• US inguinal le 10.10.2017 : adénopathie inguinale bien vascularisée mesurant 30x15x17 mm au niveau inguinal droit • PET CT : adénopathies inguinales et iliaques externes droite, sans autre métastase viscérale • Curage inguino-crural et ilio-obturateur droit radical, drainage redon le 28.11.2017 par le Dr. X à Lausanne. • Biopsie de l'adénopathie inguinale droite 25.10.2017 positive pour métastase du mélanome connu • Dermo-hypodermite en regard du site opératoire traitée par antibiothérapie. Epilepsie. Obésité morbide (BMI 42 kg/m2). Hypothyroïdie. TVP récidivantes sous Sintrom. Fracture/tassement de D12, ancienne. Trouble de l'humeur [affectif], sans précision (structure psychotique de la personnalité qui décompense sur un mode dépressif, sous traitement antidépresseur et antipsychotique). Infection hématogène tardive de PTH gauche à Salmonella avec bactériémie le 03.02.2018. Mélanome Breslow 0.45 de la jambe droite en mai 2017, compliqué d'un ulcère de Marjolin, traité et suivi au CHUV. Métastases inguinales et iliaques droites d'un mélanome Breslow 1 mm, Clark III, pré-tibial droit non ulcéré, avec 1 mitose par mm2, pT1a p N2b c M0 stade IIB : • biopsie le 11.05.2017 • excision complète avec recherche du ganglion sentinelle le 27.06.2017 • proposition d'un suivi clinique et ultrasonographique trimestriel avec CT scan semestriel et IRM annuelle • US inguinal le 10.10.2017 : adénopathie inguinale bien vascularisée mesurant 30x15x17 mm au niveau inguinal droit • PET CT : adénopathies inguinales et iliaques externes droite, sans autre métastase viscérale • curage inguino-crural et ilio-obturateur droit radical, drainage redon le 28.11.2017 par le Dr. X à Lausanne. • biopsie de l'adénopathie inguinale droite 25.10.2017 positive pour métastase du mélanome connu • dermo-hypodermite en regard du site opératoire traitée par antibiothérapie. Epilepsie. Obésité morbide (BMI 42 kg/m2). Hypothyroïdie. Thromboses veineuses profondes récidivantes sous Sintrom. Fracture/tassement de D12, ancienne. Trouble de l'humeur [affectif], sans précision (structure psychotique de la personnalité qui décompense sur un mode dépressif, sous traitement antidépresseur et antipsychotique). Infection hématogène tardive de PTH gauche à Salmonella avec bactériémie le 03.02.2018. Ralentissement psychomoteur. Mélanome en 2016 derrière l'oreille droite avec résection. Mélanome. Métastase pulmonaire G du mélanome 12/10 exérèse en 2010 actuellement en rémission. Tremor essentiel. Mélanome métastatique. Mélanome métastatique au niveau cérébral, pulmonaire et ganglionnaire : • IRM du 03.04.2018 : lésion pariétale de 1 cm de diamètre au niveau pariétal droit, • IRM du 20.06.2018 : augmentation de taille de la lésion pariétale à environ 3 cm avec œdème péri-lésionnel avec déviation de la ligne médiane et apparition d'une nouvelle lésion frontale, • dernière dose de Nivolumab le 07.06.2018. Mélanome orbitaire gauche en traitement à Lausanne par Dr. X : • Diagnostic en 03.2018 • Traitement par Avastin (Bevacizumab), dernière dose 26.06.2018. Méléna. Méléna. Méléna. Méléna. Méléna. Méléna. Méléna. Méléna. Méléna avec Hb 71 g/l le 24.06.2018 • projet thérapeutique limité (DA) DD hémorragie gastro-intestinale haut vs. basse. Méléna et diarrhées. Méléna (2 épisodes) sur probable saignement digestif post-OGD le 20.06.2018. Mr. Y présente une laryngite très certainement virale, mais étant donné la rapidité avec laquelle le statut respiratoire s'est normalisé après aérosol d'adrénaline et prednisone, il y a probablement une composante de spasme laryngé sur stress dans le contexte de difficultés respiratoires grandissantes. Le statut respiratoire reste dans la norme 4h après l'adrénaline, avec une bonne entrée d'air, disparition du stridor et de la détresse respiratoire. Mr. Y peut rentrer à domicile, avec de la prednisone en réserve pour 3 jours si les difficultés respiratoires devaient récidiver. Nous recommandons un contrôle chez le pédiatre dans 48h en cas de persistance des symptômes, et de reconsulter avant aux urgences si la respiration devait se péjorer à nouveau. Mme. Y est la jumelle J2 d'une grossesse gémellaire bi-choriale et bi-amniotique, qui est hospitalisée à 3 heures de vie (après peau à peau avec les parents) en raison du petit poids de naissance et de la prématurité. Sur le plan alimentaire, afin de prévenir une hypoglycémie en raison de son poids, nous proposons une alimentation précoce et des contrôles glycémiques dans les normes. En raison de difficultés alimentaires, elle nécessite une sonde naso-gastrique du 08.06 au 21.06.2018. Sur le plan de la croissance, elle perd un maximum de 5% de son poids de naissance, qu'elle récupère à J8, avec un poids de sortie de 2170 g. Elle reçoit le Konakion à J1 et J4 et nous vous laissons le soin de l'administrer à J28. Le Guthrie est fait à J4 et J14. Elle reçoit la vitamine D dès J8. Les oto-émissions acoustiques sont réussies. En raison de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 22.06.2018, au 15è jour de vie, soit 37 3/7 SA. Membre supérieur gauche : syndrome croix d'intersection, tendinite EPL. Syndrome canal carpien ddc. Arthrose cervicale. Mme. Y présente une angine fébrile non streptococcique pour laquelle nous majorons le traitement antalgique avec le rajout de l'AINS au Paracétamol. Durant la permanence aux urgences elle arrive à avaler l'Ibuprofène et le Paracétamol sous forme de sirop. Elle mange une glace et s'hydrate un peu par la bouche. Au vu d'un excellent état général et de la reprise de l'alimentation/hydratation, nous la laissons rentrer au domicile avec suivi des apports alimentaires et hydriques et nouvelle consultation en urgences si ceux-ci devaient être pas satisfaisants (moins que la moitié des apports normaux). Menace d'accouchement prématuré à 28 2/7 semaines d'aménorrhée (terme prévue le 28.08.2018), chez une patiente de 20 ans primigeste. Menace d'accouchement prématuré à 32 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 30 ans, 4G2P. Menace d'accouchement prématuré chez une patiente de 28 ans, 6G1P, à 27 3/7 semaines d'aménorrhée le 08.06.2018. Menace d'accouchement prématuré légère à 32 SA 6/7, traitée par Adalat et cure de Celestone. Status post-accouchement par voie basse à terme (fille, 3340 grammes) en 2006. Menace d'accouchement prématuré sévère à 26 semaines d'aménorrhée chez une patiente 1G 0P. Grossesse marquée par la présence d'une omphalocèle porteur d'une pointe hépatique. Menace d'accouchement prématuré sévère à 27 2/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente G1P0 de 33 ans. Menace d'accouchement prématurée. Menace d'accouchement prématurée, chez patiente de 38 ans, 5G3P à 32 4/7 semaines d'aménorrhée. Menace d'accouchement prématurée modérée avec col raccourci à 17 mm dans un contexte de syndrome grippal sur probable rhinopharyngite chez une patiente 3 gestes, 0 pare à 27 5/7 semaines d'aménorrhée. Menace de fausse couche précoce à 7 3/7 SA chez une patiente 3 gestes 1 pare. Menace de fausse couche tardive à 17 SA 6/7 avec métrorragies spontanées sur placenta praevia marginal, chez une patiente de 30 ans primigeste. Menace de fausse couche tardive à 20 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 29 ans, 3G0P. Menace suicidaire. Menace suicidaire : • avec alcoolisation aiguë. • dans un contexte de trouble bipolaire (dernière hospitalisation à Marsens 06-09.2017). Menaces suicidaires. Menaces suicidaires et hétéro-agressivité le 14.06.2018. Ménarche à 14 ans. Ménopause: encore réglée. Cycles: normaux, métrorragies. Dysménorrhée: depuis 2 mois. PAP fait en novembre 2012, en ordre. 1999: status post accouchement par voie basse d'une fille pesant 3000 g. 2000: péritonite appendiculaire avec résection iléo-caecale. 2006: status post accouchement par voie basse d'une fille pesant 2700 g. 2007: status post césarienne d'un garçon pesant 2500 g à 36 semaines. 2008: Status post interruption volontaire de grossesse et stérilisation tubaire. Utérus adénomyosique et poly-myomateux symptomatique chez une patiente 4G 3P de 43 ans avec: • Adhésiolyse pariéto-épiploïque. • Hystérectomie conservatrice des ovaires par laparoscopie. Tendinopathie du tendon d'Achille gauche d'origine indéterminée. Traitement symptomatique par Dafalgan, Ibuprofen. Repos. Suite de prise en charge par le médecin traitant pour investigations complémentaires (US, IRM?). Douleur bas ventre chronique • stp hystérectomie, césarienne il y a plusieurs années. Lombalgie aiguë non déficitaire (sans red flag). Méningiome atypique OMS grade II fronto-temporal droit (récidive) le 01.06.2018 • Craniotomie pour méningiome fronto-temporal droit le 21.05.2005 • Radiochirurgie pour récidive frontale le 04.02.2014 • Radiochirurgie par Gamma-knife pour récidive temporale osseuse le 19.12.2017. Méningiome de la convexité frontale postérieure gauche, OMS grade I. Méningiome de la convexité pariétale droite avec craniotomie pariétale droite et exerèse complète de la tumeur le 08.06.2018 • découvert fortuitement en 2014 (asymptomatique), opéré en 2018 en raison d'une augmentation de taille. Diabète type 2 non insulino-dépendant, sous Metfin. Dyslipidémie traitée. Méningiome de la convexité pariétale droite avec craniotomie pariétale droite et exerèse complète de la tumeur le 08.06.2018 • méningiome découvert fortuitement en 2014 (asymptomatique), surveillé par le Dr. X, IRM (2018) montre une augmentation de la taille (plus que doublé) en comparaison avec la taille en 2014, toujours asymptomatique. Ad opération. Méningiome du planum sphénoïdal asymptomatique de 20 mm de diamètre, DD macro-adénome. Méningiome fibreux OMS grade I de la convexité pariétale droite. Méningiome pariétal gauche 1 cm le 04.06.2018. Méningiome. Arthrite rhumatoïde. Sténose carotidienne sous xarelto. Méningite à entérovirus. Meningite bactérienne. Méningite d'origine virale probable le 15.06.2018. DD: • Sinusite. • Hypertension intracrânienne idiopathique. • FSME. • Neuroborréliose. Méningite en 1983. Phakectomie droite. Hystérectomie. Surinfection au niveau de l'avant-droit sur corps étranger pénétrant il y a plus de 2 semaines. Méningite tuberculeuse à l'âge de 28 ans. Status post-opération du sein pour suspicion de tumeur maligne en 2006. Méningite tuberculeuse à l'âge de 28 ans. Status post-opération du sein pour suspicion d'une tumeur maligne en 2006. Méningite virale à germe indéterminé. Méningite virale le 19.06.2018. Méningo-encéphalite à tiques (FSME) le 18.06.2018. Méningo-encéphalite virale de germe indéterminé le 15.06.2018 • CT cérébral le 15.06.2018 : absence d'hémorragie, absence d'ischémie • IRM cérébral le 15.06.2018 : pas d'ischémie, pas d'hémorragie, rehaussement leptoméningé très discret • Ponction lombaire le 15.06.2018 : PCR virale (VZV, HSV, CMV) négative, pléiocytose 6/ml. • EEG le 16.06.2018 : foyer de ralentissement en fronto-temporal gauche pouvant évoquer une encéphalopathie, pas de signaux épileptiques. Méniscectomie bilatérale il y a 30 ans. Méniscectomie partielle du genou gauche en 2011 Entorse MCP I à G en mai 2015; probable instabilité MCP I à D, chronique. Ménisectomie du genou droit le 08.05.2018 Séminome testiculaire diagnostiqué en 1977, traité par chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie au CHUV avec : • lymphadénectomie du membre inférieur droit et para-aortique. Résection ulcère gastrique en 1980. Hydrocèle du testicule gauche. Cure d'hernie discale L3-L4 droite extra-foraminale (opération le 23.07.2013). Hypokaliémie le 04.06.2017. Décompensation de lymphoedème le 23.03.2018. Sepsis sur érysipèle du membre inférieur droit le 06.10.2016. Choc septique sur érysipèle du membre inférieur droit le 31.12.2013. Érysipèle du membre inférieur droit sur lymphoedème chronique en mars 2011. Ménométrorragies. Ménométrorragies dans un contexte de fibrome utérin intramural antérieur FIGO II-III chez patiente de 32 ans nulligeste. Ménométrorragies pré-ménopausiques sur utérus polymyomateux chez patiente 3G2P de 46 ans. Ménométrorragies pré-ménopausiques sur utérus polymyomateux chez patiente 3G2P de 46 ans. Ménométrorragies sur utérus myomateux chez une patiente 1G1P de 37 ans. Ménopause en 2003 et status post-ligature des trompes. Interventions abdominales gynécologiques X en 2011 et 2012. Crise d'angoisse le 01.09.2013. Décompensation psychotique avec délire de persécution et hospitalisation à Marsens le 21.04.2016. Epistaxis 07.2014. Vertiges sur hypotension orthostatique le 20.07.2016. Polypes endométriaux en post-ménopausiques • HSC opératoire et résection de 2 polypes glandulo-kystiques et de 2 polypes sessiles envoyés pour analyse. Douleurs abdominales sus-pubiennes avec sang frais sur les selles le 28.10.2016 • sur douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée. Fracture L1 type A3; le 16.08.2017 sur AVP • Cyphoplastie L1 par système SpineJack 5.0 + ciment Cohésion le 23.08.2017. Ménopause substituée sous Livial. Facteurs de risque cardiovasculaire : • Hypertension artérielle • rétinopathie hypertensive stade I • Hypercholestérolémie • Anamnèse familiale positive Lombo-sacralgies chroniques sur troubles statiques et dégénératifs • discopathies L4/L5 et L5/S1, scoliose thoraco-lombaire Troubles anxieux (lexotanil en réserve). Gonarthrose gauche. Ménorragie. Ménorragie le 13.06.2018. Ménorragies. Ménorragies invalidantes sur probable myome utérin sous-muqueux chez patiente 4G4P de 48 ans. Ménorragies sur myomes utérins. Ménorragies. Anémie ferriprive substituée. Épaississement endométrial d'origine indéterminée avec bêta-HCG sérique indétectable. Meopa. Désinfection. Anesthésie locale. Exploration de la plaie. Rinçage abondant de la plaie. Pansement avec sterii-strip. MEOPA/Lidocaïne injection. Anesthésie générale. Exploration plaie. Désinfection Hibidil/NaCl 0.9%. Suture Vicryl Rapide 5.0 (3 points). Co-Amoxiciline 50 mg/kg/j pendant 8 jours. Consilium ORL: Dr. X. Consilium anesthésie. Mepilex. Merci d'organiser un suivi neurovasculaire (Dr. X, Delémont). Mère : Mme. Y 23.09.1988, G1P1, 41 SA, groupe sanguin O positif. Grossesse: spontanée, sérologies : Rub +, HIV -, TPHA -, Hbc -, Hba -, Strepto B positif, AC -, CMV -. Mère avec dépression sous traitement avec Sertraline 50 mg per os. 2 tentatives de suicide pendant la grossesse hospitalisée à Marsens sous traitement avec Haldol, Sertraline, Temesta (Haldol a été stoppé le 01.09.2016, 3 jours avant l'accouchement). Convulsion néonatale avec foyer EEG lobe gauche. Mère: rhésus négatif. Nouveau-né: rhésus négatif. Mère: rhésus négatif. Nouveau-né: rhésus négatif. Mère: rhésus négatif. Nouveau-né: rhésus positif. Ad Rhophylac 300 mcg iv le 12.06.2018. Mère: rhésus négatif. Nouveau-né: rhésus positif. Rhophylac 300 mcg en intraveineux fait le 17.06.2018. Méropénème du 18.04 au 20.04.2018. Mésothéliome malin droit cT1 pN0 M0 • Date du diagnostic : 01.06.2017 sur biopsie pleurale • Histologie (Promed P6186.17) : plaque pleurale à gauche, lésion tumorale mésothéliale en partie de type épithélial avec signe d'infiltration du tissu stromal à droite et ganglion des aires 4L, 7, 4R et station 2R sans tissu néoplasique.CT thoracique du 08.05.2017 : épaississement de la plèvre du poumon droit avec épanchement pleural résiduel après ponction. Quelques lésions nodulaires de la plèvre du côté controlatéral • PET-CT du 13.06.2017 : intense hypercaptation pleurale droite sans lésion métastatique locorégionale ou à distance • Status post-thoracoscopie bilatérale avec biopsie pleurale le 01.06.2017 • Status post-médiastinoscopie le 16.06.2017 • Status post-ponction évacuatrice de 2 litres de liquide citrin le 08.05.2017 (cytologie négative) • Status post-cure de Platinol et Alimta le 13.07.2017 puis 2 cures de Paraplatine et Alimta les 03.08 et 24.08.2017 • PET-CT de contrôle après 3 cures : diminution de 33% de la captation pleurale droite • IRM cérébrale pour des céphalées du 08.09.2017 : sans mise en évidence de lésion tumorale • CT thoracique du 18.08.2017 : aspect stable de l'épaississement pleural bourgeonnant circonférentiel • Pleurectomie D avec décortication pleurale et résection du péricarde et du diaphragme D ainsi que lymphadénectomie médiastinale radicale le 18.10.2017 puis réadaptation à Billens du 25.11 au 30.11.2017 • poursuite évolutive précoce dès le 29.11.2017 • CT scanner thoraco-abdomino-pelvien du 29.11.2017 : augmentation en taille de la masse tissulaire médiastino-pleurale droite en rapport avec une progression tumorale • EBUS et biopsie le 01.12.2017 • cytologie (Promed C2017.5531) : cellules du mésothéliome malin épithélioïde connu • Prise en charge palliative par radiothérapie décompressive au niveau de l'œsophage jusqu'au 31.01.2018 • Actuellement : état fébrile récidivant Mésothéliome malin droit cT1 pN0 M0 • Date du diagnostic : 01.06.2017 sur biopsie pleurale • Histologie (Promed P6186.17) : plaque pleurale à gauche, lésion tumorale mésothéliale en partie de type épithéliale avec signe d'infiltration du tissu stromal à droite et ganglion des aires 4L, 7, 4R et station 2R sans tissu néoplasique • CT thoracique du 08.05.2017 : épaississement de la plèvre du poumon droit avec épanchement pleural résiduel après ponction. Quelques lésions nodulaires de la plèvre du côté controlatéral • PET-CT du 13.06.2017 : intense hypercaptation pleurale droite sans lésion métastatique locorégionale ou à distance • Status post-thoracoscopie bilatérale avec biopsie pleurale le 01.06.2017 • Status post-médiastinoscopie le 16.06.2017 • Status post-ponction évacuatrice de 2 litres de liquide citrin le 08.05.2017 (cytologie négative) • Status post-cure de Platinol et Alimta le 13.07.2017 puis 2 cures de Paraplatine et Alimta les 03.08 et 24.08.2017 • PET-CT de contrôle après 3 cures : diminution de 33% de la captation pleurale droite • IRM cérébrale pour des céphalées du 08.09.2017 : sans mise en évidence de lésion tumorale • CT thoracique du 18.08.2017 : aspect stable de l'épaississement pleural bourgeonnant circonférentiel • Pleurectomie D avec décortication pleurale et résection du péricarde et du diaphragme D ainsi que lymphadénectomie médiastinale radicale le 18.10.2017 puis réadaptation à Billens du 25.11 au 30.11.2017 • poursuite évolutive précoce dès le 29.11.2017 • CT scanner thoraco-abdomino-pelvien du 29.11.2017 : augmentation en taille de la masse tissulaire médiastino-pleurale droite en rapport avec une progression tumorale • EBUS et biopsie le 01.12.2017 • cytologie (Promed C2017.5531) : cellules du mésothéliome malin épithélioïde connu • status post-radiothérapie décompressive au niveau de l'œsophage en janvier 2018 • second avis auprès du Dr. X au CHUV : indication à une immunothérapie de 2ème ligne par pembrolizumab, non réalisée au vu de l'état général du patient et du souhait du patient • actuellement : prise en charge symptomatique uniquement • suivi par le Dr. X Mesure de la tension artérielle au MSD mesure de l'HbA1c à effectuer Mesure TA MSD Métastase cérébrale frontale D d'un carcinome épidermoïde (pulmonaire) • Craniotomie frontale droite et exérèse macroscopiquement complète d'une métastase (OP Dr. X) le 11.05.2018 découverte le 24.04.2018 dans le cadre du diagnostic 1 : • Diagnostic anatomopathologique (P2018.5398) : métastase cérébrale d'un carcinome épidermoïde kératinisant en partie nécrosé, mesurant 4 x 3 x 1.2 cm avec infiltration de tissu glial sur plusieurs fragments • Prophylaxie péri-opératoire avec Zinacef du 11.05. au 12.05.2018 • Clinique à l'entrée à Meyriez : ralentissement psychomoteur, héminégligence gauche, hémisyndrome pyramidal gauche à prédominance brachiale, syndrome de Parinaud Métastases cérébrales probables sur carcinome oesogastrique le 10.06.2018 • pas de signe d'engagement Métatarsalgie. Métatarsalgie de surcharge au niveau du pied G avec suspicion de Morton au niveau du 3ème espace interdigital. Métatarsalgie de surcharge au niveau du pied G avec suspicion de Morton au niveau du 3ème espace interdigital. Métatarsalgie du pied D. Hallux valgus. Arthrose au niveau de l'articulation du Lisfranc et du Chopart. Métatarsalgie du 1er rayon du pied D. DD : Turf Toe Métatarsalgie du 3ème rayon pied G. Status post hallux valgus à G, 2ème orteil en marteau, surlongueur du 2ème métatarse pied G le 06.03.2018. Métatarsalgie du 4ème rayon, névrome de Morton de la 3ème commissure et gêne sur arthrodèse métatarso-phalangienne 1 du pied gauche. Suture du tendon extenseur de l'index de la main gauche. Cure de hernie discale en 2010. Exostosectomie de l'apophyse radiale en 1998. Prothèse totale de la hanche droite en 2013. Arthroscopie de l'épaule droite en 1998 pour arrachement ligamentaire et en 2010 pour excroissance. Ostéotomie de raccourcissement des 2ème et 3ème orteils des deux pieds en 2000. Cure d'épicondylite du coude droit en 2003. Dermohypodermite de la face, localisation temporale droite prenant l'oreille, le 06.07.2015, traitée par antibiotique. Status post-arthrodèse de la MTP1 et ostéotomie de Weil du 2ème et 3ème rayon en 2013. Métatarsalgies de surcharge rayons 4-5 pied G. Métatarsalgies 5ème métatarse ddc. Metatarsus adductus G. Météorisme connu, sous Flatulex Metfin en suspens. Hydratation d'au minimum 2 litres d'eau par jour per os. Metformine en suspens dès le 16.05.2018 Schéma de correction d'insuline en réserve Metformine en suspens dès le 25.05.2018 (contexte d'insuffisance rénale) Schéma de correction d'insuline en réserve Metformine 1000 3x/jour en pause le 18.06.2018 Jardiance en pause le 18.06.2018 Suivi glycemie et schéma correcteur Metformine 500mg 2x/j Insuline Insulatard 14UI le matin Consultation diabétologique Consultation ambulatoire avec infirmière en diabétologie le 18.06.2018 à 11 heures Methotrexate stoppé, proscrit à vie Avis hématologique le 12.06.2018 (Dr. X) Avis pharmacologique le 12.06.2018 (Dr. X) Neupogen 30 MIo U dès le 12.06.2018 Leucovorin 25 mg 4x/j dès du 13.06 au 15.06.2018 Taux résiduel de Methotrexate fait 14.06.2018 <0.04 umol/L (mais n'exclut pas une réaction idiosyncrasique) Metoprolol, Lisinopril ; réévaluation de la médication par le cardiologue après échocardiographie ambulatoire Coronarographie le 26.05.2018 (HFR) : pas de lésion coronaire significative ETT le 01.06.2018 : FEVG à 45-50%. Contrôle échocardiographie et consultation cardiologique chez Dr. X le mercredi 11.07.2018 à 16h Metoprolol, Lisinopril ; réévaluation de la médication par cardiologues après échocardiographie ambulatoire Coronarographie le 26.05.2018 (HFR) : pas de lésion coronaire significative ETT le 01.06.2018 : FEVG 45% à 50%. Contrôle échocardiographie et consultation cardiologique chez Dr. X le mercredi 11.07.2018 à 16hMetoprolol, Lisinopril, Torasemide Coronarographie le 26.05.2018 (HFR): pas de lésion coronaire significative ETT le 01.06.2018: FeVG à 45% à 50%. IRM cardiaque demandée Contrôle avec échocardiographie à la consultation du Dr. X à organiser dans un mois Metoprolol 20 mg IV et 50 mg PO aux urgences NaCl 1000 ml aux urgences ECG, le 09.06.2018 Poursuite du traitement avec Xarelto 20 mg 1x/J et Metoprolol 50 mg 1x/J Metronidazol 500 mg 3x/j PO du 05.06.2018 au 16.06.2018 Vancomycine per os du 18.06.2018 au____ (pour 15 jours) Avis infectiologique (Dr. X) Métrorragie du premier trimestre sur grossesse gémellaire hétérotopique: une grossesse intra-utérine à 5 semaines d'aménorrhée et une grossesse cervicale à 5 semaines d'aménorrhée chez une patiente 7 gestes nullipare de 29 ans. Métrorragies Métrorragies Métrorragies Métrorragies abondantes. Métrorragies abondantes depuis le 12.06.2018 sur probable grossesse extra-utérine. DD : fausse couche. Date des dernières règles le 05.05.2018, patiente nulligeste. Métrorragies au 1er trimestre de grossesse Métrorragies du 1er trimestre sur décollement du pôle inférieur, chez une patiente de 30 ans, 3G1P, actuellement sous aspirine depuis 3 jours. Métrorragies et douleurs abdominales Métrorragies post-interruption médicamenteuse volontaire de grossesse Métrorragies post-ménopausiques chez une patiente 1G1P de 65 ans Métrorragies post-ménopausiques sur hypertrophie endométriale à 19 mm chez une patiente nulligeste de 48 ans Métrorragies sur placenta praevia recouvrant post rapport sexuel, chez une patiente de 23 ans, primigeste à 17 SA 1/7. Tiraillements Métrorragies sur rétention de matériel trophoblastique chez une patiente 2G1P de 34 ans, status post interruption volontaire de grossesse médicamenteuse par Mifegyne le 17.06.2018 et Cytotec le 19.06.2018 MGF type I Microalbuminurie et hématurie microscopique le 06.06.2018 DD: dans le contexte des règles, atteinte rénale dans le contexte de la connectivite indifférenciée peu probable Microbiologie : cf. copie ci-jointe. Microbiologie : K. pneumoniae R à l'ampicilline Ceftriaxone dès le 21.06.2018 Flagyl dès le 26.06.2018 Microcéphalie avec un périmètre crânien de naissance de 32 cm (6h), la thrombolyse n'a pu être réalisée. Une IRM cérébrale ne met pas en évidence d'autres lésions ni de sténose significative des carotides. Son traitement anti-hypertenseur est mis en suspens, et un traitement par aspirine et statines est introduit. La patiente nous est ensuite transférée pour la suite de prise en charge. Durant son hospitalisation dans notre service, elle note une amélioration de sa vision au niveau de l'hémichamp gauche de l'œil gauche. Sur avis des neurologues, la conduite est contre-indiquée. Nous proposons à son ophtalmologue traitant de poursuivre la prise en charge en ambulatoire. L'hypertension artérielle sévère, consécutive à l'AVC aigu et à l'arrêt du traitement anti-hypertenseur dans ce contexte, a été traitée par réintroduction progressive du traitement antihypertenseur habituel. Une protéinurie a été mise en évidence que nous vous proposons de recontrôler à distance. Le bilan étiologique et des facteurs de risques cardiovasculaires a montré une hypercholestérolémie pour laquelle nous avons introduit un traitement de statine. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. L'échocardiographie a montré une cardiomyopathie hypertrophique homogène sévère pour laquelle nous proposons une optimisation du traitement anti-hypertenseur en ambulatoire. Nous avons réalisé un Holter de 24h à la recherche d'une FA, dont le rapport n'est pas encore disponible et que nous vous proposons de pister auprès du service de cardiologie de l'HFR Fribourg. Au vu de l'évolution favorable, la patiente a pu quitter notre service le 16.06.2018. Mme. Y, 31 ans, admise aux soins intensifs le 21.06.2018 en raison d'un ralentissement psychomoteur et obnubilation. Elle est hospitalisée depuis le 18.06.2018 pour une méningo-encéphalite à FSME. Au vu d'un important ralentissement psychomoteur avec obnubilation, elle est transférée aux soins intensifs pour surveillance neurologique. L'EEG à l'admission montre une atteinte diffuse sans atteinte focale. Le CT cérébral de contrôle réalisé le 21.06.2018 ne montre pas de modification par rapport à celui du 18.06.2018, en particulier pas d'œdème cérébral. Sur avis neurologique, un traitement par corticoïdes à haute dose est instauré le 21.06.2018 puis stoppé le 22.06.2018 au vu de l'absence d'œdème cérébral au scanner de contrôle, réalisé le 22.06.2018 en raison d'une péjoration clinique (GCS 12/15). L'évolution neurologique est par la suite lentement favorable. Un globe vésical nécessite un drainage par une sonde vésicale le 22.06, qui peut être retirée le 25.06.2018. En raison d'une absence de prise de nourriture depuis son hospitalisation le 18.06.2018 et une incapacité à se nourrir dans le contexte d'encéphalite aiguë, une nutrition entérale est débutée le 22.06.2018. La patiente arrache la sonde dans un état d'agitation. Une nutrition parentérale est instaurée du 22.06.2018 au 25.06.2018. À son transfert, la patiente peine à se nourrir d'elle-même. Un avis par les diététiciens devra être rapidement effectué afin de débuter une nouvelle nutrition entérale. La patiente peut être transférée dans le service de médecine le 26.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est hospitalisée pour suite de prise en charge d'une maladie coronarienne. Pour rappel, elle a eu une coronarographie le 15.05.2018 qui a montré une maladie coronarienne bitronculaire. En raison d'une agitation lors du geste, ces lésions n'ont pas pu être traitées. Nous effectuons alors une nouvelle coronarographie en électif qui montre une sténose de 70-90% de l'artère IVA moyenne ainsi qu'une sténose de 50-80% de l'artère CD proximale. Le patient bénéficie d'une angioplastie avec pose de 3 stents actifs au niveau de l'IVA moyenne. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 13.06.2018 à domicile avec un traitement d'aspirine cardio et de statine à vie ainsi que du clopidogrel pour une durée de 6 mois. Si la patiente devait présenter une angor ou une persistance de symptômes, nous vous proposons de réadresser la patiente pour une angioplastie de la CD proximale. Par ailleurs, nous vous laissons le soin d'évaluer la tolérance au traitement de statine introduit ce jour ainsi que son efficacité. Mme. Y, une patiente de 76 ans connue pour une insuffisance rénale chronique multifactorielle et une cardiopathie ischémique, est hospitalisée le 07.06.2018 pour des douleurs thoraciques aiguës au niveau du sternum, respiro- et position-dépendantes, sans irradiation, avec reproduction de la douleur lors d'appui sur les articulations sterno-costales. N'ayant pas d'argument pour une cause ischémique/pulmonaire, les douleurs sont traitées avec Dafalgan avec disparition totale de la symptomatique dès la première dose. À la radiographie du thorax, nous retrouvons une image semblable au comparatif du mois précédent. Comme explication pour les douleurs, nous retenons une origine probablement musculosquelettique et ne procédons pas à d'autres investigations.Sur le plan rénal, Mme Grim présente une péjoration de la fonction rénale avec nausées/vomissements depuis le 29.05.2018, probablement d'origine mixte, dans le cadre d'une infection urinaire à E. Coli traitée avec Co-Amoxi depuis le 02.05.2018, sur introduction récente d'IEC et traitement diurétique avec Torasemide. À l'arrivée, la patiente se trouve en état fébrile à 38.5°C, et l'altération du parenchyme rénal à l'ultrason nous laisse supposer une pyélonéphrite, ce qui motive le relai de l'antibiothérapie à Rocéphine. Sous la Rocéphine, la patiente reste afébrile pendant le reste de l'hospitalisation. À partir d'une récolte d'urines de 24 heures, la clearance rénale est mesurée à 10 ml/min/1.73 m2 le 12.06.2018, et continue à s'améliorer en poursuivant son traitement habituel avec reprise de Nephrotrans dans le cadre d'une acidose métabolique compensée. De ce fait, l'indication à une hémodialyse n'est actuellement pas posée. Sur avis des cardiologues et des néphrologues, nous stoppons le Lisinopril et décidons de ne pas réintroduire de traitement avec IEC ou sartans par la suite, dû à une péjoration de la fonction rénale avec ces médicaments par le passé. Pour l'insuffisance cardiaque, nous introduisons Digoxine pour son traitement inotrope. Le poids cible de la patiente est déterminé entre 78-79 kg, avec adaptation du Torasemide en fonction du poids. Nous demandons au médecin traitant de doser la digoxine lors du prochain rendez-vous le 25.06.2018. Sur le plan du diabète, les glycémies semblent mal contrôlées avec majoritairement des glycémies entre 10 et 15 mmol/l. À l'arrivée, la patiente bénéficie d'un traitement par Ryzodeg 24-0-0-12 UI et correction par une insuline rapide X. Nous stoppons la Ryzodeg au vu du risque plus important d'hypoglycémie, et introduisons de la Tresiba 18 UI le matin ainsi que des bolus de Novorapid 4-2-2 UI aux repas principaux si la patiente mange avec un schéma de correction pour les repas principaux. La patiente est vue pendant l'hospitalisation par une infirmière en diabétologie pour un enseignement quant aux risques liés au diabète. Nous proposons un suivi rapproché des complications du diabète avec une consultation chez l'ophthalmologue 1x/année, un dépistage de néphropathie diabétique avec un rapport micro-albuminurie/créatininurie à distance de l'épisode aigu, un bilan lipidique avec cible cholestérol LDL < 2.6 mmol/l et une tension artérielle à < 130/80 mmHg. Pendant le séjour, la patiente se plaint de selles molles et un prélèvement des selles montre la présence de C. difficile. La patiente est isolée et un traitement avec Flagyl est commencé. Cependant, nous levons l'isolement et stoppons le traitement de Flagyl le 13.06.2018 en absence de diarrhées et concluons en une colonisation asymptomatique. Finalement, nous débutons une anticoagulation par Sintrom pour une fibrillation auriculaire intermittente à réponse rapide mise en évidence en mai 2018, au vu d'un risque conséquent de thrombo-embolie. La patiente rentre à domicile le 20.06.2018. Mme Guillet est une patiente de 74 ans, connue pour une HTA et une dyslipidémie qui consulte aux urgences en raison de douleurs épigastriques en barre irradiant dans le dos d'apparition brutale à 8/10 avec plusieurs épisodes de vomissements depuis deux jours. Le laboratoire montre une perturbation des tests hépatiques avec une importante cholestase. Les sérologies pour les hépatites, HIV, EBV et CMV reviennent toutes négatives. La sérologie HEV est encore en cours. L'US abdominal et le CT abdominal montrent une dilatation des voies intra- et extra-hépatiques avec un épaississement de la papille et des lésions hypodenses du parenchyme pancréatique. La patiente bénéficie d'un traitement par IPP et antalgique. L'élévation des tests hépatiques semble être d'origine mixte. Nous organisons un complément de bilan par cholangio-IRM et une consultation en gastro-entérologie. Une OGD avec endosonographie +/- biopsie sera à discuter afin de bilan les lésions pancréatiques et l'épaississement de la papille. Par la suite, elle présente un état fébrile et est mise sous traitement d'antibiothérapie i.v. pour une suspicion de cholangite avec un relais per os dès le 19.06.2018. La patiente présente également une hypokaliémie que nous substituons avec normalization des paramètres biologiques. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à son domicile. Mme Hesslein est une patiente de 52 ans connue pour une éventration sus-ombilicale post-laparotomie pour un adénocarcinome de l'ovaire stade Ia en mars 2017. Le 25.06.2018, la patiente bénéficie d'une cure d'éventration laparoscopique avec la mise en place d'un filet Parietex 20x15 cm (IPOM). L'opération se passe sans complication et l'évolution post-opératoire est favorable. La patiente peut rentrer à domicile le 27.06.2018. Mme Hostettler, 78 ans, a été transférée de l'Hôpital de Neuchâtel pour suite de prise en charge d'une insuffisance respiratoire globale aiguë dans le contexte d'une exacerbation de sa BPCO sur pneumonie à Pneumocoque. La patiente s'est présentée initialement aux urgences à Neuchâtel pour une dyspnée en aggravation depuis 36 heures. Elle a été initialement traitée aux soins intensifs de Neuchâtel par ventilation non invasive (VNI), aérosols bronchodilatateurs et corticothérapie, avant d'être transférée à Fribourg. L'exacerbation de la BPCO a finalement été mise sur le compte d'une pneumonie à Pneumocoque confirmée par un antigène urinaire positif et l'apparition d'un infiltrat basal droit. La patiente a nécessité une VNI en continu avec plusieurs séances quotidiennes d'aérosols bronchodilatateurs et une antibiothérapie de Ceftriaxone durant 7 jours. La Prednisone a été administrée durant 5 jours. L'évolution a été très lentement favorable et la VNI a pu être sevrée le 22.06.2018. La physiothérapie respiratoire est poursuivie avec deux séances quotidiennes de VNI. Une consultation de pneumologie est encore à prévoir. Une polysomnographie avait été envisagée pour le bilan d'apnées comme possible facteur de dépendance à la VNI nocturne, mais l'indication à cet examen pourrait être rediscutée selon l'évolution.Une ischémie myocardique récidivante secondaire à l'hypoxémie a été constatée, sans élévation ST (NSTEMI) et associée à un mouvement de la troponine T hs à 404 ng/l le 16.06.2018, puis avec un sus-décalage ST transitoire en V1-V2 et un pic de CK à 358 U/l le 18.06.2018. L'échocardiographie a mis en évidence une cardiopathie hypertrophique avec une dysfonction diastolique de type II, ainsi qu'une hypokinésie apicale non connue. La fonction ventriculaire gauche était conservée (FE à 60%). Une double antiagrégation plaquettaire et une anticoagulation thérapeutique ont été instaurées dans l'attente de la coronarographie qui n'a pas mis en évidence de lésion coronarienne significative. La patiente a été transférée le 23.06.2018 dans le service de médecine interne. Mme Janser nous est transférée du service de la rééducation gériatrique en gériatrie aiguë pour tenter une autre approche de l'escarre décubitus chronique (depuis 4 ans) suite à la radiothérapie de 1992 - 2007 dans un contexte de S/p carcinome épidermoïde anal. Initialement la patiente est hospitalisée dans notre service de la rééducation gériatrique suite à un déconditionnement physique suite à une pyélonéphrite droite obstructive le 25.04.2018 avec status post insuffisance rénale aiguë dans un contexte d'obstruction post-rénale. À l'entrée, la patiente se plaint des douleurs lombalgiques connues au niveau du rein droit avec dysurie depuis le 25.04.2018. Cliniquement, il se présente une patiente de 76 ans dans un état général légèrement diminué, et état nutritionnel cachectique. Dans le statut local, nous notons un décubitus de 1.5 cm avec trouble de cicatrisation avec importante couche de fibrine sans signe d'infection. Nous avons débuté une asticothérapie avec bonne évolution. La patiente a reçu 2 séances (2x 4jours) avec des soins de plaie standard et des bandages à la base de miel. À la fin de séjour, nous notons une diminution de la taille du décubitus avec disparition quasi complète de la fibrine. Nous avons organisé des soins à domicile pour la suite du protocole. Le bilan biologique relève une fonction rénale stable au cours de l'hospitalisation. La patiente bénéficie également d'une prise en charge par nos diététiciennes au vu d'une malnutrition protéino-énergétique sévère. Cette thérapie est à poursuivre en ambulatoire. Au point de vue oncologique, Mme Janser a déjà pris contact avec le Dr. X, médecin chef de chirurgie au CHUV, pour une suspicion de récidive du carcinome anal. Dans le but de favoriser un retour à domicile rapide et une amélioration de la mobilité et de l'autonomie, elle continue de suivre les thérapies. À l'entrée, la patiente se mobilise et fait les transferts de manière autonome. À la sortie, elle se déplace sur plus de 240 m sans moyens auxiliaires et monte 54 marches seule. De plus, elle est autonome dans les AVQ. Le 02.06.2018, Mme Janser peut regagner son domicile dans un état général amélioré. Mme Jaquet, connue pour une cardiopathie ischémique tritronculaire mise en évidence en mai 2018 dans un contexte de décompensation cardiaque avec mise en place de 4 stents au niveau de l'artère IVA distale et moyenne, revient ce jour pour le traitement des lésions coronariennes restantes. Nous effectuons alors une coronarographie en électif. La patiente bénéficie d'une angioplastie avec mise en place de 3 stents actifs au niveau de l'artère circonflexe proximale (artère très calcifiée avec une lésion très longue) et l'implantation d'un stent actif directement au niveau de l'artère coronaire droite moyenne. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 22.06.2018 à domicile avec un traitement d'aspirine pendant 1 an, de Clopidogrel pendant 1 mois et Rivaroxaban à poursuivre. Mme Jaquet est hospitalisée à la demande du Dr. X et de son médecin traitant pour une décompensation diabétique dans un contexte de situation sociale compliquée. Mme Jaquet rapporte avoir subi un abus sexuel par un proche sous forme d'attouchement le 03.06.2018 alors qu'elle vit seule en appartement. Pour rappel, Mme Jaquet souffre d'un retard mental nécessitant un soutien régulier par une infirmière de diabétologie, de psychiatrie, et des éducateurs spécialisés. Elle est au bénéfice d'une curatelle de portée générale. Elle est par ailleurs connue pour un trouble anxio-dépressif mixte. Dans ce contexte émotionnel lourd, elle présente un trouble de l'adaptation se traduisant par une inappétence avec des conséquences sur la gestion de son diabète. Mme Jaquet est vue à deux reprises par sa psychiatre, le Dr. X, les 06.06 et 11.06.2018. Concernant l'aspect juridique, la patiente est en cours de procédure et dépose plainte auprès de la police le 08.06.2018. Durant l'hospitalisation, Mme Jaquet présente des hypoglycémies et hyperglycémies à plusieurs reprises en lien avec une alimentation irrégulière. Elle est dès lors suivie par les diabétologues avec adaptation de l'insuline de base et du schéma correcteur. Par ailleurs, Mme Jaquet se plaint d'épisodes de spotting et bénéficie d'une consultation en gynécologie. Selon l'avis des spécialistes, ces métrorragies sont dues à une atrophie endométriale suite à son traitement contraceptif par Depo-Provera au long cours. Nous vous laissons le soin de réévaluer avec son gynécologue traitant (Dr. X) la poursuite du traitement. Étant stabilisée, tant au niveau somatique que psychiatrique, Mme Jaquet rentre à domicile le 11.06.2018 après évaluation par le Dr. X. Mme Kapoun est admise aux soins intensifs suite à une insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie à Pneumocystis jirovecii. Elle est connue pour des lombalgies chroniques pour lesquelles elle a bénéficié d'un traitement de corticoïdes à hautes doses durant 1 mois avant de le stopper de son propre chef. Elle présente par la suite une baisse de l'état général avec asthénie et dyspnée progressive sévère et toux sèche. Une radiographie puis un scanner thoracique mettent en évidence un infiltrat bilatéral suspect pour une infection par Pneumocystis jirovecii. La patiente reste intubée et ventilée post-bronchoscopie jusqu'au 07.06.2018. Après l'extubation, la patiente bénéficie de séances de ventilation non invasive. Un traitement antibiotique empirique par Triméthoprime Sulfaméthoxazole et Levofloxacine est instauré le 04.06.2018. La PCR confirme une infection par Pneumocystis jirovecii et le traitement par Levofloxacine est arrêté le 08.06.2018 sur avis des collègues infectiologues. Le traitement par Triméthoprime Sulfaméthoxazole est à poursuivre jusqu'au 26.06.2018. Un traitement par Prednisone est instauré également avec un schéma dégressif (selon protocole traitement PCP). L'évolution est favorable par la suite, mais la patiente reste encore affaiblie et oxygénodépendante. Nous prévoyons donc une réhabilitation à Tavel avant un retour à domicile. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mme Kapoun est admise le 04.06.2018 aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur pneumonie à pneumocystis jirovecii dont l'évolution est favorable. La patiente est connue pour des lombalgies chroniques qui sont traitées par une corticothérapie à haute dose durant 2 mois. Elle présente une baisse de l'état général, asthénie avec une dyspnée et une toux sèche. Le scanner thoracique met en évidence des infiltrats bilatéraux faisant évoquer un pneumocystis jirovecii. Un traitement empirique par Triméthoprime Sulfaméthoxazole et une corticothérapie sont débutés. Une antibiothérapie par Levofloxacine est ajoutée. La patiente reste hypoxémique sous oxygénothérapie à haut débit. Elle est intubée pour une bronchoscopie avec LBA qui confirme le diagnostic de pneumonie à pneumocystis. Le traitement par Levofloxacine est arrêté et la corticothérapie est poursuivie selon un schéma dégressif. Après 2 jours de ventilation mécanique, la patiente a pu être extubée avec relais transitoirement par des séances de ventilation non invasive. Le 07.06.2018, la patiente présente un œdème de la main droite avec une rougeur locale justifiant le retrait du cathéter artériel radial droit (culture en cours) avec une évolution clinique favorable. Une hyperkaliémie passagère, éventuellement sur Bactrim, est traitée par Insuline et glucose. Une anémie hypochrome, microcytaire est à investiguer. La patiente est transférée en médecine interne le 09.06.2018. Mme Keller est hospitalisée le 13.06.2018 en raison d'une syncope à l'emporte-pièce survenue lors d'un voyage en train touristique dans la ville de Fribourg, en compagnie de son mari. Dans le bilan initial, un CT cérébral est réalisé qui exclut un saignement intra-crânien ou une lésion cérébrale. La patiente bénéficie d'un ECG qui met en évidence un hémibloc antérieur gauche, un BAV de 1er degré, ainsi qu'une bradycardie sinusale mise sur le compte de son traitement d'Inderal pris dans le contexte d'un tremblement essentiel. Devant une hypersensibilité du sinus carotidien avec le déclenchement d'une bradycardie lors de son massage et des pauses sinusales lors de l'inspirium bloqué, le diagnostic d'hypersensibilité du sinus carotidien est retenu. Par ailleurs, un holter est posé pour une durée de 72 h qui montre à une première lecture une pause sinusale d'environ 23 secondes, faisant également retenir un diagnostic de maladie du sinus sous-jacente. Nos collègues cardiologues posent l'indication à la mise en place d'un pacemaker, qui est effectuée le 18.06.2018, avec une radiographie de contrôle dans la norme. Nous vous laissons le soin de revoir la patiente à 10 jours pour contrôle et ablation des fils. Un rendez-vous de contrôle en cardiologie à 4 semaines est par ailleurs organisé à l'HFR. Dans le cadre du bilan cardiaque, une échographie transthoracique est aussi réalisée qui montre une cardiopathie dilatée pour laquelle une origine hypertensive est retenue, avec une fraction d'éjection conservée. Le traitement antihypertenseur est poursuivi avec un bon contrôle tensionnel. La patiente nous informe qu'elle poursuivra le suivi débuté à la consultation spécialisée d'hypertension de l'Inselspital. Mme Keller rentre à domicile le 19.06.2018. Mme Kroell-Musard nous est adressée par le Dr X pour pose élective d'un défibrillateur triple chambre le 28.06.2018. Le geste, effectué par le Dr X, se passe sans complication. Nous prolongeons la durée prévue du traitement d'amiodarone de 6 mois, en accord avec les Dr X et X. Nous laissons le reste de la pharmacothérapie inchangée. Mme Kroell-Musard peut rentrer le 29.06.2018 au matin. Mme Liard-Pochon est une patiente de 89 ans, connue pour un carcinome vulvaire diagnostiqué début mars 2018, qui est hospitalisée pour adaptation de traitement antalgique et début de radiothérapie. Pour rappel, la patiente souffre de douleurs vulvaires importantes malgré une antalgie par Tramadol. En raison d'une broncho-pneumopathie obstructive chronique (BPCO) avancée, l'introduction d'un traitement morphinique se fait sous surveillance hospitalière, avec début concomitant des séances de radiothérapie. Sur le plan antalgique, un traitement de morphine sous-cutanée est majoré progressivement avec bonne tolérance globale et respiratoire. Une fois les douleurs suffisamment contrôlées, un relais par Oxycontin/Oxynorm est réalisé afin de simplifier le traitement. Les séances de radiothérapie ont lieu du 30.04 au 14.06.2018 et des soins locaux sont assurés par nos collègues de stomatothérapie. L'évolution locale est finalement favorable. Sur le plan cardiologique, Mme Liard-Pochon présente durant le séjour deux épisodes de flutter à conduction rapide, asymptomatiques et hémodynamiquement bien tolérés. Il n'y a pas de troubles électrolytiques et une échocardiographie révèle une fonction ventriculaire conservée. De la digoxine est administrée avec, à deux reprises, retour à un rythme sinusal normocarde. Un traitement bêta-bloquant est mis en place dès le 12.05.2018 et l'anticoagulation par Sintrom est poursuivie. Sur le plan pulmonaire, l'hospitalisation se complique le 07.06.2018 par une exacerbation de BPCO qui motive initialement la mise en place d'une corticothérapie systémique avec ventilation non invasive et inhalations d'Atrovent et de Ventolin. L'évolution étant défavorable, avec persistance de la dyspnée, recrudescence d'un syndrome inflammatoire biologique ainsi que l'apparition d'un foyer pulmonaire radiologique, une antibiothérapie par Rocéphine est introduite dans un deuxième temps pour une durée totale de 7 jours. L'évolution est favorable sous traitement antibiotique. Nous proposons à la patiente une réadaptation pneumologique à l'hôpital de Rolle, où elle a déjà séjourné par le passé. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme Marmy est admise en post-opératoire d'une surrénalectomie pour un phéochromocytome surrénalien gauche. La patiente, connue pour un phéochromocytome surrénalien gauche, est opérée le 13.06.2018. L'intervention est compliquée d'une lésion iatrogène du grêle ainsi que d'une lésion de l'artère rénale gauche. La patiente, nécessitant un soutien aminergique important au terme de l'intervention, est transférée intubée aux soins intensifs. L'évolution est favorable avec un sevrage progressif des amines chez une patiente vasoplégique suite à la péridurale et à l'imprégnation en traitement antihypertenseur. La patiente est extubée le 13.06.2018, sans complication au décours. L'antalgie est assurée par un cathéter péridural, avec diminution de la posologie à 2ml/h. Pas de bloc moteur, ni de dermatome. Une polyurie importante en salle d'opération se tarit après l'arrivée aux soins intensifs, l'origine étant probablement une hyperhydratation durant l'intervention. En raison d'une lésion iatrogène du grêle suturée, une antibiothérapie par Zinacef et Flagyl est poursuivie pendant 48 heures après l'intervention. En raison de la lésion de l'artère rénale, une anticoagulation par liquémine à 10 000 Ui par 24 h est débutée en post-opératoire. Mme Mettraux, patiente de 59 ans connue essentiellement pour des antécédents cardiovasculaires (artériopathie des membres inférieurs, dissection aortique, insuffisance cardiaque congestive avec cardiopathie ischémique, hypertension artérielle réfractaire) consulte aux urgences le 01.06.2018 pour une forte douleur épigastrique. A l'entrée, la patiente présente une douleur en barre transfixiante avec des nausées et un épisode de vomissement. Elle décrit des reflux acides depuis une semaine. Aux urgences, un ECG ainsi qu'un dosage des enzymes cardiaques permettent raisonnablement d'exclure une cause cardiaque ischémique et un CT thoraco-abdominal ne révèle pas d'embolie pulmonaire, de dissection aortique, de pancréatite ou de cholédocolithiase. La symptomatologie est mise sur le compte d'une gastrite et le traitement de Pantoprazole est majoré. Une insuffisance rénale aiguë sur chronique est mise en évidence au laboratoire le 01.06.2018 avec une créatinine à 204 umol/l. Il s'agit d'une insuffisance rénale pré-rénale probablement d'origine mixte: médicamenteuse et déshydratation. Nous décidons de mettre en suspens temporairement le traitement d'Entresto, aldactone et de Janumet, permettant une évolution favorable. Au vu de la dyspnée anamnestique et du tabagisme important de la patiente (estimé à 90 UPA), un rendez-vous en pneumologie en ambulatoire est organisé afin d'effectuer des fonctions pulmonaires. Nous notons aussi la haute probabilité d'un syndrome d'apnée du sommeil avec un score combiné STOP-BANG élevé. La patiente refuse toutefois d'autres investigations actuellement, notamment car un appareillage par CPAP n'est pas envisageable pour elle. Les douleurs évoluant favorablement, elle rentre à domicile le 05.06.2018. Une oeso-gastro-duodénoscopie est prévue en ambulatoire, examen pour lequel la patiente sera convoquée. À noter qu'une recherche de H. Pylori n'a pas pu être effectuée durant l'hospitalisation pour des raisons logistiques et nous vous laissons le soin de le prévoir en ambulatoire. Mme. Y est admise aux soins intensifs pour un choc septique sur probable translocation digestive sur colite à clostridium dans le contexte d'une agranulocytose fébrile le 13.06.18. Elle est connue pour un lymphome T stade 3, diagnostiqué en mai 2018, avec une première chimiothérapie le 06.06.2018. Elle consulte aux urgences suite à des troubles de l'état de conscience et un état fébrile associé à des plaintes abdominales depuis la nuit précédente. Elle présente alors un choc septique, avec remplissage sans réponse initiale. Après les prélèvements microbiologiques, elle est traitée par une dose de Cefepime, suite à laquelle elle présente une réaction cutanée. Cette réaction allergique de stade II est traitée par Tavegyl et arrêt de la Cefepime. Elle est alors admise aux soins intensifs pour une suite de prise en charge. Initialement instable sur le plan hémodynamique, un soutien aminergique et un remplissage agressif sont nécessaires, ce qui permet rapidement une reprise des diurèses. L'évolution est favorable avec un sevrage de la Noradrénaline après 24 h d'hospitalisation. Au vu de la réaction allergique à la Cefepime, l'antibiothérapie est modifiée pour du Tienam et de la Cubicine. Une bactériémie à E. coli est mise en évidence dans 4/4 bouteilles d'hémocultures, le foyer le plus probable suspecté est une translocation digestive sur une colite se manifestant avec des diarrhées. Sur avis infectiologique, le traitement de Tienam reste à poursuivre pendant 10 à 14 jours. L'indication à une corticothérapie par Solucortef de 24 h est également retenue dans le contexte vasoplégique et anaphylactique. La recherche de clostridium par PCR revient positive le 15.06.2018. Une antibiothérapie par Flagyl ou vancomycine sera à débuter selon l'avis infectiologique demandé. Sur le plan neurologique, la patiente présente des troubles phasiques fluctuants, une ptose labiale et des troubles de l'état de conscience. Le CT cérébral est normal et permet d'exclure un saignement intra-axial. Devant une suspicion d'encéphalite herpétique, un traitement par acyclovir est mis en place jusqu'à l'obtention de l'IRM cérébrale. L'IRM cérébrale réalisée le 15.06.2018 montre une lésion ischémique aiguë dans le thalamus du côté gauche. Le bilan AVC reste à réaliser par la suite durant l'hospitalisation en médecine. L'acyclovir est donc arrêté. Dans un contexte post-chimiothérapique, la patiente présente dès son arrivée une pancytopénie avec une anémie à 89 g/L puis 68 g/L raison pour laquelle elle est transfusée d'un culot érythrocytaire le 15.06.2018. L'hémoglobine de contrôle est à 78 g/L à la sortie. On note également une thrombopénie sévère à 6 G/L, avec une remontée à 12 G/L après transfusion d'un concentré plaquettaire. Mme. Y, 70 ans, nous est transférée en médecine interne depuis les soins intensifs où elle a séjourné 2 jours en raison d'un choc septique avec CIVD sur bactériémie à E. coli chez une patiente en agranulocytose. Pour rappel, la patiente est connue pour un lymphome T stade 3, diagnostiqué en mai 2018, avec une première cure de chimiothérapie le 06.06.2018. Elle consulte aux urgences le 13.06.2018 suite à des troubles de l'état de conscience et un état fébrile associé à des plaintes abdominales depuis la nuit précédente. Elle présente alors un tableau de choc septique, sans réponse initiale au remplissage. Après les prélèvements microbiologiques, elle est traitée par une dose de Cefepime, puis par Tienam en raison d'une réaction cutanée au Cefepime. Elle est alors admise aux soins intensifs pour une suite de prise en charge. Sur le plan infectieux, une colite à Clostridium est par la suite mise en évidence, Mme. Y nécessite donc également une antibiothérapie par Flagyl, qui permet une bonne évolution. Dans un contexte post-chimiothérapie, la patiente présente à son arrivée une pancytopénie pour laquelle plusieurs transfusions et l'arrêt transitoire de l'aspirine sont nécessaires. La situation se rétablit par la suite, une fois à distance de la cure de chimiothérapie. Une nouvelle cure de chimiothérapie est effectuée le 27.06.2018 sans complication immédiate; la patiente sera revue en ambulatoire par Dr. X. Sur le plan neurologique, la patiente présente des troubles phasiques fluctuants, une ptose labiale et des troubles de l'état de conscience. Une IRM cérébrale réalisée le 15.06.2018 montre une lésion ischémique aiguë dans le thalamus du côté gauche. Le bilan AVC ne permet pas de mettre en évidence une cause certaine. La patiente étant connue pour une hypertension et la lésion ischémique étant profonde, une cause microangiopathique est probable. Le bilan lipidique est sans particularité, mais nous introduisons une statine compte tenu des antécédents cérébro-vasculaires. Nous reprenons son traitement d'aspirine cardio dès que le taux de plaquettes le permet. À la sortie, la patiente ne présente aucun trouble phasique, il persiste une ptose labiale gauche ainsi qu'une discrète faiblesse du membre supérieur droit. La patiente sera revue par nos collègues neurologues dans 3 mois pour un suivi. La patiente rentre à domicile le 28.06.2018. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 27.06.2018 suite à un arrêt cardiaque hypoxémique sur hémoptysie massive survenu en extrahospitalier. La patiente est connue pour des bronchiectasies avec des abcédations de caverne tuberculeuse depuis plusieurs années. Le 27.06., elle présente de manière subite une hémoptysie sur la nuit qui provoque rapidement un arrêt cardiaque d'origine hypoxémique avec une asystolie comme premier rythme à l'arrivée des ambulanciers. Elle est réanimée et intubée sur place avec un no-flow de 0 minute et un ROSC après 20 min. Pendant le transport, elle refait un arrêt cardiaque (AESP) avec ROSC après 5 minutes.La bronchoscopie réalisée en urgence montre un caillot de sang obstructif qui se lève après rinçage. Le scanner confirme un saignement pulmonaire du lobe supérieur à droite et une angiographie avec l'embolisation de deux sous-segmentaires de l'artère bronchique du lobe supérieur droit permet un contrôle du saignement. Parallèlement, elle développe un pneumothorax sous-tension à droite qui est drainé. Elle bénéficie également d'un traitement par Terlipressine du 27 au 28.06.2018. Une nouvelle bronchoscopie est réalisée à son arrivée aux soins intensifs par les pneumologues montrant une source de saignement dans la bronche sous-segmentaire ventrale du segment apico-postérieur à droite traité par injection d'Adrénaline. Des troubles de crase sont corrigés en parallèle et en raison d'une colonisation connue par des pseudomonas, une antibiothérapie par Cefepime est initiée du 27.06.18 au 30.06.2018. En post-réanimation cardiopulmonaire, la patiente présente une vasoplégie dans un contexte de syndrome d'ischémie-reperfusion avec nécessité de soutien hémodynamique par des amines. Sur le plan neurologique, on observe un réveil pathologique à la levée de la sédation le 28.06.2018 avec des signes d'atteinte corticale et du tronc cérébral. Un EEG réalisé retrouve un tracé ralenti de manière diffuse avec une atteinte corticale plus marquée à gauche, l'IRM cérébrale montre des AVC ischémiques diffus frontaux, pariétaux et cérébelleux. La patiente est évaluée par le neurologue (Dr. X) qui conclut à une encéphalopathie post-anoxique sévère sur les arrêts cardio-respiratoires. La famille est informée du pronostic très sombre au vu des lésions neurologiques et l'absence de réveil après plus de 72 h de surveillance et on décide d'effectuer un retrait thérapeutique. La patiente décède après extubation terminale entourée par sa famille. L'autopsie médicale n'est pas souhaitée par la famille. Mme. Y, 72 ans, est admise aux soins intensifs le 27.06.2018 suite à un arrêt cardiaque hypoxémique suite à une hémoptysie massive. Elle présente de manière subite une hémoptysie sur la nuit. Rapidement, elle se dégrade et à l'arrivée des ambulanciers, elle fait un arrêt cardiaque d'origine hypoxémique avec une asystolie comme premier rythme. Elle est réanimée et intubée sur place avec un no flow de 0 min et un ROSC après 20 min. Pendant le transport, elle refait un arrêt cardiaque (AESP) avec ROSC après 5 minutes. La bronchoscopie en urgence montre un caillot de sang, obstruant les bronches jusqu'au tube. Après rinçage, une ventilation est bien possible et un scanner est effectué en urgence qui confirme un saignement pulmonaire à droite (DD bronchique, DD pulmonaire). Une angiographie pour embolisation est effectuée en urgence. Un pneumothorax trouvé en passant est drainé. Mme. Y, 66 ans, a été admise aux soins intensifs le 16.06.2016 pour une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique d'origine plurifactorielle dans le contexte d'une cardiomyopathie décompensée et une possible tubulopathie médicamenteuse. La patiente est institutionnalisée en raison de comorbidités psychiatriques associées à des troubles de la vision sur rétinopathie diabétique. Elle présente depuis environ une semaine une dyspnée en péjoration avec orthopnée, nycturie et œdèmes des membres inférieurs. En raison de la baisse de son état général, la patiente est amenée aux urgences. Le bilan initial met en évidence une insuffisance rénale aiguë anurique dont l'étiologie est plurifactorielle. Un syndrome cardio-rénal est possible dans le contexte de la décompensation cardiaque gauche à laquelle s'est peut-être rajoutée une néphrotoxicité médicamenteuse (antibiothérapie en cours pour le traitement d'une gastrite à Helicobacter pylori). Enfin, une néphropathie diabétique est probable vu le diabète insulino-requérant. Un dosage du lysozyme et béta-NAG urinaires est en cours. L'échographie rénale a exclu une cause obstructive. Un traitement diurétique agressif a permis une reprise de la diurèse ainsi qu'une amélioration de la clearance de la créatinine à 15 ml/min. Un suivi néphrologique sera poursuivi durant la suite de l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin de contacter le médecin traitant afin d'obtenir des valeurs de la fonction rénale préexistante (Dr. X: 026 323 10 33). Une insuffisance cardiaque gauche sur une cardiomyopathie dilatée est mise en évidence par l'échocardiographie transthoracique du 17.06.2018. La fonction ventriculaire gauche est sévèrement abaissée à 30% avec des troubles segmentaires diffus et une insuffisance mitrale modérée. Des épanchements pleuraux bilatéraux ont été retrouvés dont celui de droite a été ponctionné avec évacuation de 1 litre d'un transsudat. Le bilan étiologique en cours a permis d'exclure des troubles thyroïdiens ou une hémochromatose. L'électrophorèse des protéines ne montre pas de pic monoclonal, mais des chaînes kappa élevées. Un avis hématologique sera à discuter. Une coronarographie est à prévoir à la recherche d'une origine ischémique sous-jacente une fois la fonction rénale stabilisée. Dans un contexte de nausées et de douleurs abdominales épigastriques, le médecin traitant a récemment mis en évidence un Helicobacter pylori en cours d'éradication par une antibiothérapie. Ce traitement est mis en suspens dans le contexte d'insuffisance rénale vu la possible néphrotoxicité. En fonction de la récupération rénale et du résultat du lysozyme urinaire, l'antibiothérapie pourrait être reprise. Une malnutrition est secondaire à une inappétence qui a été favorisée par l'urémie. Si l'inappétence persiste malgré l'amélioration rénale, un bilan complémentaire devrait être discuté (éventuellement effectuer une OGD). Un suivi diététique est recommandé. Un allongement spontané du temps de prothrombine est probablement d'origine carentielle et une substitution par vitamine K a été débutée. Une anémie ferriprive a nécessité une substitution en fer. Des investigations digestives devraient être envisagées. La patiente a été transférée le 19.06.2018 dans le service de médecine. Mme. Y, connue pour les antécédents susmentionnés, est hospitalisée en électif pour la réalisation d'une coronarographie en raison d'angor d'effort depuis 4 semaines. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose critique de l'artère interventriculaire antérieure proximale et une sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne. Au vu de l'antécédent d'hématome sous-dural en 2011 sous Marcoumar et aspirine, nous décidons d'adresser la patiente au Dr. X, chirurgien cardiaque pour une revascularisation. La suite de prise en charge sera effectuée à la clinique Cecil dès le 15.06.2018. Mme. Y présente une excellente évolution à la suite de son opération thoracique. Les douleurs sont gérées par une antalgie simple dont l'ordonnance est renouvelée. Les résultats anatomo-pathologiques nous étant disponibles, nous informons la patiente quant au diagnostic de cancer pulmonaire révélé sur la pièce excisée. Ce diagnostic justifie donc la sanction chirurgicale effectuée récemment et conforte la décision prise au tumor board du 9 mai 2018. Selon avis du tumor board du 13.06.2018, en raison de la taille du cancer, des tranches de section sans lésion, aucune chimiothérapie n'est nécessaire et un suivi clinique est préconisé. Il sera réalisé dans un mois par le service de chirurgie thoracique du HFR. La patiente est soulagée par ces informations. Une nouvelle intervention brève quant à la nécessité d'arrêter son tabagisme est faite. Mme. Y, 68 ans, est admise pour une suspicion d'accident vasculaire cérébral (AVC).La patiente, connue pour une cardiopathie ischémique, valvulaire et rythmique anticoagulée, a été retrouvée par sa voisine confuse et aphasique. Un AVC est suspecté cliniquement, un CT cérébral ne montre pas d'asymétrie de la perfusion. La patiente est hospitalisée en unité neurologique monitorée. Une thérapie par aspirine est débutée le 05.06.2018 et le sintrom est mis en suspens. La surveillance neurologique et hémodynamique est sans particularité avec disparition de l'aphasie. En raison de l'impossibilité de faire une IRM (défibrillateur implanté non-IRM compatible), un CT cérébral est effectué à 36 h de l'événement. Celui-ci ne met pas en évidence de lésion ischémique ni de transformation hémorragique secondaire. Afin d'exclure le diagnostic différentiel d'activité épileptique, un EEG est agendé le 06.06.2018. Un bilan échocardiographique est prévu le 06.06.2018. Selon votre évaluation, il pourra être complété par une lecture du pacemaker. En raison de la présence de nombreuses plaques sur les vaisseaux pré-cérébraux, le traitement de Simcora de la patiente est modifié pour de l'Atorvastatine. Un duplex des vaisseaux précérébraux est effectué le 05.06.2018. Les résultats de cet examen sont à pister. À noter une thrombocytopénie dès l'arrivée. Un bilan étiologique sera à effectuer par la suite. Mme Y est transférée en unité stroke non monitorée le 06.06.2018. Mme Y, connue pour un AVC cérébelleux en 2015, est hospitalisée ce jour pour la fermeture d'un foramen ovale perméable grade III. Nous effectuons alors une fermeture percutanée avec Amplatzer Cribriforme 30 mm. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications et une échocardiographie transthoracique démontre une position stable du parapluie. La patiente rentre le 22.06.2018 à domicile avec un traitement d'aspirine cardio pour 6 mois et de clopidogrel pour 3 mois. Nous remettons à la patiente une carte d'antibioprophylaxie pour les 6 prochains mois et la patiente sera convoquée pour échocardiographie de contrôle à 6 mois. Mme Y est hospitalisée le 17.06.2018 suite à une chute à domicile. Le bilan initial, clinique, biologique et radiologique est dans la norme, mais le fils rapporte une situation dépassée à domicile, en raison de troubles cognitifs sans précision. En effet, Mme Y vit avec son fils qui s'occupe de toutes les tâches ménagères et bénéficie déjà de soins à domicile 2x/jour ainsi que d'un accueil dans un foyer de jour 2x/semaine. Malgré cet encadrement, le fils rapporte notamment des déambulations nocturnes, des chutes occasionnelles et une mise en danger de plus en plus importante pour elle-même, rendant le retour à domicile impossible. Des inscriptions pour un placement en EMS avaient déjà été faites dans plusieurs établissements et sont rapidement réactivées par notre service de liaison dans le but de trouver une place au plus vite. Dans l'intervalle, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme Y, 81 ans, est admise pour la surveillance rythmique d'un NSTEMI. La patiente, connue pour un diabète de type 2 non insulino-requérant ainsi qu'une hypertension artérielle traitée, présente depuis 3 jours avant son admission des douleurs intermittentes dans le bras gauche non liées à l'effort. Survenues de douleurs « en barre » en travers de la poitrine motivant l'appel de l'ambulance. Une coronarographie met en évidence une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose critique de l'IVP et d'une sténose de 70% de la coronaire droite distale, traitées chacune par PCI/1 DES avec un bon résultat final. La fonction systolique globale du ventricule gauche est conservée à 60%. Introduction d'un traitement d'aspirine, d'Efient et d'Atorvastatine. La surveillance post-coronarographie est sans particularité. Le point de ponction est calme, sans souffle ausculté. La patiente est transférée à Riaz pour la suite de prise en charge. Mme Y est hospitalisée aux soins intensifs le 09.06.2018 pour polytraumatisme dans un contexte de tentative de suicide par défenestration (chute d'une hauteur de 6 mètres) et intoxication alcoolique. Concernant le traumatisme crânien, on note une fracture qui s'étend de la suture sagittale jusqu'en occipital droit avec un hématome sous-galéal qui est drainé aux urgences. Les points de sutures sont à retirer dans une semaine. Une antibiothérapie par Co-amoxicilline est débutée et à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. Le vaccin antitétanique est à jour. Dans le bilan lésionnel, on trouve aussi une fracture du corps sternal sans hématome rétro-sternal et sans arguments pour une contusion myocardique. L'antalgie est assurée par paracétamol et opiacés. La patiente se plaint d'une douleur de l'avant-pied droit avec impossibilité de poser le pied à terre. Le scanner de la cheville et du pied droit montre une fracture du bord externe de l'os cunéiforme. Un plâtre est posé. La circularisation du plâtre est à effectuer dans une semaine. Une charge partielle avec des cannes est nécessaire pendant 2 mois et un contrôle par le team pied est requis dans deux mois. Une lésion du foie (segment 1) est découverte fortuitement et serait compatible avec un hémangiome. Une échographie abdominale et une IRM hépatique sont à effectuer à distance. durant la surveillance, la patiente présente initialement une hypotension artérielle en rapport avec une déshydratation. L'hémoglobine reste stable. Le profil tensionnel se normalise après remplissage vasculaire. Suite à l'entretien psychiatrique et en raison du risque suicidaire élevé, il est décidé de transférer Mme Y en unité psychiatrique à Marsens en mode volontaire pour suite de prise en charge. Mme Y est une patiente de 77 ans qui est hospitalisée pour une suite de prise en charge d'embolies pulmonaires segmentaires bilatérales avec surcharge du cœur droit traitée à l'Inselspital de Berne par thrombolyse par cathétérisme EKOS. La patiente s'était présentée le 01.06.2018 dans notre service des urgences avec une dyspnée en péjoration depuis plusieurs jours avec de la toux et des expectorations claires. À noter que la patiente avoue avoir arrêté son traitement d'Eliquis 2 semaines auparavant. Le CT thoracique a montré une embolie pulmonaire segmentaire bilatérale avec signe de surcharge du cœur droit et la patiente est transférée à Berne le 01.06.2018 pour une thrombolyse par cathéter (EKOS). Une anticoagulation par Eliquis est débutée et sera à poursuivre à vie. La patiente nous est réadressée le 05.06.2018 pour suite de prise en charge. Sur le plan orthopédique, la patiente est connue pour fracture-tassement de L3 ancienne. Environ 2 semaines avant son hospitalisation, elle note avoir fait un faux mouvement et présente depuis de nouvelles douleurs dorsales. Le bilan radiologique réalisé pendant le séjour montre une nouvelle fracture-tassement de D12. Il n'y a pas de déficits neurologiques associés. La douleur est bien contrôlée par du co-Dafalgan et de la novalgine en réserve. Sur avis des collègues orthopédistes de la team spine, nous préconisons un traitement conservateur avec une mobilisation selon la douleur. Un contrôle à leur consultation est à prévoir dans 3 semaines. De plus, nous recommandons une densitométrie en ambulatoire afin de bilanter une ostéoporose.Pendant le séjour, elle a présenté des douleurs sous-costales gauche. L'ECG et les troponines dans la norme parlent en défaveur d'une origine cardiaque. Nous retenons une origine pariétale probablement sur la fracture-tassement D12. L'anémie macrocytaire hypochrome régénérative est probablement d'origine mixte (médicamenteuse et post-lyse). Le 13.06.2018, la patiente quitte notre service pour suite de prise en charge et réadaptation gériatrique à l'HFR de Riaz. Mme Seydoux nous est adressée par le Dr. X pour un test d'effort électriquement positif dans les territoires inféro-latéral. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une sténose intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, une sténose significative de l'artère circonflexe proximale-moyenne et une sténose intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. Le patient bénéficie d'une mise en place d'un stent actif au niveau de l'artère circonflexe proximal-moyenne. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 13.06.2018 à domicile avec un traitement d'aspirine cardio à vie et de Plavix pour une durée de 3 mois. Mme Soares souffre donc d'une coxarthrose débutante qui ne l'entrave toutefois pas assez dans sa qualité de vie pour justifier une prothèse totale de hanche, qui est pourtant la prochaine option thérapeutique envisageable. La physiothérapie n'apportant pas beaucoup de bénéfice, je ne lui en ai pas prescrit. Je conseille de prendre des anti-inflammatoires à la demande et nous restons à sa disposition pour évaluer l'indication à une PTH le jour où les douleurs justifieront cette opération. Mme Spahr est hospitalisée pour effectuer une coronarographie en électif. Pour rappel, la patiente a présenté un NSTEMI le 22.05.2018 avec stenting de l'IVA. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui retrouve une sténose significative de la circonflexe proximale au niveau de sa bifurcation avec la branche marginale, avec une fonction ventriculaire abaissée à 45% avec une hypokinésie apicale sévère. La patiente bénéficie d'une mise en place d'un stent actif au niveau de la circonflexe avec fenestration des mailles du stent et dilatation avec technique de kissing balloon. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 20.06.2018 à domicile avec la poursuite du traitement de Prasugrel jusqu'en fin novembre 2018. Mme Spycher est hospitalisée aux soins intensifs pour une hyponatriémie hypoosmolaire sévère. La patiente est connue pour une encéphalopathie de Wernicke et Korsakoff dans le contexte d'une consommation alcoolique sevrée depuis 2016. Elle présente le 09.06.2018 une chute après un faux pas et une faiblesse des membres inférieurs. Le bilan met en évidence une hyponatriémie sévère à 109 mmol/L qu'on a attribuée à une déshydratation. La natrémie se corrige après réhydratation par NaCl 0.9%. Un contrôle de la natrémie est à prévoir dans la soirée. Par ailleurs, on note une rhabdomyolyse survenant dans le contexte de la chute. La diurèse est conservée et les CK sont à la baisse. Une adénopathie indurée cervicale droite de 4 cm environ est découverte à l'examen clinique. Une échographie cervicale est demandée. On vous laisse le soin de décider la nécessité de faire d'autres explorations. La patiente est transférée en médecine interne le 10.06.2018 pour suite de prise en charge. Mme Spycher, 57 ans, est hospitalisée initialement aux soins intensifs pour une hyponatrémie sévère puis à l'étage de médecine suite à la découverte d'un carcinome épidermoïde hypopharyngé métastatique. Elle consulte les urgences le 09.06.2018 suite à une chute de sa hauteur en lien avec une asthénie et une faiblesse des membres inférieurs. Le bilan met en évidence une hyponatriémie hypoosmolaire sévère à 109 mmol/L. Un traitement IV puis une restriction hydrique permettent une stabilisation des paramètres sanguins. L'escitalopram, pouvant contribuer à l'hyponatrémie, est arrêté. La natrémie se corrige progressivement. La patiente a remarqué depuis environ 2 semaines une masse cervicale droite indolore et augmentant en taille. Le bilan de cette masse met en évidence une lésion tumorale de la paroi postérieure de l'hypopharynx, aux étages glotto-susglottique et un conglomérat d'adénopathies nécrotiques cervicales droites ainsi qu'une adénopathie controlatérale. La cytoponction de la masse cervicale droite montre la présence de cellules néoplasiques malignes de type carcinome peu différencié. Le bilan d'extension montre 3 métastases hépatiques ainsi qu'une métastase osseuse du processus transverse de L2, infiltrant le canal rachidien et le pédicule. Une panendoscopie est prévue en ambulatoire par les ORL. La patiente sera convoquée par les oncologues par la suite. Au vu de l'évolution favorable sur le plan de l'état général, la patiente a pu quitter notre service le 15.06.2018 pour un retour à domicile. Elle bénéficiera des soins à domicile 2 fois par jour. Mme Steiner, sœur au couvent de Sainte Ursule, connue pour un antécédent d'hémorragie intra-parenchymateuse thalamique bilatérale en octobre 2017, est hospitalisée pour un trouble de l'état de conscience important avec un GCS initial à 6 ce matin au réveil. Après discussion avec les représentants thérapeutiques et en accord avec le souhait de la patiente, devant un état clinique sévère compatible avec une récidive d'hémorragie cérébrale, nous prenons la décision de ne pas effectuer de bilan diagnostic et de débuter des soins de confort. La famille restante de Mme Steiner est informée de la situation actuelle par la représentante thérapeutique. Mme Steiner décède paisiblement le 10.06.2018, bien entourée des sœurs de son couvent. Mme Stoeckli nous est adressée par le Dr. X, son cardiologue traitant, pour une dyspnée nocturne nouvelle avec une échocardiographie transthoracique du 18.04.2018 montrant une bonne fonction ventriculaire sans trouble segmentaire. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une cardiopathie hypertensive avec atteinte coronarienne débutante et bitronculaire (MA et IVA) pour lesquelles un traitement conservateur est privilégié. En cas de persistance ou d'évolution vers des symptômes plus spécifiques, une angioplastie des lésions intermédiaires pourrait être envisagée. Le patient rentre le 23.06.2018 à domicile avec un traitement d'aspirine cardio préventive. Mme Sturny est admise aux soins intensifs le 20.06.2018 pour un arrêt cardio-respiratoire survenant dans un contexte d'obstruction des voies respiratoires supérieures par un bol alimentaire dont l'évolution est défavorable. L'arrêt cardiaque est survenu en pré-hospitalier et d'origine hypoxique chez une patiente connue pour une schizophrénie et des troubles de la déglutition. La durée de l'arrêt est estimée à 5 minutes au minimum, le premier rythme est une activité électrique sans pouls. Après 25 minutes de réanimation, la circulation est établie, avec un deuxième arrêt cardiaque de 2 minutes pendant le transport vers l'hôpital. À l'admission aux soins intensifs, la patiente présente un coma profond avec une mydriase bilatérale, attribuable à un œdème cérébral diffus dans le cadre d'une souffrance anoxique sévère. L'évolution se fait rapidement vers une mort cérébrale, constatée 7 heures après son admission. Après discussion avec la famille, un consentement pour un don d'organe est obtenu, conforme à la volonté de la patiente. Un prélèvement de cœur, poumons, foie et reins a pu être effectué. Mme Tabi Essomba est admise aux soins intensifs le 08.06.2018 pour un choc hémorragique sur atonie utérine suite à l'ablation du cerclage dans un contexte de grossesse non évolutive.Un curetage évacuateur est effectué, avec mise en place d'une sonde prostatique intrautérine. Pendant l'intervention, la patiente reçoit 2 concentrés érythrocytaires, 2 plasma frais congelé et 1 g de fibrinogène. Durant la surveillance, la patiente reste stable avec absence de récidive de saignement et absence de déglobulisation. La sonde prostatique intrautérine est dégonflée progressivement puis elle est retirée à 18h sans complications. La patiente est transférée en gynécologie le 09.06.2018. Mme Tabi Essomba, 29 ans, est hospitalisée aux soins intensifs suite à un choc hémorragique sur un saignement utérin après ablation de cerclage. Le 08.06.2018, une ablation de cerclage, posé dans le contexte d'une grossesse non évolutive, est effectuée avec une hémorragie importante sur atonie utérine et état de choc. Un curetage évacuateur est effectué, avec mise en place d'une sonde prostatique intrautérine. Elle est alors transfusée de 2 concentrés érythrocytaires et 2 plasma frais congelé et reçoit 1 g de fibrinogène en peropératoire. Par la suite, Mme Tabi est admise aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. Elle ne présente pas de récidive de saignement durant l'hospitalisation et l'hémoglobine reste stable à 85 g/L le 09.06.2018. La sonde prostatique intrautérine est dégonflée progressivement durant la journée du 09.06.2018 et retirée à 18h. Au vu de l'évolution favorable, elle est transférée le 09.06.2018 en gynécologie pour suite de prise en charge. Mme Tabi Essomba, 29 ans, 7G0P, est suivie dans notre service pour une grossesse arrêtée à la suite d'un transfert de 2 embryons, réalisé en Tchéquie en mai 2018. Pour rappel, la patiente s'était présentée le 25.05.2018 aux urgences pour des métrorragies. Nous avions mis en évidence une grossesse intra-utérine évolutive ainsi qu'une grossesse cervicale évolutive. Dans ce contexte de grossesse gémellaire dont une hétérotopique, un curetage interrupteur de la grossesse cervicale avait été réalisé ainsi qu'un cerclage utérin. Lors du contrôle prévu chez son gynécologue le 06.06.2018, il est mis en évidence une grossesse arrêtée, nécessitant la réalisation d'un curetage après ablation du cerclage. La patiente accepte la prise en charge en signant le consentement éclairé. Le 08.06.2018, nous réalisons l'ablation du cerclage suivi d'un saignement actif important avec choc hémorragique qui a indiqué un curetage évacuateur en urgence avec mise en place d'une sonde prostatique intra-utérine. Le matériel est adressé en pathologie. Au cours de l'intervention, l'hémoglobine est à 66 g/L, et Mme Tabi reçoit la transfusion de 2 concentrés érythrocytaires et de 2 plasma frais congelés ainsi que l'administration de 1 g de fibrinogène. La patiente est transférée aux soins intensifs pour la surveillance hémodynamique post-opératoire. La sonde prostatique est retirée à 24h de la pose, sans mise en évidence de récidive de saignement et l'hémoglobine est stable. La patiente regagne notre service le 09.06.2018 à 21h. L'hémoglobine postopératoire est à 91 g/L. Les suites sont simples et afébriles et Mme Tabi regagne son domicile le 10.06.2018 en bon état général. Mme Teca André, patiente de 32 ans connue notamment pour une consommation d'alcool à risque, avec stéatose hépatique suivie à l'Inselspital (status post Bilharziose et hépatite B guérie), est hospitalisée le 19.05.2018 pour une hépatite aiguë d'origine probablement alcoolique. La patiente se présente aux urgences dans la soirée du 19.05.18 pour des douleurs abdominales crampiformes avec plusieurs épisodes de vomissements et diarrhées, et rapporte un épisode de frissons à domicile. Sur le plan hépatique, nous demandons un avis de nos collègues hépatologues de l'Inselspital et mettons en place une corticothérapie. Un ultrason abdominal montre une importante majoration de la stéatose hépatique ainsi qu'une hépatomégalie. À noter que le test de l'hépatite E est fait tardivement et montre des IgG et IgM positifs, motivant la demande d'une PCR. Concernant la problématique de l'encéphalopathie hépatique (DD sevrage alcoolique et décompensation des troubles psychiatriques connus), nous constatons un effet insuffisant de la thérapie laxative per os et devons initier des lavements du 24.05 au 26.05.2018. Les épisodes d'agitation sont jugulés par des benzodiazépines et de la Quétiapine à dose réduite. Au laboratoire, nous retrouvons une anémie macrocytaire normochrome à 93 g/L le 28.05. que nous substituons avec de l'acide folique dès le 01.06.2018. Dans le doute d'une infection sous-jacente, la patiente est sous Rocéphine iv depuis le début de l'hospitalisation pour une durée de 7 jours avec une évolution favorable. Le 02.06, dans un contexte d'état fébrile et avec l'apparition d'une toux productive, nous introduisons une thérapie par Co-Amoxicilline jusqu'au 06.06.2018. Une radio du thorax, une culture urinaire et des hémocultures ne montrent pas de source infectieuse. Devant cette clinique de fièvre récidivante, nous décidons de débuter un traitement par Ciproxine dès le 13.06.2018. Au vu de la consommation d'OH chronique et la difficulté d'évaluer la consommation avant l'hospitalisation, nous introduisons un traitement de Benerva et de Seresta. Nous proposons à la patiente une prise en charge par la RIFA qu'elle accepte, avec possibilité de placement au Torry. Sur le plan psychiatrique, la patiente ne présente pas de gros troubles et serait une bonne candidate pour un placement en institution pour les dépendances. Elle continuera son suivi chez le Dr. X au centre psycho-social. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme Tran, 73 ans, connue pour une hypertension artérielle, est hospitalisée dans notre service pour des vertiges d'origine périphérique probable. Elle a consulté les urgences le 14.06.2018 en raison de la présence depuis 5 jours de vertiges de type tangage. L'imagerie cérébrale a permis d'exclure un AVC et le bilan biologique n'a pas montré de syndrome inflammatoire. L'évolution a été spontanément favorable pendant le séjour. Une consultation ORL est prévue à sa sortie pour laquelle la patiente sera convoquée. À noter la présence d'un souffle cardiaque systolique 3/6 audible à tous les foyers et irradiant dans les carotides. L'échocardiographie a montré une cardiopathie hypertensive et une maladie aortique avec sténose aortique légère et insuffisance aortique modérée. Nous optimisons le traitement antihypertenseur en remplaçant le Zanidip par l'Amlodipine et le Lisinopril et proposons la réalisation d'une échocardiographie de contrôle dans 1 an. Au vu de l'évolution favorable, la patiente a pu quitter notre service le 19.06.2018 pour un retour à domicile sans aide. Mme Tschannen, 81 ans, admise en surveillance post-opératoire pour réimplantation de prothèse totale de hanche droite. L'implantation de la PTH droite a eu lieu le 31.01.18 à Tafers, suite à laquelle elle a présenté une infection précoce avec fracture périprothétique type Vancouver B2 hanche D le 08.02.2018 avec révision ouverte, stabilisation de la fracture par câble cerclage Dall-Miles et changement de la tige de la PTH le 12.02.2018 toujours à l'HFR Tafers. Le germe en cause, découvert par ponction avec prélèvement microbiologique et Synovasure hanche droite le 30.03.2018, est un Enterococcus faecalis Ampi-S qui est initialement traité par co-amoxicilline du 30.03 au 31.03.2018 puis Clamoxyl du 01.04 au 15.05.2018. Le 05.04.2018, la PTH droite est retirée, avec débridement extensif et ablation du matériel d'ostéosynthèse, implantation d'un spacer avec pellets de Gentamicine et de Vancomycine. La Gentamycine est également passée iv du 06.04 au 20.04.2018. De nouvelles biopsies sont effectuées le 05.04.18 avec cultures négatives à 14 jours. Une réimplantation de la PTH avec retrait du spacer est effectuée le 20.06.18, en commun accord entre les infectiologues et les orthopédistes. Au vu d'une instabilité hémodynamique en post-op immédiat, elle est transférée pour surveillance aux soins intensifs.L'instabilité hémodynamique se résout rapidement avec un sevrage de la Noradrénaline. Les valeurs d'hémoglobine restent stables. Une surcharge volémique avec de nombreux oedèmes des membres inférieurs est observée. Ceci est probablement dû à un remplissage généreux d'environ 6,5 litres pendant l'intervention pour des pertes de 1,5 litre. Un traitement unique par Furosemide intraveineux est effectué. La volémie et le poids de la patiente seront à suivre à l'étage. Une antibiothérapie par Clamoxyl est initiée sur avis infectiologique du Dr. X. Celle-ci est à stopper dans le cas où les prélèvements intra-opératoires restent stériles. Lors du transfert, la patiente est stable sur le plan hémodynamique, orientée dans le temps, l'espace et par rapport à la personne, et le statut neurologique est dans la norme. Mme. Y, 38 ans, admise pour un HELLP syndrome avec pré-éclampsie nécessitant une interruption thérapeutique de grossesse. La patiente, en bonne santé habituelle, enceinte à 21 semaines d'aménorrhée post fécondation in vitro, a présenté depuis plusieurs jours une hypertension avec baisse de l'état général et douleurs épigastriques. Protéinurie initiale à 0,80g/dL. Un traitement par magnésium et Labétalol intraveineux est débuté dans le contexte de la pré-éclampsie. L'interruption thérapeutique de grossesse est décidée en raison des risques encourus par la patiente. Un ballon intra-cervical utérin est mis en place et une thérapie locale par Cytotec est effectuée. L'évolution des paramètres biologiques est favorable après expulsion du fœtus le 02.06.18, avec une cytolyse en cours de correction, une hémolyse corrigée en dehors des LDH et une thrombopénie à 80 000 au dernier contrôle. Après discussion avec la garde de gynécologie et après le sevrage du trandate, le magnésium IVSE est arrêté le 03.06.18. Depuis l'arrêt du traitement antihypertenseur, la patiente ne récidive pas d'hypertension artérielle, et ses réflexes ostéotendineux ne sont pas vifs ni polycinétiques, elle n'a pas de céphalées ni de déficit neurologique. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 07.06.2018, suite à l'ingestion de produit détergent à visée suicidaire. L'évolution est marquée par un oedème laryngé massif nécessitant une intubation puis une trachéotomie le 12.06.2018. Elle est transférée dans le service d'ORL le 15.06.2018 avec protocole de décanulation et fermeture médicale en cours à la sortie. Un contrôle endoscopique du 18.06.2018 montre des lésions sous-glottiques de décubitus en miroir, fibrineuses, nécessitant une exérèse de la fibrine excédentaire. Les lésions trachéo-bronchiques sont résolutives. Une fermeture médicale de trachéotomie est effectuée dès le 19.06.2018 sans difficultés. La patiente est eupnéique à la sortie sans stridor ni dysphonie. L'ingestion est accompagnée d'une gastrite sévère, surtout au niveau du corps et du cardia, et un érythème de la muqueuse du tiers inférieur de l'œsophage. Un rinçage de 1L de NaCl est effectué avec aspiration de tout le matériel. L'OGD de contrôle du 14.06.18 montre une nette amélioration. Le traitement d'IPP à double dose est poursuivi pour le moment. La patiente bénéficie d'une nutrition entérale du 09.06.18 au 19.06.2018, d'un suivi diététique bihebdomadaire. L'alimentation par sonde est progressivement stoppée, dès le 19.06.2018 une alimentation normale est progressivement réinstaurée. La patiente est traitée par une antibiothérapie par co-amoxicilline pour 7 jours en raison de la présence d'un streptocoque pneumoniae dans les aspirations bronchiques et d'un E. Coli sensible dans les urines. Pas de complications infectieuses. On note une situation sociale et familiale complexe. La patiente a un statut de réfugiée, vit avec sa fille de 8 ans actuellement chez des amis voisins, il y a un conflit avec le mari dont elle vit séparée. Référente est une amie, Mme. Vathana. Une demande de représentation thérapeutique transitoire a été adressée à la justice de paix de la Gruyère le 11.06.18. Par la suite, elle est entourée de famille et d'amis qui passent régulièrement. L'état dépressif s'inscrit dans le contexte de cette situation sociale précaire. L'évaluation psychiatrique du 15.06.18 conclut à un risque suicidaire faible, la patiente regrette son geste. Un suivi est effectué en cours d'hospitalisation, avec un interprète tamoul. Un nouvel entretien avec le traducteur a lieu avant la sortie le 22.06.2018 à 14h et la patiente bénéficiera d'un suivi ambulatoire. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 07.06.2018, suite à l'ingestion de produit détergent à visée suicidaire. L'évolution est marquée par un oedème laryngé massif nécessitant une intubation puis une trachéotomie. Elle est transférée dans le service d'ORL le 15.06.2018. L'important oedème laryngé, persistant après cinq jours d'intubation, rend nécessaire la réalisation d'une trachéotomie le 12.06.2018, avec accord de la patiente et autorisation du juge de paix. La patiente peut être rapidement déventilée, sans complication respiratoire. La canule Shiley externe est remplacée le 14.06.18 par une canule Shiley fenêtrée, ce qui permet le passage au bouchon rouge et une reprise de la parole dès le 15.06.18. La suite du sevrage de la trachéotomie se fera dans le service d'ORL. Le test de déglutition est encore pathologique le 15.06.18, avec poursuite de l'alimentation par sonde. Seules les boissons froides sont permises pour l'instant, un suivi par l'équipe de physiothérapie est prévu. L'ingestion est accompagnée d'une gastrite sévère, surtout au niveau du corps et du cardia, et un érythème de la muqueuse du tiers inférieur de l'œsophage. Un rinçage de 1L de NaCl est effectué avec aspiration de tout le matériel. L'OGD de contrôle du 14.06.18 montre une nette amélioration. Le traitement d'IPP à double dose est poursuivi pour le moment. Le Dr. X est à contacter pour déterminer la suite du traitement et discuter de la nécessité d'un nouveau contrôle. La patiente est traitée par une antibiothérapie par co-amoxicilline pour 7 jours en raison de la présence d'un streptocoque pneumoniae dans les aspirations bronchiques et d'un E. Coli sensible dans les urines. On note une situation sociale et familiale complexe. La patiente a un statut de réfugiée, vit avec sa fille de 8 ans actuellement chez des amis voisins, il y a un conflit avec le mari dont elle vit séparée. Référente est une amie, Mme. Vathana. Une demande de représentation thérapeutique transitoire a été adressée à la justice de paix de la Gruyère le 11.06.18. L'état dépressif s'inscrit dans le contexte de cette situation sociale précaire. L'évaluation psychiatrique du 15.06.18 conclut à un risque suicidaire faible, la patiente regrette son geste. Un suivi est prévu en cours d'hospitalisation, à effectuer avec un interprète tamoul. MMS d'entrée: 4/30 (refus de 3 exercices) Recherche d'un nouveau lieu de soins. MMS 14/30, test de l'horloge 0/7 le 11.06.2018.MMS 23/30 le 05.06.2018, test de la montre 6/6, GDS 0/15 Bilan neuropsychologique en ambulatoire MMS Consilium neuropsychologique demandé, mais pas réalisé vu le transfert précoce à Marsens MMSE Mobbing depuis 2 mois. Mobilisation avec charge selon douleurs dans le plâtre. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Mobilisation avec charge selon douleurs. Plus de restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Mobilisation avec charge selon douleurs. Une chaussure Geisha n'est plus nécessaire si la patiente peut marcher avec des chaussures normales. Un contrôle rx-clinique est agendé à 6 semaines. Mobilisation avec des cannes et analgésie pour 10 jours IRM-Pied et consultation ortho team pied si persistance de symptômes Mobilisation avec la physiothérapie. Ablation du gilet orthopédique. Prochain contrôle le 14.09.2018. Mobilisation avec physiothérapie avec rotation externe à 0°, interne au ventre. Elévation et abduction à 90°. Prochain contrôle à la consultation du Dr. X dans 5 semaines. Mobilisation avec Tintébin à l'EMS. Mobilisation dans un plâtre AB circulaire pour un total de 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique le 23.07.2018. Mobilisation en charge selon douleurs. Aucune restriction. Contrôle en novembre, à un an de l'intervention. En cas de problème entre-temps, nous restons à disposition pour un contrôle plus rapidement. Mobilisation en charge selon douleurs dans le plâtre pour 2 semaines puis ablation de celui-ci. Elle peut enlever le plâtre la nuit. Nous la reverrons fin juillet pour un contrôle radioclinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin juillet. Mobilisation en charge selon douleurs dans le Vacopedes. Nous lui prescrivons le matériel pour les pansements et lui expliquons comment les faire. Ablation des fils par sa maman qui est infirmière. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Mobilisation en charge selon douleurs. Il va continuer à refaire ses pansements lui-même avec le Nugel. Nous le reverrons dans 1 semaine pour réévaluer la situation. Mobilisation en lit strict. Transfert pour suite de prise en charge à HFR Fribourg, départ en ambulance. Mobilisation immédiate du genou après l'infiltration, disparition complète des douleurs. La patiente revient dans trois semaines pour un contrôle clinique. Mobilisation immédiate du genou après l'infiltration, disparition complète des douleurs. La patiente revient dans trois semaines pour un contrôle clinique. Mobilisation libre de la main. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X en juillet 2018. Mobilisation libre de la main. Prochain contrôle en septembre comme planifié. Mobilisation libre de l'épaule. Physiothérapie avec le but de renforcement coiffe des rotateurs. Prochain contrôle à la consultation du Dr. X dans 3 mois. Mobilisation libre, physiothérapie. Contrôle clinique dans 3 mois. Mobilisation libre. Prochain contrôle dans 3 mois. Mobilisation libre selon douleurs, sauf flexion/extension. Contrôle à la consultation ambulatoire du Dr. X le 12.07.2018 à 13h40. Physiothérapie passive et hygiène posturale à poursuivre en ambulatoire. Reprise de la physiothérapie active dès 2 mois post-opératoires. Arrêt de travail à 100% du 04.06.2018 au 12.07.2018. Mobilisation, renforcement progressif et stabilisation du poignet. Reprise des activités professionnelles à 100% le 15.07.2018. Prochain contrôle dans 6 à 8 semaines. Mobilisation sans restriction. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique où nous planifierons l'AMO à 6 mois post-opératoires. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 05.07.2018 Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 05.07.2018 Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 05.07.2018. Mobilisation selon douleur. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 6.8.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 6.8.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation dans 6 semaines. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 6.8.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 6.8.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 6.8.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 9.8.2018. Mobilisation selon douleurs. Physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires. Prochain contrôle le 6.8.2018. Mobilisation sous narcose avec bloc fémoral sur une mobilité insuffisante après PTG et ostéotomie fémorale de varisation d'ouverture externe de 10° dans le contexte d'une gonarthrose valgus à droite (Dr. X, 25.05.2018) Mobilisation sous narcose avec bloc fémoral sur une mobilité insuffisante après une prothèse totale du genou et ostéotomie fémorale de varisation dans le contexte d'une gonarthrose valgus à droite (Dr. X, 25.05.2018) Mobilisation stricte lit. Antalgiques. Régime progressivement augmenté (Risque d'ileus paralytique) Discussion le lendemain au team spine pour la poursuite de la prise en charge Modification du traitement antalgique par Paracétamol effervescent et Tramal gouttes. Modification traitement antibiotique par Co-Amoxi dispersible. Moelena Moelena Mr. Y présente une entorse de cheville gauche. Il reçoit un aircast, des béquilles et du Dafalgan et de l'Ibuprofen en réserve. Mollusca contagiosa S/p circoncision pour phimosis Molluscum contagiosum Molluscum contagiosum Molluscum pendulosum d'environ 1.5 cm de diamètre, pédiculé, face médiale du tiers proximal. Mométason spray nasal 50 mcg, 2 jets dans chaque narine 1x/j le matin Contrôle chez le médecin traitant Monitoring aux urgences. Monitoring cardio-pulmonaire jusqu'au 15.06.2018 Monitoring cardio-respiratoire Monitoring cardiorespiratoire Monitoring cardio-respiratoire aux urgences Gazométrie alignée Bilan biologique: pas de leucocytose, pas de déviation gauche, pas de CRP Monitoring cardio-respiratoire du 04.04.18 au 30.04.18 Caféine du 11.04 au 23.04.18 Monitoring cardio-respiratoire du 17.05 au 17.06.2018 Citrate de caféine du 19.05.2018 au 04.06.2018 Monitoring cardiorespiratoire hypotension Bilan hépatique, rénal aligné Gazométrie complète alignée Toxicologie urinaire: Cannabis positif ECG le 11.06.2018 et 12/06 à 10:00 dans la norme, pas de QT prolongé Monitoring cardio-respiratoire jusqu'au 12.06.2018 Citrate de caféine du 23.05 au 01.06.2018 Monitoring cardio-respiratoire Bilan sanguin: FSC leucocytose à 19.1 à prédominance lymphocytaire (14.8G/l), CRP <5 mg/l Gazométrie Hemocultures (aérobe) le 01.05 Status/sédiment urinaire, urotube le 02.05 Analyse des selles à la recherche de Rotavirus et Adénovirus Ponction lombaire le 02.05 avec bilan standard plus PCR de HSV, VZV, parechovirus. Monitoring cardio-respiratoire. Surveillance clinique Monitoring continu en unité stroke du 15.06.2018 au 16.06.2018 Troubles de déglutition pathologique le 15.06.2018 (voir problème spécifique) CT cérébral avec carte de perfusion le 15.06.2018 : normal IRM cérébrale du 15.06.2018 : lésion ischémique pontique droite Aspirine Monitoring continu en unité stroke du 18.06.2018 au 19.06.2018 Test de déglutition le 18.06.2018 CT cérébral avec vaisseaux précérébraux le 18.06.2018 (pas de carte de perfusion) IRM cérébrale le 18.06.2018 Att: Aspirine 250 mg IV aux urgences Monitoring continu en unité stroke du 23.06.2018 au 24.06.2018. Test de déglutition normal CT cérébral le 23.06.2018 IRM cérébrale le 25.06.2018 à prévoir si pacemaker compatible ! EEG à organiser selon évolution clinique et résultats de l'IRM • Monitoring respiratoire • Oxygénothérapie du 30.05 au 31.05.2018. • Ventolin 6 push aux 4 heures, mis en réserve à la sortie • Betnesol 0.25 mg/kg/dose (2.5 mg) durant 2 jours • Monitoring respiratoire • Oxygénothérapie du 30.05 au 31.05.2018. • Ventolin 6 push aux 4 heures, mis en réserve à la sortie • Betnesol 0.25 mg/kg/dose (2.5 mg) durant 2 jours • Monitoring • Immobilisation en décubitus dorsal, minerve en place • Analgésie par paracétamol (1gr en IV) • 2 poses de voies veineuses périphériques (MSD, MSG) • Consilium Orthopédie (Dr. X) • Monitoring • Immobilisation en décubitus dorsal, minerve en place • Analgésie par paracétamol (1gr en IV) Monoarthrite. Mono-arthrite du genou D le 03.05.2018 : • origine microcristalline sur goutte (présence de cristaux d'urate) Monoarthrite du poignet G le 01.07.2018 chez un patient connu pour une goutte. APP il y a 16 ans Mononucléose. Mononucléose avant Noël EF sans foyer clair DD : Virose débutante, infection urinaire Mononucléose avec bicytopénie (leucopénie 2.9 G/l et thrombopénie à 75 G/l) et splénomégalie. Mononucléose infectieuse. Mononucléose infectieuse. Mononucléose le 01.06.2018. Mononucléose le 01.06.2018. Monovo crème 1x/jour pour 1 semaine, puis tous les 2 jours pour 1 semaine, puis 2x/semaine jusqu'à guérison Hydratation quotidienne avec Optiderm crème plusieurs fois par jour. Monsieur, Cher Collègue Je revois ce jour comme convenu David accompagné par sa maman, pour contrôle clinique et hémoculture. Monsieur Y présente une distorsion bénigne du ligament collatéral interne du genou D, avec probable atteinte du ménisque interne. Je n'ai par contre pas assez d'arguments actuellement pour demander une IRM. Je propose donc au patient d'attendre. Je le revois le 25.07.2018 en cas de persistance des douleurs, si celles-ci devaient disparaître le patient annulera son rendez-vous. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Monsieur Y est hospitalisé pour une hémorragie digestive. Il présente depuis une semaine des épisodes de méléna associés à une asthénie et des vertiges à la mobilisation. Le bilan biologique met en évidence une anémie motivant l'administration d'un concentré érythrocytaire. Un traitement par Pantoprazole i.v. est initié d'emblée. Un relais per os est effectué après une OGD normale. Une coloscopie pour compléter le bilan étiologique n'identifie pas de source de saignement. Une cause claire au saignement digestif n'est pas identifiée, nos confrères gastro-entérologues ne préconisent pas d'investigation supplémentaire. Ils recommandent par contre l'arrêt de l'Aspirine cardio au moins pendant la phase aiguë. Le patient ne présente plus d'épisodes de méléna dès le lendemain de son admission. Un profil tensionnel bas est mis en évidence durant son hospitalisation, raison pour laquelle son traitement antihypertenseur est mis en suspens. Nous vous laissons le soin de réévaluer sa réintroduction à distance. Suite au tarissement des saignements et à une amélioration clinique, le patient peut regagner son domicile. Monsieur Y est un patient de 76 ans suivi par le Dr. X et connu pour un status post-prostato-vésiculectomie radicale en 2008 pour un adénocarcinome de la prostate. Lors du dernier contrôle le 25.05.2018, le Dr. X objective des tumeurs papillaires de la vessie pour lesquelles il pose l'indication à une résection transurétrale de la vessie. Anamnestiquement, Monsieur Y présente une dysurie à 4-5 fois/jour et une nycturie à 1-2 fois/nuit, avec une bonne force de jet urinaire. À noter un épisode de macrohématurie il y a un mois, sous Aspirine, traitement stoppé depuis lors. Il n'a pas de sensation de résidu post-mictionnel, de poussée abdominale, de miction impérieuse ou d'incontinence urinaire. La cystoscopie réalisée au cabinet montre, au niveau de l'urètre pénien et bulbaire, de petits anneaux sténotiques, un sphincter difficilement franchissable, la vessie est trabéculée, avec pseudo-diverticules. Présence de plusieurs tumeurs papillaires exophytiques, pas de Cis, les orifices urétéraux sont sans particularité. La PSA est inférieure à 0,01. L'intervention suscitée est réalisée le 13.06.2018 sans complication. Les suites opératoires sont simples, les urines reviennent initialement claires, puis le patient présente un épisode d'hématurie macroscopique, raison pour laquelle l'hospitalisation est prolongée. Des rinçages avec une sonde à trois voies sont effectués et, à son départ, Monsieur Y ne présente plus d'hématurie macroscopique, la sonde vésicale est en place. L'antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour sera poursuivie durant encore une semaine et, le 16.06.2018, Monsieur Y peut retourner à domicile. Monsieur Y est un patient de 67 ans, connu pour une éventration de la ligne médiane de 14 mm mise en évidence au CT, de même qu'une hernie ombilicale de 22 mm à contenu graisseux sans complication. L'intervention a dû être initialement repoussée en raison d'une décompensation cardiaque. Le dernier contrôle cardiaque a été effectué le 08.05.2018 par le Dr. X, qui a proposé un arrêt du Plavix et n'a pas de contre-indication à l'opération. La cure d'éventration par laparoscopie IPOM est donc effectuée le 22.06.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 24.06.2018. Monsieur Y est un patient de 52 ans qui se présente aux urgences après une chute en trottinette vers 22h30 avec traumatisme crânien et épaule gauche. Le bilan met en évidence des fractures des côtes 2-6 à gauche avec un pneumothorax qu'on traite conservativement et une fracture de clavicule que l'on traite également de manière conservatrice sur avis des collègues de l'orthopédie. Les radiographies de contrôle montrent, au début, une légère augmentation de la taille du pneumothorax et après une stabilisation de la taille. Les douleurs sont supportables avec une antalgie simple. Le patient rentre à domicile le 03.06.2018. Monsieur Y est un patient de 18 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences avec des douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 18 heures avec des nausées et un épisode de vomissement. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire légèrement élevé et le scanner confirme une appendicite aiguë. Nous retenons alors l'indication pour une appendicectomie laparoscopique en urgence. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une réalimentation progressive, une reprise d'un transit et des plaies calmes. Le patient rentre à domicile le 22.06.2018. Monsieur Y est un patient de 52 ans connu pour une cardiopathie ischémique, qui se présente aux urgences le 25.06.2018 en raison de douleurs épigastriques. Le bilan retrouve un syndrome inflammatoire biologique. Un scanner et une IRM abdominale montrent une pancréatite bien que le patient n'ait jamais présenté d'élévation de l'amylase et de la lipase. À noter que des tests hépatiques sont dans la norme. L'évolution est rapidement favorable sous antalgie tant au niveau clinique que biologique. Monsieur Y peut regagner son domicile le 28.06.2018. Afin d'exclure formellement une autre origine aux douleurs épigastriques, nous proposons la réalisation d'une OGD en ambulatoire. Monsieur Y, âgé de 80 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold, nous est adressé par son médecin traitant pour une réhabilitation pulmonaire dans un contexte de BPCO. Les vaccins sont à jour. Pour rappel, le patient utilise depuis 5 ans de l'O2 à domicile à 2 lt/min. Il a déjà bénéficié de 4 séjours en RPU à l'HFR Billens. Sur le plan social, le patient est divorcé. Il vit seul à domicile. Il est à la retraite et bénéficie du passage des soins à domicile 1x/j. A l'admission, le patient se plaint d'une asthénie. En général, il rapporte une dyspnée stade IV selon NYHA avec toux et expectorations blanchâtres. Le patient dit que dernièrement il se sent plus facilement dyspnéique. Le status pulmonaire met en évidence un murmure respiratoire globalement diminué sans bruit surajouté. La spirométrie d'entrée montre un VEMS à 28% du prédit et confirme une BPCO stade IV selon Gold. La gazométrie d'entrée sous O2 à 2 lt/min montre une saturation à 94.6% avec une pO2 à 10 kPa, sans hypercapnie. La radiographie du thorax montre une importante désorganisation de la trame broncho-vasculaire avec un aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de la BPCO connue, mais pas de foyer. Par rapport à l'anémie, un bilan biologique montre une anémie ferriprive. De plus, les hémofecatest reviennent positifs. Une substitution en fer avec des injections de Ferinject a été prescrite. Le patient ne souhaite pas d'investigations complémentaires. Nous vous recommandons d'effectuer des contrôles réguliers de l'hémoglobine et du fer pour évaluer l'indication à d'éventuelles transfusions ou supplémentation en fer. Pendant l'hospitalisation, le patient développe une insuffisance rénale aiguë de probable origine médicamenteuse sous Esidrex, que nous stoppons sans répercussion sur le profil tensionnel. La fonction rénale se corrige. Le patient présente une exacerbation vraisemblablement non infectieuse de la BPCO le 30.05.2018 avec une péjoration de la dyspnée ayant nécessité l'adaptation de l'oxygénothérapie. L'examen clinique met en évidence des sibilances diffuses à l'auscultation pulmonaire. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous décidons d'introduire du Zithromax 500 mg 1x/j pour une durée totale de 3 jours; le patient répond bien sur le plan de la symptomatologie. Au décours de l'exacerbation, le patient présente une légère prise de poids avec apparition d'OMI prenant le godet jusqu'au tiers distal des jambes bilatéralement (probablement en relation avec l'arrêt de l'Esidrex), raison pour laquelle nous effectuons une adaptation du traitement par Torasemide à 10 mg 1x/j et nous vous laissons suivre le poids et la fonction rénale. Sur le plan nutritionnel, le patient montre un poids stable et il a participé aux différentes conférences. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une stagnation des performances. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 180 m à 140 m dans le cadre de l'exacerbation. Les performances sur le tapis s'améliorent. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines et demi d'hospitalisation et au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut quitter notre service le 08.06.2018 pour rejoindre son domicile, en état général conservé. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire après une prothèse totale de hanche (PTH) à gauche en raison d'une hypotension artérielle, un SAOS appareillé et une antalgie difficile à gérer initialement. Le patient, connu pour une ostéogenèse imparfaite qui a entraîné de multiples fractures, est opéré d'une PTH à gauche sur une coxarthrose. L'opération se passe sans complication avec une hypotension persistante en post-opératoire en salle de réveil qui s'améliore sous remplissage vasculaire avec des cristalloïdes et après transfusion de deux culots érythrocytaires. L'hémoglobine remonte à 97 g/L le 15.06.2018. Durant la nuit aux soins intensifs, le patient poursuit son traitement habituel du SAOS avec sa CPAP personnelle. Les réglages de la CPAP sont adaptés par les physiothérapeutes durant l'hospitalisation le 15.06.2018. L'antalgie est initialement gérée avec une PCA de Morphine, les besoins en morphine étant importants en salle de réveil. Un relais PO par Oxycontin et Oxynorm est effectué le 15.06.2018. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique, est hospitalisé pour un œdème aigu du poumon sur un pic hypertensif. Le patient dit avoir oublié de prendre son traitement ces trois derniers jours. Il décrit une dyspnée NYHA II-III, des épisodes de dyspnée paroxystique nocturnes, ainsi que des douleurs rétro-sternales oppressives intermittentes sans corrélation avec l'effort. Le bilan initial met en évidence des troponines avec une cinétique à la hausse en lien avec l'OAP, avec un ECG superposable aux précédents. L'échocardiographie trans-thoracique du 20.06.2018 ne montre pas de péjoration par rapport à 2016 et le contrôle de son pacemaker est dans la norme. Dans ce contexte, nos collègues cardiologues ne proposent pas de bilan complémentaire. Nous concluons à un OPA sur pic hypertensif dans le cadre de l'arrêt du traitement habituel. Le patient reçoit un traitement de Lasix IV, TNT et VNI qui permet une évolution rapidement favorable. Son traitement habituel est repris. Le patient nous fait part d'une dysurie depuis des années avec une anamnèse et un toucher rectal compatible avec hypertrophie bénigne de la prostate. Nous préconisons un rendez-vous en ambulatoire chez un urologue. Des soins à domicile 2x par semaine sont instaurés. Le patient peut rentrer à domicile le 22.06.2018. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle traitée, est amené au service des urgences le 13.06.2018 suite à une syncope avec chute et traumatisme crânien. Un ECG réalisé au service des urgences montre une fibrillation auriculaire normocarde ainsi qu'un bloc de branche gauche nouveaux et non datés. Des D-Dimères augmentés à 26'000 ng/ml motivent un CT thoracique permettant d'exclure une embolie pulmonaire, tandis qu'un CT cérébro-cervical ne montre aucune lésion cérébrale ou cervicale. Un test de Schellong le 13.06.2018 revient positif. Le patient est transféré dans notre service de médecine le jour même. Une répétition du test de Schellong avec bas de contention s'avère négatif. Un traitement diurétique est introduit au vu de signes clinico-biologiques (pro-BNP à 2231 ng/l) d'insuffisance cardiaque. Une échographie transthoracique montre un FEVG à 65% avec signes de cardiopathie hypertrophique homogène et sans valvulopathie significative. Les résultats d'un Holter sont en attente. Nous retenons une étiologie orthostatique à la syncope, possiblement combinée à une composante rythmique (FA nouvelle) et/ou médicamenteuse (introduction d'escitalopram, traitements antihypertenseurs et diurétiques). A 2 jours de distance du traumatisme crânien, nous introduisons une anticoagulation par Rivaroxaban. Suite à l'apparition d'hématochézie (isolée le 17.06.2018), nous substituons le traitement par de l'apixaban. Le patient est en effet connu pour une colite actinique et avait déjà présenté de tels saignements en 2011, sur quoi l'antiagrégation par ASS cardio avait été interrompue. Mr. Y peut rejoindre son domicile en état général conservé le 18.06.2018. La physiothérapie se poursuivra en ambulatoire. Mr. Y, 76 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs le 20.06.2018 pour une insuffisance respiratoire aiguë plurifactorielle, secondaire à une pneumonie d'aspiration bibasale, à deux embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur gauche et dans un contexte de pneumopathie interstitielle non spécifique.Le patient est connu pour une lésion pancréatique depuis 2016, avec multiples cholangites sur destruction de stent biliaire. Il a été hospitalisé en électif pour la réalisation d'une dérivation bilio-digestive. La laparotomie exploratrice du 14.06.2018 a mis en évidence de multiples métastases hépatiques (confirmées par une analyse extemporanée). Les chirurgiens ont donc renoncé à la dérivation bilio-digestive. Les suites post-opératoires sont marquées par une pancréatite aiguë et un iléus paralytique le 18.06.2018. Une antibiothérapie préemptive d'imipenem (3 x 500 mg/j) a été débutée le 18.06.2018. L'histologie confirme un adénocarcinome pancréatique, métastatique. Le patient a présenté une détresse respiratoire aiguë avec une altération de la perfusion périphérique le 20.06.2018. Cette détérioration a été attribuée à une pneumonie d'aspiration bibasale ainsi qu'à deux embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur gauche. Les échanges gazeux se sont améliorés sous oxygénothérapie à haute concentration et des séances de ventilation non invasive, bien tolérée malgré l'hypertension pulmonaire connue. Un remplissage vasculaire a aussi été nécessaire. Le syndrome inflammatoire s'est amélioré après l'augmentation de l'imipenem (4 x 1000 mg/j), qui sera poursuivi jusqu'au 26.06.2018 inclus. Les hémocultures sont restées stériles. Une anticoagulation thérapeutique par héparine a été débutée, puis substituée par de l'enoxaparine dès le 23.06.2018. Des douleurs abdominales ont répondu rapidement à de la morphine par voie intraveineuse. En l'absence de choléstase et vu la baisse du syndrome inflammatoire, un traitement conservateur est préconisé. Le patient a été transféré le 23.06.2018 dans le service de médecine interne avec l'accord des collègues chirurgiens. Une attitude générale palliative, visant des soins de confort, a été adoptée dès le 26.06.2018. En raison de douleurs abdominales persistantes et de l'iléus sous-jacent, l'antalgie est modifiée par du Buscopan, Dafalgan et Novalgine iv avec bon effet. Le 27.06.2018, le patient présente un abdomen aigu avec l'apparition d'une rectorragie et une détérioration rapide de l'état général. Au vu du pronostic engagé et de l'attitude adoptée, aucun examen complémentaire n'est effectué. Le patient est soulagé par Morphine et Dormicum iv. Le patient décède dans la matinée du 28.06.2018, accompagné par sa famille, très présente tout au long du séjour. Monsieur Ayer, 76 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs le 20.06.2018 pour une insuffisance respiratoire aiguë plurifactorielle, secondaire à une pneumonie d'aspiration bibasale, à deux embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur gauche et dans un contexte de pneumopathie interstitielle non spécifique. Le patient est connu pour une tumeur de la tête du pancréas métastatique, ayant nécessité la pose d'un stent biliaire fin 2016, compliqué de multiples épisodes de cholangite sur occlusion du stent. Il a été hospitalisé en électif pour la réalisation d'une dérivation bilio-digestive. La laparotomie exploratrice du 14.06.2018 a mis en évidence de multiples métastases hépatiques (confirmées par une analyse extemporanée). Les chirurgiens ont donc renoncé à la dérivation bilio-digestive. Les suites post-opératoires sont marquées par une pancréatite aiguë et un iléus paralytique le 18.06.2018. Une antibiothérapie préemptive d'imipenem (3 x 500 mg/j) a été débutée le 18.06.2018. Le patient a présenté une détresse respiratoire aiguë avec une altération de la perfusion périphérique le 20.06.2018. Cette détérioration a été attribuée à une pneumonie d'aspiration bibasale ainsi qu'à deux embolies pulmonaires segmentaires du lobe supérieur gauche. Les échanges gazeux se sont améliorés sous oxygénothérapie à haute concentration et des séances de ventilation non invasive, bien tolérées malgré l'hypertension pulmonaire connue. Un remplissage vasculaire a aussi été nécessaire. Le syndrome inflammatoire s'est amélioré après l'augmentation de l'imipenem (4 x 1000 mg/j). Les hémocultures sont restées stériles. Une anticoagulation thérapeutique par héparine a été débutée, puis substituée par de l'enoxaparine dès le 23.06.2018. Des douleurs abdominales ont répondu rapidement à de la morphine par voie intraveineuse. En l'absence de choléstase et vu la baisse du syndrome inflammatoire, un traitement conservateur est préconisé. En cas de réocclusion de stent, il faudra prendre contact avec le Prof. X pour une éventuelle ERCP. Le patient a été transféré le 23.06.2018 dans le service de médecine interne avec l'accord des collègues chirurgiens. Une attitude générale palliative, visant des soins de confort, a été adoptée. Dans ce contexte, une réadmission aux soins intensifs n'est pas indiquée en cas de complication en lien avec la progression de la maladie néoplasique. Monsieur Bader est un patient de 69 ans, connu notamment pour une hypertension artérielle, une artériopathie des membres inférieurs et un tabagisme ancien à 100 UPA, qui nous est transféré le 27.06.2018 du CHUV pour la suite de prise en charge de sa maladie coronarienne tritronculaire. Pour rappel, le patient avait bénéficié au CHUV le 22.06.2018 d'un double pontage de l'artère interventriculaire antérieure et de la coronaire droite, sans complication. Dans notre service, Monsieur ne présente pas de plainte particulière. L'évolution cardiovasculaire est favorable sous tous les plans, avec persistance d'une légère dyspnée à la marche qui est bien tolérée par le patient. Afin de permettre un retour à domicile dans les meilleures conditions possibles, nous proposons une réhabilitation cardiovasculaire au Noirmont. Nous prions nos collègues du Noirmont d'effectuer le retrait des fils à J15, le 06.07.2018. Par ailleurs, le patient présente une anémie normochrome normocytaire, dont les bilans vitaminique et thyroïdien sont dans la norme, permettant de conclure à une probable cause post-opératoire. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Bader nous est adressé par l'hôpital Universitaire de Bâle pour la suite de prise en charge et bilan d'une syncope. Pour rappel, le patient a présenté un épisode de syncope précédé de prodromes visuels et de vertige en visitant son frère à l'hôpital universitaire de Bâle le 30.05.2018. Durant son monitoring au service des urgences, plusieurs salves de quelques secondes de tachycardies ventriculaires auraient été objectivées orientant vers une possible origine cardiaque. Un CT-scan cérébral et pulmonaire effectués là-bas reviennent sans particularité et une échocardiographie transthoracique décrit une bonne fonction ventriculaire et une absence de valvulopathie. Nous complétons le bilan par un électrocardiogramme d'effort cliniquement négatif avec une modification isolée en aVF sans mise en évidence de trouble du rythme. De ce fait, une coronarographie est planifiée pour le 13.06.2018. Un bilan angiologique des vaisseaux cérébraux rapportant une athéromatose diffuse, nous n'effectuons pas de massage des sinus carotidiens. Finalement, un holter est effectué dont les résultats seront communiqués en ambulatoire au patient au service de cardiologie à l'HFR Fribourg avec suite de prise en charge. À noter, qu'une origine vaso-vagale reste toutefois possible.Nous abordons le sujet du tabagisme avec Monsieur Y qui songe un jour à arrêter de fumer. Nous vous laissons le soin de re-discuter de cette problématique en ambulatoire. Monsieur Y rentre à domicile le 02.06.2018. Monsieur Y est un patient de 85 ans qui nous est adressé pour une biopsie du péricarde dans le cadre d'une investigation pour un épanchement péricardique récidivant d'origine jusqu'à présent inconnue. L'intervention se déroule le 11.06.2018 sans complication. Les suites opératoires sont simples. Durant l'hospitalisation, nous mettons en évidence une fracture au niveau de P1 O2 à gauche suite à un traumatisme, décrit par le patient, il y a quelques jours à la maison (s'est tapé l'orteil en se levant pour aller aux toilettes la nuit). Un traitement conservateur est mis en place. L'évolution est favorable, permettant un retour à domicile le 13.06.2018. Monsieur Y, 63 ans, connu pour une dépendance aux benzodiazépines et troubles psychiatriques suivi par Dr. X, est hospitalisé le 15.06.2018 à Berne pour suspicion d'AVC en raison d'un hémisyndrome gauche fluctuant. L'imagerie ne met pas en évidence de lésion ischémique ou hémorragique. Le diagnostic d'encéphalite virale est suspecté en raison d'un état confusionnel et d'un état fébrile avec syndrome inflammatoire. La ponction lombaire met en évidence une pléiocytose légère (6/ml). La PCR virale et bactérienne est négative. L'EEG montre un foyer de ralentissement en fronto-temporal gauche pouvant évoquer une encéphalopathie. Un traitement par Aciclovir est débuté puis arrêté au vu des PCR virales négatives. La sérologie FSME et syphilis sont négatives. En raison d'une suspicion de foyer pulmonaire, le patient est traité par Rocéphine/Klacid et est transféré par la suite aux soins intensifs de l'HFR Fribourg pour suite de prise en charge. Durant son hospitalisation aux soins, il présente un état confusionnel aigu avec agitation et mise en danger. Une contention physique transitoire ainsi que médicamenteuse par Haldol et benzodiazépines doit être administrée avec une évolution favorable permettant un transfert en médecine. Sur le plan urinaire, le patient présente suite à une ablation de sa sonde urinaire un globe urinaire motivant la pose d'une nouvelle sonde du 21.06 au 27.06.2018. Sur le plan social, le patient vit chez sa mère de 91 ans qui s'occupe de lui et ne voit pas un retour à domicile envisageable au vu de la mise en danger récente du patient (laisse les plaques de cuisson allumées, chutes à répétition) avec une dépendance importante aux benzodiazépines. Nous effectuons une évaluation par les psychiatres ainsi que par les neuropsychologues qui retiennent une anosognosie importante ainsi qu'un trouble cognitif (MOCA 11/30), exécutif et attentionnel. Le patient étant uniquement sous curatelle administrative, nous effectuons une demande d'élargissement de curatelle auprès de la justice de paix. Le patient souhaite rentrer à son domicile et nous met dans l'obligation d'effectuer un PAFA au vu des mises en danger pour lui et sa mère. Il accepte finalement un séjour à Marsens pour prise en charge de son addiction aux benzodiazépines et de ses troubles cognitifs le 27.06.2018. Le patient est transféré à Marsens le 27.06.2018. Monsieur Y est transféré de l'Inselspital le 26.06.18 pour suite de prise en charge. Pour rappel, il avait été hospitalisé dans un contexte d'hémiparésie droite, chute sur la droite et aphasie transitoire, sans mise en évidence aiguë d'une ischémie ou hémorragie, mais signes de troubles de la perfusion temporale droite (DD post-ictale, AIT), chez un patient connu pour une démence d'origine multifactorielle, en aggravation récente. À l'entrée à l'Inselspital, une pneumonie droite probablement d'aspiration a également été mise en évidence, et un traitement de Rocéphine avec relais par Co-Amoxicilline a été débuté le 21.06.18. En cours d'hospitalisation, un dosage de la vitamine D a été effectué mettant en évidence une persistance de carence à 42 nmol/l. Le status neurologique se normalisant et l'état fébrile ayant disparu, Monsieur Y nous est transféré pour suite de prise en charge. À l'entrée, Monsieur Y se montre très peu collaborant. Il refuse initialement de répondre aux questions ou de se faire examiner. Après plusieurs tentatives, une anamnèse brève est possible montrant un patient complètement désorienté, sans plaintes à l'anamnèse systématique. Le status est difficile en raison du manque de collaboration et met en évidence une légère douleur lombaire paravertébrale droite. Le MMS est également limité en raison du manque de collaboration, avec refus d'effectuer les sections langage et praxie, avec un total de 4/30. Une hétéroanamnèse avec la fille permet de comprendre que la démence s'est aggravée depuis environ 1 an, avec développement d'une agressivité importante, notamment envers elle, causant de gros problèmes au foyer (arrêt des soins d'hygiène par exemple, refusés par le patient, inversion du rythme jour-nuit). Nous nous mettons d'accord sur le point que Monsieur ne peut plus retourner dans son lieu de vie, et elle sera mise en contact avec notre service de liaison pour inscrire le patient dans un établissement adapté le plus rapidement possible. Concernant la pneumonie, nous terminons le traitement antibiotique pour un total de 7 jours, sans récurrence de symptômes. D'un point de vue général, nous essayons de simplifier la liste de médicaments du patient. Après notre discussion téléphonique, nous arrêtons comme convenu le Xarelto qu'il avait depuis plus d'un an pour une embolie pulmonaire idiopathique avec suspicion de tumeur pulmonaire sous-jacente. Nous n'effectuons pas de scanner de suivi, au vu de l'absence d'impact sur la prise en charge, qui sera palliative dans tous les cas. Au vu du dosage satisfaisant de vitamine D de l'Inselspital, nous diminuons de moitié la supplémentation. Nous arrêtons l'acide folique supplémenté à haute dose durant plus d'un an. Au vu de l'amélioration clinique, Monsieur Y ne présente plus de raison d'hospitalisation en médecine aiguë. Il est inscrit dans plusieurs homes et est transféré en lit C en attente de place dans un home médicalisé adapté à ses besoins. Monsieur Y, 45 ans, a été admis aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique et hyperosmolaire d'un diabète inaugural avec une hyperglycémie à 125 mmol/l et une insuffisance rénale aiguë prérénale. Le patient, connu pour une schizophrénie sous Rispedal et une consommation de cannabis, est amené aux urgences suite à un malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien. Une hyperglycémie hyperosmolaire est secondaire à un diabète inaugural. La glycémie est corrigée progressivement par hydratation et Insuline iv continue avec un relais par Insulatard par la suite. Une insuffisance rénale aiguë prérénale s'est rapidement améliorée après correction volémique. Les dysélectrolytémies sont corrigées en parallèle de la glycémie. Le patient bénéficiera d'un enseignement sur le diabète et du bilan des complications à l'étage de médecine. De plus, un des potentiels facteurs favorisant de la décompensation diabétique pourrait être le traitement neuroleptique de Risperdal. L'indication à un changement de traitement devra être discutée avec la psychiatre traitant. Une bactériémie à Cocci gram positif a été suspectée et est traitée initialement par Rocéphine. L'antibiotique sera à adapter à l'antibiogramme. En raison d'une bouteille positive sur 8, une contamination extérieure semble probable. Sur le plan social, le patient rapporte peu d'entourage. Il est à l'AI et sous curatelle. Il est suivi par l'association du Tremplin et au CSP par Dr. X.Le patient est transféré le 18.06.2018 dans le service de médecine. Monsieur Ballaman, 45 ans, est hospitalisé pour une décompensation acido-cétosique et hyperosmolaire d'un diabète inaugural avec hyperglycémie à 125 mmol/l et insuffisance rénale aiguë prérénale. Pour rappel, le patient a présenté un malaise avec perte de connaissance sans traumatisme crânien, raison pour laquelle il a été amené au service des urgences. Sur le plan diabétique, la glycémie est corrigée progressivement par insuline iv continue avec un relais par Insulatard, qui est adapté durant le séjour par nos collègues diabétologues. De plus, des insulines rapides fixes aux repas sont mises en place en plus du schéma de correction. Pour simplifier le traitement, l'Insulatard est changée pour de la Tresiba dès le 23.06.2018. Monsieur Ballaman bénéficie d'un enseignement sur la physiopathologie du diabète et de ses complications, ainsi que sur les techniques d'injection. La fréquence de passage des soins à domicile est majorée à 2x/jour dans un premier temps pour supervision des injections. Sur le plan biologique, l'insuffisance rénale aiguë pré-rénale s'améliore rapidement après correction volumique. Les dysélectrolytémies sont corrigées en parallèle de la glycémie. Sur le plan infectieux, le patient présente durant son séjour aux soins intensifs un état fébrile qui motive l'introduction d'une antibiothérapie par Rocéphine. Au vu de l'absence de point d'appel clinique, l'antibiothérapie est stoppée après 5 jours. À noter une bouteille d'hémocultures positive à Streptococcus Viridans multisensible, qui est considérée comme un contaminant. Sur le plan cardiologique, le patient présente une tachycardie sinusale probablement secondaire au traitement de Venlafaxine (Effexor). Un traitement de bêta-bloquant est introduit dès le 23.06.2018 avec une bonne réponse clinique. Une échocardiographie ne montre pas de cause à la tachycardie, mais révèle une hypertrophie du ventricule gauche s'inscrivant probablement dans un contexte d'hypertension artérielle. Au vu des tensions toujours normales pendant le séjour, nous avons renoncé à introduire un traitement antihypertenseur. Sur le plan social, le patient rapporte peu d'entourage. Il est à l'AI et sous curatelle. Il est suivi par l'association du Tremplin et au CSP par le Dr. X. Monsieur Ballaman rentre à domicile le 27.06.2018. Monsieur Banwarth, connu pour cirrhose hépatique Child Pugh C alcoolique, en sevrage depuis 2 ans avec mise en place d'un TIPS le 14.11.2017, consulte les urgences le 24.05.2018 en raison de frissons et d'une asthénie depuis 3 jours. Notion d'oligurie depuis 4 - 5 jours, sans dysurie, sans douleur abdominale, transit 1x/jour depuis quelques jours, alors qu'il avait 2-3x/jour, selles bien formées. À noter une dévitalisation dentaire le 19.05.2018, sans prise d'antibiotique, sans douleur dentaire, sans odynodysphagie. Le patient réfère également des prises/pertes de poids assez souvent, non objectivées dernièrement. Au status d'entrée, notons des œdèmes bilatéraux des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux, ainsi qu'un souffle systolique 2/6 audible au niveau de tous les foyers, maximal au foyer d'Erb. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Monsieur Banwarth est hospitalisé pour observation et investigations. Le traitement par Eplérénone est majoré. Les hémocultures reviennent positives pour un Streptocoque du groupe mitis et sur avis infectiologique nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. Au vu de la bactérie en cause et du nombre important de bouteilles positives (5), une infection endovasculaire est suspectée. Les diagnostics les plus probables seraient une endocardite, compte tenu également du souffle éjectionnel qui est a priori nouveau ou une infection du TIPS. Deux échographies transthoraciques effectuées les 25.05 et 04.06.2018 sont superposables, sans végétation clairement visualisée mais une endocardite ne peut toutefois pas être exclue sur la base d'un examen transthoracique. Nous proposons à Monsieur Banwarth d'effectuer une échographie transœsophagienne afin d'écarter une endocardite, ce qu'il refuse, par peur des complications, malgré toutes nos explications et arguments pour le convaincre, y compris l'incidence du diagnostic précis sur sa future greffe de foie. Le patient préfère que l'on considère comme une infection du TIPS avec un traitement de 8 semaines d'antibiothérapie, ce qui engloberait le traitement d'endocardite. Dans le contexte d'une antibiothérapie d'au moins 8 semaines, donc à poursuivre en ambulatoire, un Picc-line est posé le 05.06.2018 à Riaz. Le patient présente durant le séjour une majoration des œdèmes des membres inférieurs et une prise de poids jusqu'à 97.7 kg. Nous administrons du Lasix iv et majorons le Torasémide à 50 mg par jour, avec une bonne réponse clinique. Le poids à la sortie est à 95.4 kg. Devant la demande insistante du patient pour un retour à la maison, nous organisons les soins à domicile pour l'administration de l'antibiothérapie iv et la prise quotidienne du poids. Nous proposons un contrôle des hémocultures à distance. À la fin du traitement antibiotique, une surveillance clinique étroite s'impose avec également suivi biologique par la CRP et des nouvelles hémocultures en cas d'état fébrile. Monsieur Banwarth rentre à domicile le 07.06.2018. Monsieur Bapst, connu pour un syndrome de dépendance à l'alcool, consulte les urgences le 18.06.2018 en raison d'un état fébrile, d'une toux depuis 1 semaine et de diarrhées depuis 48 heures, sans présence de sang. Pas de douleur thoracique, pas de palpitations. Ce matin, en sortant de sa voiture, il a présenté une faiblesse des membres inférieurs, avec chute au sol, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. À l'anamnèse téléphonique avec son épouse, la chute est confirmée mais sans plus d'information, cette dernière n'étant pas présente aux urgences. Elle signale toutefois une faiblesse depuis quelques jours. À l'admission aux urgences, Monsieur Bapst est fébrile à 39,6°C et sature à 84% à l'air ambiant. Glasgow à 15/15. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés. Pas d'œdème des membres inférieurs. Au niveau pulmonaire, présence de râles fins bibasaux. Au status digestif, l'abdomen est globuleux, indolore avec des bruits normaux. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Nous mettons en place une oxygénothérapie au masque à 8 litres avec une saturation qui remonte à 96%, permettant de diminuer ensuite l'oxygénothérapie à 6 litres puis 4 litres. Nous prélevons 2 paires d'hémocultures et effectuons une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 206 mg/ et des leucocytes à 10.6 G/l. On constate également une hyponatriémie hypoosmolaire sévère à 119 mmol/l, une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 avec une créatininémie à 116 µmol/l, une perturbation des tests hépatiques d'allure chronique dans le contexte de la dépendance à l'alcool connue, une bicytopénie connue avec une hémoglobine à 125 g/l et une thrombopénie à 101 G/l. La gazométrie sous 6 litres d'oxygène montre une insuffisance respiratoire partielle avec un PO2 à 8.3 kPa, un pH à 7.37 et des bicarbonates à 21 mmol/l. L'ECG montre un rythme sinusal normocarde et la radiographie du thorax montre un foyer apical droit. Nous retenons le diagnostic de pneumonie apicale droite probablement à Legionella et administrons 2 g de Rocéphine et 500 mg de Klacid iv. Nous administrons également du Benerva 300 mg iv et le patient bénéficie d'une hydratation par NaCl 2000 ml/24h. Aux urgences, Monsieur Bapst présente un épisode de diarrhées et nous effectuons une PCR multiplex des selles qui reste à pister. Concernant la perturbation des tests hépatiques, un nouveau contrôle est prévu le 19.06.2018. Un ultrason sera à discuter selon les résultats. Pendant l'observation aux urgences, le patient présente une fluctuation de l'état de conscience, étant par moments somnolent, voire stuporeux, réveillable seulement à la douleur sans asterixis. Une hypercapnie étant exclue, nous mettons cela en lien avec l'hyponatrémie sévère et l'encéphalopathie dans le contexte septique. L'altération de l'état de conscience reste inchangée après administration de Flumazénil iv. Le patient demeurant stable hémodynamiquement avec un Glasgow à 13 et un besoin en oxygène faible (2 l/min), Monsieur Bapst est hospitalisé à l'ELM pour surveillance. Le traitement antihypertenseur est mis en pause et le patient est gardé à jeun strict. L'évolution est malheureusement défavorable avec une probable broncho-aspiration. Une VNI est testée, mais toutefois, en raison d'un manque d'effet thérapeutique sur l'hypoxémie constatée à la gazométrie et au vu d'une progression de l'altération de l'état de conscience avec un patient qui devient comateux avec un GCS à 7, nous contactons le superviseur en 2ème ligne, le Dr. X, qui recommande de présenter le cas au médecin de garde des soins intensifs. Au vu de la clinique, la Dr. Y demande l'intubation sur place après une tentative d'antagonisation par Naloxone 0.4 iv en bolus qui reste sans effet. Dans ce contexte, Monsieur Bapst est intubé puis transféré avec le SMUR aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 19.06.2018 pour suite de la prise en charge. Monsieur Y est un patient de 73 ans connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe inférieur droit cT2-3 cN2, pM0 stade IIIa, sous chimiothérapie par Platinol et Navelbine, avec une dernière dose le 02.05.2018. Le 14.05.2018, le patient se présente aux urgences en raison d'une baisse de l'état général, avec fatigue généralisée et de multiples épisodes de diarrhées depuis plusieurs jours auparavant. Dans un premier temps, Monsieur Y est hospitalisé dans le service de médecine interne, du 14 au 24.05.2018 (voir lettre séparée) en raison d'une bactériémie sur dermohypodermite débutante. À l'examen clinique d'entrée, il est mis en évidence une nécrose du 2ème orteil droit avec ostéomyélite, raison pour laquelle le patient est transféré dans le service d'orthopédie le 24.05.2018 pour suite de la prise en charge. Le 30.05.2018, une amputation trans-métatarsienne du 2ème orteil droit est effectuée, intervention qui se déroule sans complication. Dans les suites post-opératoires, le patient reste afébrile et les douleurs sont contrôlées par l'antalgie standard. Le patient est placé sous antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour, traitement qui sera à poursuivre jusqu'au 11.07.2018, les prélèvements bactériologiques revenant positifs pour un E.Coli et Staphylocoque doré sensibles à l'Augmentin. Le 27.05.2018, Monsieur Y présente une décompensation cardiaque, raison pour laquelle nos collègues de médecine interne proposent l'instauration d'un traitement de Lasix 3 x 40 mg/jour jusqu'au 28.05.2018, avec bonne réponse. Sur le plan oncologique, un CT thoraco-abdominal est réalisé le 29.05.2018, révélant une progression tumorale de la branche souche droite, ainsi que l'apparition de métastases pulmonaires controlatérales. Ces résultats sont communiqués à nos collègues oncologues et le cas de Monsieur Y est discuté au Tumor Board. Un PET-CT est réalisé le 07.06.2018 (conclusions ci-dessus), puis une biopsie sous guidage est prévue pour le 11.06.2018 à l'HFR Fribourg. Du point de vue orthopédique, la réfection du pansement montre une plaie avec nécrose de son tiers central, sans écoulement. Des soins locaux seront poursuivis après la sortie du patient. Le bilan biologique atteste d'une baisse du syndrome inflammatoire. Monsieur Y est transféré dans le service de réhabilitation gériatrique le 08.06.2018 pour suite de prise en charge, avec réfection du pansement toutes les 48 heures et suivi par la stomatothérapeute. Monsieur Y, patient de 73 ans, connu pour un carcinome lobaire droit suivi par la Dr. Y, cheffe de clinique d'oncologie, présente actuellement une pneumonie lobaire droite. Le patient est colonisé (dans les expectorations du mois de février et avril 2018) par des E. Coli résistants à la pénicilline. Pour rappel, après une amputation du 2ème métatarse de l'orteil du pied droit, le 30.05.2018 dans le service de chirurgie orthopédique HFR Riaz, le patient avait débuté une réadaptation gériatrique à partir du 08.06.2018, compliquée par la pneumonie susmentionnée, raison pour laquelle il avait été pris en charge en gériatrie aiguë dès le 09.06.2018. Rappelons que le patient vit seul dans un immeuble avec ascenseur. À l'entrée en gériatrie aiguë, le status pulmonaire relève donc une hypoventilation diffuse avec des râles à gauche. L'examen clinique du status cardiovasculaire mentionne des B1 et B2 bien frappés, pas de souffle ni d'œdème des membres inférieurs et des pouls périphériques palpés. Sur le plan neurologique, Monsieur Y est orienté dans le temps et l'espace, et sa force et sa sensibilité sont conservées aux 4 membres. Au niveau cutané, la plaie du pied droit n'évolue pas favorablement en raison du diabète insulino-dépendant et signalons des rougeurs au niveau des plis inguinaux ainsi qu'un hydrocèle connu et suivi par le Dr. X, urologue. Le laboratoire relève une CRP 26 mmol/l sans leucocytose et une insuffisance rénale aiguë AKIN I, une créatinine à 168 mmol/l et une clairance à 48 ml/l selon MDRD d'origine probablement pré-rénale sur toxicité due aux produits de contraste (PET-Scan le 07.06.18). Monsieur Y souffre d'une toux productive, sans autre symptôme. Il est porteur d'une voie centrale, d'une sonde vésicale et d'une sonde nasogastrique en raison d'une dénutrition sévère, avec bonne tolérance à l'alimentation. Le carcinome pulmonaire est suivi par la Dr. Y à Fribourg, à signaler une première dose de chimiothérapie mal tolérée par le patient le 02.05.2018, raison pour laquelle un changement de traitement a été décidé avec un PET SCAN fait le 07.06.18 qui montre la lésion pulmonaire droite stable, mais 3 nodules d'hypercaptation à l'apex pulmonaire gauche nouveaux qui ont nécessité une ponction-biopsie par le Dr. X, radiologue de HFR-Fribourg le 11.06.18. Pour rappel, la biopsie de l'orteil droit révèle une colonisation d'E. Coli, de Staph Aureus et de Staph Haemolyticus, résistants à la pénicilline. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g 4x/j avait été débutée pour une durée de 6 semaines le 30.05.2018 après l'amputation, mais avait été arrêtée après avis pris auprès de la Dr. X, infectiologue. Une hydratation intraveineuse avait également été introduite pour l'insuffisance rénale aiguë avec une héparine de bas poids moléculaire prophylactique. Le 10.06.2018, Monsieur Y bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire étant donné une hémoglobine à 79 g/l. Finalement, le 11.06.2018, le patient est transféré à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une biopsie du poumon. Monsieur Y, patient de 73 ans, connu pour un carcinome pulmonaire lobaire droit suivi par la Dr. Y, et qui a mal supporté la 1ère dose de chimiothérapie par Platinol et Taxol le 04.05.2018, nous est transféré du service d'orthopédie pour réhabilitation post-amputation. Pour rappel, Monsieur Y avait été hospitalisé aux lits monitorés le 14.05.2018 pour une dermohypodermite avec bactériémie sur nécrose humide du 2ème orteil à droite avec ostéomyélite. Par la suite, le patient avait bénéficié d'une amputation du 2ème métatarse de l'orteil du pied droit, le 30.05.2018 dans le service de chirurgie orthopédique HFR Riaz. Une réadaptation gériatrique avait été débutée à partir du 08.06.2018, compliquée par une pneumonie motivant une prise en charge en gériatrie aiguë dès le 09.06.2018.Pour rappel, la biopsie de l'orteil droit révèle une colonisation de Staphylocoque Aureus et de E. coli résistant à la pénicilline. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2g 4x/j avait été débutée pour une durée de 6 semaines le 30.05.2018 après l'amputation, mais avait été changée pour de la Céfépime 2g 2x/j pour 5 jours après avis pris auprès de la Dr. X, infectiologue. Le 11.06.2018, le patient a été transféré à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une biopsie du poumon dans le cadre d'images suspectes nouvelles sur la plage pulmonaire gauche découvertes au PETscan du 07.06.2018. Le laboratoire relève une CRP à 13mg/l et une insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement provoquée par des produits de contraste (PET-Scan le 07.06.2018) en amélioration, avec une créatinine à 128µmol/l, pour laquelle nous mettons en suspens les traitements néphrotoxiques. Suite à une discussion interdisciplinaire avec les Dr. X et Dr. X (orthopédistes), Dr. X (oncologue traitant) et Dr. X (infectiologue), une prise en charge chirurgicale de la plaie est proposée pour obtenir une guérison rapide et pouvoir éventuellement reprendre un traitement oncologique. Pendant le séjour, nous objectivons une hydrocèle volumineuse à gauche, non douloureuse, et pour laquelle nous demandons avis urologique auprès du Dr. X, urologue traitant, qui avait déjà ponctionné une hydrocèle récidivante à droite. Notez que le consilium n'a pu avoir lieu avant le transfert. Durant son séjour, Monsieur Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seul est de 0 mètre. Le patient est dépendant pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 63/126, par rapport à 60/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 0 secondes. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée objective une dénutrition protéino-énergétique grave avec besoin d'alimentation entérale. Pour la suite, en discussion avec le patient, nous essayons une alimentation par voie orale, qui parvient à couvrir ses besoins. Au vu d'une hypoalbuminémie et d'une hypoprotéinémie persistantes, la sonde nasogastrique est laissée en place dans le but d'une reprise en bloc opératoire. Le 21.06.2018, Monsieur Y est transféré en orthopédie HFR Riaz. Nous restons néanmoins disponibles pour la discussion de la prise en charge, d'un point de vue internistique. Monsieur Y est un patient de 76 ans qui se présente aux urgences avec des douleurs en fosse iliaque droite depuis deux jours sans frisson, nausée ni vomissement et aucun changement au niveau du transit. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire augmenté et le scanner confirme une appendicite aiguë. Le patient bénéficie d'une appendicectomie le 06.06.2018. L'intervention se déroule sans complication. En post-opératoire, on poursuit l'antibiothérapie encore pour 48h en intraveineux. L'évolution est favorable avec un syndrome inflammatoire à la baisse. Monsieur Y rentre à domicile le 08.06.2018. Monsieur Y connu pour une cardiopathie rythmique et ischémique, un diabète type 2 insulino-requérant est hospitalisé pour une acutisation de son insuffisance rénale chronique. Son néphrologue traitant met en évidence une créatinine à 230 umol/l lors d'un contrôle de routine chez le patient avec des valeurs aux alentours de 150 umol/l habituellement. Il présente depuis quelques jours une asthénie plus importante. Il n'y a pas de notion anamnestique de non compliance médicamenteuse, de diarrhée, d'introduction de nouveau médicament ou de changement de leur posologie hormis une majoration des doses d'insuline. On retrouve lors du bilan d'entrée une digoxinémie suprathérapeutique avec des signes d'imprégnation digitalique à l'ECG. Les traitements anti-hypertenseurs néphrotoxiques sont mis en suspens ainsi que la digoxine. Au vu du contrôle satisfaisant de la fréquence cardiaque et des risques d'accumulation dues à l'insuffisance rénale chronique, ce dernier n'est pas réintroduit. Nous vous laissons le soin de réévaluer son indication à distance. Une fois les valeurs de la fonction rénale habituelles retrouvées, son traitement initial est progressivement réintroduit, excepté le Torem que nous laissons en réserve en cas de prise de poids de plus de 1 kg. Concernant son anémie, la recto-sigmoïdoscopie du 21.06.2018 ne retrouve pas de source de saignement. Il bénéficie également d'une injection de Ferinject de 500 mg. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour une OGD et une coloscopie afin de compléter le bilan. Le patient peut regagner son domicile le 22.06.2018. Monsieur Y est un patient de 28 ans, qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales au niveau de l'épigastre depuis 3 jours, accompagnées de nausées, sans altération du transit. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire et le CT abdominal montre une iléite terminale et colite ascendante. Nous initions une antibiothérapie par Rocephin 2g IV + Metronidazole 500 mg IV le 18.06.2018 avec relais per os Co-Amoxi 500mg et Flagyl 500mg le 21.06.2018. Les examens de selles reviennent négatifs. L'évolution étant favorable et le syndrome inflammatoire à la baisse, le patient peut rentrer à domicile le 21.06.2018. Monsieur Y a rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 28.05.2018 pour un contrôle clinique. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 03.06.2018 inclus. Monsieur Y nous est adressé du service de gériatrie aiguë dans la maison pour une réhabilitation gériatrique suite à un déconditionnement après une laparotomie pour rétablissement de continuité avec anastomose colo-rectale et iléostomie de protection le 26.04.2018. L'iléostomie sera enlevée définitivement dans 3 mois. À l'entrée, le patient se plaint d'un manque de force et d'une insécurité à la marche systémique. Au statut, nous retrouvons un patient en bon état général, légèrement ralenti, mais orienté aux 3 modes. Au niveau cardiopulmonaire, des bruits cardiaques bien frappés et réguliers, sans souffle surajouté et un murmure vésiculaire symétrique aux deux plages pulmonaires, sans râles. Absence d'œdèmes aux membres inférieurs avec port de bas de compression. Les pouls sont palpés. Au niveau abdominal, la cicatrice de laparotomie est calme et sèche après retrait des agrafes. Il y a un stoma à droite et la cicatrice à l'endroit de l'ancien stoma est également calme. Le statut abdominal est sans autre particularité. Au niveau neurologique, des pupilles moyennement dilatées et irrégulières, dans le cadre d'un glaucome bilatéral, mais réactives, avec un arc sénile des deux côtés. Une légère parésie du voile palatopharyngé est observée du côté gauche, ainsi qu'une voix enrouée. Le tonus musculaire est normal à la manœuvre de Froment et il n'y a pas de tremblements objectivés. Monsieur Y vit avec son épouse qui l'aide pour les soins, les médicaments et le quotidien. Ils habitent au 1er étage d'un immeuble, avec des escaliers pour y accéder. Auparavant, il pouvait monter les escaliers sans aide et marchait à l'aide d'un rollateur. Pas de chute dans le passé. Le patient ne conduit plus. Il a quatre enfants qui l'entourent.A l'entrée, le patient pouvait faire les transferts de façon indépendante avec l'aide auxiliaire. La marche était possible sur 50 mètres avec une pause, sous supervision. Il pouvait monter 9 marches d'escaliers avec une aide légère du personnel soignant. Le Tinetti était à 17/28 avec un rollateur. Monsieur habite avec sa femme dans un appartement au 1er étage. Avant son opération, il se déplaçait sans rollateur à la maison et avec rollateur en extérieur. Il ne conduit plus et sa femme non plus. A la sortie, il peut faire les transferts de façon indépendante. La marche est possible sur 200 mètres avec rollateur, sans pause, sous supervision. Il peut monter 2x9 marches d'escaliers avec pause sous supervision. Le Tinetti est à 23/28 avec rollateur. La cicatrice de laparotomie a suivi une bonne évolution avec les soins quotidiens mis en place. Durant l'hospitalisation, Monsieur X se plaint des vertiges de façon quotidienne, à raison d'un épisode par jour environ, surtout en se levant le matin. Un test de Schellong se révèle dans un contexte non-vasovagal, probablement lié à sa maladie de Parkinson. Nous avons donc mis en place des bandes de contention aux jambes, ainsi qu'un traitement par Motilium et Florinef pour tenter de contrer les effets du Madopar avec peu d'amélioration. Le 28.05.2018, Monsieur X se plaint de brûlures au stoma isolé, raison pour laquelle nous avons introduit un traitement avec Pantozol. Nous vous prions de réévaluer le médicament. Monsieur X a présenté, suite à l'intubation le 05.06.2018 à l'hôpital cantonal de Fribourg, une dysphagie et dysphonie que nous attribuons initialement à une éventuelle liaison de nerf récurrent. Un contrôle ORL a été organisé le 05.06.2018 et révèle une amyotrophie avec glotte ovalaire, probablement due au Parkinson (pas de paralysie des cordes vocales et pas désion glottique). Il sera convoqué pour un autre RDV pour discuter d'une éventuelle médialisation. Le patient a bénéficié également d'un suivi logopédique avec légère amélioration de la qualité vocale suite aux exercices. Le 06.06.2018, le patient peut regagner son domicile avec un état général amélioré. Monsieur Y, âgé de 64 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une ostéosynthèse par plaque après une fracture sous-capitale de l'humérus G le 19.05.2018 et opérée le 22.05.2018. Pour rappel, le patient est connu pour des dorso-lombalgies chroniques sur multiples tassements, raison pour laquelle il prend du Targin 40/20 mg 2x/j d'office. A l'admission, le patient mentionne de faibles douleurs à l'épaule G, surtout à la mobilisation, et des douleurs légères au genou G. Présence d'OMI. Les constantes vitales sont dans la norme. L'examen objectif met en évidence un hématome de la face interne du bras gauche, sans œdème ni trouble sensitivomoteur. La mobilisation en actif du coude G n'est pas limitée (110-0-0). Le pansement n'a pas d'écoulement. Le genou gauche est œdématié et douloureux à la palpation. Les jambes bandées montrent des œdèmes prenant le godet. Durant son séjour, il n'a pas présenté de plaintes majeures. Le patient étant connu pour une ostéoporose fracturaire, nous débutons un traitement de substitution calcique. Sur le plan nutritionnel, le patient a bénéficié d'une évaluation par notre équipe de diététiciens qui montre des apports protéino-énergétiques insuffisants. Au vu de la situation, nous avons adapté ses portions de repas et délivré des conseils pour le retour à domicile. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Il peut monter/descendre les escaliers. Les amplitudes articulaires de l'épaule G montrent une élévation et abduction à 90°, une rotation externe à 10° et une rotation interne conservée sur le ventre. Le patient gère seul son gilet orthopédique. La stabilité du genou G est améliorée. La force globale du membre inférieur gauche est à M4. Par ailleurs, le patient bénéficie d'une physiothérapie pour des douleurs chroniques de son genou G dans le contexte d'une ancienne lésion méniscale interne et externe (en anse de seau) et réactivée suite à son accident (sans mise en évidence de lésion traumatique nouvelle). Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 19.06.2018, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour augmenter l'amplitude articulaire et la force de l'épaule G ainsi que pour le genou G. Monsieur Y, patient de 70 ans connu pour une FA anticoagulée, est hospitalisé en raison d'une suspicion d'AVC. Pour rappel, l'anamnèse révèle l'apparition brutale d'un hémisyndrome sensitif à 14h le 23.06.2018 lorsque le patient était au magasin, accompagné de sa famille. Il relate des fourmillements à la main droite avec une extension à l'hémicorps droit brachio-crural en quelques secondes, sous forme de décharges électriques. Les symptômes ont duré 5 minutes, suivis d'une résolution spontanée. Pas d'anesthésie ni d'engourdissement associé. Le patient ne portait pas de poids à la main droite lors de la survenue des symptômes. Il relate une vision floue en association ainsi que des myodesopsies. Aux urgences, le NIHSS se révèle être à 1 point en raison d'un hémisyndrome sensitif brachio-crural à droite. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique aiguë et la vascularisation précérébrale libre. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique confirme une résolution complète des symptômes avec un NIHSS à 0 point à 24h. En vue de l'implantation récente du pacemaker et du risque de décollement de sondes, nous n'effectuons pas d'IRM cérébrale au décours de l'hospitalisation. Nous retenons un diagnostic de paresthésies aiguës d'origine indéterminée avec un diagnostic différentiel précité. Devant le CT cérébral rassurant, notamment sans athéromatose significative précérébrale, le patient regagne son domicile. Nous vous laissons le soin d'organiser une IRM cérébrale en ambulatoire en cas de récidive de symptômes. Un EEG est effectué en vue des symptômes sensitifs positifs, qui se révèle être sans particularité. En vue du suivi cardiologique en ambulatoire avec bilan effectué début juin 2018, nous n'effectuons pas de bilan cardiaque au décours de l'hospitalisation. Sur le plan médicamenteux, le traitement hypolipémiant est majoré. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Devant une fréquence cardiaque dans les cibles, nous procédons à l'arrêt du traitement de digoxine avec poursuite du traitement bêta-bloquant. Devant l'incertitude diagnostique avec l'alternative d'événement cérébrovasculaire possible, nous retenons une contre-indication à la conduite jusqu'au 02.07.2018 avec reprise prudente pour des courtes distances dans un premier temps. Nous n'avons pas prévu de revoir le patient à la consultation neurovasculaire, mais restons à disposition si nécessaire. Monsieur Y, 70 ans, a été admis en unité stroke pour une suspicion d'accident vasculaire cérébral ischémique pariéto-postérieur gauche, suite à des dysesthésies des membres supérieur et inférieur droits, accompagnées de vertiges d'une durée de 3 minutes. Le patient est connu pour une bradycardie secondaire à une probable maladie de l'oreillette ayant nécessité l'implantation d'un pacemaker le 30.05.2018, suite à l'apparition de symptômes sensitifs similaires en mai 2018. Le CT cérébral fait suspecter une possible asymétrie de perfusion pariéto-postérieure gauche. L'hypothèse d'une ischémie cérébrale est évoquée et le patient a été pris en charge en unité stroke. Si le pacemaker est compatible, il faudra organiser une IRM cérébrale et compléter le bilan éventuellement par un EEG à la recherche d'une épilepsie.L'anticoagulation par sintrom pour la FA chronique était supra-thérapeutique le 23.06.2018. Le sintrom a été mis en suspens et pourra être repris dès le 24.06.2018 sur avis du neurologue. Le profil lipidique motive une thérapie par atorvastatine dès le 24.06.2018. Afin d'éclaircir l'étiologie cardiaque, il faudra prendre contact avec le Dr. X à Lausanne et éventuellement organiser les investigations cardiaques supplémentaires. Le patient a été transféré le 24.05.2018 en division normale de l'unité stroke. Monsieur Berset est un patient de 67 ans connu pour une insuffisance rénale chronique terminale d'étiologie mixte sous dialyse intermittente depuis le 06.04.2017. Le patient présente le 12.06.2018 lors de la dialyse une thrombose au niveau de la fistule. Une indication opératoire est posée et le patient bénéficie de l'intervention sus-mentionnée. L'intervention se déroule sans complications et le patient reprend la dialyse le lendemain. Les suites sont simples et l'évolution favorable permet le retour à domicile le 14.06.2018 après la dialyse. Monsieur Berthou est un patient de 74 ans, anticoagulé par Eliquis pour une FA (thermo-ablatée en 2010, avec récidive), qui nous est adressé de Meyriez le 29.05.2018 pour un tableau clinique de sepsis avec douleurs abdominales et état fébrile. Le bilan biologique montre une choléstase, un syndrome inflammatoire et des troubles électrolytiques importants. L'échographie abdominale met en évidence une cholédocholithiase. Une antibiothérapie par Rocephin et Metronidazole est initiée. Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance et un remplissage vasculaire. En raison de la stabilité hémodynamique, le patient est transféré dans notre service le 30.05.2018 et il bénéficie d'une ERCP le même jour. L'examen montre un probable passage spontané d'un concret cholédocien, avec une dilatation importante du cholédoque et des voies biliaires intra-hépatiques. L'évolution est favorable, le patient est confortable. Les tests hépatiques post-ERCP sont à la baisse. Monsieur Berthou rentre à domicile le 02.06.2018 en bon état général. Une OGD sera organisée en ambulatoire (le patient sera convoqué par les collègues de la gastroentérologie). À noter que le patient présente également des troubles mnésiques débutants non investigués jusqu'à ce jour. Un bilan neurologique sera à prévoir à distance. Monsieur Beselga, un patient de 57 ans, connu pour une gastrite chronique actuellement sous IPP, est hospitalisé le 18.06.2018 pour une oesophagite diffuse. En effet, le patient décrit depuis le 15.06.2018 une odynodysphagie avec une douleur irradiant dans le thorax et le dos. Le patient n'a pas eu de symptômes grippaux avant l'apparition de la douleur. À l'admission, nous objectivons de légères douleurs à la palpation épigastrique et des douleurs intenses durant quelques minutes lors du changement de position en position assise, ainsi qu'à la déglutition. À noter que le patient est actuellement suivi en rhumatologie avec investigation d'arthralgies lombaires et des épaules, avec tuméfaction non douloureuse des poignets et des chevilles. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 130 mg/l et leucocytes à 12.6 G/l. Un CT met en évidence une sévère oesophagite non compliquée confirmée par oeso-gastro-duodénoscopie. Les biopsies des lésions de l'oesophage permettent d'exclure une infection à HSV, CMV ou EBV. Elles montrent un décollement sous-épithélial/suprabasal étendu de l'épithélium et un abondant exsudat fibrinoleucocytaire. Le dépistage HIV et la sérologie EBV sont négatifs. La suspicion d'oesophagite à Candida provient de la mise en évidence de nombreux spores et filaments mycéliens de type Candida à la cytologie, malgré le fait que la biopsie ne montrait pas de signe de candidose. Nous procédons à un traitement antalgique et antimycotique avec Fluconazol pendant 5 jours, avec amélioration rapide de la symptomatique. Dans le diagnostic différentiel, nous maintenons la possibilité d'une oesophagite d'origine médicamenteuse sur Arcoxia (début de la dysphagie deux semaines après le début du traitement). Le patient présentait pendant l'hospitalisation des douleurs avec une légère rougeur au niveau dorsal du pied droit, au niveau prétibial des deux côtés, et calcanéen gauche. Les rhumatologues émettent la suspicion d'une spondylarthrite ankylosante. Nous prescrivons le Celebrex à partir du 25.06. avec amélioration rapide des douleurs. Nous proposons une poursuite du Celebrex jusqu'à la consultation en rhumatologie le 10.07. Monsieur Beselga rentre à domicile le 27.06.2018. Monsieur Beugels est connu pour un carcinome urothélial des uretères stade pT3 pN1 M0 G3 R1 en progression, actuellement sous traitement de Carboplatine et Gemzar. Il est suivi par le Dr. X qui nous l'adresse dans un contexte de baisse de l'état général avec nausées et vomissements depuis le jour précédent, après une ponction d'ascite. Pour rappel, le patient venait d'arrêter une corticothérapie de 5 jours mise en place par son oncologue traitant. Les examens d'entrée ne mettent pas en évidence de piste infectieuse, et l'abdomen de M. Beugels est rassurant. Nous suspectons une insuffisance surrénalienne relative péjorée par la ponction d'ascite et mettons le patient sous corticothérapie à dose réduite qui permet une résolution rapide des symptômes digestifs. La corticothérapie est diminuée progressivement, son arrêt complet sera réévalué par nos collègues oncologues en ambulatoire. Durant l'hospitalisation, M. Beugels développe une bactériémie à Klebsiella pneumoniae d'origine probablement urinaire. Le patient bénéficie donc d'une antibiothérapie IV puis p.o. avec une évolution rapidement favorable. Sur le plan hémodynamique, le patient présente un épisode d'hypotension symptomatique que nous mettons sur le compte de la prise du Sifrol le jour précédent; à noter que le patient semble ne le prendre qu'une fois par semaine. Nous proposons donc l'arrêt du Sifrol. Sur le plan oncologique, le patient, connu pour une carcinose péritonéale, présente une récidive d'ascite qui régresse partiellement après une majoration des doses de Torasemid, nous n'effectuons pas une nouvelle ponction durant l'hospitalisation. Le Dr. X reverra le patient à la sortie d'hospitalisation pour un suivi clinique et pour un probable passage à une immunothérapie. Monsieur Beytula est transféré de l'hôpital de Daler aux soins intensifs de Fribourg pour urosepsis sur calcul obstructif dans un contexte d'immunosuppression (chimiothérapie le 23.05.2018 pour ADK gastrique). Le patient bénéficie de la pose d'une sonde double J. Les suites opératoires sont marquées par un sepsis justifiant la mise en route d'une antibiothérapie par Tienam et le transfert à Fribourg. La surveillance s'avère sans particularités. L'état hémodynamique se stabilise moyennant un remplissage vasculaire. On vous laisse le soin d'adapter l'antibiothérapie en fonction des cultures bactériologiques et de reprendre l'anticoagulation per os dès que possible. À noter que la diététicienne et l'oncologue traitant sont avertis de l'hospitalisation de Mr. Y. Monsieur Beytula est un patient de 68 ans, qui consulte à l'HFR en oncologie pour une douleur lombaire gauche depuis 2 jours d'apparition brutale associée à une baisse d'état général. Le CT montre une lithiase de 14x10mm dans l'uretère pelvien gauche avant la jonction urétéro-vésicale avec hydronéphrose. Le patient bénéficie de la pose d'une sonde double J pour une pyélonéphrite aiguë obstructive au Daler et une antibiothérapie par Tienam est débutée. Il est transféré aux soins intensifs pour la surveillance post-opératoire dans un contexte de sepsis sur une pyélonéphrite aiguë obstructive chez un patient immunodéprimé sous chimiothérapie pour un carcinome gastrique.Les suites opératoires sont simples et la sonde urinaire est retirée le 06.06.2018. L'antibiothérapie est poursuivie par Doxycycline après réception de l'antibiogramme montrant un germe multirésistant. Au vu de la bonne évolution biologique et clinique, le patient peut rentrer à domicile le 07.06.2018. Monsieur Blanchard présente très probablement une tendinite intermittente du tibial postérieur, probablement due à une surcharge consécutive à son pes plano valgus bilatéral, prédominant à G. Je propose l'adaptation de semelles orthopédiques, dans le but d'une correction de la forme du pied. Je prescris également une série de 9 séances de physiothérapie afin de tonifier la musculature du tibia postérieur, fléchisseur long de l'hallux et des fléchisseurs longs des orteils. Je le revois d'ici 3 mois (12.9.18) pour une réévaluation clinique. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Monsieur Bochud consulte les urgences le 17.06.2018 en raison de diarrhées explosives ayant débuté il y a 48 heures, environ 20 épisodes, sans présence de mucus ni de sang. Depuis la veille au soir, le patient mentionne également un état fébrile à 38,4°C sans frisson. Pas de douleur abdominale, nausée, vomissements. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. Monsieur Bochud signale avoir mangé du saumon au restaurant le 15.06.2018, mais son épouse qui en a mangé également est asymptomatique. Pour rappel, le patient est connu pour un adénocarcinome œsophagien, opéré (Y de Roux) en octobre 2017 et suivi par le Dr. X. Un CT scan effectué le 04.06.2018 a mis en évidence des ganglions para-œsophagiens. Un PET scanner est prévu le 26.06.2018. À noter également un antécédent d'hémicolectomie gauche pour carcinome colorectal en 1986. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, arythmiques, sans souffle. Pas d'œdème des membres inférieurs, les pouls sont amples des deux côtés. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans autre bruit. Au status digestif, les bruits abdominaux sont présents, bien prononcés et fréquents, de tonalité normale. Tympanisme diffus. La palpation superficielle et profonde est indolore. Pas de masse ni d'organomégalie palpée. Au toucher rectal, la prostate est élargie et indurée, non douloureuse. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire d'entrée montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 110 mg/l, une leucopénie à 2,7 G/l, une hyponatrémie à 134 mmol/l et une hypokaliémie à 3,4 mmol/l. Nous substituons les déficits ioniques par perfusion NaCl iv et KCl per os. La radiographie du thorax exclut un foyer. Nous prélevons des hémocultures, une culture et PCR selles, débutons une antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl et Monsieur Bochud est hospitalisé. La PCR multiplex selles revient positive pour Campylobacter spp et l'antibiothérapie est relayée par Azithromycine pour une durée de 3 jours avec une évolution clinique et biologique favorable. Monsieur Bochud peut regagner son domicile le 21.06.2018. Monsieur Bochud est un patient en bon état général, qui est connu pour une thermo-ablation de fibrillation auriculaire rapide en 2016. Il rapporte une baisse légère de l'état général sans symptôme spécifique depuis quelques jours motivant de consulter son médecin traitant qui, bien que face à un ECG avec un rythme sinusal, initie une thérapie par anti-coagulant oral (Rivaroxaban). Lors d'un rendez-vous peu après chez son cardiologue, le Rivaroxaban est stoppé et un Holter est installé. Le lendemain, lors d'une sortie à vélo, son appareil de mesure de la fréquence cardiaque mesure une tachycardie à 150 battements par minute, sans retentissement clinique sur le patient. L'ECG à l'admission à l'hôpital met en évidence un fibrillo-flutter rapide. Une hydratation et du Métoprolol IV permettent de ralentir efficacement la fréquence cardiaque. Nous réintroduisons le Xarelto et le patient est hospitalisé pour suivre pendant 24 heures la bonne réponse au traitement. Monsieur Bochud tolérant bien l'introduction du Métoprolol, il rentre à domicile le 10.06.2018. Le résultat du Holter sera déposé le 11.6.2018 chez le cardiologue traitant. Monsieur Bolle est un patient de 65 ans, connu notamment pour une cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive, qui est hospitalisé dans le service de médecine interne pour une pose élective de Pacemaker à 3 sondes le 21.06.2018. La pose de Pacemaker est motivée par la présence d'une fibrillation auriculaire lente, mal tolérée par le patient qui présente un essoufflement à la marche et des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux depuis sa dernière hospitalisation en mars 2018. La pose de Pacemaker ne montre pas de complication immédiate, la radiographie de contrôle faite le même jour ne démontre pas de pneumothorax et le patient ne présente pas de plainte. Par ailleurs, le patient présente une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur chronique KDIGO G3a, dans le cadre de prise régulière d'Ibuprophène dans les dernières semaines, et dans un contexte de sténose de l'artère rénale gauche, dont un suivi angiologique est prévu le 13.07.2018. En outre, une anémie chronique hypochrome normocytaire à 129 g/l est mise en évidence le 21.06.2018. Un suivi biologique rénal et hématologique est à effectuer chez le médecin traitant dans les prochaines semaines. Monsieur Bolle rentre à domicile le 21.06.2018, après avis cardiologique. Un rendez-vous de suivi ambulatoire avec le Dr. X est prévu le 24.07.2018. Monsieur Borcard est adressé aux urgences par le Dr. X le 12.06.2018 en raison d'un état fébrile avec myalgies, prédominant aux membres inférieurs et dans le bas du dos, depuis le 09.06.2018 avec une asthénie généralisée. Il décrit des épisodes de chaud avec beaucoup de transpiration durant la nuit du 10 au 11.06.2018 et ce jour. Dans ce contexte, il consulte le Dr. X en raison d'une impossibilité à marcher et d'une sensation de perte de force dans les jambes. Le laboratoire effectué à sa consultation met en évidence une leucopénie à 2,5 G/l, sans piste clinique, raison pour laquelle elle nous l'adresse. À l'anamnèse par système, pas de piste retrouvée; pas de voyage récent, mange du fromage de chèvre au lait cru, boit régulièrement du lait cru. Pas de relations sexuelles non protégées, sauf avec son épouse. Enlève régulièrement des tiques sur son bétail (est agriculteur), n'a pas de souvenir de piqûre sur lui-même. A des contacts avec vaches/chevaux, mais pas avec des moutons. Le status clinique est sans particularité, mais le patient est fébrile à l'entrée (38,3°). Le laboratoire montre une leucopénie à 2,1 G/l, avec neutropénie à 1,5 G/l, et lymphopénie à 0,36 G/l, sans agranulocytose ou déviation gauche. Le reste du laboratoire est aligné, notamment la CRP qui est négative, les tests hépatiques qui sont alignés, de même que la fonction rénale. Nous prélevons deux paires d'hémocultures et un urotube qui reviennent négatifs, de même qu'un test HIV et des sérologies CMV et EBV, qui reviennent également négatifs. Nous relevons uniquement une infection ancienne à EBV (seuls des IgG étant positifs).La radiographie du thorax met en évidence une silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme, une petite désorganisation de la trame broncho-vasculaire, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Monsieur Borcard est hospitalisé pour investigations et surveillance, sans antibiothérapie d'office. Nous contactons le Dr. X, hématologue, qui rapporte que la piste infectieuse virale est la plus probable et ne pose pas d'indication à des investigations hématologiques pour l'instant. Nous effectuons un ultrason abdominal qui est dans la norme. L'US abdominal est physiologique, pas d'adénopathie suspecte mise en évidence. Nous contactons le Dr. X, infectiologue, qui conseille de rajouter les sérologies pour la fièvre Q ainsi que la tularémie. Les sérologies sont en cours à la sortie du patient. Le patient se plaint de nausées (un épisode de vomissement) et de reflux raison pour laquelle nous introduisons un traitement par IPP (Nexium 40 mg 1x/jour). Nous vous proposons de dépister les antigènes H. pylori dans les selles car le patient n'a pas pu aller à selles ces 2 derniers jours. Nous vous laissons juger de la nécessité d'un traitement par antibiothérapie en cas d'antigènes positifs. À signaler que lors de l'hospitalisation la leucopénie se corrige spontanément et les symptômes s'améliorent. Dans ce contexte, nous concluons à une infection virale. Monsieur Borcard peut regagner son domicile le 19.06.2018. Monsieur Bossy, est admis aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire vu un syndrome d'apnée du sommeil non appareillé suite à une panendoscopie pour leucoplasie de la corde vocale droite. Le patient a bénéficié d'un bilan ORL en juin 2018 pour appareillage d'un syndrome des apnées du sommeil avec mise en évidence d'une leucoplasie de la corde vocale droite. L'indication est retenue pour une panendoscopie et des biopsies de la corde vocale droite effectuées ce jour. La surveillance respiratoire est sans particularité. Le contrôle à J1 par le médecin ORL est satisfaisant et le retour à domicile est convenu avec un RDV en consultation d'ORL le 12/07 à 10h. Il est à noter que nous avons remarqué que le patient a un PTT spontanément allongé retrouvé même sur des anciennes hospitalisations en 2016. Il faudra contrôler à distance, en ambulatoire, pour un éventuel avis hématologique. Monsieur Bossy nous est adressé par le Dr. X pour une chimio-embolisation de lésions hépatiques G le 4.06.2018. La procédure se déroule sans complications. Les douleurs sont contrôlées par le traitement antalgique mis en place et le contrôle biologique montre une légère cytolyse attendue. Un CT abdominal de contrôle sera à programmer pour dans 6 semaines. Dans l'intervalle le patient rentre à domicile le 7.06.2018. Un rendez-vous à la consultation de la Dr. X, oncologue traitante, pour la suite du suivi oncologique est agendé le 19.06.2018. Monsieur Bouchoucha est un patient de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui consulte aux urgences pour des douleurs péri-anales irradiant au niveau inguinal droit depuis 3 jours. L'examen clinique met en évidence un abcès périanal à 11h en PG. Le laboratoire montre une leucocytose à 15 g/l. Il bénéficie le 31.05.2018 d'une incision et drainage de l'abcès avec lavage au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable. Monsieur Bouchoucha rentre à domicile le 01.06.2018 en bon état général. Il reviendra le 09.06.2018 à 09h30 pour une consultation proctologique. Monsieur Bovay, 70 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold, se rend aux urgences pour une péjoration de toux grasse et dyspnée. Pour rappel, Monsieur a d'abord consulté son médecin traitant il y a une semaine environ, qui l'a traité par Clarythromycine durant 5 jours pour une exacerbation de BPCO, puis par corticothérapie au vu de l'absence d'amélioration. Étant donné les antécédents de Pseudomonas, nous commençons une antibiothérapie par Céfépime du 18.06.2018 au 23.06.2018 et continuons le traitement par Prednisone jusqu'au 21.06.2018 pour terminer les 5 jours au total. Il bénéficie d'oxygénothérapie transitoire, d'aérosols et de physiothérapie respiratoire améliorant les symptômes tout au long de l'hospitalisation. Les cultures d'expectoration reviennent négatives. Une antibiothérapie prophylactique par Azithromycine 250 mg 3x par semaine est introduite, au vu des exacerbations multiples (2-3x par année). Nous vous laissons le soin de réaliser un ECG de contrôle à 5 jours de son introduction (QTc long et torsade de pointe). Au vu du déconditionnement général de Monsieur Bovay lié à sa maladie chronique exacerbée, nous organisons une réadaptation gériatrique à Meyriez. Nous laissons le soin à nos collègues de Meyriez d'évaluer la nécessité d'une oxygénothérapie à domicile au décours de l'épisode aigu (gazométrie au repos, test de marche de 6 minutes). Par ailleurs, le patient présente une hypokaliémie sur prise de Ventolin durant son hospitalisation, qui se corrige sous substitution. L'évolution étant favorable, Monsieur Bovay peut se rendre à Meyriez le 26.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Monsieur Bovey est amené en ambulance dans notre service des urgences le 27.05.2018 en raison de douleurs rétrosternales typiques. Le diagnostic d'un STEMI inférieur conduit à la réalisation d'une coronarographie, durant laquelle une subocclusion de la coronaire droite moyenne est traitée au moyen d'un stent actif. Le patient est ensuite transféré aux soins intensifs pour surveillance, sans complication aucune. En plus de l'introduction des traitements de Metoprolol, Lisinopril et atorvastatine, une double antiagrégation est instaurée : aspirine à vie, Efient pour 12 mois. Le patient intègre notre unité de médecine le 28.05.2018. Une ETT post-coronarographie ne révèle aucune pathologie supplémentaire et un excellent résultat post PCI. La reprise de la mobilisation s'effectue selon schéma standard et sans complications, l'anticoagulation par Fondaparinux pouvant être arrêtée le 31.05.2018. M. Bovey peut rentrer à domicile le 01.06.2018, une réadaptation cardio-vasculaire stationnaire étant prévue dès le 04.06.2018 à Billens. Le suivi ambulatoire est confié à la Dr. X, médecin traitant (et cardiologue) du patient. Monsieur Bovigny-Gachoud est un patient de 66 ans qui est hospitalisé pour prise en charge d'une cholécystite aiguë avec probable migration lithiasique. Il bénéficie le 06.06.2018 d'une cholécystectomie par laparoscopie avec cholangiographie, cette dernière étant sans particularité. Les suites post-opératoires sont marquées par une bonne évolution tant sur le plan clinique que paraclinique. À noter l'apparition d'une rétention aiguë d'urine dans le cadre d'une hypertrophie bénigne de la prostate anamnestique, raison pour laquelle un traitement par alpha bloquant est introduit. Un contrôle cardiologique en ambulatoire sera également prévu devant des bradycardies sinusales per opératoire, dans le cadre d'une probable maladie de sinus. Devant la bonne évolution clinique, Monsieur Bovigny-Gachoud retourne à domicile le 08.06.2018. Monsieur Bradi est un patient de 32 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. Le bilan met en évidence une appendicite, raison pour laquelle le patient bénéficie d'une appendicectomie par laparoscopie. L'intervention se passe bien et les suites opératoires sont simples. Le patient rentre à domicile le 18.06.2018. Monsieur Bramaz, 75 ans, est admis pour un NSTEMI. Le patient, connu pour un diabète non insulino-requérant et une HTA, présente depuis une semaine une symptomatologie d'angor instable. Le bilan étiologique retrouve des modifications ECG de type sous-décalage en antérieur et des troponines élevées sans cinétique. La coronarographie montre une maladie coronarienne bitronculaire de la coronaire droite et IVA. Un stent est mis en place au niveau de la coronaire droite. Le patient sera convoqué dans un mois pour le traitement des lésions de l'IVA.Le patient rentre à domicile le 27.06.2018. Il se rendra dans 4-5 jours chez son médecin traitant pour un contrôle clinique et biologique de la fonction rénale. Il sera convoqué à domicile après la 2ème coronarographie pour une réadaptation cardio-vasculaire à l'HFR Billens en ambulatoire. Monsieur Brechbuhl est hospitalisé pour une décompensation cardiaque d'origine peu claire. Il présente depuis 10 jours une dyspnée en aggravation ayant motivé une consultation au service des urgences le 21.06.2018. Il a déjà reçu trois injections de Lasix à votre consultation avec une prise de poids de 2,5 kg sur 7-10 jours. Le bilan initial met en évidence une décompensation cardiaque. Pour rappel, le patient a déjà présenté 2 épisodes similaires depuis le début de l'année sans qu'aucune étiologie claire ne soit retrouvée. Dans ce contexte, une IRM cardiaque est prévue pour le 28.06.2018. Un traitement par oxygénothérapie et Lasix iv est instauré. Le patient évolue rapidement de manière favorable. Le traitement par IEC n'a pas pu être majoré en raison d'une insuffisance rénale avec hyperkaliémie. L'Aldactone n'a pas pu être instauré pour les mêmes raisons. Un contrôle de la kaliémie et de la fonction rénale est recommandé à votre consultation au début de la semaine prochaine. Les fonctions pulmonaires effectuées le 06.06.2018 mettent en évidence un syndrome obstructif modéré à sévère. Une consultation en pneumologie est préconisée. Le patient la refuse pour le moment. Nous vous laissons le soin de l'organiser s'il venait à changer d'avis. Monsieur Brechbuhl peut regagner son domicile le 27.06.2018. Monsieur Bregy est un patient de 48 ans, connu pour un diabète insulino-requérant, qui est amené en ambulance pour un accident de la voie publique avec un vélomoteur avec un choc latéral pour éviter une voiture qui tournait sans prévenir à 30 km/h. Le patient présente des douleurs cervicales, thoraciques et sur l'épaule gauche. Un CT-Total Body met en évidence des multiples fractures costales bilatérales avec lame d'hydro pneumothorax gauche, ainsi qu'une fracture plurifragmentaire du tiers moyen de la clavicule gauche, discrètement déplacée. Nous hospitalisons le patient pour un suivi de l'hydro pneumothorax et une antalgie. Une radiographie thorax de contrôle le 29.05.2018 montre la résolution de l'hydro pneumothorax. Sur avis des collègues de l'orthopédie, nous traitons initialement la fracture de clavicule conservativement. Une radiographie de contrôle le 05.06.2018 montre une mauvaise évolution et l'indication à une prise en charge orthopédique est retenue. Dans ce contexte, le patient est transféré le 05.06.2018 en orthopédie pour la suite de la prise en charge. À noter un diabète insulino-requérant mal réglé qui est suivi durant l'hospitalisation par nos collègues de la diabétologie. Monsieur Brodard est un patient de 63 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'une hernie épigastrique par une cure selon Rives. Les suites opératoires sont simples avec une ablation de l'intégralité des drainages le 12.06.2018. Devant la bonne évolution tant sur le plan clinique que paraclinique, le patient rentre à domicile le 12.06.2018 avec un contrôle à notre consultation dans 6 semaines. Monsieur Brodard est un patient de 68 ans, notamment connu pour une colectomie subtotale et une iléostomie terminale le 15.04.2018 dans le cadre d'un adénocarcinome sigmoïdien actuellement sous chimiothérapie, et qui nous est transféré le 11.06.2018 par son médecin traitant en raison de dyspnée aiguë stade NYHA III-IV, corrélée à une douleur au mollet gauche une semaine auparavant. Au vu de la forte suspicion d'embolie pulmonaire, le patient avait reçu 100 mg de Clexane en pré-hospitalier. Nous effectuons à l'entrée un CT thoracique qui met en évidence de multiples embolies pulmonaires bilatérales touchant les deux artères pulmonaires avec extension dans les artères lobaires, ainsi qu'un retentissement sur les cavités cardiaques droites, documenté par échocardiographie le 11.06 et le 12.06.2018. Au vu de la gravité des embolies, le patient est transféré aux soins intensifs du 11.06 au 12.06.2018. Nous instaurons un traitement thérapeutique par héparine intraveineuse en continu le 11.06, relayé par Clexane le 12.06, puis par Xarelto le 13.06.2018 (qui sera à continuer pendant au moins 6 mois, jusqu'à nouvel avis). À l'étage, nous remarquons une évolution clinique favorable avec amélioration de la dyspnée et de la fonction cardiaque. Sous avis angiologique le 12.06.2018, nous n'effectuons pas de thrombolyse par cathéter. Dans le cadre d'un bilan de thrombose, un duplex veineux des membres inférieurs est effectué le 13.06.2018, démontrant une thrombose veineuse profonde proximale du membre inférieur droit. Afin de réduire le risque de syndrome post-thrombotique, nous proposons la mise en place de compression élastique des membres inférieurs AD de classe 2. Monsieur Brodard rentre à domicile le 14.06.2018, encadré par des soins à domicile 3x/semaine qui étaient déjà en place avant l'hospitalisation pour les soins de son iléostomie. Le traitement par Xarelto est à continuer au minimum jusqu'en décembre. Monsieur Brodard, 68 ans, est admis aux soins intensifs pour une embolie pulmonaire bilatérale centrale. Il est suivi pour une colectomie subtotale et une iléostomie terminale le 15.04.2018 en urgence avec mise en évidence d'un carcinome sigmoïdien actuellement sous chimiothérapie, et présente depuis une semaine une douleur du mollet droit avec dyspnée en augmentation progressive. Cette nuit, il présente un épisode de dyspnée stade NYHA III-IV, motivant une consultation chez son médecin traitant. Ce dernier suspecte une embolie pulmonaire et administre 100 mg de Clexane à 15h au patient et l'adresse aux urgences. À l'anamnèse, le patient n'a pas de plaintes, ni de dyspnée au repos. Le CT thoracique du 11.06.2018 montre de multiples embolies pulmonaires touchant les deux artères pulmonaires, avec extension dans les artères lobaires, segmentaires et sous-segmentaires des deux côtés, retentissement sur les cavités cardiaques droites avec zone d'infarctus du parenchyme pulmonaire des lobes supérieurs. L'ETT du 12.06.2018 montre une bonne fonction du VG avec une FEVG à 60%, une dilatation modérée du ventricule droit et une fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Selon avis angiologique, un doppler des membres inférieurs à la recherche de thrombose sera effectué par la suite. Le patient bénéficie d'une anticoagulation thérapeutique par héparine. Un relais par Clexane 100 mg 2 fois par jour est réalisé dès 20h le 12.06.2018. Le patient est transféré le 12.06.2018 en médecine pour la suite de la prise en charge. Monsieur Brugger recevra une convocation à domicile pour une consultation auprès du Dr. X, pneumologue, à l'HFR Fribourg - hôpital cantonal. Monsieur Brunisholz est hospitalisé le 05.06.2018 dans le contexte des chutes à répétition à domicile. Précédemment, il avait été hospitalisé jusqu'au 28.05.2018 pour une infection abdominale et des chutes à domicile. Depuis son retour à domicile, la famille note une baisse de son état général notamment une faiblesse généralisée, des troubles de la mobilisation et des chutes associés à une hypotension artérielle. L'examen clinique montre un patient de 90 ans avec un état général diminué, normocarde, normotendu, afébrile sans signes d'infection ni de déficit neurologique. Suite à la dernière chute avec réception sur l'épaule droite, le patient décrit des douleurs à la palpation de la tête humérale. Une radiographie permet d'exclure une lésion osseuse.Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire, une péjoration de la fonction rénale et une hyponatriémie hypoosmolaire, correspondant plutôt à un SIADH. Une radiographie de thorax et un sédiment urinaire restent sans particularité en recherche d'un possible foyer infectieux. Une antibiothérapie avec Piperacilline/Tazobactam est débutée vue une dernière thérapie avec Co-Amoxicilline pour une pneumonie jusqu'au 01.06.2018. Le 06.06.2018 nous observons un malaise avec hypotonie importante du patient. Un CT Scanner thoracique met en évidence une embolie pulmonaire, expliquant l'hypotonie et possiblement aussi des chutes à domicile. Nous introduisons une anticoagulation par Eliquis sans dose de charge pendant la première semaine au vu d'un risque de chute très élevé chez le patient et remplaçons la médication de Nif-ten par Beloc en faible dose. Le patient profite également de physiothérapie respiratoire. Une origine de l'embolie n'est pas trouvée, mais elle est probablement due à l'immobilisation (faiblesse générale) ou une néoplasie. Selon la discussion avec la famille du patient, nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires vu l'âge et un manque de conséquence thérapeutique. Durant l'hospitalisation, le patient développe une dyspnée d'apparition aiguë associée à un état fébrile et une instabilité hémodynamique. La radiographie du thorax met en évidence des opacités bi-basales associées à un épanchement pleural gauche montant jusqu'à mi-plage. Dans ce contexte et après discussion avec la famille, il est décidé de ne pas traiter une possible infection et de commencer des soins dans une optique palliative. Des hémocultures sont négatives. Sous traitement uniquement à visée palliative, le patient évolue bien sur les jours qui suivent avec des paramètres vitaux à nouveau dans les normes. Nous ne croyons pas à l'origine infectieuse de son épisode de décompensation, mais mettons en cause la FA et l'embolie pulmonaire. Nous décidons donc d'arrêter les antibiotiques et de réintroduire une anticoagulation par Xarelto et de reprendre le Pantozol et le Nif-Ten. Le patient évoluant bien, nous organisons son transfert le 13.06.2018 pour la Villa Beausite. Monsieur Buchs, connu pour une coronaropathie tritronculaire et canal lombaire étroit, est amené en ambulance ce jour en raison d'une péjoration d'hémiparésie droite. L'anamnèse révèle une claudication neurogène en lien avec le canal lombaire étroit avec une péjoration progressive des symptômes depuis le 09.06.2018 sous forme d'une hémiparésie droite. Au service des urgences, le patient présente une hémiparésie droite et une dysarthrie. Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique ni hémorragique aiguë. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique se révèle sans particularité avec un NIHSS stable à 8 points à 24h. L'IRM cérébrale confirme une lésion ischémique pontique gauche. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. Un Holter de 24 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Sur le plan médicamenteux, le traitement anti-agrégant d'Aspirine est remplacé par le Plavix. Un traitement hypolipémiant est également introduit. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Les examens de laboratoire confirment une anémie normocytaire hypochrome d'origine ferriprive. Une substitution intraveineuse par Ferinject est effectuée. Une hypovitaminose B9 est également substituée. En raison de plaintes d'urines malodorantes, un stix et un sédiment urinaire sont effectués, confirmant une infection urinaire basse. Nous procédons à une culture urinaire et changement de la sonde urinaire à demeure. Un traitement de Bactrim est introduit pendant 7 jours devant l'absence de signes en faveur d'une prostatite. Nous vous laissons le soin de pister la culture urinaire et d'adapter le traitement en cas de besoin. Le bilan neuropsychologique met en évidence des troubles exécutifs et quelques troubles gnosiques et praxiques. Le tableau évoque une atteinte neurocognitive diffuse d'origine probablement mixte (atrophie cortico-sous-corticale et avec composante vasculaire). Nous vous laissons le soin d'évaluer l'aptitude à la conduite avant le retour à domicile. Le patient est transféré à l'HFR Billens afin de poursuivre la neuroréhabilitation. Au transfert, le NIHSS se révèle être à 8 points. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Buergisser est un patient de 74 ans connu pour un myélome multiple suivi chez nos collègues en oncologie qui se présente le 29.05.2018 en raison de douleurs coliques à droite. Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est hospitalisé pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Le patient étant anticoagulé par Marcoumar pour une valve aortique mécanique, l'intervention n'a pas eu lieu le jour même. Selon l'avis de nos collègues cardiologues, le Marcoumar est stoppé avec un relais d'Héparine continue en intraveineux. La clinique du patient ne s'améliore pas dans les jours suivants avec des douleurs coliques toujours et un syndrome inflammatoire en augmentation nécessitant l'introduction d'une antibiothérapie par Rocephin en intraveineux et la prise en charge chirurgicale pour la pose d'une sonde double J à droite malgré une INR à 1.6. L'intervention se déroule le 01.06.2018 sans complications et le patient est soulagé. Dans les suites post-opératoires, Monsieur Buergisser présente une hématurie macroscopique nécessitant des rinçages manuels. Un contrôle de l'hémoglobine demeure stable et un ultrason ne montre pas de grands caillots ou de tamponnade dans la vessie avec amélioration de la dilatation. L'hématurie s'arrête dans les jours qui suivent, permettant l'ablation de la sonde vésicale et l'arrêt de l'Héparine continue en intraveineux avec un relais par Clexane thérapeutique jusqu'à la prochaine intervention. Le patient retourne à domicile le 03.06.2018 et prendra rendez-vous avec le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Monsieur Buergisser, patient connu pour une leucémie lymphoblastique aiguë B diagnostiquée en novembre 2017, est hospitalisé en électif pour effectuer la 3e phase de consolidation bloc 8 de la chimiothérapie selon schéma GRAALL (Methotrexate). À l'admission, le patient se présente en bon état général, sans plaintes ni point d'appel pour une infection. La chimiothérapie par Methotrexate s'effectue sans effets secondaires et Monsieur Buergisser rentre à domicile avec une prescription de Neupogen de J8 à J12. Un rendez-vous en hématologie est prévu pour le 05.06.2018 avec une prochaine phase de consolidation prévue dans 2 semaines en ambulatoire. Concernant la colonisation par E. coli Vancomycine-résistant, une culture de selles revient négative et permet de lever définitivement l'isolement de contact en cas de séjour hospitalier ultérieur. Monsieur Bugnon, connu pour BPCO stade III sous oxygène 1L la nuit et cardiopathie valvulaire et ischémique, est hospitalisé pour une exacerbation de BPCO sur une pneumonie. Il présente depuis environ 10 jours une dyspnée en péjoration à l'effort et une orthopnée avec une augmentation du volume des expectorations qui sont jaunâtres/verdâtres.On retrouve à la radiographie du thorax une image compatible avec un foyer infectieux à la mi-plage pulmonaire droite. Un traitement par antibiotique par Rocéphine et Klacid est initié aux urgences. Le Klacid est arrêté après un antigène urinaire négatif pour la légionelle. Un relais per os par Augmentin est effectué suite à la bonne évolution clinique. Un traitement par Ventolin, Atrovent et Prednisone systémique est introduit pour une durée de 4 jours. Le patient bénéficie également de séances de physiothérapie respiratoire durant son séjour. Il évolue rapidement favorablement. Le patient refuse une réadaptation respiratoire malgré nos explications sur les bénéfices qu'il pourrait en tirer. Le bilan d'entrée révèle également une composante de décompensation cardiaque. L'ETT du 08.06.2018 est comparable à celle effectuée chez son cardiologue il y a un mois. Son traitement par Torem est majoré à 10 mg/jour et le dilzem est remplacé par un béta-bloquant, sur avis de nos collègues cardiologues, plus indiqué dans le cadre de la cardiopathie ischémique. Nous vous laissons le soin de réévaluer la majoration du traitement selon la tolérance du patient. Il y a également une notion anamnestique de méléna depuis environ 3 mois que nous n'avons pas pu objectiver durant son séjour car le patient n'a jamais informé le personnel soignant au moment d'aller à selles. Une recherche de sang occulte n'a pas pu être effectuée pour les mêmes raisons. Au vu de la stabilité de l'hémoglobine du patient durant l'hospitalisation, nous n'avons pas effectué d'OGD en urgence. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité d'organiser une recherche de sang occulte et une OGD en ambulatoire. Le patient peut regagner son domicile le 13.06.2018. Monsieur Bugnon, 83 ans, est hospitalisé au HFR site Fribourg le 24.06.18 dans le contexte d'une nouvelle insuffisance respiratoire aiguë. Pour rappel, il est connu pour une cardiopathie valvulaire et ischémique (FEVG 35%) ainsi qu'une BPCO stade GOLD III, et sort d'une hospitalisation dans le contexte d'une décompensation BPCO du 07-13.06.18. Au vu d'une carbonarcose et d'une décision prise lors de la dernière hospitalisation de ne plus retourner aux soins intensifs, il est décidé de passer à des soins de confort. Dans ce contexte, Monsieur Bugnon décède entouré de sa famille le 24.06.18. Monsieur Bulliard, connu pour une maladie tritronculaire, est hospitalisé pour une coronarographie. Lors d'une coronarographie pour un STEMI de la coronaire droite en mai 2018, nous objectivons également une sténose serrée de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et distale. Nous posons l'indication pour une dilatation en électif qui a lieu le 05.06.2018, sans complications. Il bénéficie d'une surveillance post-intervention qui se passe favorablement. Le bilan biologique du jour montre une anémie normochrome-normocytaire et le patient mentionne plusieurs passages de méléna. Nous débutons un traitement par inhibiteur de pompe à proton avec une dose de charge sur la surveillance aux soins intensifs. Nous proposons un contrôle biologique la semaine prochaine et organisons la suite gastro-entérologique avec une éventuelle gastroscopie. Le patient rentre le 09.05.2018 à domicile. Monsieur Bulliard, patient de 83 ans, connu pour une démence vasculaire avancée, sous Aspirine cardio après un accident ischémique transitoire en 2009, nous est adressé depuis le service des urgences de l'HFR Riaz en raison d'une dermohypodermite de la cheville droite le 05.06.2018. Monsieur Bulliard aurait présenté une rougeur avec chaleur au niveau de la face antérieure de sa jambe gauche, non-traumatique et sans état fébrile associé. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse du même âge, et le couple bénéficie d'un passage régulier des soins à domicile. Au status clinique, nous remarquons des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux, prenant le godet jusqu'à mi-mollet. À l'auscultation, nous remarquons la présence de râles de stase bibasaux, sans dyspnée associée. Sur le plan cutané, mentionnons une rougeur et chaleur à la partie antérieure du mollet droit, avec pouls périphériques palpables et sans ulcération associée. La marche est non-déficitaire en charge complète. Le reste du status clinique est non-contributif. Aux urgences, un bilan radiologique montre des signes de surcharge cardiaque pour laquelle le patient reçoit un traitement de Lasix par voie intraveineuse le 06.06.2018, avec reprise du traitement diurétique oral le 07.06.2018 et suivi pondéral. La radiographie de la cheville ne montre pas de fracture ni d'atteinte osseuse. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Mme Bulliard présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Le patient bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 06.06.2018 au 12.06.2018, avec prise en charge pluridisciplinaire. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMSE à 6/30, un test de la montre à 1/7 et un GDS à 2/7. Durant son séjour, Monsieur Bulliard effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seul est de 200 mètres. Dans le contexte d'une démence vasculaire avancée, le patient est autonome au niveau de sa mobilisation mais désorienté au niveau temporo-spatial, avec besoin d'aide pour les soins personnels. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 57/105, par rapport à 63/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 21,3 secondes. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée révèle une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec des besoins augmentés, démontrée par un NRS à 4/7 et une couverture énergétique à 43%. Pour la suite, le patient devrait recevoir trois repas et une collation par jour. Après discussion entre le patient et son entourage, un enseignement est donné au patient. L'entourage ne souhaite pas poursuivre les mesures proposées pour le domicile et la prise en charge diététique sera achevée après le séjour hospitalier, sans suivi nutritionnel en ambulatoire. Suite à une bonne évolution clinique, Monsieur Bulliard quitte notre service le 13.06.2018. Dès son séjour, il bénéficiera d'un passage des soins à domicile pour contrôle pondéral 3x/semaine. Monsieur Burgy est hospitalisé dans le contexte d'un érysipèle du membre inférieur droit avec apparition d'une rougeur, chaleur et douleur associée par un état fébrile depuis un jour. L'examen clinique montre un patient de 41 ans en état général stable, fébrile. Au membre inférieur droit, on trouve une image typique d'une dermohypodermite avec possible porte d'entrée sur deux lésions superficielles sur la face postérieure du mollet distal. Le laboratoire confirme un syndrome inflammatoire important. Nous débutons un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline intraveineuse avec bonne évolution clinique et biologique. Le traitement est oralisé le 25.06.2018. Par rapport à la médication antihypertensive, nous diminuons la dose d'Amlodipine à 10 mg comme dose maximale. Le patient rentre à domicile le 26.06.2018. Monsieur Busse est un patient de 83 ans, référé par son médecin traitant (Dr. X) aux urgences le 25.05.2018 pour des douleurs abdominales depuis 5 jours, dont l'investigation par ultrason abdominal effectué le même jour met en évidence une dilatation de la vésicule biliaire avec du sludge, ainsi qu'un anévrisme de l'aorte abdominale jusqu'ici encore non diagnostiqué. Un CT abdominal confirme la cholécystite et l'anévrisme de l'aorte abdominale, qui se trouve être infra-rénale et partiellement thrombosé.La cholécystite dure depuis plus de 3 jours. Il est décidé de poser un drain biliaire radio-guidé le 25.05.2018 et de procéder à une prise en charge chirurgicale à 6 semaines. Le suivi du syndrome inflammatoire et des tests hépatiques montrent des valeurs à la baisse. Monsieur Busse peut rentrer à domicile le 30.05.2018 avec son drain biliaire. Le patient bénéficiera d'une cholangio-IRM à 5 semaines et sera revu à la consultation des chefs de clinique pour discuter d'une cholécystectomie. Concernant l'anévrisme, le patient décrit quelques épisodes auto-résolutifs de douleurs thoraciques passagères et des troubles de la vision passagers en orthostatisme. Après avis des chirurgiens vasculaires, il est décidé de faire une surveillance à 6 mois, avec une imagerie de contrôle et une consultation chez le Dr X (chirurgien vasculaire). Monsieur Cardinaux, connu pour une fibrillation auriculaire sous Sintrom, un diabète de type 2 insulino-requérant et porteur d'une sonde vésicale à demeure, nous est adressé par le service d'orthopédie de l'HFR Riaz le 15.05.2018 pour réhabilitation à la marche suite à un drainage d'abcès au niveau du membre inférieur gauche le 15.04.2018. À l'admission dans notre service, Monsieur Cardinaux est en bon état général, bien hydraté, bien perfusé et apyrétique. À l'anamnèse, notons une incontinence urinaire. L'appétit et le transit sont réguliers. Le patient prend un somnifère pour dormir. Sur le plan social, il vit avec son épouse et bénéficie des soins à domicile 2x/jour pour la préparation du semainier, le contrôle de santé et les différents soins d'hygiène. Une aide familiale passe 2x par semaine pour le ménage, et les repas à domicile sont livrés tous les jours sauf le mardi et le mercredi. Sa femme s'occupe des repas ces deux jours, donne les médicaments à son mari quotidiennement, fait la lessive et les courses. Le patient se mobilise à l'aide de cannes et parfois en fauteuil roulant. Le status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un déficit en acide folique et une hypovitaminose B12 et D que nous substituons par voie orale. Concernant le drainage de l'abcès au niveau du membre inférieur gauche, Monsieur Cardinaux bénéficie d'un suivi régulier par le Dr X, chef de clinique orthopédiste et notre stomatothérapeute. La plaie mesure 3 cm x 5 cm, avec 10% de fibrine, 20% d'hyper-granulation, 50% de granulation et 20% d'épithélisation. L'écoulement séreux est important, la peau péri-lésionnelle présente une rougeur sur le pourtour de 1 cm, en diminution. La biopsie de la plaie met en évidence la présence d'un Staphylocoque aureus ne nécessitant pas de traitement antibiotique selon avis orthopédique. Sur le plan médicamenteux nous arrêtons l'Atarax et le Risperdal vu l'absence d'indication claire à ce traitement. En raison de glycémies hautes, nous dosons l'hémoglobine glyquée qui s'élève à 8,5%, motivant l'introduction de Janumet 50 mg 2x/jour et d'Insuline Lantus d'abord à 40 UI puis à 60 UI avec un schéma de correction et contrôles des glycémies post-prandiales. Au niveau nutritionnel, nous notons un apport hydrique excessif en lien avec une dysfonction pancréatique et des troubles cognitifs importants démontrés par une consommation supérieure à 3 litres d'eau par jour. Notons également un apport sous-optimal de certains types de glucides (saccharides) en lien avec un manque de connaissances sur les aliments et la nutrition en ce qui a trait aux quantités appropriées, une adhésion limitée au traitement alimentaire ou nutritionnel (troubles cognitifs) démontrée par des hyperglycémies entre 12 et 17 mmol/l. Dans ce contexte, le patient et son épouse bénéficient d'un enseignement sur les sources de glucides, la structure des 3 repas principaux et des collations. Nous leur proposons de limiter les sucres ajoutés, les produits sucrés et les boissons sucrées à domicile. Durant le séjour, Monsieur Cardinaux bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagné à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. Le patient peut gravir 9 marches avec 2 rampes. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 65/126 (identique à celle d'entrée). (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le patient bénéficie également d'une évaluation et de séances ergothérapeutiques pour l'entraînement des activités de la vie quotidienne. L'évolution étant favorable, Monsieur Cardinaux peut regagner son domicile le 28.05.2018 avec suite de prise en charge orthopédique à la policlinique le 04.06.2018 et à la consultation du Dr X le 25.06.2018. Monsieur Carrel est un patient de 71 ans connu pour un status post-résection antérieure basse laparoscopique pour un adénocarcinome de la jonction recto-sigmoïdienne et que nous suivons actuellement pour un polype suspect situé dans l'angle colique droit découvert dans une colonoscopie de surveillance en janvier 2018. Après discussion au Tumorboard, le patient bénéficie d'une hémicolectomie droite le 28.05.2018 afin de compléter le traitement oncologique avec le curage ganglionnaire pour un adénocarcinome pT1. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont compliquées par un iléus paralytique avec la nécessité d'un traitement laxatif. L'évolution est ensuite favorable avec une reprise du transit et une réalimentation bien supportée. M. Carrel rentre à domicile le 05.06.2018. Monsieur Chardonnens souffre de doigts à ressaut D2-D3 main gauche et D3 de la main droite. Je propose une cure de doigt à ressaut D2-D3 main gauche dans la première session et ensuite faire la main droite une fois que le patient aura récupéré la fonction de la main gauche. Le patient est d'accord. Il est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui aura lieu le 26.07.2018. Monsieur Charrière, connu et suivi en oncologie ambulatoire au CHUV pour un glioblastome amygdalien droit, consulte les urgences du CHUV le 02.06.2018, adressé par le Dr X, oncologue traitant, en raison d'une péjoration des troubles de l'équilibre, troubles de la mémoire et confusion ces derniers jours. Le patient a fait une crise d'épilepsie il y a un mois et depuis, il réfère des chutes à répétition avec vertiges, troubles de la mémoire et changement de comportement péjorés surtout ces 4 derniers jours. Le patient a également signalé des idées noires pour lesquelles il a bénéficié en mai 2018 d'un soutien psychologique. Épuisement familial avec nécessité de mise en place de soins à domicile. Un CT scan cérébral effectué au CHUV ce jour exclut un saignement ainsi qu'un œdème cérébral, pas d'effet de masse ou d'engagement. Le laboratoire est aligné, l'ECG sans particularité. Le patient est transféré dans notre service pour la suite de la prise en charge. À l'admission dans notre service, Monsieur Charrière est hémodynamiquement stable, normotendu et normocarde. L'examen neurologique met en évidence une diminution de la force musculaire de l'hémicorps gauche avec force à M4, avec réflexes ostéotendineux absents aux membres inférieurs, vifs aux membres supérieurs, réflexes cutanés plantaires indifférents bilatéraux. On retrouve également une perte de l'hémichamp visuel à gauche, avec le reste des nerfs crâniens qui sont dans la norme. Nous hospitalisons le patient pour répit familial, mise en place de soins à domicile, ainsi que physio- et ergothérapie. Le patient fait une fugue le 05.06.2018 et est retrouvé dans la rue par son épouse, qui le ramène dans le service. Au vu des troubles cognitifs, un PAFA est évoqué, mais pas fait afin de ne pas rompre la relation thérapeutique.Le 07.06.2018 nous demandons un avis au neurologue de garde et nous effectuons un EEG qui ne montre pas de crise d'épilepsie et la persistance du foyer irritatif intercritique temporal droit, inchangé. Nous poursuivons les traitements en cours et nous demandons le taux de Keppra et de Vimpat qui reviennent dans la norme. Afin d'exclure un état confusionnel sur prise de Dexaméthasone, nous diminuons la dose à 2 mg dès le 06.06.2018 et le patient reste calme et gérable par la suite. Le patient consulte le Dr. X au CHUV le 12.06.2018 avec une séance de chimiothérapie palliative par Avastin qui se déroule sans complication hormis un léger inconfort intestinal qui s'arrête après la prise en dose unique du Primperan. Suite à un entretien téléphonique avec le Dr. X, nous décidons de garder la Dexaméthasone pour l'instant et nous vous laissons le soin d'éventuellement le baisser progressivement dans les prochains jours. Nous demandons un bilan phosphocalcique qui met en évidence une hypophosphatémie modérée que nous décidons de substituer par voie orale dès le 12.06.2018. Nous vous laissons le soin d'effectuer un bilan de contrôle prochainement. En raison d'un ralentissement du transit nous adaptons le traitement par laxatifs avec efficacité. Après discussion, le patient et son épouse, Monsieur Charrière, est transféré aux soins palliatifs, Villa St-François, le 15.06.2018. Le patient est attendu au CHUV le 27.06.2018 pour la prochaine séance de chimiothérapie. Monsieur, Cher Collègue, Je me permets de vous écrire ces quelques lignes pour vous signaler qu'un déficit en G6PD a été mis en évidence chez Mr. Y en 1999 (cf allergie). Par coïncidence, sa sœur Mme. Y, étudiante en médecine, stagiaire en ce moment à l'HFR, discute ce jour avec moi de ce problème. Je récupère donc le résultat au laboratoire d'Aarau qui confirme le diagnostic. Il semble d'après elle qu'il ne prenne pas très au sérieux la maladie. Même si le risque est minime, il existe un risque de crise hémolytique sévère si stress oxydatif en mangeant des fèves (fait partie des habitudes alimentaires de la famille), buvant du Schweppes tonic à base de quinine ou prenant des suppléments en vitamine C ou médicaments interdits/déconseillés (liste remise à sa sœur ci-jointe + site internet conseillé français de l'ANSM sur le favisme). En cas de douleur abdominale, on doit également penser à d'éventuelles lithiases biliaires. Sa sœur va rediscuter avec lui, je reste également à disposition ou mieux, je suggère une consultation en hématologie adulte auprès de mon collègue Dr. X. Monsieur Y est un patient de 41 ans avec un status post-hémicolectomie gauche sur diverticulite perforée et abcédée, un status post-rétablissement de continuité avec adhésiolyse, résection sigmoïdienne, anastomose transverso-rectale et appendicectomie, ainsi qu'un status post-laparotomie, adhésiolyse et cure d'éventration. Le patient se présente à la consultation du Dr. X avec une symptomatologie d'iléus. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire et le CT abdomen met en évidence un iléus grêle mécanique avec saut de calibre iléal et du liquide libre intra-abdominal. Le patient est hospitalisé pour une prise en charge conservatrice initiale, avec pose d'une sonde naso-gastrique le 14.06.2018 et passage de gastrographine. L'évolution n'étant pas favorable, Monsieur Y est pris au bloc opératoire le 15.06.2018 pour une laparotomie exploratrice avec adhésiolyse. L'opération se passe sans complication et l'évolution est favorable avec une reprise du transit. Le patient peut rentrer à domicile le 27.06.2018. Monsieur Y, 46 ans, transféré des soins intensifs le 25.06.2018. Pour rappel, le patient a été hospitalisé pour une décompensation diabétique hyperosmolaire inaugurale qui s'est présentée cliniquement par une polydipsie et polyurie depuis plusieurs jours associées à des douleurs thoraciques oppressives intermittentes. Il bénéficie de l'insulinothérapie IV continue aux soins intensifs avec supplémentation électrolytique. À l'étage, nous adaptons le traitement d'insuline selon nos collègues de diabétologie. À noter la difficulté de communiquer avec le patient à cause de la langue. Le patient bénéficie de multiples séances de renseignement sur la pathophysiologie et la gestion de la maladie par nos infirmières de diabétologie. Pour ces séances, nous organisons des personnes pour traduire en italien. Le patient arrive à gérer les glycémies et s'injecte l'insuline pendant le séjour. Au vu des difficultés de compréhension, nous installons d'abord un schéma fixe sans insuline de correction. Nous retenons un profil lipidique qui ne nécessite pas l'introduction d'une statine pour l'instant. Sur le plan cardiaque, le patient n'a plus représenté de douleurs thoraciques pendant le séjour. Suite à la proposition de nos collègues de cardiologie, un test d'effort est recommandé à distance. Sur le plan social, nous retenons une situation très stressante pour le patient : il ne peut plus travailler et il s'occupe des enfants à la maison pendant que sa femme travaille. Vu qu'il refuse de rester plus longtemps, le patient rentre le 30.06.2018 avec des rendez-vous rapprochés chez nos collègues de diabétologie. Monsieur Y, 70 ans, connu pour les co-morbidités susmentionnées, est hospitalisé pour une pneumonie lobaire inférieure droite. Le patient consulte le service des urgences le 23.06.2018 dernier en raison d'une baisse de l'état général avec état fébrile et toux sèche progressive depuis une semaine. Nous objectivons cliniquement un foyer en base droite confirmé au bilan radiologique. Une antibiothérapie empirique est débutée par Ceftriaxone et Clarithromycine. La recherche d'antigènes Legionelle revient positive. Nous poursuivons l'antibiothérapie avec de la Levofloxacine. L'évolution clinique est favorable avec la disparition de la toux et l'amélioration du syndrome inflammatoire. Le patient se plaint également de symptômes urinaires avec algurie, urines foncées et vomissements depuis 4 jours. Les analyses urinaires montrent la présence de sang et de leucocytes parlant pour une infection que nous couvrons avec l'antibiothérapie débutée pour la pneumonie. Les symptômes disparaissent durant le séjour. Au début du séjour, le patient présente une agitation psychomotrice transitoire que nous attribuons au contexte infectieux. Monsieur Y est divorcé et vit seul à domicile. Il est autonome dans toutes les activités de la vie quotidienne. Il peut rejoindre son domicile le 26.06.2018. Monsieur Y, 83 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance cardiologique après sa coronarographie. Il est adressé par le Dr. X aux cardiologues suite à un test d'effort effectué dans le contexte pré-opératoire (TURP) électriquement suspect au vu d'un bigéminisme à l'effort. Une coronarographie est réalisée en électif le 13.06.2018 et le patient bénéficie de la mise en place de 2 stents sur la Cx et 4 stents sur l'IVA, stent de 4e génération pour limiter au maximum la durée de la double antiagrégation plaquettaire (6 mois). La FEVG est alors estimée à 55%. Dans les suites post-interventionnelles, le patient présente une douleur rétrosternale et une hypertension artérielle traitée par Trinitrine en IV continu. Le patient est repris en coronarographie le jour même, celle-ci montre un excellent résultat intrastent sans lésion critique nouvelle avec une arcographie inchangée. On note une élévation des troponines à 2822 ng/L le 14.06.2018. Ces douleurs sont donc probablement dues à un infarctus péri-interventionnel post-coronarographie par occlusion de petites branches septales de l'IVA suite au stenting.Le patient est transféré le 14.06.2018 en médecine pour la suite de la prise en charge. A l'étage, le patient ne présente plus de douleurs rétrosternales. Un suivi biologique montre une baisse des enzymes cardiaques. En raison d'une instabilité à la marche, nous proposons une réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Clément, 83 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance cardiologique après sa coronarographie. Il est adressé par le Dr. X aux cardiologues suite à un test d'effort effectué dans le contexte pré-opératoire (TURP) électriquement suspect au vu d'un bigéminisme à l'effort. Une coronarographie est réalisée en électif le 13.06.2018 et le patient bénéficie de la mise en place de 2 stents sur la Cx et 4 stents sur l'IVA, stent de 4ème génération pour limiter au maximum la durée de la double antiagrégation plaquettaire (6 mois). La FEVG est alors estimée à 55%. Dans les suites post-interventionnelles, le patient présente une douleur rétrosternale et une hypertension artérielle traitée par Trinitrine en IV continu. Le patient est repris en coronarographie le jour même, celle-ci montre un excellent résultat intrastent sans lésion critique nouvelle avec une arcographie inchangée. On note une élévation des troponines à 2822 ng/L le 14.06.2018. Ces douleurs sont donc probablement dues à un infarctus péri-interventionnel post coronarographie par occlusion de petites branches septales de l'IVA suite au stenting. Le patient est alors hospitalisé aux SIB pour la surveillance cardiologique post coronarographie. Il ne présente pas d'instabilité hémodynamique par la suite. Le patient n'a plus de douleur thoracique. Le traitement par Prasugrel devra être maintenu pour une durée de 6 mois, aspirine cardio à vie. L'opération de la prostate par TURP devra donc être repoussée de 6 mois. Le patient est hospitalisé le 14.06.2018 en médecine pour la suite de la prise en charge. Monsieur Colliard consulte les urgences le 19.05.2018 en raison de plusieurs épisodes d'état fébrile entre 38 et 39°C, accompagnés de céphalées de tension frontales, intermittentes, une raideur de nuque et une photophobie. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. A l'admission aux urgences, le patient est en état général conservé. L'auscultation cardio-pulmonaire est sans particularités, hormis des râles discrets à la base pulmonaire gauche. Le reste du status d'entrée, notamment neurologique, est non contributif. Le laboratoire montre une discrète leucocytose à 10,4 G/l et une CRP élevée à 182 mg/l. Le sédiment urinaire indique une leucocyturie et une hématurie. Nous suspectons une infection à départ urinaire et demandons une uroculture. En raison de la symptomatologie neurologique, nous faisons également la sérologie de Lyme. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire visible. Monsieur Colliard est hospitalisé et une antibiothérapie empirique par Rocéphine est instaurée. Les suites clinico-biologiques sont rapidement résolutives. Le syndrome inflammatoire est à la baisse avec une CRP à 31 mg/l et des leucocytes à 5,8 g/l. La culture urinaire identifie un compte non-significatif de germes et évoque plutôt une contamination et les hémocultures restent stériles après 5 jours. Le patient reste afébrile et n'a plus de symptôme. Nous concluons à une vraisemblable origine virale, ce qui motive l'arrêt des antibiotiques. Signalons que la symptomatologie neurologique avec la raideur de nuque et la photophobie a régressé spontanément et la sérologie de Lyme revient négative. Monsieur Colliard peut regagner son domicile le 23.05.2018. Monsieur Comte, 50 ans, connu pour cirrhose Child B8 d'origine alcoolique et métabolique, est hospitalisé pour un syndrome des jambes sans repos avec reprise d'une consommation alcoolique. Pour rappel, il a été récemment hospitalisé pour une hépatite alcoolique vs toxique jusqu'au 18.05.2018. Selon lui, les douleurs crampiformes des jambes ont débuté durant le séjour hospitalier avec une péjoration par la suite. Ces douleurs sont soulagées que par la prise d'alcool. A l'admission, le patient présente une alcoolisation aiguë à 2,93 ‰. Durant l'hospitalisation, nous débutons un sevrage alcoolique avec Seresta d'office sans complications. Le patient est évalué par nos collègues psychiatres. Le patient est motivé à se sevrer complètement de l'alcool, mais ne désire pas d'hospitalisation en milieu psychiatrique. Un suivi ambulatoire est assuré par la Fondation du Torry. Un suivi parallèle au CTA sera à discuter avec les responsables de la Fondation du Torry. Pour les douleurs des membres inférieurs, un traitement d'Amytriptiline est débuté avec correction parallèle des troubles électrolytiques permettant une disparition des douleurs sans antalgie de fond. L'ENMG exclut une polyneuropathie. De plus, le bilan biologique demandé par les neurologues durant la dernière hospitalisation revient négatif (bilan ferrique et cryoglobulinémie). Sur le plan hépatologique, nous notons initialement un ralentissement moteur important avec trouble de l'équilibre et de la marche, avec résolution rapide. Après discussion avec le Dr. X (CHUV), malgré l'absence de trouble urinaire, nous répétons l'urotube qui revient négatif. Le reste du bilan biologique reste superposable à la dernière hospitalisation. Un MMSE est réalisé en fin d'hospitalisation avec un score de 29/30. Monsieur Comte rentre à domicile le 11.06.2018. Monsieur Copt, 63 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute sur rupture de varices oesophagiennes le 16.06.2018. Le patient a consulté aux urgences en raison d'un méléna depuis le 06.06.2018 associé à une asthénie et à des vertiges orthostatiques. Dans le cadre d'un bilan d'anémie, une OGD réalisée en janvier 2017 avait montré des varices oesophagiennes de stade II. A l'admission, l'anémie avec une hémoglobine à 61 g/l (vs 124 g/l le 14.06.2018) a nécessité un soutien transfusionnel et un transfert aux soins intensifs. Un traitement par Sandostatine et Pantozol IV a été débuté. Le patient est resté hémodynamiquement stable mais, vu l'importance de l'anémie sévère et la présence des varices oesophagiennes, une OGD a été effectuée en urgence après intubation. Cet examen a mis en évidence du vieux sang dans l'estomac et des varices oesophagiennes sans saignement actif. Plusieurs ligatures ont été mises en place. Le patient a été extubé sans complication. Le traitement par Pantoprazole est à continuer (72 h en IV, puis 40 mg 2x/j PO). Une OGD de contrôle sera à faire dans 6 semaines. L'échographie abdominale a montré un foie remanié de cirrhose, une splénomégalie, des vaisseaux hépatiques et un tronc porte perméable, du liquide libre abdominal. Un bilan étiologique de la cirrhose est à prévoir, le patient ne consomme pas d'alcool. Une décompensation diabétique acido-cétosique et hyperosmolaire avec une glycémie à 52,2 mmol/l a été précipitée par l'arrêt de l'insulinothérapie 3 jours auparavant. Une hydratation intraveineuse et une insulinothérapie IV continue sont mises en place. Les antidiabétiques oraux sont arrêtés dans ce contexte. A noter que la compliance du patient pour son traitement diabétique est douteuse. Après avis diabétologique, l'insulinothérapie SC par Apidra et Toujeo est reprise le 18.06.2018.L'antiagrégation par aspirine, prescrite en prévention primaire, a été mise en suspens en raison du saignement et pourra être reprise à distance de la phase aiguë. Le patient est transféré le 18.06.2018 dans le service de médecine. • Mr. Y est ré-hospitalisé le 15.05.18 au HFR site Fribourg dans le contexte de sa leucémie aiguë avec phénotype mixte (MPAL) avec t(9;22)(q34.1;q11.2); BCR-ABL 1, diagnostiquée le 12.04.2018, suite à une semaine de repos à domicile. • Il bénéficie du 16 au 20.05.18 d'une première chimiothérapie de consolidation selon le protocole FLAG-Ida, dans l'attente d'un donneur pour une greffe de moelle osseuse. Par ailleurs, le Dasatinib est poursuivi sans interruption depuis la chimiothérapie d'induction. • Mr. Y passe en agranulocytose le 22.05.18. Un isolement protecteur et une prophylaxie antifongique par pozaconazole sont alors mis en place et le patient bénéficie de la transfusion de concentrés érythrocytaires et plaquettaires réguliers, selon les seuils habituels. Malgré cela, un état fébrile se déclare rapidement avec une bactériémie à K. pneumoniae et E. coli multisensibles, motivant l'introduction d'un traitement par céfépime dès le 23.05.18. L'amélioration de l'état clinique, l'absence d'état fébrile et la sortie d'agranulocytose le 12.06.18, permettent l'arrêt de la céfépime le 14.06.18. • Par ailleurs, une récidive de colite à C. difficile dès son entrée à l'hôpital motive l'introduction d'un traitement par Vancomycine per os avec un schéma dégressif sur un total de sept semaines. • Mr. Y bénéficie également d'un soutien nutritionnel sous forme de nutrition parentérale durant la période d'aplasie. Dans le contexte du bilan leucémique, un CT thoraco-abdominal avait permis de mettre en évidence une condensation ovalaire juxta-pleurale d'un peu plus de 3 cm intéressant le segment latéro-basal du lobe pulmonaire inférieur gauche, évoquant possiblement un infarctus pulmonaire dans le contexte des embolies pulmonaires. Un CT de contrôle effectué le 15.05.18 permet d'objectiver une réduction de la taille de la condensation, mais nécessite un nouveau contrôle scannographique à trois mois. Finalement, une communication interventriculaire sans répercussion clinique avait été diagnostiquée de manière fortuite à l'échocardiographie du 13.04.18. À l'échocardiographie de contrôle le 15.05.18, celle-ci n'est pas visualisée. La nécessité d'une échocardiographie transoesophagienne sera à évaluer dans un second temps. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y rentre à domicile le 18.06.2018, avec un rendez-vous de prévu à la consultation de Dr. X le 21.06.18 pour un contrôle biologique et une reprise du Rivaroxaban thérapeutique si le taux de thrombocytes le permet, puis organiser rendez-vous suivant pour effectuer la PBM post-sortie d'aplasie. Un rendez-vous aux HUG à Genève est agendé au 03.07.18, afin d'informer Mr. Y des modalités de la greffe de moelle osseuse. En fonction de la disponibilité d'un donneur de moelle osseuse, une deuxième chimiothérapie de consolidation sera à évaluer. • Mr. Y, connu pour une maladie coronarienne avec un status post-multiples interventions percutanées dont la dernière en Janvier 2015 en France, est adressé aux urgences de l'HFR Riaz par son médecin traitant le 29.05.2018 en raison de douleurs angineuses. Le patient rapporte que depuis 2 mois il présente une douleur de type angineuse, rétrosternale et parasternale gauche, oppressante, améliorée par la prise de Trinitrine et apparaissant à l'effort. Depuis une semaine, la douleur est constante. Pas de dyspnée ni d'orthopnée. Au status cardiaque à l'admission, la fréquence cardiaque est régulière. Le status pulmonaire est dans la norme, le reste du status est sans particularité. L'ECG montre un rythme sinusal à 77/min, normoaxé, QRS fins, ST isoélectriques, avec onde Q en III et aVF. La radiographie du thorax est dans la norme. Le laboratoire montre une légère augmentation de la CRP à 11 mg/l et une leucocytose à 10,5 G/l. Le premier train de troponines revient à 245 ng/l, le second à 259 ng/l. Nous contactons Dr. X, cardiologue de garde, qui pose l'indication à une coronarographie pour le lendemain. Mr. Y est hospitalisé à l'ELM asymptomatique et hémodynamiquement stable. Mr. Y est transféré à l'HFR Fribourg pour coronarographie le 30.05.2018. • Mr. Y est un patient porteur d'une colostomie terminale dans un contexte d'adénocarcinome rectal en rémission depuis 2008, qui est hospitalisé en électif pour bilan endoscopique. Il présente en effet une baisse de l'état général avec asthénie, inappétence et perte de poids depuis plusieurs mois. À l'admission, le patient se plaint de douleurs abdominales diffuses motivant la réalisation d'une radiographie abdominale qui ne montre pas de dilatation des anses digestives. Un bilan endoscopique (oesophago-duodénoscopie et coloscopie) est sans particularité écartant raisonnablement une cause somatique aux plaintes du patient. De plus, un CT-scan abdominal réalisé au début du mois n'a pas montré de signe de récidive tumorale. Sur le plan psychiatrique, Mr. Y présente un épisode anxiodépressif actuellement sévère avec idées suicidaires sans plan fixe. Il est vu par nos collègues psychiatres qui retiennent une indication absolue à un transfert au RFSM Marsens. Dans l'attente, le traitement psychiatrique est adapté avec une introduction de Clomethiazole (Distraneurine). Les taux des antidépresseurs sont prélevés le 21.06.2018. Sur le plan infectiologique, l'hospitalisation se complique le 22.06.2018 par une bronchopneumonie d'aspiration basale droite post-endoscopie. L'évolution clinico-biologique est favorable sous traitement antibiotique de Co-Amoxicilline qui est à poursuivre pour une durée totale de 5 jours. Le patient est actuellement cachectique sur manque d'apport dans le cadre de son état dépressif. Nous n'avons dans un premier temps pas entrepris de renutrition en attendant une stabilisation de son état psychique. Un suivi par la diététicienne de Marsens serait souhaitable. Nous retenons une carence en vitamine D3. Vu que nous avons reçu le résultat après le transfert du patient, nous avons transmis cette information aux collègues à Marsens par téléphone et nous proposons une substitution. Mr. Y est transféré au RFSM Marsens le 25.06.2018. • Mr. Y, 33 ans, admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et neurologique d'un tentamen médicamenteux survenant dans un contexte de conflit conjugal. Il ingère vers les 19h, le jour de son admission, une quantité de médicaments indéterminée des suites d'un conflit conjugal. Il y aurait eu la prise concomitante de paracétamol (34 cp), co-amoxicilline (2 cp), Sirdalud (14 cp de 4 mg), lexotanil (17 cp de 1.5 mg), Telfast (5 cp de 180 mg), Novalgine (4x500 mg), Algifor (8 cp de 400 mg), Ecofenac (1 cp de 50 mg), lexotanil (1 cp de 1.5 mg). Le patient est retrouvé au bord de la route, à côté de sa voiture avec des troubles de l'état de conscience. Le GCS initial est à 13. Aux urgences, une recherche étendue de toxiques ne montre la présence que de benzodiazépine. La paracétamolémie reste dans les limites de la norme. Il bénéficie toutefois d'une infusion de N-acétylcystéine. La répercussion hépatique est très légère. Le patient est transférable 15h après son admission. Dans ce contexte, l'avis du psychiatre de garde, Dr. X, est requis. Au vu de la gravité de l'acte et du risque aigu d'un nouveau passage à l'acte dans cette crise non résolue, nous convenons d'un PAFA. Il est transféré à l'hôpital psychiatrique de Marsens le 30.06.2018. Une décision de placement à des fins d'assistance est remise au patient au moment de son transfert à 16h15. Les voies de droit de recours lui sont expliquées.Monsieur Cudre, 85 ans, connu pour un premier AVC ischémique multifocal pluriterritorial en mai 2018 et une occlusion de l'artère carotide interne gauche, sous Aspirine et Clopidogrel, se présente au service des urgences le 09.06.2018 pour une symptomatologie transitoire sous forme d'hémiparésie facio-brachio-crurale et dysarthrie. Le scanner cérébral natif ne met pas en évidence de lésion ischémique nouvelle. Monsieur est initialement hospitalisé pendant 48h en lit monitoré qui ne montre pas d'arythmie cardiaque emboligène. Son traitement par double anti-agrégation (Aspirine/Clopidogrel) est poursuivi ainsi que son traitement par Atorvastatine 80 mg/j. La symptomatologie d'évènements transitoires à répétition dans un contexte d'effort ou en post-prandial peut s'expliquer par des bas débits dans le contexte d'occlusion carotidienne gauche et par de sténose de l'artère vertébrale gauche. Comme DD, nous évoquons la réactivation d'anciennes lésions dans le contexte d'une infection urinaire traitée par Ceftriaxone avec relai per os par Ciproxine pour un traitement de 7 jours au total. Un duplex des vaisseaux précérébraux avait été effectué lors de la dernière hospitalisation, celui-ci est répété et ne montre pas de différence significative notamment persistance d'occlusion carotidienne G. À noter que le patient possède un bon réseau collatéral intracérébral afin de compenser l'occlusion de la carotide interne gauche. Malheureusement, une prise en charge en chirurgie vasculaire n'est pas envisageable devant une occlusion carotidienne persistante. Le holter effectué en mai 2018 montre un BAV de type 1 et l'absence de fibrillation auriculaire. Un R-Test sur 7 jours est proposé devant l'incidence des ESSV et pour détecter une FA intermittente. Nous proposons au patient de poursuivre son traitement actuel et d'être vigilant lors des efforts. Nous lui recommandons également de ne pas manger des repas trop copieux. Un contrôle en neurovasculaire est planifié à 2 mois. Monsieur Cudré-Mauroux est un patient de 63 ans qui nous est envoyé par son médecin traitant pour des douleurs épigastriques depuis 5 jours. Les examens de laboratoire mettent en évidence un syndrome inflammatoire, ainsi qu'une augmentation des tests hépatiques et pancréatiques. Le CT abdominal montre une pancréatite Balthazar D avec nécrose et coulées. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2g et Flagyl 500 mg intraveineuse relayée par Imipenem le 30.05.2018. Durant l'hospitalisation, un ERCP est effectué sans mettre en évidence de choledocholithiase. Le suivi de laboratoire montre une diminution progressive des tests hépatiques et pancréatiques, ainsi que du syndrome inflammatoire. M. Cudré-Mauroux peut rentrer à domicile le 06.06.2018. Monsieur Cuennet est un patient de 75 ans, qui se présente aux urgences, adressé par son médecin traitant pour une suspicion d'urosepsis sur probable prostatite le 04.06.2018. Le patient présente une pollakiurie associée à une dysurie et des frissons depuis 4 jours avec douleurs sus-pubiennes en péjoration et au statut, le toucher rectal est douloureux à la palpation de la prostate. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 211 sans leucocytose et le sédiment est sale. Nous retenons donc un diagnostic de prostatite aiguë et une antibiothérapie est initiée par Rocéphine en intraveineux puis au résultat de l'uricult, par Ciprofloxacine par voie orale pour un Klebsiella Pneumoniae multisensible. Au cours de l'hospitalisation, le patient présente des douleurs abdominales post-prandiales. Étant connu pour des diverticules et antécédents de diverticulites, nous proposons au médecin traitant d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorables, le patient peut rentrer à domicile le 08.06.2018. Monsieur Cuennet, 52 ans, est admis aux soins intensifs le 28.06.2018 pour un NSTEMI. Le patient, connu pour des facteurs de risques cardio-vasculaires, présente des douleurs thoraciques depuis 3-4 jours avec péjoration le 28.06.2018. Aux urgences de Payerne, un NSTEMI est diagnostiqué au vu des troponines élevées. L'ECG montre une ischémie antérieure ancienne. Au vu des douleurs persistantes, une coronarographie est effectuée le même jour après une charge d'Aspirine, Brilique et Fondaparinux. La coronarographie en urgence met en évidence une maladie tritronculaire avec occlusion chronique de l'IVA moyenne, sténoses subocclusives de la circonflexe et de la coronaire droite avec une légère dysfonction ventriculaire gauche. L'indication au pontage est posée et le patient est admis aux soins intensifs dans l'attente du transfert au CHUV, où il est attendu le 29.06.2018 à 10h30 pour la suite de la prise en charge. Pour des douleurs résiduelles, un traitement par nitrés est initié avec bon effet. Le bilan préopératoire est encore à effectuer (duplex carotides, échocardiographie). Au moment du transfert au CHUV, le patient est stable, sous 1 mg/h de TNT. Le point de ponction est calme. Monsieur Da Graca Pinto Da Costa est un patient de 60 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'une hernie inguinale gauche symptomatique par cure avec filet selon Lichtenstein. Les suites opératoires sont simples et les contrôles cliniques et paracliniques permettent à Monsieur Da Graca Pinto Da Costa de rentrer à domicile le 15.06.2018. Monsieur Dacomo gaucher, connu pour un antécédent d'embolie pulmonaire en 2016 et pour des migraines avec aura aphasique et hémiplégique, est hospitalisé dans un contexte de lésions ischémiques subaiguës cérébrales. Pour rappel, l'anamnèse révèle une crise de migraine avec une aura prolongée sous forme d'aphasie non-fluente, hémiparésie G et troubles visuels le 12.06.2018 à 15h45, s'étant estompée spontanément en plusieurs heures, cependant toujours présents à son entrée au service des urgences. Le CT cérébral ne montre pas de lésion d'anomalies vasculaires et sans asymétrie aux cartes de perfusion. Cependant, au vu de la suspicion d'AVC, le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. L'IRM cérébrale montre de multiples lésions ischémiques subaiguës d'âge différent sur le territoire de l'artère cérébrale antérieure et moyenne à droite. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre un FOP de grade II-III sans ASIA associé. Monsieur sera reconvoqué pour une ETO en ambulatoire et la fermeture du FOP sera rediscutée ultérieurement au colloque de cardiologie-neurologie le 11.07.2018. Au vu de l'anamnèse rapportant une embolie pulmonaire en 2016 d'origine indéterminée et les multiples lésions retrouvées à l'IRM, suite à l'avis de nos collègues hématologues, une anticoagulation par Apixaban (Eliquis) 5 mg 2x/j est indiquée à vie. Un bilan de thrombophilie est actuellement en cours et vous sera adressé dès que possible. Au vu des nombreuses migraines avec aura précitées, nous débutons un traitement par Topiramate 25 mg 1x/j dont la dose sera à augmenter par palier de 25 mg chaque 2 semaines pour une posologie définitive de 50 mg 2x/j, si le patient le supporte bien. À noter que le patient présente des épisodes d'apnées du sommeil avec désaturation nocturne durant l'hospitalisation. Nous recommandons ainsi un bilan pneumologique avec réalisation d'une polysomnographie en ambulatoire. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Dacomo, 32 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 12.06.2018 pour une surveillance neurologique.Il est connu pour des épisodes de migraines avec auras atypiques de type visuel et hémisyndromes G, suivi par Dr. X. Le patient consulte, accompagné par sa voisine en raison d'un épisode d'aphasie, hémiparésie G et troubles visuels. Les symptômes ont débuté à 15h 45 environ, alors que le patient était aux toilettes. Ces symptômes sont similaires aux épisodes précédents d'après le patient, mais nettement plus marqués et plus longs cette fois. À noter la naissance de son bébé il y a 1 mois, avec un manque de sommeil ces derniers temps. Le CT cérébral réalisé le 12.06.2018 est normal. À son entrée aux soins intensifs, le patient présente une céphalée frontale pulsatile d'intensité importante avec une régression de tous les signes neurologiques, NIHSS à 0. Le neurologue propose un bilan d'épilepsie avec EEG ainsi qu'une IRM cérébrale pour exclure une cause ischémique, au vu d'une lésion séquellaire frontale sous-corticale D présente sur l'IRM cérébrale de 2014. L'IRM cérébrale montre plusieurs lésions ischémiques d'âge différent dans les territoires frontaux et pariétaux. L'EEG est effectué le 13.06.2018, l'interprétation est en cours. L'ETT sera réalisé le 14.06.2018. Un traitement par antiagrégant plaquettaire est instauré le 13.06.2018. À noter que le patient présente des épisodes d'apnées du sommeil avec désaturation nocturne durant l'hospitalisation aux soins intensifs. Un bilan pneumologique avec réalisation d'une polysomnographie sera réalisé par la suite. Le patient est hospitalisé en neurologie le 13.06.2018 pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y est un patient de 67 ans qui bénéficie d'un pontage fémoro-poplité droit en veine saphène interne inversée et ligature de l'anévrisme sur une maladie artérielle périphérique anévrismale et obstructive des membres inférieurs, qui a été mis en évidence en 2017 suite à une hospitalisation dans le contexte de choc cardiogène sur infarctus du myocarde. L'intervention se déroule le 12.06.2018 sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec un contrôle régulier des pouls périphériques positif. Mr. Y retourne à domicile le 16.06.2018. • Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour un double anévrisme de l'aorte abdominale dont le plus grand présente une augmentation de taille de plus de 10 mm en une année et demi, actuellement à 53 mm de grand axe. C'est pourquoi, il bénéficie d'une cure d'anévrisme de l'aorte abdominale par tube droit avec clampage supra-rénal gauche le 05.06.2018. En raison d'une polykystose hépatique avec un volumineux kyste au niveau du foie gauche, une kystectomie est également effectuée durant l'intervention, permettant un meilleur abord. Les suites sont marquées par un état fébrile et une élévation du syndrome inflammatoire avec un patient BPCO présentant des symptômes respiratoires. Une radiographie du thorax ne révèle pas de foyer clair mais un pneumopéritoine est noté. Une investigation complémentaire par CT abdominal est effectuée qui ne révèle pas de perforation ou de fuite de contraste avec un patient qui demeure asymptomatique à ce niveau. Un foyer urinaire et pulmonaire est mis en évidence sur le CT et une antibiothérapie par Rocephin en intraveineux est instaurée le 11.06.2018. L'évolution est par la suite favorable avec un syndrome inflammatoire qui diminue, permettant alors à Mr. Y de rentrer à domicile le 16.06.2018, après sa dernière dose d'antibiotique. • Mr. Y, patient actuellement hospitalisé au RFSM Marsens dans le cadre de troubles mentaux et du comportement liés à une consommation à risque de substances psychoactives multiples, consulte les urgences le 25.05.2018 accompagné par sa mère suite à un traumatisme de l'épaule gauche. Plus précisément, la nuit du 19 au 20.05.2018, dans un contexte de décompensation psychotique il pense que son propriétaire veut le tuer, il prend un couteau de cuisine sale et il se scarifie l'avant-bras gauche; ensuite il fait plusieurs chutes avec réception au niveau de l'épaule gauche. La police intervient et il est hospitalisé en mode volontaire au RFSM Marsens. Depuis, il présente une douleur au niveau de l'épaule et du tiers proximal du bras gauche. Le matin du 25.05.2018 en raison de la persistance des douleurs et de l'apparition d'une rougeur en regard du biceps, il consulte les urgences. À noter que le patient est actuellement hospitalisé au RFSM Marsens, sous Méthadone et rapporte présenter de la fièvre dans ce contexte. Il affirme également une injection au niveau fémoral la nuit du 24 au 25.05.2018. Notons que l'anamnèse est toutefois complexe, le patient ne répondant pas volontiers aux questions concernant son suivi psychiatrique. À l'entrée aux urgences, le patient est en bon état général. Il est fébrile à 38.2 °C, bien perfusé, avec des pouls périphériques palpés. Au niveau ostéo-articulaire et dermatologique nous retrouvons des plaies transverses sur la face dorsale de l'avant-bras gauche de 2 - 3 cm de longueur, croûteuses, avec érythème en regard, mais pas de trajet lymphatique associé ni d'écoulement. Au niveau de l'épaule et du bras gauche il n'y a pas de plaie ni d'hématome visible, mais un érythème mal délimité au niveau de la face antérieure du bras, avec tuméfaction et tension en regard du biceps; la palpation de l'épaule et du biceps est douloureuse de façon diffuse, alors que celle des os de l'avant-bras et de la main ne l'est pas. L'examen neurologique, focalisé en particulier sur le membre supérieur droit, ne montre pas d'anomalie. Au niveau cardiaque nous retrouvons un souffle systolique au foyer pulmonaire. Au niveau du laboratoire, un syndrome inflammatoire sans leucocytose est mis en évidence. Des hémocultures sont prélevées, qui reviennent négatives. L'ECG d'entrée est dans les normes, hormis un léger allongement de l'intervalle QTc, raison pour laquelle nous vous conseillons d'être attentifs avec les médicaments psychotropes et de le recalculer lors des changements de thérapie. Mr. Y est hospitalisé pour investigations. Une suspicion d'endocardite est évoquée, mais écartée par une échocardiographie transthoracique, qui ne montre par ailleurs pas d'autre anomalie. Concernant la douleur à l'épaule gauche, un diagnostic différentiel d'arthrite septique est évoqué. Une radiographie ne montre pas de fracture et une échographie montre une minime lame liquidienne intra-articulaire. Une ponction radio-guidée ne retrouve pas de liquide. Nous retenons finalement le diagnostic de dermohypodermite du membre supérieur droit, à point de départ cutané sur les plaies auto-infligées et débutons un traitement par Céfuroxime iv en raison de l'allergie à la pénicilline, avec une bonne évolution clinico-biologique et la possibilité d'un relais per os le 29.05.2018, à poursuivre jusqu'au 08.06.2018. Un contrôle clinique et biologique est recommandé en fin d'antibiothérapie. À noter que le patient est attendu à la policlinique d'orthopédie - HFR Riaz - le 05.06.2018. Mr. Y est réadmis au RFSM Marsens le 30.05.2018. • Mr. Y, connu pour lombocruralgie droite depuis plusieurs semaines, consulte les urgences le 22.05.2018 pour une aggravation des douleurs lombaires et au niveau du membre inférieur droit depuis 3 jours. Le patient a bénéficié le 03 mai 2018 d'une IRM qui montrait une protrusion discale à prédominance gauche au niveau L4-L5. Il a pris un traitement antalgique et une corticothérapie systémique et a fait quelques séances de physiothérapie, avec soulagement partiel. Ce jour, en essayant de se lever du lit, il est complètement bloqué par la douleur, ce qui le détermine à appeler l'ambulance. Il a reçu du Fentanyl, permettant d'apaiser la douleur.A l'examen clinique, les douleurs sont reproductibles à la palpation de la région para-lombaire droite basse. Le Lasègue n'est pas effectué, car le patient est algique même à 0° de flexion de la hanche. Le réflexe rotulien est hypovif à droite et normovif à gauche, la force du membre inférieur droit est diminuée à M4 par la douleur, la sensibilité est conservée. Au toucher rectal, le tonus sphinctérien est conservé, ainsi que la sensibilité périnéale. Aux urgences, nous administrons une antalgie IV avec Paracétamol et Novalgine, suivie d'Ecofenac et de Tramal et Monsieur Dejoui reste hospitalisé pour titration de l'antalgie. Le laboratoire effectué le lendemain montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 123 mg/l et une leucocytose à 26.1 g/l. Le sédiment urinaire montre une glucosurie, mais l'HbA1c que nous dosons par la suite revient dans la norme, à 5.7%. Des hémocultures à froid sont prélevées. Nous complétons les investigations par une IRM des sacro-iliaques à la recherche d'une sacro-iléite, ou d'un abcès profond, sans retrouver d'élément pathologique. Les hémocultures reviennent négatives à 5 jours et le syndrome inflammatoire régresse spontanément sur arrêt de la corticothérapie, qui expliquerait son apparition. Le traitement est renforcé progressivement, avec rajout de morphiniques par Oxycontin et des réserves d'Oxynorm, ainsi que de la Pregabaline et d'un myorelaxant, le Sirdalud, avec amélioration de la symptomatologie. Il récupère la force au niveau du membre affecté, jugée à M5, et parvient à marcher, même sur les talons et la pointe des pieds. Le patient n'a pas encore épuisé sa prescription de physiothérapie et nous l'encourageons à continuer les séances en ambulatoire. Monsieur Dejoui peut regagner son domicile le 25.05.2018. Monsieur Delacombaz présente en premier lieu une contusion bénigne de la face interne du genou G en rémission complète. En l'absence de signe clinique pour une atteinte méniscale ou des structures nobles, aucun bilan radiologique n'est actuellement nécessaire. En l'absence de symptôme, le patient ne requiert aucun traitement spécifique. Je me tiens bien évidemment à disposition en cas de réapparition des douleurs. Monsieur Della Marianna est un patient de 29 ans qui est hospitalisé aux soins intensifs 24 h après sa sortie pour une récidive d'iléus paralytique d'origine multifactorielle. Le patient est connu pour une infirmité motrice cérébrale (IMC) sévère avec tétraparésie spastique. Pour rappel Monsieur Della Marianna a été hospitalisé le 08.05.2018 en raison d'un choc septique sur probable translocation bactérienne suite à un iléus paralytique. Une laparotomie exploratrice réalisée le 08.05.2018 n'avait pas montré d'obstruction et après un traitement conservateur et une antibiothérapie par Meronem le patient avait rejoint son institution le 17.05.2018. Le 18.05.2018, il est adressé aux urgences suite à des douleurs abdominales avec un épisode de méléna. Le patient est intubé aux urgences afin de réaliser le scanner abdominal. Celui-ci montre une distension de l'estomac et des anses grêles dans le cadre d'un iléus paralytique. En raison d'une dislocation de la PEG lors de l'examen celle-ci est remplacée par une sonde vésicale ce qui permet une décharge gastrique. Nous mettons en suspens le traitement neuroleptique et introduisons des procinétiques avec une reprise progressive du transit le 23.05.2018. Le 23.05.2018, la sonde est changée pour un gastrotube. Ce nouveau dispositif a été montré et expliqué à la famille et au personnel de l'institution, la consigne étant de ne procéder à une vidange gastrique qu'en cas de suspicion de récidive d'iléus et dans l'attente d'une consultation aux urgences. L'évolution est lentement favorable permettant un transfert à l'étage. La réalimentation prudente est bien supportée permettant de stopper la nutrition parentérale le 25.08.2018. Le patient rentre à son institution le 01.06.2018. Monsieur Delley est un patient de 74 ans, en bonne santé habituelle, qui chute de 2 m de haut depuis une échelle le 06.06.2018. Traumatisme crânien avec perte de connaissance de 10-20 sec et une amnésie circonstancielle. Il présente des céphalées, des douleurs para-cervicales et costales droites respiro-dépendantes. Le bilan d'extension met en évidence un hématome sous dural aigu de 6 mm à droite. Après surveillance neurologique sans particularité, Monsieur Delley rentre à domicile. Monsieur Delley, patient de 70 ans connu pour un carcinome pulmonaire à petites cellules, est amené en ambulance le 25.06.2018 en raison d'une suspicion d'AVC. Pour rappel, l'anamnèse révèle l'apparition le 25.06.2018 à 9h30 alors qu'il se relevait d'une position assise de céphalées fronto-temporales droites accompagnées de vertiges rotatoires, spontanément résolutifs en quelques secondes. Le patient relate une difficulté à se lever de sa chaise par la suite avec faiblesse du membre inférieur droit. En mangeant à midi, le patient fait tomber à deux reprises son verre qui est situé sur sa gauche avec sa main gauche. Il remarque par la suite en lisant le journal qu'il ne voit pas la partie gauche de la page, raison pour laquelle il consulte. Aux urgences, le NIHSS est à 2 points en raison d'une hémianopsie homonyme latérale gauche. Le CT cérébral révèle un AVC ischémique en voie de constitution occipital droit avec pénombre d'environ 50% du territoire ischémié. Devant le délai dépassé (> 5 heures depuis le début des symptômes) et la présence d'une lésion partiellement constituée, nous n'effectuons pas de thrombolyse. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique confirme une persistance de l'hémianopsie homonyme latérale gauche avec prédominance au quadrant supéro-externe à 24h. L'IRM cérébrale confirme un AVC occipital droit aigu associé à une occlusion du segment P3 de l'artère cérébrale postérieure droite. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas d'étiologie structurelle d'AVC. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. En cas de Holter négatif, nous vous laissons le soin d'organiser un R-Test sur 7 jours. L'examen neurosonologique ne révèle pas d'athéromatose significative. L'étiologie de l'AVC demeure à l'instant donc indéterminée. Sur le plan médicamenteux, un traitement antiplaquettaire d'Aspirine est introduit dont nous vous proposons la poursuite au long cours. Le traitement hypolipémiant est également majoré. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le patient présente un score de STOP-BANG à 5 points, risque élevé d'un syndrome d'apnées du sommeil. Le score d'Epworth se révèle être à 9 points. Une polysomnographie nocturne est prévue à 3 mois post-AVC à la recherche de syndrome d'apnées du sommeil (le patient sera convoqué en ambulatoire). Le bilan neuropsychologique se révèle être dans la norme, sans atteinte significative. Le patient bénéficie d'une consultation ophtalmologique qui évalue le champ visuel automatisé et qui confirme une hémianopsie homonyme latérale gauche incompatible avec la conduite de véhicule automobile. La conduite de véhicule automobile est donc contre-indiquée jusqu'à nouvelle évaluation prévue à 4 mois. Un arrêt de travail pendant 2 semaines est issu, à noter que le patient travaille à 20% en tant que sanitaire. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Delley, 70 ans, est admis aux soins intensifs pour un AVC ischémique aigu occipital droit.Le patient décrit une hémianopsie G d'apparition brutale. Le CT cérébral met en évidence une lésion ischémique déjà partiellement constituée occipitale D. L'avis neurologique ne retient pas d'indication à une lyse en raison d'un délai dépassé. Le bilan étiologique est complété par une IRM qui confirme le diagnostic d'AVC ischémique sur occlusion du segment P3 de l'artère postérieure droite. L'échocardiographie ne retrouve pas d'argument en faveur d'une origine cardio-embolique. Le patient est transféré en stroke unit non monitorisé pour la suite de prise en charge. Monsieur Demierre est un patient connu pour une maladie de Parkinson avec stimulateur cérébral, qui est hospitalisé dans le contexte d'un syndrome post-chute. Il a en effet présenté une chute accidentelle sans gravité la veille, avec léger traumatisme crânien. L'examen clinique ne révèle pas de séquelles de la chute et le scanner cérébral ne montre pas de lésion traumatique. Nous rassurons le patient qui bénéficie par ailleurs de physiothérapie de mobilisation durant le séjour. Sur le plan neurologique, le patient nous rapporte une péjoration depuis quelques semaines de son trémor des membres supérieur et inférieur droits, avec dyskinésie du gros orteil droit post-traumatique très gênante. Il rapporte également des troubles visuels intermittents difficilement caractérisables, sous forme de scotomes. Il est vu durant le séjour par le neurologue traitant, qui préconise la poursuite du traitement habituel. Le neuro-stimulateur est par ailleurs contrôlé et fonctionne de manière satisfaisante. Il souhaite être vu par son ophtalmologue traitant pour les troubles visuels et prendra rendez-vous prochainement. Monsieur Demierre rentre à domicile le 13.06.2018. Monsieur Demierre est un patient de 59 ans qui nous est transféré du RFSM (centre de soins en santé mentale à Bulle) le 05.06.2018 pour un bilan complet de démence et une suite de prise en charge diagnostique dans un contexte de troubles cognitifs. Pour rappel, Monsieur présente depuis 2016 un déclin progressif de ses fonctions cognitives et est suivi par le RFSM depuis le 26.02.2018 dans le cadre d'un épisode dépressif sévère sans symptôme psychotique, avec péjoration cognitive confirmée par examen neuropsychologique le 13.04.2018. Les sérologies (HIV, Syphilis, Lyme) faites le 25.05.2018 au RFSM avaient pu exclure ces étiologies infectieuses. Monsieur est hospitalisé de manière élective dans notre service de médecine interne le 05.06.2018. Sous avis neurologique le 07.06.2018, nous réalisons un test à la Lévodopamine le 08.06.2018, qui est pathologique, nous confirmant le probable diagnostic de maladie de Parkinson. Nous instaurons dès le 09.06.2018 un traitement par Atilect et Sifrol. Nous prions le RFSM d'évaluer la tolérance du patient au Sifrol (0.375 mg) et de l'augmenter jusqu'à 0.75 mg dans la semaine à venir. Les résultats du bilan sanguin exhaustif et de la ponction lombaire effectués à l'étage le 06.06.2018 sont encore en attente et seront faxés au RFSM. Après avis neurologique et en accord avec Mr. Zamba (neurochirurgien traitant du patient), nous décidons d'entreprendre un IRM de contrôle au niveau lombaire le 08.06.2018, dont le résultat est encore en attente. Pour rappel, Monsieur avait bénéficié en juillet 2017 d'une tumorectomie in toto du filum terminale et a RDV avec le Dr. Zamba le 14.06.2018 dans le cadre de son suivi neurochirurgical. Par ailleurs, le patient nous décrit des épisodes de rhinorrhées plutôt matinales, d'origine peu claire. Après avis neurochirurgical, un lien causal avec son opération cervicale en septembre 2017 peut vraisemblablement être exclu, confirmé par l'absence de fuite céphalo-rachidienne à l'IRM cérébral du 27.02.2018. Un test à la B2-transferrine est effectué le 07.06.2018, les résultats seront à discuter lors du bilan ORL prévu avec le Dr. Gombert le 22.06.2018. Monsieur rentre à domicile le 08.06.2018. Après discussion avec le patient, sa femme, ainsi que le RFSM, une poursuite du suivi au Centre de Santé mentale est décidée jusqu'à nouvel avis. Une suite de prise en charge est prévue avec le Dr. Accolla (neurologue) le 30.07.2018, afin de discuter des résultats de la ponction lombaire et de la suite du suivi neurologique. Monsieur Demierre présente donc une arthrite probablement cristalline de son genou G. Je pense qu'effectivement le patient pourrait bénéficier d'une synovectomie étendue et toilettage par arthroscopie. Le patient désire cette information. Il est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord oral et signé, pour ce geste qui sera effectué le 19.06.2018. Une consultation pré-anesthésique va être programmée dans l'intervalle. Monsieur Demierre, 60 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un traumatisme crânien sévère. Le patient se cogne la tête contre la porte d'un garage en voulant se réfugier de la pluie. Il fait ensuite une chute en arrière avec réception sur la tête. Le scanner cérébral montre une hémorragie parenchymateuse fronto-basale gauche, une hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-basal bilatérale et temporal gauche, un hématome épidural et une fracture du rocher gauche. Les collègues de neurochirurgie de l'Inselspital préconisent une prise en charge conservatrice. Durant la surveillance, le patient présente un état d'agitation avec hétéro-agressivité nécessitant l'introduction des neuroleptiques et transitoirement des benzodiazépines. Le dernier scanner cérébral de contrôle date du 30.05 et montre l'apparition d'un œdème au pourtour des hémorragies intra-parenchymateuses, raison pour laquelle une corticothérapie est introduite pendant 48 heures sur avis du Dr. Rusconi (neurochirurgien). Actuellement, le patient est parfaitement conscient, coopérant, sans signes déficitaires. A noter une polyurie sans perturbation électrolytique qu'il va falloir surveiller. Concernant la fracture du rocher gauche, on note une surdité de transmission sur hémotympan bilatéral. Un contrôle ORL est à prévoir dans une semaine avec éventuellement un audiogramme. Le patient est transféré en chirurgie pour suite de prise en charge. Monsieur Demierre, 60 ans, se cogne la tête contre la porte d'un garage. Il fait ensuite une chute en arrière avec réception sur la tête. Lors du transport en ambulance, le patient est agité. Le scanner cérébral montre une hémorragie parenchymateuse fronto-basale gauche, une hémorragie sous-arachnoïdienne fronto-basal bilatérale et temporal gauche, un hématome épidural et une fracture du rocher gauche. Le scanner du 28.05.2018 montre une péjoration des saignements sans signe d'engagement. Le traitement reste conservateur. Le scanner du 30.05.2018 montre l'apparition d'un œdème autour des hémorragies, motivant un traitement de Dexaméthasone. Dans le cadre du traumatisme, le patient reste agité et agressif durant le séjour, justifiant une contention physique. Après l'introduction de Quétiapine, Oxazépam, Halopéridol et Midazolam, l'évolution est favorable. Un PAFA pour manque de capacité de discernement est mis en place. L'évolution est par la suite favorable. Le PAFA est levé le 08.06.2018 et Monsieur Demierre rentre à domicile le même jour. Monsieur Demurger est un patient de 74 ans, connu pour un myélome multiple avec autogreffe en 02/2018 en rémission. Le 25.06.2018, il présente un état fébrile avec frisson solennel, raison pour laquelle il consulte son médecin qui réalise un bilan infectieux et le lendemain l'adresse au service des urgences. Les hémocultures du 25.06 et 26.06.2018 reviennent positives à E. coli. Le laboratoire montre par ailleurs un syndrome inflammatoire avec CRP à 219 mg/L.Au service des urgences, un CT est effectué à la recherche d'un foyer infectieux, on retient une pancolite et une rectite qui pourraient expliquer la bactériémie. Le jour même, nous commençons un traitement empirique avec Tazobac, adapté par la suite selon l'antibiogramme par Rocephin-Falgyl, puis par Ciproxin-Flagyl le 29.06.2018, en accord avec nos collègues de l'infectiologie. En accord avec l'oncologue traitant, nous mettons en suspens pour l'instant le Revlimid. Au niveau hématologique, nous retenons une anémie à 78 mg/l. Nous interprétons la péjoration de l'anémie dans le contexte de l'hydratation intraveineuse et nous renonçons donc à transfuser. L'hémoglobine se stabilise pendant le séjour à un taux de 89 mg/l à la sortie. Le 27.06.2018, le patient développe une neutropénie à 1.3 G/L, qui se normalise pendant le séjour. Après deux jours, nous recevons des rapports de son séjour à l'hôpital de l'Ile du 05/2018. Nous prenons alors note que le patient a eu un frottis positif pour VRE et une sepsis à VRE pendant le séjour. Suite à cette information, nous informons nos collègues de l'unité de prévention et contrôle de l'infection et nous mettons en place un isolement de contact. Un frottis de contrôle est fait, qui est positif. Nous informons le patient. Monsieur Derosas, patient de 54 ans, connu pour un adénocarcinome du hile hépatique et un adénocarcinome pulmonaire en stade métastatique, actuellement sous chimiothérapie palliative par Paraplatine et Alimta, est hospitalisé trois jours après sa deuxième cure de chimiothérapie (07.06.2018) en raison d'un état fébrile à 39°C associé à des frissons solennels ainsi que des douleurs abdominales crampiformes. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec des hémocultures revenant positives pour un E. Coli. Le stix urinaire revient négatif. Un CT thoraco-abdominal ne montre pas de foyer infectieux pulmonaire et abdominal, ni de progression sur le plan oncologique. Au vu des résultats cliniques et biologiques, nous retenons une origine digestive au vu du contexte oncologique malgré une imagerie rassurante. Le patient bénéficie ainsi d'une antibiothérapie par Pipéracilline - Tazobactam avec un relais per os par Ciproxine - Flagyl pour 15 jours au total. Sur le plan rénal, le patient présente une légère insuffisance rénale sans critères d'AKIN, probablement prérénale, normalisée après hydratation ainsi qu'une hypokaliémie que nous substituons, l'anémie d'origine inflammatoire probable. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Derosas rentre à son domicile le 14.06.2018 avec une suite de prise ambulatoire effectuée par le service d'oncologie. Monsieur Descloux, âgé de 68 ans, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à un tassement de L1 sur une spondylite dans le contexte d'une implantation septique sur une diverticulite perforée. Comme conséquence de l'infection originale, le patient a aussi subi une thrombose de la veine mésentérique inférieure, actuellement sous Xarelto, et des abcès bilatéraux sur le psoas. Fortuitement, une lésion sténosante a aussi été retrouvée lors du scanner abdominal, qui sera explorée par coloscopie à la fin mai. Finalement, il est aussi connu pour une goutte avec une polyarthropathie, avec 2 épisodes pendant son hospitalisation à l'HFR Fribourg et sous Colchicine. Le myélome multiple, connu depuis 15 ans et suivi par les oncologues de l'HFR Fribourg, est inchangé. A l'admission, le patient se plaint de lombalgies dans le contexte du tassement, estimées à 2/10 sur l'EVA douleurs au lit et montant à 8-9/10 après la marche. La position assise est particulièrement douloureuse. Les douleurs sont partiellement contrôlées avec l'antalgie en place. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, le patient est orienté et collaborant. La percussion du rachis est non algique et, au examen neurologique, aucun déficit moteur ou sensitif n'est mis en évidence. La mobilisation est possible dans ses amplitudes mais devient douloureuse rapidement. Le MCP1 gauche et MCP3 sont légèrement œdématiqués et présentent un érythème sur la face dorsale mais la mobilisation est conservée et non algique. Durant son séjour, nous documentons un syndrome inflammatoire persistant et labile. Le 25.05.2018, la CRP passe de 60 à 113 mg/l avec une leucocytose à 15.1 G/l. A part des lombalgies, qui évoluent progressivement, le patient est asymptomatique et l'examen est sans particularité à part de faibles crépitants dans la base gauche. Nous prenons contact avec la Dresse Erard qui propose de faire des hémocultures à froid, celles-ci reviennent positives le 27.05.2018 à E. Coli résistant au Co-Amoxi, et le patient reçoit une dose unique de Rocéphine 2 g (suspicion initiale de diplococcus) et puis Co-Amoxi 2.2 g 6x/j + Flagyl 500 4x/j dès le 28.05.2018. Un nouveau contrôle biologique le 28.05.2018 montre une CRP à 206 mg/l avec une leucocytose à 13.1 G/l. La clinique est superposable. Nous effectuons un scanner abdominal qui montre une apparente progression de la thrombose de VMI, malgré une anticoagulation thérapeutique, avec hypoperfusion hépatique et splénique. Après discussion avec la Dresse Erard et le Dr. Pugin, nous transférons Monsieur Descloux à l'HFR Fribourg le 29.05.2018 pour une coloscopie puis une hospitalisation en chirurgie. Pour rappel, le Xarelto a été mis en suspens le 28.05.2018. Monsieur Descloux est un patient de 68 ans, connu pour un myélome multiple depuis 15 ans. Le patient a présenté fin mars 2018 une thrombose septique de la veine mésentérique inférieure à flore mixte (E. coli, E. avium, B. vulgatus), une spondylite de la vertèbre L1 ainsi qu'un abcès du psoas droit et gauche, dans un contexte de diverticulite perforée. Il nous est transféré de Billens alors qu'il effectuait un séjour de réadaptation dans le cadre de lombalgie suite à la spondylite. Concernant la prise en charge de la thrombose de la veine mésentérique inférieure, une anticoagulation par Xarelto avait alors été introduite. En raison d'un état inflammatoire persistant, une hémoculture avait été effectuée, qui avait mis en évidence un E. Coli résistant au Co-Amoxi, motivant l'introduction d'une antibiothérapie par Tazobac et Metronidazole. Un CT abdominal avait alors été effectué, mettant en évidence une apparente progression de la thrombose de la veine mésentérique inférieure, avec hypoperfusion hépatique et splénique, malgré l'anticoagulation thérapeutique. Monsieur Descloux nous est transféré de Billens pour une colonoscopie afin d'évaluer une lésion sténosante mise en évidence lors du premier CT, et pour la suite de la prise en charge. La colonoscopie met en évidence une diverticulose colique importante et des hémorroïdes stade 2. L'histopathologie revient sans anomalie architecturale muqueuse colique. Au niveau des lombalgies dues à la spondylite, le patient bénéficie de physiothérapie et d'une antalgie qui lui permettent d'être confortable au niveau des douleurs. Durant son séjour, le patient présente une crise de goutte, motivant la réintroduction de la Colchicine à 1 mg/24h. Le patient est en effet connu pour des antécédents de crise de goutte, sans traitement de fond. Selon avis rhumatologique, un contrôle de l'acide urique devra être effectué à une semaine de la sortie afin d'évaluer la nécessité de l'introduction d'un traitement par Allopurinol. Au suivi laboratoire, le syndrome inflammatoire se montre régressif et le contrôle CT du 05.06.2018 montre une amélioration globale. Après avis infectiologique, un relais antibiotique per os peut être effectué avec Ciproxine et Flagyl et le patient peut rentrer à domicile le 07.06.2018. M. Descloux bénéficiera d'un CT abdomen de contrôle le 14.06.2018. Le 19.06.2018, le patient sera convoqué à la consultation du Dr. Pugin pour discuter de la prise en charge chirurgicale qui aura lieu le 25.06.2018.Monsieur Devaud, patient de 79 ans, connu pour une atonie vésicale avec sonde à demeure et un panhypopituitarisme et diabète insipide, se présente au service des urgences avec une infection urinaire haute et trouble de la marche et de l'équilibre dans ce contexte. Concernant cette infection urinaire haute, la sonde urinaire est changée le 12.06.2018 et un traitement par Ceftriaxone est introduit du 12.06 au 14.06.2018, puis passage à Ciprofloxacine vu l'antibiogramme. À noter une bonne évolution clinique déjà sous Ceftriaxone. Vu un toucher rectal sans particularité ce traitement est prévu pour 7 jours au total. L'infectiologue, Dr. X, se met à disposition pour un rendez-vous en ambulatoire pour évaluer une indication à une prophylaxie antibiotique. Suite à l'évolution favorable et la mobilisation autonome de Monsieur Devaud, il peut rentrer à domicile en état de santé conservé le 15.06.2018. Monsieur Dias Marques Da Silva est un patient de 55 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique, hospitalisé en électif pour prise en charge d'une artériopathie du membre inférieur gauche stade IIb. Il bénéficie le 22.05.2018 d'un pontage fémoro-poplité proximal supra-géniculé à l'aide de la grande veine saphène ipsilatérale inversée. L'intervention se déroule sans complication, avec un résultat tout à fait favorable sur le plan vasculaire. Un contrôle angiologique le 29.05.2018 montre une bonne perméabilité vasculaire et du pontage. À noter une urétrorragie sur sondage vésical traumatique en préopératoire le 22.05.2018 ayant nécessité la pose d'une sonde 3 voies et l'avis de Dr. X (urologue). L'évolution est par la suite favorable, permettant le retrait de la sonde vésicale le 27.05.2018 avec reprise de miction spontanée sans récidive des saignements. Monsieur Dias Marques Da Silva peut regagner son domicile le 30.05.2018. Monsieur Dias nous est transféré des soins intensifs après un NSTEMI nécessitant un stent dans la circonflexe proximale. Pour rappel, le patient a souffert de douleurs thoraciques depuis le 26.06.2018 le soir avec une légère dyspnée motivant une consultation au service des urgences à Tavel où un NSTEMI est mis en évidence nécessitant un transfert à Fribourg pour une coronarographie. Après l'intervention, le patient ne souffre plus de douleurs, la surveillance aux soins intensifs est sans particularités, notamment sans troubles du rythme. À l'étage, le patient se présente dans un bon état général, complètement asymptomatique. La mobilisation se fait sans problème. Vu la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 29.06.2018. Il sera convoqué pour une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire. Monsieur Dias Simoes, âgé de 51 ans, connu pour une BPCO stade III D selon Gold, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une longue hospitalisation pour un ARDS sévère sur pneumonie bibasale à Legionella le 27.02.2018 (cf. lettre de médecine interne de l'HFR de Fribourg). Sur le plan social, le patient est portugais et vit en Suisse depuis plus de 30 ans. Son épouse et ses 2 enfants, avec qui il a de bons contacts, vivent au Portugal. Il est marbier et a été au chômage durant 1 an; il venait de retrouver un travail avant d'être hospitalisé. À l'admission, le patient se plaint d'une perte de force générale. En général, il rapporte une dyspnée stade III selon NYHA, sans toux ni expectoration. Depuis le début de l'hospitalisation, Monsieur Dias Simoes a perdu 8 kg. Il a actuellement un bon appétit et présente une reprise de poids. Le projet du patient est de retourner au Portugal auprès de sa famille pour se reposer 1 mois après l'hospitalisation à Billens. Le statut général est sans particularité hormis une tachycardie sinusale régulière à 100 bpm, une diminution du murmure respiratoire en base D avec matité et une perte de force du releveur des orteils à G à M2. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade III selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 91.8 % avec une hypoxémie légère sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence une persistance d'une atélectasie du lobe inférieur droit ainsi qu'un épanchement pleural droit. Durant son séjour, il a présenté une aggravation des valeurs fonctionnelles de la spirométrie, malgré une évolution favorable en physiothérapie et de l'état général. Des radiographies du thorax sont effectuées et montrent la persistance d'une atélectasie du lobe inférieur droit ainsi qu'une majoration de l'épanchement pleural. Un traitement par CPAP est mis en place, sans effet. Nous effectuons finalement un drainage de l'épanchement pleural D (4 dl) ainsi qu'une bronchoscopie. Les analyses retiennent un exsudat lymphocytaire probablement réactionnel. Les cultures du liquide pleural sont négatives. Par la suite, les fonctions pulmonaires s'améliorent (retour à un stade III selon Gold) et les radiographies montrent une diminution de l'atélectasie et de l'épanchement. Le patient présente une tachycardie sinusale qui nécessite l'introduction d'un traitement de Procoralan, qui est bien toléré. Sur le plan nutritionnel, le patient a été suivi depuis son hospitalisation en soins aigus. On note une perte pondérale involontaire de 5 kg (9 % en un mois), qui s'est stabilisée dès son arrivée en réadaptation. Ce poids a augmenté durant son séjour, et il a même dépassé légèrement son poids de forme. Il couvre ses besoins spontanément. Des suppléments nutritifs oraux avaient été mis en place, mais en raison de la restauration de l'état nutritionnel, ils n'ont pas été organisés pour le retour à domicile. Monsieur Dias Simoes a bénéficié de conseils nutritionnels personnalisés et en groupe, dans le but de prévenir une nouvelle malnutrition d'origine respiratoire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 440 m à 630 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.46 km à 1.43 km. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 1 mois d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Monsieur Dias Simoes peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 06.06.2018, en état général conservé. Monsieur Dias, 45 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI le 26.06.2018. Le patient présente des douleurs rétrosternales typiques depuis 12h, motivant un recours aux urgences. L'ECG ne met pas en évidence de modification mais la cinétique ascendante des troponines parle en faveur d'un NSTEMI. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne monotronculaire avec subocclusion de la circonflexe proximale qui est stentée. La double antiagrégation par Aspirine à vie et Efient pendant 6 mois est à poursuivre. À noter que le patient a été inclus dans un protocole d'étude EVOPACS. Nous vous rendons attentif au fait que, dans la mesure du possible, il faudrait poursuivre l'Atorvastatine 40mg 1x/j et ne pas effectuer de rotation de la statine. Le patient est transféré en médecine le 28.06.2018. Monsieur Dobmann est un patient de 80 ans, il a été hospitalisé pour une ischémie aiguë du membre inférieur gauche. Il présentait en effet depuis quelques jours une douleur aiguë du pied et de la cheville gauche, sans notion de traumatisme, avec pâleur, froideur du pied gauche et absence de pouls palpable.Le bilan angiologique met en évidence une ischémie Rutherford IIa du membre inférieur gauche par occlusion d'allure embolique au niveau poplité sous géniculé. Il bénéficie d'une thrombectomie mécanique et angioplastie de l'artère poplitée distale et de l'artère tibiale antérieure. Une anticoagulation thérapeutique est débutée par Sintrom. L'évolution clinique est favorable. Le patient sera convoqué à distance pour un contrôle angiologique. A l'admission, le patient présente une tachycardie supraventriculaire, qui se cardioverse après manœuvre de Valsalva et massage du sinus carotidien. Nous reprenons le traitement de bêtabloquant. L'hospitalisation s'est compliquée le 25.05.2018 d'un sepsis d'origine pulmonaire avec hypotension et trouble de l'état de conscience. L'évolution a été favorable après expansion volémique et antibiothérapie par Co-Amoxicilline que nous proposons de poursuivre pour une durée de 7 jours au total. Au vu de l'évolution favorable, il quitte notre service le 30.05.2018 pour un retour à domicile. Monsieur Dogan est un patient de 18 ans, connu pour un s/p appendicectomie en 2006, qui consulte les urgences en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque gauche et suspubiennes, d'apparition progressive depuis 36 heures. Il présente également des nausées avec des vomissements depuis 24 heures. Le dernier transit la veille est normal. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Le CT abdominal met en évidence un iléus mécanique avec un saut de calibre sur probable bride en FID. Nous retenons alors l'indication pour une laparoscopie exploratrice qui confirme le diagnostic d'une bride en fosse iliaque droite dans le cadre post-appendicectomie dans l'enfance. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples avec une réalimentation bien supportée et une reprise de transit. Le patient rentre à domicile le 23.06.2018. Monsieur Dolder, patient de 66 ans connu pour un carcinome rectal cT3 cN1-2 cM1 stade IV se présente le 01.06.2018 dans le cadre de son suivi oncologique ambulatoire. Pour rappel, il avait été hospitalisé du 29.05 au 30.05.2018 en raison d'un globe urinaire sous opiacés pour lequel il avait bénéficié d'un sondage urinaire et était depuis lors asymptomatique. Au CT thoraco-abdominal effectué le même jour dans le cadre du suivi, nous mettons en évidence une augmentation en taille de la tumeur primaire au niveau du rectum, une apparition de multiples nodules pulmonaires en faveur de métastases et une nette augmentation en nombre et en taille des métastases hépatiques. Il présente par ailleurs un syndrome inflammatoire en péjoration nette en comparaison de sa sortie 2 jours auparavant. En raison d'une suspicion d'infection urinaire basse, nous instaurons un traitement par Rocéphine iv du 01.06 au 08.06.2018. Nous observons une évolution favorable avec baisse du syndrome inflammatoire. L'origine du syndrome inflammatoire est probablement mixte dans le cadre du récent globe urinaire avec une possible surinfection ainsi que de la progression tumorale. Monsieur présente dans le contexte de son carcinome rectal des douleurs locales intenses, seulement partiellement soulagées par Targin. Sur avis des collègues des soins palliatifs, nous choisissons d'instaurer un traitement antalgique par Targin et Kétamine. En raison d'un nouvel épisode de dysurie le 07.06.2018, nous décidons d'arrêter la Kétamine le 07.06.2018. La médication antalgique est à réévaluer dans les jours à venir selon la clinique. Au vu de l'évolution favorable sous traitement antibiotique, le patient peut rentrer à domicile le 08.06.18 après une nouvelle chimiothérapie aux ambulatoires d'oncologie. Le prochain rendez-vous de contrôle oncologique est fixé au 11.06.18 à la consultation du Dr. X. Une IRM cérébrale pour planification de séances de radiothérapie cérébrale est prévue au Lindenhofspital dans le courant de la semaine prochaine. Monsieur Dougoud nous est adressé par le service d'oncologie le 29.05.2018 en raison d'une baisse de l'état général, asthénie, physique, anorexie, diarrhée (jusqu'à 20 épisodes de selles liquidiennes par jour) et fièvre. Il présente également une anurie depuis 2 semaines et un examen de laboratoire réalisé ce jour lors du contrôle oncologique montre un syndrome inflammatoire ainsi qu'une hypercalcémie prononcée. Pour rappel, le patient est connu pour un carcinome urothélial de la vessie de stade cT3 cN1, diagnostiqué en février 2018 pour lequel est proposée une chimiothérapie à but néo-adjuvant dont il a bénéficié de 2 cycles jusqu'au 09.05.2018. Malheureusement, le CT scan pratiqué après les 2 cycles montre une progression massive de sa maladie oncologique, actuellement en situation palliative. Le Dr. X propose donc un traitement de 2ème ligne par Pembrolizumab. La suspicion d'une fistule entéro-vésicale dans le contexte oncologique est évoquée en raison du tableau clinique décrit mais un traitement chirurgical n'est actuellement pas possible. A savoir que même l'indication à la pose d'une sonde double J n'avait pas été retenue par les urologues lors du dernier tumor board. L'attitude est clairement palliative, malgré que le patient veut encore tout essayer pour une guérison. Monsieur Dougoud est donc hospitalisé pour correction des troubles électrolytiques, hydratation et prise en charge palliative. A l'admission le patient est en état général sévèrement altéré. Au status digestif, l'abdomen est souple. Masse hypogastrique palpable, volumineuse, fixée et douloureuse à la palpation profonde. Les bruits intestinaux sont de fréquence et de tonalité normales. Au niveau urogénital, la sonde urinaire est en place. Le reste du status est non contributif. Le patient bénéficie d'une hydratation iv par NaCl 0,9% 2500 ml/24 h et d'un traitement par Zometa per 4 mg/5 ml au vu de l'hypercalcémie dans le contexte paranéoplasique et par la suite du Miacalcic 200 UI par jour dès le 30.05.2018. Les contrôles biologiques montrent une amélioration de la fonction rénale, de la calcémie et de la phosphatémie. En raison d'un état fébrile supérieur à 38.5°C le 30.05.2018, nous prélevons des hémocultures et débutons dès le 31.05.2018, une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv + Métronidazole perf. 500 mg 3x/j et au vu de douleurs hypogastriques gauches, nous mettons en place un traitement par Novalgine iv 1g toutes les 8 heures. L'attitude palliative est discutée avec Monsieur Dougoud et sa famille avec comme objectif un transfert aux soins palliatifs. Le cas est discuté avec le Dr. X le 06.06.2018 qui retient l'indication à un transfert à la Villa Saint François, à condition que le patient soit clairement informé et d'accord avec cette prise en charge et avec son mauvais pronostic. Une demande est faite pour les soins palliatifs le 07.06.2018. L'état clinique du patient se péjore dès le 08.06.2018 avec une altération de l'état de conscience associée à une perte de contact et aucune réaction à la stimulation et la douleur. Nous optons alors pour les soins de confort en accord avec la famille et le Dr. X. Nous arrêtons toute médication per os et mettons en place de la Morphine et du Dormicum par voie iv. Monsieur Dougoud décède le 09.06.2018. Monsieur Droux présente une récidive d'une lésion de type anse de seau du ménisque interne qui a été déjà suturée en octobre 2017. L'indication pour une arthroscopie du genou gauche et résection partielle du ménisque interne est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui aura lieu en ambulatoire le 26.6.2018.Monsieur Duarte, patient de 40 ans, est hospitalisé pour un sevrage d'alcool. Il est amené à l'hôpital pour un état d'agitation suite à une consommation éthylique et de cocaïne (injectée). Le patient demande un sevrage en hospitalier qui se passe sans complication. Sur avis psychiatrique, et en accord avec le patient, nous organisons un transfert vers Marsens pour la poursuite du sevrage et l'introduction d'un suivi addictologique en vue du retour à domicile. Parallèlement, une perturbation des tests hépatiques est mise en évidence au laboratoire. Un bilan ultrasonographique montre une stéatose hépatique importante mais sans complication. Le patient étant connu pour une hépatite C, nous répétons les sérologies de dépistage (A, B, C). L'hépatite C est confirmée, les résultats du génotypage et de la virémie étant en attente. Une fois ceux-ci connus, le patient sera convoqué pour une consultation en infectiologie (au terme du séjour à Marsens). Le patient mentionne également une dyspnée d'effort spécialement prononcée à la marche et à la montée d'escaliers. Le status cardiovasculaire est sans particularité. Nous demandons une échocardiographie transthoracique qui montre une fonction systolique conservée sans trouble de la cinétique. Le patient a déjà consulté à plusieurs reprises pour des lombo-sciatalgies gauche non déficitaires avec une introduction d'un traitement conservateur que le patient a seulement pris occasionnellement. Le status neurologique ne montre pas de déficit aux membres inférieurs, raison pour laquelle nous poursuivons un traitement conservateur. M. Duarte peut être transféré le 26.06.2018 en état général conservé. Monsieur Ducry, 84 ans, connu pour une polyarthrite rhumatoïde traitée par Leflunomide et une cardiopathie hypertensive traitée, se présente au service des urgences le 06.06.2018, fortement déshydraté et cachexique, pour baisse d'état général progressive ces 3 dernières semaines et vomissements les 3 derniers jours. Après un bilan initial au service des urgences, le patient est transféré dans notre unité médecine pour la suite de la prise en charge de l'insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine prérénale, ainsi que les troubles électrolytiques dans le cadre de l'insuffisance rénale et de la déshydratation et malnutrition. L'insuffisance rénale est traitée par réhydratation et substitution électrolytique. Un ultrason urogénital du 07.06.2018 montre des kystes corticaux au rein droit mais est sinon sans particularités. Concernant sa polyarthrite rhumatoïde, son traitement par Leflunomide est stoppé après discussion avec les pharmacologues en raison du risque d'accumulation dans le cadre de l'insuffisance rénale et des effets secondaires d'œsophagite ou colite. Le traitement n'est pas repris à la sortie vu une clairance de la créatinine à 40 ml/min. Concernant sa cardiopathie hypertensive, le Coversum Combi est stoppé pour cause de l'insuffisance rénale et de l'hypokaliémie. Comme les valeurs des tensions artérielles sont dans la norme sans sa thérapie durant l'hospitalisation, le traitement n'est pas repris à la sortie, afin de ne pas augmenter le risque de chute chez ce patient cachectique. Monsieur Ducry voit les ophtalmologues pour une blépharite et un entropion bilatéral. Ceux-ci lui proposent un contrôle le 17.06.2018. Le patient sera convoqué en ambulatoire afin de corriger un entropion bilatéral, ce que le patient accepte. Alors que nous suspectons des troubles cognitifs débutants, un MMS ainsi qu'un test de la montre sont réalisés le 11.06.2018 et se montrent pathologiques. Une aide à domicile et une préinscription en EMS sont alors discutées avec le patient et le service de liaison, ainsi que l'épouse et les enfants. Monsieur Ducry peut rentrer en état de santé conservé le 13.06.2018 avec soutien à domicile 3 fois par semaine. Monsieur Duding est un patient de 54 ans, connu pour un diabète de type II insulino-requérant et une ancienne dépendance à l'alcool, qui appelle l'ambulance le 17.06.2018 en raison d'une difficulté grandissante à se mobiliser depuis la veille. Ces troubles ont débuté dans le cadre d'une crise d'angoisse et il nous rapporte avoir repris une consommation d'alcool depuis une semaine (auparavant abstinent depuis 2011). Un CT cérébral réalisé au service des urgences ne montre pas de signe d'ischémie et nos collègues neurologues suspectent une ataxie d'origine multifactorielle, sur polyneuropathie diabétique et alcoolique, dégénérescence cérébelleuse et consommation aiguë d'alcool. Une substitution de Becozym, Benerva et acide folique est débutée et l'évolution se révèle rapidement favorable. Le patient bénéficie par ailleurs de physiothérapie de mobilisation durant le séjour. Concernant la consommation d'alcool à risque, Monsieur Duding est averti du risque de péjoration des symptômes en cas de nouvelle alcoolisation aiguë. Il est par ailleurs vu par un représentant du Torry durant le séjour. Monsieur Duding rentre à domicile le 25.06.2018. Monsieur Dumas, 82 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique après un NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale ayant nécessité une coronarographie et la pose d'un stent. Le patient présente depuis environ deux semaines des douleurs thoraciques en péjoration sur les trois derniers jours et devenues insupportables depuis hier, associées à une dyspnée. La coronarographie en urgence montre une maladie tri-tronculaire avec une subocclusion de l'IVA proximale. Un stent est posé avec succès. Une décompensation cardiaque associée à un pré-OAP nécessite l'introduction de Furosemide et de TNT intraveineux permettant une stabilisation des tensions et une nette amélioration clinique. Le patient bénéficie aussi de séances de VNI en post-procédure. Il est à noter que, vu la notion de douleurs épigastriques, le patient est initialement chargé par du Clopidogrel. Après avis cardiologique, le traitement est changé pour du Prasugrel dès le 02.06.2018. Un IEC est aussi introduit. Au vu de l'évolution favorable, Monsieur Dumas est transféré en division de médecine pour la suite de la prise en charge. Monsieur Dumas, 82 ans, est hospitalisé auprès du service des soins intensifs à l'HFR Fribourg après un NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale ayant nécessité une coronarographie et la pose d'un stent. Pour rappel, le patient souffre depuis environ deux semaines de douleurs thoraciques en péjoration sur les trois derniers jours associées à une dyspnée. Il consulte le service des urgences où un NSTEMI est mis en évidence, justifiant une coronarographie où un stent est posé avec succès. Le patient est ensuite transféré aux SIC pour surveillance. On ne note pas de trouble du rythme, mais la décompensation cardiaque nécessite l'introduction de Furosémide et de TNT intraveineux avec une évolution favorable. À l'étage, nous continuons le traitement diurétique par i.v. avec des bolus de Lasix. Le poids reste stable sous notre thérapie, raison pour laquelle nous rajoutons de l'Esidrex et commençons un traitement par Lasix en continu le 09.06.2018 avec bonne réponse clinique et biologique. L'ETT de suivi montre une fraction d'éjection diminuée à 34%. À l'entrée, nous retenons un diagnostic d'insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale qui se péjore légèrement sous le traitement diurétique. Au vu de la décompensation cardiaque importante et la nécessité de VNI au début, nous décidons dans un premier temps de continuer le traitement diurétique afin d'améliorer la situation cardiaque. Au vu de la bonne évolution clinique, nous transférons Monsieur Dumas à Riaz le 14.06.2018 pour une réadaptation gériatrique.Monsieur Durret est admis aux soins intensifs pour une tachycardie ventriculaire symptomatique de type syncope. Le patient, connu pour une cardiopathie dilatée à FEVG abaissée, présente une syncope à domicile motivant le recours aux urgences. Lors de la surveillance rythmique, il présente de multiples salves de tachycardie ventriculaire, expliquant probablement la syncope à domicile. En raison d'une baisse rapide de la FEVG (de 40% en octobre 2016 à 20% en juin 2018), il bénéficie d'une coronarographie qui ne retrouve pas d'origine ischémique à la perte de FEVG, aux troubles du rythme. L'indication à la pose d'un défibrillateur est retenue. Celui-ci sera implanté le 02.07.2018. Le patient bénéficie d'une charge en Cordarone dans l'attente de la pose du défibrillateur. Le patient n'a pas présenté de trouble du rythme pendant 48 heures avant son transfert. Il présente une phlébite du membre supérieur droit sur cathéter veineux périphérique qui est retiré le 29.06.18. Une thrombose superficielle est constatée le 30.06.18 et traitée conservativement. Au vu de l'anticoagulation prophylactique par héparine avec chute des thrombocytes et de l'hémoglobine, un HIT ne peut être exclu, raison pour laquelle un relais par Fondaparinux prophylactique est indiqué. Le patient est transféré en médecine le 30.06.18 pour la suite de prise en charge. Monsieur Egger, connu pour un adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal du sigmoïde stade IV (carcinose péritonéale, métastases hépatiques), avec une iléostomie en octobre 2017, consulte les urgences le 15.05.2018 en raison d'une dyspnée en aggravation depuis 2 jours, accompagnée d'une toux productive avec expectorations et douleurs thoraciques oppressives, déclenchées par les accès de toux. Le patient décrit également une sensation d'alternance chaud-froid, mais n'a pas mesuré sa température. Rappelons qu'il a été hospitalisé dans notre service de médecine du 07 au 12.05.2018 dans le contexte d'une crise de goutte, avec une insuffisance rénale acutisée et une anémie pour laquelle il a bénéficié d'une transfusion sanguine. A l'admission aux urgences, Monsieur Egger est en état général conservé. Il est tachycarde à 165/min, fébrile à 38.6°C et eupnéique. A l'auscultation cardio-pulmonaire, nous décelons des bruits cardiaques irréguliers, sans souffle valvulaire perçu, avec un murmure vésiculaire symétrique, des crépitations bi-basales et des sibilances disséminées. L'abdomen est souple, sans détente ni défense, avec des bruits hydro-aériques dans la norme, sans signe inflammatoire autour de la stomie. Le reste de l'examen est sans particularités. