoins en énergie et de 117% des besoins en protéines. Monsieur Delley rentre à domicile le 17.01.2018, avec des soins à domicile une fois par semaine pour contrôle de santé et aide à la douche.Patient de 79 ans, qui présente depuis 3 jours des douleurs abdominales épigastriques, continues sans irradiation, pas de nausée ni de vomissements. Pas de trouble de transit, mais selle jaunâtre et urine foncée. Ce jour, consulte son médecin traitant le Dr. X qui nous adresse pour suite de prise en charge d'un ictère avec syndrome infectieux. Stratus: • Cardiovasculaire: B1-B2 bien frappés, réguliers, pas d'OMI. • Resp: eupnéique, respiration physiologique. • Abdominal: bruits intestinaux normaux en fréquence et tonalité, souple, pas de défense ni de détente, Murphy négatif. • Cutanée: cicatrice de sternotomie, tégument ictérique, avec léger ictère conjonctival. Au vu de cet ictère avec un bilan biologique perturbé avec une cholestase et syndrome infectieux, le patient est hospitalisé, et une antibiothérapie iv est mise en route avec Rocéphine iv 2 et flagyl 500 mg iv 3x/jour. Une Cholangio IRM est agendée pour demain. Patient de 80 ans, connu notamment pour une insuffisance rénale terminale sur néphropathie diabétique dialysée, un diabète de type 2 insulino-requérant, hospitalisé en médecine interne à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 05.10.2017 au 20.12.2017 pour un mal perforant plantaire droit surinfecté, dans un contexte d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IV, ayant nécessité une amputation initialement transmetatarsienne, puis infra-géniculée droite le 22.11.2017, ainsi que des traitements antibiotiques successifs en raison d'une suspicion de surinfection du moignon par Pseudomonas aeruginosa. Le moignon droit présentant actuellement une nécrose sèche, la pose d'une prothèse n'est pas envisageable dans un futur proche. Le patient nous est adressé le 20.12.2017 pour réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz, avec un isolement de contact pour Pseudomonas toujours en cours. A l'anamnèse, Monsieur Y signale une dyspnée ainsi qu'une toux chroniques, non péjorées à l'entrée, sans modification du volume ni de la couleur des expectorations. Le patient ne présente pas de douleurs et n'a pas de plainte à l'anamnèse systémique. Monsieur Y vit avec son épouse dans une maison bien adaptée de plein pied, sans seuil. Avant l'amputation du membre inférieur droit, il pouvait marcher grâce à sa prothèse du membre inférieur gauche, et utilisait son fauteuil roulant pour les déplacements en dehors de son domicile. Le patient est porteur d'une sonde urinaire à demeure sur un antécédent de rétention urinaire lors d'une précédente hospitalisation en 2016. L'appétit est conservé, il n'a pas de trouble du sommeil à la maison, mais a parfois besoin d'un médicament pour dormir à l'hôpital. A l'examen clinique d'entrée, nous auscultons une hypoventilation pulmonaire bibasale, avec quelques sibilances. Nous constatons la présence d'une nécrose sèche sans écoulement et sans érythème au niveau du moignon du membre inférieur droit. Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie hypoosmolaire à 128mmol/l, que nous suivons cliniquement, une anémie chronique normocytaire hypochrome d'origine mixte rénale et inflammatoire, ainsi qu'un syndrome inflammatoire résiduel avec une CRP à 13mg/l, sans leucocytose. Nous poursuivons l'anticoagulation par Héparine et Sintrom. L'Héparine peut être arrêtée le 22.12.2017 au vu d'un INR dans la cible. Nous introduisons de la physiothérapie et de l'ergothérapie dans l'objectif de pouvoir effectuer les transferts à l'aide des bras, ce qu'il n'arrive pas à faire au moment de son entrée dans notre service. Le 22.12.2017, l'isolement de contact pour Pseudomonas peut être levé après avis infectiologique au vu de la culture du moignon réalisée à Fribourg revenue négative. Le soir du 23.12.2017, le patient présente un épisode d'hypoglycémie à 2.1mmol/l, asymptomatique, suite à quoi il reçoit une perfusion de glucose 40%. Le traitement par Ryzodeg est interrompu dans ce contexte et de l'Insulatard sera prescrit ultérieurement à sa place. Le 24.12.2017, Monsieur Y présente un état fébrile avec désaturations dans le contexte d'un nouvel épisode d'hypoglycémie asymptomatique à 2.3mmol/l avec suspicion de broncho-aspiration. Ce dernier présente des douleurs pleurétiques importantes, ainsi que des œdèmes au niveau des bras. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire en recrudescence, avec une CRP à 35mg/l et des leucocytes à 21.9G/l. La radiographie du thorax du 24.12.2017 met en évidence un foyer basal droit. Nous suspectons une pneumonie sur broncho-aspiration avec une probable composante de décompensation cardiaque. Dans ce contexte, le patient est hospitalisé aux lits monitorés le 24.12.2017. Patient de 80 ans, connu pour un éthylisme chronique ancien, un diabète de type 2 NIR et une HTA traitée, est transféré de Fribourg le 10.01.2018 à Meyrier pour réadaptation gériatrique aiguë sur un déconditionnement marqué. Le but global est un retour à domicile. Initialement, le patient a été hospitalisé et transféré aux soins intensifs le 15.12.2017 pour un choc mixte hémorragique et septique à point de départ digestif sur péritonite bactérienne spontanée et hémorragie digestive haute sur œsophagite de reflux. Une cirrhose hépatique nouvelle a été diagnostiquée à l'entrée à Fribourg. Actuellement, cirrhose Child Pugh B. Le jour avant le transfert à Meyrier, une gastroscopie de contrôle a lieu qui montre un ulcère du bas œsophage en voie de cicatrisation à l'origine probablement du saignement initial motivant la réintroduction des IPP à haute dose pour encore 1 mois. Sur le plan digestif, une biopsie est effectuée. La coloscopie montre une polypose avec résection d'un polype. Les rapports définitifs et les résultats des prélèvements sont à pister. Finalement, une prophylaxie de péritonite bactérienne spontanée par norfloxacine est débutée. Actuellement, le patient se plaint de douleurs lombaires droites mécaniques, absentes au repos. Pas d'autres douleurs, notamment pas d'odynodysphagie. Pas de dysphagie. Il remarque une incontinence urinaire minime. Sur le plan neurologique, le patient pense avoir des troubles de mémoire normaux pour l'âge. Le reste de l'anamnèse par système, notamment sur le plan respiratoire, cardiologique et abdominal, est sans particularité. Au status, tachycardie à 105/min régulière. Auscultation cardiaque B1B2 bien frappés, régulière, pas de bruit surajouté. Pouls palpés aux 4 extrémités. Sur le plan respiratoire, auscultation sans particularité. Sur le plan neurologique, NCII-XII dans la norme. Sensibilité préservée globalement aux 4 extrémités. Pallésthésie 7/8 jusqu'en périphérie. Réflexe cutané plantaire indifférent. Force diminuée au niveau des releveurs du pied et de l'extension des doigts de pied des deux côtés (2/5). Réflexes normovifs, symétriques. Au status orthopédique, on remarque une diminution de la mobilité passive en flexion dorsale de cheville droite >gauche. (max 0°). Status abdominal dans la norme. Pas de TR réalisé. Sur le plan social, M. Y vit avec son épouse dans une maison sans escaliers. Lui et son épouse ont chacun 2 enfants, plusieurs petits-enfants. Première épouse décédée il y a de nombreuses années d'un cancer du poumon. Pas d'allergie. Tabac: stoppé depuis des dizaines d'années. Alcool: actuel pas d'alcool. Par le passé, consommation importante en lien avec le travail (ancien chef de service office du personnel). Sur le plan de l'activité, Patient de 80 ans, connu pour un lymphome lymphoplasmocytaire en rémission oncologique partielle, qui est envoyé par le médecin de garde pour une pneumonie communautaire. Pour rappel, le patient présente depuis 3-4 jours une toux sèche sans expectorations, avec un état fébrile jusqu'à 38.3°C. Il signale également une douleur à l'oreille droite sans écoulement ni diminution de l'audition. Le laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 289 et leucocytose. Après visualisation de la radiographie du thorax faite par le médecin de garde, le diagnostic de pneumonie est retenu. Dans ce contexte, une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est débutée. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour un pneumocoque, permettant l'arrêt de la Clarithromycine. L'antibiothérapie par Ceftriaxone est poursuivie jusqu'au 08.01.2018 jour du passage à la co-amoxicilline p.o. Le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire. L'évolution clinique est favorable, avec sevrage progressif de l'oxygénothérapie. Mais l'apparition d'une hypoventilation basale droite importante motive une radiographie de contrôle le 09.01.2018 puis un scanner thoracique. Ce dernier met en évidence une condensation homogène du segment postérieur du lobe supérieur droit compatible avec un foyer de pneumonie, ainsi qu'un épanchement pleural droit cloisonné. Devant la bonne évolution clinique, nous ne ponctionnons pas l'épanchement, mais effectuons une surveillance clinique et biologique qui sont favorables. Nous proposons un contrôle radiologique dans 1 mois en ambulatoire afin de s'assurer de la guérison complète. Durant son séjour, une anémie normocytaire normochrome est mise en évidence. Le bilan met en évidence une carence en acide folique, raison pour laquelle une substitution per os est introduite. Concernant l'otite moyenne aiguë droite, le patient ne présente plus de douleurs durant son séjour en médecine. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient rentre à domicile le 12.01.2018. Patient de 80 ans, connu pour un status après prothèse du genou gauche en 2012, en vacances chez sa fille, qui consulte en raison d'une tuméfaction douloureuse du genou gauche, avec douleur insupportable surtout lors de la mobilisation, en péjoration depuis le 11.12.2017, sans notion de traumatisme. Pas d'état fébrile ni de frissons. Un traitement de Condrosulf et de Dafalgan n'apporte aucune amélioration. Sur le plan cardiaque, le patient relate une prise pondérale avec péjoration des œdèmes des membres inférieurs. Notion de dyspnée augmentée ces derniers jours. Pas de douleurs rétrosternales ni d'autres plaintes. À l'examen clinique d'entrée, patient normocarde, normotendu et afébrile. L'auscultation cardiaque révèle des B1-B2 bien frappés, réguliers, avec souffle maximal mitral au foyer d'Erb, sans irradiation. Œdèmes aux membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux cuisses et sur les parties déclives. À l'auscultation pulmonaire, présence de râles crépitants bi-basaux. Sur le plan ostéo-articulaire, le genou gauche est tuméfié, rouge et chaud, douloureux à la palpation de la rotule et au niveau du plateau tibial. Signe du glaçon positif, motricité active et passive impossible au vu de la douleur, sensibilité conservée. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale aiguë AKIN I avec une créatinine à 161 umol/l, d'origine mixte : pré-rénale sur déshydratation et syndrome cardio-rénal avec une composante rénale sur traitement médicamenteux. Il n'y a pas de troubles électrolytiques. La radiographie du genou gauche ne montre pas de fracture ni de signes d'arthrose. L'acide urique est à 659 umol/l. Nous retenons une crise de goutte inaugurale du genou gauche et instaurons un traitement par Colchicine et Prednisone, ainsi qu'une physiothérapie de mobilisation. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Y peut regagner son domicile le 31.12.2017. Patient de 80 ans connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés qui a bénéficié d'une coronarographie en urgence le 14.11.2017 pour un STEMI antérieur avec mise en évidence d'une cardiopathie ischémique tritronculaire (IVA, marginale, bissectrice). La patiente a eu une re-coronarographie en semi-urgence le 08.12.2017 pour angor instable avec dilatation/stenting de la 1ère marginale. Une re-coronarographie est agendée en électif le 16.01.2018 pour le traitement de la bissectrice. Pas d'angor résiduel depuis lors. L'examen invasif du jour démontre des excellents résultats à long terme après recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure (STEMI) en novembre 2017 et PCI de la branche marginale décembre 2017. La fonction systolique du VG est quasiment normalisée avec une discrète hypokinésie résiduelle apicale, EF 50-55%. Il est procédé à la dilatation de la branche bissectrice avec mise en place d'un stent actif avec bon résultat final. On poursuit l'Aspirine à vie et Efient 10 mg/j jusqu'à la fin mai 2018 avec le reste du traitement inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie puis une surveillance clinique en division, la patiente rentre à domicile le 17.01.2018. Patient de 81 ans, connu pour un AVC ischémique sylvien gauche probablement de type cardio-embolique en avril 2017 avec une aphasie consécutive ainsi que pour une BPCO de stade II-III et une fibrillation auriculaire intermittente, qui nous est adressée par le Dr. X en raison d'une dyspnée évolutive depuis une semaine, présente également au repos depuis 2 jours. Il y a 2 semaines, il a présenté une symptomatologie semblable, résolue par la majoration du traitement diurétique et l'initiation d'un traitement antibiotique durant une semaine. Monsieur Y décrit une toux sans expectorations avec une douleur à la gorge depuis 2 jours, une orthopnée depuis l'AVC et une dyspnée paroxystique nocturne depuis 3 jours. Le poids reste stable et le reste de l'anamnèse par systèmes n'est pas contributif. À l'admission, TA 105/55 mmHg, fréquence cardiaque 67 bpm, fréquence respiratoire 24/min, saturation 94%, température 36.5°. B1 et B2 lointains, sans souffle audible. Discrets œdèmes palpables aux membres inférieurs. Râles grossiers audibles aux deux bases mais majorés à droite. Bruits abdominaux dans la norme, abdomen souple et indolore à la palpation, loges rénales indolores à la percussion. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 197 umol/l, d'origine pré-rénale, un discret syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 10.9 G/l et une CRP à 27 mg/l, un BNP à 1278 et une anémie déjà connue à 83 g/l. La gazométrie à l'air ambiant montre une hypoxémie, sans hypercapnie. Le patient est mis sous O2 - 1 l/min, avec une bonne réponse. La radiographie du thorax montre un épaississement bronchique, sans signes de décompensation cardiaque. Monsieur Y bénéficie d'une dose de Lasix 40 mg en ordre unique, puis il est hospitalisé en médecine pour la suite de la prise en charge.Initialement, nous suspectons une décompensation de BPCO au décours et une insuffisance rénale pré-rénale. Une hydratation iv est introduite, avec bonne évolution de l'insuffisance rénale. En cours de séjour, l'anémie se péjore. Nous suspectons initialement une anémie sur dilution mais, au vu de la péjoration massive, avec hémoglobine à 60 g/l, nous évoquons le diagnostic d'hémorragie digestive haute. Le patient bénéficie de l'administration de 2 culots érythrocytaires le 14.12.2017, avec une remontée de l'hémoglobine à 73 g/l. Un traitement de Nexium iv est introduit, relayé per os à 40 mg/jour dès le 17.12.2017. L'anticoagulation par Eliquis est stoppée, puis reprise le 20.12.2017, après la réalisation d'une oesogastroduodénoscopie par le Dr. X le 19.12.2017 qui ne montre pas de signes d'une hémorragie haute active mais plusieurs polypes probablement glandulo-kystiques dans le fundus, une petite hernie hiatale et une oesophagite de reflux de stade I. Le patient reçoit encore 1 culot érythrocytaire le 20.12.2017 pour une nouvelle chute de l'hémoglobine à 74 g/. Par la suite, il reste asymptomatique et l'hémoglobine se stabilise à 81 g/l le 21.12.2017. Au vu d'une amélioration de la fonction respiratoire, l'oxygénothérapie est sevrée le 20.12.2017. Durant son séjour, le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire et de renforcement musculaire. Il se mobilise graduellement et regagne son autonomie. Au vu de l'évolution favorable, Monsieur Girard regagne son domicile le 23.12.2017. Nous conseillons un contrôle clinique et biologique à votre consultation durant la semaine suivant sa sortie. Patient de 81 ans en bonne santé habituelle et qui a consulté les urgences de Riaz le 30.01.2017 pour une crise hypertensive. Par la suite, une consultation en cardiologie ambulatoire chez le Dr. X en janvier 2018 en raison d'un angor typique crescendo depuis décembre 2017. Un test d'effort est cliniquement positif et électriquement borderline. Le patient est adressé pour une coronarographie en électif le 18.01.2018. L'examen invasif du jour montre une maladie coronarienne bitronculaires : sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) ; lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne ; sténose significative de la première diagonale ; sténose significative de la seconde diagonale ; lésion non significative de la première marginale ; lésion intermédiaire de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale. Après discussion avec le Dr. X, il est procédé à une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec implantation de 3 stents actifs. On propose l'Aspirine 100 mg 1x/j à vie et le Brilique 90 mg 2x/j pour 6 mois avec reste du traitement inchangé. Contrôle dans 1 mois chez le Dr. X. Ergométrie dans 1 année. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 19.01.2018. Patient de 82 ans, actuellement suivi pour un adénocarcinome broncho-pulmonaire gauche cT3 cN3 cM1a, stade IVA, avec épanchement pleural et probablement métastases hépatiques, diagnostiqué le 10.10.2017, sous immunothérapie par pembrolizumab, qui nous est adressé par le Dr. X, oncologue, pour une péjoration de sa dyspnée progressive depuis un mois selon le patient, de stade NYHA IV, sans orthopnée. Monsieur Chassot ne décrit pas de douleur thoracique, pas d'état fébrile ni de frissons. Ces derniers jours, limitation de la mobilisation du lit au canapé, pas de douleur aux mollets. À noter que le patient bénéficie d'un PleurX afin de drainer l'épanchement pleural gauche, qui ramène 200 ml tous les deux jours. À l'examen clinique d'entrée, hypoventilation basale gauche avec quelques crépitants en base gauche, sans sibilances. Sur le plan cutané, dermite ocre des membres inférieurs (gauche > droite), PAC et PleurX en place, sans signes inflammatoires. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 152 mg/l et une leucocytose à 29.5 G/l, sur progression oncologique. Concernant la dyspnée, au vu des antécédents du patient, nous suspectons une embolie pulmonaire. Les D-Dimères reviennent positifs à 14'908 ng/ml. Afin de confirmer une embolie pulmonaire, un CT thoracique est effectué en urgence qui montre une embolie pulmonaire de l'artère médiastinale du lobe supérieur droit et de l'artère lobaire inférieure droite, ainsi que de ses branches de division sous-segmentaires, raison pour laquelle une anticoagulation thérapeutique par Clexane 100 mg - 2 x/jour est débutée dès le 21.12.2017. Le 22.12.2017, en raison d'une anémie microcytaire et d'une hémoglobine à 76 g/l, le patient bénéficie d'une transfusion d'un culot érythrocytaire. Au vu d'un hémo-fécatest positif, nous suspectons une hémorragie digestive haute à bas bruit. Nous instaurons un traitement par Nexium 40 mg - 2 x/jour et proposons un suivi clinico-biologique. Le 28.12.2017, le patient bénéficie de sa 3ème cure d'immunothérapie. Les suivis biologiques montrent une hémoglobine stable à 81 g/l. Monsieur Chassot regagne son domicile le 29.12.2017. Patient de 82 ans, hospitalisé aux soins intensifs le 16.01.2018 dans le contexte de syncopes d'origine indéterminée. Il rapporte dans les 48 heures précédant son admission des douleurs thoraciques atypiques sous forme de point sans irradiation et reproductible à la palpation. Le 16.01.2018, il présente 2 syncopes objectivées par sa femme. Celle-ci rapporte leur survenue en position debout, avec affaissement yeux fermés, sans mouvements tonico-cloniques ni perte d'urine, suivies d'une récupération après quelques minutes. À noter un épisode de vomissement après la seconde syncope motivant l'appel de l'ambulance. En raison de l'anamnèse atypique et d'un ECG anormal (troubles de la repolarisation en inférieur), une coronarographie est réalisée en urgence qui exclut un STEMI. L'IVA est toutefois stentée pour une subocclusion de découverte fortuite. Le patient est chargé en Aspirine et Plavix. L'Aspirine est à poursuivre à vie et le Plavix pour 3 mois. En cours de séjour, l'évolution post-coronarographie est simple, sans récidive de douleurs rétrosternales ni troubles du rythme. À l'examen neurologique, on note des troubles mnésiques préexistants, sans élément nouveau objectivé. Un bilan à la recherche de l'origine de la syncope est effectué avec une échocardiographie qui revient dans la norme. Au vu de la présentation et après discussion avec son neurologue traitant (Dr. X), une cause épileptique paraît peu probable. Un taux de Keppra et de Vimpat a été demandé (à suivre). Un Holter sera effectué dans le cadre d'un BAV du 1er degré mais aucune arythmie n'a été objectivée pendant la surveillance aux soins intensifs. Un test de Schellong est non-conclusif, avec une chute de la TAs de 151 à 139 à 5 minutes mais sans symptômes. La cause la plus probable des syncopes est un malaise hypotensif. Dans ce contexte, son traitement de beta-bloquants est mis en suspens. Une insuffisance rénale aiguë sur chronique est mise en évidence à l'admission, qui se corrige après hydratation iv et per os. Un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée est présent au laboratoire d'admission, sans état fébrile ni foyer clinique évident. Une péricardite pourrait rentrer dans le diagnostic différentiel au vu des douleurs thoraciques depuis 48 h. La CRP est spontanément à la baisse le 17.01 et nous proposons uniquement un suivi clinique et biologique. En cas de persistance, un bilan à la recherche d'une infection endovasculaire ou encore d'une maladie de système est à discuter.Au vu de la bonne évolution, le patient est transféré à l'étage de médecine le 17.01.2018. • Patient de 83 ans amené aux urgences par l'ambulance en raison d'une asthénie en péjoration. Son épouse déclare qu'en raison d'une importante fatigue, il ne se déplace quasiment plus et que son état se dégrade lentement. Il aurait également présenté à deux reprises des picotements d'une durée très brève au niveau de la joue gauche, dans le territoire du nerf V2. À l'anamnèse par systèmes, le patient signale une nycturie à 2 fois, ainsi qu'une audition diminuée sur des bouchons de cérumen. À l'examen clinique d'entrée, le patient est en bon état général, bien hydraté, anictérique sans cyanose centrale. Au niveau cardiaque, B1-B2 d'aspect lointain, sans souffle. Pas de turgescence jugulaire ni d'oedème aux membres inférieurs, mollets souples, ballant conservé. À l'auscultation pulmonaire, râles crépitants audibles aux deux bases. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Loges rénales indolores à la percussion. Au status neurologique, le patient est collaborant. Pupilles isocores et iso-réactives, nerfs crâniens grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Pas de raideur de nuque. Absence de dysmétrie ou de dysdiadococinésie. Épreuve des bras tendus sans particularité. Le laboratoire révèle une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 137 µmol/l ainsi qu'un potassium à 5.1 mmol/l. Nous suspendons le traitement néphrotoxique et adaptons l'Eliquis à la fonction rénale et à l'âge. L'ECG montre la fibrillation auriculaire déjà connue. La radiographie du thorax revient dans la norme. Monsieur Perriard est hospitalisé en médecine pour hydratation et adaptation du traitement diurétique. L'Aldactone est mis en suspens. Le patient reste hémodynamiquement stable, afébrile et asymptomatique. Le laboratoire montre une amélioration de la fonction rénale, avec une créatinine plasmatique à 111 µmol/l, sans hyperkaliémie. À la sortie, nous maintenons en suspens le traitement d'Aldactone, diminuons le Lisinopril à 10 mg/jour et le Torasémide à 10 mg/jour et reprenons les doses habituelles de l'Eliquis. Monsieur Perriard regagne son domicile le 14.01.2018. • Patient de 84 ans, admis aux soins intensifs suite à la mise en évidence d'un épanchement péricardique le 05.01.2017 avec répercussion hémodynamique (compression de l'OG et du VD). Il est initialement amené aux urgences par son fils après d'être retrouvé au sol. Il a probablement passé 20 h au sol après une probable syncope le 04.01.2017. L'échocardiographie à son arrivée aux urgences met en évidence un épanchement péricardique circonférentiel de 3 cm qui est ponctionné avec évacuation de >1000 ml au total. Un drain péricardique est laissé en place jusqu'au 8.01.2017 avec une couverture antibiotique par céfuroxime. Les examens du liquide ne montrent pas d'étiologie claire hormis des ANA élevés. Le test de Quantiféron et la culture pour la tuberculose sont à pister. Selon avis infectiologique, une origine infectieuse est peu probable et il n'y a pas d'indication pour une antibiothérapie empirique. L'évolution est favorable, avec une échographie de contrôle du 09.01.2018 qui montre une nette amélioration de l'épanchement sans répercussion hémodynamique. Une échographie de contrôle dans 1 semaine est prévue. Dans le contexte d'une déshydratation et d'une rhabdomyolyse sur immobilisation prolongée, M. Baeriswyl présente une aggravation de son insuffisance rénale chronique. Il bénéficie d'une hydratation intraveineuse avec une évolution favorable puis une reprise partielle de ses diurétiques habituels. Des douleurs de la colonne vertébrale et de la hanche droite ainsi qu'un trauma crânien survenu aux urgences sont bilan CT cérébro-cervico-thoracique et des radiographies qui ne révèlent pas de lésion osseuse ou hémorragie cérébrale. Un nodule pulmonaire du lobe supérieur droit de découverte fortuite. Un contrôle d'ici 6-12 mois est à discuter en fonction de l'évolution clinique globale. Le CT du 6.01.2017 montre une lésion hépatique suspecte chez un patient cirrhotique. Un US abdominal est effectué le 9.01.2017 et s'avère non contributif. Nous renonçons à une IRM hépatique en l'état. Un bilan vitaminique dans le cadre d'une bicytopénie montre un déficit en folate, qui est substitué. Compte tenu des multiples co-morbidités et du souhait exprimé par le patient en cours de séjour, l'attitude globale NTBR est retenue. Un retour aux SI en cas de dégradation reste envisageable au cas par cas à ce stade. Nous vous laissons le soin d'informer explicitement le fils du patient de cette attitude (joignable uniquement par téléphone en fin de séjour et non-disponible pour une discussion formelle en date du 10.01.2018). • Patient de 84 ans, admis aux soins intensifs pour des AVC ischémiques multiples et pluri-territoriaux de localisation, punctiformes thalamiques gauches et frontal gauche le 03.01.2018. Il consulte initialement les urgences suite à l'apparition 3 jours plus tôt d'une parésie du membre supérieur droit associée à une péjoration de sa dysarthrie séquellaire. Il relate également une perte d'équilibre ce jour avec une tendance à la chute sur la droite. Sa fille rapporte également une asymétrie faciale. Le NIHSS à l'entrée est évalué à 4. Une IRM met en évidence des AVC ischémiques sylviens gauches probablement artério-artériels sur sténose subocclusive (>90%) de l'artère carotide commune gauche. En plus, l'examen montre une lésion ischémique punctiforme thalamique gauche dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure gauche, d'origine artério-artérielle présumée sur sténose de haut degré au départ de l'artère vertébrale droite. Le patient est hospitalisé en Stroke Unit monitorée pour suite de prise en charge neurologique. Au vu d'un INR supra-thérapeutique, le Sintrom est d'emblée mis en suspens. Une origine cardio-embolique nous semble improbable au vu de l'anticoagulation supra-thérapeutique. Le patient bénéficie d'une endartérectomie carotidienne gauche le 08.01.17. Les suites opératoires sont simples. Un soutien transitoire par Noradrénaline a été nécessaire en post-opératoire immédiat, qui est rapidement sevré. Un traitement par Bilol et Cordarone per os est mis en place dès le 09.01.17 (cible TAS 140 et 160 mmHg). Après avis de Dr. X, un doppler transcrânien est demandé et une anticoagulation thérapeutique avec Apixaban 2x 5 mg/jour seul (avec arrêt de l'aspirine simultanément) est à discuter avec les chirurgiens dès le 10.01.17 (48h post-op). Le jour de transfert à l'étage, le patient présente une amélioration neurologique de l'hémisyndrome droit. Il persiste une dysarthrie modérée et un trouble de la déglutition (Freka pour alimentation entérale mis le 09.01.17, à réévaluer). Une réhabilitation à Meyrier est à organiser.Patient de 84 ans, admis pour surveillance neurologique d'un AVC postérieur droit. Mr. Y a présenté une hémianopsie gauche ainsi que des vertiges subitement le 31.12.2017. Le NIHSS à l'admission aux urgences est à 9, motivant une thrombolyse intraveineuse après exclusion d'une hémorragie intracérébrale. A son arrivée aux soins intensifs après la lyse, le NIHSS est à 4. L'évolution par la suite est favorable avec une hémianopsie résiduelle à gauche (NIHSS à 2). Un CT de contrôle le 01.01.2018 montre la constitution d'un AVC ischémique dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure droite. Pendant son séjour, le patient présente un épisode unique de salve de tachycardie ventriculaire non soutenue de 2 secondes, asymptomatique nécessitant du magnésium intraveineux et reste stable au niveau de l'hémodynamique. Le patient est transféré en stroke unit non-monitorée pour suite de prise en charge. Une échocardiographie et ECG holter, ainsi qu'une IRM cérébrale sont à prévoir. Patient de 84 ans avec un STEMI inférieur le 11.12.2017 mettant en évidence une maladie coronarienne bitronculaire (IVA et CD). Angioplastie de l'ACD le 11.12.2017 et re-coronarographie en électif le 15.01.2018 pour le traitement de l'IVA. Pas d'angor résiduel depuis lors. L'examen invasif du jour montre un excellent résultat angiographique après PCI de l'ACD et de la PLA pour STEMI inférieur évolutif. Comme convenu, on fait une angioplastie de la subocclusion de l'IVA moyenne avec 1 stent actif. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 45%. On poursuit l'Aspirine 100mg 1-0-0 à vie et l'Efient 5 mg 1-0-0 pour 6 mois avec le reste du traitement inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 18.01.2018. Patient de 85 ans, admis aux soins intensifs suite à un STEMI. Ce matin, le patient a commencé à avoir une dyspnée intense. Il consulte aux urgences à Payerne où on met en évidence un STEMI. Le patient est chargé en Liquemine et il est transféré à Fribourg pour une prise en charge. Une coronarographie montre une sténose de l'IVA et une sténose de l'artère circonflexe, traitée par des stents actifs. Nous introduisons un traitement par Aspirine (à vie) et Brilique (pendant 6 mois). L'échocardiographie montre une FEVG à 40%, et une hypokinésie sévère de l'apex, du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne. Le patient présente une fibrillation auriculaire inaugurale. Une anticoagulation thérapeutique par Héparine est débutée. Une hypertension artérielle est traitée par TNT en continu. Les points de ponction au moment de transfert sont calmes. Dans le contexte d'insuffisance cardiaque, le patient présente également une insuffisance respiratoire partielle et bénéficie de séances de ventilation non invasive et d'oxygénothérapie. Devant une composante obstructive, des aérosols sont introduits avec un bon effet. Le patient, connu pour un rein unique post-néphrectomie à gauche, présente une insuffisance rénale aigüe, avec une hyperkaliémie à 5,7 mmol/l à l'admission. L'insuffisance rénale est probablement d'origine mixte (rénale, diabète) et pré-rénale (diarrhées); elle est péjorée après l'application du liquide de contraste pendant la coronarographie, malgré la mise en suspens des médicaments néphrotoxiques. A surveiller. A l'admission, nous constatons une hyperglycémie à 21,5 mmol/l. Au vu de l'insuffisance rénale, le traitement antidiabétique est mis en suspens et de l'insuline en intraveineux en continu est introduite. Nous proposons une consultation en diabétologie après la stabilisation de la situation hémodynamique et rénale. Patient de 85 ans, admis le 02.01.2018 aux soins intensifs au décours immédiat d'un ACR, intubé et sous amines. Pour rappel, un traitement par Céfuroxime est instauré le 30.12.2017 en raison d'une baisse de l'état général depuis environ 72 heures attribuée à une nouvelle pneumonie basale droite. Le 02.01.2018, il présente un ACR après avoir gravi quelques marches d'escalier dans son EMS. L'équipe soignante sur site commence immédiatement un BLS. A l'arrivée des ambulanciers, le patient présente une activité électrique sans pouls et reçoit 2mg d'adrénaline, avec un ROSC à 25 minutes. Intubé sur site, il nous est alors transféré pour suite de prise en charge. L'origine de l'ACR est attribuée en premier lieu à une origine hypoxémique dans un contexte de pneumonie basale droite et de cardiopathie ischémique terminale. Un traitement antibiotique par pipéracilline-tazobactam est débuté au vu d'une radiographie compatible avec un foyer en base droite. L'évolution est rapidement défavorable, avec apparition d'une instabilité hémodynamique sous Noradrénaline à doses croissantes. A la levée de sédation, on note par ailleurs des myoclonies généralisées, sans signe de mort cérébrale, laissant présager d'un pronostic neurologique sombre. Après discussion avec l'épouse et les proches du patient, nous convenons de soins de confort exclusifs avec ces derniers, conformément à la volonté présumée de Mr. Y et au vu du pronostic sombre sans sanction thérapeutique complémentaire envisageable. Celui-ci décède entouré par les siens le 02.01.2018 à 23h25. Nous n'avons pas demandé d'autopsie médicale. Patient de 85 ans, admis pour une suspicion d'AIT le 31.12.2017. Il s'agit d'un patient qui présente le 31.12.2017 vers 13h30 un épisode de troubles de l'équilibre et de dysarthrie d'une durée d'environ 1h30 motivant une consultation à l'hôpital de Tavel. Il aurait fait un épisode similaire en juin avec une parésie du bras droit. A son arrivée aux urgences, les symptômes sont déjà résolutifs. Une imagerie cérébrale montre une ancienne lésion au niveau pontique ainsi qu'une sténose de l'artère vertébrale gauche. Il est admis en unité Stroke pour surveillance. Le bilan lipidique est normal. Le patient ne fait pas de trouble du rythme durant tout le séjour en unité monitorée. Le profil tensionnel est normal. Un test de déglutition est également normal le 01.01.2018. Une échocardiographie ainsi qu'une IRM cérébrale sont prévues le 03.01.2017. Transfert en unité stroke non monitorée le 02.01.2018. Patient de 85 ans, connu pour les antécédents et comorbidités sus-mentionnés, qui consulte aux urgences pour des douleurs thoraciques. Les examens cliniques et paracliniques laissent suspecter un angor instable. Une coronarographie en semi-urgence est réalisée le 09.01.2018. L'examen invasif montre comme corrélat aux douleurs thoraciques deux sténoses significatives des pontages veineux sur l'artère coronaire droite. Il est procédé à une angioplastie/dilatation avec un implantatation d'un stent actif. Sur le plan médicamenteux, on propose de poursuivre avec le Xarelto (15mg/j) pour une durée indéterminée, Aspirine 100mg 1x/j pour 1 mois et Plavix 75 mg 1x/j pour 12 mois. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 10.01.2018. Patient de 85 ans, connu pour les antécédents et comorbidités sus-mentionnés, qui consulte aux urgences pour des douleurs thoraciques. Les examens cliniques et paracliniques laissent suspecter un angor instable. Une coronarographie en semi-urgence est réalisée le 09.01.2018.L'examen invasif montre comme corrélat aux douleurs thoraciques deux sténoses significatives des pontages veineux sur l'artère coronaire droite. Il est procédé à une angioplastie/dilatation avec imposition d'un stent actif. Sur le plan médicamenteux, on propose de poursuivre avec le Xarelto (15 mg/j) pour une durée indéterminée, Aspirine 100 mg 1x/j pour 1 mois et Plavix 75 mg 1x/j pour 12 mois. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 10.01.2018. Patient de 85 ans, connu pour une cardiopathie dilatative multifactorielle (FEVG à 38 % en août 2017), une maladie thrombo-embolique et une maladie anévrismale, est adressé aux urgences par son médecin traitant en raison d'une hyperkaliémie à 7.2 mmol/l avec insuffisance rénale aiguë. M. Bertschy se plaint d'une baisse de son état général depuis environ 3 à 4 semaines avec péjoration de sa dyspnée stade NYHA III, inappétence et oligurie. L'anamnèse ne permet pas de retrouver une étiologie à l'insuffisance rénale, mis à part l'origine médicamenteuse et des apports hydriques insuffisants. Notons qu'il avait de lui-même pris plus d'Aldactone que prescrit par son médecin traitant. L'évolution est favorable après 24h de soins intensifs et M. Bertschy est transféré à l'étage de médecine interne le 19.01.2018. L'évolution est simple avec correction de la kaliémie et amélioration de la fonction rénale sans toutefois atteindre les valeurs habituelles autour de 80 mmol/l de créatinine. Nous réintroduisons progressivement le traitement de l'insuffisance cardiaque mais ne reprenons pas l'aldactone au vu de ce deuxième épisode d'hyperkaliémie sévère sur insuffisance rénale aiguë prérénale. Sur le plan hématologique, nous notons une bicytopénie légère (anémie macrocytaire et thrombopénie). Le bilan vitaminique et ferrique revient dans la norme et nous attribuons ce trouble à une consommation à risque d'alcool, en gardant un syndrome myélodysplasique comme diagnostic différentiel. Nous proposons une surveillance par le médecin traitant. Monsieur Bertschy peut regagner son domicile le 24.01.2018 dans un bon état général. Il sera revu prochainement par son médecin traitant pour contrôle après la réintroduction de son traitement habituel. Un rendez-vous en cardiologie est également prévu en février. Patient de 85 ans hospitalisé pour une syncope sans prodrome, d'origine indéterminée. Le patient rapporte s'être levé trop rapidement, de la position couchée, pour venir en aide à son épouse et chute avec un traumatisme crânien et du coude gauche. Un différentiel de tension est mis en évidence et motive un CT thoracique qui révèle une sténose subocclusive de l'artère sous-clavière droite. Celle-ci étant asymptomatique, nous proposons un suivi clinique. Un CT Scan cérébral ne montre pas de saignement, mais une atrophie cérébrale. D'un point de vue cardiaque, l'ECG d'entrée montre un BAV du 1er degré, avec un possible BAV du 2ème degré Mobitz 2. Nous réalisons une échocardiographie qui revient dans les normes avec une FEVG de 70 %. Le Holter de 24 heures est mis en place le 18.01.2018 et en fonction des résultats, un R-Test sera peut-être nécessaire et l'indication à la pose d'un pacemaker sera à discuter. D'un point de vue respiratoire, le patient présente une exacerbation de sa BPCO pour laquelle des aérosols et un traitement de Prednisone sont initiés. Il bénéficie régulièrement pendant son séjour de physiothérapie respiratoire. Monsieur Perroulaz rapporte une perte pondérale et une baisse inexpliquée de son état général, avec découverte au scanner thoracique d'une masse pulmonaire suspecte. Le patient est informé et ne souhaite pas d'investigations supplémentaires. D'un point de vue orthopédique, nous mettons en évidence une fracture épicondylienne médiane gauche, que nous traitons conservativement par une attelle plâtrée. Au niveau social, le patient vit avec son épouse, qui elle bénéficie d'une prise en charge soignante quotidienne, le patient bénéficiant d'une prise en charge hebdomadaire. Monsieur Perroulaz est déconditionné d'un point de vue respiratoire et physique, raison pour laquelle une réadaptation gériatrique est organisée à Riaz. Patient de 85 ans qui nous est adressé du service de médecine interne de l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge et reconditionnement après une thrombophlébite superficielle sur voie veineuse périphérique avec septicémie à S. aureus le 21.11.2017 ainsi qu'une décompensation cardiaque. À l'entrée, M. Guisolan se plaint d'une fatigue avec dyspnée NYHA III. Cliniquement, il se présente comme un patient de 85 ans dans un état général diminué, désorienté dans le temps mais orienté dans l'espace. La PICC-line est toujours en place au bras droit. L'examen physique montre des œdèmes des membres inférieurs des deux côtés, ainsi que des râles crépitants bibasaux lointains. En ce qui concerne la septicémie à S. aureus, nous poursuivons le traitement avec Cubicine selon proposition des infectiologues jusqu'au 20.12.2017 pour une durée totale d'antibiothérapie de 4 semaines, durant laquelle le bilan biologique reste dans la norme. La PICC-line est donc retirée le 22.12.2017. Malheureusement, nous notons une nouvelle augmentation des paramètres inflammatoires le 25.12.2017 avec un statut urinaire positif, sans signes radiocliniques parlant pour une pneumonie ou autre foyer infectieux. Après discussion téléphonique avec l'infectiologue Dr. X, une antibiothérapie empirique avec Tazobac est initiée en vue de la situation globale. 2 paires d'hémocultures et un uriculte reviennent négatives, et en raison de la probable origine urinaire de l'infection, le traitement antibiotique est relayé par voie orale avec la Ciprofloxacine. L'évolution clinique et biologique est de suite favorable. Dans le cadre de l'insuffisance cardiaque chronique avec des légers signes de décompensation cardiaque globale, le traitement diurétique est adapté durant l'hospitalisation avec une bonne évolution clinique. À l'entrée, le patient peut faire les transferts avec des moyens auxiliaires et marcher avec une canne sous supervision. La distance de la marche est limitée à 40 m en raison de la dyspnée et d'un déconditionnement physique important. Grâce à des thérapies intensives et individuelles, des progrès au niveau de la mobilisation et de l'autonomie sont observés. À la fin de l'hospitalisation, le patient peut donc faire les transferts avec une canne, marcher plus de 200 m sous supervision avec une canne et monter 4 marches d'escalier avec un soutien physique. Monsieur Guisolan peut regagner son domicile le 03.01.2018 en état général amélioré. Patient de 87 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive et une FA paroxystique anticoagulée, amené au service des urgences en raison des difficultés à la marche d'apparition brutale le 16.01.2018, sans prodrome, avec parésie de membres inférieurs plus marquée à gauche qu'à droite. Monsieur Vonlanthen dit avoir chuté avec choc au niveau occipital et de la nuque, sans perte de connaissance mais persistance de la parésie. Pas d'autres symptômes.Une IRM cérébrale effectuée à l'entrée révèle une lésion ischémique aiguë frontale droite, ne correspondant cependant pas à la symptomatologie présentée. Sur avis de nos collègues neurologues, le patient est hospitalisé aux soins intensifs le 19.01.2018 pour surveillance avec poursuite de l'anticoagulation. Le NIHSS d'entrée est à 0 point. Le status neurologique reste sans particularité durant la surveillance aux soins intensifs. Un bilan complet est réalisé. Le Doppler des vaisseaux pré-cérébraux est rassurant et ne montre aucune sténose. Le bilan neuropsychologique est réalisé et le rapport vous parviendra dans les plus brefs délais. Selon avis neurologique, le traitement de Sintrom est remplacé par de la Clexane thérapeutique, puis relayé par l'Apixaban à dose thérapeutique. D'un point de vue cardiaque, une bradycardie sinusale jusqu'à 35 bpm est mise en évidence aux soins intensifs ; raison pour laquelle un traitement d'isoprénaline est introduit pendant quelques heures et le traitement de bêtabloquant mis en suspens. L'évolution est favorable, avec des fréquences autour de 50-60/min. L'échocardiographie met en évidence une FEVG conservée et une légère dilatation du ventricule droit avec insuffisance mitrale minime à modérée. Nos collègues cardiologues proposent un sevrage de métoprolol pendant 48h puis évaluation par un Holter pour discuter de l'indication d'un pacemaker, dans un contexte de suspicion de maladie du sinus. Les résultats du Holter sont en cours. Un traitement antalgique et physiothérapeutique est également débuté dans le contexte de cervicalgies et gonalgies post chutes et de troubles de la marche d'origine multifactorielle. Par ailleurs, le patient présente un kyste de Baker à gauche, gênant mais non douloureux, pour lequel nous suggérons une simple surveillance avec une antalgie simple si nécessaire. Du point de vue de son autonomie, le patient bénéficie déjà avant son hospitalisation d'une aide à domicile à raison de deux fois par semaine, mais présente actuellement encore une instabilité à la marche, raison pour laquelle de la physiothérapie en ambulatoire est prescrite. Notons qu'une évaluation ergothérapeutique a été réalisée et ne retient pas d'adaptation supplémentaire. Patient de 87 ans connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique ainsi qu'une AOMI de stade I et une insuffisance veineuse des MI de stade II qui consulte en raison de plaies des MIG dans un contexte d'OMI en aggravation avec suintement des MI. Le patient décrit des plaies depuis plusieurs semaines, avec augmentation progressive des œdèmes sans dyspnée ou autres symptômes. Le bilan initial aux urgences montre des signes de surcharge droite avec OMI, motivant un traitement diurétique iv en bolus par furosémide (Lasix). Le patient bénéficie le lendemain d'un bilan angiologique qui montre des œdèmes mixtes dans un contexte d'insuffisance veineuse superficielle et profonde sur séquelle de TVP et TVS à répétition au MIG avec probable décompensation cardiaque surajoutée, avec une bonne perfusion artérielle jusqu'en distalités. Dans ce contexte, le patient bénéficie d'un suivi de plaie par les infirmières spécialisées en stomato-thérapie avec protocole comprenant des soins de plaie et un bandage des membres inférieurs du lever au coucher. Dans un premier temps, l'évolution des plaies est lente avec une suspicion clinique et radiographique d'ostéomyélite débutante au niveau du MTP du 5e rayon. Ce doute a été écarté par une IRM du pied de possible ostéomyélite avec une radiographie du pied qui écarte cette suspicion. Dans un premier temps, le patient a été suivi par les orthopédistes et, au vu de l'absence d'une atteinte osseuse, les infirmières spécialistes des plaies ont repris le relais. Le patient sera suivi à la maison également par les infirmières. Sur le plan de la décompensation cardiaque droite, le traitement du Lasix est rapidement relayé par oral avec Torasémide et spironolactone (Aldactone) à haute dose durant 3 jours puis à doses réduites, permettant une amélioration progressive des œdèmes dans un premier temps, mais à la fin de son séjour, nous sommes limités par la fonction rénale, les œdèmes sont toujours présents, mais l'évolution des plaies est favorable et le patient part avec même poids de son entrée. Nous vous proposons de suivre le poids et adapter les diurétiques dès que la fonction rénale le permet. Notons également que nous avons adapté le Xarelto à sa fonction rénale. Lors de son séjour, Mr. Y présente une infection urinaire basse à E. Coli multisensible, traité par la Ciprofoxacine pendant 7 jours, chez le patient ne présentant pas de signe de prostatite à l'examen clinique. Au vu d'une bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 23.01.2018 avec les aides à domicile. Patient de 89 ans, hospitalisé dans le cadre d'une pneumopathie bilatérale d'origine indéterminée. Il a bénéficié d'une antibiothérapie par ceftriaxone et clarithromycine (Klacid) durant 7 jours et de petites doses de diurétiques au vu de la composante de décompensation cardiaque. Le frottis pour la grippe et RSV reviennent négatifs, de même que les antigènes urinaires pour Legionella et Pneumocoque. Le syndrome inflammatoire évolue favorablement, mais le patient reste asthéniaque et tachypnéique. Dans l'hypothèse diagnostique d'une atteinte de type pneumopathie d'hypersensibilité ou COP, nous rajoutons alors de la Prednisone à 20 mg/jour, puis une dose de Solumédrol iv au vu d'une décompression respiratoire avec alcalose respiratoire et nécessité de majorer l'oxygénothérapie. Le syndrome inflammatoire est à la baisse, mais au vu d'une évolution radiologique défavorable en plus de la clinique, nous contactons nos collègues pneumologues pour avoir une proposition thérapeutique, mais une bronchoscopie avec LBA aurait été très dangereuse au vu du risque très élevé de besoin de l'intubation. Ils proposent une tentative de traitement par Prednisone 1 mg/kg, ce que nous poursuivons par la suite. Au vu d'une mauvaise évolution, nous demandons un nouvel avis pneumologique le 03.01.18, vu l'inefficacité de la Prednisone, nos collègues suspectent une possible atteinte virale décompensée par la corticothérapie. Nous arrêtons progressivement la corticothérapie et instaurons des diurétiques pour traiter une possible composante de décompensation cardiaque. Malheureusement, l'évolution est défavorable et Mr. Y se péjore sur le plan respiratoire et sur le plan général. Il reste alité avec une dyspnée importante au moindre effort avec des désaturations rapides. Les images des Rx de thorax montrent une péjoration également. Malgré toutes ces mesures, la situation reste fragile avec un patient tachypnéique au moindre effort réagissant favorablement à l'intensification de l'oxygénothérapie. Mr. Y exprime le désir de s'en aller. Au vu de cette mauvaise évolution, une prise en charge palliative est entreprise. Il reste confortable sur le plan respiratoire avec l'introduction de la Morphine d'abord sous-cutanée puis, suite à une ultérieure péjoration, nous effectuons un passage à la Morphine iv. Mr. Y décède paisiblement entouré par sa famille le 12.01.2018. Patient de 91 ans transféré de Tavel pour surveillance post-opératoire après sigmoidectomie selon Hartmann suite à la perforation accidentelle du sigmoïde dans le cadre d'une colonoscopie pour balancer une masse sigmoïdienne sténosante.M. Blanchard est hospitalisé à Tavel depuis le 25.01.2018 pour investigation de diarrhées et d'une anémie. Une masse sténosante du sigmoïde est mise en évidence, raison pour laquelle une colonoscopie est effectuée le 29.01.2018 qui se complique d'une perforation. Une opération de Hartmann oncologique est entreprise en urgence. En raison d'une anémie postopératoire importante, associée à une instabilité hémodynamique, M. Blanchard est transféré aux soins intensifs en post-opératoire. Le patient se stabilise rapidement du point de vue hémodynamique après transfusion de deux concentrés érythrocytaires. Une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl est initiée. Une hypokaliémie et une hypomagnésémie sont substituées dès son arrivée aux soins intensifs. Durant la perfusion de magnésium, le patient présente une bradycardie avec une pause sinusale nécessitant de l'atropine intraveineuse. Au vu d'une évolution favorable, il est transféré à Tavel le 30.01.2018 en division de chirurgie. • Patient de 92 ans, connu pour un carcinome mammaire gauche avec métastases osseuses étendues, actuellement sous hormonothérapie de 2ème ligne, adressé par son oncologue traitant, le Dr. X, pour une baisse de l'état général avec fatigue importante et péjoration de sa dyspnée chronique depuis un mois, actuellement stade NYHA 2. À l'examen clinique d'entrée, le patient est en état général diminué et stable du point de vue hémodynamique. Nous constatons des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux localisés au niveau des chevilles et des sibilances sont auscultées en plage pulmonaire droite. Le reste du status, y compris neurologique, est sans particularité, et la percussion vertébrale est indolore. Durant son séjour, Monsieur Descloux présente une symptomatologie de dyspepsie, et un traitement de Pantoprazole 40 mg une fois par jour est mis en place avec une bonne réponse clinique, pour une durée prévue de 2 semaines. Nous laissons au médecin traitant le soin d'évaluer la nécessité de poursuivre le traitement. Le 07.01.2018, Monsieur Descloux présente un état fébrile à 38.4°C. Nous suspectons une pneumonie basale droite au vu du status pulmonaire qui met en évidence des râles crépitants grossiers à la base pulmonaire droite, et de la radiographie du thorax du 08.01.2018 révélant un infiltrat nouveau. Un traitement de Ceftriaxone 2 g intraveineux est instauré du 10.01.2018 au 11.01.2018, avec par la suite un relais par Co-Amoxicilline par voie orale jusqu'au 14.01.2018. Les hémocultures prélevées reviennent négatives à cinq jours. L'évolution clinique est favorable. Le 09.01.2018, le patient présente également une mycose orale, et un traitement de Mycostatine est instauré pour une durée totale prévue de dix jours. Durant le séjour, Monsieur Descloux refuse les séances de physiothérapie qui lui sont proposées. Il est également évalué par les ergothérapeutes, et exprime une fatigue importante qui le limite dans ses activités, notamment les courses et la préparation des repas. Il souhaite aller dans un home dans ce contexte. Le patient est également évalué par le service de nutrition de l'hôpital, qui diagnostique une malnutrition protéino-énergétique sévère dans un contexte d'anorexie d'origine oncologique probable. Monsieur Descloux bénéficie d'une adaptation des repas avec introduction de suppléments nutritifs oraux. À la sortie, sa mesure d'indépendance fonctionnelle de Monsieur Descloux est de 81/126 (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7), en comparaison avec une MIF d'entrée de 73/126 (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le maintien à domicile étant devenu précaire avec des soins à domicile une fois par semaine chez un patient refusant d'en avoir plus, Monsieur Descloux entre au foyer St-Joseph de Sorens le 10.01.2018 selon sa volonté. Nous proposons un suivi psychologique ambulatoire chez ce patient qui présente un probable état dépressif réactionnel dans le contexte de la progression de sa maladie oncologique et de la perte d'autonomie l'obligeant à changer de lieu de vie. Le prochain rendez-vous avec le Dr. X, oncologue traitant, est prévu pour le 17.01.2018 à 16 h. • Patient de 92 ans vu en consultation de cardiologie le 15 janvier 2018 et qui mentionne une recrudescence d'épigastralgies d'effort faisant suspecter un angor. Au vu de l'anamnèse d'angine de poitrine relativement typique chez ce patient ayant des antécédents coronariens, une coronarographie de contrôle est prévue d'emblée en électif le 26.01.2018. L'examen invasif du jour démontre une discrète progression de l'atteinte coronarienne avec bon résultat à long terme après PCXI de l'IVA et de l'ACD il y a 5 ans, mais des sténoses serrées de l'ostium de la RCx et de l'ACD moyenne. La valve aortique fonctionne bien. Selon entente préalable avec M. X, il est procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe (1 stent actif de 4ème génération) et de l'artère coronaire droite moyenne (deux stents actifs). Au niveau du traitement médicamenteux, on poursuit l'Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie. Le patient est chargé avec du Plavix (600 mg) puis Plavix 75 mg 1-0-0 pour 1 à 12 mois selon protocole MASTERS DAPT. Le reste du traitement est inchangé. On propose un contrôle de la fonction rénale chez le médecin traitant dans 1 semaine. Après une surveillance rythmique et hémodynamique, le patient rentre à domicile le 27.01.2018. • Patient de 98 ans, hospitalisé en raison de douleurs de la hanche gauche irradiant dans le membre inférieur gauche, d'apparition brutale, avec impotence fonctionnelle, sans notion de traumatisme. À noter un contexte de dermohypodermite du membre inférieur gauche traitée par Co-Amoxicilline du 05.12.17 au 15.12.17 environ, puis du 22.12.17 au 13-14.01.18 avec une évolution clinique satisfaisante le 09.01.2018. Cliniquement, le patient présente un hallux valgus gauche avec une plaie fibrino-purulente en regard de la face médiale de l'articulation métatarso-phalangienne de l'hallux gauche, d'étiologie post-traumatique avec une récidive de dermohypodermite. Devant ce tableau, nous réalisons une hémoculture qui revient négative. La culture du frottis de plaie est en cours. La radiographie et la scintigraphie osseuse du pied gauche ne montrent pas de signe d'ostéite. Au vu de la récidive de la dermohypodermite, nous initions un traitement par Co-Amoxicilline, associé à des soins de plaies locaux, avec globalement une excellente évolution. D'un point de vue pulmonaire, le patient présente une toux grasse, avec expectoration et désaturation à 81 % à l'air ambiant asymptomatique. L'auscultation pulmonaire est marquée par des râles grossiers bilatéralement. Ce tableau clinique s'inscrit dans un contexte de fibrose pulmonaire interstitielle et de BPCO stade I, qui a déjà fait l'objet de plusieurs investigations par le passé. Un essai d'un mois de traitement par Corticoïde est initié comme proposé par nos collègues pneumologues. Nous vous laissons le soin d'évaluer le bénéfice éventuel de ce traitement. Les expectorations reviennent positives pour du Pseudomonas. Au vu de l'absence d'arguments pour une surinfection pulmonaire, nous n'initions pas de traitement.Enfin, nous notons un déconditionnement physique avec une diminution de l'autonomie aux AVQ. Pour rappel, le patient était autonome avant hospitalisation et vit seul. Nous suggérons donc la poursuite de la prise en charge en réhabilitation gériatrique au HFR Tafers, selon le souhait du patient. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patient diabétique de type II non insulino-requérant. • Goutte. • Patient en bonne santé habituelle, suivi par son médecin traitant. • Patient examiné par médecin cadre. • Patient groupé. Hb à 140 g/L le 30.01.2018. Créatinine 168 mmol/L => GFR selon Cockroft-Gault: 24 ml/minute. Trop H0 = 52, Trop H2 = 53. Selon avis cardio: augmentation des troponines probablement dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë. Ultrason cardiaque Prof Puricel: fraction d'éjection du ventricule gauche conservée, dysfonction du ventricule droit, irrégularité de la paroi de l'aorte ascendante sans flapping. Attitude discutée avec le Dr. X, médecin cadre de chirurgie vasculaire • Prise en charge chirurgicale ambulatoire après bilan vasculaire complet pré-opératoire. • Monsieur sera reconvoqué directement par le service de chirurgie vasculaire. • Reconsultation si péjoration ou apparition de douleurs abdominales. • Patient hémodynamiquement stable aux urgences et afébrile. L'examen clinique, l'anamnèse et le laboratoire suspectent toutefois une cholangite débutante. Nous donnons une dose de Rocéphine 2 g iv aux urgences selon avis du chirurgien de garde. Contrôle clinico-biologique à 24h. Angio-IRM prévue pour le 03.01.2018. Nous informons la patiente de la nécessité de consulter en urgence en cas de péjoration de son état général. • Patient hospitalisé à la suite de l'infiltration de l'articulation facettaire L5-S1 bilatérale sous scopie le 09.01.2018; l'injection se déroule sans complications avec 9 cc de Ropivacaïne et 1 mg de Dépomédrol de chaque côté. Suite à l'injection, le patient développe une anesthésie de la partie distale des MI ddc jusqu'à mi-tibia avec une très forte instabilité l'empêchant de se tenir debout. Absence de douleurs, pas de faiblesse, pas de troubles sphinctériens. Il est hospitalisé pour surveillance. Un CT-scanner de la colonne lombaire est sans particularité. L'évolution est favorable avec une régression des symptômes et absence de douleurs. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie, indépendante. Retour à domicile le 11.01.2018. Avant la sortie, le patient présente une légère hyposensibilité de L5-S1 bilatérale, sans troubles musculaires, sans déficit sphinctérien. • Patient hospitalisé en électif pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 22.12.2017. Il s'agit d'un patient, qui est suivi à notre consultation pour une sciatique à G dont le traitement conservateur n'a pas eu d'effet. L'intervention chirurgicale se déroule le 22.12.2017; en peropératoire petite brèche de la dure-mère nécessitant un patch de Tachosil et une immobilisation au lit strict pour 24 h. La plaie est calme durant le séjour. À la sortie, amélioration de la sciatique. Retour à domicile le 23.12.2017. • Patient hospitalisé le 22.12.2017 pour difficultés de la prise alimentaire dans un contexte de bronchiolite à probable RSV. Il nécessite une oxygénothérapie dès le 25.12.2017. Dans la journée du 25.12.2017, Tim présente une augmentation progressive de ses difficultés respiratoires, avec notamment une augmentation du tirage, un battement des ailes du nez, une tachypnée 72/min et une désaturation avec une augmentation des besoins en oxygène FIO2 45%. Une gazométrie capillaire montre une acidose respiratoire avec pH 7.23 et paCO2 11 kPa, bic 34 mmol/l. Une radiographie du thorax couché montre une augmentation de la trame bronchique avec une consolidation apicale sans cardiomégalie et après relecture de la radiologie au moment du transfert, présence d'un pneumothorax antéro-basale droit non sous-tension. Un traitement par CPAP nasal est débuté avec une PEEP à 5 mmH2o Flow 8 l/min, FIO2 max 55%. Une gazométrie de contrôle après l'instauration CPAP ne montre pas d'amélioration avec persistance d'une acidose respiratoire pH 7.2; PaCO2 12.1 kPa, bic 35 mmol/l. Une dose de Solumedrol 8 mg (soit 2 mg/kg/dose) est administrée avec amélioration transitoire de la PaCO2 à 6.7 kPa mais persistance de l'acidose et de l'hypoxie. Un transfert par ambulance par l'équipe médicale de réanimation pédiatrique de l'Inselspital, Bern est organisé. Un cliché du thorax effectué avant le transfert confirme un pneumothorax antérieur droit sans signe de tension. Une gazométrie montre pH 7.27, PaCO2 6.7, bic 23 mmol/l. Un traitement bronchodilatateur par inhalation de Ventolin dose 1.25 mcg par le médecin réanimateur permet de diminuer les besoins en oxygène, il est décidé de stopper la CPAP pour du High flow et de transférer le patient non intubé aux soins intensifs pédiatriques de l'Inselspital Bern. Du point de vue infectieux, un frottis naso-pharyngé n'a pas montré de RSV chez Tim mais s'est avéré positif chez son frère jumeau. Tim a présenté un état fébrile à partir du 25.12 maximal à 38.7 °C avec une élévation de la CRP à 14 mg/dl, leucocytes 17.6 G/l, thrombo 195 G/l, en raison d'une image compatible avec un foyer pulmonaire apical droit une antibiothérapie par amoxicilline 100 mg/Kg/J est débutée, des hémocultures reviennent négatives au 5ème jour. Du point de vue hémodynamique, Tim est resté normotendu durant tout le séjour mais a présenté le 25.12.2017 pendant sa décompensation respiratoire une tachycardie sinusale max 207/min améliorée après l'administration d'un bolus de NaCl 0.9% 20 ml/kg sur une heure. Il n'a pas montré d'autre signe clinique en faveur d'une décompensation cardiaque ni d'une anomalie cardiaque congénitale. Du point de vue alimentaire, Tim a été alimenté par Aptamil HA 1 600 ml/jour = 127 ml/kg/jour du 22-24.12 majoritairement par sonde, avec poids stable sur le séjour. Le jour du transfert Tim a reçu 300 ml par sonde nasogastrique ainsi qu'un bolus de NaCl 0.9% 20 ml/kg/dose. • Patient hospitalisé suite à la consultation de contrôle postopération épaule D le 18.09.2017. Une IRM a été réalisée en raison de la suspicion de lâchage de la ténodèse du long chef du biceps. Le patient rapporte des douleurs très importantes l'empêchant de dormir la nuit et ne répondant pas vraiment aux anti-douleurs prescrits, il se plaint également d'une perte de la mobilité acquise après l'opération. L'IRM ne montre pas de lâchage de la ténodèse du long chef du biceps mais une hernie discale C5-C6. Le patient bénéficie d'une antalgie et d'un traitement de Dexaméthasone en schéma dégressif. En raison de la suspicion d'un tunnel carpien D une ENMG est prévue en janvier 2018. Retour à domicile le 18.12.2017.Le patient bénéficie d'une antalgie et d'un traitement de Dexaméthasone en schéma dégressif. En raison de la suspicion d'un tunnel carpien, une ENMG est prévue en janvier 2018. Retour à domicile le 18.12.2017. Patient ne souhaite pas d'investigations supplémentaires. Contrôle scannographique à 6 mois à réévaluer. Patient parti sans consultation. Patient parti sans consultation infirmière et médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient parti sans consultation médicale. Patient patient parti sans consultation médicale. Patient porteur de E.Coli ESBL multirésistant. Patient pris en charge en réadaptation gériatrique le 19.12.2017 après un séjour en gériatrie aiguë du 03.12.2017 au 19.12.2017 en raison d'une fracture du cotyle droit avec traitement conservateur. Pour la suite de la prise en charge de la fracture du cotyle, un rendez-vous à la policlinique d'orthopédie de l'HFR Riaz est prévu le 15.01.2018 à 14h00. En attendant, le patient ne peut se mobiliser que pour faire les transferts et doit rester en décharge totale. Pendant ce séjour, Monsieur Y a bénéficié d'une physiothérapie afin d'améliorer ses transferts lit-fauteuil en décharge totale du membre inférieur droit. En fin de séjour, la mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 44/126 par rapport à 42/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le travail sur les transferts a été également travaillé en ergothérapie et, à la sortie, le patient arrive à s'asseoir au bord du lit sans aide et à se lever à l'aide du Turner, en décharge du membre inférieur droit. Le 29.12.2017, le patient quitte notre service de réadaptation gériatrique pour rejoindre le Foyer Notre-Dame de Siviriez. Patient qui sera convoqué en ambulatoire en consultation d'orthopédie pour contrôle radio-clinique. Patient rappellera dans 48 heures pour les résultats de l'uricult. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient reparti sans consultation médicale. Patient repartie sans consultation médicale. Patient schizophrène et bipolaire, sous traitement par Stilnox, Efexor, Lithiofor. Entorse latérale de la cheville gauche. Coupure profonde de la face ulnaire de la 3ème phalange du 2ème doigt gauche avec débridement, rinçage, exploration et fermeture directe. Patient schizophrène et bipolaire, sous traitement par Stilnox, Efexor, Lithiofor. Entorse latérale de la cheville gauche. Coupure profonde face ulnaire P3 D2 main gauche avec débridement, rinçage, exploration et fermeture directe. Patient sera convoqué si décision de fermeture de l'auricule. Patient sous Aspirine pour suspicion d'ictus. Patient sous esidrex 25mg. Attitude Stop Esidrex Suivi biologique. Patient vu au tri par Dr. X qui lui administre de la pommade Floxal. Le patient sera vu à la consultation ophtalmique le lendemain. Patient vu avec le Dr. X, orthopédiste. Radiographie de la main gauche : décrite ci-dessous. Pansement. Immobilisation dans une attelle Edimbourg. Tétanos à jour selon le patient. Transfère du patient en urgences pour suite de prise en charge à l'HFR Fribourg. Patient vu avec le Dr. X, de médecine interne. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Antalgie. Contrôle auprès du médecin traitant à 1 semaine. Arrêt de travail pour la journée. Patient vu avec le Prof. X qui propose d'effectuer un CT-scan (08.01.2018) de contrôle, suivi d'une consultation afin de décider de la poursuite du traitement conservateur ou d'un traitement chirurgical. Patient 25 ans, sous PAFA, hospitalisé en médecine interne depuis le 19.12.2017 pour une malnutrition protéino-énergétique grave avec BMI à 13Kg/m2 probablement sur anorexie avec comportement purgatif. Un bilan extensif a été fait pour exclure une cause somatique. Des troubles factices ont été évoqués (syndrome de Münchhausen) ; à noter que lors de la surveillance aux SIC, des débris alimentaires ont été retrouvés dans la chaise percée, parlant en faveur de vomissements post-prandiaux auto-provoqués. La présence d'une alcalose métabolique renforce cette hypothèse. Le patient est admis aux soins intensifs le 10.01.2018 en raison d'une dégradation clinique (apathie, hypotension artérielle, bradycardie à 36 bpm, hypothermie à 33.9°C), et une aggravation de l'insuffisance rénale. Vu la bonne évolution après réhydratation iv, cet état est attribué essentiellement à une déshydratation, potentiellement provoquée par des vomissements. L'insuffisance rénale est en nette régression après hydratation iv, parlant en faveur d'une origine pré-rénale. Une nécrose tubulaire aiguë sur hypotension a été évoquée, la recherche des enzymes est en cours. L'hydratation iv est poursuivie pour le moment. Patient 59 ans admis au SIB pour un choc hémorragique sur saignement digestif haut le 16.01.2018. Il consulte initialement aux urgences suite à des douleurs épigastriques et plusieurs épisodes d'hématémèses et méléna depuis l'après-midi du 16.01.18. Aux urgences, le patient présente une hémoglobine à 58 g/l. Il est transfusé 2 culots d'érythrocytes et il est admis aux soins intensifs pour suite de prise en charge. Une OGD montre des varices œsophagiennes de stade I à II sans saignement actif, mais avec des signes rouges. Le diagnostic différentiel est ouvert avec un syndrome de Mallory-Weiss. Un traitement par Pantozol et Sandostatin est introduit en continu jusqu'au 18.01.2018. Il reste hémodynamiquement stable sans extériorisation tout au long du séjour. Sur avis du Dr. X, les liquides per os sont repris dès le 18.01.2017. Une réalimentation progressive est à reprendre dès le 19.01.2018. Une OGD de contrôle est prévue le 21.09.2018. Une prophylaxie secondaire par bêta-bloquant reste à introduire. Un US abdominal met en évidence un foie d'aspect cirrhotique. L'origine la plus probable est éthylique, nous vous laissons le soin de compléter le bilan étiologique. Il présente une insuffisance respiratoire sur une pneumonie bi-basale mise en évidence sur un CT-scan. L'évolution est favorable sous VNI et antibiothérapie. Les frottis grippe sont négatifs. Le patient se plaint de douleurs à la cheville droite sans se rappeler de traumatisme. Une radiographie de la cheville montre une fracture de Weber type A. Sur avis des orthopédistes, un plâtre fendu est effectué le 18.01.18. Un scanner révèle une fracture multifragmentaire du péroné distal ainsi qu'une fracture de la première phalange du premier orteil et une avulsion de la base du deuxième métatarsien. La suite de la prise en charge orthopédique sera à discuter avec le Dr. X. Au vu d'une évolution favorable, il est transféré dans le service de médecine le 18.01.2018. Patient 64 ans, connu pour une hypertension artérielle traitée et un ancien tabagisme, admis aux soins intensifs pour une NSTEMI sur occlusion de l'artère coronaire droite. Le patient a consulté aux urgences suite à des douleurs thoraciques typiques depuis le soir du 28.01.2018. Le diagnostic NSTEMI est retenu et le patient est chargé en Aspirine, Liquemine et Efient. Une coronarographie le 29.01.2017 montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une FEVG conservée. Une sténose de l'artère coronaire droite est dilatée et un stent actif est mis en place. Une lésion de l'IVA est à traiter dans un deuxième temps. Dans ce contexte, un rendez-vous est déjà organisé pour le 19.02.2018 (voir documents du cardiologue). À l'admission au SIC après coronarographie, le patient est stable au niveau hémodynamique. La surveillance post-intervention se déroule sans complication et le point de ponction est calme. Un traitement est introduit par Aspirine à vie et Efient à poursuivre pendant 6 mois. Nous introduisons également le Lisinopril, Metoprolol et Atorvastatine. Un rendez-vous chez le médecin traitant sera à prévoir dans 1 semaine pour adapter le traitement introduit si nécessaire. Le patient rentre à domicile le 30.01.2018. Patient 72 ans, admis aux soins intensifs le 04.01.2018 en raison d'une BPCO décompensée dans un contexte de pneumonie communautaire d'évolution défavorable sous antibiothérapie empirique. Il consulte initialement aux urgences en raison d'une dyspnée de stade NYHA IV en progression sur 3 jours, associée à une orthopnée, des expectorations verdâtres et une somnolence inhabituelle. À noter qu'un traitement par Augmentin a été initié du 22 au 29.12.2017 par le médecin traitant pour une suspicion de foyer pulmonaire, avec une évolution transitoirement favorable. Aux urgences, la gazométrie est compatible avec une acidose respiratoire sévère avec compensation chronique partielle (PaCO2 à 13Kpa), sans carbonarcose clinique franche. Le patient nous est alors adressé pour VNI continue et suite de prise en charge. L'origine de la décompensation respiratoire actuelle est attribuée en premier lieu à une pneumonie communautaire d'évolution défavorable sous Augmentin (suspicion de foyer pulmonaire basal droit à la radiographie du thorax), avec décompensation cardiaque gauche modérée secondaire. Le bilan infectiologique s'avère non-contributif (frottis de grippe négatif, hémocultures et expectoration négatives, antigènes urinaires pour Légionelle et Pneumocoque négatifs). Un traitement empirique par Cefepime est introduit dès le 04.01.2017, que nous vous proposons de poursuivre pour 7 jours au total. En raison de la composante de décompensation cardiaque gauche modérée, une ETT est réalisée en cours de séjour et montre une FEVG conservée associée à une HTP modérée (PAPS 51 mmHg) à mettre en relation avec la BPCO. L'évolution clinique et gazométrique est progressivement favorable sous VNI et antibiotiques. Sur des pneumologues (Dr. X), une VNI nocturne est introduite en cours de séjour, qui est bien tolérée et est à poursuivre à l'étage et ensuite à domicile. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 08.01.2017. Patient 72 ans connu pour une BPCO qui a été traité par son médecin traitant pour une suspicion de foyer dans un contexte d'exacerbation par Co-amoxicilline pendant 7 jours du 22 au 29.12.17 avec bonne évolution clinique. Puis, baisse de l'état général dès l'arrêt de l'ABT avec depuis 3 jours majoration de la dyspnée NYHA IV, orthopnée, crachats verdâtres, somnolence et confusion. Pas d'EF mesuré par le patient. Le patient se présente à Givimed le 04.01.2017 pour détresse respiratoire. Patient trouvé cyanosé (Sat 60%), tachypnéique, EF à 38.4, angoissé et confus. Aux urgences, la gazométrie montre une acidose avec hypercapnie et hypoxémie, le patient est mis au bénéfice de la VNI, des HCs, des antigènes urinaires légionelle/pneumocoque et un frottis de grippe sont demandés (HCs, Ag urinaires et frottis de grippe négatifs). Le patient est admis au SIC pour la suite de la prise en charge. La Cefepime est introduit le 04.01.2017. La Prednisone a été ajoutée au traitement pour 3 jours. Un ETT montre une FEVG conservée, dilatation du cœur droit et HTP modérée (PAPS 51 mmHg). L'évolution clinique et gazométrique est progressivement favorable. Après avis des pneumologues (Dr. X), le patient doit poursuivre la VNI nocturne à l'étage. Le patient est transféré en Frailty care le 08.01.2017. Lors de son séjour chez nous, Mr. Y évolue favorablement sur le plan respiratoire. Il bénéficie d'une physio-respiratoire et mobilisatrice. Nous poursuivons également la VNI avec des séances journalières et également nocturnes avec une correction de son hypercapnie à la fin de son séjour avec une pCO2 à 5.3 kPa et persistance d'une hypoxémie à 9.3 kPa. Nous poursuivons dans un premier temps le Diamox, qui a été arrêté dès la correction des bicarbonates. Lors de son séjour, une polygraphie et capnographie transcutanée sous VNI le 09.01.2018 a été effectuée et les résultats sont encore en cours. Nous vous prions de pister les résultats. La VNI est à continuer également lors de son séjour à Billens avec un éventuel essai de sevrage avant un retour à domicile. Nous vous proposons également d'effectuer les fonctions pulmonaires et d'adapter son traitement de fond pour sa BPCO si besoin. M. Stanco bénéficie également d'une prise en charge nutritionniste avec un diagnostic de malnutrition protéino-énergétique modérée. Ce suivi est à poursuivre également à Billens. Au vu d'une évolution favorable, M. Stanco est transféré à Billens pour une réadaptation respiratoire le 15.01.2017. • Patient 88 ans admis aux soins intensifs le 14.01.2018 en raison d'une décompensation cardiaque secondaire à une insuffisance chronotrope (FA bradycarde), avec insuffisance rénale aiguë et hyperkaliémie associées. Le 14.01.2018, il est retrouvé au sol à domicile, confus. Il est amené aux urgences du CHUV pour suspicion d'un AVC. Le bilan exclut un AVC mais révèle une fibrillation auriculaire bradycarde à 40/min, et une insuffisance rénale aiguë, motivant son transfert à Fribourg pour suite de prise en charge. La bradycardie survient à la faveur de la FA connue objectivée par le CMS et le médecin traitant, sans résolution significative après correction de l'hyperkaliémie. Un pacemaker MICRA a été posé le 16.01.18, sans complication. Un contrôle par échocardiographie post-pose de pacemaker montre un épanchement péri Cardiaque minime localisé en regard de l'OD. Le contrôle du 17.01.18 révèle une très discrète progression de l'épanchement, sans répercussion hémodynamique. La décompensation cardiaque évolue favorablement post-pose de pacemaker et sous diurétiques. L'étiologie de l'insuffisance rénale aiguë est pré-rénale sur un bas débit dans le contexte de la bradycardie. La kaliémie est corrigée par insuline-glucose et résonium, avec mise en suspens de la spironolactone et de l'irbesartan. La fonction rénale s'améliore après amélioration de la fréquence cardiaque. En raison d'une probable broncho-aspiration initiale, une antibiothérapie par Augmentin est instaurée pour une durée prévue de 5 jours. Le 16.1.18, il présente un épisode isolé de rectorragie, avec chute de l'hémoglobine de 20 g/l, nécessitant une transfusion. En l'absence de récidive, avec une hémoglobine stable par la suite, nous n'effectuons pas d'endoscopie en urgence. Une colonoscopie est à discuter en cas de récidive. Au vu d'une évolution favorable, il est transféré en Médecine à Riaz le 17.01.18. • Patiente admise aux soins intensifs pour un ARDS dans le contexte de pneumonie d'aspiration secondaire à des crises d'épilepsie. Patiente de 59 ans, hospitalisée en médecine pour des crises d'épilepsies de type absence récidivantes suite à un AVC ischémique (DD Stroke mimic), dans le contexte d'une amyloïdose familiale, avec atteinte neurologique, cardiaque, hépatique, ophtalmique, sous immunosuppresseur suite à une transplantation hépatique. Elle présente des récidives de crise d'épilepsie depuis 24 h dans le contexte d'une probable malabsorption de son Keppra. Elle présente une hypoxémie depuis plusieurs jours dans le contexte d'une pneumonie et d'atélectasies, en aggravation après les crises d'épilepsies. Le 11.01, elle présente suite à une nouvelle crise une désaturation massive à 60 % sans amélioration au ventimasque ni sous VNI, motivant son intubation. À son arrivée aux soins intensifs, elle présente une hypoxémie sévère avec un rapport PaO2/FiO2 à 53. La radiographie du thorax met en évidence des infiltrats bilatéraux compatibles avec un ARDS. Une ventilation protectrice est initiée, avec adjonction transitoire de NO inhalé. Une antibiothérapie empirique par Méropénème est débutée. Au vu de l'immunosuppression, un traitement par Bactrim est ajouté pour une possible pneumonie à Pneumocystis. Le traitement par Keppra est optimisé par voie veineuse. L'évolution est marquée par l'apparition d'une insuffisance rénale anurique et d'une mydriase bilatérale aréactive motivant la réalisation d'un scanner cérébral le 12.01 qui ne montre pas de nouvelles lésions par rapport au comparatif. Devant la persistance du tableau de choc, de l'anurie et en tenant compte du statut clinique global et des antécédents de la patiente et après discussion avec sa famille (mari et ses 2 filles), nous décidons de poursuivre le traitement par des soins de confort. La patiente décède le 12.01.2018 à 20 h 36, entourée par sa famille. • Patiente admise en salle d'accouchement pour une provocation par Misodel pour hypertension artérielle gravidique le 21.01.2018. Le travail est dystocique et la dilatation non harmonieuse. Au vu d'un échec de provocation, l'indication à une césarienne est posée et la patiente donne naissance par césarienne à un garçon de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif, la patiente déclinant toute offre pour le moment. Une tachycardie sinusale entre 100-105 est mise en évidence sur les premiers jours de son hospitalisation malgré l'absence de signe clinique de déshydratation, sans signe de décompensation cardiaque, sans douleurs thoraciques. À noter une légère anémie à 111 g/l. Un ECG est réalisé et montre une tachycardie sinusale et ne met pas en évidence d'autre pathologie. Par la suite, la fréquence cardiaque redevient normocarde sans autre intervention de notre part. La patiente rediscutera avec son généraliste concernant un possible avis cardiologique en ambulatoire au vu de la mise en évidence également d'un léger souffle systolique au foyer aortique et pulmonaire sans irradiation dans les carotides. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente admise en urgence à l'HFR Tafers en raison de la persistance de douleurs hanche D à la suite d'une chute survenue le 23.11.2017. Les investigations montrent la fracture susmentionnée et la patiente est transférée à Fribourg pour prise en charge opératoire. L'intervention chirurgicale se déroule le 29.11.2017, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. La plaie opératoire reste propre et calme. Une carence en Vit. D est substituée. Retour à domicile le 07.12.2017. • Patiente admise pour l'intervention susmentionnée. L'intervention chirurgicale se déroule le 26.01.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par un syndrome d'intolérance aux opiacés nécessitant l'administration de Naloxone et une surveillance clinique jusqu'au soir du 26.01.2018. La patiente est gardée à l'Hôpital jusqu'au lendemain au vu des nausées. La plaie évolue favorablement. Retour à domicile le 27.01.2018. • Patiente adressée aux urgences pédiatriques, à l'HFR site de Fribourg. • Patiente adressée aux urgences pédiatriques à l'HFR site de Fribourg. • Patiente adressée aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg. • Patiente adressée aux urgences pédiatriques de l'HFR site de Fribourg. • Patiente adressée en gynécologie. • Patiente adressée en gynécologie. • Patiente adressée par les urgences de l'HFR Meyriez à la suite d'une chute dans sa salle de bain le 22.12.2017. Pas de TC ni PC. Les investigations montrent la fracture susmentionnée avec un syndrome du tunnel carpien aigu post-traumatique à D. L'indication opératoire est posée. L'intervention se déroule le 23.12.2017, sans complications. L'évolution est favorable malgré une tuméfaction importante de l'avant-bras D. Un des deux pansements Comfeel n'était plus étanche au 1er contrôle, il a été changé par des compresses. Mobilisation avec la physiothérapie. Rx postop satisfaisantes.Retour à domicile le 24.12.2017 après 24 h de surveillance de syndrome des loges. Mme. Y adressée par les urgences de l'HFR Tafers à la suite d'une plaie par couteau à viande en regard de Dig IV G le 23.12.2017. Les investigations montrent le diagnostic susmentionné et l'indication à une prise au bloc opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 24.12.2017, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Antibiothérapie prophylactique par Dalacin. À la sortie, hypoesthésie face radiale de la pulpe de Dig IV. Retour à domicile le 25.12.2017. Mme. Y âgée de 59 ans, connue pour les antécédents sus-mentionnés, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz en raison de vertiges rotatoires depuis le vendredi 22.12.2017, apparus progressivement vers 16h, associés à des nausées sans vomissement. La situation s'est améliorée spontanément durant le week-end puis les vertiges se sont à nouveau manifestés le 25.12.2017 au soir, se majorant le 26.12.2017, obligeant la patiente à consulter. Aucun facteur déclenchant n'est retrouvé. Madame De Deus se plaint aussi d'acouphènes depuis un mois à droite. Il n'y a ni hypoacousie, ni céphalée ou déficit sensitivomoteur associé. Aucun épisode similaire n'est retrouvé. Aux urgences, l'examen clinique montre un nystagmus gauche aux lunettes de Frenzel, un Head impulse positif à droite et un Unterberger dévié à droite. Le laboratoire montre une thrombopénie connue à 64 G/l et une créatinine à 54 umol/l. Un CT cérébral réalisé est sans particularité. Une névrite vestibulaire étant suspectée, la patiente est admise dans le service de médecine interne. Lors de son séjour, Mme. De Deus ne se plaint plus ni de vertiges, ni de vomissement. L'examen neurologique est sans particularité et on ne retrouve pas de nystagmus. Une consultation ambulatoire dans le service d'ORL de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal est organisée pour le 29.12.2017 à 14h00. Concernant la thrombopénie connue d'origine indéterminée, nous proposons de faire une nouvelle recherche de H. pylori, pouvant être une cause possible de thrombopénie chez une patiente portugaise ayant déjà fait une infection à H. pylori. Le 28.12.2017, Mme. De Deus peut retourner à domicile. Mme. Y âgée de 81 ans, institutionnalisée au foyer St-Joseph à Morlon, connue pour un carcinome mammaire gauche du quadrant inféro-externe de type invasif avec mastectomie gauche et prélèvement ganglionnaire gauche le 19.04.2017, qui nous est adressée par son médecin traitant pour une suspicion de pneumonie. Plus précisément, la patiente présente une toux avec des expectorations jaunâtres depuis le 16.12.2017, une dyspnée nouvelle avec une saturation à 80% à l'air ambiant, associée à un état fébrile à 38 °C. Aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, avec une saturation à 90% sous 2 L d'O2, subfébrile à 37.8 °C. À l'auscultation pulmonaire, nous notons des crépitants bibasaux plus à gauche qu'à droite, avec des sibilances expiratoires diffuses. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 15.9 G/l et une CRP à 164 mg/l. La radiographie de thorax ne montre pas de foyer pulmonaire franc, mais une condensation rétrocardiaque. Nous prélevons des antigènes urinaires pour légionelle et pneumocoque ainsi que deux paires d'hémocultures. Devant ce tableau clinique, nous concluons à une pneumonie et instaurons un traitement par Rocéphine 2 g iv et Klacid 500 mg 2x/j. Les antigènes urinaires reviennent négatifs et nous poursuivons une monothérapie par Rocéphine 2 g iv du 18.12 au 21.12.2017. Au vu de la bonne évolution clinique, nous poursuivons l'antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 22.12 au 28.12.2017. À son arrivée, la patiente présente des troubles de l'état de conscience avec une somnolence importante et un Glasgow à 10/15 (2+4+4), probablement sur surdosage médicamenteux en lien avec l'état infectieux, raison pour laquelle nous mettons transitoirement en suspens le traitement psychotrope. Sur le plan oncologique, la patiente est suivie par Dr. X à l'HFR Riaz. Elle a reçu la dernière dose d'Herceptin le 14.12.2017 et le prochain rendez-vous en oncologie est agendé pour le 04.01.2018. Sous antibiothérapie, la patiente présente une évolution clinique et biologique favorable que nous relayons par une antibiothérapie orale de Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour du 22.12 au 28.12.2017. Nous sevrons progressivement l'oxygène et Mme. Gachet peut retourner au foyer St-Joseph de Morlon le 24.12.2017. Mme. Y âgée de 86 ans, sous anticoagulation par Sintrom pour la vie, en raison d'un syndrome antiphospholipide, qui est adressée par son médecin traitant pour investigations d'un traumatisme de la cheville et d'un hématome de la cuisse gauche suite à une chute il y a 2 jours. En effet, Mme. Blanchard a chuté le 11.12.2017 alors que l'infirmière du CMS était présente. Elle s'est levée du canapé puis s'est sentie mal et, en arrivant dans la cuisine, elle a un voile noir, perd connaissance et se tape la tête contre le mur. Elle se souvient être restée au sol puis a été aidée par des personnes pour se relever. Elle ne rapporte pas de céphalées, pas de vomissements ni de vertiges. Elle a de la peine à se mobiliser en raison de douleurs à la cheville gauche et de la peur de retomber. Elle relate notamment un essoufflement au moindre effort depuis ces deux derniers jours. Elle vit avec son fils qui s'occupe d'elle. Elle se déplace habituellement à l'aide d'un tintébin. Mme. Blanchard est sous antibiothérapie de Ciprofloxacine pour un ulcère au niveau de la jambe gauche, prescrit par son médecin Dr. X. Au statut, patiente hémodynamiquement stable, afébrile, avec une saturation normale. Cardiovasculaire : B1B2 bien frappés, rythme régulier, pouls périphériques palpables. Pulmonaire : bruits respiratoires symétriques sans bruit surajouté, pas de cyanose. Digestif : bruits normaux en tonalité et en fréquence, abdomen souple, pas de douleur à la palpation, loges rénales non douloureuses, toucher rectal avec selles, sans sang ni mélénas. Neurologique : patiente orientée aux 3 modes, pupilles isochores isoréactives, nerf crânien sans particularité, force M5 aux 4 membres, épreuve des bras tendus sans particularité, marche difficile à cause des douleurs. Pas d'hématome ni de tuméfaction de la cheville gauche, pas de douleur à la palpation du tibia et péroné, pas de douleur à la palpation des tarses ou de la base des métatarses, à la palpation de la face antérieure de la malléole interne pas de laxité antéro-postérieure ou en valgus-varus, douleur en éversion à la malléole interne. La radiographie du bassin et de la hanche gauche permet d'exclure une fracture aussi bien au niveau du bassin que de la hanche gauche, mais révèle une arthrose de la symphyse pubienne et une discopathie L4-L5. La radiographie de la cheville gauche a montré une ostéopénie sans fracture, de multiples calcifications dans les parties molles de la jambe, témoignant d'une probable insuffisance veineuse. Une plaie se développant au niveau de la malléole interne de la jambe gauche sur insuffisance veineuse, une prise en charge stomathérapeutique est indiquée. Suite à une chute de l'Hb, nous demandons un hémofecatest qui revient positif, nous faisant suspecter une hémorragie digestive. Le 22.12.2017, elle reçoit un culot érythrocytaire puis une gastroscopie en urgence est réalisée par le Dr. X, qui est sans particularité, ni évidence d'une hémorragie digestive haute. Par contre, le Dr. X évoque un possible saignement de diverticule, visualisé durant la colonoscopie du 13.03.2015. Après stabilisation hémodynamique et de l'Hb, ainsi que l'arrêt des hémorragies digestives, nous réintroduisons le Sintrom le 25.12.2017. Concernant la syncope, nous pouvons exclure une origine cardiaque à l'ECG mais une hypotension orthostatique est mise en évidence, confirmée par un test de Schellong. Dans le contexte d'une probable gastro-entérite avec douleurs abdominales diffuses, des diarrhées depuis 3 jours et un état sous-fébrile, Mme. Y bénéficie d'une hydratation et nous demandons des cultures à la recherche d'adénovirus, de rotavirus et de norovirus, qui sont négatives. Concernant la perte pondérale progressive de 10% du poids, un bilan nutritionnel est demandé. Le 29.11.2017, Mme. Y est admise dans le service de gériatrie de l'HFR Riaz pour réhabilitation avec le retour à domicile. Mme. Y, âgée de 93 ans, connue pour HTA, est amenée en ambulance aux urgences pour dyspnée en péjoration depuis le 19.12.2017, avec toux sèche, sans frisson. Mme. Y ne peut nous dire si elle a été fébrile. Le 21.12.2017, vous lui avez prescrit de la Co-Amoxicilline pour une pneumonie suspectée. Pas de trouble mictionnel ou de trouble digestif, pas de douleur rétrosternale ou de palpitations, pas d'autres plaintes. Au status, patiente en état général diminué. État subfébrile à 37.5°C, désaturation à 78% à l'air ambiant. À l'auscultation pulmonaire, mise en évidence d'un tirage sus-sternal et d'une hypoventilation basale gauche avec des crépitants sur tout le champ pulmonaire gauche. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec une CRP à 343 mg/l, sans leucocytose, associé à une légère anémie avec hémoglobine à 103 g/l et une insuffisance rénale à 112 micromol/l. La gazométrie montre une hypoxémie PaO2 à 6.8. La radiographie du thorax met en évidence un foyer pulmonaire bilatéral prédominant à gauche. Nous retenons le diagnostic de pneumonie bilatérale et Mme. Y est admise dans le service de médecine interne, en lit monitoré, et bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine. Nous instaurons un traitement par VNI qui est, par la suite, refusé par la patiente, de même que l'oxygénothérapie. En accord avec sa famille et sur la volonté éclairée de Mme. Y, nous optons pour des soins de confort. L'état de conscience diminue progressivement et Mme. Y décède le 25.12.2017 à 05h25. Mme. Y, âgée de 93 ans qui, en raison d'hématémèse, est amenée aux urgences depuis le foyer de Vuisternens-dt-Romont où elle est institutionnalisée. Aux urgences, la patiente présente des nausées avec une hématémèse en petite quantité, qui s'améliore après la prise de Primperan 10 mg iv, d'Ondansetron 4 mg iv ainsi que de Nexium 40 mg iv. Au status effectué aux urgences, patiente en état général conservé. Le status cardio-pulmonaire est sans particularité. À la palpation de l'abdomen, sensibilité diffuse, mais abdomen globalement souple et sans signe de péritonite. Sur le plan neurologique, patiente désorientée aux 3 modes mais qui reste hémodynamiquement stable tout au long de la prise en charge aux urgences. Il est décidé d'hospitaliser Mme. Y jusqu'à stabilisation clinico-biologique. Un traitement par Nexium iv 2 x 40 mg est instauré. Au bilan biologique, on retrouve dans un premier temps une Hb à 150 g/l puis à 126 g/l. Après entretien téléphonique avec vous-même et la curatrice de Mme. Y, nous optons pour une attitude conservatrice avec des limitations thérapeutiques. Le 24.12.2017, Mme. Y, en bon état général, peut retourner au foyer St-Marguerite à Vuisternens-dt-Romont. Patiente asymptomatique Spot urinaire positif 25.01.2018 Bilan gestose les 25 et 26.01.2018 Patiente connue pour un syndrome métabolique, hospitalisée pour une pneumonie. La patiente présente une baisse de l'état général depuis mi-décembre dans un contexte de diarrhées. À noter que la patiente a consulté les urgences de Payerne le 17.12.2017 pour un fécalome, avec par la suite l'apparition des diarrhées. Le bilan radiologique met en avant une pneumonie lobaire moyenne droite que nous traitons par Rocéphine jusqu'au 02.01.2018. La situation évolue rapidement favorablement chez une patiente sans plainte respiratoire. La patiente présente un arrêt de transit depuis le 27.12.2017 avec des douleurs abdominales. Un CT-scan abdominal montre un iléus grêle sur bride. En conséquence, la patiente est mise à jeun avec mise en place d'une sonde nasogastrique. La situation évoluant favorablement, Mme. Y bénéficie le 29.12.2017 d'une administration de Gastrografin par la sonde naso-gastrique. La reprise du transit se fait le 30.12.2017, ce qui permet de rétablir une alimentation orale progressive qui est bien tolérée. En raison d'une hypoglycémie à 2.8 mmol/l, le Glimepirid est mis en suspens. Au vu des profils glycamiques bons, nous ne réintroduisons pas ce traitement. Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de le reprendre si nécessaire. À l'entrée, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë probablement pré-rénale dans un contexte d'une insuffisance rénale chronique. Les médicaments néphrotoxiques sont stoppés et une hydratation intraveineuse est instaurée avec bonne évolution. Nous proposons à la patiente de prendre rendez-vous à votre consultation pour un suivi de son diabète et de sa fonction rénale. Patiente connue pour un asthme, obésité et un trouble dépressif se présente aux urgences avec dyspnée aigüe. Nous excluons une cause infectieuse et débutons un traitement par aérosols et corticoïdes menant à une amélioration rapide de la symptomatique. Le traitement par prednisone est à poursuivre jusqu'au 31.1.18. De même, nous prescrivons du ventolin en réserve en cas de dyspnée. Un rendez-vous chez le Dr. X est avancé au 6.2.18 pour un contrôle et réévaluation de la thérapie. Mme. Y rentre à domicile le 30.1.18 avec un peakflow de sortie à 350L/min (74% du prédit). Patiente connue pour un cholangiocarcinome metastatique qui consulte les urgences pour des nausées et une lipothymie orthostatique depuis l'après-midi du 16.12.2017, associées à une anorexie. Notons que la patiente a eu sa dernière séance de chimiothérapie le 12.12.2017 et depuis, elle rapporte un malaise généralisé. Mme. Y vit seule à domicile. Au status, la patiente est stable hémodynamiquement. L'auscultation cardiopulmonaire est dans la norme. Sur le plan abdominal, les bruits hydro-aériques sont normaux en fréquence et en tonalité. Une masse de consistance ferme est palpable au niveau de l'hypochondre droit. Les loges rénales sont sans particularité. À l'examen neurologique, patiente collaborante et orientée dans les 3 modes avec des pupilles isocores et isoréactives. Les nerfs crâniens sont grossièrement dans la norme. Force globalement symétrique, épreuves cérébelleuses réussies. Nausées et lipothymie à la mobilisation. Pas de nystagmus.L'ECG est dans la norme. Les résultats de laboratoire révèlent une cholestase (connue), une CRP à 104 mg/l et une hyponatrémie à 131 mmol/l. Mme. Esseiva bénéficie d'un traitement IV de Primpéran, avec légère amélioration. Suspectant une étiologie iatrogène dans un contexte de chimiothérapie, la patiente est admise dans le service de médecine interne. Malgré l'introduction de l'Ondansetron, les nausées et la lipothymie persistent. La séance de chimiothérapie prévue le 19.12.2017 est annulée. Un contrôle hématologique montre une thrombocytopénie à 44 G/L et, après avoir pris avis auprès de la Dr. X, la chimiothérapie est stoppée. Au vu de l'hyponatrémie, un spot urinaire effectué met en évidence une natriurèse élevée à 79 mmol/l avec une osmolalité urinaire à 657 mOsm/kg. Vu le contexte oncologique, le diagnostic d'un probable SIADH est retenu. Nous optons pour une restriction hydrique à 800 ml/jour, avec amélioration de la natrémie. Mme. Esseiva présente une thymie triste avec une colère contre la maladie. Elle refuse les traitements qui, selon elle, sont sources de tous ses symptômes. Nous proposons à la patiente une prise en charge par les soins palliatifs à la Villa St-François, ce qu'elle accepte. Le 26.12.2017, elle retourne à domicile et sera admise à la Villa St-François le 27.12.2017. Patiente connue pour un OH chronique qui est actuellement hospitalisée à Marsens pour sevrage, qui est retrouvée dans sa chambre ce jour somnolente. Aux urgences, elle a présenté des vomissements avec un GSC à 6, raison pour laquelle elle est intubée et transférée aux SI. Au labo, pas de signes d'intoxication de substances. Un CT cérébral est demandé. Patiente connue pour un OH chronique qui est actuellement hospitalisée à Marsens pour sevrage, qui est retrouvée dans sa chambre ce jour somnolente. Aux urgences, elle a présenté des vomissements avec un GSC à 6, raison pour laquelle elle est intubée et transférée aux SI. Au labo, pas de signes d'intoxication de substances. Un CT cérébral est demandé. Patiente connue pour une épilepsie généralisée traitée, mal contrôlée, qui présente ce jour une crise tonico-clonique sans facteur déclenchant. Après avis téléphonique de son neurologue traitant, le Dr. X, nous dosons ses taux sanguins d'antiépileptiques et maintenons son traitement actuel. Le Dr. X reverra la patiente afin d'adapter son traitement si nécessaire. Patiente de 16 ans opérée par laparoscopie le 03.01.208 pour prélèvement de tissu ovarien pour préservation de fertilité dans le cadre d'une leucémie myéloïde aiguë. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles. La patiente peut regagner son domicile le jour même. Patiente de 19 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 25.01.2018 pour mise en travail spontanée. Après une mise en travail spontanée et une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille pesant 2600 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif, la patiente déclinant toute autre forme de contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 19 ans, 2G devenue 2P à 39 4/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Ebrahimi a été admise en salle d'accouchement le 11.01.2018 pour rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance à un garçon de 3190 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire à l'allaitement est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par DIU en cuivre, la patiente utilisera le préservatif en attendant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 20 ans, primigeste à 16 3/7 semaines d'aménorrhée, qui consulte pour une perte de poids de 7 kg (41 kg) depuis le début de sa grossesse avec impossibilité à s'alimenter. Vomit environ 4 à 5 fois par jour. La patiente explique vomir dès qu'elle mange, s'hydrate difficilement. Asthénie importante. Pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhée, pas de pertes de liquide ou de sang. À son entrée, l'examen rapporte une stabilité hémodynamique, une pâleur cutanée avec un pli cutané. La patiente n'a pas de plaintes algiques abdominales. Le stix urinaire est positif aux cétones (1 croix). Le laboratoire de contrôle est rassurant. L'US obstétrical retrouve une bonne vitalité fœtale. Dans ce contexte de perte de poids importante avec impossibilité de s'alimenter et difficulté à s'hydrater, nous hospitalisons la patiente pour une hydratation intraveineuse, traitement symptomatique et une réalimentation progressive. L'évolution est rassurante, les vomissements et nausées s'estompent au cours du séjour. La patiente reprend du poids (44 kg le 11.01.2018), elle s'alimente. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 11.01.2018 et sera revue en consultation le 18.01.2018 par le Dr. X. Patiente de 20 ans, 1G0P, à 40 semaines d'aménorrhée d'une grossesse découverte tardivement à 38 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée le 03.01.2018. Le travail est soutenu par Syntocinon. La patiente accouche par voie basse spontanée d'un nouveau né de 3360 g de bonne adaptation néonatale. Après exclusion d'un saignement d'origine utérine, la révision de la filière génitale objectivait une déchirure vaginale profonde suturée sous anesthésie péridurale. Pertes totales estimées à 750 cc. Les suites post-partales sont marquées par une anémie à 110 g/l traitée par Maltofer 100 mg une fois par jour. Au vu du déni de grossesse à 38 semaines d'aménorrhée, la patiente a bénéficié d'un suivi psychologique et sage-femme conseil qui objectivent un bon statut psychologique, la patiente ne présente pas de décompensation et elle est bien entourée. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Implanon dans une semaine. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 21 ans, 1 geste devenue 2 pares à 34 3/7 semaines d'aménorrhée après une césarienne en urgence 30 min dans un contexte d'anamnios et de tachycardie fœtale chez J2. Mme. Sulejmani a été admise en salle d'accouchement pour diminution des mouvements fœtaux de J2. Le contrôle échographique retrouvait un anamnios et le CTG une tachycardie fœtale chez J2. Dans ce contexte, nous posons l'indication de césarienne en urgence 30 min. L'intervention se déroule sans complications.La patiente se plaignant d'un œdème du pied gauche durant le post-partum, nous excluons une thrombose veineuse profonde après un consilium chez les angiologues. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 12.01.2018, en bon état général et sera revue à la consultation post-partale dans 4 à 6 semaines. Patiente de 21 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement pour provocation pour dépassement de terme le 29.12.2017 à 41 2/7 semaines d'aménorrhée. Nous induisons le travail par Misodel le 30.12.2017. La patiente se met en travail et la dilatation est harmonieuse. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente souhaite discuter de la contraception avec son gynécologue ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.01.2018, en bon état général. Patiente de 21 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 25.01.2018, en vue d'une provocation pour RCIU. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 25.01.2018 au soir sur un col défavorable. Le Propess est retiré après 12h de temps suite à une rupture spontanée des membranes. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement sous péridurale et accouche par ventouse kiwi pour CTG pathologique d'un garçon avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet ou implanon à rediscuter ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 22 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 25.01.2018 pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux, et la rupture des membranes spontanée se produit à 5h15. La péridurale est posée à 9h00 sous demande de la patiente. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3180 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.01.2018, en bon état général. Contrôle post-partum dans 4-6 semaines, à votre consultation. Patiente de 23 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 31.12.2017 pour rupture prématurée des membranes et mise en travail spontanée. Le travail est dystocique et la dilatation stagne à 5cm. Au vu de décélérations variables prolongées répétées, nous posons l'indication d'une césarienne pour CTG intermédiaire. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à un nouveau-né de 3180 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie à 101 g/l avec substitution martiale per os par Maltofer 100 mg une fois par jour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette dès trois semaines post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.01.2018, en bon état général. Patiente de 23 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 16.01.2018 pour rupture prématurée des membranes avec Actimprom positif à 39 4/7 semaines d'aménorrhée. Après une mise en travail spontanée et une dilatation complète, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.01.2017, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 23 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 28.12.2017 pour mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et la patiente donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3250 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie post-partale qui justifie l'introduction d'une supplémentation ferrique per os. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne souhaite pas de contraception à sa sortie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.12.2017, en bon état général. Patiente de 24 ans, primigeste devenue primipare à 39 1/7 semaines d'aménorrhée le 19.01.2018, transférée du Daler pour un rapprochement mère-enfant. Son nouveau-né a été hospitalisé pour hyperbilirubinémie précoce (max. à 303 mcmol/l) dans un contexte d'incompatibilité ABO sans signes d'hémolyse. Les suites post-partales sont marquées par l'apparition d'une mastite au sein droit. L'épisode est traité symptomatiquement par Néodécongestine et Brufen, la patiente est avertie de consulter si péjoration. Après initiation de l'allaitement maternel, la patiente reste afébrile. La contraception future se fera par Azalia ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente est transférée en chambre d'allaitement le 22.01.2018. Elle sera revue en consultation à 6 semaines post-partales à votre cabinet. Patiente de 24 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 13.01.2018 pour douleurs épigastriques et photophobies, avec hypertension artérielle gravidique. La patiente est mise sous traitement antihypertenseur et l'indication à une provocation est posée. À noter qu'une provocation avait déjà été planifiée le jour précédent par la gynécologue traitante en raison d'une suspicion de macrosomie fœtale. La patiente bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 13.01.2018 le matin. Au vu de l'absence de mise en travail mais avec un col légèrement modifié et un utérus contractile, la provocation est poursuivie le 14.01.2018 par Propess et mise en place d'un ballonnet. Par la suite, le travail est soutenu par Syntocinon. La patiente donne naissance par voie basse à une fille de 3680 g, de bonne adaptation néo-natale. Immédiatement après la délivrance, la patiente présente une hémorragie sur atonie utérine et saignement du col utérin. Elle est prise au bloc opératoire pour une révision des 3 étages, négative pour des restes placentaires. Une suture du col est réalisée. La patiente nécessite une transfusion de 2 culots érythrocytaires. L'hémoglobine de contrôle le 16.01.18 s'élève à 85 g/l. Au vu de la révision des 3 étages, un traitement antibiotique prophylactique par co-amoxicilline est introduit pour une durée de 5 jours au total. A l'échographie de contrôle, image hétérogène compatible avec des caillots sanguins intra-utérins, nécessitant un traitement par Cytotec pendant 5 jours. Un suivi du profil tensionnel en post-partum est effectué et met en évidence des tensions artérielles systoliques élevées, justifiant l'introduction d'un traitement par Trandate 200 mg 3x/j. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2018, en bon état général. Patiente de 25 ans, primigeste à 9 6/7 semaines d'aménorrhée d'après date des dernières règles, consulte ce jour pour des métrorragies abondantes avec douleurs abdomino-pelviennes. La patiente explique avoir consulté à Lausanne le 10.01.2018 pour des métrorragies de faible abondance, sans douleurs. Une grossesse arrêtée à 6 semaines d'aménorrhée avait été suspectée et un contrôle échographique devait être réalisé dans 1 semaine chez son gynécologue. A l'anamnèse : pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de leucorrhées malodorantes. A l'examen, la patiente est hémodynamiquement stable. L'abdomen est souple, indolore à la palpation, pas de détente, pas de défense. Au spéculum : col légèrement ouvert, saignement endo-utérin actif, modéré. L'échographie confirme la grossesse arrêtée à 6-7SA en cours d'expulsion. Dans ce contexte, nous informons la patiente des différentes possibilités, à savoir : l'expectative, la prise de Cytotec ou le curetage. La patiente décide de prendre le Cytotec et est avertie du risque d'effectuer un curetage en cas d'échec ou de saignement abondant. Devant l'absence d'efficacité du Cytotec, un curetage évacuateur en urgence est décidé. La patiente accepte et donne son accord en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires immédiates sont simples et afébriles. La patiente ne souhaite pas de contraception hormonale à sa sortie, elle utilisera le préservatif si besoin. La patiente est avertie des signes devant faire reconsulter en urgence. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le jour même, en bon état général et sera revue en consultation dans 4 à 6 semaines. Patiente de 25 ans, 1G1P, admise en salle d'accouchement le 03.01.2018 en vue d’une césarienne élective pour désir maternel. L’intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon de 3420 g avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. La surveillance du diabète se fera par les diabétologues, ils recommandent de ne pas faire d'HGPO à 3 mois. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.01.2018, en bon état général. Patiente de 26 ans, en bonne santé habituelle, primigeste avec test de grossesse positif le 04.01.2018, qui se présente aux urgences de l'HFR-Fribourg en raison de saignements vaginaux importants et de douleurs en fosse iliaque gauche. L'échographie permet de mettre en évidence la présence d'une probable grossesse extra-utérine gauche avec hémopéritoine modéré, et l'indication à une laparoscopie exploratoire en urgence est posée. Elle est opérée le 06.01.2018 sous anesthésie générale. L'intervention se déroule bien et permet de mettre en évidence une grossesse extra-utérine gauche ampullaire, nous réalisons une salpingotomie avec épreuve au bleu montrant une perméabilité tubaire droite et une biopsie endométriale. Le matériel est adressé en anatomo-pathologie. Elle reçoit une injection de méthotrexate IV 60 mg le 06.01.2018. Les suites sont simples et afébriles. Au vu de la bonne évolution, elle est libre de rentrer à domicile le 07.01.2018 et sera revue à 7 jours pour l'ablation des fils et à 4 semaines post-opératoires. Dans l'intervalle, elle est prévenue de reconsulter en cas de douleurs, état fébrile, rougeurs ou écoulement des cicatrices. Elle réutilisera l'anneau Nuvaring pendant 3 mois. Patiente de 26 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 27.01.2018 sur un transfert de la maison de naissance du Petit Prince pour contractions utérines douloureuses à 3 cm de dilatation avec demande de péridurale. Après rupture artificielle des membranes et mise en évidence d'un liquide méconial, le CTG devient pathologique avec une décélération prolongée de 8 minutes, posant l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention est marquée par une légère atonie utérine, résolue par Syntocinon 40UI, et la patiente donne naissance à une fille avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Un traitement de Maltofer est introduit en raison d'une anémie légère normochrome normocytaire d'origine spoliative. La contraception future se fera par stérilet en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 26 ans, primigeste devenue primipare à 38 2/7 semaines d'aménorrhée le 05.01.2018 à la maison de naissance du Petit Prince, avec apparition d'une hémorragie du post-partum avec pertes d'environ 1700 cc malgré une perfusion de Syntocinon, ce qui motive son transfert à l'HFR-Fribourg. A son arrivée, la patiente est immédiatement prise au bloc opératoire pour une révision des 3 étages en urgence sous anesthésie générale. L'intervention se déroule bien et permet de mettre en évidence une déchirure vaginale profonde, qui est suturée. L'utérus se révèle vide, et l'atonie utérine est traitée par Nalador. Elle bénéficie de la transfusion de 4 concentrés érythrocytaires au vu d'une hémoglobine à 41 g/l, ainsi que de 2 PFC et de facteurs de correction de la crase. Les suites sont favorables, avec une hémoglobine post-opératoire à 100 g/l. La contraception future se fera par préservatif, elle est avertie du risque de grossesse et en rediscutera au contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 26 ans, 1G devenue 1P à 39 2/7 semaines d'aménorrhée après un accouchement par voie basse par ventouse Kiwi au E+2 pour CTG pathologique. Elle a été admise en salle d'accouchement pour une rupture prématurée des membranes. La patiente présente des tensions labiles et une protéinurie à l'admission, c'est pourquoi nous la surveillons dans le contexte d'une pré-éclampsie légère. La patiente ne se met pas en travail spontanément après 12 heures, c'est pourquoi elle est provoquée par Syntocinon, le 09.01.18.Elle se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse spontanée à un enfant de sexe masculin, pesant 3080 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 11.01.2018, en bon état général et sera revue en consultation dans 4 à 6 semaines. Patiente de 26 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 04.01.2018 pour rupture prématurée des membranes. Au vu d'une absence de mise en travail, elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 04.01.2018 puis Misodel le 05.01.2018 et de Syntocinon le 06.01.2018. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse avec ventouse métallique pour défaut d'expulsion à une fille de 3790 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès J21 du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018, en bon état général et sera revue en consultation post-partum dans 4 à 6 semaines. Patiente de 26 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 16.01.2018 pour mise en travail spontanée à 40 6/7 semaines d'aménorrhée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3470 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera après discussion avec son gynécologue traitant. Dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum, à votre consultation. Patiente de 27 ans, admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à une fille de 2690 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet en cuivre, en attendant, la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 27 ans, primigeste à 38 4/7 semaines d'aménorrhée, hospitalisée à la demande du Dr. X le 19.01.2018 devant des tensions artérielles labiles avec une croix de protéines au stix urinaire, afin de réaliser une protéinurie des 24 h. A l'anamnèse, la patiente ne présente aucun signe fonctionnel de prééclampsie. L'examen clinique chez la patiente normocarde, normotendue, apyrétique est rassurant. Au cours de l'hospitalisation, la patiente a présenté des tensions strictement normales et la protéinurie des 24 h revient négative, excluant le diagnostic de prééclampsie. La patiente rentre à domicile le 20.01.2018 et reverra le Dr. X dans 1 semaine. Patiente de 27 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 12.01.2018 en vue d'une version manuelle externe pour présentation en siège. Lors du bilan, un oligoamnios à 2 cm est mis en évidence, ce qui, en association à l'impossibilité d'effectuer la version manuelle externe, constitue une indication à une césarienne en urgence 2, intervention que la patiente accepte. L'intervention est pratiquée le 12.01.2018; et se déroule sans complication. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 16.01.2018, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. A noter que la patiente retourne à domicile sans son enfant en raison de la nécessité d'une alimentation partielle par sonde nasogastrique après un syndrome de détresse respiratoire léger présenté par l'enfant à la naissance. Le retour de ce dernier à domicile est prévu pour le 17.01.2018. Patiente de 27 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 26.12.2017 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant ainsi qu'une suspicion de macrosomie fœtale. Provoqué par Misodel. La dilatation est harmonieuse. L'accouchement se fait par voie basse, nous résolvons une dystocie des épaules par deux manœuvres de McRoberts. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Surveillance de la fréquence cardiaque dans la norme durant l'hospitalisation chez une patiente qui reste asymptomatique. Avis du Dr. X cardiologue traitant qui ne pose pas d'indication à poursuivre le traitement par Metoprolol, si la patiente devient symptomatique, elle devra consulter en urgence, avec un rendez-vous de contrôle cardiologique dans 3 à 6 mois. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile ce jour avec son bébé, en bon état général. Patiente de 27 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 28.12.2017 pour une rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail spontanément et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3300 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne souhaite pas de contraception à sa sortie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.12.2017 en bon état général. Patiente de 27 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 11.01.2018 pour une provocation à terme pour désir maternel. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 11.01.2018. Après une dilatation et un travail harmonieux, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille pesant 3980 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 13.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 27 ans, 3 gestes devenue 2 pares à 39 SA /7. Elle a été admise en salle d'accouchement pour contractions utérines. Elle se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse spontanée à un enfant de sexe..., pesant....., avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications.La contraception future se fera par : •, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le •, en bon état général avec son bébé et sera revue en consultation post-partum dans 6 semaines. Patiente de 27 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 22.01.2018 pour mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 4280 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Le contrôle glycémique à J3 s'effectuera en ambulatoire auprès de nos collègues de la diabétologie. La contraception future se fera par préservatif, toute autre alternative ayant été déclinée par la patiente. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.01.2018, en bon état général. Patiente de 27 ans 3G1P à 33 6/7 semaines d'aménorrhée, hospitalisée pour des contractions utérines ressenties douloureuses ce jour avec un examen clinique et biologique rassurant, le col mesuré à 34 mm stable au Vasalva. Le stix étant pathologique, nous traitons la patiente pour une infection urinaire basse par Monuril 3g le 02.01.2018 et une deuxième dose le 04.01.2018. La tocolyse par Nifédipine permet une résolution des contractions utérines. Elle bénéficie également d'une maturation pulmonaire par Celestone le 02 et 03.01.2017. La surveillance clinique et CTG reste physiologique et le contrôle échographique du col reste stable à la sortie à 4 cm. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 03.01.2017. Patiente de 27 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 04.01.2018 en raison de contractions utérines. Après une dilatation et un travail harmonieux, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille pesant 3170 g, de bonne adaptation néonatale. Au vu d'une rétention placentaire à 20 minutes après l'accouchement, elle bénéficie d'une délivrance artificielle avec révision utérine, sans complication, avec antibioprophylaxie par la suite par Co-amoxicilline pour 24 heures. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Implanon, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 27 ans, 4G2P, envoyée par l'hôpital de Payerne est admise en salle d'accouchement le 29.12.2017 en raison de contractions utérines et suspicion de rupture prématurée des membranes. La rupture des membranes est infirmée, cependant la patiente se met spontanément en travail. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.12.2017, en bon état général. Patiente de 28 ans, G3 devenue P2, admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée à 36 6/7 semaines d'aménorrhée. Elle donne naissance à un garçon de 2710 g, avec bonne adaptation néonatale et syndrome de Down confirmé cliniquement. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia à 3 semaines post-partum, la patiente utilisera le préservatif en attendant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum, à notre consultation. Patiente de 28 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 16.01.2018 pour rupture prématurée des membranes. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clindamycine pour portage de streptocoque B inconnu et se met spontanément en travail. Le travail est harmonieux et la dilatation complète. Après stagnation de la progression de la tête fœtale à épine +2 et CTG intermédiaire, nous instrumentons, avec l'accord de la patiente, par ventouse Kiwi. La patiente donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2800 g, de bonne adaptation néonatale. Après évaluation du placenta, ce dernier est jugé incomplet. Au vu de cette observation, une révision utérine au bloc opératoire est indiquée, qui met en évidence des restes de cotylédon avec des pertes sanguines totales estimées à 600 ml. L'intervention se déroule sans complications et une antibioprophylaxie par Clindamycine pour 24 h est instaurée. L'hémoglobine de contrôle à J1 montre une anémie légère à 108 g/l motivant l'instauration d'un traitement par Maltofer. La patiente reste afébrile. Les suites post-partales sont marquées par une incapacité à pouvoir retenir des selles molles. L'examen clinique montre une baisse du tonus sphinctérien au toucher rectal probablement d'origine fonctionnelle après accouchement par voie basse. L'épisiotomie médio-latérale droite se montre propre et ne touche pas les fibres du sphincter anal. Nous lui prescrivons une physiothérapie pour rééducation pelvienne. La contraception future se fera par Azalia. Dans l'attente, elle utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum, à votre consultation. Patiente de 28 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 29.12.2017 après rupture prématurée des membranes, le 28.12.2017 à 21 h. Nous induisons le travail par Syntocinon le 29.12.2017 et la dilatation est harmonieuse. Elle présente une non-progression de la présentation, raison pour laquelle une instrumentation par ventouse Kiwi aux épines sciatiques +1 est indiquée. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3290 g qui présente un Apgar initial à 1 et nécessite une réanimation cardio-pulmonaire pendant 2 minutes en présence des pédiatres. Le nouveau-né présente une bonne récupération par la suite. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.01.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 30.12.2017 pour provocation pour suspicion de macrosomie ce jour. Suite à l'échec de provocations par deux Propess le 30.12.2017 et le 31.12.2017, la patiente est demandeuse d'une césarienne le 01.01.2018 qui se déroule sans complication et donne naissance à un enfant de sexe masculin pesant 4020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication.La patiente ne souhaite pas de contraception à sa sortie et rediscutera au contrôle du post-partum avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.01.2018, en bon état général. • Patiente de 28 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 22.01.2018 pour une provocation en raison d'une suspicion de macrosomie fœtale. Elle bénéficie de la pose d'un Propess le 22.01.2018 au soir. Après une mise en travail rapide, elle donne naissance par voie basse, spontanément, à un garçon pesant 3860 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est sevré par Dostinex en dosage unique. La contraception future se fera par stérilet ou pose d'Implanon, la patiente souhaitant rediscuter avec son gynécologue traitant, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 28 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 29.12.2017 après mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et rapide. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3840 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception se fera par Cérrazette. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.01.2018 en bon état général. • Patiente de 29 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 04.01.2018 en raison d'une rupture prématurée des membranes avec liquide teinté. Au vu d'une absence de mise en travail, elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl ainsi que d'une provocation par Propess le 04 et 05.01.2018. Le travail est par la suite soutenu par Syntocinon. Elle dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à une fille de 3200 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès J-21 du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 29 ans, 1G1P après un accouchement par voie basse en juillet 2017 marqué par une hémorragie du post-partum résolue par Syntocinon, adressée par le Dr. X pour la prise en charge chirurgicale d'une rétention trophoblastique malgré un traitement médicamenteux. Une prise en charge par hystéroscopie diagnostique et opératoire lui est proposée, ce que la patiente accepte en signant le consentement éclairé. Elle est opérée le 22.12.2017. L'intervention se déroule bien et permet de mettre en évidence du matériel d'allure trophoblastique au niveau fundique, qui est réséqué; la patiente bénéficie également d'un curetage, qui ramène une faible quantité de matériel. L'hystéroscopie en fin d'intervention montre une cavité utérine vide, avec deux ostia bien visualisés. Les suites immédiates sont simples et afébriles. Au vu de la bonne évolution, elle est libre de rentrer à domicile le jour même et sera revue à 4 semaines post-opératoire. Dans l'intervalle, elle est prévenue de reconsulter en cas de douleurs, état fébrile ou écoulement malodorant. • Patiente de 29 ans, 2G0P, à 32 1/7 semaines d'aménorrhée vue à la consultation du Dr. X le 26.01.2018 dans le cadre d'un suivi de grossesse gémellaire mono-choriale bi-amniotique et suspicion de vasa praevia. Ce dernier met en évidence un syndrome du transfuseur transfusé en faveur du J2 de grade I. Le PFE du J1 s'élève à 1431 g contre J2 à 2065 g et l'examen met en évidence un oligoamnios de J1. La patiente est hospitalisée dans ce contexte afin de bénéficier d'une cure de Celestone, ainsi que d'une surveillance rapprochée par CTG 3x/j. A noter qu'au vu d'une anamnèse de maladie de Von Willebrand, l'avis du Dr. X, hématologue, est demandé et ce dernier ne retient pas, au vu des valeurs de FVIII présentées par la patiente lors du diagnostic en 2005, le diagnostic de maladie de Von Willebrand. Dans la nuit du 26 au 27.01.2018, le CTG de J1 se dégrade, avec apparition de décélérations en association avec une diminution de la micro-variabilité. Dans ce contexte, l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes est posée en accord avec la patiente. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à deux filles. La première, de 1330 g, s'adapte bien sous CPAP et bénéficie d'une transfusion en raison d'une hémoglobine à 91 g/l. Elle est transférée à Berne en néonatologie. La seconde, de 1830 g, présente une mauvaise adaptation néonatale, avec nécessité de plus de CPAP, et est transférée en soins intensifs à Berne. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule, à débuter à J21 après l'accouchement, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 30.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 29 ans, 4G2P, enceinte à 40 3/7 semaines d'aménorrhée admise en salle d'accouchement le 16.01.2018 pour mise en travail spontanée. Elle bénéficie d'une antalgie par péridurale. Le travail est harmonieux et elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3720 g de bonne adaptation néonatale. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérrazette, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.01.2018, en bon état général. Les suites post-partales sont simples et afébriles. • Patiente de 29 ans, 6G4P, admise en salle d'accouchement le 30.12.2017 pour provocation à la suite d'une demande maternelle. Nous provoquons le travail par Propess. La dilatation est harmonieuse et la patiente donne naissance par voie basse à une fille, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente souhaite une contraception par Cérrazette. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 03.01.2018, en bon état général. • Patiente de 30 ans admise pour coma d'origine toxique probable. La patiente est connue pour de nombreuses comorbidités psychiatriques avec une hospitalisation à Marsens depuis mi-12.2017 pour un sevrage éthylique. Elle est sortie en permission le 20.01.2018 pour rendre visite à sa famille et est rentrée à Marsens à 18h sans incident. Elle est retrouvée à 19h somnolente, difficilement réveillable dans sa chambre. Aux urgences, présente des vomissements avec un GCS à 6 raison de son intubation et transfert dans notre service. L'alcoolémie et le bilan toxicologique reviennent négatifs. Le CT cérébral est dans la norme et l'EEG montre une brady-dysrythmie diffuse modérée, sans foyer lent localisé et sans foyer épileptogène. Ce tracé est compatible avec une encéphalopathie d'origine toxique/médicamenteuse. À signaler une brady-dysrythmie plus importante à l'heure actuelle, par rapport à l'examen précédent de mars 2017.La surveillance clinique est sans particularité, on constate par moment des propos de persécution de la part de la patiente. Après réévaluation psychiatrique, la patiente est retransférée à Marsens en mode volontaire telle qu'elle l'a exprimé. • Patiente de 30 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 25.01.2018 après rupture prématurée des membranes à 02h00 le matin, liquide amniotique clair. Le travail est harmonieux, la dilatation rapide, et elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3030 g, de bonne adaptation néonatale. En per partum, la patiente présente des nausées et vomissements sans autre symptomatologie abdominale. Le reste de l'anamnèse par système est également non relevant. Dans ce contexte, nous réalisons un profil tensionnel qui met en évidence des valeurs autour de 150 mmHg de systolique avec des valeurs diastoliques inférieures à 90 mmHg. Un bilan laboratoire de gestose est envoyé et revient dans les normes en dehors du spot urinaire qui revient positif. Le diagnostic de pré-éclampsie légère est retenu et une surveillance clinique et tensionnelle rapprochée est effectuée. L'évolution est favorable sans introduction de traitement avec un contrôle clinique et laboratoire le 26.01.2018 dans les normes. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans un premier temps après réflexion avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.01.2018, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement le 26.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes, franche. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl pour portage de Streptocoque B. Après une mise en travail spontanée et une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse spontanée avec instrumentation par ventouse Kiwi en raison d'une bradycardie fœtale à une fille avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.01.2018 en bon état général. • Patiente de 30 ans, 4G 1P, admise en salle d'accouchement le 01.01.2018 après mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse. Nous instrumentons par ventouse Kiwi pour non progression de la présentation. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3440 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie du post-partum à 91 g/l, traitée par Maltofer 100 mg une fois par jour. La patiente signale une masse au sein au QSED de 1 cm, non douloureuse, superficielle, déjà connue durant la grossesse, motif pour lequel une échographie des seins est agendée dans deux semaines en Radiologie. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.01.2018, en bon état général. • Patiente de 31 ans, à 38 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. Elle donne naissance à un garçon de 2950 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 31 ans, grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique, admise en salle d'accouchement pour une rupture prématurée des membranes à 36 4/7 semaines d'aménorrhée. Elle donne naissance par voie basse spontanée à deux enfants : • J1 de sexe féminin pesant 1990 g, de bonne adaptation néonatale. • J2 de sexe féminin pesant 2590 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule contraceptive à J21 après accouchement, dans l'intervalle, le préservatif pourra être utilisé. À noter que le profil tensionnel est surveillé en post-partum et les valeurs reviennent dans les normes chez une patiente asymptomatique. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile (avec l'un de ses enfants, le deuxième restant en surveillance en néonatologie) le 24.01.2018 en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Les conseils d'usage sont donnés sur les motifs de reconsultation en urgence. • Patiente de 31 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 14.01.2018 à 15 h après un transfert de la maison de naissance du Petit Prince en raison d'une stagnation de la dilatation à 7 cm depuis 10h45 du matin. À son arrivée, elle bénéficie de la pose d'une péridurale et avance spontanément jusqu'à dilatation complète. Après stagnation de la présentation à épine +2, nous effectuons une ventouse Kiwi. La patiente donne naissance par voie basse à un garçon de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif sur désir maternel. Nous discutons avec la patiente concernant une anémie mise en évidence à son arrivée à l'HFR à 89 g/L. Les pertes sanguines sont minimes pendant l'accouchement (150 ml) et nous proposons une substitution par Maltofer comprimé en post-partum. Nous vous laissons également le soin de recontrôler l'évolution de l'hémoglobine. Au vu de la bonne évolution, la patiente est transférée au Petit Prince avec son bébé le 15.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 31 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 25.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes franche. Après 12 h de rupture, le travail ne se déclenche pas et nous posons l'indication à une induction par Propess, sur col défavorable. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement sous péridurale et accouche par voie basse avec instrumentation par ventouse métallique puis forceps pour défaut d'expulsion à épine +1, d'une fille de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. À noter que le laboratoire de contrôle en post-partum met en évidence une anémie normocytaire à tendance hypochrome à 72 g d'origine spoliative justifiant l'introduction d'un traitement de Maltofer ainsi que l'organisation d'un Ferinject en ambulatoire dans un second temps. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule à débuter à J21 du post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 31 ans qui consulte pour des douleurs abdominales péri-ombilicales et crampiformes, d'intensité à 8/10, associées à un état fébrile à 38.6°, des nausées, des vomissements alimentaires et des diarrhées aqueuses depuis un jour. Pas de pertes sanguines ni de symptômes d'instabilité hémodynamique. Pas de notion de contage dans son entourage. A l'examen clinique d'entrée, patiente en état général diminué, déshydratée, anictérique. L'auscultation cardio-pulmonaire est dans la norme. Du point de vue abdominal, les bruits abdominaux sont normo-vifs et normo-fréquent dans les quatre quadrants. L'abdomen est globalement douloureux à la palpation, plus marqué dans l'épigastre et en fosse iliaque droite, sans signes de péritonisme. Les loges rénales sont souples. A noter une douleur paravertébrale au niveau de L5/L1, sans trouble sensitivo-moteur des membres inférieurs. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 13 G/l et une CRP à 312 mg/l, une hyponatrémie à 131 mmol/l et une hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Le sédiment urinaire montre une hématurie microscopique. Deux paires d'hémocultures sont prélevées, de même qu'une culture de selles. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite de probable origine bactérienne et débutons une hydratation iv, une substitution électrolytique et une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv/jour. Mme. Vonlanthen est hospitalisée en médecine. L'évolution est favorable avec diminution des douleurs abdominales et des diarrhées. Le laboratoire de contrôle montre une diminution du syndrome inflammatoire et une correction des électrolytiques. Le PCR dans les selles revient positif pour un Campylobacter jejuni, raison pour laquelle nous relayons l'antibiothérapie par Zithromax à la sortie. Vu la bonne évolution, Mme. Vonlanthen regagne son domicile le 07.01.2018. • Patiente de 31 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 09.01.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé dans un contexte d'hypertension gestationnelle labile. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 09.01.2018. Elle dilate harmonieusement et accouche spontanément. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution la patiente rentre à domicile le 12.01.2018, en bon état général et sera revue en consultation à 6 semaines post-partum. • Patiente de 31 ans, 6G3P, 41+2 semaines d'aménorrhée admise en salle d'accouchement le 31.12.2017 pour provocation pour terme dépassé. La grossesse a été suivie conjointement à l'HFR et au CHUV suite au diagnostic d'agénésie du septum pellucidum isolée chez le fœtus. Nous provoquons le travail par Syntocinon le 31.12.2017. La dilatation est harmonieuse. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.01.2017, en bon état général. • Patiente de 32 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 12.01.2018 pour une provocation pour fatigue maternelle à 40 4/7 semaines d'aménorrhée. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 12.01.2018 puis d'un deuxième le 13.01.2018. Après dilatation complète, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3590 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet en cuivre, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 32 ans, 4 gestes devenue 3 pares à 39 1/7 semaines d'aménorrhée après une césarienne élective pour présentation podalique. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à un enfant de sexe masculin pesant 3360 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La patiente ne souhaitant pas allaiter, elle bénéficie d'un sevrage primaire à l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 12.01.2018, en bon état général et sera revue à la consultation post-partale dans 4 à 6 semaines. • Patiente de 32 ans, 4G2P, admise en salle d'accouchement le 06.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes, avec liquide rosé. Nous la provoquons par Misodel après 12 heures de rupture. Elle dilate rapidement et donne naissance par voie basse avec instrumentation par ventouse métallique pour défaut d'expulsion et CTG intermédiaire à un garçon pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera assurée par une stérilisation chez le mari, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin et est avertie du risque de grossesse en absence de contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 32 ans, 5G devenue 3P à 37 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 18.01.2018 pour un bilan de gestose dans le cadre de tensions artérielles labiles, de céphalées et de dyspnée légère. Le bilan de gestose réalisé en salle d'accouchement revenait alors normal, mais le spot urinaire a mis en évidence une protéinurie positive à 0.050 (rapport protéine/créatinine). Dans ce contexte de tensions artérielles labiles et de protéinurie positive, il est décidé de provoquer la patiente par Propess au vu de la multiparité. Le Propess est inséré le 17.01.2018 et nous débutons dans le même temps le sulfate de magnésium. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à un garçon de 3040 g. En raison d'une suspicion de décollement placentaire avec visualisation de caillot au niveau de la face maternelle, nous envoyons le placenta en anatomopathologie. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le sulfate de magnésium est stoppé 24h post-accouchement. La protéinurie des 24h revient positive à 0.27 g/24h et les tensions normalisent après l'accouchement. Un sevrage primaire à l'allaitement est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Un contrôle des glycémies est effectué à J3 et revient dans les normes. La suite de la prise en charge se fera auprès de nos collègues diabétologues.Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 22.01.2018 en bon état général et sera revue en consultation post-partale dans 6 semaines, à votre consultation. • Patiente de 33 ans, admise en salle d'accouchement le 06.01.2018 pour une provocation par Misodel pour faux travail persistant. Après une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 3230 g, de bonne adaptation néo-natale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente elle utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 33 ans, G5P2, admise en gynécologie devant une fausse couche en cours d'expulsion sur une grossesse intra-utérine arrêtée à 8-9 semaines d'aménorrhée. Après informations sur les différentes options thérapeutiques, elle opte pour un curetage et signe le consentement. Nous réalisons un curetage évacuateur sous anesthésie générale le 07.01.2017 avec envoi du matériel en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Elle rentre au domicile le 08.01.2018 et sera revue en consultation de contrôle dans 4 semaines. • Patiente de 33 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 27.12.2017 pour une rupture prématurée des membranes avec écoulement d'un liquide amniotique clair. Après 12h de rupture, on débute une provocation par Misodel et une antibioprophylaxie par Clamoxyl selon protocole. Par la suite, nous soutenons le travail par Syntocinon et la patiente donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3690 g. À une heure de vie, le nouveau-né est retrouvé en arrêt cardio-respiratoire au sein de sa mère. Après une réanimation efficace avec reprise d'une respiration spontanée, le nouveau-né est transféré au CHUV. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La contraception future sera discutée avec le gynécologue traitant. La patiente est transférée au CHUV pour un rapprochement mère-enfant le 29.12.2017 en bon état général avec son propre moyen de transport. • Patiente de 33 ans, 0G 0P, suivie pour une infertilité primaire d'origine masculine et bénéficie d'une hystéroscopie diagnostique pour une suspicion de polype de l'endomètre. L'examen met en évidence un endomètre polypoïde. Des biopsies et polypectomies ont été réalisées. Pas de complication per-opératoire. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre au domicile le jour même. • Patiente de 33 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 27.12.2017 en vue d'une césarienne élective itérative. L’intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 3220 g, de bonne adaptation néonatale. Une anémie per-partum mixte nécessite une transfusion de 1CE le 27.12.2017. Les suites post-partales sont marquées par une anémie à 105g/l sous Maltofer bien tolérée par la patiente. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet plutôt en cuivre, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.12.2017, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 28.12.2017 après mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3840 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérasette. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.12.2017 en bon état général. • Patiente de 34 ans, connue pour un déficit de facteur von Willebrand, admise aux soins intensifs pour une surveillance postopératoire après une septoplastie. Un protocole péri-opératoire pour la maladie de von Willebrand est suivi, incluant une dose unique pré-opératoire de Desmopressine et l'administration de Cyclokapron pendant 10 jours. Le bilan sanguin avant et après l'intervention retrouve le taux des facteurs de coagulation dans la norme. L'intervention se déroule sans complication, notamment pas de saignement. La surveillance post-intervention se passe sans particularité. Elle reçoit un traitement prophylactique de Co-Amoxicilline pour 48h. L'antalgie est gérée par Paracétamol et Morphine. La patiente est transférée à l'étage ORL le 12.12.2017. Le démêchage a été fait sans problème. • Patiente de 34 ans, G2 P1, admise en hospitalisation en gynécologie pour un hyperémésis gravidique avec intolérance alimentaire totale malgré un traitement médicamenteux. Elle est mise à jeun avec hydratation IV et traitement par primpéran 10 mg x3/jour, Nexium 40 mg/jour et Itinérrol suppositoire x3/jour. Le bilan biologique revient normal. Au cours de son séjour, les vomissements régressent et elle reprend une alimentation progressive. Le traitement est passé per os. Elle rentre au domicile le 23.01.2018 et sera revue en consultation pour le premier trimestre. • Patiente de 34 ans, G2P1, admise en hospitalisation en gynécologie une deuxième fois pour un hyperémésis gravidique avec intolérance alimentaire totale malgré un traitement médicamenteux. Elle est mise à jeun avec hydratation IV et traitement par primpéran 10 mg x3/jour, Nexium 40 mg/jour et Itinérrol suppositoire x3/jour. Le bilan biologique revient normal. Au cours de son séjour, les vomissements régressent et elle reprend une alimentation progressive. Le traitement est passé per os. Elle rentre au domicile le 29.01.2018 et sera revue en consultation pour le premier trimestre. • Patiente de 34 ans, G3P2, admise en salle d'accouchement pour une provocation pour HTA gravidique par Misodel le 10.01.2018. Elle donne naissance par voie basse à une fille de 3130 g, de bonne adaptation néo-natale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Les tensions artérielles se normalisent durant le séjour, ne nécessitant pas un traitement à la sortie. La contraception future se fera par DIU en cuivre, la patiente utilisera le préservatif en attendant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 34 ans, primigeste à 25 4/7 semaines d'aménorrhée, qui consulte ce jour pour des métrorragies modérées de sang rouge apparues brutalement vers 22h00. Pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de perte de liquide, pas de douleurs abdomino-pelviennes, pas de signes de pré-éclampsie. A l'examen clinique, patiente normocarde : 57 bpm, normotendue : 122/66, apyrétique : 36°C. Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres. Au spéculum col post, fermé, saignement endo-cervical actif, modéré, pas d'ectropion visualisé. CTG : RNP, pas de contractions utérines.US du col et obstétrical en ordre Dans ce contexte clinique et au vu du saignement actif, nous effectuons une première cure de maturation pulmonaire et transférons la patiente à Berne pour poursuite de la prise en charge. Patiente de 34 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 22.01.2018 à 33 3/7 semaines d'aménorrhée en raison d'une rupture prématurée des membranes franches sur une grossesse gémellaire bi-choriale bi-amniotique, avec un col raccourci à 18 mm. Au vu d'un désir de césarienne de la patiente, une attitude expectative jusqu'à 34 semaines d'aménorrhée est décidée et une antibioprophylaxie par Dalacin IV et une tocolyse par Tractocile sont débutées. Elle avait déjà reçu une maturation pulmonaire le 21 et 22.12.2017 dans le cadre d'une menace d'accouchement prématuré et était encore sous Adalat 30 mg 2x/jour, Magnesiocard, Utrogestan 2x/jour et Bryophyllum. Le 23.01.2018, elle présente des contractions régulières malgré le Tractocile; une nouvelle échographie montre un col quasi effacé et légèrement ouvert, confirmé par un toucher vaginal qui retrouve une dilatation à 3 cm. Dans ce contexte, l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes est posée en accord avec la patiente. Elle donne naissance à deux garçons, de 1720 g et 2050 g, de bonne adaptation néo-natale. Ces derniers sont transférés en néo-natologie en raison de la prématurité. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet dans un second temps, dans l'intervalle la patiente utilisera le préservatif. Nous demandons l'avis de notre collègue psychologue en raison d'une baisse de moral de la patiente en post-partum qui ne retient pas le diagnostic de dépression du post-partum. Le traitement d'Euthyrox est diminué sur avis de l'endocrinologue de la patiente en post-partum. Un traitement de Maltofer est introduit en raison d'une anémie normochrome normocytaire à 94 g/l d'origine spoliative. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 28.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 34 ans, 1G devenue 1P à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour une césarienne élective, dans un contexte de présentation podalique. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 3170 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire à l'allaitement est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Elyfem 20 mg à débuter à 21 jours post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. À noter qu'au cours de son séjour, la patiente bénéficie de la consultation de notre collègue psychologue afin de sensibiliser et prévenir l'apparition du baby blues ou d'une dépression du post-partum. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 23.01.2018 en bon état général avec son bébé et sera revue en consultation post-partale dans 6 semaines. Patiente de 34 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 22.01.2018 en vue d'une césarienne élective pour RCIU et myome praevia. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un garçon pesant 2000 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Un traitement de Maltofer est introduit au vu d'une anémie normocytaire à tendance hypochrome d'origine probablement spoliatif. La contraception future se fera par préservatif, la patiente ne désirant pas d'autre traitement pour le moment. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2018 en bon état général. Patiente de 34 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 04.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes. Elle bénéficie d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl pour rupture prolongée et se met spontanément en travail. Elle donne naissance par voie basse avec instrumentation par ventouse Kiwi pour CTG pathologique lors de l'expulsion à une fille pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Au vu d'une délivrance hémorragique, elle bénéficie d'une délivrance artificielle avec révision utérine, sans complications, et une antibioprophylaxie par Co-amoxicilline pour 24 heures est instaurée. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Cérazette en attendant d'en rediscuter à la consultation du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 34 ans, 3G devenue 3P, à 38 semaines d'aménorrhée après une césarienne élective itérative le 11.01.2017. L'intervention se déroule sans complications, nous réalisons un test au bleu de méthylène devant le statut cicatriciel qui prouve l'intégrité vésicale. Elle donne naissance à une fille de 3600 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. Nous reprenons son traitement habituel pour le diabète de type 2 par Metfromine 500 mg x 2/jour (discuté avec le Dr. X), le cycle des glycémies est aligné lors de son séjour. À noter que la patiente a rendez-vous chez nos collègues diabétologue afin d'adapter le traitement médicamenteux. La contraception future souhaitée par la patiente dans un premier temps est le préservatif, avant d'en rediscuter avec son gynécologue traitant. Au vu d'un Rhésus négatif de l'enfant, il n'y a pas d'indication à une injection d'immunoglobuline anti-D. La patiente décrit un prurit au point de ponction de la péridurale. Au statut, on constate des vésicules en grappe sans lésion ulcérée, sans irradiation sur les flancs. Nous effectuons un frottis à la recherche d'un herpès Zoster et informons la patiente des risques de grattage et infectieux. En fonction du résultat du frottis, un traitement approprié sera introduit. Au vu du risque thrombo-embolique post-opératoire et chez une patiente présentant une obésité tronculaire importante, nous prescrivons des bas de contention ainsi que conseillons une mobilisation importante. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 15.01.2017, en bon état général et sera revue à la consultation post-partale dans 4 à 6 semaines. Patiente de 34 ans, 5G3P, admise en salle d'accouchement le 25.12.2017 en vue d'une provocation pour une grossesse gémellaire bichoriale bi-amniotique avec RCIU de J2 au p3. Vu le col favorable, nous initions une provocation par Syntocinon, la dilatation est harmonieuse et la patiente donne naissance à une fille, pesant 2470 g, de bonne adaptation néonatale. Par la suite, J2 se met en position transverse, nous réalisons donc une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 2140 g. Les pertes sanguines sont estimées à 400 ml.Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.12.2017, en bon état général. Patiente de 35 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 05.01.2018 pour des contractions utérines. Après une dilatation et un travail harmonieux, elle donne naissance par voie basse avec instrumentation par ventouse Kiwi pour défaut d'expulsion. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.01.2017, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 35 ans, 3 gestes devenue 3 pares à 38 4/7 semaines d'aménorrhée après une césarienne élective bi-itérative. Elle bénéficie également d'une ligature tubaire. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à un enfant de sexe masculin, pesant 3940 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 14.01.2018, en bon état général et sera revue à la consultation post-partale dans 4 à 6 semaines. Patiente de 35 ans, 3G0P, à 37 3/7 semaines d'aménorrhée admise en salle d'accouchement le 03.01.2018 en raison d'une rupture prématurée des membranes, franche, chez une patiente avec césarienne programmée le 12.01.2018 pour présentation en siège. L'indication à une césarienne en urgence 2 est posée, en accord avec la patiente et son partenaire. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à une fille de 2900 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif néanmoins la patiente est avertie du risque de grossesse en absence de contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 35 ans, 4G 0P, admise en salle d'accouchement le 04.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes le jour même à 01h30. Au vu d'une absence de mise en travail, elle bénéficie d'une provocation par Propess le 04.01.2018 ainsi que d'une antibioprophylaxie par Clamoxyl. Après une dilatation rapide, elle accouche par voie basse avec une instrumentation par ventouse métallique, pour CTG pathologique en phase expulsive. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Les suites post-partales sont compliquées d'un état fébrile fluctuant jusqu'à 39.3°C à J3 post-AVB sans signe infectieux. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularité. La patiente ne se plaint ni de diarrhée, ni de dysurie, ni de symptômes grippaux. À l'examen clinique, le ventre se montre souple et indolore, le toucher vaginal est indolore. La cicatrice de l'EMLD est propre sans signes infectieux. L'échographie endovaginale est normale avec un endomètre fin. Devant ce tableau clinique fluctuant et une rupture prolongée des membranes, nous initions une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour suspicion d'endométrite. La patiente a également signalé une légère douleur à la hauteur du lobe gauche de la glande thyroïdienne, nous effectuons un ultrason cervical qui révèle une glande thyroïdienne de taille augmentée avec de multiples lésions solido-kystiques. Les endocrinologues suspectent une hémorragie intrakystique du lobe gauche de la glande thyroïdienne, ne nécessitant pas une ponction. La patiente sera convoquée en endocrinologie en ambulatoire fin avril 2018. Après 24 heures d'antibiothérapie intraveineuse, la patiente reste afébrile. Au vu de l'absence d'argument immédiat pour une endométrite, l'antibiothérapie est stoppée après avis infectiologique. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 35 ans, 4G2P, admise en salle d'accouchement le 29.12.2017 en vue d'une césarienne élective. L'intervention se déroule sans complication. La patiente donne naissance à une petite fille, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne souhaite pas de contraception à sa sortie. Elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.01.2018, en bon état général. Patiente de 36 ans, à 37 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour une pré-éclampsie sévère. À son arrivée, elle présente des céphalées et une douleur au flanc droit avec une protéinurie positive. Le bilan de gestose montre une thrombopénie sévère à 66 G/L et une cytolyse hépatique modérée à 2 x la norme. Nous la mettons sous sulfate de magnésium IV et le travail est déclenché par Misodel le 07.01.2018. Durant la phase de travail, le bilan de gestose se dégrade, les plaquettes diminuent à 54 G/L et la cytolyse hépatique augmente à 4x la norme sans hémolyse. Elle reçoit 2 concentrés plaquettaires avec bonne réponse biologique le 08.01.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par DIU MonaLisa, dans l'attente elle utilisera le préservatif si besoin. La patiente reste asymptomatique pendant le reste de l'hospitalisation avec une amélioration des résultats biologiques hépatiques. Le post-partum est marqué par l'augmentation de la taille d'une masse axillaire droite connue et l'apparition nouvelle tuméfaction au niveau axillaire gauche sans signes inflammatoires locaux. C'est pourquoi, nous organisons une échographie mammaire en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 12.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 36 ans, G4P3, admise en salle d'accouchement pour une provocation pour un diabète gestationnel insulino-requérant le 18.01.2018 par Propess. Un premier Propess est inséré le 18.01.2018 puis un deuxième le 19.01.2018. Devant l'absence de mise en travail malgré les deux Propess, nous poursuivons la provocation par Syntocinon le 20.01.2018 et effectuons une rupture artificielle avec un liquide amniotique clair. Le 21.01.2018 malgré la reprise de provocation par Syntocinon après une pose de 7 heures et un complément de rupture, Mme. Y ne se mettant toujours pas en travail, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 1 pour échec de provocation. L'intervention se déroule sans complications et elle donne naissance à un enfant de sexe féminin pesant 3180 g.Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif versus réflexion concernant la pose d'un stérilet en cuivre. Le cycle des glycémies à J3 revient dans les normes. A noter que l'anémie normocytaire à tendance hypochrome déjà présente avant l'accouchement se péjore légèrement, atteignant des valeurs à 99 g/l et posant l'indication à une substitution par Maltofer pour une durée de 3 mois. Autour de la situation sociale précaire de la patiente (sans permis en Suisse et sans contact avec le géniteur), un réseau social est organisé et un domicile temporaire chez un ami est mis en place. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 36 ans, G7P2, hospitalisée dans notre service de gynécologie pour un curetage évacuateur programmé à la suite d'une grossesse arrêtée à 6 5/7 semaines d'aménorrhée. Nous réalisons un curetage évacuateur sous anesthésie générale le 09.01.2018 avec envoi du matériel en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires immédiates sont simples et afébriles. A noter, des tensions artérielles à tendance basse, asymptomatiques, qui indiquent pour un remplissage de 1500 mL de NaCl en post-opératoire. La patiente bénéficie d'une contraception par Cérrazette à sa sortie. Elle rentre au domicile le 09.01.2018 et sera revue en consultation de contrôle dans 4 semaines. Patiente de 36 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 05.01.2018 pour une mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, le travail est soutenu par Syntocinon et elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par DIU, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018 en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 36 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 35 4/7 semaines d'aménorrhée. Madame Dousse a été admise en salle d'accouchement le 18.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes. Devant un streptocoque B non connu, la patiente est mise sous Clamoxyl. En l'absence de mise en travail spontanée après 12 h de rupture, nous provoquons la patiente avec du Propess le 19.01.2018. Le 20.01.2018, le 21.01.2018, devant l'absence de mise en travail, nous commençons le Syntocinon. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 2660 g de bonne adaptation néonatale. Le post-partum immédiat se complique d'une hémorragie de la délivrance sur rétention de cotylédon, nécessitant une révision des 3 étages au bloc opératoire, perfusion de Syntocinon 20 unités en per opératoire, 1 g de Cyklokapron, 1 g de fibrinogène et 20 unités de Syntocinon sur 4 h en post-opératoire, permettant une maîtrise de l'hémorragie. L'hémoglobine de contrôle s'élève à 94 g/l après transfusion d'un concentré érythrocytaire. Une substitution par Maltofer est introduite pour une durée de 3 mois. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet en cuivre versus préservatif, en effet, la patiente déclinant toute proposition de contraception à base d'hormones. A noter qu'au vu de la mutation connue du FV de Leiden, une anticoagulation par Clexane est à reprendre pour une durée minimale de 6 semaines. Aucune thrombocytopénie n'est à objectiver cliniquement ou au laboratoire à la sortie de la patiente. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 26.01.2018 en bon état général avec son bébé et sera revue en consultation post-partum dans 6 semaines. Patiente de 36 ans, 2G devenue 2P à 38 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 19.01.2018 pour une provocation par Misodel dans le cadre d'une cholestase gravidique mise en évidence au laboratoire. Le Misodel est inséré le 20.01.2018. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 2940 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles avec disparition du prurit. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif. En effet, au vu de la difficulté à tomber enceinte, la patiente ne souhaite pour le moment pas d'autre moyen de contraception et en rediscutera si besoin avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 23.01.2018, en bon état général avec son bébé et sera revue en consultation post-partum dans 6 semaines. Patiente de 36 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement pour une provocation pour suspicion de macrosomie avec un poids foetal estimé à 4000 g. Provoquée par Misodel le 23.12.2017. Travail soutenu par Syntocinon. À dilatation complète et pour non-progression de présentation, on pose l'indication à une césarienne. L'intervention se déroule sans complication. Naissance d'un garçon de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie du post-partum traitée par Maltofer 100 mg une fois par jour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.12.2017, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 36 ans, 5G2P, admise en salle d'accouchement le 27.12.2017 en vue d'une césarienne élective bi-itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3310 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.12.2017, en bon état général. Patiente de 36 ans, 8G1P, admise en salle d'accouchement le 05.01.2018 en vue d'une césarienne élective pour utérus cicatriciel. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à un enfant de sexe masculin pesant 3940 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 37 ans, admise en salle d'accouchement le 26.01.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie d'une provocation par Synthocinon. Elle se met en travail et donne naissance à une fille de 4170 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par DIU, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.01.2018 en bon état général. Mme. Y, 37 ans, enceinte de 12 semaines, admise pour une hypokaliémie à 2.6 mmol/l dans un contexte d'hyperémesis gravidique. La patiente présente depuis plus d'un mois une fatigue avec une baisse d'état général. Depuis 1 semaine, elle décrit des vomissements intenses quotidiens ne cédant pas malgré le traitement antiémétique prescrit par le gynécologue traitant. Elle a consulté chez son gynécologue le 19.01.2018 qui a majoré le traitement et lui a conseillé de consulter aux urgences en cas de persistances sur le weekend. Au vu de la persistance de la symptomatologie, la patiente a consulté ce jour aux urgences et a été hospitalisée en gynécologie où ils mettent en évidence une hypokaliémie à 2.6 mmol/l, raison de son admission dans notre service. Nous substituons les troubles électrolytiques de la patiente, permettant une correction de la kaliémie à 3.3 mmol/l. Nous vous laissons le soin de poursuivre la substitution à l'étage. Pour l'hyperémesis gravidique, une hydratation avec traitement antiémétique et Thiamine est mise en place. La surveillance se déroule sans complications. La patiente remonte à l'étage de gynécologie pour la suite de la prise en charge le 21.01.2018. Mme. Y, 37 ans, opérée le 03.01.2018 dans le cadre d'un bilan d'infertilité secondaire. L'hystéroscopie se déroule sans particularité, la laparoscopie révèle une ventro-fixation de l'utérus avec des trompes perméables. Les suites opératoires sont simples et afébriles. La patiente peut regagner son domicile le jour même. Mme. Y, 37 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement dans un contexte de déclenchement d'accouchement après une interruption thérapeutique d'une grossesse spontanée pour syndrome de microduplication 22q11.21 de Novo. Le diagnostic a été posé suite à la mise en évidence d'une clarté nucale augmentée à 3 mm lors de l'ultrason du 1er trimestre, ainsi qu'un test de dépistage du premier trimestre pathologique à 1/32. Dans ce contexte, une amniocentèse avait été réalisée le 16.11.2017, qui montrait la présence de duplication de 2,5Mb, variante correspondant à une duplication récurrente du syndrome microduplicationnel 22q11.2. Selon les données de la littérature, la signification clinique de ce variant est pathogénique et corrélée à 75% à des retards mentaux ou des troubles de développement psychiatrique. Après discussion entre le couple ainsi qu'une équipe multidisciplinaire, le couple prend la décision d'interrompre la grossesse. La patiente bénéficie d'un foeticide par injection intracardiaque de Xylocaine et administration de 3 comprimés de Mifegyne le 15.01.2018 avec contrôle échographique confirmant l'asystolie cardiaque du fœtus. Nous déclenchons l'accouchement le 17.01.2018 par Cytotec après pose de la péridurale. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse spontanée à un enfant de sexe masculin, pesant 710 g, mort-né. À noter que le couple a pu voir l'enfant. À noter que la patiente et son conjoint ne souhaitent pas envoyer le placenta ou le fœtus en analyse cytogénétique. Le couple récupère le corps de l'enfant par l'intermédiaire des pompes funèbres et une incinération aura lieu. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement est sevré par Dostinex per os en dosage unique. La contraception future se fera par Elyfem 20 mg à débuter à 21 jours post-accouchement, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 18.01.2018, en bon état général et sera revue à votre consultation pour un contrôle du post-partum dans 6 semaines. Mme. Y, 37 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement après rupture prématurée des membranes le 27.12.2017 à 11h30, avec émission de liquide clair. Nous optons pour une attitude expectative et introduisons une antibioprophylaxie par Clamoxyl au vu du syndrome inflammatoire mis en évidence par le bilan biologique. Le travail débute spontanément 10h post-rupture, avec une dilatation harmonieuse, la patiente accouche spontanément dans l'eau. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception n'est pas souhaitée par la patiente à sa sortie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.12.2017, en bon état général. Mme. Y, 37 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 27.12.2017 pour rupture spontanée des membranes. Nous soutenons le travail par Syntocinon, la dilatation est harmonieuse et elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3780 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par DIU, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.12.2017, en bon état général. Mme. Y, 37 ans, 3G0P, admise en salle d'accouchement le 04.01.2018 se présente pour contrôle CTG et bilan de gestose. Nous l'hospitalisons pour suspicion de PE, et lançons une protéinurie des 24 heures. La protéinurie des 24 heures revenant positive, nous annonçons une césarienne en urgence pour prééclampsie modérée. La césarienne se déroule sans complications. Les tensions artérielles étant élevées, nous initions un traitement antihypertenseur par Trandate. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente développe pendant l'hospitalisation une dyspnée stade NYHA II-III et mentionne une toux nouvelle, non productive, avec douleurs à la toux au niveau trachéal. Après consilium par la médecine interne, nous effectuons une radiographie thoracique qui ne montre pas de foyer infectieux, puis un CT thoracique qui exclut une embolie pulmonaire. La patiente étant connue pour un asthme, nous traitons la patiente par des aérosols d'Atrovent et Ventolin. Par la suite, nous notons une amélioration de la clinique. La patiente se plaint également d'un prurit généralisé sans lésions visibles au niveau de la peau ayant débuté peu avant l'accouchement, répondant au Xyzal. Les transaminases étant légèrement élevées, nous suspectons une cholestase hépatique. La patiente devient asymptomatique sous Xyzal. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec ses bébés le 11.01.2018, en bon état général. Mme. Y, 37 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 05.01.2018 pour une césarienne élective bi-itérative pour utérus cicatriciel. L'intervention se déroule sans complications, les pertes sanguines sont estimées à 200 ml.Elle donne naissance à un enfant de sexe féminin, pesant 3630 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par un Mirena, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 37 ans, 4G devenue 4P à 38 1/7 semaines d'aménorrhée après un accouchement par voie basse spontanée. Elle a été admise en salle d'accouchement pour une provocation pour suspicion de macrosomie. Au vu du col, elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 08.01.2018. La patiente se met en travail, dilate très rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin, pesant 3630 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par un DIU Mirena, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 11.01.2018, en bon état général et sera revue en consultation dans 4 à 6 semaines. Patiente de 37 ans, 8-gestes 4-pares à 38 1/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 16.01.2018 pour une provocation par Propess, dans un contexte de diabète gestationnel insulino-dépendant. Lors de son entrée, il a été mis en évidence une présentation podalique, raison pour laquelle la patiente a bénéficié d'une version manuelle externe sous contrôle échographique le 17.01.2018. Devant la réussite de la version, l'accouchement est provoqué par Propess. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à une fille de 2810 g. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera après réflexion avec le gynécologue traitant (hésitation entre stérilet et stérilisation). Dans l'attente la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 19.01.2018, en bon état général avec son bébé et sera revue en consultation post-partale dans 6 semaines. Patiente de 38 ans, G3 P0, hospitalisée à 30 5/7 semaines d'aménorrhée dans le service de maternité pour un col raccourci à 17 mm sans contractions utérines. Nous procédons à une surveillance hospitalière pendant 48 heures et réalisons une cure de maturation pulmonaire par Celestone le 19 et 20.01.2018. Les CTG montrent un tracé réactif non pathologique sans contractions utérines. Durant son séjour, la patiente reste asymptomatique et le col est contrôlé à 19 mm le 20.01.2018. Elle rentre au domicile le 20.01.2018 et sera revue en consultation dans 2 semaines chez Dr. X. La patiente est avertie de recontrôler avant en cas de contractions utérines, perte de liquide ou de sang. Patiente de 38 ans, 11G1P, à 6 3/7 SA selon DDR (le 25.11.2017), suivie au PMA de Genève, qui vient ce jour pour un contrôle US programmé. Elle a déménagé au canton de Fribourg il y a quelques jours. Elle est venue en urgence le 02.01.2017 pour des saignements et des douleurs suspubiennes et le diagnostic d'une probable grossesse non-évolutive (baisse de la bHCG de 1148 à 938 U/l) a été retenu. Ce jour, elle se plaint toujours de saignements et de douleurs suspubiennes. Au speculum, on voit du matériel de grossesse dans le vagin (envoyé au anapath). À l'US, la cavité est homogène, avec une épaisseur de 14 mm, sans prise de Doppler. On retient le diagnostic d'une fausse couche spontanée précoce. Conseils d'usage donnés. Antalgie en réserve. Si persistance de la symptomatologie, à reconsulter en urgence. Patiente de 38 ans, 2G devenue 2P à 38 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement pour une césarienne élective, dans un contexte de présentation podalique. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à une fille de 3330 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La patiente a bénéficié d'une ligature tubaire lors de l'intervention, réglant ainsi la problématique de la contraception. Au vu d'une anémie normocytaire à tendance hypochrome déjà mise en évidence au laboratoire d'entrée, la patiente bénéficie d'une transfusion de Ferrinject ainsi que d'un traitement per os de Maltofer. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 23.01.2018, en bon état général avec son bébé et sera revue en consultation post-partale dans 6 semaines. Patiente de 38 ans, 6G 1P, à 28 1/7 semaines d'aménorrhée qui se présente en urgence le 05.01.2018 en raison de saignements vaginaux modérés à domicile. À son arrivée la patiente ne présente pas de saignement actif, cliniquement stable, sans contractions utérines au tocogramme. L'échographie obstétricale permet de visualiser un placenta previa recouvrant, sans signe de décollement avec une bonne vitalité fœtale. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée en obstétrique pour maturation pulmonaire et suite de prise en charge. Elle bénéficie d'une injection de Celestone le 05.01.2018 à 07h00 qui se déroule sans complication. La surveillance clinique et CTG reste physiologique. Persistance des métrorragies de faible abondance et des rares contractions utérines. Transfert à l'hôpital de Bern pour absence d'infrastructure de néonatologie adaptée pour cet âge de grossesse à l'HFR. Le transfert se fait par ambulance en service de prénatal à l'Inselspital suite à notre entretien téléphonique avec Dr. X, CDC d'obstétrique. Patiente de 38 ans, 6G1P, à 28 1/7 semaines d'aménorrhée qui se présente en urgence le 05.01.2018 en raison de saignements vaginaux modérés à domicile. À son arrivée la patiente ne présente pas de saignement actif, cliniquement stable, sans contractions utérines au tocogramme. L'échographie obstétricale permet de visualiser la persistance d'un placenta previa recouvrant, sans signe de décollement avec une bonne vitalité fœtale. Dans ce contexte, la patiente est hospitalisée en obstétrique pour maturation pulmonaire et suite de prise en charge. Elle bénéficie d'une injection de Celestone le 05.01.2018 à 7h qui se déroule sans complication. La surveillance clinique et CTG reste physiologique. Transfert à l'hôpital de Bern pour absence d'infrastructure de néonatologie adaptée pour cet âge de grossesse à l'HFR. Le transfert se fait par ambulance en service de prénatal à l'hôpital de Bern suite à notre entretien téléphonique avec CDC Obstétrique Dr. X. Patiente de 39 ans, 3G 1P, admise en salle d'accouchement pour une césarienne élective itérative le 15.01.2018. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à une fille pesant 3790 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement est sevré selon le désir maternel. La contraception future se fera par pilule oestro-progestatif. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif. Le séjour est marqué par un consilium ophtalmologique, le 19.01.18 en raison de l'apparition d'un chalazion au niveau de la paupière supérieure gauche. Un traitement par compresses chaudes et Tobradex ongue est alors initié. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.01.2018, en bon état général et se présentera à 6 semaines post-partum, à votre consultation. • Patiente de 40 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement à 39 1/7 semaines d'aménorrhée le 04.01.2018 pour une rupture prématurée des membranes. Au vu de l'absence de mise en travail, nous débutons une provocation par Syntocinon le 04.01.2018, ainsi qu'une antibioprophylaxie par Clamoxyl. Le Syntocinon est arrêté en raison d'une décélération, puis repris le 04.01.2018 au soir, suivi d'une nouvelle décélération compliquée. Au vu du CTG suspect chez une patiente avec un utérus cicatriciel, l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes est posée en accord avec la patiente. Elle donne naissance à une fille pesant 2860 g, de bonne adaptation néonatale. En per-opératoire, nous mettons en évidence une rupture utérine. Une suture du segment en plusieurs plans est nécessaire, sans lésion de la vessie visualisée en per-opératoire. Dans ce contexte, la patiente bénéficie d'une antibioprophylaxie pour 48 heures par Céfuroxime, ainsi que d'une cystoscopie le 05.01.2018. Celle-ci permet d'objectiver la bonne étanchéité vésicale ainsi qu'un péristaltisme urétéral conservé des deux côtés. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.01.2018 en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 40 ans, 5G 2P, admise en salle d'accouchement le 25.01.2018 en vue d'une césarienne élective bi-itérative pour utérus bi cicatriciel. L’intervention se déroule sans complication. Nous effectuons une ligature tubaire par désir maternel. Elle donne naissance par césarienne à une fille de 2870 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Mise du nouveau-né en pouponnière le 26.01.2018 et pose d'un nouveau bracelet d'identification erroné. Erreur reconnue et rectifiée. Il n'existe aucun doute raisonnable sur l'identité du nouveau-né mais le couple sollicite et demande un test de maternité qui sera réalisé au CHUV dès demain. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.01.2018, en bon état général. • Patiente de 41 ans, 5G 5P, admise en salle d'accouchement le 16.01.2018 mise en travail spontanée à terme +8. Après dilatation complète, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3270 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Actuellement, la patiente utilise le préservatif. Pour son futur, elle opte pour une stérilisation tubaire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. • Patiente de 41 ans, 8G4P, admise en salle d'accouchement le 27.12.2017 en vue d'une césarienne élective bi-itérative. L’intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 3510 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Depo-provera, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.12.2017, en bon état général. • Patiente de 42 ans, à 1 mois d'une hystérectomie avec annexectomie bilatérale (14.12.2017) et connue pour un antécédent de thrombose veineuse profonde en 1997, qui se présente au service des urgences en raison de douleurs latéro-thoraciques droites intenses apparues brutalement le 08.01.2018. Les D-Dimères reviennent positifs à 1580 ng/ml et l'angio-CT thoracique met en évidence de multiples embolies pulmonaires bilatérales lobaires, segmentaires et sous-segmentaires bilatérales avec de petits foyers d'infarctus pulmonaire. Une anticoagulation par Xarelto est initiée. L'évolution est favorable du point de vue des douleurs, chez une patiente hémodynamiquement stable ne présentant pas de complication infectieuse. Concernant la durée de l'anticoagulation, nous préconisons un traitement au long cours en raison du deuxième épisode thrombotique et du faible risque hémorragique. De plus, la patiente nous relate des investigations hématologiques en 2007-2008 après la naissance de son deuxième enfant, dont un des résultats serait à la limite de la norme pour une possible thrombophilie, sans que nous parvenions à obtenir ces résultats auprès de l'Inselspital. Nous laissons le soin à la Dr. X de réévaluer la durée de l'anticoagulation. • Patiente de 42 ans admise pour une intoxication médicamenteuse volontaire le 01.01.2018. Il s'agit d'une patiente connue pour un état dépressif et trouble de la personnalité de type borderline qui consomme le 01.01.2018 vers 19h15, 10 g de Paracétamol, 8 cp de Seresta (15 mg), 2 cp de Stilnox 12.5 mg, 4 cp de Seroquel 600 mg retard, 20 cp de Mydocalm 150 mg et Tramadol 120 gouttes (= 300 mg). Elle ne signale pas d'idées suicidaires mais plutôt avoir consommé ces médicaments dans un contexte d'angoisse en raison du retour de son fils en foyer après les fêtes. Dans ce contexte, elle reçoit du charbon actif aux urgences et un protocole de Fluimucil est débuté. Le taux de paracétamol est infra toxique et le Fluimucil est donc arrêté après quelques heures. L'ECG est normal et ne montre pas de prolongation de l'intervalle QT. La patiente est orientée et collaborante durant la surveillance aux soins intensifs. Un consilium psychiatrique le 02.01.2018 par le Dr. X confirme un risque suicidaire latent ainsi que des difficultés à domicile nécessitant la prise en charge stationnaire. La patiente est transférée le 02.01.2018 à l'hôpital de Marsens sur une base volontaire conditionnelle. • Patiente de 42 ans admise pour une intoxication médicamenteuse volontaire le 01.01.2018. Il s'agit d'une patiente connue pour un état dépressif et trouble de la personnalité de type borderline qui consomme le 01.01.2018 vers 19h15 10 g de Paracétamol, 8 cp de Seresta (15 mg), 2 cp de Stilnox 12.5 mg, 4 cp de Seroquel 600 mg retard, 20 cp de Mydocalm 150 mg et Tramadol 120 gouttes (= 300 mg). Elle ne signale pas d'idées suicidaires mais plutôt avoir consommé ces médicaments dans un contexte d'angoisse en raison du retour de son fils en foyer après les fêtes. Dans ce contexte, elle reçoit du charbon actif aux urgences et un protocole de Fluimucil est débuté. Le taux de paracétamol est infratoxique et le Fluimucil est donc arrêté après quelques heures. L'évolution est...Un avis psychiatrique est demandé le 02.01.2018 Mme. Y, 42 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 30.12.2017 pour provocation pour pré-éclampsie modérée diagnostiquée à l'entrée avec des tensions artérielles à 145/95 en moyenne, protéinurie positive à 0.077 g/mmol. Nous provoquons le travail par Syntocinon à la suite d'une rupture artificielle des membranes après pose de péridurale. La dilatation est harmonieuse et la patiente donne naissance par voie basse à deux garçons pesant 2230 g pour J1 et J2 pesant 1920 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont afébriles. La patiente est cliniquement stable avec une surveillance tensionnelle qui reste rassurante et résolue spontanément sans nécessité de traitement. Le bilan de gestose de contrôle reste aligné. La patiente ne désire pas allaiter, elle bénéficie d'un sevrage primaire à l'allaitement avec 1 g de Dostinex. La patiente ne souhaite pas de contraception à sa sortie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 03.01.2018. Les nouveaux-nés restent en néonatologie pour une surveillance supplémentaire. Mme. Y, 42 ans, 6G4P, admise en salle d'accouchement le 29.12.2017 en vue d'une césarienne élective tri-itérative. Nous procédons à une hystérotomie corporelle haute. Est réalisée une stérilisation tubaire en cours de césarienne. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.01.2018, en bon état général. Mme. Y, 45 ans, admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur pneumonie le 29.12.2017. Il s'agit d'une patiente qui présente depuis une semaine une baisse de l'état général avec myalgies, arthralgies et depuis 2 jours une toux avec dyspnée en aggravation qui consulte aux urgences le 29.12.2017. À son arrivée, elle est subfébrile et présente une insuffisance respiratoire hypoxémique sévère. Une pneumonie avec des infiltrats diffus sur toutes les plages pulmonaires est mise en évidence sans identification de germe. Le tableau clinique fait par contre suspecter un germe atypique. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Klacid est débutée et par suspicion de grippe on ajoute du Tamiflu, qui est arrêté suite à une PCR de grippe négative. Un relais par Lévofloxacine est fait après évolution favorable du syndrome inflammatoire. Au plan respiratoire, elle bénéficie d'un soutien par VNI, oxygène en haut débit et bronchodilatateurs. L'évolution est lentement favorable avec amélioration de l'oxygénation, permettant au moment de son transfert un soutien par 4 L d'O2 aux lunettes. Une continuation de physiothérapie respiratoire est indiquée. Un traitement par diurétiques est initié pour améliorer le status respiratoire. Au vu d'une insuffisance rénale, ce traitement est temporairement mis en suspens et sera à reprendre selon l'évolution clinique. On suspecte à l'échographie cardiaque ciblée une hypertension pulmonaire qui sera à réévaluer avec une échocardiographie transthoracique par nos collègues de cardiologie. Un bilan pneumologique sera également à organiser. Elle est transférée le 03.01.2018 en médecine pour suite de prise en charge. Mme. Y, 45 ans, connue depuis septembre 2017 pour un méningiome calcifié ptérional gauche s'étant manifesté par des céphalées occipitales droites et une photophobie. La craniotomie avec excérèse complète se déroule sans complication. La surveillance post-opératoire aux soins intensifs est sans particularité. L'antalgie est assurée par anti-inflammatoire et Oxycontin. Mme. Y, 45 ans, 2G 2P (ATCD de 2 césariennes), ayant subi une hystérectomie avec salpingectomie bilatérale le 19.01.2018 à la clinique générale, consulte le 28.01.2018 en urgence pour de fortes douleurs à 9/10 avec fièvre à 39.5 °C et frissons. La patiente explique avoir bénéficié le 21.01.2018 d'un CT abdomino-pelvien pour les douleurs qui retrouvait une collection rétrovésicale de 9*8 cm. Elle a reconsulté Dr. X le 22, le 24 et le 26 janvier, qui a mis en évidence une diminution de l'hématome. La patiente consulte ce matin pour la fièvre avec les douleurs en augmentation, 2 épisodes de diarrhées sans vomissements. À l'examen clinique : patiente normotendue, tachycarde, avec une fièvre à 38.6 °C. L'abdomen est diffusément douloureux avec défense généralisée. L'examen au speculum montre des pertes brunâtres, la cicatrice est non déhiscente au toucher vaginal. Le bilan réalisé à son entrée retrouve un syndrome inflammatoire avec une CRP à 98 et des GB à 15 G/l. Le scanner met en évidence une collection rétrovésicale de 90*50*65 mm pouvant correspondre à un hématome surinfecté. Dans ce contexte, nous mettons la patiente sous antibiotiques IV et surveillons l'évolution. Au vu de la péjoration clinique et une péjoration du syndrome inflammatoire biologique, nous décidons d'effectuer une laparoscopie. Nous réalisons un drainage de l'hématome et un lavage abondant de la cavité abdominale. L'intervention se déroule sans complications, un redon est mis en place au niveau du Douglas et retiré le 30.01.2018. Devant la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 30.01.2018, en bon état général et sera revue à 10-14 jours post-opératoires. Mme. Y, 45 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 12.01.2018 pour une césarienne élective en raison d'un placenta praevia marginal. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à un garçon, pesant 2910 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par contraceptif oral (Azalia 0.075 mg, J21 après accouchement), dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.01.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Mme. Y, 47 ans, 5G2P, qui a bénéficié d'un curetage évacuateur le 22.12.2017 pour un œuf clair à 8 3/7 SA. Les résultats de l'anatomopathologie permettant d'exclure une grossesse molaire (vous allez recevoir en copie le rapport complet de la part d'Argot Lab), nous n'avons pas besoin de faire un suivi des bêtaHCG selon protocole pour les molles. Le taux des bêtaHCG ce jour revient à 2 U/L. La patiente est toujours asymptomatique et nous signale qu'elle a eu un contrôle chez vous le 24.01.2018, qui était tout à fait rassurant. Nous lui avons proposé de voir avec vous pour la suite de la prise en charge et pour la prise de sang jusqu'à négativation des bêtaHCG. Mme. Y, 48 ans, hospitalisée aux soins intensifs le 07.01.2018 en raison d'une hémorragie digestive haute secondaire à une gastropathie congestive. Elle est initialement amenée en ambulance aux urgences en raison d'hématémèses répétées depuis le 06.01.2017. Connue pour des varices oesophagiennes, elle nous est adressée pour suite de prise en charge dans l'attente d'une OGD en semi-urgence. L'évolution dans notre service est simple, sans récidive hémorragique, ni instabilité hémodynamique. L'OGD du 08.01.17 (Dr. X) montre une seule varice oesophagienne, sans signe de saignement récent. En raison de signes d'hypertension portale, le traitement habituel par Carvedilol est substitué par de l'Indéral. La source hémorragique est attribuée à une gastrite. Un traitement par Pantozol 40 mg 1x/j est à poursuivre. Les traitements par Sandostatine et antibioprophylaxie de Ceftriaxone sont interrompus. Nous vous proposons de compléter le bilan de la cirrhose avec un US abdominal et une AFP sont demandés pour le 09.01.2018. La patiente dit avoir recommencé à consommer de l'alcool en raison des problèmes personnels depuis Noël après une abstinence de quelques semaines. Nous vous laissons le soin d'organiser un suivi psychiatrique dès le 09.01.2018. Au moment du transfert, la patiente est calme et collaborante, sans signe de sevrage éthylique sous benzodiazépines à faibles doses. Patiente de 5 ans amenée aux urgences par sa mère à cause d'un état fébrile depuis 5 jours ainsi que la toux depuis le 28.12.2017. Dès ce soir, la patiente présente une dyspnée et la mère commence le ventolin et puis le Betnesol. La mère décrit une pause respiratoire de 2 sec sans cyanose et sans PC. Status: pulm: râles occasionnels aux deux bases pulmonaires, avec expirium prolongé. Pas de tirage. Après un petit examen clinique au triage et devant l'état stable de la patiente, on consulte transfert aux urgences pédiatriques de l'hôpital cantonal. Patiente de 50 ans, admise aux soins intensifs pour adaptation de l'antalgie post hystérectomie et annexectomie le 16.01.2018 (métrorragies post-ménopausiques avec hyperplasie endométriale et un kyste ovarien droit). L'antalgie est assurée par traitement d'Oxycontin de base et de l'Oxynorm en réserve à doses majorées. Elle bénéficie d'une dose de Lidocaïne 1mg/kg et de Clonidine pendant la première nuit de surveillance, avec un bon effet. Le suivi en division est assuré par l'équipe d'antalgie. L'hémoglobine post-opératoire reste stable à environ 100 g/L. Dans le contexte probablement des troubles psychiatriques sus-mentionnés avec dépendance aux benzodiazépines et consommation de THC, la patiente présente un état d'agitation transitoire avec bonne évolution sous Temesta en réserve et après reprise du traitement psychotrope habituel. La patiente est transférée en gynécologie pour la suite de la prise en charge le 14.01.2018. Patiente de 52 ans connue pour une dystrophie myotonique de Steinert admise pour une surveillance post tumorectomie gauche avec recherche de ganglion sentinelle le 10.01.2017. La patiente est diagnostiquée depuis 11.2017 d'un double carcinome canalaire invasif du sein gauche. Elle est hospitalisée depuis le 09.01.2018 en gynécologie pour une tumorectomie avec recherche de ganglion sentinelle en électif. La surveillance post-opératoire est sans particularité. Les redons sont maintenus en place dans l'attente des collègues de gynécologie. La patiente est transférée en gynécologie le 11.01.2017. Patiente de 52 ans hospitalisée pour un second traitement de radio-iodothérapie. Elle ne présente aucune plainte particulière hormis une faiblesse des membres inférieurs. Cliniquement, elle présente une paraparésie M3 qui est également connue, en lien avec la sclérose en plaques. Nous ne notons aucune complication au cours de l'hospitalisation. La scintigraphie post-traitement ne montre plus les foyers hypercaptants. La patiente rentre à domicile et poursuivra la prise en charge auprès de l'endocrinologue traitant. Patiente de 55 ans, connue pour une BPCO stade IV sous oxygénothérapie nocturne, tabagique active, qui se présente aux urgences en raison d'une dyspnée rapidement progressive depuis le 09.01.2018 motivant plus d'apport en oxygène. Elle décrit aussi une toux avec des expectorations blanchâtres depuis 2 jours. Nausées et brûlures épigastriques depuis le 09.01.2018, mais pas d'état fébrile, pas de vomissements ni de diarrhées. Pas de douleurs thoraciques. Contage de gastro-entérite. À l'examen clinique d'entrée, patiente dyspnéique et tachypnéique. À l'auscultation cardio-vasculaire, B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Sibilances et expirium prolongé des deux côtés. Sur le plan digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. Murphy négatif, pas de masse pulsatile, pas d'organomégalie palpable. Loges rénales souples et indolores. Du point de vue neurologique, patiente collaborante, orientée dans les 3 modes. Pupilles isocores et iso-réactives. Nerfs crâniens grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Mme. Wenker bénéficie d'une prise en charge pour son exacerbation sévère de BPCO par aérosols d'Atrovent et de Ventolin, antibiothérapie de Rocéphine iv et Prednisone 50 mg. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 317 mg/l et des leucocytes à 11.5 G/l. La gazométrie initiale montre une hypoxémie avec pH à 7,39, PO2 à 8.2 kPa, PCO2 à 7.2 kPa et bicarbonate à 32 mmol/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer, mais un petit émoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche. Malgré l'initiation d'une VNI, les gazométries évoluent défavorablement (pH 7,34, PO2 9,3, PCO2 8,0, bicarbonate 32) nécessitant un transfert non intubé aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal par le TEAM-SMUR, avec l'accord du Dr. X. À noter que la gazométrie de 18h a été réalisée sans VNI. Patiente de 55 ans, connue pour une dyslipidémie qui consulte en raison d'épigastralgies apparues hier soir. Depuis le 01.01.2018, elle prend de la Co-Amoxiciline et du Ponstan pour une infection dentaire. Les douleurs sont localisées, non transfixiantes et sont soulagées en position de décubitus latéral. En octobre 2017, elle a eu une consultation chez le Dr. X, cardiologue, pour des douleurs thoraciques avec irradiations dans le bras gauche. Ce dernier a conclu qu'une origine coronarienne à la symptomatologie rapportée était peu probable, puisque la symptomatologie était spontanément résolutive et non reproduite à l'ergométrie. Pas de nausée mais la patiente se fait vomir avec des efforts : vomissements avec traces sanguines. Pas d'état fébrile. Transit avec constipation, mais dernières selles ce matin (Bristol Stool chart type 1). Patiente de 55 ans, hospitalisée aux soins intensifs depuis le 11.01.2018 dans un contexte de décompensation de BPCO. La patiente est connue pour une BPCO stade III sous O2 à domicile. Depuis le 09.11.2017, elle présente une péjoration de sa dyspnée avec augmentation des besoins en oxygène et toux productive, sans fièvre. Elle se plaint également de douleurs épigastriques type brûlure avec un contage de gastroentérite dans la famille. Elle se présente aux urgences de Riaz où de la VNI est rapidement initiée. Une radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer. Un traitement bronchodilatateur, de Prednisone et Ceftriaxone est initié. L'évolution est défavorable avec une hypercapnie progressive, motivant une admission au SI de Fribourg. L'évolution sous VNI intermittente avec poursuite des aérosols, corticothérapie et antibiothérapie pour une durée totale de 5 jours est lentement favorable. Actuellement, elle est compensée avec 2 séances de VNI par jour. La patiente reçoit du Diamox pendant quelques jours en raison d'une compensation métabolique avec des bicarbonates à 40 mmol/L avec un bon effet.Des apnées du sommeil sous VNI sont objectivées pendant son séjour aux soins intensifs. Un bilan pneumologique à distance de l'épisode aigu est à prévoir. • La patiente est transférée à l'étage de médecine le 16.01.2018 pour la suite de la prise en charge. • Patiente de 56 ans admise aux soins intensifs pour une suspicion de NSTEMI. Elle a présenté l'après-midi du 10.01.2018 une oppression thoracique après un effort court (a couru pour attraper un train). L'oppression a duré quelques heures, associée à des nausées et des épisodes de lipothymie. Facteurs de risques cardiovasculaires : ancien tabagisme, stoppé il y a 4 ans. Le bilan d'admission à Tafers ne révèle pas de modification ECG mais une élévation des troponines, motivant son transfert. Les troponines sont à la baisse au laboratoire du 11.01.2018. L'ETT est normale. Une coronarographie ne montre pas de lésion des coronaires, FEVG à 60%. On fait une surveillance post-coronarographie pendant 4h. La patiente rentre à domicile le 11.01.2018. • Patiente de 56 ans admise pour un AVC ischémique aigu des noyaux lenticulaires droit s'étendant au niveau de la capsule externe droite le 15.01.2018. La patiente s'est présentée le 14.01.2018 à l'HFR de Riaz pour des symptômes neurologiques fluctuants avec une dysarthrie et une lourdeur de MSG spontanément résolutif, accompagnée d'une crise hypertensive à 230/140 mmHg. Un CT cérébral a exclu une hémorragie cérébrale et la patiente est rentrée à domicile avec une IRM ambulatoire prévue. Le soir, vers 23 h 00, la patiente et sa fille, ont remarqué une dysarthrie avec une ptose labiale et une parésie du membre supérieur gauche persistante. Elle a consulté chez son médecin traitant le 15.01.2018 qui l'a envoyée aux urgences. L'IRM cérébral des urgences a montré un AVC lenticulaire droit et la patiente nous a été transférée pour une surveillance. L'échographie cardiaque du 16.01.2018 montre une hypertrophie débutante avec une dilatation de l'oreillette gauche. L'examen est sous-optimal pour évaluer un foramen ovale persistant. Un Holter est demandé. Le bilan lipidique montre une hypercholestérolémie pour laquelle un traitement de statines est introduit. La patiente nécessite un traitement de labétalol transitoire pour le contrôle de la tension artérielle, le reste de la surveillance se déroule sans complications. La patiente est transférée à l'étage de médecine pour la suite de la prise en charge le 16.01.2018. Lors du transfert le NIHSS reste à 4 avec une chute de la commissure labiale gauche, une parésie du membre supérieur et inférieur gauche et une légère dysarthrie. • Patiente de 56 ans qui est hospitalisée en électif le 09.01.2018 pour une fermeture de foramen ovale perméable sans complication en péri-procédure. On introduit une double antiagrégation plaquettaire (Aspirine 100 mg 1x/j pour 6 mois et Plavix 75 mg 1x/j pour 3 mois) jusqu'au contrôle échocardiographique de bonne fermeture de FOP dans 6 mois. Nous laissons le soin à son cardiologue traitant d'organiser ce contrôle échocardiographique. La patiente rentre à domicile le 10.01.2018. • Patiente de 56 ans qui est hospitalisée en électif le 09.01.2018 pour une fermeture de foramen ovale perméable sans complication en péri-procédure. On introduit une double antiagrégation plaquettaire (Aspirine 100 mg 1x/j pour 6 mois et Plavix 75 mg 1x/j pour 3 mois) jusqu'au contrôle échocardiographique de bonne fermeture de FOP dans 6 mois. Nous laissons le soin à son cardiologue traitant d'organiser ce contrôle échocardiographique. La patiente rentre à domicile le 10.01.2018. • Patiente de 56 ans 2G2P, qui consulte dans notre service le 18.01 pour des ménorragies depuis environ 2 semaines (une DDR avant cette date remonte au mois d'avril 2017). Nous constatons en ce moment un endomètre épaissi à 25 mm, raison pour laquelle nous effectuons une biopsie par pipelle de Cornier, qui revient positif pour un polype endométrial, sans signes d'hyperplasie ni d'atypies. La patiente est mise sous Duphaston 10 mg x2/jour pendant 10 jours, avec un prochain contrôle prévu après la fin de ce traitement. Elle avance son RDV et reconsulté le 26.01 en signalant la persistance des saignements avec l'apparition d'une douleur crampiforme suspubienne comme une dysménorrhée. Elle dit être fatiguée, elle est toujours hémodynamiquement stable, sans signes ni symptômes d'une anémie. Il n'y a pas de métrorragie active à l'examen du col, nous effectuons un test PAP en ce moment, et nous proposons à la patiente une hystéroscopie diagnostique +/- opératoire (ablation du polype endométrial). La patiente comprend la situation et donne son consentement, l'opération est agendée pour le 09.02.2018. • Patiente de 61 ans admise pour une surveillance après rétablissement de continuité d'un Hartmann en 06.2017 effectué dans un contexte de péritonite stercorale sur perforation sigmoïdienne. Une laparotomie exploratrice avec résection sigmoïdienne selon Hartmann et mise en place d'un laparostome a été effectuée le 08.06.2017 dans un contexte de perforation sigmoïdienne avec péritonite stercorale des 4 quadrants. Une fermeture définitive de la plaie a eu lieu le 22.06.2017. Un rétablissement de continuité avec adhésiolyse a eu lieu en électif le 12.01.2018 sans complications. La surveillance post-opératoire est sans particularité pendant son séjour au SI. L'antalgie est assurée par un cathéter péridural. Sur la nuit, elle a été sous VNI personnelle dans le cadre de son syndrome d'apnée du sommeil appareillé. La patiente est transférée pour la suite de la prise en charge en chirurgie le 13.01.2018. • Patiente de 61 ans connue pour une cardiopathie hypertensive et qui a eu une consultation ambulatoire en cardiologie le 24.01.2018 pour un angor nouveau. L'échocardiographie transthoracique est dans les limites de la norme avec un test d'effort qui est cliniquement positif. Dans ce contexte, une coronarographie en électif est agendée le 29.01.2018. L'examen invasif du jour démontre comme corrélat aux douleurs typiques de la patiente une sténose significative de l'IVA moyenne. Cette lésion a pu être correctement traitée avec un stent actif. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Au niveau médical, on poursuit l'Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie avec introduction de Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois. Le reste du traitement est inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, la patiente rentre à domicile le 30.01.2018. • Patiente de 61 ans, réadmise aux soins intensifs le 09.01.2018 en raison d'une nouvelle décompensation de sa BPCO d'origine infectieuse probable (bronchite). Rentrée à domicile après une première hospitalisation aux soins intensifs puis en médecine interne jusqu'au 05.01.2017, elle se présente aux urgences pour une dyspnée de stade IV en aggravation, associée à une toux non productive récidivante. Elle nous est réadressée depuis les urgences pour VNI et suite de prise en charge. La patiente bénéficie d'une ventilation non invasive devant une insuffisance respiratoire globale. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire, mais des infiltrats discrets para-cardiaques droits pouvant éventuellement évoquer une origine infectieuse. Le frottis de grippe est négatif, des hémocultures sont en cours. Une antibiothérapie par Tavanic est débutée le 09.01.2018 (5 jours prévus au total), avec une évolution rapidement favorable.Une thrombocytopénie idiopathique sévère probablement immuno-allergique (Ceftriaxone) a été mise en évidence depuis le 29.12.17. La patiente a été traitée par Prednisone 1 mg/kg pendant 5 jours (arrêt le 02.01.2018) avec normalisation des valeurs de thrombocytes par la suite. Au laboratoire du 09.01.18, on note une récidive de la thrombopénie à 59 G/l. Un suivi par les hématologues est demandé. Sur avis de ces derniers, la Prednisone est réinstaurée dès le 09.01.2018 à raison d'1 mg/kg/j. L'évolution clinique est rapidement favorable, avec bonne réponse à la VNI et au traitement institué. La patiente est transférée en Médecine Interne le 10.01.17. • Patiente de 62 ans, connue uniquement pour une sclérose en plaques non-traitée, qui a chuté sur une plaque de glace le 25.12.2017. Le bilan radiologique initial ne met pas en évidence de fracture, mais au vu d'importantes douleurs persistantes, un scanner est réalisé le 27.12.2017 qui montre une fracture des branches ilio et ischio-pubiennes droites et une fracture des deux ailerons sacrés avec probable fracture en H endo-placée. Un avis orthopédique est demandé, qui propose une décharge avec mobilisation uniquement en lit fauteuil pendant 6 semaines. Une radiographie de contrôle est réalisée à une semaine qui ne montre pas de déplacement secondaire. Au vu de l'impossibilité de réadaptation dans les premières 6 semaines et l'impossibilité pour la patiente de rentrer à domicile au vu de nombreux escaliers, un séjour à l'UATO est proposé à la patiente et accepté par cette dernière, en attendant de pouvoir bénéficier d'une ré-adaptation après 6 semaines. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 63 ans, connue pour un carcinome pulmonaire diagnostiqué en 2014, actuellement en rémission, qui se présente aux urgences pour une dyspnée et une tachypnée depuis une semaine, aggravées depuis 3 jours, avec une toux grasse. À l'examen clinique, au niveau pulmonaire nous retrouvons des sibilants et des crépitants en base droite. La patiente est fébrile à 38°C, avec une saturation à 85% à l'air ambiant. Nous introduisons une oxygénothérapie et un traitement d'aérosols. La radiographie du thorax laissant suspecter un foyer basal droit, nous débutons un traitement par Rocephine et Klacid. La gazométrie montre un pO2 à 9.3 kPa, sans hypercapnie. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec un CRP à 158 mg/l et une leucocytose à 10.6 G/l. Les hémocultures reviennent négatives, de même que les antigènes urinaires pour Légionelle et Pneumocoques, raison pour laquelle nous stoppons le Klacid et sevrons progressivement l'oxygène, avec une saturation à 90% à l'air ambiant. L'évolution clinique est favorable. La patiente est afébrile, avec une dyspnée en amélioration progressive. L'évolution biologique est également favorable. L'antibiothérapie est relayée par voie orale par de la Co-amoxicilline 2 x 1 g. Mme Y regagne son domicile le 05.01.2018. • Patiente de 64 ans connue pour une HTA et un tabagisme à 20 UPA qui a eu en 12.2017 un premier épisode de douleur thoracique (durant la nuit) avec récidive à l’effort le lendemain (au fitness). Pas de récidive. Consultation cardiologique en 01.2018 et au vu des facteurs de risque cardiovasculaires, une coronarographie est agendée d’emblée le 19.01.2018. L’examen invasif du jour démontre une subocclusion de l'ACD moyenne suivie d'une sténose significative. Ces lésions ont bénéficié de la mise en place de 2 stents actifs et bon résultat final. L’IVA moyenne contient également une sténose intermédiaire. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est normale à 65%. On effectuera une ergométrie dans 3 mois pour évaluer la lésion sur l'IVA moyenne. Au niveau médicamenteux, on poursuit l'Aspirine 100 mg 1x/j à vie avec Efient 10 mg 1x/j pour 6 mois. On introduit une statine et stoppons le Bilol. Le reste du traitement est inchangé. Après une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins continus de cardiologie, le patient rentre à domicile le 19.01.2018. • Patiente de 64 ans connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés qui bénéficie en électif le 09.01.2018 d'une coronarographie pour investigation d'un angor d'effort de novo en quelques semaines. L’examen invasif du jour démontre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose serrée de l'IVA proximale et moyenne. Il est procédé à une angioplastie avec implantation d'un stent actif au niveau de l'IVA proximale et moyenne avec un bon résultat final. Il existe une sténose significative d'une première diagonale de petit calibre qui n’est pas traitée. La fraction d’éjection ventriculaire gauche est à 75%. Au niveau du traitement médicamenteux nous proposons Aspirine 100 mg 1x/j pour 1 mois, Plavix 75 mg 1x/j pour 12 mois et reprise du traitement habituel de Sintrom dès le 10.01.2018 pour une durée indéterminée. On intensifie aussi le traitement antihypertenseur avec notamment introduction d’un traitement bêtabloquant. On propose un contrôle dans 1 mois chez Dr. X (cardiologue traitant). Après une surveillance rythmique et hémodynamique sans particularité aux soins continus de cardiologie, la patiente rentre à domicile le 10.01.2018. • Patiente de 64 ans connue pour les antécédents sous mentionnés et notamment pour syndrome de Sjögren et cardiopathie ischémique avec stent coronarien en 2005. Présente depuis 3 jours des douleurs progressives abdominales et para-lombaires, apparition brutale suite à un faux mouvement dans le lit, avec la douleur qui s'est péjorée progressivement durant les 72 h suivantes avec migration au niveau des deux flancs et des deux loges rénales. A consulté son médecin traitant ce jour qui lui a prescrit une antalgie par co-dafalgan. La patiente est traitée par la Prednisone 5 mg (dans le contexte des arthralgies généralisées). À noter également une constipation depuis 3 jours avec au statut une sensibilité au flanc gauche chez la patiente connue pour une diverticulose sigmoïdienne. Un CT abdominal ne montre pas d'iléus, par contre un tassement du plateau supérieur du D9 d'allure ancienne et la patiente reste hospitalisée pour la gestion de l'antalgie. Mme. Sciboz bénéficie d'une physio-antalgie et d'une antalgie du troisième palier. Au vu d'une antalgie inefficace le troisième jour de son séjour chez nous, une radiographie de la colonne dorsale a été effectuée qui montre une vertèbre D9 stable par rapport au CT à l'entrée, nous majorons le traitement par les opiacés avec une bonne gestion des douleurs par la suite. Un bilan des connectivités confirme la sérologie pour la maladie de Sjögren et l'électrophorèse des protéines écarte un possible myélome multiple.En ce qui concerne la constipation, elle a été traitée avec succès par les laxatifs. Sur le plan rénal, la patiente est connue pour des antécédents de l'atteinte rénale dans le cadre de la maladie de Sjögren. Un sédiment urinaire révèle des érythrocytes glomérulaires avec une fonction rénale conservée. Nous effectuons la récolte des urines en 24h qui ne montre pas de protéinurie significative et un sédiment urinaire de contrôle ne montre plus d'érythrocytes glomérulaires avec une fonction rénale qui reste toujours stable. L'antalgie a été gérée par le Targin et Oxynorm en R. La patiente part à domicile avec le même traitement. Nous vous laissons le soin de diminuer l'antalgie dès que possible. En ce qui concerne son ostéoporose fracturaire, nous vous proposons de consolider son traitement qui a été effectué dans le passé par Forsteo, pas un biphosphonate. Mme. Y peut rentrer à domicile le 26.01.2018 avec les aides à domicile. Patiente de 64 ans, connue pour un Ca pulmonaire composite (petites cellules, épidermoïde) du lobe supérieur gauche (suivi par Dr. X, dernière chimio terminée le 05.01.2018), une fibrose pulmonaire et une hépatite C (suivie par Dr. Y). Depuis mercredi passé, elle présente une toux sèche initialement pour laquelle il lui a été prescrit du Ventolin en réserve. Par la suite, elle présente des expectorations verdâtres. Rhinite claire sans odynodysphagie. Elle consulte ce jour car elle présente un EF sans frissons à domicile. Aux urgences, la patiente est hémodynamiquement stable, cliniquement présente une suspicion de pneumonie qui a été confirmée également au radio du thorax. La formule sanguine complète est difficilement interprétable à cause de la stimulation des leucocytes lors de sa dernière chimiothérapie. Elle présente un léger syndrome inflammatoire avec la CRP à 25. Au vu de ce contexte, la patiente est mise sous Pipéracilline-tazobactam avec une réception de frottis pour la grippe et RSV négative. Les antigènes de Pneumocoque et Legionella reviennent négatifs. Elle bénéficie également d'un traitement par la Prednisone pendant 5 jours, vu la suspicion d'une décompensation de sa BPCO ou de sa fibrose pulmonaire. Les hémocultures prélevées aux urgences restent stériles par la suite. Lors de son séjour chez nous, la patiente reste stable et évolue favorablement cliniquement. Elle présente également un épisode d'état subfébrile mais avec une bonne évolution biologique et une CRP qui est à moins de 5 mg/l à sa sortie. Pour le reste du bilan biologique, la patiente présente une anémie normochrome macrocytaire à 96 g/l, hyporégénératif, d'origine mixte, inflammatoire et dans le cadre de myélotoxicité sous chimiothérapie. Elle présente également un déficit en acide folique qui a été substitué pour un mois. Au niveau des électrolytes, une hypophosphatémie a été substituée avec succès et une hypomagnésémie persiste et elle part à domicile avec la substitution orale du Mg. Sur le plan émotionnel, la patiente présente sur plusieurs reprises des angoisses qu'elle met en lien avec la situation actuelle. Elle a un suivi par le service de psycho-oncologie et gère ses angoisses par la prise de Temesta, ce qui marche bien pour le moment. Elle va continuer le même traitement également pour la suite. Mme. Y rentre à domicile le 16.01.2018. Elle est convoquée au C4 pour un contrôle biologique le 19.01.2018. Patiente de 65 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire avec multiples métastases cérébrales, qui est amenée en ambulance le 16.01.2018 à la permanence en raison de douleurs à 10/10 au niveau thoracique droit (au-dessus du sein), respiro-dépendantes, d'apparition soudaine alors qu'elle saluait son médecin traitant. À noter la présence d'une toux productive s'étant aggravée ces 5 derniers jours selon les enfants. Au status, on retrouve des râles grossiers dans le lobe pulmonaire droit, avec palpation costale droite douloureuse. À noter que la palpation des hypochondres est également douloureuse. Le reste du status est sans particularité. En raison des fortes douleurs et du contexte oncologique, la patiente est hospitalisée le 16.01.2018 pour antalgie, antibiothérapie et prise en charge palliative avec pour but un retour à domicile. Une radio du thorax démontre une diminution de la transparence du lobe inférieur droit. Nous effectuons un CT thoracique qui exclut une embolie pulmonaire et démontre un infiltrat pouvant être une pneumonie (entre autres). Selon la clinique et les résultats laboratoires, nous suspectons une pneumonie basale droite et la traitons par Rocephine et Klacid dès le 16.01.2018. Patiente de 65 ans, connue pour un carcinome mammaire droit du quadrant supérolatéral de type invasif NST bifocal, cT1c pN1 cM0, stade IIA, actuellement sous chimiothérapie adjuvante par Taxotere avec une dernière cure le 03.01.2018, qui consulte les urgences en raison d'une baisse de l'état général et d'un état fébrile à 39°C le 08.01.2018. Elle décrit une douleur au genou droit, au niveau de la prothèse droite mise en place il y a 2 ans par Dr. X à Vevey, déclenchée surtout à la mobilisation. La patiente est également connue pour une polyneuropathie sensitive de grade 1 à 2 au niveau des mains et des pieds, sous Taxol, exacerbée depuis les cures de chimiothérapie. À l'examen clinique d'entrée, la patiente est fébrile à 38.2°, tachycarde à 128 bpm, hypertendue à 190/85 mmHg. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme. Pas de souffle audible. Les status abdominal et uro-génital sont sans particularité. Sur le plan ostéo-articulaire, le genou droit est chaud, légèrement œdématié, sans rougeur. Signe de flot positif, signe du glaçon négatif, genou douloureux au piston, pas à la mobilité et à la flexion. Au niveau cutané, le PAC est en place, sans signes inflammatoires, indolore. Aux urgences, la patiente présente des frissons. Nous effectuons 2 paires d'hémocultures en périphérie et 1 paire par le PAC. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire, avec une CRP à 179 mg/l, sans leucocytose. Le sédiment urinaire montre une infection urinaire avec nitrites positifs et hématurie microscopique. Nous prélevons un urotube et concluons à une infection urinaire haute et débutons un traitement par Rocephine 2 g iv. La radiographie du genou droit montre une prothèse en place avec un petit épanchement articulaire. Au vu de la bonne mobilité du genou, une arthrite septique est peu probable. Pour une hypokaliémie à 2.9 mmol/l, la patiente bénéficie d'une substitution par 40 mEq de KCl/24 heures. Les hémocultures par la périphérie et le PAC du 09.01.2018 reviennent positives pour un Staphylococcus aureus. Nous retenons comme porte d'entrée probable le PAC, raison pour laquelle, d'entente avec Dr. X, infectiologue, l'oncologue et le chirurgien, ce dernier est retiré le 10.01.2018. Le genou droit, ayant bénéficié d'une prothèse totale en 2016, reste chaud et douloureux, raison pour laquelle Dr. Y, orthopédiste, pratique une ponction au bloc opératoire le 10.01.2018, avec comme conclusion une surinfection dans le cadre d'un sepsis à staphylocoques dorés, confirmée par la bactériologie. Sur avis de Dr. X, infectiologue, une antibiothérapie par Floxapen 2 g iv - 6 x/jour est débutée le 12.01.2018.Le 12.01.2018, Mme. Saile est transférée dans le service d'orthopédie de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour la suite de la prise en charge. Patiente de 66 ans admise aux soins intensifs suite à un traumatisme crânien avec fracture crânienne occipitale G et des hémorragies sous arachnoïdienne frontale droite dans le contexte d'une alcoolisation aiguë et d'une possible intoxication à la Codéine. Le 27.01.2018, la patiente fait une chute mécanique objectivée par son époux avec réception occipitale. Elle est amenée aux urgences en ambulance. Un CT cérébral montre une fracture crânienne occipitale G avec de petites hémorragies sous arachnoïdiennes frontales droite. À l'admission, la patiente présente une alcoolémie à 2,22 pour mille. Un état d'agitation transitoire nécessite l'administration d'Haldol et de Midazolam. La patiente est admise aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. Mme. Cotting est connue pour une utilisation excessive de Codéine et une ancienne dépendance à l'alcool sevrée en 2013. Un peu anxieuse hier soir, elle aurait pris un flacon de Codéine afin de s'apaiser et ne sait pas dire pourquoi elle a consommé de l'alcool. La patiente est évaluée par nos collègues psychiatres qui ne rapportent pas d'idéation suicidaire et proposent un soutien psychologique après l'hospitalisation que la patiente accepte. La surveillance neurologique est sans particularité, et un scanner de contrôle montre la stabilité des lésions. La patiente est transférée en chirurgie pour suite de la prise en charge. À noter qu'une plaie occipitale D a été suturée aux urgences le 27.01.2018. Patiente de 67 ans, admise aux soins intensifs en raison d'une hyponatrémie sévère et symptomatique le 08.01.2018. Mme. Lambelet, patiente connue pour des troubles anxieux traités, est retrouvée par son mari à 10h45 le 08.01.2018 au sol, aphasique, avec dernière preuve de bonne santé à 9h20. Ce dernier rapporte de plus que la patiente boit plus de 4l d'eau par jour depuis en tout cas plusieurs mois. Un CT cérébral ne montre pas d'AVC constitué ou de saignement intra-crânien, les cartes de perfusion ne sont pas réalisées au vu de l'état d'agitation de la patiente et de l'absence de latéralisation et d'aphasie par la suite. Une hyponatrémie sévère est mise en évidence et la patiente est hospitalisée aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge. Le trouble de l'état de conscience initial avec aphasie de la patiente est attribué en premier lieu à une crise comitiale isolée avec phase post-critique survenant dans le contexte de l'hyponatrémie. Ce diagnostic est suspecté sur la base de l'évolution clinique favorable avant correction significative de la natrémie et du lactate élevé à la gazométrie d'admission. L'hyponatrémie hypo-osmolaire présentée par la patiente est probablement d'origine multifactorielle avec une composante de potomanie et de SIADH médicamenteux (traitements psychotropes). Une restriction hydrique est introduite et les médicaments habituels mis en suspens. Au vu d'une correction initiale rapide survenant dans un contexte de polyurie initiale, la patiente bénéficie également de remplissage de G5% et d'une dose unique de Minirin le 08.01.2018. Au vu d'une évolution favorable sur le plan clinique et biologique, elle est transférée à l'étage le 09.01.2018. Patiente de 67 ans, connue pour un glioblastome multiforme WHO de grade IV au niveau pariétal gauche diagnostiqué en août 2016, traité par résection totale de la tumeur par craniotomie le 05.09.2016, qui consulte en raison d'un trouble de la marche avec pertes de l'équilibre depuis un mois, ainsi que trouble du langage. Actuellement, elle est suivie par Dr. X, oncologue, avec une dernière consultation en mai 2017. À l'examen clinique d'entrée, la patiente est désorientée dans le temps, elle présente une paralysie faciale centrale avec une force diminuée de l'hémicorps droit. Les réflexes sont normovifs et symétriques. Aphasie de type Broca, avec trouble du langage important. Mme. Folly est hospitalisée en médecine. Une IRM du neurocrâne est réalisée le 03.01.2018 qui montre une évolution tumorale importante avec extension dans l'insula, ainsi qu'une nouvelle lésion dans le thalamus gauche, ce qui explique le tableau clinique actuel. Nous introduisons un traitement de Dexaméthasone à 12 mg/jour, avec une diminution à 8 mg/jour dès le 04.01.2018, afin de diminuer l'œdème cérébral, avec un effet favorable. Au vu du contexte social compliqué chez cette patiente oncologique avec limites thérapeutiques et mise en danger lors des activités de la vie quotidienne, nous proposons la poursuite de la prise en charge aux soins palliatifs. Néanmoins, suite à une discussion avec Dr. X et Dr. X, nous suspendons la demande de prise en charge aux soins palliatifs en raison du refus de la patiente et de la volonté de la fille de tenter un nouveau retour à domicile. Une évaluation neuropsychologique effectuée le 11.01.2018 confirme une absence de capacité de discernement quant au choix du lieu de vie. La patiente refuse d'être soumise à l'évaluation complète malgré le fait que les conséquences de son refus lui aient été expliquées. Mme. Folly quitte notre établissement le 14.01.2018, avec mise en place des soins à domicile à raison d'une fois/jour pour contrôle et préparation de la médication. Les repas ainsi que les courses seront assistés par la fille de la patiente. En cas de nécessité, une hospitalisation aux soins palliatifs pourra être demandée. Patiente de 67 ans, connue pour une BPCO stade IV décompensée, nous est adressée par le service de médecine interne de l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal pour un séjour de réhabilitation palliative considérant la fragilité de sa situation au niveau respiratoire qui rend un retour à domicile très difficile, ainsi que la mise en place d'un réseau adéquat pour la suite. À son entrée, le PPS est estimé à 50% ainsi que l'index de Barthel. Au début du séjour, Mme. Pesenti présente une dyspnée aux efforts minimes malgré le traitement poursuivi des aérosols, oxygénothérapie, corticoïdes, ainsi que des séances de physiothérapie. L'état respiratoire de Mme. Pesenti reste précaire et fluctuante au cours du séjour. Nous mettons en place un traitement en continu par de la morphine que la patiente tolère bien. Le 25.12.2017, lors d'un congé à domicile, la patiente fait un surdosage involontaire se manifestant par une somnolence marquée qui a mis fin au congé. Le 27.12.2017, en raison d'une confusion, nous suspectons une neurotoxicité à la morphine, raison pour laquelle nous relayons par du Fentanyl en continu avec un effet bénéfique. Nous constatons une amélioration et stabilisation de la dyspnée permettant à Mme. Pesenti de se mobiliser avec l'aide d'un rollateur à l'intérieur de notre unité. Nous notons que la dyspnée est aussi péjorée suite aux moments de tension en famille et mettons en place du Nozinan avec une diminution des épisodes de dyspnée aiguë. Le 28.12.2017, nous notons une surinfection pulmonaire pour laquelle nous débutons une antibiothérapie par de la ciprofloxacine pendant 7 jours. Au vu de l'apparition des mêmes symptômes et suite à un consilium auprès des infectiologues, nous reprenons la ciprofloxacine le 12.01.2018 pour une durée de 10 jours. Mme. Pesenti se plaint des douleurs chroniques au niveau du dos dues à une ostéoporose avancée avec multiples tassements dorsaux. Le traitement mis en place pour la dyspnée lui est bénéfique aussi pour les douleurs. Elle réfère une fatigue importante surtout le matin qui s'améliore durant son séjour et que nous attribuons à l'effort respiratoire fait pendant toute la journée. Elle réfère un effet bénéfique de la VNI (essayé lors de la dernière hospitalisation en médecine interne) et qu'elle aimerait mettre en place par la suite, si l'indication se pose. Une polysomnographie serait encore à faire en ambulatoire afin de déceler le besoin. Au vu d'une anxiété aggravée et fluctuante et un traitement par de la venlafaxine depuis plusieurs années, nous suspectons un possible effet paradoxal de la médication, ce qui nous amène à diminuer le dosage à 75 mg tout en expliquant à Mme. Pesenti les raisons des changements auxquels elle est très attentive. Au cours des entretiens avec la patiente et la famille, le premier étant le 21.12.2017, nous travaillons sur l'acceptation de la maladie et remarquons une dynamique familiale compliquée, chargée d'événements lourds. Malgré une communication parfois difficile, la patiente et sa fille réussissent à exprimer leurs émotions. Il ressort de ce colloque l'importance de pouvoir fêter Noël ensemble avec le reste de la famille, ce que nous arrivons à organiser. Lors du dernier entretien familial organisé le 08.01.2018, un nouveau projet pour Mme. Pesenti est établi avec l'accord de toute la famille et la patiente. Il semble qu'un placement dans la région de la Gruyère soit la meilleure solution afin de combler les nouveaux besoins en soins. Voltigo continuera également le suivi et prendra en charge la gestion de la pompe d'opiacés. Une place est disponible dans le foyer de Bouleyres, Mme. Pesenti quitte notre établissement le 16.01.2018 accompagnée de ses filles. Patiente de 67 ans, transférée de l'HFR Fribourg le 03.01.2018 pour réadaptation suite à un abcès dans la loge de cholécystectomie datant du 12.11.2017. Pour rappel, la patiente est connue pour un statut post cholécystectomie pour cholécystite nécrotique et perforée avec péritonite des 4 quadrants le 12.11.2017 avec choc septique secondaire. La patiente était transférée le 11.12.2017 à Meyriez où elle avait accidentellement retiré son drain le 18.12. Par la suite, elle présente un état fébrile et un CT abdominal le 25.12 montre un abcès dans la loge de cholécystectomie, raison pour laquelle elle est transférée à Fribourg pour prise en charge chirurgicale. À son arrivée à Meyriez, la patiente n'a pas de plainte particulière. Les dernières selles datent de l'avant-veille, molles, sans trace de sang. Transit habituel 1x/j. Pas de symptôme urinaire. Elle rapporte une perte de force des 2 MI, sans trouble de la sensibilité selon elle. Au status, patiente orientée dans l'espace et sur sa personne, partiellement désorientée dans le temps, en état général conservé avec mauvaise hygiène. Cardio-pulm sp. Abdo avec cicatrices rouges mais sans chaleur ni tuméfaction. Pansement sur haut de cicatrice de laparotomie propre. Le status neurologique montre des NC 4 à 12 dans la norme, épreuves cérébelleuses ralenties mais accomplies (épreuve doigt-nez et talon-genou, dysdiadococinésie, Romberg tenu). Les ROT des membres supérieurs sont normovifs et symétriques, ROT rotuliens et achilléens absents. La pallesthésie est mesurée à 7/8 sur les MTP1 ddc, 8/8 sur les malléoles internes. Mme. Ackermann est veuve, a 3 filles et vit seule dans une maison à Fribourg avec un accès par des marches sans main courante. Présence de 2-3 marches entre les pièces à vivre et les chambres, poignée au mur. Contexte à domicile difficile avec filles de la patiente qui sont très présentes. La patiente a une montre Télésalarme. Les soins à domicile interviennent 1x/jour. La patiente a besoin d'aide pour ses AVQ et est dépendante pour toutes les IAVQ. La patiente n'avait pas de moyen auxiliaire avant l'hospitalisation et se déplace à l'hôpital à l'aide d'un Tintébin. Le Tinetti à l'entrée est mesuré à 13/28 avec rollator. Durant l'hospitalisation, la patiente demeure sous antibiothérapie par Bactrim et Clindamycine, le drain ayant été ôté le 30.12.2017. Sur demande des infectiologues, l'antibiothérapie qui devait être stoppée le 08.01.2018 est poursuivie et un CT abdominal de contrôle est effectué le 11.01.2018 montrant une péjoration de l'abcès post-opératoire dans la loge de cholécystectomie. Par ailleurs, la patiente ne se plaint d'aucune douleur abdominale pendant l'ensemble du séjour, l'abdomen reste souple et dépressible. La patiente reste afébrile et les cicatrices sont calmes. Au niveau de sa cicatrice abdominale médiane, la patiente est suivie par la stomathérapie avec une bonne évolution de la plaie. Actuellement, la plaie est traitée par Bepanthène 1x/jour sur l'ensemble de la cicatrice. Sur le plan infectiologique, la patiente est isolée pour MRSA. Elle bénéficie d'un traitement par Bactroban et douche par Lifoscrub pendant 5 jours et des frottis de contrôle sont effectués le 12.01.2018 avant son transfert. Les résultats et suite sont à discuter avec l'UPCI. Lors de son transfert, la patiente peut faire les transferts seule, marche avec l'aide d'un Tintébin. La mobilité est limitée de manière significative avec un risque de chute élevé. Au vu des résultats du CT du 11.01.2018 et après contact avec la chirurgie à Fribourg et le Dr. X, la patiente est transférée le 12.01.2018 à l'HFR Fribourg dans le service de chirurgie pour drainage de son abcès abdominal. La patiente ne reçoit pas son traitement le 12.01 hormis le Bactrim et la Clindamycine. Elle est à jeûn depuis le 11.01.2018 à minuit. La dernière dose de Xarelto 20 mg est donnée le 11.01.2018 au matin. Patiente de 68 ans connue pour un adénocarcinome colique avec hémicolectomie en 2015 et dérivation gastro-entérale pour masse récidivante, suivie par Dr. X. Mme. Duc est hospitalisée pour une baisse de l'état général et une mucite généralisée post-dernière chimiothérapie du 20.12.2017. La patiente présente depuis la dernière chimiothérapie des diarrhées aggravées ainsi qu'une inappétence avec perte de poids. La patiente présente des troubles électrolytiques dans le cadre de malnutrition. Nous faisons une substitution des électrolytes par voie veineuse et une mise en sonde nasogastrique pour une nutrition entérale. La patiente évolue favorablement avec un traitement conservateur et symptomatique. Mme. Duc rentre à domicile le 07.01.2018 avec un contrôle avec son oncologue Dr. X le 09.01.2018. Patiente de 68 ans en BSH qui présente des DRS oppressifs à l'effort le 03.01.2018, avec disparition spontanée et réapparition le 05.01.2018, à l'effort, avec irradiation dans la mâchoire et dans le bras gauche. Aujourd'hui, exacerbation de la douleur au repos vers 10h, et elle décide de se rendre aux urgences en raison de la persistance de la douleur. La patiente reçoit une charge en aspirine et Efient aux urgences. La coronarographie montre des sténoses significatives de l'IVA moyenne et de la CD (rapport à pister) traitées par pose de 4 stents actifs. Pendant la coronarographie, la patiente a présenté deux épisodes de bradycardie, raison pour laquelle elle a reçu l'atropine. La patiente est admise au SIC pour surveillance hémodynamique. À l'admission, patiente stable, sans troubles du rythme. L'évolution.Patiente de 68 ans en BSH qui présente un NSTEMI avec des DRS oppressives intermittentes à l'effort depuis le 03.01.18, exacerbées le jour de l'admission où l'on met en évidence des sous-décalages en territoire inférieur et des enzymes cardiaques positives. La coronarographie montre une maladie coronarienne bitronculaire, avec lésion de bifurcation avec sténose significative de l'IVA moyenne englobant l'origine de la 1ère diagonale moyenne, traitée par pose de 2 stents actifs sur l'IVA moyenne. Une sténose significative de l'artère coronaire droite proximale est aussi traitée par pose de 2 stents actifs. La fraction d'éjection est à 40%. Pendant la coronarographie, la patiente a présenté deux épisodes de bradycardie raison pour laquelle elle a reçu de l'atropine. La patiente est admise au SIC pour surveillance hémodynamique et rythmique. À l'admission, patiente cliniquement stable, sans troubles du rythme. Au niveau du point de ponction radial à droite, on met en évidence un hématome de 5-6 cm, patiente asymptomatique, avec bonne perfusion de la main. Pendant son séjour au SIC, l'évolution clinique est favorable, la patiente ne présente pas d'autres épisodes de DRS typiques ni de troubles du rythme. Un traitement avec AAS 100 mg à vie et Efient 10 mg (pendant 12 mois) est à poursuivre. Un traitement avec Lisinopril, Beloc Zok et Atorvastatine est introduit le 11.01.18. Une réadaptation cardiaque à Billens est à prévoir. Un test d'effort sera à organiser dans 2-3 mois. Un contrôle dans 1 mois chez Dr. X est prévu. Patiente de 69 ans admise au SI pour un choc septique d'origine indéterminée. Il s'agit d'une patiente qui se présente aux urgences de Riaz le 29.12.2017 en raison d'une baisse de l'état général, avec inappétence et des épisodes de nausées depuis le 22.12, sans autre plainte spécifique. À l'examen clinique, elle est fébrile et dans un état de choc avec un bilan paraclinique montrant un syndrome inflammatoire important sans foyer infectieux clair. Elle est cultivée et mise sous antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Métronidazole. Elle est transférée aux soins intensifs de Fribourg en raison d'une persistance de l'état de choc avec des besoins en Noradrénaline en augmentation. L'évolution dans les premiers 24h est favorable. Une stabilisation hémodynamique est achevée rapidement après un remplissage vasculaire et la patiente peut être sevrée du soutien d'amines. Les tests hépatiques sont perturbés initialement, mais se normalisent par la suite. Une échographie abdominale met en évidence du sludge dans la vésicule, sans argument pour une cholécystite, ni cholangite. Sous traitement antibiotique, la patiente ne présente plus de fièvre et le syndrome inflammatoire est régressif. Le foyer d'infection reste indéterminé, mais une origine digestive semble la plus probable. Dans le contexte du choc septique, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë, résolutive après la réhydratation intraveineuse. Pendant son séjour, elle présente des épisodes de mélena à répétition ainsi qu'une chute d'hémoglobine, nécessitant la transfusion d'un culot d'érythrocytes. Un traitement par Pantozol est débuté et une gastroscopie est réalisée, montrant une gastrite et une hernie hiatale, sans saignement actif. Une colonoscopie sera à organiser par la suite. Nous constatons également une dénutrition sévère, possiblement dans le contexte de ses troubles dépressifs, avec une hypoalbuminémie sévère et des discrets œdèmes périphériques. Une substitution d'albumine intraveineuse est réalisée et la patiente reçoit des suppléments nutritifs. Nous vous laissons le soin de réaliser un bilan nutritif complet à l'étage. À noter aussi une conjonctivite bactérienne, traitée par des gouttes ophtalmiques de Floxal, ainsi qu'une mycose péri-ombilicale et des plis inguinaux, traitée par Pevaryl. L'évolution clinique favorable permet son transfert à l'étage de médecine pour la suite de prise en charge. Patiente de 69 ans aux antécédents de cancer du sein droit en rémission en mars 2016 et des infections urinaires à répétition, la dernière en fin décembre, a consulté les urgences hier en raison de douleurs pelviennes depuis une semaine par crise à type de colique sans irradiation qui sont en péjoration depuis samedi avec frissons. Notion de constipation avec selles dures tous les 2 jours. Pas de nausées ou vomissements. Dernier contrôle gynécologique en décembre, mais pas d'échographie. La patiente se présentait hier aux urgences avec un état fébrile à 38.3. Le sédiment urinaire de hier montrait la présence de sang, mais pas de leucocytes ni nitrites. Le labo montrait une CRP à 69 et des leucocytes à 15,2. STATUS Patiente en bon état général, bien hydratée, bien perfusée, apyrétique, température à 37. Cardiovasculaire : B1 B2 bien frappés, réguliers sans souffle surajouté. Pas d'OMI. Signe de Homans négatif. Mollets souples. Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique sans râles. Digestif : abdomen souple avec douleur à la palpation en FID et en hypogastre sans défense ni détente. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Murphy négatif, Rovsing négatif. Uro-génital : LRSI. Neurologique : patiente collaborante, orientée dans les 3 modes. Aux urgences, nous effectuons un angio-CT pelvien qui.... Patiente de 70 ans hospitalisée pour une crise d'épilepsie généralisée inaugurale le 11.01.2018. La patiente est retrouvée le 11.01.2018 à 7h15 par son mari au lit avec un trouble de l'état de conscience, une dysarthrie et un hémisyndrome moteur gauche et une perte d'urine. À l'arrivée des ambulanciers, la patiente présente un GCS à 13. La symptomatologie est spontanément résolutive. La patiente est directement adressée aux urgences de Bern pour une suspicion de wake-up stroke. À l'arrivée aux urgences, le NIHSS est à 0. Elle reçoit 100 mg d'Aspirine et une IRM cérébrale est effectuée. L'IRM du 11.01.2018 ne montre pas de lésion, à noter une leucoencéphalopathie diffuse et une suspicion d'hydrocéphalie à pression normale (rapport à pister). Elle nous est adressée pour la suite de la prise en charge. En arrivant aux soins intensifs au HFR Fribourg, elle fait une crise d'épilepsie généralisée tonico-clonique avec morsure de langue et perte d'urine de quelques secondes pour laquelle elle reçoit du Diazepam. Elle présente un état post-critique d'une heure. L'EEG du 11.01.2018 montre un foyer fronto-temporal G>D (rapport à pister). Après avis des neurologues (Dr. X), un traitement de Keppra est mis en place. Une hydrocéphalie à pression normale a été aussi évoquée en raison de l'imagerie cérébrale évocatrice et d'une incontinence urinaire depuis 1.5 ans et trouble de la marche (contexte orthopédique avec fracture du plateau tibial médial droit en 2016). Selon consilium de Neurologie, un bilan neuropsychologique ainsi qu'un test de marche par les physiothérapeutes sont proposés ainsi que de reprendre contact avec neurologues pour évaluer l'intérêt d'une ponction lombaire évacuatrice. Patiente de 71 ans, connue entre autres pour une cardiopathie rythmique ainsi qu'une BPCO non stadée, sans oxygénothérapie à domicile, qui présente une dyspnée rapidement progressive depuis 3-4 jours avec toux sèche sans expectorations et état fébrile. Pas de palpitations. Légères douleurs abdominales et notion de transit altéré chronique.A l'examen clinique d'entrée, TA 143/97 mmHg, fréquence cardiaque 121 bpm, fréquence respiratoire 22/min, saturation O2 89% à l'air ambiant. Patiente en état général diminué, dyspnéique, bien perfusée, sans marbrure ou cyanose, collaborante, orientée. Au niveau cardiaque, B1-B2 bien frappés, rythme irrégulier, sans souffle audible. Pas d'œdème aux membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépatocave. Pouls périphériques palpables. Au niveau pulmonaire, tirage sus-claviculaire, tachypnée >30 bpm, sibilances et souffle tubaire gauches, hypoventilation droite. L'abdomen est souple, dépressible, indolore. Le status neurologique est normal. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec une CRP à 20 mg/l et une leucocytose à 11,8 G/l, ainsi qu'une anémie microcytaire microchrome avec Hb à 93 g/l et une insuffisance rénale probablement pré-rénale avec créatinine à 101 umol/l. La radiographie du thorax suspecte un probable foyer basal droit. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid, et hospitalisons la patiente en médecine. Le lendemain, nous relayons l'antibiothérapie par Co-Amoxi au vu de l'absence d'état fébrile et de la normalisation de la fonction rénale. Les antigènes urinaires pour Pneumocoques et Légionelle reviennent négatifs, ainsi que les hémocultures. Au vu d'une anémie ferriprive, la patiente bénéficie de Ferinject 1 g à deux reprises. Un bilan d'anémie est effectué, et une oesogastroduodénoscopie ainsi qu'une coloscopie sont organisées en ambulatoire pour le 25.01.2018. La patiente référant un épisode de sang vif dans les selles, nous pratiquons un hémato-fécatest qui revient négatif. Le toucher rectal met en évidence des selles, sans contenu sanguinolent macroscopique, avec des hémorroïdes externes non thrombosées. Une évaluation nutritionnelle met en évidence une malnutrition légère qui nécessite 2 unités de traitement et un enseignement pour le retour à domicile. Au vu d'un manque d'amélioration clinique, l'antibiothérapie est passée iv du 30.12.2017 au 03.01.2018 puis nous décidons d'une fenêtre thérapeutique en raison de paramètres inflammatoires en régression et d'une radiographie thoracique dans la norme. Mme Buchmann est vue par le Dr. X, psychiatre de liaison, qui diagnostique un trouble de l'humeur persistant, sans précision. La patiente étant déjà sous antidépresseur, le traitement n'est pas modifié mais un suivi auprès d'un psychiatre en ambulatoire est recommandé. Le reste du séjour hospitalier se déroule sans complication. La patiente reste hémodynamiquement stable, sans oxygénothérapie, afébrile. Mme Buchmann regagne son domicile le 05.01.2018. Des soins à domicile lui sont proposés, qu'elle refuse. Elle se présentera à votre consultation le 10.01.2018 à 14h30. Patiente de 71 ans, connue pour un syndrome obstructif sévère sous oxygénothérapie à domicile 2-3h/jour, ainsi qu'une fibrillation auriculaire permanente non anticoagulée, hospitalisée à deux reprises en 2017 pour des pneumonies, qui se présente aux urgences suite à la péjoration soudaine d'une dyspnée l'ayant réveillée à 5h du matin, évoluant depuis deux jours. Mme Macheret décrit également une toux productive avec des expectorations en augmentation. Un épisode de vomissements il y a deux jours, avec nausées persistantes depuis lors. Pas de trouble du transit ni de symptômes urinaires, pas de douleurs rétrosternales ni d'oppression thoracique. A l'examen clinique d'entrée, la patiente est fébrile à 38°C. Elle présente une insuffisance respiratoire partielle avec désaturation à 78% à l'air ambiant, la saturation se normalise avec une oxygénothérapie de 4 l/min. A l'auscultation pulmonaire, signes d'hypoventilation à la plage pulmonaire gauche avec sibilants à droite et râles crépitants bi-basaux prédominants à droite. Le reste du status est sans particularité. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 192 mg/l et des leucocytes à 16,5 G/l. Nous prélevons des hémocultures, une culture d'expectorations et pratiquons des antigènes urinaires qui reviendront négatifs. L'urotube montre quelques Enterococcus faecium et Staphylococcus epidermidis sans signification clinique. A la radiographie du thorax, on retrouve des épaississements bronchiques diffus bilatéraux avec altérations péri-bronchiques prédominant au niveau basal bilatéral dans un contexte de bronchectasies connues (CT-scanner du 13.08.2017), le tout est compatible avec une broncho-pneumopathie chronique, avec actuellement une discrète péjoration en base D par rapport au comparatif. L'ECG montre un rythme sinusal tachycarde régulier à 134/min. Aux urgences, Mme Macheret est stabilisée avec administration de l'oxygène, des aérosols d'Atrovent et de Ventolin ainsi que 25 mg de Metoprolol per os. La patiente est hospitalisée en médecine, elle bénéficie d'une antibiothérapie avec Rocéphine 2 g iv/jour, associée à un traitement de Prednisone en schéma dégressif et de la physiothérapie respiratoire. L'antibiothérapie parentérale est poursuivie jusqu'au 06.01.2018. Avec ce traitement, l'évolution clinique et biologique est satisfaisante, avec amélioration de la fonction respiratoire. La patiente reste afébrile. Mme Macheret peut regagner son domicile le 08.01.2018. Patiente de 71 ans, institutionnalisée dans un contexte de démence et traitée par MST et AINS dans le cadre d'une polyarthrose, qui est adressée aux urgences en raison d'une baisse de l'état général depuis 1 semaine ainsi que fluctuation de l'état de conscience depuis 48h. Aux urgences, une intoxication aux opiacés sur accumulation de dose a été suspectée chez la patiente au vu d'une IRA AKIN 1, elle a donc été antagonisée par du Naloxone avec une amélioration de l'état de conscience par la suite. Une radio de thorax met en évidence un probable foyer chez la patiente qui présente une toux et un syndrome inflammatoire au laboratoire. Un traitement par ceftriaxone a été mis en place pour une durée de 7 jours. À noter une probable broncho-aspiration le 29.12.2017. Sur le plan néphrologique, l'insuffisance rénale aiguë de stade AKIN 1 est d'origine pré-rénale, et s'améliore rapidement suite à une hydratation avec retour aux valeurs de créatinine habituelles. Nous introduisons néanmoins une perfusion de 1 litre par jour dès le 03.01.18 au vu d'une hydratation orale insuffisante malgré stimulation. Au vu de l'amélioration de la fonction rénale, nous réintroduisons une antalgie prudente par morphine, avec une posologie d'un tiers de sa posologie habituelle, pour éviter le syndrome de sevrage et traiter les douleurs chroniques chez cette patiente constamment algique. À noter un épisode de broncho-aspiration au tout début de son séjour chez nous, sans présentation de l'état fébrile par la suite. Mme Roulin a eu un bilan de déglutition par nos collègues physiothérapeutes qui montre une dysphagie sévère, due à l'état de conscience fluctuant et non compréhension des consignes avec une proposition de l'arrêt de la nutrition per os. Au vu deAu vu de contexte global, nous optons pour un régime mixé-lisse et des boissons épaissies. La patiente doit être bien positionnée, accompagnée lors des repas, cuillère par cuillère. Par la suite, elle ne présente plus d'épisodes de fausse route. Elle bénéficie d'une physio-respiratoire et à la fin de son séjour, elle présente des râles supérieurs persistants. Au cours de l'hospitalisation, la patiente présente de façon durable une somnolence avec dysarthrie, motivant l'arrêt de tous ses traitements neuroleptiques, ce qui permet une légère amélioration de la communication avec Mme. Au vu d'épisodes d'agitation et de désorientation nocturne, nous introduisons un traitement de Distraneurin au coucher ainsi qu'une diminution de MST de 20 mg à 10 mg. Suite à ces adaptations, l'état d'éveil de Mme Roulin reste stable. La patiente rentre avec le même traitement. À noter que la patiente à l'arrivée aux urgences bénéficie d'une mise en place d'une sonde urinaire sans notion de rétention d'urine aiguë. Nous laissons en place la sonde et vous proposons une tentative de sevrage à quelques jours de sa sortie s'il n'y a pas de nouvel état confusionnel. Mme Roulin peut retourner dans son Home le 09.01.2018. Patiente de 72 ans, admise aux soins intensifs le 31.12.2017 en raison d'une BPCO décompensée dans un contexte de grippe à Influenza B. Elle consulte initialement aux urgences de Riaz en raison d'une dyspnée de stade IV rapidement progressive. A adressée d'emblée aux soins intensifs, elle présente une détresse respiratoire en cours de transfert inter-hospitalier, motivant son intubation par le SMUR. À son admission dans notre service, un CT scanner thoracique est réalisé, ce qui permet d'écarter une éventuelle embolie pulmonaire et une dissection aortique. Un frottis naso-pharyngé revient positif pour Influenza B. Le diagnostic de décompensation de BPCO sur grippe B est retenu et Mme Racine est mise sous Oseltamivir. Un traitement antibiotique initialement de Co-amoxicilline puis Ceftriaxone (au vu de la présence d'un E. Coli résistant dans les urines en 2015) est également initié au vu de la sévérité de la décompensation BPCO et d'une suspicion de surinfection bactérienne lors des radiographies de suivi. Une corticothérapie est introduite pour une durée de 5 jours. En raison de difficultés ventilatoires et de tendance à l'air trapping, la patiente est curarisée le premier jour. L'évolution est lentement favorable, elle est extubée le 04.01.2018. Des séances de VNI sont poursuivies jusqu'au 08.01.2018. Un traitement bronchodilatateur de fond est débuté. À l'entrée, on note une acutisation d'origine probablement pré-rénale de son insuffisance rénale chronique, dans le contexte d'un rein unique suite à une néphrectomie droite. Un remplissage vasculaire et un soutien aminergique permettent d'obtenir des diurèses satisfaisantes. La noradrénaline est sevrée le 03.01.2017 et un traitement anti-hypertenseur est progressivement réintroduit. Nous procédons ensuite à une déplétion volémique. La fonction rénale se normalise progressivement. À noter enfin un QT long d'origine indéterminée le 03.01.2018, sans dysélectrolytémie, qui se corrige par la suite. L'évolution étant progressivement favorable, la patiente est transférée à l'étage de médecine le 09.01.2018. Patiente de 72 ans connue pour une BPCO stade IV, carcinome canalaire invasif du sein droit stade initial IA diagnostiqué en 2012, qui a présenté le 28.12.2017 deux épisodes de syncopes avec pour prodrome : chaleur, sensation de vide et nausées lorsqu'elle se trouvait à table avec son mari. Madame mentionne également une baisse de l'état général avec inappétence et déshydratation ainsi qu'une augmentation de la toux avec péjoration de la dyspnée. Du point de vue respiratoire, Madame Grandjean présente une péjoration de sa BPCO stade IV selon Gold avec 3 critères d'Anthonisen sur 3. Les hémocultures reviennent négatives, les cultures d'expectorations montrent quelques gram positifs et les antigènes urinaires pour Légionnelle et pneumocoques reviennent négatifs. Au vu de la dyspnée, un CT thoracique est réalisé mettant en évidence des épaississements bronchiques sans évidence de foyer. Par la même, une embolie pulmonaire est exclue. Nous décidons de traiter la patiente par antibiothérapie par Rocéphine 2 g du 29.12.2017 au 01.01.2018, avec relais par co-amoxicilline du 01.01 au 02.01.2018 ainsi que par Klacid pour deux jours, arrêté dès réception des antigènes urinaires. De même, Madame bénéficie d'une oxygénothérapie ainsi que d'un traitement par aérosols. En cours de séjour, Madame présente une nette diminution de la dyspnée avec un retour à 1.5 L d'oxygène comme à son domicile. Madame Grandjean et son mari refusent une réhabilitation respiratoire en hospitalier mais acceptent une physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Dans la suite de la prise en charge, il est d'abord à noter un remaniement cicatriciel des lobes supérieurs mis en évidence au CT. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle par imagerie à distance de l'hospitalisation si vous le jugez nécessaire. De même, nous recommandons des fonctions pulmonaires à 6-8 semaines afin d'adapter le traitement de la BPCO. Concernant les deux épisodes de syncopes, nous réalisons une échocardiographie transthoracique qui ne met pas en évidence de dyskinésie. Nous demandons un avis cardiologique au Dr. X qui évoque une probable origine vaso-vagale à l'épisode de syncope avec toutefois une proposition de réaliser un Holter afin d'exclure une arythmie cardiaque. Le Holter est réalisé le 04.01.2018. Les résultats vous parviendront dans un second temps. En cours d'hospitalisation, des tensions généralement hautes motivent l'introduction d'un traitement par Adalat. Nous laissons le soin de réévaluer l'indication de ce traitement en ambulatoire. D'un point de vue nutritionnel, nous constatons une patiente en état de malnutrition sévère avec un BMI à 15.89 et un poids inférieur de 8.3 kg à la cible chez cette patiente. Le nutrition risk score est de 5/6. Après évaluation par une nutritionniste, nous décidons d'introduire 2 suppléments nutritifs par jour en plus d'autres adaptations alimentaires détaillées ci-dessus. Une consultation téléphonique de contrôle par un nutritionniste sera effectuée en fin de mois. De même, il est à noter qu'un tassement du plateau supérieur de la vertèbre L1 est mis en évidence au scanner du 28.12.2017. Nous réalisons un bilan phosphocalcique qui revient dans la norme. Une densitométrie osseuse est organisée le 29.01.2018 à l'HFR Fribourg. Après discussion avec Mme Grandjean et son mari, nous organisons un retour à domicile avec soins médicaux à domicile une fois par semaine ainsi que physiothérapie respiratoire à domicile. Patiente de 72 ans, résidante française, connue pour une HTA traitée, qui est hospitalisée le 21.01.2017 dans le cadre d'une poussée hypertensive avec DRS et céphalées frontales. Le bilan étiologique réalisé aux urgences ne retrouve pas d'origine à ce pic hypertensif. La patiente répond favorablement à l'introduction d'un traitement d'Amlodipine en plus de son traitement habituel de Propanolol, avec une diminution des tensions artérielles et une régression des symptômes.Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 22.01.2017. Elle se présentera dès son retour en France chez son médecin traitant pour une adaptation du traitement anti-hypertenseur. À noter également une polyglobulie légère à 163 g/l pour laquelle nous recommandons un contrôle biologique chez le médecin traitant avec, selon les résultats, des investigations ciblées. • Patiente de 73 ans, admise aux soins intensifs le 17.01.2018 en post-opératoire immédiat d'une exérèse élective d'une masse ovarienne. L'intervention est effectuée sous anesthésie péridurale sans complication avec un abord par laparotomie médiane. Les pertes sont estimées au maximum à 1 L, sans anémisation significative. Elle nous est adressée pour suite de prise en charge sous noradrénaline à faibles doses. L'évolution post-opératoire est simple, sans complication ni hémorragique ni respiratoire. Les amines sont sevrées peu de temps après son arrivée dans le service. L'antalgie est parfaitement contrôlée grâce à la péridurale. • Patiente de 74 ans qui est connue pour un syndrome d'apnées/hypopnées de type mixte, à prédominance centrale sur fond d'insuffisance cardiaque avec instauration d'une assistance ventilatoire nocturne depuis juillet 2009. La patiente vient ce jour en hospitalisation élective dans notre laboratoire du sommeil pour le suivi annuel de sa ventilation. La patiente relate une excellente acceptation de son appareil, avec un port quotidien (sauf en cas de symptômes d'IVRS). Elle le porte de 23 h 00 jusqu'à 06 h 00 sans difficulté. Elle ressent une amélioration de sa fatigue ainsi qu'un regain d'énergie depuis l'appareillage. Pas ou peu de fuite, possède un humidificateur. Pas de symptômes d'hypercapnie (pas de céphalées matinales, pas de perte de force, pas d'injection conjonctivales au lever, pas de trouble mnésique ou de la concentration). Absence de symptômes nocturnes à type d'orthopnée ou de DPN. Pas d'hospitalisation depuis notre dernier suivi VNI en janvier 2017. Prochain contrôle chez le Dr X le 15.02.2018. La polygraphie nocturne du 22.01.2018 sous ASV montre une mauvaise prise en charge des événements respiratoires nocturnes avec un IAH résiduel de 31.4/h, pour un IAH au diagnostic de 62.4/h. Les événements sont de type obstructifs, centraux et d'hypopnées. La saturation nocturne quant à elle reste bonne avec une SpO2 moyenne de 93 %. La capnie moyenne nocturne est de 5.91 kPa, à la limite supérieure de la norme. Au vu de la mauvaise prise en charge des événements respiratoires nocturnes, nous préconisons un essai d'appareillage par BiPAP en mode ST, avec réglages ventilatoires suivants : Lumis VPAP 150 ST-A, EPAP 8 cmH2O, IPAP 16 cmH2O, Ti min/max 0.7/1.5, trigger moyen, masque Amara View, taille M. Sous ces réglages, la polygraphie nocturne du 23.01.2018 sous BiPAP en mode ST montre une excellente prise en charge des événements respiratoires nocturnes avec un IAH résiduel à 8.0/h (hypopnées 100 % au nombre de 47). La patiente a bien toléré la nouvelle ventilation, mais a été extrêmement gênée par le bruit déclenché par l'appareil. Elle a essayé de dormir avec des boules Quies, sans succès. Au vu de l'inconfort auditif, la patiente a stoppé la ventilation à 04 h 00 du matin. Nous discutons avec la patiente longuement (bénéfice de la nouvelle ventilation, inconfort auditif, temps d'adaptation nécessaire, etc.) et convenons d'un essai d'appareillage par BiPAP, au vu de l'échec de thérapie par ACS. Mme Y se dit prête à faire des efforts pour s'adapter à cette nouvelle ventilation, essayant de la porter chaque soir au coucher. Nous proposons un suivi clinique avec contrôle ResScan à trois mois au vu des modifications précitées. • Patiente de 74 ans transférée de l'Inselspital pour la suite de prise en charge d'une masse thalamique et mésencéphalique droite opérée le 05.01.2018. Mme Y a été initialement hospitalisée en psychiatrie à Marsens pour un trouble schizo-affectif de type maniaque nouvellement diagnostiqué en décembre 2017. En raison d'une détérioration de la symptomatologie avec une apathie nouvelle et une ataxie gauche, une imagerie cérébrale est réalisée. Cette dernière met en évidence une masse kystique thalamique et mésencéphalique droite. Une craniotomie temporale D avec exérèse partielle (Debulking) est effectuée le 05.01.2018 à l'Inselspital. En post-opératoire, la patiente présente une hémiparésie G à M4 ainsi qu'une héminégligence G chez une patiente connue pour une désorientation avec des hallucinations optiques et visuelles. Elle est transférée le 08.01.2018 au SIC de Fribourg pour suite de la prise en charge. Pendant son séjour au SIC, il n'y a pas de changement de son état neurologique. Un EEG fait le 09.01.2018 ne montre pas d'activité épileptique. Le résultat de l'anatomo-pathologie montre une métastase d'un carcinome à petites cellules. La patiente est transférée à l'étage de Médecine Interne pour suite de prise en charge. Le CT thoraco-abdomino-pelvien effectué le 10.01.2018 dans le cadre de la recherche de tumeur primaire et du bilan d'extension montre une masse au niveau du lobe inférieur gauche. La scintigraphie osseuse du 12.01.2018 ne montre pas de métastases osseuses. Mme Y bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire de neuro-réhabilitation avec physiothérapie, ergothérapie et évaluation par une neuropsychologue menant, dans un premier temps, à une amélioration du point de vue cognitif puis à une stagnation avec persistance d'importants troubles cognitifs et d'une dépendance pour les activités de la vie quotidienne. Étant donné le contexte oncologique ainsi que le pronostic vital, il est décidé, d'un commun accord avec la famille, de viser avant tout une qualité de vie optimale. Dans ce contexte, et après évaluation par le Dr X (oncologue) et le Dr X (radio-oncologue), nous renonçons dans un premier temps à une radiothérapie localisée ainsi qu'à une chimiothérapie afin d'éviter une détérioration au point de vue neurologique et les effets secondaires de la chimiothérapie. La patiente sera réévaluée par le Dr X dans la semaine du 05 au 09 février 2018 (elle prendra contact avec l'équipe de Saint-François afin de fixer un rendez-vous). D'un point de vue oncologique, le Dr X reste à disposition à la demande de la famille. Après nouvelle discussion avec la famille, nous renonçons également à une neuro-rééducation à Billens (projet initial). Un schéma dégressif de dexaméthasone est toujours en cours au moment de la sortie. Nous proposons la poursuite de dexaméthasone 6 mg jusqu'au 02.02.2018 puis 1 semaine supplémentaire à 4 mg. Mme Y est transférée le 29.01.2018 à Saint-François avec, en parallèle, une inscription dans l'EMS de Cottens et de Farvagny. • Patiente de 74 ans, transférée de l'Inselspital pour la suite de prise en charge d'une métastase thalamique et mésencéphalique droite opérée le 05.01.2018. Pour rappel, Mme Y est initialement hospitalisée en psychiatrie à Marsens en raison d'un tableau clinique initialement compatible avec un trouble schizo-affectif de type maniaque nouvellement diagnostiqué en décembre 2017. En raison d'une détérioration de la symptomatologie avec une apathie nouvelle et une ataxie gauche, une imagerie cérébrale est réalisée. Cette dernière met en évidence une masse kystique thalamique et mésencéphalique droite. Elle est alors adressée en neurochirurgie à l'Inselspital où est réalisée une craniotomie temporale D avec exérèse partielle (Debulking) le 05.01.2018.En post-opératoire, la patiente présente une hémiparésie G à M4 ainsi qu'une héminégligence G chez une patiente connue pour une désorientation avec des hallucinations optiques et visuelles. Elle est transférée le 08.01.2018 aux soins intensifs de Fribourg pour suite de la prise en charge d'un état confusionnel hypomane. Pendant son séjour dans notre service, l'état neurologique demeure inchangé. Un EEG effectué le 09.01.17 ne montre pas d'activité épileptique mais un ralentissement à droite (rapport écrit à pister). Le résultat de l'anatomo-pathologie pose le diagnostic de métastase d'un carcinome à petites cellules (rapport à pister). La patiente est transférée à l'étage de médecine interne le jour même pour suite de prise en charge oncologique. Patiente de 75 ans admise aux soins intensifs pour une suspicion d'AVC versus AIT le 28.01.2018. Mme Y consulte les urgences le 28.01.2018 à 05 h 30 pour une perte de sensibilité du MSD et du MID au réveil. La patiente aurait déjà consulté son médecin de famille mercredi 24.01.2018 pour des symptômes similaires régressifs, sans autres investigations particulières. Aux urgences, la patiente présente un NIHSS à 1 (hypoesthésie MSG + MIG). Un CT scan ne met pas en évidence de lésion ischémique ou hémorragique. La patiente est admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique et hémodynamique dans le cadre d'un probable AVC. À l'admission aux soins intensifs, le NIHSS est à 0, laissant ouvert le diagnostic d'AIT. Un IRM ne montre pas de lésions ischémiques et le diagnostic d'AIT thalamique G est retenu. L'Aspirine cardio est substituée par du Clopidogrel sur avis neurologique, et un traitement de statines introduit. Le bilan étiologique habituel est en cours (HbA1c, holter, bilan lipidique). Réalisée dans le cadre du bilan d'AVC, l'échocardiographie montre une insuffisance cardiaque nouvelle avec dysfonction systolique (FEVG estimée à 30%) et une contraction ventriculaire gauche complètement dyssynchrone (BBG). À noter que la patiente présente à l'entrée une hyponatrémie hypo-osmolaire modérée couplée à une hypokaliémie, probablement médicamenteuse sur diurétique. Le diurétique est mis en suspens avec correction par hydratation au Nacl 0.9%. Au vu d'une correction trop rapide, le Nacl est mis en suspens avant la sortie. Nous vous laissons le soin de poursuivre les contrôles rapprochés. Dans ce contexte, la patiente est transférée en médecine interne pour poursuite des investigations cardiologiques et introduction d'un traitement d'insuffisance cardiaque. Patiente de 75 ans, connue pour une hernie discale L4-L5 diagnostiquée durant l'été, qui consulte en raison de lombalgies para-lombaires gauches depuis 3 semaines. Mme Y décrit une douleur au niveau para-lombaire gauche depuis 3 semaines avec irradiation depuis 2 semaines dans toute la jambe gauche, sur la trajectoire L4-L5, avec réveils nocturnes dus à la douleur. Elle se plaint de paresthésies intermittentes au niveau des membres inférieurs, sur le trajet L5, surtout à la marche. La mobilisation est difficile. Pas d'incontinence urinaire ou fécale. À l'examen clinique d'entrée, l'auscultation cardio-vasculaire est dans la norme. Au niveau ostéo-articulaire, la palpation du rachis est indolore, la palpation para-lombaire gauche est douloureuse avec une contracture de la musculature. Douleur sur le territoire L4-L5, paresthésie sur le territoire L5, Lasègue douloureux à gauche avec la jambe à 60°, force M5 aux deux jambes, hypoesthésie localisée au 2ème orteil gauche, toucher-piquer conservé, bonne vascularisation de la jambe. Toucher rectal avec tonus anal conservé et sensibilité péri-anale conservée. Nous hospitalisons la patiente en médecine pour évaluation de l'antalgie et physiothérapie. Malgré le diagnostic de hernie discale au niveau L4-L5 posé en août dernier, la patiente se plaint de douleurs au niveau des dermatomes L5 et S1. Le statut neurologique ne montre pas de déficit sensitivo-moteur. Au vu de douleurs décrites à "12/10" par la patiente, nous instaurons une antalgie par Oxynorm et Oxycontin. En raison de nausées et de vomissements dus aux morphiniques, nous relayons l'antalgie par du Tramal, avec bon effet. Mme Y bénéficie d'une consultation psychiatrique auprès du Dr X, psychiatre de liaison, qui propose l'introduction de Cymbalta pour son effet bénéfique sur le syndrome douloureux. Le 22.12.2017, nous pratiquons une IRM de la colonne lombaire qui met en évidence une hernie discale importante luxée vers le bas de niveau L2-L3 à gauche entrant en conflit avec la racine de L3 et les racines sous-jacentes. Malgré les douleurs importantes, la patiente refuse le Tramal en réserve. Un traitement de Sirdalud 2 mg - 2 x/jour et de Prednisone est instauré du 25.12 au 27.12.2017. Après avis de la Team spine, au vu des douleurs résistantes au traitement, sans déficit sensitivo-moteur, un schéma dégressif de Dexaméthasone est préconisé dès le 28.12.2017, avec un contrôle prévu à leur consultation le 04.01.2018 à 09h45. Mme Y regagne son domicile le 29.12.2017, avec la prescription d'un rollator et la mise en place de soins à domicile 3 x/semaine. Pour l'hypokaliémie asymptomatique, nous débutons une substitution, à poursuivre à domicile pendant une semaine. Patiente de 76 ans, admise aux soins intensifs le 10.01.2017 en raison d'un NSTEMI sur sténose significative de l'artère circonflexe proximale. Elle consulte initialement aux urgences en raison d'un angor typique persistant, sous forme d'oppression thoracique irradiant dans le bras droit et la mâchoire. L'ECG montre des sous-décalages en V3-V4 et les troponines reviennent positives. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. La coronarographie effectuée en urgence montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale traitée par stent actif avec un bon résultat. La fraction d’éjection VG est à 73%. L'évolution post-coronarographie est simple, sans récidive d'angor. Le point de ponction fémoral droit est calme. Un traitement d'Aspirine à vie et Efient pour 6 mois est mis en place. Nous instaurons également un traitement de statines. Une réadaptation cardiaque ambulatoire est à discuter. La patiente signale une mammographie réalisée en ambulatoire, dont les résultats pendant suscitent un stress important. Nous vous proposons de prendre contact avec le médecin traitant avant la sortie des soins aigus afin de coordonner la suite des éventuelles investigations gynécologiques. Patiente de 76 ans, connue pour un status après fracture-tassement L1 type A3 d'origine probablement ostéoporotique traitée par cyphoplastie L1 en 2015, qui fait une chute le 11.12.2017 en glissant sur la glace avec impact sur le côté droit, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Mme Y a pu se relever seule et marcher normalement avec des douleurs lombaires résiduelles tolérables.Le 12.12.2017, au vu de la persistance des douleurs lombaires à la mobilisation, elle consulte les urgences. Elle ne présente pas de trouble neurologique périphérique, pas de trouble sphinctérien, pas de douleur irradiant dans les membres inférieurs ni de trouble urinaire. Une radiographie de la colonne et un scanner dorso-lombaire sont réalisés aux urgences, qui montrent une nouvelle fracture tassement du plateau supérieur de la vertèbre D11 sans recul du mur postérieur et sans atteinte du plateau inférieur. Un avis est demandé au Dr. X de la Team Spine, qui ne pose pas d'indication chirurgicale et préconise une mobilisation selon douleurs avec couverture antalgique. Le 13.12.2017, la patiente est hospitalisée en gériatrie aiguë HFR Riaz pour gestion de l'antalgie. Du point de vue social, Mme. Principe vit avec son mari dans une maison avec 14 marches d'escalier à l'intérieur, ainsi que quelques marches à l'entrée. Elle n'utilise pas de moyen auxiliaire pour la marche, et est autonome et sans soins à domicile ni aide pour la cuisine ou le ménage. Son seul autre antécédent de chute a eu lieu en 2015, où elle avait glissé sur du carrelage mouillé dans la salle de bains, suite à quoi elle avait présenté une fracture tassement en L1, qui avait nécessité une cimentoplastie. A l'examen clinique d'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. Nous constatons une scoliose dégénérative connue, une sensibilité à la palpation de la colonne dorso-lombaire et des douleurs à la palpation et contracture de la musculature para-spinale droite en regard des vertèbres D10 à L2, sans hématome en regard. La mobilité du rachis en inclinaison latérale est limitée et algique du côté gauche. Il n'y a pas de douleur ni de restriction de la mobilité des hanches. La force et la sensibilité des membres inférieurs sont préservées et symétriques, ainsi que les réflexes ostéo-tendineux. Absence de trouble de la tonacité ou de la sensibilité anale. Le bilan biologique montre un déficit en vitamine B12, en folates et en vitamine D, que nous substituons par voie orale. Nous constatons également la présence d'une hypothyroïdie infraclinique avec une TSH à 8.42 mU/l. Nous vous laissons le soin de refaire un contrôle dans 3 mois. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une adaptation du traitement antalgique, ainsi que d'une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Mme. Principe peut marcher sur une distance de 200 mètres et monter 36 marches d'escaliers, sans moyen auxiliaire. A la sortie, la mesure d'indépendance fonctionnelle est de 101/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 7/7, escaliers 6/7), en comparaison avec une MIF d'entrée de 95/126. Le TUG est à 12 secondes. En ergothérapie, la patiente bénéficie d'une évaluation de l'autonomie dans les activités de la vie quotidienne qui semble être bien conservée ; une adaptation du domicile mise en place d'une planche de bain est proposée. Une évaluation des capacités cognitives constate une altération légère de celles-ci en raison d'un test de la montre à 2/7. La patiente rentre à domicile le 20.12.2017 sans soins à domicile. Nous vous proposons de mettre en place un traitement par des biphosphonates, de recontrôler la fonction thyroïdienne à 3 mois et de réévaluer la patiente sur le plan cognitif 1x/an. Patiente de 76 ans qui est convoquée en électif le 20.12.2017 pour une coronarographie. Cet examen montre une maladie coronarienne sévère de 3 vaisseaux avec des sténoses critiques de l'IVA et de l'artère coronaire droite proximale. A la ventriculographie, on constate une dyskinésie apicale avec une fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 60%). L'indication est donnée à une revascularisation chirurgicale en semi-urgence et la patiente est transférée le jour même à la clinique Cecil (Dr. X). L'examen angiologique (écho-doppler des vaisseaux pré-cérébraux et mapping veineux) est joint au présent rapport. Patiente de 77 ans qui présente une baisse d'état général dans un contexte d'insuffisance cardiaque et maladie de Parkinson connue et hyponatrémie chronique. Hospitalisation pour suite de prise en charge en gériatrie. Patiente de 78 ans, connue pour un adénocarcinome mucineux du cæcum depuis 2015, se présente aux urgences suite à la persistance de vomissements depuis 3 jours. Elle décrit des vomissements post-prandiaux en jet accompagnés de nausées. Elle relate des épisodes de diarrhée et constipation en alternance depuis 1 semaine. Les dernières selles datent d'il y a 2 jours, mais avec la présence de gaz depuis. La patiente se sent très affaiblie et ne tient plus debout. Elle ne se plaint pas de symptômes urinaires, ni d'état fébrile. STATUS : Patiente asthéniaque, bien hydratée, bien perfusée, anictérique sans cyanose, afébrile mais légèrement hypotendue et tachycarde. Cardiovasculaire : B1 B2 bien frappés réguliers avec souffle aortique surajouté connu. Pas d'OMI. Pouls périphériques tous palpés. Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique sans râles de stase ni sibilances. Digestif : abdomen souple, douloureux dans son ensemble, avec une masse dans le flanc D, sans défense ni détente. Murphy négatif, pas de masse pulsatile. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. TR : indolore. pas de masse, pas de fécalome. pas de sang au doigtier. Selles sur le doigtier. Neurologique : patiente collaborante, orientée dans les 3 modes. PAC en place non fonctionnel. Nous effectuons un bilan biologique qui montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 60 mg/l et Leuco à 7.1 G/l. L'ASP étant non contributif, nous ne complétons pas l'examen par un scanner. Le scanner montre une progression de la carcinose avec une stase gastrique importante probablement sur un trouble de motilité avec fixation des anses intestinales. Après discussion avec le Dr. X, nous décidons de mettre en place une sonde nasogastrique et d'hospitaliser la patiente en chirurgie. Le 3.01.2017, un transit est réalisé à la gastrographine orale qui met en évidence un transit présent, mais probablement perturbé au niveau de l'estomac. La sonde nasogastrique mise en place le 31.12.2017 n'a rien ramené le 3.01.2018, et elle est retirée. Le soir même, l'alimentation orale est reprise avec une soupe crème, qui est bien tolérée, sans vomissement. Elle est sous périolimel 1500 ml par jour, puis 750 ml/J à partir du 3.01.2018. Ce dernier est arrêté le 4.01.2018. Le 04.01.2018, la patiente n'est pas en forme, elle a eu beaucoup d'épisodes de diarrhée suite à la gastrographine du jour précédent. Elle souhaiterait retourner en soins palliatifs, qui est d'après elle très bien pour elle. Elle exprime notamment sa fatigue et son envie de partir car cette maladie est de plus en plus fatigante pour elle. Le 4.01.2018, le repas du midi n'est pas supporté, elle présente un vomissement alimentaire et dit ne plus avoir d'appétit. Après discussion du cas avec le Dr. X (de l'équipe Voltigo des soins palliatifs) et sa discussion avec la patiente, nous mettons en place un traitement palliatif, pour soulager au mieux Mme. Menoud. La patiente est afébrile, stable hémodynamiquement, elle peut être transférée aux soins palliatifs de Fribourg le lundi 08.01.2018. Patiente de 78 ans connue pour une paraplégie complète des MI hospitalisée en raison d'une détérioration de douleurs chroniques neuropathiques des MI sans facteur déclenchant net.A son arrivée, la patiente explique des douleurs paroxystiques neuropathiques avec un haut nombre de crises et nous instaurons une antalgie qui est efficace dans un premier temps, mais présentant une somnolence importante et un épisode de désaturation comme signes d'importante saturation par les opiacés, la raison pour laquelle nous nous sommes obligés de diminuer de nouveau la posologie. Comme co-thérapie, nous essayons le traitement par le Tambocor, pour diminuer la neurotransmission d'abord avec des demi-doses, sans répercussion sur le rythme cardiaque, puis nous augmentons au dosage thérapeutique par la suite mais la patiente présente des myoclonies aux membres supérieurs, la raison pour laquelle nous revenons au dosage de 100 mg/jour du Tambocor. Finalement, nous suspectons une possible hyperalgésie induite par les morphiniques car nous arrivons à une meilleure gestion de l'antalgie avec des dosages des opiacés qu'avant son arrivée à l'hôpital. Nous contactons nos collègues anesthésistes, les spécialistes de la douleur, au vu d'un essai de mise en place d'un neurostimulateur à but antalgique et Dr. X propose une consultation au mois de février et un RDV est fixé pour le 3 février pour discuter de cette prise en charge. Nous organisons également une évaluation neuropsychologique pour l'évaluation des capacités cognitives chez la patiente qui présente souvent des oublis et qui met en évidence des troubles neuro-cognitifs modérés d'origine indéterminée touchant plusieurs sphères cognitives, mais au premier plan, nous notons des difficultés exécutives marquées. Il est actuellement difficile d'évaluer s'il y a un changement dans les activités de la vie quotidienne vu que cela fait plusieurs années que Mme. Y est dépendante (en raison de l'accident). Au vu de ses difficultés, nous proposons que la gestion des médicaments soit faite par des soins à domicile. En ce qui concerne son anémie normocytaire hypochrome hyperrégénératif sans une carence au bilan biologique, nous vous laissons le soin de contrôler à distance l'hémoglobine. Mme. Schneider peut rentrer à domicile le 24.01.2018 avec des soins à domicile tels qu'elle avait avant son hospitalisation. Patiente de 80 ans, connue pour une cardiopathie ischémique, une hypertension artérielle et une épilepsie avec dernière crise il y a 30 ans, adressée dans notre service de gériatrie aiguë depuis la médecine suite à 3 chutes le 21.12.2017 sans traumatisme crânien, ni perte de connaissance. La patiente affirme que c'est en se levant du fauteuil qu'elle est tombée mais ne se souvient pas des détails. Notons que Mme. Y est connue pour des chutes à répétition depuis l'âge de 20 ans, probablement dans un contexte épileptique, mais qu'elle n'aurait plus fait de crise depuis très longtemps. La patiente dit avoir reçu récemment une prescription d'Adalat en réserve par son médecin traitant, en raison d'un profil tensionnel élevé. Mme. Y décrit également une nycturie à 5 à 6 épisodes par nuit. Elle n'a pas de trouble de l'appétit. Sur le plan social, la patiente vit seule, marchait avec 2 cannes à l'extérieur (pas de moyen auxiliaire à l'intérieur) et s'occupait de la cuisine, du ménage et des médicaments avant son hospitalisation. À l'arrivée dans notre service, Mme. Y est dans un bon état général. Le statut révèle un hématome au niveau du coude droit dont une radiographie ne montre pas de fracture. Le reste du statut est non contributif. L'ECG ne constate pas de trouble du rythme et le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie normo-osmolaire et un surdosage en carbamazépine. Nous adaptons la dose de carbamazépine (500 g/jour au lieu de 600 mg/j) et mettons en place une restriction hydrique. La natrémie se corrigera par la suite. Un déficit vitaminique est également mis en évidence (vitamines B9, B12 et D) et substitué, ainsi qu'une hypothyroïdie infra-clinique qui conviendra de suivre. Mme. Y présente des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Rappelons que la patiente est déjà connue depuis longtemps pour des chutes à répétition avec comme facteurs de risque : une épilepsie connue, la polymédication, l'hypovitaminose, les troubles du sommeil, la nycturie, l'hyponatrémie et une hypotension orthostatique. Des tests de Schellong sont effectués le 28.12.2017 : le premier, sans bas de contention, revient positif et le suivant, avec port de bas, s'avère négatif. Par conséquent, nous recommandons à la patiente le port de bas. En ce qui concerne la nycturie, nous effectuons une grille mictionnelle qui met en évidence une polyurie nocturne. Les mesures hygiéno-diététiques à prendre ont été expliquées à la patiente et nous vous proposons d'effectuer une polysomnographie nocturne à la recherche d'un syndrome des apnées du sommeil. Le 25.12.2017, Mme. Y présente une conjonctivite bactérienne bilatérale pour laquelle nous mettons en place un traitement par Spersapolymyxin, gouttes avec amélioration de la symptomatologie. Durant son séjour, la patiente profite d'une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un rollateur est illimité. Mme. Y peut gravir 18 marches de manière sécurisée. Le test TUG est à 11 secondes. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale à la sortie est évaluée à 104/126 par rapport à 93/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le risque de chute est bas. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 28.12.2017 montrent un MMSE à 29/30. La patiente bénéficie également d'un bilan nutritionnel qui ne constate pas de dégradation de l'état nutritionnel. Le 29.12.2017, Mme. Y peut regagner son domicile le 29.12.2017 avec activation des soins à domicile une fois toutes les deux semaines. Patiente de 81 ans qui est admise pour surveillance d'un Takotsubo. Il s'agit d'une patiente qui présente depuis le 17.01 une impression d'état grippal avec toux, fatigue, myalgies diffuses, et douleurs thoraciques irradiant dans le dos et les bras. Elle appelle Medhome dans ce cadre le 23.01.2018 qui constate une bradycardie en association avec cette douleur thoracique et dyspnée, raison pour laquelle elle est adressée aux urgences en ambulance. Le bilan montre des ondes T biphasiques en inférieur et en antérieur, ainsi que des troponines positives à 22 puis 44 ng/L. Dans ce contexte, une coronarographie est effectuée qui ne montre pas de maladie coronarienne significative mais un probable Takotsubo avec une FEVG à 35%. Elle est admise aux soins pour surveillance. À noter une hypertension artérielle importante aux urgences et en coronarographie à > 200 mmHg motivant l'introduction d'un patch de nitres avec chute très rapide de la tension à 105 de systole avec symptômes de malaise/vertiges. Le patch de nitres est donc arrêté. Patiente de 81 ans, qui nous est adressée pour réadaptation après remplacement de la valve aortique par voie transcathéter le 14.12.2017 à la Clinique Cecil de Lausanne, pour une sténose aortique sévère. L'échocardiographie post-opératoire le 15.12.2017 démontre une valve bien positionnée et une fraction d'éjection conservée à 90%.A l'arrivée dans notre service, Mme. Norzi-Galley est hémodynamiquement stable, afébrile et sature correctement à l'air ambiant. La patiente se plaint essentiellement de maux de gorge avec une toux sèche irritative présente depuis le jour précédent son hospitalisation, sans dyspnée. Mme. Norzi-Galley dit avoir perdu 6 kg depuis octobre, essentiellement par manque d'appétit en raison de la nourriture servie lors de son séjour à l'HFR Billens. Elle n'a pas présenté de nouvel épisode de diarrhées depuis le 15.12.2017, et n'a pas de symptômes urinaires ni d'autre plainte. A l'anamnèse gériatrique, sa dernière chute a eu lieu début octobre 2017, lorsqu'elle a trébuché sur l'encadrure de sa véranda, suite à quoi elle a présenté un arrachement du point d'insertion du ligament croisé postérieur du genou gauche, traité conservativement avec une semaine d'hospitalisation en orthopédie à Riaz puis un séjour de réadaptation à Billens. Par ailleurs, Mme. Norzi-Galley précise un autre antécédent de chute en 2014 alors qu'elle avait trébuché sur le fil de son aspirateur. La patiente ne présente pas de vertiges orthostatiques. Mme. Norzi-Galley vit seule dans un appartement au 8ème étage avec ascenseur, marche avec un tintébin à l'intérieur et un rolateur à l'extérieur. Elle bénéficie d'aide à domicile deux fois par semaine pour la toilette, et d'une aide pour le ménage. Elle fait elle-même ses repas, et c'est un voisin qui lui fait ses courses. A l'examen clinique d'entrée, nous auscultons de fins râles crépitants bibasaux, plus marqués à droite. Le fond de gorge est érythémateux, sans exsudat, et nous ne palpons pas d'adénopathie cervicale. Le reste du status est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie légère à 131 mmol/l et un syndrome inflammatoire résiduel avec une CRP à 25 mg/l, sans leucocytose. Nous suivons biologiquement la natrémie, qui se corrige au contrôle suivant. Concernant la toux et les maux de gorge, nous les attribuons à une origine virale et administrons un traitement symptomatique avec un bon effet. Le 28.12.2017, Mme. Norzi-Galley présente deux épisodes de selles liquides et des nausées, sans vomissements. Au vu du contexte d'épidémie de Norovirus à l'hôpital, la patiente est mise en isolement de contact, et nous introduisons un traitement de Motilium et de Perenterol en réserve. L'évolution est rapidement favorable avec disparition des symptômes. En physiothérapie, la patiente bénéficie d'un travail de reconditionnement global. Elle est autonome pour les transferts et marche sur une distance illimitée à l'aide de son rolateur, avec une bonne sécurité. A sa sortie, la mesure d'indépendance fonctionnelle est de 94/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7), en comparaison à une MIF d'entrée de 82/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 18.59 secondes. En ergothérapie, une vision très limitée de l'œil droit est constatée, qui nécessite une loupe pour pouvoir lire. La patiente avait déjà été évaluée en octobre 2017 lors de son séjour à Billens, suite à quoi une planche de bain, une pince à long manche et le rolateur avaient été introduits. Mme. Norzi-Galley est évaluée par le service de nutrition, qui diagnostique une malnutrition protéino-énergétique légère, et introduit un fractionnement de l'alimentation. La patiente refuse les suppléments nutritifs oraux. La patiente rentre à domicile le 02.01.2018, avec des soins à domicile déjà en place deux fois par semaine. Patiente de 82 ans admise aux soins intensifs pour un choc septique sur perforation grêle avec syndrome de défaillance multi-organique le 19.01.2018. La patiente est prise en charge, initialement, à Riaz pour un abdomen aigu avec instabilité tensionnelle motivant son transfert à Fribourg pour la suite de la prise en charge. Un CT abdominal met en évidence un pneumopéritoine sur probable perforation duodénale. Une perforation jéjunale sur diverticulite est trouvée à la laparotomie exploratrice. Une résection segmentaire de 15 cm de grêle avec confection d'une split stomie est effectuée après lavage péritonéal. Un traitement antibiotique d'Imipenem, d'Amikacin et de Fluconazole est débuté après prélèvement des hémocultures avec un relais par Méropénem et Cancidas. Devant la défaillance multi-organique avec des doses élevées de Noradrénaline, il est décidé d'entamer une épuration extra-rénale continue et d'entamer une ventilation protectrice. Après une lente amélioration, elle présente une phase de stagnation sur le plan hémodynamique avec impossibilité de sevrage de la Noradrénaline. Elle présente une nouvelle péjoration respiratoire avec développement d'une VAP à Stenotrophomonas maltophilia. Lors de la bronchoscopie, on constate des plages de nécrose muqueuse bronchique secondaire à la forte dose de Noradrénaline. Chez une patiente aux nombreuses comorbidités et avec une évolution défavorable, nous décidons, en accord avec la famille, de ne pas effectuer de nouvelle escalade thérapeutique, et d'initier des soins de confort. Elle décède entourée de sa famille le 31.01.2018. La famille ne souhaite pas une autopsie. Patiente de 82 ans, connue pour une hypertension artérielle, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz en raison d'une baisse d'état général avec des vomissements à trois reprises débutés la veille, sans trouble du transit. Mme. Pilloud signale également une dyspnée nouvelle stable depuis quelques semaines, avec expectorations blanchâtres depuis quelques jours, ainsi qu'un état de faiblesse aux membres inférieurs rendant la marche très difficile. Elle n'a jamais eu de fièvre, et il n'y a pas de notion de contage infectieux. Mme. Pilloud vit au rez-de-chaussée d'une ferme, sans escaliers, avec son fils qui vit à l'étage du dessus. Une aide lui fait le ménage et les courses, mais la patiente cuisine elle-même. Elle marchait avec une canne avant l'hospitalisation et bénéficiait de soins à domicile tous les jours pour les bas de contention et pour l'aide à la douche. A l'arrivée dans notre service, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen clinique d'entrée met en évidence un souffle systolique à 3/6 audible au foyer mitral, sans irradiation dans les carotides ; nous constatons une sensibilité à la palpation en fosse iliaque gauche sans défense ni détente. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire revient dans la norme, mais le sédiment urinaire montre une leucocyturie et des nitrites. Un traitement par Uvamine est mis en place. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Le bilan vitaminique est normal et le test de Schellong ne met pas en évidence d'hypotension orthostatique. Durant le séjour, Mme. Pilloud bénéficie d'une évaluation gériatrique globale avec un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 04.01.2018 au 11.01.2018. En physiothérapie, la patiente peut marcher 100 mètres aller et retour à l'aide d'un tintébin de façon sécuritaire. Elle fait ses transferts seule sous surveillance. Les escaliers ne sont pas effectués. Le TUG est à 44.1 secondes. La patiente bénéficie également de physiothérapie respiratoire.En ergothérapie, Mme. Pilloud bénéficie d'une rééducation actionnelle et d'entraînement des activités de la vie quotidienne. L'évaluation de son domicile conclut à la présence de quelques seuils mais pas de tapis, et une barre murale est déjà installée. La patiente éprouve des difficultés à se chauffer correctement depuis quelque temps. Le service de nutrition constate une malnutrition protéino-énergétique légère, avec couverture de 67% des besoins énergétiques et de 63% des besoins en protéines. Des suppléments nutritifs oraux sont donc introduits, avec une couverture de 81% des besoins totaux. À la sortie, la mesure d'indépendance fonctionnelle est de 78/126 (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7), en comparaison avec une MIF d'entrée de 71/126 (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7). L'évolution clinique de la patiente étant favorable, un entretien de famille est organisé afin de décider de la suite : un retour à domicile ne paraît plus envisageable pour la patiente et pour sa famille. Mme. Pilloud souhaite intégrer le home d'Attalens. Dans l'attente d'une place, un séjour de reclassement est débuté le 12.01.2018 et Mme. Pilloud reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Finalement, le 18.01.2018, Mme. Pilloud sortira en compagnie de l'une de ses filles pour le Foyer St-Joseph de Sâles, en attendant une place au home du Châtelet d'Attalens. Patiente de 83 ans chez qui une péricardite est mise en évidence le 21.12.2017 avec lame d'épanchement péricardique. Traitement par AINS et Colchicine débuté. Une FA est mise en évidence fin décembre, ce pourquoi un traitement d'Eliquis est introduit. Depuis 2 jours, présente une douleur thoracique retrosternale péjorée à la position couchée et soulagée en se penchant en avant avec dyspnée. Patiente de 83 ans, connue pour les co-morbidités et antécédents sus-mentionnés, qui s'est présentée le 30.12.2017 aux urgences de l'HFR Riaz suite à une chute accidentelle (en glissant sur le trottoir) avec réception sur les fesses et sur le côté droit, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. La patiente s'est faite aider pour se relever et a pu marcher jusqu'au café où elle se rendait avant de remarquer des douleurs costales droites. Après la consultation aux urgences, la patiente a pu regagner son domicile avec une antalgie simple. Elle est revenue consulter le 31.12.2017 en raison de douleurs costales importantes l'empêchant de se lever seule et de se mobiliser. La patiente est hospitalisée dans ce contexte en gériatrie aiguë le 31.12.2017. À l'anamnèse d'entrée, Mme. Despond se plaint de douleurs costales droites importantes. Elle ne présente pas de dyspnée et n'a pas d'autres plaintes somatiques. La patiente vit seule dans un appartement protégé, avec ascenseur. Avant l'hospitalisation, elle n'avait pas de soins à domicile et était autonome pour ses soins personnels. Elle marche régulièrement avec une canne et déclare avoir présenté un seul autre antécédent de chute accidentelle, en 2014, suite auquel elle avait présenté une fracture de tassement au niveau L1 ayant nécessité une cimentoplastie. Elle prend du Dormicum depuis de nombreuses années pour des troubles du sommeil, et présente occasionnellement des fuites urinaires. À l'examen clinique, nous constatons une douleur à la palpation costale latérale droite. Il n'y a initialement pas de douleur à la percussion vertébrale. L'auscultation pulmonaire ne met pas en évidence d'hypoventilation. Le reste de l'examen clinique, notamment neurologique, est sans particularité. Le bilan biologique montre une anémie normocytaire normochrome à 116g/l d'allure chronique et stable par rapport au dernier contrôle, une hyponatrémie légère à 134mmol/l ainsi qu'une hypovitaminose B12 à 138pg/ml et un déficit en acide folique à 0.9ng/ml. Nous substituons les déficits vitaminiques par voie orale. Le bilan radiologique effectué aux urgences n'objective pas de fracture de côte ni de pneumothorax, cependant nous constatons une possible nouvelle fracture de tassement au niveau D7. Dans ce contexte, une IRM est réalisée le 04.01.2018, objectivant de nouvelles fractures de tassement aiguës au niveau D7 et D9, sans atteinte du mur postérieur. Un avis est pris auprès du Dr. X du Team Rachis de l'hôpital cantonal, qui ne pose pas d'indication chirurgicale urgente et propose de revoir la patiente en consultation à distance de deux semaines, pour un contrôle clinique et radiologique. Mme. Despond recevra une date de convocation la semaine suivant sa sortie. L'antalgie est bien contrôlée avec du Dafalgan d'office durant le séjour, et la patiente ne prend que peu de réserves de Tramal. Mme. Despond bénéficie de séances de physiothérapie. À sa sortie, elle peut marcher plus de 120 mètres avec une canne, et monter 18 marches d'escaliers à l'aide de sa canne et de la rampe, de façon sécuritaire. Elle est autonome dans ses transferts. Le TUG est à 16.44 secondes avec la canne. En fin de séjour, la mesure d'indépendance fonctionnelle est de 106/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7), en comparaison avec une MIF d'entrée de 77/126 (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Nous conseillons au médecin traitant de bilanter l'ostéoporose ultérieurement, au vu de ce deuxième épisode de fracture vertébrale de tassement suite à une chute, et d'instaurer un traitement anti-résorptif par biphosphonates. Patiente de 84 ans, admise aux soins intensifs en raison d'un sepsis d'origine probablement pulmonaire le 31.12.2017. Elle se présente initialement aux urgences de Tavel pour une dyspnée en aggravation depuis 5 jours, associée à une toux productive et à une asthénie généralisée. Suspectant un foyer pulmonaire basal droit associé à un état de choc débutant, une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Klacid est débutée. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. L'évolution est rapidement favorable sous antibiothérapie, après réanimation volémique ciblée et soutien transitoire par noradrénaline. Les cultures à ce stade sont négatives. Une insuffisance rénale aiguë survenant à la faveur de l'épisode septique se corrige après correction de la volémie. Un fibrillo-flutter auriculaire rapide asymptomatique est freiné de manière satisfaisante après la réintroduction du traitement habituel par bêta-bloquant et anticalciques. L'anticoagulation habituelle par Xareto est poursuivie. Patiente de 84 ans, légèrement confuse, transférée depuis la clinique orthopédique de l'HFR le 29.11.2017 après une fracture du bassin spontanée en montant les escaliers avec nécrose de la tête fémorale d'étiologie inconnue. À son arrivée, la patiente se plaint de douleurs du bassin et lombaires intenses, péjorées à la mobilisation, sans irradiation dans les jambes. Pas d'autre plainte. Au statut, la patiente est en état général diminué avec marche impossible. Elle ne pouvait effectuer les transferts qu'avec une aide. La force était diminuée dans les 2 jambes proximalement (M3), et M4 distalement. De plus, elle présentait des œdèmes des jambes ddc, avec ulcération péri-malléolaires d'origine probablement veineuse avec insuffisance chronique.En dehors d'une constipation, la patiente est stable sur le plan internistique. Elle n'avait jamais été hospitalisée jusqu'alors. Mme. Duc habite avec sa fille dans une maison avec plusieurs chambres, au rez-de-chaussée, avec 2-3 marches d'escalier pour entrer dans la maison et environ 7 marches pour descendre à l'étage inférieur où elle mange. La patiente se déplace avec un rollator, sa fille l'aidait pour toutes les IADLs. La fille ne rapporte pas de troubles cognitifs sévères avant la chute avec une patiente qui est très sociable avec les voisins et les connaissances. A l'entrée, il existe une restriction de la mobilité avec un risque de chute élevé. La patiente peut faire les transferts avec une aide et se déplace à l'aide d'un rollator avec difficulté en raison de ses douleurs au niveau du flanc gauche, péjorées à la palpation du bassin à gauche. La distance de marche est réduite et la patiente reste très vite fatigable. Elle réalise d'abord sous supervision les montées d'escaliers avec de réels progrès durant le séjour. La patiente bénéficie d'une réhabilitation individuelle avec physiothérapie et ergothérapie intensive avec entraînement de l'équilibre, renforcement musculaire et exercices d'escaliers. En ergothérapie, les activités quotidiennes sont entraînées et les moyens auxiliaires évalués. Durant l'hospitalisation, les douleurs sont améliorées par l'adaptation de l'antalgie. Une hypokaliémie retrouvée au laboratoire à son arrivée est substituée. Les paramètres hépatiques initialement élevés sont contrôlés au cours du séjour. La patiente n'a pas de plainte abdominale et l'abdomen reste souple, sans douleur à la palpation avec un Murphy négatif. Sur le plan médicamenteux, l'aspirine est stoppée avec l'accord du médecin traitant, ne trouvant pas d'indication claire à ce traitement et le Pantozol est diminué de 40 à 20 mg. Ses ulcères de jambe sont traités avec pansements tous les 2 jours avec une bonne évolution. L'ulcère de la jambe gauche est guéri lors de sa sortie. La patiente refuse toute investigation à plusieurs reprises durant son séjour. Elle refuse également de plus amples investigations au sujet de troubles cognitifs mis en évidence lors de la réalisation du MMS. A la sortie, le patient marche 50 m avec son rollator, réalise les transferts avec un moyen auxiliaire, et monte les escaliers avec main-courante sous supervision. La mobilité n'est plus significativement diminuée, avec un risque de chute toujours présent mais diminué avec un Tinetti mesuré à 13/28 avec rollator à sa sortie. Au vu de l'amélioration clinique de la patiente après cette réhabilitation, Mme. Duc peut rentrer à domicile le 10.01.2018 avec l'aide du Spitex. Patiente de 85 ans avec un NSTEMI le 21.01.2018. Arrive aux urgences dans la nuit du 21.01 au 22.01.2018. Une coronarographie est faite le 22.01.2018 par Dr. X avec stenting de l'ACD (culprit lesion). Après une surveillance sur un lit SIC-cardiologie, la patiente rentre à domicile le 23.01.2018 avec une re-coronarographie prévue à 3 semaines (12.02.2018) pour le traitement de l'IVA. Au vu d'une récidive de douleur thoracique dans la journée du 24.01.2018, elle re-consulte les urgences. Le bilan biologique et électrocardiographique est dans la norme. Vu la persistance des douleurs, une re-coronarographie est faite le 24.01.2018. L'examen invasif du jour démontre un excellent résultat après PCI de l'ACD (fuit Dr. X). La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 52%. Comme planifié par Dr. X, angioplastie de l'IVA avec un stent actif et un bon résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois, reste du traitement inchangé. Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Ergométrie La patiente rentre à domicile le 25.01.2018. Patiente de 85 ans hospitalisée dans le cadre d'une infection urinaire associée à une baisse d'état général. Pour rappel, Mme. Egger présente une baisse de l'état général depuis 5 jours, sans fièvre, avec inappétence et 1 épisode de vomissement le 04.01.2018. La patiente est sous traitement de ciprofloxacine depuis le 03.01.2017 pour une infection urinaire, cependant, au vu de la mauvaise évolution clinique et d'un syndrome inflammatoire au laboratoire, son médecin traitant l'adresse aux urgences. Mme. Egger signale des difficultés à uriner, raison pour laquelle une US de la vessie est effectuée aux urgences, suite à quoi une sonde vésicale est posée ; cette dernière peut être retirée le 09.01.2018 suite à un US de contrôle des voies urinaires qui se montre sans particularité. Les examens paracliniques d'entrée montrent un syndrome inflammatoire important ainsi qu'un sédiment urinaire pathologique, raison pour laquelle le diagnostic d'infection urinaire est retenu, un traitement par augmentin i.v. puis per os est mis en place, ce qui permet une bonne évolution. Sur le plan biologique, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë à son arrivée, raison pour laquelle le traitement de Torem et d'Irbesartan HTC sont mis en suspens. La fonction rénale s'améliore rapidement, ce qui nous permet de réintroduire le Torem. L'Irbesartan HTC n'est pas réintroduit, la patiente ayant des tensions contrôlées durant toute l'hospitalisation. Nous mettons également en évidence des carences en phosphate, magnésium et potassium que nous substituons ; nous vous proposons de poursuivre le contrôle biologique durant le séjour de réadaptation. Durant l'hospitalisation, nous remarquons l'apparition de crépitants en base pulmonaire D. Nous effectuons une radiographie du thorax qui parle pour une discrète surcharge liquidienne ; dans ce contexte et la fonction rénale s'étant normalisée, nous reprenons le traitement de Torem le 10.01.2018. L'évolution clinique est favorable. Sur le plan ophtalmologique, nous mettons en évidence à l'entrée une dacryocystite D avec un écoulement purulent important. La patiente bénéficie donc d'un traitement par Floxal et Dexaméthasone topique, ce qui permet une bonne évolution. Un contrôle ophtalmologique est effectué le 12.01.2018 qui montre une bonne évolution et propose un second contrôle 2 semaines plus tard. Au vu de la faiblesse persistante, nous organisons une réadaptation gériatrique à Riaz ; la patiente s'y rend le 17.01.2018. Patiente de 86 ans connue pour un diabète et une hypertension artérielle, qui nous est adressée pour une réadaptation gériatrique après hospitalisation en médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal dans le contexte d'une chute et d'un état grippal. Mme. Gilgen vit seule et de manière autonome dans l'appartement voisin de celui de son fils. La patiente ne signale pas de troubles du sommeil mais des fuites urinaires, surtout la nuit, depuis deux mois. Cette dernière rapporte des antécédents de chutes, la dernière lors de l'hospitalisation à l'HFR Fribourg. Depuis l'hospitalisation, la patiente marche avec un tintébin. Mme. Gilgen relate des vertiges occasionnels surtout lors des mouvements brusques, sinon, elle se trouve en bon état général, bien hydratée, bien perfusée et anictérique. Le statut est sans particularité, hormis au niveau neurologique, où un Romberg se réalise avec une légère rétropulsion à la fermeture oculaire, que Mme. Gilgen corrige automatiquement (sans tomber), et un nystagmus épuisable au regard extrême, épuisable, déjà connu lors de la précédente hospitalisation. Durant sa réadaptation gériatrique, la patiente n'a plus présenté de vertige.Mme Gilgen accuse des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec déconditionnement dans le contexte d'une grippe. Les facteurs de risque de chute se trouvent énumérés dans les diagnostics. Le bilan biologique met en évidence des carences vitaminique (vitamine D, acide folique et vitamine B12), substituées. Nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs à distance. L'hémoglobine glyquée est à 6,7%. Nous décidons de stopper le Glimepiride en raison de son risque d'hypoglycémie pour mettre en place un traitement par metformine 500 mg 2x/j. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 23/30 et un test de la montre à 2/7. Durant son séjour, Mme Gilgen effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de plus de 120 mètres. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 89/126 par rapport à 80/126 à l’entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 27,30 secondes avec rollator. Le risque de chute est bas. Au niveau ergothérapeutique, la patiente a été évaluée et jugée autonome pour ses activités de la vie quotidienne. Le 17.01.2018, Mme Gilgen peut regagner son domicile avec mise en place des soins à domicile 1x/semaine. Patiente de 87 ans, connue pour une goutte et une hypertension, qui est hospitalisée le 27.12.2017 dans le service de médecine interne de Meyriez en raison de lombo-sciatalgies droites immobilisantes de type électrisantes à EVA 10/10 irradiant jusque dans les orteils, connues depuis 6 mois, en aggravation depuis 6 semaines (mi-novembre 2017). À l'entrée, elle se plaint d'une douleur continue partant de la région lombaire jusqu'à l'extrémité distale du membre inférieur. Pas de perte d'urine, pas de perte de selles. Elle se plaint également d'une péjoration des œdèmes périphériques. Nycturie récente, avec 1 épisode de douleurs rétrosternales durant 10 minutes il y a 2 jours. Pas de plaintes respiratoires, ni abdominales, ni urinaires. Tous ces symptômes s'inscrivent dans un contexte de souci pour sa famille, d'une fille qu'elle n'a pas revue depuis 3 ans, et de souci d'argent qui a disparu de l'héritage familial. Au status d'entrée, on retrouve une patiente parfaitement orientée et adéquate, en bon état général. Locom : douleurs à la percussion de L5-S1, palpation douloureuse au niveau du trajet du sciatique droit (et gauche). Neuro : Force et sensibilité diminuée dans plusieurs dermatomes de la jambe droite. Réflexe patellaire symétrique, réflexe achilléens non déclenchable. Babinski négatif. Lasègue positif à 60°. Romberg tenu. Cardio : B1B2 bien frappé, pas de souffle, OMI bilatéraux. Resp : sp Mme Cressier présente à l'entrée une infection urinaire simple pour laquelle nous effectuons un traitement antibiotique par Ciproxine sur 3 jours à dose compatible pour son insuffisance rénale. L'évolution est favorable avec majoration de l'antalgiques et fangos, si bien que la patiente rentre à domicile le 03.01.2018 avec aide du Spitex pour la mise des bas de contention. Patiente de 88 ans, connue pour des TVP à répétitions sous traitement anticoagulant de Sintrom et un syndrome métabolique, qui consulte en raison d'une baisse de l'état général persistante depuis environ 3 semaines dans un contexte de virose avec atteinte des voies respiratoires supérieures et symptômes gastro-intestinaux. Elle a déjà consulté à 2 reprises le 23 et 28.12.2017, avec diagnostic initial de gastro-entérite virale puis de virose des voies respiratoires supérieures, avec mise en place d'un traitement symptomatique. Elle consulte le 05.01.18 suite à une macro-hématurie et à une hémorragie de la sclère à gauche depuis 24h. Au bilan initial des urgences, la radiographie thoracique ne montre pas de foyer mais le bilan biologique met en évidence un important syndrome inflammatoire, avec macro-hématurie sans signes d'infection urinaire. On note également une péjoration de la fonction rénale avec créatinine à 163 mcmol/l, pour laquelle nous stimulons l'hydratation et re-contrôlons les valeurs avec une légère amélioration de sa fonction rénale qui reste à surveiller par la suite. Un traitement de ceftriaxone (Rocéphine) est donné aux urgences et au vu d'une origine pas claire de ce syndrome inflammatoire, nous surveillons le bilan biologique et traitons la patiente symptomatiquement. Les urines sont propres. Nous surveillons cliniquement et biologiquement la patiente qui évolue bien par la suite. Elle présente par contre des transpiration nocturnes sans autres symptômes B surajoutés. Nous effectuons une électrophorèse des protéines qui montre une gammapathie IgM qu'on peut mettre sur le compte d'une inflammation actuelle. Nous vous proposons de recontrôler l'électrogenèse des protéines à distance. Nous reprenons le Sintrom par la suite sans nouveau signe de hémorragie. Une légère anémie régénérative normochrome normocytaire est mise sur le compte de l'état inflammatoire et reste à recontrôler à distance. Mme Bossy évolue favorablement sur le plan biologique et clinique et rentre à domicile le 15.01.2018 avec les aides pour soins de base et préparation du semainier. Patiente de 88 ans, institutionnalisée, connue pour une cholédocolithiases avec multiples calculs de 5 à 6 mm visualisés lors du MRCP du 09.01.2018, qui est hospitalisée électivement pour une ERCP. L'examen permet de visualiser une cholédocolithiases avec 6 calculs de 6 à 7 mm. La patiente bénéficie d'une grande papillotomie avec retrait des calculs à l'aide d'un ballon. À noter une suspicion de rétrécissement du bas cholédoque (DD: à cause de la cholédocolithiases, calcul restant, mise en place d'un stent plastique, 11,5 French et 7 cm de longueur). Après 24h d'observation, les suites opératoires sont sans particularité permettant un retour au home de la patiente le 27.01.2018. Une antibiothérapie par Ciproxine est à poursuivre pour un total de 5 jours. Une ERCP doit être répétée pour le retrait du stent et une réévaluation dans environ 6 à 8 semaines. Patiente de 89 ans connue pour une insuffisance cardiaque qui est admise pour une baisse de l'état général depuis 3 jours avec asthénie, vertiges intermittents ainsi que des douleurs thoraciques oppressives, douleurs connues par la patiente, associées à une dyspnée NYHA IV. Dans le cadre des vertiges, un CT cérébral natif permet d'exclure un saignement intra-crânien. Dans le bilan d'une cause cardiaque des vertiges, nous excluons une cause ischémique. Les contrôles électrocardiographiques mettent en évidence une fibrillation auriculaire avec bloc atrio-ventriculaire de 3ème degré et rythme jonctionnel. La patiente est transférée aux soins intensifs où un traitement par Isoprénaline est instauré dans l'attente d'un pacemaker Micra posé le 20.01.2018 par le Dr X. Dans le reste du bilan cardiaque, une échocardiographie réalisée le 18.01.2018 montre une hypertension artérielle pulmonaire sévère à 86 mmHg.Une insuffisance rénale aiguë pré-rénale est mise en évidence aux soins avec correction par hydratation. Le bilan biologique met en évidence une bicytopénie avec une thrombocytopénie et une anémie légère à 118 G/l pour laquelle un bilan avec TSH, folates et vitamine B12 revient dans la norme. Pas d'investigation supplémentaire à ce stade. Durant le séjour, la patiente a présenté un état confusionnel aigu possiblement secondaire à la majoration du traitement d'Isuprel versus une infection urinaire. Un traitement de Rocéphine a été mis en place pour une durée de 3 jours, également dans le cadre de la prophylaxie du geste endoveineux. La patiente ne présente pas de récidive de l'état confusionnel en cours de séjour. La surveillance après pose de pacemaker se déroule sans complication et la patiente rentre à domicile le 24.01.2018 avec une convalescence prévue le lundi 29.01.2018 pour 2 semaines. Patiente de 89 ans, transférée de l'InselSpital le 08.01.2018 pour suite de prise en charge post AVC sylvien gauche étendu traité par Actylyse. Mme Y a été lysée à l'Inselspital 235 minutes après avoir présenté des symptômes d'aphasie globale avec hémisyndrome droit et hémimégligence droite. Le NIHSS initialement à 26 régresse à 24 lors de l'admission aux soins intensifs de Fribourg. Une surveillance neurologique est effectuée du 08 au 09.01.2018, sans objectiver de régression significative du déficit neurologique majeur initial. Lors du transfert en ambulance, la patiente présente un épistaxis qui se tarit spontanément et vomit du sang immédiatement après. À l'auscultation, il persiste un doute sur un syndrome d'inhalation à droite. Compte tenu de l'attitude globale, aucune imagerie de contrôle n'est effectuée. Au vu du pronostic de récupération sombre, des soins de confort sont dès le 09.01.2018 d'entente avec les neurologues et la famille, et en tenant compte des directives anticipées émises par la patiente. Mme Y est transférée en division de médecine pour des soins de confort le 09.01.2018, sans réadmission aux soins intensifs envisagée en cas de dégradation nouvelle. Patiente de 89 ans qui consulte les urgences suite à une chute avec traumatisme crânien. En effet, Mme Y serait tombée après avoir glissé en se levant d'un fauteuil, avec réception sur les fesses. La tête a été heurtée lors de la chute, mais elle n'a pas perdu connaissance. Ne pouvant pas se relever, la patiente a été aidée par une aide à domicile qui se trouvait sur place à ce moment. La patiente ne rapporte pas de vertige ni de céphalée ou de trouble visuel avant la chute. Mme Y vit seule dans un immeuble et bénéficie de soins à domicile. Elle ne cuisine pas et mange à l'extérieur. La patiente souffre de troubles du sommeil pour lesquels elle prend un médicament. Mme Y aurait perdu 20kg en 2 ans (12kg cette année et 8kg l'année passée) en raison d'une perte d'appétit. Jusqu'à présent, la patiente n'était jamais tombée. Cette dernière signale une nycturie d'un à deux épisodes, sans fuites. Par rapport au transit, la patiente dit être habituellement constipée. Elle se plaint d'une douleur à l'omoplate gauche depuis une année, ainsi que d'une douleur au niveau dorsal à 4/10 et constate une péjoration de sa mémoire depuis une année. Au status, nous retrouvons une patiente hypertendue à 169/92 mmHg, ainsi que des conjonctives érythémateuses avec sécrétions blanchâtres. Le status neurologique est sans particularité hormis une désorientation dans le temps. Au niveau ostéoarticulaire, la percussion du rachis est indolore. Le reste du status n'est pas contributif. Le bilan radiologique effectué aux urgences met en évidence une fracture de type A1 de la vertèbre D8. Une indication chirurgicale n'est pas retenue et la patiente sera vue en consultation ambulatoire par la Spine team de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 18.01.2018 à 11h10. Mme Y présente également une conjonctivite bactérienne bilatérale le 20.12.2017, qui est traitée avec Spersapolymyxin du 20.12.2017 au 28.12.2017 avec une bonne résolution de la symptomatologie. Dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre, la patiente bénéficie d'un bilan de chute qui met en évidence une hypovitaminose D et une vitamine B12 à la limite inférieure de la norme, qui sont substituées. Les autres facteurs de risque sont décrits dans le diagnostic. Nous mentionnons en particulier une démence de la maladie d'Alzheimer sévère avec un MMS actuel à 16/27 et une ostéoporose fracturaire pour laquelle nous avons initié une substitution en calcium et vitamine D, sans mettre en place de traitement anti-résorptif. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation selon douleur. À sa sortie, le périmètre de marche sans moyen auxiliaire est de 120 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 74/126, comparé à 67/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 1/7, marche 1/7, escaliers 1/7). En outre, Mme Y a été prise en charge par le service nutrition dans le contexte d'une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec une inappétence et un possible oubli de s'alimenter, démontrée par des ingestas couvrant 59% de ses besoins énergétiques, une perte de 12kg, soit 20% en 1 année, avec un indice de masse corporelle de 16.5 kg/m2 et un NRS à 5/7. Un test de déglutition a été effectué, n'objectivant aucune difficulté de déglutition. Les repas ont donc été adaptés de manière à augmenter leur valeur énergétique et protéique, dans le but de stabiliser l'état nutritionnel et permettre à la patiente de reprendre des forces. Un supplément nutritif oral lui a été proposé mais cette dernière ne les apprécie pas. Durant le séjour, nous avons constaté une stabilisation du poids, mais peu d'évolution sur le plan des ingestas. Pour la suite, nous proposons de maintenir une alimentation enrichie et de présenter régulièrement des collations à la patiente. Mme Y quitte notre service de gériatrie aiguë le 29.12.2017 pour se rendre au Foyer St-Vincent de Vuadens. Patiente de 92 ans connue pour une FA anticoagulée par le Sintrom, qui présente depuis 3-4 jours une baisse de l'état général avec une dyspnée et une toux grasse avec crachats plutôt blancs. La dyspnée s'est enpérorée nettement depuis le samedi matin. Elle a consulté le médecin du Medhome qui avait proposé une hospitalisation au vu de l'état respiratoire et besoin de O2. À l'arrivée aux urgences, Mme Y présente un état septique sur une pneumonie bilatérale visualisée sur radio de thorax avec des signes de décompensation cardiaque gauche et une FA rapide à l'ECG. Au laboratoire elle présente un syndrome inflammatoire important et un INR suprathérapeutique sans saignement actif visible. Elle bénéficie d'une antibiothérapie double par Klacid et Ceftriaxone et le charge en Digoxine sans un véritable effet sur la fréquence cardiaque. La patiente reste tachypnéique avec une insuffisance respiratoire à la gazométrie avec des lactates à 4.9 mmol/l. La patiente présente une désaturation importante et est traitée dans un premier temps par le Lasix sans amélioration clinique. Elle reste tachypnéique avec un tirage important. Au vu de la situation globale et l'âge de la patiente, nous avons discuté avec le fils de la patiente et une prise en charge palliative a été poursuivie avec une introduction de la morphine en IV continue à raison de 1 mg/h avec une rapide amélioration sur le plan de confort respiratoire.Le reste de temps la patiente reste confortable et décède en présence de son fils paisiblement. • Patiente de 95 ans, connue pour cardiopathie dysrythmique et hypertensive, qui se présente aux urgences pour une dyspnée au repos qui progresse depuis une semaine et une asthénie depuis plusieurs semaines. Aux urgences, une ischémie cardiaque a été écartée et le bilan biologique met en évidence une CRP à 80 sans leucocytose. Nous concluons à une origine mixte à ses dyspnées, sur probable bronchite virale et une décompensation cardiaque gauche surajoutée. Mme Nussbaumer évolue bien avec un léger traitement diurétique et son syndrome inflammatoire s'amende également par la suite. Aux urgences, une rétention urinaire aigue a nécessité la pose de la sonde vésicale qui a pu être ablatée avec succès. Son traitement antidépresseur qui a été suspendu au début de son séjour est repris par la suite. Lors de son séjour, elle développe une insuffisance rénale aigue d'origine pré-rénale dans le contexte de la majoration des diurétiques, la raison pour laquelle nous avons diminué le Torasemid sans une prise pondérale par la suite. Notons que la Digoxine a été mise en suspens à son arrivée et nous vous laissons le soin de la réintroduire si vous le jugez nécessaire. La patiente est restée normocarde lors de son séjour chez nous. Mme Nussbaumer présente une fragilité gériatrique avec troubles sensoriels auditifs et visuels et se rend compte qu'un retour à domicile devient de plus en plus compliqué et une orientation vers un établissement médico-social est entrepris. Mme Nussbaumer est inscrite à l'EMS Les Martinets et, en attendant, elle est transférée à l'UATO le 02.02.2018. • Patiente hospitalisée depuis la consultation team spine du 09.01.2018 où la patiente se présente pour discuter d'une intervention chirurgicale. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée en médecine à l'HFR Riaz où elle est sortie le 28.12.2017 après deux semaines d'hospitalisation pour la gestion des douleurs sur une décompensation de lombosciatalgies non déficitaires. Elle vit à son domicile avec son mari qui décrit un état confusionnel depuis environ 10-12 jours; il vit également péniblement cette situation. Ils sont demandeurs d'une hospitalisation ce jour, au vu de la situation ingérable à domicile. Lors de son entrée, la patiente présente un état confusionnel aigu; comme diagnostic différentiel, on retient une infection urinaire basse, un trouble électrolytique, un épisode vasculaire cérébral. L'IRM cérébrale montre une zone hypovasculaire avec probable lésion ischémique sub-récente en regard des noyaux gris centraux gauche et une hypotrophie multifocale de deux lobes. Les investigations montrent également une infection urinaire basse traitée par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pour 3 jours. Le 10.01.2018, Mme Lengweiler est transférée en médecine interne pour des investigations complémentaires et une gestion de l'état confusionnel. En ce qui concerne la hernie discale L3-L4, une prise en charge chirurgicale est proposée pour le 11.01.2018; celle-ci est rediscutée en fonction de l'évolution. • Patiente hospitalisée en électif pour l'intervention susmentionnée. Il s'agit d'une patiente de 65 ans qui, le 15.01.2018, fait une chute à ski avec réception sur la main D en hyperextension. Consulte un médecin d'urgence à Thyon 2000 qui pose le diagnostic susmentionné puis un plâtre BAB est confectionné. De retour à domicile, elle consulte nos urgences où l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 17.01.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La fracture du triquétrum et du pisiforme de la main D est traitée conservativement. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Retour à domicile le 18.01.2018. • Patiente hospitalisée en maternité pour une menace d'accouchement prématuré modérée à 31 4/7 semaines d'aménorrhée avec un col à 17 mm. Elle est mise sous Tocolyse par Nifédipine 10 mg /15 mn pendant 1h, mais devant la persistance des contractions utérines douloureuses et le raccourcissement du col de 21 à 17 mm, nous la mettons sous Tractocile IVSE. Elle reçoit une maturation pulmonaire avec injection de 1 ampoule de Celestone le 20 et 21.01.2018. L'évolution est favorable sous perfusion de Tractocile. Au vu de la persistance de contractions légères parfois ressenties, nous poursuivons avec un traitement d'Adalat 30 mg 2x/j. L'urotube revient sans particularité et les examens de laboratoire ne montrent pas de syndrome inflammatoire ou d'autres anomalies. Un ultrason de contrôle est effectué le jour de sa sortie et montre un col utérin stable à 17 mm. Elle rentre à domicile le 22.01.2018 et sera revue en consultation dans une semaine auprès du Dr X. La patiente reçoit les conseils d'usage concernant les motifs de reconsultation en urgence. • Patiente hospitalisée pour une radio-iodothérapie métabolique dans le cadre d'un cancer papillaire de la thyroïde. À son arrivée, la patiente rapporte une fatigue relative depuis quelques jours. L'appétit lui semble diminué avec une perte de 9 kg depuis le mois de mai 2017. Nous ne notons aucune complication post-radio-iodothérapie métabolique au cours de l'hospitalisation. La patiente sera revue à la consultation endocrinologique du Dr X le 30.01.2018 à 13h30. Pour rappel, une consultation préalable avec prise de sang est prévue par vos soins. • Patiente nulligeste de 19 ans, qui consulte le 29.12.17 pour un abcès du sein droit, à cheval sur les quadrants supéro- et inféro-internes. Abcès de 17 x 10 mm confirmé à l'US mammaire. Indication à un drainage chirurgical, cependant la patiente refuse, d'où tentative de traitement conservateur par Augmentin 1 g 2x/j + Brufen 600 mg 3x/j. La patiente revient le 03.01.18 pour contrôle de l'évolution clinique. Elle signale une augmentation de la douleur ainsi que de la taille de la masse. À l'examen, nous retrouvons une masse au niveau des quadrants internes du sein droit, de 3 x 2 cm, indurée et douloureuse à la palpation. Fluctuation en surface, avec peau qui blanchit en regard de la masse. À l'US, masse liquidienne hétérogène de 17 x 12 mm. Nous posons l'indication à un drainage chirurgical, au vu de la péjoration de ses douleurs, la patiente est d'accord pour l'intervention. Signature du consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications. Les suites opératoires sont simples et afébriles. La patiente peut rentrer à domicile le jour même. • Patiente nulligeste, vierge, envoyée par l'hôpital de Riaz pour un consilium de gynécologie le 07.11.2017 afin d'investiguer une masse pelvienne solide au CT scanner. Elle a été hospitalisée dans le service de Médecine à Riaz en raison d'une ascension fébrile avec exanthème centrifuge des extrémités. Au CT scanner, mise en évidence aussi des polyadénopathies suspectes axillaires, rétropéritonéales abdominales et pelviennes bilatérales (jusqu’à 2-2,5 cm en grand axe).Les hémolécrogrammes, bilan biologique sérique montrant un syndrome inflammatoire modéré avec LDH légèrement élevé. La répartition leucocytaire et l'hemogramme sont sp. Les sérologies sont négatives (sérologie de la toxoplasmose, herpès et Zoster non faite). Anamnèse gynécologique: • Douleurs abdominales persistantes depuis env. 6 mois. • A l'examen abdominal, on palpe une masse pelvi-abdominale, dure, peu douloureuse à 2 -3 cm suprapubien. • Cycles réguliers, hyperménorrhées sans ménorragies ou métrorragies. • DDR le 07.11.2017 (menstruation antérieure le 08.10.2017). • Test de grossesse négatif. • Marqueurs tumoraux HCG, AFP négatifs. Patiente partie sans consultation. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale et contre avis médical. Patiente prise en charge en réadaptation gériatrique après un séjour en gériatrie aiguë en raison d'une cholangite et une décompensation cardiaque sur fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide le 21.12.2017. Le bilan biologique du 27.12.2017 constate une digoxinémie dans la norme, raison pour laquelle nous décidons de poursuivre le traitement 6x/semaine. Sur le plan cardiaque, Mme. Cosandey évolue de manière favorable avec une perte de poids, une réduction des œdèmes et un sevrage de l'oxygène avec bonnes saturations à l'air ambiant. Une échocardiographie cardiaque est prévue en ambulatoire le 16.01.2018 à 14h15 à l'HFR Riaz. Par rapport aux douleurs abdominales, une pose de stent dans les voies biliaires est prévue pour le 09.02.2018 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Cependant, sur proposition de notre chirurgien, le Dr. X, nous avons pris contact avec le Dr. X du service de chirurgie viscérale du CHUV pour voir si une intervention est indiquée. Ce contact n'ayant pu être pris qu'après la sortie de la patiente de notre service, nous vous laissons le soin de coordonner la suite de la prise en charge. Sur le plan médicamenteux, la poursuite du traitement par Pregabaline 3x/j sera à réévaluer à votre consultation. Durant ce séjour, Mme. Cosandey profite d'une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule est illimité. La patiente peut gravir 18 marches sans accompagnement mais avec quelques déséquilibres rattrapables. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 113/126 par rapport à 100/126 à l'entrée. (MIF physio: transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Au niveau nutritionnel, Mme. Cosandey reçoit des conseils pour le domicile avec l'objectif de consommer 1 supplément nutritif par jour. Finalement, Mme. Cosandey quitte notre service le 04.01.2018; dès sa sortie, elle bénéficiera du passage des soins à domicile 2x/jour. Patiente qui consulte pour la 3ème fois depuis novembre 2017 pour des vertiges rotatoires associés à des céphalées. Sur le plan ORL, une cause périphérique semble peu probable. Il reste à exclure une maladie de Ménière par mesure de la pression cochléaire, un rendez-vous pour cet examen est organisé pour le 31.01.2018. Lors des examens caloriques en ORL en novembre 2017, un nystagmus vertical a été mis en évidence évoquant une cause centrale. Nous organisons donc une IRM cérébrale pour le 31.01.2018. La suite de la prise en charge se fera chez le médecin traitant. Patiente qui présente une amélioration des symptômes depuis l'arrivée de l'ambulance. Le laboratoire ne montre pas de pathologie. La patiente rentre à domicile avec résiliation des douleurs abdominales. Patiente rappelée pour rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires à 10H le 06.01.2018. Patiente récemment diagnostiquée pour un flutter; en novembre. Poursuite du traitement habituel. Suite de prise en charge en cardiologie. Reconsultation en cas de péjoration/syncope. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente réticente à la substitution médicamenteuse, augmentation de fruits dans l'alimentation. Surveillance biologique, stable. Patiente revient en FR34 le 16.01.2018. Patiente se présentant aux urgences avec des symptômes d'oppression thoracique. Une origine pulmonaire ou cardiaque nécessitant une intervention en urgence peut être exclue. Nous laissons le soin au médecin traitant de comparer la taille de l'aorte abdominale de la patiente au CT dont elle avait bénéficié il y a quelques années. Nous lui laissons également le soin de suivre l'évolution des valeurs hépatiques, avec notamment des sérologies à hépatites. La patiente sera par ailleurs convoquée par le service de cardiologie de l'HFR afin de bénéficier d'une ergométrie. Patiente sera convoquée pour une IRM cérébrale en ambulatoire. Patiente seule à domicile. Risque de chute important. Proposition d'hospitalisation pour physio et organisation de soutien et majoration des soins à domicile. Patiente soulagée après le Primpéran. A mangé pendant le séjour aux urgences et pas de vomissement. Patiente source d'un contact au liquide biologique. Patiente source d'une exposition au liquide biologique. Patiente sous curatelle. Annonce anténatale au SEJ et à la naissance. Sage-femme à domicile. Patiente suivie par le Dr. X au centre psychosocial, sans traitement, situation stable. Patiente vierge, venue ce jour aux urgences pour douleurs d'apparition brutale la nuit au niveau de l'hypocondre droit et pelviennes. A l'échographie est mis en évidence un kyste de 9 cm. Devant la clinique de la patiente et la suspicion de torsion ovarienne, nous posons l'indication de laparoscopie diagnostique en urgence. La torsion ovarienne droite est mise en évidence, nous réalisons une détorsion avec bonne reprise de la vascularisation annexe droite. L'opération se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Mme. Y rentre à domicile le 28.01.2018 en bon état général, et sera revue dans 10 jours pour ablation des fils, discussion du résultat anatomo-pathologique et contrôle clinique. • Patiente vue aux urgences. • Patiente vue en compagnie du Professeur X. La patiente semble toujours plus souffrir de ces lombosciatalgies sur probable trouble de la posture associée à une surcharge que de douleurs dues à sa coxarthrose. Radiologiquement, on a une coxarthrose modérée avec une protrusion bilatérale, cependant les douleurs ne sont pas typiques pour cette pathologie. Nous avons prescrit de la physiothérapie pour instruction d'hygiène posturale, travail sur la posture, tonification des érecteurs du rachis et restons à disposition, même si nous n'avons pas prévu d'emblée un nouveau rendez-vous. • Patiente 2G0P de 35 ans à 6 semaines d'aménorrhée révolues sans désir de grossesse, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption médicamenteuse de grossesse. Elle est hospitalisée en ambulatoire le 08.01.2018 pour prise de Cytotec. À son arrivée, la patiente est hémodynamiquement stable. Elle bénéficie de 2 prises de Cytotec per os. Nous objectivons des métrorragies de faible abondance mais l'expulsion n'a pas été objectivée. La patiente ne souhaite pas de contraception à sa sortie. Elle rentre à domicile le jour même et est avertie des signes devant faire reconsulter en urgence. La patiente sera revue en consultation dans 2 semaines le 24.01.2018. • Patiente 4G2P à 5 5/7 semaines d'aménorrhée de 40 ans qui présente depuis 2 jours des douleurs en fosse iliaque droite aux mouvements et des spottings. Au status, elle est normocarde, normotendue et afébrile. Elle présente un abdomen souple, dépressible, sensible en fosse iliaque droite. Le toucher vaginal est douloureux à la mobilisation du col et de l'annexe gauche. À l'US endovaginal, on trouve un hémopéritoine avec une masse para-annexielle gauche de 21 x 21 mm. Nous expliquons les risques à la patiente et lui proposons une prise en charge chirurgicale en urgence. Elle signe le consentement éclairé. La patiente est opérée le 08.01.2018 sous anesthésie générale, nous mettons en évidence lors de la laparoscopie diagnostique une grossesse extra-utérine ampullaire gauche, adhérences péri-annexielles droites et un Fitz Hugh Curtis. Nous réalisons une salpingectomie gauche. L'intervention se déroule sans complication. Les pertes sanguines sont estimées à 250 cc. La pièce opératoire est adressée en anatomo-pathologie. La patiente rentre à domicile le 09.01.2018 et sera revue en consultation dans 4 semaines par son gynécologue traitant. • Patiente 45 ans, admise aux soins intensifs en raison d'une oesophagite caustique sur ingestion accidentelle d'eau de Javel le 02.01.2018. Mme. Y rapporte avoir ingéré le 02.01.2018 vers 20 heures une quantité inconnue d'eau de Javel avec un épisode de vomissement contenant des traces de sang. Elle présente par la suite des douleurs oesopharyngées importantes avec hypersalivation, pour lesquelles elle appelle une ambulance. Aux urgences, une OGD montre un œdème oesophagien avec dépôts de fibrine, sans nécrose évidente. La patiente est admise au SIC pour suite de prise en charge. Un CT scan thoracique avec ingestion per os de contraste est réalisé le 03.01.2018, et ne montre pas de signe de perforation. Un traitement de Pantozol iv est initié. Au vu du risque de médiastinite en cas de perforation, du Tienam est débuté d'emblée sur avis de nos collègues chirurgiens. La durée de ce traitement est à rediscuter en fonction de l'évolution clinique. L'antalgie est contrôlée de manière satisfaisante par Morphine iv puis Dafalgan iv seul. En l'absence de nécrose évidente à l'OGD, une hydratation per os est réintroduite sur avis gastro-entérologique et en accord avec nos collègues chirurgiens dès le 03.01.2018. En fonction de l'évolution clinique, nous vous laissons le soin de discuter d'une alimentation parentérale périphérique d'ici 24-48 h. Une OGD de contrôle est à organiser en début de semaine prochaine, ou en urgence en cas de péjoration clinique. Nous renonçons également à la réalisation d'une trachéoscopie d'emblée au vu de l'absence totale de symptômes (pas de dyspnée, pas de dysphonie, pas de toux). L'anamnèse concernant la prise accidentelle ou non du produit ayant varié, avec toutefois une barrière de langue chez une patiente lusitanophone. Un avis psychiatrique est demandé en cours de séjour et permet d'écarter un tentamen. La piste accidentelle est retenue par nos collègues psychiatres qui ne retrouvent pas de risque auto-aggressif. • Patiente 50 ans, admise aux soins intensifs par la filière Fast-Track le 30.12.2017 en raison d'un STEMI inférieur. Elle consulte initialement à l'hôpital de Château d'Oex en raison d'un angor typique, inaugural, survenu au décours d'un effort modéré. L'ECG montre des ondes de Pardee en postéro-latéral. Elle nous est alors transférée en urgence pour suite de prise en charge. La coronarographie montre une dissection coronaire spontanée de la 1ère marginale distale, traitée par dilatation et pose d'un stent. Elle présente une salve de tachycardie ventriculaire non soutenue en fin d'intervention. L'évolution est par la suite simple, sans récidive d'angor ni troubles du rythme significatifs. Le point de ponction artériel fémoral droit est calme. Nous vous laissons le soin d'adapter le Métoprolol et le Lisinopril en fonction de la clinique. • Patiente 50 ans, admise aux soins intensifs par la filière Fast-Track le 30.12.2017 en raison d'un STEMI inférieur. Elle consulte initialement à l'hôpital de Château d'Oex en raison d'un angor typique, inaugural, survenu au décours d'un effort modéré. L'ECG montre des ondes de Pardee en postéro-latéral. Elle nous est alors transférée en urgence pour suite de prise en charge. La coronarographie montre une dissection coronaire spontanée de la 1ère marginale distale, traitée par dilatation et pose d'un stent. Elle présente une salve de tachycardie ventriculaire non soutenue en fin d'intervention. Un traitement de Brilique est à poursuivre pour 12 mois et l'aspirine devra être prise à vie. L'évolution est par la suite simple, sans récidive d'angor ni troubles du rythme significatifs. Le point de ponction artériel fémoral droit est calme. Sur avis des cardiologues, nous instaurons un traitement de bêta-bloquant et de Lisinopril. Au vu du profil tensionnel bas, ce dernier est stoppé. Nous vous laissons le soin de le réinstaurer selon l'évolution du profil tensionnel.Au vu de la dissection coronaire, nous proposons de faire un angio-CT des artères rénales à la recherche d'atteinte concomitante de celles-ci. Une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire devra être faite en Angleterre. Une échocardiographie devra aussi être prévue à 1 mois. • Patiente 6G 3P de 45 ans à 6 semaines révolues selon l'US, sans désir de grossesse, sans ambivalence. La patiente a opté pour une interruption chirurgicale de grossesse. Elle est hospitalisée en ambulatoire le 11.01.2018 pour un curetage interrompu ainsi qu'une pose de Mirena. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires immédiates sont simples. Elle rentre à domicile le jour même. Elle prendra rendez-vous dans 4 semaines pour un contrôle post-opératoire. • Patiente 61 ans, admise après intubation orotrachéale par le SMUR le 04.01.2018 en raison d'un STEMI inféro-latéral avec OAP secondaire. Elle présente depuis 3-4 jours des DRS oppressives qui se sont péjorées le soir du 03.01.17. À l'arrivée des ambulanciers, elle est en détresse respiratoire sur OAP, motivant une intubation sur place. La coronarographie montre une occlusion aiguë de l'IVA moyenne, traitée par un stent, une occlusion subaiguë de la CX avec échec de reperfusion et une occlusion chronique de la CD. La fraction d'éjection VG est à 32% à la ventriculographie. L'évolution est favorable et la patiente peut être extubée le 04.01.17. Elle nécessite transitoirement de la nitroglycérine iv. L'échocardiographie post-coronarographie révèle une FEVG à 45% avec une akinésie apicale et un épanchement péricardique de max 1 cm, de découverte fortuite avec compression télé-diastolique du VD et de l'OD. Une échocardiographie de contrôle le 05.01 montre une diminution en taille de l'épanchement à 7 mm, sans compression des cavités droites. Au vu d'une évolution initialement favorable, elle est transférée à l'étage de médecine interne le 05.01.2018. Elle revient dans notre service près de 24 heures plus tard en raison d'une récidive d'OAP. Il n'y a pas d'argument à l'ECG ni échocardiographique pour une occlusion du stent de l'IVA. L'évolution est rapidement favorable sous ventilation mécanique et traitement diurétique. Elle peut être extubée après quelques heures. Du Lasix iv continu est poursuivi jusqu'au 07.01.2018. Un soutien transitoire par noradrénaline à faibles doses est nécessaire le 06.01.2017, post-réinduction. La patiente est hémodynamiquement stable par la suite. L'aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pendant 12 mois. Un traitement d'insuffisance cardiaque par Lisinopril et Carvédilol est introduit. • Patiente 61 ans, admise pour un STEMI inféro-latéral avec OAP. Elle présente depuis 3-4 jours des DRS oppressives qui se sont péjorées le soir du 03.01.17. À l'arrivée des ambulanciers, elle est en détresse respiratoire sur OAP, motivant une intubation sur place. La coronarographie montre une occlusion aiguë de l'IVA moyenne, traitée par un stent, une occlusion subaiguë de la CX avec échec de reperfusion et une occlusion chronique de la CD. La fraction d'éjection VG est à 32% à la ventriculographie. L'évolution est favorable et la patiente peut être extubée le 04.01.17. Elle nécessite transitoirement de la nitroglycérine iv. L'échocardiographie révèle une FEVG à 45% avec une akinésie apicale et un épanchement péricardique de max 1 cm avec compression télé-diastolique du VD et de l'OD. Il n'y a pas d'indication à une anticoagulation en l'absence de thrombus visualisé. Une échocardiographie de contrôle le 05.01 montre une diminution en taille de l'épanchement à 7 mm, sans compression des cavités droites. L'aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pendant 12 mois. Un traitement d'insuffisance cardiaque par Lisinopril et Carvédilol est introduit. Au vu d'une évolution favorable, elle est transférée à l'étage de médecine interne le 05.01.2018. • Patiente 62 ans, admise aux soins intensifs le 08.01.17 en raison d'un NSTEMI. La patiente rapporte initialement un angor depuis le 07.01.17 dans la soirée, sous forme de douleurs oppressives irradiant dans le membre supérieur gauche, fluctuantes, d'intensité 10/10 au paroxysme et sans élément déclenchant. Les douleurs cèdent sous morphine. Elle a déjà présenté ce type de douleur les derniers mois. Aux urgences, l'ECG montre des ondes T négatives en territoire inférieur. La patiente est chargée en AAS et Prasugrel. La coronarographie le 08.01.17 montre une occlusion aiguë de l'artère coronaire droite proximale, motivant la pose d'un stent actif. L'aspirine 100 mg à vie et le Prasugrel 10 mg sont à poursuivre pendant 12 mois. L'évolution est favorable, sans récidive d'angor ni troubles du rythme. Au laboratoire du 09.01.17, CK et troponines sont à la baisse. Un ETT est prévu le 10.01.17. La patiente est transférée à l'étage le 09.01.17 pour suite de prise en charge. • Patiente 66 ans, admise pour un STEMI antérieur. Elle a présenté des douleurs thoraciques oppressives irradiant au bras gauche, à l'épaule et dans le dos. L'ECG montre un STEMI et la patiente est transférée à l'HFR. Pendant le transport, elle présente un épisode de fibrillation ventriculaire, traité par 1 choc avec ROSC immédiat. La coronarographie montre une subocclusion aiguë de la bifurcation de l'IVA moyenne et de la diagonale, traité par la pose d'un stent actif. Le pic de CK s'élève à 897 U/l. L'échocardiographie révèle une cardiopathie hypertrophique avec un débit cardiaque diminué, une FEVG à 50 % et une dysfonction diastolique minime. Il n'y a pas de thrombus intracavitaire. L'aspirine cardio est à poursuivre à vie et l'Efient pour 6 mois. Au vu d'un bilan lipidique sous traitement perturbé, la dose d'atorvastatine est majorée. Une consultation en cardiologie dans un mois et une ergométrie dans un an seront à organiser. L'évolution est rapidement favorable et la patiente peut être transférée à l'hôpital de Riaz le 05.01.2018. • Patiente 85 ans, amenée par les ambulanciers en raison de troubles de l'élocution. Dernière preuve de bonne santé à 20h30. NIHSS à 20 aux urgences. Un CT montre un AVC ischémique territoire M3 gauche. Une lyse est débutée et la patiente est transférée au SIC. Sur le labo, on met en évidence une hyponatrémie à 116. La patiente est admise au SIC. • Dr. X est hospitalisé pour oxygénothérapie dans le cadre d'une bronchite obstructive. La recherche de RSV est revenue négative. Sur le plan respiratoire, il présente des désaturations au sommeil, nécessitant de l'oxygène du 18.01 au 21.01. Le Ventolin est progressivement espacée. Il reçoit du Betnesol pendant 72 heures. Il présente une otite débutante depuis la veille, à droite, avec début du traitement par Algifor le 21.01. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité de l'introduction d'un traitement antibiotique.Sur le plan alimentaire, il ne présente pas de difficulté alimentaire et prend tous ses apports per os. Devant la bonne évolution, il peut rentrer à domicile le 21.01 avec un schéma dégressif de Ventolin. Nous proposons un contrôle à votre cabinet dans 24h. • PC dès que possible pour IRM genou droit • puis PC en orthopédie pour suivi de ce genou • PCA fenta 15mcg/h et bolus aux 20mn de 15mcg • PCOS sans traitement • Familiaux : Père : HTA • Frère : Trisomie 21 • Soeur : PCOS • Conjoint : souffle au cœur sportif, oncle malformation cardiaque PCR C difficile 09.01.2018 Recherche Adénovirus, Rotavirus négative Diminution de Colchicine à 0.5 mg/j le 11.01.2018 Traitement symptomatique PCR clostridium le 10.01.2018 : nég Perenterol du 12.01 au 16.10.2018 En cours de résolution PCR positive pour Campylobacter spp. Coproculture : cf. annexes. Laboratoire : résolution de la leucocytose, avec persistance de la CRP élevée à 53 mg/l. PCR selles : absence C. difficile : absence Peak flow : 250 L/min (<50% du prédit). Laboratoire + gazométrie. Radiographie du thorax. Aérosols de Ventolin et Atrovent : diminution de la dyspnée et du wheezing après 1er aérosol. Passage du peak flow de 250 à 370 L/min (60% du prédit). Rendez-vous de contrôle en filière 34 le samedi 13.01 à 10 heures. Peak flow 46% du prédit (habituel : 450 L/min) et insuffisance respiratoire hypoxémique Aérosols de Ventolin et Atrovent dès le 31.12.2017 Solumédrol iv du 31.12.2017 au 01.01.2018 Prednisone du 02.01.2018 au 04.01.2018 Soins intensifs du 04.01.2018 au 06.01.2018 Ventilation non invasive du 04.01.2017 au 06.01.2017 Isolement gouttelettes du 31.12.2017 au 01.01.2018 Peak flow. Attitude : antibiothérapie et cortisone. Pédiculose du cuir chevelu Pédopsychiatre refusé par la famille Réseau interdisciplinaire comme prévu le 18.01.18 Péjoration arthralgie/toux/crachat Péjoration d'angoisse dans un contexte de troubles anxio-dépressifs connus le 19.01.2018 Péjoration d'arthralgies DEG et toux expectorante chez un patient sous immunosuppresseurs Péjoration de coxarthrose G. Lombalgies chroniques avec irradiation dans le membre inférieur G. Status post foraminotomie L4-L5 bilatérale pour canal lombaire étroit en 2004 par Dr. X. Status post syndrome lombo-radiculaire L4 G sur hernie discale L3-L4 en 2003. Conflit sous-acromial épaule D et arthrose acromio-claviculaire. Péjoration de douleurs abdominales chroniques. Péjoration de douleurs chroniques et troubles de la marche Péjoration de douleurs tendino-myo-articulaires dans un contexte de virose, chez un patient connu pour : • Connectivite mixte associant une polyarthrite périphérique chronique de type polyarthrite rhumatoïde, une aphtose récidivante, une photosensibilité et une sclérose (suivi Prof. X) Péjoration de dyspnée et épisodes d'hémoptysie le 09.01.2018 sur probable pneumonite sur nivolumab et progression tumorale • contexte d'adénocarcinome pulmonaire de stade IV sous traitement d'immunothérapie (nivolumab - 4 cycles) • contexte d'anticoagulation thérapeutique pour EP segmentaire (depuis 08.2017) Péjoration de la fonction rénale sans critère AKIN le 21.01.2018 • dans contexte de déshydratation Péjoration de la fonction rénale sans critère AKIN le 21.01.2018 • Dans un contexte de déshydratation • Clairance selon le Cockroft : 45 ml/min Péjoration de l'exanthème et dyspnée d'origine indéterminée le 19.01.2018 : • DD : anaphylaxie sur filtre dialyse Péjoration des douleurs neuropathiques chroniques des deux membres inférieurs chez patiente paraplégique le 09.01.2018 Péjoration des douleurs neuropathiques chroniques des membres inférieurs • contexte de paraplégie complète sur lésion destructrice (réception de tir d'un fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009) • Possible Hyperalgésie induite par les morphiniques Péjoration d'hémisyndrome droit Péjoration du diabète type II insulino-requérant cortico-induit Péjoration du diabète type II insulino-requérant cortico-induit Péjoration d'un asthme allergique sur probable virose en février 2013. Infection urinaire versus endométrite + mycose réactionnelle. Crise d'asthme bronchique le 24.11.2013, sur probable virose respiratoire. Péjoration d'un diabète mellitus cortico-induit Péjoration d'un lymphoedème chronique du membre inférieur sur status post arrachement ostéotomie tibiale le 4.3.2017 avec status post ostéotomie tibiale de valgisation type ouverture interne et AMO de la plaque avec ostéotomie de la TTA et mise en place d'une PTG le 18.1.2017 pour une gonarthrose tricompartimentale valgissante à gauche. Péjoration d'une lombalgie non-déficitaire chronique avec irradiation dans la cuisse gauche. Pendant la surveillance aux urgences, le patient quitte le service à plusieurs reprises dont une fois où il est retrouvé chez lui par sa femme, il se représente spontanément aux urgences de son propre chef. Nous lui expliquons les risques et la nécessité de modification de traitement sous surveillance. Il comprend sa situation et accepte une hospitalisation en volontaire à Marsens. En cas de non-présentation à Marsens, la psychiatre de garde contactera le CPS pour suivi ambulatoire rapproché. La femme du patient est également au courant de la situation. Pendant la visite, la dame remarque une amélioration de la symptomatologie au bras gauche. Elle ne présente pas de perte de force ni réduction de la sensibilité. Pas de céphalée ni vertige aux urgences. Elle souligne être très stressée ces dernières semaines pour des problèmes de famille. Nous retenons un diagnostic de crise d'angoisse et nous renvoyons la patiente à domicile. Elle ne souhaite pas de médicament. La patiente devra reconsulter les urgences en cas de réapparition de la symptomatologie. Pendant l'attente a bu 200 ml de normolytoral sans récidive de vomissement Pendant l'observation aux urgences, le patient est calme et apaisé. Il s'engage à voir un psychiatre à Romont. Il ne souhaite pas être hospitalisé et ne présente pas de risque de passage à l'acte. Il pense que l'hospitalisation lui serait néfaste. Il sort avec un traitement de Temesta 1mg et un arrêt de travail de 3 jours. Pendant son séjour aux urgences, il monte sa température à 40.5°C et devient marbré en périph. Après fébrifuges et diminution de la fièvre, disparition des marbrures. Après hydratation, le patient retourne à domicile. Pendant son séjour, le patient reprend conscience avec un Glasgow score à 15/15. Nous prenons contact avec le pédiatre de garde et nous transférons le patient en ambulance aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg. Pénicilline V pendant 10j Dafalgan/Algifor en réserve Penser à pyélonéphrite Perenterol Perentérol Dafalgan Hydratation per os Perenterol Microbiologie du 24.11.2017 : recherche Clostridium difficile négative Pérentérol Normolytoral Perenterol. Recherche PRC multiplex et C. difficile dans les selles. Lopéramide en réserve (le soir et la nuit). Perforation colique sur insertion d'un corps étranger anal le 23.07.2015 avec : • Résection du sigmoïde selon Hartmann avec colostomie terminale le 23.07.2015. • Ischémie de la colostomie terminale avec re-confection de la colostomie le 28.07.2015. • Infection de la plaie médiane le 31.07.2015 avec ouverture et drainage et système de Renasys du 1.08 au 27.08.2015. • Rétablissement de la continuité avec iléostomie de protection le 11.11.2015. • Fermeture d'éréostomie le 30.03.2016. Status post-opération de la prothèse totale du genou droit en novembre 2013. Status post-opération de la prothèse totale de la hanche gauche en 1995 environ. Status post-cholécystectomie en 2005 environ. Fracture du scaphoïde avec résection suite à un accident à l'âge de 30 ans Perforation d'ulcère gastrique le 07.09.2017, DD : lithiase cholédocienne résiduelle intra-pancréatique infectée. Hématochésie en mai 2017. OGD et colonoscopie en 2014 pour anémie chronique spoliative. Cholangite en août 2013. OGD pour gastrite chronique et antro-bulbite érosive le 24.08.2013. ERCP en octobre 2010 pour cholangite. Cholangite en octobre 2010. Syncope à l'emporte-pièce d'origine indéterminée en mai 2010. ERCP en juillet 2009 pour cholangite avec calculs vs concrétions alimentaires de la voie biliaire principale. Cholangite en juin 2009. Hématochésie sur maladie diverticulaire étendue en janvier 2005 et cautérisation de micro-polypes colliques en juin 2010. Laparotomie, anastomose cholédodo-duodénale termino-latérale pour lithiases cholédociennes avec status post-ERCP et sphinctérotomie pour calcul cholédocien (calcul de 1 cm non extractable) en décembre 2006. Choc septique sur septicémie à entérocoques en février 2005. Révision du tendon d'Achille gauche avec excision de calcifications et suture partielle en mai 2003. Ictus aséquellaire en 2002. Méniscectomie interne du genou droit en 1999. Cure de tunnel carpien des deux côtés en 1986. Cure de hernie hiatale en 1970. Cholécystectomie pour cholécystite. Cure de hernie ombilicale. Ablation de fibrome utérin. Lyse d'adhérences intra-péritonéales. Appendicectomie dans l'enfance. Perforation sigmoïdienne avec péritonite stercorale des 4 quadrants avec • s/p Laparotomie exploratrice avec résection sigmoïdienne selon Hartmann et mise en place d'un laparostome le 08.06.2017 • s/p Fermeture définitive de la plaie le 22.06.2017 Perforation sigmoïdienne iatrogène sur colonoscopie le 29.01.2018 • Probable carcinome sténosant de la jonction recto-sigmoidienne Perforation tympanique droite post-traumatique le 05.01.2018. Perforation tympanique droite post-traumatique. Perfusion de NaCl 0.9% Perfusion de potassium 40 mEq/L Perfusion de 20 ml de glucose 40% sur 30 minutes Déclaration d'incident Stop Ryzudeg, remplacé par Insulatard Poursuite du schéma d'Humalog Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion d'une ampoule de glucose Glucose par voie orale Diminution Insulatard à 26 UI/24 h Perfusion Glucose 10% 26.12.-29.12 Alimentation précoce Perfusion NaCl 0.9%. Perfusion NaCl 0.9%. Perfusion NaCl 0.9% 1000 ml / 24 heures. Restriction hydrique per os. Perfusion transitoire de NaCl 3% Périarthrite de hanche D avec syndrome de la bandelette ilio-tibiale (hanche à ressaut) sur status post-PTH D sur coxarthrose secondaire à une ostéonécrose de la tête fémorale opérée le 07.04.2016 Péribronchite basale droite le 07.03.2014 Péricardite à répétition Sepsis avec insuffisance rénale aiguë et delirium d'origine multifactorielle (2012) Opération d'une hernie discale (1998) Péricardite à répétition Sepsis avec insuffisance rénale aiguë et delirium d'origine multifactorielle (2012) Opération d'une hernie discale (1998) Péricardite aiguë. Péricardite aiguë le 24.01.2018 • avec douleurs ingérables à domicile Péricardite aiguë/ subaiguë récidivante le 30.01.2018 Péricardite diagnostiquée le 21.12.2017 d'origine indéterminée • Épanchement péricardique 2 cm le 05.01 avec répercussion hémodynamique Péricardite le 21.12.2017 Péricardite, 1997 env. Fracture des métatarsiens II à V main D, 2016 Cure de tunnel carpien D, env. 2000 Hernie inguinale D dans l'enfance Péricardite 1999. Néphrolithiase. Péricardite. Mycose vaginale le 07.10.2016. Sédiment urinaire : propre. Traitement symptomatique. Contrôle clinique chez le médecin traitant le 13.10.2016. Périmètre abdominal 1x/j du 24.11 au 29.11 puis 1j/2 du 30.11 au 03.12. Suivi clinique US abdominal de contrôle le 05.12 : persistance de liquide libre dans l'abdomen À suivre par le Dr. X, contrôle à 44 semaines d'âge corrigé avec US abdominal Péri-myocardite le 24.01.2018 Péri-myocardite le 24.01.2018 Périonyxis et mycose unguéale du pouce de la main gauche, le 27.12.2014. Vaginose d'origine bactérienne. Crise hypertensive symptomatique le 4.12.2017. Peripher-arterielle Verschlusskrankheit im Stadium 1 : • Mediasklerose der Unterschenkelarterie ohne Nachweis relevanter Stenosen • Risikofaktoren : Diabetes mellitus Typ 2, arterielle Hypertonie Chronisch-venöse Insuffizienz im Stadium 1 : • Akzessorische Varikose am medialen rechten Ober- und Unterschenkel • Postthrombotische Insuffizienz im Oberschenkelbereich rechts bei Status nach TVT • St. n. tiefer Venenthrombose rechts 2014 Kleines infrarenales Aortenaneurysma (Koronarographie 18.11.2016) • Kontrolle des Aortenaneurysmas nach 5 Jahren (2021) empfohlen Belastungsinkontinenz • Status après Kolposuspension après Bruch 04/2013 (Dr. X, Freiburg) Venenastthrombose mit Makulaödem rechts • Status après 6 Injektionen Lucentis (03-09/2014, Dr. X, Inselspital Bern) Anamnestic Katarakt links Anamnestic benigne Zysten Mamma links Adipositas (Body-Mass-Index [BMI] von 30 bis unter 35) Leichte depressive Verstimmung • St.n. Therapie mit Escitalopram 10 mg/Tag seit 06/2017 Vitamin D-Mangel von 23 nmol/l am 29.05.2017 unter Substitution Péritonite purulente des quatre quadrants sur diverticulite sigmoïdienne perforée (Hansen Stock 2c) le 04.09.2017 : • avec status post laparotomie exploratrice, résection sigmoïdienne selon Hartmann avec descendo-stomie terminale en hypochondre gauche, lavage abdominal (30 L) le 04.09.2017 • bactériologie le 04.09.2017 : E. coli • histopathologie Promed : 08.09.2017 : Diverticulite abcédée et perforée. Pas de malignité • colonoscopie du 20.12.2017 : absence de lésion sur le côlon restant en amont de la stomie. Persistance d'un moignon rectal d'environ 15 cm. • déhiscence de la plaie postopératoire le 18.09.2017 Insuffisance respiratoire hypoxémique le 07.09.2017 : • sur atelectase du lobe inférieur gauche • sur syndrome restrictif dans contexte post-op digestif avec iléus et obésité abdominale • ventilation non invasive du 07.09.2017 au 08.09.2017 Status post leucopénie sous chimiothérapie Adénome tubuleux colique avec dysplasie épithéliale à la colonoscopie 01/2015 : • colonoscopie du 20.12.2017 : absence de lésion sur le côlon restant en amont de la stomie. Persistance d'un moignon rectal d'environ 15 cm. Pneumonie à pneumocoque en 2012 Appendicectomie et péritonite aiguë en 1976 Cholécystectomie en 1990 Péritonite purulente des 2 quadrants droits sur perforation d'ulcère post-pylorique le 06.2011 Cholécystectomie par laparoscopie pour une lithiase vésiculaire symptomatique le 04.2012 Cure d'éventration ombilicale sans filet dans le cadre d'une cholécystectomie le 17.04.2012 Cure récidive d'éventration ombilicale avec pose de filet par laparoscopie le 15.11.2012 Colique néphrétique droite avec calcul au niveau du méat vésical de 7 mm Colique néphrétique gauche non datée Récidive de hernie incisionnelle ombilicale avec cure d'hernie ombilicale selon Rives le 14 au 25.01.2014 Lésion urétrale iatrogène post pose de sonde vésicale en préopératoire le 14.08.2014 Probable pyélonéphrite avec surinfection de kyste rénal gauche le 07.11.2017 Syndrome de sevrage aux opiacés avec sensation de frisson, sudation profuse, diarrhées et crampes abdominales Thrombose de la fistule artério-veineuse radiale selon Brescia-Cimino membre supérieur gauche le 19.12.2017 Reprise au bloc le 21.12.2017 Saignement post-opératoire au niveau de la fistule AV le 21.12.2017 Reprise au bloc opératoire le 21.12.2017 avec réfection de la partie distale de la fistule veineuse par un nouveau segment veineux le 21.12.2017 Re-thrombose de la fistule artério-veineuse radiale selon Brescia-Cimino membre supérieur gauche le 21.12.2017 • Permanence : Temesta 1 mg, Beloc Zok 50 mg • Consignes sur la gale données aux parents (selon protocole de HFR Fribourg) • Contrôle si péjoration ou persistance >2j. Persistance de douleurs à 1 mois postopératoire avec une imagerie de persistance de compression nerveuse. Au vu du contexte clinique et radiologique, on décide de proposer à la patiente un abord chirurgical par voie antérieure avec une discectomie et mise en place d'une cage. On explique les risques et les bénéfices à la patiente qui accepte la procédure et signe un consentement. On a également discuté des alternatives thérapeutiques qui pourraient être, mise à part une infiltration scanno-guidée, une reprise chirurgicale par voie postérieure avec une récessotomie sans fixation avec uniquement libération de la racine. Par contre, ce type d'attitude ne permettrait pas de protéger d'une nouvelle récidive. On fixe une date opératoire et on envoie la patiente chez les anesthésistes. Persistance de douleurs axiales à 6 semaines post-opératoires. Prescription de Dafalgan 1g/ toutes les 8 heures et Mydocalm le soir. Prescription également de physiothérapie douce avec massages et éventuellement aquagym. Prochain contrôle dans 1 mois. Persistance de douleurs lombaires et dans la jambe G à 1 mois post-opératoire. L'IRM de contrôle ne montre toutefois pas de récidive herniaire ni d'autre pathologie. Prescription d'un traitement par Toradol et gastro-protection. Nous introduisons également du Lyrica pour tenter de diminuer les douleurs dans la jambe G. Prochain contrôle dans 3 semaines. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Persistance de la symptomatologie à 2 mois post-opératoires. Concernant le MI G, prescription de Lyrica pour tenter de diminuer les douleurs d'allure neuropathiques. Pour le déficit moteur, prescription de séances d'électrostimulation avec Compex. Au vu de la décompensation probable de l'articulation sacro-iliaque G, nous nous organisons une infiltration à ce niveau sous scopie puis reverrons la patiente pour discuter de l'évolution. Persistance des douleurs Persistance d'odynodysphagie importante. Persistance d'un syndrome grippal. Persistance d'un syndrome grippal dans un contexte d'IVRS. Persistance d'une sensation de tangage. DD : post encéphalite, neuronite vestibulaire. Status post hospitalisation à Baden durant 2 jours pour vomissements, diarrhée et vertiges avec bilan par CT cérébral, IRM cérébrale, bilan cardiaque et laboratoire normaux selon la patiente. Infection urinaire le 18.12.2016. Status post infections urinaires à répétition, dont la dernière il y a 6 ans. Epigastralgies avec inappétence. Persistance d'une sensation d'hypoesthésie dans le territoire du médian, mais également ulnaire. Au niveau de la musculature, le patient présente une bonne trophicité, motricité. Les séances d'ergothérapie n'amènent plus d'amélioration. Nous lui proposons de poursuivre le renforcement musculaire. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Persistance d'une tendinite de Quervain G post cure tunnel carpien G le 19.01.11 Status post cure de tunnel carpien D le 18.02.16. Syndrome de compression du nerf médian dans le tunnel carpien des deux côtés avec status post cure de tunnel carpien main G le 19.01.11. Personnalité borderline avec troubles d'hyperactivité et avec prédominance de troubles de l'attention et impulsivité chez une personne adulte. Anxiété généralisée. HTA traitée et stabilisée. Tabagisme actif. Perte de connaissance. Perte de connaissance. Perte de connaissance avec traumatisme crânien. DD : vaso-vagale, hypotension orthostatique. Perte de connaissance d'origine probable infectieuse (DD : cardiaque DD : embolie, pulmonaire) le 31.01.2018. - pas d'argument pour une origine cardio-vasculaire. Perte de connaissance et traumatisme crânien. Perte de connaissance probablement d'origine vaso-vagale. Perte de connaissance probablement d'origine vaso-vagale le 07.01.2018. Perte de connaissance sous consommation d'alcool. Perte de connaissance sur accès de toux Perte de connaissances d'origine indéterminée le 25.01.2018. DD : malaise vaso-vagal - origine cardiaque - psychogène. Perte de force bras droit. Perte de force généralisée. Perte de glaires et de sang frais au niveau anal depuis 2 mois Perte de substance de la plante du pied G, 4ème, 5ème métatarsiens. Perte de substance superficielle de 0.2 cm de la face postérieure de l'articulation interphalangienne du pouce droit. Perte de 15 kg en 2016. Trouble de la personnalité émotionnellement labile chez une patiente ayant tendance à abuser de ses traitements le 30.09.2017 : - situation conflictuelle avec son mari. Avis psychiatrique : hospitalisation à Marsens. Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen F33.1. Suspicion de trouble anxieux généralisé F41.1. Compatible avec un trouble obsessionnel (pensées obsessionnelles). Perte d'odorat suite à refroidissement en 2010 : - sous Prednisone - récidive en 2014 avec multiples investigations (Inselspital), diagnostic de pansinusite chronique Perte d'urine Perte d'urine Perte pondérale de 6 kg/6 mois d'origine indéterminée, 13.12.2017 DD changement des habitudes alimentaires Perte sensibilité membre supérieur droit. Perte transitoire de connaissance avec récupération spontanée entraînant un accident de la voie publique. Episode dépressif majeur. Thrombose sinus caverneux. Pertes vaginales. Pertes vaginales inhabituelles. DD : infection gynécologique. Pertudoron (WELEDA) gouttes Perturbation chronique des tests hépatiques. DD : médicamenteuse, toxique, infectieux,...etc. Perturbation de la crase spontanée dans le cadre de la cirrhose Perturbation de test hépatique, probablement dans le contexte du bas débit cardiaque DD foie de stase DD métastase hépatique Perturbation de tests hépatiques le 10.01.2018. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 30.12.2017 : • pas de surconsommation d'OH • DD post-dissection coronarienne et réanimation Perturbation des tests hépatiques. Perturbation des tests hépatiques. Perturbation des tests hépatiques • patient connu pour une stéatose hépatique. Perturbation des tests hépatiques à prédominance cholestatique et coagulopathie (TP abaissé), multifactorielle avec : • foie de stase • cirrhose dans contexte ancienne consommation OH et ancienne hépatite B Perturbation des tests hépatiques avec : • ASAT 296 U/l, ALAT 252 U/l, gGT 131 U/l. Perturbation des tests hépatiques avec cholestase et cytolyse le 26.12.2017 d'origine probablement médicamenteuse Perturbation des tests hépatiques connus Hépatite A et B négatifs testés en sept 2017 Perturbation des tests hépatiques dans un contexte de cirrhose hépatique Perturbation des tests hépatiques (DD dans le contexte de choc; cholécystite/cholangite?) Perturbation des tests hépatiques de type cholestatique probablement dans le contexte de l'ileus. DD médicamenteux, cholangite Perturbation des tests hépatiques de type cytolyse DD sur rhabdomyolyse Perturbation des tests hépatiques d'origine alcoolique. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée DD : chimiothérapie, oncologique Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée DD : chimiothérapie, oncologique, HCV Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée DD : manifestation extra-pulmonaire de pneumonie. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée. DD: • médicamenteux. Perturbation des tests hépatiques d'origine probablement médicamenteuse DD hépatite virale Perturbation des tests hépatiques et pancréatiques avec cholestase et cytolyse le 13.01.2018 • d'origine toxique, néoplasique Perturbation des tests hépatiques (gGT à 222 U/l et phosphatase alcaline à 115 U/l). DD : alcool, infectieuse, pharmacologique. Perturbation des tests hépatiques le 06.01.18 • sur probable foie de stase Perturbation des tests hépatiques le 16.01.2018 d'origine indéterminée Perturbation des tests hépatiques le 23.01.2018 • d'origine médicamenteuse Perturbation des tests hépatiques le 24.01.2018 • DD: origine médicamenteuse?, début de cirrhose, OH? stase cardiaque? Perturbation des tests hépatiques médicamenteux Perturbation des tests hépatiques post ERCP. Perturbation des tests hépatiques probablement dans le contexte de consommation d'alcool à risque Perturbation des tests hépatiques probablement médicamenteux Perturbation des tests hépatiques probablement sur son état grippal le 05.01.2018. • DD: médicamenteuse, OH. Perturbation des tests hépatiques sur décompensation cardiaque le 12.12.2017 • Cholestase le 12.12.2017 (GGT 89 U/l, bilirubine totale 24 mcmol/l) Perturbation des tests hépatiques sur probable foie de stase DD. contexte OH Perturbation des tests hépatiques DD : contexte de choc, peu d'arguments pour cholécystite/cholangite Perturbation globale des tests hépatiques Perturbation spontanée de la crase Perturbation spontanée de la crase sur malnutrition. Perturbation spontanée du TP le 16.01.2018 • DD déficit Vitamine K, Déficit Facteur V, VII Perturbation tests hépatiques d'origine indéterminée Perturbations des tests hépatiques avec cholestase et cytolyse le 26.12.2017 : • d'origine probablement médicamenteuse. • mise en pause du Dafalgan, de l'Escitalopram, du Pantozol et du Lercadipin le 25.12. Perturbations des tests hépatiques d'origine indéterminée le 03.01.2018 Perturbations des tests hépatiques le 16.01.2018 • Perturbations des tests hépatiques sur foie de stase 09.11.17 DD : foie de stase Perturbations des tests hépatiques le 25.01.2018 • GGT 159, LDH 150 Perturbations des tests hépatiques le 26.01.2018 • probablement sur la mobilisation et clampage cholédoque en peropératoire Perturbations légères des tests hépatiques d'origine indéterminée le 03.01.2018 (GGT et phosphatase alcaline) DD : médicamenteux (Tibolon) Pes adductus bilatéral d'origine mixte : faiblesse musculaire des muscles péroniers et antéversion fémorale augmentée. Pes adductus ddc. Pes adductus ddc. Pes adductus ddc. Pes adductus ddc. Pes adductus ddc sous plâtre cruro-pédieux Pes plano en valgus léger avec surcharge des têtes métatarsiennes II à IV. Hallux valgus asymptomatique bilatérale. Pes planovalgus bilatéral et fasciite plantaire du pied droit consécutive. Gonarthrose gauche à prédominance du compartiment fémoro-tibial interne et du compartiment fémoro-patellaire. PET-CT PET-CT le 18.01.2018, suivi pneumologique selon résultat du PET-CT à prévoir Consultation anesthésique le 19.01.18 à 11h30 OGD le 23.01.18 à 11h30 PET-CT le 18.01.2018 Avis pneumologique (Dr. X) PET-CT le 25.01.2018 à 11h15 RDV chez Dr. X le 29.01.2018 à 14h30 Suite de la prise en charge du tabac chez le médecin traitant PET-CT le 29.12.2017 : hypercaptation correspondant au nodule pulmonaire supérieur droit évoquant premièrement une origine maligne. La lésion lingulaire ne capte pas le FDG de manière pathologique. Bronchoscopie le 09.01.2018 avec biopsie du nodule du LSD : résultats en attente Pétéchies des mains G et D le 04.01.2017 : • sur manchette à pression et INR supra-thérapeutique. Pétéchies probablement d'origine virale Petit abcès/kyste du scrotum. Petit poids et taille pour l'âge gestationnel, avec trouble de thermorégulation Petite adénopathie de 9 mm para-œsophagienne droite, à proximité de la jonction oesogastrique le 03.01.2018 Petite déchirure iatrogène de la muqueuse à 6h à 18 cm de l'arcade dentaire supérieure. Petite lésion acromio-claviculaire droite stade I vs II le 01.01.18. Petite lésion quadricipitale droite. Pevaril Pevaryl crème Pevaryl crème Pevaryl crème. Pevaryl crème dès le 06.01.2017 Pevaryl crème et poudre du 23.12.2017 au 08.01.2018 Diflucan 200 mg 1x/j du 25.12 au 03.01.2018 Pevaryl crème et poudre du 23.12.2017 au 08.01.2018 Diflucan 200 mg 1x/j du 25.12.2017 au 03.01.2018 Pevaryl du 21.12.17 au 11.01.18 Résolue Pévaryl poudre Pévaryl poudre Pevaryl poudre du 16.01.18 au 22.01.18. Xyzal en réserve Pevaryl poudre Douche 1x/jour Pfannenstiel, hystérectomie, annexectomie et lavage péritonéal le 16.01.2018 (Dr. X) Cathéter radial du 16 au 17.01.2018 Phacoémulsification et aspiration de la cataracte, œil gauche, en 2010 Phacoémulsification et aspiration de la cataracte, œil droit, en 2009 Crise tonico-clonique le 12.03.2016 Phakectomie bilatérale. Ostéoporose fracturaire : • FRAX Score : major osteoporotic fracture 39%, hip fracture 19% • déficit vitamine D • fracture pertrochantérienne comminutive type reverse du fémur proximal gauche le 21.09.2017 (réduction à foyer ouvert et enclouage centromédullaire). Ferinject 500 mg en intraveineux le 12.10.2017 et le 13.10.2017. Suspicion de réaction allergique le 14.10.2017 d'origine probablement médicamenteuse (Ferinject, Novalgine). Hématome du membre inférieur gauche post-opératoire avec œdème. Phakectomie gauche en 2014.Exérèse d'un kyste inguinal gauche en 1971. Ostéosynthèse par plaque palmaire Synthes VA pour fracture intra-articulaire de l'extrémité distale du radius gauche, avec bascule dorsale et comminution. Phakectomie gauche, sans précision Status post revascularisation par angioplastie de l'artère iliaque commune droite en 2015 Hépatite alcoolique St a implantation d'un pacemaker monocaméral en 2014 pour syncopes récidivantes avec des épisodes de BAV du 2e degré, Mobitz II Phako-émulsification de l'œil D. Plusieurs interventions pour strabisme. Fracture Kyle IV pertrochantérienne G sur chute mécanique traitée par réduction ouverte, cerclage du fémur et mise en place d'un clou Gamma long, le 08.11.2016 avec: • Descellement d'une des deux vis de verrouillage distal du clou gamma • Anémie macrocytaire avec Hb à 79 g/l en post-opératoire Dénutrition protéo-calorique avec albumine à 29 g/l et hypomagnésémie le 11.11.2016 Intolérance au glucose avec HbA1c à 5% Ulcère superficiel malléole externe D Pic hypertensif à 220/110 mmHg le 23.11.2016 dans un contexte d'HTA non traitée et anxiété • patient était sous Vascord mais a stoppé le traitement Phako-émulsification de l'œil droit. Plusieurs interventions pour strabisme. Fracture Kyle IV pertrochantérienne gauche sur chute mécanique traitée par réduction ouverte, cerclage du fémur et mise en place d'un clou Gamma long, le 08.11.2016. Descellement d'une des deux vis de verrouillage distal du clou gamma. Anémie macrocytaire avec Hb à 79 g/l en post-opératoire en cours de régression. Dénutrition protéo-calorique avec albumine à 29 g/l et hypomagnésémie le 11.11.2016. Intolérance au glucose avec HbA1c à 5%. Ulcère superficiel malléole externe droit. Pic hypertensif à 220/110 mmHg le 23.11.2016 dans un contexte d'HTA non traitée et anxiété, patient était sous Vascord mais a stoppé le traitement. Pharyngite Pharyngite Pharyngite. Pharyngite. Pharyngite. Pharyngite. Pharyngite. Pharyngite à streptocoque. Pharyngite à streptocoque il y a 1 mois Pharyngite à streptocoques Pharyngite aiguë d'origine virale le 22.08.2017. Pharyngite avec IVRS Pharyngite dans un contexte de grippe. Pharyngite de probable origine virale. Pharyngite de probable origine virale. Pharyngite le 10.01.18. Pharyngite probable viral Pharyngite probable virale Pharyngite probablement virale Pharyngite streptocoque A positif le 25.11.2017. Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale au décours. Pharyngite virale avec adénopathie mésentérique Testicule gauche non descendu Contusion de la cheville gauche Angine bactérienne Appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse avec périappendicite fibrinopurulente, le 19.02.2017 Appendicectomie par laparoscopie, lavage abdominal le 19.02.2017 Antibiothérapie intraveineuse: Augmentin 500 mg 4x/jour du 19.02.2017 au 22.02.2017, puis per os jusqu'au 09.03.2017 Pharyngite virale le 05.03.2017. Pharyngite virale, le 14.01.2018. Pharyngite virale, le 28.12.2011. Pharyngite virale sans signe de gravité le 13.01.2018. • Test de Centor: 1. Pharyngite virale (DD mononucléose) Pharyngite/laryngite Pharyngo-laryngite d'origine probablement virale. Pharyngo-laryngite le plus probablement virale. Pharyngo-tonsillite virale. Phimosis avec balanite légère Phimosis calotté le 05.01.2018. • Ulcère pénien probablement sur phimosis sur irritation mécanique. Phlébectomie gauche dans les années 1990 Réduction mammaire en 2011 Phlébite du membre supérieur gauche sur Cordarone Phlébographie et phléboplastie le 29.12.2017: dilatation de deux sténoses Phlegmon celluleux de la pulpe de P2 D1 main gauche. Status après incision et drainage plus antibiothérapie par le médecin traitant. Phlegmon celluleux dorsal en regard du 3ème rayon de la main droite, côté dominant Phlegmon de la fesse : • status post-fistulectomie pour une fistule cutanéo-cutanée para-anale par Dr. X, chirurgien, le 12.01.2018. Phlegmon gaine des tendons fléchisseurs Dig III main D post plaie face palmaire de l'IPD 9 jours auparavant • Microbiologie (19.12.2017) : Staph. aureus multisensible Phlégmon gaine fléchisseur 3ème rayon main gauche Phlegmon intraabdominal du bas ventre sans abcès le 17.01.2018 Phlegmon périamgydalien droit. Phlyctène de la paume de la main droite Phlyctènes au niveau de l'index gauche Photo-kératite aux UV le 14.01.2018. Photokératite bilatérale sur exposition professionnelle à lumière UV de chalumeau à arc électrique. Photothérapie du 14.12 au 15.12.2017 Coombs négatif Groupe sanguin O+ Photothérapie du 30.12 au 31.12.17 Groupe sanguin et Coombs direct Photothérapie 1 lampe dès le 26.12.2017 (pendant 20h) Photothérapie 1 lampe pendant 15h dès le 23.12.2017 Groupe sanguin B négatif le 24.12.2017 Tests Coombs négatif le 24.12.2017 Photothérapie 2 lampes 17 heures Contrôle bilirubine Groupe sanguin et test de coombs direct physio-, ergothérapie Physio-, Ergothérapie et évaluation diététique Retour à domicile en accord avec la famille Physio-, Ergothérapie Physio- Ergothérapie Aspirine et Plavix à poursuivre au minimum 3 mois Antalgie avec Pregabalin et Tapentadol à titrer progressivement au besoin Adaptation de la prothèse (réalisée par physiothérapeute et Dr. X d'Orthoconcept) Bandages de compression Transfert en réadaptation musculosquelettique le 24.01.2018 Physio- Ergothérapie Aspirine et Plavix à poursuivre au minimum 3 mois Antalgie avec Pregabaline et Tapentadol à titrer progressivement au besoin Soins de plaies du moignon droit et du pied gauche avec soutien du service de diabétologie du HFR Fribourg Rendez-vous en angiologie ambulatoire le 11.01.2017 à 16h au HFR Fribourg Physio- Ergothérapie Labo de contrôle Immunothérapie 13.12.2017 Arrêt du traitement d'aldactone instauré lors de l'hospitalisation en chirurgie (15.12.2017) Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Physio- et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Physio- et ergothérapie Antalgie avec Dafalgan et Oxycontin Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg 1x/j pendant 6 semaines postopératoires Mobilisation sans charge du membre inférieur droit pendant 6 semaines postopératoires Physio- et ergothérapie Substitution Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie. Physiothérapie. Physiothérapie ambulatoire. Physiothérapie ambulatoire. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, HFR Fribourg, pour contrôle dans 3 mois. • Physiothérapie ambulatoire • Contrôle chez le médecin traitant • Physiothérapie ambulatoire. • Poursuite du traitement par Gyno-Pévaryl ovules (dernière dose le 11.01.2018) et crème jusqu'à disparition des démangeaisons vulvaires Une poursuite de la réduction du fentanyl au home est à envisager. Consignes pour la minerve (jusqu'au 28.02.2018; selon le Dr. X, Orthopédie): • port de minerve rigide pour les transferts, la marche ou en cas d'agitation • port de la collerette en mousse pour la nuit (sauf si agitation) • possibilité de tout enlever au lit et au fauteuil si la patiente est calme et collaborante (p. ex. lors des repas) • Physiothérapie avec augmentation des amplitudes articulaires. Stabilisation du poignet et traitement anti-inflammatoire. Poursuite de l'incapacité de travail pour l'instant. Prochain contrôle dans 6 semaines. • Physiothérapie avec augmentation des amplitudes en actif et en passif, ne pas charger, protection du biceps. Reprise de l'activité administrative à 100% dès le 08.01.2018. Prochain contrôle dans 6 semaines. • Physiothérapie avec charge partielle de 20 kg, flexion maximale 70°, pas d'abduction ni adduction contre résistance. Éviction des mouvements rotatoires Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 30.01.2018 puis selon avis orthopédique Admission à l'UATO le 19.01.2018 puis réhabilitation musculo-squelettique à organiser dès que charge complète possible Rendez-vous chez Prof. X le 30.01.2018 à 10h00 • Physiothérapie avec mobilisation et renforcement musculaire. Poursuite de l'incapacité de travail et prochain contrôle dans 6 semaines. • Physiothérapie avec mobilisation, renforcement, stabilisation, poursuite de l'incapacité de travail jusqu'au prochain contrôle. En cas d'évolution favorable, on pourra envisager qu'il garde la même activité professionnelle. • Physiothérapie avec schéma St-Antonio. Prochain contrôle clinique le 21.03.2018. • Physiothérapie (bilan chute) demandé • Physiothérapie de mobilisation. • Physiothérapie de mobilisation avec évaluation de la marche. • Physiothérapie de mobilisation et respiratoire Bilan vitaminique • Physiothérapie de mobilisation et respiratoire Oxygénothérapie • Physiothérapie de mobilisation sans charge sur la jambe droite pendant 6 semaines Rendez-vous à la policlinique d'orthopédie de l'HFR Riaz le 15.01.2018 à 14h • Physiothérapie de mobilisation Prise en charge ergothérapeutique • Physiothérapie de rééducation à la marche en ambulatoire. • Physiothérapie en ambulatoire • Physiothérapie en charge selon douleurs. Transfert en réadaptation gériatrique le 05.01.2018. • Physiothérapie, ergothérapie. Contrôle dans 6 semaines. • Physiothérapie Ergothérapie Nutrition • Physiothérapie Ergothérapie Pallesthésie Pister bilan vitaminique Pister Schellong Poursuite traitement aspirine cardio 100 mg Prévoir ce dimanche à domicile (14.01) en accord avec la fille de la patiente Appel fille, ok pour sortie ce samedi 20.01 Physio ambulatoire (1x/semaine) domicile • Physiothérapie et Ergothérapie CT avant pied 19.01.2018 Radiographie avant pied en charge 23.01.2018 • Physiothérapie, nutrition plaisir • Physiothérapie. Pas de prochain contrôle prévu sauf si elle le juge nécessaire. • Physiothérapie pour gagner les amplitudes articulaires, poursuite de l'incapacité de sport jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. • Physiothérapie pour massage cicatriciel. Pas de prochain contrôle prévu. • Physiothérapie pour mobilisation douce de l'épaule et du coude. Contrôle radioclinique dans 2 mois. • Physiothérapie pour mobilisation et renforcement progressif. Prochain contrôle dans 6 semaines. • Physiothérapie pour relâchement chaîne postérieure et renforcement musculaire AINS d'office 48h puis en réserve Contrôle en ortho team genou dans 10-15 jours pour évaluer le besoin d'un bilan plus approfondi Arrêt de sport pour 3 semaines • Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 07.02.2018. • Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 14.03.2018. • Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 23.03.2018. • Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 26.02.2018. • Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 31.01.2018. • Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 15.02.2018 • Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 22.02.2018. • Physiothérapie respiratoire en ambulatoire • Physiothérapie respiratoire en cours • Physiothérapie respiratoire. Contrôle clinique et biologique à votre consultation le 12.01.2018. • Physiothérapie Alimentation parentérale le 08.01.2018 Alimentation entérale par SNG dès le 08.01.2018 Reprise d'une nutrition per os progressive le 16.01.2018, avec adaptation du débit sur la SNG • Physiothérapie Antalgie • Physiothérapie Antalgie • Physiothérapie Antalgie • Physiothérapie Bilan vitaminique Test de Schellong : négatif Substitution de vitamine B12 et vitamine D Tests de la cognition le 22.12.2017 avec MMS à 16/27 • Physiothérapie Bilan vitaminique Substitution vitaminique : D, B12, B9 • Physiothérapie Compléments nutritifs • Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant. Contrôle chez l'orthopédiste traitant le 20.02.2018. • Physiothérapie CT rachis cervicale • Physiothérapie CT rachis cervicale le 18.01.2018 En cas de persistance des douleurs, proposition d'effectuer une IRM cervicale • Physiothérapie Ergothérapie • Physiothérapie Ergothérapie • Physiothérapie Ergothérapie Bilan de chutes Substitution vitaminique • Physiothérapie Ergothérapie Laboratoire Substitution vitaminique • Physiothérapie Ergothérapie Le 29.11 demande d'augmenter à 2 boissons type protéinées (2 x 200ml par jour) Diminution cymbalta arrêt cymbalta le 14.12 Début remeron 15 mg le 15.12 Arrêt complément alimentaire le 19.12 Ad collation pour compenser arrêt complément alimentaire et évaluation en fin de semaine (perte de poids ?) Demande à patiente pour suivi psychiatrique ambulatoire ? XXXXXX Pre-albumine le 21.12 : 0.18 g/l Ad valeriane en réserve si nervosité le 20.12 • Physiothérapie Ergothérapie Nutrition : équilibrer le diabète et optimiser le schéma d'insuline Essayer d'arrêter l'oxygène • Physiothérapie Ergothérapie Pister IRM chez médecin traitant • Physiothérapie Ergothérapie Rendez-vous prévu le 19.01.2018 à 10h30 avec Dr. X, Xarelto 10 mg 1x/j à poursuivre jusque-là • Physiothérapie Ergothérapie Substitution vitaminique • Physiothérapie Ergothérapie Substitution vitaminique Test de Schellong du 15.12.2017, sans bas de contention : négatif • Physiothérapie Ergothérapie Suivi clinique en médecine interne Labo albumine Diminution antalgie de 20 à 10 mg/j oxycontin le 11.01.2018 + ad réserve oxynorm Bilan vitaminique Avis nutritionniste Passage en réadaptation gériatrique demandée pour le 22.01.2018 Pantoprazol repris à 40 mg 2x/j dès le 09.01.2018 à poursuivre jusqu'au 09.02.2018 • Physiothérapie Évaluation cognitive Sevrage avec schéma de Seresta en réserve et schéma de substitution en vitamine B1 Évaluation cognitive du 19.12.2017 : MMS à 29/30 et test de la montre à 7/7 • Physiothérapie Évaluation du risque de chute le 27.12.2017 : Tinetti à 18/28, risque de chute très élevé.Rollator Ad. Réadaptation Gériatrique à Riaz Physiothérapie Nutrition Ergothérapie Optimisation de l'antalgie Physiothérapie Nutrition Ergothérapie Suivi des plaies par la stomathérapeute Physiothérapie Poursuite physiothérapie en ambulatoire Physiothérapie. Prochain contrôle : 19.3.2018 Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 12.03.2018. Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 12.03.2018. Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 10.04.2018. Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 22.02.2018. Physiothérapie Réhabilitation gériatrique à l'HFR Meyriez Physiothérapie Résolu Physiothérapie Substitution vitamine B12 + vitamine D3 Introduction Sirdalud le 2 mg le 10.01.2018 Lyrica ENMG IRM du crâne 11.01. Inscription en neuro-rééducation intensive Bilan cardio-embolique sans cause retrouvée Aspirine cardio Statine Physiothérapie Substitution vitaminique Bas de contention Physiothérapie Suivi nutritionnel Substitution vitaminique Tests de la cognition le 05.12.2017 : MMS à 26/30 et test de la montre à 4/7 Physiothérapie Test de Schellong du 19.12.2017 : positif Test de Schellong du 20.12.2017 avec bas : négatif Bilan vitaminique Substitution de vitamine D et folates Physiothérapie Tests de la cognition du 09.01.2018 : MMSE et test de la montre Bilan vitaminique Substitution vitaminique Pic fébrile depuis 15 j avec adénopathie cervicale creux axillaire et sur toutes les chaînes ganglionnaires (cf CT scan) 20.1.2018 avec baisse de l'EG épanchement pleuraux bilatéraux symptômes B, phénomène de Raynaud/exanthème cutané DD : Lymphome / CREST syndrome / Néo-plasie / Infectieux Pic fébrile isolé le 11.01.2018 sans foyer retrouvé • avec 1 épisode de frissons solennels • antibiothérapie empirique par Céfuroxime 500 mg 2x/j du 12.01 au 16.01.2018 DD : • virose au décours Pic hypertensif à 189 TA systolique le 05.01.2017 avec : • vertiges, céphalées, paresthésie péri-orale et membre inférieur droit • tension labile • patient connu pour cancer pulmonaire non à petites cellules, de type adénocarcinome, du lobe supérieur droit métastatique • sous corticothérapie DD : hypertension artérielle secondaire, effet blouse blanche. Pic hypertensif à 193/98 mmHg asymptomatique le 01.12.2017 Pic hypertensif asymptomatique le 09.01.18 Pic hypertensif, avec TA à 209/109 mmHg sans retentissement viscéral. Pic hypertensif le 11.10.2016. Pic hypertensif le 28.01.2018. PICO gauche du 08.01.2018 au 13.01.2018 PICO droite du 08.01.2018 au 13.01.2018 Cath-péridural du 08.01.2018 au 11.01.2018 Sonde vésicale du 08.01.2018 au 12.01.2018 Pics fébriles d'origine indéterminée, probablement secondaire à l'hématome Pics hypertensifs matinaux avec épistaxis. DD : SAOS. Pics hypertensifs sans atteinte d'organe, le 20.01.2018 Pied adductus ddc, plus prononcé à gauche, flexible. Pied bot bilatéral avec multiples interventions. Asthme. (ventolin en réserve) Pied bot ddc, Diméglio III. Pied D adductus en varus, réductible. Pied de Charcot G par polyneuropathie diabétique Pied de Charcot G par polyneuropathie diabétique Diabète insulino-requérant Pied diabétique ddc • avec ulcères aux orteils, sans suivi Pied G postOP 17.01.2018 Pied gauche : lésion du Chopart avec fracture calcanéocuboïdale. Pied gauche f/p/o : bon alignement de l'axe du 1er orteil. Bonne consolidation du 5ème métatarse. Consolidation encore non satisfaite des 2 et 3ème métatarses. Pied planovalgus bilatéral. Ostéochondrite du dôme astragalien grade II diagnostiquée en 2012. Pied plat G. Pied pronateur. Morphotype en varus membres inférieurs. Périostite. Irritation tendon tibial postérieur bilatérale prédominante à gauche. Pied tombant à D, connu depuis 2005 Pieds froids DD positionnel Pieds plano valgus ddc, un peu plus prononcé à D. Pieds plats bilatéraux, plus prononcé à G avec une antéversion du col du fémur ddc. Pieds plats bilatéraux réductibles. Inflammation des tendons extenseurs pied G. Pieds plats ddc, corrigibles Genu valgus de 10 cm inter-malléolaire Syndrome du côlon irritable Vasculite cutanée leucocytoclasique et aéo-sinophile Syndrome des jambes sans repos aux 4 membres (CHUV, Centre du sommeil, Dr. X) Pieds plats ddc, principalement à G. Genoux en valgus ddc. Pieds plats flexibles avec rotation interne plus marquée à G qu'à D et raccourcissement du MIG en dessous de 1 cm. Pilomatricome sous galéale frontal de la ligne médiane de 14 mm le 03.01.2018 DD kyste épidermoïde Pilomatricome sous galéale frontale DD : kyste épidermoïde Pincement thoracique. Pipéracilline-tazobactam du 09 au 13.11.2017 Cefepime du 10 au 11.11.2017 Métronidazole du 10 au 11.11.2017 Vancomycine le 10.11.2017 Métronidazole du 13.11 au 16.11.2017 Ceftriaxone dès le 13.11 au 24.11.2017 Pipéracilline/Tazobactam intraveineux du 18 au 23.01.2018 Ciprofloxacin/Metronidazole per os du 23. au 31.01.2018 Pipéracilline-tazobactam le 02.01.2017 Clarithromycine le 02.01.2017 Pipéracilline-Tazobactam 4.5 gr 4x/jour du 10.12.17 au 16.12.2017 Piqûre de tique. Piqûre de tique inguinale gauche le 12.10.2017. Eczéma auriculaire en 2016. Amputation distale traumatique de P2 D1 gauche, avec lambeau au CHUV en 2014. Hyperréactivité bronchique (1 épisode unique) en 2014. Echocardiographie avec dysfonction diastolique grade I en 2010. Rectosigmoïdoscopie montrant des hémorroïdes internes de stade II. Pister bilan cardiaque effectué chez le Dr. X ETT demandé Pister dosage des anti-phospholipides du 03.01.2018 (encore en cours, hémostase HUG) Suivi biologique Discuter poursuite prednisone Pister IRM : pas de déficit neurologique Physio Antalgie par Dafalgan et Oxynorm Fango cx Pister les résultats de culture urinaire et merci de changer l'antibiothérapie si nécessaire. Merci de convoquer la patiente pour un contrôle de la fonction rénale le 25.01.18. Pister les résultats de polygraphie et capnographie transcutanée sous VNI le 09.01.2018. Sevrage de la VNI si possible Fonction pulmonaire et adaptation du traitement du fond de sa BPCO Pister les tests hépatiques Pister l'uricult Pister résultat Holter Poursuite de la prise en charge en réhabilitation Pister résultats TSH. Pister sédiment urinaire et urotube. Pityriasis rosé de Gilbert Placement en EMS prévu pour janvier 2018 Placement en PAFA à Marsens en octobre 2016 pour intoxication dans le contexte de polytoxicomanie active (sorti après environ 3 jours). Plaie profonde de la main gauche, éminence thénar, de 4 cm, le 28.04.2017. Dyspnée aiguë d'origine indéterminée en juin 2016 (bilan CT thoracique : absence d'embolie pulmonaire, ETT sans particularité). Phlébite de la main gauche le 03.10.2016. Troubles de l'état de conscience sur éthylisation aiguë et probable abus de stupéfiants le 03.12.2016. Alcoolémie à 2.53 Placement en PAFA à Marsens en octobre 2016 pour intoxication dans le contexte de polytoxicomanie active (sorti après environ 3 jours). Plaie profonde de la main gauche, éminence thénar, de 4 cm, le 28.04.2017. Dyspnée aiguë d'origine indéterminée en juin 2016 (bilan CT thoracique : absence d'embolie pulmonaire, ETT sans particularité). Phlébite de la main gauche le 03.10.2016. Troubles de l'état de conscience sur éthylisation aiguë et probable abus de stupéfiants le 03.12.2016. Alcoolémie à 2.53 ° le 03.12.2016. Avis psychiatrique le 03.12.2016 (Dr. X) : personnalité émotionnellement labile type impulsif. Traits dysociaux, sans trouble thymique ni psychotique décompensé. le 03.12.2016. Avis psychiatrique le 03.12.2016 (Dr. X) : personnalité émotionnellement labile type impulsif. Traits dysociaux, sans trouble thymique ni psychotique décompensé. • Placenta envoyé en anatomo-pathologie • Plagiocéphalies occipitale droite Convulsion fébrile simple sur IVRS • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie sourcil G • Plaie à la main gauche. • Plaie à la phalange distale du 3ème doigt gauche. • Plaie à l'index gauche. • Plaie abdominale • Plaie abdominale • Plaie anale persistante après amputation du rectum avec descendostomie terminale le 14.11.2014 • Plaie anale persistante après amputation du rectum avec descendostomie terminale le 14.11.2014 • Plaie ancienne de la face externe du membre inférieur gauche avec zone de nécrose et contact au tibia, avec : • Débridement chirurgical le 06.01.2018 • Plaie arcade sourcilière droite • Plaie arcade sourcilière gauche • sur chute • Plaie au coude gauche et à la fesse gauche • Plaie au cuir chevelu. • Plaie au menton • Plaie au menton de 4cm. • Plaie au niveau de la lèvre inférieure. • Plaie au niveau de la lèvre inférieure. • Plaie au niveau de la lèvre inférieure Suture KIT prolène 6-0 Ablation chez médecin traitant dans 7 jours Bains de bouche désinfectants Hextril solution pour 15 jours • Plaie au niveau de la lèvre inférieure Suture KIT prolène 6-0 Ablation chez médecin traitant dans 7 jours Bains de bouche désinfectants Hextril solution pour 15 jours • Plaie au niveau du majeur gauche le 20.01.2018. • Plaie au niveau du ténar du pouce gauche le 26.01.2018 • Plaie au niveau du 5ème orteil • Plaie avant bras gauche. • Plaie avec arrachement de l'ongle Dig IV main droite et petite plaie IPP Dig V main droite. • Plaie avec perte de substance de l'index droit le 03.10.2016. Instabilité antérieure grade III sur rupture LCA genou G en juillet 2013 traité par plastie de reconstruction du LCA arthroscopique par DIDT, genou G (OP le 04.12.2013). Rupture LLI avec Pellegrini-Stieda genou G en 2011. Entorse ligament collatéral radial IPP du 5ème doigt à G le 14.06.2017. • Plaie avec perte de substance pulpe D5 main droite, août 2008. • Plaie base thoracique gauche 2 cm le 02.01.2017 • Plaie base thoracique gauche 2 cm le 02.01.2017 • Plaie bras gauche de 7 cm x 0,5 cm. • sur coupe avec rasoir. • Plaie centimétrique suturée avec un point de prolène 4-0. Ablation du fil à J7 chez le pédiatre. Dafalgan en réserve, vaccin antitétanique à jour. • Plaie chronique fibrineuse de 3x3cm en regard du malléole latéral gauche DD sur malformation artério-veineuse • Plaie chronique fibrineuse de 3x3cm en regard du malléole latéral gauche DD sur malformation artério-veineuse • Plaie conduit auditif gauche le 29.01.18. • Plaie contuse face antérieure genou G ; le 06.01.2018 • Plaie coude droit. • Plaie coude G sur chute accidentelle le 12.10.2016. • Plaie de la base de P1 du 3ème doigt main droite. • Plaie de cuir chevelu, pariétale droite. • Plaie de doigt 2 de la main gauche avec perte de substance, superficielle. • Plaie de D4 main gauche superficielle. • Plaie de D4 main gauche superficielle le 31.12.2017. • Plaie de la base de P1 du 3ème doigt main droite, avec une perceuse. • Plaie de la face latérale de la 2ème phalange de l'index gauche. • Plaie de la face palmaire de l'index gauche Status post-cholécystectomie Status post-stent gastrique • Plaie de la jambe gauche. • Plaie de la lèvre. • Plaie de la lèvre inférieure en cours de cicatrisation le 24.01.2018. • Plaie de la lèvre inférieure face droite. • Plaie de la lèvre supérieure. • Plaie de la main droite. • Plaie de la paupière inférieure de 1cm horizontale superficielle droite. • Plaie de la pommette gauche en contact avec la commissure palpébrale sans lésion palpébrale. • Plaie de l'arcade sourcilière droite le 21.01.2018. • Plaie de l'éminence ténar avec suspicion de lésion du tendon long fléchisseur du pouce D • Plaie de l'extrémité distale de D3 à droite le 17.12.2017 • chez un patient sous aspirine cardio et effient • Plaie de l'extrémité du 2ème doigt main gauche. • Plaie de l'extrémité du 2ème doigt gauche. • Plaie de l'index D avec lésion des branches palmaires radiale du nerf et de l'artère et arthrotomie traumatique des articulations IPP et IPD (op le 07.11.2017) • Plaie de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt de la main droite, sans perte de substance de 1.5 cm. • Plaie de 1 cm à la face dorsale au niveau de la 1ère phalange du 5ème doigt à droite avec une atteinte partielle du tendon extenseur le 08.01.2018. • Plaie de 1 cm au niveau du tragus de l'oreille droite le 11.01.18. • Plaie de 1 cm de longueur atteignant le tissu sous cutané, au niveau de l'arcade sourcilière droite le 08.01.2018. • Plaie de 1 cm2 de la face dorsale du 2ème rayon de la main gauche avec perte de substance. • Plaie de 1cm face palmaire du poignet face ulnaire à gauche. • Sans atteinte de structure noble. • Plaie de 1cm occipitale en avril 2012. Infarctus du myocarde en 2003 avec mise en place de stents. Hystérectomie. Kyste ovarien. Appendicite. Autre opération non précisée. • Plaie de 1cm occipitale en avril 2012. Infarctus du myocarde en 2003 avec mise en place de stents. Hystérectomie. Kyste ovarien. Appendicite. Autres opérations non précisées. • Plaie de 1.5 cm au niveau frontal droite le 04.07.2016. • Plaie de 2 cm face dorsale sur le 2ème doigt de la main droite au niveau de l'IPP • Plaie de 2 cm face médiane D1 main droite. • Plaie de 2 cm sur la face dorsale de la première phalange de D2 à gauche. • Plaie de 2 cm sur le pouce gauche (pulpe et ongle) le 16.01.2018. • Plaie de 2cm de longueur transverse en zone 5 au niveau de la face dorsale de la 1ère phalange de l'index gauche avec rupture partielle de la bandelette sagittale du tendon extenseur côté radial. • Plaie de 2.5cm (forme L) au niveau du menton droit. Rinçage, anesthésie locale, Suture (fils 5.0 Ethylon, 3 points) + Stéistrips Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant, Ablation des fils dans 5 jours. • Plaie de 3 cm au niveau du poignet droit, le 15.01.2018. • Plaie de 3 cm de la face dorsale de l'index de la main gauche le 09.01.2018. • Plaie de 3 cm de l'arcade sourcilière gauche le 29.10.2017. • Plaie de 3 cm du majeur de la main gauche. • Plaie de 3 cm frontale sans complication. • Plaie de 3 cm x 1.5 cm, profondeur environ 0.3 cm au niveau de la malléole interne du pied gauche, sur probable insuffisance veineuse • Plaie de 3cm arcade sourcilière droite le 4.01.2018. • Plaie de 4cm du tiers proximal de la jambe gauche, 5cm sous la rotule gauche.Plaie de 8 mm de diamètre en regard de la face dorso-latérale pied G. Contusion du pied G. Plaie (déchirure) du lobe de l'oreille gauche. Plaie délabrée avec perte de substance à la face antéro-latérale, tiers moyen de la jambe droite. Plaie d'environ 1.5 cm du doigt 1 de la main droite. Lombalgie. Plaie d'environ 3 cm de long au niveau pariétal droit dans le contexte du diagnostic principal le 20.01.18. Plaie des 2 genoux suite à une chute de cheval. Plaie Dig IV zone 2 main G. Plaie Dig IV zone 2 main G avec lésion du nerf digital palmo-radial et artère digitale palmo-radiale; le 23.12.2017. Plaie doigt 2 de la main gauche avec perte de substance, superficielle le 12.01.2018. Plaie dorsale à la hauteur de la diaphysaire proximale de la première phalange du 4ème doigt (zone 4 ou jonction 4-5) sans déficit fonctionnel ou neurologique. Plaie dorsale du tiers distal du 3ème métacarpien de la main droite le 31.01.2018. Plaie dorsale en V à la base de l'ongle de l'index droit (juste distalement à la zone une de l'index droit). Plaie dorsale en V à la base de l'ongle du 2ème doigt droit (juste distalement à la zone de l'index droit). Plaie dorsale main D. Plaie dorsale main droite. Plaie du coude droit. Plaie du coude droit avec implication de la bourse. Plaie du coude gauche. Plaie du coude gauche avec bursotomie et atteinte partielle du tendon triceps huméral. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu en région occipitale d'1 cm. Plaie du cuir chevelu, pariétale droite. Plaie du cuir chevelu 05.11.2012. Plaie profonde cheville gauche 1996. Paralysie faciale en 2008. Coupure du dos de la main gauche sans lésion tendineuse. Gastrite 12/2017. Plaie du doigt. Plaie du doigt. Plaie du D2 de la main gauche avec perte de substance superficielle le 12.01.2018. Plaie du genou gauche. Plaie du menton. Plaie du menton. Plaie du pavillon de l'oreille droite avec section du cartilage (l'anthélix et l'hélicx). Plaie du pavillon de l'oreille G. Plaie du pied droit. Plaie du poignet droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche et dermohypodermite avec lymphangite débutante sur griffure et morsure de chat le 15.05.2014. Multiples tendinopathies du membre supérieur droit sur Ciprofloxacine le 28.07.2014. AVC le 3 juin 2015 (CHUV) avec épilepsie secondaire. Opération du genou gauche 2 fois et 1 fois à droite pour souris articulaires. Lésion X de l'épaule gauche en 2004 avec invalidité persistante (lésion de la coiffe?) suivi en rhumatologie. Opération du tunnel carpien à droite en 2015. Opération de surélévation de la vessie. Grossesse extra-utérine en 1978. Appendicectomie. Douleur lombaire et fièvre sur status post-spondylodèse L4-L5 en mars 2014: CT et IRM de la colonne lombaire: négative pour abcès, 07.2015. Douleur abdominale d'origine indéterminée mal systématisée: CT abdominal le 22.07.2015: hernie hiatale par glissement. Coprostase marquée de tout le cadre colique. Microlithiase biliaire asymptomatique, Ultrason le 17.07.2015: pas de cholécystite, pas de dilatation des voies biliaires. • Hernie discale L5-S1 para-médiane G avec compression de la racine S1 G. • Status post spondylodèse L4-L5 et TLIF L4-L5 le 17.03.2014 pour des lombo-sciatalgies bilatérales sur sténose foraminale L4-L5 bilatérale. • Status post décompression L4-L5 par cross-foraminotomie par la G le 13.03.2013 (CHUV). Plaie du pouce gauche (pulpe + ongle) avec un couteau. Plaie du pouce gauche superficielle avec implication de la matrice de l'ongle. Plaie du pouce gauche superficielle avec implication de la matrice de l'ongle, le 31.12.2017. • Rappel tétanos. • Suture avec 2 points. Plaie du scalp. Plaie du scalp. Plaie du scalp. Plaie du scalp. Plaie du visage. Plaie du 3ème doigt de la main droite au niveau de la phalange distale, avec lésion partielle de l'extenseur. Plaie du 5ème doigt gauche, le 15.01.2018. Plaie D2 à main droite. Plaie en bague P1 IVème doigt main gauche. Plaie en demi-lune d'environ 3 cm du Thénar gauche. Plaie en face palmaire de la 1ère phalange du majeur de la main droite le 31.01.2018. Plaie en forme de lambeau au niveau de la pulpe du majeur gauche de 1.5 x 0.5 cm le 20.01.2018. Plaie en papier de cigarette de 6 cm au niveau de la face dorsale de l'avant-bras gauche. Plaie en regard articulation IPD dig 4 à D le 15.01.2018. • possible Mallet Finger tendineux. Plaie en regard articulation IPD D4 main droite le 15.01.2018. • possible mallet finger tendineux. Plaie en regard de l'articulation métacarpo-phalangienne du pouce droit face palmaire le 26.05.2017. Plaie en regard de l'IPD de D3 face palmaire avec suspicion d'atteinte nerveuse. Plaie en regard de l'IPP proximale face palmaire du 3ème doigt de la main gauche le 28.11.2017. Status post vasectomie en juillet 2017. Plaie en V sur la face antérieure de la jambe à gauche. Plaie en voie de cicatrisation entre les 3ème et 4ème métatarsiens gauches. Plaie extrémité distale D3 à droite le 17.12.17 chez patient sous Aspirine-Cardio et Efient. Plaie face dorsale main droite à la base du 3ème doigt. Plaie face dorsale main G sur plâtre AB. Plaie face dorso-médiale P1 gros orteil gauche avec lésion complète appareil extenseur et lésion osseuse de P1 en août 2012. Plaie face latérale du 1er orteil G (suspicion de fracture phalange proximale infirmée le 15.01). Plaie face palmaire MCP 1 gauche le 20.01.2018. Plaie franche de 3 cm de la face dorsale de l'index de la main gauche. Plaie frontale. Plaie frontale droite le 06.12.2017. • Suture par 3 points simples. Plaie frontale droite superficielle longiligne 0.5 cm. Plaie frontale gauche superficielle, verticale et de 3 cm de longueur. Plaie frontale le 29.04.2013. Traumatisme crânien simple le 29.04.2013. Plaie frontale 0.5 cm environ. Plaie frontale 1 cm de long 4 mm de profondeur. Plaie frontale 3 cm linéaire. Plaie hémorragique du scalp de 5 cm le 29.12.2017. Plaie iatrogène sur avant-bras D le 18.12.2017 avec suture par 9 points simples de Prolène 5.0. Plaie iatrogène sur l'avant-bras droit le 18.12.2017, sur : • Peau parcheminée (âge et Prednisone au long court). • Œdème diffus sous cutané. Plaie index main gauche. Plaie infectée d'environ 2 mm sur la face radiale de l'hypothénar de la main gauche causée par un clou. Plaie infectée d'environ 2 mm sur le côté radial du thénar de la main gauche causée par un clou. Plaie infectée face dorsale articulation MCP V avec section partielle de l'extenseur propre de Dig V et dermohypodermite do de la main D post blessure le 18.12.2017. • Germe en cause (21.12.2017) : Staph. aureus. Plaie IPD D3 main droite avec probable arthrotomie. Plaie jambe gauche. Plaie laparoscopique calme. • pas de signe d'infection. Plaie lèvre inférieure. Plaie lèvre supérieure droite, ne touchant pas la lèvre rouge. Plaie main D. Plaie main droite à la base de D3. Plaie main gauche. Plaie main gauche. Plaie main gauche. Plaie majeur main gauche. Plaie menton. Plaie menton. Plaie menton de 3 cm. Plaie menton superficielle. Plaie métacarpophalangienne dorsale de la main droite.Plaie mollet droit. Plaie mollet droit. Plaie mollet droit, le 14.01.2018. Plaie mollet droit le 14.01.2018. Plaie nasale. Plaie nasale. Plaie nasale superficielle à gauche le 07.01.2018. Plaie non suturable sur perte de substance avec perte de derme, hémostase contrôlée, pas de déficit des fléchisseurs et extenseurs du doigt, pas de déficit vasculo-nerveux. Désinfection par Prontosan et mise en place d'un Adaptic doigtier, antalgie par Dafalgan. Contrôle et suite de prise en charge chez le médecin traitant. La patiente préfère discuter de la vaccination auprès de son médecin traitant à 48 heures, étant donné le bas risque lié à la plaie par ciseaux et un doute sur une possible vaccination à jour. Plaie oblique du tiers moyen de la face antérieure de la jambe gauche de 4 cm. Plaie oblique prenant l'épiderme et début de derme de la pulpe de la phalange distale du 3ème doigt gauche de 2.5 cm de diamètre le 15.11.2015. Plaie superficielle linéaire de 2 cm à la dernière phalange distale du 3ème doigt de la main gauche le 04.01.2018. Plaie oblique prenant l'épiderme et début du derme de la pulpe de la phalange distale du 3ème doigt gauche de 2.5 cm de diamètre le 15.11.2015. Plaie oblique supra-patellaire du genou gauche le 31.01.2018. Plaie occipitale. Plaie occipitale. Plaie occipitale. Plaie occipitale d'environ 1 cm. Plaie occipitale d'environ 3 cm. Plaie occipitale droite d'environ 2-3 cm. Plaie occipitale droite le 29.01.2018. Plaie occipitale le 27.01.2018. Plaie occipitale le 27.01.2018. Plaie occipitale superficielle. Plaie occipitale superficielle de 2 cm. Plaie occipitale superficielle de 2 cm. Plaie occipito-pariétale droite profonde de 5 cm en X. Plaie occipito-pariétale de 4 cm, superficielle d'orientation occipito-pariétale. Plaie occipito-pariétale droite de 5 cm. Plaie occipito-pariétale gauche sur chute mécanique le 30.12.2017 avec: • CT cérébral et cervical : pas de fracture, hématome sous-galéal du vertex postérieur • 1 point de suture occipital effectué aux urgences Plaie oncologique mammaire droite, quadrant supéro-externe • site de biopsie Plaie oreille D. Plaie orteils droit. Plaie orteils droit. Plaie orteils 1 à 4 pied droit le 12.01.2018 • avec nécrose hallux • dans le cadre d'un diabète et d'une artériopathie membre inférieur droit (stent posé le 09.01.2018) Plaie palmaire Dig IV G en zone I des fléchisseurs; le 27.03.2017. • Greffe par lambeau cross-finger Dig III-Dig IV, greffe cutanée prélevée à l'avant-bras G pour couverture du défaut cutané Dig III, main G (OP le 28.03.2017). Plaie fosse iliaque après coup de couteau en 2017. Plaie palmaire Dig IV gauche en zone I des fléchisseurs, le 27.03.2017. Greffe par lambeau cross-finger Dig III-Dig IV, greffe cutanée prélevée sur l'avant-bras gauche pour couverture du défaut cutané. Dig III, main gauche (OP le 28.03.2017). Plaie fosse iliaque après coup de couteau en 2017. Plaie pariétale et temporale. Plaie par balle au niveau de genoux D avec lésion de tendon rotulien. Plaie par balle au niveau du genou droit, avec lésion du tendon rotulien. Plaie pariétale gauche le 18.01.2018. Plaie pariétale gauche le 18.01.2018. Plaie paume main droite. Plaie pénétrante de l'inter-phalangienne distale du 4ème doigt de la main droite (clou) avec arthrotomie traumatique et arrachement osseux sur le bord cubital de l'articulation. Plaie perforante de la cuisse gauche. Plaie perforante de la cuisse gauche. Plaie pied D. Plaie pied gauche. Plaie pouce droit. Plaie pouce droit. Plaie pouce gauche. Plaie pré-patellaire jambe droite. Fracture ouverte plurifragmentaire diaphysaire tibia G du 1er degré 30.12.2018. ORIF par plaque Liss tibiale en MIPO avec fasciotomie des 3 loges (OP le 30.12.2017). Fermeture fasciotomie le 10.01.2018. Antibiothérapie: • Co Amoxicilline 3x 2.2 g du 30.12.2017-14.01.2018 Lésion iatrogène de l'artère tibiale antérieure du membre inférieur gauche. • status post ORIF par plaque Liss tibiale en MIPO avec fasciotomie des 3 loges pour fracture ouverte comminutive du 1/3 moyen du tibia G le 30.12.17. Pontage court de l'artère tibiale antérieure par veine saphène avec anastomose termino-terminale en urgence le 30.12.2017. Aspirine cardio 100 mg du 31.12.2017 pour 3 mois. Plaie pré-rotulienne transverse du genou gauche avec probable bursotomie. Plaie pré-tibiale à D d'environ 0,5 cm de diamètre avec sérum en profondeur. Plaie pré-tibiale à D d'environ 0,5 cm de diamètre avec sérum en profondeur. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde au niveau de la joue droite, le 07.10.2018. Plaie profonde au niveau de l'index droit. Plaie profonde avec perte de substance pulpaire du 4ème doigt droit le 23.11.2017. Plaie profonde bord radial de la MCP I G avec section du nerf digital radial et présence de corps étrangers (carbure de silicium); le 15.01.2018. Plaie profonde de la face antéro-médiale de la cuisse droite. Plaie profonde de la racine nasale droite le 23.01.2018. Plaie profonde de la 2ème métacarpo-phalangienne droite le 11.07.2013. Contrôle de plaie 2ème métacarpo-phalangienne droite. Traumatisme abdominal léger le 30.05.2016. Laboratoire. Sédiment urinaire. Avis Dr. X, chef de clinique de la médecine interne: retour à domicile. Plaie profonde de la 3ème phalange du pouce de la main gauche. Plaie profonde de l'arcade droite de 4 cm. Plaie profonde de 1 cm de diamètre au pli inguinal G. Plaie profonde de 3,5 cm unguéale et face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt à gauche le 11.01.2018. Plaie profonde de 3,5 cm unguéale et face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt à gauche le 11.01.2018. Plaie profonde de 3,5 cm unguéale et face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt à gauche le 11.01.2018. Plaie profonde de 4 cm située sur la face dorso-latérale de la main gauche, en regard de la 5ème articulation métacarpo-phalangienne. Plaie profonde, délabrée, avec atteinte de la gaine des fléchisseurs du 3ème métacarpe, paume de la main gauche le 25.01.2018. Plaie profonde d'env. 2.5 cm en regard du bord radial de la MCP1 gauche avec probable section du nerf digital collatéral radial, présence de corps étranger le 15.01.2018. Plaie profonde d'environ 1 cm avec saignement artériel sur la face externe du pouce droit, en région interphalangienne. Plaie profonde d'environ 10 cm au niveau du genou D avec bursectomie traumatique. Plaie profonde dorsale avec lésion complète de l'EDC Dig III et connexion inter-tendineuse radiale dans la zone 6, main D; le 17.01.2018. Plaie profonde du genou droit le 02.01.2018. Plaie profonde du genou du MIG. Plaie profonde du genou du MIG le 06.01.18. Plaie profonde en V de 1,5 cm à la face dorsale de l'interphalangienne proximale de l'index droit. Plaie profonde entre les doigts I et II à droite, le 16.01.2018. Plaie profonde entre les doigts I et II à droite le 16.01.2018. Plaie profonde face dorsale de la main gauche • avec neurapraxie du nerf radial superficiel, le 19.03.2016.Révision de la plaie avec exploration branche superficielle du nerf radial main gauche (OP le 21.03.2016). Crise épileptique le 01.07.2016. Suspicion abcès péri-amygdalien G avec trismus. 10.06.2016. Crise épileptique le 02.07.2017 avec: • mauvaise compliance médicamenteuse. • privation de sommeil. Plaie profonde face palmaire main gauche le 12.01.2018 paume centrale. Plaie profonde face dorsale IPP Dig II main D, le 10.01.2018 avec • lésion oblique à 40% de l'EDC zone 3 • lésion superficielle du cartilage dorsal de P2 proximal. Plaie profonde frontale médiane de 4 cm de long. Plaie profonde index droite, le 16.01.2018. Plaie profonde index droite, le 16.01.2018. Plaie profonde jambe G avec lésion de l'artère tibiale postérieure et du nerf tibial; le 22.11.2017. Plaie profonde longitudinale au niveau de l'articulation interphalangienne proximale de l'index droit, avec atteinte de l'extenseur. Fermeture primaire effectuée le 20.12.2017. Plaie profonde longitudinale au niveau de l'articulation interphalangienne proximale de l'index droite, 1cm, avec rupture partielle du tendon du long extenseur, sans atteinte de l'articulation. Plaie profonde main gauche. Plaie profonde simple à berges linéaires d'environ 4 cm de long et 3 cm de profondeur au niveau de l'arcade droite le 31.01.2018. Plaie profonde transfixiante palmo-dorsale thénar main G; le 22.12.2017 avec • lésion complète du tendon flexor pollicis longus et lésion nerf digital radial Dig I. Plaie profonde transversale de 1.3 cm de la face postérieure de la phalange proximale de l'index droit. Plaie profonde transverse de 2.3 cm en regard de l'interphalangienne proximale du 5ème doigt droit avec arthrotomie et lésion du tendon de l'extenseur. Plaie profonde 1ère phalange D2 face dorso-latérale du côté droit. Plaie profonde 3,5 cm unguéale et face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt à gauche le 11.01.2018. Plaie profonde 3,5 cm unguéale et face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt à gauche le 11.01.2018. Plaie profonde 3,5 cm unguéale et face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt à gauche le 11.01.2018. Plaie profonde 3,5 cm unguéale et face palmaire phalange distale D2 main gauche le 11.01.2018. Plaie profonde 3,5 cm unguéale et face palmaire phalange distale D2 main gauche le 11.01.2018 • contrôle des points. Plaie punctiforme au niveau occipital. Plaie punctiforme espace inter-digital I-II, face dorsale, main D en 2013. Déchirure corne postérieure ménisque interne grade II genou G en mai 2013, traitée conservativement. Instabilité articulation acromio-claviculaire D • status post résection AC, ténotomie/ténodèse LCB le 27.03.2014 sur récidive lésion SLAP avec progression de l'arthrose AC et tendinopathie du long chef du biceps épaule D • status post refixation lésion SLAP épaule D par voie d'abord arthroscopique, résection clavicule latérale en 2009. AS épaule D. Débridement articulaire, bursectomie sous-acromiale, stabilisation AC par cerclage triple FiberWire (OP le 11.04.2016). Plaie punctiforme millimétrique de la face palmaire, à l'interphalangienne proximale de l'index droit. Plaie P1 D5 avec section du nerf digital palmo-cubital et section de l'artère digitale cubitale main droite le 26.08.2014 avec: • suture de l'artère digitale cubitale et suture du nerf avec mise en place d'un Neurotube 2.0 D5 main droite le 26.08.2014 • révision de la plaie avec correction de cicatrice avec 2 lambeaux cutanés (plastie en Z) le 01.02.2016. Cure de hernie hiatale (1990, France). Plaie P1 D5 avec section du nerf digital palmo-cubital et section de l'artère digitale cubitale main droite le 26.08.2014 avec: • suture de l'artère digitale cubitale et suture du nerf avec mise en place d'un Neurotube 2.0 D5 main droite le 26.08.2014 • révision de la plaie avec correction de cicatrice avec 2 lambeaux cutanés (plastie en Z) le 01.02.2016. Cure de hernie hiatale (1990, France). Plaie P2 Dig IV et superficielle de P3 Dig V main G, sans lésion des structures nobles le 26.12.2017. Plaie P3D5 à gauche 1.5cm, superficielle, sans atteinte des structures nobles en 2013. Plaie rayon IV IPD face palmaire gauche le 28.01.2018. Plaie simple de la phalange distale du 4ème doigt gauche. Plaie simple du menton. Plaie simple du scalp. Plaie simple du tibia droit de 3 cm. Plaie simple pré-tibiale droite de 3 cm le 22.01.2018. Plaie sous olécranienne du coude droit le 17.12.2017. Plaie sous orbitaire de 1 cm. Plaie sous orbitaire de 1 cm. Plaie suite à une chute. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle à la face dorso-radiale de la 2ème phalange du pouce droit le 04.01.2018. Plaie superficielle à l'avant-bras droit, tiers distal, côté cubital de 3-4 cm. Plaie superficielle arcade droite le 11.01.2018. Plaie superficielle arcade droite le 11.01.2018. Plaie superficielle arcade sourcilière droite. Plaie superficielle au niveau de la pulpe de l'annulaire gauche de 2.5 cm le 26.01.2018. Plaie superficielle au niveau de l'arcade sourcilière droite. Plaie superficielle au niveau du cou de 2 cm. Plaie superficielle au niveau du front le 19.01.2018. Plaie superficielle coude gauche le 01.12.2014. Plaie superficielle de la face externe de la pulpe de la phalange distale du 5ème droit du membre supérieur gauche le 05.01.2018. Plaie superficielle de la face externe de la pulpe de PIII DV du membre supérieur gauche. Plaie superficielle de la face externe de la pulpe de PIII DV du membre supérieur gauche. Plaie superficielle de la face palmaire de l'éminence thénar de la main droite de 1.5 cm de long. Plaie superficielle de l'arcade droite. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite. Plaie superficielle de l'avant-bras droit le 21.02.2013. Plaie superficielle de l'index gauche avec fracture ouverte de la 3ème phalange, non déplacée 19.11.2107. Plaie superficielle de 0.2 cm au niveau de la pulpe du 5ème doigt gauche. Plaie superficielle de 0.5 cm de la face dorsale de la phalange distale de l'index droit. Plaie superficielle de 0.5 cm au niveau occipital. Plaie superficielle de 0.5 cm de diamètre en regard de la face externe de la rotule du genou gauche chez un patient sous Xarelto 20 mg pour une thrombose veineuse profonde. Plaie superficielle de 0.5 cm occipitale droite. Plaie superficielle de 1 cm à la racine du nez. Plaie superficielle de 1 cm racine du nez. Plaie superficielle de 1cm. Plaie superficielle de 1cm au niveau de l'arcade sourcilière G. Plaie superficielle de 1.5 cm en U, en face postérieure de la phalange proximale du 5ème doigt droit. Plaie superficielle de 2 cm au niveau de l'auriculaire droit le 03.01.2018 avec 2 points de suture. Plaie superficielle de 2 cm au niveau de l'auriculaire le 03.01.2018. Plaie superficielle de 2 cm du tiers proximal de la jambe droite, 3cm sous la rotule droite.Plaie superficielle de 2 cm sur le dos du nez le 26.12.2017 Plaie superficielle de 2 x 0.5 cm de la face dorsale P2 doigt 2 gauche le 17.01.2018. • Tétanos à jour. Plaie superficielle de 2.5 cm à la face palmaire de la phalange distale du pouce gauche. Plaie superficielle de 2.5 cm de l'arcade sourcilière gauche le 27.12.2017 avec ablation des fils le 01.01.2018. Plaie superficielle de 3 cm à la face latérale interne du genou gauche. Plaie superficielle de 3 cm au niveau de l'avant-bras droit sur scarification. Plaie superficielle de 3 cm au niveau du bord cubital du dig II et qui se prolongeait jusqu'au niveau de la paume. Plaie superficielle de 3 cm au niveau du pouce gauche le 03.01.2018. Plaie superficielle de 3 cm pouce gauche du 03.01.2018. Plaie superficielle de 3.5 frontale. Plaie superficielle de 4 cm au niveau de la cuisse droite latéralement le 12.03.2012 2 césariennes. Cholécysectomie. 2 opérations des ligaments croisés. Plaie superficielle de 4 cm du bras au niveau du muscle biceps gauche le 07.01.2018. Plaie superficielle de 5 cm de long sur l'occiput. Plaie superficielle d'environ 3 cm au niveau gauche du menton. Plaie superficielle d'environ 3-4 cm à la face palmaire de la main gauche. Plaie superficielle doigt 2 main gauche avec perte de substance. Plaie superficielle du coude droit. Plaie superficielle du cuir chevelu occipito-pariétal gauche 2.5 cm. Plaie superficielle du menton de 1 cm. Plaie superficielle du menton d'environ 3 cm de longueur. Plaie superficielle du mollet droit le 14.01.2018. Plaie superficielle du mollet droit le 14.01.2018. Plaie superficielle du poignet gauche le 03.01.2018. Plaie superficielle du pouce droit. Plaie superficielle du pouce gauche. Plaie superficielle du thénar gauche mesurant 3 cm de diamètre. Plaie profonde du pouce gauche para-unguéal palmaire ulnaire. Hyperplasie de la prostate avec rétention urinaire le 10.10.2017. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Pneumothorax gauche après mise en place d'un drain PleurX le 27.10.2017. Plaie superficielle du 4ème doigt main droite. Plaie superficielle DV du membre supérieur gauche. Plaie superficielle en cercle d'environ 0.5 cm au niveau de la pulpe du pouce droit. Plaie superficielle en regard de l'épicondyle externe du coude gauche avec prothèse du coude en 2009. Plaie superficielle en V de 1.5 cm, de la face dorsale à radiale de la phalange moyenne du 3ème doigt de la main gauche. Plaie superficielle face latérale mollet G le 05.01.18. Plaie superficielle frontale gauche de 4 cm, le 17.01.2018. Plaie superficielle frontale gauche de 4 cm, le 17.01.2018. Plaie superficielle frontale gauche 0.5 cm longitudinale. Plaie superficielle fronto-pariétale droite de 2 cm de long. Plaie superficielle index gauche. Plaie superficielle lèvre antérieure du côté gauche. Plaie superficielle linéaire de 2 cm au niveau de la dernière phalange distale du majeur gauche. Plaie superficielle mollet droit le 30.08.2015. • 5 cm face externe du mollet. Opération hanche gauche (2015, CHUV). Opération hanche droite (2014, CHUV). Hystérectomie (Daler, 1983). Opération cheville droite (HFR). Pontage coronarien (2002, Inselspital). • dernier contrôle en 2015 au HFR par le Dr. X. Ulcères post-traumatiques d'origine mixte au bord externe du mollet droit surinfectés (DD veineux DD artériel DD pyoderma). • artériopathie du membre inférieur droit sur atteinte de l'axe ilio-fémoral et du carrefour fémoral (angio CT 15.12.15). • maladie variqueuse du membre inférieur droit avec grande saphène incontinente. Panniculite du membre inférieur droit avec collections surinfectées : • status post-pose de stent au niveau de l'iliaque commune droite et pontage fémoro-poplitée bas du membre inférieur droit à l'aide d'une veine inversée le 12.04.2016. • Débridement et prise de biopsies profondes le 22.03.2016. • Débridement des ulcères puis Mesh-graft au niveau du membre inférieur droit et application d'un pansement VAC le 22.04.2016. Plaie superficielle mollet droit le 30.08.2015. • 5 cm face externe du mollet. Opération hanche gauche (2015, CHUV). Opération hanche droite (2014, CHUV). Hystérectomie (Daler, 1983). Opération cheville droite (HFR). Ulcères post-traumatiques d'origine mixte au bord externe du mollet droit surinfectés (DD veineux DD artériel DD pyoderma). • Artériopathie du membre inférieur droit sur atteinte de l'axe ilio-fémoral et du carrefour fémoral (angio CT 15.12.2015). • Maladie variqueuse du membre inférieur droit avec grande saphène incontinente. Panniculite du membre inférieur droit avec collections surinfectées : • Status post-pose de stent au niveau de l'iliaque commune droite et pontage fémoro-poplitée bas du membre inférieur droit à l'aide d'une veine inversée le 12.04.2016. • Débridement et prise de biopsies profondes le 22.03.2016. • Débridement des ulcères puis Mesh-graft au niveau du membre inférieur droit et application d'un pansement VAC le 22.04.2016. Plaie superficielle occipitale de 4 cm le 27.01.2018. Plaie superficielle occipitale de 4 cm, plaie superficielle frontale de 3 cm. Plaie superficielle palmaire au niveau de l'éminence thénar. Plaie superficielle pariétale gauche. Plaie superficielle pariétale postérieure droite de 1.5 cm. Plaie superficielle sous l'arcade de l'œil gauche le 25.01.2018. Plaie superficielle sur cicatrice trans-métatarsienne droite. Plaie superficielle sur l'articulation interphalangienne distale du 5ème doigt, sans atteinte des structures nobles, le 12.11.2016. Plusieurs épisodes de malaises sans perte de connaissance, mis en lien avec des épisodes d'hyperventilation et troubles paniques. Plaie superficielle temporo-frontal infracentimétrique du cuir chevelu. Plaie superficielle tibiale antérieure le 19.12.2017. Plaie superficielle transverse de 2.5 cm sur le côté ulnaire de la paume de la main gauche. Plaie superficielle transverse occipitale de 1.5 cm. Plaie superficielle visage. Plaie superficielle 1.5 cm du milieu du front. Plaie superficielle 2ème doigt à droite, le 14.01.2018. Plaie superficielle 3ème doigt main droite. Plaie superficielle 3ème doigt main gauche en novembre 2013. Brûlure 1er degré face dorsale de la main droite et 1ère phalange des 2-3-4-5ème rayon droit. Plaie superficielle 7 cm de l'avant-bras face ventrale gauche le 07.01.2018. Plaie sur auto-mutilation. Plaie sur intoxication OH. Plaie sur la face latérale du pied G sur status post ulcère rétro-plantaire G suite à une polyneuropathie avec attache du périoste à l'os du calcanéum. Status post mise en place d'un lambeau micro-vasculaire du muscle gracilis à D le 30.09.2016 sur : • Germe en cause (28.06.2016) : Staph. aureus multisensible. • Status post débridement et rinçage talon G le 02.02.2016. • Status post traitement de plaie par asticots talon G du 02 au 07.03., du 10 au 14.03., du 09 au 11.05, du 13 au 16.05.2016. • Dermohypodermite du pied G depuis le 12.12.2017. Plaie sur la face latérale du pied G sur status post ulcère rétro-plantaire G suite à une polyneuropathie avec attache du périoste à l'os du calcanéum. Status post mise en place d'un lambeau micro-vasculaire du muscle gracilis à D le 30.09.2016 sur : • Germe en cause (28.06.2016) : Staph. aureus multisensible. • Status post débridement et rinçage talon G le 02.02.2016. • Status post traitement de plaie par asticots talon G du 02 au 07.03., du 10 au 14.03., du 09 au 11.05, du 13 au 16.05.2016.Dermohypodermite du pied G depuis le 12.12.2017. Plaie tangentielle de la face latérale de l'index D avec perte de substance cutanée, sans atteinte des structures nobles. Plaie tangentielle du pouce droit. Plaie thénar avec section du muscle adducteur du pouce, main G; le 20.01.2018. Plaie thénarienne pouce G; le 26.01.2018. Plaie tibia bilatérale. Plaie tibia gauche. Plaie transfixiante de la joue D à l'angle labial de l'articulation temporo-mandibulaire; le 07.01.2018. Plaie transfixiante de la lèvre supérieure d'environ 1 cm à l'extérieur et 1,5 cm à l'intérieur. Plaie transfixiante de la phalange distale à travers l'ongle, sans contact osseux, par aiguille de machine à coudre. Plaie transfixiante prenant distalement l'ongle du pouce gauche. Plaie transversale au niveau de l'ongle et du lit de l'ongle D4 main droite avec fissure du processus unguicularis. • Status post-suture de l'ongle et du lit de l'ongle le 31 mai. Plaie transversale superficielle de 4 cm située dans le premier espace interdigital gauche. Plaie transverse de 1.5 cm à la face antérieure du genou gauche, 2 cm sous la rotule. • Status post-suture par deux points d'Ethilon 3/0 le 13.01.2018. Plaie transverse superficielle de 1 cm au niveau de la joue gauche. Plaie transverse superficielle non transfixiante de la lèvre inférieure. Plaie traumatique en regard du 5ème métatarse droit compliquée d'une dermohypodermite à Staphylococcus lugdunensis et Streptococcus agalactiae le 25.02.2016. • Traitement par Co-Amoxicilline du 02.02 au 23.02.2016 avec mauvaise évolution locale. • Exclusion d'une ostéomyélite par IRM le 26.02.2016. Frottis plaie le 25.02.2016 : Staphylococcus lugdunensis et S. agalactiae [β-hémol.B]. Biopsie plaie le 01.03.2016 : Staphylococcus lugdunensis. IRM pied droit le 26.02.2016. Avis infectiologique (Dr. X) : 14 jours d'antibiothérapie jusqu'à résolution de la dermohypodermite. Tienam 500 mg 4x/j du 25.02. au 7.03.2016. Augmentin 1 g 3x/j et Ciproxine 500 mg 2x/j du 7.03 au 10.03.2016. • Débridement le 01.03.2016 et traitement par pansement VAC du 01.03 au 04.03.2016. • Suivi ambulatoire en diabétologie et en orthopédie. Plaie type escarre au niveau des deux talons. Plaie 1 cm Dig II main gauche • connu pour Purpura thrombopénique idiopathique. Plaies. Plaies. Plaies arcades sourcillières. Plaies déhiscentes fibrineuses sur status post-implants mammaires bilatéraux : • status post-implants mammaires bilatéraux en Tunisie le 03.01.2018. Plaies des orteils des deux côtés dans le contexte d'artériopathie des membres inférieurs grade IV en péjoration, surinfectées dans un contexte de DM1 le 12.12.2017 avec : • Status après endartérectomie de l'artère iliaque externe droite en 1995. • Status après angioplastie de l'artère fémorale superficielle droite en mars 2010. • Status après angioplastie et pose de stent dans l'artère iliaque externe gauche proximale et angioplastie d'une sténose iliaque externe en mai 2011. • Status après cure d'un faux anévrisme fémoral droit le 22.10.2013 après coronarographie le 08.10.2013. • Angiographie le 16.08.2017 (Dr. X) : recanalisation d'une resténose serrée tibiale antérieure droite par angioplasties au ballon actif et au ballon non actif le 16.08.2017. • Suivi par le Dr. X et Dr. X. • Suivi en podologie par le Dr. X. Plaies des orteils 1 à 4 au niveau du pied droit le 12.01.2018 avec : • nécrose hallux, 4e et 5e orteils. • dans le cadre d'un diabète et d'une artériopathie membre inférieur droit (stent posé le 09.01.2018). Plaies des paupières supérieure et inférieure de l'œil gauche. Plaies MI. Plaies occipitales superficielles droites de 4 et 2 cm le 21.01.2018. Plaies par morsure de chat au niveau du poignet et de l'éminence thénar à gauche, à Pasteurella multocida, Corynebacterium sp. Plaies pariétale et temporale. Plaies superficielles. Plaies superficielles de la face palmaire et dorsale P3D2 de la main gauche le 20.01.2018. Plaies superficielles de 1 cm au niveau de l'arcade sourcilière D et de la pyramide nasale D. Plaies superficielles, pas de signe inflammatoire. En bonne évolution. Plaque érythémateuse cuir chevelu. Plaque érythémateuse et squameuse du cuir chevelu. DD : dermatite séborrhéique, dermatite atopique, psoriasis. Plaque palmaire de l'interphalangienne proximale de l'index gauche. Plaque palmaire DIV main G le 26.01.2018. Plaque palmaire IPP III D. Entorse LLI du genou gauche +/- atteinte du ménisque interne (corne post.). Plaques palmaires à la base de la 2ème phalange du 3ème doigt droit. Plaques pleurales calcifiées dans le cadre d'une probable exposition à l'amiante. Plastie de la petite lèvre gauche pour hypertrophie. Déformation en bunionette bilatérale de la tête de 5ème métatarsien. Le 04.09.2017, Dr. X : exostectomie latérale et ostéotomie en chevron du 5ème métatarsien des deux côtés. Plastie LCA genou D le 15.05.2014 (Clinique générale, Dr. X). Plâtre AB Paris pendant 4 semaines, puis plâtre AB synthétique pour 2 semaines supplémentaires. Prochain contrôle 01.02.2018. Plâtre AB pendant 4 semaines. Plâtre AB pendant 4 semaines. Prochain contrôle clinique hors plâtre le 21.02.2018. Plâtre AB pour un total de 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 08.02.2018. Plâtre AB pour 4 semaines. Prochain contrôle clinique le 25.01.2018. Plâtre AB pour 6 semaines. Prochain contrôle clinique avec CT-scanner le 07.02.2016. Plâtre AB-pouce fendu pour 2 semaines. Plâtre BAB fermé. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. Plâtre BAB pour un total de 4 semaines, puis plâtre AB pour 2 semaines. Prochain contrôle radio-clinique le 07.02.2018. Plâtre cruro-pédieux inconfortable. Plâtre fendu AB englobant le pouce avec flexion du poignet de 20°. CT scan du poignet avec clichés de Sanders à prévoir en début de semaine avec contrôle en ortho-urgence pour discuter des résultats. Arrêt de sport 3 semaines. Antalgie en réserve. Plâtre fendu. Contrôle le 26.01.2018. Plâtre fendu. CT. Avis ortho (Dr. X) : opération (réduction ouverte et ostéosynthèse avec plaques et vis) à prévoir à partir du 16.01.2018. Attitude : Retour à domicile avec antalgie, à jeun dès minuit le 16.01.2018 et sera appelé par les orthopédistes pour programmer l'opération le 16.01.2018. Plâtre fermé. Redoxon 1 g/1x j jusqu'à l'ablation du plâtre. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 09.02.2018. Plâtre mouillé. Plénitude dans l'oreille. Pleurésie tuberculeuse en 2006, traitée pendant 6 mois. Pleurite gauche le 07.01.2013. Calculs rénaux. Pleurite sèche. Pleurodynie ou claquage musculaires en 2015. Fracture tibia gauche il y a 5 ans. Lithiase urinaire droite il y a 10 ans. Fracture omoplate droite en 1976. Infiltrats pulmonaires du lobe supérieur gauche d'étiologie incertaine (cf. synthèse). Klacid 2 x 500 mg per os du 16 au 17.01.2017. Ceftriaxone 2 g iv du 16 au 19.01.2017 puis Co-amoxicilline 1 g 2 x j du 20 au 23.01.2017. Physiothérapie respiratoire. Nodule pulmonaire suspect du lobe inférieur droit (CT de juin 2016). Contrôle radiologique et bilan d'extension à organiser en ambulatoire. Cirrhose Child A dans le contexte de consommation d'alcool à risque. US abdominal. Suivi biologique. Brève intervention sur la consommation d'alcool. Pleurodynie ou claquage musculaire en 2015. Fracture tibia gauche, il y a 5 ans. Lithiase urinaire droite, il y a 10 ans. Fracture omoplate droite en 1976. Infiltrats pulmonaires du lobe supérieur gauche d'étiologie incertaine. Nodule pulmonaire suspect du lobe inférieur droit (CT de juin 2016). Douleurs chroniques suite à lobectomie en mai 2017. Cirrhose Child A dans le contexte de consommation d'alcool à risque. Pleurs dans un contexte d'inconfort abdominal en lien avec une constipation. Pleurs du nourrisson dans contexte de: • Reflux gastro-oesophagien • Intolérance aux protéines de lait de vache Né à 40 0/7, PN 3115g (P10-25), TN 48cm (gauche le 23.01.2018 • DD: infection urinaire Pneumonie bibasale le 08.01.2018 avec : • insuffisance respiratoire hypercapnique • exacerbation BPCO stade IV • contexte oncologique Pneumonie bibasale le 29.01.2017 communautaire Pneumonie bibasale sévère avec hypoxémie avec : • S/p splénectomie en 1981 Pneumonie bi-basale sur broncho-aspiration le 12.04.2017 Globe vésicale sur hyperplasie bénigne de la prostate le 21.10.2017 Cure varices (saphène) du membre inférieur gauche le 17.07.2014 Iléus sur bride le 12.04.2017 Sigmoïdectomie et colostomie selon Hartmann le 06.08.2015 sur diverticulite sigmoïdienne perforée Hémorragies digestives à travers la poche de la stomie colique le 18.12.2015 Hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique Suspicion d'AVC en 2016 INR supra thérapeutique dans le contexte de traitement par Acénocoumarol le 09.10.2017 • connu pour une fibrillation auriculaire Salve de tachycardie ventriculaire non soutenue de 10 complexes le 22.10.2017 Thrombophlébite du membre supérieur droit le 22.10.2017 Gastro-entérite d'origine probablement virale le 23.11.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave avec: • Hypovitaminose D : 35 nmol/l le 7.11.2017 • Maladie de Crohn late-onset, sous Prednisone et Pentasa, suivi par le Prof. X Hyperthyroïdie traitée par Propycil • TSH 0,232 mU/l Insuffisance rénale chronique stade G2 le 18.12.2017 • Créat. 73, CKD-EPI 87ml/min Pneumonie bi-basale sur broncho-aspiration le 12.04.2017 Globe vésicale sur hyperplasie bénigne de la prostate le 21.10.2017 Cure varices (saphène) du membre inférieur gauche le 17.07.2014 Iléus sur bride le 12.04.2017 Sigmoïdectomie et colostomie selon Hartmann le 06.08.2015 sur diverticulite sigmoïdienne perforée Hémorragies digestives à travers la poche de la stomie colique le 18.12.2015 Hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique Suspicion d'AVC en 2016 INR supra thérapeutique dans le contexte de traitement par Acénocoumarol le 09.10.2017 • connu pour une fibrillation auriculaire Salve de tachycardie ventriculaire non soutenue de 10 complexes le 22.10.2017 Thrombophlébite du membre supérieur droit le 22.10.2017 Gastro-entérite d'origine probablement virale le 23.11.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • Hypovitaminose D : 35 nmol/l le 7.11.2017 • Maladie de Crohn late-onset, sous Prednisone et Pentasa, suivi par le Prof. X Hyperthyroïdie traitée par Propycil • TSH 0,232 mU/l Insuffisance rénale chronique stade G2 le 18.12.2017 • Créat. 73, CKD-EPI 87ml/min Volvulus de l'intestin grêle sur adhérences le 23.12.2017 • contexte de maladie de Crohn late-onset CT abdominal le 23.12.2017 Laparotomie exploratrice avec adhésiolyse le 25.12.2017 Second look le 26.12.2017 avec résection segmentaire grêle et splitstomie Pneumonie bi-basale sur broncho-aspiration le 12.04.2017 Globe vésicale sur hyperplasie bénigne de la prostate le 21.10.2017 Cure varices (saphène) du membre inférieur gauche le 17.07.2014 Iléus sur bride le 12.04.2017 Sigmoïdectomie et colostomie selon Hartmann le 06.08.2015 sur diverticulite sigmoïdienne perforée Hémorragies digestives à travers la poche de la stomie colique le 18.12.2015 Hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique Suspicion d'AVC en 2016 INR supra thérapeutique dans le contexte de traitement par Acénocoumarol le 09.10.2017 • connu pour une fibrillation auriculaire Salve de tachycardie ventriculaire non soutenue de 10 complexes le 22.10.2017 Thrombophlébite du membre supérieur droit le 22.10.2017 Gastro-entérite d'origine probablement virale le 23.11.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave avec : • Hypovitaminose D : 35 nmol/l le 7.11.2017 • Maladie de Crohn late-onset, sous Prednisone et Pentasa, suivi par le Prof. X Hyperthyroïdie traitée par Propycil • TSH 0,232 mU/l Insuffisance rénale chronique stade G2 le 18.12.2017 • Créat. 73, CKD-EPI 87ml/min Pneumonie bilatérale à germe indéterminé le 23.01.2018 Pneumonie bilatérale à germe indéterminé le 23.01.2018. Acutisation d'origine pré-rénale (FE urée 32%) AKIN I d'une insuffisance rénale chronique le 23.01.2018. Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l le 23.01.2018. OAP d'origine cardiogénique le 09.08.2017, récidive le 08.09.2017. Suspicion d'AIT, score ABCD2 5 points (risque modéré) le 01.12.2016 avec : • hémisyndrome moteur gauche. • ataxie gauche. Suspicion d'AIT le 14.04.2015 avec : • troubles de la marche. • incontinence urinaire. • séquelles d'anciens AVC ischémiques mineurs à répétition visualisées à l'imagerie cérébrale. • occlusion totale de l'artère carotidienne interne droite. Polytraumatisme sur AVP en scooter le 20.11.2008. Pneumonie bilatérale atypique chez le patient connu pour Status post-ablation pulmonaire gauche pour une tuberculose, traité pour l'aspergillose pulmonaire G depuis mai 2017 (première diagnostique en 06.2016) avec des épanchements pleuraux ddc de petite à moyenne abondance à droite, avec atélectasie postéro-basale de contact.légère décompensation cardiaque gauche avec FEVG conservé Pneumonie bilatérale, basale gauche et moyen droit avec : • Insuffisance respiratoire de type 1. Pneumonie bilatérale communautaire gauche avec : • insuffisance respiratoire partielle • échec d'un traitement ambulatoire avec Co-Amoxi 625 mg 3x/jour depuis le 21.12.2017 Pneumonie bilatérale il y a environ 20 ans Nodule pulmonaire sous-pleural lobaire droit en 2016 (non présent sur le CT de mai 2017) Status post pneumonie et bactériémie à staphylocoques dorés (dès le 20.10.2017, Inselspital) • Récidive de pneumonie basale droite le 05.11.2017 • Lavage broncho-alvéolaire avec St. aureus le 24.10.2017 Hématurie macroscopique sur traumatisme urétral post-sonde urinaire enlevée le 12.11.2017 Epistaxis antérieur droit le 12.11.2017, récidive le 19.11 et le 21.11.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN I du 05.11 au 07.11.2017 DD : syndrome hépatonrénal Hématémèse sur oesophagite et épistaxis droit le 11.11.2017 • Varices connues sur cirrhose alcoolique (dernière OGD Inselspital 25.10.2017) • Anémie spoliative le 10.10.2017 (transfusion de 6 CE du 10 au 16.10.2017) • Colonoscopie 19.10.2017 : pas de saignement • Seuil transfusionnel : 70 g/l DD : varices oesophagiennes grade II, oesophagite de reflux, épistaxis droit, coagulopathie et thrombopénie • Transfusion de 2 CE et 1 PFC le 11.11.2017, 1 PFC le 13.11.2017, 1 CE le 24.11.2017 Pneumonie bilatérale 25.01.2018 : • probablement sur broncho-aspiration Pneumonie communautaire basale droite Pneumonie communautaire basale droite Pneumonie communautaire basale droite. Pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé le 15.01.2018 Pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé le 15.11.2017 Pneumonie basale droite le 29.01.2015 Thrombectomie pour occlusion aiguë de l'artère fémorale gauche (2006) Angioplastie des artères iliaques communes bilatérales, fémorales commune et superficielle gauches par voie poplitée, 2003 Pneumonie communautaire basale droite le 05.01.2017, CURB 65 : 1. Pneumonie communautaire basale droite probable, à germe indéterminé le 20.01.2018 • avec composante asthmatiforme DD: infection virale Pneumonie communautaire basale gauche avec exacerbation d'un syndrome obstructif sévère connu. Pneumonie communautaire basale gauche en 11/2008 Virose respiratoire dans le cadre d'une pneumopathie sur Amiodarone et bronchite asthmatiforme en 01/2013 Traumatisme craniocérébral en 2012 avec une plaie à l'arcade sourcilière droite Contusion du genou gauche le 07.08.2017 : • sur chute mécanique de sa hauteur • avec deux plaies superficielles de 4 cm et 6 cm Rx genou G le 07.08.2017 : pas de fracture Désinfection, anesthésie, rinçage, 2 points de sutures à but hémostatique et pansement Physiothérapie de mobilisation Pas d'antalgie souhaitée par la patiente Ablation des fils le 16.08.2017 Hypokaliémie à 3.3 mmol/l le 07.08.2017 Substitution per os Pneumonie communautaire basale gauche le 31.10.17 • DD: progression fibrose pulmonaire. Pneumonie communautaire basale gauche le 31.12.2017 • CURB à 1 point (0.6%) Pneumonie communautaire bibasale à germe indéterminé le 29.12.2017 Pneumonie communautaire bi-basale à Haemophilus influenzae (résistant à l'Amocicilline / Co-amoxi / Cefuroxime) le 26.07.2017 Chutes à répétition d'origine multifactorielle le 03.01.2016 avec : • syndrome de dépendance aux benzodiazépines et à la Distraneurine (cf. supra) • malnutrition protéino-énergétique sévère avec ostéoporose • déconditionnement général • fracture pertrochantérienne G 2015 (cf. antécédent) Surdosage en benzodiazépines et Distraneurine le 02.01.2016 chez une patiente dépendante à ces substances avec, lors de la dernière hospitalisation (20.12-29.12.2015) : • Consilia et suivi psychiatriques • Sevrage progressif de la Distraneurine dès le 05.01.2016 • Sevrage progressif du Tranxilium dès le 06.01.2016 • Soins à domicile quotidiens, contrôle de la prise médicamenteuse à domicile (infirmière indépendante en psychiatrie) • Suivi psychiatrique ambulatoire le 02.03.2015 à 10h30 au Centre psychosocial de Fribourg (Dr. X) Bilan neuropsychologique avec : • MOCA le 06.01.2016 : 18/30 • MMSE le 08.01.2016 : 24/30 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 02.01.2016 d'origine post-rénale (rétention urinaire aiguë) Pneumonie droite à Stenotrophomonas maltophilia 23.12.2015 Fracture pertrochantérienne du fémur G, traitée par réduction fermée et ostéosynthèse par clou centromédullaire PFN-A, le 01.11.2015 Infection urinaire simple à germe enterococcus faecum le 20.12.2015 Carcinome canalaire invasif du sein gauche, tumorectomie et radiothérapie adjuvante en 2003 Fracture zygomato-maxillaire droite en 2003 Fracture de la 10ème côte en 2000 Fracture de D11 et de L1 non datée Adénocarcinome de l'estomac sur l'ancienne gastro-entéro-anastomose avec status post gastrectomie totale et splénectomie en 1983 Résection gastrique selon Billroth II pour ulcère duodénal en 1965 Pneumonie communautaire bilatérale le 30.12.2017 Pneumonie communautaire de la partie basale du lobe inférieur gauche. Pneumonie communautaire du lobe inférieur droit le 20.12.2017. Pneumonie communautaire du LSD à pneumocoque le 29.12.2017 • Épanchement pleural D le 10.01.2018 Pneumonie communautaire le 09.04.2017 Pneumonie communautaire basale gauche le 01.04.2014 Hémorragie sous arachnoïdienne avec troubles cognitifs modérés et hémiparésie gauche en 2003, Inselspital Bern • craniotomie latérale gauche Hystérectomie en 1980 État confusionnel aigu hypoactif sur globe vésical d'origine médicamenteux (Temgesic) le 04.01.18 Pneumonie communautaire le 09.04.2017 Pneumonie communautaire basale gauche le 01.04.2014 Hémorragie sous arachnoïdienne avec troubles cognitifs modérés et hémiparésie gauche en 2003, Inselspital Bern • craniotonie latérale gauche Hystérectomie en 1980 Acutisation d'origine pré-rénale d'une insuffisance rénale chronique le 09.04.2017 Pneumonie communautaire lobaire droite. Pneumonie communautaire multilobaire bilatérale le 02.08.2017 • probable pneumonie organisante chronique droit sous corticothérapie (40 mg Prednisolone depuis 10.07) depuis mi-juillet 2017 • contexte d'insuffisance respiratoire hypoxémique chronique depuis 05/2017, sous oxygénothérapie Pneumonie communautaire multilobaire bilatérale le 02.08.2017 sur : • Probable pneumonie organisante chronique droit sous corticothérapie (40mg Prednisolone depuis 10.07) depuis mi-juillet 2017 • Contexte d'insuffisance respiratoire hypoxémique chronique depuis mai 2017, sous oxygénothérapie Iléus paralytique post-opératoire le 27.05.2017 Possible brèche durale lors de la péridurale en T11/12 le 24.05.2017 Péritonite sur appendicite à l'âge de 20 ans (1954) Herpès ophtalmique gauche Reflux gastro-oesophagien Goutte Macrohématurie le 23.11.2017 avec CT-scan abdominal le 27.11.2017, et pose d'une sonde urinaire 3 voies pour rinçage vésical le 23.11.2017, retirée le 23.11.17 et mise en suspens du Xarelto Lactatémie avec mise en suspens de la Metformine en novembre 2017 Pneumonie communautaire sévère multilobaire droite le 30.12.2017 à germe indéterminé Pneumonie • CRP 200, Leuco 22 Pneumonie d'aspiration à répétition• broncho-aspirations à de multiples reprises à domicile • broncho-aspiration le 28.12.2017 et le 29.12.2017 • dans le contexte de trouble cognitif avec troubles de la déglutition Pneumonie d'aspiration après extubation, du lobe inférieur gauche à K. oxytoca et H. alvei (décembre 2017) • avec perturbation des tests hépatiques d'origine médicamenteuse sous antibiothérapie (Co-Amoxicilline, Tazobactam, Céfépime) Hypokaliémie (3.3mmol/l), substituée Embolies pulmonaires en 1981, 1983, 1985 Pneumonie de broncho-aspiration le 16.01.2018: • sur trouble de déglutition Pneumonie de la lingula. Pneumonie débutante basale droite. Pneumonie débutante basale gauche le 31.12.2017 Pneumonie débutante lobe inférieur gauche le 04.01.2018 Pneumonie des deux lobes supérieurs acquise en communauté, possiblement à Haemophilus influenzae le 29.12.17: • dans le contexte de syndrome restrictif sévère avec composante obstructive • avec insuffisance respiratoire hypoxémique et hypercapnique Pneumonie des deux lobes supérieurs avec insuffisance respiratoire de type 2. Pneumonie droite le 31.12.2017 Pneumonie droite secondaire à une bronchoaspiration le 24.12.2017 avec: • insuffisance respiratoire hypoxémique • douleurs pleurétiques droites Pneumonie du LID clinique c/o patient traité par AB x début décembre et depuis le 28.12 sous cefuroxime Pneumonie du lobe moyen droit Pneumonie du lobe moyen droit à germes indéterminés le 16.01.18. Pneumonie du lobe moyen droit le 08.01.2018 avec: • bactériémie à S. Pyogenes Multisensible • surinfection de grippe Pneumonie du lobe moyen le 09.04.2016. État confusionnel aigu avec insuffisance respiratoire globale sur accumulation d'opiacés, probable syndrome de sevrage OH et suspicion de broncho-aspiration le 11.12.2014. Fracture du col du fémur gauche, Garden IV Pauwels III, sur chute de sa hauteur, le 09.12.2014, traitée par PTH, ostéophytectomie le long du bord antérieur, puis postéro-inférieur et bursectomie trochantérienne le 10.12.2014. Probable diabète cortico-induit le 25.06.2013. Pneumonie du lobe inférieur droit le 22.11.2013 à germe indéterminé. Chirurgie de l'épaule gauche pour luxations récidivantes en 1980. Prostatite en 1980. Appendicectomie en 1973. Pneumonie du lobe supérieur droit le 29.12.2016 - CT scan de contrôle à organiser à distance. Pneumonie du lobe supérieur gauche le 16.12.2017 • chez un patient connu pour une BPCO avec 2/3 critères d'Anthonisen. Pneumonie en bonne évolution Pneumonie en décembre 2016. Malnutrition protéino-énergétique sévère en 2014. Diarrhées chroniques en 2013. Cure de cataracte. Pneumonie en janvier 2017. Pneumonie en juillet 2016. Surdité brusque en 2006 traitée par cortisone avec récupération progressive de l'ouïe. Appendicectomie dans l'enfance. Syndrome inflammatoire récurrent depuis novembre 2016 d'origine indéterminée le 31.01.2017. • investigations à l'Inselspital de Bern du 27 au 30.11.2016. • dyspnée et diminution de la capacité à l'effort NYHA II depuis novembre 2016. Bilan auto-inflammatoire le 02.02.2017: • IgG augmentées à 20.3 g/l (norme < 15 g/l), IgD, IgA et IgM normales. • Kappa libres augmentées à 47.8 mg/l (norme < 19.4 g/l), Lambda libres augmentées à 35.2 g/l, (norme < 26.3 g/l) avec rapport K/L normal. • électrophorèse des protéines avec albumine diminuée à 43.2% (norme 57-71%), alpha-2 globulines augmentées à 13.4% (norme 5.5-10.5%), gamma-globulines augmentées à 28.3% (norme 9-18%). • complément C3c et C4 normal, activité du complément dans la norme. • immunofixation normale. • cryoglobulines négatives. • FAN positifs à 160 (homogènes et avec mitoses +), anti-nucléosomes positifs. • PR3-ANCA fortement augmentés à 435.4 UI/ml (c-ANCA non-évaluables à l'immunofluorescence des neutrophiles), MPO-ANCA fortement augmentés à 208 UI/ml (p-ANCA non-évaluables à l'immunofluorescence des neutrophiles). Pneumonie en septembre 2017 Infection urinaire à entérocoque (2009) Sepsis d'origine pulmonaire le 26.12.2016 avec péjoration transitoire de l'hémisyndrome facio-brachio-crural G sans lésion ischémique nouvelle Pneumonie en septembre 2017 Infection urinaire à entérocoque (2009) Sepsis d'origine pulmonaire le 26.12.2016 avec péjoration transitoire de l'hémisyndrome facio-brachio-crural G sans lésion ischémique nouvelle • DD : péjoration dans contexte infectieux Sonde vésicale en 2016 Pneumonie en 1950, 2009 et 2010 Césarienne Pneumonie G Pneumonie, le 12.01.2017 Pneumonie LIG le 05.01.2018 • CURB-65: 1 point Pneumonie lobaire droite Pneumonie lobaire droite le 31.12.2017 Pneumonie lobaire inférieure +/- bronchite gauche. Pneumonie lobaire inférieure bilatérale et de la lingula le 02.01.2018 • avec épanchements pleuraux D>G d'origine indéterminée • sur probable broncho-aspiration suite à crise d'épilepsie le 28.12.2017 • chez patiente immuno-supprimée • critère de Light : 0/3 Pneumonie lobaire inférieure bilatérale et de la lingula le 02.01.2018 • avec épanchements pleuraux D>G d'origine indéterminée • sur probable broncho-aspiration suite à crise d'épilepsie le 28.12.2017 • chez patiente immuno-supprimée • critère de Light: 0/3 Pneumonie lobaire inférieure gauche le 05.01.2018 • CURB-65: 1 point Pneumonie lobaire inférieure gauche (S10) le 17.01.2018 Pneumonie lobaire moyenne droite à germe indéterminé le 27.12.2018 Pneumonie lobaire supérieure droite, CURB65 = 3 (risque élevé) • dans un contexte d'adénocarcinome non à petites cellules peu différencié de type adénocarcinome du lobe supérieur droit, stade IVA diagnostiqué le 27.10.2017. Pneumonie lobe basal droit le 22.01.2018 Pneumonie lobe inférieur droit. Pneumonie lobe inférieur G avec épanchement Pneumonie lobe moyen à droite Pneumonie lobe moyen droit le 29.12.2017 Pneumonie lobe moyen droite d'origine virale (DD Grippe, surinfection bactérienne) Pneumonie multi lobaire à P. aeruginosa sur poumon emphysémateux et bronchiectasies le 01.01.2018 • traité par antibiotique X début décembre et depuis le 28.12.2017 sous céfuroxime par médecin traitant • patient connu pour un syndrome restrictif et baisse de la diffusion du CO (fonctions pulmonaires 2017) • S/p choc septique pulmonaire avec mise en évidence de P. aeruginosa multisensible le 29.05.2017 • ancien chauffagiste avec exposition à l'amiante, tabagisme ancien à 30 UPA Pneumonie multi lobaires à P. aeruginosa sur poumon emphysémateux et bronchiectasies le 01.01.2018 • traité par antibiotique X début décembre et depuis le 28.12.2017 sous céfuroxime par médecin traitant • patient connu pour un syndrome restrictif et baisse de la diffusion du CO (fonctions pulmonaires 2017) • S/p choc septique pulmonaire avec mise en évidence de P. aeruginosa multisensible le 29.05.2017 • ancien chauffagiste avec exposition à l'amiante, tabagisme ancien à 30 UPA Pneumonie nosocomiale. Pneumonie nosocomiale à germe indéterminé le 17.04.2013 Insuffisance respiratoire globale d'étiologie plurifactorielle le 23.10.2012 sur: • ARDS sur tuberculose miliaire le 28.10.2012 (fin du traitement par Rifampicine + Isoniazide le 09.04.2013) • Surinfection à Hafnia alvei le 28.10.2012 • Embolie pulmonaire bilatérale le 10.11.2012 (sous Xarelto) • Atelectasie bilobaire gauche sur toux inefficace le 27.11.2012Suspicion de bronchopneumonie nosocomiale le 19.12.2012 Oesophagite hémorragique probablement sur maladie de reflux, anti-agrégation plaquettaire et anti-coagulation le 17.12.2012 Syncope d'étiologie indéterminée avec traumatisme crânio-cérébral simple en 2008 Bronchopneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé le 28.04.2016 Probable pneumonie basale gauche sur broncho-aspiration le 05.11.2016 Rocéphine du 05.11 au 17.11.2016 Clindamycine du 06.11 au 17.11.2016 Hémorragie diffuse du lambeau pectoral G et de la trachéotomie sous anticoagulation thérapeutique (HBPM) le 07.10.2016 • Cautérisation locale le 07.10.2016 (Dr. X) • 1 CE le 07.07.2016 et le 08.10.2016 • Cyklokapron du 07-08.10.2016 • Noradrénaline iv continue le 08.10.2016 Dénutrition sévère dans le cadre d'un carcinome épidermoïde du trigone rétromolaire gauche le 09.03.2017 Anémie normochrome normocytaire arégénérative, le 09.03.2017 Trouble dépressif récurrent, épisode actuellement moyen • sous Trittico 150 mg/j Pneumonie nosocomiale à P. Aeruginosa multisensible le 22.01.2018 Pneumonie nosocomiale avec foyer basal droit et décompensation respiratoire aiguë mars 2008 Anémie macrocytaire (MCV à 123 à l'entrée) normochrome hyporégénérative sévère (Hb à 46 g/l à l'entrée) sur déficit en vit B12, syndrome inflammatoire et probable toxicité OH en mars 2008 OAP suite à surcharge hydrique février 2008 TCC sévère en 1980 Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale le 28.05.2016 • hyperkaliémie transitoire à 6.4 mmol/l Tentamen à l'arme blanche le 28.05.2016 avec : • lésions superficielles du sinus frontal • lésions thoraciques pariétales sans atteinte d'organe Pneumonie nosocomiale basale droite le 08.01.2018 Pneumonie nosocomiale du lobe inférieur gauche le 28.12.2017 Pneumonie nosocomiale du lobe inférieur gauche le 28.12.2017 Pneumonie nosocomiale en base droite le 22.01.2018 : • avec insuffisance respiratoire hypoxémique Pneumonie nosocomiale gauche le 27.12.2017 Pneumonie nosocomiale le 15.01.2018 • J4 chimiothérapie MTX HD Pneumonie nosocomiale S/p cure de hernie inguinale droite S/p orchidopexie Pneumonie organisante, fibrose interstitielle modérée du tissu alvéolaire et fibrose modérée de la muqueuse respiratoire du tissu péri-bronchiolaire le 03.10.2017 • corticothérapie par Prednisone 40 mg dès le 18.10.2017 • Co-Trimoxazole (Bactrim) prophylactique 3x/semaine durant la corticothérapie. Dysphagie au solide d'origine indéterminée le 05.10.2017. Colite à Clostridium difficile le 09.10.2017. Pneumonie para-hilaire gauche le 14.01.2018 Pneumonie péri-hilaire