Le laboratoire ne montre pas de signe inflammatoire, les dd mère sont négatifs. Un Us des MI G fait par Dr. X montre un kyste de Baker probablement rupturé. La radio genoux est superposable à celle d'octobre. Nous mettons le patient sous antalgie AINS et Tramal et le patient va prendre un RDV chez son orthopédiste. Le patient reconsulte si persistance ou péjoration des dl ou déficit neurologique. Le laboratoire ne montre pas de signe inflammatoire ni perturbation de tests hépato-pancréatiques. Le patient présente un épisode de tachycardie jusqu'à 150 bpm après administration du Buscopan. Une hydratation de 1500 ml est administrée et Pantozol 40 mg IV. La fréquence cardiaque se normalise après hydratation. L'ECG revient sans signes d'ischémie et deux trains de troponines reviennent sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. On retient une gastro-entérite virale probable et tachycardie sur effet anticholinergique du Buscopan. On conseille la limitation de la prise du médicament. Le patient rentre à domicile avec traitement symptomatique et conseils sur bonne hydratation. Le lavement permet l'évacuation importante de selles et le patient se sent beaucoup mieux par la suite. Suivi et traitement suscités. Le lavement rend beaucoup de selles et le patient est soulagé, il rentre donc à domicile. Le Morbus Osgood Schlatter est encore dans sa période d'inflammation. Il doit continuer la physiothérapie avec stretching et US. Pas de sport pour l'instant. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un prochain contrôle. Le patient a bénéficié d'une AMO des plateaux tibiaux interne et externe du genou gauche en septembre 2018. Les suites ont été marquées par un choc direct au niveau du plateau interne qui a engendré une déhiscence de la plaie, réfractaire au traitement conservateur. Le 17.10.2018, la plaie a été débridée, curetée, lavée et fermée au bloc opératoire. Actuellement, présence d'une fistule pour laquelle l'indication opératoire est retenue. Après la première intervention du 23.11.2018, le patient est repris plusieurs fois au bloc opératoire pour débridements et changements du pansement VAC (26.11, 30.11, 14.12 et 24.12.2018). Le pansement VAC a été ensuite changé au lit du patient le 19.12.2018. Lors de chaque séance opératoire, des frottis pour examen bactériologique sont effectués, les résultats reviennent positifs pour un Staphylococcus aureus sur le frottis du 23.11.2018. Par la suite, tous les frottis sont revenus négatifs. Par contre, les examens de laboratoire (hématologie et chimie) n'ont jamais montré de signes d'inflammation systémique. Le patient a bénéficié d'une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 2.2 g IV/jour du 23.11 au 06.12.2018, puis par Clindamycine 3 x 600 mg/jour jusqu'au 18.01.2019 inclus, selon avis du Dr. X et Dr. Y, infectiologues. Les contrôles hebdomadaires des FSS, tests hépato-biliaires et créatinine ne montrent pas d'altération durant le séjour. L'ultrason hépatique du 06.12.2018, avant le début du traitement par Clindamycine, montre une stéatose hépatique modérée. Durant le séjour, les douleurs sont bien gérées par l'antalgie prescrite et le patient a une bonne mobilité. Le dernier changement du VAC effectué au bloc opératoire le 24.12.2018 montre une bonne évolution clinique, avec visualisation d'un bon tissu de granulation, sans écoulement, ni signes de nécrose. Le patient peut regagner son domicile le 24.12.2018 avec le pansement VAC en place. Les soins de plaie seront réalisés par les infirmières des soins à domicile une fois par semaine et une fois par semaine en policlinique d'orthopédie. Le patient a bénéficié d'une PTG à G en 2014 et une à D en 2015 sans resurfaçage de la rotule, qui présente actuellement des douleurs antérieures de genou, symptomatique de manière prépondérante du côté G. Après discussion avec le patient des différentes options thérapeutiques, il est informé qu'une prise en charge chirurgicale pour un resurfaçage de la rotule, en commençant par le côté le plus symptomatique, pourrait être envisagée et permettrait d'améliorer sa symptomatologie sans toutefois pouvoir lui assurer une disparition complète des douleurs. Le patient n'est pas prêt pour une nouvelle prise en charge chirurgicale et préfère encore y réfléchir. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle d'office, mais restons à disposition en cas de besoin. Le patient a bien été vu par nos collègues du Neurocentre, mais nous attendons toujours les potentiels évoqués. Le patient sera convoqué par le Neurocentre, mais lui expliquons ce jour qu'il est nécessaire d'appeler le centre afin d'organiser un rendez-vous pour cet examen. Afin de bilanter l'ossification du ligament longitudinal postérieur, nous organisons encore un scanner de la colonne cervicale. Vu la présence de signes d'atteinte médullaire à l'IRM du mois de mars 2018, nous expliquons au patient la nécessité de décomprimer la moelle. Nous pré-réservons d'ores et déjà une date opératoire au mois de février 2019, pour une corpectomie C6, +/- cage expendable, +/- fixation de C5 à C7. Nous expliquons les modalités opératoires au patient accompagné de son fils ce jour et lui remettons le formulaire de consentement éclairé à signer. Nous reverrons le patient en consultation avant la date opératoire pré-réservée lorsqu'il aura bénéficié du scanner ainsi que de l'examen pour les potentiels évoqués afin de discuter des dernières modalités et de l'adresser à nos collègues de l'anesthésie. D'ici là, poursuite de l'arrêt de travail. Nous informons également le patient d'éviter les activités à risque. Le patient a consulté son oncologue Dr. X début décembre 2018. Une proposition de reprendre le traitement d'hormono-modulation n'a pas été souhaitée par le patient. Nous retenons une douleur thoracique possiblement sur les métastases des arcs costaux à droite. Nous recommandons au patient donc de réévaluer le traitement oncologique avec son oncologue. Le patient a été hospitalisé en ORL, sous traitement antibiotique et corticoïde. Un CT scan cervical a été réalisé qui retrouve un adéno-phlegmon rétropharyngé et rétro-amygdalien gauche, ainsi que de polyadénopathies latéro-cervicales gauche. En vue d'une stabilité de l'état général du patient, on décide de réaliser une adéno-amygdalectomie, ainsi qu'une ponction de l'ADP la plus volumineuse. La ponction revient blanche. Les suites opératoires sont marquées par une hémorragie diffuse, raison pour laquelle le patient est repris au bloc. Les jours suivants, l'état général de l'enfant s'est amélioré. Le patient a été informé de la possibilité de consulter un ophtalmologue à Berne ce soir, ce qu'il a refusé. Le patient a été mis au courant des résultats qui sont tous négatifs. Le patient a été reconvoqué ce jour pour une réduction de la fracture. La réduction se fait sous MEOPA avec une bonne tolérance de la part du patient. Mise en place par la suite d'une attelle alu en extension et d'une syndactylie D4 et D5. Le contrôle RX est satisfaisant. Le patient a été vu par Dr. Y qui a proposé : • Immobilisation par Spline Pod • Stop Xarelto, switch pour Clexane • Antalgie en réserve • Patient à jeun à partir de demain matin Le patient doit être reconvoqué demain après le colloque ortho par rapport à une intervention chirurgicale possible. Le patient a rendez-vous à la consultation de Dr. Y, policlinique d'orthopédie, le 19.12.2018 pour contrôle de plaie et une ablation des fils sera planifiée à ce moment. Le patient a rendez-vous à la consultation de Dr. X le 18.12.2018 à 13h30 pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient appellera le service d'oncologie ambulatoire le 26.12.2018 pour première cure de Nivolumab (non joignable ce jour). Le patient atteint d'une démence non déterminée se présente accompagné de sa conjointe pour une baisse de l'état général et une dyspnée nouvelle. Un syndrome inflammatoire ainsi qu'une légère augmentation de la BNP, associé avec un épanchement pleural D, nous laisse penser à une pneumonie, une décompensation cardiaque ou à une néoplasie. Après ponction de 4300 ml d'exsudat sanguinolant, une radiographie du thorax nous montre plusieurs masses pulmonaires. Une complétion par un CT-Thorax-Pelvis injecté nous confirme la suspicion néoplasique. La cytologie prélevée pendant la ponction pleurale révèle une image suspecte de malignité, sans pouvoir poser un diagnostic affirmatif. Une table ronde avec Mme. Y, sa conjointe, et son fils a eu lieu le 11.12.2018. Nous y avons discuté du diagnostic et de la prise en charge souhaitée du patient, incapable de discernement. Nous avons pu nous mettre d'accord de ne pas forcer un diagnostic supplémentaire, de viser un retour à domicile avec accompagnement de Voltigo et discuté de la mise en place d'un PleurX pour améliorer la symptomatique. Le PleurX a été mis en place le 14.12.2018 par Dr. X. La situation est présentée au spécialiste des soins palliatifs, Dr. X, et un retour à domicile est organisé en accord avec le médecin traitant et Voltigo. Le patient, connu pour des états confusionnels dans sa démence, se présente avec des états fluctuants d'orientation et est retrouvé le 11.12.2018 à terre dans la salle de bain. Le bodycheck ne révèle pas de blessures externes et un CT crâne natif ne relève pas de saignements intracrâniens. Depuis la pose du PleurX, celui-ci est toujours fonctionnel mais ne livre pas beaucoup de liquide sur aspiration, ceci probablement dû au drainage efficace effectué par ponction le 6.12.2018 et au cloisonnement de l'épanchement restant. Le drainage du PleurX sera effectué par les soins à domicile d'abord 3x/semaine, puis à adapter selon les symptômes et le volume livré. Le patient avait consulté aux urgences le 8.12.2018 pour des diarrhées inflammatoires pour lesquelles un traitement antibiotique de Ciprofloxacine 500 mg 2x/j a été débuté. Nous le voyons à la FUA pour contrôle et résultats de la coproculture qui reviennent positifs pour Campylobacter. Nous retenons donc une gastro-entérite à Campylobacter. Le patient n'a plus de douleurs abdominales, arrêt des diarrhées depuis le 10.12.2018, arrive à se réhydrater et à s'alimenter. Sur le plan biologique, le labo montre une nette diminution du syndrome inflammatoire. Au vu de la bonne évolution clinique, nous pensons que la souche de Campylobacter est sensible à la Ciprofloxacine, que nous poursuivons jusqu'au 13.12.2018 et informons le patient de bien s'hydrater. Dans le cas (peu probable) où le patient présenterait une récidive des diarrhées, un traitement par Zithromax 500 mg 1x/j pendant 3 jours serait indiqué. Le patient ayant recommencé le travail à 100 %, nous lui conseillons de continuer la physiothérapie afin de récupérer encore la force au niveau du tendon et nous concluons à la fin du traitement. Nous restons toutefois à disposition en cas de réapparition de douleurs. Le patient bénéficie de la pose d'un plâtre fendu avec un contrôle radioclinique à 1 semaine. Le retrait du plâtre est prévu à 4 semaines. Une antalgie simple par Spedifen 400 mg 2x/j est prévue. Le patient bénéficie d'un bain de Bétadine lors de son séjour aux urgences. La plaie est rapprochée par un point de suture. Le patient se présentera le 27.12.2018 pour un contrôle aux urgences. Le patient bénéficie d'un suivi par Voltigo à domicile 3x/semaine avec passage d'une infirmière à domicile 2x/j. Un contrôle de l'hémoglobine serait à effectuer dans le courant de la semaine chez son médecin traitant. Nous ne prévoyons pas de contrôle mais restons à disposition au besoin. Le patient, connu de notre service, souhaite une réhospitalisation le 07.12.2018 pour une asthénie et insomnie avec douleurs non gérables à domicile après avoir voulu rentrer à domicile la veille. Une sonde nasogastrique a été posée le 09.12.2018 et la nutrition entérale a débuté le 10.12. Celle-ci a bien été tolérée et pu être augmentée rapidement pour couvrir les besoins journaliers. Nous n'avons pas noté de graves troubles électrolytiques pendant cette nutrition. Depuis la pose de la sonde, le patient se plaint de toux et d'un trouble de la déglutition non objectivable, et il ne veut plus manger ou boire à côté de la sonde. Un trouble de la déglutition de la salive n'est plus remarqué. Un problème mécanique semble peu probable en vue de la gastroscopie montrant un stent ouvert le 18.12.2018 sans foyer infectieux. Après multiples incitations à se nourrir, le patient continue à refuser et souhaite juste être nourri par la sonde. Le patient, connu pour des troubles de la coagulation, une maladie thrombotique récidivante et normalement anticoagulé par Xarelto ou Clexane s.c. 80 2x/j, a présenté un épisode de rectorragie avec baisse transitoire de l'hémoglobine de 90 à 67 g/l. La gastro- et colonoscopie ne montrèrent pas de signes de saignements. La Clexane a été réintroduite à demi-dose sous surveillance. Nous avons pu le transfuser de 3 CE entre le 18.12 et le 20.12. La radiothérapie à visée analgésique a pu avoir lieu en stationnaire. L'analgésie fut complétée par de la morphine orale, de l'Effentora, de la Novalgine, du Dafalgan ainsi que des traitements locaux à la lidocaïne et Voltaren. La dislocation du PIC-Line nous motiva à placer un port-a-cath pour une future chimiothérapie. Celui-ci est posé sans difficultés le 17.12.2018, il n'y a pas d'ablation de fils nécessaire. Pendant l'hospitalisation, une nouvelle table ronde avec Mme. X a eu lieu le 11.12.2018 : le patient et elle y ont décidé de commencer une chimiothérapie le 27.12.2018 par Carbotaxol. Une fois le patient instruit pour le maniement de la sonde, les douleurs gérées, et l'hémorragie stoppée, il pu rentrer à domicile avec soins à domicile. Le patient contactera le secrétariat de Dr. X pour un rendez-vous dès le 04.12.2018. Le patient de 10 ans qui est en bonne santé habituellement est venu ce jour aux urgences avec une demande volontaire de dépistage VIH, hépatite B et C. Le patient a été rassuré que le risque de contamination est minime. Selon demande des patients, nous effectuons le dépistage chez elle et son partenaire et fixons le rendez-vous à FUA le 19.12.2018 pour les résultats. Le patient de 10 ans qui est en bonne santé habituellement présente des douleurs abdominales épigastriques. Bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile accompagné par sa mère. Contrôle clinique et biologique à FUA le 17.12.2018 à 12h. Le patient de 15 ans qui est en bonne santé habituellement a été amené par l'ambulance suite à une alcoolisation. Bilan biologique montre l'absence de troubles électrolytiques, pas d'anémie, pas de syndrome inflammatoire. Nous avons gardé le patient aux urgences pour surveillance. Après 3 heures de surveillance, l'amélioration nette de l'état de conscience. L'examen clinique neurologique dans 3 heures de surveillance : patient orienté dans l'espace et dans le temps, pupilles iso-iso, pas de diminution des champs visuels, pas de nystagmus pathologique, pas de dysarthrie, le reste de NC sp, pas de déficit de sensibilité, les forces musculaires à M5 bilatérales et symétriques, ROT vifs et symétriques, doigt-nez et talon-genou sp, Barré et Mingazzini tenus, Romberg et les épreuves de la marche et d'équilibre sp. Le patient rentre à domicile accompagné par sa mère. Le patient de 16 ans et 9 mois qui est en bonne santé habituellement a été amené aux urgences par ses parents suite à AVP ce jour. Bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Sédiment urinaire revient dans la norme. Radiographie de la hanche et du bassin ne montre pas de fractures. Vu l'examen clinique, biologique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile accompagné par ses parents. Le patient et ses parents sont été informés. Le patient de 16 ans qui est en bonne santé habituellement présente une plaie superficielle au niveau du thénar gauche de 1,5 cm de longueur sans saignement actif. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de corps étranger. Désinfection avec Bétadine solution, mise en place de 2 points de suture avec Ethilon 5-0, pansement stérile, Mefix. Tétanos à jour. Contrôle de la plaie le 17.12.2018 chez pédiatre. Ablation des fils dans 7-10 jours. Le patient de 19 ans consulte suite au traumatisme direct du pouce droit. Vu l'examen radiologique rassurant, le patient rentre à domicile avec : • Immobilisation avec une attelle alu dans le but antalgique • Antalgie en réserve. Contrôle chez MT dans 5 jours. Le patient de 26 ans qui est en bonne santé habituellement présente des douleurs au niveau dentaire depuis hier soir 22h30. Le patient a reçu l'antalgie par Dafalgan, Postant, Tramal avec un effet favorable. Vu l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile, a été informé par rapport d'une consultation de dentiste (la carte avec le numéro a été donnée). Le patient de 27 ans qui est consulté cet après-midi aux urgences par rapport d'une fracture du calcanéum droit et entorse grade 3 cheville droite revient aux urgences par rapport à des douleurs en augmentation suite à point d'appui organisé. Nous libérons la cheville de l'ancien plâtre et mettons le plâtre de nouveau. Radio de contrôle met en évidence fracture du calcanéum droit non déplacée, pas de points d'appui visibles. Les douleurs sont disparues, le patient rentre à la maison avec les mêmes directives. Le patient de 33 ans qui est en bonne santé habituellement consulte par rapport à une odynophagie accompagnée par la fièvre. Vu la clinique évoquant un abcès péri-amygdalien, nous mettons le traitement par Co-amoxicilline 2,2 iv et Paracétamol 1000 mg iv et prenons l'avis de Dr. X qui considère que le patient peut rentrer à domicile et revenir demain le 25.12.2018 à 9h à FUA pour la deuxième dose de Co-amoxicilline 2,2 iv + Paracétamol 1000 mg iv et contrôle clinique par Dr. X à 9h30. Le patient de 33 ans qui est en bonne santé habituellement présente depuis 3 jours des hématochésies. Bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, pas d'anémie. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile. Nous conseillons de stopper le traitement par écofénac. Le patient a été informé de la présence des symptômes malgré l'arrêt d'écofénac ou péjoration des symptômes - contrôle chez MT : nous conseillons d'organiser une colonoscopie en ambulatoire. Le patient de 39 ans qui est en bonne santé habituellement présente une otalgie gauche depuis hier soir. Le patient rentre à domicile avec le traitement par Co-amoxicilline 1 g per os 3 fois par jour pendant 7 jours, Irfèn 600 mg per os en réserve si douleurs. Contrôle chez MT dans 3-4 jours. Le patient a été informé de l'apparition des nouveaux symptômes - retour aux urgences. Le patient de 40 ans qui est en bonne santé habituellement présente des diarrhées aqueuses et douleurs épigastriques. Aux urgences, le patient a reçu une hydratation avec 1 l Na Cl 0,9 %, Nexium 20 mg, Motilium 10 mg sous linguale, Lopéramide 2 mg. Nous effectuons les cultures des selles. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement par Perenterol 250 mg per os 2 fois par jour, Nexium 20 mg, Motilium 10 mg sous linguale en réserve si nausées. Contrôle clinique (+ les résultats des cultures des selles) est prévu le 28.12.2018 à FUA. Le patient de 40 ans qui est en bonne santé habituellement présente des douleurs et un léger œdème au niveau dorsal du pied droit. Vu l'examen clinique et radiologique rassurants, le patient rentre à domicile avec antalgie en réserve. Le patient de 41 ans qui est connu pour lombosciatalgies chroniques non déficitaires, s/p lithiase urinaire en 2017, a été amené par l'ambulance par rapport à des douleurs abdominales au niveau de la fosse iliaque droite depuis 2h du matin. Bilan biologique montre l'absence de syndrome inflammatoire, créat 64. Sédiment urinaire met en évidence des érythrocytes en purée, leuco 6-10, nitrite négatif. Uro-CT met en évidence la présence d'un calcul 2*2*3 mm de diamètre situé au niveau de la jonction urétéro-vésicale droite et deux calculs 4*3*2 mm situés au niveau de calice rénale gauche. Vu l'examen clinique, radiologique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile avec Pradif 40 mcg jusqu'à l'expulsion du calcul, antalgie en réserve Dafalgan, Ponstan, Tramal. Le patient de 42 ans qui est en bonne santé habituellement dit avoir des douleurs abdominales au niveau épigastrique hier toute la journée avec vomissements fréquents en soirée et nuit. Ce jour amélioration nette de la clinique, mais Mr. Y inquiet car il n'a pu se rendre au travail et le patron demande systématiquement un certificat. Je signe le certificat médical et Mr. Y rentre à domicile. Le patient de 42 ans qui est en bonne santé habituellement présente une parésie faciale gauche. Vu l'examen clinique et biologique rassurants avec d'accord de Dr. X, neurologue de garde, nous retenons le diagnostic de parésie faciale gauche probablement périphérique et le patient rentre à domicile avec le traitement Prednison selon le schéma, Occulac gouttes 3 fois par jour, Vitamine A avec le pansement occlusif.Control chez MT dans 2-3 jours Le patient de 43 ans qui est en bonne santé habituellement consulte par rapport à des éruptions cutanées de type urticaire suite à la prise de Brufen. Nous administrons du Tavegyl 2 mg i.v, Xyzal 5 mg per os et du Solumedrol 125 mg i.v aux urgences. Il garde des tensions stables et ne développe pas de dyspnée ou de sibilance durant sa surveillance pendant 6 heures. Vu la résolution des symptômes, le patient rentre à domicile avec le traitement par Xyzal 5 mg per os 1x/jour pour 3 jours, Prednisone 20 mg 1x/jour pour 2 jours. Le patient de 50 ans qui est connu pour HTA, diabète de type 2 présente des douleurs abdominales sus-ombilicales depuis 2 jours. Le bilan biologique montre CRP à 31 sans leucocytose, pas d'anémie, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques. Le sédiment urinaire est dans la norme. Nous réalisons ASP qui montre présence de selles dans l'intestin, pas de signes d'iléus. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement antalgique par Buscopan et Dafalgan + Movicol 1 sachet par jour jusqu'aux selles molles. US abdominale avec le contrôle clinique prévu le 26.12.2018 à 9h à FUA. Le patient de 53 ans qui est connu pour HTA a été envoyé par son MT pour IRM de la cheville droite. Le 27 novembre, Monsieur a tombé dans les escaliers avec torsion de la cheville droite en inversion. Le patient a été vu par Dr. X. Nous immobilisons la cheville avec Soft Cast, botte de marche pendant 3 semaines. Le patient rentre à domicile avec antalgie par Dafalgan, Irfèn, tramal en réserve, Clexane prophylactique. Consultation à la polyclinique ortho dans 3 semaines le 11.01.2019 à 14h. Le patient de 59 ans consulte suite à un AVP ce jour. Vu l'examen clinique rassurant avec accord de Dr. X, le patient rentre à domicile. Contrôle clinique et contrôle du sédiment urinaire à FUA. Par rapport à une luxation acromio-claviculaire G, nous mettons le gilet ortho dans le but antalgique. Le patient sera évalué à FUA le 27.12.2018. Le patient de 64 ans qui est connu pour HTA, s/p angioplastie et pontage d'artère fémorale droite suite à artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade II selon Leriche et Fontaine réalisée par Dr. X le 13.12.2018, 1/2 des agrafes ont été enlevés le 27.12.2018 par MT. À 6h du matin le 28.12.2018, un saignement sanguin (couleur brun, 100 ml d'après le patient) au niveau de la cicatrice. Le patient revient en contrôle ce jour et est vu par Dr. X. Réfection du pansement. Le bilan biologique montre un Hb stable sans syndrome inflammatoire (CRP 12 mg/l mais stable). Le patient rentre à domicile. Le patient reverra son médecin traitant lundi pour l'ablation des agrafes en fonction de la clinique. Le patient de 67 ans qui a été opéré le 08.12.2018 par Dr. X et Dr. X : bursectomie olécranienne gauche suite à bursite septique olécranienne gauche à Staphylococcus aureus présente des douleurs, rougeur, chaleur et tuméfaction locale au niveau de la cicatrice. Le bilan biologique montre CRP à 14 sans leucocytose. Nous immobilisons le coude gauche par pansement écossais. Consignes de repos et surrélévation du coude gauche ont été données. Le patient rentre à domicile avec un traitement anti-inflammatoire et antalgique. Contrôle clinico-biologique le 30.12.2018 à la FUA le matin à jeun (avec avis Dr. X) +/- prise en charge chirurgicale. Le patient a été informé qu'il doit reconsulter aux urgences en cas de péjoration des douleurs malgré un traitement bien conduit ou d'état fébrile. Le patient de 67 ans, résident à Horizon sud, qui est connu pour une insuffisance veineuse chronique stade III sur incontinence de la crosse de la veine grande saphène du membre inférieur droit, status post-crossectomie, stripping des trois quarts proximaux de la veine saphène interne droite, ligature de la perforante de Cockett et phlébectomies étagées au membre inférieur droit pour varices symptomatiques en juin 2010; il présente des douleurs, œdèmes, légère chaleur et rougeur au niveau du mollet droit depuis hier en péjoration ce jour, accompagnés par des frissons sans fièvre. Le bilan biologique montre l'absence de leucocytose, CRP à 17, anémie normochrome normocytaire avec Hb à 103, créatinine à 93, pas de troubles électrolytiques, pas de trouble de crase, D-dimères 462. Les radiographies des chevilles ne montrent pas d'atteintes osseuses. TVP a été écarté avec les valeurs de D-dimères qui sont dans la norme. Vu le tableau clinique et présence légère augmentation de valeur de CRP, une infection débutante n'est pas exclue. Un contrôle clinique et biologique est prévu le 12.12.2018 à 11h50 à FUA. Nous conseillons de débuter un traitement antibiotique en cas d'augmentation de syndrome inflammatoire. Si les valeurs biologiques restent stables, nous proposons d'augmenter le traitement diurétique et répéter un bilan angiologique. Le patient de 68 ans qui est connu pour HTA est venu aux urgences accompagné par ses amis avec TA 198/102. Le bilan biologique montre l'absence de troubles électrolytiques, pas de syndrome inflammatoire, créatinine à 45. Monsieur a reçu aux urgences Adalat retard 30 mg dose unique. Le patient est très émotionnel, ne veut pas attendre l'effet d'Adalat. Malgré les explications des complications possibles, le patient rentre à domicile accompagné par ses amis. Nous conseillons de prendre Adalat retard en réserve et d'avoir un contrôle clinique chez MT dans 3-5 jours. Le patient de 7 ans et 6 mois qui est en bonne santé habituellement a été amené par son père suite à une chute de vélo. Nous prenons l'avis de Dr. X, ORL de garde qui a vu les photos des plaies et a proposé de mettre 2-3 points de suture pour rapprocher les bords de la plaie. Vu l'absence de place dans la salle opératoire à HFR Riaz, nous le transférons. Transfert dans le service des urgences pédiatriques HFR Fribourg pour la prise en charge ORL. Le patient est parti accompagné par son père. Le patient de 7 ans qui est en bonne santé habituellement présente des douleurs et un œdème au niveau du malléole externe. La radiographie montre un arrachement de la malléole latérale droite. Nous immobilisons la cheville avec plâtre jamb-postérieur fondu. Le patient rentre à domicile accompagné par sa mère. Antalgie en réserve par Algifor et Dafalgan. Contrôle à la polyclinique ortho le 21.12.2018. Le patient de 73 ans qui est connu pour reflux GO présente une dysphagie sévère aux liquides et aux solides depuis 12h30 suite à un repas (viande avec spatzlie). La radiographie du thorax et du cou met en évidence l'absence de signes de perforation œsophagienne, pas de corps étranger solide visible. Aux urgences, Monsieur a reçu Buscopan 10 mg iv, Deponit patch 5 mg. Le patient a été vu par Dr. X, ORL de garde. Suite à la prise de Deponit pendant l'examen ORL, le morceau probablement de la viande est descendu spontanément dans l'estomac. Monsieur a bu 2 verres d'eau tiède sans symptômes dysphagiques. Afin d'approfondir le bilan, un transit baryté est organisé le 21.12.2018 à 8h30. Nous proposons au médecin traitant d'organiser une OGD à distance afin d'exclure une éventuelle néoplasie. Le patient de 75 ans qui est connu pour démence vasculaire avancée, insuffisance chronique, globe vésical à répétition, actuellement hospitalisé à l'hôpital de Marsens, a été amené par ambulance par rapport à une anurie. Le bilan biologique montre leucocytose à 11,9 et CRP à 7 (en diminution en comparant avec les valeurs du 7.12.2018 leucocytose à 12,4 et CRP à 12), anémie normochrome normocytaire avec Hb à 117, créatinine à 157, hypokaliémie à 3,3.Vu la présence d'une insuffisance rénale nous hydratons le patient avec 1L NaCl 0,9 % et substitution de la carence en potassium par Potassium effervescent per os 3 fois par jour pendant 2 jours avec le contrôle biologique à prévoir dans 2 jours. Nous effectuons un bladder scan qui montre 800 ml, la sonde urinaire a été reposée (évacuation 800 ml + 500 ml d'urine). Vu la présence d'un écoulement purulent dans la sonde, nous effectuons un uro-tube. Le sédiment urinaire revient positif pour l'infection urinaire : sang +++, Leuco++++, nitrites positifs. Nous conseillons de débuter l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg per os 2 fois par jour pendant 7 jours et adapter selon les résultats d'urotube. Après le placement de la sonde, le patient note l'absence de douleurs. Suite à la prise en charge aux urgences HFR Riaz, Mr. Y a été transféré à l'hôpital de Marsens. Le patient de 77 ans qui est connu pour cardiopathie ischémique, dysrythmique et valvulaire, porteur d'un Micra, présente des douleurs de type serrement/oppression au niveau du bras gauche depuis 10h30 ce jour et au niveau de la mâchoire depuis 16h cet après-midi. Le bilan biologique montre l'absence de troubles électrolytiques, pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, Troponines : H0 à 10, H1 à 10. Le patient aux urgences a reçu 2 pushes d'Isoket avec un effet favorable sur les douleurs. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, nous pouvons exclure les événements cardiaques aigus. D'après la clinique, nous retenons le diagnostic Angor stable et conseillons au patient d'avoir le contrôle chez son cardiologue Dr. X. Le patient de 85 ans qui est connu pour FA sous Sintrom, onycho mycose, présente l'œdème, rougeur et chaleur au niveau de la jambe gauche jusqu'au genou avec un trajet lymphatique et adénopathie inguinale associée depuis 24 heures. Le bilan biologique montre CRP à 94 sans leucocytose. Nous introduisons le traitement par Co-amoxicilline : le patient a reçu 2,2 g iv aux urgences, puis il rentre à domicile avec le traitement per os 1 g 2 fois par jour. Contrôle clinique et biologique est prévu le 30.12.2018 à FUA. Le patient a été informé qu'il doit reconsulter aux urgences en cas de péjoration des douleurs malgré un traitement bien conduit ou d'état fébrile. Le patient demeure asymptomatique durant l'ensemble de son séjour hospitalier. À l'entrée, les troponines sont élevées, faisant suspecter un syndrome coronarien aigu. Le patient étant connu pour une dilatation de l'aorte ascendante, nous réalisons, en accord avec le cardiologue de garde, un scanner pour exclure une dissection (qui permet également d'exclure une embolie pulmonaire). Le patient bénéficie ensuite d'une coronarographie, ne mettant pas en évidence de lésion. La clinique n'est pas typique d'un spasme coronarien ni d'une atteinte myocardique inflammatoire ou infectieuse. Le diagnostic différentiel comprend un embole paradoxal sur un foramen ovale perméable. Nous complétons le bilan par un test aux microbulles transthoracique, qui ne met pas en évidence de shunt. Le patient sera reconvoqué en ambulatoire pour une échographie transoesophagienne. Le patient désire rentrer à domicile. Sortie le 17.12.2018. Le patient devra désinfecter la plaie avec du Prontosan et mettre un pansement un peu aspiratif. Nous allons voir l'évolution cette semaine et nous le reverrons la semaine prochaine pour une nouvelle évaluation. Si à ce moment-là, il persiste une ouverture sans amélioration de la guérison, nous organiserons une intervention pour le 14.12.2018 en anesthésie locale pour découper cette partie de la plaie et faire une resuture en salle d'opération. Le patient doit bien poursuivre la physiothérapie pour exercices de proprioception et renforcement musculaire, pas de pivot. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Le patient doit continuer avec la physiothérapie. Nous le reverrons dans 6 semaines avant son départ en Ethiopie (pour son doctorat de géologie). Le patient doit encore faire de la physiothérapie intensive et de l'ergothérapie pour adaptation d'une attelle Quengel. Prochain contrôle dans 2 mois. Le patient doit encore porter l'attelle pendant une semaine. Il se mobilisera tous les jours en dehors de l'attelle. Contrôle clinique dans 10 jours et nous verrons à ce moment-là si de la physiothérapie-ergothérapie devra être prescrite. Le patient doit poursuivre sa rééducation à l'Hôpital de Billens. Il peut marcher en charge de 25-30 kg à l'aide de 2 béquilles ou à l'aide d'un tintébin. Poursuite du traitement par Compex pour la lésion du nerf sciatique-poplité externe. Poursuite du port de l'attelle Heidelberg. Poursuite du traitement local de l'ulcère au niveau de la base du 5ème métatarsien. Prochain contrôle radio-clinique le 05.02.2019. Un contrôle chez le Dr. X, angiologue, est prévu dans environ 2 mois pour analyse de cet ulcère, en cas de non-guérison. Le patient doit tout de même augmenter la charge au maximum, jusqu'à 30° et il doit également augmenter les séances de physiothérapie pour la mobilisation de la cheville et l'extension dorsale. Il faut marcher en roulant le pas. Je le revois dans 2 mois. Arrêt de travail jusqu'à fin mars 2019. Le patient en bonne santé habituelle se présente aux urgences en raison d'une luxation du pouce gauche survenue lors d'un entraînement de basketball. Après avoir fait une passe, il est entré en contact probablement avec un autre joueur entraînant une luxation palmaire du pouce gauche. Le patient ressent une douleur aiguë à 6/10 sans symptômes associés. Aux urgences, nous effectuons une première radio qui montre une luxation de la métacarpo-phalangienne du D1 gauche sans signe de fractures. Nous réduisons la luxation et effectuons une radiographie de contrôle qui revient dans la norme. L'examen clinique ne montre pas de trouble de la sensibilité, une discrimination des deux points conservée et pas de laxité des ligaments collatéraux ulnaire et radial de la métacarpo-phalangienne du pouce gauche. Après avis orthopédique pris chez le Dr. X, nous posons un plâtre antébrachial en gantelet chez le patient. Le patient sera vu à la consultation du Dr. X mardi pour un contrôle. Un contrôle en polyclinique d'orthopédie est prévu le 06.12.2018 à 10h30, patient contacté ce matin le 05.12.2018 par Dr. X. Nous prescrivons un traitement antalgique de Dafalgan 1 g et Brufen 400 mg. Nous laissons repartir le patient à domicile avec les informations concernant la suite de la prise en charge. Le patient est amené en ambulance pour une faiblesse des membres inférieurs dans le contexte de douleurs lombaires chroniques. Le patient à son arrivée souhaite une hospitalisation pour antalgie. Après une évaluation clinique très rassurante au vu des plaintes du patient, l'état général et de mobilisation s'améliore spontanément motivant sa demande de quitter notre service des urgences. Dans l'absence de signes de gravité, nous laissons le patient rentrer à domicile et lui proposons un contrôle chez son médecin traitant en fin de semaine. Le patient est asymptomatique aux urgences et ne présente pas de drapeau rouge actuellement. Au vu de cela, il peut rentrer à domicile avec le traitement susmentionné. À noter des extrasystoles à QRS fin lors d'un ECG mais qui disparaissent lors du monitoring. Nous vous laissons le soin de bilanter cette problématique en cas de symptômes. Le patient est autorisé à enlever son attelle Velcro. Il poursuivra la marche sous protection de cannes anglaises. Il débutera un traitement de physiothérapie axé sur la récupération des amplitudes intra-articulaires, étirements musculaires, proprioception et renforcement. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines.Le patient est autorisé à reprendre ses activités sans imitation. Il poursuivra le travail en physiothérapie axé sur la récupération articulaire et le renforcement. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire. Le patient est autorisé à retirer son gantelet. Il doit poursuivre le traitement en ergothérapie visant au massage et décollement de la cicatrice ainsi que mobilisation du pouce de manière intensive. Pas de port de charge jusqu'aux 3 mois. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoires. Le patient est encore gêné par une douleur lombaire, qui ne l'empêche pas de vivre normalement ni de débuter une reconversion professionnelle comme chauffeur poids lourd. Comme déjà cité dans la lettre précédente, nous ne voyons pas de contre-indication médicale quant à la possibilité d'effectuer des activités professionnelles dans le cadre de sa reconversion professionnelle ni pour la conduite. Nous lui donnons ce jour une nouvelle ordonnance pour la physiothérapie et soulignons encore une fois l'importance de garder une bonne hygiène posturale. Nous ne prévoyons pas de revoir le patient à notre consultation mais restons à disposition en cas d'aggravation de la symptomatologie. Le patient est examiné par Dr. X, chirurgien. Après incision, antalgie, ablation de gaze à J1 tout seul, lavage 6 fois/jour et pose de compresse (si nécessaire, lavage et désinfection locale avec Bétadine après les selles). Contrôle mardi 13.11 en policlinique chirurgicale chez Dr. X. Le patient est hydraté avec une perfusion de 1000 ml de NaCl et une antalgie par voltaren IV, le patient soulagé par la suite. Pas d'épisode de vomissements aux urgences ni de diarrhées. On laisse le patient rentrer avec un traitement symptomatique, conseils d'hygiène et de bonne hydratation. Il devrait reconsulter son médecin traitant si persistance de symptômes ou état fébril. Le patient est pris en charge pour un panari en D2 de 1.5 cm sur la P3 de la main gauche. Nous effectuons une désinfection, une incision de 1.5 cm à 2 mm du cuticule, un prélèvement bactériologique, un rinçage ainsi qu'un méchage. Le patient est mis sous co-amoxicilline 1 gr 2x/j jusqu'au 12.12 et Dafalgan et Irfen en cas de douleur. Le patient sera revu à la polyclinique d'orthopédie le vendredi 7.12 à 14h30. Nous remettons au patient un certificat médical à partir de ce jour jusqu'au 14.12. Le patient est soulagé complètement après administration de morphine 4 mg IV en titrage. Le bilan biologique est sans syndrome inflammatoire et au status clinique on n'obtient pas de signes en faveur d'un iléus. On ne réalise pas d'autre imagerie par ASP (réalisé le 23.12.2018). Après discussion avec Dr. X, chirurgien de garde, on laisse le patient rentrer à domicile avec contrôle clinique à la FUA le lendemain (réévaluer l'indication d'effectuer un CT abdominal selon l'évolution). Le patient est soulagé sur le plan des douleurs suite au Dafalgan et AINS. Le bilan permet de poser le diagnostic de colique néphrétique D. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement conservateur. Il reconsultera aux urgences en cas d'EF, frissons, douleur incontrôlable ou anurie. Lorsque le calcul sera filtré, le patient le ramènera à la réception des urgences de Riaz. Le patient est stabilisé au niveau des douleurs par titration de morphine IV avec amélioration des symptômes ainsi que de la tachycardie et de l'hyperventilation. La gazométrie de contrôle 2h post-résolution des symptômes montre des lactates dans la norme. Au vu d'une évolution stable des symptômes thoraciques ainsi que des douleurs en fosse iliaque droite, et de la mise en évidence d'une pyélonéphrite à D, nous décidons de garder Mr. Y en observation aux urgences pour la nuit pour l'antibiothérapie IV, avec hospitalisation en médecine à prévoir le 09.12.2018 au matin. Dans le contexte d'antécédents lourds, le patient présente une baisse de morale et fatigue, avec idéations suicidaires survenant par épisode, le dernier il y a 5 jours avec plan de se pendre à un arbre. Le patient n'est jamais passé à l'acte et se sent mieux du point de vue de ces idées ce jour. Nous obtenons un contrat thérapeutique de non-passage à l'acte avec Mr. Y. Le patient explique qu'il n'est plus dans cette phase noire, mais explique que ces épisodes arrivent par vagues. Le patient accepte une évaluation psychiatrique à organiser le 09.12.2018 après la surveillance clinique aux urgences. Le patient est stable, les constantes sont dans la norme. Le laboratoire montre une légère hypokaliémie et une alcoolémie à 1.74. Nous hydratons le patient IV avec du NaCl chaud et surveillons étroitement aux urgences. Son état général s'améliore rapidement, avec un GCS qui remonte à 14/15 au bout de quelques heures. Le status neurologique et clinique se normalise complètement le matin du 02.12.18, et le patient peut rentrer à domicile en bus. Nous substituons le potassium par voie orale car le patient s'arrache la VVP dans le sommeil. Le patient est totalement bloqué au niveau cervical. Prescription d'une minerve en mousse de soutien ainsi que des patchs de flector pour application locale. Prescription également de Mydocalm 150 mg 3x/jour en remplacement du Sirdalud. Prochain contrôle dans 1 semaine pour juger de l'évolution et débuter, si bonne réponse à ce traitement, de la physiothérapie. Le patient est tout à fait stable, les douleurs durent depuis plusieurs jours et ne semblent pas typiques d'une origine cardiaque, ce qui est confirmé par l'ECG et l'absence de cinétique au niveau des troponines. Nous ne complétons pas par un 3e dosage dans ce contexte. Le patient étant en pleurs et se débattant dès l'examen clinique, nous optons pour une fermeture secondaire après une désinfection à l'Hibidil et un rinçage au NaCl. Contrôle de la cicatrice à 24h chez le pédiatre. Antalgique et anti-inflammatoires. Consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Le patient fait une chute de tension pendant l'installation aux urgences. Pour cette raison, le bilan est complété par un scan thoraco-abdominal à la recherche d'une dissection aortique. Le patient ira consulter son médecin traitant à J10 pour procéder à un retrait des fils. Le patient montre une bonne évolution en ce qui concerne la PTH. Concernant le genou, le bilan radio-clinique met en évidence une arthrose avancée au niveau de l'articulation fémoro-patellaire, ainsi que fémoro-tibiale. On discute avec le patient de la possibilité de la mise en place d'une prothèse totale du genou. Le patient désire bénéficier de la mise en place de cette prothèse au printemps. Comme il reviendra de vacances le 28.12.2018, le secrétariat de Dr. X le recontactera début janvier pour fixer un rendez-vous chez Dr. X pour le mois de février afin de discuter de l'intervention. Le patient n'a aucune plainte après la chute, à part les plaies céphaliques. Le status neurologique est rassurant et le bilan biologique met en évidence une légère péjoration de la fonction rénale, leucocytose, mais CRP normale, anémie NC NC. Après anesthésie locale, l'exploration de la plaie met en évidence la section du cartilage de tragus. Nous mettons en place 7 points de suture séparés par Ethilon 5.0 au niveau du tragus et 2 points séparés à la base de la pyramide nasale. Nous conseillons au patient de consulter son médecin traitant dans 48h pour contrôle de la plaie et vaccin anti-tétanique. Ablation des fils à faire chez le médecin traitant à 5 jours pour le nez et à 7 jours pour le tragus. Antibiothérapie par co-amoxicilline pendant 7 jours. Contrôle téléphonique le 02.12 : nous rappelons le patient qui dit aller bien et n'a aucune plainte. Il a pris les médicaments comme prévu. Le patient ne décrit pas de douleurs au repos. Il est souriant et collaborant. Suite au bilan radiologique, nous retenons une contusion de l'éminence thénar G. Le patient présente de plus une contusion de la cuisse D (pas de limitation fonctionnelle, status sp donc pas d'imagerie effectuée) et de la pommette D (pas de troubles oculomoteurs, pas de douleurs à la palpation des structures osseuses).Nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement antalgique simple. Le patient vit avec son amie qui pourra donc effectuer une surveillance sur la nuit compte tenu du contexte d'alcoolisation aiguë. Ils sont informés de reconsulter en cas d'importantes douleurs du pouce G ou d'apparition de troubles de la sensibilité ou vasculaires. Le nystagmus est mis sur le compte de l'alcoolisation aiguë. Status neurologique autrement dans la norme. Le patient ne montre aucun signe de gravité sur le plan psychique, il ne désire pas une hospitalisation mais craint surtout des problèmes somatiques au vu de ses consommations, mais aussi de la fatigue qu'il signale. Nous lui recommandons de consulter son médecin traitant pour effectuer un bilan de fatigue. Il sera pris en charge dans 48h sur le plan psychique, nous ne prescrivons pas de traitement dans l'intervalle au vu des risques d'addiction, mais donnons un comprimé de Temesta pour la nuit. Le patient ne présente plus de symptômes suite à la prise de Dafalgan. Le status étant dans la norme, nous laissons le patient rentrer avec un traitement symptomatique. Le patient ne présente pas de lésion osseuse à la radiographie. On propose un traitement symptomatique par AINS, repos et contrôle clinique chez le médecin traitant, si nécessaire. Pas d'arrêt de travail demandé par le patient. Le patient ne présente pas de signes de gravité, avec un état de conscience rassurant. Nous l'hydratons IV aux urgences et le surveillons jusqu'à une reprise de l'état de conscience habituel. Il rentre à domicile accompagné par ses proches, avec un GCS 15/15 et un status neuro normal. Le patient ne présente pas d'élément en faveur d'une infection urinaire basse ou haute. Nous lui posons une sonde vésicale avec instruction pour son retour à domicile. Nous lui proposons de prendre rendez-vous chez son urologue pour la suite de la prise en charge. Nous lui conseillons de revenir aux urgences s'il présente des douleurs ou de la fièvre. Le patient ne présente pas de symptômes et une clinique compatibles avec une affection bactérienne, mais plutôt virale, ce qui est confirmé par le score de CENTOR et le laboratoire ne montre pas d'altérations de la fonction hépatique. Nous le renvoyons à domicile avec traitement symptomatique et conseil de chercher un MT pour effectuer un contrôle de santé général en raison du manque de précision de la part du patient au niveau de l'anamnèse ancienne (nécessité d'un suivi infectiologique?). Le patient ne souhaite pas rester pour bilan et hydratation/antalgie car se sent mieux. Retour à domicile avec antalgie simple, hydratation. Recommandation de reconsulter en cas de mauvaise évolution. Le patient n'est toujours pas satisfait de la mobilité au niveau du 2ème doigt, il souhaiterait dans l'idée une AMO de la plaque avec ténolyse et arthrolyse. Nous lui avons par contre indiqué qu'il sera nécessaire de faire une rééducation intensive en postopératoire en ergothérapie et en physiothérapie s'il souhaite regagner en mobilité. Le patient ne semble pas très motivé à investir du temps pour cela pour le moment. Vu la situation sociale critique actuellement, nous proposons plutôt au patient de régler ses problèmes personnels et nous revoir en 2019, si stabilisation de la situation sociale, planifier l'intervention. Arrêt de travail du 19.12.18 jusqu'au 28.02.2019. Le patient nous est adressé par son médecin traitant pour état fébrile et diarrhées depuis 3 jours. Nous sollicitons l'avis du Dr. X qui examine le patient et ne retient pas une indication à une imagerie ou à une prise en charge chirurgicale. Suite à la discussion, nous suspectons une colite à Clostridium difficile qui se serait développée suite à l'antibiothérapie de sa pneumonie. Dans ce contexte, nous proposons l'introduction de metronidazole 500mg 3x/j PO pour une période de 10 j. Le traitement antibiotique sera à réévaluer dès réception des résultats des cultures de selles. Nous conseillons au patient de bien s'hydrater, ainsi que de se représenter aux urgences en cas de péjoration de sa symptomatologie. Afin de soulager le patient de sa toux, nous lui proposons un traitement de codéine. Le patient est convoqué en contrôle à la FUA à 10h le 7.12.2018. Le patient nous informe ressentir quelques troubles de l'équilibre, nous mettons cela sur le compte d'un déconditionnement prolongé de la marche. Nous proposons au patient de marcher avec l'aide d'un rollator avec un but thérapeutique afin de regagner l'équilibre et l'endurance à la marche. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle clinique mais restons à disposition en cas de nouvelle symptomatologie. Le patient peut gentiment reprendre le ski avec son attelle géniculaire. S'il ressent une instabilité, il nous recontactera et si la situation est stable, pas de contrôle nécessaire. Le patient dit que la physiothérapie n'est plus nécessaire et qu'il fait des exercices à la maison. Le patient peut se mobiliser encore deux semaines avec l'attelle et ensuite sans attelle. La mobilisation en physiothérapie se fait de manière isométrique, active, assistée. La flexion est possible jusqu'à 90°. Contrôle dans 6 semaines. Le patient préfère être suivi par son orthopédiste à Genève. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Le patient prendra contact avec un ORL d'ici max. 7 à 10 jours en vue d'une évaluation d'un redressement de son nez et d'ici là anti-inflammatoires, glace et gouttes vasoconstrictrices. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation en fin de semaine (14.12.2018) pour contrôle clinique. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle de la tension artérielle et modification du traitement antihypertenseur au besoin. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X au début janvier 2019 pour contrôle. Le patient prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle, selon évolution. Le patient présente de fortes douleurs à 6/10 lors de son arrivée aux urgences. Au vu d'une symptomatologie typique de gastro-entérite, nous proposons un retour à domicile avec bonne antalgie et Buscopan, puis contrôle en filière 34 dans 3 jours vu l'absence de son médecin traitant. En cas de stagnation des symptômes, ajouter un laboratoire et réévaluer suite à la prise en charge. Le patient présente des douleurs au versant antéro-interne pouvant être mises d'une part sur le compte du matériel, mais également dans le cadre d'une pathologie intra-articulaire (arthrose, re-rupture méniscale). Nous discutons avec le patient et convenons ensemble de procéder à l'ablation du matériel au niveau du tibia proximal dans un premier temps. À terme et selon l'évolution, nous pourrions compléter le bilan par une IRM du genou D. L'intervention est prévue le 11.12.2018. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. Le patient sera revu dans l'intervalle par nos collègues anesthésistes.Le patient présente des lombalgies, qui s'acutisent suite à un traumatisme ce jour. Nous ne retrouvons pas cliniquement de déficit sensitivomoteur. Nous lui proposons dès lors un traitement symptomatique que le patient refuse catégoriquement de prendre. Le patient présente des omalgies plutôt inhabituelles qui me font penser à une lésion SLAP, voire une instabilité du long chef du biceps. Pour cette probable pathologie, je préconise une arthro-IRM de l'épaule droite. Par contre, en ce qui concerne les plaintes de fourmillements du membre supérieur droit, je demande au patient de bien en noter la localisation et de me les décrire de manière plus précise lors de la prochaine consultation. Je reverrai le patient suite à l'IRM : le 13.12.2018. Le patient présente des tassements frais au niveau L2 et L3 pour lesquels nous proposons une vertébroplastie. Concernant l'herniation, dans le contexte des multiples comorbidités, nous ne proposons pas de prise en charge chirurgicale. Avant tout geste, nous adressons le patient pour un consilium anesthésiologique pour évaluer son opérabilité et éventuellement décider d'une courte sédation par masque laryngé. Prochain contrôle à la suite de cet examen pour discuter des mesures à prendre et organiser l'arrêt du Sintrom. Nous remettons d'ores et déjà le consentement éclairé au patient. Ce dernier est signé par son épouse qui l'accompagne. Une date opératoire est fixée au 21.01.2019. Dans l'intervalle, prescription de Miacalcic spray. Le patient présente toujours des douleurs compatibles avec une rupture du ligament scapho-lunaire ainsi qu'une légère laxité du LCU. Sur avis de la Dresse Bassi, nous organisons une artho-IRM pour le 28.12 avec une consultation ensuite à la FUA (Dr Agaoua à appeler). Dans l'intervalle, le patient est immobilisé avec une attelle pouce avec soft Cast posée par la Dresse Bassi. Il rentre à domicile avec l'antalgie simple à poursuivre. Après discussion au coloc d'orthopédie le 25.12, il est décidé de réaliser une radio du poignet gauche pour comparaison avant l'arthro-IRM, soit le 28.12 à 9h30. La nécessité de l'arthro IRM est ensuite à discuter (Dr Agaoua). Le patient présente toujours des douleurs neuropathiques dans la jambe, ce qui peut être normal à ce stade post-opératoire. Poursuite de la physiothérapie pour rééducation fonctionnelle à la marche et hygiène posturale. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. En cas de persistance des douleurs, nous organiserons une myélographie fonctionnelle. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Le patient présente toujours des sensations de malaise et d'état fébrile. Le bilan complémentaire et la clinique restent sans particularité. Malaise probablement en lien avec la symptomatologie urinaire. Pas d'argument pour d'autres investigations exhaustives. Le patient présente un descellement partiel des cages ALIF. Manifestement, la correction de la lordose que nous avions faite lors du geste chirurgical n'a pas pu être maintenue. Bien que le contrôle radiologique montre une mauvaise évolution, nous expliquons au patient que les vertèbres se consolideront dans cette position et que les douleurs peuvent durer jusqu'à environ 3 mois post-opératoires. L'autre option serait une fixation postérieure, mais en accord avec M. Gehri, nous préférons pour l'instant poursuivre le traitement conservateur. Nous le suivrons régulièrement pour juger de l'évolution radiologique avec un prochain contrôle radio-clinique de la colonne lombaire face/profil en charge dans 4 semaines. Dans l'intervalle, poursuite de l'arrêt de travail à 50%. Nous lui expliquons qu'il serait judicieux d'essayer d'arrêter ou diminuer la consommation de tabac. Le patient présente un épaississement du ligament longitudinal postérieur pouvant engendrer un rétrécissement du canal cervical. Afin de bilanter la possible ossification, nous organisons un CT cervical. Une infiltration péri-radiculaire C7 G sous CT sera par la suite réalisée. De plus, nous organisons également une évaluation neurologique de base, à la recherche d'une atteinte nerveuse. Prochain contrôle à la suite de ces examens. Le patient présente un hématome sous Xarelto, pré-patellaire sur statut post-prise de greffe du TQ sur une plastie du LCA. Arrêt du Xarelto et introduction de Clexane 40 mg. Le patient sera hospitalisé cet après-midi pour surveillance du genou et éventuelle évacuation de l'hématome. Le patient présente un important rétrécissement du canal lombaire. Vu les images de l'IRM, une prise en charge chirurgicale pour une décompression sur les 3 niveaux est proposée au patient. Ce dernier est plutôt réfractaire à l'idée d'une opération. Nous lui proposons donc dans un premier temps une infiltration péridurale auprès du service d'antalgie et prions donc nos collègues de bien vouloir le convoquer à cet effet. Prochain contrôle 4-5 semaines après ce geste pour discuter de la suite de prise en charge. Le patient présente un monoarthrite avec des signes radiologiques très évocateurs d'une crise de chondrocalcinose. Un bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et nous ne retenons donc pas d'indication à une ponction articulaire d'office. Nous proposons dès lors au patient un traitement anti-inflammatoire et du repos. Les consignes de reconsultation (fièvre, rougeur, atteinte d'autres articulations, douleur malgré l'antalgie) sont expliquées au patient. Le patient présente un syndrome compressif du nerf cubital au coude gauche. La clinique est confirmée par EMG et, vu la gêne locale importante, le Dr X retient l'indication opératoire. L'intervention se déroule sans complication le 18.12.2018, les suites opératoires sont simples et les douleurs sont gérées par l'antalgie standard. Le contrôle clinique montre l'absence de trouble neuro-vasculaire et la plaie, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche, est propre et calme. Le poignet est immobilisé par une attelle BAB pour une semaine, puis celle-ci sera retirée et la mobilisation se fera selon douleurs. Face à la bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 19.12.2019. Le patient présente un syndrome du tunnel carpien à D, qui a été confirmé par ENMG. Nous posons une indication de prise en charge chirurgicale. Nous expliquons au patient le déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices, qu'il accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. L'intervention aura lieu le 29.01.2019 à Tavel. Le patient présente une bonne évolution clinique à 6 semaines de l'épisode d'arthrite et de l'intervention susmentionnée. Suite à la discussion avec Dresse Erard, on communique au patient que même si le PCR pour Borelia burgdorferi est revenu négatif, la possibilité que l'épisode d'arthrite soit dû à la maladie de Lyme n'est pas exclue et qu'une récidive est toujours possible. Lors d'une prochaine récidive, on pourra la traiter toujours avec des antibiotiques et si par la suite il y a de nouveaux épisodes, on peut passer à un traitement anti-inflammatoire. Vu l'évolution favorable, on ne prévoit pas d'autres investigations ni de contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Le patient présente une clinique de lombo sciatalgie droite non déficitaire survenue à l'effort. La radiographie lombaire réalisée ne montre pas de signes de pincement L5S1. On laisse le patient rentrer à domicile avec consignes pour repos, antalgie et un bon de physio à but antalgique. Un rendez-vous de contrôle est prévu pour réévaluation quant à la reprise du travail à une semaine de distance. Une IRM lombaire sera préconisée si épisodes récurrents afin d'exclure une hernie discale.Le patient présente une compression chronique du nerf cubital au niveau du coude et au poignet gauche. Je préconise une neurolyse du nerf cubital à ces 2 endroits. Par contre, j'explique au patient déjà maintenant qu'il risque une récupération très lente au niveau du nerf cubital vu qu'il s'agit d'une compression de longue date. J'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue le 29.1.2019. Le patient présente une crise dans le contexte du listhésis mais n'a aucun trouble neurologique. Nous ne préconisons donc aucune prise en charge chirurgicale tant que ces crises sont espacées et expliquons au patient qu'il peut prendre une antalgie en réserve et qu'il doit poursuivre les exercices d'hygiène posturale. Concernant le lipome, nous prions la Dr. X qui nous adresse le patient de bien vouloir investiguer la taille de la lésion et selon celle-ci, demander un avis chirurgical ou un examen complémentaire. Nous ne corrélons pas les douleurs du patient avec cette masse. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Le patient présente une décompensation musculaire lombaire dans le cadre d'une arthrose du genou avec une marche qui n'est pas normo-axée. Nous expliquons à Mr. Y l'importance de régler dans un premier temps le problème du genou avec l'implantation d'une PTG. Nous le reverrons à 6 mois de cette intervention afin de vérifier si les douleurs lombaires persistent. Nous déciderons à ce moment-là de la suite de prise en charge. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Le patient présente une évolution favorable de sa dyspnée sous traitement corticoïde que nous proposons de continuer comme prescrit. En raison de la douleur thoracique respiro-dépendante, un CT thoracique a été effectué afin d'exclure une embolie pulmonaire. À noter qu'à posteriori, le patient est anticoagulé par Lixiana et que cet examen n'était probablement pas indiqué. Le patient présente une évolution lente. Vu l'importance de la 2ème intervention, on conseille au patient d'être prudent, il va donc poursuivre une mobilisation en active assistée avec la physiothérapie, avec une limitation en abduction à 90°, rotation externe à 20° durant 4 semaines. Il va garder le coussin d'abduction pendant la nuit et la journée lorsqu'il sort pendant 2 semaines. On revoit le patient dans 2 mois pour un contrôle clinique. Arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Le patient présente une évolution satisfaisante du point de vue radiologique et clinique à 6 semaines postopératoire. On va augmenter progressivement la charge à 10 kg par semaine pour gagner en mobilité. On recommande au patient de reprendre la prophylaxie thrombolique par Clexane 40 mg s.c. 1X par jour jusqu'à ce qu'on arrive à 35 kg de charge. En ce qui concerne les activités sportives, on recommande de les reprendre qu'à partir du mois de mars 2019 par conséquent, le début de service militaire en janvier 2019 n'est pas possible. On reverra le patient pour un contrôle radioclinique dans 6 semaines. Le patient présente une fracture non déplacée du 5ème métacarpien gauche qui permet un traitement conservateur par immobilisation par une attelle Edimbourg pendant 6 semaines (1 semaine préfabriquée, par la suite thermoformée sur mesure en ergothérapie). L'hyposensibilité est liée à la tuméfaction ; on attend une régression suite à la détuméfaction. Un contrôle radio-clinique est programmé dans 1 semaine à la consultation ortho-urgence. Le patient présente une fracture stable de type Weber A de la malléole externe. Il s'est mobilisé pendant 1 semaine suite à la fracture et ne montre pas de déplacement au niveau de la radiographie. Nous proposons un traitement conservateur avec une Aircast et des cannes avec charge selon douleur pendant 3 semaines. Contrôle radioclinique à 3 semaines à la consultation orthopédique d'urgence. Le patient présente une récupération lente et marquée par des raideurs articulaires que j'observe souvent dans ce contexte. Initiation d'un traitement physiothérapeutique à sec et dans l'eau. Contrôle chez moi le 13.2.2019. Jusque-là, arrêt de travail à 90%. Le patient présente une rupture chronique du sus-épineux. Un événement accidentel a mené à la décompensation de son épaule, qui est actuellement très algique. Je préconise une infiltration sous-acromiale, effectuée dans la foulée. Le patient présente une rupture du tendon d'Achille à droite avec un rapprochement des berges des tendons d'environ 1 cm en flexion plantaire. On regarde les comorbidités importantes et la situation avec une anticoagulation à haute dose suite à l'opération cardiaque et envisageons un traitement conservateur par un Vacoped et un suivi au team pied. On va organiser en ambulatoire un ultrason pour voir la distance entre les berges du tendon et le patient sera évalué au team pied lundi prochain (sera convoqué). Le patient RAD avec RICE, arrêt maladie et contrôle chez le MT à J7. Le patient reçoit aux urgences Arixtra 2.5 mg et Aspegic 500 mg IV après discussion avec Dr. X avant le résultat de troponine. La cinétique de troponine est négative. Nous suspectons pour ces douleurs thoraciques un angor instable au vu des caractéristiques des douleurs. Le GRACE Score étant à 87. Une péricardite est à évoquer également chez ce patient qui décrit une symptomatologie de gastro-entérite depuis 2 jours avec un aspect sus décalage cupuliforme en précordial. Nous mettons en place un traitement par aspegic 1 g 4x/j avec de l'atorvastatine 20 mg/j. Un test d'effort sera organisé le 24.12.2018 et le patient va être appelé pour le RDV. Le patient rentre à domicile et il est informé dans quels cas il faut reconsulter aux urgences et qu'il ne doit pas faire d'effort en attendant le bilan cardiologique. Le patient reçoit du nexium à l'arrivée aux urgences, qui ne soulage pas la pesanteur épigastrique. Après un ASP mettant en évidence une coprostase colique, nous réalisons un grand lavement par Practomil qui permet au patient d'évacuer une quantité importante de selles et de soulager le patient. Il rentre donc à domicile avec un traitement laxatif de réserve. Nous proposons au médecin traitant d'organiser un US abdominal supérieur à distance afin de rechercher des calculs vésiculaires, étant donné le type et la localisation des douleurs. Le patient reçoit une incapacité de travail jusqu'au 19.12.2018. Comme prévu, nous le reverrons pour une fasciectomie au niveau de la main gauche le 11.02.2019. Le patient refuse les injections de Clexane. Nous lui proposons dès lors le Xarelto en l'avertissant que ce traitement n'est pas remboursé par l'assurance, ce que le patient accepte. Le patient rentre à domicile avec son épouse à qui nous donnons les consignes de surveillance. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique simple par Dafalgan et une corticothérapie sur 6 jours. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique. Il doit reconsulter un médecin à 5 jours pour enlever les plaies. Le patient étant au Portugal, il engagera les démarches lui-même. Le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique simple. Le patient rentre à domicile avec un traitement de Ciprofloxacine 500 mg 2 x/j et de la Tamsulosine. Il reprendra contact avec son médecin traitant pour un contrôle. Le patient rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Le patient rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan 1 g 4 x/j, Irfen 600 mg 3 x/j, Novalgin 500 mg 4 x /j. Au vu de l'état général conservé et de l'absence de changement sur le plan thérapeutique en cas de confirmation radiologique d'une fracture de côte, nous laissons le patient rentrer à domicile.Le patient rentre à domicile avec une antibiothérapie en raison de l'atteinte bilatérale. Traitement antalgique simple donné en parallèle. Le patient rentre à domicile et reconsultera le Dr. X une fois que les sérologies seront effectuées. Il bénéficie d'une antalgie simple par dafalgan et écoféna crème. En l'absence de signes pour une arthrite septique et au vu de l'absence de besoin d'une ponction thérapeutique, nous renonçons pour le moment à un geste technique invasif. Le patient reprend contact avec son psychologue traitant pour un contrôle dans les plus brefs délais. Le patient sera convoqué par nos soins pour un Holter de 24h afin d'écarter un trouble du rythme syncopé. Le patient reverra son médecin de famille dans le mois qui suit la fin du cycle de réadaptation pour poursuite et contrôle d'évolution et adaptation thérapeutique. Nous proposons également de contrôler le profil tensionnel du patient. • Contrôle cardiologique dans 3 mois chez le cardiologue traitant, avec notamment contrôle échocardiographique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. • Contrôle à la consultation du Dr. X le 10.12.2018. • Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. • Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. • Éviter le port de charges lourdes (max 5kg) pendant en tout cas 3 mois post-opératoires. Le patient reverra son médecin de famille dans le mois qui suit la fin du cycle de réadaptation pour poursuite et contrôle d'évolution et adaptation thérapeutique. • Contrôle cardiologique avec notamment contrôle échocardiographique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. • Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. • Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. Le patient reverra son médecin de famille dans le mois qui suit la fin du cycle de réadaptation pour poursuite et contrôle d'évolution et adaptation thérapeutique. • Contrôle cardiologique dans les 3 mois (sauf si symptômes avant le rendez-vous), avec notamment contrôle échocardiographique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. • Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. • Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. • Éviter le port de charges lourdes (max 5kg) pendant en tout cas 3 mois post-opératoires. Le patient reverra son médecin de famille dans le mois qui suit la fin du cycle de réadaptation pour poursuite et contrôle d'évolution et adaptation thérapeutique. • Contrôle cardiologique dans 3 mois chez le cardiologue traitant, avec notamment contrôle échocardiographique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. • Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. • Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. • Prophylaxie d'endocardite selon carte orange à vie. Le patient reverra son médecin de famille dans le mois qui suit la fin du cycle de réadaptation pour poursuite et contrôle d'évolution et adaptation thérapeutique. • Contrôle cardiologique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. • Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. • Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. • Prophylaxie d'endocardite selon carte orange à vie. Le patient reverra son médecin de famille le 9.12.2018 pour adaptation du Sintrom et dans le mois qui suit la fin du cycle de réadaptation pour poursuite et contrôle d'évolution et adaptation thérapeutique. • Contrôle cardiologique chez le Dr. X à 6 semaines post-opératoire. Nous laissons le soin au Dr. X de réévaluer l'indication de poursuivre le traitement de Colchicine. • Contrôle cardiologique chez le cardiologue traitant à 3 mois, avec notamment contrôle échocardiographique. Les contrôles ultérieurs seront modulés selon ses observations et recommandations. • Encourager la poursuite d'une activité physique régulière comme par exemple 30-60 minutes de marche, associée au maintien du régime hypocalorique entrepris. • Prévoir contrôle de bilan lipidique dans un délai de 2-3 mois en s'assurant que la LDL-émie atteigne une valeur <1.8mmol/l. • Éviter le port de charges lourdes (max 5kg) pendant en tout cas 3 mois post-opératoires. • Prophylaxie d'endocardite selon carte orange à vie. • Poursuite de la prise en charge en ambulatoire dès janvier 2019. Le patient reverra son médecin traitant lundi pour l'ablation des agrafes en fonction de la clinique. Le patient reverra son médecin traitant à J7 pour l'ablation des points. Le patient reviendra en contrôle dans 48 heures, merci de compléter selon votre évaluation le bilan avec.• US abdominale à la recherche de masse intra-abdominale, • CK totales à la recherche de signes de lyse tumorale, • Rx des membres inférieurs, à la recherche de fracture sur trauma méconnu Le patient revient à la FUA pour antibiothérapie i.v. et consultation ORL. Le Dr X constate un abcès intra-amygdalien et ne retient pas l'indication à une incision. Le patient reçoit 2.2 iv de co-amoxicilline, 1000 mg de paracétamol i.v et une hydratation de NaCl 1500 ml aux urgences. Il rentre à domicile avec poursuite de l'antibiothérapie per os par Co amoxicilline et antalgie. Il verra le Dr X à sa consultation le 27.12.18. Le patient revient pour le contrôle clinique et scanner + US. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, nous retenons le diagnostic de contusion de la main gauche et entorse LCU gauche. Le patient rentre à domicile avec immobilisation par une attelle du pouce, antalgie en réserve. Dans 3 semaines, Mr. Y bénéficiera d'une séance d'ergothérapie. Le patient se blesse le 16.12.2018 par un bris de verre en regard de la face palmaire de P1 D3 de la main gauche. Il consulte aux urgences 24 heures plus tard où l'exploration de la plaie ne montre pas d'atteinte tendineuse. Il n'y avait pas de signe en faveur d'une atteinte de la gaine des fléchisseurs. La plaie a été lavée, suturée et le patient a été mis sous antibiothérapie. Il est revu en contrôle à la policlinique le 18.12.2018, à 24 heures de l'exploration. La plaie est alors calme, le Penrose est retiré et il n'y a pas de signe de surinfection. Le 20.12.2018, le patient se présente en policlinique pour un deuxième contrôle. Le status clinique et biologique confirme le diagnostic principal et l'indication opératoire est retenue. Les prélèvements bactériologiques reviennent négatifs à 5 jours, le contrôle biologique post-opératoire ne met pas en évidence de signes d'inflammation systémique. L'antibiothérapie est poursuivie en intraveineux durant le séjour, puis relayée par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 04.01.2019, soit un total de 2 semaines post-opératoires. Le suivi clinique montre une plaie calme et sèche. Vu la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 26.12.2018. Le patient se montre absolument collaborant et calme pendant tout son temps aux urgences. Après consultation du psychiatre de garde, nous lui proposons une hospitalisation à Marsens qui serait possible dès le soir de la présentation. Le patient préfère une hospitalisation planifiée pendant la semaine prochaine pour qu'il puisse régler des tâches administratives. Le patient se montre non collaborant et bouge à chaque fois que nous ressortons l'aiguille pour la suture. Nous déplaçons donc le patient au box 12 avec un monitoring. Puis mise en place du Méopa avec un bon effet. Nous mettons en place deux points de suture qui devront être retirés à J7 chez le pédiatre. Le patient se pique lui-même. Contrôle de la glycémie à 12h30 : 12.7. Le patient se plaint de douleurs reproductibles à la palpation au niveau costal antérieur gauche, sans signe d'hématome ou asymétrie palpable de résolution sous antalgie simple. Par ailleurs, l'auscultation respiratoire est symétrique sans hypoventilation et la radiographie du thorax ne montre pas de signe de pneumothorax ou fracture visible. Le dosage des troponines revenant bas sans cinétique n'est pas en faveur d'une contusion cardiaque, et le bilan biologique ne met en évidence aucune perturbation des tests hépatopancréatiques. Le stix urinaire revient propre. On retient une contusion costale et on laisse le patient rentrer à domicile avec un rendez-vous de contrôle prévu la semaine prochaine chez le médecin traitant et un traitement anti-inflammatoire/anti-douleur en réserve. Contrôle téléphonique le 02.12 : le patient n'a aucune douleur abdominale ce jour, donc il n'est pas reconvoqué pour une imagerie abdominale. Nous lui conseillons de consulter au moindre problème. Le patient se présente aux urgences en demandant un traitement pour dormir, parce qu'il pense à des bonnes nouvelles qui lui empêchent de dormir. Suite à l'avis du psychiatre de garde, qui préconise mirtazapine 15 mg max x2, le patient demande d'être hospitalisé à Marsens par peur d'avoir une phase maniaque de façon soudaine. On rappelle encore le psychiatre de garde et l'équipe de Marsens qui donnent un avis favorable pour l'hospitalisation. Le patient se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse lombaire gauche associées à une algiurie et pollakiurie. En raison d'une insuffisance rénale avec créatinine à 106 micromol/l, nous hospitalisons le patient. Au vu d'une normalisation de la fonction rénale au laboratoire de contrôle et d'une douleur contrôlée par antalgiques simples, nous laissons le patient rentrer à domicile. Notons que le patient n'a jamais présenté de fièvre et a eu une diurèse conservée pendant la crise lithiasique. Le patient sera convoqué le lundi prochain 10.12.2018 à la consultation du Dr X, urologue, pour un contrôle clinico-radiologique. Le patient se présentera à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 10 jours post-opératoires. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr X à distance de l'hospitalisation. Le patient se présentera pour contrôle le 30.12.2018 et ablation de la mèche. Le patient se rend à Fribourg pour une consultation ophtalmologique afin d'exclure un décollement de la rétine ou thrombose qui nécessiterait une intervention rapide. Le patient se rend chez le dentiste le 14.12.2018. Le patient se rendra à votre consultation dans le courant de la semaine pour un contrôle clinique. Nous vous proposons de réaliser une gastroscopie de contrôle au vu de ses antécédents chirurgicaux. De plus, nous ne pouvons exclure une cholélithiase symptomatique. Un US des voies biliaires serait à envisager en cas d'absence d'efficacité du traitement d'épreuve. Consultation avant aux urgences si péjoration clinique. Le patient se rendra en ORL le 14.12.2018. Le patient se sent soulagé après être allé à selles. Retour à domicile sans traitement. Nous proposons au patient de revenir s'il présente des douleurs, un trouble du transit, du sang dans les selles ou de la fièvre. Une colonoscopie est prévue en janvier 2019 pour le suivi de polypes. Le patient se tape la main D contre un mur de façon accidentelle. Par la suite, il ressent des douleurs et consulte les urgences. Au status : douleurs à la mobilisation du pouce. Le patient a été contrôlé de façon ambulatoire le 23.11.2018 avec une très bonne évolution clinique et radiologique. Le 14.12.2018, contrôle à 4 semaines du traumatisme : ablation du plâtre. Mobilisation passive et active du pouce dans tous les plans de l'espace de façon correcte avec de bonnes amplitudes et sans douleur. Palpation superficielle et profonde au niveau de la fracture indolore. Testing des forces : force de préhension main D - G 5/5, les forces sont symétriques D - G. Pas de douleur à la préhension.Après discussion avec Mr. Y et son père, nous décidons de mettre un bandage en 8 suffisamment épais de la main G prenant le pouce pour qu'il puisse l'enlever lorsqu'il est à domicile afin d'effectuer des exercices d'assouplissement articulaire. Ce bandage doit être porté pendant la nuit et pendant les activités en dehors du domicile. Interdiction de pratiquer des activités sportives pendant encore 6 semaines. Il nous recontactera si nécessaire. Traitement terminé ce jour le 14.12.2018. Le patient sera contacté par le Dr. X pour extraction du calcul dans un deuxième temps à l'hôpital Daler. Le patient sera convoqué à la consultation des chefs de clinique de chirurgie. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour une OGD puis à la consultation du Dr. X. Le patient sera convoqué en oncologie en janvier 2018. Suivi ambulatoire par les soins à domicile (Passage matin et soir pour supervision branchement, débranchement matin et soir, contrôle de santé 2x par semaine et pansement GPR 3x par semaine ) Le patient sera convoqué par la cardiologie (HFR) : • Contrôle de la plaie dans 10 jours • Contrôle du pacemaker dans 4-6 semaines Suivi de la fréquence cardiaque et adaptation des bétabloquants si besoin à votre cabinet. Le patient sera convoqué pour un rendez-vous en chirurgie de la main. Le patient sera reconvoqué à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 19.12.2018 pour contrôle. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour ablation des fils dès le 10ème jour post-opératoire. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X en janvier 2019 pour suite de la prise en charge urologique. D'ici là, en cas de problème, Mr. Y se représentera aux urgences. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 13.12.2018 à 09h00. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 06.01.2019 inclus. Le patient sera revu à votre consultation le 17.12.2018 pour ablation des fils et contrôle clinique, plus ou moins radiologique. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des agrafes à 14 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 11.01.2019. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 7 jours. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle et ablation des fils de la main gauche le 05.12.2018. Le patient sera revu à votre consultation pour contrôle, selon évolution. Le patient sera revu à votre consultation pour réfection du pansement autour du 10.12.2018, puis à 14 jours post-opératoires pour ablation des agrafes. Un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Mr. Y contactera son urologue traitant, le Dr. X, pour suite de la prise en charge du problème urologique. Le patient sera revu en consultation de contrôle en ORL et afin de discuter des résultats des biopsies et du PET CT du 17.12.2018 le 07.01.2019 à 14h30. Le patient sera vu en consultation en polyclinique de chirurgie après-demain 20.12.2018. Le patient souffre de douleurs sur la face latérale de la cheville D surtout au niveau du LFTA qui montre une lésion chronique avec une prise de contraste mais il est encore intact dans toute sa longueur. A l'examen clinique, il y a un arrêt mou par rapport au côté opposé mais sans vraie instabilité. Nous organisons donc une infiltration de l'articulation tibio-talaire afin de savoir si les douleurs viennent vraiment de cet endroit. Nous le reverrons 2 semaines après ce geste. Le patient souhaite quitter les urgences avant la fin de la surveillance. Il signe le formulaire de décharge de responsabilité et repart avec la police. Le patient souhaite une cure de tunnel carpien. Etant donné la symptomatologie claire et l'ENMG confirmant le diagnostic, nous proposons au patient l'intervention que nous planifions pour le 20.12.2018. Le formulaire de consentement et d'information est signé dans ce sens. Le patient va continuer à être suivi en podologie et avec des soins à domicile. On souhaite une réfection du PICO 3x par semaine. Nous restons à disposition. Le patient venait pour les résultats de son laboratoire, lorsque Mr. Y se présente les résultats ne sont toujours pas disponibles et le laboratoire nous informe qu'ils n'auront les résultats qu'à partir du jeudi 03.01.2019. Il est convenu avec le patient que le Dr. X le contactera par téléphone pour lui transmettre les résultats. Le patient vous contactera en cas de péjoration clinique. Le patient ne présente pas de signes cliniques de détresse respiratoire, saturation 96% en AA avec FR à 18. TA est symétrique aux 2 bras, troponines négatives, D-dimères négatives. Laboratoire - pas de syndrome inflammatoire, ionogramme sp. Rx thorax - pas de pneumothorax, pas de foyer, pas d'épanchement. Pendant la surveillance, Mr. Y présente une désaturation allant jusqu'au 75% sans cause objectivable, possiblement sur mauvaise réception du capteur, nous vous prions de réaliser les investigations dans ce contexte. Le père téléphone puis se présente aux urgences en demandant un dépistage de drogues en urgence pour lui-même et son fils. A l'heure actuelle, il ne souhaite ni de consultation aux urgences si un tel dépistage n'est pas fait, ni de débuter un suivi pédopsychiatrie pour son fils. Il explique que lui-même, il ne consomme pas, mais il souhaite tout de même un dépistage pour lui-même pour montrer l'exemple à son fils, c'est-à-dire qu'il est clean. Nous consultons la littérature médicale par rapport au souhait de dépistage. La position de la Société Suisse de la Médecine de l'Addiction est la suivante : Si la famille demande le test de dépistage de drogues au médecin, un recadrage de la demande est indispensable et doit conduire le médecin à refuser, chaleureusement, mais fermement, d'entrer en matière sur la demande initiale. La demande de test doit être confrontée à la souffrance de l'enfant et de son entourage, en présence d'une communication rompue, ou pour le moins, problématique. Accéder dans ces conditions à la demande première peut accentuer le déni du trouble de communication entre le jeune et les personnes qui l'entourent. En cas de difficulté pour l'intervenant de première ligne, la consultation d'un collègue plus spécialisé et plus expérimenté suffira à donner les pistes utiles, pour redéfinir la demande et les propositions d'aides. Au triage, nous ne constatons pas de signes de gravité, notamment pas d'attitude psychotique ou notion de suicidalité. Durant un entretien de 30 min, nous explorons le terrain et expliquons le risque associé à une demande de dépistage contre l'avis de l'adolescent qui a sa capacité de discernement, c'est-à-dire une probable majoration du conflit intrafamilial avec perte de confiance définitive. Il est également expliqué au père qu'une autodéclaration de la part de l'adolescent auprès de son médecin pédiatre ou généraliste est en règle générale suffisante pour connaître les drogues consommées, tant que le rapport de confiance est intact, sans devoir automatiquement procéder à un dépistage biologique. Le père se montre compréhensif et retire la demande de faire un dépistage pour lui-même et son fils. Nous lui proposons une prise en charge aux urgences avec exploration plus détaillée de la situation conflictuelle avec lui-même et son fils, mais le père ne souhaite pas une telle prise en charge, il ne souhaite pas attendre et il n'insiste pas pour le dépistage biologique. Nous l'orientons alors vers une prise en charge ambulatoire (médecin pédiatre, médecin traitant, psychologue d'école, pédopsychiatre, pédopsychologue spécialisé) mais le père explique qu'il ne souhaite actuellement pas de prise en charge par un médecin psychiatre. Nous lui recommandons alors de renouer le lien avec son fils avec l'aide de son épouse puis en cas d'échec avec persistance du conflit de s'orienter vers son médecin généraliste. Nous restons à disposition en cas d'apparition de signes d'alerte.Le père téléphone puis se présente aux Urgences en demandant un dépistage de drogues en urgence pour lui-même et son fils. A l'heure actuelle, il ne souhaite ni de consultation aux Urgences si un tel dépistage n'est pas fait, ni de débuter un suivi en pédopsychiatrie pour son fils. Nous consultons la littérature médicale par rapport au souhait de dépistage. La position de la Société Suisse de la Médecine de l'Addiction (selon la publication dans la Rev Med Suisse 2008; volume 4. 1172-1174) est la suivante: Si la famille demande le test de dépistage de drogues au médecin, un recadrage de la demande est indispensable et doit conduire le médecin à refuser, chaleureusement, mais fermement, d’entrer en matière sur la demande initiale. La demande de test doit être confrontée à la souffrance de l’enfant et de son entourage, en présence d’une communication rompue ou, pour le moins, problématique. Accéder dans ces conditions à la demande première peut accentuer le déni du trouble de communication entre le jeune et les personnes qui l’entourent. En cas de difficulté pour l’intervenant de première ligne, la consultation d’un collègue plus spécialisé et plus expérimenté suffira à donner les pistes utiles pour redéfinir la demande et les propositions d’aides. Au triage, nous ne constatons pas de signes de gravité, notamment pas d'attitude psychotique ou notion de suicidalité. Durant un entretien de 30 min, nous explorons le terrain et expliquons le risque associé à une demande de dépistage contre l'avis de l'adolescent qui a sa capacité de discernement, c'est-à-dire une probable majoration du conflit intrafamilial avec perte de confiance définitive. Il est également expliqué au père qu'une autodéclaration de la part de l'adolescent auprès de son médecin pédiatre ou généraliste est en règle générale suffisante pour connaître les drogues consommées, tant que le rapport de confiance est intact, sans devoir automatiquement procéder à un dépistage biologique. Le père se montre compréhensif. Nous lui proposons une prise en charge aux Urgences avec exploration plus détaillée de la situation conflictuelle avec lui-même et son fils, mais le père ne souhaite pas une telle prise en charge, il ne souhaite pas attendre et il n'insiste pas pour le dépistage biologique. Nous l'orientons alors vers une prise en charge ambulatoire (médecin pédiatre, médecin traitant, psychologue d'école, pédopsychiatre, pédopsychologue spécialisé) mais le père explique qu'il ne souhaite actuellement pas de prise en charge par un médecin psychiatre. Nous lui recommandons alors de renouer le lien avec son fils avec l'aide de son épouse, puis en cas d'échec avec persistance du conflit de s'orienter vers son médecin généraliste. Nous restons à disposition en cas d'apparition de signes d'alerte. Le plâtre est retiré ce jour et le patient pourra commencer une rééducation progressive en charge selon tolérance. Prescription de 9 séances de physiothérapie dans un but de rééduction à la marche, antalgie, récupération de l'amplitude et proprioception. L'arrêt de travail à 100% est prolongé pour deux semaines, avec une reprise à 50% pour deux semaines. Reprise à 100% le 2.1.2019. Contrôle clinique dans 6 semaines. Le plâtre pourrait être enlevé ce jour, par contre au vu de l'appréhension de sa maman, il va garder le plâtre BAB encore 1 semaine. Un prochain contrôle clinique est prévu à ma consultation le 10.12.2018. Le prochain contrôle aura lieu chez elle le 11.12.2018. La patiente est informée de se présenter en cas de fièvre ou de frisson sous traitement antibiotique. Le produit est injecté en intramusculaire dans la fesse gauche. En raison de la turbidité du produit, seul 2.5 ml sont injectés car l'aiguille d'injection est bouchée. La radiographie ne met pas en évidence des lésions osseuses. Nous mettons en place une attelle Splintpod, avec décharge totale du membre inférieur à la marche et profilaxie anti-thrombotique. Nous recommandons à la patiente de changer le pansement de la plaie du calcanéum et en cas d'évolution défavorable de revenir aux urgences avant la consultation du 03.01.2019. Le radiologue est appelé et nous dit qu'il va rappeler. Concernant TC simple, nous ne faisons pas un scanner cérébral. Nous suspectons selon Dr. X une fracture A1 au niveau L2 et suspicion de fracture de sacrum pour laquelle elle propose antalgie, AINS, repos bouet et la patiente va prendre rendez-vous en Spine team. Concernant l'hématurie microscopique et le rapport officiel de radiologie, la patiente et sa fille ne voulaient pas attendre et partent contre avis médical avant le résultat du scanner et l'avis chirurgie. La patiente refuse l'hospitalisation et nous expliquons dans quels cas elle doit reconsulter. Le résultat de la ponction de la hanche n'a pas permis de confirmer une infection et la prothèse n'est pas décelée. Le CT-scan a également permis d'exclure un mal-positionnement des implants. Le premier épisode semble être d'étiologie traumatique, avec une chute sur le côté gauche ayant provoqué la luxation. Le deuxième épisode est survenu sur un mouvement clairement à risque (flexion-adduction-rotation interne), probablement sur une capsule pas encore cicatrisée. Dans ce contexte, nous ne posons actuellement pas d'indication opératoire pour une révision de cette prothèse. Prescription de physiothérapie intensive avec école de marche et instructions d'hygiène posturale (éviction des mouvements en flexion-adduction-rotation interne). Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Le résultat de la sérologie pour l'EBV ne sort pas avant le 27.12.2018. Le 26.12.2018 pas d'hémoculture positive. Le traitement symptomatique pour la dysphagie est élargi. Le saignement a été de courte durée et autoresolutif, nous ne retrouvons pas d'anomalies au statut ORL. La patiente quitte après réassurance de la famille. Ils prendront rendez-vous pour une évaluation ORL ambulatoire avec rhinoscopie. Nous leur conseillons des stratégies pour arrêter les saignements et de consulter aux urgences lorsque celles-ci seraient inefficaces en cas de récidive. Le saignement est tari à l'arrivée aux urgences. La patiente ne présente pas d'anémie. Nous la laissons rentrer à domicile avec consigne de ne pas se moucher en attendant le rendez-vous, de ne pas se gratter le nez et d'appliquer la crème prescrite plusieurs fois par jour. Un rendez-vous est prévu chez l'ORL Dr. X ce lundi. La patiente présente de plus une péjoration de sa fonction rénale que nous mettons sur le compte d'une déshydratation (urée et hématocrite élevées. Pas d'anémie chez cette patiente connue pour une anémie chronique). La patiente explique boire moins depuis 2-3 jours en raison de la baisse de température. Nous lui conseillons de cibler une hydratation de 2L/j et de revoir son médecin traitant pour un contrôle. Elle a déjà un rendez-vous prévu pour ce vendredi. Le scanner de la cheville gauche met en évidence une fracture trimalléolaire. Le Dr. X conseille la poursuite du traitement conservateur avec une réévaluation clinique en policlinique d'orthopédie par la suite.Le scanner ne met pas en évidence de lithiase ni de signe indirect d'obstruction. Le radiologue signale un doute sur un réhaussement au niveau urétéral gauche portion lombaire, qui pourrait signer un papillome, à corréler avec le rapport définitif. Mr. Y présente encore des douleurs durant le séjour aux urgences, mais est soulagé par l'antalgie simple. Nous retenons en première hypothèse un passage de calcul, mais laissons le soin au médecin traitant de poursuivre les investigations si les douleurs ne se résolvent pas ou en cas de persistance de l'hématurie, avec bilan urologique (cystoscopie). Le score de Genève montre un risque intermédiaire, et les D-dimères reviennent positifs pour l'âge, raison pour laquelle nous demandons une échographie veineuse qui montre une thrombose superficielle de petite taille (environ 3cm) au niveau de la veine saphène interne à >5cm de la jonction saphéno-fémorale. Nous administrons un traitement symptomatique et conseillons à Mme. Y des bas de contention. Un avis du Dr. X nous indique l'indication à administrer un traitement par Fondaparinux 2.5mg par jour, mais lors de la discussion, Mme. Y est déjà rentrée à domicile. Nous la rappelons afin de lui expliquer cette nouvelle discussion, et la rendons attentive qu'elle peut revenir aux urgences pour la prescription de Fondaparinux. Elle nous rapporte qu'elle reconsultera si sa condition se péjore. De plus, nous lui prenons rendez-vous en consultation angiologique le 14.12.2018 à 11:00 à Riaz. Le collègue angiologue qui nous lit en copie assurera la continuation de la prise en charge. Le sédiment montre des leucocytes sans nitrite. Au vu des douleurs en loge rénale gauche, de la leucocytose et des frissons, nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite gauche non compliquée. Dans ce contexte, Mme. Y reçoit une dose de Rocéphine 2 g iv aux urgences et rentre à domicile avec une antibiothérapie per os par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Le sédiment urinaire montre hématurie microscopique avec 11-20 érythrocytes et flore bactérienne. Radio bassin. CT bassin et lombaire. Le sevrage de la trachéotomie s'effectue dès J1 avec rapprochement des berges par 2 points de Vicryl et mise en place d'un Penrose. Nous reverrons Mr. Y dans 48h pour ablation du Penrose et les soins à domicile referont les pansements. À l'oesophagogastroduodénoscopie, une oesophagite sévère sur probable reflux est retrouvée avec des modifications polypoïdes de la muqueuse du cardia. Des biopsies sont réalisées et un traitement par IPP double dose est introduit pour deux mois. Selon le résultat des biopsies, en cas d'oesophagite de reflux seule, alors une réévaluation endoscopique sera nécessaire. Dans cette perspective, nous avons demandé aux gastroentérologues d'évaluer la possibilité d'une gastroscopie via l'orifice de PEG vu le risque encouru à chaque anesthésie. Mr. Y sera revu en ORL dans le cadre de son suivi oncologique en janvier 2018. Le status clinique est rassurant et l'abdomen n'est pas chirurgical. Nous donnons à Mme. Y un pot pour un prélèvement des selles pour PCR multiplex en raison des diarrhées qui évoluent depuis >7 jours. Les douleurs sont calmées aux urgences par du Buscopan et du Nexium, et par avoir mangé une biscotte. Nous proposons un laboratoire, mais Mme. Y préfère, d'accord avec la mère, un RAD. Elle consultera d'ici 72h chez le MT et reviendra aux urgences si la situation ne s'améliore pas entre-temps ou si de nouveaux symptômes apparaissent. Le status clinique et l'anamnèse parlent en faveur d'un granulome cicatriciel chronique traumatique, dû au choc qu'il a subi hier. Cliniquement, il n'y a pas de suspicion pour une infection, avec tous les signes de Kanavel négatifs. Il n'y a pas d'indication pour une incision ou excision en urgence. On planifie un ultrason afin de mieux caractériser cette lésion en ambulatoire et Mr. Y sera convoqué par la suite pour une consultation au team membre supérieur. Le status clinique et le bilan radiologique ne confirment pas une gonarthrose. Je retiens le diagnostic de gonalgies aspécifiques d'origine indéterminée. Mr. Y a effectivement un début de chondropathie, mais ceci n'est pas visible sur le bilan radiologique. Vu qu'il ne semble pas souffrir énormément, je ne propose pas d'autre investigation pour le moment. En cas de péjoration des douleurs, un bilan par IRM pourrait être effectué. Mr. Y me recontactera en cas de besoin. Pas d'arrêt de travail. Le status de sensibilité et motricité du doigt est intact. La plaie n'est pas suturable, elle est en bonne voie de cicatrisation lorsqu'on l'examine. Nous mettons en place des stéristrips et un pansement et Mme. Y peut RAD avec contrôle chez le MT si mauvaise évolution clinique. Le status du pied est rassurant sans signes infectieux ni troubles neurovasculaires. Nous désinfectons les lésions et faisons un pansement à la bépanthène (les deux procédures ont déjà été effectuées par Mr. Y jusqu'à aujourd'hui, tous les jours). Il ira en contrôle dans 3 jours chez un médecin en France (rentre en France demain matin). Le status est rassurant et la radiographie ne montre pas de fractures ni luxations. Mme. Y peut RAD avec attelle Scratch, antalgiques, glace, surélévation du membre et arrêt maladie (travaille comme veilleuse dans un Home). Après discussion d'une possible fracture radiale distale au colloque d'orthopédie, Mme. Y est reconvoquée le lendemain pour réévaluation. Le status est rassurant, mais la présence d'un critère de Ottawa nous fait effectuer quand même une radiographie, qui revient normale. Mr. Y RAD avec RICE et contrôle à J5 (dès qu'il rentre à Berne) chez le MT. Le status est rassurant même si Mme. Y reste bien algique. La radiographie exclut une fracture, et nous en retenons une entorse de stade 2. Elle RAD avec attelle Aircast, RICE, antalgiques et AINS, arrêt maladie. Nous ne proscrivons pas d'héparine car une charge partielle est possible. Elle prendra RdV en polyclinique d'orthopédie à J7 (03.01.2019). Le status est rassurant. Nous mettons en place un pansement gras avec bépanthène à changer tous les 2 jours, et il contrôlera chez le MT le 26.12.2018. Le status fait aux urgences montre des tympans calmes et translucides des deux côtés. Un fond de gorge légèrement érythémateux sans dépôt. Aucun noeud lymphatique n'est palpé. L'auscultation pulmonaire montre des murmures vésiculaires sur l'ensemble des plages pulmonaires. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Un bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 12 mg/L. Le reste du laboratoire est dans la norme. Nous adaptons le traitement déjà bien complet de Mr. Y à l'aide de Codéine Knoll 50 mg 2x/jour. Nous informons Mr. Y sur l'origine probablement virale de sa clinique. Nous lui conseillons de poursuivre son traitement et de se présenter chez son médecin traitant en l'absence d'amélioration. Nous laissons rentrer Mr. Y à domicile en bon état général. Le status montre une bonne amélioration de cette plaie, avec cependant la présence d'une fibrinisation locale. Nous effectuons un curetage de la fibrine et refaisons le pansement avec bépanthène. Pansement gras avec bépanthène à changer tous les 2 jours. Contrôle chez le MT en début de la semaine prochaine et en policlinique de chirurgie le 27.12.2018 à 15h. Le status ne met pas en évidence de signes typiques d'une lésion méniscale ni des ligaments croisés. Les investigations demandées par le MT écartent encore la plupart des diagnostics différentiels (EP, kyste de Baker rupturé). Nous effectuons une radiographie qui montre des discrets signes de gonarthrose, en particulier localisée au niveau patellaire, et un laboratoire qui est normal.Nous renvoyons la patiente à domicile avec une antalgie adaptée, les conseils RICE et indication à prendre rendez-vous auprès du Dr. X afin de poursuivre la prise en charge spécialisée. Le status ne montrant pas de corps étranger ou d'irritation oculaire, nous appliquons de la vitamine A et mettons un pansement sur l'œil gauche. Nous renvoyons la patiente à domicile avec contrôle chez son ophtalmologue le jour suivant. Le status neurologique est normal. Concernant la clavicule, le patient présente à la radiographie et à la clinique une luxation acromion-claviculaire de stade 4, et un petit arrachement distal de clavicule. Selon avis de la Dr. X et discussion avec le Dr. X, nous mettons en place une attelle Rucksack, prescrivons des antalgiques et le patient sera vu en consultation par le Dr. X afin de discuter la suite de la prise en charge. Le status neurologique est normal, et les constantes et le status clinique sont rassurants. À noter juste une T à 37.1°C à son arrivée aux urgences. Après avoir écarté tout signe de gravité, nous envoyons la patiente avec ses parents à Fribourg pour suite de la prise en charge pédiatrique. Le status neurologique est rassurant. Un bilan sanguin est fait et ne montre aucune anomalie, l'ECG est dans la norme. La patiente reçoit un Temesta 1 mg avec bon effet sur la clinique et une tension qui se stabilise progressivement jusqu'à 167/86 mmHg. Au vu de la bonne évolution clinique et tensionnelle de la patiente, nous décidons de la laisser rentrer à domicile avec une réserve de Dafalgan 1 g et 2 x 1 mg de Temesta. Nous proposons un contrôle chez le médecin traitant pour une potentielle adaptation du traitement antihypertenseur. Le status neurologique est strictement normal, la patiente n'a pas de facteurs de risque pour une prédisposition hémorragique. Nous la renvoyons à domicile avec consigne de reconsulter en urgence si apparition de signes de gravité (expliqués en détail à la patiente). Elle a déjà des antalgiques à la maison. Nous explorons la plaie après anesthésie locale et désinfection, et ensuite suturons par 4 points simples 4-0 non résorbables. La patiente consultera à J5 son MT pour l'ablation. Le status neurologique étant dans la norme et vu l'absence de plainte de la part du patient, nous n'effectuons pas d'imagerie cérébrale. La mère a reçu les indications quant à la surveillance neurologique et reconsultera si apparition de signe neurologique. Pour ce qui est du poignet, le patient reporte des douleurs lors de la mobilisation du poignet dans les suites de la chute. Au moment de l'examen, le patient dit ne plus avoir de douleurs. Il utilise autant la main G que D lorsqu'il joue avec ses jouets. Le status du poignet est dans la norme et une imagerie n'est donc pas effectuée dans ce contexte. Le status neurologique étant dans la norme, nous n'effectuons pas d'autre investigation. La mère de la patiente est informée sur la surveillance neurologique à faire. La patiente présente une plaie rectiligne de 2 cm de long en pariétal G que nous suturons avec 2 points après application du Gel Let. L'ablation des fils se fera chez le pédiatre à J7. Le status neurologique revient normal. Avec l'aval du Dr. X, nous renvoyons à domicile le patient tout en donnant aux parents la feuille de surveillance TC. Le strepto-test est négatif mais cela peut être un faux négatif compte tenu de la dose de Pénicilline prise. La famille est très demandeuse d'une antibiothérapie comme débutée par leur médecin en Espagne. Compte tenu des critères de Centor à 4/4 et de l'histoire décrite par la patiente ainsi que du status clinique, nous reprenons le traitement antibiotique. La patiente reconsultera aux urgences si besoin durant ses vacances. Elle reverra son médecin traitant à son retour en Espagne. Le streptotest est négatif. Nous concluons à une IVRS avec bronchite au vu de la toux et des ronchis auscultés. Nous instaurons un traitement symptomatique et le patient rentre à domicile. Le streptotest est positif, raison pour laquelle nous retenons une angine à SBGA et recommandons un traitement par Amoxicilline PO et un traitement symptomatique. Nous conseillons à la patiente de reconsulter son MT par la suite afin d'adapter l'antibiothérapie en fonction des résultats des prélèvements pharyngiens faits. Le suivi palliatif sera assuré par le Dr. X. Le tableau parle pour une colique néphrétique, sans signe de gravité au niveau des examens complémentaires. Dans ce contexte et après discussion avec nos collègues de la chirurgie, nous renonçons à effectuer un scanner et laissons rentrer la patiente avec un traitement symptomatique. Elle reconsultera en cas de mauvaise évolution. Le tableau parle pour une gastroentérite virale, mais nous recommandons au patient de reconsulter pour une culture de selles si persistance des symptômes, au vu de la prise d'antibiotique récente, à la recherche d'un Clostridium. Le test antigènes H. pylori dans les selles est négatif. Le patient décrit une légère amélioration des symptômes depuis la prise du Pantozol. Nous proposons au patient de poursuivre la prise de Pantozol et introduisons du Alucol. Le patient est informé de reconsulter en cas de persistance ou péjoration des symptômes. Le total Body scan effectué aux urgences ne montre pas de pathologie traumatique. La patiente peut donc retourner à domicile. Nous laisserons au médecin traitant le choix de poser l'indication à une IRM en ambulatoire si les douleurs cervicales persistent plus de deux semaines. Le traitement de physiothérapie a été un échec. Nous proposons comme prochaine mesure d'effectuer une infiltration loco-dolentique en regard de l'insertion du tendon d'Achille face externe. Contrôle après l'infiltration pour juger de son effet. Le 02.11.2018, Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière suite à un STEMI inférieur sur occlusion de la coronaire D avec cardiopathie tritronculaire (19.10.2018 ). Le traitement à l'entrée comprend : Insuline Humalog 100 UI/ml, Aldactone 12.5 mg, Aspirine cardio 100 mg à vie, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25 mg, Coversum 5/1.25 mg, Corvaton 4 mg, Diamicron 120 mg, Janumet 50/100, Magnesiocard 10 mmol, Pantozol 20 mg, Plavix 75 mg pendant 1 an, Travatan gouttes ophtalmologiques - 1x dans chaque œil, Dafalgan 1 g en R, Distraneurine en R, Movicol en R, Imodium en R, Nitroglycérine en R. Durant son séjour, le patient est resté asymptomatique sur le plan cardiovasculaire. On ne relève aucun signe de décompensation cardiaque ni d'arythmie tant aux contrôles cliniques que sur les différents ECG réalisés. L'hématome du pli inguinal s'est résorbé progressivement tout au long de son séjour. Au niveau endocrinologique, nous objectivons des glycémies matinales légèrement basses avec des valeurs allant jusqu'à 4.8 mmol/l. Au vu des troubles cognitifs du patient et des risques d'hypoglycémie sous traitement de Diamicron, nous décidons d'enlever la dose de Diamicron du soir permettant ainsi de stabiliser ses glycémies à des valeurs normales. Aussi, nous expliquons au patient qu'il ne doit pas prendre son Diamicron s'il saute un repas à domicile. Au niveau électrolytique, une hypomagnésémie est substituée par Magnésiocard 10 mmol 1x/jour tout au long de son séjour. Au laboratoire de sortie, le magnésium est à 0.58 mmol/l, raison pour laquelle nous poursuivons le Magnésiocard et vous laissons le soin de contrôler les électrolytes à 2 semaines. Au niveau cognitif, nous mettons en évidence la présence de troubles mnésiques avec des troubles de la mémoire à court et long termes, qui sont connus depuis plusieurs années selon le patient. Au vu du contexte post-opératoire, nous renonçons à des investigations supplémentaires mais, proposons au médecin traitant de réévaluer cet aspect à distance.Au sujet du ré-entraînement à l'effort, Mr. Y a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long de son séjour en restant dans le même groupe. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 20 minutes à une allure légère, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 1.2 km/h pendant 20 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une diminution de la marche (− 85 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 1.8 mmol/l, des HDL à 0.84 mmol/l, des LDL à 0.74 mmol/l, des triglycérides à 1.22 mmol/l. • La pression artérielle basale est maintenue aux alentours de 130/60 mmHg sous traitement. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 137/78 mmHg avec une FC à 69 bpm. Le 02.12.2018, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire Aptus, radius distal gauche. Le 03.12.2018, Dr. X : laparoscopie exploratrice. Conversion en laparotomie à cheval sur l'ombilic. Libération manuelle de la bride, détorsion du grêle et traitement du grêle. Lit d'observation du 03.12 au 04.12.2018. Sonde nasogastrique du 03 au 07.12.2018. Le 03.12.2018, Dr. X : réduction ouverte du péroné, ostéosynthèse compressive par une vis libre 2.7 mm, ostéosynthèse par compression par une plaque LCP tiers-tube 3.5 mm 7 trous, vis de position tibio-péronéenne. Le 03.12.2018, Dr. X, Dr. X : incision, drainage, prélèvements bactériologiques. Fermeture primaire. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g iv/jour du 03 au 08.12.2018, puis relais per-os par Augmentin 2 x 1 g/jour jusqu'au 17.12.2018 inclus. Le 03.12.2018, Dr. X, Dr. X : parage de plaie, ouverture en Y de la peau, drainage d'un abcès sous-cutané. Curetage d'une lésion osseuse. Prélèvements microbiologiques et prélèvement anatomo-pathologique. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 2,2 g, une dose post-opératoire, puis 3 x 1,2 g/jour, avec relais per-os le 07.12.2018 par Augmentin 2 x 1 g/jour pour une durée totale de 4 semaines de couverture antibiotique. Le 04.12.2018, Dr. X, Dr. X : réduction fermée et ostéosynthèse par enclouage centromédullaire Gamma III. Matériel implanté : clou Gamma III 11 mm de diamètre, 180 mm de longueur, 125°, vis céphalique 10,5 x 105 mm, vis de verrouillage distal 5 x 35 mm. Le 05.12 : Anamnèse Examen clinique Laboratoire : Leuc=2.2, CRP à 61, Créat à 107, Na à 133, ASAT à 42, GGT à 89, Thr à 94 Hémocultures 2 paires en cours Rx thorax : pas de foyer ni cardiomégalie ni pneumothorax Sédiment urinaire : érythrocytes <3/champ et leuco <5/champ Paracétamol 1 g iv et Voltarène 75 mg iv OU Avis Dr. X CT abdominal injecté : Diverticulose du colon, pas de signe de diverticulite Le 06.12 : Anamnèse Examen clinique Laboratoire : Créat 136, urée 9.3, ASAT 77, ALAT 41, LDH 465, yGT 122, CRP 63, leuco 1.3, Hb 128, Thrombocytes 56, bâtonnets 0.12, segmentés 0.6, mono 0.08, lympho 0.42 Avis Dr. X : • nouveau contrôle biologique et clinique à la FUA demain • si frissons/fièvre : consultation aux urgences avec hospitalisation directe à envisager Le 05.12.2018, Dr. X : drainage pleural gauche par le 5ème espace intercostal. Contrôle clinique, plus ou moins radiologique, et ablation des fils à votre consultation le 17.12.2018. Le 05.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : adénocarcinome acinaire de la prostate, grade groupe 3, Gleason 4+3=7. Multiples foyers d'une PIN de haut grade. Légère prostatite chronique focale, par endroits légèrement active. Légère inflammation chronique focale de l'urètre prostatique avec quelques îlots de von Brunn. Commentaire : le tissu carcinomateux occupe environ 40% de la surface du tissu prostatique inclus en totalité. Sonde vésicale du 05 au 08.12.2018. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 06 au 14.12.2018 inclus. Clexane 40 mg sc/jour du 06 au 09.12.2018. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X avant Noël pour contrôle, discussion du résultat anatomopathologique et suite de la prise en charge urologique. Le 05.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : carcinome urothélial en partie papillaire de haut grade (G3) avec infiltration du tissu sous-muqueux de la muqueuse urothéliale contenant de rares faisceaux de fibres musculaires lisses. Cose TNM : pT1. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 05 au 08.12.2018 inclus. Sonde vésicale du 05 au 08.12.2018. Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour jusqu'au 15.12.2018. Contrôle à la consultation du Dr. X le 17.12.2018 à 16h15. Le 05.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : carcinome urothélial papillaire invasif de haut grade infiltrant le chorion muqueux. Stade TNM : pT1 G3. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 05 au 08.12.2018. Sonde vésicale du 05 au 08.12.2018. Rendez-vous pour contrôle à la consultation du Dr. X le 18.12.2018 à 13h30. Le 05.12.2018, Dr. X : arthroplastie totale de hanche gauche, par voie antérieure minimale invasive. Le 05.12.2018, Dr. X, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche gauche. Matériel implanté : prothèse Medacta, tige AMIStem non cimentée standard taille 1, cotyle MPact taille 48, liner C en polyéthylène, tête céramique 32. Le 06.08.2018, Dr. X : cure d'éventration sus-ombilicale par filet progrip 9x15 cm pré-fascial rétro-musculaire. Réfection du pansement à votre consultation à 4 jours post-opératoires, puis ablation des fils à 14 jours post-opératoires à votre consultation. Rendez-vous à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Le 06.12.2018, Dr. X : examen clinique sous narcose. Complément de drainage d'abcès. Rinçage abondant. Excision d'un polype fibro-inflammatoire à la ligne pectinée. Le 06.12.2018, Dr. X, Dr. X : bursectomie olécranienne du coude gauche. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour pour un total de 14 jours. Le 06.12.2018, Dr. X, Dr. X : bursectomie totale du genou gauche, lavage, prélèvements bactériologiques. Le 08.12.2018, Dr. X, Dr. X : second look, prélèvements, rinçage et fermeture. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour du 05 au 17.12.2018, avec relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour du 18 au 19.12.2018 inclus. Le 07.12.2018 : Mr. Y présente une lésion complète du LCP ainsi qu'une lésion complète du ligament collatéral externe de son genou associées à une lésion oblique de la corne postérieure et moyenne du ménisque interne. Du côté D, je suspecte une lésion du ligament collatéral interne. Pour cette raison, je prescris une IRM de ce genou D. Il sera revu suite à cet examen. Il garde son attelle Jeans en extension pour l'instant au niveau du genou G, jusqu'à la prochaine consultation. Une thromboprophylaxie n'est plus nécessaire en raison de la marche en charge complète. Le 19.12.2018 : Mr. Y présente les lésions susmentionnées. Il est équipé de 2 genouillères articulées qu'il portera pour une durée totale de 6 semaines. L'attitude de traitement sera discutée avec le Dr. X, médecin-chef, team genou, HFR Fribourg - Hôpital Cantonal.Au minimum une reconstruction du ligament collatéral externe du genou G devra être effectuée. Une plastie du LCP serait éventuellement à envisager. En ce qui concerne le genou D, il n'y a pas d'indication opératoire. Le patient se déplace à l'aide de 2 cannes anglaises, en charge selon douleur, sous protection d'orthèses articulées. Après discussion avec le Dr X, ce dernier propose un contrôle à sa consultation à Fribourg d'ici 1 mois. Le patient va être directement convoqué par le secrétariat du Dr X. Le 07.12.2018, Dr X : cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin, arthrodèse selon Girdlestone du deuxième orteil, pied gauche. Le 07.12.2018, Dr X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LISS. Le 07.12.2018, Mme Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à la découverte fortuite d'une insuffisance cardiaque G d'origine indéterminée (22.11.2018), après l'objectivation d'embolies pulmonaires centrales à gauche et segmentaires pan-lobaires à droite (20.11.2018). Le traitement à l'entrée comprend : Beloc Zok 12.25 mg, Eplérénone 25 mg, Lisinopril 5 mg, Singulair 10 mg, Xarelto 30 mg jusqu'au 16.12.2018 puis 20 mg, Zolpidem 5 mg, Symbicort 200/6 1 dose max 2x/j si dyspnée, Dafalgan 500 mg maximum 3x/j si douleurs, Tramal gttes 25 mg max 3x/j si douleurs en combinaison avec Dafalgan. Au niveau de la pression artérielle, la patiente reste asymptomatique tout au long de son séjour mais présente des TA labiles avec des épisodes d'hyper- et d'hypotension; le 11.12.2018, nous adaptons son traitement en diminuant l'Eplérénone à 12.5 mg 1x/j et en majorant le Lisinopril de 2.5 mg le soir. Au sujet du réentraînement à l’effort, la patiente a débuté dans un groupe d’intensité faible. La progression est limitée en raison d'un séjour de courte durée. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant sur une durée de 12 minutes à une vitesse de 1.5 km/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à l'entrée, la patiente réalise une distance de 345 m sans douleurs ou limitation fonctionnelle. Le test de marche de 6 minutes à la sortie n'est pas réalisé en raison d'un séjour écourté à une semaine. Mme Y n'a pas participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ni aux ateliers diététiques en raison de la décision d'écourter son séjour. Une brochure sur la diététique lui a été remise, avec possibilité d'avoir un suivi en ambulatoire. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.8 mmol/L, des HDL à 1.2 mmol/L, des LDL à 3.39 mmol/L, des triglycérides à 1.62 mmol/L. • La TA et la FC se sont normalisées après adaptation du traitement antihypertenseur. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 133/74 mmHg et une FC à 90 bpm. Le 14.12.2018, soit après une semaine de réadaptation cardiovasculaire, Mme Y rentre à domicile et poursuivra la réadaptation en ambulatoire dès janvier 2019 (une demande de prise en charge a été envoyée à l'assurance). Le 08.12.2018, Dr X : bursectomie olécranienne gauche, débridement, prélèvements bactériologiques. Le 10.12.2018, Dr X : second look et fermeture de la plaie. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour du 08 au 16.12.2018, puis relais per os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour du 17 au 22.12.2018 inclus. Le 09.12.2018, Dr X : exploration de la plaie et suture du tendon court extenseur du pouce. Le 10.12.2018, Dr X : suture end to end de l'artère radiale, poignet gauche. Antibioprophylaxie par Cefuroxime 4 x 1,5 g durant 24 heures post-opératoires. Thromboprophylaxie par Liquémine iv en continu, avec contrôle du PTT toutes les 6 heures (range entre 60 et 80). Contrôle duplex (Dr X) : occlusion partielle de l'artère radiale sur 6 cm avec flux rétrograde. Artère cubitale compétente. Avis du chirurgien vasculaire, Dr X : thromboprophylaxie par Xarelto 2 x 15 mg/jour pendant 3 semaines, puis Xarelto 20 mg/jour de la 3ème semaine jusqu'à la fin du 3ème mois post-opératoires. Contrôle clinique aux 3 heures suite à la lésion, avec récupération sensitive et motrice complète à 24 heures post-opératoires. Prévoir un ultrason de contrôle à 3 mois post-opératoires (Dr X, angiologie HFR Riaz). Le 10.12.2018, Dr X : cure de tunnel carpien et neurolyse du nerf médian, main gauche. Mise à plat du kyste arthro-synovial du poignet gauche. Le 10.12.2018, Dr X : drainage, prélèvements bactériologiques, fermeture cutanée. Immobilisation par attelle jeans en extension jusqu'à cicatrisation. Le 10.12.2018, Dr X : cure d'hallux valgus selon Scarf et Akin, ostéotomie de valgisation de O5, pied droit. Le 11.01.2014 : césarienne après échec de provocation/DFP pour prééclampsie à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, garçon de 4250 g au Daler. Le 11.07.2015 : crise psychologique sur annonce de mauvaise nouvelle (frère décédé en Syrie) probablement sur stress post-traumatique non traité ni suivi. 2012 Syrie : accouchement voie basse, 3000 g, allaitement 3 mois. 2010 Syrie : réduction mammaire bilatérale. 2006 Syrie : césarienne, 4080 g, allaitement 3 mois. Accouchement par césarienne en urgence le 17.03.2017 à 32 4/7 SA après mise en travail spontanée pour désir maternel, utérus cicatriciel et échec de tocolyse. Le 11.12, nous évoquons une angine virale avec adénopathie virale. Nous prélevons une sérologie CMV, EBV et nous proposons la poursuite des AINS et des antalgiques en donnant des consignes alimentaires et de réhydratation. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique. Explication en détails des signes de gravité qui peuvent faire consulter l'enfant aux urgences (détresse respiratoire, torticolis, refus de réhydratation). Le 17.12, résultat des sérologies avec CMV négatif, EBV montrant infection ancienne. Le 11.12.18 confirmation du traitement avec Chef Orthopédie pour fracture Salter III de la base de P1 D4. Poursuite de la prise en charge comme prévu. Le 11.12.2018, Dr X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque LISS 13 trous. Le 12.11.2018, Soeur Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière suite à un TAVI réalisé par le Dr X à la Clinique Cecil (05.11.2018). Le traitement à l'entrée comprend : Bisoprolol 2.5 mg, Sintrom selon schéma, Torem 10 mg, Torem 7.5 mg, Detrusitol 4 mg, Euthyrox 50 mg, Dafalgan 500 mg en réserve max 3x/j si douleurs, Pantozol 40 mg, Vitamine D3 - 8 gouttes/j, Condrosulf 1600 mg. Connue pour une arythmie cardiaque par fibrillation auriculaire, la patiente bénéficie d'une anticoagulation curative dont l'INR est difficile à équilibrer sous Sintrom; un arrêt des AVK est décidé et le traitement est remplacé par Eliquis 2.5 mg x 2/j. Au sujet du réentraînement à l’effort, la patiente a débuté dans un groupe d’intensité modérée et elle a pu progresser durant le séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo sur une durée de 25 minutes à une puissance de 10 watts sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 45 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d’effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l’effort et à la récupération.La patiente se plaignant de lombalgies chroniques, exacerbées par l'opération, des séances de physiothérapie en ambulatoire sont prescrites. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y a bénéficié d'un programme personnalisé; notons qu'elle présente une malnutrition protéino-énergétique modérée (NRS à 4/7, BMI à 19 kg/m2, perte de 6-7 kg en 8 ans) et un apport insuffisant en protéines (80% des besoins estimés). Etant donné son âge, un apport supplémentaire en protéines et énergie est requis. Des repas enrichis en protéines et un supplément nutritif/jour ont été instaurés. La patiente vit dans une communauté religieuse où, jusqu'à présent, la consommation de viande était minime, par conviction principalement. Du fait qu'elle a de la peine à se tenir droite, la patiente appréhende de prendre du poids et elle a bénéficié, durant son séjour dans notre établissement, d'un enseignement sur la malnutrition protéino-énergétique et ses méfaits (risque de chute, diminution autonomie, fonte musculaire qui peut aussi engendrer une posture plus difficile à maintenir, chez les personnes âgées). En conclusion, Mme. Y renonce aux SNO mais opte pour l'ajout d'aliments protéiques et caloriques avec viande 2-3x/semaine, poisson, oeufs et produits laitiers (ex séré maigre, fromage allégé, etc) lors de son retour dans sa communauté. Au bilan lipidique, on retrouve un LDL à 3.71 mmol/l, un HDL à 1.58 mmol/l et des triglycérides à 0.80 mmol/l. A l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 137/80 mmHg avec une FC à 75 bpm. Le 12.12.2018, Dr. X : changement de la sonde double J droite et de la néphrostomie percutanée gauche. Le 12.12.2018, Dr. X : épididymectomie droite. DAP : kyste de l'épididyme largement dilaté, avec des remaniements fibreux. Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 12.12.2018, Dr. X : orchidectomie bilatérale sous-albuginée pour blocage androgénique. Mr. Y sera reconvoqué à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 12.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie et atrophie glandulaire du parenchyme prostatique, par endroits avec revêtement urothélial, sans lésion histopathologique notable. Ablation de la sonde vésicale le 15.12.2018. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 12 au 15.12.2018. Le 12.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : signes d'une hyperplasie glandulaire et fibro-musculaire du tissu prostatique. Prostatite chronique légère à modérée focale, en partie légèrement active. Légère inflammation chronique focale, par endroits très discrètement active de l'urètre prostatique. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 13 au 14.12.2018. Ablation de la sonde vésicale le 14.12.2018. Le 12.12.2018, Dr. X : urétrotomie interne. Antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg/jour du 12 au 15.12.2018 inclus. Sonde vésicale jusqu'au 14.12.2018. Mr. Y sera convoqué par le secrétariat de la consultation du Dr. X pour contrôle à 1 semaine. Le 12.12.2018, Dr. X : ablation de la plaque du plateau tibial interne droit. Analyse bactériologique (vis proximale et pseudomembrane). Antibiothérapie intraveineuse prophylactique par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g/jour du 12 au 13.12.2018. Le 12.12.2018, Dr. X : ablation des vis à stabilité angulaire les plus proximales de la plaque LISS. Cerclage du fémur distal. Arthroplastie bipolaire de la hanche gauche. Matériel implanté : prothèse Mathys tige 10 cimentée/col moyen/cupule bipolaire 44. Le 12.12.2018, Dr. X : ablation du cerclage-haubanage. Nouvelle réduction et ostéosynthèse par une plaque Aptus olécranienne 7 trous. Le 13.12.2018, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie per-opératoire. DAP : sévère cholécystite aiguë érosive/ulcérante, nécro-hémorragique, focalement abcédante et fistulisante avec sérosite fibrino-leucocytaire dans un fond de cholécystite chronique avec fibrose transmurale et éosinophilie modérée. Antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl jusqu'au 17.12.2018 inclus. Ablation Jackson 16.12.2018. Contrôle à la consultation du Dr. X le 19.12.2018. Le 13.12.2018, Dr. X : cure de doigt à ressaut, D3, de la main droite. Le 13.12.2018, Dr. X, Dr. X : bursectomie olécranienne, coude gauche. Le 13.12.2018, Dr. X, Dr. X : bursectomie, ostéophytectomie olécranienne. Le 14.12.2018, Dr. X, au bloc opératoire : exploration du site, ablation de débris métalliques, suture du tendon du long abducteur du pouce gauche. Le 14.12.2018, Dr. X, Dr. X : excision de plaie, prélèvements bactériologiques, lavage abondant. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à la sortie à raison de 2 x 1 g/jour de Co-Amoxicilline, à poursuivre jusqu'au 25.12.2018 inclus. Le 14.12.2018, Dr. X, Dr. X : à gauche, correction d'hallux valgus par ostéotomie en chevron. A droite, correction d'hallux valgus par ostéotomie en chevron et Akin de P1. Le 17.12: bilan sanguin: CRP à 9 mg/l, pas de leucocytose à 8.4 G/l. US doigt V droit: pas de corps étranger, pas de lésion de la capsule articulaire. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X). Pas d'examen complémentaire le 19.12. Le 17.12.2018, Dr. X : laparotomie exploratrice à cheval sur l'ombilic. Section de bride. Lavage abdominal. Ablation de la sonde nasogastrique le 19.12.2018. Reprise de l'alimentaire entérale le 19.12.2018. Retour à domicile le 25.12.2018 avec antalgie par Dafalgan et Novalgine, après normalisation de la fonction intestinale et amélioration du syndrome inflammatoire. Le 17.12.2018, Dr. X, Dr. X : bursectomie olécranienne droite, prélèvements bactériologiques, fermeture per-primam. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g/jour puis relais per-os à la sortie à raison de 2 x 1 g/jour à poursuivre jusqu'au 29.12.2018 inclus. Le 17.12.2018, la patiente sera hospitalisée en médecine interne pour bilan et préparation en vue de l'implantation de la PTG G agendée au 20.12.2018 en orthopédie. Le 18.12.2018, Dr. X : neurolyse et antéposition intra-musculaire du nerf cubital du coude gauche. Le 18.12.2018, Dr. X, Dr. X : suture du tendon du long extenseur de l'hallux gauche. Arthrodèse de l'inter-phalangienne 1 et de la métatarso-phalangienne 1 par embrochage percutané, pied gauche. Le 18.12.2018, Dr. X, Dr. X : third look avec débridement, prélèvements bactériologiques, rinçage et drainage d'abcès thénarien, main gauche. Le 24.12.2018, Dr. X, Dr. X : fourth look, nécrosectomie et frottis. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse durant l'hospitalisation, puis relais per-os à raison de Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 01.01.2019 inclus. Le 19.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie prostatique bénigne et quelques foyers de prostatite chronique peu active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion. Ablation de la sonde vésicale le 24.12.2018. Cefuroxime 500 mg/jour du 19 au 31.12.2018 inclus. Le 19.12.2018, Dr. X, Dr. X : mise en place d'une prothèse céphalique type Zimmer. Matériel implanté : tige MS 30 standard taille 6 cimentée, cotyle taille 46, tête 28, col M. Le 19.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la vessie.DAP : carcinome urothélial papillaire de haut grade avec infiltration microfocale du tissu conjonctif sous-épithélial. Stade TNM : pT1 G3. • Liquémine 3 x 5000 UI/jour. • Antibiothérapie par Augmentin 2,2 g iv le 19.12.2018 puis relais per-os dès le 20.12.2018 à raison de 2 x 1 g/jour pour 5 jours. Le 19.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : copeaux de paroi vésicale bordés par un revêtement urothélial sans lésion, sièges d'un remaniement fibro-calcifiant et inflammatoire chronique du chorion. • Ablation de la sonde vésicale le 21.12.2018. • Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 20 au 22.12.2018 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 08.01.2019 à 13h30. Le 19.12.2018, Dr. X : réduction et ostéosynthèse par plaque de reconstruction calcanéenne 3.5. Le 19.12.2018, Dr. X, Dr. Y : ablation de clou PFNA du fémur gauche, bursectomie. Le 20.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement, prélèvement, rinçage et pose de VAC. Le 22.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement de plaie et changement de VAC. Le 26.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement, greffe de Tiersch, pose de VAC. Ablation du VAC et passage à des pansements Jelonet le 03.12.2018. Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 1.2 g intraveineux 3 x/jour pendant 14 jours post-greffe. Suivi par stomatothérapeutique et avis orthopédique (Dr. Y). Le 20.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement, rinçage. Le 22.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement et réfection de pansement. Le 26.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement et pose d'un VAC. Ablation du VAC et passage à des pansements Jelonet le 03.12.2018. Suivi par stomatothérapeute et avis orthopédique (Dr. Y) le 19.12.2018. Le 20.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement, prélèvement, rinçage et pose de VAC. Le 22.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement de plaie et changement de VAC. Le 26.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement, greffe de Tiersch, pose de VAC. Ablation du VAC et passage à des pansements Jelonet le 03.12.2018. Antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline 3 x 1.2 g iv/jour pour 14 jours post-greffe. Le 20.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement, rinçage. Le 22.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement et réfection de pansement. Le 26.11.2018, Dr. X, Dr. Y : débridement et pose d'un VAC. Ablation du VAC et passage à des pansements Jelonet le 03.12.2018. Le 20.12.2018 à 14h en Policlinique ORL. Le 20.12.2018, Dr. Y : réduction ouverte et ostéosynthèse compressive par plaque Compact foot 2.7 mm en T. Le 20.12.2018, Dr. Y, Dr. Z : mise à plat du phlegmon de la gaine des fléchisseurs de D3 de la main gauche, lavage, débridement et prélèvements bactériologiques. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 4 x 2,2 g/jour, puis relais per-os à la sortie à raison de Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour jusqu'au 04.01.2019 inclus. Le 20.12.2018, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers-tube 5 trous. Le 20.12.2018, Dr. Y : coloscopie : pas de source de saignement localisée. Mise en suspens de l'Eliquis. Le 21.12.2018 à 04h00 du matin en boîte de nuit, Mme. Y se tord accidentellement la cheville. Aux urgences, le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic susmentionné. Une réduction de la luxation et la mise en place d'une immobilisation plâtrée sont effectuées. L'indication opératoire est retenue et l'intervention se déroule le 21.12.2018. Les suites opératoires sont simples, le contrôle radiologique est en ordre et les douleurs sont bien gérées par un traitement per-os standard. La réfection du pansement montre une cicatrice calme et sèche. Dès le premier jour post-opératoire, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche en déroulant le pas (charge de 5 kg) à l'aide de cannes anglaises, sans problème, ni douleurs. Une prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour est instaurée et sera poursuivie durant 6 semaines post-opératoires. Devant la bonne évolution radio-clinique, Mme. Y peut retourner à domicile le 24.12.2018. Le 21.12.2018, Dr. X : ablation prothèse testiculaire droite. Biopsie testiculaire gauche. DAP : 1) Pseudo-capsule collagène (épaisseur 300 micromètres) régulière, avec un foyer (diamètre maximal 0,3 cm) avec réaction macrophagocytaire avec fil chirurgical et tissu adipeux adjacent contenant quelques nerfs et vaisseaux sanguins (excision coude autour de la prothèse). 2) Parenchyme testiculaire avec tubule séminiphère dans la norme, avec signes de spermatogenèse dans la norme (biopsie testiculaire gauche). Le 21.12.2018, Dr. X : excision du kyste du cordon spermatique gauche. DAP : tissu conjonctif fibro-adipeux incluant une cavité bordée d'un tissu de granulation riche en plasmocytes. Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour jusqu'au 22.12.2018, puis relais per-os par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour jusqu'au 02.01.2019 inclus. Le 21.12.2018, Dr. X : cure d'orteil en griffe et arthrodèse de l'inter-phalangienne proximale. Antibiothérapie par Cefuroxime 2 x 500 mg/jour du 19.12.2018 au 02.01.2019 inclus. Le 21.12.2018, Dr. X, Dr. Y : ostéosynthèse de la malléole externe par vis de traction 3,5 et plaque tiers-tube latérale, deux broches 1.6 au niveau de la syndesmose. Le 22.12.2018, Dr. Z : révision inguinale gauche. Réduction de hernie. Cure selon Lichtenstein avec mise en place d'un filet Progrip. Ablation des fils à J12 à votre consultation. Le 23.11.2018, Dr. X, Dr. Z : débridement de la plaie, fistulectomie et pansement VAC. Le 26.11.2018, Dr. X, Dr. Z : changement du pansement VAC, débridement, lavage au PulsaVac, prélèvements bactériologiques. Le 30.11.2018, Dr. X, Dr. Z : fermeture secondaire, prélèvements bactériologiques. Le 14.12.2018, Dr. X, Dr. Z : débridement, prélèvements bactériologiques, lavage et pansement VAC. Le 24.12.2018, Dr. X, Dr. Y : changement du pansement VAC. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 3 x 2.2 g iv/jour du 23.11 au 06.12.2018, puis relais per-os par Clindamycine 3 x 600 mg/jour jusqu'au 18.01.2019 inclus. Le 23.12.2018 • Brûlure de 2ème degré de 15 cm2 face dorsale de l'avant-pied, ne touchant pas les orteils. • Brûlure 2ème degré de 2 cm2 face dorso-latérale de l'avant-pied. Le 23.12.2018, Dr. Z : examen proctologique sous narcose. Drainage de la fistule selon Séton. Incision-excision de l'hématome du périnée. Le 24.12.2018 : Contrôle de la plaie et retrait des fils à la FUA. Immobilisation par attelle jeans en extension jusqu'à cicatrisation. Contrôle prévu à la consultation du Dr. X en fin de semaine. le 24.12.2018 en Policlinique ORL. Le 25.12 : Tachypnée d'origine infectieuse (DD : pneumonie virale, pneumonie bactérienne, péricardite, myocardite, bronchite). • Consignes de réhydratation. • Consignes de surveillance à domicile. • Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures. • Contrôles Fréquence Cardiaque aux urgences.Rx thorax Le 26.12: Bronchite modérée Ventolin 6 pushs Betnesol 0,25 mg/kg x 1/jour Toilettes nasales Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures Le 26.07.2018, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque et vis. Le 26.11.2018, Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une réparation valvulaire mitrale et aortique (Dr. X - Clinique Cecil - le 31.10.2018). Le traitement à l'entrée comprend : Sintrom selon schéma, Pantozol 40 mg pour un mois puis à réévaluer, Metfin 1000 mg, Cordarone 200 mg jusqu'au 01.12.2018 puis à réévaluer et Dafalgan 1 g en réserve max 3x/jour. Sur le plan cardiaque, le patient est en FA sous traitement de Cordarone 200 mg 1x/jour que nous diminuons à 100 mg/jour dès le 30.11.2018 et arrêtons le traitement le 03.12.2018 en raison d'une toux persistante et du risque de pneumopathie interstitielle sur Cordarone, que le patient tolère bien. Un Holter est réalisé, qui revient dans la norme et ne montre pas d'anomalie du rythme cardiaque. Sur le plan respiratoire, le patient se plaint d'une dyspnée NYHA stade 3 en péjoration le 03.12.2018. A l'examen clinique, nous auscultons une hypoventilation pulmonaire en base G, raison pour laquelle nous introduisons un traitement de Prednisone 20 mg 1x/jour avec un schéma dégressif, sans amélioration. A l'examen clinique du 05.12.2018, nous auscultons des sibilances à gauche, justifiant l'introduction de Seretide 250 mcg 2x/jour avec évolution favorable. Sur le plan endocrinologique, le diabète est globalement bien contrôlé, malgré une légère augmentation des glycémies sous traitement de Prednisone. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. A la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à 42 W. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 65 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une FA normocarde persistante mais avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.9 mmol/l, des HDL à 1.25 mmol/l, des LDL à 2.28 mmol/l, des triglycérides à 2.19 mmol/l. • Sous traitement, la tension artérielle du patient est dans la norme. A l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 137/77 mmHg et une FC à 82 bpm. Le 26.12: Lors du contrôle clinique demandé aux urgences, nous évoquons une bronchite modérée d'évolution favorable aux urgences après administration de Ventolin et de Betnesol associée à une angine virale débutante. Vu l'état général rassurant, nous proposons la poursuite du Ventolin et du Betnesol à domicile avec contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Nous expliquons de nouveau les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (péjoration respiratoire, altération de l'état général) Le 27.11.2018, Dr. X, Dr. X : enclouage centromédullaire du tibia droit par clou Stryker avec verrouillage distal et proximal en statique. Le 27.12: Cefuroxime 30 mg/kg/j en 20 doses Désinfection Consignes de gravité bien expliquées Contrôle aux urgences pédiatriques dans 48 heures Le 28.12: Bilan sanguin Rocephine 50 mg/kg iv Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures Antalgiques en réserve Le 29.12: Stop Rocéphine Reprise du Zinat jusqu'au 2.1.19 Le 27.12: FSC: Lc 6,4, Plq: 39 G/l >10, CRP 11 mg/l Le 28.12: 9 G/l plq Le 27.12: Nous évoquons une cellulite des métatarses bilatéralement suite à une surinfection varicelleuse avec trajet lymphatique ce jour malgré une antibiothérapie per os pendant 24 heures. Nous mettons en place une antibiothérapie IV avec Rocéphine 50 mg/kg/dose x1/jour et vu l'état général excellent, l'absence de signes systématiques et le bilan biologique rassurant, nous proposons un traitement antibiotique iv et réévaluation aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour réévaluation clinique. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire consulter aux urgences pédiatriques (état fébrile, érythème plus diffus et douloureux avec arthralgies, altération de l'état général) Le 28.12: Cellulite nettement améliorée avec diminution claire de l'œdème et de l'érythème. GEA associée, traitement symptomatique et consignes de surveillance données à domicile. Nous effectuons aujourd'hui une 2ème dose de Rocéphine et nous préconisons un contrôle clinique aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour +/- 3ème dose de Rocéphine. Si image clinique stable et améliorée, relais per os à Zinat, antibiothérapie qui avait déjà débutée initialement pour une durée totale de 7 jours y compris l'antibiothérapie iv (la mère ne connaît pas bien préparer l'antibiotique, à demander aux infirmières de montrer à la mère) Le 29.12.18: Bonne évolution clinique, avec diminution de l'érythème, absence de fièvre. Érythème mesurant maintenant environ 3 x 3 cm, absence de trajet lymphangitique. Stop Rocéphine, reprise du Zinat jusqu'au 2.1.19 Le 27.12: Pas de syndrome inflammatoire, pas de leucocytose, pas de déviation gauche Hémoculture en cours Le 28.11.2018, Dr. X, Dr. X : ostéosynthèse en mini open du tibia par plaque métaphysaire LCP 3.5/4.5 12 trous. Ostéosynthèse du péroné par plaque LCP 3.5 tiers-tube 8 trous. Botte plâtrée pour 6 semaines, transferts lit-fauteuil. Prophylaxie thromboembolique par Clexane durant 6 semaines post-opératoires. Ablation des sutures à 14 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines post-opératoires. Le 28.11.2018, Dr. X : carcinome urothélial papillaire, non infiltrant, de bas grade, pTa G1. DAP : carcinome urothélial papillaire, non infiltrant, de bas grade G1, avec un tissu prostatique hyperplasique. Classification TNM : pTa G1. Ablation de la sonde vésicale le 01.12.2018. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour du 28.11.2018 au 01.12.2018. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Le 28.11.2018, Dr. X : laparotomie médiane pré-péritonéale, pose d'une sonde double J gauche et excision de la lithiase vésicale. Ablation du drain Jackson le 30.11.2018. Antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg/jour jusqu'au 12.12.2018 inclus. Ablation de la sonde vésicale et du Cystofix à 2 semaines. Cystographie de contrôle à 2 semaines. Soins à domicile 1 x/jour pour gestion de l'Uriflac. Le 28.11.2018, Dr. X : néphrectomie totale droite. DAP : 1) Carcinome urothélial papillaire non invasif de haut grade de la vessie (résection transurétrale de la vessie).2) Carcinome urothélial papillaire de haut grade du bassinet et du calice moyen avec au moins un petit foyer de micro-invasion du tissu conjonctif sous-épithélial. Uretère sans lésion histologique significative (pièce de résection du rein et de l'uretère droits). Stade TNM : pT1 G3 R0. Suivi ambulatoire par le Dr. X le 10.12.2018. Le 28.11.2018, Dr. X : arthroplastie totale de genou droit. Matériel implanté : prothèse Persona fémur F/polyéthylène 10/plateau tibial 11/bouton rotulien 35. Instrumentation spécifique pour patient. Le 28.12.2018 : Status clinique Après avis Dr. X : anesthésie locale, élargissement de l'incision faite par le MT et drainage de la collection. Pas de pose de mèche mais rinçage soigneux et désinfection. Reviendra demain en contrôle clinique et pour le pansement à la FUA (MT pas là le weekend). Sera vue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée. Le 29.12.2018 : Status clinique Désinfection à la Bétadine, anesthésie locale, rinçage abondant au NaCl avec retrait d'un bouchon de 2x3 cm de tissus blanc. Avis Dr. X : • Mise en place mèche bétadinée et réfection du pansement • RDV FUA lundi pour ablation de la mèche, rinçage et réfection du pansement RDV chez le médecin traitant déjà prévu le 02.01.2019. Sera vue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée. Le 31.12.2018 : Status clinique : pas d'écoulement, pas de signes infectieux ou inflammatoires. Ablation de mèche Désinfection bétadine Rincage au prontosan et NaCl Réfection pansement simple RDV chez le médecin traitant déjà prévu le 02.01.2019. Sera vue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée. Le 29.11.2018 ablation du matériel d'ostéosynthèse du coude D (2 broches de Kirschner + un haubanage métallique sans difficulté). Le 29.12.2018 (suspicion de cholécystite) Examen clinique Laboratoire : bilirubine totale à 25.5 umol/l bilirubine directe 8.1 umol/l, phosphatase alcaline 139 UI/l Leucocytes : 16 G/l Sédiment urinaire Avis Dr. X + US abdo : Pas de signes francs de cholécystite ou de lithiase (examen à refaire par radiologue). RAD avec antalgie + US abdo le 30.12.2018. Le 30.12.2018 : douleurs d'origine indéterminées Examen clinique Laboratoire : phosphatase alcaline 129 UI/l, Leucocytes : 14.3 G/l, CRP 17 US abdo le 30.12.2018 : pas de signes de cholécystite ou de lithiase Avis Dr. X : • contrôle clinico-biologique à la FUA le 31.12.2018 • discuter avec chirurgien de garde si effectuer CT abdominale si persistance de la douleur et du syndrome inflammatoire. Le 31.12.2018 : probable gastrite virale Examen clinique : amélioration des douleurs, douleurs uniquement en épigastrique à la palpation Laboratoire : normalisation des tests hépatiques, diminution du syndrome inflammatoire avec leuco à 13.7 (14.3) et CRP stagnante à 25 (17) Avis Dr. X : pas de CT nécessaire, IPP pour 2 semaines, contrôle chez MT semaine prochaine, patiente reconsultera si péjoration. Le 30.11.2018, Dr. X, HFR Fribourg : ERCP. Antibiothérapie par Ceftriaxone 2 g 1x/jour et Flagyl 500 mg 3x/jour per os du 28.11.2018 au 03.12.2018 inclus. Retour au foyer le 04.12.2018 avec une antalgie simple et une prophylaxie antithrombotique par Clexane. Le 30.11.2018, Dr. X : Arthroplastie totale du genou droit. Matériel implanté : prothèse Persona fémur taille 10/polyéthylène 10/plateau tibial F/rotule 35. Instrumentation spécifique pour patient. Cathéter fémoral antalgique. Le 30.11.2018, Dr. X : ostéoclasie de l'inter-phalangienne proximale, débasage de P1 et embrochage d'alignement par une Kirchner 2. Le 30.12.2018 à 11h30 à la Permanence. Le 31.10.2018, Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un monopontage AMIG/IVA dans un contexte de maladie coronarienne tritronculaire (Prof. X - CHUV). Le traitement cardiovasculaire à l'entrée comprend : Aspirine 100 mg, Clopidogrel 75 mg, Beloc Zok 50 mg, Crestor 5 mg, Enalapril 40 mg, Torasémide 10 mg. Durant son séjour, nous réalisons une oxymétrie nocturne qui revient dans les normes avec objectivation d'un évènement de désaturation > 3 minutes et 5 épisodes de désaturation > 3 minutes. Sur le plan endocrinologique, le patient présente des glycémies plutôt élevées nous motivant à adapter son traitement d'insuline Lantus. Le 21.11.2018 nous introduisons, à la place du Janumet, un traitement par Jardiance - Metformine 5/1000 2x/jour. Nous objectivons un apport en carbohydrates parfois excessif qui pourrait expliquer les variations des valeurs glycémiques, qui sera évalué en ambulatoire par les nutritionnistes s'il faut se diriger vers un plan nutritionnel plus strict par rapport aux quantités de carbohydrates ingérées. Sur le plan angiologique, le patient se plaint de douleurs dans les MI, connues depuis longtemps, entrant dans le contexte de son artériopathie des MI. Son indice cheville-poignet est de 0.84. Nous lui suggérons d'effectuer plus de marche que de vélo afin d'augmenter le réseau artériel accessoire et lui proposons d'effectuer un contrôle angiologique dans 3-4 mois si la symptomatologie reste stable et de rapprocher le contrôle si les symptômes devaient se péjorer. Sur le plan des électrolytes, le patient présente une hypomagnésémie que nous substituons avec du Magnésiocard 5 mmol/j tout au long de son séjour. Au laboratoire de sortie, le magnésium dans le sang est à 0.81 mmol/l, raison pour laquelle nous stoppons le traitement de substitution. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 2 km/h pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 120 m avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.3 mmol/l, des HDL à 1.07 mmol/l, des LDL à 1.92 mmol/l, des triglycérides à 1.33 mmol/l. 2. Concernant son tabagisme, le patient est passé à la cigarette électronique. 3. Sous traitement, la pression artérielle basale du patient est dans la norme. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 142/68 mmHg et une FC à 60 bpm. Le 31.12.2018 à la Permanence de Meyriez. Le 31.12.2018 : contrôle clinique et CT cérébral : pas de symptômes neuro, CT montre une fracture occipitale gauche stable, les hémorragies frontales sont en cours de résorption sans signes de péjoration (à noter que l'eliquis n'a pas été stoppé). Le 28.12.2018 : anamnèse examen clinique CT Scan cérébral ECG Avis Dr. X : RAD avec contrôle radiologique par CT Scan le 31.12.2018 à 10h30 en ambulatoire (appeler téléradio à Fribourg le 31.12 pour prévenir). Bilan cardiologique chez son cardiologue en Belgique en début d'année. Mme. Y est hospitalisée pour situation psycho-sociale complexe et risque d'hétéro-agressivité dans un contexte de conflit avec les parents. Sur le plan pédopsychiatrique, Mme. Y est évaluée par nos collègues pédopsychiatres de liaison (Dr. X) qui préconisent une hospitalisation à l'hôpital psychiatrique de Marsens en raison d'un haut risque de fugue dans un contexte de troubles des conduites avec hétéro-agressivité. Au cours de son séjour, Mme. Y présente une crise d'hétéro-agressivité envers sa mère nécessitant une dose de 3 mg d'Hallopéridol en goutte qui la calme efficacement. Un traitement par Hallopéridol 1 mg 4 x/jour est mis en place par le Dr. X. Le cadre instauré à l'hôpital est par la suite globalement respecté par Mme. Y au cours du séjour.Sur le plan somatique, Mr. Y présente quelques râles grossiers mobilisables à la toux lors de son status de sortie, sans signes de détresse respiratoire ni odynophagie. Nous préconisons l'arrêt du tabac sans prescription de sirop pour la toux, en raison des effets sédatifs. Mr. Y est donc transféré à Marsens le 20.12.18 pour suite de prise en charge pédopsychiatrique, sous placement à des fins d'assistance (en accord avec le Dr. X) en raison du risque de fugue et du contexte familial complexe. Mme. Y est hospitalisée pour investigations de ses douleurs musculo-squelettiques subaiguës. Sur le plan étiologique, un bilan sanguin effectué le 19.12 avec formule sanguine, CRP, vitesse de sédimentation, CK et CK-MB, TSH, compléments et immunoglobulines revient aligné. Le CH50 reste en cours. La leucopénie/neutropénie légère retrouvées lors d'un précédent bilan en ambulatoire sont résolues. Des sérologies EBV sont compatibles avec une infection ancienne et la sérologie de Lyme est négative. Un consilium ophtalmologique est demandé à la recherche d'atteinte oculaires compatibles avec une maladie rhumatologique ou une connectivite, et revient dans la norme. Une évaluation de la fonction musculo-squelettique et de l'endurance par les physiothérapeutes met en évidence une force diminuée à M3-4 en raison des douleurs et une endurance à l'effort simple (pédaler sur un vélo sans résistance) limitée par la fatigue. Un test à l'eau froide ne montre pas de signe clinique compatible avec une cryoglobulinémie. Un test de fatigabilité à la fixation à la recherche d'une myasthénie est négatif. Nous effectuons également une gazométrie ne montrant pas d'hyperméthémoglobinémie ni d'hypercarboxyhémoglobinémie et un dosage de l'acide folique dans la norme. La plombémie est dans la norme. Suite à une évaluation HEADS pour adolescent, nous demandons une consultation pédopsychiatrique par le Dr. X qui n'exclut pas une origine psychosomatique des douleurs, sous réserve d'investigations somatiques toujours en cours, et qui décrit un fonctionnement psychique de Mme. Y pouvant être compatible avec ce diagnostic, chez une adolescente n'exprimant pas ou peu ses émotions. Sur le plan de l'antalgie, un calendrier des douleurs est mis en place au cours du séjour, avec une antalgie en réserve par paracétamol, Ibuprofène et Tramadol (qu'elle n'utilise pas). Mme. Y ne présente aucune douleur nocturne et celles-ci diminuent progressivement au cours du séjour, de même que son asthénie. Sur le plan alimentaire, en raison d'une perte de poids rapportée de 7 kg depuis son changement de régime alimentaire 4 mois auparavant, un bilan des prises alimentaires est effectué sans point d'appel notable. En raison d'une carence en vitamine D mise en évidence en ambulatoire, une substitution de vitamine D est débutée dès son arrivée à raison de 1000 UI 1 x/jour, augmenté à 2000 UI 1 x/jour dès sa sortie. Le bilan est complété par un dosage vitaminique A et E encore en cours et de zinc qui est dans la norme, effectués à la recherche de carence dans le contexte de ses restrictions alimentaires. Au vu de l'évolution rassurante de ses douleurs, malgré l'absence d'étiologie claire mise en évidence au cours du séjour, Mme. Y rentre à domicile le 21.12.18 avec un contrôle clinique chez le Dr. X début janvier 2019. L'ECG aux urgences de Riaz montre un sus-décalage en V1-V2-V3-V4-V5 et des ondes Q en V1-V2-V3. Mr. Y est chargé en Héparine 5000 U, Efient 60 mg, et Aspegic 500 mg. Nous avons pris contact avec les Soins intensifs de Fribourg et Mr. Y est transféré aux Soins. Les soins vont prendre contact avec le cardiologue de garde pour effectuer la suite de la prise en charge. Mr. Y quitte les urgences de Riaz à 13h50 en ambulance. L'ECG confirme la présence des ESV, et le labo montre une hypokaliémie. Les douleurs et les palpitations disparaissent aux urgences alors que Mme. Y est calme. Nous en retenons des douleurs pariétales dans le contexte des ESV et de l'anxiété, la renvoyons à domicile avec indication de rappeler comme prévu la Dr. X demain afin de mettre en place un éventuel traitement. Nous substituons aux urgences la légère hypokaliémie en ordre unique. L'ECG effectué aux urgences se montre dans la norme. Mme. Y se présente à tout moment hémodynamiquement stable. Nous retenons des douleurs thoraciques d'origine probablement musculosquelettique. Un traitement symptomatique est installé. L'ECG est normal, la radiographie thoracique aussi. La cinétique des troponines permet d'exclure une ischémie cardiaque, et nous retenons une douleur pariétale dans un contexte d'état de stress lié au travail. Mr. Y peut RAD et la suite de la prise en charge sera assurée par le MT. L'ECG est normal. Le bilan biologique met en évidence une macrocytose, sans autre modification. Le psychiatre, le Dr. X, demande un taux d'alcoolémie, qui est à 2.2 pour mille. Le psychiatre ne retient pas une indication d'hospitalisation contre le gré de Mme. Y, vu que c'est un premier épisode et pour l'instant conseille la poursuite du suivi ambulatoire. Il reste à disposition du Dr. X pour une demande d'hospitalisation afin de faire une cure de désintoxication si nécessaire. Discussion avec le Dr. X, qui est d'accord avec la prise en charge. Après hydratation et perfusion de vitamines, nous laissons Mme. Y regagner son domicile. L'ECG étant rassurant, Mr. Y ne présente actuellement pas de symptomatologie et n'ayant pas représenté d'épisode au cours de son passage aux urgences, nous ne retenons pas d'indication à garder Mr. Y en observation. Vivant en Suisse depuis 1 année et demi, et n'ayant qu'un médecin traitant au Liban, nous conseillons fortement à Mr. Y de prendre contact avec un médecin généraliste de la région. Celui-ci pourra coordonner la prise de contact avec les différents spécialistes afin d'investiguer une éventuelle cardiopathie rythmique, ainsi que prendre contact avec le cardiologue au Liban Dr. X joignable au +9613656559 afin de prendre connaissance des investigations déjà réalisées. Si la symptomatologie devait réapparaître, Mr. Y est invité à se présenter au plus vite à notre service d'urgences. L'ECG montre effectivement un BBD nouveau sans autres troubles du rythme pouvant expliquer le malaise. De plus, Mr. Y ne présente aucun symptôme ou signe faisant évoquer une pathologie CV aiguë. Nous vous conseillons d'organiser en ambulatoire une évaluation cardiologique avec échographie. Le laboratoire montre une anémie à 95 G/L, en nette diminution par rapport au comparatif de 120 G/L en 09.18, tout comme la glycémie. Une radiographie thoracique est normale. Nous retenons comme diagnostic un malaise vagal dans le contexte d'une hypertension probablement actuellement surtraitée (perte de poids très importante dans les dernières années) et de l'anémie. Un test de Schellong revient négatif au niveau tensionnel malgré de légers symptômes au lever. Nous hydratons Mr. Y IV et la TA s'améliore. Concernant l'anémie, Mr. Y a déjà eu un épisode de méléna en 08.2017 et avait bénéficié d'une OGDS et coloscopie qui n'avaient pas mis en évidence de source hémorragique. Un toucher rectal ne montre pas de sang frais ni de méléna au doigtier. Nous en retenons une probable spoliation digestive et, selon avis du Dr. X n'étant pas présents des critères de gravité pour hospitaliser Mr. Y ou effectuer une endoscopie en urgence, nous renvoyons Mr. Y à domicile avec traitement par IPP et rendez-vous prévu le 08.12.18 à 12:00 à la FUA pour un laboratoire et un contrôle clinique, afin d'évaluer l'évolution de l'Hb.Si baisse significative de Hb, nous proposons de discuter avec le gastro-entérologue de garde une hospitalisation et une endoscopie dans le meilleur délai. Si l'Hb reste stable, nous laissons soin au MT d'organiser une gastro- et coloscopie ambulatoire. L'ECG montre RSR à 62/min axe 60 QRS fin sus décalage cupiliforme de 1 mm en V2-V3-V4 mais moins de 1 mm V5V6 pas d'anomalie de repolarisation QTc 412 ms. Le laboratoire est dans la norme trop H0 H1 5 H3 5. La radio thorax ne montre pas un foyer ou pneumothorax. L'ECG montre RSR à 81/min axe à 60 QRS fin ST isoélectrique onde T nég en DII DIII avF. Le laboratoire montre Trop 8 à H0 4 à H1 et à 5 à H3. La radio thorax sp. L'ECG montre un STEMI inférieur. Nous prenons l'avis du cardiologue de garde qui demande un transfert au SI à Fribourg pour coronarographie et d'administrer au patient un traitement par Aspirine 500 mg iv, Héparine 5000 U iv, Plavix 600 mg po que le patient reçoit. Nous n'administrons pas de Morphine (douleurs à 1-2/10 à ce moment). Le patient reste hémodynamiquement stable. Transfert aux SI de Fribourg pour coronarographie. L'ECG montre une tachycardie sinusale avec un sous-décalage de <1mm en V3-4-5 et est normal autrement. Le sous-décalage disparait à l'ECG long fait 3' après. Les constantes sont dans la norme. Cependant, au vu de la présence d'une dyspnée et d'un risque d'EP intermédiaire au score de Genève, nous dosons des D-dimères qui sont négatifs. Nous prélevons 2 paires d'hémocs en raison de la présence de frissons, et une analyse urinaire qui exclut une infection. Une radiographie pulmonaire est normale sans foyer mis en évidence, et le laboratoire est dans la norme hormis une légère hypokaliémie (que nous substituons per os). La fréquence cardiaque se normalise environ 45' après l'arrivée de la patiente, simplement avec le repos au lit. Nous gardons la patiente en observation pendant quelques heures, la température et la fréquence cardiaque restent normales, tout comme la clinique. Nous laissons rentrer à domicile la patiente avec indication de reconsulter les urgences si réapparition de symptômes, et lui conseillons un contrôle clinique et biologique le 18.12.18 chez le MT. Les paramètres et le statut de sortie sont normaux. L'ECG ne montre sans signes d'un événement ischémique aigu. Le bilan biologique est également aligné. La patiente décrit des douleurs d'un spectre dépressif avec trouble du sommeil et inappétence. Sur son état de stress et hyperactivité, à noter également l'introduction des corticoïdes récente qui aurait péjoré l'insomnie. La patiente demande un traitement contre son anxiété, un traitement de temesta en réserve pour 4j lui a été prescrit. Par la suite, une évaluation clinique afin de déterminer avec son médecin traitant si indication à introduction d'un SSRI serait préconisée et la patiente, prendra rendez-vous à 5-7j. L'ECG revient dans la norme sans signes d'ischémie aiguë et on réalise deux trains de troponines sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI (peu d'arguments anamnestiquement pour un angor, à noter de coronaires blancs sur corono du 2017). Par ailleurs, absence de syndrome inflammatoire ni signe de foyers pulmonaires. La clinique est peu évocatrice pour une dissection chez une patiente stable avec des douleurs similaires le mois passé sur pic hypertensif à 3 reprises. On note la présence d'anévrismes au tronc cœliaque et artère splénique sans suivi depuis mise en évidence et on contacte le Dr. X, chirurgien, puis le chirurgien vasculaire de garde. L'indication à un AngioCT en urgence n'est pas retenue. Toutefois, un suivi des anévrismes multiples est nécessaire, raison pour laquelle nous demandons à la patiente de contacter la secrétaire du Dr. X, chirurgien vasculaire, pour prendre rendez-vous (la patiente appellera dès lundi). On introduit un traitement par béta-bloquant à but antihypertenseur, et pour l'effet anti-anxiogène. Par ailleurs, le mari nous signale ses apnées de sommeil pour lequel on laisse au médecin traiter de l'adresser chez un pneumologue pour une consultation et oxymétrie nocturne à distance. En cas de péjoration des symptômes, la patiente est censée revenir aux urgences. Léger asthme. Léger hallux valgus bilatéraux, symptomatique à D avec un angle intermétatarsien de 9°, angle métatarsophalangien de 17°. Léger mobilisation de la dent 43. Léger surdosage du Sintrom avec INR à 3.7. Légère amélioration des symptômes. Poursuite de la physiothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires. J'ai replanifié une infiltration pour le 14.12.2018. Légère anémie normocytaire normochrome. Légère coprostase le 30.12.2018. Légère décompensation cardiaque globale NYHA 1 probablement d'origine plurifactorielle le 11.12.2018 (surcharge hydrique, anémie, hypothyroïdie, ischémique), avec: • trop T 341 ng/l, NT-proBNP 8437 ng/l le 07.12.2018 • ECG le 04.12.2018: RSR 69 bpm, ESSV, sous-décalage du segment ST et onde T négatives en V2-6 et DI-II. • ETT le 11.12.2018: VG normale, FEVG 65 %, remodelage concentrique, pas de valvulopathie ni de cardiopathie structurelle significative. Légère décompensation cardiaque globale NYHA 1 probablement en rapport avec une surcharge hydrique: • discrets OMI avec fins crépitants aux bases. • Troponines: 341. • BNP: 8437. Légère dysphagie de la phase pharyngée: • Vidéofluoroscopie le 09.10.2018: petit passage passif de résidu de contraste dans la cavité pharyngée avec petite stase valleculaire, sans fausse route ni pénétration laryngée. Légère hypovitaminose D 50 nmol/L le 04.12.2018. Légères lombalgies chroniques avec irradiation dans la masse fessière G. Suspicion de syndrome du pyramidal. Léger conflit mécanique antérieur de la hanche sur statut après ostéosynthèse du cotyle G (mur postérieur, éventuellement associé à une transversale le Blanc en 1991). Statut après arthrodèse du poignet G. Statut après prothèse du PIP 4ème doigt G. Statut post arthroscopie diagnostique (genou D), AMO (jambe), excision de la plaie hernière le 20.09.2017. Statut post-AS du genou gauche avec: • débridement bride et fibrose intraarticulaire le 12.04.2016. Douleurs résiduelles genou gauche sur: • Statut post-reconstruction du LCP avec tendon du muscle quadriceps et reconstruction LLE avec tendon du muscle gracilis au genou gauche le 20.01.2015 sur: • Instabilité postérieure et postéro-latérale genou gauche. Douleur résiduelle genou G sur lésion du ménisque latéral et arthroscopie en octobre 2013 (Dr. X). Lésion du croisé postérieur genou G. Légers troubles séquellaires de la déglutition. L'EMG confirme le diagnostic susmentionné. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien bilatéral. L'EMG confirme un syndrome du tunnel carpien droit. L'EMG et l'examen clinique ne sont pas cohérents. Le patient présente évidemment des cervico-brachialgies assez importantes. Vu le contexte global, je déconseille une chirurgie en ce moment. Vu que la dernière IRM date de quelques années, je préconise une nouvelle IRM cervicale. Je reverrai le patient à la suite de cet examen.Prochain rendez-vous : le 11.01.2019. • Mr. Y présente une probable première luxation de la rotule G. Afin d'exclure une lésion cartilagineuse associée et une rupture de l'aileron rotulien, je demande une IRM native du genou G. Je le revois après cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Il continue à porter l'attelle jeans en extension jusqu'au prochain rendez-vous. • Mme. Y est hospitalisée pour oxygénothérapie dans le contexte d'une bronchiolite à RSV. Sur le plan respiratoire, une oxygénothérapie aux lunettes est débutée aux urgences en raison d'une désaturation à 88 % au sommeil. A l'étage, l'évolution est favorable permettant un sevrage de l'oxygène dès le 20.12.18. Mme. Y bénéficie de traitement anthroposophique par enveloppement et gouttes per os au cours de son hospitalisation. Sur le plan digestif, Mme. Y maintient des apports adéquats au cours de son séjour. Elle présente 2 épisodes de vomissements alimentaires et glaireux dans un contexte de suralimentation (165-200 ml/kg/jour) sans récidive par la suite. Dans ce contexte, nous proposons un fractionnement des repas aux parents. Mme. Y garde un poids stable au cours du séjour. Sur le plan cutané, en raison d'une dermite du siège au statut de sortie, nous proposons à la mère de poursuivre le traitement par Oxyplastine et rajoutons du Bépanthène à utiliser en alternance. Une ordonnance de réserve est donnée pour du Multilind, en cas de mauvaise évolution et d'apparition de lésions satellites (exemples photos montrés à la mère). • Mr. Y est hospitalisé pour la prise en charge d'une pneumonie rétro-cardiaque. Sur le plan infectieux, un bilan à son arrivée met en évidence un important syndrome inflammatoire avec leucocytose à 37 G/l à prédominance neutrophile, CRP à 315 mg/l, une fonction rénale dans la norme et une légère alcalose respiratoire partiellement compensée, sans hyperlactatémie. Le stix/sédiment urinaire est aligné, et un uricult ainsi que des hémocultures sont stériles. Une radiographie du thorax met en évidence un foyer retrocardiaque gauche, raison pour laquelle une antibiothérapie intraveineuse est débutée par Ceftriaxone à 75 mg/kg/jour. Le bilan sanguin est complété le 21.12 avec mise en évidence d'une atteinte hépatique modérée avec augmentation des marqueurs cellulaires et de cholestase, mais une fonction pancréatique alignée. Un ultrason abdominal est réalisé à la recherche de malformations digestives ou d'autres foyers infectieux, mais revient aligné. Après concertation avec les radiologues concernant la présence de clartés aériques au sein de la condensation pulmonaire sur la radiographie du thorax, il est évoqué la possibilité qu'il s'agisse d'un foyer abcédé. L'évolution est favorable. Dans ce contexte, nous proposons une poursuite de l'antibiothérapie intraveineuse jusqu'à 24.12 puis relais per os par Podomexef 8 mg/kg/j pour une durée totale de 10 jours. Mr. Y ne nécessite pas d'oxygénothérapie au cours de son séjour. Sur le plan électrolytique, dans le contexte d'une hyponatrémie à 130 mmol/l avec osmolarité urinaire augmentée, un syndrome de sécrétion inappropriée d'ADH est suspectée, raison pour laquelle la prise hydrique de Mr. Y est restreinte à 700 ml/24 heures dès le 21.12. L'évolution est favorable avec un contrôle biologique le 24.12.2018 qui montre une natrémie à 140 mmol/l. Sur le plan immunologique, en raison de ses 4 antécédents d'infection bactérienne probable (2 pyélonéphrites, un sepsis à pneumocoque, un possible sepsis sans germe retrouvé hormis un rhinovirus), une consultation en immunologie au CHUV est organisée. A noter qu'un bilan immunologique simple a déjà été prélevé au CHUV lors d'une précédente hospitalisation en 2017 qui montrait des réponses vaccinales Di-Te-Hib en ordre et des IgG et IgA dans la norme. Il avait bénéficié d'une vaccination par Pneumovax début 2018 avec également une bonne réponse vaccinale. Sur le plan digestif, en raison d'une constipation chronique rapportée par les parents ainsi que de ballonnements importants avec un antécédent d'invagination, un bilan de coeliaquie est prélevé qui est dans la norme. Au vu de la bonne évolution, il rentre à domicile le 24.12.18. • L'épisode aigu du mois de novembre est à présent totalement résolu. Bien que le patient présente une importante usure du polyéthylène à droite, il n'y a actuellement pas d'indication, en absence de douleur, pour une révision prothétique surtout en tenant compte de l'état général du patient qui est relativement précaire. On propose donc un suivi annuel de cette prothèse. • L'éruption cutanée ne fait pas penser à une varicelle. L'origine est probablement virale. • Les analyses urinaires ne parlent pas de manière flagrante pour une infection, mais la clinique ne met pas en évidence d'autre foyer. Dans ce contexte, nous traitons le patient pour une infection urinaire haute. Il reviendra en filière 34 pour un contrôle clinique et biologique dans 48h, ou avant aux urgences si aggravation de l'état général. • Les brûlures sont du 2ème degré superficiel. Nous posons des pansements simples avec Lalugen. Mme. Y peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. • Les céphalées cèdent après que Mme. Y ait reçu 1 g de Dafalgan et suite à l'application topique de glace. Mme. Y se dit rassurée et est d'accord pour un retour à domicile sans modification de l'antalgie proposée par son gynécologue. Mme. Y reconsultera auprès de son médecin traitant en cas de récidive des douleurs si l'antalgie n'est pas efficace. Suivi chez son gynécologue prévu en mi-janvier. • Les céphalées cèdent suite à une antalgie simple et hydratation. Mme. Y présente une amélioration de son état général avec arrêt des sudations et FR qui redevient normale 12-18/min. Nous retenons un diagnostic de syndrome grippal et Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique et conseil d'une bonne hydratation po. • Les conditions cliniques actuelles de Mme. Y nous font penser que la symptomatologie initiale n'était pas liée à la lésion. Nous ne pouvons toutefois pas exclure une altération au niveau péri-lésionnel et ne pouvons poser le diagnostic définitif avant visualisation de l'IRM. Mme. Y nous apportera donc les images la semaine prochaine. A priori, poursuite du suivi par IRM et contrôle dans 6 mois pour exclure une éventuelle progression de la lésion. • Les constantes sont rassurantes, les analyses urinaires négatives et le laboratoire montre une leucocytose isolée sans neutrophilie ni déviation gauche, la CRP est négative et les tests hépatiques normaux. Après réhydratation, avoir été à selles et avoir reçu une dose de Buscopan, les douleurs abdominales disparaissent. Elle n'a toutefois jamais présenté un abdomen aigu. Nous en retenons une gastroentérite non compliquée probablement virale, et renvoyons Mme. Y à domicile avec traitement symptomatique, consigne de bien s'hydrater et de prendre rendez-vous avec le MT au milieu de la semaine prochaine. • Les dernières images datant de juin 2018 et la symptomatologie actuelle, bien que récidivante, n'ont pas été soulagées par le 2ème infiltration, nous proposons au patient de réaliser une nouvelle IRM avant d'envisager une éventuelle intervention chirurgicale. Mr. Y souhaite organiser lui-même l'IRM dans un centre externe et nous recontactera pour fixer un rendez-vous une fois les images disponibles. • Les deux fils nommés respectivement représentant administratif et thérapeutique. Discussion avec Justice de Paix le 11.12.2018 : institutionnalisation en EMS.Les différentes investigations nous permettent raisonnablement d'exclure une cause cardiaque. Le patient n'a pas non plus de pneumonie, ni de pneumothorax. Finalement une embolie pulmonaire est exclue. La cause la plus probable de ses douleurs thoraciques est un hématome au niveau du muscle oblique externe sur un effort de toux. Une pleurite est également possible. Ce patient est très bradycarde, jusqu'à 39/min à la permanence. Nous recommandons de rediscuter le traitement par béta-bloquant. Une telle bradycardie peut être un facteur limitant à l'effort (plainte du patient). Le CT thoracique a mis en évidence fortuitement un nodule pulmonaire qu'il serait recommandé de contrôler dans 3-6 mois. Patient bien informé. Les différentes investigations parlent en faveur d'une origine intestinale de l'état fébrile. Le patient doit bénéficier de plus amples investigations, d'une antibiothérapie, ainsi que d'une surveillance. Le patient souhaite être hospitalisé au CHUV. Son assurance maladie le permet, le patient est transféré en ambulance sous monitoring. Les différents examens complémentaires permettent d'exclure une lésion d'organe. Nous laissons la patiente rentrer à domicile avec de l'antalgie et la mettons en garde sur les risques de surinfection pulmonaire en cas de fracture de côte. Elle reconsultera son médecin traitant au besoin. Nous ne prescrivons pas d'arrêt de travail pour le moment en accord avec la patiente (travaille comme éducatrice). Les douleurs abdominales régressent après le Dafalgan. La défense n'est plus retrouvée à l'examen clinique. Le patient peut donc retourner à domicile avec un traitement symptomatique. Les douleurs actuelles sont très probablement liées à la sacro-iliaque D que nous proposons d'infiltrer sous scopie. Concernant la cyphotisation, nous conseillons à la patiente de faire attention à sa posture et de se tenir le plus droite possible. Prescription également de physiothérapie pour apprentissage de la marche avec le rolateur afin de garder une posture correcte. Mme Y présentant un rétrécissement du MI D pouvant surcharger la sacro-iliaque D, nous lui prescrivons une semelle orthopédique pour rehaussement de la jambe D de 5 à 6mm. Les douleurs persistantes sont plutôt présentes à cause d'une dysbalance musculaire sur status post avulsion de l'épine iliaque inférieure. Il doit commencer la physiothérapie pour renforcement musculaire, stretching et massages. Prochain contrôle radioclinique (rx bassin face, inlet/outlet) dans 6 semaines. Les douleurs présentées par la patiente sont d'origine musculaire sur une dysbalance. Nous lui proposons donc des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et stretching abdominal. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Les douleurs présentées par le patient à la flexion répétitive du poignet ainsi que des doigts sont très probablement dues à la contraction du FCR vu la localisation des douleurs au niveau du moignon du muscle. Étant donné que l'ergothérapie et les infiltrations n'ont pas apporté d'amélioration significative dans ce sens, nous prévoyons une infiltration du muscle par toxine botulique. Suite à un avis spécialisé, nous convoquerons le patient pour un prochain contrôle. Les douleurs rapportées par la patiente sont liées à la pathologie au niveau du dos, raison pour laquelle nous lui prescrivons des séances de physiothérapie avec école du dos, stretching et relâchement de la chaîne antérieure. En ce qui concerne les hanches, l'évolution est favorable. Prochain contrôle à 5 ans de l'intervention ou plus vite en cas de besoin. Les douleurs rapportées par la patiente sont liées à l'arthrose de la hanche gauche. Avant de poser une indication opératoire, la patiente va effectuer un CT-scan avec reconstruction frontale et sagittale. Prochain contrôle à notre consultation pour discuter des résultats du CT-scan. Les douleurs ressenties par le patient sont dues à l'arthrose du poignet. L'évolution est légèrement favorable. Néanmoins, même si celle-ci devait progresser, une reprise du travail comme plâtrier me semble être très difficile sans une nouvelle opération chirurgicale qui consisterait à faire une arthrodèse 4C. Après une telle opération, une reprise du travail à 100% comme plâtrier n'est pas garantie, une reprise à 70-80% pourrait être envisagée. Ainsi se pose la question de savoir si une réorientation professionnelle ne pourrait pas dès à présent être établie avec le patient surtout au vu de son diplôme de policier. Nous prions ainsi la SUVA et l'assurance-invalidité de bien vouloir recevoir le patient pour planifier avec lui une reconversion professionnelle. Nous reverrons le patient en février pour discuter de l'opération. Les douleurs semblent provenir d'un important status cicatriciel avec importantes adhérences à ce niveau. Étant donné la nature neuropathique des douleurs, il n'est pas impossible que celles-ci soient également dues à la présence de névromes. Les débris métalliques ne sont en principe pas responsables de la douleur, et donc une indication pour les retirer n'est pas donnée. En absence d'une hernie musculaire au niveau de la cuisse, il n'y a pas d'indication pour nous pour un geste chirurgical. Prescription de physiothérapie pour mobilisation cicatricielle, stretching du quadriceps, des chaînes postérieures, renforcement musculaire et également travail de la posture et des érecteurs du rachis pour les lombalgies basses. Si ces mesures s'avéreraient insuffisantes, on pourra envisager d'adresser le patient à un spécialiste de la douleur. Nous n'avons pas prévu de revoir le patient à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. Les douleurs sont bien soulagées par le Pantozol et l'Alucol, les examens complémentaires sont rassurants. Nous laissons la patiente rentrer à domicile et lui recommandons de consulter son médecin traitant dans 1-2 semaines. Elle reviendra en urgences si récidive des douleurs. Les douleurs sont interprétées dans un contexte musculaire. Le traitement symptomatique débuté par le médecin traitant est élargi. La patiente peut retourner à domicile. Les douleurs sont liées à la reprise de l'activité professionnelle. Nous conseillons à la patiente d'appliquer de la crème Voltaren Emulgel 2x/j. L'évolution reste favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition au besoin. Les douleurs sont reliées à la cicatrice et des adhérences et également au niveau d'une arthrose au niveau du talo-péroné. On discute avec le patient de poursuivre la physiothérapie pour traitement de la cicatrice et mobilisation de la cheville. Nous le reverrons dans 6 semaines. Les douleurs sont reproductibles à la palpation et la mobilité du membre inférieur est parfaitement conservée. Nous lui proposons dès lors un traitement antalgique d'épreuve. Concernant la leucémie, nous notons une progression de la leucocytose ce jour. Nous prenons avis auprès du Dr X, qui ne propose pas d'intervention supplémentaire ce jour, mais un suivi en ambulatoire chez le Prof X. Les examens clinique et paraclinique permettent d'exclure raisonnablement une atteinte infectieuse haute sur le plan rénal. La clinique évolue favorablement de manière spontanée aux urgences, après antalgie simple. Après avis urologique, nous décidons d'une attitude expectative, et le patient reconsultera en cas de récidive des symptômes urinaires/abdominal. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie avant-bras face/profil : pas de fracture visualisée. Antalgie simple, bande élastique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie du genou gauche face/profil : absence de fracture.Avis orthopédique (Dr. X/ Dr. X) : • désinfection, exploration, rinçage. • pas d'atteinte de la bourse. • suture par 4 points sous-cutanés (Vycril rapide 3.0), suture cutanée par points séparés selon donati. • pas d'antibiothérapie. Attitude : Contrôle de la plaie à consultation ambulatoire des urgences le 12.12.2018 Retrait des points chez le médecin traitant à 14 jours, le 24.12.2018. Attelle jeans 20° et béquille durant 10 - 14 jours, charge selon douleurs. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Rocéphine 2 g iv. Sédiment urinaire annexe : purée de leucocytes et +++ sang. Uroculture en cours (malgré prise d'antibiotique jusqu'à hier). Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Anamnèse et examen physique. Laboratoire : CRP 5 mg/l, Leuco 6.3 g/l. Avis infectiologie (Dr. X) : suivi de CRP, Co-Amox IV. Stop Clindamycine. Stop Clindamycine (Dalacin p.o.). Co-Amoxicilline 2.2 g IV, suivi de Co-Amoxicilline 1 g 2x/J pendant 5 jours. Rendez-vous infectiologique chez Dr. X pour suivi de CRP à 48h. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Anamnèse, examen physique. Laboratoire : aligné. Pas de syndrome inflammatoire. Fonctions hépatiques et rénales dans la norme. Urines : stix, sédiment propre. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Recommandation de continuer l'antalgie par Tramal en réserve et Dafalgan (déjà prescrit par le médecin traitant). Recommandation de reconsulter en cas de fièvre, frissons, ou péjoration des douleurs. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. CT cérébral et massif facial (Dr. X) : fracture millimétrique de l'aile des os propres du nez à gauche. Pas d'autre fracture. Pas d'hémorragie. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique. Feuille de surveillance TC. • Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine en cas de persistance des douleurs aux épaules. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG : onde Q en III. Laboratoire : D-Dimères 1800. CT thoracique (Dr. X) : examen dans les limites de la norme. Attitude : • retour à domicile avec réassurance et antalgie par Paracétamol. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG : sans particularité, pas de trouble de la repolarisation, pas de prolongement du QT. Conseil de consulter un psychiatre (numéro CPS transmis à la patiente). Informations sur les symptômes d'AVC. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG : rythme sinusal régulier, normal. Anamnèse et examen ciblé. Solu-Médrol 125 mg, Tavegyl IV. Prednisone 50 mg et antistaminique p.o. pendant 5 jours. Arrêt de travail. Recommandation de reconsulter en cas de péjoration des symptômes. Suite de la prise en charge chez le dermatologue. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec bilan par Holter/R-Test de 48h le 10.02.2018. • Retour aux urgences en cas de douleur rétrosternale. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG. Laboratoire. Echographie ciblée coeur (Dr. X). Attitude : • Réassurance de la patiente. Pas de suivi spécifique. • Suite de prise en charge post-op en gynécologie. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG. Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas de foyer pulmonaire. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. ECG. Réassurance. Temesta en réserve, donné numéro d'urgence du RFSM en cas de besoin. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Examen clinique rassurant. Echo ciblée veineuse : (Dr. X/Dr. X) : axe veineux poplité et fémoral compressible sans argument pour une thrombose veineuse profonde des deux côtés. Réassurance. Hygiène veineuse. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : aligné, pas de syndrome inflammatoire. Urines : stix et sédiment urinaire : +++ leucocytes, nitrites négatifs. Traitement antibiotique par Nitrofurantoïne pendant 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes, et évaluer l'indication pour une antibioprophylaxie au vu des nombreux épisodes de cystite rapportés par la patiente. Recommandation de reconsulter en cas d'apparition de fièvre, de frissons, de nausées, de vomissements ou de péjoration de la douleur. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : lipase 194. Sédiment urinaire : non pathologique. CT abdominal (Dr. X) : pas d'iléus, coprostase modérée, pas de signe d'appendagite. Épaississement utérus compatible avec arrivée des menstruations. Avis chirurgical : pas de pancréatite. Vu épaississement utérus important, proposition d'avis gynécologique. Pas d'argument pour examen gynécologique en urgence sur la nuit. • Retour à domicile avec antalgie et laxatif. • Patiente sera convoquée pour un rendez-vous en gynécologie. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : pas de trouble électrolytique. ECG : extrasystoles supraventriculaires avec pause compensatrice. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, sonde en place. Avis cardiologique (Dr. X) : pas d'indication à une hospitalisation au vu de la présentation clinique, des examens complémentaires. Bêta-bloquant aux urgences + lendemain. Convocation en cardiologie le 13.12.2018 pour interrogation du pacemaker. Beloc Zok 1x 25 mg aux urgences. Temesta 1mg. Retour à domicile avec suivi en cardiologie le 13.12.2018. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire. Stix/sédiment : négatif. Antalgie. Proposition de reconsulter si persistance ou péjoration des douleurs, avec une consultation gynécologique à organiser. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Administration Trandate iv. Rinçages NaCl. Consultation ORL (Dr. X). Suite comme prévu chez ORL traitant le 03.12. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Attitude : • STOP Propranolol. • Mise en place du Lisinopril 5 mg 1x/j jusqu'à réévaluation chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. CT cérébral injecté (au vu du caractère inhabituel des douleurs) : pas de lésion, notamment pas de thrombose des sinus veineux. Attitude : • réassurance. • antalgie efficace. • arrêt de travail 3 jours, repos, diminution des écrans. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. CT cérébrale injecté (Dr. X) : • Pas d'hémorragie cérébrale. Pas de thrombose du sinus. Attitude : • Retour à domicile avec réassurance. • Traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de récidive. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. ECG. CT-total Body scan : pas de fracture, pas d'hémorragie cérébrale, pas de liquide libre intra-abdominal, pas de rupture du foie, pas de pneumo-péritoine. Avis chirurgical (Dr. X) : pas d'indication à hospitaliser, surveillance pendant 4h, puis réévaluation clinique, si quelconque doute --> 2ème avis chirurgical. Après 4h de surveillance : hémodynamiquement stable, status abdominal : abdomen souple, pas de douleur à la palpation superficielle/profonde de tout l'abdomen. Loges rénales indolores à la palpation. Au vu du status abdominal rassurant retour à domicile. Attitude : • Retour à domicile. • Patiente est informée de se représenter rapidement en cas de douleurs abdominales. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Sédiment urinaire propre. US de débrouillage aux urgences : résidu post-mictionnel 130 mL. Avis gynécologique téléphonique : possible lésion d'un nerf, recommande de consulter Dr. X pour continuer la prise en charge, proposerait une consultation urologique.Attitude: • Retour à domicile. • Nous recommandons à la patiente de reconsulter son gynécologue, Dr. X, pour la suite de la prise en charge. • Consultation urologique recommandée en cas de persistance de la symptomatique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Laboratoire. Urines. Echographie abdominale et thoracique ciblée aux urgences (Dr. X). • Pas de liquide libre abdominal, pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural. Radiographie thorax face : pas de pneumothorax, pas de fracture visualisée. CT abdomen supérieur : pas de lésion splénique ni rénale. Aux urgences : • Dafalgan 1 g. • Voltarène 50 mg. • Morphine. Attitude : • Antalgie, conseils d'usage. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Mesure de la glycémie aux urgences. Urines. Réassurance et suite chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie : pas de foyer pulmonaire constitué, pas d'épanchement pleural. Planification d'un CT scan thoraco-abdomino-pelvien en vue d'établir un bilan d'extension du cancer du sein droit. Traitement symptomatique. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie abdomen : pas de niveaux, intestins et distribution normale du gaz. Laboratoire : CRP 35, pas d'anémie. Substitution du Xarelto par Eliquis. Poursuite du suivi chez son médecin traitant. Analgésie. Poursuite du traitement laxatif. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie cheville droite : pas de fracture. Antalgie. Immobilisation par Aircast. Arrêt de travail. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie du thorax : pas de foyer infectieux. ECG. Laboratoire. Attitude : • Majoration du traitement avec explication de l'utilisation du Ventolin. • Prednisone 50 mg du 29.12.18 au 02.12.18. • Suite chez médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Radiographie genou droit : sans particularité. Avis orthopédique : Dr. X. Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane. IRM du genou droit organisé en ambulatoire. Consultation orthopédique suite à l'IRM. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Traitement symptomatique. Test de grossesse : négatif. La patiente est informée de devoir reconsulter en cas de signe d'alarme que nous lui avons expliqués ainsi qu'à son mari. Les examens effectués sont expliqués à la patiente. Urines stix et sédiment. Test de grossesse urinaire : négatif. Laboratoire. US de débrouillage aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle. CT abdominal (transmission orale, Dr. X) : pas de calcul urinaire, appendice non inflammé, pas d'infiltration de la graisse alentour, masse de 5.3 cm venant de l'utérus à droite qui prend le produit de contraste, qui parle pour un myome. Rate agrandie. Pas de liquide libre. Avis gynécologique : fibrome utérin. Retour à domicile avec antalgie et suivi en gynécologie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : alcoolémie à 0.84 pour mille. ECG : bloc atrio-ventriculaire du 1er degré, ondes Q en II, III et aVF, ondes T biphasiques en V4-V6, négatives en I et aVL (superposable au comparatif). Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas de fracture visualisée. Scanner cérébral : pas de saignement intracrânien. Les examens effectués sont expliqués au patient. Aérosol Atrovent, Ventolin. Radiographie thorax. Pic Flow 50 % du prédit. Amélioration du Pic Flow à 71 % du prédit post 2x aérosols de Ventolin. Retour à domicile. Co-Amoxicilline, Prednisone, Symbicort. Arrêt de travail. Suivi pneumologique en ambulatoire. Les examens effectués sont expliqués au patient. Anamnèse et examen clinique. Laboratoire : syndrome inflammatoire à la baisse avec diminution de la CRP à 112, sans leucocyte. Insuffisance rénale aiguë avec créatinine plasmatique stable à 143 mm/l. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1000 mg 2x/jour (adaptée à la fonction rénale) jusqu'au 19.12.2018 inclus. Antalgie par Tramal en réserve. Contrôle biologique et clinique chez le médecin traitant lundi 17.12.2018. Recommandation de recontrôler en cas d'état fébrile, de frissons ou de péjoration du membre inférieur gauche. Les examens effectués sont expliqués au patient. Anamnèse et examen physique. Laboratoire : anémie à 70 G/l. Transfusion de 2 CE le 14.12.2018. US aux urgences. Avis chirurgie (Dr. X) : pas de nouvelle investigation à prévoir. Avis gastroentérologie (Dr. X) : colonoscopie avec traitement d'Argon Plasma Coagulation le 20.12.2018. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frissons, douleurs rétrosternales. Suite de prise en charge en gastroentérologie jeudi 20.12.2018. Contrôle hémoglobine chez Dr. X le 18.12.2018. Les examens effectués sont expliqués au patient. Antalgie par Paracétamol, Voltarène et Morphine. Laboratoire : IRA AKIN 1 (créat 118 umol/l). Sédiment urinaire : pas de leuco, pas de nitrite, pas de sang. Uro-CT (Dr. X) : calcul de 4x4x3 mm enclavé à la jonction urétéro-vésicale droite avec dilatation de 20 mm en amont, sans signe de rupture du fornix. Légère infiltration graisse péri-rénale droite. Reçoit 1 cpr de pradif p.o. Avis urologique par téléphone (Dr. X) : pas d'indication pour une intervention ou une hospitalisation. Attitude • Retour à domicile avec antalgie et Pradif. • Arrêt de travail. • Filtrer les urines (explications prodiguées). • Patient averti de reconsulter en cas de fièvre, de vomissements ou de douleurs trop importantes. Les examens effectués sont expliqués au patient. Avis chirurgical (Dr. X). • prise en charge au bloc. Les examens effectués sont expliqués au patient. Contrôle clinique, anamnèse et examen physique. Laboratoire : diminution du syndrome inflammatoire avec CRP à 19, tests hépatiques stables, diminution avec ASAT à 186, ALAT 262, Gamma-GT à 113, CK à 289, CK-MB à 63. Leucocytes en légère augmentation, reste du laboratoire aligné. Convenu avec l'hôpital de Marsens d'effectuer un contrôle biologique en début de semaine prochaine. Conseils de reconsulter en cas de fièvre ou de péjoration clinique ou biologique. Les examens effectués sont expliqués au patient. CT cérébral. Surveillance neurologique aux urgences. Retour à domicile avec consignes d'usage (symptômes à surveiller), traitement symptomatique à disposition à domicile. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG (identique comparatif du 26.11.2018). Laboratoire. Troponines T1 = 32 ng/l, troponines T2 = 32 ng/l, T3 = 32. Avis cardiologique Dr. X : au vu des troponines stables, retour à domicile et rendez-vous anticipé en cardiologie en début de semaine prochaine --> le patient doit prendre rendez-vous lui-même le 03.12.18. Les examens effectués sont expliqués au patient. ECG. Laboratoire. Attitude : • Retour à domicile avec réassurance et traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs la semaine prochaine. Les examens effectués sont expliqués au patient. Examen clinique. ECG : pas d'arythmie, sus-décalage en V1-V3 avec inversion des ondes T en V3-V6 et en inférieurs, avec sous-décalage inférieur. Proposition de reconsulter son médecin traitant pour la suite de prise en charge +/- consultation chez cardiologue. Les examens effectués sont expliqués au patient. Examen clinique. Radiographie thorax : pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural, pas de fracture visualisée. Traitement des douleurs avec Dafalgan, Irfen et Tramal. Conseils de repos durant 1 mois avec contrôle clinique chez le médecin traitant.Patient qui reconsultera en cas de dyspnée ou de douleurs non soulagées par le traitement. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : CRP 7, leuco 14,8. Suivi ORL en ambulatoire pour exclure une sinusite compliquée dès le 13.12.2018 +/- réadresser aux urgences si pas d'explication pour CT. Retour à domicile avec antalgique. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : troponines H0 11ng/L, H1 11ng/L. ECG : superposable à comparatif de 2016. Radiographie thorax : pas de foyer. Attitude : • Pas d'argument pour un angor instable, ni pour une embolie pulmonaire. • Nous recommandons de prendre rendez-vous chez son cardiologue en début de l'année prochaine (test d'effort). • En cas de récidive des douleurs, nous prions le patient de reconsulter son médecin traitant ou les urgences. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : alcoolémie 2.7 pour mille. CT-scan cérébral natif : normal, pas d'hémorragie, pas de fracture. Suture : désinfection Bétadine, champ stérile, exploration de plaie et rinçage NaCl + Bétadine, mise en place de 12 agrafes. Réfection de pansement. Rappel vaccinal Td-pur, le 02.12.2018. Contrôle de plaie à 48H chez le médecin traitant, ablation des agrafes selon médecin traitant dans env. 7-10 jours. Recommandation de contrôler en cas d'écoulement de plaie, état fébrile, frissons. Feuille d'information patient TCC. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Conseils d'usage (STOP AINS, éviter alcool, tabac, mets épicés). Traitement symptomatique et poursuite Pantozol encore deux semaines, puis réévaluation par le médecin traitant. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire : dosage de Lévétiracétam et acide valproïque en cours. Avis neurologique (Dr. X) : maintien de la médication à la dose actuelle. Prise de contact par le patient avec le neurologue le lundi 03.12.2018. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Radiographie du thorax sans particularité. ECG dans la norme. Attitude : • Réassurance, retour à domicile avec traitement symptomatique. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Antalgie à la consultation ambulatoire des urgences : Morphine per os 10 mg + Voltaren 75 mg 19 h + Morphine IV en titration 5 mg. Uro-CT : néphrolithiase droite de 3 mm unique à la jonction pyélo-urétérale, dilatation pyélocalicielle 8 mm, pas de complication. Attitude : • Poursuite de l'antalgie au domicile. • Filtration des urines. • Consigne de reconsulter en cas de douleurs mal contrôlées. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. Radiographie thorax face : absence de foyer visualisé. Aux urgences : • Hydratation 1000 ml. Attitude : • Traitement symptomatique. • Arrêt de travail. • Critères de reconsultation expliqués au patient. Les examens effectués sont expliqués au patient. Laboratoire. US abdominal : épaississement caecum colon droit image d'invagination iléo-caecale. Avis chirurgical : antibiothérapie par Ciprofloxacine et Métronidazole. Contrôle clinique et biologique à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie cervicales. Attitude : • Retour à domicile avec traitement symptomatique et physiothérapie au décours. • Suivi chez le médecin traitant la semaine prochaine. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie colonne cervicale, le 01.12.2018. CT colonne cervicale, le 01.12.2018. Avis orthopédique (Dr. X). • Pas de déficit moteur et sensitif. • Bilan à compléter par IRM en ambulatoire. • Majoration antalgie et myorelaxant. • Contrôle TEAM SPINE après son IRM. Antalgie. Prednisone 60 mg pendant 5 jours. Conseils de reconsulter en cas de trouble moteur. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie épaule gauche : luxation épaule. Radiographie épaule gauche : post-réduction : surélévation de la tête humérale. Avis orthopédique (Dr. X) : • Réduction de l'épaule par Dr. X sous Kétamine, Dormicum, Fentanyl. • Gilet orthopédique jour et nuit pendant 3 semaines. • IRM épaule à la recherche lésion coiffe, lésion Bankart et contrôle en orthopédie team membre supérieur. Attitude : • Retour à domicile avec gilet, antalgie. • Rendez-vous le 04.01. ou 11.01.2019 à la consultation d'orthopédie membre supérieur. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie poignet face/profil. Avis orthopédique (Dr. X). • Absence de fracture. • Pas de suspicion clinique pour lésion TFCC et scaphoïde. • Fonction tendons intacte. • DRUJ stable. Ad traitement symptomatologique : • Attelle Velcro du poignet max 4 jours et antalgie, repos, par la suite physiothérapie. • Contrôle clinique chez le médecin traitant. • En cas de non-amélioration ad IRM et contrôle en orthopédie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie thorax : pas de fracture visible (avis radiologique Dr. X). Attitude : • Retour à domicile avec conseils d'usage et traitement symptomatique. • Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de péjoration de la symptomatologie. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographie. Consignes RICE. IRM puis consultation en ortho/urgences. Les examens effectués sont expliqués au patient. Radiographies cheville + pied droit : suspicion d'arrachement osseux calcanéo-cuboïdien. (DD : ancienne lésion) CT scanner pied droit : lésion calcanéo-cuboïdien ancien et corticalisé, arrachement tubérosité base 5ème métacarpien. Avis orthopédique (Dr. X) : Pas de hématome, pas de tuméfaction. Punctum maximum douleurs en regard ligament fibulo-talaire antérieur droit. Lisfranc et Chopart stables avec légères douleurs en regard de l'articulation calcanéo-cuboïdienne droite. Absence de douleur en regard de la base du 5ème métacarpien droit. Traitement conservateur : 14 jours Aircast et 4 semaines semelle rigide, charge selon douleurs. Contrôle clinique dans 2 à 4 semaines chez le médecin traitant. Attitude : • Retour à domicile avec immobilisation par Aircast et 4 semaines avec semelle rigide et charge selon douleurs. • Protocole RICE. • Contrôle clinique chez le médecin traitant à 2 et 4 semaines. Les examens effectués sont expliqués au patient. Stix sédiment, urinaire : pas de leucocyte, pas de nitrite, présence d'une purée érythrocytaire. • PCR urinaire chlamydia, gonocoque. • Ultrason des voies urinaires : (rapport oral Dr. X) : pas de dilatation pyélocalicielle, pas de calcul urinaire visualisé, pas de masse vésicale visualisée, prostate de 16 mm. • Nous recommandons au patient de s'hydrater convenablement. • Proposition d'un rendez-vous de contrôle chez son médecin traitant en début de semaine prochaine, avec contrôle des urines de l'hématurie et une prise de sang avec une fonction rénale. Selon les résultats nous laissons le soin d'effectuer un bilan néphrologique plus approfondi. • Communication des résultats de la PCR urinaire pour chlamydia et gonocoque. • Antalgie par Dafalgan, éviter AINS, et autres médicaments néphrotoxiques. Les examens effectués sont expliqués au patient. Stix urinaire : leucocytes +++, érythrocytes +++. Ablation de la sonde vésicale sur demande insistante du patient, patient préalablement informé du risque de rétention urinaire post-ablation de sonde. Poursuite de la prise de Urorec et Urispas. Rendez-vous maintenu en urologique chez Dr. X maintenu le 07.12.2018. Les examens paracliniques sont normaux, et la clinique nous fait diagnostiquer un VPPB à droite. Nous apprenons au patient la manœuvre de Epley afin de résoudre la crise, lui remettons la feuille de conseils VPPB des HUG et une prescription pour de la physio vestibulaire.Concernant les nucalgies, elles sont soulagées par des AINS, du paracétamol et du Sirdalud, que nous lui remettons en ordonnance. Les examens permettent de mettre en évidence une instabilité avec plus importante cyphotisation lorsque le patient est en charge. Les douleurs musculaires sont probablement liées à cette instabilité. Vu le risque de recul du fragment de D12 dans le canal, avec une paraplégie relative, nous proposons au patient une prise en charge chirurgicale pour stabilisation de D12 à L2 +/- VBS et vertébroplastie de L3. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de cette intervention compliquée et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 04.01.2019. Une consultation en anesthésie aura lieu au préalable. Nous organisons déjà la confection d'un corset plâtré 3 points qui devra être porté en post-opératoire. D'ici l'intervention, pas de physiothérapie. Nous informons le patient de l'importance de se représenter en urgence en cas de symptôme neurologique. Le CD de l'IRM du 28.11.2018 est enregistré ce jour sur le PACS. Les fils de suture sont enlevés et le patient regagne son domicile. Les images peuvent justifier la symptomatologie de la patiente. Celle-ci peut également être due à une évolution chronique des douleurs répondant mal au traitement conservateur, raison pour laquelle nous proposons dans un premier temps une infiltration de la racine L3 G au niveau foraminal à but diagnostique et thérapeutique. Mme. Y préfère organiser cette infiltration par elle-même. Elle nous recontactera une fois ce geste effectué pour fixer un nouveau rendez-vous de contrôle. Les infiltrations n'ont absolument pas amélioré la situation selon la patiente. Nous regardons à nouveau la dernière IRM de juin 2018 qui corrèle peu avec les symptômes de la patiente. Afin de bilanter l'origine des douleurs dans la jambe D, nous organisons une consultation au Neurocentre afin de mettre en évidence une possible lésion radiculaire D. Nous organisons également un examen fonctionnel par myélographie fonctionnelle au CIMF afin de mettre en évidence une lésion que nous n'aurions pas vue à l'IRM classique. Prochain contrôle à la suite de ces examens. Dans l'intervalle, une nouvelle consultation est prévue chez le Dr X. Les lésions des plaques palmaires peuvent amener des douleurs qui persistent pendant plusieurs mois, la plupart du temps une année et parfois bien plus longtemps. La persistance des douleurs chez ce patient est plutôt de longue durée. On essaie encore un traitement par physiothérapie avec mobilisation, renforcement des doigts et en travaillant l'extension. On prescrit en plus un traitement anti-inflammatoire fixe pendant 2 semaines avec du Voltaren Retard et par la suite à poursuivre localement. On revoit le patient au mois de mars pour un contrôle clinique. Les radiographies montrent une luxation acromio-claviculaire G stade III, pas de fracture. Les radiographies du jour montrent une fracture consolidée en bonne position. Les radiographies épaule G, face du 16.06.2018 : pas de lésion osseuse visualisée, notamment pas de luxation acromio-claviculaire visualisée. Les radiographies post-opératoires montrent une fracture de rotule guérie dans une position anatomique. Les résultats des cultures sont à pister. Les suites post-opératoires sont marquées par des nausées importantes, sans caractère orthostatique, raison pour laquelle nous effectuons un CT cérébral de contrôle le 05.12.2018 montrant une stabilité de l'hydrocéphalie et sans nouveau signe d'engagement. Cette symptomatologie s'améliore progressivement sous un traitement anti-émétique ainsi qu'avec le sevrage des opiacés. Les vertiges lors du passage debout s'atténuent également avec une marche sûre et une patiente autonome. Par la suite, l'évolution est favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 13.12.18. Les suivis par Dr. X. Les symptômes de la patiente se montrent en régression dès que le traitement antihypertenseur aux urgences fait effet. Le bilan sanguin nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Une radiographie du thorax ne montre pas de foyer. Le traitement par Atedurex est adapté. La patiente reconsultera son médecin traitant. Les symptômes présentés par le patient sont probablement dus aux troubles dégénératifs au niveau de la colonne lombaire ainsi qu'au niveau de la colonne cervicale. Prescription de physiothérapie pour l'école du dos, stretching de la musculature abdominale et renforcement de la musculature du dos. Prochain contrôle dans 6 mois. Lésion AC gauche Rockwood III aiguë. Lésion annulaire érythémateuse en regard de l'omoplate D et 2 plaques érythémateuses dorsales prurigineuses présentes depuis plusieurs mois. DD : lésion mycotique. Lésion antérieure du sus-épineux avec lésion fissuraire des parties hautes du sous-scapulaire épaule D. Statut post infiltration AC le 14.09.18. Lésion cartilagineuse facette médiale de la rotule, genou D. Lésion cartilagineuse rotulienne sur le condyle fémoral externe du genou D. Lésion cérébelleuse. Lésion cérébrale péri-ventriculaire droite au niveau du noyau caudé (stable à l'IRM de 2012). Probable dysphasie de développement mental. Hyperlipidémie mixte sous traitement. Lymphome plasmablastique du caecum EBV+, CD20-, de stade IEB. - date du diagnostic : 05.02.2015 - pathologie masse tumorale bas fond caecal Promed (P1034.15) : lymphome à cellules B matures : lymphome à grandes cellules B de type lymphome plasmablastique (PBL selon OMS 2008) avec infiltration diffuse et ulcération d'une muqueuse colique. Positivité pour EBV, CD20 négatif. Ki > 90%. - CT thoraco-abdominal du 22.01.2015 : lésion tumorale dans le caecum avec adénopathies le long de la chaîne iliaque externe à droite, à proximité de la masse tumorale. - PET-CT du 28.01.2015 : intense hypercaptation caecale correspondant très probablement à la tumeur primaire et un paquet ganglionnaire hyperactif évoquant premièrement des métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastases. - colonoscopie le 02.02.2015 avec biopsies bas-fond caecal. - PBM du 05.02.2015 : cytométrie de flux : pas d'infiltration de la moelle osseuse par le lymphome plasmablastique, pathologie Promed (P1196.15) : pas de cellules du lymphome visualisées, médullogramme : absence d'infiltration lymphomateuse par le lymphome plasmablastique connu. - pose de PAC le 09.02.2015. - PL diagnostique du 10.02.2015 avec chimiothérapie intrathécale prophylactique : protéinorachie à 0.76 g/l, absence de cellule blastique dans le sédiment. Rares lymphocytes matures sans particularité. - chimiothérapie de type CODOX-M-IVAC avec intrathécales prophylactiques, 1er cycle du 11.02 au 07.03.205 avec bonne réponse partielle au CT du 17.03.2015.• 2ème cycle de chimiothérapie de type CODOX-M-IVAC avec intrathécale prophylactique du 20.03 au 18.04.2015 Infection à HIV stade initial C3 (diagnostic 12.2012) : • nadir des CD4 à 0.005 G/l • CD4 : 0.412 G/l (20%) le 08.01.2015 • virémie initiale 7x10E5 copies/mml (12.2012) • Corécepteur CCR 5 positif, CXC 4 négatif • Virémie indétectable dès juin 2014 • Résistance génotype HIV-1, absence de mutation pour la reverse transcriptase, la protéase et l'intégrase HLA B5701 négatif • sous trithérapie EBV, VZV positifs HAV, HBV, HCV, toxoplasmose, syphilis, CMV : négatifs (2012) TB spot : négatif Complications infectiologiques dues au HIV : • pneumonie à Pneumocystis jiroveci en novembre 2012 • candidose oro-pharyngée en décembre 2012 • bactériémie à Salmonella typhi en novembre 2012 • Amibiase intestinale (histolytica) en décembre 2012 • Wasting syndrome en décembre 2012 • Dermatite séborrhéique (2012) • zona des dermatomes C6, C7 à gauche en décembre 2012 • Suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée avec épisodes de protéinurie DD. médicamenteux sur trithérapie; paranéoplasique • Récolte urinaire de 24h du 09.02 au 10.02 : clearance 75 ml/min • Clearance de la créatinine selon Cockroft-Gault à 100 ml/min le 25.04.2015 • Fraction d'excrétion du sodium à 1.69 % le 13.04.2015 Lésion cérébrale péri-ventriculaire droite au niveau du noyau caudé (stable à l'IRM de 2012) Probable dysphasie développe mentale Hyperlipidémie mixte sous traitement Lymphome plasmablastique du caecum EBV+, CD20-, de stade IEB • date du diagnostic : 05.02.2015 • pathologie masse tumorale bas fond caecal Promed (P1034.15) : lymphome à cellules B matures : lymphome à grandes cellules B de type lymphome plasmablastique (PBL selon OMS 2008) avec infiltration diffuse et ulcération d'une muqueuse colique. Positivité pour EBV, CD20 négatif. Ki > 90%. • CT thoraco-abdominal du 22.01.2015 : lésion tumorale dans le caecum avec adénopathies le long de la chaîne iliaque externe à droite, à proximité de la masse tumorale • PET-CT du 28.01.2015 : intense hypercaptation caecale correspondant très probablement à la tumeur primaire et un paquet ganglionnaire hyperactif évoquant premièrement des métastases. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de métastases. • colonoscopie le 02.02.2015 avec biopsies bas-fond caecal • PBM du 05.02.015 : cytométrie de flux : pas d'infiltration de la moëlle osseuse par le lymphome plasmablastique, pathologie Promed (P1196.15) : pas de cellules du lymphome visualisées, médullogramme : absence d'infiltration lymphomateuse par le lymphome plasmablastique connu. • pose de PAC le 09.02.2015 • PL diagnostique du 10.02.2015 avec chimiothérapie intrathécale prophylactique : protéinorachie à 0.76 g/l, absence de cellule blastique dans le sédiment. Rares lymphocytes matures sans particularité. • chimiothérapie de type CODOX-M-IVAC avec intrathécales prophylactiques, 1er cycle du 11.02 au 07.03.205 avec bonne réponse partielle au CT du 17.03.2015 • 2ème cycle de chimiothérapie de type CODOX-M-IVAC avec intrathécale prophylactique du 20.03 au 18.04.2015 Infection à HIV stade initial C3 (diagnostic 12.2012) : • nadir des CD4 à 0.005 G/l • CD4 : 0.412 G/l (20%) le 08.01.2015 • virémie initiale 7x10E5 copies/mml (12.2012) • Corécepteur CCR 5 positif, CXC 4 négatif • Virémie indétectable dès juin 2014 • Résistance génotypique HIV-1, absence de mutation pour la réverse transcriptase, la protéase et l'intégrase HLA B5701 négatif • sous trithérapie EBV, VZV positifs HAV, HBV, HCV, toxoplasmose, syphilis, CMV : négatifs (2012) TB spot : négatif Complications infectiologiques dues au HIV : • pneumonie à Pneumocystis jiroveci en novembre 2012 • candidose oro-pharyngée en décembre 2012 • bactériémie à Salmonella typhi en novembre 2012 • Amibiase intestinale (histolytica) en décembre 2012 • Wasting syndrome en décembre 2012 • Dermatite séborrhéique (2012) • zona des dermatomes C6, C7 à gauche en décembre 2012 • Suivi par Dr. X Insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée avec épisodes de protéinurie DD. médicamenteux sur trithérapie; paranéoplasique • Récolte urinaire de 24h du 09.02 au 10.02 : clearance 75 ml/min • Clearance de la créatinine selon Cockroft-Gault à 100 ml/min le 25.04.2015 Lésion CIN II, avec HPV positif pour les génotypes 16-39-51-56 (haut risques). Conisation LEEP. Curetage de l'endocol. 2005 : accouchement par voie basse d'un garçon pesant 3300 g. 2007 : accouchement par voie basse d'une fille pesant 3800 g. Status post : IVG médicamenteuse le 04.08.2011. Lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne, genou D. Lésion cornéale sur corps étranger Lésion croûteuse suspecte sur la racine du nez depuis plusieurs mois. Lésion cutanée au niveau de l'hallux G. Lésion cutanée. Lésion cutanée sein gauche et mastodynie droite. Lésion d'allure métastatique au niveau proc. épineux C2 le 06.12.2018. Lésion d'aspect bénin de 2ème orteil pied gauche au niveau phalange médiale. Lésion de Chopart avec arrachement du talus antéro-supérieur et du processus antérieur du calcanéus à gauche et distorsion de l'articulation calcanéo-cuboïde le 6.7.2018. Lésion de Chopart ddc le 7.8.2018. Lésion de Chopart pied D avec fracture du naviculaire, non déplacée. Lésion de Chopart pied G avec : • arrachement processus antérieur du calcanéus et de l'extrémité proximale du cuboïde • présence de fragments osseux au niveau de l'articulation talo-naviculaire et au niveau du sinus du tarse Lésion de la coiffe des rotateurs Lésion partielle du tendon sus-épineux Lésion partielle du tendon sous-scapulaire dans sa partie supérieure à D. Arthrose acromio-claviculaire. Lésion de la coiffe des rotateurs à droite le 04.12.18. Lésion de la coiffe des rotateurs épaule gauche Scapulalgies gauches séquellaires. Lésion de la corne postérieure du ménisque interne genou G sur entorse le 29.11.2018 sur status post résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne le 01.09.2015. Lésion de la plaque palmaire IPP Dig IV gauche le 23.07.2017. Lésion de l'os nasal. Lésion dégénérative complexe du ménisque interne genou droit. Lésion dégénérative de la corne postérieure du ménisque interne avec kyste de Baker non compliqué associé, genou G. Lésion dégénérative transfixiante partielle du sus-épineux, épaule G. Rhizarthrose bilatérale à prédominance G. Status post infiltration de l'articulation CMC I pouce gauche le 21.9.2018. Lésion dermatologique à la verge. Lésion des cordes vocales en postopératoire le 02.10.2018. Lésion des parties hautes du ligament transverse du sillon bicipital gauche avec tendinopathie du sus-épineux sur status post fracture non-déplacée du trochiter gauche le 10.12.2018. Status post infiltration de la gouttière bicipitale le 31.8.2018. Lésion des parties hautes du sous-scapulaire avec ténopathie sévère du LCB et luxation des parties hautes du sillon bicipital, lésion SLAP type II. Lésion diffuse du parenchyme pulmonaire (LSD, LID, LIG), d'origine indéterminée (DD : Infectieux (TBC), néoplasique (carcinome, mésothéliome), maladie systémique (Wegener)) le 04.12.2018 avec : • Epanchement pleural gauche possiblement cloisonné • Adénopathies de la fenêtre aortopulmonaire, sous-carinaire et hilaire à droite Lésion doigt droite Lésion du Chopart G avec fracture/arrachement os naviculaire, os cuboïde et os cunéiforme latéral le 25.10.2018. Lésion du Chopart pied D le 21.12.2018. Lésion du col à 13h due à la pince de Pozzi. Lésion du doigt droit. Lésion du labrum sur dysplasie résiduelle de la hanche gauche. Lésion du Lisfranc à G avec arrachement osseux du coin antéro-latéral du 3ème cunéiforme le 16.9.2018. Lésion du Lisfranc à gauche le 18.12.2018. Lésion du Lisfranc du pied G sur chute datée du 15.12.2018 avec : • fracture multi-fragmentaire intra-articulaire du cunéiforme médial. • fracture de la base du 1er métatarse. • fracture de la partie proximale du cunéiforme intermédiaire. • fracture multi-fragmentaire de la base du 2ème métatarse. • fracture du cunéiforme médial. Lésion du Lisfranc G le 17.12.2018 avec fracture comminutive non déplacée de la base du 2ème métatarse, petite avulsion de la base des métatarses 1-3. Lésion du ménisque droit le 5 juin 2015. Status post-plastie nasal en juillet 2014. Status post-hystérectomie en 2013. Status post chute avec traumatisme de l'épaule droite et du genou gauche sans fracture en 2010. Status post gastrite sur ulcère gastrique en 2010. Status post-appendicectomie et cholécystectomie par hémi-laparotomie en 1988 au HFR. ATCD d'infections urinaires basses. Coprostase avec dilatation du caecum et du colon ascendant le 23.03.2016. DD : constipation d'origine fonctionnelle ou néoplasique. Vertige paroxystique positionnel bénin le 28.08.2016. Lésion du ménisque interne corne postérieure. Status post arthroscopie genou droit avec ménisectomie partielle interne en septembre 2015. Lésion du ménisque interne et du ligament collatéral interne le 04.08.2017. Lésion du nerf sciatique-poplité externe (probablement sur traction) à droite. Lésion du pouce droit. Lésion du rein gauche de découverte fortuite le 09.12.2018. DD : carcinome à cellule rénale de type chromophobe, oncocytome ou carcinome rénal à cellules claires. Lésion érythémateuse nouvelle avec halo et croûtes à prédominance aux membres inférieurs bilatéralement : • DD vasculite. Lésion frontale cutanée. DD : kératose actinique vs spinocellulaire vs basocellulaire. Lésion gingivale post-traumatique en regard de la dent 11. Lésion grade II du ligament collatéral interne du genou gauche. Lésion grade I-II de la corne postérieure du ménisque interne. Lésion hypodense du corps du pancréas. Lésion iatrogène de l'artère radiale, poignet gauche. Lésion iatrogène per-opératoire du nerf phrénique droit. Lésion intraaxiale pariéto-occipitale droite • DD : tumeur probablement primaire cérébrale (gliome de haut grade) • Sous dexaméthasone dès le 13.12.2018. Lésion intra-tendineuse non transfixiante du sus-épineux épaule D avec tendinopathie du sous-scapulaire, arthrose AC asymptomatique. Lésion kystique versant dorso-radial P3 D2 main D. Lésion LCA genou droit. Lésion Lisfranc pied D avec des fractures/arrachements osseux du cunéiforme médial, base du 2ème métatarsien plantaire et du cunéiforme latéral le 09.10.2018. Contusion du condyle fémoral externe et de la tête du péroné D le 09.10.2018. Lésion LLI grade I à II genou gauche le 14.07.18 avec : • lésion corne postérieure ménisque interne avec chondropathie tricompartimentale. • inflammation de la patte d'oie. Lésion longitudinale du péroné court à gauche. Lésion luno-triquétrale poignet droit, en 2015. Arthroscopie du poignet droit, débridement et transfixation du luno-triquétral par une vis HCS 2.4 22 mm. Cystite le 25.03.2018. Lésion méniscale corne postérieure du ménisque interne genou G le 17.09.2018. Lésion méniscale externe, corne antérieure droite. Déconditionnement genou droit. Status post-3 arthroscopies genou droit. Lésion millimétrique tête du pancréas le 19.09.2017. DD : pseudo-kyste, IPMN. Légère démence • Troubles cognitifs diffus en septembre 2017 • MMS à 17/30 et test de la montre à 4/7 le 20.09.2017. Gastrite chronique à Helicobacter pylori • métaplasie intestinale au niveau de l'antre gastrique. Multiples lésions osseuses lytiques d'origine indéterminée le 14.09.2017. • absence d'hypercaptation au PET-CT. DD : ostéopénie. Cardiopathie valvulaire et hypertensive avec : • prolapsus du feuillet postérieur de la valve mitrale • régurgitation mitrale au moins modérément sévère • HTP sévère avec PAPs à 65 mmHg • FEVG 65%. HTA traitée. Dyslipidémie traitée. Lésion musculaire mollet gauche. Lésion musculo-ligamentaire avec insertionite au niveau de l'épicondyle latéral D en 2012. Colporraphie le 14.11.2018. Appendicectomie en 1976. Cure de torsion ovarienne en 2009. Lésion nodulaire hyperéchogène arrondie avec renforcement postérieur. Lésion nodulaire surrénalienne gauche de 15 mm x 11 mm, de densité moyenne mesurée à 20 HU, non caractérisable. Lésion non spécifique au niveau basal du poumon gauche (découverte fortuite à l'Angio-CT thoracique du 12.12.2018) • Tabagisme ancien à 7 UPA environ, stoppé il y a 40 ans. Lésion yeux bilatéraux. Lésion ophtalmique. Lésion os nasale. Lésion osseuse type stress fracture, tibia proximal médial sur status post PTG D en avril 2016 (Dr. X, Clinique Générale). Status post-ostéotomie tibiale de valgisation genou D en 2013 (Dr. X, Clinique Générale). Status post-arthroscopie et méniscectomie interne genou droit. Lésion ostéo-cartilagineuse de la partie postéro-externe du dôme de l'astragale cheville G le 07.12.2018. Lésion ostéo-condensante au niveau de l'os iliaque droite et col fémoral droit • CT thoraco-abdominal du 30.11.2018 : densité spontanée moyenne élevée évoque plutôt des îlots ostéocondensants bénins (enostosis). Lésion partielle du LCP et lésion de la corne postérieure du ménisque interne genou gauche suite à une chute à vélo le 26.06.2017. Lésion partielle du LCP genou droit. Lésion LCA avec atteinte du PAPE genou droit. Lésion proximale du LLI genou droit. Lésion partielle du sus-épineux d'aspect chronique et boursite sous acromiale G. Lésion partielle du tendon du triceps et hémato-bourse olécrânienne coude G ; accident datant de mi-novembre 2018. Lésion partielle sus-épineux sous-scapulaire avec instabilité du long chef du biceps d'origine traumatique. Arthrose AC modérée asymptomatique. Lésion partielle tendon tricipital gauche sur choc direct et hématome bourse. Lésion partielle trans-fixiante du sus-épineux épaule droite. Rhizarthrose avancée gauche. Status post infiltration de l'articulation CMC I gauche le 9.11.2018. Lésion PASTA sus-épineux épaule D. Tendinopathie du sus-épineux épaule G. Status post infiltration sous-acromiale épaule G le 23.11.2018. Lésion plaque palmaire IPP D5 gauche le 06.12.2018. Lésion plaque palmaire IPP index gauche, le 05/12/2018. Lésion pouce droit. Lésion pulmonaire lobe supérieur droit. Lésion hépatique segment IV. Suspicion de bronchopneumopathie chronique obstructive. Canal lombaire étroit. Syndrome du tunnel carpien à droite. Phobies des piqûres. Lésion ronde irrégulière au niveau du pôle inférieur du rein droit. DD : kystique. Lésion SLAP épaule droite avec cliniquement haute suspicion d'instabilité du LCB droit. Lésion SLAP épaule gauche avec tendinopathie du sus-épineux. Insertionite du muscle deltoïde. Status post infiltration intra-articulaire épaule G le 16.3.2018. Status post infiltration sous acromiale épaule G le 14.6.2018. Status post infiltration sous acromiale épaule G le 09.11.2018. Lésion sous-cutanée pariétale droite d'origine indéterminée au CT du 25.11.2018 : • DD malformation vasculaire, ganglion. Lésion sous-totale des tendons sus-épineux et sous-épineux épaule D avec arthrose AC D asymptomatique et tendinopathie du long chef du biceps. Status post infiltration sous-acromiale de l'épaule D le 14.09.2018. Lésion sub-aiguë du tendon du sus-épineux épaule gauche avec rétraction du 2ème degré. Lésion subtotale LCU MCP1 main droite, dominante. Lésion superficielle et dermabrasion poignet gauche le 10.02.2018 sur idées suicidaires. Intoxication alcoolique aiguë le 26.01.2018 avec : • traumatisme crânien. • idées suicidaires. Troubles électrolytiques le 26.01.2018 : • hypokaliémie 3.5 mmol/l. • hyponatrémie 130 mmol/l. Traumatisme crânien avec : Acidose respiratoire d'origine indéterminée le 27.01.2018. Cervico-brachialgie chronique droite le 01.03.2017. Etat de mal épileptique le 28.04.2016 avec : • status post-deux crises d'épilepsie tonico-clonique rapprochées le 01.03.2017. • status post-ablation de l'hippocampe droit en 2008 au CHUV. • status post-crise d'épilepsie le 31.12.2016 sur interruption du traitement (Keppra). • status post-crise d'épilepsie sur interruption du traitement et éthylisation aiguë en juillet 2015. Multiples éthylisations aiguës. Hallucinations visuelles le 15.11.2014 avec ecchymoses et hématomes multiples sur gestes de défense. Cure de hernie discale lombaire (niveau inconnu, HUG). Ostéosynthèse d'une fracture de la clavicule gauche. Opération hernie cervicale C5-C6. Suspicion d'intoxication aux médicaments (Valium, Fentanyl, Oxynorm, Klacid) avec : • perte de connaissance le 15.06.2018. • état confusionnel aigu sur Valium. Pneumonie de broncho-aspiration. 06/2018. Insuffisance respiratoire globale d'origine mixte, sur pneumonie et d'origine centrale. 06/2018. Hyponatrémie euvolémique hypo-osmolaire modérée chronique d'origine mixte à 120 mmol/l le 17.06.2018 avec : • osmolarité sérique : 253 mmol/kg. • osmolarité urinaire : 216 mmol/kg. • composante potomanie. • SIADH (sur infection pulmonaire, s/p ablation hippocampe). • médicamenteuse (Cymbalta, Remeron, Valium, Levetiracetam). Lésion surrénalienne gauche de 43 mm DD myélolipome. Lésion suspecte dermatologique dans le dos au niveau TH 12 à gauche le 10.05.2016. • aspect symétrique, couleur variable avec naevus en fond. Hypertension artérielle traitée. Lésion suspecte pulmonaire en apical droit : • Surveillance par imagerie tous les 6 mois chez le médecin traitant. Episode dépressif moyen le 26.11.2016. Lésion transfixiante sous-totale du tendon du sus-épineux de l'épaule droite sur status post accident de montagne le 18.10.2018. Lésion tumorale de l'uncus du pancréas débordant en partie au niveau de la tête, sans véritable engainement du cholédoque et du canal du Wirsung. Lésion ulcérée pénienne post rapport sexuel non protégé le 28.12.2018. DD : • Urétrite. • Syphilis. Lésion vésicale per-opératoire. Lésion vulvaire. Lésions aphteuses. Lésions aphteuses buccales sur point d'appui de la prothèse dentaire le 25.12.2018. Lésions buccales et état fébrile. Lésions cérébelleuses avec œdème péri-lésionnel probablement sur métastase d'un primaire inconnu le 18.12.2018. DD lésion primaire DD métastase ovarienne (très rare). Lésions cérébrales probablement pré-existantes d'origine congénitale dans le contexte d'une prématurité extrême. DD : lésions démyélinisantes (SEP primairement progressive) peu probable, vasculite. • épisode de démyélinisation en 2012. • bilan biologique 20.11.2018 : -- électrophorèse sérique du 20.11.2018 : hypergammaglobulinémie (probablement polyclonale) sur inflammation chronique -> cô à 2-3 mois, HIV-HBV-HCV négatif, Tbc négatif. • IRM neurocrâne le 27.11.2018 (CIMF, rapport dans dossier) : multiples lésions lacunaires sous-corticales bilatérales. Lésions cutanées. Lésions d'allure métastatique de primaire indéterminée 19.12.2018. • Pas de notion de tumeur primaire selon le fils. • Neuro : Péjoration d'une ptose labiale droite connue. Aphasie intermittente. • IRM cérébrale (Affidea, 19.12.2018). • Lymphadénopathie axillaire ddc. Induration mammaire droite. Lésions main D par scie à métaux le 04.12.2018 avec : • Lésion complète tendon extenseur en zone I Dig III avec arthrotomie traumatique de l'IPD. • Lésion complète tendon extenseur en zone I Dig IV avec arthrotomie traumatique de l'IPD. Lésions multiples suspectes au niveau de la prostate avec suivi urologique. Adénocarcinome du haut-rectum à 12 cm de la marge anale stade ypT2 ypN0 (0/18) L0 V1 Pn0 R0 : • status post-résection antérieure basse avec iléostomie de protection par laparoscopie et PICO épicutané le 07.12.18. • status post-radiothérapie de 50 Gy y compris la prostate dans le champ de radiation (dernière séance le 10.10.18) • status post-chimiothérapie néo-adjuvante par Xeloda. • Lésions pétéchiales croûteuses et pustuleuses sur la face dorsale des 2 pieds sur hyperpression veineuse • Lésions rosélioformes (DD: dermatite au froid) • Lésions ulcéreuses des membres inférieurs récidivantes L'état de la patiente s'améliore nettement après l'hydratation et un court sommeil aux urgences. Elle ne présente plus de nausées, se mobilise sans problème, reste à tout moment collaborante. Elle supporte bien la réalimentation et peut donc retourner à domicile. L'état général réduit de la patiente nous motive à compléter le bilan par une ponction lombaire qui revient sans particularité. Nous retenons donc une angine et nous mettons la patiente sous traitement antibiotique. Leucémie à l'âge 5-7 ans, en rémission depuis 2001 S/p appendicectomie en 2008 Douleurs abdominales d'origine indéterminée. Leucémie de type inconnu sous Ibrutinib. Leucémie lymphatique chronique B, de stade initial A selon Binet et 0 selon RAI Leucémie lymphatique chronique B, de stade initial A selon Binet et 0 selon RAI • Diagnostiquée le 29.08.2013 • Hémogramme au diagnostic : Hb 133 g/l, GB 16,5 G/l (PNM 23,5%, mono 7%, lympho 58%, cellules écrasées 10,5%), Tc 282 G/l. • PBM du 29.08.2013 : infiltration lymphocytaire dépassant par endroits les 80% au médullogramme; infiltration diffuse (70-80% du tissu hématopoïétique) par un infiltrat lymphoïde B mature, CD20+, CD79A+, Pax -5, CD23+, CD5+, CD43 faible, cycline D1-, compatible avec une LLC à la biopsie ostéomédullaire. • Cytométrie en flux d'aspiration médullaire du 29.08.2013 : matériel insuffisant pour une immunophénotypisation. • Cytogénétique médullaire du 29.08.2013 : délétions del (14q) et del (13q) de type 1. • Absence d'adénopathie périphérique et d'hépatosplénomégalie palpables au diagnostic. • Progression de la LLC le 25.06.2015 (stade C selon Binet), avec une rapide progression de la lymphocytose de 52,64 G/l le 13.03.2015 à 90,24 G/l le 25.06.2015, avec présence, au CT-scan du 25.06.2015, de multiples adénopathies cervicales bilatérales (taille maximale 23,43 mm), d'adénopathies axillaires bilatérales (taille maximale 2 cm), de multiples petites adénopathies médiastinales et abdominales, et d'une nette splénomégalie (volume de la rate de 380 cm³). • traitement : status après 6 cycles de chimiothérapie de type FCR (Fludarabine, Cyclophosphamide, Rituximab) du 07.07.2015 au 30.11.2015, avec obtention d'une rémission complète hématologique (disparition de la lymphocytose périphérique, et fonte des multiples adénopathies et de la splénomégalie au CT-scan du 28.01.2016), et cytométrique (MRD négative à la cytométrie en flux du sang périphérique du 14.12.2015) • situation actuelle (22.11.2017) : rémission complète hématologique • suivi : contrôles hématologiques tous les 6 mois Dyslipidémie Hémangiome du corps vertébral D10 (CT-scan du 25.06.2015) Leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A Leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A • date du diagnostic : 29.04.2011 • leucocytose 14 G/l avec 60% de lymphocytes • immunophénotypisation du sang périphérique du 29.04.2011 : expression des antigènes CD5, CD19 et CD23, compatible avec une leucémie lymphatique chronique. CD38 nég. • CT thoraco-abdominal du 27.05.2011 : présence de ganglions modérément agrandis dans les creux axillaires des deux côtés, dans le médiastin, dans le hile hépatique et au niveau pancréatique ainsi que para-aortique gauche. Adénopathie de 2 cm de diamètre dans la racine du mésentère. Pas d'hépatosplénomégalie. • status post-1 cure de chimiothérapie par Mabthera et Bendamustine le 21.11.2013 en raison d'une progression tumorale sous forme d'une leucocytose et des adénopathies ainsi qu'une splénomégalie (arrêt de Bendamustine en raison d'une myélotoxicité) • status post-5 cures d'une immunothérapie par Mabthera du 19.12.2013 au 03.04.2014 (disparition de la leucocytose et régression des adénopathies) • actuellement : progression tumorale avec pancytopénie, thérapie par Mabthera et Zydélig (idélalisib) depuis 3 mois suivie par le Dr. X • La patiente ne souhaite plus faire de chimiothérapie Incidentalome du sein G au CT scan thoraco-abdominal le 23.10.2018 • Avis oncologique Dr. X • Pas d'investigation désirée par la patiente pour le moment Traitement complexe en médecine palliative • Facteur de performance : ECOG 3, • MIF (motrice) : marche seule, sécuritaire • Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec des besoins augmentés (contexte onco) NRS 4/7 avec une perte de 5,1% en 2 mois et totale de 9,8% en 7 mois. • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : diarrhées et dysgueusie avec anorexie • Orientation planifiée (Lieu) : réhabilitation à Riaz ; alternative : RAD ou soins palliatifs Hyperlipidémie traitée Ancien tabagisme (stoppé en 1997 avec 50 UPA) Status post-PTCA pour sténose de l'IVA avec mise en place d'un stent en octobre 1998 Déconditionnement global dans un contexte de s/p pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte d'une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A Hypotension orthostatique Dysgueusie depuis 1 mois avec anorexie et dénutrition sévère • diagnostics différentiels : chimiothérapie, déficit en zinc, candidose orale Nutrition par SNG jusqu'au 26.11.2018 et nutrition per os Déficit de vitamine D substitution per os 24000 ui/semaine pendant 3 semaines Leucémie lymphatique chronique Stade 0 • Date du diagnostic : 04.12.2006 • Taux de lymphocytes au 04.12.2006 : 150 G/l • Immuno-phénotypage du 04.12.2006 : CD5 : 98%, CD19 : 98%, CD20 : 26%, CD23 : 89% • CT abdomino-thoracique lors du bilan initial : absence d'adénopathies • Electrophorèse des protéines : gamma-globulines normales • Sérologies : CMV, HIV, Hépatite B et C négatives, Hépatite A et EBV IgG positives • Indication à la chimiothérapie combinée avec Mabthera, septembre 2010, thrombocytopénie, progression de la splénomégalie et des adénopathies • Status après 4 cures de chimiothérapie avec Fludara, Endoxan et Mabthera, très bonne tolérance, du 19.10.2010 au 12.01.2011 • Status après 2 cures de Mabthera, du 09.02. au 09.03.2011, rémission complète • Mai 2011 : pas d'arguments pour une récidive Diverticulite sigmoïdienne chronique avec fistules vésico-iléale et vésico-sigmoïdienne le 18.07.2011 : Hypertension artérielle Laparotomie infra-ombilicale, résection sigmoïdienne, résection segmentaire de l'iléon terminal (7 cm), résection partielle de la vessie (paroi postérieure) et mise en place d'un Cystofix le 19.08.2011. Leucémie lymphoblastique aigue B, CD20- et Philadelphie - le 15.10.2018 Pose de Picc-Line le 17.10.2018 Sérologies • le 01.02.2017 : dépistage HBV, HCV, HIV et CMV négatives, cicatrice sérologique d'ancienne infection à EBV, antigène d'Helicobacter pylori dans les selles négatif, anticorps anti-nucléaires à 80, test de Coombs direct négatif • le 22.10.2018 : HSV type 1 IgG positif, HSV type 2 IgG négatif, HSV IgM (1+2) négatif • le 06.11.2018 : CMV IgM-, IgG+, cicatrice sérologique d'une ancienne infection à EBV PBM le 15.10.2018 : • Médullogramme : pas de grumeaux à l'inspiration; empreintes montrant une infiltration massive par des lymphocytes matures et des lymphocytes atypiques allant jusqu'à 80 à 90 % de la cellularité totale • cytométrie en flux médullaire : à côté d'une faible population de LLC (6%), on note une importante population (94%) B immature monoclonale kappa(+) CD34+, TdT+, CD45-à(+),CD5-, CD10-, CD19+, CD20-, cyCD79a1, CD58+, CD38+, sCD22+, cyCD22+, cyCD22-, cyIgM-, sIgM- • cytologie + cytométrie en flux LCR : absence de cellules suspectes • cytogénétique médullaire : absence de la translocation t(9;22) en FISH interphasique • biologie moléculaire : en cours • biopsie ostéomédullaire (Promed P2018.11747) : infiltration diffuse (80-90%) par des éléments lymphoïdes de taille petite à moyenne, d'aspect lymphoblastique, TdT+, CD34+, CD10+, CD79a+, Pax5+, CD33(+) et partiel, compatible avec une LLA-B BCL6-, cycline D1-, BCL2+, diffus et non spécifique, absence de cellules de type Hodgkin de Reed-Sternberg (aux examens par CD30 et CD15). Récidive de LLC (CD5+, CD20+, CD23+) d'environ 10%. • Puce ADN : Hyperploïdie à 51 chromosomes : trisomie 4, 14 et 21, tétrasomie X, LOH 9pter-qter, perte homozygote des gènes CDKN2A/B (90%) PBM le 19.11.2018 : • hémogramme : pancytopénie modérée, compatible avec un état post-chimiothérapie. Au frottis sanguin, on relève quelques signes de dysplasie secondaires aux traitements de chimiothérapie reçus, sans signes de rupture de la barrière médullo-sanguine • médullogramme : moelle hypercellulaire, trilinéaire, avec quelques légers signes de dysplasie dans les lignées érythroïde et myéloïde, sans excès de blastes • Les données hématologiques sont compatibles avec une rémission complète hématologique avec reconstitution hématologique incomplète, après la chimiothérapie d'induction du protocole « LLA-B >59 ans fit » • Résultats en attente : • immunophénotypisation à l'Inselspital • analyse cytogénétique au CHUV • analyse par biologie moléculaire à Unilabs Lausanne (IgH) == Facteurs pronostiques == LLA-B therapy-related ? LLA-B secondaire à une LLC de mauvais pronostic (forme rare de transformation de Richter, le plus souvent non clonalement liée à la LLC; cf. Chakhachiro Z et al. Am J Clin Pathol 2015; 144(2): 333-340) == Typage HLA patient, fratrie, recherche d'un donneur non apparenté == • pas de fratrie apte au donneur. Patient a 4 enfants adultes en bonne santé == Traitements et réponse au traitement == Préphase et induction selon protocole mini-GRAALL2014 SA modifié dès le 17.10.2018 Chimiothérapie intrathécale seule : Methotrexate le 22.10.2018 • contrôle : Cytologie PL (Promed C2018.1339) : LCR discrètement hémorragique sans pléocytose, incluant une population non atypique de petits lymphocytes Chimiothérapie intrathécale triple : Methotrexate, Cytarabine, Dépo-médrole le 06.11.2018 • contrôle : Cytologie PL (Promed C2018.1408) : LCR légèrement hémorragique sans pléocytose et sans cellule tumorale maligne Chimiothérapie intrathécale triple : Methotrexate, Cytarabine, Dépo-médrole le 21.11.2018 • contrôle : cytologie PL (Promed C2018.1492) : légère réaction lymphohistiocytaire (Pas de cellule suspecte de malignité dans le matériel examiné. Pas de différence significative par rapport à l'examen précédent (C2018.1408)). Chimiothérapie de consolidation selon protocole mini-GRAALL2014 SA dès le 23.11.2018 • bloc S1-S4 ARA-C du 23.11 au 06.12.2018 (J1-J14) Leucémie lymphoïde chronique de type B (année du diagnostic 2001) avec : • Leucocytes stables jusque récemment, leucocytose croissante depuis la fin du mois de mars et actuellement hausse nette du taux de leucocytes et anémie en progression (chez le MT : Hb 72 g/L, leuc 78 G/L, thrombocytes normaux) • Altération progressive de l'état général depuis le 18.04.18, démence d'évolution croissante, inappétence Mild Cognitive Impairment • MMS 13.04.18 : 25/30 • Test de l'horloge 13.04.18 : 5/7 FA sous Xarelto Hypertension artérielle Polyarthrose Ostéoporose Dépression récurrente Leucémie myéloïde chronique en rémission. Dyslipidémie. Leucémie prolymphocytaire T chronique en phase d'acutisation, avec anémie macrocytaire normochrome. leuco 7.1 G/L, CRP < 5 mg/L, Glu 5.9 mmol/L, Créat 85 µmol/L, Na 138 mmol/L, K 3.6 mmol/L ECG : sinusal régulier ; QRS fins Leucocytes à 1.2 G/L Thrombocytes à 33 G/L Neutropénie à 0.53 G/L Leucocytose à 21.6 G/L de découverte fortuite le 10.12.2018, sans état fébrile, ni CRP au laboratoire. Leucocytose avec état fébrile à 38°C, CRP 6 mg/L, leucocytes 27,9 G/L, le 02.11.2018 • Dans un contexte de suspicion d'état de mal épileptique Leucocytose d'origine indéterminée le 16.12.2018 Leucocytose d'origine peu claire Leucocyturie asymptomatique Leucocyturie asymptomatique chez une femme enceinte. Leucocyturie asymptomatique chez un patient dément Leucocyturie avec nitrites positif asymptomatique. Leucocyturie sans bactériurie le 27.12.2018. Leucocyturie/nitriturie le 14.12.2018 chez patiente porteuse de cysto-fixe. Leuco-encéphalopathie d'origine micro-vasculaire Fazekas 2-3 avec : • troubles cognitifs sévères • IRM en 03.2018 • IRM de contrôle le 08.08.2018, refusé par le patient Diverticule de Zenker mis en évidence au CT scan du 31.03.2018 : • Refus d'OGD et éventuelle intervention chirurgicale par le patient Malnutrition protéino-énergétique modérée dans le contexte d'un diverticule de Zenker et des troubles cognitifs connus Insuffisance rénale chronique stade G2 selon KDIGO Leucoencéphalopathie vasculaire (IRM 03/2007) avec AIT à répétition entre 1997-2006 Angor typique sur probable sténose aortique serrée le 22.04.2018 Leucopénie Leucopénie à 2.8 G/L. Leucopénie le 12.12.2018 avec neutropénie > 1 g/L, stade II selon l'OMS, spontanément résolutive probablement réactionnelle. Leucopénie (3.6 G/L) avec neutropénie (NAC à 1.38 G/L) au bilan du 06.12 Leucostase dans un contexte de syndrome myéloprolifératif/myélodysplasique avec : • Leucocytes à 210 G/L le 10.12 • Hémoglobine à 71 G/L le 08.12 • Insuffisance respiratoire hypoxémique • Insuffisance rénale • État confusionnel L'évaluation par le psychiatre retient un risque de récidive d'auto-agressivité importante justifiant une hospitalisation. La patiente refuse. Elle dit qu'elle appellera son psychologue demain même si on a pu lui confirmer que cette dernière est en vacances. Elle dit que son conjoint a quitté la maison et que tout ira bien (discours en contradiction avec ce qui a été décrit au début de consultation). La patiente dit qu'elle ne récidivera pas. Elle dit qu'elle se suicidera si elle est hospitalisée à Marsens. Nous effectuons un PLAFA avec hospitalisation à Marsens. Patiente transférée en ambulance. Levetiracetam dès le 19.12.2018 Avis neurologique (Dr. X) CT cérébral et des tissus mous du cou natif et injecté le 19.12.2018 EEG le 20.12.2018 Lévétirazetam du 04.12 au.... Lacosamide du 05.12 au.... EEG le 05.12.2018 Lévétirazetam 750 mg 2x/j dès le 04.12 Lacosamide 100 mg 2x/j dès le 05.12 EEG le 05.12.2018 Avis neurologique (Dr. X) L'évolution à deux mois est tout à fait favorable. Nous expliquons au patient qu'à partir de maintenant, il peut enlever le plâtre mais ne peut encore charger. Nous lui proposons de continuer le touch down pour les deux prochaines semaines et de débuter la physiothérapie pour une mobilisation sans charge. Il doit continuer à prendre la Clexane jusqu'à charge complète. À partir de la deuxième semaine, il pourra progressivement reprendre une charge de plus en plus importante. Contrôle rx-clinique dans 6 semaines. L'évolution à J5 est favorable. Nous refaisons le pansement avec l'Alugen et le patient ira chez son médecin traitant pour le suivi des plaies. Nous lui donnons un arrêt de travail à 100% jusqu'au 24.12.2018. L'évolution à un mois du dernier contrôle est tout à fait favorable. Nous proposons de continuer le traitement conservateur avec de la physiothérapie. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle clinique dans deux mois. Si d'ici-là elle devait présenter une nouvelle crise, elle nous recontactera en urgence. L'évolution à une année est tout à fait favorable avec une patiente qui est asymptomatique. Elle a d'ailleurs refusé de faire un contrôle radiologique ce jour vu la bonne évolution. Actuellement, elle ne désire pas l'ablation du matériel d'ostéosynthèse étant donné qu'elle ne présente aucune gêne. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution à une année est tout à fait favorable pour le pied gauche. Nous retenons une indication opératoire pour une cure du 2ème orteil en marteau à droite. La patiente est informée du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices et un formulaire de consentement est rempli et signé. L'évolution à une semaine est favorable, le patient peut garder l'attelle Aircast pour encore deux à trois semaines. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie étant donné qu'il fait des entorses à répétition au même endroit lors de ses entraînements de hockey. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle. Traitement terminé. Nous restons toutefois à disposition si nécessaire. L'évolution à 1 an est tout à fait favorable avec un contrôle radiologique satisfaisant. Vu l'évolution, nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. L'évolution à 1 année postopératoire est excellente. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution à 1 mois est tout à fait favorable. Nous expliquons à la patiente qu'elle ne peut actuellement effectuer aucune activité sportive et de faire attention à tout nouveau traumatisme. Elle peut mobiliser sans charge le haut du corps. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution à 2 mois d'un traitement conservateur est satisfaisante, le patient présentant moins de douleur et la situation radiologique étant stable. On prescrit des séances de physiothérapie pour mobilisation libre de l'épaule sans charge. Ablation de la bretelle. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. L'évolution à 2 mois est tout à fait favorable avec une patiente qui présente de moins en moins de douleurs. Concernant le port de la minerve, nous proposons de l'enlever de manière progressive pendant les deux prochaines semaines durant la journée. Puis dans deux semaines, elle pourra également se sevrer de la minerve durant la nuit. Elle pourra reprendre toutes ses activités dans un mois. Nous lui expliquons également que pour le moment, tant que la minerve est portée, il lui est interdit de conduire une voiture. Au vu de l'évolution favorable, nous ne prévoyons pas de la revoir à notre consultation mais restons à disposition. L'évolution à 3 mois de l'épisode infectieux susmentionné est tout à fait favorable. Nous n'avons pas prévu de prochain contrôle à notre consultation, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable avec une patiente qui est quasiment asymptomatique. De ce fait, elle peut reprendre toutes ses activités de manière normale. Prochain contrôle à une année post-opératoire. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable. Elle peut reprendre ses activités normalement. Nous la reverrons pour un contrôle radioclinique dans 6 mois. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable. Nous proposons à la patiente de débuter la physiothérapie pour faire un reconditionnement du genou, relâchement de la chaîne postérieure et renforcement musculaire. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à reprise de la mobilité complète. Prochain contrôle radio-clinique au début février. L'évolution à 3 mois est tout à fait favorable. Nous proposons de continuer la physiothérapie, notamment pour améliorer la mobilisation. Prochain contrôle radioclinique à 6 mois post-opératoires. L'évolution à 3 mois reste globalement favorable et la persistance de la douleur est probablement due à un déconditionnement musculaire du genou. Nous proposons donc à la patiente de bénéficier de physiothérapie pour rééduquer le genou. Au vu de la douleur et de l'impossibilité de rester sur le long terme debout, nous proposons de prolonger l'arrêt de travail jusqu'au prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution à 4 mois est tout à fait favorable avec une patiente qui a très bien répondu à l'infiltration et qui est actuellement asymptomatique. Au vu de cette bonne évolution, nous ne prévoyons pas de la revoir à notre consultation mais restons à disposition. Nous lui expliquons qu'en cas d'apparition d'une nouvelle crise, nous pourrons retenter une nouvelle infiltration. L'évolution à 5 jours est tout à fait favorable avec une plaie qui ne présente plus aucun signe infectieux. Nous proposons à la patiente de terminer le traitement antibiotique. Nous lui expliquons également qu'elle peut progressivement enlever le VACOpedes et nous lui prescrivons une semelle en carbone. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle rx-clinique comme initialement prévu le 19.12.2018. L'évolution à 5 mois postopératoires est favorable. On poursuit les séances de physiothérapie pour renforcement musculaire et on explique au patient que selon les progrès, il peut abandonner la béquille. Prochain contrôle radio-clinique à 1 année postopératoire. L'évolution à 6 mois est tout à fait favorable avec une patiente qui est quasiment asymptomatique. Les RX sont également tout à fait rassurants avec une guérison de la fracture. De ce fait, nous ne prévoyons pas de la revoir mais restons à disposition. L'évolution à 6 mois est tout à fait favorable. Nous le reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle clinique et pour discuter d'une éventuelle AMO en cas de gêne du matériel. L'évolution à 6 semaines est tout à fait favorable. Le patient peut reprendre une mobilité complète de son genou, actuellement débuter le renforcement musculaire. Reprise du sport que dans l'axe dans un premier temps, d'abord avec du vélo et de la natation. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Reprise du travail à 100% dès la semaine prochaine. L'évolution à 6 semaines postopératoires est favorable et on autorise l'ablation de l'attelle. Prescription de séances de physiothérapie pour mobilisation libre et renforcement progressif. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines, soit le 22.01.2019. L'évolution à 6 semaines postopératoires est très favorable avec absence de signe de réinfection et un bon résultat fonctionnel. Le patient peut progressivement enlever le Jack durant les activités surveillées et l'enlever complètement à 2 semaines. Il finit encore les séances d'ergothérapie et nous tiendra au courant s'il a besoin de séances supplémentaires par la suite. Reprise du travail à 100% dès le 07.01.2019. Nouveau contrôle clinique dans 2 mois. Entre-temps, nous restons à disposition au besoin. L'évolution à 7 mois du traumatisme est favorable avec une bonne reprise de force. Il peut travailler à 100%. Poursuite des exercices appris en physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution à 8 mois est tout à fait favorable. Nous proposons de poursuivre la physiothérapie pour améliorer le renforcement musculaire et la flexion. À partir du mois prochain, la patiente pourra progressivement reprendre les sports à pivot, notamment le ski. Nous lui conseillons tout d'abord, dans un premier temps, d'effectuer des pistes simples pour retrouver les sensations. Prochain contrôle à une année post-opératoire. L'évolution au niveau de l'épaule est plutôt favorable avec une mobilité quasi complète. Ablation du gilet orthopédique et mise en place d'une attelle en RE pendant 2 semaines. Prescription de physiothérapie à but de mobilisation douce, active et passive, et proprioception. Concernant la cuisse, application d'arnica. Nous reverrons le patient fin janvier pour discuter de la suite de la prise en charge.L'évolution clinique à presque 6 mois de cette fracture est favorable. Nous l'autorisons à continuer toutes ses activités, sans restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 1 année postopératoire est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 2 mois et demi postopératoires est favorable. Nous informons Mr. Y qu'il peut recommencer les activités habituelles, ainsi que son travail librement. Nous ne prévoyons pas d'autre contrôle clinique, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 2 mois postopératoire est favorable avec une récupération progressive des amplitudes articulaires. Dans ce sens, on prescrit des nouvelles séances de physiothérapie avec la réserve que Mme. Y peut présenter une limitation permanente de l'amplitude articulaire. Le développement d'une arthrose secondaire à ce niveau est très probable. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution clinique à 2 semaines postopératoires est favorable. Lors de la consultation, on désinfecte les plaies et on refait le pansement avec du Plurogel sur les 3 sites. On poursuit le drainage lymphatique et on le revoit dans 2 semaines. L'évolution clinique à 3 mois du traitement conservateur est favorable. On prévoit le prochain contrôle radioclinique, avec une IRM de l'épaule D, dans 6 mois. L'évolution clinique à 3 mois post ostéosynthèse de l'humérus proximal D est tout à fait favorable. Mme. Y doit continuer la physiothérapie pour récupérer une meilleure mobilité. Elle sera revue dans deux mois pour une réévaluation clinique. Reprise du travail à 100% dès le 20.12.2018 en tant qu'éducatrice. L'évolution clinique à 6 semaines du traumatisme susmentionné est favorable. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 06.1.2019. Reprise à 50% le 07.01.2019 au 03.02.2019. Poursuite des séances de physiothérapie. Si un nouvel épisode de luxation de l'épaule devait survenir, nous prions le généraliste d'effectuer une IRM et de le réadresser à la consultation. Nous restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique à 6 semaines postopératoires est favorable. On poursuit les séances de physiothérapie selon le schéma San-Antonio. On conseille à Mr. Y de réduire progressivement les analgésiques, premièrement le Tramal®. On poursuit l'arrêt de travail pour 2 mois quand on prévoit le prochain contrôle clinique. L'évolution clinique avec la physiothérapie est tout à fait favorable. Mr. Y a récupéré une bonne mobilité et les douleurs ont beaucoup diminué. Il présente encore une sensation de genou instable, ceci est à associer au manque de force qui est dû à une atrophie importante du muscle quadriceps. C'est pour cette raison que je propose à Mr. Y de continuer la physiothérapie à but de tonifier au maximum le quadriceps et d'entraîner la proprioception. Nous avons convenu avec Mr. Y qu'il reste à l'arrêt de travail à 100% jusqu'à la fin de l'année. Une reprise à 100% est prévue dès le 01.01.2019. Mr. Y me recontactera si nécessaire. Il n'y a pas de prochain contrôle prévu à ma consultation. L'évolution clinique concernant la hanche est favorable. Étant donné que Mr. Y avait présenté une amélioration des douleurs et de la symptomatologie après l'infiltration et selon l'avis du Dr. X, une nouvelle infiltration foraminale L4-L5 (sous CT-scan) est organisée, suite à la mise en évidence d'un fragment d'une hernie discale séquestrée vers le bas. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X après cette infiltration le 20.12.2018. Prochain contrôle à la consultation du team hanche à 1 an de l'intervention susmentionnée. L'évolution clinique est bonne. Je propose à Mme. Y d'aller chez un physiothérapeute pour faire des drainages lymphatiques et il est crucial de continuer l'ergothérapie afin d'améliorer encore la statique. Prochaine évaluation clinique le 22.2.2019. Mme. Y reste en arrêt de sport, par contre elle peut choisir elle-même les exercices qu'elle peut ou ose faire. Il est important qu'elle ne force pas et qu'elle respecte bien les signaux de son corps. En cas d'apparition de douleurs, elle doit arrêter les exercices tout de suite. L'évolution clinique est excellente, Mme. Y est autorisée à reprendre le travail et les activités sportives, sans restriction dès ce jour. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est excellente. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable à 8 semaines de la fracture. Mme. Y bénéficie d'un arrêt de sport de contact pour une durée totale de 3 mois. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable. Arrêt de l'ergothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique est favorable pour cette fracture. Nous prévoyons un nouveau contrôle radio-clinique début janvier au vu du doute sur une mini-progression de la fracture. En cas de nouvelle péjoration ou augmentation des douleurs, nous envisagerons une IRM afin d'évaluer une potentielle cyphoplastie par la suite. L'évolution clinique est favorable. Prescription de 9 séances de physiothérapie dans un but de récupération des amplitudes, antalgie et proprioception. Contrôle dans 6 semaines. L'évolution clinique est stagnante. Toutefois, elle n'a pas encore bénéficié de physiothérapie pour le dos. Nous lui donnons donc une nouvelle prescription pour école du dos, stretching abdominal, renforcement de la musculature lombaire et fitness médical. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution clinique est tout à fait favorable grâce à la physiothérapie avec une patiente qui ne présente plus de symptomatologie. Nous lui expliquons qu'il est important de continuer à mobiliser son genou afin de tenir cet effet bénéfique. Nous prescrivons encore une dernière série de physiothérapie. Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de la revoir à la consultation et restons à disposition en cas d'apparition d'une nouvelle crise. À ce moment-là, nous pourrions discuter d'une éventuelle mise en place d'une PTG. L'évolution clinique et biologique est favorable à 48h (leuco à la baisse, CRP stable). On laisse ainsi Mme. Y rentrer à domicile avec poursuite du traitement par Co-Amox pour un total de 7j avec un contrôle clinique prévu chez le médecin traitant à la fin du traitement antibiotique. L'évolution clinique et radiologique est favorable avec une discrète progression de la consolidation corrélée avec un patient qui a de moins en moins mal et qui récupère lentement la fonction. Il reçoit une nouvelle prescription de 9 séances de physiothérapie afin de poursuivre le traitement. L'arrêt de travail à 100% est prolongé pour les 2 prochains mois. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois. L'évolution clinique montre une amélioration des symptômes comparé à la dernière consultation. Nous expliquons à Mr. Y qu'il faut attendre jusqu'à une année de l'opération pour ressentir une amélioration complète ou pour savoir s'il y aura une possibilité d'amélioration. Mr. Y vit de manière autonome à la maison. Pas d'indication pour un prochain contrôle clinique, nous restons à disposition en cas d'aggravation des symptômes.L'évolution clinique postopératoire est très favorable. Il reste quelques limitations résiduelles au niveau des amplitudes articulaires, on recommande donc de continuer de mobiliser l'épaule. On ne prévoit pas d'autres contrôles mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution clinique reste bonne. Nous rediscutons avec Dr. X si une indication opératoire est donnée ou non. Je lui réexplique que ceci dépend de son activité et d'une éventuelle instabilité résiduelle qu'il n'a pas à l'heure actuelle. Mr. Y me recontactera en cas de besoin, autrement fin du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. L'évolution clinique se présente bien avec une forte réduction des douleurs. Mme. Y suit un traitement conservateur et elle est satisfaite de l'évolution. De notre part, nous ne prévoyons plus de contrôle à notre consultation mais restons à disposition en cas de besoin. Le rendez-vous pour l'ENMG sera annulé puisque la patiente présente une amélioration. L'évolution clinique stagne malgré la physiothérapie, la patiente présente toujours une douleur en regard de l'acromio-claviculaire G. Je propose une infiltration par cortisone de l'articulation acromio-claviculaire dans le but de pouvoir accélérer la rééducation. La patiente est d'accord, l'infiltration aura lieu le 09.01.2019. Mme. Y va continuer la physiothérapie. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. L'évolution de la fracture est favorable. Elle peut abandonner progressivement les cannes. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Poursuite de la Clexane jusqu'à la charge complète. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 31.12.2018. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution de la plaie en regard du 5ème métatarse est tout à fait favorable avec une guérison complète sans signe de péjoration. Concernant la présence d'un petit ongle incarné du 3ème orteil, nous proposons à Mr. Y de faire des bains de Dakin et nous lui expliquons comment bien se couper les ongles de manière linéaire et non arrondie. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution des symptômes et du laboratoire nous fait évoquer effectivement une virose respiratoire supérieure, que nous traitons symptomatiquement. La douleur post-PL ne présente pas de signes de gravité chez un patient avec un statut neurologique normal. Le traitement symptomatique et antalgique, avec du repos, est notre traitement de choix pour cette douleur. Il est averti ainsi que son entourage de reconsulter si nouveaux symptômes ou pas d'amélioration de la douleur lombaire d'ici quelques jours, avec le traitement en place. Nous faisons un certificat médical car le patient utilise beaucoup son dos au travail (mécanicien) et rapporte ne pas arriver à le faire en raison des douleurs. L'évolution est bonne. Vu les douleurs par intermittence, je pourrais proposer à Mme. Y une infiltration sous-acromiale qu'elle aimerait éviter étant donné son angoisse par rapport aux aiguilles. J'ai programmé un contrôle chez moi en mars 2019 pour discuter de l'AMO. L'évolution est correcte mais lente. Poursuite du traitement physiothérapeutique. Poursuite d'une incapacité de travail à 50%. Prochain contrôle chez moi le 31.1.2019. L'évolution est difficile durant la saison d'hiver chez ce patient qui souffre beaucoup du froid. Mr. Y nous rapporte se sentir inutile sur les chantiers dans cette situation, et souhaiterait prendre une retraite anticipée. Nous proposons au patient de contacter la SUVA, et de voir si une réunion serait possible avec son patron afin de discuter de la suite, et de voir si une retraite anticipée est envisageable. Nous écrivons à la SUVA ce jour. Nous reverrons le patient pour un contrôle et discuter de la situation dans 6 mois. L'évolution est excellente. Nous prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie pour la cheville et le coude. Reprise progressive des activités sportives non traumatiques pour le coude. Le volley est pour l'instant proscrit. Reprise du travail à 100% dès demain. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 à 8 semaines. L'évolution est favorable à un mois. Nous informons la patiente qu'elle doit rester au repos encore 2 semaines, puis éviter les sports à risque et activités à risque durant 3 mois. Elle est en arrêt de travail à 50% du 20.12.2018 jusqu'au 06.01.2019. Prochain contrôle à la mi-février. L'évolution est favorable. Ablation de la botte de marche ce jour. Marche en charge avec des chaussures rigides. Suite de la prise en charge en France. L'évolution est favorable avec la physiothérapie et les semelles. Nous poursuivons donc ce traitement. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable avec un patient satisfait, néanmoins le statut cicatriciel reste adhérent, raison pour laquelle nous prescrivons 4 séances de physiothérapie (traitement cicatriciel, avec exercices à effectuer quotidiennement à domicile). Nous le reverrons dans 6 semaines. L'évolution est favorable avec une bonne reprise de la mobilité et une amélioration de la consolidation osseuse. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire. Nous la reverrons à 6 mois post-opératoires pour un contrôle radioclinique. Si les vis distales sont gênantes, nous organiserons une AMO. L'évolution est favorable du point de vue de la fracture susmentionnée. Les douleurs en diminution ressenties toujours par la patiente sont imputables à la fracture en elle-même. Il est peu probable qu'elles soient causées par l'arthrose si on en juge par le statut du jour. Nous expliquons à la patiente que les douleurs liées à la fracture vont diminuer au cours du temps jusqu'à s'amender complètement. En revanche, si elle devait commencer à présenter des douleurs ou une limitation fonctionnelle au niveau de la mobilité de son hallux, nous l'invitons à nous recontacter pour organiser une prise en charge spécialisée. Nous restons à disposition. L'évolution est favorable. Il peut charger progressivement selon douleurs. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour la rééducation à la marche. Nous l'informons d'éviter encore les mouvements de rotation en charge. Prolongation de l'arrêt d'activités sportives. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Il peut commencer le renforcement en physiothérapie. Il doit éviter les mouvements excentriques pour 6 mois au minimum. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Je prescris à la patiente des séances de physiothérapie afin d'améliorer la mobilité du poignet. Poursuite de l'arrêt de travail à 50% jusqu'au 11.01.2019 avec reprise par la suite. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. L'évolution est favorable. Je propose qu'elle poursuive la physiothérapie en piscine mais qu'elle stoppe la physiothérapie à sec. Prochain contrôle en avril 2019. Arrêt de travail du 02.11.2018 au 31.03.2019 à 50%. L'évolution est favorable, la patiente ne présente actuellement quasiment pas de douleur. Nous lui expliquons que les douleurs peuvent par contre être fluctuantes et revenir et que dans ce cas, il sera nécessaire de nous rappeler. Nous pourrions dans ce cas organiser une nouvelle infiltration ou reprendre les séances de physiothérapie. L'évolution est favorable. La patiente présente toujours des douleurs au niveau de la musculature thénarienne qui sont normales. Poursuite de l'ergothérapie. Prochain contrôle dans 3 mois. Nous pourrons à partir d'une année postopératoire discuter de l'ablation du matériel d'ostéosynthèse en cas de gêne.L'évolution est favorable. Le bilan radiologique est tout à fait satisfaisant. Nous reverrons la patiente à un an de l'intervention, c'est-à-dire en octobre 2019 pour un contrôle radioclinique, mais lui expliquons que nous restons à disposition si elle venait à montrer une nouvelle péjoration des douleurs sacro-iliaques, pour dans le cas échéant planifier une nouvelle infiltration. L'évolution est favorable. Les craquements sont liés à la réaction cicatricielle. Poursuite de la physiothérapie pour renforcement et proprioception. Vu le voyage prévu, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution est favorable malgré le retrait précoce de la broche. Nous laissons le Vacoped pour 3 semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 10.01.2019. L'évolution est favorable. Nous conseillons à la patiente de progressivement diminuer l'antalgie. Vu la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution est favorable. Nous enlevons le plâtre ce jour. Nous lui prescrivons une semelle carbone type Ottobock afin d'éviter le déroulement du pied. Nous lui prescrivons également de la physiothérapie pour renforcer la musculature et à but antalgique. Prochain contrôle radioclinique dans 6-8 semaines. Elle peut reprendre le travail dès janvier. L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie pour du renforcement musculaire, proprioception et coordination. Nous lui montrons comment éviter des contractions de freinages. Il peut marcher sur terrains irréguliers. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique et pour évaluer la nécessité de poursuivre la physiothérapie. L'évolution est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. L'évolution est favorable. Nous nous attendons à une épithélialisation complète durant les prochaines semaines. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. D'ici là, poursuite des réfections de pansement. L'évolution est favorable, nous pouvons arrêter les antibiotiques (dernière dose le 27.12.2018). Nous le reverrons le 03.12.2018 pour un contrôle de la cicatrice et discuter l'ablation des fils. D'ici là, il maintiendra le protocole de pansement avec une désinfection à l'Octenisept qu'il effectuera lui-même. L'évolution est favorable. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie afin de renforcer la musculature des péroniers et du tibia. Au vu des entorses à répétition, suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X dans 8 semaines. L'évolution est favorable. Nous prescrivons de la physiothérapie pour renforcement musculaire. Elle peut charger complètement selon douleurs. Nous lui prescrivons une semelle en carbone type Ottobock. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Nous prescrivons de la physiothérapie pour traiter la cicatrice. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie et du port des semelles. Nous la reverrons dans 6 mois pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Poursuite de la physiothérapie et théraband pour détendre la musculature. Prescription de flecteurs à application locale sur le LCB en cas de douleurs. Prochain contrôle radioclinique dans 6 mois. L'évolution est favorable. Poursuite de la réfection du pansement avec la Bétadine tulle au niveau de la zone avec les croûtes. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire et reprise de la mobilité. Nous le reverrons début janvier pour un contrôle clinique. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin janvier. Il peut voyager au Portugal. L'évolution est favorable. Poursuite de l'ergothérapie pour la mobilisation et reprise progressive du port de charge. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Poursuite de physiothérapie avec rééducation à la marche et renforcement musculaire. Le patient souhaite reprendre partiellement son travail. Nous l'autorisons donc à reprendre dès ce jour à 50% pour du travail de bureau. Nous le reverrons à 6 mois post-opératoires pour un contrôle radioclinique. L'évolution est favorable. Poursuite du port de l'attelle et de l'ergothérapie. Prochain contrôle en mars 2019. L'évolution est favorable. Poursuite du traitement en physiothérapie. Nous l'informons qu'il doit éviter les mouvements de contraction excentrique. Nous le reverrons à 1 année du traumatisme pour un contrôle clinique. L'évolution est favorable. Prochain contrôle à 1 année de la fracture pour contrôler l'axe de la jambe. L'évolution est favorable suite au geste. La patiente souhaite encore une série de physiothérapie pour traitement de la sacro-iliaque que nous lui prescrivons. Pas de prochain contrôle prévu mais restons à disposition si nécessaire. L'évolution est favorable. Vu la bonne évolution et le contrôle radiologique satisfaisant, pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition si nécessaire. L'évolution est favorable. Vu le peu de gêne, nous ne prévoyons pas d'AMO. Prochain contrôle final à 1 année de l'intervention. L'évolution est globalement bonne. Je peux constater un succès du needling de la calcification qui a mené à une dissolution d'une bonne partie des calcifications. Je préconise une infiltration sous-acromiale de l'épaule D le 04.01.2019, jusque-là j'encourage la patiente à bouger son bras et à chercher un physiothérapeute. L'évolution est globalement favorable, mais la patiente présente encore une épaule très raide. Il est encore nécessaire de poursuivre les séances de physiothérapie. La patiente ira également régulièrement faire des exercices en piscine à domicile. Nous augmentons le taux de travail à 70% du 24.12.2018 au 31.03.2019. Nous reverrons la patiente dans 3 mois. L'évolution est globalement favorable. Tant que le patient ne présente pas de douleurs, il n'est pas nécessaire d'introduire une médication et prise en charge supplémentaire. L'ergothérapie peut être stoppée. Nous ne prévoyons de prochain contrôle vu la bonne évolution, mais expliquons à la patiente que nous restons à disposition si nécessaire. L'évolution est globalement satisfaisante hormis l'apparition d'une trochantérite gauche que je propose de traiter par physiothérapie de stretching des fessiers et massages profonds au niveau du grand trochanter, ainsi qu'application de Flector. Je n'ai pas prévu de prochain contrôle d'emblée, hormis le contrôle d'office à 5 ans, mais il est convenu avec la patiente qu'elle nous recontacte en cas de souci. L'évolution est lentement favorable à 6 semaines post-opératoires. Nous préconisons une poursuite de la physiothérapie pour hygiène posturale et massages. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Dans l'intervalle, prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 03.02.2019. L'évolution est lentement favorable. Nous lui prescrivons de la physiothérapie avec mobilisation douce et reprise progressive de la charge. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. L'évolution est lentement favorable. Poursuite de l'ergothérapie et introduction de physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à fin janvier 2019. Prochain contrôle dans 6 semaines. L'évolution est lentement favorable. Poursuite du traitement antalgique et du Mydocalm que le patient pourra réduire et ne prendre que le soir si cela suffit.Nous débutons un traitement de physiothérapie par fango, application de chaud et massages doux. Nous précisons qu'il ne faut pas encore faire de manipulation de la colonne cervicale. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Il se représentera en urgence dans l'intervalle en cas de péjoration des symptômes. • L'évolution est marquée par une apparition des douleurs de la sacro-iliaque. Nous proposons d'effectuer ce jour une infiltration à but antalgique. Nous reverrons la patiente un mois après ce geste. Si la patiente venait à montrer une évolution défavorable même transitoire, nous pourrons discuter dans un 2e temps de faire une dénervation facettaire de la sacro-iliaque. • L'évolution est plutôt favorable. Nous lui donnons une chaussure rigide à la place du plâtre. Elle peut la mettre à but antalgique. Si les douleurs ont complètement disparu, elle peut remettre une chaussure normale. Nous la reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. • L'évolution est plutôt stagnante malgré une légère amélioration des douleurs sacro-iliaques. Actuellement, au vu de l'état de l'ostéoporose, nous ne retenons aucune indication opératoire ultérieure. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. • L'évolution est plutôt stagnante, par conséquent, poursuite de l'ergothérapie. Nous prescrivons de la mobilité douce uniquement en flexion à partir de 0° de flexion, ergothérapie également à visée de désensibilisation de la cicatrice. Nous reverrons le patient dans 1 mois avec un CT scan afin de bilanter la consolidation osseuse et de voir quand sera possible l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 31.01.2019. • L'évolution est spontanément favorable malgré la présence d'une lésion du sus-épineux. On peut tenter un traitement conservateur et réévaluer la situation dans 6 à 8 semaines. On pourrait ainsi, si l'évolution n'est pas favorable, à ce moment proposer une prise en charge chirurgicale. Le patient reste en incapacité de travail jusque-là. • L'évolution est stable. Nous expliquons à la maman que la situation ne nécessite aucune chirurgie. Nous proposons de la revoir dans 2 ans pour un contrôle clinique. • L'évolution est stagnante. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie pour mobilisation et à but antalgique qu'il bénéficiera au home. Nous lui prescrivons également de la Novalgine à prendre avant les séances de physiothérapie. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle radioclinique. • L'évolution est tout à fait favorable à 6 mois post-opératoires. Nous lui prescrivons de la physiothérapie pour améliorer la marche. Nous la reverrons à 1 année post-opératoire. • L'évolution est tout à fait favorable à 6 semaines de l'intervention. Poursuite de la physiothérapie pour retour fonctionnel à la marche uniquement. Le patient pourra commencer à se sevrer du corset de manière progressive dès 2 mois post-opératoires. Prochain contrôle radioclinique à 6 semaines. • L'évolution est tout à fait favorable à 6 semaines. Nous proposons de commencer la rééducation avec un renforcement musculaire en physiothérapie. Il peut se déplacer librement. Il peut reprendre son activité comme tatoueur à 100% et, concernant les activités de chantier, nous proposons qu'il les reprenne à 50% dans 1 mois. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. • L'évolution est tout à fait favorable avec une absence de symptomatologie. Nous proposons de revoir le patient pour un contrôle rx-clinique à une année postopératoire. • L'évolution est tout à fait favorable avec une patiente qui est pratiquement asymptomatique. Nous lui proposons de terminer les séances de physiothérapie puis de reprendre, à partir de l'année prochaine, les activités sportives. Pas de contrôle prévu, nous restons à disposition. • L'évolution est tout à fait favorable chez ce patient avec la nette diminution des douleurs et la reprise de la marche. Concernant la reprise du travail, celle-ci va être décidée à la consultation du Dr. X en fonction de l'évolution postopératoire de l'épaule. Concernant le pied, le patient peut reprendre toutes les activités progressivement. Nous reverrons le patient à une année de l'intervention, soit en mai 2019. • L'évolution est tout à fait favorable chez ce patient qui montre tout d'abord sur le plan radiologique une absence de fracture ou de tassement. Et sur le plan symptomatique le patient ne présente aucune douleur. Nous ne prévoyons pas de le revoir à notre consultation mais restons à disposition si besoin. • L'évolution est tout à fait favorable grâce au Senso Pro avec une patiente qui a retrouvé une sécurité au niveau de son genou. Nous lui expliquons qu'elle doit terminer les séances et par la suite elle devra reprendre toutes ses activités de manière normale. Pas de contrôle prévu, nous restons à disposition. • L'évolution est tout à fait favorable. Il souhaite faire une AMO. Toutefois, au vu de la fraîcheur du cal osseux, nous proposons de continuer les ondes de choc jusqu'au prochain contrôle radioclinique. Nous lui expliquons que nous pourrons discuter d'une AMO dans 6 mois mais pas avant. • L'évolution est tout à fait favorable. Le patient n'a aucune gêne. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution est tout à fait favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est tout à fait stable avec aucune péjoration. Nous expliquons au grand-père qu'actuellement nous ne proposons aucune correction, en attendant qu'il continue sa croissance. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique dans deux ans ou s'il présente une nouvelle symptomatologie plus rapidement. • L'évolution est tout à fait favorable. Cette tuméfaction d'origine indéterminée a disparu. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution est très favorable à 5 mois post-opératoire. Pour l'oedème, nous lui prescrivons des bas de contention stade II qu'elle peut porter au travail. Nous la reverrons à 1 année post-opératoire pour un contrôle radioclinique et pour discuter d'une éventuelle AMO. • L'évolution est très favorable. Elle peut abandonner le plâtre et les cannes. Nous lui prescrivons de la physiothérapie. Elle peut porter une semelle en carbone type Ottobock pour les 6 prochaines semaines. Prochain contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoires. • L'évolution est très favorable. Il persiste encore un léger déficit de la force des abducteurs. Prescription de physiothérapie. Je montre également au patient comment faire des exercices pour renforcer les abducteurs. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution est très favorable. Poursuite des activités sportives comme la course à pied et le vélo. Nous lui conseillons d'effectuer un bon échauffement puis de faire du stretching après l'effort. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. • L'évolution est très favorable. Réfection du pansement avec un pansement sec. Le bandage de la jambe n'est plus nécessaire. Nous le reverrons dans un mois pour un contrôle clinique. • L'évolution est très stagnante. Pour un bilan, nous souhaiterions que la patiente soit convoquée par le Dr. X pour une évaluation ambulatoire afin de faire un bilan urodynamique. Nous demandons également à nos collègues du Neurocentre de bien vouloir évaluer la patiente pour un bilan neurologique de base. Nous organisons une IRM 3 Tesla pour bilanter la résorption en taille de l'hématome ainsi qu'une composante intra-médulaire. Nous reverrons la patiente à la suite de l'IRM pour discuter des résultats, puis en mars lorsqu'elle aura bénéficié de l'évaluation à la Suva ainsi que de l'évaluation au Neurocentre. Prescription de physiothérapie en piscine.L'évolution favorable sous antibiotique (CRP de 197 à 13) et la diminution de l'écoulement font évoquer une surinfection du lymphocèle. L'évolution globale est favorable à six semaines post-opératoires. Mme. Y souffre encore d'un trouble de la sensibilité au bout du troisième doigt de la main D. Je propose à Mme. Y de l'ergothérapie. Je la revois dans deux mois pour une réévaluation clinique. L'évolution globale est favorable. La physiothérapie a été efficace pour améliorer les douleurs de l'épaule G. Le patient reste tout de même symptomatique au niveau de son arthrose acromio-claviculaire épaule G. Je n'ai pas de proposition de traitement pour le moment. Je pense qu'il est important de mettre au clair si le patient présente une maladie rhumatismale ou non. S'il s'agit effectivement d'une polyarthrite rhumatoïde, il est crucial que le patient prenne son traitement de Methotrexate et Arcoxia, ceci aura également un effet positif pour les douleurs de son arthrose acromio-claviculaire. Je prie le médecin traitant le Dr. X de mettre les choses au clair avec le service de rhumatologie de l'HFR Fribourg. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient me recontactera si nécessaire. L'évolution globale est favorable 3 mois après la méniscectomie partielle du genou gauche. On note toujours une légère atrophie, surtout du vaste interne et du vaste externe du quadriceps à gauche. Il existe encore une limitation de la flexion d'environ 10° comparativement au côté opposé. Pour cette raison, je trouve qu'il est important que le patient poursuive la physiothérapie. Je lui prescris encore une fois 9 séances de physiothérapie à sec et 9 séances en piscine, ce qui fait du bien au patient pour détendre la musculature. Je propose un dernier contrôle clinique à ma consultation dans 3 mois, ou plus tôt en cas de besoin. Prochain rendez-vous : 20.03.2019. L'évolution grâce à l'infiltration est favorable avec une diminution des douleurs. Nous proposons donc d'effectuer une semelle définitive avec un appui de 5 mm sur le bord interne du pied. Nous ne prévoyons pas la revoir mais restons à disposition. L'évolution est plutôt favorable. Poursuite du port de la semelle en carbone jusqu'au prochain contrôle radioclinique dans 2 mois. L'évolution post-opératoire ainsi que le traitement conservateur sont favorables. On prévoit la poursuite des séances de physiothérapie pour la mobilisation libre du coude et des doigts ainsi que la mobilisation douce du poignet sans charge. On enlève le plâtre BAB et on met une attelle de poignet pour les prochaines 3 semaines. En ce qui concerne la cheville, on prévoit le port de l'Air Cast® pour encore 3 semaines. On reverra Mme. Y en début janvier. L'évolution post-opératoire a été favorable. Déméchage à J1 sans événement notable. L'évolution radio-clinique à 1 an postopératoire est tout à fait favorable. Mme. Y a repris toutes ses activités habituelles. Nous expliquons à Mme. Y que si elle ressent une gêne importante, le matériel d'ostéosynthèse peut être enlevé. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radioclinique à 2 mois de la fracture (accident du 18.10.18) est favorable. On conseille au patient d'éviter de charger le poignet pour encore 1 mois. Prochain contrôle radioclinique à 1 an de la re-fracture soit mi-octobre 2019. L'évolution radio-clinique à 3 mois de la fracture est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois de l'intervention susmentionnée est favorable. Dès à présent, le patient est autorisé à marcher en charge complète avec abandon progressif des cannes. Arrêt de thromboprophylaxie dès ce jour. Note : en cas de planification d'une PTH à droite, il faudra effectuer un Scout des membres inférieurs ddc. à partir de la sacro-iliaque pour prendre des mesures de façon adéquate. Prochain contrôle radio-clinique le 05.02.2019. L'évolution radio-clinique à 3 mois de l'ostéosynthèse est satisfaisante. Poursuite des séances de physiothérapie dans le but d'améliorer la mobilité de la cheville ainsi que pour diminuer l'œdème et les douleurs persistantes lors de la mobilisation. Poursuite de la marche en charge selon douleur à l'aide de 2 cannes anglaises au besoin. Prescription de séances d'ergothérapie pour la désensibilisation des paresthésies présentes sur le territoire du nerf cutaneus dorsalis intermedius medialis. En ce qui concerne la fracture du 1er métacarpe de la main droite, nous enlevons l'attelle ce jour et on prescrit également des séances d'ergothérapie pour le renforcement musculaire. Le patient reste à l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 15.01.2019, puis reprise à 50% le 16.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique (RX jambe G + pouce main D) le 29.01.2019. L'évolution radio-clinique à 3 mois post changement de la tige de PTH D est favorable. On autorise le patient à abandonner les cannes avec charge selon douleur. Prescription de séances de physiothérapie pour école de marche et renforcement musculaire à l'aide de vélo d'appartement. Prochain contrôle radio-clinique à 1 an postopératoire ou plus vite en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 3 mois post intervention susmentionnée est favorable. En ce qui concerne les troubles neurologiques en distalité ainsi que les céphalées rapportées par Mme. Y, nous organisons une consultation neurologique avec un ENMG pour bilanter une probable atteinte du nerf ulnaire. Poursuite des séances de physiothérapie en piscine et à sec pour l'épaule, le coude et la main gauches. Prochain contrôle au team membre supérieur, chez le Dr. X, le 06.02.2019. L'évolution radioclinique à 3 mois postopératoires est favorable. On continue les séances de physiothérapie pour améliorer l'amplitude des mouvements au niveau de l'articulation radio-carpienne ainsi que pour le renforcement musculaire. Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution radio-clinique à 3 mois postopératoires est favorable. On poursuit les séances de physiothérapie. Nous reverrons le patient pour un nouveau bilan radio-clinique dans 3 mois. En ce qui concerne la lésion cutanée, on l'a désinfectée, on met un nouveau pansement avec Adaptic touch et le patient consultera son généraliste dans ce contexte. L'évolution radio-clinique à 4 semaines de l'ablation du fixateur externe est favorable. En ce qui concerne les cicatrices hypertrophiques, on prescrit de la crème Keli-med et on conseille de protéger les cicatrices des rayons solaires jusqu'à 1 an postopératoire. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines, soit le 29.01.2019. L'évolution radioclinique à 5 mois post-opératoire est satisfaisante. On prévoit le prochain contrôle radioclinique à une année post-opératoire. On reste à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'intervention est tout à fait favorable. Prescription des séances de physiothérapie pour mobilisation libre et renforcement progressif avec abandon de l'attelle Velcro. Prochain contrôle radioclinique le 22.01.2019. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'intervention susmentionnée est favorable. Abandon des cannes et reprise de la charge complète. Prescription de séances de physiothérapie. Arrêt de sport pour les prochaines 6 semaines. Prochain contrôle radioclinique le 29.01.2019. L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'intervention susmentionnée est très favorable. Augmentation de la charge progressive, poursuite de thromboprophylaxie jusqu'à la charge complète. Prescription des séances de physiothérapie pour école de marche et renforcement musculaire. Prochain contrôle radioclinique le 29.01.2019. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 01.02.2019.L'évolution radio-clinique à 6 semaines de l'intervention susmentionnée est très favorable. • Poursuite de la physiothérapie pour école de marche en charge complète et renforcement musculaire. • Vu la bonne évolution, la patiente ne souhaite pas d'office un rendez-vous de contrôle, mais nous restons naturellement à sa disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique à 6 semaines est favorable. • Prescription de physiothérapie pour école de marche ainsi que le renforcement musculaire. • Prochain contrôle radio-clinique le 29.01.2019. L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est favorable avec une patiente qui ressent peu de douleur et qui a déjà pu commencer la mobilisation autonome de sa cheville. • On autorise la patiente à marcher en charge complète avec abandon des cannes les prochaines 2-3 semaines avec mobilisation libre en physiothérapie. • Poursuite de l'anti-coagulation par Xarelto 10 mg/1x par jour jusqu'à la charge complète. • Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 15.01.2019. • La patiente va nous téléphoner si l'évolution est suffisamment favorable pour reprendre son activité professionnelle à 50% plus vite que prévu. • Prochain contrôle radio-clinique le 15.01.2019. L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est favorable. • On enlève ce jour la broche, on désinfecte la plaie et on met un pansement. • Comme elle présente toujours des douleurs et qu'il y a toujours une tuméfaction résiduelle, on poursuit l'arrêt de travail et on prévoit le prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est favorable. • On enlève l'attelle et on poursuit les séances d'ergothérapie et de physiothérapie afin d'améliorer la fonction articulaire. • Nous le reverrons dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique à 6 semaines postopératoires est tout à fait favorable. • Le patient peut dès à présent augmenter progressivement la charge selon douleur et tolérance avec l'abandon progressif des cannes. • Prochain contrôle radio-clinique le 22.01.2019. L'évolution radio-clinique à 6 semaines post-traumatisme est favorable. • On encourage la patiente à continuer la marche en charge complète et de s'entraîner à la marche des escaliers. • Prescription des séances de physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique le 29.01.2019. L'évolution radio-clinique à 7 mois de la fracture est stagnante et on constate l'échec du traitement conservateur instauré avec une pseudarthrose de cette fracture. • On explique à la patiente qu'un traitement chirurgical est toujours faisable. • On lui explique le déroulement ainsi que les risques et bénéfices de l'intervention. • La patiente nous informe qu'elle va réfléchir à notre proposition et nous contactera le cas échéant. L'évolution radio-clinique en ce qui concerne la prothèse totale de hanche gauche est favorable avec un implant stable. • Nous préconisons une réévaluation approfondie de l'état de santé du patient par rapport à sa capacité au travail par les instances AI, surtout à la lumière du dernier diagnostic de polyarthrite rhumatoïde. • Nous allons adresser un courrier à l'AI dans ce sens. L'évolution radioclinique est favorable à 3 mois postopératoire. • On poursuit les séances de physiothérapie pour le renforcement musculaire. • Prochain contrôle radioclinique dans 3 mois. L'évolution radio-clinique est favorable. • Ablation de l'attelle ce jour et reprise d'une mobilité libre. • Dispense de sport pour 1 semaine supplémentaire. • Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. • Ablation de l'attelle ce jour, la patiente pourra porter l'attelle uniquement lors des activités à l'extérieur. • Je lui prescris des séances d'ergothérapie afin de permettre l'amélioration de la mobilité. • Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 16.01.2019 avec reprise par la suite, mais sans port de charge lourde. • Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. • Afin d'améliorer la mobilisation, nous prolongeons les séances d'ergothérapie. • Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'évolution radio-clinique est favorable au niveau lombaire. • Sur ce plan, nous prévoirons un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 mois. • Concernant la colonne cervicale, vu la persistance des symptômes malgré les infiltrations facettaires, nous organisons une IRM cervicale en début d'année pour compléter le bilan. • S'il s'avère qu'elle présente une sténose avec claire compression radiculaire corrélant à la clinique, une infiltration foraminale sous CT pourra être envisagée. L'évolution radio-clinique est favorable avec des douleurs contrôlables et en voie d'amélioration. • Au vu des multiples fractures, une éventuelle vertébroplastie voire cyphoplastie pourrait être à considérer en cas de récidive des douleurs ou mauvaise réponse de celles-ci au traitement conservateur. • Prochain contrôle radio-clinique fin janvier. • Nous restons à disposition dans l'intervalle. L'évolution radio-clinique est favorable. • Circularisation du plâtre ce jour. • Début de la physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique dans 1 mois. L'évolution radio-clinique est favorable. • En prévention du risque d'épiphysiodèse, nous reverrons le patient à 1 an du traumatisme pour un contrôle radio-clinique. • D'ici là, il peut reprendre toutes ses activités habituelles. L'évolution radio-clinique est favorable. • Je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. • Je prescris à la patiente des séances de physiothérapie afin d'améliorer la mobilité du poignet. • Mise en place d'une attelle velcro à but de protection, que la patiente doit enlever lors des séances de physiothérapie. • Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. • Le patient souhaite reprendre son activité professionnelle en limitant le port de charge (il en a déjà discuté avec son employeur). • Reprise à 100% le 03.12.2018 en limitant les charges à 10 kg. • Je lui prescris des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire. • Prochain contrôle dans 2 mois. L'évolution radio-clinique est favorable. • Mise en place d'une attelle aircast avec charge selon douleurs. • Je prescris à la patiente des séances de physiothérapie pour mobilisation dans l'axe avec renforcement musculaire et proprioception. • Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. • Nous introduisons du Redoxon 500 mg 1x/j. • Poursuite du traitement conservateur par attelle. • Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. L'évolution radio-clinique est favorable. • Nous lui conseillons de rester mobile en évitant toutefois les mouvements d'hyper-extension et hyper-flexion. • À noter que nous prenons connaissance ce jour des résultats de l'ostéodensitométrie qui mettent en évidence une ostéopénie. • Nous laissons donc le soin au médecin traitant de veiller à suivre les mesures proposées par nos collègues rhumatologues. • Prochain contrôle radio-clinique dans 6 mois. L'évolution radio-clinique est favorable. • Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie à but de mobilisation. • Au vu de la bonne évolution, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. L'évolution radio-clinique est favorable. • Poursuite de la physiothérapie à but de mobilisation. • Prochain contrôle dans 6 semaines. • L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite de la physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite de l'ergothérapie pour renforcement musculaire. Dispense de sport jusqu'au prochain contrôle. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. • L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur par attelle pouce de skieur. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. • L'évolution radio-clinique est favorable. Poursuite du traitement conservateur par bretelle à but antalgique. La patiente peut se mobiliser, sans charge, en dessous de l'horizontale. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. • L'évolution radio-clinique est favorable. Reprise de la mobilité libre selon douleurs. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution radio-clinique est favorable. Reprise du travail à 100 % dès le 01.01.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution radio-clinique est favorable. Reprise progressive des activités sportives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution radio-clinique est favorable. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • L'évolution radio-clinique est plutôt satisfaisante à 3 mois de l'accident. Nous prescrivons des séances de physiothérapie pour renforcement musculaire. Nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle radio-clinique. Arrêt de travail jusqu'au 16.12.2018, puis est en vacances jusqu'au 07.01.2019. • L'évolution radio-clinique est très favorable. Nous prévoyons l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. La mère de la patiente est informée des risques et bénéfices de l'intervention, qu'elle accepte en signant le formulaire de consentement éclairé. • L'évolution radio-clinique post-implantation PTH est excellente. On lui suggère de faire des contrôles périodiques de la prothèse. • L'évolution radio-clinique postopératoire est tout à fait favorable. La gêne rapportée par le patient est probablement liée à une irritation de frottement en correspondance du fascia latae qui ne nécessite pas de prise en charge particulière. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 ans ou plus vite en cas de besoin. • L'évolution suite à l'infiltration est favorable mais pas encore parfaite. Je conseille la poursuite du traitement physiothérapeutique. À ce stade, je déconseille un geste chirurgical. J'ai programmé un contrôle chez moi dans deux mois. • L'évolution suite à l'infiltration est favorable. Nous le reverrons dans 8 semaines pour un contrôle clinique qu'il pourra annuler si tout va bien. • L'examen clinique est en faveur d'une lombosciatalgie gauche non déficitaire. La radio lombaire montre des signes d'arthrose débutante L5S1, pas d'antélisthesis. À noter un facteur déclenchant, la portée du poids la veille (patient travaillant comme indépendant, possibilité de ne faire que du travail de bureau). Étant donné qu'il s'agit du premier épisode, on met en place un traitement symptomatique par antalgie AINS, physio et repos. Un rendez-vous de contrôle sera pris par les soins du patient à distance chez son médecin traitant. On ne retient pas d'indication à effectuer une IRM dans l'immédiat, celle-ci serait éventuellement recommandée à distance si épisodes récurrents afin d'exclure la présence d'une hernie discale. • L'examen clinique est rapidement rassurant, avec une mobilité complète conservée des 2 épaules, et une clinique qui écarte le diagnostic d'embolie pulmonaire. Au vu du travail de manutention de la patiente, dans un contexte atraumatique, nous retenons le diagnostic de probable déchirure musculaire de la ceinture scapulaire à droite, sans atteinte de la mobilité ou de la force. La patiente rentre à domicile avec antalgie. Elle a reçu instruction de reconsulter en cas de péjoration des douleurs, baisse de force, apparition de troubles neuro-vasculaires, dyspnée ou état fébrile. • L'examen clinique est rassurant et le bilan biologique est aligné. Une alcoolémie est mesurée à 1.55 pour mille. Nous faisons un ECG qui est dans la norme. Le patient est hydraté et une antalgie par Paracétamol 1 g et Nexium 40 mg iv soulage rapidement le patient qui finit par s'endormir profondément. Nous le laissons rentrer à domicile accompagné de son ami qui n'a pas bu ce soir. • L'examen clinique est rassurant, le bilan biologique est normal. Le bilan radiologique trouve une probable fracture de la 4ème côte D. Nous rassurons le patient et le laissons regagner son domicile avec une antalgie simple et contrôle chez le MT si nécessaire. • L'examen clinique est rassurant. L'ECG ne montre pas d'argument pour un infarctus. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de mouvement des enzymes cardiaques, mais une augmentation des D-Dimères. Nous complétons le bilan par une radiographie de thorax, puis un CT thoracique, qui ne montrent pas d'embolie pulmonaire, ni de complication au niveau du site de résection. Les douleurs disparaissent avec une antalgie simple. Nous lui proposons dès lors de majorer son antalgie de base et suite de la prise en charge chez le médecin traitant. • L'examen clinique est rassurant, les examens complémentaires montrent une bonne base osseuse pour la stabilité. La réaction périostée parle en faveur d'une lésion labrale avec une extension sous-périostée antéro-inférieure qui pourrait être due au contre-coup de la tête humérale. Toujours est-il que le labrum est en position anatomique et on peut donc espérer une bonne guérison sous traitement conservateur. Incapacité de travail jusqu'à fin décembre puis reprise progressive d'activités adaptées en atelier. En physiothérapie, mobilisation, proprioception et renforcement en évitant la rotation externe en abduction. Je le revois en contrôle dans 6 à 8 semaines. • L'examen clinique est sans particularités, notamment aucune douleur abdominale ou des loges rénales. Le bilan biologique montre une amélioration de l'anémie avec un hématocrite à la hausse. L'examen de la poche montre des urines claires avec quelques petits caillots au fond de la poche. Après avis du Dr. X, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile. Elle aura un prochain contrôle le 09.01.2019 à la consultation du Dr. X avec ablation de la sonde. La patiente a reçu instruction de reconsulter en cas d'émission de gros caillots ou nouvelle hématurie macroscopique franche, ou apparition de fièvre, anurie. • L'examen clinique et l'anamnèse sont évocateurs d'une épididymite. Nous n'avons pas d'argument pour une torsion testiculaire. Le patient refuse un toucher rectal. Nous lui proposons un traitement antibiotique et un contrôle en filière pour les résultats des analyses. • L'examen clinique et le bilan radiologique sont rassurants. Les douleurs sont calmées efficacement par une antalgie simple. Nous lui proposons dès lors une antalgie simple et un suivi chez le médecin traitant. En cas de persistance des douleurs, des investigations complémentaires seraient indiquées. • L'examen clinique ne met pas en évidence de signe de gravité ni de déficit. Nous proposons au patient de débuter un traitement de Lyrica en lui expliquant longuement la nécessité d'adaptation du traitement et les éventuels effets indésirables, qu'il craint beaucoup. Nous essayons d'explorer la composante anxio-dépressive, qui nous semble assez importante, mais le patient ne se dit ni anxieux ni déprimé et ne désire pas de prise en charge sur ce plan-là.L'examen clinique ne met pas en évidence de signe de gravité ni de déficit. Nous proposons à Mr. Y de poursuivre le traitement de Lyrica en diminuant le dosage à 3x 35 mg/j en raison des potentiels effets indésirables. Nous n'avons pas d'argument pour organiser une opération en urgence, et lui proposons de reconsulter le médecin traitant afin de rediscuter des suites en neurochirurgie (Mr. Y souhaitant avancer son RDV si possible) et afin de suivre l'évolution sous Lyrica après diminution du dosage. L'examen clinique ne met pas en évidence de signes en faveur d'une fracture de l'os propre du nez. On réalise des soins topiques de la dermabrasion, on laisse Mr. Y rentrer avec des consignes pour le glacage, AINS/antalgie. L'examen clinique ne montre pas de signe d'otite externe franche. Au vu de la manifestation de symptômes sur quelques heures uniquement précédant la présence de Mr. Y aux urgences, on retient une otite externe débutante probable, traitée symptomatiquement. Un contrôle sera prévu chez le médecin traitant selon l'évolution. L'examen clinique se révèle rassurant, chez une patiente asymptomatique. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Mme. Y peut être suivie par la suite par son MT. Si apparition des symptômes, Mme. Y peut reconsulter les urgences. L'examen des semelles montre que celles-ci semblent bien adaptées. Les douleurs ressenties par la patiente sont imputables à une péritendinite qui correspond à la phase d'adaptation aux semelles que la patiente a peut-être portées avec trop d'assiduité au début. Nous proposons une attitude expectative de 4-5 semaines avant de décider s'il faut refaire des semelles mieux adaptées. La patiente doit faire des exercices de stretching du tendon d'Achille et des ischio-jambiers. Contrôle en février. L'examen neurologique confirme un syndrome du tunnel carpien droit avancé. L'examen neurologique est dans la norme. Après avoir demandé un avis neurologique, nous avons toutefois effectué un CT cérébral avec les vaisseaux pré-cérébraux pour exclure une cause centrale avec AVC ou lésion des vaisseaux pré-cérébraux. Au laboratoire, nous retrouvons des D-dimères élevés, mais au vu d'un tableau rassurant avec une patiente stable sans douleurs rétrosternales ou dyspnée, nous n'effectuons pas de CT pulmonaire. L'US des membres inférieurs revient négatif et exclut une thrombose veineuse. Au final, la douleur semble d'origine musculo-squelettique ou tendineuse. Nous proposons à la patiente de rentrer à domicile avec physiothérapie et Dafalgan pour l'antalgie et lui proposons de faire un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Nous lui conseillons de revenir si les douleurs augmentent ou qu'elle développe des déficits neurologiques. L'examen radiographique met en évidence la présence d'un cal osseux. L'examen radiologique montre un bon développement du cal. L'interphalangienne est légèrement bloquée. L'exploration de la plaie permet d'exclure la présence de corps étranger ou d'atteinte des structures nobles. 3 pts de suture sont mis en place. Le suivi se fera chez le médecin traitant. L'exploration de la plaie permet d'exclure une atteinte des structures nobles. 1 pt de suture est mis en place. Le suivi se fera à 48h chez le médecin traitant. L'exploration locale permet d'exclure un abcès, et nous retenons comme origine des douleurs la verrue elle-même qui cause une douleur mécanique lors de l'appui. La patiente a reçu des consignes pour désinfecter localement après chaque soin de verrue, et contacter sa dermatologue pour envisager un changement thérapeutique. L'exploration met en évidence quelques morceaux dans la plaie qui peuvent être enlevés. L'adaptation est sans particularité. Mr. Y présente une IVRS pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique au besoin. Les parents sont rendus attentifs aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Mme. Y présente une brûlure du 2ème degré superficiel de la paume de la main gauche, pour laquelle nous faisons un pansement en extension avec du Ialugen plus. Mme. Y sera revue en contrôle le 29.12.18 pour débridement et réfection du pansement. Ligament annulaire hypertrophique (A2) VS kyste infracentimétrique tendon fléchisseur D3 main droite le 28.12.2018. Ligature des trompes. Cure de varices des membres inférieurs. Sonde double J à gauche posée le 25.09.2017 par le Dr. X. Arthralgie au niveau des articulations métatarso-phalangiennes. Kyste sous-cutané du quadrant inféro-interne du sein droit infecté. Ligature tubaire per-opératoire. Mme. Y présente un état fébrile sans foyer clair. En raison d'une diurèse diminuée, avec une notion de dysurie, nous effectuons un bilan urinaire qui est négatif. Nous complétons par un bilan sanguin qui montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 30 mg/L, avec une neutropénie à 1 G/L. En raison du bon état général, Mme. Y rentre à domicile et nous la reverrons en contrôle clinique le 5.12.18 à 8h, avec contrôle de la formule sanguine (et de la CRP selon la clinique). L'image clinique est assez frappante. Il s'agit clairement d'une épaule gelée. Étant donné la souffrance de la patiente depuis environ 3 mois, je préconise une infiltration sous-acromiale et intra-articulaire de l'épaule pour le 11.12.2018. Un traitement de Novalgine est ajouté à son traitement antalgique, qui ne tolère ni les opiacés, ni les AINS. L'image d'IRM est classique pour une instabilité du LCB menaçant maintenant le sous-scapulaire. Dans ces conditions, je préconise une ténotomie et ténodèse du LCB. J'informe le patient aujourd'hui du déroulement intra et post-opératoire. Il va réfléchir à ces propositions. Pour des raisons personnelles et professionnelles, il ne pourra pas se faire opérer avant le mois d'avril. Je vais le revoir le 30.1.2019 pour refaire le point. L'imagerie met en évidence un défect osseux au niveau du radius D laissant suspecter une origine infectieuse. Afin de poser un diagnostic définitif, nous proposons une prise en charge chirurgicale. Nous proposons un abord palmaire par Henry modifié, pour le débridement de la lésion osseuse, prise de prélèvement, plus ou moins remplissage par greffe osseuse si nécessaire, ainsi que ponction de l'articulation du poignet. À la suite de l'intervention, le patient bénéficiera d'une antibiothérapie empirique jusqu'à résultat des prélèvements. Il sera ensuite nécessaire de discuter avec nos collègues de l'infectiologie pour la suite de la prise en charge. Le consentement est signé et le patient sera vu par les anesthésistes. D'ici là, le patient peut bouger librement son poignet et ne pas porter l'attelle. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% du 19.12.2018 au 17.01.2019, date de l'intervention. Le patient nous recontacte en cas de besoin. L'incision libère du pus dans l'abcès. Le patient se sent soulagé après l'écoulement du pus. Il ne souhaite pas d'adaptation de son traitement symptomatique. L'incision vide beaucoup de pus et soulage la pression ressentie par le patient. Le contrôle clinique après l'incision ne montre pas de parésie de nerf facial. Mme. Y présente un état fébrile de moins de 24 heures, sans foyer évident actuellement, hormis des adénopathies inframandibulaires. Nous rendons les parents attentifs aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Concernant le souffle cardiaque, nous vous laissons le soin de réévaluer à distance de l'épisode infectieux. Mme. Y présente une otite moyenne aiguë débutante, pour laquelle nous proposons un traitement symptomatique. Concernant les convulsions fébriles, nous rassurons la mère quant à leur bénignité et lui expliquons comment réagir. Ce jour, le souffle cardiaque est diminué d'intensité par rapport à la veille (2 au lieu de 3/6).L'infiltration fait toujours effet et actuellement la patiente n'a que très peu de douleurs. Elle continuera à marcher de manière régulière avec les bâtons de nordic walking ainsi qu'à faire les exercices appris en physiothérapie. Sur désir de la patiente accompagnée ce jour de sa fille, un prochain contrôle de suivi aura lieu au printemps 2019. L'infiltration foraminale L4-L5 à droite a amené une diminution des symptômes à droite. Par contre, Mr. Y signale des douleurs similaires du côté gauche. Je lui explique que le conflit radiculaire ne peut pas passer sous l'assurance accident vu qu'il s'agit d'une maladie due à une dégénérescence lombaire. Je l'encourage à essayer d'augmenter son taux d'activité. Mr. Y ne se voit absolument pas reprendre à plus de 50% à l'heure actuelle. Je lui donne une nouvelle fois un arrêt de travail à 50% jusqu'au 31.12.2018. Pour ma part, en tant que chirurgien orthopédiste, je ne peux pas offrir au patient un geste chirurgical qui pourrait améliorer son état. La seule chose que je peux proposer au patient est de faire un traitement de réadaptation physique. Je prie le Dr. X de bien vouloir discuter avec Mr. Y pour voir si un tel traitement pourrait être introduit. L'infiltration foraminale pourrait être répétée à distance en cas de réapparition des symptômes. Pour le moment, il n'y a pas d'indication chirurgicale pour son dos. Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. Je reste à disposition en cas d'apparition de nouveau problème. Arrêt de travail attesté à 50% jusqu'au 31.12.2018. L'infiltration se déroule sans problème avec du Dépo-Medrol 40 mg et Ropivacaïne 1 ml 1%. L'inflammation est en diminution comparée aux photos comparatives que la patiente a datant de ce mois. Elle présente très peu de douleurs. Nous préconisons donc dans un premier temps les bains Dakin. Pour ce qui est du Botryomycome, la patiente reviendra le lendemain à la FUA pour être vue par un orthopédiste et discuter de l'indication à une excision de cette masse afin d'éviter les récidives de cet ongle incarné. L'injection des immunoglobulines sur l'ordonnance de CHUV Privigen 50 gr/j sur 2 jours. L'intervention susmentionnée se déroule sans complication. Retour à domicile après ablation des mèches à J1. Lipome de la face externe du coude droit. Syndrome du tunnel carpien à droite confirmé par EMG le 16.02.2017. Lipome sous-cutané au niveau de la fosse lombaire G. Lipomes dorso-cervical et sur la face latérale du membre supérieur G. Lipothymie dans un contexte de stress émotionnel. Statuts post-lithotripsie droite il y a 20 ans. Statuts post-abdominoplastie. Appendicite aiguë phlegmoneuse. Bilan biologique et ultrasonographique. Administration d'une dose de Co-Amoxicille 1,2 g iv aux urgences. Le 16.06.2018, Dr. X : appendicectomie laparoscopique. Sévère appendicite aiguë ulcéro-phlegmoneuse abcédante, nécrosante et hémorragique avec destruction sub-totale de la paroi, sévère péritonite fibrino-purulente et oblitération fibro-lipomateuse de la pointe de l'appendice avec micro-calcifications (appendice). Légère atypie cellulaire et nucléaire, pouvant être d'origine réactionnelle. Pas de dysplasie épithéliale, pas de tissu adénomateux, pas de tissu néoplasique malin en particulier carcinomateux. Ablation des fils le 26.06.2018 à la consultation d'un médecin traitant du choix de la patiente. Consultation le 2.07.2018 chez Dr. X. Colonoscopie organisée pour le 20.08.2018. Lipothymie et vomissements. Lipothymie le 25.12.2018. Lipothymie sur douleurs abdominales le 23.08.2010. Liquémine sub-thérapeutique dès le 28.11.2018 (anti-Xa 0.2-0.3). L'IRM amené par le patient effectuée au CIMF montre un petit arrachement osseux et une lésion du sus-épineux avec une rétraction d'environ 1 cm avec un sous-scapulaire, sous-épineux intact. Le LCB s'est aplati dans la gouttière sans suspicion de subluxation. L'IRM de la colonne cervicale du 04.12.2018 met en évidence une prise de produit de contraste focale au sein du cordon médullaire en regard de C2. Comme diagnostics différentiels, on doit évoquer une lésion tumorale ou une maladie démyélisante. J'explique à la patiente la nécessité de faire les investigations ultérieures et Mme. Y est d'accord que je l'adresse au CHUV dans le service de neurochirurgie pour une évaluation neurochirurgicale de cette lésion focale dans le cordon médullaire. Je prie le service de neurochirurgie du CHUV de bien vouloir rapidement convoquer la patiente pour une consultation. L'IRM de l'épaule met en évidence une contusion sur le sus-épineux et une diminution du recessus sans autres lésions structurelles. L'IRM du jour met en évidence un important épanchement intra-articulaire, une déchirure du MPFL avec translation latérale de la rotule et contusions osseuses au niveau des bords internes de la rotule et du condyle fémoral externe. Une absence de lésion chondrale ou ménisco-ligamentaire. L'IRM du jour met en évidence une tendinite de Quervain, rhizarthrose modérée et multiples kystes au niveau du carpe. L'IRM du 17.08.2018 montre une rupture transfixiante du sus-épineux avec rétraction modérée, trophicité musculaire conservée. Subluxation du long chef du biceps avec une lésion des fibres supérieures du sous-scapulaire. L'IRM et l'ENMG n'ont pas permis de poser un diagnostic clair. Nous encourageons le patient à poursuivre les séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Incapacité de travail à 100% jusqu'à fin février 2019. Par ailleurs, nous souhaiterions, conformément au souhait du Dr. X, que le patient soit vu par le service de rhumatologie. Nous restons à disposition si besoin. L'IRM exclut une lésion au niveau du TFCC voire ligament scapho-lunaire ou luno-triquétral. Au niveau du coude, guérison atteinte de la tête radiale sans lésion ligamentaire et sans œdème osseux. Légère tendinopathie du tendon bicipital distal. L'IRM injecté du pied D a pu exclure un état inflammatoire ainsi que toute autre pathologie. Je retiens donc le diagnostic de podalgies D d'origine indéterminée, probablement dues à une surcharge pondérale, chez une patiente obèse, qui présente des pes plano valgus ddc. Je n'ai donc aucune proposition thérapeutique pour Mme. Y. Une reprise de travail à 100% est prévue dès demain. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu, mais je reste bien évidemment à disposition. S'il la symptomatologie devait persister, l'adaptation de semelles orthopédiques pourrait être discutée. L'IRM met en évidence un acromion crochu latéralement avec une boursite sous-acromiale et œdème proche de l'insertion du sus-épineux. L'IRM met en évidence une importante tendinopathie du sus-épineux avec beaucoup d'œdèmes et une lésion partielle des fibres superficielles. Absence d'arthrose, boursite sous-acromiale. L'IRM met en évidence une petite lésion plutôt interstitielle dans la partie antérieure du sus-épineux, éventuellement transfixiante à proximité du sillon. Lésion des fibres supérieures du sous-scapulaire qui n'est pas rétractée encore en continuité avec le fascia. L'IRM montre une instabilité du LCB sur le sillon bicipital haut avec une atteinte des parties hautes du tendon du sous-scapulaire. L'IRM montre une ostéonécrose spontanée de condyle fémorale externe pas de lésion méniscale. Nous prenons l'avis de Dr. X et le patient est autorisé à rentrer à domicile avec un traitement antalgique (il a déjà dafalgan novalgine) et marche en charge selon douleurs à l'aide de cannes et sera vu à la consultation de Dr. X. L'IRM n'a pas mis en évidence de pathologie au niveau des tendons. Nous prions Dr. X de convoquer le patient pour un contrôle et une infiltration.Prochain contrôle clinique dans 3 mois. L'IRM n'a pas permis de mettre en évidence une atteinte du triceps. Le patient n'a malheureusement pas bénéficié des infiltrations au niveau du PIN. Pour l'instant, nous préconisons un traitement conservateur dans la mesure où les plaintes apparaissent à la suite d'un évènement traumatique. Prescription d'ergothérapie pour désensibilisation au niveau de l'olécrane, ainsi que de physiothérapie pour traitement de l'épicondylite, Trigger point et étirements neuroméningés. Nous reverrons le patient fin janvier 2019 pour juger de l'évolution. Concernant le travail, reprise, comme le souhaite le patient, à 100% dès le 13.12.2018. L'IRM natif du genou D a pu exclure un syndrome de Singing-Larsen-Johansson ou même une tendinite du tendon rotulien. Je retiens donc le diagnostic de gonalgies D d'origine indéterminée, le plus probablement dans un contexte de croissance, aspécifique. Ni le status clinique ni l'IRM natif du genou D n'ont pu mettre en évidence de diagnostic clair. Je propose donc à Mme. Y une attitude expectative, et pour l'instant aucun traitement. D'ici 3 à 6 mois, en cas de persistance des gonalgies, je lui propose de me recontacter. Fin du traitement. L'IRM native du genou droit a permis d'exclure une arthrose. Par contre, mise en évidence d'un kyste poplité de Baker. Le reste de l'IRM est normale. La mesure des longs axes montre une différence de longueur des membres inférieurs de + 1.6 cm à gauche. Pour compenser la différence de longueur, j'ai proposé à Mme. Y de porter une semelle de compensation de + 8 mm du côté droit. Pas de contrôle prévu d'emblée à ma consultation. La patiente me recontactera en cas de besoin. L'IRM permet d'exclure une lésion tendineuse. Il s'agit principalement d'adhérences empêchant une flexion active de l'IPD. Je préconise un traitement d'ergothérapie pour rééduquer la main afin de récupérer la flexion active de l'IPD. Je le reverrai dans 6 semaines pour juger du résultat atteint. En cas de persistance de limitation de mobilité, une ténolyse des fléchisseurs devrait être discutée. Prochain rendez-vous : 17.01.2019. Lisinopril dès le 23.12.2018 Metoprolol dès le 23.12.2018 Torem dès le 25.12.2018 Lisinopril 2.5 mg/j puis 5 mg/j ETT en ambulatoire Lisinopril 5 mg. Lisitril 10 mg (introduction du traitement) à adapter selon réponse clinique et profil tensionnel. Proposition de faire un bilan d'atteinte d'organe (fond d'œil, fonction rénale, recherche de protéinurie et ECG). Liste comorbidités/antécédents pas à jour. Listhiase vésicale de 6 cm + lithiase urétérale gauche 12x9 mm à proximité de la jonction vésico-urétérale. Lit chauffant du 28.11.2018 au 3.12.2018 Lit chauffant du 3.12 au- Lit chauffant du 5.12 - 16.12 Litalir (en suspens durant radio-chimiothérapie) Lithiase rénale droite de 3 mm le 17.05.2016. Colique néphrétique gauche le 20.06.2016. Colique néphrétique gauche le 22.10.2017. Status post-lithotripsie à l'hôpital Daler en 12/2017 (Dr. X). Lithiase de 5 mm de l'uretère proximal à droite avec ectasie pyélo-calicielle en amont à 7 mm le 29.12.2017. Lithiase rénale droite traitée par lithotripsie. Gangrène de Fournier avec ablation d'un testicule. Décompensation cardiaque globale le 10.02.2017. Trépanation hématome sous-dural gauche (Dr. X) le 22.06.2017. Lithiase rénale droite traitée par lithotripsie. Gangrène de Fournier avec ablation d'un testicule. Décompensation cardiaque globale le 10.02.2017. Trépanation hématome sous-dural gauche (Dr. X) le 22.06.2017 • Eliquis en suspens. Lithiase rénale G et lithotripsie (2007). Cure de hernie selon Shouldice à G en 2006. Lithiase rénale oxalocalcique récidivante. Incidentalome surrénalien gauche de 2 cm. Lithiase urétérale droite de 2 mm à la jonction urétéro-vésicale sans signe de complication. Lithiase urétérale multiple avec dilatation pyélocalicielle et suspicion de rupture du fornix. Lithiase urétérale/à la valve vésico-urétérale droite de 3 mm le 01.10.2015. Lithiase urétéro-vésicale obstructive de 7 x 8 x 9 mm avec dilatation en amont néphrétique le 03.12.2018 • Créatinine 106 mcmol/l Lithiase urétéro-vésicale obstructive de 7 x 8 x 9 mm le 03.12.2018 • Dilatation pyélon à 14 mm et uretère à 27 mm • Créatinine 106 mcmol/l Lithiase urinaire droite hyperalgique le 5.12.2018, 1er épisode. Lithiase urinaire gauche en 2008 et lithiase droite en 2016 et 2017. Lithiase urinaire gauche de 3 mm au niveau de la jonction vésico-urétérale le 10.10.2018. Lithiase urinaire 2*2*3 mm de diamètre située au niveau de la jonction urétéro-vésicale • diagnostiquée le 12.12.2018 à Riaz • non-adhérence au traitement. Lithiase urinaire 2*2*3 mm de diamètre située au niveau de jonction urétéro-vésicale droite. Lithiase vésiculaire symptomatique. Cholécystectomie par voie laparoscopique le 19.05.2010. Révision du lit vésiculaire par voie laparoscopique le 20.05.2010. Lésion cutanée de la cuisse droite excisée en 2010. Diverticulose colique. Mycose du gland et du méat. Lithiase vésiculaire symptomatique. Cholécystectomie par voie laparoscopique le 19.05.2010. Révision du lit vésiculaire par voie laparoscopique le 20.05.2010. Lésion cutanée de la cuisse droite excisée en 2010. Diverticulose colique. Mycose du gland et du méat. Hypertrophie bénigne grade 2 de la prostate. Le 19.12.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie prostatique bénigne et quelques foyers de prostatite chronique peu active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique sans lésion. Anémie post-opératoire à 119 g/l d'hémoglobine le 23.12.2018. Transfusion d'un culot érythrocytaire, lot H005018003993. Lithiase vésiculaire symptomatique • Status post-coliques biliaires sur cholécystolithiase symptomatique le 03.10.2018. Lithiase voie urinaire gauche le 21.09.2015. Ca vésical T1 vers 2012-2013 avec résection complète de la tumeur. Bursite coude gauche le 30.06.2018. Lithiases urinaires dont : • ablation de 3 calculs de 3.5 mm à la jonction urétéro-vésicale G le 11.08.2016. Lithiases vésiculaires infra-centimétriques le 25.12.2018. Livedo ramifié des membres inférieurs connu. DD : sur tabagisme. Logopédie. Lombago. Lombago. Lombago. Lombago. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. Lombalgie. lombalgie. Lombalgie aiguë. Lombalgie aigüe de probable origine musculo-squelettique. Lombalgie aiguë droite non-traumatique non-déficitaire.Lombalgie aiguë le 19.12.2018. Lombalgie aiguë non déficitaire. Lombalgie aiguë, non déficitaire, le 08.12.2018. Lombalgie aiguë non déficitaire le 24.12.2018. Lombalgie aiguë non déficitaire le 09.12.2018. Lombalgie aiguë non déficitaire le 13.12.2018. Lombalgie aiguë non déficitaire, le 20.12.2018. Lombalgie basse gauche avec contracture musculaire persistante. Lombalgie chronique. Lombalgie chronique acutisée et non déficitaire le 28.12.2018 avec: • IRM le 21.12: Discopathie massive pour le niveau L4-L5 et moins prononcé en L5-S1 • Probable composante fonctionnelle. Lombalgie chronique non déficitaire le 12.12.2018. Lombalgie chronique paravertébrale bilatérale. Etat dépressif léger DD Somatisation. Lombalgie droite. Lombalgie droite aiguë non déficitaire le 26.12.2018. Lombalgie droite musculaire. Lombalgie droite non déficitaire le 13.12.2018. Lombalgie droite non déficitaire le 19.08.2017. Lombalgie gauche non déficitaire le 18.12.2018. Lombalgie gauche non déficitaire. Suspicion d'appendicite aiguë débutante le 13.12.2016 • DD: gastro-entérite aiguë avec iléite terminale. Lombalgie gauche simple. Lombalgie gauche simple non déficitaire, le 11.09.2017. Lombalgie il y a 2 ans. Lombalgie le 26.11.2018, probablement sur contusion dorsale DD: arthrose. Lombalgie non déficiente. Lombalgie non déficitaire. Lombalgie non déficitaire chez une patiente avec spondylite ankylosante. Lombalgie non déficitaire le 04.12.2018. Lombalgie non déficitaire le 06.12.2018. Lombalgie non déficitaire le 18.03.2017. Status post opération ménisque genou droit en 1992. Lombalgie non déficitaire le 23.12.2018. Lombalgie non déficitaire le 26.12.2018 DD atteinte musculaire. Lombalgie non déficitaire sur probable syndrome lombo-vertébral le 05.06.2016. Lombalgie non déficitaire. Cervicalgies chroniques. Dépression chronique suivi actuel par Dr. X depuis 1 année. Incontinence fécale depuis 4 ans. Problème estomac. Arthrose genou depuis 4 ans. Acouphène intermittente. Rhinite vasomotrice bilatérale. Lombalgie simple. Lombalgie simple, non déficitaire, le 16.12.2018 • dans un contexte d'arthrose du rachis. Lombalgie simple non déficitaire sans traumatisme. Lombalgie sur hernie discale L3-L4. IRM en ambulatoire le 09.11.18: Hernie discale L3-L4 foraminale gauche au contact de la racine L3. Pas de hernie à droite. Infiltration le 12.11.18. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. Lombalgies. lombalgies. lombalgies. lombalgies. lombalgies. lombalgies. Lombalgies acutisée non déficitaires. Lombalgies aiguës. Lombalgies aiguës. Lombalgies aiguës. Lombalgies aiguës • pas de déficit neurologique. Lombalgies aiguës d'origine musculo-squelettique le 01.12.2018. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aiguës non déficitaires. Lombalgies aigües non déficitaires atraumatiques. Lombalgies aigües non déficitaires le 13.05.2017. Douleurs abdominales atraumatiques le 09.09.2018, mise en évidence de micro-kystes au niveau de l'ovaire droit. Lombalgies aiguës non déficitaires le 20.12.2018. Lombalgies aigües non déficitaires le 26.10.2018. Lombalgies aigües non déficitaires le 06.12.2018: Lombalgies aigües non-déficitaires non-traumatiques, DD : douleurs liées avec endométriose extra-utérine. Lombalgies aiguës sans critères de gravité 18.08.2018. Lombalgies aiguës simples non déficitaires le 15.12.2016, Entorse de Chopart le 30.05.2018. Lombalgies aiguës simples non déficitaires le 15.12.2016. Entorse de Chopart le 30.05.2018. Lombalgies avec IRM en 2016 - volumineuse hernie L3-L4 paramédiane D qui mène vers un canal spinal déjà, a priori, étroit et imprime le sac dural en paramédian D, sans effet d'inflammation nette d'une racine. Lombalgies avec irradiation dans la jambe droite, non déficitaires le 08.10.18. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques. Lombalgies chroniques acutisée non déficitaires le 23.11.2018 • Red flags: âge, chute en septembre 2018 • lombalgies en péjoration depuis 04/2018. Lombalgies chroniques acutisées. Lombalgies chroniques en acutisation d'origine mixte: • Syndrome sacro-iliaque G • Status post-décompression avec foraminotomie L3-L4 à gauche et ablation de kyste le 13.02.2012 sur cypho-scoliose sinistro-convexe lombaire d'origine dégénérative • Sténose foraminale significative L3-S1 G avec sténose foraminale L5-S1 D (IRM 03.2017) • Rétrécissement canalaire étagé, prédominant en L2-L3 et L3-L4 (IRM 03.2017). Lombalgies chroniques le 28.12.2018. Lombalgies chroniques non déficitaires. Lombalgies chroniques non déficitaires avec • Difficultés à la mobilisation le 05.12.2018. Lombalgies chroniques non déficitaires, irradiant en L5 ddc et exacerbées sur une chute au mois de juin 2018 sur: • Scoliose idiopathique sinistro-convexe avec angle de Cobb d'environ 10°, sans perte de lordose lombaire • Discopathie dégénérative sévère L5-S1 avec œdème vertébral majeur mais sans compression radiculaire. Lombalgies chroniques • origine indéterminée • apparue il y a 2 ans, toujours présentes mais possible exacerbation • pas de déficit neurologique. Lombalgies chroniques sous Lyrica. Trouble anxieux-dépressif • suivi par Dr. X. Hypertension artérielle. Epilepsie: • avec probable crise tonico-clonique généralisée secondaire en 2018. Lombalgies chroniques suivies par Dr. X. Malaise sans syncope d'origine vagale probable le 24.05.2018. Lombalgies chroniques sur hernie discale pluri-étagée. Etat dépressif chronique traité. Constipation chronique. Myome utérin. Lombalgies chroniques sur tassement. Syndrome métabolique : hypertension artérielle, diabète de type II, obésité. Lombalgies chroniques. Troubles mnésiques. Lombalgies chroniques. Acouphènes bilatéraux. Lombalgies chroniques. Rosacée. Hypothyroïdie substituée. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Anémie microcytaire microchrome. Maladie variqueuse chronique avec: • Ulcère actif de la région tibiale antérieure droite • Ulcère rétro-malléolaire externe droit • Oedème et dermite de stase à la jambe gauche • Incontinence massive de la grande saphène du côté droit et d'une longue varice saphène accessoire postérieure droite.S/p cure d'une longue varice à l'arrière de la cuisse droite le 21.12.2017 par échosclérose à la mousse S/p cure (complément intervention du 21.12.17) de la longue varice de la cuisse et à la jambe D par échosclérose à la mousse Avis Dr. X (chirurgien vasculaire) le 10.01.2018 : bandage des membres inférieurs adapté. Réévaluer l'évolution le 15.01.2018; si pas d'évolution favorable, envisager une biopsie profonde de l'ulcère Lombalgies chroniques Rosacée Hypothyroïdie substituée Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Maladie variqueuse chronique avec : • Ulcère actif de la région tibiale antérieure droite • Ulcère rétro-malléolaire externe droit • Oedème et dermite de stase à la jambe gauche • Incontinence massive de la grande saphène du côté droit et d'une longue varice saphène accessoire postérieure droite • S/p cure d'une longue varice à l'arrière de la cuisse droite le 21.12.2017 par échosclérose à la mousse • S/p cure (complément intervention du 21.12.17) de la longue varice de la cuisse et à la jambe D par échosclérose à la mousse Avis Dr. X (chirurgien vasculaire) le 10.01.2018 : bandage des membres inférieurs adapté. Réévaluer l'évolution le 15.01.2018; si pas d'évolution favorable, envisager une biopsie profonde de l'ulcère Lombalgies D non déficitaires, le 10.11.2013 PTH G le 19.04.2012 PTH D sur coxarthrose, le 17.07.2014 Lombalgies d'origine musculaire. Lombalgies droites non déficitaires le 25.05.2013. Crise d'angoisse Arthralgies diffuses le 07.06.2018. Lombalgies en aggravation le 27.11.2018 : • Anciennes fractures de tassement dans un contexte d'ostéoporose non bilantée • Canal lombaire étroit avec pied tombant gauche et claudication neurogène bilatérale Lombalgies en péjoration. Lombalgies et dlrs flanc droite sur dossier médical • Mme. Y ne rapporte pas de lombalgies ni autres douleurs musculosquelettales à l'anamnèse Lombalgies et Fièvre Lombalgies G non déficitaires le 13.03.2016, sur chute. Lombalgies gauches bilatérales (G>D) avec troubles de la marche idiopathique en juillet 2018 (Dr. X, Inselspital). Hypothyroïdie substituée. Hypoparathyroïdisme. Hypertension artérielle. Lymphoedème des membres inférieurs d'origine multifactorielle. Ancien tabagisme. Lombalgies gauches chroniques. Lombalgies gauches non déficitaires, • sur hernies discales L3-L4 et L4-L5 connues. Lombalgies invalidantes. Lombalgies irradiant Lombalgies L4-5 non déficitaires le 25.12.2018 Lombalgies non déficitaires Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires. Lombalgies non déficitaires : • chute le 11.12.2018 avec douleurs coccyx • chez une patiente connue pour des tassements à D10, D12 et L1 sans atteinte du mur postérieur. Lombalgies non déficitaires avec probable composante de somatisation le 21.12.2018. Lombalgies non déficitaires d'origine musculaire avec syndrome radiculaire à gauche. Lombalgies non déficitaires exacerbées 02.11.2015. Etat grippal 16.04.2013. Lombalgies non déficitaires le 09.08.2018. Lombalgies non déficitaires le 22.12.2018 Lombalgies non déficitaires le 24.12.2018. Lombalgies non déficitaires sur fracture-tassement L2 secondaire à une chute accidentelle le 20.12.2018 • Bilan radiologique par radiographies standard et CT colonne lombaire par Dr. X • Organisation d'un suivi orthopédique avec consultation planifiée à l'HFR le 03.01.2019 • Arrêt du Co-Dafalgan pour notion d'intolérance. Lombalgies non-déficitaires. Lombalgies non-déficitaires d'origine probablement musculaire le 7 novembre 2013. Lombalgies paravertébrales aiguës le 06.12.2018 non déficitaires Lombalgies persistantes avec irradiation dans les fosses iliaques des deux côtés. • status post pose de stérile en novembre 2014 • exclusion d'une origine gynécologique Pas de syndrome inflammatoire au bilan biologique. Pas d'infection urinaire au sédiment mais sang ++++. Consultation gynéco du 03.08.2015 : frottis chlamydia et bactérien négatifs. Avis gynécologue de garde du 10.08.2015 : présence de traces de sang brunâtres provenant de l'utérus, pas d'écoulement purulent, fils du stérilet visible, pas de lésion vaginale, ni au niveau du col. TV sensible à la palpation, palpation bi-manuelle sensible, sans défense, ni détente. US endovaginal : stérilet en place, endomètre fin 6 mm, utérus rétroversé, ovaires sp ddc, lame de liquide dans le cul de sac de Douglas, pas de douleurs durant l'examen. Frottis chlamydia en cours. Test de grossesse négatif. Lombalgies sévères sur métastase paravertébrale Lombalgies simples. Lombalgies simples le 15.12.2018. Lombalgies simples, non déficitaires avec • IRM 04.09.18 découverte fortuite de hernie discale foraminale et extra-foraminale de L3-L4 gauche au contact de la racine L3 gauche. Lombalgies simples non-déficitaires le 27.12.2018. Lombalgies sur hernie discale (L5 - S1?). Lombalgies sur probable hernie discale. Lombalgies sur SpA en exacerbation Lombocruralgie D non déficitaire Lombocruralgie et pyalgie G persistante Lombocruralgie gauche avec atteinte sensitive • IRM du 10.12.18 : présence d'une discopathie L4-5 avec possible atteinte radiculaire à gauche Lombocruralgie gauche non-déficitaire le 20.07.2018. Hernie discale L4-L5 opérée en 2014 (à la Clinique St-Anne). Lombo-sciatalgies gauches non-déficitaires le 23.07.2018. Lombocruralgies chroniques avec radiculopathie sensitivo-motrice lombo-sacrée G d'origine multifactorielle • troubles dégénératives avec St.p. Herniectomie et discectomie L5-S1 gauche e+ libération radiculaire le 24.10.2018 et St.p. multiples infiltrations (facettaire en juin 2016 : effet temporaire, péridurale le 27.01.2017 : pas d'effet, péri-radiculaire L4-L5 G le 16.03.2017 : pas d'effet, infiltration sacro-iliaque le 18.04.2017 : avec exacerbation des douleurs) • Troubles somatoformes dans le cadre des diagnostics supplémentaires 1 et 2 • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation : monoparésie légère avec troubles de la sensibilité superficielle et profonde des territoires radiculaires L5 et S1 du MIG Lombocruralgies D d'origine multifactorielle : • canal lombaire étroit dégénératif • arthrose postérieure multiétagée • discopathies multiétagées de L1 à L5 avec altérations de type Modic I Coxarthrose G Lombocruralgies D d'origine multifactorielle : • canal lombaire étroit dégénératif • arthrose postérieure multi-étagée • discopathies multiétagées de L1 à L5 avec altérations de type Modic I Coxarthrose G Lombocruralgies G L3 avec atteinte de la motricité (déficit M3/5 au quadriceps G) sur hernie discale L3-L4 G luxée vers le haut et compression radiculaire L3 homolatérale. Lombo-cruralgies gauche non déficitaire d'allure neuropathique sur hernie discale L3-L4 gauche extra-foraminale. Bronchite aigue le 13.12.2015. Lombocruralgies L4 G sur statut post-fracture-tassement L4 type A1 avec cyphoplastie L4 et cimentage préventif de L3 (Clinique Bois-Cerf en mai 2018) Lombo-cruralgie/sciatalgie Lombo-radiculalgie L4 subaiguë • 14. et 19.12.2018 IRM lombaire (anamnèse) : hernie discale L3-4 avec compression de la racine L3 G • Corticothérapie de 5 jours • Infiltration sous guidage CT le 21.12.2018 Lombo-sciatalgie. Lombosciatalgie Lombosciatalgie acutisée dans un contexte de traumatisme du rachis, sans déficit sensitivo moteur le 01.12.2018. Lombosciatalgie aigue droite non traumatique non déficitaire Lombosciatalgie avec hypoesthésie sans déficit moteur Lombosciatalgie déficitaire hyperalgique le 24.10.2018 avec déficit moteur territoire L4 et L5 D sur hernie discale L3/L4 et L4/L5 D : IRM D11-S4 du 12.10.2018 : • Ostéochondrose sévère Modic 2 L4-L5 avec HD à base large prédominante en para-médian D avec signe de compression L5 D à l'émergence du sac dural • Discopathie modérée L3-L4 avec HD prédominante en para-médiane D avec signes d'impingement racine L4 D à l'émergence du sac dural • Discopathie modérée L2-L3 avec minime HD médiane sans signe de compression radiculaire • Discopathie modérée L5-S1 avec minime déchirure annulaire Lombosciatalgie droite atraumatique. • 2ème épisode. Lombosciatalgie droite non déficitaire Lombosciatalgie droite sur port de charge lourde le 27.12.2018. Lombosciatalgie gauche chronique déficitaire • Force M4 quadriceps et ischio-jambier gauche • M3 au releveur de l'hallux à gauche • Perte de 10 kg en 6 mois Lombo-sciatalgie gauche chute dans baignoire. Lombosciatalgie gauche non déficitaire non traumatique Lombosciatalgie gauche non déficitaire Lombosciatalgie gauche non traumatique non-déficitaire Lombosciatalgie gauche post-traumatique le 04/12/18. Lombosciatalgie L4 - L5 droite non déficitaire, le 16.12.2018. Lombosciatalgie L5 droite sur hernie discale L4/L5. Lombosciatalgie L5-S1 droit. Lombosciatalgie L5-S1 droite non déficitaire. Lombosciatalgie L5-S1 gauche non déficitaire. Lombosciatalgie non déficitaire en janvier 2018 Lombosciatalgie non déficitaire L4-L5 gauche post-opératoire (le 19.10.2016 par le Dr. X) Lombosciatalgie non déficitaire S1-S2 droite Lombosciatalgies Lombosciatalgies. lombosciatalgies Lombosciatalgies aiguës déficitaires du membre inférieur gauche. Lombosciatalgies aiguës non déficitaires gauche le 23.12.2018. Lombosciatalgies bilatérales chroniques. Gonarthrose bilatérale plus symptomatique à D qu'à G. lombo-sciatalgies chronique Lombosciatalgies chroniques Lombosciatalgies chroniques gauches non déficitaires • Syndrome lombo-vertébral et spondylogène avec spondylolisthésis L4/L5, canal lombaire étroit et arthrose interfacettaire L4 à S1 avec infiltrations itératives, • Suivi en rhumatologie à l'hôpital cantonal Lombosciatalgies chroniques sur discopathie L3-L4, L4-L5 avec potentiel conflit disco-radiculaire sur la racine L4, à prédominance droite. Chondropathie stade IV fémoro-patellaire gauche. Lombosciatalgies D chroniques sur : • Dégénérescence du segment adjacent L4-L5 avec discopathie sévère, débord discal global et protrusion D conflictuelle avec L5 D • Sténose foraminale L4-L5 D • Suspicion de syndrome sacro-iliaque D • Status post laminotomie L3 D et cure de hernie discale L3-L4 paramédiane D le 16.11.2016 sur radiculopathie L4 D sur hernie discale L3-L4 paramédiane D • Status post-spondylodèse (ALIF) L5-S1 avec dispositif inter-somatique, avec lombalisation de S1 en 2011 Lombosciatalgies D sur récidive de hernie discale L5-S1 D • status post cure de hernie discale L5-S1 en février 2005. Cure hernie discale L5-S1 D (OP le 09.01.2015). Décompensation psychiatrique chez une patiente connue pour un trouble borderline 2015 Transfert à Marsens en mode PAFA. Hépatite C chronique selon la patiente Épilepsies selon la patiente - a refusé toute la prise en charge, n'est pas suivie en ambulatoire. Sevrage BDZ Seresta, Becozyme, Benerva, Tramadol (pour des lombalgies chroniques) Avis psychiatre Marsens Dr. X - plutôt sevrage au BDZ, pas à l'alcool, car avait de l'alcoolisation aiguë. Pas d'indication pour le sevrage au BDZ au Marsens, la patiente peut rentrer à domicile avec Valium 10 mg. Avis Dr. X - la patiente peut rentrer, car la patiente arrive à marcher, pas de grand risque de chute. Rentre avec 15 mg Seresta x3j et la patiente doit voir son psychiatre Dr. X ou tel urgences psychiatriques. Lombosciatalgies dans un contexte : • lyse isthmique bilatérale L5-S1 • antélisthésis L5 sur S1 de grade Mayerding I • radiculopathie territoire L5 à droite • insuffisance articulaire L4-L5 bilatérale Lombosciatalgies déficitaires atypiques. Lombosciatalgies droites chroniques, probablement dans le contexte d'une maladie de Scheuermann. DD Tendinite du tensor fascia lata droit. Lombo-sciatalgies droites non déficitaires. Lombosciatalgies droites non déficitaires Laboratoire. Antalgie. Physiothérapie de mobilisation. IRM de contrôle à distance. Recommandation de prendre contact avec un médecin traitant. Lombo-sciatalgies droites, non-déficitaires • discopathie douloureuse dégénérative L4-L5 et L5-S1 • 26 mars 2004 : 1ère infiltration péridurale par Dr. X • 4 mai 2004 : 2ème infiltration péridurale • 1 juin 2004 : 3ème infiltration péridurale • 4.3.9 : spondylodèse antérieure L4-L5 et L5-S1 (avec cage de type Syn-fix) hypercholestérolémie Lombo-sciatalgies en péjoration. Lombo-sciatalgies en péjoration le 10.11.2018 avec : • Décompensation de l'articulation sacro-iliaque gauche chez une patiente connue pour une spondylarthrose sévère • Myélographie dorso-lombaire fonctionnelle et myélo-CT dorso-lombaire, CT sacrum et bassin du 30.10.2018 (Centre d'imagerie médicale de Fribourg) : sténose serrée du canal central à l'étage L3/L4, multiples bulging discs à tous les niveaux entre L1 et S1 ainsi qu'à l'étage D11/D12, sténose serrée à la sortie du tour de conjugaison L5/S1 à gauche Lombosciatalgies G chroniques sur sténose L4-L5 Cervicalgies chroniques sur : status post prothèse discale C4-C5, C5-C6 en 2008 Status post spondylodèse C6-C7 en 1993 Status post infiltration facettaire L4-L5 sans bénéfice Lombo-sciatalgies G et D, chroniques non déficitaires, le 28.12.2018. Lombosciatalgies gauche en péjoration sur un fond chronique Lombosciatalgies gauches non déficitaires d'origine indéterminée. Lombosciatalgies gauches non déficitaires le 01.12.2018 Lombosciatalgies gauches non déficitaires le 04.12.2018 Lombosciatalgies gauches non déficitaires le 05.12.2018 • pas de Red Flags. Lombosciatalgies L4 sur discopathie dégénérative L4-L5 avec pincement foraminal L4 D Lombosciatalgies L5 D sur sténose canalaire L4-L5 d'origine multi-factorielle sur protrusion discale globale, lipomatose intra-canalaire, hypotrophie facettaire et ligamentaire ainsi que sténose foraminale L1 type L5-S1 à D. Lombosciatalgies non déficitaires avec discopathie évolutive L4-L5 avec protrusion distale : • spondylodèse L4-L5 par système Romeo MIS (vis 6.0/50) le 16.11.2018 • décompression L4-L5 par la droite discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet 12 pré-remplie au Ceracell, avec correction de la lordose le 16.11.2018 • status post-ablation du dispositif inter-épineux L4-L5 type Apérius le 27.11.2017 en raison de la persistance de douleurs lombaires sur pseudarthrose inter-épineuse post-stabilisation L4-L5 par système Apérius le 10.03.2016 (Dr. X). Lavage-drainage d'un abcès péri-anal en fer à cheval le 11.12.2015. Lombosciatalgies non déficitaires le 27.12.2018. Lombosciatalgies territoire L5-S1 à gauche chez un patient avec une discopathie pluri-étagée L4-L5, L5-S1 de grade Pfirmann V. Lombo-sciatique S1 non déficitaire. Lomboscitalgies chroniques avec : • Douleurs chroniques • Neurostimulateur posé en août 2018 • Remplacement d'un disque L5-S1 L'ophtalmoscopie à la fluorescéine ne met pas en évidence de lésions cornéennes. Nous demandons l'avis du médecin de garde en ophtalmologie à Fribourg, qui nous conseille de nettoyer l'œil au sérum physiologique et envoyer la patiente en consultation dans le service d'ophtalmologie pendant la matinée. Nous laissons la patiente regagner son domicile. Lorena présente probablement un rash à l'amoxicilline, bien que le prurit soit atypique dans ce contexte. Il n'y a pas d'autre argument pour une réaction allergique, notamment pas de symptômes respiratoires ou digestifs, pas d'angioedème, pas d'urticaire. Nous proposons une modification de l'antibiothérapie au profit de clarithromycine.Lorena présente une bronchite spastique légère à modérée, pour laquelle elle reçoit 6 pushs de Ventolin aux urgences, permettant une bonne amélioration clinique. Nous proposons un schéma dégressif sur une semaine. L'origine de la syncope reste indéterminée. Vu que cela fait le deuxième épisode de syncope importante de Mr. Y en trois semaines, le bilan sera complété par un Holter et un test de Tilt. Mr. Y sera convoqué en ambulatoire. L'origine de la tachycardie reste indéterminée. Au vu du manque de douleurs rétro-sternales ou de gêne respiratoire, nous ne retenons pas l'indication à faire des examens additionnels lors du séjour aux urgences. Mme. Y se présentera chez son médecin traitant pour la suite de la prise en charge. L'origine des douleurs de Mr. Y reste indéterminée. Le bilan sanguin nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Un traitement symptomatique est mis en place. Lors de la consultation d'aujourd'hui, nous avons effectué un CT qui a permis d'exclure une fracture. Le status clinique est rassurant, donc Mr. Y rentre à domicile avec de l'antalgie en réserve. Lors de la dernière consultation, une indication à une prise en charge chirurgicale pour son genou gauche, sous forme d'une arthroscopie diagnostique, plastie du ligament croisé antérieur à partir du tendon quadricipital avait été retenue pour ce jeune patient désireux de reprendre des sports de pivot et pivot contact. Les ménisques seront évalués en peropératoire et un geste méniscal (résection ou suture) sera réalisé au besoin. Une date opératoire est agendée au 09.02.2019. Mr. Y sera revu 2 à 3 semaines avant l'intervention pour la signature du consentement opératoire. Il poursuivra la physiothérapie jusqu'à la prochaine consultation. Lors de la 2e consultation de cette journée (1ère faite dans la matinée aux urgences), nous évoquons une conjonctivite bilatérale virale avec surinfection droite probable. Nous proposons la poursuite du traitement symptomatique concernant l'IVRS et la poursuite d'un traitement antibiotique local oculaire. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire consulter aux urgences (troubles visuels, altération de l'état général). Lors de l'exploration de la plaie, nous avons remarqué que les structures sous-jacentes sont intactes. Décision de ne pas suturer car flap de peau très fin. Pas d'élément étranger visionnés dans la plaie. Lors de notre contrôle clinique 36 heures après le début de l'antibiothérapie, nous retrouvons un état clinique beaucoup plus amélioré par rapport à l'état clinique que nous avons eu au départ il y a 36 heures. Enfant afébrile depuis 12 heures mais avec une fièvre <38,5°C, avec début de prise alimentaire et bonne réhydratation. Nous avons une image radiographique stable sans péjoration radiographiquement. Vu son état général et clinique amélioré, nous proposons la poursuite de l'antibiothérapie pendant 14 jours et un contrôle chez le pédiatre la semaine prochaine. Nous proposons aussi un contrôle radiographique 3 semaines après le début de son antibiothérapie. Nous donnons des consignes de contrôle clinique aux urgences pédiatriques si état fébrile persistant >4 jours post-antibiothérapie ou péjoration de l'état respiratoire. Lors de sa surveillance hospitalière, Mr. Y a montré une normalisation de son état de vigilance et n'a pas présenté de nouvelles crises. Sur avis neuropédiatrique (Dr. X), un traitement anti-épileptique par Carbamazépine est introduit à dose progressive (5 mg/kg, à augmenter selon tolérance aux 5 jours par 5 mg/kg/jour ; cible à 20 mg/kg/j). Un bilan hépatique et une fonction rénale réalisés dans le cadre de bilan pré-thérapeutique sont dans la norme. Nous organisons une IRM cérébrale sous anesthésie générale en ambulatoire pour compléter le bilan d'extension cérébrale ainsi qu'un EEG de veille. Sur le plan hémodynamique, il a présenté un profil tensionnel normal sous traitement d'Enalapril. Sur le plan alimentaire, il a une bonne prise alimentaire orale sans vomissements avec un poids de sortie de 12 kg. Lorsque le tendon est en charge, on peut palper un petit défect. Je discute avec Mr. Y. Je propose de maintenir la prise en charge chirurgicale, malgré la régression de la boursite, pour le tendon. Il est d'accord avec ce procédé. Mme. Y est admise dans le service le 01.12 pour surveillance dans un contexte de faux-croup sévère (Westley score 7). Au niveau respiratoire, elle bénéficie d'une première dose de Betnesol et 3 inhalations d'adrénaline pour une réponse favorable rapide mais de courte durée aux urgences. Au cours de l'hospitalisation, suite à une péjoration clinique, elle reçoit une 4ème inhalation d'Adrénaline et une deuxième dose de Betnesol (4,5 mg), le 01.12 au matin. Elle présente par la suite une amélioration du tableau respiratoire et ne nécessite pas d'autre inhalation. Nous poursuivons le traitement de Betnesol. Durant son séjour, elle reste stable au niveau hémodynamique. Au vu de l'amélioration clinique, elle rentre à domicile le 02.12, avec la poursuite du Betnesol et des consignes habituelles de surveillance pour faux-croup. L'ultrason montre un kyste ovarien à droite qui pourrait expliquer les douleurs abdominales. Vu le bilan sanguin sans syndrome inflammatoire et pas de signes indirects d'appendicite dans l'ultrason (appendice pas vue) et les douleurs en amélioration, une appendicite est peu probable. Nous la convoquons quand même pour un contrôle clinique avec bilan sanguin demain. Lumbago Lumbago. Lumbago aigu le 17.09.2015. Hétéro-agressivité le 16.09.2017. Lumbago le 10.12.2018. Lumbago sans atteinte neurologique. Luna est une enfant de 9 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 26.12.2018 à Meyriez pour des douleurs abdominales péri-ombilicales puis en fosse iliaque droite évoluant depuis 12h, associées à des nausées, sans vomissement ou état fébrile. Le laboratoire initial démontre un syndrome inflammatoire et à l'ultrason, une appendicite aiguë est visualisée. Mme. Y est donc transférée à l'Hôpital de Fribourg pour la prise en charge chirurgicale qui se déroule le soir même, sans complication. Le 27.12.2018, Luna peut rentrer à domicile. Lupus avec atteinte cutanée (sous plaquenil lors des poussées). Lupus érythémateux disséminé • diagnostiqué en 2011 • multiples lésions cutanées dont une au niveau inter-fessier. Lupus érythémateux disséminé traité par Prednison et Méthotrexat, diag en 2011, suivi par Dr. X. Asthme (Ventolin en R). NSTEMI le 13.09.2014 • avec occlusion de la première branche de la diagonale • Coronographie le 13.09.14 : occlusion fonctionnelle de la 1ère branche de la diagonale : PTCA/DES, légère diminution de la fonction systolique (FEVG 50 %), pas de FOP mis en évidence. • ETO 13.09.2014 : hypokinésie antérieure, fonction systolique légèrement diminuée, fonction diastolique normale, valves sans. Tabagisme actif (tabac et cannabis). État dépressif sous traitement de Remeron. Lupus érythémateux disséminé. BPCO stade II selon GOLD sur tabagisme actif. Cardiopathie ischémique (maladie coronarienne tritronculaire) avec • Double pontage aorto-coronarien (artère mammaire interne gauche sur l'IVA moyenne et veine sur la fin de la coronaire droite au niveau de la circonflexe) à coeur battant le 22.11.2013 (Dr. X, Clinique Cécil) : • FEVG normale à 65 % en février 2017.Ostéoporose fracturaire avec tassements cunéiformes de D7-D8 Insuffisance artérielle des membres inférieurs • Angioplastie artère iliaque externe gauche en 2005. Angioplastie artère iliaque commune droite (13.02.2015) Lymphome de Hodgkin classique stade IIIB IPS1, diagnostiqué le 20.01.2017, actuellement en rémission complète théorique Polyarthrite rhumatoïde sous Méthotrexate avant le début de la chimiothérapie Etat anxio-dépressif, sous Fluoxetine Radiculopathie C6 gauche Reflux gastro-oesophagien Ectasie de l'aorte infra-rénale stable (2.7 x 2.7 mm) Pancytopénie dans le contexte d'un lymphome de Hodgkin sous chimiothérapie Polyneuromyopathie sévère sur maladie critique dès le 02.08.2017 - douleurs de type neuropathique MIG+MSG Lupus érythémateux disséminé Insuffisance artérielle des membres inférieurs • Angioplastie artère iliaque externe gauche en 2005. Angioplastie artère iliaque commune droite (13.02.2015) Lymphome de Hodgkin classique stade IIIB IPS1, diagnostiqué le 20.01.2017, actuellement en rémission complète théorique Polyarthrite rhumatoïde sous Méthotrexate avant le début de la chimiothérapie Etat anxio-dépressif, sous Fluoxetine Radiculopathie C6 gauche Reflux gastro-oesophagien Ectasie de l'aorte infra-rénale stable (2.7 x 2.7 mm) Pancytopénie dans le contexte d'un lymphome de Hodgkin sous chimiothérapie Polyneuromyopathie sévère sur maladie critique dès le 02.08.2017 - douleurs de type neuropathique MIG+MSG Ostéoporose fracturaire avec tassements cunéiformes de D7-D8 Lupus érythémateux systémique avec néphrite lupique de stade V (suivi par Dr. X). Syndrome néphrotique pur le 08.08.17 • Lupus érythémateux systémique depuis 2001 • Créatinine à 43 • Protéinurie à 7g/24h • Rapport k/l chaînes légères à 1.4; immunofixation négative • LDL à 5.2 mmol/L, Cholestérol total à 6 mmol/L, hypertriglycéridémie Lupus érythémateux systémique avec néphrite lupique de stade V (suivi par Dr. X). Syndrome néphrotique pur le 08.08.17 • Lupus érythémateux systémique depuis 2001 • Créatinine à 43 • Protéinurie à 7g/24h • Rapport k/l chaînes légères à 1.4; immunofixation négative • LDL à 5.2 mmol/L, Cholestérol total à 6 mmol/L, hypertriglycéridémie Lupus érythémateux systémique et syndrome de Sjogren secondaire • FAN à 1/1280, Anti-RNP/Sm positif, C3, C4 non consommé • Syndrome sec avec biopsie glande salivaire positive • Photosensibilité • Polyarthrite périphérique • Polysérosite (pleuro-pericardite) à répétition, résistante au traitement par anti-inflammatoires et colchicine L'uricult revient négative, nous renvoyons à domicile Mr. Y avec indication de parler du problème au Dr. X lors de la consultation prévue en janvier. Nous rappelons à Mr. Y de reconsulter les urgences si fièvre, urines purulentes ou troubles, ou nouveaux symptômes. L'US montre une petite collection poplitée, probablement correspondant à un hématome suite à la contusion du mollet D. Absence de TVP. Nous recommandons un traitement antalgique et conseillons à Mr. Y de consulter son MT dans 4 jours. L'US ne montre pas de lithiase vésiculaire ni de signe de cholécystite. Mr. Y rapportant une amélioration des symptômes et l'examen clinique étant rassurant, nous le laissons rentrer à domicile avec une antalgie par Dafalgan et Buscopan. Il reconsultera en cas de péjoration, de déplacement des douleurs en FID ou de fièvre. Luxation acromio-claviculaire G de stade 4 avec arrachement claviculaire latéral Luxation acromio-claviculaire G stade III selon Rockwood Luxation acromio-claviculaire G sur AVP Luxation acromio-claviculaire gauche stade 2 selon Tossy-Rockwood. Luxation antérieure de l'épaule D post-traumatique Luxation antérieure de l'épaule D 2009 Plusieurs subluxations de l'épaule D entre 2009-2011 Intervention chirurgicale épaule D 2011 Luxation antérieure de l'épaule droite en août 2016. Luxation antérieure de l'épaule droite le 13.09.2017. Luxation antérieure de l'épaule droite (1er épisode) avec fracture du tubercule majeur. Luxation antéro-inférieure de l'épaule gauche avec réduction via technique de Stimson. Luxation antéro-inférieure de l'épaule gauche. Cure de hernie inguinale gauche en 2012. Luxation antéro-inférieure épaule D avec fracture du processus coracoïde; accident du 22.01.2014 • lésion chronique de la coiffe des rotateurs avec status post rupture du long chef du biceps épaule D Carcinome de la vessie, traité par résection avec reconstruction d'une vessie par intestin grêle en 2016 (Dr. X) Prothèse genou droit Luxation de la métacarpophalangienne du D1 gauche. Luxation de la rotule à gauche sans traumatisme et remise en place par Mr. Y. Luxation de la rotule D le 07.06.2018 (2ème épisode). Luxation de la rotule gauche (deuxième épisode) Luxation de l'articulation interphalangienne proximale II du pied gauche. Luxation de l'épaule droite antéro-inférieure avec réduction sur anesthésie et gilet orthopédique Etat confusionnel aigu le 30.11.2017 sur : • Rétention urinaire • Infection urinaire • Changement de lieu de vie dans un contexte de démence Rétention urinaire le 30.11.2017 sur infection urinaire basse Infection urinaire à Enterococcus faecalis, datant du 28.11.2017 avec : • Urotube du 27.11.2017 effectué chez le médecin traitant : Enterococcus faecalis Luxation de l'ongle du pouce à droite • Radiographie : pas de fracture visualisée Luxation d'épaule gauche. Luxation d'épaule gauche antéro-inférieure traumatique récidivante (2ème épisode). • Luxation épaule gauche en 05/18. Luxation dorsale de la MCP Dig I gauche • avec rupture du ligament collatéral radial Luxation du 2ème orteil gauche. Luxation D1 gauche Luxation en anse de seau ménisque externe genou gauche. Luxation épaule droite opérée. Contusion thoracique D, le 03.07.2017. RX thorax : ancienne fracture costale G? Pas de pneumothorax, pas de signe pour un hémothorax. Luxation gléno-humérale antérieure de l'épaule droite sans signes de gravité Luxation gléno-humérale antéro-inférieure membre supérieur droit avec auto-réduction • 5ème récidive. Luxation gléno-humérale non-traumatique de l'épaule gauche Luxation hanche droite à répétition (13 luxations au total) • PTH gauche (Hôpital Daler en 2008) • PTH droite (Clinique générale Dr. X en 2016) Luxation hanche droite à répétition (13 luxations au total) • PTH gauche (Hôpital Daler en 2008) • PTH droite (Clinique générale Dr. X en 2016) Luxation hanche droite à répétition (13 luxations au total) • PTH gauche (Hôpital Daler en 2008) • PTH droite (Clinique générale Dr. X en 2016) S/p op hémorroïdes (date non spécifiée) S/p op tunnel carpien (date non spécifiée) Luxation inféro-antérieure de l'épaule gauche avec réduction et complication arrachement de la partie inférieure de la glène articulaire le 15.12.2018. Luxation le 08.11.18 3ème épisode, précédant 3 ans auparavant. La 1ère il y a 20 ans à l'épaule D. Lésion traumatique du sus-épineux avec petit arrachement osseux épaule D. Luxation métacarpo-phalangienne droite avec arrachement collatéral ulnaire le 13.07.2015. Luxation ongle hallux droit 01.11.2018 Radio : arthrose mais pas de signe d'ostéomyélite Luxation ongle pouce droit Luxation postérieure de l'articulation IPP Dig 5 main D (dominant) avec lésion de la plaque palmaire le 05.10.2018. Luxation PTG D sur rupture tendon quadricipital le 11.11.2018 sur faux mouvement post : • Ablation spacer genou D, réimplantation PTG type RHK Zimmer le 26.09.2018 sur récidive de luxation spacer le 31.08.2018.• Débridement, lavage, ré-implantation spacer genou D le 09.08.2018 sur descellement, luxation et rupture spacer genou D sur infection récidivante de la PTG D à Staph. epidermidis multi-R (antibiothérapie par Vancomycine depuis le 24.07.2018, instaurée par Dr. X, jusqu'au 25.08.2018 puis Ciproxine + Rifampicine dès le 26.08.2018 • Ablation PTG D et mise en place d'un spacer le 24.07.2018 (Dr. X) • Révision rotule D et plastie MPFL le 14.05.2018 (Dr. X) • Changement PTG D les 15.03., 06.06., 20.07., 22.08. et 06.09.2016 (Dr. X) • Changement PTG D en 2 temps pour surinfection en 2012 (Dr. X) • Implantation PTG D primaire en 2008 (Dr. X) • Luxation récidivante PTH D • PTH primaire implantée le 08.03.2013 • Réduction luxation postérieure PTH le 18 et 21.03.2013 • Changement de composante cotyloïdienne par un système double mobilité le 27.03.2013 • Réduction luxation PTH le 04.06.2014 • 2ème changement de composante cotyloïdienne le 17.06.2014 • 3ème changement de composante cotyloïdienne le 09.09.2014 • Luxation PTH le 17.06.2015 • Ponction hanche D le 16.07.2015 • Luxation réduite spontanément de l'épaule droite. • Luxation rotule droite avec remise en place par la patiente le 8.12.2018: • Status post-luxation rotule gauche. • Luxation rotule gauche le 06.04.18 (2ème épisode) avec réduction spontanée. • Luxation rotule gauche (premier épisode) • Luxation traumatique de l'épaule gauche, 1er épisode avec • Réduit par manœuvre de Davos par le patient • Status post luxation traumatique épaule droite avec lésion de Bankart et Hill-Sachs le 27.01.2018, stabilisée par Bankart arthroscopique le 26.04.18 • Luxation traumatique épaule droite, 1er épisode le 16.09.2018 avec lésion de Bankart osseuse • Luxation traumatique postéro-inférieure de l'épaule D le 20.10.2018. Lya est hospitalisée pour surveillance neurologique post-traumatisme crânio-cérébral. Sur le plan neurologique, en raison de la persistance des vomissements et de l'asthénie à son arrivée aux urgences, un scanner cérébral est effectué et met en évidence une fracture linéaire occipitale, non déplacée, descendant jusqu'au foramen magnum. Dans ce contexte, et en accord avec l'avis du neurochirurgien Dr. X, elle est hospitalisée pour surveillance neurologique dans l'attente d'une IRM évaluant la présence de lésions parenchymateuses secondaires à la fracture. L'IRM est effectuée le 12.12 et ne montre aucune lésion. Par ailleurs, l'état général de Lya s'améliore avec une absence de vomissements, une reprise alimentaire et hydrique ainsi qu'une résolution de son apathie. L'examen neurologique reste parfaitement dans la norme tout au long du séjour et Lya ne présente aucune douleur. Dans ce contexte, elle rentre à domicile le 13.12.18 avec les consignes habituelles post-traumatisme crânien et un arrêt de sport de 3 semaines. Lya est hospitalisée pour surveillance neurologique suite à un traumatisme crânien occipital. En effet, après une surveillance de 6 heures aux urgences et une évolution clinique favorable, elle présente à nouveau un vomissement en jet, motivant son hospitalisation sur la nuit afin de mettre une surveillance rapprochée. Sur le plan neurologique, Lya présente 2 épisodes de vomissements au cours de la surveillance, avec un status neurologique restant parfaitement dans la norme, et dans un contexte de possible virose débutante (état subfébrile à 37.6 °C, toux grasse, inappétence). Au vu de l'évolution clinique rassurante à 24 heures de la chute sans récidive de vomissements durant les 12 dernières heures de surveillance et sans céphalées, elle rentre à domicile avec les consignes habituelles post-traumatisme crânien. Devant la hauteur de la chute, et la persistance de la fatigue, nous préconisons un contrôle chez le pédiatre le lendemain de la sortie. • Lymphadénite coli sous-mandibulaire droite • Lymphangiome repli ary-épiglottique gauche. Non stérilisation tumorale 3 mois après la fin de traitement de radio/chimiothérapie concomitante pour un carcinome épidermoïde invasif, bien à moyennement différencié, kératinisant, de la base de langue gauche, classé cT2 cN2c cM0. Le 09.05.2018 : évidement ganglionnaire fonctionnel gauche niveaux II-V. • Lymphocèle inguinal droit • Lymphocèle post-confection de fistule artério-veineuse au pli du coude gauche, status post-révision et drainage par Manovac (opération le 14.04.2017, Dr. X). • Tumeur basocellulaire avec : • Status post-exérèse basocellulaire le 26.07.2013 avec lambeau pédiculé du nez • Status post-exérèse chirurgicale d'un cancer basocellulaire frontal en 2011. • Insuffisance cardiaque subaiguë d'origine multifactorielle : • Anasarque, fibrillation auriculaire permanente. • Exérèse chirurgicale d'un corps étranger ano-rectal en 2010. • Gastro-entérite virale le 13.02.2018 chez patient immunosupprimé. Ceftriaxone 2 g iv le 13.02.2018 en dialyse • Saignement sur point de ponction sur fistule lors d'angiographie au membre supérieur gauche le 19.09.2018 • Hémostase avec un point de prolène et compression • Contrôle angiologique de la fistule : sténose résiduelle malgré dilatation, mais bon flux • Lymphoedème chronique de la jambe gauche depuis 1991 suite au curage ganglionnaire avec drainage lymphatique hebdomadaire • Status post vulvectomie partielle pour lymphangiome 03.2012 • Suivi régulièrement aux HUG par le Prof. X. • Dermohypodermite sus-pubiennes et MIG à répétition, favorisé dans un contexte de lymphoedème chronique • Sous prophylaxie de Stabicilline • 03.2011 : choc septique sur dermohypodermite du MIG à staph hominis • 09.2011 : dermohypodermite du MIG • 11.2011 : choc septique sur dermohypodermite du MIG à strepto mitis • 12.2011 : dermohypodermite pubis et face interne cuisse droite à germe indéterminé • 05.2013 : choc septique avec bactériémie à strepto agalactiae du groupe B sur porte d'entrée cutanée • 18.08.2017 : dermohypodermite • 02.09.2017 : dermohypodermite • 14.02.2018 : dermohypodermite sus-pubiennes et MIG • 11.09.2018 : dermohypodermite sus-pubienne • 14.11.2018 : dermohypodermite sus-pubienne Consommation OH à risque. Tabagisme actif.• 18.08.2017 : dermohypodermite. • 02.09.2017 : dermohypodermite. • 14.02.2018 : dermohypodermite sus-pubiennes et membre inférieur gauche. • 11.09.2018 : dermohypodermite sus-pubienne. • 14.11.2018 : dermohypodermite sus-pubienne. Consommation OH à risque. Tabagisme actif. Lymphoedème des membres inférieurs décompensé : • suivie par Dr. X au CHUV et Dr. X • proposition de drainages lymphatiques intensifs au CHUV mais nécessitant un bilan cardiaque • patiente ne supportant pas les bandes élastiques. Lymphoedème du membre inférieur gauche à la suite d'une dermo-hypodermite de la face antérieure de la jambe gauche le 15.08.2015. Cure de hernie inguinale en 2014. Opération de la prostate pour hypertrophie bénigne en 2011. Fracture du crâne en 1989. Appendicectomie. Crise d'angoisse dans le contexte de burn-out le 08.05.2017. Douleur costale droite le 08.05.2017. Lymphome à cellule B mature de type folliculaire diagnostiqué en mai 2018 • status post-immuno-chimiothérapie • suspicion de progression et transformation tumorale Lymphome à cellules B matures : lymphome extra-ganglionnaire de la zone marginale de type MALT, stade IV A • date du diagnostic : 20.09.2018 • status post fausse cordectomie droite le 13.09.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures : lymphome de la zone marginale extra-ganglionnaire de type MALT. Pas d'argument pour une transformation blastique en DLBCL • status post biopsie paupière supérieure gauche le 27.09.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures : lymphome extra-ganglionnaire de la zone marginale de type MALT. Morphologie et profil immuno-histochimique relativement superposables à ceux décrits dans la lésion de la corde vocale droite • PET-CT du 01.10.2018 : hypercaptation en regard de la paupière supérieure gauche, suspecte. Multiples lésions sous-cutanées hypercaptantes, suspectes, au niveau de l'épaule gauche, pré-sternal droit, région scapulaire droite, flanc droit et fesse gauche. Multiples petites zones de condensation prédominant dans le lobe inférieur gauche, évoquant une atteinte infectieuse • OGD du 03.10.2018 : haute suspicion de tumeur gastrique. Maladie de reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale avec œsophage de Barrett court probable • histologie : muqueuse gastrique avec un infiltrat lymphoïde B atypique. Les profils morphologique et immunohistochimiques sont à priori en faveur d'un lymphome de la zone marginale (lymphome de type MALT). Pas de micro-organisme de type Hélicobacter pylori • recherche d'antigènes d'Hélicobacter pylori dans les selles négative • bilan biologique du 05.10.2018 : LDH 477 U/l, bande monoclonale de type IgM Lambda • PBM du 10.10.2018 : pas d'argument pour une infiltration dans le cadre du lymphome à cellules B matures de type MALT connu. Tissu hématopoïétique normo-cellulaire avec discrètes modifications réactives non spécifiques • IRM du neurocrâne du 25.10.2018 : pas de changement significatif de la masse précédemment décrite au niveau de la glande lacrymale gauche et de la paupière supérieure gauche • status post biopsie nodule sous-cutané base du dos droit le 14.11.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures, compatible avec une manifestation dans le cadre du lymphome de la zone marginale connu • traitement antibiotique par Doxycycline 100 mg 2 x par jour à partir du 02.11.2018 pour trois semaines au vu d'un MALT des annexes de l'œil. Actuellement sous R-bendamustine depuis le 27.11.2018. Lymphome à cellules B matures : lymphome extra-ganglionnaire de la zone marginale de type MALT, stade IV A • date du diagnostic : 20.09.2018 • status post fausse cordectomie droite le 13.09.