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 107 mg/l sans leucocytose, une insuffisance rénale chronique stable et une anémie connue avec hémoglobine à 92 g/l. Nous effectuons une radiographie de thorax qui ne montre pas de foyer pulmonaire franc et met en évidence un épanchement pleural à droite, avec des troubles ventilatoires. Monsieur Egger est hospitalisé et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j. La Dr. X, oncologue, est avisée de l'hospitalisation et préconise de temporiser la chimiothérapie par Stivarga en attendant que l'état infectieux soit résolu. La corticothérapie par Prednisone est arrêtée et nous majorons le traitement freinateur par Dilzem au vu de la fibrillation auriculaire à conduction rapide. Les hémocultures prélevées au niveau du portacath reviennent positives pour E.coli. Sur avis infectiologique, nous changeons l'antibiothérapie en faveur de la Céfépime 2 g 2x/j. Afin d'exclure un point de départ urinaire ayant causé la bactériémie, nous effectuons un sédiment urinaire qui montre une leucocyturie isolée. Signalons que l'uroculture revient négative et que le patient n'a pas de symptôme spécifique de la sphère uro-génitale. Nous concluons que la piste la plus vraisemblable reste une infection au niveau du portacath, motivant son explantation le 17.05.2018 par le Dr. X. Dès réception du résultat définitif des cultures qui identifient la présence d'un Streptococcus parasanguinis en plus du E.coli et en fonction de l'antibiogramme, un changement de l'antibiothérapie est effectué par Invanz 1 g dès le 17.05.2018 qui est poursuivi pour une durée totale de 7J. Nous continuons à prélever des hémocultures 1x/j, jusqu'à ce qu'elles reviennent stériles. Les suites clinico-biologiques sont favorables avec un patient apyrétique et qui ne rapporte plus de dyspnée ni de toux productive. Le laboratoire témoigne d'une baisse du syndrome inflammatoire avec une CRP à 10 mg/l et des leucocytes à 5.8 g/l le 21.05.2018. Une hyperkaliémie à 6.2 mmol/l motive la majoration du traitement chélateur habituel par Resonium. Monsieur Egger peut regagner son domicile le 24.05.2018. Monsieur El-Shamy présente en premier lieu des lombo-sciatalgies sur un déconditionnement de la musculature para-vertébrale lombaire et discopathie L4-L5. Actuellement il n'a pas de déficit moteur ni sensitif, raison pour laquelle je ne propose pas de refaire une IRM actuellement. L'IRM que j'ai à disposition date d'il y a 1 an, il est possible qu'il y ait eu une péjoration de la discopathie depuis lors. Du point de vue du genou et de la hanche droite ainsi que de la cheville, je ne constate pas de pathologie. Je propose au patient d'effectuer un reconditionnement musculaire de la musculature para-vertébrale et de faire de la physiothérapie et tonifier également les abdominaux. Un contrôle clinique est proposé à ma consultation d'ici 3 mois pour une réévaluation. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous : 12.09.2018. Monsieur Eltschinger est un patient de 81 ans chez qui un adénocarcinome du sigmoïde est diagnostiqué le 23-05-2018. Il bénéficie le 07.06.2019 d'une mise en place d'une transversostomie et d'une implantation d'un port-à-cath. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires se compliquent par une rétention urinaire nécessitant une pose de sonde trois voies avec des rinçages pour 24 heures. L'évolution par la suite est favorable avec une réalimentation progressive, une reprise du transit et l'ablation de sonde urinaire le 11.06.2018. Le patient rentre à domicile le 11.06.2018. Monsieur Emroski, connu pour une BPCO de stade II selon GOLD, est hospitalisé dans un contexte d'un AVC ischémique occipital récent. Pour rappel, l'anamnèse révèle à 20 h du 18.06.2018 un flou visuel prédominant à droite associé à des céphalées de l'hémicrâne gauche constrictives, d'intensité modérée. A l'admission, le NIHSS se révèle être à 2 points en raison d'une quadranopsie homonyme inféro-externe droite. Le CT cérébral révèle une lésion ischémique occipitale gauche aigu, ainsi une plaque calcifiée du segment P3-4 de l'artère cérébrale postérieur gauche, évoquant une origine athéromateuse. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine 500 mg. La surveillance neurologique confirme une persistance de la quadranopsie homonyme sans amélioration. L'IRM cérébrale confirmera un AVC ischémique récent cortical occipital interne gauche. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. L'examen neurosonologique montre une sténose asymptomatique de la carotide interne gauche. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. L'étiologie demeure à l'instant donc indéterminée. Sur le plan médicamenteux, nous avons introduit une double antiagrégation avec Aspirine cardio 100 mg/j et Plavix 75 mg/j à poursuivre pendant 1 mois, suivi de Plavix seul au long cours. Un traitement d'Atorvastatine 40 mg est également introduit. Nous vous laissons le soin d'effectuer un bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Un diabète sucré du type II est découvert (HbA1c 6.7% sous réserve d'une anémie). Un traitement de Metfin 500 mg/j est commencé ainsi qu'un enseignement thérapeutique (physiopathologie du diabète et rôle insuline et enseignements aux autocontrôles des glycémies), un suivi en ambulatoire en diabétologie est prévu le 28.06.2018.Le bilan neuropsychologique révèle un ralentissement visuel en lien avec la quadranopsie susmentionnée. Un arrêt de travail est donné pendant 4 semaines, à réévaluer chez le médecin traitant. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines, la reprise est à évaluer selon la consultation ophtalmologique avec champ visuel prévue le 03.07.2018. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. • Mr. Esseiva est un patient de 75 ans, connu pour un carcinome pulmonaire épidermoïde multimétastatique avec des lombo-sciatalgies sévères sur métastase L5-S1 sous pompe à Fentanyl et actuellement sous chimiothérapie palliative par Paraplatine et Gemzare, qui présente depuis 48h une péjoration progressive des douleurs dans les membres inférieurs immobilisant. Pas de trouble sphinctérien, pas de trouble de la sensibilité du périnée. Cliniquement, nous retenons une paralysie M3 des releveurs du pied et des orteils des deux côtés avec une sensibilité préservée. Dans un CT de la colonne vertébrale, nous retenons la lésion métastatique connue au niveau L5/S1 qui a détruit le corps vertébral. Nous complétons le bilan par une IRM qui montre une infiltration neuroforaminale S1 gauche et une probable infiltration tumorale de cette racine. Nos collègues de l'orthopédie de rachis sont contactés, qui expliquent le risque d'un tassement complet au niveau L5/S1 avec la conséquence d'une paraplégie et des troubles sphinctériens. Une corpectomie avec une stabilisation semble faisable en théorie. Nos collègues de l'orthopédie expliquent les risques de l'intervention ainsi que les conséquences de laisser la situation avec l'instabilité présente. Après discussion avec le patient et sa fille, le patient décide de ne pas être opéré, conscient des possibles conséquences. Pendant le séjour, nous arrivons à bien gérer les douleurs avec la pompe de Fentanyl déjà en place. Sur le plan cardiopulmonaire, nous retenons que le patient apparaît avec une surcharge hydro-sodée avec des râles bibasaux. Bonne évolution sous Torem. Nous rajoutons des inhalations aériennes au traitement et, selon le besoin clinique du patient, nous donnons de l'oxygène avec un bon résultat clinique. En discutant avec la fille et le patient, nous rajoutons des réserves de constipation au traitement et nous prescrivons de l'oxygène et des aérosols à domicile. Vu que Mr. Esseiva est très bien encadré à la maison, il rentre à domicile le 28.06.2018. • Mr. et Cher Collègue, J'ai revu David accompagné par sa maman et sa petite sœur le 22 mai et le 15 juin 2018, pour leur annoncer le résultat du typage HLA réalisé le 25 avril 2018 et pour le bilan rénal. • Mr. explique avoir été agressé par les forces de l'ordre le 20.02.2018 avec une strangulation de plusieurs secondes et une possible perte de connaissance brève. Il présente depuis l'agression des douleurs 5/10 en regard de l'hypopharynx et une odynodysphagie. Mr. dit également avoir la sensation de moins bien respirer. Au status initial : pas de dyspnée, douleur à la palpation des cartilages thyroïdien et cricoïde, impression d'une tension cutanée latéro-cervicale gauche, la nasofibroscopie ne met pas en évidence de lésion de l'appareil laryngé. Au vu des douleurs cartilagineuses et de cette impression de tuméfaction, nous effectuons un CT-scan du cou qui ne révèle rien de particulier. Nous hospitalisons Mr. pour une surveillance respiratoire en cas d'œdème secondaire. Les douleurs sont contrôlées par une antalgie simple et le patient passe une nuit sans événement particulier. Au vu de la clinique rassurante du lendemain, nous laissons Mr. rentrer à domicile. Sans persistance de trouble ORL à distance de ce jour, nous ne prévoyons pas de contrôle particulier. • Mr. explique avoir été agressé par les forces de l'ordre le 20.02.2018 avec une strangulation de plusieurs secondes et une possible perte de connaissance brève. Il présente depuis l'agression des douleurs 5/10 en regard de l'hypopharynx et une odynodysphagie. Mr. dit également avoir la sensation de moins bien respirer. Au status initial : pas de dyspnée, douleur à la palpation des cartilages thyroïdien et cricoïde, impression d'une tension cutanée latéro-cervicale gauche, la nasofibroscopie ne met pas en évidence de lésion de l'appareil laryngé. Au vu des douleurs cartilagineuses et de cette impression de tuméfaction, nous effectuons un CT-scan du cou qui ne révèle rien de particulier. Nous hospitalisons Mr. pour une surveillance respiratoire en cas d'œdème secondaire. Les douleurs sont contrôlées par une antalgie simple et le patient passe une nuit sans événement particulier. Au vu de la clinique rassurante du lendemain, nous laissons Mr. rentrer à domicile. Sans persistance de trouble ORL à distance de ce jour, nous ne prévoyons pas de contrôle particulier. • Mr. Falk est hospitalisé pour la gestion de l'antalgie en raison de lombo-pseudosciatalgie D depuis le 27.05.2018. Une radiographie standard est réalisée sans signe de fracture. Il avait déjà bénéficié d'une IRM lombaire à votre cabinet lors d'épisodes de lombalgies précédentes avec des signes de remaniements dégénératifs, arthrose facettaire et hernie discale L4-L5, L5-S1 avec rétrécissement foraminal. En l'absence de red flag, une antalgie simple est introduite avec Brufen d'office et Dafalgan, Brufen et morphine en réserve avec une bonne amélioration des douleurs. De la physiothérapie à but de renforcement musculaire est introduite et nous lui proposons de la poursuivre en ambulatoire. Le 03.06.2018, il présente un épisode de palpitations sans répercussion hémodynamique avec mise en évidence d'une tachycardie régulière à complexes fins à 188 à l'ECG. Monsieur aurait déjà présenté à de multiples reprises des épisodes similaires. Nous demandons un avis à nos collègues cardiologues qui posent le diagnostic d'AVNRT et lui enseignent les manœuvres vagales à effectuer en cas de récurrence. Ils proposent un contrôle cardiologique sans urgence avec une échocardiographie transthoracique de contrôle. Monsieur préfère que vous organisiez ce rendez-vous dans votre centre médical d'Hirslanden. Des tensions artérielles mesurées souvent au-dessus de 130/80 mmHg lors de l'hospitalisation, raison pour laquelle nous vous proposons d'organiser une mesure de la pression artérielle ambulatoire sur 24h. Monsieur rentre à domicile le 05.06.2018 avec un rendez-vous de contrôle à prendre la semaine prochaine à votre cabinet. • Mr. Favre est un patient de 76 ans, connu pour un adénocarcinome du haut rectum moyennement différencié, qui a bénéficié d'une résection antérieure basse en février 2018 avec mise en place d'une iléostomie de protection. Pour compléter la prise en charge chirurgicale, M. Favre bénéficie de la fermeture d'iléostomie le 18.06.2018. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une réalimentation bien supportée, une reprise du transit et des plaies calmes. L'insuffisance rénale restait stable aux contrôles biologiques post-opératoires.Concernant les embolies pulmonaires, l'anticoagulation est à poursuivre jusqu'à mi-juillet. Le patient rentre à domicile le 25.06.2018. Monsieur Favre, patient de 70 ans, sans antécédents médicaux connus, est hospitalisé pour une hyponatrémie hypoosmolaire sévère. Il s'est présenté initialement au service des urgences de l'HFR Riaz pour une baisse de l'état général depuis environ 1 mois, avec une asthénie, une dyspnée en progression et des oedèmes des membres inférieurs. Le bilan fait par vos soins en ambulatoire avait montré un bloc de branche gauche pour lequel une consultation cardiologique était prévue, un CT thoracique avait montré de multiples kystes pulmonaires suspects d'un syndrome de Birt-Hogg-Dubé et une colonoscopie avait été demandée en raison de rectorragies de longue date. Le bilan réalisé au service des urgences montre une hyponatrémie sévère à 104 mmol/L qui motive son transfert aux soins intensifs de l'HFR Fribourg. Une origine multifactorielle (SIADH et décompensation cardiaque) est suspectée. La natriémie se corrige par restriction hydrique et diurétiques avec une administration de NaCl concentré le 26.05.2018. Sur le plan cardiaque, le patient présente à l'admission une clinique de décompensation cardiaque globale d'origine probablement rythmique sur une FA rapide nouvellement diagnostiquée. L'échocardiographie montre une insuffisance cardiaque sévère, d'origine probablement mixte hypertensive, alcoolique, dysrythmique et ischémique. La coronarographie du 14.06.2018 montre en effet une maladie coronarienne tritronculaire sévère. La décompensation cardiaque est traitée par diurétiques et IEC. La FA rapide est contrôlée par Digoxine et bêtabloquant. Une anticoagulation thérapeutique est débutée mais arrêtée en raison de saignements (rectorragies et hématome du muscle carré des lombes). Pour la maladie coronarienne, nous débutons l'Aspirine et une statine. Une IRM cardiaque dans le but d'évaluer la viabilité du myocarde est organisée en ambulatoire. Le patient sera revu par la suite par les cardiologues pour discuter de la possibilité et de l'indication à un traitement chirurgical ou endovasculaire de sa maladie coronarienne. À noter que le bilan étiologique de l'insuffisance cardiaque a montré une discrète anomalie de type IgG kappa qu'il faudra recontrôler à distance. La colonoscopie du 06.06.2018, réalisée dans le contexte des hématochézies majorées depuis l'introduction de l'anticoagulation thérapeutique, montre une tumeur circonférentielle du rectum. L'IRM du pelvis montre une tumeur du bas rectum en contact étroit avec le canal anal avec forte suspicion d'envahissement du muscle sphincter interne de l'anus, sans ganglions visualisés. Le CT thoraco-abdominal et cérébral réalisé à l'admission dans le contexte du SIADH ne montrait pas de métastases. L'analyse anatomopathologique confirme un adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal. Le patient est présenté au tumorboard de chirurgie viscérale le 13.06.2018. La proposition est de compléter le bilan par une écho-endoscopie dans le but de mesurer précisément l'extension de la tumeur et de définir la meilleure stratégie thérapeutique (chirurgie avec ou sans radio-chimiothérapie néo-adjuvante). Cet examen aura lieu en ambulatoire et le patient a été adressé par la suite à la consultation du Dr. X (service de chirurgie, HFR Fribourg). La prise en charge chirurgicale devra être discutée en fonction de l'évolution et du traitement possible des comorbidités cardiaques du patient. En raison de l'image radiologique avec multiples kystes pulmonaires suspects de syndrome de Birt-Hogg-Dubé, le patient bénéficie d'une biopsie cutanée et d'une consultation génétique par le Dr. X dont le rapport n'est pas encore disponible et qu'il faudra pister. Sur avis pneumologique, des fonctions pulmonaires pourraient être prévues à distance en fonction de l'évolution générale. Au vu de la stabilisation de son état, Monsieur Favre a pu quitter notre service le 20.06.2018 pour un retour à domicile. Monsieur Ferdandez est un patient de 61 ans, qui bénéficie d'une thoracoscopie uni-portale gauche avec résection de nodules suspects le 14.06.2018 pour compléter le bilan d'un adénocarcinome de type colorectal du haut et moyen rectum pour lequel il a bénéficié d'une radio-chimiothérapie néo-adjuvante. L'intervention se passe bien et les suites opératoires sont simples. Monsieur Ferdandez rentre à domicile le 17.06.2018. Le patient est suivi à la consultation de la chirurgie thoracique, en oncologie et en chirurgie viscérale. Monsieur Fragnière a été hospitalisé dans notre service de médecine du 24.05 au 08.06.2018 pour évolution d'un syndrome myélodysplasique en leucémie aiguë myéloïde secondaire (diagnostic le 29.05.2018). Il est suivi en oncologie par le Dr. X. Le patient consulte les urgences le 21.06.2018 en raison d'une fatigue et de frissons matinaux, en péjoration ces derniers jours. Monsieur Fragnière décrit également une toux avec quelques expectorations blanchâtres en légère amélioration depuis sa sortie le 08.06.2018. À l'admission aux urgences, Monsieur Fragnière est asthénique. Il est hémodynamiquement stable et afébrile à 36.7°C. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle audible. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pas d'oedème des membres inférieurs. Les pouls périphériques sont palpés. Au niveau respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de râles fins aux deux bases, sans sibilance. Pas de matité à la percussion, ampliation symétrique, pas de détresse respiratoire. Au status digestif, l'abdomen est plat, souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits sont normaux en fréquence et en intensité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 181 mg/l et une leucopénie à 0.9 G/l dans le contexte de la maladie oncologique. On retrouve une hémoglobine à 80 g/l raison pour laquelle Monsieur Fragnière bénéficie aux urgences de la transfusion d'un culot érythrocytaire. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer ou d'épanchement. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge et nous débutons une antibiothérapie par Cefepime 2 g iv 2x/j. Nous suspectons une origine néoplasique à l'état fébrile en l'absence d'autre piste clinique infectieuse. Nous débutons un traitement par Prednisone 20 mg avec protection gastrique par Pantozol 40 mg. Ce traitement sera à réévaluer par le Dr. X lors de la consultation du 27.06.2018. En raison d'une hémoglobine à 82 g/l le 22.06.2018 Monsieur Fragnière bénéficie de la transfusion d'un second culot érythrocytaire. Malgré la nécessité d'une antibiothérapie iv, Monsieur Fragnière refuse de rester hospitalisé. Il quitte donc notre service le 23.06.2018 avec relais de l'antibiothérapie par co-amoxicilline per os. Le patient sera réévalué à la consultation de le Dr. X. Monsieur Francey, âgé de 53 ans, connu pour une BPCO stade III selon GOLD, avec une dernière exacerbation en mars 2018, une cardiopathie ischémique tritronculaire et hypertensive et une artériopathie pluri-stentée, nous est adressé pour une réhabilitation pulmonaire. Sur le plan social, le patient vit seul à domicile. Il est à l'AI à 100% depuis 2012. Il est suivi par le CMS 2x/semaine et par une infirmière en psychiatrie plusieurs fois par semaine. À l'admission, le patient présente des douleurs et des paresthésies aux MI diffuses et bilatérales, sans localisation précise; et des lombalgies basses sans irradiation. Il réfère également une dyspnée stade 3 selon NYHA et la présence d'une toux paroxystique avec des expectorations blanchâtres.Au status, la saturation est à 92 % à l'air ambiant. Nous remarquons des ronchis diffus ddc à l'auscultation pulmonaire et de légers OMI ne prenant pas le godet. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade III selon Gold. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 89.6 % avec une hypoxémie légère, sans hypercapnie, et une COHb à 1.7 % témoignant d'une diminution de la consommation journalière de cigarettes. La radiographie du thorax met en évidence des remaniements pleuro-parenchymateux avec des lésions en bande prédominant au niveau latéral droit, d'aspect superposable aux comparatifs, sans foyer surajouté. On retrouve également l'arrondissement des sinus costo-diaphragmatiques, probablement en relation avec les remaniements, plutôt que des épanchements pleuraux. Durant son séjour, il a présenté des nausées fluctuantes avec 1 épisode de vomissement, non objectivé, avec quelques troubles aspécifiques du transit, selon le patient plutôt irrégulier chroniquement. Une recherche du clostridium est effectuée et revient négative. La symptomatologie se corrige progressivement et le patient bénéficie de Motilium en réserve. Le patient montre une détresse psychologique fluctuante en lien avec l'hospitalisation et demande spontanément un entretien avec la Dresse Veg, notre psychiatre de liaison, qui introduit du Circadin pour régler également les troubles de l'insomnie qui avaient un fort impact sur l'humeur. Le patient tolère bien l'introduction du médicament et l'état psychologique s'améliore. Au vu de ses antécédents et de la présence d'une anémie en progression, nous demandons une recherche de sang occulte dans les selles qui revient positive. L'hémoglobine, après une légère chute, reste grossièrement stable à 119 g/l avec une ferritine à 30 mg, avec un besoin de fer calculé à 1000 mg. Nous donnons du Ferinject 500 le 16.05.2018 et nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle clinique et biologique prochainement. Nous adaptons le traitement de Pantozol à 40 mg 2x/j. Sur le plan nutritionnel, le patient a un poids stable avec des besoins couverts et aucun suivi n'est nécessaire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 300 m à 380 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.18 km à 5.11 km. Le séjour est positif du point de vue respiratoire, malgré la complexité de la situation du patient. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Francey peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 17.05.2018, en bon état général. Monsieur Frein est un patient de 40 ans chez qui un syndrome d'apnées/hypopnées mixtes du sommeil de degré sévère a été mis en évidence en octobre 2017, avec un IAH à 30,6/h. La polygraphie de mise sous CPAP du 31.01 se solde par un échec, avec persistance des événements respiratoires (IAH résiduel à 34,1/h). Devant cette situation, avec une prédominance d'apnées centrales (220/271), le patient est appareillé par une VNI avec une excellente prise en charge des événements respiratoires nocturnes, avec un IAH résiduel à 0,1/h (1 hypopnée). M. Frein est hospitalisé pour un contrôle de la VNI à 4 mois de début de la thérapie. Le ResScan montre une compliance insatisfaisante avec une utilisation médiane quotidienne : 2h25min, utilisation moyenne quotidienne : 1h54min avec % des jours employés >= 4 heures à 13. Le patient explique avoir eu des difficultés au début du traitement avec le masque facial, une sensation de sécheresse buccale et une apparition d'aphtes au niveau de la muqueuse buccale. Depuis le changement par le masque nasal en avril, il mentionne une bonne tolérance et adaptation à l'interface. Actuellement, pas de plaintes de sécheresse buccale, de sensation de pression au niveau des points d'appui, ni fuites. Depuis l'appareillage, il ne présente plus de ronflement et a l'impression d'avoir plus d'énergie. Présence toujours de 1 à 2 réveils par nuit pour nycturie. Il se couche vers 23h et se lève vers 5h30 ou 6h30. Le Score d'Epworth actuel est à 14/28. Le patient est globalement content avec l'appareillage et désire améliorer sa compliance thérapeutique. Sur le plan pulmonaire, pas de dyspnée, pas de toux, pas de crachats. Il a présenté une pneumonie en avril traitée par antibiotiques per os en ambulatoire à raison d'une semaine avec une résolution complète de la symptomatologie depuis (disparition de la toux et des crachats). Anamnèse cardiaque sans particularité. Les fonctions pulmonaires simples du jour permettent d'exclure un trouble ventilatoire obstructif ainsi qu'un trouble ventilatoire restrictif. Mise en évidence d'un air trapping dynamique. La polygraphie de contrôle sous la VNI montre une réapparition de l'index d'apnée/hypopnée du sommeil à 15.1/h avec surtout des événements de type hypopnées. Nous remarquons au niveau du ResScan des fuites importantes qui expliquent probablement la réapparition des événements. Dans ce contexte, nous proposons au patient de réessayer avec le masque facial pour assurer une diminution des fuites. S'il ne devait pas supporter le masque facial, nous proposons le masque nasal avec le mentonnier. La capnographie montre une capnie moyenne à 6.1 kPa et une SpO2 moyenne de 95,9 %. La gazométrie met en évidence des valeurs normales, notamment une normocapnie à 5.6 kPa. Nous laissons donc les mêmes réglages de la VNI avec l'adaptation du masque et convoquons le patient pour un contrôle de sa VNI dans 6 mois. Monsieur Froidevaux est hospitalisé en raison d'une pyélonéphrite droite obstructive le 20.05.2018. Au laboratoire d'entrée, nous constatons un syndrome inflammatoire avec leucocytose. Nous introduisons dès le 20.05.2018 une antibiothérapie intraveineuse avec Ceftriaxone. Nous réalisons un uro-CT montrant une dilatation pyélocalicielle superposable à CT du 17.05.2018. Le résultat de l'urotube montre un entérocoque faecalis sensible à l'Ampicilline et à la Vancomycine. Le 22.05.2018, le patient est transféré au Daler pour la suite de la prise en charge. Monsieur Froidevaux est un patient de 58 ans, connu pour de multiples opérations vasculaires (cf. antécédents), adressé à la consultation du Dr. X le 23.05.2018 par son angiologue en raison d'une ischémie critique du membre inférieur droit. Monsieur Froidevaux signale qu'il a arrêté le Xarelto il y a plus d'un mois en raison d'une intervention pour l'ablation d'un méningiome qui est planifiée au début juin 2018 (malheureusement, le patient a mal compris la date de l'arrêt du Xarelto et l'a arrêté trop tôt). Un angio-CT réalisé le 23.05.2018 montre une occlusion du pontage jambier droit. Le patient bénéficie le 25.05.2018 d'une artériographie du membre inférieur droit avec thrombectomie mécanique par Rotarex et angioplastie. L'intervention se déroule sans complication avec un bon résultat sur le plan clinique. Un contrôle par doppler le 28.05.2018 montre une bonne perméabilité du pontage mais retrouve une sténose des anastomoses proximale et distale d'environ 70 %. Après discussion au colloque vasculaire, il est décidé de poursuivre l'anticoagulation thérapeutique et d'effectuer une nouvelle angioplastie dans 2 semaines. Monsieur Froidevaux peut regagner son domicile le 30.05.2018. Il sera convoqué par le service de radiologie pour effectuer une angioplastie dans environ 2 semaines.A noter la découverte fortuite d'une ectasie du cholédoque (status post cholécystectomie) avec mise en évidence de concrétions dans sa partie distale. Au vu du caractère asymptomatique, nous ne retenons pas d'indication à réaliser un geste en urgence. Le patient est informé de la nécessité de consulter en urgence en cas d'apparition de douleurs abdominales avec état fébrile. Un geste sera à discuter à distance (éventuellement durant la même période que la résection du méningiome pour ne pas avoir à interrompre l'anticoagulation à 2 reprises). Monsieur Fuhrer, âgé de 62 ans, connu pour une BPCO stade IV D selon Gold et sous VNI après une insuffisance respiratoire globale qui a nécessité une hospitalisation en avril 2014 au HIB Payerne, nous est adressé pour une réadaptation pulmonaire avec reconditionnement global. Le patient tolère bien la VNI. Sur le plan social le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à l'AI à 100%. A l'admission, le patient se plaint de maux de ventre chroniques. Il présente une dyspnée stade III selon NYHA. Au status, nous mettons en évidence des sibilances diffuses sur les 2 plages pulmonaires ainsi qu'une amyotrophie des quadriceps. Le patient présente un tabagisme actif à 70 UPA, actuellement en nette régression (1-2 cigarettes par jour). Nous introduisons de l'Azithromycine à but prophylactique 3x/semaine au vu d'un phénotype exacerbateur. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une saturation à 91.8% avec une hypoxémie légère et légère hypercapnie. L'oxymétrie nocturne à l'air ambiant sous VNI montre une SpO2 moyenne à 93.8% avec un index de désaturation à 2/heure. La radiographie du thorax met en évidence une désorganisation de la trame bronchovasculaire et un aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de la BPCO connue. Les valeurs de la capno-oxymétrie sont dans la norme, confirmant la bonne efficacité de la VNI. L'IAH peut être >5/heure si le patient emploie sa morphine en réserve. L'adhérence thérapeutique et la tolérance sont excellentes. Durant son séjour, il a présenté des fluctuations de l'état respiratoire ainsi qu'une exacerbation clinique, avec un critère d'Anthonisen retrouvé le 30.05.2018 qui répond très favorablement au traitement par Céfuroxime 500 mg 2x/j durant 1 semaine et Prednisone 40 mg durant 5 jours. Pendant la phase aiguë, une autre radiographie du thorax est effectuée sans mettre en évidence de foyer. Le laboratoire montre une discrète leucocytose, sans surélévation de la CRP. Sur le plan nutritionnel, Monsieur Fuhrer avait perdu 10kg en 2017 suite aux conseils d'un homéopathe de réduire ses ingesta. Il a pu reprendre ce poids perdu sur les 12 derniers mois. Son BMI actuel est à 24, ce qui est habituel chez lui. Il présente un score de risque de malnutrition NRS à 2/7, donc non significatif. Lui-même et son épouse avaient reçu des conseils en 2017 dans le but de favoriser un rétablissement du status nutritionnel, ce qui a manifestement bien fonctionné. Il a par ailleurs participé durant son séjour à la conférence sur les maladies respiratoires et l'alimentation. Enfin, suite à une suspicion de troubles de la déglutition, il a reçu des conseils préventifs visant à éviter les broncho-aspirations. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 215 m à 265 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis roulant pendant 20 minutes de 0.34 km à 0.73 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Fuhrer peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 02.06.2018, en bon état général. Monsieur Galley, âgé de 75 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, nous est adressé pour une réadaptation pulmonaire dans le cadre d'une péjoration de l'insuffisance respiratoire globale sévère. Pour rappel, le patient est porteur d'une PEG depuis 2014 (dysphagie aux solides). Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est sous oxygénothérapie 1.5lt/min en continu (3lt/min à l'effort). Il bénéficie du passage des SàD tous les 2 jours pour aide à la toilette et soins de la PEG. A l'admission, le patient relate une dyspnée stade IV selon NYHA et une péjoration de la fatigue en lien avec un déconditionnement. Au status, diminution du murmure respiratoire diffus. Le pourtour de la PEG rouge avec écoulement sanguin (d'après le patient chronique). La gazométrie d'entrée sous O2 1.5lt/min montre une saturation à 97.1% avec une hypoxémie légère et hypercapnie, avec des bicarbonates 32.7 mmol/l, nous concluons à une acidose respiratoire compensée. Une capnographie nocturne sous O2 1.5lt/min montre un tcpCO2 à 7.3 kPa (54.75 mmHg) avec une SpO2 95.3%. Ces valeurs sont en amélioration par rapport au dernier séjour, et notamment en relation avec la réduction du débit nocturne de l'O2 à 1.5 lt/min. La radiographie du thorax met en évidence une distension pulmonaire bilatérale. Durant son séjour, il a présenté une rougeur au pourtour de la PEG que nous traitons avec du Fucicort, mais après 5 jours de traitement sans changement clinique ni symptomatologie résiduelle, nous interrompons le traitement. La spirométrie à la sortie montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade IV selon Gold. Sur le plan nutritionnel, par rapport à 2017, on note chez Monsieur Galley une amélioration du status nutritionnel sur les derniers mois avec une reprise de 7kg en 1 an. A Billens, la solution et les horaires de la NE ont été adaptés. Son poids est resté stable, ses besoins ont donc été couverts. Il reprendra son schéma habituel à son retour, et sera suivi par le homecare Bichsel. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 257 m à 267 m. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Galley peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 10.06.2018, en bon état général. Monsieur Gamboa Dos Santos est un patient de 62 ans qui a été hospitalisé du 02.06 au 06.06.2018 suite à un traumatisme crânien le 02.06.18. Un total body-CT avait mis en évidence de multiples fractures de côtes et un traumatisme crânien mineur. De retour à la maison, le patient est très algique malgré une antalgie par Minalgine, Oxycodone et Dafalgan. Par ailleurs, son épouse le trouve particulièrement pâle et avec désorientation temporelle. Le patient consulte les urgences le 07.06.2018. Un CT-scanner ne montre pas de lésion intracrânienne et, sur la radiographie du thorax, les fractures des côtes sont stables, sans pneumo-/hématothorax. Le patient est hospitalisé pour une adaptation de l'antalgie. L'évolution est favorable avec une orientation dans les 4 modes. Un consilium neuropsychologique montre des troubles de concentration dans le cadre d'un syndrome post-commotionnel qui peut encore durer quelques semaines. Le patient rentre à domicile le 12.06.2018.Monsieur Gamboa Dos Santos est un patient de 62 ans, qui se présente aux urgences après une chute sur le côté gauche avec traumatisme crânien et perte de connaissance. Il présente une amnésie post-traumatisme crânien (temps inconnu) et des douleurs thoraciques gauches. Le bilan radiologique met en évidence des fractures des arcs moyens des côtes gauches 3 à 9 sans pneu- ni hématothorax. Le patient est hospitalisé pour une surveillance neurologique et une antalgie. L'évolution est favorable avec des contrôles neurologiques en ordre. Le patient rentre à domicile le 05.06.2018. Monsieur Garra Pereira, sans antécédent notable, est hospitalisé dans un contexte d'AVC ischémique du centre semi-oval à droite. Pour rappel, l'anamnèse révèle des paresthésies aux 2 membres inférieurs suivi le lendemain par une parésie du membre inférieur gauche. Le CT cérébral ne montre pas de lésion, c'est pourquoi il est initialement hospitalisé en division de médecine pendant 24h. Le lendemain, l'IRM cérébrale montre une lésion unique du centre semi-ovale droit compatible avec un AVC ischémique aigu, c'est pourquoi Monsieur est transféré en Stroke unit non monitoré pour la suite de sa prise en charge. Sur le plan du bilan étiologique, chez ce patient sans facteur de risque cardiovasculaire hormis un tabagisme actif, jeune, en bonne santé habituelle, nous demandons un bilan prothrombotique complet qui est actuellement encore en cours. Du point de vue cardiaque, l'échocardiographie transthoracique complétée d'une échocardiographie transoesophagienne montre un foramen oval perméable de grade 3 avec ASIA associé. Une fermeture du FOP serait discutée au colloque cardiologie - neurologie prévu en juillet 2018 (un courrier séparé vous sera adressé quant à l'indication de fermeture). Un Holter de 24 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Un bilan sanguin élargi est également effectué dont les sérologies de dépistage HIV, HCV et HBV se révèlent être négatives. Le bilan autoimmune est également dans la norme. Une recherche génétique de maladie de Fabry est également effectuée en vue de l'anamnèse de fourmillements aux membres inférieurs bilatéralement situées. L'homocystéine à la recherche d'hyperhomocystéinémie comme facteur de risque cardiovasculaire est également effectuée, actuellement en cours. Nous vous ferons parvenir ces résultats dès que possible. Sur le plan médicamenteux, nous introduisons un traitement d'Atorvastatine 40 mg/jour au vu du bilan lipidique perturbé. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Nous vous proposons d'effectuer un bilan à la recherche d'un syndrome d'apnées du sommeil, au vu de l'anamnèse positif pour des ronflements et des pauses respiratoires pendant la nuit selon sa femme. Le score de STOP-BANG se révèle être à 2 points. Le bilan neuropsychologique montre des difficultés au niveau du fonctionnement cognitif et de la fatigabilité que le patient manifeste 4 jours post-AVC. Nous constatons une évolution rapidement favorable, permettant un retour à domicile sans période de réhabilitation ni d'indication de suivi neuropsychologique. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines post-AVC. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Gaudard, connu pour un syndrome métabolique, une cardiopathie ischémique avec maladie coronarienne monotronculaire et une fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto, est hospitalisé le 18.06.2018 suite à l'apparition brutale de vertiges avec perte d'équilibre le 15.06.2018. À son arrivée, il bénéficie d'un angio-CT qui ne montre pas d'AVC aigu mais uniquement des séquelles d'AVC ischémique pariétal et occipital droit. Sur avis de nos collègues neurologues, le bilan est complété par une IRM cérébrale, une ETT et un US-doppler des vaisseaux pré-cérébraux. L'IRM montre un AVC ischémique aigu de petite taille du tronc cérébral au niveau de la fossette latérale du bulbe. L'ETT quant à elle est superposable à celle effectuée au mois d'avril 2018. Sur avis neurologique et cardiologique, l'anticoagulation par Xarelto est arrêtée et remplacée par l'Eliquis. Nous poursuivons le traitement par aspirine cardio pour 3 mois. Par ailleurs, nous débutons un traitement par statines à haute dose pour 3 mois, à diminuer par la suite avec une cible du LDL à < 1.8. Si le traitement devait être mal supporté, une substitution par Rosuvastatine 20 mg pourrait être envisagée. Monsieur Gaudard rentre à domicile le 27.06.2018 avec des soins et de la physiothérapie à domicile. Monsieur Gay est un patient de 75 ans, connu pour les antécédents et comorbidités suscités. Sur le plan urologique, le patient est suivi par le Dr X pour prostatite avec rétention urinaire nécessitant la mise en place d'une sonde vésicale. Au vu de la clinique du patient, le Dr X propose une résection transurétrale de la prostate en électif et le patient est admis dans le service de chirurgie le 06.06.2018. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution post-opératoire est favorable, le patient reste afébrile et ne rapporte pas de douleurs tout au long de son séjour. En péri-opératoire, il a bénéficié d'une antibiothérapie iv par Rocéphine 2 g, relayée par céfuroxime per os. Le 09.06.2018, la sonde urinaire est retirée avec bonne reprise des mictions. Vu la bonne évolution, Monsieur Gay peut retourner à domicile le 09.06.2018. Il poursuivra l'antibiothérapie par céfuroxime 500 mg 1x/j jusqu'au 12.06.2018 inclus. Monsieur Geiser est un patient de 44 ans, connu pour une cure d'hernie inguinale gauche selon Lichtenstein en 2013 et une cure d'hernie inguinale droite selon Lichtenstein en 2011, chez qui nous découvrons une récidive d'hernie inguinale gauche. Le patient bénéficie le 06.06.2018 d'une cure d'hernie inguinale gauche par laparoscopie (TEPP). L'opération se passe sans complication et l'évolution postopératoire est bonne. Le patient peut rentrer à domicile le 07.06.2018. Monsieur Gendre est un patient de 75 ans connu pour une artériopathie avec notamment status post-pontage aorto bi-fémoral en 1994 et mise à plat de pseudo-anévrysme fémoral droit le 20.04.2018. Il est hospitalisé le 26.04.2018 en raison d'une surinfection de la plaie inguinale droite. Il bénéficie d'un débridement de cette plaie au bloc opératoire avec mise en place d'un pansement VAC. Une antibiothérapie est instaurée avec une adaptation en fonction des différents germes retrouvés dans les prélèvements effectués durant les reprises au bloc opératoire. M. Gendre bénéficie de changements itératifs du pansement VAC au bloc opératoire. À noter la survenue de 2 épisodes de saignement au niveau du patch xénopéricardique lors des changements du pansement VAC, nécessitant la réalisation de nouvelles sutures au niveau du patch. L'évolution est progressivement favorable, permettant l'ablation du VAC et la fermeture cutanée le 01.06.2018. La plaie continue à évoluer favorablement. Le patient est transféré à Estavayer pour une réhabilitation le 12.06.2018. Il sera revu à la consultation du Dr X le 20.06.2018 à 10h00. Monsieur Gendre est un patient de 79 ans, qui est suivi chez nous en raison d'une mauvaise guérison de la plaie de prélèvement, au niveau de la veine saphène interne, en raison d'une fistule lymphatique. L'évolution de la plaie étant défavorable et cette fistule lymphatique étant trop productive pour être traitée conservativement, le patient est hospitalisé pour une révision opératoire le vendredi 08.06.2018 avec la mise en place d'un pansement type TPN (VAC). Celui-ci est changé en chambre le 12.06.2018. L'évolution est favorable et le patient rentre alors à domicile le 13.06.2018 avec un changement de VAC prévu en ambulatoire le 15.06.2018 à la consultation de la chirurgie vasculaire à 9h30.Monsieur Genoud est adressé aux urgences le 07.06.2018 pour investigations d'une rhabdomyolyse (CK à 2259 U/l le 06.06.2018) dans un contexte de douleurs proximales au niveau des membres supérieurs, en plateau, exacerbées lors des efforts physiques soutenus qui seraient apparues depuis environ deux mois. Le patient décrit une sensation d'épuisement rapide et il compare les douleurs à celles d'une fièvre musculaire. Il ne relate pas d'éruption cutanée, d'état fébrile ou autre symptôme d'accompagnement. Afin d'investiguer les douleurs de l'épaule droite, qui étaient nettement plus intenses que celles du côté gauche, Dr. X, votre remplaçante, demande une IRM de l'épaule le 05.06.2018 qui met en évidence une petite bursite sous-acromiale, une tendinopathie antéro-distale du sus-épineux et un discret œdème du muscle petit rond. Rappelons que Monsieur Genoud a été atteint d'une borréliose en juillet 2013, contractée sur piqûre de tiques auxquelles il est largement exposé dans son métier d'agriculteur. À l'époque, il se plaignait d'une fatigabilité marquée, avec asthénie, perte de poids de 4-5 kg, et myalgies généralisées. La sérologie B. Burgdorferi IgG était positive le 05.07.2013 et le 13.12.2013 et le patient a bénéficié de 2 cures d'antibiothérapie de 10 jours chacune. À l'admission aux urgences, Monsieur Genoud est hémodynamiquement stable, afébrile avec des téguments et des muqueuses hydratées. Au statut cardiopulmonaire, les bruits cardiaques sont réguliers, sans souffle valvulaire perçu, avec un murmure vésiculaire symétrique, sans râle surajouté. Pas de signe de surcharge, pas de turgescence jugulaire, pas d'œdème des membres inférieurs, pouls périphériques tous perçus, mollets souples et indolores. Au statut digestif, l'abdomen est souple, sans défense ni détente, pas d'organomégalie palpée, bruits hydro-aériques normaux en fréquence et en tonalité. Les loges rénales sont souples et indolores. Sur le plan neurologique, le patient est calme, collaborant, orienté dans les trois modes, avec des pupilles isochores isoréactives, poursuite oculaire lisse sans nystagmus, pas de déficit sensoriel ni moteur, force conservée aux 4 membres, jugée M5, fasciculations musculaires, réflexes ostéotendineux normovifs et symétriques, pas d'ataxie, épreuve index-nez, talon-genou sans particularité, pas de diadococinésie, Romberg négatif, marche sans déviation. Le laboratoire d'entrée met en évidence des CK à 1025 UI et une hémoglobine discrètement abaissée à 135 g/l. Le reste du laboratoire est aligné. Au vu du taux élevé de CK, nous instaurons une hydratation parentérale et Monsieur Genoud est hospitalisé pour investigations. Le laboratoire du contrôle du 08.06.2018 montre une amélioration des CK à 482 U/l, des tests hépatiques dans la norme et le reste des valeurs est globalement superposable aux précédents. Le patient ne se plaint plus par ailleurs de douleurs des membres supérieurs. En cas de récidive, nous vous recommandons de réaliser un bilan immunologique complet et d'adresser le patient en consultation spécialisée de rhumatologie. Nous recommandons également du repos pendant quelques jours. Au vu de l'amélioration clinique et biologique, Monsieur Genoud peut regagner son domicile le 09.06.2018. Monsieur Gerber, patient de 43 ans connu pour une dyslipidémie non traitée, est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'AVC. Pour rappel, l'anamnèse révèle des vertiges de tangage d'apparition brutale à 12h le 23.06.2018 lorsque le patient s'est rendu au magasin avec son épouse. Les vertiges s'accompagnent de cervicalgies invalidantes avec céphalées occipitales également. Le patient relate des phosphènes avec impression de voile noire bilatérale également. Il constate un tremblement de l'hémicorps gauche, ainsi que du membre supérieur droit. Le patient est obligé de s'asseoir lors de l'apparition de la symptomatologie, qui dure environ 30 secondes et est spontanément résolutive. Selon le patient, il s'agit du troisième épisode de ce type sur les derniers 18 mois. Un contrôle tensionnel effectué en pharmacie peu après la crise confirme une hypertension artérielle systolique (>220 mmHg). Au service des urgences, l'examen neurologique ne montre pas de déficit focal (NIHSS à 0). Le CT cérébral ne révèle pas de lésion ischémique aiguë mais demeure suspect d'un thrombus endoluminal sur la paroi médiale de l'artère vertébrale gauche au niveau V2. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique se révèle sans particularité, sans récidive de symptômes neurologiques. L'IRM cérébrale infirme une lésion ischémique aiguë et les troncs supra-aortiques sont normaux. Nous retenons donc des artéfacts visualisés à l'angio-CT cérébral susmentionné. Nous retenons une crise hypertensive et procédons à un bilan d'atteinte d'organe cible. Sur le plan cardiovasculaire, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas d'argument en faveur d'une cardiopathie hypertensive. Néanmoins, nous décélons un FOP grade 3 au Valsalva avec anévrisme du septum interauriculaire. Nous n'effectuons pas d'examens complémentaires en vue de l'absence d'événement cérébro-vasculaire. Un fond d'œil est prévu en ambulatoire. Nous ne décélons pas de signe en faveur d'une néphropathie hypertensive à l'analyse urinaire effectuée. Sur le plan médicamenteux, le traitement antihypertenseur de Coversum combi est repris. Nous procédons également à l'introduction d'un traitement hypolipémiant devant une dyslipidémie. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Devant le score de GSLA à 8.8%, compatible avec un risque faible de subir un événement coronarien mortel ou un infarctus du myocarde non mortel en l'espace de 10 ans, le traitement d'Aspirine cardio introduit au décours de l'hospitalisation est arrêté. Un sevrage tabagique est au décours par des séances d'acupuncture en ambulatoire. Le patient relate également une consommation d'alcool à risque (4 UI/jour). Nous lui sensibilisons aux effets nocifs possibles. Nous proposons un suivi en ambulatoire. En vue d'un contexte de surcharge professionnelle, un arrêt de travail est établi jusqu'à la fin de la semaine. Nous avisons le patient de l'importance de consulter en cas de difficulté lors de la reprise. Nous n'avons pas prévu de revoir Monsieur Gerber à la consultation neurovasculaire mais restons à disposition en cas de besoin. Monsieur Goncalves consulte les urgences de l'HFR Fribourg le 19.06.2018 en raison de l'apparition de lésions cutanées le même jour vers 14h30. Lésions prurigineuses, érythémateuses touchant initialement les deux membres supérieurs puis se propageant au tronc et aux membres inférieurs. Éviction du dos et du visage. Touche autant les faces de flexion que d'extension. Pas de dysphagie, pas de dyspnée, pas de symptôme digestif. À noter que le patient est connu pour une allergie au Fluimucil, à priori angioedème et urticaire présents lors de l'hospitalisation de mars 2018. Il reçoit à Fribourg une perfusion de Tavegyl 2 mg iv et une prescription de Xyzal 5 mg per os, avec une amélioration des symptômes. Il aurait reconsulté à nouveau ce jour une fois de plus à Fribourg, devant la péjoration de la symptomatologie et aurait reçu un comprimé de Xyzal 5 mg, puis est renvoyé à la maison. Devant la non-amélioration du tableau clinique, Monsieur Goncalves consulte les urgences de l'HFR Riaz le 20.06.2018 pour un second avis. Pas de symptôme respiratoire ou digestif. Pas d'état fébrile. Pas de virose, pas de contage, pas d'état fébrile, pas de céphalées. Vaccination à jour, pas d'enfant dans son entourage. Pas de modification de ses produits de lessive, de douche ou de parfum. N'a pas mangé d'aliments nouveaux ou particuliers. Pas d'exposition aux animaux.Au status d'entrée sur le plan cutané, on met en évidence des lésions en plaques confluantes avec exanthème maculo-papuleux, touchant les quatre membres et le tronc. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans râle ni sibilance, le fond de gorge calme. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. L'origine de l'urticaire est probablement médicamenteuse, avec 4 médicaments en cours possiblement responsables (Lamotrigine, Zoldorm, Escitalopram, Lipanthyl), le plus incriminé étant la Lamotrigine selon les effets secondaires documentés, traitement introduit par son psychiatre comme régulateur de l'humeur et non comme traitement antiépileptique. Nous proposons donc un sevrage progressif avec un schéma assez rapide (4 jours à demi-dose, 4 jours à quart de dose), en raison des potentiels effets cutanés très délétères documentés. Nous recommandons au patient l'abstention stricte de la conduite automobile durant 15 jours et de veiller à l'hygiène du sommeil durant la période de sevrage. À mentionner que le patient aurait présenté trois épisodes de tentamen médicamenteux dans le contexte d'une dépression majeure avec idée suicidaire, car actuellement, depuis qu'il est sous Lamotrigine, son état psychiatrique est stable, dont il ne souhaite pas faire de sevrage ou le mettre en suspens à court terme. Le patient regardera donc avec son psychiatre concernant la prise de Lamotrigine. Le Selincro a été introduit récemment mais n'est probablement pas incriminé d'après son psychiatre. Durant l'hospitalisation, sur le plan cutané, une évolution clinique est favorable car le patient ne présente quasiment plus d'exanthème maculo-papuleux, sous traitement par anti-histaminique et corticoïde. Au vu de l'évolution clinique favorable, Monsieur Goncalves peut regagner son domicile le 21.06.2018 avec poursuite du traitement susmentionné durant 5 jours au total. Nous vous proposons de prévoir une consultation allergologique en ambulatoire dès que possible. Monsieur Grandgirard est un patient de 69 ans, suivi par le Dr X pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IIb bilatérale, qui a bénéficié le 17.01.2018 d'une thrombendartériectomie fémorale commune droite, avec un pontage fémoro-poplité sous-géniculaire à l'aide d'une veine saphène droite inversée. Le patient revient pour une révision de son pontage fémoro-poplité droit le 18.06.2018 où une adhésiolyse est effectuée. Les suites sont marquées par un léger écoulement séro-sanglant pour lequel une surveillance clinique est effectuée. Un contrôle angiologique montre une bonne perméabilité du pontage et une levée de l'obstacle cicatriciel en distal de celui-ci. Le patient rentre à domicile le 23.06.2018 et sera vu à la consultation du Dr X le 25.06.2018 pour le suivi de la plaie. Monsieur Guex, connu pour une masse sacrée depuis une année, présente depuis environ 15 jours une péjoration des douleurs et une hyposensibilité des deux jambes ainsi qu'une incontinence urinaire et fécale. Pour rappel, une IRM effectuée l'année passée pour des douleurs lombo-sacrées montre une masse sacrée d'aspect sarcomique. Un consilium au CHUV avec la neurochirurgie, l'oncologie et la radiothérapie lui propose respectivement une opération, une biopsie et une radiothérapie, avec toutes pour conséquence une paralysie irréversible. Les douleurs étant supportables à ce moment-là, le patient refuse ces propositions et décide d'une prise en charge conservatrice. Il est suivi par le Dr X à l'HFR Fribourg pour la gestion de la douleur par Dafalgan, Lyrica et Tramal avec bonne réponse initiale. Cependant, depuis environ 15 jours, Monsieur Guex note une nette péjoration des douleurs qui deviennent insupportables et une situation à domicile impossible, raisons pour lesquelles il consulte le Dr X. Ce dernier change son traitement de Tramal pour de la Morphine per os. Cependant, cela ne soulage pas ses douleurs, c'est pourquoi le patient se présente au service des urgences. Après un traitement avec Morphine et Kétamine en salle de réveil par le Dr X, le patient est pris en charge dans le service de médecine pour adaptation du traitement antalgique. L'évolution des douleurs est favorable sous MST-continus et bolus de morphine intraveineux par PCA. Nos collègues radio-oncologues présentent au patient la possibilité d'une radiothérapie antalgique avec des séances de rayonnement pendant 3 semaines que le patient refuse. La possibilité d'une pompe intrathécale est également présentée par nos collègues de l'anesthésie et acceptée par Monsieur Guex. Un test de dosage effectué le 15.06.2018 soulage les douleurs du patient. La mise en place de la pompe est prévue pour le 25.06.2018. Après discussion avec nos collègues des soins palliatifs, nous décidons de transférer le patient à la Villa St-François pour la suite de la prise en charge spécialisée. Monsieur Guinnard est un patient de 61 ans, connu pour un carcinome neuroendocrinien du jéjunum avec des métastases hépatiques, qui se présente aux urgences le 17.06.2018 avec des douleurs abdominales hautes, accompagnées de vomissements, sans changement de transit. Le patient bénéficie de la pose d'une sonde naso-gastrique le 17.06.2018. La reprise de l'alimentation est initiée le 18.06.2018, avec une évolution favorable, permettant une ablation de la sonde naso-gastrique le 19.06.2018. À sa sortie, le 19.06.2018, le patient présente un transit avec des gaz. Il est averti des risques de récidive et se présentera le cas échéant. Monsieur Guinnard est un patient de 61 ans, connu pour un carcinome neuroendocrinien jéjunal grade 1 avec métastases hépatiques. Actuellement, une discussion est en cours pour débuter un traitement par Lutathera (Dr X) au vu d'une suspicion de récidive clinique. Le patient a déjà été hospitalisé dans notre service du 17 au 19.06.2018 au vu d'un iléus mécanique avec une évolution favorable sous traitement conservateur. Cependant, le patient se représente avec une récidive d'iléus. Le CT-scan met en évidence un iléus mécanique avec saut de calibre dans l'hémi-abdomen droit et une augmentation de la quantité de liquide libre parlant en faveur d'une souffrance intestinale. Un traitement conservatoire est initié avec une alimentation parentérale, qui est débutée dès le 22.06.2018. L'évolution est par la suite favorable avec une reprise du transit sous traitement conservateur, permettant un retour à domicile le 29.06.2018. Après discussion avec nos collègues du CHUV de l'oncologie et de la médecine nucléaire, il est confirmé qu'un traitement par Lutathera est prévu avec un pronostic relativement favorable chez un patient actuellement en bon état général. Le traitement par Lutathera est prévu le 10.07.2018 chez le Dr X. Monsieur Gutschmidt est un patient de 47 ans, connu pour une sérosite d'origine indéterminée, qui nous est transféré du CHUV après une péricardectomie subtotale. Pour rappel, le patient a souffert d'une péricardite constrictive qui nécessitait l'intervention susmentionnée. Le séjour au CHUV est marqué par des troubles du rythme, notamment une fibrillation auriculaire post-interventionnelle et une bradycardie avec choc cardiogène suite à l'introduction de l'Amiodarone. Le patient est stabilisé aux soins intensifs et bénéficie d'une pose de pacemaker bi-caméral.Le patient entre notre service de médecine avant de commencer une réadaptation cardiaque à Billens le lendemain. Il se présente dans un état général conservé. Nous notons des oedèmes des membres inférieurs sans autres signes de surcharge. À noter un séjour très traumatisant aux intensifs qui pourrait découler sur un syndrome de stress post-traumatique. Nous vous proposons d'organiser une consultation psychiatrique. Il est transféré à l'HFR Billens le 28.06.2018. Mr. Y est un patient de 75 ans, connu pour une hydrocéphalie à pression normale avec un status post-pose de dérivation ventriculo-péritonéale droite le 23.02.2018, compliqué par des hématomes sous-duraux bilatéraux dans un contexte d'hyperdrainage de la dérivation ventriculo-péritonéale traité de manière conservatoire avec arrêt de l'aspirine et réglage de la valve à 2,5 le 29.05.2018. Le 12.06.2018, le patient se présente à la consultation de neurochirurgie en raison d'une dégradation de son état neurologique avec une augmentation des troubles cognitifs, un ralentissement idéomoteur, une importante difficulté à la station debout et à la marche. Un CT cérébral montre une légère augmentation des hématomes, raison pour laquelle le patient est hospitalisé en neurochirurgie et bénéficie le 13.06.2018 d'une trépanation bilatérale. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont marquées par une amélioration nette de l'état neurologique avec un patient orienté et sans déficits. Un scanner postopératoire montre un résultat satisfaisant avec disparition de l'effet de masse, retour du cerveau à la paroi, réouverture des ventricules, et persistance de résidus d'hématome non compressif. Le 15.06.2018, le patient présente un épisode d'agitation/délirium post-opératoire nécessitant un transfert du patient aux soins intensifs avec sédation et intubation. L'évolution est par la suite rapidement favorable, permettant une extubation le jour même. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 19.06.2018. Mr. Y, 75 ans, est admis aux SIC pour une surveillance neurologique pour des hématomes sous-duraux subaigus bilatéraux chez un patient présentant une hydrocéphalie à pression normale depuis novembre 2017. Une dérivation ventriculo-péritonéale droite a été posée le 23.02.2018. Le 04.05.2018, l'évolution est compliquée par des hématomes sous-duraux bilatéraux dans un contexte d'hyperpression de la dérivation ventriculo-péritonéale droite. Il est hospitalisé du 04.05. au 08.05.2018 pour un réglage de sa dérivation ventriculo-péritonéale droite et une corticothérapie à schéma dégressif jusqu'au 23.05.2018. Le 12.06.2018, le patient consulte en consultation de neurochirurgie pour une dégradation de son état avec une augmentation des troubles cognitifs et une incontinence urinaire. Le CT cérébral du 12.06.2018 montre une légère augmentation des hématomes. Le patient est hospitalisé en neurochirurgie pour une suite de prise en charge et mise sous dexaméthasone. Au vu de l'état neurologique en péjoration, le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. Une trépanation bilatérale est réalisée le 13.06.2018. Les suites opératoires sont simples sans complication. L'état neurologique reste stable. Le patient est transféré en chirurgie le 14.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 91 ans, connu pour une hyperplasie de la prostate avec une sonde urinaire à demeure depuis octobre 2017, qui est hospitalisé en électif pour la pose de Cystofix après un premier échec de pose de Cystofix le 23.04.2018. Les suites opératoires sont marquées par une macrohématurie récidivante avec une chute de l'hémoglobine à 80 g/l nécessitant plusieurs transfusions de CE et des rinçages de la vessie initialement par une sonde transurétrale 2 voies. Le 30.05.2018, le patient présente une fuite d'urine autour du Cystofix, associée à de fortes douleurs abdominales. Le CT abdominal met en évidence des caillots sanguins dans la vessie et du liquide libre dans l'abdomen, motivant une reprise au bloc opératoire pour une laparoscopie diagnostique avec conversion en laparotomie pour évacuer l'hémopéritoine des quatre quadrants et la repose du Cystofix qui était mal positionné, en trans-péritonéal. Au vu de la macrohématurie persistante par la suite, une sonde urinaire deux voies bouchée par des caillots est changée et, lors du contrôle CT abdominal du 04.06.2018 en raison des douleurs suspubiennes inchangées, nous mettons en évidence une sonde urinaire mal positionnée avec ballonnet gonflé dans l'urètre prostatique, qui est rapidement repositionnée par la suite. En raison de la macrohématurie persistante malgré l'arrêt de l'anticoagulation, la prise de Cyklokapron, les rinçages continus et manuels de la vessie, un avis hématologique est demandé (Dr. X), qui ne montre pas d'argument biologique convaincant en faveur d'un trouble significatif de l'hémostase primaire ni secondaire expliquant le saignement post-opératoire, qui aurait pu être favorisé par des facteurs locaux et la prise d'anticoagulation prophylactique. Il bénéficie d'une cystoscopie le 08.06.2018 par le Dr. X qui met en évidence des caillots dans la vessie, sans saignement actif et une lésion de l'urètre prostatique à cause de l'ancienne sonde mal positionnée. Les urines redeviennent et restent plus claires par la suite. L'ablation des fils de la laparotomie médiane inférieure est faite le 14.06.2018. L'anticoagulation par Xarelto est maintenue en suspens tout au long de l'hospitalisation, et l'anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg 1x/24h mise en suspens sur ordre médical du Dr. X en raison du risque élevé de récidive de macrohématurie. Il porte actuellement des bottes anti-thrombotiques et après discussion avec le Dr. X, l'anticoagulation thérapeutique sera probablement reprise à Meyriez lors de sa réhabilitation gériatrique. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, le patient est reclassé le 14.06.2018 en attente d'une réhabilitation gériatrique à Meyriez. Mr. Y est un patient de 78 ans, connu pour un adénocarcinome du rectum depuis 2017 et un status post-résection antérieure ultra-basse par laparoscopie, laparotomie sous-ombilicale avec descendo-rectostomie latéro-latérale et mise en place d'une iléostomie de protection en février 2018. Le patient est actuellement sous chimiothérapie et se présente aux urgences avec une augmentation des selles jusqu'à 6000 ml/24h. On débute un traitement constipant. Le patient est également mis à jeun et on commence une nutrition parentérale. Les suites sont favorables avec la diminution du débit de la stomie et une réalimentation prudente bien supportée. Par la suite, Mr. Y est alimenté per os et par une sonde nasogastrique afin de couvrir tous ses besoins caloriques. La chimiothérapie est mise en suspens pour une leucocytopénie, pour laquelle on débute un traitement par Nepogen pour 3 jours. La chimiothérapie est reprise le 16.05.2018. Après la chimiothérapie, Mr. Y présente à nouveau une augmentation de débit par la stomie jusqu'à 7000 ml/24h. Nous proposons alors une fermeture de l'iléostomie à la suite de la chimiothérapie. Le patient et son épouse ne souhaitent pas terminer la chimiothérapie actuellement. En accord avec la Dr. X et le Dr. X, le patient est transféré le 04.06.2018 en service de médecine pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 66 ans, connu pour un diabète de type II, une insuffisance rénale terminale et une cardiopathie hypertensive, valvulaire et ischémique, a été retrouvé à son domicile le 15.06.2018 avec un trouble de l'état de conscience, en hypothermie légère à 32°C et en hypoglycémie. Il montre une bonne évolution sous réchauffement externe aux soins intensifs et est donc transféré à l'étage de médecine interne le 16.06.2018. Comme le patient n'a plus rien mangé depuis plusieurs jours avant l'hospitalisation et qu'il s'est tout de même injecté les unités de Tresiba, nous retenons comme origine pour l'hypothermie un coma hypoglycémique.Selon l'avis de nos collègues de diabétologie, le traitement par Tresiba est diminué à 6 unités le matin. Les glycémies restent dans les valeurs cibles pendant le séjour. Ils proposent également un rendez-vous en ambulatoire pour un enseignement avec les infirmières en diabétologie. A l'ECG, nous remarquons une élongation du QT à 0.52 sec probablement due à l'hypokaliémie (2.6mmol/L) et à la prise d'Escitalopram. La kaliémie se normalise suite à la substitution et l'Escitalopram est mis en pause à partir du 16.06.2018. Les dialyses sont faites le 16.06 et le 19.06 pendant l'hospitalisation. Nous notons une situation difficile à domicile, mais comme le patient refuse toute aide, nous ne pouvons pas installer de soins à domicile. Au vu de la stabilisation de la situation médicale, il rentre à domicile le 20.06.2018. Monsieur Haldemann est un patient de 55 ans qui présente une cholécystite aiguë le 03.06.2018, raison pour laquelle il bénéficie d'une cholécystectomie par laparoscopie. Une cholangiographie peropératoire met en évidence des concréments dans la partie distale cystique qui sont retirés. L'évolution post-opératoire est favorable et le patient rentre à domicile le 06.06.2018. Monsieur Haradinaj est un patient de 25 ans, connu pour des épigastralgies traitées par IPP d'origine indéterminée et pour une anxiété avec suivi psychiatrique, qui consulte aux urgences pour des douleurs épigastriques accompagnées de vomissements suite à une consommation élevée de cannabis. Au laboratoire, nous retrouvons des lipases augmentées. Nous posons le diagnostic d'une pancréatite aiguë sur probable consommation de cannabis. Le suivi laboratoire montre une diminution de la lipase et l'évolution est favorable. Le patient peut rentrer à domicile le 21.06.2018. Monsieur Hass est réadmis aux soins intensifs pour un état d'agitation psychomotrice dans la nuit du 14 au 15.06.2018. Pour rappel, le patient de 75 ans a été hospitalisé aux soins intensifs le 12.06.2018 pour des hématomes sous-duraux bilatéraux, dans le contexte d'une hydrocéphalie à pression normale avec dérivation ventriculo-péritonéale (en février 2018). Il a bénéficié d'une trépanation bilatérale le 13.06.2018 sans complications immédiates, avec deux drainages en place. Au vu d'une bonne évolution postopératoire, M. Hass est transféré à l'étage de neurochirurgie le 14.06.2018. La nuit du 15.06.2018, il présente un état d'agitation psychomotrice, avec hétéro-agressivité, nécessitant une sédation et intubation orotrachéale par la suite. Par la suite, la sédation est levée et le patient est rapidement extubé le 15.06.2018. Le CT cérébral natif du 15.06.2018 montre un statut post-drainage d'hématomes sous-duraux bilatéraux avec nette diminution de leur taille. On note une disparition de l'effet de masse sur le système ventriculaire ainsi que de la déviation de la ligne médiane. Initialement, le patient reste confus, agité, mais sans hétéro-agressivité et désorienté dans les trois modes sur la journée du 15.06. Puis l'évolution est rapidement favorable suite à la mise en place d'un traitement par neuroleptique (olanzapine), permettant l'arrêt de la clonidine IV en continu instaurée pour diminuer l'agitation et l'hypertension artérielle (HTA). L'examen neurologique du 16.06.2018 retrouvait un patient calme collaborant, orienté dans les trois modes, sans déficit focal, ou déficit des paires crâniennes, pas de dysmétrie à l'épreuve doigt-nez. Nous poursuivons un traitement anti-hypertenseur par lisinopril PO 5mg, à réévaluer à distance chez un patient non connu pour une HTA. A noter qu'à la demande du Dr. X, le patient devait avoir un bilan neurologique avec le Dr. X dans le contexte d'une potentielle démence masquée par l'hydrocéphalie. Rediscuter pour prendre un rendez-vous plus rapidement. Au total, état d'agitation bref chez un patient de 75 ans sans étiologie franche, pas de fécalome ou de globe urinaire, ni de troubles somatiques retrouvés. Les facteurs favorisants mis en évidence sont la prise de corticostéroïdes (mis suite à la dexaméthasone), l'âge du patient et la potentielle démence, ainsi que l'hospitalisation. Monsieur Heger consulte les urgences le 01.06.2018 en raison de l'apparition, depuis la veille, de frissons, d'une baisse de l'état général, d'une toux grasse et d'urgences mictionnelles. Il rapporte également des selles molles. Notion de contage (gastroentérite chez une amie). A l'admission aux urgences, le patient est en état général conservé. Il est fébrile à 39,9°C et sature à 88% à l'air ambiant. Au status pulmonaire, râles grossiers prédominant en base gauche et légers râles en base droite. Le status cardiovasculaire est sans particularité. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Au toucher rectal, la prostate est agrandie, indolore. Pas de sang ni méléna au doigtier. Les loges rénales sont souples et indolores. Le laboratoire met en évidence une CRP à 268 mg/l et des leucocytes à 7,5 G/l. Le laboratoire met également en évidence une insuffisance rénale aiguë ainsi qu'une hémoglobine à 87 g/l. Les électrolytes sont alignés. La radiographie du thorax montre un foyer bibasal plus marqué à droite. Nous retenons le diagnostic de pneumonie bibasale. Les hémocultures ainsi que la recherche d'antigènes urinaires reviennent positives. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine IV avec relais par Augmentin per os dès le 12.06.2018 au vu de l'évolution favorable. A noter que la radiographie de thorax de contrôle du 08.06.2018 montre la formation d'un épanchement pleural à droite. Nous vous laissons le soin de revoir le patient en ambulatoire pour contrôle de cet épanchement. Concernant l'anémie normocytaire normochrome hyporégénérative avec hémoglobine à 87 g/l avec l'index réticulocyte à 0.33, nous effectuons un hémofecatest qui revient négatif. Le bilan vitaminique B12, folates, ne montre pas de déficit et il n'y a pas d'argument pour une anémie ferriprive. Nous mettons donc cette anémie dans le contexte de l'état inflammatoire et vous laissons le soin de contrôler le taux d'hémoglobine. Durant le séjour, le patient développe des oedèmes des membres inférieurs, mous, gardant le godet, jusqu'à mi-jambe, possiblement en lien avec l'hydratation mise en place pour l'insuffisance rénale aiguë. L'évolution est favorable après majoration de l'Hydrochlorothiazide à 25 mg. A la sortie, nous maintenons la dose habituelle de diurétiques, le poids est stable à 68 kg. Monsieur Heim nous est adressé par vos soins suite à des troubles de la marche et de l'équilibre dans le cadre d'un syndrome extrapyramidal d'origine peu claire.A noter que le patient est sous traitement neuroleptique pour un syndrome de glissement dans le cadre d'une dépression sévère liée à une situation familiale difficile depuis 6 mois avec une hospitalisation à Marsens pendant 6 semaines. À l'entrée, le patient se plaint d'une péjoration de la marche avec des troubles d'équilibre et une faiblesse au niveau des jambes depuis 6 mois. Il est tombé plusieurs fois (chutes mécaniques selon la fille). Il se plaint également d'une perte d'appétit, perte de poids (8 kg en 4 mois) et troubles du sommeil. Cliniquement, il se présente un patient de 80 ans en état général diminué, hémodynamique stable. A l'examen neurologique il est orienté dans les 3 modes, mais nous notons des troubles légers de la mémoire, une apathie, une hypomimie, une hypo-/bradykinésie des deux côtés, une spasticité bilatérale des membres inférieurs, un syndrome de rou denté des mains droite > gauche, des réflexes palmaires positifs, un Babinski négatif bilatéral, des réflexes symétriquement diminués en BSR et TSR et normovifs en PSR et ASR. La force est conservée dans les 4 membres. En ce qui concerne les troubles de la marche que Monsieur Y présente depuis le traitement neuroleptique pour une dépression sévère, l'état psychique du patient est réévalué durant le séjour. En l'absence de symptômes psychotiques, un MMS à 27.5/30 ainsi qu'un bilan biologique et un ECG dans la norme, une dépression psychotique ou une démence nous semblent peu probables chez ce patient, raison pour laquelle le risperidone est arrêté selon schéma dégressif. Pour diminuer le risque de chute, la lorazépam est également arrêtée. En même temps, nous majorons le traitement antidépressif par mirtazapine. Au cours de l'hospitalisation, une évolution favorable de la marche est constatée. Par contre, le patient présente toujours une apathie et une certaine hypokinésie que notre neurologue, Dr. X, attribue soit à ce syndrome pseudoparkinsonien, soit à une maladie de Parkinson. Une IRM cérébrale d'il y a 6 mois n'explique d'ailleurs pas la symptomatologie actuelle. Le 28.05.2018, une thérapie avec Sifrol 0.25 mg est introduite et majorée à 0.5 mg/j dès le lendemain avec une bonne amélioration de l'hypokinésie, raison pour laquelle ce traitement est maintenu. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution. En raison d'un profil tensionnel bas durant l'hospitalisation, le torasemid est arrêté. D'ailleurs, le Pantozol est également stoppé au vu d'un manque d'indication et chez un patient asymptomatique. Parallèlement, une réhabilitation précoce est initiée dans le but de favoriser un retour à domicile rapide. À l'entrée, le patient se mobilise sans moyen auxiliaire sur 75 m avec des petits pas. Il est capable de monter 9 marches d'escalier sous supervision. Grâce à des thérapies intensives et individuellement adaptées, il améliore sa mobilité et son autonomie. À la sortie, il se déplace sur plus de 500 m de manière autonome avec le rollator et monte 18 marches d'escalier de manière autonome. Au cours de l'hospitalisation, un entretien familial a lieu durant lequel un retour à domicile avec le soutien du Spitex est décidé. D'ailleurs, un passage régulier du Spitex psychiatrique est accepté par le patient. Le 09.06.2018, Monsieur Y peut regagner son domicile en état général amélioré. Monsieur Y a présenté ce jour un épisode de tachycardie atriale, qui selon lui ne serait pas son premier épisode. Le rythme est redevenu sinusal après l'exécution d'un massage carotidien par les ambulanciers. Le laboratoire ne montre pas de trouble électrolytique et le résultat du dosage de la TSH lui parviendra à domicile (doit se trouver un médecin traitant). Cet épisode étant le premier depuis 6 ans, nous n'introduisons pas d'emblée de traitement bêta-bloquant. Nous conseillons des investigations cardiaques supplémentaires en ambulatoire (échographie cardiaque), à organiser avec son médecin traitant, et également de réévaluer l'indication à l'introduction d'un traitement en cas de récidive. Monsieur Y est un patient de 79 ans, connu pour un antécédent d'adénocarcinome de la prostate et une insuffisance rénale chronique, qui se présente au service des urgences pour des douleurs thoraciques oppressives et respiro-dépendantes, accompagnées de dyspnée et de vertiges. Aux urgences, le CT montre un épanchement péricardique et pleural bilatéral. Il est hospitalisé pour surveillance et investigations de ces épanchements. Sur le plan cardiaque, l'échocardiographie transthoracique montre un épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique, épanchement qui reste stable durant l'hospitalisation. Au niveau biologique, nous mettons en évidence un syndrome inflammatoire, qui montre une cinétique rapidement favorable. Une ponction pleurale montre un exsudat et la cytopathologie ne met pas en évidence de cellules malignes suspectes. Les facteurs anti-nucléaires sont à la limite supérieure de la norme. Son hospitalisation se complique par trois épisodes de fibrillation auriculaire, qui se cardioversent spontanément. Nous introduisons un traitement de Beloc Zok dès le 14.06.2018. Une anticoagulation au long cours devra être discutée lors de sa consultation avec Dr. X. En raison d'une anamnèse de fracture atraumatique de côte à gauche, sans substrat radiologique au scanner, et d'une insuffisance rénale chronique lentement progressive, nous dosons les chaînes légères sériques, qui sont normales. Une vitesse de sédimentation ressort également à la limite supérieure de la norme. Le scanner met en évidence des fractures tassement au niveau de la colonne thoracique basse et lombaire. Nous vous proposons donc de compléter les investigations par un bilan d'ostéoporose. Au vu de la stabilité de l'épanchement péricardique, Monsieur Y rentre à domicile le 19.06.2018. Une consultation en cardiologie avec Dr. X est prévue le mardi 26.06.2018. Monsieur Y est un patient de 32 ans que nous suivons pour une hémopéritoine sur lacération hépatique du segment 5 post-appendicectomie du 23.05.2018. Au contrôle à notre consultation du 06.06.2018, le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire à la hausse. Le scanner effectué le même jour montre un hématome surinfecté. Le patient bénéficie d'une pose de drain percutané le 06.06.2018 sous contrôle scannographique et nous débutons une antibiothérapie. L'évolution est lentement favorable. Monsieur Y rentre à domicile le 15.06.2018 avec des soins à domicile pour les rinçages du drain. Monsieur Y est un patient de 32 ans qui a bénéficié d'une appendicectomie le 23.05.2018 avec des suites opératoires sans particularités, qui présente des douleurs en fosse iliaque droite sans amélioration avec la prise de Dafalgan et d'AINS le 28.05.2018. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire augmenté et une hémoglobine qui a baissé (DD en cadre post-opératoire) et le scanner montre un hémopéritoine sur lacération hépatique du segment 5. Nous hospitalisons le patient pour une surveillance. L'évolution est favorable avec une hémoglobine stable et un syndrome inflammatoire à la baisse. Le patient rentre à domicile le 01.06.2018. Monsieur Y est un patient de 74 ans en bonne santé habituelle que vous nous adressez pour une infection urinaire haute. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire important (CRP 192 mg/l) ainsi qu'une acutisation AKIN 1 de la fonction rénale. Des hémocultures reviennent positives pour un Escherichia Coli multisensible. L'évolution clinico-biologique est rapidement favorable sous antibiothérapie par Ceftriaxone (Rocéphine), qui peut être changée pour de la Ciprofloxacine. Nous préconisons une durée totale de traitement de 14 jours.A noter que la péjoration de la prostate n'était pas douloureuse. Nous conseillons tout de même un contrôle urologique. Monsieur Ihringer rentre à domicile le 20.06.2018. Monsieur Ihringer est un patient de 74 ans en bonne santé habituelle, sans comorbidité connue, qui présente depuis dimanche 17.06.2018 une dysurie, une pollakiurie et une incontinence urinaire avec état fébrile associé. Le 18.06.2018, il consulte son médecin traitant qui lui donne un traitement de ciproxine 500 mg. Le patient frissonne dans la nuit à 3h du matin. Il ne reprend pas de comprimé de ciproxine pensant que les frissons sont dus au médicament. Il retourne chez son médecin traitant qui constate une insuffisance rénale (la créatinine étant passée de 90 à 119 en un jour), une leucocytose à 19 G/L et une CRP à 170. Il est envoyé aux urgences par son médecin traitant qui le réfère pour une hospitalisation. Monsieur Jacquet, connu pour une insuffisance cardiaque valvulaire et rythmique avec bradycardie et une HTA avec pics hypertensifs, est hospitalisé de manière élective dans notre service de médecine afin de bénéficier d'une pose de pacemaker-défibrillateur le 28.06.2018. L'intervention et l'hospitalisation se déroulent sans complications. L'anticoagulation est réintroduite le 29.06.2018. Monsieur Jacquet peut rentrer à domicile le 29.06.2018. Monsieur Jaquet est hospitalisé dans le contexte d'un épanchement pleural à gauche d'origine indéterminée et une infection possiblement urinaire. Le patient, avec une BPCO et un statut post-carcinome de la prostate, souffre d'une dyspnée à l'effort depuis 2-3 semaines et d'une douleur thoracique latérale à gauche avec irradiation vers l'épaule surtout en respirant et se mobilisant. Un état fébrile à plusieurs reprises et une dysurie étaient également mentionnés. L'examen clinique montre un patient de 79 ans en état général conservé, normocarde, normotendu, afébrile. L'auscultation pulmonaire montre une hypoventilation à gauche, la radiographie met en évidence un épanchement pleural unilatéral. Il est ponctionné aux urgences, les analyses montrent du liquide hémorragique chez un patient qui est sous anticoagulation thérapeutique, mais qui n'a pas pris son traitement pendant 3 jours. Au laboratoire, on confirme un syndrome inflammatoire et une leucocyturie. Le patient bénéficie d'un traitement antibiotique par Rocéphine pour couvrir une infection sur diagnostic différentiel d'un foyer pulmonaire ou urinaire, et d'une physiothérapie respiratoire ainsi qu'un traitement antalgique. Une valeur de PSA dans la norme permet d'exclure une récidive du cancer de la prostate. La cytologie montre un processus inflammatoire sans cellules suspectes de malignité. L'évolution est favorable par rapport aux douleurs, une désaturation à l'effort et une légère insuffisance respiratoire partielle persistent. Un contrôle radiologique montre une augmentation de l'épanchement pleural, nous motivant à effectuer un CT thoracique, qui met en évidence une pneumonie à gauche avec un épanchement para-pneumonique, puis l'évolution d'une atélectase à gauche. Car le syndrome inflammatoire persiste malgré le traitement avec Ceftriaxone et le patient souffre de températures sous-fébriles, nous changeons le traitement antibiotique par Ciprofloxacine plus Clarithromycine le 15.06.2018 et par Co-Amoxicilline dès le 19.06.2018. Une deuxième ponction pleurale ne draine plus que 240 ml de liquide. Nous décidons d'effectuer un traitement de cortisone en schéma dégressif avec finalement une bonne évolution clinique et biologique, montrant des saturations à l'air ambiant suffisantes et la disparition du syndrome inflammatoire. Une intervention chirurgicale dans le sens d'un drainage thoracique ou d'une décortication est discutée à plusieurs reprises. Comme le patient préfère pouvoir rentrer et le CT thoracique du 27.06.2018 montre une nette amélioration de la pneumonie et de l'épanchement, nous décidons de le laisser rentrer avec maintien d'un traitement antibiotique et corticoïde prolongé jusqu'au 06.07.2018. Un nodule postérieur du lobe supérieur gauche de 7,5 mm et un anévrisme de l'aorte ascendante de 45 mm sont à contrôler dans 3-6 mois. Le patient est informé sur le nodule, possiblement malin, il ne veut pas d'autres investigations supplémentaires pour le moment. Concernant les fonctions pulmonaires, effectuées par les pneumologues pendant l'hospitalisation, on trouve une BPCO GOLD I sans besoin d'une corticoïde inhalatoire. Nous échangeons de Seretide et Spiriva par Ultibro Breezhaler. Un suivi pneumologique n'est pas forcément nécessaire si le patient reste asymptomatique. Concernant la dysurie, l'urotube reste négatif, un ultrason post-mictionnel montre une rétention d'environ 150 ml d'urine. Il est décidé ensuite de débuter un traitement par Pradif avec une amélioration significative des signes cliniques, que nous interprétons dans le contexte d'une probable hyperplasie de la prostate. Le bilan d'une anémie, probablement dans le contexte d'un processus inflammatoire, montre également un déficit en vitamine B12, nous débutons une substitution intramusculaire pendant l'hospitalisation. Le patient rentre à domicile le 27.06.2018. Monsieur Jaquet est un patient de 52 ans en bonne santé habituelle, hospitalisé dans le service d'orthopédie en vue de l'implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche, intervention effectuée par le Dr. X le 11.06.2018. Les suites opératoires sont simples, le patient reprenant une mobilisation en charge selon douleurs dès le premier jour post-opératoire, y compris dans les escaliers, sous protection de cannes anglaises. Le suivi biologique et radiologique atteste de l'absence de complications post-opératoires immédiates et Monsieur Jaquet peut retourner à domicile le 15.06.2018. Il bénéficie d'une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Monsieur Jomini est un patient de 71 ans, connu pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, qui est retrouvé couché sur le sol par son amie le 07.06.2018. Il ne présente pas de trouble de l'état de conscience et il rapporte avoir chuté la veille au matin en voulant attraper un objet et être resté au sol pendant 24 heures. Le patient aurait également présenté un hémisyndrome moteur gauche évoluant depuis 48 heures avant sa chute. Le bilan initial confirme la présence d'un hémisyndrome moteur gauche. Le CT cérébral met en évidence un hématome sous-dural droit chronique avec compression et début d'engagement. Une prise en charge neurochirurgicale permet un drainage de l'hématome par craniotomie sous anesthésie locale le 07.06.2018. Le drain est enlevé à J-2. L'évolution postopératoire est tout à fait favorable avec des surveillances neurologiques toujours en ordre et une disparition de l'hémisyndrome. En attente d'une place en réhabilitation gériatrique à Billens, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Jungo, connu pour un antécédent de carcinome pulmonaire mixte, de type adénocarcinome bien différencié avec un résidu de carcinome bronchiolo-alvéolaire du lobe inférieur droit stade pT1 R0 G1 et une BPCO stade II, sous oxygénothérapie 2 litres à domicile, consulte les urgences le 26.05.2018 en raison de l'apparition depuis le 15.05.2018 d'une dyspnée NYHA 4 apparue progressivement sans autre symptôme associé (pas de douleur rétrosternale, pas d'expectoration), mais avec un état fébrile et des frissons. A noter que dans ce contexte le patient vous consulte le 24.05.2018 et vous débutez une antibiothérapie par Moxifloxacine, qu'il arrête après 2 prises en raison de tremblements.A l'admission aux urgences, tension artérielle 82/50 mmHg, fréquence cardiaque 110/min, fréquence respiratoire 22/min, température 39°C et saturation à 91% sous 2 litres d'oxygène. Au status cardiovasculaire, les bruits sont lointains sans souffle perçu. Présence d'oedèmes des membres inférieurs bilatéraux. Les pouls périphériques sont perçus. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Les mollets sont souples et indolores. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est diminué de manière diffuse. Légères sibilances aux bases. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire mais une insuffisance rénale et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer franc. Nous suspectons une exacerbation de BPCO stade 2 connue, probablement sur virose avec 1/3 critères d'Anthonisen (dyspnée nouvelle). Concernant l'insuffisance rénale, le patient est hydraté et nous mettons en suspens le traitement par Torasémide et Co-Aprovel. L'ECG ne retrouve pas de signe évoquant une atteinte coronarienne. Mr. Jungo est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. La recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque ainsi que les hémocultures reviennent négatives. Sous hydratation iv, la fonction rénale se normalise et le traitement mis en suspens est repris. Durant le séjour, le patient reste hémodynamiquement stable et ne présente pas de signe de surcharge malgré la prise de 2 kg. Nous vous recommandons de réévaluer à distance la reprise du traitement diurétique. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Jungo peut regagner son domicile le 29.05.2018. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X, pneumologue traitant, est agendé pour le 04.07.2018. Mr. Kaelin, 68 ans, connu pour un antécédent d'otite externe maligne bilatérale en mars dernier, est hospitalisé pour une paralysie faciale droite d'origine périphérique. Le patient consulte le service des urgences le 25.06.2018 pour une otalgie droite sévère apparue dans la journée, suivie d'une paralysie faciale droite progressive avec une hypoesthésie, une dysgeusie, une béance de la fermeture buccale et palpébrale droite. A l'examen clinique, nous observons également une douleur marquée à la palpation mastoïde. L'imagerie ne montre pas de lésion vasculaire mais une otite moyenne avec mastoïdite associée à un phlegmon péri-mastoïdien avec un réhaussement inflammatoire du nerf facial. La ponction lombaire est sans particularité. Les PCR HSV et VZV dans le LCR reviennent négatives et les sérologies herpétiques et de Lyme montrent des infections anciennes. Nos collègues ORL mettent en évidence un polype dans le conduit auditif externe droit qui est mis à plat. Nous débutons une corticothérapie, des larmes artificielles ainsi qu'un traitement antibiotique et antiviral. Le patient sera vu par les ophtalmologues le 29.06.2018 pour une évaluation et bénéficiera d'un suivi ORL en ambulatoire. Il peut rejoindre son domicile le 28.06.2018. Mr. Kaeser est hospitalisé en élective le 29.06.2018 pour l'embolisation d'une endofuite d'anévrisme aortique abdominal après échec d'une dernière embolisation le 19.06.2018. L'examen clinique montre un patient en état général conservé sans résultat pathologique. L'intervention se passe sans complications, la surveillance clinique reste sans particularité. Mr. Kaeser rentre à domicile le 30.06.2018, il sera convoqué en ambulatoire pour un CT et un rendez-vous en chirurgie vasculaire. Mr. Kahabdian est hospitalisé le 08.06.2018 dans le contexte d'une hyponatrémie hypoosmolaire modérée. Pour rappel, Mr. Kahabdian est suivi par le Dr. X pour un carcinome épidermoïde moyennement différencié hilaire droit, classé cT3 cN2 cM0, stade IIIA, diagnostiqué début mai de cette année. Il a été inclus dans l'étude SAKK 16/14 (chimio- + immunothérapie néo-adjuvantes) à visée curative par Platinol et Taxotere. Lors de sa consultation chez le Dr. X le 08.06.2018, cette dernière met en évidence une hyponatrémie hypoosmolaire modérée dans le contexte de diarrhées profuses, raison pour laquelle il est décidé d'une hospitalisation. Suite à l'introduction d'une hydratation intraveineuse, la natrémie se corrige progressivement. La recherche de pathogènes dans les selles s'avère négative et les diarrhées s'estompent rapidement. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Kahabdian rentre à domicile le 12.06.2018, avec un rendez-vous de prévu en oncologie le 15.06.2018. Mr. Kamenarov, 43 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc cardiogénique sur un STEMI sur occlusion aiguë des trois vaisseaux. Le patient, connu pour un diabète insulino-requérant, une hypertension, une dyslipidémie et tabagisme actif, consulte ce matin les urgences de Meyriez pour des douleurs thoraciques typiques avec notion de 2 syncopes. Après la mise en évidence d'un STEMI avec sus-décalages en inférieur et latéral, le patient est transféré à l'HFR Fribourg. La coronarographie met en évidence une occlusion aiguë de l'artère circonflexe, de l'IVA moyenne et de la coronaire droite. Un stent est mis dans la coronaire droite et dans la circonflexe. Un pacemaker endoveineux est mis en place par abord fémoral droit dès le début de l'intervention en raison d'un BAV complet hémodynamiquement mal toléré. Durant la procédure, un passage en TV nécessite un choc externe avec succès. Devant une dysfonction ventriculaire gauche et un flux coronarien médiocre (TIMI I à II), un ballon de contre-pulsion intra-aortique est mis en place en fémoral droit. Le patient est mis sous noradrénaline et transféré aux soins intensifs. Au vu de l'occlusion aiguë tri-tronculaire, de l'Abciximab est introduit durant 12 heures. La FEVG est estimée à 40% sur le contrôle échocardiographique post-coronarographie. En raison de la persistance d'un état de choc cardiogénique, un traitement par Dobutamine est débuté le 29.05.2018, permettant d'améliorer le débit cardiaque. Une échocardiographie le 29.05.2018 montre une péjoration de la fonction cardiaque initiale probablement sur sidération myocardique. Le pacemaker est enlevé le 29.05.2018, le patient n'ayant pas récidivé de troubles du rythme. L'évolution est finalement favorable, le ballon de contre-pulsion peut être ablaté le 01.06.2018 et les amines sevrées le 02.06.2018. Au vu d'une affection tri-tronculaire thrombotique, une échocardiographie transoesophagienne sera à effectuer dès que possible à la recherche d'une origine thrombo-embolique. Un bilan de thrombophilie est également en cours, nous laissons le soin à nos collègues de l'étage de médecine de pister le bilan. Le traitement d'Aspirine Cardio, de Prasugrel, et IEC introduit devra être poursuivi. Un contrôle ambulatoire auprès d'un cardiologue devra être organisé, tout comme possiblement une réadaptation cardiovasculaire. Mr. Kamenarov présente des diarrhées le 28.05.2018 puis des vomissements avec présence de sang. Dans le contexte du bas débit initial, une ischémie mésentérique sur bas débit dans le contexte du choc est suspectée. Un traitement par Pantozol intraveineux en continu est initié le 29.05.2018. L'évolution est favorable sans récidive de diarrhée ou de vomissement, le traitement par Pantozol est stoppé le 02.06.18. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour une broncho-aspiration, le patient ayant fait une fausse route. Il n'y a pas de récidive et l'évolution est favorable.L'insuffisance rénale aiguë secondaire au choc cardiogénique se corrige rapidement. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient est transféré en médecine le 03.06.2018. Monsieur Kathiravel, 49 ans, est connu pour une cardiopathie dilatée avec dysfonction systolique sévère d'origine indéterminée et une néphropathie diabétique dialysé 3x par semaine, qui se présente aux urgences après un épisode de perte de connaissance à l'emporte-pièce avec traumatisme crânien. Un ami, présent lors de l'événement, estime la durée de la perte de connaissance à environ 1 minute, avec des tremblements des extrémités distales supérieures et un réveil rapide sans symptôme neurologique. Le patient rapporte une toux sans expectorations depuis 2 semaines, avec syndrome descendant, avec une dyspnée habituelle de stade II selon NYHA. À savoir que le patient a présenté un important accident de voiture le 17.06.2018, où il rapporte une syncope dans les suites d'une quinte de toux, raison de la perte de maîtrise du véhicule. Pour rappel, lors de son hospitalisation il y a 3 mois pour une syncope convulsivante, un bilan neurologique avec EEG revient dans la norme, sans argument pour une épilepsie. À son admission, TA 147/91 mmHg, FC 101 bpm, FR 21/min, SpO2 100% à l'air ambiant, T°C 35.9. Le status clinique met en évidence un état général conservé, le status clinique et biologique est rassurant. Au vu du traumatisme crânien, un CT scanner cérébral est réalisé le 21.06.18 qui met en évidence un hématome sous-dural à la convexité droite fronto-temporale de 2 mm ne nécessitant pas d'intervention après avis des neurochirurgiens. Durant son hospitalisation, le patient présente 3 épisodes de syncopes sur effort de toux. Des signes de bronchite sont retrouvés au CT scanner thoracique réalisé lors du bilan d'entrée. Un traitement symptomatique permet une évolution favorable. Un bilan de syncope est réalisé sur le séjour, avec un ECG sans troubles rythmiques, sans bloc atrioventriculaire, sans signes d'ischémie aiguë. L'échocardiographie transthoracique est inchangée avec une dilatation du ventricule gauche avec hypertrophie excentrique et une FEVG à 27%, sans anomalie valvulaire. Un Schellong revient positif. Le Holter ne retrouve pas de trouble du rythme. Nos cardiologues consultants proposent la pose d'un pacemaker-défibrillateur en raison de l'insuffisance cardiaque systolique sévère (risque de mort subite), que le patient refuse pour le moment, ayant besoin de temps pour en discuter avec sa famille au Sri Lanka. Le patient accepte la pose du Reveal (moniteur ECG implantable), qui est réalisé le 28.06.2018. Sur le séjour, nous sollicitons un avis neurologique à la demande des néphrologues consultants qui ne retiennent pas d'argument neurologique, ainsi qu'un avis pneumologique avec une contre-indication actuelle en raison du risque de syncope sur Valsalva et de sa bronchite. Cependant, les pneumologues restent à disposition pour la réalisation des fonctions pulmonaires à distance de l'infection en cours, au vu du tabagisme actif. Nous laissons le soin aux néphrologues traitants de reprendre avec les pneumologues si besoin. Nous laissons le soin à nos collègues néphrologues de refaire les pansements les jours de dialyse, et d'enlever le point de suture à J10, soit le samedi 07.08.2018. Une dermabrasion croûteuse au niveau tibial antérieur droit post-AVP est à surveiller lors de la dialyse. Au vu de l'évolution clinique favorable avec absence de récidive des syncopes, Monsieur Kathiravel rentre à domicile le 29.06.2018. Nous rappelons au patient que la conduite automobile est proscrite. Monsieur Kilchoer est un patient de 40 ans avec status post-procto-colectomie et confection d'un J-pouch iléal le 01.12.2017 pour un adénocarcinome du haut rectum dans le contexte d'une RCUH. La décision initiale en post-opératoire au vu de l'histologie était de procéder à une chimiothérapie adjuvante, qui n'avait cependant pas pu être effectuée au vu d'une complication post-opératoire avec infection de la paroi et éventration de cette dernière, traité avec une pose de filet et fermeture de paroi. Au vu de l'absence de récidive tumorale et de l'intervalle actuellement trop long pour obtenir un avantage de la chimiothérapie adjuvante, la chimiothérapie n'est pas effectuée. Au vu de l'évolution favorable, Monsieur Kilchoer bénéficie le 07.06.2018 d'une fermeture d'iléostomie avec révision de plaie. L'opération se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables avec une bonne reprise du transit. Le patient peut rentrer à domicile le 15.06.2018. Monsieur Klaus est un patient de 74 ans, connu pour un status post-iléostomie de décharge en fosse iliaque droite, un status post-chimiothérapie et un status post-résection oncologique du recto-sigmoïde suite à un adénocarcinome moyennement différencié du rectum, qui revient chez nous pour une fermeture d'iléostomie le 30.05.2018. Les suites opératoires sont sans complication avec une bonne reprise de l'alimentation et du transit. Le patient peut rentrer à domicile le 04.06.2018. Monsieur Koenig présente en premier lieu un kyste arthro-synovial, faisant éventuellement suite à une fracture de l'os capitulum non déplacée datant de 2017. Je propose de compléter le bilan par une IRM injectée afin de préciser la situation, ainsi que l'extension de la lésion. Un rendez-vous est programmé suite à cet examen afin de discuter de la suite du traitement. Monsieur Kolly, connu notamment pour une fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée, sous Meto Zerok 200 mg et Nifédipine 20 mg retard, ainsi que pour une maladie du sinus avec pose de pacemaker-défibrillateur en 2014, avec un dernier contrôle la semaine passée chez le Dr. X qui était dans la norme, consulte les urgences le 31.05.2018 en raison d'une fréquence cardiaque rapide et d'une sensation de malaise mal définie, sans vertige rotatoire, perte de connaissance, trouble visuel ni déficit sensitivomoteur. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. À l'admission aux urgences, le patient est hypotendu à 110/84 mmHg et tachycarde à 148/min, index de choc positif et saturation à 95% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, pas de souffle cardiaque ni carotidien, pas d'œdème des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Le reste du status d'entrée est sans particularité. L'ECG montre une tachycardie à complexes QRS fins à 146/minute. Un massage du sinus carotidien reste sans effet. L'administration de 6 mg d'adénosine permet un ralentissement transitoire de la fréquence cardiaque, permettant l'identification d'un flutter auriculaire. Le contrôle de la fréquence cardiaque sera ensuite obtenu sous Diltiazem, suivi ultérieurement d'une cardioversion. Le bilan biologique montre une insuffisance rénale chronique avec une clairance à 33 ml/minute, sans acutisation et la radiographie du thorax montre une cardiomégalie sans signe clair de décompensation cardiaque. Monsieur Kolly est hospitalisé avec poursuite du traitement de Diltiazem 60 mg 3x/jour. Nous contactons le Dr. X, cardiologue, qui retient le diagnostic de flutter auriculaire paroxystique typique et anti-horaire. À l'étage de médecine, un contrôle ECG montre un rythme sinusal à 75/min sans autre particularité. Nous diminuons le Diltiazem à 60 mg 2x/jour, le patient étant déjà sous Beloc Zoc 200 mg. Le CHADS-VASC score est à 4 et le HAS-BLED score est à 3 et nous introduisons dès le 04.06.2018 une anticoagulation orale par Eliquis 2.5 mg 2x/jour, en tenant compte de son âge et de la fonction rénale. Pendant le séjour, nous mettons en pause le traitement anti-diabétique de Gliclazide qui est repris à la sortie à dose rénale de 30 mg par jour. Les contrôles glycémiques sont dans la limite de la norme durant le séjour en médecine.L'évolution étant favorable, Monsieur Kolly peut regagner son domicile le 06.06.2018 et poursuivra son suivi cardiologique chez son cardiologue traitant. Monsieur Kolly, patient de 77 ans connu pour une transplantation hépatique en 2005 pour cirrhose hépatique d'origine alcoolique, est admis par l'hôpital de Riaz pour suite de prise en charge d'un AVC bulbaire. L'anamnèse révèle l'apparition d'une hypoesthésie du membre supérieur droit d'apparition brutale à 3h du matin le 22.05.2018, qui réveille le patient. Le patient relate une latéropulsion vers la droite dès 6h du matin lors du réveil pour laquelle il consulte aux urgences. Aux urgences, le NIHSS se révèle être à 3 points en raison de l'atteinte sensitivo-ataxique à droite avec une ptose labiale mineure à droite. Le CT cérébral et IRM cérébrale effectuée à Riaz confirment un AVC ischémique aigu bulbaire postéro-latérale droite dans un contexte d'occlusion thrombotique de l'artère vertébrale droite (V3-4). Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique confirme une évolution favorable. Nous constatons une latéropulsion vers la droite persistante lors de la première mobilisation, compatible avec l'atteinte olivo-cérébelleuse ischémique. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. En cas d'examen non-contributif, il est proposé de compléter par un R-Test sur 7 jours chez ce patient connu pour un épisode unique de FA en 2005. Le duplex des vaisseaux précérébraux confirme une athéromatose carotidienne sans sténose hémodynamiquement significative. L'étiologie de l'AVC demeure donc à l'instant indéterminée avec un DD en premier lieu artério-artérielle vs cardio-embolique. Au décours de l'hospitalisation, le patient développe des crises de hoquet que nous mettons en lien avec une atteinte du noyau du tractus soltaire au niveau bulbaire. L'évolution est favorable suite à l'introduction de Gabapentine. En cas de persistance ou péjoration, nous vous proposons un changement médicamenteux par l'introduction de Haldol à faible dose avec suivi rapproché des tests hépatiques. Sur le plan médicamenteux, une double anti-agrégation est introduite, à poursuivre pendant 1 mois, suivie de Plavix 75 mg/j seul. Un traitement hypolipémiant est introduit avec suivi rapproché des tests hépatiques. Sur le plan biologique, nous décelons une perturbation légère globale des tests hépatiques. Nous procédons à une adaptation médicamenteuse par la mise en suspens de Metformine et diminution de l'Allopurinol. Le suivi biologique confirme une stabilisation. Un taux de Tacrolimus est à effectuer. Un suivi annuel est prévu au CHUV le 13.06.2018. Comme autre perturbation biologique, nous décelons une acutisation de la fonction rénale dans un contexte de néphropathie à IgA. L'évolution est rapidement favorable. Sur le plan clinique, Monsieur Kolly présente une tuméfaction paracervicale bilatérale prédominante au niveau sous-claviculaire gauche compatible avec une lipomatose bilatérale. Nous ne proposons pas de sanction thérapeutique à l'heure actuelle. En vue du contexte de l'hépatopathie, une surveillance est indiquée en cas de distribution proximale de la graisse avec plus d'arguments en faveur d'un syndrome de Madelung. Le bilan neuropsychologique met en évidence une apraxie constructive avec un MOCA à 25/30. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Le patient est transféré à Meyriez à but d'effectuer de la neuroréhabilitation intensive. À l'examen de sortie, prédomine la persistance d'un syndrome cérébelleux statique droit et un syndrome Horner droit. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Kovaqi est un patient polyvasculaire de 64 ans qui se présente en raison de douleurs abdominales d'apparition progressive la nuit même, avec nausées et état fébrile. Le laboratoire montre une perturbation des tests hépatiques (cytolyse et cholestase) et le CT abdominal révèle des concrétions dans le bas-fond du cholédoque ainsi qu'un terrain vasculaire avec infarctus splénique et majoration de l'extension de l'occlusion de l'artère mésentérique supérieure avec présence de collatérales. Selon avis chirurgical, il n'y a pas d'argument pour une ischémie mésentérique aiguë. Un diagnostic de bactériémie à Escherichia Coli multisensible dans un contexte de cholangite avec cholédocholithiase est retenu, motivant l'introduction d'une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl. Une cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique (ERCP) est réalisée le 21.06.2018 avec sphinctérotomie biliaire, lithotripsie mécanique et pose d'un stent double Pigtail. L'évolution clinico-biologique est favorable, permettant un relais antibiotique par Ciproxine dès le 25.06.2018. Le patient sera convoqué pour une ERCP de contrôle à un mois. Monsieur Kovaqi rentre à domicile le 26.06.2018. Monsieur Kraehenbuehl, connu pour les antécédents susmentionnés, est amené aux urgences en ambulance le 11.06.2018 en raison d'une baisse de l'état général avec anurie depuis 3 jours et hypotension autour de 100 mmHg à domicile. Le patient consulte le médecin de garde le 30.05.2018 en raison d'une dysurie dans un contexte de brûlures mictionnelles au niveau de la verge (en présence d'un écoulement) et une antibiothérapie par ciprofloxacine 500 mg 2x/j est introduite, puis stoppée le 07.06.2018 en raison du manque de bénéfice. À noter que dès le deuxième jour d'antibiothérapie, le patient développe des diarrhées très sévères. Notion de vomissement la veille de l'hospitalisation (4 épisodes de couleur très liquide et notion de selles plus diarrhéiques dans la poche depuis 2 jours). Il signale également des frissons ainsi qu'une anurie très importante depuis 3 à 4 jours. À noter un changement thérapeutique récent par Bilol et hydrochlorothiazide. À l'admission aux urgences, Monsieur Kraehenbuehl est hypotendu et afébrile. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles crépitants aux deux bases. Au toucher rectal, la prostate est agrandie et douloureuse à la palpation. La force et le tonus sont conservés, pas de selle au doigtier. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine prérénale sur insuffisance rénale chronique avec créatinine à 1267 mmol/l et urée à 43.8 mmol/l ainsi qu'une hyperkaliémie à 6.5 mmol/l, une hyponatriémie à 126 mmol/l et une leucocytose à 13.6 G/l. Le sédiment urinaire montre une pyurie ainsi qu'une microhématurie importante, avec une glycosurie et une protéinurie. La gazométrie montre une acidose métabolique à 7.16 avec des bicarbonates à 6 mmol/l. L'urotube est négatif. Nous posons une sonde vésicale qui ramène au total 90 ml d'urines en 8 heures. Nous effectuons un ultrason des voies urinaires qui ne montre pas d'obstruction ni de dilatation. Concernant l'hyperkaliémie, nous administrons 10 unités d'actrapid dans 500 ml de G10. Aux urgences, nous administrons au total 2500 ml de NaCl, puis des bolus de 250 ml. Le patient tolère bien l'hydratation que nous adaptons progressivement, sans montrer de signe de surcharge. En ce qui concerne la prostatite, nous administrons 1000 mg de Rocéphine iv du 12 au 15.06.2018 que nous arrêtons en raison de l'absence de symptôme. Nous demandons un avis à Dr. X, néphrologue, qui propose de poursuivre l'hydratation en bolus de 250 ml.Monsieur Kraehenbuehl est hospitalisé à l'ELM pour surveillance rythmique et hémodynamique. Les gazométries de contrôle montrent une diminution progressive de l'acidose métabolique et de l'hypocapnie, ainsi qu'une graduelle augmentation des bicarbonates. La fonctionnalité rénale se corrige progressivement. Au deuxième contrôle laboratoire, nous mettons en évidence une hyperphosphatémie à 2.04 et sur avis de la Dr. X, nous n'introduisons pas de traitement chélateur. Le laboratoire met également en évidence un potassium à 5,3 mmol/l qui se corrige après administration de Résonium 15 g 3x/jour. La sonde urinaire est retirée le 16.06.2018 sans complication. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'introduction d'un traitement anticholinergique afin d'améliorer la symptomatologie en lien avec l'hypertrophie prostatique. Au vu d'une rougeur apparue autour de la poche de stomie, nous demandons l'avis de la stomatothérapeute qui règle un problème de fuite. L'évolution étant favorable, Monsieur Kraehenbuehl peut regagner son domicile le 19.06.2018. Monsieur Kraehenbuehl, 81 ans connu pour une cardiopathie ischémique et hypertensive, a été hospitalisé du 24 au 31 mai 2018 pour un mal perforant plantaire. Il est amené en ambulance en raison d'une dyspnée en péjoration depuis la veille accompagnée d'une douleur rétrosternale constrictive. À son arrivée aux urgences, le patient bénéficie d'une ventilation non invasive et d'un traitement diurétique par Lasix 40 mg. Monsieur Kraehenbuehl, 81 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et hypertensive, est hospitalisé pour un OAP accompagné d'une douleur rétrosternale constrictive. À l'entrée, on note une insuffisance rénale aiguë avec hyperkaliémie. Le patient est admis dans ce contexte aux soins intensifs. La kaliémie est rapidement corrigée avec un traitement par insuline i.v. continu et glucose. Le patient bénéficie de ventilation non invasive et de diurétiques i.v. qui permettent une évolution rapidement favorable sur le plan respiratoire. Concernant les douleurs rétrosternales, la coronarographie de 2016 avait mis en évidence une occlusion des vaisseaux natifs et des atteintes sévères des pontages nécessitant une prise en charge chirurgicale que le patient avait refusée. Il avait donc été décidé d'un traitement conservateur. Son traitement antiangineux est poursuivi. Son traitement anti-hypertenseur est réintroduit progressivement selon le profil tensionnel et la fonction rénale. Le Lisinopril est arrêté en raison de la péjoration de la fonction rénale et de la kaliémie. Nous vous laissons le soin de réévaluer ce traitement en ambulatoire. Concernant son ulcère du talon, un bilan angiologique du membre inférieur gauche réalisé durant son hospitalisation se montre satisfaisant. Selon avis de nos confrères orthopédistes, nous continuons le traitement instauré à Berne et organisons la suite de la prise en charge à Tafers. Une adaptation de son traitement diabétique est effectuée par le service de diabétologie durant son hospitalisation. Les doses d'insuline sont diminuées en raison de nombreuses hypoglycémies. Nous vous laissons le soin de réévaluer les dosages selon le profil glycémique. Nous expliquons au patient de se peser tous les jours, de prendre une réserve de 10 mg de Torem en plus d'une dose de 10 mg en fixe en cas de prise de poids et de prendre un rendez-vous à votre consultation. Le patient peut regagner son domicile le 20.06.2018. Monsieur Kraehenbuehl est admis aux soins intensifs pour un OAP sur probable pic hypertensif le 04.06.2018. Le patient, connu pour une cardiopathie ischémique et hypertensive, a été hospitalisé du 24 au 31 mai 2018 à Tavel pour ulcère du talon avec débridement et pose de VAC. Lors de ce séjour et en raison de l'aggravation de la fonction rénale, certains traitements anti-hypertenseurs ont été arrêtés. Il est admis aux urgences en raison d'une dyspnée en péjoration depuis la veille accompagnée d'une douleur rétrosternale constrictive. Les enzymes cardiaques sont positives. L'ECG ne montre pas de modifications électriques. Un traitement par ventilation non invasive, TNT et Lasix est initié d'emblée avec disparition des douleurs et amélioration de la dyspnée. Une échocardiographie transthoracique est superposable aux précédentes. Dans ce contexte et compte tenu du fait que le patient présente une cardiopathie ischémique non reperfusable (échec en 2017), l'indication à une coronarographie n'est pas retenue par nos collègues de cardiologie. L'étiologie la plus probable de l'OAP serait une origine hypertensive suite à l'arrêt d'une partie des traitements anti-hypertenseurs et la présence concomitante d'une dysfonction diastolique modérée. Dans le cadre d'une insuffisance rénale en péjoration depuis quelques jours, le patient présente une hyperkaliémie qui se corrige suite à une perfusion d'insuline et de glucose. Le VAC sur l'ulcère du talon à gauche est changé le 05.06.2018. Nous effectuons un frottis de la plaie. Les stomathérapeutes sont avertis. Nous vous prions de suivre les paramètres inflammatoires dans les prochains jours. M. Kraehenbuehl est transféré en division de médecine le 05.06.2018. Monsieur Krattinger, 83 ans, a été admis suite à une intoxication accidentelle à des champignons indéterminés compliqués de troubles de l'état de conscience. Le patient a été retrouvé chez lui le jour de son admission avec des troubles de l'état de conscience quelques heures après avoir ingéré des champignons que son épouse croyait comestibles. La veille, son épouse a cueilli comme à son habitude et servi 3 sortes de champignons dont elle ne connaît pas exactement l'espèce. Le lendemain, le couple a consommé les restes de la veille en rajoutant de nouveaux champignons fraîchement cueillis, avant de développer les symptômes. Un voisin, inquiet par leur comportement, a averti les ambulanciers. L'état du patient est favorable après un traitement par benzodiazépines de courte durée. Il n'a développé aucune atteinte d'organe. Dans l'éventualité d'une intoxication à l'amanite phalloïde, un traitement par charbon activé, N-acétyl-cystéïne et silibinine a été débuté en attendant les résultats du dosage de l'amanitine qui étaient négatifs, permettant l'arrêt du traitement. Une légère baisse transitoire du fibrinogène à 1.7 g/l a été mise en évidence et s'est spontanément corrigée après quelques heures, faisant suspecter une interférence analytique avec les traitements administrés. Un effet secondaire isolé de l'intoxication aux champignons semble peu probable en l'absence d'autres troubles hépatiques. Un traitement de Labétalol iv continu a été nécessaire afin de traiter une crise hypertensive. Le traitement habituel peut rapidement être repris. Une décompensation diabétique hyperglycémique a nécessité un traitement d'insuline IV en continu suivi d'une reprise du traitement habituel. Le patient a des hyperglycémies répétées depuis une semaine (moyenne de 19 mmol/l sur les 7 derniers jours). Après avis du Dr. X, endocrinologue traitant, et vous-même, un contrôle est agendé au jeudi 21.06.2018 à votre consultation. Le patient est retourné le 19.06.2018 à domicile, accompagné de son épouse et sa famille. Monsieur Kul est connu pour une sténose serrée de l'urètre pénien avec statut post-pose d'un Cystofix en février 2017 et connu également pour une prostatite chronique avec rétention urinaire aiguë. Après une urétroscopie et une urétrographie rétrograde réalisées au cabinet, le Dr. X retient l'indication opératoire. Le patient est réhospitalisé le 13.06.2018 en vue d'une double urétrotomie interne et ablation d'un fragment de lithiase, intervention qui se déroule le 13.06.2018. Une double urétrotomie interne est réalisée, permettant la section de deux sténoses serrées au tiers distal de l'urètre et l'ablation d'un calcul urinaire.Les suites opératoires sont simples, le patient est afébrile et l'antalgie est efficace. Monsieur Kul bénéficie d'une antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour, à poursuivre jusqu'au 28.06.2018 inclus. Devant la bonne évolution, Monsieur Kul regagne son domicile le 15.06.2018 avec une sonde vésicale en place pour 10 jours. Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle à 10 jours post-opératoires. Monsieur Lanz est un patient de 61 ans qui se présente aux urgences pour un abcès péri-anal évoluant depuis 5 jours. Le patient bénéficie d'un débridement de l'abcès avec lavage au bloc opératoire et recherche d'une éventuelle fistule péri-anale le 11.06.2018 (pas de fistule visualisée). L'intervention se déroule sans complication, les suites opératoires sont favorables et le patient retourne à domicile le 12.06.2018. Monsieur Lauper, âgé de 77 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé pour une réadaptation et un réentraînement à l'effort afin d'améliorer la marche et de vérifier la bonne tolérance de l'appareillage respiratoire en raison du syndrome d'apnées du sommeil et du syndrome obésité-hypoventilation. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est suivi par le Spitex tous les jours. Il se déplace avec 2 cannes à l'extérieur et avec un rollator dans son domicile. À l'admission, le patient se plaint d'une asthénie. Les paramètres vitaux sont normaux et le patient est hémodynamiquement stable. Il rapporte une perte fluctuante des urines, raison pour laquelle il porte une protection. À l'examen clinique, on retrouve une tétraparésie qui prédomine au MSD avec une force à M2. Aux MI, la force proximale est à M4 ddc et à M2 au niveau distal. Nous remarquons également un souffle maximal au niveau mitral à 3/6. Une dysesthésie est présente au niveau des mains ddc. Nous réalisons une capnographie à l'air ambiant sous VNI (EPAP 9-IPAP 19) qui montre une tcpCO2 moyenne à 5.8 kPa et un index de désaturation par heure à 11.11. À savoir que Monsieur Lauper n'arrive pas à mettre le masque seul en raison d'une faiblesse du MSD, son épouse l'aide. Les résultats sont satisfaisants et les paramètres de la VNI sont conservés. Une radiographie du thorax montre une petite surélévation de l'hémi-coupole diaphragmatique D, et on constate une bonne diminution de l'infiltrat alvéolaire à la base D et la disparition de l'épanchement pleural du même côté, présent par contre sur le cliché comparatif. Le patient rapporte une incontinence urinaire fluctuante que nous n'arrivons pas à objectiver et pour laquelle nous vous laissons le soin d'investiguer la cause si elle doit se reproduire, sinon le séjour dans notre service se déroule sans autre complication. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et endurance, avec une évolution favorable. Le patient arrive à marcher 120 m avec 2 cannes anglaises et l'attelle Heidelberg. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Lauper peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 12.05.2018, en bon état général. Monsieur Lauper, 74 ans, connu pour une cardiopathie bitronculaire (IVA et CD stentée 1x en 2001), est hospitalisé pour un NSTEMI inféro-latéral. Il présente des douleurs rétrosternales typiques d'effort depuis 3 semaines qui s'amendent rapidement au repos. Il consulte son cardiologue pour ce motif et ce dernier l'adresse en urgence. Le bilan initial met en évidence une cinétique positive des troponines et des ondes T négatives sur le territoire inférieur (D2, D3, aVF) et latéral (V5 et V6). Selon un comparatif à disposition au service des urgences, cet ECG est superposable. Ne présentant pas de douleurs, il est transféré aux soins intensifs pour surveillance. La coronarographie du 11.06.2018 montre une progression de la maladie coronarienne avec resténoses intrastent au niveau de la coronaire droite et des lésions subocclusives de la grande branche diagonale et de la circonflexe. Il existe une lésion intermédiaire du tronc commun et une plaque rompue au niveau de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Il y a une dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie postérobasale (s/p infarctus en 2001), posant l'indication à une revascularisation chirurgicale. Le bilan angiologique pré-opératoire se trouve en copie. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 42%, des troubles de la cinétique claires touchant les 3 territoires avec principalement une atteinte des territoires de la CD/CX. Le patient présente un seul épisode de bradycardie sinusale sans conséquence hémodynamique ou clinique, dans le contexte de laquelle nous mettons en suspens le traitement bêta-bloquant. Monsieur Lauper est transféré le 12.06.2018 dans le service de chirurgie cardiaque de l'Insel Spital de Berne pour suite de prise en charge de sa maladie coronarienne tritronculaire. Monsieur Ledovskikh est connu pour une chronique d'alcool et est amené aux urgences le 20.06.2018 par ambulance suite à une chute de sa hauteur dont il ne sait décrire le mécanisme, sans témoins. Le patient est retrouvé par terre par ses voisins, il présente un hématome de la région occipitale mais ne se plaint d'aucune douleur. Le patient nie toute consommation d'alcool le jour de l'admission mais décrit une perte de force des membres inférieurs depuis une année, provoquant des chutes à répétition. À l'examen clinique, le patient est en état général conservé, très peu collabo­rant, afébrile, non algique, avec ictère cutanéo-muqueux. Auscultation cardio-pulmonaire sans particularité. Présence d'oedèmes des deux membres inférieurs. Sur le plan neurologique, le patient est bien orienté dans le temps et l'espace, anisocorie discrète à droite. Nerfs crâniens dans la norme, motricité et tonus conservés aux quatre membres. Force à M5 aux quatre membres. Sensibilité superficielle conservée, réflexes ostéo-tendineux vifs et symétriques, marche sans particularité. Présence d'un léger hématome occipital, sans plaie. Le reste du status est sans particularité. Le bilan biologique montre une perturbation des tests hépato-pancréatiques et de la crase, ainsi qu'une thrombocytopénie importante à 27 G/l. L'alcoolémie est mesurée à 4,52 pour mille. En raison des oedèmes des membres inférieurs, une radiographie du thorax est effectuée, ne révélant aucun signe d'insuffisance cardiaque. Ces oedèmes étant connus, nous ne poussons pas plus loin les investigations. Le CT cérébral permet d'exclure toute fracture et/ou saignement. Une échographie abdominale montre un flux de la veine porte rétrograde important et une splénomégalie de 17 cm, probablement sur cirrhose hépatique. Le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour une surveillance neurologique rapprochée. Celle-ci se déroule sans complication et la reprise de l'alimentation orale, ainsi que de la mobilisation, est bien tolérée. Nous proposons à Monsieur Ledovskikh une consultation psychiatrique pour son problème d'éthylisme chronique. Il relate alors de nombreux suivis psychiatriques, notamment à Lausanne, et ne souhaite actuellement aucune prise en charge psychiatrique. Devant la perturbation de la crase et la thrombocytopénie, nous demandons un avis à nos collègues de médecine interne qui ne jugent pas nécessaire une prise en charge car le patient la refuse et n'est pas compliant. Nous lui proposons un suivi rapproché de ses paramètres biologiques. Le 21.06.2018, le patient regagne son domicile muni d'un formulaire de surveillance.Monsieur Lehmann est un patient de 79 ans chez qui, au mois d'avril, un adénocarcinome au jéjunum a été diagnostiqué. Dans le bilan d'extension, nous avons également trouvé un volumineux lobe thyroïdien gauche avec un nodule hypodense et hypercaptant suspect de malignité, ainsi qu'une tumeur rénale polaire inférieure gauche de 17 mm. Le patient est connu pour un adénocarcinome du sigmoïde T2 N0 opéré en 2012. Il bénéficie le 07.06.2019 d'une exploration et résection oncologique du grêle. L'intervention se déroule sans complications. Le cas est discuté au Tumorboard du 13.06.2018 où nous nous décidons pour une chimiothérapie adjuvante. Les suites post-opératoires sont simples avec une réalimentation bien supportée et une reprise du transit. L'anticoagulation par Sintrom est reprise le 15.06.2018 avec un bridging par Clexane. Monsieur Lehmann rentre à domicile le 16.06.2018. Concernant le nodule thyroïdien, le Dr X effectue la cytoponction le 11.06.2018. Concernant la masse rénale gauche, le Tumorboard décide d'abord de voir l'évolution après initiation de la chimiothérapie pour décider sur une éventuelle radio-ablation de la lésion rénale (suivi par Dr X). Monsieur Lehmann, 79 ans, est admis aux soins continus pour une surveillance hémodynamique en post-opératoire d'une résection duodéno-jéjunale par laparotomie dans le contexte d'un adénocarcinome de l'angle de Treitz et d'une cure de hernie ombilicale. La surveillance se déroule sans complications. L'antalgie est gérée par la PCA de morphine. L'anticoagulation thérapeutique est à reprendre aussi tôt que possible. Concernant le nodule thyroïdien, le Dr X est à contacter afin d'organiser la cytoponction durant le séjour. Un avis urologique devra être demandé concernant la lésion rénale. Monsieur Lepore est un patient de 71 ans qui présente une malnutrition sur splitstomie à haut débit avec un status post choc septique sur iléus grêle sur herniation par stomie, un status adhérentiel important et une péritonite stercorale le 17.12.2017, raison pour laquelle une laparotomie exploratrice, adhésiolyse, résection segmentaire du grêle à 160 cm de l'angle de Treitz, split stomie en fosse iliaque droite, cure de hernie parastomiale et lavage abdominal avaient été effectués le 18.12.2017. Le 25.05.2018, M. Lepore bénéficie d'une fermeture de splitstomie en fosse iliaque droite par laparotomie para-rectale, ainsi qu'une cholécystectomie, avec la mise en place de VAC sous-cutané. L'évolution post-opératoire est favorable, avec une bonne reprise de l'alimentation et du transit, permettant une ablation de la PICC line le 04.05.2018. La plaie peut être refermée et le patient peut rentrer à domicile le 05.06.2018. Monsieur Levrat est un patient de 81 ans, connu pour une hypertension artérielle, un AVC en février 2018, une IAMI des membres inférieurs, qui est adressé aux Urgences par l'angiologue Dr X suite à un problème d'angiodermite nécrosante avec insuffisance veineuse superficielle et IAMI sur un status post-débridement et pose de greffe à Riaz au niveau du membre inférieur gauche le 02.05.2018. Le patient présente des douleurs importantes des membres inférieurs de manière intermittente avec des exacerbations maximales à 8/10. Les douleurs ne l'empêchent pas par contre de se mobiliser. Le patient est hospitalisé pour antalgie, investigations et prise en charge. Une angiographie et une angioplastie sont effectuées le 14.06.2018, qui ne permettent malheureusement pas une recanalisation des longues occlusions de l'ATA et de l'ATP du membre inférieur gauche, mais avec quand même une légère amélioration de la macro-vascularisation du membre inférieur gauche, mais une micro-vascularisation qui reste très mauvaise dans le contexte clinique. Un débridement et une biopsie sont proposés au patient, qui refuse en premier lieu pour des raisons personnelles. Des soins locaux sont instaurés d'abord avec du Plurogel et ensuite avec du Protopic avec bonne évolution de la plaie, posant le diagnostic de pyoderma gangréneux. Les suites sont favorables avec une bonne évolution des plaies et une diminution des douleurs, permettant un retour à domicile le 25.06.2018. Sur le plan rénal, le patient présente une insuffisance d'origine pré-rénale avec une GFR à 33 ml/min et une hyperkaliémie à 5.4 mmol/l asymptomatique, pour lesquels l'hydratation est majorée avec bonne évolution. Un avis nutritionniste est demandé lors de l'hospitalisation face à une anamnèse de patient qui dit avoir perdu entre 15 et 20 kg sur quelques mois par manque d'alimentation à cause d'une dispute familiale et avoir repris une dizaine de kilos depuis. Les collègues nutritionnistes décrivent des apports alimentaires suffisants actuellement. Monsieur Lezi est hospitalisé pour un NSTEMI. Le patient consulte la permanence de Meyriez pour des douleurs épigastriques intermittentes le 23.06.2018. Le bilan étiologique parle en faveur d'un NSTEMI, motivant son hospitalisation aux soins intensifs. La coronarographie montre une maladie coronarienne tritronculaire avec sténoses significatives de l'interventriculaire antérieur, de la circonflexe moyenne et distale, ainsi que de l'interventriculaire postérieure. Elle permet la mise en place de 2 stents au niveau de la circonflexe et un stent au niveau de l'interventriculaire antérieure. Une double anti-agrégation est initiée et le patient bénéficiera d'une coronarographie dans un mois pour le traitement de l'interventriculaire postérieure, pour laquelle il sera convoqué. Un traitement par béta-bloquant et IEC est instauré dans le contexte post-infarctus que nous vous laissons le soin d'adapter selon la tolérance et le profil tensionnel de votre patient. Le patient est connu pour un diabète de type II, mais il a arrêté de prendre son traitement depuis 3 mois, n'estimant plus en avoir besoin. Après avis des collègues de diabétologie, son traitement par Jardiance Met 5/1000 est repris. Un contrôle 4x/j de la glycémie est préconisé. La suite de la prise en charge est agendée en ambulatoire à Meyriez en diabétologie. Le bilan initial met également en évidence une dyslipidémie, pour laquelle un traitement par statine est introduit. Nous vous laissons le soin de refaire un bilan lipidique à distance. Une réadaptation cardio-vasculaire est également organisée en ambulatoire. Le patient peut regagner son domicile le 25.06.2018. Monsieur Lezi, 53 ans, est admis aux soins intensifs pour un NSTEMI. Le patient consulte la permanence de Meyriez pour des douleurs épigastriques intermittentes. Le bilan étiologique parle en faveur d'un NSTEMI, motivant son hospitalisation aux soins intensifs. La coronarographie montre une maladie coronarienne tritronculaire avec sténoses significatives de l'IVA et de la Cx moyenne et distale, ainsi que de l'IVP. Elle permet la mise en place de 2 stents au niveau de la Cx et un stent au niveau de l'IVA. Une double anti-agrégation est initiée et le patient bénéficiera d'une coronarographie dans un mois pour le traitement de l'IVP. À noter, le diagnostic d'un diabète inaugural, pour lequel le patient bénéficiera d'une prise en charge par nos collègues diabétologues. Au vu de la bonne évolution, le patient est transféré en médecine le 25.06.2018 pour la suite de prise en charge. Monsieur Limani, connu pour un syndrome métabolique, une cardiopathie hypertensive et rythmique, est hospitalisé dans le contexte d'une chute avec fracture de la phalange proximale du pouce gauche et une fracture de l'humérus gauche. Aux urgences, une décompensation diabétique est également mise en évidence. Un traitement conservateur est préconisé par les orthopédistes concernant les deux fractures de votre patient, avec un contrôle clinique et radiologique le 25.06.18 à 14h00 en orthopédie. Concernant sa décompensation diabétique hyper-osmolaire, un traitement par hydratation i.v., potassium i.v. puis per os, ainsi que l'insulinothérapie, est instauré. Un suivi clinique et biologique rapproché montre une rapide amélioration. La décompensation est possiblement due à une mauvaise compliance médicamenteuse. Le Jardiance Met est mis en suspend. Nous vous laissons réévaluer à distance son introduction avec un contrôle des lactates. Son traitement par insuline a été majoré dans l'intervalle.Nous préconisons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant ou chez le Dr. X pour refaire le point sur son traitement diabétique. Le patient peut regagner son domicile le 19.06.2018. Monsieur Limat, 85 ans, connu pour une BPCO stade II, est hospitalisé pour une insuffisance respiratoire partielle avec dyspnée NYHA IV sur pneumonie basale gauche associée à une exacerbation de BPCO. Le patient présente une dyspnée avec majoration de la toux depuis une semaine, sans expectorations, ni état fébrile, associé à une inappétence. Sur le plan pneumologique, l'évolution clinique est favorable après antibiothérapie et corticothérapie, aérosols, physiothérapie respiratoire et oxygénothérapie. Nous remarquons que le patient n'a pas les volumes respiratoires suffisants, ni la bonne technique pour l'inhalation du Relvar. Nous tentons un relais par Vannair et laisserons le soin au médecin traitant de réévaluer la compliance. Sur le plan cardiologique, nous remarquons des ondes T négatives dans le territoire inférieur, nouvelles à l'ECG, sans autre signe d'ischémie, ni péjoration des marqueurs biologiques par rapport à 2017. L'échocardiographie montre une FEVG améliorée à 56% par rapport à 2017 sans trouble de la cinétique. Nous ne proposons actuellement pas de coronarographie ni de changement médicamenteux. Sur le plan urologique, nous remarquons qu'après s/p TURV en 2015 pour un cancer urothélial pTa G2 par le Dr. X, une récidive a été diagnostiquée en 2016 sans prise en charge endoscopique par la suite. Nous vous prions de rediscuter d'une cystoscopie en ambulatoire. D'un point de vue social, le patient est très indépendant, ayant pour seule proche aidante sa belle-sœur. Après discussion avec le patient, il ne désire pas de réadaptation. Monsieur Limat rentre à domicile le 12.06.2018 avec des soins à domicile 1x/semaine. Monsieur Lohri est un patient de 89 ans, connu pour des troubles cognitifs sévères, institutionnalisé au Foyer Senevita, où il a présenté des douleurs abdominales avec un épisode de vomissement en jets. Le patient consulte la permanence de Meyriez. Un CT abdominal ainsi qu'un laboratoire mettent en évidence une hernie inguinale droite incarcérée, qui justifie le transfert à Fribourg pour une prise en charge chirurgicale. Aux urgences, l'hernie inguinale est réduite avec une bonne évolution et M. Lohri peut être opéré le 15.05.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont favorables. Le patient rentre à domicile le 22.05.2018. Monsieur Longchamp est un patient de 71 ans qui est hospitalisé pour une prise en charge d'un iléus mécanique, traité conservativement. L'évolution est rapidement favorable avec une reprise du transit le lendemain de l'hospitalisation ainsi que des paramètres biologiques en correction. Devant cette bonne évolution, Monsieur Longchamp retourne à domicile le 01.06.2018 avec un suivi chez son médecin de famille dans 10 jours pour un contrôle clinique et biologique, à noter une hypokaliémie résiduelle lors de la sortie d'hospitalisation. Lors des différentes investigations faites durant cette hospitalisation, mise en évidence d'un nodule pulmonaire non suspect nécessitant un contrôle scannographique dans 3 mois. Monsieur Losey est un patient de 66 ans connu pour une cardiopathie ischémique et de multiples facteurs de risque cardiovasculaire qui est amené en ambulance en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 3 semaines. À l'admission, le status montre des signes de décompensation cardiaque globale et le laboratoire révèle des NT-proBNP à 9286 ng/l. Un CT thoracique confirme la décompensation cardiaque et exclut par la même occasion une embolie pulmonaire. L'électrocardiogramme révèle une fibrillation auriculaire nouvelle. Une échocardiographie met en évidence une péjoration de la fraction d'éjection du ventricule gauche (FEVG) à 25%, par rapport à 50% en décembre 2016. Le traitement diurétique est adapté avec introduction de Lasix intraveineux et majoration du traitement bêta-bloquant. Du Xarelto est par ailleurs introduit pour la FA. L'évolution est cependant initialement défavorable avec dyspnée en péjoration et tachycardie, qui motive un transfert aux soins intensifs pour ventilation non-invasive et surveillance hémodynamique. Par la suite, l'évolution est favorable et le patient peut être retransféré à l'étage de médecine, où un relais par Torasemide est effectué avec bonne évolution. Concernant l'origine de la décompensation cardiaque, la FA nouvelle est suspectée. Vu la péjoration de la FEVG, on ne peut toutefois exclure une origine ischémique, raison pour laquelle une coronarographie reste indiquée. Un rendez-vous de contrôle cardiologique est prévu à la consultation du Prof. X le 24.08.2018. Sur le plan infectiologique, l'hospitalisation se complique par une bactériémie à Serratia marcescens d'origine indéterminée, qui motive une antibiothérapie par Pipéracilline-Tazobactam avec relais par Cefepime pour une durée totale de 7 jours. Sur le plan gastro-entérologique, une insuffisance hépato-cellulaire est mise en évidence au laboratoire. Elle s'inscrit probablement dans le contexte d'une cirrhose chez un patient connu pour une ancienne consommation d'alcool à risque. Nous vous proposons cependant de compléter le bilan étiologique et radiologique à votre consultation. Sur le plan angiologique, une ectasie de l'aorte ascendante est mise en évidence de manière fortuite au CT-scan. Un avis du service de chirurgie vasculaire recommande des cibles tensionnelles inférieures à 140 mmHg ainsi qu'une consultation en chirurgie cardiaque, que nous vous laissons le soin d'organiser. Monsieur Losey rentre à domicile le 26.06.2018. Monsieur Losey, 66 ans, est admis aux soins intensifs pour une détresse respiratoire. Le patient, connu pour une maladie coronarienne bitronculaire avec FEVG à 25%, est admis le 05.06.2018 en médecine pour une décompensation cardiaque sur une FA rapide nouvelle. En raison d'une péjoration respiratoire, il est transféré aux soins intensifs le 11.06.2018 pour un soutien respiratoire avec ventilation non invasive. Le traitement diurétique est majoré, ce qui, en association à la VNI, permet une amélioration sur le plan respiratoire et un transfert en médecine interne le 15.06.2018. L'origine ischémique de la décompensation cardiaque n'a pas été exclue et il faudra discuter avec le patient et nos collègues cardiologues, l'indication à une coronarographie à distance. De plus, une ectasie de l'aorte ascendante est mise en évidence de manière fortuite au CT-scan. Un avis chirurgical recommande des cibles tensionnelles inférieures à 140 mmHg ainsi que l'organisation d'une consultation en chirurgie cardiaque. Le 12.06.2018, le patient présente un sepsis à Serratia marcescens d'origine indéterminée et traité par Tazobac puis Céfépime (changement pour réduction des apports sodés). L'évolution clinique et biologique est favorable. Chez ce patient aux antécédents d'alcoolisme, une insuffisance hépato-cellulaire est mise en évidence avec des troubles spontanés de la crase. Le patient bénéficie d'une supplémentation en Konakion. L'indication à un bilan étiologique complémentaire reste à évaluer. Monsieur Loth, 49 ans, a été admis pour un STEMI inférieur sur subocclusion de l'artère coronaire droite (CD).Le patient a présenté depuis le matin des douleurs thoraciques gauches atypiques devenues typiques en fin de journée. Un STEMI est mis en évidence à l'arrivée des ambulanciers et le patient bénéficie d'une coronarographie en urgence qui montre une subocclusion de la coronaire droite avec une sténose à 80 % sur le tronc commun distal. La subocclusion de la CD est traitée par 2 stents actifs. La fonction ventriculaire gauche est légèrement abaissée (FEVG à 48 %) et le pic de CK s'est élevé à 353 U/l. Une double antiagrégation plaquettaire a été débutée, par aspirine (à vie) et prasugrel pour une durée de 6-12 mois. Un bétabloquant et un IEC sont également introduits. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est à organiser à un mois afin de discuter de la prise en charge de la sténose du tronc commun, qui devrait être traitée idéalement par chirurgie. Le bilan sanguin a mis en évidence une dyslipidémie mixte traitée par Atorvastatine. L'arrêt du tabac est à promouvoir. Lors du transfert, le patient est stable sur le plan hémodynamique et le statut neurologique est sans particularité. Le point de ponction est stable. Monsieur Loth, 49 ans, est admis pour un STEMI inférieur sur subocclusion de l'artère coronaire droite (CD). Le patient a présenté depuis le matin des douleurs thoraciques gauche initialement à caractères atypiques, puis devenant oppressives en fin de journée. Un STEMI est mis en évidence à l'arrivée des ambulanciers et le patient bénéficie d'une coronarographie en urgence. Le patient est en bonne santé habituelle, connu uniquement pour un tabagisme actif à 30 UPA. La subocclusion de la CD est traitée par 2 stents actifs. Des lésions sont en outre mises en évidence sur l'artère interventriculaire ainsi que sur l'artère circonflexe. Un traitement par aspirine et prasugrel est mis en place. Le traitement par prasugrel est à maintenir pour une durée de 6-12 mois. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est organisé à un mois afin de discuter de la prise en charge de la sténose du tronc commun distal. Le bilan sanguin met en évidence une dyslipidémie que nous traitons par Atorvastatine. Le patient est transféré en médecine interne le 24.06.2018. L'évolution est favorable avec des paramètres dans les normes et la disparition des douleurs thoraciques. Nous le rendons attentif aux mesures à prendre d'ici le prochain rendez-vous en cardiologie le 16.07.2018. Ayant encore une occlusion du TC distal à 80 %, toute activité physique et stress sont à éviter. Nous lui rappelons aussi l'implication du tabac dans sa maladie et le motivons dans sa démarche d'arrêt de la cigarette. Sur le plan nutritionnel, le patient bénéficie d'un entretien avec le diététicien afin d'améliorer son alimentation. Le patient reste hospitalisé jusqu'au 25.06.2018, date à laquelle il rentre à domicile. Monsieur Loureiro, patient de 47 ans connu pour un diabète de type II non insulino-requérant, se présente au service des urgences le 24.06.2018 avec un état fébrile persistant depuis le 21.06.2018. À l'admission, on retient une température à 40 °C, saturation à 87 % à l'air ambiant, ainsi que des râles crépitants en base gauche à l'auscultation pulmonaire. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 263 mg/L et une insuffisance respiratoire sévère, la radiographie thoracique révèle un foyer infectieux rétrocardiaque. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour la Légionelle et selon l'avis de nos collègues infectiologues, nous débutons une antibiothérapie par Tavanic p.o. pour une durée totale de 14 jours. Sur le plan diabétologique, nous avons corrigé des hyperglycémies avec un schéma de correction d'insuline. Au vu d'une évolution clinique favorable, le patient rentre à domicile le 26.06.2018 avec suivi biologique prévu chez le médecin traitant. Monsieur Luy est un patient de 72 ans chez qui on a découvert une sténose sigmoïdienne relativement serrée qui est probablement associée à une fistule colo-colique. Il n'y a pas d'élément suspect de malignité à la coloscopie qui confirme la présence d'une masse sigmoïdienne au niveau de la sténose qui a l'allure d'une intussuception. Le patient bénéficie d'une sigmoïdectomie laparoscopique le 04.06.2018. L'intervention se déroule sans complications. L'évolution post-opératoire est favorable avec une réalimentation bien supportée et une reprise du transit. Monsieur Luy rentre à domicile le 08.06.2018. Monsieur Magne présente depuis le 21.05.2018 des sensations de chaud/froid, avec notion de frissons et de fatigue. Le patient rapporte avoir présenté 3 épisodes de vomissements non bilieux et non sanglants le 21.05.2018, une pollakiurie sans algurie ni hématurie, une inappétence, des douleurs lombaires soulagées par la prise d'Ecofenac ainsi qu'une rhinite avec écoulement clair apparue ce jour. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. À l'admission aux urgences, le statut cardio-pulmonaire est sans particularité. Au niveau digestif, l'abdomen est souple, sans défense ni détente. Le Murphy est négatif. Le toucher rectal retrouve une prostate indolore à la palpation et les loges rénales sont souples indolores. En raison d'une désaturation à 90 % à l'air ambiant, le patient bénéficie d'une oxygénothérapie 1 l/min, malgré l'absence de plainte et de symptômes respiratoires. Le bilan biologique montre un important syndrome inflammatoire avec une CRP à 351 mg/l et une leucocytose à 12.8 G/l sans déviation gauche ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale probable, avec une créatinine à 144 umol/l. Des hémocultures et un urotube sont prélevés. Le stix et le sédiment urinaire montrent une leucocyturie importante avec présence de cylindres granuleux et flore bactérienne positive, et une hématurie microscopique. Suspectant une pyélonéphrite gauche, Monsieur Magne reçoit 2 g de Rocéphine iv aux urgences et il est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Un ultrason des voies urinaires et rénales ne montre pas d'altération. Nous complétons le bilan par un Uro CT-scan qui met en évidence un calcul de 7 mm au niveau de l'uretère lombaire gauche. Nous prenons contact avec le Dr. X, urologue de garde, et une double J est posée sans complication le 24.05.2018. À noter que sur avis infectiologique, nous administrons une dose unique de Gentamycine 240 mg avant le geste chirurgical, le patient est informé de l'ototoxicité. La Clexane est mise en pause. L'urotube et les hémocultures reviennent positives pour E. coli multisensible et l'antibiothérapie est poursuivie par Rocéphine iv jusqu'au 28.05.2018 avec relais par Ciproxine per os 500 mg 2x/j à poursuivre jusqu'au 07.06.2018. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Monsieur Magne peut regagner son domicile le 29.05.2018. La suite de la prise en charge sera assurée par le Dr. X et un rendez-vous est programmé à sa consultation pour le 05.06.2018. Monsieur Magnin est un patient de 71 ans avec un statut post-cholécystite subaiguë traitée avec une pose de drain transcutané et antibiothérapie. Une cholangio IRM réalisée le 13.04.2018 met en évidence une cholédocholithiase de 4 mm posant l'indication à une ERCP réalisée le 12.06.2018, qui ne montre pas de cholédocholithiase avec un drain transcutané en place dans la vésicule, aucun geste n'est donc effectué. Le patient bénéficie le 15.06.2018 d'une cholécystectomie par laparoscopie, qui se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables et le patient peut rentrer à domicile le 16.06.2018. À noter un arrêt du Sintrom et de l'ASS cardio définitivement par le cardiologue le 05.06.2018. Monsieur Maillard présente, alors qu'il est en pèlerinage à Lourdes, une dyspnée d'apparition brutale associée à des marbrures pour lesquelles il est adressé aux urgences. À l'admission, il est hémodynamiquement stable et apyrétique. À l'examen clinique, présence d'un encombrement bronchique important avec des sibilances. La saturation est à 94 % sous 3 litres d'oxygène et mise en évidence de marbrures des deux genoux. Le patient est somnolent mais réveillable. La bandelette urinaire retrouve 2 croix de sang. Le bilan biologique retrouve une polynucléose à 8340, associée à une CRP à 24, un proBNP à 16068 puis à 2718, une insuffisance rénale avec une urée à 18.03 mmol et créatininémie à 116 micromol/l, l'INR à 1.2 et une protéinémie à 81 g/l.La gazométrie sous 2 litres retrouve une pCO2 à 83 mmHg, pO2 à 85 mmHg, pH à 7.30, bicarbonates 11.4 mmol/l. L'échographie retrouve un globe vésical avec une dilatation modérée des 2 reins et une prostate augmentée de volume de façon modérée à 35 ml. Le patient a bénéficié d'un traitement par aérosol avec oxygénothérapie. Une VNI n'est pas mise en place au vu des directives anticipées de Monsieur Maillard. Une sonde urinaire à demeure est posée (globe 600 ml). Une antibiothérapie par Flagyl-Rocéphine puis Furosémide IV est débutée pour suspicion de pneumopathie d'inhalation. L'antibiothérapie est par la suite relayée par Co-Amoxi per os 1 g 3x/j à poursuivre jusqu'au 30.05.2018. L'évolution clinique et biologique est favorable et Monsieur Maillard est rapatrié en Suisse par Air Glacier le 29.05.2018. À l'admission dans notre service, Monsieur Maillard est en état général conservé. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est diminué aux bases. Pas de râle ni de sibilance. Au niveau cardiovasculaire, le rythme cardiaque est irrégulièrement irrégulier en relation avec la fibrillation auriculaire. Pas de souffle, pas d'oedème des membres inférieurs. Au status urogénital, la sonde urinaire est en place et fonctionnelle. Le reste du status d'entrée est sans particularité. La sonde urinaire est retirée avec succès le 30.05.2018. L'antibiothérapie par Co-Amoxi est poursuivie jusqu'au 30.05.2018, à la dose de 1 g 2x/j, adaptée à la fonction rénale du patient. Nous demandons une radiographie du thorax qui montre un aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale, une aorte déroulée et calcifiée et une hypoventilation bibasale. Le patient présente toujours des râles crépitants aux bases pulmonaires, sans oedème des membres inférieurs et sans turgescence jugulaire et nous notons une prise pondérale de 1.100 kg en 2 jours, motivant l'augmentation du Torasémide à 15 mg. Les contrôles de laboratoire montrent un syndrome inflammatoire biologique en amélioration (CRP à 16 mg/l) et une normalisation de la créatinémie à 97 micromol/l. Nous vous recommandons de suivre la courbe du poids et d'adapter le traitement par diurétique en fonction de l'état hémodynamique. L'INR est à 2.3 et le TP à 27% à la sortie. À sa demande, Monsieur Maillard regagne le home le 01.06.2018. Monsieur Maillard, résidant au foyer Ste Marguerite de Vuisternens-devant-Romont, est amené aux urgences en ambulance le 02.06.2018 pour une dyspnée aiguë. Pour rappel, le patient, connu notamment pour une BPCO stade II sous oxygénothérapie et une insuffisance cardiaque globale, a été hospitalisé dans notre service du 29.05 au 01.06.2018 pour exacerbation de BPCO, probablement d'origine infectieuse et décompensation cardiaque. La nuit du 01 au 02.06.2018, il décrit une orthopnée importante l'obligeant à s'asseoir pour reprendre son souffle, raison pour laquelle il nous est adressé. Aux urgences, le patient se plaint uniquement d'une dyspnée de stade IV. Pas d'autre plainte. À l'admission aux urgences, tension artérielle 115/60 mmHg, fréquence respiratoire 30/min, température 37,1°C et saturation à 96% sous 4 litres d'oxygène (88% à l'air ambiant). Les bruits du cœur sont bien frappés et irréguliers, pas de souffle audible, pas d'oedème de membres inférieurs. Au status respiratoire, le patient est tachypnéique avec hypoventilation diffuse et crépitants diffus, plus importants en bibasal à l'auscultation pulmonaire. Le reste de l'examen clinique est non contributif. Aux urgences, après injection de 40 mg de Lasix IV, l'évolution est progressivement favorable avec une auscultation pulmonaire plus claire (moins de crépitants). Le laboratoire met en évidence une hémoglobine à 124 g/l. Pas de syndrome inflammatoire et électrolytes alignés. L'ECG montre une fibrillation auriculaire avec des extrasystoles ventriculaires et la radiographie du thorax montre une cardiomégalie et une légère surcharge. Le patient est hospitalisé et nous poursuivons le Lasix à 20 mg 3x/jour avec suivi de la diurèse et du poids. Dès le 06.06.2018, le Lasix est relayé par le Torem per os 30 mg avec une bonne évolution clinique et une perte pondérale de 1,7 kg au total. Nous vous laissons le soin d'adapter le dosage du traitement diurétique en fonction de l'évolution clinique. Sur le plan cardiaque, Monsieur Maillard reste asymptomatique et l'auscultation pulmonaire s'améliore avec toutefois la persistance de légers râles de stase sans oedème des membres inférieurs. Sur le plan respiratoire, le patient a une saturation stable à 91% sous 2 litres durant l'hospitalisation et reste asymptomatique. Le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire avec bonne évolution clinique. Au suivi biologique, la fonction rénale reste stable et les électrolytes alignés. Nous effectuons une radiographie de thorax de contrôle le 08.06.2018 qui est superposable à celle de l'entrée. Au vu d'une bonne évolution clinique et d'un poids stable, Monsieur Maillard regagne le foyer le 11.06.2018. Monsieur Manuel Pinho, 52 ans, connu pour un adénocarcinome du pancréas avec métastases hépatiques et pulmonaires, actuellement sous chimiothérapie par Abraxane et Gemzar, est hospitalisé en médecine interne suite à des douleurs abdominales intenses apparues le 06.06.2018 ayant motivé une consultation au service des urgences. Le CT abdominal du 06.06 montre une colite segmentaire transverse compatible avec des lésions post-radiques. Les hémocultures reviennent positives pour une bactériémie à Bacteroides uniformis. Nous traitons le patient par antibiotiques IV, initialement Rocéphine-Flagyl puis Tazobac au vu d'un état fébrile récidivant. Un relai per os est effectué par Ciproxine et Flagyl après réception de l'antibiogramme. Les douleurs abdominales évoluent favorablement avec le traitement instauré. Le 12.06.2018, le patient présente de nouvelles douleurs abdominales légères situées dans l'hypochondre droit et des difficultés à reprendre un transit normal avec des diarrhées aqueuses en petite quantité. Le patient reprend un transit normal spontanément. Du point de vue oncologique, la suite de la prise en charge par chimiothérapie est prévue en ambulatoire dès le 19.06.2018 chez le Dr. X. En raison de glycémies déjà limites supérieures durant son hospitalisation et la reprise d'une corticothérapie, nous prévoyons l'introduction de 12U d'Insulatard dès le 19.06.2018 et un rendez-vous de suivi en ambulatoire le 28.06.2018 en diabétologie. Le patient peut donc rentrer à domicile le 18.06.2018. Monsieur Margueron, connu pour une cardiopathie ischémique, hypertensive et valvulaire, nous est adressé par le service de médecine de l'HFR Fribourg le 11.05.2018 pour réadaptation gériatrique post-NSTEMI antérieur le 01.05.2018. Au niveau social, le patient vit seul et bénéficie du passage des soins à domicile. Il est autonome pour les AVQ et les déplacements. À noter que sa famille a noté depuis quelques mois de nombreux oublis ainsi que des incohérences. À l'admission dans notre service, Monsieur Margueron est hémodynamiquement stable et ne rapporte aucune plainte à l'anamnèse par système. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, pas de tachycardie, pas de souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs. Le reste du status d'entrée, notamment neurologique, est sans particularité. Le laboratoire montre une anémie normochrome normocytaire ainsi que des déficits vitaminiques que nous substituons. Le 21.05.2018 le patient devient fébrile et se plaint de douleurs au niveau de la cheville gauche sans notion de traumatisme. Au status nous retrouvons une tuméfaction douloureuse au niveau du pouce et de la cheville gauches et le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 134 mg/l et une leucocytose à 10,2 G/l. Nous effectuons une radiographie de la cheville qui montre une ancienne fracture de la malléole interne ayant évolué vers une pseudarthrose mais pas de lésion osseuse traumatique récente. Nous retenons alors le diagnostic d'une arthrite goutteuse que nous traitons par AINS avec une bonne évolution clinique et biologique. Sur le plan cognitif les tests de dépistage effectués le 13.05.2018 montrent des performances altérées avec un MMS à 22/30, GDS à 6/15 et test de la montre à 4/7. Nous complétons le bilan par une évaluation neuropsychologique qui montre des troubles cognitifs sévères et diffus d'étiologie multifactorielle (cf copie annexée). Concernant les troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, Monsieur Margueron bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. À la sortie, le périmètre de marche seul est de 120 mètres. Il peut gravir 18 marches à l'aide d'une rampe. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126 par rapport à 94/126 à l'entrée (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 19.30 secondes. Le bilan modulaire ergothérapeutique montre un fléchissement des fonctions intellectuelles de base (mais altération importante de la mémoire) et fléchissement des fonctions instrumentales (avec difficulté importante de compréhension), au niveau moteur une difficulté pour l'atteinte du bas du corps, une dyspnée à l'effort, un léger ralentissement moteur, force de préhension dans la moyenne. La vision et l'audition sont conservées. L'évolution clinique et biologique est favorable mais dès le 24.05.2018, en raison d'un retour à domicile impossible et dans l'attente d'une place au Home de Cottens, Monsieur Margueron reste hospitalisé dans notre service bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le 11.06.2018, le patient sortira et sera placé au Foyer St-Germain de Gruyères. Monsieur Marmy est un patient de 82 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale sous dialyse via son Permcath depuis février 2018, qui nous est adressé pour une pose de boucle Omniflow en raison d'un réseau artériel insuffisant pour une fistule non prothétique. L'intervention se déroule sans complication le 22.06.2018 avec un thrill bien palpable en fin de procédure. Les suites opératoires sont simples. Le patient rentre à domicile et poursuivra ses séances de dialyse dès le 23.06.2018 à Payerne. Nous ne prévoyons pas de revoir M. Marmy en consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Monsieur Marro est un patient de 73 ans qui se présente aux urgences de Tavel pour des douleurs abdominales aiguës avec des frissons. Le bilan d'extension met en évidence une diverticulite sigmoïdienne aiguë perforée. Le patient est transféré à Fribourg afin de bénéficier d'une sigmoïdectomie avec la mise en place d'une colostomie terminale selon Hartmann et mise en place d'un VAC sous-cutané. L'intervention se déroule sans complication le 27.05.2018. La peau est fermée à J-8. L'évolution est ensuite favorable, avec une réalimentation bien supportée et des selles normales par la stomie. M. Marro rentre à domicile le 06.06.2018. Nous demandons au service de chirurgie à l'hôpital cantonal de Bâle campagne à Liestal de convoquer le patient pour un contrôle clinique à 6 semaines post-opératoires et pour discuter d'un rétablissement de la continuité dans la suite. Monsieur Martignoni, 80 ans, a été hospitalisé aux soins intensifs suite à une hémicolectomie droite élargie par laparotomie pour un adénocarcinome du côlon transverse. Le patient est connu pour un SAOS appareillé ainsi qu'une cardiopathie ischémique et une insuffisance rénale chronique de stade II. L'intervention s'est bien déroulée. L'antalgie est assurée par un cathéter péridural. En postopératoire, le patient était hypotendu et oligurique en raison d'une hypovolémie et d'une vasoplégie secondaire à l'antalgie péridurale. Le profil tensionnel et l'insuffisance rénale aiguë prérénale se sont améliorés après un remplissage vasculaire itératif. L'aggravation de l'anémie avec une baisse de l'hémoglobine à 80 g/l a nécessité la transfusion de 1 concentré érythrocytaire. L'abdomen reste souple avec des bruits hydroaériques dans les quatre quadrants et passage de gaz dès le 23.06.2018. Le patient peut être transféré le 23.06.2018 dans le service de chirurgie. Monsieur Matthey, 78 ans, connu pour un SAOS appareillé, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire post-opératoire après une sphénoïdotomie droite pour sinusite chronique. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Le patient ne présente pas de douleur. Au vu d'une surveillance respiratoire sans particularité, le patient est libéré par le service d'ORL qui organisera la suite de prise en charge. Monsieur Mauron est un patient de 73 ans, anticoagulé par Xarelto pour un statut post-embolie pulmonaire en 2017 dans un contexte oncologique, qui se présente aux urgences le 07.06.2018 pour une douleur brutale de la hanche gauche irradiante dans le pli inguinal gauche. Un CT-scan met en évidence un hématome du muscle iliaque gauche mesurant 6 cm de plus grand axe remontant jusqu'au muscle psoas et l'espace rétro-péritonéal. Le traitement par Xarelto est mis en suspens avec des contrôles biologiques favorables. Après avis auprès de nos collègues de la cardiologie, il semble, dans ce contexte d'épisode isolé d'embolie pulmonaire avec terrain oncologique, qu'une anticoagulation est nécessaire mais à une dose plus faible. Il est proposé de baisser la posologie à 10 mg 1x/jour de Xarelto et nous laissons le soin à son médecin de famille ainsi qu'à son oncologue de se prononcer quant à la reprise de ce dosage. Monsieur Mauron peut retourner à domicile le 13.06.2018. Monsieur Medioni, 64 ans, connu pour un séminome testiculaire diagnostiqué en 1977, traité par chirurgie, radiothérapie et chimiothérapie, est hospitalisé pour un bilan de dyspnée. Il s'est présenté aux urgences en raison d'une dyspnée d'effort en péjoration progressive, sans douleur thoracique. Le bilan initial a permis d'exclure une embolie pulmonaire. L'échocardiographie transthoracique a montré une FEVG conservée à 56 %, une hypokinésie septale ainsi qu'une insuffisance tricuspidienne modérée à sévère. La coronarographie et cathétérisme droit du 07.06.2018 ont montré une maladie coronarienne bi/tritronculaire avec une lésion intermédiaire de l'IVA, une sténose significative de la première diagonale et une sténose significative de l'artère coronaire droite, sans hypertension artérielle pulmonaire. Dans le contexte de la dyspnée, nous avons réalisé des fonctions pulmonaires complètes qui n'ont pas montré de syndrome obstructif ou restrictif et une DLCO normale. Nous avons introduit l'Aspirine cardio, le Torasémide et le Crestor. Une échocardiographie transoesophagienne est organisée le 11.06.2018 pour le bilan de l'insuffisance tricuspidienne et la suite de prise en charge cardiologique sera poursuivie en ambulatoire.Le patient est arrivé sous traitement de corticoïde et AINS pour des douleurs radiculaires et un syndrome sensitivomoteur L3 sur hernie discale L3/L4 à droite. Nous avons stoppé l'Ibuprofen au vu du contexte et poursuivi le schéma dégressif de Prednisone. Le lymphoedème chronique du membre inférieur droit sur radiothérapie et status post-vidange ganglionnaire para-aortique 1977 est traité par drainage lymphatique. Le patient a quitté notre service le 08.06.2018 pour un retour à domicile. Monsieur Megarech est un patient de 56 ans adressé par son médecin traitant en ambulance en raison d'une baisse de l'état général dans un contexte de non-compliance au traitement par insuline pour son diabète de type 2. Au laboratoire, nous retrouvons une bilirubine augmentée et à la clinique, le patient présente un Murphy positif. Nous en concluons à une cholécystite débutante. Le patient bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 14.06.2018. L'opération se passe sans complication et l'évolution post-opératoire est favorable. Durant son séjour, le patient est suivi par le Dr. X et bénéficie d'une adaptation de son traitement. Monsieur Megarech peut rentrer à domicile le 15.06.2018. Monsieur Ménétrey, connu pour un ulcère de la jambe gauche traité depuis plusieurs années, est adressé aux urgences par son médecin traitant le 28.05.2018 pour des investigations d'une lésion plantaire d'origine indéterminée de 4 cm de diamètre, non évolutive depuis 1-2 mois, contraignante pour la marche. Le patient ne relate pas de notion de traumatisme à ce niveau, ou d'état fébrile récent. À noter l'introduction d'une antibiothérapie par co-amoxicilline il y a 1 semaine pour suspicion de dermo-hypodermite. À l'admission, le patient est en état général conservé, avec une auscultation cardio-pulmonaire sans particularités. L'examen ciblé de la jambe gauche met en évidence une lésion phlyctènes avec hyperkératose autour et entourée par une base hémorragique (hématome). À partir de cette lésion, il y a un érythème chaud et œdématié qui s'étend au niveau du pied sur la latéro-dorsale plantaire. La palpation est extrêmement douloureuse mais uniquement en regard de la tête du V-ème métatarso. Les deux jambes sont œdématiées et nous constatons une dermite ocre. Au niveau tibial, nous constatons la présence d'une lésion cutanée fibrineuse. Nous effectuons une radiographie du pied gauche afin d'écarter une fracture de fatigue ou des signes d'une ostéomyélite. Le cliché ne montre pas de trait de fracture évident, mais crée l'impression d'un liseré radio-transparent de la base du 5ème métatarsien qui n'est plus visible sur l'incidence oblique, ouvrant le diagnostic différentiel entre une fracture et une image construite et nécessitant une imagerie complémentaire pour préciser le diagnostic. Le laboratoire montre une CRP à 34 mg/l, sans leucocytose. Le patient est hospitalisé et nous décidons de mettre en suspens l'antibiothérapie en cours afin de faire une fenêtre thérapeutique et prélever des hémocultures en cas d'état fébrile. Nous sollicitons un avis angiologique qui conclut à un bon flux biphasique jusqu'en tibial postérieur et pédieux gauche, sans argument pour une ischémie critique. Monsieur Ménétrey est également vu par notre stomatothérapeute pour adapter le protocole des pansements. Considérant les critères d'âge et des comorbidités, Monsieur Ménétrey est transféré dans le service de gériatrie aiguë le 30.05.2018 pour la suite de la prise en charge. Nous vous proposons de discuter l'indication à une imagerie supplémentaire afin d'exclure une fracture au niveau de la base du 5ème métatarse et de faire un dépistage du diabète. Monsieur Menoud, 47 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI. Le patient, connu pour une maladie coronarienne monotronculaire avec antécédent de STEMI de l'IVA et NSTEMI sur sténose intra-stent, présente un STEMI sur le territoire antérieur le 25.06.2018 matin. La coronarographie met en évidence une occlusion ancienne de l'artère interventriculaire antérieure moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif avec réalisation d'une angioplastie sans flux antérograde rétabli. On note également une sténose significative de la première diagonale d'aspect thrombotique avec angioplastie et thrombectomies puis implantation d'un stent actif. La ventriculographie retrouve une dyskinésie apicale avec FEVG à 44%. Les suites immédiates sont simples, sans troubles du rythme ni hémorragie au point de ponction. Le patient est transféré aux soins intensifs de l'HIB Payerne pour la suite de la surveillance rythmique et de la prise en charge. Monsieur Mermoud présente donc une récidive d'ongle incarné du bord latéral de l'hallux D. L'indication pour une révision chirurgicale est donnée. Il est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui va s'effectuer le 12.06.2018 en ambulatoire. Une consultation pré-anesthésique est programmée. En ce qui concerne son traitement de Xarelto, il devra être stoppé minimum 3 jours avant la date opératoire. Monsieur Meuwly est un patient de 55 ans qui a été hospitalisé pour la prise en charge en urgence d'un STEMI inférieur traité par cathétérisme cardiaque avec dilatation et pose de stent dans la coronaire droite. Le patient avait ressenti des douleurs rétro-sternales oppressives irradiant dans la mâchoire le 06.06.2018 alors qu'il conduisait. Il s'est alors rendu à votre consultation où un ECG a mis en évidence un STEMI inférieur. Le patient est transféré en fast track STEMI où il bénéficie d'une coronographie avec la pose d'un stent dans la CD. Un traitement par Aspirine et Plavix est initié. Le Xarelto stoppé fin mai 2018 par le patient est repris. La coronarographie a montré une maladie tritronculaire pour laquelle une nouvelle coronarographie est prévue le 04.07.2018 pour traiter la sténose de l'artère circonflexe. Le reste du bilan cardio-vasculaire a montré une hypokinésie sévère de la paroi inféro-basale avec une FEVG conservée à 60%. Sur le plan endocrinien, le patient est en cours d'investigations par le Dr. X pour une probable maladie de Conn (adénome surrénalien, HTA réfractaire). Dans ce contexte, un test de freinage à la Dexaméthasone est effectué et s'avère être normal. Le 11.06.2018, Monsieur Meuwly quitte notre service pour retourner à son domicile et effectuera sa réhabilitation cardio-vasculaire en ambulatoire à l'HFR Billens. Monsieur Michel, patient de 57 ans connu pour une hypertension artérielle traitée, est adressé aux urgences par son médecin traitant en raison de céphalées inhabituelles. Pour rappel, l'anamnèse révèle chez ce patient, connu pour des migraines avec aura, accompagnées fréquemment de vertiges, l'apparition le 06.06 d'aura typique avec phosphènes et sensation d'hypoacousie. Le soir même, le patient constate l'apparition de céphalées fronto-temporales bilatérales avec vertiges qui s'accentuent pour atteindre 8/10 et persistent. Il consulte son médecin traitant le 12.06.2018. Aux urgences, l'examen neurologique est dans la norme. Le CT cérébral injecté révèle une hypodensité cortico-sous-corticale pariétale droite, évoquant en premier lieu un AVC ischémique subaigu ou chronique, raison pour laquelle le patient est hospitalisé en unité neurovasculaire pour un bilan étiologique. La surveillance neurologique se révèle sans particularité, sans récidive d'événement neurologique. L'IRM cérébrale révèle des lésions ischémiques récentes dans le lobe pariétal droit, le lobule pariétal supérieur droit (territoire superficiel de l'artère cérébrale moyenne droite), ainsi que dans le sillon précentral droit (territoire de l'artère cérébrale antérieure droite), suspectes d'une étiologie embolique proximale (cardio-embolique ou sur plaque d'athérome).Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle la présence d'un FOP avec un shunt D-G important selon l'échocardiographie transoesophagienne avec un anévrisme du septum interauriculaire. Le score de ROPE est calculé à 6 points. L'indication à une fermeture serait discutée au colloque cardiologie - neurologie, prévu au mois de juillet. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Sur le plan médicamenteux, un traitement anti-agrégant de Plavix est introduit, ainsi qu'un traitement hypolipémiant. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le patient bénéficie d'un examen neuropsychologique dont le rapport définitif est en cours. Devant une thymie triste avec affects congruents, le patient bénéficie d'une consultation psychiatrique qui confirme des troubles de l'adaptation avec réaction mixte (anxieuse et dépressive). Nous proposons un suivi ambulatoire auprès du CPS, que le patient envisage de mettre en place. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Michelvski est un patient de 39 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale sur polykystose hépato-rénale autosomique dominante, adressé par le service de néphrologie en raison d'une obstruction de sa fistule Omniflow du membre supérieur gauche. Nous effectuons une révision de cette fistule au bloc opératoire avec thrombectomie. L'intervention se déroule sans complication avec récupération d'un bon flux dans la fistule. Une séance de dialyse est effectuée après le geste et se déroule le 29.05.2018 avec succès. On organise le retour à domicile du patient le 30.05.2018. Monsieur Miftaroski, 67 ans, connu pour les comorbidités sus-mentionnées, présente depuis plusieurs jours une dyspnée progressive associée à une orthopnée puis une dyspnée paroxystique nocturne motivant une consultation au service des urgences. Le bilan initial met en évidence un pic hypertensif à >210 mmHg associé à un oedème aigu du poumon. L'évolution est favorable après traitement par VNI, lasix et TNT IV continu et reprise rapide du traitement habituel. Une ETT rapporte une FEVG conservée et une coronarographie met en évidence une maladie coronarienne monotronculaire, avec une lésion d'une petite branche bissectrice ne nécessitant pas de traitement. Concernant son insuffisance rénale terminale, le bilan montre une clairance à 12,5 ml/m. Le patient, refusant initialement la dialyse en février 2018, accepte cette fois-ci la prise en charge. Nos collègues effectuent un bilan vasculaire et posent un permcath afin de débuter la dialyse permettant une bonne évolution clinique et des paramètres biologiques. Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à son domicile le 30.06.2018 avec un suivi en dialyse les mardi, jeudi et samedi. Monsieur Missegue, connu pour une hypertension artérielle, est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'AVC. Pour rappel, l'anamnèse révèle une diplopie horizontale survenant durant une coronarographie élective pour un test d'effort pathologique. La diplopie ne régressant pas, le patient est dirigé vers les collègues ophtalmologues qui suspectent une origine centrale devant une ophtalmoplégie internucléaire à droite. Le CT cérébral confirme la perméabilité vasculaire et ne révèle pas de lésion ischémique aiguë. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique confirme une résolution des symptômes en 24 heures, confirmée par un contrôle ophtalmologique à distance. L'IRM cérébrale ne révèle pas de lésion ischémique aiguë. Nous retenons un AIT au niveau pontique paramédian à droite compatible avec une atteinte du MLF sur probable micro-embolisation lors de la coronarographie dans la circulation postérieure. Nous complétons le bilan par une échocardiographie transthoracique qui ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. Sur le plan médicamenteux, le traitement d'Aspirine est poursuivi en vue de son introduction post coronarographie. Le profil tensionnel demeure bas, raison pour laquelle le traitement de Zanidip est introduit avec prudence et sous surveillance. Nous vous laissons le soin, dans un deuxième temps, de réévaluer l'indication aux traitements bêta-bloquants et IEC. Le traitement hypolipémiant est poursuivi sans modification. Sur le plan cardiaque, la coronarographie confirme une sclérose coronarienne débutante avec sténose distale de l'IVA distale, fonctionnellement non significative. Aucun geste de revascularisation n'est nécessaire. Un contrôle cardiologique est prévu à 1 mois. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Moehr, connu pour une mucoviscidose Delta F508 avec bronchiectasies et colonisation chronique à S.aureus et E.Coli multirésistant, est hospitalisé pour une surinfection pulmonaire probablement virale. Il présente depuis 3-4 jours une dyspnée en péjoration avec majoration des expectorations. Les cultures d'expectorations montrent la présence d'un E.Coli et d'un S.aureus déjà connus qui ne semblent pas expliquer la symptomatologie actuelle. Une virose semble être la cause la plus probable avec une faible augmentation des paramètres inflammatoires. Toutefois, l'augmentation des expectorations verdâtres motive la poursuite du Meropenem pour 7 jours. Le patient est brièvement admis aux soins intensifs au début de son séjour pour une insuffisance respiratoire partielle dans ce contexte. Au niveau respiratoire, les quelques séances de VNI intermittente se montrent peu efficaces, contrairement à la physiothérapie active intensive. L'évolution est rapidement favorable. Concernant sa mucoviscidose, le patient sera désormais suivi par Dr. X à l' Inselspital à Berne, un rendez-vous est agendé pour le 18.06.2018. À noter que le patient est connu pour une malnutrition protéino-énergétique grave dans le cadre d'une atteinte pancréatique de la mucoviscidose. Le patient est partiellement nourri par gastrostomie durant la nuit. Nous adaptons l'alimentation entérale sur l'avis de nos collègues diététiciens. Le patient reçoit transitoirement 3000 ml de survimed avec une prise de poids de quelques kilogrammes durant son séjour. Nous expliquons au patient le danger d'une nutrition entérale à de telles doses (suralimentation) notamment au niveau hépatique et rénal et convenons avec lui d'une dose de 2000 ml de survimed par jour. Un rendez-vous chez son médecin traitant avec un contrôle de la fonction hépatique et rénale est prévu le 12.06.2018. La suite de la prise en charge d'un point de vue diététique sera également effectuée à l' Inselspital, un premier rendez-vous est prévu le 07.06.2018. Le patient ayant une hémoglobine glyquée à 6,3 % lors de son séjour à l' Inselpital début mai, nous préconisons un contrôle des glycémies et de refaire le point sur l'introduction d'une thérapie par insuline à Berne. En raison d'une notion d'allergie lors d'une injection de fer, le patient reçoit une injection de Venofer 150 ml avec préparation par Tanogyl et Solumedrol. Les deux autres injections sont à prévoir en ambulatoire, la première est organisée le 13.06.2018.Le patient a pris contact avec son physiothérapeute personnel pour reprendre des séances 2x/semaine dès sa sortie. Le patient peut regagner son domicile le 06.06.2018. Monsieur Mohamed Mamand, âgé de 20 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'Inselspital pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une opération de correction pour une coxa-rototorta (75°) D le 15.05.2018. Sur le plan social, le patient est célibataire. Il vit avec 4 autres personnes dans un appartement. Il est en Suisse depuis 2 ans en tant que requérant d'asile. Sa famille est en Irak. Il prend des cours de français à Fribourg et souhaite commencer une école. Il a 6-7 escaliers à domicile. A l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche D à 70-0-0 en actif-assisté et en passif. La force de la flexion de la hanche D est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Le patient ne respecte pas la décharge du MID malgré les explications itératives données dans sa langue maternelle. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche D à 70-0-0 en actif-assisté et en passif. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Mohamed Mamand peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.06.2018, en bon état général. Il ira à son RDV chez le dentiste à l'HFR de Fribourg avant le retour à domicile. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Monsieur Mollard est un patient de 77 ans, connu notamment pour une cardiopathie mixte et une broncho-pneumopathie obstructive chronique (BPCO), que vous nous adressez pour un anasarque d'apparition progressive en quelques mois. Sur le plan cardiaque, Monsieur Mollard présente une décompensation cardiaque globale à prédominance droite probablement sur insuffisance de traitement. En effet, une échocardiographie transthoracique (ETT) ne montre pas de nouvelle atteinte de la cinétique segmentaire, mais révèle une dysfonction du VD sur surcharge en pression (PAPs à 77 mmHg contre 53 mmHg à la dernière ETT). Un traitement diurétique par furosémide en iv continu et ensuite par bolus est introduit avec évolution favorable. L'évolution favorable nous permet un relai par torasémide per os dès le 26.06.2018. Les traitements de bêtabloquant et de lisinopril sont progressivement repris avec bonne évolution clinique. Vu les tensions artérielles bien contrôlées et l'hyperkaliémie initiale, nous renonçons pendant le séjour à réintroduire l'aldactone. En plus, nos infirmières spécialisées pour l'insuffisance cardiaque visitent le patient et il profite des renseignements de la pathophysiologie de l'insuffisance cardiaque et de la gestion à domicile. Sur le plan pulmonaire, des inhalations d'atrovent et ventolin sont mises en place durant le séjour avec des aérosols. De plus, la technique d'inhalation est revue avec nos collègues physiothérapeutes. Pour rentrer à domicile, nous reprenons les inhalateurs habituels du patient. Sur le plan abdominal, une ascite importante est confirmée à l'ultrason. Initialement, nous arrêtons le traitement avec sintrom afin de prévoir une ponction éventuelle. Nous ne réalisons pas de ponction d'emblée, l'évolution se révélant favorable sous traitement diurétique et le patient ne présentant pas de douleurs abdominales. Nous reprenons donc le traitement avec du sintrom. Nous interprétons l'ascite et les perturbations des tests hépatiques comme une péjoration de la fonction hépatique dans le contexte de la stase lors de l'insuffisance cardiaque droite. Quant à la cirrhose, elle est probablement l'effet d'une consommation d'alcool à risque par le patient. Nous avons donc dans le contexte renoncé à d'autres investigations. Sur le plan biologique, le laboratoire montre une acutisation pré-rénale de la fonction rénale sur probable syndrome cardio-rénal, qui s'améliore avec le traitement diurétique. De plus, une hyperkaliémie probablement mixte sur traitement de spironolactone et dans le contexte de l'insuffisance cardiaque est mise en évidence et se corrige rapidement sous resonium et traitement diurétique. Monsieur Mollard rentre à domicile le 28.06.2018. Monsieur Monaco est un patient de 59 ans, connu pour une diverticulose avec deux antécédents de diverticulite (sigmoïdien proximal), qui se présente aux urgences le 15.05.2018 pour des douleurs en fosse iliaque gauche. Le patient avait bénéficié en début d'année d'un bilan CT ainsi que d'une colonoscopie, et avait bénéficié d'une consultation chirurgicale au Daler, où il avait été décidé d'une prise en charge conservative. Aux urgences, on retrouve une douleur en FIG à la palpation avec une détente généralisée, et le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 43 g/l et des leucocytes à 14.2 G/l. Le bilan CT met en évidence une diverticulite du côlon descendant Hansen-Stock IIa. Le patient est hospitalisé avec une antibiothérapie par Rocéphine 2g et Flagyl 500 mg. L'évolution est favorable et le patient peut sortir le 19.05.2018. Monsieur Mondragon est un patient de 19 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge chirurgicale d'une appendicite aiguë simple par laparoscopie. Les suites opératoires sont favorables tant sur le plan clinique que paraclinique. Le patient peut rentrer à son domicile le 12.06.2018 avec un suivi chez son médecin de famille par la suite. Monsieur Monney est un patient de 24 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'un polytraumatisé, transféré de Sion. Les suites de l'hospitalisation sont marquées par la surveillance du traitement conservateur initialement débuté pour le pneumothorax traumatique droit, dont les contrôles radiologiques seront favorables. Une fracture de D8-D9 sera également objectivée, avec un traitement conservateur devant la stabilité lors des contrôles radiologiques et sur avis de nos collègues neurochirurgiens. Un contrôle ophtalmologique est également réalisé et revient sans particularité. Devant la bonne évolution tant sur le plan clinique que paraclinique, le patient retourne à domicile le 06.06.2018. Monsieur Montavon, connu pour un carcinome du pancréas stade IV, actuellement sous chimiothérapie par Gemcitabine, et une pneumopathie interstitielle suite à la chimiothérapie diagnostiquée le 14.05.2018, le patient est hospitalisé pour une péjoration de sa dyspnée à un stade NYHA III. Il décrit une augmentation progressive sur plusieurs jours associée à une prise de poids de 3 kg en quelques jours avec l'apparition d'oedème des membres inférieurs. Pour rappel, le patient a été hospitalisé le 14.05.2018, date où le diagnostic de pneumopathie interstitielle avait été initialement posé. Un traitement par Prednisone avec un schéma dégressif avait été introduit, il est sous 10 mg de Prednisone au moment de son hospitalisation. A noter que le patient a reçu une nouvelle dose de Gemcitabine le 01.06.2018. Nous concluons à une nouvelle péjoration respiratoire suite à l'administration de Gemcitabine. Un traitement par corticothérapie haute dose IV puis per os avec un schéma dégressif est initié.Le bilan initial révèle également une petite composante de décompensation cardiaque. Une ETT effectuée le 11.06.2018 ne retrouve pas de cause évidente pouvant l'expliquer. Le patient est également mis sous Torem 10 mg initialement puis remplacé par une spironolactone en raison d'une kaliémie un peu basse. Nous vous laissons le soin de contrôler la kaliémie et la fonction rénale à distance. Le patient répond favorablement au traitement instauré avec une perte de poids de plus de 3 kg et une amélioration nette de sa dyspnée. Monsieur Montavon est également suivi durant son hospitalisation par nos collègues diabétologues pour adapter son traitement par insuline. Le suivi du diabète sera effectué en ambulatoire, le prochain rendez-vous est agendé le 20.06.2018. Concernant sa maladie oncologique, la chimiothérapie par Gemcitabine est actuellement mise en pause. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est pris le 20.06.2018 pour organiser la suite de la prise en charge. Suite à une bonne évolution, le patient peut regagner son domicile le 14.06.2018. Monsieur Mooser, aux co-morbidités et antécédents suscités, notamment pour une cure de hernie inguinale droite en janvier 2018, consulte le Dr. X le 22.05.2018 en raison d'une voussure inguinale gauche apparue il y a 3 mois et le gênant lors de certains mouvements. Devant le diagnostic d'une hernie inguinale gauche nouvelle, le Dr. X retient l'indication à une cure selon Lichtenstein sur un mode hospitalier. Par ailleurs, un drainage de l'ascite sera effectué la veille de l'opération. À l'entrée, le patient est hémodynamiquement stable. Auscultation cardio-respiratoire dans la norme. Abdomen volumineux (ascite), bruits diminués en fréquence et en tonalité. L'intervention se déroule comme prévu, sans complication. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont gérées par l'antalgie standard. Vu la bonne évolution, Monsieur Mooser peut regagner son domicile le 31.05.2018. Monsieur Mooser est un patient de 72 ans chez qui un carcinome épidermoïde pulmonaire à cheval sur les lobes supérieur et inférieur gauche, cT4 cNx cM0, stade minimum IIIA, a été diagnostiqué en avril 2018. Il bénéficie d'une thoracoscopie avec biopsie ganglionnaire (station 6) et prise d'une cytologie de l'épanchement pleural à but de staging le 14.06.2018. L'intervention se déroule sans complication. Le drain thoracique est enlevé à J1. La radiographie de contrôle ne montre pas de pneumothorax. Le patient rentre à domicile le 15.06.2018. Monsieur Moradi a présenté plusieurs épisodes d'épigastralgies pour lesquels il a consulté les urgences. Une OGD fin 2017 montrait une gastrite chronique à H. Pylori qui n'a pas été traitée. Lors d'une précédente consultation, les antigènes dans les selles reviennent négatifs à H. Pylori, ce pour quoi le patient n'est à ce moment pas traité pour H. Pylori. Toutefois, au vu de la récidive des symptômes qui se présentent toujours de la même manière, il est décidé durant la consultation du jour de débuter un traitement d'épreuve d'éradication de H. Pylori. Monsieur Morand, 81 ans, connu notamment pour un remplacement de valve aortique biologique non anticoagulé et un diabète de type II insulino-réquerant, est hospitalisé aux soins intensifs puis à l'étage de médecine interne pour une insuffisance respiratoire aiguë globale sur décompensation cardiaque et probable composante de syndrome d'obésité-hypoventilation. Le patient présente en effet une dyspnée en péjoration évoluant sur quelques jours ainsi qu'une augmentation de ses oedèmes périphériques. Il vous consulte et vous organisez un CT thoracique en ambulatoire qui permet d'exclure une embolie pulmonaire et l'adresse au service des urgences. En raison de l'insuffisance respiratoire globale, le patient est admis aux soins intensifs. Une échocardiographie met en évidence une sténose aortique et mitrale non sévère, une HTAP d'allure chronique avec bonne fonction ventriculaire. Une anticoagulation thérapeutique est débutée pour une fibrillation auriculaire valvulaire. Un traitement diurétique par Furosemide IV puis Torasemide PO est initié, permettant au patient de retrouver son poids de forme de 125 kg. Il bénéficie également de séances de ventilation non invasive. Au cours du séjour, nous posons l'indication d'une ventilation non-invasive nocturne en continu en raison d'une hypercapnie persistante et du contexte global (obésité-hypoventilation, suspicion de SAOS, HTAP). Le patient est appareillé dès le 11.06.2018 et est suivi pendant le séjour par les collègues de pneumologie. Une polygraphie effectuée le 11.06.2018 ne montre pas d'apnées résiduelles sous VNI. Une réévaluation de l'indication à la VNI en dehors de la phase aiguë sera à effectuer avec la réalisation de fonctions pulmonaires à la recherche de troubles ventilatoires. Suite à un sondage traumatique au service des urgences, le patient présente une macrohématurie, sans baisse de l'hémoglobine. Une échographie abdominale fait suspecter la présence de caillots intra-vésicaux raison pour laquelle une sonde urinaire de rinçages est posée le 11.06.2018 mais aussitôt retirée car non supportée par le patient. En raison de la survenue d'un globe urinaire le 12.06.2018, une sonde 3 voies est remise en place avec un rinçage continu puis manuel du 12.06 au 19.06.2018. Une suspicion de conjonctivite infectieuse est traitée par Tobradex. Les plaies chroniques des membres inférieurs de ce patient diabétique sont suivies par notre service de podologie. Un bilan angiologique à la recherche d'une artériopathie des membres inférieurs a eu lieu le 22.06.2018. Celui-ci révèle une artériopathie des membres inférieurs, sans ischémie, ne contre-indiquant pas une compression élastique prudente des membres inférieurs. La prise en charge en soins aigus étant terminée, le patient est transféré à l'HFR Billens le 22.06.2018 pour suite de prise en charge et réadaptation. Monsieur Mornod, connu pour antécédent de tumeur hypophysaire et résection de celle-ci en 1979, nous est adressé par son médecin traitant suite à des vertiges fluctuants depuis 2 jours avec nausées et vomissements. Nous constatons des troubles de la marche avec majoration du polygone de sustentation et nous évoquons un syndrome cérébelleux. Un bilan extensif sur avis neurologique est effectué. Une IRM crânienne ne montre pas de lésions cérébelleuses ni pontiques en relation avec la symptomatologie du patient. À noter deux lésions pontiques séquellaires millimétriques qui pourraient fragiliser le terrain mais qui ne sont pas à l'origine du problème. Une possible décompensation d'une polyneuropathie est évoquée, une électroneuromyographie revient dans la norme. Le bilan est complété par une ponction lombaire et un bilan vitaminique qui reviennent dans la norme. L'évolution spontanée de la symptomatologie est nettement favorable avec une rémission totale de l'instabilité à la marche le premier jour d'hospitalisation. À la sortie du patient, l'électrophorèse des protéines du liquide céphalo-rachidien et sériques ainsi qu'une partie du bilan vitaminique et sérologique (Borréliose, Syphilis et HIV) sont en cours. Monsieur Mornod décide de quitter l'hôpital contre avis médical le 15.06.2018 après avoir signé une décharge de responsabilité. Au vu de la résolution de la symptomatologie, nous renonçons à des analyses supplémentaires. Monsieur Mortier présente donc une coxarthrose débutante à gauche sur déformation type CAME de la tête fémorale. Le conflit fémoro-acétabulaire créé par cette déformation amène à l'usure de cette hanche. Étant donné l'âge relativement jeune du patient, je propose dans un premier temps un traitement conservateur et lui prescris de la physiothérapie à but antalgique.Un nouveau contrôle est prévu à 2 mois (20.8.18) pour une réévaluation clinique. Si le traitement ne montre aucun effet positif, une infiltration par cortisone pourrait éventuellement soulager le patient. A noter qu'au vu de l'âge du patient, les antécédents ainsi que les comorbidités, une indication opératoire n'est pas envisageable pour l'instant. Monsieur Mujic, 66 ans, connu notamment pour un statut post-transplantation cardiaque en février 2010 et un antécédent de carcinome de la prostate, est hospitalisé le 28.05.2018 à l'HFR Fribourg dans le contexte d'un carcinome pulmonaire à petites cellules récemment diagnostiqué. Pour rappel, un CT-thoraco-abdominal effectué en octobre 2017 dans le contexte d'une baisse de l'état général accompagnée de symptômes B avait mis en évidence un nodule pulmonaire du lobe supérieur d'aspect spécifique, qui devait être contrôlé à trois mois. Cependant, le patient ne s'étant pas présenté à son rendez-vous de contrôle, ce n'est qu'en avril de cette année que des examens radiologiques sont effectués dans le contexte d'une suspicion de hernie inguinale, mettant cette fois-ci de multiples lésions hépatiques en évidence. Un CT-thoracique permet d'objectiver une lésion polylobée du segment dorsal du lobe supérieur droit ayant fortement augmenté en taille par rapport au scanner effectué l'automne passé. Des biopsies hépatiques sont effectuées le 25.05.2018 en ambulatoire et permettront de poser le diagnostic de carcinome pulmonaire à petites cellules métastatiques. Cependant, la survenue de vertiges et d'une dyspnée à l'effort motivent une prise en charge hospitalière dès le 28.05.2018. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire sans piste infectieuse clinique, probablement dans le contexte tumoral. Par ailleurs, une hypoxémie et une hypocapnie sont objectivées à la gazométrie, motivant la réalisation d'un CT-thoracique à la recherche d'une embolie pulmonaire qui ne sera pas retrouvée. Finalement, au vu d'un syndrome de lyse tumorale spontanée, de l'allopurinol adapté à la fonction rénale, une hyperhydratation et un chélateur de potassium sont introduits, puis sevrés au vu d'une bonne évolution biologique. Au vu du contexte oncologique et des vertiges présentés par le patient, une IRM cérébrale est effectuée, ne mettant pas de métastases cérébrales en évidence. Un examen neurologique dans la norme et un test de Schellong positif confirment l'origine orthostatique des vertiges et motivent l'arrêt du traitement hypotenseur. Suite à une bonne évolution clinique, le Zanidip est repris à demi-dose, soit à 5 mg/j, et nous vous proposons de l'augmenter à 10 mg selon tolérance. Monsieur Mujic bénéficie durant son hospitalisation d'une chimiothérapie par Paraplatine et de la pose d'un port-à-cath. La suite de prise en charge oncologique sera assurée en ambulatoire, avec un premier rendez-vous prévu le 21.06.2018 à 15h à la consultation du Dr X. Aussi, nous effectuons un taux de ciclosporine et adaptons les doses des immunosuppresseurs (ciclosporine et Cellcept) sur conseil du service de cardiologie du CHUV. Finalement, Monsieur Mujic présente un état de malnutrition protéino-énergétique modéré, nécessitant une supplémentation par nutrition artificielle entérale. Dans ce contexte, nous mettons en place des soins à domicile de façon à ce qu'il puisse poursuivre ce traitement en ambulatoire. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Mujic rentre à domicile le 15.06.2018 et poursuivra sa prise en charge oncologique en ambulatoire. Monsieur Murith est un patient de 54 ans, chez qui on met en évidence lors d'une colonoscopie réalisée dans le cadre d'une anémie ferriprive un adénocarcinome du bas fond cæcal. Il bénéficie le 14.06.2018 d'une hémicolectomie droite laparoscopique avec exérèse complète du mésorectum (CME). L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 19.06.2018. Le cas de Mr. Murith est discuté au tumorboard le 27.06.2018 où il est décidé d'une chimiothérapie adjuvante. Le patient sera convoqué par le service d'oncologie pour la suite du traitement. Monsieur Musy est un patient de 81 ans connu pour une néoplasie de la tête du pancréas, qui présente des hernies inguinales des deux côtés dont une inguino-scrotale à G et une hernie ombilicale. Il bénéficie d'une cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein et de hernie ombilicale le 18.06.2018. L'intervention se déroule sans complication. Le redon mis en place en intra-opératoire à gauche est enlevé à J1. Les suites sont favorables avec une réalimentation bien supportée et une reprise du transit. Le patient rentre à domicile le 20.06.2018. Monsieur Musy est un patient de 81 ans, connu pour une néoplasie de la tête du pancréas, qui se présente aux urgences en raison d'une asthénie. Le laboratoire met en évidence une augmentation des tests hépatiques et une CRP à 20 mg/l, qui parle pour une cholangite sur obstruction du stent biliaire. Nous hospitalisons le patient et une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole est débutée. Le patient bénéficie d'une ERCP le 30.05.2018. L'examen montre un stent duodénal rétréci par une prolifération muqueuse dans sa moitié caudale et dans le 2ème et 3ème duodénum en aval, avec une impossibilité de visualiser l'extrémité caudale du stent biliaire pour le cathétériser ou le désobstruer. Nous discutons du cas avec le Dr X (Gastroentérologie - Clinique Beau-Site) qui suit le patient. Il est décidé de refaire une ERCP le 01.06.2018. Le patient est transféré à la clinique Beau-Site le 01.06.2018 pour bénéficier de l'examen mentionné, qui s'avère à nouveau être un échec, le rétrécissement sur le stent duodénal ne permettant pas d'accéder au cholédoque. Un drainage percutané des voies biliaires est prévu le 04.06.2018 puis annulé au vu d'une amélioration spontanée des valeurs de cholestase avec disparition de la dilatation des voies biliaires et une bonne évolution clinique. Un traitement de De-Ursil est instauré et une attitude expectative est adoptée. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 06.06.2018. L'antibiothérapie est poursuivie pour un total de 14 jours. Le patient sera revu par le Dr X pour replanifier la cure de hernies inguinales bilatérales et ombilicale qui a été annulée le 01.06.2018 au vu de la situation. Monsieur Nadesu a été transféré le 30.04.2018 de la médecine interne de Meyriez en neuro-réhabilitation après un AVC ischémique le 12.04.2018 sur une occlusion subaiguë de l'A. Carotis gauche d'origine athéromateuse avec aphasie et héminégligence. Le patient est aussi connu pour un diabète de type 2 insulino-requérant avec polyneuropathie des membres inférieurs, une dyslipidémie mixte et une cardiopathie ischémique sur coronaropathie tritronculaire avec hypertension artérielle. Le patient était avant l'événement autonome pour tous les AVQ et habitait dans un appartement au troisième étage avec 18 marches sans ascenseur. Il conduisait et s'occupait de sa gestion financière. A l'entrée, le patient était au niveau hémodynamique stable, orienté dans l'espace, mais dans le temps il ne peut que citer le jour, manque du mot sévère, troubles de la compréhension des ordres semi-complexes, persévérations verbales. Anisocorie droite > gauche. Oculomotricité intacte, pas de nystagmus, hémianopsie visuelle et sensitive droite, pas de parésie du VII, sensibilité du visage conservée, épreuve des bras tendue sans chute, force segmentaire conservée symétriquement, épreuve doigt nez sp. Aux membres inférieurs, épreuves jambes fléchies, sp. Force segmentaire symétrique M5, réflexes ostéotendineux pas évocables car le patient peu collaborant. Pas de troubles sensitifs objectifs.Sur le plan fonctionnel, il marche en sécurité avec le rollator sans supervision. Il a besoin de l'aide d'une personne pour les ADLs. Grâce à des mesures physiothérapeutiques et ergothérapeutiques intensives, nous avons pu constater de bons progrès ; il peut marcher sans aide sur une distance illimitée, y compris sur terrains variés et instables sans risque de chute et il arrive à faire en sécurité sans aide 3 étages avec pause car dyspnée. Au niveau logopédique (thérapies dispensées en anglais), nous avons constaté une bonne évolution ; il arrive à formuler des phrases simples en anglais et à donner des descriptions d'images avec phrases simples. Il reste de sévères difficultés pour trouver des mots ainsi que des paraphasies phonémiques et verbales sémantiques. Les progrès plus évidents ont été constatés par la famille dans la langue maternelle (Tamul). La réhabilitation logopédique en anglais va se poursuivre à Tavel 2 fois par semaine. Les deux premiers rendez-vous sont prévus le 18.06.2018 et le 20.06.2018. Au niveau cognitif, le patient est orienté dans l'espace et le temps, il arrive à dire le jour, le mois et l'an. Il présente des persévérations et un manque de flexibilité faisant suspecter une atteinte exécutive, mais une évaluation plus poussée n'a pas été faite en raison de l'aphasie. Pendant l'hospitalisation, nous avons diagnostiqué un lichen simplex chronicus avec prurit, épaississement cutané et pigmentation. Selon l'avis dermatologique, nous vous recommandons un traitement de Monovo crème 1x/jour pendant 1 semaine jusqu'au 22.06.2018, puis tous les 2 jours pendant 1 semaine, puis 2x/semaine jusqu'à guérison. Hydratation quotidienne avec Optiderm crème plusieurs fois par jour. S'il n'y a pas d'amélioration avec ce traitement, nous vous conseillons un nouveau rendez-vous avec un dermatologue. La conduite automobile reste contre-indiquée jusqu'au prochain contrôle neurologique avec le Dr. X, qui est prévu le 30.08.2018 à 15 h à Meyriez. Mr. Y est un patient de 40 ans qui se présente à la consultation du Dr. X pour des douleurs abdominales. Le bilan d'extension met en évidence un épaississement de la paroi vésicale et une CRP augmentée. Nous débutons un traitement antibiotique. L'évolution est favorable avec la disparition des douleurs et une baisse du syndrome inflammatoire. Le patient rentre à domicile le 01.06.2018 avec un relais du traitement antibiotique par voie orale pour une durée de 5 jours. Mr. Y est un patient de 58 ans, connu pour une gastrite chronique, jamais investiguée ni traitée, qui se présente aux urgences le 24.06.2018 pour une baisse d'état général en péjoration depuis deux semaines avec asthénie marquée, nausées, vomissements et perte d'appétit avec perte pondérale de 3-4 kg. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine de 174 umol/l, un syndrome inflammatoire avec CRP à 22 et leucocytose à 22.8. Le CT abdominal du 24.06.2018 met en évidence un calcul enclavé dans l'uretère proximal droit, associé à une dilatation pyélocalicielle, un retard de perfusion rénale et une pyélo-urétérite qui explique l'insuffisance rénale d'origine post-rénale, ainsi que de multiples ganglions augmentés en taille et en nombre en regard de la petite courbure gastrique, dans le rétropéritoine et la racine du mésentère, aspécifiques. Un uricult est envoyé et le patient est mis sous Rocéphine iv du 24.06 au 26.06.2018, avec relais par Ciprofloxacine 500mg iv 2x/24h après réception des résultats de l'antibiogramme. Il est opéré au Daler le 25.06.2018 pour pose de sonde JJ à droite par le Dr. X et revient à l'HFR le 26.06.2018. Les suites opératoires sont simples et la sonde urinaire trans-urétrale est retirée le 27.06.2018. L'insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale s'améliore progressivement après la pose de JJ. Une oeso-gastro-duodénoscopie est prévue en ambulatoire le 02.07.2018 à 11h30 au HFR pour investiguer l'anémie normocytaire normochrome régénérative et une colonoscopie sera prévue par la suite suivant les résultats de l'OGD. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, le patient peut rentrer à domicile le 28.06.2018. Il sera vu à la consultation du Dr. X le 09.07.2018 pour prévoir une ablation de la sonde JJ et suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour un statut post-cancer de la prostate opéré en 2007, qui se présente aux urgences avec une macrohématurie avec des caillots. Il bénéficie de la pose d'une sonde urinaire et de rinçages. L'évolution est tout à fait favorable. La sonde est enlevée le 11.03.2018 et le patient peut retourner à domicile le 12.03.2018. Mr. Y est un patient de 24 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour des douleurs au niveau du flanc droit. Le bilan montre une urolithiase à droite de 3 mm. Nous décidons d'un traitement conservateur par antalgie, Pradif et filtration des urines. Une pose de sonde JJ a été conseillée en cas de péjoration du tableau clinique. Le patient rentre à domicile le 18.04.2018 avec un traitement antalgique. Mr. Y est hospitalisé le 21.06.2018 dans le contexte d'une hépatite aiguë et la forte suspicion d'un carcinome hépato-cellulaire. La présentation aux urgences était motivée par des dorsalgies non déficitaires avec des vomissements suite à la médication de Morphine, motivant d'effectuer un bilan laboratoire, où on trouve une perturbation des tests hépatiques. Un ultrason abdominal met en évidence deux lésions hépatiques suspectes. Le patient est hospitalisé pour une antalgie et mobilisation et des investigations supplémentaires. La médication de Moduretic et Unifyl est mise en suspens. Par rapport aux douleurs, le patient est asymptomatique le lendemain. L'analyse laboratoire montre une diminution des tests hépatiques. L'alpha-foeto-protéine devient positive. Concernant les lésions hépatiques, un CT abdominal parle également en faveur d'un carcinome hépato-cellulaire, à noter les antécédents d'une infection chronique d'HBV et HCV. Selon l'avis des oncologues, nous organisons un RDV avec Dr. X le 29.06.2018. Le patient sera présenté au tumorboard le 27.06.2018. Comme le patient est asymptomatique et désire rentrer, il sera vu en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 57 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit cT4 cN2 cM0, stade IIIB, actuellement sous immunothérapie et porteur d'un stent endotrachéal. Il est amené par sa fille pour une toux en augmentation, une dyspnée et une fièvre depuis vendredi 22.06.2018 au soir. Le patient présente dans le cadre de sa pathologie des crachats verdâtres de manière chronique. L'auscultation pulmonaire montre des crépitants en base droite. Mr. Y est hospitalisé et bénéficie initialement d'une antibiothérapie à large spectre au vu d'une récente pneumonie traitée par co-amoxicilline et ciprofloxacine. Le spectre antibiotique peut ensuite être réduit suite à la mise en évidence dans les cultures d'expectorations de Staphylococcus Aureus sensibles à l'augmentin. Au vu des récents et nombreux épisodes de pneumonies probablement dus à une colonisation du stent endo-trachéal, nos collègues infectiologues proposent une antibiothérapie au long cours par co-amoxicilline. Compte tenu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y rentre à domicile le 27.06.2018. Mr. Y est un patient de 88 ans, connu pour une myélofibrose primitive, qui a été hospitalisé pour la prise en charge d'un état fébrile d'origine indéterminée ainsi qu'un état confusionnel aigu hypoactif.Le patient s'était présenté au service des urgences pour un état fébrile à 38,6 °C depuis moins de 24h, objectivé par sa fille. Le patient rapportait également une faiblesse généralisée depuis quelques jours. Le bilan initial avait mis en évidence un sédiment pathologique ainsi qu'une radiographie thoracique avec une opacité rétro-cardiaque. Monsieur Nicolet ne présentait pas de dyspnée ou de plaintes urinaires. Dans ce contexte, un traitement par Ceftriaxone IV est débuté pour une durée de 8 jours. L'évolution est favorable sur le plan clinique et biologique. Sur le plan cardiovasculaire, il a présenté des signes de décompensation cardiaque. L'évolution est favorable avec un traitement diurétique intraveineux puis per os. Le patient est connu pour une insuffisance rénale chronique stade IIIB sur son rein unique droit. Durant son hospitalisation, il a présenté une péjoration de sa fonction rénale AKI I dans le contexte infectieux et de la décompensation cardiaque. Nous recommandons un suivi clinique et biologique de sa fonction rénale. Sur le plan cognitif, le patient et son épouse rapportent des troubles de la mémoire en péjoration. Le MMSE du 14.06.2018 est à 25/30. Nous retenons un état confusionnel aigu hypoactif dans le contexte infectieux et de la décompensation cardiaque. L'épouse du patient est actuellement hospitalisée en chirurgie avec un projet de réhabilitation. Le retour à domicile chez Monsieur Nicolet n'est pas envisageable sans son épouse, raison pour laquelle nous demandons également une réhabilitation. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Niederhauser est adressé le 24.05.2018 dans notre service des urgences en raison d'une dyspnée de repos, à la sortie d'une consultation en stomathérapie pour suivi d'une plaie déhiscente au niveau du moignon de son pied gauche. Le bilan initial effectué aux urgences met en évidence une décompensation cardiaque avec NSTEMI, pour laquelle le patient est hospitalisé aux soins intensifs. Une coronarographie a lieu le 25.05.2018, avec dilatation d'une resténose intra-stent de l'artère coronaire droite. Bien que l'évolution clinique et biologique soit favorable, une cure de Levosimendan est entreprise vu la péjoration récente de la fonction cardiaque. Le traitement de bêta-bloquant et Lisinopril est repris le 27.05.2018, parallèlement à la (ré-)introduction d'aldactone. Le traitement antibiotique par co-amoxicilline est poursuivi, le patient ayant récemment été amputé du pied gauche au niveau transmétatarsien et repris plusieurs fois pour déhiscence de plaie. Le 28.05.2018, le patient peut être transféré dans notre service de médecine. Un consilium orthopédique le 28.05.2018 aboutit à la décision de reprendre chirurgicalement le pied gauche, avec interruption du traitement antibiotique jusqu'à l'opération prévue le 01.06.2018. Sur avis cardiologique, nous poursuivons le traitement de l'insuffisance cardiaque tel que réintroduit aux soins, avec substitution du Carvedilol par du Metoprolol. Le patient sera revu en consultation pour adaptation du traitement courant juin par Dr. X (cf. propositions). Une consultation Cinacard a lieu pendant cette hospitalisation, le patient ne souhaitant par ailleurs pas de soins de support par Voltigo. Une opacité suspecte au niveau péri-hilaire droit est rapportée rétrospectivement sur la radiographie de thorax à l'entrée par nos collègues des soins intensifs et de la radiologie. Après révision des images et comparaison avec des images plus anciennes (juillet et août 2017), nous ne retenons pas de différence notable, cette opacité ayant préalablement été décrite et difficile à caractériser vu le contexte post-opératoire. Nous renonçons à la réalisation d'un CT thoracique - une injection de produit de contraste ne rentrant par ailleurs pas en ligne de compte. Dr. X reste dans notre service en attente d'une prise en charge chirurgicale de son pied gauche en orthopédie, prévue le 01.06.2018 (Dr. X). Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. RDV de suivi chez Dr. X le 13.06.2018 à 8h30. Monsieur Nobel, patient de 64 ans, est admis aux soins intensifs le 02.06.2018 pour une détresse respiratoire avec insuffisance respiratoire globale aiguë. Le patient, connu notamment pour un carcinome ORL traité par radio-chimiothérapie et panendoscopie, un syndrome de Korsakoff et un tabagisme actif (140 UPA), a été hospitalisé le 01.06.2018 à l'HFR Riaz pour pneumonie communautaire. Le patient décrit une BEG avec dyspnée et EF depuis quelques jours. Au vu de la péjoration des paramètres respiratoires malgré la VNI à Riaz, le patient est intubé (Cormack I, cordes vocales bien visualisées mais pharynx rigide, remanié) puis transféré aux soins intensifs. Le patient est initialement traité par Co-Amoxicilline pour une pneumonie communautaire. En raison d'antigènes urinaires positifs pour le Legionelle, le traitement antibiotique est adapté pour du Tavanic pendant 14 jours. La déclaration de Legionelle auprès du médecin cantonal a été faite le 03.06.2018. L'évolution est favorable permettant une extubation avec relais par VNI le 03.06.2018. À noter qu'en raison du carcinome ORL, le patient est nourri par une PEG. Il s'alimente en partie par voie orale avec des fausses routes connues à domicile. Après évaluation ORL, devant un œdème laryngé diffus avec hypo-mobilité arythénoïde gauche connu dans le contexte post-actinique, il est préconisé une alimentation uniquement par la PEG. Un suivi oncologique en ORL est prévu. Monsieur Nobel est transféré en médecine le 08.06.2018 où le traitement antibiotique est poursuivi avec une évolution clinique satisfaisante. Concernant une possible BPCO dans un contexte de tabagisme actif, Monsieur Nobel sera convoqué par le service de pneumologie en ambulatoire. Pendant l'hospitalisation, l'alimentation par PEG est adaptée au besoin du patient en accord avec les collègues nutritionnistes, un schéma d'alimentation est fourni à la sortie au patient et aux infirmières des soins à domicile. Vu la perte de force et de mobilité suite à la maladie, nous proposons une réhabilitation musculo-squelettique à Billens, que le patient refuse. Le patient peut rentrer à domicile le 15.06.2018 en état général conservé. La physiothérapie à domicile et les soins à domicile quotidiens sont mis en place. Monsieur Noel, 91 ans, est admis pour une embolie pulmonaire centrale avec répercussions cardiaques. Le patient, connu pour un flutter auriculaire non anticoagulé, un diabète de type 2 et des troubles de la marche, a présenté le 03.06.2018 une chute. Après avoir été relevé, le patient présente une dyspnée persistante, raison de sa consultation. Un CT-scanner thoracique effectué aux urgences met en évidence une importante embolie pulmonaire centrale. Une anticoagulation thérapeutique par héparine est initiée. Une échocardiographie montre des signes modérés de dilatation et de surcharge des cavités droites, n'indiquant actuellement pas une mise en charge invasive. La surveillance hémodynamique est sans particularité. Une anticoagulation orale par Eliquis remplace l'héparine le 07.06.2018.De multiples thromboses artérielles sont mises en évidence aux urgences, probablement chroniques, car bien supportées cliniquement. Lors de la surveillance, une ischémie aiguë du membre inférieur droit est mise en évidence et nécessite une angiographie en urgence. Après désobstruction de l'artère poplitée et du départ du trépied, l'évolution est favorable. L'anticoagulation doit être poursuivie. Au vu du risque de chute, nous ne proposons pas d'ajouter de l'Aspirine. Un contrôle angiologique effectué le 12.06.2018 montre une évolution clinique favorable, mais la perfusion reste à la limite de l'ischémie critique des MI ddc. Un prochain contrôle angiologique est prévu le 5.7.2018 pour suivi des plaies, en cas de péjoration une nouvelle intervention endovasculaire s'avérerait nécessaire. Plusieurs discussions ont lieu avec le patient et séparément avec sa fille, Dominique Noël. Malgré une convergence des avis médicaux et familiaux vers un placement en EMS, le patient refuse catégoriquement ce projet. Sa capacité de discernement quant au lieu de vie ayant été établie lors de la dernière hospitalisation, nous lui expliquons les risques encourus par un nouveau retour à domicile, qu'il accepte. Il est de même informé qu'en cas de chute ultérieure à domicile, nous serons obligés de présenter la situation à la justice de Paix pour une évidente mise en danger de soi-même. M. Noël peut sortir le 13.06.2018 en état général conservé. Mr. Oberson, connu pour des troubles dépressifs, alité depuis plusieurs jours à domicile en raison d'un manque de force, est amené aux urgences en ambulance le 03.06.2018, adressé par le médecin de garde, pour suspicion d'embolie pulmonaire. En effet, le patient mentionne une dyspnée d'apparition progressive depuis 3 jours associée à une douleur basithoracique postérieure gauche. Pas de toux, d'expectoration ni d'état fébrile. À noter qu'il a reçu 1 mg/kg de Clexane chez le médecin de garde. Son épouse mentionne également la perte de 30 kg en 5 ans. À l'admission aux urgences, Mr. Oberson est en bon état général. Il est hémodynamiquement stable, afébrile, déshydraté et sature à 95% à l'air ambiant. Au status clinique, le murmure vésiculaire est symétrique avec présence de râles bibasaux. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 59 mg/l et une leucocytose à 13,8 G/l et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer clair mais cependant un important épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. Suspectant une embolie pulmonaire, nous dosons les D-Dimères qui reviennent à 1448 ng/ml et effectuons un CT scan thoracique qui confirme le diagnostic. Nous débutons une anticoagulation par Xarelto et Mr. Oberson est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. En raison d'une douleur au niveau du flanc gauche et d'un status abdominal montrant une résistance, nous effectuons un ultrason abdominal qui montre une coprostase. Nous mettons en place un traitement par Movicol et la douleur diminue. Cependant, le 07.06.2018, le patient présente deux épisodes de selles liquides et décrit des douleurs à la défécation. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Nous effectuons un toucher rectal qui met en évidence un fécalome. Ce dernier est extrait manuellement et suite à ce geste, le patient est soulagé et ne présente plus de douleur. En raison d'un patient apathique, connu pour un syndrome dépressif récurrent et hospitalisé au RFSM Marsens jusqu'au 25.05.2018, nous demandons une évaluation psychiatrique. La Dr. X propose de ne pas changer le traitement mis en place à Marsens mais signale que le retour à domicile sera difficile. Suite à une discussion avec l'épouse de Mr. Oberson, cette dernière refuse de prendre en considération une possible réhospitalisation à Marsens. Elle se rend toutefois compte que le retour à domicile sera compliqué et accepte l'activation des soins à domicile 1x/jour dans l'attente d'un placement dans un home. En raison de la perte pondérale importante et afin de compléter le bilan, nous effectuons un CT scan abdominal qui ne met pas en évidence de processus expansif ou secondaire. À noter que concernant l'embolie pulmonaire, au vu de son origine idiopathique, nous vous proposons de compléter le bilan par une OGD et une colonoscopie à distance. L'évolution étant favorable et à sa demande, Mr. Oberson peut regagner son domicile le 15.06.2018. Les soins à domicile sont activés afin de sécuriser son retour. Mr. Oberson, connu pour un ulcère veineux chronique à gauche depuis des années, est hospitalisé pour une surinfection de celui-ci. Le patient a été traité par augmentin pendant 10 jours en ambulatoire par le Dr. X (chirurgie vasculaire) pour une suspicion de surinfection déjà. Lors de sa consultation de stomatothérapie habituelle du 01.06.2018, il est hospitalisé pour une antibiothérapie IV et des soins de plaie quotidiens. Les frottis de la plaie révèlent une infection par Pseudomonas aeruginosa (l'Enterococcus faecalis est probablement une contamination selon avis des infectiologues). Une antibiothérapie IV par Céfépime est initiée. Un relais per os est effectué avec la ciprofloxacine. Le patient reste hospitalisé pour bénéficier de soins de plaie quotidiens, au vu du refus du passage des soins à domicile par la famille. La suite de la prise en charge sera effectuée en ambulatoire 3x/semaine en stomathérapie. Suite à une bonne évolution clinique, le patient peut rentrer à domicile le 14.06.2018. Mr. Oberson est dans une situation où son état de santé l'empêche d'effectuer une quelconque activité professionnelle. Il devrait bénéficier d'une rente à 100% et n'est pas éligible à une reconversion professionnelle. Il sera revu à notre consultation au mois de novembre 2018. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons de la physiothérapie avec stretching, rebalancement, école du dos ainsi que des séances en piscine. Nous restons à disposition. Mr. Oberson est hospitalisé en médecine interne le 21.05.2018 pour le bilan d'un angor instable et une dyspnée. On met en évidence une progression de la maladie tritronculaire, avec échec de PTCA (lésion grêle, à reprendre dans un deuxième temps). Le 04.06.2018, il présente un sepsis avec hypotension artérielle en per-dialyse. L'origine est une phlébite sur venflon (retiré le 03.06.2018), avec une bactériémie soutenue à S. aureus. Après admission aux soins intensifs et remplissage prudent, la situation peut être stabilisée, sans recours à des amines. L'état clinique s'améliore progressivement, permettant un retour en médecine le 05.06.2018. Le traitement antibiotique (Vancomycine avec 1 dose de Floxapen donnée) reste à adapter selon antibiogramme en attente. Une recherche de foyer secondaire, notamment au niveau cardiaque et du permcath, est à évaluer selon l'évolution ultérieure. Le patient est dialysé trois fois par semaine. Il n'y a pas eu nécessaire d'effectuer une dialyse lors des 20 heures aux soins intensifs. Une nouvelle resténose proximalement au niveau du stent de l'artère circonflexe moyenne à la bifurcation avec la première marginale, pouvant expliquer les plaintes du patient, n'a pas pu être traitée. Une intervention élective avec rotablation pourrait être envisagée à distance, en cas de récidive d'angor sous traitement optimal. À noter un nouvel épisode de DRS le soir du 04.06., dans le contexte du sepsis. Mr. Oberson est un patient dialysé de 79 ans, connu notamment pour une cardiopathie hypertensive et ischémique, qui est hospitalisé dans un contexte d'épisodes de dyspnée paroxystique. Il s'agit de la quatrième hospitalisation depuis avril 2018.Il présente en effet des épisodes de dyspnée paroxystique, sans douleurs ni désaturation, de résolution spontanée sans intervention extérieure. Il n'y a pas de signe de surcharge à l'examen clinique avec cependant une radiographie de thorax qui montre une redistribution vasculaire. Une scintigraphie pulmonaire ne montre pas de signe de maladie thrombo-embolique. Une coronarographie complète le bilan et révèle une nouvelle resténose proximalement au niveau du stent de l'artère circonflexe moyenne, pouvant expliquer les plaintes du patient. Les collègues cardiologues proposent une optimisation du traitement antiangineux et nous introduisons progressivement un bêta-bloquant, un inhibiteur de l'enzyme de conversion ainsi qu'un patch de nitré (les jours de non-dialyse). Une composante anxieuse est par ailleurs jugulée par Lorazépam et le patient ne présente pas d'événement majeur durant le reste du séjour (uniquement des épisodes de quelques secondes répondant au Temesta). En cas de recrudescence de la symptomatologie malgré l'optimisation du traitement cardiaque, une intervention élective avec rotablation de l'artère circonflexe serait envisagée. Sur le plan gastro-entérologique, une nouvelle oesophago-duodénoscopie est réalisée pour le contrôle post-ulcère gastrique Forrest III. L'examen montre une gastrite antrale sans érosion ni ulcération. Le traitement de Pantoprazole est poursuivi à une posologie de 1x/jour et l'anticoagulation pourra être reprise par nos collègues néphrologues en ambulatoire. Sur le plan infectiologique, l'hospitalisation se complique le 04.06.2018 par une thrombose septique sur voie veineuse périphérique du membre supérieur gauche avec bactériémie à Staphylocoques Aureus multisensible. Monsieur Oberson nécessite une surveillance aux soins intensifs pendant 24h et une antibiothérapie par Vancomycine est initialement débutée puis changée pour du Floxapen selon antibiogramme. L'évolution clinico-biologique est rapidement favorable avec un ultrason de contrôle qui montre une recanalisation du thrombus. Pour des raisons pratiques, l'antibiothérapie est à nouveau changée pour de la Cubicine (administration 3x/semaine après la dialyse), à poursuivre pour une durée de 4 semaines depuis la dernière hémoculture positive. Monsieur Oberson rentre à domicile le 13.06.2018. Monsieur Oberson sera revu à votre consultation le 06.06.2018 pour suite des soins locaux du genou gauche. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X dans 10 jours. Monsieur Ody est connu pour des symptômes urinaires irritatifs sur hyperplasie bénigne de la prostate, suivi par le Dr. X. Au vu d'un nouvel épisode de rétention urinaire sous antibiothérapie (céfuroxime 500 mg), l'indication opératoire est posée en électif et le patient est admis dans le service de chirurgie. En péri-opératoire, le patient a bénéficié d'une antibiothérapie par Rocephin 2 g en dose unique. Les suites opératoires sont simples, Monsieur Ody reste afébrile et ne présente pas de douleurs, les urines reviennent claires. La sonde urinaire est retirée le 11.06.2018, avec bonne reprise des mictions. Le 11.06.2018, Monsieur Ody peut regagner son domicile. Il poursuivra l'antibiothérapie par céfuroxime 2 x 500 mg/jour jusqu'au 15.06.2018 inclus. Monsieur Ottet, 43 ans, est connu pour un carcinome mammaire diagnostiqué en décembre 2017 avec un statut post-opération et traitement par chimiothérapie et actuellement sous radiothérapie et immunothérapie qui présente le 10 juin un état fébrile à 39.6° sans frisson. Le patient signale une toux sèche avec dyspnée d'effort depuis le 09 juin. Au status on retrouve une importante dermite post-radique sur l'hémi-thorax G ainsi que de discrets crépitants aux 2 bases à l'auscultation pulmonaire ; le reste du status est sans particularité. Le laboratoire montre un discret syndrome inflammatoire et un scanner thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire et met en évidence de multiples foyers infectieux. Le patient est hospitalisé pour surveillance et antibiothérapie iv qui peut rapidement être passée p.o. compte de la bonne évolution clinique et biologique. Durant l'hospitalisation, le patient poursuit la radiothérapie et bénéficie de soins de plaies rapprochés. La dernière séance de radiothérapie a lieu le 15.06.2018, date à laquelle Monsieur Ottet rentre à domicile. La suite des pansements sera effectuée par l'épouse avec un suivi de stomathérapeute. Monsieur Papaux est un patient de 22 ans qui se présente aux urgences le 09.06.2018 pour une dyspnée et une douleur thoracique droite. Une radiographie met en évidence une récidive de pneumothorax spontané à droite de 3,5 cm (2ème épisode). Le patient bénéficie d'une pose de drain thoracique. Après discussion avec nos collègues de la chirurgie thoracique, le patient bénéficie le 14.06.2018 d'une thoracoscopie avec bullectomie du lobe supérieur et pleurabrasion. L'intervention se passe bien et l'évolution est par la suite favorable. Le patient rentre à domicile le 18.06.2018. Monsieur Parizot, connu pour hémochromatose et carcinome hépato-cellulaire moyennement différencié, ayant bénéficié d'une hépatectomie partielle compliquée par une fuite biliaire, nécessitant la mise en place d'une prothèse et d'un drainage par voie endoscopique, au CHUV, le 30.04.2018, consulte les urgences le 01.06.2018 en raison d'un état fébrile à 39°C et des frissons solennels. Ceci survient dans un contexte d'asthénie constatée par le patient depuis quelques jours. Pas d'autre symptôme ou douleur. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable. Il est fébrile à 38,4°C. Le status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une CRP à 13 mg/l sans leucocytose. Les tests hépatiques sont dans la norme. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Sur avis du Dr. X (chirurgien de garde), nous effectuons un CT-scan abdominal qui ne montre pas de complication visible, notamment pas de liquide libre abdominal, pas d'abcès, pas de signe de cholangite, pas de biliome. La prothèse dans les voies biliaires est en place. Au vu de l'état fébrile et du status post-hépatectomie gauche, des hémocultures sont prélevées et le patient est mis sous Tazobactam 4,5 g 3x/jour. Le sédiment urinaire revient propre. L'antibiotique est arrêté le 03.06.2018 avec fenêtre thérapeutique jusqu'au 06.06.2018. L'évolution est favorable malgré l'arrêt de l'antibiotique avec absence de toute piste infectieuse clinique. Les hémocultures reviennent négatives. Au vu de la bonne évolution clinique avec un patient asymptomatique et afébrile depuis l'arrêt de l'antibiotique le 03.06.2018, Monsieur Parizot peut regagner son domicile le 06.06.2018 et reconsultera en cas de récidive. Monsieur Pasquier a reçu un coup de poing au visage, suite à quoi il chute et présente un traumatisme crânien avec perte de connaissance de 1 à 2 minutes et amnésie circonstancielle. Suite à cet événement, le patient décrit des douleurs à la mâchoire et présente un œdème maxillaire gauche. Au status d'entrée, le patient est conscient, orienté dans les trois modes, Glasgow 15/15, pas de déficit moteur. Les réflexes ostéo-tendineux sont vifs des deux côtés, nerfs crâniens dans la norme. Présence d'un hématome maxillaire gauche, avec douleurs lors de la palpation. Plaie non transfixiante à la face interne de la lèvre supérieure à gauche. Dermabrasion du coude droit, indolore à la mobilisation. Sur le plan ORL, pas d'hématotympan. Pas de douleurs à la palpation le long de la colonne vertébrale, nuque souple. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une alcoolémie à 2,27 pour mille, le reste du laboratoire étant dans la norme. Un CT cérébral et de la colonne cervicale montre une fracture de la paroi antérieure du sinus maxillaire gauche avec un hématosinus maxillaire gauche associé.Au vu de ces éléments, Monsieur Pasquier est hospitalisé dans le service de chirurgie pour une surveillance neurologique rapprochée. Il reçoit une antibiothérapie par une dose de Co-Amoxicilline 2,2 g iv, qui est relayée per os à raison de 2 x 1 g/jour pour une durée de 5 jours. La surveillance neurologique se déroule sans complication, ni apparition de nouveaux symptômes. Dès lors, Monsieur Pasquier peut retourner à domicile le 03.06.2018. Il prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, ORL, pour contrôle dans les jours qui suivent sa sortie. Monsieur Pasquier, âgé de 64 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par le Dr. X pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une rupture complète du tendon sous-rotulien au pôle inférieur de la rotule du genou droit, traitée par suture du tendon rotulien et cerclage d'abaissement le 02.03.2018, et une rupture complète du tendon quadricipital à son insertion au pôle supérieur de la rotule du genou gauche, traitée par réinsertion trans-osseuse du tendon quadricipital le 02.03.2018. Le patient a fait une chute le 02.03.2018 avec réception sur les 2 genoux contre le rebord d'une marche d'escaliers. Après un contrôle radioclinique le 17.04.2018 à la consultation du Dr. X, la mobilisation progressive des 2 genoux en physiothérapie est autorisée, dans le but d'obtenir 90° de flexion au 3ème mois postopératoire, ainsi que la tonification des quadriceps et suppression des attelles à la marche dès une force musculaire des quadriceps à M3. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile, qui est une ancienne physiothérapeute à la retraite. Il est à la retraite (ancien professeur de français et d'histoire au cycle d'orientation). À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Il ne présente pas de douleurs. Le patient est orienté et collaborant. La cicatrisation des plaies postopératoires est totale et à l'air. La flexion/extension du genou gauche est de 70°-5-0 en actif, avec une force du quadriceps G à M3. La flexion/extension du genou droit est à 50°-0-0 en actif, avec une force du quadriceps D à M2. On note une amyotrophie quadricipitale des deux côtés. Le patient marche de façon autonome et sécuritaire avec 2 cannes et 2 orthèses en extension. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec moyen auxiliaire (2 cannes anglaises) en respectant la décharge. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension des genoux à 90-0-0 en actif et 90-0-0 en passif. Après 5 semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Pasquier peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 31.05.2018 en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Monsieur Pasquier, connu pour une BPCO de stade II selon GOLD avec composante asthmatique, suivi par le Dr. X, consulte les urgences le 02.06.2018 en raison d'une dyspnée de stade IV depuis 5 jours, associée à une majoration de la quantité et changement de la couleur des expectorations, d'aspect jaunâtre. Pas de notion de fièvre ou de frisson. Pas de douleur rétrosternale ni de palpitation. Pas de notion de contage. À l'admission aux urgences, le patient est hypertendu à 167/80 mmHg, normocarde à 94/min, afébrile à 37,4°C et sature à 95% sous 3 litres d'oxygène. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont lointains, pas de souffle audible. Oedème de la cheville gauche prenant le godet (connu selon le patient). Les mollets sont souples et indolores des deux côtés. Au niveau pulmonaire, diminution globale du murmure vésiculaire avec spasticité et sibilances diffuses à prédominance gauche, sans crépitant. Aux urgences, le patient reçoit de l'Atrovent et du Ventolin en nébulisation avec nette amélioration de la dyspnée et nous stoppons l'oxygène supplémentaire. L'ECG montre un bloc de branche gauche connu, la radiographie du thorax un possible foyer dans la base gauche et le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 10,6 G/l et une CRP à 306 mg/l. La créatinémie est à 179 umol/l. Les antigènes urinaires reviennent négatifs et la culture d'expectorations est contaminée par la flore bucco-pharyngée. Nous débutons une antibiothérapie empirique par Rocéphine 2 g iv/jour, un traitement par Prednisone 50 mg pendant 3 jours et un traitement de support par Atrovent, Ventolin, Pulmicort et Fluimicil, avec mise en suspens du Symbicort. Nous mettons également en suspens le traitement néphrotoxique. Après confirmation de la négativité des antigènes urinaires, nous switchons l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline per os pour un total de 7 jours d'antibiothérapie. Durant l'hospitalisation, le patient bénéficie de physiothérapie respiratoire avec bonne évolution clinique. Au suivi biologique, on note une baisse de la CRP à 32 mg/l sans leucocytose. Concernant la fonction rénale, on note une créatinine à 153 umol/l (à la baisse) qui se rapproche de ses valeurs habituelles. Nous reprenons donc la Metformine. Au vu d'une bonne évolution clinique, nous arrêtons les aérosols d'Atrovent et Ventolin et réintroduisons le Symbicort 2x/jour. Nous sevrons l'oxygène avec une saturation à 93% à l'air ambiant. Le 07.06.2018, Monsieur Pasquier présente des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux, raison pour laquelle nous majorons l'Esidrex de 0,5 mg à 1 mg. Nous vous laissons le soin de réévaluer le dosage en fonction de l'état clinique du patient à distance de l'hospitalisation. Au vu de glycémies élevées durant l'hospitalisation dans un contexte inflammatoire, nous majorons le traitement de Xultophy de 16 UI à 25 UI avec bon effet sur les glycémies. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement à 1 semaine de l'évaluation. Ne mettant pas en évidence d'indication au traitement par Pantozol, ce dernier est arrêté selon un schéma dégressif. Monsieur Pasquier peut regagner son domicile le 08.06.2018. Monsieur Pasquier consulte les urgences le 03.06.2018 en raison de la persistance d'une toux non productive avec état fébrile et dyspnée depuis le 31.05.2018. Le patient rapporte des céphalées avec légère gêne abdominale, des myalgies, arthralgies et odynophagie. Monsieur Pasquier signale également de légères douleurs thoraciques associées à la toux. Pas d'autre plainte. À noter que le patient vit en Thaïlande et en Suisse depuis le 20.04.2018. À l'admission aux urgences, le patient est déshydraté. Tension artérielle 153/81 mmHg, fréquence cardiaque 65/min, fréquence respiratoire 25/min, saturation 90% à l'air ambiant et température à 38,1°C. Au status respiratoire, murmure vésiculaire symétrique avec présence de râles crépitants en base droite. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 270 mg/l et une leucocytose à 18,9 G/l ainsi qu'une hypokaliémie à 3,3 mmol/l. La gazométrie à l'air ambiant montre une pO2 à 7,4 kPa et pCO2 à 4,2 kPa, saturation à 91%, PH à 7,51 et bicarbonates à 25 mmol/l et la radiographie du thorax montre un foyer basal droit. Nous prélevons des hémocultures et une recherche d'antigènes urinaires, débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid et Monsieur Pasquier est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. La recherche d'antigènes urinaires ainsi que les hémocultures reviennent négatives, le Klacid est arrêté le 05.06.2018 et la Rocéphine iv est relayée par Co-Amoxicilline per os 1 g 2x/j dès le 06.06.2018, à poursuivre jusqu'au 09.06.2018.Avec l'accord du patient, nous effectuons un dépistage HIV1-2 qui revient négatif. Nous notons une amélioration clinique et biologique avec résolution de la fièvre et sevrage rapide de l'oxygène. À la sortie, la CRP est à 40 mg/l et les leucocytes à 10.8 G/l. À la demande du patient, et au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Y peut regagner son domicile le 07.06.2018. Monsieur Y présente donc une gonarthrose tri-compartimentale à prédominance fémoro-patellaire et fémoro-tibiale interne. Je propose de compléter le bilan par IRM afin d'évaluer la dégénérescence du cartilage et du ménisque. Je le revois suite à cet examen afin de discuter de la suite du traitement. Monsieur Y, connu pour une fibrillation auriculaire sous Sintrom et une insuffisance aortique, consulte les urgences le 04.06.2018 pour une mauvaise évolution d'un érysipèle du pied gauche. Plus précisément, le patient rapporte l'apparition de douleurs, rougeur et tuméfaction au niveau du pied gauche remontant jusqu'au genou depuis le 29.05.2018. Il a été examiné par le Dr. X de MedHome et traité par Co-amoxicilline IV avec une amélioration clinique. Depuis le 31.05.2018, avec le passage per os du traitement, il note une recrudescence de l'inflammation et des douleurs au pied, avec l'apparition d'une phlyctène au mollet interne gauche. Pas de fièvre selon le patient et la famille, mais ils nous rapportent la présence d'une plaie au niveau rétro-géniculaire droit, causée par le retrait d'un sparadrap avec déchirure cutanée. À noter une chute de sa hauteur le 31.05.2018 avec réception au niveau thoracique gauche et au niveau du bras droit. Le patient ne se rappelle pas des circonstances de la chute mais rapporte un déconditionnement et des douleurs dues à l'infection et rapporte une persistance des douleurs costales droites. À l'admission aux urgences, Monsieur Y est en état général conservé. Au status d'entrée, les bruits cardiaques sont irréguliers, avec un souffle systolique au foyer d'Erb à 2/6 connu. Présence d'un œdème du membre inférieur gauche prenant le godet jusqu'au genou. Le mollet gauche est induré, le droit souple et indolore. Le pied gauche est rouge, chaud et induré, avec une pustule centimétrique au niveau de la malléole interne. Présence d'une plaie au niveau postérieur du genou, d'environ 1 cm de diamètre, fibrineuse. Présence d'une dermabrasion de la face latérale du bras droit, avec pansement en place. Présence également d'un hématome sur la paroi latérale gauche du thorax, qui est sensible à la palpation en regard des côtes VII-VIII. Le laboratoire d'entrée retrouve un syndrome inflammatoire important, sans autre anomalie. L'INR est supra-thérapeutique le 05.06.2018. La radiographie du thorax montre un épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire, sans fracture costale, et la radiographie de la cheville gauche exclut un abcès malléolaire ou une atteinte osseuse. Monsieur Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Concernant la dermohypodermite, un traitement par co-amoxicilline et Clindamycine IV est débuté le 04.06.2018, avec une bonne évolution clinique et biologique. Le traitement par Clindamycine est arrêté le 07.06.2018 sur avis de la Dr. X, infectiologue, en raison de l'absence de fascéïte nécrosante. Nous prescrivons précocement de l'antalgie et une physiothérapie. En raison du déconditionnement global du patient et de la présence de nombreuses comorbidités, nous prévoyons un séjour en réhabilitation gériatrique avant un retour à domicile. Dans la nuit du 07 au 08.06.2018, le patient chute sans perte de connaissance mais avec amnésie circonstancielle. Nous suturons une plaie frontale droite de 3 cm. Nous effectuons un CT scan cérébral qui revient dans la norme. Les troubles de la crase se résolvent sous vitamine K. Nous reprenons le schéma de Sintrom habituel, qui sera à adapter en fonction des valeurs d'INR. Monsieur Y est admis dans le service de réhabilitation gériatrique le 08.06.2018. Nous laissons le soin à nos collègues de demander le status vaccinal tétanique auprès de l'épouse du patient, de procéder à l'ablation des points de suture à J5 et de pister le bilan gériatrique biologique effectué dans notre service. Monsieur Y, en bonne santé habituelle, ne prenant aucun traitement, est hospitalisé dans le contexte d'un AVC ischémique sylvien superficiel postérieur gauche d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire intermittente inaugurale. Pour rappel, l'anamnèse révèle une confusion soudaine avec une aphasie motrice (mutique à l'admission) et une parésie du MID. Le bilan initial scannographique confirme un AVC sylvien gauche sur occlusion de l'artère cérébrale moyenne G (M2). Une thrombolyse intraveineuse est réalisée à 14h17 suivie d'une surveillance neurologique pendant 48h aux soins intensifs. Le NIHSS s'améliore rapidement avec persistance initiale des troubles du langage et ataxie. Un CT de contrôle effectué à 24h ne montre pas d'hémorragie et visualise bien la lésion pariéto-temporale gauche en voie de constitution. Sur le plan du bilan étiologique, le monitoring aux soins intensifs permet de mettre en évidence une fibrillation auriculaire intermittente inaugurale. L'échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 61%. Monsieur Y étant éligible pour l'étude ELAN (Early versus Late Initiation of direct oral Anticoagulants in post-ischemic stroke patients with atrial fibrillation), il bénéficie d'un traitement antiplaquettaire suivi d'un traitement par anticoagulation par Apixaban selon le protocole de l'étude. Un bilan ophtalmologique met en évidence une quadranopsie supérieure droite incomplète, un bilan de contrôle est organisé le 25.06.18. Un bilan neuropsychologique montre des difficultés exécutives et attentionnelles qui sont susceptibles de limiter l'aptitude à la conduite automobile, d'un point de vue neuropsychologique. Ainsi nous vous proposons de réévaluer la capacité à la conduite après le bilan ophtalmologique de contrôle à votre consultation avec éventuellement un contrôle neuropsychologique à distance si vous en jugez le besoin. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Y, âgé de 76 ans, connu pour une BPCO stade III D selon Gold, nous est adressé pour une réhabilitation pulmonaire à 2 mois de distance de la dernière exacerbation de BPCO ayant nécessité une hospitalisation à l'HFR Riaz. Son pneumologue traitant introduit une oxygénothérapie à domicile (1.5 lt/min). Le patient a également un concentrateur portable (SymploGo Mini). Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. À l'admission, le patient se plaint d'une asthénie en lien avec un déconditionnement sévère à l'effort et d'une douleur aux épaules chronique. En général, il rapporte une dyspnée stade 3 selon NYHA, avec toux et expectorations blanchâtres/verdâtres, relativement constantes. Le status général est sans particularité hormis une auscultation pulmonaire qui met en évidence des râles sous-crépitants diffus (G>D), une obésité abdominale avec un abdomen tendu mais sans signe de défense ni détente, avec bruits dans la norme et sans trouble du transit associé. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade III selon Gold. Le score de CAT atteste d'un stade D. La gazométrie d'entrée sous O2 1.5 lt/min montre une saturation à 97.5% sans hypoxémie ni hypercapnie, raison pour laquelle nous poursuivons une oxygénothérapie au débit de 1 lt/min. L'oxymétrie nocturne sous 1 lt/min d'O2 montre une SpO2 moyenne à 90.1% avec un index de désaturation à 0.4/heure.La radiographie du thorax met en évidence un s/p sternotomie avec cerclages intacts, un st/p valvuloplastie aortique, annuloplasties mitrale et tricuspide. Pontage aorto-coronarien. Importante protrusion de l'arc moyen G et artères pulmonaires de fort calibre dans le contexte d'une HTAP connue. Désorganisation de la trame liée à l'emphysème. Ostéopénie, lésions dégénératives du rachis. Mr. Y présente une problématique d'encombrement persistante, malgré une physiothérapie de drainage bronchique intensive. Il n'y a pas d'argument clinique pour un écoulement postérieur et la RX du thorax ne démontre pas de bronchiectasies (sous réserve des limites de cet examen). Le bilan de déglutition démontre des éléments en faveur de bronchoaspirations. Nous avons pris rendez-vous chez le Dr. X - ORL. Durant son séjour, il a présenté une douleur à l'épaule droite. La radiographie de l'épaule D montre l'absence de calcification au niveau des tissus mous et des signes d'arthrose gléno-humérale. Une infiltration par voie sous-acromiale avec Diprophos + Lidocaïne 1% a été réalisée le 08.06.2018 sous asepsie rigoureuse avec un bon effet thérapeutique. Sur le plan nutritionnel, le patient présente un état nutritionnel stable : BMI à 27, NRS 2/7, pas de perte de poids, plutôt prise de 2 kg les derniers mois (pas d'œdème visible), bon appétit. L'anamnèse a mis en évidence des problèmes de dysphagie (déjà connus pour les liquides) pour les solides. En effet, le patient dit tousser avec certains aliments et avoir retrouvé des graines de lin du pain de la maison dans des glaires. Nous décidons de mettre en place une texture normale dysphagie (protectrice) et un enseignement a été réalisé pour ajuster les repas à domicile avec le patient et son épouse. Des démarches pour un possible remboursement de l'épaississant ont été également faites. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 240 m à 325 m. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 15.06.2018, en bon état général. La consultation ORL avec le Dr. X est prévue le 25.06.2018. Mr. Y présente des douleurs chroniques de la cheville D suite à de multiples entorses. Cliniquement, je ne retrouve pas d'instabilité ligamentaire, par contre, le patient est extrêmement démonstratif quant aux douleurs intenses à la mise sous stress du ligament deltoïdien. Après visualisation de l'imagerie et suite à l'examen clinique, je n'ai pas de corrélation avec les douleurs présentées par le patient. Je demande un bilan étendu par IRM des deux pieds et chevilles, à la recherche d'une pathologie pouvant expliquer de telles douleurs. Je revois le patient suite à cet examen afin de discuter de la suite de la prise en charge. Poursuite de l'arrêt de travail (donné par son médecin-traitant). Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour de multiples comorbidités dont une artériopathie des membres inférieurs de stade IV avec un statut post-amputation selon Burgess du membre inférieur droit, qui s'est présenté aux urgences le 30.05.18 en raison d'épistaxis récidivante dont un épisode non résolutif malgré les mesures habituelles. À son arrivée aux urgences, l'épistaxis s'interrompt spontanément. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 111 et leucocytose. La radiographie de thorax revient sans particularité. Le patient présente également une insuffisance rénale aiguë avec hyperkaliémie à 6,4 mmol/l. Il est hospitalisé à l'étage de médecine pour la suite de la prise en charge. Sur le plan infectieux, une infection urinaire est retenue, motivant l'introduction d'une antibiothérapie par Rocéphine IV pour une durée totale de 7 jours. L'urotube montre une flore mixte sans preuve d'une infection particulière, raison pour laquelle l'antibiothérapie est stoppée. L'évolution est marquée par l'apparition d'une macro-hématurie importante avec présence de caillots. Un CT abdominal met en évidence un saignement intravésical actif. Après avis urologique, une sonde trois voies avec rinçage est mise en place. La double antiagrégation est mise en suspens, la médication avec Aspirine est reprise dès le 03.06.2018, selon avis des angiologues nous arrêtons définitivement la médication de Plavix. L'évolution clinique est favorable avec un arrêt de l'hématurie, la sonde urinaire peut être ablatée le 06.06.2018 avec reprise d'une miction normale. Une cystoscopie à la recherche de la source du saignement sera effectuée en ambulatoire le 12.06.2018. Le syndrome inflammatoire persiste malgré le traitement antibiotique, ne montrant pas d'autre possible origine que les plaies chroniques du pied avec une possible ostéomyélite associée. Une prise en charge multidisciplinaire par la stomatothérapie, chirurgiens vasculaires et angiologues est effectuée. L'origine des plaies est clairement associée à l'artériopathie sévère du patient, une amputation étant l'unique solution durable. Comme le patient refuse catégoriquement cette option, nous gardons une attitude conservatrice et installons selon l'avis des chirurgiens et angiologues un traitement antibiotique par Co-Amoxicilline dès le 07.06.2018. Le patient sera revu régulièrement en stomatothérapie, le pansement à la maison est changé quotidiennement par ses soins à domicile. Concernant l'insuffisance rénale aiguë, celle-ci est probablement d'origine mixte, avec une composante rénale sur prise d'AINS et une composante pré-rénale. Un US urogénital permet d'exclure une lithiase obstructive. Le patient bénéficie d'une hydratation IV et les traitements néphrotoxiques sont mis en suspens. En raison d'une hyperkaliémie, le patient bénéficie également d'un traitement par Resonium, permettant une normalisation du potassium. Le suivi biologique est favorable. Durant son séjour à l'étage de médecine, le patient présente à nouveau des épisodes d'épistaxis, spontanément résolutifs. Un avis ORL est effectué le 07.06.2018, ne montrant pas de télangiectasie ou des lésions à cautériser. Un traitement topique avec Bepanthène est introduit. Sur le plan du diabète, le patient est suivi par l'équipe de diabétologie de l'HFR Fribourg. À noter le 30.06.18, un coma hypoglycémique à 1,9 mmol/l, nécessitant l'administration IV de glucose. L'origine de cet épisode se trouve dans le fait que le patient ne mangeait pas après l'application de l'insuline. Le traitement insulinique est adapté, les repas sont surveillés. La suite de la prise en charge montre plutôt des hyperglycémies, nous permettons d'augmenter de nouveau les doses d'insuline pour les repas. La médication avec Jardiance est reprise après la normalisation de la fonction rénale dès le 08.06.2018. Le patient rentre à domicile le 08.06.2018. Un prochain RDV en stomatothérapie avec les chirurgiens vasculaires est prévu pour le 22.06.2018. Mr. Y, 76 ans, connu pour une artériopathie des membres inférieurs sévère avec s/p amputation infra-géniculaire du membre inférieur droit et multiples plaies ouvertes et nécrotiques du membre inférieur gauche, est hospitalisé pour un sepsis d'origine probablement urinaire.Le patient a en effet présenté un état fébrile et des frissons 24h après une cystoscopie réalisée en ambulatoire dans le cadre de l'hémorragie urinaire pour laquelle il avait récemment été hospitalisé. Une antibiothérapie par Rocéphine IV a été initiée. À noter qu'en raison de cultures urinaires positives pour C. Albicans, un traitement de Fluconazole a transitoirement été administré mais arrêté après un consilium infectiologique, une candidémie étant improbable en l'absence de geste invasif (tel que des biopsies) lors de la cystoscopie. L'évolution clinique et biologique a été favorable. Concernant les plaies chroniques du membre inférieur gauche, après discussion avec les infectiologues et les chirurgiens vasculaires, le traitement de Co-Amoxicilline au long cours est remplacé par la Ciproxine en raison de la colonisation par Pseudomonas aeruginosa multisensible. Nous vous proposons de contrôler la fonction rénale 1 semaine après la sortie et d'adapter la posologie de Ciproxine au besoin. Concernant le projet à moyen terme, le patient a été clair quant à son souhait d'une attitude conservatrice de son membre inférieur gauche. L'attitude à adopter en cas de complication aiguë septique a été longuement discutée avec le patient et son épouse. Aucune décision n'a été prise à l'heure actuelle au sujet d'une éventuelle amputation du membre inférieur gauche le cas échéant. Le couple souhaite en discuter en famille et s'engage à prendre une décision claire en cas de nouvelle hospitalisation. Au vu de l'évolution favorable, le patient a pu quitter notre service le 22.06.2018 pour un retour à domicile. Monsieur Pianta, 80 ans, a été admis pour un NSTEMI dans le contexte d'une maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion de la seconde marginale. Le patient a consulté le 13.06.2018 les urgences de l'HFR Riaz pour des douleurs rétro-sternales constantes à 3/10, sans irradiation et sans dyspnée, apparues à 18h00. Il a déjà eu un épisode similaire transitoire le matin même au niveau de l'épaule gauche. Un NSTEMI étant diagnostiqué, une double antiagrégation plaquettaire a été débutée et le patient a été transféré aux soins intensifs. La coronarographie a montré une maladie coronarienne bitronculaire avec une occlusion de la seconde marginale qui a été traitée par un stent actif. Après la recanalisation, le flux était ralenti (TIMI 2), mais concernait un petit territoire. Une sténose significative de la première diagonale a aussi été traitée par un stent actif. La ventriculographie a montré une akinésie inféro-latérale locale avec une fonction ventriculaire gauche normale. À l'échocardiographie, la fraction d'éjection était estimée à 55-60%. Le pic de CK s'est élevé à 648 U/L dès l'admission. Le patient est resté asymptomatique. La double antiagrégation plaquettaire devra être poursuivie par aspirine à vie et prasugrel 5 mg/j pendant 12 mois. Le profil tensionnel élevé a été normalisé sous périndopril et métoprolol. Une dyslipidémie légère avec HDL abaissé est aussi traitée par une statine. Ces traitements seront ajustés en fonction de la tolérance en ambulatoire. Le patient sera revu à votre consultation dans un mois et une ergométrie devra être planifiée dans une année. Un hématome de l'avant-bras droit, secondaire à l'accès artériel radial utilisé pour la coronarographie, a nécessité une compression locale prolongée, permettant une évolution favorable, sans trouble de la perfusion périphérique ni complication nerveuse. Un œdème du membre inférieur gauche et un léger épanchement articulaire du genou gauche asymptomatiques sont tous deux chroniques. Le réseau veineux des deux membres inférieurs est perméable. Le patient est retourné à domicile le 15.06.2018. Monsieur Piller, âgé de 76 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une amputation transmétatarsienne réalisée sans complication le 27.03.2018. Monsieur Piller est en isolement de contact durant toute la durée du séjour hospitalier en raison d'une colonisation avec Kl. Pneumoniae ESBL. La fermeture de la plaie est lente, un traitement par VAC est mis en place à plusieurs reprises. La plaie évolue ensuite favorablement. L'antibiothérapie est adaptée avec l'avis des infectiologues avec l'utilisation de Tazobac i.v. pendant les 4 premiers jours, suivi par Co-Amoxicilline per os jusqu'au 18.04.2018. Sur le plan social, le patient vit seul dans un état précaire selon l'hétéroanamnèse (refus de repas chaud, malnutrition,…). À l'admission, les paramètres sont dans la norme et le patient est hémodynamiquement stable. Au status, nous remarquons un souffle systolique 4/6 à tous les foyers (max au niveau aortique) et connu; une hyposensibilité superficielle et profonde symétrique au niveau des membres inférieurs ddc. Mobilisation de la cheville libre. Marche sécuritaire avec les cannes. La cicatrice au niveau du pied D est calme et propre, sans écoulement. Le reste du status est sans particularité. Lors de son séjour, le patient devient hypotendu le 23.05.2018, raison pour laquelle nous adaptons l'Amlodipine à 5 mg/j. La plaie du MID est en très bonne voie de cicatrisation. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence un dysfonctionnement exécutif et comportemental avec des difficultés de mémoire antérograde verbale avec une MMS à 23/30. Sur le plan neuropsychologique, le patient présente une capacité de discernement et de jugement réduite concernant son projet en raison d'une anosognosie de ses difficultés. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable, la plaie du MID est en très bonne voie de cicatrisation, et Monsieur Piller peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 30.05.2018, en bon état général. Les soins à domicile sont réactivés et des repas chauds seront livrés à son domicile. Monsieur Pineros, âgé de 73 ans, connu pour une polyarthrose et un canal lombaire étroit, nous est adressé pour une réhabilitation musculo-squelettique, rééducation à la marche et reconditionnement global en raison d'une perte de masse musculaire progressive. Sur le plan social, le patient, originaire de la Colombie, vit avec son épouse à domicile. Il marche avec un rollator. Il est à la retraite. À l'admission, le patient relate plusieurs chutes à domicile; la dernière l'année passée de façon accidentelle. Le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres sont dans la norme. Les douleurs au dos au repos sont plutôt calmes mais se péjorent à la mobilisation. Au status, nous mettons en évidence des points de fibromyalgie douloureux, des amplitudes articulaires très limitées au niveau du dos. On observe une kinésiophobie et de nombreux signes de Waddell (signes de non-organicité) tels que tremblements aux MS ddc à l'effort, grimaces, lâchages antalgiques et soupirs. Au laboratoire, nous observons une valeur élevée des gamma-GT. Ces valeurs sont toutefois nettement améliorées par rapport aux comparatifs à disposition. Pour cette raison, et en l'absence de symptômes, nous ne pratiquons pas d'autres investigations. Le patient décrit une légère céphalée, qu'il décrit comme chronique, en casque, plutôt présente en fin de soirée, pas présente au réveil, non associée à une hypersomnolence diurne. Au vu de la physionomie du patient, nous suspectons un SAOS. Pour cette raison, nous effectuons une oxymétrie nocturne qui relève un index des événements de désaturation modérément élevé. Nous vous laissons le soin de décider si une polygraphie doit être effectuée pour préciser le diagnostic de SAOS. Nous traitons la symptomatologie avec un traitement antalgique de base en réserve.Nous effectuons une radiographie des hanches et du bassin avec mise en évidence d'une coxarthrose G avancée avec pincement du coin supéro-externe et ostéophytose marginale. Le séjour se déroule sans complication et le patient montre une nette réduction des douleurs, une amélioration de la mobilité des épaules et à la marche, avec disparition des tremblements aux membres supérieurs. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec rollator. Il peut monter/descendre les escaliers en se tenant à deux mains à la main courante. Les amplitudes restent limitées dans tous les mouvements, spécialement pour le rachis, épaules, hanches et genoux. La force des releveurs à droite est cotée à M4 et M3 à gauche. Une amélioration est remarquée également au niveau de l'équilibre avec un Tinetti qui passe de 11/28 à 17/28 à la sortie. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 02.06.2018, en bon état général. Mr. Y est un patient de 16 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour des douleurs épigastriques d'apparition progressive avec migration en fosse iliaque droite. Le patient bénéficie le 14.06.2018 d'une appendicectomie par laparoscopie, les suites opératoires sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique et le patient retourne à domicile le 16.06.2018. Mr. Y est un patient de 35 ans, qui se présente aux urgences pour des douleurs anales avec un écoulement anal sanguin hors des selles. À l'examen physique, on retrouve une légère collection sphinctérienne de 2 cm avec un toucher rectal douloureux. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire et l'IRM pelvienne montre un abcès versus une fistule para-anale gauche. Le patient est pris au bloc opératoire le 26.07.2018 pour un drainage de l'abcès. L'opération se passe sans complication et l'évolution post-opératoire est favorable, permettant un retour à domicile le 27.06.2018. Mr. Y est hospitalisé en rhumatologie en raison de coxodynies droites en péjoration depuis 10 jours à 7/10 malgré un traitement antalgique important. Il décrit des douleurs inguinales droites mais également dans la fesse et pértrochantériennes mixtes à caractère inflammatoire prépondérant (pires la nuit, qui le réveille avec des lancées, rigidité matinale de 2-3 h, améliorée en position debout), mais qui sont également présentes à la marche d'apparition insidieuse sans facteurs déclenchants, notamment pas de traumatisme. Ces douleurs sont invalidantes avec nécessité de se mobiliser avec des cannes et une chaise roulante pour les longs trajets. Une IRM du bassin et des hanches avait été réalisée en ambulatoire en avril 2018 pour des douleurs de l'autre hanche avec mise en évidence d'une coxarthrose droite sévère ainsi qu'une ostéonécrose de la tête fémorale. Une radiographie standard effectuée à votre cabinet n'avait pas montré de fracture ou de péjoration de l'ostéonécrose. En raison des douleurs atypiques avec caractéristiques inflammatoires, une scintigraphie osseuse est réalisée mais ne permet pas de mettre en évidence une autre cause aux douleurs, notamment pas de fractures locales. Une infiltration à la Rapidocaine de la hanche droite sous US permet un soulagement transitoire de la douleur et permet de confirmer le diagnostic de coxodynies sur arthrose de la hanche. L'ostéonécrose de la tête fémorale contribue probablement en partie aux symptômes du patient. Le traitement médicamenteux est majoré avec augmentation du Targin et Novalgine d'office initialement. Un avis est demandé à nos collègues orthopédistes qui proposent d'adresser Mr. Y à la consultation team hanche pour une proposition de PTH droite. Le sintrom ayant été arrêté en prévision de l'infiltration de hanche, il est réintroduit le 09.06 avec de la clexane thérapeutique à poursuivre minimum 5 jours et après 2 INR thérapeutiques. La scintigraphie osseuse permet de confirmer la présence d'une nouvelle fracture Th12 qui était suspectée à la densitométrie osseuse et à la radiographie. Une supplémentation en vitamine D et en phosphate est instaurée. Un rendez-vous pour une perfusion d'Aclasta est prévue dans un mois. Monsieur se plaint d'une sécheresse nasale avec difficulté à supporter la CPAP, un avis ORL est demandé afin d'exclure une poussée de sa maladie de Wegener. L'examen rhinoscopique ne met pas de lésion suggestive d'une récidive et une pommade nasale est introduite. Les anticorps PR3 restent positifs lors du contrôle et le traitement de méthotrexate est poursuivi. Le suivi du carcinome urothélial et les installations d'Epirubicine par Dr. X sont poursuivis durant l'hospitalisation. Le léger syndrome inflammatoire persistant est probablement à mettre en lien avec ce problème. Une anémie normocytaire normochrome arégénérative d'origine ferriprive et inflammatoire est mise en évidence au laboratoire. Une recherche de sang dans les selles revient négative et une substitution par Maltofer est introduite. Nous vous proposons de suivre les valeurs d'Hb à votre cabinet et d'organiser une colonoscopie, la dernière datant selon Monsieur d'il y a plus de 10 ans. Une gammapathie monoclonale est mise en évidence à l'électrophorèse des protéines et immunofixation sans autre atteinte d'organe. Nous vous proposons de répéter l'examen dans 3 mois. Monsieur rentre à domicile le 12.06.2018. Monsieur Y est un patient de 56 ans, adressé par le Dr. X en raison d'une pyélonéphrite d'évolution défavorable à > 72 h d'antibiothérapie. Il présente depuis 10 jours une dysurie et une pollakisurie. Depuis le 04.06.2018, le patient présente un état fébrile avec des frissons. Une thérapie empirique avec Ciprofloxacine lui est prescrite le 04.06.2018. Vu le syndrome inflammatoire et l'état fébrile, le patient reçoit du Ceftriaxone au cabinet. Après 24 h, le bilan clinique et biologique montre une péjoration du syndrome inflammatoire, de la créatinine a augmenté et la clinique est sans amélioration, raison pour laquelle Dr. X adresse le patient au service des urgences pour une suspicion de résistance à l'antibiothérapie orale ou pyélonéphrite compliquée. Au service des urgences, le patient se présente tachycarde, tachypnéique et avec un état fébrile et un syndrome inflammatoire. À l'ultrason, il n'y a pas de signe de dilatation pyélocalicielle ni pour une collection ni pour un abcès. Monsieur Y reçoit une antibiothérapie IV dès son arrivée au service de médecine. Les hémocultures montrent un E. Coli produisant ESBL, le même germe qui est trouvé dans les urocultes, raison pour laquelle nous changeons l'antibiotique par Méronème selon antibiogramme. Vu l'antibiogramme du germe, nous discutons avec nos collègues infectiologues qui nous confirment que le germe trouvé dans l'urine. Concernant les douleurs au niveau du flanc gauche, le patient nécessite une antalgie avec Dafalgan et Novalgin avec bon effet. Vu la consommation chronique de testostérone et une ETT qui met en évidence une hypertrophie en 2012, nous effectuons de nouveau une ETT qui montre une hypertrophie. Le patient devient hypertendu pendant le séjour et il reste toujours hypertendu, raison pour laquelle nous commençons un traitement avec Lisinopril. Nous retenons une créatinine à la hausse. Le patient consomme régulièrement de la créatine et nous expliquons l'insuffisance rénale dans ce contexte, ce qui est péjoré dans le contexte de la sepsis. La fonction rénale s'améliore pendant le séjour mais la créatinine reste à la hausse.Monsieur Pittet rentre à domicile en bon état général le 12.06.2018. Monsieur Pitton est amené aux urgences en ambulance le 02.06.2018 en raison d'une dyspnée et d'un état confusionnel nouveaux. L'anamnèse n'est pas contributive, mais l'hétéroanamnèse auprès de sa femme nous révèle que cette nuit, le patient s'est levé tout seul et était désorienté assis sur son lit, avec un discours pas cohérent (état confusionnel hypoactif). Sa femme appelle la police qui demande une ambulance. L'épouse a également remarqué une dyspnée avec toux en évolution progressive depuis 15 jours, mais le patient a refusé d'aller chez le médecin. Vous nous rapportez que Monsieur Pitton vous consulte très rarement et refuse habituellement toutes les investigations, notamment il n'a jamais accepté une échocardiographie. À l'admission aux urgences, le patient est fébrile à 38,8°C. Au status cardiovasculaire, les bruits du cœur sont irréguliers, sans bruit surajouté. Présence d'oedèmes des membres inférieurs prenant le godet, symétriques, connus. À l'auscultation pulmonaire, le murmure vésiculaire est bilatéral et symétrique, avec quelques crépitants aux bases. Le reste du statut est sans particularités. Au laboratoire, nous retrouvons un important syndrome inflammatoire avec 22,9 G/l de leucocytes et une choléstase biologique. Le sédiment urinaire est propre. Une gazométrie sous oxygène montre une acidose respiratoire aiguë avec hypoxémie et hypercapnie. Monsieur Pitton est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Concernant l'exacerbation de BPCO non stadée, nous traitons le patient par Ceftriaxone dès le 02.06.2018, avec bonne évolution et un relais per os est possible par Co-amoxicilline du 06 au 08.08.18. Nous vous conseillons de prévoir une évaluation pneumologique en ambulatoire. Le patient présente une décompensation cardiaque globale, probablement dans le contexte infectieux. Nous ne disposons pas d'anciens examens, mais la clinique est en faveur. Nous traitons le patient par Lasix iv avec relais par Torasémide dès le 08.08.2018, avec une bonne réponse clinique. Dans le contexte de l'état confusionnel, nous retenons comme étiologie l'infection et traitons en même temps par Halopéridol les poussées d'agitation. À noter que l'hypothèse d'intoxication éthylique est écartée à l'anamnèse et aux scores CIWA. Nous demandons une évaluation psychiatrique, qui aboutit à un état confusionnel sur des troubles cognitifs préexistants. Une nouvelle évaluation neuropsychologique est planifiée, à distance de l'événement aigu, le 12.07.2018 à 13:30 à l'HFR - Riaz. Nous retrouvons une altération des tests hépatiques à type de choléstase, sans symptôme abdominal. Nous effectuons une échographie abdominale qui montre un foie de taille normale, de contours réguliers, d'échostructure homogène avec de multiples micro-calculs à 7 mm. L'échographie met également en évidence une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques en amont de multiples calculs cholédociens, dont la taille varie entre 3 et 6 mm. Le pancréas, exploré dans sa partie céphalique, paraît d'aspect normal. La rate et les reins sont d'aspect normal. Le tronc porte est perméable. Notre collègue radiologue vous suggère de prévoir une IRM des voies biliaires en ambulatoire à distance. Dans le contexte des œdèmes des membres inférieurs persistants, nous demandons un bilan angiologique, qui ne montre pas d'artériopathie, mais la présence d'une insuffisance veineuse importante des saphènes aux deux membres, avec indication à des bas élastiques. Le Dr X, angiologue recommande une échographie cardiaque afin d'élargir les investigations. L'évolution clinique et biologique est favorable et Monsieur Pitton peut regagner son domicile le 12.06.2018. Monsieur Plancherel est connu pour une coxarthrose droite symptomatique suivi à la consultation du Dr X qui pose l'indication à la mise en place d'une PTH droite. Le patient donne son consentement éclairé à cette intervention après avoir pris connaissance des risques et des bénéfices, y compris les risques vasculaires et neurologiques. Le patient est admis au bloc opératoire le 22.06.2018. L'intervention a dû être abandonnée après la voie d'abord, en raison d'une complication vasculaire au niveau d'une branche de l'artère fémorale profonde. Après ligature de cette dernière, l'intervention chirurgicale orthopédique est abandonnée et le chirurgien renonce à l'implantation de la PTH droite avec fermeture de la voie d'abord plan par plan. Dans ce contexte, Monsieur Plancherel est réadressé en radiologie afin de bilanter la vascularisation du membre inférieur droit. L'angio-CT scan du 22.06.2018 montre une lésion vasculaire avec courte occlusion d'une branche de l'artère fémorale profonde droite en regard du site opératoire avec une reprise des branches musculaires en distalité par des collatérales musculaires. Un consilium d'angiologie conclut à l'absence d'ischémie critique avec bonne perfusion distale. Le patient est mis sous Aspirine et héparine à dose prophylactique durant l'hospitalisation. Le patient présente par la suite une parésie du nerf fémoral crural avec force testée au niveau du quadriceps fémoral à M0. Le territoire du nerf saphène présente une anesthésie complète. Dans ce contexte, nous organisons un consilium neurologique. Monsieur Plancherel sera évalué par le Dr X le 28.06.2018 pour consultation neurologique en vue d'un EMG. Dans l'intervalle, nous réalisons un ultrason de la région inguinale qui retrouve les artères fémorale commune, superficielle et profonde avec minime lame d'hématome au niveau des tissus mous dans la région du site opératoire, mais pas d'hématome compressif mis en évidence. Au vu de l'absence de force au niveau du quadriceps fémoral avec risque de chute, nous recommandons la confection d'une attelle anti-chute articulée au niveau du genou droit, permettant un arc de flexion de 0 à 30° maximum afin de diminuer le risque de chute lors des déplacements. Le contrôle biologique postopératoire montre une anémie aiguë avec une hémoglobine à 82 g/l nécessitant la transfusion de 2 culots érythrocytaires. L'hémoglobine de sortie est à 97 g/l. Nous vous laissons le soin de suivre la cinétique de l'hémoglobine. Monsieur Plancherel est admis en réadaptation neurologique à l'HFR Billens le 27.06.2018. Il sera convoqué à la consultation du Dr X pour rediscuter de l'implantation de la PTH droite, à distance du problème actuel. Monsieur Pluss présente une fracture arrachement du pôle distal de la rotule du genou G. J'explique au patient les différentes possibilités de traitement. Afin de pouvoir mobiliser le patient précocement, je lui propose une suture transosseuse du tendon rotulien selon la méthode de Krakow. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 26.06.2018. Monsieur Poffet est un patient de 70 ans, qui nous est adressé le 07.05.18 du service de Médecine de l'HFR Fribourg pour des troubles de la marche et d'équilibre suite à une chute mécanique le 15.04.2018. À l'entrée, le patient se plaint des troubles d'équilibre et d'insécurité à la marche, de la faiblesse au bras droit, des œdèmes des membres inférieurs. Le patient se déplace dans un fauteuil roulant et avec un tintébin. Le patient habite avec sa partenaire dans un appartement au 5ème étage avec un ascenseur. Avant son hospitalisation, le patient était indépendant dans les activités quotidiennes et se mobilisait sans les moyens auxiliaires. L'objectif global est un retour à domicile.A l'entrée se présente un patient en bon état général, afébrile. Nous notons des œdèmes importants des membres inférieurs bilatéraux, parésie à M2+ du membre supérieur gauche. Le passage de la position couché-assis et assis-debout est ralenti et avec une aide importante, Romberg instable. Le reste de l'examen est dans la norme. Ad le diagnostic principal et le diag. 2-3) Au cours de son séjour, nous effectuons une réhabilitation gériatrique avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, Monsieur Poffet fait des transferts avec une aide de contact (MIF 4) et il marche 110 m avec tintébin et 3 pauses sous supervision (MIF 5). Tinetti 13/28 avec tintébin. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès significatifs au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, le patient peut faire des transferts d'une manière autonome sous supervision (MIF 5), marcher avec un tintébin et 2 petites pauses >150 m. Tinetti 17/23 avec tintébin. Ad les diag. 1, 6 et complication 1) Nous constatons une hypercalcémie persistante au bilan biologique, avec hypophosphatémie, hypokaliémie et hypovitaminose D. Une substitution adéquate de vitamine D, de potassium et de phosphate est réalisée. Après discussion avec nos collègues endocrinologues, une hydratation par NaCl 1500 ml/j combinée à un traitement de Mimpara et de diurétique de l'anse est continuée afin de favoriser l'excrétion de calcium. Une mesure de la calciurie sur 24h montre la fraction d'excrétion du calcium élevée à 20.01 mmol/24h. Le suivi biologique rapproché montre une calcémie résistante malgré le traitement effectué. Le patient sera revu par nos collègues endocrinologues pour le 30.05.2018 à 15h (HFR Fribourg endocrinologie étage H) pour confirmer l'indication opératoire sur probable adénome. Une scintigraphie parathyroïdienne est planifiée pour le 11.06.2018. Ad le diag. 4) La radiographie du thorax du 08.05.18 revient sans particularité. L'ECG du contrôle montre un rythme sinusal régulier avec BAV du 1er degré et troubles de la repolarisation diffus. Nous continuons le traitement par Cordarone 200 mg 1x/jour et diurétiques. Ad le diag. 5) L'anémie se montre régressive pendant l'hospitalisation avec des paramètres d'anémie normaux. D'autres mesures n'ont pas été prises. Ad le diag. 7) La fonction rénale reste stable. Suite à l'hypercalcémie résistante, Monsieur Poffet est transféré en gériatrie aiguë pour la suite de la prise en charge le 29.05.2018. Monsieur Poget consulte les urgences le 15.06.2018 en raison d'un œdème, d'une rougeur et d'une chaleur de la jambe gauche. La patiente signale un état fébrile à 38°C le 13.06.2018 au matin, sans nausée, vomissement ni diarrhée. Dans ce contexte, il consulte votre remplaçant qui conclut à une gastroentérite. Monsieur Poget se plaint également d'une douleur au niveau basithoracique bilatéral, prédominant à gauche, non respiro-dépendante, déclenchée par les mouvements de toux, sans irradiation. Pas de notion de dyspnée ni de palpitation. Pas de voyage récent ni d'immobilisation. Au status d'entrée, notons un œdème de la jambe gauche avec rougeur et chaleur, une dermite ocre bilatérale ainsi que des adénopathies inguinales gauche. Pas de douleur à la palpation. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Au status cardiaque, B1B2 sont bien frappés, réguliers et lointains. Les pouls pédieux sont symétriques. Au niveau respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique avec des sibilances des deux côtés. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une CRP à 136 mg/l sans leucocytose. Au vu des examens cliniques et paracliniques, nous retenons le diagnostic de dermohypodermite de membre inférieur (jambe) gauche. Nous introduisons une antibiothérapie par Clindamycine 600 mg 3x jour intraveineuse avec relais per os durant 10 jours au total. Nous demandons un bilan angiologique qui ne montre pas d'artériopathie ni d'atteinte veineuse significative, dont pas de contre-indication à contention élastique. Nous vous laissons le soin de prescrire des bas de contention en cas de persistance de l'œdème. La radiographie du thorax montre une silhouette cardiaque de taille normale, sans signe de décompensation. Absence de foyer interstitiel ou alvéolaire systématisé visible. Pas d'épanchement pleural. Hile vasculaire. Au vu d'un tabagisme actif et de l'examen clinique, nous suspectons une BPCO et un traitement par Spiriva 18 mcg est introduit. Nous vous proposons d'organiser un bilan pneumologique avec spirométrie. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable avec une diminution de l'érythème et de l'œdème ainsi qu'un syndrome inflammatoire à la baisse. Monsieur Poget peut regagner son domicile le 20.06.2018 avec poursuite de l'antibiothérapie per os durant 10 jours au total. Monsieur Popovic, connu pour schizophrénie et sous traitement antiépileptique depuis février 2018, résidant à la Fondation Horizon Sud, est amené aux urgences en ambulance le 08.06.2018 suite à une probable crise d'épilepsie. Ce soir, vers 17h50, le patient est retrouvé au sol, diaphorétique, avec écume blanche à la bouche. À l'arrivée des ambulanciers, il est en état post-critique, stable, afébrile, avec une glycémie à 7. A noter que le patient avait fait une dernière crise d'épilepsie tonique le 01.06.2018 et que les taux de lamotrigine étaient à ce moment-là infra-thérapeutiques, raison pour laquelle la dose de lamotrigine a été doublée. Actuellement, le patient prend 200 mg de lamotrigine reparties en 2 doses. A l'admission, le patient ne parle pas et, occasionnellement, il répond par oui ou non avec des mouvements de la tête, un état qui est habituel chez lui. À l'anamnèse par système, absence de douleur, trouble digestif, état fébrile (mais très peu fiable, réponses fluctuantes et pas toujours claires). Selon le personnel soignant du foyer, Monsieur Popovic a reçu sa dose de lamotrigine du soir. Au status d'entrée, le patient est en état général conservé, hémodynamiquement stable et afébrile, avec une bonne saturation en oxygène à l'air ambiant. Peu collaborant. Pas de lésion visualisée ni douleur provoquée à la palpation des reliefs osseux principaux (y compris le crâne). Pas de morsure de la langue. Au niveau neurologique, l'épreuve des bras tendus est difficile à évaluer au vu de la collaboration, mais pas de chute, tremblement d'attitude. Nerfs crâniens dans la norme (I et VIII non testés), force diffusément diminuée mais symétrique aux 4 membres sans latéralisation, sensibilité conservée et symétrique, pas de dysmétrie au doigt-nez, réflexes ostéotendineux vifs et symétriques aux 4 membres, réflexes cutanés plantaires indifférenciés des deux côtés. Le laboratoire met en évidence des CK à 341 U/l et des lactates à 5,6 mmol/l, le reste du laboratoire est aligné. Après avis de Dr. X, neurologue de garde, Monsieur Popovic est hospitalisé à l'ELM pour surveillance. Elle nous recommande également d'effectuer un dosage du taux résiduel de lamotrigine le 09.06.2018 et si le patient reste stable, il pourra être retransféré à la fondation. De plus, nous augmentons la lamotrigine à 125 mg 2x/jour et nous mettons de l'Urbanyl 10 mg cp en réserve en cas de plus d'une crise consécutive. A noter que si le patient n'est pas en état de prendre l'Urbanyl, une consultation aux urgences est indiquée. Dr. X propose également un contrôle clinique + EEG à organiser en ambulatoire chez Dr. X dans une semaine. Ce dernier est informé par mail et prendra contact avec les éducateurs du foyer.Le séjour aux ELM se passe sans complication et le patient reste stable. Monsieur Popovic peut retourner à Horizon Sud le 09.06.2018 accompagné par son éducateur. Monsieur Presset est un patient de 73 ans, connu pour un diabète de type II non-insulinorequérant, une artériopathie des membres inférieurs et une cardiopathie bitronculaire, qui bénéficie d'une cure d'anévrysme aortique infra-rénale le 12.06.2018 avec mise en place d'un tube droit et d'un manchon externe de renforcement juxta-rénal (54 mm de diamètre). En raison de la durée opératoire et du soutien aminergique nécessaire à la fin de l'intervention, le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique qui se déroule sans particularité. Sur le plan rénal, une oligurie motive un remplissage vasculaire par cristalloïdes. Par la suite, une diurèse est reprise dans la norme. Sur le plan digestif, le patient reprend un transit à J5 avec une bonne tolérance alimentaire. Les suites sont marquées par une désaturation et des symptômes respiratoires qui sont investigués par une radiographie de thorax mettant en évidence un foyer pulmonaire basal droit qui est traité par une antibiothérapie de Rocéphine du 16.06.2018 au 22.06.2018. Le patient évolue favorablement tant cliniquement que biologiquement, raison pour laquelle il rentre à domicile le 23.06.2018. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 22.08.2018 à 9h30 avec à une imagerie de contrôle au préalable. Monsieur Probst, connu pour un antécédent d'AVC subaigu ponto-médullaire droit d'origine micro-angiopathique en octobre 2017, pris en charge à l'hôpital universitaire à Bâle, est hospitalisé dans le contexte d'un nouvel AIT le 08.06.2018. Pour rappel, le patient se présente aux urgences le 08.06.2018 pour un hémisyndrome sensitif avec paresthésies brachio-crurales G évoquant une lésion pariétale ou thalamique D avec un DD de réaction de séquelles ischémique ponto-médullaire. Les symptômes durent environ 6 heures avant de s'amender complètement. Un scanner cérébral complété d'une IRM ne montre pas d'ischémie aigüe ni d'hémorragie. En raison du score ABCD2 élevé, le patient est admis en Stroke unit monitorée pour une surveillance de 24 heures avec bonne évolution. Dans ce contexte, chez ce patient déjà sous traitement d'Aspirine cardio, nous proposons une double anti-agrégation pour une durée de 4 semaines suivie d'un traitement par Clopidogrel seul. Nous retrouvons également à l'imagerie une athéromatose du segment V4 de l'artère vertébrale droite, toutefois sans sténose significative mais de potentielle source artério-embolique. Sur le plan du bilan étiologique, un bilan complet avait déjà été effectué dans le cadre de l'AVC en octobre 2018, c'est pourquoi nous ne répétons pas les examens pendant cette hospitalisation. Nous vous proposons d'effectuer un Holter sur 72 h voire un R-test selon ce qui a déjà été effectué. Nous vous recommandons également de poursuivre les investigations à la recherche d'un syndrome d'apnées du sommeil, lesquelles ont déjà été discutées à votre consultation. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Nous vous recommandons d'organiser un suivi à l'hôpital de Delémont auprès du Dr. X. Monsieur Python, 78 ans, connu pour une BPCO de stade GOLD IV (D) sous oxygénothérapie et VNI à domicile et pour cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive, est hospitalisé aux soins intensifs puis à l'étage de médecine interne pour pneumonie basale bilatérale et exacerbation de sa BPCO. Le patient a consulté les urgences pour une dyspnée progressive depuis une semaine, sans amélioration malgré l'introduction de Prednisolone et majoration des aérosols par vos soins. Il présente à l'admission une insuffisance respiratoire globale avec un syndrome inflammatoire et une radiographie compatible avec une pneumonie bibasale. Un traitement par Cefepime et Klacid est débuté. L'antigène légionelle étant négatif, le Klacid est interrompu. Un relais per os par Co-Amoxicilline est fait après 48 h de traitement pour une durée totale d'antibiothérapie de 7 jours, associée à une corticothérapie pendant 5 jours. Il bénéficie également de séances de VNI rapprochées et d'aérosols d'Atrovent et Ventolin. L'évolution est favorable sur le plan respiratoire. À noter que le traitement respiratoire habituel pris par le patient à domicile diffère de celui prescrit par sa pneumologue. Nous vous laissons le soin de réévaluer celui-ci. À noter également une tachycardie ventriculaire le 30.05.2018 et le 01.06.2018 sans répercussions hémodynamiques, cardioversée par administration de magnésium, et un NSTEMI secondaire dans le cadre de l'hypoxémie et du sepsis. L'ETT du 01.06.2018 montre une FEVG à 40 % et une hypokinésie septale sévère. Sur avis cardiologique, une double antiagrégation est débutée. Une coronarographie est à organiser à distance de l'épisode infectieux. À noter des paresthésies des membres inférieurs présentes de longue date, sans déficit neurologique. Le bilan biologique réalisé dans ce contexte montre un déficit en acide folique pour lequel nous débutons une substitution. Au vu de la stabilisation clinique, le patient est transféré le 07.06.2018 à l'HFR Billens pour suite de prise en charge et réadaptation respiratoire. Monsieur Quiot est un patient de 83 ans qui est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour une insuffisance rénale aiguë sur chronique. Pour rappel, le patient a bénéficié d'une cure d'éventration le 07.06.2018 qui se complique dans les jours suivants par une dyspnée, une asthénie, une prise de poids de 5 kg. Monsieur Quiot consulte son chirurgien, qui initie un traitement diurétique, lui permettant de regagner son poids habituel. Cependant, le 17.06.2018, Monsieur Quiot présente un épisode de malaise avec prodromes lipothimiques, qui motive sa consultation au service des urgences. Une origine cardiaque ou pulmonaire est rapidement exclue au service des urgences. Le bilan révèle une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine prérénale. Une hydratation intraveineuse est proposée tout en poursuivant de manière concomitante un traitement diurétique. L'évolution de la fonction rénale est favorable, avec des valeurs de créatinémie à la baisse (dernière valeur à 140). Le patient rentre avec un poids de 117 kg et sort avec un poids de 118 kg. Sur le plan hématologique, nous mettons en évidence une anémie à Hb 80 g/L, probablement post-opératoire. Nous décidons de transfuser le patient en date du 19.06 et 20.06.2018 avec un bon résultat. Un bilan vitaminique et ferrique montre des taux d'acide folique insuffisants, motivant l'introduction d'une substitution orale. Nous retrouvons un syndrome inflammatoire à l'entrée, que nous expliquons par le contexte post opératoire. Le suivi biologique montre une cinétique spontanément favorable. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Quiot rentre à domicile le 21.06.2018, avec l'aide des soins à domicile. Monsieur Radovanovic est un patient de 18 ans qui est hospitalisé pour prise en charge d'une appendicite aiguë simple. Il bénéficie le 13.06.2018 d'une appendicectomie par laparoscopie. Les suites sont simples tant sur le plan clinique que paraclinique. Monsieur Radovanovic retourne à domicile le 15.06.2018. Monsieur Raemy est un patient de 70 ans qui est hospitalisé initialement aux soins intensifs à partir du 26.05.2018 pour un sepsis sur cholangite d'origine obstructive sur cholédocholithiase. Le scanner abdominal révèle une cholécystolithiase sans dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Les hémocultures révèlent un E. coli pour lequel une antibiothérapie par Métronidazole et Rocéphine est débutée avec une réponse clinique favorable. Devant cette obstruction des voies biliaires clinique et biologique, une ERCP est organisée le 29.05.2018 avec la désobstruction de la voie biliaire, une papillotomie ainsi que la mise en place d'un stent plastique (dont l'ablation est prévue pour le début du mois d'août).Nous décidons de traiter le patient pour cet épisode aigu de cholangite obstructive avec une antibiothérapie per os à poursuivre pour une durée totale de 14 jours. Il sera revu par la suite à notre consultation afin d’agender une cholécystectomie par laparoscopie. Dans l'intervalle, le patient a réalisé une polysomnographie durant l'hospitalisation dont les résultats nous seront communiqués lors de la consultation en chirurgie. Au vu de l'évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 06.06.2018. Mr. Y est un patient de 70 ans qui se présente aux urgences le 07.06.2018 pour un état confusionnel dans un contexte de troubles de la mémoire en évolution depuis quelques semaines. Le scanner met en évidence trois processus expansifs cérébraux gauches, avec un effet de masse et un œdème périphérique, compatible avec un glioblastome multiforme. En raison d'une possible crise d'épilepsie secondaire, le patient bénéficie d'un traitement antiépileptique par Keppra. Un EEG le 13.06.2018 montre un ralentissement d'origine lésionnelle, compatible avec la lésion sous-jacente sans épilepsie active. La thérapie anti-épileptique est donc poursuivie. Une corticothérapie par Dexaméthasone est débutée le 08.06.2018 en raison de l'œdème cérébral. La situation est discutée avec nos collègues oncologues. Un PET-CT exclut d'autres lésions suspectes. Une biopsie est effectuée le 15.06.2018. L'histopathologie met en évidence un gliome de haut grade. La situation actuelle avec les options thérapeutiques est discutée avec la famille du patient et nos collègues de l'oncologie le 25.06.2018, il est décidé d'évaluer la possibilité d'une radiothérapie. Au vu de la situation actuelle et sur désir de la famille, le patient est transféré à la villa St-François pour la suite de la prise en charge le 26.06.2018. À noter durant l'hospitalisation une fracture de la clavicule à droite probablement dans le contexte de sa chute qui a conduit à son hospitalisation. Sur avis orthopédique, un traitement conservateur est effectué. Mr. Y, 60 ans, est admis pour un STEMI antérieur subaigu. Le patient présente depuis 2 semaines avant son admission des douleurs thoraciques intermittentes investiguées par le médecin traitant. Il consulte le jour de son admission pour une péjoration de ses douleurs. Le bilan initial aux urgences de Payerne montre un STEMI antérolatéral subaigu, motivant son transfert à Fribourg. La coronarographie réalisée en urgence montre comme corrélat pour le STEMI subaigu une occlusion de l'IVA ostiale avec une sténose de l'IVA moyenne qui sont stentées. L'examen montre également une sténose significative de la première diagonale, des sténoses intermédiaires de l'artère coronaire droite proximale et moyenne ainsi que des sténoses significatives de l'ostium et dans le corps de l'artère rétro-ventriculaire postérieure. En raison d'une dysfonction sévère du VG avec des pressions de remplissage élevées (LVEDP 35-40 mm Hg), un ballon de contre-pulsion est mis en place pour une durée de 24 heures. Le sevrage est effectué sans complication. Un traitement d'aspirine et d'Efient est débuté en association à un IEC. Le traitement de bêta-bloqueur n'est pas introduit en raison de la FEVG fortement abaissée. Une anticoagulation thérapeutique est introduite en raison du ballon de contre-pulsion ainsi qu'en raison de l'hypokinésie apicale. Celle-ci n'est pas poursuivie en raison d'un léger saignement au point de ponction qui se tarit après le retrait du ballon de contre-pulsion. L'échocardiographie de contrôle montre une FEVG estimée à 35% avec une image suspecte d'un thrombus apical motivant la réalisation d'une ETT avec produit de contraste qui est prévue le 26.06.2018. L'indication à l'anticoagulation est à rediscuter avec les cardiologues. La réalisation d'une nouvelle coronarographie est à discuter avec les cardiologues pour la prise en charge des lésions ci-mentionnées. Le patient est transféré en division de médecine interne le 26.06.2018. Mr. Y est un patient de 37 ans hospitalisé pour une surveillance neurologique suite à un traumatisme crânien lors d'une agression dans le foyer où il habite. Un scanner cérébral met en évidence une fracture déplacée blow-in du sinus éthmoïdal à droite ainsi qu'une petite hémorragie sous-arachnoïdienne droite et une fracture de l'os propre du nez. Nous instaurons un traitement antibiotique par Co-Amoxicillin ainsi que des rinçages journaliers. Un consilium ophtalmologique met en évidence une inflammation de la chambre intérieure droite qui est traitée par Predforte. En vue de la bonne évolution clinique, le patient peut rejoindre son domicile le 22.03.2018. Il sera revu à la consultation ORL et de chirurgie maxillo-faciale. Mr. Y est un patient de 27 ans, qui se présente aux urgences pour des douleurs à l'hypochondre droit accompagnées de vomissements. Au laboratoire, on trouve une leucocytose (18 G/l) sans syndrome inflammatoire, et le CT abdominal met en évidence une appendicite aiguë rétro-iléale non compliquée. Le patient bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 27.06.2018. L'opération se passe sans complication avec une bonne évolution post-opératoire. Le patient peut sortir le 28.06.2018. Mr. Y, 67 ans, institutionnalisé depuis 2017 pour une encéphalopathie post-traumatique (AVP 2006) et connu pour un syndrome myéloprolifératif (polycythémie vera) sous Litalir et aspirine, présente des hématochézies/méléna et des chutes à répétition. Il est admis aux soins intensifs pour une hémorragie digestive haute anémiante sans instabilité hémodynamique ne justifiant pas de gastroscopie en urgence. Il bénéficie d'un traitement par IPP et d'un anti-fibrinolytique sur avis des hématologues. Le patient est par la suite transféré à l'étage où il présente un seul épisode de méléna sans hématochézies. L'hémoglobine reste stable sans transfusion. Nous maintenons le traitement par IPP IV et effectuons une OGD sous anesthésie générale montrant un ulcère chronique du bulbe duodénal distal sans signe de saignement avec des sérologies Helicobacter pylori négatives pour lequel le patient bénéficiera d'un traitement de Pantozol 40 mg 1x/j au long cours. Au vu de l'absence de récidive de saignement, avec une hémoglobine stable, nous renonçons à une colonoscopie, pour laquelle la préparation serait compliquée chez ce patient et qui nécessiterait une nouvelle anesthésie. Sur le plan cognitif et moteur, le patient présente un déficit cognitif et une aphasie depuis 2006 en péjoration suite à une chute avec TC sans PC le 16.05.2018. Le CT ne montrait alors pas de traumatisme cérébral hormis une lésion du parenchyme frontal et une dilatation des ventricules connues. Cependant, au vu de l'aggravation récente, nous effectuons une IRM et demandons avis au Dr. X (neurologue) qui identifie une progression de l'atrophie cérébrale pouvant expliquer l'aggravation progressive cognitive. Il n'y a pas de nécessité d'effectuer d'autres examens complémentaires. Sur le plan cutané, le patient présente des ulcères malléolaires bilatéraux associés à des discrets œdèmes des membres inférieurs. Nous effectuons un bilan angiologique montrant une insuffisance veineuse chronique stade C6 bilatérale sur thromboses veineuses péronières subaiguës. Nous introduisons dans ce contexte un diurétique ainsi que des bas de contention. Une anticoagulation n'est pas préconisée au vu de la clinique subaiguë et du contexte de l'anémie mais à réévaluer à travers un nouveau duplex si des douleurs ou un gonflement apparaissent.Durant son hospitalisation, le patient présente un état fébrile à point de départ pulmonaire que nous traitons par antibiothérapie durant une semaine. Au vu d'un bon profil tensionnel durant son hospitalisation nous suspendons les traitements antihypertenseurs. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, le patient rentre dans son home le 29.06.2018. • Monsieur René Macherel, patient de 85 ans connu pour une HTA et dyslipidémie traitées et AVC régressif ischémique, a consulté le service des urgences le 13.06.2018 après deux syncopes alors qu'il était assis sans notion de traumatisme. Il est hospitalisé pour surveillance et bilan étiologique. • L'ECG réalisé au service des urgences montre un bloc de branche droit complet connu et un QT allongé (485 ms) dans un contexte d'hypomagnésémie. Une substitution per os est initiée durant l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin de surveiller le QT lors d'une prochaine consultation. Une ETT est également réalisée dans le cadre du bilan, qui ne met pas en évidence de cause pouvant expliquer les épisodes de perte de connaissance. Un orthostatisme semble peu probable en raison d'un test de Schellong négatif. • Il présente une dyspnée à l'effort modérée depuis environ 4 mois ainsi qu'une toux avec expectorations blanches depuis plusieurs années. La radiographie du thorax ne démontre rien de particulier. • Un Holter de 48h est en cours au moment de sa sortie. Si le Holter ne devait pas retrouver de rythme avec BAV de haut grade ou de pause sinusale pouvant être à l'origine des pertes de connaissance, l'hypothèse de malaises vaso-vagaux serait retenue. Cependant, si le patient devait récidiver, l'indication à une pose de pacemaker serait réévaluée par les cardiologues avec un bilan complémentaire si nécessaire. Le patient peut regagner son domicile le 16.06.2018. • Monsieur rentre à domicile avec le conseil de recommencer le traitement de la mycose péri-anale qui pourrait être la cause des douleurs. • Monsieur Repond, connu pour une BPCO sur ancien tabagisme, non oxygéno-dépendant à domicile, traité par Singulair, Symbicort et Atrovent/Ventolin, consulte les urgences le 08.06.2018 en raison d'une dyspnée. Plus précisément, depuis environ 5 jours il présente une difficulté respiratoire progressive jusqu'à un stade IV ce jour. Pas de contexte déclencheur particulier, notamment pas d'infection des voies aériennes supérieures récentes. Notion d'une sinusite traitée par corticothérapie il y a 2 semaines. Il ne présente pas d'aggravation de la toux, pas d'expectoration, pas d'état fébrile. À l'anamnèse systémique il n'a pas d'autre plainte, notamment pas de douleur thoracique, nausée ou vomissement, diarrhée, douleur abdominale, prise de poids, aggravation des œdèmes des membres inférieurs. Pas de prise antibiotique récente. A l'admission aux urgences, Monsieur Repond est en état général diminué. Il est hémodynamiquement stable, afébrile et sature à 84% à l'air ambiant qui remonte à 90% sous 2 litres d'oxygène. • Au status cardiovasculaire, les extrémités sont bien perfusées. Notons de légers œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux chevilles, stables selon le patient. L'auscultation est difficile en raison des bruits respiratoires. Au niveau respiratoire, sibilances et ronchis diffus sur les deux plages pulmonaires sans râle audible. • Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 15 mg/l, leucocytes à 13 G/l à prédominance neutrophiles. La gazométrie artérielle montre une hypoxémie à 8.4 kPa, CO2 et pH dans la norme. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux constitué. En raison de la persistance d'une dyspnée importante, d'une tachypnée et d'une nécessité à l'oxygénothérapie au masque, le traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin est majoré à 6x/jour et Monsieur Repond est transféré à l'ELM. Après 24 heures de surveillance à l'ELM, l'évolution clinique est favorable permettant un retour à l'étage de médecine. Le traitement bronchodilatateur peut être diminué à 4x/j. Nous pouvons également sevrer progressivement l'oxygène avec des saturations aux alentours de 94% à l'air ambiant. Le patient reçoit de la Prednisone 50 mg jusqu'au 12.06.2018 et bénéficie également de physiothérapie respiratoire. La gazométrie de contrôle du 11.06.2018 sous 1 litre d'oxygène montre un pH à 7.4, pCO2 à 5.2 kPa, pO2 à 8.7 kPa et bicarbonates à 23 mmol/l. Pendant le séjour, nous objectivons des glycémies hautes sous Prednisone (hémoglobine glyquée qui revient à 5.8), qui se normalisent en fin de séjour. L'évolution étant favorable, Monsieur Repond peut regagner son domicile le 15.06.2018 avec son traitement habituel. À noter qu'il refuse de faire de la physiothérapie respiratoire en ambulatoire malgré nos conseils. Il sera revu à votre consultation le 27.06.2018. • Monsieur Rey, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 19.06.2018 en raison d'un état fébrile à 38.5°C depuis le 14.06.2018 avec frissons, odynophagie progressive et depuis ce jour, baisse de l'état général et impossibilité à s'alimenter. Le patient présente également une réaction cutanée papulo-érythémateuse au niveau des coudes, des chevilles et du dos. Il consulte le médecin de garde le 16.06.2018 en raison de l'apparition d'une orthopnée et d'une compression thoracique. Ce dernier suspecte une varicelle et une pharyngite bactérienne et débute une antibiothérapie par co-amoxicilline. Il effectue également une sérologie pour la varicelle qui revient négative. Pas de voyage récent, pas de piqûre d'insecte, pas de relation sexuelle à risque. Pas de notion de contage. Le patient travaille comme gendarme. A l'admission aux urgences, tension artérielle 115/80 mmHg, fréquence cardiaque 105/min, fréquence respiratoire 16/min, température 37,3°C et saturation à 94% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés et réguliers, sans souffle audible. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire, pas d'œdème des membres inférieurs. Les pouls périphériques sont palpés. Au status respiratoire, auscultation physiologique avec murmure vésiculaire symétrique sur les deux plages pulmonaires sans bruit surajouté. Au niveau digestif, l'abdomen est plat, souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en intensité. Au niveau cutané, plaques érythémateuses confluentes au niveau des coudes et des chevilles et au status ORL, érythème de l'oropharynx avec lésions blanchâtres au niveau de l'oropharynx, aphtes au fond de gorge et sur la face postérieure de la langue. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 307 mg/l sans leucocytose. La fonction rénale est normale. L'ECG ne montre pas de signe de péricardite et la radiographie du thorax est suspecte pour une pneumonie interstitielle, mais à noter un mauvais inspirium. Monsieur Rey est hospitalisé pour investigations. Pendant le séjour, il présente des pics fébriles matinaux. Les hémocultures à 3 jours restent négatives. Par la suite, le patient se plaint de douleurs articulaires au niveau du coude gauche, cheville gauche, poignet droit sans rougeur, sans chaleur avec disparition des arthralgies après 48 heures. Apparition d'une légère toux non productive et d'une otalgie gauche, ainsi qu'une desquamation de la peau superficielle au niveau de la verge. Il décrit toutefois une amélioration de la douleur au niveau du pharynx, ainsi qu'une disparition de la réaction cutanée et la disparition de la dyspnée et de l'oppression thoracique.Au vu des multiples symptômes présentés par le patient, nous suspectons une infection à Mycoplasma pneumoniae, mais le frottis nasopharyngé revient négatif. Nous demandons l'avis de la Dr. X, infectiologue, qui conclut à une possible virose à Coxsackie virus. Toutefois, l'infection à Mycoplasma, malgré le frottis nasopharyngé négatif, ne peut pas être exclue, mais reste peu probable. Une antibiothérapie par Klacid pour une durée de 7 jours est poursuivie et un rendez-vous de contrôle est agendé à la consultation de la Dr. X à l'HFR Riaz le 25.06.2018. Sur le plan hématologique, le patient présente une anémie normochrome normocytaire, d'origine inflammatoire la plus probable. Au vu de l'augmentation du LDH, nous complétons le bilan d'anémie par haptoglobine et bilirubine qui reviennent dans la norme. À la sortie, l'hémoglobine est à 121 g/l. Monsieur Rey peut regagner son domicile le 23.06.2018. Monsieur Riedo est hospitalisé depuis le 04.06.2018 en raison d'un sepsis d'origine digestive. Il est initialement admis le 04.06 au site de Tavel en raison d'une oligurie associée à une baisse de son état général. Pour rappel, le patient est porteur d'un cystofix dans un contexte de paraplégie post-traumatique suite à une chute accidentelle en 2004. Le bilan biologique d'entrée montre un syndrome inflammatoire associé à une insuffisance rénale d'origine pré-rénale. Une pyélonéphrite est suspectée pour laquelle un traitement de ceftriaxone est débuté. L'évolution n'est pas favorable et le patient présente le 06.06 une baisse de la tension artérielle ainsi qu'une fibrillation auriculaire inaugurale, motivant son transfert aux soins intensifs pour 24h, où il est rapidement stabilisé sur le plan hémodynamique. Les hémocultures reviennent positives pour une flore polymicrobienne digestive et l'on retient comme origine une translocation sur lésion de la paroi abdominale en lien avec un fécalome et une extraction manuelle de selles. L'antibiothérapie est élargie par carbapénèmes et poursuivie pour un total de 6 jours, permettant cette fois-ci une évolution favorable cliniquement et biologiquement. Sur le plan rénal, le patient développe une péjoration de sa fonction attribuée au contexte septique et qui se résout spontanément après traitement de l'infection. Sur le plan cardiaque, la fibrillation atriale inaugurale mise en évidence le 06.06.2018 persiste malgré une expansion volémique ainsi que l'administration de magnésium. Un traitement de cordarone est administré avec un ralentissement de la fréquence et une cardioversion documentée le 08.06.2018. On renonce à introduire une anticoagulation thérapeutique en raison d'une thrombopénie mise sur le compte du contexte septique qui se corrige spontanément par la suite, avec par ailleurs la reprise d'un rythme sinusal. Un Holter de contrôle en ambulatoire est agendé pour le 16.07.2018 à 10h à l'HFR Fribourg. Sur le plan infectieux, le patient présente également dans le contexte septique une importante réactivation d'infection herpétique au niveau labial et péri-oral que nous traitons par 7 jours de Valaciclovir avec une nette diminution des lésions au moment de son transfert. Sur le plan cutané, il présente un escarre sacré en regard du pli inter-fessier gauche pour lequel il bénéficie de soins locaux et d'un suivi stomathérapeutique, qui sera à poursuivre. À noter également des plaies chroniques de la cuisse droite d'origine indéterminée, déjà investiguées et suivies au HFR. Actuellement, les soins aigus sont terminés mais le patient semble plus limité du point de vue de la mobilisation et de l'autonomie par rapport à avant, avec une situation à domicile difficilement gérable pour son épouse qui l'aidait jusqu'à présent. Nous convenons donc d'organiser une neuroréadaptation intensive au Centre suisse des paraplégiques à Nottwil, où il avait déjà séjourné suite à son accident en 2004. Vu le délai d'attente de 2-3 semaines, un transfert pour neuroréadaptation non intensive à l'Hôpital de Murten est organisé dans l'intervalle, en accord avec la Dr. X. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Riedo est un patient de 73 ans qui bénéficie d'une thyroïdectomie totale gauche le 06.06.2018 pour un nodule thyroïdien du lobe gauche. Le suivi post-opératoire est compliqué par un saignement au niveau de la loge thyroïdienne motivant une reprise au bloc pour une hémostase, un lavage et la mise en place d'un clip sur une artériole. Le patient est hospitalisé en post-opératoire aux soins intensifs le 06.06.2018 pour une surveillance et peut être transféré en division de chirurgie le 07.06.2018. L'évolution est par la suite favorable et le patient peut retourner à domicile le 10.06.2018. Monsieur Riedo nous est adressé des urgences de l'HFR Fribourg le 13.06.2018 pour investigations et suite de prise en charge de chutes à répétition. Un CT scan cérébral effectué à Fribourg permet d'écarter un accident vasculaire cérébral. Nous retenons une origine multifactorielle aux chutes à répétition avec troubles de la marche et de l'équilibre sur antécédents d'accident vasculaire cérébral, carence en vitamine D3, Ca que nous substituons et notion de consommation d'alcool à risque à raison de 3 verres de vin par jour. Concernant la consommation d'alcool à risque, Monsieur Riedo ne présente pas de signe de sevrage durant l'hospitalisation et ne désire pas de suivi en addictologie. Il préfère prendre des risques avec de possibles conséquences traumatiques liées aux chutes. À noter que nous estimons que le patient a toute sa capacité de discernement. En ce qui concerne les troubles de la marche, le patient bénéficie de séances de physiothérapie de mobilisation. La suite du séjour se passe sans complication et Monsieur Riedo peut regagner son domicile le 21.06.2018 avec activation des soins à domicile 1x/jour. Monsieur Riedo, 73 ans, bénéficie le 06.06.2018 d'une lobo-isthmectomie gauche par Dr. X pour un nodule thyroïdien du lobe gauche mesurant 2,7 x 2,1 x 2,1 cm. Il présente en postopératoire un hématome de la loge thyroïdienne qui nécessite une reprise au bloc opératoire pour une hémostase et lavage avec mise en place d'un clip sur une artériole (OP le 06.06.2018). La réintubation dans le cadre de la reprise est effectuée par fibroscopie vigile qui montre un œdème de la glotte. Le patient est hospitalisé en postopératoire aux soins intensifs le 06.06.2018 pour surveillance. Durant celle-ci, le site opératoire reste calme et le patient ne présente pas de récidive de complication. L'antalgie est assurée par paracétamol et Tramadol. En raison du saignement, nous ne démarrons pas d'anticoagulation prophylactique. Le calcium postopératoire se trouve à la limite inférieure de la norme et le patient ne présente pas de signes d'hypocalcémie. Monsieur Rime est un patient de 26 ans qui nous est transféré de l'hôpital de Sion le 05.06.2018 à J2 d'une chute de 400 m en montagne suite à une avalanche alors qu'il faisait de l'alpinisme. Le CT total body effectué à l'hôpital de Sion avait mis en évidence un hématome de la surrénale droite avec hématome rétropéritonéal sans saignement actif, ainsi qu'une fracture uni-focale légèrement déplacée de la 7ème côte droite. Les imageries avaient également montré une contusion du lobe pulmonaire inférieur droit, avec minime décollement de la plèvre en regard, déjà résorbé à J1 lors du CT de contrôle à Sion, et non visualisé sur le CT de contrôle effectué chez nous le 08.06.2018.Le CT abdomen de contrôle effectué le 08.06.2018 montre une majoration en taille de l'hématome surrénalien droit, sans saignement actif, ainsi qu'une régression de l'hématome rétropéritonéal péri-rénal. Un CT de contrôle sera effectué à distance pour suivi de l'évolution. Au laboratoire, des tests hépatiques légèrement perturbés avaient été mis en évidence durant son hospitalisation à Sion, évoquant une contusion hépatique. Au suivi laboratoire, les valeurs se montrent régressives, mais nous retrouvons des valeurs de test pancréatique en augmentation, atteignant un pic de lipase à 435 U/l et amylase à 250 U/l le 12.06.2018. Au CT abdomen de contrôle du 08.06.2018, aucune lésion n'est notée sur le pancréas et le foie, et la contusion pancréatique se montre progressivement régressive au suivi laboratoire. Concernant la fracture de la 7ème côte, la prise en charge est conservative avec antalgie et physio respiratoire. Monsieur Rime présente également une plaie au niveau du coude gauche, avec possible atteinte de la bourse olécrânienne, raison pour laquelle il reçoit à l'hôpital de Sion du Co-Amoxi 1g p.o. 2x/24h, que nous poursuivons jusqu'à 48h de thérapie. La plaie présente par la suite une bonne évolution avec un contrôle régulier par les orthopédistes. Cliniquement, une atteinte du LLI et LCA à gauche est mise en évidence, motivant une IRM du genou le 07.06.2018, qui montre une déchirure partielle du LCA et une désinsertion du LLI. Après avis orthopédique, le patient bénéficie le 10.06.2018 d'une opération avec réinsertion du LLI. L'opération se déroule sans complication. Une intervention sur le LCA sera rediscutée dans un deuxième temps. Le 11.06.2018, le patient est transféré en orthopédie pour la suite de la prise en charge. Monsieur Romailler présente une lésion type anse de seau du ménisque interne du genou droit. L'indication pour une résection plutôt que suture de l'anse de seau du ménisque interne est posée. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue en ambulatoire le 28.06.2018. Le patient sera encore vu en anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Monsieur Rosaria Fonseca, âgé de 58 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à un AVP à moto à 80 km/h le 07.05.2018 avec les fractures et traitement susmentionnés. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est actuellement au chômage. Il venait de retrouver un travail dans l'horlogerie à Genève et allait reprendre cette activité avant son accident. Avant cela, il travaillait chez Cartier dans l'horlogerie jusqu'en juillet 2017. Il est portugais et est arrivé en Suisse en 1967. Il souhaite rentrer au Portugal, mais reste encore pour les petits-enfants. Il n'y a pas d'escaliers à son domicile, juste 2 seuils de 2 cm. A l'admission, le patient n'a pas de plainte, pas de douleur. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Monsieur Rosaria souhaite rentrer rapidement car sa femme ne conduit pas. Il voudrait reprendre la conduite. Au status, le patient est orienté et collaborant. La force des MI est globalement cotée à M5. Discret OMI pied et main G, mais sensibilité conservée. L'abduction et l'élévation de l'épaule G sont limitées à 90° en passif, la rotation externe à 20° et la rotation interne au ventre. Sur le plan nutritionnel, un suivi est mis en place en raison des importantes plaies. Un apport insuffisant en protéines est mis en évidence et, comme les besoins énergétiques théoriques du patient étaient couverts, de l'Abound 2x/j est introduit afin de favoriser la cicatrisation. Les plaies ont évolué de manière favorable, rendant non nécessaire la poursuite de l'Abound après la sortie. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. La marche n'est pas possible pour le moment étant donné que le patient ne peut pas utiliser son MSG pour décharger son MIG comme recommandé (charge partielle de 15 kg). A la sortie, il est indépendant pour les transferts et les déplacements à l'aide de la chaise roulante en respectant la décharge du MIG. Les amplitudes articulaires en actif assisté de l'épaule G montrent une flexion de 105°, abduction de 100°, rotation externe de 10° et rotation interne au ventre. Pour le coude G, la flexion/extension en actif assisté est à 120-0-0. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable. Monsieur Rosaria Fonseca peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 22.06.2018, à sa demande, en état général conservé. Nous lui rappelons l'importance du suivi rapproché des plaies du MIG. Il est convenu que Monsieur Rosaria Fonseca pourrait revenir dans un deuxième temps pour une réhabilitation stationnaire, si besoin, une fois la charge du MIG possible. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie/ergothérapie à domicile pour adaptation de l'environnement, maintien des acquis, renforcement du MID et MIG au lit. Les soins à domicile sont activés pour le suivi des plaies. Monsieur Rosse, un patient de 48 ans, connu pour une splénectomie dans l'enfance suite à une AVP et pour des hépatites A, B et alcoolique, est adressé par le HIB de Payerne pour la suite de prise en charge d'un syndrome néphritique. En rappel, le patient a bénéficié d'un traitement en ambulatoire pour une pneumonie du lobe moyen gauche par Co-Amoxicilline dès le dimanche 17.06.2018. Au vu d'une persistance d'une baisse de l'état général, des nausées avec des vomissements occasionnels, un bilan biologique a été effectué qui montre une insuffisance rénale probablement dans le contexte d'une glomérulonéphrite. Il est alors hospitalisé initialement le 19.06.2018 au HIB pour les investigations et transféré le 20.06.2018 au HFR de Fribourg après discussion avec le Dr. Hemett pour une biopsie rénale qui a lieu le 21.06.2018. Le bilan pour la glomérulonéphrite est actuellement en cours. Les sérologies pour hépatites montrent un statut après vaccination et pas d'infection aiguë. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline a été relayée par Ceftriaxone à l'arrivée aux urgences du HIB dans le contexte d'une persistance de l'état fébrile et de la glomérulonéphrite. Le choix de l'antibiothérapie et la durée ont été discutés avec la pharmacologue clinique du HFR et du CHUV. Monsieur Rosse est transféré le 22.06.2018 au HIB de Payerne à la chambre 254 pour la suite de prise en charge. Monsieur Rotzetter, connu pour un carcinome hépatocellulaire et une insuffisance rénale pré-terminale, est adressé par son médecin traitant suite à une péjoration de la fonction rénale et une fatigue en péjoration depuis 2-3 semaines. Une acutisation de son insuffisance rénale chronique, avec hyperkaliémie et hyponatriémie, est diagnostiquée et mise sur le compte d'une toxicité au liquide de contraste (IRM injectée le 13.06.2018). Les médicaments potentiellement néphrotoxiques sont arrêtés et les troubles électrolytiques corrigés. Sur avis néphrologique (Dr. Descombes), nous effectuons un ultrason des voies urinaires pour exclure une cause post-rénale au vu d'une FeNa à 6.8 %, qui revient sans particularité. D'un point de vue néphrologique toujours, tout examen radiologique incluant l'injection de produit de contraste (que ce soit pour la radiologie conventionnelle ou du gadolinium) serait impérativement à proscrire, ce dont la lettre du Dr. Descombes du 04.05.2018 faisait déjà état.Concernant la récidive tumorale, le patient a un rendez-vous en consultation d'oncologie chez le Dr. X le 27.06.2018 à 11h00. Nous laissons le soin à nos collègues de l'oncologie de déterminer si des contrôles ultrasonographiques du foie suffiraient à suivre l'évolution tumorale, ce afin de préserver la fonction rénale. Si des IRM injectés devaient s'avérer nécessaires malgré, la possibilité d'une hémodialyse subséquente pourrait être envisagée. L'indication à une substitution en EPO au vu de l'anémie normocytaire normochrome d'origine mixte (carence en fer et néphropathie) connue est également à rediscuter dans le contexte oncologique. Monsieur Y peut rentrer à domicile le 27.06.2018 en état général conservé. Monsieur Y, connu pour une insuffisance rénale terminale dialysée sur vasculite à p-ANCA, nous est transféré des soins intensifs de l'HFR Fribourg pour soins de confort. Pour rappel, le patient est adressé aux urgences de l'HFR Riaz le 21.05.2018 par le service de dialyse en raison d'une dyspnée manifeste au repos, stade NYHA IV, en péjoration depuis une semaine. Le patient était déjà sous double antibiothérapie avec Vancomycine et Céfépime pour traiter un probable foyer en base droite. Sur la radiographie du thorax, nous visualisons un élargissement médiastinal, raison pour laquelle un scanner est effectué et permet de visualiser un doublement en taille de la lésion du corps pancréatique, en partie nécrotique et pseudo-kystique, avec une infiltration médiastinale antérieure et postérieure. Dans ce contexte, le patient est transféré à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Suite à une discussion avec vous-même et nos collègues chirurgiens, Monsieur Y refuse tout traitement invasif, évoquant une altération franche de sa qualité de vie. Il prend la décision d'arrêter les séances de dialyse et désire être accompagné uniquement pour des soins de confort. Il est donc réadmis à l'HFR Riaz le 23.05.2018. Nous introduisons un traitement par Morphine titré progressivement. Le 25.05.2018, l'état du patient se dégrade encore et nous veillons à optimiser les soins de confort, avec des patchs de scopolamine afin de réduire les sécrétions. Le patient développe des œdèmes généralisés et devient confus et agité par moments, raison pour laquelle nous débutons de la Morphine et du Dormicum en continu. Monsieur Y décède le 26.05.2018. Monsieur Y, connu pour une hypertension artérielle traitée, est amené aux urgences le 23.06.2018 suite à un malaise avec perte de connaissance. Plus précisément, il explique qu'alors qu'il était assis pour souper (mais n'avait encore rien mangé), il ressent des prodromes de type vertiges rotatoires puis perd connaissance pendant environ 1 minute avec révulsion des yeux. Pas de perte d'urine, pas de morsure de langue. Par la suite, Monsieur Y reprend progressivement connaissance avec asthénie importante et sudations. Pas de notion de chute ni de traumatisme crânien. Pas de plainte ni de douleur avant le malaise, mais sensation d'inconfort pendant la journée. À l'admission, le patient est en état général conservé. Glasgow à 15/15, tension artérielle 140/73 mmHg, index de choc négatif, fréquence cardiaque 18/min, température 35,7°C et saturation à 97% à l'air ambiant. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont réguliers, pas de souffle ausculté, pouls périphériques palpables, pas d'œdème des membres inférieurs. Au niveau respiratoire, pas de signe de détresse respiratoire, pas de douleur à la palpation thoracique, murmure vésiculaire symétrique, pas de bruit surajouté. Au statut neurologique, patient conscient et orienté, marche et équilibre non testés, pas de trouble sensitivo-moteur, force M5 au niveau de tous les groupes musculaires, pas d'ataxie ni d'adiadococinésie, nerfs crâniens sans particularité, pupilles isocores isoréactives. Au niveau digestif, l'abdomen est souple et indolore, pas d'organomégalie. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale pour laquelle le patient est hydraté ainsi qu'une kaliémie à la limite inférieure de la norme que nous substituons. L'ECG met en évidence des épisodes de tachycardie supraventriculaire avec pauses compensatoires jusqu'à 1600 msec ainsi que des extrasystoles supra-ventriculaires polymorphes (maladie du sinus). Monsieur Y est hospitalisé à l'ELM pour surveillance et monitoring. Nous contactons le Dr. X, cardiologue, qui propose d'organiser un R-Test en ambulatoire afin d'exclure des pauses compensatoires de plus de 10 secondes. La pose du R-Test est agendée au lundi 02.07.2018 à l'HFR Riaz et le patient a rendez-vous à la consultation du Dr. X le 11.07.2018 pour la suite de la prise en charge selon les résultats. Monsieur Y peut regagner son domicile le 25.06.2018. Monsieur Y souffre très probablement d'un lipome en regard du coude gauche qui appuie sur le nerf cubital gauche. L'EMG confirme qu'il y a une souffrance du nerf cubital. L'indication pour une excision de la masse en regard du coude gauche est donnée. Nous faisons déjà le consentement éclairé par contre le patient ira d'abord faire une IRM du coude gauche pour confirmer qu'il s'agit bien d'un lipome. Après l'IRM, nous le convoquerons directement pour l'intervention chirurgicale en vue d'une mise à plat de la masse qui comprime le nerf cubital. Monsieur Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une hyperkaliémie sur insuffisance rénale aiguë sur chronique. Le patient se présente aux urgences le 26.06.2018 pour un malaise avec des vertiges sans perte de connaissance. Il est connu pour un diabète de type 2 non-insulinorequérant, une insuffisance rénale chronique ainsi qu'une coronaropathie avec quadruple pontage aorto-coronarien. Le bilan met en évidence une hyperkaliémie sévère avec une répercussion sur son ECG, une acidose métabolique et une acutisation de l'insuffisance rénale d'origine prérénale. L'hyperkaliémie est traitée par Gluconate de calcium, insuline-glucose puis hémodiafiltration continue veino-veineuse avec une normalisation rapide des valeurs ainsi que du tracé ECG. À l'arrêt de l'hémodiafiltration le 28.06.2018, un traitement par Résonium est poursuivi. Le cathéter d'hémofiltration est à laisser en place jusqu'au 30.06.2018 puis selon évolution. Au niveau de son traitement anti-hypertenseur, en raison de l'insuffisance rénale, le Perindopril est mis en suspens et de l'Amlodipine et du Physiotens sont introduits. Selon avis néphrologique, en raison de la persistance de l'acidose avec diminution des bicarbonates, un traitement par Néphrotrans est instauré. Anamnestiquement, le patient rapporte des selles liquides noirâtres depuis une semaine environ et on note une anémie. Avec le diagnostic différentiel d'un possible méléna, le Sintrom est mis en suspens en faveur de l'héparine à dose prophylactique. On propose de réaliser un hémoccult et éventuellement d'organiser un bilan endoscopique par la suite. Le patient peut être transféré dans le service de médecine le 29.06.2018 pour suite de la prise en charge. Monsieur Y souffre d'une lésion de la corne postérieure du ménisque interne qui est associée à un kyste de Baker de petite taille. Je propose dans un premier temps un traitement conservateur. Je lui prescris de la physiothérapie et des AINS. Arrêt de travail donné à 100% pendant un mois jusqu'au 8.7.2018. Reprise du travail à terme d'essai à 100% dès le 9.7.2018. Contrôle clinique dans 6 semaines à ma consultation le 25.7.2018. En cas de persistance de douleurs, je proposerais de faire une arthroscopie pour s'adresser à la corne postérieure du ménisque interne.Monsieur Sautebin, connu pour un myélome multiple diagnostiqué en février 2018, est transféré de la clinique de Montana pour suite de prise en charge en raison d'une exacerbation de douleurs des épaules. Pour rappel, le patient a eu une fracture pathologique compressive de D3 en février 2018 avec une atteinte motrice et sensitive des membres inférieurs suite à une chute à domicile. Il bénéficie d'une décompression par laminectomie de D2 à D4 et le diagnostic de myélome multiple est posé à l'histologie. La réhabilitation à la clinique de Montana se déroule initialement bien avec des progrès constants. Il a perdu dans ce contexte 12 kg suite à une immobilisation de 6 semaines en post-opératoire. Il persiste des troubles de la sensibilité depuis les hypocondres, mais en nette amélioration. A l'arrivée, le patient décrit des douleurs au niveau des deux clavicules évoluant depuis 2 semaines sans facteur déclenchant. Le bilan retrouve une fracture pathologique bilatérale des deux clavicules. Après avis auprès de nos collègues de l'orthopédie, un traitement conservateur est instauré. Un contrôle radiologique et clinique est agendé pour le 23.07.2018 à la consultation d'orthopédie de l'HFR Fribourg. Il présente également une pyélonéphrite droite traitée par Rocéphine puis Ciproxine. Le patient répond favorablement au traitement. Une IRM complète du rachis retrouve une myélopathie à la hauteur de D3 où l'on note la présence d'un éperon dans le cadre de la vertébroplastie rentrant en conflit avec le cordon, et où l'on note une infiltration du myélome par les trous de conjugaison. Après avis des neurochirurgiens de l'HFR Fribourg et de l'opérateur à l'Inselspital à Berne, un suivi clinique et radiologique est préconisé. Concernant son myélome multiple, le bilan initial retrouve une maladie de stade III selon ISS. Un protocole par Velcade, Revlimid et Dexaméthasone est instauré dès le 11.06.2018. Le patient est mis sous prophylaxie par Ciproxine et Bactrim pendant la durée de son traitement. Le patient présente une situation sociale complexe avec une incapacité à monter les escaliers pour regagner son domicile à cause du déconditionnement dû à la longue immobilisation, aux douleurs de ses épaules limitant l'utilisation de son rollator. Il refuse également un court séjour en EMS ou à l'UATO pour des raisons financières. Le patient a pris contact avec une ergothérapeute pour une évaluation du domicile et nous organisons des soins à domicile quotidiens. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR Fribourg, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Sauterel est un patient de 69 ans connu pour une prostatectomie radicale le 09.03.2018 (Dr. X), qui se présente aux urgences le 06.06.2018 pour un état fébrile depuis 72h associé à des frissons et à un épisode de vomissements alimentaires. Il présente également une incontinence urinaire depuis 3 semaines après ablation de sonde urinaire. Au status, l'abdomen est souple et indolore sans défense ni détente, et le toucher rectal est indolore. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 89 sans leucocytose et le sédiment met en évidence une infection urinaire, raison pour laquelle une antibiothérapie par Rocéphine en intraveineux est instaurée. L'uricult est impossible à réaliser aux urgences en raison de l'incontinence. Le CT abdominal du 07.06.2018 met en évidence de multiples foyers de néphrite focale gauche sans signe d'abcès ni de collection péri-rénale et sans dilatation pyélocalicielle. L'antibiothérapie par Rocéphine en intraveineux est poursuivie jusqu'au 08.06.2018 avec relais par Ciprofloxacine par voie orale. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Sauterel peut rentrer à domicile le 08.06.2018. Monsieur Schafer est un patient de 65 ans, connu notamment pour des troubles de la marche et des troubles cognitifs dans un contexte d'éthylisme chronique (abstinent depuis 2010) et qui nous est transféré depuis le Home d'Umliz le 25.05.2018 en raison d'une somnolence depuis le même jour, avec une anamnèse révélant deux chutes avec traumatisme crânien sans perte de connaissance ni phase post-critique. Monsieur Schafer présente une baisse de l'état général depuis une semaine avec une toux grasse en péjoration, clinique expliquée par la mise en évidence d'une surinfection d'une atélectasie droite, motivant l'introduction de Co-Amoxicilline du 26.05. au 28.05.2018. En raison d'une suspicion d'infection urinaire basse associée, confirmée par la positivité des hémocultures pour Escherichia Coli, nous remplaçons le traitement antibiotique par Rocéphine du 28.05. au 04.06.2018. A l'arrivée aux urgences, nous réalisons un CT cérébral natif, démontrant une hémorragie sous-arachnoïdienne frontale droite. En raison des comorbidités du patient, notamment de ses troubles cognitifs complexes, nous décidons, en accord avec Mme. Krattinger (sœur et représentante thérapeutique), d'adopter une prise en charge restreinte en stoppant simplement son traitement d'Aspirine Cardio. Le 01.06, il présente une nouvelle péjoration du status neurologique pathologique avec légères ptoses palpébrale et labiale, une hyperspasticité des membres gauches et un Babinski positif à gauche, motivant la réalisation d'un deuxième CT cérébral ne montrant pas de lésion hémorragique nouvelle. La récupération est spontanée quelques heures plus tard. Le patient présente également une insuffisance cardiaque droite décompensée avec d'importants œdèmes aux membres inférieurs et des valeurs de pro-BNP à 33'074 ng/l le 25.05, notamment dans un contexte de status post-STEMI antéro-septal en mars 2018 traité conservativement. Un traitement diurétique est introduit. Dans ce contexte d'insuffisance cardiaque, Monsieur Schafer développe parallèlement une insuffisance rénale aiguë AKIN I et une hyponatrémie hypo-osmolaire, motivant un arrêt de la Metformine et du Lisitril dès le 25.05.2018. Le patient présente des troubles de la marche en péjoration depuis la dernière hospitalisation en février 2018, avec des chutes à répétition presque quotidiennes. L'hétéroanamnèse révèle une prise irrégulière de ses traitements de substitution orale. Nous entamons une thérapie de substitution de Vitamine D3 le 29.05.2018. Dans le cadre des troubles récurrents de la marche, le patient subit une entorse de cheville gauche le 25.05, traitée par aircast et antalgie et évoluant favorablement. Monsieur Schafer présente le 04.06 une nouvelle péjoration de l'état général avec un refus complet de soins, présentant une voie veineuse qui n'est plus fonctionnelle. Après discussion avec Mme. Krattinger le 04.06.2018, nous décidons de commencer des soins de confort avec de la Morphine sous-cutanée. Au niveau respiratoire, nous observons par la suite une péjoration de la dyspnée avec des râles inspiratoires et expiratoires, des pauses respiratoires, ainsi que des sécrétions partiellement soulagées par Scopoderm. Monsieur Schafer décède paisiblement le 05.06.2018 à 21h. Monsieur Schneider, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 21.06.2018 en raison de céphalées frontales inhabituelles associées à des vertiges, une raideur de nuque ainsi que de légères cervicalgies. Ces céphalées sont apparues progressivement durant la journée du 19.06.2018, devenant significatives dans la soirée. Notion d'état fébrile à 38,5°C avec frissons associés. Le patient prend du Dafalgan sans amélioration des céphalées. Pas de nausée ni vomissement, mais présence de dysurie, pollakiurie, mal à la gorge et toux sèche depuis le 19.06.2018. Pas de perte d'urine ni trouble sphinctérien. Pas de douleur musculaire. Pas de notion de piqûre de tique. Le patient est vacciné pour la méningo-encéphalite à tique, mais il aime se promener dans la forêt. A savoir que le patient a un enfant de 14 mois qui a eu une infection gastro-intestinale au mois d'avril. Pas de comportement sexuel à risque, pas de voyage récent.A l'admission aux urgences, Mr. Y est afébrile. Au status neurologique, Glasgow à 15/15. Patient collaborant, orienté dans les 3 modes, pupilles isocores isoréactives. Nerfs crâniens dans la norme sans latéralisation nette. Mingazzini aux membres supérieurs tenu, impossible aux membres inférieurs en raison d'une force M2. Force M4 aux membres supérieurs. La sensibilité est conservée aux 4 membres. Réflexes ostéotendineux hyperactifs aux 4 membres. Doigt-nez dans la norme, talon-genou impossible à réaliser en raison de la force M2. Importante raideur de la nuque. Sensibilité péri-anale conservée. Au status ostéo-musculaire, pas de douleur à la palpation des os, pas de douleur à la palpation du dos ni au niveau de la colonne vertébrale, pas de douleur musculaire. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une CRP à 58 mg/l et des leucocytes à 7.4 G/l. Au vu de l'examen neurologique pathologique, nous effectuons un CT scan cérébral qui revient sans particularité. Nous complétons le bilan par une ponction lombaire qui permet d'exclure une méningite bactérienne. La culture du LCR revient négative par la suite. Nous demandons l'avis de la Dr. X, infectiologue, qui ne retient pas d'indication à faire d'autres examens sur le plan infectiologique vu qu'il s'agit d'une méningite virale sans facteur de risque (immunosuppression, exposition). De plus, pas d'indication à traitement anti-viral. Le patient est réévalué aux urgences avant son hospitalisation. Le status neurologique est dans la norme hormis une force M3/M4 aux membres inférieurs ainsi que la persistance d'une raideur de nuque. A l'étage de médecine, nous poursuivons le traitement symptomatique. Le status neurologique de contrôle étant dans la norme, nous n'effectuons pas d'examens complémentaires et Mr. Y peut regagner son domicile le 24.06.2018. Mr. Y est un patient de 77 ans, qui bénéficie le 16.06.2018 d'une exérèse d'une adénopathie rétropéritonéale droite à but diagnostique par laparoscopie le 15.06.2018. L'intervention se passe bien et les suites post-opératoires sont simples. Le patient rentre à domicile le 16.06.2018 et il sera revu à la consultation du Dr. X le 19.06.2018. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome conventionnel de la prostate, sous Taxotere et Prednisone, est adressé aux urgences le 22.05.2018 par la Dr. X, oncologue, en raison d'un état fébrile à 38,2°C ce jour, avec baisse de l'état général et fatigue importante depuis 2 jours. Pas d'autre plainte à l'anamnèse par système. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est bilatéral avec quelques discrets râles en base gauche. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire montre une leucopénie, une CRP à 74 mg/l ainsi qu'une anémie normocytaire hypochrome avec une hémoglobine à 80 g/l, et la radiographie du thorax ne peut exclure un foyer basal gauche. Dans ce contexte, nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv. L'évolution est favorable permettant un relais de l'antibiothérapie par Céfuroxime per os à poursuivre jusqu'au 31.05.2018. Les hémocultures et la recherche d'antigènes urinaires pour Légionelle et pneumocoque reviennent négatives. Concernant l'anémie avec hémoglobine à 80 g/l, nous la mettons dans le contexte de la chimiothérapie. Le patient bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires durant le séjour, avec bonne réponse et une hémoglobine à 99 g/l à la sortie. A noter qu'en raison d'une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec une inappétence et une augmentation des besoins, démontrés par des ingestas couvrant 50% de ses besoins énergétiques, nous introduisons des suppléments nutritifs oraux. Mr. Y peut regagner son domicile le 26.05.2018 avec un rendez-vous à la consultation de la Dr. X agendé pour le 30.05.2018. Mr. Y, 76 ans, dialysé 3x par semaine et connu pour une insuffisance cardiaque (rythmique et ischémique) ainsi qu'une BPCO stade II sous 2L/mn d'O2 au home, présente une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique et hypercapnique sur oedème aigu du poumon durant sa dialyse. Par la suite, il est transféré aux soins intensifs suite à une hypotension artérielle (TAS 80 mmHg) sur retrait de 2 litres en dialyse. Il bénéficie d'un traitement par VNI intermittente avec correction de l'hypercapnie mais persistance de l'hypoxémie. Il ne présente pas de récidive d'hypotension artérielle et le traitement antihypertenseur peut donc être réintroduit progressivement. Sur le plan néphrologique, le patient continue ses dialyses durant son hospitalisation. Au vu d'une amélioration clinique et biologique, le patient rentre au home le 21.06.2018 avec suivi en dialyse 3x par semaine. Mr. Y, 76 ans, est admis pour une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique et hypercapnique sur oedème aigu du poumon et insuffisance cardiaque chez un patient BPCO stade II habituellement dialysé, présentant une cardiopathie ischémique sévère. En raison de cette insuffisance respiratoire aiguë, un retrait de deux litres ayant été effectué durant sa dialyse, il présente par la suite une hypotension artérielle avec une tension artérielle systolique à 80 mmHg. Le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire et hémodynamique. Sur le plan respiratoire, on constate une amélioration rapide après plusieurs séances de VNI intermittentes. L'hypercapnie se corrige à 5 kPa et il reste hypoxémique à 7.6 kPa chez un patient BPCO sous O2 à domicile 2L par minute habituellement. L'oxygénothérapie est donc maintenue aux lunettes à la sortie. Sur le plan hémodynamique, le patient ne présente pas de récidive d'hypotension artérielle durant son hospitalisation. Le traitement antihypertenseur est donc repris progressivement. On note l'apparition d'une hyperleucocytose à 22.5 G/L le 19.06.2018 avec une CRP à 36 mg/L sans point d'appel infectieux clinique chez un patient légèrement hypotherme à 35.7°C. Ces paramètres seront donc à surveiller dans les jours suivants à la recherche d'une éventuelle infection. Le patient est transféré le 19.06.2018 en médecine pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, ancien toxicomane, connu pour une hépatite C et un syndrome de dépendance à l'alcool avec cirrhose débutante, est amené aux urgences en ambulance le 27.05.2018 en raison de 5 épisodes d'hématémèse et méléna (quantité estimée à environ 500 ml) depuis le 26.05.2018 après-midi. Notion depuis 4 jours de méléna avec transit accéléré ces derniers jours. Pas de douleur abdominale. Pas d'autre plainte. Dernière gastroscopie en septembre 2017. À savoir que le patient consomme encore de l'alcool, environ 4-5 bières par jour et également du cannabis occasionnellement. A l'admission aux urgences, le patient est très agité et en sueur. Il est hypertendu à 150/80 mmHg, tachycarde à 130/min et afébrile à 36,4°C. Au status digestif, présence d'une douleur diffuse à la palpation abdominale avec défense, sans détente majorée en fosse iliaque droite. Les bruits abdominaux sont conservés, le toucher rectal est indolore avec trace de méléna au doigtier. Le reste du status d'entrée est sans particularité.Au laboratoire, on note pas de syndrome inflammatoire. L'hémoglobine est à 123 g/l et les tests hépatiques sont perturbés avec ASAT à 252 U/l, ALAT à 121 U/l, LDH à 705 U/l et Gamma-GT à 843 U/l. Nous effectuons un CT scan abdominal qui met en évidence un foie cirrhotique, mais pas de signe de perforation de l'intestin ou de liquide libre, pas de masse visualisée, pas de varice oesophagienne visualisée. Le patient est mis sous pompe de Nexium 8 mg/h après un bolus de 80 mg iv. Sur avis du Dr. X, chirurgien de garde, nous mettons en place une sonde nasogastrique et une pompe de Sandostatine 0.025 mg/h iv continu. Le patient bénéficie également de la transfusion de 2 culots érythrocytaires et il est hospitalisé à l'ELM. Durant la surveillance, Monsieur Sciboz enlève sa sonde nasogastrique. Un contrôle sanguin montre une hémoglobine stable à 105 g/l. Le patient reste à jeun. Nous prenons contact avec Dr. X et une OGD est effectuée le 28.05.2018. L'examen ne montre pas d'ulcère, de varice, d'oesophagite ni de saignement actif et met en évidence de très légers signes d hypertension porte dans l estomac et des zones d'érythème dans la région sous-cardiale et dans une petite hernie hiatale. Selon avis de Dr. X le patient peut recommencer à s'alimenter et un traitement avec du Nexium 40 mg per os est mis en place. Pendant l'hospitalisation, l'hémoglobine et les thrombocytes restent stables et le patient ne présente pas de signe de sevrage alcoolique. Après discussion du cas avec le Prof. X (infectiologue qui suit le patient), la virémie pour l'HCV est prélevée et revient négative. Monsieur Sciboz peut regagner son domicile le 30.05.2018. Monsieur Sciboz est un patient de 73 ans qui bénéficie d'une cure d'hernie ombilicale selon Rives le 30.05.2018. En postopératoire, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance dans le contexte d'un syndrome d'apnées du sommeil non-appareillé et d'une antalgie potentiellement difficile chez un patient cirrhotique CHILD A. Aux soins intensifs, le patient est stable hémodynamiquement. La surveillance respiratoire se passe sans particularité. La plaie opératoire est calme. Le patient est mobilisé rapidement au fauteuil. Monsieur Sciboz est transféré en division de chirurgie le 31.05.2018. Il bénéficie d'une anticoagulation thérapeutique par Clexane dès J4 postopératoire avec reprise du Xarelto 20 mg dès le 04.06.2018. Les redons sont retirés successivement jusqu'au dernier le 03.04.2018. L'évolution sera par la suite favorable et le patient peut retourner à domicile le 07.06.2018. Monsieur X est un patient de 75 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, une artériopathie, une BPCO et une leucémie, qui se présente aux Urgences le 18.06.2018 en raison de douleurs abdominales évoluant depuis 4-5 jours. Le bilan met en évidence une pancréatite biologique associée à une cholestase et une cytolyse. Le bilan scannographie avec CT abdominale et US retrouve une cholécystite aiguë, sans lithiase visible ni signe de pancréatite aiguë. Le patient est hospitalisé en Chirurgie et bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl en intraveineux. L'évolution est défavorable avec augmentation du syndrome inflammatoire, justifiant le relais par Tazobac et un drainage percutané de la vésicule biliaire, permettant une amélioration sur le plan clinique et biologique. Durant l'épisode de sepsis, M. X présente un épisode de fibrillation auriculaire rapide, symptomatique, rapidement résolutif. En raison de la présence d'un drain transhépatique et de l'opération prévue dans quelques semaines, nous renonçons à l'introduction d'une anticoagulation. En accord avec les cardiologues, nous introduisons un traitement de cordarone. Lors de bilan avant introduction du traitement par Cordarone, nous mettons en évidence une légère hypothyroïdie. Après discussion avec nos collègues endocrinologues, nous décidons de poursuivre le traitement par Cordarone. Un bilan thyroïdien sera à effectuer dans 2 semaines. À noter que la patiente reconnait une consommation chronique d'alcool (env 1 litre de vin/jour). Une prophylaxie du sevrage est effectuée durant l'hospitalisation. Le patient est informé de la nécessité d'un arrêt total et défini de la consommation d'alcool. Monsieur X peut regagner son domicile le 25.06.2018. Monsieur X présente depuis le 20.04.2018 une faiblesse des 4 membres, symétrique avec perte de force. Le 22.04.2018, il est retrouvé à terre par son épouse alors qu'il se rendait aux toilettes. Le patient décrit avoir ressenti une faiblesse des membres inférieurs avec impossibilité de se relever. Pas de dysarthrie, d'aphasie ou d'état confusionnel. Signalons que la tétraparésie est à prédominance proximale, avec une atteinte symétrique et elle s'est installée à la suite d'une infection des voies respiratoires (angine virale). Le patient rapporte également des fourmillements au niveau de la paume des mains et de la plante des pieds. À l'admission aux urgences le 22.04.2018, Monsieur X est hémodynamiquement stable, afébrile et sature à 94% à l'air ambiant. L'auscultation cardio-pulmonaire retrouve des bruits cardiaques réguliers, sans souffle valvulaire ou vasculaire, avec un murmure vésiculaire symétrique, sans râle surajouté. Sur le plan neurologique, les pupilles sont isocores et isoréactives, sans déviation du regard, pas d'amaurose fugace, pas de déficit du champ visuel, oculomotricité sans particularité, pas de nystagmus, sensibilité faciale préservée et symétrique. Force des membres périphériques à M3 sans diminution de l'amplitude fonctionnelle des articulations, épreuves cérébelleuses ralenties des deux côtés mais complètes, pas d'aphasie de conduction. Le patient est orienté dans le temps et l'espace. Pas de latéralisation, pas d'hypoacousie, pas de photophobie, pas de raideur de nuque, pas de perte de sensibilité. Pallesthésie testée et non-déficitaire, réflexes ostéotendineux abolis. Marche non-testée car impossibilité à se mettre debout, réflexes plantaires symétriques. Le reste du statut est peu contributif. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire et une perturbation des tests hépatiques. Au vu de la neuropathie périphérique d'apparition récente, Monsieur X est hospitalisé pour investigations complémentaires. À l'entrée, le statut neurologique montre une atteinte sensitivo-motrice aréflexique symétrique. On effectue une ponction lombaire avec cytologie, sérothèque et électrophorèse ainsi qu'une électrophorèse sanguine. Les analyses du LCR ne montrent pas de dissociation cyto-albuminique. L'électrophorèse est en cours. Nous demandons un avis neurologique auprès du Dr. X qui a vu le patient en consultation le 23.04.2018 et a procédé à un ENMG qui montre l'absence de l'onde F, évocatrice d'atteinte démyélinisante. Il retient parmi les diagnostics différentiels un probable syndrome de Guillain-Barré, une possible polyneuropathie paranéoplasique ou un possible canal cervical étroit. Suivant les propositions du Dr. X, nous complétons les investigations avec un dépistage du HIV (en cours), un screening de la syphilis et de la maladie de Lyme qui reviennent négatifs. Un CT scan thoraco-abdominal injecté effectué le 24.04.2018 écarte un processus expansif aux étages thoracique et abdominal. Une immunoglobulinothérapie par Intratect est débutée le 24.04.2018 et bien supportée par le patient. En raison d'une péjoration sur le plan respiratoire se traduisant par des désaturations à l'air ambiant, nous devons instaurer une oxygénothérapie. Notons que le patient associe en plus des troubles de déglutition et des difficultés de phonation. Compte tenu du risque de progression fulminante atteignant le système respiratoire, nous prenons contact avec le Dr. X qui propose un transfert aux Soins Intensifs de l'HFR Fribourg, afin d'assurer un support ventilatoire et éventuellement une plasmaphérèse si ceux-ci devenaient nécessaires.Monsieur Seydoux est transféré à l'HFR Fribourg le 24.04.2018. Son fils est informé. Monsieur Slucki est un patient de 71 ans connu pour un lymphome B diffus à grandes cellules compliqué d'une atteinte lymphomateuse méningée des racines de la queue de cheval, qui est en traitement complexe en médecine palliative depuis le 02.02.2018. Il nous est adressé pour un bilan oncologique. Sur le plan oncologique, l'IRM cérébro-spinale et le PET-CT révèlent une régression des lésions de la queue de cheval et rétropéritonéales, sans nouvelle lésion maligne mise en évidence. Une discussion a lieu avec l'oncologue traitant avec décision, au vu du contexte global, de projet oncologique limité (pas de chimiothérapie) en cas de réactivation de la maladie oncologique. Ainsi, il est convenu d'un suivi clinique à votre consultation, sans imagerie de contrôle prévue d'emblée. En cas d'apparition de nouvelle symptomatologie, nos collègues oncologues restent à disposition pour discuter de la suite de prise en charge. Sur le plan neurologique, l'imagerie cérébrale met en évidence une nouvelle séquelle ischémique temporo-frontale droite par rapport au comparatif de 2017. Au vu des antécédents d'AVC à répétition chez un patient connu pour un syndrome de Trousseau, une anticoagulation thérapeutique reste indiquée. Celle-ci est changée pour de l'Eliquis à une posologie de 2x5 mg par jour, qui est à revoir à la baisse (e.g. 2x2.5 mg) en cas de péjoration de la fonction rénale ou de saignement significatif. Sur le plan cardiaque, Monsieur Slucki présente des signes de décompensation cardiaque globale avec prise de 6 kg depuis la précédente hospitalisation et apparition d'oedèmes des membres inférieurs sur les derniers jours. Il n'y a pas de plaintes cardiaques et une échocardiographie montre une fonction conservée du ventricule gauche, sans valvulopathie ni troubles segmentaires. Le traitement de Torasemide est majoré durant le séjour et celui de Celecoxib arrêté, ce dernier pouvant contribuer aux oedèmes. Nous vous proposons d'adapter le traitement diurétique selon le suivi du poids et de la fonction rénale et d'introduire, si nécessaire, un traitement de Métolazone. Sur le plan social, Monsieur Slucki vit à domicile avec sa femme depuis 2 mois environ, après un séjour en neuro-réadaptation à l'HFR Billens. En raison de sa paraparésie des membres inférieurs, de son incontinence urinaire et fécale ainsi que de ses troubles neurocognitifs, le patient présente une grande dépendance pour les activités de la vie quotidienne et bénéficie de ce fait d'un passage des soins à domicile trois fois par jour. Monsieur Slucki et sa femme estiment toutefois que les adaptations mises en place sont suffisantes et ne nécessitent pas d'aide supplémentaire. Monsieur Slucki rentre à domicile le 14.06.2018. Monsieur Sonney consulte les urgences le 24.06.2018 en raison d'une baisse de l'état général associée à des vomissements noirâtres. Le patient rapporte une baisse de l'état général depuis l'automne 2017 en nette péjoration ce jour. Il décrit également une inappétence accompagnée d'une asthénie importante et une perte de force. Ce jour, il n'a rien mangé et a bu un chocolat chaud qu'il a vomi 10 minutes plus tard. Par la suite, 4 à 5 épisodes de vomissements noirâtres. À signaler, des douleurs abdominales fréquentes depuis l'automne. Douleurs abdominales diffuses, constantes, décrites comme une sensation de tiraillement, le réveillant vers 05h00 du matin et maximales 10 minutes (5/10) après le réveil. Jamais de prise d'antalgie pour ces douleurs. Il a déjà consulté son médecin traitant qui lui a prescrit du tranxilium (dépression). À l'admission aux urgences, le patient est pâle et déshydraté. Notons des filets noirâtres dans les crachats. Au niveau des paramètres vitaux, tension artérielle 150/76 mmHg, fréquence cardiaque 53/min, température 35,5°C et saturation à 96% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont irréguliers. Souffle télé-diastolique 3/6 maximal au foyer aortique irradiant dans les deux carotides. Les pouls périphériques sont palpés. Souffles fémoraux bilatéraux +++. Masse abdominale pulsatile, avec souffle aortique abdominal important. Au niveau digestif, l'abdomen est souple, pas de douleur à la palpation, pas d'organomégalie. Au toucher rectal, hémorroïdes à 7 et 9 heures, toucher indolore, doigter souillé de selles, pas de sang, prostate souple. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le patient est hospitalisé en médecine pour investigations des hématémèses. L'hémoglobine reste stable, le patient ne présente pas de nouvel épisode d'hématémèse. À noter que les vomissements brunâtres sont probablement dus au chocolat fondu qu'il a mangé. En raison d'une insuffisance rénale aiguë, probablement sur déshydratation, le patient est hydraté et nous vous laissons le soin de suivre la créatinine. Monsieur Sonney présente une dysarthrie depuis le 25.06.2018 au soir, selon lui. Le matin du 26.06.2018, nous constatons une dysarthrie modérée avec une dysmétrie bilatérale plus marquée à gauche, une ataxie ainsi qu'une instabilité à la marche. Pas de déficit moteur ou sensitif. Glasgow à 15/15, NIHSS 3 et INR supra thérapeutique à 5.5. Nous contactons les neurologues qui préconisent de réaliser un CT scan cérébral natif. L'examen met en évidence un saignement cérébelleux de 6 cm avec œdème cérébral et risque d'engagement. Nous demandons un avis neurochirurgical qui ne préconise pas d'intervention neurochirurgicale au vu d'un patient neurologiquement stable, mais recommande un suivi neurologique rapproché. Dans ce contexte, Monsieur Sonney est transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le 26.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Monsieur Sottas, connu pour une insuffisance cardiaque sur maladie dilatative et rythmique, est hospitalisé pour une décompensation cardiaque en péjoration progressive depuis 2 mois, avec dyspnée acutellement de stade III-IV selon NYHA. Il y a 10 jours, le patient avait consulté son cardiologue traitant (Dr. X), qui introduit des traitements d'Entresto et Torasemide restés sans effet clinique. Le patient présente une insuffisance rénale aiguë que nous mettons sur le compte d'un syndrome cardio-rénal. Nous augmentons donc la thérapie diurétique par Lasix iv et introduisons l'Aldactone avec une bonne évolution clinique. Un passage à un traitement peroral peut se faire le 20.06.2018, tandis que nous entreprenons un drainage lymphatique (en accord avec le Dr. X) vu le lymphoedème des membres inférieurs connu du patient. Celui-ci supporte bien le drainage, que nous suggérons de poursuivre, avant de refaire des bas de contention sur mesure. La fonction rénale se péjore à nouveau le 22.06.2018 et nous suggérons une diminution supplémentaire de la posologie du torasemide le 25.06.2018. Un contrôle de pacemaker ne montre rien de particulier, hormis la FA permanente et connue du patient. Nous transférons le patient le 22.06.2018 en réhabilitation gériatrique à Riaz, afin de préparer un retour à domicile dans des conditions optimales. Monsieur Spannring, 73 ans, est admis aux soins intensifs suite à une corpectomie C6-C7 et mise en place d'une cage expandible C5-C7 par abord cervical antérieur. Le patient, connu pour un SAOS appareillé et un syndrome métabolique, a bénéficié de l'intervention sus-citée sans complication immédiate, avec pertes sanguines minimes. En post-opératoire, il décrit un engourdissement des 2 membres supérieurs avec sensation de perte de force légère au MSG (4 sur 5 contre 5 sur 5 à droite). À l'examen clinique, on note au niveau du MSG des paresthésies au niveau de D4 avec perte de la sensibilité au niveau de D5. Ces symptômes étaient également présents avant l'intervention et il n'y a certainement pas de péjoration.La surveillance respiratoire est stable. A noter que le patient décrit une tuméfaction au niveau de la cheville gauche apparue il y a environ une semaine pour laquelle nous avons demandé une radiographie afin de mettre en évidence une possible atteinte polyarthritique. Le patient peut être transféré dans le service d'orthopédie pour suite de la prise en charge avec un schéma dégressif de dexaméthasone. Monsieur Spicher est un patient de 31 ans, avec un antécédent d'appendicectomie en 2008, qui se présente aux Urgences en raison de douleurs épigastriques avec l'apparition d'une masse abdominale douloureuse à la palpation. L'ultrason met en évidence une hernie graisseuse, ventrale, supra-ombilicale. Le patient est pris en urgence au bloc opératoire le 24.06.2018 pour une cure de hernie supra-ombilicale. L'opération se passe sans complication et l'évolution post-opératoire est favorable avec un retour à domicile le 25.06.2018. Monsieur Stasierowski est hospitalisé lors d'une crise hypertensive d'origine indéterminée le 05.06.2018. Le patient remarque un discomfort non concrétisé, lui motivant d'appeler le service de med@home, qui trouve une hypertension artérielle sévère avec modification d'ECG. L'examen clinique montre un patient de 85 ans en état général conservé, hypertendu à 215/105 mmHg, normocarde, afébrile. La radiographie de thorax montre des premiers signes d'une décompensation cardiaque, l'ECG met en évidence une inversion des ondes T en latéral. Des valeurs Trop T augmentées parlent en faveur d'une souffrance cardiaque sur la crise hypertensive DD d'un NSTEMI. Une insuffisance rénale aiguë parle en faveur d'une attente rénale de la crise hypertensive. Le patient ne montre pas de signes typiques d'une coronaropathie et refuse des investigations supplémentaires, une coronarographie n'est alors pas effectuée. Après diminution de la tension artérielle par Nitroglycérine i.v. et cutanée, le patient est hospitalisé pour une surveillance du profil tensionnel. L'évolution clinique est favorable. Dès le 07.06.2018 le patient montre de nouveau des valeurs hypertensives surtout systoliques, n'étant pas associées à une symptomatologie clinique. Car les valeurs réagissent bien au repos émotionnel et une médication de Temesta en réserve, nous pensons à une composante nerveuse. Nous rajoutons d'hydrochlorothiazide et ensuite de Tenormin à la médication de base du patient. Car le patient ne montre pas de signes de surcharge cardiaque significative, nous effectuons pas d'autre investigation cardiaque pendant l'hospitalisation. Au vu de la malvoyance du patient et une situation hygiénique sub-optimale, nous discutons la mise en place de soins à domicile 3x/semaine avec son accord. L'évolution clinique est finalement favorable, le patient rentre à domicile le 11.06.2018. Monsieur Steiner est un patient de 63 ans, qui nous est adressé le 07.06.2018 par son médecin traitant pour une baisse d'état général. A l'entrée le patient se plaint d'une fatigue générale, troubles d'équilibre et d'insécurité à la marche. Le patient habite en colocation dans un appartement au 3ème étage avec ascenseur (il fait 30 marches). Avant son hospitalisation, le patient avait l'aide à domicile chaque jour et se mobilisait avec une canne. L'objectif global est un retour à domicile. A l'entrée se présente un patient en état général légèrement diminué, afébril. Il est connu depuis plus de 40 ans pour une schizophrénie paranoïde actuellement stable. L'examen clinique est dans la norme. Ad le diag. principal) Au cours de son séjour, nous effectuons le traitement de rééducation gériatrique précoce. A la sortie, le patient peut faire des transferts d'une manière autonome (MIF 6), marcher avec une canne ou sans les moyens auxiliaires pour des distances > 400 m et faire des escaliers avec une rampe (> 36 marches, MIF 5). Tinetti 16/28 sans les moyens auxiliaires. Ad le diag. 1) Nous continuons le traitement habituel du patient. MMS Test 12/30, Clock test 0/9, GDS Test 3/15. Ad les diag. 2) Nous continuons le traitement habituel du patient par Spasmo-Urgénine. Ad le diag. 3) Prise en charge multidisciplinaire avec type d'alimentation 2D (repas mixte, liquides normaux). Ad le diag. 4) La carence en vitamine D est substituée. Nous conseillons de continuer la substitution préventive de vitamine D après l'hospitalisation. Ad le diag. 5) La carence en acide folique est bien substituée. L'anémie se montre régressive pendant l'hospitalisation. Nous conseillons de continuer la substitution préventive d'acide folique après l'hospitalisation. En raison de la stabilisation de l'état général durant l'hospitalisation, Monsieur Steiner peut regagner son domicile le 12.06.2018. Monsieur Stempfel est un patient de 60 ans connu pour maladie anévrismale avec un statut post-pontage fémoro-poplité gauche et présence d'un anévrisme poplité droit déjà vu sur le CT du mois de septembre 2017. Cet anévrisme mesurait à l'époque 31 mm à son plus grand axe avec une lumière perfusée et conservée. L'indication à une ligature de l'anévrisme ainsi qu'un pontage veineux est claire en raison de la taille de celui-ci. L'intervention a lieu le 04.06.2018. Les suites sont simples avec des contrôles Doppler dans la norme et une bonne mobilisation. C'est pourquoi, le patient rentre à domicile, le 08.06.2018. Monsieur Stöckli présente des lésions dégénératives du ménisque interne, et une gonarthrose du compartiment fémoro-tibial interne du genou G. Je propose dans un premier temps l'essai d'un traitement conservateur et lui prescris de la physiothérapie à but antalgique et poursuite du Celebrex. Un contrôle est prévu d'ici 2 mois pour une réévaluation clinique (20.08.2018). En cas de persistance des douleurs, l'on pourrait éventuellement envisager une infiltration. Toutefois actuellement, en l'absence de blocage mécanique, je ne vois pas l'intérêt d'une arthroscopie. Monsieur Strahm est amené aux urgences en ambulance le 04.06.2018 suite à une crise convulsive survenue vers 08h15 alors qu'il était au travail (professeur d'école primaire). Le patient précise avoir fait des moments d'absence dès le réveil ce jour-là qui lui rappellent les prodromes qu'il avait par le passé. Il relate aussi une consommation d'alcool excessive durant le long weekend. A mentionner aussi une carence de sommeil et des efforts physiques nouveaux (il a repris le vélo). Monsieur Strahm a une amnésie circonstancielle des événements. A l'hétéroanamnèse faite auprès de son collègue qui est arrivé sur les lieux, le patient était assis puis est tombé en arrière avec un choc de la tête contre le coin de son bureau. Il a présenté des mouvements cloniques des quatre membres avec les yeux ouverts pendant moins de deux minutes avec par la suite un stertor suivi d'un état confusionnel durant plusieurs minutes. Le patient se souvient revenir à lui dans l'ambulance après environ une quinzaine de minutes. A son arrivée aux urgences, il ne se plaint que de douleurs frontales gauches sur le choc. Notons que le patient ne suivait plus de traitement depuis 7 ans en accord avec son neurologue le Dr. X à Vevey en raison de l'absence de crise depuis 9 ans. A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général et hémodynamiquement stable. La glycémie sur site est normale. L'auscultation cardio-pulmonaire décèle des bruits cardiaques réguliers, sans souffle valvulaire audible, avec un murmure vésiculaire symétrique, sans râle surajouté. L'abdomen est souple, mobile avec la respiration, sans détente ni défense à la palpation, sans organomégalie palpée. Au statut neurologique, Glasgow à 15, orienté dans les trois modes, pupilles isocores isoréactives, poursuite oculaire lisse sans nystagmus, pas de déficit des nerfs crâniens, pas de déficit sensitif, force conservée aux 4 membres, à M5, réflexes ostéotendineux normovifs et symétriques, pas d'ataxie. Au statut ORL, pas d'hématotympan, pas d'hématome rétro-auriculaire. On note la présence d'un hématome au niveau temporal gauche. Percussion de la colonne vertébrale indolore. Le laboratoire est sans particularité avec des CK discrètement augmentées.Nous proposons une nuit de surveillance et un EEG programmé pour le 05.06.2018 pour discuter de la suite de prise en charge avec le Dr. X. En effet, il y a peu de doute que le patient ait fait une nouvelle crise convulsive. Selon nous, la consommation d'alcool du week-end et la privation de sommeil sont des facteurs de risque pour la crise et ne justifient pas la reprise d'un traitement antiépileptique. L'EEG confortera cette hypothèse ou indiquera la reprise d'un traitement antiépileptique au long cours à la discrétion du Dr. X. Le patient est informé qu'il est privé de toute conduite de véhicule à moteur jusqu'à l'avis du neurologue. Monsieur Strahm quitte notre service le 05.06.2018. Monsieur Stucki, âgé de 59 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réhabilitation musculosquelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH D, le 18.05.2018. Sur le plan social, le patient est divorcé. Il a une amie chez qui il vit parfois, sinon il vit dans un camping-car avec 4 marches d'escaliers pour l'accès. Il travaille à 100 % en tant que chauffeur professionnel dans la distribution de vin. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par système, le patient signale des gonalgies D qui sont en amélioration depuis l'opération de mai 2018. Au status, le patient est orienté et collaborant. La flexion/extension de la hanche D est de 80-0-0 en actif et 90-0-0 en passif. La force des MI est globalement à M5 et la sensibilité est conservée. Le genou D est calme, pas de rougeur, pas de chaleur, pas de tuméfaction. Douleurs à la palpation de la face latérale. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises dans tout le périmètre de l'hôpital. Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche D 90-0-0 en actif et en passif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Stucki peut quitter notre service pour rejoindre le domicile de sa compagne, le 14.06.2018, en bon état général. À la sortie, le patient est encouragé à poursuivre une activité physique régulière en ambulatoire. Monsieur Sturny est adressé par son médecin généraliste le 28.05.2018 en raison d'une fracture de l'humérus droit sur chute, survenue le 27.05.2018 au soir – le patient ayant été retrouvé par son beau-frère le 28.05.2018 au matin. Aux urgences, la répétition des radiographies confirme une fracture sous-capitale de l'humérus. Le patient est hospitalisé dans notre service de médecine pour suite de la prise en charge. Sur avis orthopédique, la fracture est traitée conservativement - avec un contrôle radiographique à prévoir à une semaine (05.06.2018). Vu l'éthylisme chronique rapporté par le patient, un traitement de Seresta est introduit, parallèlement à une substitution par Becozyme/Benerva. Un bilan nutritionnel met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée, motivant l'introduction d'une supplémentation nutritive orale. Il semblerait que le patient soit à peine sorti de chez lui depuis la dernière hospitalisation, ne se soit presque plus alimenté et ait développé un important trouble de la marche (confirmé par hétéroanamnèse). Après discussion avec le patient, la famille et le tuteur, M. Y, nous décidons d'adresser M. Sturny en réhabilitation gériatrique à Riaz en vue d'un retour à domicile - avec aide. Parallèlement, des préinscriptions sont entreprises par le tuteur comme solution de secours (le patient n'en est pas encore au courant). Le séjour se complique d'une probable pneumonie le 30.05.2018, traitée efficacement par antibiothérapie. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Sturny nous a été adressé du service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une réhabilitation, suite à une fracture de l'humérus droit sur chute, survenue le 27.05.2018 avec rhabdomyolyse. Plus précisément, sur avis orthopédique, la fracture avait été traitée conservativement, avec contrôle radiographique le 05.06.2018. Cependant, l'hospitalisation à Fribourg s'était compliquée d'une pneumonie le 30.05.2018, qui avait été traitée efficacement par antibiothérapie. Un traitement de Seresta a été introduit, parallèlement à une substitution par Becozyme/Benerva en raison de l'éthylisme chronique du patient. Sur le plan social, Monsieur Sturny vit seul et se déplace sans moyen auxiliaire. Son frère lui fait les courses mais le patient prépare seul ses repas. À l'anamnèse gériatrique, nous ne notons pas d'incontinence urinaire ni fécale. L'appétit et le transit sont conservés ; Monsieur Sturny ne rapporte pas de trouble du sommeil. Au status, le patient est orienté et collaborant. Au niveau cardiovasculaire, les B1 et B2 sont lointains, sans souffle cardiaque et sans œdème des membres inférieurs. Dans la sphère respiratoire, le murmure vésiculaire est sans bruit surajouté. Dans le cadre abdominal, les bruits sont normaux et l'abdomen est souple et indolore à la palpation. Les loges rénales sont souples et indolores. L'examen clinique mentionne une épaule droite immobilisée en gilet orthopédique et une mobilité conservée des doigts et du poignet droits. L'examen du coude droit démontre une flexion-extension à 110°-50°-0°, ainsi qu'une pronation et supination limitée en raison des douleurs. La radiographie de contrôle de l'épaule droite du 05.06.2018 objective un léger déplacement secondaire, acceptable. Selon l'avis orthopédique du Dr. X, il n'y a pas d'indication pour une intervention chirurgicale. Nous poursuivrons l'immobilisation de l'épaule droite par gilet orthopédique pour une durée totale de 6 semaines avec contrôle radiologique à 3 et 6 semaines du traumatisme. Parallèlement, nous effectuons une radiographie du coude droit, nous permettant d'écarter une fracture, et proposons dès lors une mobilisation active et active assistée du coude et du poignet droits, sans limitation et selon les douleurs, à l'aide de notre physiothérapeute. Le bilan vitaminique objective une carence en acide folique, une hypovitaminose D marquée à 11 ng/l ainsi qu'une hypovitaminose B12 à 135 pg/ml. Nous substituons les déficits par voie orale et poursuivons le traitement vitaminique avec Becozyme et Benerva par voie orale.En raison des douleurs persistantes, nous introduisons un traitement antalgique par Tramal, initialement à 25 mg 3x/j d'office, et par la suite à 50 mg 3x/j, avec un bon effet. Durant son séjour, Monsieur Sturny effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagné et à l'aide d'une canne et d'une personne pour remonter le tronc est de 130 mètres. Le patient ne peut pas gravir d'escalier. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 73/126, par rapport à 63/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Sur le plan nutritionnel, signalons une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence et un syndrome de dépendance à l'alcool, démontrée par un NRS à 4/7 et un BMI 19 kg/m2. Au décours de l'hospitalisation, le patient profite d'une évaluation et de séances ergothérapeutiques pour entraînement des activités de la vie quotidienne. Le 12.06.2018, Monsieur Sturny reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Finalement, le 19.06.2018, Monsieur Sturny se rendra au Home du Gibloux à Farvagny. Monsieur Surdez, patient âgé de 76 ans, connu pour plusieurs facteurs de risque cardiovasculaire. A la base, il présente une dyspnée à l'effort sans douleur rétro-sternale. Une ergométrie faite par son cardiologue Dr. X revient positive. Une coronarographie effectuée le 11.05.2018 révèle une maladie coronarienne bitronculaire avec subocclusion du TC distal, sténose significative de la CX proximale et une sténose significative de l'IVA proximale, traitée par double pontage aorto-coronarien, (AMIG-IVA moyenne, pontage en Y veineux depuis le pédicule mammaire gauche sur la marginale circonflexe) à cœur battant. Le post-opératoire est sans complication. Au vu d'une évolution favorable, le patient nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire. Pour rappel, Monsieur Surdez est veuf, il a deux filles et deux garçons et a travaillé comme horloger. Ses loisirs comprennent la marche. Il est autonome pour ses activités de la vie quotidienne. Patient en bon état général, bien hydraté, bien perfusé, anictérique sans cyanose. Le status cardiovasculaire et respiratoire sont normaux. Au niveau digestif, présence d'une hernie péri-ombilicale spontanément réductible. Au niveau cutané, cicatrice de sternotomie et de la jambe gauche calmes. Le reste du status est sans particularité. Le traitement cardiovasculaire à l'entrée comprend : Aspirine 100 mg, Metformine 500 mg, Lescol 40 mg, Co-Irbesartan 300/12.5 mg, Pantozol 40 mg. Nous n'avons pas modifié ce traitement. Durant toute la réadaptation, le patient est resté asymptomatique du point de vue cardiovasculaire. On ne relève aucun signe de décompensation cardiaque, ni d'arythmie tant aux contrôles cliniques que sur les différents ECG réalisés. Concernant ses facteurs de risque cardiovasculaires modifiables, le patient est connu pour une obésité, une HTA traitée, un diabète de type II et une dyslipidémie. Sous statine, le profil lipidique est satisfaisant avec, à la sortie, un cholestérol total à 3.0 mmol/l, un HDL à 0.92 mmol/l, un LDL à 1.64 mmol/l et les triglycérides à 1.75 mmol/l. Nous vous proposons de répéter ce profil à 3 mois pour adapter le traitement, de répéter ce profil une fois par an, en visant une valeur LDL-cholestérol inférieure à 1.8 mmol/l dans le cadre d'une coronaropathie. La glycémie veineuse à jeun est dans la norme, sous traitement. Le profil tensionnel durant le séjour est bon sous Co-Aprovel. Le patient a refusé toute prise en charge nutritionnelle. Au sujet du réentrainement à l'effort, Monsieur Surdez a débuté dans le groupe d'effort d'intensité faible et y est resté pendant la réadaptation. A sa sortie, il est capable d'effectuer une marche de 45 minutes à plat, à son propre rythme, sans éprouver de douleur thoracique, ni de dyspnée. Monsieur Surdez est aussi capable d'effectuer 25 minutes de vélo d'intérieur avec une charge de 35 watts et de marcher 45 minutes sur un tapis roulant à une vitesse de 3-4 km/h et une pente de 1-2 %, le tout avec une bonne adaptation à l'effort et sans présenter de symptôme cardio-pulmonaire. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on note une augmentation de la distance parcourue (+ 47 m), avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient peut regagner son domicile le 19.06.2018. Monsieur Suter est un patient de 90 ans, notamment connu pour une hémorragie intra-parenchymateuse temporale droite le 01.06.2018 suite à une chute de sa hauteur et dans le contexte d'une anticoagulation par Apixaban et une hypertension artérielle mal contrôlée, qui est hospitalisé pour une crise d'épilepsie prolongée le 20.06.2018. A l'arrivée, le patient présente une perte de contrôle de la main gauche et par la suite des tremblements se propageant sur tous les membres, état étant associé à une crise hypertensive. Le bilan radiologique cérébral ne montre pas de nouvelle lésion, mais une persistance d'un œdème cérébral ; l'EEG ne montre pas d'activité épileptique majeure. Sous avis neurologique, nous introduisons un traitement par Levetiracetam le 20.06.2018, qui est à continuer à vie. Au vu de l'âge du patient, un contrôle neurologique n'est pas proposé, sauf si intolérance au traitement ou recrudescence d'épisode épileptique. Nous proposons un contrôle radiologique par IRM cérébral à 6 semaines, planifié le 17.07 à 8h45 à Riaz. Par ailleurs, au vu de la probable contribution de l'hypertension artérielle à l'hémorragie intra-parenchymateuse, nous proposons un suivi strict de la tension artérielle avec majoration du traitement anti-hypertenseur par instauration d'Exforge, à continuer à domicile et réévaluer dans les prochaines semaines par le médecin traitant selon les valeurs tensionnelles. Une insuffisance rénale chronique est connue chez Monsieur Suter, nous effectuons un bilan radiologique qui ne montre pas d'atrophie rénale ni d'obstruction des voies urinaires. Une surveillance à ce niveau est souhaitée. Nous objectivons également un déconditionnement physique probablement dans le contexte des deux hospitalisations en peu de temps, pour lequel le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée, en attente d'un transfert en réhabilitation à Riaz. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Monsieur Suys a donc été opéré par laparotomie pour résection d'un Schwannome rétropéritonéal présacré en chirurgie viscérale au CHUV le 10.01.2018 par le Dr. X. Le patient se présente aux urgences de l'HFR Riaz le 30.05.2018 en raison d'un abcès au niveau de l'ombilic, avec extériorisation de pus. Un CT abdominal montre alors une collection abcédée de la paroi abdominale antérieure en regard de la cicatrice de laparotomie médiane mesurant 7 x 4,5 x 13 cm, en communication avec la collection abcédée présacrée au niveau du site de résection du Schwannome, collection qui mesure 9 x 6,5 x 10 cm. Le patient est transféré au CHUV et bénéficie, le 31.05.2018, de deux incisions et d'un méchage de l'abcès de la paroi abdominale antérieure. Le 01.06.2018, deux drains sont mis en place sous contrôle scannographique : un au niveau de l'abcès ombilical et un au niveau de l'abcès présacré. Monsieur Suys est retransféré dans notre service le 02.06.2018 pour suite de la prise en charge.A son arrivée, le patient ne présente pas de douleur, il est normotendu, le patient est acyanotique, avec une bonne saturation et ne présente pas d'état fébrile. Il n'y a pas de trouble du transit. Le pansement abdominal se présente avec un écoulement sanglo-purulent visible, correspondant aux deux incisions de méchage faites au CHUV le 31.05.2018. Présence d'un drain au flanc droit et d'un autre en crête iliaque gauche drainant l'abcès présacré. L'abdomen est souple, indolore à la palpation. Pas d'organomégalie. Les bruits hydroaériques sont dans la norme. Durant son séjour, Monsieur Suys est sous antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g iv/jour, débutée le 31.05.2018, qui est relayée per-os sous forme de Co-Amoxicilline 3 x 1 g/jour jusqu'au 09.06.2018 inclus. Nous réalisons un suivi rapproché des volumes de liquide récolté dans les drains et de leur aspect. L'évolution est favorable, le volume diminuant progressivement et le liquide s'éclaircissant progressivement. Le drainage présacré ramène peu de liquide de type séreux, contrairement au drain abdominal qui ramène une quantité légèrement plus importante de type séro-sanguinolant et purulent. Au dernier rinçage de plaie, présence de tissu fibrineux et d'un tissu bourgeonnant sans signe inflammatoire. Les plaies sont rincées et désinfectées avec de l'Octenisept et du NaCl. Le scanner de contrôle atteste d'une disparition presque totale de la collection présacrée et une importante diminution de la taille de l'abcès de la paroi abdominale antérieure. Les résultats et l'imagerie sont transmis au Dr. X, au CHUV. Le patient ne présente pas d'infection mais uniquement un syndrome inflammatoire, les cultures réalisées au CHUV s'avèrent négatives, l'examen bactériologique direct n'a pas identifié de germe. Le 06.06.2018, Monsieur Suys quitte notre service et sera suivi par les infirmières à domicile. Les drains sont en place. Le patient sera revu en policlinique de chirurgie le 08.06.2018 à 15h15 pour contrôle et éventuelle ablation des drains. Un contrôle biologique (syndrome inflammatoire) sera effectué ce même jour. En ce qui concerne l'origine des abcès, le Dr. X explique que lors de l'intervention du 10.01.2018, une importante fuite lymphatique a eu lieu et qu'il s'agit très probablement d'une lymphocèle au niveau présacré se développant chroniquement et probablement contaminée par la suite. Monsieur Tache est hospitalisé le 29.05.2018 dans un contexte d'état confusionnel aigu évoluant depuis le 25.05.2018, pour laquelle une origine mixte est retenue. Cet état se serait installé après modification du traitement antalgique d'oxycontin, remplacé par Fentanyl patch et majoration de Millepertuis le 25.05.2018. Le traitement antalgique est donc à nouveau modifié par le Dr. X avec introduction de Pallondon, sous lequel le patient est confortable. Une coprostase aurait également participé à l'état confusionnel, résolue après un grand lavement effectué à domicile le jour de l'entrée. Un bilan biologique est effectué qui ne permet pas de mettre en évidence d'autre cause pouvant expliquer l'état confusionnel. Un CT thoraco-abdominal est réalisé qui ne montre pas de foyer infectieux ni de métastase au niveau cérébral, mais une progression de la maladie oncologique au niveau pulmonaire. Durant son hospitalisation, le patient présente une chute durant la nuit liée à son état confusionnel avec traumatisme crânien, sans signe d'hémorragie à l'imagerie. Des mesures de prévention de chute par tapis alarme et contention sous forme de ceinture durant la nuit sont mises en place en accord avec la famille. Au vu d'une situation oncologique en péjoration, un transfert en soins palliatifs est organisé après entretien avec le Dr. X, le patient et son épouse, pour un séjour transitoire avant retour à domicile dans une situation clairement terminale ou fin de vie selon l'évolution. Le jour du transfert, le patient présente un frisson solennel avec état fébrile la veille et toux productive. Au vu d'une possible pneumonie débutante, nous instaurons un traitement de co-amoxicilline sirop à poursuivre pour 5 jours. Le patient est transféré à la Villa St-François le 01.06.2018. Monsieur Telley, connu pour une démence sévère sur angiopathie amyloïde cérébrale, est hospitalisé à la suite d'une chute à domicile avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. Devant cet épisode de chute, le patient bénéficie d'un scanner cérébral natif qui montre des hémorragies infra-centimétriques sous-arachnoïdiennes frontales gauches post-traumatique. Cliniquement, Monsieur Telley est sévèrement désorienté dans le temps et l'espace, cependant son épouse ne remarque aucune modification de son état neurologique habituel à la suite de cette chute. Après discussion avec elle, il est décidé d'effectuer uniquement des soins de confort si la situation venait à se péjorer. Aucun avis neurochirurgical n'est donc demandé et son statut neurologique est surveillé cliniquement. Au vu de l'absence d'indication en prévention secondaire du traitement par Aspirine Cardio, nous supprimons ce traitement chez ce patient à risque d'hémorragie. Il présente par ailleurs une plaie occipitale suite à sa chute qui est suturée aux urgences le 03.04.2018. Les fils devront être retirés à 7 jours, soit le 10.06.2018. Le statut vaccinal de Monsieur Telley étant peu clair, nous lui administrons un rappel de vaccination anti-tétanique. La démence de Monsieur Telley étant déjà très avancée et son maintien à domicile devenant impossible, un bilan psychogériatrique est effectué en vue d'un placement en institution. Dans l'attente d'une place en EMS, Monsieur Telley est transféré en psychogériatrie à Marsens le 08.06.2018. Monsieur Teodoro présente une petite déchirure verticale dans la corne moyenne du ménisque interne du genou droit. Je propose dans un premier temps un essai de traitement conservateur. Le patient ira faire de la physiothérapie. Je le revois dans 2 mois le 27.07.2018 pour une réévaluation clinique. En cas de persistance de douleurs, je proposerai une arthroscopie avec une régularisation du ménisque interne. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Monsieur Thaqi, connu pour un tabagisme actif, sinon en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'accident vasculaire cérébral. Pour rappel, l'anamnèse révèle une douleur thoracique constrictive suivie par une dysarthrie/manque de mot et d'une baisse de force dans les 2 membres supérieurs majorée du côté gauche, spontanément résolutive en quelques heures. Le status neurologique aux urgences montre la résolution des troubles de langage et un hémisyndrome moteur, sensitif et ataxique à gauche. A notre évaluation le lendemain, status entièrement normal avec, à une occasion, épisode de speech arrest sur un mot long avec bégaiement. Le CT cérébral ne montre pas de lésion constituée, aucun argument pour un AVC, pas d'occlusion vasculaire intracrânienne ni des vaisseaux pré-cérébraux. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pendant 24 heures pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. L'IRM cérébrale ne montre aucune lésion. Nous retenons comme diagnostic une suspicion d'accident ischémique transitoire avec comme diagnostic différentiel des troubles fonctionnels au vu du résultat de l'imagerie (au vu de l'importance des symptômes, quelques lésions seraient étendues), et de quelques incohérences au status.Sur le plan étiologique, le bilan cardiologique est sans particularité avec un ECG normal sans élévation des enzymes cardiaques. Le patient ne présente pas de récidive de la douleur. Une échocardiographie ne retrouve pas d'argument en faveur d'une origine cardio-embolique. Un Holter de 24h est posé le jour de sa sortie, les résultats seront à pister à votre consultation. Un bilan lipidique ne retrouve pas de dyslipidémie. L'hémoglobine glyquée est dans les limites de la norme. Monsieur Thaqi rentre à domicile le 08.06.2018. Aucun traitement n'est prescrit au vu du contexte peu clair. Cependant, Monsieur travaillant comme chauffeur professionnel, un arrêt de conduite poids lourds est nécessaire pour une durée de 3 mois minimum. La conduite d'un véhicule personnel est prohibée pour 2 semaines. Un bilan neuropsychologique ainsi qu'une consultation de contrôle neurovasculaire sont organisés à 3 mois afin de s'assurer de la bonne évolution sans traitement et également afin de discuter de la reprise de la conduite dans le cadre de son travail. Monsieur Thurler, âgé de 67 ans, est suivi à la consultation du Dr. X pour une coxarthrose symptomatique de la hanche droite posant l'indication chirurgicale pour l'implantation d'une prothèse totale de hanche droite. Le patient donne son consentement à l'intervention qui est réalisée le 27.06.2018. Les suites postopératoires sont simples et apyrétiques. Le contrôle de la plaie chirurgicale à travers des pansements de Comfeel est satisfaisant avec absence d'écoulement et un pansement Comfeel étanche. Les douleurs postopératoires sont gérées par une antalgie simple per os. La rééducation à la marche se fait en charge totale selon douleurs dès J0 avec excellente tolérance clinique. En fin de séjour, le patient est capable de marcher sous couvert de 2 cannes anglaises de manière tout à fait autonome et sécuritaire et il monte et descend les escaliers avec excellente autonomie. Le contrôle radiologique postopératoire montre un implant orthopédique en place. Au vu de cette évolution clinique favorable, Monsieur Thurler regagne son domicile le 29.06.2018. Monsieur Tinguely, connu pour une hypertension artérielle traitée, un diabète de type 2 non insulino-requérant et une thrombopénie d'origine auto-immune, est hospitalisé dans un contexte d'un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien superficiel gauche, se manifestant par une aphasie de Broca. Le scanner et l'IRM cérébrale confirment le diagnostic. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique. Sur le plan biologique, Monsieur présente une thrombopénie d'origine auto-immune connue, à 30 G/L sans traitement de fond contre-indiquant une thrombolyse. De plus, au CT cérébral initial, l'AVC semble constitué sur les cartes de perfusion donnant un 2ème argument en défaveur d'une thrombolyse. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique montre une dilatation modérée de l'oreillette gauche, ainsi une fibrillation auriculaire doit être activement recherchée. Un Holter de 72h est posé le 05.06.2018. Notons que l'examen neurosonologique ne montre pas de sténose de haut degré de la carotide interne gauche. Cependant, une origine artério-artérielle demeure probable. Les résultats seront à pister pendant la neuroréhabilitation ou le cas échéant en ambulatoire. Sur le plan hématologique, dès J2, suite à l'introduction d'un traitement de corticoïde sur recommandation de la Dr. X, hématologue, les valeurs des thrombocytes deviennent supérieures à 50 G/L permettant un traitement antiplaquettaire par Plavix. Cependant, le 08.06.2018, les valeurs des thrombocytes restent stables à des valeurs jugées trop basses par notre collègue hématologue, posant le diagnostic de thrombopénie cortico-résistante. C'est pourquoi un bilan complet est effectué le 11.06.2018, nous vous laissons le soin de pister les résultats et d'en discuter en cas de besoin avec la Dr. X. A noter qu'un scanner thoraco-abdominal injecté est effectué le 08.06.2018 ne montrant pas de lésion suspecte pour un lymphome. Une ponction biopsie de moëlle devrait être organisée en fin de neuroréhabilitation en ambulatoire. Nous débutons un traitement par Atorvastatine en remplacement du Simcora, ainsi nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le bilan neuropsychologique montre une aphasie de Broca, des troubles exécutifs et des difficultés attentionnelles. Le rapport final est encore à pister. Il s'agira de rediscuter notamment de la capacité à la conduite de Monsieur Tinguely. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois, le 26.09.2018 à 16h45. Monsieur Tinguely est un patient de 73 ans, connu pour un carcinome urothélial papillaire de haut grade de la vessie, classé pT1 G3 Nx Mx, en investigation avec un statut post-plusieurs résections transurétrales de la vessie et pour une suspicion de métastase pulmonaire avec un statut post-résection atypique du lobe supérieur gauche par thoracoscopie uniportale le 24.05.2018. Le patient nous est adressé par l'oncologie pour une macrohématurie persistante depuis 1 semaine associée à des pollakiuries et une gêne suspubienne. Le patient consulte pour la première fois le 14.06.2018 avec cette symptomatologie, et au vu du sédiment sale, une infection urinaire est suspectée, un uricult est prélevé et le patient est mis sous Ciproxine. Une semaine après, le patient est revu à la consultation d'oncologie et au vu de la persistance de la symptomatologie urinaire avec uricult négatif, il nous est adressé pour une prise en charge de la macrohématurie. Une sonde urinaire 3 voies est posée le 21.06.2018 avec rinçage continu et manuel en réserve. Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 24.06.2018. Monsieur Tinguely présente une coxarthrose bilatérale actuellement symptomatique à droite. En raison d'une thrombocytopénie auto-immune, nous proposons un traitement antalgique avec Dafalgan et Tramal retard (éviter la Novalgine, les AINS et l'Aspirine). Prescription de physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation douce. Contrôle clinique dans 4 mois, en cas d'une péjoration des douleurs, le suivi se fera au team hanche pour la suite de la prise en charge. Monsieur Tinguely, 76 ans, est admis en stroke unit monitorisée pour un AVC ischémique sylvien gauche constitué, se manifestant par une aphasie complète. Le patient est vu pour la dernière fois à 12h30 le 03.06.2018 sans déficit neurologique, puis à 16h30 (après réveil de sa sieste) avec une aphasie complète. Le bilan retrouve un AVC sylvien gauche constitué, le NIHSS initial est à 7. Cependant, devant une thrombopénie à 31G/L, il n'y a pas de sanction thérapeutique (thrombolyse ou thrombectomie mécanique). La surveillance est sans particularité. L'échocardiographie retrouve une oreillette gauche dilatée, indiquant la recherche active d'un trouble du rythme. Un Holter est posé le jour même, une IRM cérébrale est demandée pour le lendemain. Au vu de la thrombopénie, sans amélioration après la transfusion d'un culot plaquettaire, de l'Aspirine n'est pas introduite, après avis hématologique. Par ailleurs, une corticothérapie est initiée. Nous vous laisserons le soin d'adapter le traitement et de revoir l'indication à l'Aspirine en fonction de l'évolution avec nos collègues hématologues. Une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence, sans amélioration notable durant le séjour. Nous vous proposons un bilan approfondi si une persistance est objectivée. Monsieur Tinguely est transféré en division de médecine pour la suite de la prise en charge. Monsieur Toffel est un patient de 58 ans qui est hospitalisé pour une prise en charge d'un épanchement pleural droit spontané par mise en place d'un drain thoracique. Ce dernier est retiré le 11.06.2018 avec un contrôle radiologique favorable.Cette bonne évolution tant sur le plan clinique que paraclinique permet le retour à domicile du patient le 12.06.2018. Le patient sera convoqué à la consultation de chirurgie thoracique pour un contrôle. Mr. Y présente cliniquement une hyperlaxité des 2 chevilles. L'IRM montre une lésion partielle du ligament talo-fibulaire antérieur de la cheville droite. Les petites altérations du signal en regard du tibia distal sont dues à une usure articulaire débutante très probablement due à ses activités sportives. Je propose au patient un traitement conservateur. Je lui prescris une série de physiothérapie pour stabiliser ses chevilles, pour entraîner la proprioception. Je le revois le 24.8.2018 pour une réévaluation clinique. Pour le moment, il n'y a pas d'indication chirurgicale. Mr. Y présente des douleurs persistantes à 6 mois post-opératoires. Étant donné la différence de longueur de jambe d'environ 8 mm, je lui propose d'adapter une semelle de compensation qu'il portera du côté D, afin d'égaliser la hauteur des MI. Une amélioration de la statique devrait soulager les douleurs. Toutefois, en cas de persistance des douleurs, on pourrait éventuellement infiltrer la région neuro-foraminale L4-L5 G. Le rétrécissement neuro-foraminal L4-L5 G pourrait éventuellement entrer en conflit avec la racine L5. Le prochain contrôle clinique est prévu à 1 mois (4.7.18). Mr. Y est un patient de 79 ans connu pour un remplacement valvulaire aortique ainsi qu'une HTA qui a été hospitalisé pour une décompensation cardiaque aiguë d'origine indéterminée à FEVG conservée (63%). Vous nous adressez le patient pour une dyspnée NYHA III sans douleurs rétrosternales ni palpitations. Le patient avait aussi noté d'importants œdèmes des membres inférieurs. Dans ce contexte, un premier bilan échographique et biologique a montré une décompensation cardiaque à FEVG conservée avec un NT-pro-BNP à 3591 ng/L. Un traitement par Lasix iv et Amlodipine est initié. Sur le plan rénal, il présente une insuffisance rénale aiguë AKIN I. Un bilan biologique a mis en évidence une clairance à 60 ml/min ainsi qu'une FeUrée à 38,5% parlant pour une origine probablement rénale. Dans ce contexte, nous recommandons un suivi biologique à 1 semaine de la sortie du patient. Le 11.06.2018, au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y quitte notre service pour retourner à son domicile. Mr. Y a été admis le 03.06.2018 pour une crise d'asthme aigu sévère avec insuffisance respiratoire globale aiguë dans un contexte d'infection des voies respiratoires supérieures. Il a initialement séjourné aux soins intensifs du 03.06 au 19.06.2018, nécessitant ventilation mécanique, héliox et curarisation. Suite à l'extubation le 10.06.2018, l'évolution respiratoire a été lentement favorable sous ventilation non invasive. Une hypertension artérielle réfractaire a été contrôlée par une quadrithérapie. La découverte d'une thrombose partielle de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale a posé l'indication à une anticoagulation thérapeutique dès le 08.06.2018. Une fibrillation auriculaire paroxystique a été cardioversée par cordarone le 12.05.2018. Vu le score CHADS2Vasc de 3 points, une anticoagulation thérapeutique était aussi préconisée dans l'attente d'un enregistrement Holter après 1 mois. Un état confusionnel aigu a régressé sous trithérapie. Face à un emphysème centro-lobulaire et une bronchopathie avancée, une BPCO associée est suspectée. Le Dr. X, pneumologue, a proposé d'introduire un traitement d'Ultibro, en remplacement du Seretide, et d'envisager une ventilation non invasive de plus longue durée du fait de la persistance d'une légère acidose respiratoire partiellement compensée. Des fonctions pulmonaires ont été effectuées le 22.06.2018, suite auxquelles le patient a développé une exacerbation de sa dyspnée. En raison de l'aggravation de l'hypoxémie, il a été réadmis aux soins intensifs. L'insuffisance respiratoire aiguë s'est améliorée après intensification des séances de ventilation non invasive et des bronchodilatateurs. Un traitement de Torasémide a été ajouté aux antihypertenseurs afin de juguler une composante de surcharge hydrique modérée (légers épanchements pleuraux et œdèmes péri-malléolaires), avec un bon effet. L'indication à une ventilation non invasive de plus longue durée a été discutée avec le patient qui n'y est pas favorable en raison d'une tolérance difficile au-delà d'une heure de ventilation par séance. La corticothérapie est en phase de sevrage progressif. L'apparition de nécroses cutanées bulleuses aux sites d'injection de l'Enoxaparine sur les deux cuisses fait suspecter une réaction vasculitique. L'anticoagulation a été poursuivie par du fondaparinux, dont la durée sera déterminée par le résultat de l'enregistrement Holter qui devra être planifié au début juillet 2018 (ou avant la sortie de l'hôpital) et d'un contrôle échographique de la veine jugulaire interne droite. Le patient a été retransféré le 24.06.2018 dans le service de médecine interne. Au vu de la bonne évolution avec nette diminution des besoins en oxygène, nous entreprenons un sevrage de la ventilation non invasive. L'anticoagulation thérapeutique par Arixtra est remplacée par du Lixiana le 27.06.2018, l'indication à une anticoagulation tout court étant à réexaminer à la lumière du Holter prévu. De nouvelles démarches diagnostiques ou thérapeutiques n'étant pour le moment pas indiquées sur le plan pulmonaire, nous adressons le patient en réhabilitation pulmonaire à l'HFR Billens. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, connu de longue date pour un asthme allergique aux pollens, présente une crise d'asthme aigu sévère avec une insuffisance respiratoire globale. Son état respiratoire est compliqué par un délirium sur maladie critique, le tout nécessitant un soutien respiratoire majeur, avec notamment une VNI, une intubation de 6 jours et un séjour aux soins intensifs de 16 jours. Après bonne récupération neurologique et respiratoire, il peut être transféré en médecine interne le 19.06.2018. La crise d'asthme a été déclenchée par l'exposition saisonnière au pollen et une probable infection des voies respiratoires supérieures, sans évidence de pneumonie. Après échec de VNI, une intubation et même une ventilation avec curarisation et au Héliox sont nécessaires. Le patient peut être extubé le 10.06.2018, avec une évolution lentement favorable permettant un arrêt progressif de la VNI. Il persiste une hypoxémie modérée, avec des besoins en FiO2 de 3-4 l/min en lunettes. À noter une tendance à l'aggravation de l'hypercapnie sous O2, la SaO2 visée ne doit pas être supérieure à 90%. Des séances bihebdomadaires de VNI sont à poursuivre. La Prednisone devra être poursuivie avec un schéma dégressif, initié le 14.06.2018. Un consilium pneumologique est en cours et des fonctions pulmonaires sont prévues le 20.06.2018. À noter qu'une réadaptation respiratoire sera certainement bénéfique à la suite de cette hospitalisation. La suspicion d'une surinfection bronchique a motivé une antibiothérapie par Co-Amoxicilline, stoppée le 08.06.2018 suite à une érythrodermie, possiblement d'origine médicamenteuse. Un bilan allergologique serait à organiser en ambulatoire. Notons la présence transitoire d'infiltrats pulmonaires (16.06.2018), sans répercussion inflammatoire ou respiratoire, avec une radiographie debout le 19.06.2018 sans foyer visible.Une hypertension réfractaire chez ce patient hypertendu, dans un contexte d'agitation, de suspicion de servage et de coprostase, nécessite l'introduction de TNT et Clonidine IV. Après plusieurs adaptations médicamenteuses, un équilibre est trouvé avec une quadrithérapie par Clonidine, Nébivolol, Nifédipine et Lisinopril. Nous proposons un arrêt progressif de la Clonidine et vous laisserons le soin d'adapter le reste du traitement ultérieurement. En raison d'un diabète cortico-induit, le patient bénéficie d'une insulinothérapie. Nous vous laisserons le soin de l'adapter. Un état confusionnel aigu dès le 11.06.2018 est initialement traité par des benzodiazépines, pour pallier à un éventuel sevrage d'alcool. Un effet paradoxal n'étant pas exclu, les benzodiazépines sont arrêtées et de la Clonidine, du Clomethiazole et de l'Olanzapine sont introduits. Une coprostase importante avec abdomen tendu se profile également comme étiologie aggravant la confusion. La reprise d'un transit ainsi que les neuroleptiques permettent une réafférentation optimale. Nous proposons un arrêt de l'Olanzapine avant la sortie de l'hôpital. Une thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018 est objectivée. Après avis angiologique, une anticoagulation thérapeutique est à maintenir jusqu'à la sortie de l'hôpital. Un épistaxis traumatique suite à la pose d'une sonde nasogastrique est traité par la pose d'un rhino-stop. Suite à l'ablation de celui-ci, une rhinoliquorrée est suspectée et infirmée par un CT cérébral et par un consilium ORL. Mr. Y, 78 ans, a été admis le 03.06.2018 pour une crise d'asthme aigu sévère avec insuffisance respiratoire globale aiguë dans un contexte d'infection des voies respiratoires supérieures. Il a initialement séjourné aux soins intensifs du 03.06.2018 au 19.06.2018. Une ventilation mécanique avec héliox et une curarisation avaient été nécessaires. Suite à l'extubation le 10.06.2018, l'évolution respiratoire a été lentement favorable sous ventilation non invasive. Une hypertension artérielle réfractaire a été contrôlée par une quadrithérapie. La découverte d'une thrombose partielle de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale a posé l'indication à une anticoagulation thérapeutique dès le 08.06.2018. Une fibrillation auriculaire paroxystique a été cardioversée par cordarone le 12.05.2018. Vu le score CHADS2Vasc de 3 points, une anticoagulation thérapeutique était aussi préconisée dans l'attente d'un enregistrement Holter après 1 mois. Un état confusionnel aigu a régressé sous trithérapie. Face à un emphysème centro-lobulaire et une bronchopathie avancée, une BPCO associée est suspectée. Le pneumologue a proposé d'introduire un traitement d'Ultibro, en remplacement du seretide, et d'envisager une ventilation non invasive de plus longue durée du fait de la persistance d'une légère acidose respiratoire partiellement compensée. Des fonctions pulmonaires ont été effectuées le 22.06.2018, suite auxquelles le patient a développé une exacerbation de sa dyspnée. En raison de l'aggravation de l'hypoxémie, il a été réadmis aux soins intensifs. L'insuffisance respiratoire aiguë s'est améliorée après intensification des séances de ventilation non invasive et des bronchodilatateurs. Un traitement de torasémide a été ajouté aux antihypertenseurs afin de juguler une composante de surcharge hydrique modérée (légers épanchements pleuraux et œdèmes péri-malléolaires), avec un bon effet. L'indication à une ventilation non invasive de plus longue durée a été discutée avec le patient qui n'y est pas favorable en raison d'une tolérance difficile au-delà d'une heure de ventilation par séance. La corticothérapie est en phase de sevrage progressif. L'apparition de nécroses cutanées bulleuses aux sites d'injection de l'enoxaparine sur les deux cuisses fait suspecter une réaction vasculitique. L'anticoagulation a été poursuivie par du fondaparinux, dont la durée sera déterminée par le résultat de l'enregistrement Holter qui devra être planifié au début juillet 2018 (ou avant la sortie de l'hôpital) et d'un contrôle échographique de la veine jugulaire interne droite. Le patient a été retransféré le 24.06.2018 dans le service de médecine interne. Mr. Y est un patient de 71 ans connu pour les diagnostics sus-mentionnés qui a été vu en consultation la semaine dernière avec une symptomatologie d'ischémie en péjoration surtout au niveau des hallux, raison pour laquelle une intervention a été rapidement planifiée pour éviter la péjoration de la situation. Dans l'intervalle, le patient a bénéficié d'une coronarographie au vu de ces antécédents cardiaques et en préparation pour l'intervention prévue. Une pose de stent est désormais nécessaire avec une antiagrégation par Plavix et Aspirine. Le patient est hospitalisé la veille de l'intervention prévue le 27.06.2018 et se présente avec une symptomatologie en amélioration. Le patient ressent moins de douleurs au niveau des hallux avec une amélioration du status local. Au vu de ce qui précède, nous décidons de repousser l'intervention de 4 à 6 semaines pour diminuer les risques cardiaques du patient. Cela est discuté avec le patient qui est d'accord avec notre proposition. Si jamais une nouvelle péjoration se présente, l'intervention sera faite plus tôt. Le patient rentre à domicile alors le 26.06.2018 et sera reconvoqué ultérieurement pour une intervention dans 4 à 6 semaines. Mr. Y est un patient de 60 ans connu pour un lymphome du manteau stade IV B diagnostiqué le 06.03.2018, actuellement sous chimiothérapie en alternance R-CHOP/R-DHAP (dernier cycle R-CHOP le 03.06). Il est hospitalisé dans notre service de médecine interne pour son 6ème cycle de chimiothérapie. À l'entrée, le patient est en bon état général et n'a aucune plainte particulière. La chimiothérapie est bien tolérée par le patient et se déroule sans complication. Le patient rentre à domicile le 22.06.2018 et revient le lendemain (le 23.06.2018) pour recevoir l'injection de Neulasta. Les suites sont organisées en ambulatoire avec le Dr. X. Mr. Y consulte les urgences le 19.06.2018 en raison de céphalées frontales et rétro-orbitaires présentes depuis le jeudi 14.06.2018, de caractère pulsatile, sans irradiation, d'une intensité maximale à 8/10, qui débutent le matin et ont tendance à s'améliorer le soir. Elles sont accompagnées de frissons, de photophobie, de nausées sans vomissement et de douleurs dans la nuque irradiant vers les épaules. Durant le weekend précédent, les céphalées avaient complètement disparu, mais il se sentait tout de même barbouillé avec des nausées et une sensation de boule dans l'estomac (comme en fin de grippe selon lui). Depuis le 18.06.2018 dans l'après-midi, les céphalées ont recommencé, avec une amélioration transitoire après la prise d'un Algifor. Il a pris un Aspegic à minuit, mais n'a pas réussi à dormir. Au moment de la consultation, il évalue ses douleurs à 7/10. Il ne signale pas de perte de force ou de sensibilité, ni de trouble visuel de type vision floue ou diplopie, mais les mouvements oculaires sont douloureux. Il ne présente pas de rhinite associée. Il n'y a pas de notion de traumatisme crânien. Il n'a jamais présenté de céphalées similaires jusqu'à présent et n'est pas sujet aux migraines. Pas de symptômes focaux. Sa femme qui l'accompagne mentionne qu'elle aurait eu un rhume la semaine passée et que ses deux enfants de 6 semaines auraient eu un syndrome pied-main-bouche il y a 2-3 semaines.A l'admission, Mr. Y est normocarde, légèrement hypotendu et afébrile. Au status neurologique, Glasgow à 15/15. La nuque est souple mais douloureuse à la mobilisation, Kernig et Brudzinski négatifs, pupilles isocores isoréactives, nerfs crâniens dans la norme, force, tonus et sensibilité conservés aux quatre membres. Réflexes ostéotendineux normovifs et symétriques, réflexe cutané plantaire en flexion des deux côtés, tests cérébelleux : doigt-nez, talon-genou sans dysmétrie. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, sans souffle audible, pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans râle de stase ni sibilance. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan sanguin montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, un léger syndrome inflammatoire à une CRP 8 mg/l, sans leucocytose, une hémoglobine à 152 g/l et pas de trouble de la crase. Nous effectuons un CT scan cérébral injecté qui est normal. Nous effectuons également une ponction lombaire, qui montre un aspect eau de roche, légèrement trouble, 80% de lymphocytes, 8% de polynucléaires, glucose 4.1 mmol/l, et lactate 2.30 mmol/l. L'examen direct du LCR met en évidence des leucocytes (+), des débris cellulaires (+) ainsi que quelques hématies. Aux urgences, nous administrons 1 g de Paracétamol, 75 mg de Voltarène et 10 mg de Primpéran intraveineuse avec amélioration importante de la douleur (1-2/10). Devant l'examen clinique, biologique et scanographique, nous retenons une méningite virale. Nous hospitalisons le patient en médecine avec hydratation iv et antalgie de support. Le 20.06.2018, Mr. Y n'a pas de céphalée, ni d'état fébrile, pas de photo- ou phonophobie, ni de raideur de nuque. Les signes de méningisme, y compris le Kernig et Brudzinski, sont négatifs. Mentionnons également que le site de ponction au niveau lombaire est calme. Mr. Y veut rentrer à domicile contre avis médical, malgré explication des risques. Il signe la feuille de décharge et quitte notre établissement le 20.06.2018. Nous proposons un contrôle clinique à votre consultation à une semaine de la sortie. Nous lui recommandons de reconsulter les urgences en cas de péjoration clinique. Mr. Y est un patient de 76 ans, hospitalisé en électif pour prise en charge d'une sténose carotidienne gauche. Il bénéficie le 29.05.2018 d'une thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la carotide gauche. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont favorables, permettant un retour à domicile le 01.06.2018. Mr. Y est un patient de 66 ans, connu notamment pour une BPCO stade II sur déficit homozygote en alpha-1-antitrypsine et un syndrome des apnées du sommeil appareillé, qui est hospitalisé le 11.06.2018 pour une insuffisance respiratoire partielle hypoxique sur pneumonie multifocale communautaire à germe indéterminé. Nous initions une antibiothérapie par Rocéphine et Clarythromycine du 11.06 au 13.06.2018, combinée par un traitement d'Atrovent, Ventolin et majoration de l'oxygénothérapie. L'évolution est initialement favorable, avec par la suite recrudescence de la fièvre, motivant un transfert aux soins intensifs pour soutien ventilatoire et élargissement du spectre antibiotique par Tazobac du 13.06 au 19.06.2018, avec un bon effet clinique, permettant un relai par Tavanic du 19.06 au 22.06.2018. A noter l'absence de bactériologie retrouvée. Mr. Y évolue favorablement du point de vue respiratoire et peut être transféré dans le service de médecine interne le 16.06.2018. Le patient présente par ailleurs, à son entrée, un rythme cardiaque compatible avec une tachyarythmie multifocale. Sur avis cardiologique, un traitement par Metoprolol est introduit le 12.06.2018, avec une bonne réponse clinique. Ce traitement est à continuer jusqu'à nouvel avis selon les valeurs futures. Nous prions le médecin traitant de réévaluer son indication dans les prochains mois selon l'évolution. Un Holter est effectué le 16.06.2018, dont les résultats sont encore en attente. Une consultation cardiologique de suivi avec échocardiographie est prévue en ambulatoire le 20.06.2018 avec le Dr. X, les résultats du Holter seront discutés à ce moment-là. Mr. Y rentre à domicile le 19.06.2018. Nous remercions la Dresse X qui nous lit en copie de donner son avis quant à une éventuelle antibiothérapie prophylactique au long cours par Zythromax. Le patient prendra rendez-vous dans les prochaines semaines. Mr. Y présente un status clinique normal de son genou D, qui ne m'inquiète pas du tout. Je n'ai pas de diagnostic expliquant les symptômes du patient, qui sont en régression. Je lui propose une attitude expectative. Je reste bien évidemment à disposition en cas d'évolution de la symptomatologie. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'à ce jour. Reprise de travail à 100% dès le 26.06.2018. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un choc hémorragique sur un saignement abondant d'une plaie superficielle du pied. Le patient présente le jour de son admission un saignement de plaie du membre inférieur gauche suite à une lésion de grattage. Dans ce cadre, il présente une plégie et anesthésie complète du MSG d'apparition brutale, motivant l'appel de l'ambulance. La plaie est prise en charge par pansement compressif. Sur site, les pertes sanguines sont estimées à plus de 2L. La symptomatologie neurologique disparaît en 30 minutes durant la prise en charge ambulancière. Le bilan d'imagerie initial ne met pas en évidence d'AVC, ni d'autre source de saignement. En raison des symptômes neurologiques et d'une hyperlactatémie, le patient bénéficie de 2 culots érythrocytaires et d'une expansion volémique, puis transféré aux soins intensifs. Durant le séjour, on ne note pas de récidive de saignement avec une hémoglobine qui reste stable et des lactates qui se normalisent. Le saignement a pris son origine d'une varice située en regard du talon gauche dans un contexte d'eczéma. Une fibrillation auriculaire tachycarde ne répondant pas au remplissage est mise en évidence. Il s'agirait de la première récidive documentée depuis la thermo-ablation en 2010. Nous ne retenons pas d'indication à une anticoagulation chez ce patient présentant des saignements récidivants avec une consommation d'alcool à risque ayant déjà entraîné des traumatismes cranio-cérébraux. De plus, une anémie préexistante serait en cours d'investigation chez le médecin traitant. Du point de vue neurologique, le patient ne présente pas de récidive de symptômes neurologiques et ceux-ci sont attribués à un bas débit cérébral avec un diagnostic différentiel de compression nerveuse dans un contexte d'éthylisation aiguë. Une hypo-albuminémie ainsi qu'un TP spontanément diminué sont attribués à une dénutrition dans le contexte d'alcoolisme chronique, dernièrement péjoré en raison du décès récent de l'épouse. Le patient bénéficie d'une substitution par vitamine K avec un traitement d'Oxazépam en réserve. Un eczéma important des membres inférieurs est traité par Excipial. Cet eczéma est responsable de lésions de grattages ayant entraîné plusieurs épisodes de saignements. Un avis dermatologique est à demander. Nous mettons en évidence de fréquentes pauses respiratoires associées à une désaturation en oxygène compatibles avec une apnée obstructive du sommeil. Une polygraphie serait à organiser si le patient venait à accepter un éventuel appareillage par CPAP.Un anévrisme de l'aorte ascendante de 43 mm est mis en évidence de manière fortuite. Un avis chirurgical est à demander. Le patient est transféré en division de médecine interne le 20.06.2018. Monsieur Vial est hospitalisé pour un choc hémorragique sur un saignement abondant d'une plaie superficielle du pied gauche associé à un épisode de 30 minutes de plégie et anesthésie du membre supérieur gauche. Le patient présente le jour de son admission un saignement de plaie du membre inférieur gauche suite à une lésion de grattage. Dans ce contexte de saignement important, le patient présente une plégie et anesthésie complète du MSG d'apparition brutale motivant l'appel de l'ambulance. La plaie est prise en charge par pansement compressif. Sur site, les pertes sanguines sont estimées à plus de 2 L. La symptomatologie neurologique disparaît en 30 minutes durant la prise en charge ambulancière. Le bilan d'imagerie initial ne met pas en évidence d'AVC, ni d'autre source de saignement. Le patient bénéficie de 2 culots érythrocytaires et d'une expansion volémique. Il est admis aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique et neurologique. Le patient ne présente pas de récidive de saignement et l'hémoglobine reste stable. Le saignement a pris son origine d'une varice située en regard du talon gauche dans un contexte d'eczéma. Une fibrillation auriculaire tachycarde ne répondant pas au remplissage est mise en évidence. Il s'agirait de la première récidive documentée depuis la thermo-ablation en 2010. Nous ne retenons pas d'indication à une anticoagulation chez ce patient présentant des saignements récidivants avec une consommation d'alcool à risque ayant déjà entraîné des traumatismes cranio-cérébraux. Nous vous laissons réévaluer une anticoagulation à distance. Du point de vue neurologique, le patient ne présente pas de récidive de symptômes neurologiques et ceux-ci sont attribués à un bas débit cérébral avec un diagnostique différentiel de compression nerveuse dans un contexte d'éthylisation aiguë. Une hypo-albuminémie ainsi qu'un TP spontanément diminué sont attribués à une dénutrition dans le contexte d'alcoolisme chronique. Le patient bénéficie d'une substitution par vitamine K avec un traitement d'Oxazépam en réserve. Un eczéma important des membres inférieurs est traité par Excipial et dermocorticoïde. Cet eczéma est responsable de lésions de grattages ayant entraîné plusieurs épisodes de saignements. Un suivi dermatologique en ambulatoire est conseillé. Nous mettons en évidence de fréquentes pauses respiratoires associées à une désaturation en oxygène compatibles avec une apnée obstructive du sommeil. Une polygraphie et des fonctions pulmonaires sont organisées en ambulatoire, le patient sera convoqué. Le patient bénéficiera également d'un cathétérisme gauche/droit en ambulatoire afin de compléter le bilan d'hypertension pulmonaire. Monsieur Vidai est un patient de 31 ans qui lors d'une séance d'haltérophilie a ressenti une douleur au niveau inguinal gauche, suite à laquelle il a remarqué une voussure non réductible. Pour ces raisons, le patient se présente aux urgences le 22.03.2018, où une hernie inguinale gauche non incarcérée et réductible est diagnostiquée. Monsieur Vidai bénéficie le 08.06.2018 d'une cure d'hernie inguinale gauche par laparoscopie (TEP). L'opération se passe sans complication et le patient peut rentrer à domicile le 08.06.2018. Monsieur Vieira Macedo, connu pour une hypertension artérielle, est hospitalisé dans un contexte de suspicion d'AVC. Pour rappel, l'anamnèse révèle l'apparition brutale des vertiges et une diplopie binoculaire le 13.06.2018 à 18 h, associés à des troubles de l'équilibre. Aux urgences, l'examen initial montre un nystagmus multidirectionnel sans autre signe associé. Une IRM cérébrale est effectuée qui confirme une lésion ischémique aiguë punctiforme dans le pont en paramédian droit. Nous constatons également plusieurs lésions séquellaires, localisées au niveau des noyaux gris centraux des deux côtés, le cervelet à gauche. L'étiologie de ces lésions est vraisemblablement vasculaire, associée à de multiples microbleeds. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine suivi par du Plavix 75 mg/j. La surveillance neurologique se révèle sans particularité, sans récidive de troubles visuels ni troubles de l'équilibre. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique est de qualité sous-optimale ne permettant pas d'exclure une FOP. Devant l'aspect de microangiopathie hypertensive visualisé à l'IRM cérébrale avec les lésions lacunaires susmentionnées, nous ne retenons pas d'indication à effectuer une échocardiographie transoesophagienne à l'heure actuelle. Un Holter de 24 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Un duplex des vaisseaux précérébraux est effectué, ne mettant pas en évidence d'athéromatose significative. Sur le plan médicamenteux, un traitement anti-agrégant de Plavix est introduit dont nous vous proposons la poursuite au long cours. Un traitement hypolipémiant par Atorvastatine est introduit. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). En vue d'une suspicion de syndrome d'apnées du sommeil avec score de STOP-BANG à 8 points et Epworth à 22 points, une polysomnographie nocturne est prévue à 3 mois post AVC. Le patient sera convoqué en ambulatoire. L'hospitalisation est compliquée par une crise de goutte polyarticulaire, diagnostiquée par ponction articulaire du genou gauche. Nous retenons une tarsite gauche, ainsi qu'une arthrite du genou gauche et le MTP 1 à gauche. Le traitement antalgique est majoré avec introduction de Colchicine 1 mg/j, bien toléré par le patient, avec une évolution favorable. Ce traitement est à poursuivre jusqu'à 6 mois après la résolution de la crise et/ou 6 mois après l'atteinte du dosage cible d'acide urique (< 360). Une consultation rhumatologique est prévue à 1 mois afin de décider de la suite de prise en charge de ce traitement. Le MOCA effectué en portugais se révèle être à 22 points. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 1 mois, la reprise est à évaluer selon bilan neuropsychologique prévu le 30.07.2018. Un arrêt de travail est issu pour la même durée, la reprise du travail est également à déterminer en fonction de l'évaluation neuropsychologique. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Vitale, 52 ans, est hospitalisé pour des cervicalgies atraumatiques avec paresthésies du bras droit sans trouble sensitivomoteur nouveau. Le bilan radiologique montre diverses hernies discales cervicales dont une médiane C3-C4 et deux postérieures médiane et paramédiane C5-C6 et C6-C7 avec un s/p spondylodèse C4-C5, sans signes de souffrance médullaire. Une corticothérapie est débutée. L'antalgie est gérée par morphine et myorelaxant. Selon avis neurochirurgical (Dr. X), Monsieur Vitale bénéficiera d'un traitement conservateur avec infiltration et physiothérapie avec contrôle à 3 semaines. Le bilan sera complété par un ENMG en ambulatoire à la recherche de myélopathie. Durant l'hospitalisation, Monsieur Vitale a présenté de vives douleurs abdominales sur iléus paralytique dans le cadre de prise de morphiniques. De plus, nous suspectons aussi un ulcère gastrique chez ce patient connu pour oesophagite et gastrite chronique, bilané en février 2018, avec une composante de stress importante ces derniers temps. Après décharge par SNG et administration de procinétiques, l'évolution est favorable avec reprise de l'alimentation entérale, bien supportée.Monsieur Vital rentre à domicile le 09.06.2018. Monsieur Vonlanthen, patient de 63 ans connu pour une cardiopathie ischémique, est transféré de l'Hôpital de Payerne ce jour en raison d'un probable AIT sylvien gauche. Pour rappel, l'anamnèse révèle l'apparition brutale d'une hémiparésie brachio-crurale à droite, proportionnelle, à 7h lorsque le patient était sur la terrasse en train de parler avec son voisin. Il est obligé de s'asseoir et décrit en association une dysarthrie avec impression de patate chaude dans la bouche. Le NIHSS à l'Hôpital de Payerne est à 0 point, les symptômes étant spontanément résolutifs en 45 minutes. L'IRM cérébrale effectuée à Payerne ne révèle pas de lésion ischémique aiguë mais une sténose serrée de l'artère carotide interne à droite, asymptomatique. Le patient est transféré en lit monitoré pour une surveillance neurologique suite à une dose de charge d'Aspirine. La surveillance neurologique se révèle sans particularité, notamment sans récidive d'événement. Sur le plan du bilan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de cause structurelle d'AVC. Un Holter de 72 heures est posé, dont l'interprétation est encore en cours. Nous vous ferons parvenir les résultats dès que possible. Un Duplex des vaisseaux précérébraux et transcraniens est effectué qui confirme une sténose serrée de 70% de l'artère carotide interne droite asymptomatique. Une discussion au prochain colloque sur les sténoses en présence de nos confrères de chirurgie vasculaire quant à l'indication à une TEA est prévue. Sur le plan médicamenteux, une double antiagrégation est introduite, à poursuivre pendant 1 mois suivi de Plavix 75 mg/jour seul. Le traitement hypolipémiant d'Atorvastatine est majoré à 80 mg/j. Nous vous proposons un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le patient est actuellement suivi en ambulatoire devant une suspicion de syndrome du colon irritable. Nous vous laissons le soin de poursuivre ces investigations en ambulatoire. Un bilan neuropsychologique est effectué qui se révèle être dans la norme. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 2 semaines. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Monsieur Vonlanthen, 49 ans, est admis pour un choc septique sur pneumonie bilobaire à Légionelle. Il présente depuis plusieurs jours une dyspnée avec des crachats et une baisse de l'état général. Une pneumonie lobaire supérieure droite et lobaire inférieure gauche sont diagnostiquées à la radiographie et traitées initialement le 04.05.2018 par Ceftriaxone et Clarithromycine et modifié pour du Tavanic le 05.05.2018 au vu des antigènes urinaires positifs pour la Légionelle. Ce traitement sera poursuivi 14 jours. Une déclaration au médecin cantonal est effectuée le 12.06.2018. Il bénéficie de séances intermittentes de ventilation non-invasive associées à des aérosols qui permettent une évolution favorable. Une insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale associée à une acidose métabolique est traitée par hydratation et substitution électrolytique. Concernant la thrombocytopénie d'origine probablement inflammatoire, un suivi régulier devra être effectué en ambulatoire jusqu'à normalisation. Des hémocultures positives pour Staphylococcus hominis à deux reprises sont considérées, sur avis infectiologique, comme deux contaminations et n'amènent aucune conséquence thérapeutique. Vu la notion d'hépatite C, un bilan hépatite A, B et C est demandé, celui-ci revient positif (sérologie) pour HCV. Une virémie et un sérotypage HCV ainsi qu'une sérologie HAV sont en cours à la sortie du patient et seront transmises au médecin traitant ainsi qu'au Prof. X. Monsieur Votta est un patient de 59 ans qui a été opéré d'une sigmoïdectomie selon Hartmann le 20.11.2017 en raison d'une diverticulite sigmoïdienne perforée. Le rétablissement de continuité a été réalisé le 02.03.2018 avec la confection d'une iléostomie de protection, mais cette intervention s'est compliquée d'une lésion de l'uretère droit qui a nécessité la pose d'une sonde double J. Le patient est actuellement hospitalisé pour la fermeture de l'iléostomie. L'intervention se déroule sans complication. Le pansement PICCO est enlevé à J-5. Le suivi post-opératoire se complique par un iléus mécanique qui est mis en évidence par un CT le 20.06.2018 et nécessitant une pose de sonde naso-gastrique pour 3 jours. Les suites après l'ablation de la sonde naso-gastrique sont favorables. M. Votta rentre à domicile le 27.06.2018. Monsieur Waeber est hospitalisé aux soins intensifs pour un syndrome coronarien aigu type NSTEMI. Le patient se présente aux urgences pour des douleurs rétrosternales typiques évoluant depuis 72 heures. L'ECG révèle des troubles de la repolarisation avec un mouvement des enzymes cardiaques motivant une coronarographie en urgence. Celle-ci met en évidence des lésions tritronculaires nécessitant une revascularisation chirurgicale en semi-urgence. L'ETT (CD joint et rapport papier joint) montre une akinésie antéro-septo-apicale étendue avec une FEVG estimée visuellement à 40%. La surveillance aux soins s'avère sans complications hormis un épisode de tachycardie ventriculaire non soutenue. Par ailleurs, pas de récidive des douleurs thoraciques. Un traitement anti-agrégant par Aspirine est débuté ainsi qu'une anticoagulation thérapeutique. Un anti-angineux est aussi mis en route. Le bêta-bloquant et le sartan sont arrêtés à cause de la bradycardie et du profil tensionnel. Dans le cadre du bilan pré-opératoire, un bilan angiologique (rapport papier joint) est réalisé et qui est sans particularités. D'entente avec le Dr. X, le patient est transféré aux soins continus de chirurgie cardiovasculaire du CHUV le 21.06.2018. Monsieur Waeber est un patient de 79 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec pose de 2 stents en 2016, sous Aspirine cardio, avec un antécédent d'AVC et de multiples saignements digestifs bas sur diverticules. Le patient consulte aux urgences le 29.05.2018 pour un nouvel épisode d'hématochésie. La rectoscopie montre une grande quantité de sang frais à 18 cm de la marge anale. L'hémoglobine chute de 123 mg/l à 88 mg/l, ce qui motive une transfusion de 2 culots érythrocytaires. Après discussion avec le gastro-entérologue de garde (Dr. X), il est décidé d'effectuer un angio-CT qui ne montre pas de saignement actif. Une surveillance de l'hémoglobine et des signes vitaux est effectuée. Le 01.06.2018, M. Waeber présente de nouveau un épisode d'hématochésie avec une chute de l'hémoglobine à 80 mg/l, qui nécessite une nouvelle transfusion d'un culot érythrocytaire avec une augmentation adéquate de l'hémoglobine par la suite. Pendant la préparation pour la colonoscopie, les saignements se sont arrêtés. L'évolution est alors favorable avec la reprise d'un transit normal. La colonoscopie effectuée le 05.06.2018 montre une diverticulose sans saignement actif ou traces de sang. Le patient rentre à domicile le 06.06.2018. Monsieur Walder, connu pour un accident ischémique transitoire en 2016, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 15.05.2018 dans le contexte d'une leucémie myéloïde aiguë avec inv(16)(p13.1q22); CBFB-MYH11 selon OMS 2017, de type M4eo selon FAB, sans mutation du gène Kit et FLT3. Pour rappel, Monsieur Walder vous consulte en raison d'ecchymoses spontanées depuis deux semaines associées à une dyspnée nouvelle progressive. Vous effectuez un laboratoire et mettez en évidence une leucocytose à 90 G/l avec une population de 35% de blastes. Un traitement par hydroxycarbamide est débuté le 15.05.2018 dans l'attente du diagnostic définitif de leucémie myéloïde aiguë, posé grâce à la ponction-biopsie de moelle osseuse du 15.05.2018.Après explication des implications d'un tel diagnostic, Monsieur Walder accepte un traitement maximal avec comme objectif une guérison suite à trois cycles de chimiothérapie. Un bilan complet de leucémie (cf. diagnostic 1) est effectué et une chimiothérapie d'induction par Cytosar et Zavedos est conduite du 18.05 au 24.05.2018. Une chimiothérapie intrathécale de type TRIPLE IT est effectuée à J26 de chimiothérapie. Monsieur Walder passe en agranulocytose le 23.05.2018. Un isolement protecteur et une prophylaxie antifongique par pozaconazole sont alors mis en place et le patient bénéficie de transfusions de concentrés érythrocytaires et plaquettaires réguliers, selon les seuils habituels. Malgré cela, un état fébrile se déclare rapidement dans le contexte d'une mucite digestive sévère, motivant l'introduction d'un traitement par céfépime et métronidazole dès le 25.05.2018. Une bactériémie à S. épidermidis multisensible à point de départ de la VVC nécessite l'introduction transitoire de Vancomycine puis de Cubicine, ainsi que le retrait de la VVC. Suite à une bonne évolution sous céfépime et métronidazole, à l'absence de récidive d'état fébrile et à la reprise d'un transit digestif normal, les antibiotiques sont arrêtés le 07.06.2018. Monsieur Walder sort finalement d'agranulocytose le 13.06.2018. Par ailleurs, dans le contexte de l'isolement protecteur, un sevrage tabagique est effectué avec initialement une substitution nicotinique transdermique. Un malaise avec une syncope survient 24h après l'introduction de ce traitement, celui-ci est arrêté et le sevrage complet est bien toléré par le patient. Par ailleurs, Monsieur Walder souhaite poursuivre son sevrage sur le long terme. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Monsieur Walder rentre à domicile le 13.06.2018, avant d'entamer la première phase de consolidation le 25.06.2018. Monsieur Weber est un patient de 67 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales avec vomissements. Le CT abdominal met en évidence un iléus grêle avec saut de calibre probablement dans le contexte d'un status adhérentiel sans signe de souffrance. Un traitement conservateur est initié avec la pose d'une sonde naso-gastrique. L'évolution est par la suite favorable avec une reprise du transit. Le patient rentre à domicile le 20.06.2018. À noter une déhiscence de la plaie de la laparotomie médiane pour laquelle le patient sera suivi par les infirmières à domicile et la stomathérapie. Au vu d'une dénutrition avec une perte de poids d'environ 5 kg depuis la dernière intervention, un suivi en diététique est organisé pour le patient. Monsieur Weber est un patient de 67 ans qui est hospitalisé pour un rétablissement de continuité sur un status post-sigmoïdectomie. Le status intra-abdominal étant défavorable per-opératoire à cette chirurgie, il est décidé de ne pas rétablir le patient et de reconfectionner la colostomie gauche définitive. Une lésion grêle amène à une résection segmentaire avec anastomose manuelle directe. Les suites opératoires sont favorables tant sur le plan clinique que paraclinique et Monsieur Weber retourne à domicile avec un contrôle prévu à la consultation du Dr. X. à 6 semaines post-opératoires. Monsieur Weidner est un patient de 35 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge chirurgicale d'un reflux gastro-oesophagien avec hernie hiatale. L'opération à type de fundoplicature selon Nissen par laparoscopie se déroule le 11.06.2018 sans complication. Les contrôles tant sur le plan clinique que paraclinique sont favorables. La reprise de l'alimentation hachée dès le 13.06.2018 se fait favorablement, avec l'absence de symptômes de reflux. Le patient retourne à domicile le 14.06.2018 avec un contrôle à la consultation du Dr. X. prévu à 6 semaines postopératoires. Monsieur Wenger est un patient de 74 ans connu pour une AOMI stade II b avec status post-pontage aorto-bifémoral présentant une sténose sévère de l'anastomose fémorale gauche et une occlusion du jambage à droite. Une intervention chirurgicale hybride, à savoir dans un premier temps la réalisation d'une thrombendartériectomie de l'artère fémorale gauche avec une plastie d'élargissement et dans un deuxième temps, une revascularisation par voie endovasculaire de l'axe iliaque natif à droite est proposée. La TEA fémorale gauche est effectuée, le 19.06.2018, sans complication. L'évolution est favorable et les suites sont simples avec une reprise de Sintrom le 21.06.2018. Le PICO au niveau de la plaie est changé le 25.06.2018 avec une plaie calme sans signe inflammatoire ou infectieux. Le patient sera revu pour un contrôle de plaie à la consultation vasculaire à 10h30 le 29.06.2018 et un contrôle clinique à la consultation du Dr. X. le 02.08.2018 à 11h30. Le patient sera convoqué par le Dr. X. pour une revascularisation par voie endovasculaire de l'axe iliaque natif à droite. Monsieur Wicht, âgé de 69 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une cyphoplastie de L1 et spondylodèse de D12-L2 le 02.05.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son amie dans un appartement dans une maison de 2 étages. Il est à la retraite et a travaillé auparavant dans un bureau d'informatique. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme et la palpation du rachis est non douloureuse. Concernant l'examen neurologique, les nerfs crâniens sont symétriques et préservés, absence de réflexe pupillaire à l'œil droit et la force est à M4 aux 4 membres. Aucun tremblement spontané. Pas de roue dentée à la flexion passive du bras. Hyporéflexie patellaire à gauche. Marche hésitante avec boiterie. Le séjour hospitalier se déroule sans complication et les douleurs sont maîtrisées avec une antalgie simple. La maladie de Parkinson reste bien contrôlée avec la posologie actuelle de Madopar, sans signe de sous- ou surdosage. Nous avons effectué un bilan phosphocalcique qui est aligné. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un rollator sur 200 m sans pause. Il peut monter et descendre les escaliers. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Wicht peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 27.05.2018, en état général conservé. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont réactivés. Monsieur Wicht est amené aux urgences en ambulance le 2.06.2018 en raison d'une baisse de l'état général, à savoir une inappétence et une asthénie depuis 2 jours. À noter également une majoration des troubles cognitifs connus. Le patient ne rapporte pas d'autre plainte mais l'anamnèse est peu contributive en raison des troubles cognitifs et du ralentissement psychomoteur. À l'admission aux urgences, Monsieur Wicht est hémodynamiquement stable et apyrétique. Au status neurologique, il est désorienté dans le temps et présente des tremblements de repos bilatéraux. Sur le plan respiratoire, on met en évidence des râles crépitants. Le status cardiovasculaire est sans particularité. Le bilan sanguin à l'entrée montre une créatinine à 125 mcmol/l, pas de trouble ionique, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 112 mg/l, sans leucocytose, hémoglobine à 130 g/l et un INR à 3.9. Le laboratoire met également en évidence une anémie normochrome normocytaire légère sur hypovitaminose B9 et B12 que nous substituons. Une hypomagnésiémie ainsi qu'une hypovitaminose D3 sont également substituées. Les hémocultures prélevées à l'admission reviennent négatives.Nous mettons le patient sous co-amoxicilline 1 g 2x/j per os du 14 au 19.06.2018 pour une suspicion de pneumonie sur broncho-aspiration avec une évolution favorable. L'épouse de Monsieur Wicht nous rapporte la présence d'importantes fausses-routes aux liquides, que nous constatons au test de dépistage et pour lesquelles nous épaississons les boissons. Nous bilantons également les troubles cognitifs que nous qualifions de modérés avec un MMS à 17/30 et un test de la montre à 3/7. Nous laissons le soin à nos collègues du service de gériatrie d'évaluer l'indication à un bilan neuropsychologique. Durant le séjour, l'évolution clinique et biologique est favorable hormis une fonction rénale en péjoration avec une créatinine à 215 umol/l, raison pour laquelle la Metformine est mise en suspens. Au vu du déconditionnement général, Monsieur Wicht est transféré dans le service de réadaptation gériatrique le 20.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Nous laissons le soin à nos collègues de réintroduire les antidiabétiques oraux et d'évaluer l'indication à un bilan neuropsychologique. Monsieur Widmer, 65 ans, est hospitalisé le 21.06.2018 aux soins intensifs pour un sepsis sur pneumonie à Legionelle. Le patient s'est présenté aux urgences de Tavel pour une baisse de l'état général. Une pneumonie basale droite est diagnostiquée. Au vu d'une insuffisance respiratoire hypoxémique et d'une acidose lactique en augmentation, le patient est transféré aux soins intensifs de Fribourg. La pneumonie a été traitée initialement par Co-Amoxicilline et Clarithromycine dès le 21.06.2018. Un changement pour Levofloxacine est effectué le 22.06.2018 suite à un antigène urinaire positif pour une légionelle. Des hémocultures prélevées le 21.06.2018 sont encore en cours. À l'aide de séances de ventilation non invasive intermittente, l'évolution respiratoire a été rapidement favorable. Une déclaration au médecin cantonal a été effectuée. L'acidose hyperlactatémique a été attribuée au sepsis débutant avec accumulation de Metformine dans un contexte d'aggravation aiguë de sa fonction rénale. Ce traitement est donc mis en suspens avec un suivi rapproché des glycémies. L'insuffisance rénale aiguë, dans le cadre du sepsis est traitée par hydratation intraveineuse. Le Dabigatran a aussi été mis en suspens. Un relais par héparine est à débuter le 22.06.2018 au soir. Une anémie normochrome normocytaire possiblement d'origine inflammatoire est observée. Nous vous proposons d'en effectuer le bilan durant la suite de l'hospitalisation. Au moment du transfert, le patient a une bonne saturation à l'air ambiant, le statut neurologique est dans la norme. Monsieur Winkler est admis aux soins intensifs pour une cure de Levosimendan dans le cadre d'une dysfonction systolique sévère et une dyspnée évolutive sous traitement médical optimal. La cure de Levosimendan se déroule sans aucun problème électrolytique ni hémodynamique. Nous majorons son traitement par Torem vu la décompensation cardiaque. La cure de Levosimendan a été entreprise à dose moyenne vu la constatation d'une insuffisance hépato-cellulaire dont l'origine est à déterminer chez un patient qui décrit une perte de poids involontaire de 25 kg en 2-3 mois (depuis février 2018) suivie d'une reprise de 10 kg. Il décrit des douleurs abdominales et une alternance nouvelle du transit avec constipation/diarrhées, ne décrit pas de sueurs nocturnes ni de méléna ni hématochésie. Le patient rapporte ce matin des douleurs de chevilles bilatérales, nous constatons à l'examen une augmentation de la chaleur locale. Le patient serait connu pour avoir fait des crises de goutte soulagées par Paracétamol, qui lui a été administré. Monsieur Wipf, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique dans le contexte d'une syncope d'origine cardiaque avec mise en évidence d'une hypersensibilité du sinus carotidien et pause sinusale sans rythme d'échappement. Le patient est adressé aux urgences par son médecin traitant suite à une syncope avec une perte de connaissance de quelques secondes. Aux urgences, suite à un massage du sinus, le patient fait une pause sinusal de 7,5 secondes, symptomatique, sans rythme d'échappement. À noter que le patient a déjà fait 3 syncopes sur la dernière année. Après avis cardiologique, une pose de pacemaker est indiquée. Au vu de la stabilité hémodynamique et d'une surveillance rythmique durant 24 heures sans particularité, Monsieur Wipf peut rentrer à domicile sur décision du Dr. X (cardiologue), la consultation anesthésique est balisée avant sa sortie. Il sera convoqué le 04.06.2018 pour l'intervention. Monsieur Wolfstaedter est un patient de 25 ans qui est hospitalisé pour la prise en charge d'un kyste sacro-coccygien surinfecté. La prise en charge initiale par mise à plat et mise en place de drainage de type Penrose est rapidement favorable. Devant des contrôles cliniques et paracliniques en ordre, le patient retourne à domicile le 01.06.2018 avec un contrôle à la consultation de proctologie dans 5 jours afin de poursuivre la prise en charge chirurgicale. Monsieur Wyler est un patient de 56 ans, connu pour un carcinome gastrique traité par chirurgie et chimiothérapie, qui est hospitalisé dans le contexte d'une aphagie aux solides et d'une dysphagie aux liquides progressant depuis deux semaines. Un scanner abdominal révèle une carcinose péritonéale avec ascite modérée ainsi qu'une majoration des nodules pulmonaires, suspects de métastases. Une endoscopie met en évidence un rétrécissement irrégulier de la lumière dans le contexte de la carcinose péritonéale avec hypomotilité globale. Sur le plan nutritionnel, une sonde naso-jéjunale est mise en place sous endoscopie, avec mise en place d'une alimentation progressive sous suivi biologique rapproché. La sonde est cependant retirée le 29.05.2018 en raison de vomissements et une nutrition parentérale sur une voie veineuse périphérique est débutée. En vue du retour à domicile, l'alimentation parentérale est branchée sur le port à cath (PAC), avec accord de l'oncologue traitant. Un enseignement est réalisé concernant le branchement et les manipulations des poches d'alimentation et des règles d'hygiène strictes sont mises en place (changement Gripper 1x/sem au C4, pas de prises de sang sur le PAC). L'Unité Edelweiss des soins à domicile s'assurera du bon déroulement de la nutrition parentérale à domicile. Sur le plan oncologique, une chimiothérapie par Paclitaxel et Ramucirumab avec corticothérapie concomitante est débutée durant le séjour (2 cycles) et bien tolérée sur le plan clinique et biologique. L'évolution est favorable, avec amélioration de la prise alimentaire per os, reprise d'un transit et un passage à la Gastrografine qui confirme l'absence de sténose avec des délais de passage se faisant dans les normes. Le prochain cycle aura lieu le 15.06.2018 dans le service d'oncologie ambulatoire avec une prise de sang la veille à votre consultation. Monsieur Wyler rentre à domicile le 08.06.2018. Monsieur Yelken doit revoir le Dr. X au mois de juillet afin de poursuivre la thérapie. Nous restons nous aussi dans l'attente des résultats de ce traitement. Prochain contrôle clinique au mois de septembre. Monsieur Yerly, connu pour une maladie de Crohn avec colectomie en 1995 non traitée et sans suivi gastro-entérologique depuis plusieurs années (dernière colonoscopie il y a 4-5 ans), vous consulte il y a une semaine en raison de douleurs abdominales. Il consulte les urgences le 14.06.2018 en raison de la persistance des douleurs avec apparition de sang dans les selles. Il décrit des douleurs péri-ombilicales, irradiantes dans l'hémi-abdomen droit, de type crampiforme, constantes depuis hier soir, aggravées au mouvement. Pas de nausée ni de vomissement, baisse de l'appétit. Selles comme d'habitude (selles liquides en raison de 6-7 épisodes par jour) avec apparition de sang frais ce matin vers 4h (5 épisodes au total, non quantifiables). Un antécédent de sang dans les selles dans le passé dans un contexte d'hémorroïde. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité, notamment pas d'état fébrile ni de frisson, pas de plainte urinaire, respiratoire ou cardiovasculaire. À noter qu'après vous avoir consulté, il a débuté un traitement de Prednisone 40 mg 2x/jour. Consommation OH occasionnelle. Pas de prise d'AINS.A l'admission, le patient est en état général conservé et hémodynamiquement stable. Il est normotendu, normocarde et fébrile à 38,8°C. Des hémocultures sont prélevées. Au status digestif, hernie de la ligne médiane connue. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Les bruits sont légèrement augmentés en fréquence et en tonalité. Douleurs à la palpation dans l'hémi-abdomen droit, prédominantes au niveau du flanc. Épigastre indolore. Murphy négatif. Au toucher rectal, fissure 12h, marisques à 17 et 19 h. Toucher rectal indolore, pas de masse palpée, pas de sang ni de selle au doigtier. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire montre une CRP à 63 mg/l et des plaquettes légèrement augmentées. Le reste du bilan biologique est aligné. Nous effectuons un CT scan abdominal triple contraste qui montre sténose en aval de l'anastomose grêlo-sigmoïdienne avec épaississement de la paroi, iléus d'aval, infiltration grêle en périphérie, ganglions agrandis, pas de fistules visualisées. Compatible avec une poussée de Crohn. Le Score de CDAI est à 255, correspondant à une poussée modérée. Monsieur Yerly est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Nous retenons le diagnostic de récidive de la maladie de Crohn et nous débutons un traitement par Entocort per os et Pentasa et effectuons des lavements par Asacol. Le taux de calprotectine dans les selles est mesuré à 506 µg/g. Sous le traitement introduit, l'évolution clinique est favorable avec disparition des hématochézies et des douleurs abdominales et reprise d'un transit habituel. Un rendez-vous ambulatoire en gastroentérologie est prévu à l'HFR Fribourg le 13.07.2018. Comme complication à la récidive de la maladie de Crohn, le patient présente une bactériémie à E. coli et Streptocoque du groupe Bovis le 14.06.2018. Sur avis de la Dr. X, infectiologue, nous introduisons une antibiothérapie par Tazobac du 15 au 16.06.2018, relais par Rocéphine et Flagyl jusqu'au 22.06.2018, puis passage per os par Avalox à poursuivre jusqu'au 29.06.2018 avec une évolution favorable (patient afébrile et syndrome inflammatoire à la baisse). Monsieur Yerly peut regagner son domicile le 23.06.2018. Nous recommandons un suivi gastroentérologique rapproché, la bactériémie s'étant produite suite à une décompensation de la maladie de Crohn. Monsieur Yerly consulte les urgences le 20.06.2018 suite à un traumatisme de la main droite. Plus précisément, vers 18h00 ce jour, une porte en métal se referme et écrase sa main droite. Il s'ensuit une plaie profonde au niveau de la face dorsale de la main droite d'environ 5 à 6 cm avec mise à jour du tendon des extenseurs, sans perte de sensibilité ou de mobilité des doigts. Le patient bénéficie d'un rappel antitétanique aux urgences, d'une couverture antibiotique prophylactique par Céfuroxime 1,5 g en dose unique iv. Il est conduit au bloc opératoire pour lavage, rinçage, débridement de la plaie et ostéosynthèse des 3ème, 4ème et 5ème métacarpiens de la main droite. Les suites postopératoires sont simples. Le membre supérieur droit est immobilisé dans une attelle d'Edimbourg. La réfection du pansement à J2 retrouve une plaie chirurgicale calme, propre et sèche. Le bilan radiologique postopératoire montre une ostéosynthèse tout à fait satisfaisante avec rétablissement de longueur et d'axe des métacarpes. Les douleurs postopératoires sont maîtrisées par une antalgie simple. En raison de l'évolution favorable, Monsieur Yerly peut regagner son domicile le 22.06.2018. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 26.06.2018 pour réfection du pansement et contrôle de la plaie. Des séances d'ergothérapie en ambulatoire seront également prescrites lors de cette consultation. Monsieur Yerly est hospitalisé par le service des urgences dans le contexte d'une pneumonie lobaire droite. Depuis quelques jours, le patient décrit une fatigue sans notion de fièvre ou d'autres signes infectieux. Suite à un repas la veille, il souffre d'une régurgitation nocturne avec probable fausse route et évolution d'une toux avec des crâchats jaunâtres. Il se présente aux urgences en raison d'une plaie du tibia à gauche suite à une contusion contre une porte de voiture. L'examen clinique montre un patient de 80 ans en état général stable avec une désaturation à 90 %, afébrile. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles fins à la base droite. Une plaie de 10 cm est présente sur la surface du tibia à gauche. Un syndrome inflammatoire est présent au laboratoire d'entrée. La radiographie du thorax confirme la présence d'une pneumonie lobaire droite. En raison d'une dépendance à l'oxygène et d'un index de CURB de 2 points, le patient est hospitalisé. La plaie tibiale est suturée aux urgences et un rappel anti-tétanique est effectué. Sur le plan infectieux, le patient bénéficie d'une antibiothérapie IV par Co-amoxicilline, avec relais per os dès le 01.06.18. L'antibiothérapie sera à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. L'évolution est rapidement favorable, avec un sevrage progressif de l'oxygénothérapie. Le patient bénéficie également de physiothérapie respiratoire et aérosols d'Atrovent et Ventolin, avec bon effet sur la symptomatologie. Selon l'évolution clinique, un CT thoracique serait à effectuer d'ici 3 mois, afin d'écarter l'éventualité d'une pathologie oncologique sous-jacente. Concernant la plaie tibiale, le suivi clinique est sans particularité. Les fils seront à enlever chez le médecin traitant. En raison d'une évolution clinique et biologique favorable, le patient peut rentrer à domicile le 01.06.18. A noter que durant son séjour, le patient présente quelques épisodes de crachats hémoptoïques, en nette diminution en fin d'hospitalisation selon le patient. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de persistance ou majoration de ces crachats hémoptoïques. A noter finalement que le patient a déjà un rendez-vous de prévu chez son médecin traitant le 05.06.18, avec contrôle clinique et adaptation du Sintrom. Monsieur Zapf est un patient de 55 ans, hospitalisé en électif pour la prise en charge d'une athérosclérose mixte dilatative et occlusive. Il bénéficie le 30.04.2018 de la mise en place d'une prothèse aortique bifurquée (aorto-fémoral gauche et aorto-bi-iliaque droit). L'intervention se complique d'une lésion iatrogène de l'intestin grêle probablement d'origine mécanique peropératoire, nécessitant une résection cunéiforme de l'intestin grêle. L'évolution postopératoire se complique par une insuffisance rénale aiguë, d'origine mixte (rhabdomyolyse et bas débit cardiaque), avec anasarque et une insuffisance respiratoire nécessitant une hémofiltration continue du 04.05.18 au 06.05.2018. L'évolution est par la suite favorable avec une normalisation de la fonction rénale.Le 13.05.2018, la patiente présente une éventration sur surinfection de la plaie de laparotomie ainsi qu'une surinfection de la plaie inguinale gauche nécessitant une reprise au bloc opératoire ainsi que la mise en place d'un laparostome et d'un VAC inguinal. Une reprise itérative au bloc opératoire pour réfection des VAC est effectuée. Un filet UltraPro est posé le 23.05.2018 au niveau du fascia abdominal, permettant un rapprochement progressif et finalement une fermeture du fascia le 08.06.20018. Une antibiothérapie est mise en place par Cefuroxime du 15.05 au 17.05.2018 avec relais par Céfépime du 17.05 au 19.05.2018 puis par Daptomycine du 19.05 au 15.06.2018. À noter, lors d'une révision du laparostome le 19.05.2018, la nécessité d'un massage cardiaque externe (<30 secondes) en raison d'une tachycardie à QRS larges à 160/min avec instabilité hémodynamique. Une surveillance de 24 heures aux soins intensifs se révèle sans particularité. Monsieur Zaugg, connu pour une cardiomyopathie dilatée et une fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Lixiana avec dose adaptée à la fonction rénale, est amené aux urgences en ambulance le 05.06.2018 pour suspicion d'embolie pulmonaire. En effet, le patient présente depuis la veille une dyspnée, en péjoration ce jour. Lors d'un contrôle à votre consultation ce matin, vous dosez les D-Dimères qui reviennent à 1700 ng/ml ainsi qu'un NT-proBNP à 2623 pg/ml. De plus, le patient est hypotendu et présente un malaise sans perte de connaissance. Pas de douleur rétrosternale ni de palpitations. Pas de toux, d'expectoration ni d'état fébrile, pas de prise pondérale (le patient se pèse tous les jours). À l'admission aux urgences, notons une cyanose centrale et périphérique. Monsieur Zaugg est hypertendu à 147/98 mmHg, normocarde à 78/min, afébrile et sature à 96% à l'air ambiant. Au statut cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers sans souffle audible. Pas d'œdème des membres inférieurs. Signe de Homans négatif des deux côtés. Les mollets sont souples et le ballant est conservé. Les pouls pédieux sont symétriques. Le statut pulmonaire montre un murmure vésiculaire symétrique avec des crépitations bibasales. Le reste du statut est dans la norme. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale chronique acutisée ainsi qu'une hyperkaliémie à 6,5 mmol/l. L'ECG montre un rythme électro-entrainé sur une fibrillation auriculaire de base à 73/min connue. Nous effectuons un CT scan thoracique qui confirme une embolie pulmonaire massive avec atteinte des 2 artères pulmonaires et presque toutes les branches et met également en évidence un infarctus du lobe moyen et inférieur droit. Monsieur Zaugg est hospitalisé en lit monitoré. Nous mettons en place un traitement par Liquemine iv continu avec des contrôles rapprochés du PTT. Le 06.06.2018, nous effectuons un relais par Eliquis 10 mg 2x/j pendant une semaine puis Eliquis 5 mg 2x/j. Nous effectuons un dosage du facteur anti Xa qui revient à 335 ng/ml. En littérature, il n'existe pas de valeur indicative sur la cible thérapeutique pour l'Apixaban, mais sur le plan de la pharmacocinétique, la valeur pic attendue pour 2 x 5 mg/jour est de 170 ng/ml. Vu que le patient reçoit 2 x 10 mg/j, on peut supposer que la valeur de 335 ng/ml est correcte en termes de pharmacocinétique, mais on ne peut pas préciser l'efficacité de l'anticoagulant en fonction de la valeur. En ce qui concerne l'hyperkaliémie, nous augmentons le Resonium à 15 g 2x/j avec une normalisation des valeurs au contrôle laboratoire du 06.06.2018. Durant le séjour, le patient bénéficie également de séances de physiothérapie de mobilisation. À noter que nous n'effectuons pas de modification de son traitement habituel pendant l'hospitalisation, mais nous vous proposons de réévaluer l'indication à l'arrêt de l'Aspirine cardio. L'évolution étant favorable, Monsieur Zaugg regagne son domicile le 12.06.2018. Monsieur Zosso, âgé de 77 ans, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une révision et changement de PTG D avec resurfacing de la rotule le 08.05.2018. Sur le plan social, le patient vit avec sa compagne. À l'admission, les paramètres sont dans la norme et le patient est hémodynamiquement stable. Le statut montre une force du quadriceps D à M2. Présence d'OMI au MID sans prise du godet jusqu'au genou, sans hématome. La marche est sécuritaire à l'aide de 2 cannes anglaises. Durant son séjour, il n'a pas présenté de problématique et les fils sont enlevés le 22.05.2018. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes en charge selon douleurs. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la main courante. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 90-5-5 en actif. La force est cotée à M3 au psoas et au quadriceps à droite. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Monsieur Zosso peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 27.05.2018, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Monsieur Zosso, connu pour les comorbidités susmentionnées, est admis aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique au décours d'une pneumonie à Pneumocystis jirovecii (PCP) confirmée par PCR. Dans un contexte d'une pneumopathie interstitielle commune et d'une polyarthrite séronégative, le patient était au bénéfice d'un traitement immunosuppresseur par Azarek, Xeljanz et Prednisone. Le 27.05.2018, il est hospitalisé en service de médecine pour dyspnée associée à une altération de l'état général. Une pneumopathie est diagnostiquée et une antibiothérapie par Rocéphine puis Levofloxacine est débutée afin de couvrir une éventuelle légionellose. Au vu de la suspicion de PCP, les traitements par Azarek et Xeljanz sont interrompus jusqu'au 08.06.2018 et un traitement par Bactrim associé à un traitement de Prednisone 1 mg/kg en schéma dégressif est établi à partir du 30.05.2018. En raison d'une péjoration aiguë de l'insuffisance respiratoire, le patient est transféré aux soins intensifs où il est intubé et ventilé le 02.06.2018. Une bronchoscopie réalisée le 04.06.2018 permet de confirmer une infection par Pneumocystis jirovecii. Devant une stagnation de l'état respiratoire et la persistance de l'hypoxémie, le traitement par Azathioprine est repris le 08.06.2018 pour traiter une probable acutisation de sa pneumopathie interstitielle commune. Devant une nouvelle péjoration de l'hypoxémie le 09.06.2018, un scanner thoracique est réalisé qui montre l'apparition d'un nouveau foyer à la base droite. Un lavage broncho-alvéolaire avec des prélèvements bactériologiques est réalisé et une antibiothérapie par Tienam et vancomycine est débutée. L'évolution, malheureusement, se fait vers une insuffisance respiratoire hypoxémique réfractaire aux différents traitements institués (antibiothérapie large spectre, ventilation protectrice, NO, décubitus ventral, corticothérapie). Devant cette évolution défavorable et devant l'impasse thérapeutique, après discussion collégiale avec les médecins consultants, nous décidons, en accord avec la famille, d'opérer un retrait thérapeutique. Les soins sont poursuivis sous forme de soins de confort. Le patient décède entouré par sa famille le 14.06.18 à 16h52. Monsieur Zosso, 80 ans, est admis en Stroke Unit monitorisée pour suspicion d'un AVC cérébelleux. Le patient présente le jour de son admission, de manière brutale, une sensation vertigineuse de type tangage n'étant pas soulagée par l'alitement, associée à des céphalées et des nausées. Après une prise en charge aux urgences de Tavel, le patient est transféré aux urgences de Fribourg où un CT cérébral est effectué et ne montre pas de signe d'ischémie aiguë.Le bilan est complété par une IRM revenant sans particularité, hormis des séquelles d'anciens AVC. Après avis neurologique, la piste ischémique est raisonnablement exclue. L'origine des vertiges serait plutôt due à un état confusionnel possiblement sur un globe vésical. En effet, à l'arrivée aux urgences, une rétention urinaire aiguë est mise en évidence nécessitant la pose d'une sonde vésicale. Les vertiges s'amendent lors de la surveillance et l'évolution est rapidement favorable. À noter que le Plavix peut être arrêté en l'absence de bénéfices avérés, après discussion avec nos collègues neurologues. Lors du sondage, une hématurie macroscopique traumatique est objectivée. Des rinçages manuels réguliers permettent un éclaircissement des urines. Nous proposons une ablation de sonde dès le 05.06.2018. Le patient est transféré à Tavel pour suite de prise en charge. Mr. Zufferey est un patient de 24 ans, qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. Le bilan met en évidence une appendicite. Il bénéficie donc d'une appendicectomie par laparoscopie. L'intervention se passe bien et les suites post-opératoires sont simples. Le patient rentre à domicile le 17.06.2018. Mr. Zurich, un patient de 87 ans connu pour une hypertension artérielle, un diabète de type II non insulino-requérant, une cardiopathie ischémique et dysrythmique sous Sintrom et un adénocarcinome de la prostate avec s/p TURP en 1995 et 2011, est admis le 06.06.2018 pour une récidive d'hématurie macroscopique avec des douleurs abdominales suspubiennes non-irradiantes depuis deux jours, ayant eu un autre épisode il y a deux semaines. À l'admission, nous objectivons des oedèmes des membres inférieurs discrets, des râles pulmonaires bibasaux légers, et une sensibilité à la palpation de la région sus-pubienne. Avec une filtration glomérulaire estimée à 18 ml/min, une péjoration d'insuffisance rénale chronique est mise en évidence, d'origine probablement post-rénale avec une composante pré-rénale (FeUrée 26%). L'ultrason et un CT des voies urinaires montrent une dilatation pyélocalicielle bilatérale et une masse prostatique bourgeonnant dans la vessie avec possible infiltration des jonctions urétéro-vésicales pouvant être la cause d'une obstruction. Une infection urinaire est exclue dans le sédiment urinaire. Nous plaçons une sonde vésicale à 3 voies avec rinçages manuels, et administrons Beriplex et Konakion en vue d'aider à l'hémostase. Le patient reçoit 1 concentré érythrocytaire le jour de l'arrivée. Suite à l'installation de la sonde vésicale, nous observons des valeurs de créatinine à la baisse, se stabilisant autour de 217 umol/l et une normalisation de la couleur des urines. Un bilan d'extension est effectué, montrant une PSA à 122 ng/ml, compatible avec une récidive tumorale. Des métastases osseuses sont exclues à la scintigraphie osseuse. Suite à la présentation du patient au tumor board le 14.06.2018, nous débutons un traitement antiandrogène avec Casodex (Bicalutamide) 50 mg 1-0-0-0 pendant 5 jours, et ensuite 50 mg tous les deux jours. Un rendez-vous avec l'urologue traitant, Dr. X, est prévu le 02.07.2018 pour discuter du projet thérapeutique (castration chimique vs. chirurgicale). La sonde vésicale est laissée en place jusqu'au rendez-vous urologique avec soins à domicile 1x/jour. En raison de l'insuffisance rénale, Lisinopril et Januvia sont actuellement suspendus. Le patient présentait des glycémies autour de 6 mmol/l en absence de thérapie d'insuline ou d'antidiabétiques oraux. Nous laissons au médecin traitant le soin de représcrire le Lisinopril et le Januvia selon l'évolution. Une hyperkaliémie asymptomatique à l'entrée est traitée avec une solution Actrapid/glucose aux urgences, et du Résonium pendant 3 jours, entraînant une normalisation des valeurs. En raison de l'hématurie, nous suspendons Sintrom, et assurons l'anticoagulation prophylactique avec Héparine du 13.06.2018 au 18.06.2018. Une diminution du risque d'hématurie peut être attendue suite à l'introduction du traitement anti-androgène. Toutefois, nous maintenons la suspension du Sintrom à la sortie du patient, et demandons au médecin traitant de reprendre l'anticoagulation dans les semaines suivantes. Mr. Gilbert rentre à domicile avec l'aide des soins à domicile le 18.06.2018. Monsieur, Je suis donc depuis avril 2018 le patient susnommé. Il s'agit d'un patient que vous connaissez qui a un diabète de type II insulino-dépendant ainsi qu'une insuffisance artérielle stade II A ddc. Il est suivi à ma consultation dans un contexte d'ulcère chronique de la face interne de son calcanéum gauche. L'évolution locale est peu favorable. On n'a néanmoins pas de contact osseux avec un tissu de granulation débutant. Pour ma part, la présentation clinique de ce patient m'inquiète suffisamment pour vous demander un nouveau bilan artériel. En effet, à l'examen clinique, on remarque un retard capillaire important au niveau de tous ses orteils avec des signes de claudication de son avant-pied survenant à environ 200 mètres de marche, ainsi que nocturnes. Tout ceci me fait évoquer une occlusion au niveau de son arcade plantaire, en tout cas raison pour laquelle je me permets de vous l'adresser pour un nouvel examen angiologique puisque ce patient est probablement un candidat à un geste vasculaire. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Monsieur, mes meilleures salutations. Monuril Monuril débuté le 17.06.18. Monuril en monodose (premier épisode) Uvamin (deuxième épisode) stoppée après 4 jours en raison d'une culture négative Culture d'urine le 24.05.2018 Monuril 1 dose le 28.05.2018 Monuril 3 g Morphin à titré Voltaren 50mg p.o., 75mg iv. Sirdalud 2mg Morphine à titrer. Voltaren 50 mg per os, 75 mg iv. Sirdalud 2 mg. Majoration de l'antalgie avec Targin. Retour à domicile. Le patient prendra contact avec le Dr. X pour discuter de la suite de prise en charge. Morphine en réserve, puis fixe Physiothérapie Ergothérapie Morphine po 2mg et R Poursuite du Dafalgan Morphine 2 mg 3x. Primpéran 10 mg aux urgences. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax et abdomen : décrite ci-dessous. Avis du chirurgien de garde, le Dr. X. Morphine 6 mg iv au total. Retour à domicile avec traitement antalgique et conseil de remusculation du dos. Instruction au patient de reconsulter si péjoration des symptômes. Morsure. Morsure. Morsure.Morsure. Morsure canine de la main droite le 27.06.2018 Morsure chien Morsure de chat en regard de P1 du pouce D le 11.06.2018 Morsure de chien. Morsure de chien au niveau de la cheville droite Morsure de chien au niveau du 2ème doigt de la main droite Morsure de chien avec plaie sous l'arcade sourcilière gauche et plaie frontale. Morsure de chien dans la région de la première phalange dorsale du pouce droit et mollet droit. Morsure de chien dans la région de la 1è phalange dorsale du pouce droit et mollet droit. Morsure de chien dans la région de P1 dorsal du pouce droit et du mollet D. Morsure de chien le 04.06.2018 avec : • plaie punctiforme de 3mm de profondeur non transfixiante sur la joue droite, • plaie punctiforme de 1mm de profondeur au niveau sous-mentonnier droit. Morsure de chien main droite Morsure de chien mollet droit. Morsure de chien sur la fesse gauche le 09.06.2018. Morsure de chien sur la fesse gauche le 09.08.2018. Morsure de lézard (Pogona). Morsure de singe. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique. Morsure de tique à la malléole interne de la cheville gauche. Morsure de tique au niveau de la fosse lombaire droite. Morsure de tique au niveau du creux axillaire droit. Morsure de tique avec tique en place. Morsure de tique creux poplité droit. Morsure de tique le 08.06.2018. Morsure de tique le 28.05.2018. Morsure du pouce gauche par insecte. Morsure du pouce gauche par un insecte. Morsures. Morsures de chat sur avant-bras gauche, face dorsale le 11.06.2018 Mort cérébrale sur encéphalopathie anoxique sévère après arrêt cardio-respiratoire Mort foetale in utero pré-partum de jumeau 1 d'origine indéterminée Mort in utero à 22 3/7 SA avec chorioamnionite débutante après rupture prématurée des membranes à 21 4/7 SA. Réaction cutanée après piqûre d'insecte (genou-cuisse G et creux poplité D). Fracture ouverte à la base du 2ème métacarpe le 01.02.2016 : • plaie de 2 cm en regard de l'interphalangienne proximale du 2ème doigt, face ventrale, à droite. Motilium 10mg sublingual Zofran 4mg per os Hallpike manoeuver im Permanence ohne deutliche Verbesserung Verlegt nach Inselspital mit Ambulanz Motivation à hydratation per os, hydratation IV 1'000mL/24h du 25.04.-26.04.18 Electrophorèse des protéines avec immunofixation : Présence d'une zone de chaînes légères libres kappa à la limite du seuil de sensibilité, à suivre à distance. Avis néphrologique (27.04.18) : effectuer analyses laboratoire : électrolytes complets, osmolarité plasmatique, • Sédiment urinaire : protéinurie et leucocyturie • Gazométrie veineuse : pH 7.21, HCO3- : -14, Acidose métabolique partiellement compensée • US rénal : Diminution de la dilatation pyélique comparé à la dernière hospitalisation. • Récolte d'urine de 24h et suivi de la diurèse (impossible au vu de l'incontinence de la patiente) • Mise en suspend des médicaments néphrotoxiques : Metamizol (Novalgine), Pantoprazol • Absence de critères de dialyse en urgence : (kaliémie, acidose, hypervolémie/OAP) Mouvements aspécifiques Mouvements présentés ne semblent pas être de type convulsif. Proposition de RAD avec en cas de récidive filmer les mouvements et de reconsulter Movicol movicol junior Movicol Junior 2 sachets /jours pendant 7 jours Movicol Junior 1 sachet /jour pendant 3 jours Movicol junior Dafalgan/Brufen en réserve Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si persistance des douleurs Reconsulter avant aux urgences si péjoration des symptômes Movicol sachet 1x/j Novalgin 1g 3x/j en réserve selon douleurs Movicol sachet 1-4 sachet/j pendant 5 jours Movicol 1 sachet/jour Movicol 1/jour Procto Synalar+ Movicol 2x d'office Sirop de figue en réserve Proposer lavement si pas de selles Mr. Y est un patient de 91 ans connu pour une maladie de Parkinson traitée par Madopar, une maladie bitronculaire avec pontage aorto-coronarien en 2000, qui nous est transféré de l'Inselspital pour surveillance neurologique et suite de prise en charge après un épisode de dysarthrie. Pour rappel, un IRM n'a pas montré d'ischémie nouvelle ou d'hémorragie. Cette symptomatique s'était déjà manifestée auparavant dans le cadre d'une crise de panique et un diagnostic de nouvelle crise de panique DD TIA a été retenu. A l'entrée, le patient se plaint de dysarthrie mais déjà améliorée par rapport en début de symptomatique, une constipation avec dernières selles il y a 3 jours ainsi qu'une légère dysurie nouvelle. Au statut, les bruits cardiaques sont bradycardes mais réguliers avec souffle systolique 4/6, les pouls périphériques ne sont pas palpés aux MI, absence d'œdèmes des membres inférieurs. Au niveau abdominal, une masse est palpable (coprostatase) dans le cadran inférieur gauche, la palpation est légèrement douloureuse dans le bas ventre, pas de défense ni détente et les loges rénales indolores à la frappe. A la neurologie, un tremblement d'action léger aux extrémités supérieures et une dysarthrie modérée. Réflexes symétriques (PSR et ASR absents ; BSR hypovifs). Au niveau de la dysarthrie et des tremblements, Monsieur Y remarque lui-même une amélioration spontanée. Nous mettons à posterior l'épisode aigu dans le cadre d'un possible oubli médicamenteux à domicile, et maintenons les doses de Madopar telles quelles, en adaptant seulement les heures de prise en dehors des repas. Des tremblements persistent au membre supérieur droit, comme auparavant. Nous n'observons aucun autre symptôme neurologique durant l'hospitalisation en médecine. Des douleurs au genou gauche, dans le cadre d'une arthrose sévère avec st.p. prothèse, sont en partie soulagées par traitement anti-inflammatoire topique. Une consultation en orthopédie chez le Dr. X au Sonnenhof le 19.06.2018 à 15h a lieu pour discuter des risques et bénéfices d'un remplacement de la prothèse existante à distance, au vu de la sténose aortique sévère. Au niveau de la dysurie, un sédiment urinaire revient négatif. Un contrôle laboratoire montre une péjoration très légère de la fonction rénale chroniquement diminuée au stade KDIGO G3. Après stimulation à l'hydratation, les valeurs de créatinine se stabilisent. Au niveau de la mobilité, un déconditionnement avec troubles de la marche et de l'équilibre est observé dans le cadre d'une gonathrose bilatérale douloureuse à gauche, avec st.p. prothèse ddc, ainsi que d'une sténose aortique sévère. Nous proposons une réadaptation gériatrique dans notre service à Meyriez afin d'améliorer la marche et de permettre un retour à la maison sécuritaire. Monsieur Y peut être transféré en gériatrie le 19.06.2018 en bon état général. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire d'une laparotomie exploratrice au vu d'une dérivation bilio-digestive dans un contexte d'une tumeur de la tête du pancréas. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une lésion de la tête du pancréas depuis 2016 dont l'étiologie précise n'avait jamais prouvé provoquant des multiples cholangites malgré des stents cholédociens changés à plusieurs reprises. Malgré un risque d'anesthésie élevé en raison d'une pneumopathie oxygénodépendante à domicile avec une HTAP importante, la décision était prise d'effectuer une dérivation bilio-digestive par laparotomie afin de mieux juguler les cholangites à répétition. Le statut peropératoire montre des multiples lésions hépatiques à caractère tumoral selon les prélèvements extemporanés a priori métastatiques d'une tumeur de la tête du pancréas, l'intervention prévue ne peut pas être effectuée. Le patient est transféré intubé aux soins intensifs pour le réveil et la surveillance post-opératoire.Le patient est rapidement extubé sans problème respiratoire, il est hémodynamiquement stable après un remplissage vasculaire. Pour l'antalgie, il est bien couvert par la péridurale thoracique. Les explications sur le déroulement de l'intervention sont rapidement fournies au patient par le Dr. X de chirurgie. L'analyse pathologique finale reste à pister. Après 6h de surveillance post-opératoire, le patient est transféré en chirurgie pour suite de prise en charge. Mr. Y est réadmis aux soins intensifs le 15.06.2018 pour une insuffisance respiratoire aigue globale. Pour rappel, le patient est hospitalisé depuis début mai pour un sepsis à Staphylococcus Agalacticae. Son séjour se complique par une insuffisance rénale aigue avec un facteur cardiorénal, nécessitant une dialyse intermittante. La nuit du 15.06.2018, le patient présente une récidive d'insuffisance respiratoire aigue sur décompensation cardiaque. La radiographie de thorax permet d'exclure un foyer infectieux et confirme une surcharge volémique. Pour des problèmes de dysfonctionnement du catheter de dialyse, de dyspnée et d'instabilité hémodynamique pendant les séances d'épuration extra rénale, une déplétion suffisante n'a pas été possible. L'évolution est favorable après plusieurs séances de VNI et une hémodiafiltration en continue du 15.06.2018 au 18.06.2018 avec une déplétion optimale. Après discussion avec nos collègues néphrologues, nous stoppons l'hémodiafiltration continue le 18.06.2018 avec un relais par dialyse intermittente. Cette dernière est effectuée le 20.06.2018 sans complications. Au vu du dysfonctionnement du catheter de dialyse, la pose d'un permacath est organisée pour le 21.06.2018. Sur le plan cardiaque, l'échographie retrouve une FEVG à 53%, une insuffisance mitrale modérée, et tricuspidienne sévère, ainsi qu'une HTAP sévère. Une nouvelle échographie le 19.06.2018 montre une amélioration de l'insuffisance tricuspidienne, qui était probablement aggravée dans le contexte de surcharge. Les collègues de cardiologie proposent d'effectuer une coronarographie avec cathétérisme droit-gauche pour bilanter l'insuffisance cardiaque. En cas de HTAP post capillaire seule, un mitraclip pourrait être discuté. À noter une récidive de colite à clostridium le 18.06.2018 après un traitement par Metronidazole de 10 jours jusqu'au 16.06.2018, ce qui motive l'introduction de la Vancomycine PO, à poursuivre pour 15 jours. Concernant l'attitude générale, le patient se prononce clairement contre une intubation et une réanimation cardiaque. Une reprise aux soins intensifs pour de la VNI est envisageable. Si la dialyse avec le nouveau catheter n'est toujours pas efficace, les limites de nos thérapies sont à rediscuter avec le patient. À noter qu'il refuse toute chirurgie cardiaque ou aortique (anévrisme thoraco-abdominal). Au vu de la bonne évolution, le patient est transféré en médecine le 20.06.2018. Mr. Y, 46 ans, admis aux soins intensifs pour une décompensation diabétique hyperosmolaire inaugurale le 24.06.18. Il est connu pour un carcinome urothélial opéré avec un Briquer, en rémission, qui consulte suite à une polydipsie et polyurie depuis plusieurs jours associées à des douleurs thoraciques oppressives intermittentes, irradiant parfois dans l'épaule G. Une glycémie capillaire à 63.7 mmol/l est mesurée aux urgences et traitée par insulinothérapie iv continue aux soins intensifs avec supplémentation électrolytique. Un avis diabétologique est effectué le 26.06.18 avant son transfert à l'étage de médecine interne. Concernant ses douleurs thoraciques, les marqueurs biologiques sont négatifs avec des ondes T inversées dans les territoires latéral et inférieur. Le patient reçoit une charge en aspirine et anticoagulation thérapeutique par héparine. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas d'hypokinésie. Sur avis du Dr. X, au vu de la cinétique de troponine rassurante, une indication à une coronarographie n'est pas retrouvée actuellement. Un test d'effort sera à organiser en ambulatoire à distance de l'évènement aigu. De plus, au vu de la dilatation de l'aorte ascendante à 43 mm, un contrôle par échocardiographie +/- CT scanner sera à prévoir dans 1 an. Le patient est transféré en médecine interne le 26.06.18. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une tumorectomie et reconstruction par lambeau d'un carcinome épidermoïde du plancher buccal. Le patient, connu pour une hypothyroïdie substituée et un carcinome épidermoïde du plancher buccal diagnostiqué en 2001, traité par chirurgie/chimio/radiothérapie, est admis en post-opératoire d'une tumorectomie, exérèse de la mandibule, évidement ganglionnaire cervical, pose d'un implant, reconstruction par lambeau pectoral G et trachéotomie en raison d'une récidive de son carcinome. L'intervention se déroule sans complication per-opératoire avec des pertes sanguines non significatives. À noter une intubation difficile Cormack IV avec une petite ouverture de bouche. À l'arrivée aux soins, le patient est non sédaté, hémodynamiquement stable sans soutien aminergique. Le patient est initialement soulagé grâce à une titration de morphine IV, rapidement relayée par un traitement Per OS : paracétamol et oxynorm. Hormis une hyponatrémie hypo-osmolaire dont les investigations sont à poursuivre, l'évolution est sans particularité (notamment l'Hémoglobine qui reste stable) permettant un transfert en division d'ORL. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un AVC ischémique occipital gauche et possiblement frontal droit. Le patient présente la veille de son admission, un flou visuel prédominant à droite associé à des céphalées de l'hémicrâne gauche d'intensité modérée motivant une consultation chez l'ophtalmologue qui le réfère immédiatement aux urgences. L'examen initial met en évidence un NIHSS à 2 avec une quadranopsie inférieure droite et une parésie faciale droite mineure. Le scanner cérébral confirme la présence d'un AVC constitué occipital gauche et possiblement frontal droit. La surveillance aux soins intensifs s'avère sans particularité. Une double anti-agrégation est débutée associée à un traitement par statine. Une IRM cérébrale est demandée. Dans le cadre du bilan étiologique, on met en évidence un diabète de type II avec une HbA1c à 6.7%. Un suivi diabétologique est à initier. Une échocardiographie transthoracique, un Holter et un Doppler des vaisseaux pré-cérébraux et transcrâniens sont demandés. D'entente avec nos collègues neurologues, le patient est transféré en division de médecine interne le 21.06.2018. Mr. Y nous est adressé le 04.06.2018 par le Dr. X, qui l'a vu en consultation le jour même et a réalisé un ENMG. Le patient souffre de paresthésies en fourmillements dans les mains et les pieds, de myalgies crampiformes et d'une faiblesse musculaire aux quatre membres, toutes apparues brutalement au réveil le 01.06.2018. Il rapporte plusieurs cas de sclérose en plaques dans la famille. Au status neurologique, on constate de plus une hyporéflexie, possiblement constitutionnelle. De concert avec le Dr. X, nous procédons à la réalisation de sérologies, d'une ponction lombaire et d'une IRM cérébro-cervicale, qui ne livrent aucune cause évidente à la symptomatologie. Un second ENMG par le Dr. X s'avère à nouveau parfaitement normal. L'étiologie des troubles neurologiques reste non élucidée, une virose n'étant pas exclue (neutro- et lymphopénie à l'entrée, légère élévation de la CRP). Le 06.06.2018, les symptômes commencent spontanément à régresser. Une consultation psychiatrique est proposée au patient vu sa situation psychosociale difficile des deux dernières années, ce que celui-ci accepte.Un traitement d'épreuve de dexaméthasone est introduit le 07.06.2018. Notre collègue de la psychiatrie de liaison suspecte un trouble dissociatif mixte et propose un suivi ambulatoire au patient. Celui-ci prendra lui-même contact avec le CPS. Nous présentons le cas au Dr. X, qui reverra le patient pour juger de l'évolution et explorer la piste de l'éventuel trouble dissociatif. Mr. Y sort le 08.06.2018 en état général conservé. Mr. Y, 59 ans, admis aux soins intensifs pour suspicion d'AVC. Ressortissant italien, il est connu pour une cardiopathie valvulaire avec deux valves mécaniques, mitrale et aortique, anticoagulé par warfarine. Lors d'un effort, il présente l'apparition d'un hémisyndrome brachial gauche avec une fatigue et de légers troubles de l'équilibre ainsi que phasiques. Il se rend chez son fils et constate également un trouble de la déglutition. À l'arrivée des ambulanciers, son NIHSS est à 4 et se maintient à l'arrivée aux urgences avec persistance d'une parésie faciale du quadrant inférieur gauche, une hypoesthésie et fine parésie M4 du membre supérieur gauche, associée à une ataxie du membre supérieur gauche. Aucune ischémie ou hémorragie intra-axiale n'est constatée au bilan scannographique initial, seule une sténose carotidienne droite est découverte. La surveillance neurologique reste sans particularités avec une amélioration de sa symptomatologie. Le NIHSS à la sortie est à 2. À noter la présence d'une hyper-réflexie avec extension de la zone réflexogène au niveau des membres supérieurs. Une IRM cérébrale avec des coupes au niveau de la colonne cervicale est demandée à la recherche d'une éventuelle myélopathie. Le bilan lipidique et sucré semble être stable. Le traitement par Aspirine et Atorvastatine ainsi que l'anticoagulation thérapeutique sont à poursuivre. Concernant son bloc atrio-ventriculaire du 3ème degré avec rythme d'échappement jonctionnel, un avis cardiologique est demandé pour le 11.06.18. Le patient n'a jamais présenté de syncope ni de lipothymie. Un anévrisme de la crosse de l'aorte de 45 mm est découvert fortuitement le 09.06.18. Un avis de chirurgie vasculaire est à demander. Sur avis du Dr. X, le patient est transféré en unité non-monitorée le 10.06.18. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aiguë dans un contexte de pneumonie bi-lobaire droite. Le patient, connu pour une BPCO récemment diagnostiquée de stade IV (sur spirométrie sans recours aux examens fonctionnels respiratoires), présente une dyspnée en péjoration depuis 48 h. Il est amené en SMUR aux urgences en détresse respiratoire. Le diagnostic d'insuffisance respiratoire globale aiguë sur pneumonie bi-lobaire droite est retenu. L'évolution est favorable aux soins intensifs sous VNI, Pipéracilline-Tazobactam puis Co-Amoxicilline et Prednisone, permettant un transfert en médecine. Nous rendons attentifs nos collègues du service de médecine sur le fait que le patient s'automédique depuis 3 mois par Prednisone 20 mg 1 x/j. Un sevrage progressif devra être envisagé. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour œdème aigu du poumon sur pic hypertensif dans un contexte d'arrêt de son traitement médicamenteux et d'écart de régime. Le patient se plaint depuis plusieurs jours d'une dyspnée progressive associée à une orthopnée. Il consulte aux urgences en raison d'une dyspnée paroxystique nocturne. Le bilan initial met en évidence un pic hypertensif (PAS à > 210 mmHg) associé à un œdème aigu du poumon. L'évolution est favorable sous VNI et optimisation du traitement anti-hypertenseur. L'origine de la décompensation est attribuée à un arrêt du traitement habituel depuis 01 mois et à un écart de régime. Une cardiopathie ischémique sous-jacente n'est pas écartée au vu de la dysfonction ventriculaire gauche et des troubles de la répolarisation à l'ECG. Un avis cardiologique est demandé pour planifier une coronarographie. Concernant l'insuffisance rénale terminale, un nouvel avis néphrologique est demandé au vu de la nécessité d'une coronarographie. La dialyse qui avait été refusée par le patient en février 2018 est actuellement acceptée. Un bilan vasculaire des accès de dialyse est en attente. Une anémie d'origine probablement rénale en péjoration est mise en évidence. Une origine multifactorielle n'est pas exclue, raison pour laquelle un bilan est initié. L'administration d'EPO sera à réévaluer avec les collègues de néphrologie. Un suivi biologique rapproché est suggéré. Le patient présente une dysphonie attribuée à une paralysie de la corde vocale gauche. Une consultation chez le Phoniatre, Dr. X, en février 2018 avait attribué la parésie à une origine traumatique post-intubation. Au vu de la persistance de la dysphonie, un avis ORL est à demander. Le patient est transféré en division de médecine interne le 21.06.2018. Mr. Y, 64 ans, est admis aux soins intensifs pour une détresse respiratoire avec insuffisance respiratoire globale aiguë. Le patient, connu notamment pour un carcinome ORL traité par radio-chimiothérapie et panendoscopie, un syndrome de Korsakoff et un tabagisme actif (140 UPA), a été hospitalisé le 01.06 à l'HFR Riaz pour pneumonie communautaire. Le patient décrit une BEG avec dyspnée et EF depuis quelques jours. Au vu de la péjoration des paramètres respiratoires malgré la VNI à Riaz, le patient est intubé (Cormack I, cordes vocales bien visualisées mais pharynx rigide, remanié) puis transféré aux SI. Le patient est initialement traité par Co-Amoxicilline pour une pneumonie communautaire. En raison d'AG urinaires positifs pour le Legionelle, le traitement antibiotique est adapté pour du Tavanic pendant 14 jours. La déclaration de Legionelle auprès du médecin cantonal a été faite le 03.06.2018. L'évolution est favorable, permettant une extubation avec relais par VNI le 03.06.2018. À noter qu'en raison du carcinome ORL, le patient est nourri par une PEG. Il s'alimente en partie PO avec des fausses routes connues à domicile. Après évaluation ORL, devant un œdème laryngé diffus avec hypo-mobilité arythénoïde gauche connu dans le contexte post-actinique, il est préconisé une alimentation uniquement par la PEG. Dans le contexte de dénutrition, des troubles électrolytiques mineurs sont substitués, IV puis per os. Enfin, il apparaît possiblement un contexte social difficile, lequel est à préciser auprès du médecin traitant du patient. Monsieur Y est transféré en médecine le 08.06.2018 pour suite de prise en charge. Mr. Y, 81 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 10.06.2018 pour surveillance neurologique après lyse par Alteplase d'un AVC sylvien gauche. En bonne santé habituelle, il présente une confusion soudaine avec hémisyndrome moteur à droite et aphasie. Le bilan initial scannographique met en évidence un AVC sylvien gauche avec obstruction complète de M2. Sur avis neurologique du Dr. X, une lyse par Alteplase est réalisée à 14h17 et permet une amélioration de la symptomatologie avec persistance d'une parésie facio-brachiale droite, ataxie, aphasie et dysarthrie. Il est transféré aux soins intensifs pour surveillance neurologique. À son arrivée, le NIHSS s'améliore rapidement avec persistance initiale des troubles du langage et ataxie. Un CT de contrôle effectué à 24 h ne montre pas d'hémorragie et visualise bien la lésion pariéto-temporale gauche en voie de constitution. L'IRM du 11.06.18 montre un AVC sylvien superficiel profond. Le 12.06.2018, le patient s'améliore cliniquement et présente à sa sortie un NIHSS à 0.Une fibrillation auriculaire intermittente est constatée aux urgences avec passage en sinusal avec quelques extrasystoles auriculaires. Une ETT effectuée le 11.06.2018 montre une FEVG à 61%, une petite IA et petite IM (1/4). Le test de déglutition est normal le 11.06.2018 ce qui permet la reprise d'une alimentation normale. Une anticoagulation par Eliquis sera débutée après reconfirmation par les neurologues à partir du 12.06.2018. Le patient est transféré en neurologie le 12.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 73 ans, est admis aux soins intensifs suite à une cure d'anévrisme aortique infra-rénale de 54 mm. Le patient, connu pour un diabète de type II non insulino requérant, une artériopathie des MI et une cardiopathie bitronculaire, a bénéficié d'une cure d'anévrisme aortique infra-rénale le 12.06.2018 avec mise en place d'un tube droit et d'un manchon externe de renforcement juxta-rénal. Le temps de clampage infra-rénal est de 45 minutes. Les pertes sanguines sont estimées à 800 ml. En raison de la durée opératoire et du soutien aminergique nécessaire à la fin de l'intervention, le patient est transféré intubé aux soins intensifs. Il peut être extubé rapidement après son arrivée avec un relais par ventilation non invasive qui se passe bien. Les amines sont rapidement sevrées après l'extubation. Une thérapie anti-hypertensive par patch de TNT est introduite le 13.06.2018, afin de garantir une tension artérielle systolique en dessous de la cible de 120 mmHg. En raison d'une oligurie, le patient bénéficie d'un remplissage vasculaire par cristalloïde de trois litres durant le séjour. Malgré ce remplissage, les diurèses restent faibles. Le contrôle tensionnel strict dans le contexte péri opératoire, chez un patient habituellement hypertendu, est probablement la raison de cette oligurie. La créatinine sérique est par contre normale. Un contrôle est prévu le 14.06.2018. Le cathéter de péridurale assure une antalgie optimale de la zone opératoire. Une douleur à l'épaule droite, probablement dans le contexte du positionnement sur la table d'opération, est traitée par simple antalgie et physiothérapie. Si la douleur devait persister, nous vous prions de l'investiguer. Mr. Y, 79 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë sur œdème aigu du poumon (OAP) le 21.06.2018. Le patient est connu pour une cardiopathie d'origine indéterminée avec multiples épisodes d'OAP depuis 2010, une insuffisance rénale chronique, une probable BPCO non stadée et une polyarthrite rhumatoïde traitée par Prednisone. Il s'est présenté aux urgences de l'HFR Tavel pour une dyspnée en péjoration depuis quelques jours. Une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur OAP est mise en évidence. Malgré un traitement diurétique et de ventilation non invasive, l'hypoxémie est persistante motivant le transfert aux soins intensifs. L'insuffisance respiratoire aiguë évolue favorablement sous ventilation non invasive intermittente et Furosemide iv. Une échocardiographie montre une cardiopathie dilatée avec une diminution de la fonction ventriculaire gauche stable (FE à 30 %). Une élévation de la troponine à 650 ng/l a été constatée, mais sans douleur thoracique. Une coronarographie est prévue pour le 25.06.2018. Un avis urologique devrait être obtenu au préalable. L'insuffisance rénale aiguë est d'origine plurifactorielle, cardio-rénale et post-rénale. Un ultrason des voies urinaires a mis en évidence une hydronéphrose droite avec dilatation urétérale jusqu'à la jonction vésicale ainsi que de volumineux caillots sanguins intra-vésicaux. Une tumeur de la vessie n'est pas exclue. Un contact est à prendre avec les collègues de l'urologie afin de déterminer la suite de la prise en charge. Une anémie normocytaire hypochrome est probablement secondaire à l'hématurie chronique. Celle-ci comporte une composante chronique traitée par Maltofer. Un bilan carentiel est à prévoir. Au moment du transfert, le patient est stable sur le plan respiratoire, avec une oxygénothérapie à 28 %. Le statut neurologique est dans la norme. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une hémorragie cérébelleuse dans le contexte d'une anticoagulation supra thérapeutique sous Sintrom pour une AOMI. Il est connu pour une cardiopathie ischémique, avec un pontage aorto coronarien en 2007 et une AOMI avec pontage fémoro-poplité gauche par prothèse omniflow en 2016. Le 24.06.2018, il est hospitalisé en médecine interne à Riaz pour des épisodes d'hématémèses et une perte pondérale de 12 kg en 12 mois. L'insuffisance rénale connue est en péjoration. L'INR est supra thérapeutique motivant la mise en suspens du Sintrom. Le 25.06.2018, le patient présente une dysarthrie. Le CT cérébral identifie un volumineux hématome cérébelleux avec œdème associé, ainsi qu'un début d'engagement amygdalien. Sur avis neurochirurgical, l'indication à une craniotomie est posée. Le patient est transféré dans notre service le 26.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Le 27.06.18, l'hématome est drainé. Une lésion suspecte, possiblement à l'origine de l'hémorragie, est également mise en évidence et réséquée dans le même temps. Le résultat histopathologique est en cours. Le scanner de contrôle postopératoire montre un pneumencéphale avec diminution de l'hématome intra-cérébelleux et disparition de l'engagement amygdalien. L'évolution neurologique est favorable avec toutefois une légère dysarthrie et ataxie résiduelles. La crase est corrigée. Une anticoagulation prophylactique sera à rediscuter dès le 02.07.2018 selon l'évolution clinique. Une perte de poids associée à des douleurs abdominales depuis l'automne dernier a motivé un bilan ambulatoire par le médecin traitant, dont une colonoscopie en 2017 et une IRM abdominale en début d'année, les deux sans particularités. Nous complétons le bilan par un scanner thoraco-abdominal non injecté en raison de l'insuffisance rénale. Celui-ci ne montre pas de lésion suspecte. Au vu des hématémèses, le bilan sera à compléter par une gastroscopie. Le patient est transféré dans le service de chirurgie le 29.06.2018 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est admis aux soins intensifs en raison d'une oligo-anurie secondaire à une hémorragie post-opératoire et à une rhabdomyolyse dans les suites d'un accident de la voie publique, vélo contre moto. Le patient se fait renverser par une moto alors qu'il roulait à vélo le 21.06.2018. Une prise en charge initiale se fait aux urgences de Riaz où le bilan initial met en évidence une fracture du cotyle gauche, une fracture de la glène gauche, une fracture de la main gauche ainsi qu'une plaie du genou gauche avec bursotomie. Une fracture luxation coxo-fémorale gauche avec atteinte multi-fragmentaire déplacée du pilier postérieur du cotyle nécessite une intervention chirurgicale le 22.06.2018. C'est dans les suites opératoires qu'une baisse de l'hémoglobine est mise en évidence en association avec une insuffisance rénale oligo-anurique motivant un transfert aux soins intensifs. Un culot érythrocytaire est administré en association avec une expansion volémique. Le CT scan post-opératoire met en évidence un hématome rétro-péritonéal sans signe de saignement actif. Les contrôles de l'hémoglobine restent stables. L'insuffisance rénale est mise sur le compte de l'hypovolémie et dans un contexte de rhabdomyolyse. Suite à une hydratation associée à une alcalinisation des urines, le patient reprend une diurèse et la fonction rénale se normalise. Des suites de l'AVP, le patient présente une fracture de la glène gauche qui est immobilisée dans un gilet orthopédique avec une prise en charge chirurgicale qui se fera dans un second temps, il présente une fracture de la main dont le bilan par CT scan est à compléter, il présente une plaie du genou gauche qui a été explorée et rincée suivie d'un traitement de co-amoxicilline.Un thrombus flottant dans l'artère iliaque externe est mis en évidence au CT scan motivant une anticoagulation prophylactique après avis orthopédique et angiologique. Un nouvel avis angiologique est à répéter avant la sortie du patient pour un US vasculaire afin de déterminer l'indication et la durée d'une anticoagulation à dose thérapeutique. L'antalgie post-opératoire est initialement assurée par une PCA de morphine avec une transition rapide à de l'oxycodone. Le patient développe le 23.06.2018 une éruption cutanée papulo-pustuleuse avec un érythème prédominant au membre supérieur droit motivant l'arrêt immédiat de la co-amoxicilline avec un relais par clindamycine qui est également arrêtée en raison de la péjoration des lésions cutanées. Le patient ne présente pas d'atteinte des conjonctives ni des muqueuses. Une perturbation des tests hépatiques est également mise en évidence. Un avis dermatologique est demandé. Une biopsie cutanée est effectuée le 27.06.2018 et sera à pister. Le traitement de corticothérapie systémique est interrompu suite à l'avis spécialisé et un traitement de Dermovate en crème est prescrit. Un contrôle en consultation dermatologique est agendé à 6 semaines. En raison de la forte suspicion d'exanthème purpuriforme induit par un médicament, un avis allergologique est à demander. Les tests hépatiques sont en amélioration en date du transfert du patient. En raison d'un état cutané fragile et d'un mauvais capital veineux, une VVC jugulaire droite est mise en place le 27.06.2018 sans complication. Finalement un syndrome inflammatoire avec état fébrile motive la réalisation de culture d'urine et d'hémocultures qui sont à pister. Le syndrome inflammatoire étant en diminution, nous ne débutons pas de nouvelle antibiothérapie. Le diagnostic différentiel d'une leucocytose cortico-induite reste ouvert, en raison d'une corticothérapie débutée de manière concomitante. Un nodule pulmonaire de 11 mm est mis en évidence de manière fortuite en position latéro-basale droite chez ce patient à bas risque de néoplasie pulmonaire. Un avis pneumologique est à demander afin de déterminer la fréquence des contrôles CT. Le patient est transféré en division d'orthopédie le 27.06.2018. Mr Vernier, 66 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie communautaire. Le patient, connu pour une BPCO stade II sur déficit homozygote en alpha-1-antitrypsine et un SAOS appareillé, a été hospitalisé le 11.06.2018 pour une pneumonie multifocale communautaire. Il présente une péjoration de sa dyspnée avec insuffisance respiratoire partielle de type hypoxique le 12.06.2018 motivant un transfert aux soins intensifs. Il n'y a pas d'argument anamnestique pour une contamination par Legionelle. L'évolution est initialement favorable, avec par la suite recrudescence de la fièvre, motivant un élargissement du spectre antibiotique le 14.06.2018 par Tazobac. Le patient présente à son entrée un rythme cardiaque compatible avec une tachy-arythmie multifocale (TAM). Sur avis cardiologique, un traitement par Metoprolol est introduit avec une bonne réponse. Un Holter est demandé et le patient a déjà une consultation cardiologique prévue pour le 20.06.2018. À noter que le patient bénéficie d'une perfusion hebdomadaire de Prolastine dans le cadre de son déficit en alpha-1-antitrypsine. La dernière dose remonte au 4 juin 2018. Nous laissons nos collègues de la médecine discuter avec le pneumologue traitant, l'indication à une nouvelle dose au cours du séjour hospitalier. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge le 16.06.2018. Mr Vieira, 59 ans, est admis en Stroke Unit monitorisée pour un AVC ischémique du pont en para médian droit probablement sur microangiopathie cérébrale hypertensive. Le patient, connu pour un syndrome métabolique, a consulté les urgences pour des vertiges et une diplopie avec un NIHSS initial à 0. Une IRM cérébrale retrouve une lésion ischémique au niveau pontique para médial droit compatible avec la symptomatologie. Sur avis neurologique, un traitement par Plavix est initié au vu de l'origine microangiopathique de l'AVC. Le bilan étiologique est complété par un bilan angiologique des vaisseaux pré-cérébraux qui ne retrouve pas de sténose hémodynamiquement significative. L'échocardiographie ne met pas en évidence de FOP significatif, cependant au vu de la qualité des images, un FOP léger à modéré ne peut être exclu et l'indication à une ETO devra être rediscutée suivant l'évolution clinique du patient. Un consilium ophtalmologique à la recherche d'une rétinopathie hypertensive a été demandé et sera à pister par nos collègues de neurologie. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient est transféré le 15.06.2018 en Stroke Unit non monitorisé. Nous laissons le soin à nos collègues de pister les résultats du Holter. Mr Zehr, 75 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique dans un contexte d'embolie pulmonaire et pneumonie bi-basale. Il est connu pour un cancer épithélial du poumon avec lobectomie supérieure droite, actuellement sous immunothérapie palliative par Pembrolizumab (5ème cycle 17.05.2018, cycle planifié pour le 06.06.2018 annulé) pour une récidive tumorale depuis février 2018. Il présente une dyspnée progressive sur deux semaines avant son admission et consulte dans ce contexte chez son oncologue traitant Dr. X. La clinique s'explique initialement par une pneumonie bilatérale, traitée par Co-Amoxicilline. L'évolution est défavorable avec péjoration de la dyspnée. Il consulte aux urgences le 09.06.2018 avec une insuffisance respiratoire hypoxémique, où un nouveau CT thoracique met en évidence des embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires, et des foyers infectieux bi-basaux stables. Il est admis dans ce contexte aux soins intensifs. La pneumonie est traitée par Piperacilline-Tazobactam du 09.06.2018 au 19.06.2018. L'ensemble des prélèvements microbiologiques reste négatif. Une composante d'exacerbation de BPCO est traitée par Prednisone du 13 au 17.06.2018. L'évolution infectiologique est lentement favorable avec une amélioration des paramètres inflammatoires biologiques et des symptômes à l'exception de la dyspnée. De multiples embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires sont traitées initialement par une dose de Rivaroxaban, relayée par héparine non fractionnée puis par Énoxaparine à dose thérapeutique. Une échocardiographie le 13.06 montre une surcharge cardiaque droite probablement chronique acutisée par les embolies pulmonaires nouvelles. La décompensation cardiaque globale est prise en charge par diurétique, pour un contrôle stricte de la volémie et une reprise de son traitement anti-hypertenseur habituel. Le CT du 21.06.2018 montre une disparition de l'embolie segmentaire avec persistance de certaines embolies sous-segmentaires. Devant la persistance d'une hypoxémie, une pneumopathie d'origine indéterminée est mise en évidence au CT du 21.06.2018. Après discussion avec le Dr. X (pneumologue), il semble qu'une pneumonie organisante post-infectieuse soit le plus probable avec un diagnostic différentiel de pneumonite immuno-induite par Pembrolizumab. Nous renonçons à une bronchoscopie diagnostic au vu du risque important de complications et administrons une corticothérapie traitement similaire pour les deux pathologies du 21.06.2018 avec un relais par solumedrol le 25.06.2018 en raison de l'absence d'amélioration. Une prophylaxie avec Bactrim est débutée. Le traitement de solumedrol est à continuer pour une durée totale de 5 jours suivie d'un schéma dégressif de Prednisone.La situation générale est stable, sans franche amélioration, avec un patient ne tolérant plus les séances de ventilation non invasive et nécessitant toujours d'importantes quantités d'oxygène au repos avec d'importantes désaturations au moindre effort. Après une nouvelle discussion le 26.06.2018 en présence de Dr. X et Dr. X, du patient et de ses proches (2 fils et sa femme), le patient exprime le souhait de ne pas être intubé et de ne pas être réanimé. Il veut rentrer à domicile. Devant l'absence de projet thérapeutique pour améliorer le statut pulmonaire en dehors d'une corticothérapie à forte dose pour laquelle il est peu répondeur, des soins de confort seront à envisager en cas d'une nouvelle dégradation clinique. Nous transférons le patient en division de médecine le 27.06.2018 où l'organisation d'une oxygénation à haut débit à domicile sera organisée en parallèle avec une mise en contact avec l'équipe mobile des soins palliatifs de Voltigo. MRI recommandé Analgesie wird von der Pat abgelehnt Besprechung beim HA Dr. X am 11.06.2018 MRSA 1 - Positif MSG : contrôle clinique à la consultation de Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Pied G : contrôle rx-clinique à la consultation de Dr. X/Dr. X à 6 semaines avec ablation de la broche plantaire; ablation des broches à prévoir à 3 mois. Poursuite des soins de plaie selon protocole établi. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane jusqu'à 6 semaines. Réévaluer à distance un arthro-CT du poignet G à la recherche de lésions éventuelles de la DRUJ et du TFCC post luxation postérieure de l'ulna distal le 07.05.2018. MST Continus sachets 18 mg 2x/j Paracétamol 190 mg 4x/j Morphine 4 mg jusqu'à 6x/j en réserve MT: • Rediscuter Biphosphonates/Prolia pour l'ostéoporose • Contrôle des urines: hématurie isolée? cystoscopie le cas échéant Mucoviscidose (CF 508/ins3905) diagnostiquée sur iléus méconial, avec : • atteinte pulmonaire, avec syndrome respiratoire obstructif actuellement sous traitement bronchodilatateur par Seretide, Atrovent et Ventolin, Pulmozyme et physiothérapie 1x/semaine; dernière exacerbation pulmonaire le 12.3.2018 avec expectorations positives pour S. Aureus résistant à la pénicilline; pas de portage de Pseudomonas connu. • atteinte hépatique, • atteinte pancréatique, sous substitution par Créon et Aquadek, avec malnutrition secondaire, nécessitant la mise en place d'une PEG en février 2016 et la substitution par Isosource 500 ml/24h. Aménorrhée secondaire sur malnutrition. MEDICAMENTS HABITUELS: • Pulmozyme 1x/jour avant la physio • Seretide 3x/jour • Ventolin 3x/jour, si nécessaire • Mucoclear • AquADEK • Creon: 3*25'000 UI pendant les repas, pour les collations (10h et 16h) 10'000 UI - 25'000 IU • Movicol 1-2 sachets par jour Muguet buccal Muguet buccal Muguet buccal Muguet buccal Muguet buccal Muguet buccal Muguet buccal Multilind Multilind 1ml 4x/jour per os jusqu'à 48 h après disparition des symptômes Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiparité Multiple coupures sous l'avant-bras droit : • 6 coupures nécessitant des soins • i.R. de l'anxiété psychologique dd Borderline PS Multiples abcès axillaires bilatéraux le 09.06.18. Multiples abcès périnéaux Multiples calculs rénaux depuis 1990 Janvier 2018 : CT montre lithiase jonction urétéro-vésicale gauche Fin avril 2018 : CT montre lithiase dans uretère droit (prise en charge au Daler) 04.05.2018 : pose de sonde double J par Dr. X 17.05.2018 : CT montre lithiase dans uretère droit (prise en charge au Daler) Multiples chutes sur OH (3.12 o/oo le 01.04.2015) Traumatisme crânio-cérébral léger sur chute de sa hauteur le 01.04.2015 avec : • lésion hyperdense para-centrale D (DD : contusion cérébrale, hémorragie sous-arachnoïdienne) • plaie cutanée avec bursotomie genou D le 01.04.2015 • fracture tripode de l'orbite non déplacée D Décompensation ascitique dans un contexte de cirrhose CHLD A le 02.09.2016 • avec épanchement pleural G et pré-OAP le 17.08.2016 Encéphalopathie hépatique stade 2 le 17.08.2016 • facteurs précipitants : consommation aiguë d'alcool, contexte infectieux et traitement de benzodiazépine DD : encéphalopathie de Gayet-Wernicke Infection urinaire haute à E. coli multisensible le 15.08.2016 Multiples crises de goutte cheville gauche Fracture du crâne à ski (il y a 40 ans) Ostéosynthèse fracture humérale multi-fragmentaire (il y a 7-8 ans) Résection du ménisque externe du genou droit (il y a 30 ans environ) Multiples entorses de la cheville gauche Multiples interventions de l'hallux des deux côtés (dont une cure d'hallux valgus) (il y a 30 ans environ) Vertiges et troubles visuels d'origine probablement périphérique anciens (il y a 15 ans environ) Hypertension artérielle ancienne (traitée avant par Co-Candesartan Sandoz mais disparue depuis le changement de régime et d'habitudes du patient) Multiples dermabrasions. Multiples dermabrasions au niveau de la cuisse, du genou, du coude et de l'omoplate à droite. Multiples dermabrasions au niveau de l'avant-bras gauche et genou droit. Multiples dermabrasions de la cuisse droite, de l'avant-bras droit et de l'épaule droite. Multiples dermabrasions du thorax et avant-bras gauche. Multiples dermabrasions du visage. Multiples dermabrasions du visage. Multiples dermabrasions du 05.06.2018. Multiples embolies pulmonaires centrales et lobaires bilatérales Classe V (high risk, 128 pts selon score de PESI) le 11.06.2018 Multiples épisodes de bronchites S/p ablation des végétations Multiples érysipèles du membre supérieur droit Urosepsis sur pyélonéphrite en 2007 • cystites récidivantes depuis 2004 Statut post appendicectomie en 1957 Multiples fractures au niveau de l'avant-pied gauche. Multiples fractures MID le 21.06.2018 avec • Fracture ouverte tibias D • Fractures fibula D proximale et distale Multiples FRCV non traités. Multiples kystes main G • dans le trajet de l'extenseur court du pouce à hauteur de l'articulation CMC I sur rhizarthrose débutante • plusieurs kystes de petite taille dans le trajet du FCR poignet G • kyste dans la gouttière des pouls Syndrome du tunnel carpien gauche oligo-symptomatique. Multiples lésions nodulaires hypodenses sans partie calcifiée des deux lobes thyroïdiens (découverte radiologique le 28.11.2017), avec TSH dans la norme le 13.12.2018. Multiples occlusions artérielles sur probable embolisations cardiaques avec : • occlusion aiguë sur chronique de l'A. poplitée droite et des axes jambières, et embolie dans A. fémorale profonde • occlusion aiguë sur chronique de l'A. poplitée gauche • occlusion de l'A. ulnaire au départ et partie distale de l'A. radiale Multiples occlusions artérielles sur probable embolisations cardiaques avec : • occlusion aiguë sur chronique de l'A. poplitée droite et des axes jambières, et embolie dans A. fémorale profonde • occlusion aiguë sur chronique de l'A. poplitée gauche • occlusion de l'A. ulnaire au départ et partie distale de l'A. radiale Multiples occlusions artérielles sur probable embolisations cardiaques avec : • occlusion aiguë sur chronique de l'A. poplitée droite et des axes jambières, et embolie dans A. fémorale profonde • occlusion aiguë sur chronique de l'A poplitée gauche • occlusion de l'A. ulnaire au départ et partie distale de l'A. radiale Multiples opérations appareil musculo-squelettique Césariennes 2x hystérectomie opération lombaire en 2009 Multiples opérations appareil musculo-squelettique Césariennes 2x Hystéréctomie Opération lombaire en 2009 FRCV: • dyslipidémie actuellement non traitée. • Tabagisme actif 38 UPA environ • Anamnèse familiale négative • pas de DM, pas d'HTA Multiples opérations cardiaques dans l'enfance pour une déformation cardiaque Multiples passages en tachycardie ventriculaire asymptomatique le 26.06.2017 Multiples piqûres DD : • piqûres de puces probables ou autre insecte • rash péri-infectieux • pas d'argument pour maladie des griffes du chat Multiples piqûres d'insecte avec réaction inflammatoire Multiples piqûres d'insectes Multiples piqûres d'insectes DD : Réaction allergique de type 1 Multiples plaies chroniques de la face antérieure de la cuisse droite d'origine indéterminée, suivi par Dr. X HFR Multiples plaies (crânienne, dorsales, cuisse droite) le Multiples plaies (crânienne, dorsales, cuisse droite) le Multiples plaies des pieds avec mal perforant gauche connu depuis le 05.12.2017, escarre talon gauche, plaies ungéales des hallux bilatéralement depuis le 13.01.2018 • Traitement par Clarithromycine du 16 au 22.11.2017 • Clindamycine du 16.11 au 26.11.2017 pour mal perforant du pied gauche débutant • Syndrome inflammatoire biologique chronique (CRP stable à 50 mg/ml) • IRM le 05.12.2017 : pas d'ostéomyélite Spondylodèse L5-S1, pour hernie discale récidivante et décompression L5-S1 2012. Cystoscopie, Uretero-Pyélographie et mise en place d'une sonde double J 20.04.2012 PTH gauche pour coxarthrose le 08.09.2011 Ostéosynthèse fémur droit 15.04.2013 Tonsillectomie Hémorroïdectomie Probable dermatite séborrhéique cuir chevelu, septembre 2017 Bronchopneumonie le 13.12.2017 Mal perforant à gauche le 05.12.2017 avec : Pneumonie nosocomiale en base droite le 22.01.2018 avec insuffisance respiratoire hypoxémique Décompensation de BPCO d'origine infectieuse le 13.01.2018 Pneumonie nosocomiale à germe indéterminé le 09.02.2018, patient colonisé par P. Aeruginosa, traité par Meropenem État confusionnel aigu dans le contexte fébrile le 25.02.2018 Dénutrition protéino-calorique Pneumonie nosocomiale le 18.03.2018 Insuffisance respiratoire globale aiguë sur OAP per geste d'angiographie le 08.05.2018 dans un contexte de fibrillation auriculaire rapide Fibrillation auriculaire rapide le 08.05.2018 Hypoglycémie réfractaire dans le contexte d'une mise à jeûn sous insulino-thérapie le 08.05.2018 Pneumonie d'aspiration le 10.05.2018 État confusionnel aigu du 09.05.2018 Multiples plaies des pieds avec mal perforant gauche connu depuis le 05.12.2017, escarre talon gauche, plaies ungéales des hallux bilatéralement depuis le 13.01.2018 • Traitement par Clarithromycine du 16 au 22.11.2017 • Clindamycine du 16.11 au 26.11.2017 pour mal perforant du pied gauche débutant • Syndrome inflammatoire biologique chronique (CRP stable à 50 mg/ml) • IRM le 05.12.2017 : pas d'ostéomyélite Spondylodèse L5-S1, pour hernie discale récidivante et décompression L5-S1 2012 Cystoscopie, Uretero-Pyélographie et mise en place d'une sonde double J 20.04.2012 PTH gauche pour coxarthrose le 08.09.2011 Ostéosynthèse fémur droit 15.04.2013 Tonsillectomie Hémorroïdectomie Probable dermatite séborrhéique cuir chevelu, septembre 2017 Bronchopneumonie le 13.12.2017 Mal perforant à gauche le 05.12.2017 avec : Pneumonie nosocomiale en base droite le 22.01.2018 avec insuffisance respiratoire hypoxémique Décompensation de BPCO d'origine infectieuse le 13.01.2018 Pneumonie nosocomiale à germe indéterminé le 09.02.2018, patient colonisé par P. Aeruginosa, traité par Meropenem État confusionnel aigu dans le contexte fébrile le 25.02.2018 Dénutrition protéino-calorique Pneumonie nosocomiale le 18.03.2018 Insuffisance respiratoire globale aiguë sur OAP per geste d'angiographie le 08.05.2018 dans un contexte de fibrillation auriculaire rapide Fibrillation auriculaire rapide le 08.05.2018 Hypoglycémie réfractaire dans le contexte d'une mise à jeûn sous insulino-thérapie le 08.05.2018 Pneumonie d'aspiration le 10.05.2018 État confusionnel aigu du 09.05.2018 Multiples sacrifications par auto-mutilations. Trouble de la personnalité borderline avec tendance psychotique. Multiples thromboses veineuses profondes et phlébites avec anti-coagulation à vie par Sintrom Embolie pulmonaire en 2006 Dermo-hypodermite du membre inférieur droit le 15.07.2017 • sur insuffisance veineuse sévère Dermatite eczématiforme du pli du coude gauche le 20.07.2017 Mutation du Facteur V Leiden. Hypothyroïdie substituée dans un contexte de thyroïdite d'Hashimoto. Mutation du gène ZC4H2 avec syndrome polymalformatif (arthrogripose fente palatine, pied bot en varus ddc, hernies inguinales bilatérales, luxation congénitale des hanches, dilatation pyélo-calicielle D) Mutation hétérozygote du FV de Leiden (sous aspirine cardio et clexane depuis le début de la grossesse) Inversion péricentrique sur chromosome 1 Mutation MTHFR homozygote. Mutilation génitale féminine de type 2. Mutisme. Mutisme et hétéro-agressivité le 15.06.2018. Myalgie brachio-cervicale. Myalgie brachio-cervicale après faux mouvement le 20.06.2018. Myalgie et état fébrile. Myalgie, fatigue, mal de gorge. Myalgies. Myalgies. Myalgies bras droit. Myalgies d'effort. Myalgies diffuses Myalgies diffuses Myalgies diffuses. Myalgies diffuses péjorées dans le contexte d'une sortie en bateau avec beaucoup de remous la veille. Myalgies d'origine indéterminée avec : • EMG normale chez Dr. X Myalgies et arthralgies. Myalgies et arthralgies aspécifiques. Myalgies sur état inflammatoire d'origine indéterminée. DD : virose. Myalgies sur état inflammatoire d'origine indéterminée (DD : virose). Myasthénie grave suivie par Dr. X (neurologue, Payerne), sous tri-thérapie (Cellcept, Mestinon, Prednisone) Diabète insulino-requérant HTA traitée Myasthénie grave suivie par Dr. X (neurologue, Payerne), sous tri-thérapie (Cellcept, Mestinon, Prednisone) Diabète insulino-requérant HTA traitée Mycose anale vs eczéma de contact le 17.06.2018. Mycose buccale Mycose buccale dans contexte corticoïdes inhalés Mycose cutanée interdigitale au niveau des mains et des pieds. Mycose cutanée (intertrigo) le 22.10.2017 Mycose de gland pénien (mai 2018) Diverticulite Ulcère gastrique/duodénal Mycose des plis inguinaux le 30.06.2018. mycose du siège Mycose génitale le 07.06.2018 Mycose inter-digitale du pied droit le 31.05.2018. Mycose ombilicale Mycose ongle gros orteil. Mycose péri-anale Mycose péri-anale, sous-mammaire, traitée avec Pevaryl Encéphalopathie hépatique PTG le 11.11.2015 (Dr. X) Dépression réactive en 2015 Fracture du métacarpien 1 droit, date indéterminée Tunnel carpien 1990 Phlegmon de la main droite en 1959 Vaginite mycotique 25.11.2015 Mycose péri-anale, sous-mammaire, traitée avec Pevaryl Encéphalopathie hépatique PTG le 11.11.2015 (Dr. X) Dépression réactive en 2015 Fracture du métacarpien 1 droit, date indéterminée Tunnel carpien 1990 Phlegmon de la main droite en 1959 Vaginite mycotique 25.11.2015 Mycose plantaire. Mycose plantaire. Traitement topique. Mycose plantaire. Traitement topique. Mycose sous les seins et aux plis inguinaux Mycose vaginale • Clinique: Écoulement vaginal blanc, douleurs vaginales Mycose vaginale concomitante le 04.06.2018. Mycose vaginale et des plis inguinaux Mycose vaginale le 21.06.2018. Mycose vulvaire à Candida Albicans Mycostatin 1ml 4x/j pendant 6 jours Mycostatine du 09.06. au 23.06.2018 avec bon effet Mycostatine du 19.06 au 25.06.2018 Mycostatine pendant 7 jours. Mycostatine Contrôle chez le pédiatre déjà prévu dans 5j Reconsulter si échec d'hydratation Myélémie le 15.05.18 Myélofibrose primaire le 01.10.2013 avec : • hépato-splénomégalie (rate 18 cm) • JAK 2 positif Thrombose veineuse profonde au niveau de la veine poplité gauche avec atteinte des veines musculaires (09/2011). Status post hystérectomie et résection de l'ovaire à l'âge de 35 ans. Status post résection d'une tumeur du sein droit en 2000 (pas de chimio ni de radiothérapie). Status post cure de varice. Embolie pulmonaire à l'âge de 25 ans. Myélofibrose primaire (PMF selon OMS 2008) en phase fibreuse, JAK-2 positif (Promed P7374.16) • Suivi par Dr. X Myélofibrose primaire (PMF selon OMS 2008) en phase fibreuse, JAK-2 positif (Promed P7374.16) • Suivi par Dr. X Myélographie fonctionnelle avec CT le 10.07.2018 (CIMF) Prochain contrôle le 12.07.2018 Myélographie fonctionnelle avec CT le 13.07.2018 (CIMF) Prochain contrôle le 02.08.2018 Myélographie fonctionnelle avec CT le 17.07.2018 Prochain contrôle le 31.07.2018 Myélome multiple de type IgG kappa stade ISS à 3, Durie et Salmon à III • Diag le 5.04.2018 • Pathologie Promed : P2018.3747: Néoplasie à plasmoctes, compatible avec un myélome plasmocytaire à prédominance plasmocytes immatures, immunophénotype IgG Kappa avec haute fraction de cellules en prolifération (Ki>50%) • CT thoraco-abdomino-pelvien le 5.04.2018 : multiples lésions ostéolytiques diffuses y compris de la colonne cervicale, col fémur gauche avec fracture pathologique, lyse centimètrique de l'acétabulum, volumineuse lésion ostéolytique de l'arc postérieur de la 9ème côte gauche. Actuellement : traitement de Revlimid et dexaméthasone dès le 7.05.2018 Myélome multiple IgG lambda, stade ISS II, Salmon Durie IIIA • date du diagnostic : 29.09.2017 • ponction-biopsie médullaire du 02.10.2017 : infiltration myélomateuse de la moelle entre 60 et 80% • histologie (Promed P2017.11808) : infiltration du tissu hématopoïétique à 50% par un myélome multiple plasmocytaire à IgG Lambda • immunohistochimie de flux du 02.10.2017 : population plasmocytaire CD38/CD138 positifs de type clonal. • cytogénétique 2.10.2017 : hyperploïdie 3, 5, 7, 15, 16, 19, tétrasomie 19, perte 1p, gain 1q impliquant gène CKS1B confère un pronostic défavorable • laboratoire du 29.09.2017 : hémoglobine 70 g/l, créatinine 114 µmol/l, protéine totale 137 g/l, calcium 2.51 mmol/l, IgG 97 g/l, lambda 1'185 mg/l, rapport kappa/lambda à 0 • IRM du corps entier 04.10.2017 : infiltration myélomateuse de l'ensemble du rachis, du gril costal, de la ceinture pelvienne, des humérus proximaux, des fémurs proximaux et du sternum • status post-une injection de Velcade le 05.10.2017 • status post-4 cycles de chimiothérapie par RVD du 12.10.2017 au 31.01.2018 avec bonne rémission partielle (paraprotéine à 9,6 g/L et lambda à 37 g/L) • sous traitement de Zometa 4mg dès le 12.10.2017 de manière mensuelle • status post-mobilisation des cellules souches par Navelbine et Filgrastim à partir du 12.02.2018 • status post aphérèse de cellules souches le 19.02.2018 • status post-chimiothérapie à haut dosage avec transplantation de cellules souches autologues du 26.02.2018 • PBM du 22.03.2018 : rémission complète, MRD négatif à l'immunophénotype (16 cellules plasmocytaires aberrantes sur 1'661'104 événements (< 105)) • PET-CT post-traitement : rémission osseuse complète • actuellement : proposition d'instauration d'un traitement de Revlimid de maintenance pour minimum 2 ans. Myélome multiple IgG lambda, stade ISS II, Salmon Durie IIIA • date du diagnostic : 29.09.2017 • ponction-biopsie médullaire du 02.10.2017 : infiltration myélomateuse de la moelle entre 60 et 80% • histologie (Promed P2017.11808) : infiltration du tissu hématopoïétique à 50% par un myélome multiple plasmocytaire à IgG Lambda • immunohistochimie de flux du 02.10.2017 : population plasmocytaire CD38/CD138 positifs de type clonal. • cytogénétique 2.10.2017 : hyperploïdie 3, 5, 7, 15, 16, 19, tétrasomie 19, perte 1p, gain 1q impliquant gène CKS1B confère un pronostic défavorable • laboratoire du 29.09.2017 : hémoglobine 70 g/l, créatinine 114 µmol/l, protéine totale 137 g/l, calcium 2.51 mmol/l, IgG 97 g/l, lambda 1'185 mg/l, rapport kappa/lambda à 0 • IRM du corps entier 04.10.2017 : infiltration myélomateuse de l'ensemble du rachis, du gril costal, de la ceinture pelvienne, des humérus proximaux, des fémurs proximaux et du sternum • status post-une injection de Velcade le 05.10.2017 • status post-4 cycles de chimiothérapie par RVD du 12.10.2017 au 31.01.2018 avec bonne rémission partielle (paraprotéine à 9,6 g/L et lambda à 37 g/L) • sous traitement de Zometa 4mg dès le 12.10.2017 de manière mensuelle • status post-mobilisation des cellules souches par Navelbine et Filgrastim à partir du 12.02.2018 • status post aphérèse de cellules souches le 19.02.2018 • status post-chimiothérapie à haut dosage avec transplantation de cellules souches autologues du 26.02.2018 • PBM du 22.03.2018 : rémission complète, MRD négatif à l'immunophénotype (16 cellules plasmocytaires aberrantes sur 1'661'104 événements (< 105)) • PET-CT post-traitement : rémission osseuse complète • actuellement : proposition d'instauration d'un traitement de Revlimid de maintenance pour minimum 2 ans. • sérologies HIV, HBV, NCV négatives • VS > 150 mm/h B2 microglobulie 4,8, anémie 76 g/l mais calcémie normale. Myélome multiple stade IA (Dr. X, 2002) Myélome multiple stade IA (Dr. X, 2002) Myélome multiple 12.2017 Myélopathie cervicale sur canal cervical étroit d'origine arthrosique avec paraspasticité douloureuse prédominant à gauche Myoclonies du sommeil Myoclonies (muscles pectoraux, membres supérieurs et inférieurs, mâchoire) d'origine indéterminée le 24.06.2018 Myogélose du muscle élévateur scapulaire à droite. Myome praevia intramural latéral droit de 3 cm Myome sous séreux postérieur 94*56mm Myomectomie par tomie médiane en 2008 Myomectomie utérine en 1981 Myomectomie utérine en 1981 G1 P1 (Césarienne) en 1982 Myopéricardite sur syndrome de Sjögren le 21.10.2015 : • US cardiaque le 21.10.2015 : hypokinésie modérée septo-apicale et latérale, petit épanchement péricardique, FEVG 55% • Coronarographie le 21.10.15 : dyskinésie apicale, pas récidive de sténose Syndrome confusionnel d'origine indéterminée le 21.10.2015 • troubles mnésiques multi-investigués, d'origine indéterminée, avec MMS à 16/30 en septembre 2014 Suspicion de vasculite cérébrale avec hallucinations auditives, visuelles, tactiles et olfactives en 2011 Probable ischémie du pont et du cervelet en 2004 Décompensation psychique après agression (non datée) Capsulite rétractile bilatérale d'origine probablement médicamenteuse (Rituximab) Adhésiolyse par laparoscopie en 2011 Hystérectomie (non datée) Pneumonie en 2004 et en 2008 Myopie des deux côtés, droite (15.01.14) Suspicion d'amblyopie à droite (15.01.14) Suspicion d'exophorie décompensée (15.01.14) Impotence anamnestique Céphalées frontales sans aura depuis 1980 Suspicion de syndrome d'apnée du sommeil • CPAP 28.04.-04.05.14 en cas d'insuffisance respiratoire, obésité étiologique proportionnelle, PCA Insuffisance veineuse des deux côtés • Bas de compression • Myopie, porte des lunettes depuis 2 ans. Dernier suivi ophtalmologique il y a 1 an • N à terme par accouchement par voie basse, pas de risque infectieux. PN: 3555 g s/p pyélonéphrite s/p otites à répétition, avec pose de drain trans tympanique, en place actuellement • N à terme par AVB, pas de risque infectieux. PN: 3555 g s/p pyélonéphrite • N'a pas présenté de vertige lors de la consultation, même à la provocation répétée. Un nystagmus est apparu uniquement lors du 1er Hallpike avec légers symptômes. Manoeuvre de Semont testée avec patient et expliquée. Pas de Betaserc chez patient avec asthme allergique. Retour à domicile avec manoeuvre de Semont à faire avant d'aller au lit. Conseil de consulter le médecin traitant lundi ou mardi pour vérifier si bonne évolution et discuter de la tension artérielle qui semble s'être élevée depuis quelques temps et qui pourrait être la source des bruits qu'il entend parfois et des céphalées en casque occasionnelles. • Na 127 avec osmolalité à osmolalité plasmatique à 292 euvolemique, glucose à 6, possible fausse hypoNa • N-acétyl-cystéine selon protocole du 18.06.2018 au 19.06.2018 > • Retour à domicile avec manoeuvre de Semont à faire avant d'aller au lit. > • Conseil de consulter le médecin traitant lundi ou mardi pour vérifier si bonne évolution et discuter de la tension artérielle qui semble s'être élevée depuis quelques temps et qui pourrait être la source des bruits qu'il entend parfois et des céphalées en casque occasionnelles. • NaCl le 29.05.2018 • Glucose 5% le 29.05.2018 • Ringer lactate le 30.05.2018 • Restriction hydrique • Cathéter artériel radiale gauche du 29.05.2018 au 02.05.2018 • NaCl 0.9% • NaCl 0.9% • NaCl 0.9% IV et suivi biologique • NaCl 0.9% IV et suivi biologique • NaCl 0.9% 1 litre aux urgences. • NaCl 0.9% 1000 mL. Contrôles biologiques le 23 et le 24.06. • NaCl 0.9% 1000 ml i.v. + Buscopan 10mg + Paracétamol 1g i.v. Laborkontrolle beim HA en 2 semaines • NaCl 0.9% 1000 ml i.v. + Buscopan 10mg + Paracétamol 1g i.v. Stuhlprobe ausstehend Ciproxin 500mg x2 pour 7 jours Wiedervorstellung bei Zunahme der Beschwerden AUF 100% jusqu'au 19.06.2018 • NaCl 0.9% 1000 ml. Suivi biologique. • NaCl 0.9% 1000 ml/24 heures. • NaCl 0.9% 2L/24h Monitoring cardiorespiratoire • NaCl 0.9% 500 ml i.v. O2 4 L per Nasenbrille Solumedrol 125 mg i.v. + Tavegyl 2mg i.v. + Adrenalin 0.5 mg i.m. > Überwachung auf der Permanence 6 h > Notfallset mitgegeben: Prednison 50mg + Xyzal 5mg + Epipen Prednison 50mg 1-0-0-0 pour 5 jours Xyzal 5mg 1-0-0-0 Klinische Kontrolle beim HA si besoin • NaCl 0.9% 500ml aux urgences • NaCl 1500ml/24 heures Stimuler les boissons • NaCl 0.9% 500ml iv auf der Permanence • NaCl 0.9% 500ml iv reçu à la permanence de Meyriez Stimulation de l'hydratation orale • NaCl 0.9% 500ml i.v. Après retour de Dr. X, transfert sur la médecine HFR Fribourg directement • NaCl 0.9% 500ml Observation durant 2 heures sur la permanence Sofortige Wiedervorstellung bei Zunahme der Schmerzen Kontrolle chez Dr. X le 25.06.2018 • NaCl 1 litre sur 2 heures. Contrôle biologique chez le médecin traitant la semaine prochaine. • NaCl 1000ml dans 1 h Actrapid 9UI en bolus puis 9UI/h KCL iv. 40mmol/l dans 1000ml en 2h Bicarbonate 1 ampoule Aspegic 500mg iv. Laboratoire Gazométrie à 10h30, 11h30 ECG: 126bpm, sinusale, sous-décalage au I, II, aVF, V4-6 hospitalisation aux soins intensifs • NaCl 1500ml/24h du 28.05-30.05.2018 Gazométries veineuses • NaCl 500 mL IV, Dafalgan 1g Co-Amoxicillin 1.2 g IV Co-Amoxicillin 625 mg PO 2x/jour pour 7 jours (reevaluieren) Dafalgan 1g 3x/jour, Novalgin 500 mg 4x/jour i. R. Nachkontrolle sur la permanence le 16.06.2018 à 16:00 (Blutentnahme à 15:30) • NaCl 500 mL IV Trinkstimulation Leflunomid, Methotrexat et Metfin pausés • NaCl 500 ml iv. Ulcogant et Dafalgan 1 g aux urgences. Primpéran 10 mg IV et Nexium 40 mg per os. Test de grossesse urinaire : négatif. Avis du Dr. X, chirurgien : ultrason de l'abdomen. Cholangio-IRM le 07.06.2018 à 13H00 avec contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires. • NaCl 500 ml IV Ulcogant et Dafalgan 1 g aux urgences Primpéran 10 mg IV et Nexium 40 mg per os Test de grossesse urinaire : négatif Avis Dr. X et Dr. X : US abdomen Avis Dr. X : Cholangio-IRM le 07.06.2018 à 13:00 avec contrôle clinique à la FUA • Nadim est un enfant de 3 ans qui se présente avec une angine aiguë avec de la fièvre à 39.7°C et mal au ventre. Dans l'examen clinique, on trouve un fond de gorge érythémateux avec des amygdales reouvertes d'un enduit blanchâtre punctiforme. Le reste du statut était sans particularités. Il est bien hydraté et n'a pas de problèmes en mangeant ou buvant. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une angine aiguë. Nous proposons un traitement avec du Paracétamol et Ibuprofène. Si péjoration ou pas d'amélioration pendant les prochains jours, nous recommandons un contrôle chez le pédiatre ou aux urgences. • Nalador selon protocole Point carré de compression du mur utérin antérieur, 1 drain de Jackson vésico-utérin Embolisation des artères utérines D et G (Dr. X) IOT (Cormack I) du 29.06 au 30.06.2018 cathéter artériel fémoral G le 29.06. au 30.06.2018 Soutien transfusionnel : 6 culots érythrocytaires, 4 Plasma frais congelés, 4 g de fibrinogène, 1 g de Cyklokapron • Naloxone 0.4 en bolus iv + 0.2/mg iv/h jusqu'au 21.06.2018. Transfert à l'ELM. • NASH : plusieurs facteurs de risques, obésité tronculaire, SAOS, DM, IC. Pas d'argument OH anamnestique. Hépatite : possible mais moins probable. Néoplasique : pas d'argument anamnestique. Médicamenteux : possible. Contrôle ambulatoire des tests hépatiques + ultrason abdominal à prévoir. • Nasonex Triofan Antalgie. Signes de gravité devant amener à une reconsultation aux urgences expliqués. Si pas d'amélioration clinique dans 2 semaines, consultation chez le médecin traitant. • Natrémie de dilution avec Na à 129 mmol/l • Nausée • Nausée. • Nausée sans vomissements le 14.06.2018 • Nausées. • Nausées. • Nausées avec intolérance alimentaire • Nausées avec restriction alimentaire • Nausées dans le cadre d'une cholangite sur occlusion partielle du stent, progression tumorale, syndrome anorexie-cachexie, sub-iléus • Nausées, douleurs hypochondre D, vertiges DD : gastro-entérite, anémie • Nausées et vomissements • Nausées et vomissements • Nausées et vomissements. • Nausées et vomissements. • Nausées et vomissements. • Nausées et vomissements. • Nausées et vomissements, état fébrile. • Nausées, paresthésies. • Nausées sous antibiothérapie. • Nausées sur morphine le 17.05.2018 • Nausées sur opiacés intermittentes • Nausées sur probable reflux gastro-œsophagien le 25.05.2018 - avec douleurs épigastriques et efforts de vomissements non productifs.• possiblement iatrogène sur radiothérapie • Nausées sur probable reflux gastro-oesophagien le 25.05.2018 • avec douleurs épigastriques et efforts de vomissements non productifs • possiblement iatrogène sur radiothérapie Probable fracture de côte pathologique le 04.06.2018 • suite à chute et contusion du thorax le 03.06.2018 Précédentes opérations : herniectomie hiatale et inguinale bilatérale, cholécystectomie, appendicectomie Rectite actinique suite à la radiothérapie initiale du cancer de la prostate • Nausées, vomissements. • Nausées, vomissements. • Nausées, vomissements, diarrhées. • Nausées-vomissements. • Né à terme + 10 jours avec un poids de naissance de 3835 g, risque infectieux : strepto B +, pas de rupture prolongée des membranes • Né à terme + 4 avec un poids de 3500 g • Né à terme avec un poids de 2750 g, grossesse et accouchement sp • Né à terme, par voie basse avec bonne adaptation néonatale • Né à terme 37 1/7 SG par césarienne en urgence pour disproportion fœto-pelvienne, PN 3100 g, bonne adaptation • Né à terme 41 1/7 par AVB spontanée, bonne adaptation APGAR 10/10/10, PN 2970 g, TN 48 cm, PC 32 cm • Né à 37 semaines sans complication. • Né à 37 semaines sans complication. • Né à 37 6/7 SG, PN 2860 g, Apgar 8-9-9, césarienne itérative Bronchite obstructive avec insuffisance respiratoire (1er épisode, RSV nég.) Betnesol le 27.01 Ventolin, inhalations du 26 au 27.01.12 Oxygène supplémentaire du 27 au 28.01.2012 Soins du nez Saturométrie en continu Laboratoire : CRP < 5 mg/l, leuc 6.2 G/l, gazométrie : acidose respiratoire avec compensation métabolique partielle • Né à 38 SG par césarienne, bonne adaptation, PN 4790 kg Gastroentérite à Rotavirus avec déshydratation légère 21.12.2016 • Né à 38 0/7 semaines de gestation, poids de naissance de 3015 g (P25), taille de naissance 47 cm (P 3-5), périmètre crânien de naissance 33.5 cm (P 10-25). ATCD d'hospitalisation pour insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV à 1 mois de vie. • Né à 38 1/7 par césarienne pour siège avec bonne adaptation APGAR 9/10/10, PN 2880 g, TN 45 cm, PC 33 cm • Né à 38 1/7 SG par césarienne, PN 2550 g, bonne adaptation (APGAR 8/9/9) Multiples bronchites • Né à 38 1/7 SG par césarienne, PN 2550 g, bonne adaptation (APGAR 8/9/9) Multiples bronchites • Né à 38 6/7 SA PN 3850 g (P75-90) Taille 54 cm (P75-90) PC 36.5 cm (P75-90) Apgar 5'/10' 10/10. pH 7.16-7.35 Sp Pyélonéphrite 1er épisode diagnostiqué à Enterocoque et Enterobacter cloacae (R amoxicilline) à 3 semaines de vie • Né à 39 1/7 SA PN 4160 g TN 51 cm PC 36.5 cm, Apgar 9/9/10 sans complications. S/p Pieds mains bouche • Né à 39 + 6/7 SA, PN 3495 g, TN 49 cm, PCN 34 cm. Bonne adaptation APGAR 8/10/10. • Né à 40 1/7 SG, PN 3270 g, bonne adaptation. AVB. Bronchiolite (dec. 16) Faux Croup (jan. 17) Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV positif (2ème épisode) • Né à 40 3/7, PN 3660 g, TN 51 cm, PCN 37 cm. Bonne adaptation APGAR 9/9/10. • Né par césarienne, 37 2/7 semaines d'aménorrhée, Poids de naissance 2580 g (P10), Taille de naissance 44 cm (< P3), Périmètre crânien de naissance 33 cm (P10-25). APGAR 9/10/10, Hypoglycémie 1.9 mmol/l améliorée par alimentation précoce. Hypothermie à 35.5°C post-partum, sous isolette pendant les premières 24 h. Hospitalisation à 27 jours de vie pour troubles digestifs bénins du nourrisson. Hospitalisation à 2 mois de vie pour difficultés alimentaires sur reflux gastro-oesophagien. Ne se souvient pas du nom de son médicament. ATT : • tel med ou épouse pour connaître le nom du ttt. • Nebilet le 25.11.17 réduit à 2.5 mg/jour EKG 30.11.2017 : VHF avec HF 56/min, Linkslage, LSB, QRS 124 ms, inchangé par rapport au dernier EKG • Nécrose de la colostomie gauche sur environ 2 cm à J12 post-sigmoïdectomie selon Hartmann pour diverticulite sigmoïdienne perforée, avec péritonite fécale diffuse. • Nécrose de la tête humérale gauche sur status post-ablation du matériel d'ostéosynthèse et réostéosynthèse de la fracture le 22.12.2014. Migration secondaire du matériel d'ostéosynthèse après ostéosynthèse d'une fracture 4 parts de l'humérus proximal gauche le 10.6.2014. • Nécrose de l'hallux D. • Nécrose de P1 et MCP de 5ème orteil D et érythème des métatarses II-V D • Sur traumatisme il y a 3 jours • Nécrose des tendons fléchisseurs du 3ème rayon main G sur récidive d'un phlegmon chronique de la gaine des fléchisseurs à Staph. lugdunensis sur status post : • Révisions des plaies, lambeaux cutanés VY, sutures primaires 3ème rayon G le 22.02.2018 • Révision plaie déhiscente main G zone III, prélèvements, débridements, rinçage et suture cutanée le 14.02.2018 • Révision phlegmon de la gaine des fléchisseurs 3ème rayon main G, biopsies les 20.01., 23.01. et 25.01.2018 (Staph. aureus pénicilline R) • Débridement gaine des fléchisseurs 3ème rayon main G en décembre 2017 (Dr. X, Clinique Générale) • Cure Dig II et III à ressaut en novembre 2017 (Dr. X, Clinique de Moncor) • Nécrose du gros orteil D. • Nécrose du moignon sur status post-amputation sous-capital de P2 O3 du pied G le 26.01.2018. Infiltrats des gaines des fléchisseurs des orteils et infiltrats de la musculature plantaire sur status post-amputation sous-capitale de P2 O3 pied gauche le 26.1.2018. Status post de Thiersch d'une plaie prétibiale à D le 26.01.2018. Ulcère pré-tibial de la jambe D sur status post-greffe cutanée au CHUV en 2008. Status post-angiographie diagnostique et thérapeutique du membre inférieur G le 27.04.2017 et le 14.12.2017. Ostéomyélite de P3 du 3ème orteil G avec arthrite septique de IPD. Status post-révision du moignon du 3ème orteil du pied D le 24.02.2017 sur plaie chronique du moignon Dig 3 sur status post-amputation épibasale P1 3ème orteil pied D. Plaie chronique neuropathique sur la face dorsale de l'articulation interphalangienne distale du 3ème orteil pied D. Status post-révision de plaie, rinçage, prélèvement bactériologique, fermeture 2ème rayon pied D, le 06.11.2015. Status post-révision de plaie, prise de biopsies, rinçage et fermeture de la plaie 2ème orteil D le 09.10.2015. Status post-amputation 2ème orteil D sur plaie chronique neuropathique, le 04.09.2015. Plaie chronique neuropathique sur la face dorsale de l'articulation interphalangienne proximale du 2ème orteil pied D. Status post-débridement, amputation gros orteil avec ex-articulation MTP et utilisation de la peau pour un lambeau de recouvrement pied D, le 20.01.2015. Status post-débridement, adaptation cutanée et mise en place d'un pansement aspiratif pied D, le 16.01.2015. Status post-nécrosectomie 1er rayon MTP pied D, le 12.12.2014. Status post-débridement, rinçage articulaire et arthrodèse métatarso-phalangienne 1er rayon pied D par plaque VA 2,7 mm sur arthrite septique métatarso-phalangienne 1er rayon pied D avec ostéite de contact bord médial tête MT 1 et os sésamoïde médial, le 28.11.2014. • Nécrose infectée du 2ème orteil droit à E. Coli résistant à la pénicilline et Staph dorés, sensibles à l'Augmentin • Nécrose infectée du 2ème orteil droit à E. Coli et Staphylocoques dorés sensibles à l'Augmentin. • Nécrose orteil droit • Nécrose sèche de l'avant-pied distal D sur : • syndrome de Leriche avec une artériopathie oblitérante chronique datant du 12.03.2018 avec status post-pontage aorto-bi-iliaque le 13.03.2018. • Status post ré-implantation de l'artère mésentérique inférieure le 13.03.2018. • Status post-thrombectomie poplitique crural ante- et rétrograde le 13.03.2018. • Status post-fasciectomie médiale et latérale au niveau du MID le 13.03.2018. • Status post-thrombectomie et angioplastie percutanée par Angiojet du tibia postérieur et pédieuse dorsale à D le 14.03.2018.• Traitement de plaie par un VAC jusqu'en fin mars 2018. • Nécrose sèche et ostéite du 2ème orteil pied G, sur plaie ouverte traumatique, sous Tavanic • Germes en cause (05.06.2018) : C. parapsilosis, Staph. epidermidis • Artériopathie oblitérante des MI stade IV en péjoration • Angioplastie au ballon actif et pose de stent de l'artère poplitée, recanalisation du tronc tibio-péronier de l'artère fibulaire par angioplastie simple le 25.01.2018 • Nécrose sèche P3 dig 2 main G avec abcès ostéomyélite sur status post : • exploration de plaie, refixation du tendon fléchisseur profond dig 2 en zone 1. • exploration/débridement de plaie dig 3 G le 23.02.2018. • Germe en cause Staphylococcus aureus. • Nécrose segmentaire de l'intestin grêle (iléon proximal) d'origine indéterminée le 18.04.2017 • Laparoscopie exploratrice, conversion et laparotomie supra-ombilicale, entérectomie segmentaire (40 cm) à 180 cm de la valve iléo-caecale, anastomose iléo-iléale latéro-latérale en deux plans, lavage abdominal de 20 L en urgence le 19.04.2017 • Antibiothérapie par Tazobac du 19.04 au 24.04.2017 • Tumeur de Meckel V phalange main gauche • excision et radiothérapie • Cheilectomie MTP hallux droit • Nécrose tête fémorale gauche • Nécrose tête humérale partielle après une fracture de 3 parts avec Head split et ostéosynthèse par plaque le 27.08.2015. • Nécrosectomie et débridement à 6h en position gynécologique d'ancienne marisque/hémorroïde le 22.06.2018 • Née à terme + 7 jours avec PN 3380 g et TN à 48 cm • S/p Bronchiolite à RSV négative avec désaturation à 87% lors du sommeil • Née à terme à 40 6/7 AVB, PN 3120 g (P 10-25), T 51 cm (P 25-50), PC 34 cm (P 10-25) • Née à terme avec PN à 4060 g • Née à terme, bonne adaptation postnatale. • S/p Bronchiolite RSV oxygénodépendante du 11.01.2017 au 12.01 • Née à terme, bonne adaptation postnatale. • S/p Bronchiolite RSV oxygénodépendante du 11.01.2017 au 12.01 • Née à terme, par voie basse, PN 4300 g. Grossesse sp. • Née à terme, 40 0/7 SG, AVB, PN 3240 g, TN 50 cm, PCN 33.5 cm, APGAR 10/10/10, pH 7.29/7.41 • Crise convulsive d'origine indéterminée • Neutropénie légère (ANC 1253 G/l) • Née à terme, 40 0/7 SG, PN 3240 g (P25-50), TN 50 cm (P25), PCN 33.5 cm (P10-25) • Née à T+1 SA, par AVB spontanée, PN 2270 g, TN 46 cm, PCN 32.5 cm. Bonne adaptation APGAR 9/10/10. • Née à 39 2/7, PN 3360 g (P50), TN 49 cm (P10-25), PC 33.5 cm (P10-25). • Accouchement par voie basse. Rupture des membranes de < 18h. Strepto B positif (maman a reçu : Clamoxyl 1 x 2 g et 1 x 1 g), contrôle pour risque infectieux réalisés en maternité sp. • Née à 39 5/7 semaines de gestation par voie basse avec ventouse, bonne adaptation, APGAR 8/8/9, pH 7.19/7.29. • Sérologies de la mère : Rubéole et CMV immune ; HIV, Syphilis et VHB négatifs. • Strepto B négatif. Rupture membranes 8h avant accouchement par voie basse. • Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV avec surinfection pulmonaire en mars 2018 • Poids à la naissance : 3660 g p 75-90, Taille 50 cm p 50-75, périmètre crânien 35 cm p 75 • Vaccination non débutée. Guthrie selon la mère en ordre. • Ultrason des hanches le 07.05.2018 • Hospitalisation en 5/2018 pour investigation de cassure pondérale • Née à 39 5/7 semaines de gestation par voie basse avec ventouse, bonne adaptation, APGAR 8/8/9, pH 7.19/7.29. • Sérologies de la mère : Rubéole et CMV immune ; HIV, Syphilis et VHB négatifs. • Strepto B négatif. Rupture membranes 8h avant accouchement par voie basse. • Poids de naissance 3660 g (P75), taille 50 cm (P25), périmètre crânien 35 cm (P50-75) • Guthrie selon la mère en ordre. • Ultrason des hanches le 07.05.2018 • S/p hospitalisation à l'âge de 1 mois (du 22 au 24.03.2018 à l'HFR puis jusqu'au 03.04.2018 aux soins intensifs de l'Inselspital) pour une insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV avec surinfection pulmonaire • S/p hospitalisation du 12.04 au 15.04 pour état fébrile sans foyer • S/p hospitalisation du 30.04 au 05.05 pour difficultés alimentaires et stagnation du poids sur probable manque d'apport calorique, sortie contre avis médical. • Née à 40 SG, AVB sp. • Née à 40 0/7 par voie basse avec un poids de naissance à 3315 g, une taille à 49 cm et un périmètre crânien à 34 cm, avec bonne adaptation néonatale avec Apgar à 9/10/10 • Née à 40 2/7 semaines de gestation, Poids de naissance 3180 (P25), Taille de naissance 51 cm (P25-50), Périmètre crânien de naissance 35 cm (P50) • Née à 40 4/7 avec PN 3.8 kg • Née à 41 SG par césarienne, PN 4070 g, TN 49 cm, PCN 35 cm, APGAR 7/9/9. • Bronchite spastique en janvier 2017. • Née à 41 1/7 avec PN à 3540 g, TN à 50 cm et PCN à 36 cm • Née en Peru, habite en suisse depuis un an. • Née 1 semaine avant le terme par césarienne. Hospitalisée à 2 mois et demi de vie pour une infection à Entérovirus. • Néoplasie de la tête du pancréas uT4 uN1 (Endosono 06/2016) en contact étroit avec l'artère mésentérique supérieure avec sténose du duodénum • CT-abdomen 24.02.2016 : dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques évoquant la présence d'un processus occlusif du cholédoque distal • ERCP le 25.02.2016 : stent du cholédoque pour sténose au niveau du cholédoque évoquant un carcinome ou un Mirizzi en premier lieu • Status post ERCP et stent biliaire pour cholestase sur obstruction du cholédoque le 26.02.2016 • Cytopathologie Promed du 25.02.2016 : pas de cellules suspectes de malignité • IRM du 29.02.2016 : Pas de lésion pancréatique ou hépatique suspecte sur cet examen pouvant expliquer la dilatation des voies biliaires • Marqueur tumoral le 19.03.2018 : CA 19-9 97 U/ml, CEA neg. • Patient suivi ensuite à Beausite Berne par le Dr X • Biopsie duodénum du 19.03.2018, P2018.3272 : hyperplasie fovéolaire et inflammation subaiguë. Pas d'argument pour une néoplasie ou dysplasie • ERCP le 27.03.2016 : changement du stent • Status post endosonographie et ponction le 30.03.2016 : hypothèse d'une néoplasie maligne de la tête du pancréas • Cytopathologie du 30.03.2016 : cellules atypiques et dégénératives • Endosono 04.05.2016 : Changement du stent du cholédoque, uT4 uN1 • Cholangite sur obstruction du stent biliaire le 27.05.2018 • De-Ursil depuis le 06.06.2018 • Suivi par le Prof. Egger et le Dr X • Baisse de l'état général avec perte de 12 kg en 6 mois, asthénie • contexte oncologique • Arthrite psoriasique • Coxarthrose droite sur dysplasie Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle JAK2 V617F positive avec : • diagnostic en 2001 • biologie moléculaire sang périphérique du 24.04.2017 : mutation JAK2 V617F • CT thoraco-abdominal du 28.06.2017 : splénomégalie 15x7.8x7 cm • cytoréduction par Litalir depuis le diagnostic • suivi Dr. X Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle JAK2 V617F positive avec : • dx 2001 • biologie moléculaire sang périphérique du 24.04.2017 : mutation JAK2 V617F • CT thoraco-abdominal du 28.06.2017 : splénomégalie 15x7.8x7 cm • traitement : cytoréduction par Litalir depuis le diagnostic. Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle, JAK2 V617F positive, diagnostiquée le 26.11.2014 avec • hémogramme au diagnostic : Hb 172 g/l, GB 10,5 G/l (PMN 58%, eo 4,5%, baso 1%, mono 11%, lympho 24,5%), Tc 594 G/l • biologie moléculaire du sang périphérique du 26.11.2014 : présence de la mutation JAK2 V617F (quantification 11,29%) • PBM du 12.12.2014 : moelle hypercellulaire, trilinéaire avec importante augmentation des mégacaryocytes, parfois hyperlobulés, avec légère éosinophilie médullaire sans excès de blastes, et rares sidéroblastes à granulations fines au médullogramme ; tissu hématopoïétique légèrement hypercellulaire avec hyperplasie de la mégacaryopoïèse avec présence de formes de grande taille et un noyau hyperlobulé, érythropoïèse moyennement bien présentée avec rares atypies, myélopoïèse légèrement hyperplasique avec maturation complète, légère fibrose réticulinique focale (MF : 0/1), compatible avec une thrombocytémie essentielle • caryotype médullaire du 12.12.2014 : 46, XY [20] • traitement : cytoréduction par Litalir dès le 12.12.2014 et anticoagulation thérapeutique dès le 11.09.2014 (Clexane 120 mg par jour, avec relais au Xarelto 20 mg par jour dès le 13.11.2014) • situation actuelle (21.02.2018) : réponse hématologique complète (thrombocytes < 450 G/l) Néphrolithiase en 2010 Néphrolithiase en 2010. Néphrolithiase gauche. Néphrolithiase gauche avec dilatation pyélo-caliciel. Status post-néphrolithiase avec pose de double J (2001). Néphropathie diabétique avec IRC stade 3 (CKD EPI) : • Cr 158 umol/L. Néphropathie diabétique de stade IV avec IRC stade G4A3 et syndrome néphrotique (suivie par Dr. X) • hémodialyse dès le 15.12.2017 Néphrotrans du 11.05.2018 au 16.05.2018 Néphro-urétéro-pyélonéphrite bilatérale chronique avec status après résection transurétrale de la prostate en 2011 (pour hypertrophie prostatique obstructive) puis résection d’une sténose du col pour obstruction récidivante en mai 2015 : • Sonde vésicale à demeure • Porteur MRSA dans les urines : culture d’urine le 31.07.2017 : absence de MRSA ; frottis et urotube à faire chaque 6 semaines • Culture mycobactérie urines : négative à 8 semaines • Cytologie des urines 01.02.2017 : pas de cellules tumorales • Hospitalisation du 24.06.2017 au 28.06.2017 pour macrohématurie et infection urinaire à Acinetobacter : • Traitement de Meronem en dialyse du 28.06.2017 au 21.07.2017 avec monitoring des taux (Dr. X) • Pas d’autre investigation nécessaire selon urologue traitant (Dr. X) car cystoscopie normale en février 2017, cystite chronique, sonde à demeure et anticoagulation expliquent les récidives de macrohématurie Nervosité favorisée par hypomagnésémie à 0.40 mmol/l. Nette amélioration. Nette amélioration de l'état général avec enfant souriante après antalgie en suppositoire avec reprise de l'hydratation 200 ml en 1h. Pas de signe de déshydratation. Contrôle à nouveau 12 heures après la dernière consultation : Mr. Y : en sortant de l'hôpital, décrit une odynodysphagie persistante, mais n'a pas reçu les antalgiques (elle a vomi l'algifor de suite après la prise et refus du dafalgan), et une diminution de l'hydratation, ce qui motive la consultation. Néanmoins, la diurèse est conservée et depuis son arrivée aux urgences ce soir à 23:30, elle boit 4 dl de sirop. Elle n'avait pas bu autant sur les derniers jours selon la mère. Pas d'état fébrile. status. poids 25.100 kg, bhbp, confortable non algique souriante, ORL : dépôt de fibrine au niveau du pilier antérieur du pharynx, pas d'halitose, pas de saignement, pas de trismus, pas d'asymétrie du pilier. Le reste du status est superposable. Synthèse : actuellement, pas de suspicion de surinfection, Att. : prendre les antalgiques comme prescrit et contrôle aux urgences si douleur en péjoration, état fébrile ou signe de déshydratation. Nette amélioration de la symptomatologie avec diminution des douleurs et arrêt des vomissements après bolus de NaCl et zofran. Au vu d'une symptomatologie d'appendicite, nous proposons un arrêt d'antibiotique pour éviter de cacher une appendicite débutante. Nette amélioration du status respiratoire 1h après Ventolin avec disparition des sibilances et des râles, et persistance seulement d'un tirage sus-sternal léger. Saturation au sommeil 92%. Nettoyage des plaies, désinfection, champage, anesthésie locale avec Rapidocaïne, sutures au Prolène 4.0 (4, 5, 3, 3 et 1 point de sutures) et pansement. Retour à domicile. Contrôle chez le médecin traitant le 15.06.2018 pour suivre l'évolution des plaies et à 7-10 jours pour l'ablation des fils. Antalgie. Reconsultation en cas de péjoration. Nettoyage des plaies, désinfection, champage, exploration avec Hibidil et NaCl, pose de 3 points de suture avec Prolène 5.0 sur chaque plaie, rinçage. Augmentin 1g aux urgences. Attitude : • Retour à domicile. • Contrôle clinique à 48h en Filière 34. • Antibiothérapie prophylactique pendant 5 jours. • Status vaccinal à vérifier par le patient et éventuel rappel du tétanos lors du contrôle à 48h. • Arrêt médical. • Traitement symptomatique. • Feuille de surveillance neurologique post-TC donnée au patient. Neupro Patch puis Sifrol Neurinome du nerf auditif traité par radiothérapie en 2004, suivi Dr. X Opération d'un hallux valgus Hémorragie gastro-intestinale haute sur ulcère prépylorique le 27.07.2012 Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative d'origine spoliative le 28.07.2012 Neuroborréliose, avec IgM intrathécale spécifique pour Borrelia Burgdorferi traité par Rocéphine (2010). Neuroborréliose probable avec paralysie faciale périphérique gauche Neurofibromatose. Neurofibromatose type 2 avec schwannome sous Avastin 5 mg/kg depuis juillet 2011 (fin en septembre 2017), suivi au CHUV • status post pose d'un drain ventriculo-péritonéal pour hydrocéphalie en 2010. Neuroleptiques en réserves. Amendée après diminution de la morphine grâce au cathéter péridural. Neurolyse du nerf interosseux postérieur droit. Cure d'épicondylite droite le 22.06.2017 sur épicondylalgie latérale et compression du nerf antéro-postérieur droit. Neuro-myopathie des soins intensifs le 26.04.2016 avec tétraparésie, ataxie et dysphagie. Prostatite chronique à E. Coli ESBL (14.06.2016), Bactrim forte 2x/j 14.06 - 05.07.2016. Luxation spontanée de la mâchoire inférieure post-opératoire (10.05.2016). Sepsis urinaire à E. Coli ESBL (27.04.2016), Méropénème puis Ertapénème 28.04 - 03.05.2016. Granulations laryngées et ulcération aryténoïde post-intubation prolongée (27.04.2016). Sinusite maxillaire bilatérale, sphénoïdale et ethmoïdale droite (19.04.2016). QTc long à 510 ms le 09.04.2016. Syndrome malin des neuroleptiques atypique (19.04.2016) avec récidive les 28.04.2016, le 30.04.2016 et le 09.05.2016, avec : • DD : syndrome sérotoninergique (médicaments favorisants : lithium et valproate), infectieux, syndrome anticholinergique • traitement à l'admission : olanzapine, valproate, lithium • myoclonies palpébrales, état fébrile persistant, tachycardie, sudations, élévation des CK et lipase, sans rigidité.• pancréatite biologique secondaire (22.04.2016, 28.04.2016, 30.04.2016 et 09.05.2016) • rhabdomyolyse secondaire • état neurologique fluctuant après introduction du Leponex / Clozapine dans le passé. ARDS sur pneumonie trilobaire à germe indéterminé (09.04.2016) avec: • IOT 09 - 27.04.2016 • ceftriaxone 09 - 15.04.2016, clarithromycine le 09.04.2016. Neuro-myopathie secondaire à la maladie critique le 08.03.2018 Neuro-myopathie sévère liée à la maladie critique Neuronite vestibulaire D avec signes corticaux constitutionnels Episode de vertiges en 2012 Plaie avec section complète des tendons fléchisseurs superficiel et profond D5 main G, zone II. (23.08.2015) Etat de confusion avec déficit moteur facio-brachio-crural droit d'origine migraineuse le 22.12.2016 avec CT Time is brain: pas d'hémorragie, pas de signe d'un ACV Vertiges paroxystiques positionnels bénins: Manoeuvre de Hallpike positive à G avec nystagmus rotatoire géotrope et vertige Neuronite vestibulaire en 2008. Hyperglycémie à 24 mmol/l chez une patiente connue pour un diabète mellitus de type 2 insulino-requérant, avec : • HbA1c à 10.3% en octobre 2016 • rétinopathie d'origine diabétique probable. Cure de cataracte. Hystérectomie totale et annexectomie bilatérale en juin 2002, pour méno-métrorragies post-ménopausiques. 2 épisodes de paralysie de Bell il y a 50 ans. Appendicectomie. Neuronite vestibulaire gauche. Neuronite vestibulaire le 05.06.2018 DD : vertige central. Neuropathie branche dorsale nerf radial main droite. Dig I gauche : révision de plaie du pouce D avec débridement et rinçage, prise de biopsies le 16.09.2017 sur statut post infection cutanée et mal réduction de la MC 1 sur fracture de Rolando le 25.08.2017 traitée par embrochage le 05.09.2017 au Portugal Status post AMO, débridement, prise de biopsie, OS par fixation externe le 22.09.2017 (K. pneumoniae et P. aeruginosa multisensible. Neuropathie périphérique motrice d'origine indéterminée • DD : étiologie auto-immune de type Guillain-Barré DD canal cervical étroit (moins probable) Neuropathie périphérique traitée par Neurontin et Surmontil. Probable trouble anxio-dépressif. Neuropathie subaiguë du nerf sciatique droit d'origine indéterminée, possiblement compressive dans le contexte opératoire (voir intervention dans le cadre du diagnostic supplémentaire 1) Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation Neuroréadaptation neuroréadaptation à la clinique de Meyriez, 30.04. au 09.06.2018 Physiothérapie Ergothérapie Logopédie Consultation neurovasculaire de contrôle le 05.09.2018 à 15h30 Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Evaluation neuropsychologique et suivi : amélioration progressive en cours d'hospitalisation avec une meilleure orientation Neuroréhabilitation intensive à Meyriez du 25.05. au 31.05.2018 Physiothérapie Ergothérapie Bas de contention, stop Clexane le 25.05.2018 Rendez-vous de contrôle avec EMG chez le Dr. X le 04.07.2018 à 16h30 Résidu urinaire post-mictionnel 28.05.2018: 50ml Neuroréhabilitation intensive à Meyriez Poursuite de la double anti-agrégation pendant 1 mois suivi de Plavix 75 mg/jour seul Neuroréhabilitation intensive à Meyriez Poursuite de la double anti-agrégation pendant 1 mois suivi de Plavix 75 mg/jour seul Pas de conduite jusqu'à la consultation neurovasculaire de contrôle le 12.09.2018 à 16h45 (Dr. X) Neuroréhabilitation intensive du 28.05. au 30.05.2018, passage en neuroréadaptation dès le 30.05.2018 Corticothérapie (dexaméthasone) du 24.04. au 31.05.2018 RDV (contrôle OP crâne) à 13h15 le 07.06.2018 en neurochirurgie HFR Neutropénie fébrile à J9 de chimiothérapie le 27.01.17 d'origine clinique peu claire • DD : tumoral Neutropénie fébrile à 1.5 G/l sans agranulocytose. Neutropénie sévère sur leucémie myéloïde aiguë. Névralgie cervico-brachiale C6-C7-C8 gauche non déficitaire. Névralgie cervico-brachiale gauche aiguë le 12.06.2018. Névralgie d'Arnold. Hernie hiatale. Hypotension. Névralgie intercostale gauche le 27.06.2018. Névralgies de l'hémi-crâne gauche post-accident vasculaire cérébral Wallenberg, avec céphalées à prédominance de l'hémi-crâne gauche, avec hyperthermie de l'hémi-corps droit et vertiges à la mobilisation. Entorse de stade II de la cheville droite. Névrite rétro-bulbaire G le 18.03.2016 Kystectomie ovarienne G par laparoscopie le 16.06.2011 AVB par forceps en 1991 Prothèses mammaires en 2006 • Capsulite post-implantation de prothèses mammaires (PIP) en 2006 • Capsulotomie + excision partielle et ré-implantation de prothèses mammaires le 04.11.2014 APP dans l'enfance Névrite vestibulaire droite. Névrite vestibulaire droite. Névrite vestibulaire gauche le 04.05.2018 Névrome cicatriciel post-suture extenseur Dig III main gauche le 21.03.2018. Névrome de Morton au niveau inter-métatarsien II-III du pied D. Névrome de Morton entre la tête des métatarsiens 1-2 et 2-3 du pied D. Status post infiltration intermétatarsienne 2-3 pied D le 03.05.2018. Status post infiltration intermétatarsienne 1-2 pied D le 24.05.2018. Nexium 1x/jour Antigène dans les selles (recherche H. Pylori) à prévoir par le médecin traitant. Nexium 20 mg pendant 3 semaines. Contrôle chez le médecin traitant, endoscopie à discuter. Nexium 40 mg 1x/jour 6 semaines. Nasonex 2 push 2x/jour 6 semaines Prorhinel 2x/jour 6 semaines. Avis ORL. Contrôle Dr. X dans 6 semaines. Nexium 40 mg 2x/j à poursuivre pour 2 mois Nexium 5mg 1x/j dès le 06.10 NIHIL NIHIL NIHIL Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil NihilNihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil Nihil, Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil.Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil, bonne santé habituelle Nihil psychiatrique Nihil Bronchites spastiques à répétition Traitement de fond avec Vannair (donné par les parents) Nihil Cervicalgies sub-aiguës non déficitaires le 08.07.2013 Antalgie Poursuite traitement physiothérapeutique Nihil. Colique néphrétique G avec IRA • patient avec sp de calculs néphrétiques d'oxalate de calcium il y a 4 ans Labo Sédiment urinaire Hydratation Antalgie Uro-CT: 2 calculs de l'uretère distale à G de 2mm chaque (un se localise au niveau de la jonction urétéro-vésicale et l'autre se localise 3cm plus haut au niveau de l'uretère pelvien), petites calcifications millimétriques des deux reins, dilatation de 16mm au niveau du pyélon, lésion compatible d'un ostéochondrome de l'épine iliaque postéro-supérieure, stable par rapport au CT de 2013 CS de contrôle en filière 34 le 24.04.2017 Ostéochondrome de l'épine iliaque postéro-supérieure, stable par rapport au CT de 2013, asymptomatiqueÀ surveiller Nihil Coprostase importante avec clinique de sub-iléus Nihil. Dépression. Nihil Faux-croup Nihil. Fracture non déplacée tiers distal clavicule droite. TC avec amnésie circonstancielle Traumatisme abdominal Traumatisme pelvien avec contusion des organes génitaux externes Traumatisme de l'index D Nihil. Fracture non déplacée tiers distal clavicule droite. TC avec amnésie circonstancielle Traumatisme abdominal Traumatisme pelvien avec contusion des organes génitaux externes Traumatisme de l'index D Nihil Influenza A le 21.01.2018 Nihil Pollakiurie nocturne Nihil. Traumatisme crânien avec perte de connaissance: • plaie en y de 3 cm au niveau de la région occipitale CT-cérébral et cervical. Surveillance neurologique. Chute sur des troubles de la motricité et probable origine vaso-vagale. Laboratoire. ECG. Surveillance rythmique et neurologique. nihl NIHSS à 6. CT time is brain : hémorragie intraparenchymateuse pariéto-occipito-temporale droite associée à un hématome sous-dural s'étendant au sein de la faux du cerveau et à un œdème péri-lésionnel provoquant un effet de masse avec engagement sous-factoriel et temporal homolatéral. Le 3ème ventricule est libre. Laboratoire : Hb 111 g/l NCNC, crase et thrombocytes sans particularité. Pas de syndrome inflammatoire, hypoK 3.3. ECG : RSR à 75 bpm, QRS fins, normo-axés, petites ondes Q territoire inférieur, pas d'autre trouble de la repolarisation, QTc 450 ms, PR 160 ms. Prise en charge aux urgences : patiente avec tête 30°, Trandat iv pour TAS cible < 140 mmHg. Avis neruchir (Dr. X) : DD : trigger hémorragie HTA (peu d'arguments, patiente pas connue pour HTA) ou malformation artério-veineuse. En raison du manque de place aux soins intensifs transfert pour artériographie et réévaluation opératoire en neurochir à Berne.(Dr. X, Berne) Transfert de la patiente en ambulance à l'Inselspital à Berne. NIHSS 2.0. Traitement symptomatique avec sucre par voie orale. Glycémie après le traitement à 5.6mmol/l. • bilan étiologique à organiser chez le médecin traitant. • information qu'en cas de récidive des symptômes à type de troubles sensitivo-moteurs, céphalées inhabituelles, dysarthrie, reconsulter les urgences. Mr. Y présente donc un ongle incarné à D qui s'est bien amélioré avec des bains de Dakin. Je propose donc de poursuivre ce traitement pour encore une semaine. Pour l'instant l'indication opératoire n'est pas posée. Je reste bien entendu à disposition en cas de réapparition des douleurs. Nitrofurantoïne 100mg 3x/j durant 5 jours. Traitement symptomatique. Patiente instruite des signes devant la faire reconsulter en urgence. Nitroglycérine iv du 11.06 au 15.06.2018 Clonidine iv du 09.06 au 14.06.2018 Clonidine, Nébivolol, Nifédipine, Lisinopril po jusqu'au 22.06.2018 Nébivolol, Lisinopril, torasémide depuis le 23.06.2018 Echocardiographie transthoracique le 13.06.2018 (Dr. X) Nitroglycérine iv du 11.06.2018 au 15.06.2018 Clonidine iv du 09.06.2018 au 14.06.2018 Clonidine, Nébivolol, Nifédipine, Lisinopril po jusqu'au 22.06.2018, Nébivolol, lisinopril, torasémide depuis le 23.06.2018 Echocardiographie transthoracique le 13.06.2018 (Dr. X) NN 35 3/7SG, PN 2470g, TN 44cm, PCN 32.7cm AVB, apgar 9/10/10, pH 7.25 NN à terme NN à terme, 38 4/7, J0, PN 3200 g(P 25 -40), TN 49 cm (P 10 -25), PCN 35,5 cm (P 50-75) • S/p Maladie des membranes hyalines • S/p Ictère néonatal (Bili tot. max. 261 umol/l le 07.04) • S/p Thyroïdite auto-immune maternelle avec hyperthyroïdie (sous ttt avec propylthiouracil 100 mg/j PO depuis 04/2016) • S/p Syndrome brady-apnéique post MMH • S/p Difficultés alimentaires NN née à 36 5/7 par césarienne en urgence pour bradycardie et suspicion de décollement placentaire avec PN à 2900 g (P25-P50), TN 49 cm (P25-P50), PC 33.5 cm (P10-P25) S/p bronchiolite à RSV + pneumonie débutante basale droite en 12.2016 NN 35 3/7SG, PN 2470g (P30), TN 44cm (P5), PCN 32.7cm (P30) À l'entrée: J65 = 44 5/7SG, Poids d'entrée 3728g NN 37 2/7 SG (Daler), PN 2650 gr, TN 44 cm, PCN 33 cm. APGAR 9/10/10, pH 7.21/7.31. Accouchement par voie basse. S/p Probable malaise vagal dans le contexte d'une régurgitation S/p Souffle systolique 2/6 aigu maximum en parasternal G non irradiant avec US cardiaque normal NNT à 37SA, PN 3500g IVRS NNT né à 38 2/7 SG par césarienne, PN 3150 g (P25-50), TN 49 cm (P10-25), PCN 33.5 (P5-10) Bonne adaptation néo-natale. Grossesse : la mère a eu la nausée et des vomissements pendant toute la grossesse. • Insuffisance respiratoire dans le contexte de probable bronchiolite à RSV positif Episodes de bradycardie avec apnée DD sur reflux, sur RSV Plusieurs otites Bronchite sans antécédents d'hospitalisation NNT 38 1/7, AVB sans complications, bonne adaptation, Apgar 8/9/10, PN 2900g NNT 38 6/7SG, PN 3660g (P50-75), TN 49cm (P5), PCN 34.5cm (P25) S/p Syndrome bradyapnéique du nouveau-né S/p Suspicion d'infection néonatale infirmée S/p Difficultés alimentaires du nouveau-né S/p Ictère néonatal sans incompatibilité (bili totale max 237 umol/l) NNT 38SA, AVB sans complication, bonne adaptation, PN 3180g Mr. Y a présenté une syncope dont les circonstances (suite à une brûlure d'un doigt) et la présence de prodromes (flou visuel) évoquent une origine vaso-vagale. Nous avons très peu d'arguments pour une syncope convulsivante (courte durée de la perte de connaissance, absence de mouvements tonico-cloniques généralisés, pas de phase post-critique). Il s'agit du premier épisode de malaise chez un patient qui n'est pas connu pour une anamèse personnelle ni familiale d'épilepsie ni maladie cardiaque. Dans ce cadre, nous ne proposons pas d'investigation complémentaire. Concernant le traumatisme crânien, il n'y a pas eu de céphalées ni vomissements suite à la chute. Le statut neurologique est aligné. Nous proposons une surveillance au domicile. Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse pour une cellulite préseptale à gauche. Sur le plan infectieux, il reste afébrile, bénéfice d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 150 mg/kg/jour en 3 doses i.v. du 12.06 avec relais per os le 15.06 avec co-amoxicilline 80 mg/kg/jour en 3 doses. Une antibiothérapie locale avec Tobradex a été débutée le 13.06.2018. Les hémocultures prélevées restent stériles. Vu l'anamnèse de piqûre de tiques, une sérologie a été demandée aux urgences qui montre des Lyme IgG légèrement augmentées sans symptomatologie clinique et, après discussion avec nos collègues infectiologues, nous n'avons pas effectué d'autre investigation ni thérapie. Sur le plan ophtalmologique, Mr. Y a été vu régulièrement par nos collègues ophtalmologues qui demandent un CT qui permet d'exclure une extension dans la cavité orbitaire ou intracrânienne. Après une bonne amélioration de la tuméfaction de la paupière gauche et avec un bon état général, il peut rentrer à domicile le 15.06.2018 avec la poursuite de l'antibiothérapie par os jusqu'à 7 jours in toto. Mr. Y, un fils de 10 ans, a été transféré de Payerne pour suite de prise en charge d'une crise d'asthme bronchique modérée, le soir du 07.06. Il s'est présenté aux urgences de Payerne avec dyspnée, sibilances diffus et tirages aux 3 niveaux. Là, il a reçu 2 fois 12 puffs de Ventolin et 60 mg de Prednisolone (1.5mg/kg/j). Il a été transféré chez nous pour l'hospitalisation en vue du besoin rapproché du Ventolin et éventuelle oxygénothérapie. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable avec un traitement de Ventolin espacé progressivement aux 4 heures et du Betnesol durant 3 jours. Il n'a jamais eu besoin d'oxygénothérapie pendant l'hospitalisation. Mr. Y peut rentrer à domicile le 08.06 avec un traitement de Ventolin en diminution et Betnesol jusqu'au 09.06. Un contrôle chez le médecin traitant avec une organisation d'un test allergique est recommandé pour le lundi, 11.06.2018.Nodule lobaire inférieure droite • de taille augmentée par rapport comparatif 2016 • CT scanner organisé lors de la dernière hospitalisation 12.17 non réalisé par le patient Nodule du lobe inférieure droite le 12.06.2018 Nodule du pôle inférieur du rein gauche de 12 mm de diamètre Nodule hypodense de 21 mm dans le dôme hépatique de découverte fortuite le 14.05.2018 CT thoracique 14.05.2018 Nodule pancréatique queue du pancréas Nodule prostatique visible lors du PET-CT du 27.02.2018, macrohématurie le 12.04.2018. NSCLC (carcinome non à petites cellules bronchique) de type carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit (S2), classé cT1c cN0 cM0, stade IA : Date du diagnostic initial : 13.02.2018. Pancréatite aiguë le 21.03.2017, sur probable consommation OH (4ème épisode). Hyponatrémie à 118 mmol/l le 21.03.2017 (DD : SIADH, consommation OH). Status post excision d'un adénome tubulo-villeux avec dysplasie épithéliale de bas grade le 09.09.2013. Rectocolite aiguë à Campylobacter jejuni en 2005. Arthroscopie pour une lésion du ménisque gauche en 2000. Bulbite apicale érosive. Crise de goutte en 1995. BPCO stade IV B selon Gold avec / sur : • hypoxémie de degré léger • tabagisme actif à 50 UPA, stade d'indétermination pour le changement selon Prochaska • phénotype non exacerbateur • emphysème pulmonaire avec troubles de la diffusion de degré moyen • malnutrition protéino-énergétique légère • CAT score : 11. IScore de Bode, à la sortie : 4. Nodule pulmonaire basal droit de 1.7 mm de diamètre : • patiente connue également pour un nodule mammaire de 8 mm dans le sein droit (CT du 02.05.2016) Nodule pulmonaire lobe inférieur droit de 7 mm sous-pleural postéro-basal (diagnostiqué sur CT 23.05.2012) Cardiomyopathie dilatée sévère avec FEVG à 40 % avec composante ischémique, hypertensive et dysrythmique, avec : • Status post STEMI inférieur avec pose de stent sur l'artère coronaire droite en 1996 • Status post tachycardie ventriculaire non soutenue (Holter) 2008 • Maladie coronarienne tritronculaire avec sp pose de 4 stents (CD et CX), lésion intermédiaire de l'IVA en 2008 • Status post flutter auriculaire 2:1 le 23.05.2012, ralentie par bétabloquant • Dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 30 %) le 24.05.2012 • Status post récidive de flutter auriculaire 2.1 à 140/min, électro-cardioversé le 22.08.2012 • Dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 15 %) le 22.08.2012, (ETO Dr. Albrecht) • Légère dilatation du VG, FEVG 40 %, avec une akinésie inféro-postérieure. Dilatation importante du VD dans le cadre ischémique sans dysfonction systolique (16.10.2012, ETT Dr. Albrecht) Récidive de flutter auriculaire 2:1 à conduction ventriculaire à 140/min le 21.08.2012 • Thermoablation le 06.09.2012 à la clinique Sonnenhof par le Prof. Delacrétaz BPCO stade IV D selon Gold avec / sur : • Status post exacerbation sur pneumonie basale bilatérale le 30.05.2018 • Insuffisance respiratoire sévère sous oxygénothérapie continue avec VNI depuis 2011 • adaptation à EPAP 7 - IPAP 17 dès le 18.06.2018 • Oxygénothérapie à 2 lt/min en continu, 3-4 lt/min à l'effort (modification du débit gérée par l'épouse) • Traitement inhalateur par Vannair et Spiriva dès le 08.06.2018. • Probable composante professionnelle (agriculteur/vacher) et ancien tabagisme à 20 UPA stoppé en 2000 • Composante d'asthme bronchique associé • Hypertension artérielle pulmonaire • Emphysème pulmonaire avec troubles de la diffusion de degré modéré (DLCO à 54 % du prédit en 03.2017) • Polygraphie nocturne diagnostique du 24.02.2016 : IHA 13.1/h, IDO 6.8/h, satO2 moyenne 87.3 % • Cachexie • Déconditionnement sévère à l'effort • CAT score le 12.06.2018 : 19/40 Tachycardie ventriculaire le 30.05.2018 et le 01.06.2018 avec : • NSTEMI secondaire dans le cadre d'une hypoxémie et sepsis • Cardioversion après magnésium • Mise en place d'un traitement par Aspirine, Plavix • Echocardiographie du 01.06.2018 : FEVG à 40 %. Hypokinésie septale sévère. Paresthésies des membres inférieurs de longue date • Déficit en acide folique qui est substitué • B12, TSH dans la norme. Ferritine haute. Surdité à droite post-traumatique ancienne Suspicion d'ostéoporose Nodule pulmonaire lobe inférieur droit de 7 mm sous-pleural postéro-basal (diagnostiqué sur CT 23.05.2012) Cardiomyopathie dilatée sévère avec FEVG à 40 % avec composante ischémique, hypertensive et dysrythmique, avec : • Status post STEMI inférieur avec pose de stent sur l'artère coronaire droite en 1996 • Status post tachycardie ventriculaire non soutenue (Holter) 2008 • Maladie coronarienne tritronculaire avec sp pose de 4 stents (CD et CX), lésion intermédiaire de l'IVA en 2008 • Status post flutter auriculaire 2:1 le 23.05.2012, ralentie par bétabloquant • Dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 30 %) le 24.05.2012 • Status post récidive de flutter auriculaire 2.1 à 140/min, électro-cardioversé le 22.08.2012 • Dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 15 %) le 22.08.2012, (ETO Dr. Albrecht) • Légère dilatation du VG, FEVG 40 %, avec une akinésie inféro-postérieure. Dilatation importante du VD dans le cadre ischémique sans dysfonction systolique (16.10.2012, ETT Dr. Albrecht) Récidive de flutter auriculaire 2:1 à conduction ventriculaire à 140/min le 21.08.2012 • Thermoablation le 06.09.2012 à la clinique Sonnenhof par le Prof. Delacrétaz Paresthésies des membres inférieurs de longue date • Déficit en acide folique qui est substitué • B12, TSH dans la norme. Ferritine haute. Surdité à droite post-traumatique ancienne Insuffisance respiratoire mixte chronique sur BPCO de stade GOLD IV D, avec: • probable composante professionnelle (agriculteur/vacher) et ancien tabagisme à 20 UPA stoppé en 2000 • syndrome obstructif de degré très sévère (VEMS 0.84 L soit 31% du prédit, DLCO à 54% du prédit en 03.2017) • composante d'asthme bronchique associé • hypertension artérielle pulmonaire • polygraphie nocturne diagnostique du 24.02.2016: IHA 13.1/h, IDO 6.8/h, satO2 moyenne 87.3% • insuffisance respiratoire mixte sous oxygéno-thérapie au long cours (2L/min au repos et à l'effort, 16/24h) depuis 2011 et ventilation non-invasive (Lumis 150 mode IVAPS, EPAP 8cm, aide 8-15 cmH2O, fréquence respiratoire 15/min) • suivi par le Dr. X Cardiomyopathie dilatée sévère avec FEVG à 40% avec composante ischémique, hypertensive et dysrythmique, avec: • status post STEMI inférieur avec pose de stent sur l'artère coronaire droite en 1996 • status post tachycardie ventriculaire non soutenue (Holter) 2008 • maladie coronarienne tritronculaire avec pose de 4 stents (CD et CX), lésion intermédiaire de l'IVA en 2008 • status post flutter auriculaire 2:1 le 23.05.2012, ralentie par bétabloquant • dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 30%) le 24.05.2012 • status post récidive de flutter auriculaire 2:1 à 140/min, électrocardioversé le 22.08.2012 • dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 15%) le 22.08.2012, (ETO Dr. X) • légère dilatation du VG, FEVG 40%, avec une akinésie inféro-postérieure. Dilatation importante du VD dans le cadre ischémique sans dysfonction systolique (16.10.2012, ETT Dr. X) Récidive de flutter auriculaire 2:1 à conduction ventriculaire à 140/min le 21.08.2012 • Thermoablation le 06.09.2012 à la clinique Sonnenhof par le Dr. X Surdité à droite post-traumatique ancienne Pneumonie basale droite le 16.03.2017 • chez un patient connu pour une insuffisance respiratoire mixte chronique sur BPCO de stade GOLD IV sous 2L de O2 à domicile Nodule pulmonaire lobe supérieur gauche le 27.06.2018 Nodule pulmonaire médio-basal lobe inférieur droit le 11.06.2018: • trouvé fortuitement • chez une patiente avec ancien tabagisme (25py) Nodule pulmonaire de 11 mm de diamètre, en position latéro-basale droite • chez un patient à faible risque de néoplasie pulmonaire Nodule rénal droit de découverte fortuite avec rehaussement. Nodule sous-pleural de 9x10 mm à la jonction des segments apical et postéro-inférieur du lobe inférieur droit. Nodule sous-cutané de la face médiale du coude gauche avec: • DD: lipome, kyste post-traumatique. Nodule thyroïdien du lobe gauche mesurant 2,7 x 2,1 x 2,1 cm, folliculaire le 29.01.2018 (classification selon Bethesda IV) Nodule thyroïdien du lobe gauche mesurant 2,7 x 2,1 x 2,1 cm, folliculaire le 29.01.2018 (classification selon Bethesda IV) Nodule thyroïdien infra centimétrique à droite Début coxarthrose bilatérale Probable hypertension artérielle non traitée avec une hypertrophie concentrique du ventricule gauche et fonction systolique préservée (2007) Nodule thyroïdien le 04.06.2018 Nodules le long de l'arc bronchique d'origine indéterminée le 05.05.18 Nodules sous-cutanés douloureux bras droit et fesse droite sub-aiguë DD: lipome Nodules thyroïdien (suivi au Portugal) Nodules thyroïdiens. Anémie ferriprive. Cancer du sein en 2013, en rémission, sous Tamoxifen. Mr. Y est hospitalisé dans le cadre d'un érysipèle du poignet gauche sur porte d'entrée constituée d'une petite plaie datant d'une semaine, érysipèle associé à une lymphangite du membre supérieur gauche s'étendant jusqu'à la région axillaire, sans lymphadénopathie axillaire associée ni état fébrile. Nous n'objectivons pas de syndrome inflammatoire sur le bilan d'entrée, probablement en lien avec un retard biologique. Au vu de la rapidité de l'évolution de l'infection cutanée, nous débutons un traitement intraveineux de Co-Amoxicilline à raison de 150 mg/kg/jour, après avoir prélevé des hémocultures. Durant l'hospitalisation, Mr. Y reçoit au total trois doses d'antibiotique intraveineux avec évolution locale favorable et apyrexie. Il rentre à domicile le 09.06 matin avec poursuite du traitement de Co-Amoxicilline par voie orale à raison de 80 mg/kg/j pour une durée totale d'antibiothérapie de 7 jours. Nombreuses caries Nombreuses dermabrasions Non documenté Non fait. Non progression de la présentation Non progression de la présentation Non suturées Hygiène des plaies Non suturées Hygiène des plaies Mme. Y présente une angine virale pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique. Concernant l'herpès labial, nous proposons d'appliquer de la pommade Zovirax afin de soulager les symptômes. Noradrénaline du 17.04.2018 au 30.05.2018 Antibiothérapie : cf. résumé infectieux Immunoglobulines iv du 17.04 au 19.04.2018 Solucortef du 17.04 au 20.04.2018 • Fasciotomie des loges du pied et de la jambe gauche avec débridement et lavage le 18.04.2018 • Fasciotomie 2nd look : rinçage, débridement, fermeture partielle (pied face dorsale), fermeture complète (jambe) le 25.04.2018 • Ablation Epigarde, débridement pied face dorsal à gauche, fermeture partielle et confection d'un pansement Renassys le 04.05.2018 • Débridement, lavage et pose de VAC face antérieure du pied G le 14.05.2018 • Débridement cicatrice de fasciotomie face interne jambe G le 23.05.2018 • TPN (Thérapie par pression négative): traitement continu par aspiration après scellement sous vide • Changements de pansement VAC itératifs les 04.05., 23.05., 26.05., 29.05., 01.06., 04.06., 07.06., 11.06. prochain contrôle le 15.06.18 US cheville gauche le 17.04.2018: pas de liquide intra-articulaire CT-scan jambe gauche le 18.04.2018: infiltration liquidienne sous-cutanée, absence de collection profonde CT-scan jambe gauche le 01.05.2018: pas de complication Test au Synacthen le 29.04.2018: normal Cortisol basal le 18.05.2018: normal Noradrénaline du 22.04 au 24.04.2018 Meronem du 22.04 au 29.04.2018 Bactrim du 22.04 au 29.04.2018 Vancomycine du 25.04 au 28.04.2019 Changement de sonde urinaire Noradrénaline du 22.04.2018 au 24.04.2018 Meronem du 22.04.2018 au 29.04.2018 Bactrim du 22.04.2018 au 29.04.2018 Vancomycine du 25.04 au 28.04.2019 Changement de sonde urinaire Noradrénaline ivc du 20 au 21.06.2018 Norfloxacine 400mg 1-0-1, 5 Tage Norlevo 1.5 mg. Sérologie HIV, Hépatite B et C. Frottis vaginal avec PCR, Chlamydia et gonocoque. Test de grossesse: négatif. Avis gynécologique (Dr. X): pas de signe d'infection vaginale, +/- antibiothérapie après résultat du frottis, Norlevo 1.5 mg dès que plus de vomissements. Contrôle clinique et discussion des résultats en filière 34 le 26.06.2018 à 09h00. Patiente informée sur MST et conseils quant aux rapports sexuels protégés jusqu'aux résultats HIV et Hépatite C, 3 mois et 6 mois pour le HIV. Normalisation de la valeur normalisation de la valeur. Normochrome normozytäre Anämie mit/bei: • Hb 113 g/l, Er 3.29 T/l, MCV 94 fl, MCH 34 pg • Hämatokrit 0.31 l/l Normolytoral Normolytoral Normolytoral à domicile Traitement antalgique Normolytoral sachet Normolytoral si vomissements le 07.06. Zofran 1mg Stimulation de hydratation Normolytoral 2:1 Consignes de réhydratation Stimulation prise orale Normolytoral Conseils d'hydratation Normolytoral Dafalgan / Algifor en réserve Normolytoral Itinerol B6 Stimulation hydratation TIP du 01.07.: Poursuite stimulation hydratation Compensation avec normolytoral si pertes Normolytoral Zofran 2mg Normolytoral si diarrhée • Hb 102 g/L, MCV 87 g/L, MCHC 340 g/L am 21.11.2017 • Folsäure 2.9 ng/ml am 21.11.2017 • Ferritin 90 ug/l am 21.11.2017 • Eisen 5.3 umol/l am 21.11.2017 • Reticulozyten 26 pg am 21.11.2017 • Thromb 342 G/L am 21.11.2017 Nosognosie faible de sa maladie le 27.06.18 Notion anamnestique de diabète type 2 Notion d'angor stable sous TNT patch (mais sensation intermittente de vertiges sous traitement) en 2011 S/p Syndrome de Raynaud en 2003 S/p Carcinome de la corde vocale D traitée par excision en 1998 S/p Cholecystectomie non datée Traumatisme crânien le 05.01.2018 Hypernatrémie le 10.01.2018, DD : iatrogène sur NaBic, déshydratation intra-luminale Candidose buccale le 11.01.2018 Suspicion de toxicité sur Temgesic le 16.01.2018 avec : • Myoclonies • Somnolence • Patch de Fentanyl dès le 16.01.2018 Déconditionnement physique avec des troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle 01.2018 Épanchement péricardique important d'origine indéterminée le 05.01.2018 DD : réaction inflammatoire d'origine indéterminée lupus / sclérodermie : • ETT le 05.01.2017 (Dr. X) : FEVG à 80%, épanchement péricardique abondant circonférentiel avec signes de mauvaise tolérance hémodynamique (compression OD et VD, léger 'swing' du cœur, pouls paradoxal). Il n'y a pas d'évidence pour une dissection de l'aorte, mais celle-ci ne peut pas être exclue • CT scan thoracique injecté le 06.01.2018 : pas de dissection • Ponction péricardique (Dr. X) le 06.01.2018 : liquide citrin, 650 ml / cytologie et bactériologie négatives • Drain péricardique du 06.01.2017 au 08.01.2018 • Avis infectiologique (Prof. X 07.01 et 09.01.2018) : origine pas claire, recherche de Tbc, culture mycobactérie, PCR peu sensible, prévoir une biopsie. Pas d'indication à une antibiothérapie empirique au vu de la clinique et des résultats biologiques • Avis cardiologique 08.01.2018 (Dr. X) : anormal que PMN augmentent dans un 2ème temps dans le liquide pleural Ablation du drain et mise en culture de celui-ci. ETT de contrôle à distance de l'ablation du drain • Cytologie et bactériologie du liquide pleural du 06.01, 07.08 et 08.01.2018 : négatives • Culture du drain péricardique du 08.01.2018 : négative • Culture mycobactérie du 08.01.2018 : négative après 8 semaines • Test au Quantiféron du 08.01.2018 : positif • Laboratoire du 08.01.2018 : VS 13, ANCA négatifs, FR 23 U/ml, ANA >1280 (type centromère) • Avis rhumatologique 09.01.2018 : la présence d'ANA pourrait évoquer le DD de lupus, sclérodermie. L'origine de l'épanchement péricardique reste indéterminée probablement non immunologique. Probablement un épanchement de type réactionnel et une corticothérapie systémique pourrait être tentée (AINS et Colchicine contre-indiquées au vu de la fonction rénale). • ETT de contrôle le 09.01.2018 (Dr. X) : minime épanchement péricardique localisé en regard du ventricule droit et rétro-auriculaire droit, sans répercussions hémodynamiques • ETT de contrôle le 17.01.2018 (Dr. X) : régression quasi complète de l'épanchement. Persistance d'une minime lame en regard du VD et de l'apex du VG. • Culture de l'épanchement péricardique (08.01.2018) : négative pour des mycobactéries après 8 semaines Hypotension orthostatique Lombalgie chronique dans le cadre : • hernie discale connue • contusion du rachis lombaire/dorsal et de la hanche droite le 05.01.2017 Pneumonie bi-basale le 05.01.2018 Infection urinaire à Klebsiella le 02.02.2018 Notion de cardiopathie ischémique avec scintigraphie positive en 2007 (coro du 26.03.2007 : pas de lésion significative). Tabagisme actif à 80 UPA. Hernie hiatale. Épisodes dépressifs. Hémoptysie mineure le 02.12.2014 avec récidive en 09.2015. • CT thorax 08.09.2015 : emphysème bulleux apicalement des deux côtés. Sclérose coronarienne discrète. Pas d'adénopathie médiastinale ou hilale. Parenchyme pulmonaire sp. Notion de FOP à la naissance, actuellement souffle cardiaque Notion de labilité de l'humeur. Notion de migraine avec IRM de novembre 2013 : nombreuses lésions de la substance blanche prédominant dans les régions périphériques en faveur d'une atteinte micro-angiopathique telle que l'on pourrait le voir chez les patients migraineux. Pas d'autre anomalie. Notion de migraine avec : • IRM de novembre 2013 : nombreuses lésions de la substance blanche prédominant dans les régions périphériques en faveur d'une atteinte micro-angiopathique telle que l'on pourrait le voir chez les patients migraineux. Pas d'autre anomalies Notion de perte pondérale sans précision Notion de rapport sexuel non protégé le 20.06.2018 à 01h00. Notion de réaction allergique alimentaire immédiate à la consommation de chocolat contenant des amandes le 22.06.2018 : • patient connu pour une allergie alimentaire aux noix (cacahouètes, amandes, autres noix) et une hypersensibilité bronchique • patient asymptomatique au triage à 16h15, avait reçu Epipen 0.3 par les parents à 14h50 • patient sous corticothérapie inhalative préventive 1x/jour. Notion de sclérose en plaque avec symptômes hémicorps droit. Notion de suivi psychiatrique en début d'année en ambulatoire en Macédoine. Notion de trouble du rythme il y a 5 ans traité pour une durée de six mois. Accident vasculaire cérébral ischémique aigu du vermis cérébelleux le 02.02.2017 d'origine cardio-embolique sur fibrillation auriculaire paroxystique. NSTEMI avec douleurs thoraciques typiques et vomissements répétitifs depuis le 02.02.2017 04:00 heures. Sous-décalage V4-6 transitoire. Cinétique de troponines de 176 ng/l à 464 ng/l et puis 1089 ng/l. Notion de troubles affectifs bipolaires, actuellement en phase dépressive avec composante anxieuse : • sous Quétiapine, Remeron et Fluoxetine • suivi psychiatrique en ambulatoire auprès du Dr. X, psychiatre à Bulle • GDS 12/15 • Proposition Dr. X : ajout Xanax ret 0.5mg 2x/jour, augmentation Remeron et Quétiapine. Réintroduction Lithium à réévaluer. Si nécessaire, transfert possible en unité de psycho-gériatrie à Marsens (dernier séjour en 2017) • ECG 24.05.2018 : rythme sinusal à 71/min, axe gauche, pas de signes d'ischémie aigus ou anciens, QTc dans la norme Notion d'encoprésie Notion d'épistaxis narine droite. Notion d'éthylisme chronique • 3-4 verres/jours Notion d'intervention chirurgicale au genou gauche. Notion d'intervention chirurgicale au genou gauche. Notion d'intervention chirurgicale des deux tendons d'Achille (Dr. X, opérateur inconnu, en 2003). Notion fièvre à domicile, fausses routes aux liquides Subfébrile à 37.7 C, 170/60, 83 bmp, sat 88 en AA, FR 20 x/min ECG - sinusal, normocarde, axe N, pas de sus-décalage significatif, ondes T négatives en DI, aVR, V6, V6. Labo - leu 13, CRP 42. RX thorax - pas de foyer visualisé, inflammation bronchique Gazo - pas d'acidose, hypercapnie à pCO2 - 7,7, hypoxie à pO2 - 9.9 bics - 36 Att. Co-Amoxi dès le 01.06.2018. O2 Aérosols Culture des urines à faire quand possible Nous administrons du Tavegyl 2mg et du Solumédrol 125 mg. Pendant l'observation, Mme. Y reste stable. Les lésions régressent après la prise de médicaments. Mme. Y peut sortir avec un traitement de Xyzal et Telfast pendant 1 semaine. Elle a été informée de ne pas conduire après la prise des médicaments. Un rendez-vous chez l'allergologue Dr. X sera à prendre, la patiente a reçu une carte avec les coordonnées du médecin. Nous administrons un comprimé de Brufen 400 mg aux urgences, avec disparition complète des douleurs.Nous concluons à des cervicalgies et dorsalgies chroniques en péjoration, et la patiente rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire de 5 jours avec protection gastrique et Dafalgan en réserve, ainsi qu'une prescription de 9 séances de physiothérapie à but antalgique. Nous recommandons un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas d'irradiation des douleurs ou d'apparition de déficits neurologiques, ou d'autres symptômes inquiétants. Nous administrons un comprimé de Clindamycine 300 mg aux urgences, avec poursuite de l'antibioprophylaxie jusqu'au lendemain le 05.06.2018. Nous expliquons à la patiente la nécessité de consulter un dentiste dès le 05.06.2018, et lui donnons les numéros des urgences dentaires. La patiente rentre avec une antalgie par Ponstan en réserve. Nous administrons un sachet d'Ulcar aux urgences, avec un bon effet clinique. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Nous concluons à une probable gastrite sur prise quotidienne d'AINS depuis un mois, et le patient rentre à domicile avec un traitement de Pantoprazole pour 15 jours avec de l'Ulcar en réserve, et une recherche d'antigène à H. Pylori dans les selles à effectuer en ambulatoire. Il sera revu à 10 jours par son médecin traitant pour suite de la prise en charge. Nous lui conseillons de reconsulter d'ici là en cas de douleurs incontrôlables à domicile ou d'apparition de fièvre, vomissements ou autres symptômes inquiétants. Nous administrons une antalgie de palier 2, avec du Tramal 50 mg per os, ce qui l'a soulagée partiellement des douleurs, à 4/10 d'EVA. Le laboratoire revient aligné, sans syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire revient pathologique avec une hématurie et une leucocyurie, motivant le prélèvement d'un urotube. Selon avis de la Dresse X, nous demandons un Ultrason abdominal pour exclure une lithiase. L'examen ne montre pas de signe d'hydronéphrose, mais en cas de forte suspicion de colique néphrétique et pour exclure avec certitude la présence d'un calcul, un Uro-CT-scan est conseillé. Nous approfondissons les investigations par un CT-scan abdominal natif, qui n'identifie pas de liquide libre dans la cavité péritonéale ni de processus pathologique pouvant expliquer le tableau clinique. Nous sollicitons un avis à la garde de gynécologie de l'HFR Fribourg, qui propose de répéter une échographie abdominale complète, cherchant à exclure surtout des kystes ovariens. L'imagerie est rassurante à ce niveau. Nous prenons contact aussi avec son gynécologue traitant, le Dr X, qui a vu la patiente la dernière fois en consultation il y a une semaine et qui connaît bien les douleurs chroniques en fosse iliaque droite. Rappelons que tant l'examen clinique que l'échographie sont dans les limites de la norme, avec une région para-utérine droite douloureuse et relativement figée à la palpation et à l'échographie endovaginale. Devant l'absence de critères de gravité nécessitant une prise en charge hospitalière, nous convenons de revoir la patiente en consultation à la filière des urgences ambulatoires, le 06.06.2018 pour suivre l'évolution. En cas de péjoration soudaine, la patiente est avisée de se représenter en urgence. Mme. Y quitte notre service, et retourne à Marsens accompagnée de sa mère pour suite de la prise en charge psychiatrique. Une antalgie en réserve est instaurée. Nous administrons 0.3 mg d'Adrénaline intra-musculaire avec une bonne réponse. Nous hydratons avec NaCL 1000 ml au total. Nous gardons le patient en surveillance aux urgences pour une durée totale de 6 heures. Les symptômes s'améliorent rapidement et disparaissent. Il n'y a pas de récidive durant la période de surveillance aux urgences. Pendant l'observation, le patient reste stable, le rash cutané diminue jusqu'à disparaître. Le patient peut sortir avec Xyzal 5 mg/j et de la Prednisone 50 mg pendant 3 jours. Nous effectuons un renseignement sur les réactions allergiques et sur l'utilisation de l'Epipen. Nous administrons 1 litre de NaCl 0.9% aux urgences au vu de l'hyperosmolalité 321 mosm/kg, sans hyperglycémie, dans un contexte de probable déshydratation, et des tensions artérielles basses. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 1.5 et une anémie normocytaire normochrome probablement chronique, au vu des valeurs similaires dans les laboratoires des séjours précédents. Nous constatons une hyperkaliémie à 5.4 mmol/l, et administrons 15g de Résonium. Nous passons 300 mg de Benerva IV. Le patient reste hémodynamiquement stable par la suite avec des tensions aux alentours de 120 de systolique. Nous concluons à un probable ralentissement psychomoteur dans un contexte d'alcoolisation aiguë. La radiographie du bassin et de la hanche ne montre pas de fracture ni de luxation, et nous concluons à une probable contusion de la hanche gauche. Après discussion avec le Dr X et le Dr X, le patient rentre à domicile. Son prochain rendez-vous chez son médecin traitant, la Dresse X aura lieu le 20.06.2018, avec qui il discutera d'un éventuel sevrage au RFSM de Marsens, et il retournera cet après-midi au centre psychosocial après qu'il ait eu un contact téléphonique avec l'infirmière du centre. Nous administrons 1g de Paracétamol IV aux urgences, avec résolution complète des douleurs. Le bilan biologique montre une leucocytose à 14 G/l avec une CRP à 8 mg/l, sans perturbation des tests hépato-pancréatiques. Au vu du discret syndrome inflammatoire biologique et de la maladie de Crohn sous-jacente, le patient sera revu en contrôle clinico-biologique à la filière des urgences ambulatoires le 07.06.2018. Nous administrons 1g de Paracétamol IV aux urgences, avec résolution complète des douleurs. Le bilan biologique montre une leucocytose à 14 G/l avec une CRP à 8 mg/l, sans perturbation des tests hépato-pancréatiques. Au vu du discret syndrome inflammatoire biologique et de la maladie de Crohn sous-jacente, le patient sera revu en contrôle clinico-biologique en FUA le 07.06.2018. Nous administrons 1g de Paracétamol IV et 20 mg de Buscopan IV avec un bon effet clinique. L'examen clinique est peu changé par rapport à celui de la veille. Le laboratoire retrouve un syndrome inflammatoire biologique en augmentation avec une leucocytose à 15.4 g/l (13.8 hier soir) et une CRP stable à 54 (59 hier). Nous effectuons un US abdominal qui montre un épanchement intra-péritonéal, des ganglions d'aspect inflammatoire, et une inflammation de la paroi colique et de la dernière portion iléale. Nous effectuons un scanner abdominal qui montre. Nous administrons 10 mg de Buscopan per os aux urgences, avec résolution des crampes abdominales. Nous concluons à une probable intoxication alimentaire, et le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Buscopan en réserve. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de persistance des symptômes d'ici le lendemain ou en cas d'apparition de fièvre, frissons, diarrhées, vomissements à répétition, ou d'autres symptômes inquiétants. Nous administrons 25 mg de Tramal avec amélioration de la douleur. Les radiographies montrent une fracture intra-articulaire du radius distal gauche sans atteinte de l'apophyse styloïde radial ni atteinte cubitale. Nous prenons contact avec Dr. X et nous discutons avec la patiente des bénéfices et des risques associés aux différentes modalités thérapeutiques, clarifiant la possibilité de perte de l'amplitude normale de flexion si optant pour un traitement conservateur. La patiente opte pour un traitement conservateur et nous mettons un plâtre circulaire anté-brachial fendu en ulnaire.La radiographie post-plâtre ne met pas en évidence de déplacement secondaire. Mme Y bénéficiera d'un contrôle radio-clinique à la policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Nous administrons 50 mg de Tramal per os aux urgences. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Au vu de la clinique, nous suspectons des céphalées en grappe, et administrons 5 mg de Zomig en spray nasal, avec une oxygénothérapie de 8 litres au masque facial pendant 15 minutes. Les symptômes se résolvent complètement. Le patient rentre à domicile avec du spray nasal Zomig en réserve en cas de céphalées. Nous lui conseillons de consulter son médecin traitant dans la semaine afin de discuter de l'introduction d'un traitement de fond prophylactique pour ses céphalées en grappe. Nous agendons une infiltration de la zone périphérique de l'insertion du tendon d'Achille le 05.07.2018. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Nous allons convoquer le patient pour organiser une opération d'amputation du gros orteil à D. Nous allons voir l'évolution. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous appelons le Dr. X pour avoir son avis. Elle vient voir le patient avec nous en consultation et pense qu'il faut poursuivre l'antibiothérapie per os avec switch par Clamoxyl 1 g 3x/jour et contrôles biologiques et radiologiques réguliers en infectiologie. On enlève ce jour la PIC-Line qui présente des signes inflammatoires. Mr. Y sera revu dans 3 jours à la consultation du Dr. X pour suivre ce probable abcès sous-cutané. Sinon, prochain contrôle radio-clinique à notre consultation dans 3 mois. Pas d'indication chirurgicale au vu de l'évolution actuelle. Nous arrêtons le traitement par plâtre. Nous mettons une attelle Velcro encore 4 semaines afin de protéger le patient (hyperactivité). Suite chez le médecin traitant si nécessaire. Nous mettons fin au traitement en policlinique d'orthopédie. Nous autorisons la patiente à reprendre les activités de la vie quotidienne ainsi que le sport de manière progressive en évitant les activités telles que le trampoline. Nous reverrons la patiente à 1 an post-fracture pour un contrôle radio-clinique afin de vérifier qu'il n'y ait pas de trouble de croissance. Nous avions déjà évoqué la possibilité d'une intervention chirurgicale dans le cas où l'infiltration améliorait transitoirement les symptômes. Il est maintenant très demandeur d'une telle opération car il ne supporte plus les douleurs. Nous organisons donc une intervention chirurgicale par abord antérieur L5-S1 et mise en place d'une cage ALIF Synfix avec éventuellement fixation par une plaque antérieure. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 13.07.2018. Nous avons contrôlé les tensions artérielles aux 4 membres qui étaient symétriques. Nous avons fait un laboratoire qui est dans la norme et un ECG qui montre un hémibloc antérieur gauche et qui est par ailleurs dans la norme. La radiographie du thorax est sans particularité. Nous concluons à une crise d'angoisse et la patiente rentre à domicile. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation aux urgences. Nous avons décidé de garder l'attelle pour l'école et les sorties. La patiente finira les séances de physiothérapie. Elle peut retirer l'attelle à domicile. Nous mettons fin au traitement en policlinique d'orthopédie. La patiente ira en contrôle chez le médecin traitant si nécessaire. Nous avons déjà expliqué à la patiente que la solution à ces douleurs serait une arthrodèse au niveau de la MTP I à G, mais actuellement la situation semble en nette amélioration grâce au support rétro-capital. D'autant plus que la patiente est actuellement à 3 mois de sa 2ème grossesse. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous avons désinfecté avec de la Bétadine, nous avons exploré la plaie sous anesthésie locale par Lidocaïne et bicarbonate qui n'a pas montré de corps étranger ni de structure profonde touchée. Nous avons fait 2 points de suture au fil d'Ethilon 4.0. Contrôle de plaie à 48h chez le médecin traitant et ablation des fils à J12 chez le médecin traitant. Tétanos à jour. Nous avons désinfecté avec l'Hibidil. L'exploration de la plaie n'a pas montré de structure profonde ou corps étranger. Nous avons mis de la colle Dermabond. Suivi chez le pédiatre traitant. Nous avons désinfecté et refait le pansement. Le patient a un contrôle chez Dr. X le 13.06 et fera ses pansements entre-temps chez le médecin traitant. Selon avis de Dr. X, poursuite de la Clexane 40 mg pendant 10 jours. Nous avons désinfecté la plaie avec Hibidil et mis en place de la colle Dermabond et Stéristrips. Contrôle chez le pédiatre traitant. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons discuté avec le patient de toutes les possibilités thérapeutiques, soit une attitude expectative pendant que la fonction est encore conservée. Le patient est plutôt partant pour cette option, du fait qu'il sent que malgré la limitation fonctionnelle actuelle, il n'est pas encore prêt pour une intervention. Nous avons également pensé à une procédure de DARACH mais cette option n'est pas souhaitable chez un travailleur de force. Les autres options discutées sont d'effectuer une procédure de Kapandji soit une prothèse type Scheker de l'articulation radio-cubital distale. L'option chirurgicale qui pourrait résoudre tous les problèmes pour ce patient serait la prothèse de Scheker. Nous gardons actuellement un traitement conservateur et expectatif. Le patient reprendra contact avec nous s'il devait présenter une augmentation de la limitation fonctionnelle pour prendre une décision par rapport à l'intervention. Nous avons discuté de la possibilité d'enlever le matériel d'ostéosynthèse à savoir les cerclages étant donné qu'on prendrait trop de risque à enlever les vis en raison de l'affaiblissement de l'os. J'ai bien mis en garde la patiente sur le fait que l'ablation des cerclages pourrait éventuellement soulager la gêne au niveau du bord médial et latéral de la rotule, mais que cela ne l'aidera pas à améliorer notoirement la mobilité articulaire et ne pourra pas restaurer un genou comme avant l'accident. La patiente va encore réfléchir à cette possibilité et reprendra rendez-vous si elle se décide pour l'opération. Nous avons discuté de la situation avec le patient. Comme la situation dure depuis longtemps, nous organisons une IRM pour savoir s'il ne s'agit pas d'une ostéomyélite. Nous organisons également une intervention le 12.06.2018. Nous le reverrons également le 11.06.2018 pour discuter des résultats de l'IRM et faire le consentement. Nous avons effectué une radiographie à la recherche de corps étrangers qui ne montre qu'un unique fragment infra-millimétrique. Rinçage de la plaie avec NaCl. Désinfection à l'Hibidil. Le patient a bénéficié d'une anesthésie par mélange de Rapidocaïne 1 % + bicarbonate 8.4 %. Le Dr. X, chirurgien, a effectué une exploration sous anesthésie locale à la recherche de corps étrangers et d'une éventuelle lésion profonde des tissus mous. Les plaies ont nécessité 17 points simples et 3 points en U d'Ethilon 4.0 et 5.0 qui ont été posés. La blessure présente quelques lambeaux dont la vascularisation est compromise, pour lesquels une suture en U a été faite. Confection d'un pansement Adaptic + compresse + bande auto-adhésive. Une antibiothérapie 3x1 g de Co-Amoxicilline est prescrite (12h-22h-08h).Pour la gestion de la douleur et de l'inflammation, du Dafalgan 1g et du Brufen 400mg sont prescrits en réserve. Un arrêt de travail d'une semaine est nécessaire étant donné la profession du patient (bûcheron et port du casque). Le patient est invité à prendre rendez-vous demain à la polyclinique d'orthopédie pour un contrôle à 24h des plaies. Le retrait des fils se fera à 5 jours chez son médecin traitant. Nous avons enlevé la tique et désinfecté. Nous expliquons au patient les signes et symptômes à surveiller dans les prochaines semaines. Nous avons exclu la présence d'une lésion métastatique de la colonne sur la scintigraphie. Les douleurs présentées par le patient ont donc certainement une composante musculaire pour laquelle nous introduisons un traitement de 3 semaines par Mydocalm. Mr. Y ayant bénéficié d'une herniectomie L5-S1 en 2006, les symptômes pourraient également être expliqués par une sténose canalaire voire récidive de hernie discale. Nous organisons donc une IRM de contrôle puis reverrons le patient pour discuter des résultats. Nous avons fait des radiographies qui ne montrent pas de fracture. Nous mettons en place une attelle, thromboprophylaxie, marche avec cannes anglaises et contrôle chez le Dr. X dans 1 semaine. Nous avons fait l'ablation de la tique et la patiente est rentrée au domicile. Nous avons expliqué les signes et symptômes à surveiller pour la maladie de Lyme dans les prochaines semaines. Nous avons fait les radiographies qui n'ont pas montré de fracture. La patiente rentre à la maison avec antalgie simple. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un ECG et une radiographie du thorax qui sont dans la norme. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire et les D-dimères reviennent dans la norme. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques dans un contexte probablement musculo-squelettique, associées à des céphalées de tension. Nous mettons en place un traitement symptomatique. Nous expliquons à la patiente les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation aux urgences. Nous avons fait un ECG qui est dans la norme et un laboratoire qui est aussi dans la norme avec une cinétique de troponines stable. La radiographie du thorax est sans particularité. Nous laissons le patient rentrer au domicile et nous lui conseillons de consulter son cardiologue traitant à Vevey pour refaire une stratification de risque cardiovasculaire. Nous avons fait un ECG qui est dans la norme et un laboratoire qui est dans la norme avec troponine <3ng/L à plus de 3h du début de la douleur. La radiographie ne montre pas de foyer ni de pneumothorax. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques d'origine indéterminée (DD : angoisse, musculo-squelettique). Nous proposons à la patiente de refaire un bilan de contrôle chez son cardiologue traitant pour stratification du risque cardiovasculaire. Nous avons fait un ECG qui montre une fibrillation auriculaire à 110 bpm et un laboratoire qui revient aligné, sans syndrome inflammatoire, la radiographie du thorax ne montre pas de foyer systématisé. Nous majorons le traitement bêta-bloquant de Beloc Zok jusqu'à 50 mg et préconisons un contrôle chez son cardiologue traitant le Dr. X le 11.06.2018. Une anticoagulation devra y être discutée. Nous avons fait un labo qui est dans la norme et un ECG qui est aussi dans la norme. La patiente est vue par Dr. X et nous l'hospitalisons à Marsens. Elle s'y rend avec son colocataire. Nous avons fait un laboratoire avec des tests hépato-pancréatiques qui sont dans la norme. L'ECG est dans la norme. La radiographie du thorax permet d'exclure un pneumothorax. Nous remplissons la feuille de traumatisme d'accélération crânio-cervicale selon avis de Dr. X, chef de clinique. La patiente rentre au domicile avec antalgie simple et un arrêt de travail pour 3 jours. Nous avons fait un laboratoire avec tests hépato-pancréatiques, qui revient dans la norme hormis un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 17.8 G/l et une CRP à 30 mg/l. Nous avons fait une radio de l'abdomen qui montre des niveaux hydro-aériques et complétons le bilan par un CT abdomen injecté qui montre une iléite sténosante inflammatoire avec iléus et lésion hépatique qui pourrait être un abcès hépatique. Nous avons contacté Dr. X qui nous a envoyé les antécédents de la patiente et a proposé un essai de traitement avec cortisone 1 mg/kg (à discuter avec l'ORL Dr. X) avant une prise en charge chirurgicale. Nous discutons le cas avec Dr. X et Dr. X qui préconisent un transfert de la patiente à Fribourg et contactent Dr. X. Départ en ambulance. Nous avons fait un laboratoire qui est dans la norme, hormis une leucocytose (probablement de stress) à 13.3 G/l, CRP dans la norme. Nous retenons comme diagnostic une intoxication alimentaire et hydratons la patiente. Nous mettons en place un traitement symptomatique et la patiente rentre à la maison. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un laboratoire qui est dans la norme. Nous concluons à une gastroentérite de probable origine virale et mettons en place un traitement symptomatique. Nous expliquons à la patiente les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation aux urgences ou chez son médecin traitant. Nous avons fait un laboratoire qui est dans la norme. Nous donnons du Nexium 40 mg, du Primpéran 10 mg et un Temesta 1 mg avec amélioration de la symptomatologie. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Nous avons fait un laboratoire qui montre une CRP à 12mg/l et une leucocytose à 15,1G/l. Le sédiment urinaire est pathologique. Nous retenons le diagnostic d'une infection urinaire probablement haute, un urotube est fait et la patiente bénéficie de Rocéphine 2g iv aux urgences avec un relais par Ciproxine 500 mg pour 7 jours. Après avis de la psychiatre de garde, nous transférons la patiente au RFSM de Marsens pour la suite de la prise en charge. Une feuille de surveillance post-traumatisme crânien est donnée. Un urotube est en cours et le résultat sera communiqué le 15.06.2018 à Dr. X à Marsens. Nous avons fait un laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, mais qui met en évidence une anémie microcytaire hypochrome à 97 g/l. Nous retenons le diagnostic d'une éruption cutanée probablement dans le contexte d'une urticaire. Nous lui mettons en place un traitement symptomatique. Par rapport à son anémie, vu que le patient est hémodynamiquement stable, nous l'envoyons chez son médecin traitant (il ira chez Dr. X) pour le bilan de l'anémie. Nous avons fait un sédiment urinaire qui est pathologique. Nous retenons le diagnostic d'une cystite simple et la patiente rentre au domicile avec une antibiothérapie par Nitrofurantoïne pour 5 jours. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait un sédiment urinaire qui est pathologique. Vu les antécédents d'infections urinaires à répétition avec 3 dans les derniers 6 mois, nous envoyons un Urotube que la patiente pistera par téléphone le 05.06. Nous débutons une antibiothérapie par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pendant 5 jours. La patiente a rappelé le 05.06 pour ses résultats, elle n'avait plus de symptômes, l'Urotube montre <10^3. La patiente finit son antibiotique demain et elle consultera son gynécologue traitant si réapparition de symptômes. Nous avons fait un stix urinaire qui était dans la norme. Le laboratoire est dans la norme sans syndrome inflammatoire. Nous mettons en place une antalgie simple à la maison et nous prenons un rendez-vous à la filière des urgences ambulatoires le 13.06.2018 pour un contrôle clinique et biologique.Nous avons fait une compression qui a résolu l'épistaxis. Le laboratoire montre une Hb dans la norme. Nous contactons l'ORL le Dr. X pour une éventuelle cautérisation en ambulatoire à la demande du patient et le patient rentre à la maison avec la carte du Dr. X pour prendre un rendez-vous la semaine prochaine. Nous avons fait une désinfection avec Bétadine, exploration de la plaie sous anesthésie locale, Lidocaïne et Bicarbonate, rinçage. 2 points de suture Ethilon 5-0. Ablation des fils à J12 en policlinique (pas de médecin traitant). Tétanos à jour. Nous avons fait une désinfection avec Bétadine. L'exploration sous lidocaïne/bicarbonate n'a pas montré de structures profondes ni de corps étranger. Nous avons suturé avec 6 points Ethilon 5-0. Pansement simple. Contrôle de plaie à 48h chez le médecin traitant. Ablation des fils à J12 chez le médecin traitant. Tétanos à pister par le patient - fera chez le médecin traitant si pas à jour. Nous avons fait une désinfection avec Hibidil, exploration sous Gel Let qui n'a pas montré de structure profonde ni corps étranger. Rinçage avec NaCl. 3 points de suture Ethilon 4-0. Contrôle de plaie chez le pédiatre traitant à 48h et ablation des fils à J6. Nous avons fait une nouvelle ordonnance de physiothérapie et l'on prévoit d'augmenter la charge avec 15-20 kg pour 2 semaines, puis moitié du poids corporel 2 semaines supplémentaires et ensuite gentiment en charge selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique à notre consultation à 3 mois postopératoires, soit le 17.07.2018. Nous avons fait une radiographie de la clavicule qui n'a pas montré de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une contusion de la clavicule avec dermabrasion. Nous avons désinfecté et mis en place une antalgie simple à la maison. Par rapport au malaise, nous faisons un ECG qui est dans la norme et un test de Schellong qui est positif, nous concluons à un malaise vagal. Après avis de la pédiatre de garde, nous le laissons rentrer à la maison. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons fait une radiographie qui a permis d'exclure une fracture. Nous retenons le diagnostic d'une contusion du coude et mettons en place un traitement symptomatique et la patiente rentre à domicile. Nous avons fait une radiographie qui montre une fracture de la palette humérale. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste et mettons en place une attelle plâtrée brachio-antébrachiale en flexion avec contrôle radiologique. Antalgie simple à la maison. Rendez-vous chez le Dr. X dans 1 semaine. Nous rappelons le patient le 03.06.2018 pour revenir en policlinique orthopédique le 04.06.2018 pour immobiliser le bras au corps (éviter la rotation externe). Nous avons fait une radiographie qui montre une fracture de la 3è phalange, nous retenons le diagnostic d'une fracture ouverte de la 3è phalange du majeur droit. Nous désinfectons et mettons en place une antibiothérapie par Clindamycine 600 mg 3x/j pendant 3 jours et une attelle alu. Le patient refuse le rappel anti-tétanos. Il sera revu dans 48h en policlinique orthopédique. Nous avons fait une radiographie qui montre une fracture métaphysaire du radius distal. Nous mettons en place un plâtre AB fendu avec contrôle radiologique. Le patient rentre à la maison avec antalgie simple et sera revu en policlinique orthopédique chez Dr. X dans 1 semaine. Nous avons fait une radiographie qui n'a pas montré de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une contusion du talon et mettons en place un traitement symptomatique. Arrêt de la gymnastique. Nous avons fait une radiographie qui ne montrait pas de fracture. Nous avons mis en place un Splintpod, marche avec cannes anglaises et thrombo-prophylaxie par Clexane 40 mg. AINS et protocole RICE. Contrôle à la policlinique orthopédique dans 1 semaine. Nous avons fait une radiographie qui ne montrait pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une entorse du poignet et mettons en place une attelle Velcro à but antalgique pour un maximum de 7 jours. Antalgie simple à la maison. Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture et confirme l'épanchement. Nous prenons l'avis de Dr. X et le patient rentre à la maison avec attelle Jeans, thromboprophylaxie, cannes anglaises et antalgie. Il sera revu à la consultation de Dr. X le 08.06.2018. Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous avons mis en place un traitement symptomatique et le patient rentre à la maison. Si persistance de la tuméfaction après 1 semaine, il consultera son médecin traitant pour faire un US. Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous faisons un rinçage avec NaCl, l'exploration ne montre pas d'os mis à nu ni de corps étranger. Dr. X passe voir le patient. Nous mettons en place un pansement sec avec attelle alu. Le tétanos est fait aux urgences. Nous donnons Co-Amoxicilline 2.2 g aux urgences avec suivi par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j pendant 3 jours. Contrôle à la policlinique orthopédique demain pour pansement occlusif. Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous retenons en 1ère intention, le diagnostic d'une contusion de l'AMCP du 3ème doigt de la main droite et mettons en place un traitement symptomatique. En diagnostic différentiel, nous souhaitons exclure une atteinte de la bandelette sagittale et le patient est ainsi informé d'appeler la policlinique d'orthopédie pour un contrôle au plus tard le 13.06.2018. Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une contusion de la main gauche et d'une dermabrasion du genou. Nous désinfectons et mettons en place une antalgie simple à la maison. Nous avons fait une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une contusion du calcanéum et la patiente rentre à la maison avec une antalgie simple à la maison. Nous avons longuement discuté avec le patient de la situation actuelle. Concernant la cheville, nous n'allons rien faire. Concernant le 5ème métatarse, il y a un déplacement avec un escalier articulaire mais ce genre de fracture guérit bien. Il y a également une diastase importante. Toutefois, le patient ne souhaite pas vraiment d'intervention chirurgicale. Nous lui proposons donc un traitement conservateur avec un Schlupfgips et mobilisation de la cheville en dehors. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle radioclinique. Nous prendrons une décision définitive. Nous avons prescrit le traitement par Nexium. Nous lui conseillons de revoir son médecin traitant pour un éventuel test de l'Helicobacter Pilori et si persistance des symptômes, une éventuelle gastroscopie. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation aux urgences. Nous avons prescrit une pommade à l'Héparine pour 14 jours et le patient va poursuivre sa thromboprophylaxie. Si persistance des symptômes, le patient reconsultera. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons procédé à une désinfection de plaie avec de la Bétadine puis anesthésie locale avec Lidocaïne 1% et Bicarbonate 8.4%. Nous avons fait une exploration de la plaie dans le but d'écarter la présence de corps étranger ou l'atteinte des tissus mous ou de l'os. Un lavage avec une solution de NaCl est fait. La plaie a été suturée avec 8 points simples d'Ethilon 3.0. Une protection par pansement Adaptic. Pas de rappel tétanos car vaccination il y a 3 ans. Nous invitons le patient à aller faire un contrôle de plaie le 18.06.2018 chez le médecin traitant. Le patient prendra rendez-vous pour l'ablation des fils à J12.Nous avons procédé par une désinfection à la Bétadine, une exploration sous anesthésie locale avec Lidocaïne 1% et bicarbonate 8.4%. Pour nettoyer l'intérieur de la plaie, nous effectuons un lavage abondant en sous-cutané avec solution NaCl et aiguille boutonnée. Une protection par pansement compressif pour vider le restant de solution de NaCl du lavage est posée. Une dose unique de 220 mg de Co-Amoxicilline en iv est prescrite. Le patient est invité à prendre rendez-vous demain après-midi à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle de la lésion. Nous informons le patient qu'en cas d'apparition de symptômes nouveaux (douleurs importantes, saignement, perte de sensibilité, paresthésie, perte de force) il peut se représenter aux urgences immédiatement. Nous avons rassuré la patiente et mis en place un traitement symptomatique. Nous lui conseillons de surveiller l'apparition de nouveaux symptômes et nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation aux urgences. Nous avons retenu le diagnostic d'une gastroentérite virale et mis en place un traitement symptomatique. Nous lui expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous avons un doute quant à la possibilité d'une entorse de Chopart, vu les douleurs persistantes de la patiente localisées au niveau de cette articulation. Pour cette raison, confection d'une botte plâtrée ouverte ce jour, la patiente continuera de marcher en décharge avec des cannes anglaises. Nous organisons un CT et reverrons la patiente à la suite de cet examen pour discuter de la suite de la prise en charge. Nous changeons de protocole avec la Hyiodine à appliquer tous les 2 jours. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Nous changeons le plâtre avec résolution des douleurs ulnaires. Douleurs radiales comme d'habitude. Contrôle post-plâtre sans particularité. Antalgie en réserve et retour au domicile. Contrôle à la policlinique d'orthopédie le 29.06.2018. Nous changeons le protocole de pansement ce jour avec la mise en place de Nu-gel avec compresse sèche. Prochain contrôle clinique après le bilan angiologique. Nous changeons les pansements, désinfectant avec de l'Ibidine et reposant du Ialugen aux jambes et à la main droite et du Bépanthène au niveau du visage. Nous lui proposons un nouveau contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 30.06.2018. Nous concluons à des cervicalgies d'origine musculaire, sans signe de gravité. Nous prescrivons un traitement symptomatique par AINS, Dafalgan et Sirdalud, ainsi qu'un arrêt de travail de 48 h. Nous informons la patiente d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant à 72 h pour voir l'évolution des symptômes. Nous concluons à des douleurs lombaires mécaniques sans déficit, dans le contexte d'un port de charges lourdes le weekend dernier. Le patient rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire de 5 jours avec protection gastrique et Dafalgan en réserve. Nous lui conseillons de chercher un médecin traitant dans la région et lui remettons la liste des médecins généralistes. En cas de persistance des douleurs, nous lui conseillons de consulter un médecin traitant. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas d'apparition de symptômes neurologiques ou tout autre symptôme inquietant. Nous concluons à des douleurs paracervicales droites d'origine musculaire probable. Le patient rentre à domicile avec un traitement d'Algifor en réserve. En cas de persistance des douleurs, il sera revu par son pédiatre traitant. Nous concluons à une contusion osseuse de la rotule gauche, et la patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Nous concluons à une entorse de degré 1 du ligament latéral externe de la cheville gauche, et la patiente rentre à domicile avec une attelle Aircast et une antalgie en réserve. Elle sera revue en contrôle chez son médecin traitant à 7 jours. Nous concluons à une entorse de degré 2 du ligament latéral externe de la cheville droite, et le patient rentre à domicile avec une attelle Aircast et une antalgie en réserve. Il sera revu en contrôle par son médecin traitant à 7 jours. Nous concluons à une entorse de degré 2 du ligament latéral externe de la cheville droite. Nous mettons en place une attelle SplintPod avec Clexane prophylactique au vu d'un garçon pubère, et le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Il sera revu en contrôle en policlinique d'orthopédie le 15.06.2018. Nous concluons à une entorse de degré 2 du ligament latéral externe de la cheville gauche, et le patient rentre à domicile avec une attelle SplintPod, des cannes anglaises, de la Clexane prophylactique et une antalgie en réserve. Il sera revu en contrôle à la policlinique d'orthopédie à 7 jours. Nous concluons à une entorse de degré 2 du ligament latéral interne de la cheville gauche, et mettons en place une attelle Aircast avec des cannes anglaises et une antalgie en réserve. La patiente sera revue en contrôle à 7 jours chez la pédiatre traitante. Nous concluons à une lésion de type hématomes multiples sur visage, membres supérieurs, inférieurs et contusion côte 8-10 droite et réalisons un constat médical avec documentation photographique. Nous donnons une copie à la patiente et son éducatrice. Si possible, éviter d'aller seule en ville ces prochaines semaines. Recontrôle à la permanence si nausée, vomissement, céphalée ou dyspnée. Nous concluons à une probable contusion osseuse de la base du 5ème métacarpien droit et de la base du 3ème métatarsien gauche, et la patiente rentre à domicile. Elle ne souhaite pas d'antalgie, préfère continuer avec de l'Arnica. Nous lui conseillons de reconsulter en cas de persistance des douleurs. Nous concluons à une probable contusion osseuse du coude droit. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve, une bande élastique et une bretelle à but antalgique. Nous conseillons à la mère de reconsulter en cas de persistance des douleurs après 3 à 4 jours. Nous concluons à une probable dermatite de contact irritative sur le contact avec le buisson de Ficus, et le patient rentre à domicile avec poursuite du traitement anti-histaminique par Lora Mepha, et application locale de Fenistil. Il sera revu par le médecin traitant cette semaine afin de contrôler l'évolution clinique. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de mauvaise évolution d'ici là. Nous concluons à une réaction allergique connue à la consommation d'amandes. Nous administrons 5 mg de Xyzal au patient. Vu l'absence de signe de gravité, nous autorisons son transfert aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg par voiture privée et nous demandons aux parents d'amener leur fils sans tarder, en conduisant toutefois normalement. Nous recommandons l'éviction de consommation de noix, amandes incluses. Les parents sont informés que le chocolat peut parfois contenir des traces d'amandes même si cela n'est pas explicitement mentionné. Nous concluons à une tendinite récidivante de l'épaule gauche pour laquelle nous instaurons un traitement anti-inflammatoire par Etodolac associé à un inhibiteur de la pompe à protons. Suite chez le médecin traitant ainsi que son nouveau rhumatologue. Nous concluons ce jour à deux diagnostics séparés étant une infection urinaire basse que nous traitons par Monuril 3 g en dose unique ainsi qu'une douleur de type musculo-squelettique que nous traitons par antalgie simple. Cependant, nous proposons à la patiente d'être revue dans 48 à 72 heures par son médecin traitant et procédons à une culture d'urine en cas d'évolution défavorable.Nous concluons pour des angines fébriles virales et poursuivons le traitement antipyrétique et anti-inflammatoire. Nous prescrivons également un traitement antroposophique pour soulager les douleurs buccales. La maman reconsultera si diminution de l'état général ou mauvaise prise hydrique/alimentaire. Nous concluons pour des angines fébriles virales et poursuivons le traitement antipyrétique et anti-inflammatoire. Nous prescrivons également un traitement antroposophique pour soulager les douleurs buccales. La maman reconsultera si diminution de l'état général ou mauvaise prise hydrique/alimentaire. Nous concluons pour un état fébrile probablement d'origine virale sans signes de gravité. Nous excluons une angine streptococcique (strepto-test rapide négatif). Le traitement symptomatique de Dafalgan et Algifor est à poursuivre. Consulte à nouveau si baisse de l'état général voire diminution de l'hydratation/alimentation. Nous concluons pour une contusion du pouce gauche et mettons en place un traitement antalgique en réserve et appliquons un bandage. Nous ne donnons pas d'arrêt de sport, Nous concluons pour une entorse légère et mettons en place un traitement d'AINS en plus que le Dafalgan déjà en place. Un air-cast est mis en place durant une semaine. Un arrêt de sport durant une semaine avec réévaluation par le médecin traitant. Nous concluons pour une éruption virale (ex. main-pied-bouche, entérovirose) en premier lieu. La grande sœur présente au même temps un état fébrile avec érosions buccales, sans éruption cutanée. L'autre option est qu'il s'agisse d'un exanthème allergique, sans démangeaisons. Il n'y a pas eu de changement de produits d'hygiène intime ni de lessive, la petite n'est pas connue pour atopie. Nous ne mettons en place aucun traitement au vu de l'absence de symptômes. Consigne de reconsulter si association à fièvre et baisse de l'état général ou diminution des apports hydriques. Nous concluons pour une possible otite réfractaire au traitement antibiotique de Rocéphine 50 mg/kg en dose unique im. Il est possible qu'il s'agisse d'une fièvre d'origine virale accompagnée de diarrhées et d'une éruption cutanée. Le laboratoire est rassurant et ne montre pas l'apparition de déviation gauche. Contrôle aux urgences le 15.06.2018. Nous confectionnons à nouveau des plâtres redressant. Nous le reverrons dans 1 semaine et nous envisageons probablement une opération. Nous confirmons la poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie jusqu'en septembre. Nous restons à disposition en cas d'aggravation, sinon, prochain contrôle en septembre, comme prévu initialement. Nous confirmons l'indication à 4 mois de séances de chiropractie pour manipulation sacro-iliaque bilatérale. Prochain contrôle à la fin du mois de septembre pour refaire le point. En cas d'absence d'amélioration, nous pourrons envisager une éventuelle dénervation. Nous conseillons à la maman d'acheter des chaussures qui vont au-dessus de la cheville et de les mettre à l'envers. Si cela n'améliore pas la situation, nous lui prescrirons des semelles 3 points. Nous le reverrons dans 2 mois. Nous conseillons à la maman de reconsulter si apparition de fièvre, altération de l'état général, diminution de la prise alimentaire ou de la diurèse. Nous conseillons à la patiente d'arrêter le traitement antibiothérapique régressif, car n'a aucun effet sur l'infection et cela crée une résistance. Poursuite de la phytomédecine et de l'homéopathie selon son souhait (il n'y a aucun risque à la prise de ce traitement). Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. Nous conseillons à la patiente de faire les exercices au cirque et à la gym avec une syndactylie pour les prochaines 2 semaines. Il n'est pas nécessaire de fixer un prochain contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition si nécessaire. Nous conseillons à la patiente de ne pas reprendre les activités sportives avant une dizaine de jours. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous conseillons à la patiente de reproduire les exercices appris en physiothérapie à son domicile. Mobilisation libre du bras G selon tolérance. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X dans 6 semaines, soit à 3 mois de l'opération. Nous conseillons à la patiente de travailler sur sa posture. En effet, elle se tient avec le tronc légèrement en flexion, causant une surcharge au niveau des disques et pouvant participer aux douleurs qu'elle présente. Prescription de physiothérapie pour école du dos et stretching de la musculature abdominale. Nous lui donnons également quelques exercices à faire à domicile. Prochain contrôle à 1 an post-opératoire. Nous conseillons au médecin traitant de prévoir une échocardiographie en fin de grossesse. Nous conseillons au patient de débuter une activité physique régulière pour développer sa musculature paravertébrale. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 an. Nous conseillons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour le vendredi 15.06.2018 pour contrôle et réorientation chez un rhumatologue. Nous recommandons au patient de reconsulter en cas de péjoration ou non amélioration de la symptomatologie. Nous conseillons au patient une surveillance des lésions durant les 3 prochaines semaines. Feuille d'information sur les piqûres de tique donnée. Nous conseillons un traitement antalgique pour 5 jours avec glace et repos. Pas d'indication à une immobilisation. Nous conseillons un traitement antibiotique prophylactique pour 7 jours. La patiente est avertie qu'en cas de fièvre, apparition de rougeur ou péjoration de la plaie, il devrait reconsulter. Nous conseillons un traitement antibiotique prophylactique pour 7 jours. Le patient est averti qu'en cas de fièvre, apparition de rougeur ou péjoration de la plaie, il devrait reconsulter. Nous conseillons un traitement anti-inflammatoire avec repos et attelle pour 1 semaine. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs. Nous conseillons un traitement symptomatique des douleurs avec un traitement régulateur des selles. Si apparition de fièvre ou péjoration des douleurs, le patient devrait se représenter. Nous conseillons un traitement symptomatique et un bandage pour 2 semaines. Le patient devrait se représenter si péjoration des symptômes. Nous contactons la pédiatre de garde, Dr. X, qui nous propose d'appeler le Tox Zentrum et se met à disposition si une surveillance devait être nécessaire. Le Tox Zentrum nous donne l'avis suivant : il s'agit d'un produit de la Coop avec moins de 5% de concentration. Elle n'en a probablement pas bu plus d'une gorgée. Un épisode de vomissement unique est normal et non inquiétant. Nous devons nous assurer qu'elle puisse boire, et la surveiller 30 minutes après. Elle reconsultera en pédiatrie à l'HFR Fribourg en cas de vomissements répétés ou apparition de nouvelle symptomatologie. La patiente peut boire un sirop sans difficulté. La surveillance se passe sans difficulté. À son départ, elle est stable, ses parents la décrivent comme d'habitude. Ils reconsulteront immédiatement en cas de vomissements répétés, ou d'apparition de nouvelle symptomatologie. Nous décidons de faire une arthrodèse de la MTP1 à G. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous décidons de lui prescrire des semelles. Nous la reverrons dans 4-6 mois pour réévaluer la situation. Nous lui montrons des exercices pour renforcer la musculature péronière. Nous décidons de ne pas faire de radiographie à la recherche de corps étranger étant donné l'anamnèse et l'examen clinique. Nous commençons par une désinfection de la plaie à l'Hibidil. La patiente bénéficie d'une anesthésie locale avec lidocaïne et bicarbonate. La plaie est explorée sous anesthésie locale à la recherche de corps étrangers et d'atteinte osseuse. Nous ne trouvons aucun de ces éléments. Nous procédons également à un rinçage abondant avec NaCl. La plaie est fermée par un point simple à l'Ethilon 5-0. Une protection de la plaie à l'aide d'un pansement est faite. Nous informons la patiente sur le risque infectieux et les signes et symptômes qui en résultent (chaleur, rougeur, écoulement, douleur, tuméfaction) et qu'en cas d'apparition d'un de ces derniers, elle peut se représenter aux urgences ou chez son médecin traitant. La patiente est invitée à retirer les fils dans 5 jours à la filière des urgences ambulatoires (samedi 10h). La patiente ne sait plus quand elle a eu son dernier vaccin anti-tétanique donc un rappel par dT pure est effectué.Nous décidons de poursuivre le traitement conservateur avec une immobilisation dans une botte plâtrée pour encore 6 semaines avec une décharge de 15 kg à l'aide de cannes. Poursuite de la Clexane 40 mg. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines hors plâtre (rx pied f/p/o en charge). Nous décidons de refaire un plâtre qui maintient une bonne position surtout au niveau de la cheville. Nous le reverrons dans 1 semaine. Nous décidons donc de ne pas faire d'infiltration aujourd'hui. Nous lui prescrivons une semelle avec une décharge. Nous allons voir l'évolution. Nous décidons donc de refaire un plâtre redressant. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un nouveau plâtre. Nous décidons donc d'une fin de traitement, fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Arrêt de travail : 100 % du 20.2.2018 au 29.04.2018 Nous décidons donc d'une fin de traitement. Le patient est autorisé à se mobiliser selon douleurs. Il pourra reprendre le sport à 2 mois du traumatisme initial, c'est-à-dire 2 semaines après la dernière consultation dans notre service. Nous décidons d'une fin de traitement ce jour et de laisser l'enfant reprendre sa vie normale (chose que l'enfant fait déjà depuis un bon moment). Nous demandons donc au patient de continuer l'anticoagulation par Xarelto 15 mg 2x/jour pendant 3 semaines puis 20 mg 1x/jour pendant 3 mois. Il présente toujours des douleurs plus localisées au niveau du creux poplité. Il n'a pas osé prendre le Tramal prescrit. Nous le rassurons quant à cet antalgique et lui conseillons de le prendre. Le patient a un voyage en avion prévu ce mercredi 06.06.2018 pour le travail. Nous lui demandons de l'annuler. Nous lui demandons également de ne pas faire d'activités physiques jusqu'au prochain contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Nous demandons l'avis à la pédopsychiatre de garde, Dr. X, qui souhaite l'évaluer à l'HFR Fribourg. La patiente part donc accompagnée pour les urgences de Fribourg où la pédopsychiatre l'y rejoindra directement. Le médecin chef de clinique de garde aux urgences de Fribourg est également au courant. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste de garde, qui recommande de faire des radiographies au vu des antécédents du patient. Les radiographies ne montrant pas de fracture, nous retenons le diagnostic de contusion de la face fibulaire du calcanéum droit, que nous traitons par bande élastique et antalgie. Nous conseillons au patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle en cas de persistance des douleurs. Nous demandons l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui préconise un transfert de l'enfant aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg pour prise en charge. Départ avec sa maman. Nous demandons un avis au Dr. X. L'exploration de la plaie montre une rupture du tendon du long palmaire. La plaie est révisée au bloc opératoire avec suture du tendon du long palmaire gauche et régularisation de la surface du tendon du fléchisseur radial du carpe gauche. Une attelle dorsale poignet gauche est mise en place. Les fils de suture seront à ablater à 15 jours post-opératoires. Nous mettons en place un traitement avec Paracétamol et Ecofenac. Le contrôle de la cicatrice à la policlinique d'orthopédie est prévu pour le 15.06.2018 (le rendez-vous sera pris mardi 12.06.2018 et communiqué aux infirmières de Marsens). Nous demandons un avis au psychiatre de garde et transférons Mme. Y de manière volontaire à l'hôpital de Marsens pour la suite de prise en charge. Départ en ambulance pour le RFSM de Marsens. Nous demandons un avis au Dr. X qui nous adresse vers le pédiatre de garde. Le pédiatre de garde, Dr. X, nous propose une surveillance neurologique pendant 48h. Nous proposons soit une surveillance pendant la nuit en pédiatrie au Cantonal soit une surveillance à la maison. Les parents préfèrent rentrer à la maison. Ils ont été informés des signes qui doivent les mettre en alerte et ont reçu la feuille d'information du traumatisme crânien. Avant de sortir, la patiente est normoactive. Elle quitte les urgences avec ses parents. Nous demandons un avis orthopédique auprès du Dr. X qui propose et organise un transfert immédiat en Chirurgie de la Main au CHUV. Nous faisons une radiographie pour voir s'il y a une atteinte osseuse avec une éventuelle fracture. À noter que le patient a reçu une première dose d'antibiotiques par Co-Amoxicilline 2.2 g iv et un rappel anti-tétanique. Nous avons instauré une antalgie par Fentanyl et administré une hydratation avec 500 ml de NaCl. Après appel du chef de clinique de Fribourg qui nous dit qu'il n'y a pas de possibilité de prise en charge à Fribourg, le patient est donc transféré en Chirurgie de la Main au CHUV. Départ en ambulance. Nous demandons un consilium psychiatrique à Dr. X qui passe voir la patiente et nous hospitalisons la patiente au RFSM de Marsens. Elle part accompagnée de son amie, pour l'hospitalisation volontaire. Nous demandons un consilium psychiatrique auprès du Dr. X, psychiatre de garde, qui fait une consultation téléphonique avec le patient. Selon le psychiatre, il s'agit d'une réaction normale au divorce récent et il n'y a pas de risque suicidaire aigu. Le patient ayant exprimé de la difficulté à se retrouver seul chez lui le soir et c'est souvent à ce moment-là que surviennent ces idées noires, le psychiatre propose de le laisser rentrer à domicile avec quelques comprimés de Quétiapine 25 mg en réserve en cas d'insomnie et d'angoisses nocturnes, mais sans lui en faire de prescription. Il propose que le patient et son épouse se rendent en consultation psychiatrique de couple en ambulatoire, ce que le patient accepte et il pense que son épouse, avec qui il reste malgré tout en bon terme, acceptera également. Le patient rentre donc à domicile avec 3 comprimés de Quétiapine en réserve. Nous demandons un laboratoire qui montre une légère hypokaliémie à 3.5 mmol/l, un syndrome inflammatoire avec CRP à 21 mg/l et leucocytose à 13.9 G/l, hématurie et leucocyturie abondante. Selon l'avis du Dr. X, de médecine interne, nous demandons un uro-CT pour exclure une lithiase rénale droite, qui ne met pas en évidence de calcul ou une dilatation. Au vu de son syndrome inflammatoire, nous traitons comme une infection urinaire basse, avec Ciproxine 500 mg 2x/jour et ajoutons une antalgie en réserve. Nous demandons un laboratoire, selon l'avis de Dr. X, qui revient dans la norme. Nous donnons au patient du Xarelto 20 mg pour ce soir. Nous organisons un ultrason du membre inférieur droit, pour le 15.06.2018. Le patient a déjà de l'antalgie en réserve avec Dafalgan et va revenir à la filière des urgences ambulatoires pour faire un ultrason du membre inférieur droit le 15.06.2018 à 10H30. Nous désinfectons avec Bétadine, rinçons les plaies et effectuons un curetage des lésions de la jambe. Nous appliquons un pansement immobilisant au niveau du pouce et une attelle Splintpod pour la jambe, et recommandons une marche sans charge avec l'aide de béquilles, bien qu'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pendant 5 jours.Déclaration de morsure faite. Nous désinfectons la plaie, l'explorons et enlevons quelques morceaux de graviers millimétriques. La plaie a 4 mm de profondeur au maximum sans atteinte fasciale ou capsulaire. Nous suturons sous Rapidocaïne 1% avec 3 points simples par Dafylon 3/0 et le patient rentre chez lui avec antalgie en réserve. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 1 semaine pour ablation des fils. Nous désinfectons les plaies et effectuons un pansement Adaptic. La patiente consultera son médecin traitant lundi 25.06.2018 pour une réfection du pansement. Nous désinfectons à la Bétadine, et sous anesthésie locale à la Lidocaïne, nous effectuons une incision de 2 cm de longueur au niveau du pli interfessier à la hauteur sacro-coccygienne, avec expression de pus. Nous rinçons au NaCl 0.9% à l'aide d'une aiguille boutonnée, et posons une mèche bétadinée et un pansement. La patiente sera revue en contrôle en policlinique de chirurgie le 12.06.2018. Nous désinfectons à la Bétadine, et sous anesthésie locale, nous effectuons un rinçage au NaCl 0.9% à l'aide d'une aiguille boutonnée et posons une nouvelle mèche bétadinée. Il n'y a pas d'expression de pus ce jour au rinçage. La patiente sera revue le 11.06.2018 chez Dr. X pour la suite de la prise en charge. Nous désinfectons et faisons un pansement sec. Le patient devra faire des douches 3 fois par jour jusqu'à cicatrisation. Il devra prendre rendez-vous chez Dr. X si récidive dans 6 semaines (carte donnée). Nous désinfectons la lésion, prescrivons des bains de Dakin 3 fois par jour, un traitement antalgique et un arrêt de travail de 7 jours. Le patient prendra contact avec le secrétariat de Dr. X pour cure ongle incarné. Nous désinfectons la plaie à la Bétadine et anesthésions localement par Lidocaïne et Bicarbonate. L'exploration ne montre pas de structure profonde exposée, ni de corps étranger visible. Nous rinçons ensuite abondamment au NaCl et suturons par 2 points à l'Ethilon 5-0. Nous lui prescrivons une antalgie simple avec du Paracétamol si nécessaire. Un rappel du tétanos est fait aux urgences. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de plaie à 48 h et l'ablation des fils à 12 jours. Nous désinfectons la plaie à la Bétadine et effectuons un rinçage au NaCl 0.9%, puis suturons la plaie avec 4 points d'Ethylon 4.0, et posons un pansement sec. Nous effectuons un rappel anti-tétanique. La patiente sera revue en contrôle de plaie à 5 jours en policlinique d'orthopédie. Les fils sont à retirer à 10 jours chez son médecin traitant. Nous lui conseillons de reconsulter en cas d'apparition de troubles sensitivo-moteurs, signes inflammatoires locaux, ou autres symptômes inquiétants. Nous désinfectons la plaie à la Bétadine, la rinçons au NaCl, et explorons la plaie sous anesthésie locale à la Lidocaïne sans retrouver de fragment de verre. Nous posons un pansement. Le patient reçoit une dose de vaccin antitétanique. Il rentre à domicile avec une antalgie en réserve, des cannes, et une thromboprophylaxie. Au vu de l'absence de médecin traitant, il sera revu en contrôle de plaie à la filière des urgences ambulatoires le 07.06.2018. Nous lui conseillons de reconsulter avant aux urgences en cas d'apparition de rougeur, chaleur ou tuméfaction locale, ou en cas de fièvre ou frissons. Nous désinfectons la plaie à la Bétadine, puis la rinçons au NaCl et l'explorons sous anesthésie locale. Nous effectuons 3 points de suture avec du fil d'Ethylon 4.0, et posons un pansement. Le patient sera revu en contrôle de plaie en policlinique d'orthopédie le 29.06.2018, avec un arrêt de travail jusqu'au 01.07.2018. Nous désinfectons la plaie et faisons un pansement. La patiente reviendra le 12.06 pour ablation des points de suture. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une consultation en urgence. Nous désinfectons l'abcès à la Bétadine, et après une anesthésie locale à la Lidocaïne, nous incisons sur 1.5 cm de longueur l'abcès, avec expression de pus. Nous rinçons abondamment au NaCl 0.9%, et posons une mèche bétadinée. Le patient sera revu en contrôle en policlinique de chirurgie le mardi 12.06.2018. Nous devons vérifier l'intégrité du EPL, raison pour laquelle un ultrason est organisé. La patiente sera revue après cet examen. Nous diagnostiquons un eczéma sur une probable dermatite atopique, une dermatose de contact n'étant pas exclue au vu de l'utilisation nouvelle de produits de toilette et de lessive. Nous effectuons un laboratoire qui montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 22 mg/l et une thrombocytose, ces valeurs sont contrôlées par rapport au 23.06 et sont à la baisse. Lors du contrôle clinique à 48 h, sous traitement systémique de Cortisone (20 mg), nous notons une nette amélioration de la symptomatologie. Nous recommandons d'éviter tous produits de beauté et de n'utiliser que le Pruri-med et l'Excipial, à appliquer aussi souvent que possible. La suite de la prise en charge est prévue le 26.06 chez le dermatologue. Nous discutons avec Dr. X et retenons un diagnostic de kyste pilonidal, auparavant probablement abcédé avec évacuation spontanée. Nous expliquons au patient et à la mère l'évolution probable et risque de récidive et discutons des avantages et des risques associés à une intervention chirurgicale. Si souhaité, le patient prendra contact avec Dr. X pour une éventuelle prise en charge chirurgicale. Nous discutons avec la patiente de l'importance de faire des exercices de stretching. Nous proposons de mettre une semelle avec augmentation médiale pour la soulager. Nous faisons une ordonnance dans ce sens. Contrôle clinique dans deux mois. Nous discutons avec le patient des différentes alternatives thérapeutiques. Il nous explique qu'il désire un 2ème avis auprès du CHUV. Il a son RDV dans 2 jours. Au vu de ce deuxième avis, il nous fera parvenir sa décision quant à une intervention chirurgicale. On lui explique également que l'alternative thérapeutique serait de refaire une autre infiltration foraminale L5-S1 D s'il n'accepte pas la chirurgie. On le reverra dans 6 semaines pour rediscuter. Entre temps, nous prolongeons l'arrêt de travail. À noter que le patient a perdu son travail depuis quelques jours. Il devra rechercher un autre emploi. On reste à disposition. Nous discutons avec le patient des options thérapeutiques. Le traitement de l'ongle incarné avec une excision selon Kocher et le traitement par antibiotiques à long terme, versus une amputation de la phalange distale de l'hallux. Le bilan angiologique du 30.5.2018 a montré une bonne perfusion artérielle. Le patient se décide pour une amputation de la phalange distale de l'hallux droit et nous l'organisons pour le 12.6.2018. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices, et un formulaire de consentement est rempli et signé. Nous stoppons l'antibiothérapie pour le moment. Nous discutons du cas avec Dr. X et la patiente. Nous décidons donc de poursuivre le traitement conservateur. Nous changeons le plâtre pour une botte plâtrée fermée pour une durée totale de 6 semaines. Nous la reverrons dans 1 semaine pour un contrôle radioclinique sans charge. Poursuite de la décharge complète et de la Clexane. Concernant la fracture au niveau du 2ème doigt, nous proposons une immobilisation dans une attelle Stack avec un contrôle radioclinique à 6 semaines. Nous donnons à la patiente un VacoPed short adapté (taille M) et nous lui expliquons comment soulager le pied en surélevant le membre ou en utilisant des poches à glace afin de diminuer progressivement la prise médicamenteuse. Elle est avertie qu'en cas de mauvaise évolution tant au niveau des douleurs que de la sensation du pied dans le VacoPed, elle devra consulter une nouvelle fois. En cas de bonne évolution, le prochain contrôle sera effectué à la policlinique le 27.06.2018.Nous donnons à la patiente une antalgie par Dafalgan et Irfen, antalgie que nous complétons par une dose unique de Zomig 5 mg intra-nasal. La patiente est relativement soulagée et souhaite ensuite rentrer rapidement à domicile. Nous la libérons avec une ordonnance de son Relpax habituel. Nous donnons à Monsieur un comprimé de Temesta qui fait bon effet. Après l'avis de la psychiatre de garde, Dr. X, et après discussion avec le patient, nous le laissons rentrer avec un traitement de réserve de Temesta et de Zolpidem. Nous indiquons à Monsieur qu'il ne faut pas conduire après la prise des médicaments et de ne pas prendre le soir le Temesta et le Zolpidem ensemble. Monsieur consultera son médecin traitant lundi comme prévu et prendra rendez-vous lundi matin au numéro que nous lui avons transmis pour débuter un suivi psychiatrique ambulatoire rapidement. Nous donnons au patient du Sirdalud 4 mg aux urgences, c'est son épouse qui conduit. Mobilisation préservée à la réévaluation mais toujours douloureuse. Nous introduisons un traitement avec AINS et myorelaxants et préconisons un contrôle pendant la semaine chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. Selon avis du Dr. X, de médecine interne, il n'y a pas d'indication à réaliser une imagerie dans l'urgence. Nous donnons au patient un rendez-vous en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinico-biologique le 29.06. Si les symptômes disparaissent, nous proposons au patient d'annuler son rendez-vous. Nous lui conseillons de reconsulter les urgences en cas de péjoration massive des symptômes. Nous donnons Co-Dafalgan aux urgences. La patiente se présente fébrile à 38,1°C, nous faisons un laboratoire qui revient aligné. Au vu d'une réponse au traitement par Co-Dafalgan, nous introduisons Co-Dafalgan et Tramal en réserve pendant 5 jours, puis en réserve. La patiente doit consulter son médecin traitant pour contrôle clinique la semaine prochaine. Nous donnons de l'Ecofenac 75 mg iv aux urgences, avec amélioration des douleurs. Le laboratoire avec CK revient aligné. Selon avis de la Dr. X, nous demandons un CT-scan cérébral qui ne montre pas d'hémorragie. Nous prenons alors l'avis chirurgical du Dr. X (chirurgien de garde), qui préconise une antalgie en réserve, pas de besoin de surveillance neurologique. La radiographie de la main droite et du pouce reviennent normales, nous demandons l'avis orthopédique (assistant, Dr. X), qui pense à une contusion de la 1ère métacarpophalangienne droite et préconise une immobilisation et antalgie pendant 7 jours avec contrôle à la policlinique d'orthopédie. Nous donnons du paracétamol et de l'Irfen aux urgences avec nette amélioration des douleurs. Le sédiment revient propre. Le laboratoire revient sans syndrome inflammatoire ni de perturbation des tests hépatiques. Selon avis du Dr. X, chirurgien, la patiente rentre à domicile et viendra à 9h pour faire un ultrason de l'abdomen pour exclure une appendicite. Nous donnons du paracétamol 1g et de l'Ecofenac 75 mg aux urgences au patient. Le laboratoire revient aligné, sans syndrome inflammatoire ni perturbation de la fonction hépatique. Le sédiment urinaire revient propre. À la réévaluation, le patient se plaint plutôt de douleurs lombaires diffuses de type brûlures à 4/10, alors nous lui donnons du Tramal 50 mg avec une bonne réponse. Nous demandons l'avis du Dr. X (chirurgien de garde) qui préconise un contrôle clinico-biologique le 05.06.2018 à la filière des urgences ambulatoires, avec un ultrason de l'abdomen pour exclure une appendicite. Nous donnons du Tramal 50 mg aux urgences. Nous faisons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 72 mg/l, le sédiment montre une leucocyturie et hématurie abondante. Selon avis de la Dr. X, nous demandons un ultrason abdomen pour exclure une lithiase rénale surinfectée, qui montre une dilatation pyélocalicielle, sans calcul visualisé. Selon avis du Dr. X (radiologue de garde), nous demandons un uro-CT qui montre une dilatation pyélocalicielle de 2 cm, sans calcul visible, superposable au CT-scan fait en 2016. Nous appelons l'urologue de garde, qui suspecte une maladie de la jonction, alors il préconise la poursuite de son antibiothérapie. Il verra la patiente en consultation urologique dans un deuxième temps. Nous reverrons la patiente le 07.06.2018 pour un suivi clinico-biologique. Nous donnons paracétamol et Buscopan IV aux urgences, avec bonne amélioration des douleurs. Nous faisons un laboratoire qui revient aligné, sans syndrome inflammatoire, et un sédiment urinaire qui revient dans la norme. Nous retenons une douleur abdominale d'origine indéterminée et préconisons un contrôle clinique chez le médecin traitant en début de semaine. Nous donnons quelques exercices supplémentaires à faire à domicile pour le renforcement du quadriceps et des fléchisseurs de la hanche. Poursuite de la physiothérapie pour redressement postural. Prochain contrôle dans 3 mois. Nous pouvons espérer que le patient puisse reprendre la marche à l'aide de cannes ou d'un rolateur et ne plus utiliser de chaise roulante. Nous effectuons des radiographies de la colonne cervicale et dorsale qui sont dans la norme. La radiographie du thorax est dans la norme. L'ECG revient dans la norme. Le laboratoire et le sédiment urinaire sont dans la norme. Nous demandons un avis au Dr. X et nous effectuons un ultrason abdominal à la recherche d'une lésion de la rate. L'échographie ne montre pas de lésion. Mme. Y peut sortir avec une thérapie avec Brufen d'office et Dafalgan en réserve et arrêt du travail jusqu'au 21.06.2018. Nous effectuons des radiographies du genou droit qui ne montrent pas de fracture. Le patient rentre avec une bande élastique et antalgie et sera revu à 1 semaine chez son pédiatre. Nous effectuons le constat de coup. La radiographie du pouce droit ne montre pas de fracture. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Nous lui conseillons de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 1 semaine en cas de persistance des douleurs au pouce. Nous effectuons un bilan biologique, ECG et une radiographie thoracique qui reviennent dans la norme. Concernant l'apparente paralysie du VI, nous confirmons qu'une IRM cérébral a été effectuée en 2014 dans un contexte similaire, sans mise en évidence de lésion ischémique. À cette date, le diagnostic retenu avait été d'une cupulolithiase. En discutant avec la fille, elle nous confirme la présence de l'esotropie bilatérale depuis quelques années. En réévaluant la patiente, les altérations décrites persistent, mais les symptômes de vertiges et nausées ont disparu, sans traitement, et l'asthénie a disparu. Nous effectuons une manœuvre de Dix-Hallpike, qui ne déclenche pas de nystagmus. Étant donné que la patiente manifeste une forte volonté de rentrer à domicile et en l'absence de signe d'alarme, nous terminons la prise en charge, proposant un contrôle chez le médecin traitant dans de brefs délais, avec éventuel contrôle neurologique. Nous effectuons un bilan biologique et adressons la patiente en gynécologie à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Nous effectuons un bilan biologique et transférons la patiente dans le service de gynécologie à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. Elle s'y rend accompagnée de son mari.Nous effectuons un bilan biologique qui est dans la norme. La chronologie des symptômes invoque une migraine avec aura, avec 3 critères B et 4 critères C selon la classification ICHD-3. Pendant son séjour aux urgences, les douleurs diminuent presque totalement et l'examen objectif reste superposable. En l'absence de signes de gravité et normalisation clinique, nous laissons le patient rentrer avec de l'antalgie. Nous effectuons un bilan biologique qui montre une leucocytose à 16.7G/l que nous attribuons au stress tissulaire lié à l'accident et une LDH à 476U/l. Le sédiment urinaire ne montre pas d'hématurie microscopique. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de fracture costale visible. La radiographie du coude et de l'épaule montre une fracture de l'olécrâne peu déplacée. Nous demandons un avis orthopédique qui préconise un traitement conservateur avec gouttière brachio-antébrachiale et gilet orthopédique. Le patient doit reprendre rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour contrôle clinique d'ici 3-4 jours. Nous effectuons un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, l'examen clinique ne révèle ni lymphangite ni adénopathie. Nous laissons le traitement antibiotique mis en place la veille, le patient se présentera comme prévu pour un contrôle clinique chez le pédiatre le 25.06.2018. Le patient et sa maman sont informés de contrôler la lésion et de reconsulter en cas d'apparition d'une lésion compatible avec un érythème migrant. Nous effectuons un bilan radiologique qui ne montre pas de corps étranger visible. Nous effectuons une désinfection à la Bétadine aux urgences. Nous effectuons une exploration sous Lidocaïne et Bicarbonate qui ne montre pas de structure profonde exposée ni de corps étranger visible. Nous effectuons un rinçage abondant par NaCl aux urgences. Nous suturons avec 3 points d'Ethilon 3.0 à chaque plaie du membre inférieur gauche (6 points au total). Un contrôle de plaie doit être effectué chez le médecin traitant dans 48h. Fils à enlever chez le médecin traitant dans 12 jours. Nous conseillons une antalgie simple avec du paracétamol et du Brufen si nécessaire. Le Tétanos est à jour. Nous effectuons un bilan sanguin qui revient dans la norme. Sans argument pour un érythème migrant classique, nous suspectons une piqûre par un autre insecte. Nous reverrons la patiente pour un contrôle clinique le 23.06.2018 à la filière des urgences ambulatoires. Nous effectuons un bladder scan qui retrouve une vessie augmentée à 500ml. Nous posons une sonde urinaire aux urgences qui rend 500 ml. Sur avis du Dr. X, chirurgien, le patient rentre à domicile avec sa sonde urinaire et continue son traitement antibiotique. Il doit prendre contact lundi 04.06.2018 avec le Dr. X pour qu'il puisse le voir dès que possible et doit continuer son antibiothérapie prescrite de Céfuroxime 500mg 1x/jour pendant 2 semaines. Nous effectuons un bladder scan qui montre une rétention urinaire à 960 ml. Nous changeons la sonde urinaire pour une sonde siliconée, avec écoulement d'urine d'abord rosée puis claire. Le sédiment urinaire montre des leucocytes en purée, des érythrocytes en purée, des nitrites et une flore bactérienne positive. La culture urinaire montre un Proteus sp multisensible à 10E6. Nous n'introduisons pas d'emblée d'antibiothérapie au vu d'un patient asymptomatique. Le patient refuse l'hospitalisation initialement prévue. Il rentre au domicile avec contrôle à la filière des urgences ambulatoires ce lundi 25.06.2018. Le patient sera revu chez sa médecin traitante, Dr. X à Morges mardi 03.07.2018. La sonde vésicale est à changer dans 8 semaines. Nous introduisons des soins à domicile 2 fois par jour. Nous effectuons un constat de coup. La patiente ne pressentant pas de douleur spontanée, nous la laissons regagner son domicile. Nous effectuons un constat de coup. Nous concluons à un traumatisme crânien simple, ayant eu lieu il y a plus de 24 heures sans signe de gravité jusque-là. Le patient rentre à domicile avec une feuille de surveillance neurologique donnée à la mère. La radiographie de la colonne cervicale ne montrant pas d'anomalie, et le patient ne se plaignant pas spontanément de douleurs dans cette région, il rentre à domicile avec une antalgie et un traitement anti-inflammatoire en réserve. Nous lui conseillons de reconsulter en cas d'apparition de tout nouveau symptôme inquiétant. Le patient revient en filière des urgences ambulatoires à 15h le 19.06.2018 afin d'effectuer une nouvelle radiographie de l'odontoïde, la première étant de mauvaise qualité au vu de la minerve en place. Il sera revu en contrôle clinique ensuite. Nous effectuons un CT cervico-thoraco-abdomino-pelvien qui montre une fracture ischio-pubienne droite et sacrée avec un hématome. Le laboratoire est sans particularité, l'hémoglobine est à 140g/l à 16h. Nous posons une ceinture pelvienne et une sonde vésicale. Nous suspectons, au vu de l'anamnèse et de la cinétique, ainsi que de la présence d'une lésion du processus transverse de L5, une fracture de type C, raison pour laquelle après discussion avec les orthopédistes de garde de Riaz et de Fribourg, nous transférons Monsieur aux urgences de Fribourg pour la suite de la prise en charge. Juste avant son départ en ambulance, nous revoyons les images avec notre chirurgien et constatons une dilatation de l'estomac qui mériterait une sonde de décharge, ce que nous n'avons pas le temps d'organiser avant son transfert, ce qui est également transmis par téléphone à Dr. X. Nous effectuons un débridement des croûtes et une ablation du fil, désinfection à la Bétadine et pansement Bétadine tulle. Ce pansement est à refaire 1 fois par jour par le patient. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Au vu de la guérison lente chez un patient non diabétique et non fumeur, nous demandons un consilium angiologique. Merci de convoquer le patient. Nous effectuons un dépistage VIH et VHC (patient protégé pour le VHB). Le rapport ayant eu lieu il y a plus de 48h, nous n'effectuons pas de prophylaxie post-expositionnelle du VIH. Lors de son dépistage de 2017, le patient avait des Ac anti-HBc > 1000 assurant une protection. Nous effectuons une éducation aux infections sexuellement transmissibles avec la nécessité d'une protection efficace et proposons au patient d'effectuer un nouveau dépistage à 3 mois. Le patient reviendra à la filière des urgences ambulatoires le 15.06.2018 pour les résultats des tests. Nous effectuons un ECG qui montre un RSR avec QRS fins, ST isoélectriques, sans prolongement du QT. La radiographie du thorax revient dans la norme, sans surélévation diaphragmatique. Sous Temesta 1 mg Expidet, elle remarque une bonne amélioration de la symptomatologie. Nous préconisons un contrôle chez sa psychiatre pour rediscuter la suite du traitement. Nous effectuons un examen de laboratoire ainsi qu'un ECG qui reviennent dans la norme. Nous mettons en place une hydratation avec du NaCl 500 ml. Pendant l'observation, Mme. Y reste stable. Nous retenons une syncope sur malaise vaso-vagal, déclenchée par les douleurs. Mme. Y peut rentrer, elle a été informée qu'elle devra reconsulter en cas d'apparition de nouvelle symptomatologie. Nous effectuons un examen de laboratoire qui montre une CRP à 50 mg/l sans leucocytose ainsi qu'un sédiment urinaire qui est dans la norme. Suite à une suspicion de diverticulite, nous effectuons un CT-scan abdominal qui montre une diverticulose sans diverticulite. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer. Nous retenons un diagnostic de gastro-entérite d'origine probablement virale. Pendant l'observation, les douleurs régressent spontanément et Mme. Y peut regagner son domicile. Un rendez-vous chez le médecin traitant sera à prévoir la semaine prochaine. La patiente devra contacter les urgences en cas de péjoration de la symptomatologie.Nous effectuons un examen de laboratoire qui montre une leucocytose à 13.2, sans syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire montre une hématurie. On demande un uro-CT pour exclure une lithiase droite. Selon avis de Dr. X (radiologue de garde), on met en évidence un probable passage de calcul avec dilatation pyélo-calicielle droite avec infiltration de la graisse, sans hydronéphrose ou pyélonéphrite, pas de calcul nettement visible, dilatation pyélo-calicielle d'environ 8 mm. Le patient rentre à domicile avec filtre des urines à faire pendant 24h. Un traitement antalgique est donné au patient. Il reconsultera les urgences en cas de péjoration. Nous effectuons un examen de laboratoire qui montre une leucocytose à 23.4 G/l avec une CRP à 12 mg/l, ainsi que deux paires d'hémocultures, qui sont en cours. Suite à une hyperglycémie à 9.9 à jeun, nous dosons l'HbA1c qui est à 5.9%. Nous proposons une prise en charge en ambulatoire. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer de bronchoaspiration. Nous administrons un Paracétamol 1000 mg ainsi que du Primpéran 10 mg iv avec une amélioration de la symptomatologie. Nous retenons un diagnostic de gastroentérite d'origine probablement virale ainsi qu'une insolation. Nous recommandons à la patiente de bien s'hydrater et d'hydrater la peau. Mme. Y peut regagner son domicile avec du Paracétamol en réserve et un arrêt de travail. Elle devra reconsulter les urgences en cas de péjoration de la symptomatologie, autrement, un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant est à prévoir la semaine prochaine. Nous effectuons un examen de laboratoire qui revient dans la norme. Nous retenons une toxidermie probablement sur Co-Amoxicilline. En accord avec les orthopédistes, nous décidons d'arrêter l'antibiothérapie et le Novalgine. Le patient peut sortir avec un traitement de Dafalgan d'office et Tramal en réserve, avec un rendez-vous à la policlinique d'orthopédie prévu pour vendredi le 15.06.18 à 14h15. Il doit reconsulter les urgences si changement ou péjoration du rush cutané. Nous effectuons un laboratoire qui montre une anémie à 109 g/L et une hypo Na à 133 mmol/L. L'ECG montre un bloc de branche gauche déjà connu. La radiographie montre une omarthrose chronique. En relisant le dossier de la patiente, nous trouvons une hypotension orthostatique documentée avec un Schellong positif en 2017. Avec la résolution des douleurs et l'absence de signes de gravité, nous laissons la patiente rentrer chez elle. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 44 mg/L. Nous calculons un score de Centor à 2, nous effectuons alors un streptotest, qui revient négatif. Nous retenons un syndrome grippal comme diagnostic et préconisons un retour aux urgences si persistance d'état fébrile dans 2 jours. Nous effectuons un laboratoire qui montre une CRP à 57 mg/L, sans leucocytose, sans autre altération. L'ECG est dans la norme. La radiographie thoracique ne montre pas de foyer. Concernant l'anémie, comme elle est déjà en suivi et qu'elle ne présente pas de signe d'instabilité hémodynamique, nous n'explorons plus l'étiologie. Son séjour aux urgences se déroule sans complication, toujours avec une saturation entre 92 et 95%. Nous retenons un diagnostic de bronchite probablement virale. Vu l'absence de signe de gravité, nous laissons la patiente rentrer avec un traitement symptomatique en expliquant les signes d'alarme. La patiente fixera un contrôle chez son médecin traitant. Nous effectuons un laboratoire qui retrouve un minime syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 14 mg/l et des leucocytes à 10.5 G/l. Il n'y a pas d'hyper-éosinophilie. Nous traitons symptomatiquement la patiente avec du Xyzal, puis la laissons rentrer à domicile. Nous prévoyons un contrôle clinique le 14.06.2018 à la filière des urgences ambulatoires avec avis dermatologique à prévoir et informons la patiente d'annuler le rendez-vous et de se rendre chez son médecin traitant (ou un dermatologue si possible) s'il est disponible. Nous effectuons un laboratoire qui retrouve une anémie ferriprive avec une hémoglobine à 73 g/l et une hypoferritinémie à 8. Nous prescrivons à la patiente 2 culots érythrocytaires ainsi que 500 mg de Ferinject iv. Nous surveillons cliniquement la patiente pendant et après les transfusions, puis laissons rentrer la patiente à domicile. À noter que la patiente présentait au laboratoire une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 111 µmol/l et urée à 11.8 mmol/l, nous mettons en pause le Lasix 40 mg puis proposons à la patiente un contrôle clinique et biologique par son médecin traitant à 72h. Nous effectuons un laboratoire qui revient aligné. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer bien systématisé. Nous faisons des aérosols d'Atrovent et Ventolin aux urgences, avec nette amélioration de la symptomatologie et au niveau auscultatoire. Nous introduisons de la Prednisone 50 mg pendant 5 jours et préconisons un contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Le patient va arrêter sa consommation tabagique également. Nous effectuons un rinçage avec du NaCl avec nette amélioration des symptômes. Le patient ne présente plus de photophobie et il ne sent plus cette sensation de gêne. Un traitement avec Vitamine A et Tobradex a été donné. Le patient devra consulter un ophtalmologue en cas de réapparition des symptômes. Le patient a été accompagné par l'infirmier du RFSM de Marsens et les ordonnances lui ont été données. Nous effectuons un sédiment urinaire qui montre une hématurie. Selon avis du Dr. X, chirurgien, nous demandons un nouveau laboratoire avec fonction hépatique qui revient aligné. La radiographie du thorax et de l'abdomen reviennent normales. Selon avis du Dr. X, nous demandons un uro-CT pour exclure une lithiase rénale gauche, qui ne montre pas de calcul ou d'hydronéphrose. Au niveau des voies biliaires, nous objectivons un épaississement des voies biliaires, sans présence de calcul, ce qui sera soit dans le contexte post-passage de calcul soit de cholécystite débutante. Selon avis chirurgical du Dr. X, qui a vu le patient, nous introduisons de la Ciproxine 500 mg 2x/jour pendant 7 jours pour suspicion de cholécystite, au vu des résultats avec antalgie et nous préconisons un contrôle en fin de semaine chez le médecin traitant, avec organisation d'un ultrason de l'abdomen en ambulatoire. Nous effectuons un sédiment urinaire qui revient pathologique. Le test de grossesse revient négatif. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 13,3 G/l et une CRP à 12 mg/l. Selon avis du Dr. X, de médecine interne, nous traitons la patiente pour une cystite simple avec Uvamin 3x/jour et préconisons un contrôle chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. En cas de fièvre, la patiente devra reconsulter les urgences. Nous effectuons un test à la fluorescéine qui retrouve une légère persistance du colorant au niveau du corps étranger. Nous mettons de la pommade vitamine A puis un pansement occlusif et laissons rentrer la patiente (qui ne conduit pas). Nous l'informons qu'il est nécessaire d'effectuer un contrôle ophtalmologique le lendemain (14.06.2018). À noter que le patient n'étant plus à jour dans sa vaccination anti-tétanique, nous effectuons un rappel. Nous effectuons un test de grossesse qui revient négatif. En l'absence de signe inflammatoire aigu et de signe de gravité immédiat, nous proposons à Mme. Y d'avancer son rendez-vous gynécologique prévu mi-juillet, et nous proposons de discuter la réalisation d'un ultrason mammaire par le gynécologue. Mme. Y souhaite être suivie par la suite à Riaz, elle prendra contact dès demain avec Dr. X, pour voir si cela est possible. Si Dr. X ne pouvait pas la suivre immédiatement pour des questions de disponibilités, la patiente avancera son rendez-vous à l'Hôpital cantonal. Elle consultera plus rapidement en cas d'apparition d'une rougeur, d'un écoulement ou de fièvre.Nous effectuons un ultrason des voies urinaires et biliaires, qui ne montre ni lithiase ni dilatation des voies urinaires ou biliaires, et pas de signe de pyélonéphrite. Le bilan biologique montre une hyperbilirubinémie sans autre anomalie des tests hépato-pancréatiques. Le test de grossesse urinaire est négatif. Le stix et sédiment urinaire montrent des leucocytes 3 à 5 par champ, et des érythrocytes 3 à 5 par champ. Les douleurs se résolvent durant le séjour aux urgences. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X, qui conclut à des douleurs dans un contexte de possible colique néphrétique gauche avec un calcul déjà passé ou trop petit pour être visualisé à l'ultrason, ou à des douleurs menstruelles de type Mittelschmerzen. L'hyperbilirubinémie est sans lien avec les douleurs actuelles et se retrouve possiblement dans le contexte d'un syndrome de Gilbert. Elle n'est pas à recontrôler d'office à distance. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve et une filtration des urines. Un éventuel calcul sera à apporter au laboratoire pour analyses. Nous lui conseillons de reconsulter en cas de récidive des douleurs, ou d'apparition de fièvre, vomissements ou autres symptômes inquiétants. Nous effectuons une désinfection et ensuite un débridement de la fibrine à la dermabrasion de la main droite. Nous effectuons des pansements à l'Adaptic. Le patient aura un contrôle à la filière des urgences ambulatoires le 28.06.2018 (jeune patient en camp actuellement, ce pourquoi il contrôle à la filière des urgences ambulatoires). Nous effectuons une exploration, l'extenseur du tendon du pouce est sectionné et pédicule non identifié. Nous prenons l'avis du Dr. X qui préconise de l'adresser à l'HFR Fribourg en orthopédie pour suture du tendon +/- suture du nerf demain. Le patient décide d'aller à Lausanne, au centre de la main. Rappel tétanos fait. La radiographie est faite et ne montre pas d'atteinte osseuse. Nous effectuons une radio qui montre une consolidation de la fracture avec présence d'un cal osseux, mais une arthrose de l'IPP déjà présente. Nous effectuons une radiographie de la colonne cervicale qui ne montre pas d'anomalie. Nous concluons à une contracture cervicale et le patient rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire d'office et une protection gastrique, du Sirdalud, du Dafalgan et une minerve pour l'antalgie à porter notamment la nuit, tant qu'il en ressent le besoin. Le status neurologique étant entièrement dans la norme, nous concluons à un traumatisme crânien simple. Nous informons le patient de reconsulter en cas de persistance des douleurs après quelques jours ou d'apparition de troubles visuels, déficits sensitivo-moteurs ou d'autres symptômes inquiétants. Le patient rentre à domicile avec son épouse qui est informée de la surveillance à effectuer. Nous effectuons une radiographie de la main droite qui ne montre pas de fracture. Nous attribuons la paresthésie à la face palmaire du 2ème doigt à l'oedème présent à la base de ce doigt. Nous prescrivons un traitement antalgique à suivre à la maison et nous lui conseillons d'appliquer de la glace. Le patient doit reconsulter les urgences en cas de persistance de paresthésie à la face palmaire suite à la disparition de l'oedème. Nous effectuons une radiographie de l'avant-pied, qui après discussion avec le Dr. X, ne met pas en évidence de ligne de fracture. Nous mettons une syndactylie entre le 2ème et 3ème orteil, antalgie en réserve, contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Nous effectuons une radiographie de l'avant-bras droit qui montre une fracture du radius distal déplacée, avec fracture de l'ulna associée. Nous retenons un diagnostic de fracture de Galeazzi avec instabilité de l'articulation radio-ulnaire. Au vu de la limite d'âge pour une hospitalisation, sur avis de Dr. X (orthopédiste de garde), le patient est transféré à Fribourg pour la suite de la prise en charge définitive, en ambulance. Proposition de plâtre BAB refusée catégoriquement par les parents et décision d'un transfert sans immobilisation BAB contre avis médical. Le patient est transféré avec immobilisation non optimale avec risque de déplacement secondaire et lésion nerveuse induite. Nous effectuons une radiographie des métacarpiens gauches et du coude gauche, qui ne montre pas de fracture. Cependant, la radiographie permet la mise en évidence d'un ostéome ostéoïde radius distal gauche. Nous proposons un contrôle radiographique dans un an. Au laboratoire, les tests hépatiques sont alignés. Le sédiment urinaire est propre. Les troponines sont négatives. Un ECG revient dans la norme. La patiente rentre à domicile avec feuille de surveillance traumatisme crânien, arrêt de travail, antalgie et contrôle début de semaine chez médecin traitant au besoin. Nous effectuons une radiographie du bassin et de la hanche droite qui ne montre pas de fracture, et nous concluons à une probable contusion osseuse de la crête iliaque droite. Le status neurologique et ORL étant dans la norme, nous concluons à un traumatisme crânien simple avec hématome rétro-auriculaire droit. Nous effectuons un constat de coup avec photographies, qui est remis à la mère du patient. Ils ont déjà contacté la police et se rendront au commissariat ce jour. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve. Nous lui conseillons de reconsulter en cas de céphalées, vomissements, ou autres symptômes inquiétants. Nous effectuons une radiographie du genou gauche avec incidence de rotule, qui ne montre pas de fracture ou d'épanchement pathologique. La patiente rentre à domicile avec de l'antalgie. Elle va revoir son pédiatre en début de semaine prochaine si persistance de la symptomatologie. Nous effectuons une radiographie du genou qui montre la suspicion de fracture du condyle tibial latéral. Un CT-scan effectué confirme la fracture. Nous procédons à une immobilisation par attelle du genou pendant 3 mois. Contrôle chez le Dr. X, orthopédiste, le 23.05.2018. Nous effectuons une radiographie du pied qui objective une fracture de la base du 2è métatarsien ainsi qu'une luxation du Lisfranc. Nous optons pour une imagerie par CT-scan afin de voir si les fractures sont anciennes. Au vu du contexte particulier de neuropathie diabétique, nous proposons à la patiente un rendez-vous en consultation du pied diabétique avec Dr. X. La patiente rentre à domicile avec une chaussure de Barouk et des cannes anglaises dans l'attente de son rendez-vous. Un arrêt de travail de 4 jours est donné (patiente indépendante, mais avec une formation ces 3 prochains jours). Nous effectuons une radiographie du thorax qui est dans la norme. Nous effectuons un ECG qui est normal. Nous effectuons un examen de laboratoire qui se montre dans la norme. Nous n'avons pas d'argument pour une cause cardiaque ni pour une embolie pulmonaire n'étant pas le premier épisode et étant des douleurs déjà apparues avant le voyage. Nous retenons des douleurs pariétales. La patiente peut rentrer à la maison. Elle doit reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous immobilisons par une attelle plâtrée palmaire en position intrinsèque prenant les 4ème et 5ème doigts jusqu'au poignet. Nous ne faisons pas de radiographie post-plâtre car il s'agit d'une attelle et la patiente est jeune. Nous prescrivons un arrêt de sport pour 2 semaines ainsi qu'un traitement antalgique. La patiente sera revue dans 2 jours en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique.Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous mettons une attelle Velcro au poignet droit pendant 2 semaines, antalgie, avec un arrêt de sport 2 semaines. La patiente reverra son médecin traitant dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Si les douleurs persistent, une IRM du poignet serait indiquée. Nous encourageons la patiente à poursuivre l'ergothérapie et la physiothérapie, tout en lui réexpliquant que le processus de guérison sera long. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Nous encourageons la patiente à poursuivre les séances de physiothérapie et à effectuer des exercices chez elle régulièrement afin de se tenir droite, afin de prévenir au mieux une éventuelle récidive. Nous restons à disposition si nécessaire et ne prévoyons pas de prochain contrôle. Elle est mise à l'arrêt de travail à 50% pour le mois de juin en raison de son travail qui nécessite une position assise prolongée. À partir de juillet, elle sera autorisée à reprendre à 100%. Nous encourageons la patiente à poursuivre les séances de physiothérapie et la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. Nous enlevons le pansement qui est propre, faisons un contrôle clinique et refaisons le pansement. La patiente mentionne avoir déjà organisé un contrôle chez son médecin traitant le 25.06. Elle rentre à domicile. Elle ira chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J12 après la suture. Nous enlevons le plâtre, avec une rapide amélioration des douleurs et nous effectuons un examen objectif complet qui ne montre pas de manière évidente des signes de syndrome de loge ou des lésions cutanées qui pouvaient justifier les douleurs. Nous effectuons un nouveau plâtre brachio-antébrachial fendu et la patiente reste confortable. La radiographie ne montre pas de changement au niveau épiphysaire. Nous la laissons rentrer chez elle, avec un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie organisé pour le 02.07.2018 et antalgie en réserve. Nous essayons l'extraction sous MEOPA et Dormicum 2.5 mg intrarectal : échec. Puis nous faisons une sédation et procédons à l'extraction du corps étranger. Contrôle otoscope : pas de perforation du tympan, pas de saignement actif. Nous lavons au sérum physiologique et gardons la patiente en surveillance aux urgences une heure. Pas de complication post-sédation. Elle rentre à domicile avec des lavages au sérum physiologique à effectuer par les parents. Ils consulteront le pédiatre si douleurs. Nous évoquons un syndrome dépressif majeur et nous transférons l'enfant à Marsens sur l'avis pédopsychiatrique pour poursuite de la prise en charge et suivi pédopsychiatrique. Nous examinons les images et la patiente avec le Dr. X. La radiographie ne montre pas de fracture. Le statut clinique ne retrouve pas de douleurs ni limitation aux mouvements de la cheville. La charge est possible. Nous concluons pour une contusion. Nous ne mettons pas en place de traitement antalgique au vu de l'absence de douleurs. Nous excluons une embolie pulmonaire, une cause infectieuse, une cause rénale et une cause électrolytique à la dyspnée de la patiente. De même, nous discutons de la possible origine psychogène de la dyspnée. La patiente ne souhaite pas de suivi psychologique mais admet être dans une période de stress suite à une fausse couche il y a 1 mois. Pas de suite de prise en charge prévue. Nous expliquons à la patiente les différentes options de prise en charge : • traitement conservateur avec infiltration de cortisone au niveau du MTP I et mise en place d'une semelle rigide en carbone afin de décharger le MTP I. • Prise en charge chirurgicale pour une arthrodèse du MTP I avec une plaque ou une prothèse. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'intervention. Nous pensons que l'arthrodèse serait la meilleure solution, car la patiente n'arrive pas à se mettre sur la pointe des pieds ni à porter des chaussures à talon. La patiente souhaite d'abord essayer le traitement conservateur. Nous organisons l'infiltration et prescrivons à la patiente une ordonnance pour une semelle en carbone. Nous expliquons à la patiente les 2 méthodes de prise en charge, soit par intervention chirurgicale avec ostéosynthèse et plaque soit par un traitement conservateur. Nous lui expliquons également qu'il y a tout de même un risque de développer une pseudarthrose, mais qu'elle est faible et que la cicatrice osseuse va engendrer une tuméfaction passablement importante. La patiente désire essayer dans un premier temps le traitement conservateur. Poursuite du port du Rucksack pour les 6 prochaines semaines. Nous lui prescrivons un arrêt de travail à 60% jusqu'au prochain contrôle (la patiente peut effectuer un travail administratif). Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Nous expliquons à la patiente que la solution définitive serait une cure d'hallux valgus à D en mini-invasif. La patiente doit consulter son agenda afin de s'organiser (3 mois d'arrêt). Elle reprendra contact avec notre service pour nous communiquer une date et signer le consentement éclairé. Nous expliquons à la patiente que le traitement définitif serait une cure d'hallux valgus en mini-invasif. La patiente ne se sent pas prête pour cette intervention, nous lui proposons à titre antalgique, le port d'Orthèse hallux valgus la nuit, selon tolérance. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous expliquons à la patiente que les douleurs proviennent du rebalancement postural, engendrant un syndrome sacro-iliaque bilatéral. Nous lui proposons une infiltration sacro-iliaque bilatérale, ce qu'elle refuse pour l'instant. Nous conseillons donc dans un premier temps un traitement d'ostéopathie puis la reverrons dans 3 mois. Nous expliquons à la patiente que ses douleurs proviennent de la sténose foraminale en conflit avec la racine L5 G. Nous lui réexposons les différentes alternatives thérapeutiques, notamment une attitude chirurgicale par décompression foraminale simple vs discectomie L5-S1 et spondylodèse. Mme. Y n'est pas désireuse d'une chirurgie pour l'instant, nous lui proposons donc de répéter l'infiltration foraminale L5-S1 déjà réalisée à plusieurs reprises afin qu'elle puisse bénéficier d'un effet cumulatif. Concernant les douleurs axiales, celles-ci proviennent du canal lombaire dégénératif multi-étagé. Il est donc difficile d'agir chirurgicalement à ce niveau. Prochain contrôle dans 3 mois. Nous expliquons au patient l'intervention chirurgicale pour une arthrodèse du MTP I et une correction de l'orteil en griffe par Pip tree. L'opération est prévue le 13.07.2018. Nous lui expliquons le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Nous expliquons au patient que le corset n'est pas obligatoire. Il est là pour rappeler la bonne position de la colonne vertébrale. Le patient est autorisé à l'enlever pour dormir. Nous prévoyons un contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Nous expliquons au patient que les douleurs à nouveau ressenties sont probablement dues au repositionnement de la colonne et de la musculature qui doit s'adapter à cette nouvelle statique. Les douleurs devraient donc progressivement s'estomper au fil des mois. Prochain contrôle radio-clinique en septembre. Dans l'intervalle, reprise du travail à 50% dès le 25.06.2018 puis à 100% dès le 01.09.2018.Nous expliquons au patient qu'il doit poursuivre le traitement et qu'il ne doit pas enlever l'attelle thermoformée. Prochain contrôle radio-clinique avec CT-scanner dans 3 semaines. Jusque-là, pas de sport avec le membre supérieur gauche. Nous expliquons au patient qu'il est encore trop tôt pour procéder à l'ablation de la plaque. Poursuite de la physiothérapie avec onde de choc avec exercices de reprise de la marche en charge. Poursuite du protocole de pansement jusqu'au prochain contrôle. Prévoir un CT-scan dans 2 mois. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Nous expliquons au patient qu'il faut du temps avant que les symptômes disparaissent et pour profiter d'un résultat définitif de l'opération. Nous prescrivons de nouveau de la physiothérapie pour rebalancement du bassin, remise en lordose de la colonne lombaire, stretching et école du dos. Nous prescrivons également une aide à domicile 3 fois par semaine car le patient vit seul. Nous le reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 3 mois. Nous explorons la plaie sous anesthésie locale et la rinçons au NaCl 0.9%, et suturons par 5 points de suture à l'Ethylon 5.0, puis posons un pansement. Au vu de la valve mécanique et de la plaie avec exposition du fascia musculaire sous-jacent, nous administrons une antibioprophylaxie par Co-Amoxicilline jusqu'au 07.06.2018, pour 3 jours au total. Le patient sera revu en contrôle clinique chez le médecin traitant le 05.06.2018. Nous explorons le point d'entrée sous 1 ml de Rapidocaïne 1%, retrouvant un corps étranger noir de 2 mm. Nous posons un pansement. Concernant les dermabrasions, nous désinfectons et appliquons un pansement simple. Nous faisons un laboratoire qui revient aligné. Nous donnons Irfen 400 mg aux urgences avec soulagement des douleurs. L'ECG revient normal. Selon avis de Dr. X, nous faisons un CT-scan qui ne montre pas de signe d'hémorragie ou de thrombose, mais montre une hypodensité corticale frontale droite, alors nous demandons un avis neurologique à Dr. X (neurologue de garde) qui demande la réalisation d'une ponction lombaire, ce qui est fait aux urgences et revient dans la norme avec sérologies négatives pour MEVE et herpès. Dr. X rediscute avec le neurologue à Fribourg qui demande une IRM cérébrale lundi 11.06. La patiente viendra pour l'IRM et contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires le 11.06.2018. Nous faisons le bilan avec le patient. L'examen clinique montre un conflit mécanique au niveau talo-fibulaire à gauche avec de fortes douleurs en pronation. L'IRM de septembre 2017 ne montre pas beaucoup d'œdème au niveau de l'exostose du talus latéral. Nous lui proposons de refaire une infiltration avec des injections uniquement anesthésiantes. Nous le reverrons suite à ce geste. Nous faisons l'extraction de la tique et désinfectons à l'Hibidil. La patiente rentre à domicile avec des consignes de surveillance de l'érythème au niveau de la morsure. Elle désinfectera tous les jours et consultera son médecin traitant si besoin. Nous faisons un ECG qui est dans la norme. Nous rassurons le patient et nous le laissons rentrer à la maison. Nous expliquons les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation aux urgences. Nous faisons un ECG qui revient avec une bradycardie sinusale. Le laboratoire revient aligné. À la réévaluation, la patiente présente des céphalées résiduelles, sans sensation d'engourdissement au membre supérieur droit. On fait une surveillance aux urgences qui montre une tension artérielle maximale à 160/94 mmHg. Après discussion avec Dr. X, la patiente rentre à domicile avec indication de faire un contrôle chez son médecin traitant la semaine prochaine, avec les résultats des examens qu'elle a fait aujourd'hui. Nous faisons un laboratoire avec des tests hépatiques et pancréatiques qui revient aligné. Nous introduisons un IPP pendant 3 semaines et préconisons un contrôle chez le médecin traitant pour voir le besoin de demander une endoscopie. Nous faisons un laboratoire qui est dans la norme hormis une leucocytose (probablement de stress). Nous prenons l'avis de Dr. X qui passe voir la patiente et nous la transférons à Marsens sous PAFA. Une lithémie est en cours. Nous n'avons pas réussi à contacter la curatelle. Nous faisons un laboratoire qui met en évidence une hypokaliémie légère à 3.4 mmol/l, dans le contexte de vomissements, pour laquelle nous donnons 1 potassium effervette aux urgences. Au vu d'une tachycardie à l'arrivée, nous faisons un ECG qui revient en rythme sinusal, avec une fréquence à 89 bpm, sans prolongement du QT, qui est calculé à 350 ms. Nous faisons une hydratation avec 1000 NaCl sur 3 heures et donnons du Primpéran 10 mg iv à la patiente. Pendant la surveillance aux urgences, la patiente dort, sans nouvel épisode de vomissement, reste hémodynamiquement stable. Elle rentre à domicile accompagnée par un ami. Nous faisons un laboratoire qui montre un léger syndrome inflammatoire avec leucocytose à 12 G/l, sans CRP, sans perturbation des tests pancréatiques. Le sédiment urinaire revient normal. La radiographie du thorax revient dans la norme sans surélévation des coupoles diaphragmatiques, la radiographie de l'abdomen montre une collection au niveau de l'hypochondre droit. Nous donnons de la Morphine 4 x 2 mg iv et du Primperan aux urgences avec amélioration des douleurs. Selon avis du Dr. X, chirurgien, nous hospitalisons le patient en chirurgie pour gestion d'antalgie et investigations - endoscopie à rediscuter. Nous faisons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 18 mg/L et leucocytes dans la norme. Le test de grossesse est négatif. Nous avons pris l'avis du Dr. X, chirurgien, qui passe voir la patiente. La patiente rentre à domicile avec un rendez-vous demain à 6h pour un contrôle clinique et biologique. Nous faisons un laboratoire qui revient sans syndrome inflammatoire, ni perturbation des tests hépatiques. La patiente est indiquée de prendre son antalgie en réserve, si besoin, et de revenir si elle a de la fièvre. Elle sera revue à la consultation de Dr. X à 9h, selon avis de Dr. X, une fois qu'elle est rassurée. Nous faisons une désinfection locale, suivie d'un pansement avec Ialugel et Jelonet. Le patient est à jour avec ses vaccins, raison pour laquelle un rappel anti-tétanique n'est pas nécessaire. Un traitement anti-inflammatoire et antalgique de palier 1 en réserve est instauré. Monsieur Y sera revu le lendemain en policlinique de chirurgie pour évaluer l'évolution (l'information de contact lui a été donnée et il appellera à la première heure). Un arrêt de travail est accordé pour 5 jours, à réévaluer lors de la prochaine consultation. Au vu de l'absence de critères de gravité, Monsieur Y regagne son domicile et est avisé de se représenter en cas de survenue de nouveaux symptômes. Nous faisons une radiographie de la cheville gauche que nous avons complétée avec la radiographie de l'avant-pied gauche. Selon l'avis du Dr. X, orthopédiste, il s'agit d'une suspicion de fracture in situ naviculaire tarsien gauche. Le patient a reçu une attelle postérieure plâtrée à 90°. Nous faisons une radiographie de contrôle post-plâtre qui revient à la norme. Le patient rentre à domicile avec une ordonnance pour une antalgie et une anticoagulation par Clexane pour 6 semaines. Il repart également avec un certificat médical. Il ira en rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle le 06.07 à 15h30. Nous faisons une radiographie de thorax qui revient dans la norme. Le laboratoire avec les tests hépatiques revient normal. Nous introduisons une antalgie avec Irfen en réserve. Nous faisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une contusion du coude et mettons en place une antalgie simple. Nous expliquons les signes et symptômes à surveiller et le risque de bursite post-traumatique. Nous faisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous retenons le diagnostic d'une entorse du ligament latéral externe gauche stade II et mettons en place un Aircast et marchons selon les douleurs. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Nous gardons Isak en surveillance neurologique suite à l'identification clinique d'un hématome pariétal droit. Le lendemain, un US puis un scanner cérébral sont réalisés, mettant en évidence une fracture pariétale droite non déplacée, avec un minime hématome sous-dural ainsi qu'un hématome sous-galéal. Il est difficile d'estimer sur la base des images le timing de la chute, qui pourrait même être survenue il y a 1 à 2 semaines. La surveillance neurologique est normale. Le bilan phosphocalcique et la vitamine D sont en ordre. Nous n'avons pas d'éléments pour suspecter une maltraitance : il n'y a pas d'autres lésions cutanées ou squelettiques cliniquement identifiées et la fracture et les hématomes intra- et extra-crâniens associés semblent compatibles avec une chute sur un sol dur (béton à la maison) au cours du jeu, Isak ayant assez de force et étant très actif. La mère et le père paraissent adéquats et ils ont tous deux une bonne relation avec Isak. Dans ce cadre, et au vu du fait qu'il s'agit du premier épisode de lésions chez Isak, nous renonçons à un bilan complémentaire de maltraitance, la situation a également été discutée avec le Dr. X. Concernant la fracture pariétale non déplacée, nous ne préconisons pas de prise en charge particulière. Nous gardons la patiente hospitalisée pour surveillance, sous couverture antibiotique par Augmentin 1.2 gr 3x/jour. Nous instaurons également un traitement de Cyklokapron 500 mg 3x/j IV. La patiente reprend un régime lisse froid sans récidive de saignement dès le 17.06. Au vu de la bonne évolution, elle rentre à domicile le 18.06. Nous demandons à la patiente de rester calme et de poursuivre un régime lisse froid. Nous hospitalisons la petite Charlotte pour investigations d'un ictère prolongé à hyperbilirubinémie non conjuguée. Nous réalisons un test d'alimentation artificielle exclusive durant 72 heures avec suivi quotidien de la bilirubine, qui est à la baisse. Nous concluons par conséquent à un ictère au lait maternel et ne réalisons pas d'investigations complémentaires. À la sortie, l'allaitement maternel peut être repris. Une mycose orale objectivée à la sortie sera à traiter par Multilind jusqu'à 48 heures après la disparition des symptômes. Nous hospitalisons le patient pour traitement antivertigineux par Tanganil 500 mg IV 3x/jour et antinauséeux par Primperan 10 mg IV 3x/j en R. L'évolution est rapidement favorable. Le patient ne présente plus aucun vertige ni nystagmus le 25.05.2018. Il peut donc rentrer à domicile. Nous hospitalisons Lucas pour surveillance neurologique dans le cadre d'une crise épileptique généralisée inaugurale non fébrile, qui est sans particularités. Un bilan comprenant un ionogramme complet revient dans la norme. Nous n'objectivons pas de récidive de crise sur environ 21 heures d'observation. À la sortie, nous communiquons à la mère de reconsulter les urgences dans le cas de récidive dans les prochaines heures. Une prescription de Diazépam intrarectal 5 mg en réserve en cas de récidive de crise épileptique durant plus de 5 min est remise également, médicament à chercher ce matin à la pharmacie. Dans ce contexte, nous proposons au pédiatre traitant de prévoir un EEG et ensuite une consultation neuro-pédiatrique chez le Dr. X. Nous hospitalisons Mme. Thoeny pour traitement symptomatique antinauséeux et antivertigineux avec du Primperan 10 mg IV et Tanganil IV. Nous poursuivons également le traitement de Prednisone cpr 50 mg 1x/jour pour 5 jours. Mme. Thoeny bénéficie également de séances de physiothérapie de mobilisation. L'évolution est rapidement favorable avec diminution des vertiges. La patiente pouvant se mobiliser sans aide rentre à domicile le 27.05.2018. Nous lui demandons de se mobiliser le plus possible à domicile. Nous hydratons la patiente par 1 litre de NaCl 0.9% aux urgences et administrons 40 mmol de KCl IV sur 2 heures. Nous hydratons le patient par NaCl IV. Nous prenons l'avis du Dr. X, chirurgien, et nous mettons du Ialugel sur les brûlures du corps et de la crème Bépanthène sur le visage. Étant donné qu'à cette heure de la nuit, nous ne pouvons pas prendre de rendez-vous en policlinique de chirurgie, le patient viendra à la filière des urgences ambulatoires le 28.06.2018. Nous immobilisons le doigt avec une attelle STAX, prescrivons une antalgie et un arrêt de sport. Le patient verra son médecin traitant dans une semaine pour un contrôle clinique. L'attelle pourra être enlevée au bout d'une semaine. Nous conseillons à la mère d'appliquer de la glace au niveau du doigt et de surveiller la coloration du doigt régulièrement. Nous informons Madame Pugin que si ces douleurs devaient persister, la solution pourrait être une refixation de la corne postérieure du ménisque externe pour en assurer sa stabilité. Elle reprendra dès demain les activités de sa vie quotidienne. Elle reconsultera si persistance ou péjoration des douleurs devaient survenir. Nous introduisons un traitement fonctionnel. Prescription d'une attelle Velcro amovible BAB afin de faciliter la première semaine. Cette attelle doit être impérativement enlevée après 2 semaines. Ensuite, un traitement de physiothérapie sera initié. Un contrôle radio-clinique à 2 semaines est organisé à la consultation du Dr. X, chef de clinique (au vu de mon absence) le 04.07.2018. Nous introduisons un traitement per os, au vu d'une mauvaise évolution sous Pevaryl, ce qu'elle doit garder jusqu'à ce que les lésions disparaissent. Introduction de Xyzal le soir comme traitement symptomatique. Nous invitons le patient à aller faire un contrôle de plaie le 18.06.2018 chez le médecin traitant. Le patient prendra rendez-vous pour l'ablation des fils à J12. Nous laissons Emeline debout presque une demi-heure sans mise en évidence de l'apparition d'une coloration bleuâtre de la jambe gauche par rapport à la contre-latérale, au niveau du pied (dos du pied et derniers 3 orteils). Nous remarquons une coloration plus foncée-jaunâtre, due à la coloration avec la bétadine lors de la dernière réduction. Nous n'avons pas de signes pour une thrombose veineuse chez cette fillette d'ailleurs pas encore pubère. Notre collègue orthopédiste de garde (Pasquinelli) ne pose pas d'indication à des examens complémentaires. Nous laissons rentrer Emeline au domicile avec consigne de reconsulter en cas de réapparition des symptômes. La patiente et sa mère se plaignent aussi du fait qu'il n'y a pas eu de prescription d'attelle ou de chaussure pour la marche par les collègues orthopédistes de Riaz. Nous avons du mal à contacter les collègues orthopédistes de Riaz, qui nous donnent finalement leur accord pour la prescription d'une chaussure de Barouck. Nous laissons le soin au médecin traitant de réaliser un bilan laboratoire à sa consultation le 13.06.2018. Adaptation des diurétiques au poids. Nous laissons rentrer Tim à domicile avec traitement antibiotique par Pénicilline V 1 000 000 UI per os 2x/j durant 10 jours en plus que le traitement symptomatique. Nous laissons tomber les attelles et allons voir l'évolution spontanée. Nous conseillons à la maman de lui mettre les chaussures à l'envers. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lançons un laboratoire et réalisons un ECG (sinusal), puis appelons la Stroke Unit de l'HFR Fribourg (Dr. X) pour un avis, qui nous propose de transférer le patient aux urgences de Fribourg pour une évaluation. Départ à Fribourg en ambulance.Nous le laissons en position antalgique pour la radiographie de colonne. Nous demandons l'avis de Dr. X, qui nous propose si le radiologue a des doutes sur la radiologie de faire un CT cervical. Dr. X ne pouvant pas se prononcer sur les radios au vu de la position antalgique, nous réalisons un CT qui exclut des lésions osseuses et montre un alignement vertébral conservé. Nous mobilisons donc doucement le patient qui peut se mettre en position neutre, peut faire une flexion antérieure non complète de la nuque. La rotation à droite est impossible en raison de la douleur. Selon les conseils de Dr. X, le patient rentre à domicile avec une collerette rigide. Au vu d'une discussion en colloque qui suspecte une sub-luxation entre C1 et C2, nous discutons le 10.06.2018 avec Dr. X (Team Spine) qui a vu les examens et ne peut pas exclure une rotation fonctionnelle. Une collerette mousse est préconisée dans l'attente d'un avis de Dr. X qui propose une réduction fermée en milieu universitaire. Le petit patient est donc transféré à l'hôpital de l'enfance. Nous le voyons avec Dr. X qui a fait l'anesthésie. Pour lui, un effet toxique d'un médicament injecté n'est pas exclu. Pour le moment, il n'y a rien à faire à part observer la situation. Nous lui conseillons de mettre du froid autour de la jambe. Nous le reverrons lundi pour un contrôle clinique. Nous l'encourageons à effectuer des exercices quotidiennement. Nous prescrivons de la physiothérapie jusqu'au prochain contrôle prévu le 23.07.2018. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle. Nous lui avons donné une antalgie qui le soulage et nous l'avons gardé aux urgences pour une surveillance le matin. Il est totalement sans douleur et il regagne son domicile. Nous lui conseillons de porter des chaussures avec une semelle rigide ainsi qu'une rampe de déroulement. Nous verrons si cela apporte une amélioration, sinon nous discuterons d'une arthrodèse. Elle va essayer ces chaussures et se réannoncera chez nous si nécessaire. Nous lui conseillons de porter des semelles avec un appui rétro-capital. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de poursuivre la physiothérapie avec des exercices de renforcement. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de poursuivre les bains de Dakin ainsi que de laisser pousser les ongles. Concernant le genou, en l'absence d'épanchement, nous allons voir l'évolution. Il se réannoncera en cas de péjoration de la situation. Nous lui conseillons de rechercher un médecin traitant. Consulter un médecin traitant ou les urgences si persistance ou péjoration de ses symptômes. Nous lui donnons une attelle. Mobilisation en charge selon douleurs. Prescription de physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Nous lui expliquons le déroulement de l'intervention ainsi que les suites post-opératoires à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour retrouver de la mobilité et la force du bras G ainsi que des drainages lymphatiques pour diminuer la tuméfaction de la main. Il n'y a aucune suspicion d'infection. Avec une simple antalgie, le patient montre une bonne amélioration des douleurs au niveau de la face palmaire. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Si les douleurs de la face palmaire réapparaissent, il reprendra contact avec nous. Nous lui prescrivons des protections Epitact silicone pour l'hallux valgus. Nous la reverrons dans 1 mois pour voir l'évolution. Nous lui avons expliqué que la solution serait une correction d'hallux valgus en mini-invasif nécessitant un arrêt de travail pour 3 mois au minimum. Nous lui proposons de consulter son médecin traitant si persistance de ses douleurs chroniques afin d'avoir un suivi. Retour à Marsens dans son foyer. Nous lui proposons de poursuivre la physiothérapie. Nous lui conseillons de faire une nouvelle infiltration tibio-astragalienne. Il va voir l'évolution. Il souhaite également consulter un ostéopathe. Il nous recontactera si nécessaire. Nous lui proposons de poursuivre les ondes de choc ainsi que la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. Si la situation ne montre pas d'amélioration radiologique, nous organiserons un CT. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 31.07.2018. Nous lui proposons soit de refaire une infiltration comme en 2012, soit une cheilectomie de l'articulation sous-astragalienne. Elle souhaiterait plutôt une intervention. Elle va voir avec son employeur et nous recontactera. Nous lui remettons son attelle, et lui donnons un Dafalgan et un Brufen per os car le patient semble algique, puis le renvoyons à Marsens, en ambulance. Nous lui suggérons de porter une semelle rigide pour 2 semaines avec laquelle il peut marcher selon douleurs. Arrêt de travail pour 10 jours, puis il peut reprendre les activités. Nous ne fixons pas de rendez-vous d'office, mais nous restons à disposition en cas de nécessité. Nous maintenons le traitement conservateur, avec possibilité d'effectuer des mouvements pendulaires, ainsi qu'une abduction en passif et actif assisté jusqu'à 60°. Le gilet orthopédique peut être enlevé la journée au profit d'une bretelle, elle le gardera la nuit. Nous reverrons dans 3 semaines (à 6 semaines pour un contrôle radio-clinique). Nous maintenons le traitement conservateur. Il sera revu pour un contrôle clinique le 29.06.2018 pour discuter de la reprise du travail. Arrêt prolongé jusqu'à cette date. Nous maintenons le traitement fonctionnel. Elle peut effectuer ses activités de la vie quotidienne et ses activités sportives normalement. Elle reconsultera au mois d'août pour refaire le point sur la situation. D'ici là, nous restons à disposition. Nous maintenons le traitement physiothérapeutique et reverrons Mme. Y dans une année pour refaire le point. D'ici là, nous sommes évidemment disponibles pour d'éventuelles questions. Nous maintenons les séances de physiothérapie avec école du dos et stabilité posturale dans le but de créer un rebalancement rachidien qui déchargerait la sacro-iliaque G. Concernant le steppage, nous maintenons les séances de physiothérapie et prescrivons une attelle anti-steppage thermo-formée et adaptable à toutes les paires de chaussures. Prochain contrôle dans 6 mois. Nous maintenons les séances de physiothérapie. Nous reverrons le patient dans 3 mois (à 6 mois du traumatisme). Nous maintenons un traitement conservateur chez ce patient qui effectuera de la physiothérapie avec renforcement musculaire et proprioception. Il portera son orthèse pour une durée d'encore 2 semaines puis, il pourra progressivement s'en passer, respectant une mobilisation du genou dans l'axe. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous maintenons un traitement fonctionnel, la patiente reprendra ses activités de la vie quotidienne (elle est guide de moyenne montagne), la physiothérapie est stoppée selon souhait. Nous la reverrons dans 6 mois pour refaire le point. Nous majorons le traitement de physiothérapie avec des exercices à domicile tous les jours, en charge selon douleurs. Nous recommandons également la récupération des amplitudes articulaires et prescrivons des ondes de choc sur le foyer fracturaire. Nous maintenons l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 09.07, date de la prochaine consultation. Nous mettons en évidence la présence de 2 fils à l'intérieur de la croûte. Au vu de l'état cutané calme, nous les laissons en place en attendant que la croûte tombe et nous referons une tentative d'ablation de fils lors du prochain contrôle dans 1 mois. Prolongation de l'arrêt de travail pour 1 mois.Nous mettons en évidence la suspicion d'une lésion du tendon du muscle sous-scapulaire. Le patient est au bénéfice d'un pacemaker, nous organisons un CT scan et l'adressons à nos collègues du team membre supérieur. Nous mettons en évidence un névrome de Morton à D que nous proposons de traiter avec un appui rétro-capital qui sera confectionné par un orthopédiste. Concernant la cure d'hallux valgus, nous lui proposons la cure en mini-invasif. Elle accepte l'intervention et signe le formulaire de consentement après avoir été informée des risques et des bénéfices. Nous mettons en évidence un ongle incarné du bord latéral de l'orteil G. Une indication opératoire pour une cure d'ongle incarné selon Kocher est posée. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués à la maman qui signe le formulaire de consentement. Au vu du jeune âge de la patiente, nous proposons qu'elle bénéficie d'un contrôle en anesthésie pour une sédation légère. Nous mettons en évidence une péjoration de l'état sur le plan radiologique. Nous proposons que le jeune patient soit vu à une consultation spécialisée en chirurgie orthopédique pédiatrique. Nous prions le Dr. X de Inselspital de convoquer le patient pour suite de prise en charge. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous mettons en évidence une suspicion de lésion nerveuse du nerf radial et ulnaire, raison pour laquelle nous organisons un ENMG. Entre-temps, elle va mobiliser son coude en physiothérapie et en ergothérapie. Nous lui prescrivons un traitement anti-inflammatoire ainsi que du Lyrica pour calmer les douleurs nerveuses. Nous la reverrons suite à cet examen pour discuter des résultats. Concernant l'immobilisation, elle peut garder le plâtre BAB la nuit et une bretelle pour la journée avec une mobilisation libre sans charge. Nous mettons en place une attelle d'extension 5ème doigt main gauche et une attelle Jeans 0°. Nous faisons une injection de Clexane et la patiente marche avec l'aide de cannes anglaises. Elle sera revue dans une semaine à la policlinique d'orthopédie pour un contrôle radio-clinique. Nous mettons en place une attelle Velcro poignet droit devant la fracture Salter 2 du radius distal. Le père de la patiente refuse le plâtre car il dit qu'ils doivent partir au Kosovo et qu'il enlèvera le plâtre aussitôt. Il dit aussi qu'elle verra un médecin là-bas pour la suite de la prise en charge. Il ne souhaite pas de contrôle en policlinique. Nous prescrivons un traitement antalgique et un arrêt de sport. Après discussion avec le père le matin du 01.06.2018, il accepte finalement le plâtre et le suivi en policlinique. Contrôle radiographique post-plâtre : bon. Rendez-vous à la policlinique orthopédique dans une semaine. Nous mettons la sonde urinaire siliconée numéro 16 en place, laissons le patient sortir avec une proposition de soins à domicile avec surveillance de la température. Nous mettons le Vacoped à 10° de flexion plantaire pour 1 semaine. Poursuite du protocole selon le schéma de suture en mini-invasif. Nous la reverrons dans 2 semaines pour un contrôle de plaie. Nous mettons l'hépatosplénomégalie dans le contexte d'une virose (DD EBV, CMV). Au vu d'un état général rassurant, sans signe de déshydratation, elle ne bénéficie pas d'investigations supplémentaires et contrôle clinique à distance de l'infection. Amélioration de la fonction respiratoire après un train de Ventolin avec absence de sibilance et meilleure entrée d'air. Nous mettons un terme à la thérapie, la légère dysesthésie qu'il présente du côté gauche va s'améliorer progressivement. Si ceci ne devait pas être le cas, le patient reprendrait contact avec notre service. Nous n'arrivons pas à expliquer l'étiologie des douleurs, raison pour laquelle nous organisons une IRM du pied et de la cheville D. Le patient peut charger selon douleur sur protection de 2 cannes. Prochain contrôle clinique après l'IRM. Nous n'avons donc pas trouvé de cause neurologique aux douleurs décrites par le patient, bien que celles-ci soient un peu atypiques pour une pathologie du grand trochanter ou des abducteurs (douleurs irradiant jusqu'au bord latéral du pied droit). Nous doutons qu'une nouvelle opération puisse régler la problématique douloureuse et prescrivons donc de la physiothérapie pour le stretching du fascia lata, du grand fessier, des ischio-jambiers et du quadriceps avec tonification du moyen fessier. Pour ce qui est de la pseudarthrose du grand trochanter, nous ne retenons actuellement pas d'indication chirurgicale pour l'instant et prévoyons de réévaluer la situation à distance avec le patient. Nous referons donc le point après les séances de physiothérapie. Nous n'avons pas d'arguments évoquant un passage de calcul au niveau biliaire et rénal. Dans ce contexte, le diagnostic le plus probable reste la constipation ou alors des douleurs pariétales. Il pourrait également s'agir de douleurs irradiant depuis le dos pour lesquelles une IRM est déjà prévue en ambulatoire le 05.06.2018. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente de poursuivre le suivi chez son médecin traitant. Nous n'avons pas d'indications pour une hospitalisation. La maman s'organise pour que le père puisse garder l'enfant durant la nuit et une voisine durant la journée de demain (quand le père sera au travail). Nous laissons donc rentrer le petit Luis à la maison avec son papa. Nous ne fixons pas de rendez-vous d'office, mais nous restons à disposition pour un contrôle ou pour planifier l'AMO complète. Nous ne prévoyons pas de contrôles d'office. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Si la patiente est gênée par cette consolidation en position de léger hallux valgus intra-phalangeus et qu'elle souhaite faire une correction chirurgicale, nous proposerons de faire un CT scan pour confirmer la consolidation de la fracture avant de décider de pratiquer un geste chirurgical. Nous ne réalisons pas de bilan radiographique car corps étranger en bois. Après désinfection et anesthésie locale au bicarbonate et lidocaïne, nous enlevons une écharde de 1 cm de longueur. Nous lavons abondamment au sérum physiologique et laissons ouvert. Nous faisons ensuite un pansement par Tulle bétadine. La patiente refuse l'attelle SPLINTPOD et la chaussure de Barouk. Elle dit qu'elle arrive à marcher sans poser l'avant-pied. Patiente informée des risques. Nous faisons une injection de 2.2 g de Co-Amoxicilline IV. La patiente rentre ensuite à domicile et sera revue à la policlinique le 01.06.2018 pour un contrôle clinique. Nous ne réalisons pas de radiographie du genou car la patiente est non algique et les mobilités du genou gauche sont normales sans douleur. La patiente rentre à domicile avec feuille de surveillance post-traumatisme crânien remise à son mari. Elle reverra son médecin traitant lundi 04.06 pour un contrôle clinique et pour organiser une IRM du rachis cervical, pour éliminer une hernie discale. On prescrit un traitement par Lyrica et des patchs de Flector. Nous ne refaisons pas de bilan sanguin vu que le médecin traitant en a déjà réalisé un le matin même. Nous prélevons des hémocultures. Le sédiment urinaire retrouve 6-10 leucocytes par champ et nous lançons une culture d'urine. Nous hydratons le patient avec du NaCl 0.9 % et lui administrons du paracétamol 1 g avec une dose de Ceftriaxone 2 g en intraveineuse. Le bladder-scan retrouve 20 mL d'urine dans la vessie.Nous suspectons une infection urinaire basse compliquée ou une prostatite. Le patient ne souhaitant pas être hospitalisé, nous prévoyons un suivi ambulatoire en filière des urgences ambulatoires avec un contrôle clinico-biologique et une 2ème dose de Ceftriaxone le 23.06.2018, et une 3ème dose le 24.06.2018. Nous proposons également au patient d'effectuer un contrôle chez son urologue dans les prochains jours à la recherche d'un facteur favorisant. Nous informons le patient de reconsulter les urgences en cas de péjoration clinique entre temps. Nous ne refaisons pas de laboratoire. Nous demandons un avis auprès du Dr. X qui, compte tenu de l'anamnèse évoquant des douleurs présentes depuis plusieurs jours, et le laboratoire sans anomalie, nous proposons à la patiente de réaliser un ultrason abdominal le lendemain matin à 08h00. Nous laissons par la suite rentrer la patiente à domicile avec un traitement antalgique, et l'invitons à recontrôler aux urgences en cas de péjoration clinique. Nous ne refaisons pas le vaccin anti-T durant la consultation, la patiente étant déjà repartie. Nous lui proposons d'en parler aux infirmières du CMS pour organiser une administration de dose à domicile ou alors de consulter en début de semaine son médecin traitant. Nous ne retrouvons pas de corps étranger mais, par contre, nous retrouvons des séquelles de plaie avec un tissu de granulation au niveau de la face intérieure de la paupière supérieure au niveau médial. Après l'examen clinique, nous effectuons le test à la fluorescéine qui ne montre pas de lésion cornéale. Nous donnons de la vitamine A et nous effectuons un abondant rinçage au NaCl, nous mettons en place également un pansement occlusif à l'œil droit. Nous recommandons au patient de consulter les ophtalmologues de l'HFR Fribourg le 29.06.18. Nous ne suspectons pas de névrome de Morton chez cette patiente. Elle dit être confortable avec ses semelles de soutien de la voûte plantaire. Nous proposons de poursuivre avec ce traitement. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous notons ce jour une amélioration clinico-biologique et radiographique. Le patient rentre à domicile et consultera son médecin traitant lundi 18.06.2018 pour un contrôle clinique. Nous notons que la radiographie pouvait évoquer une fracture du plateau tibial à la relecture des images. Le 11.06.2018, le patient est rappelé à la maison. Il mentionne ne plus avoir de douleur, marche normalement. Après la discussion, nous n'effectuons pas de CT pour rechercher une éventuelle fracture (en accord avec la Dr. X). Il reconsultera s'il présente à nouveau des douleurs. Nous organisons la cure de l'hallux valgus à gauche en mini invasif pour le 17.7.2018. La patiente est informée du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices, et un formulaire de consentement est rempli et signé. Nous organisons un CT pour évaluer la guérison et nous déciderons si nous faisons une AMO précoce. Nous le reverrons suite à cet examen. Nous organisons un scanner afin de voir s'il y a un bec osseux qui crée un impingement au niveau du talus pouvant expliquer les douleurs de la patiente. Prochain contrôle clinique après scanner dans 1 semaine. En cas d'absence de lésion osseuse, nous proposerons à la patiente une infiltration loco-dolenti antéro-latérale de la cheville. Nous organisons un scanner pour voir la situation au niveau de l'articulation sous-astragalienne. Contrôle après le scanner pour discuter des résultats. Nous organisons un ultrason pour confirmer le diagnostic et afin de visualiser s'il y a une lésion de Steiner. Nous prescrivons à la patiente une nouvelle attelle thermo-formée avec syndactylie, qui sera confectionnée en ergothérapie. Prochain contrôle clinique après l'ultrason. Nous organisons une infiltration foraminale C6-C7 G puis reverrons le patient dans 6 semaines. Nous discuterons également à ce moment-là d'une éventuelle prise en charge chirurgicale du canal lombaire étroit. Nous organisons une intervention en ambulatoire à l'hôpital de Tavel avec refixation du ligament collatéral ulnaire. Le patient signe le consentement éclairé. Nous organisons une IRM afin d'exclure une fracture au niveau du scaphoïde. Nous re-discuterons de la suite de la prise en charge lors du prochain contrôle pour les résultats de l'IRM. Jusque-là, immobilisation dans un plâtre scaphoïde fendu. Nous organisons une IRM de la cheville afin de bilanter la syndesmose et le ligament collatéral surtout latéral. Elle présente une sévère instabilité de la cheville avec des entorses en supination à répétition. Nous discutons des diverses options thérapeutiques soit une stabilisation externe avec une attelle Vacotalo ainsi que de la physiothérapie, soit d'une prise en charge chirurgicale pour stabiliser l'articulation. Nous la reverrons suite à l'examen. Nous organisons une IRM du pied afin de mieux bilanter la situation au niveau du TMT 5 et des péronés. Prochain contrôle clinique après l'IRM. Nous organisons une IRM en raison d'une suspicion de lésion partielle du long chef du biceps. Prochain contrôle clinique après l'IRM. Nous pensons à une légère fasciite plantaire au niveau du pied G, raison pour laquelle, nous expliquons au patient les exercices d'étirement à effectuer quotidiennement. Il ne souhaite pas de séances de physiothérapie, car il aimerait passer plus de temps avec son enfant. Prochain contrôle radio-clinique (jambe D et cheville G) à 1 an post-opératoire. Nous discuterons à ce moment-là de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse du pied G. Nous pensons que les douleurs du genou sont dues à une dysbalance entre les chaînes postérieures et antérieures. Ce jour, la patiente étant complètement asymptomatique, nous ne proposons pas de mesure particulière. Elle nous recontactera dans le cas où les douleurs réapparaîtraient et nous prescririons des exercices physiothérapeutiques de balancement au moyen de la machine Biodex. Nous pensons qu'il s'agit d'une lombosciatalgie. Nous lui prescrivons des anti-inflammatoires ainsi qu'un myorelaxant et de la physiothérapie. Nous la reverrons dans 3 semaines pour voir l'évolution. Nous posons donc une indication de prise en charge chirurgicale pour une cure d'ongle incarné selon Kocher dans le cadre d'une récidive. Nous expliquons à la patiente et à sa mère le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, que la mère accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'intervention est agendée pour le 20.07.2018. Nous posons le diagnostic d'entorse simple de la cheville G. L'évolution clinique est favorable avec un patient qui a récupéré une mobilité libre et qui est asymptomatique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous posons l'indication opératoire pour une cure d'orteils en marteau selon PIP Tree des orteils 2-3 du pied D. Les risques et les bénéfices de l'intervention sont expliqués à la patiente à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. En cas d'apparition d'une symptomatologie du pied G, nous discuterons d'une éventuelle prise en charge. Nous posons une suspicion pour une lésion au niveau du LCA subie avec probables lésions additionnelles au niveau du ménisque nécessitant une investigation approfondie par genou gauche. Jusque-là, la patiente peut profiter également de séances de physiothérapie avec renforcement musculaire dans l'axe. Nous reverrons la patiente pour discuter des résultats de l'IRM. Nous poursuivons le traitement avec la chevillère et nous lui faisons une surélévation du bord externe du pied droit.Contrôle clinique dans deux mois. Nous poursuivons le traitement conservateur avec une immobilisation pour 8 semaines dans une botte plâtrée avec une marche en touch down de 15 kg. Poursuite de la Clexane. Nous la reverrons à Meyriez pour un contrôle radioclinique avec des radiographies en charge. Nous lui expliquons que la reprise de toute la mobilité sans douleur va prendre 3 à 6 mois. Nous pouvons soit continuer avec un traitement conservateur avec attelle et mobilisation en ergothérapie, soit réaliser une cure de doigt à ressaut. Les 2 options sont discutées avec la maman de la patiente. Vu que Mme. Y est absolument asymptomatique, elle désire pour le moment ne pas se faire opérer. Nous la reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. Nous préconisons à la patiente de cesser la physiothérapie et d'exercer plutôt des activités physiques (aquagym) par elle-même ; elle travaillera le flexum ainsi que la mobilité de son genou et la reprise d'une charge progressive. Nous la reverrons d'ici la fin de l'été (septembre) pour discuter de l'évolution. Nous préconisons le maintien de la physiothérapie (proprioception, renforcement musculaire, séances d'ultrasonographie). Contrôle à une année de l'accident pour un dernier contrôle. Nous préconisons un maximum d'exercices, à savoir du vélo d'appartement et du renforcement dans l'axe. Nous la reverrons dans une année pour discuter d'une éventuelle évolution. D'ici-là, nous restons évidemment à disposition pour d'éventuelles questions. Nous préconisons un traitement avec anti-allergique pendant 7 jours et contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Nous préconisons une attelle syndactylie des 4ème et 5ème orteils. La patiente arrive à marcher avec diminution des douleurs. Arrêt de sport 2 semaines. Prescription antalgique. Contrôle clinique dans 2 semaines chez le pédiatre. Nous préconisons une protection de la brûlure avec des pansements et de la Bepanthen plus pendant 5 jours. Le patient fera lui-même à la maison les prochains pansements, à refaire tous les matins. Nous proposons au patient d'aller contrôler sa brûlure le 22.06.2018 chez son médecin traitant. Vu que le patient travaille sur les chantiers avec port de bottes de protection, un certificat médical jusqu'au 23.06.2018 lui est fourni (25 car il ne travaille pas le week-end). Nous prélevons une formule sanguine simple qui ne montre pas d'anémie. Nous délivrons également un arrêt de travail pour le 16.06.2018. Nous laissons rentrer la patiente à domicile et un rendez-vous est agendé chez son médecin traitant le mardi 19.06.2018 pour surveillance et si persistance de la symptomatologie. Nous prenons l'avis du Dr. X, gynécologue de garde, qui demande d'éliminer une pathologie digestive en premier (appendicite). Nous demandons ensuite l'avis du Dr. X, chirurgien de garde, qui ne trouve pas d'appendicite clinique et conseille que la patiente soit réévaluée en urgence par les gynécologues. La patiente est donc transférée en ambulance en gynécologie à l'HFR Fribourg. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X qui évoque un possible hématome de la paroi, avec un diagnostic différentiel de lithiase rénale. Un CT-scan abdominal natif est demandé, mais l'imagerie ne retrouve pas d'hématome, de liquide libre dans la cavité péritonéale, ni de signes d'hydronéphrose. Nous répétons un bilan biologique, qui confirme l'absence de syndrome inflammatoire et ne montre pas de perturbation des tests hépatiques. Le sédiment urinaire identifie une légère leucocyturie, sans autre élément pathologique. Devant l'absence de critères de gravité imposant une suite de prise en charge en milieu hospitalier, Mme. Y quitte notre service, retour à domicile avec un contrôle agendé pour le lendemain pour suivre l'évolution clinique. Un traitement à visée antalgique est instauré et la patiente est avisée de reconsulter en cas d'aggravation ou d'apparition de nouveaux symptômes. Nous prenons avis auprès de la Dresse X, pédiatre de garde, qui demande d'administrer de l'Algifor à raison de 10 mg/kg (400 mg pour un poids supérieur à 40 kg). Vu l'absence de signe de gravité, elle recommande un transport en voiture privée pour effectuer un contrôle neurologique aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg. Nous demandons à la mère avec une certaine insistance d'aller consulter avec son fils aux urgences pédiatriques à Fribourg pour effectuer ce contrôle au vu d'un diagnostic pas clair, même s'il y a absence de signe de gravité. Toutefois, la mère nous avertit qu'elle aurait encore des choses à faire cet après-midi puis elle demande à l'enfant s'il a encore mal et s'il souhaite aller à Fribourg. L'enfant confirme alors la présence de céphalées persistantes, mais il ne souhaite pas aller aux urgences à Fribourg. La mère nous avertit alors qu'elle accepte l'administration d'Algifor à son fils, mais qu'elle rentrera à domicile avec puis elle prévoit de l'amener aux urgences pédiatriques seulement en cas où l'Algifor ne ferait pas assez d'effet ou en cas d'autre signe alertant. À sa sortie, nous administrons 400 mg d'Ibuprofène per os puis nous avertissons la pédiatre de garde que la mère ne consultera avec l'enfant qu'en cas de persistance ou d'aggravation des céphalées. Nous prenons avis auprès de la Dresse X, pédiatre de garde. Vu l'absence de critères de gravité chez ce bébé qui présente une absence de selles depuis 5 jours mais qui continue à s'alimenter normalement, nous concluons à une constipation pour laquelle la Dresse X recommande un traitement par Bulboïd et propose un retour à domicile. Nous informons les deux parents de veiller à une alimentation appropriée par rapport à l'âge de l'enfant et par rapport à l'administration du Bulboïd. Ils sont avertis d'aller consulter sans délai auprès des urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg en cas d'apparition de signes de gravité (refus alimentaire, vomissements, douleurs abdominales, pleurs) et dans tous les cas de consulter le pédiatre traitant en début de semaine prochaine. Nous prenons avis avec la neurologue de garde, la Dresse X de l'HFR Fribourg, qui demande un transfert à l'hôpital de l'Ile ou au CHUV en urgence, pour effectuer une IRM afin d'écarter une thrombose des sinus ou une ischémie cérébrale ou une hémorragie. Nous avisons le neuroradiologue de garde et le neurologue de garde de l'hôpital de l'Ile. La patiente est transférée en urgence par ambulance avec les feux. Un laboratoire avec le bilan de routine de médecine et une protéinurie et albuminurie sont en cours. Nous prenons avis chez le Dr. X, ORL de garde qui recommande de rincer le conduit auditif gauche avec une aiguille boutonnée et une seringue de 20 ml. Avec cette procédure, une coccinelle jaune-noire sort immédiatement en entier et vivante. L'enfant est soulagé et nous autorisons le retour à domicile. Nous prenons avis du Dr. X, qui après examen du patient et au vu de la cinétique, propose un CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal. Ce dernier montre uniquement la présence de corps étrangers dans la plaie fronto-temporale, sans autre lésion. En raison de la présence d'artefacts au niveau de la rate et du foie, nous complétons par un US qui est rassurant. Le laboratoire est aligné, y compris les tests hépatiques, l'hémoglobine est à 139 g/l. Les radios des avants-bras et coude droit ne montrent pas de fracture. Au sujet du statut vaccinal, la maman vérifie la vaccination du tétanos et nous vous proposons de le vérifier avec elle à son arrivée. Le Dr. X prend donc contact avec le Dr. X de Fribourg pour organiser la suture de la plaie temporo-frontale sous AG, avec ensuite la proposition d'une hospitalisation pour surveillance neurologique.Nous transférons donc le patient aux urgences de Fribourg. Nous prenons contact avec le psychiatre de garde qui, après l'avoir vu, préconise une réhospitalisation à Marsens, en mode volontaire, après discussion avec le patient. Nous prenons contact avec le psychiatre de liaison, Dr. X, qui s'entretient avec la patiente et la fille aînée. Après discussion, la patiente accepte une hospitalisation à Marsens en mode volontaire, et est emmenée à Marsens par sa fille aînée et une amie de celle-ci qui l'accompagne. Nous prenons l'avis du gynécologue de garde : pas de risque de grossesse extra-utérine, pas de douleur ni de métrorragie. Consultation gynécologique le 26.06.2018 à 13h15 pour organiser l'interruption volontaire de grossesse. Nous prenons un avis auprès de notre service de liaison, qui conseille de réorienter la patiente à l'assurance sociale ou vers l'assistante sociale de l'AI. Nous demandons un consilium psychiatrique après Dr. X, qui ne pose pas d'indication à une hospitalisation à Marsens d'emblée, et prend contact avec le CSSM. L'assistante sociale Mme. Y est contactée, et verra la patiente le 19.06.2018, en attendant sa demande d'annulation d'assurance sociale sera annulée. Durant le séjour aux urgences, la patiente fait une nouvelle crise d'hyperventilation, avec main de l'accoucheur, résolue par l'administration d'un comprimé de Temesta. La patiente rentre à domicile avec deux comprimés de Temesta en réserve. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X, qui conclut à une probable contusion cervicale antérieure et propose un contrôle chez le médecin traitant dans 2 jours. La radiographie du genou ne montre pas de fracture et nous concluons à une probable contusion osseuse de la rotule. La patiente ne souhaite pas d'antalgie, car ses douleurs se sont améliorées spontanément depuis son arrivée aux urgences. Elle prendra rendez-vous pour un contrôle à 48 heures chez son médecin traitant. Nous lui conseillons de reconsulter aux urgences en cas d'apparition de dyspnée, dysphagie, ou tout autre symptôme inquiétant. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X, qui ne retient pas d'indication à un scanner cérébral et qui examine également les plaies. Après la désinfection à l'Ibidil et le rinçage au NaCl 0,9%, nous suturons les plaies à l'Ethylon 5.0, et posons des pansements. Le patient rentre à domicile avec une antalgie en réserve et de l'Ibidil pour désinfection. Il sera revu en contrôle de plaie en policlinique de chirurgie le 26.06.2018. Les fils seront retirés à la filière des urgences ambulatoires à 7 jours, le patient n'ayant pas de médecin traitant. Nous lui conseillons de reconsulter en cas d'apparition de céphalées, troubles visuels, déficits sensitivo-moteurs ou autres symptômes neurologiques. Nous prenons un avis ophtalmologique auprès de l'ophtalmologue de garde de Fribourg, qui suspecte un corps étranger intra-oculaire et demande que le patient se déplace au plus vite par ses propres moyens aux urgences de l'hôpital cantonal afin d'être vu par un ophtalmologue. Nous prenons un avis orthopédique auprès des Dr. X et X, qui posent une indication chirurgicale. La patiente sera opérée en ambulatoire avec stabilisation de l'articulation acromio-claviculaire gauche le 15.06.2018 à 12h30 par Dr. X, et la consultation pré-anesthésique est effectuée aux urgences ainsi que le consentement opératoire et la réservation d'un lit à l'hôpital de jour. La patiente rentre à domicile avec un gilet orthopédique pour l'antalgie et une antalgie en réserve. Elle restera à jeûn dès minuit le 15.06.2018. Nous prenons un avis orthopédique auprès du Dr. X, et mettons en place une bande élastique, avec un traitement anti-inflammatoire et antalgique à domicile, l'hématobourse se résorbera d'elle-même. Sur avis de Dr. X, de médecine interne, nous ne dosons pas les D-dimères, au vu de la clinique peu compatible avec une thrombose veineuse profonde chez un patient par ailleurs sous Xarelto. Nous pensons plutôt à un œdème en péjoration dans un contexte de stase veineuse exacerbée par une probable diminution de l'utilisation du membre inférieur gauche dans les jours suivant le traumatisme. Il sera revu en contrôle clinique et biologique lundi 25.06.2018 au vu du léger syndrome inflammatoire biologique, afin d'exclure une dermo-hypodermite et de contrôler l'évolution de l'hématobourse. Nous prenons un avis orthopédique auprès du Dr. X. Nous explorons la plaie sous anesthésie locale à la Lidocaïne, et rinçons abondamment avec 1 litre de NaCl 0,9%. Le patient reçoit 1,2 g IV d'Augmentin aux urgences. Nous posons 6 points de suture à l'Ethylon 4.0, et mettons en place un pansement sec et une attelle Jean en flexion à 20°. Le patient rentre à son domicile de Brig avec une antibioprophylaxie par Augmentin pour 3 jours, de la Clexane prophylactique et une antalgie en réserve. Il sera revu à l'hôpital de Viège le 05.06.2018. Nous prenons un avis orthopédique qui pose l'indication à une immobilisation au vu d'une marche impossible, par mise en place de botte plâtrée ouverte. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie avec mobilisation, étirements plantaires. Poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Contrôle dans deux mois. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie pour allonger la chaîne postérieure avec onde de choc. Nous lui prescrivons également des anti-inflammatoires (Indocid 75 mg 2x/j pour 14 jours). La patiente prendra contact avec le secrétariat du Dr. X afin de savoir si cette substance est autorisée en concomitance avec la prise de Stelara. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie pour la fasciite plantaire avec étirement plantaire. Nous lui prescrivons également une attelle plantaire avec dorsale shift, qu'elle portera durant la nuit. En parallèle, nous lui prescrivons aussi un bon de physiothérapie pour des exercices cardio-vasculaires au vu de son diabète de type IV. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous prescrivons à la patiente une bottine plâtrée afin d'immobiliser la cheville et tout le système tendineux. Nous prions Dr. X du service d'anesthésiologie de convoquer la patiente afin de planifier des infiltrations au niveau de la gaine des tendons péroniers sous contrôle échographique. La patiente sera revue à notre service après les infiltrations. Nous prescrivons à la patiente une semelle rigide pour le pied D ainsi qu'une semelle de compensation pour le pied G. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie intensive avec ultrason, anti-inflammatoire et stretching. Nous conseillons au patient de reproduire les exercices appris à domicile. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous prescrivons de l'ergothérapie. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% avec reprise à 50% depuis le 23.07.2018 et à 100% le 06.08.2018. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous prescrivons de nouveau une série de séances de physiothérapie afin de continuer à renforcer l'épaule et prévoyons un contrôle définitif dans 3 mois. Nous prescrivons des séances de physiothérapie avec une école du dos. La patiente peut reprendre gentiment les activités sportives. Prochain contrôle clinique en septembre. Nous prescrivons des séances de physiothérapie pour tonification musculaire du membre inférieur gauche, ainsi qu'école du dos. Chez cette patiente qui ne peut plus effectuer l'activité exercée auparavant, nous prévoyons une reprise du travail à 100% à partir du 19.08.2018 pour une activité adaptée dans laquelle elle peut faire des changements réguliers de position sans faire de longues marches, ni porter des charges lourdes et sans rester longtemps en position debout ou assise. Nous la prions également de recontacter l'assurance invalidité et le chômage pour s'informer de l'évolution des démarches. Prochain contrôle radio-clinique à 2 ans postopératoires. Pour l'instant, il n'y a pas d'indication à l'ablation de la plaque du trochanter, on pourra en rediscuter lors de la prochaine consultation.Nous prescrivons un traitement antalgique et du repos. Le patient consultera son médecin traitant, le Dr X, dans une semaine si persistance des douleurs. Nous prescrivons un traitement par Co-Amoxicilline 1g matin et soir pendant 7 jours associé à un traitement symptomatique et un arrêt de travail de 2 jours. La patiente consultera son médecin traitant dans 2 jours pour un contrôle clinique. Nous prescrivons un traitement symptomatique ainsi qu'une éviction scolaire. Le patient pourra reprendre l'école dès lundi. Il consultera son médecin traitant si besoin dans 48 heures. Pour la mycose des ongles du pied droit, nous prescrivons du Loceryl vernis, puis le patient verra son médecin traitant pour suivre l'évolution. Nous prescrivons une antalgie en réserve à prendre lors des pics de douleurs et encourageons la patiente à poursuivre la physiothérapie. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. Nous prescrivons une antalgie en réserve. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique dans 1 semaine. Nous prévoyons un contrôle clinique ambulatoire demain aux urgences. Nous prévoyons un contrôle dans 6 mois avec un scanner pour voir l'état de la consolidation osseuse. Dans l'intervalle, nous re-prescrivons des séances de physiothérapie afin d'améliorer l'amplitude des mouvements de l'épaule. Nous prévoyons une AMO des 2 clous de Prevot. Nous expliquons au patient et à sa mère le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, que la mère accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'opération est agendée pour le 03.07.2018. Nous prions le Dr X du service d'antalgie, de convoquer le patient pour une cryothérapie en regard de la face médio-proximale du calcanéum. Prochain contrôle clinique après le traitement d'antalgie. Nous procédons à la désinfection, anesthésie en bague, rinçage et exploration de la plaie, puis d'une suture par 2 points d'Ethilon 4.0. Tétanos à jour. Ablation des fils à J12 chez son médecin traitant. Arrêt de travail donné pour ce jour car le patient travaille dans une boucherie. Pas d'antibiothérapie nécessaire car le couteau était propre. Nous procédons à la désinfection et au rinçage des plaies, qui ne sont pas à suturer en raison de la perte de substance. Nous mettons un pansement occlusif au niveau de l'index et du majeur, la patiente reviendra en policlinique d'orthopédie à J4 pour l'ablation des pansements. Nous procédons à la suture de la plaie comme décrit ci-dessus. La patiente ira contrôler la plaie à 48h et le pédiatre procédera à l'ablation des fils à J14. Nous procédons à la suture de la plaie. Le patient reconsultera si apparition de signes infectieux. Sa fille (médecin) fera un contrôle de la plaie à 48h et procédera à l'ablation des fils à 1 semaine. Nous procédons à l'ablation des broches, désinfectons la cicatrice et apposons dessus un pansement simple. Le patient sera revu dans 4 semaines pour un contrôle clinique. D'ici là, il maintiendra une activité modérée, évitant tout facteur de risque de nouveau choc sur le doigt. Nous procédons à l'ablation des fils, avec désinfection de la plaie et mise en place d'un pansement sec. Nous conseillons au patient d'éviter le contact avec l'eau pour encore 48 heures. Monsieur Y reprendra ses activités professionnelles à 100% dès le 25.06.2018. Devant la bonne évolution, nous mettons fin ce jour, 21.06.2018, au suivi en policlinique d'orthopédie. Nous procédons à l'extraction de la tique et à une désinfection de la zone. Après avoir donné des explications et rassuré le patient et son père, nous le libérons avec conseils de reconsulter en cas d'apparition de fièvre, frissons, érythème migrant. Nous procédons à une désinfection locale à la bétadine dermique + bétadine onguent + tulle bétadinée et pansement sec. Chaussure de décharge (Barouk) à but antalgique. Charge possible. Antalgie. Rendez-vous chez le médecin traitant dans deux jours pour contrôle de plaie et réfection pansement. Nous procédons au retrait des fils. La patiente sera revue par le Dr X le 13.07.2018. La patiente est toujours en arrêt d'activité professionnelle jusqu'à son prochain rendez-vous avec le Dr X, où la décision de reprise ou non du travail sera évoquée. Nous procédons au traitement de la plaie (désinfection, champage et exploration). La patiente refuse catégoriquement une anesthésie locale, ce qui ne permet qu'une exploration sommaire. Nous suturons par un point d'Ethilon 5-0 et mettons en place un pansement. Elle ira contrôler la plaie chez son médecin à 48h et à nouveau pour l'ablation des fils à 7 jours. Nous procédons au traitement des plaies comme cité ci-dessus. Le patient consultera son médecin traitant à 48h pour les plaies, contrôlera son statut vaccinal et le complétera le cas échéant, et procédera à l'ablation des fils à 7 jours. Nous procédons aux soins de plaie et au rappel antitétanique comme cité ci-dessus. La plaie n'est pas à suturer en raison de l'absence de possibilité de rapprocher les berges en raison de la perte de substance centrale. Le patient ira faire un contrôle de la plaie à la policlinique d'orthopédie le 11.06.2018. Nous procédons aux traitements des plaies comme décrit ci-dessus. En raison du caractère punctiforme des plaies, nous introduisons une antibiothérapie prophylactique adaptée au poids et à l'âge pour 5 jours. Le patient consultera son médecin traitant à 48h00 pour le contrôle des plaies. Nous procédons ce jour à l'ablation de la broche du radius distal. Désinfection avec Bétadine et confection d'un pansement avec Adaptic, compresses et bandage élastique. Adaptation du plâtre BAB pour un AB jusqu'à la confection d'une attelle AB amovible en ergothérapie à porter pour les 4 prochaines semaines. Poursuite de l'arrêt de sport. Physiothérapie et mobilisation du coude. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines. Nous procédons ce jour au changement de plâtre sous contrôle scopique avec gypsotomie au niveau proximal de la fracture côté latéral. Le contrôle radiologique montre un axe correct du tibia. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr X pour un contrôle radio-clinique hors plâtre dans 4 semaines. Nous prolongeons le certificat médical jusqu'au 08.06.2018. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Nous proposons à la patiente de commencer les séances de physiothérapie pour apprendre les transferts avec de l'aide et renforcement musculaire. Pour les œdèmes des membres inférieurs, la patiente peut porter des bas compressifs. Contrôle rx-clinique à une année de l'opération susmentionnée. Nous proposons à la patiente de reconsulter prochainement son médecin traitant pour contrôle de la fonction rénale, le traitement de Voltarène est mis en suspend au vu de l'origine pré-rénale de la fonction rénale et nous proposons à la patiente une hydratation orale abondante. Cet arrêt de traitement d'AINS est discuté avec le Dr X qui ne propose pas l'introduction d'un traitement avant la prochaine consultation. Nous proposons à la patiente des séances de physiothérapie afin de bénéficier de rééducation posturale ainsi que la pratique de la natation. Nous remarquons aussi cliniquement une légère différence de longueur entre les 2 MI avec un MI G 1 cm plus court. Nous prescrivons donc une semelle orthopédique compensatrice. Pas de prochain contrôle mais restons à disposition.Nous proposons à la patiente et à sa mère d'essayer des semelles rigides avec une légère augmentation du bord médial afin de mettre le pied en supination, ceci permettrait de corriger la différence entre les orteils et de corriger les pieds plats plano-valgus. La patiente devra porter les semelles régulièrement. Les options thérapeutiques sont limitées chez une patiente de 10 ans. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous proposons à la patiente un traitement antalgique et anti-inflammatoire ainsi que de la physiothérapie pour mobilisation douce et fango. Prochain contrôle dans 3 semaines avec les images IRM qu'elle n'a pas apportées ce jour pour planifier la suite. Nous proposons à la patiente un traitement conservateur d'une tendinite des péronés avec séances de physiothérapie d'étirement, de proprioception et d'ultrasonographie anti-inflammatoire. Nous modifions également la semelle prescrite pour mettre une semelle de soulagement des péronés en légère inversion. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous proposons au médecin traitant de voir le patient, estime qu'il n'a pas besoin de traitement et se sent bien. Pas d'auto ni d'hétéroagressivité, pas hallucination floride. Nous proposons au médecin traitant d'organiser un MAPA en ambulatoire. Nous proposons au patient de consulter le médecin traitant dans une semaine pour un suivi clinique. Il consultera en urgences si péjoration des symptômes. Nous proposons au patient de continuer le traitement conservateur par physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous proposons au patient de poursuivre le même protocole de pansement avec des gazes de Bétadine fait tous les 2 jours par les soins à domicile. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 1g 3 fois par jour. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. S'il y a une aggravation ou une rougeur, il doit consulter les urgences. Nous proposons au patient de poursuivre les séances de physiothérapie pour rééducation posturale, stretching abdominal, mobilisation du genou G et ultrasons. Concernant la hernie inguinale G, nous prions le service de chirurgie viscérale de convoquer le patient afin d'évaluer la situation. Nous concernant, nous ne planifions pas de contrôle supplémentaire mais restons à disposition. Le patient est informé qu'à terme, en cas de douleurs insupportables dans le territoire S1, il faudra envisager une intervention chirurgicale de discectomie L5-S1 et mise en place d'une cage. Nous proposons au patient de rechercher un médecin traitant puis de nous communiquer son nom afin de lui transmettre la correspondance des urgences. Nous proposons au nouveau médecin traitant de suivre cette exostose. Nous proposons au patient de refaire des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire ainsi que du stretching. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour 2 semaines puis à 50% jusqu'à fin juillet. Nous proposons au patient d'effectuer un scanner du poignet G pour vérifier s'il y a consolidation de la fracture ou non. En cas de consolidation, nous poursuivrons l'immobilisation par plâtre pour 1 mois supplémentaire. En cas où il n'y aurait pas de signe de consolidation, nous proposerons au patient une réduction ouverte et fixation par vis. Dans l'attente des résultats du scanner, nous mettons en place une attelle du pouce et du poignet, à porter jour et nuit. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Nous proposons au patient des infiltrations facettaires L4-L5 et L5-S1 par acide hyaluronique (3 injections en 6 semaines). M. Dannesboe accepte notre proposition et nous recontactera pour nous donner ses disponibilités. Nous proposons au patient la poursuite du traitement conservateur par physiothérapie et le reverrons pour un prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous proposons au patient une amputation épibasale de P1 de l'hallux D. Nous lui expliquons le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. En ce qui concerne le traitement par Plavix et Sintrom, nous ne voyons pas de contre-indication à ce qu'il les prenne. Nous laissons le soin à nos collègues anesthésistes d'évaluer la prise si besoin. L'opération est agendée pour le 06.07.2018. Nous proposons au patient une intervention chirurgicale de décompression L4-L5, mise en place d'une cage et spondylodèse. Nous lui précisons que cela n'est pas urgent et qu'il peut encore réfléchir. Nous prévoyons donc un nouveau contrôle dans 6 mois pour faire le point. Dans l'intervalle, nous l'encourageons à nous recontacter en cas de péjoration des symptômes. Prescription de physiothérapie. Nous proposons de continuer la physiothérapie pour renforcement musculaire. Nous expliquons au patient que les douleurs peuvent durer jusqu'à 3 mois. Au vu d'un travail sur terrain irrégulier, notamment sur les toits, nous proposons de continuer l'arrêt de travail pour 3 semaines et de faire une tentative de reprise à 50% ensuite. Nous le reverrons après ceci afin de voir si une reprise à 100% peut être envisageable. Nous proposons de continuer les séances en ergothérapie. Nous reverrons le patient pour un prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Nous proposons de poursuivre avec des pansements simples afin de protéger la partie distale de l'index. Au travail, il doit continuer à porter l'attelle alu pour 2 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 50% jusqu'à la fin juin puis reprise à 100% avec un travail adapté et sans se désinfecter les mains plusieurs fois par jour. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous proposons de poursuivre avec la physiothérapie pour regagner progressivement la mobilité de l'épaule. Nous prescrivons également des anti-inflammatoires en réserve et reverrons le patient pour un contrôle clinique dans 2 mois. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie avec des US pour le talon, du stretching et du renforcement musculaire. Elle peut continuer à porter les semelles. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie pour le genou et puis de rajouter également la cheville dans le traitement physiothérapeutique. Nous reverrons le patient d'ici 2 à 3 mois pour un contrôle clinique. Poursuite de l'incapacité de travail à 50% jusqu'à fin juillet puis nous prions le médecin traitant de réévaluer la situation. Nous proposons de poursuivre l'ergothérapie avec des exercices pour la mobilité et pour la cicatrice. Mobilisation selon douleurs dans une orthèse du poignet avec pouce et doigts libres. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous proposons de répéter une IRM à 6 mois et nous reverrons le patient au mois de septembre. Nous prions le patient de rapporter les images de la première IRM qu'il n'avait pas ce jour. Nous proposons de reprendre un traitement avec des ondes de choc. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique de la plaie. Si des rougeurs et des écoulements apparaissent, il faut consulter aux urgences. Le pansement est fait avec du Prontosan, Nugel et compresse. Actuellement, la consolidation n'est pas suffisante pour effectuer une AMO. Nous proposons d'effectuer à nouveau une série de séances de physiothérapie et organisons une infiltration sous-acromiale. Nous proposons divers traitements soit une semelle rigide soit des infiltrations. Il ne souhaite pas d'infiltration. Il va donc essayer la semelle. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition.Nous proposons la poursuite de la physiothérapie d'une part, d'autre part nous souhaiterions que la patiente soit convoquée par le Dr. X afin d'effectuer une neuro-sonographie pour mieux identifier le type et le niveau de la pathologie. Par ailleurs, l'infiltration ayant bien marché, nous proposons que la patiente soit revue par le Dr. X pour bénéficier d'une 2ème série d'infiltrations. Nous reverrons la patiente à la suite de cela. Nous proposons que le patient soit vu par le Dr. X afin de tenter de brûler le nerf intercostal à l'alcool. Prochain contrôle à la suite de ce geste. Nous proposons que le patient voit son médecin traitant à 2 semaines postopératoires pour procéder à l'ablation des fils. Nous le reverrons pour un dernier contrôle clinique à 6 semaines postopératoires. Il pourra reprendre son activité professionnelle à 100% dans 2 semaines. Nous proposons un abandon progressif des cannes avec un traitement de physiothérapie pour proprioception et mobilisation selon douleurs. Prochain contrôle dans 6 semaines. Arrêt de sport jusque là. Nous proposons un nouveau contrôle dans 3-4 mois pour refaire le point. À ce moment-là, nous déciderons de l'éventuelle nécessité de refaire une nouvelle imagerie. Dans l'intervalle, nous l'encourageons à poursuivre les exercices de renforcement musculaire à domicile. Il doit également faire des exercices posturaux. En cas de décompensation de la situation, nous restons à disposition dans l'intervalle. Nous proposons un traitement conservateur par botte plâtrée circulaire pour une durée de 6 semaines au total. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 semaine, puis à 6 semaines. Prophylaxie anti-thrombotique pendant 6 semaines jusqu'au 23.07.2018. Nous proposons un traitement de cérumenol et tentative d'ablation du cérumen après. Au vu de l'attente aux urgences, la mère décide de rentrer à domicile sans une nouvelle tentative d'ablation du cérumen. Nous proposons un traitement par Miacalcic associé à une antalgie et de la physiothérapie pour renforcement musculaire et mobilisation selon douleurs. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle radio-clinique. Nous proposons une immobilisation pour 1 mois dans un plâtre avec un contrôle radio-clinique hors plâtre à ce moment-là. Nous proposons une infiltration épidurale L4-L5 puis reverrons la patiente suite à cette infiltration. Nous proposons une poursuite de la thérapie manuelle en physiothérapie avec école du dos et de l'antalgie à domicile. Nous n'avons pas prévu de RDV en rhumatologie mais restons à disposition en cas de non-amélioration. Nous rappelons à la patiente qu'il est impératif qu'elle se tienne droite et qu'elle évite de trop fléchir la colonne. Nous lui rappelons également qu'elle ne doit pas porter de charges lourdes. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Nous rassurons la mère et lui expliquons que la fièvre n'est pas liée au trauma crânien de la veille, mais à une pharyngite débutante, pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique. Nous rassurons la patiente en lui expliquant que les douleurs peuvent être décompensées juste à cause de l'état de grossesse. On préconise de la contrôler cliniquement et radiologiquement en post-partum si les douleurs persistent. Nous restons à disposition. Nous rassurons le patient sur l'origine musculaire des douleurs. Prescription de Mydocalm 150 mg 3x/jour. Nous lui conseillons également de poursuivre les séances de physiothérapie et ostéopathie. Prochain contrôle comme prévu, au mois d'août. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'à la fin du mois d'août. Nous rassurons les parents et leur expliquons que l'état fébrile et le trauma crânien ne sont pas liés. Nous les rendons attentifs aux éléments à surveiller et proposons un traitement symptomatique pour la pharyngite. Nous réalisons une radiographie permettant d'exclure une fracture ou un épanchement articulaire. Le patient rentre à domicile avec un bandage élastique et un traitement par antalgie simple et anti-inflammatoire d'office pendant 3 jours et ensuite en réserve. La suite s'effectuera chez son médecin traitant. Nous réalisons un ASP qui ne montre pas de niveaux hydro-aériques ni de dilatation importante des anses digestives. Le bilan effectué (FSC/CRP et électrolytes) est dans la norme. Le bilan thyroïdien est en cours. Après un bulboïd, le patient émet une bonne quantité de selles. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une leucocytose à 14,5 g/l sans augmentation de la CRP >5 mg, le sédiment urinaire montre une hématurie avec ++++, et des érythrocytes par champ 6-10. Le CT-scan montre un calcul de 9 mm urétéro-vésical gauche sans dilatation ni hydronéphrose. Un avis du Dr. X qui propose une consultation le 20.06.2018 pour discussion d'une intervention. Le patient regagne son domicile avec un traitement antalgique d'office. Nous réalisons un bilan biologique qui montre une hémoglobine stable. Les tests hépatiques et pancréatiques sont dans la norme, le sédiment urinaire montre du sang ++++ et des érythrocytes à 21-40/champ. Une échographie est réalisée et permet d'exclure une lésion des organes intra-abdominaux. Vu la clinique du patient, nous réalisons un bilan radiographique pour exclure toute fracture. Le statut clinique et les examens étant rassurants, le patient peut rentrer à domicile avec un traitement antalgique d'office pendant 5 jours et ensuite en réserve. Nous réalisons un bilan biologique qui ne montre pas de signe inflammatoire. Les tests hépatiques et pancréatiques sont dans la norme. Monsieur a reçu du Motilium 10 mg avec résolution des symptômes ainsi qu'une hydratation intraveineuse. L'évolution clinique est rapidement favorable. Le patient rentre à domicile avec les conseils d'une bonne hydratation. En cas de péjoration, il consultera les urgences. Nous réalisons un grand lavement par Practomil, qui permet d'évacuer une importante quantité de selles soulageant immédiatement la patiente. Après une surveillance clinique dans le box des urgences, nous la laissons rentrer à domicile accompagnée de son fils avec un traitement laxatif de réserve. Elle consultera son médecin traitant la semaine prochaine afin d'instaurer un traitement de fond contre la constipation voire d'organiser une colonoscopie à distance. Nous lui donnons des conseils d'hydratation suffisante. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve un syndrome inflammatoire biologique avec une leucocytose à 19 g/l à neutrophiles (15 g/l) avec une CRP à 232 mg/l. Nous demandons un avis auprès de l'ORL de garde (Dr. X) qui exclut une épiglottite et propose de rechercher une mononucléose infectieuse à EBV et d'effectuer un bolus d'antibiothérapie par Rocéphine 2 g IV et de Solumédrol 125 mg IV, associé à un traitement symptomatique par Écofenac 75 mg IV. La recherche d'EBV revient négative. Nous retenons une angine bilatérale d'origine probablement bactérienne. Le patient rentre à domicile avec traitement antalgique par Dafalgan, Xefo, Collunosol et une antibiothérapie par Cefpodoxime pendant 7 jours. Règles diététiques avec hydratation et repas froid (liquide froid, glaces...). Nous proposons au patient d'effectuer un contrôle clinique et biologique à 48h chez son médecin traitant. Le patient est informé de reconsulter en cas de péjoration clinique. Nous réalisons un laboratoire qui retrouve une CRP à 6 mg/l sans leucocytose (lymphocytes à 42,3%). Le streptotest est négatif. Nous réalisons un test rapide de la mononucléose infectieuse à EBV qui revient douteux. Nous suspectons une angine dans un contexte de mononucléose infectieuse à EBV. Nous laissons repartir la patiente à domicile avec un traitement symptomatique par Irfen et Dafalgan, avec un contrôle à J7 chez son médecin traitant. Nous l'informons de reconsulter en cas de péjoration clinique.Nous réalisons un test à la Fluorescéine, qui ne montre pas la présence de corps étranger ni d'effraction de la cornée. Nous rinçons l'œil abondamment avec du NaCl. Soulagé, nous laissons Mr. Y regagner son domicile. Il possède chez lui des gouttes contre les congestions. Nous réalisons un test de grossesse qui revient négatif. Le stick urinaire est négatif et le sédiment urinaire ne montre pas d'hématurie ni de pyurie. Le bilan sanguin ne montre pas de syndrome inflammatoire et le reste est dans la norme. Au vu de la clinique évocatrice d'une colique néphrétique, nous demandons l'avis du Dr. X, chirurgien de garde, qui désire un ultrason abdominal, réalisé par le Dr. X, qui ne met pas en évidence de calcul ni de dilatation pyélo-calicielle. Aux urgences, la patiente reçoit un Brufen 400 mg, ce qui calme la douleur. La patiente rentre à domicile avec une antalgie par Brufen. Elle reviendra le 30.06 en filière des urgences ambulatoires pour un contrôle clinique et un sédiment urinaire. Nous réalisons une radiographie de la cheville qui ne montre pas de fracture, mais une suspicion d'un arrachement osseux au niveau postérieur de la malléole interne, non visible sur la radiographie de 2014. En vue de la situation clinique rassurante, nous retenons une entorse de stade II et mettons en place une attelle air Cast, pour 6 semaines, avec des cannes anglaises, 3 semaines sans charge puis en charge. Antalgie en réserve et un arrêt de sport. Elle devra consulter chez son médecin traitant si les douleurs persistent et pourra enlever son attelle Aircast dans 6 semaines. Nous réalisons une radiographie de la jambe qui ne retrouve pas d'atteinte osseuse. Le laboratoire retrouve un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 34 mg/l et une leucocytose à 12 G/l. Nous demandons un avis au Dr. X (orthopédiste de garde) qui propose une désinfection de la plaie avec du Ialugen, ainsi qu'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline. La patiente étant allergique à la Pénicilline, nous mettons de la Clindamycine 4 x 300 mg/jour (adapté à la fonction rénale (créatinine à 98 µmol/l) pendant 7 jours. La patiente étant bien entourée à la maison, une prise en charge ambulatoire est décidée. Nous informons la patiente d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant demain (19.06.2018) pour instaurer un protocole de soins à domicile. Nous proposons également au médecin traitant d'évaluer l'indication d'un contrôle angiologique par la suite. A noter que la patiente bénéficie d'un rappel anti-tétanique. Nous recommandons aux parents de reconsulter en cas d'augmentation de taille du ganglion inguinal ou persistance dans 2-3 semaines. Reconsulter également si récidive de sang dans les selles. Nous recommandons au patient de consulter un médecin traitant affilié à l'ORS afin d'obtenir un suivi de ses valeurs hépatiques et de sa consommation d'alcool. Recommandation d'une abstinence complète, ce qu'il comprend et souhaite également. Nous lui recommandons de reconsulter en cas de péjoration clinique ou apparition d'un état fébrile ou de douleurs abdominales. Nous recommandons l'arrêt du sport pour 2 semaines puis reprise par la suite. Contre-indication à la conduite jusqu'au prochain contrôle en neurovasculaire le 22.08.2018 à 16h. R-Test sur 7 jours à la recherche d'une FA intermittente. Nous rediscutons avec le patient de l'opération proposée lors du dernier contrôle. Il souhaiterait en bénéficier en septembre, raison pour laquelle nous le reverrons fin août pour une décision définitive. Dans l'intervalle, arrêt de travail à 100 % du 15.06.2018 au 19.07.2018. Nous rediscutons par téléphone avec le Dr. X, et vu l'état général très altéré de la patiente, il est impossible de réaliser actuellement une radiothérapie encéphalique, voire même un traitement par radio- et chimiothérapie pour sa tumeur pulmonaire. Elle sera vue ce jour en consultation pour discussion mais une décision pour des soins palliatifs n'est pas exclue. Pas de nouveau contrôle prévu systématiquement. Nous restons à disposition au besoin. Nous réévaluons les radiographies. Aucune fracture n'est apparente. Nous rassurons la patiente en lui expliquant l'évolution probable. Nous renouvelons l'ordonnance d'antalgie, lui donnons un bon de physio, et proposons du protocole RICE et de garder l'attelle Aircast. Elle devrait consulter son médecin traitant dans 1 semaine si les symptômes persistent. Nous réévaluons les radiographies et nous ne constatons pas de fracture. Nous rassurons le patient, mettons une attelle adaptée à sa taille et le laissons rentrer chez lui. Les signes d'alarme motivant une nouvelle consultation lui sont expliqués. Nous refaisons des plâtres redressant en position plantigrade et en légère éversion. Nous planifions une ténotomie pour le 03.07.2018. La semaine prochaine, nous le reverrons pour refaire le plâtre. Nous refaisons le pansement en suivant le protocole élaboré par le médecin traitant, et nous adaptons le traitement antalgique avec du Ponstan 500 mg en réserve. Le lendemain matin, nous prenons contact avec le cabinet du médecin traitant pour les informer du passage de Mr. Y aux urgences, et proposons de mettre en place un suivi spécialisé de stomatothérapie. Si des investigations supplémentaires pour élucider l'étiologie de l'ulcère s'avèrent nécessaires, nous nous tenons à disposition. Devant l'absence de critères de gravité, Mr. Y quitte notre service, avec un rendez-vous de suivi auprès du médecin traitant, agendé pour le 12.06.2018. Nous refaisons un bilan biologique, qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP toujours à 72 mg/L et une leucocytose à 10.4 g/L. Deux paires d'hémocultures sont prélevées et l'urotube effectué la veille revient positif avec un compte 10^6 de germes, dont l'identification est en cours. Nous instaurons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv, avec une première dose administrée aux urgences. La patiente reçoit aussi 1 g de Paracétamol iv pour calmer les douleurs. Nous lui proposons une hospitalisation pour suite de la prise en charge, mais la patiente refuse et préfère continuer le traitement en ambulatoire. Par conséquent, nous faisons un relais de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour, qui sera à poursuivre pendant 7 jours, et la reconvoquons à la filière des urgences ambulatoires le lendemain, pour un contrôle clinico-biologique pour juger de l'évolution. Les résultats de microbiologie seront à pister, et le traitement devra être adapté, si nécessaire, selon l'antibiogramme. La patiente est invitée à reconsulter les urgences en cas d'évolution défavorable ou en cas d'une nouvelle symptomatologie. Nous refaisons un nouveau plâtre. Nous le reverrons le 12.07.2018 pour un contrôle. Nous relisons un bilan biologique qui montre une hémoglobine stable à 179 g/l sans perturbation des tests hépatiques ni pancréatiques. Une radiographie du thorax est réalisée et permet d'exclure une fracture ou un pneumothorax. Nous retenons le diagnostic de contusion costale gauche suite au traumatisme. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique. En cas de péjoration de la symptomatologie ou apparition de dyspnée, le patient reconsultera les urgences. Nous remplissons ce jour avec le patient le formulaire de consentement éclairé. Le patient a déjà été vu ce jour par les anesthésistes où il a été décidé d'une narcose complète. Une date opératoire est définitivement réservée au 22.08.2018, avec entrée le même jour. En raison d'une différence de longueur connue d'environ 1 cm, nous organisons ce jour encore un CT-scanner pour mensuration de longueur.Nous restons à disposition pour réévaluation en cas de non-résolution complète des symptômes ou récidive de la symptomatologie, afin d'effectuer éventuellement des VEMPS pour exclure un trouble utriculaire. Nous retenons la diagnostique de douleurs musculo-squelettiques. Mme. Y rentre avec une antalgie simple de Dafalgan et Irfen. Si les douleurs persistent, il y a une indication de faire une US abdominale. Nous retenons le diagnostic clinique de sinusite ethmoïdale. Au vu de l'absence de drapeaux rouges, nous proposons à la patiente un traitement symptomatique pour 3 jours, et lui donnons la consigne de reconsulter en cas de persistance de la symptomatologie pour évaluer l'indication à une antibiothérapie. Nous retenons le diagnostic de contusion du pied gauche que nous traitons par une attelle Splintpod et de la Clexane. Le patient prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle clinique dans 1 semaine. Nous retenons le diagnostic de contusion. La patiente se traitera de manière symptomatique. En ce qui concerne la suite de la prise en charge, un RDV de contrôle est prévu à 3 mois en clinique de chirurgie générale. Nous ne prévoyons pas de contrôle supplémentaire en orthopédie mais restons bien évidemment à disposition pour d'éventuelles questions. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 01.07.2018. Elle reprendra à 50% du 02.07.2018 jusqu'au 08.07.2018 et à 100% dès le 09.07.2018. Nous retenons le diagnostic de contusion simple de la jambe et de dermabrasions des coudes, que nous désinfectons. Nous prescrivons une antalgie en réserve. Un contrôle clinique dans 1 semaine chez le pédiatre sera à fixer. Nous retenons le diagnostic de douleurs musculo-squelettiques. Mme. Y rentre avec une antalgie simple de Dafalgan et Irfen. Si les douleurs sont persistantes, il y a une indication de faire un ultrason abdominal. Nous retenons le diagnostic de fracture de la malléole externe et de la base du 5ème métatarse du pied droit. Au vu de la situation difficile avec un patient qui marche très peu et avec beaucoup de difficulté, nous immobilisons l'articulation dans une attelle Aircast et nous recommandons au patient d'effectuer uniquement les déplacements indispensables à l'intérieur de la maison à l'aide de son rollator avec appui sur le talon. Il prendra rendez-vous en policlinique d'orthopédie pour un contrôle radio-clinique dans une semaine. Il est averti que, en cas d'aggravation de son état, avec une douleur non gérable par le traitement antalgique ou l'apparition de déficits neurologiques, il doit consulter plus rapidement. Nous retenons le diagnostic de fracture du calcanéum droit. La jambe droite est immobilisée dans une attelle jambière postérieure et le patient rentre à domicile avec des cannes, une décharge totale et une prophylaxie anti-thrombotique. Il est averti quant à l'importance de ne pas appuyer le pied, d'arrêter le tabac si possible, de surélever le membre le plus possible et de consulter en cas d'apparition de signes d'atteinte cutanée sous le plâtre. Il prendra rendez-vous chez le Dr. X pour agender un contrôle radio-clinique dans une semaine. Nous retenons le diagnostic de gastrite alimentaire ou virale, le patient rentre à domicile avec Nexium 20 mg 1x/jour pour une durée de 7 jours. Nous retenons le diagnostic de plaie simple. Après désinfection, nous rapprochons les berges avec du Dermabond. Le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve. Un rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant sera à fixer à 5 jours. Nous retenons le diagnostic pour une lésion de la plaque palmaire de l'IPP. Ablation de l'attelle Edimbourg ce jour. Nous prescrivons au patient une attelle en huit, qui sera confectionnée en ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 5 semaines. Nous retenons le diagnostic de sciatalgies droites non déficitaires et mettons en place un traitement symptomatique par antalgiques. Nous lui proposons de consulter son médecin traitant pour éventuellement organiser un CT-scan en ambulatoire à la recherche d'une hernie discale. Nous expliquons au patient les signes et symptômes qui devront motiver une nouvelle consultation en urgence. Nous retenons l'indication opératoire à une AMO. Nous lui expliquons les risques et les bénéfices de l'opération à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous l'informons que nous ne pourrons pas enlever les 2 bouts de vis cassée. Nous retenons un diagnostic d'omarthrose à gauche débutante avec surcharge mécanique du coude gauche. Nous proposons la poursuite de la physiothérapie pour les deux épaules ainsi que pour le coude gauche. Nous organisons une IRM de l'épaule gauche et reverrons le patient dans 2 mois pour un contrôle clinique et discussion des résultats de l'IRM. Nous retenons une indication opératoire par implantation de prothèse totale de hanche droite et nous fixons une date provisoire pour le 29.08.2018 qu'elle nous confirmera après discussion avec son employeur. Nous lui expliquons le déroulement de l'intervention, ainsi que les risques et bénéfices et elle signe le consentement éclairé. Nous retenons une indication opératoire pour une cure d'hallux valgus G en mini-invasif avec mise en place d'une vis type Medit avec la tête oblique au niveau de l'ostéotomie du 1er métatarsien pour éviter un déplacement lors d'épisodes de spasme. Nous expliquons à la patiente le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement. L'intervention est prévue le 04.09.2018. Nous retenons une réaction locale toxique au venin d'hyménoptère. Le patient ne présente aucun symptôme inquiétant. Nous prenons contact avec le pédiatre de garde de l'HFR hôpital cantonal qui recommande une attitude observatrice par rapport à une éventuelle surinfection pour laquelle nous n'avons à l'heure actuelle pas d'argument. Prescription d'application topique de froid et d'antihistaminiques systémiques par Aérius sirop. Nous retirons donc l'AB et proposons une mobilisation selon les douleurs. Cependant, Stessy ne devra pas reprendre le sport avant un mois. Devant la bonne évolution, nous mettons fin ce jour, 05.06.2018, au suivi en policlinique d'orthopédie. Nous retirons la tique entière, encore vivante et non gorgée de sang, et désinfectons localement à l'Hibidil. Nous conseillons aux parents de surveiller localement l'éventuelle apparition d'un érythème plus important dans les jours et le mois qui suivent. Les parents surveilleront et effectuerons une surveillance cutanée, et nous les informons de reconsulter en cas d'apparition d'un érythème en cible autour de la piqûre dans les 3 à 30 jours, ou d'un érythème ailleurs sur le corps. Nous retirons l'immobilisation anté-brachiale et conseillons au patient de se mobiliser selon les douleurs. Toutefois, un arrêt de sport est prescrit pour encore 1 mois (2 mois au total depuis le traumatisme). Nous mettons fin ce jour, 05.06.2018, au suivi en policlinique d'orthopédie. Nous reverrons le patient dans 2 mois pour un dernier contrôle radio-clinique. Dans l'intervalle, nous lui recommandons d'adopter une meilleure hygiène posturale et de s'abstenir de porter des charges. Nous reverrons la patiente en septembre pour évaluer la situation et éventuellement organiser une prise en charge chirurgicale. Nous reverrons la patiente pour contrôle clinique et échographique ainsi qu'une injection de Rocéphine IV dans 24h en policlinique d'ORL à 14h. Par la suite, la patiente bénéficiera d'une injection de Rocéphine IV quotidiennement pour laquelle nous organiserons le passage d'une infirmière à domicile.Nous reverrons le patient dans 6 semaines (à 3 mois de la fracture) pour un contrôle radio-clinique. D'ici là, nous maintenons la charge selon douleur. Nous reverrons le patient en filière des urgences ambulatoires le 30.06 pour un contrôle clinique et la réfection des pansements (désinfection, Ialugen et pansement). Nous revoyons la patiente le 27.06.2018. Nous décidons de poursuivre le traitement avec une immobilisation par VACOped short pour une durée totale de 6 semaines d'immobilisation (5 semaines de VACOped short), la charge avec une attelle Aircast étant impossible. Nous poursuivons l'anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg 1x/jour durant la période d'immobilisation. La patiente se rendra à la fin du traitement chez son médecin traitant pour un contrôle clinique et peut-être une prescription de physiothérapie pour la cheville gauche, pour proprioception, réadaptation des muscles fibulaires et amplitude articulaire. Nous décidons d'une fin de traitement en policlinique d'orthopédie. Concernant l'arrêt de travail, la patiente est retraitée. Nous revoyons l'IRM de contrôle de septembre 2017 qui ne montrait plus d'œdème au niveau de l'aileron sacré gauche. Nous rinçons, désinfectons à la Bétadine et suturons la plaie de la fesse droite par 22 points à l'Ethilon 4-0, sous anesthésie locale à la Lidocaïne et Meopa, puis nous posons un pansement. Nous désinfectons à la Bétadine et posons un pansement sur la plaie de la fesse gauche, superficielle et qui ne nécessite pas d'être suturée. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve, un arrêt de sport pour une semaine et sera revue en contrôle en policlinique de chirurgie le 03.07.2018. Nous sollicitons un avis orthopédique spécialisé auprès du Dr X, médecin assistant, qui examine la patiente et demande de compléter le bilan radiologique avec des clichés face-profil du poignet. Il recommande une immobilisation par plâtre antébrachial fendu, suite à une réduction à l'aide du doigtier japonais en flexion inclinaison ulnaire pendant 15 minutes. Le contrôle radiologique après la pose du plâtre est satisfaisant. L'attitude au long cours sera rediscutée avec le Dr X, orthopédiste, pour évaluer si un traitement chirurgical amènerait un bénéfice supplémentaire. Nous sommes face à une entorse de cheville stade II avec avulsion osseuse au niveau de la fibula distale, avec suspicion d'atteinte du tibio-fibulaire antérieur. Un avis est demandé au Dr X qui propose le maintien d'un traitement conservateur au moyen d'une botte plâtrée amovible en charge selon douleur pour une durée totale de 2 semaines. Il sera revu le 27.06.2018 pour un contrôle clinique. Nous sommes face à une évolution plutôt favorable. Nous prescrivons des séances de physiothérapie avec renforcement musculaire, reprise des amplitudes ainsi que proprioception. Nous reverrons Mme. Y d'ici 2 mois pour la fin du traitement. Nous sommes face à une fracture Salter Harris II que nous proposons de traiter conservativement, avec maintien de l'attelle Edimbourg en position intra sec pour une durée de 3 semaines au total. Il enlèvera l'attelle le soir pour effectuer de la mobilisation active et passive assistée du 5ème doigt. Si l'évolution est favorable, il peut l'enlever dès le 01.07.2018. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous sommes à la limite d'une indication chirurgicale, nous maintenons néanmoins le traitement conservateur. Nous permettons de la physiothérapie de mobilisation pendulaire sans abduction, ni rotation externe active, nous la reverrons pour un bilan radio-clinique dans 1 semaine. Nous sommes à 64h00 du rapport sexuel non protégé. Au vu du rapport sexuel non protégé, nous proposons à la patiente un dépistage des MST, la patiente refuse. Nous sensibilisons la patiente au risque des MST et sur le fait de prendre de façon journalière la pilule contraceptive pour une contraception efficace. Nous conseillons au couple de se faire dépister. La patiente rentre à domicile avec Norlevo 1.5 mg (contraception d'urgence). Nous sommes d'accord avec la proposition de la clinique de réhabilitation concernant l'achat d'un appareil électro-stimulateur pour le programme TENS Dolo-Patch de longue durée. Pour la suite, on reste à disposition pour des contrôles réguliers selon la nécessité mais on ne fixe pas pour l'instant de rendez-vous d'office. Nous sommes dans une situation d'instabilité du segment L1-L2 sur discopathie avec une patiente qui présente une colonne lombaire qui part de plus en plus en scoliose. Devant cette pathologie du segment adjacent, nous proposons la réalisation d'une IRM afin de bien visualiser le segment L1-L2. Nous la reverrons ensuite. Nous sommes face à des douleurs d'allodynie chronique. Poursuite de l'ergothérapie. Nous prions le Dr X de bien vouloir convoquer le patient pour une gestion de la douleur. Nous la reverrons en juillet avec le Dr X. Nous sommes face à plusieurs problèmes avec notamment une probable entorse du LLI, une rotule qui présente un signe d'appréhension et des douleurs au niveau de la palpation du tendon du biceps fémoral. Nous maintenons la genouillère articulée et la charge selon douleurs, nous la reverrons une fois l'IRM du genou réalisée. Nous sommes face à un retard de consolidation avec déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Nous proposons donc de remettre un schlüpf-gips pour 2 mois avec une charge selon douleurs. Nous lui prescrivons des séances d'ondes de choc chez le Dr X (merci de convoquer le patient). Nous lui prescrivons également de la Clexane. Nous le reverrons le 06.08.2018 pour un CT et un contrôle radioclinique. Nous sommes face à un syndrome sacro-iliaque gauche, raison pour laquelle nous préconisons des myorelaxants le soir, ainsi que des séances de physiothérapie de stabilité posturale avec allongement de la chaîne antérieure et renforcement postérieur. La patiente sera revue dans 3 mois environ (fin de l'été) pour discuter de l'évolution. Si les douleurs devaient se maintenir, une infiltration sacro-iliaque pourrait être envisagée. Dans le cas où les douleurs se péjoreraient brutalement et/ou un syndrome neurologique apparaîtrait, la patiente recontactera le secrétariat pour être vue dans les plus brefs délais. Nous sommes face à une évolution favorable. Le patient peut reprendre les entraînements de sport de manière progressive, il n'effectuera pas de combat de lutte jusqu'à la fin de l'été. Nous le reverrons à 6 mois post-fracture pour un dernier contrôle clinique. Nous sommes face à une évolution favorable. M. Y peut se mobiliser en charge selon douleurs et se soustraire de l'utilisation des cannes ainsi que de la Clexane. Nous le reverrons dans 6 semaines (3 mois post-opératoires) pour un contrôle radioclinique. D'ici là, l'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 07.08.2018. Nous sommes face à une évolution favorable. Nous maintenons le traitement conservateur. La patiente peut enlever le gilet orthopédique et mettre une bretelle et commencer à mobiliser librement. Nous la reverrons le 11.07.2018 pour un contrôle clinique. Nous sommes face à une évolution favorable. Nous ne proposons pas de contrôle clinique, mais restons à votre disposition pour d'éventuelles questions. Il maintiendra encore 2 semaines d'arrêt avant de refaire du foot. Nous sommes face à une évolution favorable. Nous ne proposons pas de rendez-vous de contrôle mais restons à disposition en cas de nécessité. Nous prolongeons néanmoins l'arrêt de travail pour 2 semaines (jusqu'au 06.07.2018). Nous sommes face à une évolution favorable sous traitement conservateur que nous prolongeons par de la physiothérapie pour renforcement des chaînes musculaires antérieures et postérieures ainsi que proprioception. Nous la reverrons à 6 mois du traumatisme pour refaire le point. D'ici là, nous restons évidemment à disposition pour d'éventuelles questions.Nous sommes face à une évolution plutôt favorable. Mme. Y peut reprendre une activité sportive dans l'axe et maintiendra les séances de physiothérapie. Nous la reverrons dans 3 mois (à 6 mois du traumatisme) pour refaire le point sur la situation. Nous restons à votre disposition d'ici-là pour d'éventuelles questions. Nous sommes face à une évolution plutôt favorable. Nous informons Mr. Y que cette opération peut laisser des douleurs chroniques d'une durée allant de 1 à 2 ans. En cas de trouble neurologique récidivant ou autre symptôme d'alerte, il se représentera dans les plus brefs délais. Sinon, pas de nouveau contrôle prévu d'office. Nous sommes face à une évolution plutôt favorable, nous prescrivons néanmoins des séances de physiothérapie de renforcement musculaire et proprioception, ainsi que reprise des amplitudes de la cheville, qui seront poursuivies au besoin via le médecin traitant. Nous le reverrons à 1 année de l'intervention pour un contrôle clinique. Nous sommes face à une évolution plutôt favorable. Nous reverrons ce patient dans 6 mois (1 an post-opératoire). Nous sommes face à une suspicion de Turf Toe, raison pour laquelle, nous organisons une IRM du pied. Le patient sera revu à notre consultation une fois cet examen effectué. D'ici-là, poursuite du travail à 100%. Nous encourageons le patient à porter des semelles plates et rigides et à diminuer ses activités physiques pour le moment. Nous supposons un eczéma allergique, possiblement lié à une allergie solaire, mais un autre antigène déclenchant n'est pas exclu. Nous effectuons un laboratoire qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 22 mg/l et une thrombocytose. Nous laissons la patiente rentrer avec un traitement symptomatique et un contrôle le 25.06.2018 à la filière des urgences ambulatoires pour exclure une surinfection débutante. Le contrôle dermatologique reste fixé comme prévu. Nous surveillons le patient aux urgences. Une hydratation est mise en place : du NaCl 0.9% 1000 cc / 24 heures. Pour ses nausées, nous lui donnons du primpéran 10 mg IV qui fait effet. Après surveillance de quelques heures aux urgences et après réévaluation clinique, nous appelons sa maman afin qu'elle vienne le rechercher. Nous suspectons de probables crises convulsives au vu de l'histoire initialement peu claire. Le statut neurologique revient dans la norme, nous demandons un avis neurologique et envoyons le patient à l'HFR Fribourg pour un EEG avec un traitement protecteur par Keppra. Le patient bénéficiera d'un IRM du crâne le 15.05.2018. Départ de l'HFR Riaz avec sa famille. Nous suspectons que les symptômes d'inconfort abdominal survenant lors des repas soient une manifestation du reflux gastro-oesophagien. La maman a introduit le traitement d'Oméprazole depuis 3 jours sans avis médical, mais le traitement est sous-dosé. Nous proposons d'essayer avec un traitement d'IPP au dosage correct pour le poids (c'est-à-dire 1 mg/kg/j = 5 mg/j = 2.5 ml d'une solution à 2 mg/ml) et de consulter le MT dans une semaine, mais si Yann, dans les prochains jours, devait encore diminuer la prise alimentaire/hydrique ou montrer des signes de déshydratation (diminution de la miction, pas de larmes, perte de poids) voire continuer à présenter des signes de discomfort, nous conseillons de reconsulter rapidement les urgences. Nous suspectons un érythème migrant suite à une morsure de tique non objectivée par les parents et la patiente. La patiente est stable, raison pour laquelle nous autorisons son transfert par voiture privée aux urgences pédiatriques de l'HFR hôpital cantonal pour suite de la prise en charge. Nous suspectons un urticaire inaugural avec un prurit sans facteur déclenchant pour lequel un traitement anti-histaminique par Xyzal 5 mg est administré. Vu l'absence de signe de gravité, le patient est ensuite réorienté aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg, le transfert se fait en privé (par les parents). Nous suspectons une angine bactérienne (Centor 4/4) malgré le test strepto négatif. Nous proposons un traitement de 5 jours par cefuroxime et contrôle à 48h. Nous conseillons au patient un test HIV prochainement (anamnèse sexuelle à compléter). Nous suspectons une crise d'asthme à domicile (DD : infection respiratoire haute, épiglottite débutante), dont la dyspnée est déjà soulagée par l'administration de Ventolin par les parents. Toutefois, au vu d'une voix enrouée persistante, sans stridor, nous demandons aux parents de réadministrer une bouffée de Ventolin, puis nous lui donnons 5 mg de Xyzal. Nous réorientons le patient aux urgences pédiatriques de l'HFR Fribourg. Le patient ne présentant pas de signes de gravité, nous autorisons un transfert privé (par les parents). Nous insistons auprès des parents d'aller consulter avec leur enfant sans délai. Nous suspectons une discopathie ou hernie discale L4-L5 en conflit avec la racine L5 G. Nous organisons donc une IRM lombaire et reverrons la patiente pour discuter des résultats. Si celle-ci s'avérait normale, nous envisagerons alors une infiltration sacro-iliaque. Renforcement du traitement médical dans l'intervalle. Concernant l'asymétrie du bassin, nous lui prescrivons une semelle de 1 cm à porter du côté D. Nous suspectons une fracture de la première phalange du 3ème orteil, donc nous proposons une chaussure de Barouk. Contrôle prévu à la policlinique d'orthopédie dans 7 jours. Nous suspectons une fracture Salter-Harris II de la base des 1ères phalanges des 3ème et 4ème doigts de la main droite. Nous discutons du cas avec le Dr. X qui préconise une double syndactylie 2-3 et 4-5 avec la pose d'une attelle Edimbourg et un contrôle radio-clinique dans 5 jours à fixer à la policlinique d'orthopédie. Nous suspectons une infection locale de type érysipèle, et mettons le patient sous Co-Amoxicilline 625 mg 3 fois par jour pour une durée de 5 jours. Le patient reçoit une dose de Co-Amoxicilline per os aux urgences. Il sera revu en contrôle chez son médecin traitant le 11.06.2018. Nous suturons la plaie avec 5 points d'Ethilon 5.0 après exploration de celle-ci qui est propre, sans lésion des structures nobles. Tétanos remis à jour aux urgences. Le patient dit avoir des antalgiques simples à domicile et ne veut pas de prescription. Nous lui demandons de reconsulter chez son médecin traitant dans deux jours pour réfection de pansement. Le retrait des fils devra se faire dans 10 jours. Nous suturons la plaie comme décrit ci-dessus. Nous proposons au patient, au vu du saignement frontal qui s'amende après compression, un pansement compressif jusqu'à ce soir, qu'il pourra enlever lui-même. La plaie sera à contrôler chez le médecin traitant à 48h et les fils à enlever à 5 jours. Nous suturons la plaie, désinfection à la bétadine dermique, anesthésie locale par Rapidocaïne 1% 30 mg, exploration de plaie : plaie de 0.5 cm de profondeur, pas de visibilité de tendon ni de nerf. Retrait de nombreuses pierres intra-plaie. Rinçage abondant à la Bétadine diluée 80 cc. Suture par fil d'Ethilon 4.0 4 points. Désinfection locale à la Bétadine dermique. Bétadine onguent + tulle bétadinée. Pansement sec et bandage. Rapport antitétanique fait aux urgences. Nous traitons pour une fasciite plantaire avec des anti-douleurs, ainsi que des séances de physiothérapie avec stretching plantaire et ultrasons. Nous la reverrons dans 2 mois pour discuter de l'évolution. Nous voulons mettre au clair l'origine des douleurs, raison pour laquelle nous organisons une IRM du genou. Nous la reverrons une fois cet examen effectué. L'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'au 25.06.2018. D'ici-là, elle respectera une charge selon douleurs au moyen de deux cannes et bénéficiera d'un traitement antalgique et anti-inflammatoire.Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de continuer le traitement de Pregabaline. Nous vous proposons d'organiser une colonoscopie à 4 semaines de l'épisode aigu. • Nouveau cas • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. • Nouveau cas. Nouveau contrôle à la consultation du Dr. X (merci de convoquer la patiente) Nouveau MT à contacter, premier rdv à organiser après l'hospitalisation Nouveau-né à terme, AVB, Bonne santé habituelle Nouveau-né à terme avec mauvaise adaptation à la vie extra-utérine. Augmentation des besoins en oxygène à H3 de vie sans signes cliniques de détresse respiratoire clinique. Nouveau-né à 41 5/7 SA avec un poids de naissance 3305 g (P 10-25), une taille à la naissance de 50 cm (P 5-10) et un périmètre crânien 33.5 cm (P<3). Aspiration de liquide méconial Nouveau-né le 20.06.15 à 02h28 par voie basse à 37 3/7, poids 2340 g (P <10), T 44 cm (P <10), PC 34.5 cm (P 50) RCIU dysharmonieux d'origine placentaire probable (HTA et œdèmes maternels) Nouveau-né à terme à 38 4/7 SG, 1ère grossesse, mère StreptoB pos (pas d'ABT reçu), accouchement par césarienne pour siège (extraction prolongée), placenta 1100g APGAR 5/6/6, PN 3820g (> P90), TN 51cm (P90), PCN 38cm (>P90) Syndrome de détresse respiratoire sur wet lung DD: anémie Anémie sur probable hémorragie fœto-maternelle Syndrome bradyapnéique du nouveau-né Nouveau-né à 38 4/7 SG, PN 3820g (> P90), TN 51cm (P90), PCN (>P90) Nouveau-né à terme à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, accouchement par voie basse sans complication, bonne adaptation avec Apgar 10/10/10, poids de naissance 3450g. Risque infectieux présent avec streptocoque B positif (antibiotiques reçus par la mère, contrôles pour risque infectieux en ordre durant 48h). Nouveau-né à terme à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, césarienne pour CTG suspect et suspicion de décollement placentaire, bonne adaptation avec Apgar 9/10/10, poids de naissance 3580g, pas de risque infectieux Nouveau-né à terme de 38 1/7 semaines d'aménorrhée avec un poids de naissance de 2560 g (P3-5), taille de naissance 48 cm (P10), périmètre crânien 32 cm (P<3) Nouveau-né à terme de 40 0/7 SA avec à la naissance un poids de 2900 g (P5), taille 48 cm (P3), périmètre crânien 32 cm (52,5mcgr Temgesic 0,2mg 6x/j en R. Novalgine 500 mg 2x/jour. Dafalgan 1 g 3x/jour. Novembre 2017: Basaliome infiltrant du menton à droite d'exérèse complète (3 temps) avec greffe de peau totale (prise cervicale droite), Inselspital. Novembre 2017: Basaliome infiltrant du menton à droite d'exérèse complète (3 temps) avec greffe de peau totale (prise cervicale droite), Inselspital. NSAR + Triofan Nasenspray pour 48 h 3x/d Klinische Reevaluation nach 48 h beim KA Vorverschriebenes Antibiotika falls Zunahme der Beschwerden: Amoxicillin 25 mg/kg/KG alle 12 h für 5 d Wiedervorstellung bei Persistenz der Beschwerden über 48h ou bei Zustandsverschlechterung. NSAR pour 3 jours Wiedervorstellung bei Persistenz der Beschwerden über 3 jours ou bei Zustandsverschlechterung. NSAR pour 3-5 jours Analgesie avec Dafalgan, Novalgin i.R. NSAR pour 5 jours Ortho-Rezept pour die Schueinlage ausgehändigt Klinische Kontrolle beim HA b. Bedarf. NSAR pour 5 jours Immobilisation AUF 100% jusqu'au 10.06.2018 Wiedervorstellung bei Persistenz der Beschwerden ou bei Zustandsverschlechterung. NSAR local + p.o. Klinische Kontrolle dans 3 jours au niveau de la permanence Sofortige Wiedervorstellung bei Zunahme des Beschwerden. NSCLC du lobe pulmonaire supérieur droit, pT1c pN0 (0/16) L0 V0 Pn0 R0, diagnostic initial radiologique en octobre 2017. NSTEMI. NSTEMI. NSTEMI antérieur le 01.05.2018 : - échocardiographie transthoracique - Dr. X - du 02.05.2018 : FEVG 60%, pas de troubles de la cinétique segmentaire, pas de dysfonction bioprothèse aortique - coronarographie du 07.05.2018 : angioplastie de l'anastomose distale pontage mammaire droite libre CD III. - Torem - Poursuite Aspirine 100 mg/j, Brilique 2x 90 mg, Liquémine 2x 5000 IU sc (5 jours) - Stop Aldactone. Hyponatrémie hypo-osmolaire euvolémique à 124 mmol/l le 01.05.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1, le 01.05.2018 avec hyperkaliémie. Zona cutané le 04.07.2016. État confusionnel aigu post-opératoire le 07.06.2016. Sepsis sur foyer pulmonaire. PTG droite en mai 2014. PTH gauche en mai 2002. Fracture ouverte intra-articulaire du 2ème MC de la main gauche en 1992. Appendicectomie en 1945. NSTEMI antérolatéral sur subocclusion de l'IVA proximale le 03.06.2018 avec - Hypokinésie antéro-latérale et apicale (FEVG 35%). NSTEMI avec : - maladie coronarienne de 2 vaisseaux (CX et IVA) - resténose subtotale intrastent CX moyenne-distale : PCI/1 DES : bon - PCI/1 DES d'une sténose de 90% de la 1ère branche marginale : bon - hypokinésie inférieure - discrète diminution de la fonction systolique globale du ventricule gauche (FE :50%). NSTEMI dans un contexte de cardiopathie bitronculaire (CD et IVA) le 08.06.2018 - Score de GRACE 108pts. NSTEMI de type 2 dans un contexte de crise hypertensive à 200 mmHg de systolique, le 12.06.2018. NSTEMI du territoire inféro-latéral sur maladie coronarienne tritronculaire le 08.06.2018, avec : - sténose intermédiaire du tronc commun distal, plaque rompue au niveau de l'IVA proximale, sténose subocclusive de l'ostium de la diagonale - sténoses subocclusives de la circonflexe proximale et moyenne - in stent resténoses coronaire droite moyenne et distale - dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie postéro-basale, EF 45%. NSTEMI en 2007 Remplacement de la valve aortique par une bioprothèse en 2007 Cholécystectomie avec sepsis en 2016 Syndrome lombo-spondylogène avec hernie discale séquestrée en L4-L5. NSTEMI inférieur le 01.06.2018 - sur subocclusion thrombotique de la CD moyenne : traitée par angioplastie et 1 stent actif - occlusion de l'IVA moyenne probablement subaiguë : recanalisé et traitée avec 2 stents actifs. NSTEMI inférieur le 01.06.2018 - sur subocclusion thrombotique de la CD moyenne qui est traitée par angioplastie et 1 stent actif - occlusion de l'IVA moyenne probablement subaiguë qui est recanalisé et traitée avec 2 stents actifs -Pic de CK à 788 U/L. NSTEMI inférieur le 25.06.2018 - sténose subocclusive coronaire droite distale : PTCA/DES - sténose subocclusive ostium branche diagonale - sténoses IVA distale - sténose marginale - dysfonction ventriculaire gauche avec akinésie postéro-basale EF 45%. NSTEMI inféro-latéral sur maladie bitronculaire le 30.07.2008 : - sténose 90%-99% circonflexe proximale - coronaire droite dominante, sténose 70-90% coronaire droite proximale, sténose 70-90% coronaire droite moyenne, sténose 90-99% coronaire droite distale - FE 64% par ventriculographie Artériopathie du membre inférieur gauche - recanalisation d'une courte occlusion fémorale superficielle G par angioplastie et pose de stent actif et angioplastie de l'ostium de l'artère fémorale superficielle le 17.03.2015 - recanalisation d'une resténose serrée à la sortie du stent fémoral superficiel G par angioplastie et pose d'un court stent le 27.10.2015 - récidive de claudication depuis environ 2 semaines sur réocclusion intra-stent au niveau du canal de Hunter. AIT en 1994 et AVC ischémique pariétal droit embolique avec découverte d'un FOP obstrué par voie percutanée en 1998 - récidive d'AVC mineur en décembre 2015. Dissection post-traumatique de la carotide interne droite AVC ischémique aigu du gyrus pré et post central gauche dans le territoire sylvien superficiel le 10.09.2017 de probable origine artério-artérielle avec : - Dysarthrie - Séquelles ischémiques bi-hémisphériques (fronto-pariétales D, frontales G) - Subocclusion de l'artère carotide interne D, asymptomatique - DD : cardio-embolique Prise en charge complexe de l'AVC ischémique aigu en unité stroke monitorée du 10.09 au 11.09.2017 puis non monitorée du 11.09 au 18.09.2017 Angio-CT cérébral avec cartes de perfusions le 10.09.2017 IRM cérébrale le 11.09.2017 Duplex de vaisseaux cérébraux le 11.09.2017 ETT le 11.09.2017 Holter le 14.09.2017 HBA1c. 8.7%, LDL cholestérol à 4.15 mmol/l Consilium Diabétologie Bilan neuropsychologique le 13.09.2017 Rendez-vous de contrôle en neurologie le 17.01.2017 à 14h30. NSTEMI le 01.06.2018. NSTEMI le 03.06.2018. NSTEMI le 03.06.2018 avec : - hypokinésie inféro-apicale - fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE :60%). NSTEMI le 03.06.2018 -Hypokinésie inféro-apicale. -Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE :60%). NSTEMI le 05.10.2017 avec maladie coronarienne bitronculaire (IVA/diagonale, coronaire droite) : - coronarographie/angioplastie le 05.10.2017 (Dr. X) : PCI/DES D1 1x, PCI/DES IVA moyenne et distale 3x - resténose complète intrastent de l'artère coronaire droite moyenne rétro-perfusée par le réseau gauche ; IRM de stress pour étude de viabilité dans un 2ème temps - échocardiographie transthoracique du 05.10.2017 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 30-35%, avec atteinte de la cinétique segmentaire diffuse.Diabète de type 2 traité avec macro-micro-angiopathie, polyneuropathie périphérique. Ulcère au niveau du mollet droit, DD : angiodermite nécrosante, plaie traumatique ? Perturbation de tests hépatiques avec image échographique évoquant une cirrhose hépatique et cholécystolithiase avec suspicion de vésicule de porcelaine (US abdominale le 29.03.2018 : foie de configuration cirrhotique à contours micro bosselés sans lésion focale visible. Lithiase vésiculaire). Syndrome anxio-dépressif sous Escitalopram. Artériopathie débutante avec médiacalcose jambière mais bonne perfusion biphasique jusqu'au pied droit (Consilium angiologique avril 2018). NSTEMI le 15.06.2018 NSTEMI le 18.06.2018: • FRCV : mère avec MI 55 ans, grand-mère avec MI, pas de tabac, ATCD cardiovasculaire, DM NSTEMI le 18.06.2018: • Lésion monotronculaire, sténose significative de l'artère circonflexe distale : mise en place d'un DES • La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (65 %). • La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. • Pic de CK à 452 U/L • FRCV : anamnèse familiale positive NSTEMI le 20.06.2018 FEVG à 45 % ETT le 24 mai 2018 FRCV : tabagisme actif (15 UPA), SAOS non appareillé NSTEMI le 23.06.2018 dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire • Sténose significative IVA médiane : 1 DES • Sténose significative de la Cx médiane : 1 DES • Sténose subtotale de la Cx distale : 1 DES • Sténose significative de l'IVP • FEVG 55 % NSTEMI le 23.06.2018 dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire • Sténose significative IVA médiane : 1 DES • Sténose significative de la Cx médiane : 1 DES • Sténose subtotale de la Cx distale : 1 DES • FEVG 55 % NSTEMI le 26.05.2018 chez une patiente avec une maladie coronarienne tritronculaire • Sténose 80 % de la bifurcation tronc commun/IVA d'aspect thrombotique : PCI • Maladie ectasiante RCx périphérique • Occlusion d'une petite branche marginale droite de l'ACD non dominante. • Fraction d'éjection VG 70 % NSTEMI le 26.06.2018: • Maladie coronarienne de 1 vaisseau (subocclusion de l'artère circonflexe proximale) • PCI / 1 DES CX proximale : bon résultat • Discrète hypokinésie inféro-latérale • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE : 65 %) NSTEMI, maladie coronarienne avec: • sténoses intermédiaires de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne • sténose serrée de l'ostium de la première diagonale (inchangé) • bon résultat à long terme après stenting de la circonflexe proximale-branche marginale (2008) • de novo sténose ostium de la coronaire droite : stenting primaire DES • in stent resténose coronaire droite moyenne : PTCA/DES • sténoses intermédiaires coronaire droite distale et PLA/IVP • dysfonction ventriculaire gauche avec FEVG 40 % NSTEMI, maladie coronarienne bitronculaire • sténose subocclusive de la circonflexe proximale (culprit) : PTCA/DES • sténoses de la coronaire droite moyenne et distale • fonction systolique du VG normale NSTEMI sur maladie coronarienne tritronculaire le 28.06.2018: • occlusion chronique de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • sténoses subocclusives de la circonflexe proximale et moyenne • sténose subocclusive de l'interventriculaire postérieure • légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie EF 50 % • aorte ascendante normale NSTEMI sur resténose intrastent ACD moyenne le 24.05.2018 • avec pic de CK à 492 U/L NSTEMI sur sténose du pont veineux sur la marginale le 28.05.2016 • coronarographie le 29.05.2016 (Prof. X) : PTCA M1 et pont veineux sur M1 Maladie coronarienne tritronculaire. Cystadénolymphome de la parotide gauche ayant nécessité une parotidectomie gauche en 2009. Résection sigmoïdienne pour une diverticulite perforée en 2006. NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale le 01.06.2018 NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale le 01.06.2018 avec : • Maladie coronarienne tritronculaire : subocclusion de l'IVA ostiale, longues sténoses IVA/DA, RCx, IA ; occlusion chronique RCx distale ; occlusion aiguë PLA périphérique • Fraction d'éjection du ventricule gauche à 25 % • Décompensation cardiaque globale NYHA 4 avec pré-oedème pulmonaire aigu NSTEMI sur sub-occlusion de l'IVA proximale le 01.06.2018 avec : • maladie coronarienne tritronculaire : sub-occlusion de l'IVA ostiale, longues sténoses IVA/DA, RCx, IA. Occlusion chronique RCx distale. Occlusion aiguë PLA périphérique • fraction d'éjection VG 25 % • décompensation cardiaque globale NYHA 4 avec Pré-OAP NSTEMI territoire antéro-latéral le 25.06.18 NSTEMI territoire inféro-latéral le 08.06.2018 • contexte de cardiopathie bitronculaire (CD et IVA) 2 stents sur CD • Pic CK à 224 U/L NSTEMI vs décompensation cardiaque dans le contexte de l'embolie pulmonaire le 18.06.2018: • EP centrale bilatérale le 03.06.2018 • HTA pulmonaire plus élevée qu'au dernier bilan ETT • Troponine et pro-BNP à la hausse NSTEMI vs décompensation cardiaque le 18.06.2018 : • EP centrale bilatérale le 03.06.2018 • HTA pulmonaire en augmentation par rapport au dernier bilan ETT • Troponine et pro-BNP en hausse NSTEMI 2011 NSTEMI 2011 NT-ProBNP à 281 ng/l le 18.05.2018 Adaptation du traitement diurétique avec augmentation du Torem à 15 mg dès le 21.05.2018 Suivi clinique avec prise de poids quotidienne NT-proBNP le 07.06.2018 dans la limite de la norme Echocardiographie transthoracique le 06.06.2018 Lecture du pace-maker le 06.06.2018 NtproBNP normal Lasix 20 mg iv aux urgences Lasix 20 mg iv 3x/j à l'étage NT-Pro-BNP : 11'053. Laboratoire avec prise de sang et explications données au patient. ECG avec explications données au patient. Radiographie thorax : épaississement péri-broncho-vasculaire diffus sur les deux plages pulmonaires, cardiomégalie, avec explications données au patient. Echo ciblée abdomen, cœur : épanchement pleural bilatéral, avec explications données au patient. Lasix 40 mg aux urgences avec très bonne réponse clinique. Majoration Torasémide 30 mg à réévaluer le 13.06.18. Contrôle clinique et biologique le 13.06.18 en oncologie. Prévoir consultation CINACARD et diététique pour gestion du régime alimentaire et gestion des symptômes cardiaques. Nucalgie. Nucalgie d'origine musculaire. Nucalgies Nucalgies chroniques suite à un accident de voiture avec coup du lapin. Nucalgies chroniques suite à un accident de voiture avec coup du lapin. Numéro de sinistre : 3010.44214.18.0 Patiente âgée de 50 ans, victime d'un accident le 07.03.2018, avec choc direct sur le poignet droit. La radiographie faite chez le médecin traitant, le 07.03.2018, n'a pas objectivé de trait de fracture. Elle a été immobilisée dans une attelle velcro, mais étant donné la persistance des douleurs, une IRM a été faite le 13.04.2018, montrant une fracture du radius distal ainsi qu'une fracture du scaphoïde. La patiente a été vue aux urgences de l'hôpital de Riaz le 15.04.2018. Un traitement conservateur a été instauré (nous étions donc à 5 semaines du traumatisme). La patiente a été revue le 30.04.2018 et le 04.06.2018 à la consultation du Dr. X. Nous avons continué le traitement conservateur par plâtre antébrachial, qu'elle porte toujours. La patiente viendra en contrôle le 09.07.2018 à la consultation du Dr. X. Lors de sa prochaine consultation, une radiographie sera effectuée. Nous pourrons ainsi voir si la fracture ne se déplace pas et, si elle est consolidée, nous pourrons enlever le plâtre et commencer le traitement par physiothérapie. Une prolongation de l'arrêt de travail est à prévoir lors du 09.07.2018 pour pouvoir effectuer la physiothérapie. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail jusqu'au 09.07.2018.Numéro du service de pédopsychiatrie fourni au papa. Nutrition entérale par jéjunostomie Nutrition entérale par SNG du 25.05. au 30.05.2018 Nutrition entérale Conseils et 2 unités de traitement diététique Physiothérapie Nutrition entérale Physiothérapie Nutrition parentérale du 26.04 au 23.05.2018 Nutrition entérale par la sonde naso-gastrique débutée le 18.05.2018 Nycturie NYHSS à l'entrée 2, post CT 2 Avis Dr. X, neurologue de garde : CT time is brain, hospitalisation stroke, IRM, ETT Laboratoire ECG: rythme sinusal, superposable à 09.17 CT time is brain : difficilement interprétable avec de nombreuses lésions séquellaires, subocclusion de la carotide interne connue D et ACM D, superposable au CT de 09.17 sans argument pour une lésion aigue, avec apparition de la lésion de 2017 actuellement constituée Discuté avec Dr. X : Hosp aux SI pour stroke NYHSS 0 à l'entrée CT cérébral : occlusion probablement sur plaque d'athéromatose de P4 à gauche Attitude : • Aspirine 500 mg aux urgences, 100 mg/j ensuite • Hospitalisation en Stroke au SIC • Lit strict • à jeun OAP flash sur pic hypertensif à 220/130 mmHg le 20.06.18 : • dans un contexte d'arrêt du traitement médicamenteux habituel et de régime hyper sodé • probable cardiopathie sous-jacente OAP flash sur pic hypertensif à 220/130 mmHg le 20.06.2018 • dans un contexte d'arrêt du traitement médicamenteux habituel et de régime hyper sodé • NT pro-BNP 13'000 OAP sur pic hypertensif le 19.06.2018 • contexte de négligence de traitement depuis 3 jours OAP sur pic hypertensif le 19.06.2018 • Oubli de traitement depuis 3 jours OAP sur probable crise hypertensive le 04.06.2018 • Dysfonction diastolique modérée Obésité Obésité Obésité Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité. Obésité avec : • anneau gastrique dans les années 2000 Anamnèse familiale positive pour les maladies cardiovasculaires (mère décédée d'un AVC à 65 ans, 3 oncles infarctus du myocarde à 40, 60 et 62 ans) Obésité avec BMI à 31.9 kg/m2. Hypercholestérolémie. BPCO stade II selon GOLD à composante asthmatique avec Tiffeneau à 61% et 78% de valeurs prédites : • fonctions pulmonaires du 28.01.2014 : syndrome obstructif sévère avec hyperinflation et air trapping statique sans changement après B2 stimulant. Diffusion de CO rapportée au volume alvéolaire dans les normes. VEMS à 1.30 • fonctions pulmonaires du 11.03.2014 : syndrome obstructif sévère avec VEMS à 1.61 Syndrome des apnées du sommeil discret non appareillé : • 09.04.2014 saturation moyenne 93%, minimale de 80% avec un indice de désaturation 47. Insuffisance veineuse chronique du membre inférieur droit (intervention au laser le 05.11.2015). Migraine probable traitée par Relpax. Syndrome de Widal en novembre 2015. Obésité (BMI à 34.7 kg/m2) Obésité (BMI 27 kg/m2) Macroglossie (Mallampati classe IV) et rétrognathie Dentition en mauvais état État dépressif traité Tabagisme actif 100 UPA Suspicion de carcinome basocellulaire sous l'œil D Obésité (BMI 27 kg/m2) Macroglossie (Mallampati classe IV) et rétrognathie Dentition en mauvais état État dépressif traité Tabagisme 100 UPA Obésité (BMI 27 kg/m2) Macroglossie (Mallampati classe IV) et rétrognathie État dépressif traité Obésité (BMI 30 kg/m2). Hypertension rénovasculaire sur sténose de l'artère rénale bilatérale, prédominante à droite (70 %), probablement sur dysplasie fibromusculaire avec stenting des artères rénales bilatérales le 20 janvier 2012. Obésité (BMI 31) Obésité (BMI 35.7). SAOS appareillé Obésité (BMI 39.7 kg/m2) Obésité classe 3 selon l'OMI (BMI 60 kg/m2) Hypertension artérielle Perturbation des tests hépatiques sur possible NASH Obésité de grade III avec BMI à 40. État dépressif. Obésité de stade II avec BMI à 37 kg/m2. Obésité de stade 1 selon OMS (31.6 kg/m2) Obésité de stade 2 avec un BMI à 35 kg/m2 HTA Obésité de stade 2 BMI (37,2) Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives • avis Dr. X : hospitalisation à Marsens (unité Venus) de façon volontaire depuis le 26.12. Probable constipation d'origine médicamenteuse. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2 Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Probable constipation d'origine médicamenteuse. Obésité. Hémorroïdes. Obésité. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 insulino-requérant. Obésité : • mise en place d'un anneau en 1979 et bypass selon Mason • multiples complications chirurgicales (perforations, éventrations) Cancer de l'ovaire, 2010 Varices Gonarthrose du genou D>G Douleurs lombaires chroniques Anémie ferriprive sévère : • 57 g/l en mars 2017 (vitamine B12 et acide folique normaux en mars 2017) Maladie thrombo-embolique : • thromboses veineuses à répétition • traitement de Marcoumar en suspens, actuellement Clexane 40 mg s.c. Obésité modérée (BMI 35 kg/m2) Tabagisme actif à 3-4 cig/jour (depuis environ 20 ans) Endométriose Stade IV (traitée par Visanne jusqu'à il y a 6 mois - stoppé en raison de troubles de l'humeur). Obésité morbide Obésité morbide Obésité morbide Obésité morbide. Obésité morbide à 180 kg. Obésité morbide avec BMI à 34.6 kg/m2 Obésité morbide avec BMI à 34.6 kg/m2 Obésité morbide avec BMI à 53 kg/m2. Tabagisme actif à 80 UPA. Probable BPCO. Probable syndrome d'obésité-hypoventilation (Syndrome de Pickwick). Flutter auriculaire (US cardiaque du 09.04.2012). Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 54,1 kg/m2 (149 kg ; 166 cm) Obésité morbide : 37.3 Obésité morbide. Diabète de type II insulino-requérant. Insuffisance rénale chronique stade II avec une clairance à 72 ml/minute selon MDRD sur probable néphropathie diabétique et hypertensive Hypercholestérolémie. Hypertension artérielle. Lithiase vésiculaire (CT scan thoracique du 23.08.2016). Insuffisance cardiaque globale avec : • cardiomyopathie dilatée idiopathique • FEVG 25%, troubles de la contractilité diffuse (échocardiographie du 25.08.2016, Dr. X). Obésité morbide. Gonalgie droite probablement sur syndrome rotulien et surcharge dans le contexte de l'obésité. Obésité morbide HTA traitée par Metozerok et Co-Candesartan Hypercholestérolémie traitée Obésité morbide. Hypertension artérielle traitée. Syndrome des apnées du sommeil appareillé. Obésité sévère classe II selon OMS avec BMI 38.4 Obésité stade IV. Obésité Dyslipidémie non traitée. Obésité HTA Cardiopathie ischémique et dysrythmique avec : • 2006 et 2014 : Stent de l'IVA proximale, moyenne et de la 1ère diagonale • 02.18 : Stent de l'artère circonflexe proximale Fibrillation auriculaire électroentrainée avec • Pacemaker bicaméral VVIR, 02.2006 (pour syndrome tachy-brady) • Ablation isthme cavo-tricuspidien pour flutter, 06.2007. • Ablation noeud AV pour FA résistante, 11.2013 FEVG 40% (ETT, 2016) Asthme Syndrome de l'intestin court et syndrome du côlon irritableHypothyroïdie substituée Obésité HTA Cardiopathie ischémique et dysrythmique avec : • 2006 et 2014 : stent de l'IVA proximale, moyenne et de la 1ère diagonale • 02/2018 : stent de l'artère circonflexe proximale Fibrillation auriculaire électroentraînée avec : • Pacemaker bicaméral VVIR, 02.2006 (pour syndrome tachy-brady) • Ablation du isthme cavo-tricuspidien pour flutter, 06/2007 • Ablation du noeud AV pour FA résistante, 11/2013 FEVG 40% (ETT, 2016) Asthme Syndrome de l'intestin court et syndrome du côlon irritable Hypothyroïdie substituée Obésité HTA Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CX) : • Bon résultat à long terme PCI/ 3 DES IVA proximale, moyenne et PCI/ 1 DES 1ère diagonale de l'IVA. • Actuel : PCI/ 1 DES d'une sténose de 70-90% de l'artère circonflexe proximale, avec fenestration de la 2ème branche marginale : bon résultat, mais occlusion périprocédurale de la 1ère marginale, sans traduction clinique. Obésité Hypertension artérielle traitée Gonarthrose bilatérale, intervention chirurgicale refusée par la patiente Obésité. Hypertension artérielle. Consommation OH à risque. Possible SAOS. Obésité. Hypertension artérielle. Constipation. Objectif d'hydratation de 1000 ml/24h (but 700 ml/24h) + compensation des pertes. Contrôle clinique chez le pédiatre le 25.06.2018 Consultation en urgence si reprise de vomissements incoercibles malgré le traitement de zofran, signe de déshydratation ou crise de douleurs abdominales. Objectivement et subjectivement bonne évolution. Pas de mesure particulière. Fin du traitement. Objectivement, je constate des douleurs proches de l'épaule, mais pas forcément en relation avec cette épaule D. Je ne retiens pas le diagnostic de tendinopathie du sus-épineux, étant donné que la patiente ne présente aucun signe de tendinite du sus-épineux lors des tests de provocation. Par contre, les douleurs pourraient être d'origine cervicale, raison pour laquelle une IRM est programmée. Je revois Mme. Y suite à cet examen (4.7.18). Observation Observation à domicile si apparition d'érythème migrant. Contrôle clinique chez le pédiatre si persistance de l'état fébrile. Observation aux urgences. Pas d'alcoolémie car le patient ne souhaite aucune prise en charge. Évaluation neurologique le 01.06.2018 à 06 h : normale. Le patient ne sait pas pourquoi il est à Fribourg et pensait qu'il était à Berne. Ne souhaite pas nous dire avec précision la quantité d'alcool prise ce soir et si consommation d'autres drogues ou stupéfiants. Problème administratif concernant la facturation chez un patient non résident en Suisse, et pas d'information sur son adresse officielle en Italie, nécessitant l'intervention de la police. Observation clinique. Certificat médical. Traitement symptomatique. Suite de la prise en charge en gynécologie (rendez-vous avec le Dr. X le 25.06 et laparoscopie exploratrice le 21.06). Observation clinique. Dafalgan. Réassurance. Proposition de discuter avec son gastro-entérologue pour une possible adaptation du traitement. Traitement symptomatique (le patient a du Dafalgan à domicile). Consignes comportementales (rompre le jeûne du Ramadan si malaise). Observation clinique. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Altération des tests hépatiques stables par rapport au laboratoire chez le médecin traitant du 13.06.18. Urines : négatives. Mise en place d'un traitement symptomatique. Contrôle clinique et biologique à 48h en FR 34. Reconsultation avant si péjoration. Observation clinique. Si nouvel épisode, prendre contact avec le proctologue (coordonnées du proctologue données à la patiente). Observation clinique. Traitement symptomatique par Atarax. Stop autre traitement. Consilium dermatologique. Observation clinique. Antalgie. US testiculaire +/- rénale le 30.06.2018 (après discussion avec Dr. X, radiologue). Rendez-vous F34 le 30.06.18 pour restitution des résultats US. Observation clinique. Arrêt de travail. IRM à organiser en ambulatoire (questionnaire de sécurité rempli). Rendez-vous neurologique au centre de Fribourg à organiser par le médecin traitant. Observation clinique. Attitude : Retour à domicile. Reconsultation en cas de signe inflammatoire. Instructions pour soin de panaris données au patient. Observation clinique. Attitude : Retour à domicile. Traitement antibiotique. Rendez-vous dermatologique à organiser par le médecin traitant. Observation clinique. Attitude : Retour à domicile. Traitement symptomatique. Certificat médical. Reconsulter chez le médecin traitant si pas d'amélioration. Observation clinique. Attitude : Traitement par Prednisone et symptomatique. Retour à domicile avec contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Rendez-vous avec un allergologue à organiser par le médecin traitant. Observation clinique. Avis Chirurgien (Dr. X) : poursuite des rinçages et de l'antibiothérapie avec consultation de contrôle le 21/06/18 (appeler le Dr. X à l'arrivée du patient). Rinçage. Pose d'une mèche sèche. Poursuite antalgie. Discuter avec Dr. X de la poursuite de l'antibiothérapie le 21/06/18. Observation clinique Contrôle chez le médecin traitant à la fin de cette semaine pour discuter du début d'une psychothérapie. Observation clinique. Discussion téléphonique avec son père. Retour à domicile à sa demande, Mme. Y rentre avec son compagnon. Coordonnées d'une psychothérapeute données à la patiente. Coordonnées des Urgences données à la patiente. Observation clinique. Pansement avec Floxal. Attitude : Retour à domicile. Rendez-vous chez l'ophtalmologue de garde le lendemain. Pansement par Floxal à refaire demain matin par la patiente. Observation clinique. Pansement avec Ichtholan 20%, compresse et Mefix. Rendez-vous en filière 34 le 17.06.18. Reconsulter avant si écoulement. Observation clinique. Pansement avec Ichtolan 20%, compresse et Mefix. Augmentin 1g aux urgences. Attitude : • Retour à domicile. • Rendez-vous en filière 34 le 18.06.18. • Poursuite traitement antibiotique, mise en place d'un traitement antalgique et anti-inflammatoire. • Reconsulter avant si écoulement. Observation clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de scanner nécessaire en urgence. Avis radiologique (Dr. X) : processus transverse droite L4 non visualisable en raison d'une surprojection. Attitude : Retour à domicile. Antalgie. Arrêt médical. Contrôle la semaine prochaine chez le médecin traitant à corréler avec un scanner selon l'évolution clinique. Conseils sur l'hygiène du dos prodigués au patient. Observation clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Streptotest : négatif. Attitude : Retour à domicile. Traitement symptomatique et antibiotique. Certificat médical. Consulter chez le médecin traitant si pas d'amélioration en début de semaine prochaine. Observation clinique. Proposition de scanner cérébral que la patiente refuse. Surveillance par proche pendant 12 heures après la chute (feuille de surveillance post-TC donnée à la patiente à remettre aux proches). Échec de contact avec soins à domicile. Contrôles tensionnels ce jour soins à domicile. Reconsulter si signes d'aggravation (Red-Flag expliqué à la patiente). Observation clinique. Radiographie de l'épaule. Retour à domicile. Gilet orthopédique. Traitement symptomatique. Arrêt maladie. Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Bon de physiothérapie. Observation clinique. Seroquel 300 mg per os. Avis psychiatrique téléphonique (Dr. X) : hospitalisation à Marsens en PAFA. Observation clinique. Test de Shellong : négatif (mais chute TAS de 15 mmHg). Consignes comportementales (hydratation, levée progressive). Consulter médecin traitant si persistance.Observation clinique. Traitement anti-pyrétique : avec bonne efficacité et disparition de la fièvre. Attitude : Retour à domicile. Traitement symptomatique. Reconsultation à 48h si persistance de la fièvre malgré le traitement ou si aggravation des symptômes. Observation clinique. Traitement symptomatique et retour à domicile. Réassurance. Contrôle chez le médecin traitant en cas d'aggravation. Observation et consultation chez le médecin traitant selon évolution. Consultation si apparition de douleur importante (névralgie). Obstétricaux : • césarienne en 2015 • césarienne en 2011, lieu : Venezuela, sexe : F, poids (g) : 3800, particularités : dystocie à 4 cm, en raison d'un Doppler pathologique chez une patiente 3 gestes devenue 2 pares à 36 1/7 semaines d'aménorrhée. Gynécologiques opératoires : • GEU. Chirurgicaux non-gynécologiques : • Cholécystectomie. Migraines sans aura en lien avec menstruations le 24.11.2016 • avec pic hypertensif dans le contexte algique. Pic hypertensif symptomatique à 181/125 mmHg 06.2017, traité par 20 mg d'Adalat. Pic hypertensif sans atteinte d'organe, le 23.08.2018. Céphalées habituelles sans critères de gravité. Obstétricaux : • accouchement par voie basse en 2009. Fistule recto-vaginale suite aux sutures périnéales. • césarienne élective devant un statut post fistule recto-vaginale en 2013. 2009 : cure de la fistule recto-vaginale au Burkina Faso : à l'examen espace ano-vaginal, présence à mi-distance d'une discrète dépression cutanée punctiforme non sécrétante : au toucher, normalité de l'épaisseur de la cloison recto-vaginale. 2012 : Missed abortion 22.06.2012 tt par Cytotec. 2013 : menace d'accouchement prématuré à 27 semaines d'aménorrhée et 32 semaines d'aménorrhée, accouchement par césarienne à terme. Obstétricaux : Voie d'accouchement : césarienne, Date : le 14.06.2018, Lieu : Daler, Sexe : F, Poids (g) : 3350, Périnée : intact, Allaitement (mois) : oui, Particularités : césarienne en T d'après le dire de la patiente Voie d'accouchement : césarienne, Date : 2013, Poids (g) : 3300, Voie d'accouchement : césarienne, Date : 2006, Poids (g) : 3500, Obstétricaux : Voie d'accouchement : césarienne, Instrumentation : non, Date : 16.04.1993, Lieu : Fribourg, Sexe : M, SG : à terme, Poids (g) : 2800, Périnée : intact, Voie d'accouchement : césarienne, Instrumentation : non, Date : 02.06.1995, Lieu : Fribourg, Sexe : F, SG : à terme, Poids (g) : 3000, Périnée : intact, Obstruction cholédocienne le 22.06.18 : • avec suspicion de cholangite débutante Obstruction de l'oreille gauche sur bouchon de cérumen le 20.06.2018. Obstruction des voies aériennes sup Obstruction des voies aériennes supérieures Obstruction des voies aériennes supérieures sur CE (morceau de pain) le 07.06.2018 Obstruction nasale. Obstruction nasale chronique. Occlusion artérielle palmaire G sur le versant cubital le 11.09.2014, favorisée par une thrombocytémie essentielle • actuellement sous Xarelto Occlusion complète de l'artère carotide commune droite, IRM cérébrale (24.04.2018) Artériopathie périphérique des membres inférieurs stade IIb avec occlusion de l'axe iliaque externe droite Calcification de la bifurcation aortique distale Insuffisance veineuse chronique des membres inférieurs stade II Gonarthrose droite Édentation maxillaire complète, 1 dent résiduelle mandibulaire Presbyacousie Occlusion de l'artère centrale de la rétine gauche le 11.06.2018 • CHUV : Pas de thrombolyse (hors délai), IRM cérébrale : pas d'autres lésions Occlusion de l'artère sous-clavière distale droite suite à la radiothérapie Hystérectomie et annexectomie bilatérale Cancer du sein droit diagnostiqué en 1987 • Tumorectomie avec curage axillaire • Radiothérapie adjuvante centrée sur le sein droit • Hormonomodulation par Nolvadex pendant 5 ans Odynodysphagie Odynodysphagie Odynodysphagie Odynodysphagie Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie prédominante à droite Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie et douleur buccale Odynophagie et état fébrile. Odynophagie fébrile Odynophagie suite à amygdalectomie le 07.06.2018. Odynophagie, toux Oedème aigu du poumon cardiogénique le 08.06.2018 avec : • Insuffisance mitrale sévère sur rupture du cordage du feuillet postérieur avec flail P2 Oedème aigu du poumon le 07.05.2014 • sur fibrillation auriculaire rapide inaugurale : cardioversion spontanée (Score CHADS-VASC : 4). Arthroplastie totale de la hanche gauche pour coxarthrose invalidante le 06.02.2014. Pneumonie basale droite en 2010. PTH droite en 2004. TURP en 1985. Angioedème sur IEC. Oedème aigu du poumon le 22.04 et le 23.04.2018 • sur crise hypertensive Oedème aigu du poumon sur décompensation cardiaque gauche le 20.03.2018 • d'origine ischémique et valvulaire (insuffisance mitrale modérée à sévère) Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • trouble visuel post traumatisme à l'adolescence • traumatisme crânio-cérébral sévère le 01.09.2017 Crise de goutte poignet gauche, le 23.03.2018 Crise de goutte du pied droit le 07.09.2017 Fracture P2 D4 avec luxation cubitale partielle main droite sur chute de sa hauteur le 26.09.2017 Entorse de la cheville droite avec suspicion d'entorse de Chopard et Lisfranc le 25.01.2016 Hernie inguinale gauche asymptomatique Oedème aigu du poumon sur fibrillation auriculaire rapide et cardiopathie valvulaire le 23.06.2018 avec : • Insuffisance respiratoire hypercapnique aiguë • dilatation des deux oreillettes • hypertension pulmonaire modérée à sévère post-capillaire probable (PAP systolique 55 mmHg) • épanchements pleuraux bilatéraux • CHADVASC score = 4 points Oedème aigu du poumon 16.06.18 • écart régime hydrosodé (charcuterie) Oedème au membre inférieur gauche. Oedème cérébral droit en progression sur radionécrose le 12.05.2018 : • symptomatologie : pied tombant à gauche et progression d'une parésie du membre supérieur gauche DD : Syndrome de Todd Oedeme chronique de la cheville gauche le 13.06.2018 Oedème de la jambe gauche. Oedème de la luette d'origine allergique probable, sans facteur déclenchant. Status post-douleurs thoraciques atypiques le 31.10.2015. Urolithiase droite de 3.5 mm x2.5 mm x3 mm, 10.05.2017. Oedème de la main droite. Oedème de la main droite. DD : poussée d'arthrose/crise de goutte/polyarthrite. Oedème de la main gauche. Oedème de la malléole interne de la cheville gauche remontant au niveau de la face interne proximale du pied gauche : • Plaie croûteuse sans écoulement au niveau supra-malléolaire interne gauche. • Plaie croûteuse sans écoulement au niveau cunéiforme médial gauche. Oedème de l'hémiface droit apparu le 28.06.18. Oedème de l'œil gauche. Oedème de prépuce. Oedème des deux membres inférieurs. Oedème des membres inférieures DD : origine lymphatique. Oedème des membres inférieurs physiologiques, le 18.06.2018. Oedème du coude et avant-bras G d'origine indéterminée le 25.06.2018 DD : déchirure musculaire (triceps gauche), thrombose post-effort du MSG • Rx coude G : pas de fracture visualisée • US du MSG organisé le 26.06.2018 à 10h45 : petite déchirure à la jonction tendino-musculaire du triceps gauche. Pas de signe de thrombose. Oedème du genou gauche. Oedème du membre inférieur gauche. Oedème du membre inférieur gauche indolore d'origine indéterminée : • diagnostic différentiel : atteinte lymphatique dans un contexte de récidive de recto-colite ulcéro-hémorragique symptomatique. Oedème du membre inférieur gauche sur probable stase veineuse (immobilisation et insuffisance veineuse chronique). DD : dermo-hypodermite. Oedème du membre inférieur gauche sur stase veineuse avec probable dermo-hypodermite débutante. Oedème du membre supérieur droit le 07.06.2018 DD Infection cathéter artériel DD Paravasation VVP. Oedème du pharynx sur piqûre d'insecte le 22.07.15 S/p appendicectomie s/p accouchement par voie basse à terme en 2005 s/p conisation en 2008 (Dysplasie du col utérin CIN1-CIN2, HPV HR+). Oedème du pharynx sur piqûre d'insecte le 22.07.15 S/p appendicectomie s/p accouchement par voie basse à terme en 2005 s/p conisation en 2008 (Dysplasie du col utérin CIN1-CIN2, HPV HR+). Oedème important des membres inférieurs. Oedème laryngé le 24.05.2018 • Intubation oro-trachéale Cormack 3 • suspicion de lésion du nerf récurrent gauche DD Angioedème héréditaire. Oedème membre inférieur gauche. Oedème membres inférieurs. Oedème palpébral. Oedème palpébral. Oedème pulmonaire aigu dans un contexte de syndrome coronarien aigu et insuffisance respiratoire globale. Oedème pulmonaire aigu dans un contexte de syndrome coronarien aigu le 24.05.2018 avec : • Insuffisance respiratoire globale. Oedème 3e orteil après piqûre. Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs : • Diagnostic différentiel : décompensation cardiaque, obstacle sur retour veineux. Oedèmes des membres inférieurs chroniques de probable origine cardiaque : • Status post-reconstruction valvulaire aortique en 2016. • FEVG 60% le 12.12.2016. Oedèmes des membres inférieurs chroniques d'origine probable mixte. Oedèmes des membres inférieurs d'origine mixte. Oedèmes des membres inférieurs, gauche plus que droit, post opératoires, sur lésion nerveuse sympathique. Oedèmes des membres inférieurs sur hypoalbuminémie. Oedèmes des membres inférieurs DD : cardiaque (HTAP). Oedèmes des MI. Oedèmes des MI. Oedèmes des MI ddc depuis le 08.06.2018 suite à la chimiothérapie évoluant en anasarque sur hypoprotéinémie, hypoalbuminémie et mauvaise tolérance hépatique de la chimiothérapie par Gemzar. Oedèmes généralisés. Oedèmes labial et péri-orbitaire. Oedèmes lymphatiques chroniques des MI. Oedèmes membres inférieurs post-opératoire (liposuccion des cuisses le 06.06.2018 en Tunisie). Oeil droit douloureux. Oeil gauche : exploration, débridement de l'iris, repositionnement de l'haptique en chambre antérieure, rotation de l'implant, vitrectomie antérieure, suture cornéo sclérale. Oeil gauche : perforation oculaire avec hernie irienne et sortie de l'haptique supérieure PMMA de chambre antérieure de type Kelmann. Oeils rouges. Oeso-gastro-duodénoscopie en ambulatoire, la patiente sera convoquée par le service de gastroentérologie. Oeso-gastro-duodénoscopie en ambulatoire (le patient sera convoqué par le service de gastroentérologie). Oeso-gastro-duodénoscopie et colonoscopie le 20.06.2018 : 3 ulcères, pas de varice oesophagienne. Traitement conservateur avec Pantoprazol 80 mg durant 14 jours avec par la suite 40 mg 1x/j. Oeso-gastro-duodénoscopie et colonoscopie le 20.06.2018 : 3 ulcères, pas de varice oesophagienne. Traitement conservateur avec Pantoprazol 80 mg durant 14 jours avec par la suite 40 mg 1x/j soit jusqu'au 05.07.2018. Oesogastroduodénoscopie le 07.06.2018 : Introduction de l'endoscope vidéo Olympus par la bouche oesophagienne supérieure sous contrôle de la vue. Aspect normal de la muqueuse au niveau de l'œsophage supérieur et moyen. Dans l'œsophage distal, visualisation d'un œdème de la paroi avec une hyperémie mais sans visualisation de bulle ni de fibrine, il s'agit donc d'un stade de Zargar I. Dans l'estomac, la paroi du cardia du corps se présente enflammée, oedématiée mais sans trace d'ulcère. Dans la partie antrale, l'inflammation est moins visible. On rince l'estomac à diverses reprises avec environ 1L de NACL et aspiration du liquide. La partie duodénale se présente normalement sans présence de liquide. Oesophagite de reflux stade D le 02.02.2018 • OGD le 01.02.2018 • IPP double dose du 02.02 au 02.03.2018, puis 1x/j. Amygdalectomie. Cure de varices. Appendicectomie dans l'enfance. Sepsis sévère à point de départ indéterminé le 17.02.2018 • DD : endocardite, tumoral. Pneumonie à P. jivorecii chez patient immunosupprimé le 06.02.2018. Oesophagite diffuse non ulcérante le 18.06.2018 • DD : médicamenteuse, virale (EBV, herpès) dans le contexte d'un probable HIV. Oesophagite diffuse sévère, non ulcérante, non compliquée le 18.06.2018, probablement sur une candidose DD : auto-immun, médicamenteux (Arcoxia) • gastrite chronique sous Dexilant. Oesophagite HTA Côlon irritable Diabète Hypercholestérolémie. Oesophago-duodéno-scopie le 29.05.2018 : hernie hiatale et gastrite antrale sans érosion ni ulcération. Oesophago-duodéno-scopie le 29.05.2018 : hernie hiatale et gastrite antrale sans érosion ni ulcération. Biopsie gastrique : histomorphologique compatible avec une légère gastropathie réactive, pas de H. Pylori mis en évidence. Oesophago-gastro-duodénoscopie le 27.06.2018 (Dr. X) : Oesophage normal. Pas d'hernie. Pas d'oesophagite. Pas de varice oesophagienne. Estomac, pylore, bulbe, 2ème duodénum sans aucune lésion. Pas de trace de sang. Pas de lésion muqueuse susceptible d'avoir saigné. Angio-CT abdominal le 28.06.2018 : Doute sur un saignement DD artefact plus probable de la paroi gastrique (Angiodysplasie ? Artéfact ?). Athéromatose mixte de l'aorte abdominale et de ses branches, avec sténose significative au départ de l'artère mésentérique supérieure, sans signe d'ischémie mésentérique. Multiples occlusions focales sur le trajet des artères fémorales. Offene intraartikuläre nicht deplazierte Fraktur der Basis der distalen Phalanx Dig I links. Offene leicht deplazierte multifragmentäre Fraktur der distalen Phalanx Dig I Fuss rechts am 20.06.2018 mit ausgeprägtem Hämatom mit Spannungsblasen, DD beginnende Infektion ? • CRP 8, Leuk 5.5 G/l. OGD ? OGD à organiser rapidement. Investigation hyperglycémie et glycosurie chez le médecin traitant. Suivi des paramètres inflammatoires le 06.06 (CRP 12 mg/l sans leucocytose le 04.06). OGD avec 2 clips et coagulation par électrocoagulation bipolaire (BICAP) le 22 et 24 mars (Genève) Pantoprazol au long cours OGD avec 2 clips et coagulation par électrocoagulation bipolaire (BICAP) le 22.03 et 24.03.2018 (Genève) Pantoprazol 40 mg/j OGD en ambulatoire à la recherche de varices. US abdominal complet. OGD en urgence le 27.06.2018 : absence de lésion muqueuse susceptible d'expliquer des douleurs épigastriques. Pas d'évidence pour une incompétence du cardia pouvant expliquer les symptômes de reflux. OGD et colonoscopie demandés OGD et colonoscopie en ambulatoire OGD et colonoscopie (22.02.2018) • OGD : gastrite antrale • Colonoscopie : polype de 5 mm dans le colon ascendant réséqué; lésion polypoïde d'environ 3-4 cm à 80 cm de la marge anale dans le colon transverse proximal, pas réséqué Adénocarcinome endométrioïde avec hystérectomie en 2001 Périarthrite scapulo-humérale droite en 2008 Cholécystectomie en 2000 OGD le 06.06.2018: Status après résection gastrique partielle avec anastomose gastro-jéjunale de type Billroth I. Minuscule ulcération devant l'anastomose sans trace de sang ni vaisseau visible actuellement. OGD le 07.06.2018 (Dr. X) : rinçage par NaCl, aspiration OGD le 14.06.2018 (Dr. X) : nette amélioration OGD le 07.06.2018 (Dr. X) : rinçage par NaCl, aspiration OGD le 14.06.2018 (Dr. X) : nette amélioration Pantoprazol iv continu du 07.06 au 10.06.18, puis double dose OGD de contrôle et suite de ttt IPP : à discuter avec le Dr. X OGD 21.06.2018 : ulcère chronique du bulbe duodénal distal sans signe de saignement. Béance du cardia avec une ligne Z asymétrique. Attitude : Pantoprazole 40 mg 1x/j au long cours IRM cérébrale 22.06.2018 : stabilité de l'atrophie cérébrale avec contusions frontales bilatérales et occipitale droite. Minime dilatation anévrismale de 2 mm à la jonction des segments A1 et A2 gauches, avec aplasie du segment A1 droit. OGD/colonoscopie le 01.06.2018 Déficit de fer calculé : 1500 mg Ferinject 500 mg 22.05, 29.05.2018 OH. OH chronique OH chronique OH chronique. OH chronique • éthanolémie 1.5 %o OH chronique Adénocarcinome de la jonction oesogastrique de type III selon Siewart, classé pT1b pN0 (0/17) c M0 : • date du diagnostic : 18.02.2014 • histologie Promed : adénocarcinome moyennement différencié envahissant des petits filets de musculature lisse en profondeur de la jonction d'une muqueuse malpighienne non kératinisante épaissie et d'une muqueuse cylindrique (2 biopsies du pli sous-cardial) • oesogastroduodénoscopie du 14.02.2014 : juste en dessous du cardia, mise en évidence d'un gros surmonté d'un ulcère, biopsié • CT Scan thoraco-abdomino-pelvien du 13.02.2014 : pas d'évidence de processus expansif à l'étage thoracique ou abdominal. Hépatomégalie avec stéatose hépatique homogène, sans autre lésion suspecte : • résection distale de l'oesophage et gastrectomie subtotale avec reconstruction d'un interponat de l'intestin grêle selon Merendino le 17.06.2014. Analyse histo-pathologique : stade TNM 2009 : pT1b N0 (0/17) ; G2, R0 • actuellement rémission complète avec CT du 03.11.2015 : pas de signe de récidive tumorale locale ou à distance. Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire chronique sous Sintrom. Artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec thrombolyse et patch d'élargissement sur l'artère poplitée droite le 24.09.2008 et pontage périnéo-tibial antérieur du membre inférieur droit le 16.10.2008, sous Sintrom. Tabagisme actif à 80 UPA. Dyslipidémie non traitée. Dénutrition protéino-calorique sévère. Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • perturbation des tests hépatiques • macrocytose. OH chronique Splénectomie post AVP en 1976, statut vaccinal à jour RGO occasionnel Hypertension artérielle OH chronique splénectomie post AVP en 1976, statut vaccinal à jour hépatites A hépatite B RGO occasionnel OH chronique. Tabagisme actif à 33 UPA. Consommation de cannabis. Gastrite sur OH chronique. Vomissements journaliers depuis 25 ans. Hémorroïdes. Arthrose des épaules. Plaie superficielle péri-anale de 4 cm le 25.06.2016. Probable folliculite chronique du tronc. Trouble anxieux chronique avec consommation OH, benzodiazépines, tramadol et cannabis. • suivi au RFSM en 2013 Toux paroxystique. Mauvais état dentaire chronique. OH chronique. Tabagisme actif à 33 UPA. Consommation de cannabis. Gastrite sur OH chronique. Vomissements journaliers depuis 25 ans. Hémorroïdes. Arthrose des épaules. Plaie superficielle péri-anale de 4 cm le 25.06.2016 Syndrome de dépendance à l'alcool Probable folliculite chronique du tronc Trouble anxieux chronique avec consommation OH, benzo, tramadol et cannabis • suivi au RFSM en 2013 Toux paroxystique Mauvais état dentaire chronique Oleovit 1 gtte/j Oligoarthralgie d'origine indéterminée le 28.06.2018 DD. Polyarthrite rhumatoïde, fibromyalgie, autres maladies rhumatologiques ? Oligoamnios Oligoamnios avec AFI 4 cm et grande citerne 1.9 cm Oligoarthrite cheville des deux côtés DD : arthrite psoriasique. Oligoarthrite symétrique et inflammatoire des chevilles et MCP d'origine indéterminée le 23.05.2018 Oligurie Oligurie post-opératoire Oligurie post-opératoire Oligurie sur apports hydriques insuffisants/déshydratation le 18.05.2018 Mr. Y est un nouveau-né à terme de 38 1/7 semaines d'aménorrhée, né par césarienne élective, avec une bonne adaptation initiale, hospitalisé à 5 h de vie dans un contexte de détresse respiratoire sur probable wet lung. Sur le plan respiratoire, à son arrivée dans le service, Mr. Y présente une légère détresse respiratoire sans nécessité de soutien respiratoire ni d'oxygénothérapie. L'évolution est rapidement favorable. Sur le plan neurologique, Mr. Y présente une microcéphalie, raison pour laquelle nous effectuons un ultrason cérébral qui est dans les limites de la norme. Le CMV urinaire n'est malheureusement pas obtenu, mais la mère est immune. Sur le plan alimentaire, Mr. Y est initialement gardé à jeûn en raison de la détresse respiratoire, mais est alimenté dès 6 heures de vie, sans nécessité de sonde naso-gastrique. Sur le plan de la croissance, il perd un maximum de 4 % de son poids de naissance. Il reçoit le Konakion à la naissance et à J4 et nous vous laissons le soin de donner la dernière dose à J28. En raison d'une bonne évolution, Mr. Y peut retourner à la maternité le 02.06.2018, avec un poids de 2440 g. OMA bilatérale il y a 2 sem OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale OMA bilatérale débutante OMA bilatérale, perforée à droite OMA bilatérales récidivantes OMA débutante ddC OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite OMA droite avec réaction mastoïdienne sans mastoïdite 05.2015 OMA droite réfractaire OMA droite résistante au traitement par Algifor, traitée par antibiothérapie début avril OMA droite <24h OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche OMA gauche, débutante à droite Omalgie atraumatique gauche. Omalgie bilatérale sur probable lésion SLAP plus marquée à droite qu'à gauche. Omalgie D Omalgie droite. Omalgie droite. Omalgie droite. Omalgie droite. Omalgie droite.Omalgie droite. Omalgie droite le 31.05.2018 avec • échec d'antalgie à domicile le 2.06.2018 • status post 4 échecs de ponctions articulaires le 31.05.2018 DD: arthrite septique, tendinite calcifiante du sous-épineux. Omalgie droite le 31.05.2018, Diagnostic différentiel : tendinite calcifiante du sous-épineux. Omalgie droite sur rupture de la coiffe des rotateurs. Cervicobrachialgie droite. Lombalgie chronique. Multiples morsures de tique. Omalgie droite traumatique. Omalgie gauche. Omalgie gauche. Omalgie gauche. Omalgie gauche. Omalgie gauche. Omalgie gauche après suture de la coiffe des rotateurs. Cervicobrachialgie gauche sur protrusion C5-C6. Omalgie gauche atraumatique. Omalgie gauche mécanique. Omalgie gauche sur cervicarthrose le 07.07.2013 Lipothymie et bloc atrio-ventriculaire de haut degré sur intoxication au Verapamil dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë le 23.04.2013. Status après appendicectomie. Status après amygdalectomie. Status après prothèse totale de hanche bilatérale et prothèse totale du genou gauche. Crise de goutte en 2012. Chute le 19.01.2018 avec : • fracture du plancher de l'orbite droite • fractures des parois antérieures et latérales du sinus maxillaire de côté droit avec hémato-sinus associé • déhiscence de la suture fronto-zygomatique droite avec petit déplacement Vertiges d'origine périphérique le 26.01.2018. Omalgie gauche sur cervicarthrose le 07.07.2013 Lipothymie et bloc atrio-ventriculaire de haut degré sur intoxication au Verapamil dans le contexte d'une insuffisance rénale aiguë le 23.04.2013. Status après appendicectomie. Status après amygdalectomie. Status après prothèse totale de hanche bilatérale et prothèse totale du genou gauche. Crise de goutte en 2012. Chute le 19.01.2018 avec : • fracture du plancher de l'orbite droite • fractures des parois antérieures et latérales du sinus maxillaire de côté droit avec hémato-sinus associé • déhiscence de la suture fronto-zygomatique droite avec petit déplacement Vertiges d'origine périphérique le 26.01.2018. Décompensation cardiaque droite 03.2018 sur : • hydratation intraveineuse intensive • mise en suspens du traitement diurétique Hypovitaminose D à 40 nmol/l et hypovitaminose B12 à 160 pg/ml. Corticothérapie au long cours. Alendronate 70 mg/semaine dès le 07.05.18. Prophylaxie PCP par aérosol Pentacarinat 1x/mois. Densitométrie osseuse : le 04.06.18 13h00. Rétention hydro-sodée sur corticothérapie. Adaptation des diurétiques. Décompensation d'un diabète de type II cortico-induit. Schéma insuline Humalog durant l'hospitalisation. Suivi glycémie 3x/semaine en ambulatoire. Flou visuel suite à l'introduction de la corticothérapie. Consultation ophtalmologique le 11.06.18 en ambulatoire. Insuffisance rénale aiguë sur insuffisance rénale chronique d'origine pré-rénale le 01.05.18 • sur manque d'apport et traitement diurétique. Hydratation per os. Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire. Bilan anémie dans la norme. Pas de notion d'extériorisation. Omalgie sur chute le 13.06.2018. Omalgies droites. Omalgies droites. Omalgies droites avec suspicion de lésion incomplète de l'infra et sous-épineux le 16.06.2018. Omalgies droites post-traumatiques. Omalgies gauches. Omalgies gauches. Omalgies gauches d'origine indéterminée (diagnostic différentiel : contracture musculaire, tendinopathie du long chef du biceps). Omarthrose activée avec boursite sous-acromio-deltoïdienne chronique à droite le 08.06.2018. Ponction articulaire Dresse Senftl le 08.06.2018, 9372 éléments, 2700000 érythrocytes, 82% de polynucléaires, cristaux de pyrophosphates, gram négatif, culture en cours (négatif à J2). Omarthrose avancée épaule droite. Omarthrose droite traumatisée. Rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 2ème degré. Amyotrophie du sus-épineux du 2ème degré. Arthrose AC asymptomatique. Ténopathie du long chef du biceps. Status post-infiltration sous-acromiale/intra-articulaire épaule droite le 6.4.2018. Omarthrose débutante, lésion chronique du sous-scapulaire avec luxation du long chef du biceps probablement nouvelle dans le cadre d'un traumatisme en décembre 2016 sur un status post-stabilisation de l'épaule il y a 20 ans. Status post-implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule gauche sur omarthrose avec atrophie du sus-épineux après traitement d'une instabilité. Lombosciatalgie droite non déficitaire sur hernie discale L5-S1. Hémochromatose héréditaire. Goutte. Status post-CRPS après cure de tunnel carpien droit en 2014. Status post-mise en place d'une PTG gauche après ostéotomie valgisante. Perte des urines sur infiltration épidurale L5-S1 le 24.04.2018. Omarthrose droite associée à une rupture massive de la coiffe des rotateurs. Prothèse inversée épaule droite (2011). Lithiase urinaire. Omarthrose droite symptomatique sur status post-ténotomie arthroscopique, ténodèse et suture partielle du sus-épineux et sous-scapulaire et acromioplastie le 01.12.2016 sur rupture traumatique sous-scapulaire, luxation du long chef du biceps et lésion partielle du bord antérieur du sus-épineux épaule droite sur accident datant du 06.12.2014. Omarthrose excentrée de l'épaule droite sur rupture chronique du sus-épineux et sous-épineux sans pseudo-paralysie. Omarthrose excentrée sur rupture chronique du sus-épineux épaule gauche. Arthrose AC gauche asymptomatique. Status post-infiltration intra-articulaire épaule gauche le 18.05.2018. Omarthrose gauche. Omarthrose primitive à gauche. Omarthrose primitive à gauche. Omarthrose primitive droite avec : Rerupture chronique tendon sous-scapulaire après une refixation de la coiffe des rotateurs sous-scapulaire, sus-épineux avec ténotomie, ténodèse du long chef du biceps et décompression sous-acromiale et résection AC à droite le 07.01.2014 (Dr. X). Omarthrose sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs ddc, plus symptomatique à gauche. Omarthrose sur rupture de la coiffe des rotateurs gauche traumatisée au mois de février 2018. Ombeline est hospitalisée pour surveillance clinique d'un état fébrile sans foyer. Sur le plan infectieux, Ombeline a fait 3 pics fébriles, toujours associés à un bon état général, raison pour laquelle nous avons décidé de la surveiller sans antibiothérapie. L'urotube reste stérile, les hémocultures sont négatives à 48h et l'analyse des selles revient négative pour Rotavirus et Adénovirus. Nous évoquons une probable virose et elle peut rentrer à domicile le 13.06.2018. Sur le plan alimentaire, Ombeline a des apports de 630-640 ml de lait maternel par jour, soit 151-153 ml/kg/j. Elle rentre à domicile avec un poids de sortie de 4170 g. Nous recommandons un contrôle chez le pédiatre demain pour un contrôle clinique. Oméprazole 1 mg/kg/jour. Contrôle chez Dr. X dans une semaine, à moins qu'entre-temps diminution ultérieure de la prise alimentaire/hydrique ou signes de déshydratation voire persistance des signes de disconfort abdominal ->dans ces cas reconsulter les urgences. Oméprazole 40 mg en IV. Oméprazole 40 mg en IV. Repos gastrique. Sérum physiologique aux besoins basaux 2 L/24 heures iv. OMI en péjoration et prise de poids. OMI et poids en augmentation. OMI sur arrêt du Torem 10 mg. Omphalorrhée. Omphalorrhée DD Eczéma péri-ombilical / fistule ouraque / Mycose autre. On a donc une double problématique à savoir une pseudarthrose de cette fracture de l'humérus proximal et deuxièmement un problème mécanique avec une vis protrusive au niveau articulaire. De plus, on ne peut pas exclure une infection à bas bruit de type Propionibacterium au niveau de cette épaule, ce qui pourrait aussi expliquer l'absence de consolidation. Je propose donc au patient une reprise chirurgicale avec ablation de 2 vis qui seront envoyées en sonication afin d'exclure une infection associée à un débridement et greffe de l'humérus proximal avec de la crête iliaque. Au niveau personnel, le patient n'est pas prêt pour cette opération, il souhaite laisser passer un peu de temps et revenir en consultation à l'automne pour pouvoir planifier cela à une période qui lui conviendrait mieux. Nous reverrons le patient pour agender cette opération le 03.07.2018 (patient qui a téléphoné l'après-midi du 19.06.2018 et souhaite se faire opérer en juillet).On a toujours la possibilité d'une trapézectomie plastie de suspension pour cette rhizarthrose qui est symptomatique mais fluctuante. Je revois la patiente dans 2 mois. Je lui explique que c'est à elle de décider si elle souhaite être prise en charge chirurgicalement ou pas. On choisit de répéter l'IRM de l'épaule gauche afin de confirmer la suspicion clinique. On fixe une nouvelle infiltration dans 4 semaines. On lui donne un schéma de médicament anti-inflammatoire à garder pour 2 semaines. On commence par l'épaule gauche : sous conditions stériles et contrôle scopique, ponction de l'espace sous-acromial et infiltration avec Dépo-Médrol/Ropivacaïne. Pansement stérile. On installe ensuite pour infiltrer l'épaule droite : sous conditions stériles et contrôle scopique, ponction de l'espace sous-acromial et infiltration avec Dépo-Médrol/Ropivacaïne. Bon effet immédiat. On confirme donc la réimplantation de PTH pour mercredi prochain. La patiente a signé ce jour le consentement éclairé et sera vue aujourd'hui même par les anesthésistes. On conseille à la patiente de poursuivre les séances de physiothérapie avec charge selon douleurs pour reprendre la mobilité. Les activités sportives avec choc axial sont interdites. Elle peut faire du vélo ou de la natation. On va revoir la patiente dans 2 mois pour contrôle radio-clinique avec des radiographies en charge et pour évaluer la perfusion du talus. On a prolongé l'arrêt de travail jusqu'à la fin juillet à 20%, elle travaille dans un bureau. On constate une stagnation de l'évolution. Je propose donc une infiltration sous-acromiale et intra-articulaire le 29.6.2018 qui sera répétée après 3 mois pour un total de 3 infiltrations afin d'améliorer la raideur articulaire du patient. Je reverrai le patient le 6.8.2018. On décide d'effectuer une infiltration au niveau de l'articulation entre le trapèze et le scaphoïde afin de compléter tous les traitements conservateurs. On reverra le patient à la consultation du Dr. X en octobre après l'infiltration. Si le patient devenait symptomatique, on choisira d'effectuer une opération d'arthroplastie associée à la mise en place d'un spacer en pyrocarbone. On demande d'effectuer une arthro-IRM afin d'investiguer la présence d'une arthrose qui se développe au niveau de l'articulation radio-lunaire. On reverra le patient à la suite des investigations à notre consultation. On diagnostique une cellulite du pavillon de l'oreille droite et de la région zygomatique post piqûre sans signes d'inflammation généralisés. On instaure une antibiothérapie per os et on préconise une reconsultation aux urgences le 13.06 à 10.30 pour réévaluation clinique. Contrôle le 13.06 (Alfano, méd ass. et Rosafio, méd stag.): Bonne évolution sous antibiothérapie avec nette diminution de l'oedème péri-orbitaire et disparition de l'oedème au niveau du pavillon de l'oreille droite (selon les parents, évaluation par d'autres examinateurs). Persistance d'un léger prurit. L'enfant tolère bien les antibiotiques et ne présente pas de symptômes intestinaux. Att: poursuite des antibiotiques comme prévu, pas de contrôle d'office, contrôle en cas de péjoration. On diagnostique une gastro-entérite probable aiguë chez Mr. Y sans signes de déshydratation. On donne des consignes de réhydratation et traitement sous antipyrétiques. Consultation aux urgences si persistance de vomissements ou refus de réhydratation. On diagnostique une otite moyenne aiguë gauche. Vu la non-réponse aux anti-inflammatoires et l'inquiétude de la mère, on instaure une antibiothérapie sous Amoxicilline 50mg/kg/j en 2 doses pendant 10 jours et on donne des consignes de réévaluation aux urgences si douleurs auriculaires persistantes ou altération de l'état général. On discute avec le patient de la possibilité de séances de chiropraxie. Il en a déjà eu dans le passé et refuse pour le moment. On discute avec lui d'une éventuelle dénervation articulaire, mais pour le moment il préfère attendre, car il doit être opéré pour des calculs rénaux. On le reverra en octobre pour discuter de la suite. On discute avec le patient d'une prise en charge chirurgicale et nous lui expliquons le déroulement de l'intervention. Il est prévu de faire une ostéosynthèse de fragment de Volkmann et de la malléole médiale avec un accès postéro-médial et antéro-latéral. On mettra également des vis de positionnement si nécessaire. Le patient connaît les risques et les bénéfices de l'opération, ainsi que le traitement postopératoire et il signe le consentement éclairé. On discute avec le Dr. X ce jour. On propose dans un premier temps d'enlever le clou et de procéder à des prélèvements microbiologiques afin d'exclure une infection avant de se lancer dans un geste d'ostéotomie correctrice du fémur proximal. Le patient devant être vu par le team genou le 02.08.2018, nous attendons le retour de nos collègues afin de savoir si l'on peut éventuellement coordonner les opérations afin d'éviter plusieurs anesthésies successives inutiles. Nous attendons donc leur avis avant de pouvoir planifier l'AMO du clou PFN. On discute les modalités du traitement avec le patient. Il n'y a pas d'indication opératoire absolue, par contre, en cas de péjoration de douleurs, l'implantation d'une prothèse inversée pourrait être discutée. Le patient n'est pas encore prêt à se faire opérer. Je lui explique l'implantation d'une prothèse inversée de l'épaule ainsi que les suites opératoires et les risques. Le patient va réfléchir à mes propositions et revenir vers moi en cas de péjoration des douleurs. On enlève donc les fils ce jour et j'encourage Mr. Y à bouger librement le coude. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines, soit le 19.06.2018. On est rassuré quant à l'absence d'une infection au niveau du pin distal, notamment avec une absence de douleurs en profondeur. On donne comme consigne de bien retirer la fibrine qui peut se former autour des pins au niveau de la peau et de bien pouvoir laisser s'écouler une éventuelle petite surinfection. On garde l'intervention prévue dans 3 semaines pour l'AMO du fixateur externe en restant toutefois à disposition entre-temps si besoin. On évoque un arrachement osseux chez le gros orteil du pied droit. On met en place une attelle, antalgie en réserve et contrôle chez le pédiatre dans 10 jours. On évoque une bronchite légère avec une faux croup associée sans signes de gravité. Évolution favorable aux urgences. Poursuite du Ventolin à domicile et réévaluation aux urgences pédiatriques demain matin pour réévaluation respiratoire. Contrôle clinique le 21.06. (Kolly): A: amélioration de la respiration avec toux moins aboyante. Reprise de voix. Pas d'état fébrile. Odynophagie persistante. En bonne santé habituelle, connue pour bronchite spastique à répétition. La maman a donné du Ventolin 6 puffs au 4h. S: Général: Poids 35.9 kg, T 36.1 °C, bon état général, bien hydraté et bien perfusé. ORL: fond de gorge érythémateux avec hypertrophie des amygdales. Pas d'adénopathie. Cardio-vasculaire: FC 124/min, B1B2 bien frappés, pas de souffle audible.Respiratoire : Sat 97 % à l'air ambiant, expirium prolongé, murmures vésiculaires symétriques sur toutes les plages pulmonaires avec sibilances en intermittence aux bases, pas de signes de détresse respiratoire. Abdominal : bruits abdominaux normaux en fréquence et tonalité, abdomen souple et indolore à la palpation, percussion sans particularité, pas de masse palpée, pas d'hépatosplénomégalie. Cutané : lésions pétéchiales sur les deux joues ATT : Après 6 pushs de ventolin, amélioration de la fonction respiratoire avec absence de sibilances, FR 28/min, Sat 97 % sous air ambiant, avec excellent état général. On évoque un chalazion de la paupière inférieure de l'œil droit. Après avis ophtalmologique, traitement sous Tobradex et toilettes oculaires. Réévaluation par le pédiatre dans 15 jours. Consultation aux urgences si altération de l'état général ou fièvre avec œdème oculaire et céphalées. On évoque une entorse de l'articulation interphalangienne proximale sans fracture. On propose un traitement AINS et un contrôle chez le pédiatre dans 10 jours. On évoque un épistaxis depuis 5 jours sans signes systémiques. On propose un traitement pour soins locaux et consultation chez le pédiatre si persistance > 3 semaines ou épistaxis avec saignement sans arrêt ou épisodes prolongés. On évoque un faux croup modéré avec une évolution favorable aux urgences. On propose surveillance rapprochée à domicile et consignes données si épisode récidivant. On évoque un hématome sous-mandibulaire sans signes de gravité. Après avis ORL, on propose traitement sous AINS en systématique, application de crème Arnica localement et de glace localement. On évoque un probable traumatisme du ménisque externe du genou gauche. On met en place des antalgiques, des béquilles et IRM à organiser pour confirmation du diagnostic. Mail envoyé au secrétariat de l'Orthopédie pour consultation au team genou. On évoque un reflux probable, déjà diagnostiqué et en début de traitement. Consignes données pour stimulation de l'alimentation, éducation de la prise du traitement et poursuite du traitement avec contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si refus total alimentaire ou aux urgences si altération de l'état général. On évoque un traumatisme crânio-cérébral léger avec traumatisme nasal et fracture scaphoïdienne du poignet gauche. Soins locaux et antalgie à poursuivre ainsi que surveillance neurologique à domicile avec consignes écrites données. Plâtre AB mis en place et contrôle clinique en ortho urgences dans une semaine. On évoque un traumatisme gingival sans signes de gravité. On propose une poursuite des soins locaux avec antalgiques en réserve et consignes données pour surveillance à domicile pour le traumatisme crânien. On évoque un traumatisme vaginal qu'on transfère dans le service de gynécologie. (Par la suite soins locaux sont proposés par les gynécologues et retour à domicile) On évoque une adénite mésentérique associée avec une constipation. On propose un traitement pour la constipation et des antalgiques en systématique. Contrôle chez le pédiatre si persistance de la douleur. On évoque une adénopathie cervicale bilatérale (ganglions à gauche) d'origine probablement virale. On propose un traitement anti-inflammatoire pendant 48 heures et réévaluation clinique dans 48 heures (vaccination programmée le 22.06 par pédiatre) pour réévaluation clinique et instauration potentielle d'une antibiothérapie et bilan complémentaire. Consultation en urgences si altération de l'état général ou dysphagie avec torticolis. On évoque une angine à streptocoque positif. On instaure une antibiothérapie sous Amoxicilline et antalgiques en réserve. On évoque une angine à streptocoque positive. On instaure une antibiothérapie sous Amoxicilline et traitement antalgique en réserve. Consultation aux urgences si persistance de la fièvre > 4 jours. On évoque une angine aphtheuse. On propose un traitement AINS en systématique, conservation de la réhydratation et soins locaux avec la solution CHUV. Consultation aux urgences si refus alimentaire. On évoque une angine virale associée à une otite externe. On préconise un traitement sous anti-inflammatoires en systématique pendant 48 heures, conservation de la réhydratation et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures si persistance de la fièvre pour contrôle ORL. Consultation aux urgences si altération de l'état général. On évoque une angine virale avec une stomatite aphtheuse. On propose un traitement antalgique avec solution buccale pour lavage buccal. Consignes données pour la conservation de la réhydratation. Consultation aux urgences si refus de réhydratation. On évoque une angine virale et on propose des antalgiques et conservation de la réhydratation. On évoque une angine virale et on propose un traitement avec AINS en systématique. Parallèlement, on diagnostique une entorse de la cheville gauche et on met en place une attelle Aircast et contrôle chez le pédiatre dans une semaine. On évoque une angine virale. On donne des consignes de réhydratation, antalgiques en systématique et consultation aux urgences si altération de l'état général ou refus de réhydratation. On évoque une angine virale. On met des antalgiques en réserve et on donne des consignes de réhydratation à domicile. On évoque une angine virale. On propose un traitement AINS pendant 48 heures et on donne des consignes pour conserver la réhydratation. On évoque une balanite pour laquelle on propose des bains de camomille et traitement antalgique en systématique avec consignes de surveillance de la diurèse. On évoque une boiterie d'origine indéterminée associée aux signes ORL d'origine virale. Contrôle chez le pédiatre dans 24 heures. Discussion avec Dr. X (pédiatre) qui a vu la patiente le lendemain qui va beaucoup mieux, pas besoin de refaire le frottis Kingella Kingae. On évoque une bronchite d'origine probablement allergique associée à un trigger d'infection virale. Devant la stabilité respiratoire de l'enfant, on propose un traitement avec Feniallerg et Ventolin 4 pushs toutes les 4 heures et réévaluation dans 48 heures par le pédiatre traitant. Consultation aux urgences si altération de l'état général ou péjoration respiratoire. Signes de détresse respiratoire expliqués. On évoque une bronchite modérée avec évolution favorable aux urgences. On propose une poursuite du Ventolin et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. On évoque une bronchite modérée d'évolution favorable aux urgences et contrôle de 12 heures rassurant. Poursuite du Ventolin toutes les 4 heures à domicile et consignes données pour re-consultation si péjoration respiratoire. Ré-contrôle chez le pédiatre le 25.06. On évoque une contusion du genou droit. Antalgie et arrêt des sports puis contrôle chez le pédiatre dans 10 jours. Contrôle examen ménisque externe. Discussion d'IRM si persistance des douleurs du ménisque externe. On évoque une contusion de l'index et du majeur de la main droite. On met en place une syndactylie et AINS et contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. On évoque une contusion du coude. Devant la douleur, on met en place une attelle BAB, antalgiques et contrôle chez le pédiatre dans une semaine. On évoque une contusion du poignet droit. On préconise un contrôle chez le pédiatre dans 10 jours, arrêt des sports pendant une semaine, antalgiques en réserve. On évoque une contusion du 2e orteil. On met en place une syndactylie thérapeutique et une attelle. Réévaluation par le pédiatre si douleurs persistantes dans une semaine. Antalgiques en réserve. On évoque une contusion interphalangienne proximale des doigts 3e et 4e. On propose une syndactylie thérapeutique et antidouleurs en réserve. Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine. On évoque une cystite et on instaure une antibiothérapie devant la clinique en faveur et devant les antécédents de reflux. Urotube en cours à communiquer les résultats aux parents pour poursuite ou arrêt des antibiotiques.On évoque une dermatite d'irritation. On propose des désinfectants et un traitement anti-staminique. Si aggravation de l'aspect des éruptions ou état fébrile, consultation aux urgences. On évoque une dermo-hypodermite prétibiale droite sous traitement antibiotique depuis le 18.06 et syndrome inflammatoire majeur initial. Vu l'évolution clinique favorable et la diminution du syndrome inflammatoire, on autorise le passage aux antibiotiques per os pour une durée totale de 7 jours. On évoque une angine à streptocoque positive. On instaure une antibiothérapie sous Amoxicilline et un traitement antalgique en réserve. Consultation aux urgences si altération de l'état général ou persistance de la fièvre >4 jours. On évoque une entorse de la cheville gauche. On propose un airsack pour mobilisation et des cannes vu l'impotence fonctionnelle. Antalgiques en réserve et contrôle chez le pédiatre dans 10 jours. On évoque une entorse du midfoot. Pour des raisons d'antalgie, on met en place une botte plâtrée. Contrôle chez les urgences ortho dans une semaine. Consultation du 25.06 : a des douleurs en lien avec la scie, dit avoir des plaies, a également mal au niveau des malléoles. Status : pas de tuméfaction, pas d'hématome, plaie croûteuse rectiligne, pas de TVN. Att. : réfection d'un nouveau plâtre, suite de prise en charge comme discuté lors de la première consultation. On évoque un faux croup modéré et on instaure une dose de Betnesol aux urgences avec une évolution favorable à H2. On donne des consignes de surveillance à domicile et un traitement antipyrétique, et re-consultation aux urgences si péjoration respiratoire. On évoque une gastro-entérite aiguë avec 8% de perte de son poids corporel (selon les chiffres du pédiatre), malgré une estimation clinique à 5% (muqueuses légèrement humides, larmes présentes, bonne perfusion périphérique active, pas tachycarde). Nous décidons de réaliser une réhydratation orale durant 4 heures avec contrôle gazométrique et clinique. Nous objectivons une amélioration de la gazométrie de 135 (valeurs du pédiatre) à 137 (+4h) mmol/l. Glycémie en ordre 5.1 mmol/l. Le status clinique montre des muqueuses un peu moins hydratées, le reste superposable. 1 diarrhée, pas de miction durant la permanence aux urgences. Cependant, au vu de l'échec de réhydratation orale, avec un enfant qui boit moins de 10cc sur 4 heures, une réhydratation intraveineuse durant la nuit est décidée. On évoque une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. On propose de poursuivre le normolytoral avec surveillance de la température. Si refus de réhydratation, reconsultation aux urgences. On évoque une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation, sans perte de poids compliquée avec une angine virale et une otite externe bilatérale. On propose la poursuite de la réhydratation, la stimulation orale. Si refus de réhydratation, consultation aux urgences. Nouvelle consultation du 29.06 : persistance d'une fièvre depuis lundi, max 39.9, depuis hier après-midi vomissements (5 épisodes), diarrhées depuis mercredi environ 6 épisodes/24 heures sans sang dans les selles, urine bien, présente un bon état général, ce jour ne boit pas. Status : afébrile, bon état général, BHBP, cardio-pulm. : sp, abdo : bruits normaux en fréquence et en tonalité, souple sans organomégalie, ORL : sp, FANT. Att. : • au vu d'un épisode de vomissement après Normolytoral, il reçoit 1 mg de Zofran • par la suite, il refuse de boire • décision de RAD au vu du bon état général et bon état d'hydratation avec contrôle clinique dans 24 heures. Contrôle aux urgences. AA : pas d'état fébrile ce jour, pas de récidive de vomissement, meilleure état général ce jour, hydratation conservée ce jour et a repris une alimentation diversifiée à la cuillère. Persistance de selles liquides ce jour, 5 épisodes depuis la sortie, pas de sang dans les selles. Bonne prise de poids : + 200g sur les 4 derniers jours. Status : afébrile, BEG, souriant, force et tonus sp, pas de signe de déshydratation, le reste du statut est superposable à celui d'hier. Att : contrôle si diarrhées persistantes ou signe de gravité (expliqué) ; prescription de Perentérol. On évoque une infection probablement virale d'origine probablement ORL vu la rhinite apparue il y a 48 heures. Devant le bon état général de l'enfant, le foyer ORL manifestant, l'amélioration clinique et l'absence de red flags, on ne préconise pas d'examens complémentaires. On propose un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique et aux urgences si altération de l'état général. On évoque une infection probablement virale. Devant le bon état général de l'enfant, on préconise un contrôle dans 48 heures aux urgences avec arrêt des antibiotiques dès aujourd'hui. Traitement symptomatique donné et consultation aux urgences si péjoration de l'état général. On évoque une infection virale pour laquelle on propose une poursuite des antipyrétiques, antistaminiques en réserve si prurit et re-consultation si persistance de la fièvre encore 3 jours. On évoque une infection virale probable des voies aériennes supérieures. On propose un traitement antalgique et antipyrétique et contrôle chez le pédiatre si persistance de la fièvre ou aux urgences si altération de l'état général. On évoque une otite externe droite sans signes de suppuration. Consignes des AINS en systématique pendant 2 jours avec mesure de la fièvre et rinçage du nez. Si persistance de la fièvre et des otalgies pour >48 heures (part en voyage entre temps) et devant les otites en répétition, antibiotiques donnés en réserve. On évoque une otite moyenne aiguë gauche pour laquelle on propose un traitement anti-inflammatoire pendant 48 heures en systématique et réévaluation clinique. Consultation aux urgences si altération de l'état général. On évoque une otite perforée droite avec une conjonctivite bilatérale et une angine d'origine virale. On instaure une antibiothérapie par Amoxicilline, on donne des consignes d'éviction des lavages locaux, traitement contrôle chez le pédiatre à la fin de l'antibiothérapie. On évoque une otite perforée droite. On instaure une antibiothérapie sous Amoxicilline avec antalgie. Consignes d'éviter l'application de l'eau localement. Contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. On évoque une otite perforée et on instaure une antibiothérapie avec Amoxicilline et antidouleurs en réserve. Contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. On évoque une otite perforée. On instaure une antibiothérapie par Amoxicilline et préconise un contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. Antalgie en réserve. On évoque une paralysie faciale associée aux sérologies Lyme positives sans autres signes neurologiques de gravité. On instaure un traitement sous Amoxicilline pendant 14 jours et on préconise un contrôle clinique chez le pédiatre dans 48 heures. On évoque une piqûre d'insecte sans signes de cellulite. On instaure un traitement sous antistaminiques et donne des consignes de surveillance à domicile. On évoque une pneumonie du lobe droit sans signes de détresse respiratoire. On instaure une antibiothérapie sous Amoxicilline 1 g x 2/j et réévaluation par le pédiatre dans 3 jours. Reconsultation aux urgences pédiatriques si altération de l'état général ou détresse respiratoire. On évoque une pyélonéphrite aiguë. Voie veineuse périphérique non fonctionnelle ce jour. Prise de la 2e dose de Rocephine 50 mg/kg ce jour. Relais per os sous Podomexef dès 30.06 et urotube à pister et communiquer les résultats aux parents pour adaptation ou non de l'antibiothérapie.On évoque une réaction locale d'origine allergique post-piqûre d'insecte. On propose un traitement systématique anti-inflammatoire vu l'absence qui évoque une cellulite inflammatoire et re-consultation si altération de l'état général ou état fébrile ou péjoration de la lésion. On propose aussi un traitement avec antistaminique en plus. On évoque une réaction probablement allergique sur une piqûre probable. On préconise un contrôle dans 24 heures aux urgences et on instaure un traitement sur AINS en systématique, sac en glace localement, pommade d'Arnica et antistaminiques. Consultation en urgences si état fébrile. On évoque une toux sans signes de détresse respiratoire depuis 2 mois comme mentionnée. Devant l'absence des signes d'alarme, on préconise une re-consultation chez le pédiatre dans 2 semaines et poursuite du traitement déjà donné par son pédiatre pour estimation de l'efficacité. On évoque une tuméfaction du tiers proximal mandibulaire droit sans atteinte de l'angle mandibulaire, sans signes de collection, avec un état général clinique excellent, sans état fébrile. On propose un traitement sous AINS en systématique avec mesure de la température, éviction des aliments acides et conservation de la réhydratation. On préconise un contrôle dans 48 heures soit chez le pédiatre soit aux urgences en fonction de la disponibilité de son pédiatre (communication à refaire demain le 21.06 dès 8.15-11). On explique à la patiente qu'il s'agit probablement d'une lésion chronique du fait de la mauvaise position lors de l'utilisation des cannes. Cela a créé un allongement progressif de ce tendon. On propose pour l'instant une attitude expectative jusqu'à ce que la patiente puisse se passer des cannes. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. Selon la gêne que présente la patiente, nous discuterons soit de la poursuite du traitement conservateur soit, si elle est très gênée, de la réalisation d'une IRM afin de prévoir une intervention qui consisterait en un transfert de l'extenseur propre de l'index sur l'EPL. On explique au patient la nature de sa pathologie tout en lui exposant les différentes solutions thérapeutiques. On lui expose qu'une réintervention de cure de sa hernie discale l'exposerait probablement plus à la récidive ultérieure au vu de la discopathie globale. Nous préconisons donc plutôt de faire une discectomie radicale par abord mini-invasif, mise en place d'une cage TLIF Juliet, spondylodèse L4-L5. Le patient est d'accord avec notre proposition. Pour le soulager avant la date opératoire, on organise une infiltration foraminale L4-L5 gauche. On lui donne le formulaire de consentement pour réflexion et signature. On le prévient qu'en cas de signe déficitaire qui s'installe, il ne faut pas hésiter à consulter avant la date opératoire. On reste à disposition. On explique au patient que, probablement du fait d'une compensation en raison de douleurs musculaires, il a utilisé différemment son épaule et présente maintenant une bursite sous-acromiale. On met donc en place des séances de physiothérapie avec un schéma selon San-Antonio. Contrôle clinique dans 3 mois. Si les douleurs devaient persister, on pourrait éventuellement discuter d'une infiltration sous-acromiale. On explique au patient qu'il y a une progression de la hernie discale en C5-C6, prédominante du côté droit, responsable de ses douleurs actuelles. Au vu de l'amélioration des douleurs névralgiques, nous ne préconisons pas d'infiltration pour le moment. On axe la prise en charge actuellement sur la décontractivité musculaire, la correction et le reconditionnement global. Nous prescrivons donc de la massothérapie antalgique ainsi que du Mydocalm et du Dafalgan. On lui donne des médicaments en réserve qu'il pourra prendre lors de ses voyages. On lui présente différentes possibilités thérapeutiques ultérieurement, à savoir l'infiltration ultérieure C5-C6 droit, voire même une chirurgie de spondylodèse C5-C6. On reste à disposition en cas de signe d'aggravation. On explique la situation au patient, à savoir qu'il présente une arthrose et une rupture de la coiffe des rotateurs. Pour l'instant, le but est qu'il puisse fonctionner avec une épaule qui ne soit pas douloureuse ni raide, ce qui n'est pas le cas actuellement. On lui explique que la situation risque d'évoluer vers la péjoration. S'il présente de nouveaux épisodes de douleurs, on recommande la reprise de la physiothérapie. Si celle-ci ne permet pas d'améliorer la situation et que les douleurs deviennent invalidantes, il faudra à ce moment-là rediscuter d'une indication chirurgicale qui sera alors l'implantation d'une prothèse. Prochain contrôle au mois de novembre 2018 afin de juger de la situation. On fait une radio du genou qui ne montre pas de fracture, légers signes arthrosiques, sans épanchement intra-articulaire. On fait un laboratoire pour exclure une arthrite septique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, alors on le retient comme un diagnostic peu probable. On introduit une antalgie avec AINS et préconise un contrôle à la consultation du Dr. X, orthopédiste, dans 1 semaine. Le patient doit reconsulter aux urgences s'il présente de la fièvre ou une péjoration de la symptomatologie. On l'encourage à continuer les séances d'ergothérapie. Elle peut recommencer à faire de la moto. Prochain contrôle à notre consultation dans 2 mois. On nettoie la fibrine et on a un statut local qui reste calme sans écoulement purulent. Désinfection de tous les orifices. Rinçage à l'aiguille boutonnée des deux orifices distaux. On note une évolution très favorable. Concernant le genou gauche, nous suspectons un syndrome de l'essuie-glace ainsi qu'une tendinite de la patte d'oie, raison pour laquelle nous encourageons le patient à poursuivre les exercices de physiothérapie afin d'étirer les chaînes musculaires. Nous lui prescrivons des Flector patchs. Prochain contrôle radio-clinique des 2 genoux en novembre. Nous restons à disposition au besoin. On note une nette amélioration par rapport à la dernière consultation. Nous maintenons les séances de physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 à 8 semaines (à 3 mois postopératoires). D'ici là, nous restons évidemment à disposition pour d'éventuelles questions. On note une très bonne évolution chez cette patiente. Nous lui recommandons la poursuite des séances de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition au besoin. On note une très bonne évolution chez une patiente qui est totalement asymptomatique et qui a récupéré une mobilité complète. Prochain contrôle radio-clinique d'ici 2 à 3 mois. On peut donc mettre un terme au suivi ce jour. On pose une suspicion d'une fracture scaphoidienne. Mise en place d'un plâtre AB-pouce et consultation orthopédique aux urgences orthopédiques dans une semaine. On procède à l'immobilisation de la cheville droite par Aircast pour une durée totale de 5 semaines supplémentaires. La patiente est informée de pouvoir marcher en charge totale selon douleurs, elle maintiendra les cannes anglaises les 3 prochains jours avec sevrage progressif par la suite. La reprise de l'activité sportive et de l'activité professionnelle est programmée à 50 % depuis le 11.6.2018 au 9.7.2018 avec reprise totale à 100 % dès le 10.7.2018. Aucun contrôle radio-clinique n'est nécessaire en policlinique d'orthopédie. Un contrôle chez le médecin traitant se fera en cas de nécessité. On propose à la maman la mise en place de semelles 3 pointes des deux côtés. On va revoir Mr. Y dans 6 mois pour un contrôle clinique. On propose à la patiente de poursuivre les infiltrations chez nos collègues d'antalgie comme prévu. Nous ne prévoyons pas de contrôle à notre consultation, car la situation osseuse est stable. Certificat d'incapacité de travail (patiente aide-soignante) jusqu'à la fin du mois de juin. Elle peut pratiquer des travaux où elle peut être assise ou des changements avec la possibilité d'être debout.On propose à la patiente une bonne hygiène et hydratation locale. Elle va reconsulter si péjoration, ou si elle remarque d'autres symptômes au niveau des seins. On propose au patient de faire une ostéotomie de l'ulna avec un raccourcissement afin de déterminer une amélioration de la distribution de charge au niveau de la TFCC. Le patient signe le consentement éclairé. On organise l'opération. On propose au patient de reprendre toutes les activités sportives selon douleurs, ainsi que la course. Il va encore finir les séances de physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique à 1 année de l'intervention. On propose de poursuivre la mobilisation pour encore 3 semaines selon le type d'activité notamment pour les activités à risque. Prochain contrôle radioclinique dans 5 semaines environ soit à 2 mois post-traumatiques. On propose une surveillance neurologique aux urgences aux parents, mais ils la refusent. Devant le bon état général de l'enfant avec aucun signe d'alerte lors de notre examen clinique, on autorise la sortie avec consignes de surveillance écrites. Consultation aux urgences si altération de l'état général. On rassure le patient quant à sa pathologie. Pas d'indication chirurgicale pour le moment. On lui conseille d'effectuer des exercices de redressement postural, renforcement de la sangle abdominale et des érecteurs de sa colonne pour éviter une aggravation. Nous le reverrons dans 1 an et restons à disposition si aggravation des symptômes. On rassure le patient quant à son nodule, pour l'instant asymptomatique. On lui explique que les douleurs viennent de la discopathie L5-S1 en expliquant les différentes attitudes thérapeutiques et en laissant l'attitude chirurgicale en dernier lieu si les douleurs s'aggravent et deviennent invalidantes. On lui conseille de reprendre les exercices, raison pour laquelle nous lui re-prescrivons de la physiothérapie qui est pour le moment efficace. Un reclassement professionnel est prévu afin d'éviter l'aggravation de sa pathologie, à partir du 01.08.2018. Nous le reverrons dans 6 mois pour un prochain contrôle. On le prévient quant aux signes alarmants qui nécessiteraient une consultation aux urgences. On rediscute avec la patiente d'une reprise chirurgicale par voie antérieure avec une double discectomie, ablation de la cage L4-L5 et mise en place d'une cage Synfix L4-L5, L5-S1. Pour l'instant, la patiente préfère réfléchir et effectuer des injections d'acide hyaluronique. Nous rediscuterons ensuite. On rediscute avec le patient des possibilités d'une discectomie L5-S1 antérieure. Pour le moment, le patient décide de réfléchir et nous recontactera pour nous communiquer sa décision. Nous restons à disposition. On rediscute avec le patient. On lui explique à nouveau le cadre radiologique et l'indication opératoire. On explique les risques et les bénéfices, les détails de l'intervention. On remplit un consentement et fixons une date opératoire. On réexplique la situation au patient, à savoir que si on veut régler les douleurs de façon définitive cela passe par implantation d'une prothèse d'épaule. Pour l'instant le patient n'est pas encore prêt à une telle intervention. On le laisse encore réfléchir à ça et voir l'évolution des douleurs. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. On retire donc le plâtre ce jour et la patiente peut reprendre ses activités habituelles. Prochain contrôle uniquement en cas de besoin. On suggère à la patiente d'abandonner la physiothérapie pour faire de la gym et qu'elle continue à se mobiliser selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique dans une année. On suspecte une dermatite de contact, raison pour laquelle on propose un traitement de réhydratation. Si persistance, consultation dermatologique. Consultation aux urgences si altération de l'état général. On suspecte une mycose péri-ombilicale pour laquelle on préconise un traitement antifongique et une réévaluation clinique aux urgences pédiatriques le 26/6. On donne des consignes pour consultation urgente si altération de l'état général. On tente d'abord un traitement conservateur. La patiente ne souhaite pas d'infiltration diagnostique mais préfère une attitude expectative et d'attendre le rendez-vous à la consultation du Dr. X qui est programmé pour octobre 2018. Je referai le point de la situation à ma consultation le 20.8.2018. On voit une dynamisation du montage, mais qui n'est pas inquiétante. On peut poursuivre la rééducation à la marche et on propose un prochain contrôle clinique à 3 mois postopératoires. On vous propose d'organiser un contrôle clinique et biologique en début de semaine prochaine On vous propose d'organiser un contrôle gynécologique étant donné que le dernier contrôle date de 08.2017 et une cause gynécologique n'a pas été exclue, même si l'anamnèse et la clinique ne sont pas parlantes. Ondes de chocs. Contrôle dans 3 mois. Ongle incarné. Ongle incarné. Ongle incarné au niveau de l'hallux gauche. Ongle incarné, bord antérieur hallux D. Status post cure d'ongle incarné du rebord médial et latéral des deux hallux le 6.6.17. Status post cure d'une récidive d'ongle incarné O1 pied G le 3.8.17. Ongle incarné bord latéral de l'hallux D. Ongle incarné bord latéral, hallux D. Ongle incarné bord latéral hallux droit. Ongle incarné bord médial hallux G. Status post cure d'ongle incarné au bord latéral de l'hallux D le 01.05.2018. Ongle incarné des bords bilatéraux de l'hallux G. Status post amputation du 4ème orteil à G sur conflit avec les autres orteils le 22.11.2016. Status post amputation du 3ème orteil à D sur déformation et conflit avec les autres orteils le 01.04.2016. Ongle incarné du bord latéral du gros orteil à G. Ongle incarné hallux droit. Ongle incarné hallux du pied droit le 01.05.2018. Ongle incarné hallux gauche, le 24.06.2018. Ongle incarné hallux gauche, le 24.06.2018. Ongle incarné orteil à gauche, le 21.06.2018. - incision et drainage d'abcès le 21.06.2018 avec suture par Prolène 3.0. Ongle incarné orteil I à gauche le 21.06.2018. Ongle incarné orteil I du pied gauche face latérale. Ongles incarnés de l'hallux ddc sur le bord médial, plus prononcé à D qu'à G. Ongles incarnés. Laparoscopie pour adhésiolyse le 05.05.2015. Douleurs abdominales aiguës post-colonoscopie, d'origine indéterminée, le 15.01.2016. Ongles incarnés. Laparoscopie pour adhésiolyse le 05.05.2015. Douleurs abdominales aiguës post-colonoscopie, d'origine indéterminée, le 15.01.2016. OP à prévoir. OP à prévoir. Op ambu le 02.07.2018. Op ambu le 02.07.2018. Op ambu le 03.09.2018. Op ambu le 12.06.2018 à Tavel. Op ambu le 12.07.2018. Op ambu le 13.09.2018. Op ambu le 14.06.2018. Op ambu le 15.06.2018. Op ambu le 16.08.2018. Op ambu le 22.10.2018. Op ambu le 26.11.2018. Op ambu le 28.06.2018. Op ambu le 28.06.2018. OP cataracte ddc Uvéite Op cataracte des deux côtés Hystérectomie Hernie inguinale gauche. Op cataracte des 2 côtés. Hystérectomie. Hernie inguinale G. OP: Césariennes 4x OP cure de tunnel carpien le 19.07.2018. IRM de l'épaule D. OP de l'uvula 2003Prostatectomie 2000 OP hernie inguinale Community-Acquired Pneumonie basal 06.2011 Exacerbation de BPCO d'origine infectieuse (Influenza A) (Critères d'Anthonissen 1/3) en 01.2018 Anémie normochrome normocytaire arégénérative • Pas de déficit en fer • Hypovitaminose B9 • Bilan thyroidien aligné OAP débutante le 29.03.18 • sur probable pic hypertensif Symptômes neurologiques polymorphes le 07.04.18: • de temporalité indéterminée Avis neuro téléphonique (Dr. X): indication à effectuer CT injectée • CT injecté (commentaire oral Dr. X): sp OAP débutante le 29.03.18 • sur probable pic hypertensif • en décours le 07.04.18 Péjoration d'une toux chronique d'origine indéterminée le 10.05.2018 avec: • orthopnée, OMI • Désaturation à l'AA DD décompensation BPCO, cardiaque OP du ménisque gauche. OP élective OP épaule D Urolithiase G 16.12.2017 • Urolithiase de 3 mm à la jonction urétéro-vésical G 31.08.2017 OP fascia lata distal G en 1985 (Dr. X). AS, résection lésion méniscale genou G en 2006 (Dr. X). Lombosciatalgies G non irritatives, non déficitaires en 2014. Contusion thoracique G d'origine traumatique le 23.08.2015. Lésion cutanée profonde avec atteinte de la bourse olécrânienne coude G en 2007. OP: fracture index et pouce de la main gauche post-fracture. Distension cheville gauche. Traitement conservateur, symptomatique, cannes si nécessaire, Clexane 40 mg pour une semaine. OP hernie discale L4-L5 1998. Décompensation BPCO le 20.11.2014. Fracture talon. OP hernie discale L5-S1 au CHUV en 2010. Hernie discale L3-L4 (suivie par Dr. X). 30.05.2012: AVB, instrumentation: ventouse, lésion génitale: déchirure II, délivrance: artificielle, anesthésie: péridurale, lieu: HFR Fribourg, sexe: M, SA: 39 6/7, poids (g): 3200, allaitement (mois): 14 mois. Op. le 04.07.18. OP le 05.06.2018. OP le 06.08.2018 OP le 07.11.2018. OP le 16.07.2018 OP le 20.07.2018 OP. le 26.06.18. OP le 28.09.2018 OP le 29.06.2018 Op. le 31.07.18. OP mâchoire (malformation) en 1983. Colonisation vaginale par streptocoques groupe B. Op: Ménisque gauche OP prévue le 03.07.2018. OP prévue le 03.07.2018. OP prévue le 04.09.2018. OP prévue le 06.07.2018. OP prévue le 13.07.2018. OP prévue le 19.06.2018. OP prévue le 20.07.2018. OP testiculaire gauche suite à un trauma OP testiculaire gauche suite à un trauma OP testiculaire gauche suite à un trauma OP: thyreoidectomie, Hernie discale cervicale Medical: hypothyroidie OP: thyreoidectomie, Hernie discale cervicale Medical: hypothyroidie OP: thyroïdectomie, Hernie discale cervicale. OP: thyroïdectomie, Hernie discale cervicale. Médical: hypothyroïdie. OP varices du MID en mai 2018 OP: 2 Césariennes OP: 3 césariennes en 1992, 1993 et 1996. Pas de facteur de risque cardio-vasculaire. Lombosciatalgies non déficitaires à gauche. Tentamen médicamenteux sur stilnox 100 mg. • dans le cadre de troubles dépressifs récurrents. Otite externe gauche le 21.10.2017. Opacité péri-hilaire droite sur la radiographie de thorax de face du 24.05.2018 • s/p résection wedge et lobectomie du lobe supérieur droit pour adénocarcinome pulmonaire en 2014 Opération à l'épaule gauche en 2013 pour rupture de la manchette des rotateurs. Cure d'hernie ombilicale en 2008. Excision d'abcès au niveau de la glande sous-linguale en 2000. Appendicectomie en 1970. Remplacement valvulaire mitral par prothèse mécanique Medtronic de 33 mm et reconstruction valvulaire tricuspide par un anneau d'annuloplastie Physio de 32 mm fecit Dr. X le 18.04.2016 (Inselspital) pour insuffisance mitrale sévère et insuffisance tricuspide modérée avec: • status post triple pontage aorto-coronarien en 2010 pour maladie coronarienne tritronculaire (AMIG-IVA, Vx-Cx, graft radial-CD). • coronarographie du 29.03.2016 : lésion intermédiaire du tronc commun distal (FFR 0.86), graft-radial-CD perméable, AMIG-IVA et Vx-Cx occlus. • absence d'ischémie myocardique à l'échographie du stress du 08.03.2016. • hypertrophie ventriculaire gauche concentrique, oreillettes dilatées. • légère hypertension artérielle pulmonaire post-capillaire au cathétérisme droit du 29.03.2016. • FA paroxystique tachycarde post-opératoire, anticoagulée. • bon fonctionnement de la prothèse en position mitrale, sans fuite, ni sténose, absence de fuite tricuspidienne significative (ETT du 26.04.2016). • léger épanchement péricardique en regard des segments moyens du ventricule gauche et du ventricule droit d'aspect organisé sans répercussion hémodynamique (ETT du 26.04.2016). • FEVG à 65% à l'échocardiographie du 22.04.2016. Décompensation psychotique avec idées de persécution et comportement agressif vis-à-vis du personnel et des autres patients le 29.04.2016. Suspicion de broncho-pneumonie le 29.04.2016: • état sous-fébrile avec syndrome inflammatoire modéré le 29.04.2016 (leucocytose à 16.3 G/l, CRP à 74 mg/l). • Radiographie du thorax : atélectasie du lobe moyen versus épanchement suspendu. Suspicion de pneumopathie: • fonctions pulmonaires simples le 15.04.2016 (Inselspital) : VEMS à 2.1L soit 63% du prédit. • tabagisme actif à 120 UPA. Perturbation des tests hépatiques de type cholestase le 26.04.2016. Suspicion d'un état confusionnel au décours, non surajouté à une démence - F05.0 avec: • désorientation dans le temps et l'espace, orientation par rapport à la situation. Hyponatrémie normo-osmolaire à 129 mmol/l le 26.04.2016. Opération abcès anal en 2003. Opération: ablation des dents de sagesse. Opération au niveau de la vessie pour descente d'organe. Opération cataracte des deux côtés. Malaise orthostatique/vagale avec hypotension artérielle significative le 08.03.2018 Dermohypodermite aiguë du MIG le 13.03.2018 sur ulcère dans un contexte d'insuffisance artérielle et veineuse Erysipèle du MIG en janvier 2018 Troubles de la marche et d'équilibre d'origine multifactorielle Troubles cognitifs Hyponatrémie hypoosmolaire hypovolémie à 115 mmol/L le 06.03.2018 Carence en vitamine D sévère le 09.03.2018 Opération cataracte des deux côtés Malaise orthostatique/vagale avec hypotension artérielle significative le 08.03.2018 Dermohypodermite aiguë du MIG le 13.03.2018 sur ulcère dans un contexte d'insuffisance artérielle et veineuse Erysipèle du MIG en janvier 2018 Troubles de la marche et d'équilibre d'origine multifactorielle Troubles cognitifs Hyponatrémie hypoosmolaire hypovolémie à 115 mmol/L le 06.03.2018 Carence en vitamine D sévère le 09.03.2018 Opération cataracte des deux côtés Malaise orthostatique/vagale avec hypotension artérielle significative le 08.03.2018 Dermohypodermite aiguë du MIG le 13.03.2018 sur ulcère dans un contexte d'insuffisance artérielle et veineuse Erysipèle du MIG en janvier 2018 Troubles de la marche et d'équilibre d'origine multifactorielle Troubles cognitifs Hyponatrémie hypoosmolaire hypovolémie à 115 mmol/l le 06.03.2018 Carence en vitamine D sévère le 09.03.2018 Opération cheville D en 2014 S/o CCK Opération de la cataracte des deux côtés. Opération de la cataracte des deux côtés. Opération de la clavicule il y a une quinzaine d'années. Opération de la colonne cervicale il y a 20 ans avec fusion de C5-C6 suite à un accident. Coup du lapin, il y a 10 ans avec port d'une minerve mousse pendant 10-12 semaines. Cholécystectomie il y a 5 ans. Opération de la main droite. Opération de l'épaule droite. Opération de l'épaule droite. Fracture du membre inférieur droit. Opération de l'épaule gauche en 2005: • en raison d'une luxation récidivante.Polytraumatisme suite à un accident avec une vache: • Douleur nucale C4-C6. • Douleur de l'épaule gauche. • Douleur basi-thoracique gauche. Opération de l'hallux valgus du pied droit en mai 2018. Opération pour des varices à la jambe droite en 2014. Opération de l'hallux valgus des deux côtés. Traumatisme crânien le 10.03.2017. Fracture de la clavicule gauche, tiers moyen déplacée, plurifragmentaire le 10.03.2017. Opération de sténose du pylore et 2 hernies inguinales à l'âge de 2 mois. Névrite rétro-bulbaire droite le 30.12.2016 dans le cadre de syndrome clinique isolé. Poussée de sclérose en plaques avec troubles de l'équilibre et nystagmus le 21.03.2017. Condylomes génitaux HPV 6 péri-anaux excisés en février 2018. Opération des hémorroïdes. Réduction mammaire. Réaction allergique localisée à la cuisse droite sur piqûre de taon le 07.07.2015. Epigastralgies. Marisque à 1-2 heures en position gynécologique. Mariscectomie par excision selon Fergusson modifié. Opération des ligaments croisés du genou droit en 2010. Erysipèle du MID en 2012. Opération des ligaments croisés, plastie du genou gauche. Appendicectomie. Excision d'un ganglion lymphatique cervical droit. Opération des sinus dans l'enfance. Ancien tabagisme (stoppé il y a 25 ans) à 10 UPA. Sepsis à Klebsiella pneumoniae probablement d'origine digestive le 05.09.2016, dans un contexte de chimiothérapie. Cholangite à germe indéterminé le 21.07.2016, traitée par pipéracilline-tazobactam puis ciprofloxacine et métronidazole. Hypoesthésie spontanément résolutive au niveau du territoire V2, V3 du nerf trijumeau et territoire radial d'origine indéterminée le 03.06.2016. Thrombose branche portale gauche ancienne (déjà présente en mai 2016). Hypodensité avec calcifications à la jonction oeso-gastrique mesurant 26 x 23 mm contre 18 x 20 mm. Trauma crânio-cérébral simple sur malaise le 05.09.2016. Probable migraine avec aura ophtalmique et sensitive le 08.11.2016. Lombosciatalgie G non déficitaire sur troubles dégénératifs et hernie discale L4-5 le 15.05.2018. Opération du ménisque du genou droit en mars 2018. Opération du tunnel carpien droit en juillet 2013. Brûlure avec huile de friture: • De premier degré en regard de la région sous-claviculaire gauche et le bras gauche face antérieure. Opération du 1er doigt de la main droite en 2014. Status après corps étranger de la paupière supérieure droite en août 2010. Circoncision dans l'enfance. Appendicite aiguë en septembre 2017. • DAP : appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse et par endroits abcédante avec zones de perforation couverte et péri-appendicite fibrino-purulente (Dr. X). Opération d'un foramen ovale à cœur ouvert en 1962. Opérations des mains des deux côtés pour syndactylie congénitale. Appendicectomie, cholécystectomie. Mycoses cutanées submammaires et dorsales. Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative ferriprive sur probable spoliation chronique d'origine indéterminée. Opération d'un foramen ovale à cœur ouvert en 1962. Opérations des mains des deux côtés pour syndactylie congénitale. Appendicectomie. Cholécystectomie. Mycoses cutanées sub-mammaires et dorsales. Opération d'un foramen ovale à cœur ouvert en 1962. Opérations des mains des deux côtés pour syndactylie congénitale. Appendicectomie. Cholécystectomie. Mycoses cutanées submammaires et dorsales. Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative ferriprive sur probable spoliation chronique d'origine encore indéterminée. Opération d'un foramen ovale à cœur ouvert en 1962. Opérations des mains des deux côtés pour syndactylie congénitale. Appendicectomie. Cholécystectomie. Mycoses cutanées sub-mammaires et dorsales. Hypomagnésémie à 0.36 mmol/l et hypokaliémie à 3.1 mmol/l. Suivi biologique. Supplémentation en Magnesiocard 7.5 mg - 2 x/jour durant 2 semaines, KCL 10 mmol - 2 x/jour durant 4 jours. Opération d'un testicule en 2011. Entorse simple radio-carpien gauche. Attelle au poignet. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 1 semaine. Opération d'une sténose du pylore et 2 hernies inguinales à l'âge de 2 mois. Névrite rétro-bulbaire droite le 30.12.2016 : dans le cadre de syndrome clinique isolé. Poussée de sclérose en plaques avec troubles de l'équilibre et nystagmus le 21.03.2017. Condylomes génitaux HPV 6 péri-anaux excisés en février 2018. Opération élective. Opération élective. Opération élective. Opération fracture de la clavicule gauche. NSTEMI antérieur subaigu sur thrombus de l'IVA proximale le 27.09.2014 avec : • Probable érosion endothéliale liée à l'effort. • Hypokinésie minime de la paroi latéro-apicale, de la paroi latérale moyenne, de la paroi antéro-apicale, de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Echocardiographie transoesophagienne avec test aux microbulles. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine prérénale sur déshydratation. Opération hallux valgus pied droit en mai 2018. Opération pour des varices à la jambe droite en 2014. Opération hernie discale à deux reprises en 1993 et 2001 (Dr. X). Erosion cornéenne sur traumatisme mineur. Opération le 01.10.2018. Opération le 08.10.2018. Opération le 15.6.2018. Opération le 16.07.2018. Opération le 19.6.2018. Opération le 23.08.2018. Opération le 26.06.2018. Opération le 26.06.2018. Opération le 26.07.2018. Opération ménisque interne et externe en 2016 à Cormanon chez le Dr. X. Luxation de la rotule gauche il y a environ 6 mois avec suivi par le Dr. X. Opération œil droit. Hystérectomie en 1958. Arthroscopie genou gauche. Résection cutanée pour carcinome au visage, droite, en 2008 environ. Opération pour hernie discale L4/5 gauche 12/2011. Appendicectomie. Opération pour reflux gastro-oesophagien en 11.2016. Manométrie oesophagienne : fonction normale du sphincter oesophagien supérieur. Absence de dysmotilité oesophagienne. Fonction normale de la jonction oesogastrique. Transit oesogastroduodénal du 20.09.2016 : confirmation d'un reflux gastro-oesophagien apparu d'emblée en position couchée en rapport avec une probable petite hernie hiatale mal objectivée. Oesogastroduodénoscopie du 24.04.2013 : démontrant une béance cardiale sans oesophagite. Status post-fundoplicature selon Nissen-Floppy par laparoscopie le 23.11.2016. Contusion thoracique gauche sur écrasement par un cheval le 21.05.2018. Opération pour strabisme dans l'enfance. Amygdalectomie. Nodules pulmonaires suspects au scanner thoraco-abdominal en 2012, sans autre lésion. Traumatisme de l'épaule droite. Opération pour strabisme en 2014. Adénocarcinome de la prostate avec chirurgie en 2012. Septoplastie, ethmoïdectomie ddc. pour polypose rhinosinusale. 2 bronchopneumonies. Opération pour un cancer des cordes vocales en 1993, pas de chimiothérapie, pas de radiothérapie. Pas de contrôle récent (dernier contrôle il y a à peu près 3 ans). État de mal épileptique à point de départ fronto-temporo-central droit le 09.04.2018 avec : • Trouble de l'état de conscience et crise épileptique tonico-clonique inaugurale le 07.04.2018. • Sur masses intra-cérébrales droites multiples. Masses infra-centimétriques frontales droites d'étiologie indéterminée avec oedème péri-lésionnel important et hygrome de 5 mm d'épaisseur convexité controlatérale. Condensations péri-bronchovasculaire dans les deux lobes inférieurs. Opération pour une hernie ombilicale dans l'enfance. Opération prévue le 02.07.2018. Opération prévue le 03.07.2018. Opération prévue le 06.07.2018. Opération prévue le 06.07.2018. Opération prévue le 10.07.2018. Opération prévue le 10.12.2018. Opération prévue le 12.06.2018. Opération prévue le 13.07.2018. Opération prévue le 15.06.2018. Opération prévue le 15.06.2018. Opération prévue le 15.06.2018. Opération prévue le 16.07.2018. Opération prévue le 16.07.2018. Opération prévue le 16.08.2018 par le Dr. X Opération prévue le 17.07.2018. Opération prévue le 23.08.2018. Opération prévue le 25.06.2018. Opération prévue le 30.08.2018. Opération prévue pour le 06.07.2018. Opération sans précision de l'œil gauche avec mydriase aréactive il y a quelques années Hypotension artérielle asymptomatique le 03.09.2015 Sub-érythrodermie eczématiforme à point de départ du membre inférieur droit le 03.09.2015 avec : • Diagnostic différentiel : composante de surinfection (impétiginisation) Status après chute accidentelle sans traumatisme crânien le 29.03.2017 Opération sans précision de l'œil gauche avec mydriase aréactive il y a quelques années Hypotension artérielle asymptomatique le 03.09.2015 Sub-érythrodermie eczématiforme à point de départ du membre inférieur droit le 03.09.2015 avec : • Diagnostic différentiel : composante de surinfection (impétiginisation) Status après chute accidentelle sans traumatisme crânien le 29.03.2017 Opération selon Hartmann pour volumineux abcès mésentérique sur sigmoïdite en septembre 2010. Délirium tremens en 2006. Hyponatrémie hypoosmolaire sévère à 110 mmol/l le 26.01.2017 probablement sur consommation excessive de bière. Opération sinus en 2009. Globe urinaire post-ablation de la sonde vésicale en 2009. Globe urinaire post-ablation de la sonde vésicale le 15.06.2016. Opération sinus en 2011. Opération gynécologique (enlever la matrice) en 2002. Status post-pseudarthrodèse luno-triquétrale par vis HCS 3.0 mm poignet droit. AMO vis HCS 3.0 mm poignet droit et capsulolyse radio-carpienne dorsale. Débridement des 4 lésions au niveau de l'avant-bras gauche sous anesthésie locale. Epistaxis antérieure gauche 09.02.2018. Opération testiculaire gauche suite à un traumatisme. Opération testicule. Luxation postérieure du coude gauche. Opérations : tympan droit dans l'enfance, amygdalectomie, végétations, coccyx. Paralysie faciale de Bell à gauche le 15.10.2014. Opérations : amygdalectomie, pouce gauche, nez et genou droit. Opérations des genoux pour ostéochondrose. Contusion de l'épaule droite le 08.12.2015. Opérations orthopédiques mineures pieds et main gauche (pas plus d'information). Opéré des varices à 16 ans. Opéré pour plastie des oreilles le 16.05.2018. Ophtalmologue/orthoptique le 25.06.2018 à 15:30. Opiacés fixes Suivi du poids Oxygène en réserve Physiothérapie Oppression thoracique Oppression thoracique Oppression thoracique. Oppression thoracique Oppression thoracique Oppression thoracique d'origine pariétale. Opression thoracique post-coronarographie le 09.05.2018. Optimisation des apports p.o. --> 2. / 24h Dans l'intervalle : maintien hydratation i.v. 1000-1500ml/24h. Suivi fonction rénale Optimisation des soins Optimisation situation hémodynamique Optimisation situation hémodynamique et adaptation traitement diurétique Orchidopexie Vers intestinaux Nécrose cutanée et sous-cutanée face latérale 1/3 moyen de la jambe, nécrose muscle long péronier, nécrose fascia et périoste sur status post : • Plaie profonde face latérale jambe G avec section du tendon long péronier et section du corps musculaire du court péronier le 23.06.2015 avec révision de la plaie, suture du tendon du muscle court péronier et long péronier selon Kessler, lavage et fermeture le 24.06.2015 . Récidive d'otite sécrétoire oreille D, sans notion de surinfection • otite moyenne séreuse D le 06.07.2015 (consilium ORL) • otite séreuse à répétition avec status post implantation de DTT en or en 2006 et T-tubes en 2008 et 2012, DTT D expulsé en août 2013. Syndrome de stress post-traumatique Orchiépididymite. Orchi-épididymite droite. Orchiépididymite droite le 09.06.2018. Orchi-épididymite droite le 8.06.2018. Orchi-épididymite gauche en 2008. Kyste testiculaire en 2015. Orchi-épididymite. Abcès sacro-coccygiens multiples. Status post-appendicectomie. Orchite et épididymite droite. Orchite gauche le 04.05.2018. Organisation semainier + SAD pour contrôle glycémique 1x/j dès le 08.06.2018. Organiser un suivi à la consultation du Dr. X après l'hospitalisation. Orgelet de la paupière supérieure droite le 30.06.2018 • céphalées secondaires. Orgelet paupière inférieure gauche Orientation vers la clinique de jour. ORIF de l'ulna proximal D par plaque Aptus coude 2.8 mm. Révision de plaies bras et avant-bras D. (OP le 04.06.2018) Consilium d'angiologie du 04.06.2018 par Dr. X : US-Doppler art MID : bifurcation artérielle haute avec artère humérale double. Le reste de l'examen est normal. Pas de lésion artérielle. Pas d'hématome collecté. Consilium d'infectiologie du 13.06.2018 par Dr. X : introduction d'une prophylaxie antibiotique par Céfuroxime 1,5 g 3x/j i.v. du 04.06.2018 au 06.06.2018. ORL : exérèse le 19.06.2018. Histologie : en cours ORL : exérèse le 19.06.2018. Histologie : en cours Orthèse type hallux valgus à G, à porter la nuit selon tolérance. Contrôle au besoin. Orthogilet, ad év OP Orthogilet pour 6 semaines Orthopédique du Dr. X : gespaltener Gips, Nachkontrolle mit Rx in 1 Woche, Behandlungsdauer insgesamt 6 Wochen Orthopandomogramme sans fracture mandibulaire Orthoradiogramme colonne totale face et profil : on n'observe pas de trouble majeur de la statique de la colonne vertébrale. Membre inférieur droit plus court que le membre inférieur gauche avec bascule du bassin vers la droite. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Clichés comparables aux précédent. Pas de progression significative de la scoliose. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Inchangé au dernier contrôle. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Scoliose sinistro-convexe lombaire avec angle de Cobb de 12°. Asymétrie du bassin avec varus de la hanche G et asymétrie de 1cm de longueur des MI en défaveur de la G. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du 05.02.2018 (IDMG): Cf. diagnostic. Orthoradiogramme f/p : on observe une rectitude prononcée de la colonne cervicale. Orthostase d'origine probablement non-vasovagale DD dans le cadre de la maladie de Parkinson : • Schellong 15.05.2018 : symptomatique, avec chute de TA sys après 2 min de 38 mmHg et le dyas reste sans changement avec augmentation de la pulsation de 10/min • Schellong 24.05.2018 (avec bas de contention) : symptomatique, avec chute de TA sys après 2 min de 40 mmHg et le dyas de 20 mmHg avec augmentation de la pulsation à 10/min • Hypotonie symptomatique à 85/46 le 18.05.2018 Orthostatisme avec syncope et douleur rétrosternale à l'effort. OS de poignet gauche le 15 novembre 2017 à Payerne Arthroscopie pour ménisque genoux droit 2008 OS fémur proximal par PFNA long et cerclage (OP le 09.04.2018) Charge selon douleurs Contrôle radioclinique à 6 semaines post-opératoire chez Dr. X le 29.05.2018 Contrôle radioclinique 3 mois post-opératoire chez Dr. X (demande faite) OS fracture comminutive tiers proximal humérus D le 08.03.2012 OS fracture déplacée, intra-articulaire, extrémité distale radius et cubitus gauche le 16.03.2015 Cholécystectomie pour lithiase en 1962 OP pour hernie discale dans les années 70 et 90 Fracture de tassement D11 et D12 type A1 en août 2016 • Pied tombant à D connu, force du MID à M4+ connue, hypoesthésie tibia D territoire L4 connueInfection urinaire haute le 27.02.2017 • cystites à répétition Contusion épaule gauche OS fracture intra-articulaire du tibia distal gauche le 26.09.2016. • AMO en avril 2017 (Tafers). Cure hallux valgus du pied gauche il y a 10 ans. • AMO en avril 2017 (Tafers). OS fracture P1 Dig IV main G en 2012 • AMO en 2014 Anorexie nerveuse en 2013 • perte de 37 kg en une année OS par PFNA (OP le 05.04.2018) Charge partielle de 15 kg Contrôle radio-clinique le 17.05.2018 Charge complète dès le 17.05.2018 OS tête radiale par vis libres et réinsertion du ligament collatéral externe coude G (OP le 25.05.2018) OSG Distorsion le 02.06.2018 : • Rx OSG li : aucune fracture OSG Distorsion le 24.06.2018 : • Rx OSG links : épanchement antérieur, devant la syndesmose, une calcification antérieure indéfinie, aucune fracture (provisoire) OSG Distorsion droite : • Rx OSG re : aucune fracture (provisoire) OSG-Distorsion droite le 29.06.2018 : • Rx OSG/Vorfuss droit : aucune fracture (provisoire) Osgood-Schlatter genou gauche. Osmolalité normale. Osmolalité sérique. Remplissage au NaCl 0.9 % 500 ml aux urgences. Adaptation de l'antalgie. Ospen. Ospen sirop 750 5 ml 3x/j pour 10j Algifor 200 mg 3x/j pour 5j, Collunosol N Spray 4-8 nébulisations/j Dispense d'école pour le 25.06.2018 Ospen 1000 3x/j pendant 10j Algifor 400 mg 4x/j pendant 3j, Collunosol N Spray 4-10x/j Ospen 750 3x/j pendant 10j Algifor sirop 10 ml 3x/j pendant 5j Dafalgan 500 mg 4x/j en réserve selon douleurs et fièvre Ostéite chronique du 5e métatarse droit résiduelle à S. Aureus MSSA le 24.04.2018 avec : • amputation du 5ème rayon au niveau épi-basal du 5ème métatarsien droit le 18.08.2017 • amputation se prolongeant jusqu'à la base du 5ème métatarsien droit et révision de plaie le 12.12.2017 (bactériologie négative à J14) Ostéoarthrite chronique de l'IPP O5 avec résection en 2015. Lymphome non-Hodgkin à cellules B, folliculaire grade I de l'ampoule de Vater, traité par chimiothérapie en 2008. Cure de tunnel carpien des deux côtés. Opération de la coiffe des rotateurs bilatérale en 2002 et 2008. Suture du tendon achiléen en 2007. Phakectomie en 1998. Appendicectomie. Ostéochondrite condyle fémoral gauche. Ostéochondrome du tiers moyen de l'ulna droit Osteogenesis imperfecta. Ostéolyse supra-acétabulaire cotyle D. Status post PTH D en 2001 (Dr. X). Status post PTH G octobre 2014. Suspicion de douleurs sacro-iliaques, respectivement des douleurs de la colonne lombaire. Ostéomalacie suivie par les rhumatologues, actuellement sous traitement Calcimagon. Ostéomyélite chronique de la phalange distale sur ongle incarné du bord médial de l'hallux D. Ostéomyélite chronique de la phalange distale sur un ongle incarné bord médial de l'hallux droit. Ostéomyélite chronique des 2ème et 3ème têtes métatarsiennes à droite. Ostéomyélite chronique du tibia proximal D avec fracture pathologique et amputation selon Gritti fémur D, le 11.11.2017 Ostéomyélite de la tête du 1er et 3ème métatarsiens du pied droit. Status post amputation ouverte du 2ème rayon du pied droit au niveau du métatarsien le 22.02.2018. Status post amputation transmétatarsienne du pied droit le 27.03.2018. Ostéomyélite de P2 et P3 4ème orteil pied D avec nécrose sèche le 09.02.2018 • Germe en cause (09.02.2018) : Escherichia coli, Enterobacter cloacae, Enterococcus faecalis • S/p prise en charge chirurgicale Décompensation diabétique hyperglycémique normo-osmolaire le 05.04.2017. Pneumonie communautaire avec insuffisance respiratoire partielle le 05.04.2017 Ostéomyélite des têtes métatarsiennes 2-3 à droite Ostéomyélite et dermohypodermite du MID chronique depuis 2007 suite à une greffe musculaire État confusionnel en péjoration depuis le 07.06.2017 probablement multifactoriel dans le contexte de : • Suspicion de troubles mnésiques bien compensés, avec exacerbation sur longue hospitalisation et dans le contexte d'une chute importante avec TC Status post hystérectomie et annexectomie bilatérale pour utérus myomateux Status post appendicectomie Ostéonécrose condyle interne à G sur traumatisme en mars 2018. Ostéonécrose spontanée du genou gauche stade III, selon Koshino - condyle fémoral externe. Ostéonécrose tête fémorale D post ostéosynthèse d'une fracture col fémur type Pauwels III par triple vissage le 01.02.2012 en Autriche. Ablation 3 vis grand trochanter D PTH D (cupule Fitmore 54 fixé avec 1 vis, noyau Durasul 52/36, bouchon Weber 3.5, tige MS-30/10 standard cimenté, Palacos R+G, centralizer 10/12, tête Protasul 36 col M) (OP le 14.03.2013) Ostéophytectomie antérieure Ostéophytectomie postérieure Ablation du cal col fémur et bursectomie étendue (OP le 14.03.2013) Ostéopénie du rachis modérée à sévère avec discopathie L1-L2 avec rétrolisthésis, discarthrose L2-L3 Cardiopathie valvulaire (sur maladie de Barlow) avec insuffisance mitrale modérée, stable au contrôle du 18.10.2016 Consommation d'alcool à risque, diminuée depuis novembre 2014 (env. 6 verres/j le 05.06.2015) Insuffisance veineuse stade IV, avec : • ulcère du membre inférieur gauche, récidivant depuis fin années 90, traité par le médecin traitant État anxio-dépressif non traité Hypertension artérielle traitée et contrôlée Hyperplasie bénigne de la prostate traitée et contrôlée Ostéopénie du rachis modérée à sévère avec discopathie L1-L2 avec rétrolisthésis, discarthrose L2-L3 Cardiopathie valvulaire (sur maladie de Barlow) avec insuffisance mitrale modérée, stable au contrôle du 18.10.2016 Consommation d'alcool à risque, diminuée depuis novembre 2014 (env. 6 verres/j le 05.06.2015) Insuffisance veineuse stade IV, avec : • ulcère du membre inférieur gauche, récidivant depuis fin années 90, traité par le médecin traitant État anxio-dépressif non traité Hypertension artérielle traitée et contrôlée Hyperplasie bénigne de la prostate traitée et contrôlée Ostéopénie du rachis modérée à sévère avec discopathie L1-L2 avec rétrolisthésis, discarthrose L2-L3 Cardiopathie valvulaire (sur maladie de Barlow) avec insuffisance mitrale modérée, stable au contrôle du 18.10.2016 Consommation d'alcool à risque, diminuée depuis novembre 2014 (env. 6 verres/j le 05.06.2015) Insuffisance veineuse stade IV, avec : • ulcère du membre inférieur gauche, récidivant depuis fin années 90, traité par le médecin traitant État anxio-dépressif non traité Hypertension artérielle traitée et contrôlée Hyperplasie bénigne de la prostate traitée et contrôlée Ostéophytes et arthrose au niveau TMT 3 pied G. Ostéoporose Ostéoporose Ostéoporose Ostéoporose Ostéoporose Ostéoporose avec cyphose dorsale Ostéoporose avec fractures vertébrales. Myélome multiple à chaînes légères KAPPA de stade IIIb le 11.09.2013 avec gros plasmocytome destructif de la crête iliaque gauche. Velcade-Dexaméthasone dès le 23.09.2013, suite au consilium oncologique avec le Dr. X. Ostéoporose avec tassement L1 Hypercholestérolémie Ostéoporose avec tassement L1 Hypercholestérolémie Ostéoporose avec traitement Bonviva de 2011 à 2016 (à présent en fenêtre thérapeutique). Maladie de Dupuytren lentement évolutive depuis 1986 à la main droite. Arthrose au pied droit avec un orteil en marteau. Hypertension artérielle traitée. Oesophagite chronique sous IPP. Ostéoporose bei Hyovitaminose D • 25-OH-Cholecalciferol 75 nmol/L le 21.11.2017 Ostéoporose clinique avec tassements vertébraux • Traitement par Bonvia entre octobre 2012 et mai 2014 • Carence en vitamine D Hypertension artérielle traitée Insuffisance rénale stade II Asthme allergique Hypoacousie après streptomycine FRCV: Tabagisme actif 52 UPA, dyslipidémie • Ostéoporose (diagnostiquée en 2002) sous traitement de Calcimagon D3 • Traitement par biphosphonates de 2002 à 2007. Hypertension artérielle traitée. Dolichocôlon avec constipation chronique. BPCO sur ancien tabagisme traitée par Ultibro 1x/j et Symbicort 200/6 2x/j. • Ostéoporose diagnostiquée en 2015 sous traitement • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire avec : • fracture Garden IV du col fémoral droit • fracture du cotyle droit le 20.05.2018, sans notion de traumatisme. • Ostéoporose fracturaire avec : • tassements vertébraux D3, D9, D12, L2, L3, L4, L5 • hypovitaminose D • Ostéoporose fracturaire avec tassements multi-étagés • Ostéoporose fracturaire (clavicule gauche, bassin), sous Aclasta 1x/an. Hypertension artérielle. Hernie hiatale. Scoliose. Sciatalgies gauches non déficitaires. Polyarthrite rhumatoïde. • Ostéoporose fracturaire possible : • probable ostéoporose fracturaire • Ostéoporose fracturaire • statut après spondylodèse ventrale et dorsale C3-D1 après fracture HWS en 1999 • fracture du condyle fémoral interne G remontant dans la diaphyse fémorale jusqu'à la jonction tiers moyen sur chute de sa hauteur le 21.05.2018 • Ostéoporose fracturaire • traitement de Prolia durant 4 ans, fin en janvier 2017 • traitement par Bonviva 3 mg iv tous les 3 mois depuis le 17.05.2018 • Ostéoporose. Glaucome débutant droit. Hypertension artérielle traitée depuis janvier 2013. • Ostéoporose non traitée Suspicion polymyalgia rheumatica Cardiopathie hypertrophique : • ETT du 19.04.2017 : cardiopathie hypertrophique avec bonne fonction biventriculaire sinon plutôt normale. Souffle systolique à l'admission probablement favorisé par l'anémie. Arthrose genou G • Ostéoporose probable • Ostéoporose sévère fracturaire • densitométrie (2014, Tavel) : faussement négatif (ostéosclérose) • biphosphonate par Alendronate (> 10 ans, stop 2014) • corticothérapie pour polymyalgia rheumatica (2006-2008 : 20 mg à 2.5 mg) • Ostéoporose sous Aclasta 1x/an Omarthrose D avec subluxation supéro-antérieure de la tête humérale avec : • s/p infiltration (Dépo-Medrol) par voie postérieure (14.05.2009) Bigéminisme ventriculaire à l'ECG du 13.02.2017 avec : • s/p thermoablation d'un faisceau accessoire (1999) • coronarographie (30.10.2015) : FEVG 85%, fonction systolique normale, pas de sténose coronarienne significative • ETT (27.10.2015) : FEVG 68%, fonction contractile normale • avis cardiologique (Dr. X, 13.02.2017) : pas d'investigations supplémentaires nécessaires en l'absence de symptômes Dyslipidémie le 20.02.2017 • Ostéoporose traitée • Ostéoporose traitée • Ostéoporose traitée. • Ostéoporose traitée depuis 7 ans. • Ostéoporose traitée par Calcimagon Restless-Legs-Syndrome traité par Sifrol Côlon irritable Personnalité dépendante avec plusieurs tentatives de suicide • Ostéoporose traitée par Forsteo Cardiopathie ischémique et rythmique • Stent en 2014 Hypertension artérielle traitée Fibrillation auriculaire anticoagulée par Xarelto Angor stable SCA non daté Hypercholestérolémie • Ostéoporose. Constipation le 21.05.2018 • Ostéoporose. Fractures vertébrales ostéoporotiques. • Ostéoporose Maladie coeliaque Hypoacousie appareillée des deux côtés • Ostéoporose Maladie de Ménière • Ostéoporose Maladie de Ménière • Ostéoporose Maladie de Ménière • Ostéoporose Omarthrose • prothèse épaule D Hystérectomie Migraines avec vomissements, photophobie • Ostéoporose. Syndrome de Claude Bernard Horner D suite à un AVC en 1992. Cancer du sein et cancer de la vessie en rémission. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition dans le cadre de maladie de Parkinson évoluant depuis 2002. Hallux rigidus avec déformation importante en valgus du pied droit, deuxième orteil droit en griffe. Arthropathie périphérique des 2 MI, prédominant à droite, avec un affaissement complet de la face plantaire du pied D. • Ostéosynthèse au niveau de la rotule gauche en 2004 suite à une fracture. • Ostéosynthèse de la fracture du 4ème métacarpien D agendée au 06.06.2018 en ambulatoire avec consultation pré-anesthésie le 04.06.2018. Contrôle rx-clinique du rachis cervical à la consultation du Dr. X à 2 mois. • Ostéosynthèse de la tête radiale et du processus coronoïde, réinsertion du LUCL et MCL le 27.02.2018 pour une Terribe Triad du coude gauche. • Ostéosynthèse de l'humérus gauche. • Ostéosynthèse du fémur proximal par clou PFNA et cerclages Dall-Miles 2.0. (OP le 09.06.2018) • Ostéosynthèse du 3ème métacarpien par plaque Medartis Aptus main 2.0 en T. Ostéosynthèse du 4ème métacarpien par plaque Medartis 6 trous. Ostéosynthèse du 5ème métacarpien par plaque Aptus main 2.0 en T. Rappel tétanos Antibiothérapie par Céfuroxime 1.5 g iv dose unique aux urgences. • Ostéosynthèse d'une fracture du condyle radial coude D (OP le 27.02.2015) • Ostéosynthèse et réduction fracture plancher orbitaire • Ostéosynthèse fémur distal G par plaque LISS 5 trous (OP le 22.05.2018) • Ostéosynthèse fémur proximal G (OP le 12.06.2018) • Ostéosynthèse fémur proximal G (OP le 12.06.2018, Dr. X) Charge 15 kg - Touch down Clexane prophylactique en post-opératoire Clexane thérapeutique à partir J4 post opératoire Ablation des fils à J14 Rx post opératoire et après 6 semaines à la consultation de l'opérateur • Ostéosynthèse fémur proximal gauche (OP le 12.06.2018, Dr. X) Charge 15 kg pendant 6 semaines Ablation des fils à J14 Contrôle radiologique et clinique dans 6 semaines à la consultation de l'opérateur • Ostéosynthèse humérus proximal D par plaque Philos et Aptus 2.0. Ténotomie ténodèse du long chef du biceps. (OP le 19.06.2018) • Ostéosynthèse humérus proximal G par plaque Philos 3 trous ( OP le 22.05.2018) Antalgie par PCA de morphine du 22 au 26.05.2018 • Ostéosynthèse par plaque DHS pour fracture de la hanche gauche. PTH droite. Cholécystectomie. Fracture péri-prothétique spiroïde du fémur droit Vancouver B, traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et cerclages, le 11.09.2015. Sciatalgie droite (contexte de PTH) le 28.08.2017 • canal lombaire étroit L4-L5 sur protrusion discale postérieure et hypertrophie des ligaments jaunes • spondylarthrose • IRM lombaire : discopathies pluri-étagées avec protrusion discale et canal lombaire étroit. Infection urinaire basse à E. faecalis le 31.08.2016. Insuffisance rénale Akin 2 avec une créatinine à 193 mcmol/l le 29.09.2017. • Ostéosynthèse par plaque VARIAX Strycker 8 trous, technique MIPO. (OP le 20.06.2018) • Ostéosynthèse pour fractures de l'humérus droit. Pose de drains transtympaniques dans l'enfance. Anaphylaxie stade II d'origine alimentaire (mangue? soja? noix de coco?) avec : éruption cutanée, épigastralgies, état fébrile à 38°C. Probable entorse du Lisfranc pied droite. Otite moyenne aiguë. • Ostéosynthèse tri-malléolaire avec une plaque Pedus 2.7 en araignée, une vis libre du côté interne et une vis de positionnement latérale. (OP du 19.06.2018) • Ostéotomie de correction du tibia en valgus et antécurvatum et fixation par clou centro-médullaire du tibia externe à D le 13.03.2018 avec ostéotomie du péroné pour un défaut d'axe en varus et recurvatum avec arthrose débutante tibia-astragalienne à D sur status post fracture de la jambe dans l'enfance. • Ostéotomie de varisation de la hanche D pour une coxa-rototorta (75°), le 15.05.2018. • Otalgie Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie à droite. Otalgie côté gauche. Otalgie d'origine mécanique le 14.06.2018. Otalgie droite Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. otalgie droite Otalgie droite sur OMA débutante Otalgie G Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche avec hypoacousie, d'origine indéterminée. Otalgie gauche et fièvre Otalgie moyenne aigue droite Otalgie moyenne aigue droite Otalgie, odynophagie, fièvre Otalgie, otorragie. Otalgie récidivante d'origine indéterminée. DD: otite séro-muqueuse. Otalgie suite à un barotraumatisme sur dépressurisation d'avion le 10.06.2018. Otalgies. Otalgies. Otalgies bilatérale. Otipax gouttes 2 fois par jour pendant 7 jours. Otite à fin février 2013. Otite à répétition Otite aige gauche Otite aigue droite Otite aigue gauche sous amoxicilline depuis 5 jours associée à une rhinopharyngite Otite bilatérale Otite bilatérale Otite congestive et otite externe. Otite congestive gauche Otite congestive gauche. Otite en 2017 traitée par antibiothérapie. Otite externe Otite externe. Otite externe +/- moyenne gauche. Otite externe à droite Otite externe bilatérale Otite externe bilatérale Otite externe bilatérale otite externe bilatérale Otite externe des 2 côtés Otite externe droite le 25.06.2018 s/p suspicion d'otite externe maligne bilatérale le 15.03.2018 avec drain tympanique G en place Otite externe en juillet 2017. Angine à streptocoque en 2012. Otite externe gauche. Otite externe gauche. otite externe gauche Otite externe gauche avec otite séro-muqueuse Otite externe gauche en décours Otite externe gauche le 12.01.2017. Tentamen en mars 2018, hospitalisation à Marsens. Otite externe gauche le 20.10.2014. Otite externe gauche le 20.10.2014 Salpingite en 2015, laparoscopie Otite externe gauche le 20.10.2014 Salpingite en 2015, laparoscopie Otite externe oreille gauche Otite externe séreuse avec perforation tympanique non exclue de l'oreille gauche. Otite externe Syndrome pied-mains-bouche au décours Otite gauche Otite gauche. Otite gauche le 10.06.2018. Otite gauche perforée Otite il y a 3 mois Otite moyenne à répétition avant l'opération Bronchite asthmatique, traitée par Ventolin Otite moyenne à répétition Bronchite obstructive à répétition, hospitalisation 1X en hiver 2018 Pose de drains tympaniques des deux côtés le 28.12.17 Otite moyenne aigue. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aiguë. Otite moyenne aigue à droite Otite moyenne aigue bilatérale Otite moyenne aigue bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aiguë bilatérale Otite moyenne aigüe bilatérale Otite moyenne aigue bilatérale avec perforation du tympan droit. otite moyenne aigue bilatérale D>G Otite moyenne aigue bilatérale G>D Otite moyenne aigue débutante à gauche Otite moyenne aiguë des 2 côtés, avec baisse de l'audition. Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite Otite moyenne aiguë droite avec infection de la sphère ORL. Otite moyenne aiguë droite le 07.06.18. Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche Otite moyenne aigue gauche. Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aigue gauche post paracentèse . Otite moyenne aiguë le 01.12.2012 (traitée par antibiothérapie par Clamoxyl 500 mg 2x/j pendant 7 jours). Otite externe droite. Migraine avec aura Brûlure du 2ème degré superficiel face dorsale main gauche en regard de la base métacarpo-phalangienne du pouce le 16.08.2015. Otite moyenne aigue perforée à droite Otite moyenne aiguë perforée droite Otite moyenne droite. Otite moyenne droite perforée, le 21.06.2018. Otite moyenne gauche. Antibiothérapie sous Amoxicilline. Consultation aux urgences si persistance de symptômes >3 jours devant l' usage fréquent des antibiotiques vu les otites en répétition. Otite moyenne gauche. Infection respiratoire haute. Otite moyenne G Infection respiratoire haute Otite moyenne le 30.06.2018. Otite moyenne perforée oreille gauche, le 24.11.2017. Myopéricardite en décembre 2017 (diagnostic et traitement au Portugal) avec : • suivi cardiologique par Dr. X à Marly. Otite moyenne simple à droite. Otite moyenne traitée avec des antibiotiques jusqu'à la semaine passée Otite perforée Otite perforée Otite perforée gauche. Angine à streptocoque A. Antibiothérapie par amoxicilline pendant 10 jours. Otite purulente Otite purulente Otite séro-muqueuse. Otites à répétition Otites à répétition. Vertige paroxystique positionnel bénin de l'oreille gauche. Probable crise d'épilepsie partielle secondairement généralisée le 13.11.2016 : • symptomatologie : tremblement de la main droite, bégaiement, perte de tonus. Carence en acide folique à 3.8 ng/ml le 14.11.2016. Otite externe droite au décours. Otites en répétition Otites en répétition Otites et angines dans l'enfance. Angine virale versus sur reflux gastro-oesophagien. Otodynie, hypoacousie, œdème périauriculaire. Otorhée Otorhée Otorhée droite Otorragie gauche à priori du conduit auditif externe. Un examen ORL spécialisé est prévu demain. Otorragie gauche sans cause connue Otorrhée. Otorrhée droite unilatérale sur lésion du canal auditif externe le 24.06.2018. Otoscopie. Retour à domicile, traitement symptomatique. Reconsulter si péjoration ou persistance des symptômes. Otoscopie sans particularité. Weber latéralisé à gauche avec Rinné +/+. Consilium ORL pour status et audiométrie en ambulatoire. Otoscopie. Antalgie par Dafalgan et Irfen. Amoxicilline 500 mg 2x/j pendant 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant à fixer par la patiente. Ovariectomie bilatérale en 2016. Hystérectomie en 1998. Ovariectomie bilatérale il y a 25 ans pour néoplasie Ovariectomie non datée. Hystérectomie totale non datée. Arthroscopie des genoux des deux côtés, des épaules des deux côtés. Gastrectomie subtotale suite à ulcère perforé non daté. Mastectomie bilatérale (CA dans la famille, conseil génétique). Ovules de Gynoflor durant 6 jours Oxazépam en R Oxazépam Thiamine Oxazépam Thiamine Oxazépam Thiamine Oxazépam Thiamine Oxybuprocaïne. Échec de l'ablation aux urgences. Pansement occlusif vitamine A et consultation ophtalmologique demain. Oxybuprocaïne gouttes pour la nuit en ordre unique. Floxal goutte 1x cette nuit, 1x avant la consultation ophtalmologique le 30.06 le matin. Pansement ophtalmique.Contrôle chez l'ophtalmologue de garde aujourd'hui le 30.06.2018 à 11h30. • Oxybuprocaïne. • Échec ablation aux urgences. • Consultation ophtalmologique le 22.06.2017. • Oxygène au besoin du 03-06. • Oxygène aux lunettes 0.3-0.5 L/min. • Sonde naso-gastrique. • Oxygène en réserve. • Adaptation des opiacés. • Oxygénothérapie 15L/min = amélioration de la symptomatologie post oxygène. • Antalgie. • Acématicin en réserve. • Retour à domicile. • Conseil de prendre rendez-vous en externe avec neurologue pour investigations +/- imagerie. • Oxygénothérapie. • Oxygénothérapie. • Oxygénothérapie au masque à haute concentration le 20.06.2018. • Ventilation non invasive du 20.06.2018 au 23.06.2018. • Héparine thérapeutique du 20.06.2018 au 23.06.2018 puis enoxaparine thérapeutique dès le 23.06.2018. • Poursuite de l'antibiothérapie par Tienam majorée à 1g 4x/j le 20.06.2018 pour une durée de 7 jours. • Oxygénothérapie du 24.04 au 29.04. • Bilan sanguin. • Culture des expectorations. • Hémocultures le 29.04. • Antibiothérapie i.v. par Fortam (Ceftazidime) 2g 3x/j et Amikin (Amikacine) 350mg 3x/j, du 24.04.2018 au 07.05.2018 (14 jours in toto). • Taux d'amikacine le 25.04, 26.04 et 27.04. • Inhalation Ventolin 4x/j et Atrovent 3x/j, poursuite Sérétide. • Physiothérapie respiratoire 2x/j suite à aérosol de solution hypertonique. • Médecine anthroposophique. • Oxygénothérapie. • ECG. • Laboratoire. • Avis psychiatre de garde Dr. X: refus d'évaluation, absence d'auto ni hétéro-agressivité ce jour, numéro du centre des addictions à remettre au patient. • Oxygénothérapie initiale à 4 puis 3 l/min et sevrage au bout de 45 min. • Oxygénothérapie initiale à 4 puis 3 l/min et sevrage au bout de 45 min. • Oxygénothérapie. • Lasix 40 mg aux urgences, puis 20 mg 4x/j, puis relais per os dès le 06.06.2018. • Oxygénothérapie. • Traitement bronchodilatateur par Atrovent et Ventolin. • Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j jusqu'au 03.06.2018. • Prednisone 50 mg per os jusqu'au 03.06.2018. • Oxygénothérapie. • Co-Amoxicilline du 29.05 au 02.06.2018. • Physiothérapie respiratoire avec VNI. • Oxygénothérapie. • ECG: sinusal, irrégulier, pas de trouble de la conduction, sus-décalage en antéro-latéral avec aspect de miroir en inférieur, bloc de branche gauche complet. • Explications données par le médecin avant: • Échographie de débrouillage (Dr. X): épanchement pleural droit. • Radiographie thoracique: épanchement pleural droit, bulle emphysémateuse géante à droite et bulle d'emphysème apicale gauche. • CT thoracique avec injection: épanchement pleural de grande abondance à droite, bulle emphysémateuse volumineuse à droite, comprimant le poumon. Bulle emphysémateuse modérée en apex gauche. Foyer de bronchopneumonie en lobaire moyen droit. Signe de décompensation cardiaque. • Prise de sang pour le laboratoire. • Hémoculture: en cours. • Antigénurie: en cours. • GDS. • Avis soins intensifs: nécessité d'une surveillance monitorée d'au moins 24h à 48h avec drainage de l'épanchement pleural pour exploration de la composition du liquide pleural. Pas de possibilité d'hospitaliser le patient à l'HFR. Transfert aux soins intensifs de Payerne à 17h30. • Oxymétrie nocturne à effectuer en ambulatoire. • Éviction de traitement respiro-dépresseur en l'absence de monitorage continu. • Oynophagie. • O2, Brilique 2 Tbl, Aspirin 500 mg i.v, Nitroglycérine 1 Kps; nach Eintritt Karotismassage und wundersame Konversion in SR mit deutlicher Verringerung des Retrosternaldruckes; passagère Parästhisie re Oberschenkel, Pulse u E symmetrisch; • Verlegung Inselspital. • O2. • Fentanyl patch 12mcgr. • Effentora 100mcgr en R. • Surveillance et accompagnement. • Pose de drain pleurix le 13.06.2018 par Dr. X. • Évaluation par Dr. X le 22.06.2018. • O2 selon besoins. • Fentanyl patch 12 mcgr. • Effentora 100 mcgr en R. • Surveillance et accompagnement interdisciplinaire. • O2. • Rx thorax. • Avis chir: • Pose de drain thoracique aux urgences. • Anesthésie locale. • Fentanyl 2x25 mg i.v. • Rx thorax de contrôle. • Pacemaker AAI-DDD (2008), dernier contrôle en novembre 2014. • Hypertension artérielle. • Migraine sans aura. • Céphalées tensionnelles. • Cervicarthrose. • Arthrose lombaire. • Hémangiomes hépatiques en 2007. • Antrite érosive 2015. • Cholécystolithiase. • Phéochromocytome surrénalien droit diagnostiqué en 2007 avec: • surrénalectomie droite en 2007. • actuellement suspicion de récidive (lésion hépatique et triade de Ménard). • Lésion hépatique hétérogène au niveau du segment VI d'origine indéterminée, DD: • récidive de phéochromocytome. • cholangio-carcinome. • BPCO. • Pacemaker. • Stenting non actif de l'IVA proximale et de la coronaire droite proximale. • Infections urinaires à répétition. • Pachypleurite fibro-inflammatoire gauche, d'origine indéterminée, avec épanchement récidivant de type exsudat. • avis Dr. X le 23.05.2018: ad thoracoscopie pour décortication des scepa et talcage (si suspension de ASS+Brilique). • Ponctions pleurales à Payerne les 21.02, 05.03 et 11.05.2018: transsudat selon rapport mais LDH de 777 U/l le 05.03.2018. • s/p drain thoracique du 05.03 au 09.03.2018. • s/p thoracoscopie, biopsie de la paroi thoracique et pleurodèse gauche en 06/2016. • PAFA par Dr. X le 15.05.2017. • Pallesthésie pathologique. • Attitude: • Évaluation en ambulatoire. • Palliative Basic Assessment: d'entrée. • ESAS: douleurs 0/10; dyspnée 0/10; nausée: pas actuellement; fatigue: 8/10 intense; somnolence: n'a pas dormi la nuit précédente en raison des vomissements; inappétence 2/10; sensation de mal-être mis à part la problématique abdominale, se sent bien. • Barthel Index: 65%. • Palliative Performance Scale: 40%. • Advanced Care Planning - Anamnèse sociale: vit avec son épouse, 2 enfants, 3 petits-enfants, son épouse et lui font face à la situation depuis 1 année, vivent ensemble les hauts et les bas de la maladie. Ont été famille d'accueil 20 ans, Mr. Y est d'un naturel généreux et altruiste. A été chef d'entreprise. Projet du patient / des proches: souhaite rentrer chez lui et profiter de la vie avec son épouse et leurs enfants. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins? : Mr. Y a un riche réseau mais son épouse est la personne de référence. Mr. Y nous est adressé en urgence par Dr. X suite à sa consultation en raison de vomissements, inappétence et douleurs abdominales en péjoration rapide dans un contexte d'adénocarcinome du pancréas en progression. À l'entrée, Mr. Y rapporte une nuit blanche en raison de "blocages" intestinaux avec vomissements; le fait de n'avoir plus mangé depuis ce jour a déjà amélioré la symptomatologie. Nous notons des bruits suspects d'une obstruction intestinale; le périmètre abdominal est augmenté mais nous ne mettons pas en évidence d'ascite importante cliniquement. Un traitement conservateur avec notamment de l'octréotide couplé à une restriction des ingestas permet une amélioration nette de la clinique. Nous excluons par la suite une coprostase associée avec un cliché radiologique. L'évolution permettant des congés à domicile, nous adaptons le traitement pour en faciliter l'administration en ambulatoire. Parallèlement, lors d'entretiens avec le couple, nous mettons en évidence une souffrance face à l'évolution de la maladie après une lutte d'une année. Nous abordons la thématique du pronostic actuel et l'importance de privilégier les bons moments en raison de l'incertitude liée aux prochaines semaines. Mr. Y peut exprimer vouloir privilégier sa qualité de vie avant la quantité. Plusieurs congés s'effectuant sans complications particulières, nous organisons un retour à domicile avec Voltigo comme intervenant de référence pour le couple. Mr. Y manifeste son intérêt à fréquenter l'accueil de jour de la Villa St François pour un suivi ambulatoire. Il peut rejoindre son domicile le 29.06.2018 Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 4/10 variables (max 8/10) ; dyspnée à l'effort ; nausée 2/10 ; fatigue 8/10 : se dit à plat ; somnolence : passe de mauvaises nuits ; inappétence 0/10 ; anxiété 0/10 ; dépression 0/10 : se dit abattue par la fatigue mais non dépressive Barthel Index : 45% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit seule, ex-époux décédé il y a 14 ans. 2 sœurs, 1 frère, 2 enfants, 1 petite-fille qu'elle apprécie beaucoup. Ses enfants habitent à Lucerne et en Allemagne. Apprécie de pouvoir jardiner et cuisiner, par le passé dépressive, depuis le diagnostic du cancer a repris goût à la vie, elle se ressource en nature. Projet du patient / des proches : récupérer des forces, souhaite rentrer chez elle. Espère retrouver du calme ici. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : frère et sœur n'ont pas participé à l'entretien. Mme. Tinguely nous est adressée par nos collègues de la médecine interne pour suite de prise en charge dans un contexte de fracture vertébrale pathologique récemment opérée. À l'entrée, Mme. Tinguely signale des douleurs au niveau du dos et une dyspnée à l'effort, restreignant sa mobilité. Elle rapporte une fatigue associée à l'intervention chirurgicale et au séjour hospitalier, des complications associées y ayant contribué. Elle espère pouvoir se reposer et récupérer son indépendance. Un traitement par Tramal fixe est introduit avec bon effet. Mme. Tinguely apprécie en outre la prise en charge non médicamenteuse des douleurs par massages, physiothérapie et médecine complémentaire. La plaie opératoire présente une évolution favorable mais nécessite une réfection de pansement fréquente. La patiente s'étant améliorée sur le plan symptomatique et fonctionnel, nous convenons avec Mme. Tinguely d'un retour à domicile avec soins à domicile quotidiens, visite d'une ergothérapeute et physiothérapie. Elle rejoint son domicile le 08.06.2018 ; une reprise de la prise en charge en oncologie étant agendée pour la semaine suivante. Ayant apprécié la prise en charge et les thérapies manuelles, Mme. Tinguely prévoit de revenir régulièrement à l'accueil de jour de la Villa St-François pour continuer à en bénéficier. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs au niveau de l'hémi-abdomen inférieur non crampiformes, surtout lors de mobilisations. Les décrit comme une douleur plutôt sourde, sur laquelle on a envie de mettre du chaud ; dyspnée 8/10 : sévère lors des efforts avec des épisodes de sensation d'étouffement qui l'ont amenée aux urgences ce dernier mois ; nausée : parfois lors de quintes de toux, nausées dues à l'effort de tousser et un certain dégoût alimentaire ; fatigue : modérée qu'elle met en lien avec de mauvaises nuits ; inappétence depuis 2-3 mois, accentuée depuis vendredi (dernière dose de chimiothérapie par Gemzar), cependant ressent une amélioration ce jour et remarque qu'elle a mangé une collation en arrivant ici ; anxiété : se décrit comme quelqu'un de nature anxieuse depuis petite, veut toujours maîtriser, être en contrôle de la situation, présence de ruminations autour de la maladie, le futur, la guérison....se dit très négative ; sensation de mal-être tout cela la fait se sentir épuisée, frustrée, n'a pas exprimé de la tristesse. Dit ne pas avoir peur de la mort, mais peur de ne pas vivre. Dit qu'elle a toujours vécu avec des peurs, voudrait apprendre à lâcher prise et accepter ce qui vient mais elle sait qu'elle a en soi ce qu'il faut pour guérir je me suis fait venir ce mal je dois pouvoir le reverser. Barthel Index : 55% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Moossajee est mariée, n'a pas eu d'enfant. Elle était libraire jusqu'au diagnostic de la maladie en 2009. Sa mère est très présente dans sa vie. Elle a une sœur et un frère avec lesquels elle a très peu de contacts. Elle déclare on dit que j'ai une sœur et un frère... Il a peur des hôpitaux, il me fuit ...et ma sœur est extrêmement occupée. Projet du patient / des proches : Elle a comme projet de s'en sortir sans pouvoir articuler la signification de s'en sortir en référence à avoir plus de temps ; elle dit qu'elle n'est pas naïve, elle sait qu'elle ne va pas guérir mais veut être mieux, reprendre des forces pour mettre le Pleurix et pouvoir continuer la chimiothérapie. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Le mari et la mère sont très impliqués et présents. Patiente bien connue de notre service (cf hospitalisation précédente), réhospitalisée pour épuisement du réseau et réadaptation du réseau ambulatoire. Le 29.06.2018, la perspective de rester hospitalisée lui étant insupportable, nous proposons à Mme. Moossajee un retour à domicile avec oxygène à domicile, organisation pour la semaine suivante de soins à domicile et moyens auxiliaires. En raison de la fragilité de la situation, nous anticipons une réhospitalisation à court terme et garderons contact téléphonique avec le couple Moossajee durant le week-end. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : pas de plainte ; dyspnée aux efforts connue sous oxygénothérapie ; anxiété : anxiété en lien avec la récente hospitalisation, peur de mourir ; autre : constipation résolue avec sirop de figues. Barthel Index : 50% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Monsieur Biland vit à domicile avec son épouse, une fille bien impliquée aussi. Le réseau comprend les soins à domicile et Voltigo, ainsi que la fréquentation de l'accueil de jour de la Villa. Projet du patient / des proches : pouvoir se reposer et prendre des forces pour rentrer à domicile. Sortie planifiée pour vendredi 08.06.2018. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : épouse et fille sont très impliquées dans la prise en charge. Monsieur Biland, bien connu de notre service, nous est transféré par nos collègues de la médecine pour suite de prise en charge dans un contexte palliatif à sa demande. Pour rappel, Monsieur Biland a été hospitalisé le 29.05.2018 pour une nouvelle décompensation cardiaque à prédominance droite avec FA rapide qui s'est rapidement stabilisée avec des diurétiques et amiodarone. Monsieur Biland vient dans le cadre d'une réhabilitation palliative avant de pouvoir rentrer à domicile. À l'entrée, Monsieur Biland signale une fatigue liée à de l'angoisse suite à sa récente hospitalisation, où on lui a proposé une cardioversion électrique qu'il a catégoriquement refusée. Cet événement l'a confronté à la mort, ce qui a réveillé des sentiments angoissants encore plus importants chez son épouse. Au vu de cet état d'anxiété amplifié par le monde des soins aigus, nous convenons avec le couple d'un rendez-vous ambulatoire afin d'anticiper la prochaine complication. Il nous paraît également utile de déterminer une attitude médicale correspondant à leurs besoins. La dyspnée reste sous contrôle avec l'oxygène en continu et Monsieur Biland arrive à bien gérer ses activités. Nous poursuivons le reste du traitement habituel et diminuons de moitié le Torasémide étant donné de la bonne évolution sur le plan cardiaque. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution sous cette médication. Nous rappelons la nécessité de refaire un bilan biologique afin de mesurer la TSH au vu du traitement par cordarone instauré par nos collègues de la médecine interne. Un rendez-vous chez le Dr. X sera pris par le patient après sa sortie d'hôpital.Monsieur Biland peut quitter la Villa St-François le 08.06.2018 pour rejoindre son domicile avec l'aide des soins à domicile et de Voltigo. Il continuera à participer à l'accueil de jour régulièrement où un suivi ambulatoire de couple a déjà débuté par le psychologue de l'unité. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : Douleurs constantes diffuses au niveau abdominal à 3-4/10 avec des pics à 6-7, lors des repas ou des mouvements plus demandeurs ; Nausée : Nausées qui viennent soudainement, sensation de ballonnement ; Fatigue 6/10 ; Inappétence : Perte de l'appétit en raison des douleurs, sensation de ballonnement, appréhension de manger ... mais a du plaisir à être en compagnie ; Anxiété : Parfois lors des nuits qui lui paraissent longues..., ruminations des idées sur la maladie ; Dépression : Tristesse sur les pertes multiples, notamment le degré d'indépendance. Barthel Index : 45% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vivait jusque-là avec sa compagne dont il est le proche-aidant principal depuis près de 20 ans, Mme. Y souffre en effet d'une SEP avancée avec troubles cognitifs et a dû être institutionnalisée suite à l'hospitalisation de Dr. X, ce qui l'attriste beaucoup. A deux filles d'un premier mariage, dont il s'est rapproché depuis la maladie. Deux frères et une sœur (Sylvie dont il est particulièrement proche). A travaillé comme électricien, adorait le bricolage ; Projet du patient / des proches : Pas de projet, il voudrait rester ici et manifeste le désir que cela ne dure pas trop longtemps, en même temps il y a une ambivalence car il désire encore être traité par des antibiotiques. Il est difficile pour lui de voir son indépendance diminuée. Dr. X nous est transféré par nos collègues de la médecine de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge en milieu palliatif et selon la demande du patient. Pour rappel, Dr. X a été hospitalisé à Riaz le 15.05.2018 pour un état septique sur cholangite, ensuite il est transféré en médecine interne à l'HFR Fribourg où une ERCP a échoué en raison des saignements profus et autres complications. À son entrée, Dr. X, déjà très ictérique, se plaint de douleurs abdominales continues avec des pics douloureux dans la journée, nous suspectons un sub-iléus débutant. Les douleurs ressenties à la jambe G suite à une thrombose se résolvent rapidement avec l'antalgie prescrite, nous poursuivons les bandes de compression pendant quelques jours. À son arrivée, Dr. X réfère des nausées qui cèdent rapidement avec de l'haldol. Il rapporte en outre une importante asthénie et des troubles de sommeil que nous traitons infructueusement avec de la Quétiapine et relayons par du Nozinan, lui permettant de passer de bonnes nuits de repos par la suite. Il apprécie les nombreuses visites de sa famille, surtout de ses filles qui l'accompagnent souvent. L'état de Dr. X se dégrade progressivement durant l'hospitalisation, il développe un iléus sur la progression tumorale et un état confusionnel de type hypoactif le 28.05.2018. Dr. X décède le 04.06.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : Pas de plainte mais grimace lors des mouvements dans le lit, puis réfère des douleurs "partout" sans pouvoir signaler un endroit précis ; Nausée : Présente des accès nauséeux parfois lors des mouvements et manifeste un mauvais goût dans la bouche, qu'il met en lien avec la chimiothérapie... ; Fatigue 8/10 : Fatigue importante, envie de dormir constamment, réfère ne pas avoir de force dans les jambes ; Somnolence : Dit vouloir dormir toute la journée ; Inappétence : Importante en lien avec l'asthénie, les nausées, la tristesse ; Anxiété : Peur de la mort, pleure lorsque l'on aborde le thème de la mort ; Dépression : Tristesse, peur de mourir, n'arrive pas à accepter... dit qu'il va guérir. Barthel Index : 45% Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est divorcé, a 4 enfants (2 filles et 2 garçons avec 3 femmes différentes). Il vit actuellement avec un de ses fils (19 ans), qui est suivi par le RSFM, situation très tendue à la maison. À noter qu'au domicile, il y a aussi une dame (gouvernante pour le fils ?) qui s'occupe peu de Mr. Y ? ; Projet du patient / des proches : Projet de retour à domicile ? Faisable ? Ce qui est important pour lui, c'est de reprendre des forces, de "guérir" et de retourner à domicile. ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Il a toujours tout décidé lui-même. Mr. Y, patient de 70 ans, est connu pour un adénocarcinome prostatique diagnostiqué en 2013, actuellement en progression avec des métastases osseuses et au niveau ganglionnaire. Pour rappel, la chimiothérapie palliative a été arrêtée suite à une mauvaise tolérance et progression tumorale. Mr. Y nous a été adressé par l'équipe Voltigo en raison d'une situation d'insalubrité préoccupante depuis plus d'une semaine selon la famille, ainsi qu'une gestion difficile de l'antalgie avec notion de prise de médicaments arbitraire. À son entrée, le patient réfère une asthénie avec un alitement progressif et une inappétence importante, qu'il met en relation avec les opiacés. Mr. Y exprime en outre avoir des douleurs cervico-dorso-lombaires qu'il estime supportables et pour lesquelles il ne désire pas une antalgie d'office. Nous instaurons donc un traitement par des AINS et du Temgesic en réserve, ce qui permet au patient de faire face car l'origine des symptômes, notamment la fatigue, vient de la progression tumorale. Au cours de l'hospitalisation, les douleurs se péjorant, Mr. Y accepte une antalgie par des patchs de Transtec et Temgesic en R que nous devons ajuster par la suite avec un bon résultat. Il en ressort une souffrance globale dans le contexte de la maladie oncologique, une situation familiale complexe, des problèmes de type financier et une perte importante du degré d'indépendance. Nous accompagnons Mr. Y dans ses multiples deuils. Un entretien de réseau avec le fils, Cédric, Voltigo, et notre équipe est organisé le 18.06.2018 afin de définir le projet de Mr. Y pour un retour à domicile, nous soulignons l'importance de pouvoir construire un réseau solide afin de réaliser le projet. Il est accordé qu'un retour à la maison serait possible avec un réseau étoffé avec les soins à domicile 1x/j. et le passage de Voltigo ainsi que la bonne gestion des réserves d'antalgie durant l'hospitalisation. Au vu de la situation socio-sanitaire complexe, la difficulté de gestion des affaires administratives, nous proposons une mesure de curatelle administrative volontaire à laquelle Mr. Y accepte de réfléchir par la suite. À noter que la question devra être abordée à nouveau si la situation devait se péjorer ou se répéter au vu de la fragilité du réseau à domicile. Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 25.06.2018 accompagné de son fils Cédric. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs présentes, pas quantifiables, plus importantes à la position assise ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue importante ; Somnolence dort beaucoup, ne se lève à domicile que pour manger ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression : se sent triste par rapport à sa situation, se fait du souci pour son épouse. Barthel Index : 45% Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse dans un appartement au 2ème étage sans ascenseur, a un fils qui leur procure assistance et s'appuie sur Dr. X de Voltigo. Le couple se déclare en froid avec la religion. Ils ont perdu un fils dans un accident de la circulation ainsi qu'une petite fille. Ces deux décès restent très douloureux. Monsieur a travaillé aux Ateliers Firmann ; Projet du patient / des proches : Rêverait d'aller en Italie ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : L'épouse, proche aidante, est présente à l'entretien et aide à compléter l'anamnèse.Monsieur Pesce est hospitalisé du domicile par Voltigo en raison d'une asthénie et de douleurs péjorées à domicile. A l'entrée, Monsieur Pesce rapporte des douleurs au niveau sacré connues de longue date ainsi qu'une fatigue importante. Nous objectivons une douleur exacerbée au niveau du bassin correspondant à des lésions osseuses connues et suspectons des irradiations dans les membres inférieurs. Objectivant des signes de surdosage, nous privilégions une antalgie de relais par Méthadone afin d'agir sur une composante neuropathique. Durant son séjour, Monsieur Pesce présente une évolution stable; il nécessite en raison de troubles cognitifs une guidance importante dans les AVQ. La clinique étant suffisamment parlante, nous renonçons à un test de dépistage. Des difficultés pour un retour à domicile se présentent en raison d'un réseau reposant beaucoup sur l'aide de son épouse. Nous organisons un colloque de famille avec le fils du couple. Ce dernier souhaite réduire son temps de travail afin de pouvoir accompagner ses parents; un membre de la famille en Italie pouvant les rejoindre sous peu pour assistance. Le réseau de soin est renforcé avec un passage plus régulier des soins à domicile. La famille Pesce place par ailleurs une grande confiance en Monsieur Gremion, infirmier Voltigo, pour les soutenir. Monsieur Pesce rejoint son domicile le 26.06.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 5/10 ; Somnolence 5/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Autre 5/10 inconfort lié à l'abdomen tendu. Barthel Index : 10% Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : veuve depuis 1995, vit à 98 ans seule dans une maison au rez-de-chaussée, aidée par les soins à domicile. Encore très active, apprécie de participer à un accueil de jour et de jouer aux cartes 2 à 3 fois par semaine. 3 enfants vivants, 4 petits-enfants. Personne religieuse, a longtemps contribué à une association chrétienne pour aînés, a beaucoup voyagé depuis sa retraite, a notamment apprécié Venise ; Projet du patient/des proches : souhaite rentrer chez elle après avoir guéri. Les proches souhaitent une prise en charge purement symptomatique. Pas de peur verbalisée. Mme. Collaud nous est transférée de l'Hôpital de Payerne pour suite de prise en charge dans un contexte d'iléus sur volvulus avec complications au décours. Nos collègues de Payerne avaient en effet contacté le Dr. X pour des recommandations quant à la prise en charge palliative de cette patiente. Au moment du transfert, Mme. Collaud, chez laquelle un traitement par fentanyl avait été débuté il y peu à Payerne, se déclare spontanément confortable. L'anamnèse est prise conjointement auprès de sa fille ; cette dernière déclare une nette amélioration des douleurs depuis 48 heures. Le transit a repris progressivement et Mme. Collaud s'alimente de nouveau. Nous adaptons l'antalgie ; au vu de l'âge de Mme. Collaud, nous préférons éviter toute mesure thérapeutique trop agressive face à cet iléus en voie de récupération. Celle-ci s'améliore au fil des jours, arrivant à quitter son lit et participer à la vie de la Villa, notamment les repas en commun. L'antalgie peut être simplifiée, puis sevrée. Une sonde urinaire est retirée avec reprise d'une miction spontanée. Lors d'une rencontre avec sa famille le 16.05.2018, elle constate d'elle-même qu'elle requiert trop d'aide des soignants pour rejoindre son domicile. Des démarches d'inscription en EMS sont effectuées. Mme. Collaud est reclassée le 01.06.2018 en attente d'une place EMS. Une place est trouvée au foyer de Domdidier fin juin. Elle peut y être transférée le 03.07.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 actuellement non présentes mais douleurs abdominales à l'aine droite intermittentes, avec ballonnement ; dyspnée 0/10 ; nausée 0/10 un épisode de vomissement le jour précédent ; fatigue 8/10 intense ; inappétence 8/10 quasi complète ; anxiété 0/10 ; dépression 0/10 ; autre 8/10 transit perturbé, besoin d'aller aux toilettes toutes les deux heures. Barthel Index : 55% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse, a 4 enfants et plusieurs petits-enfants, Monsieur Quaglia privilégie l'indépendance, aime la tranquillité, la nature, être seul. Rêverait de retourner en randonnée, voire à son chalet. Projet du patient/des proches : privilégier le confort, pas d'acharnement. Se sent en phase terminale mais serein. Ne veut pas souffrir. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son épouse est fortement impliquée, référente thérapeutique si incapable de discernement. Monsieur Quaglia est admis du domicile sur demande de Mme. Maryline Schönmann, infirmière Voltigo, en raison de soins à domicile impossibles avec nausées, vomissements et inconfort abdominal. A l'entrée, Monsieur Quaglia s'estime en phase terminale. Il a développé progressivement des symptômes digestifs envahissants depuis le retour à domicile de la précédente hospitalisation avec nausées, vomissements, diarrhées impérieuses et ballonnements. Nous constatons cliniquement un iléus sur progression tumorale. Un traitement parentéral est amorcé ; de la Sandostatin est adjointe avec bon effet. Monsieur Quaglia normalise son transit et peut manger par petites quantités ; les crampes abdominales diminuant en fréquence et intensité. Suite à une chute, la sonde de néphrostomie se déplace secondairement ; nous prenons un avis urologique. Face à la possibilité de faire reposer cette sonde après bilan urologique, nous lui proposons de consulter nos collègues de la stomatothérapie : la sonde étant en effet fonctionnelle à l'exception d'un écoulement cutané associé. Une poche de stomie permet d'éviter les désagréments du quotidien et s'avère très confortable dans les activités de la vie quotidienne. L'état de Monsieur Quaglia s'étant stabilisé, nous convenons avec lui d'un retour à domicile puisque ce dernier est formellement opposé à un placement ; la possibilité d'une réhospitalisation en soins palliatifs restant ouverte en cas de nouvelle péjoration. Nous organisons un passage des soins à domicile pour des injections IV de Buscopan (la voie SC n'étant pas possible chez ce patient cachectique) avec suivi par Voltigo. Un suivi ambulatoire est prévu en stomatothérapie. En fin de séjour, nous diagnostiquons une TVP poplitée gauche et introduisons de la Clexane thérapeutique que nous proposons de maintenir au minimum six mois. Monsieur Quaglia rejoint son domicile le 13.06.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 (anamnèse compliquée par un état de conscience altéré) ; dyspnée 2/10 ; nausée 0/10 ; fatigue 8/10 se dit "à plat" ; sensation de mal-être gênée par ses tremblements, nous évoque un inconfort marqué. Barthel Index : 5% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse dans une villa, 4 enfants, une dizaine de petits-enfants, ancien mécanicien, apprécie de bricoler. Le reste de l'anamnèse n'est pas possible en raison de l'état général ; projet du patient/des proches : fin de vie à domicile. Monsieur Tache nous est adressé par nos collègues de la médecine interne dans un contexte de fin de vie pour suite de prise en charge et éventuel retour à domicile.Au moment du transfert, Monsieur Tache est inconfortable, souffrant d'un état confusionnel associé à un état fébrile. Nous suspectons une infection urinaire systémique et privilégions une antibiothérapie IV afin de contrôler la fièvre au plus vite. L'anamnèse est prise auprès d'une de ses filles et de l'épouse qui nous rapportent des nuits très agitées récemment, rendant les soins à domicile impossibles. Le projet reste toutefois celui d'une fin de vie à domicile. L'agitation nocturne requiert l'adaptation des traitements et la mise en place d'une sonde urinaire ; l'évolution se complique de quintes de toux importantes qui sont finalement soulagées le plus efficacement par du Lasix sur un probable OAP. Nous constatons une divergence d'opinions quant à la prise en charge du patient dans sa famille. Deux entretiens avec les proches nous permettent d'une part d'objectiver que l'alimentation nasogastrique n'apporte plus de bénéfice pour Monsieur Tache, d'autre part qu'un retour à domicile n'est plus souhaité par ce dernier, jugeant sa situation devenue trop complexe pour pouvoir rentrer. La famille est impliquée dans les soins de confort. L'état de Monsieur Tache se péjore progressivement et nécessite une antalgie parentérale continue pour gérer l'inconfort. Monsieur Tache décède le 12.06.2018 à la Villa St-François entouré par son épouse jusque dans les dernières minutes. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 au repos ; dyspnée à la mobilisation uniquement ; nausée 2/10 occasionnelle, avant les repas ; fatigue plutôt faiblesse sur manque d'activité et perte de force ; somnolence doit se reposer durant la journée, cela ne le gêne pas, dort bien ; inappétence 5/10 ; anxiété préfère masquer ses émotions ; autre mucor récent, sécheresse buccale, miction impossible. Barthel Index : 35% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse ; 1 fille proche qui apporte assistance ; l'épouse aide beaucoup Monsieur Monney dans les AVQ. Monsieur Monney sépare la spiritualité et le médical, ne s'inquiétant pas de l'incertitude à venir. Est gêné par sa perte d'autonomie, ancien formateur professionnel dans le domaine laitier ; projet du patient / des proches : retour à la maison ; se retaper ; comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : l'épouse est impliquée ; le patient souhaiterait pouvoir être présent à domicile sans être un poids. Palliative Basic Assessment ESAS : Douleurs 0/10 au repos ; Dyspnée à la mobilisation uniquement ; Nausée 2/10 occasionnelle, avant les repas ; Fatigue plutôt faiblesse sur manque d'activité et perte de force ; Somnolence doit se reposer durant la journée, cela ne le gêne pas, dort bien ; Inappétence 5/10 ; Anxiété préfère masquer ses émotions ; Autre mucor récent, sécheresse buccale, miction impossible Barthel Index : 35% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse ; 1 fille proche qui apporte assistance ; l'épouse aide beaucoup Monsieur Monney dans les AVQ. Monsieur Monney sépare la spiritualité et le médical, ne s'inquiétant pas de l'incertitude à venir. Est gêné par sa perte d'autonomie, ancien formateur professionnel dans le domaine laitier ; projet du patient / des proches : retour à la maison ; se retaper ; comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : l'épouse est impliquée ; le patient souhaiterait pouvoir être présent à domicile sans être un poids. Monsieur Monney nous est adressé par notre collègue le Dr. X sur probable globe urinaire et soins impossibles à domicile. À l'entrée, Monsieur Monney rapporte une gêne diffuse au bas ventre et une sonde urinaire qui n'est plus fonctionnelle depuis l'apparition d'hématurie avec caillots. À la maison, la fatigue en péjoration a rendu les activités de la vie quotidienne de plus en plus difficiles ; son épouse devant l'aider pour chaque transfert et déplacement. Nous rinçons la sonde vésicale et parvenons à drainer 600 ml d'urine claire avec des fragments de caillots. La diurèse peut se poursuivre dès lors avec quelques rinçages occasionnels. Quelques jours après l'entrée, Monsieur Monney développe un état fébrile avec malaise important ; nous retenons une infection urinaire haute probablement favorisée par les rinçages vésicaux. Une antibiothérapie IV permet une amélioration rapide de l'état général. Le patient souhaitant un retour à domicile, nous impliquons notre équipe interdisciplinaire afin de favoriser ce dernier. Un placement en EMS n'est pas envisageable pour Monsieur Monney qui évoque EXIT si son état ne permettrait pas un retour à la maison. Une semaine après son admission, Monsieur Monney arrive à quitter son lit et utiliser un rollator pour sa mobilité. Toutefois, son état général se péjore rapidement avec le 09.06.2018 avec une nouvelle progression de l'asthénie et la réapparition d'hématurie. Nous anticipons une fin de vie et instaurons des soins de confort. Monsieur Monney décède le 10.06.2018 à la Villa St-François en présence de sa famille. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 bien contrôlées, 1 réserve prise en 1 mois ; Nausée 0/10 ; Fatigue : faiblesse musculaire ; Somnolence 0/10 dort bien ; Inappétence 0/10 ; Dépression ; moral atteint par la perte d'autonomie Barthel Index : 10% Palliative Performance Scale : 30% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son époux à domicile ; 3 enfants et 3 petits-enfants, 1 fille procure assistance car aide-soignante. A des frères et sœurs ; l'un d'eux habitant à proximité procure assistance. A travaillé comme serveuse dans un restaurant plus de 30 ans, métier qu'elle appréciait pour son côté social. Mme. Y est croyante, pratique le reiki et se ressource par l'invocation des anges. Souffre dans son image de soi en raison de sa perte d'autonomie ; projet du patient / des proches : voir l'évolution de la maladie, si une récupération en vue d'un retour à domicile est possible ; comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : époux fortement impliqué dans la prise en charge, est proche aidant. Présent lors de l'entretien. Mme. Richoz est admise du domicile en raison d'une marche devenue impossible dans un contexte de glioblastome traité symptomatiquement. À l'entrée, nous trouvons une patiente bien connue de notre service. Son mari et elle rapportent une péjoration de la mobilisation au domicile depuis environ deux semaines avec dégradation marquée depuis le week-end passé. Mme. Richoz souffre de ne pouvoir utiliser le rollator désormais ; ceci représentait en effet pour elle une liberté et une indépendance importantes à ses yeux. Nous notons des troubles exécutifs sévères rendant la réalisation d'un transfert au lit impossible sans l'aide d'autrui. Nous majorons la corticothérapie dans l'objectif de favoriser une récupération de la fonction neurologique. Malheureusement, nous ne notons pas d'amélioration après 5 jours et informons la patiente et sa famille de cet échec thérapeutique lors d'un entretien. La perspective de ne plus pouvoir marcher et celle d'un éventuel placement en home révoltent Mme. Richoz qui souhaite que les forces quittent son corps afin qu'elle puisse mourir en paix. Quelques jours après l'entretien, l'état neurologique de Mme. Richoz se péjore avec céphalées, somnolence et vomissements. Les traitements doivent être adaptés pour son confort. Mme. Richoz décède en présence de sa famille le 21.06.2018 à la Villa St-François.Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : douleurs 1/10 plutôt inconfort au niveau du site de drainage, ainsi qu'alitée (tensions musculaires) ; dyspnée absente au repos : présente à l'effort et le soir ; nausée 0/10 ; inappétence 0/10 ; anxiété 0/10 ; dépression 0/10 ; sensation de mal-être 0/10 se déclare heureuse et comblée ; autre 2/10 tendance à la constipation Barthel Index : 90% Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est divorcée, vient de France et habite en Suisse depuis 20 ans. Elle vit dans un appartement seule, aidée de ses amis et proches qui gèrent l'administratif et la logistique, le ménage. Ses parents sont en France, elle a des amis sur Fribourg. Très proche de sa fratrie. Se dit croyante, place sa foi en Jésus-Christ, pilier pour elle. Sereine quant à sa fin de vie. Aime le contact humain. A travaillé comme juriste, puis traductrice suite au diagnostic initial. Trouve son métier passionnant. Projet du patient / des proches : veut privilégier le temps qui reste à partager avec ses proches, ses amis. Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : ses amies proches sont des personnes de référence pour elle. Mme. Rivière nous est adressée par nos collègues de la médecine interne pour suite de prise en charge dans le contexte d'épanchements pleuraux et péricardiques malins. Au moment du transfert, Mme. Rivière déclare se sentir bien et sereine quant à sa récidive oncologique. Elle signale des douleurs modérées et une dyspnée intermittente. Nous proposons de remplacer l'oxygène en continu, plus ou bien supporté, par des opiacés à la demande pour gérer la dyspnée. Nous discutons ouvertement avec Mme. Rivière de l'évolution possible de sa maladie avec notamment l'incertitude quant à la cinétique de la réapparition de nouveaux épanchements. Ayant déjà manifesté son choix de ne pas entreprendre de chimiothérapie palliative ou de fenestration péricardique, elle confirme son désir de ne pas vouloir de mesures visant à prolonger sa vie. Elle préfère consacrer le temps restant à profiter de la présence de ses proches. Mme. Rivière apprécie le cadre de la Villa et la liberté que ce dernier lui offre. Elle constate le besoin d'adapter ses efforts selon son souffle et son énergie. Un retour à domicile s'avère impossible en raison d'un logement non adapté et inaccessible en voiture ; nous envisageons dans un premier temps un congé chez des amis de Mme. Rivière. L'état général de Mme. Rivière se dégrade progressivement ; les opiacés administrés en fixe permettent d'améliorer la sensation de dyspnée. En raison d'épanchements pleuraux en progression clinique et symptomatique, nous convenons le 25.06.2018 avec Mme. Rivière de la possibilité d'administrer la Morphine en parentéral, par voie sous-cutanée. Mme. Rivière redoute en effet une voie veineuse au niveau cubital. Le 27.06.2018, elle développe une détresse respiratoire nécessitant l'introduction de Dormicum pour pallier à cette dernière. Mme. Rivière décède le 28.06.2018 vers 4h00 du matin, entourée de ses parents et amies, à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 : douleurs à la palpation au niveau du FIG et FID et lors des mouvements qui lui provoquent des lancées qui montent ; Dyspnée : dyspnée aux efforts qui s'est péjorée au début de l'hospitalisation mais qui répond bien aux aérosols ; Nausée : pas de nausée ; a une dame qui lui fait le secret depuis le début des chimiothérapies) ; Fatigue 7/10 : fatigue importante déjà à la maison mais fortement péjorée depuis l'infection vendredi passé ; Dépression : réfère des fluctuations d'humeur, moment difficile pour elle car son mari sera placé le 31.05. Elle fait plusieurs deuils, fait face à plusieurs pertes ; Sensation de mal-être : décrit sa douleur constante plus comme un "mal-être", sentir "quelque chose à l'intérieur qui ne va pas" Barthel Index : 45 Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : mariée avec Mr. Dey qui sera placé le 31.05.2018 suite à un Alzheimer depuis longue date qu'elle a toujours soigné à la maison. Le couple a trois enfants, deux fils et une fille, et six petits-enfants (1 fille et 5 garçons). Pour elle, la famille est très importante et ils ont des liens étroits entre eux. Mme. Dey se décrit comme croyante, et trouve du réconfort dans la foi. Projet du patient / des proches : À son entrée, elle ne se voit pas rentrer à domicile, seule. À construire projet : EMS La Roche ? où sera son mari. Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Pas abordé le sujet, mais elle apprécie toute la sincérité soit au niveau médical qu'infirmier. Elle veut être informée. Mme. Dey, connue pour une carcinose péritonéale d'origine ovarienne suivie par le Dr. X qui nous est transférée par nos collègues de la médecine interne pour une suite de prise en charge en milieu palliatif selon le souhait de la patiente. Pour rappel, elle a présenté une bactériémie à E.Coli sur pyélonéphrite droite et possiblement gauche non obstructive le 25.05 passé traitée par antibiothérapie. À son arrivée dans notre unité, elle se plaint des douleurs de type nociceptif, viscérales non crampiformes au niveau de l'hémi-abdomen inférieur avec des exacerbations lors des mouvements. Nous instaurons une antalgie d'office par de la morphine qui arrive à bien soulager les douleurs. En ce qui concerne les symptômes respiratoires, nous poursuivons les aérosols ainsi que le traitement antibiotique. Nous constatons une amélioration au cours de l'hospitalisation nous permettant de les diminuer progressivement. Mme. Dey exprime sentir une grande fatigue en lien avec la progression de la maladie oncologique. À noter qu'elle était la proche aidante de son mari qui vient d'être placé dans un EMS, elle manifeste un épuisement et se sent incapable de retourner à la maison. Un entretien familial avec le fils aîné est organisé afin de définir le projet selon le souhait de Mme. Dey de ne plus rentrer à domicile, au vu du placement récent de son mari et de l'épuisement ressenti par la patiente. Elle manifeste également le souhait d'aller à l'EMS de Marly. Cliniquement, nous notons une stabilisation des symptômes et accordons que la patiente soit reclassée en lit C dans notre établissement à partir du 08.06.2018. Mme. Dey quitte notre établissement le 15.06.2018 pour un placement au home La Rose d'Automne à Villars-sur-Glâne. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 2/10 sur l'abdomen, en "plaque métallique" ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue 8/10 ; Somnolence ne le dérange pas plus que ça ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 se sent bien ; Autre transit tend à la diarrhée Barthel Index : 90% Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son épouse ; 3 enfants, la famille est au clair quant à l'évolution palliative. Se dit curieux de voir ce qui l'attend dans l'au-delà. Veut un décès rapide, sans souffrance. Membre d'EXIT, il a renoncé à faire appel à eux pour autant qu'il ne souffre pas. Souhaite rentrer chez lui après ce séjour sauf si son état se dégrade ; Projet du patient / des proches : Retour à domicile ; il souhaite toutefois mourir car il n'a plus d'intérêt dans les activités de la vie, se dit serein ; Comment le patient souhait-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Le patient évite d'aborder la problématique de la mort avec ses proches, car ils le prendraient mal. En parle librement avec nous. Mr. Progin est admis du domicile pour une réhabilitation palliative dans un contexte de carcinome colorectal traité désormais symptomatiquement.A l'entrée, Monsieur Progin nous explique que ce séjour est aussi en lien avec une absence de son épouse, en vacances. La perspective d'être seul à la maison ne lui était pas envisageable, notamment en raison de la crainte d'y décéder et d'y être retrouvé par ses enfants mort. La perspective de la mort ne l'inquiète pas ; il se déclare serein et curieux de l'au-delà. Il se déclare fatigué et las de la vie, ayant perdu le plaisir de faire les choses. Son moral reste toutefois inaffecté. Nous discutons de son attitude thérapeutique ; il reconnaît avoir pensé à EXIT par le passé mais y avoir renoncé après une discussion avec le Dr. X. Face à son désir de ne pas souffrir en fin de vie, nous lui expliquons les options thérapeutiques possibles ; cela le conforte dans son choix de ne pas faire appel à EXIT. Toute mesure afin de prolonger son existence est exclue. Le séjour se déroule sans complications ; Monsieur Progin apprécie la prise en charge soignante et le cadre de la Villa. Réalisant que ses proches n'ont pas la même approche de sa mort que lui, Monsieur Progin nous avoue ne pas savoir comment aborder cette problématique avec eux. Nous contactons Mme. Y de Voltigo afin de poursuivre des démarches envers la famille déjà amorcées à domicile et nous mettons à sa disposition en vue d'un entretien de famille en ambulatoire au besoin. Monsieur Progin rejoint son domicile le 16.06.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 au repos, à la mobilisation peuvent monter de manière importante ; dyspnée 0/10 pas présente au repos, monte avec douleurs incidentes ; nausée 2/10 pas de vomissement ; fatigue variable ; dépend de la douleur ; somnolence 0/10 ; inappétence 0/10 ; anxiété 6/10 s'inquiète quant à l'évolution des oedèmes ; autre 6/10 gêne importante liée aux oedèmes. Barthel Index : 80% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son amie dans une ferme rénovée, 1 x étage. Pas d'enfant, son amie a un fils d'une précédente union. Fratrie en France. Évoque ses grands-parents, pasteurs, qui lui ont inculqué les valeurs de la religion mais également la fascination pour la science et le progrès technique (était architecte de métier). Projet du patient / des proches : améliorer ses symptômes de manière efficace ; comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : son amie est fortement impliquée ; Monsieur Y s'inquiète qu'elle se surmène quant à sa situation. Monsieur Y nous est adressé du domicile par son oncologue traitante, le Dr. X, dans un contexte de symptomatique péjorée. A l'entrée, Monsieur Y nous rapporte des douleurs en péjoration au niveau du squelette ainsi que l'apparition d'oedèmes des membres inférieurs, se prolongeant jusqu'au bas ventre. Ses derniers sont source d'anxiété pour lui ; il craint leur progression avec atteinte au niveau cardiopulmonaire. Cliniquement, nous notons un lymphoedème important, possiblement sur atteinte nodale avec lymphadénopathie inguinale ou iliaque ainsi qu'une palpation dolente de divers points du thorax chez un patient connu pour des métastases osseuses. Nous adaptons l'antalgie et instaurons des drainages pour les oedèmes. Nous constatons au décours du séjour une anxiété importante chez Monsieur Y, motivant plusieurs entretiens. Il peut verbaliser une angoisse quant à la mort et l'incertitude liée à l'évolution de sa maladie oncologique ; outre un traitement anxiolytique, nous proposons un accompagnement interdisciplinaire. Monsieur Y peut effectuer plusieurs congés à domicile mais un essai de sortie le 20.05.2018 ne permet pas un maintien à domicile. Il est ré-hospitalisé le 21.05.2018. La deuxième partie du séjour nécessite une poursuite de l'adaptation de l'antalgie avec passage à Fentanyl, adjonction d'AINS pour les douleurs osseuses. Alors qu'initialement réticent à des approches non pharmacologiques, Monsieur Y en bénéficie avec notamment de l'acupuncture, des massages et des huiles essentielles. Les angoisses nécessitent toujours de fréquents entretiens ; nous privilégions un traitement par Quétiapine en adjuvant. Nous impliquons sa compagne dans nos discussions en vue d'un retour à domicile. Constatant une fragilité de la situation avec des symptômes fluctuants et source d'inquiétude, nous encadrons le retour à domicile avec un passage régulier des infirmiers en ambulatoire. Nous planifions un contrôle ambulatoire à domicile par le Dr. X, référente Voltigo, le lundi 18.06.2018. Monsieur Y rejoint son domicile le 11.06.2018. Un rendez-vous en oncologie est planifié le 26.06.2018 pour la poursuite de l'immunothérapie, dont 3 administrations ont eu lieu durant le séjour hospitalier. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 bien gérable ; nausée 0/10 ; fatigue 0/10 ; inappétence 0/10 ; anxiété 0/10 ; dépression 0/10 ; autre tendance à la diarrhée. Barthel Index : 40% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit dans une maison éloignée de St-Sylvestre, au rez-de-chaussée, ses voisins l'aident dans le quotidien. A un fils, seule famille. Séparée de son épouse. Rapporte un ami proche, qui a repris son chien. Serrurier de formation, il était en reconversion avec l'AI jusqu'à l'annonce du cancer. Apprécie la nature. Veut privilégier le temps qui lui reste pour son fils de 7 ans. Projet du patient / des proches : se voit mourir à la Villa. S'il en a l'opportunité, pourrait rentrer chez lui. Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Souhaite régler ses affaires seul. Monsieur Y nous est adressé par nos collègues de Tavel pour suite de prise en charge dans un contexte de radiothérapie concomitante. Au moment du transfert, Monsieur Y signale des douleurs connues bien gérées par une antalgie mise en place par le Dr. X en ambulatoire avec notamment une antalgie par une péridurale et des perfusions régulières de Kétamine. Un déplacement d'un cathéter de péridurale avait motivé l'hospitalisation à Tavel en raison de douleurs intenses survenues brusquement ; ces dernières s'étant améliorées depuis la repose d'un cathéter le 21.05.2018. Il déclare avoir son fils comme priorité dans sa vie et espère pouvoir profiter des moments qu'il partage avec ce dernier. A l'anamnèse, nous notons des éléments pour une composante anxieuse associée aux douleurs et face à un patient qui a eu prise jusqu'à une vingtaine de doses d'Actiq à domicile, lui proposons des réserves de morphine associée à des benzodiazépines. Les séances de radiothérapie sont poursuivies jusqu'au terme prévu. L'apparition d'une rougeur cutanée au niveau du site d'insertion du cathéter péridural nous oblige à retirer ce dernier en raison d'une infection cutanée. Cette dernière évolue de manière favorable. Les douleurs se péjorent alors progressivement et présentent une composante neuropathique ; nous proposons une adaptation de l'antalgie avec des perfusions de Lidocaïne, aussi afin de mieux contrôler des accès de toux causant un inconfort certain. Ces dernières s'avèrent efficaces avec un temps d'effet variable en fonction du protocole utilisé ; nous objectivons des signes de surdosage en opiacés suite à ces dernières, les doses de Méthadone et de Fentanyl sont alors réduites. Monsieur Y ayant le projet de rentrer chez lui, nous contactons nos collègues de Voltigo pour obtenir un matelas mieux adapté aux douleurs dorsales de celui-ci. Nous proposons une reprise du suivi ambulatoire en antalgie à Tavel dès le 18.06.2018 à 13h. Mme. Y de Voltigo nous contactera en cas de crise algique avant ce rendez-vous prévu.Sur le plan oncologique, une dose de Tecentriq est administrée durant le séjour. Le Dr. X souhaitant réaliser un bilan radiologique à 3 mois, nous organisons un CT de contrôle également le 18.06.2018 à 8h45 à Tavel. Un contrôle en oncologie est prévu le 21.06.2018 à 15h à Fribourg pour discuter des résultats de ce dernier. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 3/10 montent jusqu'à 9 lors de crises ; Dyspnée 0/10 ; Nausée présentes ; Fatigue 6/10 ; Somnolence 6/10 ; Inappétence 8/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 6/10 Barthel Index : 35% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec sa femme, a une fille ; la situation est difficile pour les proches. Monsieur Guex a travaillé comme formateur professionnel avec des handicapés. Aimait voler avec un avion construit par lui-même. Monsieur est observateur, note des détails sur les personnes qu'il côtoie. Monsieur se dit bouddhiste, a pratiqué depuis longtemps la méditation, pense qu'il y a un au-delà. Projet du patient / des proches : Se voit en fin de vie, diminuer la souffrance, vise la tranquillité ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Nomme sa fille et sa femme comme proches impliqués Monsieur Guex nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge. Au moment du transfert, Monsieur Guex rapporte des douleurs neuropathiques bien connues, une fatigue importante et une baisse de son autonomie. Il interprète ces éléments comme signe d'une mort prochaine face à laquelle il se déclare serein : il insiste sur le fait qu'il ne souhaite aucune mesure visant à prolonger son existence. Il décide de renoncer à une antalgie par cathéter intrathécal qui était prévue avant le transfert aux soins palliatifs ; considérant que l'antalgie ne lui rendra pas son autonomie et sa capacité à faire, il la voit comme futile. Nous convenons avec le Dr. X d'annuler la procédure. Craignant que sa position face à la mort ne puisse être entendue, il désire que nous en discutions avec sa famille lors d'un entretien familial. Son épouse et sa fille déclarent bien reconnaître Monsieur Guex dans sa décision et avoir déjà anticipé cette évolution. L'antalgie est adaptée avec Méthadone avec bon effet. Monsieur Guex cesse volontairement de s'alimenter et de boire ; pour lui, un retour à domicile pour une fin de vie est exclu. Son état se péjore dès le 22.06.2018 avec une atteinte de l'état de conscience, nécessitant une antalgie parentérale. Monsieur Guex décède le matin du 24.06.2018 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 5/10 supportables ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 2/10 ; Fatigue 2/10 le soir ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 65% Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit seul dans une maison avec l'assistance de ses voisins locataires qui lui portent régulièrement assistance, jusqu'à peu, très indépendant dans les activités de la vie quotidienne. Neuf enfants, proches. Ces derniers s'inquiètent de voir une baisse de l'état général avec des incidents (chute, panique) à domicile. Estiment que le cadre hospitalier le rassure. Monsieur Pasquier se dit croyant et prie régulièrement. A gardé des valeurs positives liées à son travail d'entrepreneur. A appris à déléguer certains soucis. N'aime pas être contrarié. Projet du patient / des proches : continuer ainsi, améliorer les symptômes, si possible rentrer à la maison. Monsieur Pasquier nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte de radiothérapie à visée antalgique sur carcinome prostatique métastatique. À l'entrée, le patient rapporte des douleurs sous contrôle et d'une légère asthénie. Il se décrit comme parfaitement autonome à son domicile avec l'aide de ses voisins. Les enfants présents lors de l'entretien pointent toutefois des angoisses à domicile et une perte d'autonomie durant les dernières semaines. La radiothérapie amorcée est conduite à son terme et se déroule mis à part des nausées occasionnelles sans complication. Nous objectivons dans le quotidien des moments d'angoisse récurrents chez ce patient, en particulier en soirée ; ces derniers nécessitent une présence régulière de sa famille nombreuse et l'accompagnement des soignants. Lors d'un entretien avec deux de ses enfants au terme de sa radiothérapie, Monsieur Pasquier, s'inquiétant de son avenir, convient qu'un placement en EMS s'impose, un retour à domicile s'avérant trop complexe puisque nécessitant un accompagnement continu. Des démarches d'inscriptions sont amorcées dans divers EMS du sud du canton. Une chute avec contusion des côtes récemment traitées par radiothérapie provoque de nouvelles douleurs ; nous suspectons une fracture de côtes et adaptons l'antalgie avec notamment de l'Effentora pour gérer les accès douloureux. En présence d'une clinique parlante, nous renonçons à un bilan radiologique qui n'influencerait pas notre prise en charge. La recherche d'une place d'EMS se poursuivant, Monsieur Pasquier est reclassé le 05.06.2018. Dans l'intervalle, nous adaptons l'antalgie. Le développement d'un important hématome sous-cutané en lien avec la chute susnommée nous incite à rechercher une anémie consécutive à cette dernière ; un culot érythrocytaire est administré le 12.06.2018. Monsieur Pasquier est transféré à l'EMS de Bouleyres à Bulle le 13.06.2018 après discussion avec ses enfants et lui-même le 12.06.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée (24.04.2018) : ESAS : Douleurs 10/10 décrites comme insupportables par moment ; dyspnée 0/10 ; nausée 0/10 ; fatigue 0/10 ; somnolence 0/10 ; inappétence 0/10 ; anxiété 5/10 occasionnellement, en particulier le matin ; dépression 5/10 occasionnellement, en particulier le matin, se décrit néanmoins comme heureuse ; sensation de mal-être 5/10 occasionnellement, en particulier le matin Barthel Index : 40% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : a une fille qui vit dans le même immeuble (4 petits-enfants) et un fils qui vit à Zürich (4 petits-enfants). La fille est très présente dans le quotidien, intervenant plusieurs fois dans la journée (voire la nuit) pour aider sa mère. Soins à domicile et Croix-Rouge lui apportent également assistance. La patiente décrit avoir du plaisir en la compagnie de ses petits-enfants, valorise l'autonomie. La fille décrit un quasi-épuisement, n'estime n'avoir plus de vie personnelle, que tout tourne autour de sa mère. Projet du patient / des proches : pouvoir soulager les douleurs aux mains, reprendre certaines activités (cuisine) ; souhaiterait pouvoir rester chez elle et éviter l'institutionnalisation, exprime des peurs mais ne peut décrire l'objet de celles-ci ; comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : sa fille est d'ores et déjà très impliquée dans la prise en charge. Mme. Y est hospitalisée depuis son domicile pour adaptation de l'antalgie dans le contexte d'un réseau en épuisement. À l'entrée, la patiente rapporte des douleurs aux mains connues depuis plusieurs mois ; de nombreux traitements ont été essayés sans succès jusqu'alors. Ces douleurs sont apparues à la suite d'une contusion médullaire cervicale traitée par ostéosynthèse. La fille de la patiente, présente lors de l'entretien, signale également une sensation de mal-être occasionnelle, accompagnée de tristesse et d'angoisse chez sa mère. Ces épisodes nécessitent souvent l'intervention de cette dernière, qui habite le même immeuble que sa mère.En dépit de la présence des soins à domicile et du service de la Croix-Rouge, la fille de Mme. Y déclare n'avoir plus de vie personnelle, que son quotidien tourne autour de sa mère. Des démarches d'inscription en EMS ont été amorcées mais la patiente souhaite n'aborder cette problématique qu'une fois rentrée chez elle. Un traitement de Méthadone initié par nos soins à domicile ayant amélioré partiellement la symptomatique, nous majorons ce dernier. Nous introduisons une anxiolyse face à ces épisodes de mal-être décrits principalement le matin. Nous constatons en effet une influence importante du moral sur l'intensité des douleurs décrites. Un nouvel entretien en présence de la fille, d'une petite-fille et de Mme. Y nous permet de constater qu'un retour à domicile sur le long terme n'est plus possible ; des indices quant à des troubles mnésiques sous-jacents sont validés par un test de dépistage positif. Notre infirmier de liaison soutient la famille dans les démarches pour une recherche de place d'EMS. Face à la perspective d'un placement futur, Mme. Y exprime sa souffrance de voir ses habitudes de vie changer prochainement, nous l'accompagnons en équipe dans ce deuil de son autonomie. Un retour à domicile le 14.05.2018 ne permet pas l'attente d'une place d'EMS depuis la maison ; Mme. Y doit être réhospitalisée le 15.05.2018 en raison d'une situation à domicile qui n'est plus gérable. Mme. Y peut rejoindre l'EMS Bonnesfontaines le 01.06.2018. • Palpitation et douleur rétrosternale. • Palpitation sur OH il y a 3 ans, à résolution spontanée. Mélanome (mélanome in situ s/p) enlevé en mars 2018 par Dr. X. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations. • Palpitations anxiogènes. • Palpitations dans le contexte d'une FA, le 01.06.2018 : • CHADS-VASc : 2 pts (2.2%/an) • HAS-BLED : 2 pts (1.88%/an) • Palpitations d'origine indéterminée le 11.06.2018. DD : troubles du rythme - pics hypertensifs - psychogène. • Palpitations, dyspnée, faiblesse, vision floue, paresthésies. • Palpitations et douleur rétrosternale le 30.06.18 : • sans trouble du rythme observé aux Urgences • DD : pas de syndrome coronarien aigu ni embolie pulmonaire. • Palpitations et sensation de chaleur. • Palpitations investiguées par cardiologue -> pas de traitement Dissection traumatique de l'artère vertébrale D (V2-V3) avec lésion ischémique cérébelleuse homolatérale en 01/2012 Sinusite maxillaire aiguë D 01/2012 Syncope avec contusion du crâne 12/2011 • Palpitations le 08.08.2017. DD : tachycardie supraventriculaire intermittente, angoisse. Consultation cardiologique en ambulatoire. • Palpitations régulières dans le cadre d'une hypomagnésémie légère le 10.07.2017. • Palpitations sans douleurs rétrosternales le 19.08.2014 sur début de traitement de Trileptal 300 mg (une dose à 19h00). Status post-carbonarcose sur tentamen médicamenteux au Dextrométhorphane (Bexine) le 11.01.2012. Status post-choc septique sur pneumonie basale droite à germe indéterminé le 21.09.2012. Status post-cardioplégie septique le 21.09.2012 sur DD cardiopathie préexistante, myocardite sur Leponex. 4 plaies de l'avant-bras gauche sur scarifications (contexte de décompensation psychotique/hallucinations auditives). Intoxication volontaire avec Myristica fragrans (noix de muscade) le 03.04.17 Alcoolisation aiguë le 24.04.2017. • Palpitations DD : tachycardie supraventriculaire, extrasystole, douleurs fonctionnelles. • Palpitations. Diagnostic différentiel : hypomagnésémie, tachycardie supraventriculaire. • Paludisme. • Paludisme. • Paludisme. • Paludisme à 16 ans au Burkina Faso Hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique, prophylaxie par Pantozol. • Paludisme à 16 ans au Burkina Faso Hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique, prophylaxie par Pantozol. • Paludisme à 16 ans au Burkina Faso Hémorragie digestive haute sur ulcère gastrique, prophylaxie par Pantozol. • Panaris. • Panaris D IV à gauche. • Panaris de la base de l'ongle du pouce gauche sur traumatisme par écrasement. • Panaris de la base de l'ongle du pouce gauche sur traumatisme par écrasement le 14.06.2018. • Panaris Dig II main gauche. • Panaris doigt IV avec lymphangite et lymphadénopathie à gauche. • Panaris du bord latéral de l'hallux gauche. • Panaris du majeur gauche le 14.06.18. • Panaris du majeur gauche le 14.06.18. • Panaris du pouce droit. • Panaris du pouce droit avec petit abcès. • Panaris et ongle incarné au niveau de l'hallux droit. • Panaris hallux droit, incisé le 28.09.2011 Pneumonie, 2011 Otite moyenne aiguë gauche perforée avec otite externe et mastoïdite d'accompagnement. Paracentèse le 20.12.2011 Bronchites obstructives ayant nécessité 2 hospitalisations. • Panaris hallux droit non collecté au stade inflammatoire. • Panaris hallux gauche. • Panaris majeur droit. • Panaris O1 pied gauche le 28.05.2018. • DD : ongle incarné débutant. • Panaris péri-unguéal 3ème doigt gauche le 15.05.2013. Traumatisme colonne cervicale le 10.09.2015 Contusion musculaire de la face externe du mollet droit. • Panaris 2e doigt main droite. • Panaris 2e doigt main droite avec signes d'inflammation sans troubles articulaires. Poursuite du traitement antibiotique et contrôle aux urgences ortho dans 48 heures. Contrôle du 27.06.18 (Dr. X) : Index main droit : même image clinique que celle du 25.06 avec sécrétion purulente à la palpation pas d'état fébrile. Examen articulaire normal. Excision d'ongle, rinçage et drainage par assistant d'orthopédie (Dr. X) et augmentation de la dose des antibiotiques. Contrôle le 28.06 à 10.30 aux urgences orthopédiques. Contrôle du 28.06.2018 (Dr. X) : Apyrétique, bon état général. Bonne évolution de l'inflammation locale (par rapport aux photos prises par la maman), érythème périonguéal en diminution, croûte marge radiale de l'ongle, pas de pus. Att discutée avec Dr. X (ass. orth.) : • désinfection à l'hybidil et réfection du pansement avec adaptic. • poursuite du traitement de Augmentin 1 g 2x/j durant 1 semaine comme prévu. • prochain contrôle chez le pédiatre lundi prochain 02.07. • ablation des fils à 3 semaines. • pas de nouvel contrôle prévu à l'hôpital, à moins que mauvaise évolution. • Pancératite chronique d'origine alcoolique avec : • Sténose duodénale, probablement secondaire à des pancréatites récidivantes • Duodénite chronique récidivante Hémisyndrome congénital G avec épilepsie secondaire sous Lamotrigine Asthme bronchique Obésité BMI 30.3 kg/m2. • Pancératite chronique d'origine alcoolique avec : • Sténose duodénale, probablement secondaire à des pancréatites récidivantes • Duodénite chronique récidivante Hémisyndrome congénital G avec épilepsie secondaire sous Lamotrigine Asthme bronchique Obésité BMI 30.3 kg/m2. • Pancolite à Campylobacter jejuni. • Pancréas annulaire avec sténose duodénale • TOGD le 22.09.2016 au CHUV : rétrécissement sans passage du liquide de contraste au-delà du bulbe duodénal • S/p duodéno-duodénostomie, opérée le 24.09.2016, CHUV Déshydratation modérée dans le cadre de gastro-entérite (02.02.18) OMA perforée bilatérale (02.18)Sous Nexium 10 mg sachet po (traitement habituel) • A été mis sous antibiothérapie per os par Pénicilline pendant une semaine pour une pharyngite fébrile dès le 06.04 (1 dose uniquement vu les vomissements) s/p Déshydratation modérée s/p Vomissements et diarrhées sur probable gastro-entérite infectieuse (virale, bactérienne, parasites) DD origine anatomique, invagination, maladies métaboliques, troubles électrolytiques s/p Hypoglycémies (min. 2.4 mmol/l) sur 1er diagnostic s/p Hyponatrémie (min 131 mmol/l) s/p Purulation bactérienne associée au traitement long terme de Nexium Nexium 10 mg 5 sur 7 jours pendant une semaine et 4 sur 7 jours pendant la 2e semaine s/p Pancréatite post-opératoire Pancréatite aiguë le 20.06.2018: • sur probable consommation de cannabis Pancréatite aiguë Balthazar C, d'origine éthylique probable le 08.06.18 Pancréatite aiguë Balthazar E le 06.03.2018 • Diagnostic différentiel: médicamenteuse (Furosémide), idiopathique Embolie pulmonaire centrale droite le 19.12.2017, sous Xarelto depuis le 17.01.18 Choc septique sur iléus grêle sur herniation para-stomiale et status adhérentiel important le 17.12.2017 avec péritonite stercorale • Laparotomie exploratrice, adhésiolyse, résection segmentaire du grêle à 160 cm de l'angle de Treitz, split stomie en fosse iliaque droite, cure hernie para-stomiale, lavage abdominal le 18.12.2017 (Dr. X) Tachycardie supraventriculaire à 230 bpm symptomatique le 19.12.2017: • diagnostic différentiel: flutter auriculaire à conduction 1:1, Tachycardie atriale Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine pré-rénale le 17.12.2017: • Insuffisance rénale chronique connue (créat 100 mmol/l) Tachycardie supra-ventriculaire symptomatique à 230/min le 01.06.2017 Tachycardie supra-ventriculaire instable à 250/min le 04.06.2017, sur flutter auriculaire Coagulopathie septique le 19.12.2017 traitée par vitamine K Bactériémie à staphylocoques aureus MSSA le 31.05.2017 sur infection de kyste parapyélique droit Hématome sous-dural subaigu le 27.04.2016 • trépanation pariétale droite avec évacuation de l'hématome le 30.04.2016 Status post-colostomie gauche terminale avec fermeture du moignon rectal pour péritonite pelvienne dans le contexte d'un lâchage d'anastomose le 17.01.2016 compliqué d'un abcès de paroi le 04.02.2016 Status post-cure d'éventration épigastrique et ombilicale par fermeture directe pour status post-diverticulite sigmoïdienne perforée avec important status adhérentiel et éventration épigastrique et ombilicale le 12.01.2016 (Dr. X) Status post-sigmoïdectomie selon Hartmann le 14.07.2015 pour diverticulite sigmoïdienne perforée avec péritonite de l'hémi-abdomen inférieur Ponction artérielle fémorale commune droite de manière rétrograde et mise en place d'un introducteur court 6 French avec recanalisation du pontage et angioplastie, suivie d'une angiographie de contrôle le 09.07.2015 Thrombose artérielle fémorale superficielle en mai 2015 (sous Xarelto): dilatation du pontage et anticoagulation par Clexane, puis Sintrom Pontage fémoro-jambier gauche par veine inversée le 02.03.2015 pour occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche, avec faux anévrisme poplité gauche thrombosé Embolie pulmonaire bilatérale segmentaire en 2014 avec thrombose veineuse profonde au membre inférieur gauche, sous Sintrom Prothèse totale du genou droit Pancréatite aiguë biliaire avec œdème péri-pancréatique et calculs vésiculaires. Pancréatite aiguë dans contexte de pancréatite chronique d'origine alcoolique le 10.06.2018 Pancréatite aiguë d'origine alcoolique le 12.06.18 Balthazar E Pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017 et 22.02.2018 Macrohématurie chez patiente sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018 Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017 Thrombose veine mésentérique inférieur le 06.10.2017 Multiples opérations intra-abdominales avec: • Nombreuses opérations abdominales pour malformation digestive dans l'enfance • Hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • Adhésiolyse pour iléus en 2009 • Laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • Résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • Cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • Cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 • Cure de hernie hiatale Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI le 28.09.2016 Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015 Opération des cordes vocales pour œdème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003 Accouchement par voie basse en 1993 Hyponatrémie à 108 mmol/l hypo-osmolaire hypovolémique d'origine mixte le 29.05.2018 avec: • Pertes extra-rénales (néo-vessie), SIADH médicamenteux, diurétiques, dénutrition Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 29.05.2018 • eGFR 34 ml/min/1.73m2 DD: syndrome hépato-rénal Syndrome de QT long (QTc 505 ms) le 29.05.18 DD: médicamenteux (Escitalopram), troubles électrolytiques Ulcères gastriques avec: • 2 ulcères bulbaires sans vaisseau visible ni signe de saignement. • 1 érosion du fundus gastrique du côté de la grande courbure Traitement conservateur avec Pantoprazol 80 mg durant 14 jours avec par la suite 40 mg 1x/j Candidose œsophagienne Fluconazole 400 mg ordre unique le 21.06.2018• Hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • Adhésiolyse pour iléus en 2009 • Laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • Résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • Cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • Cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 • Cure de hernie hiatale Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI le 28.09.2016 Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015 Opération des cordes vocales pour œdème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003 Accouchement par voie basse en 1993 Hyponatrémie à 108 mmol/l hypo-osmolaire hypovolémique d'origine mixte le 29.05.2018 avec : • Pertes extra rénales (néo-vessie), SIADH médicamenteux, diurétiques, dénutrition Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 29.05.2018 sur syndrome hépato-rénal Syndrome de QT long (QTc 505 ms) le 29.05.18 DD : médicamenteux (Escitalopram), troubles électrolytiques Pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017 et 22.02.2018 Macrohématurie chez patiente sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018 Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017 Thrombose veine mésentérique inférieur le 06.10.2017 Multiples opérations intra-abdominales avec : • Nombreuses opérations abdominales pour malformation digestive dans l'enfance • Hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 • Adhésiolyse pour iléus en 2009 • Laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 • Résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 • Cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) • Cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015 Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 • syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication au SSRI le 28.09.2016 Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003. Opération des cordes vocales pour œdème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire. Pancréatite aiguë d'origine idiopathique le 8.5.2009. Cholécystectomie par scopie le 27.10.2004. Hypertension artérielle transitoire de 2004 à 2009. Notion d'hypercholestérolémie traitée jusqu'en 2010. Pancréatite aiguë en 2013 Cure d'anévrisme infra-rénal avec thrombose iliaque par prothèse en Y en 2012 à Bern Cataracte des deux côtés en 2011 Pancréatite aiguë idiopathique. Pancréatite aiguë le 09.05.12 Cholécysectomie Probables troubles digestifs fonctionnels : • alternance diarrhée - constipation • nausées/vomissements intermittents AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 04.08.2016 et le 26.08.2016 • FE de l'urée à 34% le 04.08.2016, et FEurée 32% et FENa 0.56% le 26.08.2016 • hyperkaliémie à 5.5 mmol/l le 04.08 puis normalisation Hydratation par NaCl 0.9% iv du 04 au 29.08.16 avec normalisation Mise en suspens transitoire des néphrotoxiques Maladie du sinus avec : • Pauses sinusales significatives suspectes d'être symptomatiques (vertige et chutes répétées) Implantation de Pacemaker AAI-DDD de type KORA 250 DR (IRM compatible à 1.5 T corps entier) le 18.08.2016 (Dr. X) Hypertension artérielle Hyponatrémie hypo-osmolaire sur probable SIADH (carbamazépine) le 04.08.2016 et 24.08.2016 • Na à 120 mmol/l le 24.08.2016 • spot urinaire du 08.08.16 et 24.08.2016 concordant avec un SIADH • cortisol basal et test au synacthène sp Anémie normochrome normocytaire arégénérative avec : • ferritine, B12 et TSH dans la norme • acide folique diminué Pancréatite aiguë le 09.05.12 Cholécysectomie Probables troubles digestifs fonctionnels : • alternance diarrhée - constipation • nausées/vomissements intermittents Diabète non insulino-requérant AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 04.08.2016 et le 26.08.2016 • FE de l'urée à 34% le 04.08.2016, et FEurée 32% et FENa 0.56% le 26.08.2016 • hyperkaliémie à 5.5 mmol/l le 04.08 puis normalisation Hydratation par NaCl 0.9% iv du 04 au 29.08.16 avec normalisation Mise en suspens transitoire des néphrotoxiques Maladie du sinus avec : • Pauses sinusales significatives suspectes d'être symptomatiques (vertige et chutes répétées) Implantation de Pacemaker AAI-DDD de type KORA 250 DR (IRM compatible à 1.5 T corps entier) le 18.08.2016 (Dr. X) Hypertension artérielle Hyponatrémie hypo-osmolaire sur probable SIADH (carbamazépine) le 04.08.2016 et 24.08.2016 • Na à 120 mmol/l le 24.08.2016 • spot urinaire du 08.08.16 et 24.08.2016 concordant avec un SIADH • cortisol basal et test au synacthène sp Anémie normochrome normocytaire arégénérative avec : • ferritine, B12 et TSH dans la norme • acide folique diminué Pancréatite aiguë le 18.06.2018 Pancréatite aiguë le 18.06.2018 Pancréatite aiguë le 25.06.2018 DD gastrite, ulcère Pancréatite aiguë le 29.05.2018 avec : • Balthazar A • IRM du 27.02.2018 : pas de pseudokystes pancréatiques • IRM abdominale le 06.06.2018 : pseudokyste pancréatique. Lithiase vésiculaire. DD : migration de calculs biliaires Pancréatite aiguë lithiasique. Pancréatite aiguë post-ERCP le 06.05.2017 Hématomes spontanés multiples sur troubles de la crase sur dénutrition Thrombose veineuse porte Crise de goutte cheville G le 26.07.2017 Probable cholangite le 11.01.2017 Crise de goutte 1ère MTP G le 14.01.2018 Pancréatite aiguë post-ERCP le 06.05.2017 Hématomes spontanés multiples sur troubles de la crase sur dénutrition Thrombose veineuse porte Crise de goutte cheville G le 26.07.2017 Probable cholangite le 11.01.2017 Crise de goutte 1ère MTP G le 14.01.2018 Baisse de l'état général avec état fébrile et syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 22.05.2018 Pancréatite aiguë probablement d'origine alcoolique le 12.06.18 Pancréatite aiguë probablement lithiasique le 18.06.18 Pancréatite aiguë réactionnelle sur passage de calcul Pancréatite aiguë sur passage de calcul le 26.11.2014. Cholécystectomie par laparoscopie le 17.12.2014. Pancréatite aiguë sur probable consommation de cannabis Pancréatite aiguë sur probable consommation de cannabis Pancréatite aiguë vs chronique le 29.05.2018 avec : • Balthazar A DD: migration de calculs biliaires • Pancréatite Balthazar D sur possible passage de cholédocholithiase • Pancréatite biliaire aiguë non sévère avec dilatation du cholédoque distal à 7 mm et des voies intra-hépatiques sur lithiase avec présence de plusieurs concréments de 6-7 mm de diamètre dans le cholédoque distal, présence également de multiples calculs dans la vésicule biliaire. • Pancréatite biologique le 20.10.2017 • Pancréatite et hépatite cholestatique d'origine probablement auto-immune, le 05.04.2018 • sur poussée de vasculite à p-ANCA. (DD: lithiasique, alcoolique) • score Balthazar D, score de Ranson à l'admission à 3. Sepsis d'origine indéterminée le 27.02.2018. Infections pulmonaires multiples : • pneumonie communautaire trilobaire droite à Staphylococcus aureus PVL positif le 13.12.2016 • bactériémie à Pseudomonas aeruginosa le 26.12.2016 • pneumonie acquise sous ventilation à P. Aeruginosa le 06.01.2017 • trachéo-bronchite à P. Aeruginosa (suspicion) le 24.01.2017. Choc septique sur pneumonie communautaire avec MOF le 13.12.2016 avec : • fibrillation auriculaire rapide le 26.12.2016 • syndrome d'ogilvie le 25.12.2016. Hémorragie digestive basse récidivante sur lésion ischémique caecale en décembre 2016 : • colonoscopie (Dr. X) le 28.12.2016 : ischémie locale sans perforation • colonoscopie (Dr. X) le 29.12.2016 : ischémie locale au niveau du caecum sans perforation • colonoscopie le 10.01.2017 (Dr. X) : suspicion d'une colite ischémique au niveau du caecum, diverticulose sigmoïdienne sans preuve de saignement actif. Fracture du 1/3 proximal de la clavicule gauche en octobre 2016. Anite hémorroïdaire de stade II avec hématome du périnée en janvier 2016. Excision d'un polype inflammatoire de l'angle droit et deux adénomes tubuleux (à 60 cm MA et rectum) avec dysplasie épithéliale de bas grade le 13.01.2016. Déchirure de la rétine et hémovitré de l'œil gauche suite à une vitrectomie/laser/silicone en 2015. Zona de la fesse gauche en décembre 2010, récidives en 2015. Opération pour sinusites chroniques en 2013. Diverticulite sigmoïdienne perforée couverte (Hinchey 2) en octobre 2013. Pancréatites aiguës sur décompensations de dépendance éthylique en 2003 et 2008. Cure de hernie discale L4-L5 en 1992. Vasectomie en 1974. Tendinopathie d'Achille. Appendicectomie à l'âge de 20 ans. • Pancréatite le 13.06.2018 DD: sur Redbull • Pancréatite légère le 13.06.2018 DD : sur Redbull (6 cas publiés), passage de calcul biliaire • Pancréatite probablement biliaire le 30.05.2018 • Pancréatite subaiguë Balthazar B le 09.03.2015. IRA AKIN II avec oligurie sur hypoperfusion rénale (artère rénale D occluse par la fausse lumière de la dissection) le 17.02.2015. Endocardite infectieuse sur cholécystite aiguë en 2002. Cholécystectomie par laparotomie en 2003. Sigmoïdectomie pour adénocarcinome en 2009. Adhésiolyse pour iléus en juillet 2010. Cure par mise d'un filet pour une éventration abdominale sus-ombilicale le 11.07.2012. AVC ischémique capsulaire interne D dans le territoire de l'artère choroïde antérieure de probable origine microangiopathique, le 27.01.2018 : • Symptome initial : hémisyndrome sensitivo-moteur gauche. • NIHSS à l'entrée : 4. NHISS à la sortie : 1. Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement pré-rénale le 28.01.2018. • Pancréatite sur lithiase biliaire en 2010 Status après cholécystectomie en 2010 Appendicectomie • pancytopénie • Pancytopénie avec : • Trombopénie à 32 G/l (DD: cirrhose, médicamenteuse peu probable) • Anémie normochrome normocytaire avec Hb 112 g/l (DD: carence acide folique, inflammatoire, OH) • Leucopénie • Discrète anomalie IgG kappa à l'immunofixation de mai 2018 • Pancytopénie avec leucopénie à 2,3 G/l, anémie avec Hb à 126 g/l, thrombocytopénie à 137 G/l. • Pancytopénie DD Toxicité médicamenteuse DD moelle hypoactive • Pancytopénie d'origine indéterminée Tricytopénie DD : tumorale/ OH-hépatopathie / médicamenteuse • Thrombopénie • Anémie macrocytaire normochrome hyporégénérative • Leucocyto- et neutropénie • Vitamine B12 à 940 et acide folique à 12.1 (valeurs dans la norme) le 30.01.2018 • bilan vitamine dans la norme en mars 2018 DD : connectivité sous-jacente • Pancytopénie d'origine multifactorielle (DD: tumoral, médicamenteux -Depakine) avec : Labo 30.04 : Hb 67 g/l, leuco 2.9 g/l. Thrombocytes 120 g/l Labo le 08.05 : Hb 103 g/l, leuco 2.8 g/l, Thrombocytes 108 g/l Taux de dépakine le 08.05 : 70 mg/l • Pancytopénie le 14.06.2018 dans le contexte septique • Anémie normocytaire normochrome, Hb 85 g/l • Leucopénie 2.4 G/l • Thrombopénie 142 G/l DD : médicamenteux sur prise de Bactrim • Pancytopénie légère, d'origine multifactorielle (infection chronique, IR chronique, traitements de clindamycine et rifampicine, notion d'éthylisme) • dernier suivi à Montana : Lc 3,1 G/l, Hb 105 g/l, Tc 127 G/l • s/p thrombocytopénie héparine-induite (HIT) avec anticorps anti-PF4-héparine positifs 03/2018 • Pancytopénie sévère avec agranulocytose le 11.06.2018 probablement sur traitement de Methotrexate dans un contexte d'insuffisance rénale en mai 2018 et interaction médicamenteuse avec la ciprofloxacine • Pancytopénie sur chimiothérapie le 06.06.2018 • Pancytopénie, symptômes B. • Panendoscopie et biopsies de la corde vocale droite le 28.06.2018 (Dr. X) • Panendoscopie (service ORL HFR Fribourg) prévue le 20.06.2018 La patiente sera convoquée en oncologie (HFR Fribourg) 1 semaine après la panendoscopie du 20.06.2018 • Panhypopituitarisme et diabète insipide suite à un macro-adénome non sécrétant réséqué en 2008 (CHUV) avec : • multiples substitutions hormonales • notion de lésion du chiasma optique des suites de l'adénome avec baisse de l'acuité visuelle • suivi Dr. X Notion de lésion du chiasma optique des suites de l'adénome avec baisse de l'acuité visuelle Atonie vésicale avec pose de sonde vésicale à domicile • suivi Dr. X Insuffisance rénale chronique stade 2 (avec clairance à la créatinine selon Cockroft et Gault à 73 ml/h) Démence vasculaire avec probable composante neurodégénérative Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • Panniculite mésentérique le 11.06.2018. • Panotile gouttes pendant 7 jours Traitement symptomatique • Panotile gouttes pour une semaine. Brufen 40 mg 2x/jour. • Panotile pour 7 jours et contrôle chez pédiatre • Panotile pour 7 jours et contrôle chez pédiatre • Pansement à l'Ichtolan à refaire 1x/j pendant environ 5 jours. Antalgie. Proposition de revoir le patient par le médecin de caserne à 48 h. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique, notamment apparition d'un état fébrile ou de douleurs importantes. • Pansement Adaptic, compresses, bande de gaz et Cofix. Contrôle chez le médecin traitant le 25.06.2018. La patiente reviendra aux urgences le 24.06.2018 pour rappel Tétanos. • Pansement avec Bepanthène plus. Contrôle en Filière 34 le 29.06.2018. • Pansement avec Bétadine solution et pansement simple. Contrôle chez le médecin de famille si nécessaire. Pas d'autre contrôle planifié à notre consultation, mais il peut nous recontacter en cas de besoin. • Pansement avec Ialugen, désinfection avec Hibidil. La patiente contactera les soins à domicile le 1er juin 2018 pour la réfection du pansement le 02.06.2018. En cas d'impossibilité, la patiente reconsultera à la filière (ordonnance du matériel de pansement transmis à la patiente). Di-Te Pur effectué le 01.06.2018 (en accord avec le Dr. X). • Pansement avec Ialugen Plus. Pas de débridement ce jour, à discuter l'indication en fonction de l'état cutané dans 48 h. Présence d'un érythème et d'un œdème au niveau du tiers supérieur de l'avant-bras gauche marqué au feutre à peau. Contrôler une éventuelle dermohypodermite lors de la prochaine consultation et introduire une antibiothérapie au besoin. Contrôle en F34 le 01.07.18. • Pansement avec Ialugen. Retour à domicile. Certificat d'arrêt sportif. • Pansement avec Ichtolan 20%. Attitude : Poursuite des pansements avec Ichtolan à domicile jusqu'à élimination de l'écharde. • Pansement fait par l'infirmière. • Pansement gras, couverture antibiotique pendant 5 jours. Reconsultation chez le médecin traitant pour contrôle de la plaie. • Pansement Ichtolan. Contrôle à 48 heures en filière. Antalgie. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique, notamment douleurs résistantes au traitement antalgique ou état fébrile. • Pansement occlusif. • Pansement occlusif et suivi en stomatothérapie pour granulation dirigée dès le 06.06.2017. Contrôle à la consultation de Dr. X/Dr. X à 4 semaines. • Pansement selon protocole. Surveillance et changement régulier de position. • Pansement simple. Rappel DiTe. • Pansement VAC en aspiration continue - 80 mmHg. Réfection du pansement en stomathérapie avec Dr. X le 19.06.2018. • Pansements. • Pansements à domicile toutes les 48 heures. Contrôle clinique chez le pédiatre dans une semaine. Contrôle clinique de la plaie avec ablation des fils dans 3 semaines chez le pédiatre. • Pantoprazol. • Pantoprazol et Alucol. Primpéran. • Pantoprazol iv continu du 27.06.2018 au 28.06.2018. Mise en suspens du Sintrom. Hémoccult à faire. OGD/Colonoscopie à prévoir selon hémoccult. • Pantoprazol 20 mg, mis en suspens pour dyslipidémie. • Oeso-gastro-duodenoscopie le 07.06.2018 : sans particularités. Colonoscopie en ambulatoire : patient sera convoqué. • Pantoprazol 3x/40mg par jour. À jeun le 19.06.2018 (si possible coloscopie + éventuellement gastroscopie le 19.06 ?) + aspirine cardio et janumet pausés le 18.06 au soir. Contrôles cliniques et biologiques. • Pantoprazol 40 mg, pendant 4 semaines. Contrôle chez le médecin traitant dans 4 semaines. • Pantoprazol 40 mg 1x/jour pendant 4 semaines. Alucol. Conseils hygiéno-diététiques. Suite chez médecin traitant avec discussion sur la réalisation d'une oeso-gastro-duodénoscopie si réfractaire au traitement par IPP bien conduit. • Pantoprazol 40 mg 1x/jour 1-0-0-0. CT thoraco-abdominal organisé pour le 26.06.2018 (recherche de masse, abcès, tuberculose). • Pantozol dès le 05.06.2018. • Pantozol en intraveineux en continu du 29.05.2018 au 31.05.2018. Pantozol 40 mg. • Pantozol iv du 01.06 au 04.06.2018, puis per os. 1 culot érythrocytaire le 01.06.2018. OGD du 04.06.2018 : dans la norme. Colonoscopie du 06.06.2018 : dans la norme. Bilan d'anémie : ferritine, acide folique, vitamine B12 et réticulocytes dans la norme. • Pantozol iv 80 mg le 08.06.2018 en bolus unique + 8 mg/h iv continu pendant 72h. Mise en suspens du traitement de Rabeprazole. NaCl 0.9% dès le 08.06.2018. Pose de PICC-Line le 08.06.2018. Konakion iv du 08.06 au 10.06.2018. Transfusion de 1 CE le 08.06 et le 09.06.2018. 1 PFC le 08.06.2018. Angio-CT et angiographie le 08.06.2018 (Dr. X) : exploration de l'ensemble des artères du tractus gastro-intestinal sans source de saignement actif. Sang occulte dans les selles : négatifs. Alendronate arrêté, non remplacé par l'Aclasta. • Pantozol IVC du 15.06 au 16.06.2018 puis 3x/j. OGD : à organiser dès le 18.06.2018 (avant si critère d'urgence). Cyklokapron jusqu'à l'OGD. • Pantozol IVC du 15.06 au 16.06.2018. Pantozol IV 3x/j du 16.06 au 22.06.2018 relais Pantozol 40 mg 1x/j po dès le 23.06.2018. Avis hématologique (Dr. X) : Cyclokapron du 16.06 au 21.06.2018. OGD sous AG le 21.06.2018 : sérologie hélicobactère négative ; Pantoprazole 40 mg 1x/j au long cours. Suspension du Litalir et de l'Aspirine dès le 16.06.2018 à réintroduire lorsque Hb > 100 g/l. • Pantozol ivc du 26.05 au 28.05.18 puis 2x40 mg/j du 28.05 au 03.06.2018 puis reprise à 40 mg/j. Clexane thérapeutique en suspens du 26.05 au 28.05.2018. Reprise Clexane prophylactique le 28.05.2018. Reprise Clexane thérapeutique le 29.05.2018. • Pantozol IVC du 29.05.2018 au 31.05.2018 puis 40 mg 2x/jour. • Pantozol iv continu du 29.05 au 31.05.2018 puis 40 mg 2x/jour puis 40 mg/j. • Pantozol 1x par jour durant 1 mois. • Pantozol 40 mg. • Pantozol 40 mg 1x/j pour 10 jours. Motilium lingual 3x/j en réserve si nausée. • Pantozol 40 mg par voie orale. NaCl 0.9% 500 ml iv. + Paracétamol 1 g + Buscopan 10 mg + Novalgin 1 g iv. Contrôles cliniques + contrôles biologiques le 01.07. sur la permanence. • Pantozol 40 mg 1x par jour pour une semaine. Le patient rentre à domicile pour aller dormir. Il est accompagné de sa maman. • Pantozol. Fragmentation des repas. OGD le 18.07.2018 à l'HFR Riaz. • PAP du 12.04.2018 : négatif pour une lésion malpighienne intra-épithéliale. IRM pelvis du 19.04.2018 : utérus agrandi rétroversé et rétrofléchi et entrant en contact avec le sacrum et refoulant le rectum. Polype de l'endomètre dans le bas-fond de l'utérus. Kyste ovarien de 22 mm à droite. Absence de signes évocateurs de l'existence d'une endométriose. • PAP du 29.05.2018 : absence de cellules suspectes. Chlamydia du 29.05.2018 : négatif. Contraception future : Nuvaring. • PAP du 31.05.2018 absence de cellules suspectes. Chlamydia du 31.05.2018 négatif. Contraception future : Cérazette. • PAP du 31.05.2018 absence de cellules suspectes. Chlamydia du 31.05.2018 négatif. Contraception future : Cérazette. • PAP test du 17.01.2018 : Condylome-Lésion malpighienne intra-épithéliale de bas grade L-SIL, Cintec positif. • Papillome pédiculé de la luette le 19.06.2018. • Papillome pédiculé de la luette le 19.06.2018. • Par rapport à la dermabrasion, au vu d'un tétanos à jour, nous ne faisons pas de rappel. Nous faisons une radiographie de la main droite, qui montre une fracture au niveau du 5ème métacarpien droit. Selon avis de Dr. X, nous faisons une réduction sous Kalinox et mettons en place une attelle Edimbourg. Nous effectuons une radiographie de contrôle, qui revient mieux réduite. Nous introduisons une antalgie et des AINS et donnons un bon d'ergothérapie et un arrêt de maladie et préconisons un contrôle en policlinique d'orthopédie le 11.06.2018. La mère du patient vient le chercher et reçoit des renseignements, il s'était présenté aux urgences seul, en scooter. • Paracervicalgies droites non traumatiques. • Paracétamol en réserve. Avis ORL en ambulatoire. Rediscuter avis neurologique selon évolution. • Paracétamol iv. Novalgine iv. Tramal gouttes. Buscopan per os. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Rendez-vous chez le gastroentérologue en ambulatoire. Red flags expliqués. • Paracétamol 1 g. Ponstan 500 mg en réserve. Elyfem 30 1x/soir. • Paracétamol et Ibuprofène au besoin. Traitement symptomatique des douleurs buccales (médecine antroposophique). • Paracétamol et Ibuprofène au besoin. Traitement symptomatique des douleurs buccales (médecine antroposophique). • Parage de la plaie (Dr. X) : pas de complication lors du parage de la plaie, suture par 2 points avec Prolene 6.0. RAD avec tiers et conseils donnés aux tiers pour surveillance TC. Conseil de désinfection locale et d'aide à la cicatrisation dirigée. Ablation des points dans 8 jours par le médecin traitant. • Parage et lavage de la plaie traumatique avec stabilisation de la fracture par plaque d'alignement LCP/DCP 3.5 à 7 trous et fixateur externe de type Galaxys. • Paralysie. • Paralysie. • Paralysie de Bell diagnostiquée le 30.05.2018. • Paralysie de la corde vocale gauche d'étiologie indéterminée. - DD d'origine traumatique post-intubation le 24.01.2018. - consultation Dr. X le 15.02.2018 et 05.2018. • Paralysie de la corde vocale gauche d'étiologie indéterminée.DD d'origine traumatique post-intubation le 24.01.2018 • consultation Dr. X le 15.02.2018 • Paralysie faciale. • Paralysie faciale. • Paralysie faciale droite depuis le 23.06.2018 DD: central, périphérique • Paralysie faciale droite isolée en 2014 • Tumeur bénigne sein gauche en 1990 • Kyste sébacé en 2013 • Entorse LLE genou gauche • Paralysie faciale gauche périphérique le 30.05.2018. • Paralysie faciale périphérique d'origine indéterminée le 11.06.18. • Paralysie faciale périphérique droite associée à la maladie Lyme DD: 1) Origine infectieuse: • Otologique: pas d'otalgie, examen otoscopique normal • Infection générale: • Méningite: pas de syndrome méningé • Zona: pas d'éruption vésiculeuse dans le conduit auditif externe • Mononucléose infectieuse • Lyme: notion de balade en forêts, érythème du visage la semaine dernière, pas de piqûre de tique 2) Origine traumatique (fracture du rocher): pas de contexte traumatique, pas d'hémotympan 3) Paralysie faciale tumorale: installation plutôt aiguë, pas d'autres atteintes nerveuses 4) Paralysie de Bell (idiopathique): diagnostic d'élimination • Paralysie faciale périphérique gauche. • Paralysie faciale périphérique le 19.06.2018. • Paralysie récurrentielle bilatérale ancienne le 26.06.18: aggravation de la paralysie récurrentielle gauche d'origine indéterminée • Paralysie récurrentielle bilatérale ancienne le 26.06.18: • aggravation de la paralysie récurrentielle gauche d'origine indéterminée • Paralysie récurrentielle droite et aggravation d'une parésie récurrentielle gauche le 26.06.18 DD: évolution naturelle, compression médiastinale ou thoracique haute • Paramètres vitaux : saturation 97% à l'AA, pouls 62/min, TA 147/68, afébrile 36.2°C. • Pulm : râles bibasaux, sans sibilance ou ronchi. • Cardio : rythme régulier actuellement, léger souffle systolique, importants œdèmes des membres inférieurs • Paramètres dans les normes • ECG superposable : sous-décalage ST non-significatif (1mm) en V4, V5 déjà présent le 01.06.2018. Extrasystole ventriculaire déjà connue • Troponines sans cinétique • Bilan biologique Hb en augmentation ( patient sous Plavix et Aspirine) • Ad Nexium 40 mg 2x/j • Diminution des pressions de la VNI • Proposer élévation du dossier lors de la nuit. • Suivi clinique : bonne évolution suite à la diminution des paramètres de la VNI • Paramètres de cholestase élevés le 28.04.2018 • Paramètres vitaux au moment du transfert : TA 136/76 mmHg, FC 76/min, saturation O2 96% en AA. • Paraplégie ASIA C L1/L5 sur abcès lombaire dans un contexte post-spondylodèse L4/L5 (fracture du plateau supérieur L5) le 14.09.2017. • Clinique actuelle: parésie légère bilatérale +/- symétrique (M4) L2, L3 et S1 ; asymétrique L4 (M4 à droite, M3 à gauche); hyporéflexie ostéotendineuse à droite, aréflexie ostéotendineuse à gauche (rotulienne et achiléenne). • Paraplégie complète au niveau sensitif L2 et moteur L1 à droite, niveau sensitivo-moteur D11 à gauche avec zone de préservation partielle motrice de L2 des deux côtés, sensitive au niveau L3 à droite et D12 à gauche après lésion destructrice suite à un tir de fusil de chasse dans la zone lombaire en novembre 2009. (suivie par Dr. X) • Intestin neurogène avec évacuation manuelle des selles. • Vessie neurogène, sonde sus-pubienne à demeure. • Cystocèle et hystérocèle stade 2-3. • Dolicho-côlon à prédominance sigmoïdienne. • Hypovitaminose D sévère, substituée. • Obésité stade 2 • Anémie normocytaire normochrome à 113 g/l, d'origine ferriprive et résistante à la substitution de Ferinject sans argument pour une origine urinaire ou gynécologique. • Gastrite chronique avec hernie hiatale (OGD septembre 2014) • Trouble neurocognitif modéré, d'origine indéterminée. • Paraplégie post-traumatique après un accident en 2004 • Fixateur interne • Sous Tizanidine et Baclofen • Paraplégie post-traumatique sur chute accidentelle en 2004 • Fixateur interne • Sous Tizanidine et Baclofen • Paraplégie post-traumatique sur chute accidentelle en 2004 • Hypertension artérielle • Urolithiases bilatérales asymptomatiques • Découverte fortuite le 04.06.2018 (CT abdomen) • Paraplégie sensitivomotrice incomplète sub Th3 (AIS C) post AVP 2001 sur fractures instables D2-D4 • Parathyroïdectomie inférieure gauche avec neurostimulation le 06.06.2018 • Parésie • Parésie de la main droite. • Parésie de l'abducens VI à D avec: • nystagmus inconstant dans le regard vers le haut • légère asymétrie des fentes palpébrales • Consommation d'alcool à risque (environ 2 litres/jour et problèmes sociaux, sous tutelle depuis 1999) sevrée. • Parésie du membre supérieur droit. • Parésie du membre supérieur droit post-opératoire le 11.06.2018 sur atteinte du plexus brachial en per-opératoire • Parésie faciale. • Parésie faciale. • Parésie faciale inférieure et hypoesthésie maxillaire gauche probablement sur injection de Botox. Diagnostic différentiel : polynévrite sur maladie de Lyme • Parésie membre inférieur gauche. • Parésie membre supérieur droit sur atteinte plexus brachial d'origine indéterminée en 2011. • Parésie membre supérieur gauche et membre inférieur gauche en post-opératoire d'une craniotomie frontale droite le 01.06.2018 • Paresthésie. • Paresthésie avec hypoesthésie débutée à 6h ce matin au réveil d'allure périphérique : • dernière preuve de bonne santé à 2h du matin • Notion de stress familial important. • Paresthésie brachio-faciales. • Paresthésie du bras gauche d'origine indéterminée le 31.05.2018. • Paresthésie du membre supérieur droit. • Paresthésie du membre supérieur gauche. • Paresthésie du membre supérieur gauche d'origine indéterminée le 13.06.2018. • Paresthésie et dysarthrie transitoire. • Paresthésies • Paresthésies • Paresthésies • Paresthésies. • Paresthésies au niveau distal des doigts de la main gauche, non spécifique, d'origine indéterminée. • Paresthésies de l'hémiface gauche et de l'hémicorps gauche. Dépression et anxiété avec idées suicidaires (hospitalisation à Marsens). • Paresthésies des membres inférieurs de longue date • Paresthésies et angoisses. • Paresthésies et douleurs diffuses et intermittentes des membres inférieurs et supérieurs et du tronc, mal systématisées, le 25.05.2018 • DD: polyneuropathie débutante des membres inférieurs; fonctionnelles • Paresthésies, faiblesse et myalgies aux 4 membres, d'apparition brutale le 31.05.2018 • Force à M4 et hypo-/aréflexie aux 4 membres • Anamnèse familiale positive pour SEP • ENMG le 04.06.2018 chez Dr. X : sans particularité • DD : post-infection virale, DD : suspicion de trouble dissociatif [de conversion] mixte (moteur et sensitif) [F44.7] • Paresthésies gauches • Paresthésies gauches • Paresthésies transitoires d'apparition aiguë brachio-crurale à droite d'origine indéterminée le 23.06.2018 DD: AIT thalamique gauche, crise d'épilepsie partielle sensitive, aura migraineuse acéphalique • Parkinson atypique de type paralysie supranucléaire progressive diagnostiqué le 14.02.2018 avec: • syndrome akinéto-rigide appendiculaire bilatéral prédominant au membre supérieur à gauche et trémulant prédominant au membre supérieur à droite • hypomimie • dyskinésie de la langue, péri-orale et de la mâchoire • syndrome de Parinaud • trouble de la déglutition avec st/p pose de sonde PEG le 22.02.2018 • chutes à répétition • Dysautonomie avec hypotension orthostatique probable • Parkinson traité. • Hyperplasie bénigne de la prostate. • Parkinsonisme • Diabète de type 2 non traité • Fibrillation auriculaire • Hypertension • Goutte • Parodontose Paronychie au bord médial de l'hallux gauche sur ongle incarné. Paronychie de l'orteil I du pied gauche sur possible mycose chez un patient diabétique avec neuropathie. Partie sans consultation médicale. Pas d'ablation de fils car fils résorbables Suivi chez médecin de famille par la suite Pas d'ablation des fils, car fils résorbables Pas d'ablation des fils (matériel résorbable) Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 2 semaines Pas d'ablation des fils (matériel résorbable) Pas de sport pendant 2 semaines Pas d'antalgie pour le moment selon désir du patient Physiothérapie spécialisée Avis ORL le 18.05.2018 Pas d'antécédents médicaux chirurgicaux Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques Pas d'antécédents pathologiques anamnestiquement à jour Pas d'antécédents pathologiques circoncision Pas d'anticoagulation au vu de saignements récidivants, d'une anémie en cours d'investigation, chez un patient aux antécédents de traumatismes crâniens dans des contextes d'éthylisation aigu Poursuite du Métoprolol 50 mg 1x/jour Pas d'anticoagulation au vu de saignements récidivants, d'une anémie en cours d'investigation, chez un patient aux antécédents de traumatismes crâniens dans des contextes d'éthylisation aigu Poursuite du Métoprolol 50 mg 1x/jour Pas d'argument clinique pour une infection Pas d'argument en faveur d'une récidive de glomérulonéphrite Si persistance des symptômes contrôle dans 48h chez son pédiatre pour nouvelle analyse d'urine Pas d'argument pour fécalome. ATT • Laxatif, suivi selles Pas d'argument pour une convulsion au vu de l'évolution des symptômes. EFSF mais fièvre depuis 3h seulement. Contrôle chez le pédiatre en cas de persistance de la fièvre dans 48-72h. Pas d'argument pour une poussée de maladie de Crohn. Poursuite du traitement symptomatique à domicile. Pas d'argument pour une surinfection pulmonaire Traitement pour pneumocoque résistant et mycoplasme jusqu'à réception du frottis Pas d'arguments pour un foyer infectieux (y compris urinaire) voire un Kawasaki à ce jour Poursuite du traitement symptomatique Contrôle clinique dans 24-48 h si non amélioration de la fièvre ou baisse de l'état général. Pas d'arguments pour une fracture ni pour une arthrite septique Antalgie en réserve (Dafalgan et Algifor) Contrôle chez le médecin traitant en cas de non-amélioration dans 5 jours Pas de bilan au vu d'un EF < 24 heures Pas de bilan complémentaire Retour à domicile avec poursuite de traitement de Dafalgan et Motilium en réserve Consultation de contrôle chez le pédiatre traitant début de semaine prochaine Entre temps reconsulte si douleurs importantes malgré antalgie, vomissements malgré anti-nauséeux, voire devant toute altération de l'état général. Pas de chimio/radiothérapie Prise en charge palliative Pas de cinétique à la hausse des troponines Majoration du Torasemide 10 mg 1-0-1-0 puis reprise des doses initiales Introduction d'un IEC 5mg 1x/j Pas de conduite pendant 2 semaines Contrôle cardiologique à 1 mois (Dr. X) Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.10.2018 à 16h15 (Dr. X) Pas de constellation Rhésus Pas de consultation (le patient ne s'est pas présenté au rendez-vous de consultation planifié), mais un rapport de diagnostics suite aux résultats sanguins Pas de contrôle clinique nécessaire sauf en cas de mauvaise évolution. Pas de contrôle nécessaire chez le médecin traitant. Si vomissement ou céphalée intense, nécessité de reconsulter les urgences. Pas de contrôle nécessaire sauf si mauvaise évolution. Pas de contrôle nécessaire, sauf si signe de surinfection de la dermabrasion (conseils et red flags donnés au patient et à son épouse). Pas de contrôle post-intervention particulier Proposition cardiologue Dr. X: Traitement d'essai par anticalcique (Zanidip 10mg 0.5-0-0-0) ATT: • pas de traitement anti-HTA vu AVC. réévaluer introduction à distance. Pas de corrélation claire entre l'IRM et les symptômes présentés par la patiente. En septembre 2017 elle avait déjà eu une consultation chez le Dr. X mais l'ENMG était résulté normal. Pour cette raison, et au vu de la suspicion clinique de décompensation sacro-iliaque D, on décide d'effectuer une infiltration de cette articulation au bloc sous sédation. Nous reverrons la patiente pour discuter des résultats. Pas de critère de gravité lors de l'examen clinique (pas d'effusion intra-articulaire, pas de laxité, charge possible). Antalgie simple. Protocole RICE. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Pas de déficit neurologique. ECG : cf. annexes. Pas de diabète, pas enceinte. Pas de prise en charge particulière. Pas de douleurs abdominales, pas de saignement vaginal. bHCG à 0 d'aujourd'hui. Pas de DRS, pas de dyspnée. FRCV : dyslipidémie traitée, non fumeur, pas connu pour DM, anamnèse familiale négative. Pas d'ATCD de syncope. ATT : • Consilium cardiologique en ambulatoire (demande consilium faite) Pas de facteur de risque cardio-vasculaire, anticoagulation thérapeutique par Xarelto en ambulatoire. Anamnèse familiale thrombo-embolique positive. Pas de fracture à la radiographie ni de modification de l'espace interarticulaire. Entorse de grade 2-3 qui a nécessité un avis de l'orthopédiste, le Dr. X, qui préconise la pose d'une attelle jambière postérieure. La patiente sera anticoagulée par Clexane 40 mg sous-cutanée. Un enseignement thérapeutique lui a été donné. Une antalgie par paracétamol 1 g et Brufen 400 mg est donnée selon douleurs. Nous invitons la patiente à venir contrôler dans une semaine en policlinique orthopédique. Pas de fracture cliniquement. Conseils préventifs sur épistaxis (pas de mouchage, éviction des sources de chaleur, pas de Valsalva). Prescription de Nasonex et Triofan. Pas de lésion cutanée, pas de modification du statut neurologique. Suivi clinique. Pas de méatite. Pas de balanite. Pas de mesure particulière de ma part. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. Pas de modification pour l'instant des diurétiques, à réévaluer par la suite. Pas de nécessité à un méchage. Réévaluer par médecin si recrudescence des symptômes. Désinfection locale par Bétadine pendant 7 jours. Pas de nécessité de suture ou traitement hormis désinfection buccale. Application Eludril N sur la plaie avec coton-tige si gargarisme difficile. Contrôle clinique si signe d'inflammation de plaie. Pas de notion de lésion de cornée. Pas de nouveaux épisodes de vomissements avec Zofran avec bonne hydratation et absence de douleurs abdominales. Pas de perméabilité tubaire visualisée. Pas de prise de sang le 31.05.2018. Contrôle chez son médecin traitant le 01.06.2018. Pas de prise de tension au MSG. Pas de prise en charge supplémentaire. Pas de proposition particulière dans la situation actuelle. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Pas de pus, mèche un peu teintée, instruction pour les douches. Donné des pansements pour les changements. Instructions données si réinfection. Pas de QTc long, pas de signe de Chvostek. ATT : • Substitution p.o Calcimagon D3 1000 2x/j • Pister Vit D. Pas de récidive des vomissements 2 h après la dose d'Odansétron, a bu 200 cc de Normolytoral, bien toléré, avec amélioration de l'état général. Après réévaluation du statut abdominal avec Dr. X (méd adjointe), les douleurs semblent plus localisées en épigastrique qu'en fosse rénale. Nous n'avons pas d'argument biologique pour une infection urinaire, et la clinique ne parle pas pour une lithiase rénale, nous mettons donc les cristaux d'urate sur le compte d'une découverte fortuite et concluons à une gastrite probablement virale. Nous recommandons à la patiente de reconsulter en cas de péjoration des douleurs ou de l'état général, d'échec d'hydratation ou de récidive de vomissements incoercibles. Pas de red flags. Laboratoire avec prise de sang et explications données à la patiente, pas de syndrome inflammatoire. CT cérébral : normal, explications données au patient. Conseils de reconsulter en cas d'apparition de red flags. Pas de red flags. Pas de Motilium au vu du risque de QT long avec ses médicaments ; à proposition de boire de l'eau sucrée pour diminuer les nausées et les vomissements. Conseil de revenir consulter si hématochézie, état fébrile, douleurs abdominales importantes ou absence d'amélioration des symptômes d'ici 48 heures. Pas de rhinorrhée, pas de toux. RGO la nuit. • Paramètres dans la norme. • Laboratoire du 06.06.2018 : pas de syndrome inflammatoire. • Bonne évolution après élévation du dossier la nuit. Pas de rougeur, pas de chaleur, pas de masse. Proposition d'une consultation gynécologique en ambulatoire. Reconsulte les urgences en cas d'aggravation des douleurs abdominales. Contrôle gynécologique pour investigation de mastodynie. Pas de sanction thérapeutique. Pas de sanction thérapeutique. Suivi clinique. Pas de signe de déshydratation, pas de symptôme d'inflammation systémique. Traitement symptomatique. Reconsultation si péjoration de la symptomatologie, RDV chez le médecin traitant si persistance. Pas de signe de pneumonie, ni de méningite ou d'impétignisation des lésions cutanées. Pas de signe direct pour une fracture du massif facial, statut endobuccal sans particularité. Traitement symptomatique par antalgie. Consultation chez son dentiste traitant afin d'évaluer une atteinte nerveuse dentaire associée, au vu des douleurs des dents n° 11 et 21. Régime mixé pour les prochains jours, explications données au patient. Pas de signes d'alarme à l'examen clinique, pas de méléna, pas d'hématémèse, pas de syncope, pas de troubles neurologiques, pas de péritonisme. Nous ne réalisons pas de bilan en urgence au vu de la stabilité des symptômes sur les derniers jours, l'augmentation du nombre et diminution de la consistance des selles nous évoquent une possible gastro-entérite sans que des signes de déshydratation clinique soient mis en évidence. Pas de changement du dosage du bêtabloquant, déjà diminué mardi 19.06 à 20 mg 2x/j. Un suivi clinique avec RDV avec Dr. X est déjà prévu le 29.06. Nous rappelons les signes d'alarme devant motiver une consultation rapide aux urgences et donnons des consignes pour la réhydratation. Pas de sonde nasogastrique. Avis nutritionnel. Substitution des électrolytes. Pas de suivi nécessaire. Pas de suivi nécessaire. Pas de suture de la plaie au vu du risque de corps étranger. Pas de suture indiquée. Antalgie par Dafalgan 1 g en réserve maximum 4x/24 h. Arrêt de travail jusqu'au 7.06 avec reprise le 8.06 pour protéger la plaie. Document sur les TC donné au patient avec consignes expliquées. Pas de tabagisme. Pas de traitement. Pas de traitement d'emblée. Pas de transfusion, pas de suivi biologique conformément au désir du patient. Pas de trouble somatique aigu. Pas de vomissement et bonne hydratation après prise d'Odansétron 2 mg. Pas d'épisode de diarrhée ou vomissements aux urgences. Nous hydratons la patiente avec 1000 ml de NaCl et Buscopan 20 mg IV, avec nette amélioration de la symptomatologie. Le laboratoire revient dans la norme, sans perturbation des tests hépatiques. Le sédiment urinaire revient propre. Nous débutons un traitement symptomatique et préconisons un contrôle chez le médecin traitant si persistance de la symptomatologie. Pas de maladie connue, pas d'opération. Pas d'extériorisation. Labo : Hb 140, crase sp, Tc 31 G/l. Avis hémato (Dr. X) : Traiter la thrombopénie vu contexte AVC avec nécessité d'antiagrégation. Aux urgences, Pantozol 40 mg et Solumedrol 125 mg IV. ATT : • Solumedrol 125 mg IV le 04.06, puis passage à prednisone p.o 90 mg/j (1 mg/kg). Pas d'indication à la réalisation d'un scanner (selon PECARN rule). Hospitalisation pour surveillance neurologique (toutes les heures durant les six premières heures suite au trauma, ensuite toutes les deux heures) : normale. Pas d'indication à nouvelle imagerie. Réassurance, conseils de contacter le centre d'imagerie le 12.06.2018 et s'il y a quoi que ce soit d'anormal, recontacter les urgences. Notre numéro de téléphone lui a été remis pour toutes questions ou si non accès à l'imagerie ou à conseil médical le 12.06.2018.Arrêt médical. Pas d'indication à une imagerie cérébrale: Canadian CT Head Rules. Test de Schellong, avec pré-explication par le médecin: négatif. Attitude : • antalgie par Paracétamol. • repos jusqu'à disparition des douleurs avant la reprise de l'activité physique. Pas d'indication chirurgicale à notre avis. Nous conseillons la réalisation d'une infiltration péridurale L4-L5 au centre de la douleur de Vevey, qui est plus proche du domicile du patient. Nous reverrons le patient suite à cela pour discuter de l'évolution. Dans l'intervalle, prolongation de l'arrêt de travail. Pas d'indication chirurgicale actuellement. Nous conseillons au patient des séances de physiothérapie. En cas d'absence d'amélioration clinique, une infiltration de la lyse isthmique sous CT sera envisagée. Prochain contrôle en octobre. Pas d'indication chirurgicale actuellement. On prescrit une infiltration sous CT du foramen C6-C7 G. Nous la reverrons ensuite pour discuter de la suite. Pas d'indication chirurgicale. Au vu de la persistance des douleurs, nous conseillons au patient de poursuivre le traitement antalgique. Nous lui prescrivons également une bouée pour s'asseoir. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% pour une semaine supplémentaire puis reprise à 50% dès la semaine suivante. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. En cas de persistance des douleurs, nous envisagerons d'autres investigations. Pas d'indication chirurgicale au vu de l'absence de déficit neurologique. Nous conseillons la réalisation d'une infiltration foraminale L5-S1 D. En cas d'amélioration d'ici ce geste, il l'annulera. Sinon, prochain contrôle suite à l'infiltration pour discuter des suites. Prescription de physiothérapie à débuter dès l'amélioration des douleurs. Nous rajoutons également une protection gastrique à son traitement. Pas d'indication chirurgicale au vu de l'absence d'effet de masse ou d'œdème cérébral. Pas de symptomatologie neurologique non plus. Nous expliquons à la patiente de quoi il s'agit et de la nécessité de réaliser une IRM de contrôle en début d'année prochaine. Elle nous recontactera pour un contrôle anticipé en cas d'apparition de paresthésies ou troubles neurologiques de l'hémicorps D. Pas d'indication chirurgicale au vu de l'absence d'effet de masse ou d'œdème cérébral. Pas de symptomatologie neurologique non plus. Nous expliquons à la patiente de quoi il s'agit et de la nécessité de réaliser une IRM de contrôle en début d'année prochaine. Elle nous recontactera pour un contrôle anticipé en cas d'apparition de paresthésies ou troubles neurologiques de l'hémicorps D. Pas d'indication chirurgicale au vu de l'absence d'un véritable cervico-brachialgie. À notre avis, une infiltration n'est pas non plus nécessaire pour l'instant. Prescription de physiothérapie pour 3-4 mois puis nouveau contrôle en septembre. Prescription de Sirdalud. Au vu du tunnel carpien, nous adressons la patiente au Dr. X pour une éventuelle décompression. Pas d'indication chirurgicale en urgence au vu de l'absence de déficit neurologique et de l'amélioration progressive actuelle. Nous expliquons au patient le cadre radiologique qui explique les douleurs. En cas de nouvelle aggravation de la radiculopathie L5, une infiltration foraminale L5-S1 D sous CT sera indiquée ainsi qu'un éventuel cycle de cortisone per os. Pas de contre-indication à des séances de physiothérapie. Prochain contrôle en cas de mauvaise évolution uniquement. Concernant le travail, nous lui conseillons de poursuivre son arrêt pour 7 à 10 jours puis de reprendre graduellement. Pas d'indication chirurgicale en urgence au vu de l'absence de déficit neurologique. Le patient va recevoir une infiltration sous CT ce jour, qui à notre avis, devrait être foraminale L5-S1 G. Prochain contrôle clinique dans 4 semaines pour discuter de l'évolution. Pas d'indication chirurgicale en urgence au vu de l'absence de déficit neurologique. On décide d'effectuer une infiltration sous CT du foramen L4-L5 pour soulager le nerf L4 comprimé par la hernie sus-jacente. On prescrit du Co-Dafalgan et des myorelaxants. On reverra la patiente après l'infiltration et une IRM cervicale. Nous restons à disposition en attendant. Pas d'indication chirurgicale en urgence étant donné l'apparition des symptômes il y a un mois avec une légère amélioration actuellement. Prescription de cortisone et contrôle dans 3 semaines pour discuter de la nécessité d'une éventuelle infiltration de la racine L4. Prolongation de l'arrêt de travail et prescription de physiothérapie dans l'intervalle. Pas d'indication chirurgicale en urgence. Nous organisons une infiltration foraminale L4-L5 D pour tenter de diminuer la cruralgie D. Prochain contrôle suite à ce geste. Pas d'indication chirurgicale en urgence. On adapte l'antalgie avec du Co-Dafalgan, Mydocalm et Toradol. On reverra la patiente fin juillet pour un contrôle radio-clinique. En cas de persistance voire aggravation des douleurs, une cimentoplastie de D12 pourra être proposée. Pas d'indication chirurgicale. Lors du dernier contrôle, nous avions discuté d'une éventuelle infiltration sacro-iliaque G. Nous n'en voyons toutefois pas l'indication ce jour au vu de l'absence de Trigger point à ce niveau. Néanmoins, les douleurs résiduelles présentées par la patiente sont en corrélation avec cette région anatomique. Nous lui prescrivons donc des séances de chiropractie puis reverrons la patiente en septembre pour faire le point. Pas d'indication chirurgicale. Nous expliquons au patient qu'il s'agit de fractures innocentes, pouvant engendrer des douleurs jusqu'à 2-3 mois post-traumatisme. Nous lui déconseillons d'utiliser les cannes et la ceinture lombaire et l'invitons à marcher de façon plus naturelle en se tenant droit. Prescription de Sirdalud et Co-Dafalgan. Prolongation de l'arrêt de travail. Prochain contrôle dans 2 mois. Pas d'indication chirurgicale. On conseille la poursuite de séances de physiothérapie pour l'école du dos, le renforcement musculaire et postural. On reverra le patient dans 1 an pour un contrôle radio-clinique. Pas d'indication chirurgicale. Pas de corrélation entre l'IRM lombaire et les douleurs décrites par la patiente. Néanmoins, au vu du Tinel positif au niveau de la tête fibulaire D, nous organisons un EMG afin d'exclure une souffrance radiculaire voire problématique périphérique du nerf sciatique poplité externe. Prochain contrôle pour discuter des résultats. Pas d'indication chirurgicale pour ce patient. Pas de nouveau contrôle prévu. Prescription de physiothérapie pour décontraction musculaire. Pas d'indication chirurgicale pour ce patient. Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie, natation, voire éventuellement chiropractie. Prochain contrôle en septembre. Pas d'indication chirurgicale pour ce patient. Poursuite du traitement conservateur avec reprise progressive de toutes les activités. Nous lui conseillons également de faire de la natation. Pas de nouveau contrôle prévu. Pas d'indication chirurgicale pour cette patiente. Prescription de physiothérapie, d'anti-inflammatoires et de myorelaxants. Prochain contrôle dans 2 mois. En cas de persistance des douleurs, nous envisagerons à ce moment-là une éventuelle infiltration sacro-iliaque G. Pas de nouveau contrôle prévu à notre consultation. Concernant les douleurs du genou, nous prions le Dr. X de reconvoquer la patiente pour la poursuite du suivi. Pas d'indication chirurgicale pour l'instant au vu de l'absence de déficit neurologique et de l'amélioration des douleurs. À notre avis, la symptomatologie décrite par le patient dans le territoire L5 est plutôt liée à la sténose foraminale qu'à la hernie L4-L5.Prescription de physiothérapie avec école du dos et aquagym. Prochain contrôle en septembre. Pas d'indication chirurgicale pour l'instant au vu de l'amélioration progressive. Poursuite de l'utilisation de la bouée pour s'asseoir ainsi que du traitement anti-inflammatoire. Il n'est pas possible d'exclure complètement une inflammation des insertions musculaires au niveau du plancher pelvien. Prochain contrôle clinique fin juillet. Pas d'indication chirurgicale. Pour l'instant, nous proposons des séances de physiothérapie et un nouveau contrôle dans 3 mois. À notre avis, une composante des paresthésies distales présentées par le patient est due à la persistance d'un syndrome du tunnel carpien. Nous lui conseillons donc d'utiliser une attelle velcro pour ce poignet et nous prions le Dr. X qui a déjà opéré le patient, de bien vouloir reconvoquer le patient. Pas d'indication chirurgicale pour l'instant. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois. Dans l'intervalle, prescription de physiothérapie pour hygiène posturale. Nous lui conseillons également de consulter une diététicienne. Pas d'indication chirurgicale pour une reprise de la cicatrice actuellement. Poursuite des soins locaux et nouveau contrôle dans 10 jours pour évaluer l'évolution. Pas d'indication chirurgicale vu l'absence de déficit neurologique. La symptomatologie présentée par le patient n'est pas tout à fait en corrélation avec l'imagerie radiologique, raison pour laquelle nous organisons une évaluation neurologique. Au vu des paresthésies importantes, nous prescrivons dans l'intervalle un traitement par corticoïdes sur 8 jours. Pas d'indication de sérologie Lyme ou tularémie dans un premier temps. Pas d'indication en urgence. Poursuite de la physiothérapie et du traitement myorelaxant. On reverra le patient fin juillet et, en cas d'absence d'amélioration, une IRM sera à effectuer. Pas d'indication pour endoscopie urgente. Conseil de reconsulter en cas de dysphagie, douleur ou hématémèse ou hémoptysie. Pas d'investigation complémentaire. Pas d'investigation supplémentaire ni traitement anticoagulant (selon discussion avec Dr. X). Suivi clinique. Pas d'opération abdominale. Probable pyélonéphrite. Syncope percoïtale d'origine indéterminée. DD : vaso-vagale. Pas faits. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Pas faits aujourd'hui. Sur la dernière radiographie datant du 15.5.2018, la fracture de la base du 2ème métatarsien est guérie. Pas pu ausculter le patient (il en a assez, trouve l'attente trop longue, il part du service contre avis médical). Avis du Dr. X, chirurgien : attitude expectative, suivi radiologique dans 1 semaine pour confirmer expulsion des cure-pipes. Radiographie de l'abdomen couché : décrite ci-dessous. Prochain contrôle dans 1 semaine en filière des urgences ambulatoires pour contrôle radiologique. Passage du calcul urétéral gauche le 26.06.2018. Passage en FA rapide lors de la bronchoscopie et biopsie • FA connue et anticoagulée. Passage gastro-œsophagien du 24.05.2018 : Pas d'aspiration visible. Dysmotilité aspécifique de l'œsophage avec stase de la colonne de contraste et multiples contractions tertiaires (Dr. X). Passage spontané en rythme sinusal le 15.06.2018. Amiodarone débutée le 15.06.2018 suite au retour en rythme sinusal. Discuter anticoagulation à distance de l'AVC. Mr. Y s'est beaucoup amélioré sous analgésie. Abdomen était mou, aucune résistance, légère douleur à la pression épigastrique. Murphy négatif, bruits intestinaux normaux. Flancs rénaux non sensibles à la percussion. Avec un laboratoire normal et une échographie après 24 h après le début des symptômes, bonne réponse à l'analgésie avec un bon état général de Mr. Y, il pourrait être entendu pour une sortie à domicile. Mr. Y revient demain dans 12 h pour le contrôle. En cas de détérioration aiguë, il se manifestera dans le cadre d'une urgence nocturne. Mme. Y en bon état général, afébrile, actuellement sans plainte. Test de grossesse était positif. Pour exclure une grossesse extra-utérine, nous recommandons une consultation rapide chez une gynécologue, mais ne voyons pas de besoin d’intervention d’urgence chez une patiente en bon état général et sans symptômes. Mme. Y en bon état général, avec des douleurs au flanc gauche après un traumatisme direct de la jambe gauche. Charge sur le flanc possible, cliniquement aucune indication d'une lésion osseuse, donc pour l'instant abstention d'imagerie. Mme. Y en état général légèrement réduit, jusqu'à hier fébrile jusqu'à 39,0, avec diarrhées aqueuses depuis 2 jours. Sous hydratation intraveineuse à la permanence, amélioration significative de l'état général. En raison de la détérioration de l'état général et de la fièvre, nous avons commencé un traitement antibiotique avec Ciproxin 500 mg x2 pendant 7 jours. Mme. Y avec un premier épisode de syncope aujourd'hui. Cliniquement et historiquement, il s'agit probablement d'un événement vaso-vagal, la cause reste ouverte. À la permanence, une patiente sans plainte, normotensive, normocarde, afébrile, avec un bon état général. Hémodynamiquement stable. En laboratoire, une hyponatrémie a été observée, DD SIADH, aucun paramètre inflammatoire, transaminases normales, légère anémie normocytaire normochrome. Aucune indication d'une embolie pulmonaire ou d'un anévrisme aortique. L'ECG montrait un résultat normal et stable (comparé à l'ECG en consultation). Avec une hémodynamique stable et un bon état général, sans plaintes et sans signes cliniques d'une pathologie nécessitant un traitement d'urgence, nous avons pour l'instant abstenu de confirmer, y compris l'imagerie. Mme. Y avec des douleurs thoraciques permanentes depuis 1 semaine, non liées au mouvement ou à l'effort, en bon état général, hémodynamiquement stable. En ECG, laboratoire et cliniquement, une pathologie cardiaque aiguë pourrait être exclue. Avec une évolution stable, Mme. Y pourrait être renvoyée à domicile. Patch Nicotinell dès le 07.06.2018. À faire : • poursuivre l'arrêt du tabac. Patch Nicotinell 14 mg/24 h. Nicorette inhalateur 10 mg. Patella haute relative du genou gauche avec chondropathie rotulienne inférieure. Pathologie des polypes. Mme. Y, 29 ans, 2G0P consultée en urgence pour retard des règles, nausées et vomissements depuis 1 semaine. Mme. Y sans contraception. Test de grossesse positif. Échographie endovaginale : grossesse intra-utérine évolutive à 6 1/7 SA avec battement cardiaque fœtal. (voir View Point) Mme. Y rentre à domicile avec ordonnance de Iténirol B6 par suppositoire et rendez-vous pour échographie de datation. Mr. Y actuellement sous antalgie par Oxycodone 5 mg 2x/jour. Antalgie augmentée à 5 mg 3x/jour + 5 mg en PR. Movicol. Primperan. Mr. Y admis en soins intensifs pour hypertension artérielle sévère. Le patient consulte le jour de son admission en raison d'un syndrome grippal associant céphalées en casque, rhinorrhées, odynophagie et toux. Chez ce patient connu pour une hypertension artérielle ayant arrêté spontanément son traitement il y a plus d'une année, une tension artérielle à plus de 220 mmHg symétrique est mise en évidence. L'ECG montre une hypertrophie ventriculaire gauche motivant un avis cardiologique avec la réalisation d'une échocardiographie confirmant l'hypertrophie cardiaque d'origine hypertensive. Aux urgences, la présence de céphalée motive la réalisation d'un CT-scan cérébral excluant une hémorragie. Un traitement de labétalol IV continu est initié suite à l'échec du traitement oral. Un traitement d'Amlodipine est initié permettant un arrêt du labétalol intraveineux. Un suivi par les cardiologues est organisé avec une consultation dans 2 semaines.Patient adressé en consultation d'ophtalmologie. Patient adressé en filière 34 le 12.06.2018 pour rédiger constat de coups. Patient adressé par l'hôpital de Nyon pour suite de prise en charge d'une fracture de la clavicule droite. Patient âgé de 48 ans, connu pour les comorbidités susmentionnées qui, le 07.06.2018 consulte le Dr. X pour une voussure inguinale droite, réductible, indolore, mais gênante depuis quelque temps. L'indication opératoire est posée. De plus, à la demande du patient, le Dr. X procèdera dans le même temps à l'excision des molluscums. Lors de la consultation préopératoire, soit une semaine après la visite du 07.06.2018 chez le Dr. X, le patient ne rapporte aucune nouvelle plainte mais il demande au Dr. X de réaliser en même temps que la cure de hernie inguinale, une vasectomie. Une première explication est donnée au patient et, la veille de l'intervention, le Dr. X réexplique le processus au couple. A son arrivée dans notre service, le patient est hémodynamiquement stable avec un bon état général, non algique. Status digestif : hernie inguinale droite non visible au repos mais apparaissant au Valsalva, spontanément réductible. Bruits abdominaux normaux en fréquence et tonalité, abdomen souple et indolore, sans défense ni détente, Murphy négatif, pas d'organomégalie palpable. Status dermatologique : molluscum pendulum à la face médiale du tiers proximal et double molluscum à la face dorso-latérale gauche de la verge. Le reste du status est sans particularité. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution postopératoire est favorable et les douleurs sont gérées par l'antalgie standard. Un bilan spermogramme est prévu le 06.09.2018. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à son domicile le 23.06.2018 avec une antalgie d'office pour 5 jours puis en réserve. Patient âgé de 52 ans, en bonne santé habituelle, qui le 03.06.2018 arrive aux urgences en ambulance, suite à une chute dans les escaliers (3 marches) avec réception sur la jambe gauche puis sur la hanche droite ; il se traîne comme il peut jusqu'au téléphone pour appeler de l'aide. Le patient décrit des douleurs intenses au niveau de la hanche droite (EVA 5-6/10) associées à une impotence fonctionnelle du membre inférieur droit, sans autre traumatisme. Le bilan radiologique révèle une fracture du col fémoral droit type Pauwels III. Le jour même, une prise en charge chirurgicale est décidée et l'on procède à une réduction fermée et ostéosynthèse par vis-plaque DHS. Les suites opératoires sont simples. Les douleurs sont bien gérées sous antalgie. A la réfection du pansement, la plaie est propre et calme, sans signe infectieux. Lors de son séjour dans notre service, la patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en charge partielle de 5 kg sur le membre inférieur droit à l'aide de cannes anglaises pour une durée de 6 semaines, puis augmentation de la charge à 15-20 kg selon l'évolution radio-clinique et ceci pour encore 6 semaines. Un traitement prophylactique antithrombotique de Clexane 0.4 ml 1 injection/jour est instauré pour une durée de 6 semaines. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 07.06.2018. Patient connu pour une cardiopathie ischémique, une hypertension artérielle traitée, une fibrillation auriculaire anticoagulée, un diabète de type 2 non insulino-requérant ainsi que des troubles de la marche et de l'équilibre avec plusieurs chutes, qui nous est adressé des urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal où il s'était rendu après une chute avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Sur le plan social, Mr. Y vit seul avec des soins à domicile une fois par jour pour ses pansements et le passage de Pro Senectute 1x/semaine pour le ménage. Les courses sont faites par ses filles qui viennent le week-end (ses 4 enfants vivant entre Lausanne et Genève). Le patient se déplace avec une canne ou un rollator. Son épouse est actuellement institutionnalisée à la Résidence des Martinets à Villars-sur-Glâne. Le CT cérébral effectué à l'entrée aux urgences ne montre pas de lésion traumatique crânio-cervicale. A l'entrée dans notre service, Mr. Y est stable, sans plainte particulière. Le status met en évidence des crépitants diffus, des oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux mollets et plusieurs hématomes cutanés aux membres inférieurs et supérieurs. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire objective une anémie normocytaire hypochrome et un déficit en vitamine D3. Sur le plan médicamenteux, vu les hypotonies artérielles répétitives dans les antécédents, déjà sous traitement, nous stoppons la Lisinopril et nous diminuons la Torasemide. Au cours de son hospitalisation, Mr. Y présente un diabète très difficile à contrôler avec des hypoglycémies en alternance avec des hyperglycémies, raison pour laquelle nous modifions le traitement d'insuline. Dans le contexte d'une chute suivie de douleurs au niveau ilio-lombaire à la mobilisation, nous effectuons des radiographies de la colonne lombaire et du bassin qui ne révèlent pas de lésion traumatique osseuse. Mr. Y présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans le diagnostic. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent un MMSE à 30/30, un test de la montre à 7/7, et un GDS à 3/15. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Son périmètre de marche avec rollator est de 200 mètres. Il a besoin d'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126 par rapport à 79/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas possible. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée montre une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des besoins protéino-énergétiques augmentés, une hyposialie rendant l'ingestion de certains aliments difficile, démontrée par un NRS à 3/7 et une perte pondérale de 10% en 3 mois. Par la suite, le patient profite des interventions nutritionnelles afin de reprendre du poids, avec un poids cible de 66 kg. Le 01.06.2018, Mr. Y est pris en charge en réadaptation gériatrique. Patient connu pour une maladie inflammatoire chronique de l'intestin depuis 2016, adressé par le médecin traitant pour baisse de l'état général et cachexie. Du point de vue gastroentérologique, le patient est suivi au CHUV par Dr. X. A noter qu'il a consulté plusieurs gastro-entérologues et que sur un malentendu, il aurait suspendu son traitement d'Humira. Il se présente avec une fatigue importante depuis une semaine sans changement de diarrhées ni de douleurs et un érythème noueux également depuis 1 semaine. Le patient se sent frustré de ressentir perpétuellement ces symptômes et qu'il n'y a aucun traitement qui ait été bénéfique jusqu'à présent. Il a perdu 25 kg ces 2 dernières années. D'après nos collègues gastroentérologues, nous débutons un traitement avec des corticostéroïdes d'abord par voie orale puis par intraveineux pendant 3 jours avec bénéfice. Le patient présente des selles molles mais n'a plus de diarrhées. Il souffre encore de crampes postprandiales, mais il arrive tout de même à manger des portions normales. Une colonoscopie met en évidence une inflammation de tout le colon gauche. Après toutes les investigations réalisées ainsi que la colonoscopie, nos collègues gastroentérologues diagnostiquent une RCUH.A la suite d'un colloque avec le patient, sa mère et sa soeur qui sont tous inquiets de la situation actuelle, nous convenons alors que la suite de la prise en charge se fera auprès du Cabinet Balsiger, Seibold & Partner. Un traitement avec Infliximab est également prévu. Le patient et sa mère sont d'accord avec cette proposition. Nous avons informé le patient que la prise en charge de cette maladie chronique va se dérouler sur du long terme. Biologiquement, nous retenons une carence de fer, d'acide folique et de vitamine D3. Nos collègues de la nutrition sont informés et suivent le patient pendant le séjour. M. Y bénéficie de Ferinject durant le séjour à raison d'une fois 500 mg. Une hypokaliémie est également substituée per os et une hypophosphatémie nécessite une substitution en iv avec bonne évolution. Le patient accepte un suivi nutritionnel en ambulatoire. Vu la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 05.06.2018. Patient connu pour une sclérose en plaques avec une paraplégie qui entre notre service médical en élective pour une colonoscopie de dépistage dans le cadre hospitalier. Le patient ne présente aucune plainte à l'entrée. La préparation et la colonoscopie se font sans problèmes et le patient peut rentrer le lendemain dans un bon état général. Patient de 18 ans, sous Ritaline pour un TADA, Ritaline qu'il arrête tous les weekends, qui est adressé aux urgences pour des myoclonies aux 4 membres accompagnées d'un état fébrile. Le patient était à un giron où il aurait consommé environ 12 litres de bière, sans autres substances. Le dimanche matin, au réveil, il aurait eu des douleurs pan-abdominales avec plusieurs épisodes de nausées et vomissements biliaires, puis, par la suite, des tremblements des 4 membres, prédominant au niveau de la mâchoire et au niveau pectoral gauche, sans perte de contact, ni morsure de langue, ni perte d'urine. M. Y n'a pas présenté d'autres symptômes. Au début du séjour, des myoclonies transitoires de l'épaule gauche sont documentées. Un CT-scan cérébral injecté est effectué à l'entrée et se révèle dans la norme. Nous effectuons un EEG qui ne met pas en évidence de foyer épileptique ni d'ondes pathologiques y compris lors des myoclonies provoquées par la lumière stroboscopique. Etant donné la symptomatologie atypique et l'âge du patient, nos collègues neurologues proposent de réaliser une IRM à la recherche d'anomalies congénitales rentrant éventuellement dans le cadre d'un syndrome pouvant expliquer les troubles du comportement de type TADA et les myoclonies ; cet examen sera réalisé en ambulatoire, vous en recevrez le rapport. Le patient sera ensuite revu dans 3 mois par le Dr. X, pour un suivi. Nous vous laissons le soin d'avancer le rendez-vous chez le Dr. X en cas d'image pathologique à l'IRM. Le diagnostic différentiel de ces myoclonies pourrait être un sevrage à la Ritaline, mais le patient est coutumier d'un arrêt passager, ainsi qu'une éthylisation aiguë. Dans le contexte de consommation d'alcool à risque, nous conseillons fortement au patient de diminuer sa consommation d'alcool et lui proposons de reprendre contact avec son psychiatre. A signaler qu'une US abdominal a été effectué à l'entrée au vu d'une légère élévation de la bilirubine (23 umol/l), et de douleurs abdominales, qui se révèle dans la norme. Le patient présente en fin de séjour une douleur au niveau du pli du coude droit. Nous effectuons un doppler veineux qui montre une phlébite de 3 mm sans nécessité de traitement autre qu'un traitement topique. M. Y rentre à domicile le 26.06.2018. Patient de 20 ans, en bonne santé habituelle, qui a fait un mouvement d'inversion du pied droit le 17.03.2018 lors d'un match de football. Depuis, il se plaint de fortes douleurs au niveau du pied, associées à une impotence fonctionnelle du membre inférieur droit. Pas d'autre traumatisme. Le patient consulte les urgences le même jour. Un bilan radiologique permet d'écarter une atteinte osseuse. La clinique est en faveur d'une entorse de Chopart, pour laquelle il a eu une immobilisation par attelle jambière postérieure plâtrée. Il a été suivi régulièrement à la policlinique d'orthopédie. Le 22.03.2018, le patient vient pour un nouveau contrôle. L'entorse de Chopart est confirmée, nous ôtons donc l'attelle jambière postérieure pour mettre en place un VACOped court pour 5 semaines. Le patient a été suivi régulièrement à la policlinique. Le patient est revu à 6 semaines post-traumatisme, le 27.04.2018. L'examen clinique montre un bon état cutané, pas de déformation visible, pas de douleurs à la palpation au niveau de la malléole interne et externe, Chopart et Lisfranc indolores. ROM de la cheville bien conservé. Pas de trouble neurovasculaire. Le patient arrive bien à charger son pied, sans douleur. Devant ce tableau clinique, nous décidons de terminer le traitement. Le VACOped est stoppé le 27.04.2018. Le patient ira voir son médecin traitant en cas de nécessité. Le patient bénéficie d'une incapacité de travail à partir du 13.03.2018 à 100 % jusqu'au 29.04.2018. Patient de 21 ans, en bonne santé habituelle, qui s'est présenté hier en raison d'une orchi-épididymite gauche, qui avait bénéficié d'une US testiculaire, d'une antibiothérapie iv en OU de Rocéphine et d'un relais par ciproxine 500 mg 2x/jour débuté le jeudi le 07.06. Il a eu un contrôle biologique et clinique le 09.06 et revient ce jour pour un contrôle clinique en raison d'une asthénie importante avec myalgies généralisées en péjoration apparue le 08.06 et signalées lors du dernier contrôle. Ce jour, il décrit régression totale de la fatigue et la myalgie qu'il avait signalées auparavant. Il décrit aussi une normalisation du transit après des épisodes de selles molles, pas d'état fébrile, ni frisson, pas de nausée ni vomissement, il a repris le travail sans problème, pas de douleur testiculaire résiduelle, pas de symptôme urinaire. Gonocoque et chlamydia négatifs. Culture des urines en cours à 10E4. Test HIV en cours. Patient de 27 ans, en bonne santé habituelle qui a subi, le 01.06.2018 vers 21h30 lors d'un match de foot, un choc frontal (tête contre tête) avec un adversaire. Il s'est réceptionné sur le membre inférieur droit avec mécanisme d'inversion de la cheville droite suspectée et se plaint d'une douleur au niveau du genou droit. Selon les témoins, pas de perte de connaissance. Le patient décrit une amnésie circonstancielle de quelques secondes avant le choc et environ 10 minutes après choc avec des céphalées frontales constantes 5/10 parfois pulsatiles, sans irradiation. Suite à ce choc, il a présenté, à une heure d'intervalle, deux épisodes de vomissements. Notons que le patient fait actuellement le ramadan. A son arrivée aux urgences, il se sent nauséeux, fatigué et légèrement somnolent. Status : Cardiovasculaire : B1-B2 bien frappés sans souffle audible, pas d'œdème des membres inférieurs. Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique sans râle ni sibilance. Digestif : abdomen souple et indolore sans défense ni détente, bruits dans la norme en fréquence et en tonalité. Neurologique : Glasgow à 15/15, patient orienté dans les 3 modes, nerfs crâniens sans latéralisation, force M5 aux 4 membres, sans déficit de sensibilité. Epreuves cérébelleuses dans la norme et un Babinski négatif. Ostéo-articulaire : palpation indolore des vertèbres, du sternum et du gril costal, bonne mobilité de la nuque. Cheville droite : tuméfaction en regard de la malléole externe qui est douloureuse à la palpation, tiroir antérieur sans laxité en varus, pas de douleur à la palpation naviculaire ni à la base du 5ème métacarpien, sans trouble neurovasculaire. Genou droit : pas de douleur à la palpation, pas de signe du glaçon, douleur en interne en stress valgus sans laxité latérale, appareil extenseur compétent, pas de limitation de la mobilité en flexion/extension du genou, Lachman avec arrêt dur, Mc Murray négatif, pas de trouble neurovasculaire.Au laboratoire, les résultats montrent des leucocytes à 19.6 G/l, une CRP à < 5 mg/l, des électrolytes alignés et une fonction rénale avec créatinine à 107 micromol/l et une urée à 6.9 mmol/l. Le bilan radiologique permet d'écarter tout signe de fracture au niveau de la cheville et du genou droits. Sur avis du Dr. X, le patient est hospitalisé dans le service de chirurgie pour une surveillance neurologique toutes les 4 heures et une antalgie où le séjour se passe sans complication. Les examens neurologiques à répétition sont sans particularité et la reprise de l'alimentation orale est bien supportée, sans nausées ni vomissements. Le 03.06.2018, Monsieur Y peut rejoindre son domicile. En cas d'apparition de signes neurologiques suspects, le patient devra impérativement revenir aux urgences dans les plus brefs délais. Patient de 31 ans adressé par le Dr. X en électif pour une résection trans-urétrale de la vessie. Monsieur Y a présenté un premier épisode d'hématurie macroscopique il y a 10 à 11 mois, pour lequel il n'a pas consulté. Il y a 3-4 mois, au vu d'une hématurie récidivante, vous avez pratiqué des examens biologiques et demandé une échographie qui a mis en évidence une tumeur bourgeonnante de la vessie, raison pour laquelle vous avez adressé votre patient au Dr. X. L'intervention se déroule sans complication. En pré-opératoire, le patient a bénéficié d'une dose de Rocéphine 2 g iv, relayée par de la Céfuroxime 500 mg per os - 1 x/jour jusqu'au 24.06.2018. La sonde vésicale est retirée le 23.06.2018, avec bonne reprise des mictions. Au vu d'une évolution favorable, Monsieur Y regagne son domicile le 23.06.2018. Un uro-CT est organisé pour le 26.06.2018 à 11 h à Riaz. Le patient se présentera à votre consultation en fin de semaine prochaine pour discuter notamment des résultats anatomopathologiques et de la suite de la prise en charge. Patient de 32 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisé dans le cadre d'une pancréatite. Pour rappel, le patient présente des douleurs épigastriques irradiant sur le flanc D depuis le 11.06, les douleurs sont apparues progressivement et sont fluctuantes et soulagées par la prise alimentaire. Le patient ne rapporte pas de consommation d'OH, mais signale avoir consommé 2 cafés et 2 Redbull le 10.06. Le laboratoire d'entrée met en évidence une élévation de l'amylase et de la lipase. Nous effectuons une échographie abdominale qui permet d'exclure une étiologie biliaire persistante, le reste du bilan biologique est également dans la norme. Le patient est hospitalisé pour surveillance et prise en charge conservatrice de sa pancréatite. L'évolution est immédiatement favorable avec une disparition des douleurs et l'absence complète de douleurs à la prise alimentaire. L'évolution biologique étant elle aussi favorable, le patient rentre à domicile le 14.06.2018. Nous lui conseillons un contrôle biologique et clinique chez son médecin traitant dans 7-10 jours. Patient de 33 ans de bonne santé habituelle, récemment hospitalisé pour un syndrome de Guillain-Barré en 04/2018, qui consulte les urgences pour une faiblesse et des paresthésies depuis le 12.06.2018. Il décrit des myalgies après la physiothérapie et le jogging à 11.06. Le lendemain, il a travaillé et a remarqué de légers troubles de l'équilibre et a ressenti de la peine lors de gestes manuels fins, notamment en utilisant son portable. Il décrit également des fasciculations et des fourmillements des bras des deux côtés avec deux épisodes de crampes. Pas de dyspnée, ni de constipation. À l'entrée, le patient montre une tétra-parésie M4 à prédominance distale accentuée à droite sans signe clinique pour une atteinte bulbaire. Nos collègues de la neurologie retiennent une suspicion clinique d'une récidive du syndrome Guillain-Barré, raison pour laquelle nous commençons un traitement avec IVIG et prenons en charge le patient dans notre service médical. Le lendemain, nos collègues neurologues peuvent confirmer une démyélinisation compatible avec un syndrome Guillain-Barré lors de l'ENMG. Vu les délais de la récidive, une CIDP débutante reste un diagnostic différentiel. L'évolution est favorable sous traitement avec IVIG et physiothérapie. Le patient rentre en bon état général et il va suivre une réadaptation en ambulatoire. Patient de 38 ans, en bonne santé habituelle, fumeur, menuisier, revient en contrôle après ultrason suite à sa consultation de la veille pour douleurs abdominales, dont les symptômes sont toujours présents (cf. consultation du 03.06.2018). L'ultrason réalisé ce jour (Dr. X) retrouve plusieurs lithiases vésiculaires. Le laboratoire est superposable à celui de la veille et rassurant, sans syndrome inflammatoire ni leucocytose. Après avis du Dr. X, ce dernier décide de prendre directement Monsieur Y en consultation afin d'explorer les différentes possibilités thérapeutiques. En conséquence, le patient quitte le service des urgences pour aller en consultation spécialisée de chirurgie. Patient de 39 ans qui a été victime d'un accident de la voie publique, qui s'est passé dans des conditions peu claires. En effet, le patient décrit une amnésie rétrograde de 45 minutes ayant précédé l'accident. De plus, il dit ne pas avoir de souvenir de pourquoi il se retrouvait à l'endroit de l'accident alors que son trajet habituel pour son retour du travail à la maison était différent. À noter que le patient décrit un premier épisode d'amnésie rétrograde de quelques heures il y a 1.5 - 2 ans, qui aurait été investigué par une IRM cérébrale et EEG à l'époque, sans diagnostic retenu. Le patient consommait des stupéfiants à l'époque, mais n'en consomme pas actuellement. Le patient bénéficie d'un bilan clinique et radiologique de point de vue traumatologique qui est sans particularité. En ce qui concerne l'amnésie décrite, nous effectuons un CT-scan cérébral injecté pour exclure en même temps une lésion traumatique ou ischémique. Le CT-scan est normal. Nous discutons le diagnostic différentiel de cette amnésie rétrograde, ainsi que les investigations à faire avec le Dr. X, et nous concluons à une amnésie rétrograde qui pourrait être d'origine épileptique ou toxique. Un ictus amnésique est peu probable en raison de l'âge jeune du patient, la probabilité très basse d'une récidive d'un ictus et la survenue de l'accident de la voie publique qui ne s'explique pas par un ictus amnésique. Dans ce contexte, nous proposons au médecin traitant d'adresser le patient en consultation neurologique et pour un EEG dans les 10 jours qui suivent. Nous avons informé le patient que la conduite lui est interdite jusqu'à nouvel avis. Patient de 41 ans, connu pour une maladie inflammatoire chronique de l'intestin traitée par Remicade, qui se présente avec une exacerbation des douleurs abdominales de type coup de couteau accompagnées de nausées sans vomissement, et d'une majoration du transit, puis d'un arrêt des selles depuis 48 h. M. Y n'a pas présenté de fièvre ni de frissons. Le patient s'est présenté aux urgences le 4 juin où il a bénéficié d'un laboratoire qui n'a pas mis en évidence de syndrome inflammatoire. En l'absence de signe de gravité, le patient est rentré à domicile avec une antalgie. Les symptômes ont persisté, raison de son retour aux urgences le 5 juin ; il est donc hospitalisé pour antalgie et surveillance. Nous mettons en place un traitement de la phase aiguë par Prednisone et une antalgie par opiacés qui permet un bon contrôle des douleurs. Sur proposition de nos collègues gastro-entérologues et en l'absence de syndrome inflammatoire, nous arrêtons le traitement de Prednisone après 3 jours. L'étiologie des douleurs reste encore inconnue, mais le bilan sera complété en ambulatoire ; une colite à CMV ou une autre infection semble être le diagnostic le plus probable.Tout au long de l'hospitalisation, le patient garde un abdomen souple et rassurant, mais présente un arrêt du transit et une asthénie importante, ce qui prolonge son hospitalisation. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie mise en place et le patient reprend un transit le 09.06.2018, ce qui permet à M. Geiser de quitter notre service le 10.06.2018. Nous prenons contact avec le Dr. X qui verra le patient la semaine suivante en ambulatoire. Patient de 42 ans, en bonne santé habituelle, présentant des varices bilatérales depuis une dizaine d'années, symptomatiques avec des douleurs péjorées le soir et une légère tuméfaction. Il a bénéficié d'un duplex veineux qui confirme l'insuffisance de la crosse de la saphène interne G ainsi qu'une perforante insuffisante à 23 cm du sol. Du côté droit, les 2 crosses sont décrites comme suffisantes. Le système veineux profond est indemne. L'indication à une crossectomie et stripping avec phlébectomie étagée est posée et l'intervention a lieu le 11.06.2018. Un bandage du membre inférieur droit est à garder 6 semaines avec un contrôle chez Dr. X le 25.07.2018. Celle-ci se déroule sans particularité, cependant en post-opératoire, le patient présente une parésie du MSD pour laquelle un ENMG montre une atteinte compatible avec une lésion du plexus brachial. De plus, le patient présente une glycémie à 18 mmol/l et décrit une polyurie, polydipsie et une perte de 15 kg en 1 an. L'hémoglobine glyquée est mesurée à 14%. Il est transféré en médecine pour une suite de prise en charge. Une insulinothérapie est débutée après avis des diabétologues. Il sera suivi en consultation ambulatoire de diabétologie. En raison d'une cachexie marquée et d'une perte de poids de 20 kg en 1 an, nous faisons un CT thoraco-abdominal afin d'exclure une néoplasie. M. Althyab peut rentrer à domicile le 15.06.2018. Patient de 46 ans, 3 gestes 2 pares ayant bénéficié d'une hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie le 12.06.2018, consulte ce jour pour douleur sus-pubienne et FID avec métrorragie de faible abondance depuis le matin. À l'anamnèse, pas de notion de fièvre, pollakiurie avec dysurie depuis 48h associée à une douleur sus-pubienne et FID. Pas de troubles digestifs associés. À l'examen clinique, la patiente est normocarde, normotendue, apyrétique (129/88, 87 bpm, 37.1°C). Abdomen souple, sensible en sus-pubien à la palpation. Pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum : cicatrice calme, pas de déhiscence, leucorrhées liquides, rosées, non malodorantes. KOH négatif, ED sp, frottis bact en cours. Au TV, cicatrice palpable, pas de déhiscence palpée. Cicatrice non douloureuse. Stix : leuco : ++, sang : +++, N-. Urotube en cours. À l'US, ovaire droit avec kyste du corps jaune hémorragique, ovaire gauche sans particularité. Pas de liquide libre. Nous posons le diagnostic de douleur sur kyste du corps jaune hémorragique associée à une cystite simple et laissons rentrer la patiente sous traitement antalgique, fluomizin et monuril. La patiente viendra à son contrôle post-opératoire le 22.06.2018, mais est avertie de reconsulter avant si péjoration clinique. Patient de 47 ans, éthylo-tabagique, connu pour un carcinome du plancher buccal récemment diagnostiqué, qui est hospitalisé dans le cadre d'une pancréatite d'origine probablement alcoolique. Pour rappel, le patient s'est présenté aux urgences avec une douleur épigastrique irradiant surtout en sus-pubien ; le laboratoire a montré une augmentation des transaminases hépatiques ainsi que de la lipase. M. Ratze est hospitalisé pour le traitement conservateur de sa pancréatite. Une échographie abdominale exclut une origine biliaire persistante. L'évolution biologique et clinique est rapidement favorable et la renutrition est bien tolérée. M. Ratze est en cours d'investigation pour un carcinome de la sphère ORL qui sera pris en charge au CHUV. Le patient y a rendez-vous le 19.06.2018 pour discuter de la suite de la prise en charge. Nos collègues de radio-oncologie du HFR sont disponibles pour une radiothérapie adjuvante si celle-ci devait s'avérer nécessaire. Dans le contexte de dénutrition sévère en raison de douleurs ORL à la prise alimentaire et en vue de la future opération oncologique, nous demandons à nos collègues gastro-entérologues de poser une PEG, ce qui est fait le 13.06.2018. La nutrition entérale est commencée le 14.06.2018 et est supervisée par le service de soins à domicile. M. Ratze rentre à domicile le 14.06.2018. Patient de 49 ans connu, qui nous est référé par le service de rhumatologie en raison d'une hépatite. Pour rappel, M. Carbotti est connu pour un tabagisme actif et une consommation d'alcool à risque. Le patient présente depuis décembre 2017 des arthralgies de type inflammatoire aux 2 chevilles ainsi que, depuis 3 mois, de nouvelles tuméfactions douloureuses en regard des MCP II et III des deux mains ainsi que des deux poignets, raison pour laquelle il est référé à la consultation de rhumatologie en mai 2018. L'anamnèse par système révèle une perte pondérale d'environ 8 kg en 5 mois, associée à des nausées matinales avec épisodes de vomissements. M. Carbotti rapporte également deux épisodes d'hématochézie d'environ 2 verres de sang il y a 2 mois, spontanément régressif et sans présence de caillots. Il décrit également une dyspnée et une asthénie en péjoration depuis quelques mois. Lors de la consultation en rhumatologie, le patient présente d'importantes douleurs à l'hypochondre D ainsi qu'une élévation des enzymes hépatiques avec augmentation du TP et une dyslipidémie importante. Nous hospitalisons donc le patient pour surveillance et sevrage alcoolique. Un US abdominal montre une hépatomégalie stéatosique sans signe de complication. Dans le bilan étiologique, nous réalisons un bilan infectieux qui ne met pas en évidence d'infection par hépatite A, B ni C ; la ferritine et la saturation de la transferrine sont élevées, ce qui nous laisse suspecter une hémochromatose. Vu le contexte d'hyperalcoolisme et d'hépatite aiguë, nos collègues gastro-entérologues proposent un arrêt de l'alcool et un nouveau contrôle dans 3 mois avant d'effectuer d'autres analyses pour confirmer ce diagnostic. Concernant le soutien pour le sevrage de la consommation d'alcool, le patient refuse la mise en place d'un suivi au Torry ; nous lui proposons donc d'être suivi dans sa tentative d'arrêt de consommation par son médecin traitant. Dans le bilan initial de l'hépatopathie, nous découvrons une importante dyslipidémie avec une hypertriglycéridémie à 50 mmol/l. Nous mettons en place un traitement transitoire par fibrates et statine, mais les triglycérides se normalisent rapidement, nous faisant suspecter une cause toxique sur consommation d'alcool. Les traitements hypolipémiants sont donc arrêtés. Le cholestérol reste, toutefois, élevé ; nous vous proposons d'évaluer l'indication à la mise en place d'un traitement par statine selon le bilan à effectuer dans 3 mois. Concernant les arthralgies, nos collègues rhumatologues effectuent une ponction articulaire tarsienne D le 06.06.2018. Les résultats pathologiques suivront, le patient sera reconvoqué à leur consultation pour la suite de la prise en charge. Un bilan de la BEG avec perte pondérale et hématochésie est organisé avec une gastroscopie, qui se révèle sans particularité. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour la réalisation d'une coloscopie.Devant la bonne évolution clinique et biologique, nous laissons Mr. Carbotti rentrer à domicile le 8.06.2018; le reste des investigations se fera en ambulatoire. • Patient de 51 ans, connu pour un RGO et un statut après ostéosynthèse par DHS et vis céphalique anti-rotatoire pour fracture du col fémoral Pauwels III à droite en 2014, emmené en ambulance aux urgences le 19.06.2018 suite à un accident de vélo ayant eu lieu à 18h45. Il accompagnait une course d'élèves comme moniteur et roulait derrière le plus lent du groupe. À un moment, ce dernier a freiné brusquement en descente, et le patient a également freiné pour l'éviter, alors qu'il roulait à basse cinétique. Le vélo a décroché en avant, et le patient est passé par-dessus le vélo et s'est réceptionné sur le côté droit, sans TC et sans PC. Il signale quelques fourmillements diffus dans le MID. Status: EVA 6/10. Hanche droite: Position spontanée en rotation externe. Douleurs à la palpation latérale de la hanche, légère douleur à la palpation du pli inguinal. Pas de douleurs à la palpation. Neuro: Sensibilité distale conservée Vasc: Pouls pédieux palpés, temps de recoloration pied droit 1 seconde La radiographie de la hanche et du bassin montre une fracture du col fémoral droit. Nous prenons un avis orthopédique auprès du Dr. X, et effectuons un CT axial du bassin au vu des antécédents orthopédiques du patient. Au vu du risque d'ischémie de la tête fémorale, une opération en urgence est indiquée. Le formulaire de consentement éclairé est signé, et le patient est transféré en ambulance à Fribourg pour opération avec pose de DHS. • Patient de 52 ans connu pour des antécédents de fièvre d'origine indéterminée depuis 1997 déjà (2 épisodes de 4-6 semaines durant lesquels il présente un état fébrile de manière fluctuante 1 sem toutes les 2 sem); aucune étiologie n'a pu être mise en évidence jusqu'à maintenant. Mr. Rossier présente à nouveau un état fébrile entre 39-40° depuis fin mai 2018 accompagné d'une toux avec expectoration jaunâtre pour lequel le patient a bénéficié d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline (6 jours) permettant une diminution de la toux, mais une stagnation de l'état fébrile. Son médecin traitant a donc effectué un bilan élargi avec un scanner thoraco-abdominal mettant en évidence de multiples adénopathies hilaire et médiastinales, des condensations osseuses et pulmonaires et un fois hétérogène. Le patient nous est donc référé pour la poursuite des investigations. Nous effectuons une biopsie des adénopathies hilaires visibles sur le CT fait par le médecin traitant et montrant une captation importante au PET-CT effectuée durant l'hospitalisation. Les résultats de ces biopsies vous parviendront par la suite. Nous pisterons aussi nous-mêmes les résultats; s'ils montrent une néoplasie, nous nous chargerons d'organiser la convocation du patient par nos collègues oncologues, sinon le patient sera revu à la consultation de pneumologie. Si les résultats devaient ne pas être concluants, nous vous proposons d'organiser une nouvelle biopsie au niveau de l'adénopathie sous-clavière G qui semble accessible et présentait aussi un profil hypermétabolique au PET-CT. Pour le reste des investigations, le patient sera convoqué pour une coloscopie en ambulatoire par la suite. Mr. Rossier rentre à domicile le 16.06.2018 après une nuit de surveillance post bronchoscopie. Il est en bon état général malgré les épisodes fébriles persistants; nous ne mettons pas en place de traitement par corticoïde pour l'instant dans le cas où une nouvelle biopsie serait nécessaire. • Patient de 55 ans, polytoxicomane (consommation quotidienne de cocaïne injectée et cannabis) qui est adressé par la permanence de l'HFR Meyriez après injection de cocaïne à la face dorsale de la main G le 10.06.2018. À noter également une chute avec réception sur la main et le genou G ainsi que torsion de la cheville G le 06.06.2018. Actuellement, tuméfaction du dos de la main G, péjoration des douleurs et important érythème. Difficultés également de charger son MIG en raison de douleurs du genou, décharge avec béquille. L'indication à une prise en charge au bloc opératoire est posée. L'intervention se déroule le 10.06.2018, sans complications. Antibiothérapie par Tazobac 4,5 g i.v. 3x/j dès le 10.06.2018. Les suites postopératoires sont marquées par la persistance d'une tuméfaction de la main G avec écoulement séreux et défect cutané face dorsale d'environ 8x2 cm avec les tendons extenseurs des 2ème et 3ème rayons visibles. L'indication à une reprise chirurgicale avec débridement et couverture par greffe de Thiersch est posée dans un 2ème temps. La microbiologie peropératoire du 10.06.2018 revient positive pour un S. dysgalactiae, elle sera négative à J2. Les hémocultures reviennent négatives à J5. Le 12.06.2018, le patient refuse de rester à l'hôpital et rentre à domicile contre avis médical après signature de la décharge de responsabilité. L'antibiothérapie par Tazobac est stoppée le 12.06.2018. • Patient de 55 ans qui consulte les urgences suite à une perte de connaissance ayant duré une minute, sans prodrome, alors qu'il conduisait son véhicule avec un passager comme témoin. Il aurait gardé les yeux ouverts, sans perte de tonus mais au contraire avec une forme de rigidité. Il s'ensuit un accident qui rend difficile l'interprétation de la crise. Le patient décrit une amnésie circonstancielle, mais pas d'autre plainte, notamment pas de dyspnée ni de douleur thoracique. À son arrivée aux urgences, il est asymptomatique. À l'anamnèse, Mr. Currat avoue une consommation d'alcool excessive avec un abus la veille au soir et un manque de sommeil. Le bilan traumatique suite à l'accident est normal, de même que le status neurologique. Le laboratoire montre une leucocytose à 15.2 G/l et une créatinine à 114 umol/l. La radiographie du thorax revient dans la norme. L'ECG montre un rythme sinusal avec des extrasystoles ventriculaires. Le patient est hospitalisé pour surveillance à l'ELM. Il ne présente pas de nouvel épisode de perte de connaissance, ni d'arythmie. L'origine de la perte de connaissance reste indéterminée. En effet, il existe des arguments évocateurs d'une manifestation épileptique de type absence (yeux ouverts, sevrage d'alcool, manque de sommeil, tonus augmenté) mais aussi d'une syncope (absence de prodrome, pas de mouvements anormaux, de morsure de langue ou de perte d'urine). Nous convenons donc dans ce contexte de demander un EEG qui sera réalisé le 05.06.2018 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal, suivi d'une évaluation neurologique. Nous restons à disposition pour réaliser des investigations cardiaques supplémentaires si le neurologue estime que la cause est le plus probablement d'origine cardiaque. Nous pensons avant tout à une absence et nous privilégions les investigations neurologiques. Le patient est informé qu'il est privé de toute conduite de véhicule à moteur jusqu'aux résultats de l'examen neurologique. Mr. Currat regagne son domicile le 04.06.2018. • Patient de 60 ans qui appelle les ambulanciers le 26.05.2018 vers midi en raison de douleurs extrêmement violentes localisées sur le flanc gauche ainsi que le thorax postérieur gauche après une chute mécanique ayant eu lieu le 25.05.2018 à 14h00. La chute est arrivée dans la forêt où il était en train de chercher des champignons. La jambe gauche du patient a lâché (ce qui lui arrive de temps à autre, dans un contexte après PTG à gauche) et l'a fait chuter. Pas de trauma crânien, pas de perte de conscience. Avant la chute, le patient n'a pas eu de palpitations, pas de prodrome, ni de lipothymie. Les douleurs se sont péjorées durant la nuit, jusqu'à devenir insupportables ce jour. Par les ambulanciers, on apprend l'état précaire du domicile : nombreux mégots de cigarettes répartis sur le sol, canettes de bières vides dans l'ensemble de l'appartement, plats brûlés déposés sur la terrasse et aliments pourris au salon.Monsieur Mauron habite seul, a une compagne, pas d'enfants. Le patient boit 2 à 3 bières par jour. Il avait effectué un premier sevrage OH, avec succès et a rechuté il y a deux ans. Le patient souhaite un nouveau sevrage. Il rejoint notre service pour une adaptation de l'antalgie et un sevrage d'alcool. Sous la thérapie antalgique, le patient arrive bien à se mobiliser et respirer sans douleurs. Sous Seresta, le patient ne montre pas de signes de sevrage. Un test de déglutition montre un risque de fausse route, raison pour laquelle nos collègues de la nutrition expliquent à Monsieur Mauron comment il peut épaissir les liquides. Concernant ses douleurs au genou gauche, il est vu par nos collègues de l'orthopédie qui ne notent aucune fracture ni laxité de la prothèse. Ils retiennent une Patella baja. Monsieur Mauron bénéficie de physiothérapie pour améliorer la situation musculo-articulaire. Du point de vue social, nous avons pris contact avec son amie, sa sœur ainsi que son médecin traitant. Aucune des personnes contactées ne nous avertit d'une situation précaire à domicile. Monsieur Mauron nous explique que la situation indiquée par les ambulanciers était due à une fête organisée chez lui. Monsieur Mauron refuse toute aide à domicile ainsi qu'un suivi diététique et psychologique. Vu la bonne évolution des douleurs et du sevrage somatique, Monsieur Mauron rentre à domicile le 02.06.2018. • Patient de 63 ans, pharmacien, ayant bénéficié d'une cystoscopie le 05.06.2018 chez le Dr. X en raison d'une PSA élevée et d'une hypertrophie prostatique, avec biopsies prélevées, qui se présente aux urgences le 06.06.2018 pour des nausées et plusieurs épisodes de frissons depuis 20h, avec également des brûlures urinaires depuis la veille, sans hématurie. Ses dernières selles datent du jour même, d'aspect normal. Il ne présente d'autres symptômes. Status : GCS 15/15, spO2 94% AA, TA 116/67, FC 107 bpm, T 39.2°C, FR 32/minute. Patient anictérique, acyanotique, pas de tirage intercostal ni sus-claviculaire. État général conservé. Cardiovasculaire : B1-B2 bien frappés, pas de souffle cardiaque ni carotidien, pouls régulier, pas d'œdème des membres inférieurs, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Pulmonaire : murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté. Digestif : bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité, abdomen souple et indolore à la palpation sans défense ni détente, Murphy négatif. Urologique : loges rénales souples et indolores. Aux urgences, Monsieur Nyffeler bénéficie d'un remplissage avec du NaCl 0.9% 1 L et un prélèvement de 2 paires d'hémocultures est réalisé, à la suite de quoi une antibiothérapie de Rocéphine 2 g iv est débutée. Le bilan biologique révèle un syndrome inflammatoire avec une CRP à 17 mg/l sans leucocytose. Le sédiment urinaire montre des leucocytes en purée, une hématurie avec des érythrocytes 21-40/champ et une flore bactérienne positive. Nous prenons un avis chirurgical auprès du Dr. X qui préconise une hospitalisation dans le service de chirurgie pour une antibiothérapie iv. Durant son séjour, Monsieur Nyffeler n'est pas algique et afébrile. Nous prévenons le Dr. X de la situation, qui nous conseille de garder le patient sous antibiothérapie de Rocéphine 2 g iv. Après 48 h passées dans notre service de chirurgie, Monsieur Nyffeler, étant pyrétique et ne présentant plus de syndrome urinaire, rentre à son domicile le 08.06.2018. L'antibiothérapie de céfuroxime 500 mg 2x/jour est à poursuivre sur une durée totale de 3 semaines. Le patient sera recontacté par le Dr. X pour la suite de la prise en charge. • Patient de 65 ans nous est adressé par le Dr. X pour une coronarographie élective dans un contexte de nécrose sous-endocardique postéro-basale mise en évidence à l'IRM de stress du 14.05.2018. La coronarographie du 29.06.2018 démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de la CD proximale. Le patient bénéficie d'une angioplastie et implantation de 1 stent actif. La maladie coronarienne n'explique pas à elle seule l'atteinte de la fonction systolique (FEVG 40%). Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre à domicile le 30.06.2018 avec un traitement d'Aspirine cardio à vie et Plavix pour 3 à 6 mois (à revoir selon tolérance au traitement). • Patient de 67 ans, qui nous est adressé le 01.03.2017 pour suspicion d'AVC cérébelleux ischémique. Il consulte initialement en raison de vertiges rotatoires d'apparition brutale depuis le 01.03.2017 au matin avec troubles de la marche associés alors qu'il se met en position debout. À noter que Monsieur se plaint de sudation et de nausées depuis 3 mois et qu'il est connu pour des troubles de la marche en raison de paraparésie spastique de longue date. Les vertiges et troubles de la marche sont attribués à une polyneuropathie des membres inférieurs et à des troubles visuels préexistants. Après un bilan complet et avis des neurologues, une origine cérébrale est exclue. Nous avons organisé, en collaboration avec l'équipe d'ORL, un bilan de vertige en ambulatoire (rendez-vous pris). Nous vous laissons le soin de pister les résultats et d'envisager un traitement en fonction. Les troubles de la marche résultants de la paraparésie connue de longue date n'ont, semble-t-il, jamais été investigués. Une IRM de la colonne dorsolombaire est à prévoir à la recherche d'une éventuelle pathologie médullaire méconnue. Monsieur Bersier décrit des nausées et des sudations depuis trois mois dont l'étiologie est peu claire. Nous vous laissons le soin d'organiser un suivi en ambulatoire. • Patient de 68 ans connu pour une cardiopathie hypertensive, un diabète de type II et une insuffisance rénale chronique pré-terminale qui consulte aux urgences en raison d'une dyspnée d'apparition progressive sur une semaine avec des épisodes de dyspnée paroxystique nocturne et des œdèmes des membres inférieurs. Le patient présente une décompensation cardiaque sur une hypertension artérielle mal contrôlée. Nous mettons le patient au bénéfice d'un traitement de diurétique par Lasix en iv avec un relais per os par Torasémide le 19.06.2018 au vu de la bonne évolution clinique. L'ETT effectuée durant ce séjour montre une FEVG conservée, mais une cardiopathie hypertensive. À noter qu'une coronaropathie sous-jacente n'est pas exclue raison pour laquelle nous organisons une coronarographie le 05.07.2018. Sur le plan néphrologique, le patient présente une insuffisance rénale chronique et a bénéficié récemment de la confection d'une fistule artério-veineuse. Il bénéficie d'une première dialyse le 20.06.2018 avec adaptation de son traitement. Le patient sera suivi par les néphrologues à travers ses dialyses (lundi-mercredi-vendredi). Mr. Y présente des hyperglycémies, raison pour laquelle nous majorons son traitement d'Humalog Mix à 20 U/jour, le patient sera revu en ambulatoire par nos collègues diabétologues le 29.06.2018. Au vu d'une bonne amélioration clinique et biologique, le patient rentre à son domicile le 26.06.2018. • Patient de 70 ans nous est hospitalisé en électif pour une coronarographie dans le contexte d'un test d'effort électriquement positif, mais cliniquement négatif. La coronarographie montre une sténose de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et distale. Le patient bénéficie d'une mise en place de deux stents actifs, les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Nous retenons également l'indication pour un traitement de la coronaire droite, le patient sera convoqué. Le patient rentre le 05.06.2018 à domicile. • Patient de 72 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique de stade V, dialysé 3x/semaine, est hospitalisé depuis le service de dialyse pour apparition d'une plaie et d'une nécrose du D5 du pied droit suite à un impact 3 jours auparavant, associé à un érythème du dos du pied et un état fébrile à 38,1°C, ainsi que des frissons solennels. Sur le plan biologique, il présente un syndrome inflammatoire avec une CRP à 162 g/l sans leucocytose ni déviation gauche. Nous mettons le patient au bénéfice de Céfépime et Vancomycine et effectuons un frottis de la plaie qui revient positif pour des germes de la flore cutanée. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Vancomycine uniquement à raison de 3x/semaine post-dialyse. Une radiographie du pied ne rapporte pas de fracture. Une consultation angiologique met en évidence une artériopathie stade IV pour laquelle une artériographie est effectuée, permettant une revascularisation de l'axe tibial antérieur et de l'artère pédieuse avec un échec de revascularisation de la tibiale postérieure. Une nouvelle tentative pourra cependant être effectuée en cas de revascularisation insuffisante. Nos collègues orthopédistes ne posent pas d'indication chirurgicale pour le moment. Finalement, le patient rentre à son domicile le 15.06.2018 avec poursuite des dialyses en néphrologie. • Patient de 73 ans, connu pour un carcinome prostatique et un carcinome du rectum opéré, ainsi que pour une épilepsie traitée, qui consulte les urgences en raison d'un état fébrile depuis le 25.05.2018 au soir, avec frissons, accompagné par un épisode d'incontinence urinaire le 27.05.2018, symptôme non connu jusqu'à présent. Aux urgences, le patient se présente en bon état général mais avec une température à 40,1°. L'examen clinique est sinon sans particularité. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 175 mg/l et une leucocytose à 15,2 G/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Au sédiment urinaire, on retrouve des leucocytes, érythrocytes et une flore bactérienne, raison pour laquelle nous débutons un traitement de Rocéphine. Les hémocultures restent négatives à J5. L'urotube, effectué le 28.05 après la première dose d'antibiotique, est également négatif. Pendant l'hospitalisation, Mr. Y se plaint de difficultés à uriner et a l'impression de ne pas pouvoir vider la vessie complètement. De ce fait, nous demandons un ultrason des voies urinaires qui montre une rétention post-mictionnelle de 90 mL, c'est pourquoi nous introduisons du Pradif avec amélioration des symptômes. Le patient présente aussi des épisodes d'hypotension et bradycardie, toujours asymptomatique, raison pour laquelle nous réalisons une ETT qui met en évidence une FEVG à 46%. Selon l'avis cardiologique, cette insuffisance cardiaque pourrait être expliquée dans le contexte infectieux aigu. Nous introduisons donc un IEC à petite dose avec bonne réponse. Une ETT de contrôle sera effectuée en ambulatoire le 06.06.2018. Au vu de la bonne évolution clinique du patient, nous substituons la Rocéphine i.v. par Ciproxine orale le 01.06 et Mr. Y peut rentrer à domicile le lendemain, le 02.06.2018. • Patient de 73 ans qui nous est adressé pour réhabilitation gériatrique après un séjour en chirurgie orthopédique HFR Riaz du 14.05.2018 au 08.06.2018, où il avait bénéficié d'une opération pour amputation transmétatarsienne du 2ème métatarse de l'orteil du pied droit contaminé à E. Coli résistant à la pénicilline et Staphylocoque doré sensible à l'Augmentin le 30.05.2018, en raison d'une ostéomyélite. Monsieur Barbey est connu pour un carcinome lobaire droit, suivi par Dr. X, cheffe de clinique d'oncologie HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Au niveau social, Monsieur Barbey vit seul dans un immeuble avec ascenseur. À l'entrée dans notre service, le status pulmonaire signale une hypoventilation diffuse avec des râles à gauche. À l'examen clinique, le status cardiovasculaire relève des B1 et B2 bien frappées, sans souffle ni œdème des membres inférieurs, et des pouls périphériques palpés. Sur le plan neurologique, le patient est orienté dans le temps et l'espace, sa force et sa sensibilité sont conservées aux 4 membres. Au niveau cutané, nous retrouvons la plaie du membre inférieur droit n'évoluant pas bien en raison du diabète insulino-dépendant et des rougeurs aux plis inguinaux ainsi qu'un gonflement des testicules. Le laboratoire objective une CRP à 26 mmol/l sans leucocytose et une insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale sur produits de contraste (PET-Scan le 07.06.2018) ainsi qu'une créatinine à 168 mmol/l et une clairance à 48 ml/min selon MDRD. Concernant le carcinome pulmonaire, suivi par Dr. X, le patient n'avait pas bien toléré sa première dose de chimiothérapie. Une biopsie pulmonaire est organisée pour le 11.06.2018 (reprise de Xarelto après la biopsie), suite au PET SCAN qui a montré 3 lésions nodulaires nouvelles au poumon gauche. Au début du séjour en réhabilitation gériatrique, Monsieur Barbey se plaint d'une toux productive, sans autre symptôme. Il porte une voie centrale, une sonde vésicale et une sonde nasogastrique en raison d'une dénutrition sévère. L'alimentation est bien tolérée. L'analyse de la biopsie de l'orteil révèle une colonisation par E. Coli, Staph Aureus et Staph Haemolyticus résistant à la pénicilline. Après son opération, Monsieur Barbey avait débuté une antibiothérapie par Co-Amoxicilline le 30.05.2018, 2,2 g 4x/j pour 6 semaines. Un avis est pris auprès de Dr. X, infectiologue, qui propose l'arrêt du Co-Amoxi, mais introduit la Céfépime pour traiter la pneumonie. En outre, nous initions une hydratation intraveineuse pour l'insuffisance rénale aiguë et de l'héparine de bas poids moléculaire à titre prophylactique. Cependant, vu l'état instable du patient, ce dernier est pris en charge en réhabilitation gériatrique aiguë à partir du 09.06.2018. • Patient de 74 ans, cardiopathe, qui est amené aux urgences en raison d'une dyspnée d'apparition aiguë. Le patient ne rapporte pas d'autre plainte à ce moment-là. Le reste de l'anamnèse révèle une prise progressive de 4-5 kg en 4 mois et un excès de consommation de viande séchée très salée cette semaine. L'examen clinique et la radiographie du thorax confirment une importante surcharge hydrosodée. Le patient est donc hospitalisé pour une prise en charge de sa décompensation cardiaque gauche. L'évolution est rapidement favorable. Nous proposons à Mr. Y un suivi par l'équipe de CINACARD pour tenter d'éviter une nouvelle décompensation, ce qu'il accepte. Nous proposons une majoration du traitement de Torasemid habituel, ceci sera à réévaluer en ambulatoire. Mr. Y présente des brûlures mictionnelles au retrait de la sonde urinaire. En l'absence de signe et symptôme franc d'infection urinaire, nous n'introduisons pas d'antibiothérapie. Mr. Y rentre à domicile le 22.06.2018. Il prendra contact avec son médecin traitant en début de semaine pour un contrôle biologique et clinique. • Patient de 75 ans, qui se présente aux urgences le 06.06.2018 pour une baisse de l'état général avec inapétence et asthénie depuis environ une semaine, accompagnée d'épisodes de diarrhées liquides 4x/j et des pics fébriles à 38,8°. Monsieur était précédemment allé voir son médecin traitant qui lui avait prescrit de la Co-amoxicilline, sans effet favorable. Au laboratoire effectué à l'entrée, nous mettons en évidence une bicytopénie (leucopénie et thrombocytopénie), raison pour laquelle nous décidons d'hospitaliser Monsieur dans le service de médecine interne le même jour.Nous réalisons un CT thoraco-abdominal le 07.06.2018, sans mise en évidence de masse suspecte tumorale. Nous notons un agrandissement de la prostate, peu analysable, en raison d'artefacts dus à la prothèse de hanche droite. Le résultat du test de PSA effectué le 11.06.2018 étant à 70.3 ng/ml, nous proposons une surveillance à ce niveau-là. Au vu de la clinique peu claire et de la présence d'une asthénie marquée, nous décidons, sous avis hématologique, de garder le patient en observation pendant quelques jours. Démontrant des valeurs laboratoires et une clinique se normalisant, nous concluons à une origine para-infectieuse de la bicytopénie et décidons de ne pas entreprendre de ponction de moelle osseuse. Un contrôle de la formule sanguine est à prévoir dans les prochaines semaines avec le médecin traitant. Par ailleurs, le patient présente des pics hypertensifs avec symptomatologie bénigne, malgré son traitement au long cours par Blopress, raison pour laquelle nous introduisons un traitement par Amlodipine le 07.06.2018, à réévaluer par le médecin traitant selon les valeurs tensionnelles futures. Monsieur Page évolue favorablement et rentre à domicile le 11.06.2018. Patient de 76 ans, connu pour une maladie de Crohn late-onset qui nous est adressé pour un reconditionnement après décompensation cardiaque pour laquelle le patient a été hospitalisé en médecine HFR Riaz du 08.05.2018 au 22.05.2018. Pour rappel, Monsieur Laufer avait été opéré d'un volvulus de l'intestin grêle sur adhérences le 23.12.2017 avec résection segmentaire grêle et splitstomie, puis avait présenté une dermatite irritative péri-stomiale le 26.01.2018. Une fermeture de splitstomie avec anastomose iléo-iléale latéro-latérale a donc été effectuée le 04.03.2018 ainsi qu'une cholécystectomie pour une lithiase vésiculaire. Sur le plan social, Monsieur Laufer vit seul dans un appartement avec ascenseur et marche sans moyen auxiliaire de manière autonome. Il a un fils qui vit à Seattle et une fille à Yverdon, travaillant à l'HFR. Le patient conduit toujours. Le patient a une amie avec laquelle il ne vit cependant pas. Avant d'être hospitalisé, le patient était complètement indépendant dans toutes les activités de la vie quotidienne. À l'entrée et à l'anamnèse par système, Monsieur Laufer n'a pas de plainte particulière, hormis des troubles de la marche et de l'équilibre. À son arrivée, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. À l'examen clinique, le patient présente des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux, sans dyspnée associée. Notons la présence d'une stomie à gauche et d'une ceinture abdominale à droite. Sur le plan cutané, signalons une plaie de greffe au pied gauche (réalisée le 21.05.2018) et un pansement au pied droit. Le bilan biologique du 24.05.2018 objective une anémie normocytaire normochrome avec hémoglobine basse à 86g/l, justifiant la transfusion d'un culot érythrocytaire avec prescription de Lasix 20mg intraveineux en ordre unique afin d'éviter une surcharge hydrique. Au décours de l'hospitalisation, le patient profite d'un suivi par la stomatothérapeute pour sa plaie au pied gauche. Devant une rétention hydrique persistante, nous ajoutons de la Métolazone 5mg 1/2 comprimé par jour à partir du 29.05.2018, avec effet favorable, et à poursuivre jusqu'au 07.06.2018, puis à évaluer l'indication de poursuivre ce traitement médicamenteux par le médecin traitant. Monsieur Laufer présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle et dont les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Monsieur Laufer effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seul est de 100 mètres. Le patient est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 120/126 par rapport à 92/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 20.37 secondes. Le bilan nutritionnel fait en avril 2018 montre une malnutrition protéino-énergétique grave sur malabsorption et peur de manger, démontrée par une perte pondérale de 26% en 3 mois, des selles abondantes en stomie et un NRS à 6/7. Monsieur Laufer bénéficie d'un enrichissement de ses repas ainsi qu'une révision des conseils concernant le choix alimentaire afin d'obtenir un taux énergétique et protéinique optimal. Le patient présente une amélioration de son appétit à 10/10. Pour la suite, Monsieur Laufer optera pour des repas livrés à domicile depuis le home de Billens. Suite à une bonne évolution clinique, Monsieur Laufer quitte notre service le 05.06.2018. Dès sa sortie, il bénéficiera du passage des soins à domicile pour réfection des pansements aux membres inférieurs. En outre, au vu de la pathologie récente de décompensation cardiaque globale, un contrôle du poids 3x/semaine sera poursuivi par les infirmiers des soins à domicile. Dans le cas d'une augmentation du poids habituel, une adaptation du traitement diurétique devrait être évaluée par vos soins. Patient de 77 ans, connu pour démence à corps de Lewy et parkinsonisme, qui nous est adressé pour constipation chronique sur dysautonomie parkinsonienne avec actuellement absence de selles et douleurs abdominales depuis 10 jours. Le CT effectué aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 11.06.2018 ne montrait pas d'iléus, mais un fécalome. Un grand lavement a donc été effectué aux urgences de Fribourg avec bonne évacuation de selles. Selon la fille du patient, la femme de Monsieur Gremaud s'épuise. La famille a déjà essayé d'aborder le sujet du placement, mais l'épouse refuse catégoriquement. Signalons que le patient souffre de coprostase chronique, pour laquelle le CMS a déjà effectué des lavements il y a 1 semaine avec évolution favorable, mais pour cette fois, le CMS n'avait pas voulu relancer des lavements. À l'entrée dans notre service, Monsieur Gremaud n'a aucune plainte. L'anamnèse est impossible avec lui. Signalons que le patient est ralenti, désorienté et présente un phénomène de roue dentée. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le laboratoire objective un déficit vitaminique en D3 et folates, que nous substituons par voie orale. Monsieur Gremaud présente en outre un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 20/30 le 24.04.2018. Durant son séjour, Monsieur Gremaud effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seul est de 250 mètres. Il n'est pas autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 42/126 par rapport à 51/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 4/7, escaliers 3/7). Le TUG est non testé. Son risque de chute est estimé élevé. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée montre une malnutrition protéino-énergétique légère dans un contexte d'augmentation de ses besoins par rapport à sa maladie de Parkinson. Nous débutons donc une adaptation de son alimentation, en fonction de ses goûts. Au vu des limitations fonctionnelles du patient, nous proposons à nouveau un placement à son épouse. Un essai d'un mois fut un échec selon elle, et suite à une discussion avec l'infirmière de liaison, l'épouse reprend le patient à domicile le 20.06.2018, avec des soins à domicile maximisés. Patient de 77 ans, connu pour hypertension artérielle traitée et diabète non-insulinodépendant, qui consulte pour vertiges et perte de force des membres inférieurs à partir de 13h30 le 10.06.2018, sans facteur déclencheur, sans perte de connaissance, sans paresthésies, sans céphalées, hypertendu et ayant pris de l'Adalat 30mg au domicile. Monsieur Ropraz n'a pas de troubles de la parole ni sensitifs, pas d'asymétrie faciale ou de dysphagie.Le status fait à l'entrée constate, au niveau neurologique, des pupilles isochores et isoréactives, sans nystagmus, sans dysmétrie, sans asymétrie faciale, des champs visuels préservés, sans perte de force ou de sensibilité aux 4 membres, et ni dysdiadococinésie. Sur le plan cardiovasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés, sans souffle ; il n'y a pas d'oedème aux membres inférieurs ni de signe d'hypoperfusion. Dans la sphère pulmonaire, les murmures vésiculaires sont symétriques, sans bruit surajouté. Au niveau abdominal, les bruits sont normaux, l'abdomen est indolore, sans défense ni détente à la palpation, et sans organomégalie. Les loges rénales sont souples et indolores. A l'admission aux urgences, le patient développe une crise hypertensive nécessitant deux push d'Isoket et Adalat 20mg. L'ECG est normal. Nous effectuons un laboratoire qui montre une hyponatrémie à 132mmol/l. Le sédiment urinaire revient dans la norme. Monsieur Ropraz présente également une douleur basithoracique antérieure droite, non respiro-dépendante, non reproductible à la palpation, alors que l'ECG revient superposable aux examens préalables. Nous administrons 75mg d'Ecofenac et réalisons une radiographie du thorax qui s'avère dans la norme. Vu la persistance de la douleur, nous réalisons des troponines qui sont stables à 10G/l. Après la prise d'Isoket et d'Adalat, le patient présente des troubles de la marche probablement dus à un orthostatisme, et ne se sent pas capable de rentrer à domicile. Sa tension artérielle est à 189/99mmHg, ses pulsations à 58 battements par minute, sa fréquence respiratoire à 21/minute et sa saturation à l'oxygène à 98%. Au niveau social, Monsieur Ropraz vit avec son épouse. Il se mobilise seul et ne présente pas de trouble du sommeil, pas de perte d'appétit ni de brûlure urinaire. Le patient marche avec une canne depuis deux jours. Nous effectuons un test de Schellong le 12.06.2018 sans bas de contention, qui est négatif. Durant l'hospitalisation, des troubles de la marche et de l'équilibre sont objectivés. Le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation et d'exercices d'équilibre. A la sortie, le périmètre de marche seul est de 130 mètres. Il est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 10.6 secondes. Monsieur Ropraz quitte notre service à sa demande le 13.06.2018. Il discutera d'une éventuelle infirmière à domicile à votre consultation. Patient de 77 ans, connu pour un diabète de type 2 et une hypertension, qui nous est envoyé par son médecin traitant pour une sténose critique de l'artère vertébrale gauche et une hypoplasie de l'artère vertébrale droite retrouvée sur l'IRM du 20.06.2018. Le patient rapporte des épisodes de vertiges avec vision floue au lever depuis 1-2 mois sans péjoration aiguë ; il signale 1 épisode de perte de force dans les 2 jambes ayant motivé une récente hospitalisation à Riaz du 10 au 13 juin 2018. Sur avis de nos collègues neurologues, Mr. Ropraz est hospitalisé pour surveillance neurologique et poursuite des investigations par doppler des vaisseaux pré-cérébraux. L'examen confirme une maladie sténo-occlusive ne nécessitant pour l'instant pas une prise en charge interventionnelle. Nous instaurons un traitement préventif par double anti-agrégation et Atorvastatine haute dose ; le contrôle tensionnel est à poursuivre aux cibles habituelles. Dans le contexte de symptômes neurologiques, nous effectuons un bilan neuropsychologique qui montre des troubles attentionnels contre-indiquant la conduite, ce que nous transmettons au patient et à son épouse. Le bilan complet vous parviendra par la suite. Le patient sera revu par nos collègues neuropsychologues dans 6 semaines pour une réévaluation. Le patient reste en surveillance dans notre hôpital sans manifestation neurologique, il rentre donc à domicile le 26.06.2018. Patient de 77 ans connu pour une cardiopathie rythmique, valvulaire et ischémique, qui est hospitalisé pour la pose d'un pacemaker de resynchronisation. Le patient rapporte d'importants oedèmes des membres inférieurs l'obligeant à prendre régulièrement 10 mg de Torem au lieu des 5 mg prescrits. Le patient ne rapporte pas d'autre plainte. Au vu de la prise de poids du patient depuis sa dernière hospitalisation et des oedèmes persistants, nous majorons le traitement de Torem à 10 mg/j, nous vous laissons le soin d'en moduler la posologie en ambulatoire selon l'évolution. La pose de pacemaker se déroule sans complication, Mr. Girard rentre à domicile le lendemain matin. Il sera revu par le Dr. X pour un contrôle du pacemaker le 10.07.2018. Il rendra à votre consultation dans 10 jours pour contrôle du pansement et réglage du Sintrom. Patient de 78 ans, connu pour une épilepsie sans nouvelle crise depuis 2001 et avec suivi annuel chez le Dr. X, qui est amené en ambulance au service des urgences suite à un malaise avec cri et tremblements rapporté par sa compagne. La crise aurait duré environ 5 minutes, le patient serait ensuite resté inconscient pendant environ 10 minutes. Au service des urgences, le patient présente une désorientation temporelle, mais ne rapporte aucune autre plainte si ce n'est des efforts de vomissement toutes les 2 heures dans la journée avant la crise. Le reste du status est sans particularité ; un CT cérébral est réalisé qui se révèle sans particularité. Sur le plan neurologique, le patient est peu clair quant à sa prise médicamenteuse, mais il ne prendrait que la moitié de son traitement de Timonil. Sur avis du Dr. X, neurologue traitant, nous réintroduisons le traitement de Timonil à dose habituelle. Un EEG est effectué le 11.06.2018 qui se révèle sans particularité. Nous retenons toutefois le diagnostic d'une probable crise d'épilepsie sur mauvaise compliance médicamenteuse dans un contexte OH. Dans ce contexte, nous avertissons Mr. Defferrard qu'il ne pourra pas conduire de véhicule avant le prochain rendez-vous de contrôle chez le Dr. X. Une cause cardiaque avec un malaise convulsivant n'est cependant pas exclue ; nous réalisons un ECG et un ETT qui révèlent de discrètes anomalies. Une coronarographie est donc programmée pour le 21.06.2018. (cf. ETT) Durant son hospitalisation, le patient demeure hypertendu et nécessite l'introduction de traitement de fond par Amlodipine et Lisinopril. Nous vous laissons le soin d'en réévaluer les posologies en ambulatoire. Monsieur Defferrard est relativement peu collaborant. Il accepte pourtant d'être suivi par le Dr. X sur le plan neurologique et pour le renouvellement de son permis, et par le Dr. X à Romont pour sa tension et le suivi des investigations cardiaques. Monsieur Defferrard rentre à domicile le 12.06.2018. Patient de 78 ans est hospitalisé en électif pour une coronarographie le 05.06.2018 dans le contexte d'une fraction d'éjection du ventricule gauche à 20% chez un patient connu pour une cardiopathie ischémique. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une sténose de l'artère coronaire droite. Le patient bénéficie d'une mise en place d'un stent actif, les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Lors de la coronarographie, nous objectivons une tension systolique élevée ainsi qu'une tension télé-diastolique élevée, nous adaptons alors son traitement antihypertenseur. Nous vous proposons un contrôle biologique dans une semaine à votre consultation.Le patient rentre le 06.06.2018 à domicile. • Patient de 79 ans, connu pour une hyperplasie de la prostate et les comorbidités suscitées, qui est admis dans le service de chirurgie pour une RTUP en électif, réalisée par le Dr. X le 06.06.2018. Notons que le patient a présenté, en date du 05.04.2018, une prostatite pour laquelle il a été hospitalisé en médecine de l'HFR Riaz du 05.04.2018 au 10.04.2018 et durant laquelle il a été mis sous antibiothérapie de Rocéphine puis Ciprofloxacine et Amoxicilline avec pose d'une sonde vésicale à demeure. Il est également connu pour des TVP à répétition, sous anticoagulation par Sintrom. Les suites opératoires sont simples, la sonde vésicale permet des rinçages continus puis les urines reviennent rapidement claires; cette dernière est retirée le 11.06.2018 et Monsieur X reprend les mictions de manière spontanée avec un volume résiduel faible. Le 11.06.2018, le patient peut regagner son domicile avec Clexane 40 mg 2x/jour à prendre encore pendant deux semaines, qui sera à réévaluer par le Dr. X. • Patient de 79 ans connu pour une maladie du sinus avec implantation d'un pacemaker en 2001 et une fibrillation atriale paroxystique anticoagulée avec Sintrom. Envoyé par le Dr. X (cardiologue traitant) pour changement de boîtier et sonde. L'intervention se déroule le 07.06.2018, finalement uniquement le boîtier a été changé. Le patient quitte notre établissement le jour même de l'intervention en bonnes conditions cliniques. • Patient de 81 ans, connu pour une cardiopathie rythmique, hypertensive et valvulaire, est amenée aux urgences par les ambulanciers pour état fébrile à 40°C à domicile avec asthénie et inappétence. Le patient a eu une fatigue et faiblesse depuis la veille et la fille du patient a remarqué un état fébrile à domicile et elle a averti les ambulanciers. Vu l'état fébrile, des hémocultures sont prises en urgences qui montrent S. agalactiae dans 4/4 bouteilles. Durant la nuit, en absence d'antibiogramme, une première dose de Vancomycine est donnée. Vu l'absence de végétations dans l'ETT et d'un syndrome inflammatoire, nous commençons un traitement avec Rocéphine sur avis de nos collègues infectiologues pour une durée totale de 14 jours par voie veineuse pour une bactériémie d'origine probablement cutanée vu les lymphoedèmes des jambes. Sous ce traitement, le patient ne présente plus d'état fébrile et les hémocultures de contrôle sont négatives après la première dose de Rocéphine. Le patient présente des ulcères et gonflement des 2 MI avec rougeur remontant jusqu'au niveau du genou chronique depuis une année, sans suivi médical. Le patient n'a pas remarqué de péjoration de la rougeur des pieds mais rapporte une légère augmentation du gonflement. Nos collègues de l'angiologie démontrent une insuffisance veineuse chronique sans troubles de la perfusion artérielle. L'évolution des oedèmes est favorable sous thérapie diurétique, drainage lymphatique et bandages de contention. Le patient se présente aux urgences avec des signes de surcharge hydrique et avec d'anasarque montant jusqu'au milieu du dos. Il raconte avoir une dyspnée NYHA 3 depuis le 30.05.2018, il n'a jamais eu de dyspnée auparavant. Pas d'autres plaintes cardio-pulmonaires. Dans l'ETT, nous retenons une insuffisance cardiaque droite avec une fraction d'éjection préservée. Nous commençons une thérapie diurétique par voie veineuse avec une bonne évolution clinique. Durant le séjour, le patient ne souffre plus de dyspnée et nous retenons une diminution des oedèmes. La raison pour la décompensation semble être multifactorielle : le patient n'a pas pris ses diurétiques à la maison car il était gêné par les mictions fréquentes. L'autre aspect qui a probablement contribué à la décompensation est l'infection. Nous avons alors débuté un traitement avec du Lisinopril, aldactone et Lasix. Vu la FEVG conservée, nous avons arrêté le traitement d'Entresto. Dans le contexte d'insuffisance cardiaque, nous avons également stoppé l'Adénuric. • Patient de 81 ans hospitalisé pour un traitement de radiothérapie antalgique dans le contexte de son myélome multiple. Le patient a été diagnostiqué d'un myélome multiple le 29.03.2018 avec une atteinte osseuse diffuse. A noter une fracture pathologique de hanche gauche nécessitant une hospitalisation pour PTH G le 6.04.2018. Le patient est par la suite transféré en réhabilitation à Estavayer le 13.05.2018. Sur place l'évolution est lente en raison de douleurs invalidantes et asthénie sur chimiothérapie. Le 1er cycle de Revlimid et dexaméthasone est instauré du 7.05.2018 au 25.05.2018. Le patient nous est transféré pour la radiothérapie antalgique au niveau vertébrale et costal gauche. Le traitement se déroule du 28.05.2018 au 4.06.2018 sans complication. L'évolution est favorable sur le plan des douleurs cervicales, toutefois le patient décrit la persistance de douleurs lombaires. Après adaptation du traitement de Temgesic, le patient se mobilise sur une distance de 60 mètres avec un rollator. Il présente toutefois un déconditionnement important pour lequel la poursuite d'une physiothérapie est indiquée. Nous vous laissons le soin de discuter d'une visite à domicile avec un ergothérapeute pour adapter l'environnement du patient en vue d'un retour à domicile. Le patient est transféré en réhabilitation musculo-squelettique le 05.06.2018. • Patient de 82 ans, connu pour une fibrillation auriculaire traitée (Xarelto et pacemaker), un statut post-anévrisme de l'aorte opéré en 2015 ainsi que pour une hypercholestérolémie traitée, est envoyé par son médecin traitant pour une suspicion de pneumonie. Le patient se plaint d'une aggravation de sa toux chronique (avec expectorations blanches) et fièvre à 38°. Il rapporte également une dyspnée NYHA I stable depuis des années et des sudations nocturnes. Au bilan biologique, on retient une augmentation de la CRP à 207 mg/l. Une gazométrie met en évidence une insuffisance respiratoire sévère. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux mais des grands volumes pulmonaires évoquant un emphysème. Nous débutons un traitement avec Co-Amoxicilline le 30.05 pour une suspicion de pneumonie débutante, qu'on remplace avec Rocéphine le même jour au vu de sédiment urinaire sale. Vu que le patient ne présente pas de plaintes urinaires et qu'une bactériurie n'est pas mise en évidence, nous faisons de nouveau le relais avec Co-Amoxicilline pour une suspicion d'une bronchopneumonie débutante. Dans les expectorations, nous retenons la présence de Streptococcus pneumoniae. Initialement, le patient est oxygénodépendant, l'évolution est favorable sous antibiothérapie et nous parvenons à sevrer l'oxygène avec de bonnes saturations à l'air ambiant. Par contre, le patient ne sent aucune différence clinique après inhalations, raison pour laquelle nous arrêtons le traitement d'aérosols. Du point de vue urologique, nous expliquons le sédiment urinaire sale avec le diagnostic clinique d'une balanite sous un phimosis avec une petite quantité de pus. Sous thérapie locale avec des bains de Kamillosan, on note une légère amélioration clinique mais avec persistance de rougeur locale. Le patient n'a pas de plainte à part de légères brûlures durant les bains de Kamillosan. Vu l'évolution favorable et l'absence de dyspnée, M. X rentre à domicile le 06.06.2018. • Patient de 84 ans connu pour un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien antérieur droit, qui est adressé aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal par l'infirmière à domicile. En effet, le patient se sent perdu à domicile, avec l'impression que sa maison a été déménagée contre son avis et qu'elle ne se trouve plus dans le même quartier. Selon la fille, Monsieur X présente un déclin ces derniers mois suite au décès de son épouse en décembre 2017 et dans un contexte familial stressant.Sur le plan social, Monsieur Guisolan vit au 1er étage d'une maison. Il bénéficie de l'aide de ses proches ainsi que celle des soins à domicile par l'infirmière qui vient tous les jours. Monsieur Guisolan est autonome pour les activités de la vie quotidienne et ses déplacements. A l'examen clinique aux urgences de Fribourg, le status cardiovasculaire relève des B1 et B2 bien frappés, pas de souffle ni d'oedème des membres inférieurs, des pouls périphériques palpés. Sur le plan pulmonaire, des râles crépitants aux bases ainsi qu'un murmure vésiculaire symétrique sont signalés. Au niveau digestif, les bruits sont conservés, il n'y a pas de défense, pas de détente, pas de globe urinaire, mais une hépatomégalie. Le toucher rectal signale une prostate augmentée en volume et douloureuse à la palpation, pas de fécalome. Sur le plan neurologique, le patient est désorienté dans le temps et l'espace, ses nerfs crâniens sont dans la norme, sa force et sa sensibilité sont conservées aux 4 membres, les épreuves cérébelleuses sont conservées, présence d'une spasticité aux 4 membres, la marche est sans particularité. Le bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire et de perturbation électrolytique. Le sédiment urinaire objective une leucocyturie, mais l'urotube ne montre pas de germes. Le CT cérébral effectué le 12.05.2018 constate des lésions corticales fronto-insulaires droites séquellaires, en lien avec un accident ischémique en 2014 ainsi qu'une atrophie cérébrale et une leucoaraïose périventriculaire ; il n'y a pas de nouvelle lésion ischémique constituée ou hémorragique visualisée ; des altérations dégénératives du rachis cervical sont objectivées. Monsieur Guisolan présente un globe urinaire avec résidu post-mictionnel de 206ml. Dans ce contexte, nous posons une sonde vésicale. De plus, le patient est suivi par le Dr X pour une hyperplasie de la prostate (la dernière échographie date de novembre 2017 : lobe médian de la prostate agrandi vers la vessie, avec prochain contrôle prévu d'ici 3 mois). Dans ce cadre, nous réalisons une ultrasonographie, visualisant une prostate de taille dans les limites de la norme pour l'âge du patient. Monsieur Guisolan présente un risque de chute dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 19/30, un test de la montre à 3/7 et un GDS 3/15. Durant son séjour, Monsieur Guisolan effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seul est de 120 mètres. Il peut gravir 54 marches à l'aide d'une rampe et est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126 par rapport à 91/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 14.65 secondes. Sur le plan ergothérapeutique, le patient bénéficie d'interventions pour l'entraînement des activités de la vie quotidienne. Suite à une bonne évolution clinique, Monsieur Guisolan quitte notre service le 26.05.2018. Dès sa sortie, il bénéficiera du passage des soins à domicile. Patient de 84 ans hospitalisé dans le contexte d'une chute avec traumatisme cérébral occipital. La chute a été précédée d'une faiblesse et d'une sensation de partir dans le vide. Pas de perte de connaissance. L'anamnèse révèle une baisse de l'état général avec perte pondérale importante (8 kg en 2 mois), raison pour laquelle des investigations effectuées par son médecin traitant ont été effectuées avec notamment un CT thoraco-abdomino-pelvien au CIMF le 19.04.2018, qui avait mis en évidence une masse pulmonaire supérieure droite, suspecte d'un cancer avec métastases hépatiques et adénopathies abdominales (absence d'adénopathie thoracique). L'anamnèse par système révèle une gêne abdominale au niveau de l'épigastre et de l'hypochondre droit, sans autre plainte. A son arrivée, la patiente est stable sur le plan hémodynamique et afébrile. Elle est vigilante et cohérente, désorientée dans le temps. Le reste du status neurologique n'est pas contributif. L'état général est diminué et le patient est cachectique et présente une surcharge hydrique importante avec des oedèmes des membres inférieurs importants allant jusqu'aux cuisses et prenant le godet. L'auscultation pulmonaire révèle une hypoventilation bibasale, plus importante à gauche. L'abdomen est indolore, le foie est palpable à 1-2 cm sous le rebord costal, induré, irrégulier ; la rate n'est pas palpée. Dans le cadre ostéoarticulaire, il n'y a pas de douleur à la percussion vertébrale ni de douleur à la palpation et à la mobilisation des 4 membres. Signalons une ancienne plaie croûteuse du nez et un hématome rouge avec bordure jaunie sous-palpébrale droite, et une plaie du scalp en lambeau. Au niveau social, Monsieur Angeloz est veuf et habite seul. Durant l'hospitalisation, le patient bénéficie d'une prise en charge nutritionnelle en raison d'une dénutrition sévère. De même, nous constatons des troubles électrolytiques sous forme d'hyponatrémie et d'hypercalcémie que nous traitons et que nous attribuons au contexte néoplasique. L'état du patient se dégrade rapidement durant l'hospitalisation avec développement d'un état confusionnel d'origine multifactorielle, à savoir un globe vésical et un déséquilibre hydro-électrolytique provoqué par la dénutrition, le contexte néoplasique et possiblement une composante d'insuffisance cardiaque. Initialement, nous organisons une ponction-biopsie hépatique avec le but de préciser le diagnostic néoplasique et discuter des possibilités de traitement. Toutefois, en raison d'une dégradation rapide de l'état du patient qui devient grabataire et présente un état confusionnel persistant malgré le traitement symptomatique et tenant compte également du souhait du patient exprimé lorsque son état cognitif était encore préservé, nous décidons de ne pas poursuivre les investigations et d'opter pour un traitement à visée de confort. Cette décision est discutée avec la famille du patient qui se positionne également contre un acharnement thérapeutique, comme souhaité par le patient-même. Monsieur Angeloz décède le 23.05.2018, avant l'arrivée de sa famille. Patient de 85 ans, connu pour démence d'Alzheimer, diabète et HTA, institutionnalisé, qui chute de façon mécanique sur les fesses le 21.05.2018. Il est adressé aux urgences le 24.05.2018 par son médecin traitant. Les investigations mettent en évidence la fracture susmentionnée pour laquelle nous retenons un traitement conservateur. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie per os. Le contrôle radiologique après mobilisation montre une absence de déplacements secondaires. Le status neurologique reste stable et sans déficits. Au vu de l'absence de prise alimentaire d'entrée d'hospitalisation, nous bilantons ses valeurs nutritives et diagnostiquons une malnutrition protéino-énergétique grave. Ainsi, nous tentons une alimentation entérale par SNG sans succès. Le patient reprend progressivement une alimentation per os. Nous suppléons ses carences et adaptons son traitement insulinique et ses besoins nutritionnels avec nos collègues diabétologues et nutritionnistes. Une hypokaliémie est substituée per os. Au vu d'une bonne évolution, le patient peut regagner son home le 01.06.2018. Patient de 85 ans connu pour un épanchement péricardique important en janvier 2018 dont l'étiologie est encore en cours d'investigation, hospitalisé pour un pic hypertensif à 200 mmHg avec une récidive de son épanchement péricardique.Le patient présente depuis le 21.05.2018 des pics hypertensifs à 200 mmHg de systole asymptomatique. Une échographie transthoracique met en évidence un épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique importante. Pour rappel, le patient est vu en ambulatoire à la consultation de rhumatologie de l'HFR Fribourg en avril 2018 où une sclérodermie systémique cutanée limitée sans argument pour une atteinte d'organe interne importante est diagnostiquée. En raison des possibilités thérapeutiques très limitées sur l'atteinte cutanée et de l'âge du patient, ils ne proposent pas de traitement spécifique ni de suivi particulier. L'épanchement péricardique est suivi par ETT de manière régulière et montre une relative stabilité. La biopsie péricardique pouvant se dérouler sous anesthésie locale, le risque per-opératoire étant jugé faible. La décision de réaliser une biopsie péricardique à visée diagnostique est prise. Le patient sera convoqué par les confrères de chirurgie le 11.06.2018. Après discussion avec la famille, au vu des hospitalisations de plus en plus rapprochées et de la faible capacité de récupération, Monsieur Baeriswyl est pré-inscrit dans plusieurs homes. La question d'un placement définitif devra être reprise en cas de nouvelle hospitalisation. L'attitude est discutée avec le patient et son fils. Le patient peut regagner son domicile avec des soins à domicile 1x/jour. Il doit se représenter au service des urgences en cas de douleur thoracique, dyspnée, tachycardie ou hypotension au patient. Les recommandations sont transmises aux soins à domicile. Le patient peut regagner son domicile le 05.06.2018. Patient de 85 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique avec pose d'un pacemaker en 2013, troubles de la marche avec chutes à répétition, consommation d'alcool à risque et troubles cognitifs non bilantés, que vous nous adressez pour une douleur au niveau de la cheville et de la jambe droites d'origine probablement mécanique, depuis le 08.06.2018. Monsieur Jent arrive aux urgences de l'HFR Riaz pour un bilan radiologique qui ne met pas de fracture en évidence. Le patient décrit des douleurs récidivantes depuis environ 48 heures, en raison desquelles il est réadressé aux urgences afin de compléter son bilan biologique et radiologique. À noter que la dernière hospitalisation en gériatrie remonte à février 2018 pour une réadaptation post-pneumonie basale droite. Sur le plan social, Monsieur Jent habite seul, avec passage des soins à domicile 1x/jour et d'une femme de ménage. Il se déplace avec un tintébin. Le patient a deux enfants avec qui il a des contacts, est sous curatelle (Monsieur Romanens), et c'est surtout son fils qui s'occupe de lui. À son arrivée, Monsieur Jent présentait des hématomes au niveau de la malléole interne ainsi qu'un œdème prenant le godet jusqu'à la face interne du tiers distal de la mi-jambe droite. La force est préservée de même que les pouls pédieux et tibial postérieur. Le patient est orienté sur le temps et l'espace et ne présente pas de déficit neurologique focalisé. Ce dernier décrit une nycturie (moins de deux épisodes) sans symptôme dysurique. Le reste du statut clinique est non-contributif. Le bilan biologique objective une perturbation des tests hépatiques avec une cholestase, probablement sur stéatohépatite sur consommation éthylique chronique, non bilantée, ainsi qu'une carence en vitamine D. Monsieur Jent présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans le diagnostic. Signalons que le test de Schellong effectué avec des bas de contention s'avère positif. Le bilan nutritionnel réalisé à l'entrée montre une malnutrition protéino-énergétique modérée avec un apport oral insuffisant, en lien avec une inappétence. Pour la suite, une livraison des repas est organisée deux fois par semaine, de même qu'un suivi du poids par les soins à domicile. Un arrêt de la consommation d'alcool est également indiqué. Cependant, durant la nuit du 20.06.2018, au passage des infirmières, le patient est retrouvé mutique, avec un hémisyndrome droit complet et une aphasie complète, ainsi qu'une parésie faciale droite avec un NIHSS à 18 points (champs visuels et sensibilité non testés), et une dernière preuve de bonne santé à 22h. Le patient est stable sur le plan respiratoire et présente un état de conscience conservé, avec un score de Glasgow à 15/15. Il n'y a pas de déviation spontanée du regard, la poursuite oculaire conservée, et le Babinski est présent à droite. Pour rappel, le patient est connu pour une fibrillation auriculaire, anticoagulé par Sintrom, actuellement non thérapeutique depuis une semaine (INR à 1,2 ce jour), avec un antécédent d'accident vasculaire cérébral en 2015. Monsieur Jent devait rentrer à domicile le 21.06.2018, avec des soins à domicile, et un tintébin comme aide de marche. Néanmoins, selon avis du Dr. X, et au vu de la symptomatologie massive, nous contactons directement le CHUV au vu d'une obstruction de M1, versus hémorragie soupçonnée, afin de permettre au patient de gagner le maximum de temps pour pouvoir bénéficier d'une thrombectomie. Dans ce contexte, nous contactons le neurologue de garde, le Dr. X, qui accepte le transfert au CHUV en urgence. Le patient est attendu au déchoc. Les documents sont faxés au CHUV. Patient de 86 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive et ischémique ayant bénéficié de trois stents en novembre 2017. Il présente le 06.06.2018 au réveil des douleurs mobiles type piqûres dans tout l'hémithorax gauche et irradiant dans les deux mâchoires, associées à une dyspnée ainsi que des vertiges, d'une durée d'environ une heure. Aux urgences, l'ECG ne montre pas de signe d'ischémie et la cinétique des enzymes cardiaques est négative. Le diagnostic de décompensation cardiaque sur angor instable est retenu. Suite à un avis cardiologique, l'indication à une nouvelle coronarographie n'est pas retenue. Le patient est donc hospitalisé en médecine pour suite de prise en charge. À l'étage, on observe une bonne évolution clinique qui nous permet de sevrer progressivement l'oxygénothérapie et de réintroduire le traitement diurétique oral. Suite au profil tensionnel labile, on ne réintroduit pas le traitement d'Amlodipine, on vous laisse le soin de le reprendre une fois que le profil tensionnel le permettra. Patient de 87 ans, connu pour un carcinome rénal droit avancé et une arthroplastie totale de la hanche droite en 2013, amené aux urgences le 30.05.2018 par les soignants du foyer St-Joseph où il réside, suite à un avis téléphonique avec vous-même. Monsieur Kolly a fait une chute le 26.05.2018 au soir sur glissade, avec réception sur son côté droit. Pas de perte de connaissance, ni amnésie circonstancielle. Le bilan radiologique réalisé aux urgences retrouve une fracture périprothétique Vancouver B1 de la hanche droite, ainsi qu'une fracture de l'arc latéral de la 8ème côte droite. Un CT thoraco-abdominal et de la hanche droite est réalisé dans le cadre du bilan lésionnel et Monsieur Kolly est hospitalisé dans le service d'orthopédie. Concernant la fracture périprothétique du fémur droit, nous décidons d'un traitement conservateur par une décharge stricte du membre inférieur droit et une mobilisation en mode de transferts lit-fauteuil pour une durée totale de 6 semaines. Le patient bénéficie alors d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour, à poursuivre durant 6 semaines. Monsieur Kolly ayant parfois du mal à respecter les consignes de décharge, nous l'équipons d'un drap Zewi. Dans la nuit du 29 au 30.05.2018, Monsieur Kolly parvient cependant à se lever et marche en charge, puis chute de sa hauteur avec réception sur la hanche droite, sans traumatisme crânien, ni perte de connaissance. Le bilan radiographique retrouve un discret enfoncement de la tige de la PTH dans le fût fémoral droit, la tige restant toutefois fixée et bien en place dans le fémur. Le traitement reste donc conservateur.Sur le plan hématologique, le bilan biologique de contrôle le 30.05.2018 met en évidence une anémie à 72 g/l (78 g/l lors du bilan d'entrée). Nous proposons donc une transfusion sanguine, ce que la fille du patient, également représentante thérapeutique, refuse. Nous lui expliquons qu'une anémie importante augmente le risque de chute. Le 30.05.2018, Monsieur Kolly peut regagner le foyer St-Joseph. Patient de 89 ans pris en charge en réadaptation gériatrique en raison de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle suite à un traumatisme crânien sans perte de connaissance, le 24.05.2018, qui avait justifié son hospitalisation en gériatrie aiguë jusqu'à ce jour. Sur le plan social, rappelons que Monsieur Portenier habite seul avec des soins à domicile une fois par jour pour ses pansements et Pro Senectute 1x/semaine pour le ménage. Ses courses sont réalisées par ses filles qui viennent le week-end (4 enfants vivant entre Lausanne et Genève). Il se déplace avec une canne ou un rollator. Le patient présente un diabète très difficile à contrôler avec des hypoglycémies, en alternance avec des hyperglycémies. Nous avons essayé plusieurs schémas d'insulines afin de bien contrôler les glycémies, avec un bon contrôle de l'hémoglobine glyquée à 7.6%. Le 12.06.2018, Monsieur Portenier présente un état fébrile avec frissons, mais sans autre symptôme. Nous effectuons une radiographie du thorax qui ne montre pas de foyer net et les urines sont propres. Le 14.06.2018, le patient présente à nouveau de la fièvre avec de la dyspnée. Au laboratoire, nous retrouvons un syndrome inflammatoire à la hausse et suspectons une origine pulmonaire de son infection, raison pour laquelle nous introduisons de la Rocéphine en intraveineux pour une pneumonie le 14.06.2018, avec hémocultures négatives à 5 jours ; dans ce contexte, nous poursuivons l'antibiothérapie pendant 7 jours. Étant donné la survenue d'une fibrillation auriculaire rapide à 135 battements par minute avec palpitations, sans dyspnée ni thoracalgie le 15.09.2018, nous introduisons la digoxine. Au vu d'une persistance de tachycardie et des antécédents de fibrose pulmonaire sous Cordarone, du Diltiazem 90mg est introduit 2x/jour à la place de la digoxine vu le taux de digoxémie supra-thérapeutique. Monsieur Portenier présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Monsieur Portenier effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seul est de plus de 200 mètres. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126 par rapport à 97/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 20.36 secondes. Le bilan nutritionnel d'entrée constate que le patient couvre 100% de ses besoins avec une supplémentation nutritive orale et une adaptation de la diète. Monsieur Portenier profite également d'un suivi stomatothérapeutique pour ses plaies avec soins et pansements 3 fois par semaine et nette amélioration de sa clinique par la suite. Selon son souhait, la poursuite de la prise en charge sera faite par son médecin traitant. Suite à une bonne évolution clinique, Monsieur Portenier quitte notre service le 23.06.2018. Dès sa sortie, il bénéficiera des soins à domicile et d'une physiothérapie pour poursuivre son reconditionnement. Patient de 90 ans examinée à la consultation du Dr. X le 13.05.2018 puis hospitalisée le même jour en raison de dorsalgies aiguës, non déficitaires, non traumatiques depuis 15 jours environ. Les investigations réalisées le 13.05.2018 mettent en évidence la fracture de D12. Un traitement conservateur est initialement instauré puis, au vu de la persistance de la symptomatologie douloureuse, l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 18.05.2018, sans complications. Rx postop satisfaisantes. Diminution progressive de l'antalgie avec bonne réponse. La plaie opératoire est calme et sèche à la sortie. Le statut neurologique est dans la norme. Au laboratoire d'entrée, nous notons une hyponatrémie hypo-osmolaire, à volume extracellulaire normal, sur probable SIADH. La restriction hydrique permet de normaliser le taux de Na sérique (Na+ 133 mmol/l le 23.05.2018). Une possible cardiopathie valvulaire et hypertensive est également mise en évidence à l'entrée. Nous mettons en place une surveillance clinique. Au vu d'une absence de manifestations cliniques sans décompensation et après discussion avec la patiente, nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires. Dans le contexte de fracture pathologique, nous effectuons un bilan biologique d'ostéoporose qui indique une carence sévère en vitamine D. Nous introduisons une supplémentation per os et augmentons la supplémentation de base (2'000 UI/j post fracture pour 1 an selon les recommandations OMS). Il s'agira de recontrôler ce paramètre à 3 mois. Une hypokaliémie substituée en per os est résolutive à la sortie (K+ 4.2 le 23.05.2018). Le profil tensionnel est marqué par une hypertension labile, dans ce contexte nous complétons la médication anti-hypertensive (Amlodipine 5 mg 2x/j). Il s'agira de surveiller ce paramètre en ambulatoire. Au vu d'une bonne évolution, Mme. Y peut regagner son domicile le 24.05.2018. Patient de 90 ans, polymorbide, qui est sorti d'une hospitalisation en gériatrie HFR Riaz il y a deux jours et où il avait séjourné pour troubles de la marche avec chutes de répétition, baisse d'état général avec perte pondérale de 2.5 kg en 1 semaine et réapparition d'hallucinations visuelles et auditives, insomnies et état confusionnel. Le patient était rentré à domicile avec des soins à domicile en place et un rollator pour la marche. Ce jour, il consulte les urgences de l'HFR Riaz pour soins impossibles à domicile vu que sa femme est hospitalisée pour un infarctus du myocarde, le patient n'étant pas autonome et ne pouvant donc pas rester seul à la maison. Monsieur Rime n'a pas de plainte et dit se sentir dans le même état qu'à sa sortie il y a 2 jours. À status, notons un patient en bon état général, bien hydraté et bien perfusé. Sur le plan cardiovasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés mais irréguliers, avec un souffle systolique à 4/6 audible dans tout le précordial, sans turgescence jugulaire ni œdème des membres inférieurs. Au niveau pulmonaire, relevons un murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. Dans la sphère digestive, nous constatons un abdomen souple et indolore, sans défense ni détente, et des bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Neurologiquement, le patient est collaborant, orienté dans les 3 modes, aux pupilles isochores et isoréactives, aux nerfs crâniens grossièrement dans la norme, sans latéralisation nette. Le laboratoire objective une insuffisance rénale chronique avec clairance à la créatinine selon MDRD à 34.4 ml/min/1.73m2 et une anémie normochrome normocytaire. Monsieur Rime présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans le diagnostic. Durant son séjour, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche avec un rollator est de 120 mètres. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 63/126, par rapport à 59/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 42,30 secondes. Dès le 06.06.2018, Monsieur Rime reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, le patient quittera notre service le 28.06.2018 pour se rendre au Home d'Humilimont à Marsens. Une lettre de sortie de ce séjour de reclassement a été créée et demeurera provisoire : elle vous a été faxée et sera également mise en copie pour le home. Patient de 91 ans, connu pour une cardiopathie mixte, et récemment hospitalisé dans le contexte d'une embolie pulmonaire centrale bilatérale, qui est à nouveau hospitalisé en raison d'une décompensation respiratoire aiguë. Pour rappel, le patient a présenté durant la nuit précédente une dyspnée aiguë avec vertiges rotatoires à l'effort. Il n'a pas présenté d'autres symptômes, mais au passage des soins à domicile le jour même, il présentait toujours une tachypnée importante avec asthénie généralisée, raison de son transfert aux urgences via l'intervention de MedHome. Aux urgences, une échocardiographie montre une péjoration de l'hypertension pulmonaire avec une importante répercussion sur le ventricule droit. Le laboratoire montre une augmentation des Nt-proBNP ainsi que des troponines. Nous retenons un tableau de NSTEMI, possiblement secondaire à un cœur droit décompensé avec répercussion gauche. Devant la sévérité de la situation sur le plan clinique et les importantes comorbidités du patient, la décision est prise en accord avec nos collègues cardiologues ainsi que la famille de ne pas procéder à des gestes invasifs ou des investigations supplémentaires et de privilégier une prise en charge axée sur des soins de confort. Le patient se dégrade rapidement et décède le 21.06.2018. Patient de 91 ans, connu pour cardiopathie ischémie et rythmique avec status post pontage en 1995 et sous Pacemaker et Sintrom, présente une douleur base thoracique gauche post chute le 26.06 en péjoration. Peine à respirer à l'inspiration profonde. Pas de douleur rétrosternale ni oppression. Pas de palpitations. La chute a été sur maladresse de malaise. TC frontale sans PC. Gen : Pas de fièvre ni frissons. Abdominal : Pas de douleur abdominale ni troubles G-I. Patient de 95 ans, connu pour hypertension artérielle, thromboses veineuses profondes à répétition avec pose d'un filtre cave et anticoagulation par Sintrom, amenée aux urgences par ambulance pour chute à domicile dans des circonstances peu claires et sans témoin. La fille habitant le même immeuble aurait entendu un bruit de chute et aurait retrouvé son père au sol devant les escaliers. Nous soupçonnons par conséquent une chute dans les escaliers avec réception inconnue, et ne pouvons pas exclure de traumatisme crânien ni de perte de connaissance. Aux urgences, le patient ne présente aucune plainte et aucune douleur. Légèrement hypertendu, Monsieur Tache mentionne néanmoins une dyspnée à l'effort léger (stade IV). Le statut objective un abdomen ballonné mais dépressible, sans douleur à la palpation. L'examen neurologique s'avère sans particularité, hormis des troubles visuels connus. Au niveau ostéoarticulaire, pas de douleur à la palpation du rachis ou autre. Le reste du statut est non contributif. Devant des circonstances de chute peu claires, nous effectuons un CT-scan cérébral qui écarte une hémorragie et une lésion traumatique osseuse. Le laboratoire constate l'absence de syndrome inflammatoire, mais une hypophosphatémie à 0,53 mmol/l, que nous substituons. Sur le plan social, Monsieur Tache vit dans une ferme, juste en dessous de l'appartement de sa fille, qu'il accède par un escalier très étroit et dangereux. Il bénéficie du passage des soins à domicile 1x/j pour la pose des bas TED, 3x/semaine pour la douche et le passage d'une infirmière 1x/semaine. Habituellement, le patient se mobilise avec une canne, mais devrait marcher avec un déambulateur. Devant des glycémies élevées, nous effectuons une hémoglobine glyquée qui revient élevée à 7,7 %, raison pour laquelle nous adaptons son traitement en introduisant de la Metformine 500 mg 2x/j. Monsieur Tache présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Cette situation motive un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 12.06.2018 au 19.06.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 9/30 et un test de la montre à 01/7. Son GDS est dans la norme, à 5/15. Durant son séjour, Monsieur Tache effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seul est de 100 mètres. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 76/126 par rapport à 64/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 3/7). Le TUG n'a pas été testé par les physiothérapeutes. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée montre une absence de malnutrition protéino-énergétique, mais une hydratation insuffisante. Pour la suite, nous préconisons une stimulation à l'hydratation. Monsieur a bénéficié d'une prise en charge ergothérapeutique pour adaptation aux activités de la vie quotidienne, notamment habillage, transferts et hygiène. Le 27.06.2018, Monsieur Tache reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant qu'il a quitté le service. En date du 04.07.2018, Monsieur Tache est admis au foyer St-Joseph de Châtel-St-Denis. Patient demandeur de test sanguin. Il prendra contact avec le médecin de son foyer pour réaliser le bilan. Patient dit vivre seul à domicile, son frère serait rentré vivre en Autriche. Evaluer capacité à vivre seule. Discuter suite avec différents intervenants. Patient en bonne santé habituelle sans médication habituelle, qui a eu un accident avec un QAD (vitesse évaluée à 30 km/h selon le patient ?); il ne portait pas de casque et était alcoolisé à 1,91 %o, provoquant un traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle (selon les dires de témoins) avec de multiples dermabrasions au niveau du flanc, de l'épaule et de l'avant-bras gauche. De plus, il rapporte des douleurs au niveau de l'hémithorax gauche, de l'hypochondre gauche et costal gauche; pas de nausées, pas de vertiges et pas de douleur à la palpation des cervicales ou dorsales. Status (aux urgences) : TA 140/89 mmHg, pouls 100 bpm, SatO2 99 % AA avec un état général conservé. Cardiovasculaire : B1-B2 bien frappés, réguliers, sans souffle audible. Au niveau thoracique, douleur sur l'arc costal gauche. Pulmonaire : pas de tirage, murmures vésiculaires symétriques, sans bruit surajouté. Digestif : abdomen souple avec douleur dans l'hypochondre gauche, sans défense ou signe de péritonisme. Urogénital : pas de matité ou de douleur suspubienne, loges rénales souples et indolores. Organes uro-génitaux externes sans particularité. Cutanéo-muqueux : plusieurs dermabrasions au niveau du flanc gauche, de la hanche gauche de 10 x 10 cm, de l'avant-bras gauche, de l'épaule gauche et de la jambe droite ainsi qu'au niveau du coude droit, de la sphère ORL. Otoscopie dans la norme avec un pharynx sans particularité. Ostéo-articulaire : palpation du rachis indolore. Toutes les articulations libres et indolores. Neurologique : Glasgow à 15 avec une bonne orientation dans les 3 modes, nuque souple, pupilles isochores isoréactives, oculomotricité lisse. Paires crâniennes dans la norme. Force à M5 aux 4 membres, Mingazzini tenu sans signe pyramidal. Sensibilité superficielle conservée et symétrique. Aux urgences, le patient est très algique niveau de l'hypochondre droit avec des céphalées et une amnésie circonstancielle et l'on opte pour la réalisation d'un CT cérébral et abdominal où l'on visualise des fractures de l'arc latéral des 5ème, 6ème et 7ème côtes à gauche, mais pas de lésion cérébrale ou intra-abdominale. Le sédiment urinaire est propre. Le patient est admis dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique où l'antalgie simple est bien gérée. Au lendemain de son admission, les examens neurologiques réalisés à plusieurs reprises reviennent sans particularité, mis à part un épisode de vomissements de type aqueux lors du 1er lever. La reprise de l'alimentation par voie orale se fait sans problème. Au vu de la bonne évolution clinique, Monsieur Y peut retourner à domicile le 11.06.2018 avec une antalgie adéquate pour les fractures de côtes. • Patient en position dorsale. Le poids maximum de la neuropathie au niveau de la broche dorsale du nerf radial est identifiée par palpation et l'endroit du signe du Tinel positif. Désinfection à la Betaseptic®. Avec une aiguille violette, infiltration sous-cutanée autour de ce dernier nerf avec 1 ml de Rapidocaïne et 10 mg de Dépo-Medrol. Le patient est immédiatement soulagé. • Patient en surpoids. • Patient envoyé par Dr. X pour une hyperkaliémie à 5.6 mmol/l. • Patient hospitalisé en électif pour l'intervention susmentionnée. En date du 20.05.2018, le patient chute de sa hauteur avec réception sur les 2 avant-bras. Les investigations avec rx et CT-scanner à D ont montré la fracture susmentionnée avec une impression de 3 mm d'un fragment articulaire. L'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.05.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire reste propre et calme. Antalgie standard. Retour à domicile le 26.05.2018. • Patient hospitalisé en électif pour l'intervention susmentionnée. Le 20.05.2018, le patient avait fait une chute sur le coude G en pratiquant du foot-tennis. Consultation aux urgences où les rx ont montré la fracture susmentionnée. L'indication opératoire a été posée en électif. L'intervention se déroule le 25.05.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. La plaie opératoire évolue favorablement. Retour à domicile le 26.05.2018. • Patient hospitalisé en électif pour l'intervention susmentionnée qui se déroule le 12.06.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie évolue favorablement. Antalgie standard. Mobilisation avec la physiothérapie. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane pendant l'hospitalisation. Retour à domicile le 13.06.2018 avec une plaie opératoire calme. • Patient hospitalisé en gériatrie aiguë à l'HFR Tafers suite à l'intervention chirurgicale lombaire réalisée à Berne le 03.04.2018 pour une sténose invalidante de L3-L4 avec spondylodèse L3-L5 par système Romeo. En préopératoire, il présentait des troubles à la marche avec une importante paraparésie des MI, surtout dans le territoire L4-L5 avec impossibilité d'extension complète des genoux et de contraction des quadriceps. En post-opératoire, les troubles neurologiques semblent être identiques. Toutefois, par la suite, le trouble moteur au niveau des 2 quadriceps s'aggrave et les douleurs deviennent de plus en plus intenses au niveau des 2 MI. Celles-ci sont définies par le patient comme différentes et plus intenses qu'en préopératoire. De plus, impossibilité de reprendre la marche en raison d'une faiblesse au niveau des quadriceps et des pieds ddc. A l'entrée, le patient présente un état confusionnel. Le CT lombaire réalisé montre un status post-interventions chirurgicales avec décompression par laminectomie L3-L5 et malpositionnement de plusieurs vis, trop médiales par rapport aux pédicules. L'état confusionnel du patient s'améliore après quelques jours. Au niveau local, on relève une tuméfaction de la plaie, mais toujours sans écoulement. L'état de conscience amélioré du patient nous permet de mieux évaluer les troubles neurologiques avec une paraparésie sévère à M2 dans le territoire L3, L4, L5 et S1 des MI. Au niveau des quadriceps, on ne voit que de légères fibrillations musculaires, sans mouvement franc. Au vu du contexte et après contact téléphonique avec l'opérateur, on déduit qu'il y a une aggravation de la situation par rapport à l'état préopératoire. Étant donné la corrélation avec le mal-positionnement, on pose l'indication opératoire avec révision chirurgicale et tentative de remise en place correcte du matériel et révision de plaie sur suspicion d'hématome postopératoire. Transfert à Fribourg le 18.04.2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 25.04.2018, sans complications. Au contrôle CT postopératoire, on visualise une correction du trajet des vis transpédiculaires G de L4 et L5 et un minime débord foraminal des vis pédiculaires D de L3 et L5. Antibiothérapie par Cefuroxime 1,5 g 4x/j du 25.04. au 02.05.2018. Les prélèvements peropératoires reviennent positifs pour un Staph. epidermidis et un Staph. haemolyticus. Selon ordre des infectiologues, aucun antibiotique supplémentaire n'est introduit, les germes étant considérés comme des contaminants cutanés. La plaie opératoire évolue favorablement. Le 07.05.2018, la plaie est calme et sèche. Le 01.05.2018, le patient présente des douleurs ainsi qu'une tuméfaction du genou D. Ce patient est connu pour avoir régulièrement des crises de goutte dans les genoux mais n'a jamais été traité. Un consilium rhumatologique est demandé. Le 03.05.2018, une ponction de genou D avec infiltration permet de soulager le patient et met en évidence des cristaux d'acide urique posant le diagnostic d'arthrite microcristalline de type goutte. Les douleurs et la tuméfaction du genou se résorbent ensuite progressivement. En date du 07.05.2018, Mr. Raemy est transféré en gériatrie aiguë à l'HFR Tafers. Status neurologique lors du transfert : L3-L4 (quadriceps) M4 à D, M5 à G, L5 M4 à D, M2 à G, S1 M4 à D, M5 à G. • Patient hospitalisé en urgence en raison de l'apparition, le 28.05.2018, de douleurs très invalidantes à 8/10 de la face antérieure de l'épaule D avec limitation des mouvements, sans notion de traumatisme. Il consulte le 31.05. puis le 02.06.2018 les urgences où plusieurs tentatives de ponction articulaire sont réalisées, sans succès. Les examens d'imagerie mettent en évidence une lésion calcifiante du tendon sus-épineux D. Un consilium de rhumatologie est demandé le 05.06.2018 et un traitement par Kineret en 2 doses est introduit. L'évolution est favorable avec une régression progressive des douleurs. Durant l'hospitalisation, le patient présente des hyperglycémies dans le cadre de son diabète type 2 insulino-requérant. Un consilium de diabétologie est réalisé le 04.06.2017 avec ajustement du traitement diabétique; un suivi ambulatoire est planifié.Au vu de l'évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile le 07.06.2018. • Patient hospitalisé pour l'intervention susmentionnée à la suite d'une chute survenue le 27.05.2018 entraînant cette fracture intra-articulaire déplacée de la lèvre palmaire du radius distal G avec subluxation antérieure du carpe confirmée par CT-scanner du 27.05.2018. L'intervention chirurgicale se déroule le 29.05.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie opératoire évolue favorablement. Antalgie standard. Absence de troubles neurologiques du MSG. Retour à domicile le 30.05.2018. • Patient hospitalisé suite à l'intervention chirurgicale agendée en ambulatoire le 15.06.2018. L'intervention se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont marquées par des désaturations nécessitant une hospitalisation d'une nuit pour surveillance. Rx postop satisfaisantes. Antalgie standard. La plaie évolue favorablement. Retour à domicile le 16.06.2018 Nous laissons le soin au médecin traitant de bilanter la fonction pulmonaire chez ce patient fumeur. • Patient immunodéprimé sous cortisone et Methotrexat. Doit mettre le Methotrexat en pause (risques importants d'interaction avec antibiotique) durant le traitement antibiotique et reprendre dans 1 semaine, doit sauter la dose du 02.07.2018. Contrôle clinique et laboratoire à 72h. Traitement ambulatoire chez un patient en bon état général avec bon contrôle de la douleur sous Dafalgan. Doit revenir avant si péjoration de l'état général. • Patient part contre avis médical avant la fin des investigations. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient parti sans consultation médicale. • Patient prend rendez-vous à la consultation Dr. X Examen laboratoire ambulatoire supplémentaires screening Porphyrie prévue le 28.06.2018. • Patient présentant un état de choc cardiogène (le plus probablement) dans un contexte de STEMI postérieur au vu d'une instabilité hémodynamique majeure, une clinique d'insuffisance cardiocirculatoire et des signes d'ischémie sur l'ECG. Le diagnostic différentiel serait une dissection aortique au vu des douleurs dorsales importantes. L'état clinique du patient se dégrade rapidement et nous optons pour des soins de confort. Le patient décède dans notre service paisiblement. • Patient qui nous est transféré par le CHUV pour poursuite d'une antibiothérapie intraveineuse après mise en évidence d'une endocardite chez un patient porteur d'une valve mécanique aortique et d'une prothèse de Bental suite à une dissection aortique dans le contexte d'un syndrome de Marfan. Pour rappel, le patient avait consulté une première fois les urgences de Riaz le 12.04.2018 pour des hémoptysies. Le patient avait été rapidement transféré aux soins intensifs de l'HFR Fribourg et ensuite au CHUV pour la suite des investigations qui aboutissent au diagnostic sus-cité. De plus, le patient a un hématome de l'aorte descendante qui est connu depuis 2010 mais qui était en progression au PET-CT du 16.04.2018. Lors du contrôle par PET-CT du 24.05.2018, ce dernier était stable. Une surveillance régulière de son évolution a été décidée par le service de chirurgie vasculaire du CHUV qui assurera le suivi ambulatoire. Aucune intervention n'est préconisée dans l'immédiat. Le patient nous avait été retransféré le 04.05.2018 mais en raison de la survenue d'un anévrisme de l'artère radiale gauche ayant nécessité une prise en charge chirurgicale, il a été retransféré à Fribourg. Actuellement, le patient se trouve dans un bon état général et la situation vasculaire et infectiologique est sous contrôle. Le bilan biologique montre une amélioration du syndrome inflammatoire, une hémoglobine stable et une fonction rénale normale. L'antibiothérapie intraveineuse est poursuivie jusqu'au 31.05.2018 avec un relais per os par Moxifloxacine 400 mg 1x/j per os au long cours, comme proposé par nos collègues du CHUV et nous leur laissons le soin de définir la durée de l'antibiothérapie. Un suivi régulier (1x/semaine) du QT, de la formule sanguine, de la CRP et de la fonction rénale est indiqué. Monsieur Y peut regagner son domicile le 01.06.2018, à la fin de son traitement antibiotique iv. • Patient reconsulte si péjoration/apparition de nouveaux symptômes. • Patient redirigé vers la policlinique d'ORL pour suite de prise en charge. • Patient refuse l'incision de l'abcès car en école militaire et a peur d'être déclaré inapte. En accord avec le patient et après discussion éclairée, patient reconsulte le médecin militaire le 08/06/18 qui décidera d'une indication à inciser la collection. Au total, collection abcédée compliquée d'un erysipèle. • Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 10 jours. • Retour à domicile. • Antalgie. • Consultation médecin militaire le 08/06/18. • Patient reparti sans consultation. • Patient reparti sans consultation. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient reparti sans consultation médicale. • Patient revient ce matin car douloureux Examen clinique Paracétamol 1 g IV + Buscopan 20 mg IV Laboratoire : leucocytes en augmentation à 15.4 g/l, CRP • Patient sous tamsulosine 1x/j à l'US prostate de très grande taille. • Patient venu aux Urgences pour dorsalgie avec découverte fortuite de créatinine élevée. Patient avec psoriasis mais pas de plaintes d'arthrite psoriasique. Ne prend pas de médicaments (AINS, MTX). Réévaluation de la fonction rénale après renforcement hydrique. • Patiente à 14 jours après cure de tunnel carpien droit par Dr. X, le 12.06.2018. • Patiente adressée en gynécologie. • Patiente adressée en ORL. • Patiente adressée par gynécologue traitant pour prise en charge d'une GEU à 5 SA. • Patiente avec multiples FRCV non traités. Difficulté de prise en charge car elle voyage beaucoup en mobile home (gens du voyage, principalement basés sur Zurich). FRCV: • AVC il y a 2 ans (Zurich, séquelle avec perte de force main droite et ptose labiale droite légère) → pas de traitement d'Aspirine cardio. Non traitée en raison d'intolérances médicamenteuses? Patiente ne sait pas. • Anamnèse familiale positive. • Fumeuse 35 UPA → au vu des intolérances médicamenteuses multiples ne permettant pas selon elle le traitement de ses FRCV, nous insistons sur la nécessité d'arrêter de fumer. Ne désire pas de suivi sur Fribourg, vu principalement basée à Zurich. • Dyslipidémie familiale non traitée en raison d'intolérances médicamenteuses. • Pas d'HTA, pas de DM. • Patiente bien adaptée à l'attelle. Nous lui expliquons les fractures et l'évolution probable, et l'importance de la thromboprophylaxie et de ne pas enlever l'attelle Splintpod.Patiente calme aux urgences avec un score de Wells de thrombose veineuse profonde à 1 point. Nous effectuons un Ultrason doppler veineux qui permet d'exclure une thrombose veineuse profonde. Nous attribuons l'érythème à une probable réaction inflammatoire (possiblement piqûres d'insectes) et laissons la patiente rentrer avec antalgie en réserve. Patiente connue pour un carcinome de l'oesophage avec métastases pulmonaires et adénopathies paratrachéales, actuellement maladie stable, avec pause du traitement pour 6 semaines, est hospitalisée pour une dyspnée d'aggravation progressive sur quelques semaines. Pour rappel, il a été opéré pour ce problème il y a 2 semaines en ORL pour une paralysie laryngée, sans amélioration, et présente maintenant des angoisses face à cette dyspnée. Il a également un PleurX pour un épanchement pleural malin, qui rend 700-850 ml 3x/semaines, avec soulagement léger. Il décrit une perte de la voix, améliorée par l'opération, et une dyspnée stade III, avec orthopnée légère et une dyspnée paroxystique nocturne avec impression d'étouffement à cause de glaires encombrants. Il dort très mal en raison de la dyspnée et des bruits respiratoires. Les derniers jours à domicile se sont relativement mal passés, et Monsieur a dû faire appel plusieurs fois à Voltigo pour recevoir de la morphine et du Temesta en raison de la dyspnée. À son arrivée, nous mettons en place un traitement de MST fixe, d'aérosols de Ventolin et Atrovent, augmentons le Temesta en réserve et maintenons les réserves de morphine et les vidanges du PleurX. Il se sent soulagé et dort beaucoup mieux, mais malgré tout les soignants le décrivent comme très rapidement essoufflé. Le 3 juin au soir, il s'endort confortablement sans plainte particulière. Le 4 juin à 3h05 du matin, il sonne pour une hématémèse importante. Il perd connaissance après 10 minutes et décède à 3h15 du matin. La famille est informée la nuit même. Patiente connue pour des troubles de l'alimentation (anorexie). BMI 17 kg/m2. Rupture traumatique de la rate, ttt conservateur en 2007. Kyste ovarien gauche de 8 cm d'allure bénigne chez une patiente de 15 ans. Laparoscopie: washing péritonéal et kystectomie gauche le 23.06.2016. Complication laparoscopie: suspicion de perforation intestinale avec l'aiguille de Veress. Complications: anémie sévère sur probable saignement post-opératoire au niveau de la paroi abdominale avec hématome léger (quadrants inférieurs) et hémodilution sans retentissement clinique. Douleurs post-opératoires mal contrôlées (Spondylodèse le 20.06.2017) le 30.06.2017, avec nausées, vomissements, déshydratation. Intolérance à la morphine et Oxycontin (vomissements). Infection urinaire basse le 30.06.2017 avec: pollakiurie, douleurs dorsales diffuses, culture urinaire positive pour E. Coli et Enterobacter. Pyélonéphrite G 20.10.2017. Patiente connue pour des troubles de l'alimentation (anorexie). BMI 17 kg/m2. Rupture traumatique de la rate, ttt conservateur en 2007. Kyste ovarien gauche de 8 cm d'allure bénigne chez une patiente de 15 ans. Laparoscopie: washing péritonéal et kystectomie gauche le 23.06.2016. Complication laparoscopie: suspicion de perforation intestinale avec l'aiguille de Veress. Complications: anémie sévère sur probable saignement post-opératoire au niveau de la paroi abdominale avec hématome léger (quadrants inférieurs) et hémodilution sans retentissement clinique. Douleurs post-opératoires mal contrôlées (Spondylodèse le 20.06.2017) le 30.06.2017, avec nausées, vomissements, déshydratation. Intolérance à la morphine et Oxycontin (vomissements). Infection urinaire basse le 30.06.2017 avec: pollakiurie, douleurs dorsales diffuses, culture urinaire positive pour E. Coli et Enterobacter. Pyélonéphrite G 20.10.2017. Patiente de 13 ans qui se présente adressée par les urgences de Riaz. Ménarche il y a 9 mois, avec des cycles irréguliers. Virgo. La patiente décrit avoir remarqué ce matin des croûtes au niveau des deux mamelons, sans douleur, ni rougeur, ni prurit, ni écoulement. Elle est normocarde, normotendue et afébrile, sans aucun autre symptôme pendant la consultation. Elle décrit des rougeurs d'apparition brutale cet après-midi au niveau de la cuisse gauche, sans douleur ni prurit, qui ont disparu spontanément avant son arrivée. À l'examen clinique, on met en évidence une sécheresse cutanée généralisée. Les mamelons sont ombiliqués, avec présence de croûtes jaunâtres, sans galactorrhée ni écoulement purulent ni inflammatoire. Par ailleurs, les seins sont souples, indolores, sans masse, ni adénopathie. La patiente ne présente aucune autre lésion cutanée, ni les rougeurs décrites à l'anamnèse. En vue de l'état clinique tout à fait rassurant, la patiente retourne à domicile. Patiente de 15 ans, 1 geste 0 pare adressée ce jour par le Dr. X pour des douleurs abdominales basses à prédominance en FIG évoluant depuis 2 jours. Labo: Hb: 112 g/l, GB: 6.3 g/l, Plaq: 137. À l'anamnèse pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de métrorragies, pas de pertes nauséabondes, pas de dyspareunies, pas de troubles digestifs à type de diarrhées ou vomissements. DDR le 12.06.2018, pas de contraception car ne la supporte pas. Rapport sexuel avec petit copain, protégé par préservatif. À l'examen clinique, patiente normocarde, normotendue, apyrétique. Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum, col d'aspect sain, pertes d'allures physiologiques. KOH négatif, frottis bact + chlam en cours. Stix propre, TG: négatif. Hb stable: 113 g/l, GB: 7.8 g/l, Plaq: 143. L'échographie retrouve un utérus rétroversé avec un endomètre fin à 4 mm. L'ovaire droit présente un corps jaune hémorragique de 15*15 mm avec une lame de liquide en para-ovarien avec un caillot sanguin. Ovaire gauche sp. Nous posons le diagnostic de douleurs abdominales sur corps jaune hémorragique droit avec Hb stable, permettant un retour à domicile avec antalgie simple par Dafalgan, Brufen si douleurs et donnons un RDV le 22.06.2018 à 10h pour contrôle clinique + Hb. Informée de revenir avant si péjoration. Patiente de 17 ans, connue pour une migraine depuis plusieurs années, pour laquelle elle a été suivie par un neurologue et actuellement par son médecin traitant, avec multiples échecs thérapeutiques avec traitements anti-migraineux. La patiente a aussi eu une IRM cérébrale en décembre 2016 qui ne montrait pas d'argument pour une organicité des céphalées. Il y a 10 jours, apparition d'une nouvelle crise de migraine. Depuis le 04.06.2018, péjoration des céphalées qui deviennent en casque, constantes, d'intensité jusqu'à 10/10 et accompagnées de fortes nausées et un épisode de vertige type tangage. Lundi soir apparition d'un état fébrile mesuré à 38°C et d'arthralgies prédominantes au dos et aux épaules. Aux urgences, un CT-scanner cérébral ne montre pas de thrombose ni de saignement et des sinus libres. Une ponction lombaire permet d'exclure une méningite. La patiente est donc hospitalisée en médecine pour antalgie des céphalées et investigation du syndrome inflammatoire. On pense que les céphalées présentées sont en lien avec ses crises de migraines et potentiellement exacerbées par l'état fébrile (qui serait lui, dû à un processus autre qu'une pathologie infectieuse du système nerveux central). Pour mieux investiguer cet état fébrile d'origine indéterminée, on demande un avis à nos collègues infectiologues qui ouvrent un diagnostic différentiel qui inclut la Fièvre Q, la Leptospirose et la Brucellose. La sérologie pour Coxiella Burnetii est négative.Etant donné la baisse du syndrome inflammatoire, l'absence d'état fébrile et l'amélioration des céphalées, la patiente quitte notre établissement le 09.06.2018. On vous propose d'organiser un contrôle clinique et biologique en début de semaine prochaine et aussi un contrôle gynécologique pour exclure une source infectieuse/inflammatoire. • Patiente de 17 ans, en BSH, qui consulte envoyée par son MT, pour douleurs à la nuque constantes avec céphalées et photophobie qui aggravent à la latéralisation droite de la tête, qui ont mérité un IRM hier qui a montré une brèche durale au niveau de D3 et D4, découverte sans facteur déclencheur, sans fièvre, sans TC, sans déficits. Vertiges sans déséquilibres, sans PC. Le Scan cérébral du 30.05.2018 est normal. GCS 15. Calme, collaborante, acyanotique, anictérique. Rachis douloureux à la palpation de C2. Mobilisation cervicale préservée avec douleur à la latéralisation droite. FM et sensibilité préservées, normoréflexie, pupilles iso/iso, sans nystagmus, champs visuels préservés, sans dysmétrie, sans nystagmus, Romberg tenu. AC: S1 et S2 bfp, sans souffles. AP: MV symétriques, sans bruits surajoutés. Abdomen: bruits sp, indolore, sans défense, ni détente, sans organomégalie. Selon l'avis du neurochirurgien de garde Dr. X, qui préconise un IRM cérébral et dorso-lombaire le 11.06.2018 à 13:30 à HFR Riaz et avec consultation par la team rachis à HFR Fribourg le 12.06.2018, sans besoin d'hospitalisation. La patiente doit appeler le secrétariat de la team rachis lundi. • Patiente de 19 ans en BSH, 1G0P, enceinte à 6 6/7 semaines d'aménorrhée selon date des dernières règles, adressée par le Planning familial en raison d'une suspicion de grossesse extra-utérine D. En effet, la patiente présente des spottings depuis le 08.06.2018 ainsi que des douleurs abdominales au niveau sus-pubien. L'examen clinique met en évidence un abdomen souple chez une patiente normocarde normotendue. Aucun saignement actif n'est visualisé. L'ultrason met en évidence une masse para-ovarienne de 22x17 mm avec une lame de liquide libre intra-abdominal. L'indication à une prise en charge par laparoscopie est posée et la patiente signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complication, confirmant le diagnostic d'une grossesse extra-utérine tubaire droite. Une salpingotomie droite est effectuée, suivie d'une épreuve au bleu qui vérifie la perméabilité tubaire après la fin de l'intervention. La patiente reçoit une injection intramusculaire de méthotrexate le 19.06.2018, et regagne son domicile, avec un contrôle béta HCG prévu à J4 et à J7 post-méthotrexate. L'ablation des fils sera à prévoir dans 7 à 10 jours post-opératoire. • Patiente de 19 ans, primipare ayant accouché le 26.05.2018 consulte ce soir pour des douleurs au niveau des seins et des douleurs hémorroïdaires se péjorant depuis 24h. Dans l'anamnèse, la patiente explique avoir arrêté l'allaitement ce matin pour des douleurs à l'intérieur des mamelons à type de brûlure et picotement lors des tétées. Concernant les hémorroïdes, elle est traitée par procto synalar suppo + crème et daflon, mais depuis hier péjoration des douleurs avec difficulté à marcher et à s'assoir. A l'examen, patiente normocarde, normotendue, apyrétique (72 bpm, 109/74, 36.7°C). Seins tendus avec écoulement spontané de lait des deux seins, pas de chaleur, pas de rougeur, pas de collection palpable ni d'ADP. Tire-lait mis en place avec expression de 130 ml de chaque côté, améliorant la patiente. Au niveau proctologique: Présence de 3 hémorroïdes externes dont deux violacées, probablement en train de se thromboser. Examen très douloureux, application de lidocaïne crème qui améliore la patiente. Décision d'adresser la patiente aux urgences chirurgicales, mais au vu de l'attente, la patiente préfère revenir demain. RDV donné à la filière 34 à 10h le 01.06.2018. • Patiente de 19 ans, 1G0P, admise pour hyperémèse gravidique à 7 4/7 semaines d'aménorrhée le 29.05.2018. Elle rapporte 3-4 vomissements par jour, avec incapacité à s'alimenter depuis 2 semaines et à s'hydrater depuis hier soir. Elle a perdu 8.6 kg depuis le début de la grossesse. Au vu de la perte de poids et de l'asthénie marquée, on décide d'hospitaliser la patiente pour hydratation, anti-émétiques IV et réalimentation progressive. L'évolution est favorable et Mme. Y rentre à domicile le 31.05.2018, en bon état général. • Patiente de 20 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 04.06.2018 pour pré-travail à 40 1/7 semaines d'aménorrhée. Au vu d'un faux travail persistant et de la fatigue maternelle, nous convenons avec la patiente d'une provocation par Syntocinon. Elle se met alors en travail et dilate harmonieusement. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.06.2018 en bon état général. • Patiente de 20 ans, nulligeste consulte le 09.06.2018 pour des métrorragies débutées le 04.06.2018, accompagnées de fortes douleurs abdominales avec expulsion du stérilet gynial et de matériel en début d'après-midi. La patiente signale un retard de règles d'une semaine. Suite à l'examen gynécologique, échographie et dynamique B-HCG, on retient le diagnostic clinique de fausse couche complète confirmé par le résultat anatomopathologique du matériel expulsé avec le stérilet. • Patiente de 20 ans, primigeste à 28 SA 2/7 le 07.06.2018, hospitalisée le 07.06.2018 pour menace d'accouchement prématuré. A l'anamnèse, la patiente présente ce jour une perte de sang frais sans contraction utérine, pas de symptôme fonctionnel urinaire, pas de perte de liquide. A noter que la grossesse a été marquée par des métrorragies au 1er trimestre pour lesquels un rhophylac et un traitement par utrogestan a été donné, ainsi que par une hospitalisation à 23 SA pour menace de fausse couche tardive à l'hôpital avec cure de maturation pulmonaire. Le 07.06.2018, l'examen clinique retrouve une patiente hémodynamiquement stable, apyrétique. L'utérus est contractile et indolore. Au spéculum, traces de sang frais, pas d'écoulement de liquide spontané. Le col est ouvert de 2-3 cm avec protrusion des membranes dans le vagin. L'actim prom est négatif. L'US montre une bonne vitalité fœtale, la présentation est céphalique. Le poids fœtal estimé est 960 g le 30.05.18, BCF: 150 bpm, placenta antérieur, normalement inséré. Dans ce contexte de menace d'accouchement, nous proposons à la patiente un transfert à l'hôpital de Berne pour poursuite de la prise en charge, ce que la patiente accepte. • Patiente de 20 ans, 1G0P à 20 5/7 semaines d'aménorrhée, hospitalisée pour pyélonéphrite aiguë gauche. A l'anamnèse, la patiente décrit des douleurs en fosse iliaque et sus-pubienne, évoluant depuis 24h avec 3 épisodes de vomissement. La patiente décrit des brûlures vaginales et une dysurie mais est actuellement traitée pour une vaginose mycotique. Pas de notion de fièvre, pas de perte de sang, ni de liquide, MAF+. A l'examen clinique, patiente tachycarde: 98 bpm, normotendue: 126/71, apyrétique: 36.8°C. Abdomen souple, sensible à la palpation sus-pubienne, FID et FIG, sans détente, ni défense. Loge rénale droite libre, loge rénale gauche douloureuse avec ébranlement lombaire positif à gauche. Au spéculum: vaginose, pas de saignement endo-utérin, pas de trace de sang. Col long, post, fermé. Le bilan retrouve un léger syndrome inflammatoire et le sédiment est positif pour leucocytes et sang. Nous posons le diagnostic de PNA gauche et hospitalisons la patiente pour antibiothérapie parentérale et surveillance clinique.L'évolution est favorable avec diminution de la symptomatologie et amélioration du bilan biologique. Mme. Y regagne son domicile le 21.06.2018 avec relais de l'antibiothérapie per os et contrôle clinique et échographie prévu chez Dr. X le 28.06.2018. Mme. Y, 21 ans, 1G0P, consultée en urgence pour douleurs sur-pubien depuis 2 semaines. Test de grossesse positif depuis 2 semaines. Statut stable. Par échographie, visualisation d'une grossesse intra-utérine évolutive à 7 5/7 SA, avec BCF. D'un corps jaune kystique Ovaire Droit 45x37 mm, mais pas de signe de torsion ni de rupture. RAD avec Iténirol B6 et Primperan 10 mg. RdV chez son gynécologue le 04.06.2018. Mme. Y, 21 ans, 3 gestes 0 pare à 27 5/7 semaines d'aménorrhée, est adressée par les urgences pour un contrôle obstétrical dans un contexte de syndrome grippal sur probable rhinopharyngite le 10.06.2018. Mme. Y décrit depuis 2 jours une odynophagie, un encombrement nasal et des céphalées sans état fébrile associé et une notion de contage avec un collègue de travail malade le 09.06.2018. Aux urgences, Mme. Y est subfébrile à 37.8°C. Un test de streptocoque est réalisé et revient négatif. L'anamnèse obstétricale ne rapporte pas de douleur abdominale, mais des contractions utérines depuis 1 mois à raison de 10-15 par jour parfois. Elle décrit également une notion de perte de liquide il y a quelques jours sans métrorragies, pas de troubles uro-génitaux ou gastro-intestinaux et pas de signes de PE. La recherche de liquide amniotique par ActimProm est négative. A l'examen clinique d'entrée, Mme. Y est normocarde, normotendue, apyrétique (109/74, 93 bpm, 36.6°C). L'auscultation pulmonaire s'avère normale. Le fond de gorge est érythémateux sans plaque, exsudat ou hypertrophie amygdalienne ni adénopathie cervicale. Les sinus sont indolores à la percussion. L'abdomen est souple et indolore sans détente ni défense et les loges rénales sont indolores à l'ébranlement. Au spéculum, le col est long, mi-centre, mi-mou, fermé. L'échographie retrouve un fœtus eutrophique avec une bonne vitalité fœtale, mais un col raccourci à 18 mm sans funneling et non modifié au Valsalva. Le CTG est RNP mais avec 3 à 4 CUs par 10 min, dont quelques-unes ressenties et douloureuses. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser Mme. Y pour maturation pulmonaire et débutons une Tocolyse par Nifédipine 10 mg selon le protocole qui s'avère efficace. Un relais par Adalat retard 30 mg 2x/jour est effectué avec bonne réponse. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 61 et des GB à 14.7, avec seul point d'appel infectieux la sphère ORL. Une surveillance clinique et biologique rapprochée est mise en place. L'évolution est favorable cliniquement avec un syndrome inflammatoire à la baisse (CRP à 22 le 12.06.2018) et une Tocolyse efficace. La surveillance CTG s'avère normale durant son séjour et l'US du 12.06.2018 montre un col stable à 18 mm. Au vu de la constellation rhésus, Mme. Y bénéficie d'une dose de Rhophylac le 12.06.2018. Au vu de la clinique rassurante, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 12.06.2018 avec un traitement tocolytique par Adalat retard et Bryophyllum Pinnatum ainsi qu'un arrêt de travail à 100 % pour 2 semaines. Un contrôle clinique est prévu à votre consultation le 25.06.2018 afin de réévaluer le traitement tocolytique. Mme. Y, 22 ans, en BSH, 2 gestes 0 pare à 25 6/7 semaines d'aménorrhée, est amenée en ambulance le 05.06.2018 pour des douleurs lombaires évoluant depuis 1 semaine et du flanc droit irradiant vers la fosse iliaque droite en colique depuis 48h sans état fébrile ni frissons. Elle décrit également une tendance à la constipation et au reflux gastro-oesophagien depuis le début de la grossesse. Au status d'entrée, Mme. Y est hémodynamiquement stable, afébrile, l'abdomen gravidique est souple mais douloureux à la palpation en fosse iliaque droite sans défense ni détente avec absence de signe du psoas, obturateur, Mc Burney et Rosving, Murphy négatif. Les loges rénales sont indolores à l'ébranlement. Au niveau biologique, nous mettons en évidence un syndrome inflammatoire léger sans leucocytose avec CRP augmentant de 8 à 30 mg/l en 24h. Le bilan de gestose et les tests pancréatiques restent alignés. Le stix urinaire montre des leucocytes sans nitrites et le sédiment met en évidence une micro-hématurie microscopique. L'ultrason obstétrical abdominal et endovaginal s'avère normal. L'ultrason et l'IRM abdominales mettent en évidence une dilatation urétérale droite avec ectasie pyélocalicielle à 10 mm ainsi que des hyposignaux nodulaires en T2 dans l'uretère droit pouvant être compatibles avec des spasmes ou des phénomènes de flux. Durant son séjour, Mme. Y reste stable et afébrile. Grâce à la filtration des urines, nous récoltons un concrément que nous envoyons pour analyse en anatomo-pathologique et qui revient négatif pour du matériel lithiasique. Les douleurs sont contrôlées par une antalgie de palier II lors de crises douloureuses. Le deuxième US effectué le 08.06.2018 sur avis urologique au vu de 3 crises douloureuses durant son séjour s'avère normal avec une dilatation pyélique stable et la répétition du sédiment urinaire ne révèle pas de micro-hématurie. Au vu des examens cliniques et paracliniques rassurants avec diminution du syndrome inflammatoire (CRP à 11 mg/l le 07.06.2018), nous excluons une cause infectieuse et après avis des chirurgiens (viscéraux et urologues), nous concluons à des douleurs abdominales sur probable hypotonie urétérale gravidique et introduisons un traitement conservateur avec antalgie en réserve de palier II. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 08.06.2018 avec consignes de reconsulter en cas de symptomatologie nouvelle. Mme. Y, 23 ans, primigeste à 17 SA 1/7, consulte ce jour pour des métrorragies de sang brun depuis le matin, avec douleurs pelviennes à type de tiraillement. A l'anamnèse, pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de perte de liquide, pas de constipation ni de diarrhées. Pas de trauma abdominal, rapport sexuel la veille au soir. A l'examen clinique, Mme. Y est normocarde : 84 bpm, normotendue : 131/71, apyrétique : 36.9°C. Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum : col long, post, fermé. Pas de saignement actif, trace de vieux sang dans le vagin. A l'échographie, très bonne vitalité fœtale. Placenta praevia recouvrant, pas d'image de décollement ce jour. Col long, non modifié au Valsalva. Mme. Y, 23 ans, primigeste, est admise en salle d'accouchement le 12.06.2018 en vue d'une provocation pour suspicion de macrosomie. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 12.06.2018 à 22h45. Au vu du travail dystocique avec non progression de la dilatation, nous décidons d'une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par césarienne à une fille pesant 3630 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane sous-cutané. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par mise en place d'un Implanon dès 4 à 6 semaines post-partum, dans l'attente, Mme. Y utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 17.06.2018 en bon état général. Mme. Y, 24 ans, primigeste, est admise en salle d'accouchement le 12.06.2018 pour une rupture prématurée des membranes franche le 11.06.2018 à 19h00. Le streptocoque du groupe B étant négatif, nous optons, avec Mme. Y, pour une attitude expectative. Mme. Y se met en travail spontanément. Elle dilate harmonieusement sous péridurale. Le travail est soutenu par Syntocinon. Au cours du travail, nous suspectons une chorio-amniotite avec une leucocytose maximale à 35 G/L, une CRP à 98 mg/l et une température maximale à 38.5°C.La patiente accouche par ventouse kiwi en 3 tractions pour non progression de la présentation avec défaut d'expulsion à épine +1 et CTG intermédiaire. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3310 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une hémorragie avec des pertes estimées à 800 ml, raison pour laquelle elle bénéficie de 20 unités de Syntocinon et 1 g d'acide Tranéxamique. Il est également effectué une révision du col et du vagin. Il en résulte une anémie spoliative avec une hémoglobine à 61 g/l, raison pour laquelle elle bénéficie de l'administration d'un culot érythrocytaire le 13.06.2018 avec bonne réponse. Mme présente également un pic fébril en post-partum le lendemain de l'accouchement raison pour laquelle nous relayons l'antibiothérapie par de l'augmentin en intraveineux avec passage per os après 48 h afébrile pour une durée totale de 7 jours. Mme reste stable et afébrile le reste de son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique avec une CRP à la baisse, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.06.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 24 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 14.06.2018 pour une rupture prématurée des membranes franche. Le streptocoque du groupe B étant négatif, nous optons, avec la patiente, pour une attitude expectative. La patiente dilate rapidement jusqu'à 6 cm puis une urgence 0 est annoncée suite à une bradycardie fœtale. Elle donne naissance par césarienne à un garçon pesant 2670 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Au vu d'un allaitement maternel difficile, un sevrage secondaire de l'allaitement est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter au contrôle post-partum avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.06.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 24 ans, primigeste devenue primipare à 40 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 24.06.2018 pour mise en travail spontanée. Le travail est soutenu par Syntocinon et elle accouche spontanément. Les suites post-partales sont marquées par une anémie symptomatique avec une hémoglobine post-partale à 93 g/l pour laquelle elle bénéficie d'une injection de Ferinject en intraveineuse le 27.06.2018 avec bonne réponse. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.06.2018, en bon état général. Patiente de 25 ans primigeste à 18 SA 2/7 qui consulte pour traces de sang mélangées aux pertes vaginales depuis le soir de la veille. Elle décrit également des tiraillements pelviens comme des crampes. A reçu traitement de 3 jours par Fungotox sur suspicion de mycose vaginale dans la semaine dernière. Pas de démangeaisons, pas de symptômes urinaires ni digestifs. Pas de rapport sexuel depuis le début du traitement. Le stix urinaire est propre. A l'examen clinique, l'abdomen est souple et indolore. Au spéculum, le col est long et fermé, d'aspect sain. On n'observe pas de sang et les pertes vaginales sont blanchâtres, non malodorantes. Les parois vaginales ne présentent pas de lésions. L'échographie obstétricale met en évidence une très bonne vitalité fœtale et une biométrie fœtale correspondant à l'âge gestationnel. Le placenta latéral droit, normalement inséré, sans signes d'hématome ni de décollement. Le col utérin est long à 34 mm et fermé. La patiente rentre à domicile avec un traitement par Fluomizin ovules. Patiente de 25 ans primigeste devenue primipare à 39 3/7 semaines d'aménorrhée. Mme X a été hospitalisée le 06.06.2018 pour surveillance clinique et protéinurie de 24 h dans un contexte de suspicion de pré-éclampsie devant des céphalées avec œdèmes généralisés, sans hypertension artérielle. L'US réalisée le 07.06.2018 met en évidence un RCIU suspicion de décollement placenta périphérique. Laboratoire : Lc 11.4 g/L, Hg 118 g/L, Pq 276 g/L et CRP < 5 mg/l. Il est débuté la maturation pulmonaire le 05.06.2018 à 03h15 par une cure de Célestone 12 UI. Puis, la patiente est transférée au CHUV, nécessitant un établissement de néonatalogie < 32 Sa. Patiente de 27 ans, 2 gestes 1 pare à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 16.06.2018 pour une rupture prématurée des membranes. En absence de mise en travail spontanée, une provocation par Propess est débutée le 16.06.2018. Elle se met en travail, dilate rapidement et donne naissance par voie basse spontanée à un garçon pesant 3170 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. En raison de la constellation rhésus, Mme. Y bénéficie d'une dose de Rhophylac 300 mg en intraveineux le 17.06.2018, l'enfant étant rhésus positif. La contraception future se fera par mise en place d'un Implanon au contrôle post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.06.2018, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. Patiente de 27 ans, 4 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 17.06.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 17.06.2018 dans la nuit. Elle se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à une fille pesant 3390 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par mise en place d'un stérilet en cuivre dès semaines post-partales, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.06.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans, BSH, 3G1P enceinte à 7 3/7 SA (DDR 21.04.2018) après stimulation par Clomid, après 2 ans d'infertilité secondaire, consulte pour des saignements en faible quantité depuis midi sans élément déclenchant, notamment pas de traumatisme. Pas de rapport sexuel ces derniers temps. Pas de douleurs abdominales. Pas de plaintes gastro-intestinales ou urogénitales. Pas de nausées ni vomissements. Pas de fièvre ou frissons. Pas de signes fonctionnels urinaires. Premier contrôle avec échographie du premier trimestre était prévu initialement pour le lundi 18.06 chez son gynécologue traitant (Dr. X).Groupe O+ Examen clinique HD stable, afébrile Abdominal: abdomen souple et indolore sans défense ni détente, LRSI Gynécologique: • speculum: muqueuse vulvo-vaginale et paroi vaginale calme, pas de saignement actif, spotting brun présent dans le cul de sac postérieur, col de multipare sans signe de cervicite • TV: utérus antéversé, pas de masse palpable, indolore. Examens complémentaires: • Urine: leuco: neg, nitrite: neg, prot: neg, glucose: neg, corps cétoniques: neg, sang: +++, TG positif • Frottis bactériologique vaginal: en cours • US: utérus antéversé, grossesse intra-utérine avec embryon mesurant 1.19 cm correspondant à une grossesse de 7 3/7 SA et BCF présents, présence d'un minime décollement du pôle inférieur de l'œuf, pas de liquide libre, ovaires sans particularités Attitude: Dans ce contexte, nous laissons rentrer la patiente avec un traitement par utrogestan ovules et repos avec un arrêt de travail à 100% jusqu'à son prochain contrôle prévu auprès de son gynécologue traitant dans 1 semaine. Patiente de 28 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 14.06.2018 à terme + 3 en vue d'une provocation pour terme dépassé. A l'entrée, la patiente présente des tensions artérielles labiles avec un bilan de gestose effectué qui revient négatif. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 14.06.2018 et devant un col avec un bishop favorable, la provocation est poursuivie à l'aide du Syntocinon. Elle dilate alors harmonieusement sous Syntocinon, mais, en vue d'un tracé intermédiaire et d'un défaut d'expulsion à épines + 1, l'indication à une instrumentation par forceps est posée. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2870 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. La patiente reste afébrile et hémodynamiquement stable durant son séjour avec un profil tensionnel normalisé. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.06.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans, primigeste devenue 2 pares à 35 3/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Espada a été admise en salle d'accouchement pour une rupture prolongée des membranes à 35 2/7 semaines d'aménorrhée, dans un contexte de grossesse gémellaire bichoriale, biamniotique. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à deux enfants: J1 avec ventouse kiwi pour non-progression de la présentation à épine + 1, de sexe féminin pesant 2220 g et J2 après une grande extraction pour présentation podalique, de sexe féminin, pesant 1940 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 12.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 28 ans, 2 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 21.06.2018 en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par césarienne à une fille pesant 2600 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie spoliative et ferriprive symptomatique pour laquelle la patiente bénéficie d'une injection de Ferinject en intraveineux le 22.06.2018. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutané durant son séjour. En raison de la constellation rhésus, Mme. bénéficie d'une dose de Rhophylac le 22.06.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative Azalia dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.06.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans, 2G1P enceinte d'une grossesse à 11 SA qui consulte pour une persistance de vomissements après chaque repas et une incapacité à s'alimenter depuis environ 48 h. Les boissons sont néanmoins tolérées. Elle a pris pendant 2 semaines itinérol 2x/jour, primpéran 3x/jour, a fait de l'acupuncture et pris du gingembre. Elle respecte les consignes d'hygiène alimentaire habituelles. Poids habituel à environ 57.8. Le 25.05: 55 kg. Ce jour: 54 kg. Nous proposons une hospitalisation à la patiente qui nous dit préférer une hydratation pour avoir le temps de s'organiser pour la garde de sa fille car son mari est en voyage. Patiente de 28 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 02.06.2018 pour rupture spontanée des membranes à 2h00. La patiente se met en travail et dilate harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3010 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans, 6G1P, connue pour un facteur V de Leiden mise sous aspirine cardio et clexane depuis le début de sa grossesse, est admise dans notre service le 08.06.2018 pour menace d'accouchement prématuré légère à 27 3/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Ribeiro s'est présentée en consultation d'urgence le 08.06.2018 avec des contractions utérines irrégulières, peu douloureuses. L'échographie abdominale trouve un fœtus eutrophique à p60, avec quantité de liquide amniotique normale, mais l'échographie endovaginale met en évidence une longueur cervicale à 21 mm, avec funneling important de 5*2 cm. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour maturation pulmonaire et débutons une Tocolyse par Nifédipine 10 mg selon le protocole avec un relais par Adalat retard 30 mg. Malgré ce schéma, on constate toujours une contractilité utérine, alors la patiente est mise sous Tractocile pendant 48 h, qui s'avère efficace. Elle reçoit la première cure de Celestone le 09/06/2018 à 00h00 et la deuxième le 10/06/2018 à 00h00. Durant son séjour, Mme. reste hémodynamiquement stable et afébrile. Les examens paracliniques nous permettent d'exclure une cause infectieuse et Mme. ne présente plus de contractions après la fin du traitement par Tractocile. L'US de contrôle du 11.06.2018 est rassurant avec un col mesuré à 19 mm sans anomalie décelable. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. rentre à domicile le 11.06.2018 avec un arrêt de travail à 100% et conseils de repos. Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 28.06.2018. Patiente de 29 ans, 1G 0P, admise en salle d'accouchement le 02.06.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 02.06.2018. A l'entrée, un bilan de gestose est effectué pour des TA labiles, qui revient négatif. En per-partum, le travail est soutenu par Syntocinon. Après une heure de poussées actives à dilatation complète, nous posons l'indication d'une césarienne urgence 30 minutes pour défaut d'engagement. Pendant l'intervention, une lésion vésicale iatrogène est tout d'abord suspectée, puis infirmée par un test au bleu de méthylène. Pour un tonus utérin diminué au cours de l'intervention, la patiente reçoit 25 UI de Syntocinon post-partum, puis du Nalador selon le protocole. L'utérus se contracte alors correctement. Au vu d'une détresse respiratoire avec un Apgar 2/7/9 et un épisode de désaturation à l'air ambiant < 72 %, l'enfant est transféré à l'hôpital de Berne. Au post-partum, la patiente présente à nouveau des tensions artérielles labiles pendant 24 h avec TA > 160/90 revenues ensuite dans les normes et le bilan de gestose revient positif avec une protéinurie sur 24 h à 0.32 g le 05.06.2018 posant le diagnostic de pré-éclampsie légère, non compliquée.Les suites post-partales sont simples. La patiente reste stable avec un profil tensionnel normalisé dès 24h post-partum, ne nécessitant pas l'introduction d'un traitement. Elle reste afébrile pendant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, elle est transférée le 05.06.2018 à l'hôpital de l'Ile à Berne, en vue d'un rapprochement mère-enfant et surveillance post-partum. Patiente de 29 ans, connue pour un tabagisme actif à 15 UPA, qui consulte les urgences en raison de douleurs rétrosternales à caractère de coup de poignard, transfixiantes, apparues vers 04h45, sans irradiation, estimées à 8/10 d'EVA lors de l'intensité maximale. Mme. De Jésus ne rapporte pas d'autre symptôme d'accompagnement, elle n'est pas dyspnéique (hormis quand les douleurs sont intenses, elles lui couplent le souffle), n'a pas présenté d'état fébrile ou de toux, et n'a pas ressenti de douleur ou d'induration au niveau des mollets. Pas de notion de long voyage récent ni de contexte de contage. Mentionnons que la patiente a un implant contraceptif. Cliniquement, nous retrouvons une patiente dans un état général conservé, avec des téguments et muqueuses bien hydratés et perfusés, afébrile et avec des paramètres vitaux dans la norme. Au laboratoire, les valeurs sont alignées, et sur la radiographie du thorax nous ne visualisons pas d'élargissement du médiastin, de foyer ou de pneumothorax. Devant l'absence de critères de gravité et de la résolution spontanée des douleurs, nous laissons Mme. De Jésus rentrer à domicile, avec la consigne de reconsulter le médecin traitant en cas de réapparition des symptômes. Patiente de 29 ans enceinte au 5ème mois, qui consulte pour des vomissements et des vertiges depuis hier soir à 23h30. Mme. remarque un trouble de l'acuité visuelle de l'œil droit. Aux urgences, Mme. a des vomissements avec des traces de sang. Elle est stable, normocarde et normotendue. Au status, paralysie faciale droite complète avec signe de Souques. Trouble de l'oculomotricité avec incapacité à passer la ligne médiane dans le regard vers la droite sans diplopie. Unterberger dévié à droite. Force et sensibilité conservées aux 4 membres. Le reste du status est sans particularité hormis l'utérus gravidique. Nous effectuons un laboratoire qui montre une leucocytose à 11.8, sans syndrome inflammatoire. L'IRM montre une lésion ischémique ponto-mésencéphalique droite centimétrique avec transformation hémorragique minime sur les séquences T2*. Il n'y a pas de lésion de l'angle ponto-cérébelleux qui était le diagnostic différentiel. Sur l'IRM de 2013, on ne voit pas de lésion pontique. Mme. Dos Santos est transférée en stroke unit en accord avec le Dr. X et le Drsse X. Le Dr. X se prononcera pour l'Aspirine dans ce contexte. Patiente de 29 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 15.06.2018 en vue d'une provocation pour désir maternel. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 15.06.2018 dans la soirée. Elle se met en travail, dilate rapidement sous péridurale et donne naissance par voie basse à une fille pesant 3200 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.06.2018, en bon état général. Patiente de 29 ans, primigeste devenue primipare à terme + 6. Mme. Rey a été adressée par le Petit Prince pour un épuisement maternel devant un pré-travail persistant depuis 3 jours, dans un contexte de terme dépassé. La patiente est demandeuse d'une provocation et nous posons alors l'indication à une provocation par Propess pour AFI à 21 cm. Le Propess est débuté le 06.06.2018. La patiente se met en travail. Devant une diminution du rythme des contractions, nous instaurons du Syntocinon. Le travail est dystocique et devant une non-progression de la dilatation à 7 cm nous indiquons une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications et Mme. Rey donne naissance par césarienne à un enfant de sexe garçon pesant 3730 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane 40 mg sous-cutanée jusqu'à 5 jours post-partum. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 08.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 29 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 38 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Borlat a été admise en salle d'accouchement le 01.06.2018 pour mise en travail spontanée. Elle dilate rapidement et donne naissance par voie basse avec forceps en 2 tractions après échec de ventouse kiwi pour non-progression de la présentation à épines + 1, à un enfant de sexe masculin, pesant 3590 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales immédiates sont marquées par une atonie utérine modérée, nécessitant une révision au bloc opératoire qui ramène des caillots sanguins, dans le même temps nous suturons l'épisiotomie médio-latérale droite. La suite du post-partum est simple et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pose d'un Implanon lors de la consultation post-partale. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018 en bon état général. Patiente de 29 ans, 2 gestes devenue 2 pares, admise en salle d'accouchement le 25.06.2018 pour mise en travail spontané. Elle dilate harmonieusement et accouche spontanément. Les suites post-partales sont simples et Mme. reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet en cuivre dès 6 semaines post-partales, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.06.2018, en bon état général. Patiente de 29 ans, 2G0P à 38 3/7 semaines d'aménorrhée admise en salle d'accouchement le 29.05.2018 pour rupture prématurée des membranes le 28.05.2018. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 29.05.2018 pour non mise en travail spontanée et le travail est soutenu par Syntocinon le 30.05.2018. Elle dilate harmonieusement mais présente par la suite une stagnation de la dilatation à 9 cm, posant l'indication à une césarienne, pour laquelle elle donne son consentement éclairé. En raison d'une atonie utérine, la patiente reçoit 10 UI Syntocinon et Nalador i.v après l'intervention si se déroule sans complication. Mme. donne naissance à une fille, pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Néanmoins lors du travail il est mis en évidence une fièvre maternelle à 38,1 °C, avec tachycardie maternelle et syndrome inflammatoire biologique. Dans ce contexte et devant une forte suspicion de chorio-amniotite, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl et gentamycine pour une durée de 48h. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Sevrage primaire de l'allaitement. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.06.2018, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 3 gestes devenue 3 pares à terme + 6. Mme. Rassuli a été admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement et rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin, pesant 3980 g avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet dès 6 semaines post-partales, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 05.2018 avec son enfant et sera revue au contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 29 ans, 3 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 15.06.2018 pour mise en travail spontané. Au vu de l'antécédent de déchirure de degré IV en 2010, il est décidé d'une césarienne réalisée le lendemain. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par césarienne à une fille pesant 3320 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutané durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.06.2018, en bon état général. • Patiente de 29 ans, 7G0P, à 20 5/7 semaines d'aménorrhée, adressée le 17.06.2018 par les urgences de Riaz pour douleurs abdominales depuis 3 jours, d'aggravation progressive, majorées à la mobilisation. Pas de fièvre ni frissons ni symptômes digestifs ou urinaires hormis une pollakiurie. Elle ne rapporte pas de pertes vaginales inhabituelles ni de pertes sanguines. Grossesse normo évolutive suivie à Vevey, terme prévue le 30.10.2018. Pas d'antécédent médicaux-chirurgicaux, BSH, pas de médication, pas d'allergie. P 60 kg, T 163 cm. À l'arrivée, elle est normotendue, normocarde et afébrile (36.4°C). L'abdomen est souple, douloureux à la palpation sous-ombilicale, sans défense ni détente. À la pose du speculum, on constate une protrusion de la poche des eaux. Les tests ActimProm et ActimPartus sont positifs. À l'échographie, on met en évidence un col quasi effacé ouvert à 1 cm avec protrusion des membranes dans le vagin. Présentation céphalique, biométrie correspondante à l'âge gestationnel. BCF+, MF+, LA normal. Le placenta est postérieur normalement inséré. La patiente est hospitalisée pour rupture prématurée des membranes et menace de fausse couche à 20 5/7 semaines d'aménorrhée. Nous mettons en place une antibiothérapie, ainsi qu'un cathéter de péridurale à dose minimale en anticipation d'une éventuelle expulsion. La patiente et son conjoint sont informés du mauvais pronostic. Dans la nuit, on constate une rupture franche des membranes avec quelques contractions, sans expulsion du fœtus. Le liquide amniotique est teinté et malodorant et le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec leucocytes 16.6 G/l et CRP 66 mg/l. À l'échographie le matin du 18.06.2018, on met en évidence un anamnios complet avec un fœtus en voie d'expulsion. Dans la journée, la patiente expulse le fœtus qui est mort-né. Nous procédons à une délivrance artificielle par révision utérine et à un curetage évacuateur au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complications, et les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 19.06.2018 avec un contrôle clinique à prévoir dans 4-6 semaines. • Patiente de 29 ans, 4 gestes devenue 2 pares à 39 3/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Jashari a été admise en salle d'accouchement le 19.06.2018 pour rupture prématurée des membranes le 19.06.2018 à 22h00. En absence de mise en travail spontanée, une induction par Propess est décidée. Un premier Propess est mis en place le 20.06.2018 à 10h00 sans mise en travail. Après 24 h de provocation sans mise en travail dans un contexte d'utérus cicatriciel. Après discussion avec la patiente, on décide d'un accouchement par césarienne. L'intervention se déroule sans complications. Elle donne naissance à un garçon de 2990 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une anémie spoliative et ferriprive symptomatique pour laquelle la patiente bénéficie d'une injection de Ferinject en intraveineux le 22.06.2018. La patiente reste stable et afébrile le reste de son séjour. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutané durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.06.2018, en bon état général et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 29 ans, 7G0P, ayant bénéficié d'un transfert de 2 embryons à J5 le 02.05.2018 en République Tchèque, consulte pour des métrorragies de moyenne abondance avec douleurs pelviennes intenses à type de crampe. Patiente actuellement sous Utrogestan 600 mg par jour, clexane 40 mg et Prednisone 5 mg. À l'anamnèse, pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées, pas de constipation, pas de nausées. À l'examen clinique, patiente normocarde, normotendue, apyrétique : 116/86 mmHg, 82 bpm, 36.7°C. Abdomen souple, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au speculum, col entre ouvert, saignement endo-utérin actif de moyenne abondance. À l'échographie : visualisation de deux sacs gestationnels, un intra-utérin avec embryon à 5 SA et activité cardiaque, puis un au niveau cervical avec embryon à 5 SA et activité cardiaque, ce dernier évoquant une grossesse cervicale. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinique et prise en charge antalgique. Le 28.05.2018, la patiente présente des saignements sur début de décollement de la grossesse cervicale. Nous décidons de la transférer au bloc opératoire. Elle bénéficie d'un curetage du sac cervical suivi d'un cerclage. Les suites opératoires sont simples et afébriles. La patiente bénéficie de 48 heures d'antibioprophylaxie intraveineuse, ainsi que d'une substitution martiale par Maltofer en gouttes devant une anémie aiguë post-hémorragique à 90 g/L. Une échographie de contrôle le 29.05.2018 confirme la vitalité de la grossesse intra-utérine, ainsi que la présence d'un hématome intra-cervical de 12 mm. Devant la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile le 30.05.2018, avec un contrôle prévu à la consultation du Dr. X dans 1 semaine. Elle poursuivra le traitement prescrit d'Utrogestan. • Patiente de 29 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 22.06.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 22.06.2018 et rompt spontanément le 23.06.2018 à 03h15, raison pour laquelle nous débutons l'antibioprophylaxie par Clamoxyl pour un portage du streptocoque du groupe B. La patiente dilate et le travail est soutenu par Syntocinon. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3920 g, de bonne adaptation néonatale. En post-partum direct, Mme. présente une hémorragie avec des pertes estimées à 800 ml sur rétention de matériel avec atonie utérine, raison pour laquelle nous procédons à une révision manuelle utérine et administrons du Syntocinon avec bonne réponse. Mme. reste stable et afébrile durant son séjour.L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.06.2018, en bon état général. Patiente de 30 ans, primigeste à 18 SA 6/7, consulte ce jour pour des métrorragies de sang rouge d'apparition brutale ce matin avec douleur abdominales basses, à type de tiraillement. Pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de perte de liquide, constipation, pas de diarrhées, pas de rapport sexuel récent, pas de traumatisme abdominal. À l'examen, patiente normocarde: 75 bpm, normotendue: 109/68, apyrétique. Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum col long, postérieur, fermé. Pas de saignement actif, sang rouge dans le cul de sac postérieur. Pas d'écoulement de liquide spontané ni à l'effort de toux. L'ultrason retrouve un col long non modifié au Vasalva avec un foetus eutrophique et un placenta praevia marginal à 1 cm de l'orifice interne, sans image de décollement visualisée. Devant l'absence de saignement actif et l'échographie rassurante, nous laissons rentrer la patiente sous Dafalgan et Magnésiocard avec un arrêt de travail à 100% et lui conseillons de contrôler l'évolution clinique dans une semaine, chez le gynécologue traitant. Patiente de 30 ans, suivie pour une infertilité primaire d'origine endométriosique et ovarienne (SOPK), adressée pour une stimulation ovarienne et ponction ovarienne écho-guidée en vue d'une fécondation in-vitro +/- ICSI. La patiente bénéficie d'une ponction ovocytaire écho-guidée avec prélèvement de 17 ovocytes, sous anesthésie générale au bloc opératoire le 18.06.2018. Pas de complication per-opératoire. Nous constatons une hyperstimulation ovarienne stade 1, raison pour laquelle nous demandons un bilan biologique, et nous proposons à la patiente une hospitalisation pour surveillance. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 20.06.2018, avec un premier contrôle clinique +/- biologique dans 48 heures. Patiente de 30 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 02.06.2018 pour mise en travail spontané. Elle se met en travail et dilate harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2800 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. En raison de la constellation rhésus, Madame bénéficie d'une dose de Rhophylac le 03.06.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Patiente de 30 ans, 1G1P en BSH qui consulte ce jour pour des douleurs abdominales depuis une semaine dans le bas abdomen irradiant jusque dans les lombaires, sans claire symptomatologie digestive, urinaire ou gynécologique. L'examen au spéculum est dans les normes. L'examen par ultrason endovaginal met en évidence un kyste ovarien gauche de 31x17 mm, rompu, associé à du liquide libre intra-abdominal. Au vu de l'évolutivité de l'examen ultrasonographique avec augmentation du liquide libre, nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinique, laboratoire, et antalgie. Patiente de 30 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 11.06.2018 pour mise en travail spontané. Un bilan de gestose est effectué à l'entrée pour une diastole à la limite supérieure de la norme, qui revient négatif. Le travail est dystocique. Après une stagnation à 4 cm de dilatation, nous procédons à une rupture artificielle des membranes avec écoulement d'un liquide clair. La patiente dilate ensuite harmonieusement jusqu'à dilatation complète. Après 1 h 30 de dilatation complète avec efforts de poussées actives, il est décidé d'une césarienne en urgence 30 minutes pour un défaut d'engagement. En per-opératoire, une déhiscence de la cicatrice d'utérotomie est constatée au niveau du segment inférieur. Elle donne naissance à une fille pesant 3550 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. En raison de la constellation rhésus, Madame bénéficie d'une dose de Rhophylac le 12.06.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant à la consultation post-partale. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 16.06.2018, en bon état général. Patiente de 30 ans, 2G2P, admise en salle d'accouchement le 23.05.2018 en vue d'une provocation pour fatigue maternelle. Elle bénéficie d'une provocation par Syntocinon le 23.05.2018 à 14 h 45. Suite à un échec d'instrumentation, nous posons l'indication de césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à une fille de bonne adaptation néonatale. À J0, 7 h 00 après l'intervention, la patiente présente une hémorragie du post-partum sans atonie utérine. Après évaluation en chambre, il est décidé d'effectuer une révision au bloc opératoire. Il est constaté un saignement actif par la voie vaginale dont l'origine n'est pas visible. Il est posé un ballon de Bakri pour son effet hémostatique puis on effectue une reprise par laparotomie selon Pfannenstiel. Après l'utérotomie, on découvre une déchirure de l'angle droit avec un saignement actif. Il est effectué une fermeture qui permet de stopper le saignement. Au vu d'une anémie aiguë à 58 g/l, la patiente est transférée aux soins continus et elle reçoit 6CE, 5 PFC, 2 g de fibrinogène, 1 g de Cyklokapron et 1 Voluven. Le laboratoire de contrôle le 24.05 montre une Hg à 112 g/L et des thrombocytes à 54 G/L. La patiente retourne dans le service de maternité le 24.05.2018. À l'étage de la maternité, Madame reste hémodynamiquement stable mais présente des pics fébriles itératifs avec frissons solennels dès J3 post-intervention sans autre symptomatique hormis un utérus bien contracté et douloureux à la palpation. Dans ce contexte, nous introduisons une antibiothérapie par Co-amoxicilline intraveineux après avoir effectué des hémocultures et des cultures d'urines qui reviennent positives pour Enterococcus faecium. Sur le plan biologique, nous observons alors une normalisation de la formule sanguine simple avec disparition de la thrombocytopénie mais aussi un syndrome inflammatoire à la baisse avec une CRP à 78 g/, le 30.05.2018. Cependant, au vu de la récurrence des pics fébriles, Madame bénéficie d'un scanner le 29.05.2018 qui permet d'exclure un abcès et met en évidence une thrombose ovarienne gauche ainsi qu'une embolie pulmonaire sous-segmentaire basale droite ainsi qu'un appendice à contenu liquidien mesuré à 10 mm de diamètre. Sur avis du Dr. X, nous introduisons une anticoagulation thérapeutique pour une durée totale de 3 mois.L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet hormonal (Mirena) dès 6 semaines post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 31.05.2018, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 3 gestes devenue 2 par terme + 8. Mme. Erni admise en salle d'accouchement le 07.06.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Le col étant favorable, elle bénéficie d'une provocation par Syntocinon. Elle se met en travail, dilate harmonieusement sous péridurale et donne naissance par voie basse à une fille pesant 4030 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès J21 du post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.06.2018, en bon état général et sera revue en contrôle post-partum dans 6-8 semaines. • Patiente de 30 ans, 3 gestes devenue 2 par à 37 2/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Petrovic a été admise en salle d'accouchement pour une césarienne élective itérative pour placenta praevia postérieur marginal. L'intervention est effectuée le 08.06.2018 et se déroule sans complication. La patiente donne naissance par césarienne à un enfant de sexe masculin, pesant 3090 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane 40 mg. L'allaitement est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 11.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. • Patiente de 30 ans, 3 gestes 1 pare à 9 SA d'après DDR, consulte ce jour pour des métrorragies de faible abondance depuis 2 jours, après un rapport sexuel. La patiente est actuellement sous aspirine cardio depuis 3 jours pour un ATCD de RCIU. Pas de notion de traumatisme, pas de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de douleurs abdomino-pelviennes. À l'examen clinique, patiente normocarde, normotendue, apyrétique. Abdomen souple et dépressible, indolore, tympanique, pas de défense, pas de détente. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum : col long, très postérieur. Traces de vieux sang dans le vagin. À l'échographie, visualisation d'une GIU à 7 SA 4/7, d'après LCC, avec ACF. Présence d'un décollement du pôle inférieur de 2.4*0.8 cm. Ovaires vus. • Patiente de 30 ans, 4 gestes devenue 4 pare à terme + 6 jours. Mme. Kohler a été admise en salle d'accouchement le 01.06.2018 pour mise en travail spontanée. Elle dilate rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin, pesant 4020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente utilisera le préservatif si besoin. La patiente souhaite rentrer à domicile ce jour. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.06.2018 sur sa demande, en bon état général. • Patiente de 30 ans, 4G2P, admise dans notre service le 29.05.2018 à 32 semaines d'aménorrhée pour des contractions utérines douloureuses. À l'anamnèse, la patiente ne signale pas de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de perte de sang ou de liquide, pas de signes de PE. L'examen clinique retrouve une patiente hémodynamiquement stable. L'abdomen est souple sans détente, ni défense. Les loges rénales sont souples et l'ébranlement lombaire est négatif des deux côtés. Au spéculum, on met en évidence un col mi-centré, fermé, raccourci et l'échographie mesure un col à 22 mm, stable au Valsalva. Le CTG est R-NP avec des contractions utérines irrégulières. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une menace d'accouchement prématuré, tocolyse par Adalat et maturation pulmonaire. L'évolution est marquée par une tocolyse efficace par Adalat avec disparition complète des contractions utérines et des CTG de contrôles réactifs non pathologiques. Cependant, nous remarquons une cytolyse au laboratoire ainsi qu'une légère cholestase qui peut être compatible avec un effet secondaire de l'Adalat, raison pour laquelle nous stoppons le traitement et laissons la patiente sous magnésium. Un US abdominal effectué le 01.06.2018 nous permet d'exclure raisonnablement des lithiases vésiculaires ou des signes de cirrhose. Nous posons un diagnostic différentiel avec une cholestase gravidique notamment au vu d'un prurit nouveau localisé au niveau abdominal en fin de séjour. Le laboratoire de contrôle montre une légère diminution de la cytolyse après arrêt de l'Adalat. La patiente reste stable, afébrile sans douleurs abdominales durant son séjour. Dans ce contexte, nous laissons rentrer la patiente à domicile sous traitement de magnésium et nous prévoyons un contrôle biologique comprenant les tests hépatiques et un dosage des acides biliaires à jeun le 04.06.2018. Nous préconisons également un contrôle échographique de mesure du col et biologique (tests hépatiques) dans 1 semaine, le 08.06.2018. La patiente est informée des signes et symptômes cliniques nécessitant une consultation en urgence. • Patiente de 31 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 12.06.2018 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant et retard de croissance intra-utérin. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 12.06.2018 à 22h15. À 6h00, elle bénéficie de la pose d'une péridurale. La rupture spontanée des membranes a lieu à 7h00 le 12.06.18. À 7h15, on constate un hémi-syndrome concernant uniquement l'hémiface droite supérieure (partie inférieure non évaluable à cause de la péridurale) avec un état hémodynamiquement stable, apyrétique. L'ECG démontre un rythme sinusal sans trouble de la repolarisation. Il est demandé un consilium de neurologie qui préconise après discussion avec les soins intensifs et les obstétriciens d'effectuer une césarienne en urgence 30 min avant les examens radiologiques. L'intervention se déroule sans complication. Il est mis en place un Redon dans le cul de sac de Douglas. Les examens radiologiques complémentaires nous ont permis d'exclure une cause ischémique et vasculaire. L'IRM cérébrale et l'angio-IRM du polygone de Willis sont dans les limites de la norme, sans argument en faveur d'une lésion ischémique aiguë. L'écho-doppler des vaisseaux pré-cérébraux ne montre aucune anomalie. La patiente a présenté le jour même des investigations, c'est-à-dire le 12.06.2018, une régression complète et spontanée de la symptomatologie. Nous concluons donc à un syndrome de Claude-Bernard-Horner et troubles sensitifs transitoires sous péridurale. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2450 g (P5), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente afébrile. Le lendemain de l'opération, le Redon rendant 100 ml sur 24h est retiré. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 16.06.2018, en bon état général. • Patiente de 31 ans, 1 geste devenue 1 pare à 36 SA 5/7, est admise en salle d'accouchement le 01.06.2018 pour rupture prématurée des membranes à 01h00. Devant l'absence de mise en travail spontané, nous débutons une provocation par Propess le même jour. La patiente se met en travail, dilate rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin pesant 2550 g, de bonne adaptation néonatale.Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide d'un tire-lait. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter à la consultation post-partale. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Mme. Y de 31 ans, 1G devenue 1P à 36 5/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 01.06.2018 pour rupture prématurée des membranes à 01h00. Devant l'absence de mise en travail spontané, nous débutons une provocation par Propess le même jour. La patiente se met en travail, dilate rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin pesant 2550 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide d'un tire-lait. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter à la consultation post-partale. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Mme. Y de 31 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 30.05.2018 pour rupture prématurée des membranes le 30.05.2018 à 19h30. Elle se met en travail spontanément, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe masculin, pesant 3600 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Mme. Y de 31 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 39 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Zogaj a été admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement et rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe masculin, pesant 4230 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. Aucune contraception future désirée par la patiente. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 30.05.2018 avec son enfant et sera revue au contrôle post-partal dans 6 à 8 semaines. Mme. Y de 31 ans, 4 gestes devenue 3 pares à 38 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Pereira a été admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement et rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe masculin, pesant 3760 g, avec une bonne adaptation néonatale. Néanmoins, l'expulsion a été marquée par une difficulté aux épaules résolutive par manoeuvre de Mac Roberts et appui sus-pubien. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet dès 6 semaines post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 31.05.2018 avec son enfant et sera revue au contrôle post-partal dans 6 à 8 semaines. Mme. Y de 31 ans, 4G1P à terme + 8, admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement et rapidement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin, pesant 3280 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire à l'allaitement est débuté et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée à la consultation post-partum, dans l'attente, la contraception se fera par l'utilisation du préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 30.05.2018 avec son enfant et sera revue au contrôle post-partal dans 6 à 8 semaines. Mme. Y de 32 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 13.06.2018 pour rupture spontanée des membranes. La patiente se met en travail spontanément et dilate rapidement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3930 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une incontinence urinaire d'effort, raison pour laquelle nous lui prescrivons de la physiothérapie de rééducation du périnée dès 6 semaines post-partales. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.06.2018, en bon état général. Mme. Y de 32 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 02.06.2018 pour rupture prématurée des membranes et présentation siège en vue d'une césarienne. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2110 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.05.2018, en bon état général. Mme. Y de 32 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 39 2/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Desku a été admise en salle d'accouchement pour une rupture prématurée des membranes. Elle se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe masculin, pesant 3640 g avec une bonne adaptation néonatale. Par la suite, on met en évidence une rétention placentaire non hémorragique et on pose l'indication à une délivrance artificielle par révision utérine au bloc opératoire, qui se déroule sans complication. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 31.05.2018 avec son enfant et sera revue au contrôle post-partal dans 4 à 6 semaines. Mme. Y de 32 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 05.06.2018 en vue d'une provocation pour macrosomie. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 05.06.2018 à 21h00. Elle se met rapidement en travail et dilate harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 4340 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une rétention placentaire avec une atonie utérine engendrant une hémorragie avec des pertes estimées à 800 ml nécessitant une délivrance artificielle au bloc opératoire. L'intervention s'est déroulée sans complication. Le placenta est sans particularité et est envoyé pour analyse anatomo-pathologique. Mme. présente également une anémie spoliative symptomatique pour laquelle Mme. bénéficie d'une injection d'une dose de Ferinject 1000 mg avec bonne réponse clinique. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.06.2018, en bon état général. Mme. Y de 32 ans, 4 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 14.06.2018 en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication. Durant l'opération, nous constatons un status adhérentiel pour lequel elle a bénéficié d'une adhésiolyse péritoine-utérin.Elle donne naissance par césarienne à un garçon pesant 2950 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.06.2018 en bon état général. Patiente de 32 ans, 6G devenue 4P, admise en salle d'accouchement le 15.06.2018 pour mise en travail spontané. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3250 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.06.2018, en bon état général. Patiente de 33 ans, 2 gestes 1 pare, à 36 6/7 admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes à minuit le 23.06.2018. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 23.06.2018 à 13h30. Au vu d'un CTG pathologique et d'un travail dystocique marqué par une non-progression de la présentation avec des poussées actives inefficaces, nous procédons à une instrumentation par ventouse kiwi. Les suites post-partales sont marquées par une anémie symptomatique avec une hémoglobine à 87 g/l pour laquelle la patiente bénéficie d'une injection de Ferinject 1000 mg en intraveineux le 25.06.2018. L'allaitement maternel complet est initié avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente de rediscuter avec son gynécologue traitant lors de la consultation post-partale. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 27.06.2018, en bon état général. Patiente de 33 ans, 2 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 12.06.2018 pour mise en travail spontané avec des contractions utérines régulières. Elle présente un travail harmonieux et très rapide. À dilatation complète, l'engagement est rapide et la césarienne élective initialement prévue la semaine prochaine n'est pas effectuée. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3750 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par QLAIRA dès 6 semaines post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.06.2018, en bon état général. Patiente de 33 ans, nulligeste adressée par l'HFR Meyriez-Murten pour découverte d'un kyste de l'ovaire droit au scanner réalisé pour un bilan de douleurs de la fosse iliaque droite, évoluant depuis 3 jours. Aux urgences, le laboratoire réalisé retrouvait un syndrome inflammatoire biologique avec des GB: 12.5 g/l, CRP: 52, la patiente était fébrile avec une température à 38.2°C. Un CT a été réalisé qui a exclu une appendicite, mais a retrouvé un kyste de l'ovaire droit, raison pour laquelle la patiente nous est adressée. À l'anamnèse pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de pertes vaginales nauséabondes, pas de métrorragies, pas de dysménorrhées, pas de dyspareunies, pas de troubles digestifs. La patiente explique avoir bénéficié d'un traitement par clamoxyl 1g pendant 3 jours il y a 1 semaine pour une trachéite. Actuellement, la patiente présente une rhinite allergique et une toux grasse. DDR il y a 6 semaines environ (cycle long depuis l'arrêt de sa pilule), désire de grossesse. À l'examen clinique, patiente normocarde 82 bpm, normotendue: 121/74, apyrétique: 37.6°C. Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum, col d'aspect sain, pertes d'allures physiologiques. KOH négatif, ED sp, frottis bact + chlam en cours. TV pas de douleur à la mobilisation utérine, ni du col, pas de douleur latéralisée à l'annexe gauche, mais douleur latéralisée à l'annexe droite. Stix: propre, TG négatif. L'US retrouve un utérus antéversé, arqué? avec endomètre fin. Présence d'un kyste du corps jaune hémorragique à droite, ovaire gauche sp. Lame de liquide libre dans le Douglas (10*5 mm). Nous posons le diagnostic de corps jaune hémorragique de l'ovaire droit, expliquant les douleurs, mais n'expliquant pas le syndrome inflammatoire biologique, qui peut être expliqué par une infection ORL ou respiratoire. Nous proposons à la patiente de retourner aux urgences pour faire le tour, mais elle préfère consulter son médecin traitant le lendemain. Avec un état clinique conservé et une échographie rassurante, nous laissons rentrer la patiente avec un traitement antalgique simple et lui proposons d'effectuer un contrôle clinique gynécologique à 48h qu'elle préfère faire chez son gynécologue traitant. La patiente est néanmoins avertie de reconsulter avant si péjoration clinique. Patiente de 33 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 09.06.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 09.06.2018 dans la nuit. La patiente se met en travail le 10.06.2018, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 4420 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Mme. Y décrit une incontinence urinaire d'effort et au Valsalva, raison pour laquelle nous préconisons de la physiothérapie pour rééducation du périnée dès 6 semaines post-partales. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé en juin 2018, en bon état général. Patiente de 33 ans, 1 geste devenue 1 pare à 40 semaines d'aménorrhée par césarienne en urgence pour CTG pathologique, à l'hôpital de Daler, qui est transférée dans notre service pour un rapprochement avec son enfant qui a nécessité une hospitalisation en néonatologie. Les suites post-partales sont simples et la patiente afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 24.06.2018, en bon état général. Patiente de 33 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 38 2/7, admise en salle d'accouchement le 22.06.2018 en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par césarienne à un garçon pesant 3630 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutané durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant lors de la consultation post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.06.2018, en bon état général. Contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines, à votre consultation. Patiente de 33 ans, 3 gestes 2 pares à 5 SA 2/7, d'après DDR consulte ce jour pour des métrorragies de faible abondance il y a deux heures avec des tiraillements abdominaux.A l'examen clinique, patiente hémodynamiquement stable, apyrétique. (124/74, 81 bpm, 36.9°C) Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum: ectropion, pas de saignement endo-utérin actif, pas de trace de sang dans le vagin. KOH négatif, frottis bactériel en cours. Image endo-utérine pouvant correspondre à un sac gestationnel. Ovaire droit, corps jaune, ovaire gauche seulement. Att: contrôle US dans 7 jours. Rhophylac 300 mcg fait ce jour (lot: 4370200010) Patiente informée de revenir avant si péjoration clinique. Patiente de 33 ans, 8G0P, qui consulte à 7 SA 1/7 pour pertes brunâtres depuis la nuit passée. Grossesse sur transfert d'un embryon au Portugal. Sous traitement par Utrogestan. Normocarde, normotendue, apyrétique. Pas de symptômes urinaires ni digestifs. Pas de douleurs. Au spéculum: Aucune trace de sang, ovule d'utrogestan. L'échographie transvaginale met en évidence un sac gestationnel intra-utérin avec un embryon de 8 mm, avec activité cardiaque. Quantité minime de sang au niveau du pôle inférieur du sac. La patiente rentre à domicile et aura son prochain contrôle le 11.07.2018. Patiente de 33 ans, 2G0P, admise en salle d'accouchement le 12.06.2018 en vue d'une provocation pour oligoamnios. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 12.06.2018 à 20h40. La patiente dilate harmonieusement et accouche par forceps pour CTG pathologique. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2900 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par des hémorroïdes externes sans thrombose pour lesquelles nous préconisons un traitement conservateur et une consultation auprès d'un proctologue à distance si nécessaire. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 16.06.2018 en bon état général. Patiente de 34 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 31.05.2018 pour mise en travail spontané à 39 2/7 semaines d'aménorrhée. La patiente arrive à dilatation complète et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3470 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une crise hémorroïdaire externe sans thrombose pour laquelle nous préconisons un traitement conservateur et une consultation auprès d'un proctologue à distance si nécessaire. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.06.2018, en bon état général. Patiente de 34 ans, 3G3P, devenue 3 pares à 37 2/7 semaines d'aménorrhée. Elle a été admise en salle d'accouchement pour une provocation à 36 6/7 semaines d'aménorrhée dans le cadre d'un antécédent de MFIU à 37 5/7 semaines d'aménorrhée en 2016. Devant un col défavorable, nous indiquons une induction par Propess. Un premier Propess est posé le 06.06.2018 et un deuxième le 07.06.2018. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin, pesant 2730 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif et sera rediscutée lors du contrôle post-partum. La patiente est néanmoins informée du risque de grossesse en absence de contraception. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 10.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 34 ans, 3G3P, admise en salle d'accouchement pour une césarienne élective itérative avec segment inférieur fin. L'intervention est effectuée le 08.06.2018 et se déroule sans complication. La patiente donne naissance par césarienne à un enfant de sexe masculin, pesant 4330 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane 40 mg sous-cutané durant l'hospitalisation. L'allaitement est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 12.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 34 ans, 5G3P, qui consulte à 17 SA 6/7 pour douleurs en FID, au niveau du flanc et dorso-lombaires, crampiformes, évoluant depuis 15h et en péjoration depuis 17h30. A pris 1 g de Dafalgan par voie orale à 17h15 puis, à son arrivée aux Urgences, elle a reçu 10 mg par voie orale de Morphine pour EVA 10/10. Décrit des frissons, sans épisode fébrile. Nausées sans vomissement, transit conservé. A eu une APP il y a 13 ans, opérée par tomie. Pas de métrorragie. Pas de pertes de liquide. Pollakiurie sans brûlures mictionnelles. Abdomen souple sans CU, cicatrice Mc Burney sans particularité, douleurs en FID à la palpation profonde, douleurs au flanc droit, Murphy négatif. Pas de défense ni détente. Ébranlement des loges rénales: positif à droite. Speculum: col de multipare, long postérieur et fermé, pertes vaginales blanchâtres légèrement lait-caillés, sans prurit. L'échographie obstétricale met en évidence une grossesse évolutive, avec bonne vitalité fœtale. La patiente est soulagée par l'antalgie et, vu l'état stable, on autorise le retour à domicile. Patiente de 35 ans, 2G2P, admise en salle d'accouchement le 21.06.2018, en vue d'une provocation pour oligoamnios. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 21.06.2018 à 21h30 dans la nuit. Le col se modifie progressivement, permettant de rompre artificiellement la poche des eaux le 22.06.2018. Elle se met ensuite en travail et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2880 g (P5), de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente est afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.06.2018, en bon état général. Patiente de 35 ans, 1G0P, admise le 05.06.2018 pour mise en travail spontanée. Elle présente une grossesse gémellaire bichoriale biamniotique d'évolution harmonieuse suivie par le Dr. X avec une dernière échographie effectuée le 15.05.2018, normale avec une bonne vitalité des deux fœtus. A son arrivée en salle d'accouchement, la patiente contracte aux 4 minutes. L'échographie endovaginale met en évidence la MIU de J1 et 2 présentations céphaliques. Le laboratoire d'entrée s'avère normal avec un bilan de gestose négatif. La patiente est stable hémodynamiquement et afébrile. Elle dilate harmonieusement sous péridurale. Elle donne naissance par voie basse à 2 garçons, le premier décédé in utéro pesant 1390 g, et le deuxième pesant 1500 g, de bonne adaptation néonatale. La mort in utéro reste d'origine indéterminée. Des frottis placentaires ont été effectués et le placenta est envoyé en anatomo-pathologie. Une autopsie du corps de l'enfant a été refusée par les parents. Les suites post-partales sont simples et afébriles. En raison de la constellation rhésus, la patiente bénéficie d'une dose de Rhophylac le 06.06.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.06.2018, en bon état général.Patiente de 35 ans, primigeste à 7 SA 2/7 d'après DDR, consulte ce jour pour contrôle Beta HCG pour la grossesse non évolutive. Il s'agit d'une grossesse surprise, mais finalement désirée. Beta HCG le 14.06 qui était à 18000 et le 18.06.2018 à 20000 avec un embryon visualisé à l'échographie sans activité cardiaque. Beta HCG aujourd'hui à 25'623 UI/l. La patiente ne décrit pas de douleurs abdomino-pelviennes, pas de métrorragies, ni de pertes anormales, pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées, pas de nausées ni de vomissements. A l'examen clinique, patiente normocarde, normotendue, apyrétique (TA 120/71, T°36.1°C). La patiente n'a pas pris la décision pour Cytotec ou curetage. Mais après, la patiente a appelé pour consultation pré-hospitalière. Patiente de 35 ans, primigeste devenue primipare à terme + 5/7. Mme. Kronisch a été admise en salle d'accouchement pour des contractions utérines dans un contexte de présentation podalique. La patiente se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe féminin, pesant 3020 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 10.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 35 ans qui présente des oligo-arthralgies chroniques sous forme de poussées douloureuses. La radiographie ne montre rien de particulier. En raison des multiples arguments pour une pathologie rhumatologique, nous proposons à son médecin traitant de l'orienter vers une consultation spécialisée. Patiente de 35 ans, 2G2P, admise en salle d'accouchement le 11.06.2018 pour mise en travail spontanée. Elle dilate harmonieusement. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2580 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La patiente souhaite effectuer son suivi de post-partum au Petit Prince et s'y rendra le 11.06.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception est à rediscuter avec la patiente lors de son séjour au Petit Prince, mais elle souhaite choisir le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.06.2018, en bon état général. Patiente de 35 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement pour rupture spontanée de membranes le 15.06.2018 à 8h30. La patiente a présenté un pré-travail persistant avec un CTG pathologique, qui a entraîné une césarienne en urgence 30 min. Elle donne naissance à un garçon pesant 3680 g, de bonne adaptation néonatale, mais qui a eu besoin d'être hospitalisé par la suite pour un syndrome de détresse respiratoire et puis transféré à Berne avec le diagnostic d'un pneumothorax. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La contraception future se fera par préservatif, à rediscuter lors de la consultation du post-partum. La patiente est transférée le 16.06.2018 à Berne, pour rapprochement mère-enfant. Patiente de 35 ans, 4G3P, devenue 3 pare à 34 1/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Beaud a été admise en salle d'accouchement le 30.05.2018 pour rupture prématurée des membranes et mise en travail spontanée le 30.05.2018. Devant une hypertension, un bilan de gestose est effectué et retrouve un rapport prot/créat à 0.037, raison pour laquelle nous mettons la patiente sous sulfate de magnésium pour pré-éclampsie. Elle dilate harmonieusement et rapidement, donne naissance par voie basse à un enfant de sexe masculin, pesant 2280 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 02.06.2018, en bon état général. Mise sous Trandate 200 mgx3/j d'ici au contrôle chez le Dr. X et le traitement y sera réévalué. Patiente de 36 ans, primigeste hospitalisée le 18.06.2018 à 32 3/7 semaines d'aménorrhée pour une pré-éclampsie modérée. Mme. Mayor nous a été adressée par les urgences de Riaz pour une suspicion de pré-éclampsie dans un contexte de tensions artérielles labiles avec l'apparition récente d'oedèmes des membres inférieurs et facial depuis 10 jours, accompagnés d'une prise de poids et d'une protéinurie. A l'examen clinique d'entrée, la patiente est apyrétique et présente des tensions artérielles labiles. L'abdomen est souple et indolore. Les réflexes ostéotendineux sont vifs sans extension de la zone réflexogène. Au speculum, le col est long, postérieur, fermé stable au Valsalva, sans écoulement de liquide ni métrorragies. L'actim prom et partus reviennent négatifs. Le CTG mettant en évidence 1 à 2 contractions ressenties non douloureuses, nous réalisons une échographie avec mesure du col à 29 mm non modifié au Valsalva. L'échographie obstétricale retrouve un fœtus eutrophique avec une bonne vitalité fœtale. Le laboratoire d'entrée montre une hyponatrémie à 129 mmol/l et un bilan de gestose aligné, mais le rapport protéine/créatinine revient positif à 0.067. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour maturation pulmonaire, protéinurie de 24h, surveillance tensionnelle et tocographique. Un traitement par Trandate 100 mg en réserve est instauré. La protéinurie des 24h revient positive à 520mg/24h et le rapport SFlt-PLGF est élevé à 66, confirmant ainsi le diagnostic. La patiente bénéficie d'une maturation pulmonaire avec 2 cures de Celestone le 19.06.2018 et le 20.06.2018 après lesquelles elle présente 3 à 4 contractions par 10 minutes. Elle reçoit alors une tocolyse par Nifédipine 10 mg qui s'avère efficace. En ce qui concerne l'hyponatrémie et les oedèmes lymphatiques, nous instaurons une restriction hydrique à raison de 1000 ml/24h ainsi que de la physiothérapie journalière par drainage lymphatique avec bonne réponse. Au vu des tensions labiles malgré le Trandate en réserve et de la symptomatologie marquée par des oedèmes des membres inférieurs et des phosphènes, la patiente est admise en salle d'accouchement le 21.06.2018 en vue d'une provocation pour une pré-éclampsie modérée. Elle bénéficie de la mise en place de 2 Propess le 21 et 22.06.2018 et est mise sous sulfate de magnésium. Cependant, devant l'échec de la provocation avec absence de mise en travail, il est effectué une césarienne en urgence le 23.06.2018. En per-opératoire, nous suspectons un placenta accreta que nous envoyons en analyse anatomopathologique après révision de la cavité. L'intervention est notamment marquée par un saignement actif diffus de la corne annexielle gauche, posant l'indication à une procédure de B-lynch avec soutien de la contraction utérine par Syntocinon. Elle donne naissance à une fille pesant 1750 g, de bonne adaptation néonatale transférée dans notre service de néonatologie. Les suites post-partales sont marquées par des tensions élevées normalisées sous traitement d'office par Trandate qui sera réévalué dans 3 semaines auprès de son médecin traitant. Les laboratoires journaliers effectués montrent une normalisation du bilan de gestose. Le risque thrombo-embolique est couvert par clexane sous-cutanée durant son séjour. L'allaitement maternel est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.06.2018, en bon état général.Patiente de 36 ans 2G2P consultée en urgence pour douleurs abdominales et pertes vaginales blanches avec traces de sang. Par échographie pelvienne sans anomalies décelées. Probablement la patiente débute ses règles et infection urinaire symptomatique avec deux croix de Leu dans le stix urinaire. Pister: PAP, Frottis bact. + Chlamydia, Urotube Patiente de 36 ans, 3 gestes 2 pares, admise en salle d'accouchement le 19.06.2018 en vue d'une provocation pour oligoamnios à 39 6/7 semaines d'aménorrhée. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 19.06.2018 dans l'après-midi. Elle se met en travail, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse spontanée à un garçon pesant 3880 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire à l'allaitement est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par stérilet hormonal dès 6 semaines post-partales, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.06.2018, en bon état général. Patiente de 36 ans, 7 gestes devenue 6 pares à 36 5/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Wandeler a été admise en salle d'accouchement pour une césarienne élective pour désir maternel. L'intervention est effectuée le 08.06.2018 se déroule sans complication. La patiente donne naissance par césarienne à deux enfants: J1 de sexe féminin pesant 2500 g et J2 de sexe masculin, pesant 2620 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane 40 mg sous-cutanée durant son hospitalisation. Un sevrage primaire à l'allaitement est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 12.06.2018 et sera revue en consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 36 ans, 7 gestes 3 pares, admise en salle d'accouchement le 18.06.2018 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 18.06.2018. Elle se met en travail, dilate rapidement sous Syntocinon et donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3110 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.06.2018, en bon état général et sera revue en consultation post-partum dans 6-8 semaines. Patiente de 37 ans G1P1, adressée par son médecin généraliste aux urgences le 29.05.2018 pour une douleur de l'hypochondre droit et de la loge rénale droite depuis 24 heures. La douleur est associée à des nausées avec vomissements post-prandiaux. Pas d'état fébrile, pas d'autre plainte. Après investigation étendue aux urgences, on diagnostique une pyélonéphrite aiguë à droite, sur une obstruction de l'uretère droit au niveau de la fossette ovarienne à droite. Elle est donc adressée en gynécologie pour suspicion de masse ovarienne. Lors de l'arrivée dans notre service, la patiente est normocarde, normotendue et afébrile. Les douleurs sont nettement en diminution avec l'antalgie administrée et la première dose de l'antibiotique intraveineux. Son statut gynécologique est sans particularités, à l'US endovaginal nous retrouvons un col restant de 3 cm, absence de l'ovaire gauche (status post ovariectomie gauche), un ovaire droit de 44 mm x 35 mm x 35 mm avec masse annexielle droite en proximité de l'ovaire, suspecte pour un endométriome de l'ovaire droit, DD kyste? néoplasie?. En coordination avec les collègues urologues, nous décidons d'hospitaliser la patiente. Dans la soirée du 29.05.2018, elle bénéficie d'une prise en charge opératoire par les urologues, avec mise en place d'une sonde double J dans l'uretère droit (Dr. X). L'intervention se déroule sans complications. Les suites sont simples et afébriles. La patiente est asymptomatique le 30.05.2018. Nous décidons de poursuivre l'antibiothérapie intraveineuse jusqu'à obtention des résultats de la culture urinaire, par Rocéphine 2 g en IV x 1/jour. En ce qui concerne la masse ovarienne qui obstrue l'uretère, nous proposons à la patiente une IRM pelvienne à visée préopératoire (éventuelle indication à laparoscopie pour annexectomie droite +/- urétérolyse?), qui est programmée au 11.06.2018 dans notre hôpital. Mme. Favara souhaite discuter avec sa gynécologue traitante pour la suite de la prise en charge. Elle refuse un traitement par Visanne dans l'attente, à cause de ses antécédents de dépression sous ce traitement auparavant. La patiente regagne son domicile le 30.05.2018, avec un rendez-vous le 31.05.2018 pour une injection de Rocéphine. Le relais par antibiotiques per os sera à décider avec les résultats de la bactériologie. Un contrôle clinique est conseillé après la fin du traitement antibiotique. Patiente de 37 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 04.06.2018, adressée par l'hôpital Daler pour rupture spontanée pré-terme des membranes le 04.06.2018 à 18h00. Elle se met en travail spontanément et dilate harmonieusement. Au vu d'un syndrome de détresse respiratoire à la naissance et par manque de place dans notre service de néonatologie de l'HFR Fribourg et de l'hôpital de l'Ile à Berne, l'enfant est transféré au CHUV. Les suites post-partales sont simples. L'allaitement maternel se fera par tire-lait. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente est transférée au CHUV en vue d'un rapprochement mère-enfant. Patiente de 38 ans, 2G 1P, admise en salle d'accouchement le 04.06.2018 pour mise en travail spontanée. Elle se met en travail et dilate harmonieusement. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia) dès 21 jours post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.2018, en bon état général. Patiente de 38 ans ayant accouché il y a 10 jours par voie basse, sous péridurale, sans complication, qui se présente aux urgences en raison de douleurs de type sciatalgie droite présentes depuis qu'elle a accouché, en péjoration depuis 2 jours. Elle décrit de la peine à se mobiliser, avec charge partielle sur le membre inférieur droit, et des douleurs actuellement même au repos. Pas d'incontinence urinaire ou des selles, pas d'anesthésie en selle, pas de céphalée associée. Son gynécologue, contacté ce jour, lui propose un traitement de Mydocalm puis, en cas de non-amélioration, une IRM. A l'anamnèse, la patiente décrit également un état de stupeur avec angoisse et bégaiement d'une durée de 30 minutes objectivé par son mari. A l'examen clinique d'entrée, Glasgow à 15/15, patiente orientée dans les trois modes. Nerfs crâniens sans latéralisation, force M5 aux membres supérieurs, M4 au membre inférieur droit, M5 au membre inférieur gauche, réflexes ostéotendineux symétriques, tests cérébelleux dans la norme, Babinski absent. A l'examen digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Au toucher rectal, le sphincter est compétent. Du point de vue ostéo-articulaire, la palpation des vertèbres est indolore, le Lasègue est négatif. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire, avec des leucocytes à 14.2 G/l et une CRP à 26 mg/l. Les électrolytes sont alignés. Aux urgences, nous observons durant 5 minutes un état de stupeur, avec bégaiement, forte angoisse et pleurs de la patiente. Nous prenons contact avec le gynécologue traitant de Mme. Mottiez qui nous informe d'un possible risque de dépression post-partum chez une patiente très fragile.Nous prenons avis auprès du Dr. X, neurologue, qui suspecte une sciatalgie droite avec aspect déficitaire d'allure L5, possiblement d'origine fonctionnelle sur douleurs. Il propose d'organiser une IRM lombaire à la recherche d'un hématome au niveau de la queue de cheval ou d'une lésion au niveau de L5. Mme. Y est hospitalisée en médecine, sous traitement antalgique. L'IRM lombaire pratiquée le 16.05.2018 ne montre pas d'altération. Nous débutons de la physiothérapie de mobilisation associée à des fangos. La patiente présente toujours des douleurs d'allure subjective, évaluées à 7/10, ainsi qu'un périmètre de marche limité à 10 mètres environ. Une radiographie du sacrum est effectuée le 18.05.2018, qui se révèle normale. Suspectant une origine musculaire, nous recommandons la poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. La patiente prendra rendez-vous à cet effet. Suite à la présence de brûlures mictionnelles, un urotube effectué le 18.05.2018 met en évidence une infection urinaire basse à Staphylococcus epidermidis le 18.05.2018. Un traitement par Uvamine retard 100 mg - 2 x/jour est instauré du 19.05 au 23.05.2018. Mme. Y regagne son domicile le 20.05.2018. Patiente de 38 ans, suivie pour une infertilité secondaire d'origine probablement dysovulatoire, adressée pour une stimulation ovarienne et une ponction ovarienne écho-guidée en vue d'une fécondation in vitro + ICSI. La patiente bénéficie d'une ponction ovocytaire écho-guidée avec prélèvement de 11 ovocytes, sous anesthésie générale au bloc opératoire le 13.06.2018. Pas de complication per-opératoire. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à son domicile le jour même. En raison d'un diagnostic préimplantatoire, le transfert d'embryon sera effectué dans un second temps. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X le 15.06.2018. Patiente de 38 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 30.05.2017 pour une césarienne élective pour siège après échec de la version. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à un garçon de 3260 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié. La contraception future se fera par Azalia. La patiente se présentera pour le contrôle post-partum à 6 semaines à notre consultation. Patiente de 38 ans 1G0P, suivie dans notre service de PMA pour une infertilité secondaire, chez qui nous mettons en évidence à l'échographie un fibrome utérin latéral droit, fundique, de 7 cm x 6 cm. Nous lui proposons une myomectomie par laparoscopie avec épreuve au bleu de méthylène, qu'elle accepte. Elle signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 26.06.2018 et retrouve quatre myomes interstitiels et sous-séreux, plusieurs nodules d'endométriose péritonéale, ainsi qu'un ovaire gauche avec plusieurs petits kystes d'aspect dermoïde. Le matériel est envoyé en analyse anatomopathologique. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 28.06.2018 avec un contrôle clinique et pour ablation des fils prévu dans 7 à 10 jours. Patiente de 38 ans, 10G5P, admise en salle d'accouchement le 01.06.2018 en vue d'une césarienne élective tri itérative. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2580 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Dépo-Provera auprès de son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Patiente de 38 ans, 2G0P, admise en salle d'accouchement le 15.06.2018 pour une rupture prématurée franche des membranes. Le streptocoque du groupe B étant négatif, nous optons, en accord avec la patiente, pour une attitude expectative. Après 12 h de rupture, il est débuté une prophylaxie par Clamoxyl iv selon le protocole. La patiente se met en travail spontanément, dilate harmonieusement sous péridurale et accouche spontanément. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3190 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples. Un sevrage primaire de l'allaitement est initié et se déroule sans complications. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.06.2018, en bon état général, et se présentera à 6 semaines post-partum à votre consultation. Patiente de 38 ans, 5G3P, consulte le 29.05.2018 à 32 semaines d'aménorrhée pour contrôle suite à une suspicion de contage de varicelle anamnestique avec incertitude de l'immunité de la patiente. Au cours du contrôle obstétrical, on observe des contractions utérines à raison de 2 aux 10 minutes ressenties. À l'échographie, il est mis en évidence un col à 13 mm avec funneling non modifié au Vasalva. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour menace d'accouchement prématuré et débutons une maturation pulmonaire sous tocolyse. L'évolution est rapidement favorable avec amendement des contractions sous Adalat retard 30 mg 2x/24 h. Les CTG de contrôles sont réactifs non pathologiques. Mme. Y reste stable et afébrile durant son séjour. Un US de contrôle effectué le 30.05.2018 démontre un col à 22 mm. La patiente ayant signalé des pertes liquidiennes, un Actimprom est effectué, qui revient négatif. Dans ce contexte et au vu de la clinique rassurante, Mme. Y regagne son domicile le 01.06.2018 avec poursuite du traitement par Adalat retard. Nous préconisons du repos avec un arrêt de travail à 100 % pendant 3 semaines et prévoyons un contrôle clinique avec mesure du col dans 1 semaine à votre consultation. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement tocolytique. Patiente de 39 ans, 2G0P, admise en salle d'accouchement le 02.06.2018 pour rupture spontanée des membranes à 01h45. Elle se met en travail. Le travail est dystocique et soutenu par syntocynon. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.2018, en bon état général. Patiente de 39 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales sur cholélithiase. Mme. Y ressent des épigastralgies depuis un an (date de son arrivée en Suisse), en péjoration depuis quelques jours, mais particulièrement majorées lors d'événements stressants. Les douleurs s'accompagnent de deux épisodes de vomissements alimentaires, sans hématémèse. Dernières selles le 06.06.2018 au matin, non décolorées, sans hématochézie. Notion d'état fébrile à 38° à domicile, avant l'arrivée aux urgences. Le bilan biologique montre une perturbation des tests hépatiques avec signes de cholestase, sans syndrome inflammatoire. L'échographie abdominale montre une lithiase de 4 mm dans un cholédoque de 8 mm, sans épaississement ni inflammation. Une cholangio-IRM avait été organisée pour le 07.06.2018 avec contrôle à la FUA car la patiente ne voulait initialement pas être hospitalisée afin de pouvoir s'occuper de son fils de neuf mois. La patiente revient le 06.06.2018 dans la soirée pour la même symptomatologie. Elle n'a pas eu le temps d'aller chercher les antalgiques à la pharmacie. En effet, après avoir mangé une pomme vers 20h00, elle présente les mêmes douleurs, sans modification du caractère ni de l'intensité. Un épisode de vomissements à 22h00.Un nouveau laboratoire est effectué, ne montrant toujours pas de syndrome inflammatoire mais une élévation des tests hépatiques par rapport à celui effectué le même jour à midi. La patiente est alors hospitalisée dans le service de chirurgie pour hydratation et antalgie. Au bilan biologique du 07.04.2018 au matin, présence d'une élévation des tests hépato-pancréatiques, avec une ASAT à 644 U/l, ALAT 905 U/l, GGT 405 U/l, phosphatases alcalines 284 U/l, bilirubine totale 33,5 umol/l, directe 28,8 umol/l. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Cliniquement, la symptomatologie s'améliore, avec un abdomen souple, sensible en épigastrique et en hypochondre droit, avec légère défense épigastrique. Ces douleurs diminuent dans le courant de la journée. Mme. Fernandes est gardée à jeun, sous hydratation. La patiente vit une situation familiale délicate, elle décrit une violence conjugale, le mari ne donne pas de nouvelles de l'enfant jusqu'à 16h00, etc. Nous discutons du cas avec le responsable des soins, Monsieur Beg Sébastien ICUS, qui après accord du responsable des soins de l'HFR Fribourg, Monsieur Jean-François Menoud, propose une hospitalisation de l'enfant en pédiatrie pour des mesures de protection sociale et en chirurgie de Mme. Fernandes pour la pancréatite aiguë sur passage de calcul. La police n'est pas sollicitée, car la mère ne souhaite pas encore y faire recours. Elle réfléchira à la démarche qu'elle voudra entreprendre. Nous contactons le Dr. X, chirurgien de garde, pour l'avertir de la situation. Il nous donne son accord et Mme. Fernandes et son enfant (ce dernier avec l'accord de la Dresse Y, pédiatre) sont transférés à l'HFR Fribourg par ambulance le 07.06.2018. Patiente de 39 ans, suivie pour une infertilité secondaire d'origine tubaire, status post pelvipéritonite avec abcès ovarien et laparoscopie pour plastie tubaire et adhésiolyse, qui est adressée pour une stimulation ovarienne et ponction ovarienne écho-guidée en vue d'une fécondation in-vitro +/- ICSI. La patiente bénéficie d'une ponction ovocytaire écho-guidée avec prélèvement de 7 ovocytes, sous anesthésie générale au bloc opératoire le 18.06.2018. Pas de complication per-opératoire. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le jour même. Elle viendra le 22.06.2018 pour le transfert d'embryons. Patiente de 40 ans, suivie pour une infertilité secondaire d'origine mixte, adressée pour une stimulation ovarienne et ponction ovarienne écho-guidée en vue d'une fécondation in-vitro + ICSI. La patiente bénéficie d'une ponction ovocytaire écho-guidée avec prélèvement de 15 ovocytes, sous anesthésie générale au bloc opératoire le 13.06.2018. Pas de complication per-opératoire. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le jour même. La patiente sera recontactée le 14.06.2018 concernant le nombre d'embryons fécondés viables et la date du transfert des embryons. Patiente de 40 ans, suivie pour une infertilité secondaire d'origine obstructive post-ligature tubaire en 2005, adressée pour une stimulation ovarienne et ponction ovarienne écho-guidée en vue d'une fécondation in-vitro. La patiente bénéficie d'une ponction ovocytaire écho-guidée avec prélèvement de 6 ovocytes, sous anesthésie générale au bloc opératoire le 15.06.2018. Pas de complication per-opératoire. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le jour même. Un traitement par Utrogestan sera débuté le jour même et à poursuivre jusqu'à la 12ème semaine de grossesse. La patiente poursuivra son traitement d'Aspirine cardio et débutera un traitement d'Utrogestan, après transfert des embryons, un traitement par Clexane au vu des antécédents thrombo-emboliques. La date du transfert des embryons sera recommuniquée à la patiente. Patiente de 40 ans 2G0P, suivie pour une grossesse non évolutive à 8 semaines d'aménorrhée depuis le 05.06.2018. Échec du traitement médicamenteux par Cytotec, avec persistance du sac gestationnel lors du contrôle le 20.06.2018. Discussion des options thérapeutiques pour la suite avec proposition d'un curetage évacuateur, pour lequel elle donne son consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 21.06.2018 et se déroule sans complication, le matériel d'aspiration est envoyé en analyse anatomopathologique. Vu l'absence de résultats pour le portage de Chlamydia, un traitement prophylactique par Zithromax 1g est administré en péropératoire. La patiente regagne son domicile le jour même de l'intervention, et sera vue à votre consultation pour un contrôle dans 4 semaines. Patiente de 41 ans, 5 gestes devenue 5 pares à 35 4/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Gomes a été admise en salle d'accouchement le 31.05.2018 pour rupture prématurée des membranes le 31.05.2018 à 01h15. Elle se met en travail spontanément, dilate harmonieusement et donne naissance par voie basse à un enfant de sexe masculin, pesant 2040 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la pose d'un Implanon lors de la consultation post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018, en bon état général. Patiente de 42 ans, 4 gestes 3 pares à 36 3/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 13.06.2018 pour rupture spontanée des membranes. Devant un contexte utérus bi-cicatriciel avec une rupture spontanée des membranes et une présentation en siège, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 1. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par césarienne à un garçon pesant 2650 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une cytolyse au laboratoire et des tensions artérielles élevées, raison pour laquelle nous introduisons un traitement par Trandate d'office avec bonne réponse. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet dès 6 semaines post-partum, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.06.2018 en bon état général. Patiente de 42 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 24.06.2018 à 1h00 pour rupture prématurée franche des membranes. Un traitement par Clamoxyl est initié pour rupture prématurée prolongée des membranes. Au vu d'une non mise en travail, il est débuté une provocation par Syntocinon. Par la suite, le travail est soutenu par Syntocinon. En per-partum, nous suspectons une chorio-amniotite au vu d'un état fébrile maternel avec un syndrome inflammatoire biologique, raison pour laquelle elle bénéficie d'une antibiothérapie par Gentamycine et Clamoxyl selon le protocole. Devant un CTG intermédiaire, une non-progression de la présentation et un désir maternel, nous posons finalement l'indication à une césarienne. Les suites post-partales sont simples et Mme. reste afébrile durant son séjour. La patiente présente une hémorroïde externe non thrombosée, souple et indolore à 6h pour laquelle nous préconisons un traitement conservateur par Procto-synalar en crème. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane sous-cutané durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 28.06.2018, en bon état général.Patiente de 42 ans qui consulte les urgences le 25.06.2018 en raison de troubles neurologiques suspects d'être d'origine ischémique cérébrale. En effet, la patiente a présenté peu après un réveil tout à fait normal, vers 6h30, une main gauche malhabile comme paralysée mais uniquement dans sa motilité distale, poignet et doigts. Elle remarque aussi de manière concomitante une sensation inhabituelle de la région péri-buccale gauche mais sans asymétrie notée par elle-même et son mari. Les symptômes disparaissent progressivement par la suite et le tout dure moins de 30 minutes sans céphalées associées. Status .... Synthèse: Devant la suspicion clinique d'une atteinte ischémique malgré l'absence de facteur de risque cardiovasculaire, nous réalisons une IRM qui confirme un infarctus cortical du gyrus précentral droit (hand Knob). Nous recommandons un bilan à la recherche d'un FOP chez cette patiente dont le score rope est bas. En accord avec la Dresse Humm et le Dr. X, de l'HFR Fribourg, nous transférons la patiente en Stroke unit. Elle y est amenée en ambulance. Patiente de 42 ans, 2G2P, qui consulte en urgence pour des douleurs pelviennes intenses, plutôt en FID, d'aggravation progressive depuis hier matin. La patiente était sous traitement par Visanne depuis environ 5 semaines et elle l'a interrompu pendant 3 jours car elle avait du spotting noirâtre persistant. L'a repris ce soir. Dans la nuit aggravation de la douleur jusqu'à 8/10. A pris du Irfen 600 mg à 3h et Buscopan, sans effet. TA 140/92 mmHg, Pouls 88 bpm, T 36.8°C Douleurs crampiformes, décrites comme des contractions. Abdomen souple, sensibilité diffuse, défense en FID, sans détente. Loges rénales indolores. Au spéculum: traces de sang rosâtres, mélangées à des pertes malodorantes. KOH positif. Frottis envoyé Stix: leuco +++, nitrites négatif, prot ++, sang ++++ Pas de symptômes urinaires UT en cours Vu l'état afébrile on autorise un retour à domicile sous antibiothérapie et la patiente reviendra en consultation de contrôle demain matin. Patiente de 44 ans, 2 gestes devenue 1 pare à 39 2/7 semaines d'aménorrhée. Mme. Dos Santos a été admise en salle d'accouchement pour une mise en travail spontanée à 39 1/7 semaines d'aménorrhée. Le travail est dystocique et soutenu par Syntocinon. La patiente accouche avec ventouse kiwi à épines + 2 en deux tractions, pour non-progression de la présentation après une heure de poussées actives et CTG intermédiaire. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2820 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par pilule progestative (Azalia). Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.06.2018, en bon état général et sera revue à la consultation post-partale dans 6 à 8 semaines. Patiente de 45 ans, connue pour des douleurs lombaires chroniques sur discopathie L5/S1 avec s/p intervention neurochirurgicale à l'Insel en 2015 et suivie par Dr. X, qui présente une acutisation de ses lombalgies non déficitaires depuis 3 jours sans notion de traumatisme avec une impossibilité de se lever de sa chaise, ceci motivant sa venue au service des urgences. Elle décrit une irradiation sur la face latérale de la cuisse droite jusqu'au genou de manière intermittente selon la position sans déficit sensitivo-moteur ni de troubles sphinctériens. Elle est mise au bénéfice d'un traitement antalgique de premier et troisième pallier selon l'OMS, avec une bonne évolution clinique. La patiente rentre à son domicile le 26.06.2018 avec majoration de son antalgie ainsi qu'un rendez-vous en ambulatoire chez le Dr. X. Patiente de 48 ans, 3 gestes 3 pares, admise en salle d'accouchement le 15.06.2018 en vue d'une césarienne élective pour utérus itératif dans un contexte de FIV avec ICSI et don d'ovocyte en Espagne. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Le risque thrombo-embolique est couvert par Clexane sous-cutané durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La patiente contraception future se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 18.06.2018, en bon état général. Patiente de 50 ans admise pour une pyélonéphrite droite à E. Coli le 30.05.2018. La patiente est adressée au service des urgences le 30.05.2018 en raison d'un état fébrile à 40°C. Le bilan met en évidence une pyélonéphrite droite motivant l'introduction d'un traitement de Rocéphine. En raison d'un souffle cardiaque nouveau, une échocardiographie thoracique est effectuée sans argument pour une endocardite. Une étiologie fonctionnelle sur anémie est retenue. La patiente nous est adressée pour la suite de la prise en charge. Nous poursuivons le traitement de Rocéphine avec une évolution favorable. L'uricult revient positif pour un E. Coli sensible à la Ciprofloxacine permettant un relais per os le 02.06.2018 à poursuivre pour une durée totale de 7 jours. À l'admission, la patiente présente une thrombocytopénie nouvelle à 88 G/l probablement dans le contexte septique et de saignements utérins à répétition. Sur avis hématologique, nous procédons à un suivi rapproché avec une évolution favorable, sans nécessité d'investigations supplémentaires. Durant l'hospitalisation, la patiente bénéficie d'une substitution de sa carence férrique avec la transfusion d'un concentré érythrocytaire. Une hystérectomie est prévue le 18.07.2018. La patiente rentre à son domicile le 03.06.2018. Patiente de 50 ans, connue pour une névralgie d'Arnold traitée par haute dose d'AINS, présente depuis plusieurs jours des douleurs épigastriques et un pyrosis irradiant dans le dos pour lesquelles elle consulte le service des urgences à trois reprises. Le laboratoire montre des troponines, D-dimères, paramètres inflammatoires, hépatiques, rénaux dans la norme. L'ECG et la radiographie du thorax sont sans particularités. Par la suite, un US et CT abdominal avec produit de contraste sont effectués, ne montrant pas de pathologie digestive expliquant la symptomatologie. La patiente rentre à deux reprises à son domicile avec un traitement antalgique et un protecteur gastrique. Finalement, vous nous l'adressez le 26.06.2018 pour la planification d'une OGD en urgence au vu de la persistance des douleurs épigastriques. L'OGD effectuée le 27.06.2018 ne montre pas de lésion muqueuse susceptible d'expliquer des douleurs épigastriques ni d'incompétence du cardia pouvant expliquer des symptômes de reflux. À la suite du geste, la patiente est parfaitement soulagée par du Dafalgan. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à son domicile le 29.06.2018. Patiente de 51 ans consultée par son gynécologue Dr. X le 22.05.2018 pour compléter le bilan gynécologique. CT abdomen du 07.05.2018 démandé par Prof. X, suspicieux par masse du pelvis. Après IRM, pas d'argument pour sarcome. Après discussion avec la patiente des résultats d'IRM, elle va prendre rendez-vous avec son gynécologue pour discuter le type de l'intervention. Patiente de 52 ans, se présente ce jour pour polyménométrorragies depuis 1 mois. La patiente explique être en périménopause depuis 1 an. A l'anamnèse, pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées, pas de vomissements, pas de douleurs abdomino-pelviennes. Asthénie avec perte de 2 kg depuis 1 mois. À l'examen clinique, patiente normocarde 56 bpm, normotendue: 118/59, apyrétique: 37.1°C.Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum : col d'aspect sain, probable kyste de naboth au niveau de la lèvre antérieure du col. Saignement endo utérin de faible abondance. TV pas de douleur à la mobilisation utérine, ni latéralisée aux annexes. Stix : sg++, TG négatif. À l'ultrason : Utérus polymyomateux. Dont les plus gros FIGO 5 : 1 de 39 * 31 mm et 1 de 63 * 60 mm Endomètre à 8 mm Ovaire gauche avec kyste hétérogène Ovaire droit non vu Dans ce contexte clinique avec absence de saignement important et état stable de la patiente, nous lui proposons de prendre contact avec Dr. X demain pour investigations complémentaires : PAP test, Marqueurs tumoraux, IRM pelviennes et discussion d'une chirurgie. Patiente informée de reconsulter en urgence en cas de péjoration clinique ou de prendre RDV en ambulatoire à l'HFR si RDV pas possible avec Dr. X. Patiente de 54 ans 2G2P consultée en urgence pour hémorragies vaginales depuis hier avec douleurs abdominales basses comme ses règles. Dernier contrôle chez son gynécologue Dr. X depuis 10 mois. En mars 2017, il lui a retiré Mirena et mis sous substitution hormonale en septembre 2017 par Oestrogel + Utrogestan 100 mg. Après contrôle, la patiente est normocarde, normotendue. Pas de signe d'hémorragie vaginale. RAD le 20.06.2018 et elle prend RDV chez son gynécologue Dr. X. Patiente de 55 ans, connue notamment pour un asthme traité avec Symbicort et Dymlista, qui consulte au service des urgences suite à une dyspnée depuis trois jours associée à des douleurs thoraciques et à une gêne au niveau des épaules, du cou et de la nuque. Elle décrit aussi une symptomatologie d'IVRS avec une fatigue importante, une toux sèche à prédominance nocturne et des frissons sans état fébrile. On retient le diagnostic de crise d'asthme modérée probablement secondaire à l'allergie aux pollens et à l'IVRS. Au vu de l'étiologie peu claire de cette exacerbation asthmatique, nous vous proposons d'organiser un rendez-vous chez un allergologue pour un bilan. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente quitte notre hôpital le 03.06.2018. Patiente de 55 ans connue pour une BPCO non stadiée avec tabagisme actif à 20 UPA, suivie par Dr. X (pneumologue) pour une suspicion de maladie granulomateuse (sarcoïdose like) vs syndrome bronchique avec bronchectasies et en attente de deuxième avis du CHUV, présente un syndrome grippal depuis plusieurs jours avec apparition soudaine d'une douleur thoracique gauche transfixiante, respiro-dépendante associée à une dyspnée et un état fébrile à 38,9 °C. Une radiographie thoracique montre des adénopathies et un granulome basale droit calcifié sans foyer infectieux. Un ultrason aux urgences rapporte une hépatisation pulmonaire du lobe inférieur gauche avec épanchement pleural minime. La patiente est mise au bénéfice d'un traitement de Clarithromycine et de Céfépime au vu des bronchiectasies et d'un risque augmenté pour une infection par Pseudomonas. Dans l'intervalle, les antigènes urinaires reviennent négatifs, nous changeons l'antibiothérapie pour de la Co-amoxicilline durant 7 jours. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à son domicile le 19.06.2018 avec un suivi chez son pneumologue/CHUV pour suite d'investigations. Patiente de 60 ans en bonne santé habituelle qui présente depuis le 13.05.2018 une baisse de l'état général avec ballonnement important accompagné d'inappétence, fatigue, nausées et vomissements post-prandiaux et une prise pondérale de 4 kg. Elle a consulté son médecin traitant le 28.05.2018 qui a débuté un traitement de ciprofloxacine au vu d'une dysurie et demandé un CT-scan abdomino-pelvien qui a montré une importante ascite intra-abdominale et une masse kystique de l'ovaire gauche. La patiente a été par la suite adressée à nos collègues de gynécologie qui nous l'adressent pour prise en charge de son ascite importante et de la carcinose péritonéale. Le 01.06.2018, on effectue une ponction d'ascite sous US à but thérapeutique et diagnostique, qui nous permet de drainer 6L de liquide trouble jaunâtre. Le gradient d'albumine entre le sérum et l'ascite est compatible avec une origine néoplastique. On profite de cette hospitalisation pour demander un avis à nos collègues oncologues qui proposent d'organiser un PET-CT pour bilanter la maladie et de présenter le cas au prochain tumor board. Au vu de la bonne évolution clinique de la patiente et de la possibilité d'effectuer les investigations mentionnées en ambulatoire, elle rentre à son domicile le 02.06.2018. Patiente de 61 ans, connue pour encéphalopathie congénitale avec retard mental, adressée aux urgences par Medhome pour un état fébrile avec frissons. Sa sœur décrit une baisse de l'état général avec diminution de l'appétit depuis le 03.06.2018, une douleur abdominale en fosse iliaque gauche associée à des diarrhées et des vomissements. À l'entrée, la patiente est fébrile avec des douleurs à la palpation de la fosse iliaque gauche sans défense ni détente. Aux urgences, un CT-abdominal est effectué et est difficile d'interprétation au vu d'artefacts de mouvements. On y retrouve de possibles signes de sigmoïdite. Le laboratoire met en évidence un important syndrome inflammatoire. Un traitement de Rocephin et Flagyl est introduit avec une bonne évolution clinique et biologique. Les cultures de selles ainsi que les hémocultures reviennent négatives. À noter la mise en évidence d'une insuffisance rénale aiguë probablement sur déshydratation dans le contexte des diarrhées, rapidement résolutive après hydratation. Patiente de 65 ans admise pour une NSTEMI sur sténose serrée d'allure thrombotique au niveau du tronc commun distal/IVA ostiale. La patiente a présenté des douleurs rétrosternales typiques irradiant dans les 2 bras et la mâchoire le 24.05.2018. Sur avis de son médecin traitant, elle consulte aux urgences de Riaz où une élévation des troponines est mise en évidence. Après surveillance, la patiente est transférée à Fribourg pour une coronarographie le 26.05.2018 qui met en évidence une maladie coronarienne avec une sténose serrée d'allure thrombotique au niveau du TC distal/IVA ostiale traité par stent actif avec un bon résultat. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 70 %. L'échocardiographie de contrôle du 28.05.2018 montre un FEVG 65 % sans trouble de la cinétique segmentaire. La patiente présente une instabilité hémodynamique sur une hémorragie rétropéritonéale post-coronarographie nécessitant un soutien transfusionnel. À noter l'utilisation du Reopro per-coronarographie. Le CT abdominal montre un hématome rétro-péritonéal avec saignement actif motivant une angiographie. Lors de l'angiographie, il n'y a pas de saignement actif. Une embolisation n'est donc pas effectuée. Le traitement anti-aggrégant par Aspirine est maintenu avec une diminution de la posologie de l'Efient 5 mg durant 5 jours. La dose d'Efient est reprise à 10 mg dès le 1.06.2018 à poursuivre au total pour 12 mois. Le reste de la surveillance se déroule sans complications. Une suspicion de fistule artério-veineuse fémorale droite est suspectée au CT abdominal du 26.05.2018. Celle-ci peut être exclue au bilan angiologique du 28.05.2018. Le 31.05.2018, la patiente développe un état fébrile d'étiologie peu claire motivant l'introduction d'un traitement de Rocéphine. Un foyer pulmonaire basal droit versus un état fébrile sur l'hématome rétropéritonéal est retenu. L'évolution est favorable. Étant donné le tabagisme actif de Mme. Y ainsi que sa dyspnée et toux chronique, nous vous proposons d'organiser une évaluation des fonctions pulmonaires en ambulatoire à distance de l'épisode aigu.La patiente est transférée en réadaptation cardiaque le 06.06.2018. • Patiente de 65 ans, souffrant d'hypothyroïdie, présente depuis 2 semaines des douleurs brûlantes des deux pieds avec irradiation dans les mollets. Les douleurs sont présentes le jour mais surtout le soir avec soulagement en se promenant et en bougeant les jambes. Ce jour, elle ressent une asthénie et prend sa tension qui est haute avec un systole autour de 190 mmHg. Sensation de céphalée diffuse, sans vertige, sans dyspnée, ni douleurs thoraciques. Du point de vue des douleurs, nous retenons un diagnostic de syndrome des jambes sans repos. Un traitement avec Sifrol est commencé. Un bilan ferrique a été effectué et se trouve dans la norme. Un bilan neurologique afin d'exclure une neuropathie sera à évaluer à distance. Vu l'urine hyper-osmolaire, une SIADH est un diagnostic possible chez la patiente euvolémique. L'évolution est favorable sous restriction hydrique. Vu le bon état général ainsi que l'absence de signes cliniques, une cause secondaire semble peu probable. La cause de l'hyponatrémie n'est pas claire mais pourrait être liée à la thérapie avec Brufen durant les derniers jours. Nous retenons également une urine concentrée lors de la restriction hydrique, ce qui nous signale une bonne réaction physiologique des reins sur la restriction hydrique. Pendant le séjour, Mme. Sciboz présente 2 pics hypertensifs avec des tensions artérielles systoliques > 160 mmHg. Sinon, les tensions artérielles sont dans la norme, raison pour laquelle un traitement antihypertenseur ne semble pas être indiqué pour le moment. La patiente est informée de prendre sa tension à domicile en notant les valeurs afin de pouvoir évaluer si un traitement serait indiqué. • Patiente de 70 ans sans traitement habituel, connue pour des vertiges rotatoires avec perte de connaissance brève depuis 22 ans (dernier épisode il y a 2 mois), consulte aux urgences le 17.06.2018 accompagnée de sa fille. La patiente a fait un épisode de vertiges avec malaise et perte de connaissance de quelques secondes, suivi d'une chute dans sa cuisine. Elle reprend connaissance au sol et remarque un hématome occipital gauche douloureux, sans plaie. Son mari a entendu la chute mais n'a pas été témoin direct. Elle présente immédiatement un épisode de vomissement alimentaire, comme habituellement après ses vertiges. Pas de déficit sensitivo-moteur. À l'arrivée aux urgences, pas de désorientation, se plaint de douleurs en regard de l'hématome occipital gauche, pas d'autre plainte fonctionnelle, notamment pas de douleur cervicale, n'a plus de nausée. Pas de dyspnée, pas de douleur thoracique. Examen neurologique : Glasgow 15/15, pupilles isocores et isoréactives, paires crâniennes en ordre, pas de déficit sensitivo-moteur des membres. Pas de plaie du scalp mais présence d'un hématome occipital gauche de 4 cm de diamètre. Examen rachidien : pas de douleur à la palpation et mobilisation du rachis cervical, dorsal et lombaire. Examen cardio-pulmonaire : Bruits du cœur réguliers, murmure vésiculaire bilatéral et symétrique, patiente eupnéique à l'air ambiant. Après un examen clinique rassurant, nous ne retenons pas d'indication à réaliser un scanner cérébral. La patiente reçoit un Dafalgan aux urgences, qui permet de soulager les douleurs. Elle rentre accompagnée de sa fille à domicile, où elle vit avec son mari. Feuille de surveillance post-traumatisme crânien donnée à la patiente. • Patiente de 70 ans, connue pour un antécédent de carcinome mammaire D et un carcinome mammaire G en actuelle progression avec métastases hépatiques et osseuses. Mme. Chenaux présente depuis 1 semaine une baisse de l'état général avec fatigue généralisée et inappétence, raison pour laquelle elle consulte aux urgences. Aux urgences, un important syndrome inflammatoire est mis en évidence, mais le reste des examens radiologiques et du statut ne laisse pas suspecter une origine infectieuse. Nous hospitalisons la patiente en raison de soins impossibles à domicile. Durant l'hospitalisation, elle bénéficie de physiothérapie ainsi que d'un bilan diététique avec mise en place d'un choix élargi de repas pour stimuler l'alimentation. Au vu d'une tendance à l'hypotension et d'une hyponatrémie, nous mettons en suspend l'amlodipine et le diurétique thiazidique. Nous discutons longuement avec Mme. Chenaux, son mari ainsi que sa fille et leur expliquons la progression tumorale ainsi que la probable péjoration en l'absence de traitement. La patiente étant très ambivalente quant à la suite de la prise en charge, nous optons ensemble pour une prise en charge symptomatique à l'heure actuelle. La patiente garde le souhait de pouvoir rentrer à domicile un moment si cela est possible. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 08.06.2018, en attente d'une place de réadaptation palliative à la Villa-St-François. Vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 71 ans, connue pour fibrillation auriculaire non anticoagulée (CHADSVASC 6), une hypertension artérielle, un AVC ischémique pontique para-médian gauche en décembre 2011 avec séquelles de type troubles de l'équilibre et troubles visuels, qui a bénéficié le 08.06.2018 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal d'une colectomie sub-totale avec anastomose iléo-sigmoïdienne pour un adénocarcinome colorectal sténosant du côlon ascendant, se présente aux urgences pour une baisse de l'état général. Mme. Dayer décrit une inappétence et une asthénie importantes depuis l'intervention du 08.06 mais en majoration depuis son retour à domicile. Elle se plaint également de selles liquides, environ 15 à 20 épisodes/jour, avec présence de substances. À l'examen clinique d'entrée, patiente en état général conservé, normo-colorée, normo-hydratée, non cyanosée. Pulsations 100/min, tension artérielle humérale gauche 106/67 mmHg, fréquence respiratoire 18/min, saturation O2 98 % à l'air ambiant, température 36,5°, Glasgow 15/15. Sur le plan cardio-respiratoire, B1-B2 réguliers, sous souffle ausculté. Pas d'œdème aux membres inférieurs. Patiente eupnéique, sans signe de détresse respiratoire. Murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. Au niveau abdominal, la cicatrice de laparotomie est calme, sans écoulement. L'abdomen est souple, indolore à la palpation. Pas d'organomégalie palpée. Les loges rénales sont souples et indolores, pas de globe palpé. Au toucher rectal, hémorroïde non réductible (très douloureuse). Irritation inter-fessière. Le laboratoire montre une hémoglobine à 118 g/l, une CRP à 39 mg/l et une leucocytose à 13,4 G/l. La créatinine, le sodium et le potassium se situent dans la norme, le magnésium est abaissé à 0,36 mmol/l, les LDH sont à 474 U/l, la phosphatase alcaline est augmentée à 152 U/l, de même que la gamma-GT à 193 U/l. Les tests pancréatiques sont dans la norme. Le tracé électrocardiographique est comparable à celui de mai 2018, montrant une fibrillation auriculaire et des sous-décalages de V3 à V5. Mme. Dayer est hospitalisée en chirurgie pour surveillance clinique et biologique. Elle bénéficie d'une substitution électrolytique et d'un traitement de Perentérol per os. En cours de séjour, l'évolution est favorable, avec résolution des diarrhées et reprise d'un transit normal. La culture de selles pour Clostridium difficile et PCR revient négative. Mme. Dayer regagne son domicile le 26.06.2018. Elle se présentera ces prochains jours à votre consultation pour un contrôle.• Patiente de 71 ans hospitalisée en raison d'un iléus grêle mécanique avec bride. Mise en place d'une sonde naso-gastrique de décharge avec prise en charge chirurgicale le 24.06.2018. • Patiente de 74 ans, connue pour une pneumopathie obstructive probable légère, une HTA traitée et pour un antécédent d'AIT, qui présente depuis 4 jours une asthénie associée à un état fébrile, une toux sèche ainsi qu'une légère péjoration de sa dyspnée. La patiente rapporte ne pas être allée à selles depuis 6 jours, date de la réintroduction des inhalations avec Ellipta. Elle a déjà tenté plusieurs traitements par inhalateurs. Elle ne sent aucune amélioration clinique, mais par contre, elle souffre toujours des effets secondaires. La radiothorax aux urgences met en évidence une pneumonie du lobe supérieur droit. Elle est transférée dans notre service de médecine pour la prise en charge. L'évolution est favorable sous antibiothérapie avec Co-Amoxi. La patiente ne remarque aucun changement sous inhalations d'aérosols avec Ventolin et Atrovent, raison pour laquelle nous arrêtons ce traitement et nous convenons avec la patiente de ne pas recommencer de thérapie avec un inhalateur LAMA. Initialement, la patiente a présenté plusieurs épisodes d'hypotension motivant l'arrêt de son traitement anti-hypertenseur. Après avoir recommencé le traitement d'Atacand, sa tension artérielle reste dans la norme, raison pour laquelle nous ne renouvelons pas l'Esidrex ni l'Isoptin. Vu la bonne évolution clinique et biologique, Mme Reynaud rentre à domicile le 02.06.2018. • Patiente de 75 ans, hospitalisée dans le cadre d'une possible crise tonico-clonique. Pour rappel, la patiente est connue pour un carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe supérieur D, diagnostiqué le 20.04.2018, actuellement sans traitement au bilan supplémentaire souhaité par la patiente. Elle a été hospitalisée à Riaz du 07.06.2018 au 13.06.2018 en raison d'une lipothymie mise sur le compte d'une origine vagale; durant cette même hospitalisation, une hyponatrémie a également été mise en évidence. La patiente est à nouveau hospitalisée à Fribourg le jour même de sa sortie après avoir présenté une crise tonico-clonique avec morsure de langue et phase post-critique. Au laboratoire d'entrée, une importante hyponatrémie est mise en évidence. Le CT-cérébral est sans particularité. La patiente est hospitalisée pour surveillance de la natrémie qui se corrige progressivement et se stabilise après l'introduction d'une restriction hydrique. L'évolution est favorable, sans nouvel épisode de crise tonico-clonique. La patiente présente toutefois un épisode d'état confusionnel aigu mis sur le compte de l'hyponatrémie ainsi qu'une asthénie persistante. Nous lui proposons donc une réadaptation palliative à la Villa St-François, ce qu'elle accepte. Nous prenons également contact avec Voltigo qui passera voir la patiente dès que possible pour un premier contact et la mise en place d'un suivi en ambulatoire. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dans l'attente d'une place à la Villa St-François dès le 19.06.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 77 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur droit en progression sous forme d'épanchement pleural droit asymptomatique depuis mars 2018 et actuellement refusant un traitement par chimiothérapie que vous adressez au service des urgences le 18.06.2018 pour péjoration d'une dyspnée. La patiente décrit une dyspnée progressive de stade III NYHA avec légère orthopnée. Une radiographie effectuée par vous-même fait état d'une majoration de l'épanchement pleural droit. Les urgences proposent un drainage, mais la patiente refuse. Elle est donc hospitalisée le 19.06.2018 en électif pour une ponction +/- talcage/pleurix. A l'étage, la patiente est totalement asymptomatique et hémodynamiquement stable. Elle refuse le traitement par talcage et pleurix. Nous effectuons une ponction pleurale à visée thérapeutique ramenant 100 cc avec des critères de Light parlant pour un exsudat. Pour des raisons techniques, nous n'arrivons pas à retirer plus de liquides après 3 tentatives. La patiente étant totalement asymptomatique, nous n'organisons pas d'autre prise en charge. La radiographie de contrôle montre une persistance de l'épanchement chez une patiente asymptomatique. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à son domicile le 21.06.2018 avec un CT prévu le 27.06.2018 et une consultation en oncologie le 03.07.2018. • Patiente de 77 ans connue pour un diabète de type 2 et SAOS non appareillé qui présente depuis 1 semaine une baisse d'état général avec dyspnée progressive stade NYHA 4. La patiente n'a jamais eu de douleurs thoraciques ni de palpitations. Son fils signale une hypertension mesurée au domicile. La patiente nous informe d'une perte de poids de 13 kg en une année sur manque d'appétit avec asthénie progressive. Elle est admise dans notre service pour prise en charge d'une décompensation cardiaque. L'évolution de la dyspnée est favorable sous traitement diurétique. L'ETT montre une cardiopathie dilatative et une sténose aortique sévère. Afin d'exclure une cause ischémique de la cardiopathie et pour mieux différencier la sténose aortique, une coronarographie diagnostique est faite le 25.05.2018 qui ne montre pas de sténose des artères coronaires. Vu la sténose importante de la valve aortique, une TAVI sera discutée au Heart Team le 12.06.2018. Pour compléter le bilan cardiovasculaire, nous effectuons un CT-angio du thorax qui montre une athéromatose calcifiée des grands vaisseaux sans sténose significative. La patiente montre une anémie ferriprive connue que nous substituons par voie intraveineuse. Vu la possible intervention de TAVI, nous complétons le bilan gastroentérologique durant le séjour hospitalier qui ne met pas en évidence de source de saignement. Au vu de la bonne évolution, Mme Nobel rentre à domicile le 02.06.2018. • Patiente de 77 ans, connue pour une néoplasie myéloproliférative, qui nous est adressée pour une réadaptation après embolie pulmonaire segmentaire bilatérale avec surcharge du cœur droit le 01.06.2018. Pour rappel, Mme Schmidt avait bénéficié d'une thrombolyse par cathétérisme (EKOS) à l'Inselspital de Berne. Sur le plan social, Mme Schmidt vit seule et de manière indépendante sur un étage, bénéficiant du passage d'une femme de ménage et des repas livrés à domicile. Elle a 3 enfants, proches. A l'entrée dans notre service, la patiente est stable et décrit des douleurs dorsales surtout à la mobilisation. Au status cardiovasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés, sans souffle. Au niveau pulmonaire, les murmures vésiculaires sont symétriques. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente, aux bruits dans la norme. Les loges rénales sont souples et indolores. La sphère neurologique s'avère sans particularité. Le bilan biologique objective une anémie macrocytaire, hypochrome et régénérative, d'origine mixte; il existe également une thrombocytose liée au syndrome myéloprolifératif dont souffre la patiente. Le bilan radiologique visualise une fracture du corps vertébral de T12 avec perte de hauteur, et un antélisthésis de L5 sur S1 de grade 2 selon Maedering, non présent lors de l'examen comparatif du 25.05.2018. Nous fixons un rendez-vous pour une densitométrie le 11.07.2018 à l'HFR Riaz afin d'évaluer l'ostéoporose de la patiente, ainsi qu'un rendez-vous avec le team Spine de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 05.07.2018 pour réévaluer les fractures sur la colonne dorso-lombaire. Nous poursuivons la physiothérapie et l'antalgie avec bonne évolution clinique.Mme. Schmidt se plaint depuis sa fracture avec perte d'appétit. Nous demandons une évaluation qui objectif une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec des nausées et inappétence, et démontrée par des ingesta à moins de 50% des habitudes, une perte pondérale de 5.8% en moins d'un mois et un NRS à 5/7. Avant sa fracture vertébrale, Mme. Schmidt présentait un bon état nutritionnel (fin mai 2018). Désormais, la patiente signale des gênes constantes au niveau de l'estomac (lourdeurs, sensation de blocage). L'alimentation est fractionnée, enrichie et adaptée. Des suppléments nutritionnels oraux sont introduits et seront poursuivis à domicile. Un enseignement pour l'enrichissement de l'alimentation est transmis à la patiente. Nous conseillons aussi un suivi de son poids en cas de baisse, ou si les troubles de l'appétit et digestifs ne se résorbent pas, ainsi que l'organisation d'une consultation ambulatoire. Durant son séjour, Mme. Schmidt effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche seule est de 200 mètres à l'intérieur comme à l'extérieur. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 107/126, par rapport à 102/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 7/7). Le TUG s'effectue en 11 secondes. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Schmidt quitte notre service le 21.06.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera du passage des soins à domicile 2x/semaine. Patiente de 79 ans, connue pour une hypothyroïdie, qui présente depuis environ 5 semaines des polyarthralgies des épaules et des poignets des deux côtés, en péjoration, avec sensation de raideur des pieds et des doigts, mais pas de douleur. Mme. Bossel décrit toutefois des douleurs de type inflammatoire, majorées le matin au lever avec un dérouillage de 90 à 120 minutes. Elle est suivie par son médecin traitant qui lui avait prescrit un traitement symptomatique par Irfen et Dafalgan. La patiente ne rapporte pas d'état fébrile ni de notion de traumatisme. Ce matin, elle est demeurée assise pendant environ 1h sur un fauteuil sans pouvoir se relever. Elle a pu néanmoins se mettre à genoux pour saisir le téléphone afin d'appeler de l'aide. Sur le plan social, Mme. Bossel vit seule et sans aide à domicile, car elle était autonome jusqu'à présent. Au statut cardiovasculaire, les bruits du cœur sont réguliers, sans souffle; les pouls périphériques sont perçus, il n'y a pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est bilatéral et symétrique, sans bruit surajouté. Sur le plan digestif, l'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Neurologiquement, la patiente est consciente et orientée dans les 3 modes, le score de Glasgow s'élève à 15/15. Dans le cadre ostéo-articulaire, notons des douleurs et une limitation à la mobilisation active des épaules des deux côtés, des douleurs et une limitation à la mobilisation des poignets bilatéraux, une flexion limitée des IPD et IPP des doigts, mais non douloureuse, pas de doigt en saucisse, pas de douleur vertébrale ni du bassin, pas d'érythème cutané, pas de plaie, raideur à la mobilisation en flexion et en extension des chevilles. Le laboratoire retrouve une CRP augmentée à 66mg/l sans leucocytose ni trouble électrolytique. Durant son séjour, nous effectuons de multiples radiographies des articulations douloureuses : ces examens constatent une arthrose avancée. Nous mettons en place un traitement symptomatique par AINS et Dafalgan. Devant la persistance du syndrome inflammatoire cependant, nous suspectons une polymyalgia rheumatica et introduisons de la Prednisone 40mg avec une évolution clinique rapidement favorable. Nous proposons une diminution à 35mg après 2 semaines puis une évaluation chez son médecin traitant, afin de poursuivre le schéma de régression. La patiente bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 05.06.2018 au 12.06.2018. Une évaluation par le gérontopsychiatre met en évidence un état anxiodépressif, raison pour laquelle nous diminuons le Remeron. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 28/30 et un test de la montre à 3/7. Le GDS s'évalue à 2/15. Durant son séjour, Mme. Bossel effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 132 mètres. La patiente est autonome pour les soins. Elle peut gravir 18 marches à l'aide d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/126 par rapport à 99/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 12 secondes. Sur le plan ergothérapeutique, le bilan modulaire d'ergothérapie ne dévoile pas d'altération de la mémoire, ni d'altération de l'attention ou de l'orientation. Concernant les fonctions instrumentales, la patiente a une bonne réceptivité et trouve ses mots sans hésitation. Les praxies n'ont pas été testées car la patiente souffrait de douleurs aux mains. Au niveau de la somatognosie, Mme. Bossel présente des hésitations à la main gauche, mais pas de difficulté à la main droite. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée ne signale pas de problème nutritionnel. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Bossel quitte notre service le 12.06.2018. Dès sa sortie, elle effectuera de l'ergothérapie en ambulatoire. Patiente de 79 ans, connue pour une maladie d'Alzheimer, sous Aspirine Cardio, amenée aux urgences par ambulance le 23.05.2018 en raison de douleurs de la hanche gauche et d'une impotence fonctionnelle suite à une chute d'origine indéterminée en revenant des toilettes à son domicile, dans la nuit. Aux urgences, l'anamnèse est très difficile en raison de troubles cognitifs connus, il n'y a pas de témoin direct de la chute mais le mari décrit que la patiente aurait chuté en se levant du lit. Pas de notion de traumatisme crânien, ni de perte de connaissance. À l'arrivée, la patiente ne présente ni nausées, ni vomissements, ne se plaint d'aucune autre douleur. Le bilan biologique réalisé aux urgences retrouve une hyponatrémie et une hypokaliémie motivant une hydratation intra-veineuse par NaCl et supplémentation potassique. Ceci permet un retour à des valeurs normales par la suite. Le bilan radiologique met en évidence une fracture pertrochantérienne Kyle I du fémur gauche pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule sans complication le 24.05.2018. La radiographie de contrôle à J1 post-opératoire est satisfaisante, les cicatrices sont propres lors de la réfection régulière des pansements et les douleurs bien soulagées par une antalgie simple. Mme. Fragnière bénéficie d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour pour une durée de 6 semaines. Les fils devront être retirés à 14 jours post-opératoires. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises durant 6 semaines. Le 29.05.2018, Mme. Fragnière présente une asthénie importante, ainsi que des troubles de la conscience avec une fermeture spontanée des yeux et une diminution de la force dans le membre supérieur gauche au statut clinique. Un CT cérébral natif est effectué, permettant d'exclure toute lésion hémorragique cérébrale. Une insuffisance rénale AKIN II et une anémie aiguë sont cependant retrouvées au laboratoire, raison pour laquelle la patiente bénéficie de la transfusion de deux culots érythrocytaires et d'une hydratation intraveineuse par NaCl. Le 31.05.2018, les valeurs de la créatinine et de l'hémoglobine sont dans les normes et Mme. Fragnière présente une évolution favorable sur le plan neurologique.Concernant les suites, une demande de réhabilitation a été faite à l'HFR Billens. Dans l'attente d'un transfert à Billens, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Riaz bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. • Patiente de 79 ans hospitalisée en urgence à l'HFR Tafers à la suite d'une chute dans les escaliers survenue le 03.06.2018. Le bilan rx réalisé à Tafers met en évidence la fracture-tassement susmentionnée. L'indication opératoire est posée. Le 06.06.2018, Mme. Y est transférée à Fribourg pour l'intervention chirurgicale. L'intervention se déroule le 07.06.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. La plaie est propre et calme. Mobilisation avec la physiothérapie. A la sortie, le status neurologique est sans particularité. Retour à domicile le 08.06.2018. • Patiente de 80 ans connue pour une BPCO GOLD II avec oxygénothérapie à domicile, une cardiopathie hypertensive et valvulaire avec HTP et une maladie de Crohn. Le 30.05.2018 lors d'un contrôle de routine des fonctions pulmonaires, nos collègues constatent l'apparition d'OMI bilatéraux et d'une prise de poids de 10 kg depuis le dernier contrôle en novembre 2017. On objective aussi des saturations à 80% sous 3L d'O2 et une paO2 à 5.5 kPa. Mme. Y est donc transférée en médecine et on retient initialement le diagnostic de péjoration de son insuffisance respiratoire hypoxémique sur décompensation cardiaque. Par la suite, un CT-thoracique le 30.05.2018 ne montre pas de signes de surcharge ni d'embolie pulmonaire. Une ETT le 01.06.2018 montre une image globale superposable à celle du dernier contrôle en juin 2017, sans signes de décompensation cardiaque, on retient donc que cet épisode aigu serait une manifestation de la progression de la maladie pulmonaire de base de la patiente. Étant donné la bonne évolution clinique et la baisse de l'oxygénothérapie, la patiente quitte notre service le 06.06.2018. • Patiente de 80 ans, connue pour une cardiopathie mixte valvulaire avec une sténose aortique avec gradient de 27mmHg, une insuffisance mitrale sévère progressive, calcifiée (ETO 25.04.2018, Dr. X) et rythmique, avec une fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée. Vous nous l'adressez ce jour pour baisse d'état général avec apparition de diarrhées depuis 3 jours, apparues le 19.06.2018, avec selles défaites 2-3x/jour, sans mucus, et présence occasionnelle de sang, uniquement sur le papier toilette. Vous signalez en outre une insuffisance rénale aiguë et une hyponatrémie, et nous adressez Mme. Y dans ce contexte pour une hospitalisation. Pour rappel, Mme. Y a récemment été hospitalisée (en mai dernier) en gériatrie aiguë HFR Riaz, également pour une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale sur déshydratation, et précédemment en médecine à l'HFR Fribourg (en avril dernier) pour une insuffisance cardiaque. Cette fois-ci, la patiente décrit une fatigue importante présente depuis plusieurs mois, mais en augmentation depuis quelques jours. Cette dernière ne rapporte pas de nausée ni de vomissement, pas de fièvre, pas de frisson, pas de douleur abdominale, pas de toux, pas de dyspnée. Sinon, la patiente ne présente pas d'autre symptôme. Les constantes à l'entrée sont : tension artérielle à 128/81mmHg, fréquence cardiaque à 72 battements par minute, fréquence respiratoire à 24 respirations par minute, saturation à l'oxygène à 96%, et température à 36.5°C. Mme. Y est asthénique aux urgences mais stable sur le plan hémodynamique. Signalons un souffle aortique, ausculté avec irradiation dans les carotides et de légers œdèmes des membres inférieurs jusqu'aux chevilles, sans turgescence jugulaire. Le reste du status clinique est non-contributif. Le laboratoire aux urgences objective une insuffisance rénale aiguë avec créatinine à 134µmol/l et hyponatrémie à 127mmol/l, sans syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous débutons une hydratation et hospitalisons la patiente en gériatrie aiguë le jour même. A son arrivée dans notre service, Mme. Y se mobilise librement, raison pour laquelle nous n'instaurons pas de Clexane prophylactique. Le rythme sur l'ECG d'entrée est régulier. Durant son séjour, Mme. Y présente une péjoration de sa fonction rénale malgré une stimulation aux boissons. La patiente est orientée au niveau temporo-spatial et se mobilise librement, sans moyen auxiliaire. A noter qu'elle est connue pour une fibrillation auriculaire intermittente n'ayant jamais été anticoagulée. Lors du week-end du 23.06.2018, une hydratation par voie veineuse profonde est introduite, avec péjoration de la créatinine à 134µmol/l le 23.06.2018 et à 159µmol/l le 24.06.2018. Dans un même temps, une hyponatrémie hypoosmolaire sévère à 118mmol/l est constatée. En outre, pendant un épisode d'agitation, la nuit du 23.06.2018 au 24.06.2018, Mme. Y arrache le Venflon, avec impossibilité de le remettre, raison pour laquelle nous posons une voie veineuse centrale le 24.06.2018 pour pallier à la déshydratation. Le 25.06.2018, Mme. Y se trouve dans un état semi-comateux, avec un score de Glasgow à 6/15, avec réponses aux stimuli douloureux, et désaturation à 84%, remontant à 92% sous 3L d'oxygène. La gazométrie objective une acidose métabolique sévère avec un pH à 7.06, des bicarbonates à 6mmol/l et des lactates à 12mmol/l. Dans ce contexte, nous effectuons un CT cérébral et un CT thoracique, permettant d'exclure une hémorragie centrale mais mettant en évidence une position aberrante de la voie veineuse centrale se situant dans l'aorte ascendante. Les anesthésistes sont appelés et l'anesthésiste de garde enlève la voie veineuse centrale dans la chambre, avec compression forte. Le jour même, les soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal sont contactés et la patiente y est transférée d'urgence pour la suite de sa prise en charge. • Patiente de 80 ans, connue pour une cardiopathie rythmique et porteuse de pacemaker, une hypertension artérielle et une hypothyroïdie, qui nous est adressée pour réhabilitation après ostéosynthèse de fracture spiroïde du tiers tibial distal du membre inférieur gauche, opérée le 04.06.2018 par les Dr. X et Dr. Y. Sur le plan social, Mme. Y vit dans un appartement avec son frère et bénéficie de soins à domicile 2x/semaine. Jusqu'à présent, et jusqu'à sa fracture, la patiente marchait avec une canne. Cette dernière ne décrit pas d'autre chute, pas d'incontinence urinaire ni fécale, mais une nycturie de deux ou trois épisodes. A l'entrée dans notre service, Mme. Y est hémodynamiquement stable, sans plainte particulière. La patiente mentionne une dyspnée à l'effort déjà connue avant l'opération, pour laquelle elle bénéficie d'oxygénothérapie à domicile qu'elle n'utilise qu'en cas de besoin. Le status à l'entrée objective de légers œdèmes des membres inférieurs, jusqu'au mollet à droite. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire révèle un déficit vitaminique en folates, que nous substituons par voie orale. Selon indication de l'équipe opératoire orthopédique, nous supprimons les fils 15 jours après la chirurgie au vu d'une plaie sans écoulement ni déhiscence et remettons en place la botte de décharge, que la patiente devra garder pendant 6 semaines avec thromboprophylaxie. Mme. Y sera revue pour un contrôle clinico-radiologique par Dr. Y, orthopédiste HFR Riaz, le 16.07.2018.Durant son séjour, Mme. Ruffieux effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seul est de 4 mètres. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126 par rapport à 82/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 1/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas possible à évaluer. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée ne signale pas d'état de dénutrition. Durant son séjour, Mme. Ruffieux profite également d'une prise en charge en ergothérapie pour adaptation aux activités de la vie quotidienne. La patiente continuera sa physiothérapie de mobilisation et l'ergothérapie à domicile, avec poursuite de la décharge avec deux cannes anglaises pendant 6 semaines. Le 21.06.2018, Mme. Ruffieux quitte notre service. Dès sa sortie, elle bénéficiera des soins à domicile 2x/semaine pour contrôle santé et vérification de l'état cutané autour du plâtre. Patiente de 80 ans, connue pour une cardiopathie rythmique, porteuse d'un pacemaker, une hypertension artérielle et une hypothyroïdie, qui est amenée aux urgences le 04.06.2018 suite à une chute sur un malaise survenu le matin même dans sa salle de bain alors qu'elle faisait sa toilette. Mme. Ruffieux décrit la sensation d'un voile noir devant les yeux, suivie d'une chute avec réception sur la jambe gauche. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences montre une double fracture fermée mais déplacée du tibia et du péroné gauches. Une réduction chirurgicale est retenue, avec mise en place de vis. L'intervention se déroule sans complication le jour même. Les suites sont simples, la patiente reste apyrétique. La mobilisation est autorisée avec décharge du membre inférieur gauche durant 6 semaines, protégée par 2 cannes anglaises. La patiente bénéficie d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour, à poursuivre durant l'immobilisation. Les radiographies de contrôle à J1 post-opératoire sont sans particularité, de même que le contrôle biologique. La réfection des pansements s'effectue tous les 2 jours et l'ablation des fils est à prévoir à J15 post-opératoire. Concernant le malaise, un consilium cardiologique est demandé au Dr. X qui ne trouve pas de cause cardiologique, et un pacemaker sans particularité. Comme cause la plus probable, il retient des hypotensions artérielles. Des bas de contention sont dès lors instaurés, dès le lever. Un suivi clinique est assuré pour l'insuffisance respiratoire, avec une oxygénothérapie à 3 litres/minute chez cette patiente qui reste asymptomatique. Durant le séjour, l'hyponatrémie se normalise sous simple hydratation. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Ruffieux est transférée dans le service de gériatrie pour réhabilitation. Patiente de 81 ans vient amenée par l'ambulance pour des douleurs rétro-sternales en barre depuis 22h ce jour avec irradiation au bras gauche. Cela a commencé il y a 3 jours avec des douleurs au bras gauche. Ce jour, les douleurs sont thoraciques en barre à type d'oppression irradiant aux deux bras. Elle a reçu 500mg d'aspirine par les ambulanciers ainsi que 2 pushs d'ISOKET. Les douleurs persistent malgré cela. Pas de dyspnée, pas de toux, pas de crachat, pas de palpitations. status : auscultation cardio-pulmonaire RAS OMI (depuis un mois) Pas de turgescence jugulaire, pas de reflux hépatogénique. Pas de signe d'OAP. Mollets souples indolores, pas de signe de Homans. ECG : inchangé par rapport au précédent sauf sous décalage ST en V2 Labo : 1ere tropo 48, 2eme tropo H1 76 anémie normocytaire normochrome à 118 Radio : ras Appel soins intensifs Fribourg pour surveillance et monitoring _______________________________________________________ Mme. Rime, 81 ans, est admise pour la surveillance rythmique d'un NSTEMI. La patiente, connue pour un diabète de type 2 non insulino-requérant ainsi qu'une hypertension artérielle traitée, a présenté depuis 3 jours des douleurs intermittentes dans le bras gauche non liées à l'effort. Ce soir, après le repas, apparition de douleurs en barre en travers de la poitrine, qui ont cédé après prise de paracétamol et métamizole. Une coronarographie met en évidence _____ Patiente de 82 ans, autonome au domicile, sans aide, active physiquement, connue uniquement pour HTA traitée, qui présente depuis une semaine une baisse d'état général, épisodes de faiblesse sur ses jambes de plus en plus marquée, et sensation vertigineuse orthostatique. La patiente, à son arrivée aux urgences, présente des vertiges violents, de durée courte et de type paroxystique, résolutifs entre les crises, péjorés à la marche et au changement positionnel. Sur le plan social, la patiente habite dans une ferme avec son mari. Le status neurologique est aligné, avec absence de nystagmus central ou périphérique. Un consilium ORL effectué aux urgences de HFR cantonal le 04.06 conclut à une absence de syndrome vestibulaire périphérique, mais n'est pas en mesure d'exclure un VPPB postérieur D, vu que le consilium a été effectué post-manoeuvre de Semont. Les manoeuvres libératrices Epley sont peu concluantes et la manoeuvre Dix-Hallpike ne déclenche pas de nystagmus. Le status ORL complet est sans particularité. La patiente a été transférée au service de la gériatrie pour la suite de la prise en charge. A son arrivée, la patiente est asymptomatique. Sur le plan médicamenteux, le traitement anti-hypertenseur a été adopté, selon les valeurs mesurées lors de l'hospitalisation. Au vu d'une tendance à l'hypo Na (Na à 135), on a remplacé le Co-Aprovel par l'Aprovel et on a mis en suspens le Zanidip, afin de stabiliser la TA. Une évaluation en ambulatoire est recommandée, après la sortie de l'hôpital. Elle se mobilise librement et est complètement autonome. Durant son séjour, Mme. Progin a bénéficié d'une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A la sortie, le périmètre de marche seul est de 120 mètres. Elle est autonome pour le repas, le lavage et le ménage. La mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 89/105 par rapport à 84/105 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 24.88 secondes. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Progin quitte notre service le 07.06. Un contrôle chez le MT dans 10 jours doit être agendé pour évaluation du traitement anti-hypertenseur modifié. Patiente de 82 ans, autonome au domicile, sans aide, active physiquement, connue uniquement pour une hypertension artérielle traitée, et qui présente depuis une semaine une baisse d'état général, des épisodes de faiblesse sur ses jambes de plus en plus marqués, et une sensation de vertige orthostatique. A son arrivée aux urgences, Mme. Progin présente de violents vertiges de courte durée et de type paroxystique, résolutifs entre les crises, et péjorés à la marche et aux changements positionnels. Sur le plan social, Mme. Progin vit dans une ferme avec son mari. Le status neurologique est aligné, avec absence de nystagmus central ou périphérique. Un consilium ORL effectué aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 04.06.2018 conclut à une absence de syndrome vestibulaire périphérique, mais n'est pas en mesure d'exclure des vertiges paroxystiques positionnels bénins postérieurs droits, vu que le consilium a été effectué après une manoeuvre de Semont. Les manoeuvres libératrices d'Epley sont peu concluantes et la manoeuvre Dix-Hallpike ne déclenche pas de nystagmus. Le status ORL complet s'avère sans particularité. Dans ce contexte, Mme. Progin est transférée dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz pour la suite de sa prise en charge.A son arrivée, Mme. Progin est asymptomatique. Sur le plan médicamenteux, le traitement anti-hypertenseur est adapté selon les valeurs mesurées pendant l'hospitalisation. Au vu d'une tendance à l'hyponatrémie (sodium à 135 mmol/l), nous remplaçons le Co-Aprovel par l'Aprovel, et mettons en suspens le Zanidip afin de stabiliser la tension artérielle. Une évaluation en ambulatoire est recommandée après la sortie de l'hôpital. Mme. Progin se mobilise librement et est complètement autonome. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche seule est de 120 mètres. La patiente est autonome pour les repas, la lessive et le ménage. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/105, par rapport à 101/105 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 24.88 secondes. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Progin quitte notre service le 07.06.2018. Un contrôle à votre consultation devra être organisé dans 10 jours pour évaluation du traitement anti-hypertenseur modifié, et contrôle du sodium. Patiente de 82 ans, connue pour des crises de goutte répétitives qui se présente pour cause de rougeur, douleur et gonflement de l'articulation métatarsophalangée du grand orteil droit. La patiente sent une faiblesse générale des deux jambes due à ses douleurs et n'arrive plus à se lever après avoir glissé sur le sol. Pas de palpitations, pas de dyspnée ni altération de conscience. Vu l'apparition clinique du grand orteil droit et un syndrome inflammatoire biologique, nous retenons le diagnostic d'une nouvelle crise de goutte. Vu l'insuffisance rénale chronique, nous installons un traitement avec colchicine adapté à la fonction rénale. L'antalgie est composée par Dafalgan et Temgesic avec bonne amélioration. Mme. Egger arrive progressivement à se mobiliser sans douleurs. La patiente nous fait part des douleurs thoraciques qu'elle avait eues les 3 semaines avant l'hospitalisation. Les douleurs étaient respiro-dépendantes et liées à la base thoracique droite. Après avoir recommencé les inhalations avec Seretide en accord avec son médecin traitant il y a une semaine, les douleurs ont diminué. La patiente n'a plus de douleurs thoraciques depuis plusieurs jours depuis son entrée. Sur la radiographie thoracique, on note une suspicion d'un foyer basal droit. Biologiquement, nous retenons des d-dimères à la hausse, raison pour laquelle nous introduisons une thérapie anticoagulante durant les premières 24 heures. Suite à l'insuffisance rénale, nous réalisons un CT thorax natif afin de mieux différencier le foyer. Le CT nous montre une condensation avec aspect d'un ancien foyer. La patiente étant asymptomatique au niveau respiratoire, nous expliquons les douleurs dans le cadre de l'ancien foyer pulmonaire, les d-dimères à la hausse à cause du syndrome inflammatoire ainsi que l'insuffisance rénale. Nous décidons donc de ne pas effectuer de scintigraphie pour pouvoir formellement exclure une embolie pulmonaire. Vu l'évolution favorable, Mme. Egger rentre à domicile le 06.06.2018. Patiente de 82 ans, hospitalisée en gériatrie aiguë après un séjour en réadaptation gériatrique, en raison de l'apparition d'une infection urinaire. A l'entrée dans notre service, Mme. Pilloud est orientée dans l'espace mais pas dans le temps. L'anamnèse est peu contributive vu la démence vasculaire connue. Au status, nous retrouvons des râles aux deux bases ainsi qu'un rythme cardiaque irrégulier chez cette patiente connue pour une fibrillation auriculaire, sans souffle. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire à la baisse avec une CRP à 38 mg/l et une leucocytose à 10.7 G/L. La patiente présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Le 29.05.2018, Mme. Pilloud se plaint de douleurs au genou gauche sans notion de traumatisme. Le status constate un genou gauche rouge, œdémacié, avec une motricité passive et active incomplète et indolore. Le laboratoire objective l'augmentation de la CRP à 148 mg/l et une leucocytose à 13.6 G/L, sans déviation gauche. Le bilan radiologique montre une gonarthrose tri-compartimentale très avancée associée à une chondrocalcinose que nous traitons par des AINS pendant 3 jours, avec évolution clinique favorable et un avis orthopédique est également demandé et effectué par le Dr. Juan, qui ne pose pas d'indication pour une intervention chirurgicale. Pour l'infection urinaire à E. Coli ESBL objectivée le 30.05.2018, la patiente est mise sous Bactrim forte du 30.05.2018 au 01.06.2018, puis sous Uvamin selon l'antibiogramme, du 01.06.2018 au 07.06.2018. La sonde vésicale est changée le 04.06.2018. En raison d'un risque de dénutrition, nous demandons une évaluation et un suivi nutritionnels, qui ne mettent pas de problème nutritionnel actuellement en évidence. Durant son séjour, Mme. Pilloud effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche avec l'aide de 2 personnes est de 60 mètres. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 23/126, par rapport à 24/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 3/7, escaliers 1/7). Le TUG n'est pas possible. Le 08.06.2018, Mme. Pilloud reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Le 28.06.2018, la patiente sera institutionnalisée à la Maison St-Joseph de Châtel-St-Denis. Patiente de 85 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée et une maladie d'Alzheimer diagnostiquée en 2017, adressée aux urgences de l'HFR Riaz par le médecin de MedHome suite à une chute le 14.06.2018 dans l'après-midi, au mécanisme mal précisé. Quoiqu'il en soit, Mme. Chalet avait été retrouvée au sol par son mari qui l'amène aux urgences de l'HFR Riaz ; elle ne décrit pas de perte de conscience. Sur le plan social, la patiente vit avec son mari dans une maison avec escaliers. A son arrivée aux urgences, Mme. Chalet présente des hématomes à gauche du front et à la face interne de l'orbite gauche. Elle ne présente pas de trouble visuel, pas de déficit sensitif ni de trouble moteur, excepté au membre inférieur droit qui est difficilement évaluable en raison de douleurs au genou droit, avec impossibilité de complète mise en charge. La flexion est limitée à 20°. Le status neurologique est dans la norme et les réflexes sont vifs et symétriques. Selon l'avis orthopédique du Dr. Juan, une attelle velcro en flexion 20° avec de la Clexane prophylactique pendant 7 jours est mise en place. Un contrôle clinique après 7 jours objective une bonne évolution et la patiente peut se mobiliser librement en charge selon douleur, sans besoin de porter l'attelle. Le jour même de son arrivée aux urgences, Mme. Chalet est hospitalisée en gériatrie aiguë pour des soins impossibles à domicile en raison d'une contusion osseuse du genou droit, sous antalgie. Mme. Chalet présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 20/30 et un test de la montre à 5/7. Durant son séjour, Mme. Chalet effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 130 mètres. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 96/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 12.25 secondes. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Chalet quitte notre service le 23.06.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera d'une physiothérapie à domicile. Un contrôle clinique chez son médecin traitant doit être organisé par la patiente dans 10 jours. Patiente de 85 ans qui chute le 13.06.2018 en ayant manqué une marche alors qu'elle montait les escaliers de son domicile, avec réception sur le poignet gauche. Lors de la chute, cette dernière tenait dans sa main un couteau, avec lequel elle s'est coupée au pouce gauche : nous y constatons une plaie superficielle, sans perte de substance. Il n'y a pas d'autre traumatisme et la patiente n'aurait pas présenté de perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle. Sur le plan social, Mme. Gaillard vit de manière indépendante avec son époux et n'utilise pas de moyen auxiliaire pour ses déplacements. Le bilan radio-clinique effectué aux urgences de l'HFR Riaz met en évidence une fracture déplacée et instable du radius et de l'ulna gauches, de type Pouteau-Colles, ainsi qu'une plaie au niveau du pouce du même côté. La patiente bénéficie le jour même d'une réduction aux urgences, sous anesthésie au bloc, puis d'une immobilisation plâtrée AB. Les radiographies après réduction montrent un rétablissement des rapports anatomiques, principalement sous forme d'une réduction de la bascule dorsale, sinon pas de déplacement secondaire. La plaie du pouce gauche ne nécessite pas de suture ; elle est désinfectée et un rappel antitétanique est pratiqué et un pansement Adaptic posé. Mme. Gaillard reste hospitalisée en orthopédie du 13.06.2018 au 15.06.2018, avant d'être transférée dans notre service de gériatrie aiguë pour suite de prise en charge. Lors de son transfert, Mme. Gaillard est hémodynamiquement stable et ne présente plus de douleur. Au status clinique, nous ne signalons pas de déficit neurologique focal, pas de trouble de la sensibilité ni de la revascularisation. Le bilan radiologique effectué au 7ème jour depuis le début de l'immobilisation met en évidence un égrenèrent de la fracture métaphysaire distale avec bascule postérieure de la surface articulaire radiale. Sur le plan clinique, Mme. Gaillard ne présente pas de douleur au repos et sa vascularisation est préservée, avec un temps de remplissage capillaire à 1 seconde. Suite à une évaluation orthopédique faite par le Dr. X, le plâtre est refait et le traitement conservateur poursuivi après discussion avec la patiente. Un bilan radiologique après plâtre le 22.06.2018 ne visualise pas d'altération de l'image radiologique. Un rendez-vous à la consultation orthopédique est organisé le 28.06.2018 à 10h00 pour contrôle d'évolution clinique et radiologique sous traitement conservateur. Durant son séjour, Mme. Gaillard effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule se fait à volonté. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126 par rapport à 83/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 7/7, marche 7/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 9 secondes. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Gaillard quitte notre service le 22.06.2018. Cette dernière a été renseignée par rapport aux soins à domicile et à l'aide au ménage ainsi que la livraison des repas, mais ne souhaite pas recevoir d'aide pour l'instant. Patiente de 87 ans, connue pour un lymphome non hodgkinien et un accident vasculaire cérébral en 2014, sous Aspirine Cardio, adressée depuis le service de médecine HFR Riaz pour réadaptation gériatrique. Plus précisément, Mme. Pilloud présentait une pneumonie bibasale compliquée d'un choc septique le 26.05.2018, et en raison duquel elle est demeurée 24h aux soins intensifs de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal avant d'être stabilisée et réadressée à l'HFR Riaz. La patiente a donc séjourné en médecine du 27.05.2018 au 05.06.2018, bénéficiant d'une antibiothérapie à large spectre, avec évolution favorable. Ce jour, elle nous est adressée pour suite de prise en charge avec projet de reconditionnement et reprise des activités de la vie quotidienne. Sur le plan social, Mme. Pilloud habite seule et de manière autonome. Elle se déplace sans moyen auxiliaire, s'occupe du ménage et de son jardin. A son arrivée, la patiente est en état général conservé, mais oxygénodépendante sous 3l d'oxygène. A l'auscultation pulmonaire, signalons des râles basaux droits et une toux productive persistante, avec des expectorations transparentes. Le reste du status clinique est non-contributif. Mme. Pilloud présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec notamment un déconditionnement global dans le contexte infectieux. A son arrivée, la patiente présentait une dyspnée persistante à l'effort avec difficulté à sevrer l'oxygène. Une physiothérapie respiratoire et de mobilisation est initiée dès son entrée en réadaptation gériatrique. Durant son séjour, Mme. Pilloud effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 160 mètres. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 108/126 par rapport à 99/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 19.05 secondes. Parmi les investigations des troubles de la marche et de l'équilibre avec des chutes à répétition, un test de Schellong effectué le 14.06.2018 revient négatif. Le bilan nutritionnel réalisé durant le séjour de médecine HFR Riaz révélait une malnutrition protéino-énergétique modérée avec inappétence le 30.05.2018, d'origine infectieuse, et démontrée par un NRS à 4/7 et des apports à 50% depuis 1 mois. Notons encore une perte pondérale de 5kg en 4 jours. Durant sa réadaptation, Mme. Pilloud atteint son objectif de 100% des apports et un enrichissement des repas avec une supplémentation nutritive orale quotidienne ainsi qu'une collation. Pour la suite, des conseils lui sont prodigués pour une alimentation suffisante, avec une nécessité de recevoir trois repas tous les jours. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Pilloud quitte notre service le 19.06.2018 en ayant pu être sevrée de l'oxygène, avec une saturation de 92-94% à l'air ambiant. Dès sa sortie, la patiente bénéficiera d'un passage des soins à domicile pour contrôle des constantes. Un rendez-vous chez son médecin traitant sera organisé une semaine après sa sortie pour une évaluation de son évolution clinique. Patiente de 87 ans hospitalisée pour un empyème survenant dans le contexte d'un adénocarcinome pulmonaire nouvellement diagnostiqué. Pour rappel, Mme. Vonlanthen consulte le service des urgences en raison d'une douleur basithoracique droite d'apparition soudaine associée à un état fébrile. A noter une pneumonie traitée par Cefuroxim du 19.05 au 25.05.2018 par le médecin traitant permettant une diminution de sa toux et des expectorations. Au bilan d'entrée, on note un important syndrome inflammatoire. Un CT thoraco-abdominal met en évidence une volumineuse masse hétérogène pulmonaire droite ainsi qu'un épanchement pleural ipsilatéral.Une ponction pleurale met en évidence un empyème motivant la pose d'un pig tail, puis une thoracoscopie avec décortication. Les multiples prélèvements ne permettent pas de mettre en évidence de germe pathogène, mais l'évolution biologique et clinique est lentement favorable sous Co-Amoxicilline ; l'antibiothérapie doit être poursuivie minimum 6 semaines en raison de l'empyème. La masse visible au CT est biopsiée par bronchoscopie et l'examen histologique met en évidence un carcinome non à petite cellule. Le bilan d'extension par CT thoraco-abdominal et les biopsies ganglionnaires hilaire et pleurale, ainsi que les examens cytologiques du liquide pleural ne mettent pas en évidence de lésion à distance. Un PET-CT est effectué le 18.06.2018, dont les résultats vous parviendront par la suite. La suite de la prise en charge sera discutée au tumor-board du 20.06.2018 et la patiente sera reconvoquée par nos collègues oncologues de l'HFR Fribourg. La patiente rentre à domicile le 20.06.2018 avec la mise en place d'aide à domicile. Patiente de 88 ans, qui nous est adressée pour une réadaptation gériatrique post-cholécystectomie laparoscopique le 08.06.2018 pour laquelle elle a été hospitalisée à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 07.06.2018 au 14.06.2018. Mme. Nicolet se plaint d'une inappétence avec perte pondérale d'environ 10 kg depuis avril 2018 et fatigue associée. La patiente est également connue pour hypertension artérielle sous traitement, et syndrome vertigineux positionnel bénin. A noter un tremblement essentiel, avec une incontinence urinaire connue. Du point de vue social, Mme. Nicolet vit de manière autonome à domicile et n'utilise pas de moyen auxiliaire pour se déplacer. Elle habite avec son mari qui est actuellement hospitalisé à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une infection urinaire. Elle a une femme de ménage mais prépare seule les repas. La patiente est en état général préservé. Sur le plan clinique, Mme. Nicolet ne présente pas de douleur abdominale et la cicatrice est calme, sans signe d'inflammation cutanée. Le statut cardiologique relève des B1 et B2 bien frappés, avec un souffle systolique à 2/4 au foyer d'Erb, non irradiant aux carotides. La patiente est orientée sur le plan temporo-spatial. Lors de son séjour, Mme. Nicolet présente des épisodes d'hypotension artérielle, justifiant la mise en suspens du traitement anti-hypertenseur par Peridinopril 5 mg ; le traitement de Toviaz 4 mg est également mis en suspens car la patiente présente des incontinences malgré ce traitement. Mme. Nicolet présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans le diagnostic. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, son périmètre de marche seule est de 80 mètres. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 93/126 par rapport à 81/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 3/7). Le TUG est à 26.87 secondes. La patiente est autonome pour les soins et marche avec une canne comme moyen auxiliaire. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée signale une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence, et péjorée par des douleurs au niveau du bras et de l'épaule droites, séquellaires à une ancienne fracture selon la patiente. Nous relevons une perte pondérale supérieure à 5 % de son poids habituel dans un intervalle de 4 mois. Pour la suite, des conseils sur l'enrichissement des repas lui sont prodigués pour une alimentation au domicile, suffisante en protéines. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Nicolet quitte notre service le 22.06.2018. La patiente ne souhaite pas de soins à domicile en raison de son indépendance fonctionnelle et du soutien familial dont elle dispose. Un rendez-vous chez son médecin traitant devrait être organisé d'ici 10 jours pour un contrôle clinique. Patiente de 89 ans adressée par son médecin traitant pour une suspicion de maladie coronarienne en raison d'une dyspnée de stade NYHA III-IV péjorée chez une patiente déjà connue pour une cardiopathie ischémique depuis plus de 10 ans avec une angioplastie et un stent sur IVA. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne sévère tritronculaire avec comme lésion la plus prognostique une subocclusion instent au niveau de la IVA proximale et moyenne, ainsi que des lésions au niveau de la CD moyenne et de la CX et une occlusion chronique de la bissectrice également après instent. En raison de l'accès vasculaire défavorable (tortuosité extrême), la procédure s'avère techniquement très compliquée. De plus, la patiente présente une insuffisance rénale sévère actuellement aggravée ce qui empêche l'injection d'une dose suffisante de produit de contraste. Nous décidons donc, également compte tenu de l'état général de la patiente, d'interrompre la procédure. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 27.06.2018 à domicile. Nous proposons un contrôle de la créatinine dans 48-72 h et, en cas de stabilité, de reconvoquer la patiente dans 2 semaines pour une nouvelle tentative par voie radiale gauche. Patiente de 89 ans ayant bénéficié d'une réduction et d'une ostéosynthèse d'une fracture péri-prothétique comminutive Vancouver B du fémur gauche le 12.05.2018 en raison d'une fracture péri-prothétique type Vancouver B du fémur gauche. Lors de la consultation du 04.06.2018 pour l'ablation des fils, mise en évidence d'une nécrose de la cicatrice post-opératoire pour laquelle une révision de plaie est décidée, en accord avec la patiente. Le 05.06.2018, la patiente bénéficie d'un débridement avec lavage et fermeture de la plaie. Une antibiothérapie par Pipéracilline et Tazobactam est initiée, à raison de 4 x 4.5 g/jour iv pour une durée de 2 semaines, avec relais per os pour 10 semaines par Amoxicilline 1 g - 3 x/jour et Ciprofloxacine 750 mg - 2 x/jour. Les suites post-opératoires se déroulent sans complication, la patiente reste apyrétique. Vu la bonne évolution, Mme. Gremaud retourne au home le 14.06.2018. Patiente de 89 ans, connue pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée et une hypertension artérielle, qui nous est adressée pour réadaptation après changement de vis céphalique à la hanche droite le 06.06.2018. Sur le plan social, Mme. Denervaud vit seule dans une maison comprenant trois appartements, dont celui du 2ème étage est occupé par son fils. La patiente bénéficie de soins à domicile et d'une femme de ménage. Elle est autonome, mais se mobilise avec un rollator. Elle ne signale pas de perte d'appétit, pas de brûlures urinaires, pas de nycturie. Une dernière chute a eu lieu en 2015. Le statut fait à l'entrée ne signale pas d'œdème aux membres inférieurs. L'abdomen est souple et indolore, les bruits abdominaux sont normaux en fréquence et en tonalité. L'examen cardio-pulmonaire relève des B1 et B2 irréguliers sans souffle et un murmure vésiculaire sans bruit surajouté. Au niveau de la hanche droite, relevons la présence d'un hématome étendu post-opératoire, sur la face externe de la hanche droite jusqu'à la cuisse droite, ainsi que sur la face postérieure du mollet droit ; ce dernier est souple et indolore à la palpation, mais il y a une légère douleur à la mobilisation du membre inférieur droit. Le bilan biologique objective une carence vitaminique (acide folique à 3.6 ng/ml et vitamine D3 à 30 nmol/l), pas d'insuffisance rénale (urée à 6.4 mmol/l, créatinine à 66 µmol/l), sans syndrome inflammatoire. Nous substituons ces déficits vitaminiques par voie orale.Un rendez-vous radio-clinique est organisé à la consultation du Dr. X, orthopédiste, le 30.07.2018 à 9h, à l'HFR Riaz. La patiente est connue pour fibrillation auriculaire sans anticoagulation systématique. Vous nous confirmez qu'aucune anticoagulation n'avait été mise en place, raison pour laquelle nous posons l'indication à une anticoagulation au long cours. À la lumière des récents progrès à la marche, nous vous laissons le soin de discuter de sa poursuite en ambulatoire. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 100 mètres avec un rollator. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 96/126, par rapport à 105/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 20.35 secondes. Au niveau ergothérapeutique, des douleurs et un manque de force au bras droit sont objectivés par le test JAMAR (droite 3kg, gauche 15kg). En raison d'un risque de dénutrition, nous demandons une évaluation, qui ne relève pas de problème nutritionnel. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 21.06.2018. Dès sa sortie, cette dernière bénéficiera du passage des soins à domicile 2x/semaine (une fois pour la douche et une fois pour contrôle santé). Patiente de 91 ans, sous Sintrom pour une fibrillation auriculaire, qui nous est transférée depuis le service de chirurgie le 04.06.2018, où elle était hospitalisée du 01.06.2018 au 04.06.2018 pour traitement conservateur d'un hématome sous-dural gauche connu depuis le 21.05.2018, présentant des signes œdémateux avec saignement récent et déficit neurologique d'apparition brutale, sans facteur déclenchant, le 01.06.2018. Plus précisément, Mme. Y avait été amenée en ambulance le 01.06.2018 après avoir présenté une aphasie type Broca d'une durée d'une heure. La patiente était restée dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique durant 48h, cela sur avis neurochirurgical, puis nous avait été transférée le 04.06.2018 dans notre service de gériatrie aiguë. Au transfert, la patiente ne présente plus de déficit neurologique et son score de Glasgow s'élève à 15/15. Sur le plan social, Mme. Y est résidente au Foyer non médicalisé St-Joseph de Morlon. Au status clinique, la patiente aurait présenté une aphasie type dysarthrie, sans atteinte de la compréhension, transitoire et résolue spontanément pendant les premières 24h de l'hospitalisation. Mme. Y est orientée sur l'aspect temporo-spatial et le reste du status neurologique est peu contributif. Le bilan biologique est dans la norme, à l'exception du sédiment urinaire qui revient positif pour une infection urinaire basse. Un traitement antibiotique par Uvamine 100mg est instauré du 01.06.2018 au 05.06.2018, avec un effet favorable. À noter qu'aucun germe n'a été identifié avec l'urotube. Un CT cérébral le 01.06.2018 révélait un hématome sous-dural hémisphérique gauche, connu et en augmentation de taille (épaisseur maximale à 8mm) avec œdème de l'hémisphère gauche. Sur avis neurochirurgical, un traitement conservateur a été effectué avec un CT de contrôle réalisé le 06.06.2018, constatant une régression de l'hématome, sans effet de masse. Le traitement anticoagulant par Sintrom avait été mis en suspens à partir du 01.06.2018. Durant son séjour, Mme. Y présente une bonne évolution, arrive à communiquer et peut s'alimenter de façon orale. Le 07.06.2018, elle présente cependant un nouvel épisode aphasique d'une durée de 20 minutes sans autre déficit neurologique et sans facteur déclencheur. La patiente reprend la parole après 30 minutes, sans déficit neurologique persistant. Selon avis neurochirurgical le 12.06.2018, le traitement de Sintrom doit être repris d'ici 14 jours avec CT de contrôle afin d'évaluer une possible augmentation de l'hématome sous traitement anticoagulant. La patiente sort avec un traitement de Clexane 40mg. Le médecin traitant est également mis au courant de l'évolution clinique et bénéficie de recommandations par rapport à la suite de la prise en charge. La patiente présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Elle se déplace avec un tintébin. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. Elle utilise un rollator comme moyen auxiliaire. À sa sortie, le périmètre de marche seule est de 120 mètres. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126 par rapport à 78/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 29.2 secondes. Finalement, suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 11.06.2018 pour retourner au Foyer non médicalisé de St-Joseph à Morlon. À sa sortie, la patiente ne présente pas de déficit neurologique. Patiente de 92 ans, avec notion de cardiopathie, qui est amenée aux urgences en ambulance suite à une baisse de l'état général. Selon sa fille, la patiente souffre d'une faiblesse avec troubles de la marche modérés depuis quelques mois, sans notion de chute. Depuis 3 jours, troubles cognitifs en péjoration surtout le matin et en plus, les proches ont noté une acutisation de sa faiblesse. Suite au passage de Medhome à domicile, il est mis en évidence une anémie ferriprive importante. Pendant le séjour, Mme. Y montre de courts épisodes de désorientation surtout le matin mais sinon patiente bien orientée. Nous diagnostiquons une anémie ferriprive comme étiologie de cette faiblesse généralisée pour laquelle la patiente a déjà été traitée il y a un an selon les dires de sa fille. On avait consciemment renoncé à faire des investigations à l'époque. Le souhait de la patiente et de sa famille est de traiter les symptômes et de ne plus effectuer d'investigations invasives. Nous substituons du fer par la voie veineuse une première fois le 12.06 et une seconde le 14.06.2018. Vu l'ECG avec une bradycardie sinusale et la possibilité de saignements occultes, nous arrêtons le traitement de Xarelto. Après avoir arrêté le traitement antihypertenseur, Mme. Y reste toujours normotendue sans valeurs à la hausse, raison pour laquelle nous décidons de ne pas recommencer un traitement antihypertenseur. Nous retenons des germes dans les cultures urinaires. Vu la patiente asymptomatique et l'absence d'un syndrome inflammatoire, nous renonçons à mettre en place une antibiothérapie. Du point de vue des troubles cognitifs et du besoin d'aide de la patiente, nous décidons après un colloque avec les deux filles qu'un transfert à l'UATO avant de rentrer à domicile serait envisageable. Pour le retour à domicile, la famille va organiser des aides privées, soins à domicile et service de repas. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement à partir du 19.06.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 92 ans, connue pour troubles de la marche d'origine multifactorielle qui consulte pour lombalgies gauches en péjoration depuis 2 semaines, non irradiantes mais qui limitent ses activités quotidiennes. Pas d'autres plaintes, toux présente depuis 4 semaines, sans plainte gastro-intestinale ou génito-urinaire. Mme. Y vit seule, en attente de placement dans un home, et a une fille qui vit à Lausanne. Actuellement, les soins sont devenus impossibles à domicile, et la patiente a reçu de l'Irfen et du Sirdalud la veille ; ce matin, elle n'arrivait plus à se lever du lit. La patiente est au repos, sans douleurs. Il n'y a pas de notion de traumatisme ou de faux mouvement, pas de chute, pas de notion d'état fébrile.Sa fille décrit une angoisse d'être seule et une envie de placement de la part de sa maman. Des démarches pour un placement sont en cours, mais aucune place n'était disponible actuellement. A noter des désaturations connues, chez une patiente avec un syndrome obstructif connu et suivi par le Dr. X. Le score de Glasgow est à 15/15, chez une patiente orientée, calme, acyanotique et anictérique. La patiente ne tolère pas la position assise en raison des douleurs. Au niveau cardiovasculaire, les B1 et B2 sont bien frappés, sans souffle. Dans la sphère pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique, avec des râles crépitants éparses. Dans le cadre abdominal, les bruits sont dans la norme, la palpation indolore, sans défense ni détente, sans organomégalie ; les loges rénales sont souples et indolores. Présence d'oedèmes des membres inférieurs au niveau bimalléolaire. Le Lasègue est positif à gauche. Le toucher rectal est indolore, le tonus sphinctérien est préservé. Aux membres supérieurs, la force et la sensibilité sont préservées des deux côtés, et nous notons une normoréflexie patellaire bilatérale. Au niveau ostéoarticulaire, signalons une palpation douloureuse au niveau para-lombaire gauche au niveau de L4. La radiographie de thorax relève un important épaississement de la trame bronchovasculaire avec syndrome interstitiel micronodulaire bilatéral en rapport avec une pneumopathie chronique. La radiographie de la colonne lombaire ne met pas en évidence de fracture récente. L'ECG revient superposable aux examens préalables. Le laboratoire met en évidence uniquement une CRP à 32 mg/l, sans autre anomalie. Au cours de son hospitalisation, nous adaptons l'antalgie avec une évolution clinique favorable. Nous vous laissons le soin de diminuer progressivement l'antalgie, dès que les douleurs diminueront. Mme. Y présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans le diagnostic. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 120 mètres à l'aide d'un rollator. Elle peut gravir 18 marches avec une rampe et sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126, par rapport à 72/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 20,40 secondes, Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 06.06.2018 pour le Foyer St-Joseph de Sâles. Patiente de 92 ans connue pour une cardiopathie mixte, qui nous est adressée de l'Hôpital Riviera-Chablais en raison d'une baisse de l'état général et une insuffisance rénale aiguë AKIN I occasionnée par le traitement diurétique sur l'insuffisance cardiaque. Sur le plan social, Mme. Y vit avec son mari et bénéficie du passage des soins à domicile 2x/j et des repas livrés à domicile ; elle se mobilise avec un rollator. A l'entrée dans notre service, la patiente se plaint d'une faiblesse généralisée. Sinon, elle ne signale pas de douleur ou autre symptôme. Le status cardiopulmonaire à l'entrée dans le service montre des S1 S2 irréguliers, un souffle audible dans tous les foyers, et des sibilances diffuses à droite ; les status abdominal et neurologique sont sans particularité. Le laboratoire relève une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique de stade III avec créatinine à 174 µmol/l, perturbation des tests hépatiques de type de cholestase et hyponatrémie hyperosmolaire à 125 mmol/l. Nous mettons en place une hydratation intraveineuse avec normalisation de la natrémie. Les diurétiques restent en suspens jusqu'à l'amélioration de la fonction rénale. Les tests hépatiques s'améliorent progressivement de manière spontanée. Le 01.06.2018, Mme. Y présente des lésions cutanées évoquant un zona génital raison pour laquelle elle est mise sous Valtrex pour 7 jours. Sur le plan médicamenteux, une fois la fonction rénale améliorée, nous reprenons progressivement le traitement diurétique. La patiente présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 22/30 et un test de la montre à 1/7. Durant son séjour, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche avec tintébin à 2 roues est de 38 mètres. Mme. Y nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 70/126, par rapport à 63/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 2/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 2 minutes et 4 secondes. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée montre une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une asthénie, une inappétence et une difficulté de mastication, démontrée par une perte pondérale de 23% en 2 mois, un indice de masse corporelle à 17,2 kg/m2 et un NRS à 5/7. Notons aussi des apports énergétiques insuffisants, en lien avec une asthénie, une inappétence et une difficulté de mastication, démontrés par des ingestas actuels couvrant 53% de ses besoins énergétiques. Par la suite, des adaptations et enrichissements des repas ainsi que la supplémentation nutritive orale permettent d'atteindre la cible calorique. Durant son séjour, Mme. Y profite d'interventions ergothérapeutiques pour l'entraînement dans ses activités de la vie quotidienne. Le 04.06.2018, Mme. Y est prise en charge en réhabilitation gériatrique. Patiente de 92 ans prise en charge en réhabilitation gériatrique après séjour en gériatrie aiguë pour insuffisance rénale aiguë et baisse d'état général avec soins impossibles à domicile. Sur le plan social, rappelons que Mme. Y vit avec son mari et bénéficie du passage des soins à domicile 2x/j ainsi que des repas livrés à domicile ; elle se mobilise avec un rollator. Le status relève des oedèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux mollets et quelques râles basaux. Le laboratoire objective une insuffisance rénale chronique de stade III avec clairance à la créatinine selon MDRD à 46,3 ml/min ainsi qu'une anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 110 g/l le 04.06.2018. Durant son hospitalisation, la patiente présente une prise pondérale. Nous augmentons donc le traitement diurétique, en ajoutant de la métolazone 2,5 mg tous les 2 jours. La patiente présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Y effectue de la physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche à l'aide d'un tintébin à 2 roues est de 120 mètres. Cette dernière peut gravir 5 marches et est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126 par rapport à 68/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 2 minutes 4 secondes.Durant son séjour, Mme. Socland profite d'interventions ergothérapeutiques pour l'entraînement de ses activités de la vie quotidienne. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée montrait une malnutrition protéino-énergétique sévère. Durant ce séjour, les adaptations des repas, les enrichissements et la prise de suppléments nutritifs oraux permettent d'atteindre la cible calorique. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Socland quitte notre service le 15.06.2018 pour un court séjour au Home du Châtelet à Attalens. Mme. Y, 96 ans, que vous nous adressez aux urgences de l'HFR Riaz pour des douleurs rétrosternales associées à des palpitations et un épisode de vertige. En effet, Mme. Marcuet avait présenté un épisode de douleurs rétro-sternales l'ayant réveillée ce matin, d'une durée d'environ 10 minutes, non irradiantes, centrées sur le cœur, respiro-dépendantes en coup de poignard, associées à des palpitations et un épisode de vertiges rotatoires, résolus désormais. Elle se plaint actuellement de céphalées constrictives bilatérales à 4/10. Pas de dyspnée paroxystique nocturne mais présence d'une dyspnée d'effort NYHA 3. La patiente décrit un état général diminué depuis 3-4 jours avec perte d'appétit et fatigue importante, sans fièvre, mais des troubles d'équilibre (connus pour une artériopathie des membres inférieurs), avec nycturie de deux épisodes, mais pas d'incontinence fécale, ni urinaire. Sur le plan social, Mme. Marcuet habite avec sa fille, se déplace avec un rollator, et bénéficie du passage des soins à domicile 1x/j. Au status, nous mettons en évidence un souffle systolique au niveau de toute l'aire précordiale, maximale au foyer aortique et irradiant dans les carotides. Aux urgences, la patiente est hypertendue à 197/91 mmHg. Nous administrons de l'Adalat et du Deponit. Le laboratoire montre une insuffisance rénale chronique avec clairance de créatinine à 21 ml/min selon MDRD, les troponines sont stables à 45 ng/l et nous majorons le traitement antihypertenseur (introduction du Beloc ZOK et du Coversum). Puis la patiente est hospitalisée à ELM pour surveillance rythmique et hémodynamique. Mme. Marcuet reste stable pendant le séjour et l'échographie cardiaque réalisée le 06.06.2018 montre une insuffisance aortique hémodynamiquement significative. La patiente refuse toutefois toute prise en charge chirurgicale. La patiente présente un risque de chute dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Marcuet bénéficie de physiothérapie de mobilisation et de renforcement musculaire. À sa sortie, le périmètre de marche avec tintébin est de 120 mètres. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 75/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 29,32 secondes. Le bilan modulaire d'ergothérapie montre un fléchissement au niveau de la mémoire, mais l'indiçage aide. Il n'y a pas de difficultés observées au niveau de l'attention provoquée, mais un léger fléchissement au niveau de l'orientation spatiale et temporelle (jours de la semaine, peu significatif). Concernant les fonctions instrumentales, remarquons une bonne réceptivité des consignes, pas de difficulté d'expression, les praxies sont fluides (pas fait le cube, la patiente ne peut pas dessiner en raison de ses troubles visuels). Signalons aussi une inconstance et une hésitation en ce qui concerne la somatognosie. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée ne montre pas de malnutrition actuellement. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Marcuet quitte notre service de gériatrie aiguë le 13.06.2018 pour un retour à domicile, avec organisation du passage des soins à domicile 1x/semaine pour préparation du semainier. Patiente enceinte de 26 semaines. Mme. Y et maman disponibles pour rendez-vous avec Dr. X pour rediscuter la situation familiale et le traitement de benzodiazépine. Proposition à la maman et à sa fille de diminuer le Zoldorm à 3/4 dès ce soir. Patiente hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë en attente pour un placement dans une maison de retraite, qui présente le 28.04.2018 un iléus grêle, motivant une hospitalisation initialement au service de chirurgie HFR Riaz du 30.04.2018 au 07.05.2018. À son entrée en chirurgie, le status relevait un abdomen distendu et une sensibilité à la palpation de flanc gauche avec disparition des bruits abdominaux. Le status pulmonaire signalait une hypoventilation diffuse avec légers crépitants bibasaux. Une sonde nasogastrique a été posée et un CT abdominal révéla un iléus grêle. De plus, Mme. Mauron présentait un pic fébrile à 38,4°C sans frissons, qui ne s'est pas reproduit durant le séjour. Le laboratoire objectivait en effet une élévation de la CRP à 201 mg/l, nous laissant suspecter une pneumonie de broncho-aspiration, justifiant la réalisation d'une radiographie du thorax ne montrant pas de foyer thoracique franc. La gazométrie sous 2 l d'oxygène effectuée le 30.04.2018 objectivait une PaO2 à 8,9 kPa, SaO2 à 95 %, des bicarbonates à 29 mmol/l et une pCO2 à 5,7 kPa. Le jour même, Mme. Mauron fut donc transférée au bloc opératoire pour prise en charge de l'iléus grêle par Dr. X (le 30.04.2018). Par la suite, la patiente demeure à l'étage des lits monitorés jusqu'au 07.05.2018. Durant son séjour en ELM, la patiente présente des épisodes de tachy-dyspnées paroxystiques accompagnés de désaturation (79 %) avec, comme diagnostics différentiels, de possibles broncho-aspirations à répétition. Le 07.05.2018, la patiente est prise en charge en gériatrie aiguë. Au status, nous relevons un abdomen distendu, diffusément sensible à la palpation, avec des bruits abdominaux trop diminués en fréquence. Le laboratoire montre une hypokaliémie qui est substituée par voie orale. Le bilan nutritionnel constate une malnutrition protéino-énergétique sévère, en lien avec des besoins augmentés (bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III et opération abdominale). Par la suite, Mme. Mauron bénéficie d'une nutrition parentérale jusqu'au 11.05.2018 ainsi que d'interventions pour couvrir ses besoins énergétiques. Au cours de son hospitalisation post-opératoire, Mme. Mauron présente des troubles du transit (pas de reprise de transit) qui sont traités par des lavements. Mme. Mauron ne souhaite pas d'intervention supplémentaire et est très claire sur son envie de soins de confort et ses limites thérapeutiques. Nous instaurons également un traitement antalgique morphinique. Finalement, après stabilisation de son état avec reprise du transit et reprise alimentaire, Mme. Mauron quitte notre service le 28.05.2018 pour se rendre au Foyer St-Joseph à La Roche, en accord avec sa famille. Patiente hospitalisée en électif pour l'intervention susmentionnée. Pour rappel, en date du 09.05.2018, la patiente se fait marcher sur le pied G par une vache. En raison de la persistance de douleurs, elle consulte son médecin traitant qui nous l'adresse au vu des fractures susmentionnées. Au vu du déplacement de la fracture du 1er métatarsien, l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le 29.05.2018, sans complications. Les suites postopératoires sont simples. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie avec un VACOpedes. Rx postop satisfaisantes. La plaie reste propre et calme. Retour à domicile le 01.06.2018. Patiente nulligeste de 28 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est adressée pour un consilium en raison de douleurs lombaires basses en aggravation depuis quelques jours associées à un léger syndrome inflammatoire. Les lombalgies existent depuis plus d'un mois et se sont aggravées avec des crampes suspubiennes. Elle présente également des métrorragies de faible abondance depuis 2 jours (date des dernières : le 15.04.2018).Mme Kovaqi n'a pas de gynécologue traitant, et n'a jamais eu de contrôle gynécologique auparavant. Elle a un nouveau partenaire depuis 6 mois et un désir de grossesse. A l'admission dans notre service, la patiente est afébrile, normocarde et normotendue. Au status gynécologique, nous constatons une leucorrhée cervicale sanguinolente, et une mobilisation utérine douloureuse au toucher vaginal. A l'US endovaginal, il y a une image d'oedèmes tubaires bilatéraux. Nous effectuons des prélèvements cervicaux, et hospitalisons la patiente devant une suspicion de PID chronique en accentuation douloureuse. Les suites de l'hospitalisation sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 01.06.2018, avec encore deux injections de Rocéphine programmées en ambulatoire, et une antibiotéhrapie per os pour un total de 14 jours. Un contrôle clinique est agendé dans notre service pour le 15.06.2018. Patiente nulligeste de 32 ans connue pour des ménorragies anémiantes depuis mai 2018 dans un contexte d'utérus avec un fibrome intramural antérieur de 33x27x26mm (classe FIGO II-III). La patiente étant demandeuse d'une intervention chirurgicale, elle signe le consentement éclairé et une hystéroscopie opératoire avec myomectomie est réalisée le 12.06.2018, et se déroule sans complication. La patiente retourne à domicile le 12.06.2018 et sera revue à la consultation d'ici un mois chez Dr. X afin d'effectuer un ultrason de contrôle, puis à 2 mois pour effectuer une hystéroscopie diagnostique de contrôle. Elle reçoit les conseils d'usage sur les motifs de reconsultation en urgences. Patiente nulligeste de 50 ans, qui est suivie à notre consultation depuis le 04.06.2018 pour une bartholinite droite symptomatique et invalidante. Elle est ménopausée depuis environ 5 ans, son dernier contrôle gynécologique date de mars 2018. Nous avons essayé un traitement conservateur par antibiotiques (Augmentin 1g x2/jour), Ichtiolan crème. Lors de son contrôle le 07.06.2018, elle dit ne pas avoir vu d'amélioration sous le traitement prescrit, nous lui proposons donc une prise en charge chirurgicale, par marsupialisation du kyste de Bartholin à droite. La patiente accepte et signe le consentement. L'intervention se déroule le 08.06.2018 sans complications. Un prélèvement bactériologique est effectué et envoyé au laboratoire. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 09.06.2018 avec un contrôle prévu le 10.06.2018 et ablation de la mèche. Patiente nulligeste de 50 ans, qui est suivie à notre consultation depuis le 04.06.2018 pour une tumefaction douloureuse au niveau vaginal, avec dyspareunie superficielle depuis plusieurs semaines, et une gêne importante à la position assise. Mme signale également une leucorrhée abondante, malodorante. Elle est ménopausée depuis environ 5 ans, son dernier contrôle gynécologique date de mars 2018. Nous constatons ce jour-là une glande de Bartholin à droite tuméfiée d'environ 3 x 2cm, dure et très douloureuse à la palpation, et une glande à gauche moins tuméfiée et moins algique. Nous essayons un traitement conservateur par antibiotiques (Augmentin 1g x2/jour), Ichtiolan crème, et la patiente rentre à domicile. Lors de son contrôle le 07.06.2018, elle dit ne pas avoir vu d'amélioration sous le traitement prescrit, nous lui proposons donc une prise en charge chirurgicale, par excision du kyste de Bartholin à droite le 08.06.2018. L'intervention se déroule le ... sans complications. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le .. avec un contrôle prévu le .. Patiente nulligeste de 50 ans, qui est suivie à notre consultation depuis le 04.06.2018 pour une tumefaction douloureuse au niveau vaginal, avec dyspareunie superficielle depuis plusieurs semaines, et une gêne importante à la position assise. Mme signale également une leucorrhée abondante, malodorante. Elle est ménopausée depuis environ 5 ans, son dernier contrôle gynécologique date de mars 2018. Nous constatons ce jour-là une glande de Bartholin à droite tuméfiée d'environ 3 x 2cm, dure et très douloureuse à la palpation, et une glande à gauche moins tuméfiée et moins algique. Nous essayons un traitement conservateur par antibiotiques (Augmentin 1g x2/jour), Ichtiolan crème, et la patiente rentre à domicile. Lors de son contrôle le 07.06.2018, elle dit ne pas avoir vu d'amélioration sous le traitement prescrit, nous lui proposons donc une prise en charge chirurgicale, par excision du kyste de Bartholin à droite... L'intervention se déroule le ... sans complications. Le kyste excisé est envoyé en anatomopathologie. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le .. avec un contrôle prévu le .. Patiente nulligeste de 57 ans, souffrant d'un retard mental sévère depuis la naissance, chez qui nous effectuons un examen gynécologique complet sous narcose le 07.06.2018. L'intervention se déroule sans complications, le status gynécologique est sans particularités en dehors d'un utérus myomateux, qui présente un myome de 62 x 57 mm, FIGO 5, dans le paramètre gauche. Présence de deux myomes encore, FIGO 3, calcifiés, au niveau fundique. Endomètre homogène à 4.7mm. L'examen mammaire par palpation ne montre pas de nodule ni autre lésion suspecte. La patiente bénéficie d'une échographie mammaire bilatérale, ainsi qu'un examen ORL. Les suites sont simples. La patiente regagne son domicile le jour même de l'opération. Patiente partie des urgences sans consultation médicale (a été vue en gynécologie). Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente partie sans consultation médicale. Patiente prend un rendez-vous en ambulatoire à la sortie avec Dr. X. Patiente présentant une situation psychologique compliquée avec de multiples plaintes somatiques en cours d'investigation par le médecin traitant, nous répondons à la plainte principale du jour situé sur le plan gynécologique et urinaire avec le traitement d'une infection urinaire basse et des investigations gynécologiques qui mettent en évidence une sécheresse vaginale. Nous laissons le gynécologue traitant et le médecin traitant continuer les investigations concernant la baisse de l'état général avec notamment des marqueurs tumoraux au niveau gynécologique. Patiente primigeste de 25 ans, à 12 semaines d'aménorrhée, qui est adressée par Dr. X pour l'échographie du 1er trimestre le 22.06.2018. Lors de sa consultation, elle signale une baisse de l'état général, avec asthénie importante et nausées qui empêchent son alimentation depuis quelques jours. Pas de vomissements ni troubles du transit, pas de fièvre, pas d'autre symptôme urogénital, pas de douleurs.A l'examen clinique, elle est normotendue à 107/57 mmHg, normocarde à 77 bpm, afébrile à 37.2°C. L'abdomen est souple et indolore. Elle présente des céphalées sans déficit neurologique, avec écoulement nasal clair. Nous hospitalisons la patiente pour hydratation intraveineuse et surveillance. Le contrôle biologique. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 23.06.2018 avec un contrôle prévu chez sa gynécologue. Patiente qui consulte pour des douleurs dentaires survenues il y a 2 jours avec tuméfaction au niveau du maxillaire supérieur. Les douleurs sont décrites comme pulsatile. A l'examen clinique, la patiente est en bon état général, afébrile, prothèse dentaire partielle en haut, 1ère prémolaire à gauche encore en place, cariée avec tuméfaction au niveau de la gencive. Douleurs à la percussion du sinus maxillaire gauche avec tuméfaction en regard. Une consultation est prévue le même jour par moi-même au centre dentaire B1 à Bulle que la patiente refuse car elle n'a pas l'argent pour payer la consultation. Elle s'engage à prendre elle-même contact avec le cabinet dentaire et à consulter après-demain. Patiente qui est amenée en ambulance dans un contexte de conflit familial. La famille est également demandeuse d'une mise à distance de son compagnon. Nous n'objectivons pas de symptômes psychiatriques pouvant justifier une hospitalisation en psychiatrie en PAFA-med, compte tenu également de la capacité de discernement de la patiente concernant la violence au sein du couple. Pas de critère pour un foyer pour femmes battues. Nous proposons à la patiente le début d'une psychothérapie, ce qu'elle accepte et qu'elle s'engage à faire. Contrat thérapeutique : si présence d'impulsion auto-agressive, la patiente s'engage à appeler les urgences. Le père de Mme. Y dit vouloir faire appel à LAVI concernant la relation de couple de sa fille. Patiente qui fait un traumatisme crânien sans symptôme résiduel qui présente un status neurologique dans la norme et qui refuse la réalisation d'un scanner cérébral. Au vu de la stabilité clinique, nous proposons à la patiente un retour à domicile accompagné par ses proches. La patiente n'arrive pas à contacter quelqu'un de son entourage qui puisse venir la chercher. Nous négocions avec elle et la référons à la messe (église) et qu'elle donne la feuille de surveillance neurologique à une personne de confiance qui puisse l'accompagner pendant toute la journée. Tentative de contact avec les soins à domicile avec échec d'identifier le service qui s'occupe de Mme. Y. Patiente rassurée quant au risque minime d'une éventuelle transmission. Nous effectuons ce jour une sérothèque ainsi qu'un titrage des anticorps post vaccination HBV. Puis nous recommandons à la patiente d'effectuer dans 3 mois un test HIV et des sérologies HCV. S'il l'un des deux devait s'avérer positif, il faudrait effectuer ce même test sur la sérothèque du 28.06.2018. Déclaration accident auprès de l'employeur. Les résultats seront transmis à la patiente par téléphone. Patiente reconvoquée pour nouvelle réduction. Patiente reçue 3 Urofiltre - labo. Contrôle dans le service gynécologique si péjoration. Patiente repart contre avis médical malgré les explications fournies sur l'importance d'être vue et examinée. La patiente préfère partir, elle est très agressive du point de vue verbal envers le médecin et l'infirmier. Elle nous menace de porter plainte à la direction. Nous lui avons expliqué ses droits. La patiente refuse de signer la décharge. Explications données à la patiente et à sa fille présente sur les risques en cas de départ sans examen médical. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente repartie sans consultation médicale. Patiente sera convoquée pour une colposcopie en ambulatoire. Patiente sera revue par les gynécologues pour le suivi de sa PID. Patiente vue par chirurgien de garde (Dr. X). Etant donné un US qui montre un appendice légèrement agrandi, mais encore dans la limite de la norme sans signe franc d'inflammation, et une clinique compatible, une appendicite débutante ne peut pas être exclue. Constance sera donc revue en contrôle dans 12h. Le bilan sanguin sera répété, +/- US abdominal en fonction de la clinique et des symptômes. Patiente vue par les neurologues. IRM cérébrale à l'hôpital Daler : normal. Rendez-vous à prévoir chez le Dr. X pour le FOP dès que possible. Rendez-vous dans 3 mois chez les neurologues. Antalgie : Dafalgan 1g 4x/j, Irfen 400mg 3x/j. Arrêt de travail pour ce jour. Patiente vue uniquement par le neurologue dans les locaux de la filière 34 aux urgences. Patiente 0G0P de 17 ans, qui avait consulté pour une plaie vaginale après insertion de tampon vaginal le 22.06.2018. Elle avait bénéficié d'une suture d'une déchirure de la petite lèvre gauche, ainsi que d'une résection partielle d'un résidu hyménal qui saignait, sous anesthésie locale, avec bon contrôle du saignement et une bonne hémostase. Mme. Y se présente de nouveau le 27.06.2018 en signalant une récidive des saignements au niveau de la plaie, sans facteur déclencheur, elle aurait suivi nos conseils de soins attentifs de la suture. Elle est afébrile, normocarde et normotendue. Nous constatons un saignement actif au niveau de la plaie. Afin de mieux explorer la région, nous proposons à la patiente un examen avec complément de suture sous anesthésie générale. La patiente accepte. L'intervention se déroule sans complications le 27.06.2018, confirmant la présence d'une déchirure vaginale sur la face interne de la petite lèvre gauche d'environ 5cm en sous méatal jusqu'à la fourchette, que nous suturons. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 28.06.2018 avec un contrôle prévu dans 2 semaines chez Dr. X. Patiente 1G devenue P1 à 40 3/7 semaines d'aménorrhée le 03.06.2018 post accouchement par voie basse spontanée au petit prince nous est transférée pour suture de la déchirure vaginale le même jour. A l'arrivée de la patiente nous constatons une hémorragie avec atonie utérine. Nous posons l'indication d'une révision manuelle utérine et le matériel extrait est envoyé en analyse anatomo-pathologie. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Mme. Y reste stable et afébrile. La contraception future se fera par préservatif. Dans ce contexte, Mme. Y rentre à domicile avec son bébé le 04.06.2018. Patiente 1G0P de 53 ans, ménopausée depuis 1 an, qui nous est adressée par son gynécologue traitant suite à la découverte lors d'un contrôle gynécologique d'une masse annexielle suspecte à droite. L'IRM confirme la présence d'une masse ovarienne droite suspecte de 6cm, et montre également une formation kystique suspecte de 1.3 cm de l'ovaire gauche. Nous discutons avec la patiente et nous l'informons de l'indication à une annexectomie bilatérale par laparoscopie avec washing péritonéal. Elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications le 20.06.2018. Le matériel est envoyé en analyse anatomopathologique. Les suites opératoires sont simples et afébriles.Devant la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile le 21.06.2018, avec un contrôle clinique et ablation des fils prévu pour le 29.06.2018. • Patiente 10G 6P de 38 ans, à J18 d'une césarienne élective tri-itérative à 38 1/7 semaines d'aménorrhée le 01.06.2018, qui consulte chez nous depuis environ 1 semaine pour une mastite puerpérale au sein droit. L'antibiothérapie s'avère peu efficace, et nous constatons lors de sa consultation durant la nuit du 18.06.2018 une abcédation au niveau de l'union des deux quadrants supérieurs du sein droit. La patiente reste afébrile mais présente des douleurs importantes. Nous posons l'indication à une mise à plat de l'abcès au bloc opératoire, avec prélèvements bactériologiques, drainage et rinçage abondant. L'intervention se déroule sans complications le 19.06.2018. Un drain reste en place. La patiente regagne son domicile le jour même avec un contrôle prévu pour réfection du pansement et évaluation du liquide de drainage à 48 heures. • Patiente 2G2P de 32 ans, qui présente un status post accouchement par voie basse le 06.06.2018, compliqué d'une délivrance artificielle au bloc opératoire pour rétention placentaire avec atonie utérine et hémorragie post-partale à 800 cc. Devant une image échographique suspecte pour une rétention placentaire de 16mm x 28mm, nous posons l'indication à une hystéroscopie diagnostique avec éventuel curetage évacuateur. La patiente accepte cette opération et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 22.06.2018 sans complications, confirmation de la rétention d'une petite quantité de matériel placentaire, qui est envoyée en anatomo-pathologie. Nous administrons du Syntocinon et du Nalador pour une hypotonie utérine, qui se résout rapidement à l'aide de ces perfusions et d'un massage utérin. La patiente regagne son domicile le jour même de l'intervention, avec un contrôle à prévoir dans 4 semaines chez le Dr X. • Patiente 2G2P de 36 ans, status post césarienne le 05.04.2018 au CHUV, chez qui nous retrouvons une image échographique suspecte pour une rétention de matériel. Nous lui proposons un curetage évacuateur sous contrôle échographique, qu'elle accepte et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 29.06.2018 sans complications, le matériel est envoyé en anatomo-pathologie. La patiente regagne son domicile le jour même avec un contrôle prévu dans 4 semaines chez Dr X. • Patiente 3G devenue 3P par césarienne en urgence au Daler le 14.11.2014 pour décollement placentaire à 35 5/7 SA. Idées suicidaires le 07.02.2018 avec : hospitalisation volontaire à Marsens. • Patiente 3G2P de 38 ans, à 18 2/7 semaines d'aménorrhée le 23.06.2018, qui nous est adressée par son gynécologue traitant pour une demande d'interruption de grossesse sous pilule, découverte tardivement. Le couple est formel dans sa décision, et la patiente bénéficie d'une consultation psychiatrique qui confirme sa détresse par rapport à cette grossesse. La patiente comprend les détails et les risques d'une interruption tardive de la grossesse, et signe le consentement éclairé. Mme. Y reçoit la Mifegyne le 23.06.2018, puis est hospitalisée dans notre service le 25.06.2018 pour la pose de péridurale et le déclenchement de l'accouchement par Cytotec. Elle expulse le 25.06.2018 après 3 doses de Cytotec 400 microgrammes en endovaginal. Nous effectuons par la suite un curetage évacuateur sous péridurale, qui se déroule sans complication. La patiente a reçu 2 comprimés de Dostinex 0.5mg contre la montée de lait. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 26.06.2018 avec un contrôle prévu à 4 semaines chez le Dr X avec pose de DIU (cuivre) envisagé. • Patiente 3G3P de 47 ans, qui consulte pour des méno-métrorragies abondantes depuis 5 semaines, avec des douleurs abdominales basse crampiformes. À l'anamnèse pas d'autre symptôme urogénital, pas de notion de fièvre, pas de symptomatologie digestive. À l'examen clinique, la patiente est normocarde, normotendue, apyrétique (139/74, 88 bpm, 36.7°C). L'abdomen est souple et indolore, les loges rénales sont libres. Au speculum, le col est d'aspect sain, nous constatons un saignement endo-utérin actif, modéré. La mobilisation utérine est indolore lors du toucher vaginal. À l'échographie endovaginale, nous mettons en évidence une hypertrophie endométriale d'aspect glandulaire. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente une hystéroscopie diagnostique avec curetage étagé pour examen anatomopathologique. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention se déroule sans complications le 28.06.2018, confirmant une hypertrophie diffuse de l'endomètre. Le matériel du curetage-biopsie de l'endomètre est envoyé en analyse anatomopathologique. La patiente regagne son domicile le jour même de l'intervention avec un contrôle prévu dans 2 semaines à notre consultation. • Patiente 3G3P de 64 ans, ménopausée depuis 8 ans, qui est suivie par le Dr X depuis plusieurs mois pour un prolapsus génital de plus en plus gênant, associé dernièrement à une instabilité vésicale. Le traitement par Betmiga s'avérant inefficace, et après discussion avec la patiente, nous lui proposons une hystérectomie totale par voie vaginale avec cure de prolapsus par colporraphie antérieure et postérieure ainsi que sacrospinofixation selon Richter en même temps. La patiente comprend les détails et les risques associés, accepte cette indication et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 26.06.2018 sans complications. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le 28.06.2018 avec un contrôle prévu chez le Dr X dans 7 à 10 jours. • Patiente 4G2P de 40 ans, suivie dans notre consultation de PMA, qui a bénéficié d'un bilan complet dans le contexte d'une infertilité secondaire cette année. Devant la suspicion de synéchies utérines et d'une obstruction tubaire droite, nous proposons à la patiente une hystéroscopie et laparoscopie diagnostique au même temps opératoire. Elle comprend ces indications, accepte les interventions et signe les consentements éclairés. L'intervention se déroule le 26.06.2018 sans complications, confirmant des multiples synéchies utérines, libérées pendant l'hystéroscopie, ainsi qu'une obstruction tubaire à droite, qui se résout après plastie et néosalpingostomie par voie laparoscopique. Les suites sont simples et afébriles. La patiente regagne son domicile le jour même avec un contrôle prévu à 10 jours pour ablation des fils. • Patiente 7G0P de 29 ans, connue dans notre service pour une grossesse gémellaire hétérotopique, avec présence d'un sac intra-utérin et un sac endocervical, qui a bénéficié d'un curetage cervical et cerclage le 28.05.2018 dans le but d'une réduction sélective de sa grossesse. Nous constatons lors du contrôle postopératoire à une semaine le 06.08.2018, la non-évolutivité de la grossesse intra-utérine, raison pour laquelle un retrait du cerclage suivi d'un curetage évacuateur sont imposés. Nous expliquons la situation à la patiente, qui comprend cette indication, et signe le consentement éclairé. L'intervention est programmée pour le 08.06.2018. Après retrait du cerclage, la patiente présente une métrorragie massive, raison pour laquelle nous procédons à un curetage hémostatique en urgence, avec pose d'une sonde prostatique gonflée à 40cc dans la cavité utérine. La patiente étant en choc hémorragique, elle bénéficie d'une transfusion de deux culots érythrocytaires. L'hémorragie est contrôlée en fin d'intervention, les pertes sanguines sont estimées à 1000ml, la position de la sonde et la vacuité utérine sont vérifiées sous contrôle échographique.La patiente reste hospitalisée aux Soins Continus, du 08.06.2018 au ... Paul a bénéficié d'une antibiothérapie intra-veineuse de co-amoxicilline 150 mg/kg/j en 3 doses IV pendant 3 jours, puis un relais per os 1 g 2x/jour (80 mg/kg/j) a été introduit le 20.06 à poursuivre jusqu'au 24.06. Au vu de la nette amélioration de l'état cutané et de l'absence de fièvre durant plusieurs jours, il peut rentrer à domicile. Un souffle systolique a été mis en évidence durant l'examen de sortie, la maman nous informe qu'il est connu de longue date et suivi par un cardiologue. Paul a été hospitalisé pour surveillance cardio-respiratoire dans le contexte d'une réaction anaphylactique de stade 3. Aux urgences il a reçu un traitement avec 300 ug de l'adrénaline i. m. et 5 mg de Ventolin aérosol avec une amélioration rapide de la clinique et amélioration de l'entrée d'air. Il n'a jamais eu besoin d'une oxygénothérapie. Pendant l'hospitalisation l'évolution reste favorable. Une ordonnance pour le Xyzal et un EpiPen ont été donnés aux parents, avec l'ordre d'avoir l'EpiPen toujours avec lui. Une éducation pour l'usage de l'EpiPen a été donnée à la mère et à Paul. Il peut rentrer à domicile le 06.06.2018. Nous proposons un suivi chez l'allergologue Dr. X pour un test allergique et discussion autour de la suite de prise en charge. Pause Beloc Zok le 18.06.2018, repris le 23.06.2018 Pause Statin Pause Statin Pause Torem Hydratation Pauses respiratoires sur DD: • respiration irrégulière du nourrisson • reflux gastro-oesophagien • laryngo-malacie Pauses sinusales asymptomatiques induites par la déglutition le 31.05.2018 Pauses sinusales asymptomatiques induites par la déglutition le 31.05.2018 PBM du 15.05.18 : • médullogramme : moelle légèrement hypocellulaire, trilinéaire, avec quelques légers signes de dysplasie dans les trois lignées, mais sans excès de blastes. • biopsie : (à compléter) • cytométrie de flux : on ne retrouve de cellules clairement associées à la leucémie connue (max. 0.05%) • cytogénétique conventionnelle : normale • biologie moléculaire (Unilabs) : mBCR-ABL (p190) : 0.016% ABL (positif) (chute de 3.8 log par rapport au diagnostic) • NGS (Unilabs) : nous retrouvons à hauteur de 3.3% la mutation du gène DNMT3A qui était présente au diagnostic à hauteur de 46.2%. Pas de détection de la mutation du gène IKZF1 qui était également présente au diagnostic à hauteur de 84%. VVC sous-clavière droite du 15.05.18 au 18.06.2018 Chimiothérapie de type FLAG-Ida du 16 au 20.05.18 (consolidation 1) Poursuite Dasatinib 100 mg (depuis le 17.04.2018) Neupogen 48 mg 1x/jour du 15.05.18 au 14.06.18, puis 1 dose le 18.06.2018 Poursuite de la prophylaxie par Valtrex (depuis le 07.05.18) Furosemide selon besoin Agranulocytose du 22.05.18 au 12.06.18 • Isolement protecteur du 22.05.18 au 12.06.18 • Posaconazole 300 mg po du 23.05.18 au 29.05.2018, puis 400 mg po du 30.05 au 12.06.18 --- Taux résiduel de posaconazole 2x/semaine dès le 28.05.18 (0.4 mg/l le 28.05, 0.4 mg/l le 04.06 (mais dosé trop tôt par rapport au dernier changement de dose), 0.2 mg/l le 07.06.18) • Dosage galactomananes + beta-D-glucane 2x/semaine dès le 24.05.18 (négatif le 24.05, 28.05, 31.05, 04.06, 07.06) --- Soutien transfusionnel --- CE irradiés : 13x CP : 27x Suivi hématologique (Dr. X) Suivi infectiologique (Dr. X) Cible Hb : > 70 g/l (CE irradiées) Cible Tc : > 20 G/l : Anticoagulation par Xarelto 20 mg/j jusqu'à Tc 50 G/l, en dessous : passer à liquémine 10'000 Ul/24h ivc PCOS avec spanioménorrhée Familiales : HTA PCR Coxsackie du frottis du liquide des vésicules PCR multiplex des selles aux urgences. PCR multiplex sur prélèvement de selles : négative Recherche de Clostridium : négative Hémocultures du 03.06.2018 : négatives Radiographie de thorax le 03.06.2018 CT abdominal (Dr. X) le 03.06.2018 Rocéphine du 03.06.2018 au 11.06.2018 Flagyl du 04.06.2018 au 11.06.2018 PCR toxines et germes C. difficile positifs le 18.05.18 Avis infectiologique Isolement contact du 18.05.18 au 18.06.2018 Vancomycine 125 mg po 4x/j du 18.05.18 au 01.06.18 (15 jours) Puis prévoir le schéma suivant : • du 02 au 09.06 : 125 mg po 3x/j • du 10 au 17.06 : 125 mg po 2x/j • du 18 au 25.06 : 125 mg/j po • du 26.06 au 02.07 : 125 mg/48h po • du 03 au 10.07 : 125 mg po 3x/semaine PCR urinaire pour chlamydia et gonocoque : négatif. Uricult : négatif. Nous avons conseillé au patient de consulter un urologue en ambulatoire pour investigations. PCR urinaire pour Gonocoque et Chlamydia dans 4 semaines. Rendez-vous chez le médecin traitant pour résultat Urotube. PCR urinaire pour Gonocoques et chlamydia négatif. Cliniquement encore induration au niveau du testicule gauche avec des légères douleurs à la palpation. Avis urologique (Dr. X) : ad traitement avec Co-Amoxicilline 1 g 2x par jour pendant 2 semaines avec contrôle à son cabinet. Peak flow à 200, 40% du prédit à 450 après aérosol Atrovent et Ventolin. Laboratoire : Leucocytes 13.5 G/l, CRP 10 mg/l, reste aligné : cf. annexes. Rx du thorax : pas de foyer visualisé (test de grossesse négatif) : décrite ci-dessous. Peak flow à 300, 66% du prédit après 2ème aérosol Atrovent et Ventolin. Ira consulter son médecin traitant dans la semaine pour investigations d'asthme et suivi d'un syndrome inflammatoire. Peak Flow pré-béta-agoniste : 380 l/min. Aérosol Ventolin. Peak Flow de 520 l/min après aérosol de Ventolin. Peak-flow initial : 25% du prédit, puis > 50% après 2 inhalations. Atrovent Ventolin en inhalation 2x. Radiographie de thorax : pas de pneumothorax, pas de foyer. Attitude : Symbicort 2 x 2 push pour 48h puis 2 x 1 push durant 2 semaines Ventolin en réserve Suivi chez médecin traitant. Peak-Flow : 330 ml/l, 56% de la valeur prédite de 591 ml/l. Peak-Flow post inhalation Ventolin 5 mg et Atrovent 250 mg : 490 ml, 83% de la valeur prédite de 591 ml/l. Seretide 250 2x/jour pendant 5 jours, Loratadine 10 mg 1x/jour pendant 5 jours, Ventolin 100 en réserve. Contrôle et suite de la prise en charge par le médecin traitant. Peau sèche et desquamative au niveau du front Pédiculose pubienne. DD : irritation. Péjoration aiguë de douleurs abdominales dans le contexte de MICI (RCUH vs Crohn) • dernière rectoscopie en juillet 2017 • calprotectine fécale en mars 2018 : 40 • suivi par Prof. X Péjoration angine virale sous traitement Péjoration de la créatininémie le 25.05.2018 • dans un contexte de traitement par diurétiques, AINS et probable prise per os insuffisante Péjoration de lombosciatalgie S1 bilatérale dans le cadre de : • Status post AMO Dynesis L3-S1 le 14.04.2014. • Lombo-sciatalgie bilatérale sur lyse isthmique L5-S1 ddc sur status post-implantation d'un Dynesis L3-S1 le 05.01.2004 pour une discopathie dégénérative multi-étagée L3-S1. • Restless legs syndrome. Péjoration de son insuffisance rénale chronique Péjoration d'insuffisance cardiaque le 15.06.2018 : • Cardiomyopathie dilatée • Fibrillation auriculaire permanente • Status post-implantation d'un pacemaker simple chambre en 2005 • Upgrade du pacemaker en CRTP en février 2017 (suivi par Dr. X) Péjoration d'insuffisance cardiaque le 15.06.2018 • dans le contexte de cardiomyopathie sévère Péjoration d'insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine indéterminée, DD : • insuffisance cardiaque : NT-proBNP 501, pas de signes de surcharge au CT, pas de signes échographiques • embolie pulmonaire : exclue au CT • pneumonie : pas de clinique, pas de foyer radiologique • progression BPCO : pas de péjoration des fonctions pulmonaires au dernier contrôle du 30.05.2018 Péjoration d'un tremblement de type myoclonie/dyskinésie sévère possiblement d'origine médicamenteuse le 21.05.2018 : • Traitement d'épreuve par Madopar depuis mars 2017 pour suspicion de tremblements fonctionnelsLaboratoire en dialyse Pejoration dysphagie solide péjoration IRC Pemphigoïde bulleux Pancolite inflammatoire en 2000 Ostéosclérose avec implant auditif 2009/2010 (IRM-compatible) Pemphigoïde bulleux Pancolite inflammatoire en 2000 Otosclérose avec implant auditif 2009/2010 (IRM-compatible) Pemphigus bulleux (suivi en dermatologie au HFR Fribourg) : • Lésion sein gauche et avant-pied droit Pendant son séjour aux urgences, nous avons réhydraté la patiente et elle a commencé à avoir une image clinique plus alerte. Après son réveil, elle réfère de légères douleurs au niveau épigastrique qui ont disparu après l'administration de Nexium iv et Ondasedron 4 mg. Le laboratoire est aligné et la patiente est réveillée et alerte le matin et elle peut regagner son domicile avec une image clinique dans la norme. Si elle présente des symptômes alertant pendant la journée, nous lui proposons de reconsulter les urgences. Pendant son séjour aux urgences, elle commence à présenter de fortes douleurs avec un flou visuel en périphérie. Les symptômes s'estompent après antalgie et hydratation, elle peut donc retourner à domicile avec antalgie. Au vu d'une probable composante psychique, le numéro du CPP est proposé. Perenterol Dafalgan en réserve Stimulation hydratation Contrôle chez le pédiatre dans 48-72 h si persistance des diarrhées Perentérol 250 mg/jour pendant 5 jours Perentérol 250 mg/jour pendant 5 jours Algifor 200 mg*3/jour si douleurs Perentérol 250 mg/jour pendant 3 jours Perentérol 250 mg/jour pendant 5 jours Pérentérol Dafalgan/Algifor en réserve Stimulation hydratation Perentérol Dafalgan/Algifor en réserve Stimulation hydratation Reconsulter si échec hydratation, péjoration état général, débâcle de selles ou vomissements incoercibles Perentérol Normolytoral Stimulation hydratation Dafalgan/Algifor Reconsulter si péjoration état général, échec hydratation ou débâcle de selles Perfalgan 1 g IV Ringer lactate 1000 mL IV Oberbauch Ultraschall Perfalgan 1000 mg IV. Perforation colique gauche le 26.06.2018 avec : Perforation du globe oculaire G suite à chute de son lit à 2 h 00 ce matin du 02.06.2018. Perforation du grêle en per-opératoire. Perforation du grêle sur adénocarcinome du caecum le 31.12.2018 • 31.12.2017 Laparoscopie exploratrice avec fermeture de la perforation du grêle (Thaïlande) • 02.01.2018 Lâchage d'anastomose grêle sur cancer du caecum : Hémicolectomie droite (perf de 5 x 6 cm), iléostomie terminale et transversostomie terminale, deux résections grêles de 31 cm (perf de 2 cm) et 13 cm, plus cholecystectomie sur cholécystite nécrotique (Thaïlande) • Paracentèses abdominales les 12 et 16.01.2018 • Trouble de l'utilisation de la stomie : stomie hyperactive avec lâchages multiples, dégoût • Antibiothérapie : cf. résumé infections multiples • Laparostome de 10 x 7 cm et poche intra-abdominale vers flanc droit avec changements de VAC répétitifs : 10.02.2018 (Dr. X), 12.02.2018 (Dr. X), 15.02.2018 (Dr. X), 20.02.2018 (Dr. X), 23.02.2018 (Dr. X), 26.02.2018 (Dr. X), 01.03.2018, 05.03.2018, 12.03.2018, 15.03.2018, 19.03.2018, 22.03.2018 (Dr. X) Perforation d'ulcère duodénal en 1982 et 1992 avec/sur : • S/p opération de Billroth II Prothèse de hanche G en 2006 S/p surinfection de vésicule sur le 2ème orteil à gauche Hyponatrémie à 128 mmol/l le 26.06.19 Perforation face palmaire articulation métacarpo-phalangienne droite. Perforation intestinale sur diverticulose 2011 • stomie puis rétablissement de continuité AVC 2011 dans contexte de choc septique 2011 Perforation prépylorique le 26.01.2016, avec : • suture de la perforation le 27.01.2016 et lavage abdominal. Perforation tympanique droite. Perforation tympanique en 2005 sur otite moyenne perforée. Otite moyenne chronique à droite avec perforation du tympan le 23.09.2010. Opération des deux paupières. Traumatisme crânien le 08.11.2014 avec multiples plaies de la face dans un contexte d'éthylisation aiguë. Perfusion avec Glucose 10 % du 12.06 au 13.06.2018 Code AI 498 Perfusion de glucose. Perfusion de Mabthera Perfusion de Mabthera 2 x 500 mg le 06.06.2018 et 2 x 500 mg le 22.06.2018 Pré-médication par Prednisone 20 mg PO, 2 mg IV de Tavegyl, 1 g de Dafalgan Tramal, Dafalgan en réserve Perfusion de NaCl 0.9 % Perfusion de NaCl 1500 ml KCl retard Sulfate de magnésium Perfusion de 20 UI de Syntocinon IV Massage utérin Perfusion de 20 UI de Syntocinon Péricardite le 07.06.2018. Périchondrite de l'oreille droite. Péricoronite dent 28 cadran supérieur gauche. Perimyocardite en 2007 Résection transurétrale de la prostate pour prostatite chronique en 1980 Syncope le 07.12.2017 probablement sur insuffisance cardiaque sur épisode FA rapide Perimyocardite en 2007 TURP pour prostatite chronique en 1980 Syncope le 07.12.2017 probablement sur insuffisance cardiaque sur épisode FA rapide Perindopril et Metoprolol Ajustement selon profil en ambulatoire Périonyxis au stade phlegmoneux au niveau du 4ème doigt de la main gauche, bord radial, sur probable ongle incarné. Périostite tibiale bilatérale Périostite tibiale droite. Péritonite à l'âge de 20 ans. Péritonite bactérienne spontanée à Klebsiella Pneumoniae le 19.06.2018 Péritonite stercorale et purulente sur perforation colique avec nécrose de la colostomie terminale le 11.10.2016 sur : • Status après résection segmentaire colique et colostomie terminale par laparoscopie, le 27.09.2016 (Baermed, Zurich) • CT abdominal 10.10.2016 : pneumopéritoine, liquide libre abdominal, fuite de produit de contraste au niveau de la colostomie Laparotomie, lavage abdominal, résection de la colostomie, hémicolectomie gauche, transversostomie (opération le 11.10.2016, Dr. X) • Status après laparotomie exploratrice, colectomie et confection d'une nouvelle colostomie terminale dans le flanc droit le 11.10.2016 en urgence • IOT et ventilation mécanique le 11.10.2016 • Tazobac du 11.10 au 28.10.2016 • VAC : changement les 17.11.2016, 24.11.2016, 29.11.2016 et 04.11.2016 • Fermeture secondaire le 08.11.2016 Dilatation pyélocalicielle de 15 mm à droite de découverte fortuite au CT scan du 18.10.2016 d'origine indéterminée : • Ultrason de contrôle 24.11.2016 : légère diminution de la dilatation pyélo-calicielle à droite Insuffisance rénale AKIN I le 12.10.2016 Fracture non consolidée des ailes iliaques bilatérales Contracture de Dupuytren du 4ème et 5ème rayon des deux côtés Ulcère malléole externe membre inférieure gauche d'origine inconnue avec ostéomyélite de la fibula distale • Status post-débridement et pose de VAC au membre inférieur gauche le 03.08.2017 • Histologie Promed (P8629.17) : ulcère/nécrose dermo-épidermique, avec nappes de cocci Gram + au sein de la nécrose. Modifications vasculaires de type thrombo-phlébitique en périphérie. Pas de signe de malignité IRM cheville gauche le 14.08.2017 cf. Frottis 11.08.2017 : proteus mirabilis, staphylococcus aureus, streptococcus gr. anginosus Bilan angiologique le 17.08.2017 : pas de trouble vasculaire, pléthysmographie 105 mmHg Débridement et pose de VAC le 18.08, 23.08, 31.08.2017 et 04.09.2017 Biopsie tendon (Opération le 28.08.2017) Changement VAC et biopsie tendon le 31.08.2017 Couverture de la plaie malléolaire gauche avec du Matriderm et une greffe cutanée de type Thiersch 04.09.2017 Pose de Appligraf le 06.10.2017 avec VAC jusqu'au 13.10.2017 Co-Amoxicilline du 14.08.2017 au 24.08.2017 Tavanic 750 mg 1 x/j et Rimactan (Rifampicine) 600 mg 1 x/j du 24.08.2017 pour une durée de 3 mois jusqu'au 19.10.2017 Embolie pulmonaire centrale gauche et segmentaire postéro-basale droite avec infarctus du parenchyme le 17.05.2018• Xarelto à partir du 18.05.2018 • Passage en TV de 10 secondes le 14.05.2018 per-opératoire • Echocardiographie transthoracique le 15.05.2018 (Dr. X) : pas d'anomalie structurelle • Avis cardiologique (Dr. X) : pas d'investigation en urgence. Test d'effort à distance • Péritonite sur abcès de la cavité abdominale et ovarien droit rompu le 29.05.2018 • bactériémie à E. Coli multi-S • contexte de surinfection de kyste endométriosique • Péritonite sur DD appendicite abcedé, abcès ovarien droit rompu, kyste endométriosique le 29.05.2018 • bactériémie à E. Coli multisensible • Péritonite sur perforation d'un ulcère pylorique en 03/2016 • Tentamen en 10/2017 • Carcinome basocellulaire cervical gauche • Appendicectomie • Péritonite sur perforation d'un ulcère pylorique en 03/2016 • Tentamen en 10/2017 • Carcinome basocellulaire cervical gauche • Appendicectomie • Permanence de Meyriez : • Adalat 20 mg • Aux urgences de Fribourg : • TNT 0.2 mg iv • persistance de diarrhée importante • Début de traitement par Vancomycine ou flagyl PO à rediscuter patiente en agranulocytose. • Persistance de douleurs. • Persistance de douleurs à 1 mois de l'accident. On prescrit des Myorelaxants et du Tramal retard. On prolonge l'arrêt de travail. On explique à la patiente que les douleurs, dans un contexte de fracture de ce type, sont normales jusqu'à 2 mois après l'accident. On reste à disposition. • Persistance de douleurs au poignet gauche avec : • status post-fracture radius distal et scaphoïde avec ostéosynthèse le 15.04.2016. • status post-ablation matériel d'ostéosynthèse radius et scaphoïde le 03.10.2016. • status post-AMO vis scaphoïde, neurolyse ramus superficialis nervi radialis avec ablation neurome le 04.12.2017. • Persistance de douleurs très intenses durant les 2 premières semaines post-opératoires. Actuellement, amélioration progressive de la situation. Nous ne posons donc pas d'indication particulière et reverrons le patient comme prévu à 6 semaines post-opératoires. • Persistance de l'érythrodermie MTP I pied G sur status post • Incision abcès plantaire MTP I pied G à Staph. aureus le 19.05.2018 et antibiothérapie jusqu'au 28.05.2018 • Persistance de symptômes avec traitement conservateur. La patiente accompagnée de sa maman souhaite une prise en charge chirurgicale. Je remplis avec elle le formulaire d'informations et de consentement en vue de l'ablation du kyste arthro-synovial dorsal poignet gauche. Une date opératoire est agendée. • Persistance de vertiges de type tangage en cours d'investigation le 27.06.2018. • AVC exclu par imagerie (CT cérébral le 14.06.18 et IRM cérébrale le 15.06.18) • Persistance des douleurs abdominales. • Persistance des douleurs, probablement sur la cervicarthrose. Nous proposons donc une nouvelle IRM cervicale. Nous reverrons ensuite le patient pour discuter de la suite de la prise en charge. Dans l'intervalle, poursuite de la physiothérapie. • Persistance d'une douleur épaule droite. • Personnalité borderline. • Personnes de référence : Mme Both (direct : 026 425 41 85) puis actuellement Mme Massaki, assistante sociale de l'ORS • Suivi psychiatrique : Dr. X • Status : En Suisse depuis 2000, permis F • Situation familiale et sociale : célibataire avec un enfant de 11 ans qui vit au foyer St Etienne (suivi par le service de l'enfance), célibataire, pas de famille proche d'elle • Habitat : vit seule, logement fourni par le social. Projet d'institutionnalisation au Torry. • Assurances : suivi par l'ORS, Mme. Y touche l'aide sociale. • Perte auditive soudaine en octobre 2012 • Schwannome vestibulaire Koss grade I à D en septembre 2015 • radiothérapie en décembre 2015 • Perte d'appétit • Perte d'appétit avec perte pondérale de 8 kg en 4 mois DD dans le cadre de la dépression sévère • poids stable à 77 kg durant l'hospitalisation • Perte de champs visuel de l'œil gauche • DD AIT/AVC, névrite oculaire, uvéite, glaucome, maladie Lyme, Bartonella, atteinte rhumatismale, autres • Perte de connaissance • Perte de connaissance • Perte de connaissance • Perte de connaissance. • Perte de connaissance. • Perte de connaissance. • Perte de connaissance. • Perte de connaissance. • Perte de connaissance. • Perte de connaissance avec traumatisme crânien. • Perte de connaissance d'origine indéterminée. • Perte de connaissances d'origine indéterminée, le 25.01.2018. • DD : origine cardiaque vs psychogène. • Perte de la prothèse du moignon (MID) dans le service des urgences le 20.06.2018. • Douleurs localisées au niveau du moignon. • Pas d'hématome, pas de tuméfaction. • Contrôle de la prothèse et réglage au plus vite. • Perte de poids avec trouble du transit • Perte de poids d'origine multifactorielle avec : • poids de 120 kg avant le bypass effectué en 2009, poids actuel de 48 kg • trouble de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive. • Syndrome de dépendance aux opiacés • Syndrome de fibromyalgie • Troubles statiques et dégénératifs dorso-lombaires avec discarthrose L3-L4, L4-L5, légère discopathie L5-S1, séquelles de maladie de Scheuermann et arthrose postérieure L5-S1 • Perte de présence • DD crise d'absence • Perte de substance avec affection de l'ongle et lit de l'ongle de la 3ème phalange distale à droite le 22.06.2018. • Perte de substance avec implication de l'ongle et du lit de l'ongle de la 3ème phalange distale à droite le 22.06.2018. • Perte de substance avec infection ongle et lit de l'ongle phalange distale D3 main droite le 22.06.2018. • Perte de substance D1, D3 et D4 main droite le 12.07.2016 • Tendinite tendon quadriceps gauche le 07.06.2016. • Fracture non déplacée radius distal droit le 09.05.2014. • Entorse stade 1 externe cheville droite, • Plaie pulpe D5 main gauche le 15.11.2017. • Perte de 10 % du poids de naissance • Perte de 10 % du poids de naissance sur apports insuffisants • Perte de 5-6 cm depuis ces dernières années. • Rx thorax du 24.05.2017 : ostéopénie. Discrète cunéiformisation a priori de D7, déjà présente en 2016. • Bilan phosphocalcique du 01.06.2018 : Ca++ corrigé, P, PA dans la norme, pas d'insuffisance rénale. • Ad Calcimagon D3 • Proposer une densitométrie en ambulatoire • +/- ad Biphosphonate selon résultat de la densitométrie. • Perte d'indépendance suite à l'hospitalisation • chez une patiente de 98 ans vivant jusqu'alors seule à domicile • Perte pondérale dans un contexte de probable état dépressif réactionnel au décès de sa fille en mars 2018 • Perte pondérale de 12 kg en 12 mois, nausées et vomissements, douleurs abdominales (hématémèse anamnestique, non objectivée) • Colonoscopie le 13.01.2017 • IRM abdominal le 24.01.2018 • Perte pondérale de 12 kg en 12 mois, nausées et vomissements (hématémèse anamnestique, non objectivée) • DD origine tumorale. • Perte pondérale de 12 kg en 8 mois avec inappétence dans un contexte de syndrome de dépendance à l'alcool • Pertes sanguines peropératoires le 16.05.2018 • Perturbation de la coagulation et thrombocytopénie à 27 G/l. • Perturbation de la crase avec PTT à 44 sec • Perturbation de la crase avec TP à 55 %, PTT à 41 sec, probablement d'origine inflammatoire. • Perturbation de la fonction rénale. • Perturbation de la fonction rénale avec créatininémie à 139 µmol/l • DD : déshydratation, médicamenteuse. • Perturbation de tests cholestatiques sur DD jeûn médicamenteux OH perturbation des tests hépatiques le 12.06.2018 ( idem le 05.06.2018) p.alc : 166U/l gGT : 307U/l ASAT : 59 U/l ALAT : 104 U/l bilirubine : s.p. DD : surconsommation OH Perturbation des tests cholestatiques sur : • Jeûn • Traitement médicamenteux • Ethylisme chronique Perturbation des tests hépatiques Perturbation des tests hépatiques. Perturbation des tests hépatiques : • Dilatation de cholédoque sur ultrasonographie le 25.05.2018 (l'Hôpital Riviera-Chablais site de Vevey) Perturbation des tests hépatiques avec cholestase sur consommation d'alcool à risque avec : • Gamma-GT à 107U/l et LDH à 480U/l • Bilirubine directe à 6.3µmol/l Perturbation des tests hépatiques avec une stéatose hépatique d'origine mixte • éthylique • Hépatite C connue Perturbation des tests hépatiques (cytolyse, syndrome de cholestase) sur métastases hépatiques. Perturbation des tests hépatiques dans contexte consommation chronique d'alcool Perturbation des tests hépatiques dans contexte de métastases hépatiques • s.p. ERCP le 09.04.2018 pour obstruction de stent biliaire (CHUV) Perturbation des tests hépatiques dans contexte de métastases hépatiques • s.p. ERCP le 09.04.2018 pour obstruction de stent biliaire (CHUV) Perturbation des tests hépatiques dans contexte de métastases hépatiques • status post ERCP le 09.04.2018 pour obstruction de stent biliaire (CHUV) Perturbation des tests hépatiques dans contexte de métastases hépatiques • status post ERCP le 09.04.2018 pour obstruction de stent biliaire (CHUV). Perturbation des tests hépatiques. DD : NASH, médicamenteux. Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 31.05.2018. Diagnostic différentiel : • stéatose alcoolique • NASH • infectieux (HBV, HCV et CMV négatifs, EBV ancien) • auto-immun : pas d'argument clinique Perturbation des tests hépatiques et pancréatiques sur pneumonie communautaire le 25.06.2018 Perturbation des tests hépatiques le 14.06.2018 DD vaccin, médicamenteux Perturbation des tests hépato-pancréatiques dans un contexte d'alcoolisme chronique, cirrhotique. Perturbation globale des tests hépatiques • dans un contexte de transplantation hépatique sous Tacrolimus en 2005 • DD : médicamenteuse (Aspirine cardio, Plavix, Pantozol, Beloc Zok, Metfin, Atorvastatine, Allopur) Mise en suspens du traitement de Metfin dès le 29.05.2018 Diminution de l'Allopur à 100 mg/jour le 29.05.2018 En cas de péjoration des tests hépatiques, réévaluer posologie de l'Atorvastatine Dernier taux de tacrolimus le 03.04.2018 (CHUV) à 7.8 microg/l (cible entre 6 et 8 mcg/l en monothérapie) Perturbation globale des tests hépatiques • dans un contexte de transplantation hépatique sous Tacrolimus en 2005 DD : médicamenteuse (Aspirine cardio, Plavix, Pantozol, Beloc Zok, Metfin, Atorvastatine, Allopur) Perturbation légère des tests hépatiques Perturbation légère des tests hépatiques probablement d'origine médicamenteuse Perturbations des tests hépatiques. Perturbations des tests hépatiques avec hépatolyse et choléstase le 14.06.2018 Perturbations des tests hépatiques d'origine mixte le 14.06.2018 DD : hépatite aiguë d'origine indéterminée, possible passage de calcul biliaire Perturbations des tests hépatiques le 31.05.2018 • hépatopathie de stase DD NASH Perturbations hématologique des 3 lignées avec leucocytose, érythrocytose et thrombocytose. Pervaryl crème Pes adductus ddc. Pesanteur de l'abdomen inférieur. PET CT prévu le 26.06.2018. Suivi par le Dr. X. PET scan le 06.06.2018 à 08h50 à l'HFR-Fribourg. PET-CT du 18.06.2018 PET-CT le 08.06.2018 Suite : • sera discutée au tumorboard du 20.06.2018 • sera reconvoquée par le service d'oncologie PET-CT le 11.06.2018, consultation chez le Dr. X le 19.06.2018 Pétéchies sur les mains DD : • péri infectieux Petit incision pour extraction d'une partie d'une taille de 1 mm de la tique sous anesthésie locale. Pansement avec stéristrip. Information à la patiente sur les présentations d'un premier stade de borréliose donnée. Petit lavement avec bon effet. Traitement laxatif d'office, puis en réserve. Petite hémorragie sous conjonctivale de l'œil droit, le 12.06.2018. Petite lésion transfixiante des parties portantes du tendon du sous-scapulaire de l'épaule avec arthrose AC droite. petite plaie superficielle dans l'oreille droite (conque) Petite plaie superficielle du scrotum, sans signe d'infection. Pevaryl Pevaryl. Pevaryl crème topique Pevaryl crème 1% : appliquer 1 fois par jour Pevaryl poudre 2x/jour pendant 7 jours ou plus si persistance des symptômes. Pevaryl Poudre Diflucan le 30.05.2018 Pevaryl 1x/j durant 7 jours Pexie hémorroïdaire Contusion épaule droite Radio : pas de lésions osseuses traumatiques visualisées Clinique : Amplitude active/passive : abduction et flexion à 90° sans douleur, extension à 45° sans douleurs Jobe : non douloureux Palm up : douloureux Patte : non douloureux Palpation des reliefs osseux non spécifiques, pas de TNV Attitude : bretelle et consultation ortho dans 10 jours Antalgie pH dans les urines le 04.06.2018 : 6 Trou d'anion dans l'urine 14.06.2018 : 28mmol/l Néphrotrans Phacoémulsification et aspiration de cataracte en 2012 Biopsie du sein en 2012 : tumeur bénigne Pharyngite Pharyngite Pharyngite. Pharyngite / Virose probable Pharyngite à SGA et suspicion d'abcès para-amygdalien 08.2014 - traitement par Co-Amoxicilline. Pharyngite à Streptococcus, 22.04.2013. Suspicion de corps étranger à la jonction du naso et oro-pharynx le 26.10.2016. DD : angine débutante. Pharyngite à streptocoque Pharyngite à Streptocoque le 29.06.2018 Pharyngite à streptocoques Pharyngite à streptocoques ( DD : Pharyngite à EBV : peu probable pas d'argument pour tularémie pas d'argument pour abcès rétro-pharyngé peu d'argument pour neuroborréliose ou méningite) Pharyngite à streptocoques • sans signe de déshydratation Pharyngite aiguë. Pharyngite aigüe. Pharyngite aigüe. Pharyngite aiguë le 18.06.2018. Pharyngite débutante Pharyngite d'origine virale. Pharyngite d'origine virale le 20.06.2018. Pharyngite d'origine virale probable le 24.06.2018. Pharyngite viral Pharyngite viral Pharyngite viral Pharyngite viral avec gingivo-stomatite Pharyngite viral avec torticolis Pharyngite viral • sans signe de déshydratation Pharyngite viral sans signe de déshydratation (DD gastro-entérite virale) Pharyngite viral (DD EBV, CMV, HIV : peu probable, bactérien) Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale. Pharyngite virale • sans signe de déshydratation Pharyngite virale (DD adénovirus, mononucléose) Pharyngite virale (DD Herpangine, pied-main-bouche) Pharyngite virale (DD Herpangine, Pied-main-bouche, mononucléose) • sans signe de déshydratation Pharyngite virale sans déshydratation • avec hépatomégalie (2 cm sous rebord costal) (DD : contexte viral (EBV, CMV), hépatite : peu probable, cardiaque : peu probable) Pharyngite virale • sans signe de déshydratation Pharyngite virale Traitement symptomatique Pharyngite/laryngite virale. Pharyngo-laryngectomie totale le 15.06.2018 (Dr. X, Dr. X) Ventilation en pression positive intermittente du 15.06 au 16.06.2018 VVC fémorale D du 15.06 au 16.06.2018 Cathéter artériel fémoral D du 15.06 au 16.06.2018 Co-Amoxicilline dès le 15.06.2018 (durée à réévaluer en ORL) Phéochromocytome diagnostiqué le 26.04.2018 suite à la découverte d'une masse surrénalienne gauche de 56 x 54 mm associée à des pics hypertensionnels. • Métanéphrines et normétanéphrine sériques > 10x la norme • Phénoxybenzamine dès le 30.04.2018 • Trandate dès le 11.05.2018 • Scintigraphie au MIBG le 15.05.2018 Phéochromocytome surrénalien gauche, de 7 cm de diamètre, avec : • status post-laparotomie exploratrice le 25.04.2018 à l'hôpital Daler • Scintigraphie au MIBG le 15.05.2018 Phlegmon abcédant à staphylocoque doré avec nécrose sur infection sous-cutanée commissure interdigitale II-III main D • Débridement, biopsies, drainage face dorsale et palmaire P1 D2, dos et paume main D (OP le 16.04.2012) • Débridement, rinçage, pansement VAC main D (OP le 21.04.2012) • 3ème look et débridement des lésions profondes 2ème commissure main D (OP le 22.04.2012) • 4ème look et débridement des lésions profondes 2ème commissure main D, pansement VAC (OP le 25.04.2012) • Rinçage, greffe de peau totale (prélevée à l'avant-bras), 2ème commissure main D, pansement VAC (OP le 05.05.2012) Abcès dorsal cervical de 5x5 cm le 23.02.2015 Phlébite superficielle. Phlébite superficielle du pli du coude droit sur cathétérisme Phlegmon abcédant à staphylocoque doré avec nécrose sur infection sous-cutanée commissure interdigitale II-III main D 04/2012 • Débridement, biopsies, drainage face dorsale et palmaire P1 D2, dos et paume main D (16.04.2012) • Débridement, rinçage, pansement VAC main D (21.04.2012) • 3ème look et débridement des lésions profondes 2ème commissure main D (22.04.2012) • 4ème look et débridement des lésions profondes 2ème commissure main D, pansement VAC (25.04.2012) • Rinçage, greffe de peau totale (prélevée à l'avant-bras), 2ème commissure main D, pansement VAC (05.05.2012) Abcès dorsal cervical de 5x5 cm le 23.02.2015 Phlegmon de la gaine des extenseurs de la main droite sur morsure de chat. Phlegmon de la grande lèvre à gauche avec extension postérieure jusqu'à la fesse le 04.05.2018. Phlegmon de la joue droite le 16.06.2018. Phlegmon péri-amygdalien droit en cours de traitement d'évolution favorable. Phlegmon ulcéré de la cuisse droite, incisé le 02.06.2018. Phlegmon ulcéré de la cuisse droite incisé le 02.06.2018. Phlegmon ulcéré de la cuisse droite, le 02.06.2018. Phlyctène des talons (décubitus) Phlyctène hémorragique au bord externe du pied gauche en regard de la tête du 5ème métatarsien, DD : origine traumatique/infectieuse. Phlyctène ouvert du dos du pied droit sur probable dermite irritative de contact de 5 cm de diamètre. Photo kératite aux UV. Collyre anesthésiant et fluorescéine : nombreuses lésions cornéennes punctiformes. Photo kératite aux UV. Collyre anesthésiant et fluorescéine : nombreuses lésions cornéennes punctiformes. Photothérapie du 07.04.18 au 08.04.18 Photothérapie du 27.05 au 28.05.2018 Photothérapie le 21.05.18 pendant 12 h Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie • marche en charge selon douleur à l'aide du déambulateur puis des cannes anglaises Adaptation de l'antalgie Ablation des fils postopératoires le 07.06.2018 RDV de contrôle chez Dr. X (le 03.07.2018 à 11h45 et le 17.08.2018 à 13h30) RDV pour suivi de la plaie postopératoire chez médecin traitant Dr. X le 15.06.2018 à 11h40 Physio- et ergothérapie Adaptation d’analgésie RDV en orthopédie HFR Fribourg le 28.06.2018 à 15h00 Physio- et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Physio et ergothérapie Ezetrol Poursuite du Plavix suivi tensionnelle : plus de traitement le jour de dialyse car hypotension Rendez-vous de contrôle en neurologie le 22.08.2018 à 15h30 Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie. Physiothérapie. Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie à l'étage Physiothérapie Analgésie Consultation ORL en 10 jours Physiothérapie avec charge progressive. Abandon progressif des cannes. Clexane encore nécessaire. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Physiothérapie avec des mouvements pendulaires et mobilisation active assistée en fonction des douleurs. Nous lui donnons une écharpe pour la journée mais le gilet est à garder pour la nuit. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines. Physiothérapie avec mobilisation. Augmentation des amplitudes articulaires. Prochain contrôle dans 2 mois. Physiothérapie avec mobilisation et intégration. Concernant une activité professionnelle manuelle, il reste encore en incapacité de travail jusqu'au 15.07.2018 avec un contrôle clinique prévu dans 2 mois. Il me tiendra informé de l'évolution pour la reprise de l'activité professionnelle. Physiothérapie avec mobilisation renforcement. Prochain contrôle dans 3 mois. Physiothérapie avec renforcement et stabilisation. Pas d'activité à risque pour les semaines à venir. Il sera vu en contrôle. Physiothérapie cardio-vasculaire. Physiothérapie cf TIP n.1 Physiothérapie • consultation de neurochirurgie chez Dr. X, Tafers dans 8-10 semaines. Physiothérapie dans le but d'un retour dans le home Analgésie : Dafalgan, Novalgin Physiothérapie de mobilisation Physiothérapie de mobilisation en charge complète Surveillance neurologique Physiothérapie de mobilisation Adaptation de l'antalgie Oxycontin 5 mg 2x/j Oxynorm 3 mg 4x/j en réserve Physiothérapie de mobilisation Adaptation de l'antalgie Réadaptation à l'HFR Riaz Evaluation des AVQ et mise en place de soins à domicile à prévoir après son hospitalisation à l'HFR Riaz Physiothérapie de mobilisation Antalgie par Patch de Fentanyl Physiothérapie de mobilisation Bilan carentiel Radiographie de l'épaule et de la hanche gauches Antalgie simple Avis Dr. X : pas de fracture, mobilisation selon douleurs et physiothérapie Physiothérapie de réadaptation à l'effort. Physiothérapie dès le 01.02.0218, réalimentation Physiothérapie en ambulatoire pour amélioration des fonctions articulaires et musculaires. Marche en charge partielle 10 à 15 kg pendant 6 semaines postopératoires Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X le 28.06.2018 à 13h40 Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie, ergothérapie. Prochain contrôle clinique le 25.07.2018. Physiothérapie, Ergothérapie Antalgie fixe avec Dafalgan Rx BWS/HWS Physiothérapie Ergothérapie Bilan diététique Physiothérapie Ergothérapie Bilan nutritionnel Physiothérapie Ergothérapie ECG le 20.06.2018 Tests de la cognition du 21.06.2018 : MMS à 20/30, test de la montre à 5/7, GDS à 3/15 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition clinique Tests de la cognition du 29.05.2018 : MMSE à 25/30, test de la montre à 3/7 Physiothérapie et ergothérapie pour regagner la mobilité avant reprise des activités professionnelles manuelles au plus tôt à la fin juillet. Physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie • Patch de Fentanyl dès le 25.05.2018 Prednisone 40 mg 1x/j depuis le 05.06.2018 avec schéma régressif Contrôle radio-clinique à la consultation team Spine (Orthopédie, HFR Fribourg) le 28.06.2018 à 14h15 Physiothérapie et réévaluation au TMS. Le patient sera contacté par le Dr X directement. Physiothérapie et stabilisation du poignet. Réévaluation dans 3 mois en cas d'évolution favorable, elle prendra contact pour annuler le rendez-vous. • physiothérapie intensive • Physiothérapie intensive • Demande d'admission Neuro Réhabilitation Meyriez: acceptée, à revoir date du transfert dès que problème orthopédique réglé • Physiothérapie intensive • Ergothérapie • hormones thyroïdiennes le 18.05.2018 normales • Physiothérapie. Mobilisation et renforcement musculaire. Prochain contrôle dans 2 mois. • Physiothérapie mobilisation • Proposition d'une réadaptation gériatrique à Riaz • Physiothérapie mobilisatrice • Physiothérapie: moyens auxiliaires de déplacement • Ergothérapie • Soutien multidisciplinaire • Apprécie les approches corporelles --> Ad massages, reiki, HE (avec prudence au vu des multiples allergies) • Physiothérapie pour drainage lymphatique. • Réfection du pansement 3x/semaine à domicile. • Prochain contrôle clinique le 08.08.2018. • Physiothérapie pour l'épaule et le poignet gauche ainsi que rééducation à la marche avec abandon progressif des moyens auxiliaires. Poursuite du Clexane 40 mg en sous-cutané 1x/j pendant 2 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. • Physiothérapie. • Prochain contrôle le 27.07.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique le 02.07.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique le 08.08.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique 24.08.2018. • Physiothérapie respiratoire • Physiothérapie respiratoire • Physiothérapie respiratoire • Physiothérapie respiratoire à poursuivre • Bépanthène crème à mettre sur les dermabrasions • Si des symptômes neurologiques devaient se manifester, le patient doit venir aux urgences dans les plus brefs délais • Physiothérapie respiratoire à poursuivre. • Réadaptation respiratoire à envisager. • Adaptation du traitement anti-hypertenseur et diurétique. • Enregistrement Holter et échographie de la veine jugulaire interne droite à prévoir au début juillet ou avant la sortie de l'hôpital. • Stop fondaparinux à discuter après ces examens. • Physiothérapie respiratoire • PCA de morphine du 24.06.2018 au 25.06.2018 • Cathéter péridural (Fentanyl + Bupivacaïne) dès le 25.06.2018 • Physiothérapie • Alimentation entérale, avec reprise progressive de l'alimentation per os mixé lisse • Physiothérapie • Antalgie • Physiothérapie • Antalgie en réserve • Physiothérapie • Avis Dr X, Dr Y discuté au colloque Stroke Unit • Physiothérapie • Bilan cognitif du 19.05.2018 : MMSE à 29/30, test de la montre à 4/7, et GDS à 4/15. • Physiothérapie • Bilan vitaminique • Physiothérapie • colonne lombaire face profil, bassin • Rapatrier examen IRM lombaire et rapport • Envisager IRM bassin à distance • Physiothérapie. • Contrôle le 30.7.2018. • Physiothérapie • Dafalgan en réserve • Physiothérapie • Ergothérapie • Physiothérapie • Ergothérapie • Physiothérapie • Ergothérapie • Physiothérapie • Ergothérapie • Physiothérapie • Ergothérapie • Physiothérapie • Ergothérapie • Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan nutritionnel • Physiothérapie • Ergothérapie • Test de Shellong le 09.06.2018 : positif • Pas de bandes de contention car artériopathie des membres inférieurs • Physiothérapie • Ergothérapie • Ablation des fils au 15ème jour, avec botte de décharge • Décharge membre inférieur gauche pour 6 semaines avec 2 cannes anglaises et thromboprophylaxie • Contrôle clinico-radiologique à la consultation de Dr X, orthopédiste, le 16.07.2018 à 10h • Physiothérapie • Ergothérapie • Dexaméthasone majorée du 06.06.2018 au 11.06.2018 • Accompagnement interdisciplinaire • Physiothérapie • Ergothérapie • Diète • Digoxine du 15.06.2018 au 22.06.2018 • Introduction Dilzem 90 mg 2x/jour depuis le 18.06.2018 • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 29.05.2018 : MMSE à 30/30, test de la montre à 7/7 et GDS à 3/15 • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Substitution en folates • Haldol et Nozinan contre-indiqués car démence à corps de Lewy • Tests de la cognition le 24.04.2018 : MMSE à 20/30 • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 04.06.2018 : MMSE à 22/30 et test de la montre à 1/7 • Physiothérapie • Ergothérapie • Tests de la cognition du 30.05.2018 : MMSE à 29/30, test de la montre à 0/7, GDS à 1/15 • Physiothérapie • Logopédie • Ergothérapie avec adaptation des moyens auxiliaires • Bladder scanner: résidu urinaire 13 ml le 15.03.2018 et 13 ml le 22.05.2018 • Antalgie par Dafalgan et Brufen alternativement, Palladon puis Palexia • Physiothérapie • Nutrition clinique • Physiothérapie. • Prochain contrôle clinique le 08.10.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle le 06.12.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle le 20.09.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique le 06.07.2018. • Physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique le 19.09.2018. • Physiothérapie • Sevrage progressif corticostéroïdes 1 mg/mois • Physiothérapie • Substitution orale acide folique et vitamine B12 • Physiothérapie • Substitution orale acide folique et vitamine B12 • Pic de troponine le 14.06.2018 à 2822 ng/L • Trinitrine IV continu • Reprise coronarographie le 13.06.2018 (Dr X) • Pic de troponine le 14.06.2018 à 2822 ng/L • Trinitrine IV continu • Reprise coronarographie le 13.06.2018 (Dr X) • Pic fébrile à 38°C les 27.09.2017 et 03.10.2017, d'origine indéterminée • Pic fébrile le 18.05.2018 • Pic hypertensif • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif. • Pic hypertensif à 180/100. • Pic hypertensif à 197/91 mmHg • Pic hypertensif asymptomatique (urgence hypertensive différée) avec: • TA max 203/150 mmHg, TA 150-88 mmHg avant décharge à domicile. • Pic hypertensif aux urgences le 01.06.2018 • Pic hypertensif aux urgences le 01.06.2018 • Pic hypertensif avec céphalées et dyspnée au repos le 29.06.2018 • Pic hypertensif avec décompensation cardiaque gauche en avril 2011 • OAP flash sur pic hypertensif en septembre 2010 • S/p Décompensation cardiaque sur tachycardie ventriculaire complexe dans le cadre d'une cardiomyopathie hypertrophique homogène en 2013 • type: non-compaction (IRM de septembre 2013) • US cardiaque le 12.11.2013 (Dr X) : dilatation modérée du ventricule gauche, hypokinésie globale sévère. FEVG 25 %. Insuffisance mitrale modérée. Dysfonction diastolique importante (grade III). Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante du ventricule droit. Dilatation importante des cavités droites. HTAP importante (PAPs à 66 mmHg). Insuffisance tricuspide modérée. • coronarographie du 16.08.2010 : cardiopathie hypertensive avec dysfonction systolique du ventricule gauche à 30% sur hypokinésie diffuse. Lésions coronariennes non significatives. • Pic hypertensif le 01.06.2018 d'origine indéterminée • DD rénovasculaire (souffle abdominal latéralisé à droite) • Pic hypertensif le 01.06.2018. • DD : douleur, traitement médicamenteux pas suffisant. • Pic hypertensif le 05.06.2018. • Pic hypertensif le 23.06.2018 • Pic hypertensif probablement dans un contexte de migraine le 12.06.2018 • Pic hypertensif symptomatique le 08.06.2018. • PIC opératoire • Avis chirurgie (Dr X) • Picotements. • Pics hypertensifs • Relais Sevikar pour Perindopril • Meto-Zerok • Amlodipin • PID. • Pied adductus bilatéral, prédominance à gauche. • Pied bot à D avec status post ténotomie tendon d'Achille D le 18.01.2013. Pied bot. Cardiopathie dysrythmique et ischémique. • status post infarctus de myocarde. • fibrillation auriculaire (CHA2DS2-VASc Score 5 points 03.07.2017), sous Xarelto. • Coronarographie 07/2008 (HFR Fribourg): importante hypokinésie postéro-basale. • ETT 02/2009 (HFR Fribourg). • Pose d'un pacemaker 110.2007, Contrôle (01.2017, Dr. X): le stimulateur cardiaque fonctionne de façon satisfaisante. Pied D : fracture de Lisfranc, arrachement de la base du 3ème MT, fracture du 3ème cunéiforme peu déplacée. Pied D: névrome de Morton intermétatarsien 2-3 et 3-4. Pied G: hallux valgus. Pied de Charcot gauche par polyneuropathie diabétique. Pied de Charcot gauche par polyneuropathie diabétique Hypertension artérielle. Pied de Charcot gauche par polyneuropathie diabétique Hypertension artérielle. Pied plat bilatéral traité par des semelles orthopédiques. Pied plat G avec douleurs sous-malléolaires. Pied tombant gauche sur canal lombaire étroit le 27.06.2018. Pied-main-bouche. Pied-main-bouche. Pied-main-bouche. Pied-main-bouche. Pieds bots ddc. Pieds bots ddc. Pieds bots ddc. Pieds plano valgus, à D plus qu'à G, flexibles. Tendinite du tendon tibial postérieur, long fléchisseur des orteils et hallux D. Arthrose débutante tibio-talienne, métatarso-tarsienne et inter-tarsienne à D. Pieds plats bilatéraux. Pieds plats bilatéraux, hyperlaxité. Pieds plats ddc, plus marqués à G, réductibles. Pieds plats ddc réductibles. Pieds plats flexibles ddc. Hallux valgus sévères ddc et symptomatiques. Pieds plats flexibles, plus prononcé à G. Pieds plats réductibles ddc. Pipéracilline/Tazobactam du 12.06 au 13.06.2018. Cefepime dès le 13.06.2018 pour un total de 7 jours. Piqûre accidentelle. Piqûre accidentelle au niveau du doigt le 28.06.2018 à 00h15. • patient source inconnu. Piqûre d'abeille. Piqûre d'abeille. Piqûre d'abeille au niveu de la main gauche. Piqûre de guêpe. Piqûre de guêpe paupière inférieure droite. Piqûre de moustique. Piqûre de taon. Piqure de tique. Piqûre de tique. Piqure de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique. Piqûre de tique au cou retirée le 04.05.2018. Piqûre de tique au niveau dorsal en regard de la scapula droite. Piqûre de tique au niveau du cuir chevelu lundi 28.05.2018. Piqûre de tique, avec extraction de l'acarien. Piqûre de tique bras G en juin 2017. Tendinite de De Quervain G. Fracture déplacée tubercule majeur humérus D le 14.04.2013. • réduction ouverte, OS humérus, fixation tendon sus-épineux et infra-épineux le 23.04.2013. Piqûre de tique céphalées (DD neuroborréliose: peu probable, encéphalite à tique: peu probable, migraine, céphalée de tension, autres). Piqûre de tique genou droite partie extenseur le 23.06.2018. Piqûre de tique le 10.2013. Piqûre de tique membre inférieur droit. PIqure de tique simple. Piqûre de tique sur le lobe de l'oreille gauche le 07.06.2018. Piqure de tique (<24h). Piqûre d'hyménoptère au niveau de la jambe gauche avec début de surinfection. Piqûre d'hyménoptère au niveau de la voûte plantaire droite le 15.06.2018. Piqûre d'hyménoptère le 23.06.2018. Piqûre d'hyménoptère surinfectée. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte. Piqûre d'insecte au niveau du gros orteil gauche. Piqûre d'insecte au niveau du talon droit. Piqûre d'insecte avec rougeur cutanée en progression du membre inférieur droit. Piqûre d'insecte pulpe pouce droit. Piqure insecte. Piqure insecte sans signes inflammatoires. Piqûre insecte sans signes inflammatoires. Piqûres de moustique. Piqûres de tique (pli inguinal gauche et paralombaire droite). Piqûres d'insecte. Piqûres d'insectes. Piqûres d'insectes d'origine indéterminée le 18.06.2018. Pister le bilan complet de la thrombocytopénie auto-immune (cf diagnostic supplémentaire 1). Pister les résultats du Holter sur 72h. Pister le résultat du bilan neuropsychologique et rediscuter de la capacité à la conduite. Pister le bilan complet de la thrombocytopénie auto-immune (cf diagnostic supplémentaire 1). Pister les résultats du Holter sur 72h. Pister le résultat du bilan neuropsychologique et rediscuter de la capacité à la conduite. Consultation neurovasculaire de contrôle le 25.06.2018 à 9h15. Consultation 25.06.2018 à 9h15 à l'hôpital de Meyriez (Dr. X). Pister le suivi avec ORL. Dresse Gutierres suivi onco. Suivi diète, poids chez le patient avec la PEG. Physio de la marche, respiratoire. augmentation soins à domicile ? Amie Barbara - 0797355247. Pister les résultats du Holter de 24h. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.10.2018 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 24h. Nous recommandons ainsi un bilan pneumologique avec réalisation d'une polysomnographie en ambulatoire. Un bilan de thrombophilie est actuellement en cours et vous sera adressé dès que possible. Discussion de l'indication à la fermeture du FOP lors du colloque pluridisciplinaire le 11.07.2018 (un courrier avec nos conclusions vous sera adressé séparément). Pas de conduite pendant 2 semaines. Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.10.2018 à 15h30. Pister les résultats du Holter de 24h. Pister bilan de recherche génétique de maladie de Fabry et homocystéine sanguin. Colloque cardiologie-neurologie en juillet 2018 pour évaluer l'indication à la fermeture du FOP. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Bilan à la recherche d'un syndrome d'apnées du sommeil. Pas de conduite pendant 2 semaines. Consultation neurovasculaire de contrôle le 28.09.2018 à 13h00. Pister les résultats du Holter de 72h. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte), une formule sanguine complète à 1 mois pour le développement de l'anémie et un contrôle des glycémies avec adaptation du traitement du Metfin. Pas de conduite pendant 2 semaines.Pas de travail pendant 4 semaines. Consultation diabétologique le 28.06.2018 Consultation ophtalmologique le 03.07.2018 (champ visuel pour évaluer la reprise de la conduite) Consultation neurovasculaire de contrôle le 11.10.2018 • Pister les résultats du Holter de 72h, en cas d'absence de mise en évidence d'arythmie, organiser un R-Test sur 7 jours • Certificat d'arrêt médical de travail jusqu'au 16.07.2018 • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Polysomnographie nocturne à 3 mois post AVC • Pas de conduite de véhicule automobile, consultation ophtalmologique à 4 mois avec champ visuel automatisé pour évaluer l'aptitude à la conduite • Consultation neurovasculaire de contrôle le 05.10.2018 à 16h (Dr. X) • Pister les résultats du Holter de 72h • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) • Pas de conduite pendant 2 semaines • Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.10.2018 à 14h30 • Colloque cardiologique - neurologique le 11.07.2018 pour évaluer l'indication à la fermeture de FOP (un courier séparé vous sera adressé avec nos recommandations) • Suivi psychiatrique en ambulatoire au CPS • Pister les résultats du Holter de 72h. • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte). • Pas de conduite pendant 2 semaines. • Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.10.2018 à 17h (Dr. X). • Pister les résultats du Holter de 72h • Pister le dosage des anticorps anti-phospholipides le 29.06.2018 • Pas de conduite pendant 2 semaines • Colloque cardiologie - neurologie à but d'évaluer l'indication à la fermeture de FOP (le 17.07.2018) • Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.10.2018 à 15h30 • Pister les résultats du Holter de 72h • Poursuite de la Naproxen à 48h post résolution des douleurs du MTP-1 à droite • Consultation rhumatologique avec contrôle biologique à 3 semaines (23.07.2018) pour évaluer la durée du traitement de Colchicine • Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l) • Consultation neurovasculaire de contrôle le 05.10.2018 à 15h15 (Dr. X) • Pister les résultats du R-Test de 7 jours du 21.06.2018 • Consultation neurovasculaire de contrôle le 31.08.2018 à 16h (Dr. X) • Pister l'osmolalité urinaire. • Spot urinaire à demander. • Pister pourquoi arrêt du Konakion? • Pister rapport du cardiologue (Dr. X, Lausanne) • Pister rapport logopédie • Si indiqué, retour en neuroréhabilitation stationnaire à Meyriez si fin de la prise en charge à la SUVA • Rendez-vous ambulatoire en Orthopédie pour discussion de l'implantation d'une prothèse du genou droit • Pister réticulocytes, ferritine, vitamine B12, acide folique • Pister SPOT urinaire • Pister taux de CK à 20h le 11.06.2018. • Nouvelle coronarographie dans 1 mois pour PCI de la CD, à rediscuter avec les cardiologues. Pityriasis rosé de Gibert : • diagnostics différentiels : psoriasis ou para-psoriasis en gouttes, pityriasis vésicolor, • sérologie VIH et syphilis négatives. Pityriasis rosé de Gibert. DD : parapsoriasis en gouttes, pityriasis vésicolor, primoinfection VIH, syphilis secondaire. Pityriasis rosé de Gibert. Diagnostic différentiel : parapsoriasis en gouttes, pityriasis vésicolor. Sérologie VIH et syphilis négatives. Pityriasis rosé en 2017. Placenta antérieur accreta praevia mise en évidence durant la césarienne. Placenta envoyé en anatomo-pathologie Aspirine cardio pour la prochaine grossesse. Placenta envoyé en anatomo-pathologie. Placenta envoyé en anatomo-pathologie. Placenta envoyé en anatomo-pathologie pour analyse Patiente informée d'une éventuelle reprise (hystéroscopie) à distance. Plage hypodense du ventricule G sur CT du 08.06.2018 (déjà connue en 2016) - non retrouvé à l'US cardiaque. Plagiocéphalie. Plai du doigt 5 main gauche. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie. Plaie à la jambe gauche. Plaie à la main gauche. Plaie à la tête. Plaie à 5 cm au-dessus du genou droit, horizontale, de 3 cm de longueur pour 1 cm de largeur, avec effraction du tissu sous-cutané et exposition du fascia musculaire sans effraction de ce dernier et sans exposition des structures musculaires sous-jacentes. Plaie annulaire droit. Plaie arcade gauche. Plaie arcade sourcilière gauche. Plaie arciforme de 12 cm de longueur au niveau du front gauche. Plaie arciforme de 2 cm au niveau du menton. Plaie arciforme sur la lèvre supérieure à droite. Plaie arciforme 4 cm sous-rotulienne du genou droit 17.06.18. Plaie au doigt de la main droite. Plaie au front. Plaie au majeur gauche. Plaie au menton. Plaie au menton suturée le 17.06.2018. Plaie au mollet droit. Plaie au niveau de la tête. Plaie au niveau de l'avant-bras gauche suite à une chute de sa hauteur. Contusion costale gauche. Constipation le 27.02.2018. Epigastralgies dans un contexte de cholécystite chronique, coprostase. Plaie au niveau de l'interphalangienne distale le 08.06.2018 ainsi que fracture de la phalange distale le 05.06.2018 au niveau du cinquième doigt de la main gauche. Plaie au niveau de l'omoplate droite de 5 x 5 mm, le 17.06.2018. Plaie au niveau du crâne. Plaie au niveau interphalangien distal index droit le 08.01.2012. Plaie au pouce gauche. Plaie au talon gauche. Plaie au tibia gauche et nombreuses dermabrasions au niveau des membres supérieurs dans un contexte de chutes à répétition. Plaie auto-infligée superficielle de 5 cm de l'avant-bras proximal gauche le 03.05.2014 Abus médicamenteux le 31.03.2018. Tentamen médicamenteux le 22.04.2015. Crise d'angoisse avec prise de médicaments. Plaie avant-bras avec un couteau. Plaie avec fracture de la phalange distale du 3ème doigt de la main gauche. Plaie avec perte de substance d'environ 2 cm sur la face antérieure du tibia gauche le 18.06.2018. Plaie avec perte de substance sur la face latérale du 5ème doigt de la main droite le 03.06.2018. Plaie avec section du tendon flexor pollicis longus pouce D en zone 4; le 09.06.2018. Plaie avec traumatisme crânien sans perte de connaissance.Plaie bras gauche. Plaie carcinomateuse ulcérée Plaie cheville gauche. Plaie chronique au niveau du 1er orteil du pied D sur la face plantaire. Plaie chronique de l'hallux droit, le 04.06.2018. Plaie chronique face antérieure de la jambe droite. Status post greffe de Thiersch jambe D le 21.07.2015 sur révision de plaie et mise en place d'un pansement aspiratif le 10.03.2015 pour infection à streptocoques pneumoniae et streptocoques béta-hémolytiques du groupe B sur status post ostéosynthèse d'une fracture jambe distale par plaque le 02.01.2015 à l'Hôpital de Zweizimmen. Plaie chronique sur surinfectée d'une cicatrice de Pfannenstiel • Status post-hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale, adhésiolyse et washing péritonéal le 27.09.2017 pour dysplasie cervicale • Status post-débridement de la plaie avec pose de VAC le 14.05.2018 • VAC à instillation du 14 au 17.05.2018 • Réfection itérative du VAC en ambulatoire du 18 au 25.05.2018 Plaie contuse de la face palmaire de la main droite (éminence thénar). Plaie contuse tiers proximal face antéro-médiale jambe droite Plaie coude droit Plaie croûteuse sans écoulement cunéiforme médial gauche. Plaie croûteuse sans écoulement supra-malléolaire gauche. Plaie cuir chevelu 1.5 cm le 23.10.2015. Plaie cuir chevelu Gastroentérite d'origine virale probable Plaie cuisse gauche. Plaie cutanée de 5 cm de longueur en occipital sur chute de sa hauteur le 27.05.2017 dans un contexte de crise d'épilepsie : • oedème sous la cicatrice avec fragilité cutanée. Plaie cutanée du poignet gauche et fracture scaphoïdienne probable Plaie cutanée frontale sur un hématome de 4 cm. Plaie cutanée plantaire chronique compliquée en regard de la MT de l'orteil I gauche le 07.06.2018 DD angiologique/neuropathique Plaie cutanée plantaire compliquée Plaie de cholecystectomie laparoscopique avec légère déhiscence le 25.06.2018. Plaie de D2 main gauche avec section partielle du tendon extenseur Zone 2 le 30.06.2018 • Suture aux urgences (Dr. X). Plaie de la conjonctive post-traumatique Plaie de la conjonctive à 12h de 2 mm avec hématome de 4 mm au niveau de l'œil droit, sans trouble de la vision. Plaie de la cuisse droite et douleurs au genou droit. Plaie de la face antérieure de l'avant-bras gauche au niveau du tiers moyen, côté cubital, en étoile de 2 cm de grand axe. Plaie de la face antérieure de l'avant-bras gauche au niveau du tiers moyen, côté cubital, en étoile de 3 cm de grand axe. Plaie de la face antérieure distale de la 3ème phalange du 4ème doigt de 1 cm de long atteignant l'ongle. Plaie de la face dorsale de l'avant-bras gauche avec atteinte de la bourse olécranienne. Plaie de la face dorsale et profonde du pouce droit au niveau de la première phalange. Déficit extenseur de la 2ème phalange. Hypoesthésie du bord latéral de la 2ème phalange. Exploration, extenseur du tendon de pouce sectionné et pédicule non identifié. Avis orthopédique du Dr. X : adresser le patient à l'HFR Fribourg, pour suture du tendon +/- suture du nerf. Rappel tétanos fait. Radiographie du pouce : décrite ci-dessous. Patient adressé à Lausanne en chirurgie de la main, départ par ses propres moyens. Plaie de la face interne de la première métatarsophalangienne du pied gauche de 3 cm de longueur sans atteinte des structures nobles (face interne du pied gauche). Plaie de la face latéro-dorsale de la main gauche avec exposition du tendon externe du 5ème doigt d'environ 4 cm de long le 20.06.2018. Plaie de la gencive au-dessus de la 51 Plaie de la jambe gauche. Plaie de la langue Plaie de la langue à gauche Plaie de la lèvre. Plaie de la lèvre et douleurs costales. Plaie de la lèvre inférieure. Plaie de la main droite. Plaie de la main droite entre D1 et D2 avec • lésion du tendon du long fléchisseur du pouce Plaie de la paume du pouce gauche. Plaie de la plante du pied gauche Plaie de la pulpe de D1 droit avec perte de substance sur chute en longboard le 27.05.2018. Plaie de la pulpe du pouce gauche superficielle avec perte de substance de 1 x 0.5 cm. Plaie de la tête. Plaie de la 2ème phalange de l'index gauche suturée le 6 août. Plaie de la 3ème phalange du 5ème doigt de la main gauche avec lésion nerveuse sensitive partielle, le 04.06.2018. Plaie de l'arcade de l'œil droit. Plaie de l'arcade de l'œil droit. Plaie de l'arcade sourcilière droite. Plaie de l'arcade sourcilière droite d'environ 4 cm. Plaie de l'arcade sourcilière droite le 03.04.2015 suture Plaie de l'arcade sourcilière gauche Plaie de l'éminence thénar de la main droite dans un contexte de violence conjugale, suturée le 21.05.2018. Plaie de l'éminence thénar droite. Plaie de l'hélix de l'oreille droite le 18.06.2018. Plaie de l'hypothénare à gauche Plaie de l'index. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index droit. Plaie de l'index droit. Plaie de l'interphalangienne proximale 2ème rayon main gauche, sans atteinte des structures nobles. Plaie de l'œil droit (colle rapide (cyanoacrylate) sur l'œil droit). Plaie de l'oreille gauche avec atteinte du cartilage Plaie de l'orteil droit. Plaie de P3D5 main G avec lésion nerveuse sensitive partielle le 04.06.2018 Plaie de 1 cm à bords nets en regard de l'interphalangienne distale du 3ème doigt de la main droite. Plaie de 1 cm au niveau de la face postérieure de l'avant-bras droit à 5 cm distal de la région de l'olécrane. Plaie de 1 cm infra-oculaire droite le 04.06.2018. Plaie de 1 cm longiligne sans perte de substance, superficielle au niveau de la pulpe de O1 à D. Plaie de 0.5 cm sur la face dorsale de O4 à D sans perte de substance. Plaie de 1 cm superficielle sur la pulpe du 3ème doigt de la main droite et de 0.5 cm superficielle sur la pulpe du 4ème doigt de la main droite. Plaie de 1 x 3 cm au niveau du genou gauche le 17.06.2018. Plaie de 1 cm de diamètre de la face plantaire de l'hallux gauche, hyperkératotique dans le contexte • diabète de type II non insulino-requérant et neuropathie diabétique Plaie de 1 cm de longueur au niveau du menton sans atteinte du tissu sous-cutané. Plaie de 1 cm de longueur, verticale, non transfixiante, au niveau du philtrum sans atteinte du muscle orbiculaire des lèvres. Plaie de 1 cm environ Plaie de 1 cm x 1 cm avec perte de substance sur la pulpe de D4 à gauche, sans atteinte de l'ongle. Plaie de 1 cm x 1 cm avec perte de substance sur la pulpe du 4ème doigt à gauche, sans atteinte de l'ongle. Radiographie du doigt de face et de profil : pas d'atteinte osseuse. Vaccin antitétanique à jour. Pansement occlusif avec Adaptiq. Antalgie simple. Contrôle et réfection du pansement lundi en policlinique d'orthopédie. Plaie de 1 x 3 cm en regard du genou gauche. Plaie de 1.5 cm de dm du front Plaie de 1.5 cm du 2ème doigt de la main droite le 31.10.2016. Plaie de 1.5 cm longiligne sur la face interne de l'avant-bras gauche le 10.06.2018. Plaie de 1.5 cm profonde centro-palmaire de la main droite, non transfixiante sur empalement par bâton de 1 cm de diamètre le 12.06.2018 Plaie de 1.5 cm profonde centro-palmaire de la main droite, non transfixiante sur empalement par un bâton de 1 cm de diamètre le 12.06.2018. Plaie de 1.5 cm profonde centro-palmaire de la main droite, non transfixiante sur empalement par bâton de 1 cm de diamètre le 12.06.2018. Plaie de 2 cm à la base de l'hallux du pied droit, le 24.06.2018. Plaie de 2 cm à la base de l'hallux du pied droit, le 24.06.2018. Plaie de 2 cm à la face latérale de l'avant-bras gauche le 14.07.2016. Plaie de 2 cm de la face dorsale de l'index gauche, le 13.06.2018. Plaie de 2 cm de la lèvre supérieure droite, le 04.06.2018. Plaie de 2 cm de longueur à la face interne de la lèvre supérieure gauche, non transfixiante. Plaie de 2 cm du dos de la main gauche. Suture 4.0 2 points sous AL Contusion pouce main D, avec Plaie de 2 cm du 2ème orteil du pied gauche avec 4 points de suture le 04.07.2013 S/p hémicolectomie (gauche/droite?) en 2004-2005 au Canada pour carcinome X S/p cure d'hernie inguinale S/p cure de tunnel carpien des deux côtés Fracture plateau supérieur de D12 depuis 15 jours le 20.12.2013 Syncope d'origine indéterminée le 16.07.2017 • Probablement orthostatique Troubles orthostatiques le 16.07.2017 Chute accidentelle le 23.04.2018 avec : • fracture de l'os propre du nez et déviation septale à droite • plaie superficielle au niveau de l'arcade sourcilière à gauche CT cérébro-cervical et massif facial le 23.04.2018 : absence de saignement intracrânien. Fracture des os propres du nez, s'étendant du côté droit au processus frontal de l'os maxillaire. Hématome sous-galéal et sous-cutané en région frontale Décompensation diabétique d'allure hyperosmolaire le 23.04.2018 avec : • HbA1c 8,7 % le 25.04.2018 Acutisation d'origine prérénale (AKIN 1) d'une probable insuffisance rénale chronique le 23.04.2018 • le 25.04.2018 : 75.8 mL/min/1.73 m² (CKD-EPI) Contusions multiples le 23.04.2018 : • Contusion costale • Contusion hanche droite Etat confusionnel aigu le 02.05.2018 • En premier lieu sur diarrhées • Dans le contexte de difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire • IRM cérébrale le 09.05.2018 : importante atrophie cérébrale diffuse avec hydrocéphalie ex-vacuo. Pas de signe franc pour une hydrocéphalie à pression normale, malgré la dilatation ventriculaire Bilan neuropsychologique le 08.05.2018 : difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire ; DMLA Chute avec trauma crânien la nuit du 02.05.2018 Syncope sur vertiges orthostatiques le 03.05.2018 • Test de Schellong positif le 04.05.2018 : positif Multiples occlusions artérielles sur probable embolisations cardiaques avec : • occlusion aiguë sur chronique de l'A poplité droite et des axes jambières, et embole dans A. fémorale profonde • occlusion aiguë sur chronique de l'A poplité gauche • occlusion de l'A. ulnaire au départ et partie distale de l'A. radiale Ischémie aiguë du MID le 04.06.2018 Hypoglycémie symptomatique à 2.7 mmol/l le 04.06.2018 • Diabète de type II insulino-requérant depuis une dizaine d'années (primo diagnostic env. 2006) Plaie de 2 cm du 2ème orteil du pied gauche avec 4 points de suture le 04.07.2013 S/p hémicolectomie (gauche/droite?) en 2004-2005 au Canada pour carcinome X S/p cure d'hernie inguinale S/p cure de tunnel carpien ddc Fracture plateau supérieur de D12 depuis 15 jours le 20.12.2013 Syncope d'origine indéterminée le 16.07.2017 • probablement orthostatique Troubles orthostatiques le 16.07.2017 Chute accidentelle le 23.04.2018 avec : • fracture de l'os propre du nez et déviation septale à droite • plaie superficielle au niveau de l'arcade sourcilière à gauche CT cérébro-cervical et massif facial le 23.04.2018 : absence de saignement intracrânien. Fracture des os propres du nez, s'étendant du côté droit au processus frontal de l'os maxillaire. Hématome sous-galéal et sous-cutané en région frontale. Décompensation diabétique d'allure hyperosmolaire le 23.04.2018 avec : • HbA1c 8,7 % le 25.04.2018 Acutisation d'origine prérénale (AKIN 1) d'une probable insuffisance rénale chronique le 23.04.2018 • le 25.04.2018 : 75.8 mL/min/1.73 m² (CKD-EPI) Contusions multiples le 23.04.2018 : • Contusion costale • Contusion hanche droite Etat confusionnel aigu le 02.05.2018 • en premier lieu sur diarrhées • dans le contexte de difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire • IRM cérébrale le 09.05.2018 : importante atrophie cérébrale diffuse avec hydrocéphalie ex-vacuo. Pas de signe franc pour une hydrocéphalie à pression normale, malgré la dilatation ventriculaire. Bilan neuropsychologique le 08.05.2018 : difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire ; DMLA Chute avec trauma crânien la nuit du 02.05.2018 Syncope sur vertiges orthostatiques le 03.05.2018 • Test de Schellong positif le 04.05.2018 : positif Multiples occlusions artérielles sur probable embolisations cardiaques avec : • occlusion aiguë sur chronique de l'A poplité droite et des axes jambières, et embole dans A. fémorale profonde • occlusion aiguë sur chronique de l'A poplité gauche • occlusion de l'A. ulnaire au départ et partie distale de l'A. radiale Ischémie aiguë du MID le 04.06.2018 Hypoglycémie symptomatique à 2.7 mmol/l le 04.06.2018 • diabète de type II insulino-requérant depuis une dizaine d'années (primo diagnostic env. 2006) Plaie de 2 cm du 2ème orteil du pied gauche avec 4 points de suture le 04.07.2013 S/p hémicolectomie (gauche/droite?) en 2004-2005 au Canada pour carcinome X S/p cure d'hernie inguinale S/p cure de tunnel carpien ddc Fracture plateau supérieur de D12 depuis 15 jours le 20.12.2013 Syncope d'origine indéterminée le 16.07.2017 • probablement orthostatique Troubles orthostatiques le 16.07.2017 Chute accidentelle le 23.04.2018 avec : • fracture de l'os propre du nez et déviation septale à droite • plaie superficielle au niveau de l'arcade sourcilière à gauche CT cérébro-cervical et massif facial le 23.04.2018 : absence de saignement intracrânien. Fracture des os propres du nez, s'étendant du côté droit au processus frontal de l'os maxillaire. Hématome sous-galéal et sous-cutané en région frontale. Décompensation diabétique d'allure hyperosmolaire le 23.04.2018 avec : • Osmolarité sérique (315 mosmol/kg), pHa 7,34, lactates 15 mmol/l • HbA1c 8,7 % le 25.04.2018 Acutisation d'origine prérénale (AKIN 1) d'une probable insuffisance rénale chronique le 23.04.2018 • le 25.04.2018 : 75.8 mL/min/1.73 m² (CKD-EPI) Contusions multiples le 23.04.2018 : • Contusion costale • Contusion hanche droite Etat confusionnel aigu le 02.05.2018 • en premier lieu sur diarrhées • dans le contexte de difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire • IRM cérébrale le 09.05.2018 : importante atrophie cérébrale diffuse avec hydrocéphalie ex-vacuo. Pas de signe franc pour une hydrocéphalie à pression normale, malgré la dilatation ventriculaire. Bilan neuropsychologique le 08.05.2018 : difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire ; DMLA Chute avec trauma crânien la nuit du 02.05.2018 Syncope sur vertiges orthostatiques le 03.05.2018 Test de Schellong positif le 04.05.2018 : positif (symptomatique au lever et baisse Psys > 20 mmHg à 2 min) le 25.04.2018 : 75.8 mL/min/1.73m² (CKD-EPI) Contusions multiples le 23.04.2018 : • Contusion costale • Contusion hanche droite Etat confusionnel aigu le 02.05.2018 • en premier lieu sur diarrhées • dans le contexte de difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire • IRM cérébrale le 09.05.2018 : importante atrophie cérébrale diffuse avec hydrocéphalie ex-vacuo. Pas de signe franc pour une hydrocéphalie à pression normale, malgré la dilatation ventriculaire. Bilan neuropsychologique le 08.05.2018 : difficultés mnésiques et exécutives d'origine probablement vasculaire; DMLA Chute avec trauma crânien la nuit du 02.05.2018 Syncope sur vertiges orthostatiques le 03.05.2018 Test de Schellong positif le 04.05.2018 : positif (symptomatique au lever et baisse Psys > 20mmHg à 2min) Plaie de 2 cm et de 3 mm de profondeur au niveau du pouce gauche, face palmaire de la phalange distale. Plaie de 2 cm et de 3 mm de profondeur au niveau du pouce gauche, face palmaire de la phalange distale, le 08.06.2018. Plaie de 2 cm face latérale externe du pouce de la main gauche suturée le 19.06.2018. Plaie de 2 cm sur le pouce droit face dorsale en regard de l'interphalangienne distale le 23.06.2018. Plaie de 2 cm temporo-occipitale droite sur traumatisme crânien dans le contexte d'éthylisation aiguë le 10.05.2018. Plaie de 2 mm de diamètre et 2 cm de profondeur en regard du tiers distal du métatarse I. Plaie de 2 mm de diamètre et 2 cm de profondeur en regard du tiers distal du métatarse 1 le 06.06.2018. Plaie de 2 mm sur le menton. Plaie de 2 cm de longueur au niveau de l'arcade sourcilière droite. Plaie de 2.5 cm frontale droite sans perte de substance le 03.06.2018. Plaie de 2.5 cm oblique de la face dorsale du pouce droit, en regard de la base de la première phalange. Plaie de 2.5 cm oblique face dorsale de P1 D1 main droite Plaie de 2.5 cm dos de la main avec section du tendon extenseur du 4e doigt de la main gauche 25.06.18 Plaie de 3 cm de longueur au niveau menton sans atteinte du tissu sous-cutané Plaie de 3 cm de longueur au niveau menton sans atteinte du tissu sous-cutané Contusion O2 pied droit Status post anorexie mentale Plaie de 3 cm de longueur au niveau menton sans atteinte du tissu sous-cutané. Plaie de 3 cm sous-mentonnière gauche à bords nets le 12.06.2018. Plaie de 3 cm superficielle de l'avant-bras gauche. Plaie de 3 cm de long, oblique en regard de l'interphalangienne proximale, face dorsale du 3ème doigt droit. Plaie de 3 cm de longueur atteignant le tissu sous-cutané au niveau du front. Plaie de 3x1 cm au niveau tibial gauche sans signe de surinfection. Plaie de 4 cm au niveau de la face médiale dorsale du pied, en regard de la tête du premier métatarsien, plus de 24h. Plaie de 4 cm au niveau de la pulpe de l'index gauche. Plaie de 4 cm au niveau tempo-pariétal droit. Plaie de 5 cm à la face postérieure de la main droite en regard du premier métacarpe. Plaie délabrante de l'avant-bras droit. Tuberculose à l'âge de 13 ans. Plaie d'environ 1 cm à mi-hauteur de l'ongle du majeur droit, sans atteinte de la matrice. Plaie d'environ 1 x 2 cm sous-patellaire latérale genou gauche le 01.12.2017. Plaie d'environ 1 cm au niveau de la base du nez. Plaie d'environ 2 cm au niveau du front. Plaie doigt IV main droite. Plaie doigt IV main droite surinfectée. Plaie dorsale et palmaire P2 P3 D3 à droite en septembre 2012, sur accident d'écrasement avec une lésion partielle de l'extenseur dans la zone 1, estimée à 10 % et ouverture de la gaine des fléchisseurs, zone 1, sans lésion du tendon. Probable gastrite 22.04.2013. Plaie dorsale pied droit sur status après nécrose infectée du 2ème orteil droit à E. Coli résistant à l'Augmentin et Staphylocoque doré sensible à l'Augmentin avec : • Amputation trans-métatarsienne du 2ème métatarse orteil droit le 30.05.2018 • Co-Amoxicilline 2,2 g 4x/j pendant 6 semaines, arrêté, après consilium infectiologique avec le Dr. X • Changement du pansement 1x/j selon protocole Plaie du bras gauche. Plaie du bras gauche. Plaie du coude et contusion dorsale. Plaie du coude gauche avec probable atteinte de la bourse olécranienne Plaie du coude gauche avec probable atteinte de la bourse olécranienne Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu en région temporale gauche en forme L de 2 cm de longueur, profonde avec perte de substance. Plaie du cuir chevelu fronto-pariétal 3 cm Plaie du cuir chevelu pariétale gauche de 2 cm. • sur agression avec une pierre de 15 cm de diamètre. Plaie du cuir chevelu 7 cm en Y le 30.06.2018. Plaie du cuir chevelu de 15 cm de long, arciforme, au niveau fronto-pariétal gauche. Plaie du deuxième doigt de la main gauche. Plaie du doigt. Plaie du front. Plaie du front. Plaie du front. Plaie du majeur de la main droite. Plaie du majeur de la main droite le 07.06.2018. Plaie du majeur de la main droite suturée le 07.06.2018. Plaie du majeur de la main droite suturée le 07.06.2018. Plaie du majeur gauche avec légère perte de substance. Plaie du membre inférieur droit. Plaie du membre inférieur droit. Plaie du membre inférieur gauche. Plaie du membre inférieur gauche, surinfectée, fibrineuse, le 05.05.2018. Plaie du membre supérieur gauche. Plaie du menton Plaie du menton post chute. Deux points sont mis en place. Soins locaux à poursuivre et ablation des fils dans 5 jours chez le pédiatre Plaie du menton post traumatique Plaie du menton sur chute mécanique. Plaie du menton 2 cm environ Plaie du nez Plaie du petit doigt de la main gauche Plaie du petit doigt gauche Plaie du pied droit. Plaie du pied droit. Plaie du pied gauche. Plaie du pli de l'oreille gauche Plaie du poignet D avec lésion partielle du nerf ulnaire le 30.06.2018 Plaie du pouce. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit. Plaie du pouce droit avec corps étranger métallique le 30.05.2018. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche. Plaie du pouce gauche de 2 cm le 31.05.18. Plaie du pouce gauche de 2 cm le 31.05.18. Plaie du pouce gauche de 2 cm le 31.05.18. Plaie du pouce gauche le 19.06.2018. Plaie du scalp. Plaie du scalp. Plaie du scalp frontale d'environ 4 cm de long. Plaie du scalp fronto-temporale droite de 2 cm le 18.08.2014. Bypass gastrique 2014. Appendectomie 1999. Arthroscopie de genou des deux côtés. Plaie du 1er orteil gauche Plaie du 1.5 cm de longueur, oblique, au niveau du tendon d'Achille gauche sans atteinte de celui-ci. Plaie du 2ème doigt de la main droite en mai 2015. Plaie profonde horizontale longue de 15 cm à la face antérieure de la cuisse proximale gauche, le 02.09.2018. Plaie du 2ème doigt de la main gauche. Plaie du 2ème doigt de la main gauche. Plaie du 2ème doigt de la main gauche le 11.06.2018. Plaie du 2ème doigt de la main gauche le 11.06.2018. Plaie du 2ème doigt main gauche le 28.06.2018. Plaie D1 main droite le 22.06.2018. Plaie D3 d'évolution défavorable Plaie en arc de 2 cm à 0.5 cm de la peau para-oculaire latérale de l'œil droit. Plaie en arc de 2 cm à 0.5 cm du canthus latéral de l'œil droit, fermée par 3 points simples. Plaie en arc de 2 cm à 0.5 cm du canthus latéral de l'œil droit le 06.06.2018. Plaie en bonne évolution MTP1 pied G sur statut post incision abcès plantaire MTP1 pied G à staph aureus le 19.05.2018. Plaie en distal du 3ème orteil du pied droit. Status post amputation de P2 du 4ème orteil le 25.04.2017. Status post contusion des deux genoux pré-patellaire avec dermabrasion le 25.06.2018. Plaie en étoile pariétale gauche. Plaie en regard de la face interne de P1 D1 à gauche le 26.03.2013. Hystérectomie vaginale et ovariectomie à l'âge de 40 ans pour kystes multiples et récidivants. Diarrhées sécrétoires, probablement le 15.08.2015. Plaie en regard de la face ulnaire tiers distal de l'avant-bras gauche. Plaie en regard de la face ulnaire tiers distal de l'avant-bras gauche. Plaie en regard de l'éminence hypothénar de 4 cm, superficielle. Plaie en regard du tendon d'Achille D • Depuis 5 semaines • Essai de suture et traitement par corticoïdes il y a 2 semaines • Évolution défavorable Plaie en région thénarienne de la main gauche le 21.02.2017. Plaie en U. Désinfection de plaie, champage, exploration, anesthésie locale par rapidocaïne, suture (Dr. X) avec fil 4.0, 5 points de suture, pansement. Instructions pour soin de plaie données au patient. Ablation des fils le 15.06.2018 chez le médecin traitant. Retour à domicile avec antalgie simple (Dafalgan et Irfen 400). Plaie en V de 3 cm de périmètre et de 1 mm de profondeur joue G en mai 2013. Plaie en Z de 3 cm de longueur et 5 mm de profondeur sur la face radiale du 1er doigt de la main droite au niveau de la phalange proximale et à cheval sur l'interphalangienne. Plaie entre 4ème et 5ème orteils droits. Plaie face antérieure de la cuisse droite. Plaie face dorsale 4ème orteil à gauche. Plaie face dorsale 4ème orteil à gauche. Plaie face dorsale 4ème orteil à gauche. Cf synthèse. Plaie face latérale du pied G. Douleur abdominale d'origine indéterminée le 27.09.2015. Stix urinaire : leucocytes et nitrites négatifs. Laboratoire. US abdominale. Contrôle à la FUO à 11.00 h (faire feuille). Douleurs abdominales FIG sur probable constipation. Plaie face latéro-dorsale main gauche avec exposition du tendon extenseur du 5ème doigt d'environ 4 cm de long le 20.06.2018. Plaie face radiale MCP doigt 2 main droite le 05.09.2012. Plaie face radiale P2 et P3 Dig II D le 21.06.2017. État dépressif avec idées suicidaires le 04.10.2017. Consommation d'alcool à risque avec : • état d'éthylisation aiguë le 04.11.2017 (2.95 pour mille) • stigmate au laboratoire (élévation de la gamma-GT, macrocytose) Probable bronchite avec possible pneumonie basale D débutante le 07.11.2017. Tentamen médicamenteux le 04.11.2017 : Statut post intoxication médicamenteuse volontaire le 03.03.2018. • prise d'au max 130 cp de son traitement habituel et ancien (Midocalm, Atarax, Escitalopram, Zolpidem, Latuda, Atorvastatine, Redormin, Mephadolor, Spidifen) Statut post rhabdomyolyse d'origine multifactorielle (décubitus prolongé, statines) le 06.03.2018. Bactériémie à Staph. aureus R pénicilline, le 19.03.2018. • Porte d'entrée : escarre du talon G (frottis le 19.03.2018 avec Corynebacterium striatum et Staph. aureus) • Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g i.v. le 19.03. puis p.o. les 20 et 21.03.2018 par Floxapen 2 g 4x/j du 22.03. au 05.04.2018. Bursite pertrochantérienne hanche D. • Germe (22.03.2018) : Staph aureus qq ; culture nég. à J14. • Bursectomie, débridement, rinçage hanche D (OP le 22.03.2018). Plaie face radiale P2 et P3 Dig II D le 21.06.2017. État dépressif avec idées suicidaires le 04.10.2017. Consommation OH à risque avec : • état d'éthylisation aiguë le 04.11.2017 (2.95 pour mille) • stigmate au laboratoire (élévation de la gamma-GT, macrocytose) Probable bronchite avec possible pneumonie basale D débutante le 07.11.2017. Tentamen médicamenteux le 04.11.2017 : Statut post intoxication médicamenteuse volontaire le 03.03.2018. • prise d'au max 130 cp de son traitement habituel et ancien (Midocalm, Atarax, Escitalopram, Zolpidem, Latuda, Atorvastatine, Redormin, Mephadolor, Spidifen) Statut post rhabdomyolyse d'origine multifactorielle (décubitus prolongé, statines) le 06.03.2018. Bactériémie à Staph. aureus R pénicilline, le 19.03.2018. • Porte d'entrée : escarre du talon G (frottis le 19.03.2018 avec Corynebacterium striatum et Staph. aureus) • Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g i.v. le 19.03. puis p.o. les 20 et 21.03.2018 par Floxapen 2 g 4x/j du 22.03. au 05.04.2018. Bursite pertrochantérienne hanche D. • Germe (22.03.2018) : Staph aureus qq ; culture nég. à J14. • Bursectomie, débridement, rinçage hanche D (OP le 22.03.2018). Plaie flap très superficielle non suturable au bord interne de l'ongle du cinquième orteil. Plaie frontale. Plaie frontale. Plaie frontale arcade sourcilière de 1 x 5 cm gauche le 27.06.2018. Plaie frontale de 1 cm. Plaie frontale d'environ 1 cm. Plaie frontale droite. Plaie frontale du cuir chevelu en avril 2015. Contusion pied droit avec suspicion fracture base 2ème métatarse le 27.02.2016. Infection des voies respiratoires supérieures le 06.12.2017. Photokératite bilatérale sur exposition professionnelle en janvier 2018. Plaie frontale g à 3 bras d'env 1.5 cm de diamètre. Plaie frontale gauche : Plaie frontale gauche : • tétanos à jour, désinfection et suture de la plaie par 2 points d'Ethylon 6.0, consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien, contrôle chez le pédiatre à 48 h, ablation des fils à 5 jours. Plaie frontale le 01.06.2018. Plaie frontale le 21.06.2017. Plaie frontale le 21.06.2017. Plaie frontale le 21.06.2017 traitée par désinfection et pansement avec un rappel tétanos. Plaie frontale le 21.06.2017. Désinfection. Pansement. Rappel tétanos. Plaie frontale le 21.06.2017. Désinfection. Pansement. Rappel tétanos. Plaie frontale longiligne de 3 cm de long sur 2 mm de large. Plaie frontale 1.5 cm inter-sourciliaire. Plaie fronto-pariétale gauche et contusion faciale multiple sur perte d'équilibre dans un contexte de vertiges chroniques : Traumatisme crânien sans perte de connaissance. CT-Scan cérébro-cervical : Pas de fracture, pas d'hémorragie, petite calcification postérieurement au processus épineux de C7 et hématome sous-galéal frontal gauche. Contusion rotulienne à gauche. DD : boursite traumatique. Radiographie : genou gauche et droit : pas de fracture. Vertiges de type tangage chronique depuis 3-4 ans. DD : VPPM, maladie de Ménière. Plaie genou droit avec probable atteinte de bourse. Plaie genou droite. Plaie hélix oreille droite le 18.06.2018. Plaie horizontale de 1.2 cm sur la face dorsale de l'articulation interphalangienne proximale de l'index droit, avec exposition du derme sans exposition des structures osseuses ou tendineuses. Plaie horizontale de 14 cm de longueur et de 0.7 cm de largeur, sur le quadrant inféro-interne et inféro-externe de la fesse droite, avec des bords francs et exposition sans effraction du tissu sous-cutané, pas de signe inflammatoire local. Plaie horizontale linéaire aux bords francs de 2 cm, avec exposition sans effraction du tissu sous-cutané, sur la face ventrale de la 2ème phalange de l'index droit. Plaie horizontale superficielle de 5 cm de longueur et de 0.1 cm de largeur, sur le quadrant inféro-interne de la fesse gauche, plaie linéaire, aux bords francs, sans exposition du tissu sous-cutané, pas de signe inflammatoire local. Plaie index de la main droite avec perte de substance, sans atteinte osseuse, le 28.06.2018. Plaie index de la main droite avec perte de substance, sans atteinte osseuse, le 28.06.2018. Plaie index droit. Plaie index gauche. Plaie interdigitale main gauche, 2016. Plaie interphalangienne distale D3 main gauche face dorsale.Plaie interphalangienne distale le 08.06.2018 ainsi que fracture phalange distale le 05.06.2018 D5 main gauche. Plaie interphalangienne distale le 08.06.2018 ainsi que fracture phalange distale le 05.06.2018 D5 main gauche. Plaie jambe droite. Ablation des fils le 29.11.2013, à la filière 34. Plaie jambe G du 09.05.2018. Plaie jambe G du 09.05.2018. Plaie joue droite 1 cm peu profonde. Plaie labiale inférieure. Plaie lèvre supérieure droite. Plaie linéaire de 2.5 cm de longueur pour 0.5 cm de largeur au niveau de la face radiale de l'éminence thénar droite, avec effraction sur 0.5 cm de long du tissu sous-cutané avec exposition du fascia musculaire sous-jacent, sans effraction du fascia, sans exposition des structures sous-jacentes. Plaie linéaire de 4 cm au niveau du cuir chevelu en occiput droite. Plaie linéaire de 6 cm du coude droit. Plaie linéaire d'environ 4 cm de long et 0.5 cm de profondeur au niveau de la face supérieure de la rotule. Pas de lésion tendineuse ou nerveuse. Corps étrangers (pierres multiples) intra-plaie. Plaie linéaire du menton. Plaie linéaire et profonde du front de 1.5 cm de longueur. Plaie linéaire grand orteil gauche 7-8 cm. Plaie linéaire horizontale de 3 cm de longueur, face latérale du pied droit jusqu'à la plante du pied, au niveau du tiers proximal de la diaphyse du 5ème métatarsien. Plaie linéaire horizontale de 3 cm de longueur pour 0.5 cm de largeur, en face latérale du pied droit jusqu'à la plante du pied, au niveau du tiers proximal de la diaphyse du 5ème métatarsien, avec exposition et effraction du tissu sous-cutané sans exposition des structures profondes sous-jacentes. Plaie linéaire superficielle de 1 cm de la base du nez. Plaie linéaire superficielle de 3 cm au niveau de la face postéro-latérale de l'avant-bras droit, à 6 cm de l'olécrane. Plaie linéaire superficielle de 3 cm de la face postéro-latérale de l'avant-bras gauche à 6 cm distal de l'olécrane. Plaie linéaire superficielle de 3 cm de la masse thénar à gauche. Plaie linéaire thoracique gauche de 5 cm. Plaie longiligne à bords nets de 2 cm au niveau de l'arcade sourcilière gauche. Plaie longiligne de 3 cm partant du bord supérieur de la lèvre supérieure. Plaie longiligne de 3 cm superficielle en regard de la malléole externe droite. Plaie longitudinale d'environ 1.5 cm de longueur au niveau de la face palmaire de l'index gauche. Plaie main droite. Plaie main droite. Plaie main droite. Plaie main droite. Plaie main droite. Plaie main droite avec déficit de flexion du pouce. Plaie main droite avec déficit de flexion du pouce. Plaie main droite en regard de la 1ère commissure et MCP 2. Plaie main gauche. Plaie main gauche. Plaie malléole externe à gauche sans signe de surinfection le 28.6.2018. Plaie membre supérieur gauche. Plaie menton. Plaie MID. Plaie nette du scalp occipital sur traumatisme crânien simple du 15.06.2018. Plaie nette en regard de la face antérieure de la patella du genou droit. Plaie nette tiers distal du mollet droit. Plaie nette superficielle du tiers moyen du mollet droit. Plaie nette tiers distal du mollet droit. Plaie nette superficielle du tiers moyen du mollet droit. Plaie oblique en regard de l'IPP de la face dorsale du 3ème doigt de la main droite. Plaie occipitale cuir chevelu sans perte de substance. Plaie occipitale de 4 cm le 03.06.2018. Plaie occipitale droite de 3 cm en L, 5 mm de profondeur. Plaie occipitale gauche. Plaie occipitale gauche. Traumatisme crânio-cérébral. Plaie occipitale le 01.06.2018. Plaie occipitale le 14.06.2018. Plaie occipitale suturée le 14.06.2018. Plaie occipitale suturée le 14.06.2018, sur traumatisme crânien sans perte de connaissance, sans amnésie circonstancielle. Plaie ouverte de la phalynx distale du majeur de la main gauche. Plaie ouverte en regard du 2ème orteil G dans le contexte de l'opération pour la fracture-luxation du Lisfranc à gauche. Écoulement en regard du 2ème orteil avec une plaie ouverte, à l'emplacement de la broche du 3ème métatarsien. Plaie palmaire de la main gauche en zone III. Plaie palmaire de la main gauche en zone III. Le 13.10.2016, Dr. X, Dr. X : exploration de la plaie et fermeture. Plaie palmaire droite. Plaie par déhiscence de la partie supérieure de la cicatrice de syndylodèse. Plaie par écrasement de 2.5 cm au niveau de la face latérale de l'interphalangienne du pouce gauche le 25.06.2018. Plaie par écrasement de 2.5 cm au niveau de la face latérale de l'interphalangienne du pouce gauche le 25.06.2018. Plaie par perte de substance de la face plantaire du pied droit, superficielle, le 04.06.2018. Plaie par perte de substance de la pulpe de D3 main gauche le 31.05.2018. Plaie pariéto-occipitale droite de 3 cm de longueur. Plaie pas assez fermée pour enlever les points. RDV dans 2-3 jours chez le médecin traitant à Chatel-St-Denis (patient va à l'école et habite sur place). Plaie pénétrante de l'éminence thénar à gauche avec bonne évolution. Plaie pénétrante de l'éminence thénar à gauche le 05.06.2018. Plaie pénétrante de l'éminence thénar gauche avec probable hématome intramusculaire le 05.06.2018. Plaie perforante au pied gauche. Plaie perforante du 3ème orteil droit. Plaie pied droit. Plaie pied droit. Plaie poignet droit. Plaie poignet droit face interne de 1 cm de long. Plaie poignet droit face interne de 1 cm de long. Plaie pouce gauche. Plaie pouce gauche le 30.05.2018. Plaie pouce main droite le 22.06.2018. Plaie pré-tibiale droite de 8 cm avec atteinte du fascia tibial latéral le 29.07.2018. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde. Plaie profonde annulaire gauche de 1.5 cm en regard de la 2ème phalange et IPD (face dorsale) le 27.06.2018. Plaie profonde arciforme de 15 cm à la face dorsale de l'avant-bras gauche. Plaie profonde au niveau de la face dorsale de la main G avec section partielle du tendon extenseur de la 3ème MTP en zone V le 18.06.2018. Plaie profonde au niveau de la face interne du genou D d'env. 15 cm avec perte de substance le 22.06.2018. Plaie profonde avec défect cutané phalange distale Dig II main G; le 29.05.2018. Plaie profonde de la face interne du genou d'env. 15 cm avec perte de substance le 23.06.2018. Plaie profonde de la lèvre inférieure. Plaie profonde de la phalange distale du 2ème doigt de la main droite, le 11.06.2018 avec : • fracture ouverte • perte de substance. Plaie profonde de l'arcade sourcilière droite en arc de 1.5 cm de longueur. Plaie profonde de l'arcade sourcilière droite oblique d'environ 2 cm le 16.09.2017. Plaie profonde de l'arcade sourcilière gauche de 60 mm de long, 15 mm de large et 5 mm de profondeur. Plaie profonde de l'index droit le 23.06.2018. Plaie profonde de l'index droit le 23.06.2018. Plaie profonde de 0.7 cm jambe droite. Plaie profonde de 4 + 1 cm frontale à droite le 29.06.2018. Plaie profonde de 5 cm de longueur au niveau de la joue droite, sans signe de transfixion. Plaie profonde de 5 x 1 cm au niveau de la joue droite sur traumatisme par tesson de bouteille. Plaie profonde de 5 x 1 cm de la joue droite sur traumatisme par tesson de bouteille le 03.06.2018. Plaie profonde d'environ 2 cm de la pulpe du 2ème doigt de la main gauche. Plaie profonde d'environ 2 cm de la pulpe jusqu'à l'ongle, doigt II gauche le 19.06.2018. Plaie profonde d'environ 2 cm de la pulpe jusqu'à l'ongle du 2ème doigt de la main gauche. Plaie profonde dos de la main G le 09.06.2018.Plaie profonde dos de la main G (non dominante); le 09.06.2018 avec • Fractures ouvertes type 2 selon Gustilo-Anderson des métacarpes III, IV et V • Lésion complète des tendons extenseurs zone VI Dig III à V • Lésion de connexion intertendineuse Dig III/IV et Dig IV/V Plaie profonde du flanc droit Plaie profonde du tiers moyen du 1er métacarpe avec coupure totale de l'extenseur long du pouce. Plaie profonde d'une longueur de 2 cm en regard de la face dorsale des tiers moyens des 4ème et 5ème métacarpes gauche. Plaie profonde d'une longueur de 2 cm en regard de la face dorsale des tiers moyens des 4ème et 5ème métacarpes gauche. • Revient ce jour pour œdème et hématome péri-lésionnel. Plaie profonde en regard de l'os propre du nez avec fracture de la pointe de l'os nasal en février 2018. Lipomes cervicaux bilatéraux dans un contexte de maladie de Madelung traitée par cervicotomie bi-mastoïdienne pour exérèse des lipomes (Dr. X). Sevrage éthylique compliqué d'une crise convulsive en mai 2015. Plaie profonde en regard de l'os propre du nez avec fracture de la pointe de l'os nasal en février 2018. Lipomes cervicaux bilatéraux dans un contexte de maladie de Madelung traitée par cervicotomie bi-mastoïdienne pour exérèse des lipomes (Dr. X). Sevrage éthylique compliqué d'une crise convulsive en mai 2015. Plaie profonde et superficielle coude D le 10.06.2018 Plaie profonde face dorsale coude D associée à une dermabrasion étendue en regard; le 10.06.2018 Plaie profonde, face dorso-médiale inter-digitale I-II pied D le 26.05.2018 avec : • Fractures ouvertes 1er métatarse et P1 2ème orteil type 2 selon Gustilo-Anderson • Lésion complète de l'extensor hallucis longus du 1er métatarse, lésion muscle adductor hallucis et lésion d'une branche du nerf péronier profond, face médiale Plaie profonde face palmaire du poignet gauche avec rupture du tendon du long palmaire post-tentamen le 11.06.2018. Plaie profonde face palmaire du poignet gauche post-tentamen. Plaie profonde index droit le 27.06.2018. Plaie profonde par tronçonneuse, avec section de l'artère et des nerfs digitaux face radio-palmaire du pouce G, au niveau IP, section du nerf digital ulno-palmaire et thrombose de l'artère D4 P2 G, section des structures neurovasculaires D5 palmo-ulnaire P2 D5 G avec défect osseux au niveau de P2 Plaie profonde sur la face dorsale de la 3ème MTP gauche avec section partielle du tendon extenseur le 18.06.2018 Plaie profonde sur le bord ulnaire de la 2ème phalange du pouce gauche. Plaie profonde sur la face interne de l'avant-bras gauche. Plaie profonde tibia latéral de 4 cm Plaie profonde tibia latéral de 4 cm le 04.06.2018 Plaie profonde tibia latéral de 4 cm le 04.06.2018 Plaie profonde transverse sur la face dorsale IP pouce droit le 14.09.2015 avec : • Section partielle (75%) du tendon long extenseur du pouce (zone PI). • Arthrotomie traumatique IP. Plaie profonde transverse sur la face dorsale IP pouce droit le 14.09.2015 avec : • Section partielle (75%) du tendon long extenseur du pouce (zone PI). • Arthrotomie traumatique IP. Plaie pulpaire phalange distale du pouce droit avec perte de substance. Plaie pulpaire phalange distale du pouce droit avec perte de substance. Plaie pulpe D3 main gauche avec contusion de P3 le 28.06.2018. Plaie pulpe majeur et contusion de P3. Plaie pulpe 5ème doigt à gauche 30.06.2018. Plaie punctiforme de 0.2 cm de diamètre au niveau de la face palmaire de l'avant-bras droit, 1/3 moyen, côté ulnaire Plaie punctiforme face palmaire de l'avant-bras droit tiers moyen. Plaie punctiforme par une agrafe le 25.06.2018. Plaie purulente en regard de P1 5ème rayon pied G dans le contexte d'une ischémie chronique du pied avec évolution vers une nécrose 5ème orteil. Cure d'anévrisme abdominal infra-rénale de 6 cm en avril 2009. PTH D en mars 2009 Presbyacousie avec audition à 20% à l'oreille G dans les années 80. Tympanoplastie D et G à 2 reprises avec mauvaise prise de greffe dans les années 80. Crise de goutte le 07.12.2016 Plaie rétro-auriculaire gauche d'environ 5 cm, avec décollement de l'oreille. Plaie rétro-auriculaire gauche d'environ 5 cm, avec décollement de l'oreille. Plaie rétro-malléolaire interne droite et du 5ème orteil Plaie sans signe d'alarme, sensibilité non affectée pré- et post-suture. Pose de pansement Adaptic à garder pendant 3 jours. Plaie scrotale Plaie simple de la pulpe du 2ème doigt, avec présence d'un morceau d'aiguille métallique à l'intérieur de la plaie. Plaie simple face palmaire de la 2ème phalange du 2ème doigt de la main gauche. Accident de ski en mars 2018 avec traumatisme crânien et hémorragie cérébrale. Opération d'une prothèse totale de genou droit. Opéré de varices aux 2 jambes. Cancer de la prostate avec prostatectomie complète. Hernie inguinale à droite. Amygdalectomie. Thrombose veineuse profonde post-chirurgicale à 30 ans. Plaie sous-labiale inférieure, 1.5 cm Plaie Stade 1 au niveau du siège d'environ 1 cm Plaie superficielle du menton Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle. Plaie superficielle à la face dorsale de la main droite en regard du premier métacarpe. Plaie superficielle à la jambe droite d'environ 2 cm de longueur. Plaie superficielle au dos du poignet gauche. Plaie superficielle au milieu du front (3 cm) Plaie superficielle au niveau de la plante du pied gauche Plaie superficielle au niveau de l'arcade sourcilière droite de 1 cm, le 19.03.2018 • Immunisation contre le tétanus (2011) Plaie superficielle au niveau frontal (au milieu) Plaie superficielle au niveau frontal droit peu profonde le 26.04.2018. Plaie superficielle avant-bras gauche suite à chute Plaie superficielle avec perte de substance de 4 cm prétibiale droite le 29.06.2018. Plaie superficielle avec perte de substance d'1 cm de diamètre au niveau de la face palmaire de la main gauche. Plaie superficielle, avec probable atteinte nerveuse sensitive de P3 D2 main gauche le 17.06.2018. Plaie superficielle, avec probable atteinte nerveuse sensitive de P3-D2 main gauche le 17.06.2018, suturée par 3 pts simples. Plaie superficielle bord aile du nez côté droite (2 cm) Plaie superficielle circulaire de 0.5 cm de longueur intra-dermique sans exposition du tissu sous-cutané, avec extension tangentielle intra-dermique de 0.5 cm, sur l'extrémité distale de la 2ème phalange du pouce au niveau de la face ulnaire. Plaie superficielle de la cheville gauche le 13.06.18. Plaie superficielle de la cuisse droite Plaie superficielle de la cuisse gauche le 04.06.18. Plaie superficielle de la dernière phalange du 2ème doigt de la main gauche le 07.06.2018. Plaie superficielle de la dernière phalange du 2ème doigt de la main gauche le 07.06.2018. Plaie superficielle de la face dorsale du 3ème doigt de la main droite, non compliquée Plaie superficielle de la face dorsale du 3ème doigt de la main droite, non compliquée. Plaie superficielle de la face externe du genou gauche. Plaie superficielle de la face latérale, du tiers moyen de la jambe gauche. Plaie superficielle de la lèvre supérieure gauche. Plaie superficielle de la phalange proximale de l'index droit le 10.06.18. Plaie superficielle de la plante du pied gauche. Plaie superficielle de la plante du pied gauche. Plaie superficielle de la pulpe du gros orteil droit au niveau de la face plantaire. Plaie superficielle de la pulpe du 3ème doigt horizontale de 1.5 cm, à droite. Plaie superficielle de la pulpe du 3ème doigt gauche. Plaie superficielle de la pulpe du 4ème doigt de la main gauche le 1.06.2018. Plaie superficielle de la région temporale droite. Plaie superficielle de la 1ère phalange du 4ème doigt de la main gauche en face dorso-ulnaire. Plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche. Plaie superficielle de l'espace interdigitale entre les 4 et 5ème doigts gauches le 29.06.2018. Plaie superficielle de l'index gauche. Plaie superficielle, de 0.5 cm de long, arciforme, au niveau de la pulpe de D4 main gauche. Plaie superficielle de 1 cm au bord ulnaire de la phalange distale du pouce droit. Plaie superficielle de 1 cm au-dessus du sourcil. Plaie superficielle de 1 cm au niveau de la pulpe du pouce gauche. Plaie superficielle de 1 cm au niveau du 1er espace commissural de la main gauche le 02.06.2018. Plaie superficielle de 1 cm de longueur à la face palmaire de la 2ème phalange du pouce de la main gauche. Plaie superficielle de 1 cm de longueur 2 cm au-dessus de l'arcade sourcilière droite. Plaie superficielle de 1 cm du vermillon mouillé au centre de la lèvre inférieure. Plaie superficielle de 1 cm de la peau directement inférieure au centre de la lèvre inférieure. Dermabrasion du menton gauche. Plaie superficielle de 1 cm face interne de la lèvre côté gauche. Plaie superficielle de 1 cm sur l'arcade sourcilière droite le 08.06.2018. Plaie superficielle de 1x1 cm avec perte de substance sur la face palmo-radiale du pouce droit en regard de P1 le 09.06.2018. Plaie superficielle de 10 mm de long au niveau de la cloison nasale. Plaie superficielle de 10 mm de long sur 2 mm de large en sous-oculaire gauche. Plaie superficielle de 2 cm du cuir chevelu au niveau pariétal gauche. Plaie superficielle de 2.5 cm en regard de la phalange distale sur le côté radial du pouce droit. Plaie superficielle de 3 cm au niveau de la plante du pied gauche. Plaie superficielle de 3 cm au niveau de la 1ère phalange du 2ème doigt de la main gauche. Plaie superficielle de 3 cm au niveau de l'avant-bras gauche. Plaie superficielle de 3 cm avant-bras gauche le 28.06.2018. Plaie superficielle de 3 cm de la 1ère phalange du 2ème doigt de la main gauche. Plaie superficielle de 3 cm de la 1ère phalange du 2ème doigt de la main gauche. Plaie superficielle de 3 cm de longueur, longitudinale, en regard de la face antérieure du tiers moyen du tibia. Plaie superficielle de 3 cm face palmaire de la phalange distale du 2ème doigt de la main gauche. Plaie superficielle de 3 x 0.5 cm avec perte de substance au niveau de la face antérieure de la jambe gauche, à 6 cm proximal de la cheville. Plaie superficielle de 4 cm au niveau du cuir chevelu frontal, le 23.06.2018. Plaie superficielle de 4 cm en arc au niveau MCP du 5ème doigt à gauche. Plaie superficielle de 5 cm en regard de la face postéro-supérieure du calcanéum gauche le 31.05. Plaie superficielle d'environ 4 cm au niveau de la plante du pied gauche. Plaie superficielle d'environ 1 cm de long, de la pulpe du 2ème doigt de la main droite. Plaie superficielle d'environ 1 cm de diamètre avec perte de substance au niveau supéro-externe de la rotule droite avec dermabrasions au niveau médial du genou gauche. Plaie superficielle d'environ 10 cm sur la face externe de l'extrémité proximale du tibia gauche, le 15.06.2018. Plaie superficielle d'environ 1.5 cm au niveau de la face radiale du tiers moyen de l'avant-bras droit. Plaie superficielle d'environ 1.5 cm au niveau du menton. Plaie superficielle d'environ 2 cm au niveau pariétal gauche. Plaie superficielle d'environ 2.5 cm au niveau du front à droite. Plaie superficielle d'environ 2.5 cm de longueur en demi-lune sur la face dorsale proximale du deuxième doigt de la main droite. Plaie superficielle d'environ 3 cm sous le menton le 23.06.2018. Plaie superficielle d'environ 4 cm au niveau de l'hypothénar droit. Plaie superficielle d'environ 4 cm au niveau de l'hypothénar droit le 22.06.2018. Plaie superficielle d'environ 4 cm circulaire au niveau de la base du 5ème doigt droit. Plaie superficielle Dig II (1 cm) et III (1 cm) main G. Plaie superficielle doigt V à droite. Plaie superficielle dorsale en regard de l'articulation interphalangienne proximale de l'index droit. Plaie superficielle double à bords légèrement contus au niveau de la face postérieure du bras gauche de 3 et 2 cm de longueur. Plaie superficielle du bras gauche le 07.06.18. Plaie superficielle du coude droit linéaire de 2.5 cm. Plaie superficielle du deuxième doigt face dorsale de la main gauche. Plaie superficielle du front. Plaie superficielle du front. Plaie superficielle du front à droite. Plaie superficielle du front de 1.5 cm. Plaie superficielle du front de 5 cm linéaire verticale. Plaie superficielle de la cuisse gauche. Plaie superficielle du menton. Plaie superficielle du menton. Plaie superficielle du menton. Plaie superficielle du menton. Plaie superficielle du pied droit de 3 cm, d'une profondeur maximale de 3 mm. Désinfection - Rinçage - Exploration - Fermeture par colle. Plaie superficielle du pli interdigital D1-D2 main gauche. Plaie superficielle du pouce droit. Plaie superficielle du pouce droit. Plaie superficielle du pouce gauche le 25.06.2018. Plaie superficielle du pouce gauche le 25.06.2018. Plaie superficielle du pouce gauche, sans perte de substance. Plaie superficielle du scalpe d'environ 3 cm au niveau pariétal droit. Plaie superficielle du tiers moyen antéro-externe du tibia gauche le 26.01.2016. Sudeck au niveau du bras gauche après fracture (année ?). Status après ostéosynthèse par enclouage centromédullaire pour fracture pertrochantérienne du fémur gauche (opération le 01.04.2017). Colite du côlon droit le 05.04.2017 d'origine indéterminée. Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 05.02.2018. Crise hypertensive récidivante le 06.02.2018. Hématochézie le 14.02.2018, avec : • hémoglobine à 127 g/l • status après un 1er épisode d'hématochézie en avril 2017 • diagnostics différentiels : colite ischémique, tumeur colique, maladie inflammatoire du système digestif • scanner abdominal injecté le 14.02.2018 : pas d'étiologie hémorragique, pas de saignement actif. Plaie superficielle du tiers moyen antéro-externe du tibia gauche le 26.01.2016. Sudeck au niveau du bras gauche après fracture (année ?). Status après ostéosynthèse par enclouage centromédullaire pour fracture pertrochantérienne du fémur gauche (opération le 01.04.2017). Colite du côlon droit le 05.04.2017 d'origine indéterminée. Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 05.02.2018. Crise hypertensive récidivante le 06.02.2018. Hématochézie le 14.02.2018, avec : • Hémoglobine à 127 g/l • Status après un 1er épisode d'hématochézie en avril 2017 • Diagnostics différentiels : colite ischémique, tumeur colique, maladie inflammatoire du système digestif • Scanner abdominal injecté le 14.02.2018 : pas d'étiologie hémorragique, pas de saignement actif. Plaie superficielle du 1er orteil droit.Plaie superficielle du 1er orteil du pied droit avec détachement de la base de l'ongle le 29.05.2018. Plaie superficielle du 4ème doigt de la main droite, le 01.05.2018. Infection des voies respiratoires supérieures le 26.05.2018. Plaie superficielle du 4ème doigt gauche le 20.12.2014. Plaie avec perte de substance D3 main gauche. Pansement occlusif, contrôle en filière 34 le 30.12.2016. Plaie superficielle d'1x1cm avec perte de substance centrale sur la face palmo-radiale du pouce droit en regard de la 1ère phalange le 09.06.2018. Plaie superficielle d'1.5 cm transverse en face antérieure de la cuisse gauche, à mi-cuisse. Plaie superficielle en regard de la face antérieure de la patella du genou droit. Plaie superficielle en regard de l'épicondyle du coude gauche. Plaie superficielle en regard de l'épicondyle du coude gauche le 14.06.2018. Plaie superficielle en regard de l'ongle du 3ème orteil à D. Plaie superficielle face antérieure cuisse droite le 05.06.2018. Plaie superficielle face dorsale articulation métacarpo-phalangienne D2 main gauche le 28.06.2018. Plaie superficielle face dorsale de la main gauche. Plaie superficielle front droite 3 cm. Plaie superficielle frontale et occipitale le 27.05.2018. Plaie superficielle genou droite (6 cm). Plaie superficielle (hypoderme) linéaire d'environ 3 cm de long au niveau de l'éminence thénar gauche. Plaie superficielle index main droite. Plaie superficielle lèvre supérieure face interne médiale 1cm. Plaie superficielle linéaire aux bords francs, intra-dermique sans exposition du tissu sous-cutané, de 0.5 cm de longueur sur l'extrémité distale sur la face radiale de la 2ème phalange du pouce gauche. Plaie superficielle linéaire de la face radiale de la 3ème phalange du 2ème doigt de la main droite. Plaie superficielle linéaire de 1 cm rétro-malléolaire interne D et petite plaie du 5ème orteil. Plaie superficielle linéaire de 1.5 cm de longueur au niveau de la face externe du coude gauche. Plaie superficielle main droite et gauche. Plaie superficielle menton avec induration cicatricielle. Plaie superficielle menton (1cm). Plaie superficielle occiput (1 cm). Plaie superficielle, pas d'indication à traitement particulier. Vaccin antitétanique. Interrogation de la patiente source (actuellement aux urgences). Sérologies HBV, HCV et HIV policier: négatives, anti-Hbs > 1000 UI/L. Sérologies HBV, HCV et HIV patiente source: HIV négatif, HCV négatif, HBV ancien (HBS Ag négatif, HBc IgG positif, HBc IgM négatif, anti HBS > 1000 UI/L. Document d'exposition rempli et faxé. Policier contacté pour résultat. Pas de contrôle supplémentaire nécessaire puisque pas de facteur de risque récent chez patiente source. Plaie superficielle, pas d'indication à un traitement particulier. Vaccin antitétanique. Interrogation de la patiente source (actuellement aux urgences). Sérologies HBV, HCV et HIV policier: négatives, anti-Hbs > 1000 UI/L. Sérologies HBV, HCV et HIV patiente source: HIV négatif, HCV négatif, HBV ancien (HBS Ag négatif, HBc IgG positif, HBc IgM négatif, anti HBS > 1000 UI/L. Document d'exposition rempli et faxé. Policière contactée pour résultat. Pas de contrôle supplémentaire nécessaire puisque pas de facteur de risque récent chez patiente source. Plaie superficielle peu profonde au niveau de l'index droit, le 10.06.2018. Plaie superficielle poignet gauche le 15.06.2018. Plaie superficielle pré-rotulienne droite d'environ 1cm le 12 mars 2015. Plaie superficielle pré-rotulienne droite, sans ouverture de la bourse. Plaie superficielle pré-tibiale gauche. Plaie superficielle pulpe du gros orteil droit. Plaie superficielle région temporale D. Plaie superficielle région temporale droite. Plaie superficielle région temporale droite. Plaie superficielle, sans perte de substance, en face postérieure de la 2ème phalange de l'index droit le 27.06.2018. Plaie superficielle, sans perte de substance, en face postérieure de la 2ème phalange de l'index droit le 27.06.2018. Plaie superficielle sur le front suite à traumatisme cérébral simple le 22.03.2018. Dermabrasion avant-bras droit le 22.03.2018. Plaie superficielle sur la face dorsale de l'articulation métacarpophalangienne de l'index gauche. Plaie superficielle sur la face palmaire du doigt V droit. Plaie superficielle sur lèvre supérieure côté gauche (1 cm). Plaie superficielle temporale droite et de l'arcade zygomatique à droite le 18.06.2018. Plaie superficielle tibiale antérieure de 1cm droite. Plaie superficielle tibiale gauche le 28.05.2018. Plaie superficielle transverse de 4 cm de la pulpe du 5ème doigt de la main droite. Plaie superficielle (1cm) pulpe digit III main droite. Plaie superficielle 1.5 cm transverse face antérieure cuisse gauche. Plaie superficielle (3cm) menton. Plaie superficielle 3ème doigt main gauche en novembre 2013. Brûlure 1er degré face dorsale de la main droite et 1ères phalanges des 2-3-4-5ème rayons droits. Plaie du 5e doigt gauche. Plaie superficielle 4mm du cuir chevelu occipito-pariétal gauche. Plaie superficielle 4mm pommette gauche. Plaie superficielle 5 cm avant-bras gauche. Plaie sur la face latérale du pied gauche sur status post ulcère rétro-plantaire gauche suite à une polyneuropathie avec attache du périoste à l'os du calcanéum. Status post mise en place d'un lambeau microvasculaire du muscle gracilis à droite le 30.09.2016 sur : • Germe en cause (28.06.2016) : Staph. aureus multisensible • Status post débridement et rinçage talon gauche le 02.02.2016 • Status post traitement de plaie par asticots talon gauche du 02 au 07.03., du 10 au 14.03., du 09 au 11.05, du 13 au 16.05.2016 • Dermohypodermite du pied gauche depuis le 12.12.2017. Érysipèle jambe gauche. Plaie sur la face palmaire de la main gauche. Plaie sur la face postérieure de la jambe 7x4 cm débutant à 5 cm proximal du calcanéum et s'étendant vers proximal. Plaie sur le front. Plaie surinfectée de l'avant-pied droit. Plaie surinfectée sur nécrose de la face dorsale de P1 D4 de la main droite à Staphylococcus aureus et Enterobacter complexe cloacae. Plaie suturée du pouce gauche le 19.06.2018. Poursuite désinfection locale. Cicatrisation dirigée par Vaseline. Ablation des points par médecin traitant à partir du 28.06.2018. Plaie suturée le 18.06.2018 de bonne évolution nécessitant une cicatrisation dirigée. Ablation des fils au 25/06/18 soit par ORL le jour de la consultation soit par médecin traitant. Poursuite des désinfections locales. Application corps gras type vaseline pour cicatrisation dirigée. Antibiothérapie introduite ce jour par AUGMENTIN 1g 3x/jour pendant 5 jours. Plaie suturée 2 points. Points à retirer chez le médecin traitant dans 5 à 7 jours. Plaie tangentielle de la pulpe de la phalange distale de l'index droit, le 23.06.2018, avec perte de substance. Plaie tangentielle de la pulpe de la phalange distale de l'index droit, le 23.06.2018, avec perte de substance. Plaie tangentielle de la pulpe de la phalange distale de l'index droit, le 23.06.2018, avec perte de substance. Plaie tangentielle de la pulpe de la phalange distale de l'index droit, le 23.06.2018, avec perte de substance. Plaie tangentielle face palmaire du 3ème doigt de la main droite en regard de la 3ème phalange de 2.5 cm de long, déchiquetée. Plaie temporale + frontale. Plaie temporale étoilée à droite d'environ 3 cm le 18.06.2018. Plaie temporo-occipitale droite de 2 cm sur traumatisme crânien dans un contexte d'éthylisation aiguë le 10.05.18.Plaie temporo-occipitale droite de 2 cm sur trauma crânien dans un contexte d'éthylisation aiguë le 10.05.18 Plaie temporo-pariétale droite d'environ 5 cm, arciforme (pointe de flèche vers frontal) avec œdème en regard. Plaie temporo-pariétale droite d'environ 5 cm, arciforme (pointe de flèche vers frontal) avec œdème en regard. Plaie tendon achille droit Plaie thénar droit le 21.06.2018. Plaie thénar, le 21.06.2018. Plaie transfixiante avec deux portes d'entrée d'environ 1 mm distales de l'IPD de la 3ème phalange de la main droite. Plaie transfixiante de la base du 5ème doigt main gauche, le 08.06.2018. Plaie transfixiante d'environ 0,5 cm de diamètre au niveau de la commissure labiale gauche. Plaie transfixiante IPD D3 main droite le 22.06.2018. Plaie transverse de 2 cm profonde au niveau du pouce face dorsale en regard de la base de la 1ère phalange le 2.06.2018 Plaie transverse profonde de 2 cm face dorsale pouce D en regard de la base de la 1ère phalange avec lésion à 80 % du tendon extensor pollicis longus; le 02.06.2018 Plaie troisième doigt gauche Plaie troisième doigt gauche Plaie ulcérante de 0,5 cm de diamètre en regard du tiers-distal de la cicatrice. Fracture de la cheville G de type Weber B avec petite lésion du Volkmann. Plaie 1 cm au niveau de palais mou côté gauche Plaie 1 cm x 3 cm au niveau du genou gauche le 17.06.2018. Plaie 1er doigt gauche le 22.06.2018. Plaie 1ère commissure main droite. Plaie 2 cm de long en regard de l'IPD bord radial 3e rayon G sans atteinte des structures nobles Rappel anti-tétanique Ethylon 5-0 2 points puis pansement sec Plaie 2ème doigt gauche le 21.06.2018. Plaie 3 cm au niveau de la rotule gauche avec arthrotomie le 21.06.2018 Plaie 3 cm au niveau de la rotule gauche. Plaie 3ème doigt main droite. Plaie 4 cm de long main gauche, superficielle, versant dorsal de la première commissure. Plaie 5ème pulpe du doigt gauche. Plaies. Plaies : • pulpe de l'index gauche de 1 x 1 cm avec perte de substance sans visualisation osseuse • pulpe du majeur gauche de 1 x 0,5 cm avec perte de substance sans visualisation osseuse. Plaies au niveau interfessier et inguinal Plaies aux deux fesses. Plaies avant-bras D le 02.06.2018 dont deux principales de 2 et 8 cm tiers médial face palmaire avec : • Lésion de la branche sensitive du nerf antébrachial palmaire • Section du muscle palmaire long • Lésion cutanée au poignet face palmaire de 2 cm Lésions cutanées de la pulpe de Dig III et IV main D Plaies chroniques des membres inférieurs, chez patient diabétique : • anciens ulcères veineux tibial et mollet à gauche • phlyctène hémorragique ouverte au 2ème orteil à droite • ulcère interphalangien de l'hallux droit • artériopathie périphérique des membres inférieurs Plaies cutanées faces dorsales radius distal de 4 cm des deux côtés. Plaies de la main gauche sur morsure de singe le 12.06.2018. Plaies du genou droit : • perte de substance de 1,5 x 1,5 cm, superficielle, versant externe du genou, au niveau du bord inférieur de la patella jambe étendue • 4 lacérations très superficielles de 4-5 cm, sous la rotule, dans l'axe du tibia • dermabrasion de 3 x 4 cm du versant externe de la jambe, tiers moyen. Plaies front gauche à environ 3 cm et droit à environ 4 cm le 15.05.2018. Plaies lèvre supérieure (1 cm et 2 cm) non transfixiante côté droit Plaies main droite en regard de la 1ère commissure et MCP2 Plaies multiples de la main droite en regard de la 1ère commissure de la 2ème métacarpophalangienne le 21.06.2018. Plaies multiples de la main droite en regard de la 1ère commissure de la 2ème métacarpophalangienne le 21.06.2018. Plaies multiples du pied gauche avec / sur : • Artériopathie des membres inférieurs de stade IV • S/p ischémie aiguë du membre inférieur gauche • plaies ouvertes post pontage au niveau rétro-malléolaire interne et sur le dos du pied gauche, nécrose stable de la pointe du gros orteil • Échec d'un pontage poplité-pédieux gauche réalisé le 22.12.2017 (Dr. X) • Status post-angioplastie aux ballons médicamenteux de multiples sténoses sur plaques calcifiées de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée avec stenting du départ et de la partie moyenne de l'artère fémorale superficielle, angioplastie et stenting de l'artère poplitée distale et du tronc tibio-péronier, recanalisation frustre d'une courte occlusion de l'artère péronière le 14.11.2017 (PD Dr. X) • Traitement de Co-Amoxicilline per os depuis le 06.06.2018 (stoppé le 14.06.2018) • Colonisation de la plaie par Pseudomonas aeruginosa Plaies multiples du pied gauche avec: • patient présentant une artériopathie des membres inférieurs de stade IV • ischémie aiguë du membre inférieur gauche • plaies ouvertes post pontage au niveau rétro-malléolaire interne et sur le dos du pied gauche, nécrose stable de la pointe du gros orteil • échec d'un pontage poplité-pédieux gauche réalisé le 22.12.2017 (Dr. X) • dernière angiographie le 12.12.2017 (Dr. X) • status post-angioplastie aux ballons médicamenteux de multiples sténoses sur plaques calcifiées de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée avec stenting du départ et de la partie moyenne de l'artère fémorale superficielle, angioplastie et stenting de l'artère poplitée distale et du tronc tibio-péronier, recanalisation frustre d'une courte occlusion de l'artère péronière le 14.11.2017 (PD Dr. X) Plaies multiples du pied gauche avec: • patient présentant une artériopathie des membres inférieurs de stade IV • ischémie aiguë du membre inférieur gauche • plaies ouvertes post pontage au niveau rétro-malléolaire interne et sur le dos du pied gauche, nécrose stable de la pointe du gros orteil • échec d'un pontage poplité-pédieux gauche réalisé le 22.12.2017 (Dr. X) • dernière angiographie le 12.12.2017 (Dr. X) • status post-angioplastie aux ballons médicamenteux de multiples sténoses sur plaques calcifiées de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée avec stenting du départ et de la partie moyenne de l'artère fémorale superficielle, angioplastie et stenting de l'artère poplitée distale et du tronc tibio-péronier, recanalisation frustre d'une courte occlusion de l'artère péronière le 14.11.2017 (PD Dr. X) • Traitement de Co-Amoxicilline per dés le ___, pour une durée totale de 3 mois Plaies orteils des deux côtés : • Dans un contexte de diabète et d'artériopathie du membre inférieur Plaies superficielles de la face dorsale de la 4ème MCP et de la 3ème IPP, de 2 et 1 cm respectivement le 14.06.2018. Plaies superficielles de 1 mm de long et au niveau de la pulpe de la 3ème phalange du 3ème doigt à gauche, fois 2) : Plaie superficielle à la base de l'ongle infra-millimétrique : • post-morsure de chien. Plaies superficielles frontales droites : désinfection et pansement simple. Consignes de surveillance remises pour surveillance en ambulatoire. Plaies sur morsure de chien le 15.06.2015 avec : • 5 plaies (trois dans le tissus sous-cutané et deux superficielles) au niveau de la joue droite. • 4 plaies superficielles au niveau du bras gauche. Fracture de la base des os du métacarpien du 3ème doigt. Plainte urinaire. Plaintes mictionnelles. Plaintes mictionnelles. Plaintes multiples d'origines indéterminées. Plaque artère carotide interne le 12.05.2018 Plaque artère carotide interne le 12.05.2018 et sténose artère sous-clavière gauche Plaque palmaire au niveau de l'IPP du 3ème doigt D le 19.05.2018. Plaque palmaire de l'IPP du 5ème doigt de la main G le 31.05.2018 Plaque palmaire Dig II main gauchePlaque palmaire Dig III main droite Plaque palmaire IPP 4ème doigt de la main D. Plaque pleurale bilatérale connue depuis 2013 (exposition professionnelle à l'amiante) • Bilantée par CT thoracique en 2013 Plaques blanches sur la langue Plaques blanches sur la langue Plaques érythémateuses, prurigineuses. Plaques rouges. Plastie de la valve mitrale en 2015 clinique Cecil. Fracture ouverte stade I du pilon tibial gauche. • le 08.01.2012, Dr. X : réduction et ostéosynthèse par fixateur externe de type Hoffmann II. • le 11.01.2012, Dr. X : modification du fixateur externe. • le 16.01.2012, Dr. X : ablation du fixateur externe type Hoffmann II. Reconstruction du pilon tibial par une plaque tiers tube distale et une plaque de reconstruction DCP 3,5 à 8 trous au niveau du pilon tibial, plaque tiers tube 7 trous au niveau de la malléole externe. Luxation du coude droit. Fracture multi-fragmentaire de l'omoplate droite. Traumatisme crânio-cérébral et plaie du scalp. Plastie de l'urètre pour sténose urétrale par cystoscopie. Appendicectomie. Plastie d'inversion du tendon d'Achille D (OP le 12.6.2018) Plastie ligamentaire genou D début année 2018 Plastie mammaire 2008 Bypass gastrique 2007 Ligature des trompes en 2005 Embolie pulmonaire bilatérale 2005 Abdominoplastie 2001 Accouchement par voie basse en 1996, 1997, 2000 Interruption volontaire de grossesse 2005 Plastie mammaire 2008 Bypass gastrique 2007 Ligature des trompes en 2005 Embolie pulmonaire bilatérale 2005 Abdominoplastie 2001 AVB en 1996, 1997, 2000 IVG 2005 Plâtre AB Algifor 400 mg*3/jour si douleurs Controle clinique en orthopédie dans une semaine Plâtre AB avec pouce: explication surveillance plâtre donnée au patient. Radiographie poignet gauche: fracture radiale. Avis orthopédiste (Dr. X): immobilisation avec plâtre et traitement antalgique. Le 21.06.2018 scanner poignet/scaphoïde, puis contrôle orthopédiste en filière. Plâtre AB circulaire. Prochain contrôle clinique le 02.07.2018. Plâtre AB fendu et contrôle chez l'orthopédiste dans 3 jours. Consulter le pédiatre si apparition de nouvelles douleurs. Plâtre AB fendu pdt 1 semaine Antalgie en R Dispense sport 4 semaines Consilium orthopédie: Dr. X Plâtre AB fendu antalgiques dispense de sport 2 semaines contrôle en orthopédie dans une semaine Plâtre AB gauche Algifor 400mg*3/jour si douleurs Plâtre AB pour un total de 6 semaines. Prochain contrôle clinique le 02.08.2018. Plâtre AB-pouce inclue Antalgie Radio du poignet Scanner scaphoïdien Arrêt des sports Contrôle clinique aux urgences orthopédiques dans une semaine Avis orthopédique: Dr. X Plâtre antébrachial pendant 4-6 semaines Contrôle radioclinique semaine du 28.05.2018 Plâtre BAB suivi d'un AB. Plâtre BAB 2 semaines, puis attelle BAB antalgique avec physiothérapie de mobilisation en flexion/extension pour 4 semaines. Prochain contrôle radio-clinique le 27.07.2018. Plâtre scaphoïde circularisé. Prochain contrôle radio-clinique le 09.07.2018 Plavix jusqu'au 25.05.2018 Aspirine Cardio à vie Plavix mis en suspens pour l'opération, repris le 18.05.2018 Plégie cheville G post • cure de hernie discale en 2000 (Dr. X) Plégie et anesthésie du MSG spontanément résolutive en 30 min le 18.06.2018 DD: • bas débit sur choc hémorragique • syndrome de compression plexus brachial dans contexte d'alcoolisation Plégie et anesthésie du MSG spontanément résolutive en 30 min le 18.06.2018 DD: • AIT • Bas débit sur choc hémorragique • Syndrome de compression plexus brachial dans contexte d'alcoolisation Plégie et anesthésie du MSG spontanément résolutive en 30 min le 18.06.2018 DD: • Bas débit sur choc hémorragique • Syndrome de compression plexus brachial dans contexte d'alcoolisation Plégie MSG Plégie MSG Plégie MSG Pleurésie gauche de faible abondance Pleurésie gauche sans signes cliniques de mauvaise tolérance. Pleurodynie ou claquage musculaire en 2015. Fracture tibia gauche il y a 5 ans. Lithiase urinaire droite il y a 10 ans. Fracture omoplate droite en 1976. NSCLC type adénocarcinome du lobe pulmonaire inférieur droit, pT1b pN0 (0/11) L0 V1 Pn0 G3 R0, stade IB avec: • diagnostic initial le 10.05.2017 • S/p résection segmentaire uniportale (segm VI et X) du lobe inférieur D, extemporanée, lobectomie inférieure droite de totalisation et lymphadenectomie médiastinale complète le 10.05.2017 Douleurs chroniques suite à la lobectomie en mai 2017 Cirrhose Child A dans le contexte de consommation d'alcool à risque. Notion rectorragie avec présence de sang frais sur le papier toilette le 20.01.2018 • absence de lésion visualisée à l'examen clinique, toucher rectal sans particularité Pleurs Pleurs Pleurs chez un enfant de 1 an 2 mois Pleurs (DD infection, invagination-désinvagination, dents, reflux-gastro-œsophagien) Pleurs d'origine inconnue Pleurs d'origine indéterminée Pleurs d'origine indéterminée. Examen clinique sans anomalies Pleurs du nourrisson dans le cadre d'une intolérance aux protéines du lait de vache Pleurs inexpliquées Pleurs nocturnes d'origine indéterminée. Pleurs pendant la nuit et rhinite Pleurs pendant 2 minutes sans cause connue Plexopathie cervico-brachiale supérieure d'origine iatrogène post-ablation d'un corps étranger métallique en mars 2017 (Dr. X) Plexopathie C7-8 traumatique sur accident de la voie publique le 21.06.2018. Plexopathie traumatique C7-8 traumatique sur AVP le 21.06.2018 Plica synoviale genou D symptomatique. Plus de diagnostic souhaité Plus de 5 unités par jour. Conseils, prévention. Plusieurs curages d'endomètre dans le contexte d'une hyperménorrhée Maladie de Basedow en 1984 : hyperthyroïdie sous Néo-Mercazole de mars 1984 à novembre 1986 et de mai 1989 à août 1990 / pas de traitement depuis 1990 (Ac anti-thyroïdien et TRAB négatif depuis 1990). Maladie de Biermer, avec Ac anti-gastrique positif, B12 normal, pas de gastrite atrophique (cyto de janvier 1997) Dystonie parasympathicotonique avec malaise lipothymique, vaso-vagal / hypoglycémies réactives / Holter (février 1997) AVP faible cinétique le 24.02.2016 avec contusion fémur G Hallux valgus bilatéral : opérations multiples Appendicectomie dans l'enfance Plusieurs dermabrasions le 17.06.2018. • Menton à gauche. • Poignets des deux côtés. • Épaule gauche. • Genou gauche. Plusieurs dermabrasions le 17.06.2018. • Menton à gauche. • Poignets des deux côtés. • Épaule gauche. • Genou gauche. Plusieurs dermabrasions le 17.06.2018. • Menton à gauche. • Poignets des deux côtés. • Épaule gauche. • Genou gauche. Plusieurs dermabrasions le 17.06.2018. • Menton à gauche. • Poignets des deux côtés. • Épaule gauche. • Genou gauche. Plusieurs épisodes d'urétéro-lithiase depuis 2000. Lithotripsie extracorporelle en 2005. Plusieurs épisodes de faux croup avec un dernier il y a 1 an. Plaie en face palmaire de 3 cm au pouce droit. Plusieurs épisodes de laryngite Plusieurs interventions aux ongles du gros orteil droit et gauche pour ongle incarné (1ère en 1987). Transplantation cornée (2003 et 2005) pour kératocône. Ongle incarné bord médial hallux gauche. Cure ongle incarné selon Kocher bord médial hallux gauche. Plusieurs interventions sur hernies discales lombaires • Spondylodèse L4-L5 et L5-S1 en janvier 2018, Lindenhof • Révision plaie L5-S1 D en avril 2018 sur infection épidurale sous-fasciale à Staph. epidermidis, Lindenhof • Actuellement, antibiothérapie par Bactrim forte 3x1/j Plusieurs traumatismes des membres lors de pratiques sportives (ne se souvient plus exactement quand et quel membre, jamais de fracture).Pneumomédiastin d'origine inconnue en mai 2017. Status post-réfection d'une anastomose gastro-jéjunale le 20.03.2017. Status post-bypass gastrique proximal le 26.10.2016. Chirurgie de la vessie. Abdominoplastie. Stérilisation. Emphysème médiastinal en mai 2017. Douleurs thoraciques atypiques pariétales. Pneumonie Pneumonie Pneumonie Pneumonie. pneumonie pneumonie Pneumonie à germe indéterminée. Pneumonie à H. influenzae 08.2015. Éthylisation aiguë à 3,28 pour mille avec probable traumatisme crânien le 03.03.2017. Scanner cérébral natif (rapport oral Dr. X) 03.03.2017 : pas de saignement intra-crânien. Pneumonie à PCP le 06.02.2018 Oesophagite de reflux stade D le 02.02.2018 Globe vésical le 26.10.2017 Mucite le 18.09.2017 suite à chimiothérapie néo-adjuvante Pneumothorax apical antérieur droit non daté Anciennes opérations : • amygdalectomie • cure de varices • appendicectomie Pneumonie acquise en communauté en 2009. Insuffisance rénale aiguë avec clearance à 49 (MDRD) ml/min d'origine pré-rénale en 2009. Distorsion de la colonne cervicale et contusion du crâne avec hématome infra-orbital gauche, abrasion superficielle du sommet du nez le 15.04.2013. Pneumonie acquise en communauté LIG en 2009. Insuffisance rénale aiguë avec clearance à 49 (MDRD) ml/min d'origine pré-rénale en 2009. Distorsion de la colonne cervicale et contusion du crâne avec hématome infra-orbital gauche, abrasion superficielle du sommet du nez le 15.04.2013. Pneumonie acquise en communauté • Ag urinaire Pneumocoque positif le 14.12.2017 DD : Possible exacerbation de BPCO Antigènes urinaires le 14.11.2017 : pneumocoque positif, légionelle négatif Hémocultures le 13.12.2017 : négatives CT thoracique injecté le 14.12.2017 : pas d'EP, pas de foyer, augmentation de la taille des métastases pulmonaires et médiastinales, pas d'épanchement, atélectasie en base G Rx thorax : pas de foyer, signe de redistribution sans signe de surcharge Anémie macrocytaire arégénératif inflammatoire dans le contexte d'une progression tumorale le 15.12.2017 Pancréatite aiguë vs chronique le 29.08.2017 Pneumonie apicale droite avec suspicion de Legionella. Pneumonie atypique. Pneumonie atypique bilatérale le 15.12.2013 Anémie normocytaire et normocytaire légère, DD hémodilution sur hydratation, contexte inflammatoire Déshydratation clinique le 15.12.2013 Lymphopénie à 7,5 % le 15.12.2013 DD : contexte viral aigu Hernies discales opérées il y a 20 ans Appendicite avec péritonite à l'âge de 18 ans Pneumonie atypique bilatérale le 15.12.2013 Anémie normocytaire et normocytaire légère, DD hémodilution sur hydratation, contexte inflammatoire Déshydratation clinique le 15.12.2013 Lymphopénie à 7,5 % le 15.12.2013 Hernies discales opérées il y a 20 ans Appendicite avec péritonite à l'âge de 18 ans Pneumonie avec désaturation. Pneumonie basale à droite le 13.09.16 Malnutrition protéino-énergétique le 22.12.17 • dans contexte d'alcoolisme chronique Pneumonie basale avec pleurésie parapneumonique en 2005 Utérus multi-myomateux asymptomatique connu depuis 2009 Pneumonie basale D Pneumonie basale D communautaire le 23.06.2018 avec DD légionelle vu hypoNa Pneumonie basale droite Pneumonie basale droite. Pneumonie basale droite à germe indéterminé le 07.06.2018 • co-amoxicilline du 08.05 au 18.05.2018 en ambulatoire Pneumonie basale droite à Légionelle le 23.06.2018 Pneumonie basale droite à Pneumocoques Pneumonie basale droite à Pneumocoques. Pneumonie basale droite à Streptocoque Pneumoniae le 09.06.2018 Pneumonie basale droite à Streptocoque Pneumoniae le 09.06.2018 Pneumonie basale droite communautaire à germe indéterminé, • Score de Fiumefreddo à 2. Pneumonie basale droite communautaire avec insuffisance respiratoire. Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire le 07.12.2017. Opération de cataracte en mai et août 2017. Insuffisance respiratoire partielle sur asthme 2015. Infarctus cérébraux multifocaux (bilatéraux, supra et infra-tentoriels) avec transformation hémorragique au niveau occipital droite le 09.12.2017. Péri myocardite dans le contexte du diagnostic supplémentaire 1 avec : • suspicion d'une atrophie frontale (dégénérative ?) contribuant probablement au syndrome frontal. Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire, le 26.12.2016. Brûlures mictionnelles d'origine indéterminée, le 25.12.2016. Résection de fistule borgne de l'ouraque avec une infection de la cicatrice de laparotomie, en 2014. Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire, le 26.12.2016. Brûlures mictionnelles d'origine indéterminée, le 25.12.2016. Résection de fistule borgne de l'ouraque avec une infection de la cicatrice de laparotomie, en 2014. Pneumonie basale droite d'acquisition communautaire, le 26.12.2016. Brûlures mictionnelles d'origine indéterminée, le 25.12.2016. Résection de fistule borgne de l'ouraque avec une infection de la cicatrice de laparotomie, en 2014. Pneumonie basale droite en 2009 Adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur droit : • Lobectomie inférieure droite en novembre 1996 • Exérèse de métastase cérébrale pariétale droite en 1996, radiothérapie complémentaire in toto en 1997 • Segmentectomie partielle du lobe supérieur droit en 1997 pour récidive • Pas de récidive depuis Crises convulsives (2 épisodes) en 1996 avec découverte de métastase pariétale gauche unique, opérée Intolérance au Sifrol (hallucinations) Contusion de l'épaule droite sur chute le 12.01.2017 : • Radiographie (12.01.2017) : pas de fracture • Pas d'argument clinique pour une lésion de la coiffe des rotateurs Contusion de la cuisse droite sur chute le 12.01.2017 : • Radiographie de hanche droite et pelvis (12.01.2017) : pas de trait de fracture, coxarthrose bilatérale Troubles cognitifs à prédominance fronto-sous-corticale, compatibles avec une étiologie dégénérative de type synucléopathie Incontinence urinaire d'origine indéterminée : • Avis gynécologique le 18.01.2017 (Dr. X) : physiothérapie pelvienne. Traitement anticholinergique contre-indiqué. Pneumonie basale droite le 09.06.2018 : • Sous Céfuroxime depuis le 08.06.2018 Pneumonie basale droite le 10.06.22018. Pneumonie basale droite le 10.06.22018. Pneumonie basale droite le 14.01.2015 Insuffisance rénale aiguë pré-rénale le 14.01.2015 Conjonctivite bilatérale le 14.01.2015 Anticoagulation supra-thérapeutique Diabète de type 2 non insulino-requérant Pneumonie basale droite le 16.03.2017 • Chez un patient connu pour une insuffisance respiratoire mixte chronique sur BPCO de stade GOLD IV sous 2L de O2 à domicile Pneumonie basale droite le 16.03.2017 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie basale bilatérale et exacerbation de BPCO le 30.05.2018 Pneumonie basale droite le 16.03.2017 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie basale bilatérale et exacerbation de BPCO le 30.05.2018 Pneumonie basale droite le 28.05.2018 sur broncho-aspiration probable avec : • crachats hémoptoïques chez un patient sous Sintrom • CURB-65 à 2 pts (âge et urée) Pneumonie basale droite probable, sans signe de gravité le 05.06.2018. Pneumonie basale droite sur agranulocytose fébrile le 01.06.2018 probablement d'origine parainfectieuse, DD agranulocytose dans le contexte du lymphome non Hodgkinien à cellules B diffus. Pneumonie basale droite sur broncho-aspiration le 20.06.2018. Pneumonie basale droite vs exacerbation BPCO : • Anthonisen : 2 (dyspnée et plus de crachat) Pneumonie basale G avec atélectase, épanchement pleural D avec atélectase de contact le 17.05.2018. Pneumonie basale G communautaire le 13.06.2018Pneumonie basale gauche Pneumonie basale gauche le 07.06.2018. Pneumonie basale gauche à germe indéterminé. Pneumonie basale gauche à Influenzae B le 29.01.2015 avec : • insuffisance respiratoire aiguë globale et sepsis associés, traité par antibiothérapie iv et VNI • subiléus paralytique transitoire dans un contexte septique le 29.01.2015 • globe urinaire le 29.01.2015. Pneumonie basale gauche chez un patient sous corticothérapie et chimiothérapie (Docétaxel 80 mg avec 10 mg de Prédnisone) • dans le contexte oncologique d'un adénocarcinome métastatique de la prostate • pas de foyer clair • dyspnée à l'effort présente depuis 2-3 mois avec expectorations. Pneumonie basale gauche communautaire le 13.06.2018 Pneumonie basale gauche en 2010. Fibrillation auriculaire traitée par Cordarone (2002). Cholecystectomie en 1990. Status après état dépressif il y a 15 ans. Pneumonie basale gauche le 11.02.2016 Anémie normocytaire normochrome (94 g/l) le 11.02.2016 • contexte de grossesse, de déficit en fer récent (Ferinject il y a 3 semaines) et d'inflammation Pleurite persistante sur pneumonie à pneumocoque traitée Hypomagnésémie à 0,7 mmol/l le 07.03.2016 Syndrome d'hyper-réactivité bronchique et rhinite gravidique avec écoulement post et irritation laryngée de continuité, le 07.03.2016 Pneumonie bibasale à germe indéterminé le 05.06.18 Pneumonie bi-basale avec hyper-réactivité bronchique. Pneumonie bi-basale en avril 2016. Zona ophtalmique gauche. Prothèse totale de la hanche droite. Prothèse du genou gauche en mai 2013. IVRS. Pneumonie bibasale le 13.02.2018 Décompensation cardiaque droite le 13.02.2018 avec passage en fibrillation auriculaire tachycarde Contusion médullaire C5-C7 avec tétraparésie séquellaire sur chute le 21.02.2017 • probable canal cervical étroit préexistant • corpectomie C5-C6 et discectomie C4-C5, C6-C7 avec mise en place d'une cage avec plaque CSLP Tachycardie par ré-entrée nodale le 05.04.2017 Hystérectomie suite à myomes utérins Pneumonie bilatérale en janvier 2018, avec : • Klacid 500 mg 2x/j du 17 au 18.01.2018. • Rocéphine 2 g iv du 17 au 22.01.2018. • Céfuroxime 500 mg per os 2x/j du 23 au 26.01.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN stade I de probable origine pré-rénale en janvier 2018. Fracture de la cheville droite type Weber B en octobre 2017. Sepsis sur pneumonie basale droite en 2016. Pneumonie ca. 2005 Ulcères des jambes Syphilis 1993 Abcès cutanés récidivants dans un contexte toxicomanie iv Arthroscopie genoux ddc 2005 Pneumonie communautaire basale gauche le 28.06.2018 Pneumonie communautaire à gauche le 11.06.2018 avec • épanchement pleural para-pneumonique à gauche • atélectasie lobe inférieur gauche • nodule lobe supérieur gauche de 7 mm Pneumonie communautaire aiguë. Pneumonie communautaire basale droite, à germe indéterminé. Pneumonie communautaire basale gauche le 12.04.2018 avec évolution défavorable sous antibiothérapie depuis le 05.04.2018. Anémie normocytaire hypochrome et thrombocytose le 12.04.2018 Éventration médiane sous-xyphoïdienne, cure avec filet intra-abdominal Parietex 10x15 cm (opération le 04.08.2010). Ancienne toxicomanie au THC stoppée en janvier 2007. Fracture communitive de la malléole externe droite, ostéosynthèse en décembre 2007. Pneumonie communautaire bilatérale. Pneumonie communautaire bilobaire (inférieure et supérieure gauche), avec • insuffisance respiratoire hypoxémique. Pneumonie communautaire du lobe inférieur droit Pneumonie communautaire du lobe inférieur gauche Pneumonie communautaire du lobe inférieur gauche à Légionelle le 24.06.2018 Pneumonie communautaire lobaire supérieure gauche Perturbation des tests de cytolyse DD : contexte infectieux, stéatose Bigéminisme transitoire à l'ECG (03.05.15) Pneumonie communautaire multifocale bilatérale à germe indéterminé le 11.06.2018 • Insuffisance respiratoire partielle aiguë • contexte de BPCO stade 2B selon GOLD sur déficit homozygote en alpha-1-antitrypsine • épanchement pleural gauche Pneumonie communautaire multifocale bilatérale à germe indéterminée le 11.06.2018 • Insuffisance respiratoire partielle aiguë • contexte de BPCO stade 2B selon GOLD sur déficit homozygote en alpha-1-antitrypsine • épanchement pleural gauche Pneumonie communautaire traitée par co-amoxicilline dès 14.6 • début de Rocephine dès le 19.6 Pneumonie communautaire traitée par Co-Amoxicilline dès 17.06.2018 Pneumonie communautaire trilobaire droite, probablement sur broncho-aspiration le 26.07.2016 Prostatite chronique sous antibiothérapie de Nopil forte 2x/j depuis le 04.07.2016, avec : • cultures d'urine du 04.07.2016 : E. coli multisensible. Dysarthrie et somnolence d'origine indéterminée le 13.05.2015 : • DD : état post-critique, excès médicamenteux Ethylisation aiguë à 1.58 avec chute de sa hauteur en août 2014 Stase stercorale prédominant au niveau du caeco-ascendant et du transverse en mars 2009 Ulcère duodénal traité conservativement il y a 20 ans Parotidite droite sur probable lithiase du canal du Sténon Appendicectomie Pneumonie d'aspiration à germe indéterminé avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 28.04.2018 Pneumonie d'aspiration avec une baisse d'état général Pneumonie d'aspiration avec une baisse d'état général Pneumonie d'aspiration avec une baisse d'état général Pneumonie d'aspiration basale droite avec épanchements bilatéraux, Dx 21.06.2018 (Inselspital) Hémocultures et antigènes légionnelles négatifs • 21-22.06: Rocephin • 22-25.06: Co-amoxicilline 1.2g iv q8h • 23-24.06: Klacid 250mg po q12h • 26.06 au 27.06: co-amoxicilline 1g po q8h Pneumonie d'aspiration bibasale. Pneumonie d'aspiration dans le contexte de trouble de la déglutition le 07.06.2018 DD : faiblesse musculaire sur corticothérapie au long cours Pneumonie d'aspiration probable le 23.04.2018 Pneumonie de broncho-aspiration. Pneumonie d'inhalation basale droite le 04.06.2018 Pneumonie d'inhalation basale droite le 04.06.2018 Pneumonie droite le 22.05.2018 Pneumonie droite, le 23.03.2016 Hyponatrémie hypoosmolaire à 127 mmol/l, le 23.03.2016, probablement sur SIADH para-infectieux Lipothymie avec possible trauma crânien chez patiente anticoagulée, le 01.03.2015 Anémie normocytaire normochrome régénérative à Hb 77 g/l d'origine multifactorielle (gastrite antrale, oesophagite de reflux, rectorragie sur possible saignement hémorroïdaire) en mars 2015 Probable broncho-aspiration en mars 2015 (traitée par Clarithromycine puis Co-Amoxicilline) Status post cholécystectomie Fracture du col fémoral D Garden IV le 23.03.2016 traitée par prothèse céphalique, le 26.03.2016 Status post ancienne fracture de la symphyse pubienne bilatérale (sur chondrocalcinose) Suspicion d'ostéoporose Pneumonie du lobe inférieur droit à germe indéterminé le 23.06.2018 • Pics fébriles le 23.06, 24.06 et 26.06.2018 et syndrome inflammatoire à la hausse Pneumonie du lobe moyen à droite et à gauche en février 2018 Hypocalcémie préexistante avec carence en vitamine D en février 2018 Hypokaliémie légère en février 2018 Constipation Carcinome bronchique à petites cellules maladie limitée ED 2011 Dernier contrôle en oncologie Freiburg 2016, en rémission et sous contrôle 2x par an au HA • St.n. 6x chimiothérapie avec radiothérapie (60 Gy) en 2011 TUR-P Opération bilatérale de prothèse de genou Embolie pulmonaire 2011 Pneumonie du lobe moyen à droite et à gauche en février 2018 Hypocalcémie préexistante avec carence en vitamine D en février 2018 Opération bilatérale de prothèse de genou (Wintertur) Embolie pulmonaire 2011 Pneumonie du lobe supérieur D le 14.12.2016 Status post résection lobaire supérieure D en urgence le 12.09.2017 pour non résolution d'une pneumonie LSD sur sténose tumorale d'origine tumorale • Antibiothérapie co-amoxicilline 625 mg per os 3x/j jusqu'au 24.09.2017 • Status post bronchoscopie de nettoyage et d'inspection 18.08.2017 • Status post ponction pleurale guidée par US 31.08.2017 : exsudat • Status post PICC-line du 31.08 au 29.09.2017 • Status post décortication ouverte, résection lobe supérieur avec lymphadénectomie radicale médiastinale droite avec couverture du moignon bronchique avec un patch de graisse du péricarde le 12.09.2017 Status post longue dépression Greffe de peau jambe G, date non spécifiée Appendicite dans l'enfance Amygdalectomie dans l'enfance Suspicion de pneumonie basale D le 06.03.2018 Hyponatrémie hypovolémique hypoosmolaire à 126 mmol/l le 06.03.2018 sur SIADH Pneumonie du lobe supérieur droit le 14.12.2016 Tachycardie sinusale persistante le 20.09.2017 Résection lobaire supérieure D le 12.09.2017 pour non résolution d'une pneumonie sur sténose tumorale Status post longue dépression Hyponatrémie hypovolémique hypoosmolaire à 126 mmol/l le 06.03.2018 sur SIADH • avec contexte de pneumonie basale droite concomitante Anciennes opérations : greffe cutanée à la jambe gauche, appendicite, amygdalectomie Pneumonie du lobe supérieur droit le 18.05.2018. Pneumonie du lobe supérieur gauche, DD : surinfection lésion sous-jacente. Pneumonie du LSD à germe indéterminé en 2010 Pneumonie en mars 2018. Fractures costales en janvier 2018. Névralgie du trijumeau DD : forme d'algie faciale. Douleurs thoraciques atypiques en 11/2017 DD : Pariétales : (CK 267) vs sur pic hypertensif et/ou sur stress. Pneumonie en novembre 2011 Hémorragie digestive haute lors d'un accouchement en 1986 Multiples hospitalisations à Marsens Antécédents d'états dépressifs Chirurgie esthétique mammaire et abdominale Pneumonie en novembre 2011. Hémorragie digestive haute lors d'un accouchement en 1986. Multiples hospitalisations à Marsens. Antécédents d'états dépressifs. Chirurgie esthétique mammaire et abdominale Pneumonie en 2016 et 2017. Maladie de Lyme en 2014. Cure d'hernie discale au niveau L5-S1 en 2004. Cure d'hemorroïdes en 2002. Amygdalectomie en 2002. Épicondylite bilatérale. Pneumonie gauche le 17.06.2018 Pneumonie il y a 10 ans Status après thrombose veineuse profonde en 2011. Status après cholécystectomie. Status après ablation, puis reconstruction des 2 seins. Status après cure de varices des membres inférieurs. Status après arthroscopie du genou droit en 2004. Gonarthrose tricompartimentale du genou droit avec arthroplastie totale du genou droit par prothèse Medacta le 27.06.2014. Eczéma de contact périphérique des membres inférieurs en post-opératoire. Pneumonie il y a 10 ans Status après thrombose veineuse profonde en 2011. Status après cholécystectomie. Status après ablation, puis reconstruction des 2 seins. Status après cure de varices des membres inférieurs. Status après arthroscopie du genou droit en 2004. Gonarthrose tricompartimentale du genou droit avec arthroplastie totale du genou droit par prothèse Medacta le 27.06.2014 Eczéma de contact périphérique des MI en postopératoire Pneumonie le 03.11.2017 (traitée par Tazobac). Gastrite à H. pylori, éradication en août 2017. Hémicolectomie gauche en 1986 pour un carcinome colorectal de stade II (connu pour une PAF, forme atténuée). Pneumonie lobaire basale droite acquise en communauté en septembre 2014 traitée par Co-Amoxicilline 6 jours. Péricardiomyocardite en 2006 avec coronarographie normale anamnestiquement (réalisée à Berne). Douleurs musculo-squelettiques diaphragmatiques reproductibles à la palpation en 2013. Status post fractures costales droites avec prise en charge conservative. Douleurs musculo-squelettiques dans un contexte d'efforts de toux. Pneumonie lobaire droite, chez patient colonisé par des E. Coli résistants à la pénicilline Pneumonie lobaire droite chez patient colonisé par E. Coli résistant à la pénicilline Pneumonie lobaire droite chez patient colonisé par E. Coli résistant à la pénicilline Pneumonie lobaire inférieure gauche communautaire à Légionelle le 20.06.2018 Pneumonie lobaire moyenne droite à Legionella pneumophila avec : • état fébrile à 38.5 C et syndrome inflammatoire • chez un patient traité depuis le 25.05.2018 par Co-Amoxi 1 g 2x/jour. Pneumonie lobaire moyenne droite avec bactériémie à Streptocoque pneumoniae le 11.06.2018 Pneumonie lobaire moyenne et inférieure D avec composante de probable décompensation BPCO non stadée • Critères d'Antonisen 2/3 Pneumonie lobaire moyenne et supérieure droite le 25.06.2018 • Persistance d'état fébrile sous Co-amoxicilline depuis le 21.06.2018 • Radiographie du Thorax du 21.06.2018 : consolidation au niveau du lobe moyen Pneumonie lobaire supérieure le 27.05.2018 • score de PSA à 124 pts • CURB 65 : 2 pts Pneumonie lobe droit Pneumonie nosocomiale avec foyer basal droit le 01.06.2018 Pneumonie nosocomiale basal gauche 11.06.2018 Pneumonie nosocomiale basale droite le 13.05.2018 • épanchement pleural droite Pneumonie nosocomiale basale droite le 13.05.2018. • épanchement pleural droite. Pneumonie nosocomiale basale droite le 25.05.2018 Pneumonie nosocomiale bilobaire droite • insuffisance respiratoire partielle avec p02 à 9.4 kPa Pneumonie nosocomiale du lobe supérieur droit le 21.12.2016 avec : • antibiothérapie récente (cf diagnostic principal) Laparotomie exploratrice et résection grêle segmentaire pour iléus mécanique sur bride épiploïque avec nécrose grêle segmentaire 11/2016 État confusionnel probablement sur morphine (03.12.2016) Phakectomie bilatérale Urétrotomie interne et TUR-P (octobre 2012) Cancer vésical et TUR-B (1986) Prothèse totale du genou droit (1994) et gauche (1997), remplacement de prothèse prévu (rdv chez Dr. X au Sonnenhof mardi 19.06.2018 à 15h) Pneumonie nosocomiale lobe inférieur droit 14.05.2018 Pneumonie nosocomiale (VAP) à germe indéterminé 09.06.2018 Pneumonie organisante, fibrose interstitielle modérée du tissu alvéolaire et fibrose modérée de la muqueuse respiratoire du tissu péri-bronchiolaire, 2017. Dysphagie au solide d'origine indéterminée, 2017. Colite à Clostridium difficile, 2017. Pneumonie organisante post-infectieuse le 21.06.2018 avec : DD : Pneumonite immuno-induite par Pembrolizumab, infection à Pseudomonas résistant (peu probable) Pneumonie post-opératoire (avril 2018) Cholécystectomie (2015) Cure du canal carpien droit (2008) Maladie de Lyme avec atteinte articulaire (2007) Hernie cervicale avec traitement conservateur (2000) Appendicectomie (1968) Pneumonie retrocardiaque Pneumonie retrocardiaque avec état fébrile le 24.05.2018. Pneumonie sur grippe A avec surinfection bactérienne le 12.03.2018 Pneumonie. Probable asthme le 26.09.2015. Pneumonies à répétition Bactériémie à pneumocoques sur pneumonie le 23.04.2017 S/p Infarctus lacunaire putamen gauche • IRM du crâne du 12.06.2016 (Inselspital) : pas d'ischémie nouvelle, ancienne lacune du putamen gauche, pas de sténose des vaisseaux, leucoencéphalopathie légère, diminution du volume cérébral des deux côtés sous Aspirine cardio dès le 14.06.2016 Dysarthrie spontanée récidivante et troubles de la marche d'origine inconnue le 12.06.2016, DD dans le cadre de la maladie psychiatrique / médicamenteuse / AIT • avec une faiblesse générale et chute le 12.06.2016 • Tox-Screening pour Benzodiazépines négatif (le 12.06.2016, Inselspital) Etat confusionnel aigu le 30.05.2017, DD: médicamenteux, post-infectieux Malnutrition protéino-énergétique grave DD: mentale, médicamenteuse, syndrome cachexie-anorexie Pneumonies à répétition Bactériémie à pneumocoques sur pneumonie le 23.04.2017 Status post infarctus lacunaire putamen gauche • IRM du crâne du 12.06.2016 (Inselspital): pas d'ischémie nouvelle, ancienne lacune du putamen gauche, pas de sténose des vaisseaux, leucoencéphalopathie légère, diminution du volume cérébral des deux côtés • sous Aspirine cardio dès le 14.06.2016 Dysarthrie spontanée récidivante et troubles de la marche d'origine inconnue le 12.06.2016, DD dans le cadre de la maladie psychiatrique / médicamenteuse / AIT • avec une faiblesse générale et chute le 12.06.2016 • Tox-Screening pour Benzodiazépines négatif (le 12.06.2016, Inselspital) Etat confusionnel aigu le 30.05.2017, DD: médicamenteux, post-infectieux Malnutrition protéino-énergétique grave DD: mentale, médicamenteuse, syndrome cachexie-anorexie. Pneumopathie basale gauche à germe indéterminé le 05.06.2018 • contexte de BPCO Pneumopathie d'inhalation sur broncho-aspiration • Co-amoxicilline du 15 au 19.05.2017 Hématome du grand fessier sur traumatisme direct sans atteinte nerveuse 08/2015 Rhabdomyolyse sur statine le 05/2012 Cholécystectomie Colique néphrétique sur calcul urétéral droit Opération du coude droit pour épicondylite Ulcère gastrique 04/2006 AVC en 2002 • CHADS VASC Score 8 points • uniquement antiagrégation plaquettaire simple par Aspirine cardio 100 mg 1-0-0 au vu du risque hémorragique important (discuté avec le Dr X) Prothèse totale de la hanche droite en mai 2017 Changement prothèse totale de la hanche gauche en mai 2012 sur descellement de la PTH implantée en 1998 Lombo-ischialgie non déficitaire gauche sur sténose canalaire L4-L5 avec kyste articulaire gauche en janvier 2018 • hernie discale lombaire L5-S1 (IRM 11/2016) • troubles neurologiques (perte de force fluctuante, paresthésies membre inférieur gauche) • Décompression bilatérale par voie inter-épineuse L4-L5 • Flavectomie complète, ablation du kyste du côté gauche • Stabilisation inter-épineuse par système PAD taille 10 + greffe de BGel (le 08.01.2018) Pneumopathie infectieuse basale gauche à germe indéterminé le 05.06.2018 • contexte de BPCO Pneumopathie interstitielle à la Gemcitabine le 14.05 et 08.06.2018 : • Gemcitabine reçue le 01.06.2018 • Antibiothérapie à Co-Amoxicilline au préalable jusqu'au 12.05.2018 Pneumopathie interstitielle commune (Usual interstitial pneumonia): • DD: pneumopathie interstitielle secondaire à une polyarthrite rhumatoïde, fibrose pulmonaire familiale (frère jumeau avec fibrose pulmonaire) • diagnostic par biopsies vidéochirurgicales des lobes supérieur, moyen et inférieur le 31.07.2017 • LBA du 10.02.2018: macrophage 86%, lymphocytes 9%, neutrophiles 5% • absence d'éléments pour une pneumoconiose aux biopsies transbronchiques de 02.2017 et 07.2017 • sous traitement de Azathioprine • suivi au CHUV Pneumopathie interstitielle diffuse fibrosante non spécifique probable (NSIP) dans le cadre d'une connectivité indifférenciée oxygéno-dépendante Pneumopathie interstitielle probable avec : • Velcro bibasal, dyspnée chronique en péjoration depuis 6 mois et radiographie du thorax suspecte • Avec status après pneumonie traitée le 21.07.2017 (Rocéphine 2g 1x/jour intraveineux du 21.07.2017 au 24.07.2017 et Co-Amoxicilline 1g 2x/jour jusqu'au 27.07.2017) HTA traitée Pneumopathie interstitielle probable avec : • Velcro bibasal, dyspnée chronique en péjoration depuis 6 mois et radiographie du thorax suspecte • Avec status après pneumonie traitée le 21.07.2017 (Rocéphine 2g 1x/jour intraveineux du 21.07.2017 au 24.07.2017 et Co-Amoxicilline 1g 2x/jour jusqu'au 27.07.2017) Hypotension orthostatique Adaptation traitement anti-hypertenseur Test de Schellong négatif au réveil, positif en post-prandial Bandes de contention Pneumopathie interstitielle sur cordarone. Adénocarcinome sigmoïdien, pT2 pN0 (0/25) R0 G2, opéré en 2010 Hypothyroïdie iatrogène sur cordarone PTG bilatérale Arthrite septique récidivante à S. Aureus sur PTG implantée en 1996 et changée en 2003 avec : • Changement de PTG genou droit le 02.09.14 Canal lombaire étroit opéré 2007 Ulcère sur cicatrice de laparotomie Hystérectomie et ovariectomie Appendicectomie non datée Amygdalectomie non datée Pneumopathie interstitielle sur cordarone. Adénocarcinome sigmoïdien, pT2 pN0 (0/25) R0 G2, opéré en 2010 Hypothyroïdie iatrogène sur cordarone PTG bilatérale Arthrite septique récidivante à S. Aureus sur PTG implantée en 1996 et changée en 2003 avec : • Changement de PTG genou droit le 02.09.2014 Canal lombaire étroit opéré 2007 Ulcère sur cicatrice de laparotomie Hystérectomie et ovariectomie Appendicectomie non datée Amygdalectomie non datée Pneumopathie interstitielle tabagique le 28.05.2018 • CT thoraco-abdominale le 28.05.2018 : discrets micronodules pulmonaires centro-lobulaires Pneumopéritoine post-opératoire le 07.07.2016, DD : infusion d'air dans le Jackson. Ostéosynthèse d'une fracture bimalléolaire de la cheville gauche le 13.07.2015. Déhiscence de la plaie malléolaire externe et du tiers distal externe de la jambe gauche. Amygdalectomie dans l'enfance. Cystites à répétition dans l'enfance. Ligature des trompes. Pneumothorax apical gauche (16mm) et épanchements pleuraux bilatéraux post-opératoire RVA (mai 2018) Pneumothorax asymptomatique de 4 mm apical droite le 16.06.2018. Pneumothorax drainé en juin 2016 (Bâle) Cholécystectomie, appendicectomie probable (n'est pas sûr) Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 vs chronique d'origine rénale le 07.12.2016 • clairance créatinine 39 ml/min, FE Urée 45% • dernière créatinine à 115 mcmol/l (26.09.2016) Spot urinaire le 13.12.2016 : FE Urée à 61.77% Metformine en suspens durant l'hospitalisation Torem interrompu vu hypovolémie le 13.12.2016 Lisinopril en pause du 13.12 au 15.12.2016 Suivi fonction rénale par le médecin traitant le 19.12.2016 Possible pneumonie basale droite communautaire le 07.12.2016 CT abdo du 07.12.2016 : épanchements pleuraux bilatéraux. Épaississement bronchique aux deux bases pulmonaires. Condensation mal systématisée à la base du poumon droit compatible avec un début de foyer pulmonaire. Ag urinaires Pneumocoque et Legionelle négatifs Tazobac le 07.12.2016 Rocéphine du 08.12 au 09.12.2016 Klacid le 08.12.2016 Probable hypertension pulmonaire le 09.12.2016 • vu contexte de cardiopathie hypertrophique et insuffisance mitrale 2/3, probablement post-capillaire • signal d'IP à 77 mmHg (mauvaise qualité, non interprétable) ETT du 09.12.2016 (Dr X) : HTP sévère selon le signal d'IP de mauvaise qualité à 77 mmHg, au vu de l'ACO pour la FA, je ne vois pas d'indication à la recherche d'une maladie thrombo-embolique. Avis Dr X (cardiologie) : pas de bilan thrombose vu anticoagulation thérapeutique déjà débutée. Hypothyroïdie primaire subclinique le 13.12.2016 Suivi biologique à poursuivre par le médecin traitant, pas de traitement Pneumothorax drainé en juin 2016 (Bâle) Cholécystectomie, appendicectomie probable (n'est pas sûr) Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 vs chronique d'origine rénale le 07.12.2016 Possible pneumonie basale droite communautaire le 07.12.2016 Hypothyroïdie primaire subclinique le 13.12.2016 Flutter auriculaire le 09.12.2016 Insuffisance respiratoire hypoxémique les 07.12 et 09.12.2016 Pneumothorax droit péri-opératoire le 25/06/18 Pneumothorax gauche iatrogène sur pose de sonde cardiaque de resynchronisation le 14.06.2018 Pneumothorax gauche iatrogène sur pose de sonde cardiaque de resynchronisation le 14.06.2018 Pneumothorax gauche le 11.06.2018 Pneumothorax gauche sur effort de Vasalva Pneumothorax gauche traumatique, le 11.06.2018. Pneumothorax gauche traumatique le 11.06.2018. Pneumothorax iatrogène G sur tentative de pose de Pleurix le 19.06.2018 • Rx thorax le 19.06.2018 : pneumothorax apical G de 2 cm Pneumothorax iatrogène sur pose de portacath par ponction veine sous-clavière droite le 29.12.2017. Ablation de la vessie et hystérectomie en 2014. Cure de varices bilatérales en 2009. Ovariectomie en 2004. Pexie de la vessie en 1998. Curetage en 1998. Névrome de Morton pied des deux côtés en 1993 et 2011. Mastectomie préventive avec pose de prothèses des deux côtés, puis changement de prothèses mammaires en 1993. Opération du genou droit en 1987 (matériel métallique). Stérilisation en 1985. Appendicectomie en 1963. Déconditionnement global dans un contexte de malnutrition protéino-énergétique modérée. Pneumothorax infracentimétrique gauche Traitement antalgique Oxygénothérapie Pneumothorax sous tension à droite post-réanimation le 27.06.2018 Pneumothorax sous tension à G le 27.06.2018 Pneumothorax spontané droit le 21.05.2018 • Drain thoracique droit du 21.05.2018 au 23.05.2018 Status post-ostéosynthèse d'une fracture supra-condylienne humérus distal gauche le 27.07.2010 • AMO coude gauche (2 x plaques DHP, 1 x cerclage haubanage olécrânien) ; neurolyse nerf cubital le 28.07.2011 Pneumothorax spontané droit le 21.05.2018 • Drain thoracique droit du 21.05.2018 au 23.05.2018 Status post-ostéosynthèse d'une fracture supra-condylienne humérus distal gauche le 27.07.2010 • AMO coude gauche (2 x plaques DHP, 1 x cerclage haubanage olécrânien) ; neurolyse nerf cubital le 28.07.2011 Pneumothorax spontané 1998 : • Récidive 1999 • Pleurectomie droite avec talc pleurodèse 1999 Podagra Dig I Fuss rechts Podologue le 12.06.2018 Podomecef 100 mg *2/jour pendant 8 jours Podomexef 10j contrôle dans 72 h chez le pédiatre US des voies urinaires à organiser dans les 4 semaines suivant l'infection urinaire en ambulatoire Podomexef 8 mg/kg/j en 2 doses Urotube : stérile Sédiment neg, clinique en faveur Poids de forme à 58 kg, adapter le traitement diurétique en fonction Envisager une évaluation psychiatrique à distance en raison d'hypothymie récurrente Poids de 450 kg (plaque de plâtre) sur tout l'hémicorps inférieur il y a 4 ans avec fracture au niveau du pied gauche. Infection urinaire basse résistante à l'antibiothérapie par Monuril. Poids du nouveau-né : 2470 g (40 kg/m²) Syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil de degré sévère, diagnostiqué par polygraphie respiratoire en mars 2015 • Score d'Epworth initial : 5/24 • Début de traitement par CPAP le 28.04.2015 Polyarthrite rhumatoïde. Hypothyroïdie. Polyarthrite rhumatoïde Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Statut après infarctus en 1984 et 1992 • Statut après infarctus avec pose de 2 stents sur l'artère coronaire droite en 2001 • STEMI inférieur avec pose de 3 stents actifs sur l'artère coronaire droite (occlusion intra-stent artère coronaire droite proximale, subocclusion coronaire droite moyenne et distale) le 24.01.2012 • Mise en place de 2 stents actifs sur l'IVA proximale et moyenne le 09.03.2012 • Coronarographie et ventriculographie le 15.11.2012 (Dr. X) : absence de resténose au niveau de tous les stents actifs • Sclérose diffuse • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 30 %, anévrisme apical Tachycardie ventriculaire symptomatique le 15.11.2012 : • Cardioversion spontanée • Implantation d'un défibrillateur le 20.11.2012 (Dr. X) Insuffisance rénale chronique stade III avec clearance à la créatinine à 45 ml/minute le 03.12.2017 Polyarthrite rhumatoïde. Maladie thromboembolique veineuse avec multiples embolies pulmonaires périphériques le 10.09.2011. Constipation chronique. Polyarthrite rhumatoïde. Psoriasis. Polyarthrite séro-négative depuis 2015 • Prednisone et Methotrexate en 2015, Actemra 1x/mois en 2016 • sous Xeljanz depuis mars 2017 Polyarthritis Hypertension artérielle Dépression Syndrome de tunnel supinateur coude droite (cliniquement), anamnestique investigation chez Dr. X en 2001 Polyarthropathie goutteuse avec crises à répétition (années 1990) • Crise du MCP3 droit (04.05) et MCP1 gauche (08.05) • Acide urique à 244 umol/L Polyarthropathie goutteuse avec crises à répétition (années 1990) • Crise du MCP3 droit (04.05) et MCP1 gauche (08.05.2018) • Acide urique à 244 umol/L Polyarthrose des doigts. Poly/Capnographie 11.06 + VNI du 12.06.2018 au 21.06.2018 ETT 20.06.2018 Sous O2 4L/min nocturne, 2L/min diurne Ultibro 110/50 mcg 1x/j, switch pour Ventolin et Atrovent Physiothérapie Test de marche aux 6 mn Oxygénothérapie et VNI au long cours à domicile Réadaptation respiratoire à Billens après la chimiothérapie. Poly/Capnographie 11.06 et sous VNI 12-13-14 / 18-19.06.2018 Echographie abdominale 12.06.2018 : Par rapport au précédent examen, on retrouve la lésion du segment V, mesurée à 21 x 13 mm, ronde et bien délimitée, hyperéchogène, devant correspondre à une zone de stéatose focale. ETT 20.06.2018 : FEVG 65 %, dilatation et hypertrophie du VD. Pas d'IT et pour cette raison, les pressions pulmonaires ne peuvent pas être estimées. La fonction systolique du VD est conservée Test de marche au 6 mn : 280 m --> limitation modérée (norme 60-69 ans de 530 m) avec 2 L d'O2 en se promenant avec la bonbonne à O2, Pas de pauses et une douleur au dos après 1 min de marche Polycontusion sans gravité chez polytraumatisé sur accident de la voie publique à 50 km/h le 05.06.2018. Poly-endocrinopathie type MEN II a avec surrénalectomie bilatérale et thyroïdectomie Status post-double cure de hernie discale L5-S1 dans les années 1980 Polygraphie à organiser Polygraphie en ambulatoire, le patient sera convoqué fonction pulmonaire, le patient sera convoqué Polygraphie le 05.06.2018 : index à 21 Patient suivi en ambulatoire pour la suite de prise en charge par service de pneumologie Polygraphie nocturne : 30 apnées/h Capnographie nocturne Mise en place de la CPAP avec majoration progressive des pressions : 8/16 pour le RAD • Polygraphie respiratoire diagnostic du 29.11.2017 : IAH à 25.7/h, IDO à 23.9/h, ronflements 35%, SpO2 moyenne nocturne à 89%. Événement principalement à type d'hypopnée ainsi que d'apnée obstructive. • Polygraphie de mise sous CPAP du 25.01.2018 (pression min/max 8/16 cmH2O) : persistance des événements respiratoires avec un IAH à 39.1/h, IDO à 35.0/h, SpO2 moyenne nocturne à 90.3 %. Événement principalement à type d'hypopnée et apparition réactionnelle d'apnée centrale. • Polygraphie de mise sous CPAP du 19.03.2018 (pression fixe à 10 cmH2O) : persistance des événements respiratoires nocturnes avec IAH à 26.1/h, IDO à 21.4/h, SpO2 moyenne nocturne à 90.8%. Apparition importante d'apnée centrale, représentant 66% des événements respiratoires nocturnes. • Polygraphie de mise sous CPAP du 19.03.2018 (pression fixe à 10 cmH2O) : persistance des événements respiratoires nocturnes avec IAH à 26.1/h, IDO à 21.4/h, SpO2 moyenne nocturne à 90.8%. Apparition importante d'apnée centrale, représentant 66% des événements respiratoires nocturnes. • Polygraphie de mise sous CPAP du 26.06.2018 : bonne prise en charge des événements respiratoires : IAH 9.4/h, IDO 9.4/h, Ronflement : 20.2%, nombre d'événements : 67 : 21 apnées (12 obstructives, 9 centrales) 46 hypopnées, SpO2 moyenne : 91%, SpO2 minimale : 86%, pouls moyen 69 bpm • Traitement : appareil AirCurve 10 CS Pace wave, masque Air Fit F20, taille S • ResScan du 26.06.2018 : EPAP 5 cmH2O, AI min 3 cmH20, AI max 10 cmH20, fuites médianes 0 l/min, fuite au 95ème centile 0 l/min, volume courant 420 ml, volume au 95ème centile 720 ml, fréquence respiratoire médiane 10 • Capnographie du 26.06.2018 : SpO2 moyenne 96.62 %, PaCO2 moyenne 5.70 kPa • Gazométrie du 26.06.2018 le matin au repos en air ambiant : valeurs physiologiques : pH 7.43, PC02 4.9 kPa, PO2 11.7 kPa, bicarbonates 24 mmol/l, SpO2 97% • Contrôle des statistiques de l'appareil et clinique dans 4 mois Polykystose hépatique Polykystose rénale de type dominant. Cystite à répétitions et pyélonéphrite. Polykystose rénale et hépatique. Polyménométrorragies post-ménopausiques sur hypertrophie endométriale à 25 mm chez une patiente 3G3P de 47 ans. Polyménométrorragies sur hypertrophie endométriale de 25 mm d'aspect glandulaire, chez une patiente de 47 ans, 3 gestes 3 pares. Polyménométrorragies sur utérus polymyomateux / péri-ménopause Polyménorragies depuis 5 semaines, chez une patiente de 47 ans, 3 gestes 3 pares. À l'anamnèse pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées ni de constipation. Polyménométrorragies depuis 5 semaines avec douleurs du bas ventre, pas de dyspareunies. À l'examen clinique, patiente normocarde, normotendue, apyrétique (139/74, 88 bpm, 36.7°C) Abdomen souple et indolore, pas de détente, pas de défense. Loges rénales libres, ébranlement lombaire négatif. Au spéculum col d'aspect sain. Saignement endo-utérin actif, modéré. TV non douloureux à la mobilisation utérine, ni du col, ni latéralisée aux annexes. À l'ultrason mise en évidence d'une hypertrophie endométriale d'aspect glandulaire. Dans ce contexte d'hypertrophie endométriale avec saignement modéré, nous proposons à la patiente une hystéroscopie diagnostique avec curetage étagé pour examen anatomopathologique le 28.06.2018. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. Madame est néanmoins avertie qu'en cas de péjoration clinique, elle devra consulter avant. Polymyalgia rheumatica Polymyalgia rheumatica : • Diagnostic différentiel : poussée d'arthrose Polymyalgia rheumatica actuellement non traitée • corticothérapie (2006-2008 : 20 mg à 2.5 mg) Diverticulose Suspicion de syndrome obstructif (Spirométrie 10/2011) Polymyalgia rheumatica diagnostiquée en juin 2017. Polymyalgia rheumatica. DD : • polyarthrite rhumatoïde à début tardif. Polymyalgia rheumatica. Troubles moteurs oesophagiens. Polymyalgie traitée par cortisone. Polyneuromyopathie de maladie critique Polyneuromyopathie de maladie critique Polyneuropathie Polyneuropathie avec douleurs des 2 pieds. Cardiopathie rythmique et hypertensive. Status post TVP en 2004 et EP en 2005, anticoagulé au Xarelto 20 mg. Insuffisance veineuse chronique. Polyneuropathie axonale Polyneuropathie des MI déjà connue depuis 2015 Diabète de type 2 HTA Polyneuropathie périphérique Polyneuropathie périphérique à prédominance sensitive d'origine indéterminée depuis 2013 (Dr. X) Arthrose acromio-claviculaire gauche Syndrome radiculaire bilatéral connu avec faiblesse des membres inférieurs occasionnant des chutes à domicile Déplacement avec un tintébin Vertige rotatoire associé à une vision trouble, nausées et aphasie motrice d'une durée d'1h environ d'origine indéterminée Dépression Troubles cognitifs IRM cérébrale le 01.05.2013 : atrophie cérébrale diffuse MMSE, test de la montre Bilan neuropsychologique Suspicion de polyneuropathie Polyneuropathie périphérique à prédominance sensitive d'origine indéterminée depuis 2013 (Dr. X) Arthrose acromio-claviculaire gauche Syndrome radiculaire bilatéral connu avec faiblesse des membres inférieurs occasionnant des chutes à domicile Déplacement avec un tintébin Vertige rotatoire associé à une vision trouble, nausées et aphasie motrice d'une durée d'1h environ d'origine indéterminée Dépression Troubles cognitifs IRM cérébrale le 01.05.2013 : atrophie cérébrale diffuse MMSE, test de la montre Bilan neuropsychologique Suspicion de polyneuropathie Polyneuropathie sensitive avec hypoesthésie en chaussettes bilatérales d'origine peu claire avec : • Pallesthésie 6/8 malléolus. • Glycémie pré-prandiale 4.7 mmol, post-prandiale 7.7 mmol (pas de diabète) 03/2018. • B12 185 pg/ml, folate 2.3 ng/ml (déficit léger) 03/2018, Vitamine B12 à 691 pg/ml le 27.04.2018 (post-substitution). • Bilan vitaminique et substitution en acide folique et vitamine B12 • Discuté avec Dr. X le 27.04.2018 : pas d'investigation supplémentaire pour la polyneuropathie sensitive par manque de sanctions thérapeutiques Insuffisance rénale chronique stade 3 le 19.03.2018 • Clearance selon CKD-EPI 46 mL/min, Créatinine 94 µmol/L • Dans le cadre d'une rhabdomyolyse AOMI Stade II avec : • St. p. Thromboendartériectomie iliaco-fémorale gauche, St. p. plastie de la Profunda femoris (10/2012) • Occlusion de l'A. femoralis superficialis bilatérale Dyslipidémie traitée Tabagisme actif 60 UPA (03.2018) Incontinence urinaire Coxarthrose bilatérale (RX Bassin le 03.04.2018) Atteinte dégénérative des articulations sacro-iliaques des deux côtés prédominant à gauche et de la symphyse pubienne. Sténose aortique modérée à sévère (Gradient 1.1) : • US cardiaque Dr. X 29.09.2018 • Consilium cardiologique Dr. X : tant que asymptomatique (pas de dyspnée, pas de vertige, pas de syncope) refaire échographie 1x/an. Si nouveau symptôme, prévoir une nouvelle échographie. Prudence lors de l'introduction de médicaments vasodilatateurs. • Discuté avec Dr. X le 27.04.2018 : pas d'investigation supplémentaire pour la sténose aortique car patiente actuellement compensée et stable Polyneuropathie sensitive avec hypoesthésie en chaussettes bilatérale d'origine peu claire avec: • Pallesthésie 6/8 malléolus ddc • Glycémie pré-prandiale 4.7mmol, post-prandiale 7.7mmol (pas de diabète) 03/2018 • B12 185pg/ml, folate 2.3ng/ml (déficit léger) 03/2018, Vitamine B12 à 691 pg/ml le 27.04.2018 (post-substitution) - Bilan vitaminique et substitution en acide folique et vitamine B12 - Discuté avec Dr. X le 27.04.2018: pas d'investigation supplémentaire pour la polyneuropathie sensitive par manque de sanction thérapeutique Insuffisance rénale chronique stade 3 le 19.03.2018 - Clearance selon CKD-EPI 46mL/min, Créatinine 94 µmol/L - Dans le cadre d'une rhabdomyolyse AOMI Stade II avec: • St. p. Thromboendarectomie iliaco-fémoral gauche, St. p. plastie de la Profunda femoris (10/2012) • Occlusion de A. femoralis superficialis bilatérale Dyslipidémie traitée Tabagisme actif 60 UPA (03.2018) Incontinence urinaire Coxarthrose bilatérale (RX Bassin le 03.04.2018) Atteinte dégénérative des articulations sacro-iliaques des deux côtés prédominant à gauche et de la symphyse pubienne. Sténose aortique modérée à sévère (Gradient 1.1): - US cardiaque Dr. X 29.09.2018 - Consilium cardiologique Dr. X: tant que asymptomatique (pas de dyspnée, pas de vertige, pas de syncope) refaire échographie 1x/an. Si nouveau symptôme, prévoir une nouvelle échographie. Prudence lors de l'introduction de médicament vasodilatateur. - Discuté avec Dr. X le 27.04.2018: pas d'investigation supplémentaire pour la sténose aortique car patiente actuellement compensée et stable Polyneuropathie sensitive débutante prédominant au membre inférieur à droite (dernière neurographie le 08.07.2016) Polyneuropathie sensitivo-motrice depuis 2015 suivi par Dr. X Polype endométrial symptomatique en type d'hyperménorrhée, chez patiente 2G1P de 46 ans Polypectomie intestinal en fev 2018 Infection urinaire à l'âge de 6 mois Polypes intestinaux suivis par coloscopie tous les 5 ans (prochaine en 2019). Polysérosite d'origine X avec épanchement péricardique et épanchement pleural gauche récidivant le 21.05.2018 - DD: composante cardiaque, origine néoplasique non-retrouvée Polysomnographie avec enregistrement de désaturation et protocole d'événement Musiquo-thérapie avec Mme. Y Physiothérapie Polysomnographie du 21.06 au 22.06.2018: Hypoventilation avec légères désaturations non-significatives Polytoxicomanie: • Héroïne actuellement substituée par Méthadone • Cocaïne sniffée • Tabagisme. Asthme sous Seretide et Symbicort. Polytoxicomanie avec prise de cocaïne et d'amphétamines depuis 4 ans. Abus d'OH chronique (actuellement 4 bières/jour). État anxio-dépressif. Polytoxicomanie et éthylisme chronique Polytoxicomanie (héroïne avec plusieurs tentatives de sevrage à Marsens). Polytoxicomanie (héroïne, cocaïne, benzodiazépines, métadone, alcool), avec injections. Hépatites B et C. Tabagisme actif. Polytoxicomanie sevrée - Traitement substitutif de Methadone depuis 2012 COPD Gold C - FEV1 54%, TLC 94%, DLCO 61% Hypogonadisme Hypogonadotrope: - Suivi par Dr. X (Fribourg) - IRM juin 2015: pas de macro-adénome de l'hypophyse - Traitement: Nebido aux 3 mois Obésité stade II - BMI 39 Polytoxicomanie sevrée - Traitement substitutif de Methadone Hypogonadisme Hypogonadotrope: - Suivi par Dr. X (Fribourg) - IRM juin 2015: pas de macro-adénome de l'hypophyse - Traitement: Nebido aux 3 mois Obésité stade II - BMI 39 Hépatite C active et s/p Hépatite B (diagnostique 1998) - Suivi? Polytoxicomanie substituée par Méthadone. Lombalgies et cervicalgies non déficitaires le 26.05.2018. Angine fébrile au décours sans signes de complication le 26.05.2018. Sevrage en opiacés le 26.05.2018. Poly-traitement antibiotique terminé le 11.05.2018 Anticoagulation par Xarelto 20 mg/j jusqu'au 28.06.2018 si absence des signes infectieux Polytrauma Polytrauma Polytrauma Polytrauma Polytraumatisé Polytraumatisé Polytraumatisé Polytraumatisé. Polytraumatisme Polytraumatisme Polytraumatisme Polytraumatisme Polytraumatisme. Polytraumatisme. Polytraumatisme. Polytraumatisme. Polytraumatisme après chute Polytraumatisme après chute Polytraumatisme le 08.06.2018: - Contusion bassin et colonne lombaire - Hématome sous-cutané au-dessus des muscles glutéaux droits - Hématome à la face latérale de la racine de la cuisse gauche - Contusion coude droit avec plaie coude - Échardes des vers au visage et multiples dermabrasions aux 4 membres. Polytraumatisme le 09.05.2018 avec: Multiples fractures cervicales non déplacées: - Processus transverse gauche de C1, passant par le foramen transverse - Facette articulaire supérieure gauche de C2, se prolongeant dans le foramen transverse. Fracture également de la lame de C2 à droite - Lame de C3 et C4 à droite - Sans nette atteinte ligamentaire du rachis cervical - Fractures de côtes d'allure récente à droite (arc latéral de la 4ème, 5ème, 6ème et 7ème côtes) et à gauche (arc antérieur de la 6ème côte). - Stabilité du tassement en galette de la vertèbre D5 par rapport à l'IRM de mai 2016, ainsi que des tassements des vertèbres D7 à D10 - Fracture complète et déplacée diaphyse humérale D - Fracture cheville droite type Weber A - Traumatisme crânien mineur Ostéosynthèse par clou centromédullaire humérus D (OP le 13.05.2018) Rupture partielle de l'insertion proximale du muscle quadriceps fémoris et du muscle iliopsoas hanche G après traumatisme, le 04.11.2014 (traitement conservateur). Polytraumatisme le 14.06.2018 avec: - Hématome péri-vésical sur un probable saignement Art. obturatoria G - Fracture Ramus inferior + superior de l'os pubis D - Fracture plurifragmentaire peu déplacée de la scapula D - Fracture de côté en série de 3-8 à D avec contusion pulmonaire - Plaies multiples Polytraumatisme le 28.06.2018: - Fracture processus épineux T3-T4 et tassement T11 - Fracture côtes 7-8-9 postérieurs droits. - Fractures côtes 1-2 postérieur et 4-6 postéro-latéral gauche avec épanchement. - Fracture scapulae droite - Hématome sous-galéal frontal, pariétal, occipital Polytraumatisme sévère en 09/2007 avec: - Traumatisme crânio-cervical. - Fractures LeFort III, orbite gauche frontal, pariétal temporal, rocher et sphénoïde gauche. - Surdité mixte gauche à prédominance de transmission, tinnitus et vertiges. - Cécité monoculaire gauche. - Anosmie totale. - Pneumothorax gauche. - Hémopéritoine sur hémorragie rénale et surrénalienne gauche. Polytraumatisme sur accident de la voie publique à haute cinétique le 28.06.2018 avec: - Contusion pulmonaire bilatérale prédominant à droite Polytraumatisme sur AVP à moto Polytraumatisme sur AVP à moto le 07.05.2018 avec: 1) Luxation antéro-inférieure épaule G avec Bankart osseux et avulsion partielle du trochiter - Omarthrose et rupture de la coiffe des rotateurs stade Hamada III avec déchirure complète sus-épineux, sous-épineux rupture partielle du sous-scapulaire, médialisation du tendon du long chef du biceps 2) Fracture-luxation Lisfranc pied G avec: - Fracture sous-capitale des têtes métatarsiennes III, IV et V - Luxation ouverte Gustilo II de la MTP I et de la MTP II 3) Fracture non déplacée, 3ème métacarpien main G 4) Plaie profonde pré-tibiale jambe D 5) Luxation postérieure de l'ulna distal poignet G 6) Dermabrasions multiples des avant-bras et mains, pré-rotuliennes, visage et abdomen.Polytraumatisme sur AVP à moto le 07.05.2018 avec : • Luxation antéro-inférieure épaule G avec Bankart osseux et avulsion partielle du trochiter • Omarthrose et rupture de la coiffe des rotateurs stade Hamada III avec déchirure complète du sus-épineux, sous-épineux, rupture partielle du sous-scapulaire, médialisation du tendon du long chef du biceps • Fracture-luxation Lisfranc pied G avec : • Fracture sous-capitale des têtes métatarsiennes III, IV et V • Luxation ouverte Gustilo II de la MTP I et de la MTP II • Fracture non déplacée, 3ème métacarpien main G • Plaie profonde pré-tibiale jambe D • Luxation postérieure de l'ulna distal poignet G • Dermabrasions multiples des avant-bras et mains, pré-rotuliennes, visage et abdomen. Polytraumatisme sur AVP en moto le 07.05.2018 avec : • Status post ostéosynthèse fracture Lisfranc à G pour fracture ouverte des métatarses 1 à 5 le 15.05.2018. • Status post réduction fermée de l'épaule, immobilisation du membre supérieur G dans un gilet orthopédique, débridement/rinçage de la plaie pré-tibiale D, réduction ouverte et embrochage des rayons 1-2 du pied G pour une luxation antérieure de l'épaule G avec Bankart osseux et avulsion partielle du trochiter, fracture extra-articulaire peu déplacée de la base du 3ème métacarpe G, fracture/luxation Lisfranc G avec fracture sous-capitale métatarse 3-4-5 à G et luxation ouverte Gustilo II des MTP 1-2 à G, plaie profonde pré-tibiale D le 08.05.2018. • Status post arthroscopie diagnostique de l'épaule G, ténotomie arthroscopique du LCB, suture du sus-épineux en mini-open le 17.05.2018. Polytraumatisme sur AVP le 02.06.2018 avec : • Fracture du tiers latéral de la clavicule G • Traumatisme crânien simple • Contusion thorax et bassin Polytraumatisme sur AVP le 02.06.2018 avec : • Fracture clavicule gauche • TCC simple. • Contusion thorax et bassin. Polytraumatisme sur AVP le 18.05.2018 avec : • Fracture humérus proximal D • Fracture du plateau tibial G type Schatzker 5 • Fracture omoplate D et fracture de l'arc costal 11ème côte D • Fracture du sacrum et branche ischio-pubienne G par compression latérale G • Hémorragie sous-arachnoïdienne du sillon frontal D • Contusion myocardique avec élévation modérée des troponines à 21 ng/l • Contusion hépatique • Plaie coude G Polytraumatisme sur AVP piéton contre voiture le 15.03.2018, prise en charge initiale au CHUV du 15.03.2018 au 05.04.2018 avec : • Thorax • Pneumothorax antérieur gauche centimétrique avec épanchement pleural gauche • Volet costal gauche sur fracture des arcs costaux postérieurs 1, antérieurs et postérieurs 2 à 5, 7 et 8, postérieur 9 à 11 avec déformation costale • Fracture des côtes antérieures droites 4 à 6 • Fracture du tiers moyen de la clavicule gauche • Bassin • Fracture du bassin par compression latérale (fracture du sacrum D type Denis I, fracture ilio-pubienne G et ilio-ischio-pubienne D) • Fracture per-sous-trochantérienne gauche • Rachis • Tassement du mur antérieur de D7 possiblement ancien, sans recul du mur postérieur • Fracture des processus transverses droits L3 et L4 • Fracture bi-malléolaire cheville droite Weber B le 15.03.2018 • Fracture Gustilo 2 du plateau tibial externe gauche Schatzker I avec arrachement de 30% du tendon rotulien • Fracture du processus latéral du talus gauche avec luxation sous-astragalienne gauche • Hématome intramusculaire de l'obturateur interne droit, du vaste médial droit et du quadriceps gauche • Mallet finger tendineux D5 gauche • Système locomoteur autre : • Plaie avec perte de substance de l'avant-bras gauche • Plaie profonde en L de la face latérale du genou droit • Plaie superficielle de la face latérale du péroné droit Actuellement : pas de limitation motrice ni de charge Polytraumatisme sur AVP vélo vs moto le 21.06.2018 avec : • Fracture du cotyle G colonne postérieure incomplète avec hémitransversale antérieure peu déplacée et mur postérieur étendu postéro-inférieur en prenant la moitié du dôme postéro-supérieur avec luxation postéro-supérieure hanche à gauche le 21.06.2018 • Fracture de la glène gauche le 21.06.2018 avec facture multi-fragmentaire du corps, du col de l'omoplate gauche • Plaie de 3 cm au niveau de la rotule gauche avec arthrotomie le 21.06.2018 • Hématome cuisse droite le 21.06.2018 • Fracture diaphysaire P1D5 et base MC 4+5 à gauche le 21.06.2018 • Thrombus flottant dans l'artère iliaque externe le 23.06.2018 d'origine post-traumatique probable Polytraumatisme sur chute à vélo à haute cinétique le 24.06.2018 (cf. diagnostics supplémentaires) : • Fractures des côtes 9, 10, 11 déplacées à droite, absence de volet costal • Lacération hépatique stade III avec minime lame de liquide libre en regard • Contusion myocardique avec troponines initiales à 89 ng/l et sus-décalages à l'ECG • Plaie profonde de 6 cm de long flanc D Polytraumatisme sur chute à vélo haute cinétique le 24.06.2018 avec : • Fractures des côtes 9, 10, 11 D (fracture bifocale de 10, unifocale de 9 et 11), sans volet costal. • Lacération hépatique stade III avec minime lame de liquide en regard • Contusion cordis avec troponines initiales à 89 ng/l • Plaie profonde 6 cm flanc D Polytraumatisme sur chute à vélo le 28.05.2018 avec : • Traumatisme crânio-cérébral • Fracture non déplacée condyle occipital D et fracture non déplacée massif articulaire postérieur de C7 D atteignant les deux articulations et passant par le pédicule • Fracture diaphysaire déplacée du 4ème métacarpe main D Polytraumatisme sur chute de 7 m le 08.06.2018 avec : • Contusion du bassin et colonne lombaire • Hématome sous-cutané au-dessus des muscles glutéaux D • Hématome à la face latérale de la racine de la cuisse G • Contusion avec plaie coude D Polytraumatisme sur chute le 02.06.2017 avec : • Fractures des arcs moyens des côtes G 3 à 9 sans hémothorax ni pneumothorax associés. • TCC mineur Polytraumatisme sur chute le 04.06.2018 avec : • TCC simple • Fracture 12ème côte G • Fracture épine iliaque antéro-supérieure G, multifragmentaire type A1 • Fracture tête radiale G type Mason I • Fracture intra-articulaire radius distal et fracture styloïde ulnaire avec probable petite déchirure du TFCC à hauteur de l'articulation radio-ulnaire à D Polytraumatisme sur chute le 25.05.2018 avec : • Traumatisme thoracique avec pneumothorax • Traumatisme crânien, sans perte de connaissance, avec hématome sous-galéal pariéto-occipital G • Fracture de D5 type B avec lésion facettaire bilatérale type Chance et fracture de l'épineuse de D2-D3-D4 avec lésion ligamentaire • Plaie profonde pré-tibiale G • Plaie occipitale • Contusions multiples tibia ddc, 1er rayon pied G Polytraumatisme 2005. Polycontusion corporelle sur chute de sa hauteur le 21.11.2016 avec : • Traumatisme crânien simple avec plaie de l'arcade sourcilière droite. • Contusion main droite. • Contusion des arcs costaux inféro-latéraux gauche. • Contusion épaule gauche. • Contusion genou droit. Démence d'origine mixte probablement vasculaire avec possible composante médicamenteuse et neurodégénérative surajoutées. Malnutrition protéino-énergétique sévère. Status après fracture ancienne du radius distal droit. Épisode dépressif léger. Polyurie le 04.06.18 Polyurie peropératoire le 13.06.2018 DD sur hyperhydratation, diabète insipide Polyurie/polydipsie/hyperglycémie/hypoglycémie. Pommade cicatricante localement. Pommade Floxal. Contrôle en ophtalmologie le 11.06.2018. Pompe à Nexium. Transfusion de 2 culots érythrocytaires le 30.05.2018. OGD le 01.06.2018. Test rapide H. Pylori : négatif. OGD avec biopsies prévues pour le 14.08.2018 - Prof. X, poursuivre Pantozol jusqu'à cette date. Ponction articulaire. Prednisone en schéma dégressif du 20 au 28.05.2018.Traitement hypouricémiant à distance de l'épisode aigu et sous couverture anti-inflammatoire. • Ponction biopsie hépatique prévue le 21.06.18 • Ponction d'ascite dès que la crase le permet • Ponction d'ascite le 07.06.2018 : 4L de liquide jaune clair. Gradient albumine 7 g/l (parle contre une hypertension portale). Cultures négatives. Amas de cellules suspectes. Analyse cytopathologique de l'ascite (Promed C2018.753) : cf. diagnostic. • Ponction d'ascite le 11.06.2018 : 0.5 L de liquide rosé : cultures négatives. • Pose d'un drain abdominal permanent (PleurX) le 15.06.2018 (Dr. X). • Mise en place d'une PICC-Line Pro-PICC® CT 5F (double lumière) 43 cm dans la veine basilique gauche le 08.06.2018 (Dr. X). • Aldactone, diurétiques. • Adaptation de l'antalgie. • Tumor board le 13.06.2018 : proposition de traitement par chimiothérapie uniquement. • Suite de prise en charge oncologique ambulatoire à l'HFR Riaz (la patiente sera convoquée). • Contrôle du drain abdominal par les radiologues en ambulatoire (Dr. X) le 25.06.2018. • Ponction de la lésion du genou gauche et confection d'un plâtre type botte diabétique pied droit le 14.06.2018. • Ponction de l'épanchement le 25.04.2018 : 1.8 litres. • Drain thoracique gauche pour pneumothorax apical du 27.04.2018 au 01.05.2018. • Talcage après retrait du drain de 6 cm le 27.04.2018. • PleurX le 02.05.2018 (Dr. X) : drainage tous les 2 jours, retrait des fils à J14. • Ponction diagnostique genou gauche. • Incision, drainage et lavage abcès en regard de la face externe de la TTA genou gauche (OP le 23.03.2018). • Mise à plat abcès face antéro-latérale de la TTA, ponction genou gauche (OP le 27.03.2018). • Mise à plat abcès face antéro-latérale de la TTA, lavage, ponction intra-articulaire genou gauche (OP le 02.04.2018). • Révision, débridement, lavage PTG gauche, réinsertion tubérosité tibiale, lavage abcès face antéro-latérale de la TTA, genou gauche (OP le 04.04.2018). • Dépose PTG gauche, révision appareil extenseur, mise en place d'un spacer, cerclage-haubanage de distalisation de l'appareil extenseur, débridement élargi (OP le 19.04.2018). Microbiologie liquide d'abcès genou gauche du 23.03.2018 : Staph. epidermidis. Microbiologie de la biopsie profonde genou gauche du 27.03.2018 : négative à J14. Microbiologie de la biopsie de l'interface polyéthylène de la PTG le 04.04.2018 : Staph. epidermidis, négative à J14. IMU-microbiologie CHUV du liquide articulaire genou gauche prélevée le 02.04.2018 : recherche par PCR-large, spectre d'ADN bactérien : négatif. Diagnostic anatomopathologique (tissu intra-articulaire genou gauche du 04.04.2018) - rapport Promed du 13.04.2018 : nodule de tissu de granulation avec exsudat essentiellement fibrinoïde à la surface. Pas de nécrose, pas de granulome, pas de matériel osseux, pas de tissu néoplasique mis en évidence. • Consilium infectiologie le 28.03.2018 + suivi (en annexe). Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 23.03. au 28.03.2018. • Bactrim forte 2x/j p.o. du 29.03. au 04.05.2018. • Cubicine 500 mg 1x/j i.v. du 05.05. au 11.05.2018. • Bactrim forte 2x/j p.o. repris le 11.05.2018 et à poursuivre jusqu'au 31.05.2018. • Ponction diagnostique le 16.05.2018. • Position de pleurocath le 17.05.2018 avec retrait de 800 ml de liquide. • Amoxicilline du 17.05.2018 au 28.05.2018. • Radiographie de contrôle après drainage le 21.05.2018. • Retrait du pleurocath le 23.05.2018. • Enlever le fil le 28.05.2018. • Rendez-vous avec Dr. X en ambulatoire le 11.06.2018 à 17h, avec : • Radiographie de contrôle du thorax le même jour à 16h30. • Ponction d'ovocyte. • Ponction genou droit avec infiltration locale par 40 mg de Triamcort et Lidocaine le 03.05.2018 : Gram négatif. Prélèvements bactériologiques : Liquide articulaire genou droit du 03.05.2018 : négatif à J2. • Consilium rhumatologie le 03.05.2018 (en annexe). Allopurinol. Colchicine. Dosage de l'acide urique à effectuer à distance de la crise. Contrôle dans 4 semaines chez le médecin traitant. • Ponction genou droit (OP le 08.05.2018). Test Synovasure positif. Dépose PTG droit, débridement tissulaire, implantation spacer cimenté (OP le 10.05.2018). Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 10.05. au 12.05.2018, gérée par les anesthésistes. • Consilium infectiologie le 15.05.2018 (en annexe). Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j i.v. du 10.05. au 25.05.2018. • Rocephin 2 g 1x/j i.v. dès le 26.05.2018, à poursuivre jusqu'au 22.06.2018. • Pose PICC-Line dans la veine basilique droit le 29.05.2018. • Ponction genou gauche. • Ponction hanche gauche le 17.04.2018 : 1580 leucocytes avec polynucléaires à 22%. La bactériologie classique est restée négative. Mesure du Cobalt et du Chrome dans le liquide de la ponction : Cobalt à 1956 µg/l. Chrome à 2961 µg/l. • Ponction intra-articulaire du genou gauche : cf. copie ci-jointe. • Ponction le 30.05.18. Prochain contrôle le 22.06.18. • Ponction lombaire. • Ponction lombaire : (Dr. X et Dr. Y) ponction initiale en L3-L4, puis L2-L3 avec succès. Désinfection Chlorhexidine. Anesthésie locale par Rapidocaïne 1% environ 8 mL. Liquide eau de roche. • 1 élément, atraumatique. Glucose 3.3, Lactates 1.48. Streptotest : positif. Pénicilline V 1mio 3x/jour pendant 10 jours. Antalgie. Recommandations habituelles post-PL. • Ponction lombaire du 06.06.2018. • Ponction ovarienne élective. • Ponction péricardique le 02.06.2018 (Dr. X) : liquide citrin, 500 ml, amas de cellules suspectes. Cytologie Promed (2018729 : compatible avec cellules d'un carcinome mammaire canalaire. • Ponction pleurale : 1000 ml, liquide trouble (hématique), avec amas de cellules suspectes. Cytologie en cours. Surveillance hémodynamique aux soins intensifs. CT thoracique le 02.06.2018. • ETT le 02.06.2018 (Dr. X). • Echographie ciblée des soins intensifs (Dr. Y / Dr. Z) le 03.06.2018 : épanchement péricardique modéré avec retentissement sur le ventricule droit, fonction ventriculaire droite visuellement conservée, oreillette droite dilatée, insuffisance tricuspidienne, FEVG visuellement conservée (ITV 14.8 cm). ETT le 04.06.2018 : bonne régression de l'épanchement péricardique post-drainage avec persistance d'un épanchement circonférentiel modéré max 1,5-2 cm en regard des cavités droite et de l'apex mais sans répercussion hémodynamique. • Ponction péricardique le 02.06.2018 (Dr. X) : liquide citrin, 500 ml. • ETT le 02.06.2018 (Dr. X). • Echographie ciblée des soins intensifs (Dr. Y / Dr. Z) : épanchement péricardique modéré avec retentissement sur le ventricule droit, oreillette droite dilatée, insuffisance tricuspidienne, FEVG visuellement conservée (ITV 14.8 cm). • ETT le 04.06.2018 (demandé). • Ponction pleurale à droite (1.5 L) le 01.06.2018. • Ponction pleurale à gauche (850 ml) le 02.06.2018. US post ponction (Dr. X) : pas de pneumothorax traumatique. ECG superposable. Ponction prévue en radiologie le 04.06.2018 (Dr. X). Patiente refuse une hospitalisation malgré les explications données. Souhaite une ponction ce jour et reviendra le 03.06.2018 si nécessaire, dans ce cas la patiente acceptera d'être hospitalisée (discuté avec Dr. X). Le 04.06.2018, la patiente consultera Dr. X et rediscutera de la pose d'un PleurX. • Ponction pleurale à droite (1.5 L) le 01.06.2018. • Ponction pleurale à gauche (850 ml) le 02.06.2018. • Ponction pleurale à droite (1 L) le 03.06.2018. Laboratoire : hypoalbuminémie sévère, hyponatrémie à 128 mmol/l, syndrome inflammatoire à la hausse. Sédiment et urotube urinaire à pister. Rx thorax. CT thoracique : masse LIG envahit une artère segmentaire, progression oncologique, épanchements pleuraux bilatéraux, épanchement péricardique de 1 cm, images en verre dépoli diffuses, pneumomédiastin (plus grande bulle de 2 x 3 cm), pas d'EP. Hydratation. Perfusion d'albumine 20 g aux urgences.Tavanic et Clindamycine (post ERCP) remplacé par Ro-flagyl (couverture pulmonaire, abdominal et urinaire) Ponction prévue en radiologie le 04.06.2018 (Dr. X) CAVE: ne pas dire les résultats du scanner à la patiente, en parler avec son mari Ponction pleurale en électif. Ponction pleurale le 19.06.2018 Xarelto suspendu dès le 17.06 Ponction, rinçage et prélèvement bactériologique Traitement antibiotique Frottis bactériologique: culture négative Ponctionné le 29.03.2018 dans un contexte de chute (hémothorax exclu) Poursuivre diurétiques Mise en suspens anticoagulation orale pour ponction si nécessaire Ponctions au pli du coude gauche possibles sous échographie Pontage aorto-bifémoral prévu le 27.06.2018 -> reporté Pontage aorto-fémoral gauche, aorto-iliaque droit et endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche le 30.04.2018 Mise en place d'un pansement VAC le 13.05.2018 et changements itératifs Fermeture laparostome le 08.06.2018 Pontage fémoro-poplité bas du membre inférieur droit à l'aide d'une veine inversée le 12.06.2018 Pontage fémoro-poplité proximal supra-géniculé à l'aide de la grande veine saphène ipsilatérale inversée du membre inférieur gauche le 22.05.2018 Pontage fémoro-poplité P3 à gauche à l'aide d'une prothèse Omniflow le 04.04.2016 Status post-résection sigmoïdienne pour une diverticulite perforée en 2006 Cystadénolymphome de la parotide gauche ayant nécessité une parotidectomie gauche en 2009 Porphobilinogène urinaire qualitatif : positif Porphobilinogène urinaire quantitatif : 90.7µmol/L, PBG urinaire/créatinine: 12 (<1.25) (Stadtspital Triemli, Zurich), Avis Prof. X (Stadtspital Triemli Zurich) : Pas de traitement spécifique. Assurer un apport en glucides suffisant. Si le patient n'arrive pas à s'alimenter, ad perfusion Glucose 5% (en surveillant l'apparition d'une hyponatrémie sur SIADH). Éviction des facteurs favorisants (OH, certains médicaments. Cf. liste des médicaments autorisés sur : http://www.porphyria.ch/formulare/medikamenten_merkblatt_2017.pdf). Surveiller l'apparition de troubles neurologiques nouveaux (polyneuropathie sensitive ou motrice). Portage cervical de C.trachomatis positif sur frottis du 19.06.2018 Portage de streptocoque du groupe B Portage du streptocoque B Portage du streptocoque du groupe B Portage du streptocoque du groupe B Portage du streptocoque du groupe B Portage du streptocoque du groupe B Portage du streptocoque du groupe B inconnu Portage streptocoque du groupe B Portage streptocoque du groupe B Portage streptocoque du groupe B Portage streptocoque du groupe B Portage vaginal E.Coli ESBL Porteur de Entérocoque résistant à la Vancomycine : • Frottis rectal positif 14.03.2018 (Hôpital de l'Ile à Berne) • Sepsis à VRE en aplasie 16.03.2018 (Hôpital de l'Ile à Berne) Porteur sain d'un staphylococcus aureus Méti-R. Porteuse de MRSA. Ports de bas de contention. Pose ballonnet cervical utérin cytotec selon protocole dostinex post-op pour éviter la lactation Pose cathéter de dialyse fémoral droit le 04.05.18 Hémofiltration du 04.05.18 au 06.05.2018 VNI par intermittence du 03.05.18 au 12.05.2018 Pose de boucle Omniflow sur le membre supérieur gauche le 22.06.2018 Pose de clippage cérébral au CHUV (anévrisme de la pointe du tronc basilaire), sous Cardio-Aspirine Accident ischémique transitoire en avril 2009 Dermo-hypodermite du membre supérieur droit à S. agalactiae : • Rocéphine 2g intraveineux du 05.07.2016 au 06.07.2016 • Co-Amoxicilline 1g 3x/j par voie orale du 06.07.2016 au 17.07.2016 Probable décompensation cardiaque globale Agitation et déambulation nocturnes Pose de défibrillateur Pose de défibrillateur triple chambre le 28.06.2018 (fecit Dr. X) Radio de thorax post-pose le 28.06.2018 Poursuite du traitement habituel Pose de drain biliaire avec guidage radiologique le 25.05.2018 Rocéphine et Flagyl i.v. du 25.05.2018 au 29.05.2018 Ciproxine et Flagyl p.o. du 29.05.2018 au 07.06.2018 Pose de drain transtympanique et opération des végétations en mai 2012 Maladie cœliaque ttt par diète et movicol en réserve Pose de Holter le 04.06.2018 Consultation chez le Dr. X le 25.06.2018 Pose de la sonde naso-gastrique de décharge du 30.05.2018 au 02.06.2018 OGD le 30.05.2018 Alimentation par voie périphérique (Periolimel) du 30.05.2018 au 03.06.2018 Pose de mitraclip élective Pose de Pacemaker Pose de pacemaker Pose de pacemaker Pose de Pacemaker à 3 sondes (resynchronisation) le 21.06.2018, dans un contexte de fibrillation auriculaire lente mal tolérée Pose de pacemaker définitif bicaméral par Dr. X, le 14.05.2018 Contrôle du dispositif dans 6 semaines à la PMU du CHUV ou chez le cardiologue traitant Pose de pacemaker le 11.06.2018 • Compatibilité IRM : Oui à 3 T corps entier • CRT-P, pacing à 50 bpm Pose de pacemaker Medtronic Astra XT DR MRI X2DR01, AAI-DDD 60 Pose de Pacemaker Medtronic 5076-58 PJN941130, bipolaire endocardique le 30.05.2018 (Dr. X, Clinique La Source) Appendicectomie en 1985 Pose de Pacemaker 3 sondes Pose de pacemaker-défibrillateur en 2002 Cardiopathie ischémique avec coronarographie au CHUV en 2002 pour infarctus silencieux ETT du 12.12.2016 (Dr. X) : hypokinésie du territoire antéro-apical Coronarographie au CHUV (Dr. X) : akinésie apicale secondaire à l'infarctus de 2002 Diabète de type 2 sous metformine Pose de pacemaker-défibrillateur en 2002 Cardiopathie ischémique avec coronarographie au CHUV en 2002 pour infarctus silencieux Intolérance au glucose sous metformine Cardiopathie ischémique avec coronarographie au CHUV en 2002 pour infarctus apical silencieux ETT du 12.12.2016 (Dr. X) : vu présence d'hypokinésie du territoire antéro-apical, rapatrier information du CHUV et réévaluer une coronarographie. Si absence de clinique d'angor et si atteinte IVA distale connue, pas de coronarographie. Coronarographie au CHUV (Dr. X) : akinésie apicale secondaire à l'infarctus de 2002. Pose de pacemaker-défibrillateur le 28.06.2018 (Dr. X) Rx du thorax le 28.06.2018 Pose de PCA de morphine du 19.06.2018 au 22.06.2018 Pose de plaque DHS pour fracture hanche gauche Pose de prothèse de hanche droite Cholécystectomie Fracture péri-prothétique spiroïde du fémur droit Vancouver B, traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et cerclages, le 11.09.2015 Sciatalgie droite (contexte de prothèse totale de hanche) le 28.08.2017 : • Canal lombaire étroit L4-L5 sur protrusion discale postérieure et hypertrophie des ligaments jaunes • Spondylarthrose • IRM lombaire : discopathies pluri-étagées avec protrusion discale et canal lombaire étroit Infection urinaire basse à E. faecalis le 31.08.2016 Insuffisance rénale AKIN 2 avec une créatinine à 193µmol/l le 29.09.2017 Pose de R-Test le 02.07.2018 Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 11.07.2018 Pose de SNG et début nutrition entérale selon les indications des nutritionnistes Avis psychiatrique (Dr. X) Transit baryté le 07.06.2018 : pas de trouble de la motilité Pose de SNG le 06.06.2018 Nutrition par SNG dès le 06.06.2018 RAD avec la SNG et des SAD 2x/j Pose de sonde double J le 04.06.2018 à Daler Remplissage vasculaire Antibiothérapie per opératoire par Zinacef Tienam à partir du 04.06.2018 Pose de sonde naso-gastrique du 17.06.2018 au 19.06.2018 Pose de sonde PEG Pose de sonde PEG 06.06.2018 (Dr. X) Pose de sonde silicone numéro 16. Pose de sonde urinaire impossible au domicile. Pose de sonde urinaire avec robinet. Pose de sonde urinaire avec sevrage sans complication. Pose de sonde urinaire le 07.06.2018 Pose de Sonde vésicale Pose de sonde vésicale aux urgences Pradif 0.4mg 1x/jour dès le 05.06.2018 Pose de 2 mitralclips le 28.06.2018 sous anesthésie générale (Dr. X) ETT de contrôle le 29.06.2018 (Dr. X) Pose des drains transtympaniques durant l'enfance. Pose d'un pacemaker (Biotronic Edora 8 DR, DDD 50-150/min) par Dr. X, le 23.04.2018 1er contrôle du pacemaker à 2 mois post pose par Dr. X Évaluation de l'indication de l'implantation d'un DCI dans les 2 mois suivant l'échocardiographie Pose d'une SNG le 22.06.2018 Nutrition entérale le 22.06.2018 Nutrition parentérale du 22.06.2018 au 25.06.2018 Avis diététique à demander à l'étage Pose d'une sonde trois voies et rinçages du 08. au 11.06.2018 Pose d'une sonde vésicale du 22.06.2018 au 25.06.2018 Pose d'une VVP US tissus mous du cou + abdominal Dr. X: cf ci-dessous Examen sanguin : présence de lymphocytes activés, mais pas de blastes visibles (Frottis réexaminé une 2ème fois directement au laboratoire). CRP<5, VS 3, Lc 7.9, LDH à 461 Sérologie: Toxoplasmose négatif, CMV IgM négatif (IgG positif), EBV négatif • à pister : Parvovirus B19, Brucellose, Tularémie, Interféron gamma TBC Rx Thorax: pas d'élargissement médiastinal, pas de foyer. Consultation le 26.02.18 à 14h chez le prof. X: discussion des résultats Possible accident ischémique transitoire le 16.06.2018: • NIHSS d'entrée: 0 • DD: épilepsie (3 récidives avec même symptomatologie) Possible AIT de la fosse postérieure dans le territoire vertébro-basilaire le 29.05.2018 avec : • symptomatologie d'entrée : nausée, ptose labiale et asymétrie faciale G, ataxie, diplophonie • NIHSS 2 à l'entrée • DD : neuronite vestibulaire gauche avec atteinte du N. VII, DD Lyme Possible anémie hémolytique auto-immune Possible AVC ischémique le 29.05.2018 • NIHSS 2 à l'entrée (asymétrie faciale, ataxie) DD: neuronite vestibulaire gauche avec atteinte du N. VII Possible BPCO dans un contexte de tabagisme chronique Possible candidose oro-pharyngée. Possible cardiopathie valvulaire +/- hypertensive, actuellement non décompensée. Possible contusion de l'avant-pied. DD : entorse de Lisfranc. Possible corps étranger au quadrant inféro-externe de l'œil droit. Possible crise migraineuse avec aura 18.06.18. Possible crise tétanique sur douleur et angoisse objectivée aux urgences, d'une durée de 5 minutes. Possible décompensation cardiaque aiguë le 06.06.2018 • sur arrêt des traitements • Pro-BNP 1'320 Possible érythème migrant consécutif à une piqûre de tique (cuir chevelu). Possible fracture de la tête radiale droite Messen I le 18.06.2018. Possible fracture du nez le 10.06.2018. Possible gastrite chronique à H. Pylori, exacerbée dans un contexte de jeûn (Ramadan). Possible gastrite. DD: ulcère sur prise d'AINS. • Score Blatchford 0. Possible gastro-entérite virale le 23.06.2018. Possible hémorragie du corps vitré droit sur traumatisme oculaire le 29.06.2018. • pas de signe pour Hyphéma • pas de fausse instabilité de l'orbite. • pas de limitation de la mobilité ni diplopie. Possible hypertension artérielle avec crise hypertensive inaugurale symptomatique le 06.06.2018 Possible hypertension artérielle avec crise hypertensive inaugurale symptomatique le 06.06.2018. Hyponatrémie hypoosmolaire à 123 mmol/l le 07.06.2018: • chez une patiente en euvolémie. Possible intoxication médicamenteuse: Truxal, Zolpidem, Citalopram Possible lésion du ménisque externe gauche le 08.06.2018. Possible lésion méniscale interne du genou droit le 08.06.2018. Possible luxation - déluxation de l'épaule droite, le 06.06.2018. Possible myopathie sur stéroïdes et statine le 11.06.2018 Possible pneumonie d'aspiration le 01.06.2018 • patient porteur d'une sonde-nasogastrique Possible pneumonie LIG à S. pneumoniae le 17.06.2018 Possible pneumonie nosocomiale le 30.05.2018 : • Pic fébrile à 38,9°C, toux en augmentation, apparition de ronchis, râles grossiers en base droite, crépitants en base gauche • Diagnostics différentiels : sur infection urinaire, fièvre sur hématome bras droit Possible pneumonie nosocomiale le 30.05.2018 • pic fébrile à 38,9°C, toux en augmentation, apparition de rhonchi, râles grossiers en base droite, crépitants en base gauche • DD sur infection urinaire, DD fièvre sur hématome bras droit Possible réaction allergique à l'amoxi Possible réaction allergique au Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018 Possible rupture du ligament croisé antérieur le 01.06.2018 avec : possible lésion du ménisque interne. Possible spoliation digestive le 27.06.2018 • épisodes de selles liquides noirâtres depuis environ une semaine Possible syndrome anxieux et crise d'hyperventilation. Opération du genou gauche à 2 reprises. Possible syndrome mixte obstructif (ancien tabagisme) et restrictif sur obésité-hypoventilation Possible trauma crânien Possible virose à Coxsackie avec syndrome inflammatoire et état fébrile avec : • pharyngite, éruption cutanée papulo-érythémateuse, atteinte pulmonaire, péricardique probable, arthralgies diffuses, otalgies gauches • introduction d'antibiothérapie par Co-Amoxi le 16.06.2018 par le médecin de garde, sans effet. Possibles troubles de l'adaptation dans un contexte conjugal difficile. Posthectomie. Ablation de dent sous anesthésie générale. Postpolypéctomie par hystéroscopie et pose stérilet Mirena chez une patiente nulligeste de 40 ans. Potassium Effervette Potassium effervette Potassium effervette aux urgences. • Substitution orale 3 jours puis contrôle semaine prochaine. Potassium effervette transitoirement Suivi biologique : K 4.4 mmol/l le 04.06.2018 Potassium effervette 30 mEq aux urgences. KCl iv 40 mEq sur 24h. Mise en pause de l'Esidrex. Potassium 20 mEq IVL aux urgences (sur deux heures). Potassium effervettes 2 cp par jour pendant 3 jours. Consulter chez le médecin traitant d'ici 10 jours pour contrôle clinico-biologique. Potassium 3.1mmol/L sur la gazométrie Potassium 40 mEq/24 heures. Suivi biologique (normalisation de la valeur le lendemain). Pouce à ressaut bilatéral à prédominance D. Pouce à ressaut droit chronique. Pouce à ressaut droit du 1er degré post-traumatique. Pouce à ressaut du 3ème degré droit. Pouce à ressaut du 4ème degré main gauche. Pouce à ressaut main gauche symptomatique. Status post cure de pouce à ressaut main droite le 14.3.2017. Pouce de skieur (lésion partielle LCU) à droite. Pouce du skieur à G le 16.06.2018. Pouce du skieur main gauche le 11.06.2018. Pouce du skieur osseux gauche Pouce gauche : reconstruction ligament collatéral ulnaire le 27.02.2018. Pouls périphériques perçus, TRC normale Pas de varices ni induration du mollet à gauche Pour ces douleurs du genou droit d'apparition insidieuse depuis 3 jours avec impotence fonctionnelle chez ce patient de 87 ans, nous effectuons un bilan radiologique qui montre un épanchement intra-articulaire sans fracture visualisée et un bilan biologique qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Nous retenons un diagnostic différentiel de chondrocalcinose. Pas d'argument clinique pour un kyste de Baker. Un rendez-vous de contrôle est pris chez son médecin traitant le jeudi 21.06.2018 à 14h30. Traitement antalgique Reis préconisé. Pas d'anti-inflammatoire en raison du peu de douleur et du traitement habituel par Xarelto et reflux gastro-oesophagien connus. Le patient est averti de venir reconsulter si les symptômes se péjorent ou si un état fébrile apparaît.Pour confirmer l'irritation du nerf radial, on envoie la patiente chez le neurologue afin d'effectuer une ENMG. Entre temps on lui prescrit une thérapie avec Lyrica®. Prochain contrôle après l'investigation. Pour éclaircir la situation, on prescrit une IRM lombaire avec des séquences de diffusion discale et étude des ROI et du nucleus. Nous le reverrons d'ici 2 mois pour décision si indication ou non à une discectomie. Entre temps, on l'incite à continuer le renforcement musculaire et on prolonge l'arrêt à 70%. Nous restons à disposition. Pour la contusion dorsale, une radiographie du thorax est effectuée pour exclure un pneumothorax ou une fracture. Aucun de ces deux éléments n'est trouvé. Pour la plaie du coude, nous désinfectons à la Bétadine et anesthésions localement avec de la Lidocaïne 1% et du Bicarbonate 8.4%. L'exploration sous anesthésie locale à la recherche de corps étrangers et d'atteinte des tissus mous est effectuée, elle ne montre aucun de ces deux éléments et exclut donc une atteinte de la capsule articulaire. Ensuite, nous rinçons abondamment avec une solution NaCl, suturons par 3 points simples à l'Ethilon 3-0 et mettons en place une protection par pansement Adaptic et bande. Nous lui prescrivons une antalgie en réserve selon les douleurs par Dafalgan 1 g et Brufen 400 mg et lui donnons un arrêt de travail jusqu'au 27.06. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle de plaie à 48h et l'ablation des fils à 12-14 jours. Nous l'informons sur le risque infectieux et les signes et symptômes associés (chaleur, rougeur, douleur, déhiscence, écoulement, tuméfaction) et qu'en cas d'apparition de ces derniers, il peut se représenter aux urgences ou chez son médecin traitant immédiatement. Pour la Dr. X : • isolement aérosols tant que BAAR présents dans les expectorations. Expectoration avec Ziehl-Neelsen à refaire le 26.06.2018 • bilan hépatique et rénal à refaire le 26.06.2018 • traitement anti-tuberculeux : Rimstar 3x/j le matin à jeûn 30 à 60 minutes avant le repas pendant 2 mois. Puis Rifinah 3x/j pendant 4 mois • substitution Benadon 6 mois (jusqu'à janvier 2019) • radiographie de contrôle début août (à l'arrêt du Rimstar) et début janvier (à l'arrêt du Rifinah) • s'assurer de la compliance médicamenteuse Pour la patiente, la situation est vivable telle quelle. Elle ne souhaite pas d'attitude active. Elle me recontactera en fonction de l'évolution. Pour la plaie au menton, nous désinfectons, appliquons du gel anesthésique et suturons par 1 point simple au Dafylon 5-0. Concernant l'auriculaire droit, nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Le patient rentre à domicile avec sa maman, à qui nous avons expliqué les signes d'alarme post-traumatisme crânien qui doivent motiver une nouvelle consultation en urgences. Nous lui prescrivons une antalgie par Algifor. Un rendez-vous pour l'ablation des fils chez le médecin traitant sera à fixer à 5 jours. Pour les douleurs neuropathiques, nous lui proposons de faire une infiltration du nerf plantaire branche latérale, chez le Dr. X, Centre de la douleur HFR. Le patient travaillera à 90% jusqu'à mi-juillet. Contrôle à notre consultation après cette infiltration. Pour les prochaines deux semaines, mobilisation avec le plâtre, puis par la suite avec le plâtre en charge progressive pour deux semaines, puis dans 4 semaines sans plâtre et charge progressive. Contrôle rx-clinique avec des rx en charge dans 6 semaines. Pour l'instant il n'y a pas d'indication à effectuer d'opération AMO, par contre si la douleur revient on discutera éventuellement de la mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. Pour l'instant, nous laissons en suspens l'option chirurgicale (cure de pseudarthrose, mise en place d'une lame/plaque). Étant donné la réaction de l'os après la dynamisation, il est très important que la patiente poursuive les séances de physiothérapie et essaie de charger. On demande au médecin d'adapter l'antalgie selon les exigences et les comorbidités de la patiente. Nous reverrons la patiente pour un contrôle radio-clinique dans 3 mois. Pour ma part, attitude expectative. Prescription de physiothérapie pour traitement local avec massages et application de silicone. Un prochain rendez-vous est programmé à ma consultation le 06.08.2018. Pour ma part, pas d'attitude active. L'IRM permet d'exclure une pathologie majeure expliquant les plaintes de la patiente. Je conseille la poursuite de la physiothérapie. Un traitement d'ostéopathie pourrait être discuté, malheureusement la patiente ne possède pas d'assurance complémentaire pour une telle prise en charge. Je revois la patiente d'ici 3 mois (3.9.18). Pour mémoire : • Drépanocytose homozygote • Alpha-thalassémie hétérozygote • Déficit en G6-PD • Première crise vaso-occlusive février 2012 à l'âge de 1 an et 8 mois, hospitalisation, hydratation, antalgie palier 1 et 2 (codéine) • DTC risque cérébro-vasculaire élevé (en vitesse systolique) sur l'ACM droite (août 2012, refus de programme transfusionnel), angio-IRM cérébrale janvier 2013 décrite comme anormale avec zones de gliose de la substance blanche; anémie sévère chronique ==> début des transfusions érythrocytaires 10.10.2013(HFR). IRM cérébrale en décembre 2014 normale : retard de myélinisation plutôt que gliose. Début d'hydroxyurée septembre 2015 avec arrêt du programme transfusionnel en décembre 2015 • Syndrome thoracique aigu (foyer basal droit) et anémie sévère aiguë (Hb 46 g/l) 18.02.2013 (HFR) le 22.06.2018 • Syndrome thoracique aigu en juillet 2016 • CVO complexe hospitalisé, dernière en date 2017 • Épisode de boiterie en mai 2015, 48 h (douleurs genou gauche, mollet gauche, US genou sp) • Nouvel épisode le 1er octobre 2015 avec US de hanche sp, radio de bassin : affaissement focalisé antéro-supérieur de l'épiphyse fémorale marqué à gauche peut être en rapport avec l'ostéonécrose débutante non confirmée à l'IRM de hanche du 06 octobre 2015 et retrouvait néanmoins des signes de remaniement inflammatoire niveau branche ischiopubienne gauche avec réaction périostée jusqu'au muscle obturateur externe et interne • Varicelle printemps 2014 • Suivi vaccinal (en particulier pneumocoque et ni lyngocoque) à vérifier • Contrôle ophtalmo en août 2014 sp, suivi à vérifier • Hémosidérose secondaire début d'un traitement par Exjade de décembre 2014, relais par Jadenu automne 2017 • Hémoglobine de base 80-85 g/l sous programme transfusionnel espacés (3 mois) depuis novembre 2017 • Déficit en vitamine D (min 17 nmol/l) en août 2016 • Une sœur Chayna 03.01.2016, AS, HLA compatible (premier groupage 25.04.2018) Pour nous, il s'agit de séquelles au niveau de l'appareil ligament de la cheville. Nous poursuivons la physiothérapie avec des US et iontophorèse au Voltarène. Nous lui prescrivons des Flector patch à appliquer localement. Nous la reverrons dans 2 mois pour réévaluer la situation. Pour nous il y a une indication opératoire chez ce patient jeune et sportif et il est d'accord avec la prise en charge chirurgicale. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques per et post-opératoires, il donne son accord écrit. L'intervention est agendée pour le 04.07.18. Pour nous, le traitement est terminé. Le patient prendra contact avec nous si nécessaire. Il lui est conseillé d'attendre un délai de 12 semaines avant de pratiquer des sports de montagne, ainsi que des sports avec des contacts. Vélo, piscine et marche sont autorisés.Pour rappel fond d'œil effectué lors de l'hospitalisation précédente. Consultation prévue à Lausanne chez le Dr. X pour évaluation de la vision • service de santé visuelle. Pour rappel, Monsieur Machuret, 61 ans, connu pour une cardiopathie ischémique monotronculaire stentée en 2013, qui présente des douleurs rétrosternales typiques non irradiantes, sans dyspnée le 28.05.2018. Le patient rapporte avoir arrêté de lui-même son traitement antiagrégant par Aspirine et Efient il y a un an. L'ECG initial met en évidence un STEMI. La coronarographie montre une occlusion de la coronaire droite distale avec implantation de deux stents actifs. La ventriculographie montre une fraction d'éjection de 48%. Lors du séjour aux soins intensifs, le patient reste stable hémodynamiquement sans troubles du rythme. Un traitement par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois est débuté. A l'étage, il reste stable tout au long du séjour avec tendance à l'hypotension et bradycardie, mais toujours asymptomatique. Pour cette raison, nous ne pouvons introduire d'IEC ni de bêta-bloquants pour le moment. Une échocardiographie de contrôle le 30.05. montre une fraction d'éjection à 58% sans hypokinésie. Le patient peut rentrer à domicile le 31.05.2018. Nous proposons un contrôle chez le cardiologue Dr. X dans un mois. Une ergométrie sera à faire dans un an. Pour ses céphalées, nous proposons au patient un traitement symptomatique par Dafalgan et Ibuprofen, ainsi qu'une consultation chez un ostéopathe. Pour le traitement prescrit à Payerne, conseil de retourner au contrôle (feuille d'info pour piqûre de tique donnée) et de trouver un médecin traitant. Poursuite ACO. Poursuite Amlodipine. Introduction Lisinopril. Poursuite antalgie simple par Dafalgan au domicile, éviter les AINS. Consigne de reconsulter immédiatement si péjoration des douleurs voire altération de l'état général : à ce moment-là, on fera un bilan sanguin et une échographie abdominale. Poursuite antibiothérapie. Pister Coprocultures chez le MT. Cultures de selles à refaire si passage de selles. Poursuite anticoagulation. Poursuite Aspirine Cardio, Bisoprolol, Atorvastatine. Poursuite Atorvastatine. Poursuite bêtabloquant. Poursuite Co-amoxi 1g en intraveineux jusqu'au 05.06.2018. Surveillance. Poursuite d'euphrasia. Poursuite de ciproxine pendant 14 jours. Culture des urines à l'entrée : négatif. Traitement à réévaluer : cf TIP n.1. Poursuite de la Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané jusqu'à Sintrom thérapeutique après 2 contrôles successifs. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 ainsi que l'ablation des fils. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X dans 6 semaines. Poursuite de la désinfection de l'oreille droite à la bétadine. Poursuite de la marche en charge à l'aide d'une botte Sarmiento. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite de la marche en charge selon douleurs avec abandon progressif des cannes. Pas d'activité à choc ou à risque jusqu'au prochain contrôle dans 2 mois. Poursuite de la mise au repos pour une durée supplémentaire de 2 semaines, par la suite ablation de l'attelle, prescription d'ergothérapie. Incapacité de travail établie jusqu'au 30.06.2018. Par la suite reprise en fonction de ses douleurs. Nous établirons lors du prochain contrôle clinique un certificat médical en fonction des capacités de travail de la patiente. Poursuite de la mobilisation dans le plâtre pour encore 2 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. Poursuite de la mobilisation en flexion/extension comme nous lui avons montrée. Nous la reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Poursuite de la mobilisation libre avec charge selon douleurs dans cette nouvelle prothèse. Le sérome a été remplacé par un liquide solide en profondeur, qui est indolore. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite de la mobilisation sans restriction. Nous lui donnons un bon de physiothérapie et la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. Poursuite de la nutrition entérale. Poursuite de la physiothérapie à domicile pour maintien des acquis. Poursuite de la physiothérapie afin de récupérer les derniers degrés de mobilité. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite de la physiothérapie afin de renforcer la cheville G avec des exercices de stabilisation et de proprioception. En ce qui concerne la boursite au niveau du genou D, nous proposons au patient un traitement conservateur, qui sera réévalué lors du prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique le 20.08.2018. Poursuite de la physiothérapie ambulatoire et à domicile. Contrôle chez le neurologue traitant de la patiente. Suite de prise en charge par le MT. Poursuite de la physiothérapie avec augmentation des amplitudes articulaires. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie avec charge complète de la jambe droite. Antalgie selon besoin. Contrôle clinique de l'ongle incarné DIG I pied droit en dialyse. Poursuite de la physiothérapie avec charge selon douleurs, mobilisation de la cheville, tonification musculaire et stretching. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 11.07.2018 avec reprise à 50% dès le 12.07.2018 jusqu'au 13.08.2018. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Poursuite de la physiothérapie avec des exercices à faire à son domicile. Nous prescrivons au patient des semelles pour l'avant-pied afin de maintenir une dorsiflexion dans les chaussures. Prochain contrôle clinique dans 6 mois. Poursuite de la physiothérapie avec des exercices à refaire à son domicile. En cas d'apparition de douleurs gênantes dans la vie quotidienne, nous conseillons à la patiente de reprendre contact avec notre service afin d'organiser une nouvelle infiltration. Poursuite de la physiothérapie avec école de marche en charge et mobilisation. Arrêt de sport pour les 6 prochaines semaines. Reprise du travail à 100% dès le 02.07.2018. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie avec prescription d'une cure d'anti-inflammatoires de 10 jours afin de calmer l'inflammation actuelle. Prochain contrôle dans 2 mois. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire, drainage. Je lui remets une ordonnance pour de nouveaux souliers orthopédiques et un support plantaire. Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Rendez-vous en orthopédie à Berne le 13.06.2018 pour contrôle clinico-radiologique. Rendez-vous de suivi à la consultation d'insuffisance cardiaque (Hôpital de l'Ile) : le patient sera convoqué. Rendez-vous chez le médecin traitant le mercredi 20.06 à 8h50 avec • contrôle de la formule sanguine (2 semaines post-arrêt des antibiotiques) • arrêt de l'Arixtra et reprise de l'anticoagulation par Xarelto • contrôle des électrolytes, en particulier K+ • réévaluation de l'indication au traitement de Pantozol. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie afin de regagner les derniers degrés de mobilité. Reprise du travail à 100% dès le 01.07.2018. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% pour un mois supplémentaire. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Poursuite de l'incapacité de travail. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie et du traitement anti-inflammatoire. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie et ergothérapie. Garder l'attelle pour les déplacements hors de la maison. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Le patient se montre aussi très motivé pour faire des exercices lui-même. Concernant les suites neurologiques du traumatisme crânien, il pourra reprendre une activité professionnelle à 30° à titre d'essai dans les mois à venir. Poursuite de la physiothérapie. Nous organisons une IRM du genou D. Nous prescrivons également des semelles orthopédiques avec soutien de la voûte plantaire. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique et pour discuter des résultats de l'IRM. Poursuite de la physiothérapie pour gagner les amplitudes articulaires. Contrôle à une année post-opératoire. Poursuite de la physiothérapie pour proprioception et stabilité. Poursuite de la marche en charge selon douleurs. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite de la physiothérapie pour regagner les amplitudes articulaires complètes. Prochain contrôle à distance. Poursuite de la physiothérapie pour remobilisation et des exercices en piscine. Prescription d'un bas compressif stade II pour la tuméfaction. Arrêt de travail avec incapacité de 70% jusqu'au 22.6.2018. Le patient ne peut pas encore conduire. Contrôle rx-clinique avec des rx en charge dans 6 semaines. Si les douleurs persistaient, il faudra contrôle s'il y a un impingement de la plaque. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement musculaire, proprioception et école de marche. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. En cas de persistance de douleurs au niveau de la voûte plantaire, nous prescrirons à la patiente une semelle orthopédique avec soutien de la voûte plantaire, une fois la fracture consolidée. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle comme prévu dans quelques semaines. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle comme prévu en consultation. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle dans 6-8 semaines. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique à 1 année post-opératoires. Poursuite de la physiothérapie qui a amené à une évolution favorable. Je prévois un contrôle dans 2 mois que le patient annulera si l'évolution continue d'être favorable. Poursuite de la physiothérapie. Renforcement musculaire et mobilisation. Prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie 1x/semaine avec des exercices à reproduire à domicile avec charge et mobilisation libre. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Poursuite de la prise en charge oncologique par nos collègues de l'oncologie en ambulatoire Co-Amoxi jusqu'au 08.06.2018 Alimentation d'abord liquide durant 48h puis lentement bien mâchée En cas de dysphagie nouvelle, nouvelle endoscopie pour mise en place d'un stent oesophagien éventuelle Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Contrôle clinique le 30.05.2018 à la consultation du Dr. X, avec ablation des fils selon évolution. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Ablation du Comfeel et des steristrips à 14 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie. Le patient a rendez-vous à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires pour contrôle. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Réfection du pansement tous les 2 jours par les infirmières des soins à domicile. Ablation des agrafes et suite de la prise en charge orthopédique, notamment contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires, à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 16.06.2018. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sc/jour. Consultation prévue le 26.06.2018 par le Dr. X pour discuter de la prise en charge chirurgicale. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique par Liquémine 2 x 5000UI sous-cutanée pendant 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie à travers le Comfeel et ablation de celui-ci au 14ème jour chez le médecin traitant ou avant en cas de perte d'étanchéité. Ablation des fils au 14ème jour. Contrôle radio-clinique dans 6 semaines à la consultation de la Dr. X. La charge est limitée à 15kg. Physiothérapie. Poursuite de la réfection du pansement par Cutiplast afin de protéger les croûtes et les bords du lambeau. Nous conseillons à la patiente de porter les bas de compression. Prochain contrôle clinique fin été 2018. En cas de péjoration de la symptomatologie, nous conseillons à la patiente de nous recontacter afin d'avancer son rendez-vous de contrôle. Poursuite de la réfection du pansement tous les 2 jours à la hyiodine. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Poursuite de la restriction hydrique à 1000 ml/24h. Poursuite de la Rocéphine 2g par jour iv, jusqu'au 21.07.2018. Surveillance quotidienne de la courbe du poids. Contrôle des hémocultures à distance. Poursuite de la statine. Poursuite de la statine. Poursuite de la surveillance au domicile (feuille de surveillance remise et expliquée à la maman), reconsulte si apparition de signes de gravité. Dafalgan si inconfort. Poursuite de la surveillance neurologique à domicile par les parents (feuille de conseils distribuée). Dafalgan en réserve. Reconsulter si apparition de signe neurologique ou péjoration de l'état général. Poursuite de la surveillance neurologique à domicile par les parents. Reconsultation aux urgences si apparition de signes neurologiques ou péjoration de l'état général. Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. Contrôles réguliers des plaies et ablation des agrafes à 14 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la vitamine D jusqu'à l'âge de 3 ans. Konakion PO à J 28. US des hanches à 4 à 6 semaines d'âge corrigé. Contrôle chez le pédiatre dans une semaine. Alimentation au sein, à compléter par biberon si prise de poids insuffisante. Poursuite de l'amoxicilline. Poursuite de l'antalgie. Organisation d'un contrôle en ORL prévu. La patiente sera contactée par le service d'ORL directement. Poursuite de l'antalgie par Dafalgan, Tramadol et Pregabaline. Majoration des doses de Tramadol et Pregabalin le 05.06.2018, Tramal stoppé le 07.06.2018 vu l'interaction avec SSRI. Rééducation sensitive (Clinique Générale) prévue le 25.06.2018 à 10h45. Poursuite de l'antalgie par Oxycontin/Oxynorm puis relais par Fentanyl patch/Effentora le 06.06.2018. Suivi par la stomathérapie. Avis chirurgie vasculaire (Dr. X) le 14.06.2018 : corticostéroïdes locaux sur les zones inflammatoires, Bepanthen plus sur les zones hyperkératosiques, pas de compression sur l'ulcère pré-tibial G, Plurogel sur les ulcères. Poursuite de l'antibiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Poursuite de l'antibiothérapie durant 7 jours. Rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et éventuelle ablation de la sonde vésicale le 20.06.2018. Poursuite de l'antibiothérapie iv, puis relais per os.Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sc/jour. Suivi de la plaie en policlinique d'orthopédie. Ablation des fils à J21 à la consultation du Dr. X, en policlinique. Contrôle à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 03.06.2018 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 07.06.2018 à 13h30. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 22.06.2018 inclus. Reprise du traitement par Plavix le 18.06.2018. Contrôle et suite de la prise en charge urologique à la consultation du Dr. X, avec un premier rendez-vous prévu pour le 25.06.2018 à 08h15. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 28.06.2018, inclus. Retour à domicile avec la sonde vésicale en place pour 10 jours. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 10 jours. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte 1 cp 2x/jour jusqu'au 16.06.2018 inclus. Contrôle en policlinique d'orthopédie le 13.06.2018. Ablation des fils à J15 à la policlinique orthopédique (Dr. X). Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline pour 1 semaine supplémentaire. Les pansements seront refaits par sa femme, qui est infirmière. Prochain contrôle clinique dans 1 semaine. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j jusqu'à 2 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie, ablation des fils à J14 en ergothérapie. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 06.06.2018 inclus. Contrôle de plaie tous les 2 jours par les SAD, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X/Dr. X le 06.06.2018, puis à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 06.06.2018. Contrôles réguliers de la plaie chez le médecin traitant. Poursuite de l'antibiothérapie par Klacid jusqu'au 10.06.2018. Poursuite du Nexium jusqu'au 14.08.2018. Poursuite de l'antibiothérapie par Tavanic 500 mg - 2 x/jour et Rimactan 600 mg - 1 x/jour jusqu'au 03.09.2018. Poursuite du Xarelto durant 6 semaines post-opératoires. Ablation des fils à J14 post-opératoire. Contrôle à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie per os par Co-Amoxicilline 1 g - 3 x/jour jusqu'au 18.06.2018. Poursuite de la Clexane 0,4 ml sc jusqu'au 21.06.2018. Contrôle clinique en policlinique d'orthopédie le 21.06.2018 à 10h. Poursuite de l'antibiothérapie pour un total de 10 jours. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pour la durée du port de l'attelle jeans. Contrôle à la consultation du Dr. X le 08.06.2018. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 15.06.2018 inclus. Premier pansement à J2 à la consultation du Dr. X/Dr. X le 11.06.2018, ablation des fils à J14 et contrôle rx-clinique à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 04.06.2018 inclus. Réfection régulière du pansement, fils résorbables. Contrôle à la consultation du Dr. X/Dr. X à 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. Surveillance des orifices du fixateur externe et de la plaie opératoire. Suite de prise en charge à la Clinique Générale selon désir de la patiente. Poursuite de l'antibiothérapie. Suite de prise en charge par le médecin traitant. Poursuite de l'anticoagulation par Xarelto. Morphine en réserve, puis fixe. Fentanyl IN pour des réserves aux mobilisations en traitement d'épreuve. Oxygène à la demande. Physiothérapie. Protocole d'urgence si dyspnée sévérissime : utilisé 1x le 27.06.2018. Poursuite de l'arrêt de sport et de la marche en charge selon douleur. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Poursuite de l'arrêt de sport pour encore 4 semaines. Le patient peut arrêter de porter le Rucksack. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite de l'arrêt de sport pour les 10 prochains jours. Mobilisation libre du coude selon tolérance. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant en cas d'apparition d'éventuelles douleurs. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Poursuite de l'ergothérapie avec comme objectif principal la reprise de la mobilisation de l'IPD. Il est à noter que lors de l'ostéosynthèse, un morceau d'Orthoss de 5 x 8 mm a été utilisé pour remplir le défaut. Dans le cas où la mobilisation ne reprenait pas correctement, nous déconseillons d'effectuer un nouveau geste chirurgical avant minimum une année et demie - 2 ans post-opératoires. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois (6 mois post-opératoires). Poursuite de l'ergothérapie, contrôle clinique dans 4 mois. Poursuite de l'ergothérapie et du port de l'attelle pour les 4 prochaines semaines. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'ergothérapie. Pour corriger cette perte d'extension au niveau de la MP, prescription d'une attelle dynamique de MP que le patient portera environ 2 fois par jour durant 1 heure. Contrôle clinique dans 3 à 4 mois. Poursuite de l'hémodialyse. Poursuite de l'hémodialyse 3 x/sem (lu-me-ven). Poursuite de l'hémodialyse 3 x/sem (lu-me-ven). Poursuite de l'immobilisation avec bretelle la journée et si possible gilet ortho la nuit. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines, soit à 6 semaines post-traumatique. Poursuite de l'arrêt de travail à 80% jusqu'au 01.07.2018, puis à 60% jusqu'au 15.07.2018. Poursuite de l'immobilisation dans le Sarmiento. Prochain contrôle radioclinique sans le Sarmiento dans 6 semaines. Poursuite de l'immobilisation par botte plâtrée adaptée avec charge partielle de 15 kg pour les 4 prochaines semaines. Actuellement, une mobilisation avec un Sarmiento n'est pas possible au vu de la dermabrasion au niveau du genou G. Poursuite du protocole de pansement par l'infirmière à domicile. Prochain contrôle radio-clinique en charge dans 1 mois. Poursuite de l'immobilisation par botte plâtrée circularisée pour 2 semaines supplémentaires. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Poursuite de l'immobilisation par une attelle postérieure du coude. Mobilisation libre du poignet. Mobilisation du coude hors attelle selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois afin de planifier l'AMO des broches 3 mois post-opératoires. Poursuite de l'immobilisation pour les 2 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Poursuite de l'oxygénothérapie et du traitement habituel de la BPCO. Poursuite de l'oxygénothérapie et du traitement habituel de la BPCO. Poursuite de l'oxygénothérapie et du traitement habituel de la BPCO. Poursuite de l'utilisation de la semelle rigide pour encore 2 semaines, puis prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines. Poursuite de mobilisation selon tolérance. La patiente se présentera auprès du neurologue pour la recherche d'une lésion nerveuse d'origine radiculaire. Nous la reverrons d'ici 3 à 4 mois à la consultation. Poursuite de son suivi par le médecin traitant. Reprise de sa prise en charge si souhaitée. Poursuite de suivi psychologique déjà débuté à l'accueil de jour. Poursuite de Temesta 1 mg la nuit. Poursuite de suivi psychologique déjà débuté à l'accueil de jour. Poursuite de Temesta 1 mg la nuit. Poursuite des bains d'Amuchina avec antalgie en réserve. Demande de rendez-vous à la consultation d'orthopédie pour cure d'ongle incarné. Poursuite des bains de Dakin et mise de vernis durcissant sur l'ongle afin de le renforcer. Actuellement, une prise en charge chirurgicale n'est pas nécessaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition. En cas de péjoration de la symptomatologie, nous conseillons à la mère de reprendre contact avec notre service afin d'organiser une excision de l'ongle. Poursuite des changements de pansement par la Spitex et par la stomatothérapie. Devant une situation satisfaisante au niveau de la greffe et une bonne mobilité, nous mettons un terme à la thérapie. Nous restons à disposition. Poursuite des changements réguliers de pansement, le patient va laisser sa main 30 minutes lors de chaque changement de pansement à l'air pour sécher un peu sa plaie. Les pansements seront effectués avec Adaptic, compresses. Nous prescrivons également au patient des séances de physiothérapie, celles-ci seront effectuées à son domicile par une physiothérapeute que le patient connaît déjà en raison de douleurs lombaires pour lesquelles il avait été traité. Nous reverrons le patient dans une semaine. Poursuite des contrôles de plaie chez le médecin traitant. Nous le reverrons dans 10 jours pour une ablation des fils. Poursuite des exercices appris en physiothérapie ainsi que du stretching à domicile. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite des exercices d'auto-mobilisation. Prochain contrôle dans 6 semaines. Poursuite des exercices de renforcement musculaire à domicile. Prochain contrôle radio-clinique fin novembre 2018, soit à 1 année de la fracture. Poursuite des pansements durant 1 mois. La prochaine fois, il faudra discuter si éventuellement un Apligraf ou une membrane de placenta rentrent en discussion. Poursuite des rinçages de nez. Traitement symptomatique par Dafalgan. Consigne de reconsulter si péjoration respiratoire, diminution de la prise alimentaire ou altération de l'état général. Poursuite des rinçages de nez. Traitement symptomatique par paracétamol, ibuprofène et médecine antroposophique. Consigne de reconsulter si péjoration respiratoire, diminution de la prise alimentaire ou altération de l'état général. Poursuite des séances de chiropractie. Prochain contrôle en octobre. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de recrudescence de la symptomatologie pour une nouvelle infiltration. Poursuite des séances de physiothérapie avec proprioception et exercices pour la stabilité. Elle peut reprendre la danse si elle ne présente pas de douleur lors des exercices en physiothérapie. Nous reverrons la patiente dans 2 mois. Poursuite des séances d'ergothérapie. Arrêt de travail pour encore 4 mois puis le patient peut reprendre le travail à 50% en début juillet. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines. Poursuite des séances d'ergothérapie pour amélioration de la force et la mobilité selon le schéma Kleinert. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 15.07.2018. Poursuite des traitements antibiotiques jusqu'au 05.06.2018 • Clindamycine 3x450mg/j po puis iv (cf. TIP de la complication n°1) • Rifampicine 2x450mg/jour po Poursuite de la physiothérapie. Poursuite du Betaserc 16 mg 2x/jour pour 2 semaines, puis réévaluation chez le médecin traitant. Physiothérapie prévue en ambulatoire dès le 06.06.2018. Poursuite du Betmiga. Pas d'incontinence durant l'hospitalisation. Poursuite du Lexotanil. Distraneurine en réserve mis en suspens car la patiente ne le supporte pas. Poursuite du métronidazole jusqu'au 09.06.18. Hospitalisation prévue le 18.06.18 pour une chimiothérapie de consolidation (1). Contrôle prévu en ORL le 18.06.18 à 15h45. Poursuite du Perentérol - 2 x/jour durant encore une semaine. Contrôle clinique et biologique à votre consultation. Poursuite du perentérol 250 mg/jour pendant 5 jours. Poursuite du Plavix. Pas d'imagerie radiologique au vu de la récupération et de l'âge avancé. Poursuite du port de la CPAP. Capnographie nocturne le 28 au 29.05.2018 (VNI EPAP 14 - IPAP 22 sous 2lt/min O2) : tcpCO2 : 6.1 Gazométrie. Encourager le maintien de l'arrêt du tabac. Physiothérapie respiratoire et travail de l'endurance à l'effort. Poursuite du port de la semelle à 3 points à D. Prochain contrôle clinique dans 1 année. Poursuite du port de la syndactylie pour les 2 prochaines semaines. Reprise progressive du sport. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite du port de l'attelle pour les 3 prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. Poursuite du port de l'attelle Stack la nuit pour les 3 prochaines semaines. Nous conseillons au patient de commencer les exercices de mobilisation de l'IPD du 4ème doigt en ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Poursuite du port des semelles. Mobilisation libre sans restriction. Prochain contrôle clinique dans 8 mois. Poursuite du port du gilet orthopédique pour une durée totale de 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Poursuite du protocole de pansement pour le 3ème orteil D 3x/semaine. En ce qui concerne les genoux, poursuite de la désinfection et de la réfection régulière du pansement avec Adaptic. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Poursuite du protocole de pansement sec. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois pour discussion de l'ablation des vis. Poursuite du suivi chez son médecin traitant. Ce dernier a lancé des cultures de selles pour une recherche d'Helicobacter Pylori. Consulter en urgence si péjoration massive des symptômes. Poursuite du suivi par le Centre d'antalgie. Incapacité de travail à 40% jusqu'au 1.7.2018, puis 20% jusqu'au 9.7.2017 prochain contrôle. Poursuite du tiroir antérieur dans l'attelle Jack avec charge et mobilisation libre à partir de maintenant. Renforcement musculaire du quadriceps. Poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite du Torem. Poursuite du traitement antalgique. Consultation de contrôle avec l'ORL traitant le 25.06 comme prévu. Consignes de reconsultation expliquées, réassurance. Poursuite du traitement anticoagulation par Arixtra 7,5mg/jour. Prévoir reprise du xarelto 2 semaines après la fin du traitement de rifampicine (= 19.06.2018). Poursuite du traitement anti-inflammatoire local. Contrôle à ma consultation au besoin. Poursuite du traitement avec des pansements de Bétadine gaz, à changer 3 x par semaine par une infirmière à domicile. Contrôle clinique dans deux semaines. Poursuite de la Co-Amoxicilline per oral jusqu'à ce que la plaie soit sèche. Poursuite du traitement avec pansement Pluro-Gel et compresses sèches. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. S'il y a un problème entre-temps, elle peut nous recontacter. Poursuite du traitement conservateur avec anti-inflammatoire. Contrôle selon nécessité. Poursuite du traitement conservateur avec circularisation de la botte plâtrée ce jour et, qui sera à porter pour les 6 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec confection d'une attelle thermo-formée type Edimbourg en ergothérapie avec syndactylie dig. IV-dig. V pour un total de l'immobilisation de 6 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique le 27.07.2018. Poursuite du traitement conservateur avec immobilisation pour un total de 6 semaines dans un plâtre AB. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec l'attelle thermo-formée, qui sera à porter pour les 5 prochaines semaines.Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Poursuite du traitement conservateur comme défini lors de la dernière consultation. Poursuite du traitement conservateur dans un plâtre circulaire pour un total de 4 semaines. Nous le reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radio-clinique. Poursuite du traitement conservateur. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite du traitement conservateur par botte de décharge calcanéenne pour une durée totale de 8 semaines. Marche en demi-charge durant 4 semaines puis augmentation progressive de la charge selon douleurs. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg jusqu'à charge complète. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 mois. Poursuite du traitement conservateur par botte plâtrée pour un total de 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur par plâtre scaphoïde fermée pour une durée totale de 8 semaines. En ce qui concerne la cheville, ablation de la botte plâtrée ce jour et reprise de la marche en charge selon douleurs. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. Poursuite du traitement conservateur par syndactylie pour une durée totale de 6 semaines. Nous conseillons à la patiente de porter des chaussures à semelle rigide de type Darco. Prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines du traumatisme. Poursuite du traitement conservateur par un Vaco ped à 0° pour une durée de 6 semaines, soit 8 semaines d'immobilisation au total. La dermabrasion sera surveillée par la patiente et elle nous reprendra contact avec notre service en cas de mauvaise évolution. Nous prescrivons à la patiente de la prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto (selon le souhait de la patiente). Mobilisation en touch down. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur par 4 semaines de plâtre BAB circulaire. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 2 semaines. Poursuite du traitement conservateur pour la cheville D. Nous prescrivons à la patiente une attelle aircast ainsi que des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et de proprioception. Poursuite de l'arrêt de sport jusqu'au 30.06.2018. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Poursuite du traitement conservateur pour 6 semaines dans une botte plâtrée fermée. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. Pour la fracture de la main, nous continuons l'immobilisation dans une attelle Stack pour une durée totale de 6 semaines. Nous lui donnons une ordonnance pour une femme de ménage. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin juillet. Nous la reverrons à 6 semaines du traumatisme pour un contrôle radioclinique. Elle peut dès à présent charger la jambe G en touch down de 15 kg. Poursuite du traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 semaine. Au prochain contrôle relais du BAB par un AB. Poursuite du traitement conservateur selon protocole établi avec attelle Edimbourg thermo-formée et syndactylie du dig. IV-V pour un total de 4 semaines, puis syndactylie dig. IV-V pendant 2 semaines avec reprise progressive des activités sportives hormis des sports de ballon et de contact. Prochain contrôle radio-clinique le 27.07.2018. Poursuite du traitement de Dafalgan et Algifor mis en place par le pédiatre traitant. Reconsulte en cas de péjoration des douleurs, état fébrile qui ne cède pas aux antipyrétiques voire altération de l'état général. Poursuite du traitement de oméprazole pendant 14 jours. Ad ulcar jusqu'à 4 sachets par jour. Évitement des AINS, favoriser Dafalgan si douleurs abdominales. Contrôle clinique chez pédiatre le 15.06.2018. Si persistance des symptômes, évaluation si nécessité de gastroscopie et recherche de colonisation à Helicobacter pylori. Poursuite du traitement de Prednisone, sevrage en raison de 1 mg/mois. Poursuite du traitement de Ventolin 4 pushs aux 6h avec traitement de Betnesol le 01.07-02.07. Contrôle clinique chez le pédiatre après 48h de traitement. Consultation aux urgences si péjoration de la détresse respiratoire. Poursuite du traitement des plaies par la patiente. Mobilisation en charge selon douleurs. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoires. Poursuite du traitement en ambulatoire. Poursuite du traitement en cours. Reconsulter en cas de dyspnée. Poursuite du traitement en ergothérapie selon le régime Norwich. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 3 x 1 g par jour jusqu'au 15.06.2018. Nous prolongeons l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 27.07.2018. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement habituel. Poursuite du traitement habituel. Avis neurologique (Dr. X) le 12.06.2018 : pas de changement de traitement. Contrôle du neurostimulateur le 12.06.2018 : l'appareil fonctionne de manière satisfaisante. Poursuite du traitement par Aspirine. Poursuite du traitement par Aspirine, Plavix. Coronarographie à distance en ambulatoire. Poursuite du traitement par attelle Edimbourg pour un total de 6 semaines. Une nouvelle attelle thermo-formée sera confectionnée en ergothérapie puis après 6 semaines, mobilisation du dig V en ergothérapie. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement par Buscopan/Novalgin. Poursuite du traitement par du Keppra. Relais par du Rivotril iv 1mg 3x/j le 22.05.2018. Poursuite du traitement par ergothérapie. Reprise du travail à 50% dès le 01.07.2018. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. Poursuite du traitement par neuroleptiques à hautes doses, puis sevrage progressif partiel. PEG enlevée le 17.05.2018 (Clinique Meyriez). Suivi logopédique intensif (rapport suit). Suite de prise en charge à la SUVA Clinique Romande de Réhabilitation à Sion dès le 05.06.2018. Poursuite du traitement par Oméprazole 20 mg avec majoration temporaire 2x par jour pendant 1 semaine. Gaviscon en réserve 4x/24h. Patient informé de consulter le médecin traitant pour recherche de H. pylori si persistance des douleurs. Poursuite du traitement par ondes de chocs. Marche et sport selon tolérance. Nous avons discuté de la possibilité de faire une cure de pseudarthrose. Nous attendons encore 3 mois et si lors du prochain contrôle, la fracture n'est toujours pas consolidée, nous organiserons une cure de pseudarthrose avec la mise en place d'une plaque par voie médiale du 1er métatarsien. Poursuite du traitement par physiothérapie et ergothérapie. Le patient est très inquiet de l'évolution de la guérison. Nous lui expliquons qu'il est encore tôt dans l'évolution pour pouvoir se prononcer sur le pronostic à long terme. Au cas où les douleurs devraient persister, nous effectuerons des examens complémentaires (IRM). Poursuite du traitement par physiothérapie. Reprise du travail à 100% le 02.07.2018. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Poursuite du traitement par Ultribro 110/50. Physiothérapie respiratoire. Maintien de l'arrêt du tabac : le patient reprend le tabac en début juin 2018 avec 3-4 cigarettes/j. Encourager l'arrêt du tabac avec substitution par Nicorette inhal. si besoin. Poursuite du traitement per os actuel. Thérapie du miroir. Thérapie en piscine : stoppé en raison de la majoration des douleurs par la suite. Hypnose. Travail de la préhension main D. Soutien psychologique. Poursuite et fin des séances de physiothérapie. Reprise progressive des activités sportives dans 2 semaines. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Poursuite évolutive d'un carcinome épidermoïde de la face interne jugale gauche rpT4a rpNx R0.Status post-radiothérapie adjuvante du 10.08.2017 au 28.09.2017 et status post-buccopharyngectomie non interrompue, résection partielle de la mandibule, extraction dentaire 31, 32, 33, 41 et 42, évidement cervical gauche I-V, reconstruction par lambeau grand pectoral gauche, trachéotomie le 30.05.2017 pour un carcinome épidermoïde de la face interne jugale gauche classé pT3 pN1 (ECE-), cM0, R0. • Décision consilium oncologique du 11.04.2018 : suivi LVCA aux 3 mois. • décision (provisoire) du Tumor board d'ORL du 06.06.2018 : chimiothérapie palliative (début le 19.06) • poursuite goutte oculaire • Poursuite hydratation par normolytoral. Mesures préventives si exposition au soleil. Contrôle clinique chez le pédiatre si persistance des symptômes. • Poursuite introduction progressive du Pregomin Pepti. Alimentation maternelle avec éviction des protéines de lait de vache. Si récidive de la symptomatologie à reconsulter. • Poursuite des ondes de choc afin de stimuler la consolidation au niveau du péroné. Poursuite de la physiothérapie pour la souplesse et la force de la jambe. Elle peut continuer la natation et la marche selon douleurs, en faisant des pauses pour calmer l'inflammation. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique (rx cheville f/p en charge) dans 6 semaines. • Poursuite de la Méthadone. Respect du cadre avec sortie de chambre seulement avec accompagnant. • Poursuite de Pantozol 2x40 mg. Gastroscopie le 03.05.2018 (Dr. X) : Trace de sang dans l'estomac, estomac encore plein. Gastroscopie le 08.05.2018 (Dr. X) : Gastrite. Saignement probable sur lésion Mallory-Weiss. Actuellement pas de signe de saignement actif. 1 CE le 02.05.2018 1 CE le 04.05.2018 Reprise anticoagulation le 08.05.2018. • Poursuite de Rifaximine. Ad Duphalac 40 ml 3xj. • Poursuite sonde à demeure et prophylaxie antibiotique. • Poursuite de Symbicort. Aérosols Ventolin et Atrovent dès le 28.05.2018. Poursuite de la Clarithromycine PO du 26.05.2018 au 01.06.2018. Physiothérapie respiratoire. Morphine 2mg 5x/j et des R. • Poursuite traitement. • Poursuite traitement antibiotique rocephine et clarithromycine selon recommandation des infectiologues. • Poursuite traitement antihypertenseur et suivi à l'Inselspital. • Poursuite traitement avec Imigrane Spray 10 mg 2x/j, Dafalgan 1g 4x/j et Novalgine 1g 4x/j en réserve selon douleurs. Primpéran 10 mg 3x/j en réserve selon nausée. Incapacité de travail du 13.06 au 16.06.2018. • Poursuite traitement de Fluimucil sirop et fébrifuges. • Poursuite traitement de xyzal 5 mg per os 1x/j pendant 3 jours. Calendrier d'allergène pour observation de cause d'urticaire. Contrôle clinique chez le pédiatre le 25.06.2018. Consultation aux urgences pédiatriques si péjoration de l'état général ou signe d'alarme d'anaphylaxie. • Poursuite traitement feniallerg pendant 3 jours avec traitement symptomatique. Contrôle clinique chez le pédiatre si persistance des symptômes le 26.06.2018. Consultation aux urgences si péjoration des symptômes ou signe d'alarme pour réaction anaphylactique stade II. • Poursuite traitement habituel : Zanidip, Beloc Zok, Cardura, Physiotens, Torasémide, Nitroglycérine TTS. Echocardiographie transthoracique du 18.06.2018 : voir examens complémentaires. • Poursuite traitement habituel. Introduction de la digoxine avec cible thérapeutique atteinte. Proposition de faire une cure de Levosimendan semaine 26. • Poursuite traitement symptomatique. • poursuite traitement symptomatique. Contrôle chez le MT dans 48h si persistance de l'état fébrile sans foyer. • Poursuite traitement topique. • Poursuite traitement symptomatique. • Poursuite Triméthoprime-Sulfaméthoxazole jusqu'au 26.06.2018. Bilan anémie. • Poursuivre Aspirine Cardio. Bilan angiologique le 09.03.2018. • poursuivre bain de Dakin et Fucidin. Contrôle dans une semaine. • Poursuivre Dafflon. Dafalgan et Irfen 400 mg en réserve. Contrôle clinique prévu avec son orthopédiste ainsi que son médecin traitant le 19.06.2018. • Poursuivre du traitement par Cétirizine prescrit par le médecin traitant. RDV déjà programmé chez un dermatologue dans 3 semaines. • Poursuivre la physiothérapie en ambulatoire. Consultation interdisciplinaire avec le Dr. X à l'HFR de Billens le 13.09.2018 à 08h30. Encourager l'arrêt du tabac. Maintenir l'arrêt de l'OH. • Poursuivre le traitement de Bonviva. Poursuivre la substitution en vitamine D3. Suivi diététique. • Poursuivre le traitement de son médecin - Cétirizine - et rendez-vous déjà programmé chez un dermatologue dans 3 semaines. • Poursuivre toilette nasale. Consulter si difficultés respiratoires. • Poursuivre traitement par Vit D3 et Calcimagon. Bilan phospho-calcique le 28.05.2018 : dans la norme. Proposition d'un traitement par Biphosphonate en ambulatoire. • Poursuivre traitement pendant 3 jours. • Poursuivre Vancomycine avec schéma dégressif, poursuivre Sprycel et Valtrex. Projet hématologique : • rendez-vous à la consultation de la Dr. X le 21.06.18 à 8h30 pour contrôle biologique avec switch de Fondaparinux à Rivaroxaban puis prévoir la PBM post-sortie d'aplasie. • rendez-vous aux HUG à Genève le 03.07.18 à 15h, afin d'informer Monsieur Y des modalités de la greffe de moelle osseuse. • en fonction de la disponibilité d'un donneur de moelle osseuse, une deuxième chimiothérapie de consolidation sera à évaluer. Bas de contention. CT thoracique à contrôler dans 3 mois. ETO à réévaluer à distance. • Poursuivre Ventolin aux 3 heures et ad consultation demain chez le pédiatre. • poursuivre Xyzal pendant 3 jours, consulte pédiatre si non amélioration d'ici le début de semaine. • Poursuivre Xyzal pendant 5 jours. Consulter lundi si aucune amélioration visible. • Poussée d'arthrose sur gonarthrose tricompartimentale. • Poussée de connectivite mixte DD infectieux. • Poussée de connectivite mixte en mars 2018 suivie par Dr. X avec • Dyspnée, douleurs thoraciques transfixiantes • ADP axillaires et rétro-claviculaires • syndrome inflammatoire • réponse rapide à la corticothérapie. Sialolithiase de la parotide droite en mars 2018. Rash cutané aigu (DD toxidermie à la clindamycine, lupus médicamenteux, poussée de connectivite mixte) en avril 2018. Hyperplasie nodulaire focale et hémangiome hépatique. Tâche de naissance joue droite en cours de traitement au laser. • Poussée de gonarthrose gauche. • Poussée de rosacée le 01.06.2018. • Poussée de sclérose en plaques (diagnostic différentiel : AVC ischémique). • Poussée d'une maladie de Crohn. • Poussée d'une maladie de Crohn. • Poussée hypertensive. • Poussée hypertensive dans un contexte de majoration de consommation d'OH. • Pradif pour 2 semaines. Filtrer urines pour 2 semaines. Le patient a été informé de se présenter aux urgences en cas de fièvre ou de baisse de l'état général. • Pré-éclampsie légère. • Pré-éclampsie modérée. • Précédentes opérations : herniectomie hiatale et inguinale bilatérale, cholécystectomie, appendicectomie, notion d'une intervention à l'œsophage. Rectite actinique suite à la radiothérapie initiale du cancer de la prostate. • Préciser contexte social et éventuelles investigations pulmonaires auprès du médecin traitant. • Prédiabète non connu. Hyperglycémie à 9.9 mmol/l. HbA1C 5.9%. • Prédiabète non connu. Hyperglycémie à 9.9 mmol/l. HbA1C 5.9%. • Prédiabète. Hypercholestérolémie. Syndrome anxio-dépressif. • Prednisolone 10 mg dose unique. Traitement symptomatique. Mesures conservatrices pour prévention. • Prednisolone 60 mg/jour pour 3 jours. Suivi clinique : régression des symptômes. • Prednison 20 mg du 07.06.2018 au 10.06.2018. • Prednison 50 mg le matin, 25 mg le 04.06 et le 05.06 une fois. Wiedervorstellung bei Persistenz der Beschwerden über 3 Tage oder bei Zustandsverschlechterung. Klinische Kontrolle beim HA b. Bedarf. • Prednison 50 mg pour 5 jours.Avis ORL (Dr. X): pas d'origine vestibulaire du vertige/nystagmus Avis neurologie (Dr. X): CT cérébral injecté, 50 mg Prednison pour 5 jours, contrôle clinique chez le médecin traitant. Laboratoire ECG Schellong: négatif CT cérébral et carotides injecté (rapport oral Dr. X): pas d'occlusion des vaisseaux pré-cérébraux et cérébraux. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 1 semaine. Prednisone cp 50 mg. Cétirizine cp 10 mg. Bonne évolution clinique. Stop Coversum, remplacer ce jour par Irbesartan 150 mg 1x/j per os. Continuer avec traitement par Prednisone et Cétirizine pendant 5 jours à domicile. Avis allergologue à envisager. Si péjoration, consulter aux urgences. Prednisone du 13.06 au 17.06.2018 Prednisone 20 mg du 24.06.2018 au 25.06.2018 Antalgie, décharge du pied droit Mise en suspens du traitement de Furosemide le 25.06.2018 Ponction articulaire le 27.06.2018 Colchicine 1 mg/j dès le 26.06.2018 Naproxen 500 mg 2x/jour dès le 27.06.2018 à poursuivre 48h post résolution des douleurs Consultation rhumatologique le 23.07.2018 avec contrôle biologique pour évaluer la durée de traitement de Colchicine Prednisone 20 mg 1x/j. Pantozol 40 mg. A réévaluer au prochain contrôle chez la Dr. X. Prednisone 30 mg le 01.06.2018 Prednisone 20 mg dès le 02.06.2018, à poursuivre pendant 12 mois Suivi clinique Prednisone 40 mg 1x/jours pendant 3 jours Prednisone 5 mg 1-0-0-0 d'indication incertaine Prednisone 5 mg. Organiser un bilan avec une densitométrie osseuse, prévoir une prophylaxie. Prednisone 50 mg par médecin traitant Aux urgences: Atrovent 2x/Ventolin 3x Lasix IV 2x20 mg Labo: CRP 130, Lc 11, pro BNP 12000, trop 37 (40) Gazométrie: pH 7.29, pO2 7.9, PCO2 6.6 ECG: superposable au comparatif de 2013 Rx thorax VNI avec AI et PEEP, FiO2 40% Clarithromycine 250 mg IV et Ceftriaxone 500 mg IV Attitude: hospitalisation pour surveillance aux soins intensifs Prednisone 60 mg aux urgences. • Protection œil nocturne. • Gouttes ophtalmiques. • Prednisone 60 mg 1x/j pendant 7 jours. Prednisone 60 mg du 21.06.2018 au 25.06.2018 Solumédrol 125 mg IV du 25.06.2018 au 30.06.2018 avec un relais par Prednisone 100 mg puis schéma dégressif Avis pneumologique (Dr. X) le 21.06.2018: COP ou pneumonite immuno induite non différenciable sur la base des images radiologiques. Risque/bénéfice d'une bronchoscopie en défaveur d'une bronchoscopie. Traitement similaire pour les deux pathologies. Proposition d'attitude pragmatique avec Corticothérapie. Avis pneumologique (Dr. X) le 25.06.2018: tentative de traitement avec méthyl-prednisone 125 mg pendant 5 jours puis schéma dégressif de Prednisone à partir de 100 mg Prophylaxie contre Pneumocystis jirovecii dès le 26.06.2018 Prednisone 60 mg/jour depuis le 15.06.2018 IRM cérébrale le 18.06.2018 Duplex des vaisseaux pré-cérébraux le 18.06.2018 Doppler trans-crânien le 19.06.2018 Echocardiographie trans-thoracique le 19.06.2018 Holter le ___ Consilium ophtalmologique le 19.06.2018 Avis neurologique le 18.06.2018 (Dr. X) et avis rhumatologique le 19.06.2018 Pré-éclampsie légère non compliquée Pré-éclampsie modérée chez patiente de 36 ans à 32 3/7 semaines d'aménorrhée Pré-éclampsie sévère compliquée d'un HELLP syndrome à 21 4/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente G1P0 de 38 ans Pré-excitation ventriculaire (PR 100 ms) à l'ECG du 15.06.2017 Pré-explication donnée par le médecin pour: • CT-cérébral: pas de thrombose, pas d'hémorragie, pas d'anévrisme. Antalgie. Pré-explication donnée par le médecin pour: • ECG. Retour à domicile sans antalgie au vu de la disparition de la douleur. Pré-explication donnée par le médecin: • Rx coude droit f/p: pas de fracture visible. Traitement symptomatique. Pré-explication par le médecin au préalable: • Laboratoire. • CT abdominal. Traitement symptomatique. Traitement d'IPP. Suivi chez médecin traitant. Pré-explication par le médecin au préalable: • Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. • US (Dr. X): liquide sous-cutané avec minime quantité au niveau des tendons, pas de collection. Avis orthopédique (Dr. X): ad US pour exclure atteinte tendineuse. Après 6 heures de surveillance aux urgences, on note une amélioration de la tuméfaction et de la rougeur ad antihistaminique sans changement de la médication habituelle. Contrôle en filière 34 à 24 heures: si amélioration, contrôle chez le médecin traitant pour évaluer le médicament incriminé. Pré-explication par le médecin au préalable: • Rx cheville: pas de fracture visualisée RICE. Bande élastique. Dafalgan et AINS. Pré-explication par le médecin au préalable: • Rx coude gauche: fracture tête radiale • CT coude gauche Avis orthopédique (Dr. X). Plâtre BAB fendu. Suite team membre supérieur, patiente sera convoquée directement lundi matin. Consentement intervention chirurgicale rempli et signé par le patient/Dr. X ce jour. Information quant aux red flags et du port du plâtre. Dafalgan, AINS. Arrêt de travail. Pré-explication par le médecin au préalable: • Rx pouce et main droite: pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X): suspicion d'entorse du MCP. Contrôle à 10 jours en orthopédie (le patient sera convoqué). Poursuite de l'antalgie par Dafalgan et Tramadol. Pré-explication par le médecin: • laboratoire: diminution du syndrome inflammatoire et de la leucocytose avec augmentation légère des tests hépatiques et la bilirubine directe sans augmentation de la bilirubine totale. • US des voies biliaires en ambulatoire. Suite chez le médecin traitant (discuter avis chirurgical). Conseils sur l'alimentation avec épices, café, thé et tabac. Pré-explication par le médecin pour Rx épaule droite: fracture non déplacée. Avis orthopédique (Dr. X): traitement conservateur avec gilet orthopédique, mouvement pendulaire et du coude. Antalgie. Contrôle orthopédique dans 1 semaine. Patiente part en vacances du 25 au 30.06.2018 (en accord avec l'orthopédiste si pas de port de charge. Pré-explications données par le médecin pour : • Laboratoire D-dimère 1480 ng/ml. • ECG: FC 81/min, rythme régulier, P 110 ms, QRS 84 ms, QT 352 ms, QTc 409 ms. Axe gauche. • CT thoracique (Dr. X) le 02.06.2018: embolie pulmonaire multisegmentaire bilatérale. Propositions: • Traitement par Xarelto pendant 3-6 mois. • Contrôle clinique chez le médecin traitant dans la semaine prochaine. Pré-explications données par le médecin pour : • Bilan biologique: léger syndrome inflammatoire (CRP 12 mg/l, leuco 11.2 G/L). Sérologies Lyme et FSME envoyées. • CT (Dr. X): signes indirects d'hypertension intracrânienne (tortuosité des nerfs optiques et cornes frontales des ventricules non visualisées) sans substrats intra-crâniens pouvant expliquer cette hypertension intracrânienne. Pas de thrombose des sinus. Comblement sinus maxillaire droit ainsi que sphénoïdal ddc sans niveau. • Ponction lombaire: désinfection par Betadine, anesthésie par Lidocaïne, essai de ponction L4-5 infructueux (Dr. X), ponction atraumatique de L4-5 (Dr. X), pression d'ouverture de 32 mmHg, liquide légèrement opaque non sanguinolant. Soustraction de 22 mL de LCR en plus des tubes habituels, pansement simple. Résultats: Élément 153, 69% de lymphocytes. Protéines 0.51. Lactates 1.87. • Dr. X: signes compatibles avec une hypertension intracrânienne au fond d'œil à droite. Pas de contre-indication formelle à réaliser une PL (pas de masse intracrânienne, pas de déviation de la ligne médiane, pas de masse de la fosse postérieure). Ad PL à but soustractive avec mesure d'ouverture. Avis neurologique (Dr. X et Dr. X): Pas d'indication à traitement pour l'instant au vu du bon état clinique de la patiente. Propose recherche Lyme et FSME. Propose un retour. Avis infectiologique (Dr. X): Ne propose pas de traitement particulier, probable virose simple. Retour à domicile. Antalgie. Retour à domicile de contrôle à 48h en Filière 34. Recommandation d'organiser une IRM en ambulatoire à la recherche de lésions compatibles avec une hypertension intracrânienne idiopathique. Pister résultats sérologies Lyme et FSME. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique ou apparition d'un état fébrile. Pré-explications données par le médecin pour : • Laboratoire • ECG • CT thoraco-abdominal injecté (Dr. X) le 02.06.2018 : pas de dissection aortique. Reste sp. Propositions : • Traitement symptomatique. • Contrôle chez le médecin généraliste la semaine prochaine. • Reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : • Laboratoire • ECG • Radiographie du thorax • Écho du coeur au lit de la patiente (Dr. X) : pas de trouble cinétique systolique, pas d'épanchement péricardique, aorte abdominale/thoracique descendante fine Propositions : Nous conseillons à la patiente de consulter un cardiologue ou médecin traitant pour contrôle de l'hypertension et des facteurs cardiovasculaires en ambulatoire (organisation par la patiente) avec une organisation d'une échocardiographie et également d'un Remler en ambulatoire. Pré-explications données par le médecin pour : • Laboratoire. • Sédiment urinaire : dans la norme. • Rx thorax : Pas de pneumothorax, pas de fracture. • US abdomen Fast (Dr. X) : dans la norme Propositions : • Traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin généraliste la semaine prochaine. • Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : • Laboratoire • Sédiment urinaire Proposition : • Contrôle clinique et biologique en Filière 34 le 14.06.2018. Pré-explications données par le médecin pour : CT cérébral et cervical : pas d'hémorragie, pas de fracture, sinusite maxillaire et ethmoïdale des deux côtés Surveillance neurologique aux urgences. Explications de la surveillance post-traumatisme crânien données aux proches (feuille donnée). Antalgie Arrêt du sport à l'école jusqu'au 24 juin. Pré-explications données par le médecin pour : CT cérébral natif (allergie au produit de contraste iodé) : pas de saignement, pas de lésion ischémique récente, probable séquelle dans le noyau central (insulaire à droite). Avis Dr. X : organisation d'une IRM cérébrale par le médecin traitant la semaine prochaine, ad antalgie, si toutes investigations négatives ad physiothérapie. Pré-explications données par le médecin pour : CT cérébro-cervical : Pas de lésion traumatique cérébro-cervicale. Antalgie. Pré-explications données par le médecin pour : D-Dimères : < 190 Laboratoire : aligné ECG : sans particularité Pré-explications données par le médecin pour : Désinfection à la Bétadine, anesthésie par Rapidocaïne, exploration de la plaie, rinçage abondant NaCl, 2 points simples 4-0, pansement. Vaccin tétanos. Attitude : • Contrôle chez le médecin traitant à 48 heures. • Retrait des fils à 7 jours chez le médecin traitant. • Instructions pour soin de plaie données au patient. Pré-explications données par le médecin pour : ECG Laboratoire. Radiographie du thorax. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : pas de trouble de la conduction, pas de trouble de la repolarisation, sinusal, régulier. Laboratoire : fonction rénale préservée, pas de trouble hydroélectrique, pas de syndrome inflammatoire, hémogramme sans anomalie. Échographie FAST (Dr. X) : pas d'épanchement dans le Morrison, pas de saignement intravésical, pas d'épanchement dans l'espace spléno-rénal, pas d'épanchement pleural, pas d'argument pour un pneumothorax, péricarde mal identifiable du fait de l'échogénicité faible de la patiente. Conclusion : échographie sans anomalie notable dans la limite de la réalisation. BODY CT : pas d'anomalie visible. Radiographie poignet droit et pied gauche : fracture du 4ème métatarsien gauche. CT pied gauche : fracture sous-capital du 4ème métatarsien gauche, arrachement articulation calcanéum cuboïde. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation avec botte plâtrée fendue (max charge 15 kg). Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. Contrôle orthopédique dans 7 jours. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : RSR à 56 bpm, pas de BAV, pas de trouble de la repolarisation, pas de QT long, pas d'onde delta, pas de Brugada. Attitude : • Hydratation IV + per os Conseil d'hydratation à domicile. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : RSR normocarde, pas de BAV, QRS fin normoaxé, ST isoélectrique, pas de troubles de la repolarisation. Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement, pas de foyer. Au vu de la résolution spontanée et un patient asymptomatique, le patient peut retourner à domicile avec consigne du port du masque sur son lieu de travail. Si récidive des palpitations, rediscuter d'effectuer un Holter. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : RSR pas de trouble de repolarisation significatif. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance données à la patiente. Conseils sur l'hygiène du dos prodigués à la patiente. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : RSR pas de troubles de la repolarisation significatifs. Radiographie thorax : pas de foyer, pas de pneumothorax, pas de fracture. Laboratoire : D-dimères négatifs et cinétique troponine négatif. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : RSR, pas de troubles de la repolarisation. Laboratoire : 15500 GB, CRP 11. Échographie ciblée aux urgences (Dr. X) : vésicule multi-lithiasique, paroi non épaissie, pas de Murphy vésiculaire. Traitement IPP. Consignes de surveillance. Avis chirurgical : tableau clinique non évocateur d'une pathologie biliaire ce jour, réévaluation clinique et biologique dans 48h en filière 34 pour éliminer une cholécystite débutante. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : rythme sinusal régulier à 75 bpm, petit sus-décalage millimétrique en V1, repolarisation précoce dans les précordiales. Radiographie du thorax : sans particularité. Laboratoire : troponines, D-dimères négatifs. Traitement par Irfen et Dafalgan. Pré-explications données par le médecin pour : ECG : sans particularité. Pré-explications données par le médecin pour : ECG. Radiographie de thorax. Laboratoire : D-Dimères : 280 ng/ml. Attitude : Retour à domicile. Pré-explications données par le médecin pour : ECG. Retour à domicile avec contrôle à 48 heures chez ORL. Conseils de mobilisation précoce. Conseils de revenir si vomissements incoercibles empêchant la bonne prise orale de la médication. Réassurance quant à la persistance des symptômes sur les prochaines 72 heures. Pré-explications données par le médecin pour : Échographie aux urgences : compression veineuse veine (basilique) non compressible sur 10 cm avec thrombus hypo-échogène. Consilium pour échographie par angiologue. Pré-explications données par le médecin pour : Examens cliniques. Repas réguliers, arrêter ou diminuer l'intensité du régime actuellement en cours. Conseils sur l'alimentation prodigués au patient. Pré-explications données par le médecin pour : Exploration des plaies index gauche : désinfection par Bétadine, champage, anesthésie en bague par Xylocaïne 1%, exploration, rinçage par Bétadine et pansement. Avis orthopédique : propose un débridement de la plaie + un point de suture de rapprochement. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie index gauche face/profil: pas de fracture visible. Suture index gauche: désinfection par Bétadine, champage, débridement de la plaie (couper les plaies), un point avec Prolène 3.0, bandage. Rendez-vous avec le Dr. X à 15h ce jour le 12.06.2018 pour choix de l'antibiothérapie et suite de prise en charge. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: absence de syndrome inflammatoire, tests hépato-cellulaires et de cholestase sans particularité. Sédiment urinaire: propre. Paracétamol 1 g Voltarène 50 mg. Retour à domicile avec antalgie simple et contrôle en début de semaine chez le médecin traitant. Conseil de revenir consulter en cas de péjoration des douleurs abdominales, de l'apparition de nausées/vomissements ou d'état fébrile. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: alcoolémie 1.67 Avis psychiatrique (Dr. X): pas d'indication pour une hospitalisation en milieu psychiatrique, la patiente peut être suivie en ambulatoire dans un centre d'addictologie, cf consilium. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: aligné CT Abdominal: diverticulite non compliquée Hansen stock 2A, sans abcès, sans liquide péritonéal associé. Consilium chirurgical (Dr. X): retour à domicile avec Ciprofloxacine 500 mg 2x/24h + Métrodinazole 500 mg 3x/24h pendant 10 jours avec réévaluation à J7 par le médecin traitant. Demande d'une réalisation d'une colonoscopie dans 6 semaines + prévoir consultation avec Dr. X dans 15 jours. • Retour à domicile. • Antalgie. • Antispasmodique. • Antibiothérapie. • Réévaluation par le médecin traitant. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: ASAT 82, ALAT 19, PA 92, GGT 828, bilirubine 18.1, CRP 6, leuco 4.8. Avis psychiatrique (Dr. X): indication à hospitalisation à Marsens, patient volontaire. NaCl 0.9% 500 ml iv. Observation durant la nuit aux urgences. Attitude: Part à Marsens en mode volontaire avec sa compagne. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: CRP à 11 sans leucocytose. Sirdalud et massage. Arrêt de travail jusqu'à demain le 13.06.2018. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: CRP à 71, leucocyte 7.1 g/l sans déviation à gauche. Sédiments urinaires: leucocyte +++, sang +++, flore bactérienne + Uricult. US des testicules: épididymite à gauche avec flux doppler augmenté, pas d'abcès, hydrocèle de la bourse gauche, pas d'orchite. Avis urologique Dr. X: traitement par Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour, suivi chez son urologue dans les 48-72 heures. Reconsultation si aggravation des symptômes malgré le traitement, symptômes de sepsis. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: CRP <5, leuco 7.9, créat 73 Us par cadre des urgences: pas de lithiase vésiculaire, pas de liquide libre. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: CRP <5, pas de leucocytose, Creat 86. Stix/sédiment: leucos neg, nitrites neg, sang neg. Uro-CT: pas de calcul, pas de dilatation pyélo-calicielle, pas d'adénopathie. Test de grossesse: négatif. Antalgie simple par Dafalgan en réserve. La patiente est informée qu'en cas d'état fébrile, d'algurie, de frisson, de reconsulter aux urgences. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire du 04.06.18: Stix urinaire du 04.06.18: +++ pour nitrites, sang, leucocytes et protéines. Urotube du 04.06.18 à pister. Aux urgences : • Rocéphine 2 g iv. La patiente reviendra le 04.06.2018 pour une dose de Rocéphine 2g iv. La suite du traitement sera organisée, si possible, à la clinique de jour en ambulatoire (organisation impossible lorsque la patiente est sortie le 04.06.2018 au soir). Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: fonction rénale préservée, légère hypokaliémie à 3.4, pas de perturbation du bilan hépatique, CRP à 14 sans hyperleucocytose associée. CT cérébral: pas d'hémorragie intra crânienne, pas de plage ischémique, pas de thrombose des sinus cérébraux, pas de signe HTIC. Stix urinaire. PL (Dr. X): désinfection, champage, ponction médiane position couchée, pas de complication lors de la ponction: liquide eau de roche. Pression de LCR à 21 mmHg. Normo glycorachie, 2 éléments, protéinorachie légèrement augmentée à 62.5. • Retour à domicile. • Antalgie + AINS • Réévaluation par le médecin traitant si persistance des symptômes. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: fonctions rénales préservées, pas de trouble hydroélectrique, pas de syndrome inflammatoire, pas d'anomalie de la formule sanguine, pas de trouble de la coagulation, Troponine H0 à 8, Troponine H1 à 9 Radiographie thoracique: pas de syndrome alvéolo interstitiel, pas de foyer infectieux, légère surélévation de la coupole diaphragmatique. ECG: rythme sinusal, régulier, sans trouble de la conduction, sans trouble de la repolarisation, Bloc de branche gauche, pas HVG Echographie de débrouillage (Dr. X): péricarde sec, pas de trouble de la cinétique, FEVG conservée, VCI non dilatée compliante. Pas d'argument pour un hémo-pneumothorax. Veine fémorale et poplité perméable compressible. • Retour à domicile. • Antalgie + AINS. • Réévaluation par le médecin traitant à distance +/- épreuve d'effort en externe. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: formule sanguine simple, fonction rénale dans la norme. Schellong: Pas de signe d'hypotension orthostatique. ECG. Hydratation aux urgences. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: Hb 145. Tbc 234. Urines: Pas d'hématurie. Radiographie de la colonne cervicale: Pas de fracture visualisée. CT cérébral: Pas de lésion traumatique. RX clavicule droit: Fracture déplacée de la clavicule droite. Avis orthopédique (Dr. X/ Dr. X): Indication opératoire. Gilet orthopédique. Antalgie. Gilet orthopédique. Recommandations habituelles post-traumatisme crânien (feuille donnée à la maman du patient). Le patient sera reconvoqué prochainement pour la suite de prise en charge chirurgicale. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: K 4.6 mmol/l, Creat 152 umol/l. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: Leu 13,2 G/l, CRP 19 mg/l, test hépatique et lipase sans particularité. Sédiment urinaire: Leu, Sang, Flore bactérienne. US ciblée (Dr. X): pas de dilatation pyélocalicielle, pas d'épanchement péri-rénal, aorte de calibre normal. Rocéphine 2g dose unique aux urgences. Traitement par antibiotique et symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant au début de la semaine prochaine. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: leucocytose à 16.3 G/l, reste sans particularité. Pantoprazole 40 mg cp 1x/j pendant 1 semaine puis Pantoprazole 20 mg cp 1x/j pendant 1 semaine. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire (CRP < 5). Stix et sédiment: + de leuco, + flore bactérienne. Selles: clostridium + toxine positif. Avis Dr. X. Arrêt de travail ce jour le 12.06.2018. Antibiotique Fidaxomicine 200 mg 2x/jour pendant 10 jours. Antalgie: Dafalgan 1 g 4x/jour en réserve; Irfen 400 mg 3x/j en réserve. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: Pas de syndrome inflammatoire. D-Dimères <190. Radiographie du pied droit: Pas de fracture visualisée. Antalgie + AINS Charge selon douleurs Contrôle à 5-7 jours chez le médecin traitant. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique ou apparition d'un état fébrile ou douleurs non contrôlées par l'antalgie. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: Pas de syndrome inflammatoire, pas de perturbation des tests hépatiques. CT abdominal injecté le 15.06.2018 au IDMG (Dr. X): Pas d'explication aux douleurs de la patiente. Avis chirurgical téléphonique (Dr. X): Pas d'indication à garder la patiente. Pas d'argument pour origine chirurgicale aux douleurs. Antalgie. Duspatalin 2x/j pendant 3 semaines. Recommandation d'organiser une consultation gastro-entérologique afin de bilanter ces douleurs abdominales chroniques, avec bilan clinique, biologique, gynécologique et scannographique rassurant à plusieurs reprises. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: Pas de syndrome inflammatoire. Pas de troubles électrolytiques. CRP 5. Hb 128. Pas de trouble de la crase. ECG: RSR à 55/min, PR 120 ms, QRS fins. Pas de trouble de la repolarisation. Test de Schellong: Positif. Hydratation orale importante. Recommandation à la patiente de reconsulter son médecin traitant afin d'organiser un bilan cardiologique avec Holter et échocardiographie en ambulatoire. Discussion d'instaurer des bas de contention si pas d'adaptation du traitement antihypertenseur possible. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, tests hépatiques et pancréatiques normaux, D-dimères trop négatifs. Sédiment urinaire: sans particularité. ECG: superposable au dernier ECG. Radiographie du thorax: pas de pneumothorax ni d'infiltrat. Traitement symptomatique par Dafalgan 1 g 4x/j et Brufen 400 mg 3x/j (le patient a déjà les médicaments à la maison). Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, tests hépatiques et pancréatiques sans particularité. Sédiment urinaire: sans particularité. US ciblée (Dr. X): important globe vésical. Sonde urinaire le 20.06.2018: 1200 ml. Freka Clyss: vidage selles. Prendre contact avec l'urologue dans la semaine pour contrôle et ablation sonde. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: pas de synétique au niveau des troponines, pas de syndrome inflammatoire. Urines: sans particularité. Radiographie du thorax: sans particularité. ECG: inchangé par rapport au comparatif. Attitude: Réassurance. Retour à domicile. Reconsultation chez le médecin traitant si péjoration des symptômes. Conseils sur l'alimentation prodigués au patient. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: pas de trouble électrolytique. ECG. Test de Schellong: positif (baisse TAS de 40 mmHg et baisse TAD de 30 mmHg). Hydratation. Retour à domicile. Consignes comportementales (hydratation, se lever doucement). Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Radiographie: épanchement pleural dans le sinus costo-diaphragmatique droit, pas de foyer visible. US poumon droit: minime épanchement. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: sans particularité. ECG: sans particularité. CT-scan cérébral et vaisseaux pré-cérébraux: pas de signe d'ischémie, pas de trouble de la perfusion. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: sérologie IGM, IGG de la borréliose de Lyme. Contrôle en Filière 34 à 48 heures. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix et sédiment urinaires: purée érythrocytaire. US abdominal aux urgences (Dr. X): pas de dilatation pyélocalicielle. Retour à domicile avec traitement antalgique, instructions de filtrer les urines et uro-CT en ambulatoire. Instructions au patient de reconsulter si fièvre, douleurs non contrôlables par l'antalgie, anurie. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: syndrome inflammatoire en baisse. Réassurance. Fin de prise en charge. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire: Troponines T0 à 5, T1 à 5, D-Dimères négatif, pas de syndrome inflammatoire. ECG: rythme sinusal, inversion des ondes T en D3, aplatissement des ondes T en aVF, extrasystoles extra ventriculaires. Conseil de reprendre le suivi psychologique pour ses angoisses. Signes de gravité expliqués. Temesta en réserve, si crise d'angoisse. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Urines: positive pour benzodiazépines. ECG: RSR à 75/min, PR 150 ms, QRS fins. QTc 430 ms. Avis psychiatrique (Dr. X): pas d'indication à une hospitalisation en psychiatrie. Hospitalisation pendant la nuit aux urgences. Retour accompagnée par ses parents. Elle s'engage à passer la nuit avec ses parents et à faire appel si recrudescence des IS. Rendez-vous à la clinique de jour du CPS le 20.06.18. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Anuscopie: paroi anale irritée avec léger saignement au contact, probable hémorroïde interne en amas. • Traitement symptomatique par Daflon et Movicol en réserve. • Envisager une consultation en proctologie dans 3 semaines. • Si péjoration des symptômes, reconsulter en urgence. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Augmentin 1,2 g i.v. aux urgences. Conseils de reconsulter si état fébrile, frissons, péjoration de la rougeur ou des douleurs. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Avis chirurgical. US abdominal. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Consultation gynécologique. Explication à la patiente du diagnostic de suspicion et recommandation de reconsulter si acutisation des symptômes. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. CT cérébral (appel Dr. X): pas de thrombose des sinus cérébraux. Traitement antalgique. Organisation par le médecin traitant d'un MAPA. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Dépistage syphilis, HIV, HBV et HVC à pister. Test de grossesse urinaire négatif. Aux urgences : • NaCl 0.9% 1 L au total. • Dafalgan 1 g iv. Avis gynécologique : pertes malodorantes à l'examen gynécologique, patiente traitée pour une PID par Rocéphine + Co-Amoxicilline 10 jours + Doxycycline 14 jours. Prélèvement Chlamydia + gonocoque fait par le gynécologue. Patiente sera convoquée par le gynécologue dans 10 jours pour réévaluation. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Hydratation d'entretien. Antalgie selon protocole. Avis Dr. X (gastro-entérologue). Prednisone 40 mg 1x/jour. Discuter avec son gastro-entérologue de la mise sous traitement antibiotique. Téléphone gastro-entérologue du patient (Dr. X): Prednisone 40 mg 1x/jour. Pas de traitement antibiotique. Culture des selles (bactériologie classique). Pas de diarrhée objectivée aux urgences: le patient est rentré à domicile avec un tube (reviendra avec échantillon des selles pour bactériologie classique). Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Sédiment urinaire. Urotube: en cours. US rénal aux urgences par l'urgentiste (Dr. X): pas de dilatation des voies urinaires. Recherche PCR gonorrhée et Chlamydia urinaire: à pister. Rocéphine 500 mg IM + Azithromycine 1 g per os aux urgences. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour pendant 14 jours. Contrôle clinique à 48h en filière 34, contrôle clinique et biologique avec adaptation de l'antibiothérapie en fonction des résultats microbiologiques. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix et sédiment urinaires: bilan toxicologique en cours. CT scan cérébral et cervical (appel Dr. X): pas de saignement intracérébral, pas de fracture cervicale, apparition nouvelle d'une exophtalmie bilatérale. Compléter bilan par TSH. Score CIWA à 8. Avis psychiatrique (Dr. X): le patient présente des symptômes psychotiques avec idées de grandeur, hospitalisation à Marsens claire avec PAFA si refus du patient.Attitude : • pister les résultats de la TSH, T3 et T4 pour exclure une thyroïdopathie. • proposition d'instaurer une thérapie de Becozym et Benerva et un sevrage OH. • anamnèse peu compatible avec une crise épileptique (patient conscient qui rapporte de lui-même un tremblement de tous ses membres, sans perte d'urine ni morsure de langue et bilan d'imagerie dans la norme, nous ne voyons pas d'indication à demander un avis neurologique, le problème psychiatrique étant au premier plan. Si récidive de crise convulsive, nous proposons de demander un avis neurologique. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix et sédiment. Explications données au patient du diagnostic de présomption de lithiase urinaire, au vu de l'absence de signes de gravité (pas de syndrome inflammatoire, pas de souffrance rénale évidente, pas de signe d'infection urinaire), décision de ne pas effectuer d'uro-CT, antalgie et filtrage des urines, recommandation de consulter son urologue traitant. Reconsulter si péjoration des douleurs ou d'état fébrile. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Stix urinaire propre. CT abdominal : pas d'hernie interne, pas d'iléus, pas de signe de souffrance. Avis chirurgical (Dr. X). Patiente avertie de reconsulter en cas de mauvaise évolution. Rendez-vous chez le Dr. X à 1 semaine (patiente prendra rendez-vous). Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Traitement symptomatique et contrôle chez médecin traitant à la fin de la semaine. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Conseils sur l'alimentation prodigués au patient. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Urines. Patiente envoyée à la consultation gynécologique. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. US abdomen: pas d'altérations, reins dans la norme. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie. Attitude : • semelle plate pour décharge. • marche selon douleur. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle Jeans. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. Traitement symptomatique. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. IRM (questionnaire de sécurité rempli par téléphone) et CT en ambulatoire. Contrôle avec team genou à 7-10 jours. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie cheville face/profil: absence de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Bandage élastique, antalgie simple, physiothérapie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de la cheville face/profil: pas de fracture, pas de signe indirect de lésion de Chopart. Avis orthopédique téléphonique (Dr. X) : immobilisation avec Aircast pendant 2 à 6 semaines avec instructions à l'utilisation données au patient, durée à réévaluer dans une semaine par son médecin traitant. Antalgie avec Dafalgan, surélévation de la jambe et application de froid. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de la cheville gauche. Organisation en ambulatoire d'un US à Givision du tendon d'Achille gauche. Si rupture avérée, le patient recontactera les orthopédistes. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de la cheville gauche. Protocole RICE avec instructions données au patient. Bande élastique. Antalgie. Suite de prise en charge par le médecin traitant. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de la colonne. Antalgie 500 mg + Co-Dafalgan 3x/jour. Convocation au team Spine (en accord avec l'assistant d'orthopédiste). Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de l'épaule droite. Antalgie. Echarpe bras à but antalgique. Contrôle et suite de prise en charge chez le médecin traitant. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de l'épaule et des clavicules bilatérales : sans particularité. Traitement antalgique et mobilisation selon douleurs (le patient ne souhaite pas d'écharpe). Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de l'épaule : pas de fracture visualisée. Traitement conservateur avec : • repos. • antalgie. • physiothérapie de mobilisation et à but antalgique. Contrôle clinique chez le médecin traitant dans 3 semaines (prévoir IRM en ambulatoire si mauvaise évolution afin d'évaluer nécessité opératoire). Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie de l'orteil gauche : pas de fracture. Anesthésie en bague, exploration du lit unguéal. Avis orthopédique (Dr. X) : pas nécessaire d'enlever l'ongle, il tombera tout seul. Pansement protecteur. Attitude : • Retour à domicile. • Contrôle chez le médecin traitant une fois l'ongle tombé. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du calcanéum face/profil : absence de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). • Aircast avec instructions à l'utilisation données à la patiente. • Antalgie par Voltarène gel. • Physiothérapie. • Contrôle en ortho-urgences à 2 mois. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du coude droit. Traitement conservateur par antalgie, AINS et glace. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du genou face/profil : sans particularité. Avis orthopédique (Dr. X) : instabilité du ligament latéral externe, immobilisation avec bande élastique. Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. Charge selon douleurs. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. Consultation chez son orthopédiste Dr. X durant la semaine prochaine. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du pied : pas de corps étranger. Avis orthopédique (Dr. X) : contrôle 48 heures. Étant donné le caractère peu inquiétant de la plaie, nous décidons de ne pas mettre en place d'antibiothérapie prophylactique et proposons un contrôle à 48 heures afin de s'assurer de la bonne évolution de la plaie. Tétanos à jour. Antalgie. Instructions pour soin de plaie données au patient. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du poignet et du scaphoïde gauche. CT main/poignet gauche natif : fracture transverse non déplacée du col du scaphoïde, pas d'autre fracture, épanchement articulaire et tuméfaction des tissus mous péri-fracturaires. Avis orthopédique (Dr. X) : plâtre scaphoïde fendu, consentement intervention chirurgicale signée ce jour par la patiente/Dr. X. La patiente sera contactée directement par le service d'orthopédie pour suite de prise en charge. La patiente est informée sur la surveillance du plâtre. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du poignet : pas de fracture visualisée. RICE, application de glace, Dafalgan, AINS. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax : absence de pneumothorax. CT abdominal : absence de lésion interne. Suture de la plaie au-dessus de l'arcade sourcilière à gauche avec anesthésie par Lidocaïne, rinçage, exploration de plaie et suture par 4 points de Prolène 5.0. Contrôle chez le médecin traitant et ablation des fils à 5 jours. Consigne de vigilance du traumatisme crânien expliquée au patient. Instructions pour soin de plaie données au patient. Si tétanos pas à jour, va reconsulter aux urgences. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax: pas de foyer, pas de pneumothorax. Traitement symptomatique par Dafalgan, AINS, Solmucalm, Triofan et Angina. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie du thorax: sans particularité. Stix urinaire: positif mais patiente ayant ses règles. Attitude: • Retour à domicile. • Antalgie. • Reconsulter si dyspnée ou péjoration des douleurs malgré le traitement. • Consigne comportementale (éviter les efforts et soulever des charges). Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie épaule et acromio-claviculaire: absence de luxation ou de lésion traumatique. Avis orthopédique (Dr. X). • Physiothérapie, antalgie, bretelle à but antalgique. • Contrôle à 6 semaines en ortho urgences. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie épaule, thorax, hanche et fémur gauche : léger élargissement du trait de fracture par rapport aux clichés précédents, sans sanction chirurgicale. Doute sur luxation de l'articulation sterno-claviculaire gauche. CT thoracique natif (Dr. X) : fracture non déplacée et non luxée de la clavicule gauche, pas de pneumothorax, pas de lésion parenchymateuse grossière. Fracture-tassement de T4 probablement ancienne. Avis orthopédique (Dr. X) : CT natif pour compléter les investigations. • Antalgie, physiothérapie de la marche et de l'épaule, pas d'immobilisation. • Retour au home avec antalgie. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie et scanner. Avis orthopédique (Dr. X): botte plâtrée fendue au membre inférieur gauche, charge 15 kg maximum, béquilles, prévention thrombotique par Cléxane prophylactique. • Contrôle à 10 jours en ortho-urgences pour évolution clinique (poursuite botte plâtrée vs introduction semelle rigide). • Enseignement Cléxane. • Information de revenir consulter avec le contrôle en orthopédie si paresthésie ou hypoesthésie persistante. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie genou droit. Avis orthopédique (Dr. X): examen clinique rassurant, pas d'argument pour atteinte méniscale ou ligamentaire, probable claquage musculaire. • Prise en charge conservatrice avec arrêt du sport 10 jours, antalgie et contrôle clinique chez le médecin traitant à 10 jours. • En cas de non-amélioration de la symptomatologie, prévoir IRM du genou droit et consultation avec Dr. X qui connaît déjà le patient et le suit pour son genou gauche. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie genou droit. Laboratoire. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie genou gauche. Avis orthopédique (Dr. X): ad IRM du genou puis contrôle au team genou après l'IRM. • RICE, Dafalgan, AINS. • Le patient ne déroulant pas correctement le pied avec marche partielle, prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. • Bandage élastique. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie lombaire/épaule droite: pas de fracture visualisée. Avis orthopédique Dr. X. • Poursuite de l'antalgie avec Dafalgan et Tramal. • 9 séances de physiothérapie. • Conseil de reconsulter si les douleurs persistent après 6 semaines. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie: pas de fracture visualisée, pas d'élévation de la glène. • Antalgie. • Physiothérapie. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie: pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X): semelle plate, charge selon douleurs. • Antalgie. • Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection tant que pas de déroulement du pied. • Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie pied droit. Avis orthopédique (Dr. X). • Syndactylie orteil I-II pied droit. • Semelle rigide. • Antalgie. • Contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude: • Retour à domicile. • Bandage. • Antalgie. • Contrôle la semaine prochaine chez le médecin traitant. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie. Avis orthopédique: pas de fracture radiologique identifiée. En présence de douleurs importantes : décision d'immobilisation avec contrôle en ortho urgences à 1 semaine. Attitude : • Plâtre AB + scaphoïde fendu. • Antalgie. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographie. ECG. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr. X) : traitement conservateur avec écharpe et antalgie. Contrôle radiologique et clinique à une semaine. Retour à domicile avec traitement antalgique. Pré-explications données par le médecin pour : Radiographies cervicales face/profil et fonctionnelles. Attitude: • Au vu de l'absence de douleurs, la patiente rentre à domicile avec son époux. • Reconsulte en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Pré-explications données par le médecin pour : Rx cheville/pied gauche: pas de fractures. Avis orthopédique (Dr. X) le 02.06.2018: en raison de la clinique d'immobilisation avec attelle JP. • Prescription de béquilles avec instructions à la marche données au patient. • Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane avec instruction à l'auto-injection. • Traitement antalgique. • Contrôle en ambulatoire en orthopédie. Pré-explications données par le médecin pour Rx: pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X. • Retour à domicile, antalgie avec Dafalgan 1 g et Irfen 400 mg en réserve. Crème Voltarène et bandage élastique. Pré-explications données par le médecin pour : Sédiment urinaire: pas de signe d'infection. Urotube. PCR Chlamydia et Gonocoque. US (Dr. X): orchi-épididymite de la queue de l'épididyme. Au vu de l'âge du patient, nous proposons un traitement de Doxycycline 100 mg 2x/jour pendant 10 jours et Ceftriaxone 500 mg intramusculaire en dose unique. Le patient consultera son médecin traitant durant la semaine prochaine pour discuter de la poursuite ou de l'adaptation du traitement en fonction des résultats. En fonction d'une positivité des PCR gonocoque ou chlamydia, nous recommandons le traitement de la partenaire également. Recommandation au patient de reconsulter en cas de péjoration clinique. Pré-explications données par le médecin pour : Sédiment urinaire. Laboratoire. Sérologie HIV, Hépatite A, B et C. Chlamydia et gonorrhée dans les urines. Rocéphine 500 mg i.m. Zithromax 1 g per os. Antalgie. Signes de gravité devant amener à reconsulter aux urgences expliqués au patient. Explication de la nécessité de se protéger lors des rapports sexuels en raison des maladies sexuellement transmissibles. Discussion des résultats en filière 34 la semaine prochaine. Pré-explications données par le médecin pour : Stix urinaire + sédiment urinaire: leuco +, nit-, sang-, prot-. Laboratoire. Prélèvement HIV, HBV, HCV, syphilis: en cours Ceftriaxone 500 mg i.m. Azithromycine 1 g per os en une prise unique. Au total, patient de 18 ans pris en charge pour une urétrite compliquée d'une prostatite. Retour à domicile. Antalgie. Doxycycline 100 mg 2x pendant 10 jours. Consultation en filière 34 à J3 soit le 23.06.2018 pour évolution clinico-biologique post-antibiothérapie et remise de résultat IST. Pré-explications données par le médecin pour : Streptotest: négatif. Frottis fond de gorge: bactériologie en cours. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Rendez-vous de contrôle en Filière 34 à 5 jours pour contrôle clinique et résultats microbiologiques. Pré-explications données par le médecin pour : Streptotest: négatif. Traitement symptomatique par Angina, Dafalgan. Pré-explications données par le médecin pour : Test de grossesse : négatif. Attitude : • Hydratation. • Antalgie. • Repos. Conseils sur l'alimentation prodigués à la patiente. Pré-explications données par le médecin pour : US abdominal (rapport oral Dr. X) : hématome extra musculaire superficiel de 24 x 14 mm (long x larg), pas de liquide libre abdominal. Si persistance de symptômes après 5 jours, consultation chez le médecin traitant. Pré-explications données par le médecin pour : US (Dr. X) : abcès avec infection du tissu adipeux. Avis chirurgical (Dr. X) : drainage d'abcès à 48 h en filière (14.6.18) à 8h. Merci de contacter le Dr. X pour le drainage et de préparer une anesthésie par monoxyde azote. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Aérosols d'Atrovent + Ventolin. Radriographie. Pré-explications données par le médecin pour : Laboratoire. Urine. Uro-CT : pas de calcul, pas de dilatation sur passage de calcul dans la vessie. Attitude : Analgésie en réserve. Pré-explications par le médecin au préalable : • ECG. • Laboratoire. Chez ce patient connu pour une hernie L3-4, L4-L5 opéré en 2015 et polyvasculaire, nous retrouvons des pouls distaux bien palpés sans argument pour un événement vasculaire aigu, nous ne retrouvons pas de sciatalgie ni de déficit neurologique. Les caractères des douleurs et leurs présentations cycliques avec péjoration la nuit nous orientent vers des douleurs de types neurogènes avec possible syndrome des jambes sans repos. Majoration du Lyrica à 2x/50 mg puis si bien toléré à 2x/75 mg dès 3 jours après l'augmentation. Suivi par le médecin traitant et réorientation en neurologie si persistance et/ou péjoration. Pré-explications par le médecin au préalable : • Laboratoire. • Rx thoracique. Streptotest : négatif. Traitement symptomatique par Nasonex, Solmucalm, Angina, Dafalgan et AINS. Pregabaline 25 mg 3x/j. Flector tissu gel 1x/j. Prélèvement de selles. Flagyl 3x500 mg/jour du 11.06.2018 - 13.06.2018. Isolement de contact du 11.06.2018 - 13.06.2018. Prélèvements bactériologiques : 2 paires d'hémocultures : négatives à J5. Contrôle laboratoire du syndrome inflammatoire. Prélèvements MRSA et ESBL du 23.05.2018 : négatifs. Isolement de contact du 23.05 au 29.05.2018. Prématuré de 31 0/7, PN 1215 g (P10), PC 27.8 cm (P20), TN 43 cm (P60). Syndrome de détresse respiratoire sur manque de surfactant. Douleurs d'origine X (DD : reflux gastro-oesophagien débutant, coliques du nourrisson, virose débutante). Prématuré de 34 0/7 SG, PN 1550 g (P3), TN 41 cm (P3), PCN 29,5 cm (P5). SDR sur wet-lung. Hypoglycémie (min. 1,8 mmol/l). Hyperbilirubinémie indirecte (max. 190 umol/l) sur prématurité. RCIU harmonieux. Asymétrie des ventricules cérébraux latéraux. Prématuré de 34 0/7 SG (PN 2400 g (P50), TN 46 cm (P50), PCN 31.5 cm (P25). • Hyperbilirubinémie non conjuguée le 05.08.11, Coombs négatif (B Rhésus positif). • Photothérapie du 05.08 au 06.08.11. • Mycose buccale. Prématuré né à 30 0/7 semaines de gestation, poids de naissance à 1535 g (P50-75), périmètre crânien de naissance 28 cm (P25-50), taille de naissance 42 cm (P50-75). Jumeau 2 d'une grossesse mono-choriale bi-amniotique. Syndrome transfuseur-transfusé grade 1 (transfusé), traité par amniodrainage de J2 le 14.02. Choc hémorragique sur KTAO (pas de transfusion) avec insuffisance rénale pré-rénale d'origine indéterminée (DD sur saignement ombilical). Prématuré né à 33 3/7 SA, poids de naissance 1890 g (P25), taille de naissance 43 cm (P25), périmètre crânien de naissance 29.5 cm (P10-25). Prématuré né à 33 3/7 SG, PN 2020 g (P 50-90), PCN 31.5 cm (P 50-90), TN 42 cm (P 50). Prématuré né à 33 4/7 semaines de gestation avec un petit poids gestationnel pour l'âge soit avec un poids de naissance à 1060 g ( OS plateau tibial externe gauche par plaque tiers tube d'appui 3.5 et plaque hémi-circonférentielle 2.7. Prothèse tibiale primaire postéro-stabilisée à gauche (opération le 29.02.2012) Opération HD lombaire Cure d'hernies inguinales : 2x à droite et 1x à gauche Hémorragie digestive haute depuis le 11.06.2014 • Méléna 3-4 épisodes par jour Bilan biologique et suivi de l'hémoglobine Bolus 80 mg Pantozol puis pompe 8 mg/h puis 40 mg per os 2/j Mis à jeûn, hydratation parentérale Gastroscopie le 17.06.2014 : pas de source de saignementProthèse genou droit. Prothèse totale de hanche gauche. Prostatectomie ouverte en juillet 2014 (Dr. X). Empyème pleural à gauche sur pneumonie acquise en communauté à Fusobacterium, le 21.06.2017 • CURB-65 4 points, Score Fine 119 points • post-2 semaines de traitement en ambulatoire par céfuroxime jusqu'au 20.06.2017 • radiographie du thorax du 21.06.2017: épanchement pleural gauche • CT-scan thoracique post-ponction pleurale le 21.06.2017: foyer de condensation pulmonaire intéressant la quasi-totalité du lobe inférieur gauche avec des zones de nécrose de taille infra-centimétrique, sans argument pour un empyème • CT-scan thoracique le 27.06.2017: infection d'atélectasie basale gauche avec petite zone d'abcédation probable, en amélioration par rapport au comparatif. Épanchement cloisonné associé avec prise de contraste pleural • ponction pleurale le 21.06.17: 500ml, liquide trouble, pH 6.9, 100'000 éléments (prédominance neutrophiles), culture négative, Antigène Pneumocoque négatif • drain pleural posé en radiologie (Dr. X) le 27.06.2017 • drain thoracique (Dr. X) le 27.06.2017 • Meropenem du 21.06.2017 au 22.06.2017 • Décortication par thoracotomie le 29.06.2017 à l'Inselspital. Prothèse inversée de l'épaule gauche pour omarthrose invalidante, le 17.05.2018 Prothèse totale de hanche à droite Prothèse totale de hanche ddc Prothèse totale genou droit en 2011 Insuffisance rénale aiguë avec créatininémie à 154 mcmol/l le 22.12.2013 d'origine probablement prérénale dans un contexte de consommation d'AINS Appendicite avec péritonite Greffe de peau main gauche avec lambeau abdominal suite à un accident en 1956 Prothèse totale de hanche droite le 14.06.2017 pour coxarthrose (Dr. X) AIT en 2010 (hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural D) Prothèse totale de hanche droite le 14.06.2017 pour coxarthrose (Dr. X) AIT en 2010 (hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural D) Prothèse totale de hanche droite le 14.06.2017 pour coxarthrose (Dr. X) AIT en 2010 (hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural D) Prothèse totale de hanche droite le 14.06.2017 pour coxarthrose (Dr. X) AIT en 2010 (hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural D) Prothèse totale de hanche gauche en 2017. Prothèse totale de hanche droite avec fracture Vancouver B1, puis révision en 2014. Pneumonie basale droite en 2016. Multiples infections urinaires en 2014 et 2016. Cure de cataracte bilatérale. Fracture de la branche ischio-pubienne droite et multi-fragmentaire du cotyle droit colonne antérieure + postérieure hémitransverse sur status post-prothèse totale de hanche droite le 10.01.2018. Prothèse totale de hanche gauche le 14.04.2011 pour coxarthrose Prothèses totales des genoux des deux côtés (droite en 1999, gauche 1995) Cystopexie Cholécystectomie laparoscopique le 05.07.2016 (Dr. X) Prothèse totale de hanche pour fracture du col du fémur droit suite à AVP 12.2010 • infection urinaire 01.2011 pendant l'hospitalisation Ulcère gastrique en 2000 Appendicectomie Colique néphrétique Infection urinaire basse le 15.10.2014 • Ciprofloxacine dès le 15.10.2014 Insuffisance rénale AKIN III sur globe vésicale 01/2015 Infection urinaire haute à Klebsiella pneumoniae, le 27.01.2015 Prothèse totale de la hanche droite en 1997, status post-fracture col du fémur droit en 1970 S/p clou gamma gauche Hernie discale en 1969 S/p opération de la cataracte Syndrome du pacemaker avec mise en place d'une nouvelle sonde pacemaker dans le ventricule gauche en 2014 Status post-pneumothorax post-pose de sonde le 26.05.2014 Prothèse totale de la hanche droite en 1997, status post-fracture col du fémur droit en 1970 S/p clou gamma gauche Hernie discale en 1969 S/p opération de la cataracte Syndrome du pacemaker avec mise en place d'une nouvelle sonde pacemaker dans le ventricule gauche en 2014 Status post-pneumothorax post-pose de sonde le 26.05.2014 S/p sepsis d'origine urinaire avec bactériémie à E. coli le 23.05.2018 Traumatisme crânien simple après la chute mécanique le 23.05.2018 • CT cérébro-cervical : pas de fracture, pas d'hémorragie Pneumonie nosocomiale basale droite le 25.05.2018 Leucocytose à 15 G/l avec déviation gauche le 01.06.2018 • sans élévation de la CRP • sans état fébrile, sans foyer clinique • Rx thorax : Pas de foyer franc • Sédiment urinaire : 10-20 leuco par champs • Urotube : Enterococcus faecium, quantification en cours • Hémocultures (2 paires) à froid : en cours après 5 jours Anémie macrocytaire normochrome le 23.05.2018 probablement d'origine infectieuse Escarres aux talons de deux côtes le 25.05.18 Hyperkaliémie dans le cadre de l'insuffisance rénale aiguë le 20.06.18 • K 6.4 mmol/l (le 20.06.18) • ECG le 20.06.18 : compatible avec ECG du 07.06.18 : rythme par pacemaker de mode DDDR avec FC 60/min. Prothèse totale de la hanche droite en 1997, status post-fracture col du fémur droit en 1970 S/p clou gamma gauche Hernie discale en 1969 S/p opération de la cataracte Syndrome du pacemaker avec mise en place d'une nouvelle sonde pacemaker dans le ventricule gauche en 2014 Status post-pneumothorax post-pose de sonde le 26.05.2014 S/p sepsis d'origine urinaire avec bactériémie à E. coli le 23.05.2018 Traumatisme crânien simple après la chute mécanique le 23.05.2018 Pneumonie nosocomiale basale droite le 25.05.2018 Leucocytose à 15 G/l avec déviation gauche sans foyer clair le 01.06.2018 Anémie macrocytaire normochrome le 23.05.2018 probablement d'origine infectieuse Escarres aux talons de deux côtes le 25.05.2018 Prothèse totale de la hanche droite en 2006 par le Dr. X à la clinique générale, avec: • révision de la prothèse totale de hanche droite avec changement de la cupule le 31.08.2016 (Dr. X, Clinique Générale) et hématome cicatriciel avec saignement actif de la plaie opératoire de la hanche droite. Lypothymie probablement d'origine cardiogène le 28.12.2016. Opération de l'estomac, à pister ? Chute secondaire à des troubles de l'équilibre et de la marche avec : • glutéalgie droite d'origine indéterminée probablement sur contusion. • déficit vitaminique global. • troubles cognitifs importants. • malnutrition protéino-énergétique légère. Hospitalisation en gériatrie aiguë pour antalgie et physiothérapie. Troubles cognitifs avancés dans le contexte d'une probable démence avec MMS à 14/30 et test de la montre à 1/7 le 18.12.2017. Fracture sous-capitale impactée de l'humérus droit le 24.11.2017. Hypertension artérielle. Introduction de Lisinopril le 18.12.2017. Angoisse. Malnutrition protéino-énergétique légère. Flutter auriculaire à réponse ventriculaire normocarde symptomatique. Prothèse totale de la hanche gauche en 2007 (Dr. X) • Révision en 2013 pour intoxication au Cobalt (Dr. X) Bursite bactérienne prépatellaire D à Staph. aureus en mars 2014 • Bursectomie genou droit le 11.03.2014 Status post-AVC du pont para-médian en mars 2007 • Hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural gauche • Status post-fermeture de foramen ovale en mai 2007 Prothèse totale du genou G en 1999 Bronchite virale aiguë en février 2012 Luxation 5ème métacarpe G ; le 21.03.2017 Prothèse totale genou droit sur gonarthrose fémoro-tibiale interne, 2015. Fracture lame papyracée ethmoïde gauche avec hématome périorbitaire, 2013. Fracture côte IV gauche, 2013. Subluxation C1-C2, 2013. Opération anévrisme aorte ascendante, 2009. Infiltrations des hanches pour coxalgies invalidantes. État confusionnel aigu sur Morphine. Traumatisme crânien simple sur chute. Prothèse totale hanche droite, 2011. Luxation prothèse hanche droite, 2017. Luxation postérieure prothèse hanche droite, 2ème épisode. Cure de varices des membres inférieurs. Thyroïdectomie, 1977. Hystérectomie, 1985. NSTEMI le 03.06.2018. Prothèses de hanche totales bilatérales Episodes de vertige positionnel paroxystique bénin sur otolithe Etat confusionnel aigu le 23.02.2017 sur démence jusqu'alors non investiguée avec/sur: • chute à domicile avec fracture de la base du nez le 23.02.2017 • hospitalisation et traitement antibiotique • infections ou troubles électrolytiques exclus • CT crânio-cérébral du 23.02.2017: sans particularité intracérébrale • MMS le 08.03.2017: 15/30, test de la montre 0/7, GDS 7/15 • Hypovitaminose B12 Anémie normocytaire chronique avec Hb à 109 g/l le 23.02.2017 avec/sur: • hypochromie limite le 23.02.2017 (28 pg) • carence en vitamine B12 (118 pg/ml) et acide folique à la limite de la norme (5.7 ng/ml) le 27.02.2017 • notion documentée de macrohématurie chronique dans le passé, actuellement non présente • s. p. pancolite en 2015 avec hématochézie dans contexte de diverticulose connue • hémoglobine le 07.03.2017 à 121 g/l après 1x perfusion de Ferrijet 500 mg le 25.02.2017 Pas d'investigations actuelles dans le contexte global et l'évolution démentielle Substitution en vitamine B12 et acide folique Prothèses totales de hanches des deux côtés 2001 et 2003 Troubles sphinctériens avec: • Importante sténose canalaire en L4-L5 • Rétrécissement canalaire en L5-S1 • Incontinence urinaire fine juin 2017 • Incontinence fécale depuis mi-mai 2017 Status post-trépanation d'un hématome sous-dural à droite avec déviation de la ligne médiane le 07.07.2017 Notion de fibrillation auriculaire en juillet 2017 Tests de la cognition du 09.03.2018 : MMS à 29/30 et test de la montre à 6/7 Orchi-épididymite le 19.03.2018 Evaluation neuropsychologique 23.03.2018 Prothèses totales des genoux droit et gauche. Protocole de soins palliatifs dans carnet de santé mis à jour le 10.11.2017 par Dr. X. Avis soins palliatifs pédiatriques (Dr. X) Protocole de sommeil Protocole des douleurs Consilium gastro-entérologique (Dr. X) : Ad Ibérogast, 20 gouttes 3x/j; pas de nécessité d'un bilan complémentaire pour l'instant Protocole GRAALL phase de consolidation 3 - Bloc 8 (Methotrexate) du 29.05 au 01.06.2018 1 CE le 01.06.2018 Protocole insuline glucose le 08.06.2018 Surveillance biologique Protocole pleurs Bilan hydrique du 06.10 au 09.10.2014 Pregomin Pepti dès le 06.10 Lavement baryté du colon le 09.10.2014 Suivi gastroentérologie pédiatrique (Dr. X) Protocole tractocile Protocole maturation pulmonaire Transfert en ambulance au CHUV Frottis bactériologique + streptocoque B en cours Urotube en cours Actim prom + actim partus Provocation Provocation Provocation Provocation Provocation Syntocinon Antalgie par péridurale Césarienne par Pfannenstiel Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique avec fils résorbables Césarienne isthmique transverse basse (OP le 24.05.2018) Provocation de l'accouchement Provocation de l'accouchement Provocation de l'accouchement Provocation de l'accouchement Provocation de l'accouchement Provocation et travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Incision selon Pfannenstiel sous Rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique avec fils résorbables Suites de couches Provocation par Misodel le 27.05.2018 Travail soutenu par Syntocinon Aucune antalgie Suites de couches Provocation par Misodel le 29.06.2018 Antibioprophylaxie par Clamoxyl Ventouse métallique Suite de couche Provocation par Misodel pour désir maternel Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Misodel pour terme dépassé le 22.06.2018 Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale et protoxyde d'azote Suites de couches Provocation par Misodel pour terme dépassé Antalgie par péridurale et Kalinox Suites de couches Provocation par Misodel Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par propess le 01.06.2018 à 15h00 Anesthésie par Kalinox Suites de couche Provocation par Propess le 01.06.2018 à 15h00 Anesthésie par Kalinox Suites de couches Provocation par Propess le 06.06.2018 pour pré-travail persistant Travail soutenu par Syntocinon Anesthésie par péridurale Césarienne selon stark cohen Incision selon Pfannenstiel, utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique à la peau Clexane selon protocole Suite de couche Provocation par Propess le 07.06.2018 et pose de Ballonnet le 08.06.2018 pour RCIU et oligoamnios Anesthésie par rachianesthésie Césarienne selon stark Cohen Incision selon Pfannenstiel, utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique à la peau Clexane selon protocole Suite de couche Provocation par Propess le 09.06.2018 pour rupture prolongée des membranes Anesthésie par péridurale Instrumentation par ventouse Kiwi à épines +1 Suites de couches Provocation par Propess le 09.06.2018 Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Propess le 16.06.2018 pour rupture prématurée des membranes Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Propess le 20.06.2018 Antalgie par péridurale et Kalinox puis rachianesthésie Césarienne par Pfannenstiel Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique avec fils résorbables Suite de couches Provocation par Propess le 21.06.2018 pour pré-éclampsie Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Procédure B-lynch pour saignement actif de la corne annexielle gauche Surjet intradermique avec fils résorbables Suites de couches Provocation par Propess le 23.03.2018 pour absence de mise en travail après rupture prématurée des membranes Antalgie par protoxyde d'azote Suites de couches Provocation par Propess le 29.05.2018 Soutenu par Syntocinon le 30.05.2018 Antalgie par rachi-anesthésie Suites de couches Provocation par Propess pour diabète gestationnel insulino-requérant et RCIU (P5) Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV SB positif Incision selon Pfannenstiel sous péridurale approfondie Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Provocation par Propess pour macrosomie le 05.06.2018 à 21h00 Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Propess pour rupture prolongée des membranes Anesthésie par péridurale Travail soutenu par Syntocinon Suites de couches Provocation par Propess pour rupture spontanée pré-terme des membranes le 07 et 08.06.2018 Travail soutenu par Syntocinon Anesthésie par péridurale Suite de couche Provocation par Propess pour terme dépassé Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie Utérotomie isthmique transverse basse Agrafes : ablation à J10 Suite de couches Provocation par Propess pour terme dépassé Travail soutenu par Syntocinon Incision selon Pfannenstiel sous péridurale Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Provocation par Propess Instrumentation par forceps Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Propess Suite de couches Provocation par Propess Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Épisiotomie médio-latérale droite Suites de couches Provocation par Propess Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Incision selon Pfannenstiel Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Suites de couches Provocation par Propess Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par protoxyde d'azote Suites de couches • Provocation par Syntocinon le 31.05.2018 • Anesthésie par péridurale • Suites de couches • Provocation par Syntocinon • Antalgie par péridurale • Suites de couches • Provocation pour désir maternel • Provocation pour macrosomie • Provocation pour terme dépassé • Provocation pour terme dépassé • Provocation pour terme dépassé • Proximale periostheosyntetische Ulnafraktur rechts am 02.06.2018 • Pruri-med émulsion, Elocom crème sur les lésions prurigineuses. • Consultation en dermatologie en août 2018 (première date disponible). • Prurit. • Prurit. • Prurit. • Prurit dans le cadre de la maladie oncologique • Prurit d'origine psychogène probable (crainte de puces de lit). • Prurit généralisé d'origine indéterminée sur possible réaction atopique (latex? produits professionnels?). DD : déficit vitaminique, carence en fer. • Prurit généralisé DD : sur hyperbilirubinémie Atarax 25mg 19.03.2018 - 09.04.2018 Quantalan dès le 19.03.2018, stop car inefficace Remeron dès le 21.03.2018, dose augmentée le 09.04.2018, stop le 20.04.2018 • Prurit important dans le contexte de la cirrhose Child B • Prurit testiculaire. • Prurit testiculaire d'origine indéterminée le 30.05.2018. • PS du 11.06.18 : b-HCG 71U/L, progestérone en cours. Stix urinair : Lc ++, Ery ++, Prot + Urocult : en cours. TG : positif • PSA le 11.06.2018 : 70.3 ng/ml • CT thoraco-abdominal le 07.06.2018 • PSA 22.06.2018 : 20,8 ug/l Suivi en urologie en ambulatoire • Pseudarthrose clavicule D sur fracture multi-fragmentaire déplacée du tiers moyen de la clavicule D le 19.02.2017. • Pseudarthrose de la fracture per et sous-trochantérienne du fémur D avec status post réduction ouverte et ostéosynthèse par clou long le 31.01.2017 et status post changement de vis céphalique et dynamisation du clou le 27.11.2017. • Pseudarthrose de l'humérus proximal droit sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse humérus proximal D par plaque PHILOS le 26.06.2017. • Pseudarthrose du poignet droit sur fracture ancienne du scaphoïde (SNAC wrist). • Pseudarthrose du pôle proximal du scaphoïde gauche. • Pseudarthrose du pôle proximal du scaphoïde gauche. • Pseudarthrose sur status post déhiscence de plaie chirurgicale tiers moyen tibia droit sur infection. Status post ostéosynthèse du tibia par plaque LCP 4.5 large le 19.08.2017. • Pseudarthrose sur status post ré-arthrodèse IPP 2ème orteil à D le 17.11.2017. Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse MTP du 1er orteil à droite et à gauche le 17.11.2017. Status post ostéotomie hallux ddc (Scarf modifié) en 2016. • Pseudarthrose tibia D sur status post : • fracture ouverte du 1er pilon tibial selon Gustillo avec fracture du péroné de la jambe D le 28.02.2018 (accident du 18.02.2017). • persistance d'une neurapraxie du nerf tibial D. Status post de cure pseudarthrose avec curetage-décortication, prélèvement pour micro-bactériologie, ré-OS par une plaque en L LCP 3.5 mm médialement et une plaque LCP 5 trous 2.5 mm antéro-latéralement, remplissage par de l'os spongieux prélevé à la crête iliaque D et Allograft du tibia distal de la jambe D le 23.03.2018. • Pseudo-hyperkaliémie le 11.06.2018. • Pseudo-hyperkaliémie 6.1 mmol/l sur erreur pré-analytique le 06.06.2018. • pseudohyponatrémie à 129mmol/l le 06.06.2018 • Pseudo-hyponatrémie à 128 mmol/ • osmolalité sérique 283 mosmol/kg • Pseudohyponatrémie le 01.06.2018 • Pseudohyponatrémie le 01.06.2018 • Pseudohyponatrémie le 01.06.2018 • DD décompensation insuffisance cardiaque • Psoriasis • Psoriasis • Psoriasis. • Psoriasis. • Psoriasis. • Psoriasis. • Psoriasis cuir chevelu : • diagnostic différentiel : dermatite séborrhéique. • Psoriasis (cuir chevelu uniquement). Asthme allergique et asthme à l'effort. • Psoriasis depuis env. 2-3 ans : jamais diagnostiqué formellement. Tabagisme actif. • Psoriasis du cuir chevelu traité par des compléments alimentaires. Fractures costales sur AVP. Appendicectomie. Ablation d'un nodule thyroïdien. Status post OS par clou PFNA d'une fracture col fémur D le 26.03.2018 (centre hosp. de Bourg Saint Maurice/France). • chute à ski le 24.03.2018. • Psoriasis. Hypertension artérielle. • Psoriasis non traité. Hallux valgus G (40°) avec bursite et hallux valgus droit (30°). Lombosciatalgies droites sur s/p fracture L1 avec mal perforant hypercyphotique thoraco-lombaire traitée au Maroc par ostéosynthèse il y a 20 ans avec ablation du matériel à 1 an post-rupture de celui-ci Lichen plan (lésion de l'avant-bras) Dr. X. Dorsalgies post-AVP, le 17.09.2012 avec important syndrome lombo-vertébral et hypercyphose dorsale avec hyperlordose lombaire compensatrice. • Psoriasis non traité. Hallux valgus gauche (40°) avec bursite et hallux valgus droit (30°). Lombosciatalgies droites sur status post-fracture de L1 avec mal perforant hypercyphotique thoraco-lombaire traité au Maroc par ostéosynthèse il y a 20 ans, avec ablation du matériel à 1 an post-rupture de celui-ci. Dorsalgies post-accident de la voie publique, le 17.09.2012 avec important syndrome lombo-vertébral et hypercyphose dorsale avec hyperlordose lombaire compensatrice. • Psoriasis sévère sous Stelara aux 3 mois depuis 2007 (Ustekinumab), suivi par Dr. X. Tabagisme actif 70 UPA. Syndrome d'apnée du sommeil appareillé par CPAP, suivi par Dr. X. Diverticulose colique (dernière coloscopie en février 2018). Trouble anxio-dépressif DD : trouble de stress post-traumatique, suivi par Dr. X. Gastrite chronique probable (H. Pylori négatif en décembre 2017), dernière OGD en février 2018 (Fribourg), sous Oméprazole. Oesophagite de reflux grade A selon Los Angeles. Bêta-thalassémie mineure hétérozygote avec anémie microcytaire normochrome. Hypoacousie appareillée. Antélisthésis de L4 sur L5 de grade I, multiples hernies dorsales de Schmorl avec ancienne fracture des facettes inférieures, discopathie L5-S1. Hernie inguinale bilatérale asymptomatique. Deux ectasies focales fusiformes de l'aorte abdominale infrarénale, mesurant 23 mm et 21 mm. • Psoriasis sévère sous Stelara aux 3 mois depuis 2007 (Ustekinumab), suivi par Dr. X. Tabagisme actif 70 UPA. Syndrome d'apnée du sommeil appareillé par CPAP, suivi par Dr. X. Diverticulose colique (dernière coloscopie en février 2018). Trouble anxio-dépressif DD : trouble de stress post-traumatique, suivi par Dr. X. Gastrite chronique probable (H. Pylori négatif en décembre 2017), dernière OGD en février 2018 (Fribourg), sous Oméprazole. Oesophagite de reflux grade A selon Los Angeles. Bêta-thalassémie mineure hétérozygote avec anémie microcytaire normochrome.Hypoacousie appareillée. Antélisthésis de L4 sur L5 de grade I, multiples hernies dorsales de Schmorl avec ancienne fracture des facettes inférieures, discopathie L5-S1. Hernie inguinale bilatérale asymptomatique. Deux ectasies focales fusiformes de l'aorte abdominale infrarénale, mesurant 23 mm et 21 mm. Psoriasis sévère sous Stelara depuis 2007 (Ustekinumab) Tabagisme actif 70 UPA Syndrome d'apnée du sommeil appareillé CPAP Psoriasis sous traitement local. Tabagisme actif (20 UPA). Psoriasis traité par Methotrexate Hyperplasie bénigne de la prostate Tabagisme actif (2 cigarettes/jour depuis 30 ans) Psoriasis traité par Methotrexate Hyperplasie bénigne de la prostate Tabagisme actif (2 cigarettes/jour depuis 30 ans) Péjoration cognitive depuis fin octobre 2017. DD : progression maladie de Parkinson, posologie médicamenteuse, composante psychiatrique Psoriasis Condylomes vulvo-vaginaux Tabagisme actif 30 UPA THC (cannabis) 1-2x/semaine Psoriasis. Tabagisme actif. Dépendance aux opiacés : • sous substitution par Subutex • suivi irrégulier au CCA (dernier rdv en mars 2018) • avec hospitalisations à Marsens en 1998 et 2000 • avec trouble anxio-dépressif associé • avec probables symptômes psychotiques associés. Psoriasis. Tabagisme 1 cigare/semaine. Consommation OH occasionnelle. Psychiatre traitant (Dr. X) : 026 422 43 03, très investie CCA suivi prévu mais pas encore initié pour addiction aux benzodiazépines Fondation du Torry : Suivi alcoologie Dr. X médecin traitant, peu de contacts Dr. X Pneumologue, rdv initialement prévu le 25.06.2018 Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline. • retard mental léger avec troubles du comportement. • obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipo-oedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche. Surdité de 50% bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Retard mental léger : • trouble du comportement avéré. Traitement ou observation exigés. Transfert au RFSM de Marsens. Personnalité émotionnellement labile, type borderline. Transfert à Marsens sous PAFA. Psychiatrique : • trouble de la personnalité type borderline. • retard mental léger avec troubles du comportement. • obésité morbide de type III avec impotence fonctionnelle (en chaise électrique), lipoedème symptomatique et trouble du comportement alimentaire compulsif. • ancien syndrome de dépendance à l'alcool. • tentative de suicide il y a environ 10 ans avec lacération du membre supérieur droit. Insuffisance veineuse chronique de stade C6 avec incontinence des veines saphènes internes bilatérales prédominant à gauche distalement, dermite de stase, incontinence des veines perforantes de Boyd, ulcère de stase à gauche. Surdité de 50% bilatérale. Myopie appareillée. Gonarthrose bilatérale. Retard mental léger : • trouble du comportement avéré. Traitement ou observation exigés. Transfert au RFSM CSH Marsens. Personnalité émotionnellement labile, type borderline. Transfert à Marsens sous PAFA. Psychose avec intolérance au traitement médicamenteux. PTG D pour gonarthrose, le 08.05.2018 PTG ddc Arthrodèse chevilles ddc PTG droite pour gonarthrose le 20.04.2018, anticoagulation par Xarelto 10 mg jusqu'au 20.05.2018. Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture tassement D11 et L1 sur chute mécanique (22.04.2018) • Hypovitaminose D (27.04.2018). Opération de la cataracte à droite en 2015. Escarre stade I du coude droit. PTG G sur gonarthrose le 11.05.2018 PTG G sur gonarthrose tricompartimentale, le 09.03.2016. PTG D en 2008. PTH G par Dr. X PTH D sur nécrose de la tête fémorale le 17.08.2017 Arthroplastie de l'épaule D par implant inversé pour nécrose de la tête humérale et arthrose secondaire, le 27.03.2014. • Ostéosynthèse d'une fracture de l'humérus proximal D en 2009 avec AMO en 2010 Arthropathie AC et bursite sous-acromio-claviculaire de l'épaule G Ostéosynthèse fracture de la cheville D il y a 40 ans Troubles du sommeil avec altération du rythme veille/sommeil. Erysipèle du membre inférieur droit, traité par co-amoxicilline en janvier 2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 transitoire avec clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 72 ml/min en 2017 TVP en 1992 PTG G sur gonarthrose tricompartimentale, le 09.03.2016 PTG D en 2008 Status post PTH G PTH D sur nécrose de la tête fémorale le 17.08.2017 Arthroplastie de l'épaule droite par implant renversé pour nécrose de la tête humérale et arthrose secondaire, le 27.03.2014 Ostéosynthèse d'une fracture de l'humérus proximal droit en 2009 avec AMO l'année suivante Ostéosynthèse de la cheville droite il y a 40 ans Troubles du sommeil avec altération du rythme veille/sommeil Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 transitoire avec clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 72 ml/min à l'entrée Erysipèle du membre inférieur droit, traité par co-amoxicilline depuis le 24.01.2017 TVP en 1992 PTG G sur gonarthrose varisante le 14.11.2017 Status post PTG D sur gonarthrose varisante tricompartimentale invalidante, le 31.01.2017 TVP du MIG (veine poplitée G et veine fémorale superficielle) depuis octobre 2016 sous Xarelto 10 mg 1x/j PTG gauche début mai 2018. PTG gauche en 2015 Hystérectomie Amygdalectomie dans l'enfance PTG gauche sur gonarthrose varisante le 14.11.2017 Status post-PTG droite sur gonarthrose varisante tricompartimentale invalidante, le 31.01.2017 PTG gauche Stent X2 Cholecystectomie PTG gauche Stent X2 Cholecystectomie Lobectomie droite le 12/06/18 PTH, bilan neuropsychologique, hémocultures et culture d'urine PTH bilatérale en 1999 et 2004 Spondylodiscite à Staph. aureus associée à une bactériémie en 2001 traitée pendant 2 semaines par antibiothérapie i.v. puis p.o. pour une durée totale de 6 semaines Hypertension artérielle mal contrôlée avec pics hypertensifs successifs associée à une hypokaliémie persistante d'origine multifactorielle le 19.10.2017 PTH bilatérale. Cure d'hydrocèle droite épididymectomie (Dr. X, 2006). Cure de hernie inguinale en 1993. Cure de varices des membres inférieurs (Dr. X, 1993). Amygdalectomie. Surinfection pulmonaire dans le contexte d'un carcinome épidermoïde du lobe pulmonaire droit nouvellement diagnostiqué. PTH bilatérale Goutte du genou avec détection de cristaux en 08/16 Diabète mellitus type 2 anamnestique, non confirmé • Laboratoire du 22.06.2017 : quantité de sucre à jeun 5.7mmol/l, HbA1c 5.6% Désorientation DD infection, médicamenteuse (16.04.2018) Enflement des jambes et prise de poids (04/2018) Décompensation cardiaque avec fibrillation auriculaire le 18.04.2018 dans le cadre d'un état septique PTH D du 18.04.2018. Conflit type CAM à la hanche G. PTH D par voie antérieure minimalement invasive sur coxarthrose, le 01.06.2018 PTH D pour coxarthrose D symptomatique le 06.06.2018 PTH D pour coxarthrose le 28.05.2018 PTH ddc. Arthrite goutteuse des deux genoux régulièrement avec des preuves de cristal 08/2016 Antécédent de diabète sucré de type 2, non confirmé • 22.06.2017 : sucre à jeun 5.7 mmol/l, HbA1c 5.6% État confusionnel aigu DD infectieux, médicamenteux (16.04.2018) • CT cérébral/carotides (HFR Tavel) • Réduction d'opioïdes et pregabaline • Laboratoire • CT crâne/carotte avec contraste • Adaptation des médicaments : réduction des opioïdes et de la prégabaline • Contrôle neurologique PTH droite en juin 2010. Infection de PTH gauche à Staphylococcus epidermidis multirésistant en 2007, ablation de la PTH, mise en place d'un spacer puis réimplantation de PTH en 2008 (6 opérations). Status post-ostéosynthèse du tibia gauche. Status post-fracture de l'olécrane. Embolie pulmonaire bilatérale en octobre 2014. Status post-laminectomie L4-L5 bilatérale en 2001 compliquée d'un abcès et d'une spondylodiscite. Suspicion de TVP du membre inférieur gauche en 2016. Affection dermatologique d'origine indéterminée le 23.03.2016. PTH droite en 2011. Luxation de PTH droite le 30.08.2017. Cure de varices des membres inférieurs. Thyroïdectomie en 1977. Hystérectomie en 1985. Luxation postérieure de PTH droite, deuxième épisode, posée en 2011 (Dr. X). PTH droite en 2011. Luxation de PTH droite le 30.08.2017. Cure de varices des membres inférieurs. Thyroïdectomie en 1977. Hystérectomie en 1985. Luxation postérieure de PTH droite, deuxième épisode, posée en 2011 (Dr. X). PTH G en 1994 et PTH D en 1985. Opération de fixation lombaire en 1998 pour canal lombaire étroit. Status post 2 opérations du tendon d'Achille à gauche. Opération de cancer mammaire 2X à gauche. PTH G en 2007 (Dr. X, Dr. Y). • Révision en 2013 pour intoxication au Cobalt (Dr. X, Dr. Y). Bursite bactérienne prépatellaire D à Staph. aureus en mars 2014. • Bursectomie genou D le 11.03.2014. Trauma crânien simple en 2014. Status post-AVC du pont para-médian en mars 2007. • Hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural G. • Status post fermeture de foramen ovale en mai 2007 (Dr. X). Contusion du genou G avec plaie face interne; le 03.02.2018. Exploration, rinçage plaie face interne du genou G, suture par 3 points de Prolène 4,0 (aux urgences). Antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 1,2 g 3x/j du 03.02. au 06.02.2018. Antalgie. Physiothérapie. Contusion hanche G; le 03.02.2018. Traitement symptomatique. Physiothérapie. DRS dans le cadre de spasmes coronariens; le 05.02.2018. • DD spasmes oesophagiens. ECG 05.02.2018 : pas de modification. Troponines : dans la norme. Avis de cardiologie (Dr. X). Stop Meto Zerok. Introduction Zanidip. Isoket en R. Pantozol d'office. PTH G en 2010 pour arthrose. HTA. Obésité. Dyslipidémie. SAOS appareillé. Cardiopathie ischémique avec : • s/p infarctus NSTEMI sur maladie coronarienne monotronculaire de l'IVA revascularisée par angioplastie en 2010. • FEVG globale normale à l'échocardiographie en 2015. • Évaluation fonctionnelle par cycloergométrie en décembre 2017 négative pour une ischémie significative avec une aptitude physique modérée. PTH G sur ostéonécrose de la tête fémorale G le 02.05.2018. PTH gauche, sans précision. Arthrodèse cheville D, sans précision. Amygdalectomie sans précision. Césarienne. Fracture poignet ostéosynthésée. PTH intacte du 26.05.18: en cours. Ptose palpébrale gauche depuis 1986. PTSD avec suivi au CPP. Punktion des Abszesses. Desinfektion. Verband. Tetanus gemäss dem Pat à jour. Klinische Kontrolle b. Bedarf beim HA. Wiedervorstellung bei Zustandsverschlechterung oder Fieber. Purpura hématologique thrombopatique à prédominance acrale depuis le 21.06.2018. • d'origine probablement médicamenteuse (Plavix). Purpura palpable des membres inférieurs dans le cadre de vasculite à IgA (suivie en rhumatologie par Dr. X). • avec colite intercurrente sur probable vasculite à IgA (12.2016). Purpura palpable des membres inférieurs dans un cadre de vasculite à IgA (suivie en rhumatologie par Dr. X). • avec colite intercurrente sur probable vasculite à IgA (12.2016). Erysipèle du mollet droit sur piqûre de guêpe le 29.05.2018. Purpura thrombocytopénique idiopathique (2008). Purpura thrombopénique post varicelle. Pyélite et urétrite droite le 03.03.2018. Douleur abdominale probable sur douleur menstruelle, le 12.03.2018. Pyélonephrile D le 11.03.2016. Colique néphrétique gauche avec passage de calcul en juillet 2011. Fundoplicature selon Nissen pour RGO en 2010 avec 3 dilatations oesophagiennes. Cholécystectomie en 2009. Ulcère gastrique. Hystérectomie. s/p 4 césariennes voie médiane sous-ombilicale. Malaise probablement d'origine vagale le 23.06.2016. Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 19.07.2017 : DD: entérite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite à ...... Pyélonéphrite à E. coli (mars 2018). Pneumonie (janv. 2018). Hystérectomie (1975). Appendicectomie dans l'enfance. Pyélonéphrite à E Coli multisensible. s/p adenoidectomie, paracentese et pose de drains transtympaniques ddc et section du frein de la langue, en mai 2014. Pyélonéphrite à répétition. Polymyalgia rhumatica. Pyélonephrite aigue. Pyélonéphrite aigue. Pyélonéphrite aiguë. Pyélonéphrite aigue droite avec dilatation pyélocalicielle sur obstruction de l'uretère au niveau de l'annexe droite, en lien avec une masse ovarienne, chez une patiente de 37 ans G1P1, connue pour une Endométriose Stade IV. DD: Endométriome? Carcinome ovarien? Kyste ovarien? Pyélonéphrite aiguë en novembre 2014. Acidité gastrique traitée par Oméprazol 20 mg. 2000: AVB, Sexe: F, Poids (g): 3700. 2002: AVB, Sexe: M, Poids (g): 3400. Ménométrorragies fonctionnelles chez une patiente 2G 2P pré-ménopausée de 43 ans. Hystérectomie totale inter-annexielle par laparoscopie. Douleurs basithoraciques gauches d'origine probablement musculo-squelettique le 14.02.2016. Douleurs basithoraciques gauches et gêne inspiratoire le 03.03.2018. DD: douleur musculo-squelettique? Pleurite post IVRS? • Geneva score modifié: 0 pts. • Wells score: 0 pts. • PERC rule: embolie pulmonaire exclue. Pyélonéphrite aigue gauche, chez une patiente de 20 ans, primigeste à 20 5/7 semaines d'aménorrhée le 20.06.2018. Pyélonéphrite aigue obstructive, pose de sonde double J à l'hôpital Dr. Y. Pyélonéphrite aiguë obstructive, pose de sonde double J à l'hôpital Dr. Y. Pyélonéphrite aiguë simple en 2015. Pyélonéphrite gauche non compliquée le 2017. Pyélonéphrite aiguë simple en 2015. Pyélonéphrite gauche non compliquée le 2017. Malaise vaso-vagal sur déshydratation le 04.06.2018. • ECG: RSR à 56 bpm, pas de BAV, pas de trouble de la repolarisation, pas de QT long, pas d'onde delta, pas de Brugada. • Hydratation IV + per os. Pyélonéphrite bilatérale à S. aureus en mars 2018. Néphrostomie bilatérale sur hydronéphrose infectée à E.coli, S. dysgalactiae, Anaérobies, Fusobacterium nucleatum, 31.08.2017 à Berlin. Pyélonéphrite bilatérale avec acutisation d'une insuffisance rénale chronique de stade IIIb chez une patiente connue pour : • syndrome de Currarino. • vessie neurogène avec auto-sondages à la demande. • reflux vésico-urétéral bilatéral de haut grade. • Suivi néphrologue Dr. X Neuchâtel et Dr. Y urologue. Pyélonéphrite bilatérale chez une patiente connue pour : • syndrome de Currarino. • vessie neurogène avec auto-sondages à la demande. • reflux vésico-urétéral bilatéral de haut grade. • Acutisation d'une insuffisance rénale chronique dans le contexte septique. Pyélonéphrite bilatérale le 26.05.2018. Pyélonéphrite bilatérale : • Polykystose rénale AD. Pyélonéphrite bilatérale purulente à S. aureus le 11.06.2018. Pyélonéphrite D en juin 2014. Zona S2 à D le 17.11.2011. Cystite hémorragique sous Endoxan 2012. Neutrophilie sévère 2012. • Neupogen 30 MIO UI le 05 et 06.12.2012. Pyélonéphrite débutante le 04.06.2018. Pyélonéphrite débutante 04.06.2018. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite à E. Coli le 30.05.2018. Pyélonéphrite droite aiguë compliquée par une bactériémie à E.coli. Pyélonéphrite droite au décours. Pyélonéphrite droite avec 26.08.2017.Antibiothérapie par Rocéphine 2.2 g depuis le 27.08.2017 aux urgences. Pyélonéphrite droite chez une patiente avec probable maladie de la jonction. Pyélonéphrite droite chez une patiente avec probable maladie de la jonction. Pyélonéphrite droite compliquée par une probable maladie de la jonction. Pyélonéphrite droite. • contexte de grossesse à 14 SA. Pyélonéphrite droite débutante. Pyélonéphrite droite le 04.06.2018. Pyélonéphrite droite le 04.06.2018. Pyélonéphrite droite le 05.06.2018. Pyélonéphrite droite le 10.06.2018. Pyélonéphrite droite le 17.03.2017. Pyélonéphrite droite le 20.06.2018. Pyélonéphrite droite le 21.06.2018. Pyélonéphrite droite le 24.06.2018. Pyélonéphrite droite le 26.06.2018. • Dernière en 08.05.2018 avec E. Coli résistant à la Ciprofloxacine, E. Faecium dans les urines le 18.05.2018. Pyélonéphrite droite le 28.06.2014 à E. coli multisensible 10E6. Opération pour endométriose 2008. Pyélonéphrite droite le 28.06.2014 à E. coli multisensible 10E6. Opération pour endométriose 2008. Pyélonéphrite droite obstructive à entérocoque faecalis le 25.04.2018 avec: • 2 urolithiases de 5 mm et 7 mm avant la jonction urétéro-vésicale droite. • S/p Insuffisance rénale aiguë post-rénale: ClCr estimée à 34 ml/min selon Cockroft-Gault. • Intervention urologique: Mise en place d'une sonde double J le 26.04.2018 (Dr. X). Status post-carcinome épidermoïde anal de stade T4, Nx, Mo avec: • diagnostic 1992 (CHUV). • status post-chimiothérapie et radiothérapie avec entéropathie post-radique sévère et fibrose périnéale. • résection iléale de 30 cm et sigmoïdectomie de 45 cm et confection d'une colostomie définitive en 2007. • dernier contrôle 05.2011 (CHUV): stabilité. Status post-implants mammaires bilatéraux. • status post-opération pour abcès. Status post-hystérectomie en 1981. Status post-opération pour hernie discale en 1980. Pyélonéphrite droite obstructive le 20.05.2018 avec: • status post-mise en place d'une sonde double J le 04.05.2018 pour calcul. • dilatation pyélocalicielle au CT du 17.05.2018. Pyélonéphrite droite 14.06.2018. Pyélonéphrite en novembre 2017. Pyélonéphrite en 2010. Pyélonéphrite G. • contexte de Bricker depuis 2014. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche au décours. Pyélonéphrite gauche avec probable prostatite le 21.06.2018. Pyélonéphrite gauche débutante. Pyélonéphrite gauche en 2009. Appendicectomie dans l'enfance. Pyélonéphrite gauche en 2009. Appendicectomie dans l'enfance. Hospitalisation en milieu psychiatrique volontaire en novembre 2014. Pyélonéphrite gauche en 2016. Pyélonéphrite gauche le 02.06.2018. Pyélonéphrite gauche le 02.06.2018. Pyélonéphrite gauche le 04.12.2014. Etat dépressif en 2000. Probable arthrite micro-cristalline. Stérilité investiguée par biopsie testiculaire en 1990. Greffe de la cornée en 1980 ddc. Opération des testicules pour des kystes il y a 15 ans. Opération du ménisque gauche. Pyélonéphrite gauche le 06.06.2018. • status post-prostatectomie radicale le 09.03.2018 (Dr. X). Pyélonéphrite gauche le 17.06.2018. Pyélonéphrite gauche le 21.03.2015. Pyélonéphrite gauche, le 21.06.2018. Pyélonéphrite gauche non compliquée. Pyélonéphrite gauche simple. Pyélonéphrite gauche, 06/2018. • culture d'urines le 29.05.2018: E.coli, résistant à ciprofloxacine et à bactrime. • sous Co-Amoxi depuis le 02.06.2018. Pyélonéphrite gauche 21.06.2018. Pyélonéphrite il y a une année. Pyélonéphrite il y a une année. Pyélonéphrite il y a 1 mois. Pyélonéphrite le 25.04.2018 avec: • Depuis 08/2015 symptomatologie urinaire persistante sous spasmo-urgénine (avant Fesoterodin). • Consultation/cystoscopie chez Dr. X le 24.02.2017: Cystite chronique, pas d'évidence de néoplasie. • Cytologie du 24.02.2017: neutrophiles polymorphonucléaires, pas de cellules tumorales. • CT Abdomen/Pelvis 06.02.2017: Paroi vésicale appaissie. • Consultation/cystoscopie chez Dr. X le 12.02.2018: Cystite chronique, présence de pus au pyélon D, changement de double J D en raison de sténoses urétérales multiples. • Cystite chronique avec pyélonéphrites à répétition, la dernière le 14.03.2018. • Culture d'urine 05.04.2018 (MT): E. coli résistant à l'augmentin, à la ciprofloxacine, à la norfloxacine et intermédiaire à la céfuroxime. Pyélonéphrite non compliquée 02/15. 4 à 5 infections urinaires basses en début de l'année 2016. Germe inconnu. Aurait pris du Monuril. Fracture Salter-Harris II déplacée base P1 D5 main droite 06/10. Pyélonéphrite post-accouchement il y a 55 ans. Péritonite à l'âge de 10 ans. Pyélonéphrite sans critère de gravité. Pyélonéphrite (x-ième épisode) malgré prophylaxie avec Nopil avec: • s/p pyélonéphrites à répétition. • double système urinaire avec dilatation droite (suivi Dr. Peiry). • s/p cystoscopie avec perforation d'urétérocèle duplex droit (Hôpital de l'enfance, 02/17). • s/p correction de reflux vésico-urétérale droit dans double système urinaire par vésicotomie selon Cohen le 07.06.2018. Pyélonéphrite (1e épisode). Pyélonéphrite, 1er épisode. Pyélonéphrite (1er épisode) à E.coli avril 2018. • Rocéphine 50mg/kg/j 1x/j en intraveineux du 25.04 au 27.04, avec relais per os avec Podomexef 4 mg/kg/dose aux 12 heures pour une durée totale de 10 jours. • US le 02.05.18: Les reins se présentent normalement. Pas de dilatation des voies urinaires du côté droit. Du côté gauche, ectasie du pyélon à 5 mm et des calices à 3 mm. Pyélonéphrite 2011. Hystérectomie 2005. Status après prothèse céphalique gauche pour fracture du fémur gauche en 2015. Status après pose de prothèse céphalique du fémur droit le 21.03.2018. Rétention urinaire aiguë le 03.05.2018: • Sonde urinaire du 03.05.2018 au 08.05.2018. Pyéloplastie droite en 1977. Maladie de Hodgkin stade I B. • date du diagnostic: 1986. • status post splénectomie et thymectomie. • status post radiothérapie de type Mantelet, dose 40 Gy, ainsi qu'une radiothérapie au niveau para-aortique à une dose de 40 Gy. • actuellement: pas d'évidence de rechute. Infections à clostridium difficile en octobre 2017 et avril 2018. Candidose oropharyngée récidivante. Pyélonéphrite le 15.03.2018 à pseudomonas aeruginosa et entérocoques faecalis. Pyélo-urétérite nosocomiale sur sonde vésicale 11.06.2018. Pyélo-urétrite sur urolithiase droite de 6x7x5mm le 24.06.2018. Pyloréctomie dans l'enfance. Cholécystectomie il y a plus de 10 ans. Pyoderma gangrenosum du membre inférieur gauche, 13.06.2018. Pyrosis. Pyrosis. Pyrosis récurrent sous Pantozol et Alucol. Lacune corticale hémisphérique cérébelleuse inférieure droite (CT, 2013). Incontinence d'effort degré II avec TVT (2007). Pyurie le 23.05.2018. QT à contrôler à distance. QT long à 0.52 ms. • DD: Sur Hypokaliémie, médicamenteux. QT long à 0.52s. • DD: sur hypokaliémie, médicamenteux. QT long à 450 msec sans critère majeur pour arythmie ventriculaire. • Sous Cordarone 100 mg 1X/j. QT long à 450 msec sans critère majeur pour arythmie ventriculaire. • Sous Cordarone 100 mg 1x/j, à poursuivre. • Bilan de la fonction thyroïdienne (hypothyroïdie subclinique TSH 7.31 mUl/l le 25.05.2018). QT long à 480 ms (selon formule de Bazett) le 14.10.2015 probablement secondaire sur traitement neuroleptique (Rispéridone et Halopéridol dépôt le 13.07) pour une décompensation psychotique d'une schizophrénie paranoïde. Tentamen il y a >15 ans, anamnestique. Consommation de drogues (cannabis, cocaïne et héroïne). QT long à 480ms le 10.06.2018. QT long à 480ms le 10.06.2018.QT long calculé à 500 ms QT long le 29.04.2018 dans le cadre d'une hypokaliémie • ECG le 29.04.2018 : rythme sinusal régulier 68/min, QRS fins, axe 0°, QTc long à 469 ms, pas de trouble de la repolarisation QTc à 490 ms le 22.06.2018 QTc limite à 450 ms. QTc limite à 460 ms le 11.06.2018 QTc limite 460 ms le 21.06.2018. QTc long à 480 ms QT-long 13.06.2018 Quadranopsie supérieure droite incomplète le 13.06.2018 Quantiféron positif le 07.06.2018 Quasi cécité de l'œil gauche Hypertension artérielle traitée Quetiapine fixe et en réserve dès le 20.06.2018 Quetiapine fixe et en réserve dès le 20.06.2018 Quétiapine 25. Quétiapine 25 mg. Quétiapine 6.25 mg Distraneurine en réserve R 41.0 Désorientation sur opioïdes (Fentanyl patch) Raccourcissement des gastrocnémiens ddc, plus marqué à gauche. Raccourcissement musculaire chaînes antérieures et postérieures des 2 membres inférieurs. Raccourcissement musculaire quadriceps à gauche. Rachialgies et douleurs de la hanche gauche post-traumatiques du 03.05.2018. Rachianesthésie Césarienne par Pfannenstiel Utérotomie isthmique transversale basse Surjet intradermique avec fil résorbable Prophylaxie anti-thrombotique Suites de couches Rachianesthésie le 22.06.2018 Césarienne par Pfannenstiel, utérotomie isthmique transverse basse et surjet intradermique avec fil résorbable le 22.06.2018 Suite de couches Rachi-anesthésie Césarienne par Pfannenstiel (P 400 cc) Utérotomie isthmique transversale basse Surjet intradermique avec fils résorbables Suites de couches Rachianesthésie Césarienne par Pfannenstiel Utérotomie isthmique transversale basse Surjet intradermique avec fils résorbables Prophylaxie antithrombotique Suites de couches Rachianesthésie Césarienne par Pfannenstiel Utérotomie isthmique transverse basse Surjet intradermique avec fils résorbables Suites de couches Rachi-anesthésie Césarienne par Pfannenstiel Utérotomie isthmique transversale basse Surjet intradermique avec fils résorbables Suites de couches Rachianesthésie Incision selon Pfannenstiel, utérotomie isthmique transverse basse Prophylaxie antibiotique par Zinacef Suites de couches Rachi-anesthésie Valtrex 500 mg IV 1 h avant la césarienne Césarienne selon Pfannenstiel, utérotomie isthmique transverse basse et surjet à la peau RÀD avec algifor 100 mg/kg/d 3x/j et paracétamol 150 mg/kg/d Reconsulte si EF persiste > 48 h ou péjoration clinique RAD avec antihistaminique et ventolin en réserve RAD avec ttt symptomatique reconsulte si pas d'amélioration en 48 h ou péjoration clinique Radiculopathie L3-L4 D sur canal lombaire étroit. Status post implantation de PTG à D le 27.6.2016. Radiculopathie L5 G sur spondylolisthésis L5-S1 grade I avec lyse isthmique bilatérale de L5 sur sténose segmentaire L4-S1 Radio abdomen : opacité cylindrique au niveau de l'angle duodénal. Pas de pneumopéritoine. Radio bassin le 28.05.2018 : opacité à contour irrégulier de l'extrémité proximale de la diaphyse fémorale, mesurant 2.7 cm compatible avec un îlot ostéocondensant sous réserve d'une incidence unique. Scanner refusé par le patient Laboratoire : PSA dans la norme le 01.06.2018 Radio bassin le 28.05.2018 : opacité à contour irrégulier de l'extrémité proximale de la diaphyse fémorale, mesurant 2.7 cm compatible avec un îlot ostéocondensant sous réserve d'une incidence unique. Scanner refusé par le patient Laboratoire : PSA dans la norme le 01.06.2018 Radio cheville droite Aircast cheville en place Cannes Antalgiques en réserve Avis orthopédique Dr. X (assistant Orthopédie) Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours Radio cheville : sans fracture Radio de genou : pas de fracture Radio de l'index et du majeur droit : solution de continuité de la face palmaire de la houppe phalangienne du 3ème rayon pas de fracture visible Radio de la cheville droite sans anomalies Radio de la cheville droite sans anomalies Radio de la main droite (F+P) sans anomalies Radio de la main gauche sans anomalies Radio de thorax le 30.05.2018 : apparition d'une condensation en base droite, d'aspect un peu atypique, mais compatible avec foyer infectieux surimposé à l'emphysème du patient 2 paires d'hémocultures le 30.05.2018 : résultats en attente Sédiment urinaire propre Culture d'urine : résultat en attente Pas de recherche de pneumocoques (pas de conséquence thérapeutique) ni de légionelles (faible probabilité pré-test) Suivi biologique Augmentin 3x1 g/j 30.05-04.06.2018 Radio de thorax le 30.05.2018 : apparition d'une condensation en base droite, d'aspect un peu atypique, mais compatible avec foyer infectieux surimposé à l'emphysème du patient 2 paires d'hémocultures le 30.05.2018 : résultats en attente Sédiment urinaire propre Culture d'urine : résultat en attente Pas de recherche de pneumocoques (pas de conséquence thérapeutique) ni de légionelles (faible probabilité pré-test) Suivi biologique Augmentin 3x1 g/jour du 30.05-04.06.2018 Radio doigt droit Avis orthopédique : Dr. X Mis en place d'atelle d'Édimbourg Ergothérapie à préconiser Antalgiques en réserve Radio du bras droit sans fracture Radio du bras : sans fracture AINS Sac en glace, repos Radio du coude droit (F+P) sans anomalies Radio du coude droit (F+P) sans anomalies Radio du coude sans fracture visualisée Radio du doigt : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques et les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radio du genou Avis orthopédique : Dr. X Mise en place d'une attelle amovible genou Postop Arrêt sportif Antalgiques en réserve Consultation orthopédique dans 10 jours Radio du genou droit (Face + profil + axial) sans anomalies Radio du genou gauche : Fracture Salter Harris 2 fémorale Radio du gros orteil : Petite arrachement osseux du bord fibulaire de la base de P2O1, devant traduire un arrachement ligamentaire. Tuméfaction des tissus mous en regard. Radio du MID = fracture pertrochanteene droite CT cérébral natif = Pas de saignement intracranien, CT sans anomalie Labo ECG Avis Chirurgien orthopédique (Dr. X) = Nécessité d'une PEC chirurgicale, arrêt du sintrom et hospitalisation en orthopédie Au total, fracture col fémoral nécessitant PEC chirurgicale CAT : • Hospitalisation orthopédique Radio du pied droit : pas d'anomalies osseuses Radio du pied/avant-pied gauche (F+P+Oblique) sans anomalies Radio du pied droit F/P Botte plâtrée Béquilles Avis orthopédique : Dr. X Contrôle dans une semaine urgences orthopédiques Radio du poignet avec fracture scaphoïdienne selon le radiologue. Décision de convocation d'enfant pour prise en charge de la fracture Bandellette urinaire : Pas d'hématies Radio du poignet droit (F+P) : fracture en motte de beurre métaphyse radiale gauche Radio du poignet droit Avis orthopédique : Dr. X Plâtre BAB mis en place Radio du poignet gauche sans anomalies Radio du poignet : pas de fracture visualisée Radio du pouce droit : Fracture Salter Harris 2 phalange pouce droit Radio du thorax de face et de profil : Émoussement du cul de sac gauche. Radio du thorax du 22.5.2018 : infiltrat LID Augmentin po 1000 mg 2x/j 22.05-30.05.2018 et 01.06-08.06.2018 (prévu) Radio du 2ème doigt droit sans anomalies Radio du 3ème doigt gauche sans anomalies Radio faite à l'extérieur : fracture 2e métacarpe main gauche non déplacée Radio genou gauche / Radio 5ème doigt gauche / Radio avant-bras gauche / Radio pied et jambe gauche sans anomalies Radio main gauche : sans fracture visuelle Radio main /poignet droit sans anomalies Radio métatarses sans fracture Radio orteils pied gauche • Attelle Intrinsic • AINS en réserve • Contrôle chez le pédiatre si douleurs persistantes • Arrêt des sports Radio pied-avant pied gauche et cheville gauche face/profil : absence de fracture. Radio pied-avant pied gauche et cheville gauche face/profil : absence de fracture • Avis orthopédique : mise en place d'une botte plâtrée fendue + chaussures Darco, charge selon douleurs avec béquilles, contrôle chez le MT à 7-10 jours pour ablation du plâtre. • Arrêt de sport durant 10 jours. Radio poignet ddc F/P et coude D F/P : pas de fracture visualisée. Immobilisation provisoire Radio poignet droit : pas de fracture poignet Radio poignet droit • Avis orthopédique : Dr. X • Attelle poignet mise en place • Antalgiques en réserve • Arrêt des sports pendant une semaine • Contrôle dans 10 jours chez le pédiatre Radio poignet gauche : Fracture en motte de beurre métaphyse radiale gauche Radio P1D2 : arrachement osseux Radio rachis cervical sans fracture Radio thoracique le 04.06.2018 : cardiomégalie importante avec flou péri-hilaire. Présence d'opacités rétrocardiaques gauches avec discret bronchogramme aérien pouvant évoquer un foyer infectieux de pneumonie débutante, absence d'épanchement pleural. US abdominal le 04.06.2018 : Foie de taille augmentée avec distension des veines sus-hépatiques. Pas de lésion suspecte. Perméabilité des veines sus-hépatiques et de la veine porte. Multiples calculs vésiculaires avec cône d'ombre postérieur. Rate de taille normale. Pas d'anomalie morphologique du pancréas. Reins de taille et de configuration normale sans dilatation pyélocalicielle. Importante quantité d'ascite dans les 4 quadrants de l'abdomen. Aorte de calibre conservé, mesurée à 16 mm dans l'axe antéro-postérieur. Radio thoracique le 04.06.2018 • Antalgie avec Oxynorm • Physiothérapie Radio thorax : foyer lobe droit sans épanchement, pas de pneumothorax ECG : rythme régulier et sinusale, fréquence cardiaque à 99/min, PR non allongé, QRS fins, onde T négative en V1, pas de décalage du ST Formule sanguine complète : PNN 88,3 %, Leucocytes 10,7 G/l, CRP < 0, le reste du bilan est aligné Radio thorax le 13.06.2018 Recherche de sang occulte dans les selles 1x nég le 15.06.2018 Déficit en fer calculé : 3000 mg, substitué pendant le séjour • 2 CE le 13.06.2018 • IPP IV 3x/j du 13.06 au 14.06.2018, puis relais po 2x/j • Acide folique dès le 14.06.2018 • Vitarubine (B12) dépôts 1000 mg i.m. le 22.06.2018 Refus d'investigations endoscopiques Radio thorax : pas de foyer, pas d'atélectasie, pas de masses pulmonaires Radio thorax • ECG • Avis radiologique • Formule complète sanguine, CRP, ASAT, ALAT, CK-MB • Hémoculture • Amoxicilline 2 g/j • Antalgiques et AINS Radio thorax • Réévaluation dans 3 semaines par la pédiatre Radiodermite cervicale G grade II Radiographie : arrachement osseux fibulaire distal gauche Radiographie du bassin : coxarthrose bilatérale encore modérée à droite, mais plus sévère à gauche associée à un pincement FTI interne. Calcifications artérielles déjà avancées. (Dr. X). Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture Radiographie : absence de fracture, absence de déformation claire Bilan sanguin : pas de syndrome inflammatoire biologique, pas de trouble du bilan hépatique, hyperéosinophilie en rapport avec le traitement en cours probable. Radiographie : décrite ci-dessous. • Bande élastique. • Arrêt de travail 1 semaine. • Prise en charge chez le médecin traitant. Radiographie : décrite ci-dessous. • Désinfection, exploration, suture par 3 points au fil d'Ethilon 3.0 à chaque plaie. • Contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures. • Fils à enlever dans 12 jours chez le médecin traitant. • Tétanos à jour. • Arrêt de travail. Radiographie : décrite ci-dessous. • Désinfection locale à la bétadine dermique + bétadine onguent + tulle bétadinée et pansement sec. • Chaussure de décharge (Barouk) à but antalgique. • Charge possible. • Antalgie. • Rendez-vous chez le médecin traitant dans deux jours pour contrôle de plaie et réfection pansement. Radiographie : fracture de la clavicule distale gauche non déplacée Radiographie : fracture du radius distal en motte de beurre droit, et ulnaire Salter 3 Radiographie : fracture du radius distal en motte de beurre gauche Radiographie : fracture du radius distal gauche et fracture de la tête radiale droite Radiographie thoracique Aux urgences : • Dafalgan 1 g po • Voltarène 50 mg po Avis orthopédique (Dr. X et Dr. X) : BAB droit et BA gauche. Hospitalisation en orthopédie. CT du coude droit le 24.06.2018. Prise au bloc à distance. Hospitalisation en orthopédie pour suite de la prise en charge. Radiographie : fracture radius et ulna distal non déplacée, métaphyso-diaphysaire gauche Radiographie : fracture Weber A ancienne, pas de signe de nouvelle fracture (avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique Dr. X : position d'un rendez-vous au team pied pour suite de prise en charge. • Antalgie. • Protocole RICE. • Air-Cast pendant 3 semaines, puis 3 semaines lors d'effort. • Physiothérapie. La patiente sera convoquée au team pied à 3 semaines pour discuter de la suite de la prise en charge. Radiographie : luxation postérieure de l'IPP D4 main droite, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X. Réduction fermée sous anesthésie en bague aux urgences, sans complication immédiate. Radiographie de contrôle post-réduction : en place. Attelle d'Édimbourg, explication de l'utilisation de cette attelle. • Antalgie, anti-inflammatoire. • Ergothérapie dès que possible. • Contrôle à 1 semaine en ortho-urgences. Radiographie : os naviculaire accessoire, pas de fracture Radiographie : pas de changement par rapport au comparatif de l'automne 2017 Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'indication chirurgicale. Transfert à Meyriez pour réhabilitation et adaptation de l'antalgie. Radiographie : pas de corps étranger. Après désinfection et champage et anesthésie par Lidocaïne et bicarbonate, nous explorons la plaie. Plaie au niveau du fascia musculaire sans atteinte du corps musculaire. Pas de lésion tendineuse visible. Nerfs et vaisseaux non visualisés. Nous lavons abondamment la plaie au sérum physiologique, mettons 4 points de suture au fil 4.0 et faisons un pansement Adaptic et Cofix. Nous faisons une injection de 2.2 g de Co-Amoxicilline IV car atteinte du fascia musculaire. Contrôle clinique demain en policlinique, antalgie, arrêt de travail de 2 jours. Radiographie : pas de fracture Radiographie : pas de fracture et laboratoire, avec explication donnée par le médecin. Ponction intra-articulaire ; 90 mL de liquide synovial. Le patient rentre à domicile et va reconsulter pour une IRM du genou ainsi qu'une consultation orthopédique. • Attelle et canne anglaise avec instruction à la marche. • Antalgie avec Irfen. • Prophylaxie de la thrombose. • Arrêt de travail de 10 jours. Radiographie : pas de fracture ni de corps étranger visualisés. • Suture : désinfection Bétadine, anesthésie locale Rapidocaïne 1 % env. 3,5 ml, 4 points simples avec Prolène 4.0, exploration de la plaie et rinçage à l'eau stérile abondante. Pas de complication immédiate. • Rappel tétanos fait aux urgences. • Le patient reconsultera en filière 34 à 48 h pour un contrôle de plaie. • Ablation des fils à 7 jours chez le médecin traitant. Arrêt de travail de 5 jours. Radiographie : pas de fracture. Pouce gauche du 16/06/2018 : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Tissus mous sans particularité. Pouce gauche du 16/06/2018 : statut après mise en place d'un gantelet en plâtre de Paris. Bon positionnement. Pas de pli ou point de pression visible au niveau de la contention. (Dr. X) Radiographie : pas de fracture visualisée. Radiographie : pas de fracture visualisée, avec explication donnée par le médecin. Air-Cast 6 semaines. Anti-inflammatoire et antalgie. Charge 100%. Arrêt de travail. Recommandation au patient de reconsulter son médecin traitant ou le médecin militaire à 1 semaine. Radiographie : pas de fracture visualisée, avec explication donnée par le médecin. Antalgie. Protocole RICE, avec explication donnée par le médecin. Air-Cast 6 semaines. Physiothérapie. Recommandation de reconsulter son médecin traitant à 1 semaine en cas de non-amélioration clinique. Radiographie : pas de fracture visualisée (avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique Dr. X : suspicion clinique d'instabilité scapho-lunaire. Pose d'attelle poignet. Antalgie et anti-inflammatoire. Arrêt de travail 1 semaine. La patiente sera reconvoquée à 7 jours en ortho-urgences. Radiographie : pas de fracture visualisée, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X. Botte plâtrée fendue. Clexane, avec explication donnée par le médecin. Antalgie, anti-inflammatoire, protocole RICE. Le patient sera convoqué en ortho-urgences à 10 jours. Radiographie : pas de fracture visualisée (avec explication donnée par le médecin). Antalgie, anti-inflammatoire. Recommandation de reconsulter son médecin traitant à 5 jours. Radiographie : pas de fracture visualisée, épanchement intra-articulaire, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X : proposition d'IRM et contrôle au team genou. Antalgie. Charge selon douleurs. La patiente sera convoquée pour une IRM et une consultation au team genou après l'IRM. Radiographie : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie : persistance du foyer basal gauche, pas d'épanchement. CRP 8. Leucocytes 10 G/l. Hémoculture négative à 5 jours. Radiographie : voir ci-dessous. Examen clinique, charge possible. Aircast, cannes anglaises. Contrôle en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. Radiographie Abdomen. Sonde nasogastrique. Fortecortin i.v. À jeun, stop médication orale. Radiographie abdominale de face : présence des cures-pipes, en déplacement par rapport à la radiographie précédente. Radiographie abdominale sans préparation. Culture selles négative pour C. difficile. Radiographie : absence de fracture. Traitement antalgique et de AINS. Air-cast durant une semaine. Arrêt de sport durant une semaine. Réévaluation par le médecin traitant. Radiographie avant bras. Radiographie avant-bras et coude gauche. Avis orthopédique Dr. X. Antalgie. Le patient prendra RDV chez son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Repos. Radiographie avec épanchement sans lésion osseuse. Donc, suspicion de lésion ligamentaire (ligament croisé médial et/ou ligament croisé antérieur). Attelle Jeans, Clexane prophylactique et antalgie en réserve. Contrôle clinique chez le Dr. X à fixer par le patient dans la prochaine semaine. Radiographie (avec explication donnée par le médecin) : fracture diaphysaire du tiers distal de la fibula gauche. Avis orthopédique Dr. X/Dr. X : immobilisation. Contrôle à 7 jours en ortho-urgences. Antalgie. Botte plâtrée fendue. Contrôle en ortho-urgences à 1 semaine. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique ou douleur dans le plâtre. Décharge complète et Clexane, avec explication donnée par le médecin. Radiographie avec explications données à la patiente : rotule en place. Pas de fracture visualisée. Trochlée peu profonde. Position rotulienne haute. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) avec explications données à la patiente : • Attelle 0°. • Clexane. • Charge selon douleurs. • La patiente sera convoquée en consultation team genou. • IRM demandée. Radiographie avec explications données à la patiente. Antalgie. US veineux au lit du malade (Dr. X) : veine poplitée droite totalement compressible. Avis orthopédique (Dr. X). • Attelle Jeans pour 1 semaine, explications données à la patiente, sans Clexane. • Physiothérapie. • En cas de persistance des douleurs, conseils de consulter le médecin traitant afin d'organiser une IRM du genou et une consultation orthopédique Team Genou, 3 semaines après la consultation. Radiographie, avec explications données à la patiente. Attelle Aircast, avec explications données à la patiente. Protocole RICE. Radiographie avec explications données au patient. Laboratoire avec prise de sang et explications données au patient. ECG avec explications données au patient. Urotube avec explications données au patient. Radiographie, avec explications données au patient. Syndactylie, avec explications données au patient. Radiographie avec pré-explications par le médecin : dissociation acromio-claviculaire grade III B à gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : IRM la semaine prochaine avec consultation team membre supérieur, gilet orthopédique avec physiothérapie pour empêcher l'épaule de geler. Attitude : Retour à domicile avec antalgie 1er pallier. Gilet orthopédique. Conseils d'utilisation du gilet orthopédique. Bon de physiothérapie. Demande IRM et consultation en ortho (formulaire de sécurité IRM remplis). Radiographie avec pré-explications par le médecin. Laboratoire (prise de sang avec pré-explications par le médecin) : pas de syndrome inflammatoire. Pas d'argument pour goutte ou chondrocalcinose, pas d'argument pour arthrite sceptique. Attitude : Antalgie par Irfen et Dafalgan, contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Radiographie bassin + hanche D. AINS. Cannes. Repos. Consilium orthopédie : Dr. X. Radiographie bassin + hanche le 12.06.2018 : pas de fracture. Radiographie genou le 12.06.2018 : pas de fracture. Antalgie. Physiothérapie. Radiographie bassin et hanches : pas de fracture visualisée. US hanche gauche : présence d'un épanchement articulaire coxo-fémoral gauche mesuré à 4 mm dans le récessus articulaire antérieur associé à un épaississement synovial. Formule sanguine alignée sans leucocytose hormis discrète thrombocytose à 418. CRP 17. VS 32. Radiographie bassin et hanche. US hanche. Bilan sanguin. AINS et repos. Frottis Kingella à pister. Contrôle chez le pédiatre dans 48-72 h. Reconsulter avant si péjoration des symptômes malgré traitement, apparition EF ou péjoration de l'état général. Radiographie bassin et sacrum le 08.06.2018 : pas de fracture. Antalgie. Radiographie bassin le 08.06.2018 : Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. CT cérébrale le 08.06.2018 : Pas d'hémorragie intra ou extra-axiale. Pas de fracture visualisée. Séquelles d'AVC temporal droit et cérébelleux droit et gauche. Radiographie calcanéum et pied droit face, profil et oblique : pas de lésion osseuse aiguë mise en évidence. Épine calcanéenne. Radiographie cervicale de face, profil et odontoïde : pas de fracture, pas de déplacement. Rectitude du rachis due à la minerve. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous pré-vertébraux. Arthrose des facettes articulaires postérieures débutantes prédominantes en C7-D1. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X)Radiographie cervicale le 28.05.2018 • Antalgie • Physiothérapie (fango) • Suivi clinique Radiographie cheville : pas de fracture Radiographie pied : fracture de la base du 5ème méta. Radiographie cheville D f/p : pas de fracture CRP < 5mg/l, FSC alignée. Radiographie cheville droit : Possible fracture Salter Harris 2 de la fibula distal avec épaississement des tissus mous en regard Radiographie cheville droite, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle postérieure, décharge totale, cannes, Clexane 40 mg, consultation chez l'orthopédiste opérateur pour suite de prise en charge. Antalgie. Radiographie cheville droite avec pré-explications par le médecin le 14.06.2018. Mise en place d'une bande élastique le 14.06.2018. Protocole RICE expliqué au patient le 14.06.2018. Radiographie cheville en charge + consultation orthopédique le 15.06.2018 (Dr. X) : entorse de stade 1 confirmée. Fin de prise en charge. Radiographie cheville droite avec pré-explications par le médecin. Mise en place d'une bande élastique. Protocole Reis expliqué au patient. Radiographie cheville droite, explications données à la patiente. • Attelle Aircast, explications données à la patiente. • Cannes, explications données à la patiente. • Antalgie. • Physiothérapie. Radiographie cheville droite le 08.06.2018 : pas de fracture Antalgie par Dafalgan Radiographie cheville droite le 13.06.2018 : pas de fracture visible Surélévation du membre inférieur droit et application de glace Radiographie cheville droite • Botte plâtrée fendue • Charge selon cannes • Antalgie en R Radiographie cheville et avant-pied : absence de fracture visualisée, explications données au patient. CT de la cheville et du pied : absence de lésion du Lisfranc. Avis orthopédique (Dr. X). • attelle jambière postérieure avec décharge complète durant 10 jours, avec explications d'utilisation. • Cléxane 40 1mg 1x/jour première dose effectuée aux urgences, durant 10 jours, explications données au patient. • Contrôle ortho urgences à 10 jours avec mise en place d'un Aircast pour un mois au total. • Antalgie par Dafalgan et anti-inflammatoire que la patiente a déjà à domicile. Radiographie cheville et jambe droites : pas de fracture visualisée, pas de signe d'ostéomyélite (avec explication donnée par le médecin). Laboratoire : CRP < 5, pas de leucocytose (prise de sang avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique Dr. X/ Dr. X : marche en charge possible, bandage compressif léger afin d'éviter également que la patiente gratte la lésion. Contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours avec surveillance des signes infectieux. La patiente est informée de reconsulter en cas d'état fébrile, écoulement purulent au niveau de la plaie. Radiographie cheville et pied à gauche, avec explication donnée par le médecin. Avis Dr. X : botte de marche fendue, cannes, Clexane prophylactique, AINS, Dafalgan. Contrôle à 1 semaine ortho urgences. Le patient refuse la botte plâtrée. Nous l'informons du risque de complications articulaires. Le patient désire être suivi en France et ne désire pas de rendez-vous en orthopédie chez nous. Une copie de la consultation avec le diagnostic ainsi que le lien pour les radiographies sont remis au patient ce jour. Radiographie cheville et pied droit Consilium ortho (Dr. X) • Chaussure Darco • AINS • Contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine Radiographie cheville face et profil : pas de fracture visualisée, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X : réalisation d'un plâtre ouvert avec anticoagulation par Clexane prophylactique (avec explication par le médecin). Contrôle en consultation orthopédie urgence dans 10 jours. Antalgie simple. Radiographie cheville face profile : absence de lésion traumatique, explications données à la patiente. Avis orthopédique Dr. X : • Aircast, explications données à la patiente. • Marche avec cannes pour bien dérouler le pied, conseils d'utilisation donnés à la patiente. • Antalgie simple. • Arrêt de travail durant une semaine. • Suite de la prise en charge par le médecin traitant. Radiographie cheville face/profil : absence de fracture, explications données à la patiente. Aircast durant 6 semaines, explications données à la patiente. Arrêt de travail pour une semaine. Physiothérapie. La patiente ne désire pas de traitement antalgique ni anti-inflammatoire. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Radiographie cheville face/profil et orteil face/oblique : fracture diaphysaire de la 1ère phalange du 5ème doigt du pied gauche. Pas de fracture au niveau de la cheville (avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique Dr. X. Mise en place d'une syndactylie avec une chaussure Darco durant 4 à 6 semaines. Antalgie simple. Contrôle clinique chez le médecin traitant. Radiographie cheville gauche, avec explication donnée par le médecin. Aircast, explication de l'utilisation de l'attelle. Traitement antalgique + AINS. Glace + surélever le membre. Repos. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine + physiothérapie dans une semaine. Radiographie cheville gauche face/profil 30.06.2018 : pas de fracture. Avis ortho le 30.06.2018. Décharge au besoin. Antalgie & AINS. Radiographie cheville gauche f/p/o : Absence de fracture ou de luxation avec bonne congruence de la mortaise malléolaire. On retrouve un volumineux épanchement intra-articulaire antérieur. Radiographie cheville gauche f/p/o • Botte plâtrée fendue pendant 10 jours • Charge selon douleurs avec cannes • Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie cheville gauche : suspicion de fracture talaire postérieure. CT cheville et pied droit : fracture talus et calcanéum gauche, intra-articulaire. Avis orthopédique (Dr. X) : traitement conservateur. Antalgie. Botte plâtrée fendue aux urgences (Dr. X). Décharge complète. Clexane. Contrôle à 7j en ortho urgences. Radiographie cheville gauche. Avis orthopédique Dr. X : Aircast, traitement antalgique et anti-inflammatoire, application de glace. Repos et surélévation du membre. Consultation chez le médecin traitant dans 10 jours. Radiographie cheville gauche Sportusal et bande Béquilles pour charge selon douleur AS 5 jours AINS en réserve Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si persistance des douleurs Radiographie cheville : sans fracture. Tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Radiographie clavicule le 16.06.2018 + radiographie de contrôle le 22.06.2018 • Gilet orthopédique • Surveillance cutanée Radiographie colonne dorso-lombaire f/p • Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie colonne lombaire (couchée) le 23.05.2018 : tassement L3 connu, mais possiblement péjoré depuis 2011 CT colonne lombaire le 25.05.2018 : importante scoliose centrée sur L3. Rachis dégénératif. Discopathie multi-étagée. Fracture du plateau supérieur de L3 avec recul du mur postérieur. CT bassin le 25.05.2018 : PTH droite et clou gamma gauche sans complication. Rx colonne lombaire (debout) le 04.06.2018 : pas de changement significatif de la fracture tassement L3. IRM non réalisable au vu de l'incompatibilité du pacemaker Avis team Spine (Dr. X) : traitement conservateur, mobilisation selon douleur. Ceinture lombaire élastique. Corticoïdes. Cimentoplastie à but antalgique à rediscuter en fonction de l'évolution clinique.Surveillance neurologique Physiothérapie Adaptation de l'antalgie : Patch de Fentanyl dès le 25.05.2018 Prednisone 40 mg 1x/j depuis le 05.06.2018 avec schéma dégressif Contrôle radio-clinique à la consultation team Spine à l'HFR Fribourg à prévoir dans 1 mois Radiographie colonne lombaire le 07.06.2018 : Radiographie coude droit et épaule droite : doute sur fracture olécrane droite. CT-coude droit : fracture de la tête radiale droite. Avis orthopédie (Dr. X) : immobilisation par plâtre avec contrôle à Tafers dans 7 jours. Antalgie. Réévaluation par orthopédiste à J 7. Radiographie coude droit f/p Echarpe à but antalgique Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie coude et poignet : pas de fracture Radiographie coude face/profil : absence de fracture, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. X) : • anti-inflammatoire. • physiothérapie. • suite de la prise en charge chez le médecin traitant. • arrêt de travail une semaine. Radiographie coude gauche et main gauche : pas de fracture, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique (Dr. X) : prise en charge conservatrice avec attelle Edimbourg main gauche, mobilisation libre du coude gauche. Contrôle clinique chez le médecin de troupe le 18.06.2018. Radiographie coude gauche : pas de fracture visible Radiographie coude gauche. Traitement antalgique. Constat de coup le 28.06.2018 à 10h30 à la filière 34. Radiographie CT scanner Radiographie de cheville gauche : absence de fracture. Radiographie de cheville gauche face + profil : absence de fracture Mise en place d'une botte plâtrée fendue durant une semaine et réévaluation à la polyclinique d'orthopédie Radiographie de cheville gauche face/profil : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de cheville gauche : pas de fracture visualisée. Radiographie de cheville gauche : pas de fracture Aircast et béquilles pour charge selon douleur AINS Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine Radiographie de contrôle. Radiographie de contrôle : Status post résection d'un os naviculaire accessoire avec ancre en rapport avec une réinsertion du tendon du muscle tibial postérieur. Pour le reste, les rapports anatomiques sont physiologiques. (Dr. X) Radiographie de contrôle après antibiothérapie Radiographie de contrôle du thorax à 48H et à 1 semaine : disparition du pneumothorax. Fin de prise en charge. Le patient est informé de ne pas prendre l'avion dans les 3 mois. Il reconsultera en cas de nouvelle symptomatologie. Radiographie de contrôle du 30.05 montre la présence de cal osseux. Radiographie de contrôle post pose de Pacemaker le 21.06.2018 : pas de pneumothorax, pas d'hématothorax Radiographie de hanche : cf. annexes. Radiographie de hanche gauche Antalgie simple Physiothérapie Radiographie de la cheville : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des parties molles périmalléolaires externes. Radiographie post-plâtre : pas de changement après mise en place d'un plâtre. (Dr. X) Radiographie de la cheville : pas de fracture visualisée (avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique Dr. X : possible laxité ligamentaire, immobilisation pour 6 semaines. Principe RICE. Charge selon douleurs. Air-Cast jour/nuit pendant 3 semaines, puis de jour uniquement pendant 3 semaines pour un total de 6 semaines (avec explication de l'utilisation de l'attelle). Physiothérapie. Suivi à la filière 34 ou chez un médecin traitant. Pas d'indication d'un suivi en orthopédie. Radiographie de la cheville droite : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires de la cheville conservés, sans lésion traumatique visible. Pas de tuméfaction des parties molles. Radiographie du pied entier droit : status post-ostéosynthèse en projection de la tête métatarsienne avec une vis en place. Interruption de corticale sur fracture peu déplacée de la base du 5ème métatarsien, visible essentiellement sur l'oblique. Les rapports articulaires demeurent conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : décrite ci-dessous. Radiographie de la cheville droite : discrète tuméfaction des parties molles péri-malléolaires internes et externes. Image de tonalité osseuse linéaire en regard de la malléole interne, ouvrant le DD d'une ancienne avulsion corticale ou d'une lésion récente. Les rapports articulaires de la cheville sont conservés. Os péronier accessoire. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite : éperon calcanéen. Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires externes. Radiographie du pied entier droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Os naviculaire accessoire. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. En cas de persistance d'un doute sur une atteinte de l'interligne de Chopart, un CT scanner serait l'examen de choix. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : fracture Weber B de la malléole externe avec un très discret déplacement. Pour le reste, pas de fracture. Rapports articulaires physiologiques. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous périmalléolaires externes. Radiographie du pied entier droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture malléolaire. Aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : bonne contention plâtrée. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques et les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 11.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 11.06.2018 : tissus mous sans particularité. Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 11.06.2018 : tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Epine calcanéenne (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 20.06.2018 : tuméfaction des parties molles périmalléolaires externes. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable (Dr. X). Radiographie de la cheville droite du 25.06.2018 : fracture du calcanéum non déplacée. Rapports articulaires physiologiques. (Dr. X) CT-scanner de la cheville/pied droit natif du 25.06.2018 : par rapport à la radiographie standard du même jour, on retrouve la fracture du calcanéum avec un trait de fracture horizontal au niveau de la partie postérieure, ainsi qu'un trait oblique qui s'étend de la corticale inférieure à la corticale supérieure juste en avant de la surface articulaire de l'articulation astragalo-calcanéenne postérieure. On visualise encore un trait de fracture oblique dans le col de l'astragale avec un affaissement de l'angle de Böhler. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de la cheville droite et du calcanéum droit du 25.06.2018 : par rapport à la radio du même jour, pas de déplacement secondaire notable de la fracture du calcanéum après mise en place d'un plâtre. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mme. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie du 5ème orteil gauche du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de Mme. Y. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires externes. Petit ossicule bien corticalisé en regard de la pointe de la malléole DD ancien arrachement DD os sous-fibulaire. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 30.06.2018 : fracture non déplacée malléolaire externe associée à un important surcroît d'opacité en rapport avec une composante démateuse. Pas d'image de fracture malléolaire interne. Aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Aspect normal de l'interligne tibio-talien. Épanchement articulaire visible au niveau du récessus tibio-talien. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 30.06.2018 : important surcroît d'opacité en projection des parties molles périmalléolaires externes. Très probable fracture malléolaire externe. Intégrité de la malléole interne. Fracture de la base du 5ème métatarsien. (Dr. X) Radiographie du pied entier droit du 30.06.2018 : fracture de la base du 5ème métatarsien. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite et de la jambe droite : contenu calcique, structures osseuses, rapports articulaires de la cheville conservés sans lésion traumatique visible. Pas d'ouverture de la syndesmose. Sur la jambe de face, absence de lésion traumatique osseuse du tibia ou du péroné proximal visible. Tissus mous sans particularité. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite et du calcanéus droit du 11.06.2018 : discrète tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes et internes. Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable (Dr. X). Radiographie de la cheville droite et du pied entier droit du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite face et profil : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite face/profil + pied entier droit face/oblique : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville droite face/profil : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X) Radiographie de la cheville droite : pas de fracture. Radiographie de la cheville et de la jambe distale face et profil : pas de corps étranger radio opaque visualisé. 3 petits fragments osseux bien corticalisés en regard de la malléole interne évoquant des petits noyaux d'ossification. Pas de tuméfaction des parties molles. Rapports articulaires de la cheville conservés corrects sur les incidences à disposition. (Dr. X) Radiographie de la cheville et du pied en charge : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) Immobilisation dans une botte plâtrée pour une durée de 8 semaines, décharge complète avec cannes anglaises. Anticoagulation thérapeutique avec Xarelto. Antalgie. Prochain contrôle à la consultation d'orthopédie à 1 semaine. La patiente revient en cas de difficulté à domicile ou si symptômes mal contrôlés avec antalgie. Radiographie de la cheville face et profil : sans particularité, pas de fracture, pas d'ostéochondrose disséquante visible. Avis orthopédique Dr. X : vu l'absence de traumatisme, l'origine des douleurs reste inconnue, ad traitement symptomatique avec bandage élastique, anti-inflammatoire, repos pendant 4 jours puis consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Si persistance de la tuméfaction et des douleurs malgré un traitement symptomatique suffisant, ad IRM de la cheville et consultation au team pied. Radiographie de la cheville face/profil, avec pré-explication par le médecin : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : mise en place d'un Aircast avec décharge et anticoagulation prophylactique par Clexane, antalgie simple. La patiente refuse l'arrêt de travail et les béquilles. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Radiographie de la cheville face/profil et pied face/profil/oblique, avec pré-explication par le médecin : pas de fracture claire visualisée, pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de déplacement clair du matériel d'ostéosynthèse, organisation d'un scanner puis consultation avec le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Antalgie simple. Réalisation d'une attelle postérieure sur mesure à Orthoconcept. Anticoagulation prophylactique par Clexane. Radiographie de la cheville gauche : aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Fine calcification millimétrique sous-malléolaire interne. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la cheville gauche : comparatif 19.12.2017. Fracture osseux infra-malléolaire interne compatible avec une fracture-avulsion récente. Rapports articulaires tibio-péronéo-astragaliens conservés. Os infra-malléolaire externe bien corticalisé. Radiographie de la cheville gauche : comparatif du jour. Status après mise en place d'une botte en plâtre de Paris fendue. Pas de déplacement secondaire de la fracture malléolaire interne. Bon positionnement du pied. Pas de pli ou point de pression visible. (Dr. X).Radiographie de la cheville gauche : fracture Weber B peu déplacée de la malléole externe. Tuméfaction des tissus mous péri-malléolaire. Pour le reste, rapports articulaires physiologiques. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas d'image de fracture visible. Aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche de face et profil : rapport définitif en cours Radiographie de la cheville gauche du 11.06.2018 : discrète tuméfaction des parties molles péri-malléolaires internes et externes. Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 11.06.2018 : tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes. Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 24/06/2018 : fracture des malléoles postérieure, interne et externe, cette dernière étant de type Weber B avec minime bâillement tibio-astragalien et possible atteinte de la syndesmose. Ébauche d'éperon calcanéen. Contrôle post-plâtre : examen réalisé sous contention plâtrée avec un pli en regard de la malléole externe. Par rapport au comparatif du même jour, on retrouve la fracture trimalléolaire, de type Weber B au niveau de la malléole externe, sans déplacement secondaire. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de la cheville gauche du 25.06.2018 : après mise en place d'un plâtre, pas de changement significatif. Rapports anatomiques physiologiques. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Intégrité des 2 malléoles. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie de l'avant-pied gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie post-plâtre du pied entier gauche du 29.06.2018 : status post-contention plâtrée pour suspicion de fracture in situ de l'os naviculaire. Bonne contention plâtrée. Pas de signe de complication. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et de la rotule gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche face et profil : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche face et profil et du pied entier gauche - face et oblique : contenu calcique dans la norme. Solution de continuité sur fracture de type pseudo-Jones de la base du 5ème métatarsien peu déplacée. Image linéaire de tonalité osseuse en projection du versant externe de la partie antérieure du calcanéum laissant suspecter une fracture / avulsion corticale visible sur la face. Rapports tibio-péronéo-astragaliens conservés. Radiographie du pied entier gauche - face et oblique : status post-mise en place d'une attelle postérieure en plâtre de Paris. Pas de déplacement secondaire de la fracture de Jones. Pas de déplacement secondaire du fragment osseux en regard du calcanéum. Pas de pli ou de point de pression. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche face/profil. Radiographie de la cheville gauche face/profil : fracture malléolaire externe non déplacée. Pas d'image de fracture sur les autres structures osseuses. Aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Radiographie de la cheville gauche : on trouve la fracture malléolaire externe non déplacée. Pas d'image de fracture malléolaire interne. Discret surcroît d'opacité en projection des parties molles pré-malléolaires externes. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche face/profil du 22.06.2018 : tuméfaction des tissus mous en regard de la malléole externe, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous. Tuméfaction des parties molles périmalléolaires externes. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche : pas de fracture visible mais épanchement Attelle jambière postérieure pré-faite durant une semaine puis contrôle Béquille pour charge Antalgie au besoin arrêt de sport une semaine Contrôle clinique aux urgences le lundi 25 juin à 14h avec avis ortho-pédiste Radiographie de la cheville : pas de fracture visualisée. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Protocole RICE avec antalgie simple. Radiographie de la clavicule gauche face/profil : fracture du tiers moyen de la clavicule, peu déplacée, avec petite angulation à convexité crâniale. (Dr. X) Radiographie de la colonne cervicale face et profil : pas de fracture, corps vertébraux et processus épineux bien alignés. L'incidence trans-buccale est difficilement interprétable. L'articulation axo-axoïdienne droite étant mal visualisée. Tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas d'épaississement des tissus mous pré-vertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X) Radiographie de la colonne cervicale face, profil, axiale du 04/05/2018 : tous les corps vertébraux sont de hauteur conservée avec un bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Rectitude du rachis due à la minerve. Pas d'épaississement des tissus mous prévertébraux. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Radiographie de l'avant-bras droit, du poignet droit, de l'épaule droite face/neer du 04/05/2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée au niveau de l'épaule. Fracture diaphysaire distale du radius avec petite bascule palmaire et déviation cubitale. Radiographie de l'avant-bras droit du 05/05/2018 : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on retrouve la fracture diaphysaire distale du radius avec persistance d'une petite déviation cubitale. (Dr. X). Radiographie de la colonne cervicale face, profil, axiale : sur le cliché de profil, alignement conservé des murs vertébraux antérieurs, postérieurs et de la ligne spino-laminaire. Pas diastasis C1-C2. Pas d'image de tassement vertébral. Pas d'anomalie de la charnière cervico-occipitale. Multiples superpositions sur le cliché C1-C2 bouche ouverte. Les processus épineux sont bien alignés sur le cliché de face. Vu les superpositions et la discordance radio-clinique, essentiellement en regard de C1-C2, nous avons proposé de réaliser un complément par un scanner. (Dr. X). CT scan de la colonne cervicale natif : pas d'image de tassement vertébral. Alignement conservé des murs vertébraux. Pas de signe de luxation vertébrale. Discrète arthrose C1-C2. Lésion kystique sous-chondrale du plateau inférieur de C2 et plateau supérieur de C3. Fin ostéophyte arraché au niveau antérieur postérieur de l'espace C5-C6 et C6-C7. CONCLUSION : pas de lésion traumatique décelable. Minimes lésions dégénératives étagées. (Dr. X). Radiographie de la colonne cervicale face, profil, axiale du 04.06.2018 : 7 vertèbres cervicales plus les deux premières vertèbres dorsales visibles sur l'incidence de profil. Rectitude cervicale avec très discrète inversion de la courbure physiologique en C5-C6. Morphologie, alignement et hauteur des corps vertébraux conservés, sans lésion traumatique osseuse visible. Pas de pincement intersomatique. Odontoïde centré. Articulations C1-C2 symétriques. Épaisseur des parties molles pré-cervicales dans la norme (Dr. X). Radiographie de la colonne cervicale face, profil, axiale du 31.05.2018 : 7 vertèbres cervicales visibles sur l'incidence de profil. Morphologie, hauteur et alignement des corps vertébraux conservés sans lésion traumatique osseuse visible. Pas de pincement intersomatique. Discrète inversion de la courbure physiologique en C3-C4. Odontoïde centrée. Épaisseur des parties molles précervicales dans la norme (Dr. X). Radiographie de la colonne dorsale face/profil du 25.06.2018 : discrètes lésions dégénératives dorsales moyennes, pas de tassement. Discrète attitude scoliotique sinistro-convexe à large rayon de courbure, probablement antalgique. (Dr. X) Radiographie de l'épaule droite face/neer du 25.06.2018 : discrète ascension de la tête humérale (perte du cintre omo-huméral). Sinon, congruence articulaire physiologique. Encoche de Hill Sachs devant témoigner d'une ancienne luxation de l'épaule. Pas de fracture. (Dr. X) Radiographie de la colonne lombaire : attitude scoliotique de la colonne lombaire sans net phénomène rotatoire hormis en L4. À noter que le pédicule gauche de L4 n'est pas clairement visualisé sur cette radio. Un complément par CT ou IRM est souhaité pour mieux évaluer cette zone (lyse ?). Pas de tassement mis en évidence. Granité stercorale dans le cadre colique. Pas de gaz intestinal dans la moitié supérieure de l'abdomen hormis dans l'estomac. En cas de symptomatologie abdominale, un scanner pourrait être réalisé. Radiographie du poignet droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie du pouce gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie du pied entier gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la colonne lombaire : hauteur des corps vertébraux conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Discopathie L5-S1. Becs ostéophytaires antérieurs multi-étagés. Une réaction ostéophytaire L3-L4 droite bien visible sur l'incidence de face. Quelques calcifications visibles en para-vertébral droit en regard de L4 et L5 DD ganglions mésentériques calcifiés. Coprostase modérée dans le côlon ascendant. Répartition physiologique du gaz intestinal. (Dr. X) Radiographie de la colonne lombaire face et profil : cliché réalisé en position couchée ne permettant pas de juger pleinement de la statique. Pincements intersomatiques pluri-étagés du rachis dorsal inférieur et lombaire. Atteinte prédominante en D8-D9, D9-D10, D10-D11 ainsi qu'en L1-L2, L3-L4, L4-L5, L5-S1. Réaction ostéophytaire antérieure et latérale dorsale inférieure ainsi qu'à droite surtout en L4-L5. Importante arthrose interfacettaire postérieure bilatérale des espaces intersomatiques lombaires. Pas de fracture/tassement des corps vertébraux. Articulations sacro-iliaques symétriques. Status post PTH bilatérale. Importante calcification de l'aorte abdominale. Coprostase. (Dr. X). Stix urinaire : négatif. Cf. annexes. Radiographie de la colonne lombaire face et profil du 11.06.2018 : attitude scoliotique (antalgique ?) sinistro-convexe à large rayon de courbure. Morphologie, alignement, hauteur des corps vertébraux conservés, sans fracture/tassement visible. En premier lieu, petite empreinte de Schmorl du plateau inférieur de L5. Pas de pincement intersomatique. Pédicules, apophyses épineuses tous visibles, alignés. Articulations sacro-iliaques et coxo-fémorales symétriques, sans lésion traumatique visible. Courbure harmonieuse sacro-coccygienne (Dr. X). Radiographie de la colonne lombaire le 18.06.2018 : pas de tassement Adaptation de l'antalgie Physiothérapie Radiographie de la colonne lombaire Adaptation d'antalgie Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 14.05.2018 au 22.05.2018 : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 22.05.2018 : MMSE à 29/30, test de la montre à 5/7 et GDS à 5/15 Radiographie de la hanche droite et bassin face et profil : décrite ci-dessous. Radiographie de la hanche droite et du bassin : Pas de comparatif. Status post-prothèse totale de hanche bilatérale sans fracture périprothétique, sans descellement des prothèses. Les prothèses fémorales sont bien centrées dans les cotyles, notamment à droite. Pas de fracture du bassin. (Dr. X) Radiographie de la hanche gauche : pas de fracture, pas de coxarthrose Radiographie colonne lombaire : pas de fracture/tassement. Rectitude de la colonne lombaire (trouble statique) IRM lombaire le 19.06.2018 : hernie discale L4-L5 gauche avec compression radiculaire L4 gauche intra foraminale et dans le récessus latéral et contact avec la racine L5 gauche Avis ortho spine : proposition : Dexaméthasone 8 mg 2x/j pendant 4-5 jours, puis 4 mg 2x/j pendant 4-5 jours (si pas de contre-indication aux corticoïdes). Rediscuter chirurgie si pas d'amélioration.Dexaméthasone 8 mg 2x/j du 21.06 au 24.06.2018 Dexaméthasone 4 mg 2x/j du 25.06 au 28.06.2018 Adaptation de l'antalgie (Sirdalud, Dafalgan, Ibuprofen) Opiacés (Tramal et codéine) non supportés (confusion) Contrôle à la consultation Spine (HFR Fribourg) le 10.07.2018 à 09h45 Radiographie de la hanche gauche et du bassin, le 08/06/2018: (comparatif 16.05.2014) Coxarthrose bilatérale plus marquée à droite qu'à gauche avec une collerette ostéophytaire plus marquée de ce côté-là. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Remaniement dégénératif de la symphyse pubienne. Pas de fracture de l'os iliaque. Discopathie marquée L4-L5 L5-S1 inchangée. Calcifications vasculaires. (Dr. X) Radiographie de la hanche gauche face et profil : contenu calcique dans la norme. Structures osseuses du bassin et des fémurs proximaux conservés, sans lésion traumatique ostéoarticulaire récente visible. Intégrité des branches ilio- et ischio-pubiennes. Articulations SI et coxofémorales symétriques. Discrète lésion dégénérative de la jonction lombosacrée. Calcifications vasculaires artérielles. (Dr. X) Laboratoire : créatinine 83 µmol/l, Na+ 133 mmol/l, hyperosmolalité à 321 mosm/kg, glycémie 5.3 mmol/l, albuminémie 39.6 g/l, K+ 5.4 mmol/l, CRP <5 mg/l, leucocytes 3.4 G/l, Hb 108 g/l normocytaire normochrome, crase en ordre, alcoolémie 1.5 pour mille, calcium corrigé 2.18 mmol/l. Cf. annexes. ECG : RSR à 75/minute, normoaxé, PR 156ms, QRS fins à 72ms, transition en V3-V4, pas de sus- ni de sous-décalage ST, pas d'ondes T négatives, pas d'ondes Q, QTc 400 ms. Cf. annexes. Radiographie de la jambe droite: décrite ci-dessous. Antalgie. Radiographie de la jambe droite du 17.06.2018: les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie de la jambe droite du 29.06.2018: probable fracture ancienne épiphysaire malléolaire interne. A confronter aux données cliniques. Pas d'image de fracture par ailleurs métaphyso-diaphysaire tibiale ou péronière. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie de la jambe gauche : contenu calcique dans la norme. Petite zone d'ostéocondensation circulaire en projection de la médullaire osseuse du tiers moyen de la diaphyse tibiale. Aspect finement punctiforme. Hémangiome ? Actuellement pas d'interruption corticale. Pas de lésion traumatique osseuse surajoutée. Les axes osseux de la jambe sont conservés. Proposition d'un bilan par IRM plus ou moins ct scanner focalisé scanographiques afin de typiser les structures osseuses. Ceci dans un délai de trois à six mois. (Dr. X). Radiographie de la jambe gauche : pas d'image de corps étranger décelable. Pas d'image de fracture décelable. Les rapports anatomiques sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie de la jambe gauche du 25.06.2018: aspect irrégulier de la corticale de la diaphyse distale du tibia sur son versant interne, sur environ 19 mm de long à confronter à une IRM pour aller plus loin dans les investigations (lésion osseuse primaire ?). Pour le reste, pas de lésion osseuse suspecte, pas de fracture mise en évidence. (Dr. X) Radiographie de la main : absence de fracture. Désinfection, champage, anesthésie locale. Extraction du corps étranger par Dr. X et exploration de la plaie: fascia musculaire visualisé avec brèche du fascia. Pas d'atteinte tendineuse ou osseuse. Pas de corps étranger résiduel. Rinçage abondant (1l) avec NaCl et bétadine. Co amoxicilline 750mg/50mg en iv puis relais per os 3x/jour pour 1 jour. Immobilisation avec attelle Edimbourg. Contrôle en policlinique d'orthopédie à 24h. Radiographie de la main : voir ci-dessous. Antalgie simple. Attelle Velcro à but antalgique (patient en possède une à domicile). Radiographie de la main droite : contenu calcique, structures osseuses, rapports articulaires de la main conservés sans lésion traumatique visible. Tissus mous sans particularité. (Dr. X). Radiographie de la main droite : fracture déplacée de la base de P1 du 5ème rayon. Aspect très ostéopénique de la trame osseuse. Rhizarthrose avancée. Calcifications du TFCC de façon avancée. Radiographie de l'avant-bras droit : pas d'image de fracture du radius ou de l'ulna. Calcifications du TFCC. Les rapports anatomiques du coude restent conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles péri-radiales ou péri-ulnaires. Radiographie du 5ème doigt de la main droite : pas d'image de fracture visible. Rhizarthrose très avancée. Les rapports anatomiques restent conservés. A compléter par un scanner à distance. Radiographie du pouce gauche : pas d'image de fracture visible dans les limites des incidences faites. Rhizarthrose très avancée. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie du genou droit + Rotule droite : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Méniscocalcinose externe. (Dr. X). Radiographie de la main droite : fracture sous-capitale du 5ème métacarpien avec petite bascule palmaire. (Dr. X). Radiographie de la main droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Pas de corps étranger radio-opaque mis en évidence. (Dr. X). Radiographie de la main droite : pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Perte de substance osseuse de P3 du 5ème rayon probablement d'allure ancienne. (Dr. X). Radiographie de la main droite : pas de corps étranger radio-opaque visualisé. Pour rechercher un corps étranger en bois, une échographie est indiquée. Par ailleurs pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge et les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la main droite du 11.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés sans lésion traumatique visible. Tissus mous sans particularité (Dr. X). Radiographie de la main droite du 11.06.2018 : profil non stricte. Pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable (Dr. X). Radiographie de la main droite du 29.06.2018: ligne radio-transparente au niveau de la métaphyse de P1 du 3ème rayon pouvant cadrer avec une fracture ou un trou nourricier. Cette ligne radio-transparente est non visible sur le cliché oblique. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. A confronter par ailleurs aux données cliniques. Si persistance de doute on peut effectuer un scanner à distance. (Dr. X) Radiographie de la main droite du 29.06.2018: remaniement d'allure ancienne probablement en rapport avec les fractures anciennes du processus styloïde ulnaire. Aspect irrégulier de la base du 5ème métatarsien et de l'hématome : probable fracture. Un scanner peut être demandé pour meilleure caractérisation. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. (Dr. X) Radiographie de la main droite face/oblique du 22.06.2018: pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la main droite face/profil : on trouve la fracture sous-capitale du 5ème métacarpien avec bascule palmaire.Pas d'anomalie visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques restent conservés. (Dr. X). Radiographie de la main droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie du poignet droit : contrôle post plâtre. Rapports articulaires physiologiques sur cette radio effectuée sous plâtre par rapport à la radio du même jour. (Dr. X) Radiographie de la main droite (pas de fracture). Fermeture primaire par 6 points d'Ethilon 4/0. Radiographie de la main droite. Avis orthopédique (Dr. X). Attelle Edimbourg. Antalgie. Contrôle radio-clinique en ortho-urgences à 1 semaine. Si pas de déplacement, mise en place d'une attelle Edimbourg 4ème et 5ème doigt, sans le poignet, pour 5 semaines au total. Radiographie de la main et du poignet gauche : présence de calcification intra-articulaire. Augmentation du Plaquenil à 200 mg. Rendez-vous chez son rhumatologue le 04.06.2018 à 15h45. Bilan de la cognition le 30.05.2018 : MMSE à 29/30, test de la montre à 0/7, GDS à 1/15. Radiographie de la main gauche : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Absence de corps étranger radio-opaque en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie de la main gauche du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la main gauche et du poignet gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de la main gauche et poignet gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Radiographie du poignet gauche et scaphoïde gauche : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé, superposable au comparatif du même jour, notamment sans lésion osseuse traumatique clairement visualisée. (Dr. X). Radiographie de la main gauche face/oblique du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la main gauche profil du 04.06.2018 : cliché réalisé en complément des radiographies standards effectuées chez le médecin traitant mises à disposition sur le PACS. Fracture sous-capitale du 5ème métacarpien non déplacée. Pas de bascule palmaire (Dr. X). Radiographie de la rotule droite : pas d'image de fracture visible. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie de la jambe droite : pas d'image de fracture visible. Aspect normal des structures osseuses. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie de l'abdomen couché : composante de coprostase au niveau colique à droite. Pas de distension digestive suspecte. Pas d'anomalie visible des structures osseuses d'allure suspecte. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire, pas de syndrome infectieux. Sédiment urinaire : propre. Test de grossesse urinaire : négatif. Radiographie de l'abdomen couché : coprostase au niveau du côlon descendant et du sigmoïde. Pas de calcification pathologique. (Dr. X). Radiographie de l'abdomen couché du 04.06.2018 : on retrouve les 2 corps étrangers de tonalité métallique correspondant à des cure-pipes en projection du flanc droit à la hauteur de la crête iliaque. Actuellement pas de double contour en faveur d'une perforation décelée. Stase stercorale du côlon droit (Dr. X). Radiographie de l'abdomen debout : répartition physiologique du gaz intestinal. Coprostase du côlon ascendant. Pas de signe pour un iléus. Bris de vis au sein de la tête fémorale gauche. Radiographie du thorax - face : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. (Dr. X). CT-scan abdomen natif et injecté : comparatif : absence. Le foie : est de taille et de morphologie normales, aux contours réguliers. Pas de lésion focale hépatique. Pas de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Aucun calcul radio-opaque au sein de la vésicule biliaire dont les parois sont modérément épaissies avec lame de liquide adjacente et avec prise de contraste pariétale. Infiltration de la graisse adjacente. Le pancréas : se présente normalement, sans lésion focale suspecte. La rate : est de taille et de morphologie normales. Les glandes surrénales : sont fines ddc. Les reins : sont de taille et de morphologie normales, avec bonne différenciation cortico-médullaire, sans distension des voies urinaires excrétrices. Pas de calcul radio-opaque visible au sein des cavités urinaires excrétrices ddc. Vessie : en réplétion moyenne, sans anomalie décelable. L'estomac et l'intestin : ne démontrent pas de lésion suspecte, sous réserve de l'absence de préparation. Le côlon ne démontre pas de lésion suspecte sous réserve de l'absence de préparation. Le rétropéritoine : ne démontre pas d'adénopathie de taille radiologiquement significative. Un ganglion iliaque relativement long mais nettement infra-centimétrique dans son plus petit diamètre (5 mm de plus petit diamètre). L'aorte abdominale : est de calibre normal et ses branches viscérales principales sont perméables. Cavité péritonéale : pas d'air libre, pas de liquide libre en quantité significative. Les structures osseuses examinées : se présentent normalement, hormis les fémurs qui présentent un phénomène d'épaulement et des stigmates post-opératoires ddc. Image d'une nécrose de la tête fémorale gauche. Colonne vertébrale : la hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Arthrose facettaire lombaire basse. Bases pulmonaires : pas de lésion nodulaire suspecte. CONCLUSION : pas de calcul radio-opaque visible au sein des voies urinaires excrétrices. Aspect épaissi des parois de la vésicule biliaire avec prise de contraste et infiltration de la graisse adjacente posant le DD d'un st/p passage de calcul versus d'une cholécystite aiguë. À corréler aux bilans clinique et biologique. Un ultrason de la vésicule biliaire est recommandé à la recherche de cholélithiases. (Dr. X). Radiographie de l'avant-pied droit : fracture de type Salter 2 de la base de la phalange proximale du 5ème rayon avec déplacement dorso-interne d'environ 3 mm. Radiographie de l'avant-pied droit : par rapport au comparatif précédent du même jour, on retrouve la fracture de type Salter 2 de la base de la phalange proximale du 5ème rayon avec persistance d'un déplacement dorso-interne d'environ 3 mm. Radiographie de l'avant-pied droit : par rapport aux comparatifs du même jour, on retrouve la fracture de type Salter 2 de la base de la phalange proximale du 5ème rayon, sans amélioration significative après réduction, avec toujours un déplacement dorso-interne d'environ 3 mm. Radiographie de l'avant-pied droit : par rapport aux 2 comparatifs précédents, on retrouve la fracture de type Salter 2 de la base de la phalange proximale du 5ème rayon avec persistance d'un déplacement dorso-interne d'environ 2,5 mm. (Dr. X). Radiographie de l'avant-pied droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie de l'avant-pied droit : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X).Radiographie de l'avant-pied gauche : décrite ci-dessous. • Antalgie. • Syndactylie. • Prochain contrôle en policlinique orthopédiques dans 1 semaine. • Arrêt de travail 100% 7 jours (charpentier). Radiographie de l'avant-pied gauche du 04.06.2018 : irrégularité de corticale et ligne radio-transparente évoquant une fracture non déplacée de la 2ème phalange du 3ème orteil (Dr. X). Radiographie de l'avant-bras droit du 20.06.2018 : comparatif du jour. Status après mise en place d'une contention en plâtre de Paris fendue. Pas de pli ou point de pression. Absence de déplacement secondaire de la fracture métaphysaire distale du radius et du cubitus (Dr. X). Ultrason abdomen complet natif du 20.06.2018 : le foie est de taille dans les limites de la norme sans lésion focale décelable. Par ailleurs, pas de liquide libre péri-hépatique, notamment au niveau du récessus de Morrison. Le pancréas et la rate sont sp. Les 2 reins sont en place, de taille et d'échostructure dans les limites de la norme, sans dilatation pyélocalicielle. La vessie en réplétion présente des parois fines et on ne visualise pas de liquide libre au niveau pelvien. CONCLUSION : pas de lésion des organes pleins, ni de liquide libre intra-péritonéal objectivé (Dr. X). Radiographie de l'avant-bras droit face + profil : pas de lésion osseuse, ni de corps étranger radio-opaque visualisé. (Dr. X). Radiographie de l'avant-bras gauche : pas de corps étranger radio-opaque, ni de lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X). Radiographie de l'avant-bras gauche du 29.06.2018 : fracture diaphysaire ulnaire avec angulation. Pas d'anomalie d'allure traumatique visible sur les autres structures osseuses. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie post-plâtre de l'avant-bras gauche du 29.06.2018 : status post-contention plâtrée pour fracture diaphysaire ulnaire. Pas de déplacement secondaire. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie de l'avant-bras gauche du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de la main gauche du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie de l'avant-pied droit : pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de l'avant-pied gauche du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. En cas de doutes cliniques sur la face dorsale du 1er métacarpien, une radio de profil du pied serait indiquée. (Dr. X) Radiographie de l'avant-pied gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Discret surcroît d'opacité en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie de la cheville gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Déformation du calcanéum pouvant correspondre à une fracture ancienne. Structure calcifiée sous-calcanéenne d'allure ancienne, séquellaire. Intégrité par ailleurs des 2 malléoles. (Dr. X) Radiographie de l'épaule. Avis orthopédique (Dr. X). IRM en ambulatoire : conseils donnés au patient. Consultation orthopédique en ambulatoire. • Antalgie. • Certificat médical. • Physiothérapie. Radiographie de l'épaule droite + clavicule : fracture déplacée du tiers externe de la clavicule. Bonne congruence gléno-humérale. Pas d'image de fracture de la tête humérale. (Dr. X). Radiographie de l'épaule droite : décrite ci-dessous. Traitement symptomatique. Radiographie de l'épaule droite, de la clavicule et du 3ème doigt à droite. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de fracture, pas d'atteinte ligamentaire de la coiffe. • Antalgie, bras en écharpe à but antalgique. Suite de prise en charge par le médecin traitant. Radiographie de l'épaule droite face et Neer : omarthrose marquée par un pincement articulaire gléno-huméral extrême associé à une surélévation de la tête humérale et une diminution de l'espace sous-acromial. Discret surcroît de densité linéaire en projection du tendon sus-épineux. Arthrose acromio-claviculaire. Radiographie du thorax face/profil : attitude scoliotique dextro-convexe avec obliquité du cliché et étalement du médiastin vers la droite. Cœur de volume dans la norme, sans signe de décompensation. Épaississement de la partie supérieure de la grande scissure, aspécifique, à priori gauche, visible sur le profil. Accentuation péri-bronchique postéro-basale droite. Broncho-aspiration ? Pas d'épanchement pleural. Pas de fracture/tassement des corps vertébraux. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Glucose à 9.3mmol/l. Gazométrie : cf. annexes. pH = 7.38, PO2 = 12.3, PCO2 = 4.8, SaO2 = 97% AA, lactate à 1.3. EEG du 14.05.2018 : anomalie fronto-temporale gauche. Radiographie de l'épaule droite face/Neer : pas de calcification visualisée au niveau des tissus mous pour une tendinopathie calcifiante. Pas de lésion osseuse notamment traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de l'épaule droite face/neer : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas de calcification visualisée au niveau des tissus mous. L'espace sous-acromial est conservé. (Dr. X). Radiographie de l'épaule droite face/neer du 17.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires de l'épaule conservés. Pas de lésion traumatique ou dégénérative visible. Pas de calcification en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie de l'épaule et du coude droit, avec pré-explication par le médecin : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : traitement symptomatique. • Antalgie par Dafalgan et AINS topique. • Écharpe selon douleurs. • Physiothérapie avec schéma de San Antonio. Recommandation de reconsulter son médecin traitant dans une semaine pour suite de prise en charge. Radiographie de l'épaule, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. X). Traitement anti-inflammatoire avec contrôle chez le médecin traitant dans la semaine et si besoin TEAM épaule à 6 semaines si persistance des douleurs, à organiser par le médecin traitant. • Antalgie. Radiographie de l'épaule gauche : pas de fracture, tête humérale en place (avec explication donnée par le médecin). • Antalgie. Contrôle à la consultation de son médecin traitant en début de semaine prochaine. Envisager des séances de physiothérapie en cas de persistance des douleurs. Radiographie de l'épaule gauche face, Neer, axial, clavicule, bilatérale avec charge : luxation acromio-claviculaire gauche de stade Rockwood 5. Radiographie de l'épaule gauche - face et neer : arthrose gléno-humérale déjà avancée ainsi que luxation acromio-claviculaire mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée ni de luxation gléno-humérale. Radiographie des clavicules - face et articulations acromio-claviculaires des deux côtés : luxation acromio-claviculaire gauche avec un espacement acromio-claviculaire d'environ 1,5 cm. À noter également une arthrose acromio-claviculaire droite. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/Neer : décrite ci-dessous. Gilet orthopédique. Antalgie. Radiographie de l'épaule gauche face/Neer : fracture multifragmentaire capitale et sous-capitale de l'humérus avec atteinte du trochin et du trochiter, mais peu déplacée. (Dr. X). CT-scan de l'épaule/bras gauche natif : fracture sous-capitale de l'humérus G, non déplacée. Atteinte multi-fragmentaire peu déplacée du trochin et du trochiter. Intégrité de la glène. Rapports articulaires conservés. Arthrose AC. Pas d'atteinte de la partie visible de la clavicule et du grill costal. Pas d'évidence de pneumothorax. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/neer : luxation gléno-humérale antéro-inférieure, sans lésion osseuse traumatique sur cette incidence. Radiographie du bras gauche : on retrouve la luxation gléno-humérale antéro-inférieure, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment au niveau du bras. Radiographie de l'épaule gauche face/neer : par rapport au comparatif du même jour, on constate une bonne réduction de la luxation gléno-humérale antéro-inférieure, sans lésion osseuse traumatique associée visualisée. Radiographie du bassin : hanche axiale gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Discrète coxarthrose en relation avec l'âge de la patiente et lésions dégénératives de la symphyse pubienne. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/neer : pas de calcification visualisée au niveau des tissus mous pour une tendinopathie calcifiante. Pas de lésion osseuse notamment traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/neer : pas de signe majeur d'arthrose gléno-humérale. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas de lésion osseuse visualisée. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche face/neer du 17.06.2018 : luxation gléno-humérale antéro-inférieure, sans évidence de fracture. Intégrité de la partie visible du grill costal. (Dr. X) Radiographie post-réduction de l'épaule gauche du 17.06.2018 : après réduction, les rapports articulaires sont rétablis, corrects. On retrouve une discrète diminution de l'espace sous-acromial avec une irrégularité du trochiter, faisant suspecter un syndrome d'impingement. Actuellement, pas d'argument pour un Bankart osseux ou un Hill-Sachs visible. (Dr. X) Radiographie de l'épaule gauche face/neer du 30.06.2018 : bonne congruence gléno-humérale. Pas d'anomalie visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Radiographie de l'épaule gauche face/neer et articulation acromio-claviculaire gauche : luxation acromio-claviculaire de stade III. Pas de lésion osseuse traumatique visualisée, ni de luxation gléno-humérale. (Dr. X). Radiographie de l'articulations acromio-claviculaires des deux côtés : luxation acromio-claviculaire G avec un espace acromio-claviculaire mesuré à 10mm contre environ 3mm pour le côté controlatéral. (Dr. X). Radiographie de l'épaule gauche (réalisée à l'Hôpital de Pourtales, Neuchâtel) : fracture sous-capitale humérale gauche non déplacée. Traitement conservateur par gilet orthopédique pendant 6 semaines. Consultation avec le traumatologue dans 6 semaines n'est pas prévue. Vaccination du tétanos à jour le 16.05.2018. Radiographie de l'hallux gauche face/profil : probable fracture de la base de la phalange distale. Radiographie de l'index droit de face et de profil : débord postérieur de la base de la phalange distale correspondant à un processus ancien, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie de l'index gauche face et profil du 20.06.2018 : pincement articulaire interphalangien distal avec très discret remodelé ostéophytaire postérieur de P3. Petite calcification grossièrement triangulaire en projection des parties molles en arrière de la tête de P2. Petite avulsion ? Ancien traumatisme ? (Dr. X). Radiographie de l'omoplate droite : décrite ci-dessous. Antalgie. Radiographie de l'orteil de face et de profil : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Une imagerie en coupe pourrait être demandée à distance si persistance de la symptomatologie clinique. Radiographie de l'avant-pied gauche de face et oblique : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Si forte suspicion de fracture, compléter par une imagerie en coupe à distance. (Dr. X) Radiographie de l'orteil : décrite ci-dessous. Radiographie de thorax : pas de fracture visualisée, pas d'épanchement pleural, pas de pneumothorax (avec explication donnée par le médecin). Antalgie et anti-inflammatoire topique. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique, notamment apparition d'une dyspnée importante. Radiographie de thorax de contrôle avant rendez-vous avec le Dr. X. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 04.07.2018 à 08h45. Radiographie de thorax. Laboratoire à l'entrée : CRP 14, lc normaux, proBNP 3800. Lasix iv du 07.06 au 12.06.2018 puis reprise du Torasemide per os. Avis pneumologique le 22.06.2018. Radiographie de thorax. Laboratoire : CRP 14, lc normaux, proBNP 3800. Stix sédiment urinaire : à pister. Hémoculture : à pister. Lasix 10 mg + 10mg puis IV continu 3mg/h. Ciprofloxacine IV et Clindamycine PO. Radiographie : décrite ci-dessous. Antalgie. Attelle Splintpod. Cannes anglaises. Thromboprophylaxie. Rendez-vous à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. Radiographie des articulations acromio-claviculaires des deux côtés du 08/06/2018 : articulation AC congruente, sans fracture mise en évidence. Le reste des structures osseuses examinées se présente normalement. (Dr. X). Radiographie des articulations acromio-claviculaires des deux côtés du 17.06.2018 : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Articulations AC symétriques, sans lésion décelable, notamment à D. (Dr. X). Radiographie des clavicules du 06.06.2018 : fracture des tiers moyens des deux clavicules, avec aspect mité dd, et début de cal osseux, compatible avec des fractures pathologiques en lien avec le myélome multiple connu. Aspect hétérogène de la trame osseuse de façon générale, également en lien avec le myélome. Status post spondylodèse D1-D5, sans changement. IRM de la colonne cervicale du 21.06.2018 : myélopathie à la hauteur de D3 où on note la présence d'un éperon dans le cadre d'une vertébroplastie rentrant en conflit avec le cordon et où on note une infiltration du myélome par les trous de conjugaison. IRM de la colonne thoraco-lombaire du 22.06.2018 : multiples lésions osseuses devant entrer dans le cadre du myélome multiple connu. Tassement de D12. Pas de compression visible au niveau du cordon médullaire examiné. Epaule droite face/neer du 26.06.2018 : absence de trait de fracture. Multiples calcifications en projection de l'insertion tendineuse des tendons de la coiffe en regard du tubercule majeur, en rapport avec une tendinopathie calcifiante. L'articulation gléno-humérale est congruente. Séquelles de fracture de l'extrémité distale de la clavicule droite, sans déplacement secondaire (comparatif du 06.06.2018). Radiographie des orbites : absence de corps étranger radio-opaque en projection de la partie visible du massif facial. Hypoplasie du sinus frontal droit. Compte tenu des importantes superpositions osseuses, pas d'évidence d'hématosinus ou de lésion traumatique osseuse visible. (Dr. X).Radiographie des orteils à gauche : fracture Salter 2 de la première phalange du 5ème orteil. Radiographie des pieds entiers gauche et droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie des 4ème et 5ème orteils droits face/oblique du 22.06.2018 : fracture transverse dia-métaphysaire proximale de la phalange proximale du 5ème rayon d'allure déjà subaiguë, non déplacée. (Dr. X) Radiographie Dig II et III main G f/p Fentanyl intra-nasal Monitoring cardio-respiratoire MEOPA/Rapidocaïne (anesthésie en bague) Désinfection Bétadine Exploration de plaie Suture Prolène 5.0 (3 points) Pansement adaptic + bandage Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie Dig II main G f/p Syndactylie alu Dig II et III Antalgie en R Dispense sport pdt 3 semaines Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie Dig II main G f/p Syndactylie Dig II-III main G Ergothérapie Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie Dig II main G : pas atteinte osseuse Radiographie Dig III main D f/p Syndactylie Dig III-IV Ergothérapie (9 séances) Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie Dig IV main G f/p : pas de fracture osseuse, défaut cutané sous-unguéal. Absence de foyer d'ostéomyélite. Radiographie Dig IV main G f/p Gel-let/MEOPA/anesthésie en bague Exploration plaie Désinfection Bétadine Fixation de l'ongle et trépanation Pansement adaptic avec bandage Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie doigt, avec explication donnée par le médecin. Rappel tétanos. Désinfection bétadinée, incision et drainage de la collection, rinçage NaCl à l'aiguille boutonnée. Bains d'Amukina Contrôle à 48 heures à la filière 34 pour surveillance des signes de surinfection. Radiographie doigt Dig II et III f/p : pas d'atteinte osseuse Radiographie doigt II main G f/p MEOPA Incision panaris Drainage du pus Frottis de sécrétion : Leucocytes +, hématies +, débris cellulaire + Pansement stérile avec mesh Co-amoxicilline 625 mg (500/125) 3x/j pdt 7 jours Consilium orthopédiste : Dr. X TIP le 19.06. Pansement adaptic Poursuite antibiothérapie Contrôle clinique dans 24h chez le pédiatre Radiographie doigt III f/p MEOPA Exploration plaie Désinfection plaie Hibidil/NaCl 0.9% Ialugen plus Pansement adaptic doigt et Cofix Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X TIP le 21.06. : Désinfection plaie Ialugen plus Pansement adaptic doigt et cofix Radiographie Doigt 2 et 3 gauche du 17.06.2018 : Irrégularité de la corticale dorsale de la base de P1D2 (et dans une moindre mesure de P1D3) compatible avec une fracture motte de beurre. Radiographie doigt 3 main D : fracture distale de la phalange 2, non déplacée. Radiographie doigts 3 et 4 main gauche : pas de fracture. Traitement symptomatique par Paracétamol et Ibuprofène à poursuivre. Radiographie dorso-lombaire debout dans 1 semaine et rediscuter le cas avec l'orthopédiste de garde du Team Rachis de l'HFR Fribourg. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours et ablation des fils dans 7 jours. Radiographie dorso-lombaire. Antalgie et repos. Contrôle en début de semaine prochaine chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Radiographie (Dr. X) : doute sur une fracture de l'os cunéiforme médian. CT pied droit (Dr. X) : lésion de Chopard avec arrachement du processus antérieur Immobilisation 8 semaines, contrôle team pied dans 7 à 10 jours, antalgie, anticoagulation prophylactique et arrêt de travail. Radiographie du thorax : persistance d'un pneumothorax réduit à 17 mm selon rapport oral du Dr. X (radiologue). Selon directives données par la Dr. X (chirurgienne) la veille : étant donné l'amélioration radiologique et la réassurance clinique, nous organisons un contrôle radiologique à 1 semaine. Le patient se représentera aux urgences en cas de douleurs thoraciques importantes ou d'une dyspnée. Radiographie du bassin et colonne lombaire face et profil : déhiscence de la symphyse pubienne avec un espace entre les branches pubiennes d'environ 5 cm, associée à une fracture de l'aile iliaque gauche le long de l'articulation sacro-iliaque. Pas d'autre lésion osseuse traumatique visualisée au niveau du bassin. Aspect discrètement cunéiforme de L1 compatible avec un processus ancien. Lésions dégénératives multi-étagées en relation avec l'âge du patient. Radiographie du thorax face : cœur de taille à la limite supérieure de la norme en tenant compte de la position couchée. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Hb 136 g/l, TP 100. Urines : cf. annexes. Sang ++++, reste sp (y compris les tests hépatiques). ECG : cf. annexes. Radiographie du bassin et de la hanche axiale droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée, notamment au niveau de la hanche droite. (Dr. X). Radiographie du bassin et de la hanche axiale gauche du 04.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés (Dr. X). Radiographie du bassin Radiographie hanche de face axiale Antalgie Hospitalisation à but antalgique Test de Schellong le 28.05.2018 : négatif Radiographie du bras gauche et de l'épaule gauche : fracture diaphysaire moyenne oblique de l'humérus en cours de consolidation, avec le développement d'un cal osseux, qui présente une angulation interne d'environ 30°. Radiographie du bras gauche : par rapport au comparatif du même jour, on retrouve la fracture diaphysaire oblique de l'humérus avec bascule interne et l'on constate la mise en place d'un plâtre anté-brachial, beaucoup trop court et qui ne maintient pas la fracture. (Dr. X). Radiographie du cou tissu mou du 20.06.2018 : absence de corps étranger en projection des voies aériennes supérieures. Épaisseur des parties molles pré-cervicales dans la norme. Pas d'argument pour un emphysème. Squelette visible sans particularité (Dr. X). Radiographie du coude - droit et gauche : par rapport au comparatif du 16.09.2013, on retrouve les synostoses radio-ulnaires proximales ddc, d'aspect superposable et l'on ne visualise pas de lésion osseuse traumatique récente surajoutée. Luxation de la tête radiale droite. (Dr. X). Radiographie du coude : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. (Dr. X) Radiographie du coude, de l'avant-bras, du poignet et du pouce gauche : cf diagnostic. CT-scan du coude gauche. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X). Antalgie par Dafalgan, Voltaren, Morphine iv aux urgences. Réalisation du plâtre BAB ouvert. Convocation dans une semaine pour une ostéosynthèse. Réalisation d'un constat de coup dans le contexte d'une possible plainte par le patient. Radiographie du coude droit, avec pré-explication par le médecin : luxation postérieure. Radiographie du coude droit post-réduction, avec pré-explication par le médecin. CT du coude droit (appel Dr. X). Réduction faite par le Dr. X aux urgences. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : ad CT, articulation instable, la prise en charge sera revue au colloque pour la suite de la prise en charge. Antalgie, plâtre fendu. Le patient sera reconvoqué par les orthopédistes lundi 25.06.2018. Suite de la prise en charge par les orthopédistes. Radiographie du coude droit du 25.06.2018 : épanchement intra-articulaire. Rapports articulaires physiologiques. Pas de fracture décelée. Remaniement olécrânien en rapport avec l'ancien traumatisme. (Dr. X)Radiographie post-plâtre du coude droit du 25.06.2018 : par rapport aux radiographies du même jour, pas de changement significatif après mise en place d'un plâtre. Rapports articulaires physiologiques. (Dr. X) CT-scanner du coude droit natif du 25.06.2018 : fracture non déplacée de la tête radiale passant par la surface articulaire. Épanchement intra-articulaire dans ce contexte. Remaniement de l'olécrâne avec stigmate post-fracture et ostéosynthèse, sans matériel résiduel. (Dr. X) Radiographie du coude droit face et profil : l'axe veineux profond du membre inférieur gauche est perméable et compressible. Pas de thrombose veineuse profonde objectivée au niveau du membre inférieur gauche. (Dr. X) Radiographie du coude droit face et profil du 20.06.2018 : absence de lésion directe ou indirecte de lésion traumatique ostéo-articulaire visible (Dr. X). Radiographie du coude droit Consilium ortho FSC et CRP Immobilisation avec plâtre BAB fendu AINS en réserve Contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine Radiographie du coude gauche : décrite ci-dessous. Radiographie du coude gauche : fracture intra-articulaire de la tête radiale non déplacée de type Mason I. Volumineux épanchement articulaire. Radiographie du coude droit : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Pas d'épanchement articulaire. Radiographie du coude gauche + avant-bras gauche : examen réalisé sous contention plâtrée sans menace à la peau. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de déplacement secondaire de la fracture de la tête radiale. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : fracture supra-condylienne. Déplacement de lignes graisseuses antérieures et postérieures. Pas d'anomalie traumatique décelable sur les autres structures osseuses. Radiographie du coude gauche : bonne contention plâtrée. Pas de signe de complication. Radiographie du coude gauche : status post-contention plâtrée pour fracture supra-condylienne. Déplacement des lignes graisseuses. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus parties molles olécrâniennes. Radiographie du 5ème doigt main gauche : subluxation dorsale de l'interphalangienne proximale. Pas de fracture. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. Présence d'une exostose au niveau de la corticale antéro-ulnaire diamétaphysaire distale de l'humérus. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Pas de déplacement des lignes graisseuses. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : petit arrachement ancien au niveau de l'épitrochlée droite mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Pas d'épanchement articulaire. Petit arrachement ancien également en regard de la tête radiale. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : volumineux épanchement articulaire, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Radiographie du poignet gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) CT-scan du coude gauche natif : épanchement intra-articulaire. Rapports articulaires physiologiques. Suspicion d'une petite fracture non déplacée du col de la tête radiale. (Dr. X) Radiographie du coude gauche : cf annexes. Radiographie du coude gauche du 11.06.2018 : absence de signe direct, indirect de lésion traumatique ostéo-articulaire du coude. Ossification bien corticalisée en dessous de l'épitrochlée ouvrant le diagnostic différentiel d'un noyau d'ossification non consolidé. Petite épine à l'insertion du tendon tricipital sur l'olécrâne. Discrète tuméfaction des parties molles rétro-olécraniennes. Bursite traumatique ? (Dr. X) Radiographie du coude gauche du 11.06.2018 : discret refoulement de la ligne graisseuse en arrière de la palette humérale. Minime épanchement intra-articulaire. Pas de fracture déplacée visible. À noter, une irrégularité radio-transparente en projection de l'olécrâne, linéaire. Les rapports articulaires du coude sont conservés. Radiographie du coude gauche du 11.06.2018 : status post-mise en place d'une contention en plâtre de Paris, circulaire. Pas de pli ou point de pression visible (Dr. X) Radiographie du coude gauche face et profil : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. Corps étranger de tonalité métallique en projection des tissus mous de la région antéro-latérale de l'humérus distal. (Dr. X) Radiographie du coude gauche face/profil : décrite ci-dessous. Avis orthopédique : gouttière brachio-antébrachiale, gilet orthopédique, antalgie. Rendez-vous de contrôle en policlinique d'orthopédie le 26.06.2018 ou 27.06.2018. Radiographie du doigt : fracture déplacée de la houppe phalangienne de la 3ème phalange du 3ème doigt gauche. Rapports articulaires conservés. (Dr. X) Radiographie du doigt : pas de lésion osseuse, avec explication donnée par le médecin. Vaccination anti-T à jour, dernier vaccin il y a 1 an. Désinfection, rinçage. Suture 4 points avec Prolen 4:0. Pansement sec et propre. Contrôle de la plaie à 48 heures chez le médecin traitant avec pansement. Ablation des fils entre J7 et J10 chez le médecin traitant. Contrôle aux urgences si péjoration. Radiographie du doigt : voir ci-dessous. Avis lors du contrôle en policlinique. Radiographie du doigt, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X : traitement par syndactylie, antalgie et anti-inflammatoire non stéroïdien. Ergothérapie dès que possible. Contrôle clinique et radiologique dans 6 semaines en ortho-urgences. Si péjoration, consulter les urgences. Radiographie du doigt : décrite ci-dessous. Antalgie. Radiographie du doigt 3 droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Remaniement des parties molles de la face palmaire de la 3ème phalange du 3ème doigt sans atteinte osseuse. Pas de corps étranger radio-opaque mis en évidence. (Dr. X) Radiographie du doigt 5 droit face/profil du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X) Radiographie du genou : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. CT-scan du genou : décrit ci-dessous. Attelle du genou articulé à 20 degrés. Retour à domicile avec contrôle radio-clinique le 23.05.2018 à la consultation du Dr. X. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg. Arrêt de travail. Radiographie du genou : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Épanchement intra-articulaire modéré. Enthésopathie calcifiante de l'insertion du tendon quadricipital sur la rotule. (Dr. X)Radiographie du genou : pas de fracture visualisée (avec explication donnée par le médecin). • Antalgie. • Repos. • Contrôle à la consultation de son médecin traitant d'ici une semaine, réévaluation de l'incapacité de travail. Radiographie du genou avec pré-explications par le médecin : léger pincement articulaire médial. • Avis orthopédique (Dr. X). • Cannes. • Conseils pour la marche avec cannes anglaises. • IRM en ambulatoire. • Rendez-vous au team genou à 10 jours. • Antalgie. • Certificat médical. Radiographie du genou avec pré-explications par le médecin : pas de fracture. • Avis orthopédique (Dr. X) : attelle jeans à 0°. • Cannes. • Instructions à la marche avec des cannes anglaises. • IRM en ambulatoire. • Contrôle au team genou à 10 jours. • Antalgie. • Certificat médical pour 10 jours. Radiographie du genou avec pré-explications par le médecin : pas de fracture. • Avis orthopédique (Dr. X). • Antalgie. • Certificat médical pour 10 jours. • Contrôle chez le médecin traitant en début de semaine prochaine. Radiographie du genou, cheville et pied droit • Consilium ortho (Dr. X) • Béquilles pour charge selon douleur • AINS • Contrôle chez le médecin traitant dans 10 jours si persistance des symptômes Radiographie du genou, de la cheville et du pied : pas de fracture visualisée. Radiographie du genou droit : décrite ci-dessous. Retour à domicile avec bande élastique et antalgie. Le patient sera revu à 1 semaine chez le pédiatre. Radiographie du genou droit et axiales de rotules des deux côtés : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés sans lésion traumatique visible. Minime ossification à l'insertion du tendon quadricipital sur le pôle supérieur de la rotule. Tuméfaction des parties molles pré-rotuliennes plus marquée à droite qu'à gauche. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont symétriques, centrées et sans lésion. (Dr. X). Radiographie du genou droit : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du genou droit + rotule droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Présence d'un épanchement articulaire. (Dr. X). Radiographie du genou droit + rotules des deux côtés du 11.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés sans lésion traumatique visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont symétriques, centrées sans lésion. Radiographie de la cheville droite du 11.06.2018 : tuméfaction des parties molles péri-malléolaires internes et externes. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable (Dr. X). Radiographie du genou droit du 09.05.2018 • Oxynorm en réserve dès le 09.05.2018 • Prégabaline dès le 14.05.2018 Radiographie du genou droit et de la rotule droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. (Dr. X). Radiographie du genou droit et de la rotule droite : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du genou droit et de la rotule droite : visibilité de structures calcifiées attachées à la patella au niveau médial : variante de la norme versus fracture à confronter aux données cliniques. Par ailleurs pas d'anomalie visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques restent conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie du genou droit et de la rotule droite du 04.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques restent conservés (Dr. X). Radiographie du genou droit et de la rotule droite du 11.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés, sans lésion traumatique visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont symétriques, centrées, sans lésion (Dr. X). Radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique osseuse. Tuméfaction des parties molles pré-rotuliennes. Pas de CE radio-opaque en projection de la bourse pré-rotulienne. (Dr. X). Radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés : fracture du condyle tibial externe avec un trait radio-transparent en faible obliquité par rapport à la verticale, peu déplacée. (Dr. X). CT-scan du genou/jambe droit natif : par rapport à la radiographie du genou du même jour, on confirme la fracture du condyle tibial externe, qui s'étend obliquement par rapport à la verticale, mais sans atteinte de la surface articulaire. Cette fracture est peu déplacée. Pas d'autre lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X). Radiographie du genou droit et des rotules des deux côtés du 11.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. En défilé fémoro-patellaire, rotules symétriques, centrées, sans lésion (Dr. X). Radiographie du genou droit et rotule droite : pas d'anomalie osseuse décelable : signes post-opératoires d'une ligamentoplastie du LCA. Les interlignes articulaires restent conservés. Discret surcroît d'opacités en projection du cul-de-sac sous-quadricipital. (Dr. X). Ultrason Doppler veine jambe droit (Thrombus) : perméabilité du réseau veineux superficiel et profond du membre inférieur droit. Les veines sont compressibles sous la sonde sans image de thrombus. Pas d'image d'hématome visible en projection des parties molles de la cuisse et de la jambe. Visibilité par ailleurs d'un épanchement articulaire anéchogène, homogène au niveau du cul de sac sous-quadricipital et au niveau du récessus para-condylien interne et externe. CONCLUSION : pas de thrombose veineuse décelable du membre inférieur droit. Épanchement articulaire du genou de moyenne abondance, anéchogène, homogène. (Dr. X). Radiographie du genou droit face, profil et axial : pas de fracture visualisée (asymétrie articulaire due à la position ?). Contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont symétriques, centrées, sans lésion. Pas d'épanchement intra-articulaire. (Dr. X). Radiographie du genou droit face/profil et axial de rotule : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du genou droit face/profil et rotules ddc : arthrose tri-compartimentale, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. Calcifications à l'insertion du tendon quadricipital sur la rotule. (Dr. X). Laboratoire : hémogramme N, absence de leucocytose, CRP < 5 mg/l, fonction rénale et électrolytes normales. D-dimères < 190 ng/ml. Cf. annexes. Radiographie du genou droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Épanchement intra-articulaire dans le récessus supra-patellaire. (Dr. X). Radiographie du genou droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Épanchement intra-articulaire. (Dr. X).Radiographie du genou droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie du genou et de la rotule à droite du 11.06.2018 : • contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du genou conservés, sans lésion traumatique récente visible. • Ossification à l'insertion du tendon rotulien sur le pôle inférieur de la rotule. • En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont symétriques, centrées, sans lésion. • Pas d'épanchement intra-articulaire. Radiographie de la cheville droite du 11.06.2018 : • contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires de la cheville conservés, sans lésion traumatique récente visible. • Épine calcanéenne (Dr. X). Radiographie du genou et des rotules : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Lame d'épanchement intra-articulaire. (Dr. X) Radiographie du genou face/profil, avec pré-explication par le médecin : pas de fracture visualisée. Calcification du ménisque interne, signe indirect d'arthrose du compartiment interne ainsi que du compartiment fémoro-patellaire, pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : • décharge avec cannes, • traitement par antalgie simple et physiothérapie, • consultation chez le Dr. X dans 2-3 semaines. Radiographie du genou G Avis orthopédique Dr. X • Antalgie en R • Bandage antalgique • IRM à distance Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. • Antalgie à domicile. • Contrôle chez le pédiatre en début de semaine prochaine. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. • Rinçage intra-plaie et suture de plaie par 4 points d'Ethilon 4.0. • Attelle Mécron 0° (éviter flexion genou). • Charge possible. • Antibiothérapie de Co-Amoxicilline 625 mg 3x/jour pendant 5 jours au vu de la plaie sale occasionnée quelques heures avant la consultation, rincée et désinfectée sommairement. • Rendez-vous en policlinique dans deux jours pour réfection du pansement. • Rappel tétanos fait aux urgences. • Retrait des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. • Arrêt de travail. Radiographie du genou gauche : fines calcifications en projection para-condylienne interne. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du genou gauche : irrégularité de la corticale antéro-inférieure du condyle fémoral interne, compatible avec une fracture à ce niveau. Irrégularité diaphysaire proximale du péroné, compatible avec une ancienne fracture. (Dr. X) Radiographie du genou gauche : pas de fracture visualisée. Radiographie du genou gauche + rotules des deux côtés : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous. Tuméfaction des parties molles pré-rotuliennes. (Dr. X) Radiographie du genou gauche + rotules des deux côtés : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Discrètes calcifications en projection des ménisques. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du genou gauche, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X : • antalgie, • physiothérapie, • contrôle Team genou dès que possible. • Certificat d'arrêt de sport pour une semaine. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. • Antalgie. • Bandage élastique. • AINS pour 3 jours. • Contrôle chez le médecin traitant. Radiographie du genou gauche : décrite ci-dessous. • Avis et passage du Dr. X, médecin-assistant en orthopédie. • Attelle jeans, cannes anglaises, Clexane, charge selon les douleurs, antalgie, conseils RICE. • Contrôle à 7-10 jours chez le Dr. X, orthopédiste. Radiographie du genou gauche du 23.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et de la rotule gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et de la rotule gauche du 25.06.2018 : arthrose tricompartimentale se caractérisant par un pincement articulaire plus marqué en fémoro-tibial interne par rapport au fémoro-tibial externe, et des réactions ostéophytaires surtout du côté interne. Pincement de l'interligne fémoro-patellaire avec réaction ostéophytaire. Calcification méniscale devant rentrer dans le cadre d'une chondrocalcinose. Epanchement intra-articulaire avec petites images denses dans le récessus supra-patellaire pouvant correspondre à une petite image d'ostéochondromatose secondaire. Arthrose tibio-fibulaire proximale. Un liseré radiotransparent s'étendant de haut en bas dans le tibia sur son versant externe aspécifique, à corréler à la clinique. Une fracture semble peu probable. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et de la rotule gauche du 25.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Probable petite exostose au niveau proximal du péroné, visible uniquement sur l'incidence de face. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés du 25.06.2018 : par rapport au 30.08.2011. Pas de changement significatif. Rapports articulaires physiologiques. Pas d'épanchement intra-articulaire significatif. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et des rotules des deux côtés du 27.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'image de lésion traumatique de la patella. (Dr. X) Radiographie du genou gauche et rotules des deux côtés : pas d'image de fracture visible. Les interlignes articulaires sont conservés. Discrète arthrose fémoro-tibiale interne. Radiographie du 5ème doigt main gauche : fracture-arrachement de la face dorsale de la base de P3. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie du coude gauche : pas d'image de fracture visible. Pas de déplacement des lignes graisseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X) Sédiment urinaire : 3 érythrocytes par champ. Radiographie du genou gauche et rotules des deux côtés : solution de continuité radio-transparente témoignant d'une fracture transverse de la pointe patellaire, non déplacée. Épanchement intra-articulaire modéré. Interlignes articulaires fémoro-tibial et fémoro-patellaire conservés. En défilé fémoro-patellaire, les rotules sont centrées. (Dr. X) Radiographie du genou gauche face/profil/axial de la rotule : Pas de fractures visualisées mais important épanchement intra-articulaire. Radiographie du genou gauche F/P Consilium ortho (Dr. X) : • AINS pendant 48 h puis en réserve • Contrôle chez le pédiatre dans 4-5 jours si persistance des douleurs Radiographie du genou gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X)Radiographie du genou gauche, rotules des deux côtés, du genou droit : contenu calcique dans la norme en relation avec l'âge de la patiente. Status post PTG droite avec éléments prothétiques en place, en bonne position sans signe de décèlement. Absence de conflit fémoro-patellaire à droite. Épanchement intra-articulaire droit. Pas de lésion traumatique osseuse récente visible. À gauche, interlignes articulaires fémoro-tibial, fémoro-patellaire conservés sans lésion traumatique visible. Pas d'épanchement intra-articulaire. (Dr. X). Radiographie du genou gauche • Consilium ortho (Berardo) • Béquilles pour charge selon douleur • AINS • AS 2 semaines • Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si persistance des douleurs Radiographie du genou gauche. Contrôle clinique le 09.06.2018 afin de finaliser le constat si apparition d'un hématome. AINS, Dafalgan. Radiographie du genou gauche. IRM du genou gauche le 30.06.2017. Traitement fonctionnel. Radiographie du genou : pas de fracture visualisée. Prise en charge conservatrice avec : bandage élastique et Voltarène crème, antalgie simple, charge selon douleur. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Radiographie du jour : montre une bonne consolidation osseuse. Radiographie du jour montre une cicatrisation complète de la fracture. Radiographie du médecin traitant : majoration de l'épanchement pleural droit Proposition de pleurix ou talcage refusée par la patiente Ponction pleurale le 20.06.2018 : extraction de 100 cc de liquide pleural, critères de Light : protéines : 0,6 ; LDH : 1 ; LDH pleural 349 U/L => Exsudat Radiographie du thorax de contrôle : persistance de l'épanchement Radiographie du nez : pas de fracture des os propres du nez visualisée. (Dr. X) Radiographie du pied droit : pas de fracture Algifor 7 ml max 3/jour Radiographie du pied droit : cf. annexe. Radiographie du pied droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie du pied droit : pas de fracture visualisée (avec explication donnée par le médecin). Principe RICE. Antalgie. Semelle rigide. Cannes anglaises avec instruction à la marche. Prochain contrôle à la consultation du médecin traitant d'ici une semaine pour réévaluation. Radiographie du pied droit : petite irrégularité de la base du 1er métatarsien visible sur l'incidence oblique. DD image construite. À corréler à la clinique. Pour le reste, les structures osseuses se présentent normalement, sans lésion post-traumatique aiguë. En cas de doute sur une atteinte de l'interligne de Chopart, un Scanner serait l'examen de choix. Radiographie de la cheville droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie du pied entier droit : fracture intra-articulaire de la base du 4ème métacarpien. Sur l'incidence de face, mise en évidence d'un arrachement à la base du 2ème métacarpien. Le tout fait évoquer une lésion du Lisfranc avec fracture de la base du 2ème et 4ème métacarpien. Le reste des structures osseuses examinées se présente normalement. Os naviculaire accessoire. (Dr. X) Radiographie du pied entier droit : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du pied entier droit : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X). Radiographie du pied entier droit du 11.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du pied conservés, sans lésion traumatique visible. Tissus mous sans particularité (Dr. X). Radiographie du pied entier droit du 25.06.2018 : pas de fracture visualisée sur ces radios de face et de profil. En cas de doute clinique persistant sur une atteinte du Chopart, une radio oblique du pied et/ou un scanner seraient les examens de choix. (Dr. X) Radiographie du pied entier droit et de la cheville droite du 25.06.2018 : tuméfaction des tissus mous péri-malléolaires externes. Pas de fracture. Probable ancien traumatisme de la malléole interne. 2 ancres dans le calcanéum devant correspondre à un st/p refixation du tendon d'Achille. Ce dernier est le siège de multiples calcifications/ossifications. (Dr. X) Radiographie du calcanéus droit du 25.06.2018 : sur l'incidence axiale, pas de fracture du calcanéum. 2 ancres dans le calcanéum devant correspondre à un st/p refixation du tendon d'Achille. Ce dernier est le siège de multiples calcifications/ossifications. (Dr. X) Radiographie du pied entier gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie du pied entier gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie de la main droite : comparatif du 04.04.2016. Pas de fracture des métacarpiens. Alignement physiologique des os du carpe. Arthrose interphalangienne distale du 2ème rayon. Plaque palmaire vissée du radius distal partiellement visualisée. (Dr. X). Radiographie du pied entier gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du pied entier gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du pied entier gauche dorso-plantaire et oblique : pas de lésion osseuse traumatique visualisée (l'arrachement osseux au niveau de l'astragale n'est pas visualisé sur ces incidences). Radiographie de la cheville gauche - face et profil : arrachement au niveau de la partie antéro-supérieure de l'astragale. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du pied entier gauche du 17.06.2018 : contenu calcique dans la norme. Discrète arthrose MTP de l'hallux débutante. Pas de lésion traumatique osseuse visible. Os péronier accessoire. Îlot d'os compact du naviculaire. (Dr. X) Radiographie du pied entier gauche du 17.06.2018 : contenu calcique dans la norme. Fracture de Jones récente de la base du 5ème MT. Fracture discrètement déplacée diaphysaire distale des 3ème et 4ème MT. Les rapports articulaires tarso-métatarsiens, métatarso-phalangiens demeurent conservés. (Dr. X) Radiographie du pied entier gauche du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie du pied entier gauche du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du pied entier gauche du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X)Radiographie de la cheville gauche du 30.06.2018 : aspect normal des 2 malléoles. Aspect normal de la syndesmose tibio-péronière. Pas d'image de fracture. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. X) Radiographie du pied entier gauche et cheville gauche et calcanéum gauche : fracture multi-fragmentaire du calcanéum avec trait de fracture passant par les surfaces articulaires talo-calcanéennes moyennes avec petite marche d'escalier. Petite lésion du dôme astragalien dans sa partie interne évoquant une ostéochondrite. Petite solution de continuité au niveau de la malléole externe évoquant une fracture toutefois non déplacée. (Dr. X). CT-scan de la cheville/pied gauche natif : fracture complexe plurifragmentaire du calcanéum ; à noter que les traits de fracture passent par les surfaces articulaires talo-calcanéenne moyenne et postérieure avec une importante marche d'escalier et gap osseux mesuré à 3 mm sur la surface articulaire talocalcanéenne postérieure dans son versant interne ; subluxation de cette articulation. Trait de fracture passant par l'articulation calcanéocuboïdienne sans marche d'escalier significative. Multiples microfragments osseux en regard des traits de fracture. Lésion ostéochondrale de 10 mm du dôme talien dans son versant interne. Interruption de la corticale osseuse de la pointe de la malléole externe devant correspondant à une fracture non déplacée Weber A. Importante infiltration hématique diffuse des parties molles. (Mr. Y). Radiographie du pied entier gauche face/oblique du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du pied et de l'avant-pied gauches du 17.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires du pied conservés, sans lésion traumatique visible. Tissus mous sp. (Dr. X) Radiographie du pied face oblique et latérale en charge : pas de fracture, pas de déplacement, explications données au patiente. Avis orthopédique (Dr. X) : traitement conservateur. Conseils de reconsulter si persistance des douleurs afin de planifier un scanner. Traitement antalgique. Radiographie du pied G : fracture consolidée de la diaphyse proximale du 3ème métatarse avec cal osseux. Radiographie du pied gauche : arthrose de l'arrière-pied déjà avancée pour l'âge de la patiente, mais pas de lésion osseuse traumatique du moins récente visualisée. Subluxation talonaviculaire dorso-interne ainsi que subluxation tarsométatarsienne externe, probablement anciennes. (Dr. X). Radiographie du pied gauche en charge (la charge n'a pas été possible, il n'a pas mis plus de 15 kg sur sa jambe) : radiographie ininterprétable, mais pas de fracture, pas d'arrachement visible ce jour. Avis orthopédique Dr. X. Refaire le plâtre fendu car le 1er dérangeait le patient. Conseils donnés au patient quant à l'utilisation de la Clexane et des anti-inflammatoires. RDV dans 1 semaine au Team Pied. Radiographie du pied G Avis orthopédique Dr. X. Radiographie du pied : pas de fracture visible. Radiographie du pied Avis orthopédique Dr. X Pas de plan pour prise en charge : maman décide de quitter les urgences pédiatriques. Radiographie du poignet : fracture métaphyso diaphysaire du radius avec léger déplacement mais angulation peu importante. Radiographie du poignet droit : ancienne fracture de l'extrémité distale du radius consolidée, mais pas de lésion osseuse notamment traumatique récente visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : décrite ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste : mise en place d'un plâtre antébrachial fendu, contrôle à la policlinique orthopédique à J7. Antalgie en réserve. Radiographie du poignet droit : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on constate une bonne réduction de la fracture de l'EDR. Pour mémoire, fracture de l'apophyse styloïde cubitale. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé, superposable au comparatif du même jour avec des signes d'épiphysiolyse du radius. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : fracture en motte de beurre du radius distal avec minime arrachement osseux palmaire. Radiographie du poignet droit : fracture en motte de beurre du radius. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : status post contention plâtrée pour fracture en motte de beurre du tiers distal du radius. Bonne contention plâtrée. Pas de signe de complication. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : fracture épiphysaire métaphysaire distale du radius avec irradiation au niveau de l'interligne articulaire. Importante arthrose scapho-trapézienne et rhizarthrose avancée. Aspect modérément ostéopénique de façon homogène de la trame osseuse. Radiographie du poignet droit : status post-contention plâtrée pour fracture épiphysaire métaphysaire distale du radius avec irradiation articulaire. Bonne contention plâtrée. Pas de déplacement secondaire. Le reste du status est inchangé. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. En particulier pas de fracture du scaphoïde. Radiographie de la cheville droite et scaphoïde droit : tuméfaction des tissus mous périmalléolaires externes sans fracture visible. Lésions dégénératives de la cheville sous la forme d'un bec ostéophytaire de la partie antéro-inférieure du tibia et du talus. Os trigone. Remaniement dégénératif de la malléole interne. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : par rapport au comparatif de la veille, on constate le changement de plâtre, sans pli, ni lésion osseuse traumatique visualisée. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie de la main droite : fracture sous-capitale de la tête du 5ème MC. Pas d'anomalie visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : solution de continuité radio-transparente corticale du pôle moyen du scaphoïde correspondant à une fracture non déplacée. Intégrité des rapports articulaires. Radiographie du poignet droit : status après mise en place d'une contention en plâtre de Paris prenant le pouce. Pas de déplacement secondaire de la fracture. Les rapports articulaires sont conservés. À noter un diastasis scapholunaire pouvant être lié à la différence d'incidence. À suivre. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : stigmates d'une ancienne fracture de l'apophyse styloïde radiale, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du poignet droit : sur cette radio de profil, on visualise une fracture de l'extrémité distale du radius sans bascule palmaire ou dorsale.Radiographie du poignet droit : après mise en place d'un plâtre, pas de déplacement secondaire notable de la fracture de l'extrémité distale du radius. Radiographie de l'épaule droite Neer : pas de luxation de l'épaule, pas de fracture visible sur cette unique incidence Neer. Radiographie du thorax : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Ectasie et sclérose de l'aorte thoracique. (Dr. X) ECG : cf. annexes. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du poignet droit : discrète variance ulnaire négative. Les os du carpe sont alignés, sans fracture décelable. Pas de lésion suspecte des métacarpes. En cas de persistance des douleurs, une IRM serait l'examen de choix. (Dr. X) Radiographie du poignet droit du 04.06.2018 : status post-embrochage selon Kapandji d'une fracture déplacée diamétaphysaire distale du radius. Réduction du déplacement secondaire, broche en place. Rapports anatomiques et axes osseux rétablis, corrects. Pas de complication au niveau de la partie visible de la contention (Dr. Y). Radiographie du poignet droit du 20.06.2018 : fracture métaphysaire dorsale du radius droit. Rapports articulaires du poignet conservés (Dr. Y). Radiographie du poignet droit du 20.06.2018 : comparatif du jour. Status après mise en place d'une contention en plâtre de Paris. Pas de pli ou point de pression. Absence de déplacement secondaire de la fracture métaphysaire distale du radius (Dr. Y). Radiographie du poignet droit du 29.06.2018 : fracture en bois vert métaphysaire distale du radius. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. Y) Radiographie post-plâtre du poignet droit du 29.06.2018 : status post-contention plâtrée pour fracture en bois vert métaphysaire distale du radius. Bonne contention plâtrée. Pas de signe de complication. Pas de déplacement secondaire. (Dr. Y) Radiographie du poignet droit du 29.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports sont conservés. (Dr. Y) Radiographie du poignet droit du 30.06.2018 : importante calcification du TFCC. Rhizarthrose avancée. Pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. Y) Radiographie du poignet droit du 31.05.2018 : irrégularité de corticale métaphysaire distale du radius témoignant d'une fracture Salter Harris II peu déplacée. Pas d'autre lésion traumatique osseuse visible. Les rapports articulaires du poignet sont conservés. Radiographie du poignet droit du 31.05.2018 : status post-mise en place d'une contention en plâtre de Paris fendue. Pas de pli, pas de point de pression visible (Dr. Y). Radiographie du poignet droit et du scaphoïde droit : pas d'image de fracture scaphoïdienne. Lésion kystique au niveau du scaphoïde. Rhizarthrose. Si forte suspicion de fracture du scaphoïde, une IRM peut être demandée à distance. Radiographie du poignet droit : status post-contention plâtrée pour suspicion de fracture du scaphoïde. Bonne contention plâtrée. Les rapports anatomiques sont conservés. Pas de signe de complication. (Dr. Y) Radiographie du poignet droit face et profil : fracture intra-articulaire de l'EDR avec petit déplacement postérieur. Arthrose radio-carpienne et arthrose STT encore modérée. Radiographie du poignet droit : examen réalisé sous gantelet plâtré fendu, sans point d'appui visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de DS de la fracture intra-articulaire de l'EDR. (Dr. Z) Radiographie du poignet droit face et profil : fracture métaphysaire distale du radius avec horizontalisation de la surface articulaire et engrainement des fragments. Minime translation antérieure du fragment distal. Fracture avulsion d'allure ancienne de la styloïde cubitale. Arthrose STT, discrète rhizarthrose. Radiographie de contrôle post-plâtre : status post mise en place d'une contention en plâtre de Paris. Pas de DS de la fracture métaphysaire distale engrainée du radius. Pas de pli ou point de pression sous contention. (Dr. Y) Radiographie du poignet droit face et profil : fracture métaphysaire distale du radius avec petite bascule postéro-radiale ainsi qu'un arrachement épiphysaire distal du cubitus. Radiographie de l'avant-bras droit face et profil : par rapport à la radiographie du poignet, on retrouve les fractures distales des deux os de l'avant-bras et l'on ne visualise pas de fracture proximale. Radiographie de l'avant-bras droit face et profil : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on retrouve les fractures distales des deux os de l'avant-bras d'aspect superposable. (Dr. Z) Radiographie du poignet droit face/profil du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. Z) Radiographie du poignet droit face/profil : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé superposable au comparatif de la veille, avec une épiphysiolyse distale du radius stable. (Dr. Z) Radiographie post-plâtre du poignet droit : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé, superposable au comparatif du même jour avec des signes d'épiphysiolyse du radius. (Dr. Z) Radiographie du poignet droit : pas de LORV. Avis orthopédique (Dr. W) : arthro-IRM puis consultation team membre supérieur, attelle poignet. Radiographie du poignet et du coude droits face/profil du 31.05.2018 : fracture transverse de la jonction diamétaphysaire distale du radius et du cubitus. Angulation postérieure de l'extrémité distale estimée à 17°. Intégrité des os du carpe. Radiographie du poignet droit du 31/05.2018 : status après mise en place d'une contention brachio-antébrachiale en plâtre de Paris. Contention fendue. Pas de pli ou point de pression visible. Pas de déplacement secondaire surajouté des fractures diamétaphysaires distales du radius et du cubitus (Dr. Y). Radiographie du poignet face/profil avec pré-explications par le médecin : pas de signe de fracture ni de luxation. Avis orthopédique (Dr. W) : pas d'argument pour une fracture ou une luxation, ad immobilisation avec attelle poignet pendant 1 semaine à 10 jours (but antalgique), contrôle clinique après 1 semaine chez le médecin traitant, si persistance des douleurs importante ad consultation en orthopédie avec éventuelle imagerie plus détaillée. Radiographie du poignet, F/P et scaphoïde Consilium ortho (W) Immobilisation avec attelle scaph AINS AS 2 semaines Contrôle chez le pédiatre dans 2 semaines (ad IRM si persistance des douleurs) Radiographie du poignet gauche : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de DS ou primaire de la fracture de l'extrémité distale du radius. Radiographie du poignet gauche : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on ne visualise pas de DS de la fracture de l'extrémité distale du radius. (Dr. Z) Radiographie du poignet gauche : par rapport au comparatif du 29.11.2013, on retrouve le St/p OS par 3 plaques vissées d'une fracture de l'extrémité distale du radius consolidée, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. (Dr. Z) Radiographie du poignet gauche du 04.06.2018 : comparatif du jour. Status post-mise en place d'une contention en plâtre de Paris, fendu, pour fracture métaphysaire dorsale du radius. Pas de pli ou point de pression au niveau de la contention. Compte tenu des différences d'incidence de profil, pas de DS de la fracture (Dr. Y).Radiographie du poignet gauche du 11.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés. Pas de lésion traumatique osseuse. Intégrité des os du carpe (Dr. X). Radiographie du poignet gauche du 17.06.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires conservés, sans lésion traumatique visible. Intégrité des os du carpe. (Dr. X) Radiographie du poignet gauche du 17.06.2018 : status post-ostéosynthèse par plaque palmaire vissée. Remaniement osseux méta-épiphysaire distal du radius avec bascule postérieure ancienne. Importantes calcifications en projection du TFCC et de la partie dorsale du carpe. Rhizarthrose et arthrose STT. Pas de lésion traumatique osseuse récente visible. Importante médio-calcinose des axes vasculaires. (Dr. X) Radiographie du poignet gauche du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. Y) Radiographie du poignet gauche du 30.06.2018 : fracture métaphysaire du radius distal avec bascule palmaire. Radiographie post-plâtre du poignet gauche du 30.06.2018 : status post-contention plâtrée avec bonne réduction de la fracture métaphysaire distale du radius. Pas de signe de complication. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. Z) Radiographie du poignet gauche face et profil : fracture métaphysaire distale des deux os de l'avant-bras, peu déplacée. Radiographie du poignet gauche face et profil : examen réalisé sous contention plâtrée, sans pli visualisé. Par rapport au comparatif du même jour, on retrouve les fractures métaphysaires distales des deux os de l'avant-bras, sans déplacement secondaire. (Dr. Y). Radiographie du poignet gauche face/profil : contenu calcique, structures osseuses, rapports articulaires du poignet conservés sans lésion traumatique osseuse récente visible. Intégrité des os du carpe. (Dr. X). Radiographie du poignet gauche face/profil du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. Y) Radiographie du poignet gauche Plâtre AB fendu AINS AS 4 semaines Circularisation du plâtre dans 1 semaine Contrôle en ortho urgences dans 4 semaines Radiographie du poignet/main droite et radiographie du pouce droit : décrites ci-dessous. Attelle Edimbourg et antalgie. Contrôle à la policlinique orthopédique à J7. Radiographie du poignet/main gauche : décrite ci-dessous. Antalgie avec Dafalgan et AINS. Attelle cuillère à but antalgie au niveau de la main gauche. Contrôle clinique chez le médecin traitant le 08.06.2018. Radiographie du poignet Plâtre AB fendu Contrôle chez l'orthopédiste dans 3 jours Avis téléphonique Dr. X Radiographie du pouce : on trouve le corps étranger métallique en regard de la 1ère phalange du pouce. Les interlignes articulaires et les rapports anatomiques sont conservés. On trouve le corps étranger métallique en projection de la face palmaire de la 2ème phalange du pouce. Pas d'anomalie visible des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Radiographie post-ablation et débridement : les rapports anatomiques sont conservés. Pas de signe de complication. (Dr. Z) Radiographie du pouce avec pré-explications par le médecin : sans particularité. Traitement antibiotique et symptomatique. Pansement de protection. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Radiographie du pouce droit : arrachement au niveau de la base de la phalange proximale du 1er rayon sur son versant radial, d'allure ancienne, mais à confronter avec la clinique. Altération des tissus mous en regard de la partie distale de la phalange proximale, mais pas de lésion osseuse traumatique, ni de CE radio-opaque visible à ce niveau. (Dr. Y). Radiographie du pouce droit : pansement en projection du pouce. Pas de corps étranger radio-opaque en projection des parties molles. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. (Dr. X). Radiographie du pouce droit : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Tissus mous sans particularité. (Dr. X). Radiographie du pouce droit du 04.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Structure corticalisée au niveau de l'interligne interphalangien distal. Si forte suspicion de fracture à compléter par CT-scan à distance (Dr. Z). Radiographie du pouce droit du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. Y) Radiographie du pouce droit du 25.06.2018 : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Remaniement des tissus mous autour de la phalange distale. (Dr. W) Radiographie du pouce droit face/profil : 2 ossicules corticalisés en regard de l'articulation inter-phalangienne distale, respectivement sur les versants palmaire et dorsal, correspondant à des processus anciens, le fragment dorsal évoquant un mallet finger, à confronter avec la clinique, mais pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. Y). Radiographie du pouce droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X) Radiographie du pouce et du poignet des deux côtés avec pré-explications par le médecin : pas de fracture visible. Radiographie du pouce gauche : fracture Salter III de la base de la phalange proximale. Radiographie du pouce gauche : status après mise en place d'un gantelet en plâtre de Paris. Par rapport au comparatif du jour, la fracture est moins bien visible. Pas d'évidence de pli ou point de pression. (Dr. X). Radiographie du pouce gauche de face et profil : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. Tissus mous sans particularité. (Dr. X) Radiographie du pouce gauche de face et profil : pas de fracture. Radiographie du pouce gauche du 30.06.2018 : pas d'image de fracture visible. Arthrose inter-phalangienne avancée avec ostéophytose marginale. Fragment osseux péri-articulaire. Pas de signe de désaxation articulaire. (Dr. Z) Radiographie du pouce gauche Désinfection, pansement Adaptic Rappel antitétanique Radiographie du pouce gauche Immobilisation par gantelet fendu AINS AS 2 semaines Contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine Radiographie du rachis cervical Avis orthopédique Dr. X AINS en réserve Consultation orthopédique dans 10 jours Physiothérapie à faire Radiographie du rachis entier Consilium ortho (Dr. X) Collier en mousse 48h pour antalgie Algifor en réserve Radiographie du rachis (regardées avec orthopédiste de garde) : pas de fracture visualisée. Radiographie du thoracique : décrite ci-dessous. CT-scan cérébral et cervical : décrit ci-dessous. Exploration de la plaie et suture sous anesthésie locale avec du fil de Dafilon 3.0. Co-Amoxicilline 1.2g iv aux urgences. Rappel tétanos. Co-Amoxicilline 1g 2x/jour pendant 7 jours. Radiographie du thorax : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée avec un déroulement de l'aorte thoracique, mais sans signe d'insuffisance cardiaque. Quelques petites opacités paracardiaques D, compatibles avec des foyers de broncho-aspirations. Pas d'épanchement pleural visualisé en position couchée.Dr. X ECG : RSR à 110/minute, déviation axiale gauche, QRS fins, transition en V4, pas de sus- ni de sous-décalage ST, onde T négative en DI, DII et aVL suivant l'axe des QRS : cf. annexes. Hémocultures à froid à pister. Gazométrie sous 15 litres d'oxygène : pH 7.42, pCO2 5.3 kPA, pO2 10.7 kPA, bicarbonates 25 mmol/l, lactates 1.9 mmol/l. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Antalgie en réserve. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. Laboratoire : cf. annexes. Antalgie simple en réserve. Radiographie du thorax : décrite ci-dessous. ECG : cf. annexes. Temesta 1 mg Expidet. Radiographie du thorax : pas de déviation du médiastin ni asymétrie d'inflation des poumons Conclusion : Ventilation symétrique, sans corps étranger radio-opaque visible. Le reste est dans les limites de la norme pour l'âge. Nasofibroscopie : sans particularité, notamment pas de corps étranger ni signe d'inflammation jusqu'aux cordes vocales RX thorax sp Radiographie du thorax : surcharge bilatérale, possible foyer basal droit Lasix 40 mg intraveineux Pose de sonde vésicale Radiographie du thorax : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient, pas d'épanchement pleural ECG de contrôle Ecofenac 75 mg intraveineux Troponines : stables Radiographie du thorax, avec explications données à la patiente. ECG : sokolow négatif, pas de trouble de la repolarisation, avec explications données à la patiente. Traitement symptomatique. Radiographie du thorax avec pré-explications par le médecin : pas de pneumothorax, pas de fracture visible, pas d'épanchement. Radiographie du thorax : cardiomégalie, émoussement sinus costo-diaphragmatiques des deux côtés, lignes de Kerley Troponines H0 : 143 ng/l Troponines H1 : 154 ng/l CK : 270 U/l CK-MB : 45 U/l Laboratoire : créatinine 91 umol/l, Na+ 142 mmol/l, K+ 4 mmol/l, CRP 6 mg/l, leucocytes 5.3 G/l, Hb 143 g/l ECG 9h30 : Rythme en FA à 90/minute, déviation axiale gauche, BBG connu, sus-décalage ST 2 mm en V2 V3 et V4 (superposable à comparatif de 2015), ondes T négatives en V6 (superposables à 2015), ondes Q en V1, V2, V3, V4 (superposables à 2015) ECG 10h30 : Rythme en FA à 49/minute, sus-décalages ST en diminution : millimétriques en V2, V3 et V4 Radiographie du thorax couché face : cœur de taille dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat, ni d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax visualisé. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique. (Dr. X). Radiographie du thorax de face : par rapport au 08.06.2018, silhouette cardiaque inchangée. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas de foyer pneumonique visible. Pas d'épanchement pleural. Fracture de côte à droite inchangée. Diminution de la fine lame d'emphysème sous-cutané visible le long de la paroi thoracique droite. Pas de pneumothorax à droite. (Dr. X). Radiographie du thorax de face et couché du 28/06/2018 : importante scoliose sinistro-convexe à l'étage thoracique et dextro-convexe au niveau de la charnière dorso-lombaire. Foyer de condensation visible au niveau de l'hémichamp pulmonaire supérieur droit, à tenir compte par ailleurs de l'absence de symétrie du cliché, il existe par ailleurs une probable composante modérée d'épaississement de la trame broncho-vasculaire au niveau bibasal. Pas d'épanchement pleural décelable par ailleurs. (Dr. X) Radiographie du thorax de face/profil : multiples lésions nodulaires bien délimitées, évoquant des métastases avec aspect en lâcher de ballons. Pas d'image de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. Pas d'épanchement pleural. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax, de l'épaule droite, du poignet droit, de la hanche droite et bassin ECG le 28.05.2018 Avis orthopédique (Dr. X) le 28.05.2018 : pas d'opération en urgence, hospitalisation et avis orthopédique pour décider de la prise en charge Gilet orthopédique et antalgie en réserve Avis orthopédique le 29.05.2018 (Dr. X) : pas d'indication opératoire, port de gilet orthopédique jusqu'à une radiographie de contrôle à 1 semaine (exclusion d'un déplacement secondaire ou d'une angulation non tolérable) ; envisager un bilan d'ostéoporose Radiographie de contrôle à organiser le 18.06.2018 Radiographie du thorax, de l'épaule droite, du poignet droit, de la hanche droite et bassin ECG le 28.05.2018 Avis orthopédique (Dr. X) le 28.05.2018 : pas d'opération en urgence, hospitalisation et avis orthopédique pour décider de la prise en charge Gilet orthopédique et antalgie en réserve Avis orthopédique le 29.05.2018 (Dr. X) : pas d'indication opératoire, port de gilet orthopédique jusqu'à une radiographie de contrôle à 1 semaine (exclusion d'un déplacement secondaire ou d'une angulation non tolérable) ; envisager un bilan d'ostéoporose Radio de contrôle de l'épaule droite prévue le 05.06.2018 Physiothérapie Bilan neuropsychologique : en cours Demande de réadaptation gériatrique à Riaz envoyée le 30.05.2018 (cas discuté par téléphone avec le Dr. X) Radiographie du thorax, de l'épaule droite, du poignet droit, de la hanche droite et bassin ECG le 28.05.2018 Avis orthopédique (Dr. X) le 28.05.2018 : pas d'opération en urgence, hospitalisation et avis orthopédique pour décider de la prise en charge Gilet orthopédique et antalgie en réserve Avis orthopédique le 29.05.2018 (Dr. X) : pas d'indication opératoire, port de gilet orthopédique jusqu'à une radiographie de contrôle à 1 semaine (exclusion d'un déplacement secondaire ou d'une angulation non tolérable) ; envisager un bilan d'ostéoporose Radio de contrôle de l'épaule droite prévue le 05.06.2018 Physiothérapie Bilan neuropsychologique : en cours Demande de réadaptation gériatrique à Riaz envoyée le 30.05.2018 (cas discuté par téléphone avec le Dr. X) Radiographie du thorax du 07.06.18 : cf. supra. Attitude : • Antalgie • inspirex 6x/jour. • mobilisation. Radiographie du thorax du 21.06.18 : cardiomégalie sans net changement par rapport au comparatif, avec status après pontage aorto-coronarien où les cerclages de sternotomie sont intacts. Sclérose du bouton aortique. Flou péri-hilaire bilatéral associé à une égalisation baso-apicale de la vascularisation pulmonaire. Comme sur le précédent examen, on met en évidence des opacités alvéolaires occupant le lobe moyen, associée à un épaississement de la petite scissure (épanchement pleural). Épanchement pleural bilatéral. Radiographie du thorax du 31.05.2018 : Radiographie du thorax réalisée en position couchée en incidence AP. Sous réserve d'un cliché en décubitus dorsal, pneumothorax apical de 1 cm. Fracture de côtes postérieures en série unifocale des 2, 3 et 4èmes côtes. Fracture des arcs latéraux de la 5 et 6ème côte gauche. Émoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche. Air au sein des parties molles de la paroi thoracique gauche. Fracture du tiers moyen de la clavicule gauche. Echo ciblée poumon du 31.05.2018 : pneumothorax gauche avec point poumon visible Radiographie thorax du 01.06.2018 : légère augmentation du pneumothorax gauche à 1.5 cm Radiographie thorax du 02.06.2018 : stabilité du pneumothorax gauche à 1.5 cm Laboratoire : cf. annexes Radiographie du thorax et acromio-claviculaire : pas de pneumothorax observé, pas de lésion du gril costal, pas de luxation de l'articulation acromio-claviculaire, avec explication donnée par le médecin. Antalgie et repos. Réévaluation à la consultation de son médecin traitant d'ici une semaine. Reconsulte en cas de péjoration de l'état général ou d'apparition de nouveaux symptômes. Radiographie du thorax face : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. (Dr. X). ECG : cf. annexes. RSR avec QRS fins, ST isoélectriques, sans prolongement du QT. Radiographie du thorax face : cliché fait sans bon inspirium. Épaississement de la trame bronchovasculaire : tenir compte de la position couchée et de l'absence d'un bon inspirium. Aorte déroulée et calcifiée. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sans particularité. ECG : électro-entrainé. Cf. annexes. Radiographie du thorax face : par rapport au 23.06.2014, pas de changement significatif. Thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Radiographie de l'abdomen couché : peu de gaz intestinal. Visualisation de gaz intestinal dans une anse de l'hypocondre droit - du flanc droit avec une structure dense alentour aspécifique. Bulles d'air gastrique. Pas de coprostase significative. Une calcification en surprojections du petit bassin devant correspondre à une calcification prostatique en comparaison avec le scanner du 23.06.2014. Structures osseuses sans anomalie notable. Si l'on veut aller plus loin dans les investigations, un scanner abdominal serait l'examen de choix. (Dr. X). Radiographie du thorax face : pas d'image de foyer visible de façon bilatérale. Pas d'épanchement pleural décelable. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Minime épaississement bibasal de la trame bronchovasculaire. (Dr. X). Radiographie du thorax Face + profil Laboratoire Antigène urinaire ECG Gazométrie Radiographie du thorax face : quelques épaississements bronchiques mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. (Dr. X). ECG : cf. annexes. Rythme sinusal régulier, pas de sous/sus décalages, intervalles sp. Laboratoire : cf. annexes. Troponines à 3 ng/L, reste sp. Radiographie du thorax face : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de fracture de côtes, pas de pneumothorax ni d'épanchement pleural. Frange graisseuse à l'apex cardiaque. Pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques. Radiographie de l'épaule droite face/neer : discret remaniement dégénératif du trochiter et de la face inférieure de l'acromion avec acromion de type II et un aspect d'éperon antérieur ne permettant pas d'exclure un conflit. Pas de lésion traumatique osseuse visible. Radiographie du poignet droit - face et profil : articulation radio-ulno-carpienne conservée. Rhizarthrose. Arthrose STT sévère. Pas de lésion traumatique osseuse visible. Calcifications vasculaires artérielles. (Dr. X). Radiographie du thorax face : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme en tenant compte de la position couchée, avec des calcifications au niveau de la crosse aortique. Quelques troubles ventilatoires mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture costale, ni de pneumothorax visualisé. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec ostéophytose intersomatique déjà avancée. Radiographie du poignet gauche : fracture non déplacée de l'extrémité distale du radius ainsi que fracture de l'apophyse styloïde cubitale. Arthrose radio-cubitale. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : propre. Cf. annexes. ECG : sans particularité. Cf. annexes. Radiographie du thorax face : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture costale ni de pneumothorax visualisé. (Dr. X). Radiographie du thorax face, couché : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. (Dr. X). ECG : rythme sinusal régulier à 90 bpm, pas de trouble de la repolarisation, QTc 407 msec. Cf. annexes. Laboratoire : hémogramme normal - Absence de leucocytose - CRP < 5 - Coagulation normale - Créatinine 83 - Électrolytes normaux notamment kaliémie 4.2 - Bilirubine directe 7, reste des tests hépatico-pancréatiques normaux. Cf. annexes. Alcool 0.04, Benzodiazépines négatif - Paracétamol 5.2 mg/l. Urines : cf. annexes. Radiographie du thorax face du 11.06.2018 : étalement de la silhouette cardiomédiastinale lié à la position couchée les rayons ascendants. Pas de pneumothorax décelable compte tenu de la position. Pas de fracture costale déplacée visible. Pas d'épanchement pleural. Absence de foyer de contusion pulmonaire. Radiographie du poignet gauche du 11.06.2018 : fracture multifragmentaire méta-épiphysaire distale du radius. Déplacement antérieur et cranialisation du fragment. Au moins 2 lignes radio-transparentes verticales ne permettant pas d'exclure une composante intra-articulaire. Fracture déplacée de la styloïde cubitale. Radiographie du poignet gauche du 11.06.2018 : status après réduction et mise en place d'une contention. Réduction du déplacement de la styloïde radiale. A priori réduction de la composante de translation antérieure et du raccourcissement. Sous contention en plâtre de Paris fendu, pas de signe de pli ou point de pression visible (Dr. X). Radiographie du thorax face du 25.06.2018 : thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Fracture de la clavicule droite. (Dr. X) Radiographie de la clavicule droite du 25.06.2018 : fracture diaphysaire moyenne de la clavicule avec emboîtement et chevauchement des fragments. (Dr. X) Radiographie de la hanche droite du 25.06.2018 : Pas de fracture franche mise en évidence. Petit liséré radio-transparent de la partie supérieure du col fémoral aspécifique DD image construite. Une fracture semble moins probable. En cas de persistance des douleurs, un nouveau contrôle serait à réaliser. (Dr. X) Laboratoire : cf. annexes. Stix urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax face et colonne dorsale face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. Radiographie de la colonne dorsale face/profil : aspect irrégulier des plateaux vertébraux dorsaux inférieurs et lombaires supérieurs avec également un aspect cunéiforme de D10 et D11, compatible avec des séquelles de maladie de Scheuermann, mais pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. (Dr. X). Sédiment urinaire : négatif. Cf. annexes. Radiographie du thorax face et profil : Pas de foyer, (fibrose connue) Radiographie du thorax face/profil : ascension de la coupole diaphragmatique G. Pas d'épanchement pleural décelable. Aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'image de foyer visible de façon bilatérale. (Dr. X). Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable de façon bilatérale. (Dr. X). Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil : aspect normal de la silhouette cardiomédiastinale. Pas d'épanchement pleural visible. Pas de foyer de condensation décelable. Fines calcifications en projection hilaire gauche. (Dr. X). Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire ni infectieux, troponines négatives. Cf. annexes.ECG : RSR 60/mn, pas d'onde Q, pas de susdécalage ST, PR dans la norme, axe électrique normal. Cf. annexes. • Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. PAC sous-clavier D avec extrémité à la jonction de la veine cave supérieure et l'oreillette D. (Dr. X) Laboratoire : cf. annexes. • Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. (Dr. X) • Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme pour l'âge. Quelques troubles ventilatoires postéro-basaux, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Fracture de l'arc latéral de la 10ème côte G, peu déplacée. Pas de pneumothorax visualisé. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal. Radiographie du coude gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Pas d'épanchement articulaire. (Dr. X) Laboratoire : cf. annexes. Hb 168g/l, créatinine 98µmol/l, crase en ordre, tests hépatiques en ordre, lipase 49 U/l. Stix urinaire : pas d'hématurie. Cf. annexes. Sédiment urinaire : érythrocytes <3. Cf. annexes. CT-scan de l'abdomen natif et injecté : absence de comparatif. Abdomen : Le foie est de taille, de configuration et de densité normale. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. La rate, le pancréas et les surrénales ont une morphologie normale. Pour note, rate accessoire de 8 mm. Les reins sont de taille et de configuration normale, sans dilatation du système excréteur. Pour note kyste cortical d'aspect simple et pyélon extra sinusal à gauche. Les anses intestinales se présentent normalement. Diverticulose sigmoïdienne. Pas d'anomalie de l'aorte ou de la veine cave inférieure. La vessie se présente normalement. Hypertrophie prostatique avec calcifications parenchymateuses. Calcifications du canal déférent gauche. Pas d'adénopathie, pas de pneumopéritoine ni d'ascite. Pas d'altération dans les tissus mous. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : Dystélectasies et troubles ventilatoires bi-basaux, prédominant à gauche, associés à des minimes épanchements pleuraux. Osseux : Fracture unifocale non déplacée du 10ème arc costal latéral gauche. Remaniements dégénératifs pluri-étagés du rachis exploré. CONCLUSION : pas d'atteinte traumatique des organes intra-abdominaux. Fracture de l'arc costal latéral de la 10ème côte gauche. Troubles ventilatoires bi-basaux associés à des dystélectasies et de minimes épanchements pleuraux. (Bastien Pauchard) ECG : cf. annexes. fréquence à 75, rythme sinusal régulier, axe normal, pas de trouble de la conduction ni repolarisation. • Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. (Dr. X) • Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal débutantes. (Dr. X) • Radiographie du thorax face/profil du 20.06.2018 : silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de foyer pulmonaire ni de signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Squelette visible sans particularité (Dr. X) ECG : RSR à 75/minute, normoaxé, PR <200ms, QRS fins, transition en V3, pas de sus ni de sous-décalage ST, pas d'ondes T négatives, pas d'ondes Q, QTc 400ms, cf. annexe. • Radiographie du thorax face/profil du 22.06.2018 : par rapport au comparatif du 23.05.2017, on retrouve une cardiomégalie modérée avec un important déroulement de l'aorte thoracique et des calcifications, mais sans signe net d'insuffisance cardiaque. Quelques troubles ventilatoires aux bases mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Déminéralisation osseuse diffuse avec hypercyphose dorsale et tassement cunéiforme de D10 d'allure ancienne. (Dr. X) ECG : cf. annexe. Laboratoire : cf. annexes. Sédiment urinaire : cf. annexe. • Radiographie du thorax face/profil du 25.06.2018 : petite opacité basale gauche aspécifique DD dystélectasie DD foyer. Sinon, pas de foyer pulmonaire dans le reste du poumon. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de fracture de côte décelable. (Dr. X) • Radiographie du thorax face/profil : pas de pneumothorax, pas d'épanchement, pas de fracture. Antalgie. Arrêt de travail refusé par le patient. Reconsulter si non amélioration ou péjoration de la symptomatologie. • Radiographie du thorax : fractures de l'arc moyen de la 6ème et possible de la 7ème côte droite. Pas de pneumothorax. Les deux plages pulmonaires se présentent normalement. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural. (Dr. X) • Radiographie du thorax. Laboratoire. CURB -65 0 point au score. Attitude : retour à domicile avec traitement antibiotique per os. Si non amélioration ou péjoration des symptômes, reconsulter son médecin traitant plus ou moins ajouter Clarithromycine au traitement dans ce cas. Actuellement pas d'argument pour germe atypique. • Radiographie du thorax le 05.06.2018 Gazométrie. • Radiographie du thorax le 07.06.2018 (Dr. X) : Examen comparatif du 11.05.2018. On retrouve une cardiomégalie, des calcifications au niveau du bouton aortique et un épanchement pleural gauche. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux. Le cadre osseux est sans particularité. Sonographie des voies urinaires le 08.06.2018 (Dr. X) : Rein droit atrophique, avec perte de la différenciation cortico-médullaire. Rein gauche mesurant 93 mm de grand axe, avec différentiation cortico-médullaire qui semble préservée. On note une asymétrie du cortex rénal gauche dans son pôle inférieur, pouvant correspondre à un foyer de néphrite. Pas de dilatation pyélo-calicielle ni de collection péri-rénale. Vessie vide. Sonographie de l'artère rénale 08.06.2018 : Pas d'argument pour une sténose au niveau de l'artère rénale gauche avec temps d'accélération dans les normes mais néphroangiosclérose avec index de résistance augmentés en intra parenchymateux. Rein gauche de petite taille avec contours irréguliers et mauvaise différenciation corticosouscorticale. • Radiographie du thorax le 10.06.2018 : Cardiomégalie sans signe d'insuffisance cardiaque. Pas d'épanchement pleural ni d'opacité pulmonaire. Élongation de l'aorte thoracique. Aspect tassé de la vertèbre L1 pouvant être en rapport avec une scoliose lombaire. CT cérébral le 10.06.2018 : Pas de saignement cérébral ni de lésion parenchymateuse suspecte. Leucoaraïose péri ventriculaire et vraisemblables séquelles ischémiques dans la corona radiata des deux côtés et dans la région insulaire gauche. Perméabilité vasculaire. Consilium psychiatrique le 13.06.2018 : F43.20 trouble de l'adaptation avec réaction dépressive prolongée en corrélation avec une perte d'autonomie à domicile. Serait preneuse d'un suivi psychiatrique ambulatoire, demande un temps de réflexion avant de se décider. Traits de personnalité borderline et histrioniques à évaluer à distance. Pas de traitement psychotrope indiqué. • Radiographie du thorax le 11.06.2018 : Comparatif du 11.07.2017. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Apparition de quelques opacités mal délimitées périphériques intéressant le poumon droit, en particulier le lobe supérieur dont l'aspect évoque des foyers de pneumonie. Pas de foyer de consolidation clairement visible à gauche. Emoussement du récessus costodiaphragmatique gauche parlant pour un épanchement. Le reste de l'examen superposable.Consilium cardiologique le 12.06.2018 : Possible MAT sur l'ECG avec rythme pré-fibrillatoire chez patient avec de nombreux facteurs de risque pour FA (BPCO, SAOS). Si SI FC rapide, ajouter petite dose de BB, ajouter holter de 24h. Consultation avec ETT à garder. Radiographie du thorax le 11.06.2018 : Comparatif du 11.07.2017. Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Apparition de quelques opacités mal délimitées périphériques intéressant le poumon droit, en particulier le lobe supérieur dont l'aspect évoque des foyers de pneumonie. Pas de foyer de consolidation clairement visible à gauche. Émoussement du récessus costodiaphragmatique gauche parlant pour un épanchement. Le reste de l'examen est superposable. Nombreux ECG le 12.06., 13.06, 14.06.2018 : tachycardie auriculaire multifocale rapide à 115/min, QRS fins, pas de sus-décalage ST, QT dans la norme. Consilium cardiologique le 12.06.2018 : Possible tachycardie auriculaire multifocale sur l'ECG avec rythme pré-fibrillatoire chez patient avec de nombreux facteurs de risque pour FA (BPCO, SAOS). Radiographie de l'abdomen le 13.06.2018 : Distension diffuse des anses grêles et du côlon avec présence d'air dans le rectum et le long du cadre colique, en rapport avec une aérocolie et aérocolie sans image d'iléus. Radiographie du thorax le 15.06.2018 : Péjoration de la pneumonie lobaire supérieure droite. Radiographie du thorax le 15.05.2018. CT-scan cervico-thoraco-abdomino-pelvien le 15.05.2018 : Multiples ganglions restant néanmoins de taille dans les limites supérieures de la norme, au niveau cervical des deux côtés, axillaires des deux côtés, hilaires des deux côtés, rétropéritonéaux et mésentériques (cf. description). Statut post-splénectomie avec d'innombrables nodules tissulaires prédominant dans l'hypocondre gauche et évoquant des nodules de splénose dans le contexte (DD : métastases péritonéales moins probables). Ortho-pento-gramme le 16.05.2018 : Absence de comparatif. Statut post-multiples traitements dentaires. Absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante. Les sinus maxillaires sont normalement pneumatisés. Radiographie du thorax du 16.05.2018 : VVC en place, absence de pneumothorax. ETT du 16.05.18 (Dr. X) : VG non dilaté, remodelé avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 67 %. Aorte non dilatée. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche discrètement dilatée. Absence de dilatation des cavités droites. Fonction VD conservée. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Absence d'épanchement péricardique. VCI non dilatée, se collabant normalement. Radiographie du thorax le 19.06.2018. ETT du 20.06.2018. Contrôle pacemaker du 20.06.2018. VNI le 19.06.2018. TNT le 19.06.2018. Poursuite Lasix 40 mg IV 2x/j du 19.06 au 20.06.2018. Reprise du traitement habituel. Radiographie du thorax le 20.06.2018 : Pas de franc signe de broncho-aspiration. Majoration d'opacités réticulées et d'épaississements bronchiques diffus pouvant correspondre à une décompensation cardiaque débutante. CT cérébral le 20.06.2018 : Comparatif du 01.06.2018. Diminution en taille et en densité de l'hémorragie intraparenchymateuse pariétale droite mesurant 25 x 15 x 18mm contre 42 x 24 x 32 mm ; œdème périlésionnel stable, sans net effet de masse ou d'engagement. Le reste de l'examen est superposable au comparatif. US des voies urinaires le 21.06.2018 : absence de dilatation pyélocalicielle. EEG le 21.06.2018 : modérément anormal par une focalisation lente non irritative postérieure droite, compatible avec la lésion sous-jacente (hémorragie intra-parenchymateuse temporale droite). Radiographie du thorax le 20.06.2018 : persistance de l'épanchement à droite. Radiographie du thorax le 24.05.2018 et post-ponction le 29.05.2018. Ponction pleurale à visée thérapeutique le 29.05.2018 (Dr. X) : écho-guidée, sous la supervision de la Dr. Y, anesthésie locale à la Lidocaïne, retrait de 1L de liquide hématique, pas de complication immédiate. Reprise du Rivaroxaban le 30.05.2018. Contrôle le 26.06.2018 en cardiologie à la consultation du Prof. X (HFR- Fribourg). Radiographie du thorax le 29.05.2018. ECG : FA, pas de signe ischémique à part ondes T négatives en III et avR connues. Echocardiographie transthoracique le 01.06.2018. Test au Synachten le 04.06.2018 : négatif. Furosemide IV le 29.05.2018, puis majoration Torasémide per os. Radiographie du thorax le 31.05.2018 : image cardiovasculaire normale sans signe d'insuffisance cardiaque. Il n'y a pas d'image pathologique dans les champs pulmonaires hormis un épaississement bronchique prédominant aux bases. Pas de foyer pulmonaire. Les hiles, le médiastin, les tissus mous et le cadre osseux sont également de morphologie normale sans évidence de fracture costale en particulier. Radiographie du thorax (pas de comparatif) : Thorax normal correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. (Dr. X) Laboratoire : CRP à 54 mg/l, Leucocytes à 14.9 G/l. Radiographie du thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. Laboratoire : CRP, pas de leucocytes, pas de déviation gauche. NTPROBNP : 1712. ECG : rythme sinusal, régulier, T inversé en DI superposable. Oxygénothérapie. Inhalation Ventolin et Atrovent 6x/J + en réserve. Physiothérapie respiratoire. Rendez-vous pour fonction pulmonaire le 09.07.2018 à 9h. RDV Cardiologie chez Prof. X à 11h. Radiographie du thorax : pas de fracture costale visualisée, pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural ou signe d'hémothorax. Pas de signe d'emphysème sous-cutané. Antalgie. Réfection de pansement. Rappel DiTe. Conseil de reconsulter en cas de péjoration clinique, notamment apparition de symptômes de type toux, expectorations, dyspnée, état fébrile. L'épouse du patient, infirmière, refera les pansements à domicile. Radiographie du thorax : pas de fracture de côte visualisée. Pas d'épanchement, pas de foyer, pas de pneumothorax. Échographie des urgences (Dr. X) : pas d'épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Antalgie + AINS topiques. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique. Radiographie du thorax : Pas de pneumothorax, pas d'épanchement, surélévation diaphragmatique droite. Radiographie hanche droite face et profil, et bassin face : Fracture du col du fémur droit. ECG : RSR à 80/minute, normoaxé, PR <200ms, QRS fins, transition en V3, onde T négative isolée en DIII, pas de sus ni de sous-décalage ST significatif, pas d'ondes Q, QTc calculé à 400 ms. Radiographie du thorax : Pas de signe d'insuffisance cardiaque. Fracture de côte à droite (arc postérieur VII, VIII et XIème côte). Petite lame d'air dans les tissus mous du creux axillaire droit en bordure de la cage thoracique. À gauche, la plage pulmonaire se présente normalement. Quelques troubles ventilatoires à la base droite. Pas d'épanchement pleural. (Dr. X) Radiographie du thorax. Sédiment urinaire. Culture d'urines. Radiographie du thorax. Suivi par Dr. X. Mise en place d'un suivi par les soins à domicile 2 x/semaine et Voltigo 1x/semaine. Radiographie du thorax 10.06.2018 : On retrouve un déroulement de l'aorte thoracique ainsi qu'une sclérose du bouton aortique. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche, en rapport avec un épanchement pleural. Pneumopéritoine en rapport avec l'opération récente. Le parenchyme pulmonaire ne présente pas d'opacité suspecte de foyer infectieux, cependant, on note une fine bande d'atélectasie dans le poumon gauche. Le cadre osseux et les parties molles extra-thoraciques sont sans particularité.CT thoraco-abdominal avec contraste PO et en intraveineux le 11.06.2018 : Pneumopéritoine et liquide libre intra-péritonéal prédominant au niveau de la partie supérieure de l'abdomen et autour du foie, ainsi qu'en regard de l'estomac, suspectant une perforation gastrique de sa paroi antérieure de l'antre. Pyélo-urétérite, sans foyer de néphrite DDC. Status post cure d'anévrysme de l'aorte abdominale sans signe de complication. Multiples kystes simples du foie avec mise à plat d'un volumineux kyste du foie gauche. Kystes du lobe inférieur droit du poumon inchangés. Foyer infectieux basal gauche avec minime épanchement pleural. Laboratoire : cf. annexes Radiographie du thorax 18.06.2018 : status post pontages aorto-coronariens et cerclage sternal. Diminution des infiltrats patchy sur les 2 champs pulmonaires par rapport au comparatif. Diminution de comblement du récessus costo-phrénique latéral droit. Pas d'argument pour une décompensation cardiaque. Grands volumes pulmonaires devant entrer dans le cadre d'un syndrome d'obstruction chronique. Cathéter de dialyse se terminant dans l'oreillette droite. Radiographie du thorax 20.06.2018 : Pas de pneumothorax, pas d'épanchement, surélévation diaphragmatique droite. Radiographie hanche droite face et profil, et bassin face 20.06.2018 : Fracture du col du fémur droit. Canner bassin le 20.06.2018 : Fracture du col du fémur droit. Avis orthopédique (Dr. X) : Prise au bloc opératoire. Hospitalisation pour prise au bloc opératoire. Radiographie du thorax 21.04.2018 : Cardiomégalie. Pas de foyer constitué. Pas d'épanchement pleural ou de pneumothorax. Cadre osseux superposable au comparatif. CT scan cervico-thoraco-abdominal du 03.05.2018 : Cervical : épaississement muqueux de l'hypopharynx et des amygdales pharyngées sans masse visualisée, une adénopathie cervicale à droite et plusieurs ganglions agrandis jugulocarotidiens et sous mandibulaires, comblement du sinus maxillaire droit avec bulle gazeuse, pouvant correspondre à une sinusite aiguë, à corréler à un status local // Thoracique : bande d'atelectasie lobaire inférieure droite, pas de lésion suspecte // Abdominal : réapparition d'un épaississement pariétal du duodénum et persistance d'un épaississement du jéjunum proximal en rapport avec un œdème sous-muqueux avec infiltration de la graisse aux pourtours et ganglions agrandis mésentériques locorégionaux, (DD : infectieux, inflammatoire de type Crohn ? hyperéosinophilie ?). Une atteinte de type lymphome semble être moins probable. Orthopantomogramme 05.05.2018. OGD et colonoscopie 05.05.2018 : érosion gastrique et œdème muqueux duodénal. Érosions coliques sans signe pour colite majeure ou ischémique. Biopsies sur OGD et colonoscopie du 05.05.2018 : • duodénal : muqueuse duodénale de structure intacte avec une inflammation aiguë/subaiguë en surface et en profondeur (cinq fragments duodénum) • gastrique : légère gastrite chronique inactive focale avec dans l'antre, une légère hyperplasie fovéolaire (six biopsies et un débris de type antre et corps/fundus) • colique : muqueuse de structure intacte avec une inflammation aiguë/subaiguë focale superficielle et profonde avec des minuscules foyers de nécrose interstitielle en profondeur (huit biopsies cadre colique) Biopsies bouche et adénectomie droite le 07.05.2018 : 1) granulation racine dentaire : infiltrat inflammatoire à prédominance plasmocytoïde dans un tissu fibreux dense. Lamelles de tissu osseux périphériques sans particularité. 2) adénopathie secteur IIA à droite : hyperplasie lymphoïde mixte, à prédominance paracorticale, dans un ganglion lymphatique avec aspect de monocytose atypique. Echocardiographie transthoracique du 14.05.2018 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Aorte non dilatée. Valve aortique normale. Absence de valvulopathie aortique. Surface aortique à 2,83 cm² (1,23 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 5 mmHg. Valve mitrale normale. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal, de taille limite sup de la norme. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 33 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Décollement péricardique systolique isolé. CT thoracique du 30.05.18 : Multiples micronodules en verre dépoli et plusieurs plages de verre dépoli prédominant dans les deux lobes supérieurs : atteinte infectieuse (type bronchiolite) ? toxicité médicamenteuse ? pneumonie d'hypersensibilité aiguë ? Radiographie du thorax Consilium ORL Nasofibroscopie Monitoring avec saturation en continu Radiographie du thorax. ECG. Laboratoire : pas de cinétique des troponines, D-Dimères négatifs. US au lit du patient (Dr. X) : pas d'épanchement péricardique, bonne fonction du Vd et Vg. Antalgie. ETT (Dr. X/Dr. X) : suspicion de lamelle fibrotique vs fibroélastome valve aortique. RDV pour pose d'Holter le 25.06.18. Réconvocation patient par la cardiologie si indication pour ETO. Arrêt médical. Radiographie du thorax Hémoculture : négative Antigène urinaire : négatif Rocéphine du 01.06.2018 au 08.06.2018 Radiographie du thorax. Laboratoire. Antibiothérapie par Augmentin. Traitement symptomatique + goutte Résyl. Contrôle clinique et biologique à 48h chez le médecin traitant. Radiographie du thorax. Laboratoire. Antibiothérapie par Augmentin. Traitement symptomatique. Contrôle clinique et biologique le 11.06.2018. Radiographie du thorax Suivi clinique et biologique Sédiment et urotube Radiographie du tibia droit Béquilles pour charge selon douleur AINS AS 1 semaine Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs dans 1 semaine Radiographie du 1er orteil gauche : fracture non déplacée de P2 du gros orteil. Pas d'anomalie visible sur les autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie du 1er orteil Désinfection avec Hibidil, rinçage avec Prontosan à l'aiguille boutonnée Pansement avec de la bétadine, compresses et bande Radiographie du 2ème doigt droit : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du 2ème doigt main droite : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du 3ème doigt de la main droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie du 3ème doigt de la main droite face/profil du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du 3ème doigt de la main gauche face et profil du 26.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés (Dr. X). Radiographie du 3ème doigt droit face/profil : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie du 3ème rayon de la main droite face/profil du 22.06.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X) Radiographie du 4ème doigt de la main droite : trait de scie transverse diaphysaire proximale de la phalange intermédiaire du 4ème rayon correspondant à une amputation osseuse complète. (Dr. X). Radiographie du 4ème doigt de la main droite du 04.06.2018 : fracture déplacée du versant dorsal de la base de la 3ème phalange du 4ème doigt correspondant à un Mallet Finger osseux. Tuméfaction des parties molles du 4ème doigt (Dr. Y). Radiographie du 4ème doigt droit. Evacuation de l'hématome sous-unguéal à l'aide d'une aiguille. Immobilisation avec protection du doigt. Pas de contrôle nécessaire. Radiographie du 4ème doigt main droite du 11.06.2018 : pas de lésion traumatique ostéo-articulaire décelable. Tissus mous sans particularité (Dr. Y). Radiographie du 4ème orteil droit : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Pas d'anomalie visible en projection des parties molles. (Dr. Z). Radiographie du 5ème doigt de la main droite : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie du 5ème doigt de la main gauche : fracture de la phalange distale. Vaccin du tétanos à jour. Avis Dr. W. Désinfection, rinçage, suture par 3 points de rapprochement par prolène 4.0. Co-amoxicilline 1 g deux fois par jour pendant 5 jours. Contrôle clinique et réfection de pansement à 48h en filière 34. Attelle Stack. Radiographie du 5ème doigt gauche du 04.06.2018 : comparatif du 03.06.2018. Status post-mise en place d'une attelle Alu palmaire. Le profil strict du jour permet de retrouver un Mallet osseux du versant dorsal de la base de la 3ème phalange du 5ème doigt avec un diastasis de la surface articulaire estimé à 1mm (Dr. Y). Radiographie du 5ème orteil droit du 17.06.2018 : contenu calcique et structures osseuses conservés. Synostose P2-P3 du 5ème orteil. Au niveau de la phalange unique, solution de continuité radio-transparente témoignant d'une fracture peu déplacée. Rapports articulaires interphalangiens conservés. (Dr. Y). Radiographie du 5ème orteil du pied gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du 5ème orteil gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. D). Radiographie effectuée au CIMED sur demande du pédiatre traitant. Consilium ortho. Radiographie en charge. Plâtre botte pour 6 semaines. Radiographie épaule : absence de fracture visualisée, explications données à la patiente. Avis orthopédique (Dr. W). • Antalgie. • Physiothérapie. • Conseils de reconsulter le médecin traitant si pas d'amélioration à 10 jours. Radiographie épaule, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique. Explication au patient de la prise en charge : antalgie, physiothérapie et contrôle chez son médecin traitant dans 2 semaines. Radiographie épaule droite face et Neer : pas de signe de tendinite calcifiante, pas de rétrécissement de l'espace sous-acromial. Contenu calcique conservé. Interligne articulaire gléno-huméral, espace sous-acromio-huméral conservés. Pas de lésion traumatique osseuse visible. Remaniement dégénératif acromio-claviculaire. Absence de calcification en projection des parties molles. (Dr. Y). Radiographie épaule droite le 05.06.2018 : Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. La tête de l'humérus est centrée dans la glène. Pas de fracture. Thorax f du 05.06.2018 : Silhouette cardio-médiastinale inchangée avec une cardiomégalie et calcifications de l'aorte thoracique. Régression partielle des opacités pulmonaires réticulées évoquant précédemment une décompensation cardiaque. La condensation du lobe moyen visible précédemment est difficilement évaluable en l'absence d'un cliché de profil. Pas de nouveau foyer individualisé. Absence d'épanchement pleural. CT thorax injecté le 06.06.2018 : EP postéro-basale droite sans signe d'infarctus avec retentissement sur le cœur (rapport VD sur VG supérieur à 1 et artère pulmonaire à 33mm). Infiltrats interstitiels périphériques prédominant à la base droite dd pneumopathie interstitielle, dd fibrose débutante. Plaque molle hémi circonférentielle de l'aorte abdominale sus rénale. Rx thorax le 09.06.2018 : Calcifications du bouton aortique et déroulement de l'aorte thoracique. Les limites du cœur droit et gauche sont floues et présentent un signe de la silhouette compatible avec des infiltrats diffus sur les deux plages pulmonaires, prédominants au niveau des zones périphériques et en nette péjoration par rapport au comparatif. Reste du cadre osseux et parties molles extra thoraciques superposables au comparatif. Radiographie épaule et articulation acromio-claviculaire, avec explication donnée par le médecin. Avis Dr. V. Antalgie Dafalgan, AINS. IRM ambulatoire. Contrôle team membre supérieur après IRM. Écharpe antalgique. Radiographie épaule et clavicule droite : pas de fracture visualisée. Radiographie épaule et clavicule droite. Consilium ortho (V). Immobilisation avec écharpe. AINS. AS 2 semaines. Contrôle en ortho-urgences dans 1 semaine. Radiographie épaule gauche face + profil : pas de fracture, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. V.) : prise en charge en team épaule. IRM en ambulatoire avant la consultation. Bretelle pendant 1 semaine, explications données au patient. Physiothérapie. Antalgie simple. Radiographie épaule gauche : fracture sous-capitale de l'humérus gauche, explications données au patient. Radiographie de contrôle dans gilet orthopédique, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. Y) : • Traitement conservateur proposé. Recommande un rapatriement pour suivi au Brésil. • Antalgie. • Gilet orthopédique. • Recommandation de reconsulter rapidement en cas de trouble sensitif ou moteur distal. Radiographie épaule gauche. Consilium ortho (B). Traitement conservateur avec gilet ortho pour un total de 4-6 semaines. AINS. AS 4 semaines. Contrôle radio-clinique dans 1 semaine en ortho-urgences. Radiographie épaule : pas de lésion osseuse visualisée, pas de luxation, explications données au patient. Radiographie claviculaire : fracture tiers distal de la clavicule, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. B + Dr. Y (CDC)) : réfracture, propose re-opération et pose de gilet ortho en attendant opération. Radiographie face profil du 3ème doigt main gauche : perte de substance de la houppe de la 3ème phalange du 3ème doigt et perte de substance des parties molles devant faire évoquer une fracture ouverte. Calcification en regard de la face palmaire de l'interphalangienne proximale sur l'incidence de profil (DD ancien traumatisme ?). (Dr. D) Radiographie face profil membre inférieur droit : pas de fracture visualisée, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. V). • Antalgie. • Arrêt de travail. • Charge selon douleurs avec béquilles, avec explications à la marche.Explications données au patient concernant les symptômes précoces d'un syndrome des loges et patient averti de consulter le cas échéant. Contrôle clinique chez le médecin traitant (patient prendra rendez-vous). Radiographie face/profile : pas de fracture visualisée, explications données à la patiente. Antalgie. Protocole RICE. Attelle Aircast, béquilles, charge selon douleurs, explications données à la patiente. Contrôle à 5-7 jours chez médecin traitant (patiente prendra rendez-vous). Radiographie faite à l'extérieur par son médecin traitant : présence d'un corps étranger dans la pulpe du pouce droit. Avis orthopédique Dr. X. Extraction du corps étranger aux urgences par le Dr. X sous anesthésie locale. Absence de complication immédiate. Recommandation de consulter son médecin traitant pour contrôle de plaie à 48 heures. Recommandation d'ablation des fils à 10 jours. Recommandation au patient de reconsulter en cas de péjoration clinique, notamment apparition d'un état fébrile, de douleurs importantes ou écoulement purulent. Antalgie, anti-inflammatoire. Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours. Radiographie faite en ambulatoire et complétée ici : fracture salter 2 de l'extrémité distale du radius droit. Radiographie f/p/oblique en charge RICE Attelle jambe SplintPod Canne avec décharge Radiographie : fracture de la base du 5ème métatarsien déplacée. Avis orthopédique Dr. X : attelle jambière postérieure, Clexane prophylactique 40 mg 1x/jour sous-cutanée. Antalgie par Dafalgan et Brufen. Le patient sera convoqué par le service d'orthopédie pour suite de prise en charge, ostéosynthèse vs traitement conservateur. À noter que le patient a été informé de faxer au Dr. X tout son dossier orthopédique, ainsi que de pacser les images de la récente IRM de la cheville gauche. Radiographie : fracture de pseudo-Jones du pied gauche légèrement déplacée. Avis orthopédique Dr. X. Antalgie. Arrêt de travail. Semelle semi-rigide. Contrôle à 1 semaine en ortho-urgences. Radiographie : fractureau niveau de la houppe de D4 associée à une tuméfaction des tissus mous en regard. Radiographie genou : doute sur une éventuelle fracture du plateau tibial. Scanner genou gauche : pas de fracture. Radiographie et scanner avec explication donnée par le médecin. Antalgie. Clexane, avec explication du médecin. IRM en ambulatoire. Consultation team genou. Radiographie genou droit : gonarthrose tricompartimentale sur chondrocalcinose. Radiographie cheville droite : pas de lésion osseuse. Avis orthopédique Dr. X : attelle jeans en flexion 20° du 15.06.2018 au 20.06.2018. Contrôle clinique après 7 jours : poursuite physiothérapie, pas besoin d'attelle, charge selon douleur. Radiographie genou droit. Avis orthopédique Dr. X : mobilisation avec cannes selon douleurs. Contrôle chez le Dr. X le 03.07.2018. Radiographie genou droit : liquide intra-articulaire, arthrose fémoro-patellaire, pas de fracture. IRM prévue sur convocation dans <10 jours pour suspicion de lésion méniscale. Consultation orthopédie prévue le 15.06.2018 à 13h00. Radiographie genou droit CT rotule droite Attelle genou (Air Knee Brace) Clexane 40 mg 1x/j Antalgie en R Consilium ortho (Dr. X) Radiographie genou droite f/p Canne et bandage pour antalgie Antalgie en R Dispense de sport de 14 jours Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie genou droite f/p/rotule axial : pas de fracture. Radiographie genou, explications données à la patiente. Radiographie genou f/p et rotule axiale : fracture rotule. Radiographie genou G f/p/rotule axiale Attelle amovible genou (Air Knee Brace) Canne Antalgie en R Consilium radiologique : Dr. X Radiographie genou G Antalgie en R Bandage antalgique Cannes IRM à distance Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie genou gauche : pas de fracture visualisée. Radiographie genou gauche avec patella axial : pas de fracture visible (discussion avec Dr. X). Radiographie genou gauche face, profil et rotule : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous. Tuméfaction des parties molles pré-rotuliennes. (Dr. X). Radiographie genou gauche face, profil et rotule : pas de fracture. Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radiographie genou gauche face/profil/rotule axiale : pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X. Antalgie simple. Clexane 40 mg sous-cutanée, 1x/jour tant que le patient ne peut pas marcher. IRM en ambulatoire puis consultation au Team genou. Radiographie genou Avis orthopédique : pas de ponction AINS pour 2 jours Radiographie hallux gauche : fracture de la phalange 1 hallux gauche non déplacée. Radiographie hallux pied gauche : pas de fracture, explications données au patient. Avis orthopédique Dr. X. Ablation de l'ongle de l'hallux gauche, révision du lit unguéal, refixation de l'ongle sous anesthésie en bague de l'hallux gauche par 15 ml de Rapidocaïne, suture par 5 points de Vicryl 5.0 au niveau du lit unguéal, fixation de l'ongle par Prolène 2.0, explications données au patient. Retour à domicile avec antalgie de premier palier. Contrôle en Filière 34 le 09.06.2018. Ablation du fil de Prolène à trois semaines. Conseils de cicatrisation et de protection de l'ongle donnés au patient. Radiographie hanche/bassin le 11.06.2018 Radiographie hanche/bassin le 12.06.2018 Radiographie hanche/bassin le 18.06.2018 CT hanche droite le 11.06.2018 Avis Ortho (Dr. X) le 11.06.2018 : traitement conservateur. Contrôle radiologique après 1 semaine. Avis Ortho (Dr. X) le 18.06.2018 Antalgie Suivi clinique Contrôle orthopédique le 03.08.2018 à 10h20 à l'HFR Fribourg. Radiographie index droit : pas de fracture visualisée mais doute sur un corps étranger sous l'ongle. Radiographie index gauche : pas d'atteinte osseuse. Radiographie jambe droite : pas d'atteinte osseuse, pas de corps étranger. Avis orthopédie (Dr. X). Exploration et suture avec 5 points de Prolène 3-0. Antalgie. Attelle postérieure. Signes de gravité expliqués au patient. Rappel tétanos. Clexane 40 mg pendant le port de l'attelle. Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pour 5 jours. Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences le 01.07.2018 avec avis orthopédique. Radiographie jambe droite : pas de lésion osseuse, pas de corps d'étranger. Avis orthopédique (Dr. X et Dr. X) : prise en charge de la plaie aux urgences, pas d'antibiothérapie nécessaire. Exploration et adaptation de la plaie avec suture du fascia, succutanée et peau (cf. rapport opératoire). Antalgie. Béquilles avec charge selon douleur. Signe de gravité expliqué au patient. Rappel tétanos. Contrôle clinique en F34 le 01.07.2018. Radiographie jambe f/p G + bassin FSC + CRP + VS Hémoculture nég. à 5 jours. Frottis gorge Kingella échec. US de hanche le 24.06. Bilan du contrôle fait le 24.06. Radiographie jambe G f/p Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie jambe gauche et de la cheville gauche face et profil : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X) Radiographie jambe gauche f/p : consolidation de la fracture transverse de la diaphyse fibulaire et tibiale distale sans autre fracture nouvelle visible. Radiographie jambe gauche f/p : pas de fracture, pas de corps étranger. Radiographie jambe gauche f/p Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie Labo + groupe ECG Avis orthopédique (Dr. X) : Hospitalisation en orthopédie pour pose de prothèse et suite de la prise en charge. Radiographie le 28.05.2018 : pas de fracture ni luxation Aircast, antalgie Radiographie le 30.05.2018 Gazométrie le 30.05.2018 : hypoxémie Culture expectoration du 30.05.2018 : Streptococcus pneumoniae Urotube du 30.05.2018 : négatif Hémocultures du 30.05.2018 : négatives Co-Amoxicillin 1.2g iv. le 30.05.2018 aux urgences Rocéphine le 30.05.2018 Co-Amoxicilline le 02.06-08.06.2018 (prévu) Radiographie de l'épaule gauche, avec pré-explication par le médecin : pas d'argument pour une fracture. Au total, contusion de la coiffe des rotateurs gauche. CAT : • retour à domicile. • Antalgie. • Réévaluation à distance par le médecin de famille si persistance des douleurs +/- réalisation d'une échographie de la coiffe en externe. • Pas de nécessité d'immobilisation par coude au corps. Radiographie : les structures osseuses se présentent normalement sans lésions traumatiques. Aspect irrégulier du noyau d'ossification de la tubérosité tibiale avec tuméfaction des tissus mous en regard, pouvant évoquer une maladie d'Osgood Schlatter. Pas d'épanchement intra-articulaire. Pas de tuméfaction des tissus mous. Radiographie lombaire et sacro-iliaque : pas de fracture, pas de lésion lytique (avec explication donnée par le médecin). Prescription de 9 séances de physiothérapie. Conseils sur l'hygiène du dos prodigués au patient. Antalgie simple avec protection gastrique par Pantoprazol. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Radiographie lombaire face/profil, explications données à la patiente. CT lombaire, explications données à la patiente. Avis orthopédique (Dr. X) : fracture stable, traitement conservateur. Antalgie. Physiothérapie avec mobilisation douce. Pas de port de charge lourde. Conseils sur l'hygiène du dos prodigués à la patiente. Contrôle à 1 semaine en team Spine avec radiographie debout, patiente sera convoquée. Radiographie lombaire face/profil : pas de nouvelle fracture, tassement L1 ancien. • Antalgie. • Physiothérapie. Radiographie lombaire. Radiographie bassin et hanche gauche. Traitement antalgique et AINS. Contrôle chez le médecin traitant si péjoration. Radiographie main droite : pas de fracture. Antalgie. Radiographie main droite. Avis orthopédique Dr. X : attelle Edimbourg durant 10 jours, anti-inflammatoires et antalgie. Ergothérapie pour la souplesse à partir d'1 semaine. Arrêt de travail de 2 semaines. Consultation en orthopédie urgences dans 2 semaines. Radiographie main gauche. Avis orthopédique Dr. X : prise en charge conservatrice de la fracture, avec attelle Edimbourg, antalgie et contrôle à sa consultation le 11.06.2018. Arrêt de travail jusqu'au 11.06.2018, à réévaluer lors de la consultation de contrôle. Radiographie main gauche. Bande de camphre. Antalgie. Contrôle en filière 34 le 03.07.2018, pour réévaluation arrêt de travail. En cas de limitation fonctionnelle, ad discussion d'un avis orthopédique ou d'un suivi en ergothérapie. Radiographie main/poignet gauche avec pré-explications par le médecin : pas de lésion osseuse. Immobilisation avec attelle Edimbourg avec explication de l'utilisation de l'attelle. Traitement antalgique. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine si pas d'amélioration. Radiographie : Mallet finger osseux D5 main droite, explications données à la patiente. Avis orthopédique (Dr. X). Antalgie. Attelle Stack, explications données à la patiente. Contrôle orthopédie urgences à 7 jours. Radiographie orteil avec pré-explications par le médecin : ancien arrachement vs trouble dégénératif au niveau de l'articulation interphalangienne proximale du gros orteil, pas de fracture récente visible. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation du gros avec semelle rigide pour contusion du pied avec possible décompensation d'une arthrose préexistante pendant 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant. Antalgie avec AINS. Radiographie : pas d'argument pour une fracture. Attitude : immobilisation et discussion au colloque d'orthopédie, antalgie. Radiographie : pas d'atteinte osseuse visualisée. Avis orthopédique (Dr. X, qui voit le patient) : pas de signe d'infection, propose immobilisation et contrôle clinique à 48h. Antalgie, anti-inflammatoire. Attelle pouce. Contrôle à 24h en filière 34. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration clinique notamment apparition de rougeur, chaleur, état fébrile. Radiographie : pas de fracture, explications données au patient. Anti-inflammatoire, glace, attelle Aircast, explications données au patient. Cannes anglaises avec explications quant à l'importance d'une charge complète sans quoi une anticoagulation sera nécessaire. Contrôle chez le médecin traitant à une semaine puis prescription de physiothérapie. Radiographie : pas de fracture, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. X) : suspicion de pouce du skieur, plâtre fendu. US en ambulatoire puis consultation urgences dès que possible. US des ligaments du pouce demandé. Retour à domicile avec plâtre fendu. Radiographie : pas de fracture visualisée, explications données au patient. Retour à domicile avec traitement antalgique et arrêt maladie. Radiographie : pas de fracture visualisée. Antalgies, AINS. Physiothérapie. Recommandation de consulter son médecin traitant si absence d'amélioration avec la physio, afin de discuter d'un IRM. Radiographie (pas de fracture). Attelle jeans à 20° de flexion, cannes anglaises. Protocole Rice. Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sc/jour. Radiographie : pas de fracture. Ibuprofène 400 mg 3x/j pour 3 jours. Radiographie : pas de lésion osseuse visualisée, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de lésion osseuse visualisée, • Bandage + antalgie et contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Radiographie : pas de LORV. Antalgie, arrêt de travail et retour à domicile. Radiographie : pas de LORV. Arrêt de travail une semaine (le patient est menuisier), antalgie simple et revoir le médecin traitant dans 5 jours. Radiographie pied D f/p Antalgie en R Bandage antalgique Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie pied D f/p/oblique + pied en charge Semelle rigide Canne d'antalgie avec charge selon douleurs Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie pied droit. Radiographie pied droit : fracture à la jonction tiers proximal - tiers distal du 4ème métatarse, cheville sp. Radiographie pied droit : pas de fracture visualisée, confirmé lors du colloque orthopédique. Radiographie de la colonne thoracique : pas de fracture. Radiographie du bassin + hanche : pas de fracture. Antalgie de palier 1. Radiographie pied droit. Retour à domicile avec syndactylie antalgique et antalgie per os. Radiographie pied droit. Avis orthopédique (Dr. X). Explications au patient de la physiopathologie du Syndrome de l'os trigone. Antalgie. Bandage à but antalgique. Marche avec cannes (charge selon douleur) Prophylaxie antithrombotique. Physiothérapie (US et stretching) Contrôle en orthopédie urgences à 6 semaines. Radiographie pied et cheville D Antalgie Radiographie pied f/p/o : pas de lésions osseuses visibles. Radiographie pied G f/p Botte plâtrée fendue Antalgie en R Consilium orthopédie : Dr. X Radiographie pied gauche : fracture de la base de la 1ère phalange du 3ème orteil. Avis orthopédique Dr. X. Semelle rigide pour 6 semaines. Syndactylie. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant en cas d'évolution défavorable. Radiographie pied gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle Darco, conseils au patient, si persistance à 6 semaines recontrôler.Traitement antalgique et anti-inflammatoire. Radiographie pied/avant pied gauche : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Si persistance de la symptomatologie clinique, une IRM peut être demandée à distance. (Dr. X) Radiographie pied/cheville : pas d'atteinte osseuse ni corps étranger visualisé. Radiographie pied/cheville : pas de signes d'atteinte osseuse. Avis orthopédique : anesthésie locale avec rapidocaïne, exploration de la plaie sous MEOPA. Sutures avec 2 points simples. Immobilisation avec attelle postérieure pendant 1 semaine. Contrôle ambulatoire dans 2 jours aux urgences pédiatriques. Ablation des fils dans 2 semaines. Dafalgan et Brufen en réserve. Radiographie poignet + coude. Antalgie : dafalgan iv, Fentanyl iv 50 ug, meopa 10 minutes. Avis ortho (Dr. X). Réduction de la fracture. Radiographie de contrôle. Indication à une opération, le patient rappellera s'il décide de faire l'opération. Retour à domicile avec possible opération la semaine prochaine selon décision du patient. Radiographie poignet : Fracture en bois vert non déplacée de l'EDR gauche. Radiographie poignet D du 16.06.2018 : Fracture en motte de beurre du versant palmaire de l'EDR. Radiographie poignet D f/p. BAB fendue avec écharpe. Antalgie en R. Consilium orthopédie : Dr. X. Radiographie poignet droit. Consilium ortho (Dr. X). Attelle velcro pour poignet. AINS en réserve. AS 2 semaines. Contrôle clinique en ortho-urgences dans 2 semaines. Radiographie poignet droit. Consilium ortho (Dr. X). Réduction fermée sous MEOPA et Fentanyl 50 mcg. Plâtre AB fendu. Radiographie post-réduction. AINS. AS 4 semaines. Contrôle radio-clinique à 1 semaine en ortho-urgences. Radiographie poignet droit. CT poignet droit. Avis orthopédique Dr. X : plâtre fendu. Antalgie et contrôle en orthopédie-urgences à 1 semaine. Arrêt de travail. Radiographie poignet droite f/p. Plâtre AB fendu. Circularisation du plâtre à 1 semaine. Contrôle en ortho-urgences dans 3 semaines. AS 3 semaines. Antalgie en réserve. Radiographie poignet droit. Plâtre AB fendu. AS 3 semaines. AINS en réserve. Circularisation du plâtre dans 1 semaine. Contrôle en ortho-urgences dans 3 semaines. Radiographie poignet et pouce droits face et profil : remaniement osseux métaphysaire distal du radius en dessous de la styloïde radiale sur antécédent de fracture consolidée. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire récente. Ce jour, intégrité des os du carpe notamment du scaphoïde (ancienne fracture connue). Fragment métallique linéaire en projection des parties molles en regard du versant dorso-radial de la métacarpo-phalangienne III. Radiographie de contrôle post-plâtre du poignet droit : status-post mise en place d'une contention en plâtre de Paris fendue prenant le pouce. Bon positionnement. Pas de pli ou point de pression visible. (Dr. X) Radiographie poignet face/profil 11.06.2018 : pas de fracture. Ergothérapie : pose attelle. Antalgie par Dafalgan 1 g 4x/j. Avis ortho : suspicion hématome artère radiale poignet D. Us doppler artère radiale : pas de pseudo-anévrisme de l'artère radiale, pas d'hématome ni d'abcès. Résolu le 14.06.2018. Radiographie poignet gauche : pas de fracture visualisée. Radiographie poignet gauche le 20.06.2018 : pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X : attelle velcro poignet gauche pour 7 à 10 jours, antalgie (patient possède déjà antalgie à domicile avec réserve de Tramal en gtte). Contrôle chez le médecin traitant dans 2 semaines pour suivi clinique. Radiographie poignet gauche : pas de fractures visualisées. Radiographie poignet gauche. Consilium ortho (Dr. X). Attelle velcro. AINS en réserve. AS 1 semaine. Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si persistance des douleurs. Radiographie poignet main droite : fracture non déplacée du scaphoïde droit (ancienne), explications données au patient. Avis orthopédiste (Dr. X) : immobilisation par plâtre ouvert scapho droit pendant 10 jours avec consultation à J10 par son chirurgien de la main lors de la réfection du plâtre. • Retour à domicile. • Antalgie. • Arrêt de travail. • Réfection de plâtre à J10 avec consultation par chirurgien de la main. Radiographie poignet : pas de fracture. Radiographie poignet : pas de fracture. Radiographie post gilet : fracture stable : par rapport au comparatif de la veille, on constate l'ablation du plâtre et en raison des incidences différentes, il est difficile de juger formellement d'un déplacement secondaire, néanmoins l'angulation postéro-externe est moins marquée actuellement. (Dr. X) Radiographie post-opératoire. Contrôle à ma consultation à 48 heures. Ablation du Comfeel et des steristrips à 2 semaines. Contrôle radio-clinique à ma consultation à 6 semaines post-opératoires. Radiographie post-opératoire. Zinacef pour 24 heures. Surélévation du membre inférieur droit pour les premières 24 heures. Ablation des fils à 14 jours. Contrôle radio-clinique à ma consultation à 6 semaines post-opératoires. Radiographie post-résection de l'hameçon de la jambe droite du 30.06.2018 : pas d'image de corps étranger décelable en projection des parties molles. Pas d'anomalie des structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Pas d'anomalie visible au niveau de la trame osseuse. (Dr. X) Radiographie pouce : décrite ci-dessous. Avis Dr. X, médecin traumatologue. Attelle type pouce de skieur. Radio de contrôle. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie le 22.06.2018 à fixer par la patiente. Radiographie pouce face/profil : absence de fracture. Avis orthopédique Dr. X. Désinfection avec Bétadine, anesthésie en bague avec Lidocaïne 1 %, exploration de la plaie et rinçage abondant, suture avec Prolène 5.0, 4 points. Contrôle en FR34 le 20.06.2018. Ablation des fils à 10-14 jours chez le médecin traitant. Arrêt de travail durant 10 jours. Vérifier le statut vaccinal du patient lors du contrôle de 24h. Radiographie pouce gauche déjà faite par pédiatre. Consilium ortho (Dr. X). Attelle pouce du skieur. AS 5 semaines. AINS en réserve. Contrôle en ortho-urgences dans 5 semaines. Radiographie pouce gauche : pas de fracture visualisée. Désinfection bétadinée, rinçage NaCl, exploration de plaie. Plaie superficielle, pas de contact avec l'articulation. Suture 3 points avec Prolène 4.0. Attelle Stack. Contrôle dans 48h en FR34. Arrêt de travail pendant 10 jours. Ablation des fils dans 10 jours chez le médecin traitant. Radiographie premier orteil gauche : sans signes de fracture. Radiographie sans fracture. Radiographie sans fracture. • ad attelle poignet, • contrôle clinique 7-10 jours en orthopédie, si persistance symptômes ad IRM à la recherche lésion DRUG. Radiographie sans fracture. Avis du Dr. X. Désinfection, rinçage abondant avec du NaCl, pansement occlusif. Co-Amoxi 2.2g IV, rappel anti-tétanos. Contrôle clinique à la policlinique d'orthopédique dans 4-5 jours, à fixer par le patient. Radiographie sans ligne de fracture. Désinfection, anesthésie en bague avec 4 ml de Rapidocaïne 1 %, exploration de la plaie et sans mise en évidence des structures profondes, suture par 7 points simples de Dafylon 4/0, pansement simple, rappel anti-tétanos et antalgie en réserve. Vu l'indisponibilité du médecin traitant, nous fixons un rendez-vous aux urgences de Riaz à 48h, le 30.06.2018 à 11h pour un contrôle de plaie. Contrôle clinique chez le médecin traitant avec ablation des fils dans 10-12 jours. Radiographie standard du rachis cervical le 04.05.2018 : décrite ci-dessous. Antalgie. Collier cervical mousse pendant 5 jours. Contrôle clinique en policlinique d'orthopédie dans 5 jours.Radiographie thoracique de contrôle Radiographie thoracique de la cheville droite: absence de foyer. Radiographie thoracique (Dr. X): pas de LORV. Radiographie thoracique du 20.06.2018: Silhouette cardiaque dans les limites de la norme. Port à cath sous-clavier droit se terminant dans l'oreillette droite. Apparition d'un nodule pulmonaire de 2 cm en base droite fortement suspect de correspondre à une lésion métastatique vu le contexte oncologique, ce nodule n'était pas visible sur le CT du 22.02.2018. Radiographie thoracique du 24.06.2018 Radiographie thoracique du 26.06.2018: présence de petits infiltrats péri-bronchiques en base gauche pouvant être en rapport avec des foyers infectieux débutants. Nodules pulmonaires en projection mediothoracique d'allure calcifiée au niveau de la base pulmonaire droite. Pas de cardiomégalie. Les hiles pulmonaires se présentent normalement. Les structures osseuses se présentent normalement. CT abdomino-pelvien du 26.06.2018: pancolite et rectite. Multiples plages ostéolytiques déjà visibles sur les comparatifs d'octobre 2017, en rapport avec le myélome connu. Infiltrats et comblements bronchiques dans les lobes inférieurs des deux côtés devant correspondre à des foyers de pneumonie, possiblement sur broncho-aspiration. Consilium infectiologique du 27.06.2018: votre patient présente une bactériémie à E.Coli le 25.06.2018 de probable origine digestive dans un contexte de pancolite d'origine X visualisée au CT-scan du 26.06.2018. L'origine de la pancolite reste incertaine. Toutefois, au niveau antibiotique, nous vous proposons de stopper le Tazobac et de le remplacer par Rocéphine 2g iv 1x/j et Flagyl 500mg iv 3x/j. La durée de l'antibiothérapie dépendra de l'évolution clinique et du diagnostic étiologique de la pancolite. Radiographie thoracique et de la clavicule droite: fracture déplacée. Avis orthopédique (Dr. X et Dr. X): Rucksack, contrôle radiologique et clinique à la consultation de Dr. X à une semaine. Retour à domicile avec traitement antalgique et recommandations d'usage. Radiographie thoracique le 27.06.2018: Absence de pneumothorax. Emoussement du cul-de-sac pleural gauche pouvant être en rapport avec un épanchement pleural liquidien de petite abondance. La plage pulmonaire droite se présente normalement sans foyer infectieux. La silhouette cardio-médiastinale est élargie en rapport avec la position. Radiographie thoracique le 28.06.2018 ETT le 29.06.2018: Dilatation importante du ventricule gauche avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 31 %. Aorte normale. Valve aortique normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Insuffisance aortique minime (grade 1/4). Clip mitral non sténosant mais fuyante. Gradient moyen OG-VG à 4 mmHg. Insuffisance mitrale modérée (grade 1-2/3). Oreillette gauche très dilatée. Ventricule droit normal. Dilatation importante de l'oreillette droite sans dilatation du ventricule droit. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide modérée (grade 2/3). Valve pulmonaire normale. Décollement péricardique systolique isolé. Radiographie thoracique le 30.05.2018 Examen de qualité sous-optimale, néanmoins montrant des infiltrats péri bronchiques et bronchiolaires prédominants aux deux bases sans signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Cardiomégalie. Radiographie thoraco-abdominale: visualisation d'une agrafe (fermée) au niveau de l'intestin Radiographie thoraco-abdominale: visualisation d'une agrafe (fermée) au niveau de l'intestin Retour à domicile avec surveillance des selles Reconsultation aux urgences si altération de l'état général, douleurs abdominales, vomissements ou selles avec du sang Radiographie thoraco-abdominale CPAP avec une FiO2 maximale à 0.21 du 04.04 au 08.04.2018 Radiographie thorax: absence de foyer, absence de pneumothorax Radiographie thorax: pas d'air sous la courbe, avec explication donnée par le médecin. Xylocaine gel 2%. Metamucil. Topical Nifédipine Conseil diététique: fibres Conseils d'hygiène: douches Si persistance des saignements à 4 semaines: sigmoïdoscopie à organiser en ambulatoire. Radiographie thorax: pas de pneumopéritoine, avec explication donnée par le médecin. Pantozol et Alucol aux urgences. Conseils de régime diététique et positionnels. Traitement d'épreuve IPP pendant 4 semaines. Suite chez le médecin traitant et évaluation d'effectuer une ODG si récidive ou non amélioration sous IPP. Radiographie thorax, avec explication donnée par le médecin. Avis infectiologique: changement de l'antibiothérapie pour Levofloxacin pour une durée de 7 à 10 jours et contrôle clinique chez son médecin traitant lundi 11.06.2018. Discussion avec le Dr. X sur le diagnostic de présomption, le patient sera revu lundi à sa consultation. Explication au patient du diagnostic et du traitement instauré. Radiographie Thorax en chambre du 18.06.2018: Comparatif du 11.05.2018. Silhouette cardiaque de taille normale. Status post pontages aorto-coronariens et cerclage sternal. Diminution des infiltrats patchy sur les 2 champs pulmonaires par rapport au comparatif. Diminution de comblement du récessus costo-phrénique latéral droit. Pas d'argument pour une décompensation cardiaque. Grands volumes pulmonaires devant entrer dans le cadre d'un syndrome d'obstruction chronique. Cathéter de dialyse se terminant dans l'oreillette droite. Radiographie thorax et genou, avec explication donnée par le médecin. Antalgie. US aux urgences: pas de liquide libre péricardique. Radiographie thorax F: ???????? ECG: fréquence 75, rythme sinusal régulier, axe normal, QRS fins sans trouble de la conduction de la repolarisation. Radiographie thorax face/profil: absence de pneumothorax, pas de foyer, pas de signe en faveur d'une hémorragie intra-alvéolaire. ECG (comparable au comparatif). Il est dit au patient qu'en cas de dyspnée, il peut utiliser le Symbicort de manière plus fréquente en réserve. Radiographie thorax le 05.06.2018: Silhouette cardio-médiastinale dans la norme, avec calcifications du bouton aortique et déroulement de l'aorte descendante. Egalisation vasculaire baso-apicale à mettre en lien avec la position couchée. Opacités réticulaires prédominantes aux bases des deux côtés pouvant correspondre à un premier signe de décompensation cardiaque. Opacité linéaire basale gauche devant correspondre à une dystélectasie. Pas de foyer individualisé. Absence d'épanchement pleural visible, compte tenu de la position couchée. Radiographie thorax le 08.06.2018: Sous réserve d'une inspiration sous-optimale, cardiomégalie, avec épanchement pleural bilatéral, flou péri-hilaires et discrète redistribution des vaisseaux aux apex en lien avec des signes de surcharge. Opacité bien délimitée d'1,8 cm en surprojection de l'hémichamp pulmonaire inférieur droit connue et inchangée, probablement dans le tissu mammaire. Radiographie thorax le 11.06.2018: Silhouette cardio-médiastinale non évaluable en raison d'un volumineux épanchement pleural associé à une opacité silhouettant tout le bord cardiaque gauche en rapport avec un foyer avec atélectasie. Infiltrats lobaires supérieurs et inférieurs droits en rapport avec des foyers infectieux. Hyper clarté de la plage pulmonaire gauche visible ainsi que de toute la plage pulmonaire droite associée également à un aplatissement de la coupole diaphragmatique droite, ainsi que d'une hyper clarté rétro sternale, parlant en faveur d'une BPCO. Calcification du bouton aortique. Cadre osseux dans les limites de la norme. Radiographie thorax le 12.06.2018: Discrète diminution de l'épanchement pleural gauche. Reste superposable au comparatif de la veille.Radiographie thorax le 15.06.2018 : Persistance d'un épanchement pleural gauche augmenté en taille. Aspect superposable du parenchyme pulmonaire, ventilé. Radiographie thorax le 17.06.2018 : Aspect superposable de l'épanchement et de la condensation basale gauche, pas de progression par rapport au comparatif du 15 juin 2018. Radiographie thorax le 20.06.2018 : Examen globalement superposable aux comparatifs, sans diminution de l'épanchement pleural gauche. Persistance d'une condensation rétro-cardiaque. Pas de pneumothorax. Radiographie thorax le 25.06.2018 : Diminution modérée de l'épanchement pleural gauche. Discrète amélioration de la ventilation de la base gauche. Le reste est superposable. CT thoracique le 15.06.2018 : Foyer de bronchopneumonies bi-basaux, avec atélectasie subtotale lobaire inférieure gauche. Épanchement pleural pneumonique partiellement cloisonné de moyenne abondance à gauche, sans franc signe d'empyème. Pas d'embolie pulmonaire. Anévrisme de l'aorte ascendante de 45 mm. CT thoracique le 27.06.2018 : Nette régression de la condensation basale gauche avec persistance d'une atélectasie au contact de l'épanchement. Atélectasie ronde postérobasale droite. Régression en taille de l'épanchement pleural gauche en partie cloisonné. Lame d'épanchement pleural droit. Nodule de 7,5 mm postérieur du lobe supérieur gauche (Im 121), pour lequel nous proposons un contrôle CT dans 6-12 mois, selon les recommandations Fleischner. Radiographie thorax le 15.06.2018 : Étalement de la silhouette cardiaque en lien avec l'incidence AP et la position. Pas de foyer clairement visible. Épaississement bronchique modéré aux bases. Pas d'épanchement. Le reste est superposable. Coronarographie le 16.06.2018 : L'examen invasif du jour démontre une occlusion fonctionnelle de l'ACD sur progression de la maladie de novo proximalement au stent Cypher le plus proximal, ainsi qu'entre les deux stents les plus distaux. Le reste de l'arbre coronarien est exempt de sténose significative. Angioplastie des deux lésions avec 2 nouveaux stents actifs et un excellent résultat final. Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 5 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Contrôle dans 1 mois à ma consultation. Radiographie thorax 11.05.2018 : Redistribution de la perfusion pulmonaire aux apex avec présence d'un flou périhilaire compatible avec une insuffisance cardiaque. Majoration du Symbicort. Inhalation bronchodilatative. Lasix du 11.05.2018 - 12.05.2018, puis reprise du Lasix du 24.05.2018 - 28.05.2018. Poursuite du Torasemide. Radiographie thorax : Hémocultures : négatives. Rocéphine du 14.06.2018 au 20.06.2018. Radiographie tibia gauche : Consilium ortho (Dr. X). Algifor pendant 48 h puis en réserve. Contrôle chez le pédiatre dans 48 h si persistance des douleurs. Radiographie 1er orteil droit : Consilium ortho (Dr. X). Désinfection avec Bétadine. Ablation de l'ongle et confection d'un ongle artificiel avec seringue plastique stérile, fixation avec Prolène 3.0 sous MEOPA. Pansement avec Adaptic, compresses et bande. Co-amoxicilline 50 mg/kg/j pour 3 j. Antalgie en réserve. AS 3 semaines. Contrôle clinique aux urgences dans 48 h. Radiographie 1er orteil gauche : pas de fracture visualisée. Radiographie 1er orteil gauche : Désinfection avec Hibidil. Pansement avec Bétadine crème, Adaptic, compresses et bandes. AINS en réserve. Contrôle clinique dans 24 h. Radiographie 2e doigt droit : Consilium ortho téléphonique (Dr. X). Syndactylie 2e-3e doigt. AINS. AS 1 semaine. Contrôle chez le pédiatre dans 1 semaine si persistance des douleurs. Radiographie 2e doigt droit : Rinçage du panaris avec NaCl, désinfection avec Hibidil. Drainage hématome sous-unguéal avec 2 trous. Pansement avec Bétadine crème, Adaptic, compresses et bande. Co-amoxicilline 90 mg/kg/j en 2 doses pendant 5 j. AINS en réserve. Contrôle clinique dans 48 h. Radiographie 2ème doigt main gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Tuméfaction des tissus mous autour de l'interphalangienne proximale. Radiographie 3e et 4e doigt : Désinfection avec Hibidil. Suture avec 5 points de Prolène 5.0 sous MEOPA (2 points 3e doigt et 3 points 4e doigt). Pansement avec Bétadine crème, Adaptic, compresses et bande. Co-amoxicilline 1 g 3x/j pendant 5 j. AINS en réserve. AS 2 semaines. Contrôle clinique dans 48 h. Radiographie 4e doigt main gauche : Consilium ortho (Dr. X). Syndactylie avec attelle alu pour 1 semaine puis syndactylie seule pour encore 1 semaine. AINS. AS 2 semaines. Contrôle chez le médecin traitant dans 10-14 j. Radiographie 5e doigt : Consilium ortho (Dr. X). Immobilisation avec syndactylie 4e-5e doigt provisoire. Bon d'ergo pour attelle Edimbourg 4e-5e doigt. AS 4 semaines. AINS. Contrôle radio-clinique à 1 semaine et clinique à 3 semaines en ortho-urgences. Radiographie. Antalgie. Bretelle. Contrôle chez son médecin traitant à fixer par le patient dans les prochaines 5-7 jours. Radiographie : Antalgie. Contrôle dans 48 h en cas de péjoration des symptômes. Radiographie. Antalgie. Immobilisation attelle Edimbourg avec explication d'utilisation au patient. Contrôle en orthopédie à 7 jours. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X) : doute sur atteinte tendineuse. Suture par 6 points simples avec fil Prolène 4.0, retrait des fils à 12 j. Contrôle de plaie à 48 h à la filière 34, US des parties molles dès que possible et contrôle ortho team membre supérieur. Aux urgences : - Vaccin anti-tétanique. Retour à domicile avec traitement antalgique, contrôle de la plaie à 48 h, US parties molles et contrôle en orthopédie team membre supérieur en ambulatoire, retrait des fils à 12 jours. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X) : suture aux urgences. Désinfection par Bétadine, anesthésie par Lidocaïne 1 %, suture par 17 points simples avec Prolène 3.0, pansement avec compresses et bande. Hospitalisation en chirurgie pour suite de la prise en charge. Radiographie : Avis orthopédique (Dr. X). Hospitalisation Orthopédie. Aux urgences : Co-Amoxicilline 2.2 g iv. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X) : traitement conservateur avec RICE et AINS. Contrôle à 7 jours chez le médecin traitant. Si pas d'amélioration des symptômes, ad IRM en ambulatoire RDV en team genou. Retour à domicile. Antalgie. Radiographie. Désinfection par Bétadine diluée, anesthésie par Lidocaïne 1 %, exploration des plaies n'intéressant pas les structures profondes, rinçage abondant par NaCl 0.9 %, suture par 4 points simples (2x2 pts) avec fil Prolène 3.0, pansement par Adaptic et compresses simples. Le contrôle de plaie sera fait par sa mère infirmière, retrait des fils à 10 jours. Instructions au patient de reconsulter si apparition de symptômes infectieux. Radiographies face/oblique : Syndactylie 1er et 2e doigts du pied droit. Traitement symptomatique : crème anti-inflammatoire, antalgie au besoin. Chaussure Darco. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Radiographie : Laboratoire. ECG. Radiographie thoracique. Avis orthopédique (Dr. X et Dr. Y) : hospitalisation en orthopédie pour pose d'un PFN et suite de la prise en charge. Hospitalisation en orthopédie. CAVE la patiente recevra un message de son fils avec la liste des médicaments, à mettre dans le DPI. Radiographie. Orthèse de poignet. Radiographie : Radiographie de thorax. ECG. Laboratoire : INR 2.2, Hb 116, pas de syndrome inflammatoire. Avis ortho (Dr. X) : Stop Marcoumar. Hospitalisation en orthopédie. À jeun pour opération. Labo le 23.06.2018 avec INR. Radiographies : colonne cervicale, colonne dorsale, thorax, genou droit, avec explication donnée par le médecin. CT cérébral, cervical, thoracique. Mise en évidence de fractures de côtes uni-focales droites, côtes 9 et 10. Pas de complication pulmonaire associée, pas d'autre fracture nouvelle. Mise en évidence d'une fracture tassement d'aspect ancien D12-L1. Avis orthopédique pour fracture tassement (Dr. X) : prise en charge conservatrice avec antalgie, mobilisation libre. Si persistance des douleurs dorsales malgré une antalgie de 3 semaines, prévoir un contrôle au Team Spine à l'HFR Fribourg. Concernant les fractures de côtes, prise en charge conservatrice également avec majoration du traitement antalgique habituel et physiothérapie respiratoire. Retour au Home avec majoration de l'antalgie habituelle → poursuite Targin 5/2.5 mg, Oxynorm en réserve 3 mg 6x/jour si douleurs. Majoration du Dafalgan 1 g 3x/jour d'office. Physiothérapie respiratoire. Vu les chutes à répétition, prévoir un bilan de chute si pas déjà effectué en ambulatoire. Radiographies : pas de lésion osseuse visualisée. Radiographies avec incidences scaphoïdes, pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) antalgie. Immobilisation par plâtre scaphoïde contrôle team ortho urgence à 7-10 jours avec radiographies. Radiographies cheville droite face et profil : pas de fracture visualisée : tuméfaction des parties molles péri-malléolaires externes. Pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. (Dr. X) Radiographies cheville droite face/profil. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de fracture. Bonne stabilité de la cheville. Repos, anti-inflammatoires, attelle Aircast, arrêt de travail, contrôle chez le médecin traitant à 1 semaine. Prévoir physiothérapie. Cannes anglaises. Radiographies cheville et pied droits, avec explication donnée par le médecin. Avis Dr. X. Clexane prophylactique. Semelle rigide. AINS, Dafalgan. Suite chez le médecin traitant. Radiographies chevilles et poignet droit. Attitude : retour à domicile avec antalgie. Arrêt de travail jusqu'au 04.07.2018, durant l'arrêt de travail la patiente prendre rendez-vous avec son médecin traitant. Proposition de rendez-vous en consultation rhumatologique pour l'oligo arthralgie actuelle. Radiographies colonne cervicale, de l'épaule et de la clavicule : pas de fracture, explications données au patient. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de lésion osseuse, pas de lésion au niveau de la coiffe des rotateurs. Dafalgan 1 g, Voltaren 75 mg aux urgences. Au vu de l'amélioration des symptômes nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement antalgique. Conseils de reconsulter si péjoration ou apparition de nouveaux symptômes. Radiographies (conseils donnés) Plâtre pour 6 semaines Analgésie. CT main droite et avis orthopédique (Dr. X) en urgence le 12.06.2018. Radiographies coude, épaule et articulation AC, avec explication donnée par le médecin. Avis Dr. X : attelle plâtrée, écharpe, contrôle ortho urgences à 1 semaine. Dafalgan, AINS, IPP et Novalgine en réserve. Radiographies coude gauche, genou gauche et cheville gauche : pas de fracture. Antalgie. Radiographies de la cheville et du pied gauche : décrites ci-dessous. Immobilisation par attelle SplintPod à but antalgique. Anticoagulation par Clexane 40 mg. Tétanos remis à jour aux urgences. Contrôle clinique à la filière des urgences ambulatoires +/- laboratoire si péjoration symptomatologie. Suite en policlinique dans 1 semaine. Arrêt de travail. Radiographies de la cheville gauche et de l'avant-pied gauche : décrites ci-dessous. Avis du Dr. X, orthopédiste. Attelle postérieure plâtrée à 90°. Radiographie post-plâtre : décrite ci-dessous. Brufen 400 mg 3x/jour. Dafalgan 1 g 4x/jour en réserve. Clexane 40 mg 1x/jour pour 6 semaines. Certificat médical d'incapacité de travail pour 7 jours. Rendez-vous à la policlinique d'orthopédie le 06.07 à 15h30. Radiographies de la cheville Attelle Aircast poursuite béquille selon douleur Sportusal crème et antalgie Contrôle d'office chez le médecin traitant dans une semaine. Radiographies de la cheville Avis orthopédique (Dr. X). Anti-inflammatoire et antalgie. Physiothérapie, conseils donnés à la patiente. Certificat médical. Radiographies de la colonne cervicale et lombaire face/profil : décrites ci-dessous. Radiographies de la hanche gauche face/axiale et bassin face : décrites ci-dessous. Mobilisation selon douleurs. Traitement symptomatique par antalgiques anti-inflammatoires et myorelaxants de réserve. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs à 5 jours. Arrêt de travail. Radiographies de la colonne dorsale et lombaire : pas de fracture, explications données au patient. Radiographie du thorax : pas de fracture de côte, pas de pneumothorax, pas d'épanchement, explications données au patient. Stix urinaire : sang d'hématurie microscopique, explications données au patient. Antalgie simple. Conseils de reconsulter si persistance des douleurs. Radiographies de la hanche gauche face/axiale, bassin : pas de fracture visualisée. Radiographies du rachis lombaire et cervical face/profil : pas de fracture visualisée, comparables à des radiographies passées (avis du Dr. X). Stix urinaire : pas d'hématurie. Radiographies de l'épaule, de la jambe et du 1er orteil à gauche : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : retour à domicile avec traitement symptomatique et arrêt médical. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 7-10 jours. Radiographies des doigts : pas de fracture. Avis orthopédique : Dr. X : nous avons troué les ongles pour l'évacuation des hématomes. Pas d'autre contrôle nécessaire, pas d'autre prise en charge orthopédique. Incision des ongles de l'index et du majeur droits à l'aide d'une aiguille. Radiographies des mains et poignet de face le 29.05.2018 Mg : 0.79 mmol/l, PAL 75 U/l, ferritine : 53 ug/l, PTH : 89 ug/l. Radiographies du coude /avant-bras/poignets/cheville droite et genou gauche : pas de fractures visualisées. Radiographies du coude droit : absence de signe direct ou indirect de lésion traumatique ostéoarticulaire. Radiographie du poignet droit : contenu calcique, structures osseuses, rapport articulaire conservés sans lésion traumatique visible. (Dr. X). Radiographies du coude-avant-bras-main-doigt 5 à droite, pouce gauche, genou droit : décrites ci-dessous. Avis orthopédique et passage du Dr. X. Par ce dernier : désinfection, anesthésie en bague, réalignement du 5ème doigt droit, 2 scratch de syndactylie, attelle plâtrée du doigt. Radiographie de contrôle post-plâtre : décrite ci-dessous. Traitement antalgique. La patiente se rendra à la consultation du Dr. X le 29.06.2018 à 15h00. La patiente consultera en urgences si péjoration des symptômes. Radiographies du petit doigt : pas de signe de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : syndactylie pour 5 jours, anti-inflammatoire et antalgie. Radiographies du pied droit. Syndactylie doigt II et III, semelle rigide, antalgie 1er palier. Radiographies du pied face profil oblique : arthrose métatarsophalangienne importante. Pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) ad US du dos du pied à la recherche d'une identification d'une induration en regard du tendon du fléchisseur du 2ème orteil. Contrôle clinique à la filière 34 après l'US et avis orthopédique à demander ce jour (Dr. X est au courant du cas). Semelle rigide et cannes de décharge. Pas d'anticoagulation car la patiente a un déficit en facteur XI. Traitement antalgique et anti-inflammatoire. Radiographies du poignet de face et profil. CT du poignet et de la main à droite. Avis orthopédique (Dr. X et Dr. X) : immobilisation par attelle scaphoïde, contrôle en team membre supérieur à 10 jours. Pas de plâtrier disponible ce soir, ad attelle scaphoïde et RDV le 15.06.2018 pour faire l'attelle plâtrée (à la demande des orthopédistes).Arrêt de travail jusqu'au contrôle orthopédique. Antalgie de 1er pallier. Radiographies du pouce droit : pas de lésion traumatique ostéoarticulaire décelable. (Dr. X). Radiographies du tibia : pas de fracture. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Avis orthopédique (Dr. X) : clinique et laboratoire rassurants permettant d'exclure un abcès. Contrôle clinique d'ici une semaine. Antalgie simple. Arrêt de travail. Radiographies du 09.06.2018 : tuméfaction suspecte au niveau de l'humérus droit avec aspect légèrement anormal de la corticale. Radiographies du 5ème doigt. Traitement symptomatique. Arrêt de sport. Contrôle chez le MT si douleurs persistantes. Radiographies (explications données à la patiente) Aux urgences : Voltaren 50 mg. Analgésie. Radiographies (explications données au patient). Analgésie. Radiographies jambes G, cheville G, pieds et avant-pieds G. Antalgie. Avis orthopédique (Dr. X) Hospitalisation pour antalgie. Radiographies jambes G, cheville G, pieds et avant-pieds G. Avis orthopédique (Dr. X) Hospitalisation pour surveillance syndrome des loges et antalgie. Immobilisation dans gouttière. Radiographies : pas de fracture. Syndactylie. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie • Syndactylie, conseils expliqués pour domicile, matériel remis. Radiographies : pas de lésion osseuse visualisée. TTT : Attelle Aircast, antalgie par Dafalgan + Irfen (en réserve), physiothérapie. Conseils donnés au patient. Radiographies pied et avant-pied gauche. Attitude : Immobilisation par VacoPed. Décharge avec cannes. Clexane prophylactique, conseils donnés à la patiente. Antalgie. Colloque orthopédique le 28.07.2018 : pas de fracture. Peu probable entorse de Lisfranc en raison du mécanisme survenu. • Continuer avec la prise en charge en cours pendant 10 jours. • Contrôle chez le médecin de famille de sa fille si possible à 10 jours sinon contrôle ortho urgences. Radiographies pied. CT pied. Avis orthopédique (Dr. X) : probable entorse du ligament Lisfranc avec arrachement osseux au niveau du cunéiforme. Botte plâtrée fendue 8 semaines, contrôle team pied à 7-10 jours. Bas risque pour un syndrome des loges. Attitude : • Clexane 40 UI 1x/j jusqu'à la fin de l'immobilisation, antalgie 1er pallier, protocole RICE expliqué au patient • Cannes anglaises avec charge max 15 kg. • Contrôle team pied à 7-10 jours. • Arrêt de travail jusqu'au 22.06 (patient grutier) à prolonger selon indication au contrôle. Radiographie. Stix urinaire : propre, pas de sang. Radiographie. Suture et immobilisation par attelle. Ablation de fils à J10. Antalgie. Radiographie du genou droit + rotule droite : délabrement des tissus mous pré-rotuliens, mais pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Les rapports ostéoarticulaires sont conservés et les structures osseuses sont dans les limites de la norme pour l'âge. (Dr. X). Radiographie : absence de fracture. Radiographie. Bandage élastique. Sportusal. Dispense de sport 4 jours. Radiographie de la hanche et du bassin : voir ci-dessous. Examen clinique. RAD, consultera son chirurgien orthopédiste prochainement. Radiographie de la main droite : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. (Dr. X). Radio-synovo-orthèse isotopique. Radio-synovo-orthèse isotopique le 28.06.2018 (Dr. X). Antalgie. Repos pendant 72h avec attelle jusqu'au 01.07.2018. Anticoagulation prophylactique jusqu'au 01.07.2018. CT de contrôle à organiser dans 2 mois. Radiothérapie adjuvante premier entretien le 20.06.2018 et marquage le 21.06.2018. Radiothérapie adjuvante prévue, premier rendez-vous à la fin juin. Radiothérapie élective. Radiothorax 26.05.2018. Antalgie. Physiothérapie respiratoire. Mme. Y présente un état fébrile sur probable virose. Après traitement antipyrétique reçu au tri, elle joue dans la salle d'attente et boit de l'eau. Nous la laissons rentrer avec traitement symptomatique. Rage de dent le 31.05.2018. Rage dentaire. Raideur articulaire épaule gauche post-traumatique. Arthrose AC gauche asymptomatique. Raideur post-traumatique épaule G d'origine X avec : Lésion PASTA (arthro-scanner) du 22.03.2018. Raideur post-traumatique coude droit légère. Mr. Y consulte pour état fébrile avec pleurs. On diagnostique une stomatite aphteuse d'origine infectieuse. On propose un traitement antalgique en systématique et on donne des consignes de réhydratation. Consultation aux urgences si refus de réhydratation. Ralentissement du développement sur le plan des acquisitions motrices. Ralentissement du flux veineux du membre supérieur gauche le 11.03.2018 d'origine iatrogène sur VVC jugulaire gauche. Découverte fortuite d'une veine cave supérieure gauche persistante (cathéter jugulaire gauche longe le médiastin sur son versant gauche) le 02.03.2018. Lésion hépatique focale le 06.03.2018, découverte fortuite. • CT thoraco-abdominal le 02.05.2018. • IRM en ambulatoire à prévoir. Ralentissement psychomoteur. Mr. Y présente des pleurs avec inconfort depuis cette nuit, par intermittence, sans fièvre ni foyer infectieux mis en évidence à la clinique, sans invagination intestinale retrouvée à l'US, sans infection urinaire à l'analyse des urines par sondage. L'enfant reçoit du Dafalgan et de l'Algifor durant la prise en charge aux urgences, par la suite il se calme et ne pleure plus. Nous décidons de le laisser rentrer à la maison au vu d'une clinique rassurante et d'un bilan paraclinique négatif, avec consigne de reconsulter en cas de récidive de crise de pleurs. Ranitidine 150 mg 2x/j dès le 25.01. Mirtazapine 15 mg dès le 25.01. Prégabaline 50 mg 2x/j dès le 31.01. Raphaël est hospitalisé pour prise en charge de sa prématurité. Sur le plan respiratoire, après la CPAP nécessitée durant les premières minutes de vie pendant l'adaptation, il ne requiert aucun soutien respiratoire. Sur le plan alimentaire, Raphaël est d'emblée alimenté par sonde naso-gastrique. Initialement, il est alimenté par du Beba stufe 2, puis dès le 12.06, il prend de l'Aptamil, qui sera l'alimentation poursuivie à domicile. En raison d'une bonne prise orale, la sonde naso-gastrique peut être retirée le 12.06.2018. Sur le plan neurologique, en raison de la prématurité, nous effectuons un ultrason cérébral qui est dans les normes et ne nécessite pas de contrôle ultérieur. Sur le plan métabolique, il présente une bilirubinémie maximale à 195 umol/L le 04.06, avec stabilisation sur 3 jours, raison pour laquelle nous n'effectuons pas de photothérapie. Sur le plan de la croissance, Raphaël est un prématuré de 34 1/7 semaines d'aménorrhée, eutrophe pour les 3 paramètres. Il perd un maximum de 7% de son poids de naissance à J4, qu'il reprend à J8. Il reçoit la vitamine K à la naissance et à J4. Nous vous laissons le soin de lui donner la dernière dose à J28. La vitamine D est débutée à J8. Les oto-émissions acoustiques sont réussies. Il y aura un ultrason des hanches en août. En raison de la bonne évolution, Raphaël rentre à domicile le 13.06.2018, avec un contrôle à votre consultation la semaine prochaine. Mme. Y présente une lésion centimétrique de la fourchette vulvaire post-traumatique. Un avis gynécologique est demandé. Nous réalisons une désinfection à l'Hybidil et, au vu du tarissement spontané du saignement, les gynécologues proposent une prise en charge conservatrice avec contrôle clinique dans 2 jours. Une compresse de Tobotamp est appliquée localement à la sortie pour faciliter l'hémostase. A savoir que Raphaela n'a pas de douleurs intimes et qu'elle a uriné deux fois aux urgences sans problèmes. Le contrôle clinique par le gynécologue nous rassure pour une évolution favorable. Retour à domicile sans nécessité de poursuite du traitement ou d'interventions. Rappel anti-tétanique, désinfection, rinçage puis suture par 5 points simples au Prolène 3/0 sous anesthésie locale. Rappel anti-tétanique. Suture Ethilon 3.0 : 11 points. Rappel antitétanique. Antalgie. Désinfection, pansement sec. Prochain contrôle à 3 jours chez le médecin traitant. Rappel AT aux urgences. Exploration, débridement, lavage, adaptation de la peau et du tissu sous-cutané coude D (OP le 10.06.2018). Antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 1,2 g i.v. 3x/j du 10.06. au 14.06.2018. Rappel AT, exploration de la plaie pouce D à l'aiguille boutonnée, rinçage le 02.06.2018 aux urgences. Suture du tendon extenseur pollicis longus, suture plaie pouce D (OP le 03.06.2018). Prophylaxie antibiotique par co-amoxicilline i.v. du 02 au 03.06.2018 puis co-amoxicilline 1 g p.o. 2x/j pour 3 jours au total. Rappel AT le 09.06.2018 aux urgences (Td-pur 0,5 ml i.m.). Exploration de la plaie dos main G • OS métacarpe IV par une plaque Aptus Hand 2.0 • 2 sutures selon Kessler sur chaque tendon extenseur au Prolène 4.0/PDS 6.0 Dig III à V • Suture connexion intertendineuse Dig III/IV et Dig IV/V selon Kessler au Prolène 4.0/PDS 6.0 (OP le 09.06.2018). Antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 09 au 10.06.2018 puis co-amoxicilline 1 g 3x/j p.o. jusqu'au 15.06.2018. Rappel de vaccination. Rappel DiTe le 27.06.2018. Rappel du tétanos Sutures multiples à Sion (pariéto-temporales droit, maxillaire droit, cuisse droite). Rappel du tétanos Sutures multiples à Sion (pariéto-temporales droit, maxillaire droit, cuisse droite). Attitude : ablation des fils à J5 au visage ablation du reste à J10-J14. Rappel Revaxis fait le 04.06 bras gauche. Vu plaie salle profonde et souillée avec terre : immunoglobuline anti-tétanique 250 UI faite le 04.06 bras droit. Rappel tétanique Surveillance neurologique. Rappel tétanos. Rappel tétanos. Rappel tétanos. Après un bilan radiographique ne retrouvant pas de fracture ni de corps étranger, nous réalisons une désinfection, anesthésie locale, exploration des plaies du coude et de la face palmaire de la main droite ne retrouvant pas d'atteinte des structures nobles, rinçage abondant et suture de la plaie de la main par 3 points d'Ethilon 4.0. Pansement. Contrôle de la plaie à 48h chez le médecin traitant. Ablation des fils à 14 jours. Mobilisation selon douleurs. Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Désinfection des dermabrasions de la scapula. Rappel Tétanos le 24.06.2018. Désinfection et suture de la plaie avec 4 points de Prolène 3-0. Soins de plaie itératifs. Co-amoxicilline 1 g p.o. 2x/j du 24.06.2018 au 29.06.2018. Rappel tétanos. Désinfection. Rappel tétanos. Désinfection, pansement. Contrôle avec changement de pansement dans 48h chez son médecin traitant. Rappel vaccination anti-tétanos. Désinfection, rinçage abondant au NaCl 0.9%, pansement Adaptic. Contrôle de la plaie à 48h chez le médecin traitant. Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Rapport de consultation génétique (Dr. X, HFR Fribourg) à pister (à l'HFR Fribourg). Rapport de Holter de 24h (à pister au service de cardiologie l'HFR Fribourg). Rapport de OGD/colonoscopie 01.06.2018. Résultats des biopsies OGD/colonoscopie 01.06.2018. Rapport définitif de la radiographie de thorax de contrôle. Rapport d'imagerie. Rapport Promed (biopsie osseuse du 30.05.2018). Rapport scanner. Rapport sexuel non protégé avec patient demandeur d'un dépistage. Rapport sexuel non protégé le 19.03.2018. Rapport sexuel sans protection hier. Rapports d'imagerie. Rapports d'imagerie. Rapprochement mère-enfant. Rapprochement mère-enfant pour une patiente 1G devenue 1P le 21.06.2018 par césarienne en urgence pour CTG pathologique à 40 semaines d'aménorrhée. Rash cutané. Rash paraviral. DD : Réaction allergique stade I. Rash prurigineux. Rash suite à l'ingestion de thon. Raya est une prématurée née à 32 1/7 semaines d'aménorrhée, transférée de l'Hôpital de l'Île à l'âge de 8 jours soit 33 1/7 SA pour suite de prise en charge de sa prématurité. Sur le plan respiratoire, elle ne nécessite pas de soutien respiratoire. Raya présente un syndrome d'apnées de la prématurité pour laquelle elle est surveillée par un monitoring complet, mais ne nécessite pas de citrate de caféine. Les symptômes étaient graduellement en diminution jusqu'à la sortie, arrêt du monitoring le 15.06.2018. Sur le plan alimentaire, Raya est alimentée par du lait maternel enrichi avec du FM 4% par sonde naso-gastrique. En raison d'une bonne prise orale, la sonde peut être retirée le 09.06.2018. La croissance est harmonieuse, avec un poids de sortie de 2635 g. Sur le plan hématologique, en raison de sa prématurité, elle est mise au bénéfice de Maltofer dès J15, sans indication à une introduction d'érythropoïétine. Nous vous laissons adapter la posologie du Maltofer jusqu'à l'âge de 6 mois. Sur le plan neurologique, les ultrasons cérébraux effectués à l'Hôpital de l'Île mettaient en évidence une hyperéchogénicité périventriculaire bilatérale, persistante le 28.05.18. Un contrôle avant la sortie montre une stabilité de ces hyperéchogénicités périventriculaires bilatérales, sans argument pour une hémorragie. Avec une naissance à 32 1/7 SA et un poids de naissance >1500 g, Raya n'a pas besoin d'un suivi spécialisé pour son neuro-développement. Sur le plan social, la mère de Raya (Mme. Cherif) a été suivie pendant la grossesse par Mme. N. Uldry, sage-femme conseil, qui a signalé la situation sociale de Mme. Cherif au Juge de Paix. En effet, il a annoncé que le mari de Mme. Cherif pouvait se montrer verbalement maltraitant envers son épouse. Dans ce cadre-là, nous clarifions la situation avec Mme. Cherif, qui nous dit que depuis la naissance de Raya, son mari est devenu attentionné et tendre, l'aidant également dans les tâches quotidiennes. Mme. Brichet, également sage-femme conseil, a pu prendre contact avec la sage-femme à domicile qui continuera de suivre la situation. L'évolution clinique étant favorable, Raya peut regagner son domicile le 16.06.2018. Rayan a consulté pour traumatisme crânien léger. Devant l'examen clinique qui est normal, on autorise un retour à domicile avec consignes écrites de surveillance. Consultation aux urgences pédiatriques si altération de l'état général. RCIU au P3 (Poids de naissance : 2580 g). RCIU au P5 (Poids de naissance : 2450 g). RCIU de type 1 avec Doppler pathologique (brain sparing). RCIU (P7). RCUH découvert 2002 • Remicade stoppé (Anticorps) • Humira stoppé (inefficace) • Actuel : Entyvio (dernière 01.06.2017) et Metoject. Adénocarcinome du haut rectum ypT1 pN0 (0/184) Pn0 L/V0 R0 (initialement cT3 cN1-2 cM0) • Date du diagnostic : 03.07.2017 • Status post-radio-chimiothérapie néo-adjuvante du 10.08 au 14.09.2017 avec Xeloda. • Procto-colectomie totale, confection d'un J-pouch avec anastomose anale et iléostomie de protection le 01.12.2017. Petite embolie pulmonaire sous-segmentaire, non occlusive, dans le segment postéro-basal du lobe inférieur droit (segment 9) le 11.12.2017. • Xarelto dès le 26.12.2017.Suspicion de thrombose d'une petite branche porte à droite avec troubles de la perfusion hépatique entre les segments V et VI 11.12.2017 RCUH depuis 1989 traitée par Imurek et Sandimmun; dernières poussées en avril 2018 et en septembre 2015 RDV à être organisé par le secrétariat de l'orthopédie et convocation de l'enfants. Antalgiques en réserve et consignes de surveillance données Rdv à la consultation de Dr. X le 19.06.2018 pour suite de la prise en charge. Nous laissons le soin à Dr. X d'organiser un CT abdominal de contrôle dans 6 semaines. RDV à la consultation de Dr. X le 12.09.2018 à 14h00 Poursuite de la physiothérapie en ambulatoire et encourager l'activité physique régulière Suivi diététique en ambulatoire à l'HFR de Billens RDV à la FUA le 15.06 pour contrôle clinique si douleurs persistent RDV à la policlinique ortho mercredi 20.06 RDV à l'HFR Fribourg chez le dentiste le 14.06.2018 RDV au chuv prévu pour fin juillet (DTC et consultation). Je reste en contact avec la maman pour le résultat des hémocultures de ce jour et la durée de l'antibiothérapie et également à disposition si besoin d'organiser la suite du bilan neuropsychologique à l'HFR ce qui est possible avec Mme. Y qui connaît bien la drépanocytose et les possibilités de soutien scolaire sur le canton. Contrôle typage HLA pour la greffe va être organisée à l'HFR. En restant à disposition pour la suite, Avec mes meilleures salutations, RDV chez Dr. X le 07.06.2018 à 09h45 pour la suite de la prise en charge et une première infusion d'infliximab Suivi diététique par la nutrition clinique HFR en ambulatoire RDV chez le médecin traitant le 11.06.2018 à 15h00 pour un contrôle biologique des électrolytes (Na, K, Phosphate) et suivi clinique RDV chez Dr. Y, neuropédiatrie, HFR Fribourg le 08.05. RDV chez Dr. Y (service de santé visuelle à Lausanne) le 16.05 à 14h30. RDV chez le médecin traitant le 20.06.2018 RDV chez le médecin traitant le 21.06.2018. RDV chez le phoniatre Dr. X le 25.06.2018 RDV chez Mme. Y le 10.7.18 à 8h30 (nutritionniste). Suite de prise en charge pédopsychiatrique par Dr. Y, informée de la sortie du patient, et qui va le convoquer directement. ECG-holter sur 24h le 12.06.2018 RDV chez son dermatologue dans 15 jours. Rdv chez son gynécologue Dr. X le 03.07.2018 RDV dans 3 semaines à la consultation team spine de l'HFR Fribourg avec RX colonne à prévoir Prochain rendez-vous Dr. X (hématologue) le 02.07.2018 Prévoir densitométrie en ambulatoire Anticoagulation à vie RDV de contrôle en neurologie à Meyriez chez Dr. Y le 26.06.2018 RDV de contrôle en ORL le 04.06.2018. RDV en neuropsychologie en ambulatoire le 11.06.2018. RDV de contrôle pour discussion des résultats. RDV Dr. X (médecin traitant) dans 2 semaines pour : • contrôle hématologique • évaluation arrêt Amlodipine selon valeurs tensionnelles • Transmission des résultats JAK 2 (négatif, mais arrivés en un deuxième temps) RDV en ambulatoire avec Dr. X le 15.06. à 10h. RDV en cardiologie pour pose de Holter le 16.07.2018 à 10h à l'HFR Fribourg. RDV en chirurgie vasculaire (Dr. X) le 25.07.2018 à 15h00 RDV en neurologie (Dr. X) le 21.06.2018 RDV en diabétologie (Dr. X) le 27.06.2018 RDV en filière 34 le 18.06.18 pour un contrôle clinique et biologique. RDV en oncologie (Dr. X) pour la chimiothérapie le 26.06.2018 RDV en chirurgie pour la pose de PAC (recevra une convocation en ambulatoire) RDV en rhumatologie par Dr. Y dans 1 mois Suivi électrophorèse des protéines et immunofixation dans 3 mois Envisager avis orthopédique en ambulatoire pour troubles statiques des pieds Infiltration lombaire à organiser en ambulatoire en cas de persistance des douleurs malgré antalgie Suivi psychiatrique à envisager à la sortie pour un contrôle de spécialité sur la prescription psychotrope Un éventuel accueil de jour pourrait être envisagé en ambulatoire. RDV hématologie avec Dr. X le 20.06.2018 RDV rhumatologie le 26.06.2018 pour Mabthera et consultation avec Dr. X Prochaine consultation en dermatologie à 1 mois Avis ophtalmologique organisé en ambulatoire IRM cardiaque en ambulatoire à CIMED le 26.07.2018 Concernant le Quantiféron positif : re-tester dans 1 mois et avant tout changement pour un anti TNF Vaccin HBV à prévoir Rdv le 09.07.2018 en US pour datation à HFR RDV le 15.06 chez Dr. Y RdV le 18.06.2018 pour pansement et prise de sang (contrôle syndrome de renutrition) Rdv le 19.06.2018 en ORL au CHUV RDV le 20.06.2018 pour pré-hosp pour curétage Réaction à une piqûre de moustique. Réaction allergique Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique à la morphine le 29.05 Réaction allergique à l'amoxicilline probable DD : • allergie autre • rash périinfectieux Réaction allergique à piqûre d'insecte X en 12/2013 Gastrite le 13.02.18 Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 31.03.2018 DD : rupture de kyste ovarien Uro CT(appel Dr. X) : pas d'urolithiase, pas de cholécystite, pas d'appendicite. liquide libre dans le Douglas Avis chirurgical : (Dr. X/Dr. X) : ad uro-CT, pas d'argument pour une appendicite Avis gynécologique : pas de torsion ovarienne, visualisation liquide libre dans le Douglas. si pas d'app, retour en gynécologie pour rupture kyste ovarien. Réaction allergique à une piqûre d'abeille. DD : • inflammatoire. Réaction allergique après piqûre d'hyménoptère. Réaction allergique après piqûre d'hyménoptère. Réaction allergique au Coversum le 13.06.2018 grade I. Réaction allergique cutanée. Réaction allergique cutanée à la Rocéphine probable le 05.06.2018. Réaction allergique cutanée et conjonctive allergique Réaction allergique cutanée le 06.06.2018 • allergène probable : Fentanyl vs Propofol Réaction allergique cutanée locale à une piqûre d'hyménoptère le 09.06.2018. Réaction allergique cutanée localisée au bras gauche probablement sur la prise de morphine intraveineuse. Réaction allergique de stade I sur Bactrim Forte le 11.06.2018 Réaction allergique de stade I sur Bactrim Forte prophylactique le 11.06.2018 Réaction allergique de stade II le 10.06.18 sous allergène inconnu. • DD : noix. Réaction allergique de stade II le 11.06.2017. Réaction allergique de stade II, le 16.06.2018 • Éruption urticarienne • Dyspnée. Réaction allergique de stade III sans allergène précis découvert (lendemain d'une fausse couche) Réaction allergique de stade I avec: • Urticaire. • Facteur déclenchant inconnu. Réaction allergique de type I probable DD : • Rash à l'amoxicilline dans contexte d'infection virale (EBV ?) • éruption para-virale • pas d'argument pour scarlatine ou rougeole Réaction allergique d'origine alimentaire sur consommation de chocolat aux amandes. Réaction allergique grade I sur Zinacef IV le 04.06.2018 Réaction allergique grade I le 21.06.2018. Réaction allergique local régional sur piqûre d'abeille au 4ème doigt main droite. Réaction allergique locale sur piqûre d'insecte. Réaction allergique stade I. Réaction allergique stade I. Réaction allergique stade I au lait artificiel (Aptamil AR et Aptamil HA) avec suspicion d'intolérance aux protéines bovinesRéaction allergique stade I au lait artificiel (Aptamil AR et Aptamil HA) avec suspicion d'intolérance aux protéines bovines Réaction allergique stade I d'origine indéterminée. Réaction allergique stade II le 12.06.2018. Réaction allergique stade II, le 19.06.2018. Réaction allergique stade I à allergène X après introduction de Morphine le 28.03.2018 Réaction allergique sur amoxicilline Réaction allergique sur Gadolinium suite à une IRM cérébrale. S/p post opération déviation cloison nasale 1978. S/p ligature des trompes 1971. S/p 3 AVB. Réaction allergique sur piqûre de tique le 30.05.2018. Réaction allergique sur piqûres d'insecte X le 30.06.2018 avec probable surinfection cutanée. Réaction allergique sur probable piqûre d'insecte. DD : phlébite superficielle et érysipèle en juillet 2013. Céphalées avec hypoesthésie périorbitaire gauche spontanément résolutives le 18.05.2017. Pharyngite aiguë de l'adulte en juin 2014. Contusion du poignet gauche en avril 2014. Éclat de métal dans le pouce face postérieure de la phalange distale avec immobilisation du pouce par attelle Alu. Réaction anaphylactique. Réaction anaphylactique. Réaction anaphylactique après une consommation de fraise. Réaction anaphylactique cutanée sur Céfépim le 13.06.2018 • érythème diffus Réaction anaphylactique cutanée sur Céfépime le 13.06.2018 • érythème diffus Réaction anaphylactique de grade 2. Réaction anaphylactique de stade I Réaction anaphylactique de stade I avec: • extension urticaire sous Xyzal. Réaction anaphylactique de stade II après ingestion de sésame. Fracture de l'humérus. Multiples traumatismes suite à bagarre: • FAST le 15.01.2014: pas de liquide libre ni pneumothorax. • Rx thorax le 15.01.2014: pas de pneumothorax, pas de fracture visible, silhouette cardiaque normale. • Rx Abdo le 15.01.2014: pas de fracture visible. • Rx humérus gauche le 15.01.2014: Présence de multiples matériel d'ostéosynthèse. Pas de fracture fraîche visible. Plaie frontale gauche avec saignement artériolaire. Boursite traumatique coude droit. Réaction anaphylactique de stade III le 20.08.2016: • Tavegyl 4 mg IV+ Solumedrol 125 mg/IV+ Adrénaline 0,4 mg sc. Anaphylaxie de stade II possiblement sur clou de girofle. • EpiPen 0.3 mg, Tavegyl 2 mg, Solumédrol 125 mg. Réaction allergique avec suspicion d'un œdème de Quincke le 17.01.2017. Réaction anaphylactique de stade III le 20.08.2016: • Tavegyl 4 mg IV+ Solumedrol 125 mg/IV+ Adrénaline 0,4 mg sc. Anaphylaxie de stade II possiblement sur clou de girofle. • EpiPen 0.3 mg, Tavegyl 2 mg, Solumédrol 125 mg. Réaction Allergique avec suspicion d'un œdème de Quincke le 17.01.2017. Réaction anaphylactique de stade II-III. Réaction anaphylactique de stade IV le 28.07.2016. DD : alimentaire (crevettes) - médicamenteuse (Ibuprofen). Réaction anaphylactique de stade IV post-opératoire sans trigger identifié (suspicion médicaments anesthésiques, latex) Réaction anaphylactique de stade III Réaction anaphylactique Degré III Réaction anaphylactique Degré III le Réaction anaphylactique (grade 3) sur thérapie de désensibilisation pour poils de chat Réaction anaphylactique stade III Réaction anaphylactique stade III sur Gadolinium Syncope convulsivante dans le cadre de la réaction allergique • EEG le 11.07.2012 Crise hypertensive le 12.04.18 : • Avec un épisode d'épistaxis de 30 min • Céphalée en casque Crise hypertensive à 190 mmHg le 19.04.2018 • Dans contexte d'hypertension artérielle probablement essentielle non traitée Réaction anaphylactique stade III sur Gadolinium Syncope convulsivante dans le cadre de la réaction allergique EEG le 11.07.2012 Avis neurologique Crise hypertensive le 12.04.18 : • avec un épisode d'épistaxis de 30 min • céphalée en casque Crise hypertensive à 190 mmHg le 19.04.2018 • dans contexte d'hypertension artérielle probablement essentielle non traitée Réaction anaphylactique stade II-III, le 22.06.2018, probablement d'origine alimentaire (pizza). Réaction anaphylactique suite à une piqûre d'abeille Réaction anaphylactique suite à une piqûre d'abeille avec bonne évolution sous corticoïdes et antihistaminiques. Réaction asthmatique probable, d'origine allergique, le 12.06.2018. Réaction cutanée aspécifique DD : réaction allergique à l'amoxi Réaction cutanée lors de la péridurale. Tabagisme actif (7-8 cigarettes/jour). Réaction cutanée sur Cytarabine le 28.05.2018 • éruption cutanée (paupières, extrémités) • EF persistant, altération de l'état général Réaction cutanée sur piqûre abeille (DD cellulite) Réaction de stress psychique et physiologique secondaire à un divorce récent. Réaction dépressive suite à des traumatismes et dans un contexte d'émigration (demande d'asile) - F43.1. Réaction d'hypersensibilité au site d'injection vaccinal DD : cellulite dans un contexte post-vaccinal Réaction d'hypersensibilité cutanée au Tegardem Réaction d'hypersensibilité de stade II (Muller) sur un allergène indéterminé. Réaction d'hypersensibilité localisée de l'oreille gauche sur probable piqûre d'insecte DD : • surinfection cutanée • pas d'argument pour mastoïdite Réaction d'hypersensibilité sur piqûre d'insecte probable DD : cellulite débutante (peu d'arguments) Réaction d'hypersensibilité sur une piqûre de moustique DD : pas d'argument pour cellulite Réaction érythémateuse localisée le 27.07.2013. Réaction immunologique suite à une piqûre d'abeille Réaction inflammatoire locale. Réaction inflammatoire suite à une probable piqûre d'insecte Réaction inflammatoire sur piqûre de taon. Réaction inflammatoire sur piqûre d'insecte le 29.06.2018. Réaction locale à des piqûres d'insecte. Réaction locale à une piqûre d'hyménoptère. Réaction locale à une piqûre d'insecte. Réaction locale toxique de la joue gauche le 04.06.2018 suite à la piqûre d'hyménoptère le 03.06.2018. Réaction post-prise de médicament. Réaction scombroïde sur consommation de thon le 28.06.2018 DD : • réaction allergique de stade II Réaction toxique locale avec légère tuméfaction de la face dorsale de la main droite sur piqûre d'insecte. Réaction urticarienne sur piqûre d'insecte le 21.06.2018. Réactions allergiques. Réactivation de Tuberculose pulmonaire le 28.05.2018 • CT thoracique du 04.05.2018 : Nodules pulmonaires disséminés et comblement alvéolaire du lobe moyen droit avec adénopathies adjacentes • PCR MTB complexe du 18.05.2018 : décelé • MTB réponse spécifique CD4 : 0.49 UI/ml • Contexte de toux sèche, sueurs nocturnes, perte pondérale 15 kg en 3 ans et demi, état fébrile Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation. Réadaptation à la marche avec botte plâtrée Soins de plaie Réadaptation après : • Fracture de côte gauche sur chute avec traitement conservateur en service de chirurgie du 03.05.2018 au 06.05.2018 • Pneumonie basale gauche traitée par Co-Amoxicilline dernière dose le 12.05.2018 • Maladie bitronculaire avec fraction d'éjection du ventricule gauche à 30% sous Entresto 50 mg 2x/j Réadaptation après amputation trans-métatarsienne du 2ème métatarse orteil droit le 30.05.2018 Réadaptation après embolie pulmonaire. Réadaptation après embolie pulmonaire segmentaire bilatérale avec surcharge du cœur droit le 01.06.2018 : • Thrombolyse par cathétérisme (EKOS) à l'Inselspital Bern Réadaptation après éventration ombilicale. Réadaptation après fracture péri prothétique de la hanche gauche type Vancouver B3 le 23.04.2018 Réadaptation après fracture pertrochantérienne droite type Kyle 1 le 03.05.2018 Réadaptation après hémiarthroplastie pour fracture du col fémoral gauche, Garden II, le 08.05.2018 Réadaptation après neuropathie de la maladie critique avec forte déconditionnement Réadaptation après ostéosynthèse de fracture spiroïde du tiers tibial distal du membre inférieur gauche le 04.06.2018 Réadaptation après pneumonie. Réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Marche en charge selon douleurs sous couvert de 2 cannes anglaises • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto jusqu'au 16.06.2018 Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire. Réadaptation cardiovasculaire. Réadaptation cardiovasculaire. Réadaptation cardiovasculaire. Réadaptation cardiovasculaire • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine cardio pour une durée de 3 mois • Carte d'endocardite remise au patient Réadaptation cardiovasculaire ambulatoire à l'HFR Billens • Contrôle à la consultation du Dr. X le 16.07.2018 à 16h30 à l'HFR Fribourg • Coronarographie le 24.08.2018 à 07h00 à l'HFR Fribourg Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine à vie et Efient pendant 12 mois • Adaptation du traitement cardio-modulateur par IECA, bêtabloquant et antidyslipidémique • RX thoracique (03.05.2018) • Holter 72 h (11-14.05.2018) • ETT (18.05.2018) • Consultation chez la Dr. X (tabacologue) • Contrôle clinique chez le Dr. X le 30.05.2018 à 10 h • Coronarographie élective chez le Dr. X en août 2018 Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine à vie • Interdiction à soulever des poids > 5 kg pendant 3 mois • Contrôle clinique chez un cardiologue à fixer par la patiente Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine Cardio à vie et Clopidogrel pendant 6 mois • Adaptation du traitement cardio-modulateur par IECA, bêtabloquant et statine • Contrôle clinique chez le Dr. X le 12.06.2018 à 10h30 • Ergométrie dans une année Réadaptation cardiovasculaire • Bilan d'entrée : anamnèse, examen clinique, ECG, laboratoire, radiographie du thorax • Bilan de sortie : ECG, laboratoire • Surveillance de l'épanchement péricardique : ETT à 2 reprises • Prednisone selon schéma dégressif du 08-16.06.2018 • Anticoagulation par Xarelto • Cordarone 200mg 3x/jour du 22.06.2018 au 29.06.2018 Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire • Adaptation du traitement médicamenteux • Carte de prophylaxie remise au patient • Contrôle à la consultation du Dr. X dans 6 semaines. Une convocation lui parviendra. Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine cardio 100 mg à vie, Plavix 75 mg durant 6 mois Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Carte de prophylaxie de l'endocardite remise au patient Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine 100 mg à vie, Efient 10 mg durant une année Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine Cardio à vie, Plavix durant 6 mois Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine Cardio 100 mg pendant 1 mois • Brilique 90 mg 2x/jour pendant 6 mois puis 60 mg 2x/jour à vie Réadaptation cardiovasculaire. • Contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine Cardio 100 mg à vie Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine Cardio 100 mg, à vie • Plavix 75 mg, durant une année Réadaptation cardiovasculaire. • Contrôles des facteurs de risque cardiovasculaire. • Adaptation du traitement médicamenteux. • Aspirine Cardio à vie, Plavix pendant une année. Réadaptation cardiovasculaire stationnaire à l'HFR Billens dès le 04.06.2018 Contrôle chez la Dr. X le mercredi 04.07.2018 à 10h30 (généraliste du patient et cardiologue) • adaptation des traitements de prévention secondaire • ergométrie à prévoir à 1 année de l'infarctus Réadaptation cardiovasculaire • Adaptation du traitement antihypertenseur • ECG de contrôle • ETT du 15.05.2018 • Contrôle clinique chez le Dr. X à fixer par la patiente Réadaptation cardiovasculaire • Adaptation du traitement cardio-modulateur • Interdiction à soulever > 5 kg pendant 3 mois • Contrôle à la consultation ambulatoire de Dr. X le 25.06.2018 à 15h30 • Aldactone 25mg 1x/jour Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine à vie, Clopidogrel pendant 12 mois • Marcoumar à vie • Adaptation du traitement par IECA, bêtabloquant et statine Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine à vie et Brilique jusqu'au 30.03.2019 • Adaptation du traitement par IECA, bêtabloquant et statine • Contrôle clinique chez la Dr. X avec éventuel test d'effort Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine à vie et Clopidogrel jusqu'au 01.06.2018 • Adaptation du traitement par IECA, anti-calcique et bêtabloquant • Contrôle clinique chez le cardiologue Réadaptation cardiovasculaire • Aspirine à vie • Interdiction de soulever plus 5 kg pendant 3 mois • Contrôle clinique chez le Dr. X et le Dr. X à fixer par le patient Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine Cardio 100 mg à vie, Brilique 90 mg pendant une année Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaire • Adaptation du traitement médicamenteux • Contrôle à la consultation du Dr. X le 09.07.2018 • Suivi cardiologique avec ETT à la consultation de son cardiologue Dr. X dans 3 mois Réadaptation cardiovasculaire • Contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine Cardio 100 mg, à vie. Réadaptation cardiovasculaire • Contrôles des facteurs de risque cardiovasculaire • Adaptation du traitement médicamenteux • Carte de prophylaxie de l'endocardite remise au patient • Contrôle à la consultation du Dr. X dans 6 semaines Réadaptation cardiovasculaire. • Contrôles des facteurs de risque cardiovasculaire • Adaptation du traitement médicamenteux • Aspirine à vie, Efient pendant 12 mois • Pantozol pour la durée du traitement d'Efient Stopper Efient le 11.06.2018, ad Brilique 90 mg 2x/jour pour une année car présence d'hématomes sous Efient. Contrôle chez la Dr. X le mercredi 04.07.2018 à 10h30 (généraliste du patient et cardiologue) Ergométrie à prévoir dans une année Réadaptation cardiovasculaire • Contrôles des facteurs de risques cardiovasculaires • Adaptation du traitement médicamenteux • Ponction péricardique thérapeutique et diagnostique le 26.04.2018 (Dr. X) Réadaptation gériatrique Réadaptation gériatrique Réadaptation gériatrique.Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz Réadaptation gériatrique après changement de vis céphalique hanche droite le 06.06.2018. Réadaptation gériatrique après prise en charge chirurgicale d'une diverticulite sigmoïdienne aiguë abcédée et perforée. Réadaptation gériatrique après une décompensation cardiaque globale le 04.04.2018 dans un contexte infectieux. Réadaptation gériatrique post-opératoire après confection d'un lambeau musculo-cutané pédiculé du muscle péronier (09.07.2017) pour perte de substance cutanée suite à une infection profonde de la cheville gauche sur morsure de chat le 14.06.2017. Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique au HFR Billens • Adaptation du traitement antalgique • Mobilisation et charge libre selon douleurs sous la conduite de la physiothérapie; mobilisation avec Kinetec pour une flexion/extension à 120-0-0° 3x/j • Contrôle clinique chez le Dr. X le 06.07.2018 à 10h Réadaptation musculo-squelettique au HFR Billens • Avis neurochirurgie et orthopédie: pas d'indication opératoire actuelle, si persistance des douleurs après antibiothérapie recontacter neurochirurgie • Antalgie Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de max 10 kg MIG pendant 6 semaines postopératoires avec attelle Jeans jusqu'au 03.07.2018. Mobilisation libre du genou hors de l'attelle sans charge. • Ablation des fils le 05.06.2018 • Adaptation de l'antalgie • diminution progressive des antalgiques (Oxycontin, Dafalgan) qui peuvent être stoppés avant le RAD • Prophylaxie thromboembolique par Clexane jusqu'au 03.07.2018 • Contre-indication à la conduite automobile jusqu'au prochain contrôle radio-clinique Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Ablation des fils le 14.06.2018 • Adaptation de l'antalgie • Mobilisation libre selon douleurs, sauf flexion/extension durant 2 mois post-opératoire • Contrôle radio-clinique à la consultation Seam Spine le 12.07.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie : • Ajout d'un Palexia rapide le soir 25 mg avec bonne réponse clinique • Bilan biologique : pas de dysthyroïdie, pas de diabète, pas d'anémie Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Minerve mousse renforcée à garder pendant 3 mois • Consilium stomato et maxillo-facial pour les plaies • RDV team Spine le 19.06.2018 • Sevrage de l'oxygène le 22.05.2018 • Soins de plaie frontale et traitement de cicatrice Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Marche en charge selon douleurs • Ablation des stéristrips le 12.05.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Gilet d'abduction pour 6 semaines. • Immobilisation sur coussin d'abduction pour 6 semaines et mobilisation depuis le coussin jusqu'à 100° en élévation, rotation externe 10° et rotation interne au ventre. Pas de port de charges. • Contrôle régulier de la plaie. Ablation du Comfeel® à J14. • Adaptation de l'antalgie : • Arrêt du Targin dès le 07.06.2018 • Arrêt du Dafalgan le 15.06.2018 • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg inj sc jusqu'au 05.06.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Immobilisation dans un Schlupfgips en charge touch down pendant 6 semaines jusqu'au 22.06.2018 • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane puis Xarelto 10 mg Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de 15 kg, flexion maximale de 70°, pas d'abduction active, pas d'adduction passive au-delà de la ligne médiane pendant 8 semaines postopératoires • Kinetec • Pas de thérapie en piscine, pas d'exercice de renforcement jusqu'au prochain contrôle de suivi • Ablation des fils le 29.05.2018 • Adaptation de l'antalgie : • Arrêt de la Novalgine le 12.06.2018 • Prophylaxie thromboembolique par Clexane jusqu'à récupération d'une charge complète du MIG Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de 15 kg, pas de flexion hanche >70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto jusqu'au 15.06.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines postopératoires. Flexion de hanche max 70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance. Mouvement rotatoires à éviter. • Contrôle régulier de la plaie à travers le Comfeel, ablation du Comfeel le 20.06.2018, fils résorbables. • Adaptation de l'antalgie : • Arrêt du Brufen au profit du Celebrex en raison d'épigastralgies le 15.06.2018 • Diminution progressive de l'Oxycontin avec arrêt de ce dernier dès le 25.06.2018 • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10mg jusqu'à 6 semaines Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10mg pendant 6 semaines Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs avec attelle genou en extension. Mobilisation passive en flexion extension jusqu'à max 90° de flexion • Adaptation de l'antalgie • Contrôles réguliers des plaies et ablation des fils le 04.06.2018 • Thromboprophylaxie par Clexane pour 6 semaines Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs et mobilité autorisée 90/0/0. • Ablation des agrafes le 22.05.2018 • Prophylaxie thromboembolique par Clexane, puis relais par Xarelto jusqu'au 08.06.2018 • Adaptation de l'antalgie : • Majoration du Targin à 15 mg le matin dès le 18.05.2018 • Diminution du Targin à 10-0-10-0 mg dès le 25.05.2018 • Diminution du Targin à 5-0-5-0 mg dès le 28.05.2018Arrêt du Targin le 30.05.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Ablation des fils le 13.06.2018 • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane puis Xarelto 10 mg jusqu'au 01.07.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Adaptation de l'antalgie : • Oxycodone en réserve • Prégabaline 2x150 mg depuis le 13.06.2018 RDV en neurologie à l'HFR Fribourg le 19.06.2018 : examen compatible avec une irritation chronique L5 gauche. Il n'existe pas de signes de dénervation. La neurographie ne montre pas de polyneuropathie. Contrôle clinique par Dr. X le 26.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Adaptation de l'antalgie • Arrêt du Brufen dès le 06.06.2018 • Gonalgies D en diminution progressive depuis l'opération pour la PTH D. Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 28.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Adaptation de l'antalgie • Contrôle régulier du Comfeel et ablation des fils le 08.06.2018 • Clexane thérapeutique dès le 28.05.2018 puis reprise du Xarelto le 04.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg dès le 14.05.2018, pendant 6 semaines postopératoires • Ablation des fils le 22.05.2018 • Adaptation de l'antalgie • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en décharge complète du MIG avec attelle Jeans pendant 6 semaines postopératoires. Mobilisation du genou G : actif assisté max 40°, de préférence dans l'eau. • Ablation des fils le 19.06.2018 • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane jusqu'au 18.07.2018 • Contrôle radio-clinique le 18.07.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Mobilisation en charge selon douleurs; mobilisation avec Kinetec pour une flexion/extension à 120-0-0° 3x/j • Adaptation du traitement antalgique • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Mobilisation MSG : coussin d'abduction + mobilisation libre en actif assisté en physiothérapie + pas de travail en force de la main G pendant 6 semaines • Mobilisation pied G : RAM en charge max 15 kg pendant 8 semaines avec botte de marche • Pied G : ablation de la broche plantaire à 6 semaines et ablation des autres broches à 12 semaines Adaptation de l'antalgie : • Douleurs du poignet G le 15.06.2018, avec bonne réponse à l'introduction d'un traitement par Brufen 400 mg 2x/j qui peut ensuite être stoppé. Contrôles réguliers des plaies, ablation des Comfeel à J14 Prophylaxie thromboembolique par Clexane jusqu'à fin de l'immobilisation. • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Mobilisation progressive des 2 genoux en physiothérapie, dans le but d'obtenir 90° de flexion au 3ème mois postopératoire. • Marche en charge, sous protection de 2 cannes anglaises et de 2 attelles en extension • Tonification des quadriceps et suppression des attelles à la marche dès force à M3 • Adaptation de l'antalgie • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Préparation du moignon et appareillage • Prise en charge de la plaie du moignon • Dès le 18.05.2018 : rinçage au Prontosan et mise en place de Pyrogel, compresse et bande de gaz. • Réhabilitation avec la prothèse dès le 02.05.2018 • Adaptation de l'antalgie • Dafalgan 1g 3x/j • Douleurs fantômes : Lyrica progressivement diminué, thérapie du miroir en ergothérapie Bilan neuropsychologique Contrôle à la consultation du Dr. X le 17.05.2018 : plaie calme, sans signe inflammatoire, surface stable, en amélioration. Contrôle à la consultation du Dr. X le 14.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • RX hanches et bassin • Adaptation de l'antalgie • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Marche en charge selon douleurs • Ablation des stéristrips le 02.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Thromboprophylaxie par Eliquis 2.5 mg 2x/j • Poursuite du traitement antibiotique par Rocéphine 2g/j IV du 17.05 au 05.06.2018 puis Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 06.06 au 14.08.2018 • Frottis de la plaie le 29.05.2018 • Ablation de la VVC le 06.06.2018 • Ablation des agrafes le 12.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Gilet orthopédique jusqu'au 18.06.2018, mobilisation libre du coude, poignet et des doigts • dès le 15.06.2018 : mobilisation active et active assistée de l'épaule selon douleurs • Adaptation de l'antalgie • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Gilet orthopédique pour 6 semaines postopératoires, mobilisation passive et active assistée max 90° en abduction et flexion, RE 10°, RI sur ventre • Adaptation de l'antalgie • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle 10 à 15 kg pendant 6 semaines, puis augmentation progressive de la charge • Ablation de fils le 29.05.2018 • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'au 26.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs, sans appui au niveau du MSG • Adaptation de l'antalgie • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Ablation des fils le 19.05.2018 • Adaptation de l'antalgie (intolérance GI aux AINS, Dafalgan, opiacés) • Suivi de l'hématome dorsal en regard de la cicatrice • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Ablation des fils le 25.05.2018 • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie par Xarelto jusqu'au 11.06.2018 • Réhabilitation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie. • Mobilisation en charge partielle de 15 kg à l'aide de 2 cannes anglaises pendant 6 semaines. Éviter les mouvements rotatoires de la hanche, ainsi que les flexions > 70° pendant 6 semaines. • Adaptation de l'antalgie (Palladon, Oxynorm en réserve). • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/jour pendant 6 semaines. • Contrôle radiologique le 29.05.2018 + avis Dr. X : bonne évolution, possibilité de passer à une charge totale. • Réhabilitation pour déconditionnement global, après status de décompensation cardiaque globale le 08.05.2018 • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Gazométries, spirométries, capnographies nocturnes • RX thorax • Adaptation de l'oxygénothérapie et de la VNI • Mise en place d'un traitement par Vannair et Spiriva dès le 08.06.2018. • Relvar 92/22 mcg et Incruse 55 mcg en suspens • Score de Bode, à la sortie : 6 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Gazométries, spirométries, oxymétrie nocturne • RX thorax • Traitement par Pulmicort en suspens. Pas de péjoration de l'état respiratoire. Traitement à ne pas reprendre. • Introduction de l'Ultibro le 04.05.2018 • Conseil à donner pour le maintien de l'arrêt du tabac. Patiente motivée qui s'inquiète d'une rechute. Nicorette inhaler.Possible DD de pneumopathie d'hypersensibilité : récidive d'EF et péjoration de la dyspnée à 2 reprises suite au RAD, bonne évolution après la prise de Prednisone. En cas de péjoration à la sortie de Billens : envisager CT et bronchoscopie pour investiguer ce DD. Score de Bode, à la sortie : 1 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Gazométries, spirométries • RX thorax Score de Bode, à la sortie : 5 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Gestion de l'antalgie • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Spirométrie, capnographie et oxymétrie nocturnes • RX thorax • Adaptation de l'oxygénothérapie Score de Bode, à la sortie : 8 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Gazométrie, spirométries, oxymétrie nocturne • RX thorax • Adaptation de l'oxygénothérapie avec possibilité de diminuer le débit à 1lt/min • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Gazométries, spirométries, capnographie nocturne • RX thorax Score de Bode, à la sortie : 9 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Gazométries, spirométries, capnographie/polygraphie nocturne • RX thorax Score de Bode, à la sortie : 5 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Gazométries, spirométries, oxymétrie nocturne • RX thorax Score de Bode, à la sortie : 9 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Gazométries, spirométries, oxymétrie/capnographie nocturne • RX thorax • Adaptation de l'oxygénothérapie Score de Bode, à la sortie : 8 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Adaptation de l'oxygénothérapie • Gazométries, spirométries, capnographie nocturne • RX thorax • Adaptation de l'oxygénothérapie • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Poursuite du traitement inhalateur habituel • Gazométrie, oxymétrie • RX thorax • Adaptation de l'oxygénothérapie • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort. Axotide 250 mcg 2 inhal 2x/j, Anoro 1x/j et Ventolin en R Gazométries, spirométries, capnographie, oxymétrie nocturne. RX thorax Introduction d'Azithromycine 3x/semaine Score de Bode, à la sortie : 4 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Gazométrie, spirométries, oxymétrie nocturne • RX thorax Score de Bode, à la sortie : 3 • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Majoration Vannair • Spirométries, gazométries et oxymétrie nocturne • Majoration du traitement habituel de Vannair à 200 mcg 2x/j • Sevrage O2 réussi, à garder à l'effort • RX thorax • Réhabilitation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort • Suivi des paramètres inflammatoires • Persistance de l'atélectasie du lobe inférieur D : > Suivi par CT thorax et RX thorax à plusieurs reprises (cf. examens complémentaires infra.) > CPAP (6-8) dès le 25.05.2018 avec nébulisateur NaCl et physiothérapie pour désencombrement bronchique. Majoration des pressions dès le 30.05.2018 (10 IPAP). > Ponction pleurale et analyse du liquide pleural le 04.06.2018 : • Critère de Light : exsudat (LDH pleural 231 U/l, LDH pleural/plasmatique 0.31, Protéine pleurale/plasmatique 0.62). • Retrait de 4 dl. Exsudat lymphocytaire probablement réactionnel. • Culture du liquide pleural 04.06.2018 : négatif > Bronchoscopie le 05.06.2018 : poumon oedématié, retrait et rinçage de matériel. • Liquide broncho-alvéolaire 05.06.2018 : flore bucco-pharyngée en petites quantités • Réhabilitation respiratoire • Réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens, la patiente sera convoquée Fonction pulmonaire durant la réhabilitation Poursuite de la prise en charge pneumologique par Dr. X Vu les traitements répétitifs avec des corticostéroïdes, nous proposons de mesurer l'HbA1c à distance • Réhabilitation suite à une fracture tibiale avec correction chirurgicale. • Réafférentation. • Halopéridol d'office et en réserve. • Consilium psychiatrique. • Consilium neuropsychologique agendé au 12.07.2018 à l'HFR Riaz. • Réanimation cardio-pulmonaire en extra-hospitalière • Réanimation cardio-pulmonaire (3 chocs; 3mg d'Adrénaline; 9min) le 19.06.2018 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique du 19.06 au 22.06.2018 Coronarographie le 19.06.2018 Ballon de contre-pulsion intra-aortique du 19.06 au 21.06.2018 ETO le 19.06.2018 : pas de péjoration de l'insuffisance aortique sous IABP Cathéter artériel radial droit du 19.06 au 22.06.2018 VVC coolgard fémoral gauche du 19.06 au 21.06.2018 Noradrénaline du 19.06 au 20.06.2018 Dobutamine du 19.06 au 20.06.2018 Héparine thérapeutique du 19.06 au 22.06.2018 • Réanimation cardio-pulmonaire Défibrillation 2 chocs à 200 J et 3 mg d'Adrénaline • Réanimation extrahospitalière Normothermie contrôlée du 27 au 28.06.2018 Adrénaline le 27.06.2018 Noradrénaline du 27.06.2018 au 28.06.2018 • Réassurance. • Réassurance. • Réassurance. • Réassurance. Arrêt du Xarelto (dont le dosage n'est pas adapté pour une thrombose veineuse profonde). Contrôle chez la permanence. • Réassurance. Contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine prochaine. • Réassurance de la maman de la patiente et explications quant à la nécessité de surveiller l'apparition d'un érythème chronique migrant. Retour à domicile. • Réassurance de la maman Proposition de filmer si prochain épisode • Réassurance de la mère, conseil de diminuer la consommation de myrtilles • Réassurance de la patiente et explication qu'il s'agit d'un phénomène tout à fait naturel et physiologique. • Réassurance des parents et observation à domicile Contrôle déjà prévu chez le pédiatre demain Reconsulter avant si péjoration des symptômes ou de l'état général • Réassurance, désinfection, pansement simple, antalgie en réserve, contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine, à fixer par la patiente. • Réassurance, discussion avec patient. Temesta 1 mg. Retour à domicile avec traitement de Temesta d'office à revoir avec son médecin psychiatre dans la semaine. • Réassurance du patient et conseil de respecter une bonne hygiène de sommeil en évitant l'usage de smartphone en fin de soirée. La patiente consultera chez son médecin traitant afin de discuter d'un traitement contre l'insomnie. • Réassurance du patient, il lui est expliqué que la partie qu'il a sectionnée est surtout là pour éviter un glissement du plâtre. Prise en charge comme prévu en policlinique d'orthopédie dans 1 semaine. • Réassurance maternelle et explications données. • Réassurance sur les instructions, le comportement et les signes à surveiller (feuille explicative). • Réassurance. Antalgie avec Dafalgan Conseil d'arrêter le Cannabis. • Réassurance. Consultation médecin traitant. • Réassurance. Explication du diagnostic, intervention brève concernant l'arrêt du tabagisme et ses bénéfices, recommandation d'en discuter avec son médecin traitant. • Réassurance Le patient est prié de reconsulter en cas de péjoration des douleurs ou de l'apparition de nouveaux symptômes. Antalgie. Certificat médical. • Réassurance.Prescription de Strepsil dolo comprimés à sucer. A noter que le patient se présente avec un agenda caché, aurait été traité en 2004 au Portugal pour un cancer X de la gorge, traité par radio-chimio-thérapie en rémission depuis lors. En raison de l'odynophagie, le patient est inquiet quant à un risque de récidive du dit cancer, raison de sa consultation ce jour. Nous proposons donc au patient qu'il discute avec son médecin traitant afin d'organiser un contrôle chez un ORL. Le patient se dit rassuré de cette proposition et prendra donc prochainement rendez-vous chez son médecin traitant. • Réassurance. • Réévaluation par le médecin traitant si péjoration. • Discussion avec famille sur l'intérêt d'un entourage familial et suivi par le psychiatre traitant. • Réassurance. • Traitement symptomatique. • Récemment opérée à l'épaule pour une tendinopathie non spécifiée et une décompression du tunnel carpien à droite. • Récepteur soluble à la transferrine dans la norme, acide folique à 3.4 mmol/l, vitamine B12 dans la norme Sang occulte dans les selles : 1er négatif Substitution acide folique Recherche de sang occulte dans les selles • RECEPTION LE 28.06.2018 DU RAPPORT DEFINITIF DE RADIOLOGIE. Mise en évidence de fractures non déplacées des deux poignets (fracture processus styloïde radius D et fracture longitudinale, intra-articulaire versant médial radius G) non mises en évidence aux urgences le 24.06.2018. Pour rappel, status poignet le 24.06 : douleur poignet D > G à la mobilisation. Pas de déformation, pas d'hématome, pas de tuméfaction, pas de déficit vasculaire ou neuro. Mobilité avec douleur aux mouvements de pronation. Douleur palpation des deux radius distaux. Avis ortho demandé le 28.06 au vu de ces nouvelles informations (Dr. X et Dr. Y) : reconvoquer le patient pour CT des deux poignets, de l'épaule et de la clavicule D puis contrôle en F34 par médecin assistant + ortho. Rendez-vous organisé le 28.06 --> patient contacté, viendra le 29.06 pour CT à 12h45 et rendez-vous F34 à 14h. • Réchauffement externe : • par cristalloïdes chauffés • couverture à air pulsé (Bair Hugger) • Réchauffement par cristalloïdes chauffés Couverture à air pulsé (Bair Hugger) • Recherche bactérienne par PCR dans les selles : négative Hémocultures le 23.04.2018, 26.04.2018 et le 02.05.2018 : négatives CT abdominal natif injecté 21.04, 25.04.2018 OGD et colonoscopie le 05.05.18 avec biopsies duodénum, estomac et cadre colique. Avis infectiologique (26.04.2018) Ceftriaxone + Metronidazole IV du 21.04 au 23.04.2018 Pipéracilline-Tazobactam du 23.04 au 26.04.2018 Ciprofloxacine per os et Metronidazole per os du 26.04.2018 au 8.5.2018 • Recherche clostridium négative Compensation des pertes Perenterol du 1 au 09.3.15 • Recherche de Clostridium dans les selles : négative Ad Pérentérol. • Recherche de Clostridium dans les selles : négatif • Recherche de Clostridium : négative • Recherche de Clostridium : négative • Recherche de Clostridium : négative Metronidazole 500 mg 3x/j i.v. du 26.05 au 30.05.2018 • Recherche de la nature de l'épanchement : • Exsudat ? • Transudat ? • Recherche de sang occulte à distance. Consultation gynécologique à organiser. Gastroscopie et colonoscopie à distance. • Recherche de tuberculose demandée par la néphrologie (Dr. X) : en attente Avis urologique les 23 et 24.05.2018 (Dr. Y) : pas d'indication à une antibiothérapie vu patient asymptomatique ; tout de même prélever sédiment et culture d'urine ; changement de sonde à prévoir pendant cette hospitalisation Sédiment et culture d'urine le 24.05.2018 Changement de sonde vésicale à demeure le 25.05.2018 (Dr. Y) • Recherche d'élastase, de calprotectine, de clostridium, de parasite et de coproculture en cours. Stop Metfin, discuter d'une reprise à posologie réduite. Profil glycémique 4x/j pendant 4 jours. Rendez-vous chez le médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle clinique, biologique (Créat, électrolytes) et adaptation du traitement antidiabétique (discuter si changement ADO ou insulinothérapie au vu insuffisance pancréatique). Résultats des coprocultures chez médecin traitant. • Recherche HIV : il y a 4 ans, s'est retrouvé dans le lit d'une femme inconnue après soirée alcoolisée. Rapport non protégé à ce moment-là, sinon rapports avec sa femme qui vit au Portugal. Accepte test HIV. Anamnestiquement sans co-morbidité à part HTA. Pas de symptômes B. Anamnèse systématique dans anomalie. Fumeur 26 UPA, OH à risque. Examen clinique dans la norme. Radiographie thorax : sans particularité pour F34. FSC : pas d'anomalie. Test hépatique : GGT légèrement augmentée sinon sans particularité. Patient n'a pas de médecin traitant. Au prochain contrôle le 02.06.2018 : pister test HIV et sérologies hépatites. Voir si patient a réussi à joindre un généraliste (adresses données). Pister rapport radiologue pour radiographie thorax. • Récidive anévrisme ? en attente d'une prise en charge interventionnelle fin juillet 2018 au CHUV • Récidive de carcinome lobulaire invasif du sein sous forme de métastase au niveau de l'antre gastrique le 24.05.2018 : • sténose du pylore • Récidive de choc septique sur probable récidive d'infection urinaire le 09.06.2018 (dernier épisode en mai 2018) • Germes impliqués retrouvés dans les urines prélevées à l'admission : E. Coli (S au Bactrim, R à la Ciproxine) et Enterococcus faecalis (S à l'Amoxicilline) • colonisations urinaires auparavant par germes multiples (Candida, E. Coli, Klebsiella dont des ESBL) • Récidive de crise de goutte articulation métatarso-phalangienne gauche • Récidive de crise hypertensive avec angor. • Récidive de décompensation diabétique acido-cétosique sur mal compliance thérapeutique dans le cadre d'un diabète de type I, le 17.05.18 avec : • Glycémie à 26,3 mmol/l, pH à 6,93 • Multiples hospitalisations sur décompensation diabétique acido-cétosique sur arrêt du traitement (11.2014, 04.2015, 01-02.2016, 06-08-10-11.2017, 02-03.2018) • Suivi par Dr. X • Récidive de douleurs en ceinture dans contexte Horton et PMR non traitée DB cortico-induit • Récidive de douleurs en hypochondre droit avec examen abdominal rassurant, ultrasons aux urgences rassurant et bilan biologique sans particularité. Nous évoquons en premier lieu une origine fonctionnelle versus une gastrite au décours. Nous préconisons la poursuite d'un traitement symptomatique par Buscopan et Oméprazole avec contrôle chez le médecin traitant. • Récidive de fibrillation auriculaire stable le 13.05.2017 Status post-thermoablation cardiaque pour un trouble du rythme Hématome du périnée en fer à cheval sur chute de sa hauteur chez patient avec double anti-agrégation (Efient et Aspirin cardio) Traumatisme crânien simple le 24.10.2015 Maladie de Lyme (1er stade) 07.2011 • Récidive de fracture sous-capitale de l'humérus gauche le 09.07.2017. • Récidive de hernie inguinale gauche • Status post cure de hernie inguinale gauche en 2013 et droite en 2011 (selon Lichtenstein) • Récidive de la maladie de Crohn chez patient avec : • status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 29.03.1995 avec rétablissement de la continuité iléo-rectale término terminale le 13.06.1995 (Dr. X) sans suivi gastro-entérologue par la suite pour maladie de Crohn pancolique. • Récidive de l'iléus mécanique le 20.06.2018 • Récidive de luxation antérieure de l'épaule gauche. • Récidive de luxation postérieure de l'épaule gauche le 18.02.2015. Hématome du bras gauche d'origine indéterminée. • Récidive de méléna • Récidive de méningiome fronto-temporal droit le 01.06.2018 • Craniotomie pour méningiome fronto-temporal droit le 21.05.2005 • Radiochirurgie pour récidive frontale le 04.02.2014 • Radiochirurgie par Gamma-knife pour récidive temporale osseuse le 19.12.2017 • Récidive de pneumothorax spontané à D le 09.06.18.