droite. Pneumonie probablement atypique acquise en communauté le 11.09.2015. Status post-lithiase urinaire. Probable pyélonéphrite gauche. Pneumonie rétrocardiaque G à germe indéterminé le 11.01.2018 probablement sur bronchoaspiration Pneumonie rétrocardiaque (2015). Cholécystectomie. Pneumonie sévère à Influenza B le 09.01.2018 Pneumonie sévère à Influenza B le 09.01.2018 Pneumonie sévère du lobe moyen droit le 08.01.2018 Pneumonie sur bronchoaspiration le 24.12.2017 : Pneumonie sur broncho-aspiration le 29.12.2017 sur trouble de la déglutition. Pneumonie sur probable broncho-aspiration le 05.01.2018. Pneumonie sur probable bronchoaspiration le 23.12.2017 Pneumonie trilobaire bactérienne secondaire à la grippe A le 02.01.2018 Pneumonie trilobaire bactérienne secondaire à la grippe A le 02.01.2018 Pneumonie virale Pneumopathie bilatérale d'origine indéterminée : DD : pneumonie bilatérale atypique avec composante de décompensation cardiaque, COPD, inflammatoire, pneumonie mycotique Pneumopathie d'inhalation sur broncho-aspiration • Co-amoxicilline du 15 au 19.05.2017 Hémorragies digestives basses à répétition sous anticoagulation • hématochésie le 04.09.2016 sur probable saignement diverticulaire sigmoïdien • hématochésie possiblement sur diverticules sigmoïdiennes en avril 2012 • hémorragie digestive basse probablement sur diverticulose sigmoïdienne en 2007 • hémorragie digestive basse en 2006 sur ulcères de la valve iléo-caecale probablement sur AINS • colonoscopie le 05.09.2016 : pas de source de saignement actif, résection polype caecal (adénome dentelé sessile de la muqueuse colique sans dysplasie épithéliale), diverticulose sigmoïdienne avec trace de vieux sang, iléon terminal sans particularité Hématome du grand fessier sur traumatisme direct sans atteinte nerveuse 08/2015 Rhabdomyolyse sur statine le 05/2012 Cholécystectomie Colique néphrétique sur calcul urétéral D OP du coude D pour épicondylite Ulcère gastrique 04/2006 AVC en 2002 • CHADS VASC Score 8 points • uniquement antiagrégation plaquettaire simple par Aspirine cardio 100 mg 1-0-0 au vu du risque hémorragique important (discuté avec le Dr. X) Hémorragie digestive basse sur probable surdosage de Sintrom : • INR le 21.11.2017 : 3.3 • status post-hémorragies digestives basses à répétition • colonoscopie 04/2006 : source de saignement au niveau d'ulcères de la valve iléo-caecale • status post-colonoscopies et OGD multiples entre 2006 et 2017 • Rectoscopie le 21.11.2017 : pas de source de saignement actif • Avis gastro-entérologique Dr. X : pas d'indication à une colonoscopie ou une OGD Lombo-ischialgie non déficitaire G : • hernie discale lombaire L5-S1 (IRM 11/2016) • troubles neurologiques (perte de force fluctuante, paresthésies membre inférieur gauche) PTH D en mai 2017 Changement PTH G en mai 2012 sur descellement de la PTH implantée en 1998 Pneumopathie interstitielle des lobes supérieurs avec bronchiectasie de traction, atteintes septales et sous pleurales • suivi par pneumologue Dr. X Pneumopathie interstitielle diffuse dans le cadre d'une vraisemblable alvéolite allergique extrinsèque aux perroquets suivie par Dr. X • DD : fibrose pulmonaire de type NSIP cellulaire vs Sarcoïdose de présentation atypique Diagnostic : • Syndrome restrictif de degré léger à moyen et troubles diffusionnels de degré moyen • Scanner thoracique (07/11) : pneumopathies interstitielle avec infiltrats en verre dépoli et bronchectasies de traction • Bronchoscopie (08/11) : alvéolite mixte neutrophilique et lymphocytaire. Sur les biopsies bronchiques, quelques cellules géantes multinucléées Bilan immuno-allergologique (09/11 Dr. X) : • Absence d'atopie et en particulier d'hypersensibilité IgE médiée aux allergènes du perroquet et de la perruche • Précipitinés pour perruches et perroquets positives • Biopsie pulmonaire apicale gauche par thoracoscopie le 11.10.2011 (Insel) • DAP : pneumopathie interstitielle fibrosante compatible avec une AAE néanmoins sans lésion histo-pathologique pathognomonique • Complication : pneumothorax secondaire le 20.11.2011 avec fuite aérique prolongée • Traitement : corticothérapie systémique dégressive de 11/2011-07/2015 puis réascension transitoire de la cortico-thérapie à 30 mg/j sur proposition du CHUV sans amélioration supplémentaire tant clinique que fonctionnelle puis réintroduction le 23.10.2016 suite à reprise évolutive de la pneumopathie • CT thoracique 10/2016 : images compatibles avec une poussée active de la maladie fibrosante avec par rapport au CT de 02/2013, l'apparition de condensation pulmonaire mal délimitée au sein des zones atteintes par des lésions de fibroses pulmonaires, aux bases pulmonaires et au sein des segments antérieurs des lobes supérieurs, associée à une augmentation en taille de multiples ganglions médiastinaux antérieurs, sous carinaires et hilaires bilatéraux. Apparition d'images en rayons de miel au niveau des bases pulmonaires pouvant témoigner de lésions de NSIP vers des lésions de UIP.Dernier contrôle le 12.2017 avec fonctions pulmonaires : spirométrie compatible avec un syndrome restrictif de degré léger. Troubles diffusionnels de degré sévère • Pneumopathie interstitielle diffuse fibrosante avec tableau radioclinique évoquant en premier lieu une NSIP dans le cadre d'une connectivité indifférenciée 11/11 • Hypertension pulmonaire sévère probablement groupe III cœur pulmonaire chronique sévère • Ancien tabagisme 20 UPA (stoppé >10 ans) • Syndrome de Raynaud • Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien irrégulier • Pneumopathie interstitielle diffuse fibrosante avec tableau radioclinique évoquant en premier lieu une NSIP dans le cadre d'une connectivité indifférenciée 11/11 • Hypertension pulmonaire sévère probablement groupe III cœur pulmonaire chronique sévère • Ancien tabagisme 20 UPA (stoppé >10 ans) • Syndrome de Raynaud • Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien irrégulier • Pneumopathie interstitielle diffuse fibrosante avec tableau radioclinique évoquant en premier lieu une NSIP dans le cadre d'une connectivité indifférenciée 11/11 • Hypertension pulmonaire sévère probablement groupe III cœur pulmonaire chronique sévère • Ancien tabagisme 20 UPA (stoppé >10 ans) • Syndrome de Raynaud • Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien irrégulier Suspicion d'une tumeur pancréatique versus pancréatite auto-immune • CT abdominal du 12.12.2016 : lésion de la tête du pancréas à contours mal délimités d'environ 2,5 cm faisant suspecter une origine tumorale. Dilatation des voies biliaires et du canal de Wirsung en amont. Pas de signe d'envahissement des structures vasculaires ou de la graisse péri-pancréatique. Absence d'adénopathie. • IRM de l'abdomen du 13.12.2016 : dilatation des voies biliaires intra-et extra-hépatiques avec un cholédoque atteignant 20 mm. Vésicule biliaire distendue sans signe d'inflammation. Saut de calibre du cholédoque distal avec une sténose des 15 derniers mm. Pas de lésion identifiable dans le cholédoque. Distension du canal de Wirsung. Fine prise de contraste dans la partie inférieure de la tête du pancréas dans une zone mal délimitée • ERCP du 14.12.2016 : impossibilité de cathétériser le cholédoque à cause d'un déplacement distal de la papille avec une déformation de la paroi médiane du 2ème duodénum • Drainage sous radioscopie du 20.12.2016 : prélèvements cytologiques de la sténose réalisés à l'aide d'un brossage. Mise en place d'un stent biliaire Bard 10 mm et 6 cm de longueur • Cytologie (Promed C7318.16) du 20.12.2016 : rares cellules cylindriques atypiques • Ablation du drain biliaire le 23.12.2016 • OGD et endosonographie gastrique du 05.01.2017 par le Professeur Seibold : pas de masse tumorale visualisée. Suspicion de pancréatite • Histologie (Promed P95.17) du 09.01.2017 : absence d'atypie épithéliale ou de signe d'une croissance invasive. Remaniement fibreux et cytostéatonécrose pouvant être rencontrés dans le cadre d'une pancréatite • CT-scan du 15.03.2017 : pas de nette masse pancréatique visualisée. Stent cholédocien en place avec aérobilie. • Hospitalisation dans le service de médecine interne pour cholangite à E. Coli sur occlusion du stent au niveau du cholédoque distal. • CT thoraco-abdominal du 28.06.2017 : occlusion du stent avec perte de la pneumobilie et augmentation de la dilatation biliaire. Pas de masse objectivable. • Écho-endosonographie du 07.07.2017 : dilatation des voies pancréatiques, nettoyage du stent. Biopsie de la tête du pancréas • Cytologie (Promed C3881.17) du 11.07.2017 : absence de cellules suspectes de malignité. • Actuellement : surveillance avec échographie biannuelle, avis gastro-entérologique en cas d'ictère Pneumopathie interstitielle d'origine indéterminée (DD NSIP sur sclérodermie): • Oxygénothérapie continue à 1 lt/min au repos et 2 lt/min à l'effort • CT pulmonaire du 28.08.2017 : fibrose pulmonaire sans remplir tous les critères pour une FPI et signes d'HTP • Cath D du 16.08.2017 (HFR) : résistances pulmonaires 10 WU (850 Dynes), LVEDP 9mmHg, donc HTAP pré-capillaire pure (test de réversibilité non fait) • Spirométrie du 05.12.2017 : CVF 50%, VEMS 59%, Tiffeneau 79% • DLCO du 05.12.2017 : 40% • Bilan immunologique : FAN à 320, HIV négatif, ANA 1/160, ANCA négatifs Pneumopathie interstitielle fibrosante diagnostiquée en 2011 (Dr. X). DD : sarcoïdose, alvéolite d'hypersensibilité (ancien éleveur de pigeons), avec fibrose pulmonaire bilatérale à prédominance droite avec micronodulation lymphatique et adénopathies médiastinales et hilar (CT le 23.12.2011). • Trouble ventilatoire restrictif de degré léger (29.02.2012). • Insuffisance respiratoire partielle, ACE élevée à 79 U/l. • Bronchoscopie du 30.12.2011 : alvéolite lymphocytaire, élévation du rapport CD4/CD8. • Biopsies transbronchiques sous EBUS : granulo-épithélioïdes avec rares cellules géantes multi-nucléées, sans nécrose (Promed P 9628.11). • Absence d'éléments en faveur d'une maladie de système. • Hypertension artérielle pulmonaire (PAPs à 76mmHg en 2011). Dysphagie depuis 2011, possiblement sur hypertrophie bilatérale des muscles crico-pharyngiens, avec : • Oesophagoscopie, dilatation de la bouche oesophagienne et injection de Botox le 11.05.2012 en raison d'hypertonie modérée du muscle cricopharyngien. Goutte. Gonarthrose gauche. Syndrome de dépendance alcoolique, abstinent depuis décembre 2010 (anamnestique). Pneumopathie nodulaire progressive avec épanchement pleural type exsudat avec des éléments d'antraco-silicose chez le patient connu pour PR séropositive : • Très probable Syndrome de Caplan-Colinet Pneumothorax Pneumothorax à droite (post ponction pleurale) le 30.12.2017 Pneumothorax antérieur droit Pneumothorax apical droit spontané, 3ème épisode. Pneumothorax droit post-traumatique avec multiples fractures de côtes à droite le 12.01.2018 • post chute en parapente (3 m) Pneumothorax droit sous tension post-bronchoscopie, le 24.01.2017, avec : • Récidive de pneumothorax sur obstruction du drain thoracique, le 27.01.2017 Diabète de type II non insulino-requérant. Hypercholestérolémie. Acrosyndrome aux extrémités avec érythermalgie et phénomène de Raynaud aux deux mains. Lymphoedème chronique, probablement secondaire aux multiples interventions chirurgicales. Maladie variqueuse chronique avec récidive de varices dans le territoire des grandes veines saphènes, sans néocrose (bilan angiologique, le 29.11.2016, Dr. X) ETT le 09.11.2017 : FEVG 57%, fonction segmentaire normale Pneumothorax droit spontané en 2006. Pneumothorax droit spontanée en 2006. Pneumothorax droit spontané en 2006. Pneumothorax droit en 1985 avec prise en charge chirurgicale. Pneumothorax iatrogène sur pose de PAC par ponction veine sous-clavière droite le 29.12.2017. Pneumothorax post-pose de pacemaker • Emphysème sous-cutané, avec RX thorax : pneumothorax apical de 1.5 cm. US poumon de débrouillage aux urgences : signes de pneumothorax confirmé (mais quantification difficile). Pneumothorax post-pose de pacemaker le 22.01.2018. Pneumothorax spontané à deux reprises dans les années 80, talqué la 2ème fois. Ancien tabagisme arrêté en 1989. Arthrite septique de l'interphalangienne distale de O1 gauche. Pneumothorax spontané antérieur droit. Podomexef 8 mg/kg/j pendant 10 jours à stopper aux résultats de l'antibiogramme. Contrôle chez le MT si persistance de douleur abdominale. Podomexef 8 mg/kg/j 2x/j pendant 10 j. Dafalgan 16 ml et Algifor 16 ml en réserve. Urotube à pister et adapter la prise en charge selon les résultats. Contrôle si péjoration ou persistance > 3 j sous ATB. Poids fœtal de naissance au P5. Poids fœtal J1 : envoie du placenta en anatomopathologie. Poids fœtal : 2810 g (percentile : 10). Alimentation précoce. Poids 1x(j. Suivi pneumologique avant retour à domicile. Poignet D : • Fracture métaphysaire et diaphysaire, intra-articulaire, multifragmentaire radius distal type AO-C3. • Fracture ouverte sous-capitale comminutive, plurifragmentaire, cubitus distal (accident du 15.08.2016). Poignet D : CIND, CLIP le 11.07.2016. • Poignet D : révision DIC, capsulodèse dorsale (OP le 07.07.2016). Entorse sévère du poignet D le 11.12.2015 avec : • distorsion de l'appareil capsulo-ligamentaire dorsal. • entorse du ligament scapho-lunaire. • contusion du complexe TFCC. Fracture extrémité distale du radius gauche non déplacée le 27.04.2015. Douleurs thoraciques oppressives respiro-dépendantes, d'une durée 20-30 min, d'origine indéterminée le 20.04.2015. Décompensation acido-cétosique légère d'un diabète type I le 19.04.2015 sur probable gastro-entérite. Entorse IPP du 2ème doigt de la main droite. Hypoglycémies itératives dans un contexte de diabète de type I le 14.10.2015, avec • status post installation d'une pompe d'insuline le 05.10.2015. • cause : malabsorption colonisée (hématome dans le site d'application de la pompe). Opération ongles incarnés des deux hallux 2013. Ongle incarné face médiale et latérale à G, face médiale à D. Cure d'ongle incarné selon Kocher, face médiale et latérale à G, face médiale à D (OP le 12.05.2017). Poignet droit : fracture scaphoïde B1 du 16.09.2017. Poignet droit : status post-arthroscopie diagnostique, ostéotomie de raccourcissement ulna (ulna shortening system Synthes 3 mm), refixation TFCC et excision pseudarthrose styloïde ulnaire (Autofixe, 2x Ethibon 4.0) le 30.01.2017 sur status post-fracture du radius distal et fracture styloïde ulnaire avec ORIF radius et instabilité persistante DRUJ, variance ulna +. Poignet droit : status post-réduction ouverte et ostéosynthèse (APTUS radius dorsal) le 07.07.2016 pour fracture distale intra-articulaire radius distal (AO-C3). Actuellement : impingement sous-acromial droit. Poignet droit : tendinite de De Quervain avec traitement conservateur tunnel carpien bilatéral. Poignet droit (dominant) : status post-ostéosynthèse radius distal par plaque palmaire le 07.03.2016. Elargissement espace scapho-lunaire avec suspicion d'une lésion scapho-lunaire. Fracture styloïde ulnaire. Actuellement : CRPS. Poignet droit en deux plans : fracture consolidée sans bris du matériel d'ostéosynthèse. Poignet G : status post arthroscopie diagnostique, refixation du TFCC (Push Lock, 2x Ethibond 3.0) le 30.05.16 pour lésion TFCC, lésion ligament radio-ulnaire, dorsal et palmaire. Irritation nerf ulnaire. Actuellement : suspicion tendinite EDM, ECU, suspicion syndrome supinateur. Poignet gauche : arthroscopie diagnostique, cure tendinite de De Quervain (OP le 13.04.2017). Poignet gauche : distorsion le 26.11.2017 avec suspicion lésion ligamentaire intrinsèque. Poignet gauche : espace SL dans la norme à 2 mm, angle scapho-lunaire à 70°. Arthro-IRM : pas de lésion SL, LT ni du TFCC. Pas de lésion visualisable des ligaments extrinsèques ni des ligaments intrinsèques. Poignet gauche : fracture radius distal intra-articulaire. Poignet gauche : instabilité DRUJ avec lésion partielle du TFCC sur status post • OS par plaque palmaire fracture intra-articulaire, plurifragmentaire, radius distal le 19.04.2017. Poignet gauche : lésion SNAC stade II avec arthrose du STT gauche. Poignet gauche : pseudarthrose scaphoïde. Poignet gauche : réduction ouverte, ostéosynthèse radius distal par plaque Aptus, ostéosynthèse styloïde ulnaire par vis HCS le 09.06.17 pour fracture intra-articulaire, comminutive, extrémité distale radius et fracture styloïde ulnaire du 08.06.17. Actuellement : suspicion de tendinite EPL. Poignet gauche : S/p arthroscopie diagnostique, refixation arthroscopique TFCC sur lésion TFCC et lésion LT partielle (OP le 15.12.2016). Poignet gauche : status post arthroscopie diagnostique et ORIF radius distal G par plaque Aptus 2.5, Aptus Hand 1.5 et vis libre 2.5 le 01.06.17 pour fracture intra-articulaire déplacée radius distal et styloïde ulnaire à G le 28.05.17. Poignet gauche : status post cure pseudarthrose du scaphoïde, reconstruction avec greffe tricorticale du bassin, ostéosynthèse (autofixe 2.0) le 27.03.17 pour une pseudarthrose du scaphoïde, déformation en DISI. Status post-plastie du LCA avec surcharge poignet gauche en post-opératoire. Poignet gauche : status post fracture radius distal 1989 avec 2 opérations, status post fracture radius distal 1998 avec 2 opérations. Actuellement : distorsion du poignet du 17.11.2015 avec exacerbations des douleurs. Suspicion de syndrome d'impaction de la styloïde ulnaire, arthrose médio-carpienne. Poignet gauche : status post-arthroscopie diagnostique et cure de tendinite de De Quervain le 13.04.2017 sur traumatisme en août 2016 avec une lésion partielle SL. Syndrome de tunnel carpien. Tendinite capsulite à l'insertion du RSC sur le radius distal gauche. Actuellement : suspicion syndrome de tunnel carpien exacerbé. Poignet gauche : • status post-fracture radius distal et scaphoïde avec ostéosynthèse le 15.04.2016. • status post-ablation matériel d'ostéosynthèse radius et scaphoïde le 03.10.2016. • status post-AMO vis scaphoïde, neurolyse ramus superficialis nervi radialis avec ablation neurome le 04.12.2017. Poignet gauche : status post-ostéosynthèse scaphoïde (vis Autofix 2 mm) et ostéosynthèse radius distal (Aptus radius) le 19.08.2017. Actuellement : CRPS. Poignet gauche (dominant) : lésion TFCC partielle, tendinopathie ECU, kyste au niveau os lunatum, os triquétrum. Poignet gauche en deux plans : fracture radius distal intra-articulaire avec bascule dorsale de 10°. Poignet gauche en 2 plans : fracture consolidée. Ultrasonographie (Dr. X) : nous ne notons pas de conflit entre le tendon EPL et une vis qui pourrait expliquer ces légères douleurs par contre on note une irrégularité osseuse en regard du tubercule de Lister, nous notons également une synovialite et un épaississement du rétinaculum extensorum à ce niveau. Poignet gauche : • Pseudarthrose scaphoïde pluri-fragmentaire sur le pôle proximal et pseudarthrose styloïde ulnaire avec un SNAC wrist stade IV sur chute en septembre 2016. Poignet droit : • Douleur neuropathique ulnaire radiale droite de la branche superficielle distale. • Status post ostéosynthèse scaphoïde et arthrodèse du poignet droit avec AMO. Poignet gauche : Status post arthroscopie diagnostique, débridement TFCC le 17.08.2017, lésion LT partielle.Poignet gauche: Lésion scapho-lunaire chronique sans DISI, re-traumatisme le 23.10.2017. Police n° 1412296 - Candido Manuel Baltar De Almeida Lourenco - 24.08.1970 1. Lors de la consultation du 08.11.2017, soit près de 6 mois post-traumatiques, le patient décrit une absence de douleur spontanée au repos. Il décrit la survenue de douleurs à la mobilisation en flexion/extension associées à un manque de force au niveau de son poignet, toutefois en progression. Le patient se plaint en particulier d'une raideur matinale qui s'amende par la suite à la mobilisation. 2. Subjectivement, le patient décrit une évolution lentement favorable. Objectivement, on note une cicatrice calme et sèche, une absence de douleur palpatoire en regard du poignet. Amplitudes en flexion/extension passive du poignet 70-0-80° indolore. Prosupination active complète et indolore. Distance pulpe-main 0 pour tous les doigts en mobilisation active avec un déficit de flexion des doigts par rapport au côté controlatéral qui concerne surtout l'interphalangienne proximale distale des doigts II à V. 3. Oui 4. Non 5. Oui 6. Poursuite de la rééducation en physiothérapie à but de récupération de la force et de la mobilité. 7. Prochain contrôle prévu à 1 an post-opératoire pour ablation du matériel d'ostéosynthèse. 8. Durée actuellement estimée à 15 mois en tout. 9. Oui 10. a) Le patient a en principe repris le travail. En effet le dernier arrêt de travail à 100% émis par notre service jusqu'au 13.11.2017 compte tenu d'une impossibilité de reprise progressive à 50% qui avait été proposé à l'employeur. b) On espère une récupération de la capacité de travail à 100% dans la profession actuelle à l'issue du traitement. 11. En ce qui concerne strictement la fracture intra-articulaire comminutive du radius distal droit pour laquelle le patient est en traitement chez nous, incapacité de travail à 100% depuis le 10.05.2017 et jusqu'au 13.11.2017 avec reprise initialement prévue le 14.11.2017. Toutefois, on note que le patient a également souffert d'un hématome sous-dural aigu suite au traumatisme. En ce qui concerne cette dernière problématique, le patient est suivi d'après ce que nous savons chez un certain Dr. X. Polyarthrite. Lupus avec syndrome de Raynaud. Polyarthrite main droite. DD: arthropathie inflammatoire (psoriasis, PR) - CRPS. Polyarthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde à facteur rhumatoïde négatif avec une présentation initiale de polymyalgie diagnostiquée en mai 2003 avec : • prise en charge par le Dr. X par Léflunomide (en suspens), Méthotrexate, Prednisone, antalgie (Palexia) • omarthrose gauche inflammatoire secondaire Syndrome lombo-radiculaire L4 droit en juin 2011 avec : • IRM juin 2011 : discopathie multi-étagée, hernie discale L4/5 droite, avec compression de la racine L4 droite ainsi qu'un rétrécissement discogène et sur spondylarthropathie avec compression de S1 droite Artériopathie oblitérante des artères périphériques de stade I non significative avec : • artériosclérose généralisée sans mise en évidence de sténose significative • bas de contention autorisée Insuffisance rénale chronique de stade 2 : • clearance selon CKD-EPI à 79 ml/min. avec créatinine à 66umol/l le 22.06.2017 • clearance à 60ml/min selon CKD-EPI, créatinine à 83 le 05.07.2017 • Polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en 2002 et traitée par Méthotrexate 1x/semaine et Humira 1x/toutes les 3 semaines. Hypertension artérielle probable. • Polyarthrite rhumatoïde et rhumatisme psoriasique • Polyarthrite rhumatoïde sans aucun traitement depuis 2 ans, suivie par le Dr. X (Vevey). Lombalgie mécanique, simple, non déficitaire avec irradiation dans le membre inférieur droit (face postérieure de la cuisse jusqu'au genou). • Polyarthrite rhumatoïde séronégative non stabilisée. Myasthénie grave (suivi par Dr. X). Herpès sacré chronique S1-S2 gauche et névralgie D5-D6 sur zona sine herpès. Cervicalgies chroniques non spécifiques avec troubles dégénératifs étagés avec discopathie C4-C5 C6 avec discrète sténose foraminale à ces deux étages sans conflit radiculaire. Hypertension artérielle. Asthme bronchique à priori intrinsèque, versus secondaire au traitement de Rituximab (Dr. X). Diarrhées chroniques d'origine indéterminée en cours d'investigation en ambulatoire. Polyarthrite séro-négative, suivi par Dr. X (rhumatologie). • Polyarthrite rhumatoïde séropositive, anti-CCP positifs, composante érosive: • DAS 28 2,72 le 06.03.2009. • diagnostiquée en 1996. • sous Arava 20 mg. Tuberculose pulmonaire avec traitement tuberculo-statique durant 9 mois en 1992: • quantiFERON du 27.02.2009 0.4 UI/ml non contributif. Nodules pulmonaires nécrobiotiques cavitaires. Diagnostic différentiel: polyarthrite rhumatoïde, Wegener. • Polyarthrite rhumatoïde séropositive avec atteinte pulmonaire nodulaire • Bronchoscopie le 19.01.2018 (Dr. X): compatible PR, recherche TB encore en cours, pas de germe: à pister • En rémission actuellement --> patient asymptomatique • Suivi par le Dr. X • Polyarthrite rhumatoïde séropositive érosive sous MTX (en suspens depuis le début décembre 2017) TVP droite idiopathique en juillet 2017, sous Xarelto 10 mg à vie Syndrome d'apnée du sommeil Obésité stade I Hernie hiatale Kystes rénaux parapyéliques bilatéraux • Polyarthrite rhumatoïde séropositive traitée par les sels d'or dans le passé puis par Xeljanz jusqu'au 25.01.2018 Asthme traité Anémie hypochrome normocytaire régénérative possiblement inflammatoire : • vitamine B12 562 pg/ml, acide folique 6 ng/ml, ferritine 136 U/l, TSH 2.360 mU/l, VS 43mm/1h le 15.01.2018 • refus de transfusions de sang • Polyarthrite rhumatoïde sévère avec status post-chirurgie réparatrice avec prothèses multiples aux mains et aux pieds Hypertension artérielle traitée Substitution thyroïdienne • Polyarthrite rhumatoïde sévère, suivie par Prof. X, avec status post-chirurgie réparatrice avec prothèses multiples aux mains et aux pieds. Hypertension artérielle traitée. Substitution thyroïdienne. • Polyarthrite rhumatoïde, sous protocole expérimental dans le cadre d'une étude clinique. • Polyarthrite rhumatoïde sous stéroïdes au long cours Hypothyroïdie substituée • Polyarthrite rhumatoïde sous stéroïdes au long cours Hypothyroïdie substituée Tabagisme à 25 UPA (stoppé en octobre 2017) • Polyarthrite rhumatoïde sous traitement d'Arava. Arthrose cervicale sous traitement d'Arthrotec. Hernie lombaire avec lombosciatalgies droites. Status post-infarctus du myocarde en 2001. Status post-hystérectomie. • Polyarthrite rhumatoïde traitée (Méthotrexate et Tofacitinib) Névralgie d'Arnold Arthrose hanche droite • Polyarthrite rhumatoïde traitée par Leflunomide RGO Syndrome métabolique avec: • HTA traitée • Hypercholestérolémie traitée • Obésité classe I (BMI 34 kg/m2) Coronarographie le 07.12.2017: coronaires normales. FEVG estimée à 65%. • Polyarthrite rhumatoïde. Diabète de type 2. Hypertension artérielle. Hémorroïdes. Syndrome restrictif d'origine indéterminée avec: • CPT à 81% aux fonctions pulmonaires du 01.04.2010. • status post-traitement immunosuppresseur (MTX et corticoïdes) en avril 2010. • Polyarthrite rhumatoïde. Hypothyroïdie substituée. • Polyarthrite rhumatoïde Lupus avec syndrome de Raynaud. • Polyarthrite rhumatoïde. Polyallergie (suivie par le Dr. X). Trouble de la personnalité de type dépendant, troubles de l'adaptation. Trouble dépressif récurrent. Stress post-traumatique. • Polyarthrite rhumatoïde. Polyallergie (suivie par le Dr. X). Trouble de la personnalité de type dépendant, troubles de l'adaptation. Trouble dépressif récurrent. Stress post-traumatique. • Polyarthrite (sous Méthotrexate 1x/semaine) Canal lombaire étroit L4-L5 et L5-S1 ainsi qu'arthrose facettaire et petite hernie discale L4-L5 G extra-foraminale. • Polyarthrite sous Prednisone Diabète de type II non insulino-requérant HTA Hypercholestérolémie Obésité stade II • Polyarthrose avec atteinte rachidienne, gonarthrose bilatérale et arthrose digitale érosive Polyarthrite séro-négative traitée en 1968 par sels d’or (3 g.), Plaquenil et Prednisone (actuellement sous Plaquenil) • Facteur rhumatoïde anti-CCP négatifs. FAN 160 avec fluorescence mouchetée (norme < 80) • Plaquenil depuis 10/2014 Syndrome métabolique avec: • Obésité • Hypertension artérielle • Hypercholestérolémie • Diabète de type 2 depuis 2011 Maladie coronarienne avec insuffisance cardiaque gauche chronique Reflux gastro-oesophagien • Polyarthrose avec gonarthrose droite et chondrocalcinose, coxarthrose bilatérales et arthrose digitale nodulaire. Cervicalgies et lombalgies chroniques dans le contexte de troubles dégénératifs avec discopathies multi-étagées de type érosif L5-S1 et arthrose postérieure étagée avec péripartite de hanche bilatérale d'accompagnement depuis 2017. Thyroïdite de Hashimoto traitée par Novotiral jusqu'en juillet 2013, actuellement sans traitement. Micronodules pulmonaires compatibles avec un aging lung. Hypertension tension artérielle transitoire, traitée par Votum, actuellement sans traitement. • Polyarthrose Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Incontinence urinaire Diabète type II BPCO Trouble de la mémoire Tremblement d'action des deux membres supérieurs depuis 1 an avec: • Syndrome extra-pyramidal asymétrique gauche plus que droit État confusionnel aigu fluctuant non organique dans le contexte de: • Troubles de l'humeur mixte avec tendance anxio-dépressive • Traitement par SSRI (Sertraline 100 mg 1x/j) Troubles de la marche et de l'équilibre sur: • Psychotropes • Troubles anxio-dépressifs • Polyarthrose • Syndrome extra-pyramidal • Polyarthrose Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle traitée Incontinence urinaire Diabète type II BPCO Trouble de la mémoire Tremblement d'action des deux membres supérieurs depuis 1 an avec: • Syndrome extra-pyramidal asymétrique gauche plus que droit État confusionnel aigu fluctuant non organique dans le contexte de: • Troubles de l'humeur mixte avec tendance anxio-dépressive • Traitement par SSRI (Sertraline 100 mg 1x/j) Troubles de la marche et de l'équilibre sur: • Psychotropes • Troubles anxio-dépressifs • Polyarthrose • Syndrome extra-pyramidal • Polydépendance (cocaïne, héroïne, THC, tabac) • substituée par Subutex depuis 2009 (Pharmacie Benu 2x/sem, médecin prescripteur = Dr. X, psychiatre traitant) Trouble personnalité émotionnellement labile de type borderlineHIV • virémie indétectable actuellement, charge virale HIV < 20 copies/ml le 03.08.2016 • Tivicay, 3TC, Retrovir (suivi Pr Chuard) Hépatite C chronique (Génotype 1a score METAVIR A1-F1 (PBF de septembre 2015) • traitement par Zepatier par le passé • virémie indétectable le 06.07.17 Bande monoclonale de type IgG Kappa et Lambda (à l'électrophorèse des protéines sériques) Hypertension artérielle Coxarthrose bilatérale (G>D) secondaire à une nécrose osseuse sur HIV ou trithérapie en mai 2017 Rhinosinusite chronique Syndrome overlap • syndrome obstructif modéré partiellement réversible (FP 2009, VEMS 65% de la prédite, Tiffeneau à 71% de la prédite) Hyperparathyroïdisme secondaire avec adénome parathyroïdien (US 14.02.17) Polydépendance (cocaïne, héroïne, THC, tabac) • substituée par Subutex depuis 2009 (Pharmacie Benu 2x/sem, médecin prescripteur = Dr. X, psychiatre traitant) Trouble personnalité émotionnellement labile de type borderline HIV • virémie indétectable actuellement, charge virale HIV < 20 copies/ml le 03.08.2016 • Tivicay, 3TC, Retrovir (suivi Pr Chuard) Hépatite C chronique (Génotype 1a score METAVIR A1-F1 (PBF de septembre 2015) • traitement par Zepatier par le passé • virémie indétectable le 06.07.17 Bande monoclonale de type IgG Kappa et Lambda (à l'électrophorèse des protéines sériques) Hypertension artérielle Coxarthrose bilatérale (G>D) secondaire à une nécrose osseuse sur HIV ou trithérapie en mai 2017 Rhinosinusite chronique Syndrome overlap • syndrome obstructif modéré partiellement réversible (FP 2009, VEMS 65% de la prédite, Tiffeneau à 71% de la prédite) Hyperparathyroïdisme secondaire avec adénome parathyroïdien (US 14.02.17) Insuffisance rénale chronique stade terminal à diurèse conservée sur hyalinose segmentaire et focale avec tubulopathie en présence de chaînes légères monoclonales dans le contexte d'hépatite C avec : • dialysée 2x/semaine (mardi et samedi) depuis le 23.03.17 • permacath jugulaire droite posé le 13.03.2017 Suivi Dr. X, Dr. Y Masse de la tête du pancréas Dépendance à l'alcool • notion de crise d'épilepsie en 1999 Entretien psychiatrique pour évaluation de capacité de discernement • demande faite par le Préfet de la Sarine Avis Prof. X : capacité de discernement présent, et réalisé il y a une semaine par le Dr. X. Pas de changement de son état depuis une semaine. Vu la demande du préfet, demander une analyse psychiatrique, et retour à domicile si capacité de discernement présent. Avis psychiatrique (Dr. X) : capacité de discernement présent, difficultés psychologiques surajoutées ces derniers jours (rompt avec petit ami, famille), a conscience des complications si elle ne se soigne pas, son psychiatre prendra contact avec elle lundi pour la suite. Peut rentrer à domicile. Polydépendances (cocaïne, héroïne, THC, tabac) • substituée par Subutex depuis 2009 (Pharmacie Benu 2x/sem, médecin prescripteur = Dr. X, psychiatre traitant) Trouble personnalité émotionnellement labile de type borderline HIV • virémie indétectable actuellement, charge virale HIV < 20 copies/ml le 03.08.2016 • Tivicay, 3TC, Retrovir (suivi Pr Chuard) Hépatite C chronique (Génotype 1a score METAVIR A1-F1 (PBF de septembre 2015) • traitement par Zepatier par le passé • virémie indétectable le 06.07.17 Bande monoclonale de type IgG Kappa et Lambda (à l'électrophorèse des protéines sériques) Hypertension artérielle Coxarthrose bilatérale (G>D) secondaire à une nécrose osseuse sur HIV ou trithérapie en mai 2017 Rhinosinusite chronique Syndrome overlap • syndrome obstructif modéré partiellement réversible (FP 2009, VEMS 65% de la prédite, Tiffeneau à 71% de la prédite) Hyperparathyroïdisme secondaire avec adénome parathyroïdien (US 14.02.17) Insuffisance rénale chronique stade terminal à diurèse conservée sur hyalinose segmentaire et focale avec tubulopathie en présence de chaînes légères monoclonales dans le contexte d'hépatite C avec : • dialysée 2x/semaine (mardi et samedi) depuis le 23.03.17 • permacath jugulaire droite posé le 13.03.2017 Suivi Dr. X, Dr. Y Masse de la tête du pancréas Dépendance à l'alcool • notion de crise d'épilepsie en 1999 Poly-endocrinopathie type MEN II a avec surrénalectomie bilatérale et thyroïdectomie Status post-double cure de hernie discale L5-S1 dans les années 1980 Polyglobulie d'origine indéterminée avec Hb 163g/l DD : déshydratation, maladie de Vaquez ? Polyglobulie d'origine indéterminée le 10.01.2018 DD : polycythemia vera, polyglobulie dans contexte d'embolie pulmonaire versus asthme décompensé Polyglobulie possible (depuis mars 2017). Hb 184 g/l, Hct 55%. Suivi chez le médecin traitant. Polygraphie en ambulatoire pour dépistage SAOS (patient sera convoqué) Polygraphie nocturne avec capnographie transcutanée nocturne sous VNI (EPAP 8 cmH2O, IPAP 16 cmH2O) le 15.01.2018 Polygraphie nocturne avec capnographie transcutanée nocturne sous VNI (EPAP 8 cmH2O, IPAP 16 cmH2O) + O2 à 1 l/min le 16.01.2018 Gazométrie artérielle au repos, sous VNI le 16.01.218 Gazométrie artérielle au repos, sous VNI + O2 à 1 l/min le 17.01.2018 Paramètres de sortie : Resmed Lumin 150 VPAPA ST-A, IPAP 17 cmH2O, EPAP 9 cmH2O, Ti min/max 0.5/1.5, O2 à 0.5 l/min, masque Air Fit F10, taille L Prochain contrôle dans 2 mois Polygraphie nocturne de mise sous VNI 08.01.2018 : IAH 16.5/h, IDO 14.0/h, ronflement 0.1%, nombre d'événements 130, apnées 72 (centrales 69, obstructives 3, mixtes 0), hypopnées 58, SpO2 moyenne nocturne 94% Capnographie transcutanée nocturne du 08.01.2018 : PCO2 moyenne 3.4 kPa, SpO2 moyenne 97% Gazométrie artérielle, à l'air ambiant, sous VNI 09.01.2018 : pH 7.51, PCO2 4.0 kPa, PO2 12.9 kPa, HCO3 24 mmol/l, EB 0.7 mmol/l, SpO2 98% Statistique ResScan 08.01.2018 : EPAP 95è centile 9.7 cmH2O, IPAP 95è centile 17.4 cmH2O, fuites médianes 6.0 l/min, fréquence respiratoire médiane 10/min FPC le 09.01.2018 : absence de trouble ventilatoire obstructif ou restrictif. Le débit expiratoire forcé entre 25-75% de la capacité vitale est diminué à 67% signant une obstruction des petites voies aériennes. Piégeage gazeux avec un RV à 166% du prédit et une TLC à 123% du prédit. Pas de trouble diffusionnel. Gazométrie artérielle, au repos, à l'air ambiant 09.01.2018 : hypocapnie à 4.3 kPa, sans autre trouble acido-basique (pH 7.44, PaO2 10.9 kPa, HCO3 21.6 mmol/l, EB -1.2 mmol/l). Polykystose ovarienne Polykystose rénale et hépatique familiale dominante avec : • Status post greffe rein droit en novembre 2015 pour insuffisance rénale terminale Facteurs de risque cardio-vasculaire : • HTA contrôlée • Hypercholestérolémie traitée • Tabagisme actif (60 UPA) Artériopathie chronique des membres inférieurs avec : • Recanalisation d'une sténose serrée de l'artère iliaque externe du côté gauche par angioplastie et pose de stent et d'une sténose serrée de l'artère iliaque commune du côté droit par angioplastie et pose de stent du 10.12.2014 (Dr. X). • Pontage aorto-bifémoral le 26.07.2016 au CHUV par le Professeur X. Troubles dégénératifs multi-étagés de la colonne vertébrale Ostéoporose fracturaire avec: • Fracture calcanéum gauche en 2013 • Fracture diaphysaire métacarpe IV et V + fracture base du métacarpe V avec fragments intra-articulaires sur chute en décembre 2013 • PTH D sur fracture du col du fémur en 2008. Polyneuropathie des fibres sensorielles fines non myélinisées non accessibles à l'ENMG de routine, atteinte axonale sans répercussion clinique (02.2014) sous Lyrica Troubles neuro-cognitifs dans le cadre d'une possible encéphalite métabolique • Consultation de la mémoire du 01.09.2016 (HFR Fribourg): fluctuation de l'orientation temporelle, difficultés modérées en mémoire antérograde verbale, déficit modéré en attention sélective, scores limites dans plusieurs domaines, anosognosie de ses difficultés (DD : vasculaire ou métabolique) • MoCA 22/30, HAD limite pour anxiété, test de Montréal 15/18 Hypoacousie sévère avec 0% acuité auditive d'un côté et 10% de l'autre (avec appareil auditif) Polymialgie rhumatica Maladie de Crohn • sous Entocort en réserve selon besoin Cardiopathie hypertensive • FEVG 60% sur ETT du 02.11.2017 • Holter le 06.11.2017 pour bilan suite à dilatation auriculaire G 21.11.2017 : consultation cardiologique rapport Holter : Absence de troubles du rythme Pas de modification du traitement Troubles de la marche et de l'équilibre péjoré en raison du déconditionnement avec : • Oedèmes des membres inférieurs avec ulcères d'origine veineux • Vertiges d'origine probablement vestibulaire Polymyalgie rhumatica Maladie de Crohn • Sous Entocort en réserve selon besoin Cardiopathie hypertensive • FEVG 60% sur ETT du 02.11.2017 • Holter le 06.11.2017 pour bilan suite à dilatation oreillette G 21.11.2017 : consultation cardiologique rapport Holter : absence de trouble du rythme Pas de modification du traitement Troubles de la marche et de l'équilibre péjoré en raison du déconditionnement avec : • Oedèmes des membres inférieurs avec ulcères d'origine veineux • Vertiges d'origine probablement vestibulaire Polymyalgie rhumatica Polymyalgie rhumatica sous Prednisone Polymyalgie traitée par Prednisone diagnostiquée il y a 1 an Accident vasculaire cérébral (syndrome de Wallenberg) à l'âge de 32 ans Polymyalgie traitée par Prednisone il y a environ 5 ans pendant 2 ans Polyneuromyopathie sur maladie critique le 30.01.2018 Polyneuropathie amyloïde familiale (maladie d'Andrade) avec atteinte systémique: • hépatique avec status post-greffe hépatique le 20.09.2003 • cardiaque avec status post-pose de pacemaker sur cardiopathie dysrythmique (BAV 2ème degré) en 2007 • ophtalmologique avec status post-opération pour glaucome des deux côtés en 2009 et 2010 • rénale avec insuffisance rénale chronique CKD-EPI stade 4 • neurologique avec polyneuropathie périphérique. Polyneuropathie des membres inférieurs avec: • pallesthésie 0/8 malléole droite, 1/8 malléole gauche. • anamnèse négative pour l'alcool. • fonction rénale normale. • hypothyroïdie subclinique. Douleurs des membres inférieurs d'origine probablement musculaire: • apparition à la marche dès 500 mètres. • pouls périphériques palpables. DD : contusion musculaire, courbature, myosite sur statine, artériopathie des membres inférieurs, canal lombaire étroit. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec: • dyspnée stade II selon NYHA. • coronarographie de dépistage le 07.12.2015 (Dr. X) : pose d'un stent actif sur IVP. • D-Dimères négatif le 25.01.2016. Hypertension artérielle. Polyneuropathie des soins • faiblesse proximale des membres supérieurs Polyneuropathie diffuse sur probable effet secondaire d'une chimiothérapie par Velcade +/- Revlimid avec : • Syncopes et malaises à répétition, le 06.11.2017, sur hypotension orthostatique (neuropathie autonome) • Tétraparésie à prédominance crurale • Troubles sphinctériens avec incontinence double Polyneuropathie et myopathie des soins intensifs le 11.2017 DD : chimio-induite Polyneuropathie sensitive probablement multi-factorielle • intolérance au glucose • déficit en acide folique • consommation d'alcool (1-2 verres/j) Polyneuropathie Fistule artério-veineuse du MSG profonde avec : • superficialisation de la fistule artério-veineuse le 08.09.2016 Patiente sur liste de transplantation rénale • pas de transfusion sanguine sans avis néphrologique préalable Polype en dysplasie de haut grade du bas-fond caecal non résécable endoscopiquement Polypectomie nasale le 22.07.2014. Contusion genou droit en septembre 2012. Polypes nasaux sous Avamys Polypes nasaux sous Avamys. Polypes nasaux sous Avamys. Polysérosite avec épanchements pleuraux bilatéraux, exsudat péricardique, ascite d'origine indéterminée diagnostiquée en avril 2017. Accouchements par voie basse en 2012 et 2015. Stimulation ovarienne par œstrogène en 2012. Polytoxicomanie festive. • consommation OH et THC en intermittence • consommation ancienne : ecstasy, cocaïne, psilocybine (amnésie de 2 mois, de septembre à novembre 2014). • surveillance urinaire de cannabinoïdes du 02.10 au 04.11.2015 (positif le 02.10.2015 et le 04.11.2015, négatif le 14.10.2015 et le 21.10.2015). Trouble de la marche et de l'équilibre de causes multiples: • multiples mononeuropathies périphériques. • médicamenteux. • syndrome cérébelleux statique (sur origine médicamenteuse et séquelles de crises). Diplopie et syndrome cérébelleux statique. DD: origine médicamenteuse, séquelles de crises. Trouble dépressif récurrent. Troubles mentaux et troubles du comportement multifactoriels: • sur abus de substance. • sur épilepsie et médication antiépileptique. Trouble de la personnalité émotionnellement labile (trait de caractère impulsif). • idéation suicidaire scénarisée par saut du toit le 24.04.2015. • tentamen en 2010 (volonté de sauter d'un pont). • hospitalisations à Marsens en 2010, 2012, 2015 et en 2016. • Duloxetine 30 mg 1x/j, stoppé le 12.10.2015 car épileptogène. Épilepsie multifocale pharmaco-résistante d'origine indéterminée avec début le 10.11.2014. Polytoxicomanie substituée par Méthadone Polytoxicomanie. HIV positif depuis 1989-90. HCV positif depuis 1989-90, traité actuellement. TP spontanément abaissé, déficit d'un facteur de coagulation 5-7-10. Polytoxicomanie. HIV positif depuis 1989-90. HCV positif depuis 1989-90, traité actuellement. TP spontanément abaissé, déficit d'un facteur de coagulation 5-7-10. Trouble bipolaire traité. Polytrauma à ski avec: • fracture du radius distal en motte de beurre non déplacée et fracture de l'ulna distal Salter-harris IV (cf dx supplémentaire 1) • contusion du flanc gauche • contusion dorso-lombaire gauche • contusion de la joue gauche • possible traumatisme crânien simple Polytraumatisé, confusion. polytraumatisme polytraumatisme polytraumatisme Polytraumatisme avec fracture vertébrale et fracture du bassin et costale en 2000 sur chute de plusieurs mètres Fracture du poignet dans l'enfance Polytraumatisme dans un contexte d'éthylisation aiguë le 06.01.2018 avec traumatisme crânien simple et contusion thoracique droite. Polytraumatisme sur accident de la voie publique le 14.01.2014 avec : • fracture ilio-pubienne droite avec encoche sur l'aileron sacré droit.• lésion du ligament latéral externe genou gauche, avec reconstruction latérale et postéro-latérale genou gauche • contusion genou droit • fracture non déplacée processus coracoïde droit • fracture ouverte os propre du nez • fracture coronaire dent 11, fracture d'angle dent 21 • contusion fémur droit • décollement postérieur du vitré (DPV) avec vertiges • troubles de concentration post-traumatisme crânien avec amnésie post-traumatique de quelques heures. Globe vésical à répétition, janvier 2014. Céphalées temporo-frontales le 03.06.2016. Tentamen médicamenteux avec prise de : • 10 g de Dafalgan • 18 cpr de Co-Dafalgan. Total de prise suggérée : 19 g de Paracétamol • paracétamolémie 136,9 mg/l le 23.11.2016 à 15h (toxicité possible). Protocole Fluimucil. Hospitalisation aux soins continus. Avis psychiatrique - Dr. X (RFSM Marsens). Hospitalisation volontaire au RFSM Marsens. Globe urinaire le 23.11.2016. Sonde urinaire du 23 au 24.11.2016. Polytraumatisme sur accident de la voie publique le 14.01.2014 avec : • fracture ilio-pubienne droite avec encoche sur l'aileron sacré droit. • lésion du ligament latéral externe genou gauche, avec reconstruction latérale et postéro-latérale genou gauche. • contusion genou droit. • fracture non déplacée processus coracoïde droit. • fracture ouverte os propre du nez. • fracture coronaire dent 11, fracture d'angle dent 21. • contusion fémur droit. • décollement postérieur du vitré (DPV) avec vertiges. • troubles de concentration post-traumatisme crânien avec amnésie post-traumatique de quelques heures. Globe vésical à répétition, janvier 2014. Céphalées temporo-frontales le 03.06.2016. Tentamen médicamenteux avec prise de 10 g de Dafalgan, 18 cp de Co-Dafalgan. Total de prise suggérée : 19 g de Paracétamol. • paracétamolémie 136,9 mg/l le 23.11.2016 à 15h (toxicité possible). Globe urinaire le 23.11.2016 avec sonde urinaire du 23 au 24.11.2016. Possible bronchopneumonie basale droite sans signe de gravité le 17.01.2018. Peak flow : 114%. Polytraumatisme sur AVP le 30.10.2017 avec : • fracture de l'orbite et du sinus maxillaire G • fracture du plateau supérieur de L3 Polytraumatisme sur chute à cheval en vitesse le 03.01.2016 avec entorse sévère de la cheville gauche. Multiples entorses à répétition. Polytraumatisme sur chute accidentelle, le 05.11.2015, avec : • traumatisme crânio-cérébral • fracture de l'arc postérieur de la 7ème côte gauche • pneumothorax et emphysème sous-cutané à gauche, pneumomédiastin • fracture lame C5 et de l'articulation inférieure gauche de C5 • fracture de P1 D5 à gauche • contusion du coude droit avec plaie profonde • hémorragie sous-conjonctivale gauche • entorse de cheville gauche stade 2 Status post PTH G Cure d'hernie inguinale à gauche en 2010 TURP en 2015 Polytraumatisme sur chute en parapente le 12.01.2018 avec : • fracture du tiers médian de la clavicule droite • fracture des côtes 1 à 12 à droite avec volet costal de 5 à 8 • fracture des processus transverses vertébraux droits 3, 5-11 • pneumothorax droit avec shift médiastinal et emphysème sous-cutané • pneumomédiastin • contusion pulmonaire bilatérale • possible contusion myocardique • possible contusion hépatique Polytraumatisme sur chute en parapente le 12.01.2018 avec : • fracture tiers médian de la clavicule droite • fracture côtes 1 à 12 droite avec volet costal de 5 à 8 • fracture des processus transverses vertébraux droit 3, 5-11 • pneumothorax droit avec shift médiastinal et emphysème sous-cutané • pneumomédiastin • contusion pulmonaire bilatérale • possible contusion myocardique • possible contusion hépatique Polyurie d'origine inconnue la nuit du 11.01.2018 sur arrêt de traitement par metformine Polyurie d'origine inconnue le 11.01.2018 Polyurie nocturne Pompe à insuline, géré par le patient Ponction articulaire épaule D le 13.10.2017 : liquide purulent, Staph. aureus 2x2 hémocultures le 13.10.2017 : 2/4 avec Staph. aureus Arthroscopie, débridement articulaire et rinçage épaule D (OP le 14.10.2017) • Cocci gram positif. Arthroscopie, débridement cartilage, acromioplastie, biopsies épaule D (OP le 16.10.2017) Débridement par voie d'abord delto-pectoral, résection tête humérale, implantation d'un spacer tête humérale, ciment Palacos R+G, plaques tiers tube 5 trous, pellets avec Vancomycine 4 g, épaule D (OP le 18.10.2017) Consilium d'infectiologie le 16.10.2017 (cf annexe) Antibiothérapie : • Co-amoxiciline 2,2 g 4x/j i.v. du 13.10. au 14.10.2017 • Floxapen 2 g 4x/j i.v. du 14.10. au 08.11.2017 • Co-amoxicilline 1 g 2x/j p.o. du 08.11. au 29.11.2017 Echocardiographie ETT le 16.10.2017 permettant d'exclure une endocardite (rapport en annexe) Pose d'une PICC-Line dans la veine basilique G le 23.10.2017 pour l'antibiothérapie i.v. Ablation de la PICC-Line le 08.11.2017 Ponction articulation talo-naviculaire G sous US le 13.01.2018 : éléments 105'960/mm3, 89% de polynucléaires, Gram négatif, acide urique ++ 2 paires d'hémocultures à froid le 13.01.2018 : négatives à J5 Microbiologie de la ponction du 13.01.2018 : négative Ponction articulation talo-naviculaire, prise de biopsies, rinçage avec 3 L de NaCl, débridement, pied G (OP le 14.01.2018) Microbiologie peropératoire du 14.01.2018 : 3 biopsies, cultures prolongées : négatives Biopsie capsule talo-naviculaire G : négative à J2, culture prolongée négative Liquide talo-naviculaire : négative à J2, culture prolongée négative Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g i.v. 4x/j du 13.01. au 18.01.2018 Consilium infectiologie du 16.01.2018 (en annexe) Consilium de rhumatologie du 16.01.2018 (cf annexe) Ponction biopsie de moelle le 13.12.2017 Transfusion plaquettaires : 3x le 29.12.2017, 2x le 30.12.2017, 3x le 31.12.2017, 2x le 01.01.2018, 2x le 02.01.2018, 2x le 03.01.2018 Transfusion érythrocytaires : 1x le 29.12.2017, 1x le 30.12.2017, 1x le 01.01.2018, 1x le 04.01.2018 Chimiothérapie d'induction par Cytosar, Zavedos (7+3) du 29.12.2017 au 05.01.2018 Isolement protecteur (agra) depuis le 13.12.2017 Voie veineuse centrale jugulaire interne droite dès le 29.12.2017 Ponction CT guidée du liquide péritoneal : exsudat, Gram négatif, culture bactérienne négative Rocéphine et Flagyl intraveineux du 21.12- 28.12.2017, Ciproxine per os du 28.12.- 29.12.2017 Ponction d'ascite le 05.01.2017 avec drain en place jusqu'au 06.01.2018 : retrait de 6500 ml, transsudat Substitution en albumine US abdominal demandé Ponction du liquide articulaire du genou gauche (négative à 5 jours). Suivi biologique. Ponction genou D, débridement cicatrice antérieure du tibia D, prélèvements et rinçage (OP le 03.01.2018) Second look avec rinçage, débridement cicatrice antérieure du tibia D (OP le 05.01.2018) Microbiologie du 03.01.2018 : positive pour un Staph. aureus ++ (pénicilline R) ; négative le 07.01.2018 Microbiologie du 05.01.2018 : Achromobacter xylosoxidans ++ (probable contaminant) Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 02 au 08.01.2018 • Co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. dès le 09.01. et jusqu'au 17.01.2018 Consilium d'infectiologie le 08.01.2018 (cf annexe) : le germe retrouvé dans la biopsie du 05.01.2018 est vraisemblablement un contaminant. Poursuite de la co-amoxicilline. Ponction hanche et cuisse G (OP le 25.12.2017) Microbiologie du liquide de ponction hanche/cuisse G du 25.12.2017 : négative. Ponction lombaire : chimie alignée, pression d'ouverture 17 mmHg (normale) Consilium ophtalmologue avec FO (Dr. X) : Suspicion d'oedème papillaire débutant ddc dans un contexte de céphalées inaugurales qui persiste depuis le 12.01.2018. Fonction visuelle reste toutefois conservée. (cf consilium) Ponction ovocytaire échoguidée le 24.01.2018 chez une patiente nulligeste de 31 ans. Ponction ovocytaire échoguidée le 26.01.2018 chez une patiente nulligeste de 30 ans. Ponction pleurale gauche le 25.01.2018 (Dr. X) : 450ml de transsudat CT thoracique le 26.01.2018 Ponction pleurale le 23.12.2017 Ponction pleurale sous écho guidage à but diagnostic (Dr. X/Dr. X) le 03.01.2018 : RX thorax le 30.12.2017 CT scan thoracique le 02.01.2018 : Drain thoracique droit le 05.01.2018 : CPAP Avis infectiologue (Dr. X/Dr. X) le 02.01.2017 Augmentation ciproxine à 750 mg 2x/j pour couvrir éventuel foyer pulmonaire du 01.01.2018 au 02.01.18 puis Co-amoxicilline 1200 mg 4x/j dès le 02.01.2018 Ponction pleurale sous écho-guidage à but diagnostique (Dr. X/Dr. X) le 03.01.2018 RX thorax le 30.12.2017 CT scan thoracique le 02.01.2018 Avis infectiologique (Dr. X/Dr. X) le 02.01.2017 Augmentation ciproxine à 750 mg 2x/j pour couvrir éventuel foyer pulmonaire du 01.01 au 02.01.2018 puis Co-amoxicilline 1200 mg 4x/j dès le 02.01.2018 Ponction pleurale sous US le 10.01.2018 Culture liquide pleural : négative Cytologie liquide pleural : matériel inflammatoire à prédominance neutrophilique, sans cellules tumorales Pontage aorto-aortique d'une sténose subocclusive de l'aorte ascendante proximale en octobre 2017, avec multiples complications : • FA paroxystique (traitée par Cordarone) le 11.10.2017 et le 14.10.2017 • Insuffisance respiratoire aiguë sur pneumopathie nosocomiale à Pseudomonas aeruginosa traitée par antibiotique (du 12.1 au 10.11.2017) • ACR sur AESP sur tamponade péricardique sur lâchage d'anastomose le 15.10.2017 • Hémothorax gauche le 17.10.2017 (drainé) AVC frontal superficiel droit et jonctionnel postérieur droit le 31.08.2017 sur bas débit • NIHSS à l'admission à 3 Crise hypertensive avec céphalées violentes le 29.08.2017 avec PAS à > 220 mmHg et trouble de l'état de conscience Hémorragie sur le point de ponction brachial post-coronarographie le 23.08.2017 avec syndrome des loges Décompensation cardiaque NYHA IV à prédominance gauche le 16.08.2017 avec : • FEVG à 68% avec dysfonction diastolique grade II • NT-proBNP à 1626 ng/l • sténose sub-occlusive de la crosse aortique • cardiomyopathie hypertrophique homogène • hypertension artérielle pulmonaire modérée d’origine probablement mixte (PAPs à 57 mmHg) Insuffisance respiratoire globale d'origine multifactorielle (cardiopathie hypertensive avec dysfonction diastolique, BPCO, SAOS avec suspicion de mauvaise compliance) en janvier 2017 Dysphonie et fausses routes sur parésie du nerf laryngé récurrent en octobre 2017 (suite d'hospitalisation) • US nerf récurrent cervical réalisé le 13.11.2017 ne met pas en évidence de compression du nerf laryngé récurrent par voie veineuse centrale • Contrôle ORL des cordes vocales le 29.11.2017 : réflexe nauséeux conservé, déglutition conservée, cordes vocales bougent symétriquement Hystérectomie vers 1990 Cure d'hernie inguinale vers 1990 Dépression avec tentative en 1976 Tuberculose à l'âge de 6 ans Pontage aorto-bi-iliaque + ligature A. iliaque int. D, le 03.11.2015, pour : • Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale (57mm) • Anévrismes iliaques multiples : commune D (31mm), interne D (23mm), commune G (21mm) AVC ischémique aigu de la corona radiata gauche d'origine indéterminée, le 06.11.2015, avec minime hémisyndrome moteur D Colique néphrétique le 11.01.18 • lithiase de 6mm à la jonction urétérale-vésicale gauche avec hydronéphrose G et IRA • pose d'une sonde JJ le 18.01.2018 (Dr. X) Pontage court de l'artère tibiale antérieure par veine saphène avec anastomose termino-terminale en urgence le 30.12.2017 - Dr. X. Aspirine cardio 100 mg 1x/j à partir du 31.12.2017 et pour une durée de 3 mois. Pontage fémoro-jambier du MIG à l'aide d'une veine inversée et d'une prothèse pour ischémie critique du MIG le 27.05.2016 dans le contexte d'une AOMI stade IIB selon Fontaine. STEMI postéro-latéral aigu sur subocclusion thrombotique de la Cx moyenne traitée par PCI / 2 DES AVC subaigu du cervelet G avec découverte fortuite d'une lésion ischémique subaiguë cérébelleuse G dans le territoire de la PICA à l'IRM du 30.05.2016. État de mal épileptique le 27.05.2016 avec convulsion tonico-clonique généralisée (hypomagnésémie discrète) Insuffisance rénale aiguë AKIN I pré-rénale le 27.05.2016 sur rhabdomyolyse avec : FA paroxystique le 31.07.2016 avec notion de cardioversion pharmacologique Appendicectomie. Hystérectomie pour endométriose. Ovariectomie bilatérale pour pré-cancer. OP méniscale genou G. OP arthrose épaule G et coude G. Pneumonie bilatérale le 28.01.2013. Pontage fémoro-jambier gauche par veine inversée le 02.03.2015 pour occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche, avec faux anévrisme poplité gauche thrombosé. Ponction artérielle fémorale commune droite de manière rétrograde et mise en place d'un introducteur court 6 French avec recanalisation du pontage et angioplastie, suivie d'une angiographie de contrôle le 09.07.2015. Thrombose artérielle fémorale superficielle en mai 2015 (sous Xarelto) : dilatation du pontage et anticoagulation par Clexane, puis Sintrom. Embolie pulmonaire bilatérale segmentaire en 2014 avec thrombose veineuse profonde au membre inférieur gauche, sous Sintrom. Sigmoïdectomie selon Hartmann le 14/07/2015 pour diverticulite sigmoïdienne perforée avec péritonite de l'hémisphère inférieur, résection d'un diverticule de Meckel pendant le même temps opératoire. Cure d'éventration épigastrique et ombilicale par fermeture directe pour diverticulite sigmoïdienne perforée avec important status adhérentiel et éventration épigastrique et ombilicale le 12.01.2016 (Dr. X). Colostomie gauche terminale avec fermeture du moignon rectal pour péritonite pelvienne dans le contexte d'un lâchage d'anastomose le 17.01.2016. Abcès de paroi le 04.02.2016, drainé. Abcès para-stomial descendant jusqu'au bassin le 14.02.2016 : • contamination intra-abdominale à germes Anaérobies (pour Bacteroides thetaiotaomicron) à J14 d'une pelvi-péritonite sur anastomose colo-rectale. Prothèse totale du genou droit. Insuffisance rénale aiguë en juillet 2015. Hématome sous dural subaigu le 27.04.2016 Bactérémie à staphylocoques aureus MSSA le 31.05.2017 sur infection de kyste parapyélique droit. Hypokaliémie et hypomagnésémie à 3.1 mmol/l le 05.06.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 01.06.2017. Constipation le 31.05.2017 avec reprise du transit le 02.06.2017. Tachycardie supra ventriculaire symptomatique à 230/min le 01.06.2017. DD : sur déshydratation. Tachycardie supra ventriculaire instable à 250/min le 04.06.2017, sur flutter auriculaire. Pontage fémoro-poplitée droit à l'aide de la grande veine saphène ipsilatérale inversée le 16.01.2018 Atorvastatine dès le 17.01.2018 Xarelto dès le 17.01.2018 Angio-CT de contrôle le 19.01.2018PONV (traitement antiémétique médicamenteux) Portage de Streptocoque du groupe B Portage de streptocoque du groupe B inconnu Portage de Streptocoque du groupe B positif Portage d'une Klebsiella ESBL identifiée dans des urines du 09.08.2014. Si il revient en consultation, il faudrait réaliser une analyse d'urine et un frottis rectal pour recherche d’entérobactériacées ESBL afin d'évaluer le portage actuel (demande de l'UPCI le 28.12.2017). Portage en SGB inconnu Portage Streptocoque B Portage Streptocoque B Portage de Streptocoque du groupe B Porteur de E. coli ESBL multirésistant. Pose de drain transtympanique et opération des végétations en mai 2012. Maladie coeliaque ttt par diète et movicol en réserve. Pose de Mitraclip Pose de Mitraclip Pose de PAC mardi 09.01.2018. Suite de prise en charge en oncologie. Pose de pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker AAI-DDD, IRM compatible à 1.5 T corps entier, le 08.01.2018 (Dr. X) Rx thorax de contrôle le 08.01.2018 : pas de pneumothorax, PM en place. Contrôle de pacemaker le 08.01.2018 : bon fonctionnement. Prochain contrôle PM prévu chez le Dr. X le 04.02.2018 à 15:45. Pose de Pace-Maker AAIR-DDDR le 29.1.2018 • contrôle du Pace-maker le 29.1.2018 Rx thorax le 29.1.2018 : pas de pneumo-thorax Suite de prise en charge : • Prochain contrôle chez le médecin traitant pour ablation du pansement et contrôle de plaie. • Suivi en cardiologie comme convenu. Pose de pacemaker DDDR (Dr. X) pour BAV 2ème degré en juin 2010. Embolie pulmonaire basale gauche le 02.03.2014 avec pneumonie secondaire. Embolie pulmonaire segmentaire gauche avec infarctus pulmonaire sur arrêt de Xarelto 26.10.2014. Pose de pacemaker double chambre DDD réglé à 60/min le 11.01.2018 Rx thoracique le 11.01.2018 : sondes bien positionnées et connectées au boîtier situé en surprojection pectorale gauche. Pas de pneumothorax. Rendez-vous de contrôle chez Dr. X à 1 mois. Pose de pacemaker EDORA 8 DR-T, mode stimulation DDD (Dr. X) le 29.01.2018. Pose de pacemaker en électif. Pose de Perm-cath Pose de Perm-cath jugulaire gauche le 09.01.2018. Échec de pose de Perm-cath jugulaire droit le 08.01.2018 sur occlusion de la veine jugulaire. Dialyse par Perm-cath le 10.01.2018. Pose de sonde du 21.01.2018 au 24.01.2018. Pose de sonde urinaire 14 G transurétrale, 1000 ml vidés. Avis gynécologie (Dr. Y) : examen normal avec grossesse évolutive. Avis urologie (Dr. Y). Suivi chez la gynécologue traitante Dr. Y le 10.01.2018. Retrait de la sonde le 05.01.2018. Représentation aux Urgences si récidive. Pose de sonde vésicale le 19.11.2017. Changement de Cystofix le 19.11.2017. Pose de sonde vésicale. Hydratation intraveineuse. Mise en pause des médications confusiogènes : Tramal, Lexotanil, Imovane. Consultation psychogériatrique. Pose de sonde 3 voies avec rinçage en continu + manuel. Sonde vésicale 3 voies 18CH du 10 au 13.01.2018. Pose de sonde 3 voies avec rinçage en continu. Consilium chirurgie (Dr. X) : hospitalisation en chirurgie. Pose de sonde 3 voies avec rinçage manuel. Céfuroxime PO du 09.01.2018 au 14.01.2018. Pose d'un drain thoracique de type PleurX le 19.01.2018 (Dr. X). Radiographie du thorax le 19.01.2018. Radiographie du thorax le 24.01.2018. Cytologie liquide pleural (PROMED) : cellules mésothéliales aréactives (selon rapport oral). Soins à domicile (Fenik et Antenne V) dès le 26.01.2018. Voltigo présenté au patient (actuellement non souhaité par le patient). Pose d'un pacemaker Biotronik (Modèle : Edora 8 SR-T) en mode VVI le 29.01.2018 (Dr. X). Thermo-ablation du noeud AV prévue en ambulatoire. Pose d'une nouvelle sonde sus pubienne par Dr. X. Pose d'une sonde urinaire. Réduction des doses d'Oxycontin. Suivi clinique. Pose préventive de filtre cave le 15.01.2018. US et CT abdominal 20.11.2017. PET-CT du 11.12.17. Marqueurs tumoraux 30.11.2017. Tumorboard le 05.12.2017. Laparotomie médiane xypho-pubienne sous anesthésie péridurale le 17.01.2018, avec : • Washing péritonéal avant geste chirurgical, envoi en cytologie. • Annexectomie bilatérale. • Washing péritonéal après geste chirurgical, envoi en cytologie. • Fermeture à la peau par Blair-Donaty Vicryl et agrafes. Anesthésie par péridurale T9-T10 dès le 17.01.2018. Cathéter artériel radial droit du 17 au 18.01.2018. Pose sonde urinaire le 28.12.2017 rendant 600 ml d'urine. Position antalgique D5 main droite sur gêne par broche 5ème métacarpien main droite. Compression du nerf cubital au niveau du coude droit. Status post infection du matériel d'ostéosynthèse sur status post fracture de l'olécrâne et greffe ipsi-latérale par lambeau rotatoire. Position assise. Désinfection au Bétaseptic. Sous contrôle scopique, ponction de l'espace sous-acromial et infiltration avec 10 ml de Rapidocaïne et Kenacort sans résistance. Mobilisation active et passive de l'épaule avec une claire diminution des douleurs lors de la flexion qui est maintenant à 150° en actif, rotation externe à 30°, rotation interne à L4. Possibilité de référer en orthopédique en cas de persistance de la boiterie à 5-7 jours du traumatisme. Possible accident ischémique transitoire en mai 2017 (score ABCD à 3-4), d'origine indéterminée, sous traitement d'Aspirine Cardio 100mg 1x/jour (Dr. X). Possible accident ischémique transitoire en 2003. Status après sciatalgie gauche avec des paresthésies plutôt L5 : • CT-scan montrant des troubles statiques et dégénératifs multi-étagés, des discopathies L4-S1, une hernie médio-latérale droite L4-L5 avec débordement discal L5-S1. Hypoacousie bilatérale. Status après arthroscopie de l'épaule gauche : ténodèse du long tendon du biceps et refixation d'autres tendons. Status après arthroscopie et toilette articulaire avec micro-fractures du genou gauche 2002. Status après appendicite (2000). Status après lithotripsie en 1997. Status après diverticulite sigmoïdienne traitée conservativement en 1985. Dermohypodermite abdominale sur injection de gui le 30.11.2017. Anémie hypochrome, normocytaire sur manque de fer : • Hémoglobine à 120g/l. • Substitution de fer en intraveineux. Possible anémie hémolytique auto-immune, actuellement sous contrôle sans traitement (Hb 153g/l, LDH élevée 579, le reste du bilan hémolytique - ASAT, Bili, haptoglobine - est dans la norme). Pas de déficit en G6PD, Aarau 6.12.2017. Pas de bêta thalassémie, ni déficit en pyruvate kinase. Possible arthrose bilatérale des épaules avec rupture du tendon sus-épineux épaule gauche. Possible arthrose bilatérale des épaules avec rupture du tendon sus-épineux épaule gauche. Possible atteinte du ligament croisé antérieur du genou G. Possible atteinte du ménisque externe du genou G. Possible bronchite spastique. DD IVRS. Possible broncho-aspiration le 14.01.2018. Possible bronchopneumonie basale droite sans signe de gravité. Possible commotion cérébrale. Possible élargissement de l'aorte abdominale. Possible endométriose, sous contraception hormonale en continu. Possible endométriose, sous contraception hormonale en continu. Lithiase vésiculaire symptomatique le 29.01.2018 avec US abdomen supérieur : calcul biliaire 2.5cm dans le fundus avec inflammation et épaississement de la paroi de l'infundibulum.- gastrite concomitante non exclue Possible épilepsie partielle complexe le 12.04.2009. DD: possible surmenage. Possible fracture costale droite le 28.12.2017, sans complication secondaire le 02.01.2018. Possible fracture de la phalange proximale du 2ème orteil gauche. Possible hémorragie digestive haute le 12.01.2018. Possible hydrocéphalie à pression normale • Avec incontinence urinaire type urge depuis 1.5 ans et trouble de la marche aspécifique (s/p multiple intervention orthopédique) Possible infection sexuellement transmissible avec hématurie. Possible infection urinaire DD balanite, rétention urinaire Infection infirmée le 17.01. Possible insertionite des muscles de la cuisse interne au niveau du bassin. Possible névrite optique droite débutante accompagnée de céphalées diffuses et vertiges. DD: dans contexte neuropathie inflammatoire (SEP, autre). • dans contexte anxieux. • équivalent migraineux. Possible OMA bilatérale. Possible OMA D débutante. Possible OMA G débutante. Possible onychomycose orteil 3 G le 15.01.2018. Possible pneumonie d'aspiration sur crise épilepsie. Possible surinfection de BPCO le 28.12.2107 et le 12.01.2018. Possible TC +/- PC. Possible urticaire allergique. Possibles effets secondaires médicamenteux • traitement de Fenofibrate 200 mg et Pravastatine 40 mg • notion de douleurs musculaires en ambulatoire • insuffisance rénale et contexte thrombo-embolique (possiblement sur hyperhomocystéinémie?) Possibles troubles cognitifs. Posthite. Potassium effervet 30 mmol 2x/j du 6 au 11.12.2017 Suivi biologique. Potassium Effervette du 28.12.2017 au 30.12.2017 Arrêt Torasémide 7.5mg Introduction Furospir 50mg/20mg Suivi biologique. Potassium Effervette 3x/jour du 18.01 au 21.01.2018. Potassium effervette 30 mmol per os. Substitution per os. Contrôle biologique chez le médecin traitant la semaine suivante. Potassium effervette 30 mmol 3x/jour pour 2 jours. Potassium intraveineuse 40mmol/4h aux urgences. Magnésium intraveineuse aux urgences. Potassium: 2.9mmol/l le 18.01.2018 Supplémentation intra-veineuse puis per os. Potentiel TC sans facteur de gravité. Pouce à ressaut ddc. Pouce à ressaut gauche. Pouce à ressaut main droite. Pouce à ressaut main G. Maladie de Freiberg stade I, tête métatarsienne II à G. Œdème osseux et arthrose débutante, tête métatarsienne I pied G. Pouce à ressaut main gauche. Status post cure syndrome du tunnel carpien et neurolyse du nerf médian main droite le 2.11.2017. Status post cure syndrome du tunnel carpien et neurolyse du nerf médian main gauche le 18.7.2017. Pouce de skieur à D le 15.11.2017. Pouce de skieur à G avec arrachement osseux de la base de P1 le 27.11.2017. Pouce de skieur gauche avec instabilité de la MCP. Pouce du skieur à G avec arrachement osseux de la base de P1 le 27.11.2017. Pouce du skieur et fracture de la luxation de l'articulation interphalangienne avec fracture du pouce gauche, le 11.01.2018 • DD: lésion de Stener. Pouce du skieur G, le 23.12.2017. Pouce du skieur gauche. Pouce du skieur gauche le 24.12.17. Pouce du skieur, main G le 24.12.2018. Pour cette jeune patiente, il faut évaluer la correction progressive de la marche avec son développement. Contrôle clinique dans une année. Pour cette patiente en ce qui concerne le genou, poursuite du traitement conservateur par stabilisation en bi-monopodal et travail de renforcement pelvien ainsi que la chaîne des membres inférieurs. Introduction de la physiothérapie en ce sens. Elle sera revue par mes collègues du Team MS pour bilanter la tuméfaction acromio-claviculaire distale. Pas d'arrêt de travail. Pour cette patiente, il faut tout d'abord soigner la fasciaïte plantaire avec de la physiothérapie et des ultrasons anti-inflammatoires. Une fois le problème soigné, nous discuterons de la prise en charge chirurgicale de l'hallux valgus à droite et par la suite éventuellement à gauche. Contrôle clinique dans deux mois. Pour compléter les investigations, nous demandons un scanner pour mieux étudier la fracture et évaluer la stabilité de la prothèse. La patiente doit marcher avec l'attelle avec une charge complète avec les cannes. On change la Clexane pour du Xarelto. Contrôle après ces investigations. Pour différencier les symptômes, je préconise un examen neurologique pour exclure une compression du nerf cubital au niveau du coude D. Je reverrai la patiente le 31.01.2018 suite à cet examen. Pour la contracture des abducteurs, nous donnons à la patiente un bon de physiothérapie pour un traitement de longue durée, minimum 3 mois pour instructions au stretching à faire après réchauffement avec vélo d'appartement. Nous donnons également une ordonnance pour du Mydocalm en réserve que la patiente prendra avant de dormir au cas où la physiothérapie ne suffirait pas après 8 semaines. Nous la reverrons dans 5 ans pour un contrôle radio-clinique des prothèses ou avant si persistance de la douleur. Pour la contracture musculaire, nous prescrivons du Mydocalm 150 mg par jour (15 ans, 42 kg), de l'Irfen et du Dafalgan. Dans 1 semaine, elle pourra changer le gilet orthopédique avec une bretelle lorsqu'elle sort de la maison. Nous la reverrons à 1 mois de l'accident pour un contrôle. Pour la forme, j'effectue une prise de sang, avec des valeurs de leucocytes à 6,6 et une CRP à moins de 5 mm/l. Une infection peut donc être formellement exclue. La suite de la prise en charge va être effectuée par le médecin de famille. Un contrôle est prévu à ma consultation d'ici 1 mois. Pour la hanche : • ablation des agrafes à 14 jours post-opératoires • poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires • contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Pour le poignet : • ablation des agrafes à 14 jours post-opératoires • contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Pour le Dr. X : merci de bien vouloir convoquer Mme. Y pour un contrôle cardiologique. Pour le gros orteil, un suivi n'est plus nécessaire. En cas de problème, le patient se réannoncera. Pour le mois de mars, nous organisons un CT-scanner du bassin et hanche gauche pour évaluer le stock osseux et le déscellement, le même jour la patiente sera prise au bloc opératoire pour un ponction de la hanche pour exclure un déscellement septique et le même jour, elle ira faire une prise de sang au laboratoire pour évaluer la CRP, formule sanguine complète, Interleukine 6 et la Procalcitonine. Nous la reverrons en mars pour discuter des résultats. CT-scanner, Ponction et laboratoire le 07.03.2018. Pour le moment, nous laissons le Dr. X effectuer l'intervention du tunnel carpien et nous verrons l'évolution dans quelques semaines. En cas de persistance de cervicobrachialgies, une infiltration devra être discutée. En ce qui concerne les douleurs lombaires, nous attendons les résultats de l'IRM pour discuter de la suite. Pour le moment, pas de décision thérapeutique; suivi par Dr. X. Pour le patient, la situation actuelle est vivable. Je ne retiens pas d'indication opératoire vu la bonne évolution sous infiltration.Depuis la prise en charge de ma part, il sent une amélioration de la mobilité et une diminution des douleurs. Je conseille au patient de poursuivre les auto-exercices de renforcement de la coiffe des rotateurs avec les bandes élastiques. Je reste à disposition pour ré-intervenir avec une infiltration. Aujourd'hui, j'informe le patient d'une éventuelle opération de l'épaule au cas où les douleurs devenaient insupportables. Le patient et moi-même sommes d'accord qu'en ce moment il n'y a pas d'indication opératoire. Je reste à disposition pour une future prise en charge. Pour l'instant il est trop tôt pour remarquer une vraie amélioration de la symptomatologie. Il doit commencer la physiothérapie pour école du dos, hygiène posturale. Nous l'arrêtons encore à 100% jusqu'au 28 février puis à 50% dès le mois de mars jusqu'au 31.03.2018. En avril, il peut recommencer à 100%. Nous reverrons le patient en mai pour un contrôle clinique. Pour l'instant, le traitement reste conservateur. La patiente continuera à s'entraîner elle-même. Nous restons à disposition en cas de besoin. Pour ma part, aucune attitude active. Vu que le patient ne présente pas de déficit neurologique, il n'y a pas d'indication pour une neurolyse du nerf cubital, vu que la mobilité du coude est bien tolérée il n'y a pas d'indication à une procédure selon Kashiwagi. Je n'ai pas prévu de contrôle. Je reste à disposition en cas de péjoration de la situation. Pour ma part, je retiens l'indication pour une ténotomie et ténodèse du long chef du biceps. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire. Il va réfléchir à la proposition et nous allons refaire le point début février. J'ai pré-réservé la date opératoire du 27.02.2018. Reprise du travail léger à 100% à partir du 08.01.2018. Prochain rendez-vous le 01.02.2018. Pour ma part, pas d'attitude active. J'adresse la patiente pour un avis spécialisé concernant le problème cervical à la consultation du Dr. X. Je reverrai la patiente au besoin. Je me tiens à disposition. Rendez-vous chez le Dr. X : le 01.03.2018 à 16 h 00. Pour ma part, pas d'attitude active. Poursuite du traitement physiothérapeutique. Fin du traitement chez moi, je reste à disposition en fonction de l'évolution. Pour ma part, pas d'attitude active. J'adresse la patiente pour une prise en charge spécialisée à l'équipe de la chirurgie de la main au CHUV. Je demande donc au secrétariat de bien vouloir convoquer la patiente au 079/220.76.46. Je reste à disposition. Pour poser un diagnostic, nous organisons une IRM et nous reverrons la patiente après cet examen. Pour rappel, il s'agit d'un patient de 83 ans, connu pour un cancer prostatique métastatique, qui a été hospitalisé en médecine HFR Fribourg le 30.11.2017 pour le traitement d'une insuffisance respiratoire globale d'origine mixte dans le contexte d'une dysfonction diastolique, une décompensation d'une cirrhose hépatique probablement d'origine alcoolique, et une probable bronchopneumopathie chronique obstructive, avec un épanchement pleural droit ponctionné à deux reprises et une ascite non ponctionnable. A noter que Monsieur Y bénéficie d'une ventilation non-invasive nocturne introduite durant le séjour, et bénéficie à son arrivée, d'un traitement de diurétiques, de bronchodilatateurs et de corticostéroïdes inhalés. A son entrée en réadaptation gériatrique le 14.12.2017, Monsieur Y a pour seule plainte une fatigue assez importante et une légère dyspnée résiduelle lors des efforts (toilette par exemple). Il ne décrit pas de douleur, pas de toux, pas de frisson, pas de douleur rétrosternale, pas de palpitation, pas de douleur abdominale, pas de trouble du transit, pas de symptomatologie urinaire ni neurologique. A l'anamnèse gériatrique, le patient n'a pas chuté dans les dernières années. Il décrit parfois des urgences mictionnelles à domicile, sans incontinence, avec des mictions nocturnes à raison de 3-4x/nuit à domicile, en amélioration depuis le début de son hospitalisation. Ce dernier signale un bon sommeil depuis le début de son hospitalisation ainsi qu'un bon appétit. A l'anamnèse sociale, Monsieur Y vit avec une amie dans un appartement à Fribourg, sans aucune aide ni soin à domicile. Il a quatre enfants et se déplace sans moyen auxiliaire. A l'examen clinique à son arrivée, nous observons des œdèmes des membres inférieurs jusqu'aux 3/4 des mollets avec légère rougeur prétibiale bilatérale. A l'auscultation pulmonaire, nous auscultons un murmure vésiculaire diminué en base droite et des crépitants audibles en base gauche. Son abdomen est globuleux, tympanique à la percussion, mais souple et sensible à la palpation profonde en fosse iliaque gauche. Le reste du status est dans la norme. Dès son arrivée en gériatrie, Monsieur Y est peu compliant. Il met en échec nos tentatives pour l'aider, en refusant par exemple une reprise de la physiothérapie. Au matin du 15.12.2017, le patient décide, malgré nos efforts pour le retenir, de rentrer à domicile. Il s'organise donc par votre intermédiaire pour obtenir de l'oxygène à domicile. Nous changeons alors dans l'urgence son traitement d'aérosols comme recommandé par nos collègues de l'HFR Fribourg. Le patient part ensuite sans que nous ayons pu discuter avec son amie. Nous avons toutefois eu le temps de lui recommander une abstention totale au niveau de l'alcool et du tabac, ainsi que de vous consulter dans le courant de la semaine du 18.12.2017. Le physiothérapeute lui explique également le fonctionnement de sa BPAP nocturne. Nous mettons en évidence une hypovitaminose D, B12 et une carence en acide folique, que nous vous laisserons substituer en ambulatoire, Monsieur Y ne nous en ayant pas laissé le temps. Concernant le suivi ambulatoire, nous vous laissons le soin d'adapter le dosage du traitement diurétique, de surveiller la magnésémie, ainsi que d'organiser une ultrasonographie hépatique dans 6 mois et +/- OGD pour le dépistage de varices oesophagiennes, comme mentionné dans la lettre de Fribourg. A noter également que le patient sera reconvoqué dans 3 mois pour la suite du bilan pulmonaire. Le 15.11.2017, Monsieur Y rentre donc à domicile après avoir signé une décharge de responsabilité envers l'hôpital de Riaz. Pour rappel, il s'agit d'une patiente de 80 ans, hypertensive, connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant et une hypothyroïdie substituée, qui a consulté les urgences de l'HFR Riaz le 01.01.2018 en raison de diarrhées à aspect de mélena, persistantes depuis une quinzaine de jours. L'apparition de vomissements et de nouvelles et fortes douleurs abdominales l'a déterminée à se présenter à l'hôpital. Un scanner abdominal a permis d'écarter la suspicion d'un iléus, et a montré une coprostase importante. A cet effet, un grand lavement a donné un bon résultat. Au vu de la baisse de l'état général associée et des soins impossibles à domicile, la patiente a été orientée le 01.01.2018 vers une prise en charge en milieu hospitalier, à l'HFR Tafers jusqu'au 05.01.2018. Mme. Y revient à Riaz le 11.01.2018 dans notre service de réadaptation gériatrique pour un séjour de reconditionnement physique dans le but d'optimiser son retour à domicile. A son arrivée, la patiente n'a pas de plainte et l'anamnèse systématique est sans particularité. A l'anamnèse sociale, nous retenons une patiente vivant seule à domicile, autonome pour ses activités de la vie quotidienne, réalisant ses courses et préparant ses repas elle-même sans bénéficier de structure de soins à domicile actuellement. Au statut clinique, Mme. Grand est actuellement en état général conservé. L'auscultation cardio-pulmonaire décèle des bruits cardiaques réguliers, lointains, sans souffle valvulaire ou vasculaire audible et un murmure vésiculaire présent sur les deux plages pulmonaires, sans râles surajoutés. La patiente ne présente pas de signes de surcharge. Ses pouls périphériques sont bien palpés, les mollets sont souples et indolores. Le statut abdominal, neurologique et génito-urinaire est normal. Durant le séjour, nous apprenons que la patiente présentait des épisodes de diarrhées précités, sans notion de mélène préalable, depuis plusieurs mois, et continue de les présenter occasionnellement durant son hospitalisation. Son laboratoire reste en tout temps aligné. Nous prélevons donc une calprotectine fécale afin d'investiguer une possible colite à collagène qui revient négatif. A noter que les prélèvements bactériologiques étaient revenus négatifs durant son séjour en médecine à Tafers. La dernière colonoscopie de Mme. Grand date de 2008, chez le Dr. X à Vevey. Durant le séjour de Mme., nous mettons en évidence un déficit en vitamine D et en vitamine B12, que nous substituons par voie orale. Sur le plan diabétologique, Mme. Grand ne présente pas de nouvelle hypoglycémie durant son séjour. Nous gardons son traitement d'insuline en suspens. En accord avec son diabétologue traitant, le Dr. Marini, Mme. reprendra le Toujeo à plus bas dosage qu'habituellement à domicile, et prendra contact avec lui afin d'adapter ce traitement en ambulatoire. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche sans moyen auxiliaire est de 60 mètres. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 109/126. (MIF physio : transferts 7/7, marche 5/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 25.8 secondes. En raison de sa bonne évolution sur le plan fonctionnel, Mme. Grand rentre à domicile le 18.01.2018, avec le même encadrement qu'au préalable, satisfaisant selon la patiente. Pour rappel, il s'agit d'une patiente de 83 ans, qui a été hospitalisée pour un choc septique sur dermohypodermite du membre inférieur gauche le 17.12.2017 en médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal, traité dans un premier temps par Tazobac et Clindamycine, puis avec un relais par Co-Amoxicilline à poursuivre jusqu'au 31.12.2017. Mme. X avait présenté une décompensation cardiaque globale, traitée par Torem et Esidrex. Une fibrillation auriculaire nouvelle a été mise en évidence, le Sintrom est poursuivi et une cardioversion est proposée après 3 semaines. A noter aussi que la patiente est traitée chroniquement par Prednisone pour un asthme. Le 29.12.2017, Mme. X est transférée dans notre service de réadaptation gériatrique HFR Riaz. A son arrivée, nous constatons une patiente très dyspnéique au moindre effort et oxygénodépendante, d'apparition nouvelle. Elle n'a pas d'autre plainte, pas de douleur, pas de palpitation ni de douleur rétrosternale. Il est à noter que la patiente avait ressenti une douleur épigastrique la veille de son transfert, douleur qui s'est améliorée à la pose d'une sonde urinaire pour un globe vésical. En outre, la patiente présente des vertiges position-dépendants, probablement d'origine orthostatique. De plus, Mme. X souffre d'un déconditionnement important et est actuellement nouvellement dépendante pour tous les soins d'hygiène. Le reste de l'anamnèse est sans particularité. Notons que Mme. X, mère de 4 enfants, vit seule, sans soins à domicile, et conduit encore. A l'examen clinique d'entrée dans notre service, la patiente est tachycarde à 120 battements par minute, normotendue, afébrile et saturant à 94% sous 3l d'oxygène. Cette dernière se trouve en état général diminué, avec des tremblements des membres supérieurs. Sur le plan cardiovasculaire, les B1 et B2 sont lointains et irréguliers ; les pouls périphériques sont palpés. Au niveau pulmonaire, notons une hypoventilation bibasale avec matité à la percussion. Dans le cadre digestif, les bruits sont normaux en fréquence et tonalité, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente, les loges rénales sont indolores à la palpation. Au niveau neurologique, les pupilles sont isochores, isoréactives, et les nerfs crâniens II-XII dans la norme ; il n'y a pas de troubles de la sensibilité et la force est symétrique à M5 ; les réflexes ostéotendineux brachiaux, styloïdiens, rotuliens et achilléens sont normovifs. Les réflexes cutanés-plantaires sont en flexion des deux côtés. Sur le plan cutané, présence d'une plaie à l'avant-bras droit couverte et d'un érysipèle sous bandages. Au vu de la présentation clinique, nous refaisons une radiographie de thorax qui montre une discrète amélioration des épanchements pleuraux. Une première gazométrie est effectuée à l'air ambiant et objective une hypoxémie sévère avec un pO2 à 5kPa avec une rétention de gaz carbonique importante avec pCO2 à 7.2kPa, ce qui souligne un épuisement respiratoire, chez une dame souffrant d'un asthme connu. Nous faisons donc un traitement d'épreuve de Solumédrol de 125µg à 18h30, avec des aérosols d'Atrovent et de Ventolin. Une gazométrie de contrôle est effectuée à 20h30 et montre une péjoration importante sous forme d'une acidose respiratoire sévère nécessitant une assistance ventilatoire. Au vu de la situation clinique extrêmement précaire, et de l'absence de place disponible aux lits monitorés de l'HFR Riaz, nous transférons Mme. X aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour un soutien ventilatoire. Pour rappel, la patiente est amenée en ambulance suite à l'apparition de douleurs rétrosternales d'apparition brusque, avec irradiation dans le cou et le bras gauche. Le diagnostic d'angor stable avait été retenu et traité médicalement. En attente de placement, la patiente avait été reclassée le 04.01.2018. Durant cette attente, la patiente présente un nouvel épisode de douleurs rétrosternales avec modifications ECG mais sans mouvement de troponines. Devant la récidive de la symptomatologie typique, Mme. X repasse en soins aigus où elle bénéficie d'une échocardiographie qui met en évidence une possible hypokinésie inféro-latérale. Devant l'impossibilité de faire un test d'effort, les cardiologues proposent de faire une coronarographie qui sera effectuée en ambulatoire le lundi 22.01.2018. En attendant, nous instaurons un traitement de couverture par nitrés sur 24h ; ceci sera à réévaluer après la coronarographie. Le laboratoire d'entrée montre une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale. Les traitements néphrotoxiques sont momentanément mis en suspens, avec par la suite, correction rapide de la fonction rénale. Un suivi régulier est effectué durant son séjour. Un contrôle à distance de l'événement aigu est à prévoir.Durant son séjour, Mme. Trespalacios se casse 2 dents; elle ne présente pas de complication hémorragique ou infectieuse. Son fils, chirurgien maxillo-facial, se chargera de la suite de la prise en charge dentaire. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, la patiente part au home de la Providence le 18.01.2018. Pour rappel, Monsieur Berset avait consulté les urgences le 02.11.2017 en raison d'une asthénie depuis 15 jours. Initialement hospitalisé en gériatrie aiguë, le diagnostic d'endocardite bactérienne à Enterococcus faecalis avait été posé et un traitement de Co-Amoxicilline 2x 6x/j et Rocéphine 2g/j débuté selon les conseils de l'infectiologue, la Dr. X le 07.11.2017. Des paires d'hémocultures avaient été effectuées jusqu'à la négativation de ces dernières, avec une échocardiographie transthoracique et un ETO effectués à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Une IRM cérébrale avait également été réalisée en raison d'un risque d'emboles cérébraux chez un patient anticoagulé. Dans un 1er temps, Monsieur Berset avait évolué favorablement. Cependant, ce dernier avait développé par la suite une anémie hémolytique possiblement induite par la Ceftriaxone. Après avis du Prof. X, nous avions décidé de changer la cure antibiotique avec un relais par Vancomycine et Gentamycine, à des doses adaptées à la fonction rénale en date du 30.11.2017. En effet, Monsieur Berset développait de plus une insuffisance rénale suspecte d'être une néphrite interstitielle. L'antibiothérapie a été à nouveau modifiée le 04.12.2017 selon avis de la Dr. X pour de la Cubicin (Daptomycine) en une dose quotidienne, éliminant ainsi la nécessité de doser les taux et évitant aussi une néphrotoxicité à la Gentamycine. Le 11.12.2017, Monsieur Berset est pris en charge en réadaptation gériatrique. Le 13.12.2017, ce dernier présente une dyspnée progressive, avec des désaturations nécessitant un support en oxygène toujours plus important. Au vu de la clinique, du laboratoire et de la radiographie du thorax effectuée, et sur conseil de la Dr. X, nous pensons à une toxicité pulmonaire à la Cubicin et nous introduisons un traitement de Prednisone 50mg par jour, sans amélioration clinique. Aucune antibiothérapie n'est reprise étant à 5 semaines et demies de son traitement d'endocardite. Par la suite, l'état du patient continue de se péjorer faisant évoquer une insuffisance cardiaque et/ou un phénomène pulmonaire infectieux surajouté. Dans ce contexte, nous introduisons une thérapie diurétique par Lasix, un traitement antibiotique par Tavanic 250mg 2x/j et des aérosols. En raison d'une mauvaise évolution d'un point de vue hémodynamique et respiratoire, et après discussion avec Monsieur Berset, sa famille et le Dr. X, nous procédons à un transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, où le patient est attendu à l'étage C. pour sondage urinaire Poursuite algifor junior sirop 820mg/ml soit 7 ml max 3X/j per os d'office durant 48h puis contrôle chez le MT. Contrôle avant si état fébrile ou péjoration des douleurs. Poursuite antalgie par Dafalgan et Brufen Poursuite antalgie par Oxycontin Poursuite antalgie simple (déjà à domicile). Contact téléphonique à 24h. Si péjoration des symptômes ou nouveaux symptômes, état fébrile ou frissons reconsulter les urgences. Poursuite antalgie simple (qu'elle a à domicile). Contact téléphonique à 24h. Si péjoration des symptômes ou nouveaux symptômes ou EF/frissons reconsulter en urgences. Contact téléphonique le 10.01: patiente va beaucoup mieux, se sent rassurée. Reconsultera si péjoration de la symptomatologie. Poursuite antibiothérapie inchangée (Meropenem, Bactrim) Physiothérapie respiratoire intensive Ventilation non invasive intermittente du 23.01 au 24.01.2018. Poursuite antibiothérapie selon schéma, jusqu'à la fermeture de la plaie. Réfection du pansement avec Aquacel Ag 2-3x/semaine. Thromboprophylaxie par Calciparine 5000 UI 2x/j sc jusqu'à charge complète. Contrôle à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Poursuite antibiothérapie Pister résultats en cours à (Inselspital) Poursuite arixtra Labo du 12.01.2018: 160G/l (dans la norme) Poursuite avec musculation progressive. Prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite bandes de contention avec bonne protection cutanée Suivi Poursuite Becozyme Seresta en réserve Poursuite Ciprofloxacine cpr 500mg 2x/j jusqu'au 14.08.13 y compris Poursuite Co-amoxicilline jusqu'au 22.01 et réévaluation par le MT Traitement de Nasivine max 5 jours Poursuite co-amoxicilline 1 g 2x/jour jusqu'au 16.01.2018. Physiothérapie respiratoire en ambulatoire. Poursuite d'alimentation plaisir proposée le 03.01.2018 et bien tolérée Poursuite d'antalgie selon douleurs. Contrôle en orthopédie post-opératoire dans 2 semaines. Poursuite de Arlevert. Bilan ambulatoire ORL complet. Consultation ambulatoire chez le neurologue. 2 Temesta 1 g en réserve en cas d'anxiété. Poursuite de bains de siège avec Kamillosan Poursuite de betnesol 0.25mg/kg/j pour une durée totale de 3 jours Poursuite de betnesol 0.25mg/kg/j pour une durée totale de 3 jours Ad schéma d'arrêt progressif du ventolin Poursuite de Ciproxine 500 mg 2x/j pour un total de 7 jours jusqu'au 09.01.2018. Urotube : < 10 ^ 3 germes. Suite chez le médecin traitant. Poursuite de la BPAP nocturne introduite le 07.12.2017 Poursuite de la corticothérapie avec schéma dégressif de Prednison du 4.12.17 au 21.12.17. Suivi des glycémies Quantiferon positif: Sérologie brucellose: - Hémocultures nég à 5 jours US vaisseaux pré-cérébraux et sous-claviers: Pas d'anomalie vasculaire décelée sur les vaisseaux observés. Bilan angiologique général: Pas d'argument pour une artérite des gros vaisseaux. Suivi interdisciplinaire en Rhumatologie et Neurologie. Poursuite de la Dexaméthasone en schéma dégressif jusqu'au 25.12.2017. Contrôle à la consultation du Dr. X le 09.01.2018. Concernant la hernie discale C5- C6 une consultation est agendée chez le Dr. X le 16.01.2018. Concernant la suspicion de tunnel carpien D, une ENMG est prévue le 25.01.2018. Poursuite de la Distraneurine Haldol Poursuite de la Distraneurine Haldol du 05.01 au 10.01.2018 Ad Zyprexa dès 10.01.2018 Poursuite de la double antiagrégation plaquettaire durant 3 semaines par Aspirine cardio et Plavix, puis par Plavix uniquement. Holter en cours d'analyse et en cas de résultat négatif, nous vous proposons de réaliser un R-test. Fermeture du foramen ovale est à envisager par la suite suite au colloque multidisciplinaire avec nos collègues cardiologues. Proposition d'organiser un bilan angiologique en ambulatoire pour les douleurs chroniques au niveau du mollet gauche. Poursuite de la double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine et Plavix pendant un mois (03.02.2018) puis par Plavix seul et du traitement hypolipémiant par Atorvastatine 80 mg. Résultat du Holter à pister. Rendez-vous en neurologie le 27.04.2018 avec contrôle neurosonologique à 16h. Poursuite de la double antibiothérapie jusqu'au 25.12.2017 (14 jours total). Sevrer l'oxygénothérapie supplémentaire dès que possible et optimiser la thérapie par aérosols (Ventolin, Spiriva, Symbicort) selon besoin.Remplacer l'anticoagulation par Xarelto pour Arixtra 10 mg/j Suivi oncologique - Dr. X - le 23.01.2018 • Poursuite de la marche en charge selon douleurs avec des chaussures à semelles rigides. • Contrôle rx-clinique dans 6 semaines. • Poursuite de la médication habituelle CT-pulmonaire coupes fines le 22.01.2018 : stabilité • Poursuite de la physiothérapie à sec et en piscine. Contrôle clinique dans 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie afin de récupérer complètement l'amplitude articulaire de la MCP. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • Poursuite de la physiothérapie afin de regagner les derniers degrés en pronation/supination et en flexion/extension. Je prolonge l'arrêt de travail à 100% pour les 2 prochaines semaines avec reprise à 100% par la suite. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie ambulatoire. Prochaine consultation rhumatologique au HFR Fribourg (Dr. X) le 29.01.2018 à 10h45. • Poursuite de la physiothérapie, augmentation des amplitudes articulaires et renforcement progressif. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie, augmentation des amplitudes articulaires. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'au prochain contrôle dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie avec mobilisation active assistée sans charge. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie avec renforcement de la mobilisation. Arrêt de travail jusqu'au 19.02.2018 date du prochain contrôle clinique. • Poursuite de la physiothérapie avec un traitement anti-inflammatoire, proprioception et renforcement. Nous lui conseillons de faire des exercices à la maison et de renforcer la musculature avec de la marche ou du sport régulier. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie avec une mobilisation active et passive sans limitation. Reprise du travail à 50% à partir du 15.01.2018, puis à 100% à partir du 29.01.2018. Un contrôle final est programmé à ma consultation le 14.03.2018. • Poursuite de la physiothérapie car la patiente a encore une certaine gêne pour récupérer de la force et de la stabilité. • Poursuite de la physiothérapie. Elle doit charger de plus en plus sans la canne. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 70%. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. • Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire Conseil diététique en ambulatoire RDV en diabétologie au HFR Fribourg le 30.01.2018 à 10h00 pour adaptation du traitement et instruction déjà mises en place (à rediscuter selon propositions du médecin traitant, cf. ci-dessus) Introduction éventuelle d'un traitement à l'allopurinol selon résultats d'analyse génétique (cf. rapports en attente) • Poursuite de la physiothérapie en veillant à travailler la prosupination. Incapacité de travail à 70% jusqu'à mi-janvier. • Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie à domicile. • Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie, de la bande d'enroulement. Poursuite des massages de la cicatrice. Prochain contrôle dans 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie intensive pour amélioration de la marche et de l'hémianopsie gauche. R-test prévu du 31.01 au 07.02.2018 (s'il est toujours en réadaptation, organiser le transport au HFR - Fribourg ou appeler le secrétariat de cardiologie) - R-test à répéter jusqu'à 3x à la recherche de FA. Contre-indication à la conduite. Rendez-vous en ophtalmologie dans 1 mois. Rendez-vous en neurologie le 20.04.2018 à 15h30. • Poursuite de la physiothérapie et du stretching à domicile. Nous lui proposons de retenter le port de l'attelle Dorsal Lift en diminuant la tension en flexion plantaire. Nous lui proposons de reprendre les activités sportives comme le vélo et la marche. Si cela se passe bien, il pourra reprendre la course à pied. Prochain contrôle dans 3 mois. Il annulera si nécessaire. • Poursuite de la physiothérapie, incapacité de travail prolongée jusqu'à fin février, le patient reprendra ensuite une activité professionnelle comme plâtrier. • Poursuite de la physiothérapie intensive. Reprise du travail à 70% dès le 01.02.2018. Prochain contrôle clinique dans 2 mois pour réévaluer la capacité de travail. • Poursuite de la physiothérapie. La patiente évoque l'éventualité d'un Sudeck. Je lui explique que je n'ai aucun signe mis à part la tuméfaction et la raideur mais il n'y a pas de douleur, pas de changement de la trophicité cutanée ni unguéale ni de la pilosité. Je propose un traitement anti-inflammatoire et de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail pour 4 semaines à 30% d'incapacité puis reprise à 100% sachant que la patiente travaille habituellement à 70%. Prochain contrôle dans 6 semaines. • Poursuite de la physiothérapie, mobilisation douce et progressive en rotation externe, intégration du bras dans les activités de la vie quotidienne et réévaluation dans 2 mois. Je discute à nouveau avec la patiente et son mari qui travaillait comme représentant dans les prothèses orthopédiques de l'éventualité de la mise en place d'une prothèse totale inversée en cas d'échec. Ils sont tout à fait d'accord avec l'attitude expectative pour l'instant. • Poursuite de la physiothérapie pour améliorer la mobilité de l'épaule. Contrôle rx-clinique dans 5 mois. • Poursuite de la physiothérapie pour d'une part relâchement des chaînes postérieures avec renforcement musculaire, surtout du vaste interne. Reprise du travail à 50% à partir du 22.01.2018 jusqu'au 17.02.2018. Prescription d'anti-inflammatoires, Arthrotec 75 mg 1 x / jour, au besoin. Contrôle clinique dans deux mois. • Poursuite de la physiothérapie pour l'épaule, le genou et le pied. Poursuite de l'ergothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au début mars, puis reprise à 50% à la demande du patient qui a trouvé une nouvelle entreprise où il pourra travailler comme carreleur. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. • Poursuite de la physiothérapie pour principalement mobilisation passive de la PIP, poursuite du port de l'attelle 3 points. Concernant les sentiments d'endormissement au niveau de l'épaule gauche, la patiente va consulter son médecin de famille dans 3 à 4 semaines si persistance des symptômes pour exclure un problème d'origine vasculaire. À noter que la patiente a déjà présenté une thrombose d'une veine au niveau de l'épaule droite. Nous n'avons pas prévu de revoir la patiente. • Poursuite de la physiothérapie pour récupération maximum des amplitudes articulaires notamment en actif pour l'élévation antérieure qui permettra la reprise de la conduite. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. • Poursuite de la physiothérapie pour rééduquer cette épaule. Le patient ne se sent pas prêt pour reprendre son travail comme machiniste sachant qu'il va à nouveau déclencher des douleurs au niveau de l'articulation AC. Pour cette raison, je lui accorde une incapacité de travail jusqu'au 14.01.2018. Je reverrai le patient à ma consultation le 01.02.2018. En cas de persistance des symptômes, je discuterai de la révision de la résection AC. • Poursuite de la physiothérapie pour regagner les derniers degrés à la flexion/extension. Nous la reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique.Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Augmentation du taux de travail à 80% en raison du fait qu'il pourra de cette façon continuer la physiothérapie. Reprise à 100% dans 6 semaines. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation. Prochain contrôle dans 6 semaines si l'évolution devait être favorable, la patiente prendra contact pour annuler le rendez-vous, on la verrait alors à 1 année post-opératoire. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire surtout. Contrôle rx-clinique à un an de l'opération. Poursuite de la physiothérapie pour stabilisation en évitant les mouvements qui provoquent une subluxation de l'épaule. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition si nécessaire. Poursuite de la physiothérapie pour traiter ses épicondylites, la patiente est également suivie par un Dr. X qui lui fait du needling pour traitement de ses trigger points au niveau de l'épaule. Nous reverrons la patiente dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie pour une mobilisation active et passive sans limitation, si ce n'est une rotation interne maximum à la fesse. Poursuite de l'ergothérapie avec mise en place d'une attelle dynamique pour l'extension des doigts. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines pour réévaluer la reprise du sport. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 10.04.2018. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 6 à 8 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100%, reprise à 50% dès le 01.02.2018 et à 100% dès le 22.02.2018. Prochain contrôle dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie qu'elle doit intensifier au fitness et à l'aquagym (pas encore autorisés les exercices en chaînes ouvertes). Nous lui prolongeons l'arrêt de travail pour encore un mois et ensuite reprise à 100%. Nous la reverrons pour un nouveau contrôle clinique à 6 mois postopératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Contrôle de l'hémoglobine le 25.01.2018 à l'HFR Billens. Contrôles réguliers de la cicatrice opératoire, avec réfection du pansement tous les 2 jours. Contrôle de la cicatrice opératoire et ablation des fils à la consultation du Dr. X le 29.01.2018 à 10h30. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Port du pansement Comfeel pour 15 jours. En cas de perte d'étanchéité de ce dernier, il devra être remplacé par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 15 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de l'application de Fenistil gel au niveau de la cuisse gauche durant 7 jours, puis contrôle à votre consultation. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. La patiente sera revue en policlinique la semaine suivant sa sortie pour contrôle de la plaie. Elle prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Un contrôle radio-clinique est prévu à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Réfection régulière du pansement et ablation des fils à 14 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Réfection régulière du pansement par l'épouse du patient, infirmière. Ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j s.c. pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X à 6 semaines. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pendant 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie pour une durée totale de 10 jours. Contrôle radio-clinique du genou droit en policlinique d'orthopédie à 4 semaines post-traumatiques. Poursuite de la quadrithérapie anti-hypertensive, contrôle de la TA 2-3x/j et suivi régulier à votre consultation Conduite contre-indiquée pendant 3 mois avant consultation neuropsychologique (recevra le RDV par courrier) RDV de suivi en cardiologie le 12.02.2018 à 11h Contrôle ophtalmologique le 15.02.2018 à 11h IRM cérébrale de contrôle prévue le 02.03.2018 à 7h45 Rendez-vous en neurologie prévu le 25.04.2018 à 15h30 Polysomnographie organisée en ambulatoire dans 3 mois (recevra le RDV par courrier) Poursuite de la radiothérapie en ambulatoire. Diminuer Dexaméthasone après la fin de la radiothérapie. Rendez-vous chez Dr. X le 24.01.2018 à 15.00 h à l'HFR. Poursuite de la réadaptation en ambulatoire (physiothérapie, ergothérapie, neuropsychologie) R test prévu du 31.01.2018 au 07.02.2018 (la convocation suit) Rendez-vous en ophtalmologie le 02.02.2018 à 11h00 à l'HFR Fribourg Rendez-vous en neurologie (Dr. X) le 20.04.2018 à 15h30 à l'HFR Fribourg • évaluation de la capacité de conduite par le service de neuropsychologie à prévoir subséquemment Poursuite de la réfection des pansements. Nous le reverrons dans 1 semaine pour l'ablation des fils. Poursuite du schéma de suture du tendon d'Achille en mini-invasif. Poursuite de la réfection du pansement à domicile par la patiente jusqu'à la fermeture complète. Elle peut à nouveau utiliser les bas de contention. Contrôle rx-clinique dans 4 semaines. Poursuite de la réfection du pansement 2 fois par semaine. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Poursuite de la substitution Poursuite de la substitution de vitamine D avec adaptation des doses. Poursuite de la syndactylie en fonction des douleurs de la patiente, nous mettons un terme à l'ergothérapie, nous restons à disposition si péjoration des symptômes. Poursuite de la thérapie antiépileptique: Levetiracetam 2 x 1.5 g IV, Rivotril 3 x 0.5 mg IV, Vimpat 2 x 100 mg IV (pas de changement prévu avant l'IRM de contrôle dans 3 semaines) Rivotril 0.5 mg en réserve Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. La patiente, travailleuse médicale, procèdera elle-même aux changements réguliers des pansements. Madame Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires. Un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires pour contrôle radio-clinique.Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. Réfection régulière du pansement et ablation des fils à 14 jours post-opératoires en policlinique d'orthopédie, consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la thromboprophylaxie jusqu'au 02.03.2018. Contrôle clinique et changement de pansement le 25.01.2018 à la consultation du Dr. X. Ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à votre consultation. Poursuite de la thromboprophylaxie jusqu'au 29.01.2018. Suivi régulier de la plaie par les infirmières de soins à domicile. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de la thromboprophylaxie. Réfection du pansement 2-3 x par semaine et ablation des fils chez le médecin traitant à 14 jours. Contrôle rx-clinique à 6 semaines. Poursuite de la VNI personnelle nocturne + 2x/j en division. Ablation du filtre cave le 22.01.2018 (à confirmer). Ablation agrafe J10. Ablation fils Vicryl J14. Poursuite de l'alimentation entéral par de l'isosource 500 ml en 12h pendant 2 semaines. Retrait de la sonde nasogastrique le 15.01.2018. Suivi du poids 2x/semaine. Poursuite de l'antalgie avec Voltaren en réserve. Une infiltration est agendée dans le courant du mois de janvier à l'épaule droite. Poursuite de l'antalgie. Consilium ORL. Poursuite de l'antibio jusqu'au 03.01.2018 y compris. Contrôle clinique chez le patient à la fin de l'antibiothérapie. Consultation aux urgences en cas d'apparition de détresse respiratoire. Poursuite de l'antibiothérapie. Poursuite de l'antibiothérapie. Poursuite de l'antibiothérapie. Poursuite de l'antibiothérapie de Zinat 500 mg 2x/j jusqu'au 15.01.2018 y compris. Réfection régulière du pansement à raison de 3x/semaine par les SAD ; ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation de la Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie durant encore 5 jours. Rendez-vous à la consultation du Dr. X pour suite de la prise en charge urologique dans 3 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie durant 15 jours. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 15 jours. Réfection du pansement tous les 2 jours à votre consultation. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie à 15 jours post-opératoires pour contrôle et ablation des fils. Contrôle à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'à l'ablation des fils. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'à l'ablation des fils. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Rendez-vous pour contrôle clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 19.01.2018. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'à l'ablation des fils. Réfection du pansement tous les 2 jours et ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 19.01.2018. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.02.2018. Rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et ablation du drain le 29.01.2018. Ablation des fils à 12 jours post-opératoires à votre consultation. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 05.01.2018 inclus. En cas de formation d'abcès, une ablation des fils avec drainage-lavage et pansement stérile. Discussion alors avec l'orthopédiste en vue d'une éventuelle amputation. Si la plaie est propre et calme, contrôle clinique à la consultation du Dr. X dans 10 jours. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 11.02.2018. Rendez-vous à la consultation du Dr. X dans 2 semaines pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 13.01.2018 inclus. Le patient sera suivi en policlinique d'orthopédie, avec un premier rendez-vous de contrôle le 10.01.2018. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 15.01.2018 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X 1 semaine après la sortie. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 18.01.2018 inclus. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 12.01.2018 pour contrôle. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 23.01.2018 inclus. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 25.01.2018 inclus. Contrôle à votre consultation 1 semaine après la sortie. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 1 mois. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 25.01.2018 inclus. Poursuite du régime pauvre en graisse. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 19.02.2018 à 14h00. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 28.01.2018. La patiente prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle, selon évolution. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 30.01.2018 inclus. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 19.01.2018. Contrôle de la kaliémie dans 1 semaine à votre consultation. Poursuite de l'antibiothérapie par Clindamycin p.o. jusqu'au 28.02.2018. Réfection journalière du pansement selon protocole. Poursuite de la substitution des électrolytes avec contrôles réguliers. Poursuite de la substitution de la Vit. D pour 8 semaines. Suivi en diabétologie à la suite du séjour en rééducation. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxi 1g 2x/jour jusqu'au 28.01.2018 y compris. Fin de traitement. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g p.o. 3x/j jusqu'au 04.01.2018 y compris. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j p.o. jusqu'au 29.11.2017. Contrôle clinique le 01.12.2017 à la consultation du Dr. X avec FS et CRP et éventuelle planification de l'implantation d'une prothèse totale inversée épaule D. Suivi de la kaliémie et des leucocytes chez le médecin traitant dans une semaine. Contrôle et investigation de l'HTA associée à l'hypokaliémie en consultation d'endocrinologie le 30.11.2017. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 18.01.2018 y compris. Réfection du pansement par les soins à domicile. Contrôle à la consultation du Dr. X à J14 avec ablation des fils. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 26.01.2018, y compris. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'au 28.01.2018. Réfection régulière du pansement et contrôle de plaie par le médecin traitant ; ablation des fils à J14. Contrôle clinique à la consultation de la Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. pour une semaine. Suivi de la plaie et réfection du pansement par les SAD avec Adaptic et compresses stériles. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine ou à la consultation orthopédique des urgences si aggravation ou si symptômes inflammatoires. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1g 2x/j jusqu'au 06.01.2018.Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour pendant 5 jours. Réfection du pansement et contrôle de la plaie le 19.01.2018 à la consultation du Dr. X. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 625 mg 3x/j p.o. pour une durée totale de 5 jours postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant, ablation des fils à J14. Contrôle clinique à la consultation de la Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie per os. Contrôle dans une semaine à votre consultation. Poursuite de l'antibiothérapie p.o. jusqu'au 22.01.2018 y compris. Ablations de fils à J14 chez le pédiatre. Contrôle radio-clinique à la consultation de la Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie pour un total de 10 jours. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie pour réfection des pansements et contrôle clinique 48 heures après sa sortie. Mme. Zollikofer prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie pour un total de 7 jours. Re-consulte si mauvaise évolution (rougeur, chaleur, œdème en augmentation, fièvre). Poursuite de l'antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 27.12.2017 y compris. Contrôles réguliers de la plaie avec réfection du pansement par Adaptic, compresse et bande chez un spécialiste de la main à Porto. Confection d'une attelle type Cobra à Porto. Ablation des fils à J14 en ergothérapie ou chez son médecin. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie. Oxygénothérapie selon symptômes. Morphine iv aux 4 heures et en réserve. Temesta en réserve. Poursuite de l'antibiotique pour une durée totale de 7 jours. Poursuite de l'anticoagulation par Xarelto. Contrôle de la fréquence cardiaque par Bilol et Dilzem à faibles doses, à adapter selon clinique. Poursuite de l'anticoagulation thérapeutique par Clexane 2 x 60 mg/j. Poursuite de l'arrêt de sport jusqu'au 15.01.2018. Je conseille à la patiente et à son père, qui l'accompagne, de faire des exercices en flexion/extension du coude à domicile. Au vu de la bonne évolution, je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle clinique dans 2 mois. Je prescris au patient de nouvelles séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation libre. Poursuite de l'aspirine cardio (limite à 50 G/l pour les thrombocytes). Poursuite de l'aspirine cardio (limite à 50 G/l pour les thrombocytes). Diminution du Metoprolol à 12.5 mg (hypotension). Avis cardiologique (Dr. X). Suivi biologique (cholestérol) et adaptation du traitement hypolipémiant. Poursuite de l'atorvastatine et de l'aspirine cardio à long terme. Amélioration des facteurs de risques cardiovasculaires modifiables (tabac, poids...). Résultat du Holter à pister. Fermeture du FOP sera discutée au prochain colloque cardio-neurologie fin janvier (un courrier vous sera adressé avec les conclusions). Conduite contre-indiquée pendant 2 semaines. Rendez-vous de contrôle en neurologie le 18.04.2018 à 15h30. Poursuite de l'ergothérapie et de la physiothérapie. Nous recommandons au patient de se présenter à l'AI respectivement à la Suva pour une réorientation professionnelle. Le patient est depuis 6 ans en Suisse, son pays d'origine est le Kosovo, il n'a qu'un diplôme de plâtrier au Kosovo qui n'est pas reconnu en Suisse. Actuellement, le patient est sans emploi et ne travaille plus depuis son opération de 2016. À bientôt 2 ans de l'opération, il est important que le patient puisse bénéficier d'un encadrement pour faire un reconditionnement afin qu'il puisse reprendre une activité professionnelle. Nous reverrons le patient en mars 2018. Poursuite de l'ergothérapie et de la physiothérapie. Prochain contrôle chez moi le 15.02.2018. Poursuite de l'ergothérapie. J'adresse un courrier ce jour à l'AI expliquant les limitations fonctionnelles de la main gauche. Je reverrai la patiente à ma consultation dans 1 mois : 14.03.2018. Poursuite de l'ergothérapie, le patient présente encore une légère perte de flexion au niveau de la DIP, dans l'ensemble l'évolution est tout à fait favorable, nous le reverrons dans 6 mois pour noter l'évolution de la récupération sensitive. Poursuite de l'ergothérapie, l'évolution étant globalement favorable, nous n'avons pas prévu de revoir la patiente. Nous restons à disposition. Poursuite de l'ergothérapie, nous sommes d'avis qu'une attelle dynamique de flexion n'est pas adaptée à ce patient. Poursuite de la mobilisation active et passive assistée. Poursuite de l'ergothérapie. Pas d'attitude active de ma part. Prochain contrôle à ma consultation le 15.02.2018. Poursuite de l'ergothérapie pour désensibilisation, contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite de l'ergothérapie pour la désensibilisation. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 21.01.2018, 50% du 22.01.2018 au 4.02.2018 avec reprise à 100% le 5.02.2018. Poursuite de l'ergothérapie pour mobilisation du Dig V et mise en place d'attelle. Concernant la hanche et cette bursite trochantérienne, on met en place un traitement anti-inflammatoire per os pour 2 semaines. Traitement de physiothérapie avec stretching et ultrason anti-inflammatoire. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite de l'ergothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires. Contrôle chez moi à 6 semaines le 14.03.2018. Poursuite de l'ergothérapie uniquement pour contrôler les suites favorables. Contrôle radio-clinique dans 2 mois. Poursuite de l'immobilisation avec une attelle thermo-formée prenant D4 et 5 avec IP libre. Le rendez-vous en ergothérapie est fixé pour le 30.01.2018 à 14.30 h. Arrêt de travail à 100% pendant 6 semaines. Contrôle rx-clinique le 5.03.2018. Poursuite de l'immobilisation pour 6 semaines. Ordonnance pour une semelle carbone qu'elle pourra utiliser dans des chaussures de ville au besoin. Nous lui recommandons de garder la Geisha jour et nuit jusqu'au prochain contrôle rx-clinique. Poursuite de l'incapacité de travail comme travailleur de force dans le génie civil à 90%. Prochain contrôle le 07.03.2018. Poursuite de mobilisation et physiothérapie. Suivi biologique du syndrome inflammatoire. Poursuite de prise en charge auprès de son endocrinologue traitant, la Dr. X. Poursuite de prise en charge en rééducation gériatrique avec comme objectif une rééducation à la marche, une amélioration de l'autonomie dans les AVQ. Poursuite de séances de physiothérapie à sec et en piscine. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. Poursuite de traitement anti-inflammatoire ainsi que Fluimicil. Poursuite de traitement de rocéphine 50 mg/kg/j pour le moment. Absence de bactérie à la culture d'urine, parents informés du résultat pour stopper l'antibiotique. Poursuite de traitement symptomatique. Poursuite des antibiotiques. Poursuite des antibiotiques prescrits par le médecin traitant. Reconsulter si état fébrile, persistance ou aggravation de symptomatologie. Poursuite des antidiabétiques oraux. Poursuite des diurétiques habituels. Suivi du poids 1x/j et adaptation des diurétiques. Poursuite des drainages lymphatiques. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Poursuite des IPP. Poursuite des pansements avec désinfection au Prontosan et Cutiplast. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines post-opératoires. Poursuite des séances de physiothérapie et d'ostéopathie. Stretching à domicile. Poursuite du port d'une talonnette en silicone. Prolongation de l'arrêt de travail à 50%, puis dès le 12.02.2018 à 30%. Prochain contrôle clinique dans 5 semaines pour réévaluer la reprise du travail. Poursuite des séances de physiothérapie. Nous conseillons à la patiente d'effectuer les exercices également à la maison afin de récupérer complètement la mobilité. Arrêt de travail à 100% pendant encore 1 semaine, puis reprise du travail. Prochain contrôle radio-clinique le 21.02.2018. Poursuite des séances de physiothérapie pour école du dos. Pas de nouveau contrôle prévu d'office. Nous restons à disposition au besoin, en cas de forte aggravation des douleurs ou apparition d'un déficit neurologique. Elle est informée que la symptomatologie peut évoluer en dents de scie et qu'elle devra toujours veiller à garder une posture adéquate. Poursuite des séances de physiothérapie pour massages et fango. Mobilisation selon douleur. Prochain et dernier contrôle radio-clinique à 1 an post-opératoire. Poursuite Dexamethasone. Analgésie avec Oxycontin retard et Oxynorm en réserve majorée au besoin. Poursuite diurétique. Comprimé de sel du 19.12 au 21.12.2017. Poursuite du Betnesol et Clarythromycine pendant 10 jours au total avec schéma dégressif de Betnesol. Consultation de contrôle à votre cabinet dans 48h. Contrôle à la consultation de pneumologie pédiatrique avec Dr. X dans quelques semaines à distance de l'épisode aigu. Poursuite du bilan. Adaptation de l'environnement. Adaptation du traitement neuroleptique. Poursuite du Lévétiracétam jusqu'au nouvel EEG prévu le jeudi 18.01.2018 à 14h. Contrôle des anévrismes à 6 mois (Inselspital). Contrôle EEG dans 3 mois (Inselspital). Introduction de Ritaline. Poursuite du même protocole. Nous allons voir l'évolution durant les 2 prochaines semaines. Si l'évolution est stable, nous lui prescrirons des semelles et des chaussures adaptées. Poursuite du Nebivolol. Introduction d'Amlodipine dès le 16.01.2018. Poursuite du Nebivolol. Introduction d'Amlodipine dès le 16.01.2018. Poursuite du Plavix à la place de l'Aspirine. Contrôle tensionnel à votre cabinet. Ergothérapie en ambulatoire. Holter et consultation Dr. X avec ergométrie la semaine du 15.01-20.01.2018. Conduite contre-indiquée pour deux semaines. Contrôle en neurologie le 26.04.2018 à 14h30. Poursuite du port de la semelle rigide pour les 6 prochaines semaines avec charge selon douleurs sur protection des cannes si nécessaire. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du port de la semelle rigide pour 4 semaines supplémentaires. Le patient ne désire pas d'arrêt de travail. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Poursuite du port de l'attelle Vacotalus avec une marche en charge selon douleurs et l'abandon des cannes. Arrêt de la Clexane dès que la charge complète est possible. Prochain contrôle dans 3-4 semaines pour le dernier contrôle radioclinique. Poursuite du port du Rucksack jusqu'au prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Nous prolongeons l'arrêt de sport pour 1 mois supplémentaire. Poursuite du protocole de pansement. Nous la reverrons dans 2 semaines pour contrôle clinique. Poursuite du protocole de pansement. Nous la reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Poursuite du protocole de pansement tous les 2 jours. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Poursuite du régime pauvre en graisse. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 26.02.2018 à 14h45. Poursuite du Sintrom habituel, à régler le 31.12.2017. Avis cardiologique le 22.12.2017 : • Anticoagulation pour INR 2-3, puis prévoir cardioversion après 3 semaines d'anticoagulation. • Contrôle de fréquence pour fréquence cardiaque cible à 70-80 battements par minute. Poursuite du stretching. Contrôle clinique dans deux mois. Poursuite du suivi par vos soins habituels avec évaluation de l'indication à un traitement bêtabloquant en ambulatoire. Poursuite du suivi par vos soins habituels avec majoration de Lamictal selon le schéma proposé avec une surveillance cutanée en parallèle. Majoration de l'encadrement infirmier lors du retour à domicile. Poursuite du suivi par vos soins habituels avec poursuite de la réadaptation respiratoire en ambulatoire. Encadrement infirmier à domicile quotidien pour contrôle de santé. Contrôles itératifs de l'HBA1c en ambulatoire. Poursuite du suivi par vos soins habituels. En cas de récidive de saignement digestif, évaluer l'indication à une vidéo-capsule. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Encadrement infirmier à domicile (Fenik et Antenne V). Poursuite de la physiothérapie à domicile. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Poursuite du traitement IPP pendant 2 mois au total. Suivi nutritionnel en ambulatoire. Introduction d'une aide au ménage sur le retour à domicile. Poursuite du Symbicort et du Ventolin en réserve. Contrôle chez le médecin traitant le 09.01.2017. En cas de persistance de la symptomatologie, ad évaluation pour bilan cardiaque. Poursuite du Torasémide 100 mg/jour. Suivi clinique et biologique. Bandage des membres inférieurs. Suivi du poids. Poursuite du traitement. Poursuite du traitement. Poursuite du traitement antibiotique comme prescrit, pas de nouveau contrôle nécessaire. Poursuite du traitement antibiotique pour un total de 3 mois. Prochain contrôle radio-clinique à ma consultation le 14.02.2018. Poursuite du traitement antirétroviral. Suivi par Dr. X, prochaine consultation prévue pour le 18.01.2017 à 10:30. Poursuite du traitement avec la chaussure Geisha et la chaussure à semelle rigide pour 6 semaines au total (depuis le 06.01.2018). Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. Poursuite du traitement cf point 1 et évaluation. Poursuite du traitement conservateur avec attelle Rhizoloc. Ordonnance pour des anti-inflammatoires, contre douleurs sous protection gastrique par Pantozol. Contrôle clinique à 6 semaines avec ablation de l'attelle au Pérou. Poursuite du traitement conservateur avec circularisation du plâtre ce jour. Poursuite de la décharge de 15 kg sur protection des cannes et de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec l'attelle Edimbourg. Nous lui donnons un bon d'ergothérapie afin de faire confectionner une attelle thermo-formée Edimbourg avec poignet libre plus syndactylie Dig 2-3. Cette attelle est à garder jour et nuit. Arrêt de sport jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie et réévaluation d'ici deux mois. Poursuite du traitement conservateur. Contrôle chez moi dans 2 semaines. Prochain rendez-vous le 14.02.2018. Poursuite du traitement conservateur et immobilisation dans une attelle Stacks. Début de mobilisation en dehors de l'attelle en ergothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 08.02.2018. Poursuite du traitement conservateur, la patiente ne se sentant pas en forme pour plus en ce moment en raison de son état dépressif. Réévaluation dans 6 mois.Poursuite du traitement conservateur par attelle Edimbourg thermo-formée. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Poursuite du traitement conservateur par botte plâtrée fendue pour une durée totale de 8 semaines. Après discussion avec le Dr. X, suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X dans 7 semaines. Poursuite du traitement conservateur par botte VacoPed pendant 2 semaines supplémentaires, puis semelle rigide pour un total de 4 semaines. Retour à la marche en charge progressive, accompagnée par des séances de physiothérapie avec mobilisation douce. Prochain contrôle radio-clinique le 21.03.2018. Reprise du travail à 50% le 12.02.2018, puis à 100% le 19.02.2018. Poursuite du traitement conservateur par immobilisation partielle dans une bretelle. Mobilisation du coude libre. Rotation interne et externe de l'épaule avec le bras en adduction. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines (8 semaines du traumatisme). Poursuite du traitement conservateur par Minerve de type Philadelphia à partir du 06.12.2017 (durée totale de 12 semaines, soit jusqu'au 28.02.2018); allègement des conditions d'immobilisation le 22.12.2017 sur avis du Dr. X. Réhabilitation gériatrique précoce avec prise en charge complexe comprenant physio-, ergothérapie et évaluation nutritionnelle. Poursuite de l'antalgie par Fentanyl patch, diminution de 50 à 37.5ug/h dès le 4.1.18. Poursuite du traitement conservateur par plâtre AB durant 6 semaines. Prochain contrôle clinique avec CT-scanner dans 4 semaines. Poursuite du traitement conservateur par plâtre AB, qui est circularisé ce jour. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Poursuite du traitement conservateur pour la cicatrice adhérente en ergothérapie. Nous pourrions considérer l'ablation du matériel d'ostéosynthèse précoce (à 6 mois) avec ténodèse du tendon extenseur. Contrôle rx-clinique dans deux mois avec le Dr. X pour discuter de la suite de la prise en charge. Poursuite du traitement conservateur. Prescription de la physiothérapie pour drainage lymphatique et mobilisation du coude. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique le 31.01.2018. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique à notre consultation le 15.02.2018. Le patient peut bouger selon douleurs et doit enlever le Rucksack. Au cas où le patient devait développer une pseudarthrose, nous allons effectuer une réévaluation dans 6 mois avec discussion d'une éventuelle prise en charge chirurgicale. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique à 1 mois de la fracture. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Poursuite du traitement de Fortecortin 2 x 4 mg/jour (pas de diminution avant la semaine du 29.01.2018). Poursuite de la prophylaxie de Bactrim forte 800/160mg 3 x/semaine + Diflucan 400 mg 1 x/semaine (passé au vendredi) + Valtrex 500 mg 2 x/jour. IRM de contrôle prévu dans 3 semaines (mi-février) pour décider de la suite de la prise en charge (AA d'oncologie, Dr. X, 031/632 50 21). Poursuite du traitement de Levofloxacin. Poursuite du traitement de Ventolin 2 pushs 6x/j pendant 48h. Contrôle clinique chez le pédiatre avec évaluation d'espacement du traitement de Ventolin après 24h-48h. Consultation aux urgences en cas de signe de détresse respiratoire (enseignement aux parents). Poursuite du traitement d'IPP. Mme. Y prendra rendez-vous à la consultation du Professeur X pour contrôle et nouvelle visualisation du scanner, le pied de l'anse étant élargi à l'imagerie. Poursuite du traitement diurétique (Torem et Aldactone). Bandage de contention dès le 11.12.2017. Poursuite du traitement en ergothérapie. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie. Nous le reverrons dans 2 semaines pour le contrôle clinique prévu. Poursuite du traitement en physiothérapie selon le schéma. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 25.02.2018 et reprise à 50% le 26.02.2018. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Poursuite du traitement habituel. Poursuite du traitement habituel avec adaptation des doses à la fonction rénale. Introduction d'opiacés le 22.11.2017. Majoration de Sifrol. Consultation anesthésie/antalgie le 01.12.2017. Introduction de Cymbalta le 05.12.2017, stoppé le 14.12.2017 (hyponatrémie). Introduction de Fentanyl. Changement pour Palladon le 30.12.2018. Poursuite du traitement hypolipémiant et antiagrégant. Pister le bilan de thrombophilie. Rendez-vous de contrôle en neurologie prévu le 18.04.2018 à 14h30. Poursuite du traitement inhalateur habituel. Poursuite VNI personnelle nocturne (EPAP 6, IPAP 16). Poursuite du traitement par Co-Amoxicilline. Poursuite du traitement par Co-Amoxicilline. Contrôle chez le pédiatre en fin de traitement. Poursuite du traitement par ergothérapie. Ablation définitive de la syndactylie. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement par Lyrica. Poursuite de drainages lymphatiques qui soulagent le patient selon lui. Poursuite de la charge partielle à 15-20 kg à l'aide de 2 cannes anglaises jusqu'au prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines, soit le 27.02.2018. Poursuite de la thromboprophylaxie par Xarelto 10 mg. Arrêt de travail à 100% (patient agriculteur) jusqu'au prochain contrôle. Poursuite du traitement par Lyrica 150 mg 2x/j. Dexaméthasone 2x/j pour 5 jours. Contrôles des plaies, ablation des fils en regard de D12 à J10. Contrôle à la consultation du Dr. X, Clinique Générale à Fribourg. Poursuite du traitement par physiothérapie et prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement par physiothérapie. Reprise du travail à 80% depuis le 29.01.2018 et à 100% le 12.02.2018. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines. Poursuite du traitement par Tamiflu jusqu'au 01.01.2018, ainsi que du traitement symptomatique par Dafalgan. Poursuite du traitement physiothérapeutique. Je reverrai la patiente à ma consultation le 22.02.2018. Poursuite du traitement prescrit aux urgences, Dafalgan, Irfen et Co-Amoxicilline. Poursuite du traitement prescrit par le Dr. X. +/- Contrôle la semaine prochaine au cabinet du Dr. X selon l'évolution. Poursuite du traitement psychotrope. Consilium psychiatrique le 27.12.2017. Consultation psychiatrique (CPS, Dr. X en présence d'un interprète) le 12.01.2018 à 8h30. Poursuite du traitement selon schéma jusqu'à 6 semaines post-opératoires. Nous le reverrons à ce moment-là. Reprise du travail à 50% dès le 05.02.2018 pour du travail de bureau jusqu'à la fin du mois de février. Poursuite du traitement si pas suffisant avec antalgie efficaces et HTA TAS > 180 mmHg ad Adalat CR 20 mg 1x/j en réserve max 1 x ordre unique. Adaptation de l'antalgie. Poursuite du traitement symptomatique instauré par le médecin traitant. Poursuite du traitement symptomatique par paracétamol et ajout d'anti-inflammatoire par Ibuprofen 600 3x/jour. Poursuite des antibiotiques par Céfuroxime 2x/jour pour 5 jours au total. Reconsulter en cas de nouvelle péjoration avec état fébrile, trismus ou baisse d'état général importante. Poursuite du traitement symptomatique. Culture de selles avec le médecin traitant en cas de persistance des symptômes.• Consignes de reconsultation données. • Poursuite du traitement symptomatique. • Éducation sur arrêt du tabac. • Suivi ultérieur par le médecin traitant. • Radiographie du thorax : pas de foyer. • Poursuite du traitement symptomatique. • IRM en ambulatoire. • Consultation en neurologie le 07.02.2018 à Payerne (la patiente ignore le nom du neurologue). • Patiente informée de reconsulter en cas d'apparition de symptômes neurologiques nouveaux. • Poursuite du traitement. • Incapacité de travail déjà établie par le médecin à Nendaz. • Poursuite du traitement par de l'atrovent, ventolin et spiolto (olodatérol et tiotropium). • O2 lors des déplacements. • Arrêt de morphine oral 3mg 3x/j et relais par fentanyl spray 2 jet par narine 6x/j en R. • Poursuite du Xarelto 20 mg 1x/j, Inderal 10 mg 2x/j. • Arrêt de digoxine à l'entrée. • Inderal augmenté à 20 mg 2x/j dès le 09.01.2018. • ECG de contrôle le 10.01.2018 : FA avec FC 76/min, normoaxé, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation, superposable avec précédents. • Poursuite d'un traitement conservateur. • Nous prévoyons des contrôles radiologiques à 1, 2 et 6 semaines post-traumatiques. • Vu que je serai absent la semaine prochaine, le patient sera suivi à notre policlinique. • Poursuite d'un traitement conservateur. • Nous prévoyons des contrôles radiologiques à 1, 2 et 6 semaines post-traumatiques. • Vu que je serai absent la semaine prochaine, le patient sera suivi à notre policlinique. • Poursuite d'un traitement physiothérapeutique et ergothérapeutique. • Reprise du travail prévue à 50% dès le 22.1.2018, et à 100% dès le 12.2.2018. • Prochain contrôle à ma consultation le 21.02.2018. • Poursuite d'Eliquis. • Poursuite de Fresubin 1x/jour. • Poursuite de Fresubin 1x/jour. • Poursuite de l'hydratation intraveineuse. • Surveillance. • Réhabilitation gériatrique précoce avec prise en charge complexe. • Poursuite de Keppra à long terme. • Pister réponse gastro-entérologue concernant l'interprétation des dosages d'immunosuppresseurs. • Suivi pneumonie avec nouvelle ponction évacuatrice en cas de persistance de la désaturation. • Poursuite de Keppra. • Avis Prof Annoni : diminution de Keppra du matin à 500 mg. • Contrôle à l'Inselspital à 3 mois. • Poursuite de la toilette nasale avant les repas et encouragement à la prise alimentaire. • Consultation en urgence en cas de signe de détresse respiratoire (enseignement). • Contrôle chez le pédiatre si persistance des symptômes ou pas de prise alimentaire persistante. • Poursuite de Lévofloxacine 500 mg 1x/jour jusqu'au 23.12.2017 pour une durée totale d'antibiothérapie de 14 jours. • Radiographie du thorax le 29.12.2017. • Avis infectiologique (Dr. X). • Physiothérapie. • Ergothérapie. • Poursuite de logopédie, ergothérapie et physiothérapie. • Poursuite du régime mixé-lisse. • Contrôle de l'hémoglobine. • Un colloque de famille est souhaitable à la fin de la réhabilitation afin de décider de la meilleure orientation (retour à domicile avec encadrement ou EMS) pour Mr. Y. • La conduite est contre-indiquée et nous vous laissons le reprendre à Mr. Y lors de sa sortie de Billens. • Un rendez-vous de suivi en neurologie le 26.03.2018 à 16h (merci de donner la carte de RDV à la fin de l'hospitalisation SVP). • Poursuite de Movicol. • Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. • Poursuite de Mycostatine jusqu'au 06.01.2018 pour 10 jours au total. • Nouveau bilan de déglutition le 29.12.2017. • Poursuite de Normolytoral. • Poursuite de pérenterol sachet. • Poursuite de pérenterol et normolytoral. • Poursuite de Perenterol. • Antalgie en réserve. • Suivi par pédiatre. • Poursuite de Perenterol. • Antalgie en réserve. • Suivi par pédiatre. • Reconsulter si récidive des douleurs ou vomissements incoercibles. • Poursuite de Prednisone. • Poursuite de Prednisone en schéma dégressif. • Traitement diurétique. • Physiothérapie. • Ergothérapie. • Poursuite de restriction hydrique 1000 ml/24h00 au home. • Suivi rapproché de la natrémie par le médecin traitant. • Formule sanguine complète à réaliser à distance de l'épisode aigu. • La patiente sera convoquée par le service de gastro-entérologie pour réalisation de l'OGD de contrôle dans 6 semaines. • Suivi de la tension artérielle au home avec adaptation du traitement par le médecin traitant. • Rendez-vous de contrôle en orthopédie le 22.02.2018 à 14h40 (rendez-vous à confirmer avec le secrétariat auparavant). • Poursuite des séances de ventilation non invasive. • Reprise progressive des bêta-bloquants. • Poursuite de sérum physiologique. • Dafalgan suppositoire 80 mg en réserve. • Contrôle si dégradation de l'état général. • Poursuite de substitution en fer (Maltofer 100 mg 1x/jour). • Arrêt de substitution le 18.01.2018. • Poursuite de substitution Vit. B12 et Vit. D. • Transfusion de 1 CE le 28.12.2017. • Suivi biologique. • Prévoir gastro- et colonoscopie en ambulatoire chez le Dr. X. • Poursuite de suivi ambulatoire par psychiatre traitant. • Réévaluer indication par suivi conjoint par psy dom par le psychiatre traitant. • Poursuite de suivi prématuré. • Poursuite de traitement anticalcique. • Introduction de Physiotens le 21.12.2017. • Poursuite de traitement anti-inflammatoire. • Repos avec cannes de décharge partielle. • Clexane. • Explication de l'importance du repos pour la guérison à la patiente et à son mari. • Poursuite de traitement Co-amoxicilline pour 7 jours 3x/jour 1g. • Poursuite de Flammazine pommade sur lésion. • Si mauvaise évolution des lésions (rougeur, trajet, œdème ou fièvre), reconsulte. • Poursuite de traitement de levure. • Normolytoral en réserve à domicile. • Conseil alimentation et hydratation. • Poursuite de traitement de levure. • Normolytoral en réserve à domicile. • Conseil alimentation et hydratation. • Poursuite de traitement de pérenterol et normolytoral. • Conseil alimentation et hydratation. • Contrôle si dégradation de l'état général. • Poursuite de traitement de pérenterol et normolytoral. • Conseil alimentation et hydratation. • Contrôle si dégradation de l'état général. • Poursuite de traitement de Targin. • Réduction progressive de la Dexaméthasone en vue d'un sevrage. • Introduction d'Arcoxia dès le 29.12.2017. • Poursuite de traitement de ventolin et Betnesol à domicile. • Contrôle chez le médecin traitant dans 48h, contrôle avant aux urgences si dégradation respiratoire. • Poursuite de traitement habituel. • Suivi des glycémies. • Avis en diabétologie le 22.02.2018. • Poursuite de traitement par Exelon patch. • MMS, clock test. • Pause Exelon le 16.01 (plainte de vertige de la patiente). • Poursuite de traitement par Fluomizin et Gynoflor jusqu'au 04.01.18. • Poursuite de traitement par Ospen durant 10 jours au total. • Poursuite de traitement proposé (traitement d'épreuve par AINS). • Poursuite de traitement symptomatique. • Poursuite de traitement symptomatique. • Poursuite de traitement symptomatique. • Poursuite de traitement symptomatique. • Poursuite de traitement symptomatique. • Poursuite de traitement symptomatique. • Poursuite de traitement symptomatique (algifor junior sirop 8 ml max 3X/j per os). • Consulte en cas de signes neurologiques. • Éviction des écrans/tablette. • Contrôle chez le médecin traitant si récidive/persistance de céphalées. • Poursuite de traitement symptomatique, contrôle la semaine prochaine chez le médecin traitant si état fébrile persistant. • Poursuite de traitement symptomatique. • Consulte en cas de signes neurologiques. • Éviction des écrans/tablette. • Contrôle chez le médecin traitant si récidive/persistance de céphalées. • Poursuite de traitement symptomatique. • Contrôle chez le médecin traitant dans 48h-72h si persistance de l'état fébrile. • Poursuite de traitement symptomatique. • Contrôle chez le médecin traitant si état fébrile 5j. Poursuite traitement symptomatique Contrôle lundi chez le MT si état fébrile persistant Poursuite traitement symptomatique Contrôle lundi chez le MT si état fébrile persistant Poursuite traitement symptomatique : péren-térol et nomorlytoral Contrôle demain chez le pédiatre si plusieurs épisodes de diarrhée et vomissements avec baisse de l'état général ou signe de déshydratation (expliqué) Conseil alimentaire et hydratation Poursuite traitement symptomatique : péren-térol et nomorlytoral Contrôle demain chez le pédiatre si plusieurs épisodes de diarrhée et vomissements avec baisse de l'état général ou signe de déshydratation (expliqué) Conseil alimentaire et hydratation Poursuite traitement symptomatique Contrôle chez le MT dans 48h Poursuite traitement symptomatique Contrôle dans 24h si alimentation diminuée/signe de détresse respiratoire/péjoration de l'état général/ Contrôle dans 48h chez le MT Poursuite traitement symptomatique, ne pas commencer le traitement antibiotique et contrôle ORL dans 48-72h Poursuite Triofan max 5j Rinçage nasal Dafalgan/Ibuprofen en réserve Contrôle chez le pédiatre dans 3j si persistance otalgie Poursuite Triofan pour un total de max 5j Rinçage nasal Dafalgan/Ibuprofen en réserve Contrôle chez le pédiatre dans 3j si persistance otalgie Poursuite tx à adapter au cours de l'hospitalisation CAVE probable hypercoagulabilité ---> mise en suspens du Sintrom ---> à risque d'EP ! Poursuite Tylénol 200 mg suppositoire max 4X/j i.r et Algifor junior sirop 5ml 3X/j max per os Nasivine spray nasal max 5 jours Contrôle mardi si état fébrile persistant (5j) Poursuite Vimpat Poursuite vit D 3 streuli Poursuivre avec le Pregomin AS Consignes d'éviction des protéines de lait de vache dans l'alimentation maternelle (à rediscuter avec la pédiatre) Suivi par pédiatre Poursuivre Dafalgan et Algifor en réserve Contrôle clinique à 48h si persistance de l'EF Poursuivre la marche en charge selon douleurs avec cannes anglaises. Xarelto prévu pour encore deux semaines. Poursuivre la vitamine D jusqu'à l'âge de 3 ans Appel chez le pédiatre dans la prochaine semaine et contrôle selon votre convenance Suivi avec sage-femme organisé dès le 30.12.2017 pour contrôle prise de poids US hanche le 27.01.2018 à Hôpital de Payerne Vaccination selon les recommandations suisses Poursuivre la vitamine D jusqu'à l'âge de 3 ans Contrôle dans 1 semaine chez le pédiatre avec deuxième dose de Konakion à J28 US hanche le 15.02.2018. Vaccination selon les recommandations suisses Dr. X Pascher, ORL, Rue St-Pierre 2, 1700 Fribourg (avec demande de convocation à 3 mois corrigés pour des PEA). Poursuivre la vitamine D jusqu'à l'âge de 3 ans Contrôle dans 1 semaine chez le pédiatre US hanche à 44 SG. Vaccination selon les recommandations suisses Poursuivre l'antibiothérapie jusqu'au 29.12.2017 comme prévu. Contrôle clinique chez le médecin traitant, à fixer par le patient Poursuivre le traitement avec Furadantin et réévaluation chez son médecin. Poursuivre la vitamine D jusqu'à l'âge de 3 ans Contrôle dans une semaine chez le pédiatre Vaccinations selon des recommandations suisses Poursuivre les séances de dialyse comme convenu Poursuivre toilette nasale, sérum physiologique, Nasivine spray max 5 jours Dafalgan 150 mg max 4X/j en réserve si état fébrile ou douleur Algifor en réserve si état fébrile ou douleur Poursuite ABT avec Co-Amoxi jusqu'au 02.12.2017 Poussée arthrose le 23.01.2018. Poussée de croissance douloureuse DD : oligo-arthrite juvénile au niveau des deux genoux et chevilles (principalement genou gauche) Poussée de goutte au pied gauche. Péricardite en 1994, traitement antibiotique. Poussée de goutte au pied gauche. Péricardite en 1994, traitement antibiotique. Poussée de goutte au pied gauche. Péricardite en 1994, traitement antibiotique. Poussée de polyarthrite rhumatoïde séronégative le 23.01.2018 • traitement habituel de Plaquenil 200 mg Poussée d'eczéma de la cheville droite le 12.04.2017. DD : psoriasis. Poussée hypertensive Poussée hypertensive asymptomatique. Poussée hypertensive (dans un contexte d'état anxieux). Poussées hypertensives Poussées hypertensives. Poursuite Ciproxine jusqu'au 12.01.2018 (comme prévu initialement) Poxclin crème, Feniallerg Poursuite traitement symptomatique Conseils alimentaires et hydratation Contrôle si péjoration de l'état général/signes de déshydratation Dr. X traité par les sels d'or dans le passé, actuellement sous Xeljanz Refuse les transfusions de sang Dr. X traité par les sels d'or dans le passé, actuellement sous Xeljanz Refuse les transfusions de sang Asthme Pneumopathie nodulaire progressive avec épanchement pleural type exsudat (DD Sarcoïdose) chez le patient connu pour PR séropositive : CT du 13.12.2017 : Nodules pulmonaires. Pet scan à la recherche d'un lymphome, repoussé pour plus tard, à faire si besoin selon les résultats de la ponction et la broncoscopie Ponction de son épanchement sous US le 17.01 : fait sous US, pas de complication Broncoscopie avec BAL le 19.01 - résultats en attente Bilan connectivite, VS, FAN Prédiabète le 11.01.2018 • HbA1c à 6.1 % Prednison 50 mg 1x/jour jusqu'au 02.02.2018. Prednisone du 05.01.18 au 12.01.18 Prednisone per os 40 mg/jour du 01.01.2018 au 05.01.2018 Colchicine cp 0.5 mg/jour dès le 02.01.2018 Antalgie avec opiacés jusqu'au 09.01.18 Prednisone pour un total de 3j Fébrifuge en réserve Conseils d'usage pour faux-croup donnés Prednisone 20 mg 1x/j pour 7 jours dès le 19.01.2018 Si nécessaire, prévoir une consultation diététique en ambulatoire Prednisone 40 mg 1x/jour pendant 3 jours. Xyzal 5 mg 1x/jour pendant 7 jours. Reconsulter en cas de péjoration : avec atteinte respiratoire. Ad consultation allergologique pour enquête. Prednisone 50 mg 1x/j pendant 2-3j. Ventolin 4 push en réserve. Ibuprofen 600 mg et Dafalgan 1 g en réserve. Contrôle si péjoration ou persistance > 3j. Pré-éclampsie Pré-éclampsie. Pré-éclampsie HELP syndrome en mai 2005. Status post-3 accouchements par césarienne, le dernier le 27.05.2011 à 29 semaines de grossesse d'un bébé de 940 g. Status post-cholécystectomie. Bypass gastrique le 18.12.2017. Pré-éclampsie légère Pré-éclampsie légère Pré-éclampsie modérée Pré-éclampsie modérée à 34 5/7 semaines d'aménorrhée Pré-éclampsie modérée à 36 2/7 semaines d'aménorrhée le 04.01.2018 • grossesse gémellaire, sur FIV, primigeste, diabète gestationnel Pré-éclampsie sévère avec HELLP syndrome Prélèvement au sachet Stix et sédiment urinaire Urocult à pister Nopil 10 ml 2x/j pendant 5 jours Prélèvement avec examen bactériologique confirmant le diagnostic Instauration de Métronidazole pour une durée de 14 jours Prélèvement de tissu ovarien par laparoscopie chez une patiente vierge de 16 ans dans le cadre d'une leucémie myéloïde aiguë le 03.01.2018. Prélèvement du liquide de ponction, bursite coude G du 28.12.17 : Ponction stérile. Leucocytes +++. Pas de bactérie mise en évidence. Prélèvement d'urine avec sondage urinaire. Sédiment urinaire 6-10 leuco/champ, pas d'érythrocytes. Stix urinaire: pas de nitrites Urotube en cours Prélèvement le 29.12.2017 : Corynebacterium macginleyi, staph. capitis, Staph. caprae, Staph. epidermidis, staph. viridans Floxal gouttes dès le 30.12.2017 Prélèvement le 29.12.2017 : Corynebacterium macginleyi, staph. capitis, Staph. caprae, Staph. epidermidis, staph. viridans Floxal gouttes du 30.12.2017 au 09.01.2018 Prélèvement le 29.12.2017 : Actinomyces sp., Staph. haemolyticus Pevaryl crème dès le 30.12.2017 Prélèvements bactériologiques. Bilan biologique. Transfert à l'HFR Fribourg pour bilan angiologique le 05.01.2018 et suite de la prise en charge. Prélèvements masse Prématuré Prématuré de 28 0/7 SG, PN 1200 gr (P50-75), TN 36 cm (P25-50), PCN 26 cm (P50). • S/p MMH • S/p Hypoplasie pulmonaire • S/p Hypotension • S/p Anémie de prématurée • S/p Infection urinaire à S. Epidermidis sur cathéter vésical. • S/p Pneumonie à S. aureus • S/p Hyperbilirubinémie Prématuré de 28 0/7 SG, PN 1200 gr (P50-75), TN 36 cm (P25-50), PCN 26 cm (P50). Jumeaux bichoriaux-biamniotiques (Jumelle 1) Entrée J58, 36 2/7 SG, poids entrée 2750 gr Prématuré de 32 2/7 SG; PN 1545 gr (P 10-25); TN 40 cm (P 10-25); PC 29 cm (P 25-50) Prématuré de 32 2/7 SG, PN 1830 gr, PC 30.5 cm Prématuré de 34 semaines pour un Syndrome HELLP maternelle sans complications. Poids de naissance 1700 gr. Pas de RCIU. Prématuré de 34 2/7 SG, PN 2160 g (P25-50), TN 46 cm (P25-50), PCN 28 cm (P<3) À l'entrée : J0, 40 minutes de vie, poids 2160 g • S/p Wet-lung traité par CPAP au masque pendant 35 min en salle d'accouchement • Syndrome Bradyapnéique post wet-lung • S/p Suspicion d'infection néonatale infirmée par hémocultures • S/p Hypoglycémie néonatale (min. 2.1 mmol/l) • S/p Canal artériel persistant avec fermeture spontanée • S/p Hyperbilirubinémie non conjuguée (Bili tot. max. 176 umol/l) Prématuré de 35 semaines. PN de 2.250 Kg. Suivie par la sage-femme avec une bonne prise de poids depuis la naissance d'environ (environ 12.4 g/jour) Prématuré de 35 0/7, PN 2260 g (P10-25), TN 45 cm (P3), PCN 32 cm (P25) Prématuré de 36 5/7 SG, PN 2830 g (P25-50), TN 48 cm (P10-25), PCN 32.5 cm (P10-25). Hypothermie (min 36.0°C rectale) DD prématuré tardif Difficultés alimentaires de prématuré premières 24h Prématuré modéré 33 1/7 semaines (correction échographique) PN à 2140 g (P50), PCN à 32.5 cm (P60), TN 45 cm (P60) prématuré né à 30 sem Prématuré 29 6/7 SA, PN 1580 g (P75); hospitalisation en néonatologie à Berne dès la naissance (voir lettre de transfert de Berne), avec : • Syndrome de détresse respiratoire : CPAP de J0 à J4 • Syndrome bradypnéique du prématuré : Citrate de caféine dès J5 • Hyperbilirubinémie s/p plusieurs bronchiolites, traitées par Ventolin et Betnesol. Pas d'hospitalisation ni O2. Prématuré 34 3/7 SG, PN 2400 g (P50-90) • SDR à la naissance • Hypoglycémie néonatale J1 • Hyperbilirubinémie indirecte CPAP les 15 premières minutes O2 au 10.12.10 Perfusion G10% 60 ml/kg/j progressivement diminuée et stoppée le 12.12.10 Alimentation précoce avec MD/LM/Pregomin Konakion 0.5 mg iv le 10.12.10 Oléovit 1 goutte/j dès J4, photothérapie du 13-15.12.10 et du 20-21.12.10 Prématurée de 32 4/7 SG, PN 1725 g (P 25-50), TN 42 cm (P 25-50), PC 29.5 cm (P 25-50) Prématurée de 32 6/7e SG, PN 2140 g (P 50-90), TN 43 cm (P 50), PCN 32.5 cm (P 75-90) Hyperbilirubinémie néonatale (Bili max. 206 umol/l) sur prématurité Suspicion d'infection néonatale sur colonisation maternelle par E. coli et RPM > 72h Syndrome d'apnées-bradycardies du nouveau-né Wet-lung Malaises cyanotiques sur probable reflux gastro-oesophagien Ictère au lait maternel (Bili totale max. 101 umol/l) Prématurée de 34 1/7 SG, PN 2555 g (P50-25), TN 45.5 cm (P50-25), PCN 32 cm (P50-75) Prématurée 33 1/7 SG, PN 2290 g (P50-75), TN 48 cm (P75) Syndrome de détresse respiratoire sur maladie des membranes hyalines Syndrome brady-apnéique du prématuré Hyperbilirubinémie non conjuguée 05.2013 OMA EF sans foyer avec paramètres inflammatoires au labo 07/2013 Probable coxsackie débutant Prématurée 35 2/7 SG, PN 1550 g (P<3), TN 41 cm (P<3), PC 29.5 cm (P3) • RCIU harmonieux d'origine indéterminée • Communication interventriculaire musculaire avec souffle systolique max. à 3/6, irradiation dorsale et légère hypertension pulmonaire à l'US • Difficultés alimentaires du prématuré S/p Pneumonie le 04.01.18 --> traitée en Portugal par Clamoxyl pendant 8 jours jusqu'au 12.01.18 Prématurité Prématurité à 34 5/7 SA (hospitalisation du 22.12.2016 au 03.01.2017 pour prise en charge de la prématurité et apprentissage alimentaire) Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite RSV Prématurité à 36 6/7 SA, PN 1990 g (