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures : lymphome de la zone marginale extra-ganglionnaire de type MALT. Pas d'argument pour une transformation blastique en DLBCL • status post biopsie paupière supérieure gauche le 27.09.2018 • histologie : lymphome à cellules B matures : lymphome extra-ganglionnaire de la zone marginale de type MALT. Morphologie et profil immuno-histochimique relativement superposables à ceux décrits dans la lésion de la corde vocale droite • PET-CT du 01.10.2018 : hypercaptation en regard de la paupière supérieure gauche, suspecte. Multiples lésions sous-cutanées hypercaptantes, suspectes, au niveau de l'épaule gauche, pré-sternal droit, région scapulaire droite, flanc droit et fesse gauche. Multiples petites zones de condensation prédominant dans le lobe inférieur gauche, évoquant une atteinte infectieuse • OGD du 03.10.2018 : haute suspicion de tumeur gastrique. Maladie de reflux gastro-oesophagien sur hernie hiatale avec œsophage de Barrett court probable • histologie : muqueuse gastrique avec un infiltrat lymphoïde B atypique. Les profils morphologique et immunohistochimiques sont à priori en faveur d'un lymphome de la zone marginale (lymphome de type MALT). Pas de micro-organisme de type Hélicobacter pylori. • recherche d'antigènes d'Hélicobacter pylori dans les selles négatif • bilan biologique du 05.10.2018 : LDH 477 U/l, bande monoclonale de type IgM Lambda • PBM du 10.10.2018 : pas d'argument pour une infiltration dans le cadre du lymphome à cellules B matures de type MALT connu. Tissu hématopoïétique normo-cellulaire avec discrètes modifications réactives non spécifiques • IRM du neurocrâne du 25.10.2018 : pas de changement significatif de la masse précédemment décrite au niveau de la glande lacrymale gauche et de la paupière supérieure gauche • status post biopsie nodule sous-cutané base du dos droit le 14.11.2018 • histologie (Promed P2018.13027) : lymphome à cellules B matures, compatible avec une manifestation dans le cadre du lymphome de la zone marginale connu • traitement antibiotique par Doxycycline 100 mg 2 x par jour à partir du 02.11.2018 pour trois semaines au vu d'un MALT des annexes de l'œil Lymphome à cellules B matures de type MALT Biopsie nodulaire zone lombaire droite le 13.11.2018 PET-Scan 01.10.2018 IRM cérébral 25.10.2018 Lymphome à cellules T matures • CT abdominal du 14.11.2018 (P2018.12843) : hypoperfusion splénique, probables minimes infarctus spléniques • Histologie ganglion sous-angulo-mandibulaire gauche du 08.11.2018 : Prolifération à cellules T atypiques avec un phénotype T helper folliculaire, compatible avec un lymphome à cellules T matures avec un phénotype T helper folliculaire (selon OMS 2017). Suivi oncologique Dr. X, suivi infectiologique Dr. X et suivi hématologique Dr. X Lymphome à cellules T matures • Diagnostic le 15.11.2018 • Splénomégalie et symptômes B • Histologie du 08.11.2018 : Prolifération à cellules T atypiques avec un phénotype T helper folliculaire, compatible avec un lymphome à cellules T matures avec un phénotype T helper folliculaire (selon OMS 2017). Compatibilité avec un lymphome périphérique à cellules T avec un phénotype TFH. Pas assez d'arguments pour un lymphome à cellules T matures de type AITL. Négativité pour EBV. De plus en particulier, pas d'arguments pour une récidive dans le cadre du lymphome à grandes cellules B connu (CD20 négatif, EBV positif, cf P5216.11; excision, ganglion sous-angulomandibulaire gauche). Lymphome à grandes cellules B matures à haut grade • diagnostiqué le 30.10.2018 • Biopsie coliques : Histologie P2018.12233 (30.10.2018) : Lymphome à cellules B matures de haut grade Lymphome B à cellules B matures de type DLBCL : • ED le 25.07.2018 • Biopsie d'un nodule thoracique gauche le 19.07.2018 • Ananatomopathologie Promed-P2018.8357 : Infiltration sous-cutanée et cutanée par lymphome à cellules B matures de type DLBCL • CT thoraco-abdominal du 04.07 : • adénopathies ganglionnaires : axillaires bilatérales, mésentériques, coeliaques, rétropéritonéales atteignant individuellement 4 cm. • pulmonaire : infiltrats dépolis du LSD, discrète diminution des infiltrats dans le LIG. Apparition toutefois au sein de toutes les zones infiltrées d'éléments nodulaires centimétriques. • sein D : deux structures centimétriques calcifiées dans le sein D. • 2 masses rénales gauches d'allure néoplasique • cutané : lésion d'allure maligne sous-cutanée de 3 cm basithoracique antérieure gauche. • intestinal : nodule centimétrique chrnu situé entre la paroi et l'angle colique D • 3 cm de liquide dans le Douglas • osseux : Lyse isthmique L5 bilatérale avec antérolisthèse centimétrique, stationnaire. Tassement en galette de D12, stationnaire depuis nov 2017, mais non présent en 2015. Lymphome B de bas degré type folliculaire avec : • diagnostic en décembre 2013 sur ADP inguinales G • PET CT initial : atteinte ganglionnaire inguinale G, iliaque gauche, sous-carinaire et parotidienne gauche stade Ann Arbor 3A, FLIPI 2 • Chimiothérapie par R CVP 4 cycles de février à avril 2014 avec réponse complète au niveau inguinal • Immunothérapie d'entretien par Rituximab aux 2 mois, juin 2014 à mars 2016 • Réponse complète radiologique en juin 2016 • Progression ganglionnaire confirmée par biopsie au niveau cervical G en 2018 • Chimiothérapie par Rituximab et Bendamustine 6 cycles d'avril à septembre 2018 puis traitement d'entretien de Rituximab aux 2 mois • Réponse complète au PET CT de septembre 2018 • Actuellement : traitement d'entretien par Rituximab ; dernière dose le 19.11.2018 • Oncologue : Dr. X Lymphome B de la zone marginale au stade IVA en transformation dans un lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules • date du diagnostic : 06.03.2006 • status post-biopsie ganglionnaire cervicale gauche le 02.03.2006 • histologie : Pathologie du CHUV H0692215 : lymphome B de bas grade selon Kiel. Lymphome B de la zone marginale (OMS 2001) MIB-1 faible • infiltration de la moelle osseuse d'environ 60 % par le lymphome • scanner du 29.03.2006 : atteinte par le lymphome au niveau cervical, sus-claviculaire et axillaire des 2 côtés, médiastinale, splénique et inguinale • status post-3 cures d'une chimiothérapie par Leukeran du 29.03. au 07.06.2006 (rémission partielle) • status post-4ème cure de chimiothérapie par Leukeran le 29.08.2006 (arrêt de la chimiothérapie en raison d'une intolérance au traitement)CT cervico-thoraco-abdominal du 17.10.2006 : progression tumorale sous forme d'adénopathies jugulo-carotidiennes axillaires et médiastinales ainsi que hilaires des deux côtés. Progression de la lésion tissulaire ostéolytique intéressante le processus épineux de D9 avec envahissement du canal rachidien. Apparition de 2 lésions tissulaires au contact du muscle grand rond gauche • status post-biopsie exérèse d'un ganglion cervical gauche le 15.11.2006 • histologie : lymphome malin non hodgkinien diffus à grandes cellules • status post-irradiation du rachis D8 et D6 avec 4 Gy les 15 et 16 novembre 2006 (interruption volontaire par la patiente) • status post 6 cures de chimiothérapie par CHOP (Endoxan, Adriblastine, Oncovin, Prednisone), en dosage diminué en raison des effets secondaires, en combinaison avec l'anticorps Mabthera du 23.11.2006 au 03.04.2007 (très bonne rémission partielle) • janvier 2012 : rémission complète, contrôles selon symptômes Hypertension artérielle Glaucome Ostéoporose Troubles anxieux Douleur chronique de la cuisse gauche (sur lésion calcifiée connue, biopsiée en 2006 : bénin) Lymphome B folliculaire, grade 1-2 d'après WHO 2017, de stade IIB avec bulk, FLIPI 2-3 (risque élevé), en cours de transformation avec atteinte méningée diffuse : • diagnostic le 09.05.2018 Lymphome B folliculaire, grade 1-2 d'après WHO 2017, de stade IIB avec bulk, FLIPI 2-3 (risque élevé), en cours de transformation avec atteinte méningée diffuse : • diagnostic le 09.05.2018 Evolution récente : • PET-CT du tronc le 09.10.2018 : mise en évidence d'une infiltration tissulaire du médiastin, du mésentère, rétropéritoine, avec un amas ganglionnaire hypermétabolique en projection du hile hépatique et en arrière du pancréas. Présence de plusieurs épaississements tissulaires de la petite scissure pulmonaire droite, péri-hépatique, gastrique, sous-cutanée (de la paroi abdominale antérieure), péri-vasculaire au niveau iliaque interne et externe ddc. Ce tableau est compatible avec une transformation de la maladie lymphomateuse. Présence également d'une infiltration lymphomateuse intramédullaire fixation marquée de T10-12 et fixation moins marquée au niveau cervical. • IRM dorso-lombaire du 13.10.2018 : atteinte leptoméningée lymphomateuse dans un contexte d'un lymphome sous forme de prises de contraste innombrables cervico-dorso-lombaire. • CT abdominal du 22.10.2018 : régression en taille de l'infiltration du rétropéritoine et de la racine du mésentère par la maladie lymphomateuse. • chimiothérapie par Rituximab et R-Methotrexate HD débutée le 11.10.2018 (7000 mg MTX + Rituximab 750 mg à J1, associé à hydratation et de l'acide folinique dès J2) ; second cycle le 29.10.2018 • Dexamethasone haute dose en schéma dégressif dès le 13.10.2018 • Prophylaxie de Valaciclovir dès le 13.10.2018 Lymphome diffus à grandes cellules B, stade IVB, NOS • date du diagnostic : 16.12.2013 • histologie : lymphome diffus à grandes cellules B, NOS avec infiltration diffuse des espaces médullaires dans une zone de fracture (biopsie osseuse D8) • radiographie du thorax et ultrason abdomino-pelvien 20.12.2013 : épanchements pleuraux bilatéraux, adénomégalies au niveau du pédicule hépatique. Néphropathie gauche d'origine peu claire • CT-thoraco-abdomino-pelvien du 20.12.2013 : multiples adénopathies cervicales, axillaires bilatérales, médiastinales et rétro-péritonéales. Deux lésions tumorales du rein droit et une du rein gauche. Épanchements pleuraux bilatéraux et lame de liquide libre dans le Douglas. Status post-vertébroplastie D8 et hématome péri-vertébral. Discrète fracture/tassement de L3 • ponction biopsie de moelle osseuse le 31.12.2013 : aspiration impossible • histologie : lymphome à cellules B matures : lymphome diffus à grandes cellules B, NOS (selon OMS 2008) avec infiltration diffuse du tissu hématopoïétique (trois biopsies, moelle osseuse) • status post-6 cures de chimiothérapie par Adriblastine, Endoxan, Oncovin, Prednisone et Mabthera de fin décembre 2013 à mi-juin 2014, bonne rémission • rechute du lymphome au niveau supra-claviculaire gauche, nuquale gauche, axillaire gauche, latéro-cervical droit 6ème arc costal latéral droit, para-vertébral droit de D8 à D10, septembre 2014 • histologie (biopsie ganglion axillaire gauche) : lymphome à cellules B matures, diffus à grandes cellules, de type centro-germinatif • status post-3 cures de chimiothérapie de rattrapage par Solumedrol, Etopophos, Cytosar et Mabthera du 30.09 au 01.12.2014, rémission complète • progression du lymphome au niveau cervical, para-trachéal, para-vertébral droit, omoplate gauche, inguinal et iliaque bilatéral, septembre 2015 • status post-chimiothérapie par Adriblastine, Endoxan, Oncovin, Prednisone et Mabthera (mini-dose), 9 cycles avec très bonne rémission partielle suite à 4 cycles, du 06.10.2015 au 31.03.2016 • progression du lymphome au niveau iliacal et inguinal droit, sinon situation stable, juin 2016 • status post-8 cycles de chimiothérapie par Oncovin, Prednisone et Mabthera du 20.06 au 16.11.2016, excellente rémission partielle • actuellement : rémission complète, nouveau contrôle par scanner pour début décembre 2018 Ostéoporose avec tassement au sein des corps vertébraux D7 et L2 (décembre 2015) Status post-pose de port-à-cath le 21.01.2014 Zona thoracique gauche, mars 2012 Status post-vertébroplastie D8 pour fracture/tassement pathologique, décembre 2013 Épanchement pleural bilatéral d'origine lymphomateuse probable Lymphome folliculaire de stade IIIA, FLIPI 3/5 en rémission. NSTEMI de type 2 secondaire à la fibrillation auriculaire le 12.09.2018. Mise en suspens temporaire du traitement anti-agrégant en raison de l'anticoagulation. Reprise de l'aspirine dès le 12.09.2018. Avis Dr. X : Coronarographie en électif le 14.09.2018 Lymphome non hodgkinien à grandes cellules B de la personne âgée, CD-20 nég. EBV positif en stade IVB • date du diagnostic : 22.07.2011 • histologie : lymphome à grandes cellules B, CD-20 négatif, EBV positif avec haute fraction de prolifération dans un ganglion lymphatique au niveau sous-angulaire mandibulaire gauche compatible avec un lymphome diffus à larges cellules de la personne âgée EBV positif • status post-biopsie exérèse d'un ganglion mandibulaire gauche le 18.07.2011 • ponction-biopsie de moelle du 19.07.2011 : infiltration médullaire par un lymphome à grandes cellules EBV positif compatible avec un lymphome diffus à grandes cellules • CT cervico-thoraco-abdominal de juillet 2011 : nombreuses adénopathies cervicales et thoraciques avec épanchement pleural bilatéral, splénomégalie et adénopathies au niveau de l'angle cardiophrénique des deux côtés au niveau rétropéritonéal et de la petite courbure de l'estomac et au niveau inguinal des deux côtés • status post-1 cure de chimiothérapie par CODOX du 22.07 au 29.07.2011 • status post-6 cures de chimiothérapie par CHOP (Cyclophosphamide, Adriblastine, Oncovin et Prednisone) du 16.08 au 07.12.2011 (rémission complète au PET-scan) • CT thoraco-abdominal du 20.08.2012 : adénopathie rétropéritonéale stable (avec hypercaptation au PET) • status de ponction d'une adénopathie rétropéritonéale le 27.09.2012 • histologie : cytologie d'interprétation très limitée mais suspecte d'une récidive du lymphome connu avec possible réaction granulomateuse • août 2012 : 1ère récidive avec lymphadénopathies rétro-péritonéales et supra-diaphragmatiques, PET positif • status post-biopsie de la masse du lymphome rétropéritonéal le 27.09.2012 • histologie : compatible avec une récidive du lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules connu • status post-3 cures de chimiothérapie de réinduction selon schéma DHAP du 20.11.2012 au 11.01.2013 • PET du 15.01.2013 : rémission complète • status post-chimiothérapie de mobilisation avec Gemcitabine et Neupogen le 28.01.2013 • status post-aphérèse des cellules souches le 04.02.2013 • status post-chimiothérapie à haute dose selon schéma R-BEAM le 12.02. au 17.02.2013 • status post-transplantation des cellules souches autologues le 18.02.2013 (rémission complète) • status post-pancytopénie d'origine indéterminée (DD : auto-immune, virale) • sous traitement par Intratect au vu d'une hypogammaglobulinémie depuis le 20.07.2014 • actuellement : pas d'évidence de récidive tumorale au CT-scan, poursuite du traitement par Intratect (ivIG) au vu d'une hypogammaglobulinémie persistante • Suivi par Dr. X Lymphome non hodgkinien à grandes cellules B de la personne âgée, CD-20 nég. EBV positif en stade IVB • date du diagnostic : 22.07.2011 • histologie (Promed P5216.11) : lymphome à grandes cellules B, CD-20 négatif, EBV positif avec haute fraction de prolifération dans un ganglion lymphatique au niveau sous-angulaire mandibulaire gauche compatible avec un lymphome diffus à larges cellules de la personne âgée EBV positif • status post-biopsie exérèse d'un ganglion mandibulaire gauche le 18.07.2011 • ponction-biopsie de moelle du 19.07.2011 (pathologie CHUV Lausanne H1109680) : infiltration médullaire par un lymphome à grandes cellules EBV positif compatible avec un lymphome diffus à grandes cellules • CT cervico-thoraco-abdominal de juillet 2011 : nombreuses adénopathies cervicales et thoraciques avec épanchement pleural bilatéral, splénomégalie et adénopathies au niveau de l'angle cardiophrénique des deux côtés au niveau rétropéritonéal et de la petite courbure de l'estomac et au niveau inguinal des deux côtés • status post-1 cure de chimiothérapie par CODOX du 22.07 au 29.07.2011 • status post-6 cures de chimiothérapie par CHOP (Cyclophosphamide, Adriblastine, Oncovin et Prednisone) du 16.08 au 07.12.2011 (rémission complète au PET-scan) • CT thoraco-abdominal du 20.08.2012 : adénopathie rétropéritonéale stable (avec hypercaptation au PET) • status de ponction d'une adénopathie rétropéritonéale le 27.09.2012 • histologie (Promed C7729.12) : cytologie d'interprétation très limitée mais suspecte d'une récidive du lymphome connu avec possible réaction granulomateuse • août 2012 : 1ère récidive avec lymphadénopathies rétro-péritonéales et supra-diaphragmatiques, PET positif • status post-biopsie de la masse du lymphome rétropéritonéal le 27.09.2012 • histologie (Promed C7729.12) : compatible avec une récidive du lymphome non hodgkinien diffus à grandes cellules connu • status post-3 cures de chimiothérapie de réinduction selon schéma DHAP du 20.11.2012 au 11.01.2013 • PET du 15.01.2013 : rémission complète • status post-chimiothérapie de mobilisation avec Gemcitabine et Neupogen le 28.01.2013 • status post-aphérèse des cellules souches le 04.02.2013 • status post-chimiothérapie à haute dose selon schéma R-BEAM le 12.02. au 17.02.2013 • status post-transplantation des cellules souches autologues le 18.02.2013 (rémission complète) • status post-pancytopénie d'origine indéterminée (DD : auto-immune, virale) • sous traitement par Intratect au vu d'une hypogammaglobulinémie depuis le 20.07.2014 • actuellement : pas d'évidence de récidive tumorale au CT-scan, poursuite du traitement par Intratect (ivIG) au vu d'une hypogammaglobulinémie persistante • Suivi par Dr. X Lymphome non hodgkinien de type lymphome du manteau des amygdales au stade IIA. • date du diagnostic : 03.08.2006. • status post-biopsie et exérèse des amygdales palatines le 03.08.2006. • histologie (CHUV H0612034) : infiltration amygdalienne diffuse par un lymphome du manteau, positif pour la cycline D1. • CT-cervico-thoraco-abdomino-pelvien du 09.08.2006 : adénopathie jugulo-carotidienne supérieure droite, pas d'adénopathie médiastinale, hilaire ou abdomino-pelvienne, pas d'hépatosplénomégalie. • ponction de moelle du 23.08.2006 : moelle osseuse moyennement cellulaire, sans évidences de tumeur. • status post-3 cures d'une chimiothérapie par CHOP (Endoxan, Adriblastine, Oncovin et Prednisone) en association à l'anticorps Mabthera du 13.09 au 26.10.2006 (rémission complète). • status post-radiothérapie de l'oropharynx et des régions sous-claviculaires bilatérales (29,6 Gy) du 13.12.2006 au 05.01.2007. • problème sensitivo-moteur lors d'une suspicion de myélopathie post-actinique. • octobre 2008 : récidive du lymphome du manteau avec adénopathies multiples. • CT cervico-thoraco-abdominal du 16.10.2008 : adénopathies multiples niveau cervical gauche supra-claviculaire et axillaire gauche et médiastinal. Adénopathies péri-cœliaques et au niveau mésentérique inguinal des deux côtés. • ponction/biopsie médullaire du 23.10.2008 : pas d'infiltration médullaire par le lymphome. • gastroscopie avec biopsie du 24.10.2008 : infiltration par lymphome. • status post 4 cures d'une chimiothérapie de 2ème lignée selon schéma Hyper-CVAD et Mabthera du 04.11.2008 au 05.01.2009 (sans Adriblastine en raison d'une dysfonction cardiaque) très bonne rémission partielle. • status post-chimiothérapie à haut dosage de type consolidation avec R-BEAM le 10.03.2009 suivie par une transplantation des cellules souches autologues le 16.03.2009. • PET du 18.05.2009 : rémission complète. • traitement par Intratect depuis 2012 en raison d'une hypogammaglobulinémie. • actuellement : pas d'évidence scanographique et clinique de récidive tumorale du lymphome au CT-scan de mai 2017. Status post dyspnée paroxystique d'origine indéterminée, DD : sur probable status post épiglottite en juillet 2011. Status post candidose des plis vestibulaires en juillet 2011. Status post suspicion d'un syndrome de Gilbert en juillet 2011. Status post ablation d'un kyste testiculaire gauche en octobre 2010. Status post sepsis sur diverticulite sigmoïdienne non compliquée chez patient en agranulocytose en 2009. Status post érysipèle du visage en 2005. Status post hernie inguinale gauche. Status post pneumonie en août 2011. Colique néphrétique gauche avec calcul enclavé de 3 mm au niveau urétéro-vésical avec suspicion de rupture fornix gauche. Anémie avec hémoglobine à 95 g/l le 20.11.2018. • dernière valeur 124 g/l le 24.10.2018. DD : hémodilution, saignement, syndrome myélodysplasique. Lymphome non hodgkinien stade IV A, aa IPI : 2 • date du diagnostic : 27.01.2009 • histologie : lymphome non hodgkinien de type B diffus à grandes cellules à haute fraction de prolifération dans le foie (biopsie, P534.09 Promed) • biopsie et aspiration de moelle osseuse : pas d'infiltration par le lymphome (H0900372) • bilan d'extension : scanner avec multiples métastases hépatiques et spléniques, adénopathies rétropéritonéales • sérologies : HIV négatif, HBS et HCV négatifs, EBV, IgG positifs, CMV, IgG positifs • LDH initial 653, ß-2 microglobuline 5.0 • status post hypercalcémie traitée par Zometa, décembre 2008 (paranéoplasie) • status post 8 cures de chimiothérapie selon CHOP associée à l'anticorps Mabthera de février à juillet 2009 • rechute du lymphome non hodgkinien hilaire pulmonaire droit et splénique, septembre 2011 • histologie (EBUS station 7 et 4 L, Promed P 6210.11) : lymphome non hodgkinien à grandes cellules B • ponction de biopsie et aspiration de la moelle osseuse : pas d'évidence d'infiltration médullaire • CT-scan et PET-scan : lymphadénopathies médiastinales et hilaires droites (positif au PET) • status post 4 cures de chimiothérapie par Solu-Medrol, Etopophos, Platinol et Cytosar associées à l'anticorps Mabthera du 19.09 au 16.12.2011, rémission complète • status post chimiothérapie à haute dose suivie de perfusion de cellules souches (transplantation médullaire autologue) du 27.01 au 02.02.2012 (R-BEAM) • status post vaccination selon les recommandations de l'OFSP (Prevenar 13 et Infanrix) fin 2016 • actuellement : pas d'évidence de rechute tumorale, contrôle régulier Diabète de type II Lymphome non-hodgkinien avec résection tumorale au sein de l'intestin grêle en 1999 et chimiothérapie adjuvante par CHOP. NSTEMI sur sténose significative de l'artère coronaire D proximale le 09.02.2016. Gêne du matériel post-cyphoplastie D12 avec système Spine Jack 5.0, cimentage par Cohésion 5 cc et spondylodèse D11-L1 par système Viper II (vis 6.0/50 et 6.0/45) le 19.09.2014 pour fracture D12 type B 3. AMO D11-L1 (OP le 07.11.2016) Lymphome non-Hodgkinien diagnostiqué en 2006 • Histologie : lymphome non hodgkinien B high grade, CD 20 positif, diffus, à grandes cellules (biopsie d'estomac) avec masse de 14 cm provenant de la rate avec infiltration de l'estomac, de la queue du pancréas et de la surrénale avec atteinte ganglionnaire Status post fracture vertébrale D12, L1 Pneumonie du lobe moyen droit le 24.03.2017 Lymphome non-Hodgkinien diagnostiqué en 2006 • status post 8 cures de chimiothérapie selon CHOP associée à l'anticorps Mabthera, 2007, excellente réponse • histologie : lymphome non hodgkinien B high grade, CD 20 positif, diffus, à grandes cellules (biopsie d'estomac) • CT thoraco-abdomino-pelvien 08/2006 : masse de 14 cm provenant de la rate avec infiltration de l'estomac, de la queue du pancréas et de la surrénale avec atteinte ganglionnaire • scintigraphie osseuse : pas d'évidence d'atteinte • biopsie de la moelle osseuse 08/2006 : pas d'infiltration • oeso-gastro-duodénoscopie 08/2006 : masse sous-cardiale sous la paroi postérieure avec bourgeonnement intra-gastrique de 3 cm, biopsies • complications : perforation gastrique • status post mise en place d'une sonde naso-jéjunale 09/2006 Status post fracture vertébrale D12, L1 Status post pneumonie lobe moyen D en mars 2017 Syndrome thoraco-lombaire après chute accidentelle 01/2016 • traumatisme crânien frontal et hématome péri-orbitaire bilatéral Infection urinaire hémorragique Insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur chronique AKIN I le 25.03.2017 • Clearance MDRD 20 ml/min • Fraction d'excrétion du sodium 0.6%, Fe urée : 27% Anémie macrocytaire hypochrome arégénérative le 25.03.2017 multifactorielle avec : • Hb 86 g/l • d'origine rénale • inflammatoire • carentielle (folates) Pic hypertensif le 29.03.2017 Lymphome plasmocytaire de type macroglobulinémie de Waldenström (1990) : • chimiothérapie • rémission hématologique complète Status post maladies thrombo-emboliques • thrombose veineuse profonde (1982 + 1989) • embolie pulmonaire (1983) • thrombophlébite Artériopathie des membres inférieurs Status post cure de hernie discale L5-S1 Status post reconstruction arthroscopique des tendons de l'épaule droite Diverticulose sigmoïdienne Etat confusionnel aigu sur Temesta le 20.10.2018 Lymphome splénique de la zone marginale avec lymphocytes villeux circulant • maladie hématologique stable Lymphome T mature oesogastro duodénal associé à une entéropathie (EATL), CD20 nég, ALK nég, Mib-1 50-70 % avec : • date du diagnostic : 29.12.2016, suivi par Dr. X • atrophie vélocitaire et inflammatoire chronique de la muqueuse gastrique correspondant à une coeliaquie de type 3b selon MARSH • H. Pylori nég. • S/p 4 cycles de chimiothérapie par CHOP à dosage réduite d'anthracycline (04-06/2017) • PET CT 07.2017 : persistance de l'hypercaptation gastrique et disparition de l'ADP para-gastrique • OGD 08.2017 : persistance de lésions ulcéreuses gastriques et duodénales, en régression • S/p radiothérapie du tiers distal de l'oesophage, de l'estomac et des portions D1-2 du duodénum (09-10/2017) • OGD 01.2018 : persistance d'une infiltration focale duodénale du fundus gastrique et duodénum avec réaction post-radiothérapie • S/p chimiothérapie par Folotyn 2 cycles (04-05/2018 ; 06-07/2018), avec normalisation de l'infiltration pariétale duodénale et de la cavité nécrotique du jéjunum ; persistance d'une hypercaptation jéjunale focale sans autre captation compatible avec une origine tumorale (PET CT 08.2018) • Ad OGD ; si absence de tissu tumoral, surveillance ; si persistance, poursuite par 3è cycle Folotyn • Sténose oesophagienne post-radique dilatée par le Dr. X le 31.10.2018 Cardiopathie ischémique avec :• infarctus inféro-postérieur en novembre 2004, avec pose de stent sur la CD à Berne • pose de stent sur l'IVA proximale en mai 2005 (coronarographie élective) • échocardiographie d'avril 2017 par Dr. X (cardiologue traitant) : hypokinésie inféro-postérieure, fonction systolique globale du ventricule gauche à la limite inférieure de la norme (FE : 50-55 %), absence d'hypertension artérielle pulmonaire Probable hyperplasie bénigne de la prostate Hyperlipidémie Consommation d'alcool à risque, stoppée en 2016 Diabète de type II insulino traité sur corticothérapie Polyneuropathie des membres inférieurs post-chimiothérapie Lymphome T mature oesogastroduodénal associé à une entéropathie (EATL), CD20 nég, ALK nég, Mib-1 50-70 % avec : • date du diagnostic : 29.12.2016, suivi par Dr. X • atrophie vélocitaire et inflammatoire chronique de la muqueuse gastrique correspondant à une coeliaquie de type 3b selon MARSH • H. Pylori nég. • s/p 4 cycles de chimiothérapie par CHOP à dosage réduite d'anthracycline (04-06/2017) • PET CT 07.2017 : persistance de l'hypercaptation gastrique et disparition de l'ADP para gastrique • OGD 08.2017 : persistance de lésions ulcéreuses gastriques et duodénales, en régression • s/p radiothérapie du tiers distal de l'oesophage, de l'estomac et des portions D1-2 du duodénum (09-10/2017) • OGD 01.2018 : persistance d'une infiltration focale duodénale du fundus gastrique et duodénum avec réaction post-radiothérapie • s/p chimiothérapie par Folotyn 2 cycles (04-05/2018 ; 06-07/2018), avec normalisation de l'infiltration pariétale duodénale et de la cavité nécrotique du jéjunum ; persistance d'une hypercaptation jéjunale focale sans autre captation compatible avec une origine tumorale (PET CT 08.2018) • actuellement : ad OGD ; si absence de tissu tumoral, surveillance ; si persistance, poursuite par 3e cycle Folotyn Cardiopathie ischémique avec : • s/p infarctus inféro-postérieur en novembre 2004, avec pose de stent sur la CD à Berne • status après pose de stent sur l'IVA proximale en mai 2005 (coronarographie élective) • échocardiographie d'avril 2017 par Dr. X (cardiologue traitant) : hypokinésie inféro-postérieure, fonction systolique globale du ventricule gauche à la limite inférieure de la norme (FE : 50-55 %), absence d'hypertension artérielle pulmonaire Probable HBP Hyperlipidémie Consommation d'alcool à risque Diabète de type II insulino traité sur corticothérapie Polyneuropathie des membres inférieurs post-chimiothérapie Lymphopénie à 3.4 G/l le 12.12.2018 (pas d'agranulocytose). Lyrica 75 mg 2x/j dès le 29.10.2018, arrêté le 12.11.2018 Mr. Y est un patient de 82 ans, connu pour un status post-cholécystectomie, qui consulte le 07.12.2018 pour une douleur épigastrique et en hypochondre droit. Un CT scanner retrouve une image correspondant à une lithiase dans le cholédoque distal avec une dilatation du cholédoque à 14 mm. Le patient est hospitalisé sous une couverture antibiotique empirique pour prévenir une éventuelle cholangite. Le patient bénéficie le 10.12.2018 d'une ERCP avec papillotomie et extraction de débris lithiasique. Le suivi biologique et clinique est favorable et permet un retour à domicile le 13.12.2018. Nous introduisons un traitement par De-Ursil pour diminuer les risques de récidive. A noter que le patient est connu pour une maladie thrombo-embolique anticoagulée par Sintrom. Après discussion avec la médecin traitant, nous reprenons une anticoagulation thérapeutique le 12.12.2018 et le Sintrom dès le 13.12.2018. Un bridging par Clexane sera maintenu jusqu'à obtention d'une anticoagulation thérapeutique par Sintrom, suivie chez la médecin traitant. Mr. Y, institutionnalisé de longue date pour un retard mental et une schizophrénie, est hospitalisé pour des hématémèses à répétition, puis admis aux soins intensifs dans le cadre d'une hyponatrémie sévère découverte à l'entrée. L'hyponatrémie est probablement due à un SIADH, avec comme facteur principal une origine médicamenteuse (Dépakine, Lorazépam). Sous restriction hydrique et mise en suspens du traitement, l'évolution est favorable. Les valeurs sont à suivre après reprise du traitement habituel, dès le soir du 27.12.2018. A l'origine de l'hémorragie digestive haute avec déglobulisation modérée, on trouve une hernie hiatale par glissement avec un ulcère gastrique proximal, sans saignement actif lors de l'endoscopie du 27.12.2018. Le traitement d'IPP est à garder en iv lors de l'hospitalisation, puis po. à 3x40 mg/j jusqu'à une gastroscopie de contrôle, à réaliser dans 15 jours. La sérologie Helicobacter Pylori est à faire lors de la suite d'hospitalisation. Notons un examen ORL qui exclut un saignement de la sphère ORL mais met en évidence une hypomobilité du pharynx droit qui reste à recontrôler par un nouvel examen. Le test de déglutition est dans la norme. Mr. Y nous adressé par son médecin traitant pour évaluation orthopédique d'une coxarthrose gauche sévère devenue très invalidante avec présence de douleur nocturne, au moindre effort, associée à une limitation du périmètre de marche à environ 100 m. Le patient se mobilise à l'aide de deux cannes anglaises depuis quelques mois. Après évaluation par les orthopédistes, une intervention chirurgicale est agencée pour le 09.01.2018. L'évaluation pré-opératoire par les anesthésistes a lieu durant le séjour. Des instructions sont données au patient concernant l'arrêt du Sintrom et le relais par Clexane 40 mg (selon recommandation de l'anesthésiste, au vu de l'âge et du risque de saignement) 5 jours avant l'intervention. Les injections de Clexane seront effectuées par le patient qui se présentera à sa pharmacie pour l'apprentissage. Un retour à domicile est organisé le 07.12.2018. Mr. Y est un patient de 78 ans, admis aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique.Le patient est connu pour une BPCO non stadée avec une oxygénothérapie à domicile. Il est hospitalisé en médecine interne pour une décompensation BPCO dans un contexte de pneumonie du lobe inférieur droit puis transféré aux soins intensifs pour péjoration respiratoire. Il est mis sous traitement de Co-Amoxicilline et corticostéroïdes. Il bénéficie de séances de VNI en alternance avec de l'oxygène à haut débit ainsi que des aérosols. Malgré cela, il se péjore et devient dépendant de la VNI qu'il ne supporte plus. Le patient avait clairement émis des limitations thérapeutiques avant son admission aux soins intensifs. Il est donc comme souhaité par le patient décidé d'une attitude privilégiant le confort et le patient décède le 25.12.2018 entouré de ses proches. Mr. Y, 18 ans, est admis aux soins intensifs le 22.12.2018 pour une insuffisance respiratoire globale hypercapnique. Le patient, hautement hypoxémique dès son admission, est traité par oxygénothérapie et ventilation non invasive. Les gazométries sont suivies de manière sériée. Il présente par la suite une hypercapnie qui se corrige progressivement à l'aide de la VNI. Après prélèvement bactériologique, une antibiothérapie empirique par Tazobac (antibiothérapie récente) et Klacid est débutée. Les antigènes Pneumocoques et Légionelle dans les urines sont négatifs et le Klacid est arrêté. Des frottis nasaux pour le RSV et la grippe sont négatifs. Le patient présente des diarrhées depuis plusieurs jours avec un contage familial, fortement évocateurs d'un Norovirus, justifiant un isolement de contact. Le clostridium est par ailleurs négatif. À noter que le patient est de toute façon en isolement en raison de son frottis positif à MRSA de mai 2018. Un traitement symptomatique par Imodium est initié le 24.12.2018 avec une bonne réponse. Nous reprenons son traitement habituel par Duphalac dès le 28.12.2018. Devant l'évolution favorable, il est transféré en médecine pour suite de prise en charge le 29.12.2018. Mr. Y, patient de 58 ans, est admis aux soins intensifs le 07.12.2018 pour un choc septique sur une péritonite bactérienne spontanée à E.coli, avec défaillance multi organique. Le patient est hospitalisé le 28.11.2018 dans le cadre d'un syndrome de dépendance à l'alcool avec une nette baisse de son état général depuis environ 1 mois. On diagnostique alors la présence d'une cirrhose hépatique avancée avec présence d'une encéphalopathie et d'une insuffisance hépato-cellulaire et la présence d'ascite. Le 07.12.2018 il doit être transféré aux soins intensifs en raison d'un développement d'un état de choc septique sur une péritonite bactérienne spontanée à E. Coli compliquée d'une défaillance multi-organique. Le choc septique est traité agressivement avec des remplissages et un soutien aminergique avec une amélioration initiale. L'insuffisance rénale oligurique récupère progressivement avec amélioration des paramètres infectieux. Comme source au choc septique on retient une péritonite bactérienne spontanée à E.Coli, ESBL, traité par Imipénème. L'ascite est drainée avec une substitution en Albumine. En sortant de la phase de choc, un traitement par Aldactone et Propranolol est introduit après une gastroscopie qui montre des varices oesophagiennes stade 2. L'insuffisance hépatique s'améliore initialement sous traitement par Acétylcystéine. Malheureusement l'évolution se fait vers l'apparition d'un nouvel choc septique fulminant le 13.12.2018 et une nouvelle décompensation hépatique malgré une antibiothérapie par Imipénème. Au vu de l'impasse thérapeutique suite à la cirrhose avancée (CHILD C) et en absence de projet thérapeutique (patient non abstinent contre-indiquant une transplantation hépatique), il est décidé après concertation avec la famille de passer aux soins de confort. Le patient décède le 14.12.2018 en présence de sa famille. Une autopsie n'est pas demandée. Mme. Y est hospitalisée après avoir présenté deux épisodes d'ataxie avec phénomène de main étrangère droite et d'une hypoesthésie (main non dominante), complètement résolutifs avec un statut neurologique normal dès l'admission. Nous concluons à un accident ischémique transitoire pariétal gauche, sans lésion vasculaire à l'imagerie par CT. Aucune cause n'a pu être identifiée, le test aux microbulles par échocardiographie transthoracique ne permettant pas d'exclure formellement un foramen ovale perméable. La patiente sera convoquée pour une échocardiographie transoesophagienne ainsi qu'un R-Test en ambulatoire. Dans le contexte de cet évènement cérébro-vasculaire, un traitement par Clopidogrel est débuté, ainsi qu'une statine. Après une surveillance de 24 heures en unité stroke, elle peut regagner son domicile. Mr. Y est adressé aux urgences par ambulance par les membres de sa famille. Il présente une détérioration progressive de son état général depuis une dizaine de jours avec asthénie importante, anorexie et perte de poids. L'état général se péjore rapidement 48h avant son hospitalisation, Mr. Y ne pouvant plus sortir de son lit. Nous mettons en évidence une insuffisance hépato-cellulaire aiguë d'origine indéterminée évoluant très rapidement. Les sérologies virales et des hépatites (A, B, C, E, HIV, CMV, EBV, VSV) reviennent négatives ou compatibles avec d'anciennes infections. L'hétéroanamnèse est négative pour une prise de toxique ou nouveau médicament. Malheureusement l'évolution est rapidement défavorable sur le plan hépatique ainsi que rénal avec apparition d'un syndrome cardio-rénal de type 1. Après discussion avec l'entourage de Mr. Y, il est décidé, selon le souhait de celui-ci, de ne pas effectuer d'investigation supplémentaire ou de procédure invasive. Des soins de confort sont effectués dès le 20.12.18. Mr. Y décède le 22.12.18. Mr. Y nous est adressé par son médecin traitant en raison d'une dyspnée chronique (NYHA II-III) en péjoration progressive depuis une semaine environ, associée à une toux chronique en augmentation ainsi qu'une augmentation du volume des expectorations. Il ne rapporte pas d'état fébrile, de frisson, de syndrome grippal ou d'IVRS. À noter que le patient décrit une péjoration progressive de sa dyspnée depuis 1 an, associée à une limitation du périmètre de marche à 200 m environ. Nous diagnostiquons une exacerbation de BPCO probablement dans un contexte de bronchite. L'évolution est favorable après majoration des aérosols de longue durée d'action, introduction d'aérosols de courte durée d'action, antibiothérapie et corticothérapie systémique durant 5 jours, et des séances de physiothérapie respiratoire. À noter que l'oxygène est difficilement sevré, sans oxygénothérapie le patient présente des valeurs de saturation entre 90-92% au repos et désature légèrement à l'effort (saturation 88-90%). Au vu du tabagisme persistant du patient ainsi que de son épouse, nous ne mettons pas en place d'oxygénothérapie pour le domicile. Nous laissons le soin au pneumologue traitant de réévaluer la situation. À noter une décompensation cardiaque légère suite au traitement par corticothérapie systémique, l'évolution est rapidement favorable avec perte de 2.4 kg suite à l'intensification du traitement diurétique. Un retour à domicile est organisé le 07.12.18. Mr. Y, 54 ans, connu pour une BPCO stade IV oxygénodépendante, présente une aggravation de sa dyspnée chronique, de sa toux et de la quantité des expectorations devenues verdâtres. Cette péjoration est apparue des suites d'une rhinite simple 3 jours auparavant. Au laboratoire, il n'a pas de syndrome inflammatoire et la radiographie de thorax ne montre pas de foyer. Au vu d'une maladie sévère, il est hospitalisé pour suite de prise en charge.Un traitement de bronchodilatateur, de prednisone et de physiothérapie respiratoire est introduit. L'évolution est favorable. A noter que les derniers examens effectués en avril 2018 par sa pneumologue, la Dr. X, montrent une nette aggravation du syndrome obstructif, actuellement de degré sévère avec une DLCO également abaissée. En raison du déconditionnement respiratoire et de l'amyotrophie, des séances ambulatoires de physiothérapie sont prescrites. Sur le plan cardiologique, Mr. Y est connu pour un épanchement péricardique d'origine indéterminée. Un US cardiaque fait aux urgences et à l'étage ne montre pas d'épanchement péricardique significatif. Sur le plan gastro-entérologique, Mr. Y se plaint de deux épisodes de perte de selles et d'urine pendant des crises d'angoisse. Il ne présente aucun déficit neurologique ni douleur dorsale. Dans ce contexte, nous demandons un consilium de gastro-entérologie qui ne met pas en évidence de baisse du tonus sphinctérien. Il n'y a pas d'indication à pousser plus les investigations. Toutefois, au vu d'une anamnèse familiale positive pour le cancer du côlon, il est fortement conseillé d'organiser une colonoscopie dès que possible. Mr. Y rentre à domicile le 14.12.2018. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs en raison d'un STEMI antérieur. Il présente des épigastralgies intenses, oppressives, constantes avec irradiation dans le bras gauche et la mâchoire, associées à une sensation de malaise. Le patient décrit des douleurs épigastriques évoluant de manière intermittente depuis 1 mois, sans amélioration malgré un traitement par IPP bien conduit. La coronarographie révèle une maladie tritronculaire avec une occlusion aiguë de l'artère interventriculaire antérieure proximale d'aspect thrombotique, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) qui est doublement stentée. Du fait de la persistance d'un angor, une deuxième coronarographie effectuée le 15.12 montre une thrombose du stent de l'IVA proximale qui est revascularisée par aspiration et ballonnement. La coronaire droite est recanalisée par 4 stents dans le même geste. Une double anti-agrégation est poursuivie avec l'adjonction d'une anticoagulation thérapeutique par Arixtra puis Xarelto selon avis cardiologique, en raison d'une akinésie apicale étendue avec FEVG abaissée à 20%. Un traitement d'Aldactone, IEC, b-bloquant et statine sont introduits. La surveillance aux soins intensifs puis à l'étage de médecine se déroule sans particularité. Le point de ponction reste calme. Au vu de la FEVG fortement abaissée et de la persistance d'une hypokinésie globale sévère à l'échographie de contrôle du 18.12.2018, une pose de CRT-D est agendée par les cardiologues pour le 03.01.2019. Nous laissons le soin au collègue de Billens de stopper l'anticoagulation thérapeutique 24h avant le geste. Une coronarographie est planifiée pour le 28.01.2019 afin de traiter la lésion restante de la circonflexe significativement sténosée. Une échocardiographie de contrôle sera réalisée à ce moment-là et l'indication à poursuivre une anticoagulation thérapeutique sera réévaluée par les cardiologues. Un transfert à Billens pour réhabilitation cardio-vasculaire est organisé le 21.12.2018. Mr. Y, patient en bonne santé habituelle, arrivé en Suisse il y a deux semaines (sans permis de séjour) après avoir quitté son pays d'origine (Guinée-Conakry) au mois d'avril et ayant traversé la Méditerranée, nous est adressé par Fri-Santé pour évaluation de douleurs abdominales crampiformes dans le quadrant supérieur droit depuis une semaine, associées à une asthénie importante avec nausée, prurit, inappétence, selles décolorées, urine foncée et ictère conjonctival nouveau. Le patient ne décrit pas de fièvre, frissons, éruption cutanée, syndrome grippal, arthralgie, myalgie ou douleur osseuse. L'anamnèse est négative pour l'usage de drogue, il ne rapporte pas non plus de rapport sexuel non protégé (dernier rapport il y a plusieurs mois sans plus de précision). Le bilan réalisé avec des sérologies pour les hépatites et HIV montre une hépatite B aiguë expliquant la symptomatologie du patient. L'ultrason abdominal revient sans grande particularité. Au vu du bon état général, de la cinétique des tests hépatiques à la baisse et de l'absence d'argument pour une hépatite fulminante, le patient regagne son domicile après une nuit d'observation. Des instructions sont données au patient concernant la contagion et les précautions à prendre pour son entourage. Le patient est informé de se présenter chez Fri-Santé en début de semaine pour un contrôle clinique. A noter la présence d'une anémie hémolytique microcytaire hypochrome hypoproliférative probablement chronique d'origine indéterminée que nous n'investiguons pas durant le séjour. Une recherche de B-thalassémie et sphérocytose devrait être réalisée si le patient régularise sa situation en Suisse. Mr. Y, 51 ans, connu pour un carcinome pulmonaire à petites cellules diagnostiqué en février de cette année, d'emblée au stade "extensive disease", est hospitalisé aux soins intensifs le 19.11.2018 en raison d'une prétamponnade et des épanchements pleuraux d'origine oncologique. Après une intervention infructueuse, une fenestration péricardique et un drain pleural sont posés sans complication. Sur le plan infectiologique, il présente deux épisodes de pneumonie (19.11 et 27.11.2018) secondaires à une infiltration tumorale de la bronche souche gauche. Il est traité par Co-Amoxicilline qui doit être arrêté le 03.12.2017 en raison d'une hépatite d'origine médicamenteuse probable. A noter qu'il est compliqué de communiquer avec Mr. Y qui ne parle pratiquement pas français ni allemand. Sur le plan oncologique, le 26.11.2018, à la demande de la famille, du patient et en accord avec le Dr. X, il est décidé d'opter pour une troisième ligne de traitement qu'il reçoit le 06.12.2019 (Adriblastine 80 mg et Endoxan 1200 mg). Dès lors, le patient péjore son état général avec un état confusionnel aigu mixte, une augmentation des œdèmes des membres inférieurs (probablement sur compression tumorale extrinsèque du drainage et chimiothérapie), des troubles anxieux, une augmentation de la dyspnée, une insomnie et une inappétence majeure. Malgré différents essais thérapeutiques avec interventions des nutritionnistes, des physiothérapeutes et l'adaptation de traitements, l'évolution est défavorable. A la demande de la famille, un essai de retour à domicile effectué du 12.12 au 13.12 se solde par un échec en raison de la lourdeur des soins nécessaires. Comme convenu lors d'un entretien précédent et dans ce contexte de maladie oncologique avancée, on opte pour des soins de confort. Suite à une rapide baisse de l'état général le 13.12, on opte pour des soins de confort et il est mis dans une chambre seule où il décède dans la nuit du 14 au 15.12.2018. Mr. Y présente une rupture de sa plastie du LCA à presque 2 ans post-opératoires pour laquelle nous retenons l'indication à une prise en charge chirurgicale sous forme d'arthroscopie diagnostique et plastie du LCA à partir du tendon rotulien ipsilatéral. En per-opératoire, les ménisques seront évalués et une prise en charge chirurgicale sous forme de résection versus suture sera réalisée au besoin. Le patient est informé de l'intervention, des risques et bénéfices ainsi que des suites post-opératoires. Il nous donne son accord en signant le formulaire de consentement. Une date opératoire est agendée pour le 08.01.2019. Une hospitalisation de 2-3 jours est prévue. Dans l'intervalle, le patient sera vu par nos collègues anesthésistes. L'arrêt de travail est prolongé à 100% jusqu'à l'intervention.Mr. Y doit poursuivre la physiothérapie. Il pourra voyager au Portugal pour les fêtes de Noël. Prochain contrôle dans 2 mois. Mr. Y est admis pour une hyperkaliémie sévère dans le contexte d'une insuffisance rénale chronique dialysée. Connu pour une insuffisance cardiaque chronique, il se présente aux urgences pour une dyspnée stade IV avec une hyperkaliémie sévère au bilan. L'évolution est favorable après dialyse avec régression des symptômes. L'hyperkaliémie est attribuée à l'insuffisance rénale et à une mauvaise compliance au traitement par Resonium. À noter que la digoxinémie est dans la norme. Le patient est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y, 73 ans, est admis aux soins intensifs dans le cadre d'une décompensation cardiaque gauche. Le patient, au décours d'une pneumonie traitée par antibiothérapie durant 7 jours, consulte pour une toux persistante associée à une dyspnée en péjoration et présente une insuffisance respiratoire hypoxémique, sans argument pour un échec du traitement anti-infectieux. L'insuffisance respiratoire est mise sur le compte d'une décompensation cardiaque gauche possiblement précipitée par l'épisode infectieux et associée à un épanchement pleural droit. Le patient est traité par oxygénothérapie, ventilation non invasive et diurétique de l'anse, et l'épanchement pleural est drainé. L'analyse de celui-ci révèle un transsudat et l'analyse microbiologique revient négative. Le facteur causal principal de la décompensation cardiaque semble être une progression de l'atteinte avec perte de fonction, dans le cadre d'une sténose aortique et une maladie coronarienne connue. L'échocardiographie transthoracique met en évidence une fraction d'éjection du ventricule gauche qui est abaissée à 25 % comparé à 40 % en 2015. L'interrogation du pace-maker que le patient porte pour un bloc atrio-ventriculaire de type Wenckebach associé à un bloc de branche gauche ne met pas en évidence de trouble du rythme. La coronarographie met en évidence une maladie coronarienne tritronculaire qui est connue et inchangée par rapport à 2015. Une sténose aortique légère est également mise en évidence mais celle-ci sera à réévaluer par une échographie de stress à la Dobutamine d'ici 3 mois. En attendant, un traitement médicamenteux optimal de l'insuffisance cardiaque est proposé. Actuellement, il est sous traitement bétabloqueur, sartan, diurétique et antagoniste de l'aldostérone. Un remplacement du sartan par l'Entresto (inhibiteur du récepteur de l'angiotensine et de la néprilysine) est proposé par les collègues cardiologues. De même, l'indication à un pace avec resynchronisation cardiaque est à discuter. Une anémie hypochrome et normocytaire est mise en évidence, liée en partie à une composante ferriprive qui sera à substituer, en partie à une insuffisance rénale chronique. Nous vous laissons le soin de discuter l'indication à la substitution en érythropoïétine avec les néphrologues. Une insuffisance rénale d'origine pré-rénale est aussi mise en évidence à l'admission et probablement liée à un syndrome cardio-rénal. Son évolution est à suivre et la reprise des néphrotoxiques, notamment antidiabétiques, est à réévaluer en fonction. Mr. Y, connu pour un carcinome rénal découvert fortuitement en octobre 2017, d'emblée métastatique, est référé dans notre service de médecine interne au terme d'une consultation ambulatoire en oncologie à l'HFR Riaz (Dr. X). Un nouveau bilan d'extension sous immunothérapie montre une progression tumorale importante, avec notamment une métastase au niveau fémoral G associée à d'importantes douleurs et un risque fracturaire. L'indication opératoire à une stabilisation du fémur G au vu du risque fracturaire élevé et à but prophylactique est dès lors retenue. À l'entrée, le patient est vu en consultation anesthésologique en vue de l'intervention chirurgicale agendée au 04.12.2018. L'anticoagulation par Xarelto pour FA connue du patient est mise en suspens le 28.11.2018 et remplacée par l'héparine i.v. en continu en prévision de l'intervention chirurgicale. Le 04.12.2018, l'intervention chirurgicale se déroule sans incident. Mr. Y est transféré en orthopédie pour suite de prise en charge. Les suites postopératoires sont simples. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cutané, puis par Héparine 5000 UI sous-cutané/j dès le 05.12.2018. La plaie opératoire évolue favorablement. Rx postop satisfaisantes. Mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Reprise de l'anticoagulation par Xarelto le 08.12.2018. Selon avis oncologique (Dr. X), il est décidé de revoir avec la radio-oncologie une éventuelle radiothérapie à 2-3 semaines postopératoires en ambulatoire. Retour à domicile le 08.12.2018. Mme. Y, 32 ans, est admise dans le cadre d'un tentamen médicamenteux. La patiente a pris une quantité inconnue de Rivotril, Quétiapine, Atarax et Zolpidem dans la journée du 28.12.2018 dans un contexte de conflit conjugal. En raison d'une anamnèse limitée par la langue, une intoxication au paracétamol est exclue biologiquement. Elle est surveillée aux soins intensifs mais ne présente pas de critères neurologiques nécessitant une intubation et l'évolution est favorable d'un point de vue somatique (cliniquement et biologiquement). Sur le plan psychiatrique, la patiente présente des idées suicidaires non systématisées persistantes. Un avis du psychiatre de garde (Dr. X) retient l'indication à une hospitalisation en milieu psychiatrique fermé à Marsens. À noter que la patiente avait effectué un tentamen médicamenteux mi-novembre 2018 avec par la suite hospitalisation à Marsens et retour à domicile le 27.12.2018. Dans ce contexte, la patiente est retransférée de manière volontaire dans la même unité (unité Vénus) le 29.12.2018. Mr. Y va essayer de reprendre un travail au mois de janvier dans son ancienne activité malgré les douleurs résiduelles. Je le reverrai pour suivre l'évolution. Mr. Y se présente aux urgences en ambulance en raison d'une baisse de l'état général survenue sur quelques semaines associée à une asthénie importante avec faiblesse généralisée, inappétence et hypo-hydratation au domicile. Il n'y a pas de notion d'état fébrile ou de frisson. La symptomatologie du patient est expliquée par des troubles acido-basiques (acidose métabolique avec compensation respiratoire) et dysélectrolytiques (hyperkaliémie sévère, hyponatrémie, hyperchlorémie) en lien avec une acidose tubulaire rénale de type IV d'origine médicamenteuse (Sartan et AINS). L'évolution est rapidement favorable après traitement par Insuline-Glucose, Résonium, hydratation et arrêt des traitements incriminés. Une insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine mixte : pré-rénale sur prise de diurétique, manque d'apport et rénale sur prise d'AINS, Sartan se corrige rapidement après arrêt des traitements néphrotoxiques, du diurétique et hydratation. Le profil tensionnel reste dans la norme malgré l'arrêt de la médication antihypertensive avec une valeur moyenne à 115/70 mmHg. Un retour au domicile avec passage infirmier bi-journalier est organisé le 10.12.18. Mr. Y, connu pour une maladie de Hodgkin classique diagnostiquée en 2006, nous est adressé en électif par son oncologue traitant pour réalisation d'un cycle de chimiothérapie selon protocole ESAP en raison d'une récidive en novembre de cette année du lymphome de Hodgkin connu. Le patient est en bon état général et hormis une légère fatigue, il ne présente pas de symptômes B. Le 1er cycle de chimiothérapie de type ESAP est débuté le 17.12.2018 et se déroule sans complication ni effet secondaire majeur. Une voie veineuse centrale est posée le 17.12.2018 pour la chimiothérapie et retirée le 21.12.2018 sans complication. Le patient effectuera l'injection de Neulasta au domicile le 22.12.2018.Une sortie est organisée le 21.12.2018. Mr. Y, 80 ans, est hospitalisé aux soins intensifs en post-opératoire d'un changement de tige de PTH pour une fracture péri-prothétique de la hanche droite. L'antalgie est bien contrôlée par le paracétamol et les opiacés. L'anticoagulation thérapeutique est reprise progressivement avec un antiXa thérapeutique depuis le 17.12.2018. La plaie opératoire suinte toujours et est suivie par l'équipe d'orthopédie. Une transfusion par 2 culots érythrocytaires a été nécessaire durant le séjour. Un suivi de l'hémoglobine et de l'antiXa est à prévoir. Un traitement antibiotique par Ceftriaxone a été mis en place le 10.12.2018 par nos collègues orthopédistes en raison d'une infection urinaire. Le germe identifié étant résistant, l'antibiotique est changé, dans un premier temps, pour de la Ciprofloxacine. Devant la persistance d'un état fébrile avec une hypotension artérielle transitoire, un traitement par Céfépime est introduit avec une bonne évolution. Nous vous proposons de poursuivre l'antibiothérapie pendant 7 jours (pas d'arguments pour une prostatite, toucher rectal sans particularités). Au vu d'une tuméfaction douloureuse du bras gauche avec hématome local et impotence fonctionnelle, une radiographie du coude droit est effectuée, révélant un arrachement du tendon distal du triceps. Un traitement conservateur est proposé par nos collègues orthopédistes. Un traitement diurétique est introduit en raison d'un bilan hydrique positif. On vous laisse le soin de continuer la déplétion avec un suivi du poids, des électrolytes et de la fonction rénale. A noter la présence d'une voie centrale jugulaire gauche datant du 14.12.2018, cette dernière est à retirer dès que les prises de sang seront journalières. Le patient, connu pour un état dépressif, était hospitalisé à l'hôpital psychiatrique de Marsens au moment de la chute ayant provoqué la fracture. Un suivi psychiatrique est à prévoir. Le patient est transféré en orthopédie pour suite de prise en charge avec suivi par les collègues de la médecine interne. Mr. Y, 81 ans, connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire stentée à plusieurs reprises, est admis pour un STEMI inférieur sur une sténose subocclusive intrastent de la coronaire droite ostiale qui est revascularisée par un stent actif. L'évolution est rapidement favorable avec disparition des douleurs, normalisation de l'ECG et un pic de CK à moins de 400 U/l. Le FeVG est conservée à la ventriculographie. Une échocardiographie transthoracique reste à effectuer avant la sortie hospitalière. L'Aspirine est à poursuivre à vie et le Clopidogrel pour 12 mois. Le traitement de bétabloqueur est poursuivi et un IEC est introduit. La Simvastatine du patient est changée par de l'Atorvastatine à dose majorée selon les équivalences. Le bilan découvre une hémoglobine glyquée à la limite de la norme qui sera à suivre. A noter que le patient était en cours de bilan pour implantation d'une PTH droite. La situation sera à rediscuter selon l'évolution cardiologique en accord avec les orthopédistes et les anesthésistes. Le patient est ensuite transféré à Riaz pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë dans le cadre d'une broncho-aspiration. Le patient est hospitalisé en chirurgie depuis le 06.12.2018 pour une hémicolectomie droite avec l'analyse anatomopathologique ayant montré un adénocarcinome invasif. L'évolution était initialement favorable avec une reprise du transit. Le patient présente le 12.12.2018 une récidive de nausées avec probable broncho-inhalation durant la pose de la sonde naso-gastrique, ayant comme conséquence une insuffisance respiratoire aiguë sur pneumonie de broncho-aspiration et motivant son admission aux soins intensifs. L'insuffisance respiratoire est traitée par ventilation non invasive et oxygénothérapie avec une évolution rapidement favorable. Concernant la pneumonie, elle est traitée par Co-amoxicilline. L'évolution clinique est favorable. Toutefois, au vu d'une aggravation biologique (syndrome inflammatoire à la hausse), le spectre antibiotique est élargi avec du Pipéracilline-Tazobactam. Un CT-scan thoraco-abdominal ne montre pas de complication majeure avec une image compatible pour une bronchopneumonie d'inhalation. A noter que l'imagerie ne montre pas de complication post-opératoire au niveau abdominal. Toutefois, selon rapport oral des collègues radiologues, on note une lésion hyperdense au niveau hépatique qu'il s'agira de corréler au contexte oncologique. Mr. Y, 53 ans, est admis pour un AVC subaigu, avec une clinique évocatrice de syndrome de Wallenberg. Le patient présentant des symptômes depuis plus de 24 h se présente aux urgences avec une perte d'équilibre et latéropulsion gauche, sans chute, durant quelques heures, puis une péjoration des symptômes avec des vertiges rotatoires, non position dépendant, et hypoesthésie de l'hémiface gauche. A noter une diplopie avec strabisme objectivé il y a un mois durant 15 min, de résolution spontanée, ainsi qu'une perte de force du membre supérieur gauche depuis quelque semaine, sans consultation médicale. Un traitement par Aspirine en charge puis d'office est administré en accord avec le neurologue de garde, et ce, malgré une petite transformation hémorragique para-falcorielle. Le CT montre aussi une occlusion de la carotide commune droite avec reprise du flux distalement. La lésion carotidienne, ainsi que la symptomatologie non typique d'une atteinte liée à la zone de vascularisation de la carotide, ne font pas retenir une indication urgente à une prise en charge interventionnelle. Le patient présente en outre une hyperglycémie à l'admission aux soins intensifs, elle est traitée par insulinothérapie intraveineuse avec un relais sous cutané, un équilibre sera à faire par la suite avec l'équipe de diabétologie (HbA1c à 12%). Mr. Y, 73 ans, est admis pour une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique. Pour rappel, le patient est hospitalisé en chirurgie à Riaz depuis le 21.12.2018 suite à une cholécystite aiguë perforée traitée initialement conservativement par Ceftriaxone et Métronidazole. L'évolution est défavorable le 28.12 avec aggravation nette des paramètres inflammatoires, justifiant une nouvelle imagerie par CT puis IRM, retrouvant une cholécystite aiguë nécrotique avec également l'apparition d'une collection péri-vésiculaire en regard du segment V, suspecte pour un biliome sur perforation vésiculaire vs un abcès. Dans ce contexte, le patient est adressé à Fribourg pour drainage biliaire le 28.12.2018. Au décours de la procédure, le patient présente une désaturation avec détresse respiratoire justifiant son admission aux soins intensifs. Un traitement de VNI est rapidement instauré permettant une amélioration clinique et gazométrique. La radiographie et le CT abdominal du matin suggèrent une origine plurifactorielle (atélectasies et pneumonie bibasale). L'antibiothérapie est changée pour du Tazobac. A noter que ce patient est ancien fumeur et relate une toux chronique fortement évocatrice d'une BPCO, sans toutefois que cela ne soit gradé. Une évaluation pneumologique serait à prévoir à distance. Sur le plan digestif, le drain biliaire est perméable et doit être rincé 3 à 4 fois par jour (NaCl 0.9% 10 ml). L'alimentation est reprise dès le 29.12.2018. Une cholécystectomie devra être réalisée dans 6 à 8 semaines. L'évolution favorable permet un transfert en chirurgie pour suite de prise en charge.Mr. Y, patient de 71 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 29.12.2018 pour une hémorragie cérébrale intraparenchymateuse avec d'emblée un mauvais pronostic. Il présente ce jour une confusion avec céphalées et baisse progressive de son GCS (Glasgow Coma Scale) à 3, motivant son intubation. Le CT cérébral montre une hémorragie intraparenchymateuse temporo-occipitale avec début d'engagement. Comme cause, on retient un pic hypertensif dans un contexte d'anticoagulation supra-thérapeutique. Au niveau hémodynamique, il est initialement hypertendu avec des besoins en Labétalol. Après quelques heures dans notre service, il présente les critères de mort cérébrale, ce qui est constaté le 30.12 à 00h40. Selon la volonté présumée du patient, obtenue de ses frères et sœurs, il est inclus dans la filière de don d'organe. Mme. Y, 71 ans, est admise pour une insuffisance respiratoire globale post-opératoire. La patiente a été opérée le 27.12.2018 d'une PTH pour une fracture de hanche survenue sur une chute lors d'un séjour en réadaptation respiratoire à Billens. L'opération avait initialement été repoussée pour une suspicion de pneumonie et est effectuée sous rachianesthésie le 27.12.2018. La patiente hypoxémique dès son admission au bloc est initialement stable et représente une désaturation dès son retour en chambre. Une insuffisance respiratoire globale dans le cadre d'une BPCO GOLD III est mise en évidence. Un traitement de VNI est initié avec contrôle gazométrique. La radiographie suggère un épanchement pleural droit. L'antibiothérapie introduite pour la pneumonie est poursuivie. Un US pleural confirme la présence d'un épanchement pleural droit qui est ponctionné et envoyé pour analyse cytologique dont le résultat sera à pister. Mr. Y est un patient de 84 ans admis pour une suspicion de STEMI. Le patient consulte pour des douleurs typiques en progression depuis plusieurs jours associées à un bloc de branche gauche sans que l'on ne connaisse l'ECG précédent. Le patient est traité comme une suspicion de STEMI et la coronarographie montre 2 lésions de la CD qui sont traitées avec des stents actifs. Il existe aussi une lésion à 40% du tronc commun. Le patient est chargé en Aspirine et Efient. L'Efient sera poursuivi à demi-dose pour 6 mois. La fonction ventriculaire gauche est à 55-60%. Un contrôle cardiologique est prévu à 1 mois chez le Dr. X et une ergométrie est à faire dans 1 an. Une ETT de contrôle est prévue dès le 10.12.2018. Nous reprenons son traitement habituel par sartan et renonçons à l'introduction de béta-bloquant devant une bradycardie sinusale. À noter qu'après renseignements pris auprès du médecin traitant, le bloc de branche gauche est connu depuis 2013. Devant un souffle fémoral droit, nous demandons un bilan angiologique, chez ce patient par ailleurs connu pour une AOMI avec angioplastie récente en août 2018. Le bilan ne retrouve pas d'anomalie, le souffle étant déjà connu. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge le 10.12.2018. Mr. Y se représente aux urgences en ambulance en raison d'une faiblesse des membres inférieurs. Le patient rapporte une chute d'origine mécanique le 12.11.18 ayant motivé une consultation aux urgences. Depuis la chute, le patient décrit une difficulté à se lever du lit ou d'une chaise en raison de douleur musculaire des quadriceps. Il ne présente pas de paresthésie, hypoesthésie ou de douleur ostéo-articulaire. Un trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle est mis en évidence : sur déconditionnement musculaire, douleur m. quadriceps post-traumatique et probable polyneuropathie débutante des membres inférieurs (absence de réflexe achilléen ddc, pallesthésie 7/8 (malléole, pré-tibiale ddc), Romberg instable à la fermeture des yeux). Le bilan de polyneuropathie avec HbA1C, TSH, Vit B12, B1, B9 revient dans la norme, une origine éthylique est suspectée chez ce patient avec une consommation d'alcool à risque. L'évolution est rapidement favorable grâce aux séances de physiothérapie que le patient poursuivra en ambulatoire. Le moyen auxiliaire (canne simple) n'a pas besoin d'être adapté. Un retour au domicile est organisé le 19.11.18. Mr. Y se présente aux urgences en ambulance le 14.12.2018 en raison de troubles de l'état de conscience présents depuis le 13.12.2018. À l'hétéro-anamnèse auprès de son épouse, celle-ci rapporte un épisode d'hypoglycémie la veille, corrigé après resucrage. Selon l'entourage, le patient présente une baisse progressive de l'état général apparue sur quelques semaines avec une asthénie importante, une confusion d'apparition progressive ainsi qu'une inappétence. Nous diagnostiquons une encéphalopathie hépatique dans le cadre d'une pneumonie basale droite sur probable broncho-aspiration au domicile, hypoglycémie et déshydratation. L'évolution est lentement favorable après antibiothérapie, hydratation IV et per os, et traitement laxatif par Duphalac. La pneumonie évolue favorablement sous antibiothérapie par Rocéphine durant 7 jours et des séances de physiothérapie. Au vu d'un déconditionnement physique important, déjà présent au domicile mais fortement accentué par l'immobilisation durant l'hospitalisation, des séances de physiothérapie sont débutées. Après discussion avec le patient et son entourage familial, une suite est organisée à la villa Saint-François. Le patient ainsi que son entourage souhaitent une prise en charge clairement palliative axée sur le confort du patient. Un retour à domicile semble non envisageable pour le moment en raison d'un épuisement de l'entourage et de l'état général actuel du patient. La situation globale, ainsi que le projet définitif, seront réévalués par les collègues de Saint-François selon l'évolution clinique. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique de son diabète de type 1. Le patient a consulté aux urgences pour une nouvelle décompensation acido-cétosique dans le contexte d'une balanite et probable malcompliance médicamenteuse. L'évolution est favorable après insulinothérapie intraveineuse, expansion volémique et substitution électrolytique. Les glycémies et le status acido-basique s'améliorent progressivement avec des bicarbonates dans la norme à la gazométrie du 15.12.2018. Nous diagnostiquons une probable balanite dans un contexte de phimosis et hygiène locale insuffisante. Sur avis urologique, nous introduisons un traitement local par bain de Chlorhexidine et amukina du 14.12.18 au 18.12.18 avec un relais par crème Kamillosan à partir du 19.12.18. En raison d'une culture de frottis positive pour C. Albicans, nous introduisons un traitement topique par Imacort du 18.12.18 au 01.01.19. En commun accord avec le patient, nous renonçons à effectuer une circoncision au cours de l'hospitalisation. Toutefois, au vu de balanites à répétition, le patient est d'accord pour une circoncision en ambulatoire. Nous organisons un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X le 09.01.19 à 14:00 afin d'organiser la suite de la prise en charge. À noter qu'en raison d'un toucher rectal douloureux, un traitement de ciproxine pour une prostatite est instauré du 11.12.18 au 01.01.19. Sur avis de nos collègues de la diabétologie, nous n'effectuons pas d'adaptation du traitement diabétique. Nous organisons une consultation de contrôle le 04.01.19 à 14:00.A noter qu'il s'agit de la 8 ème admission en urgence pour une décompensation diabétique cette année avec des mises en danger à répétition chez un patient ne présentant pas de capacité de discernement face à sa maladie diabétique. A noter que la curatrice de gestion du patient a également le rôle de veiller au bien-être social et médical du patient avec une adaptation des mesures de curatelle en cas de besoin. Dans ce contexte, après discussion avec Mme. Y, une lettre de signalement lui est adressée le 21.12.2018 mentionnant les mises en danger récidivantes et la nécessité d'élargissement des mesures de protection. Le patient rentre au domicile le 19.12.2018 avec la suite du suivi en ambulatoire auprès des diabétologues. Le retour au domicile est permis en absence de mise en danger immédiat, chez un patient venant régulièrement aux consultations de diabétologie. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une décompensation acido-cétosique d'un diabète de type 1. Le patient est adressé par l'infirmière des soins à domicile pour une décompensation diabétique. Le bilan d'entrée met en évidence une glycémie à 20 mmol/l avec une décompensation acido-cétosique. Un traitement par insuline intra-veineuse est initié, avec correction progressive du tableau glycémique et surtout de l'acidose métabolique, permettant la reprise de son traitement habituel par Tresiba 70 UI/jour et d'Humalog pré-prandial dès le 14.12.2018. Comme facteur déclencheur de la décompensation actuelle, nous retenons une balanite qui est traitée depuis 4 jours par la Ciprofloxacine avec une indication à la circoncision posée par les urologues mais refusée par le patient. Cela sera à rediscuter avec le patient ultérieurement. Notons également une HbA1c à 14% qui suggère une mauvaise compliance médicamenteuse. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 14.12.2018. Mr. Y nous est transféré de Marsens pour investigation de céphalées inhabituelles depuis 1 semaine associées à un état fébrile depuis 2 jours et un rash cutané ce jour d'origine indéterminée dans un contexte de mastoïdectomie gauche pour infection à répétition il y a 1 mois. Aux urgences, face à une clinique atypique, nous écartons une infection du système nerveux central avec un liquide céphalo-rachidien sans particularité. Un contrôle ORL montre également des suites opératoires dans la norme sans signe d'infection locale. Face à une perturbation des tests hépatiques, un état fébrile, leucopénie, une thrombopénie et un rash cutané, nous recherchons une infection virale avec des sérologies pour CMV, EBV, HIV et hépatites qui s'avèrent négatives. Nous n'avons également pas d'argument en faveur d'un syndrome malin des neuroleptiques. Nous retenons une perturbation des tests hépatiques associés à une pancytopénie liée à la prise de Tégrétol et proposons d'arrêter ce traitement. Nous reverrons le patient dans 48h afin de contrôler l'évolution des tests hépatiques et de la pancytopénie. Mr. Y est hospitalisé en électif pour une pose de pacemaker, dans un contexte de fibrillation auriculaire permanente et en prévision d'un TAVI. La pose du pacemaker se déroule sans complication, il fonctionne de manière satisfaisante au contrôle immédiat. A la radiographie thoracique de contrôle, on ne retrouve pas de pneumothorax. La médication habituelle est reprise sans modification. Un contrôle de la plaie est organisé à J9 et le contrôle du pacemaker aura lieu dans 4-6 semaines, Mr. Y sera convoqué par le service de cardiologie. Mr. Y, 67 ans, présente le 15.11.2018 un AVC cérébral moyen sur occlusion carotidienne droite, avec un échec de revascularisation endovasculaire. L'évolution est marquée par un œdème cérébral massif nécessitant une hémi-craniectomie droite le 20.11.2018. Le patient est retransféré trachéotomisé aux soins intensifs de Fribourg le 24.11.2018. L'amélioration de la situation respiratoire permet un retrait de la trachéotomie, mais en présence d'un déficit majeur persistant, une neuroréhabilitation est proposée. Les suites chirurgicales après l'hémi-craniectomie sont simples. La ré-implantation de la calotte crânienne sera à prévoir mi-janvier 2019. En attendant, le port du casque est obligatoire pour toute mobilisation. A noter un escarre au niveau de la cicatrice de craniectomie évoluant favorablement qui reste à suivre cliniquement. L'évolution neurologique montre une légère amélioration en cours de séjour. Il persiste un hémisyndrome sensitivo-moteur gauche complet, une héminégligence et une aphasie fluctuante. Au 11.12.2018, le patient est collaborant, calme, et arrive à appeler (tape sur le lit ou active la sonnette). Il persiste des apnées centrales, une sédation trop importante est à éviter. Le patient présente le 11.12.2018 une tachycardie ventriculaire non soutenue et nous poursuivons les bêtabloqueurs, à augmenter selon fréquence cardiaque. Un Holter sera à effectuer en cours de réhabilitation (mi-janvier 2019) et une IRM cardiaque à envisager à distance dans le cadre de la sarcoïdose. Les troubles de déglutition sont en voie d'amélioration, avec une protection adéquate des voies respiratoires. L'alimentation p.o. est à suivre de près, sous surveillance stricte par les soins. Au vu de multiples retraits de la sonde naso-gastrique par le patient, un gastrotube est posé le 18.12.2018 sans complications. Après avis psychiatrique, un antidépresseur est débuté dans le cadre de troubles dépressifs sévères probablement réactionnels. Au vu de vomissements nouveaux le lendemain, la thérapie est à réévaluer. Le patient est transféré à la Clinique Bernoise de réhabilitation à Cran-Montana le 20.12.2018 en attente d'une place à la Suva à Sion, au vu de la proximité de la fille.Le patient présente le 11.12.2018 une tachycardie ventriculaire non soutenue, sur cœur sain (écho 04.12.2018), mais avec présence d'un bloc de branche droit et dans le contexte d'une sarcoïdose pulmonaire connue. Le traitement par bétabloqueurs pourrait être augmenté si la fréquence cardiaque le permet. Selon avis du Dr. X, un Holter est à faire en cours de réhabilitation (mi-janvier 2019). Une IRM cardiaque est à envisager à distance. Le lieu de neuroréhabilitation n'est pas encore défini. Le patient avait été inscrit à la clinique SUVA à Sion, la fille du patient y habitant, mais notre nouvelle demande du 11.12.2018 révèle qu'il n'y a pas de place dans les 3-4 semaines à venir. La suite reste donc à discuter avec la famille qui est au courant de la situation et qui passera dans l'après-midi du 12.12.2018. Mr. Y, 81 ans, est admis aux soins intensifs pour un choc septique sur pyélonéphrite obstructive sur calcul rénal gauche le 28.11.2018, compliqué d'une insuffisance rénale et thrombopénie. Il se présente avec un tableau de choc septique aux urgences avec une symptomatologie respiratoire initiale, faisant suspecter une pneumonie, qui est traité par Rocéphine et Klacid. Les hémocultures revenant positives pour un E. Coli ouvrent le diagnostic différentiel d'une piste urinaire, motivant un CT abdominal qui confirme une lithiase obstructive proximale à gauche. L'antibiothérapie par Rocéphine est poursuivie et le patient bénéficie d'une pose de sonde double J. Le choc initial nécessite des remplissages ciblés avec un soutien aminergique, sevré après 24 heures. L'insuffisance rénale est d'origine mixte, prérénale et post-rénale sur la lithiase. Après levée de l'obstacle et optimisation hémodynamique, la fonction rénale s'améliore progressivement. À l'admission, le patient est en FA, attribué au drive adrénergique dans le contexte du sepsis, qui se convertit spontanément. Une échocardiographie montre une cardiopathie d'origine encore indéterminée. Une échocardiographie de contrôle est indiquée après une semaine pour voir l'évolution. En cas de persistance de la dysfonction, une coronarographie est indiquée. Une anticoagulation est à réévaluer en cas de récidive de fibrillation auriculaire. Une thrombopénie est attribuée au choc septique. En l'absence d'héparine, un HIT est exclu. 2 concentrés plaquettaires sont transfusés en peropératoire. Une thromboprophylaxie par héparine est introduite dès le 01.01.2018. L'insuffisance respiratoire est d'origine plurifactorielle (sepsis, surcharge hydrique après remplissage, cardiopathie, syndrome restrictif, SAOS). Le patient bénéficie de la physiothérapie respiratoire avec VNI intermittente avec une évolution rapidement favorable. On observe la nuit du 01.12.2018 un état confusionnel aigu, nécessitant un traitement par benzodiazépines. Une origine éthylique semble peu probable au vu d'une faible consommation à l'anamnèse et l'absence de stigmates biologiques au laboratoire. Un traitement par Haldol en réserve est instauré. Il est transféré en médecine le 02.12.2018 pour suite de prise en charge. Macro-hématurie macroscopique dans le cadre de l'adénocarcinome de la vessie. Macro-hématurie macroscopique d'origine indéterminée : DDx : Caillotage vessie. Macro-adénome hypophysaire non sécrétant avec panhypopituitarisme le 18.12.2018. Macrocytose chez le patient avec troubles de la marche connus le 06.12.2018. Macrocytose sur OH. Status post bypass gastrique. Gastrite probablement d'origine toxique sur OH, post bypass. Déficit en Vitamine B12. Macro-hématurie. Macrohématurie. Macrohématurie asymptomatique le 01.12.2018 (épisode unique). Macro-hématurie asymptomatique le 19.12.2018 - Hb 140 g/l. Macrohématurie avec caillot intra-vésicale - rétention urinaire aiguë. Macrohématurie chez Mme. Y sous Xarelto, avec colonisation à Enterococcus faecalis et E. Coli le 19.02.2018. Pyélonéphrite gauche le 22.09.2017. Pyélonéphrite gauche le 27.06.2018 - contexte de Bricker depuis 2014 - translocation bactérienne à E. Coli. Thrombose veine mésentérique inférieure le 06.10.2017. Multiples opérations intra-abdominales avec : nombreuses opérations abdominales pour malformation digestive dans l'enfance - hystérectomie vaginale totale pour hyperménorrhée en janvier 2005 - adhésiolyse pour iléus en 2009 - laparoscopie exploratrice, adhésiolyse intestinale et annexectomie bilatérale en août 2013 - résection anastomose d'une sténose de l'uretère gauche en octobre 2013 - cystectomie avec dérivation selon Bricker pour vessie atone le 14.11.2014 (Dr. X, Dr. X) - cure de hernie cicatricielle par laparotomie le 04.05.2015 - cure de hernie hiatale. Tentamen médicamenteux avec hospitalisation à Marsens le 28.09.2016 - syndrome sérotoninergique incomplet (absence d'hyperthermie) sur intoxication aux SSRI le 28.09.2016. Brûlure des paumes des deux mains le 14.07.2015. Opération des cordes vocales pour œdème de Quincke (?) en 2001 et 2009, avec dysphonie séquellaire. Opérations pour épicondylite aux membres supérieurs en 1995 et 2003. Accouchement par voie basse en 1993. Hyponatrémie à 108 mmol/l hypo-osmolaire hypovolémique d'origine mixte le 29.05.2018 avec : pertes extra-rénales (néo-vessie), SIADH médicamenteux, diurétiques, dénutrition. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 le 29.05.2018 sur syndrome hépato-rénal. Syndrome de QT long (QTc 505 ms) le 29.05.2018. DD : médicamenteux (Escitalopram), troubles électrolytiques. Candidose oesophagienne en 06.2018. Brûlures aux 1er et 2e degrés, superficie de 10% du corps (cuisses ddc non circonférentiel, abdomen G) le 26.06.2018. Fracture extra-articulaire du radius distal le 04.09.2018. Douleur abdominale chronique avec ballonnement important le 20.10.2018 - hernie de paroi cicatricielle en fosse iliaque gauche - abdomen cicatriciel - péjoration dans le contexte de pancréatite aiguë sur chronique. CT abdominal le 20.10.2018. Consilium chirurgical le 23.10.2018 (Dr. X) : hernie symptomatique en FIG, mais actuellement non incarcérée -> pas d'indication opératoire - progression hépatomégalie, avec ascite péri-hépatique - probable pancréatite aiguë sur chronique (signe œdème du sillon pancréato-duodénal). Ciprofloxacine p.o. du 22.10 au 29.10.2018. Méléna anamnestique, ayant cessé à l'entrée le 20.10.2018. ATCD : ulcères gastriques le 20.06.2018 avec : 2 ulcères bulbaires sans vaisseau visible ni signe de saignement - 1 érosion du fundus gastrique du côté de la grande courbure - traitement conservateur avec Pantoprazol. Suivi clinique - Hb stable, pas de méléna durant l'hospitalisation. Avis Dr. X : poursuite IPP, pas d'indication à OGD actuellement. IRA AKIN 2 le 22.10.2018 - pré-rénal : FeUrée à 16.7%. DD : sur produit de contraste du CT du 20.10.2018. Macrohématurie dans le contexte de thrombopénie. Macrohématurie DD sur hypertrophie de la prostate. Pose de sonde 3 voies le 24.12.2018 avec rinçages continus jusqu'au 27.12.2018. Macrohématurie d'origine indéterminée. Macrohématurie le 17.11.2018 dans le contexte d'un sondage à domicile depuis le 12.11.2018 et clexane prophylactique. Macrohématurie le 17.12.2018 traumatique - sur traction sur la sonde urinaire. Macrohématurie post-sondage vésicale. Macrohématurie récidivante dans le contexte de Bricker le 29.05.2018. Hépatomégalie stéatosique multi-nodulaire avec signes de décompensation cirrhotique (hypertension portale, ascite) - Child B (9 pts le 07.06.2018), Child B (7 points le 26.11.2018) - OGD le 20.06.2018 : pas de varice œsophagienne. Consultation gastroentérologique chez le Dr. X le 27.06.2018 à 9h45. Insuffisance hépato-cellulaire sur hépatite alcoolique le 29.05.2018 avec : trouble de la crase - syndrome hépato-rénal.• Encéphalopathie hépatique grade II • Ammoniémie 88 umol/l • Facteur V 49% • Score MELD 22 • Maddrey 47.6 pts (20.8 pts à J2) • Sérologies HAV, HBV, HCV, HIV négatives • DOT hépatites auto-immunes négatif • Pancréatite chronique d'origine éthylique probable • Pancréatite aiguë d'origine éthylique les 04.10.2017, 22.02.2018 et 20.10.2018 • Pancréatite aiguë Balthazar A le 29.05.2018 avec : pseudokystes pancréatiques nouveaux (IRM du 27.02.2018 : pas de pseudokystes pancréatiques) • IRM abdominale le 06.06.2018 : pseudokyste pancréatique • F 10.2 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool • Syndrome de dépendance • F33.4 Trouble dépressif récurrent • F60.3 Personnalité émotionnellement labile • Idéations suicidaires scénarisées avec hospitalisation à Marsens en 2014 et 2016 • Suivi par Dr. X, Mr. Y (infirmier) au Centre d'addictologie Fribourg Consilium psychiatrie le 25.10.2018 : poursuite du traitement actuel et suivi en ambulatoire Avis du MT Dr. X le 23.11.2018 : patiente en isolement social, culpabilise beaucoup sur sa consommation OH avec des moments de perte de contrôle totale, retour à domicile pas indiqué. Avis curatrice Virginie Kuenlin le 27.11.2018 : une institutionalisation n'est pas envisageable connaissant la patiente qui mettrait le pied au mur complètement, étendre la curatelle ne servirait à rien non plus. Elle propose de mettre sur pied l'infirmière de psychiatrie à domicile. Beaucoup de semaines où elle gère très bien son quotidien avec des moments où elle perd le contrôle total. Avis Dr. X RFSM : ne veut pas imposer des choses, pas d'adaptation du traitement. Propose que Mr. Y (infirmier au RFSM) passe une fois par semaine lui mettre un cadre à condition qu'elle ait des SAD pour les problèmes somatiques 1-2/semaine. Propose d'ensuite la voir en ambulatoire. • Macrohématurie sur auto-manipulation de la sonde urinaire le 15.11.2018 • Rétention urinaire aiguë le 15.11.2018 • Macrohématurie sur cystoprostatite subaiguë en mars 2015 • Résection transurétrale de la prostate 2005 • Statut après cure d'hernies inguinales bilatérales en 1992 (Espagne) • Statut après appendicectomie dans l'enfance • Ancien tabagisme (pipe) • Macrohématurie sur tumeur solide à papillaire de la vessie. Mme. Y est admise en raison d'une insuffisance respiratoire globale sur un œdème aigu du poumon d'origine cardiogénique. La patiente est connue pour une cardiomyopathie de non-compaction avec dysfonction systolique sévère pour laquelle un pacemaker-défibrillateur bicaméral a été implanté. Elle se présente au service des urgences en détresse respiratoire aiguë avec une dyspnée depuis 24h accompagnée de fièvre et frissons dans un contexte de toux sèche depuis 7 jours. L'évolution clinique est favorable suite à la déplétion par diurétiques et le soutien ventilatoire par VNI. Le bilan biologique, électrocardiographique et échocardiographique permet d'exclure une origine ischémique. L'interrogation du pacemaker ne trouve pas d'arythmies malignes. Au vu de l'hétéroanamnèse et de la radiographie thoracique d'entrée, une possible cause infectieuse d'origine pulmonaire est suspectée. Les cultures reviennent négatives mais les expectorations montrent la présence de S. aureus sensible à la Co-Amoxicilline. Une antibiothérapie empirique par Augmentin est initiée pour une durée de 7 jours. Un foyer infectieux d'origine dentaire était également suspecté. Après consultation dentaire, il n'y a pas de foyer actif mais des foyers apicaux chroniques nécessitant une prise en charge en ambulatoire. L'état dentaire ne contre-indique pas un geste chirurgical mais une antibioprophylaxie par Augmentin lors du geste est préconisée. Concernant le problème cardiaque, une échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 30% sans trouble de la cinétique ni valvulopathie. Après discussion avec les collègues de la cardiologie, il s'agit d'une cardiomyopathie de non-compaction avec trabéculations essentiellement apicales (pas d'effet CMHO ou d'obstruction dynamique) avec présence de QRS larges nouveaux. Ils retiennent l'indication à une anticoagulation thérapeutique ainsi que la pose d'une sonde de re-synchronisation qui aura lieu le 03.01.2019 par Dr. X. La décompensation cardiaque s'accompagne d'une insuffisance rénale aiguë avec acidose lactique chez une patiente oligoanurique. Un remplissage prudent permet d'améliorer la diurèse ainsi que la créatinémie. Celle-ci sera à suivre en ambulatoire chez le médecin traitant avec éventuelle adaptation du traitement diurétique. Mme. Y peut rentrer à domicile le 13.12.2018 avec un contrôle clinique et biologique chez son médecin traitant à agender. Mme. Y est admise le 22.12.2018 aux soins intensifs en post-opératoire d'une résection du grêle pour iléus sur bride compliqué d'une bronchoaspiration. L'intervention consiste en une laparotomie avec adhésiolyse et résection segmentaire du grêle. La surveillance s'avère sans complications. L'hypokaliémie se corrige après substitution potassique. L'antalgie est bien contrôlée. Une antibiothérapie est maintenue pour une durée totale de 7 jours à cause d'une pneumopathie d'inhalation. Concernant l'alimentation, on vous laisse le soin de décider la nécessité de démarrer une alimentation parentérale. À noter un hydrops vésiculaire sans calcul radio-opaque visible et sans autre signe de cholécystite de découverte fortuite sur le CT thoraco-abdominal. La patiente est transférée à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 82 ans, adressée par le service de médecine interne de l'HFR Meyriez pour une baisse de l'état général avec une perte d'appétit et une perte pondérale. La patiente rapporte un contexte d'épuisement de devoir s'occuper de son mari mal-voyant, et elle a mal vécu le placement provisoire de ce dernier dans l'EMS Murten. Elle présente une humeur dépressive et une perte d'appétit sans troubles du sommeil associés sous Seresta et Trittico. Cliniquement, Mme. Y est asthénique avec des œdèmes des membres inférieurs bilatéraux. La patiente est mariée et vit encore à la maison. Elle s'occupe beaucoup de son mari malvoyant et a beaucoup de soutien dans différentes AVQ par le Spitex, les repas à domicile et ses enfants. Une évaluation diététique confirme une malnutrition protéino-énergétique, probablement dans le cadre d'un épisode dépressif léger. Des adaptations du régime ainsi qu'un supplément nutritif oral sont proposés à Mme. Y que celle-ci ne souhaite pas pour le moment. Par contre, les différentes substitutions vitaminiques sont poursuivies durant le séjour hospitalier. Devant la décompensation cardiaque probablement d'origine multifactorielle, le traitement diurétique est adapté plusieurs fois permettant d'atteindre un poids de sortie d'environ 69 kg, ce qui reste pourtant légèrement plus élevé que le poids "sec" estimé à 67-68 kg. Nous vous laissons le soin de suivre cette évolution. À noter qu'une échocardiographie n'a pas montré de cardiopathie structurelle ni de valvulopathie significative, avec une FEVG dans la norme. Le bilan biologique initial parle en faveur d'une insuffisance rénale chronique stade 4 ainsi qu'une hypothyroïdie insuffisamment substituée que nous vous proposons de recontrôler dans 6 semaines. Une anémie normochrome et macrocytaire reste stable durant l'hospitalisation, raison pour laquelle nous décidons de ne pas transfuser la patiente dans le cadre des multiples comorbidités. Parallèlement, la patiente bénéficie de séances de physio- et d'ergothérapie intensives. À l'entrée, elle effectue les transferts avec une aide de contact et se déplace sous supervision avec un rollator. Le Tinetti est à 11/28. À la fin de l'hospitalisation, Mme. Y est autonome dans les transferts, se mobilise sous supervision avec un rollator et peut monter 9 marches d'escalier avec une aide moyenne. Le Tinetti est à 17/28. Sur souhait explicite de la patiente et sa famille, Mme. Y peut regagner son domicile le 15.12.2018 en état général amélioré, avec le passage du spitex deux fois par jour. Mme. Y est une patiente de 63 ans qui nous est transférée de Tavel suite à la mise en évidence d'une appendicite aiguë. La patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 08.12.2018. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 09.12.2018. Mme. Y est une patiente de 51 ans, connue pour un carcinome mammaire invasif avec métastases au niveau cérébral, hépatique et pulmonaire (épanchement pleural G), est hospitalisée par son oncologue traitant le Dr. X pour une faiblesse des MI en péjoration depuis 2-3 jours et par conséquent des soins impossibles à domicile. Une IRM de la colonne totale est effectuée et montre des infiltrations diffuses de carcinomatose méningée, une hydromyélie cervicale ainsi que de multiples lésions centimétriques évocatrices de métastases osseuses. Un consilium neurologique pose le diagnostic de parésie bilatérale sur carcinose méningée avec hydromyélie cervicale et propose un essai de ponction lombaire soustractive. Celle-ci est réalisée mais n'engendre pas d'amélioration symptomatologique. Au niveau radio-oncologique, il n'y a pas d'indication de prise en charge vu la nature diffuse des lésions et la radiothérapie rachidienne déjà effectuée cet été. Au niveau oncologique, la patiente bénéficie d'une chimiothérapie palliative par Caelyx le 30.11.2018. Ce protocole est à répéter une fois par mois. Le Dr. X préconise un essai de diminution progressive de la corticothérapie. Durant le séjour, nous mettons en évidence une rétention urinaire à l'ultrason, raison pour laquelle nous posons une sonde et demandons un avis à nos collègues urologues. Un scanner des voies urinaires montre une importante dilatation urétéro-pyélocalicielle droite en rapport avec une masse obstructive de la jonction urétéro-vésicale droite. L'indication à une intervention transurétrale pour résection de cette masse et pose de sonde double J n'est finalement pas retenue, après discussion avec la patiente et son mari, vu le contexte palliatif de la prise en charge. Durant le séjour, nous poursuivons l'anticoagulation thérapeutique après contrôle biologique. Rappelons qu'une anticoagulation thérapeutique est à poursuivre vu les antécédents thrombo-emboliques de la patiente, y compris sous anticoagulation orale. Concernant le diabète cortico-induit, un suivi étroit des glycémies est réalisé et le schéma d'insuline est régulièrement adapté selon les indications de nos collègues de diabétologie. Ce suivi pourra se poursuivre à Meyrier. Le jour précédent son départ, la patiente présente une dyspnée aiguë avec tachypnée sans désaturation. Nous effectuons un ultrason qui ne met pas en évidence d'épanchement. Une radiographie thoracique sans foyer mis en évidence et un bilan biologique est encore effectué le 5.12.2018 que nous vous laissons le soin de pister. Mme. Y est transférée à Meyrier le 6.12.2018 pour une réadaptation palliative. L'objectif de la patiente serait un retour à domicile après aménagements de celui-ci par son mari. Mme. Y, âgée de 86 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH G de révision le 31.10.2018. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile dans un appartement sur un seul étage ; ascenseur dans le bâtiment. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente se plaint de douleurs au genou G. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. Souffle aortique diastolique 2/6 à l'auscultation cardiaque. Présence d'OMI jusqu'aux mollets. La force du MIG est cotée à M2 en proximal globalement et la sensibilité est conservée, celle du MID est cotée M3 avec une sensibilité également conservée. Force du quadriceps gauche à M2 / droite à M3. Amplitudes articulaires de la hanche G en flexion à 40° en actif et 70° en passif. Durant son séjour, elle a présenté une réaction anxieuse à l'opération et à l'hospitalisation et une insomnie non organique. Un avis auprès de la Dr. X, psychiatre de liaison, a été demandé et après discussion, nous avons décidé de maintenir le traitement déjà en place. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec tintébin sur périmètre limité en charge partielle de 15 kg. Les amplitudes articulaires de la hanche G montrent une flexion en actif à 40° et en passif à 70°. La force au MIG est cotée à M2+ pour le quadriceps et à M2 pour le psoas. Après 3 semaines et demi d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre l'UATO le 06.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à l'UATO. Mme. Y est une patiente de 40 ans qui se présente aux urgences pour des douleurs péri-anales depuis 3 jours en augmentation. A l'examen clinique, elle présente un abcès péri-anal droit nécessitant une incision et contra-incision avec mise en place d'un drain. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 02.12.2018. Mme. Y est une patiente de 78 ans connue pour un diabète, une artériopathie avec des ulcères chroniques, anticoagulée par Sintrom pour une FA paroxystique et suivie en dialyse pour une insuffisance rénale terminale, actuellement institutionnalisée au Home de la Sarine. Elle nous est adressée le 06.12.2018 par les collègues néphrologues pour un nouvel épisode de FA rapide (160 bpm) avant le branchement de dialyse accompagnée d'une hypotension, de douleurs rétrosternales atypiques et d'enzymes à cinétiques positives. La coronarographie montre une maladie tritronculaire avec 2 lésions serrées (ostia Cx et IVA), et 2 lésions < 50% de l'IVA et la CD qui ne sont pas traitées. La fonction ventriculaire gauche est à 65%. L'Aspirine est à prendre à vie et la patiente est chargée en Clopidogrel qui est à poursuivre pendant 3 mois. Le Sintrom sera repris par les néphrologues lors des séances de dialyse. En cas de récidive de FA, les cardiologues proposent d'envisager une fermeture du LAA. Une hypertension artérielle sévère est mise en évidence lors de l'hospitalisation. Elle est initialement traitée par des nitrées iv puis une majoration du traitement est débutée. Mme. Y est dialysée le lendemain de sa coronarographie. La diurèse déjà forcée par diurétiques reste bonne, malgré l'injection de produit de contraste. La patiente est ensuite transférée en unité de médecine. A l'étage de médecine, la patiente présente une péjoration de sa toux avec un état fébril à 38.7° le 12.12.2018. Une radiographie thoracique est effectuée et montre une majoration de l'épanchement pleural gauche avec des troubles ventilatoires de la base gauche, sans qu'une surinfection ne puisse être exclue. Nous avons également prélevé des hémocultures périphériques dont 1 sur 4 s'est positivée pour E. coli multisensible, raison pour laquelle elle est mise sous Ceftriaxone du 12.12 au 20.12.2018.D'importantes rectorragies sont constatées le 13.12.2018 pour lesquelles nous effectuons un angio-CT abdominal le 14.12.2018 ne montrant pas de colite ischémique mais une suspicion de proctite. Une rectosigmoïdoscopie en urgence le même jour, ainsi qu'une colonoscopie (uniquement colon gauche) et une OGD le 17.12.2018, ne montrent pas de lésions suspectes ni de source de saignement actif. Dans ce contexte, la patiente reçoit 2 culots érythrocytaires le 15.12.2018 et est traitée par Pantozol. Selon l'avis gastroentérologique du Dr. X, une colonoscopie supplémentaire n'est pas nécessaire dans un premier temps, à réévaluer en cas de nouveaux saignements. Au vu de valeurs d'hémoglobine encore suboptimales, deux nouveaux culots érythrocytaires sont donnés entre le 15.12 et le 20.12.2018 en dialyse. Une nouvelle thoracocentèse est réalisée le 21.12.2018, en raison de récidive d'un épanchement pleural à gauche. L'analyse du liquide pleural décrit la présence d'un transsudat, l'analyse cytologique est elle encore en cours. Au vu d'une bonne évolution à la fois clinique et biologique, Mme. Y peut retourner au Home Médicalisé de la Sarine, le 22.12.2018 après sa séance de dialyse. Mme. Y est une patiente de 78 ans connue pour un diabète, une artériopathie avec des ulcères chroniques, anticoagulée par Sintrom pour une FA paroxystique et suivie en dialyse en insuffisance rénale terminale par le Dr. X, actuellement institutionnalisée au Home de la Sarine. Elle nous est envoyée le 27.11.2018 par nos collègues de la dialyse en raison d'une péjoration de sa dyspnée, afin d'être hospitalisée en médecine. La patiente, afébrile et compensée, présente depuis 3 jours une dyspnée en péjoration avec toux et expectorations blanches puis jaunâtres. La dernière dialyse réalisée le jour même (27.11.2018) n'a pas permis une amélioration de cette dyspnée. Une évaluation clinique et biologique permet d'exclure une cause infectieuse à sa dyspnée et démontre la présence d'épanchements pleuraux bilatéraux visibles sur la radiographie thoracique. Au vu d'une dyspnée et d'un besoin d'oxygène persistants, une ponction pleurale sous US est réalisée par nos collègues de la radiologie le 28.11.2018. Environ 700 ml de liquide a pu être prélevé et son analyse démontre la présence d'un transsudat. Les résultats de cytologie et microbiologie pleurale montrent la présence d'hématies et de débris cellulaires, ainsi que des cultures toujours négatives à 3 jours. Une radiographie de contrôle post-ponction montre une nette amélioration de l'épanchement et il en résulte également une bonne amélioration clinique de la patiente. Un sevrage de l'oxygène est possible le 30.11.2018. Au vu de la nette amélioration clinique, Mme. Y peut retourner en état général satisfaisant au Home de la Sarine une fois sa séance de dialyse terminée le 01.12.2018. Mme. Y est une patiente de 91 ans connue pour une HTA et une FA anticoagulée, amenée le 11.12.2018 en ambulance en raison d'une baisse de l'état général depuis une semaine. La patiente a été traitée pour une bronchite fin novembre, par antibiothérapie. Après l'arrêt des antibiotiques, la patiente décrivait une baisse de l'état général avec une dyspnée en progression, des œdèmes des membres supérieurs et inférieurs. Une radiographie de thorax a été effectuée et montrait une augmentation du syndrome alvéolo-interstitiel surtout sur la plage pulmonaire droite. Une échographie transthoracique effectuée le 12.12.2018 décrivait une FEVG 65%, une sténose aortique modérée, des cavités droites dilatées et une insuffisance tricuspidienne modérée. Au vu d'un tableau clinique, biologique et radiographique de décompensation cardiaque globale probablement dans un contexte post-infectieux, la patiente a été traitée par ventilation non invasive (VNI) au service des urgences et Lasix du 11.12 au 15.12.2018. Malgré une amélioration clinique les premiers jours, la patiente a présenté le 15.12.2018 une insuffisance respiratoire globale. Elle a été traitée par Lasix, aérosols (Atrovent et Ventolin) et VNI à l'étage. L'état clinique de la patiente ne s'améliorant pas et après discussion avec sa fille, les soins de confort ont été entamés. Mme. Y décède paisiblement le 15.12.2018 à 16h00 entourée de sa famille. Mme. Y est adressée à l'HFR Tavel par l'HFR Fribourg pour une baisse de l'état général et l'investigation d'une anémie. La patiente rapporte depuis plusieurs jours une baisse de l'état général avec asthénie, inappétence et difficulté à se mobiliser. Elle est tombée à plusieurs reprises à la maison sans traumatisme crânien. Depuis sa dernière hospitalisation en février 2018, elle a pris 12 kilogrammes. À l'entrée, Mme. Y est hypertendue à 161/86, afébrile, et présente des œdèmes importants et douloureux aux membres inférieurs. Elle présente également des douleurs à la palpation abdominale dans le quadrant inférieur gauche, sans défense ni détente. À l'entrée, la patiente est hypertendue et présente des œdèmes importants aux membres inférieurs. Un avis néphrologique est demandé. Une électrophorèse des protéines revient négative. Une récolte des urines sur 24 heures montre une protéinurie de 4,96 g/l/24h. Au vu du tableau clinique actuel et des antécédents, les néphrologues ne souhaitent pas d'effectuer d'examen complémentaire supplémentaire, notamment une biopsie rénale. Cette patiente présente un syndrome néphrotique sur néphropathie diabétique dans le contexte d'un diabète mal soigné en raison d'une compliance douteuse (HbA1c depuis 2010 entre 10 et 14%). Nous adaptons le traitement antihypertenseur avec majoration du Lisinopril, introduisons du Torasemide et du Métolazone. Nous proposons de limiter au maximum les investigations avec produits de contraste dans le futur et de maintenir un suivi rapproché du poids et des œdèmes par l'équipe des soins à domicile. Quant à l'anémie, après un bilan complet, nous concluons à une étiologie rénale. Un traitement d'EPO par Aranesp est initié. Sur le plan thyroïdien, nous majorons le traitement de Levothyroxine en raison d'un bilan pathologique et proposons un contrôle par le médecin traitant dans 3 mois. Sur le plan psychiatrique, la patiente présente une thymie abaissée lors de l'hospitalisation. Un consilium psychiatrique est organisé et le relais est effectué avec son psychiatre traitant. Mme. Y rentre à domicile le 21.12.2018 avec de l'aide à domicile 3 fois par semaine. Mme. Y est une patiente de 53 ans connue pour un syndrome métabolique avec un diabète difficilement équilibrable, qui est hospitalisée en électif le 17.12.2018 en prévision d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie. Le traitement antidiabétique est adapté en pré-opératoire et l'intervention se déroule le 19.12.2018 sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples avec une patiente qui reste apyrétique et bien soulagée au niveau algique par la prescription standard. En vue de la bonne évolution clinique, Mme. Y peut regagner son domicile le 22.12.2018 en bon état général. Elle sera revue pour un contrôle à la consultation du Dr. X le 22.01.2019 à 10h00. Sur le plan diabétologique, nous instaurons un nouveau schéma d'insuline rapide et nous mettons en suspend les antidiabétiques oraux. La patiente prendra contact le jeudi avec le Dr. X, diabétologue, pour la suite de la prise en charge de son diabète. Mme. Y, patiente de 72 ans connue pour un trouble dépressif, nous est transférée de l'Inselspital le 17.12.2018 pour suite de prise en charge d'une hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche et pariétale droite du 28.11.2018 dans un contexte d'angiopathie amyloïde.La patiente a consulté le 28.11.2018 en raison de l'apparition des paresthésies à la main droite avec extension proximale suivi par une parésie du membre supérieur droit vers 7h du matin (à distance du réveil), avec sensation de chaleur irradiant vers l'épaule. Elle sollicite sa fille qui l'amène au service des urgences. Après un CT cérébral montrant une HSA frontale gauche et pariétale droite, elle est transférée à l'Inselspital pour suite de prise en charge. À Berne, l'IRM cérébrale du 29.11.2018 parle en faveur de microbleeds et d'une angiopathie amyloïde. Aucune intervention chirurgicale n'est réalisée. La patiente relate des épisodes de parésies de la main droite avec dernier épisode le 15.12.2018. Elle rapporte aussi des secousses non contrôlées de la main d'une durée de quelques minutes, spontanément résolutives. Un traitement de Keppra est introduit devant une suspicion d'épilepsie focale et majorée à 1500 mg/j. La patiente présente des troubles de la marche depuis plusieurs années avec des vertiges occasionnels non investigués et plusieurs épisodes de chute. À son arrivée à Berne, la patiente n'a pas de plainte particulière, hormis ses troubles de la marche et de l'équilibre. Le statut d'entrée montre une patiente orientée et collaborante, avec une ataxie au talon-genou bilatérale et un Romberg instable. Après discussion avec les neurologues, le diagnostic d'angiopathie amyloïde avancée avec haut risque de saignement est retenu. Un traitement par aspirine cardio ou une anticoagulation sont contre-indiqués, tout comme un traitement par statine. Il n'existe malheureusement pas de traitement spécifique et un contrôle strict de la tension artérielle avec une cible <130/80 mmHg est recommandé. La patiente bénéficie de physiothérapie et d'une évaluation ergothérapeutique. Un bilan neuropsychologique est aussi indiqué mais n'a pas pu être réalisé avant son transfert en réhabilitation. Une telle évaluation pourra être effectuée à Meyriez. Concernant l'épilepsie focale, le traitement de Keppra introduit à l'Inselspital est poursuivi. La patiente sera reconvoquée pour un contrôle EEG à 3 mois à Berne. Mme. Y est transférée à Meyriez en neuroréhabilitation intensive le 21.12.2018 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 94 ans, connue pour des lombalgies chroniques et une fibrillation auriculaire anticoagulée, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz en raison d'une baisse de son état général avec nausées et vomissements progressant sur une semaine. À noter une antalgie récente par Palladon et AINS, dans le contexte de lombalgies en aggravation. Aux urgences, une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 est mise en évidence d'origine pré-rénale sur déshydratation clinique. La patiente bénéficie d'une hydratation parentérale avec mise en suspens du traitement par IEC et digoxine, la digoxinémie étant mesurée en dessus des cibles, avec modification à l'électrocardiogramme. Une macrohématurie sur INR supra-thérapeutique est de même retrouvée et traitée par Konakion et mise en suspens de l'anticoagulation orale. La patiente est admise en gériatrie aiguë HFR Riaz le jour même pour suite de sa prise en charge. Durant le séjour dans notre service, et malgré remplissage, les valeurs de créatininémie se péjorent avec répercussion électrolytique et acido-basique. Selon avis de Dr. X, néphrologue, une microhématurie persistante et une protéinurie sélective motivent la suspicion d'une atteinte glomérulaire dont le diagnostic différentiel reste large, avec notamment une minimal change disease sur prise d'AINS ou une glomérulonéphrite extra-membraneuse. Un bilan étiologique étendu est ainsi réalisé et, dans l'intervalle, un traitement empirique par corticothérapie débuté, avec poursuite de l'hydratation parentérale. L'évolution clinique est favorable, avec initiation d'un traitement par diurétiques et oxygénothérapie pour décompensation cardiaque secondaire au remplissage et à la corticothérapie. Malheureusement, au vu de sa fragilité, la patiente développe un sepsis sur probable origine digestive avec syndrome inflammatoire et péritonisme, motivant une couverture antibiotique empirique à large spectre. Une recherche de C. Difficile se révèle non pathologique en l'absence de toxines. Cependant, l'évolution clinique est progressivement défavorable et, au vu de l'attitude restreinte et non invasive souhaitée par la patiente et sa famille, Mme. Y décède le 30.11.2018 à 11h40. Mme. Y est une patiente de 80 ans qui est admise aux soins intensifs le 19.12.2018 pour un syndrome coronarien aigu secondaire à une resténose subtotale intrastent de l'artère coronaire droite. Elle bénéficie d'une coronarographie avec angioplastie par ballon. Après l'intervention, la patiente se plaignant de douleurs abdominales intenses, un CT scan abdominal met en évidence un hémopéritoine, faisant suspecter une complication de la ponction artérielle lors de la coronarographie. La patiente est alors prise au bloc opératoire pour une laparoscopie exploratrice qui retrouve un iléus sur bride au niveau du grêle avec nécrose intestinale. Une conversion par laparotomie est effectuée avec une résection segmentaire de l'intestin grêle et une anastomose directe. Les suites postopératoires sont simples. Après discussion avec le cardiologue (Dr. X), l'anti-agrégation est adaptée pour une monothérapie par Efient 5 mg/jour pour 6 mois suivie d'Aspirine à vie. La SNG a été retirée en l'absence de résidu ramené. L'antibiothérapie prophylactique par ceftriaxone/Métronidazole est à poursuivre jusqu'au 22.12.2018. Mme. Y, patiente de 73 ans connue pour des troubles de la marche et de l'équilibre suite à un polytraumatisme en 2015, nous est transférée du service d'orthopédie de l'Hôpital Cantonal de Fribourg pour une réadaptation suite à une PTH G. Pour rappel, cette patiente a été hospitalisée pour une fracture du col du fémur gauche Garden IV sur chute à domicile le 18.10.2018 et une PTH gauche a été implantée le 19.10.2018 sans complications. Le bilan radiologique en post-opératoire est satisfaisant et l'évolution clinique positive. La plaie évolue favorablement. Au cours de l'hospitalisation, elle a développé une infection urinaire compliquée à E. coli résistant à la ciprofloxacine pour laquelle elle a été mise sous traitement antibiotique par Ceftriaxone. À l'admission, elle n'a pas de plainte spontanée. Les paramètres vitaux sont alignés. Cliniquement, elle présente une hypoesthésie du pied gauche (connue depuis l'accident en 2015) et une mobilisation de la hanche diminuée dans tous les axes en raison de l'intervention récente. Concernant l'infection urinaire à l'admission, elle est résolutive après fin du traitement antibiotique par Ceftriaxone par voie parentérale. L'hypokaliémie est également résolutive après substitution. Avant l'intervention, la patiente vivait avec son époux dans une maison à deux étages. Elle était indépendante dans les ADLs et IADLs et s'occupait de son mari qui a présenté des multiples problèmes de santé récemment. Elle marchait sans moyens auxiliaires, rapportait des chutes fréquentes en raison de troubles de l'équilibre suite à son accident en 2015 et conduisait toujours. Une réhabilitation musculosquelettale avec physiothérapie et ergothérapie est commencée avec le but d'un retour à domicile avec mise en place des aides. À l'entrée, il subsiste une diminution de la mobilité avec un risque de chute important. La patiente effectue seule les transferts (FIM 6/7) et peut marcher jusqu'à 120 m avec cannes (FIM 6/7), peut monter 18 marches avec des cannes (FIM 5/7). Le Tinetti est mesuré à 15/28 avec cannes.La réadaptation multidisciplinaire intensive et individuelle avec physio- et ergothérapie a permis de rendre la marche plus sûre et d'améliorer la condition. A la sortie, la patiente fait les transferts de manière autonome (FIM 6/7), peut marcher à l'aide de deux béquilles de manière autonome (FIM 6/7) et monter les escaliers à l'aide des béquilles ou de la barrière (FIM 6/7). Le Tinetti a progressé à 20/28 avec deux béquilles. Il persiste une indication à la physiothérapie ambulatoire. Le patient est indépendant au retour à son domicile et ne souhaite pas d'aides à la maison. Nous expliquons à Mme. Y l'interdiction de conduire jusqu'au contrôle en orthopédie. Mme. Y rentre le 07.12.2018 à son domicile dans des conditions générales stables. Mme. Y est une patiente de 60 ans, connue pour un antécédent de pneumothorax spontané il y a 40 ans, qui consulte en raison d'une dyspnée rapidement progressive depuis 3 jours, accompagnée d'une douleur de l'hémithorax droit. Le bilan radiologique effectué aux urgences met en évidence un pneumothorax droit de 26 mm. Nous procédons à un drainage aux urgences qui se déroule sans complication. L'évolution clinique est par la suite défavorable avec une persistance de signes de pneumothorax. Dans ce cadre, Mme. Y bénéficie d'une thoracoscopie droite, adhésiolyse, résection apicale (bulles)/réduction volumique, talcage qui se déroule sans complication. Dans les suites opératoires, les douleurs sont contrôlées par un traitement opiacé. Les drains thoraciques sont retirés les 16 et 17.12.2018 avec un contrôle radiologique sans particularité. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 17.12.18 en bon état général et respiratoire, et confortable sur le plan antalgique. Elle sera revue à la consultation de chirurgie thoracique le 25.01.2018 à 11h30. Mme. Y est hospitalisée suite à une inhalation de fumée après un incendie à domicile. Elle a été réveillée par ses chiens qui ont remarqué un feu dans la cuisine. Des planches de bois ont pris feu sur le four électrique. Elle a sauvé plusieurs chiens et perroquets et par la suite elle a essayé d'éteindre le feu. Elle a fait plusieurs aller-retours dans sa cuisine. A l'admission aux urgences, elle a de la suie autour de la bouche et des narines ainsi qu'au niveau du pharynx. Elle est intubée sous vidéo laryngoscopie pour compléter le bilan. La nasofibroscopie par l'ORL ne retrouve pas d'oedème laryngé important ni de lésions muqueuses oro-nasales. La bronchoscopie ne révèle pas de lésions bronchiques, mais un enduit diffus de suie qui est nettoyé. Sur demande de la pneumologue (Dr. X), une antibiothérapie prophylactique par Augmentin est introduite pour une durée de 5 jours. La bronchoscopie de contrôle (Dr. X) montre un état bronchique superposable. La patiente est extubée avec une bonne tolérance. Concernant les brûlures cutanées, un avis auprès de la plasticienne de garde du CHUV (Dr. X) est demandé. La surface atteinte est estimée à 9 % avec des brûlures de 2ème degré (visage, crâne, haut du dos) et 2ème-3ème degré (avant-bras gauche). Un transfert au centre des brûlés est jugé non nécessaire. Le protocole est établi par la réfection journalière des pansements par Jelonet+Ialugen avec un suivi au 48 heures par nos collègues du CHUV. Le rappel anti-tétanique est administré. L'évolution des lésions cutanées est favorable et nous vous laissons le soin de continuer les pansements selon le protocole. Une consultation ambulatoire de chirurgie plastique est à organiser. Sur le plan cardiaque, le double traitement antiplaquettaire est repris. Son traitement de bêtabloquant est repris à une dose réduite et le Lisinopril reste en suspens. Nous vous laissons le soin de reprendre son traitement selon le profil tensionnel. Une conjonctivite bilatérale est traitée par vitamine A et la patiente va bénéficier d'un examen ophtalmologique pour exclure une atteinte de la cornée. A noter un syndrome inflammatoire sans leucocytose ni état fébrile qui reste à surveiller. Dans le contexte traumatique, la patiente présente une réaction dépressive, raison pour laquelle un avis psychiatrique est demandé. La patiente est transférée à l'étage pour suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 58 ans, est hospitalisée pour surveillance respiratoire suite à une inhalation de fumée après un incendie à domicile. Le 15.12.2018, elle est réveillée le soir par ses chiens qui auraient remarqué un feu dans la cuisine. Les plaques de cuisson sur lesquelles étaient posées des planches en bois décoratives auraient pris feu lorsqu'elles avaient été allumées par mégarde par la patiente dans l'obscurité. La patiente aurait effectué plusieurs aller-retours entre l'extérieur et son domicile pour tenter de sauver ses nombreux animaux de compagnie. Plusieurs d'entre eux seraient malgré tout décédés dans l'incendie. A l'arrivée des ambulanciers, elle décrit une dyspnée aigüe et des vertiges. A son arrivée aux urgences, elle a de la suie autour de la bouche et des narines ainsi qu'au niveau du pharynx. Des brûlures cutanées sont remarquées au niveau du bras gauche, du visage et du dos. Ses paramètres vitaux sont dans la norme. Un laboratoire met en évidence une carboxyhémoglobine à 7.6 %. La patiente bénéficie d'oxygène à haut débit, d'un traitement unique par Cyanokit, ainsi que de pansements avec du Ialugen. Selon la plasticienne de garde du CHUV (Dr. X), après visualisation des photos estimant la surface atteinte à 9 %, il n'y a pas la nécessité d'un transfert au centre des brûlés. Elle recommande une surveillance respiratoire aux soins intensifs d'au moins 48 heures, ainsi que la réfection journalière des pansements jusqu'au 20.12.2018 puis 1x tous les 48 heures dès lors. Aux soins intensifs, la patiente est intubée sous vidéo laryngoscopie pour compléter le bilan. La nasofibroscopie ne retrouve pas d'oedème laryngé important ni de lésions muqueuses oro-nasales. La bronchoscopie ne révèle pas de lésions bronchiques, mais un enduit diffus de suie qui est nettoyé. Sur demande de la pneumologue (Dr. X), une antibiothérapie prophylactique par Augmentin est introduite pour une durée de 5 jours. Le rappel anti-tétanique est administré. Une bronchoscopie de contrôle effectuée le 17.12.2018 montre un état bronchique superposable, ne nécessitant pas de gestes supplémentaires. La patiente peut donc être extubée sans répercussion sur le plan respiratoire. La patiente est ensuite transférée à l'étage de médecine interne. Sous traitement quotidien de Ialugen et Jelonet, l'évolution des plaies est favorable. La patiente ne se plaint pas de douleurs. Elle bénéficie également d'une prise en charge spécialisée par physio- et ergothérapeutes, avec évolution favorable. Nous vous laissons le soin de continuer les pansements selon le protocole. Sur le plan cardiaque, le traitement habituel est réintroduit, avec une bonne tolérance hémodynamique. Sur le plan psychologique, la patiente exhibe une réaction physiologique à un événement traumatique. Selon avis du psychiatre, la patiente ne présente aucun signe de gravité et il est recommandé qu'elle continue son traitement de Sertraline habituel. Finalement, une conjonctivite bilatérale est initialement traitée par vitamine A crème. Le contrôle ophtalmologique qui suit exclut une lésion cornéenne. La patiente quitte l'hôpital le 21.12.2018 et rentre habiter chez sa fille, bénéficiant d'une prise en charge ambulatoire par physio-, ergo- et stomathérapie.Mme. Baumgartner était réveillée par ses chiens qui ont remarqué un feu dans la cuisine. Des planches de bois ont pris feu sur le four électrique. Elle a sauvé plusieurs chiens et perroquets et par la suite, elle a essayé d'éteindre le feu. Elle a dû faire plusieurs aller-retours dans sa cuisine, elle a de la suie autour de la bouche et dans les narines ainsi qu'au niveau du pharynx. Mme. Benninger, connue pour une maladie d'Alzheimer avancée et une hypertension artérielle, résidant au home de Billens, est amenée aux urgences en ambulance le 23.11.2018 en raison d'un état fébrile à 38,7°C avec désaturation. À noter également une baisse de l'état général depuis quelques semaines. Vous la visitez le 22.11.2018 et administrez une dose unique d'Augmentin. L'anamnèse avec la patiente est impossible au vu de ses troubles cognitifs. À l'admission aux urgences, Mme. Benninger est légèrement hypotendue à 108/57 mmHg, normocarde à 70/min, apyrétique à 35,4°C et sature à 92% à l'air ambiant. À l'auscultation cardiaque, le rythme est irrégulier avec extrasystoles et il n'y a pas de souffle ausculté. L'auscultation pulmonaire met en évidence des râles grossiers en base droite. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'examen neurologique est difficile à réaliser, la patiente est somnolente et non collaborante. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 254 mg/l et une leucocytose à 17 g/l, le reste est aligné. Le sédiment urinaire est propre. À la radiographie thoracique, on voit un épaississement bronchique péri-hilaire droit sans foyer franc. La patiente est hospitalisée en médecine pour surveillance clinique et antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine. Le 28.11.2018, la patiente fait probablement une broncho-aspiration sur fausse route. Nous continuons donc l'antibiothérapie par Rocéphine jusqu'au 30.11.2018, puis nous changeons avec la Céfépime 2g iv 2x/jour suite à une péjoration du syndrome inflammatoire. Nous demandons de la physiothérapie respiratoire qui n'est pas concluante, ce qui nous amène à aspirer les sécrétions bronchiques. Un test de la déglutition effectué le 30.11.2018 montre des troubles de la déglutition quand la patiente est somnolente et dans ce contexte, nous recommandons l'épaississement des liquides (consistance nectar) et une alimentation mixée-lisse. Sous la nouvelle antibiothérapie, l'évolution clinique et biologique est favorable et Mme. Benninger peut regagner le home de Billens le 10.12.2018. Mme. Benz est une patiente de 31 ans qui avait été hospitalisée à la fin octobre 2018 pour une appendicite aiguë compliquée d'un phlegmon et iléite terminale traitée alors conservativement par antibiothérapie. Elle est hospitalisée ce jour en vue d'une appendicectomie laparoscopique. L'intervention susmentionnée a été réalisée le 14.12.2018 sans complication. Les suites opératoires sont simples avec des douleurs gérées par une antalgie simple. La patiente a pu s'alimenter et se mobiliser correctement. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut regagner son domicile le 16.12.2018. Mme. Berard, connue pour une insuffisance veineuse des membres inférieurs et une hypertension artérielle traitée, présente une dyspnée brutalement acutisée de stade III à IV depuis 1 semaine, avec apparition d'un état fébrile et frissons, associée à une pollakiurie le 02.12.2018. Elle nous est adressée en ambulance par Medhome pour la suite de la prise en charge. Sur site, la patiente se présente avec un état général diminué. T°C 39, FC 110 bpm, TA 126/58 mmHg, FR 30/min, SpO2 à 84% à l'air ambiant, rétablie à 92% sous 3L d'O2 aux lunettes. Un traitement par Rocéphine IV est débuté après réception des analyses urinaires pathologiques, associée à un syndrome inflammatoire important à l'analyse biologique avec CRP à 339 mg/l. Une bactériémie à E. Coli ESBL est mise en évidence par la suite, nous amenant à cibler l'antibiothérapie avec la Ciprofloxacine. L'évolution sous ce traitement est favorable. Sur le plan respiratoire, Mme. Berard est connue pour une dyspnée chronique habituellement de stade III non investiguée. Dans le cadre d'une maladie variqueuse chronique, une maladie thrombo-embolique chronique ou embolie pulmonaire est suspectée. En raison d'une insuffisance rénale aiguë, une scintigraphie pulmonaire est réalisée, permettant d'exclure cette hypothèse. En revanche, nous retrouvons une clinique de décompensation cardiaque globale se développant sur le séjour, avec signe de surcharge clinique et radiologique. Une échographie transthoracique du 03.12.2018 est de mauvaise qualité et ne montre rien de pathologique, toutefois, au vu de la clinique très évocatrice, nous suspectons une dysfonction ventriculaire gauche. Après introduction d'un traitement diurétique, la dyspnée s'améliore. Nous vous laissons le soin d'organiser un nouveau bilan cardiaque, ainsi que des fonctions pulmonaires à distance. Nous proposons à la patiente de suivre son poids tous les jours. Au cours de l'hospitalisation, Mme. Berard présente une crise de goutte avec tophus du 3ème IPD à droite. Suite à l'avis des rhumatologues, un traitement aigu d'AINS 400 mg 3x/jour, ainsi qu'un traitement de fond avec Colchicine 1 mg 1x/jour (arrêt du traitement en raison des diarrhées) et Allopurinol 100 mg 1x/jour est mis en place. La patiente sera convoquée en rhumatologie dans 4 semaines pour suivi clinique. Sur le plan médicamenteux, le traitement d'Omesartan est remplacé par du Losartan en raison d'une action uricosurique. L'introduction d'un bêta-bloquant est à discuter. En raison d'un profil tensionnel dans la norme, le Zanidip est suspendu. Suite à une évolution favorable clinico-biologique, Mme. Berard rentre à domicile le 14.12.2018 avec les mêmes soins précédant cette hospitalisation (les soins à domicile 2x/jours ainsi que des soins infirmiers 1x/semaine). Une consultation à domicile au cours de la semaine prochaine est prévue par vous-même. Mme. Berset est une patiente de 82 ans, opérée le 07.11.2018 d'une gastrectomie sub-totale avec curage ganglionnaire et gastro-jéjunostomie sous laparoscopie en raison d'un adénocarcinome de l'estomac diagnostiqué en octobre 2018. Elle est notamment connue pour une cardiopathie dysrythmique avec une fibrillation auriculaire paroxystique anticoagulée par Sintrom, ainsi qu'un antécédent d'embolie pulmonaire post-opératoire en 2016. L'anticoagulation orale a été suspendue une semaine avant l'intervention, et reprise à dose prophylactique 4h après l'intervention, avec une indication à une mobilisation précoce au vu de ses antécédents. Les suites opératoires sont dans un premier temps simples et afébriles. En raison d'un manque d'appétit, une voie veineuse centrale est mise en place du 07.11 au 19.11 pour couvrir les besoins énergétiques. Le 20.11.2018, la patiente présente des signes de choc hémorragique, motivant la réalisation d'un CT abdominal en urgence qui retrouve une rupture de la rate. Une embolisation sélective est effectuée en urgence, permettant un arrêt du saignement, et la patiente est ensuite hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. En raison du choc, la transfusion de 6 CE, de 2 PFC et de Cyklokapron est nécessaire, ainsi qu'une réanimation volémique importante. Par la suite, la patiente présente une hypervolémie avec des épanchements pleuraux liés au remplissage majeur durant le choc. L'évolution est ensuite favorable sous traitement diurétique. Le 25.11.2018, la patiente regagne notre service. Mme. Berset est dans un premier temps stable hémodynamiquement, mais par la suite, elle développe une dyspnée importante, avec une saturation à 75% sous air ambiant. Un syndrome inflammatoire en augmentation est également remarqué, et un nouveau CT thoraco-abdominal est réalisé, montrant la présence d'une embolie pulmonaire segmentaire lobaire inférieure droite, ainsi qu'un thrombus au niveau de la veine jugulaire interne droite sur un statut post-implantation d'une voie veineuse centrale. Des épanchements pleuraux importants sont également mis en évidence, sans signe infectieux, raison pour laquelle nous mettons en place un drain thoracique. Par la suite, la patiente reste dyspnéique avec des besoins en oxygène qui augmentent jusqu'à 8 litres, raison pour laquelle elle est une nouvelle fois transférée aux soins intensifs le 27.11.2018.Le 29.11.18, la patiente remonte à l'étage. Sur le plan respiratoire, elle présente une nette amélioration et ne nécessite plus d'oxygène. Elle bénéficie également de séances de physiothérapie avec VNI. Sur le plan digestif, on note l'apparition de selles diarrhéiques plusieurs fois par jour. Des cultures de selles sont réalisées et reviennent négatives. Le 06.12.18, au vu de l'amélioration clinique et biologique avec une baisse du syndrome inflammatoire, un transfert en réhabilitation à Riaz est organisé. Nous réalisons le relais de la liquémine iv par un traitement de Clexane et reprenons également le traitement par Sintrom. Nous laissons le soin à nos collègues de Riaz de pister l'INR du lendemain et d'adapter les doses en fonction de l'INR. Lors du transfert, la patiente est toujours sous nutrition parentérale et nous laissons également le soin à nos collègues de revoir l'indication selon l'évolution clinique. Mme. Y est une patiente hospitalisée dans un contexte de décompensation cardiaque à prédominance gauche. En effet, elle présente l'apparition progressive d'une dyspnée prédominante à l'effort. Nous l'hospitalisons afin d'effectuer une adaptation de son traitement, notamment par majoration de son traitement bêta-bloquant et diurétiques. La patiente répond favorablement, avec minoration progressive de la dyspnée et sevrage de l'oxygène. La patiente a déjà effectué cette année un ultrason cardiaque, c'est pourquoi nous ne répétons pas l'examen. Au vu de l'amélioration, Mme. Y peut rentrer à domicile le 13.12.2018 avec poursuite de l'aide à domicile. Un contrôle du pacemaker aura lieu le jour de la sortie le 13.12.2018. Un rendez-vous de suivi chez son médecin-traitant sera également agendé. Mme. Y, une patiente de 87 ans dont les antécédents vous sont bien connus, est hospitalisée à notre étage de médecine suite à une chute mécanique le 01.12.2018. Elle a perdu l'équilibre lors d'un mouvement mal contrôlé pour fermer une fenêtre et chute de sa hauteur avec TC frontal sans PC ni AC, et reste au sol près de 2 heures avant d'appeler les secours, incapable de se relever. Un CT cérébro-cervical effectué aux urgences a permis d'exclure une lésion traumatique ou un saignement. La patiente n'a heureusement pas d'autre traumatisme important suite à cette chute. Elle présente uniquement un hématome périorbitaire associé à une hémorragie sous-conjonctivale du côté gauche, ainsi qu'une diminution de l'autonomie et de la sécurité à la marche. Des lombosacralgies dues au décubitus prolongé au sol sont bien contrôlées par une antalgie simple. Une carence en vitamine D sévère est substituée et nous proposons une substitution à long terme avec Calcimagon D3 Forte par la suite. Elle bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation précoce permettant une évolution rapidement favorable et est reclassée le 04.12.2018 en attente d'une place en réadaptation gériatrique afin de poursuivre la récupération de son autonomie avant le retour au domicile. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière suite à un remplacement de la valve aortique avec une prothèse biologique le 19.10.2018 (Dr. X - Clinique Beau-Site / Hirslanden) sur sténose aortique sévère. Le traitement cardiovasculaire à l'entrée comprend de l'Aspirine 100 mg, Beloc Zok 100 mg, Co-Irbesartan 150/12.5 mg, Moduretic 5/50 mg. Durant son séjour, la patiente présente des TA légèrement élevées, raison pour laquelle nous majorons l'Aprovel à 300 mg le 09.11.2018. À sa sortie, nous réinstaurons le traitement que la patiente avait avant son arrivée chez nous. Au niveau rythmique, la patiente présente un épisode de fibrillation auriculaire à 150 bpm le 13.11.2018 se manifestant par des palpitations. Sur avis du Dr. X, nous administrons 1 cp d'Eliquis 5 mg et de la Cordarone iv 300 mg dans 200 cc de glucose 5% iv en 2h. Suite à cela, la patiente reçoit 2 cp de Cordarone 200 mg per os et retrouve un rythme régulier et sinusal avec une FC à 50 bpm. Nous prescrivons une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/j pendant 3 mois que nous proposons de réévaluer à distance avec réalisation d'un Holter 15 jours avant. Le schéma de Cordarone est le suivant : 200 mg 3x/j dès le 14.11.2018 puis relais à 2x/jour du 15.11.2018 au 17.11.2018 puis relais à 1x/jour dès le 18.11.2018 avec réévaluation de la Cordarone à 1 mois. Nous expliquons à la patiente qu'en cas de récidive de palpitations avec un rythme irrégulier, elle peut prendre 3 cp d'emblée/j pendant 3 jours et voir si la sensation de trouble du rythme s'améliore. Dans le cas contraire, elle consultera les urgences ou son médecin traitant. Sur le plan infectieux, le 14.11.2018, Mme. Y se plaint d'une obstruction nasale avec évolution favorable spontanée. Elle se plaint également de maux de gorge avec présence d'expectorations, sans toux. Au status, nous n'avons pas d'argument en faveur d'une pneumonie ou d'une angine. Au laboratoire, nous observons une CRP à 32 mg/l, sans leucocytose. Nous proposons à la patiente d'effectuer des rinçages à l'eau salée et de reconsulter son médecin traitant en cas d'apparition de fièvre ou de péjoration. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et a bien pu progresser tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 3 km/h pendant 30 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 130 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.9 mmol/l, des HDL à 1.25 mmol/l, des LDL à 2.91 mmol/l, des triglycérides à 0.77 mmol/l. • La patiente est traitée par Beloc Zok 50 mg 2x/j et Aprovel 300 mg 1x/j. Sous ce traitement, la TA est stable aux alentours de 130/60 mmHg. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 144/69 mmHg et une FC à 60 bpm. Mme. Y, patiente de 81 ans, est hospitalisée en électif pour la pose d'un pacemaker de resynchronisation dans le cadre d'une insuffisance cardiaque systolique d'étiologie indéterminée. La patiente bénéficie de la pose du pacemaker Biotronik, Edora 8 HF - T QP en stimulation DDD le 6.12.2018. La radiographie de thorax de contrôle met en évidence un pneumothorax gauche de 3 cm, chez une patiente asymptomatique. Il est décidé toutefois, au vu de l'étendue du pneumothorax, de pourvoir la patiente d'un drain thoracique, qui est retiré deux jours plus tard. La radiographie de contrôle post-ablation de drain montre un léger pneumothorax résiduel de 2 mm. La patiente développe un volumineux hématome au point d'implantation du pacemaker qui reste stable durant l'hospitalisation sans symptomatologie douloureuse avec une hémoglobine également stable. Un contrôle de la plaie à 10 jours par l'infirmière de cardiologie est organisé avec un contrôle du défibrillateur à 4-6 semaines dans le service de cardiologie.Au vu d'un profil tensionnel bas, nous réduisons le dosage de l'aldactone. Dans le cadre d'une insuffisance cardiaque à FEVG diminuée, un traitement d'IEC est à réévaluer selon l'évolution du profil tensionnel. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à l'UATO le 11.12.2018. Mme. Y présente ce jour un status du genou rassurant après une probable décompensation arthrosique du genou G, d'évolution favorable sous AINS (Voltarène). J'ai proposé à la patiente de poursuivre le traitement d'AINS au coup par coup, étant donné l'amélioration spontanée. Je reste bien évidemment à disposition en cas de besoin. Fin du traitement. Mme. Y souffre d'une coxarthrose avancée sur une nécrose de la tête du fémur à gauche. C'est pour cette raison qu'elle présente également des gonalgies. Il s'agit d'une douleur projetée mais qui a son origine en regard de l'arthrose de la hanche gauche. Seulement une prothèse de hanche pourrait améliorer la situation. J'explique à la patiente qu'une telle intervention chirurgicale, à 90 ans, doit être bien réfléchie. Techniquement, c'est tout à fait faisable mais accompagné de beaucoup de risques péri-opératoires vu les co-morbidités plutôt importantes de Mme. Y (insuffisance respiratoire, insuffisance cardiaque, hypertension artérielle, cardiopathie hypertensive, flotter auriculaire non anti-coagulé) pour ne citer que certains problèmes. Je déconseille à Mme. Y de se faire opérer d'une prothèse totale de hanche. Si la patiente désire néanmoins cette intervention, on pourrait discuter de l'implantation d'une prothèse céphalique de la hanche gauche, ceci sous réserve de l'accord des anesthésistes de l'HFR Riaz. La patiente réfléchira et me recontactera en cas de besoin. Mme. Y, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est hospitalisée en mode électif le 12.12.2018 pour préparation à une colonoscopie. À l'admission dans notre service, la patiente n'a pas de plainte ni de douleur. Elle est légèrement anxieuse du déroulement de la préparation à la colonoscopie compte tenu de la dernière expérience. L'examen clinique est dans la norme, l'ECG et le laboratoire sont sans particularité. Selon le protocole, Mme. Y boit un litre de préparation colique dans la soirée du 12.12.2018, 1 litre d'hydratation sur la nuit et un troisième litre de la préparation à 06h00 du matin le 13.12.2018 en vue de la coloscopie planifiée vers 12h00. Dans la matinée, en l'absence de selle malgré les 3 litres bus, nous prévenons l'infirmière en endoscopie qui déplace le rendez-vous en fin d'après-midi et recommande de boire un quatrième litre de la préparation. La patiente trouve cette préparation extrêmement déplaisante, décrivant des nausées et un épisode de vomissement lors du troisième litre avalé. Apparition de selles en fin de matinée, permettant l'initiation de l'examen. Lors de la colonoscopie effectuée dans l'après-midi, la progression de l'endoscope est très difficile en raison de la présence de nombreuses selles semi-liquides et l'examen s'arrête avant l'angle colique droit. Autant que la préparation le permette, la muqueuse semble d'allure normale, sans polype visualisé. Dr. X propose de discuter de la suite de la prise en charge avec le Dr. X, chirurgien, qui recommande de poursuivre la préparation et d'effectuer une nouvelle tentative de colonoscopie le 14.12.2018, en accord avec le Dr. X. Mme. Y présente des selles par la suite tout au long de l'après-midi et la soirée, situation très déplaisante et la patiente nous fait comprendre qu'elle ne souhaite absolument pas recommencer l'examen le lendemain. Malgré nos explications sur l'importance de cet examen, Mme. Y quitte notre service le 14.12.2018. Nous vous laissons le soin de rediscuter la planification d'un examen endoscopique ou d'envisager un examen moins invasif pour la visualisation du côlon, en discussion avec les spécialistes concernés. Mme. Y, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 25.11.2018 en raison de méléna. La patiente explique avoir présenté des selles noires, un épisode hier matin et un épisode ce matin, sans douleur abdominale, nausée ni vomissement. Pas de notion d'état fébrile ni de frisson. Mme. Y rapporte également des palpitations ce matin, sans dyspnée ni douleur thoracique. Elle signale avoir mangé la chasse la veille. Pas de prise d'AINS. La patiente est connue pour des épigastralgies depuis ce printemps et à noter également qu'elle a bénéficié d'une infiltration par corticoïde début novembre 2018 pour des cervicalgies. À l'admission aux urgences, Mme. Y est normotendue à 127/90 mmHg, tachycarde à 113/min, normopnéïque avec une saturation à 99% à l'air ambiant. Le status neurologique, cardiovasculaire et pulmonaire est sans particularité. Au status digestif, l'abdomen est souple, légèrement sensible en épigastre, sans défense ni détente avec des bruits normaux en fréquence et en tonalité. Présence de trace de méléna au doigtier. Au laboratoire d'entrée, bonne fonction rénale, pas de trouble électrolytique ni de syndrome inflammatoire, l'hémoglobine est à 102 g/l. L'hémofecatest revient positif. Nous suspectons une hémorragie digestive haute. Nous administrons du Nexium 80 mg iv en ordre unique aux urgences, puis 8 mg/h, ainsi qu'une hydratation au NaCl et Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. En raison d'une hémoglobine à 102 g/l, la patiente bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire avec bonne réponse et une hémoglobine à 103 g/l le 27.11.2018. Au vu de la stabilité de l'hémoglobine et des paramètres vitaux, une OGD est effectuée le 29.11.2018. L'examen met en évidence une lésion en cours de cicatrisation dans le bulbe. Cet examen est donc rassurant et ne retrouve pas de lésion d'allure néoplasique. Nous effectuons tout de même une biopsie qui confirme l'absence de signe de dysplasie ou de néoplasie. La recherche d'Hélicobacter pylori revient également négative. Mme. Y peut regagner son domicile le 30.11.2018 avec poursuite du traitement IPP 2x/j pendant 6 à 8 semaines. Selon l'avis de Dr. X, gastroentérologue, il n'y a pas lieu d'effectuer une gastroscopie de contrôle étant donné l'absence d'ulcération gastrique. Mme. Y, âgée de 88 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture pertrochantérienne du fémur G le 20.11.2018, opérée par réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA le même jour. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile et est autonome pour les activités de la vie quotidienne. Elle est bien entourée par sa famille. À l'admission, la patiente se plaint de fortes douleurs au niveau de la hanche gauche, péjorées à la mobilisation. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Une majoration du traitement antalgique est effectuée avec une baisse satisfaisante des douleurs par la suite. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche G est de 20-0-0 en actif et 30-0-0 en passif. La force du psoas G est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Au status cardiovasculaire, le cœur est régulier, B1 B2 bien frappés avec un souffle systolique à 4/6 avec p.m. aortique. Le reste du status général est sans particularité.Au laboratoire d'entrée, nous retrouvons une anémie (Hb à 82 g/l) que nous attribuons à une hémorragie postopératoire. Une substitution de fer p.os. est prescrite, puis arrêtée 2 jours après à cause d'effets secondaires digestifs importants. Par la suite, l'hémoglobine s'améliore de manière satisfaisante. Des douleurs importantes persistent, raison pour laquelle nous effectuons une radiographie de la hanche opérée qui montre une image comparable à la situation postopératoire sans nouvelle fracture ou déplacement de matériel. Durant l'hospitalisation, la patiente rapporte des brûlures mictionnelles; un stix urinaire et une culture des urines mettent en évidence une infection par Pseudomonas aeruginosa et staph. haemolyticus, raison pour laquelle nous introduisons une antibiothérapie par Ciproxine 250 mg pendant 5 jours avec bonne évolution clinique et biologique. Le vaccin contre la grippe Fluatrix Tetra 2018-19 est effectué le 17.12.2018 sur demande de la patiente. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin sur tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche G en actif à 90°-0-0 et une abduction à 40°. La force du membre inférieur gauche est cotée à M4 pour le quadriceps et M3 pour le psoas. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 19.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour continuer à améliorer sa fonction musculaire. Les soins à domicile sont activés pour les injections s.c. d'héparine 2x/24h et une aide aux soins. Mme. Y est adressée par son oncologue, le Dr. X, dans notre service de médecine pour suspicion d'une infiltration médullaire dans le contexte d'un traitement de carcinome mammaire, avec apparition d'une pancytopénie dont thrombopénie nouvelle. La PBM révèle la présence d'une leucémie myéloïde aiguë promyélocytaire (M3), de sorte que la patiente est admise aux soins intensifs pour initiation du traitement par hydroxyurée (Litalir) et trétinoïne (Vesanoid). Le séjour aux soins se complique d'une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) et d'un syndrome de lyse, nécessitant un soutien transfusionnel de fibrinogène, de plasma frais congelé, de concentrés érythrocytaires et concentrés plaquettaires. Un prolongement de l'intervalle QT dans le contexte du traitement par arsenic (Trisenox) est observé et nécessite un suivi ECG régulier résultant en un suspens occasionnel du traitement. Moyennant une évolution favorable permettant d'espacer les contrôles biologiques, la patiente est transférée dans notre service de médecine le 10.11.2018. Une agranulocytose est observée le 12.11.2018, de sorte qu'un isolement protecteur et les prophylaxies anti-infectieuses sont introduites. Elle se complique d'un état fébrile sur une mucite le 23.11.2018, motivant l'introduction de Cefepime jusqu'au 06.12.2018. Une anticoagulation thérapeutique par Liquémine puis par Xarelto est reprise suite à la découverte fortuite d'une thrombose de la branche gauche de la veine porte diagnostiquée au CT-scan du 16.11.2017. Concernant le traitement oncologique, le traitement d'arsenic (Trisenox) et de trétoïne (Vesanoid) est poursuivi. L'agranulocytose s'amende dès le 04.12.2018. Une ponction biopsie de moelle est effectuée le 06.12.2018 qui montre des résultats compatibles avec une rémission hématologique mais incomplète du point de vue moléculaire avec la persistance d'une expression de PML-RARa à 3,4%, soit 6% de la valeur diagnostique. En attendant la validation de remboursement de traitement ambulatoire, la première semaine de consolidation par arsenic (Trisenox) et trétoïne (Vesanoid) est effectuée dans notre service du 10.12 au 14.12.2018. Dès le 17.12.2018, la suite du traitement s'effectuera en ambulatoire. Concernant le cancer du sein, le traitement est suspendu. Des contrôles réguliers du CA 15.3 sont effectués, ils restent relativement stables durant le séjour, excepté une hausse lors du dernier dosage (293 à 372 u/ml). Elle sera revue à la consultation du Dr. X le 18.12.2018 à 14h30 pour discuter de la suite de la prise en charge. Mme. Y rentre le 14.12.2018 à domicile. Mme. Y est gardée en observation aux urgences durant une nuit, asymptomatique à chaque réévaluation. Au vu des symptômes au niveau thoracique résolus et de la clinique rassurante, Mme. Y peut regagner son domicile. Mme. Y est une patiente de 39 ans, en bonne santé habituelle, qui nous est transférée le 15.12.2018 de l'HFR Riaz en raison de douleurs abdominales dans un contexte de status post-cholecystectomie laparoscopique le 07.12.2018. A l'examen clinique, nous objectivons une sensibilité en hémi-abdomen droit associée à une défense et le bilan radiologique met en évidence du liquide libre. Nous procédons à une ERCP en urgence le soir même qui montre une fuite biliaire au niveau du cholédoque, raison pour laquelle un stent plastique cholédocien est posé et un lavage de la cavité abdominale par laparoscopie avec mise en place de deux drains est réalisée. Une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Flagyl en intraveineux est introduite, que nous relayons par Ciproxine et Flagyl le 21.12.2018. Les suites post-opératoires sont simples et nous procédons à l'ablation des drains le 20.12.2018 respectivement le 21.12.2018. En vue de la bonne évolution clinico-biologique, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 21.12.2018. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une totalité de 14 jours, soit jusqu'au 28.12.2018. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X à Riaz le 27.12.2018 à 14h30. Nous laissons le soin au Dr. X d'organiser la suite de la prise en charge, soit l'ablation du stent cholédocien à 3 mois. Nous préconisons un contrôle des paramètres hépatiques aux 3 mois et, en cas de signes de cholestase, la réalisation d'une ERCP. Mme. Y, patiente de 76 ans, est hospitalisée en raison d'une syncope avec traumatisme crânio-cérébral. Un CT time-is-brain permet d'exclure un AVC ischémique, une hémorragie cérébrale ou une sténose significative des vaisseaux précérébraux et révèle une fracture de l'os propre du nez. Un avis ORL permet d'exclure un hématome du septum. Nous initions un traitement conservateur par rinçage par Prorhinel et renonçons à instaurer une antibiothérapie. A noter la présence d'une plaie cutanée frontale qui nécessite un point de suture avec rappel du vaccin contre le tétanos. L'anamnèse de la syncope nous oriente vers une étiologie orthostatique. Nous effectuons un examen de Shellong qui ne révèle pas de pathologies particulières. En conséquence, nous organisons un examen par ETT le 19.12.2018 qui révèle une FEVG conservée à 70% ainsi qu'une HTAP minime avec PAPs à 43 mmHg. Un massage des sinus carotidiens se révèle normal. Nous posons un Holter 72 heures du 19.12.2018 au 21.12.2018 avec discussion des résultats en consultation cardiologique le 28.01.2019 et évaluation de l'indication à la pose d'un Reveal. En raison de coxalgies et de gonalgie à droite, nous effectuons des radiographies qui permettent d'exclure une fracture ou de nouvelles lésions ostéolytiques dans le cadre du myélome. Nous attribuons les douleurs à une probable étiologie mixte sur neuropathie périphérique sur chimiothérapie et troubles dégénératifs. Nous maintenons le traitement par pregabalin et introduisons un traitement par physiothérapie et les douleurs de la patiente s'amendent progressivement au cours de l'hospitalisation.La patiente rapporte une persistance de ses symptômes de dysurie. Nous analysons les urines et objectivons une infection urinaire basse que nous traitons par nitrofurantoïne du 18.12.18 au 23.12.18. Sous ce traitement, la patiente présente une bonne amélioration de ses symptômes. En raison d'une persistance des vertiges, nous demandons un second avis ORL le 21.12.2018 qui révèle un diagnostic de VPPB du canal semi-circulaire postérieur gauche. Une manoeuvre de Semont est effectuée avec amélioration résultante des plaintes de la patiente. La patiente est informée qu'en cas de persistance de la symptomatologie, elle doit reconsulter le service d'ORL. Dans le cadre de la fracture de l'os propre du nez, nos collègues de l'ORL effectuent un contrôle le 21.12.2018. En raison d'une fracture peu déplacée et sur avis de la patiente, nos collègues de l'ORL renoncent à effectuer une réduction de la fracture. Le service d'ORL reste à disposition en cas de changement d'avis de la part de la patiente. À noter un déficit en acide folique le 15.12.18 que nous substituons. Nous attribuons les nuchalgies à une contracture musculaire des trapèzes survenue après la chute. Nous introduisons un traitement par mydocalm à partir du 17.12.18. Sous ce traitement, la patiente montre une bonne amélioration de sa mobilité nucale. Nous recommandons à la patiente de cesser la prise de mydocalm dès disparition des douleurs avec un arrêt total au plus tard le 26.12.18. Nous recommandons à la patiente d'effectuer un examen de contrôle auprès de son médecin traitant 10 jours après la fin de son hospitalisation. À l'étage, la patiente ne formule pas de plaintes particulières et reste hémodynamiquement stable. La patiente quitte le service le 22.12.18. Mme. Y, actuellement hospitalisée au RFSM CSH Marsens pour sevrage de benzodiazépines, est amenée aux urgences en ambulance le 13.12.2018 en raison de douleurs au niveau de la 1ère articulation métatarso-phalangienne du pied gauche, depuis 10 jours, avec rougeur et chaleur, pour lesquelles un traitement par Irfen 600 mg 3x/j a été introduit. La patiente a également présenté plusieurs épisodes de vomissements, probablement dans le contexte du sevrage médicamenteux. Sur le plan orthopédique, une crise de goutte est retenue avec mise en évidence à la radiographie d'une lésion érosive para-articulaire au niveau de l'articulation métatarso-phalangienne avec syndrome inflammatoire important au bilan biologique. Un traitement par Prednisone 20 mg 1x/j est débuté, à poursuivre jusqu'à deux jours après résolution des symptômes. Nous adaptons également l'antalgie par Dafalgan d'office avec mise en suspens du traitement par AINS. La patiente est sous IPP 40 mg/j. Sur le plan néphrologique, nous mettons en évidence une insuffisance rénale aiguë, AKIN 2, d'origine pré-rénale dans le contexte des vomissements. La patiente bénéficie d'une hydratation parentérale avec nette amélioration des valeurs de créatinine. La clairance à la sortie selon MDRD est calculée à 36 ml/min/1.73, pour une créatinine à 124 umol/l. Un contrôle biologique est à réaliser dans une semaine. Dans l'intervalle, une stimulation hydrique est proposée avec mise en suspens du traitement par AINS. Sur le plan gastroentérologique, nous ne constatons pas de récidive de vomissements. Sur le plan cardiovasculaire, en raison d'une tachycardie sinusale, asymptomatique, le traitement bétabloquant est repris. Mme. Y est réadmise au RFSM CSH Marsens le 14.12.2018. Mme. Y est admise le 21.12.2018 aux soins intensifs pour un choc hypovolémique (diarrhées) avec une composante septique (pyélonéphrite bilatérale vs diverticulite perforée couverte) dont l'évolution est favorable. La patiente est hospitalisée à Marsens depuis le 14.12.2018 pour un sevrage de benzodiazépines. Elle présente depuis plusieurs jours des troubles de l'état de conscience avec une douleur abdominale et des diarrhées. À son arrivée aux urgences, elle est en état de choc avec une défaillance rénale, hépatique et hémodynamique. L'imagerie évoque une pyélonéphrite ou une diverticulite perforée couverte. L'état hémodynamique se stabilise après une expansion volémique conséquente et une antibiothérapie empirique par Tazobac. La diurèse reprend spontanément et la fonction rénale s'améliore. Une hépatite aiguë d'origine multifactorielle (foie de choc, prise régulière de paracétamol et toxicité médicamenteuse de psychotropes et Keppra) est diagnostiquée. L'évolution est favorable sous N-acétylcystéine et arrêt des médicaments hépato-toxiques. Nous vous confions la réévaluation du traitement psychiatrique que nous avons maintenu en suspens en raison de l'atteinte hépatique, notamment le Keppra pour lequel nous ne retrouvons pas d'indication. Durant le séjour, la patiente développe un NSTEMI avec mouvement enzymatique et troubles de la repolarisation en inféro-latéral sans plainte angineuse. Une échocardiographie révèle une fonction systolique altérée avec une atteinte de la cinétique segmentaire compatible avec une sténose de l'IVA proximale ou un TakoTsubo. Une coronarographie est à organiser dès que possible. Dans le contexte aigu, nous mettons en évidence des épisodes de FA paroxystique rapide avec cardioversion spontanée, pour laquelle nous majorons les bétabloqueurs. Un Holter est à planifier à distance de l'évènement aigu et une anticoagulation thérapeutique est à réévaluer si récidive de la fibrillation auriculaire. Concernant l'arthrite microcristalline, un traitement de fond est à discuter avec les rhumatologues afin de permettre une meilleure mobilisation de la patiente qui souffre d'une goutte du pied gauche. La patiente est transférée en médecine pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 69 ans qui est réhospitalisée aux soins intensifs le 27.12.2018 pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë dans le contexte d'une décompensation cardiaque globale sur HTA mal contrôlée et FA rapide. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée du 21.12 au 24.12.2018 aux soins intensifs pour un choc hypovolémique d'origine peu claire (possiblement sur des diarrhées) compliqué d'une composante infectieuse sur probable pyélonéphrite. L'évolution clinique et biologique est favorable sous traitement antibiotique par Tazobac. Durant le premier séjour aux soins intensifs (21.12 au 24.12.2018), l'état de choc se complique d'un probable NSTEMI secondaire avec une échocardiographie révélant une FEVG à 35% avec une atteinte de la cinétique segmentaire compatible avec une lésion de l'IVA proximale ou un TakoTsubo. À noter aussi une notion d'épilepsie inaugurale récente (fin novembre 2018) sur un sevrage compliqué de benzodiazépines avec hospitalisation à Marsens en décembre 2018. Actuellement, les benzodiazépines sont sevrées et le traitement de Keppra est en suspens. Une demande de consilium psychiatrique est en cours afin de réévaluer l'indication à un traitement psychotrope. Concernant la problématique du 2ème séjour aux intensifs (27.12 au 30.12.2018), la patiente est réadmise dans la soirée du 27.12.2018 pour une détresse respiratoire dans le contexte d'une décompensation cardiaque sur HTA mal contrôlée, malgré une trithérapie (anti-calciques, IEC et BBC) et une FA rapide. À noter que la FA est connue depuis le 21.12.2018, traitée par BBC et anticoagulée par HBPM. Un traitement par Diltiazem permet de ralentir la FC, l'épanchement pleural gauche est drainé le 27.12.2018 ramenant un transsudat et une VNI est initiée dès le 27.12.2018. L'évolution est cliniquement favorable mais le profil tensionnel reste toutefois élevé et nécessite l'ajout de Physiotens. Sous quadrithérapie antihypertensive (anti-calciques, IEC, BBC et Physiotens), nous observons une normalisation de la tension artérielle. Concernant la FA, une anticoagulation thérapeutique par HBPM est reprise suite au geste de la ponction pleurale gauche.La patiente est transférée à l'étage de médecine interne le 30.12.2018 pour suite de prise en charge avec proposition de: • poursuivre l'anticoagulation thérapeutique pour la FA (en cas de maintien d'une anticoagulation par Clexane, proposition d'un dosage de l'activité anti-Xa le 01.01.2019 comme discuté oralement au moment du transfert de la patiente) • rediscuter avec l'équipe de cardiologie le timing d'une éventuelle coronarographie • poursuivre une physiothérapie respiratoire intensive • contacter l'équipe de psychiatrie pour discuter l'adaptation du traitement psychotrope • rediscuter le projet social avec la patiente et sa famille (notion de curatelle, mais non joignable avant le 04.01.2019) Mme. Y présente des tendances à la luxation rotulienne, dernier épisode en novembre 2018 sur configuration de patella alta et dysplasie de la trochlea type A selon Dejour. Afin d'exclure une lésion cartilagineuse associée, je demande une IRM native du genou D. Je revois la patiente après cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mme. Y est une patiente de 82 ans, qui nous est adressée par le service de médecine de l'HFR Fribourg le 19.11.2018 suite à un AVC ischémique aigu cortical temporal droit et de l'hippocampe droit d'origine cardio-embolique VS état pro-coagulant suspectés, dans un contexte de fibrillo-flutter auriculaire et de carcinome mammaire. A l'entrée, la patiente se plaint de fatigue, de perte d'énergie, de troubles de l'équilibre et d'insécurité à la marche ainsi que de troubles cognitifs. La patiente est veuve, a un fils et habite seule dans un appartement au 1er étage avec 15-18 marches d'escaliers sans ascenseur. Avant l'hospitalisation, la patiente était presque autonome au niveau des AVQ et AVQ instrumentales, recevait de l'aide de sa famille et avait des soins à domicile toutes les deux semaines pour le ménage. Elle se mobilisait avec une canne à l'extérieur. A l'entrée se présente une patiente en état général légèrement diminué, bien orientée dans les trois dimensions, afébrile et stable sur le plan hémodynamique. Sur le plan clinique, nous retrouvons des bruits cardiaques lointains et un rythme irrégulier, ainsi que de légers oedèmes des membres inférieurs bilatéraux, les pouls périphériques sont palpables. Au niveau cutané, nous retrouvons une érosion sous-mammaire à gauche. Le status neurologique montre une légère diminution de la compréhension des ordres simples, ainsi qu'une légère dysmétrie à gauche, dysdiadochokinésie avec ralentissement des deux côtés. Le passage de la position couchée-assise et assise-debout est ralenti mais se fait sans aide physique. Le reste de l'examen est dans les limites de la norme. Ad diagnostic principal: La patiente ne présente pas de symptômes neurologiques nouveaux durant son séjour. Nous lui expliquons que la conduite de véhicule automobile (y compris scooter électrique) est contre-indiquée pendant 3 mois. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Ad diagnostic supplémentaire 1: Un ECG de suivi montre un rythme sinusal. La patiente reste compensée d'un point de vue cardiaque. En raison d'une fonction rénale limite avec eGFR <50 ml/min, nous diminuons le dosage de l'Edoxaban de 60 à 30 mg 1x/j. Une cardioversion peut être envisagée dans un 2ème temps en cas d'apparition d'une intolérance au fibrillo-flutter, que la patiente semble tolérer parfaitement au niveau hémodynamique et clinique actuellement. Ad diagnostic supplémentaire 2: Suite à une hydratation orale adéquate, la fonction rénale se stabilise. Nous proposons un contrôle à distance du séjour. Ad diagnostic supplémentaire 3: Les valeurs de glycémie restent stables pendant l'hospitalisation. Nous organisons un contrôle de glycémie via l'aide à domicile 1x/semaine et recommandons un suivi de l'HbA1c à 3 mois. Ad diagnostic supplémentaire 4: La plaie évolue favorablement suite au traitement topique régulier. Ad complication 1: La mycose cutanée sous-mammaire est traitée par Pevaryl avec un bon effet. Parallèlement à la prise en charge aiguë, nous effectuons un traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie. A l'entrée, Mme. Y marche >50 m avec une canne sous supervision et elle monte les escaliers avec une rampe et une aide de contact. Grâce aux thérapies intensives et individuellement adaptées, des progrès au niveau de la mobilisation, de la stabilisation de la marche et de l'équilibre sont objectivés. A la sortie, la patiente peut faire des transferts d'une manière autonome, marcher seule avec une canne sans supervision et monter 20 marches sous supervision. Le Tinetti est 20/28 avec une canne. En raison de la stabilité de son état général et de l'amélioration de l'autonomie et de la mobilisation durant l'hospitalisation, Mme. Y peut regagner son domicile le 03.12.2018. Des soins à domicile sont organisés 2x/j pour mettre et enlever les bas de contention ainsi que pour les contrôles de santé et le semainier. Mme. Y est une patiente de 73 ans, connue pour une cholécystite sur cholédocholithiase en septembre 2018, qui est hospitalisée le 05.12.2018 pour bénéficier d'une cholécystectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable. Mme. Y rentre à domicile le 07.12.2018. Mme. Y, âgée de 78 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la conversion d'une PUC en PTG G le 26.11.2018. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente se plaint de douleurs au genou G qui sont bien contrôlées par l'antalgie ne place. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Léger oedème du MIG. La cicatrice est calme. La flexion du genou G est de 20° en actif et 80° en passif, l'extension est à 0° en passif et en actif. La force du quadriceps est cotée à M2, celle du MID à M5. La sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion du genou G à 80° en actif et 90° en passif sous flexum. La force musculaire du quadriceps G est cotée à M3. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte d'apparition brutale de céphalées inhabituelles associées à des paresthésies et maladresse de la main droite. Elle consulte le service des urgences où un laboratoire et une imagerie cérébrale excluent une cause vasculaire, tumorale ou infectieuse. Les symptômes sont spontanément régressifs.Après avis neurologique, un AIT est en priorité suspecté. En effet, la patiente présente plusieurs facteurs de risque cardiovasculaires (dyslipidémie, HTA) ainsi que des symptômes typiques. Une migraine avec aura atypique est également mentionnée au vu des maux de tête chroniques depuis l'adolescence et un épisode similaire en 2012. Un bilan d'AVC est effectué, cependant, nous ne pouvons faire d'IRM chez cette patiente souffrant de claustrophobie sévère. Le bilan cardiaque ne montre pas d'arythmie ou de thrombus à l'ETT et l'ECG revient sans particularité. Un Holter est également posé dont le résultat sera à pister en ambulatoire. Un suivi des risques cardiovasculaires avec suivi de la tension artérielle et du profil lipidique sera à effectuer en ambulatoire après introduction des traitements de Lisinopril. Un suivi de l'hémoglobine glyquée est également préconisé. Un bilan neuropsychologique sera à réévaluer selon l'évolution, ainsi que la nécessité d'une IRM sous sédation ou dans un centre ouvert. Dans le même temps, un diagnostic de céphalées d'origine médicamenteuses est également mentionné au vu de la prise chronique d'anti-douleurs. Nous stoppons l'antalgie simple avec disparition des céphalées lors de l'hospitalisation. Mme. Y peut rentrer à domicile le 21.12.2018 au vu de la disparition des symptômes. Un rendez-vous est à agender à votre consultation au début 2019. Mme. Y est une patiente de 67 ans qui se présente à Meyriez pour des douleurs abdominales avec un état fébrile, une stase biliaire et une cytolyse hépatique. Un ultrason retrouve une dilatation légère des voies biliaires sans signe de cholécystite. La patiente est hospitalisée et mise sous Ceftriaxone et Metronidazole en intraveineux avec le diagnostic de cholédocholithiase. Le 26.11.2018, face à un syndrome inflammatoire en augmentation, la patiente nous est transférée pour réaliser une ERCP qui est faite le 28.11.2018 avec papillotomie et extraction de plusieurs concréments dans le cholédoque. La stase biliaire et le syndrome inflammatoire diminuent ensuite avec la possibilité d'un relais d'antibiotique par voie orale dès le 29.11.2018 et un retour à domicile. Nous retenons face à cet important syndrome inflammatoire le diagnostic de cholangite que nous traitons par antibiotique par voie orale jusqu'au 06.12.2018. Mme. Y est une patiente de 92 ans, connue notamment pour une pneumopathie chronique oxygénodépendante à domicile, qui est hospitalisée dans le contexte d'une baisse d'état général avec toux et péjoration de dyspnée en progression sur une semaine. Un traitement par Co-Amoxicilline sur 7 jours avait été introduit par le médecin traitant en raison d'une pneumonie communautaire, sans amélioration clinique et développement de diarrhées. Aux urgences de l'HFR Riaz le 26.11.2018, un bilan biologique constate un syndrome inflammatoire, motivant la mise en place d'un traitement par Rocéphine et Klacid malgré le bilan radiologique excluant un foyer infectieux. À noter que la patiente est probablement déshydratée. Sur le plan infectieux, l'évolution clinique est favorable avec poursuite de la Rocéphine seule, étant donné des antigènes urinaires négatifs. Sur le plan abdominal, et dans le contexte de la récente antibiothérapie, une colite à C. Difficile est suspectée avec introduction d'un traitement par Metronidazole. Cependant, l'évolution clinique est favorable dès l'admission, avec absence de récidive des symptômes. Dans ce contexte, des cultures ne sont pas réalisées et l'antibiothérapie est suspendue. La patiente présente des angoisses, raison pour laquelle un traitement par Remeron 15 mg est mis en place le 04.12.2018. Après avis pris auprès du Dr. X, géronto-psychiatre, un traitement par Brintellix 5 mg est également initié. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie respiratoire ainsi que d'un bilan nutritionnel, avec adaptation de ses repas. Durant le séjour, Mme. Y exprime le souhait de vouloir arrêter toute mesure thérapeutique, et après discussion avec la famille, des soins de confort sont convenus dès le 29.11.2018. À la demande de la famille et de la patiente, un retour à domicile pour fin de vie est organisé le 06.12.2018 ; la sœur de Mme. Y pourra être présente 24h/24 au départ, puis diminuera sa présence si la patiente bénéficie de moins d'aide. Les soins à domicile passeront 2x/j pour les soins de base, 2x/semaine pour contrôle santé et 1x/semaine pour la réalisation du semainier. Une chaise percée est également commandée. Mme. Y est une patiente de 78 ans, connue pour un adénocarcinome pancréatique pT2pN2 découvert en septembre dernier avec prise en charge chirurgicale en octobre dernier. Elle est hospitalisée dans ce contexte pour une baisse de l'état général avec recrudescence de nausées et de vomissements ainsi que des douleurs abdominales diffuses. Au vu de l'inconfort abdominal, un CT scan est demandé mettant en évidence des implantations de la carcinose péritonéale et une augmentation du liquide d'ascite pour laquelle nous n'envisageons pas de ponction d'ascite au vu de la faible quantité de liquide. Après discussion avec le Dr. X, nous expliquons la symptomatologie de la patiente par la carcinose péritonéale présente. Après consentement de la patiente, une chimiothérapie à visée palliative avec Gemzar débute le 14.12.18 par voie IV avec un protocole de pré-médication. Après le refus de pose de PAC par la patiente, une deuxième ligne de chimiothérapie avec Gemzar est continuée par voie intraveineuse le 21.12.18. La prochaine lignée de chimiothérapie est programmée pour le 04.01.18. En ce qui concerne l'antalgie, au vu des recrudescences des douleurs abdominales, on modifie le traitement avec introduction d'Oxycontin et Oxynorme avec amélioration clinique. Néanmoins, le 16.12.18, une péjoration de ses douleurs abdominales nécessite la réintroduction de la morphine sous-cutanée puis un relais avec une pose de patch de Fentanyl avec lequel la patiente se dit confortable. Le 16.12.18, la patiente présente des vomissements en jet fécaloïdes nécessitant la mise en place d'une sonde naso-jéjunale de décharge et l'introduction de Sandostatine à dose maximale et de dexaméthasone. Un CT-scan le 17.12.18 montre une absence d'iléus, néanmoins nous retenons un iléus probablement sur carcinomatose péritonéale. Graduellement, la patiente s'alimente mieux avec clampage de la sonde naso-jéjunale. Après avis des diététiciens, une alimentation plaisir est mise en place. On observe une dénutrition protéino-énergétique pour laquelle elle est substituée. Elle peut s'hydrater avec une prise hydrique aux alentours de 1 litre par jour en substituant 500 ml de NaCl sur la nuit. Son anticoagulation au xarelto est mise en pause et remplacée par de la Clexane 60 mg 2 fois par jour au vu des vomissements encore présents et d'une possible malabsorption. Après discussion avec la patiente et ses deux filles, une demande est envoyée à la villa St François pour une réhabilitation palliative. La patiente se dit intéressée par le home à côté de la Villa St François pour la suite. La patiente est transférée le 24.12.18 à la Villa St François. Mme. Y est une patiente de 48 ans, notamment connue pour un diabète de type 2, une fibromyalgie et une dépression qui se présente dans la nuit du 05.12.2018 aux urgences pour des douleurs abdominales aiguës au niveau de l'hémi-abdomen droit, sans irradiation, évaluées jusqu'à 8/10, associées à des vomissements multiples et un état fébrile jusqu'à 38°. Un laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire et au CT, une appendicite rétro-caecale aiguë est diagnostiquée. La patiente est opérée dans la nuit. Les suites opératoires sont simples et afébriles, et elle peut rentrer à domicile le 07.12.18. Nous lui laissons le soin d'organiser un rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils dans 12 jours.Mme. Candeias présente un kyste probablement arthro-synovial de la face palmaire en regard de la 5ème métacarpo-phalangienne de la main droite. L'indication pour une mise à plat chirurgicale de ce kyste est donnée. La patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue en ambulatoire pour le 3.1.2019. La patiente sera vue par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mme. Cannatella-Elia est hospitalisée suite à l'apparition d'une tuméfaction avec douleur au niveau du poignet droit associée à une baisse de l'état général sans traumatisme. La douleur et la tuméfaction sont apparues brusquement sur une journée, sans facteur déclenchant, motivant une consultation au service des urgences. Le bilan radiologique et ultrasonographique montre une chondrocalcinose radio-carpienne importante et un petit épanchement intra-articulaire de l'articulation radio-carpienne. Un avis rhumatologique est demandé et au vu des comorbidités de la patiente (IRC et Diabète), un traitement de Colchicine à court terme et une infiltration de stéroïdes intra-articulaire sont préconisés. Les symptômes évoluent favorablement. La patiente présente également une insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur une insuffisance rénale chronique que nous traitons par hydratation avec amélioration biologique. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Cannatella-Elia peut rentrer à domicile avec la poursuite de l'aide à domicile le 07.12.2018. Un rendez-vous chez son médecin traitant sera à agender dans une semaine. Mme. Carrard est une patiente de 89 ans connue pour un status post-ischémie aiguë du membre inférieur gauche en 2016 avec TEA fémorale actuellement sous Sintrom qui présente un nouvel épisode d'ischémie aiguë le 21.12.2018 avec occlusion depuis l'axe fémoro-poplité pour laquelle elle bénéficie d'une thrombo-aspiration par nos collègues radiologues le 21.12.2018. Par la suite, la patiente évolue favorablement, permettant un retour à domicile le 24.12.2018. Concernant l'anticoagulation, nous remplaçons le Sintrom par le Xarelto pour une meilleure stabilité de la molécule. Nous proposons un contrôle angiologique, fin janvier suite auquel la patiente sera revue à la consultation du Dr. X. Mme. Castella est admise en stroke unit monitorée pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un AVC après une coronarographie élective. Après une coronarographie élective le 11.12.2018, motivée par un angor nouveau, elle présente des céphalées, des vertiges lors de la verticalisation et des vomissements. L'imagerie cérébrale démontre plusieurs lésions ischémiques aiguës constituées de la circulation antérieure et postérieure, compatibles avec une embolisation per-coronarographie. L'évolution neurologique sera heureusement favorable, avec seulement une discrète asymétrie faciale persistante et quasi disparition des vertiges, sans trouble d'équilibre à la mobilisation (test avec 200 m de marche). Elle sera convoquée pour un bilan neuropsychologique. La coronarographie démontre une atteinte tritronculaire, posant l'indication chirurgicale, idéalement au moins 6 semaines après l'AVC. Une telle intervention sera à rediscuter avec la patiente, raison pour laquelle nous prions le Dr. X, clinique Cécile, de la convoquer. Vu le contexte coronarien et le profil tensionnel, nous introduisons le Metoprolol avec une bonne tolérance hémodynamique et clinique. Vu l'AVC aigu et l'atteinte coronarienne, la patiente a été chargée par Plavix. Nous proposons une double antiagrégation pendant un mois, puis une poursuite de l'Aspirine seule. À noter également une découverte fortuite de discopathie dégénérative C3-C4 avec empreinte médullaire et rétrécissement canalaire chez une patiente complètement asymptomatique. Le bilan lipidique et l'hémoglobine glyquée sont dans la norme. Nous mettons également en évidence une anémie qui nécessite la transfusion d'un culot érythrocytaire. Cette anémie est en cours d'investigation par son immunologue traitant. Mme. Cataldi nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une STEMI antérieur dans un contexte de maladie coronarienne bitronculaire nouvellement diagnostiquée. Traitement à l'entrée : • Insuline Lantus 0-0-34 • Insuline Novorapid 12-12-10 • Insuline Novorapid selon schéma • Aspirine Cardio 100 mg 1x/jour à vie • Efient 10 mg 1x/jour jusqu'au 22.11.2019 • Atorvastatine 40 mg 1x/jour • Lisinopril 5 mg 0.5 cp 1x/jour • Beloc Zok 25 mg 1 cp le matin et 0.5 cp le soir • Benerva 300 mg 1x/jour Durant son séjour, le profil glycémique de la patiente varie beaucoup avec des valeurs de glycémies pouvant monter jusqu'à 21 mmol/L surtout le soir. Un traitement de Metformine 500 mg 2 fois par jour est ajouté. Nous la suivons avec les conseils de l'équipe de diabétologie et le profil glycémique de la patiente tend à s'équilibrer. Nous organisons un suivi par l'infirmière en diabétologie lors de son séjour en réadaptation. Un suivi en ambulatoire est programmé avec l'infirmière en diabétologie et le médecin diabétologue. Sur le plan cardiaque, l'échographie cardiaque du 12.12.2018 objective une FEVG à 60% sans séquelle ischémique. Par ailleurs, nous majorons le traitement de Lisinopril à 5 mg le 12.12.2018. Nous vous proposons de majorer le traitement de Lisinopril jusqu'à 10 mg si le profil tensionnel ambulatoire le permet. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité faible et elle a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité modérée. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant pendant 25 minutes à 4 km/h. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 90 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Cataldi a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Sous traitement, le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.5 mmol/L, des HDL à 0.83 mmol/L, des LDL à 1.4 mmol/L, des triglycérides à 1.32 mmol/L. 2. Patiente tabagique à 6 cigarettes par jour encore actuellement. Nous proposons une substitution par inhalateur de nicotine de 10 mg maximum 6 fois par jour au besoin en cas de symptôme de sevrage. La patiente programme d'arrêter totalement le tabagisme le 15.01.2018 avec un relais par patch de nicotine 25 mg pour commencer et un inhalateur en réserve à utiliser maximum 4x/jour dès ce jour-là. Elle a montré beaucoup d'intérêt lors des entretiens avec notre tabacologue, Dr. X. Les situations à risque et les stratégies de prévention de la rechute ont été rediscutées. Elle reverra la patiente à Riaz le 17.01.2019 à 9h. 3. Sous traitement, la pression artérielle basale est dans la norme (<130/80 mmHg). Mme. Cerantola est réadmise aux soins intensifs le 16.12.2018 pour des troubles de la conscience dans le contexte d'une encéphalite herpétique. Elle est hospitalisée depuis le 16.11.2018 pour une encéphalite herpétique compliquée d'une hémorragie intraparenchymateuse et d'une pneumopathie d'inhalation avec d'importants séquelles neurologiques. Une couverture antiépileptique par Vimpat avait précédemment été initiée en raison de la présence d'un foyer irritatif temporal sur l'EEG. La patiente a été transférée le 13.12.2018 en médecine interne à l'hôpital de Meyriez dans l'attente d'une place en neuroréhabilitation. Elle présente brutalement le 13.12.2018 un trouble de l'état de conscience transitoire avec un score glasgow à 3.A l'arrivée aux soins intensifs, la patiente présente de nouveau un GCS à 15 et un état neurologique inchangé par rapport au séjour précédent. Le CT-scan cérébral montre l'apparition nouvelle de foyers d'hémorragie sous-arachnoïdienne dans la région temporale droite et une diminution de taille de l'hémorragie intraparenchymateuse de la région temporo-polaire droite, avec persistance de l'œdème périlésionnel. L'EEG effectué le 17.12.2018 révèle la persistance d'un foyer irritatif temporal sans foyer épileptique. Par conséquent, les neurologues préconisent l'ajout de Dépakine avec le Vimpat en raison d'un état neurologique fluctuant et de la présence de myoclonies. L'anticoagulation préventive par clexane est maintenue en accord avec les neurologues. Durant l'hospitalisation, la patiente présente des diarrhées en diminution sous traitement symptomatique par Lopéramide ainsi qu'une diminution du débit de la nutrition entérale. A noter la persistance d'une dysphagie sévère lors des tests de déglutition, interdisant pour le moment toute prise orale. A sa sortie, elle est capable de marcher accompagnée, d'articuler quelques mots et d'exécuter des ordres simples. La patiente ne présente pas de récidive de trouble de la conscience durant son hospitalisation, permettant son transfert en médecine interne le 18.12.2018. Mme. Y, connue pour une polyarthrite rhumatoïde, est transférée de l'hôpital de l'Ile à Berne le 15.12.2018 suite à un AVC sylvien D sur occlusion de la carotide interne D le 12.12.2018. Pour rappel, la patiente avait été amenée en ambulance le 12.12.2018 à 3h du matin après avoir été retrouvée par son mari au sol de sa salle de bain à 1h45, avec une dernière preuve de bonne santé à 22h la veille. Aux urgences, un hémisyndrome sensitivo-moteur G complet avec héminégligence G est mis en évidence. Le CT cérébral révèle une pénombre de tout le territoire sylvien D avec une occlusion terminale en T de l'artère carotide interne D. La patiente bénéficie alors d'une lyse intraveineuse avant d'être transférée à l'Inselspital pour une thrombectomie mécanique avec excellent résultat de reperfusion et cliniquement persistance d'un ralentissement psychomoteur ainsi qu'une discrète parésie faciale centrale D. Sur le plan étiologique, une fibrillation auriculaire paroxystique avait été documentée lors d'une hospitalisation en septembre 2018. L'échocardiographie transthoracique effectuée le 12.12.2018 à l'Inselspital révèle une FEVG conservée avec une dysfonction diastolique de grade II. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique et introduisons en conséquence une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/j dès le 18.12.2018. Sur le plan respiratoire, la patiente présente une désaturation importante dès son admission aux urgences le 12.12.2018. La patiente ne rapporte pas de dyspnée spontanément. Elle décrit une dyspnée d'effort après environ 5-6 marches depuis environ 5 mois avec quelques épisodes de dyspnée paroxystiques nocturnes récentes. Le status révèle de légers œdèmes des membres inférieurs et de discrets râles crépitants bilatéraux. Un NT-ProBNP est mesuré à plus de 1'400 ng/l. L'Angio-CT thoracique effectué le 12.12.2018 à l'Inselspital exclut une embolie pulmonaire et montre un infiltrat en verre dépoli diffus, aspécifique. Au vu du tableau clinique, nous retenons une probable insuffisance cardiaque à fraction d'éjection conservée décompensée et introduisons un traitement diurétique par Lasix dès le 18.12.2018. Nous vous invitons à suivre le poids quotidiennement. En cas d'absence d'amélioration sous traitement diurétique, nous vous invitons à envisager une origine pneumologique, dans le contexte de la polyarthrite rhumatoïde et des différents traitements immunomodulateurs administrés dans le passé (notamment Methotrexate). Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une cholestérolémie à la limite supérieure de la cible. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). Sur le plan orthopédique, la patiente a été opérée le 15.12.2018 à l'Inselspital d'une cyphoplastie T11 avec vertébroplastie T10 et T12. Les suites post-opératoires dans notre service sont simples, les douleurs sont contrôlées par une antalgie simple. Un contrôle post-opératoire est prévu le 31.01.2019 à 10h30 à l'Inselspital. Recommandation orthopédique d'ablation des fils à J14. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15 jours. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique sur le plan neurologique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie ne montrant plus de séquelles. Mme. Y est transférée en gériatrie aiguë à l'hôpital de Riaz le 20.12.2018. Mme. Y est amenée aux urgences par son époux le 10.12.2018 en raison d'un état de fatigue depuis le 07.12.2018 avec confusion et somnolence le 09.12.2018 (elle aurait dormi toute la journée). L'époux la trouve également un peu jaunâtre ce jour. A l'anamnèse, la patiente rapporte une toux grasse depuis le 07.12.2018 avec des expectorations jaunâtres sans sensation de dyspnée associée. Pas d'autre plainte ni douleur. A l'admission aux urgences, la patiente est en état général diminué et déshydratée. Elle est ictérique au niveau des sclères. Elle est normotendue à 96/59 mmHg, tachycarde à 127/min, fébrile à 38.4°C et sature à 91% à air ambiant. Au status respiratoire, notons des crépitants en base gauche. Au niveau digestif, l'abdomen est souple, les bruits sont normaux, le Murphy est négatif. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 247 mg/l et une leucocytose à 13,4 G/l avec neutrophilie, une légère hypokaliémie à 3.3 mmol/l, une légère hyponatrémie à 134 mmol/l, une bilirubine totale augmentée à 39.3 mmol/l et une bilirubine conjuguée à 14.9 µmol/l ainsi qu'une phosphatase alcaline isolée augmentée à 119 U/l. Les restes des tests hépatiques et pancréatiques sont sans particularité. A la radiographie du thorax et au CT thoraco-abdominal, nous mettons en évidence une pneumonie avec des foyers rétrocardiaque et apical droit. Au niveau abdominal, le CT scan met également en évidence une dilatation du cholédoque à 7 mm, compatible avec le passage d'un calcul vésiculaire. Pas d'image de cholécystite. Mme. Y est hospitalisée et nous débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline iv avec relais par co-amoxicilline 1 g per os 2x/j dès le 13.12.2018, à poursuivre jusqu'au 17.12.2018. La recherche d'antigènes urinaires ainsi que les hémocultures prélevées à l'admission reviennent négatives. Au niveau digestif, nous décidons de ne pas effectuer de cholangio-IRM et de suivre plutôt les tests hépatiques en raison d'une clinique peu floride pour une cholestase. Le laboratoire du 13.12.2018 ne montre plus de signe de cholestase et nous retenons donc une cholestase para-infectieuse. Durant la nuit du 10 au 11.12.2018, Mme. Y se plaint d'une sensation d'eau dans les oreilles avec une perte d'audition importante associée, sans douleur ni écoulement. A noter qu'elle est connue pour une baisse d'audition d'origine mixte de 69% à gauche et de 16% à droite et qu'elle a été traitée pour une otite séro-muqueuse à gauche d'août à novembre 2018. Elle est suivie par Dr. X à Montreux. Le test de Weber est non latéralisé. Elle entend moins bien à la transmission aérienne à droite en comparaison à gauche. A l'otoscope, on note un conduit auditif droit avec des dépôts blanchâtres et un tympan calme. Le côté gauche est sans particularité. L'audition s'améliore sur la journée du 11.12.2018. Nous prenons l'avis de Dr. X et de Dr. Y qui pensent à une dysfonction tubaire. Cette dernière nous conseille de procéder à une décongestion nasale avec du Rhinomer et du Cortinasal qu'elle prend déjà dans le contexte de sa polypose nasale. Si besoin, utiliser une pommade (type Bepanthen) pour lubrifier les muqueuses nasales. L'audition s'améliore progressivement durant le séjour. Nous laissons le soin à la patiente de prendre rendez-vous chez Dr. X prochainement.L'évolution est par la suite favorable et Mme. Y peut regagner son domicile le 14.12.2018. Mme. Y, connue notamment pour un infarctus du myocarde en 2018, consulte les urgences le 10.12.2018 en raison d'une dyspnée et de douleurs rétrosternales oppressives au repos, non respiro-dépendantes, continues avec irradiation dans la mâchoire et l'épaule gauche depuis la veille au soir, actuellement d'intensité à 4/10. Elle se plaint de douleurs au mollet gauche depuis 4 à 5 jours qui lui évoquent son antécédent de thrombose veineuse profonde (jamais documentée). Mme. Y rapporte également des céphalées pariétales droites pulsatiles non améliorées par le Dafalgan ainsi qu'une perte de force générale avec arthromyalgies chroniques. Elle marche avec une canne. À noter l'augmentation du Torem et du Coversum le 23.11.2018 avec perte pondérale de 2 kg par la suite. À l'admission aux urgences, la patiente est en état général conservé. Elle est déshydratée. Au status cardio-vasculaire, l'auscultation est normale. Nous notons des oedèmes des membres inférieurs jusqu'aux genoux. Le signe de Homans est négatif des deux côtés. Les mollets sont souples mais la palpation du mollet gauche est douloureuse. L'auscultation pulmonaire ainsi que le reste du status d'entrée sont sans particularité. Le laboratoire montre une anémie hyperchrome macrocytaire, sans syndrome inflammatoire. Les deux trains de troponines ne montrent pas de cinétique. Il n'y a pas de troubles électrolytiques. Le sédiment urinaire revient dans la norme. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de foyer pulmonaire. Nous écartons donc un STEMI sur l'ECG et un NSTEMI au laboratoire. Les D-Dimères sont positifs à 940 ng/ml. En raison d'une insuffisance rénale aiguë sur chronique avec une créatinine à 215 umol/l, nous n'effectuons pas de CT scan injecté. Un bilan angiologique est réalisé et ne met pas en évidence de thrombose veineuse profonde ni superficielle. L'évolution clinique étant favorable, nous renonçons à organiser une scintigraphie pulmonaire pour exclure formellement une embolie pulmonaire. Dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique acutisée, l'IEC et le Torem sont mis en suspens. Durant le séjour, Mme. Y ne présente pas de récidive de dyspnée ni de douleur thoracique et elle peut regagner son domicile le 13.12.2018 avec un contrôle à votre consultation le 21.12.2018. Nous lui recommandons un contrôle journalier du poids et de vous consulter en cas de prise pondérale de plus de 3 kg. Nous vous proposons également de suivre la fonction rénale et de rediscuter avec elle de l'anxiété. Vu la bonne évolution, nous renonçons à introduire un traitement anxiolytique. Mme. Y est une patiente de 84 ans, hospitalisée du 21.11 au 27.11.2018 pour des coxalgies gauche atraumatiques avec une évolution favorable sous antalgie et physiothérapie. Au domicile, la patiente a présenté une récidive des douleurs avec une impotence fonctionnelle depuis 24h sans traumatisme ni état fébrile motivant une nouvelle consultation aux urgences. Les radiographies permettent d'exclure une fracture. Le CT de la hanche met en évidence un hématome de l'iliopsoas gauche sans saignement actif ni fracture. Nous concluons donc à un hématome spontané dans le contexte d'une anticoagulation thérapeutique de Xarelto. L'anticoagulation est stoppée en accord avec le cardiologue traitant au vu d'un seul épisode de FA dans le cadre d'une hyperthyroïdie iatrogène sous Euthyrox en 2016 avec un rythme sinusal depuis. Un contrôle auprès du Dr. X est prévu le 10.01.2018. Une hyponatrémie à 126 mmol/l se résout après arrêt de l'Esidrex. Au vu d'une stabilité hémodynamique et d'une amélioration de l'anémie, la patiente rentre à domicile le 11.12.2018. Lors du retour, la patiente se mobilise de manière autonome sur une distance de 100 mètres et 1 étage d'escalier sans douleur. Une physiothérapie ambulatoire est prévue dès le 20.12.2018. Un contrôle ambulatoire en orthopédie est prévu le 18.12.2018. Mme. Y, connue pour un syndrome de Sjögren et une spondylarthropathie sous Simponi, est hospitalisée dans un contexte d'hémorragie cérébrale occipitale survenue le 03.12.2018. Pour rappel, la patiente consulte le 03.12.2018 aux urgences en raison de céphalées frontales d'apparition brutale à 6h du matin. Aux urgences, est mise en évidence une désorientation spatiale ainsi qu'une baisse de l'état de conscience, sans déficit neurologique focal. Le CT cérébral montre une hémorragie intraparenchymateuse occipitale G. La patiente est transférée à l'Inselspital où l'examen montre une possible hémianopsie D. Le bilan étiologique à l'Inselspital comprend une IRM cérébrale et une angiographie cérébrale, qui ne montre pas de source de saignement. La prise en charge de l'hémorragie est conservatrice. La patiente est transférée à nouveau à l'HFR Fribourg le 08.12.2018. Sur le plan étiologique, nous suspectons une origine hypertensive malgré la localisation atypique de l'hémorragie. Une angiopathie amyloïde n'est cependant pas exclue malgré l'absence de critères radiologiques de Boston révisés. La prise en charge neurologique, à l'Inselspital, puis à Fribourg, est marquée par un état confusionnel aigu hyperactif avec délire de persécution d'origine multifactorielle. La prise en charge nécessite des traitements de psychotropes avec une diminution progressive possible. Un traitement de Seresta est également administré initialement en raison d'une suspicion de syndrome de sevrage aux benzodiazépines. Une diminution progressive est possible durant le séjour. Un avis psychiatrique est demandé et ne retient pas de cause psychiatrique à ces troubles. Au moment de son transfert, la patiente ne montre plus de signe d'état confusionnel. Mme. Y présente une absence durant le séjour à l'Inselspital avec un EEG révélant un ralentissement diffus à gauche, sans signe de franc foyer. Un traitement de Dépakine 600 mg 2x/j est alors introduit, nous vous invitons à le poursuivre jusqu'à un EEG de contrôle à 3 mois. Durant le séjour, Mme. Y chute le 11.12.2018 avec réception sur le genou G, résultant en une contusion osseuse et un volumineux hématome de la cuisse distale G. Le bilan radiologique avec avis orthopédique propose un traitement conservateur avec charge selon douleur. L'évolution est satisfaisante avec une reprise progressive de la marche. Dans ce contexte, nous notons une chute de l'hémoglobine que nous suspectons liée à ce volumineux hématome, dont l'évolution est actuellement stabilisée. Nous vous invitons à suivre la formule sanguine prochainement. La patiente présente également un état fébrile à 38°C le 11.12.2018, puis une désaturation à l'air ambiant. Une radiographie de thorax ne montre pas de signe de foyer cliniquement suspecté. Un sédiment urinaire montre une infection urinaire, dont la culture est en cours. Un traitement de Ceftriaxone est introduit avec une bonne évolution clinique, permettant une diminution de l'oxygénothérapie.Sur le plan rénal, la patiente présente une diminution temporaire de sa fonction rénale associée à une hypernatrémie légère. Une hydratation permet une correction rapide de ces troubles. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 3 mois jusqu'à la prochaine consultation neurovasculaire prévue le 11.03.2019. L'évolution clinique est satisfaisante avec un statut neurologique de sortie dans la norme. Mme. Y est transférée en gériatrie aiguë à l'hôpital de Riaz le 13.12.2018. Mme. Y présente une décompensation d'hallux valgus à G. Je propose de continuer le traitement anti-inflammatoire sous forme de Voltarène 75 mg Retard 2 cp/j fixe pour une semaine, ensuite en réserve. Je l'adresse chez l'orthopédiste pour effectuer des semelles orthopédiques sur mesure avec appui rétro-capital pour corriger la voûte horizontale et décharger les têtes métatarsiennes. Mme. Y est une patiente de 29 ans connue pour un calcul coraliforme obstructif au niveau du rein gauche. Elle bénéficie d'une pose de sonde double J à l'hôpital Daler le 02.11.2018 en raison de lithiase obstructive avec une antibiothérapie pour une durée de 10 jours. Elle consulte aux urgences le 23.11.2018, une infection urinaire est objectivée ainsi qu'un volumineux calcul coraliforme au niveau pyélocaliciel et une dilatation pyélocalicielle à 19 mm à l'imagerie. Après avis des urologues, il est décidé d'un changement de la double J, qui est effectuée le 24.11.2018. Mme. Y présente par la suite un choc septique d'origine urinaire, motivant une prise en charge aux soins intensifs. Une dose de Pipéracilline - Tazobactam est administrée le 24.11.2018. La patiente est transférée dans notre service de chirurgie pour suite de prise en charge. Une antibiothérapie par Imipénème-Cilastatine est débutée le 24.11.2018, jusqu'au 29.11.2018. Un relais par voie orale par Cefuroxim et Ciproxine est débuté à la même date puis à continuer jusqu'au 13.12.2018. À l'étage, la patiente présente toujours des pics fébriles. À la demande des urologues, un CT abdominal de contrôle est effectué et montre une persistance de la dilatation au niveau des calices situés à l'étage moyen. Il est discuté avec le Dr. X d'effectuer une pose de néphrostomie gauche en raison de la non-résolution de l'infection après le dernier changement de double J. La néphrostomie est réalisée par le service de radiologie le 28.11.2018. Les suites post-opératoires sont simples. La patiente évoluant bien d'un point de vue clinique et biologique regagne son domicile le 30.11.2018. Elle bénéficiera d'une lithotripsie qui est programmée le 13.12.2018. Mme. Y, patiente de 79 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans un contexte d'état confusionnel aigu. Elle est connue pour un myélome multiple indolent ainsi que pour un antécédent d'encéphalopathie d'origine incertaine en 03.2018 qui s'était compliquée d'une crise tonico-clonique ayant nécessité un séjour aux soins intensifs. Les investigations n'avaient pas décelé d'étiologies et la patiente a quitté l'hôpital avec un traitement de Levetiracetam. Elle est amenée le 18.12.2018 aux urgences en raison d'un état confusionnel aigu avec état d'agitation, désorientation et désinhibition apparus le jour même. Le bilan clinique et radiologique (CT-scan cérébral) aux urgences ne retrouve pas de cause à cet état confusionnel. Sur avis neurologique, la patiente est chargée en Levetiracetam puis hospitalisée aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. L'IRM cérébrale du 20.12.2018 montre uniquement une lésion ischémique aiguë punctiforme au niveau frontal droit, qui expliquerait difficilement les symptômes transitoires de la patiente. Un EEG revient normal également. L'état neurologique s'améliore dans les suites de l'IRM avec une meilleure orientation temporo-spatiale ce qui évoquerait une probable épilepsie partielle. Le taux de Keppra est légèrement supra-thérapeutique. Enfin, des troubles cognitifs débutants seraient à investiguer ultérieurement. Mme. Y, patiente de 79 ans, est hospitalisée à l'HFR Fribourg le 18.12.2018 en raison d'un état confusionnel aigu. Pour rappel, elle est connue pour un myélome multiple indolent ainsi que pour un antécédent d'encéphalopathie d'origine incertaine en 03.2018 qui s'était compliquée d'une crise tonico-clonique ayant nécessité un séjour aux soins intensifs. Les investigations n'avaient pas décelé d'étiologie et la patiente a quitté l'hôpital avec un traitement de Levetiracetam. Elle est amenée le 18.12.2018 aux urgences en raison d'un état confusionnel aigu avec état d'agitation, désorientation et désinhibition apparus le jour-même. Le bilan clinique et radiologique (CT-scan cérébral) aux urgences ne retrouve pas de cause à cet état confusionnel. Sur avis neurologique, la patiente est chargée en Levetiracetam puis hospitalisée aux soins intensifs pour une surveillance neurologique. L'IRM cérébrale du 20.12.2018 montre uniquement une lésion ischémique aiguë punctiforme au niveau frontal droit, qui expliquerait difficilement les symptômes transitoires de la patiente. Un EEG revient normal également. La dysthyroïdie mise en évidence au laboratoire est non significative. Au vu de ce bilan rassurant, la patiente est transférée à l'étage de médecine interne pour une surveillance. Ses paramètres vitaux sont dans la norme et le statut est entièrement normal. Elle est dès lors orientée, calme et collaborante. Nous concluons que l'état confusionnel aigu pourrait être mis sur le compte d'une crise épileptique transitoire, au vu des antécédents de la patiente et de la résolution après une IRM effectuée sous Propofol. Le taux de Keppra revient légèrement supra-thérapeutique. Il est décidé de ne pas diminuer les doses, vu l'effet bénéfique pour l'instant et le fait qu'en mars 2018 les taux étaient à la limite inférieure de la norme. Par la suite, la patiente reste calme et orientée. Selon sa fille, la patiente est de retour à son état de base. La patiente bénéficie de brèves permissions de congé pour les fêtes de Noël, qui s'effectuent sans complications. Sur le plan psychologique, à la demande de la patiente qui se plaint d'angoisses matinales et de tristesse depuis le départ de son mari en EMS il y a 4 mois, un consilium psychiatrique est demandé, mais ne peut être réalisé avant la sortie de la patiente. Nous vous laissons le soin d'analyser les taux de Keppra d'ici mi-janvier 2019 et d'adapter le traitement en conséquence, ainsi que d'instaurer un suivi psychologique en ambulatoire et d'entreprendre à nouveau les discussions avec l'oncologue traitant de Mme. Y par rapport au myélome. Nous vous laissons également le soin de réintroduire le béta-bloquant si vous le jugez nécessaire. Celui-ci avait été arrêté vu la fréquence cardiaque aux alentours de 60 bpm durant l'hospitalisation. La patiente rentre à domicile le 27.12.2018, avec des soins à domicile majorés à 2x/j à la demande de la patiente et de la famille. Mme. Y, patiente de 52 ans, d'origine turque, connue pour une hypothyroïdie substituée, consulte les urgences le 25.11.2018 pour des céphalées frontales bilatérales d'apparition brutale avec irradiation vers l'occiput. Elle bénéficie d'un CT cérébral et d'une ponction lombaire sans anomalie et rentre à domicile avec antalgie. Le lendemain, elle se présente à nouveau pour des céphalées occipitales en augmentation, avec douleurs nucales irradiant jusqu'au point de ponction lombaire, principalement et péjorées en position debout et assise, avec raideur de nuque, nausées et vertiges. La patiente aurait chuté il y a environ 1 mois avec traumatisme crânien pariétal droit. Le statut d'entrée montre une patiente afébrile, avec un statut neurologique dans la norme, mais une raideur de nuque avec des contractures musculaires para-cervicales et au niveau du trapèze, cependant sans signe de méningisme. La patiente présente également un souffle systolique 2/6 au foyer d'Erb et une masse pariétale sous-cutanée d'environ 1 cm à droite, indolore à la palpation.Au vu de la symptomatologie, la patiente est hospitalisée pour un probable syndrome post-ponction lombaire traité par antalgie et hydratation. Nos collègues anesthésistes proposent une poursuite de l'antalgie avec une réévaluation journalière d'une éventuelle indication à un Blood patch. Au vu de la persistance des douleurs, un Blood patch est effectué par nos collègues anesthésistes le 30.11.2018. Concernant sa masse pariétale droite, le CT réalisé aux urgences le 25.11.2018 est complété avec une ultrasonographie ciblée sur la lésion montrant un nodule oblong parallèle au plan cutané avec vascularisation Doppler au niveau du hile, évoquant un ganglion. Au vu de la bonne amélioration clinique et de l'absence de récidive des céphalées, Mme. Y peut rentrer à domicile le 01.12.2018. Mme. Y, âgée de 75 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par le Dr. X pour une neuro-réadaptation dans le cadre d'une sclérose en plaques depuis 36 ans. Sur le plan social, la patiente vit seule avec l'aide des soins à domicile. Elle a 2 fils qui l'aide. Elle possède un fauteuil roulant électrique et un lit électrique. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. La patiente signale des troubles du transit avec tendance à la constipation; les jours précédant l'hospitalisation, elle est allée à selles normalement. Elle ne veut pas prendre de laxatifs quand elle est constipée par peur d'avoir des diarrhées et de devoir appeler les soins à domicile en dehors des horaires de service. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Aux MI, la motricité est cotée à M0, aux MS à M2-M3. La patiente signale aussi une perte de force au niveau du tronc, elle dit que quand elle reste assise, elle a tendance à tomber en arrière. Cystofix en place. Au status abdominal, bruits présents, ventre souple, pas de douleurs à la palpation, à la percussion tympanisme diffus. Sur le plan nutritionnel, la patiente présente une perte de poids volontaire de 7 kg (8.4%) sur les derniers 8 mois. Nous convenons d'une stabilisation du poids et sensibilisons Mme. Y à améliorer son apport en protéines. Concernant la dysphagie, la patiente a un régime normal. Après un bilan de déglutition, nous maintenons un régime normal mais sans riz, Ebly, semoule. Dans le contexte de troubles de constipation, le schéma WC a été mis en place pour tenter de régulariser le transit. Nous introduisons du Movicol, et du sirop de figues et du Bulboïd sont mis en réserve en cas de constipation grave. Avec ce schéma, Mme. Y va à selles régulièrement 1x/jour. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie avec une évolution favorable. A la sortie, la patiente arrive mieux à se tenir debout et se redresser à l'aide du standing-frame, cependant sa capacité à maintenir une position verticale est variable selon les jours. Nous pouvons parfois faire des manipulations avec les MS avec bon contrôle de tronc et parfois, la patiente a besoin des MS pour se pousser à se tenir plus redressée. Elle fait du théravital pendant 15'. Mme. Y se mobilise avec un fauteuil roulant électrique pour tous ses déplacements. Elle tient sur le standing env. 20' en position debout redressée à l'aide des 2 bras; parfois, elle fait des pauses en s'appuyant avec les avant-bras sur la table. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 15.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Les soins à domicile sont réactivés. La patiente aura une nouvelle évaluation dans le cadre d'une consultation interdisciplinaire avec le Dr. X le 03.04.2019. Mme. Y nous est adressée par le CHUV pour une réadaptation cardiovasculaire suite à une plastie mitrale. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg : 1-0-0-0 • Beloc Zok 25 mg cpr retard : 2-0-0-0 • Sintrom selon INR • Dafalgan 1 g : 1 cp 3x/j si douleurs • Potassium Effervette 30 mmol cpr effervescent : 1-0-0-0 • Zantic 150 mg : 1-0-1-0 Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et elle a pu progresser sur la durée du séjour. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant 30 minutes à une puissance de 120 W sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+250) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : Le bilan lipidique de sortie retrouve un LDL à 3.62 mmol/l, un HDL à 0.98 mmol/l et des triglycérides à 0.98 mmol/l. Mme. Y est une patiente de 34 ans, en bonne santé habituelle, qui entre en électif le 21.12.2018 pour une cholécystectomie laparoscopique dans un contexte de status post-cholédocholithiase avec pancréatite biliaire au mois d'octobre 2018 et ERCP le 29.10.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Mme. Y rentre à domicile le 22.12.2018. Nous lui laissons le soin de prendre un rendez-vous chez son médecin traitant dans 12 jours pour l'ablation des fils à la peau. Mme. Y, 84 ans, est hospitalisée à notre service de médecine pour prise en charge d'un angor instable. Pour rappel, la patiente a présenté des douleurs typiques à l'effort, survenant de manière intermittente depuis 2 semaines. Elle a consulté son médecin traitant qui lui prescrit de l'Aspirine ainsi que de l'Amlodipine, mais les symptômes persistant, il lui recommande de se présenter aux urgences en vue notamment d'un examen électif par coronarographie. Les enzymes cardiaques n'étaient par ailleurs pas élevées, et seules des ondes T négatives en III et en aVF étaient constatées à l'ECG. La coronarographie du 27.11.2018 démontre une maladie coronarienne avec lésions bitronculaires. Une dilatation est effectuée avec l'aide du rotablator avec mise en place de trois stents actifs CD proximale et moyenne. Une autre coronarographie est initialement proposée à 2 semaines pour traiter la lésion restante sur l'IVA, mais au vu du changement d'attitude globale, nous l'avons annulée, la patiente ne souhaitant absolument pas réitérer cette intervention après la complication. De l'Aspirine est prévue à vie et du Plavix pour 6 mois. La coronarographie s'est compliquée d'une tamponade aiguë par lésion iatrogène de la branche postéro-latérale de la CD. Elle est reprise immédiatement par les cardiologues pour la pose d'un drain péricardique pour évacuer l'épanchement, et la coronaire lésée est traitée par stent couvert avec un bon résultat. Un contrôle échographique est fait le lendemain et montre un épanchement minime en regard des cavités droites, sans répercussion hémodynamique, demeurant stable lors des contrôles réitérés les deux jours suivants. Une nouvelle échocardiographie est prévue à 2 semaines.Les suites d'hospitalisation sont simples, la patiente ne présentant pas de récidives de douleurs ou de complications hémodynamiques secondaires. Au vu de l'anémie constatée, dont une partie est due au saignement drainé lors de la prise en charge de la tamponade, associée cliniquement à une asthénie, nous procédons à la transfusion d'un culot érythrocytaire le 03.12.2018 permettant une amélioration de l'élan vital. Le bilan vitaminique et martial n'a par ailleurs pas montré de carence. L'hémoglobine de sortie est mesurée à 106 g/L. Enfin, une perte d'autonomie est constatée chez cette patiente d'habitude très autonome, notamment au niveau des transferts et de la mobilisation. Une réadaptation gériatrique à Meyriez est dès lors proposée, pour laquelle la patiente attend une place dès le 04.12.2018. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est admise aux soins intensifs le 16.12.2018 pour trouble de l'état de conscience d'origine multifactorielle (abus médicamenteux, administration de benzodiazépine). La patiente présente le 16.12.2018 un état confusionnel aigu compliqué d'un état d'agitation, raison pour laquelle les ambulanciers administrent 10 mg de midazolam en intramusculaire. Aux urgences, la patiente est comateuse, le CT cérébral est sans particularité. La patiente se réveille avec des bolus de Flumazénil qui est mis finalement en continue. Elle avoue à son réveil avoir pris plusieurs médicaments en plus de son traitement habituel, sans vraiment pouvoir dire la quantité et les noms de médicaments. Dans ce contexte, un avis psychiatrique est demandé. Ce dernier permet d'exclure le risque de suicidalité. Le traitement antidépresseur sera adapté en concertation avec le psychiatre traitant. Le Lyrica est suspendu car ce traitement aurait été introduit récemment selon la patiente. En raison d'une dysurie avec une incontinence depuis plusieurs jours, le diagnostic d'infection urinaire basse est retenu. Nous débutons une antibiothérapie par Ceftriaxone. La patiente est transférée en médecine interne le 17.12.2018 pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 73 ans, est admise aux soins intensifs le 16.12.2018 pour un trouble de l'état de conscience dans un contexte mixte peu clair sur une probable intoxication aux médicaments à domicile (benzodiazépines, tricycliques) et à un état septique d'origine urinaire. La patiente a présenté, à domicile, un état d'agitation associé à un état confusionnel aigu selon les filles, raison pour laquelle les ambulanciers ont administré du midazolam 10 mg intramusculaire. Aux urgences, la patiente est difficilement réveillable avec une chute du Glascow scale à 5/15. Les signes vitaux sont les suivants : FC 93/min, FR 20/min, SpO2 84 % sous 3 litres d'oxygène, T°C 34.9°. La patiente réagit seulement après des bolus de Flumazénil qui est finalement introduit en continue. Elle avoue avoir pris plusieurs médicaments en plus de son traitement habituel, sans vraiment pouvoir dire la quantité et les noms de médicaments. Dans ce contexte, un avis psychiatrique est demandé. Ce dernier permet d'exclure le risque de suicidalité. Le traitement antidépresseur est réintroduit en concertation avec le psychiatre traitant et la patiente reste stable et orientée lors de sa sortie. En raison de l'origine peu claire des épisodes de confusion à domicile, la patiente est vue par les neurologues préconisant la réalisation d'un EEG. Celui-ci se révèle sans particularité et nos collègues ne proposent pas de suivi à distance. Par ailleurs, en raison d'une polyneuropathie sensitive connue avec possible participation carentielle, nous vous laissons le soin d'effectuer un bilan vitaminique et thyroïdien à distance. Afin d'évaluer une participation dégénérative aux épisodes de confusion, un bilan neuropsychologique est effectué. Les tests neuropsychologiques ne révèlent rien de particulier, excepté une légère difficulté intentionnelle exécutive. Nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité de prévoir une consultation mémoire à distance de l'événement aigu. La patiente présente initialement une dysurie avec une incontinence depuis plusieurs jours. Une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée avec un relais par une dose unique de fosfomycine suite aux résultats de l'urotube révélant un E. Coli multisensible. L'évolution clinique de Mme. Y est favorable, raison pour laquelle la patiente rentre à domicile le 21.12.2018. Au vu des notions d'abus médicamenteux à domicile, nous introduisons les soins à domicile 2x/semaine dès son retour, avec un triage médicamenteux effectué le premier jour (avec l'accord de la patiente et de sa fille). Mme. Y présente des séquelles de douleurs suite à une bursotomie traumatique suturée avec succès. L'IRM a permis d'exclure une atteinte ligamentaire ou cartilagineuse et montre des séquelles après suture d'une bursotomie traumatique. Je propose un traitement local par Voltarène Dolo Emulgel à appliquer 2 à 3x/j. L'arrêt de travail est prolongé jusqu'à la fin de la semaine et la patiente reprendra son travail en tant que maman de jour à partir du 17 décembre 2018 à 100 %. Elle me recontactera en cas de besoin, sinon fin du traitement. Mme. Y va continuer la physiothérapie pour intensifier la musculature. Nous la reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Mme. Y est une patiente de 51 ans suivie à la consultation des Chefs de clinique pour une cholécystolithiase symptomatique qui bénéficie le 30.11.2018 d'une cholécystectomie laparoscopique. Les suites opératoires sont simples et la patiente rentre à domicile le 01.12.2018. Les fils seront enlevés par le médecin traitant à J12. Mme. Y est une patiente de 48 ans, connue pour un adénocarcinome du côlon droit stade III en progression, métastatique au niveau duodénal notamment et avec mise en place d'un stent en début novembre 2018 en raison d'une compression des voies biliaires, se présente aux urgences pour des douleurs de l'hypochondre droit, un ictère avec cholestase biologique. Un premier CT abdominal est réalisé et met en évidence une progression de la masse tumorale duodénale fortement évocatrice d'une obstruction du stent, une dilatation du cholédoque et une lésion hépatique compatible avec un abcès. La patiente est alors mise sous antibiothérapie IV avec un relais per os par la suite. Un drain biliaire percutané abouchant dans la vésicule biliaire est mis en place par le Dr. X le 14.12.2018. L'évolution clinique, biologique et radiologique est satisfaisante, excepté un épisode d'intenses douleurs abdominales le 16.12.2018 motivant la réalisation d'un deuxième CT. Un nouveau CT abdominal avec opacification via le drain biliaire est effectué le 17.12.2018 afin d'évaluer l'indication à une nouvelle intervention lors de son séjour chez nous, mais celle-ci sera finalement réalisée dans un second temps. Le Dr. X préconise la réalisation d'un CT abdominal avec opacification par drain biliaire et produit de contraste intraveineux entre Noël et Nouvel-An à la recherche de complications sur le trajet et de réévaluer si la pose d'un drainage choledocien est réalisable. Il rappelle l'importance d'effectuer des rinçages du drain 3x/j pour éviter toute obstruction de celui-ci. Rappelons que vu la situation locale, ce drain ne pourra pas être enlevé.D'un point de vue infectiologique, la double antibiothérapie par Ceftriaxone et Métronidazole devra être administrée durant environ 2 mois au vu de la taille de l'abcès hépatique. Celle-ci assure une couverture des germes présents dans l'abcès, excepté les entérocoques. Etant donné le faible potentiel agressif de ces bactéries, une couverture de celles-ci n'est pas introduite d'office. Un relai per os est effectué avant le transfert de Mme. Y à la villa Saint-François. Pour la suite, un traitement par drainage pourrait également être discuté avec la patiente. D'un point de vue symptomatique, Mme. Y est relativement soulagée sur le plan antalgique mais se plaint d'une asthénie avec somnolence importante qu'elle met en lien avec le traitement d'opiacés. Au niveau de la prise alimentaire, la patiente parvient à s'alimenter et s'hydrater par la bouche. La priorité de la patiente et son mari à ce stade sont de passer du temps en famille si possible à domicile durant les fêtes. Mme. Y est transférée à la villa Saint-François le 19.12.2018 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 54 ans qui a bénéficié d'une résection Wedge le 30.11.2018 à l'Inselspital en raison d'un carcinome pulmonaire non à petites cellules, qui se présente aux urgences le 04.12.2018 en raison de douleurs thoraciques. Le bilan radiologique met en évidence un pneumothorax, que nous drainons aux urgences. Au vu des douleurs latéro-thoraciques droites intenses et non gérables à l'étage, la patiente est transférée aux soins intensifs le 05.12.2018 pour gestion de l'antalgie. Une PCA est mise en place, permettant une bonne évolution clinique et un retour à l'étage le 06.12.2018. L'évolution clinique étant favorable, nous procédons à l'ablation du drain thoracique le 09.12.2018. Au contrôle radiologique du 09.12.2018, un pneumothorax résiduel de 2.7 cm est présent, sans retentissement sur le plan clinique. Nous le traitons de manière conservatrice avec un contrôle radiologique stable le 11.12.2018. Dans ce cadre, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 11.12.2018. Au vu des derniers résultats histologiques montrant un adénocarcinome pulmonaire, le cas a été discuté au tumorboard du 12.12.18 avec une décision de chimiothérapie palliative pour la suite. Mme. Y sera convoquée en oncologie afin de planifier la suite de la prise en charge oncologique. Mme. Y, âgée de 70 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la clinique CIC Riviera pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTG D sur gonarthrose, le 29.11.2018. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile dans une maison sur 2 étages. A l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Elle rapporte un manque d'appétit depuis l'opération et une digestion normale. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou D est de 50-0-0 en actif et 80-0-0 en passif. La force du quadriceps droit est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Le bilan sanguin d'entrée montre des valeurs d'immunoglobulines IgE élevées ainsi qu'une légère éosinophilie, que nous mettons en relation avec son asthme d'origine probablement allergique. Nous conseillons à la patiente une évaluation sanitaire des moisissures présentes à son domicile. Les agrafes sont retirées juste avant son retour à domicile le 11.12.2018. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou droit 90-0-0 en actif et 100-0-0 en passif. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 11.12.2018 en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire pour maintenir les acquis et continuer d'améliorer la mobilité. Mme. Y, connue pour lombalgies chroniques non déficitaires avec troubles de la marche idiopathiques, consulte les urgences le 06.12.2018 en raison d'une dyspnée à l'effort avec douleurs thoraciques intermittentes d'irradiation dorsale, apparues depuis une semaine. La patiente décrit de même une péjoration des douleurs lombaires, de multiples investigations revenant sans particularité, avec alitement quasi permanent et déplacement en chaise roulante depuis août 2018. Aux urgences, un syndrome coronarien aigu est écarté à l'ECG et par des troponines sans cinétique. En raison de D-dimères mesurés à 1138 ng/ml, un angio-CT scan thoracique est effectué et permet d'exclure une embolie pulmonaire. Mme. Y est hospitalisée pour soins impossibles à domicile dans le contexte d'un déconditionnement global sur douleurs lombaires en péjoration. Sur le plan orthopédique, nous constatons des douleurs lombaires bilatérales, sans déficit neurologique ni signe d'irritation radiculaire, mais accompagnées d'une faiblesse musculaire des membres inférieurs sur déconditionnement. Après un premier essai par Voltaren, les douleurs sont bien contrôlées par patch de Fentanyl et Sirdalud en réserve. La patiente bénéficie également d'une physiothérapie de mobilisation, à poursuivre en ambulatoire afin de renforcer la chaîne musculaire et entraîner le système cardio-respiratoire. Nous vous proposons d'adresser la patiente à un centre de la douleur en cas de nouvelle péjoration clinique. Sur le plan psychique, au vu d'une baisse de la thymie relatée par la patiente avec composante anxieuse, une consultation psychiatrique est organisée, permettant d'identifier un facteur de stress important, le décès subit d'un proche en août 2018. Un suivi ambulatoire est proposé avec mise à disposition des coordonnées du CSSM de Bulle. Sur le plan médicamenteux, le traitement par Imovane est poursuivi. Enfin, en raison d'une oligurie sur déshydratation constatée aux urgences, la patiente bénéficie de la pose transitoire d'une sonde urinaire, avec reprise de la diurèse par stimulation hydrique. Pas d'atteinte de la fonction rénale. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Nous leur proposons le passage des soins à domicile, ce qu'ils refusent à l'heure actuelle. Mme. Y regagne son domicile le 11.12.2018. Mme. Y nous est adressée par son médecin traitant le 27.11.2018 en raison d'une surinfection de fistule cutanée chronique dorsale au niveau D12, fistule qui s'est formée suite à une spondylodèse D8-12 ainsi qu'à une vertébroplastie préventive de D7 et L1 pour une fracture Reverse chance de D10 en 2011. Le matériel URS a été ablaté en 2016 ainsi qu'une révision de plaie avec débridement et résection de fistule cutanée effectuée. A l'admission, la patiente se plaint de douleurs dorsales locales au site de la fistule, en aggravation depuis une semaine. A l'anamnèse par système, elle exprime une diminution de l'appétit, une asthénie marquée et quelques épisodes de frissons ces derniers jours. Mme. Y vit dans le Home de Ependes. Elle a une fille et une nièce et marche avec le rollator. L'examen clinique met en évidence une patiente en état général diminué ; la patiente se présente asthénique et algique et est hémodynamiquement stable et afébrile. Au niveau dorsal, une fistule cutanée dorsale au niveau D12 avec un écoulement purulent et une forte inflammation ainsi qu'une enduration de la peau environnante est observée.Sur le plan biologique, le bilan laboratoire met en évidence une CRP à 115 mg/l. Après prise de deux paires d'hémocultures, qui restent négatives, et d'un frottis de la plaie, qui revient positif pour Staph. aureus MSSA, une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxi adaptée à la fonction rénale est initiée en raison d'une suspicion de cellulite et d'un possible sepsis avec des frissons et un syndrome inflammatoire. Avec des soins de plaie adaptés et sous antibiose, la tuméfaction locale est en diminution, néanmoins nous effectuons une IRM de la colonne thoracodorsale qui met en évidence une ostéomyélite des processus épineux D9 et D10. Après avis infectiologique, la thérapie antibiotique est relayée avec le Floxapen i.v., prévu pour une durée minimale de six semaines. Pour une insuffisance rénale et une anémie macrocytaire normochrome hyporégénérative chronique, nous effectuons des contrôles de laboratoire. À cause d'une hyperkaliémie sans modifications ECG sur traitement minéralocorticoïde, nous stoppons l'Aldactone et administrons du Resonium de façon temporaire. Nous traitons une mycose submammaire avec de la Pevaryl poudre. En vue de l'ostéomyélite, Mme. Y est transférée en orthopédie à l'HFR Fribourg le 30.11.2018 pour une prise en charge neurochirurgicale. Mme. Y est une patiente de 33 ans, connue pour un VIH sous bithérapie (traitement modifié il y a deux mois, actuellement virémie indétectable), qui consulte les urgences pour des douleurs abdominales crampiformes avec diarrhées et nausées sans vomissements depuis la veille. Pas de dysurie, pas de grossesse, pas de fièvre ou de frissons. À l'auscultation, le ventre est souple avec des bruits augmentés en fréquence, et on ne trouve ni défense ni signe de Murphy ou du psoas. Le diagnostic clinico-biologique nous laisse penser à une gastroentérite d'origine virale. Une hypokaliémie à mettre dans le contexte des diarrhées est substituée et une hydratation intraveineuse est initiée. Sous traitement symptomatique, l'état clinique s'améliore rapidement ainsi que le syndrome inflammatoire. Mme. Y peut rentrer à domicile le 31.12.2018 en bon état général. Mme. Y, 40 ans, est hospitalisée dans notre service de Chirurgie pour prise en charge élective d'une maladie de Basedow réfractaire au traitement médicamenteux. Elle bénéficie le 11.12.2018 d'une thyroïdectomie totale. L'évolution post-opératoire est sans particularités avec des douleurs bien contrôlées par un traitement antalgique simple. Le contrôle en ORL montre une motilité normale des cordes vocales. Les drainages ont pu être retirés le 13.12.2018 ainsi que les fils. Sur le plan biochimique, les contrôles calciques montrent une très légère hypocalcémie (calcémie corrigée à 2.10 mmol/L et ionisée à 1.08 mmol/L) chez une patiente asymptomatique. Nous introduisons un traitement par Euthyrox 125 mcg/jour que nous laissons le soin d'adapter lors de la prochaine consultation en Endocrinologie. La patiente retourne à son domicile le 13.12.2018. Elle sera vue à la consultation du Dr. X le 14.01.2018 et à la consultation d'Endocrinologie du CHUV, où elle est suivie, le 03.01.2018. Mme. Y est hospitalisée suite à la découverte fortuite d'une pancytopénie lors d'un bilan biologique de contrôle chez son médecin traitant. Elle ne présente aucun symptôme B ou plainte hormis l'apparition d'hématomes post-traumatiques. Après avis hématologique, nous effectuons une ponction biopsie de moelle afin de détecter une potentielle cause de cette pancytopénie. Dans l'intervalle, nous effectuons une transfusion de concentré plaquettaire. Les valeurs restent stables lors de l'hospitalisation. Nous recevons des résultats intermédiaires excluant une atteinte oncologique. Le diagnostic différentiel inclut une anémie aplasique débutante, un syndrome myélodysplasique hypoplasique débutant ou une anémie de Biermer. Les résultats définitifs seront communiqués lors d'une consultation chez le Dr. X le 03.01.2019. Nous constatons également une carence importante en vitamine B12 et dans une moindre mesure en folate que nous substituons. En vue d'un retour à domicile, nous transfusons la patiente de 2 culots érythrocytaires avant la sortie. Mme. Y rentre à domicile le 18.12.2018. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de dyspnée et de douleurs rétrosternales depuis plusieurs jours. Une décompensation cardiaque à prédominance gauche est suspectée au vu des examens biologiques et radiologiques. Un ultrason cardiaque est effectué et ne montre pas de péjoration de la fonction cardiaque par rapport au dernier examen avec une FEVG stable à 50%. L'interrogation du pacemaker montre des passages paroxystiques en FA rapide, laissant suspecter celle-ci comme cause de la décompensation actuelle. Nous adaptons le traitement diurétique, ainsi que le traitement anticalcique anti-arythmique avec bonne réponse clinique. Nous constatons au laboratoire une insuffisance rénale d'origine pré-rénale qui se corrige par de l'hydratation. Cependant, nous convenons d'un contrôle clinique et biologique chez son médecin traitant la semaine prochaine. Mme. Y peut rentrer à domicile le 19.12.2018. Mme. Y présente une récidive d'un kyste probablement arthrosynovial en regard de l'articulation MTP 1 du pied G. La patiente souhaite la mise à plat de ce kyste. L'indication opératoire est donnée, la patiente est informée du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Elle nous donne son accord, le consentement est signé. L'intervention aura lieu en ambulatoire le 20.12.2018 sous anesthésie locale. Mme. Y, connue pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée, est adressée aux urgences par le Dr. X le 13.12.2018. Elle ressent des douleurs rétrosternales ainsi que des épigastralgies oppressives depuis 3 jours, d'intensité 5/10, sans irradiation et s'accompagnant d'une dyspnée et d'œdèmes des membres inférieurs. Il n'y a pas de notion de malaise, pas de douleur ni d'induration au niveau des mollets. Pas de toux, pas d'état fébrile ni frissons, pas de traumatisme récent et pas de voyage récent. Mme. Y habite seule et bénéficie de soins à domicile deux fois par semaine. Elle a un fils qui habite à côté. À l'examen clinique aux urgences, elle est tachycarde à 124 bpm, hypertendue à 156/106 mmHg, afébrile et désaturée à 86% à l'air ambiant. L'auscultation cardiaque est irrégulière, pas de souffle audible. On note des œdèmes aux membres inférieurs légers. L'auscultation pulmonaire montre des murmures vésiculaires sur toutes les plages. Au statut digestif, les bruits abdominaux sont normaux, l'abdomen est souple, douloureux à la palpation de l'épigastre, pas de défense ni de détente. Les loges rénales sont souples et indolores à la percussion. La radiographie du thorax réalisée à la consultation du Dr. X met en évidence de légers signes de surcharge, mais pas de foyer ni de pneumothorax, le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de signe d'insuffisance rénale ni de trouble électrolytique et les D-dimères sont à 400 ng/ml et l'ECG montre une fibrillation auriculaire avec une réponse ventriculaire rapide à 112/min. Nous faisons deux trains de troponines qui ne montrent pas de cinétique et la gazométrie artérielle réalisée sous 2 l/min d'oxygène met en évidence une légère hypoxémie à 10.6 kPa sans hypercapnie, une saturation en oxygène à 97% et pas de lactates. La patiente est mise sous oxygénothérapie. Concernant la fibrillation auriculaire, nous relayons l'Aspirine cardio par le Xarelto et afin de diminuer les œdèmes des membres inférieurs, nous augmentons le dosage du Torem à 10 mg/j. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Le laboratoire met en évidence une carence en acide folique et une carence en vitamine D que nous substituons. Les tests hépatico-pancréatiques ainsi que la TSH sont dans la norme. Les épigastralgies sont soulagées par l'Ulcar et nous suspectons donc une origine gastrique, raison pour laquelle nous majorons le Pantozol à 40 mg 2x/j pour 3 semaines. Nous vous laissons le soin d'effectuer une recherche d'H. Pylori dans les selles en cas de persistance de la symptomatologie. L'évolution est favorable avec disparition de la dyspnée et régression des oedèmes des membres inférieurs. Mme. Y peut regagner son domicile le 18.12.2018. Mme. Y est une patiente de 75 ans, qui se présente aux urgences le 08.12.2018 pour des douleurs abdominales avec un iléus grêle à l'imagerie. Elle bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse sans résection intestinale le jour même. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable avec une reprise du transit le 11.12.2018 et une réalimentation bien tolérée. Mme. Y rentre à domicile le 12.12.2018. Mme. Y, 75 ans, se présente aux urgences le 08.12.2018 pour des douleurs abdominales avec un iléus grêle à l'imagerie. Elle bénéficie d'une laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse sans résection intestinale le jour même. L'intervention se déroule sans complications. L'évolution post-opératoire est favorable avec une reprise du transit le 11.12.2018 et une réalimentation bien tolérée. Mme. Y rentre à domicile le 12.12.2018. Mme. Y, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 25.11.2018 en raison de céphalées et d'un état fébrile à 38,3°C. Les céphalées sont apparues progressivement depuis le 23.11.2018. Initialement frontales bilatérales, puis avec irradiation occipitale, constrictives, associées à des nausées, vomissements, photophobie et état fébrile, sans méningisme. Elles ont augmenté en intensité jusqu'à 7/10. La patiente n'est pas connue pour des migraines. Pas de notion de traumatisme, de chute ni de contage. A l'admission aux urgences, tension artérielle 119/74 mmHg, fréquence cardiaque 100 bpm, fréquence respiratoire 20 min, température 38.3°C, saturation 96% à l'air ambiant. Au status neurologique, Glasgow à 15/15, patiente collaborante, orientée dans les 3 modes, pupilles isocores et isoréactives. Nerfs crâniens dans la norme sans latéralisation. Barré et Mingazzini tenus. Force, tonus et sensibilité conservés aux 4 membres. Réflexes ostéotendineux vifs et symétriques aux 4 membres. Epreuves cérébelleuses : doigt-nez, talon-genou sans dysmétrie, pas d'adiadococinésie, Romberg marche sans déviation. Kernig et Brudzinski négatif. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Nous effectuons une ponction lombaire qui évoque une méningite virale. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 57 mg/l sans leucocytose. Pas de trouble électrolytique, bonne fonction rénale. La radiographie du thorax est sans particularité. Nous hospitalisons Mme. Y pour une méningite virale. Durant l'hospitalisation, la patiente présente d'importantes douleurs abdominales diffuses avec une défense en hypochondre droit. Nous effectuons un ultrason abdominal qui montre un contenu faiblement échogène de stase : sludge, au niveau de la vésicule biliaire. A l'auscultation pulmonaire, nous mettons en évidence un murmure vésiculaire diminué en base gauche par rapport à l'admission. Nous effectuons une radiographie du thorax qui est comparable à celle de l'entrée. Nous associons ces douleurs à une gastrite sur vomissements répétés en début de séjour. Concernant la méningite virale, la culture du LCR revient négatif de même que le PCR recherche HSV. Les hémocultures reviennent également négatives. L'évolution clinique est favorable après 3 à 4 jours avec disparition des céphalées, des nausées et des vomissements. Mme. Y peut regagner son domicile le 29.11.2018 avec un traitement symptomatique. Un contrôle clinico-biologique est agendé à votre consultation pour le 30.11.2018. Mme. Y est une patiente de 61 ans connue pour un status post-amputation infra-géniculée droite ayant nécessité plusieurs reprises en raison d'une déhiscence de plaie. La patiente présente actuellement une cicatrice instable du moignon, raison pour laquelle nous effectuons une nouvelle reprise le 17.12.2018. Les suites opératoires sont simples avec une bonne cicatrisation du moignon. Au niveau infectiologique, nous débutons une antibiothérapie par clindamycine lors de l'intervention que nous maintenons pendant 4 jours. La patiente rentre à domicile avec des soins de plaie 3x/semaines, le 25.12.2018. Elle prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour le suivi du moignon et auprès du service d'antalgie. Mme. Y est une patiente de 18 ans en bonne santé habituelle qui se présente aux urgences le 12.12.2018 avec des douleurs abdominales courantes depuis 3 jours compatibles avec une appendicite aiguë. La patiente bénéficie le 12.12.2018 d'une appendicectomie laparoscopique. Les suites opératoires sont simples et la patiente rentre à domicile le 13.12.2018. Mme. Y, âgée de 72 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse uni-compartimentale du genou D sur gonarthrose, le 27.11.2018. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion du genou D est de 80° en actif et 90° en passif, l'extension est de 0° en actif et en passif. La force des MI est cotée à M5 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en pas alternés sur un périmètre de 130 m. Elle peut monter/descendre 10 marches avec les cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion du genou D à 90° en actif et en passif sans flexum. A la sortie, la patiente bénéficiera de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire. Après 4 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 07.12.2018, en bon état général. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, est amenée aux urgences en ambulance le 17.12.2018 suite à un malaise. La patiente était au supermarché avec son mari quand elle a commencé à se sentir un peu mal. Elle décrit une sensation d'estomac très vide, puis a perdu connaissance pendant environ 15 minutes. Son époux rapporte une rigidité du corps, mais pas de mouvement tonico-clonique post-chute. Il a essayé d'éviter la chute, mais la patiente aurait eu un traumatisme crânien suite à la chute. Il nous dit également que la patiente a pris quelque chose de sucré avant d'arriver aux urgences. La patiente rapporte avoir repris connaissance dans l'ambulance, mais avec la tête lourde et présente une amnésie circonstancielle. Notion de lipothymies situationnelles. Au status neurologique, la force est à M4 aux membres inférieurs, le reste est dans la norme. Au status digestif, légères douleurs à la palpation du flanc gauche, sans péritonisme.Suspectant une crise de type convulsif, nous dosons les CK qui sont dans la norme. Les lactates sont légèrement augmentés à 2,2 mmol/l. Nous complétons le bilan par un test de Schellong qui est symptomatique mais le massage du sinus carotidien est dans la norme. Nous retenons le diagnostic de syncope dans un contexte vasovagal et la patiente est hospitalisée pour surveillance. En raison de céphalées et nausées persistantes suite à la chute, nous effectuons un CT scan cérébral qui exclut une hémorragie intracrânienne ou une fracture du massif facial. Le séjour se passe sans complication et Mme. Y peut regagner son domicile le 19.12.2018. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour une hypertension artérielle et une anémie hypochrome ferriprive hyporégénérative qui se présente aux urgences le 08.12.2018 pour des épisodes d'hématochésies le jour même. Les examens radiologiques mettent en évidence une masse bourgeonnante dans le caecum. La patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie pour effectuer un bilan d'extension et une surveillance clinique. Les examens complémentaires mettent en évidence un adénocarcinome de la muqueuse colique dans la région caecale. À noter également, la mise en évidence d'une masse suspecte dans la glande surrénale gauche. Celle-ci pouvant correspondre à un phéochromocytome et après discussion avec le Dr. X, endocrinologue, nous initions un bilan d'investigation. Le cas de Mme. Y est présenté au Tumorboard du 12.12.2018. Il est décidé de proposer une intervention chirurgicale par laparotomie afin de réaliser une hémi-colectomie droite ainsi qu'une résection de la glande surrénale gauche. L'intervention est provisoirement fixée pour le 19.12.2018. En préopératoire, nous restons dans l'attente des résultats des investigations endocrinologiques ainsi que des résultats de l'examen radiologique par scintigraphie MIBG afin de déterminer l'origine de la masse surrénalienne. Si le diagnostic de phéochromocytome devait être confirmé, l'intervention chirurgicale devrait être précédée d'un traitement antihypertenseur par alpha-bloquants de trois semaines (selon avis Dr. X). L'évolution clinique et biologique de la patiente étant favorable, elle rentre à domicile le 14.12.2018. Une nouvelle hospitalisation préopératoire est prévue le 18.12.2018, date à laquelle elle bénéficiera des examens radiologiques sus-mentionnés. Il sera alors possible d'évaluer la possibilité d'effectuer l'intervention le lendemain. Mme. Y est une patiente de 75 ans, qui bénéficie le 18.12.2018 d'une scintigraphie MIBG pour caractériser une masse surrénalienne gauche découverte durant le bilan d'un adénocarcinome du caecum pour qui une hémicolectomie droite avec CME est prévue. La scintigraphie met en évidence un phéochromocytome, la colectomie est alors annulée et un traitement par alpha-bloquant est introduit pour préparer la patiente pour une surrénalectomie qui aura lieu en même temps que la colectomie dans 3 semaines. Nous introduisons également une radiothérapie au niveau du caecum pour contrôler l'hémorragie digestive en attente de l'intervention chirurgicale. La patiente peut retourner à domicile le 21.12.2018. Elle sera revue en ambulatoire en endocrinologie pour suivre et adapter le traitement alpha-bloquant et en chirurgie pour planifier l'intervention chirurgicale. Mme. Y, âgée de 78 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une luxation antéro-inférieure de l'épaule D avec arrachement du trochiter, traitée par ostéosynthèse par plaque Philos, et fracture périprothétique du fémur droit Vancouver B2, traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par 5 cerclages Dall Miles et plaque-vis du fémur 4.5 à 11 le 01.11.2018 suite à une chute accidentelle le 31.10.2018. La patiente a fait une chute de sa hauteur avec réception sur le flanc droit à la gymnastique. Sur le plan social, la patiente vit avec son compagnon à domicile. Elle a des escaliers au domicile mais elle peut s'organiser pour vivre sur un seul étage. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place, elle se plaint plutôt de crampes. Au statuts, la patiente est orientée et collaborante. Les douleurs au MID sont évaluées à 0/10 sur l'EVA douleurs au repos et au MSD à 4/10 à l'EVA douleurs à la mobilisation. La mobilité passive de l'épaule D est à 90° en élévation et abduction, la rotation externe est à 0°. La mobilité du coude, du poignet et des doigts à droite est conservée. La mobilité de l'hanche D en flexion est à 70° en passif et à 40° en actif, celle du genou D en flexion est à 80° en passif et à 50° en actif. Les transferts se font avec aide. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle se mobilise en chaise roulante. Le gilet orthopédique doit être gardé pour 6 semaines postopératoires (prochain avis orthopédique le 13.12.2018). Les amplitudes articulaires de l'épaule D montrent une flexion de 100°, abduction à 90° et rotation externe à 0° en passif, pas de flexum du coude droit. Au vu des limitations fonctionnelles dictées par les restrictions orthopédiques, Mme. Y peut quitter notre service le 03.12.2018 pour rejoindre son domicile. La patiente pourra rejoindre notre service pour la rééducation à la marche une fois l'autorisation de charge du MID et MSD donnée. Mme. Y, patiente de 45 ans, connue pour une cholécystectomie avec cholangiographie peropératoire le 22.10.2018, consulte le service des urgences pour plusieurs épisodes de vomissements alimentaires puis biliaires. La patiente a consulté son médecin traitant le 17.12.2018 pour des diarrhées depuis 3 jours, sans trace de sang, améliorées avec prise de Pérentérol, avec laboratoire et tests hépatiques dans la norme. La patiente rapporte aussi des douleurs épigastriques intermittentes, de faible intensité, sans irradiation, ainsi qu'une asthénie avec perte de poids d'environ 9 kg sur 6 mois (avant sa CCK) sans état fébrile ni sudation nocturne. Le bilan biologique d'entrée montre une perturbation des tests hépato-biliaires et de cholestase sans trouble de la crase. Une ultrasonographie abdominale retrouve un foie stéatosique avec une dilatation des voies biliaires extra-hépatiques compatible avec un statut post cholécystectomie. Un avis gastro-entérologique est demandé, proposant d'exclure les hépatites virales ainsi que les causes auto-immunes. Un bilan viral ne retrouve pas d'infection active. La patiente dit avoir consommé 2 g de Paracétamol le 17.12.2018 sans autre médicament, ni phytothérapie ou champignon. La patiente ne consomme pas d'alcool. Un bilan auto-immun est également effectué et revient négatif. Le suivi biologique montre une régression spontanée des tests hépatiques. L'état clinique s'améliorant également spontanément, un phénomène transitoire d'origine virale est retenu sans exclusion d'une cause toxique. Sur le plan psycho-social, la patiente se présente avec une thymie abaissée et se fait du souci pour son jeune enfant. Nous proposons de rediscuter l'introduction d'un antidépresseur à distance de l'hospitalisation. Au vu de la baisse rapide des tests hépato-biliaires et de cholestase et de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 21.12.2018. Nous vous proposons de recontrôler les tests hépatiques à 1 semaine.Mme. Dubuis, patiente de 71 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée pour réadaptation cardiovasculaire en raison d'épisodes rapprochés de décompensation cardiaque ayant nécessité plusieurs hospitalisations. Traitement à l'entrée : • Adenuric 80 mg cp : 0.0.1.0 • Aprovel 150 mg cp : 1.0.0.0 • Aspirine Cardio 100 mg cp : 1.0.0.0 • Atorvastatine 40 mg cp : 0.0.1.0 • Beloc Zok 50 mg cp retard : 1.0.0.0 • Cordarone 200 mg cp : 1.0.0.0 • Diamox 250 mg cp : 1.0.1.0 • Eliquis 5 mg cp : 1.0.1.0 • Euthyrox 0.125 mg cp : 1.0.0.0 • Seebri Breezhaler 50 microgrammes caps inh : 1.0.0.0 • Torasemide 10 mg cp : 1.0.0.0 • Dafalgan 1 g cp : 3/j max si douleurs ou fièvre Durant les marches de réadaptation, plusieurs arrêts pour douleurs aux mollets sont constatés, toujours pour le même temps de marche avec régression des symptômes au repos. La patiente présente également des douleurs pendant le fitness et avait déjà des douleurs à l'effort antérieures à l'hospitalisation en réadaptation. Selon elle, un bilan il y a 3 ans n'avait pas objectivé de lésion. Exploration d'une AOMI à prévoir devant cette claudication. Rendez-vous avec Dr. X (HFR Fribourg) le 13.12.2018. Concernant sa fonction rénale, la patiente avait présenté une insuffisance rénale aiguë sur chronique lors de sa dernière décompensation cardiaque, déjà en amélioration avant son entrée à Billens et qui a continué son évolution favorable durant le séjour (créatinine à 134 micromoles/L le 04.12 contre 186 le 12.11.2018). Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et nous avons pu constater une progression tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du vélo pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 20 W malgré la présence d'une claudication intermittente des mollets. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+25 m) malgré la nécessité d'une pause devant une claudication intermittente avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mme. Dubuis a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Elle sera suivie individuellement sur Riaz. Mme. Echenard est admise aux soins intensifs dans les suites d'un STEMI antérieur. La patiente est connue pour une hypothyroïdie et un carcinome colorectal en rémission. Elle présente depuis une semaine des douleurs rétrosternales déclenchées à l'effort. Elle consulte les urgences de Riaz le 23.12.2018 pour un angor persistant où un sus-décalage antérieur est objectivé avec des troponines positives. Elle est transférée à Berne pour indisponibilité de la salle de cathétérisme. La coronarographie en urgence à l'Inselspital met en évidence une coronaropathie tritronculaire avec une occlusion de l'interventriculaire antérieure proximale qui est revascularisée par un stent actif. La FEVG est diminuée à 35 % avec une akinésie antéro-apicale. La surveillance aux soins s'avère sans particularités. Les douleurs rétrosternales ne récidivent pas, les enzymes cardiaques sont à la baisse. Une double antiagrégation est introduite pour une année ainsi qu'un traitement par bêta-bloquant, IEC et statine. Une échocardiographie de contrôle est à organiser pour exclure la formation d'un thrombus sur l'akinésie antéro-apicale et réévaluer la fonction cardiaque. Une deuxième coronarographie est planifiée le 27.12.2018 pour traiter les sténoses restantes. Mme. Ecoffey, résidant au home de l'Intyamon, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, notamment une anémie chronique microchrome microcytaire, est amenée aux urgences en ambulance le 05.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général ainsi qu'une anémie sévère avec hémoglobine à 37 g/l ce jour. Selon la transmission du home, la patiente ne s'alimenterait plus de façon adéquate depuis plusieurs mois. Elle présenterait un déconditionnement global, avec un refus de prendre sa médication. La patiente vomirait occasionnellement après les repas. Pas de notion de méléna ni de sang dans les selles. À l'admission aux urgences, Mme. Ecoffey n'a pas de plainte spontanée. Elle est dénutrie. Au statut cardiovasculaire, le rythme cardiaque est régulier avec un souffle systolique aortique 2/6. Présence d'oedèmes des membres inférieurs bilatéraux, prédominant à droite. La palpation abdominale est indolore, sans défense ni détente. Les bruits sont conservés. Au toucher rectal, on retrouve des selles molles, malodorantes et d'aspect normal dans l'ampoule rectale, le tonus sphinctérien est sans particularité, pas de sang visualisé. La patiente bénéficie de la transfusion de 2 culots érythrocytaires et est hospitalisée pour la suite de la prise en charge. Au contrôle biologique du 06.12.2018, l'hémoglobine est à 61 g/l et nous transfusons 2 culots supplémentaires avec bonne réponse et une hémoglobine qui remonte à 101 g/l le 09.12.2018. Afin de compléter les investigations, avec l'accord de la patiente et de sa fille, nous programmons une colonoscopie ainsi qu'une OGD à l'HFR Fribourg. Cependant, durant le séjour, Mme. Ecoffey revient sur sa décision et refuse ces examens, malgré nos explications concernant les risques d'un tel refus. Ses filles partagent cet opinion et optent pour des soins de support avec contrôle rapproché de l'hémoglobine et transfusions si nécessaire. Nous vous informons de la situation. Au niveau médicamenteux, au vu de la suspicion d'un saignement digestif, l'Aspirine cardio est stoppée, de même que le Périndopril en raison de la persistance d'une hypotension. En fin de séjour, l'hémoglobine reste stable à 96 g/l malgré deux épisodes d'hématémèse la nuit du 10 au 11.12.2018. Mme. Ecoffey peut regagner le home de l'Intyamon le 13.12.2018 avec contrôle hebdomadaire de l'hémoglobine. En cas de besoin élevé de concentrés érythrocytaires au home, nous vous laissons discuter avec la patiente et sa famille d'une attitude purement de confort. Mme. Egger, patiente de 85 ans connue pour une HTA traitée, est amenée en ambulance le 14.12.2018 en raison de sensations de paresthésies associées à un engourdissement du visage et du bras D vers 14 h ce même jour durant moins d'une heure avant une résolution complète. Le soir vers minuit, alors qu'elle tricotait au lit, elle ressent les mêmes symptômes avec cette fois paresthésies et lâchages du MID également. Aux urgences, est noté encore une ataxie du MSD et dysarthrie modérée. Le CT cérébral ne montre pas de lésion ischémique ou hémorragique, il révèle cependant une athéromatose carotidienne et vertébrale diffuse sans sténose hémodynamiquement significative et une sténose focale de l'artère cérébrale postérieure droite dans sa portion P2. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en aspirine. L'IRM cérébrale ne montre pas de lésion ischémique ou hémorragique, mais confirme les lésions vasculaires pré-citées. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de source cardio-embolique. Un Holter de 72 h est posé, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux et transcrâniens retrouve une athéromatose diffuse avec sténose de 40-50 % de la carotide interne gauche, ainsi qu'une sténose de l'artère cérébrale postérieure dans son segment P2, estimée <50 %. Nous suspectons en premier lieu donc une étiologie embolique d'origine artério-artérielle dans ce contexte. Une double antiagrégation plaquettaire par Aspirine Cardio et Plavix est à poursuivre durant 1 mois, suivie du Plavix seul au long cours. Nous vous invitons à pister le Holter de 72 h à la recherche d'une arythmie emboligène.Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15j. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie dans la norme. Mme. Y peut regagner son domicile le 18.12.2018. Mme. Y, patiente de 85 ans connue pour une HTA traitée, est hospitalisée dans un contexte d'AVC mineur capsulo-thalamique G le 18.12.2018. La patiente a été hospitalisée entre le 14.12.2018 et le 18.12.2018 en raison d'AIT à répétition manifestés par des hémisyndromes sensitivo-moteurs dysproportionnels D spontanément résolutifs. Les CT et IRM cérébraux initiaux n'ont pas montré de lésion ischémique ou hémorragique. Le bilan avait montré une athéromatose diffuse des vaisseaux précérébraux avec une sténose significative du siphon carotidien G, de l'artère carotide interne D (70% à l'angio-CT) ainsi qu'une sténose significative de l'artère cérébrale postérieure D. Une origine artério-artérielle avait été suspectée avec introduction en conséquence d'une double antiagrégation par Aspirine Cardio 100 mg et Plavix 75 mg pendant 1 mois, puis Plavix seul. La patiente est à nouveau conduite aux urgences en raison d'une récidive d'un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural sensitivo-moteur D le 18.12.2018. L'IRM cérébrale du 18.12.2018 confirmera une lésion ischémique capsulo-thalamique G. Au vu de la localisation et morphologie de la lésion, nous suspectons une origine micro-angiopathique, sans pouvoir exclure une origine artério-artérielle. Nous proposons la poursuite de la double antiagrégation plaquettaire pour 1 mois, puis Plavix seul au long cours dans ce contexte, ainsi que le traitement d'Atorvastatine. Le Holter posé lors de la dernière hospitalisation est toujours en cours d'analyse, nous vous invitons à pister les résultats. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est poursuivi. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15j. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie montrant la persistance de la quadranopsie supérieure monoculaire G probablement préexistante. Mme. Y peut regagner son domicile le 18.12.2018. Mme. Y, 85 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une récidive d'accident vasculaire cérébral avec hémisyndrome droit partiellement résolutif le 18.12.2018. La patiente avait été hospitalisée du 14 au 18.12.2018 pour suspicion d'accidents ischémiques transitoires à répétition d'origine indéterminée. Le soir après sa sortie, elle présente un nouvel hémisyndrome sensitomoteur droit avec aphasie, en régression aux urgences. Au moment de son arrivée aux soins intensifs, elle avait un NIHSS à 2, qui est resté stable durant tout le séjour. À savoir que la patiente présente une quadranopsie supérieure gauche de l'œil gauche, connue du séjour précédent et probablement d'origine plutôt ophtalmique. Le CT-scan cérébral du 18.12.2018 permet d'exclure un AVC constitué et montre une athéromatose calcifiée des axes pré-cérébraux et intracrâniens avec sténose à 70% en NASCET de l'origine de la carotide interne droite. Le bilan effectué lors du séjour précédent montrait une sténose termino-carotidienne gauche sub-occlusive et une sténose de l'artère cérébrale postérieure droite. L'IRM cérébrale du 19.12.2018 montre une lésion capsulo-thalamique gauche constituée. L'origine est probablement artério-artérielle. Un Holter a été effectué lors du séjour précédent et les résultats sont à pister. Les coupes thoraciques du CT-scan du 18.12.2018 montrent une condensation nodulaire du lobe supérieur droit de 15 mm, à explorer par un CT thoracique. La patiente est transférée en stroke unit non monitorée le 20.12.2018. Un traitement conservateur par statine et double antiagrégation plaquettaire pour 3 mois, suivi par du Clopidogrel au long cours, est proposé. Mme. Y est une patiente de 85 ans, connue pour un antécédent d'infarctus du myocarde, qui se présente aux urgences pour des douleurs au niveau de la loge rénale droite, d'apparition progressive sans fièvre associée. Le bilan biologique met en évidence une microhématurie ainsi qu'une insuffisance rénale avec une créatinine à 127 µmol/l. Le CT effectué pour une suspicion d'urolithiase montre une dilatation pyélocalicielle à droite sur une lésion nodulaire de 2,5 mm située à la jonction urétéro-vésicale, se réhaussant après l'injection de produit de contraste, suspect d'atteinte tumorale. La patiente est hospitalisée pour une surveillance et l'évaluation d'une prise en charge chirurgicale. Au vu de l'évolution favorable du tableau clinique et de l'amélioration de l'insuffisance rénale, nous ne retenons pas d'indication pour une opération en urgence. Selon la volonté de la patiente, nous prenons contact avec son médecin traitant, le Dr. X à Rüschikon, qui nous propose de prendre contact avec le Prof. X au Triemli Spital à Zürich pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 58 ans connue pour une polyarthrite rhumatoïde suivie par le Prof. X, des lithiases vésiculaires et un antécédent d'agranulocytose d'origine indéterminée en avril 2018, est transférée du service de chirurgie pour prise en charge d'une agranulocytose. Pour rappel, elle s'est présentée au service des urgences pour des douleurs en hypochondre droit d'apparition subite la veille. Un bilan par ultrason et CT abdominal met en évidence une cholécystite débutante. En raison d'une choléstase importante avec perturbation globale des tests hépatiques, une cholédocholithiase est suspectée par nos collègues chirurgiens. Le bilan met également en évidence une agranulocytose, d'origine possiblement médicamenteuse (Co-Amoxicilline, débutée le 14.12.2018 pour une angine à streptocoque). La patiente bénéficie d'une antibiothérapie intraveineuse par Céfépime et Metronidazole. Les collègues hématologues proposent l'introduction de Neupogen. L'évolution biologique est rapidement favorable avec normalisation du taux de neutrophiles. Une cause médicamenteuse est suspectée en plus du contexte infectieux, et les hématologues ne conseillent pas d'autres investigations. Un avis pharmacologique est également demandé. La Co-Amoxicilline pourrait être la cause de l'agranulocytose. Il est donc conseillé de ne plus traiter la patiente avec de la pénicilline ou ses dérivés (Ampicilline, Flucloxacilline, Pipéracilline-Tazobac, Ticarcilline-Clavulanate), et si possible éviter les autres bêta-lactames (notamment Céfazoline). Il faut aussi éviter d'autres médicaments connus provoquant une agranulocytose (Métamizole sodique, Clozapine, Olanzapine,...) et ne plus utiliser le Rituximab. Si la patiente devait nécessiter une protection gastrique, éviter le Pantoprazole et préférer la Ranitidine ou le Lansoprazole. Sur le plan chirurgical, l'évolution clinique et biologique est également favorable, faisant suspecter le passage du calcul. Un relais per os est effectué avec Ciproxine et Flagyl pour une durée totale de 10 jours et Mme. Y peut rentrer à domicile le 28.12.2018 avec un rendez-vous prévu à la consultation du Prof. X pour discuter une cholécystectomie élective.Mme. Y est une patiente de 69 ans connue pour des antécédents d'urolithiase droite qui se présente aux urgences avec des coliques néphrétiques sans fièvre ni trouble mictionnel associé. Le bilan biologique met en évidence une microhématurie et le CT montre de multiples urolithiases à gauche avec un calcul de 3 cm dans le rein gauche sans signe de complication. Nous retenons l'indication d'une pose de sonde double-J le jour même. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples, permettant un retour à domicile le 09.12.2018. Mme. Y, âgée de 65 ans, connue pour une BPCO stade II C selon Gold, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une pneumonie à Pneumocoques qui avait requis une ventilation non invasive intermittente du 19.10 au 24.10.2018 et le 27.10.2018, IOT (Cormack 1) et une ventilation invasive du 24.10 au 27.10.2018. Sur le plan social, elle vit avec son ami à domicile. Elle travaillait dans l'hôtellerie, est actuellement à la retraite. À l'admission, la patiente est eupnéique, sans toux ni expectoration. Le statut général est sans particularité. Murmure vésiculaire normo-transmis. Pas d'OMI. Statut abdominal dans la norme. La gazométrie d'entrée montre un pH à 7.44, saturation à 95.3 % avec une pO2 à 9 kPa, sans hypercapnie (pCO2 4.95 kPa), raison pour laquelle nous n'introduisons pas d'oxygénothérapie. La spirométrie d'entrée montre une CVF à 82 %, VEMS à 72 % et rapport de Tiffeneau à 74.1 %. Les résultats de la spirométrie infirment le diagnostic de BPCO et nous arrêtons l'Ultibro Breezhaler. À la radiographie du thorax, on retrouve une désorganisation de la trame broncho-vasculaire, bilatérale diffuse, avec un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, mais on note une diminution des infiltrats alvéolo-interstitiels. Sur le plan nutritionnel, la patiente a été suivie par le service nutrition de l'HFR Fribourg pour dysphagie post-intubation, malnutrition protéino-énergétique grave (BMI à 18, NRS à 6/7) et des apports oraux insuffisants. Elle est arrivée avec une texture hachée fine et des SNO qui ont été poursuivis. Un test de la déglutition a été organisé et a permis de passer à une texture normale. Un bilan calorique a montré que la patiente couvre ses besoins protéino-énergétiques au-delà de ses besoins, ce qui est recherché dans le cadre d'une reprise pondérale, avec collations et SNO. Elle a retrouvé l'appétit et grignote volontiers hors des repas, ce qui est positif (+500 g en 4 jours). Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et endurance. La distance parcourue au test des 6 minutes à l'entrée est de 205 m. Durant son séjour, le 19.11.2018 à 03h20, la patiente a vomi environ 200 cc de sang frais. Mme. Y est transférée aux urgences de l'HFR Fribourg pour investigations et prise en charge spécialisée. Mme. Y, âgée de 79 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la clinique CIC Riviera pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTG D sur gonarthrose, le 29.11.2018. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile (son fils vit au rez-de-chaussée) et elle est bien entourée par ses 4 enfants. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs au repos sont bien contrôlées par l'antalgie en place et à 3/10 sur l'EVA douleurs à la mobilisation. L'appétit et le transit sont conservés. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou droit est de 40-0-0 en actif et 60-0-0 en passif. La force du quadriceps droit est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Présence d'un léger œdème du membre inférieur droit. Pouls pédieux présents ddc. Au statut cardiovasculaire, B1 B2 bien frappés avec souffle systolique à 3/6 avec p.m. mitral. À l'auscultation pulmonaire, murmure respiratoire sans bruit surajouté. L'abdomen est souple indolore avec des souffles hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes et les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 70-0-0 en actif et 85-0-0 en passif. La force du membre inférieur droit est augmentée et l'œdème est en diminution et non douloureux. Après 1 semaine d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 12.12.2018, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour continuer d'améliorer la fonction musculo-articulaire. Mme. Y est prise en radiologie pour un time-is-brain CT du neurocrâne. Sur la table, la patiente présente une crise d'épilepsie généralisée qui dure environ 60 secondes. Elle reste postictale pendant 15 minutes. Après, elle est orientée et regagne de la force dans le bras et la jambe droite. Elle reçoit 1 g de Keppra en i.v. Elle refait une crise d'épilepsie vers 16:25 qui dure 20 secondes au moment où elle doit être transférée au SIC. Mme. Y, une patiente de 71 ans dont les antécédents vous sont bien connus, s'est présentée aux urgences le 01.12.2018 pour des omalgies droites aiguës sur une décompensation arthrosique de son épaule. Elle a été hospitalisée à notre étage de médecine pour la suite de la prise en charge d'antalgie. Suite à l'antalgie, certes simple, reçue aux urgences, l'évolution a été rapidement favorable sur le plan des douleurs. La patiente a été évaluée par nos collègues de rhumatologie, qui proposent une infiltration et restent à disposition en cas de nouvelle crise, et informent la patiente de solliciter directement le service de rhumatologie afin d'éviter des consultations aux urgences pouvant aboutir à des hospitalisations inutiles. Cette évolution favorable permet un retour à domicile rapide le 04.12.2018, avec antalgie de réserve proposée à la patiente. Au vu de la notion d'intolérance multiple, sans toutefois de réelle allergie documentée, la tolérance du Paracétamol et du Tramal sera à réévaluer. Un contrôle diabétologique est encore prévu à la consultation du Dr. X le 07.12.2018. Mme. Y, patiente de 16 ans connue pour un diabète type 1 géré par pompe sous-cutanée à insuline Omnipod (débit basal 22.5 UI/24h) et bolus aux repas, est hospitalisée dans un contexte de décompensation diabétique sur dysfonction de sa pompe le 20.12.2018. Elle effectue des auto-contrôles réguliers au moyen de son appareil Freestyle (mesure de la glycémie interstielle). Le matériel de la patiente devient défectueux après qu'elle ait laissé tomber son sac. La patiente n'a pas contacté la Hotline de la pompe Omnipod pour se faire livrer du matériel. Il s'agit d'une troisième récidive sur les 3 dernières semaines sans facteur déclenchant identifié. L'évaluation paraclinique initiale retient une acidocétose légère. Il n'y a pas de contexte infectieux. La patiente bénéficie d'un suivi rapproché avec correction des glycémies par insuline rapide (Novorapid). Un avis diabétologique est sollicité, ce qui mène au changement de la pompe à insuline avec enseignement thérapeutique. Le débit basal n'est pas modifié (Novorapid 22.5 UI/24h). Le suivi rapproché confirme une évolution favorable des glycémies avec une hypoglycémie à 3 mmol/l symptomatique le 22.12.2018. En ce moment, le suivi révèle une discrépance entre le lecteur de la patiente et la glycémie capillaire de 3 mmol/l. Nous ne constatons pas de discrépance ultérieure. Nous encourageons la patiente à prendre contact avec la Hotline ou l'hôpital en cas de besoin.Devant l'évolution favorable et sur demande de Mme. Y, elle regagne son domicile avec sa mère le 23.12.2018 avec poursuite du suivi par son médecin traitant. Un arrêt médical de travail est issu du 23.12.2018 au 25.12.2018. Mme. Y est une patiente de 25 ans qui se présente aux urgences le 18.12.2018 pour des douleurs au niveau de l'anus survenues pendant un effort de défécation. La patiente est hospitalisée pour la gestion d'antalgie. À l'examen proctologique, nous ne visualisons pas de fissure anale. Le bilan est complété par une IRM pelvienne qui montre une proctite. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Metronidazole est alors débutée, avec par la suite un relais par voie orale à poursuivre jusqu'au 29.12.2018. La patiente peut retourner à domicile le 22.12.2018. Un rendez-vous en ambulatoire en proctologie est prévu le 07.01.2018 avec des biopsies rectales à prévoir. Mme. Y, patiente de 80 ans, connue pour un syndrome d'obésité-hypoventilation et une sténose aortique modérée, est admise aux soins intensifs pour une surveillance dans un contexte post-opératoire d'une ostéosynthèse d'une fracture d'olécrane à gauche. Suite à une chute mécanique, elle présente une fracture de l'olécrane à gauche qui nécessite une ostéosynthèse le 01.12.2018 sans complication. La surveillance hémodynamique et respiratoire est sans particularité. L'antalgie est contrôlée par Oxycontin et Oxynorm. Au vu de l'évolution favorable, elle est transférée au service d'orthopédie pour suite de soins. Mme. Y a rendez-vous le 13.12.2018 pour contrôle clinique et biologique, ainsi que pour ablation des fils de laparotomie médiane à la policlinique de chirurgie de l'HFR Riaz. Mme. Y, patiente de 72 ans, connue pour une vasculite des gros vaisseaux et une polyarthrite rhumatoïde, est hospitalisée dans le cadre d'une perte de l'élan vital. Elle présente depuis le 27.11.2018 une baisse du moral avec perte de l'élan vital et inappétence, accompagnée d'une sensation de ballonnement abdominal sans autres symptômes digestifs. L'examen d'entrée met en évidence une labilité émotionnelle et une baisse de la thymie, avec un statut physique sans particularités. La patiente bénéficie d'investigations excluant une autre origine des symptômes, se révélant toutes négatives. Nous suivons cliniquement la patiente qui montre une bonne évolution sur le plan de la thymie, avec une reprise de l'alimentation et une amélioration franche de l'élan vital. Nous proposons à la patiente d'introduire un traitement anti-dépresseur, ce qu'elle accepte. Nous administrons du Citalopram 10 mg, comme la patiente en avait déjà reçu dans le passé. La patiente décrit qu'elle n'a pas de désir de se faire du mal mais qu'elle a des moments où elle est très mal, lors desquels, si on lui proposait de lui administrer quelque chose pour mourir, elle accepterait. Actuellement, ces idées ne sont pas présentes. Au vu de la bonne évolution clinique de la patiente, nous la laissons rentrer à domicile le 03.12.2018 afin de bénéficier de son rendez-vous de suivi en Rhumatologie du 04.12 et de fixer un rendez-vous dans les meilleurs délais à votre consultation pour le suivi de l'état dépressif avec l'introduction de Citalopram. La patiente s'engage à ne pas se faire de mal et, en cas d'idées noires, à contacter quelqu'un. Mme. Y, patiente de 64 ans, est hospitalisée aux soins intensifs en Stroke Unit, monitorée pour une surveillance neurologique suite à un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien superficiel gauche et frontal droit, thrombolysé le 09.12.2018 sans complication. La patiente, connue pour une coronaropathie et un adénocarcinome pulmonaire, sous thérapie ciblée palliative par Osimertinib, a présenté le 09.12.2018 à 10h15 un hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachial droit avec une aphasie, d'apparition subite. Le NIHSS initial était à 5. L'imagerie initiale mettait en évidence un accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche aigu, qui a été traité par thrombolyse, sans complication immédiate. L'IRM cérébrale effectuée le lendemain n'a pas montré de complication hémorragique, mais a mis en évidence des lésions ischémiques aiguës dans le territoire sylvien gauche, ainsi qu'au niveau du lobe frontal à droite. L'US des artères pré-cérébrales et l'échocardiographie n'ont pas mis en évidence de source emboligène, et la surveillance rythmique durant son séjour aux soins intensifs n'a pas montré de trouble du rythme cardiaque. L'origine la plus probable est liée à l'état d'hypercoagulabilité dans le contexte oncologique, raison pour laquelle une anticoagulation thérapeutique serait indiquée. En raison de la nécessité d'une pose de sonde double J, l'anticoagulation n'est pas initiée aux soins intensifs. Le NIHSS à la sortie des soins intensifs est à 1 point. La patiente présente également une néphrolithiase gauche sur-infectée, pour laquelle l'indication à la pose d'une sonde double J est posée par les urologues mais reportée au 11.12.2018 en raison de la lyse récente. Dans l'attente de l'intervention, la patiente est couverte par Ceftriaxone pour une durée prévue de 7 jours et soulagée avec une antalgie par Morphine. L'intervention est sans complication immédiate. Le retrait de la sonde double J sera à re-discuter avec les collègues urologues. L'insuffisance rénale aiguë est mise en lien avec l'obstruction liée à la néphrolithiase. L'évolution est favorable par une hydratation et par une levée d'obstacle. Le diabète de type II est traité dans un premier temps par insulinothérapie intraveineuse. Le traitement habituel par Insuline, un analogue du GLP-1 et la Metformine sont mis momentanément en suspens. À savoir que, malgré cette thérapie, l'hémoglobine glyquée est à 8.5%. Nous vous laissons le soin d'adapter son traitement antidiabétique, en accord avec les endocrinologues. De point de vue oncologique, la patiente est sous traitement par Osimertinib qui est actuellement en suspens. Nous vous laissons recontacter l'oncologue traitant qui est à disposition pour discuter du moment idéal de la reprise de cette thérapie. Finalement, la patiente est connue pour une cardiopathie ischémique, avec un suivi au CHUV. Son traitement habituel par Procoralan est mis en suspens durant l'hospitalisation aux soins intensifs. L'indication et la reprise du traitement seront à confirmer avec son cardiologue traitant. Mme. Y a bénéficié d'une ostéosynthèse par cerclage-haubanage d'une fracture comminutive de l'olécrâne gauche le 04.11.2018. Après un séjour dans le service d'orthopédie, la patiente est transférée dans le service de réhabilitation gériatrique pour suite de la prise en charge. Lors de la radiographie de contrôle du coude droit le 23.11.2018, nous constatons une rupture de l'haubanage avec désolidarisation du cerclage par rapport aux 2 broches. L'indication opératoire est retenue et Mme. Y est retransférée dans le service d'orthopédie pour l'intervention suscitée le 12.12.2018. Les suites opératoires sont favorables. Le membre supérieur droit est immobilisé dans un pansement écossais pour 2 semaines post-opératoires. Le contrôle radiologique est en ordre. Le contrôle biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire systémique, ni de signes de malnutrition.Le 13.12, puis le 19.12.2018, la patiente présente un pic fébrile à 39° d'origine indéterminée. Les hémocultures reviennent négatives. Le résultat de l'urotube n'est pas disponible au moment du transfert dans le service de gériatrie. Sur le plan clinique, il n'y a pas de foyer pulmonaire, ni de symptômes urinaires. À noter que Mme. Y est connue pour un urosepsis il y a 4 ans en l'absence de tout symptôme urinaire. Un uricult est toutefois effectué malgré l'absence de symptomatologie. Nos collègues de gériatrie pisteront le résultat de cet examen. Le 21.12.2018, Mme. Y est transférée dans le service de réadaptation gériatrique pour suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 79 ans institutionnalisée au foyer Farvagny et connue pour maladie de Parkinson avec troubles cognitifs et de nombreuses chutes à répétition, est hospitalisée le 14.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général accompagnée d'une dyspnée et de méléna. La patiente présente depuis 3 jours une dyspnée avec désaturations récidivantes. Au vu d'une péjoration de la dyspnée et de la saturation, le médecin traitant suspecte une broncho-pneumonie et la patiente est traitée empiriquement par Augmentin à compter du 13.12.2018. Au service des urgences, un bilan radiologique et biologique est réalisé permettant de diagnostiquer une broncho-pneumonie basale droite et l'antibiothérapie est remplacée par Rocéphine intraveineuse pour 5 jours. Mme. Y et les soignants de son foyer rapportent également la présence de méléna depuis quelques jours. La patiente est donc mise sous Pantozol intraveineux en continu du 14.12 au 19.12.2018 et une Oesophago-gastro-duodénoscopie réalisée le 19.12.2018 (par le Dr. X) montre hernie hiatale de 3 cm avec incompétence du cardia et une oesophagite de reflux sévère avec multiples érosions, raison pour laquelle nous proposons 6 semaines de traitement par Pantozol po 2x 40 mg par jour, puis une dose unique de 40 mg quotidienne à long terme. Un ultrason de la vessie réalisé au service des urgences démontre une rétention urinaire aiguë, probablement dans le contexte de sa maladie de Parkinson. Une analyse des urines est sans particularités. Un sondage vésical jusqu'au 19.12.2018 permet une reprise normale de la diurèse. Au vu d'une évolution clinique et biologique favorable, Mme. Y peut être retransférée dans son foyer le 21.12.2018 en bon état de santé général. Mme. Y est une patiente de 74 ans, connue pour un lymphome diffus à grandes cellules B diagnostiqué cet été, est hospitalisée de manière élective par le Dr. X pour prophylaxie du SNC par Méthotrexate. À son arrivée, la patiente n'a pas de plainte et ne présente pas de signes cliniques de surcharge. Le traitement de méthotrexate de haut dosage est effectué du 10.12.2018 au 15.12.2018 selon le protocole rédigé par nos collègues d'oncologie. Un suivi des taux sanguins est effectué et s'avère dans les normes. Une substitution en acide folique ainsi qu'un suivi de la diurèse et du pH urinaire avec alcalinisation des urines est également effectuée selon le protocole. La tolérance au traitement est bonne et nous ne constatons pas d'anomalies cliniques ou biologiques significatives durant le séjour. Mme. Y regagne son domicile le 15.12.2018, le suivi oncologique est organisé à Payerne par le Dr. X. Mme. Y, patiente de 72 ans, connue pour une maladie de Parkinson traitée par Madopar depuis 5 ans, est hospitalisée en urgence le 25.11.2018 pour des douleurs abdominales diffuses en augmentation avec vomissements fécaloïdes à répétition et augmentation du diamètre abdominal. Les examens radiologiques mettent en évidence un volvulus sigmoïdien. La patiente bénéficie d'une exsufflation par colonoscopie en urgence avec récidive d'iléus à moins de 24h nécessitant une seconde exsufflation par colonoscopie et pose d'une sonde colique. À la troisième récidive d'iléus, l'indication à une prise en charge chirurgicale est posée. La patiente bénéficie d'une sigmoïdectomie avec colostomie terminale selon Hartmann et pose de VAC sous-cutané le 26.11.2018. En raison d'un choc septique survenant en péri-opératoire, la patiente est transférée aux soins intensifs du 26 au 28.11.2018. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle est transférée à l'étage de chirurgie pour suite de prise en charge. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Métrodinazole intraveineuse est administrée pendant 10 jours. La patiente est reprise au bloc opératoire le 03.12.2018 pour ablation du VAC sous-cutané et fermeture de la peau. Par la suite, nous notons la formation d'une collection séreuse sous-cutanée à hauteur du tiers inférieur de la cicatrice de laparotomie. Nous préconisons un traitement de drainage par VAC épicutané. Lors du contrôle de plaie à trois jours, nous visualisons une plaie fermée sèche et calme raison pour laquelle nous stoppons le drainage. Cependant, une récidive d'écoulement quelques jours après, engendre un nouveau traitement de drainage par VAC épicutané dès le 18.12.2018. L'évolution post-opératoire est marquée par une décompensation de la maladie parkinsonienne probablement sur malabsorption des médicaments dans le contexte de l'iléus, avec raideur posturale généralisée augmentée, ralentissement moteur et décompensation de troubles de déglutition. Dans ce contexte, la patiente présente un iléus paralytique prolongé sans reprise de transit jusqu'au 10.12.2018. Nous traitons par pose de sonde naso-gastrique de décharge, mise à jeun et traitement laxatif. Cette dégradation entraîne des troubles de la déglutition moteurs associés à un syndrome de malnutrition nécessitant une nutrition parentérale par voie veineuse centrale ainsi qu'une rééducation par physiothérapie. L'évolution clinique est favorable et la patiente peut reprendre une alimentation per os permettant l'ablation de la nutrition parentérale. En post-opératoire et dans le contexte des troubles moteurs de déglutition, la patiente présente également des signes cliniques et radiologiques de broncho-aspiration nécessitant une oxygénothérapie de 8 jours. Les risques infectieux sont couverts par le traitement antibiotique initié en péri-opératoire. À noter également, la formation de deux escarres au niveau occipital et du talon droit liées au manque de mobilisation. Nous suivons ces plaies conservativement et l'évolution est favorable. Nous demandons un avis neurologique au Dr. X qui avait suivi la patiente par le passé. Il est décidé de garder la posologie du traitement antiparkinsonien introduit pendant l'hospitalisation et de refaire une évaluation neurologique à distance de l'épisode chirurgical pour un éventuel ajustement du traitement. Malgré une réalimentation per os encore diminuée, nous ne préconisons pas d'alimentation par sonde entérale au vu du risque de broncho-aspiration et stimulons la patiente à augmenter sa prise d'aliments per os. L'évolution clinique et biologique de Mme. Y étant favorable, elle quitte notre service le 20.12.2018 pour un séjour provisoire au home de la Providence en attente d'un placement définitif. Mme. Y est une patiente de 54 ans connue pour une cardiopathie ischémique et artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IIb avec une sténose serrée des artères iliaque commune et fémorale droites et une sténose modérée de l'iliaque commune gauche, pour lesquelles une thrombendartériectomie fémorale droite avec angioplastie per-opératoire est effectuée le 01.10.2018. Actuellement, la patiente est réhospitalisée pour une infection de la plaie inguinale droite nécessitant le débridement de la plaie et la pose d'un pansement VAC le 12.10.2018 avec des changements itératifs par la suite. L'évolution est lentement favorable permettant la réalisation d'une greffe de Thiersch avec changement des pansements tous les jours avec une évolution partiellement favorable. Mme. Y sera revue en consultation au centre des plaies.Sur le plan infectiologique, il est mis en évidence du Klebsiella pneumonia, Staph. Lugdunensis, Streptocoque épidermidis, citobacter. Après discussion avec nos collègues infectiologues, il est décidé de ne pas poursuivre l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline précédemment commencée, en raison de probables germes colonisants. Sur le plan gastro-entérologique, la patiente présente des diarrhées à répétition sans douleurs abdominales ni nausées. Une culture de selles met en évidence un C. Difficile pour lequel nous effectuons une antibiothérapie par Flagyl pour une durée de 10 jours, soit du 21.11.2018 au 01.12.2018. Sur le plan ORL, Mme. Y présente durant l'hospitalisation des vertiges de type rotatoire sans nausée ni vomissement. La patiente est vue par nos collègues qui posent le diagnostic de vertige paroxystique positionnel bénin, avec amélioration après réalisation des manœuvres libératrices. Mme. Y sera revue à la consultation d'ORL. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile avec CMS 1x/j le vendredi 30.11.2018. Mme. Y est une patiente de 18 ans qui consulte aux urgences pour des douleurs importantes en fosse iliaque droite. Un CT scanner à l'entrée est interprété durant la nuit comme étant compatible avec une torsion ovarienne droite et la patiente est prise au bloc opératoire par les gynécologues pour une laparoscopie exploratrice. Le statut gynécologique en peropératoire est physiologique. Une collection liquidienne trouble est retrouvée dans le petit bassin avec l'appendice qui baigne dans ce liquide. L'appendice est discrètement œdématié et érythémateux et une appendicectomie est réalisée. Le grêle est palpé sur toute sa longueur, sans particularité. Nous initions une antibiothérapie empirique et administrons une dose d'Azithromycine pour traiter une éventuelle étiologie gynécologique. La patiente rentre à domicile le 01.12.2018 avec une antibiothérapie par voie orale jusqu'au 04.12.2018. Les fils seront enlevés chez le médecin traitant à J12. Mme. Y, une patiente de 87 ans dont les antécédents vous sont bien connus, a séjourné dans notre service de médecine interne afin de recevoir une thérapie métabolique à l'iode radioactif, motivée par l'augmentation inquiétante de la thyroglobuline observée récemment. La patiente n'avait pas de plaintes à l'entrée et le statut était sans particularité. La thérapie s'est déroulée dans de bonnes conditions et sans complications, la patiente ayant bénéficié comme convenu d'un PET-CT au préalable et d'une scintigraphie le jour de sortie (05.12.2018) avec dosage de la thyroglobuline. Les résultats seront communiqués à la patiente par le Dr. X dès réception de tous les résultats. Un traitement d'Ezetrol a été réintroduit dès le 05.12.2018 au vu de l'hypercholestérolémie marquée et de l'intolérance aux statines connues. Mme. Y est une patiente de 56 ans connue pour un carcinome indifférencié de l'angle colique gauche diagnostiqué en août 2018 dans le cadre d'un iléus, est hospitalisée pour adaptation de l'antalgie. Elle présente en effet des douleurs abdominales importantes non soulagées par ses traitements habituels. Pour rappel, la patiente a bénéficié d'une hémicolectomie droite élargie au mois d'août puis d'une chimiothérapie adjuvante par FOLFOX de 5 cycles jusqu'au 25.11.2018. Au PET-CT du 27.11.2018, une progression au niveau d'un ganglion mésentérique est visible et une radio-chimiothérapie concomitante a été prévue. L'évolution clinique est favorable avec un bon contrôle des douleurs par de la morphine en intraveineux puis per os. Le CT abdominal effectué montre une progression de la masse mésentérique déjà connue sans signes suggestifs d'iléus ou d'ischémie mésentérique. La patiente rentre à domicile le 11.12.2018. La prise en charge radio-thérapeutique débutera cette semaine en ambulatoire, la patiente sera contactée pour un rendez-vous. Son oncologue traitant, la Dr. X a été avertie afin que la chimiothérapie concomitante puisse être organisée. Mme. Y, 87 ans, est transférée des soins intensifs pour une insuffisance rénale aiguë anurique dans un contexte de choc hypovolémique avec une composante septique sur des diarrhées. Elle présente une baisse de l'état général avec diarrhées depuis une semaine. Le CT thoraco-abdominal non injecté ne montre pas de complication digestive ni rénale. À l'admission, la patiente présente une instabilité hémodynamique nécessitant une expansion volémique, un soutien aminergique transitoire et une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole. L'étiologie du choc est l'hypovolémie avec une composante septique sur les diarrhées infectieuses, majorée par l'accumulation du traitement anti-hypertenseur dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë. Une hémodiafiltration est mise en route en raison de l'insuffisance rénale aiguë compliquée d'une acidose métabolique sévère et de troubles électrolytiques avec une bonne évolution. La diurèse reprend sous traitement diurétique permettant d'arrêter la dialyse en continu. Une insuffisance respiratoire globale d'origine multifactorielle (obésité, hypoventilation, SAOS, surcharge hydrique) est traitée transitoirement par des séances de VNI mais qui sont relativement mal supportées. La situation globale restant précaire, une discussion est faite entre l'équipe des soins et la famille. D'un commun accord, il est décidé de procéder à des soins de confort en cas de péjoration clinique. La patiente est transférée en médecine le 06.12.2018, en anasarque. Elle décède le matin du 07.12.2018, accompagnée des soignants. Mme. Y est une patiente connue du service pour une hospitalisation jusqu'au 26.11.2018 dans le contexte de la découverte d'une masse de la tête du pancréas avec un ictère indolore. La patiente est hospitalisée le 11.12.2018 électivement après discussion au Tumor Board et pose du diagnostic histologique de cette lésion, pour bénéficier d'un stenting cholédocien et de la pose d'un Port-à-Cath. Le 12.12.2018, la patiente bénéficie de la mise en place d'un stent cholédocien par la radio-gastro-entérologie. Le 13.12.2018, le Port-à-Cath est mis en place et Mme. Y peut rentrer à domicile le 14.12.2018. Mme. Y est une patiente de 71 ans, qui est hospitalisée en raison d'une baisse d'état général à J7 d'une première chimiothérapie par Taxotère et Platinol dans le contexte d'un adénocarcinome pulmonaire. La patiente se plaint de diarrhées, d'innapétence et d'asthénie sans état fébrile ou frissons. Au statut, on retrouve une patiente déshydratée. Au vu d'une présence de nitrites au sédiment urinaire, une dose de Rocéphine est donnée aux urgences et une hydratation intraveineuse est débutée. Nous mettons les diarrhées et les symptômes dans le cadre d'effets secondaires de la chimiothérapie et traitons symptomatiquement avec amélioration rapide de l'état général. La patiente sera revue en consultation chez son oncologue début janvier pour la suite de la prise en charge. Mme. Y peut rentrer à domicile le 29.12.2018. Mme. Y est hospitalisée le 28.11.2018 en mode électif pour colonoscopie sous anesthésie générale. À l'admission dans notre service, la patiente est normotendue à 134/72 mmHg, normocarde à 87/min, afébrile à 36,6°C et sature à 94% à l'air ambiant. L'auscultation cardiaque et l'auscultation pulmonaire sont sans particularité. Pas de signe de décompensation cardiaque gauche ni droite. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'examen neurologique est dans la norme.L'ECG d'entrée montre un rythme sinusal à 70 battements par minute sans trouble de la repolarisation. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire, pas de trouble de la coagulation. La fonction rénale et les électrolytes sont dans la norme, les tests hépatico-pancréatiques sont normaux. Après préparation, la colonoscopie est réalisée le 29.11.2018. L'examen met en évidence de multiples polypes dans le cadre colique dont un plus grand de 10 mm. Des biopsies sont effectuées et mettent en évidence un adénocarcinome colorectal intra-muqueux au niveau du sigmoïde. L'intervention et les suites opératoires se passent sans complication. Mme. Y est gardée une nuit pour surveillance et peut regagner son domicile le 30.11.2018 avec contrôle clinique et résultats de la colonoscopie dans 4 à 5 jours. Mme. Y est une patiente de 74 ans aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux Urgences le 30.11.2018 en raison de douleurs abdominales crampiformes d'apparition subite ainsi qu'un arrêt du transit. Le CT abdominal met en évidence une volumineuse masse abdominale d'environ 13x13x10 cm, d'origine indéterminée. Un PET-CT est effectué le 04.12.2018 qui montre une tumeur en partie nécrotique et en partie hypervascularisée, ouvrant le diagnostic différentiel entre un GIST et une tumeur de type sarcome. Le cas de Mme. Y est discuté à notre Tumor Board du 05.12.2018 et nous proposons de présenter la patiente au centre des sarcomes du CHUV. Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 06.12.2018. Elle sera convoquée par l'équipe du centre des sarcomes du CHUV pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est hospitalisée pour la prise en charge d'un ulcère de la jambe droite présent depuis plusieurs semaines, accompagné d'un prurit généralisé. Elle avait déjà présenté un ulcère au même endroit en 2017 ainsi que plusieurs épisodes de thromboses veineuses. Elle nous est envoyée par son médecin traitant qui a essayé des soins de plaie ainsi qu'un traitement antibiotique sans amélioration de la situation. Le statut d'entrée montre un lipo-lymphoedème bilatéral avec éléphantiasis, ainsi qu'un ulcère du MID au-dessus de la malléole interne, et des lésions de grattage dans le dos et sur les bras. La clinique ainsi que le bilan biologique ne montrent pas de syndrome inflammatoire, pour cela, nous ne retenons pas d'indication à une antibiothérapie. Un avis en stomathérapie est demandé afin d'élaborer un protocole de soins. Les angiologues préconisent une cure de varice par échosclérose à la mousse. Celle-ci est effectuée le 27.12.2018 par Dr. X, sans complication. Une compression élastique des 2 jambes 24/24 h à maintenir au long cours est également recommandée. Lorsque les oedèmes seront stabilisés, des bas de contention tricotés à plat devront être instaurés. La patiente sera revue le 18.01.2018 à 15 h 45 par Dr. X pour le suivi angiologique et la suite de la prise en charge. Des soins à domicile sont mis en place pour permettre un suivi et des soins de plaies adéquats. Concernant le prurit, nos collègues dermatologues proposent un traitement par corticoïdes locaux symptomatiques dans le cadre d'une dermite de stase avec dissémination. Sur le plan cardiaque, la patiente bénéficie d'un traitement d'Aldactone et de Torasémide. L'indication à l'Aldactone nous semble peu claire et nous proposons d'organiser un bilan cardiologique en ambulatoire. Au vu de la présence d'Eliquis dans le traitement de la patiente, nous stoppons le traitement anti-agrégant d'Aspirine cardio après discussion avec son médecin traitant. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 27.12.2018. Mme. Y présente des douleurs dans le pli de l'aine gauche et dans la région fessière gauche. Un bilan radiologique effectué en janvier de cette année a déjà mis en évidence une coxarthrose à gauche. Afin d'exclure un syndrome radiculaire, je préfère faire encore un bilan par IRM de la colonne lombaire le 28.12.2018 à la recherche d'un conflit radiculaire sur L5 et S1 à gauche. En même temps, on profitera de refaire un bilan radiologique du bassin de face, hanche gauche axiale, genou droit face profil et une rotule axiale. Je reverrai la patiente après ce bilan radiologique le 16.01.2019 pour discuter des résultats et du traitement. Mme. Y, 57 ans, connue pour un carcinome pulmonaire non à petites cellules diagnostiqué en 05.2016 avec métastases osseuses, hépatiques, pulmonaires, médiastinales, suivie par Dr. X à la clinique Beausite à Bern, avec progression tumorale sous traitement de Terceva et motivant le changement de traitement par Tagrisso en 10.2018. La patiente est hospitalisée à Riaz depuis le 27.12.2018 pour une baisse de l'état général avec pleurite, inappétence, nausées et vomissements, en persistance malgré l'arrêt du traitement oncologique. Un CT cérébral et une PL reviennent normales. En raison de troubles de l'état de conscience, la patiente est aiguillée, de manière inappropriée, vers les soins intensifs de Fribourg. Après réévaluation de la situation oncologique et à la vue d'un nouveau CT abdominal (Riaz) qui montre une importante progression tumorale en particulier hépatique et pulmonaire, nous rediscutons de la situation oncologique avec la famille et nous orientons la situation vers une attitude palliative. Nous n'avons pas réussi à contacter malheureusement l'oncologue traitant de la patiente mais plusieurs rapports de l'hôpital Beausite évoquaient déjà une progression importante de la maladie. La patiente est transférée en médecine interne, sous pompe IV de morphine, pour des soins de confort le 31.12.2018. Mme. Y est une patiente de 59 ans, notamment connue pour un antécédent de carcinome canalaire invasif du sein gauche, qui présente le 04.12.2018 des douleurs abdominales aiguës en fosse iliaque droite avec un état fébrile à 38.6°. Elle consulte dans ce contexte son médecin traitant, qui met en évidence un syndrome inflammatoire, raison pour laquelle elle est orientée à l'Hôpital de Fribourg. Au CT réalisé à son entrée, un épaississement pariétal du côlon transverse avec infiltration de la graisse au contact d'un diverticule ou site d'excision d'un polype est mis en évidence. La patiente est mise sous antibiothérapie par Flagyl et Rocéphine, et évolue par la suite favorablement sur le plan clinique et biologique. Le 11.12.2018, elle peut rentrer à domicile. Mme. Y, patiente de 54 ans, connue pour une mutation BRCA2 avec des antécédents de carcinomes mammaires invasifs et ayant bénéficié d'une mastectomie bilatérale le 04.12.2018, est hospitalisée le 21.12.2018 après avoir été admise par Dr. X. La patiente rapporte avoir développé une forte douleur au niveau du site opératoire à droite avec une rougeur et tuméfaction importantes depuis le 18.12.2018, alors que le déroulement post-opératoire était jusque-là très satisfaisant. Elle est mise sous antibiothérapie par Co-Amoxi de manière empirique sans amélioration de la clinique, observant même sur la nuit suivante un état fébrile à 38.8. Une ponction mammaire est réalisée le jeudi 21.12.2018 chez sa gynécologue, rendant un liquide séreux (environ 40 ml) permettant une bonne diminution de la tuméfaction. La patiente est alors hospitalisée en médecine pour une adaptation de son antibiothérapie. L'examen biologique montre la présence d'un syndrome inflammatoire et des hémocultures sont prélevées et reviennent négatives. Le diagnostic de cellulite thoracique est retenu et selon l'avis des infectiologues (Dr. X), une antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxi est introduite.Le 23.12.2018, une progression de la rougeur et des douleurs au sein droit nous fait suspecter une collection en regard du quadrant supérieur droit du sein droit, qui est confirmée par un CT. L'abcès est drainé d'environ 100 ml de pus, et le liquide de drainage est envoyé en bactériologie. Sur nouvel avis infectiologique, l'antibiothérapie est ajustée et de la Cubicin intraveineuse est introduite le 24.12.2018 et sera à poursuivre jusqu'au 30.12.2018 par les soins à domicile. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y rentre à domicile le 24.12.2018 en bon état de santé général. Mme. Y est connue pour un adénocarcinome pulmonaire multi-métastatique qui était actuellement stable et sous surveillance sans autre traitement. Elle avait été hospitalisée jusqu'au 28.11.2018 pour un iléus traité de manière conservatrice. Elle décrit depuis 4-5 jours des vomissements post-prandiaux biliaires avec une absence de selles depuis 3 jours et des douleurs épigastriques crampiformes. La patiente consulte son médecin qui l'adresse pour une récidive d'iléus. Au status, les bruits abdominaux sont augmentés en fréquence, légère défense à la palpation en fosse iliaque droite et gauche. Au laboratoire, nous retrouvons une CRP à 59, des lactates négatifs et des leucocytes à 8.7 G/L. Au vu de la clinique, un CT-scan est effectué et montre un iléus jéjuno-iléal, avec saut de calibre d'une anse iléale terminale située en fosse iliaque droite avec un épaississement focal pariétal à ce niveau sans signe de complication. La patiente est donc hospitalisée dans ce contexte d'iléus et bénéficie le 06.12.2018 d'une laparoscopie exploratrice avec visualisation d'une masse au niveau de l'iléon, avec conversion ensuite en laparotomie et résection grêle à 350 cm du Treitz et 50 cm du Caecum avec réalisation d'une anastomose latéro-latérale. Dans les suites opératoires, la patiente reprend progressivement un transit et la sonde naso-gastrique est retirée le 09.12.2018. Les douleurs sont contrôlées avec une antalgie simple. Mme. Y se réalimente de façon correcte. Sur le plan nutritionnel, la patiente est connue pour une dénutrition protéino-calorique et est réévaluée par le service de nutrition avec mise en place de suppléments nutritionnels et un suivi en ambulatoire. Sur le plan oncologique, l'histologie de la résection grêle montre une métastase intra-luminale de l'adénocarcinome pulmonaire. Après discussion au Tumorboard, une chimiothérapie sera rediscutée avec la patiente à 6 semaines post-opératoire. À noter que le traitement par Lisinopril est mis en suspend en raison de tensions artérielles dans la norme dans notre service. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 14.12.2018. Mme. Y est une patiente de 60 ans, connue pour un cancer stade IV de la jonction gastro-œsophagienne. Elle se présente pour une incapacité à s'alimenter avec perte de poids importante. Rappelons qu'elle avait été nourrie par sonde nasogastrique, qui avait pu être enlevée après la pose d'un stent œsophagien. Elle est hospitalisée en médecine pour une renutrition contrôlée. Une pose de sonde PEG avec extension jéjunale est réalisée le 21.12.2018 et la nutrition est initiée progressivement par la suite. L'évolution clinique et biologique est bonne avec une bonne tolérance de la patiente et l'absence de syndrome de renutrition significatif. Mme. Y rentre à domicile le 26.12.2018. Elle a été instruite à l'utilisation et à l'entretien de cette nouvelle sonde. Pour le suivi, un rendez-vous est prévu le 27.12.2018 à la consultation du Dr. X. Les soins à domicile et l'équipe de diététique seront informés du départ de la patiente le 27.12.2018 afin qu'un suivi ambulatoire puisse être organisé. Le suivi oncologique sera poursuivi par Dr. X. Mme. Y est une patiente de 69 ans, connue pour une épilepsie post-traumatique de longue date, suivie par Dr. X sans récidive depuis plusieurs années, ainsi qu'un trouble anxiodépressif suivi par Dr. X. Elle est hospitalisée pour une parésie de la main droite depuis 4 jours sans autre trouble neurologique avec douleur musculaire de l'épaule droite. L'anamnèse est variable mais ne parle pas en faveur d'une épilepsie, ni d'un AVC récent. La patiente a développé des troubles sphinctériens la semaine passée avec constipation et rétention urinaire sans substrat somatique à l'IRM lombaire, de résolution spontanée. Le bilan biologique est sans particularité avec une fonction thyroïdienne substituée et vitamine B12 dans la norme. Un CT cérébral ne met pas en évidence de saignement, ni signe d'ischémie aigüe. Selon l'avis de son neurologue, une origine somatique est peu probable. C'est pourquoi, il ne recommande pas de bilan complémentaire. Selon l'avis psychiatrique, un trouble fonctionnel sur état dépressif modéré est retenu, survenu dans un contexte aigu du suicide d'une proche. La patiente refuse une hospitalisation psychiatrique volontaire. N'ayant pas de critère pour l'hospitaliser en PAFA, Mme. Y rentre à domicile le 22.12.2018. Mme. Y est hospitalisée dans le contexte d'une chute avec impotence fonctionnelle. En effet, elle s'est encoublée avec réception sur le flanc droit et traumatisme crânien sans perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. Elle ne présente pas de troubles neurologiques. Un bilan radiologique ne met pas de fractures en évidence. Comme conséquence de la chute, elle présente une plaie importante au niveau du genou droit ayant nécessité une suture et une antibioprophylaxie pour 5 jours. Les fils seront à enlever à 14 jours. La suite d'hospitalisation est discutée avec la patiente et son médecin-traitant Dr. X. En effet, elle a présenté dernièrement plusieurs épisodes de chute ayant nécessité des hospitalisations. Un placement en EMS serait préconisé avec un passage à l'UATO dans l'intervalle, ce qui est accepté par la patiente. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, patiente de 44 ans, est hospitalisée en raison des troubles de la motricité sévère avec une parésie à M4- du MIG et une lombo-cruralgie persistante. Pour rappel, une opération d'herniectomie et discectomie L5-S1 gauche et libération radiculaire a été faite à l'HFR cantonal le 24.10.2018. La patiente est connue pour plusieurs antécédents médico-psychiatriques et est suivie par Dr. X et Dr. X à l'HFR Fribourg. Elle est suivie par Dr. X sur le plan nutritionnel, et par Mme. Y sur le plan psychiatrique. Mme. Y habite avec ses 3 enfants mineurs (17, 14 et 10 ans) à Fribourg, dans un appartement au rez accessible en fauteuil roulant. Elle est séparée depuis 2 ans. Elle fume 1/2 paquet de cigarettes par jour, ne boit pas d'alcool et ne se drogue pas. Ses enfants l'aident dans les tâches ménagères. Elle a une curatrice pour la gestion financière. À l'entrée, la patiente rapporte des douleurs lombaires, irradiantes dans la fesse latérale gauche et la cuisse gauche antérieure jusqu'au genou, intenses malgré une antalgie importante. Elle se plaint d'une sensation d'engourdissement de son hémicorps gauche et d'une grande fatigue. Absence de douleurs au mollet ou au pied. Les douleurs, connues depuis 2015, se sont aggravées ces deux derniers mois, avec une péjoration de la mobilité et de l'autonomie. Le reste de l'anamnèse systémique est sans particularité.Le status d'entrée montre une patiente en état général conservé et orientée dans les 3 modes. Les status cardiopulmonaire et abdominal sont sans particularité. L'examen neuro-musculaire est aussi limité à cause de la survenue des douleurs lors de la mobilisation de la patiente. Un ralentissement psychomoteur global est relevé à l'examen, ainsi qu'une parésie du membre inférieur gauche à M4-, une intra-rotation du MIG due aux douleurs, une hypoesthésie de MI gauche avec perte de discrimination du touché/piqué au niveau du dermatome S1 et L5 et pallesthésie à 0/8 au niveau des malléoles externe et interne à gauche. Pas de troubles de la sensibilité relevés au MID. Le reste de la force segmentaire est à M5. Réflexes diffusément hypovifs. Ataxie non testée à cause de la parésie. Pas d'atteinte cérébelleuse, pas de trouble proprioceptif, pas d'héminégligence sensitive, le reste des nerfs crâniens est sans particularité. Le réflexe cutanéo-plantaire est en flexion des deux côtés. La marche et la station debout sont difficiles à tester au vu des douleurs. Sur le plan fonctionnel, à l'entrée, Mme. Y se mobilise pour la plupart de la journée avec la chaise roulante. Elle est capable de faire les transferts avec autonomie réduite entre la chaise roulante et le lit. La marche est possible avec aide importante du Taurus pour 10 mètres. Monter les escaliers n'est pas possible à l'entrée. À la sortie, Mme. Y montre une amélioration générale de sa mobilité. Elle est capable de faire les transferts avec autonomie; elle marche pour 200 m de façon autonome avec l'aide de deux cannes et est capable de monter les escaliers (20 marches) avec les mêmes aides auxiliaires. Au niveau médical, vu le progrès et la bonne évolution des symptômes, nous avons poursuivi la même thérapie analgésique sans changements. À noter que la patiente prend moins de réserve. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y était suivie par notre diététicienne et nous avons continué avec un complément par Fresubin 1 fois par jour. À la fin de l'hospitalisation, elle présente un gain de poids de 2.2 kg. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente rentre à domicile le 10.12.2018 en bon état général. Mme. Y est une patiente de 95 ans que vous adressez à l'HFR Riaz le 28.11.2018 en raison d'un ictère cholestatique afébrile, ainsi qu'une baisse de l'état général depuis une semaine. Aux urgences, le status clinique montre un abdomen souple et indolore, signes de Murphy et de Courvoisier négatifs. Les bruits intestinaux sont présents dans les quatre quadrants. Le bilan biologique du 28.11.2018 montre une importante cholestase avec bilirubine totale et directe augmentée à 148 umol/l, ainsi qu'une phosphatase alcaline à 406 U/l et une gamma GT à 250 U/l. Dans ce contexte, un CT est effectué, montrant la présence de lithiase vésiculaire, ainsi qu'une dilatation importante du cholédoque proximal et des voies biliaires intra-hépatiques. Afin d'éclaircir la cause de cette obstruction, une cholangio-IRM est réalisée le 29.11.2018, confirmant la présence de calculs dans la vésicule biliaire, avec une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Cependant, il est impossible de visualiser la confluence biliaire intra-hépatique et du canal hépatique commun. Aucun calcul n'est visible au sein des voies biliaires. Dans ce contexte, le Dr. X de l'HFR Fribourg réalise une ERCP le 07.12.2018. Le geste doit être interrompu en raison de la mise en évidence d'une sténose filiforme du cholédoque distal qu'il est impossible de traverser. Il propose la réalisation d'une deuxième ERCP le 14.12.2018 par le Professeur X selon la technique niddle-knife. Lors de cette deuxième tentative, l'accès au cholédoque reste impossible, raison pour laquelle le Professeur X propose une hospitalisation au sein du service de chirurgie de l'HFR Fribourg et une prise de contact avec les radiologues interventionnels afin de réaliser la pose d'un drainage biliaire percutané. Contact est pris avec le Dr. X, chirurgien de garde, pour le tenir au courant de la situation. Mme. Y est une patiente de 67 ans qui bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie per-opératoire dans le cadre d'une cholélithiase symptomatique. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 09.12.2018. Mme. Y, patiente de 79 ans connue pour un syndrome métabolique, est hospitalisée le 16.12.2018 pour une baisse de l'état général depuis une semaine avec perte de force, asthénie et une toux persistante sans expectorations. Une radiographie du thorax est compatible avec une pneumonie avec un diagnostic différentiel de bronchite virale. La patiente est mise sous Co-Amoxicilline et oxygénothérapie pendant 3 jours. La patiente s'est rapidement améliorée au niveau clinique. N'ayant pas de notion claire d'antécédent d'asthme ou de bronchopneumopathie chronique obstructive, nous introduisons un traitement de fond par Ultibro. Nous vous laissons réévaluer l'indication à poursuivre ce traitement d'entente avec le médecin traitant de la patiente que nous n'avons pas réussi à joindre cette semaine. La patiente a également présenté de légers signes de décompensation cardiaque droite. Nous avons donc réalisé une ETT qui a montré une fonction globale normale avec une sténose aortique lâche stable par rapport au comparatif de juillet 2017. Un bilan étiologique concernant les chutes à répétition a été effectué. Un test de Schellong ne montre pas d'anomalies. La patiente a également bénéficié de physiothérapie avec bonne progression de l'assurance à la marche durant le séjour. Un Holter de 24 heures a encore été effectué en fin de séjour, les résultats seront envoyés au médecin traitant par nos collègues cardiologues. Pendant l'hospitalisation, Mme. Y a présenté une douleur postérieure du genou gauche d'apparition brutale. L'ultrason réalisé est compatible avec un kyste de Baker rompu. Les radiographies ont montré des signes de chondrocalcinose au niveau des deux genoux. Un traitement antalgique et anti-inflammatoire est introduit. Nous vous laissons suivre l'évolution clinique et évaluer l'indication à une arthroscopie ou une consultation en rhumatologie. Par la suite, la patiente est transférée le 20.12.2018 au home de la Sarine où son mari réside déjà depuis cette semaine. Nous laissons le soin au médecin traitant d'évaluer la suite de prise en charge à donner pour la problématique respiratoire, l'anémie de la patiente, notamment l'indication à effectuer une colonoscopie. Mme. Y, connue notamment pour une insuffisance rénale terminale sur néphropathie diabétique, est adressée aux urgences par Dr. X, néphrologue traitante, en raison d'oedèmes des membres inférieurs ne répondant plus aux traitements diurétiques oraux. Ces oedèmes des membres inférieurs sont stables depuis l'été 2018. La patiente ne rapporte pas de dyspnée. La diurèse est conservée. Elle signale toutefois une fatigue chronique depuis plusieurs années ainsi qu'un faible appétit. À noter qu'elle ne contrôle pas son poids. Mme. Y est triste et abattue par ses problèmes de santé. Elle présente des troubles du sommeil. Elle dit vouloir mourir sans pour autant avoir de scénarios suicidaires. À noter qu'elle n'a plus de suivi psychiatrique et qu'elle a refusé des propositions d'hospitalisation à plusieurs reprises. La patiente a également refusé la dialyse. À l'admission aux urgences, la patiente est en bon état général. Elle est normocarde à 89/min, hypertendue à 160/76 mmHg, afébrile à 35,5°C et sature à 94% à l'air ambiant.A l'examen clinique, présence d'oedèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'à mi-mollet. L'auscultation pulmonaire et cardiaque est normale, pas de frottement péricardique. Surdité droite connue. Le reste de l'examen physique est sans particularité. Nous instaurons un traitement diurétique iv par Lasix 120 mg/j. Nous profitons de l'hospitalisation pour réaliser une récolte d'urine sur 24h. La clearance de la créatinine sur 24h est de 11.33 ml/min et la clearance de l'urée sur 24h de 5.39 ml/min. La moyenne est donc de 8.36 ml/min. Au laboratoire, nous constatons une leucocytose à 13.5 G/l sans déviation gauche et une CRP < à 5 mg/l. Il n'y a pas d'anémie. Nous relevons un déficit en acide folique à 2.7 ng/l que nous substituons pour un mois. Au niveau rénal, la créatinine est à 415 mmol/l, l'urée à 20.1 mmol/l, l'albumine à 41.4 g/l et l'osmolalité sérique est augmentée à 325 mosmol/l. Nous notons une hyperkaliémie à 5.3 mmol/l. Nous conseillons d'introduire un chélateur du potassium si la kaliémie dépasse 5.5 mmol/l malgré l'arrêt de l'IEC et l'augmentation des diurétiques. Nous décidons d'instaurer un traitement de vitamine D3 en raison d'une 25-hydroxy-vitamine D à 12.1 mmol/l le 6.11.2018. Si malgré la substitution en vitamine D, l'hyperparathyroïdie reste présente, nous proposons d'introduire du Calcitriol. Au spot urinaire, nous objectivons une protéinurie à 2.91 g/l. Durant le séjour, Mme. Y présente un épisode d'hypoglycémie à 2.4 mmol/l, le 28.11.2018. Elle rapporte que ça lui arrive régulièrement. Elle refuse l'aide infirmière pour la gestion de son diabète. Sur le plan psychiatrique, la patiente est vue en entretien par le psychiatre de garde (Dr. X) qui constate un épisode dépressif moyen à sévère. Il lui propose un traitement par SSRI que la patiente refuse au vu du nombre déjà trop important de ses médicaments. A noter que nous arrêtons l'Aspirine cardio pendant le séjour. Au vu d'une diminution des oedèmes des membres inférieurs et à sa demande, Mme. Y peut regagner son domicile le 30.11.2018 avec une majoration de son traitement de Torem à 60 mg/j. Elle reprendra contact avec Dr. X pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, résidant au foyer Horizon Sud à Albeuve, est amenée aux urgences en ambulance le 06.12.2018 suite à une intoxication médicamenteuse volontaire aux benzodiazépines (Temesta). Selon l'hétéro-anamnèse, la patiente est rentrée au foyer ce soir aux alentours de 20h. Un contrôle de l'alcoolémie montre un taux à 0.5 pour mille. La patiente aurait ingéré par la suite 15 cps de Temesta 2.5 mg. A son entrée aux urgences, l'anamnèse est compliquée avec notamment une dysarthrie importante. Au status neurologique, Glasgow à 14/15 (ouverture des yeux à la parole). La patiente est orientée dans les 3 modes. L'examen est toutefois difficile en raison de la non compliance mais dans l'ensemble dans la norme avec des pupilles isocores et isoréactives, poursuite oculaire lisse, force et sensibilité conservées. Au status cardiovasculaire B1B2 sont bien frappés, pas de souffle audible. Au niveau pulmonaire murmure vésiculaire symétrique. Le laboratoire montre une bonne fonction rénale, pas de trouble ionique, pas de syndrome inflammatoire, hémoglobine dans la norme à 130 g/l et tests hépatiques également dans la norme. Le screening benzodiazépine est négatif. L'ECG est sans particularité. Mme. Y est gardée en lit d'observation aux urgences et suite à un contact avec Dr. X, psychiatre de garde, elle est transférée au CSH Marsens, en mode volontaire, en ambulance, le 07.12.2018. Mme. Y se présente aux urgences en raison de douleurs sous-ombilicales type crampiforme d'apparition brutale associées à des vomissements, absence de selles depuis 2 jours. Au status, nous notons des douleurs à la palpation abdominale sous-ombilicale sans défense ni détente. Le laboratoire montrait une leucocytose à 17.7 avec une CRP négative. Le CT-scan abdominal met en évidence un iléus grêle avec saut de calibre au niveau de l'iléon terminal avec liquide libre intra-abdominal. Nous retenons un iléus et hospitalisons la patiente pour débuter un traitement conservateur. Une sonde naso-gastrique est mise en place avec 1000 ml de liquide à la pose. Une mise à jeun, une hydratation et une antalgie intraveineuse sont également débutées. Un traitement par Gastrographine est administré le 13.12.2018 avec une bonne réponse radiologique et clinique. Avec cette attitude, le transit est repris progressivement. La sonde naso-gastrique est retirée le 14.01.2018. La patiente recommence une alimentation avec une bonne tolérance et l'évolution est favorable, raison pour laquelle un retour à domicile est effectué le 17.12.2018. Mme. Y, patiente de 76 ans, est admise aux soins intensifs pour une exacerbation de BPCO sur infection des voies aériennes supérieures. La patiente présente une infection des voies respiratoires hautes avec une dyspnée aiguë depuis le matin du 16.12.2018, sans amélioration suite à l'utilisation des bronchodilatateurs. Elle est traitée par aérosols, antibiothérapie et corticoïdes. Malgré cela, la patiente est dépendante de la VNI et s'épuise. Elle est donc intubée et ventilée dès le 18.12.2018. Le 18.12.2018, elle présente une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique résistante au remplissage. L'Uro-CT révèle une dilatation pyélocalicielle bilatérale sans obstacle mis en évidence. L'imagerie est suivie par ultrason et la sonde changée. Un CT abdominal avec injection de produit de contraste par la sonde vésicale permet d'exclure une perforation de la vessie et la cystoscopie révèle une obstruction au niveau du méat urétéral droit qui est traitée par la pose de sonde double J bilatérale avec une levée d'obstacle. La fonction rénale se corrige par la suite. L'évolution se complique d'une pneumopathie acquise sous ventilation mécanique le 23.12.2018 avec la découverte d'un foyer pulmonaire du lobe supérieur droit. Une bronchoscopie diagnostic est faite et une antibiothérapie par Céfépime est débutée. Les prélèvements bronchiques révèlent la présence d'un Pseudomonas résistant et une adaptation de l'antibiothérapie par Imipenem est effectuée secondairement. Devant l'amélioration des paramètres de ventilation, la patiente est extubée le 26.12.2018 avec un relais par VNI et aérosols. La patiente présente rapidement un épuisement respiratoire nécessitant un soutien par VNI en continu. Une discussion du projet thérapeutique est réalisée le 27.12.2018 avec la famille devant l'absence d'amélioration ventilatoire au décours de l'extubation. La patiente exprime en outre son refus d'une réintubation. Il est donc décidé de passer en soins de confort et la patiente décède le 28.12.2018 entourée de ses proches. Mme. Y est une patiente de 33 ans, aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie le 21.12.2018 d'une cholécystectomie laparoscopique en électif pour une cholécystolithiase symptomatique. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples. En vue de la bonne évolution clinico-biologique, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 22.12.2018. Mme. Y, connue pour BPCO stade IV oxygéno-requérante à domicile avec aspergillose pulmonaire chronique, est amenée aux urgences en ambulance le 23.12.2018 en raison d'hémoptysie rouge vif avec des caillots depuis hier soir avec sensation de réchauffement dans le thorax. Cette hémoptysie survient dans un contexte de crachats hémoptoïques fréquents dans le cadre d'une prophylaxie thrombo-embolique nécessaire à la suite d'une ostéosynthèse de la jambe gauche subie le 28.11.2018. La patiente est connue depuis 2006 pour des hémoptysies à répétition. Elle se plaint de faiblesse et lipothymie à la position debout. Pas d'augmentation de la dyspnée. Pas de toux.Au status, la patiente est en état général conservé mais pâle. Tension artérielle 112/69 mmHg, fréquence cardiaque 105/min. Au niveau cardiovasculaire, B1 B2 bien frappés réguliers sans souffle surajouté. Mollets souples, ballant conservé. Au status pulmonaire, hypoventilation des 2 champs pulmonaires avec sibilant diffus. Au niveau digestif, abdomen souple et indolore sans défense ni détente. Bruits abdominaux normaux en fréquence et en tonalité. Uro-génital : loges rénales souples et indolores. Neurologique : patiente collaborante. Le laboratoire montre une anémie avec hémoglobine à 109 g/l macrocytaire normochrome (hémoglobine à 118 g/l le 07.12) sans syndrome inflammatoire. La gazométrie montre un pH à 7.42 avec une hypoxémie à 9.8 kPa et PCO2 à 8.4 kPa. La radiographie du thorax montre un aspect désorganisé de la trame bronchovasculaire avec signe radiologique de BPCO et lésion d'emphysème pulmonaire bilatérale. Nous hospitalisons Mme. Y aux lits d'observation et nous arrêtons la clexane prophylactique. Un angio-CT thoracique montre un probable saignement apical gauche. La situation se stabilise jusqu'au 27 décembre au matin où Mme. Y présente un nouvel épisode d'hémoptysie de 100 ml. Dans ce contexte nous prenons un avis spécialisé en milieu universitaire afin de déterminer si la patiente peut bénéficier d'une nouvelle embolisation, de chirurgie apicale ou de transplantation pulmonaire afin de diminuer le risque d'hémoptysie. La patiente a été récusée au HFR site de Fribourg sur avis du Dr. X en raison du manque de plateau technique (chirurgie thoracique, embolisation). Mme. Y est transférée au CHUV le 27.12.2018, stable d'un point de vue hémodynamique. Il n'y a plus d'hémoptysie depuis le matin 10h et la patiente a reçu 500 mg d'acide tranéxamique iv. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, nous est adressée du service de chirurgie orthopédique le 06.12.2018 pour suite de prise en charge d'une hémoptysie modérée. Pour rappel, la patiente est hospitalisée en orthopédie le 25.11.2018 suite à une fracture distale de la jambe gauche traitée par une ostéosynthèse le 28.11.2018. À l'admission dans notre service de médecine interne, la patiente est hémodynamiquement stable et ne présente plus d'hémoptysie. Pas d'état fébrile, de douleur thoracique, de plainte digestive ni urogénitale. Au status respiratoire, murmure vésiculaire symétrique diminué dans toutes les plages pulmonaires. Le reste du status d'entrée est non contributif. Au laboratoire, notons un léger syndrome inflammatoire avec CRP à 28 mg/l et leucocytes à 12,9 G/l. Il n'y a pas de trouble électrolytique et la fonction rénale est bonne. L'hémoglobine est à 120 g/l. La gazométrie sous 2 litres d'oxygène montre une légère hypoxémie à 10.3 kPa, avec une hypercapnie à 6.9 kPa. La radiographie du thorax montre un aspect très désorganisé de la trame bronchovasculaire avec lésion d'emphysème pulmonaire bilatérale et lésion rétractile bi-apicale. Éventration diaphragmatique droite. Composante d'épanchement pleural à gauche de faible abondance. La culture d'expectoration montre une croix de Pseudomonas Aeruginosa probablement dans le contexte de la BPCO stade IV connue, sans signe de décompensation, ne nécessitant pas d'antibiotique. Nous retenons le diagnostic d'hémoptysie dans le contexte de l'aspergillose pulmonaire connue, favorisée par la prophylaxie thrombo-embolique. Concernant l'ostéosynthèse de la jambe gauche, la patiente sera vue à la consultation du Dr. X le 11.12.2018 pour ablation des fils et confection d'une botte de décharge circulaire durant 6 semaines au total et le 08.01.2019 à 9h 45 pour un contrôle radio-clinique. Mme. Y peut regagner son domicile le 10.12.2018. Mme. Y, 52 ans, est transférée depuis Bern à l'hôpital Lindenhof pour suite de prise en charge d'une cirrhose hépatique d'origine alcoolique d'emblée sévère avec un score de CHILD-C et MELD à 29. Un contact avec l'hôpital de Bern confirme que la patiente n'est pas une candidate pour un projet de greffe ou autre (TIPS,...) en raison de la consommation encore active d'alcool. Cliniquement, la patiente est somnolente et dénutrie. Plusieurs tentatives de pose de sonde naso-gastrique pour nutrition entérale se soldent par des échecs. Dès son admission, elle devient oligurique, laissant suspecter un syndrome hépato-rénal (de type 2). Une ponction d'ascite n'améliore pas la diurèse. Après discussion avec la famille sur le projet thérapeutique de la patiente, des soins de confort sont mis en place et la patiente est transférée le 30.12.2018. Mme. Y nous est transférée des urgences de l'HFR Fribourg en raison d'une anémie normochrome normocytaire à 47 g/l dans le contexte d'un saignement actif le 06.12.2018 de plaie occipitale suite à une chute mécanique de sa hauteur le 13.11.2018 avec un traumatisme crânien simple. Les fils de sutures ont été enlevés 5 jours après la chute. À l'entrée, la patiente est pâle, elle ne présente pas d'autre plainte particulière hormis une grande fatigue. Le status cardiovasculaire ne montre pas d'anomalies si ce n'est une tachycardie à rythme irrégulier à 100/min. L'examen pulmonaire, abdominal et neurologique est dans la norme. Par contre, Mme. Y présente une plaie béante de la taille d'une pièce de Fr. 5.- au niveau occipital avec une distance des berges d'environ cinq centimètres avec un caillot sanguin remplissant toute la plaie. Après avis chirurgical, ce dernier est enlevé avec visualisation de la calotte crânienne permettant d'exclure un saignement actif. De suite, le pansement est fait selon proposition stomathérapeutique. Sur le plan social, la patiente est veuve et vit seule dans un appartement avec ascenseur. Elle a un ami qui vient manger avec elle tous les jours. Elle a une fille et un fils avec qui elle n'a plus de contact depuis 20 ans. Elle est indépendante dans les AVQ sauf pour les commissions qui sont faites par son ami. Au niveau de la mobilité, Mme. Y utilise deux cannes pour se mouvoir à l'extérieur. Ad diagnostic principal et suppl. 1) En ce qui concerne son anémie, il n'y a pas d'extériorisation de sang autre que de sa plaie. Durant l'hospitalisation, elle bénéficie d'une transfusion de trois culots érythrocytaires au total. L'hémoglobine du 12.12.2018 est à 89 g/l. Concernant la plaie du scalp, il n'y a pas d'autre saignement actif pendant le séjour hospitalier. Des soins de plaie sont prodigués selon le protocole de la stomathérapie. Ad diagnostic suppl. 2) Des séances de physiothérapie sont mises en place. La patiente est aussi connue pour une polyneuropathie des membres inférieurs sur diabète de type II avec pallhypesthésie des deux côtés. Ad diagnostic suppl. 3) Le dernier laboratoire fait le 15.12.2018 montre une fonction rénale stable. Ad diagnostic suppl. 4) Un HbA1c est dans la norme durant l'hospitalisation. Ad diagnostic suppl. 5) L'Eliquis est suspendu à son arrivée en raison du saignement, et repris le 10.12.2018 sans observation d'une nouvelle hémorragie. La patiente présentant des pauses sinusales, un ECG long tracé est effectué qui montre des pauses compensatoires d'une fibrillation auriculaire dont la durée est inférieure à une seconde. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, la patiente bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée. À l'entrée, Mme. Y est déjà autonome dans les transferts, mais ne peut se déplacer uniquement avec une aide moyenne. À la fin de l'hospitalisation, la patiente se déplace de manière autonome avec une canne simple et peut monter un escalier avec une rampe. Le Tinetti est à 25/58.Mme. Hayoz peut regagner son domicile le 17.12.2018 en bon état général. Mme. Hirschi est admise aux soins intensifs le 01.12.2018 pour sepsis sévère probablement d'origine pulmonaire avec des troubles de l'état de conscience sur intoxication involontaire aux opiacés. La patiente est amenée aux urgences en raison de troubles de l'état de conscience et une dyspnée progressive. Le CT cérébral est sans particularités. Le scanner thoraco-abdominal montre un épaississement diffus des parois bronchiques avec présence de multiples comblements endo-bronchiques et un emphysème pulmonaire important. En raison d'une instabilité hémodynamique, la patiente est admise aux soins intensifs. Les troubles de l'état de conscience sont attribués à une intoxication involontaire aux opiacés. En effet, l'analyse toxicologique urinaire révèle des traces de morphine et de benzodiazépine, et la patiente aurait consommé par erreur 100 mg de Sevre long selon son fils qui en prend habituellement. Durant le séjour, la patiente se réveille de façon adéquate. L'état hémodynamique se stabilise après remplissage vasculaire, soutien aminergique transitoire et antibiothérapie. L'échocardiographie est dans la norme. Un sepsis sévère d'origine pulmonaire est retenu. Toutefois, un urosepsis n'est pas formellement exclu. La fonction rénale s'améliore légèrement avec une reprise de la diurèse. Les perturbations du bilan hépatique mises sur le compte du bas débit initial sont en cours d'amélioration. Concernant l'insuffisance respiratoire aiguë, on note une amélioration rapide sous VNI qui est progressivement sevrée. L'étiologie est mixte, d'une part une décompensation BPCO secondaire à une bronchite et d'autre part l'intoxication aux opiacés. Une thrombopénie s'aggrave au cours du séjour probablement dans le cadre du sepsis chez une patiente connue pour un purpura thrombocytopénique idiopathique. Le Dr. X recommande une corticothérapie en l'absence d'amélioration et en dehors de la phase septique. Le seuil transfusionnel est fixé à 10 G. L. Mme. Hirschi est transférée en médecine pour suite de prise en charge. Mme. Iglesias, connue pour un tassement vertébral en 2003 sur chute à ski, consulte les urgences le 05.12.2018 en raison de lombalgies depuis 5 semaines en péjoration depuis le 02.12.2018, malgré l'application d'anti-inflammatoires topiques ainsi que de séances d'ostéopathie. Les douleurs sont de type décharge électrique, irradiant dans la fesse gauche et d'intensité à 8/10. Pas de perte de force ni de paresthésie, mais discrète hypoesthésie du membre inférieur gauche. Pas de trouble sphinctérien ni de signe infectieux. À l'admission aux urgences, la patiente est en bon état général, algique et afébrile. Au status ostéo-articulaire, pas de déformation de la colonne ni des membres inférieurs. La palpation de la jonction L5 - sacrum est douloureuse, avec sensibilité le long de la crête iliaque gauche et de la fesse gauche. Au status neurologique, très discrète hypoesthésie sur le devant de la cuisse gauche. La force est à M5 aux 4 membres, les réflexes ostéotendineux sont vifs et symétriques. Le Lasègue est négatif des deux côtés. Au toucher rectal, le tonus sphinctérien est sans particularité. Nous retenons donc le diagnostic de lombosciatalgies gauches non déficitaires, avec absence de signe d'urgence et nous n'effectuons pas d'imagerie. Toutefois, au vu d'une mauvaise gestion de la douleur sous prise d'antalgiques de classe I et II, nécessitant un titrage de Morphine iv (6 mg), nous décidons d'hospitaliser la patiente en médecine interne avec une antalgie par Dafalgan 1 g 4x/j, Brufen 400 mg 3x/j, Morphine iv 4 mg, Oxycontin 5 mg 2x/j et Oxynorm en réserve 2 mg 6x/j maximum. À 24 heures d'hospitalisation, la patiente est moins algique. Elle présente encore des douleurs principalement en décubitus dorsal et en position assise sans limitation à la marche. Persistance d'une légère hypoesthésie au niveau du membre inférieur gauche ainsi qu'un signe de Lasègue positif à 60° au membre inférieur gauche. Au vu de l'absence de signaux d'urgence médicale, nous ne préconisons pas d'imagerie de la colonne. L'évolution étant favorable avec diminution des douleurs, le traitement par Oxycontin et Oxynorm est arrêté le 06.12.2018 et nous introduisons du Tramal 100 mg per os 2x/j avec une réserve de Morphine 4 mg per os maximum 6x/j. La patiente bénéficie également de séances de physiothérapie. Malgré les réserves de Morphine, nous notons une persistance des douleurs, raison pour laquelle nous introduisons un traitement par Lyrica dès le 07.12.2018 avec bonne réponse sur les douleurs, permettant l'arrêt des réserves de Morphine le 10.12.2018. Mme. Iglesias peut regagner son domicile le 11.12.2018. Une IRM est agendée pour le 12.12.2018 et un contrôle à votre consultation est préconisé deux semaines après l'introduction du Lyrica, pour réévaluation de l'antalgie ainsi que des signes d'urgence. Mme. Jacquat est admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique suite à craniotomie sous occipitale gauche avec suspicion de métastase secondaire. La surveillance neurologique est sans particularité, on note par contre une difficulté à mémoriser l'année qu'il faudra retester. La patiente a été mobilisée sans problème. La Dexaméthasone devra être arrêtée par dégression de 4 mg/j. Mme. Jacquat est une patiente de 73 ans, connue pour un carcinome séreux de l'ovaire droit de haut grade de stade FIGO IV en 2016 pour lequel elle reçoit une chimiothérapie et une prise en charge opératoire sans récidive tumorale au dernier contrôle radiologique de juillet 2018, qui consulte son médecin traitant en raison de vertiges, céphalées et troubles de l'équilibre d'apparition nouvelle avec des nausées et vomissements. Une IRM effectuée dans ce contexte le 17.12.2018 démontre deux lésions cérébelleuses avec un œdème péri-lésionnel compressif sur le 4ème ventricule et une hydrocéphalie active, raison pour laquelle elle bénéficie le 21.12.2018 d'une craniotomie sous occipitale gauche, avec résection macroscopiquement complète d'une lésion suspecte d'une métastase. L'intervention se déroule sans complications, et les suites opératoires sont simples et afébriles. À noter qu'au vu des antécédents oncologiques, un bilan extensif radiologique est demandé, ne montrant pas de lésions primaires ou le développement de nouvelles métastases rétropéritonéales inter-aorto-cave et rétro cave et iliaque droit. Les marqueurs tumoraux sont par ailleurs dans la norme. Le 27.12.2018, la patiente rentre à domicile. En raison de la persistance d'un déséquilibre à la marche, des séances de physiothérapie sont prescrites en ambulatoire. Mme. Jacquiard nous est adressée du service de chirurgie orthopédique le 11.12.2018 pour suite de prise en charge. Pour rappel, la patiente est hospitalisée dans le service de chirurgie orthopédique le 19.11.2018 pour prise en charge de plaies aux membres inférieurs, pour lesquelles elle a bénéficié de plusieurs débridements, rinçages, pose de VAC ainsi qu'une greffe de Tiersch le 26.11.2018. Durant le séjour en orthopédie, Mme. Jacquiard, connue pour une stéatose hépatique avec ascite décompensée en octobre 2018 dans un contexte d'alcoolisme chronique, présente une nouvelle décompensation ascitique avec, à l'ultrason, la présence de 4 à 5 litres d'ascite. Le traitement d'Aldactone est augmenté et nous instaurons du Lasix. Le poids est suivi quotidiennement. Dès le 29.11.2018, la patiente présente des vomissements biliaires, sans état fébrile mais avec augmentation du syndrome inflammatoire biologique. Le bilan radiologique et le CT scan sont compatibles avec un iléus paralytique et une sonde nasogastrique en aspiration est mise en place, ramenant plus de 1,5 litre.Par ailleurs, la patiente présente un fécalome, partiellement évacué manuellement et motivant l'instauration de laxatifs. Une tentative de réalimentation se solde par un échec le 02.12.2018, la patiente présentant de nouveaux vomissements. La sonde nasogastrique est finalement clampée le 07.12.2018 et peut être retirée le 08.12.2018, avec reprise bien tolérée d'une alimentation légère. Le transit reprend de manière régulière, la patiente ne présente pas de douleurs abdominales. Une insuffisance rénale aiguë se normalise sous hydratation et une hypokaliémie est corrigée par l'administration de potassium iv (3,5 mmol/l le 08.12.2018). Sur le plan pulmonaire, la patiente présente une pneumonie sur broncho-aspiration dans le contexte des vomissements biliaires. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline pour les plaies est déjà en place. Enfin, une hypothyroïdie découverte peu avant l'hospitalisation fait l'objet d'un traitement d'Euthyrox sur avis de l'endocrinologue de l'HFR Fribourg. A l'admission dans notre service de médecine, Mme. Y n'a pas de plainte et peut être admise dans le service de réadaptation gériatrique le 12.12.2018. Mme. Y est une patiente de 21 ans aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux Urgences le 04.12.2018 en raison de douleurs abdominales depuis 3 jours avec migration en fosse iliaque droite. A l'examen clinique, nous objectivons une défense et détente, le bilan d'ultrasonographie met en évidence une appendicite aiguë. Nous procédons à une appendicectomie laparoscopique en urgence le soir même, qui se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples avec une patiente qui reste apyrétique et bien soulagée au niveau algique par la prescription standard. En vue de l'évolution clinique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 06.12.2018. Mme. Y, âgée de 82 ans, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une PTH G le 09.11.2018 suite à une coxarthrose rapidement destructrice. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Une de ses filles vit dans le même bâtiment et peut l'aider. Elle est à la retraite. A son entrée à l'HFR Billens, la patiente a vomi environ 50 cc de sang rouge vif mais elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Nous lui donnons du Primpéran et Esoméprazole IV. Pour rappel, durant son hospitalisation à l'HFR Fribourg, elle a eu des vomissements sur iléus paralytique traités par éviction des opiacés et de la SNG mise en place du 11.11 au 12.11.2018. Dans ses antécédents personnels, la patiente a été opérée en 1995 pour fundoplicature selon Nissen par laparoscopie pour maladie de reflux récidivante avec oesophagite peptique stade III. La patiente ne s'est plus plainte de nausées dès le 2ème jour d'hospitalisation. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Pas d'OMI. La force du MIG est cotée à M3 en proximal avec extension passive de la hanche G à 70°. La sensibilité aux MI est conservée. Sur le plan nutritionnel, la patiente est en malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec des vomissements durant le séjour et inappétence, démontré par un NRS à 5/7 et des apports à moins de 25% des besoins sur la dernière semaine lors de son entrée à l'HFR Billens. Durant le séjour, malgré le fait que les vomissements aient cessé et diverses adaptations des repas (fractionnement, enrichissement, SNO,etc), la patiente ne couvre toujours pas ses besoins. Les obstacles principaux sont une sensation de satiété précoce, les horaires des repas hospitaliers moins souples qu'à domicile et le fait qu'elle minimise sa perte pondérale. Le poids est encore en baisse (-6 kg par rapport au poids de forme et -3 kg depuis l'entrée). Une sonde naso-gastrique a été discutée et non retenue mais reste une option si la situation ne change pas à domicile. Un enseignement pour augmenter les apports à domicile a été réalisé avec la patiente et sa fille, des SNO ont été commandés, un suivi ambulatoire en janvier 2019 est vivement recommandé (adresses et PM reçus). Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche G à 70° en passif. La force musculaire du psoas et quadriceps G est cotée à M4. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 03.12.2018, en bon état général. Mme. Y consulte les urgences le 05.12.2018 en raison d'une hyperglycémie mesurée à 27 mmol/l à 15h30, traitée par 21 U de Novorapid et s'inquiète d'une possible hypoglycémie. La patiente rapporte des difficultés depuis 4 jours à régler sa glycémie avec des effets yo-yo. Elle présente de manière répétée des pics de glycémie à 32 mmol/l avec présence de nausées, sans vomissements. A l'anamnèse par système, Mme. Y signale une polyurie 10x/j, mais pas de brûlure mictionnelle. Pas d'autre plainte ni douleur, hormis une anxiété par rapport à la situation. A l'admission aux urgences, la patiente est tachycarde à 105/min, normotendue à 135/88 mmHg et afébrile à 37,1°C. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire et une hyperglycémie à 13,2 mmol/l. Le stix et le sédiment urinaires montrent une glucosurie à 148 mmol/l mais pas de corps cétoniques. Au niveau de la glycémie, nous instaurons une surveillance aux heures avec normalisation de la glycémie à 5.5 mmol/l. La patiente nous rapporte un certain mécontentement avec la prise en charge de son diabète et est passablement anxieuse à cause de ses glycémies. Elle rencontre quelques difficultés à suivre son traitement et souhaite rester hospitalisée. Nous accédons à sa requête. A l'étage, nous prenons contact avec le Dr. X, diabétologue traitant, qui nous explique que le schéma insulinique de la patiente a été optimisé pendant 5 ans et que les écarts récents (notamment hyperglycémiques) sont de cause multifactorielle, notamment un défaut de compréhension de la maladie et des schémas d'insuline de la patiente, une période stressante (la patiente emménage dans un foyer) et des écarts alimentaires. Lors de son séjour, la patiente présente des hypoglycémies nocturnes jusqu'à 3 mmol/l, nous réglons ces hypoglycémies en simplifiant tout d'abord le schéma de correction insulinique avec arrêt des insulines rapides post-prandiales le soir et ensuite en baissant graduellement l'insuline lente Tresiba jusqu'à 30 unités le matin à la sortie. Nous restons en contact avec l'infirmière en diabétologie de la patiente ainsi que le Dr. X qui sont au courant des démarches entreprises lors de l'hospitalisation. Après deux nuits consécutives sans hypoglycémie, Mme. Y rentre à domicile le 14.12.2018 avec une consultation en diabétologie prévue le lundi 17.12.2018. Mme. Y est une patiente de 72 ans qui bénéficie d'une thyroïdectomie totale bilatérale le 27.11.2018 dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication, la patiente est surveillée aux soins intensifs en postopératoire en raison d'un syndrome des apnées du sommeil non appareillé.Les suites post-opératoires sont favorables, la patiente peut être transférée dans le service de chirurgie le 28.11.2018 et un retour à domicile est possible le 30.11.2018. Mme. Y, 64 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour de multiples AVC ischémiques d'origine embolique sur FOP compliqués d'une pneumonie d'inhalation. Elle est connue pour une BPCO non stadée, une dépression et une dépendance aux psychotropes de longue date. Elle présente le matin du 28.11.2018 au réveil une somnolence, des troubles du langage, un hémisyndrome gauche et une désaturation à 77%. Elle est transférée au service des urgences de Fribourg. Une IRM cérébrale montre de multiples lésions ischémiques récentes dans le territoire superficiel de l'artère cérébrale moyenne droite, de l'artère cérébrale postérieure gauche et de la PICA touchant les deux lobes cérébelleux. La patiente présente initialement des troubles de la conscience et une première tentative de réveil pathologique. L'EEG réalisé montre un ralentissement diffus de l'activité cérébrale. L'échographie cardiaque effectuée dans le cadre du bilan d'AVC montre une fonction contractile segmentaire et globale normale du VG et la présence d'une dysfonction cardiaque droite avec dilatation modérée des cavités droites et une hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à au moins 48 mmHg. Le test au microbulles effectué par les cardiologues le 30.11.2018 retrouve la présence d'un FOP de haut grade. Le tableau clinique et l'US cardiaque parlent pour une origine cardio-embolique à l'AVC ischémique. De plus, le CT-scan thoracique montre un passage important inter-auriculaire du contraste avec une suspicion de CIA. Le bilan est poursuivi par une échocardiographie trans-oesophagienne montrant un foramen ovale perméable avec un shunt modéré droite-gauche, permettant d'exclure une CIA. Le cas sera présenté lors du colloque multidisciplinaire FOP et la patiente sera convoquée en conséquence. L'AVC ischémique se complique d'une broncho-aspiration nécessitant une intubation le 30.11.2018. L'antigénurie est positive pour un pneumocoque. Une antibiothérapie par augmentin est instaurée à partir du 28.11.2018 pour une durée de 5 jours. Le CT thoracique du 29.11.2018 montre des embolies pulmonaires segmentaires et sous-segmentaires touchant le poumon gauche. Une anticoagulation est donc débutée le 29.11.2018 et augmentée à dose thérapeutique en accord avec les neurologues. Devant l'amélioration sur le plan respiratoire, la patiente peut être extubée le 30.11.2018 avec une évolution favorable à l'aide d'un relais par VNI. Devant la suspicion de BPCO tant au niveau clinique que radiologique, nous proposons à distance de l'évènement aigu d'effectuer des volumes pulmonaires afin d'adapter au mieux le traitement. Actuellement, la patiente répond favorablement à des traitements de SABA et SAMA. En raison de la présence de troubles de la déglutition, une alimentation entérale par sonde nasogastrique est débutée le 30.11.2018 avec une bonne tolérance. Dans une période de transition, nous réintroduisons en parallèle l'alimentation per os. Cependant, après perte de la sonde et discussion avec la patiente, nous décidons de ne pas la reposer et d'effectuer une alimentation per os que la patiente tolère bien. La patiente est suivie par le psychiatre Dr. X pour des troubles anxieux et de la thymie. Nous avons réintroduit prudemment ses traitements habituels avec l'aide de la psychiatrie de liaison. Des demandes en neuro réhabilitation standard sont effectuées au vu d'un potentiel de récupération. Une place est disponible dès le 12.12.2018. Mme. Y est reclassée dès le 11.12.2018. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, connue pour une fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée, consulte le service des urgences le 12.12.2018 en raison d'une incapacité à se rappeler du numéro de téléphone de son fils, puis en le lisant, elle se dit incapable de le reconnaître. Par la suite, en parlant avec son mari, elle ne peut se souvenir d'un nom de yaourt qu'elle mange régulièrement. Les symptômes surviennent à 10h15 du matin le 12.12.2018 et sont remarqués durant environ 15 minutes. Au service des urgences, la patiente est asymptomatique et présente un status neurologique dans la norme. Le CT cérébral et l'IRM cérébrale ne montrent pas de lésions ischémiques ou hémorragiques. La patiente est hospitalisée en lit non monitoré, après avoir bénéficié d'un remplacement initial de l'aspirine par du Plavix. Nous retenons un probable AIT du territoire sylvien superficiel gauche d'origine cardio-embolique probable au vu de la FA non anticoagulée. L'échocardiographie transthoracique ne montre pas de source cardio-embolique. Une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/j est introduite dès le 14.12.2018. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15 jours. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans la norme. Mme. Y peut regagner son domicile le 14.12.2018. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour une BPCO stade II selon Gold, nous est adressée par l'HFR Meyriez pour une réhabilitation respiratoire suite à une pneumonie de la lingula gauche, le 26.11.2018. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, la patiente, veuve depuis 2008, vit seule à domicile. Elle a 1 fils et 2 filles qui vivent à proximité. Elle est retraitée, anciennement vendeuse dans un supermarché. À l'admission, la patiente se plaint d'une asthénie généralisée. En général, elle rapporte une dyspnée stade III selon NYHA, avec toux et expectoration. Le status général est sans particularité. Dans un contexte de suspicion d'évènement d'ischémie cardiaque, une spirométrie est contre-indiquée. La patiente est connue pour une BPCO de stade II C et nous continuons son traitement inhalateur habituel. La gazométrie d'entrée montre une saturation à 89% avec une pO2 à 8.8 kPa, sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence des troubles ventilatoires en bande du champ pulmonaire supérieur gauche, un épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire ainsi qu'une probable lésion d'infiltrat pulmonaire au niveau basal à droite. Durant l'hospitalisation, une échocardiographie est motivée en raison de modifications ECG objectivées à son entrée et d'une anamnèse hautement suspecte d'évènement cardiaque avant son hospitalisation à l'HFR Meyriez. En comparaison avec les examens anciens, une nouvelle hypokinésie nette dans le territoire antéro-latéral moyen et apico-latéral, une hypokinésie relative au niveau antéro-latéral proximal et une dyskinésie apicale limitée sont retrouvées. La FEVG est à 50% et une dysfonction diastolique de type I est retrouvée. Nous prenons contact avec Dr. X du service de cardiologie de l'HFR Fribourg qui suit la patiente pour sa cardiopathie ischémique, et une nouvelle coronarographie est agendée pour le 21.12.2018. Un traitement par bétabloquant est introduit à la sortie.Sur le plan nutritionnel, la patiente avait été suivie par notre service de nutrition clinique en 2017 suite à une malnutrition protéino-énergétique grave, en lien avec des traitements oncologiques. Elle avait présenté une perte de poids de 12 kg. Depuis, son poids est en augmentation (50.8 en novembre 2017, 56.4 actuellement). Elle ne présente pas de malnutrition (NRS à 2, BMI à 21.5, appétit conservé), malgré des apports spontanés légèrement inférieurs aux besoins estimés. Des adaptations alimentaires ont été mises en place et ont permis de couvrir les besoins. Mme. Y ayant repris du poids spontanément à son domicile avant son hospitalisation et ce, sans adaptation particulière, nous l'encourageons à continuer sur cette voie. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 200 m à 395 m et la patiente augmente la distance parcourue sur le tapis pendant 20 minutes de 0.55 km à 1.7 km. Le sevrage tabagique entamé durant l'hospitalisation à l'HFR Meyriez est maintenu. À la sortie, elle bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 19.12.2018, en bon état général. Mme. Y, patiente de 75 ans, connue pour un adénocarcinome du caecum diagnostiqué en 2014 avec carcinose péritonéale, actuellement en situation palliative (suivi par Dr. X), une démence mixte, une hypertension artérielle et un diabète de type 2, est adressée par le Dr. X le 21.11.2018 de la Villa Beau-Site pour une suspicion d'iléus mécanique. La patiente présente des douleurs abdominales diffuses, crampiformes, depuis environ 5 jours, avec des diarrhées qui ont suivi une période de constipation, et deux épisodes de vomissements alimentaires. Elle rapporte aussi une toux avec rares expectorations blanchâtres depuis environ 4-5 jours. La patiente aurait perdu 9 kg en 2 semaines. Le status d'entrée montre une patiente en état général diminué avec un abdomen globuleux et tendu, diffusément sensible et des bruits métalliques au niveau de l'hémiabdomen droit. Elle présente aussi des râles en base droite, un souffle systolique dans tous les foyers et une plaie au niveau ombilical, suintante, déjà connue. Le laboratoire d'entrée montre un syndrome inflammatoire ainsi que des troubles électrolytiques. Un CT thoraco-abdominal est réalisé montrant un iléus grêle mécanique avec saut de calibre très probablement sur implant tumoral situé en région ombilicale. Une sonde naso-gastrique est posée afin de soulager les symptômes et la patiente est hospitalisée avec mise à jeûn et hydratation iv. Le CT d'entrée montrant également des infiltrats en verre dépoli dans les lobes moyen et inférieur droits, et au vu de la symptomatologie de la patiente, elle bénéficie d'une antibiothérapie par Co-amoxicilline 1.2 g iv 3x/j avec bonne évolution. Au vu de la situation oncologique palliative, il est décidé de ne réaliser aucun geste chirurgical et de privilégier un traitement conservateur de cet iléus. Les douleurs sont soulagées par la décompression après pose de sonde naso-gastrique et une antalgie en réserve. La patiente recommence à s'hydrater, le status abdominal s'améliore et la sonde naso-gastrique est clampée. La patiente est réalimentée progressivement avec bonne tolérance et la sonde est finalement retirée accidentellement par la patiente le 25.11.2018. Le 27.11.2018, la patiente présente à nouveau un épisode de douleurs abdominales diffuses, suivi par des vomissements. La patiente est à nouveau mise à jeûn. Nous contactons l'équipe des soins palliatifs (Dr. X) afin d'envisager la suite de prise en charge. Le traitement est adapté avec introduction de Fortecortin et Sandostatine. Par la suite, la patiente boit et mange selon ses désirs, en petites quantités. Elle présente à nouveau des épisodes de douleurs abdominales ou vomissements, soulagés par le traitement mis en place. Avec l'accord de la patiente et sa famille, Mme. Y est transférée à la Villa St-François le 11.12.2018 pour suite de prise en charge en attendant un éventuel retour à la Villa Beau-Site. Mme. Y, patiente de 21 ans, connue pour hémiparésie brachio-crurale droite séquellaire à une anoxie périnatale (dernier contrôle neuro il y a environ 8 ans), consulte plusieurs fois les urgences depuis le 14.11.2018 pour des nausées/vomissements et céphalées d'origine indéterminée. La patiente rapporte des céphalées depuis environ 1 mois, à la suite d'une angine avec bronchite, grippe intestinale et état fébrile traités par Co-amoxicilline pendant 7 jours. Au cours de ces consultations aux urgences, elle bénéficie d'un bilan biologique, un CT cérébral et une ponction lombaire avec des résultats dans la norme. Le 22.11.2018, elle consulte avec une péjoration de ses céphalées compatibles avec un syndrome post-PL motivant un blood patch avec hospitalisation et surveillance. Elle demande à rentrer le 24.11. au vu de l'amélioration clinique et reconsulte le 25.11. au soir pour des nausées avec vomissements alimentaires puis biliaires et reprise de ses céphalées avec fatigue. Le status d'entrée montre une patiente avec état général conservé, avec une palpation sensible en épigastre. Le status neurologique montre un Barré avec membre supérieur droit en pronation, une légère ataxie du côté droit avec spasticité et un réflexe de Babinski à droite (connu depuis la naissance). Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire ni de trouble hépato-biliaire. Un consilium neurologique est demandé et nos collègues ne voient pas d'indication à une IRM. Ils retiennent des céphalées tensionnelles post-infectieuses et une adaptation du traitement médicamenteux est réalisée avec arrêt de la Novalgine et antalgie seulement en réserve. Au cours du séjour, la patiente rapporte encore des céphalées et des nausées sans signe de vomissement. Après exclusion d'une cause organique à ces douleurs, un consilium psychiatrique est demandé le 28.11.2018. Nos collègues suspectent un état dépressif moyen et nous instaurons de l'Escitalopram et proposons à la patiente un suivi psychothérapeutique après l'hospitalisation, une composante somatoforme des céphalées est également suspectée. Durant le séjour, les céphalées sont toujours présentes et améliorées partiellement par l'antalgie. La patiente présente également des nausées mais sans vomissement. Elle peut rejoindre son domicile en état général amélioré le 06.12.2018. Mme. Y, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est amenée aux urgences par la police le 30.11.2018 après avoir été prise en charge devant un centre commercial. La patiente n'est pas capable d'expliquer ce qui s'est passé. Elle présente des pertes d'équilibre et une élocution difficile. Un alcootest effectué par la police est négatif. L'anamnèse est difficile mais Mme. Y ne rapporte ni douleur ni plainte. Notons une perte d'urines. À l'admission aux urgences, la patiente est désorientée, normocarde à 69/min et afébrile. Au status neurologique, myosis symétrique mais pupilles isocores et isoréactives. Strabisme de l'œil droit. Les nerfs crâniens sont dans la norme. La force et la sensibilité sont conservées aux 4 membres. Les réflexes sont présents. La marche n'est pas testée en raison d'une stabilité très précaire de la patiente. Le doigt-nez est ralenti mais sans signe d'ataxie. Le reste de l'examen clinique est normal.La patiente étant bien connue du service des urgences, nous décidons d'une hospitalisation sociale pour la nuit avec surveillance neurologique. Le lendemain matin, Mme. Y est bien réveillée et souhaite rentrer à domicile. Nous lui recommandons de prendre son traitement anti-épileptique en arrivant chez elle. Elle nous informe du passage des soins à domicile 3 x/semaine et qu'un rendez-vous est déjà agendé à votre consultation le 03.12.2018. Mme. Y quitte donc notre service le 01.12.2018. Mme. Y est une patiente de 56 ans, connue pour un méningiome frontal probablement épileptogène, une épilepsie focale sous forme d'absences traitée par Orfiril depuis août 2018 et une démarche ataxique d'origine multifactorielle. Elle est bien connue du service d'urgence qu'elle a consulté 13 fois en 2018 pour la même problématique : des chutes ou des pertes de connaissance d'origine peu claires multi-investiguées. Une hypoglycémie lors de certaines consultations a été mise en évidence. Des taux infra-thérapeutiques de son traitement par Orfiril ont également été mis en évidence. Actuellement, la plainte est similaire aux précédentes, elle aurait chuté le 15.12.18 devant un supermarché avec un traumatisme crânien et une perte de connaissance. La patiente ne se souvient pas de ce qui s'est passé avant la chute. Au service des urgences, la patiente est hémodynamiquement stable. Elle ne présente pas de morsure de langue ni de perte d'urine. La glycémie est mesurée à 3.2 mmol/L. Un CT cérébral du 15.12.18 ne montre pas de signe d'hémorragie mais une fracture des os propres du nez traitée conservativement. Au vu d'épisodes d'hypoglycémies de la patiente, nous effectuons un test au Synacthen et dosons le C-peptide qui reviennent dans la norme. En milieu contrôlé (effort physique, nutrition adéquate), les glycémies sont parfaitement dans la norme. Finalement, une crise d'épilepsie sur méningiome est possible en raison de la non-compliance médicamenteuse. Un dosage de l'acide valproïque est également effectué le 19.12.18 qui était infra-thérapeutique à 32 mg/ml. Nous proposons en cas de nouvelle hospitalisation d'effectuer une prise contrôlée pendant 4 jours et de mesurer le taux du médicament le 5ème jour. Un consilium psychiatrique est effectué par le Dr. X qui décrit une patiente actuellement stable sur le plan psychiatrique, connue du Réseau Fribourgeois de Santé Mental (RFSM). Elle propose une poursuite de son suivi psychiatrique à raison d'une séance tous les 6 semaines environ. Au vu des nombreuses hospitalisations ainsi que de la non-compliance médicamenteuse et d'un refus de prise en charge du méningiome, la patiente a été signalée à la justice de paix. Selon la décision du juge de paix de la Singine en novembre 2018, la patiente est tenue d'avoir les soins à domicile psychiatriques 3 fois par semaine pour contrôler la prise des médicaments, ainsi que d'effectuer un contrôle en neurochirurgie à l'Insel Spital en janvier 2019. À moins de nouveaux éléments ou de plaintes péjorées, une nouvelle hospitalisation pour suspicion d'épilepsie ou malaise sur hypoglycémie ne semble pas nécessaire avant son rendez-vous en neurochirurgie à Bern pour prise en charge de son méningiome en janvier 2019. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre le 20.12.18 à domicile avec les soins à domicile. Mme. Y, âgée de 72 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTG D le 13.11.2018. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle est autonome pour les AVQ. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou D est de 50-0-0 en actif et 80-0-0 en passif. La force du quadriceps D est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Le status cardiovasculaire est sans particularité avec un rythme régulier, B1 B2 bien frappés, pas de souffle. À l'auscultation pulmonaire, murmure vésiculaire sans bruit surajouté. Présence d'un œdème au membre inférieur droit. Durant son séjour, nous mettons en suspens son traitement antihypertenseur car les pressions artérielles mesurées sont basses. Nous vous laissons le soin de réévaluer son traitement antihypertenseur à distance. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre de 60 m. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 90-0-0 en actif et en passif. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 30.11.2018, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnées, récemment hospitalisée au HIB Estavayer pour réadaptation à la marche suite à une révision de la prothèse totale du genou droit, est amenée aux urgences en ambulance le 09.12.2018 en raison de nausées, vomissements biliaires et diarrhées liquides depuis 24 heures, sans douleur abdominale. Sa petite-fille rapporte également que la patiente a une élocution étrange. À noter que Mme. Y a été traitée par Sintrom avec mise en place récente de l'Eliquis 2 x 5 mg/j lors de son hospitalisation au HIB Estavayer pour une fibrillation auriculaire paroxystique. Le traitement est remplacé par la Clexane à doses thérapeutiques en raison d'une intervention dentaire prévue le 10.12.2018. À l'admission aux urgences, Mme. Y est en état général diminué et subfébrile à 38°C. Au status cardiovasculaire, B1 B2 sont bien frappés, réguliers. Pas de souffle cardiaque ni carotidien. Au niveau digestif, les bruits abdominaux sont diminués en tonalité et en fréquence. L'abdomen est souple et douloureux à la palpation de la fosse iliaque gauche, avec défense et détente. Les loges rénales sont souples et indolores. Au status neurologique, pas de trouble de l'élocution, pas de latéralisation. Le laboratoire montre des leucocytes à 15 G/l et une hémoglobine à 77 g/l. Une recherche de sang occulte dans les selles revient positive. Nous mettons en place une perfusion de NACL 1000 ml/24h, l'Ondansetron et Primperan. Un CT scan abdominal effectué est sans particularité. Mme. Y est hospitalisée pour la suite de la prise en charge d'une gastroentérite probablement virale. À l'étage, la patiente présente des épisodes de diarrhées et vomissements et sur recommandation de l'UPCI, elle est mise en isolement de contact et gouttelettes pour suspicion d'infection à Norovirus jusqu'au 14.12.2018. Les laboratoires de contrôle montrent une amélioration du syndrome inflammatoire, avec une normalisation des leucocytes le 11.12.2018. Concernant l'anémie, avec hémoglobine à 68 g/l le 11.12.2018, au vu de la carence martiale, nous substituons la patiente en fer avec 1 g de Ferinject le 11.12.2018 et elle bénéficie de la transfusion d'un culot érythrocytaire le 12.11.2018. En ce qui concerne la fibrillation atriale, en raison d'une hémoglobine abaissée et de la présence de sang occulte dans les selles, nous ne réintroduisons pas l'Eliquis durant l'hospitalisation. Il est repris à une dose de 2 x 2,5 mg/j à la sortie.Au vu d'évolution clinique favorable, avec dernières selles diarrhéiques le 12.12.2018 au matin, Mme. Y peut regagner son domicile le 14.12.2018. Un contrôle biologique est prévu à votre consultation le 18.12.2018. Mme. Y est une patiente de 76 ans, notamment connue pour les antécédents sus-mentionnés et sous Sintrom pour une maladie thromboembolique, qui consulte aux urgences le 21.12.2018 en raison de douleurs abdominales aiguës diffuses, sans nausées, accompagnées de 2 épisodes de syncope dont l'un avec TC occipital, sans signe d'épilepsie objectivé. Un léger syndrome inflammatoire est retrouvé au laboratoire initial et au CT, un iléus mécanique à proximité de l'ancienne fermeture d'iléostomie est mis en évidence. Par ailleurs, aucune hémorragie ou autre lésion traumatique n'est retrouvée au niveau cérébral. La patiente est donc hospitalisée et un traitement conservateur par sonde naso-gastrique est débuté. L'évolution est par la suite favorable avec une nette amélioration clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 24.12.2018. En raison d'un INR infra-thérapeutique à sa sortie, nous poursuivons la Clexane 60 mg 2x/j avec l'introduction du Sintrom aux doses habituelles. Un contrôle chez son médecin traitant est déjà prévu pour le mercredi 26.12.2018 matin. Mme. Y est une patiente de 69 ans, connue pour un carcinome bronchique métastasé cérébralement, amenée par l'ambulance pour une baisse de l'état général avec douleurs sus-pubiennes, brûlures mictionnelles et pollakiurie. Pas d'EF, pas de frisson. Multiples chutes avec TC sans PC la semaine passée, chute de sa hauteur la veille. Pas de notion de tremblement tonico-clonique, ni de perte urinaire ou de morsure de langue. La frappe de la loge rénale gauche est douloureuse. À noter qu'un globe urinaire est sondé aux urgences avec un retour de 1200 mL. Un diagnostic de pyélonéphrite gauche est retenu au vu des résultats clinico-biologiques et une antibiothérapie par Ceftriaxone est initiée. L'urotube révèle un E. Coli sensible à l'antibiothérapie en cours, qui est relayée à du Bactrim per os avec bonne évolution. La sonde vésicale posée dans le cadre du globe urinaire peut être sevrée le 28.12.2018 au vu d'une meilleure mobilisation de la patiente pour les transferts lit-fauteuil. Une hyponatrémie est mise dans le contexte d'un SIADH DD du syndrome infectieux et est à surveiller. Au vu d'un maintien difficile à domicile et de l'immobilisation prolongée de Mme. Y, une réhabilitation palliative est organisée en accord avec la famille et la patiente, qui peut être transférée à Meyriez le 31.12.2018. Mme. Y est hospitalisée en électif pour la pose d'un défibrillateur implantable pour une cardiopathie de non-compaction avec FEVG à 25% et bloc de branche gauche. L'intervention se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire ne montre pas de signes de complications. Un contrôle du défibrillateur est prévu à 4-6 semaines et une réfection du pansement à 10 jours en cardiologie. Mme. Y peut rentrer à domicile le 11.12.2018. Mme. Y est une patiente de 68 ans, connue pour un lymphome B folliculaire traité par Rituximab tous les 2 mois (dernière dose le 19.11.2018), consulte les urgences le 13.12.2018 puis est admise aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchopneumonie. Elle présentait depuis 3 semaines une toux avec expectorations qui a été traitée par Céfuroxime, Klacid et Prednisone par son médecin traitant avec évolution défavorable. Le CT thoracique révèle une atteinte bronchiolaire évoquant un pneumocystis voire une tuberculose miliaire. Une antibiothérapie par Céfépime, Clarithromycine et Co-Trimoxazole est débutée. Une bronchoscopie avec lavage broncho-alvéolaire sous anesthésie générale est effectuée le 14.12.2018 sans complication immédiate. Les prélèvements respiratoires permettent d'exclure une tuberculose ainsi qu'une pneumocystose par PCR. Un bacille Gram négatif est retrouvé dans les aspirations bronchiques et motive l'introduction d'une dose unique d'aminoglycoside sur avis infectiologique. Il est par la suite identifié comme un Haemophilus influenzae, permettant l'adaptation du spectre antibiotique par Ceftriaxone, traitement maintenu 2 semaines selon avis de nos collègues infectiologues. Ceux-ci préconisent également une prophylaxie du pneumocystis par Co-Trimoxazole en raison de l'immunosuppression induite par le Rituximab. Celle-ci est débutée durant le séjour. L'insuffisance respiratoire est traitée brièvement par VNI aux soins intensifs puis nouvel essai à l'étage, puis est arrêté car très mal toléré par la patiente. Une hypercapnie nous fait suspecter un syndrome d'overlap entre asthme et BPCO chez cette patiente connue pour un asthme. Un traitement de Prednisone est transitoirement introduit pour cette raison. Des investigations pulmonaires seraient indiquées à distance de l'épisode aigu afin de clarifier le possible diagnostic de BPCO. Durant le séjour, Mme. Y présente un état subfébrile persistant étant mis sur le compte d'un faible épanchement pleural droit. Un contrôle échographique est effectué à l'étage de médecine le 20.12.2018, ne met pas en évidence d'épanchement. La patiente présente par la suite une évolution lentement favorable et est transférée en médecine le 17.12.2018 pour suite de prise en charge. Elle y bénéficie notamment de physiothérapie respiratoire et d'un début de sevrage à l'oxygène. Elle peut être reclassée le 27.12.2018 en attente de réadaptation respiratoire à Billens. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente qui avait bénéficié d'une cure de hernie inguinale gauche il y a 20 ans et qui présente depuis un mois des douleurs en fosse iliaque gauche à la mobilisation et à la toux avec irradiation à l'hémi-abdomen. Le CT-scan avait mis en évidence une hernie cicatricielle au niveau d'un site de trocart mesurant 10 mm lors d'une opération gynécologique. Pas de hernie inguinale. La patiente est donc hospitalisée le 17.12.2018 en vue d'une cure d'hernie cicatricielle avec pose de filet intermusculaire. Cette intervention se déroule sans complication le jour de son entrée. Les suites opératoires sont initialement simples avec des douleurs contrôlées par l'antalgie en place. La cicatrice est calme. Mme. Y se mobilise et s'alimente de façon correcte. Le 19.12.2018, dans le contexte d'une tachycardie avec oppression thoracique, le CT-scan à la recherche d'embolie pulmonaire montre des embolies pulmonaires bilatérales segmentaires sans impact hémodynamique. Nous débutons une anticoagulation par liquémine relayée ensuite par Clexane dès le 21.12.2018. L'évolution sur le plan respiratoire est favorable. Nous proposons de poursuivre la Clexane thérapeutique pendant 1 semaine post-opératoire avec un relais par Xarelto pour une durée totale de 3 mois, s'agissant d'une embolie pulmonaire provoquée. La patiente rentre à domicile le 22.12.2018. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte d'une thrombose veineuse cérébrale. Pour rappel, la patiente est en bonne santé habituelle, elle a bénéficié de la mise en place d'un implant XEN pour un glaucome à gauche en novembre 2018. Le 04.12.2018, elle consulte en raison de céphalées depuis 2 jours, associées à une faiblesse progressive du MSD avec à l'examen initial un hémisyndrome sensitivo-moteur D et un syndrome pariétal G avec signes d'héminégligence multimodaux, une asthéréognosie et agraphesthésie du MSD. Le CT cérébral révèle une thrombose veineuse cérébrale du sinus sagittal supérieur, sinus transverse D s'étendant jusqu'à la veine jugulaire D, la veine de Trolard, et une hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale G. L'IRM cérébral de suivi confirme la thrombose et l'hémorragie et révèle une lésion ischémique du gyrus post-central G. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après l'initiation d'une anticoagulation thérapeutique par Clexane.Sur le plan étiologique, un avis hématologique ne retient pas le traitement de Raloxifène comme seul facteur déclenchant au vu de l'étendue importante et de la localisation de la thrombose. La patiente ne présentant pas d'anamnèse suspecte d'une origine tumorale et ayant effectué les bilans de dépistage recommandés pour l'âge, nous n'élargissons pas le bilan étiologique à la recherche d'une cause néoplasique. Une cytométrie de flux, ainsi qu'un dosage des anticorps anti-phospholipides sont en cours lors de la rédaction de cette lettre. Nous suspectons une thrombose veineuse idiopathique sévère et initiions une anticoagulation au long cours par Sintrom dès le 16.12.2018. La patiente présente un épisode de crise convulsive tonico-clonique généralisée à l'admission le 04.12.2018, suivi de deux épisodes de crises partielles simples les 04.12.2018 et 09.12.2018. Un traitement de Keppra est introduit le 04.12.2018, puis complété par Vimpat en raison de la persistance de signes compatibles avec un foyer irritatif fronto-pariétal G à l'EEG. Le traitement de Vimpat est majoré à 200 mg 2x/j. Nous recommandons de poursuivre ces traitements jusqu'au contrôle avec EEG à 3 mois, soit le 27.03.2018. Le 09.12.2018, la patiente chute dans un contexte post-crise d'épilepsie partielle simple, avec traumatisme crânien résultant en une augmentation de l'hémorragie sous-arachnoïdienne décrite ci-dessus vers les régions fronto-temporales G, associées à un hématome sous-dural. Le traitement anticoagulant est poursuivi en accord avec un avis neurochirurgical. Les CT de contrôles sont dans la norme ne montrant pas d'augmentation des lésions hémorragiques. Un bilan neuropsychologique montre des difficultés mnésiques légères, ainsi qu'au niveau des praxies et de l'attention. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 6 mois et sera réévaluée en cas d'absence de nouvelle crise d'épilepsie. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec un statut neurologique de sortie montrant la persistance de trouble de la proprioception du MSD, malgré une très nette amélioration. Mme. Y peut regagner son domicile le 21.12.2018 avec poursuite de l'ergothérapie et physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 73 ans hospitalisée aux soins intensifs pour une thrombose veineuse du sinus sagittal supérieur droit associée à une hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche compliquée d'une crise convulsive généralisée tonico-clonique. Pour rappel, Mme. Y est en bonne santé habituelle. Elle a bénéficié de la mise en place d'un implant XEN pour un glaucome à gauche en novembre 2018. À noter aussi un traitement hormonal par Evista (Raloxifène) pour l'ostéoporose. Elle présente des céphalées et des nausées depuis le 01.12.2018 avec le 04.12.2018 vers midi des paresthésies du membre supérieur droit avec une perte de force. Elle est amenée aux urgences avec mise en évidence d'un NIHSS à 7 points avec un hémisyndrome facio-brachio-crural droit et une ptose labiale droite. Le CT-scan cérébral met en évidence une thrombose du golf de la veine jugulaire interne droite s'étendant au sinus latéral droit et au sinus sagittal supérieur avec une veine de Trolard à gauche également thrombosée ainsi qu'une suffusion hémorragique pariétale gauche. Sur avis neurologique, une anticoagulation thérapeutique par Enoxaparine est débutée et la patiente est hospitalisée aux soins intensifs en Stroke Unit monitorée. La surveillance neurologique aux soins intensifs est sans particularité. Un test de déglutition est normal. La patiente est transférée le 06.12.2018 en Stroke Unit non monitorée pour suite de prise en charge avec à la sortie des soins intensifs un NIHSS à 3 points. Une IRM de contrôle est prévue le 06.12.2018 ainsi qu'un laboratoire de base pour le profil lipidique et l'hémoglobine glyquée. Concernant l'étiologie de la thrombose veineuse cérébrale, un avis hématologique ne retient pas le traitement de Raloxifène comme facteur déclenchant au vu de l'étendue importante et de la localisation de la thrombose. Les collègues hématologues (Dr. X) proposent de considérer une thrombose veineuse idiopathique sévère jusqu'à preuve du contraire, nécessitant une anticoagulation au long cours par anti-vitamine K avec un contrôle radiologique à 3 mois pour évaluer une éventuelle recanalisation. La recherche d'une éventuelle cause tumorale sous-jacente est seulement recommandée selon d'éventuels signes d'appels cliniques. Sur avis hématologique, nous effectuons toutefois une cytométrie de flux dans le sang périphérique à la recherche d'une hémoglobinurie paroxystique nocturne ainsi qu'un dosage des anticorps anti-phospholipides dont les résultats seront à pister. Lors du CT-scan cérébral, elle présente une crise convulsive tonico-clonique généralisée traitée initialement par Keppra. Au vu d'une récidive sous forme de crise partielle à son arrivée dans le service des soins intensifs, le traitement de Keppra est majoré. Un EEG effectué à moins de 24h montre la persistance de foyer irritatif motivant l'adjonction de Vimpat. La patiente est transférée le 06.12.2018 en Stroke Unit non monitorée pour suite de prise en charge. Mme. Y, 58 ans, est admise dans la filière AVC par l'hôpital de Riaz pour une parésie faciale gauche partielle (paupière et labiale) le 09.12.2018 accompagnée de céphalées occipitales bilatérales. Un CT scanner cérébral précoce ne met pas en évidence de lésion spécifique aigue et la patiente est hospitalisée en stroke unit monitorisée après avoir reçu une dose de charge d'Aspirine. La réévaluation neurologique ne retient pas la suspicion d'AVC, mais une paralysie faciale périphérique. Un traitement de Prednisone avec un schéma dégressif est prescrit ainsi que du Valacyclovir pour 10 jours. La patiente ferme bien les deux yeux et une prophylaxie par Pantozol est prévue durant la durée des corticoïdes. Une sérologie de Lyme et d'HIV est encore à pister. Un ENMG sera fait à environ 10 jours, en cas de récupération complète d'ici là, ce dernier ne sera pas nécessaire. Le bilan paraclinique face à la suspicion d'AVC montre une perturbation des tests lipidique déjà en cours d'investigation et une hémoglobine glyquée normale. Face au changement de diagnostic, la patiente retourne à domicile et sera revue par sa médecin traitante le 13.12.2018. Mme. Y, patiente de 26 ans connue pour une trisomie 13 et institutionnalisée dans ce contexte, est admise aux soins intensifs le 23.11.2018 en raison d'une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë survenant secondairement à une pneumonie sur broncho-aspiration. Le 23.11.2018, la patiente est retrouvée fébrile et dyspnéique par les éducateurs du home. Aux urgences de Tavel, un bilan clinique et radiologique conclut à une pneumonie bilatérale. En raison d'accès veineux difficiles, une voie veineuse jugulaire interne gauche est mise en place. Un traitement antibiotique par Ceftriaxone et Clarithromycine est débuté. Face à une hypoxémie importante chez une patiente ne tolérant pas la VNI, elle est transférée aux soins intensifs de Fribourg.Un traitement par oxygène à haut débit (Optiflow) est débuté et permet une amélioration sur le plan respiratoire. L'antibiothérapie initiée à Tavel est poursuivie pour 7 jours au total. Les cultures bactériologiques s'avèrent non contributives. Sous ces traitements, l'évolution est progressivement favorable, permettant un transfert en division de médecine le 30.11.2018. A l'étage de médecine, les soins locaux des abcès axillaires dans le cadre de sa maladie de Verneuil sont continués. Une oxygénothérapie est maintenue jusqu'au 04.12.2018, où un sevrage en oxygène devient possible. La voie veineuse centrale jugulaire lui est retirée et Mme. Y peut retourner dans son foyer le 06.12.2018. Mme. Y, connue pour une BPCO non stadée et des pneumonies à répétition, ainsi qu'une schizophrénie, institutionnalisée à Horizon Sud, est amenée aux urgences en ambulance le 27.11.2018 en raison d'une baisse de l'état général avec faiblesse généralisée, dyspnée et état fébrile à 38,5°C. La patiente rapporte une dyspnée et une toux en péjoration, ainsi que des nausées sans vomissement depuis 2 jours. Dernière miction la veille, sans plainte urinaire. Pas de troubles du transit. Notion de chute de sa hauteur sur lâchage des membres inférieurs il y a 2 semaines, avec douleurs dans les genoux des deux côtés depuis. À l'arrivée des ambulanciers, la patiente présente une hypotension symptomatique avec sensation vertigineuse. Au status cardio-vasculaire à l'admission aux urgences, le rythme cardiaque est régulier avec un souffle systolique 3/6. Pas d'oedème des membres inférieurs, les mollets sont souples et indolores. Au niveau pulmonaire, notons une hypoventilation à la plage pulmonaire gauche ainsi que des crépitants à la base pulmonaire droite. Au status digestif, l'abdomen est distendu avec une sensibilité à la palpation abdominale, en particulier en épigastre, en fosse iliaque gauche et suspubienne, sans défense ni détente. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 26 mg/l et des leucocytes à 10,6 G/l, le sédiment urinaire est propre et la radiographie du thorax est suspecte pour un foyer au niveau basal droit. Nous retenons le diagnostic d'exacerbation de BPCO non stadée, sur probable pneumonie basale droite. Des hémocultures ainsi qu'une recherche d'antigènes sont prélevées et nous débutons une double antibiotothérapie par Rocéphine et Klacid. Mme. Y est mise sous oxygénothérapie 2 litres/minute et hospitalisée pour la suite de la prise en charge. En raison d'une rétention urinaire aiguë dans le contexte infectieux et médicamenteux (Amisulpride, Clopin éco), une sonde urinaire est mise en place et ramène 500 ml d'urine. Cette dernière est retirée le 04.12.2018. A l'étage, les antigènes urinaires pour pneumocoque et légionelle reviennent négatifs et le Klacid est arrêté. La Rocéphine est poursuivie pour un total de 8 jours avec une évolution favorable permettant le sevrage de l'oxygénothérapie dès le 03.12.2018. Les hémocultures reviennent également négatives. Durant le séjour, la patiente bénéficie d'une évaluation diététique qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une inappétence dans un contexte infectieux sur BPCO chronique, démontré par un NRS à 3 et des ingestas à 50% depuis plus d'une semaine et, dans ce contexte, les repas sont enrichis. Elle bénéficie également de séances de physiothérapie. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mme. Y peut regagner le foyer Horizon Sud le 05.12.2018. En raison de la présence d'une BPCO non stadée, avec des antécédents de pneumonies à répétition, nous proposons un suivi pneumologique en ambulatoire avec des fonctions pulmonaires. En cas de persistance ou péjoration de l'anémie, un bilan ferrique (ferritine saturation de la transferrine) et un bilan vitaminique (acide folique, vitamine B12) avec la substitution d'un éventuel déficit sont recommandés. Mme. Y, patiente de 81 ans, connue pour une hypertension artérielle traitée, consulte le 05.12.2018, envoyée par son médecin traitant en ambulance pour des douleurs thoraciques oppressives depuis environ 6h. La patiente rapporte une gêne thoracique depuis environ 3-4 mois à l'effort, après environ 10 min (lors de promenade avec son chien), associée parfois à une dyspnée, calmée par le repos (après environ 15 min). Cette fois, les douleurs rétro-sternales sont plus fortes, bien localisées, sans irradiation avec dyspnée, angoisse et ne disparaissent pas malgré le repos. Elle appelle son médecin traitant et le consulte environ 4h plus tard avec douleurs toujours présentes. Un ECG montre un léger sous-décalage dans les territoires inférieurs, les Troponines ne sont pas augmentées et la patiente est hospitalisée pour surveillance. Le profil tensionnel montre des valeurs systoliques dépassant régulièrement les 150 mmHg. Le traitement antihypertenseurs est adapté. Un ETT montre une fraction d'éjection conservée à 65% sans autre signe pathologique. Au vu des douleurs rétrosternales typiques, une coronarographie est réalisée. Elle ne montre pas d'occlusion coronaire. Durant son séjour, la patiente présente un nouvel épisode de douleurs thoraciques sans répercussion ECG ni cinétique des biomarqueurs cardiaques. La patiente vivant seule, sans aide à domicile, nous proposons un transfert en réadaptation gériatrique pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est transférée à Tafers le 13.12.2018. Mme. Y nous est adressée le 08.12.2018 par le service des urgences de l'HFR Fribourg pour des vertiges rotatoires d'origine peu claire. A l'entrée, la patiente se plaint des vertiges, de fatigue générale et de douleur au genou gauche. Elle se présente en état général légèrement diminué, bien orientée dans les trois dimensions, afébrile. L'examen clinique est dans les limites de la norme. Ad diagnostic principal et diagnostics supplémentaires Nous effectuons un bilan de chute. A noter qu'aux urgences, le test de Schellong était pathologique, compatible avec une hypotension orthostatique. La patiente a été réhydratée. Le test de Schellong réalisé à l'étage est physiologique, un ECG ne montre pas de troubles du rythme et le bilan biologique revient normal hormis des hyperglycémies pré- et post-prandiales répétées. Une dysrégulation autonomique dans le cadre du diabète pourrait expliquer la symptomatologie de la patiente. Celle-ci ne souhaitant pas d'investigation ni de traitement supplémentaire durant son séjour, nous proposons une rediscussion en ambulatoire par le médecin traitant avec recherche des complications micro- et macro-vasculaires. Le 10.12.2018, Mme. Y ne souhaite pas rester plus longtemps hospitalisée, ses vertiges étant résolus. Elle regagne son domicile sans physiothérapie. Mme. Y, patiente de 32 ans en bonne santé habituelle, est hospitalisée le 21.12.2018 pour une importante aphtose orale avec dysphagie. Elle rapporte avoir un herpès buccal depuis plusieurs années mais généralement avec une clinique plus calme. Elle souffre depuis 3 semaines de lésions sur les lèvres et buccales et depuis 1 semaine d'une dysphagie. Elle rapporte avoir consulté son médecin traitant le 14.12.2018 pour des brûlures mictionnelles et a donc reçu de l'Uvamine, de l'Irfen et de la Novalgine. Elle s'était également vue prescrire de l'Acyclovir pour ses lésions, sans qu'il y ait d'amélioration. Un bilan biologique est réalisé avec la mise en évidence d'un léger syndrome inflammatoire, le reste des paramètres étant aligné. De nombreuses sérologies sont prélevées, excluant une infection active à CMV, EBV, HIV, Syphilis ou aux Hépatites virales. Les sérologies herpétiques démontrent la présence d'une infection établie pour HSV1. Les résultats du frottis nasal pour PCR à HSV1+2 effectué après plusieurs jours de traitement, reviennent négatifs. Un examen ORL montre une gingivostomatite avec des lésions diffuses allant jusqu'à l'oesophage, ainsi qu'une suspicion d'atteinte systémique. En raison d'une forte suspicion clinique d'infection herpétique, la patiente est traitée par Acyclovir intraveineux du 22.12 au 26.12.2018, avec une très bonne réponse à la fois des lésions buccales et de la dysphagie.Au vu de métrorragies et d'un écoulement vaginal d'apparition nouvelle, chez une patiente ayant un partenaire nouveau depuis quelques semaines, un examen gynécologique est demandé. L'examen gynécologique est dans les limites de la norme hormis les métrorragies. Un prélèvement vaginal a été effectué à la recherche de chlamydia et gonorrhée, dont les résultats reviennent négatifs. Un contrôle gynécologique en ambulatoire est proposé. Une bonne amélioration clinique et biologique permet le retour à domicile de Mme. Y le 28.12.2018, en très bon état de santé général. Une répétition des tests HIV et Syphilis serait à faire dans un mois. Mme. Y, 59 ans, a été admise pour une tumeur ovarienne droite suspecte de malignité traitée en électif par annexectomie bilatérale et nécessitant une surveillance hémodynamique suite à une hémorragie per-opératoire et respiratoire pour un SAOS appareillé. La patiente est connue pour une obésité, un diabète insulino-requérant, une thyroïdectomie totale, un adénome surrénal non sécrétant. La masse ovarienne droite a été découverte fortuitement. En raison d'une néovascularisation de la tumeur avec hémorragie à la dissection laparoscopique, une conversion en tomie Pfannenstiel a été effectuée pour l'annexectomie bilatérale, l'ablation d'un nodule de l'épiploon et la résection de l'appendice épiploïque porteur du reste de la lésion. Une transfusion de 1 concentré érythrocytaire a été nécessaire, sans soutien aminergique. Une baisse de l'hémoglobine de 30 g/l a été observée en post-opératoire, avec une part d'hémodilution. L'hémoglobine devra être contrôlée aux 12 h jusqu'au 20.12.2018. Une insuffisance rénale aiguë prérénale oligurique s'est améliorée après correction volémique. Une hypocalcémie a été substituée. Nous proposons de contacter le médecin traitant afin d'évaluer l'indication à un bilan endocrinologique. L'antalgie opératoire se fait sous morphiniques et perfusion iv de lidocaïne. La mobilisation progressive a été possible dès le 19.12.2018. La sonde vésicale a été retirée le 19.12.2018. La patiente a été transférée dans le service de gynécologie le 19.12.2018. Mme. Y est une patiente de 78 ans, qui a été hospitalisée en gériatrie aiguë jusqu'au 14.11.2018 et qui reconsultait aux urgences de l'HFR Riaz le 01.12.2018 pour baisse de l'état général. Plus précisément, Mme. Y nous est adressée par le service des soins à domicile pour des soins devenus impossibles à domicile. Selon les infirmiers des soins à domicile, en effet, depuis que la patiente éprouve ses douleurs aux chevilles, elle ne se mobilise plus et les soins sont de plus en plus difficiles. Son médecin traitant lui a rendu visite à domicile le 30.11.2018, et soupçonnant une infection, lui administra une dose de Rocéphine en intramusculaire. Selon la patiente, voici quelques jours qu'elle ne parvient plus à marcher en raison de douleurs aux deux chevilles, ne pouvant par conséquent pas se rendre à la selle depuis le 27.11.2018. De plus, Mme. Y se plaint d'une toux grasse. Au status à l'entrée, hormis un souffle holosystolique en foyer aortique d'intensité 4/6 avec irradiation en foyer aortique et des râles crépitants en base droite à l'auscultation en position allongée, nous ne relevons qu'un léger érythème et une chaleur au niveau des 2 chevilles. Le bilan biologique met en évidence un important syndrome inflammatoire et une péjoration de l'insuffisance rénale connue. L'anémie reste stable. Cliniquement, nous retenons une poussée de goutte aux deux chevilles. Signalons encore un pic fébrile à 38.3°C lors du passage aux urgences, avec des urines troubles et malodorantes, justifiant la poursuite du traitement antibiotique, avec une évolution favorable. Concernant la poussée de goutte aux deux chevilles, nous mettons en place un traitement antalgique. Toutefois, vu la péjoration de la fonction rénale, nous ne modifions pas la dose de Colchicine et, au vu de la suspicion d'infection, nous ne débutons pas de traitement corticoïde. Nous introduisons néanmoins du Losartan à 25 mg dans un but hyperuricémiant, avec bon effet clinique. Au vu des hospitalisations répétées et des informations transmises par les soins à domicile, un retour à domicile paraît désormais inenvisageable, raison pour laquelle un placement est décidé. Le 12.12.2018, Mme. Y reste donc hospitalisée au sein de l'HFR, bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, Mme. Y sera admise au Home de la Vallée de la Jogne à Charmey le 18.12.2018. Mme. Y est une patiente de 68 ans, connue pour un syndrome douloureux chronique ainsi que des gonalgies droites chroniques sur status post-PTG, qui est hospitalisée en électif pour une exacerbation aiguë de son syndrome douloureux intéressant les deux épaules, les deux talons ainsi que les deux genoux. Nous l'hospitalisons sur demande du Dr. X à but antalgique et afin d'explorer une éventuelle étiologie de ses nouvelles gonalgies à gauche, évoluant depuis 1 mois, pour laquelle une IRM a montré des images dans les limites de la norme, hormis une chondropathie avec petite ulcération cartilagineuse. Pour rappel, la patiente est suivie par une équipe multi-disciplinaire (anesthésie, psychiatrie, orthopédie) en ambulatoire, suite à des gonalgies droites réfractaires aux antalgies classiques survenant de manière post-traumatique et post-opératoire. Anamnestiquement, la patiente se plaint surtout de douleurs de type brûlure, survenant dans un contexte atraumatique, d'une intensité de 8-9/10, évoluant sans horaires particuliers et qui sont majorés à la marche et au mouvement. Les brûlures intéressent les deux épaules, les deux genoux ainsi que les deux tendons d'Achille et la face plantaire des deux pieds. On note une absence de symptomatologie neurologique de type dysesthésies et allodynie. Mme. Y déclare souffrir d'une asthénie chronique avec sudations nocturnes. L'examen clinique est par ailleurs normal pour l'âge, hormis une apathie avec ralentissement psychomoteur, des enthèses sensibles à l'insertion de la patte d'oie et un status post-PTG à droite. Le bilan biologique à l'entrée ne révèle pas de syndrome inflammatoire ni de cytopénie à la formule sanguine complète. Une carence ferrique est mise en évidence et substituée d'emblée. Nous effectuons une scintigraphie osseuse dans le but de démontrer une plage d'hypercaptation compatible avec un foyer hypermétabolique pouvant témoigner d'un tissu inflammatoire. Celle-ci ne montre pas d'anomalie. En vue de la plainte d'allure neuropathique, nous complétons les investigations par un ENMG qui ne révèle pas d'anomalies de la vitesse ni de l'amplitude de conduction nerveuse. Nos collègues neurologues qui voient la patiente en cours d'hospitalisation ne croient pas à une composante neuropathique des douleurs.Après un avis auprès de nos collègues antalgistes, il est décidé de remplacer l'oxycodone par de la tapentadol et de sevrer gentiment la pregabaline. Après majoration progressive des doses de tapentadol, nous obtenons un résultat modéré au niveau des douleurs, que la patiente déclare acceptable. Une perfusion de lidocaïne est également tentée en cours d'hospitalisation, sans effet, et rendant la probabilité d'une composante neuropathique moins probable. Étant donné que les examens complémentaires ne révèlent aucune anomalie, nous décidons de renoncer à toute autre investigation de l'ordre rhumatologique. Nous décidons alors de poursuivre l'adaptation du traitement antalgique en ambulatoire auprès du Dr. X qui la connaît bien et restons à disposition si les symptômes venaient à évoluer. Mme. Y est une patiente de 30 ans, qui se présente aux urgences le 27.11.2018 pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. Les examens cliniques, biologiques et radiologiques mettent en évidence une appendicite aiguë perforée. La patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 28.11.2018. L'intervention se déroule sans complication. En raison du risque infectieux, nous administrons une antibiothérapie intraveineuse de cinq jours. Les suites opératoires sont favorables et la patiente peut retourner à domicile le 03.12.2018. Mme. Y est une patiente de 74 ans, qui nous a été emmenée par les ambulanciers aux urgences le 16.12.2018 suite à un accident de la voie publique à 50 km/h avec percussion latérale et sortie de route avec trois tonneaux. À son arrivée, on note un traumatisme crânien sans perte de connaissance ou amnésie circonstancielle. La patiente se plaint de douleurs au niveau costal des deux côtés, le reste de l'anamnèse est sans particularité. Au CT scan de tout le corps, de multiples fractures costales antérieures et postérieures bilatérales sont mises en évidence, ainsi qu'une lacération de la rate grade I et une lacération de grade II au niveau des reins, sans macrohématurie notée à l'anamnèse. La patiente est donc par la suite hospitalisée pour la prise en charge, notamment au niveau de l'antalgie. D'un point de vue pulmonaire, elle présente au 2ème jour de l'hospitalisation des désaturations jusqu'à 88% à l'AA, accompagnées de râles grossiers aux bases ainsi qu'une augmentation du syndrome inflammatoire au laboratoire, raison pour laquelle nous introduisons un traitement par Co-amoxicilline jusqu'au 25.12.2018. La patiente bénéficie également pendant son séjour de physiothérapie. À noter qu'une radiographie du thorax est réalisée, infirmant la présence d'un pneumothorax. Le 21.12.2018, au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à domicile le 21.12.2018. Mme. Y, 34 ans, est hospitalisée dans un contexte de décompensation cardiaque globale dans le post-partum. Pour rappel, Mme. Y présente une sensation d'asthénie et de dyspnée en progression depuis son accouchement en septembre 2018, qui se péjore les derniers jours. À noter que l'accouchement s'était compliqué d'un décollement placentaire à 31 SA, nécessitant un transfert en hélicoptère à Zurich pour une césarienne en urgence. À son arrivée, la patiente présente une clinique de décompensation cardiaque globale avec augmentation du pro-BNP et une altération des tests hépatiques dans un contexte de stase. Le scanner thoracique et abdominal supérieur injecté exclut une embolie pulmonaire et met en évidence une cardiomégalie avec œdème pulmonaire aigu. L'échocardiographie transthoracique montre une cardiomyopathie dilatée avec une fonction systolique globale sévèrement diminuée. Un traitement par IEC, bêta-bloquant et diurétique est débuté avec rapide amélioration des symptômes. Le traitement sera adapté selon l'évolution clinique. Le bilan est complété par la coronarographie, qui montre une occlusion ancienne collatéralisée de l'IVA moyenne, nos collègues cardiologues proposent une optimisation du traitement de l'insuffisance cardiaque. Une angioplastie sera rediscutée à distance en fonction de l'évolution après adaptation du traitement médicamenteux. Au vu de la dysfonction majeure, l'indication à une anti-coagulation est discutée avec les cardiologues mais renoncée. Par contre, l'indication à un défibrillateur externe de type LifeVest est retenue et la patiente reçoit le gilet ainsi que toutes les informations nécessaires avant sa sortie. Un suivi ambulatoire en cardiologie est agendé et une IRM cardiaque est organisée. La patiente se plaint également de métrorragies, présentes depuis son accouchement, avec péjoration sur les derniers jours. Un bilan gynécologique conclut à un utérus polymyomateux, pour lequel les collègues proposent la pose d'un Mirena en ambulatoire. Des brides vaginales entre les parois latérales au niveau du tiers supérieur du vagin sont aussi mises en évidence, un traitement en ambulatoire par laser est également proposé. Selon le souhait de la patiente, un suivi ambulatoire en gynécologie à l'HFR est organisé. Durant l'hospitalisation, la patiente reçoit une convocation de l'hôpital de Zurich afin d'effectuer un dépistage pour la tuberculose en raison d'un contact avec une patiente infectée durant son hospitalisation au mois de septembre. Après discussion avec l'équipe d'infectiologie, nous effectuons un Quantiféron qui revient positif. La patiente sera convoquée en ambulatoire par le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Mme. Y rentre à domicile le 15.12.2018 en bon état général avec la LifeVest. Elle cherchera un médecin généraliste dans les prochaines semaines pour un contrôle clinique et sera revue en cardiologie le 20.12.2018. Mme. Y, patiente de 79 ans, connue pour un pemphigoïde bulleux, une maladie de Still et une hypertension artérielle traitée, nous est envoyée le 05.12.2018 par son médecin traitant pour bilan d'un AVC ischémique subaigu sylvien gauche associé à une sténose de l'ACI gauche avec parésie du membre supérieur droit. La patiente rapporte une diminution de force et une maladresse avec sa main droite, apparue le 02.12.2018 durant la matinée, sans trouble sensitif, ni autre déficit neurologique. Devant la péjoration des symptômes le lendemain, elle consulte son médecin traitant (en accompagnant son mari chez lui), qui lui fait réaliser une IRM au CIF (04.12.2018) montrant cet AVC ischémique subaigu sylvien gauche. La patiente rapporte aussi une péjoration de ses troubles de l'équilibre et de vertiges de type tangage, présents déjà depuis environ 1 an et une fatigue récente. Le médecin traitant introduit de l'Aspirine Cardio et de la Simvastatine et nous l'envoie pour compléter le bilan. Le status d'entrée retrouve de légères sibilances expiratoires, le reste, notamment le status neurologique, est sans particularité. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique n'apporte aucune preuve de source d'embolie intracardiaque. Une ultrasonographie des vaisseaux pré-cérébraux ne retrouve pas la sténose décrite sur l'IRM (CIF) du 04.12.2018. En raison de cette discordance quant à la taille de la sténose, un angio-CT est effectué et ne démontre pas de sténose significative. L'antiagrégation introduite par le médecin traitant est poursuivie et nos collègues neurologues proposent d'ajouter une double antiagrégation plaquettaire (Aspirine cardio et Plavix) avec protection gastrique pendant 1 mois, suivie par une antiagrégation simple par Plavix 75 mg/jour. De plus, un bilan lipidique réalisé est dans la norme. Une consultation neuropsychologique pour une évaluation à l'aptitude à la conduite est réalisée le 10.12.2018. L'examen est dans la norme et l'aptitude à conduire est conservée. Une restriction de conduite existe néanmoins comme d'accoutumée pour les deux semaines suivant l'AVC. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique de la patiente, Mme. Y rentre à domicile le 12.12.2018, avec mise en place d'aide au ménage par notre service de liaison. Mme. Y nous est transférée le 27.11.2018 depuis le Haus der Pflege à Berne pour suite de prise en charge après une fracture pertrochantérienne droite le 16.09.2018, traitée opérativement à l'Inselspital et qui nécessitait une charge de 0 kg pendant 8 semaines. La patiente est connue pour une maladie cardiaque ischémique de même qu'un syndrome d'apnée du sommeil en cours d'exploration. À l'anamnèse, Mme. Y se plaint encore de légères douleurs à la mobilisation autour de la plaie d'opération à la hanche droite. Elle a perdu de manière volontaire 6 à 8 kg pendant les 6 derniers mois sans autres symptômes B. La patiente souhaite perdre du poids et fait donc attention à ce qu'elle mange. L'anamnèse systématique ne révèle pas d'autre particularité. Au status, il se présente une patiente en état général légèrement diminué. L'examen cardio-pulmonaire met en évidence de légers œdèmes des pieds avec des pouls bien palpables. L'examen abdominal et neurologique ne met pas en évidence de spécificités à part une marche avec une cyphose thoracique. Avant les hospitalisations récentes, Mme. Y vivait avec son mari dans une maison avec jardin et se déplaçait à l'aide de deux cannes. Elle était indépendante pour les ADLs et les IADLs et n'avait pas de Spitex. Elle ne conduisait plus. Avec une antalgie simple, les douleurs sont contrôlées de manière satisfaisante. La cicatrice postopératoire reste calme. Un bilan biologique est aligné hormis une Hb à 117 g/l. Nous recevons durant l'hospitalisation les résultats de la polysomnographie du 26.11.2018, qui démontrent un syndrome d'apnée du sommeil sévère complexe à prédominance obstructive avec une composante centrale. Le AHI est à 63/h. Nous organisons donc une consultation pneumologique chez Dr. X en ambulatoire pour discuter et introduire un traitement. Parallèlement aux problèmes médicaux aigus, nous débutons une réhabilitation précoce avec physio- et ergothérapie. Au début de l'hospitalisation, Mme. Y effectue les transferts de manière autonome et se mobilise sous supervision avec le tintebin. À la sortie, la patiente marche avec le rollateur sous supervision et effectue les escaliers avec une aide importante. Le Tinetti est à 11/28. En raison de ces limitations fonctionnelles encore bien présentes, Mme. Y peut donc être transférée le 05.12.2018 dans le service de réadaptation à l'HFR Meyriez. Mme. Y, âgée de 81 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la pose d'une PTG D le 31.10.2018. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux présentent une légère hypertension. Les douleurs au repos sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par systèmes, la patiente signale une baisse de son appétit ainsi que des remontées acides. Elle mentionne aussi une nycturie. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme, le pansement propre (pas changé depuis l'opération). La flexion/extension du genou D est de 50-0-0 en actif et 85-0-0 en passif. La force du quadriceps D est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Les analyses hématologiques effectuées à la Clinique Générale ont montré une anémie avec une hémoglobine à 79 g/l le 05.11.2018, qui s'est ensuite améliorée à 98 g/l (07.11.2018) suite à l'administration de 2 CE le 05.11 et le 06.11.2018. Durant son séjour, elle a présenté une insuffisance rénale de stade AKIN I qui s'est par la suite résolue suite à la baisse du traitement diurétique. Son traitement antihypertenseur est complété par l'administration d'Amlodipine car les pressions artérielles mesurées sont trop élevées. À la demande de la patiente, le vaccin contre la grippe est effectué le 22.11.2018 ainsi qu'un bilan lipidique qui montre des HDL à 0.81 mmol/l, des LDL à 2.16 mmol/l et des triglycérides à 1.63 mmol/l. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises ou un tintébin en respectant la décharge. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension du genou D à 80-0-5 en actif et 100-0-5 en passif. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 29.11.2018, en bon état général. À la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie en ambulatoire. Mme. Y, âgée de 55 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à de multiples fractures du bassin le 30.10.2018. Sur le plan social, la patiente vit seule à domicile. Elle est à l'AI depuis 2003. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte spécifique. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. À l'anamnèse par système, la patiente signale une tendance à la constipation qui réagit bien aux laxatifs. Elle est connue pour des troubles psychotiques, actuellement stables avec la médication en place selon la patiente. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La flexion de la hanche D est de 65° en actif, 70° en passif et la hanche G à 70° en actif et passif. La force du quadriceps D est cotée à M4 et à gauche à M4. La force du psoas est cotée à M3 ddc. La sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises dans tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires sont conservées et les douleurs sont en diminution. La prophylaxie thromboembolique par Clexane peut être arrêtée car la patiente est en charge complète. Au vu des fractures complexes survenues après un traumatisme de faible intensité, nous recommandons d'effectuer une densitométrie osseuse à la recherche d'une probable ostéoporose fracturaire. Après 1.5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 27.11.2018, en bon état général. Un arrêt de travail est attesté jusqu'au 06.01.2019. Mme. Y est une patiente de 41 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales de l'hémi-abdomen gauche depuis la veille avec un état fébrile associé. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire important et le CT-scan montre deux urolithiases de l'uretère proximal sous pyélique et de l'uretère lombaire proximal gauche mesurant chacune 7 mm. Nous retenons alors l'indication d'une pose de sonde double-J et débutons une antibiothérapie intraveineuse. L'intervention se déroule sans complication. Les suites opératoires sont favorables avec une diminution du syndrome inflammatoire, permettant un relais per os de l'antibiothérapie et un retour à domicile le 11.12.2018.Mme. Manarelli, patiente de 61 ans connue pour une suspicion de BPCO, un tabagisme actif et un alcoolisme chronique stoppé depuis quelques semaines, est hospitalisée dans le cadre d'une dyspnée progressive. L'anamnèse révèle l'apparition progressive d'une dyspnée depuis environ une semaine accompagnée d'une toux sans expectorations ni fièvre. La patiente avait présenté depuis quelques semaines des œdèmes des membres inférieurs et une augmentation du périmètre abdominal qui avait motivé l'introduction de Torem. En raison de la péjoration de la dyspnée présente au repos, elle a consulté la permanence. L'examen physique met en évidence une hypoventilation jusqu'au 2/3 des plages pulmonaires droites avec une dyspnée NYHA stade IV. La patiente bénéficie d'une radiographie du thorax mettant en évidence un épanchement pleural droit d'origine indéterminée. Nous réalisons une ponction qui se révèle probablement un transudat. La pathologie ne montre pas d'éléments suspects d'une néoplasie. Nous vous proposons de réaliser un US cardiaque en ambulatoire afin d'évaluer la fonction cardiaque. Nous réalisons un scanner thoraco-abdominal à la recherche d'une néoplasie, qui met en évidence une lésion suspecte de l'angle colique gauche et de multiples adénopathies, certaines nécrotiques, coeliaques, rétropéritonéales, péri-pancréatiques et mésentériques. Une colonoscopie est réalisée qui se révèle sans particularité. Concernant la pneumonie basale droite, nous la traitons par Rocéphine 2 g iv puis réalisons un relais par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j à poursuivre jusqu'au 19.12.2017. Nous vous proposons de réaliser une radiographie de contrôle à distance de la pneumonie. Nous mettons en évidence une anémie probablement d'origine multifactorielle. Nous réalisons un suivi biologique avec une stabilité de l'hémoglobine dans des valeurs basses. Nous vous proposons de suivre l'évolution de l'hémoglobine de la patiente et d'évaluer la nécessité d'une supplémentation en fer. Concernant l'hépatopathie alcoolique, nous vous proposons de suivre l'évolution des tests de fonction hépatique. Nous mettons en évidence une hypokaliémie que nous substituons iv et per os avec bonne évolution. En ce qui concerne la suspicion de BPCO, nous vous proposons de réaliser des fonctions pulmonaires en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique de la patiente, elle rentre à domicile le 14.12.2018 en bon état général avec un rendez-vous de suivi à votre consultation. Mme. Maradan présente une gonarthrose décompensée à prédominance dans le compartiment externe du genou droit. L'indication pour une prothèse totale du genou est donnée. Je propose à la patiente de discuter de cette option avec sa famille. Une fois la décision prise pour une intervention, elle me recontactera. Dans ce cas-là, elle devra être vue par mes collègues d'anesthésie pour une consultation pré-anesthésique. La patiente devra faire une IRM avec le protocole de l'Entreprise Zimmer en vue de planifier la prothèse totale du genou PSI. Mme. Marmy, patiente de 82 ans, connue pour une insuffisance respiratoire globale chronique dans un contexte de BPCO stade IV D oxygéno-dépendante, appareillée par VPAP nocturne depuis 2012, est hospitalisée du 04.12 au 05.12.2017 pour son contrôle annuel de VNI avec polygraphie. Depuis l'année dernière, la patiente rapporte une exacerbation de BPCO en janvier 2018 ayant nécessité une antibiothérapie mais pas d'hospitalisation. Elle décrit toujours une dyspnée NYHA III-IV. La patiente tousse peu mais a des expectorations épaisses verdâtres 1 fois par jour stables. Elle n'a pas d'autres plaintes, notamment pas de somnolence diurne, pas de céphalées matinales ou d'injection des sclères. Elle rapporte bien supporter l'oxygénothérapie à 2L. Elle tolère très bien son appareillage avec une utilisation à 100 % des jours et utilisation médiane quotidienne de 7h07. Sa thérapie inhalatoire est actuellement constituée d'Axotide 500 2x/j et Anoro 1x/j avec Ventolin en réserve (utilisation en moyenne 2x/j) avec une bonne technique d'inhalation. Elle a bénéficié du vaccin contre la grippe. La polygraphie respiratoire nocturne du 04.12 au 05.12.2017 montre un index d'apnée/hypopnée à 3.2/h, une saturation en oxygène nocturne à 96 %, avec une PCO2 moyenne à 5.2 kPa. Au vu de la bonne tolérance de l'appareillage sans fuite significative, de l'absence de nouvelles plaintes respiratoires et des paramètres mesurés satisfaisants, nous n'effectuons pas de changement des paramètres ventilatoires. La patiente sera reconvoquée d'ici à une année pour un nouveau contrôle de sa VNI. Concernant les fonctions pulmonaires complètes, nous notons un syndrome obstructif de degré stable mais avec un VEMS diminué par rapport à l'an passé (VEMS/CVF 44 %, VEMS 29 % contre 36 % en 2017). Nous vous proposons d'organiser un séjour en réhabilitation pulmonaire si la patiente n'en a pas bénéficié les 2 dernières années. Nous restons à disposition pour tout renseignement complémentaire et vous adressons, Monsieur et cher Confrère, nos meilleures salutations. Mme. Martuccio est admise pour ponction d'ascite élective de son domicile. Pour rappel, Mme. est suivie régulièrement à notre accueil de jour et bien connue de notre service. Au moment de l'entrée, elle rapporte une prise de poids de 4 à 5 kg récente et note une péjoration suite à la réduction de son traitement d'Aldactone, réduction motivée par une hyperkaliémie. Au status, l'abdomen est tendu, globuleux, calme à la palpation. Une ponction est réalisée le même jour de l'entrée avec succès. Après une surveillance d'une nuit hospitalisée, Mme. Martuccio peut rejoindre son domicile le 18.12.2018. Un contrôle chez le remplaçant de son médecin traitant est prévu prochainement selon elle. Mme. Mauron est une patiente de 74 ans, connue pour syndrome métabolique avec BPCO de stade II selon Gold. Elle est hospitalisée pour décompensation respiratoire globale aiguë d'origine multifactorielle. Elle a consulté le service des urgences de l'HFR Riaz pour une dyspnée évoluant depuis 2 semaines en péjoration malgré une antibiothérapie orale avec un état fébrile et une toux sèche. Une insuffisance respiratoire globale est mise en évidence et survient dans un contexte multifactoriel. En effet, une composante d'intoxication médicamenteuse est suspectée avec un lourd traitement psychotrope incriminé et que nous mettons en grande partie en suspens. Une composante septique est également mise en cause avec le diagnostic d'une infection urinaire à E. Coli ESBL chez une patiente porteuse de sonde vésicale à demeure. Finalement, une composante de décompensation de sa BPCO est retenue ainsi qu'une hypoventilation liée à son obésité. Mme. Mauron bénéficie d'un traitement par ventilation non-invasive aux soins intensifs de 48 h, permettant une bonne évolution avant son transfert en médecine, où le traitement par physiothérapie respiratoire est poursuivi. Au vu de l'urosepsis qui survient chez cette patiente porteuse de sonde vésicale à demeure, l'indication de cette sonde est rediscutée. Elle avait été introduite en raison d'une importante incontinence. Après longue discussion, Mme. Mauron nous exprime le souhait de la conserver malgré les risques infectieux encourus. En raison de l'infection récente, la sonde est changée le 14.12.2018 et sera à changer tous les 3 mois. Après évaluation par l'équipe de psychiatrie, une ré-introduction progressive des traitements anti-dépresseurs et anxiolytiques est effectuée avec bonne tolérance.Durant son séjour, la patiente se plaint de démangeaisons importantes qui évoluent depuis environ 3 mois avec une réponse très modérée aux antihistaminiques déjà introduits auparavant. Un avis dermatologique est demandé avec une thérapie par corticoïdes topiques de classe IV proposée dès le 18.12.2018, avec schéma dégressif (cf. consilium dermatologie). De plus, des biopsies cutanées sont prélevées dont les résultats définitifs vous parviendront ultérieurement. Le service de dermatologie se tient à disposition en cas d'évolution défavorable pour un nouveau rendez-vous dans le courant du mois de janvier 2019. Mme. Y retourne au Foyer La Rose des Vents le 20.12.2018. Mme. Y est une patiente de 89 ans qui consulte les urgences le 10.11 en raison d'une dyspnée rapidement progressive sur 3 jours. La clinique et le bilan biologique sont compatibles avec une décompensation cardiaque gauche. Un traitement de diurétique est introduit le 10.11. Le bilan par une coronarographie et une ETT montre une sténose serrée de la valve aortique et une maladie coronarienne tritronculaire. Mme. Y bénéficie de la mise en place d'un stent actif au niveau de l'artère coronaire interventriculaire antérieure. Puis, lors d'une seconde intervention, d'un deuxième stent au niveau de l'artère coronaire droite. Une double anti-agrégation est débutée, le Plavix est à poursuivre pour une durée minimale de 6 mois et l'aspirine à maintenir à vie. L'évolution clinique est initialement défavorable avec plusieurs épisodes d'oedème aigu du poumon en première partie de séjour. Le traitement diurétique est transitoirement administré en intraveineux continu. Une dose unique de Métolazone est également administrée. La patiente bénéficie également de physiothérapie respiratoire avec VNI dans ce contexte. Par la suite, Mme. Y développe progressivement une hyponatrémie qui nécessite un court transfert aux soins intensifs. Celle-ci se normalise par la suite après restriction hydrique et capsule de sel. En deuxième partie de séjour nous parvenons à stabiliser la patiente sur le plan cardio-respiratoire avec une stabilité relative de la fonction rénale, malgré une légère péjoration du GFR probablement secondaire aux injections répétées de produit de contraste et au traitement diurétique. La patiente développe une réaction cutanée mise sur le compte d'une allergie médicamenteuse. Celle-ci évolue favorablement après traitement par corticoïde topique et arrêt puis reprise progressive des médicaments possiblement incriminés. Le médicament le plus probable d'être à l'origine de cette réaction est la Rocéphine, mais un bilan allergologique avec tests cutanés serait recommandé pour confirmer cette hypothèse. Après discussion des différentes options thérapeutiques avec la patiente et sa famille et évaluation des axes vasculaires par CT, l'équipe de cardiologie propose une TAVI par accès carotidien droit qui sera réalisée à la clinique Cécile le 20.12.2018. La famille est informée des risques et bénéfices de cette intervention. Mme. Y est donc transférée à la clinique Cécile à Lausanne le 19.12.2018. Mme. Y, patiente de 89 ans, hospitalisée à l'HFR Fribourg jusqu'au 19.12.2018 dans le contexte d'une décompensation cardiaque sur sténose aortique sévère, pour laquelle elle bénéficie de l'implantation d'une prothèse valvulaire par voie trans-carotidienne (TAVI) le 20.12.2018 à la Clinique Cécile, compliquée d'un bloc atrio-ventriculaire de 3ème degré nécessitant la pose d'un pacemaker, et qui nous est transférée pour la suite de la prise en charge, en attente de réadaptation cardiovasculaire. À l'entrée, nous mettons en évidence un important hématome en regard de la voie d'abord carotidienne droite, pour lequel un CT des troncs supra-aortiques confirme la présence d'un hématome non compressif et permet d'exclure un anévrisme ou pseudo-anévrisme. L'évolution clinique est lentement favorable et la patiente reste asymptomatique. Sur le plan cardiaque, la patiente est cliniquement compensée, avec la reprise de la mobilisation selon tolérance. L'échocardiographie transthoracique de contrôle post TAVI montre une FEVG à 35 %, et une prothèse valvulaire aortique bien positionnée et fonctionnelle. Le traitement cardioprotecteur par IEC et bêta-bloquant est repris progressivement, avec bonne tolérance. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 89 ans, connue notamment pour une cardiopathie hypertensive et un statut après accident vasculaire cérébral traité par aspirine cardio, prise en charge ce jour en réadaptation gériatrique suite à son hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz depuis le 22.11.2018. Sur le plan cardiaque, nous relevons une bonne évolution clinique avec le traitement mis en place durant le séjour précédent. Au niveau inflammatoire et articulaire, nous notons également une résolution clinique et biologique des symptômes. Dans ce contexte, la patiente peut ainsi bénéficier pleinement de sa réadaptation. Durant ce séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un bâton de marche est de 120 mètres. La patiente peut gravir 18 marches sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126 par rapport à 97/126 en début de réadaptation. (MIF physio : transferts 6/7, marche 5/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 17.12 secondes avec un bâton de marche. Le risque de chute est bas. Au niveau nutritionnel, Mme. Y recouvre ses besoins et n'a pas nécessité de suivi proche. Du point de vue ergothérapeutique, la patiente bénéficie d'un suivi avec amélioration de ses activités de la vie quotidienne. Le 13.12.2018, nous laissons rentrer la patiente à domicile en bon état général. Dès sa sortie, elle bénéficiera du passage régulier des soins à domicile. Mme. Y, âgée de 84 ans, connue pour les comorbidités susmentionnées, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture péri-prothétique à la hanche droite le 24.10.2018 sur chute mécanique traitée par cerclage du fémur proximal en mini-invasif le 30.10.2018. Les investigations à l'HFR Fribourg ont également mis en évidence une fracture du poignet droit non déplacée qui est traitée conservativement. Sur le plan social, la patiente, religieuse, vit en institution à Saint Paul et est toujours en activité. Elle a travaillé 50 ans à la Liberté pour la mise en page. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au statut, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La force du quadriceps droit est cotée à M2, psoas droit à M2, et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, elle a présenté un état fébrile avec toux, sans dyspnée, le 22.11.2018. Un bilan radiologique et sanguin ne met en évidence aucun foyer pulmonaire et le bilan urinaire est sans particularité. Un traitement symptomatique est mis en place et la clinique s'améliore. L'hypokaliémie présente lors de son arrivée s'est corrigée et la substitution peut être stoppée.Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un taurus en respectant la décharge. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de la hanche D à 70-0-10 en passif. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre sa communauté religieuse de Saint Paul, le 26.11.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie à domicile pour maintenir les acquis et continuer d'améliorer les amplitudes articulaires. Mme. Y est une patiente de 36 ans, qui a bénéficié d'un bypass gastrique le 03.12.2018 et qui consulte le 07.12.2018 aux urgences en raison de douleurs abdominales en flanc/fosse iliaque droite sans irradiation, évaluées à 8/10, sans nausées ou vomissements et sans état fébrile. Le laboratoire initial met en évidence un léger syndrome inflammatoire et au CT on démontre la présence d'un épaississement focal de la paroi colique dans l'angle colique droit, associé à une infiltration de la graisse péri-colique pouvant correspondre à une colite infectieuse. La patiente est mise sous antibiothérapie par Ciproxine et Flagyl et évolue bien par la suite sur le plan clinique et biologique. Le 11.12.2018, elle peut rentrer à domicile. Mme. Y est une patiente de 36 ans, qui est admise dans notre service le 03.12.2018 pour un bypass gastrique proximal. L'opération susmentionnée se déroule sans complication. L'évolution postopératoire est favorable avec une réalimentation bien tolérée et une reprise du transit le 04.12.2018. Mme. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 05.12.2018. Mme. Y est une patiente de 73 ans, connue pour maladie du sinus avec pose sinusale d'étiologie inconnue et pacemaker posé en 2013. Elle nous est adressée par son cardiologue pour révision de sonde du pacemaker en raison d'un dysfonctionnement objectivé lors d'un contrôle. Pour rappel, elle présente depuis une semaine une gastroentérite avec vomissements itératifs au décours. Durant la soirée du 18.12.2018, elle a eu une syncope à la marche avec traumatisme crânien et perte de connaissance de quelques secondes. Un contrôle du pacemaker est alors effectué. Au bilan biologique, une insuffisance rénale aiguë prérénale est mise en évidence avec bonne résolution sous hydratation intraveineuse. L'intervention cardiologique se déroule sans complication. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni d'autres complications. Le positionnement du pacemaker est correct. Mme. Y rentre à domicile le 21.12.2018. Mme. Y, 85 ans, nous est transférée des soins intensifs pour la suite de prise en charge d'une probable maladie du sinus avec pauses sinusales symptomatiques. Pour rappel, la patiente est connue pour une FA sous Sintrom et une épilepsie traitée, elle décrit des lipothymies répétées depuis une semaine et la survenue d'une syncope motivant sa consultation aux urgences. Le bilan objective des pauses sinusales symptomatiques jusqu'à 4 secondes. Depuis la mise en suspens du traitement bêta-bloqueur, la surveillance rythmique montre des pauses sinusales brèves asymptomatiques. Elle bénéficie d'un pacemaker le 13.12.2018. Le contrôle radiographique ne montre pas d'hémo- ou de pneumothorax. Le reste du séjour est sans particularités. Nous stoppons le Sintrom et introduisons en raison du risque de saignement plus bas. Le traitement antihypertenseur est majoré. Elle rejoint son domicile le 17.12.2018, avec la mise en place d'une aide au ménage. Une prescription pour de la physiothérapie ambulatoire est également donnée à la patiente. Mme. Y est une patiente de 93 ans, connue pour une insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée. Elle est hospitalisée en électif pour une angioplastie antégrade gauche pour artériopathie du membre inférieur gauche stade IV avec une plaie du gros orteil gauche et petits ulcères nécrotiques du pied gauche, sous antibiothérapie depuis le 12.12.2018. Elle bénéficie d'une angioplastie du membre inférieur gauche, sans complication et le traitement antibiothérapeutique est suspendu. Nous retrouvons également une insuffisance rénale avec composante aiguë prérénale et hyponatrémie légère s'améliorant sous hydratation intraveineuse. L'évolution clinique est favorable, Mme. Y rentre à domicile le 20.12.2018. Mme. Y est une patiente de 74 ans hospitalisée de manière élective pour une mise sous VNI dans le cadre d'un syndrome d'apnées/hypopnées du sommeil de type obstructif avec probable hypoventilation alvéolaire, mises en évidence lors d'un bilan ambulatoire à votre consultation. Sur le plan respiratoire, la patiente présente une dyspnée de stade mMRC stade 3 stable, dans le contexte d'une insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine multifactorielle, pas de toux ni expectorations. Elle ne présente pas de symptômes d'insuffisance cardiaque. Elle utilise l'oxygène toutes les nuits, et par intermittence la journée à un débit de 2 l/min. Les fonctions pulmonaires du 11.12 montrent un syndrome restrictif de degré sévère dans le contexte d'une cyphoscoliose et d'une obésité de stade II (CPT 77% du préd., VEMS à 46% du préd), valeurs relativement superposables au bilan effectué par vos soins en août 2018. Concernant le sommeil, Mme. Y passe de bonnes nuits (23 h-7 h) sans interruptions en général. Elle présente par contre un degré léger de somnolence diurne (ESS à 6/24), notamment lorsqu'elle regarde la télévision, ainsi qu'une ronchopathie et elle nécessite une sieste quotidienne d'1-2 heures. Elle ne présente en général pas de parasomnies. Elle n'a jamais de céphalées et n'a pas remarqué de trouble de la mémoire ou de la concentration. Lors de la première nuit, nous mettons en évidence à la capnographie une hypercapnie nocturne associée à une hypoxémie probablement en lien avec une hypoventilation alvéolaire. Nous instaurons donc la nuit suivante une VNI et augmentons l'oxygénothérapie nocturne à 3 l/min. Le traitement des apnées est encore insuffisant avec un IAH à 36/h (hypopnées obstructives) et une capnie élevée. Nous augmentons l'EPAP et l'aide inspiratoire la nuit suivante, sans avoir le bénéfice attendu, avec l'apparition de nombreux événements hypopnéiques. Concernant la tolérance, la patiente était davantage confortable avec des pressions à 6/14 cmH2O. Comme l'efficacité de la VNI est insuffisante avec une capnie élevée sur les 2 nuits, nous préconisons de garder l'oxygénothérapie nocturne à 2 l/min afin d'éviter de majorer la capnie. Un réglage des paramètres plus fin n'est pas faisable car il n'est pas possible de prolonger le séjour de la patiente au-delà de 3 nuits. La patiente rentre donc au Home avec les paramètres de VNI initiaux (P 6/14 cmH2O), qu'elle a le mieux tolérés. Elle reviendra pour un séjour de 2 jours le 08.01.2019 afin d'évaluer sa tolérance au traitement et d'effectuer éventuellement une adaptation des réglages. Mme. Y, patiente de 72 ans connue pour une hypertension artérielle traitée, une insuffisance rénale chronique et des lombalgies intermittentes, nous est adressée par la clinique de médecine de l'HFR Meyriez dans un contexte de sciatalgie droite déficitaire L5. Lors d'un effort pour soulever une charge le 19.11.2018, une douleur de type étirement au niveau de la jambe droite est apparue de manière aiguë, irradiant de la fesse jusqu'au talon, soulagée par l'immobilité et péjorée par le mouvement. Pas de troubles sphinctériens remarqués. L'examen d'entrée montre une baisse de la force à M3-4 de la flexion dorsale du pied droit et une hyporéflexie rotulienne droite.Mme. Minguely est veuve, vit seule dans une maison avec deux étages sans ascenseur. Elle était autonome dans toutes les AVQ et se mobilisait sans moyens auxiliaires. La patiente bénéficie d'une antalgie par Palexia et Pregabaline, et d'une physiothérapie avec un bon soulagement des douleurs. Au vu du déficit moteur, nous organisons une IRM lombaire qui montre une protrusion discale à base large entraînant un rétrécissement récessal droit et gauche, prédominant à droite, pouvant occasionner un conflit avec l'émergence des racines L5 des deux côtés. Nous prenons avis auprès de nos collègues de la Team Spine de Fribourg qui propose un traitement conservateur par infiltration sous scanner, qui a lieu le 29.11.2018 avec un bon effet sur les douleurs permettant une réduction progressive de l'antalgie par Palexia jusqu'à l'arrêt définitif à la sortie. Des radiographies lombaires montrent une perte de hauteur du corps vertébral de L3 et des signes dégénératifs. Nous retenons un diagnostic d'ostéoporose en raison de la fracture tassement de L3 atraumatique d'allure ancienne et de l'aspect ostéopénique des corps vertébraux. Nous introduisons un traitement de Calcimagon D3 et d'Alendronate 70 mg hebdomadaire. En raison d'un traitement au long cours de Pantozol, nous diminuons la dose à 20 mg. Parallèlement à la prise en charge aiguë, une réhabilitation précoce avec physio- et ergothérapie a été mise en place. À l'entrée, Mme. Minguely pouvait faire les transferts avec supervision (FIM 5) et marcher avec un rollator et une aide moyenne (FIM 3). À la sortie, la patiente était autonome dans les transferts (FIM 6), pouvait se déplacer de manière autonome avec un rollator sur 120 m (FIM 6) et monter les escaliers avec une rampe sous supervision (FIM 5). Devant une nette amélioration clinique, Mme. Minguely peut quitter l'hôpital le 08.12.2018 et regagner, selon son souhait, temporairement le domicile de sa fille, en attendant de retourner à la maison dans deux semaines. Mme. Minguely, patiente de 74 ans, connue pour un status post cholécystectomie en 2011, consulte le 27.11.2018 envoyée par son médecin traitant pour des douleurs abdominales diffuses et une perturbation des tests hépato-biliaires. La patiente rapporte des douleurs crampiformes depuis 48 h, plus marquées en épigastre et flanc droit, post-prandiales avec nausées sans vomissement, ni état fébrile. Pas de frisson. Pas de symptôme urinaire. Pas de voyage récent hormis Italie en 06.2018. Pas de changement de traitement médicamenteux. Pas d'antécédent d'hépatite. Le status d'entrée montre une patiente afébrile avec un abdomen souple mais douloureux en épigastre, hypochondre droit et fosse iliaque gauche sans défense ni détente. Le CT abdominal montre une légère dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques avec un clip chirurgical à cheval entre le bas-fond du cholédoque et la papille de Vater dont il est difficile d'attribuer une localisation endoluminale ou extraluminale avec compression extrinsèque. La patiente est hospitalisée pour antalgie et mise à jeun. Un pansement gastrique est également introduit. Le bilan est complété par une cholangio-IRM au vu des douleurs post-prandiales et des valeurs de laboratoire, montrant deux petits calculs dans le bas cholédoque. Après discussion avec nos collègues chirurgiens et gastro-entérologues, il n'y a pas d'indication à effectuer une ERCP en urgence, surtout au vu de la disparition des douleurs et des valeurs de laboratoire à la baisse. Une recherche de sérologies virales hépatiques reviendra négative. En parallèle, la patiente se plaint d'un changement de transit depuis quelques mois avec un épisode de selles molles à liquides 1x/j le matin. Un dosage d'élastase dans la norme rend la possibilité d'une insuffisance pancréatique moins probable. Nous vous proposons d'effectuer une colonoscopie de dépistage chez cette patiente qui n'en a, d'après elle, encore jamais bénéficié. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente peut rentrer à domicile le 02.12.2018. Mme. Monnard, âgée de 85 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture intertrochantérienne reverse du fémur droit, suite à une chute avec réception sur la hanche, traitée par ostéosynthèse par enclouage centromédullaire Gamma long le 19.11.2018. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit avec sa fille à domicile. Le domicile est aménagé pour un accès sans marche d'escalier et sa fille est présente notamment pour les repas. À l'admission, elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. La patiente n'a pas de plainte. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche droite est de 70° en actif et 80° en passif. La force du quadriceps est cotée à M4 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec un tintébin sur un périmètre de 60 m avec pause. Elle peut monter/descendre les escaliers avec une canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche à 90° en actif et une abduction à 40°. La force du quadriceps droit est cotée à M4 et celle du psoas à M3+. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Monnard peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 11.12.2018, en bon état général. Mme. Monnet, connue pour un OH chronique actuellement en sevrage et un traitement par méthadone, nous est adressée par le foyer du Torry pour un placement en attente d'un remplacement prothétique de la hanche gauche prévu le 13.12.2018 par Dr. X. Pour rappel, la patiente est institutionnalisée au Torry depuis 4 mois. Au vu de sa coxarthrose sévère, Dr. X décide d'opérer la patiente à condition qu'elle soit abstinente pendant 3 mois avant et après l'intervention. Pour cela, Mme. Monnet est hospitalisée à Marsens pour un sevrage il y a 2 mois. De retour au Torry, elle arrive à s'abstenir de l'alcool mais elle présente des douleurs importantes à la hanche. Au vu de la difficulté de l'adaptation de l'antalgie, de la somnolence et des chutes, la patiente nous est transférée. La patiente présente des douleurs aux hanches en lien avec une coxarthrose bilatérale. Nous poursuivons le traitement antalgique et prescrivons de la physiothérapie. Mme. Monnet présente une incontinence urinaire nocturne. Une origine médicamenteuse ou gynécologique est probable. Nous proposons un contrôle gynécologique en ambulatoire. Une constipation est traitée par des laxatifs. La patiente est reclassée en attente de l'opération orthopédique le 13.12.2018, ne pouvant envisager d'intégrer un EMS actuellement et en l'absence de place à Marsens. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Monney est une patiente de 84 ans, connue pour une artériopathie des vaisseaux pré-cérébraux, qui présente une rapide progression de la sténose de l'artère carotide interne droite de 80 à 90 %. Le cas est discuté au colloque vasculaire interdisciplinaire du 19.11.2018 et nous décidons avec la patiente de faire un traitement chirurgical. La patiente bénéficie d'une thrombendartériectomie de l'artère carotide interne droite avec plastie de la bifurcation le 10.12.2018. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable. Mme. Monney rentre à domicile le 14.12.2018. Elle se présentera le 21.12.2018 à 11h30 chez nos collègues de la neurologie pour un contrôle doppler des vaisseaux précérébraux. Un contrôle neuro-sonographique est aussi organisé pour le 22.03.2018 à 14h30 suivi par une consultation en chirurgie vasculaire le 09.04.2019 à 11h30.À noter que pendant l'hospitalisation, nous introduisons un traitement par Beloc Zok 25 mg 1x/jour vu une tendance à une tachycardie et pour prévention vasculaire. Nous laissons le soin au médecin traitant d'évaluer l'indication pour la poursuite ou arrêt du médicament. Mme. Y, Mr. Y, Je vous prie de bien vouloir effectuer un bilan angiologique des 2 MI concernant Mr. Y. En effet, il s'agit d'un patient candidat à une arthroplastie totale de ses 2 genoux. L'anamnèse ne révèle pas réellement de claudication artérielle. Néanmoins, l'examen clinique ne mettant pas en évidence d'artère périphérique et au vu de l'âge de ce patient, j'aurais aimé le bilan susnommé avant toute prise en charge chirurgicale. En vous remerciant de votre collaboration et en restant à disposition, je vous prie d'agréer, Mme. Y, Mr. Y, mes meilleures salutations. Mme. Y, patiente de 69 ans connue pour un carcinome ovarien avec carcinose péritonéale et progression tumorale fin novembre, est hospitalisée pour une exacerbation des douleurs abdominales. Le caractère mixte des douleurs nous laisse approcher la problématique de plusieurs manières. Au début de l'hospitalisation, son traitement habituel est majoré avec instruction sur le comportement et la prise correcte de l'antalgie en réserve. Après discussion avec le Dr. X, nous mettons également en place un traitement par Lyrica, Rectogesic, Dexamethasone pour une courte durée, Spasmo-urogenin et la Nifedipine. En vue d'une antalgie insatisfaisante, une pompe à Fentanyl est introduite le 11.12.2018 avec augmentation continue des dosages. Les collègues de l'anesthésie proposent une infiltration des ganglions sacrés qui a lieu le 13.12.2018. En vue de la constipation et d'un probable conflit mécanique, un avis chirurgical est demandé le 12.12.2018, avec conclusion qu'il n'y a pas d'indication à une opération en ce moment. Par manque d'amélioration, un traitement par Méthadone est introduit dès le 14.12.2018. Un avis gastro-entérologique (Dr. X) a été demandé avec proposition d'amélioration du traitement laxatif afin d'améliorer la défécation et la stimulation intestinale. Pour la suite du traitement oncologique, un traitement de soutien par Gemzar aurait dû être débuté le 14.12.2018. L'indication pour ce traitement doit être revue avec l'oncologue traitant qui est le Prof. X. La patiente est transférée le 17.12.2018 à la Villa St-François en vue d'un retour à domicile pour la période des fêtes. Mme. Y est une patiente de 90 ans, connue notamment pour une insuffisance cardiaque multifactorielle. Elle avait initialement consulté pour des lombalgies aigües ingérables à domicile avec mise en évidence de fracture à tassement de plusieurs vertèbres. Un traitement conservateur a permis une évolution favorable par la suite, la patiente a donc pu être reclassée en attente de réadaptation gériatrique à Riaz. Pendant le séjour, le traitement antihypertenseur habituel avait été provisoirement arrêté en raison d'une péjoration de la fonction rénale. Par la suite, la patiente a présenté des signes de décompensation cardiaque avec prise de poids et orthopnée. Nous avons donc majoré le traitement diurétique ce qui s'est compliqué par une nouvelle péjoration de la fonction rénale, cette fois d'origine pré-rénale. Nous avons traité cette complication par une hydratation intraveineuse à faible dose. La patiente présente donc un syndrome cardio-rénal que nous parvenons à stabiliser en fin de séjour en majorant le traitement diurétique. La fonction rénale est également en amélioration. Nous avons pu réintroduire son traitement habituel sauf l'Aprovel qui est toujours en pause et pourra être repris en fonction de la fonction rénale. Nous avons remplacé le traitement antihypertenseur d'Aprovel par de l'Adalat. Nous vous laissons le soin de suivre le poids, l'apparition de signes de surcharge ainsi que la fonction rénale et d'adapter le traitement en fonction. Concernant le tassement vertébral, un rendez-vous en orthopédie est prévu le 20.12.2018 à 15.45 heure à l'HFR. La patiente rapportant une diminution des douleurs en fin de séjour, nous avons donc pu diminuer l'antalgie. Mme. Y est transférée à Riaz le 13.12.2018 pour une réadaptation gériatrique dans un but de suivi de son insuffisance cardiaque et rénale ainsi qu'un reconditionnement et une rééducation à la marche avant un éventuel retour à domicile souhaité par la patiente. Mme. Y est une patiente de 55 ans, qui est admise dans notre service de chirurgie pour la prise en charge élective d'une obésité sévère. Elle bénéficie le 10.12.2018 d'un bypass gastrique par laparoscopie. L'opération se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est marquée par un subiléus avec des douleurs abdominales importantes. Un CT-scan ne visualise pas de fuite au niveau de l'anastomose mais, en raison d'une évolution clinique défavorable, l'indication pour une révision chirurgicale est posée et la patiente bénéficie d'une intervention laparoscopique second look le 13.12.2018. L'intervention permet la mise en évidence d'une bride cicatricielle au niveau de l'anastomose jéjuno-jéjunale. La bride est sectionnée et le reste de l'intervention se déroule sans complication. L'évolution postopératoire est favorable. La patiente rentre à son domicile le 18.12.2018. Mme. Y, âgée de 76 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une arthroplastie totale de la hanche gauche pour une coxarthrose invalidante. Sur le plan social, la patiente vit avec sa fille à domicile. Elle est à la retraite. À l'admission, la patiente n'a pas de plainte. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place, la patiente signale une douleur à la face postérieure de la cuisse G. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion de la hanche G est de 50° en actif et 70° en passif. La force du MIG est notée à M3 en proximal, celle du MID à M5 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. À la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche G de 50° en actif et 70° en passif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 24.12.2018, en bon état général. Mme. Y est une patiente de 24 ans qui est hospitalisée le 24.11.2018 suite à une chute à cheval. Un Total Body CT à l'entrée met en évidence une lacération splénique grade II associée à une fracture par compression latérale du bassin des branches ilio-pubiennes et ischio-pubiennes gauches non déplacées. La patiente bénéficie d'une surveillance hémodynamique sans particularité aux soins intensifs avant de rejoindre l'étage le 26.11.2018.A noter que le CT total body met également en évidence une splénomégalie et des lésions en verre dépoli multifocales au niveau pulmonaire. Ces lésions d'allure bénigne et aspécifique seront montrées au Dr. X le 03.12.2018, en cas de suivi nécessaire, le service de pneumologie contactera directement la patiente. La patiente rentre à domicile le 29.11.2018. Pour le suivi de la fracture du bassin, la patiente conservera la décharge partielle du membre inférieur gauche (<10 kg) et sera suivie en consultation du team hanche le 15.01.2018 à 8h30. Nous avons également organisé un ultrason de contrôle en date du 21.12.2018 de la lésion splénique, les résultats seront transmis directement au médecin traitant. Mme. Y est une patiente de 76 ans qui présente, depuis plusieurs années, une coxarthrose bilatérale, devenant invalidante à gauche ces derniers temps. La patiente est adressée à la consultation du Dr. X qui, devant la symptomatologie clinique et radiologique, retient l'indication à une arthroplastie totale de la hanche gauche. L'intervention se déroule sans complication le 05.12.2018. Les suites opératoires sont simples, le contrôle biologique post-opératoire montre une hémoglobine à 103 g/l. La cicatrice reste calme et sèche, contrôlée à travers un pansement Comfeel étanche. Le contrôle radiologique post-opératoire est en ordre et Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche, en charge selon douleurs, sous protection de cannes anglaises pour 6 semaines. Une prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg/jour est instaurée pour une durée de 6 semaines post-opératoires. Le 12.12.2018, la patiente est transférée à l'HFR Billens pour suite de la réhabilitation musculo-squelettique. Mme. Y est une patiente de 27 ans connue pour un statut post-sleeve gastrectomie à l'hôpital Tilleuls à Bienne le 17.12.2018 qui se présente aux urgences le 21.12.2018 pour des douleurs abdominales accompagnées de nausées. Un CT scan abdominal met en évidence une colite du côlon ascendant, nous débutons donc une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole. Devant une évolution clinique favorable, la patiente peut retourner à domicile le 23.12.2018 avec un relais des antibiotiques par voie orale jusqu'au 31.12.2018. Mme. Y nous est adressée pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un remplacement de la valve mitrale par une prothèse mécanique St Jude 31 mm (Dr. X - Hirslanden Klinik Beau-Site) Le traitement à l'entrée comprend : Marcoumar 3 mg selon schéma, Fragmine 12500 E sc, Aspirine Cardio 100 mg, Coversum 5 mg, Bisoprolol 2.5 mg, Digoxine 0.125 mg, Spironolactone 25 mg, Torem 10 mg, Nexium 40 mg. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée au sein duquel nous avons pu constater une évolution favorable. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 3.5 km/h pendant 25 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 115 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des FRCV, au bilan lipidique on retrouve un LDL à 3.49 mmol/l, un HDL à 1.24 mmol/l et des triglycérides à 1.17 mmol/l. A l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 121/72 mmHg et une FC à 75 bpm. Mme. Y est une patiente de 24 ans, hospitalisée dans notre service du 05.12 au 10.12.2018 dans le cadre d'une cholélithiase symptomatique avec passage de calcul, qui se représente aux urgences le 13.12 pour une récidive des douleurs en hypochondre droit. Devant la suspicion clinique et biologique d'un nouveau épisode de cholélithiase avec passage de calcul, la patiente bénéficie d'une cholécystectomie laparoscopique le 14.12.2018. Une cholangio-IRM préalable permet d'exclure une cholédocholithiase. L'intervention se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont marquées par une perturbation des paramètres hépatiques importante, raison pour laquelle nous effectuons un ultrason le 17.12.2018 ainsi qu'une cholangio-IRM le 19.12.2018, qui ne montrent pas de concrément résiduel, ni de dilatation des voies biliaires. En vue d'une amélioration spontanée des paramètres hépatiques ainsi qu'une évolution clinique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile le 20.12.2018 en bon état général. Mme. Y est une patiente de 24 ans, qui consulte pour des douleurs en hypochondre droit depuis 48 heures le 05.12.2018. Le laboratoire d'entrée montre une stase et une cytolyse hépatique et un CT-scanner montre une suspicion de cholécystite. La patiente est hospitalisée sous Rocéphine et Flagyl intraveineux. Une stase hépatique persiste et motive la réalisation d'une cholangio-IRM le 07.12.2018 qui retrouve un cholédoque ectasique parlant pour un passage de calculs sans visualiser de lithiase cholédocienne. Après une bonne évolution biologique et clinique, la patiente rentre à domicile avec une antibiothérapie per os à poursuivre jusqu'au 12.12.2018. La patiente sera vue en ambulatoire à la consultation des chefs de clinique le 17.01.2018 à 8h30. Mme. Y est admise pour prise en charge de fractures mandibulaires bifocales et hémi-Lefort I gauches. Le bilan pré-opératoire ophtalmologique et cardiologique est dans la norme. Elle bénéficie d'une ostéosynthèse par plaques et vis au niveau de la mandibule et du maxillaire gauche avec ablation des dents 23 et 24 en per-opératoires en raison d'une forte instabilité. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Une alimentation mixée et lisse est introduite pour une durée d'un mois. Une antibiothérapie par Clindamycine 600 mg est instaurée pour une durée de 7 jours. Sur le plan ostéoarticulaire, elle décrit des douleurs au niveau de la face dorsale du pied droit, avec charge possible, mais douloureuse. La radiographie du pied ne montre pas de fracture. Nous instaurons une antalgie et l'immobilisons dans une semelle Darko à visée antalgique. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile le 27.12.2018. Mme. Y, âgée de 71 ans, connue pour une BPCO stade II D selon Gold, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation respiratoire suite à une exacerbation de BPCO avec insuffisance respiratoire hypoxémique le 11.11.2018 dans un contexte de suspicion d'infection virale des voies respiratoires supérieures. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente rapporte une dyspnée stade II selon NYHA, sans toux ni expectoration. La patiente est une ancienne tabagique (1 paquet/jour pendant 50 ans); elle a arrêté de fumer depuis l'hospitalisation au HFR Fribourg. Elle signale que sa consommation d'alcool correspond à 2 verres de vin et un apéritif le week-end. A l'auscultation pulmonaire, une diminution du murmure respiratoire est constatée. Léger OMI à gauche. La gazométrie d'entrée à l'air ambiant montre une hypoxémie légère, sans hypercapnie. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif d'entité légère et confirme le diagnostic de BPCO stade I selon Gold.La radiographie du thorax à l'entrée met en évidence une hyperinflation pulmonaire, un aplatissement des coupoles diaphragmatiques et une raréfaction de la trame en périphérie des 2 poumons. Pas de bronchogramme aérique en faveur d'un foyer clairement constitué. Sclérose aortique. Sur le plan somnologique, la patiente note l'absence de somnolence diurne, mais la présence de réveils nocturnes et une nycturie. La polygraphie du 29.11.2018 montre un IDO de 62.5/h et un IAH de 80/heure; l'examen est compatible avec le diagnostic de syndrome des apnées du sommeil d'entité très sévère. Nous mettons en place une CPAP (5/15) dès le 03.12.2018 qui est bien tolérée et la patiente la porte durant toute la nuit. L'index d'apnées/hypopnées résiduel est < 5/heure. L'oxymétrie nocturne du 06.12.2018, enregistrée pour 6h, montre un SpO2 moyenne à 83.3% et un index des événements de désaturation à 21.3/heure. Les données sont partiellement artéfactées. Nous vous laissons le soin d'organiser un suivi pneumologique pour la CPAP. Les valeurs de la spirométrie de sortie sont à la limite des critères définitionnels selon Gold pour une obstruction bronchique. Le traitement bronchodilatateur est actuellement poursuivi. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 330 m à 405 m. Sur tapis roulant, la patiente augmente la distance parcourue de 0.39 km à 0.68 km. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 08.12.2018, en bon état général. Mme. Y, patiente de 84 ans, connue pour fibrillation auriculaire sous Xarelto et diabète de type 2 non-insulino-requérant, est amenée en ambulance le 04.12.2018 suite à un début d'incendie dans son appartement avec exposition à la fumée. La patiente aurait, selon les ambulanciers et la police, laissé toutes les plaques allumées, mais elle dit ne pas s'en rappeler. La patiente, confuse et désorientée dans le temps à son arrivée aux urgences, ne présente aucune plainte. A l'hétéro-anamnèse avec sa sœur et son frère, ils signalent des oublis fréquents lors de certaines discussions, ainsi que des chutes à répétition (dernière il y a 4-6 semaines) et des épisodes fluctuants de désorientation temporelle à domicile. La patiente vit seule à domicile dans un appartement, avec 2-3 étages à monter sans ascenseur. Elle bénéficie de soins à domicile par Home Instead 2x/semaine (semainier, compagnie), d'une montre télé-alarme depuis environ 2 ans et de l'aide au ménage 1x/2 semaines. Le status d'entrée montre une patiente en bon état général, désorientée dans le temps. Le bilan biologique initial aux urgences ne montre pas de trouble électrolytique. Au vu de la situation à domicile précaire et du contexte de l'incendie, la patiente est hospitalisée. Elle bénéficie d'un bilan neuropsychologique montrant des troubles neurocognitifs majeurs d'origine probablement dégénérative. Un CT cérébral ne retrouve pas de saignement intracrânien, ni de signe d'une hydrocéphalie à pression normale, mais une atrophie cortico-sous-corticale en lien avec l'âge de la patiente et leucoaraïose. Un avis psychiatrique est demandé afin d'évaluer la capacité de discernement ainsi que le risque d'auto-/hétéro-agressivité. Selon nos collègues psychiatres, la patiente n'a pas sa capacité de discernement concernant la dangerosité de la situation et des conséquences d'un tel incident. Un retour à domicile en l'état s'avère impossible au vu du risque de mise en danger d'elle-même et d'autrui. Après discussion avec Mme. Y et sa famille, la patiente souhaitant quitter l'hôpital et menaçant de fuguer, un PAFA est prononcé et la patiente est transférée à Marsens le 06.12.2018 pour suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 18 ans, qui se présente aux urgences après une chute lors d'un exercice aux anneaux en cours de gymnastique le 27.11.18 à 15h30 avec réception sur la tête sans perte de connaissance mais avec une amnésie circonstancielle d'environ 30 minutes. Elle présente à l'entrée également des nausées sans vomissements. Le bilan radiologique met en évidence une fracture occipitale gauche non déplacée et des hémorragies sous-arachnoïdiennes temporale droite ponctiforme et fronto-pariétale droite. La patiente est hospitalisée pour une neuro-surveillance. Le CT de contrôle du 28.11.2018 montre une disparition des saignements et la surveillance neurologique est sans particularité. L'évolution étant favorable, Mme. Y rentre à domicile le 30.11.2018. Mme. Y est une patiente de 78 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire avec lymphangite carcinomateuse, est adressée pour hospitalisation élective par son oncologue Dr. X en raison de la baisse de l'état général avec faiblesse des membres inférieurs. La patiente présente à son arrivée une déshydratation et dénutrition protéino-énergétique sévère avec difficulté à se mobiliser sans aide. Une hydratation intraveineuse ainsi qu'une substitution en vitamines et électrolytes est effectuée. L'origine retenue de la baisse de l'état général de Mme. Y est multi-factorielle, au vu de la maladie oncologique avancée, de la dénutrition sévère, du traitement d'immunothérapie débuté récemment. Au cours du séjour, la patiente présente des pics fébriles asymptomatiques sans foyers infectieux cliniques ou biologiques retrouvés. Une fracture ischio-pubienne gauche est retrouvée au niveau radiologique après une chute sur le siège. Nos collègues d'orthopédie préconisent une prise en charge conservatrice avec charge selon douleur. L'évolution clinique est favorable avec une amélioration de l'état général au cours du séjour, néanmoins insuffisante pour envisager un retour à domicile dans l'immédiat (habite seule au 2ème étage sans ascenseur). La patiente est alors reclassée en attente de réhabilitation palliative à Saint-François, son objectif étant un retour à domicile par la suite. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 49 ans connue pour un adénocarcinome du caecum avec une suspicion de métastase pulmonaire au lobe supérieur gauche. Elle est hospitalisée en vue d'une thoracoscopie avec résection extra-anatomique du lobe supérieur gauche et lymphadénectomie. L'intervention susmentionnée a été réalisée le 13.12.2018 et s'est déroulée sans complication. Les suites postopératoires sont simples avec des douleurs soulagées par l'antalgiques. Le drain thoracique a pu être retiré le 14.12.2018 avec un contrôle radiologique ne montrant pas de pneumothorax. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 14.12.2018. Un rendez-vous de suivi est prévu en oncologie dans 5 jours. Mme. Y est une patiente de 53 ans, notamment connue pour une colite sur AINS avec sténose de l'angle colique droit et une diverticulite sigmoïdienne IIb avec perforation couverte abcédée en octobre 2018, traitée à plusieurs reprises par divers antibiotiques jusqu'au début décembre. La patiente se présente aux urgences le 22.12.2018 en raison de douleurs abdominales crampiformes en fosse iliaque droite évoluant depuis 24 heures, évaluées à 8/10, sans nausée ni frisson ou état fébrile. Le laboratoire initial démontre un léger syndrome inflammatoire et au CT-scanner une colite ascendante peu sténosante à hauteur de l'angle colique droit est démontrée (endroit de l'ancienne colite mais moins étroit).La patiente est donc hospitalisée et mise sous antibiothérapie. Elle présente par la suite une nette amélioration d'un point de vue clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 24.12.2018. Mme. Y est une patiente de 27 ans, qui a subi une intervention le 05.12.2018 en Tunisie pour une pose de prothèses mammaires et liposuccion, et qui consulte le 11.12.2018 en raison d'un état fébrile jusqu'à 39.3° mesuré à domicile, ainsi que des douleurs abdominales importantes. Le laboratoire initial met en évidence la présence d'un syndrome inflammatoire avec une leucocytose sans CRP et au CT, on retrouve une infiltration diffuse des tissus mous avec un emphysème sous-cutané, sans collection. Un ultrason des seins ainsi que de l'abdomen est ensuite réalisé, démontrant une petite quantité de liquide au niveau des tissus sous-cutanés qui est prélevée, et dont les cultures reviennent par ailleurs négatives. La patiente est hospitalisée et mise sous traitement de Co-Amoxicilline. Par la suite, elle présente une bonne évolution clinique. En raison d'une stagnation du syndrome inflammatoire, une IRM thoracique est effectuée le 20.12.2018 qui permet d'exclure un abcès sous la prothèse mammaire. L'évolution clinique et biologique sont par la suite favorables et la patiente peut retourner à domicile le 22.12.2018. Mme. Y a pu profiter de l'infiltration du segment L3-L4 bilatéral. Elle continuera la physiothérapie pour tonifier la musculature du tronc. En ce qui concerne le genou, mise en évidence d'une chondropathie stade IV de l'articulation fémoro-patellaire. J'explique à la patiente que pour le moment, vu qu'elle est peu symptomatique, il n'y a pas d'indication pour une infiltration mais que ceci reste également une option thérapeutique. L'indication pour une implantation de prothèse totale n'est pas donnée. La patiente me recontactera en cas de recrudescence des douleurs. À ce moment-là, on pourrait effectuer une infiltration de son genou gauche par cortisone. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. La patiente me recontactera en cas de besoin. Mme. Y est une patiente de 78 ans qui est adressée à la consultation du Dr. X pour une déformation caricaturale au niveau du deuxième orteil gauche générant une symptomatologie algique, notamment lors du chaussage. Le bilan radio-clinique met en évidence un deuxième orteil en marteau erectus et adductus, avec une luxation invétérée de la métatarso-phalangienne du pied gauche pour laquelle l'indication opératoire est retenue. L'intervention se déroule le 30.11.2018 sans complication. La réfection régulière du pansement met en évidence des cicatrices calmes et sèches, les douleurs sont bien contrôlées par une antalgie simple. Mme. Y bénéficie d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg sc/jour pour une durée totale de 15 jours. La patiente bénéficie d'une physiothérapie de rééducation à la marche se faisant en charge selon les douleurs, protégée par une chaussure Barouk et des cannes anglaises pendant 4 semaines. La patiente étant autonome pour ses déplacements peut retourner à domicile le 02.12.2018. Mme. Y est une patiente de 71 ans qui est amenée aux urgences le 26.11.2018 pour une dysarthrie avec une crise d'épilepsie focale du membre supérieur droit. Un CT scanner est alors réalisé et retrouve une masse frontale droite cortico-sous-corticale. Un CT thoraco-abdominal et une IRM cérébrale permettent de faire le bilan de cette masse et retiennent comme diagnostic en premier plan une lésion gliale de haut grade sans lésion secondaire. Après une surveillance neurologique aux soins intensifs rassurante et l'introduction d'un traitement anti-épileptique, la patiente bénéficie le 03.12.2018 d'une craniotomie avec excérèse macroscopique complète de cette lésion. Une IRM de contrôle post-opératoire ne retrouve pas d'argument pour un résidu tumoral. Les suites opératoires sont, par la suite, simples. La patiente peut rentrer à domicile le 14.12.2018. Elle sera convoquée en ambulatoire par le service d'oncologie pour la suite de prise en charge. Mme. Y, patiente de 71 ans, est amenée par ambulance aux urgences pour une dysarthrie sur une crise d'épilepsie focale le 26.11.2018. Un traitement de Keppra est instauré avec une évolution favorable sans récidive de crise d'épilepsie durant le séjour. Le CT cérébral montre une masse cérébrale frontale droite avec signes d'hyper-perfusion en périphérie et nécrose centrale évoquant en premier diagnostic un glioblastome versus métastase. Le CT thoraco-abdomino-pelvien ne montre pas de lésion suspecte. L'IRM du 27.11.2018 parle en faveur d'une lésion gliale de haut grade en premier lieu. Une résection sous neuromonitoring est proposée par les neurochirurgiens pour le 03.12.2018. Mme. Y est donc transférée le 03.12.2018 dans le service de chirurgie de l'HFR pour l'opération prévue. Les oncologues suivent le dossier et sont à disposition dès confirmation du caractère tumoral de la lésion pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est une patiente de 79 ans, tabagique active à 60 UPA, connue pour de multiples antécédents sus-mentionnés. La patiente a eu un essai de pose de stent fémoral le 26.09.2018 qui a échoué, raison pour laquelle un pontage fémoral croisé à l'aide d'une prothèse armée de droite à gauche, une endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche et une endartériectomie ilio-fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à droite est effectué le 15.10.2018. L'intervention se déroule sans complication. L'angio-CT de contrôle le 17.10.2018 montre toujours la persistance d'une occlusion de l'artère fémorale superficielle droite, une péjoration de l'occlusion de l'artère iliaque externe gauche actuellement avec une extension jusqu'au départ de l'artère fémorale commune et une péjoration de l'occlusion de l'artère fémorale superficielle gauche qui touche actuellement la quasi-totalité du vaisseau. La pléthysmographie le 18.10.2018 montre une pression artérielle systolique des gros orteils: 72 mm Hg à droite et 43 mm Hg à gauche. Sur le plan infectiologique, la patiente présente un écoulement lymphatique au niveau de la plaie inguinale droite nécessitant une reprise au bloc avec la pose de VAC et changements itératifs, permettant une greffe de Thiersch le 19.11.2018. La mise en évidence de staphylocoque doré dans les examens microbiologiques motive un traitement par Floxapen du 01.11 au 22.11.2018 sur avis de nos collègues infectiologues avec un relais per os par Lévofloxacine et Rifampicine dès le 22.11.2018 pour une durée de 2 mois. À noter qu'un contrôle des tests hépatiques hebdomadaires devra être effectué en raison de la Rifampicine. Concernant le reste de la problématique chirurgicale, un lymphocèle inguinal gauche de 2-3 cm est mis en évidence en cours d'hospitalisation. Au vu de la stabilité, nous préconisons une simple surveillance. Sur le plan neurologique, Mme. Y présente en cours de l'hospitalisation un épisode spontanément résolutif de parésie du membre supérieur gauche et d'aphasie motrice. Un CT cérébral est effectué le 25.11.2018 en urgence qui ne montre pas de lésion ischémiante du parenchyme cérébral. Le bilan d'investigation est complété avec un ultrason cardiaque avec l'absence de thrombus. Un Holter est également réalisé dont l'interprétation est à pister. Une IRM cérébrale est également réalisée le 30.11.2018 qui ne montre pas de lésion ischémiante nouvelle.Sur le plan rénal, la patiente présente une insuffisance rénale aiguë de AKIN II probablement rénale mixte (sur produit de contraste et sur déshydratation). Nous demandons conseil à nos collègues néphrologues qui préconisent de continuer une hydratation intraveineuse. L'évolution est par la suite favorable. Sur le plan cardiaque, le CT cérébral, complété par un CT thoracique suite à la visualisation d'un ulcère pariétal au niveau de l'aorte thoracique, montre de façon fortuite un pseudo-anévrisme du ventricule gauche qui n'est pas visualisé à l'ETT. Nous demandons avis aux cardiologues qui proposent une coronarographie dans le contexte des facteurs de risques cardiovasculaires dans le but de rechercher une origine ischémique. Sur le plan vasculaire, comme décrit ci-dessus, un ulcère de la paroi de l'aorte thoracique est visualisé. Après discussion avec la médecin interne, nous préconisons un traitement conservateur et des valeurs tensionnelles systoliques à 120 mmHg. L'évolution par la suite est favorable permettant un retour à domicile le 04.12.2018. Mme. Y, âgée de 80 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une hémi-arthroplastie de la hanche G suite à une fracture du col fémoral G Garden IV le 09.11.2018 sur chute à son domicile. La patiente a aussi présenté un traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle (GCS 15/15) avec plaie pariéto-temporale G suturée. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile dans un appartement. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Elle se plaint de douleurs de la hanche G (4/10 EVA douleurs), tolérables avec l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. Au status abdominal, présence d'une cicatrice bi-sous-costale (pancréatectomie en 2013). Bruits présents. Abdomen tendu, pas de douleur à la palpation. Tympanisme épigastrique, ombilical et hypogastrique. La cicatrice de la hanche G est calme. Présence d'un hématome qui s'étend de la fesse gauche jusqu'au mollet gauche. Le pied gauche est oedématié jusqu'à la cheville. La force du MIG est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, un bilan phosphocalcique est effectué dans le contexte d'une ostéoporose fracturaire. En plus de la vitamine D3 prescrite à l'HFR Riaz, nous introduisons du Calcimagon. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'introduction d'un traitement par biphosphonates en ambulatoire. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche en charge selon douleurs avec rollator. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 28.11.2018, en bon état général. Mme. Y, connue pour un trouble de la personnalité type Borderline avec un suivi régulier, est amenée aux urgences en ambulance le 13.12.2018 en raison d'une alcoolisation aiguë dans le contexte d'une décompensation psychiatrique. En effet, la patiente décrit une dispute avec son ex-mari (pas de contact physique) ce matin suite à laquelle son angoisse de solitude s'est intensifiée et elle a consommé de la bière et du vin de quantité exacte inconnue, en ville (sans voiture). En rentrant chez elle, elle chute dans le hall d'entrée de son immeuble, sans traumatisme crânien ni perte de connaissance. Présence d'un témoin qui appelle l'ambulance au vu d'une difficulté à la remettre sur pied. A l'admission aux urgences, la patiente n'a pas de plainte somatique. Sur le plan de son suivi psychiatrique, elle a consulté ce jour Mr. Y, psychologue traitant et un rendez-vous est agendé à la consultation de sa psychiatre traitante le 20.12.2018. Sur le plan des consommations, elle décrit quelques épisodes d'alcoolisations aiguës, mais pas de prise journalière. Pas de prise de stupéfiants ni de surconsommation médicamenteuse. Au status, patiente en bon état général, calme et non algique. Au niveau psychiatrique, elle est orientée dans le temps et l'espace, vigilante et collaborante. Pas de trouble interférant avec le status. L'humeur est basse, pleurs fréquents ces derniers jours mais pas lors de la consultation, pas de trouble du sommeil, pas de trouble de l'appétit hormis le contexte de bypass, présence de plaisirs dans le quotidien, pas de trouble du dynamisme ni de la psychomotricité. Angoisse de solitude sans obsession décrite. Pas de troubles formels de la pensée. La patiente décrit entendre quotidiennement la voix de sa mère (négatif) sans péjoration actuellement, pas de trouble du moi. Pas de pensée suicidaire actuellement et est prête à chercher de l'aide en cas d'apparition. A l'auscultation cardiaque, B1B2 sont lointains, réguliers. L'auscultation pulmonaire est sans particularité. Cette patiente présente une baisse de son humeur avec une alcoolisation aiguë en conséquence. Nous ne relevons aucun critère de gravité tant psychiatrique que somatique. Nous la gardons en observation pour la nuit. Mme. Y peut regagner son domicile le 14.12.2018. Mme. Y consulte les urgences le 25.11.2018 pour des lombalgies non déficitaires. Elle est aide-soignante dans un home et rapporte l'apparition d'une douleur lombaire brutale lors de la mobilisation d'un patient. Cette douleur irradie dans tout le membre inférieur droit, est d'intensité 7/10, de type tirage et s'accompagne d'une difficulté à rester assise ainsi que d'une légère boiterie d'évitement. Elle est constante et exacerbée par tous les mouvements de la colonne. Mme. Y rapporte également des paresthésies en regard du territoire droit L4-L5-S1. Pas de notion d'état fébrile ni de frissons. Pas de chute ni de traumatisme. Pas de trouble sphinctérien ni d'anesthésie en selle. A l'admission aux urgences, Mme. Y est hémodynamiquement stable et afébrile. Au status ostéo-articulaire, on note une douleur à la palpation de la colonne de D1-S4 maximale au niveau de L4-L5, l'extension de la colonne est très douloureuse mais la flexion possible et indolore. La rotation du rachis est douloureuse mais possible. Le Lasègue est négatif des deux côtés. Nous remarquons une hypoesthésie en regard de la face latérale de la jambe droite et dorso-latérale du pied droit. La force est conservée à M5 aux 4 membres. Les réflexes ostéotendineux sont normovifs et symétriques. Le réflexe achilléen plantaire est négatif. Elle ne présente pas d'anesthésie en selle et refuse le toucher rectal. Nous demandons un CT de la colonne lombaire, qui montre des discopathies L4-5 sans hernie discale. L'examen met également en évidence un antélysthésis sur lyse isthmique de L5 sur S1. Nous prenons l'avis du Dr. X (Spine Team), qui ne préconise aucune sanction chirurgicale en l'absence de déficit moteur. Au vu des douleurs non soulagées par l'antalgie administrée aux urgences, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour suite de prise en charge. A l'étage, nous adaptons l'antalgie avec Oxycontin, Sirdalud, Dexaméthasone et Oxynorm en réserve mais malgré tout la patiente ne note aucune amélioration. Le 28.11.2018, elle rapporte un déficit moteur, avec une force à M3 au niveau du releveur du pied et de l'orteil et incapacité à tenir debout. Dans ce contexte, nous reprenons contact avec le Dr. X, qui préconise la réalisation d'une IRM afin d'écarter une hernie discale non détectée au CT. De plus, il conseille la réalisation d'un bilan statique radiologique afin d'évaluer l'antélysthésis en position debout et en flexion-extension du rachis. Ces examens mettent en évidence un foramen L5 droit légèrement plus étroit que le foramen L4 et une horizontalisation du sacrum qui pourrait expliquer en partie la clinique. Le Dr. X propose une infiltration de la région foraminale L5 à droite que nous organisons pour le 30.11.2018. Dans l'intervalle, la patiente bénéficie de fango- et physiothérapie ne la soulageant que partiellement. Toutefois, le 30.11.2018, la patiente présente une bonne amélioration des douleurs et un déficit moteur à M4 au niveau du releveur du pied et demande un retour à domicile. Nous annulons donc l'infiltration prévue.Au vu du contexte social et familial complexe de la patiente, nous lui conseillons de reprendre un suivi psychologique, ce qu'elle accepte d'emblée. Mme. Y peut regagner son domicile le 30.11.2018 avec un rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr. X le 06.12.2018 à 09h00. Nous lui fournissons une ordonnance pour une physiothérapie et un arrêt de travail jusqu'au 06.12.2018. Mme. Y est une patiente de 84 ans, en attente de placement depuis le 18.09.2018 après un séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz, et connue pour une maladie d'Alzheimer, une coxarthrose bilatérale et une hypovitaminose D, qui aurait dû être placée le 23.11.2018 dans un établissement médico-social. Cependant, la veille de son admission prévue, la patiente avait présenté un état fébrile à 38.4°C ayant nécessité un bilan biologique ainsi que des hémocultures, revenues négatives après 5 jours. Reclassée en gériatrie aiguë dans ce contexte, le laboratoire du 23.11.2018 objective une hypernatrémie à 153 mmol/l le 23.11.2018 avec altération de l'état cognitif et de la fièvre, justifiant une réhydratation avec du G5 à raison de 2000 ml/24h. Nous objectivons également une hypokaliémie à 3 mmol/l nécessitant une substitution, ainsi qu'un ECG concomitant avec ce désordre électrolytique. En outre, la patiente ayant arraché sa voie veineuse, un réseau de famille a lieu, qui exprime son souhait de ne plus administrer de perfusion ni de réaliser de prise de sang. Nous vérifions cette décision avec les 3 enfants de la patiente, et après leur accord, des soins de confort sont mis en place avec d'une part l'arrêt des médicaments par voie orale, pouvant calmer la patiente (notamment augmentation de la Quiétapine si la patiente la prend), et d'autre part l'arrêt des prises de sang. Par contre, nous laissons l'oxygénothérapie en cas de besoin, de la Morphine sous-cutanée, du Dafalgan en cas de fièvre mais pas d'antibiothérapie. En outre, la famille souhaite pouvoir être appelée à tout moment en cas de péjoration de l'état de Mme. Y ou de son décès, si celui-ci devait se produire de manière imprévisible (la fille en priorité). Une sortie pour le home est finalement décidée en accord avec la famille pour le 29.11.2018. La veille cependant, la famille se ravise, estimant que Mme. Y se trouvera plus confortable avec des soins de confort dans notre service de gériatrie aiguë. À partir du 29.11.2018, Mme. Y reçoit de la morphine en fixe (1 mg chaque 4 heures) ainsi que des patchs de scopolamine, et décède le 30.11.2018 à 23h12. Mme. Y souffre d'une coxarthrose gauche symptomatique. Vu l'avancement de la coxarthrose, on pourrait poser l'indication opératoire directement. La patiente ayant seulement 51 ans et se mobilisant encore assez bien, faisant des marches de 1 à 2 h sans trop de problèmes, l'indication opératoire devient relative. Je propose à la patiente de réfléchir et discuter avec sa famille. Ce sont sa qualité de vie et sa souffrance qui sont significatifs pour poser une indication opératoire. Je propose un contrôle radio-clinique d'ici 6 mois à ma consultation. La patiente me recontactera plus tôt en cas de péjoration des symptômes. Prochain rendez-vous : 12.06.2019. Mme. Y, 68 ans, connue pour un carcinome pulmonaire métastatique (cérébrale, surrénale) nous est adressée de l'oncologique ambulatoire pour une baisse de l'état général sur progression oncologique. Pour rappel, la patiente est sous Taxotere (3ème ligne) jusqu'en novembre 2018, avec un statut post-radiothérapie de l'encéphale en février 2017 et post-radiothérapie stéréotaxique localisée sur deux métastases frontales droites en juin 2018. Il est décidé mi-novembre, en raison de la stabilité de la maladie, d'une pause thérapeutique durant 3 mois avec nouvelle réévaluation prévue en février 2019. Le scanner de suivi du 15.11.2018 montre de multiples embolies pulmonaires segmentaires bilatérales motivant un traitement par Xarelto. Depuis, la patiente se plaint d'hémoptysie légère. Elle consulte en urgence le 11.12 en oncologie ambulatoire pour l'apparition de douleurs thoraco-dorsales droites, une dyspnée progressive et une péjoration de l'hémoptysie. La patiente mentionne également une dysesthésie du membre supérieur associée à des céphalées, des vertiges et des troubles de la marche, une dysmétrie droite. Le scanner réalisé montre une progression des métastases cérébrales avec augmentation en nombre et en taille avec remaniements hémorragiques de la métastase cérébelleuse droite. Le 12.12, elle se présente en urgence à la consultation ambulatoire d'oncologie en raison de la persistance des symptômes. À son entrée, hormis la clinique décrite ci-dessus, nous remarquons également des troubles cognitifs avec atteinte mnésique légère à modérée. Une prise en charge palliative complexe est débutée le 13.12.2018. Nous stoppons l'anticoagulation, majorons les corticoïdes et introduisons un traitement antalgique par morphine et prégabaline. Les radio-oncologues proposent de compléter le bilan radiologique par une IRM cranio-cervicale au cas où une prise en charge par radiothérapie serait envisagée. Le 13.12.2018, le traitement par morphine est stoppé en raison d'une intolérance marquée avec vomissements importants à 3 reprises. Devant ces symptômes, la patiente préfère, face à cette situation de maladie progressive, rejoindre son domicile. Après discussion en présence du Dr. X, d'un commun accord et en proposant à la patiente de poursuivre le traitement corticoïdes et la prégabaline, Mme. Y quitte l'hôpital, le 13.12.2018. Elle sera revue à la consultation de soins de support du Dr. X le 17.12.2018. Mme. Y est une patiente de 82 ans, connue pour un angor stable sur probable cardiopathie hypertensive, un syndrome métabolique, un fléchissement cognitif et des états dépressifs récidivants. La patiente est amenée en ambulance le 23.11.2018 suite à une chute de sa hauteur. La patiente se serait levée le matin du 23.11.2018 à 7h00 sans plainte particulière, la journée se déroule habituellement. Au réveil d'une sieste dans l'après-midi, alors qu'elle était debout et immobile, elle présente une chute depuis sa hauteur, sans notion de traumatisme crânien mais avec une probable perte de connaissance et une amnésie circonstancielle. Ne pouvant pas se relever, la patiente reste au sol pendant une durée indéterminée. Elle est retrouvée à terre par le physiothérapeute, à qui elle parvient à ouvrir la porte en y rampant. La patiente décrivant des douleurs au niveau dorsale et lombaire, une radiographie de la colonne est effectuée le 23.11.2018 qui ne montre pas de fracture mais une révision du CT effectué le 23.11.2018 montre une fracture non déplacée au niveau du corps vertébral Th9 et une suspicion de fissure sur un ostéophyte de Th12. Une radiographie du thorax est également effectuée le 23.11.2018 pour des douleurs basithoraciques droites qui étaient sans particularité. Un traitement antalgique et une physiothérapie de mobilisation sont mis en place.La chute à domicile étant d'origine indéterminée, une origine cardiaque est premièrement recherchée. La patiente a effectué une échocardiographie en juillet 2018 chez le Dr. X qui montre une cardiopathie hypertensive avec une FEVG à 65 %, une hypertrophie VG modérée, pas de valvulopathie significative, sclérose valvulaire aortique isolée. Nous avons effectué en plus un ECG qui s'avère être sans particularité. Un test de Shellong est également effectué, celui-ci s'avère être positif mais asymptomatique. Un ECG Holter de 48h est installé le 01.12.2018, dont l'analyse est encore en cours. A l'auscultation au service des urgences, les bruits de l'abdomen étant diminués et de tonalité métallique, un CT abdominal est effectué le 23.11.2018 qui était sans particularité du point de vue abdominal. Une masse de 8 mm est découverte de manière fortuite au niveau du sein gauche. Les symptômes digestifs se sont spontanément résolus et le status s'est normalisé. La patiente effectue un US et une mammographie selon l'avis des gynécologues pour la masse du sein gauche et sera revue à la consultation du Dr. X pour la suite de prise en charge. La patiente est connue pour des états dépressifs et elle présente actuellement une diminution de la thymie. Un consilium psychiatrique rapporte un deuil physiologique avec potentiellement un léger trouble de l'adaptation, ne nécessitant cependant pas d'autre prise en charge. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR Fribourg bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 04.12.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est une patiente de 28 ans qui se présente aux urgences à Riaz avec des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. Un laboratoire sanguin réalisé aux urgences met en évidence une leucocytose à 19 sans CRP. La patiente est ensuite transférée à Fribourg pour une échographie qui confirme le diagnostic d'une appendicite aiguë. Aux urgences, la patiente reçoit une antibioprophylaxie par Rocéphine à laquelle elle présente une réaction allergique (rougeurs cutanées). Le Metronidazole est bien supporté. Nous retenons l'indication pour une appendicectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 26.12.2018. Mme. Y, 49 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour un NSTEMI. Elle ne présente pas de facteur de risque cardiovasculaire en dehors d'une anamnèse familiale positive, ni d'antécédents et présente le 14.12 à 12h45 en post-prandial des douleurs thoraciques rétrosternales avec irradiation dans la mâchoire et dans le dos, respiro-dépendantes, lui coupant le souffle, d'intensité élevée. Elle reçoit 500 mg d'aspegic iv, une dose de charge d'Efient, 5000 UI d'héparine et 6 mg de morphine. Les douleurs s'améliorent complètement après un push d'isoket. La patiente est hospitalisée aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et clinique. Une coronarographie est réalisée le 15.12 et revient normale. L'hypothèse diagnostique retenue est celle d'un syndrome coronarien aigu dans le cadre d'un spasme coronarien. Nous poursuivons, l'Aspirine et du Clopidogrel pour 9 mois. Nous introduisons également de l'Amlodipine. Elle ne présente pas de complication post coronarographie permettant un retour à domicile le 15.12.2018. Un contrôle chez son médecin traitant est à prévoir dans la semaine suivante, de même qu'une échographie cardiaque dans 3 semaines. Mme. Y, connue pour une polykystose rénale, actuellement en attente de greffe rénale, consulte les urgences le 29.11.2018 en raison de nausées avec plusieurs épisodes de vomissements alimentaires depuis le jour même à 14h00. Elle rapporte de plus un état fébrile à 38,2 °C. Pas d'autre plainte notamment pas de douleur abdominale ni de trouble du transit. Pas de notion de contage ni de voyage récent. A l'admission aux urgences, la patiente est normotendue à 114/87 mmHg, légèrement tachycarde à 102/min, fébrile à 38,2 °C et sature à 98 % à l'air ambiant. Au status digestif, l'abdomen est souple mais diffusément sensible à la palpation, sans défense ni détente. Les bruits intestinaux sont normaux en tonalité et en fréquence et le Murphy et McBurney sont négatifs. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une leucocytose à 15,6 G/l, sans CRP ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 209 umol/l et une urée à 17 mmol/l. En raison de ses comorbidités, Mme. Y est hospitalisée en isolement de contact et gouttelettes. Elle bénéficie d'une hydratation iv par NaCl 0,9 % 1000 ml/24h. L'évolution est rapidement favorable. Les valeurs de créatinine sont à la baisse (178 umol/l à la sortie) et Mme. Y peut regagner son domicile le 01.12.2018. Mme. Y est une patiente de 83 ans, qui est hospitalisée en électif pour pose de pacemaker pour un bloc atrioventriculaire de 3e degré avec antécédents de malaises avec chutes. La radiographie post-opératoire montre un positionnement du pacemaker correct mais un hydropneumothorax est objectivé. Un drain thoracique apicale gauche est posé le 17.12 puis retiré après bonne évolution clinique et radiologique le 19.12.2018. Un contrôle de l'appareillage est effectué le jour de sa pose montrant un fonctionnement satisfaisant. Un prochain contrôle est agendé dans 4 à 6 semaines pour lequel la patiente sera convoquée. Mme. Y rentre à la Maison Bourgeoisiale le 20.12.2018, en bon état général. Mme. Y, une patiente de 70 ans, connue pour un adénome tubuleux rectal avec dysplasie de haut grade, est hospitalisée pour surveillance après une colonoscopie incluant un FTRD. La colonoscopie se déroule sans complications. La patiente est asymptomatique après l'examen mais présente tout de même des rectorragies avec du sang frais de moyenne abondance visible dans les selles. Ces saignements sont toutefois attendus après un tel geste, et un contrôle de l'Hb au lendemain n'a pas montré de péjoration significative de l'hémoglobine. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y quitte l'hôpital le 29.12.2018 avec reprise du suivi par nos collègues gastro-entérologues. Mme. Y, 36 ans, en bonne santé habituelle, enceinte à 17 SA est hospitalisée dans un contexte de diarrhées muco-sanglantes associées à des douleurs abdominales importantes depuis le 20.11.2018. Au laboratoire à son arrivée, Mme. Y présente une augmentation de la CRP sans leucocytose. L'échographie abdominale n'est pas contributive. Au vu d'une calprotectine positive dans les selles, le bilan est complété par une recto-coloscopie qui pose une suspicion de maladie inflammatoire chronique, mais n'exclut pas une étiologie infectieuse. Un traitement par Ceftriaxone et Métronidazole est donc débuté, Mme. Y reçoit également deux doses de Méthylprednisolone i.v. Une analyse histologique est actuellement en cours. Les cultures des selles pour bactéries et parasites reviennent négatives. Du point de vue de l'antalgie, une pompe de Morphine i.v. soulage la patiente. Le traitement est accompagné par Paracétamol et Buscopan per os. Dans ce contexte et en accord avec les collègues de gastro-entérologie nous transférons Mme. Y à l'Inselspital pour la suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente hospitalisée dans un contexte d'intoxication par erreur sur ses médicaments. En effet, la patiente est connue pour démence vasculaire avancée avec situation à domicile de plus en plus complexe. L'époux de la patiente décrit un état d'épuisement important. Concernant son état de santé, la patiente récupère rapidement. Elle reste cependant confuse mais cet état est connu selon son époux.Nous profitons de l'hospitalisation afin de discuter du projet social. Un placement est discuté avec la famille. Des demandes avaient déjà été effectuées. Cependant, l'époux trouve qu'un placement est encore trop prématuré. La patiente est reclassée le 06.12.2018 le temps de discuter du meilleur projet possible. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est admise aux soins intensifs pour choc septique sur perforation d'ulcère prépylorique dans un contexte de prise d'AINS. La patiente a été opérée le 13.12.2018 au niveau de l'épaule droite au CICS à Montreux où une antalgie par des anti-inflammatoires a été prescrite. Elle consulte les urgences le 17.12.2018 pour des douleurs épigastriques associées à des nausées et des vomissements. Le bilan radiologique fait suspecter une perforation digestive justifiant une prise en charge chirurgicale. L'intervention consiste en une laparotomie avec suture d'ulcère, mise en place d'un patch épiploïque et d'un VAC sous-cutané. Durant la surveillance, la patiente a pu être extubée rapidement avec une bonne tolérance. L'état hémodynamique se stabilise permettant le sevrage des cathécholamines. Le drain thoracique gauche ramène encore du liquide pleural. Les IPP sont maintenus pour une durée totale de 72 heures. Le liquide péritonéal revient positif à Citrobacter et Candida albicans. La patiente est sous couverture antibiotique par Pipéracilline-Tazobactam et antimycotique par Fluconazol. Une insuffisance rénale pré-rénale est découverte dès l'admission dans le contexte aigu, ainsi qu'une hyperkaliémie probablement aggravée par l'accumulation d'aldactone, qui est mise en suspens. Mentionnons que la patiente est équipée d'une voie veineuse centrale jugulaire droite que nous avons laissée en place pour l'éventuelle nécessité d'une nutrition parentérale. Si la nutrition par voie orale peut être reprise rapidement, nous vous prions d'enlever la voie centrale au plus vite. La patiente est transférée en chirurgie. Mme. Y, 67 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë. La patiente avait été opérée le 13.12.2018 à l'épaule droite au CICS à Montreux et elle a été traitée avec des anti-inflammatoires comme antalgie. Elle avait consulté les urgences le 17.12.2018 pour des douleurs épigastriques associées à des nausées et des vomissements. Le bilan radiologique avait montré un ulcère perforé et la patiente avait été surveillée aux soins intensifs du 17 au 18.12.2018 suite à la suture de cet ulcère et pour la gestion de son choc septique dans ce contexte. Son séjour se complique par de multiples collections intra-abdominales avec signes de péritonite le 24.12.2018 et elle bénéficie le 25.12.2018 d'une laparotomie exploratrice, adhésiolyse et lavage abdominal. Une nouvelle collection péritonéale au niveau du mésocôlon a été mise en évidence le 26.12.2018 qui a été drainée par les radiologues. L'évolution a été favorable. L'insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique pour laquelle elle nous a été transférée le 20.12.2018 est mise sur le compte des épanchements bilatéraux et possiblement d'un début d'ARDS para-infectieux. La patiente évolue favorablement sous VNI et oxygénothérapie. Notons une fonction cardiaque normale avec mise en évidence d'une insuffisance aortique modérée (grade 2/4). La TA est gérée le 20.12.2018 avec Nitroprussiate puis Labetalol et finalement un relais par Lisinopril. Sur le plan infectieux, la patiente bénéficie d'un traitement par Pipéraciline/Tazobactam pour une durée totale à définir avec l'équipe d'infectiologie. Un traitement de Fluconazol a été remplacé par Caspofungine au vu des multiples prélèvements péritonéaux positifs pour du Candida malgré le traitement par Fluconazol. L'antalgie est bien gérée par la Morphine puis Targin et Oxynorm. Mme. Y, âgée de 85 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH D le 15.11.2018 pour une coxarthrose. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule à domicile. Elle n'a pas d'escalier pour accéder à son domicile. Son fils, qui vit à côté, passe la voir tous les jours. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont partiellement contrôlées par l'antalgie en place, justifiant l'introduction d'Oxycontin 5 mg 2x/j. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme avec des agrafes encore en place. La flexion de la hanche D est de 50° en actif et 70° en passif. La force du quadriceps D est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur un périmètre libre. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires de la hanche droite sont à 50° pour la flexion active et à 70° en passif. La force est cotée à M4 pour le quadriceps D et M3 pour le psoas. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 13.12.2018, en bon état général. A la sortie, les soins à domicile sont réactivés. Mme. Y, âgée de 84 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une ostéosynthèse du fémur proximal droit avec PFNA long et cerclage le 12.11.2018 sur une fracture diaphysaire le 11.11.2018. Sur le plan social, la patiente, veuve depuis 3 semaines, vit seule à domicile dans un appartement. Elle a 3 enfants qui habitent dans la région avec qui elle a régulièrement contact. A l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. L'anamnèse par systèmes révèle des douleurs au niveau de la main droite depuis la chute. Un bilan radiologique met en évidence une fracture sous-capitale du 5ème métacarpien. Un traitement conservateur par attelle sur mesure est mis en place. Une baisse de moral depuis la perte de son époux, 3 semaines auparavant, est également rapportée. En ce qui concerne la chute, la patiente décrit une chute mécanique et nie une syncope. Sur demande, elle nie également tout contexte de syncopes à répétition. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La flexion/extension de la hanche droite est de 90-0-0 en actif et en passif. La force du quadriceps et du psoas droit est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Dans le contexte du deuil de son mari, la patiente a à plusieurs reprises des baisses de moral et fait part d'une grande appréhension pour le retour à domicile. L'hospitalisation est prolongée d'une semaine pour permettre une augmentation de l'autonomie et de la confiance à la marche.Sur avis téléphonique des cardiologues de l'HFR Fribourg, suite à la lecture du Holter effectué en soins aigus à l'HFR Fribourg, son traitement par bétabloquant est adapté et la patiente reçoit du Sotalol 2x/j à la place du Bilol, ce qu'elle tolère bien. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Elle peut monter/descendre 2 marches d'escaliers avec 2 cannes. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 14.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile pour continuer à renforcer l'autonomie à la marche et d'ergothérapie pour le suivi de la mobilisation de la main droite. Les soins à domicile sont activés. Mme. Y, connue pour une BPCO post-tabagique et une ancienne dépendance à l'héroïne, cannabis, cocaïne et ecstasy, sevrée depuis plus d'un an, sans médication quotidienne, consulte les urgences le 19.12.2018 en raison d'épigastralgies et de pyrosis. Pour rappel, une OGD effectuée le 26.07.2018 mettait en évidence une oesophagite par reflux de grade A selon Los Angeles sur hernie par glissement axial possible et les biopsies montraient une pangastrite chronique d'intensité modérée avec activité légère en présence d'H. pylori en quantités légères et dans ce contexte la patiente a bénéficié d'un traitement antiacide et d'un traitement antibiotique pendant 10 jours. Depuis 2 jours, Mme. Y se plaint d'épigastralgies et de pyrosis avec hématémèse (sang digéré). Ces douleurs abdominales sont habituelles. Elle nous dit ne pas avoir changé ses habitudes alimentaires et ne pas avoir bu d'alcool récemment. Pas d'autre plainte, notamment pas d'état fébrile, pas d'autre douleur. A l'admission, la patiente est normotendue à 130/67 mmHg, afébrile à 36,4°C, eupnéique à 22/min et sature à 99% à l'air ambiant. A l'auscultation cardiaque, les bruits sont audibles, réguliers et il n'y a pas de souffle ausculté. Il n'y a pas de signe de décompensation cardiaque gauche ni droite. Au niveau respiratoire, pas de signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique et il n'y a pas de bruit surajouté. Au status digestif, douleur à la palpation de la région épigastrique, sans défense ni détente. Pas de selle ni de sang au toucher rectal. Le status urogénital est dans la norme. Aux urgences, nous n'objectivons pas d'hématémèse, mais présence de vomissements biliaires avec filets de sang. Le laboratoire montre une leucocytose à 19.2 G/l avec une neutrophilie à 86%, sans syndrome inflammatoire, ainsi qu'une hypokaliémie à 3 mmol/l. Le reste du laboratoire est aligné, notamment les tests hépatico-pancréatiques. Le premier hémofecatest est négatif. Nous administrons 80 mg de Nexium en intraveineux lent puis nous plaçons une pompe à 8 mg/heure. En ce qui concerne l'hypokaliémie que nous lions aux vomissements, nous substituons par 20 mEq de KCl sur 3 heures dans 500 cc de NaCl 0.9%. La patiente est gardée en lit d'observation pendant la nuit. Le 20.12.2018, elle se sent beaucoup mieux avec diminution importante des épigastralgies et absence de vomissement durant la nuit. Mme. Y peut regagner son domicile le 20.12.2018 avec traitement de Pantozol 20 mg 1x le matin jusqu'au 28.12.2018 et de Riopan 30 minutes avant chaque repas. Nous lui recommandons un contrôle clinique à votre consultation la semaine suivant la sortie. Mme. Y est admise en surveillance en raison d'une laryngotrachéite associée à une dysphonie, une aphagie, ainsi que des signes de rhinite aiguë bilatérale. Nous instaurons un traitement par Co-amoxicilline et Solumedrol et un traitement topique intranasal avec résolution de la symptomatologie. Mme. Y, âgée de 77 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse totale du genou le 03.12.2018. Sur le plan social, la patiente, veuve, vit seule dans une ferme; sa fille vit à l'étage supérieur. Elle est à la retraite. A l'admission, Mme. Y est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont encore présentes pendant la nuit, mais bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, patiente orientée et collaborante. Présence d'OMI jusqu'au bassin: lymphoedème chronique connu. La cicatrice est calme. La flexion du genou droit est de 90° en passif et en actif, l'extension est de 0° en actif et en passif sous flexum. La force et la sensibilité sont conservées. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises sur tout le périmètre de l'hôpital. Elle peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes. Les amplitudes articulaires du genou droit montrent une flexion à 95° en actif et à 100° en passif. La force du quadriceps droit est cotée à M3 et celle du quadriceps gauche à M4. Après 10 jours d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 20.12.2018, en bon état général. A la sortie, la patiente bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y présente un syndrome fémoro-patellaire sur chondropathie stade IV de la rotule. Je propose à la patiente une infiltration par Cortisone. Je lui explique les risques et bénéfices de ce geste. L'infiltration est programmée pour le 19.12.2018 à 13h15. Une réévaluation clinique est prévue pour le 9.1.2019. Un arrêt de travail n'est pas dispensé. Mme. Y est une patiente de 53 ans connue pour une Maladie de Verneuil, une hypertension artérielle et qui est suivie par le Dr. X et le Dr. X pour une spondylarthropathie axiale, sous Golimumab. La patiente est hospitalisée pour une suspicion de dermohypodermite pré-sacrée le 29.10.2018, après avoir développé un érythème maculaire associé à un état fébrile le samedi 27.10.2018. Pour rappel, elle présente initialement une exacerbation douloureuse de sa SpA, motivant l'administration de deux injections de Golimumab (Simponi). Suite à une persistance des douleurs inflammatoires généralisées, à prédominance axiale, il est décidé d'introduire de l'adalimumab à 40 mg SC 1x/semaine. Mme. Y reçoit deux injections d'adalimumab, dont la dernière le mercredi 24.10.2018. Elle développe un érythème maculaire, prurigineux d'une circonférence de 30 cm, péri-sacrée, associé à un état fébrile 4 jours plus tard. Celui-ci serait une récidive d'un épisode similaire survenant 2 mois plus tôt au niveau du visage. La patiente se plaint en parallèle de douleurs au niveau du mollet droit depuis 3 jours, continues avec un score de Wells peu élevé. A noter plusieurs épisodes d'éruption maculaire fébrile similaire chez la patiente et la sœur sur la dernière année. L'examen clinique ne révèle pas de signes en faveur d'une fascite nécrosante (crépitement sous-cutané, dysesthésies). Le bilan biologique d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 118 mg/dL, sans leucocytose et une vitesse de sédimentation à 43 mm/h. Un US-doppler des membres inférieurs exclut une suspicion de TVP. En vue du diagnostic différentiel d'effet paradoxal des anti-TNF, du syndrome de Sweet ainsi que de la possibilité d'une fièvre périodique, nous décidons d'adresser Mme. Y pour une biopsie cutanée chez nos dermatologues le Lundi 05.11.2018.Un traitement d'amoxicilline clavulanate est débuté le 29.10.2018 à dose de 1200 mg IV q8h00. L'évolution clinique et biologique est nettement favorable dès le lendemain. Un switch per os est réalisé le vendredi 02.11.2018 et la patiente rentre à domicile le même jour, stable sur le plan clinique et biologique. Mme. Y, une patiente de 80 ans, connue pour asthme bronchique et cardiopathie hypertensive, est hospitalisée pour chute avec un traumatisme crânien frontal suite à des vertiges rotatoires. La patiente a commencé à présenter de légers vertiges avant de se coucher le 02.11 et c'est en voulant se lever dans la nuit pour aller aux toilettes que les vertiges ont fortement augmenté. Arrivée aux toilettes, la patiente a alors chuté et s'est tapée le front sur le bord du lavabo avec une amnésie circonstancielle et une perte de connaissance possible sur quelques minutes. La patiente décrit des vertiges rotatoires intermittents présents depuis environ 1 mois qui ont commencé suite à une douleur de l'oreille gauche. Une plaie longitudinale sur le front de 4 cm et 5 mm de profondeur est désinfectée et suturée par 3 points. Les fils sont retirés le 08.12.2018. Un CT cérébral ainsi que des carotides et des cervicales a permis d'exclure des lésions de la fosse postérieure ainsi qu'une hémorragie ou une fracture. Le statut neurologique est dans la norme et une manœuvre de Hallpike pathologique avec un nystagmus provoqué à gauche évoque un vertige positionnel paroxystique bénin (VPPB). Les premières manœuvres de Semont ont permis de diminuer fortement les vertiges. Une consultation ORL du 06.12.18 confirme un diagnostic de VPPB du canal semi-circulaire postérieur droit, de nouvelles manœuvres thérapeutiques ont été effectuées avec une très bonne évolution de la clinique de la patiente. Une consultation de contrôle ORL est prévue pour le 17.12.2018 avec de nouvelles manœuvres au besoin. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique de la patiente, ainsi que de la bonne diminution des vertiges permettant une mobilisation sûre, Mme. Y retourne à domicile le 08.12.2018. Des soins à domicile ont été organisés pour la suite par notre service de liaison. Mme. Y est hospitalisée en électif afin de bénéficier d'une nouvelle cure d'IVIG de 3 jours pour CIPD suivie par le Dr. X. Elle avait déjà bénéficié d'une cure de 5 jours en novembre 2018 dans le cadre d'une rechute importante de sa maladie. En effet, une recrudescence des douleurs avait incité à administrer cette thérapie. La patiente tolère bien le traitement. Elle ne présente aucune complication et les douleurs sont stables. Le statut neurologique à la sortie reste sans particularité. Mme. Y peut rentrer le 21.12.2018 à domicile. Une nouvelle cure est agendée pour le 15.01.2018 pour une durée de 3 jours. Lors de cette future hospitalisation, une consultation chez le Dr. X est prévue le 18.01.2019. Mme. Y est une patiente de 44 ans qui consulte aux urgences le 28.11.2018 pour des douleurs en hypochondre droit depuis 48 h. Un ultrason abdominal est réalisé et confirme la suspicion clinique d'une cholécystite. La patiente bénéficie le 28.11.2018 d'une cholécystectomie laparoscopique. Les suites opératoires sont simples et la patiente rentre à domicile le 30.11.2018. Mme. Y, sous corticothérapie au long cours pour une polyarthrite rhumatoïde, présente le 13.10.2018 une méningo-encéphalite compliquée d'un engagement cérébelleux, nécessitant une prise en charge invasive à l'Inselspital du 15.10.2018 au 25.10.2018, avec notamment une dérivation ventriculo-externe, une craniectomie occipitale et une trachéotomie. Elle est re-transférée le 25.10.2018 à Fribourg. Sous prise en charge complexe, soutien respiratoire majeur et physiothérapie intensive, l'évolution sera très lentement favorable, ce qui permettra d'obtenir un bon contact et d'enlever la trachéotomie. Elle est transférée en médecine interne, HFR Meyriez, le 11.12.2018, en attendant une place en neuroréhabilitation, disponible probablement le 17.12.2018. L'origine de l'encéphalite reste indéterminée, le liquide lymphocytaire évoque une infection virale, les biopsies effectuées à Berne sont négatives. Les suites chirurgicales étaient simples, la fenêtre osseuse occipitale n'est pas à remettre selon l'avis neurochirurgical. L'encéphalite avec engagement consécutif, ainsi qu'une polyneuropathie sévère dans le cadre de la maladie critique entraînent une atteinte neurologique très sévère. À l'admission, la patiente est tétraplégique, réveillée (GCS 11) et répond oui ou non. Une vigilance initialement fluctuante s'améliore par la suite. Elle progresse sur le plan neurologique avec une récupération de la force motrice dans les membres supérieurs et inférieurs. Une prise en charge pluridisciplinaire est nécessaire dans les semaines à venir. Un épisode d'absence avec troubles oculomoteurs le 09.11.2018 fait évoquer un événement épileptique, même si l'EEG parle plutôt pour un tracé métabolique. Le traitement de Keppra a déjà été réduit, un sevrage peut être envisagé à distance. Mme. Y présente des troubles de la déglutition majeurs et plusieurs épisodes d'atélectases basales possiblement surinfectées, rendant l'évolution respiratoire très lente. La canule de trachéotomie mise en place à Berne est changée pour une Shiley fenêtrée. Le sevrage de la canule est effectué progressivement, avec des reculs liés aux surinfections pulmonaires. La patiente peut finalement être décanulée le 05.12.2018, sans nouvelle complication respiratoire. Un contrôle clinique fait le 11.12.2018 est satisfaisant, un contrôle en ORL est à organiser pour env. mi-janvier 2019. Les troubles de la déglutition persistent malgré une bonne évolution sur le plan respiratoire. Les collègues ORL ne retiennent pas d'atteinte des cordes vocales ni de la mobilité et de la sensibilité laryngée. La physiothérapie intensive permet une amélioration avec, à la sortie, une amélioration de la déglutition, permettant aux physiothérapeutes de lui donner de faibles quantités sous surveillance. À part les surinfections pulmonaires motivant des traitements antibiotiques itératifs, on note une bactériurie à E. Coli, couverte par Tazobac. La sonde urinaire est changée dans ce contexte le 28.11.2018 puis enlevée le 08.12.2018. Une infection urinaire basse est aussi traitée le 09.12.2018 par Nitrofurantoïne. Ce choix est basé sur la notion d'une colonisation à E. Faecium découverte peu de temps auparavant. Mme. Y, âgée de 73 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par l'HFR Riaz pour une réadaptation musculo-squelettique suite à la mise en place d'une prothèse totale inversée de l'humérus proximal D le 02.11.2018. Sur le plan social, la patiente, divorcée, vit seule à domicile. Elle est à la retraite (ancienne cuisinière). À l'admission, la patiente n'a pas de plainte particulière. Elle est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, la patiente est orientée et collaborante. La cicatrice est calme. La force du deltoïde D est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Au status cardiologique, les bruits sont bien frappés avec un souffle systolique à 3/6 au niveau mitral. Le reste du status est sans particularité. Le bilan sanguin d'entrée permet d'écarter une cause secondaire d'ostéoporose. Dans ce contexte, nous introduisons une supplémentation par Calcimagon. Le bilan ostéoporotique pourra être complété à distance par une densitométrie et l'évaluation de la nécessité d'un traitement par biphosphonates. Une baisse asymptomatique des leucocytes est considérée comme réactionnelle au syndrome inflammatoire dans un contexte postopératoire (avis téléphonique Dr. X). Des contrôles réguliers montrent une stabilisation de la situation (cf laboratoire annexé). La vaccination contre la grippe Fluarix Tetra 2018/2019 est effectuée sur demande de la patiente le 26.11.2018. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, la patiente est autonome pour les transferts et la marche sans moyen auxiliaire. Les amplitudes de l'épaule D sont les suivantes en actif assisté antépulsion et abduction à 90°, RE à 0° et RI ventre, pour le coude D on observe un flexum de 25°. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mme. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 02.12.2018, en bon état général. A la sortie, Mme. Y poursuivra la physiothérapie en ambulatoire et elle bénéficiera du passage des soins à domicile 1x/jour. Mme. Y, patiente de 60 ans, est admise aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque sur NSTEMI. Une coronarographie en avril 2018 avait mise en évidence une cardiopathie tritronculaire avec stenting de la coronaire droite. Les lésions multiples de l'IVA n'étant pas accessibles à une revascularisation mécanique, la seule lésion encore traitable restait une sténose de 70-80% de l'artère circonflexe distale. Elle présente une clinique de décompensation cardiaque depuis 7 jours avec majoration d'une dyspnée et prise de poids malgré un traitement diurétique introduit par son médecin traitant. Le 20.12.2018 elle est amenée aux urgences en raison de douleurs thoraciques. Le bilan biologique et électrocardiographique conclut à un NSTEMI. La coronarographie réalisée le 21.12.2018 a mis en évidence un bon résultat après angioplastie de l'artère coronaire droite proximale et distale. Sont présentes les sténoses significatives de l'IVA moyenne, de la première diagonale et de la première marginale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Après discussion avec Mme. Y, au vu de la complexité de la maladie coronarienne et des comorbidités (diabète), il est décidé d'adresser la patiente à la Clinique Beau-Site à Berne pour une revascularisation chirurgicale. Le bilan préopératoire a été complété par un examen angiologique (écho-doppler des vaisseaux pré-cérébraux et mapping veineux) qui ne révèle pas de sténose carotidienne significative. Les grandes saphènes sont perméables. La patiente est attendue à Beau-Site le mercredi 26.12.2018 pour une intervention le jeudi 27.12.2018. Mme. Y présente une coxarthrose débutante bilatérale symptomatique à D. Je propose dans un premier temps un traitement de physiothérapie. Je prie Dr. X de bien vouloir nous faire parvenir le dossier médical afin de préciser les antécédents chirurgicaux de la patiente (intervention sur le bas du dos). Je revois la patiente le 26.02.19 pour une réévaluation clinique. Mme. Y présente une rupture complète du ligament croisé antérieur du genou droit. Dans un 1er temps elle sera équipée d'une orthèse articulée qu'elle portera pour une durée de 6 semaines. Rééducation en physiothérapie à but antalgique dans un 1er temps, puis pour regagner la mobilité et finalement pour tonifier la musculature et entraîner la proprioception. Nouvelle évaluation clinique à 6 semaines pour voir s'il reste une instabilité résiduelle. Dans ce cas-là, une plastie ligamentaire du ligament croisé antérieur sera indiquée. Arrêt de travail attesté à 100% jusqu'au 31.12.2018. Reprise de travail prévue - sous réserve que la patiente arrive à conduire la voiture - à partir du 1er janvier 2019. Prochain contrôle clinique le 30.01.2019. Mme. Y est une patiente de 65 ans, connue pour une fibromyalgie ainsi que de multiples antécédents médico-chirurgicaux. Elle est hospitalisée en électif sur avis de Dr. X pour investigations neurologiques d'une polyneuropathie à prédominance sensitive aux membres inférieurs en aggravation clinique avec extension actuelle aux membres supérieurs, d'origine indéterminée. Un bilan extensif réalisé en juillet 2018 ne met pas en évidence d'étiologie. Actuellement, elle se plaint d'une dysesthésie du pouce et index de la main droite avec déficit moteur M4 de la pince, sans atteinte des réflexes. De plus, elle présente des arthralgies diffuses avec limitation de la mobilité (surtout à l'épaule gauche et aux chevilles bilatérales sans impossibilité de marche). Elle décrit un oedème de la face antéro-médiane de la cheville gauche, sensible à la palpation. Dans le contexte de la fibromyalgie, de multiples points sont douloureux à la palpation dont la colonne en région Th2-Th4 et L3-S1. Durant l'hospitalisation, une IRM du neurocrâne et panmédullaire ne met pas en évidence de lésions suspectes ou expliquant la symptomatologie actuelle (pas de lésions des racines proximales). Les résultats intermédiaires du bilan biologique et de la ponction lombaire sont dans la norme. Les résultats définitifs (laboratoire, ponction lombaire, ENMG) seront envoyés à Dr. X, qui reverra la patiente pour les résultats des examens à la fin janvier 2019. Un suivi rhumatologique de la fibromyalgie avec consilium concernant la symptomatologie actuelle sera à réévaluer. Mme. Y rentre à domicile le 18.12.2018 en bon état général. Mme. Y est une patiente de 77 ans, hospitalisée pour des douleurs de l'épaule gauche associées à un état fébrile. Elle présente depuis 2 semaines des douleurs à l'épaule gauche en péjoration, atraumatiques. Ces douleurs sont majorées au mouvement et irradient dans le cou et le bras. Au bilan, un syndrome inflammatoire modéré est mis en évidence. Le bilan radiologique montre une discrète omarthrose sans zone de lyse, ni érosion avec discrètes calcifications sur le trajet du muscle sus-épineux. Des cristaux de pyrophosphates sont retrouvés à la ponction articulaire. La culture revient négative. Une chondrocalcinose est alors retenue et un traitement par AINS est débuté. Une physiothérapie de mobilisation est également initiée.Concernant les facteurs précipitants, nous retrouvons l'hyperparathyroïdie et l'hypothyroïdie substituée. En raison de la concentration sérique basse de vitamine D sous substitution, cette dernière est majorée. Un suivi endocrinologique aura lieu comme prévu en mars 2019. L'évolution clinique est favorable et Mme. Y rentre à domicile le 19.12.2018. Mme. Y, patiente d'origine philippine et sans papier en Suisse, est hospitalisée pour une hypothyroïdie symptomatique. En effet, ce diagnostic était déjà connu, mais au vu de problèmes financiers et politiques, elle ne pouvait prendre de traitements. Elle arrive aux urgences tachycarde et en flutter, nécessitant un remplissage, un traitement intraveineux de magnésium et de bêta-bloquants avec cardioversion en rythme sinusal. Après avis endocrinologique, nous introduisons un traitement de Néo-mercazole ainsi qu'un bêta-bloquant. Elle répond favorablement à ce traitement avec baisse de la fréquence cardiaque. Cependant, pour des raisons financières, la patiente souhaite rentrer à domicile. Nous lui conseillons vivement de continuer la médication et d'instaurer un suivi rapproché de la fonction thyroïdienne et de la fréquence cardiaque, que ce soit en Suisse ou aux Philippines, où elle prévoit de rentrer prochainement. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susmentionnés, consulte les urgences le 18.12.2018 en raison de palpitations. Elle explique avoir ressenti pour la première fois des palpitations le 17.12.2018 dans la soirée, qui se sont améliorées spontanément en quelques minutes. Le 18.12.2018, récidive des palpitations à 22h00, au repos et en postprandial. La patiente nous dit faire beaucoup de marche, 3 x 2 heures chaque semaine et qu'elle avait fait une marche habituelle l'après-midi du 18.12.2018, qui s'est bien passée. Mme. Y ne rapporte pas de douleur rétrosternale, pas de dyspnée. Pas d'état fébrile ni de contexte infectieux récemment. Pour rappel, un contrôle cardiologique chez le Dr. X, il y a un mois était dans la norme. A l'admission aux urgences, la patiente est hypertendue à 176/114 mmHg, eupnéique à 18/min, afébrile et sature à 96% à l'air ambiant. A l'auscultation cardiaque, les bruits sont irréguliers, sans souffle ausculté. Pas de signe de décompensation cardiaque droite ni gauche. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Pas de signe de détresse respiratoire. Le reste du status d'entrée est sans particularité. L'ECG montre une fibrillation auriculaire rapide à 121/min, avec QRS fins, sans trouble de la repolarisation. Le laboratoire met en évidence un très léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 6 mg/l et une leucocytose à 12 G/l. Le reste du laboratoire est aligné, notamment le dosage de la TSH à 3.15 mU/l. Nous administrons du Metoprolol 5 mg iv sur 10 minutes ainsi que 50 mg per os et la patiente est hydratée par NaCl 0,9% 1000 cc sur 12 heures, avec bonne réponse et retour à un rythme sinusal régulier. La patiente est gardée en lit d'observation aux urgences où elle ne présente pas de nouveau passage en fibrillation auriculaire. Nous calculons le score CHADSVASC qui est à 4 et nous instaurons une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/jour dès le 19.12.2018, en expliquant à la patiente les risques associés à cette anticoagulation. Nous prenons également contact avec son cardiologue traitant, le Dr. X, qui nous propose de débuter un traitement par Cordarone (pas de contre-indication) initialement par une dose de charge de 3 x 200 mg/jour pendant 10 jours puis 1 x 200 mg par jour et d'arrêter le bêta-bloquant le 20.12.2018. L'anticoagulation est à poursuivre. Il nous demande de prévenir la patiente de la sensibilisation cutanée liée au traitement par Cordarone (utilisation protection solaire index > 30 pour zones exposées au soleil) et vous recommande un dosage annuel de la TSH. La patiente reçoit donc la première dose de Cordarone 600 mg avec bonne tolérance. Mme. Y peut regagner son domicile le 19.12.2018. Nous recommandons un contrôle à votre consultation d'ici 5 à 7 jours. Mme. Y présente des lombo-sciatalgies chroniques à droite, probablement dans le contexte d'une maladie de Scheuermann, induite à cause de l'arthrose facettaire de la colonne lombaire. Je propose un traitement conservateur. Je prescris de la physiothérapie pour l'école du dos, massage de décontraction, application de fangos et tonification de la musculature autochtone et abdominale. L'IRM a permis d'exclure un conflit disco-radiculaire. En cas de persistance de douleurs, on pourrait éventuellement infiltrer les articulations facettaires. Je reverrai la patiente dans 3 mois pour une réévaluation clinique, ou plus tôt en cas de péjoration. Prochain rendez-vous le 20.03.2019. Mme. Y présente en premier lieu un syndrome radiculaire L5 à D probablement dans le contexte d'une maladie de Scheuermann. Je propose d'investiguer la situation par une IRM de la colonne lombaire. Je la revois suite à cet examen afin de discuter des résultats (19.12.18). Comme diagnostic différentiel, l'on peut retenir une tendinite du tensor fascia lata à droite. Mme. Y, patiente de 59 ans, connue pour polyarthrite rhumatoïde et fibromyalgie, consulte le 03.12.2018 amenée en ambulance pour de fortes douleurs lombaires, irradiant dans les 2 flancs, apparues subitement après s'être relevée de la position fléchie en avant. La patiente décrit des douleurs à 8/10, constantes, péjorées lors de mobilisation, bien localisées, sans trouble sensitivo-moteur nouveau au niveau des jambes. Le status d'entrée montre une patiente algique, avec une palpation lombaire haute douloureuse, une force M4+ au niveau du membre inférieur gauche et une hypoesthésie de la face externe de la jambe gauche déjà connues selon la patiente (depuis une intervention cardiaque). Un CT abdominal montre une dissection aortique abdominale chronique connue chez la patiente (stable depuis mars 2018) ainsi qu'une fracture-tassement de L1. Nos collègues de la Team Spine ne retiennent pas d'indication à une opération en urgence et la patiente est hospitalisée pour antalgie. Le lendemain, une radiographie lombaire debout montre une perte de hauteur du mur supérieur de L1 sans conisation de la vertèbre et une prise en charge conservatrice est décidée au vu des images et des comorbidités de la patiente. La patiente bénéficie de physiothérapie et d'antalgie, visant à améliorer sa mobilité avec bon effet. Le bilan biologique montre également un déficit en vitamine D important, que nous substituons. Au vu des circonstances atraumatiques de l'incident, un traitement par Alendronate pourrait être envisagé après un bilan dentaire (patiente connue pour un antécédent d'abcès avec douleurs intermittentes), ainsi qu'une densitométrie osseuse (DXA) en ambulatoire. Mme. Y est transférée le 10.12.2018 en gériatrie aiguë à Meyriez en vue d'une réhabilitation musculo-squelettique.Le status d'entrée montre une patiente algique, avec une palpation lombaire haute douloureuse, une force M4+ au niveau du membre inférieur gauche et une hypoesthésie de la face externe de la jambe gauche déjà connues selon la patiente (depuis une intervention cardiaque). Un CT abdominal montre une dissection aortique abdominale chronique connue chez la patiente (stable depuis mars 2018) ainsi qu'une fracture-tassement de L1. Nos collègues de la Team Spine ne retiennent pas d'indication à une opération en urgence et la patiente est hospitalisée pour antalgie. Le lendemain, une radiographie lombaire debout montre une perte de hauteur du mur supérieur de L1 sans conisation de la vertèbre et une prise en charge conservatrice est décidée au vu des images et des comorbidités de la patiente. La patiente bénéficie de physiothérapie et d'antalgie, visant à améliorer sa mobilité avec bon effet. Le bilan biologique montre également un déficit en vitamine D important, que nous substituons. Au vu des circonstances atraumatiques de l'incident, un traitement par Alendronate pourrait être envisagé après un bilan dentaire (patiente connue pour un antécédent d'abcès avec douleurs intermittentes), ainsi qu'une densitométrie osseuse (DXA) en ambulatoire. Mme. Y est transférée le 10.12.2018 en gériatrie aiguë à Meyriez en vue d'une réhabilitation musculo-squelettique. Mme. Y, patiente de 59 ans, connue pour polyarthrite rhumatoïde et fibromyalgie, consulte le 03.12.2018 amenée en ambulance pour de fortes douleurs lombaires, irradiant dans les 2 flancs, apparues subitement après s'être relevée de la position fléchie en avant. La patiente décrit des douleurs à 8/10, constantes, péjorées lors de mobilisation, bien localisées, sans trouble sensitivo-moteur nouveau au niveau des jambes. Le status d'entrée montre une patiente algique, avec une palpation lombaire haute douloureuse, une force M4+ au niveau du membre inférieur gauche et une hypoesthésie de la face externe de la jambe gauche déjà connues selon la patiente (depuis une intervention cardiaque). Un CT abdominal montre une dissection aortique abdominale chronique connue chez la patiente (stable depuis mars 2018) ainsi qu'une fracture-tassement de L1. Nos collègues de la Team Spine ne retiennent pas d'indication à une opération en urgence et la patiente est hospitalisée pour antalgie. Le lendemain, une radiographie lombaire debout montre une perte de hauteur du mur supérieur de L1 sans conisation de la vertèbre et une prise en charge conservatrice est décidée au vu des images et des comorbidités de la patiente. La patiente bénéficie de physiothérapie et d'antalgie, visant à améliorer sa mobilité avec bon effet. Le bilan biologique montre également un déficit en vitamine D important, que nous substituons. Au vu des circonstances atraumatiques de l'incident, un traitement par Alendronate pourrait être envisagé après un bilan dentaire (patiente connue pour un antécédent d'abcès avec douleurs intermittentes), ainsi qu'une densitométrie osseuse (DXA) en ambulatoire. Mme. Y est transférée le 10.12.2018 en gériatrie aiguë à Meyriez en vue d'une réhabilitation musculo-squelettique. Mme. Y est une patiente de 50 ans connue pour un adénocarcinome du haut rectum traité par résection antérieure basse avec iléostomie de protection au mois de septembre 2018, qui fut hospitalisée pour fermeture d'iléostomie le 21.11.2018. Lors de la consultation de contrôle post-opératoire le 28.11.2018, la patiente présente des douleurs abdominales diffuses en augmentation sur les dernières heures ainsi que des diarrhées à répétition. Les examens complémentaires mettent en évidence une iléite terminale que nous traitons prophylactiquement par antibiothérapie intraveineuse pendant 5 jours. Dans le cadre d'un syndrome de malabsorption ainsi que d'une hypokaliémie, nous préconisons une alimentation parentérale par voie veineuse centrale du 29.11.2018 au 06.12.2018. L'évolution clinique de la patiente est favorable et une réalimentation per os est reprise le 02.12.2018. Mme. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 06.12.2018. Mme. Y est une patiente de 27 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente avec une présentation clinique d'appendicite aiguë le 30.11.2018. Un CT confirme le diagnostic et la patiente bénéficie d'une appendicectomie laparoscopique le 01.12.2018. Les suites opératoires sont ensuite simples. Les fils seront à enlever à J12 chez le médecin traitant. À noter que la patiente présente à l'entrée une insuffisance rénale, péjorée par l'administration de produit de contraste pour le CT scanner. Un avis néphrologique parle pour une composante initiale prérénale avec une péjoration sur le produit de contraste avec l'ajout d'une composante rénale. La fonction rénale s'améliore et permet un retour à domicile de la patiente le 07.12.2018. La patiente sera revue en consultation de néphrologie le 13.12.2018 avec laboratoire à 9h00 et une récolte d'urine sur 24h dès le 12.12.2018. Mme. Y est une patiente de 56 ans, connue pour un adénocarcinome pulmonaire EGFR muté, actuellement sous Gefitinib, envoyée par son oncologue traitant (Dr. X) dans le cadre d'une baisse d'état général avec progression tumorale. La patiente se plaint de diarrhées depuis un mois, parfois sanguinolentes, puis de nausées et vomissements quasi quotidiens depuis 2 semaines, avec progression d'une asthénie importante. Une ponction pleurale à but symptomatique et diagnostique montre un exsudat dans le contexte néoplasique. Le résultat cytologique montre une origine tumorale compatible avec l'adénocarcinome primaire. L'analyse du T790M est en cours. Une chimiothérapie par Taxotere, prévue en attendant l'analyse de la mutation T790M, est refusée par la patiente en présence du Dr. X. La patiente étant consciente des conséquences, elle souhaite un retour au home du couvent Ste-Ursule le plus rapidement possible. La médication est mise sous forme orale (crampes abdominales, dyspnée, douleurs diverses) en vue de la rentrée au home. Mme. Y est admise aux soins intensifs pour un AVC ischémique sylvien gauche d'origine indéterminée. La patiente est amenée en ambulance en raison de troubles oculomoteurs et d'une faiblesse de la jambe droite remarquée au réveil. À l'admission, une parésie de la jambe droite, une pronation de la main droite à l'épreuve des bras tendus et une discrète ptose labiale ipsilatérale avec légère dysarthrie sont objectivées. Le scanner cérébral montre une asymétrie des cartes de perfusion au niveau temporal gauche compatible avec une lésion ischémique aiguë. Durant la surveillance, on note une amélioration neurologique avec régression des symptômes initiaux. Une IRM cérébrale ainsi qu'un bilan cardiaque (ETT et Holter) sont demandés. La patiente est transférée au Stroke Unit non monitorée. Mme. Y est une patiente de 23 ans qui décrit des douleurs abdominales d'abord diffuses depuis le 17.12.18 et se localisant actuellement en fosse iliaque droite, de type crampiforme avec 3 épisodes de diarrhées et des nausées sans vomissements. Au status abdominal, nous notons une douleur à la palpation en fosse iliaque droite sans détente ni défense. Le laboratoire montre un discret syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 12.6 G/L et CRP à 27. Le CT-scan du 20.12.2018 met en évidence une colite de 9 cm de longueur du Caecum jusqu'au côlon ascendant sans signe de complication locale ni d'appendicite. Dans ce contexte, un traitement antibiotique est mis en place par Rocéphine et Flagyl en intraveineux avec un relais par voie orale dès le 21.12.2018. L'évolution est par la suite favorable permettant à la patiente de regagner son domicile le 21.12.2018. Mme. Y est une patiente de 50 ans qui se présente aux urgences le 15.12.2018 pour des douleurs en hypochondre droit depuis la veille. L'examen clinique fait suspecter une cholécystite aiguë, un ultrason abdominal ne montre pas de calculs au sein de la vésicule ou des signes de cholécystite. La patiente est alors hospitalisée pour un suivi clinique et biologique. L'évolution des douleurs est par la suite spontanément favorable et la patiente peut retourner à domicile le 16.12.2018.Mme. Rossier, patiente de 86 ans connue pour une hypertension artérielle traitée et un diabète de type 2 non insulino-requérant, est hospitalisée dans un contexte d'AVC ischémique aigu. Pour rappel, elle est amenée en ambulance le 24.12.2018 en raison de troubles d'élocution et d'une faiblesse de la jambe D remarquée le 24.12.2018 au réveil avec une dernière preuve de bonne santé la veille au soir. Le CT cérébral révèle une asymétrie aux cartes de perfusion au niveau médio-temporal G. La patiente est hospitalisée en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en Aspirine. L'IRM cérébrale confirme une lésion ischémique aiguë médio-temporale G, incluant le bras postérieur de la capsule interne G. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de cause structurelle à l'AVC. Un Holter de 72 heures est proposé durant l'hospitalisation, mais la patiente le refuse, malgré nos explications. Nous ne sommes en mesure de retenir une étiologie à cet AVC et au vu du caractère embolique, une FA doit être activement recherchée (DD : artério-artérielle). Un traitement de Plavix 75 mg/j est à poursuivre au long cours. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15 jours. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Des troubles de la marche et de l'équilibre sont mis en évidence durant l'hospitalisation avec un probable déconditionnement global. La patiente est dépendante pour la toilette. Nous proposons un transfert en gériatrie aiguë pour une prise en charge gériatrique globale. L'évolution clinique est satisfaisante avec un statut neurologique de sortie ne montrant pas de déficit neurologique focal persistant. Mme. Rossier est transférée en gériatrie aiguë à l'hôpital de Tafers le 31.12.2018. Mme. Roth, patiente de 69 ans connue pour un antécédent de cancer du sein, ainsi qu'une hypertension artérielle traitée, est hospitalisée pour une pose de pacemaker dans le cadre d'un BAV du 3ème degré intermittent objectivé au Reveal posé après une syncope à l'emporte-pièce en 2015. La patiente a récemment chuté en octobre 2018 lors d'une promenade sans prodrome, ni symptômes cardiaques. Depuis, elle ne mentionne aucune récidive de la symptomatique ni autres plaintes. Le statut est sans particularité après la pose de pacemaker qui se déroule sans complication, avec retrait du Reveal. La radiographie de thorax montre une position correcte du pacemaker. La patiente rentre au domicile le 7.12.2018 avec la suite du suivi en cardiologie ambulatoire auprès du Dr. X. Mme. Rouiller est une patiente de 80 ans, connue pour une cardiopathie coronarienne et hypertensive, qui est admise aux urgences le 03.12.2018 en raison de fortes douleurs dans l'hypochondre droit. L'anamnèse et les examens radiologiques mettent en évidence une pancréatite post-ERCP. Nous préconisons un traitement conservateur avec mise à jeun et antalgie. Les valeurs biologiques pancréatico-hépatiques étant augmentées et en accord avec le Dr. X, gastro-entérologue, nous effectuons une cholangio-IRM qui nous permet d'exclure l'obstruction du stent. L'évolution clinique est favorable avec une reprise de l'alimentation le 06.12.2018. À noter qu'au cours de l'hospitalisation, la patiente présente à trois reprises des tensions artérielles montant jusqu'à 173/86 mmHg. Nous traitons en administrant des patchs de Deponit 5 mg. Ceux-ci engendrant des céphalées, nous modifions la médication par Adalat 20 mg. Par précaution, nous prescrivons à la sortie un comprimé d'Adalat de 20 mg en réserve et vous laissons le soin au médecin traitant de la patiente d'évaluer la suite de la prise en charge. Après discussion avec le Dr. X du Lindenhofspital, et au vu des cholédocolithiases symptomatiques répétitives avec ce deuxième épisode de pancréatite post-ERCP, nous proposons à la patiente la possibilité d'une intervention chirurgicale de type dérivation bilio-digestive. Il est convenu que la patiente discutera de cette proposition avec son médecin traitant et sera revue à la consultation du Dr. X pour décider de la suite de la prise en charge. Nous initiions également un traitement par Ursofalk pour réduire la formation de calculs biliaires. Mme. Rouiller rentre à domicile le 08.12.2018. Mme. Rouiller, résidant au foyer Ste-Marguerite, connue pour une démence de type Alzheimer et pour des tassements vertébraux au niveau de D10, D12 et L1 sans atteinte du mur postérieur depuis 2012, est amenée aux urgences en ambulance le 15.12.2018 suite à la persistance de douleurs à la mobilisation, avec nécessité de se déplacer en chaise roulante, suite à une chute d'une chaise le 11.12.2018, sans traumatisme crânien. L'anamnèse est difficile. La patiente n'a pas de plainte spontanée mais à noter qu'elle a été traitée pour une infection urinaire par Nitrofurantoïne 100 mg 3x/j du 06 au 14.12.2018. Elle ne rapporte pas de symptôme urinaire. À l'examen clinique aux urgences, la patiente est en état général conservé, les muqueuses sont sèches. Elle est désorientée. À l'auscultation cardiaque, les bruits sont réguliers, il y a un souffle cardiaque 3/6 maximal au foyer d'Erb. Pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Elle a des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux chevilles. Les mollets sont souples et indolores. La patiente est eupnéique, le statut respiratoire est sans particularité. À l'examen ostéo-articulaire, il n'y a pas d'hématome, on note des douleurs à la palpation de L3. Pas de douleur à la compression du bassin ni à la rotation des hanches. Le toucher rectal est douloureux à la palpation du coccyx, pas de fécalome. L'examen neurologique montre une sensibilité et force conservées aux 4 membres symétriquement : M4 aux membres supérieurs et M3 aux membres inférieurs. La sensibilité péri-anale et glutéale est normale. Le tonus du sphincter anal est normal. Les réflexes ostéotendineux sont globalement hypovifs. Nous réalisons des radiographies du rachis lombaire et dorsal qui ne montrent pas de nouveau tassement. Au laboratoire, on note un syndrome inflammatoire avec une CRP à 90 mg/l mais sans leucocytose. Nous constatons une anémie microcytaire hypochrome avec une hémoglobine à 102 g/l ainsi qu'une légère hypokaliémie à 3.5 mmol/l. Nous réalisons un stix urinaire qui montre des leucocytes +++, protéines + et urobilinogène +. Nous prélevons une culture d'urines qui revient négative. Nous décidons de traiter l'infection urinaire par de la Rocéphine 2 g/24h. Nous mettons en place une perfusion de NaCl 1000 ml/24 en raison de la déshydratation. Sous antibiothérapie, l'évolution est favorable et Mme. Rouiller regagne le foyer le 19.12.2018. Nous vous laissons le soin de refaire une culture d'urines en dehors de l'antibiothérapie en cas de réapparition de la symptomatologie. Mme. X est une patiente de 23 ans, en bonne santé habituelle, adressée par la permanence de Meyriez pour une suspicion clinique d'appendicite aiguë. Le bilan biologique et radiologique confirme ce diagnostic. Nous retenons alors l'indication pour une appendicectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication le 27.11.2018. Les suites post-opératoires sont simples permettant un retour à domicile le 29.11.2018. Les fils seront enlevés chez le médecin traitant à J12 post-opératoire.Mme. Sallin, âgée de 74 ans, connue pour les antécédents susmentionnés, nous est adressée par le Dr. X pour une neuro-réadaptation suite à une décompensation de sa maladie de Parkinson, diagnostiquée en 2002, dans les suites d'une gastroentérite aiguë survenue le 01.10.2018. Cette décompensation se manifeste avec des blocages à partir de 16h00 qui persistent pendant la nuit obligeant le mari de la patiente à l'accompagner au WC 2-3x/nuit. Suite à cet événement, elle a aussi perdu 2 kg. Sur le plan social, la patiente vit avec son époux à domicile. Ils ont 2 fils. Elle est à la retraite. A l'admission, la patiente est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. La patiente signale une péjoration de son angoisse, elle dit avoir peur de tomber quand elle marche et que cette anxiété péjore ses blocages et ses troubles pendant la mobilisation. Mme. Sallin se mobilise avec un rollator. Au status, patiente orientée et collaborante. La patiente dit qu'elle va à selles régulièrement. La patiente signale des blocages à la maison à partir de 16h00. Pas de rigidité au moment de l'examen physique. Nous demandons l'avis de la Dr. Veg, psychiatre de liaison, en ce qui concerne la gestion de l'insomnie et les troubles de l'humeur. La prescription de Trittico est validée à 50 mg pour la gestion des troubles de sommeil. Le laboratoire d'entrée montre une anémie chronique normochrome normocytaire. Un bilan ferrique est effectué et confirme l'origine ferriprive et nous effectuons 2 injections de Ferinject 500 mg, le 14.12.2018 et le 18.12.2018. Sur le plan nutritionnel, la patiente a retrouvé son poids de forme (+ 4 kg, 56 kg) depuis sa dernière hospitalisation grâce à la prise quotidienne de 3 SNO à domicile. Dans le contexte de cette hospitalisation, des potages enrichis ont été introduits et la consommation de SNO a été réduite à 1 par jour. Au moment du RAD, la patiente prendra 2 SNO par jour et elle devra enrichir naturellement sa alimentation. Si son poids devait descendre en dessous de 55 kg, elle pourrait alors reprendre 3 SNO/j. Si son poids devait être supérieur à 59 kg, elle pourrait descendre les SNO à 1x/j. Le but est de diminuer la consommation de SNO dans la période stable de la maladie, afin de pouvoir y recourir en cas de péjoration de l'état nutritionnel. Durant son séjour, la patiente a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, elle est indépendante pour les transferts et la marche, elle se déplace seule dans l'établissement avec un rollator qui la stabilise bien. Les transferts assis-debout sont fluctuants avec difficulté selon la hauteur de la chaise. Elle peut monter/descendre les escaliers avec la main-courante et un bâton. La force du MIG est cotée au psoas à M4 et au quadriceps à M3, au MID celle du psoas est cotée au M3 et au quadriceps au M3. Mme. Sallin a aussi bénéficié de la physiothérapie pour son épaule G et pour sa dorso-lombalgie chronique. Les blocages que Mme. Sallin avait signalés avant l'hospitalisation ont disparu après le réglage des horaires d'administration/dosage du Madopar. La patiente signale aussi qu'elle dort mieux après l'ajout du Trittico le soir. Après 3 semaines d'hospitalisation, l'évolution est très favorable et Mme. Sallin peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 19.12.2018, en bon état général. Les soins à domicile sont activés. Mme. Sallin sera revue en consultation interdisciplinaire avec le Dr. X à l'HFR Billens le 14.02.2019. Mme. Y est une patiente connue pour une obésité morbide, qui est hospitalisée en vue d'un bypass gastrique laparoscopique. L'intervention susmentionnée est réalisée le 19.12.2018 sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles. Sur le plan biologique, la patiente présente des transaminases perturbées avec des signes de cholestase modérés. La patiente est asymptomatique. Dans ce contexte, une échographie hépatique est réalisée qui ne montre pas de lésion vasculaire ou de dilatation intra ou extra-hépatique. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, la patiente rentre à domicile le 22.12.2018. Un contrôle à la consultation du Dr. X sera organisé dans 1 mois. Nous laissons le soin à la patiente de prendre contact avec son médecin traitant pour l'ablation des fils à la peau. Mme. Y est une patiente de 84 ans, connue pour une hypertension artérielle et un diabète de type 2, hospitalisée pour des vertiges mal systématisés depuis 4 jours. Au niveau clinique et biologique, nous ne retrouvons pas d'anomalies significatives hormis une instabilité posturale à la marche. Un test de Schellong pathologique initialement, revient dans les limites de la norme après hydratation intraveineuse. Le traitement antihypertenseur est mis en suspens puis peut être repris. Au niveau cardiaque, l'électrocardiogramme est dans la norme tout comme le contrôle du pacemaker. Un avis ORL ne met pas en évidence d'origine périphérique aux vertiges de la patiente. Vu la symptomatologie persistante, une IRM cérébrale avec vaisseaux pré-cerébraux est réalisée et ne montre pas d'atteinte ischémique ou hémorragique. Seule une sténose des artères vertébrales et de la carotide gauche est détectée. Le Duplex des vaisseaux ne montre pas de sténose significative qui pourrait expliquer la symptomatologie. L'évolution clinique est moyenne avec une régression lente et partielle des symptômes au cours du séjour. A noter une nette amélioration de la marche en fin de séjour avec persistance de vertiges au lever et la nuit. L'origine retenue à la symptomatologie vertigineuse est multifactorielle avec une composante orthostatique et un probable syndrome post-chute. Vu l'évolution et le logement de la patiente au 3ème étage sans ascenseur, nous envisageons une réadaptation gériatrique à Riaz où la patiente est transférée le 27.12.2018. La patiente est initialement reclasseée avant ce transfert. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est restée en surveillance 24h en Stroke unit monitorisée en raison de la suspicion d'un AIT de la fosse postérieure. Une IRM cérébrale est prévue le 31.12.2018 pour confirmer ce diagnostic. L'évolution est marquée par l'absence de récidive de vertiges rotatoires. Mme. Y, patiente de 33 ans en bonne santé habituelle, consulte pour un état fébrile intermittent avec frissons, des douleurs abdominales crampiformes dans le flanc droit, une inappétence et des vomissements, sans plainte urinaire. Elle rapporte une dysurie et des brûlures urinaires il y a 2 semaines, traitées par homéopathie. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire important et le sédiment urinaire des leucocytes et bactéries. Le bilan radiologique confirme une pyélonéphrite droite sans complications (pas d'abcès, ni obstruction) et la patiente bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine dès son entrée. Une thrombose ovarienne droite n'est pas exclue au CT, infirmée par nos collègues radiologues après nouvelle visualisation des images. L'urotube montre un E.coli multisensible et un relais par Ciproxine 2x/j est effectué pour un total de 7 jours.L'évolution clinico-biologique est favorable sous antibiothérapie ciblée après les résultats des cultures, avec relai oral dès le 03.12.2018. Au vu de l'amélioration, Mme. Y peut rentrer à domicile le 04.12.2018. Mme. Y, patiente de 63 ans, connue pour un astrocytome anaplasique pariétal droit traité par chirurgie en 1988 avec radiothérapie adjuvante, suivie par Dr. X et Dr. X, est envoyée par sa neurologue pour une dysesthésie au niveau du membre supérieur gauche et de la face, avec une perte de force, comme paralysie du MSG 3 jours auparavant, spontanément résolutive après 45 min. La patiente a également subi un traitement de Gamma Knife en 2013, causant des cavernomes multiples, dont notamment un cavernome thalamique gauche (antécédents de saignements en 2001, 2004 et 2013). Elle rapporte aussi des vertiges rotatoires intermittents (pas actuellement). Le statut d'entrée montre une patiente orientée aux 3 modes, avec une légère dysarthrie sans aphasie, une asymétrie faciale en défaveur du côté gauche connue. L'épreuve de Barré est tenue avec pronation de la main droite, et la patiente présente une hypoesthésie facio-brachio-crurale droite connue, ainsi qu'une ataxie bilatérale à prédominance droite. Un CT et une IRM cérébrale montrent une stabilité du cavernome thalamique gauche avec une suspicion de saignement en son sein. Après avis neurologique et neurochirurgical, la patiente est hospitalisée pour surveillance neurologique. Le lendemain, un EEG conforte l'hypothèse d'une probable étiologie comitiale du trouble neurologique transitoire du 01.12.2018. Un traitement de Vimpat est introduit et ajouté au traitement de Neurontin, avec augmentation après deux jours. Selon avis spécialisé du Dr. X au CHUV, il n'y aurait pas d'indication pour un nouveau traitement spécifique des multiples cavernomes en aggravation. Le statut neurologique de la patiente reste superposable et identique à celui connu avant son hospitalisation durant tout le séjour. Un ECG réalisé le 05.12.2018 ne montre pas d'allongement du PQ. Au vu de l'amélioration clinique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 06.12.2018. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs en postopératoire le 12.12.2018 pour adaptation de l'antalgie et surveillance respiratoire. Elle est opérée pour annexectomie bilatérale, omentectomie et washing péritonéal pour un carcinome ovarien Figo IV avec atteinte péritonéale et pleurale. L'antalgie est bien gérée par Lidocaine iv, relayée par Targin. Sur le plan hémodynamique, elle reste stable et nous reprenons son traitement par Metozerok. Sur le plan respiratoire, il n'y a pas de particularité. L'antibioprophylaxie par Zinacef est poursuivie pour 24 h. Une légère hypokaliémie est substituée. Au vu de la bonne gestion de l'antalgie et d'une stabilité clinique, la patiente peut être transférée en gynécologie pour la suite de la prise en charge le 13.12.2018. Le traitement anticoagulant sera repris par la suite. Mme. Y, patiente de 81 ans, connue pour dyslipidémie traitée, arrive aux urgences en ambulance le 29.11.2018 au soir pour une toux productive avec état fébrile. La patiente rapporte un refroidissement depuis 3 jours avec rhinite, toux avec expectorations blanchâtres, sans fièvre mesurée ni frisson à domicile. Elle n'a pas d'autre plainte. Son mari a souffert d'une virose de la sphère ORL la semaine passée. Elle n'est pas vaccinée. Le statut d'entrée à l'étage montre une patiente tachycarde à 97/min, avec tension artérielle à 124/60 mmHg et une saturation à 97 % sous oxygène. On note des crépitants grossiers aux deux bases (D>G) et le reste du statut est sans particularité. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire, la gazométrie aux urgences : une alcalose respiratoire avec insuffisance respiratoire partielle. La radiographie de thorax ne montre pas de franc foyer. Nous introduisons une antibiothérapie par Co-amoxicilline et Klacid ainsi que de la physiothérapie respiratoire et des aérosols avec bonne évolution. Les antigènes urinaires ainsi que les hémocultures sont négatifs. Un relais per os est effectué le 01.12.2018 et Mme. Y rentre à domicile à sa demande le 01.12.2018. Mme. Y, patiente de 79 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale aigüe sur une pneumonie nosocomiale et une décompensation cardiaque. Pour rappel, la patiente est hospitalisée depuis le 14.12.2018 à Tavel pour des dorsalgies et une baisse de l'état général. Le bilan radiologique a montré des lésions ostéolytiques diffuses et le bilan biologique a confirmé un nouveau diagnostic de myélome multiple. Elle a bénéficié d'une corticothérapie par Dexaméthasone du 21.12 au 25.12.2018 avec objectif de débuter un traitement par Revlimid (qui n'a cependant pas encore pu être introduit à Tavel). Lors du séjour à Tavel, elle a également présenté une hypercalcémie traitée par hydratation puis diurétiques, biphosphonates et calcitonine. La diurèse forcée se complique d'une hypophosphatémie qui est substituée. Le 28.12.2018, la patiente présente une insuffisance respiratoire aigüe globale qui motive un transfert aux soins intensifs à Fribourg. Le CT thoracique du 28.12.2018 montre une atélectasie bibasale probablement surinfectée, une décompensation cardiaque ainsi qu'une pneumonie nosocomiale pan-lobaire. La recherche de germe reste négative et l'antibiothérapie par Céfépime (déjà débutée à Tavel) est poursuivie pour une durée prévue de 7 à 10 jours. La patiente est réfractaire au traitement par ventilation non invasive. Toutefois, l'évolution clinique est rapidement favorable avec uniquement de l'oxygène aux lunettes et la patiente ne nécessite pas de soutien ventilatoire supplémentaire. À l'arrivée aux soins intensifs, on note un état confusionnel aigu dans le contexte infectieux, avec comme facteurs aggravants l'hypercalcémie et la corticothérapie au décours. Le traitement de l'infection, une ré-afférentiation et un traitement d'Haldol en réserve permettent une évolution clinique rapidement favorable. Concernant la problématique oncologique, un traitement par Revlimid sera à introduire dès que possible sur avis de son oncologue traitant (Dr. X). Au vu de l'évolution clinique et biologique favorable, la patiente est transférée le 30.12.2018 à l'étage de médecine interne afin de débuter le traitement anti-myélomateux, selon accord préalable de l'équipe d'oncologie qu'on vous laisse le soin de recontacter. Mme. Y est amenée aux urgences le 26.11.2018 par son fils en raison de douleurs thoraciques l'ayant réveillée, accompagnées d'une dyspnée. À son arrivée aux urgences, la patiente présente encore une discrète oppression thoracique sans irradiation qui diminue après quelques minutes. Elle est hémodynamiquement stable et afébrile. Au statut, on note une sensibilité à la palpation costale gauche. Le reste de l'examen clinique est normal. Nous effectuons un ECG qui est sans particularité. Nous dosons les troponines qui suivent une cinétique : H0 12 ng/l, H1 : 36 ng/l, H3 62 ng/l. Nous contactons le cardiologue de garde qui nous propose un traitement par Aspirine 500 mg iv, Plavix 600 mg per os et Héparine 5000 U iv et une coronarographie est organisée le lendemain à 12h00 à l'HFR Fribourg. L'examen met en évidence une sténose de la coronaire droite moyenne qui est stentée ainsi qu'une sténose non obstructive de l'IVA proximale. Les suites se passent sans complication et la patiente est réadmise à l'HFR Riaz.Durant le séjour dans notre service, l'évolution est favorable sans récidive de douleur thoracique ni de dyspnée. Le point de ponction fémoral reste calme sans souffle. La patiente bénéficie d'une physiothérapie. Mme. Y peut regagner son domicile le 03.12.2018. Elle sera convoquée à domicile pour la réadaptation cardio-vasculaire en ambulatoire à l'HFR Billens. Mme. Y est une patiente de 77 ans connue pour une thrombocytose essentielle, une maladie thrombo-embolique chronique sous apixaban, qui est hospitalisée pour investigation d'un syndrome rhizomélique évoluant depuis 3 mois avec une faible suspicion clinique d'artérite gigantocellulaire le 25.10.2018 au vu de l'apparition de paresthésie auriculaire gauche. En effet, la patiente déclare ressentir des douleurs inflammatoires touchant la ceinture scapulaire et pelvienne depuis 3 mois, sans faiblesse musculaire, associées à des sudations nocturnes et des paresthésies de l'oreille droite depuis 4 semaines. L'examen clinique révèle une limitation de la mobilité des épaules sans faiblesse musculaire, avec un examen neurologique dans la norme. Le bilan biologique d'entrée révèle un syndrome inflammatoire associant une CRP à 50 mg/dL et une vitesse de sédimentation à 62 mm/h, une anémie normocytaire normochrome à 80 g/L. Le fond d'œil du 29.10.2018 ne révèle pas d'œdème papillaire ni de signes indirects de vasculite ou NOIA. L'US-doppler des artères temporales ainsi que l'angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux ne révèlent pas d'épaississement pariétal ni de sténoses significatives. Un contrôle séquentiel de la formule sanguine complète après introduction de la prednisone 20 mg révèle une chute de l'hémoglobine à 88 g/L survenant sans signes anamnestiques d'extériorisation, une absence d'orthostatisme ainsi qu'une absence de sang occulte dans les selles. Étant donné l'antécédent de gastrite chronique avec une patiente sous apixaban et prednisone, nous suspectons une hémorragie digestive haute et demandons une oesogastroduodénoscopie. En vue de la suspicion relativement faible d'une artérite gigantocellulaire, avec des symptômes peu évocateurs (dysesthésies intermittentes de l'oreille droite, sans anomalies du statut neurologique), nous renonçons à effectuer une biopsie des artères temporales. En effet, vu le risque thrombo-embolique élevé ainsi que la nécessité d'un switch pour de l'héparine IV dans un contexte d'hémorragie digestive haute probable, nous pensons que les risques de complications sont trop importants. Un traitement par prednisone 50 mg q24h, équivalent à 1 mg/kg, est instauré avec une réponse miraculeuse. La symptomatologie de la patiente disparaît entièrement après 48h de traitement. Une réduction de la dose à 20 mg de prednisone PO est effectuée le 01.11.2018. Une mise en suspens temporaire de 24h de l'anticoagulation est effectuée avec une remontée du taux d'hémoglobine 24h plus tard. La patiente quitte l'HFR stable sur le plan clinique, avec une hémoglobine stable sur 3 contrôles de laboratoire et à une valeur de 97 g/L. Une oesogastroduodénoscopie est prévue en ambulatoire. Mme. Y est une patiente de 86 ans, connue pour une cardiopathie hypertensive et valvulaire et qui est suivie pour un anévrisme de l'aorte abdominale infrarénale actuellement à 58 mm asymptomatique. En raison de la taille de celui-ci, l'indication à une cure d'anévrisme est posée. Celle-ci est effectuée par voie endovasculaire le 17.12.2018. Un contrôle radiologique est fait le 19.12.2018, avec la mise en évidence d'un petit endofuit type 2, à suivre. La patiente rentre à domicile le 19.12.2018. À noter une désorientation nocturne connue et augmentée pendant l'hospitalisation, raison pour laquelle le traitement de dexaméthasone post-opératoire habituel est arrêté. Mme. Y, patiente de 95 ans, est à nouveau hospitalisée en gériatrie aiguë pour une bactériémie à Bacteroides fragilis et à Parabacteroides distasonis d'origine digestive, traitée efficacement par antibiotiques. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée en gériatrie aiguë du 02.11.2018 au 13.11.2018 pour la seconde fois avant un reclassement dans l'attente d'une institutionnalisation, mais vu l'altération importante de son état somatique, une reprise en traitement aigu fut convenue à partir de ce 20.11.2018. Depuis le 15.11.2018, en effet, alors qu'elle se trouvait en lit d'attente, Mme. Y présente un état fébrile à 38.2°C ainsi qu'une désaturation à 79% à l'air ambiant. Une radiographie du thorax de face et profil fut également demandée à la recherche d'un foyer infectieux, mais sans réponse satisfaisante. Des bilans biologiques indiquaient un syndrome inflammatoire ayant régressé avec le temps. À noter aussi que le 15.11.2018, deux paires d'hémocultures et une uroculture avaient été réalisées, revenues toutes négatives. Malgré une température se normalisant, Mme. Y montrait des signes de surcharge pulmonaire avec des râles bilatéraux prédominant aux bases. Dans ce cadre, la patiente bénéficie d'un traitement par furosémide 20 mg en ordre unique et en intraveineux. En outre, devant la persistance de la désaturation, nous complétons le bilan par une gazométrie artérielle le 20.11.2018 ainsi qu'un bilan biologique montrant des D-dimères à 58'488 ng/ml, justifiant la réalisation d'un scanner thoracique injecté devant la suspicion d'embolie pulmonaire. Le résultat du scanner thoracique injecté met en évidence une embolie pulmonaire bilatérale centrale. Un traitement anticoagulant d'Eliquis 10 mg/j depuis le 20.10.2018 puis passage après une semaine à 2x 5 mg/j permet une bonne évolution clinique et un sevrage de l'oxygène : nous vous recommandons de maintenir ce traitement à un tel dosage durant 6 mois et vous laissons le soin de réévaluer la reconduite de ce traitement. À noter que Mme. Y présente un nouveau pic fébrile à 38.6° le 21.11.2018. Deux paires d'hémocultures sont redemandées ainsi qu'une uroculture : les hémocultures reviennent négatives mais les urocultures positives à E. Coli et Enterococcus faecalis. Signalons qu'il s'agit des mêmes germes pour lesquels la patiente avait bénéficié d'une antibiothérapie (Invanz), terminée 2 semaines auparavant. Toutefois, la patiente étant asymptomatique (afébrile, CRP en baisse, pas de plaintes...), nous décidons de ne pas la traiter pour cette infection. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un contrôle de son pacemaker par le Dr. X. Le prochain suivi sera à prévoir avec son cardiologue traitant le Dr. X à HFR Fribourg en novembre 2019. Avant la sortie, un laboratoire de contrôle signale une baisse de la CRP sans leucocytose, ainsi qu'une clairance de la créatinine à 36.9 ml/h selon Cockcroft & Gault. En fin de séjour, notons chez cette patiente une mesure d'indépendance fonctionnelle totale évaluée à 63/126, par rapport à 76 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 5/7, marche à 4/7 et escaliers à 2/7). Finalement, Mme. Y quitte notre service le 29.11.2018 pour intégrer le Home de la Vallée de la Jogne à Charmey. Mme. Y, une patiente de 65 ans connue pour un cancer du poumon composite (SCLC & épidermoïde) et une pneumopathie interstitielle fibrosante, est hospitalisée pour son premier cycle d'immuno-chimiothérapie palliative par Atezolizumab, Cisplatine et Etopophos au vu d'une récidive tumorale découverte en octobre de cette année. Le jour de l'hospitalisation, la patiente a, mis à part une petite toux chronique avec petite péjoration depuis une semaine mais sans expectorations ni d'état fébrile, actuellement pas de nouveaux symptômes. Au cours du séjour, la patiente présentait des symptômes de cystite, qui est traitée par Bactrim pour 3 jours. L'administration de la thérapie anti-cancéreuse est réalisée sans complications. En vue d'une inquiétude par rapport à la suite de la thérapie ambulatoire (patiente seule à la maison, anxieuse), nous avons mis en place une prise en charge par Voltigo.La patiente a pu rentrer à domicile le 06.12.2018. Mme. Y, connue pour les comorbidités et antécédents susnommés, notamment un trouble fonctionnel digestif investigué en 2016 et sans étiologie organique retrouvée, est amenée aux urgences en ambulance le 02.12.2018 en raison de nausées et vomissements incoercibles depuis 3 jours. Elle a pris du Primpéran, sans effet. La patiente explique également que depuis 6 mois, elle présente des brûlures gastriques en péjoration depuis 3 jours. Elle n'arrive rien à manger, elle vomit chaque fois qu'elle avale du solide ou du liquide. Perte de 4 kg en 4 jours. Pas de trouble du transit, pas de diarrhée. Pas de contage. Par ailleurs, elle se plaint de pollakiurie et dysurie. À l'admission aux urgences, Mme. Y est fébrile à 38.2°C, tachycarde à 105 bpm, normotendue à 115/74 mmHg et sature à 92% à l'air ambiant. Au status digestif, l'abdomen est souple, pas de défense ni de détente, présence de douleurs à la palpation de l'épigastre. Les loges rénales sont libres. Au niveau cutané, présence de lésions de grattage sur les membres inférieurs. Au laboratoire, on constate une légère insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 113 umol/l, une légère hyperkaliémie à 5.1 mmol/l et un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 14.8 G/l et une CRP maximale à 141 mg/l. On objective une anémie normochrome normocytaire avec une hémoglobine à 101 g/l qui semble chronique. Les examens urinaires montrent du sang ++++ 11-20/champ, leucocytes +++: 19-42/champ et des cylindres hyalins. La radiographie du thorax ne montre pas d'épanchement ni de foyer. En raison de la dysurie, de la pollakiurie, de l'état fébrile et du stix urinaire positif, nous retenons une infection urinaire haute aiguë compliquée et débutons une antibiothérapie par Ciprofloxacine. Mme. Y est hospitalisée pour réhydratation et antibiothérapie iv. Le 03.12.2018, nous changeons la Ciprofloxacine pour de la Ceftriaxone. Les épisodes de vomissements diminuent progressivement et une alimentation est reprise. Sur le plan cardio-pulmonaire, Mme. Y présente le 04.12.2018 une détresse respiratoire aiguë avec une désaturation à l'air ambiant à 76% et un état fébrile à 38.2°. Nous suspectons une décompensation cardiaque gauche avec un pro-BNP à 2347 ng/l dans le contexte d'une pneumonie sur broncho-aspiration au vu des investigations. Nous instaurons un traitement par Lasix 20 mg/24h ainsi qu'une antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole jusqu'au 14.12.2018. Du point de vue gastro-entérologique, sachant que Mme. Y souffre de dysphagie, nausées et vomissements chroniques (depuis plus de 30 ans à l'anamnèse), nous obtenons un rapport de transit baryté effectué en 2016 évoquant un début de diverticule de Zenker, ainsi qu'une gastroscopie montrant une gastrite chronique. Nous effectuons un transit baryté le 17.12.2018 qui montre une diminution du péristaltisme sans autre anomalie. Afin d'améliorer la symptomatologie, nous stoppons le Citalopram et le Temesta au vu de leurs possibles effets secondaires associés. Nous effectuons par ailleurs une demande de consilium en géronto-psychiatrie pour avoir un avis général de la patiente qui est connue pour un état anxio-dépressif de longue date et traité par Citalopram. Au moment du transfert en gériatrie, la patiente n'a pas encore bénéficié du consilium. Finalement, dans le contexte de son anémie, nous remarquons au laboratoire une carence en acide folique que nous substituons. Nous constatons également une malnutrition protéino-énergétique avec hypomagnésémie et hypophosphatémie que nous substituons. Nous transférons Mme. Y en réadaptation gériatrique le 18.12.2018, étant convaincus de la marge de progression importante de son autonomie et de sa mobilité à domicile. Mme. Y, connue pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, sous traitement antibiotique X pour une infection urinaire depuis la veille, mis en place par vos soins, est venue en consultation ce jour en radiologie pour une infiltration en raison de douleurs lombaires. Peu de temps avant l'infiltration, elle présente des frissons solennels, une dyspnée et un état fébrile mesuré à 38.9°C. Dans ce contexte, elle est adressée aux urgences pour la suite de la prise en charge. À l'anamnèse, par système, la patiente n'a ni plainte ni douleur. À l'auscultation pulmonaire, nous constatons des râles discrets aux deux bases, plus prononcés à gauche. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Le laboratoire à l'entrée montre un syndrome inflammatoire avec des leucocytes à 13.6 G/l et une CRP à 80 mg/l. Des hémocultures ainsi qu'une recherche d'antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque sont prélevées. La radiographie pulmonaire ne parle pas en faveur d'un foyer. Suspectant une cystite compliquée au vu des cystites à répétition, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid et Mme. Y est hospitalisée. À l'étage, la patiente reste afébrile et asymptomatique. Nous n'effectuons pas de contrôle biologique ni radiologique supplémentaire. Mme. Y quitte notre service contre avis médical le 19.12.2018. Elle sera rappelée si les hémocultures reviennent positives et est informée qu'elle doit reconsulter les urgences en cas d'état fébrile. Mme. Y nous est transférée de l'Hôpital cantonal de Fribourg pour une réadaptation neurologique suite à un AVC ischémique pariétal gauche manifesté par un hémisyndrome moteur pur brachio-crural droit le 02.11.2018. Pour rappeler, la patiente, connue pour une HTA, une FA sous Sintrom, un diabète de type II IR et un syndrome de Diogène, a chuté au domicile en raison d'une faiblesse des membres inférieurs et par la suite a été transférée en ambulance à l'Hôpital cantonal. À l'admission, elle n'a pas de plainte spontanée. Elle nous dit que l'hémisyndrome moteur droit a presque totalement régressé. À l'anamnèse par système, elle rapporte une dyspnée NYHA III, des épisodes de palpitations, des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux jusqu'à mi-jambe stables et des douleurs aux pieds, exacerbées la nuit. Cliniquement, elle présente des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux modérés jusqu'à mi-jambe, une insuffisance veineuse stade I aux membres inférieurs. L'examen neurologique retrouve un discret steppage du pied droit et une hypoesthésie distale en chaussette des membres inférieurs. Le bilan biologique montre une anémie hypochrome microcytaire (Hb 88 g/l, MCV 76 fl, MCHC 304 g/l). Jusqu'à avant l'hospitalisation, Mme. Y habitait seule au domicile dans un appartement avec 3 marches pour y accéder. En raison d'un syndrome de Diogène, elle vivait dans des conditions hygiéniques précaires et a refusé toute aide mise en place. Elle est seule en Suisse et lui reste une sœur en Italie. Mme. Y présente une aggravation de l'anémie hypochrome microcytaire, d'origine probablement spoliative et carentielle, en lien avec plusieurs épisodes de méléna et hématochézies. Pour les douleurs neuropathiques des membres inférieurs, nous débutons un traitement par Prégabaline qui est bien supporté par la patiente. À l'entrée, il persiste une diminution de la mobilité et une indépendance limitée dans les activités de la vie quotidienne. La patiente peut faire les transferts de manière autonome (8 FIM 5), marche avec Rollator (FIM 5), monte 9 marches à l'aide d'une main (FIM 4) et le Tinetti est à 10/28 avec Rollator. Nous débutons des séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Suite à une discussion avec la Justice de Paix, qui s'occupe du dossier social de Mme. Y, nous optons ensemble pour un transfert en EMS après la sortie.En raison de l'aggravation de l'anémie, Mme. Y est transférée dans le service de gériatrie aiguë au sein du même établissement pour des investigations supplémentaires. Mme. Y est une patiente de 79 ans, connue pour des lombalgies chroniques d'origine dégénérative (suivies par le Dr. X) ainsi qu'une maladie de Parkinson (suivie par le Dr. X). Après un séjour en médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 19.11.2018 au 26.11.2018, la patiente y est encore reclassée jusqu'à son admission dans notre service de réhabilitation gériatrique HFR Riaz le 30.11.2018. Mme. Y nous est donc transférée étant donné une baisse de son état général (nausées, vomissements) ainsi que des douleurs difficilement contrôlables sous la médication mise en place. Sur le plan de l'antalgie et de la médication en général, nous essayons de simplifier le traitement en accord avec la patiente. Dans ce contexte, et sur le plan de l'antalgie, nous diminuons l'Oxycontin de 60 mg à 30 mg et supprimons le Dafalgan qui était instauré à raison de 3 g par jour. Par la suite, Mme. Y ne rapporte pas d'augmentation de la douleur et se dit satisfaite des changements. Nous maintenons en outre le changement effectué à Fribourg par rapport à l'Arcoxia qui avait été mis en suspens, car ce dernier lui avait imputé des nausées. Depuis la suppression de cette molécule, Mme. Y constate en effet une amélioration à ce niveau. À noter que nous mettons en suspens la Torasémide à 5 mg en suivant cliniquement la patiente, et vous laissons le soin de réévaluer la reprise éventuelle de ce traitement en fonction du poids. Pour la sortie d'hôpital, nous décidons d'un étayage du réseau en ambulatoire, avec passage des soins à domicile 1x/j à la place de 2x/semaine et préconisons la poursuite du groupe de la maladie de Parkinson. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche est de 120 m avec sa canne quadripode. La patiente peut gravir 18 marches d'escaliers avec une rampe. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 100/126 par rapport à 76/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 19,4 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau nutritionnel, la patiente bénéficie d'un bilan de déglutition dans le cadre de sa maladie de Parkinson qui ne rapporte pas de particularité. Mme. Y peut consommer des potages enrichis afin de couvrir ses besoins énergétiques. En outre, durant son séjour, cette dernière n'a plus présenté de nausée ni de vomissement, et son indice de masse corporelle s'élève à 21 kg/m², avec un poids ciblé à 60 kg. Au niveau ergothérapeutique, un bilan complémentaire au niveau de la déglutition confirme que Mme. Y peut ingérer un régime normal. Devant la bonne évolution de la patiente, une sortie est décidée, avec un retour à domicile le 12.12.2018. Mme. Y est une patiente de 51 ans, connue pour les comorbidités susmentionnées, qui bénéficie le 17.12.2018 d'une ERCP, suite à laquelle elle développe des douleurs dans l'hémi-abdomen droit. Au laboratoire, on note une élévation de la lipase importante, raison pour laquelle nous hospitalisons la patiente pour la prise en charge d'une pancréatite. Le 21.12.2018, Mme. Y présente des douleurs en loge rénale droite ainsi qu'une dysurie. Le bilan met en évidence une infection urinaire haute et nous introduisons un traitement antibiotique empirique par Ciproxine par voie orale pour une durée totale de 14 jours. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mme. Y peut regagner son domicile en bon état général le 25.12.2018. Mme. Y est une patiente de 34 ans, à 6 semaines post-césarienne, qui se présente aux urgences pour des douleurs abdominales diffuses évoluant depuis 48 heures, associées à un arrêt du transit et des nausées et vomissements. Au CT, un iléus avec herniation de l'iléon terminal sur l'incision de Pfannenstiel est mis en évidence, raison pour laquelle la patiente est prise au bloc le jour même. Les suites opératoires sont simples et afébriles. Elle rentre à domicile le 14.12.2018 avec un contrôle à la consultation des chefs de cliniques. Mme. Y est une patiente de 87 ans, admise pour un OAP flash le 15.11.2018. La patiente est connue pour une cardiopathie ischémique, hypertensive et dysrythmique. Elle présente le 15.11.2018 au réveil une dyspnée d'apparition brutale avec tachypnée sans trigger spécifique, ne cédant pas après prise de Seretide. Dans ce contexte, la patiente appelle l'ambulance, qui met en évidence un pic hypertensif. L'évolution est rapidement favorable après VNI, Lasix IV et patch de nitrés. Elle nous est donc adressée pour la suite de la prise en charge. À noter une prise récente d'AINS dans le cadre de névralgies du trijumeau. Afin d'améliorer le profil tensionnel, nous majorons le traitement antihypertenseur, poursuivons les diurétiques initiés au service des urgences et stoppons les traitements d'AINS. Une meilleure compliance à la Bi-PAP est également conseillée. L'évolution est par la suite favorable. Le profil tensionnel reste par la suite fluctuant avec une tendance à l'hypotension. Suite à un nouvel épisode d'OAP flash sur pic hypertensif sans étiologie claire, une coronarographie est effectuée le 28.11.2018 afin d'exclure une étiologie ischémique. L'examen montre une coronaropathie intermédiaire avec une sténose limite de l'IVA ostiale ne nécessitant pas de stenting. Une étiologie mixte aux OAP récidivants est retenue avec une composante ischémique, rythmique et hypertensive. Un traitement de Corvaton est initié avec un contrôle à la consultation du Dr. X dans 1 mois. Dans le cadre de pics hypertensifs secondaires, nous procédons à un bilan de l'hypertension secondaire avec un dosage des métanéphrines plasmatiques qui revient dans la norme. La coronarographie avec injection des a. rénales permet d'exclure une sténose. Nous vous laissons le soin de suivre le profil tensionnel en ambulatoire et adapter les traitements en conséquence. Durant le séjour, nous observons une acutisation AKIN 1 de son insuffisance rénale chronique de stade 3b d'origine pré-rénale évoluant favorablement après adaptation des traitements diurétiques. Post coronarographie, la patiente développe une nouvelle acutisation de son insuffisance rénale avec une hyperkaliémie évoluant favorablement après hydratation prudente et arrêt de l'Aldactone. Des douleurs de type névralgique entravant son utilisation de la Bi-PAP sont rapportées. Elles sont atypiques avec une douleur intense sans acalmie, sans brûlure, débutant au niveau de l'oreille gauche, migrant progressivement vers le menton et sa narine gauche. Elles durent toute une journée avec une prise d'AINS durant trois jours. Elle n'est plus algique depuis le 12.11.2018. Un avis neurologique le 15.11.2018 suspecte une probable névralgie du trijumeau. Aucun traitement n'est instauré au vu de la résolution spontanée des douleurs sans récidive durant le séjour. Au cours de l'hospitalisation, la patiente développe des lombalgies non déficitaires droites ainsi que dans l'aine droite suite à un faux mouvement. La radiographie des hanches et lombaire du 23.11.2018 ne montre pas de fractures, mais des discopathies et des éléments ostéoporotiques déjà connus. L'évolution est favorable sous traitement topique par Fango. Au vu de l'évolution clinique favorable, Mme. Y rentre à domicile le 05.12.2018. Mme. Y, résidant au foyer de Bouleyres, présente une baisse de l'état général depuis 2 semaines avec hypo-vigilance et chutes à répétition. Elle est amenée aux urgences en ambulance le 16.12.2018 suite à une chute depuis une chaise vers 10h30 ce jour, sans témoin direct, les soignants ayant été alertés par le bruit. À l'anamnèse par système, Mme. Y se plaint de douleurs au niveau de l'épaule droite suite à la chute ainsi qu'une tendance à la constipation. Pas d'autre plainte ni douleur. A l'examen clinique, nous notons une hypo-vigilance avec un ralentissement psychomoteur ainsi qu'une pupille aréactive et dilatée à droite. A l'auscultation pulmonaire, présence de râles crépitants bibasaux. Au status ostéo-articulaire, douleurs à la palpation de l'épaule droite au niveau de l'insertion du long chef du biceps ainsi qu'à la palpation de la tête humérale droite. L'abduction à 90° est douloureuse. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 11.5 G/l et CRP à 50 mg/l. Les analyses d'urines montrent une leucocyturie (incomptables) et une hématurie microscopique à 6-10/champs. La radiographie du thorax et de l'épaule droite est sans particularité. Nous retenons le diagnostic d'infection urinaire basse et Mme. Y est hospitalisée pour antibiothérapie iv par Rocéphine. Les douleurs au niveau de l'épaule droite sont bien gérées sous antalgie. Au niveau neuropsychologique, la patiente présente une amélioration de l'état d'éveil ainsi qu'une thymie restant stable durant le séjour. Sur ce point, nous restons en contact avec Mme. Y (fille de la patiente) qui émet des inquiétudes par rapport à la surmédication de traitement sédatifs au foyer. Nous vous contactons et un rendez-vous avec les responsables du foyer et Mme. Y sera organisé. Sous antibiothérapie iv, l'évolution clinique et biologique est favorable permettant le relais par Ciprofloxacine per os à la sortie. Mme. Y regagne le foyer de Bouleyres le 19.12.2018. Mme. Y, une patiente de 69 ans connue pour une hernie hiatale, est hospitalisée pour surveillance dans le cadre d'une dilatation gastrique avec pose de sonde nasogastrique d'aspiration. Pour rappel, elle s'est présentée aux urgences pour des douleurs épigastriques depuis 1 semaine avec reflux alimentaire, pyrosis et hoquet récidivant. Un CT-scan abdominal a montré une importante dilatation gastrique avec aspect épaissi du pylore. Le laboratoire a montré l'absence de syndrome inflammatoire. Une sonde nasogastrique d'évacuation est posée sous conseil du chirurgien de garde, permettant un soulagement rapide des symptômes. La patiente est gardée en observation à l'étage pour évaluer la tolérance de la SNG et la reprise alimentaire. Cette dernière est effectuée sans difficulté et la SNG retirée rapidement. La patiente ne présente pas de récidive et peut regagner son domicile le 26.12.2018 avec poursuite des IPP et des procinétiques. Une OGD avec éventuelles biopsies sera réalisée en ambulatoire dans les meilleurs délais afin de préciser l'étiologie. Par ailleurs, une structure polypoïde de 7 mm accolée à la paroi colique (à la jonction côlon descendant/sigmoïde) est objectivée par les radiologues sur le CT-scan et une colonoscopie est dès lors recommandée pour préciser la nature de cette structure de découverte fortuite. Mme. Y est une patiente de 85 ans aux antécédents susmentionnés, qui se présente aux urgences le 26.11.2018 en raison de douleurs abdominales apparues le matin. A l'examen clinique, nous objectivons des bruits abdominaux diminués ainsi qu'un abdomen diffusément douloureux. Le CT effectué le jour même met en évidence un iléus jéjunal avec suspicion de volvulus mésentérique et signes de souffrance grêle, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une résection segmentaire grêle de 190 cm avec mise en place d'une split-stomie en fosse iliaque droite et un VAC sous-cutané sur la plaie de laparotomie médiane. L'intervention se déroule sans complications notables et la fermeture cutanée a lieu le 28.11.2018. Le 28.11.2018, la patiente présente une fibrillation auriculaire (FA) nouvelle, raison pour laquelle elle est transférée en salle de réveil pour cardioversion et surveillance. Une sédation est débutée en préparation d'une échocardiographie transoesophagienne, conduisant à une hypotension et une bradycardie sévère, amenant la cardioversion spontanée de la patiente. Un traitement par cordarone IV est débuté et la patiente transférée au service des soins intensifs le 29.08.2018 pour surveillance. Au vu de la stabilité hémodynamique et de l'absence de nouvel épisode de FA, la patiente est transférée le jour même au service de chirurgie. Un traitement par Cordarone par voie orale est mis en place et sera poursuivi à long terme. A noter que nous réintroduisons le traitement par sartan à demi-dose et stoppons l'Amlodipine en raison de tensions artérielles normales. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter ce traitement si nécessaire. Les suites post-opératoires sont marquées par une splitstomie à haut débit, raison pour laquelle nous procédons à la fermeture de l'iléostomie le 05.12.2018. L'évolution clinique est favorable avec une réalimentation bien tolérée et une reprise de transit rapide. Les fils de la laparotomie sont retirés avec une cicatrice calme. Les fils de la cicatrice de splitstomie seront à enlever à J-15 post-opératoire, à savoir le 20.12.2018. Au vu d'une anémie microcytaire hypochrome connue, nous effectuons un bilan avec une TSH et Vitamine B12 normales, une ferritine à 70 donc dans la zone grise, avec une saturation à la transferrine diminuée, acide folique abaissé à 4.6. Dans ce contexte, nous administrons une perfusion de Ferinject 500 mg le 14.12.2018 et introduisons un traitement par acide folique. Nous laissons le soin au médecin traitant d'effectuer un contrôle de l'hémoglobine et de la ferritine par la suite. Mme. Y est une patiente de 84 ans, connue pour une ostéoporose avec spondylolisthésis et sténose L5-S1 (infiltration épidurale le 14.02.2018), qui est amenée aux urgences par ses petits-enfants le 29.11.2018 suite à deux chutes le jour même avec TC sans perte de connaissance et baisse de l'état général depuis environ 1 semaine. A l'entrée, la patiente se plaint de troubles de l'équilibre nouveaux depuis environ 3 jours, sans autre plainte ni douleurs. Un CT cérébral et des vaisseaux pré-cérébraux revient dans la norme. A l'hétéroanamnèse avec la fille, la patiente est plus fatiguée et moins mobile depuis 5 jours, avec troubles de l'équilibre, mais aussi une fatigue et perte de force (générale) et perte d'appétit. Pas de fièvre, pas de dyspnée, douleurs dorsales habituelles. Pas de trouble de la déglutition. Au status, on trouve une parésie du bras droit, de la jambe droite ainsi qu'une dysmétrie ddc au doigt-nez (g>d) et un Babinski en extension ddc. Après avis neurologique, avec un NIHSS à 3 pts (MSD et MID), un AVC subaigu est suspecté et une antiagrégation par Aspirine est débutée. Une IRM effectuée le lendemain montre une microangiopathie (déjà présente sur un ancien IRM de 2016) et de probables lésions lacunaires séquellaires, mais aucune lésion ischémique récente. Un bilan cardiaque par ETT revient dans la norme. Après 2 chutes nocturnes, nous constatons une péjoration de l'hémiparésie droite brachio-crurale et plus tardivement, un globe vésical vient compléter la symptomatologie. Un CT natif ne montre aucun saignement. Nous revoyons donc la situation avec nos collègues neurologues qui préconisent une IRM cervico-dorsale, après un doute d'un hypersignal médullaire débutant sur l'IRM cérébrale initiale. L'IRM montre une myélite des niveaux C2-C6, D2 et D4-D6, avec prise de contraste intense et œdème médullaire concordant avec la symptomatologie. Le diagnostic différentiel étant large, les neurologues conseillent un bilan avec une ponction pleurale et l'arrêt de l'Aspirine cardio.A noter qu'au souhait de la patiente et de sa famille, une rentrée à domicile a lieu le soir du 05.12.2018, alors que les résultats de l'IRM n'étaient pas encore disponibles ni discutés avec les neurologues. La patiente et la famille souhaitent des soins palliatifs à domicile sans poursuite des investigations. Nous informons la famille et la patiente de l'absence de diagnostic ni exclusion d'une éventuelle cause réversible. Un suivi par les infirmières du Spitex est mis en place ainsi qu'une ergothérapie pour adaptation du domicile. La famille est mise au courant par téléphone des résultats de l'IRM le 6.12.2018, mais reste sur sa décision initiale de soins de confort à la maison, tout en étant consciente du risque de péjoration neurologique progressive. Dans le cas où la patiente changerait d'avis ou bien que la charge des soins deviendrait trop lourde et que la famille souhaiterait une prise en charge palliative intra-hospitalière, une nouvelle hospitalisation via les urgences est clairement indiquée. Mme. Y nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire le 20.11.2018 suite à un STEMI le 06.11.2018 avec mise en place d'un stent actif. Traitement à l'entrée : • Patch Nicotinell fort • Aspirine cardio 100 mg 1x/jour • Beloc Zok 25 mg 1x/jour • Efient 10 mg 1x/jour • Escitalopram 10 mg 1x/jour • Lisinopril 5 mg 1x/jour • Pantozol 40 mg 1x/jour • Atorvastatine 40 mg 1x/jour • Zolpidem 1x/jour • Metformine 500 mg 2x/jour • Tramal en R • Movicol en R • Dafalgan en R Durant son séjour, la patiente présente des douleurs thoraciques rétro-sternales irradiantes dans le bras gauche le 27.11.2018 et le 03.12.2018. Les électrocardiogrammes de contrôle ne montrent pas de modifications ECG compatibles avec une ischémie aiguë. La symptomatologie de la patiente est soulagée par l'administration d'un patch de nitrés du 27.11 au 28.11 et du 3.12 au 4.12.2018. Au laboratoire, les troponines reviennent négatives les deux fois. Au vu de l'évolution favorable de la patiente, de l'absence de signe d'ischémie sur les ECG et d'une coronarographie déjà organisée à Fribourg le 4.12.2018, nous décidons de poursuivre avec un suivi clinico-biologique jusqu'à l'intervention. Sur le plan du sevrage tabagique, la patiente n'a pas réussi à interrompre son tabagisme actif. La patiente présente une réaction cutanée aux patchs de nicotine qui rend la compliance et la tolérance de ces patchs plus difficile. Nous essayons une substitution par spray de nicotine au besoin. Nous informons la patiente de l'importance de diminuer sa consommation de cigarettes. Au sujet du réentraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité modérée et elle a pu progresser tout au long de son séjour. A la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 2.4 km/h pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à l'entrée, on objective une distance parcourue de 425 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mme. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Patient tabagique actif. La patiente n'a pas rencontré Dr. X car le rendez-vous était organisé le matin qui a suivi les douleurs thoraciques. Dr. X se tient à disposition si nécessaire par la suite. Un traitement de substitution par spray de nicotine est instauré au besoin. 2. Sous traitement, la tension artérielle est restée dans la norme. 3. La patiente est traitée par Atorvastatine 40 mg avec une cible de LDL inférieure à 1.8 mmol/L. Les valeurs seront à contrôler chez le médecin traitant si non effectué à Fribourg lors de son transfert. Nous transférons la patiente à l'HFR Fribourg le 04.12.2018 pour une coronarographie élective. Nous arrêtons son traitement de Metformine 2 jours avant la procédure et mettons la patiente à jeûn. Nous proposons à la patiente de poursuivre avec une réadaptation cardiovasculaire ambulatoire après la coronarographie du 4.12.2018 si tout se déroule correctement. Mme. Y est une patiente de 65 ans suivie à la consultation de Dr. X pour une obésité qui a bénéficié en 1995 d'une gastroplastie verticale calibrée puis en 2000 de la mise en place d'un anneau gastrique, qui est hospitalisée le 03.12.2018 pour une ablation de l'anneau gastrique par laparoscopie en vue de la réalisation d'un bypass gastrique ultérieurement. Les suites opératoires sont simples et permettent un retour à domicile le 06.12.2018. La patiente sera revue à la consultation de Dr. X le 08.01.19 à 14h20. A noter que la patiente présente des épisodes de tachycardie irrégulière en per-opératoire, un électrocardiogramme post-opératoire retrouve un rythme sinusal superposable aux électrocardiogrammes antérieurs. La patiente sera convoquée en ambulatoire pour la réalisation d'un Holter. Mme. Y, patiente de 88 ans, consulte aux urgences suite à un malaise à domicile en position debout, sur faiblesse des jambes d'après l'hétéro-anamnèse de la veilleuse de nuit à son domicile. L'anamnèse auprès de la patiente est limitée en raison d'une démence avancée, toutefois selon l'hétéro-anamnèse de l'infirmière au domicile, il n'y a pas eu de perte de contact, de traumatisme, de morsure de langue, convulsions ou perte d'urine. La glycémie lors de l'épisode est dans la norme. Une fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide est observée à l'arrivée aux urgences avec une cardioversion spontanée. A noter un rythme irrégulier selon les notes des soins au domicile depuis début 12.2018. Aux urgences, un test de Schellong, une échographie ciblée cardiaque et abdominale et un massage des sinus carotidiens sont dans la norme. Après avis cardiologique, le malaise est mis dans le contexte de bas débit lors de l'épisode de fibrillation auriculaire rapide. Un diagnostic différentiel de pause post-cardioversion spontanée est également évoqué. Un traitement de Cordarone est instauré avec une dose de charge sans hypotension ni bradycardie durant l'hospitalisation. Un Holter a été organisé en ambulatoire pour réévaluer ce traitement. Une ETT n'est pas indiquée chez une patiente sans signe de décompensation cardiaque ni souffle et l'absence de dispension thérapeutique. Malgré un CHADS2-VASC2 à 5 pts, une anticoagulation n'est pas instaurée en raison d'une hémorragie intracrânienne sur chute en 10/2018. La patiente rentre à domicile le 11.12.2018 avec la reprise des soins à domicile 24/24h. Mme. Y est une patiente de 64 ans, notamment connue pour un syndrome de Leriche, qui a bénéficié dans ce contexte d'un pontage aorto-bifémoral le 29.10.2018. L'intervention se déroule sans complication, mais les suites opératoires seront marquées par une pyélonéphrite ainsi que par une suspicion de cholécystite non compliquée, traitée initialement par Rocéphine et Flagyl, relayée le 13.11.2018 par Ciproxine. Le 16.11.2018, la patiente rentre à domicile, mais reconsulte quelques heures après en raison de douleurs abdominales aiguës. Un CT effectué met en évidence un iléus grêle qui est initialement traité conservativement avec mise en place d'une sonde nasogastrique. Le 03.12.2018, en raison de fortes douleurs associées à une augmentation du syndrome inflammatoire, un nouveau CT est agendé, démontrant une perforation de l'intestin grêle. La patiente bénéficie donc en urgence d'une résection du grêle à 150 cm du Treitz avec mise en place d'une stomie ainsi qu'un VAC abdominal sous-cutané. Une antibiothérapie empirique par Ceftriaxone et Métronidazole en intraveineux est ensuite introduite jusqu'au 09.12.2018.Sur le plan digestif, l'évolution suite à l'intervention chirurgicale est favorable sur le plan clinique et biologique. Des changements de VAC itératifs de la plaie de laparotomie sont effectués avec une fermeture le 17.12.2018. Le transit est repris avec un débit acceptable par la splitstomie après la mise en place d'un traitement par Lopéramide ainsi qu'Optifibre. Nous vous proposons de continuer ce traitement et de l'adapter avec une cible entre 500 et 1200 ml/24 heures. Une nutrition parentérale est également mise en place du 05.12.2018 jusqu'au 22.12.2018, ainsi qu'un suivi par les diététiciennes. Sur le plan vasculaire, le séjour se complique par une fistule lymphatique de la plaie inguinale droite, raison pour laquelle Mme. Y est reprise au bloc opératoire le 23.11.2018 pour une cure de lymphocèle ainsi qu'une mise en place d'un VAC inguinal. L'intervention se déroule sans complications. Le VAC est changé au bloc opératoire de façon itérative avec une évolution favorable, et la fermeture de plaie se fait le 12.12.18. L'anticoagulation thérapeutique est arrêtée le 20.12.2018 avec la poursuite du Plavix et de l'héparine selon l'avis de la chirurgie vasculaire. Le cas sera rediscuté au prochain colloque interdisciplinaire de chirurgie vasculaire en vue de discuter d'une éventuelle reperméabilisation de l'artère mésentérique supérieure. Sur le plan respiratoire, la patiente présente le 09.12.2018 une pneumonie nosocomiale droite avec épanchements pleuraux bilatéraux. Un traitement par Pipéracilline-Tazobactam est mis en place pour 10 jours, ainsi que de la physiothérapie respiratoire et des séances de C-PAP. Au vu de la bonne évolution chez une patiente toutefois ayant été hospitalisée pendant 5 semaines et présentant un déconditionnement ainsi qu'une dénutrition, une réadaptation est agendée. Mme. Y est transférée le 27.12.2018 au centre de réadaptation de Billens pour suite de prise en charge avec reconditionnement, suivi nutritionnel. Mme. Y, connue pour une cardiopathie hypertensive ainsi que des troubles cognitifs, est amenée aux urgences en ambulance le 16.12.2018 suite à une syncope sans traumatisme crânien durant un repas de famille, précédée par une lipothymie. Les ambulanciers mettent en évidence une hypotension à 72/51 mmHg qui se corrige sous hydratation parentérale. Aux urgences, un scanner cérébro-cervical permet d'exclure une hémorragie active ainsi qu'une fracture. La patiente est hospitalisée en médecine pour surveillance clinique. Sur le plan cardiovasculaire, l'évolution clinique est favorable avec un profil tensionnel dans la norme après hydratation parentérale et mise en suspens du traitement diurétique par Thiazide. Un test de Shellong permet d'écarter une origine orthostatique, cependant réalisé après hydratation. En l'absence de symptôme cardiaque ainsi qu'anomalie clinique à l'électrocardiogramme, une origine vaso-vagale sur syncope réflexe et médicamenteuse est retenue. Sur le plan néphrologique, une insuffisance rénale aiguë stade AKIN 1 dans un contexte d'insuffisance rénale chronique stade G3 est constatée, de probable origine prérénale sur déshydratation, s'améliorant après hydratation parentérale. Sur le plan électrolytique, une hypokaliémie à 3.2 mmol/l se corrige après substitution orale. Enfin, sur le plan social, après discussion avec les proches, les soins à domicile sont maintenus à 1x/semaine. Mme. Y peut regagner son domicile le 18.12.2018. Nous vous laissons le soin de réévaluer l'introduction du traitement diurétique par Thiazide. Mme. Y, connue pour un carcinome papillaire de variante classique de la thyroïde, est adressée par Dr. X pour traitement par thérapie ablative au iode 131. Le traitement se passe sans complications et la patiente retourne à domicile le 12.12.2018. Un suivi en endocrinologie est déjà agendé. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte de décompensation respiratoire. En effet, elle a présenté l'apparition d'une dyspnée rapidement progressive, accompagnée d'un état fébrile dans un contexte de probable sarcoïdose pulmonaire et d'un syndrome obstructif chronique. Nous introduisons une double antibiothérapie par Céphalosporines et Macrolides dans un premier temps. La présence d'un pneumocoque dans les expectorations sensibles à l'Amoxicilline nous permet de changer le traitement pour une durée totale de 7 jours. L'amélioration clinique et biologique est rapide, permettant un retour à domicile le 20.12.2018. Au vu des doses importantes et sur le long terme de stéroïdes, nous introduisons un traitement prophylactique par Bactrim 3 fois par semaine après avis pneumologique. Un rendez-vous chez son pneumologue, Dr. X sera agendé au début 2019. Suivant le carnet de vaccination de la patiente, nous conseillons d'effectuer le vaccin contre le pneumocoque en ambulatoire si nécessaire. Mme. Y, 75 ans, présente depuis des semaines des douleurs du pied droit d'apparition progressive atraumatique avec léger œdème et une plaie nécrotique interdigitale entre le 4ème et le 5ème orteil. Le bilan aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Une angioplastie pour recanalisation est faite le 05.10.2018 avec stenting du carrefour fémoral droit. L'évolution de la plaie demeure inchangée avec une pléthysmographie qui montre une pression artérielle systolique du gros orteil D: 36 mm Hg et un US-Doppler montrant une bonne perméabilité du carrefour fémoral et de ses stents, mais une occlusion au niveau poplité. Une nouvelle discussion au colloque vasculaire le 15.10.2018 est faite et nous retenons l'indication à une prise en charge chirurgicale par pontage fémoral superficiel vers poplité infra-géniculaire en VSI inversée homolatérale + TEA par éversion de l'artère poplitée segment P3 + désarticulation du 4ème et 5ème orteil du pied droit le 17.10.2018. Un bilan cardiologique préopératoire est effectué qui révèle un rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénérative. Surface aortique à 1,2 cm². Gradient moyen VG-Ao à 16 mmHg. Les suites opératoires sont marquées par 2 épisodes de NSTEMI traités par stenting au niveau de l'IVA avec une bonne perméabilité de celle-ci, mais une occlusion de la première diagonale. Sous double antiagrégation, la patiente présente une macrohématurie qui est traitée par des rinçages vésicaux via une sonde urinaire à 3 voies avec mise en suspens de l'anticoagulation, remplacée par des bottes antithrombotiques. Par la suite, elle présente de nouvelles douleurs thoraciques associées à une dyspnée et désaturation ainsi qu'à un œdème du membre inférieur droit et la mise en évidence d'une thrombose de la veine poplitée droite et suspicion d'embolie pulmonaire pour laquelle une anticoagulation est débutée le 04.11.2018. Suite à ce traitement et en accord avec nos collègues cardiologues, nous arrêtons la double antiagrégation en maintenant le Plavix. Des reprises chirurgicales du moignon d'amputation et des changements de VAC itératifs suivis de soins de plaies sont effectués quotidiennement. Sur le plan infectiologique, Mme. Y présente un état fébrile avec une augmentation des paramètres inflammatoires biologiques durant son hospitalisation. Des hémocultures sont réalisées qui montrent un S. haemolyticus avec culture de la VVP positive pour le même germe. Dans ce contexte, la Cubicine est instaurée dès le 13.11.2018 et ceci pour une durée d'une semaine. Concernant le membre inférieur droit, la patiente présente une infection du moignon sur entérocoque traité par co-Amoxicilline du 13.11 au 21.11.2018. Un pseudomonas est retrouvé dans la plaie inguinale droite et traité par Tazobac du 22 au 27.11.2018.Sur le plan neuropsychiatrique, Mme. Y présente des troubles mnésiques importants associés à une agressivité verbale. Dans ce cadre, une demande neuropsychiatrique est faite avec un résultat infructueux dans le contexte de faible collaboration. La patiente bénéficie des changements de VAC itératifs, avec une bonne évolution des plaies au niveau inguinal et pied droit. Au vu de la bonne évolution, nous décidons d'effectuer un pansement simple au niveau inguinal dès le 13.12.2018 et au pied dès le 18.12. Une discussion avec la famille de Mme. Y a lieu le 19.12.2018, où il est décidé de refaire un bilan psychiatrique en raison des troubles mnésiques et désorientation qui se sont péjorés pendant l'hospitalisation. Suite à celui-ci, des troubles du comportement avec une agressivité verbale et physique, une tentative de fugue et une absence de collaboration vis-à-vis des soins ainsi qu'une absence de capacité de discernement évaluée par le Dr. X motivent un placement à des fins d'assistance à l'hôpital psychiatrique de Marsens. Mme. Y, connue pour un diabète de type 2 insulino-requérant, est hospitalisée dans un contexte de trouble de la marche en péjoration rapide le 04.12.2018. Pour rappel, la patiente rapporte avoir présenté un flou visuel binoculaire, suivi d'une instabilité à la marche avec déviation latérale D durant 2h, survenue lors d'une réadaptation gériatrique à Billens dans le contexte d'un AVC cérébelleux G en juillet 2018. Aux urgences, la patiente est asymptomatique et le status neurologique est dans la norme. Le CT cérébral et l'IRM cérébrale montrent les anciennes lésions sans lésion ischémique ou hémorragique nouvelle. La patiente est hospitalisée en lit Stroke non monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié du remplacement de l'Aspirine par du Plavix. Les facteurs de risque cardiovasculaires semblent contrôlés. Nous ne retenons pas d'indication à effectuer plus d'investigation au vu du bilan étiologique effectué lors de son dernier AVC en juillet 2018. De plus, l'origine neurovasculaire à ces troubles est incertaine et nous suspectons en premier lieu des troubles de la marche chroniques acutisés dans le contexte de lombalgies G. L'épisode décrit par la patiente de flou visuel binoculaire passager fait suspecter une hypoglycémie en raison d'une récidive légère des symptômes dans le contexte de glycémie à 4.5 mmol/l, basse pour la patiente. L'évolution clinique est stable avec un status neurologique de sortie montrant une appréhension à la marche légère, sans déficit neurologique focal. La pallesthésie est mesurée à 6/8 aux malléoles bilatéralement. Le Romberg montre une danse des tendons sans chute. Un bilan physiothérapeutique révèle un Tinetti à 22/28 avec ses bâtons de marche. Nous prescrivons de la physiothérapie en ambulatoire. Mme. Y peut regagner son domicile le 07.12.2018. Mme. Y est une patiente de 57 ans, connue pour un syndrome de Sjögren diagnostiqué récemment suivi par le Dr. X. Elle est hospitalisée en électif pour investigations neurologiques suite à la découverte de multiples lésions lacunaires vs démyélinisantes intra-cérébrales. De plus, elle est suivie en psychiatre ambulatoire pour un trouble anxio-dépressif. Actuellement, la patiente ne présente pas de trouble neurologique mais surtout un syndrome sec (peau, larme, bouche) en lien avec sa maladie de base. Durant l'hospitalisation, une IRM panmédullaire ne met pas en évidence de lésions suspectes. Une hypovitaminose D est mise en évidence et une substitution est initiée. Les autres résultats intermédiaires du bilan biologique et de la ponction lombaire sont dans la norme. Les résultats définitifs (laboratoire, ponction lombaire, ENMG) seront envoyés au Dr. X et au Dr. Y. Une consultation ophtalmologique ne montre pas de signe de vasculite, ni rétinopathie du prématuré, ni névrite rétrobulbaire mais une rétinopathie hypertensive stade II bilatérale sans nécessité de contrôle à distance. Après discussion avec les neurologues, sur la base des résultats obtenus, une atteinte vasculitique peut raisonnablement être exclue. De plus, n'ayant pas de trouble focal, ni éléments cliniques, ni anamnestiques parlant pour une poussée de SEP, ce diagnostic reste peu probable. Cependant, si la patiente devait présenter des signes ou des symptômes d'une poussée, il est important de réaliser une IRM avec les mêmes modalités et dans le même institut que le dernier pour la comparaison. Les lésions cérébrales semblent être congénitales, aspécifiques, en lien avec la prématurité extrême. Mme. Y rentre à domicile le 20.12.2018. Mme. Y est une patiente de 22 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 26.11.2018 en raison de douleurs épigastriques depuis 48 heures avec migration en fosse iliaque droite ainsi que vomissements et frissons. Le bilan clinique et radiologique effectué aux urgences met en évidence une appendicite aiguë, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une appendicectomie par laparoscopie en urgence le 27.11.2018. L'intervention se déroule sans complication notable. En raison d'une perforation couverte avec péritonite d'un quadrant, une antibiothérapie empirique par Rocéphine et Métronidazole en intraveineux est mise en place, qui est relayée par Ciproxine et Flagyl par voie orale le 28.11.2018. Les suites post-opératoires sont marquées par des nausées importantes, raison pour laquelle nous relayons le traitement antibiotique par Co-Amoxicilline par voie orale le 29.11.2018. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, la patiente peut regagner son domicile en bon état général le 29.11.2018. L'antibiothérapie sera poursuivie pour une durée totale de 7 jours, soit jusqu'au 03.12.2018. Mme. Y est une patiente de 77 ans connue pour une hémicolectomie droite qui consulte aux urgences pour des épisodes d'hématochézies avec chute de l'hémoglobine sans répercussion hémodynamique. La patiente bénéficie d'une gastroscopie et d'une colonoscopie qui retrouvent une diverticulose sigmoïdienne importante sans saignement actif. Nous retenons le diagnostic le plus probable d'un saignement diverticulaire. À noter la présence au niveau de l'anastomose iléo-transverse d'ulcères superficiels qui sont biopsiés. Nous ne recommandons aucun suivi particulier, et transmettrons les résultats histopathologiques qui pourraient demander une nouvelle colonoscopie de suivi à distance. Le 11.12.2018, la patiente rentre à domicile, selon ses souhaits, sans nouvelle extériorisation de sang mais sans reprise du transit. Mme. Y est une patiente de 73 ans, qui est hospitalisée en électif pour pose de pacemaker pour pauses sinusales avec dysfonctionnement sinusal. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni autres complications. Le positionnement du pacemaker est correct. Mme. Y rentre à domicile le 21.12.2018. Mme. Y est une patiente de 77 ans connue pour une insuffisance rénale terminale sous dialyse via un Permcath droit posé début 2017 qui nous est adressée par nos collègues néphrologues en raison d'une dysfonction du cathéter due à un déplacement de celui-ci. Nous posons l'indication à un changement de Permcath qui est effectué le 03.12.2018. L'intervention se déroule sans complication et la patiente rentre à domicile le 04.12.2018.Mme. Y est une patiente de 78 ans qui nous est transférée depuis Tavel le 28.11.2018 pour la prise en charge d'une cholangite sur cholédocholithiase. La patiente est stable, nous l'hospitalisons sous Ceftriaxone et Metronidazole intraveineux. La patiente bénéficie le 29.11.2018 d'une ERCP avec papillotomie et de l'extraction de plusieurs concréments dont un de 1,3 cm directement derrière la papille. Le syndrome inflammatoire baisse ensuite continuellement. Nous maintenons une antibiothérapie pour une durée totale de 10 jours et la patiente rentre à domicile le 04.12.2018. Nous reverrons la patiente en date du 13.12.2018 à 11h à la consultation des chefs de clinique pour planifier et organiser une cholécystectomie à distance. Mme. Y est une patiente de 79 ans qui est admise aux soins intensifs pour une encéphalopathie d'origine indéterminée, possiblement de cause médicamenteuse sur Prégabaline et Buprénorphine. La patiente est hospitalisée à Riaz depuis fin novembre pour une réadaptation de lombo-sciatalgies en péjoration. Le 02.12.2018, elle développe un syndrome alterne déficitaire évoquant un possible AVC du tronc. Le CT-scan cérébral montre une séquelle de la capsule droite sans lésion ischémique nouvelle et une sténose carotidienne gauche. Un AVC est exclu à l'IRM. Une ponction lombaire ne retrouve pas d'éléments en faveur d'une origine infectieuse ou inflammatoire. Un EEG ne révèle pas de foyer irritatif. Le status neurologique avec des myoclonies et un état confusionnel persistant évoque plutôt une encéphalopathie de probable origine médicamenteuse. L'évolution est favorable avec mise en suspens des traitements incriminés et avec la physiothérapie. A noter qu'au vu d'une agitation initiale dans le contexte de l'état confusionnel, la patiente nécessite une sédation avec intubation afin de pouvoir réaliser l'IRM cérébrale. La patiente peut être extubée sans complication après 24h de ventilation mécanique. La patiente présente également des diarrhées profuses. Un CT abdominal retrouve des signes de colite diffuse chez cette patiente comme pour une colite microscopique. La recherche de Clostridium et Norovirus est négative. Son traitement habituel d'Entocort est mis en suspens et une antibiothérapie par Ceftriaxone et Métronidazole est introduite avec évolution favorable. Durant son séjour, la patiente présente un passage en fibrillation auriculaire rapide hémodynamiquement stable le 04.12.2018 mis sur le compte de la déshydratation liée aux diarrhées avec réponse favorable par simple remplissage et dose unique de Cordarone. La patiente est transférée à Billens pour poursuivre son parcours de neuroréhabilitation le 13.12.2018. Mme. Y est une patiente de 80 ans, qui nous est adressée par son médecin traitant en raison de douleurs thoraciques rétrosternales oppressives non irradiantes depuis 3 nuits associées à des angoisses, des palpitations et une dyspnée paroxystique nocturne. L'ECG des urgences ne montre pas de signes d'ischémie aiguë et il n'y a pas de cinétique des troponines. A l'arrivée aux urgences, la patiente présente une décompensation cardiaque que nous traitons par diurétiques intraveineux avec relais au Torasemid per os avec bonne évolution clinique. L'étiologie de la décompensation est probablement un passage en FA rapide. Dans ce contexte, nous majorons le traitement bêta-bloquant, bien toléré par la patiente. Un Holter est effectué pendant l'hospitalisation. Nous vous laissons le soin de pister les résultats et adapter le traitement en conséquence. Compte tenu de douleurs rétrosternales persistantes chez une patiente avec des facteurs de risque cardiovasculaire et une nette péjoration de la fonction du ventricule gauche à l'ETT du 12.12.2018, une coronarographie est proposée. En effet, l'ETT montre une dilatation modérée du ventricule gauche avec une fonction contractile sévèrement diminuée à 25 %, ainsi qu'une sténose aortique modérée. La coronarographie revient dans la norme, mais laisse suspecter une sténose aortique sévère, motivant la réalisation d'une ETO. L'examen confirme une sténose modérée, sans indication à une TAVI. Un suivi ultrasonographique est à poursuivre en ambulatoire. Concernant le diabète de type II, la patiente relate quelques hypoglycémies matinales les semaines précédant l'hospitalisation ainsi qu'à l'admission, motivant l'adaptation du traitement anti-diabétique sans récidive d'épisodes d'hypoglycémies. La patiente ne souhaite plus de retour au domicile en raison d'une angoisse et d'un sentiment de solitude. Elle garde toutefois une bonne autonomie. Un projet de placement en EMS à Tavel est en cours, une inscription ayant été faite par le fils et la patiente avant l'hospitalisation. Actuellement, la patiente décrit une légère péjoration de sa performance physique motivant une demande de réadaptation en vue d'un éventuel retour au domicile le temps d'une place en EMS. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie.Mme. Vuarnoz nous est adressée pour une réadaptation cardiovasculaire suite à l'implantation d'une valve aortique TAVI de type CoreValve Evolut Pro 26 mm par voie percutanée fémorale droite le 12.11.2018 par le Dr. X à la Clinique Cécil. Le traitement à l'entrée comprend : • Lixiana 30 mg • Beloc Zok 100 mg • Dilzem 180 mg • Torasémide 5 mg • Crestor 5 mg Durant son séjour, nous diminuons le Dilzem à 60 mg 2x/jour avec une évolution favorable aux contrôles cliniques et rythmiques. Sur le plan rythmique, la patiente est en fibrillation auriculaire anticoagulée et bien tolérée tout au long de son séjour. Sur le plan hématologique, les hématomes régressent de façon spontanée et nous pouvons observer une amélioration lente mais progressive des bosses séro-sanguines présentes sur la main et la jambe droite de la patiente. Sur le plan ORL, la patiente présente des épistaxis récidivantes que nous soulageons avec administration de Bepanthen-onguent nasal avec des ouates intra-nasales à visée hémostatique. Un consilium ORL est demandé afin de savoir si une cautérisation serait possible. Sur le plan psychologique, la patiente a été vue par notre cardiopsychologue, Dr. X, avec un bilan positif qui montre une évolution favorable depuis l'opération du cœur, sans stress ni anxiété. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, la patiente a débuté dans un groupe d'intensité faible et elle a pu bien progresser tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, elle est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 3.6 km/h sur une pente de 1.5 % pendant 25 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 25 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre une accélération de la fréquence cardiaque rapide jusqu'à un plateau atteint à 140 bpm. Le contrôle du rythme cardiaque sur 24h montre un rythme VVI-CLS, raison pour laquelle nous ne réalisons pas de modification de la programmation du pacemaker. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.6 mmol/L, des HDL à 0.89 mmol/L, des LDL à 2.5 mmol/L, des triglycérides à 1.14 mmol/L. 2. Sous traitement, les tensions artérielles de la patiente sont dans la norme. Mme. Waeber, connue pour une cardiopathie ischémique rythmique et valvulaire, est adressée aux urgences par le Dr. X, cardiologue traitant, pour prise en charge d'une décompensation cardiaque. En effet, la patiente rapporte une dyspnée au moindre effort depuis 10 jours, accompagnée d'oedèmes des membres inférieurs. Elle rapporte également des lombalgies non déficitaires et non irradiantes sur fracture-tassement de D12 le 01.11.2018 suite à des mouvements inhabituels. Dans ce contexte et suite à une consultation avec le Dr. X, une cyphoplastie est programmée pour le 06.11.2018. Cette dernière est annulée au vu de la décompensation cardiaque. À l'admission aux urgences, la patiente est en état général conservé. Elle est normotendue à 122/80 mmHg, légèrement tachycarde à 97/min, afébrile et sature à 95% à l'air ambiant. Au status cardio-vasculaire, notons des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux jusqu'aux genoux. L'auscultation pulmonaire est dans la norme. Le laboratoire met en évidence un NT-proBNP à 11'819 ng/l et une hémoglobine à 108 g/l. La CRP est légèrement augmentée à 10 mg/l, sans leucocytose. L'ECG montre une fibrillation auriculaire rapide à 128/min, connue et déjà traitée par Xarelto, sans répercussion dynamique et la radiographie du thorax montre de faibles épanchements pleuraux bilatéraux. Mme. Waeber est hospitalisée et nous introduisons un traitement par Lasix iv 20 mg 4x/j. Le laboratoire de contrôle du 29.11.2018 met en évidence une hypokaliémie à 2.7 mmol/l que nous substituons per os jusqu'au 30.11.2018. Nous adaptons également le traitement diurétique. L'évolution est favorable avec une kaliémie à 3.1 mmol/l le 30.11.2018. Nous vous laissons le soin d'effectuer un contrôle biologique le 01 ou le 02.12.2018. En ce qui concerne la décompensation cardiaque, l'évolution est favorable avec diminution des oedèmes des membres inférieurs et perte pondérale de 3 kg, permettant le relais du traitement diurétique par Torasémide per os dès le 29.11.2018. Mme. Waeber présentant des difficultés à la mobilisation ainsi que des lombalgies dans le contexte de la fracture-tassement de D12, elle est transférée dans le service de réhabilitation gériatrique le 30.11.2018. Mme. Waeber est une patiente de 52 ans, qui est hospitalisée dans notre service de chirurgie pour prise en charge élective d'un abaissement du plancher pelvien. Elle bénéficie le 12.12.2018 de l'intervention susmentionnée. Celle-ci se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable. À noter l'apparition en post-opératoire d'une hypoesthésie sur la face interne de la cuisse gauche comprenant la grande lèvre vaginale gauche. Après discussion avec le Dr. X, il est préconisé de suivre l'évolution clinique sur les 15 prochains jours et de se représenter en cas de non-amélioration ou péjoration. Elle retourne à son domicile le 14.12.2018. Mme. Waeber sera vue à la consultation du Dr. X le 24.01.2019 à 09h00. À noter qu'une lésion avait été suspectée au niveau de la face antérieure du rectum lors du bilan préopératoire motivant la réalisation d'une rectoscopie rigide le 12.12.2018. Celle-ci a permis d'exclure la présence d'une telle lésion. Mme. Waeber, 83 ans, est hospitalisée pour l'investigation de chutes à répétitions d'origine indéterminée. Votre patiente présente depuis le 21.11.2018 des épisodes de chutes à répétition sans facteur déclencheur et trouble de la conscience. Elle explique un lâchage soudain des jambes entraînant une chute sur les genoux. Avant ces chutes itératives, Mme. n'aurait jamais présenté de troubles de l'équilibre. À l'entrée, la patiente est asymptomatique. Le bilan intra-hospitalier ne permet pas de déceler une étiologie claire. Les résultats du Holter sont en cours. Nous retenons des chutes à répétitions probablement d'origine mécanique. Un contrôle cardiologique est à effectuer en ambulatoire. Elle bénéficie de physiothérapie avec succès. Durant le séjour, la patiente ne présente aucune plainte. Nous observons une fluctuation de la fréquence cardiaque asymptomatique. Le traitement anti-hypertenseur est majoré (TAs > 150 mmHg) permettant de normaliser le profil tensionnel. Nous vous laissons le soin de réévaluer le traitement au besoin. La patiente rejoint son domicile, asymptomatique, le 08.12.2018. Mme. Walzer, une patiente de 21 ans en bonne santé, est hospitalisée pour surveillance rythmique suite à une myocardite post-angine streptococcique le 24.12.2018. Elle a présenté des douleurs thoraciques soulagées à la pronation au décours d'une angine streptococcique traitée par Azithromycine depuis deux jours. Le bilan révèle un mouvement d'enzymes cardiaques avec inflammation biologique et des troubles de la repolarisation suggérant une myo(péri)cardite. L'échocardiographie montre une légère altération de la fonction cardiaque avec troubles cinétiques apico-latéraux. Un traitement anti-inflammatoire est débuté. L'évolution est favorable avec disparition des douleurs et diminution des paramètres inflammatoires. Les enzymes cardiaques fluctuent mais avec une tendance générale à la baisse. Au vu de ces éléments et conformément aux souhaits de la patiente (détresse émotionnelle à l'idée de passer le temps des fêtes à l'hôpital), nous laissons la patiente regagner son domicile en l'instruisant de rester au repos et de reconsulter au moindre symptôme.L'échocardiographie de contrôle est prévue le 28.12.2018. Les efforts intenses sont à éviter pour au moins 3 mois. Mme. Y est hospitalisée suite à une bronchoscopie prévue en ambulatoire, mais au vu de saignements importants lors du geste, une hospitalisation pour surveillance est convenue. Ce geste est effectué dans un contexte de la découverte d'une masse hilaire lors d'un scanner effectué pour l'apparition de symptômes B, d'une toux sèche ainsi qu'une dyspnée d'apparition progressive. Les résultats de la bronchoscopie seront communiqués à la patiente par le biais de Dr. X le 04.01.2019, ainsi que la suite de prise en charge. Au vu d'une suspicion de foyer pulmonaire, une antibiothérapie empirique est instaurée, pour une durée de 7 jours. Mme. Y peut rentrer à domicile le 29.12.2018. Mme. Y est une patiente de 20 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente le 12.12.18 aux urgences en raison de douleurs abdominales en fosse iliaque droite évoluant depuis 72 heures, sans nausées ou vomissements, ni troubles du transit ou urinaires. Le laboratoire démontre un syndrome inflammatoire et au CT, on retrouve une appendicite aiguë rétro-caecale débutante. La patiente est donc prise au bloc le jour même. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. La patiente rentre à domicile le 14.12.2018. Etant donné qu'elle n'a pas de médecin traitant et vient de l'étranger, l'ablation des fils se fera le 26.12.2018 à 10h à la filière 34. Mme. Y est une patiente de 34 ans en bonne santé habituelle, qui est admise le 03.12.2018 par le service des Urgences pour des douleurs abdominales en fosse iliaque droite. Les examens complémentaires mettent en évidence une appendicite pour laquelle nous effectuons une appendicectomie par laparoscopie. L'intervention se déroule sans complication. À noter la mise en évidence d'un abcès au niveau du méso-appendice, raison pour laquelle nous administrons une antibiothérapie intraveineuse sur les premières 48h puis per os pour compléter un traitement de 5 jours. L'évolution post-opératoire de la patiente est favorable et elle quitte notre service pour un retour à domicile le 06.12.2018. Mme. Y est admise pour un saignement actif post-amygdalectomie. Elle est prise en charge en urgence au bloc opératoire pour une hémostase et suture des loges amygdaliennes. Les suites opératoires sont simples et sans complication. Les douleurs sont contrôlées par une antalgie de palier II et une antibiothérapie par Co-Amoxicilline est instaurée. Elle s'alimente et s'hydrate à J0. Au vu de l'évolution clinique favorable, elle peut retourner à domicile. Mme. Y est une patiente de 62 ans, qui bénéficie de l'intervention susmentionnée le 29.11.2018. Les suites opératoires sont simples et la patiente est couverte par une antalgie simple. Au vu de la bonne évolution, Mme. Y rentre à domicile le 03.12.2018. Mme. Y est transférée depuis l'hôpital psychiatrique de Marsens pour investigation d'un état fébrile et syndrome inflammatoire récidivant. La patiente est connue pour un trouble envahissant du développement et un retard mental. Elle présente depuis le printemps 2018 un syndrome inflammatoire à répétition avec une péjoration de son comportement et une perte de poids. Le bilan biologique est sans particularité avec notamment une CRP à la baisse ainsi qu'une procalcitonine et une vitesse de sédimentation négatives. Une ponction lombaire est dans la norme. Au niveau infectieux, une culture d'urine est négative. Des hémocultures à froid ainsi qu'une recherche de tuberculose (test au Quantiféron) sont en cours. Une IRM cérébrale et hypophysaire ne montre aucune anomalie. Une échocardiographie transthoracique ne trouve pas de signe pour une endocardite. Le CT thoraco-abdomino-pelvien retrouve une adénomégalie rétro-pectorale, une hépatomégalie modérée et une lésion kystique pelvienne droite sans signe de foyer infectieux ni lésion suspecte d'atteinte tumorale. Des marqueurs tumoraux gynécologiques sont en cours. Une encéphalite à anti-NMDA pourrait aussi être évoquée si la masse ovarienne s'avérait maligne. Des anticorps anti-NMDA pourraient être dosés dans la sérothèque du LCR après concertation avec les neurologues. La réalisation de ces différents examens a nécessité une anesthésie générale avec une intubation au vu d'une agitation psycho-motrice. La patiente est extubée sans complication et retransférée à l'hôpital psychiatrique de Marsens le 15.12.2018. Mme. Y est une patiente de 75 ans, connue pour un état dépressif, se présente aux urgences sur conseil de sa psychiatre Dr. X en raison d'une hyponatrémie à 122 au contrôle du 6.12.2018. Elle décrit depuis 10 jours environ une asthénie d'apparition progressive avec inappétence et nausées. Au niveau biologique, l'hyponatrémie est confirmée à son arrivée aux urgences. Une hydratation par voie intraveineuse est introduite transitoirement, ainsi qu'une restriction hydrique. La patiente est hospitalisée en médecine pour suivi de la natrémie qui se normalise rapidement par la suite. Une origine mixte sur SIADH et manque d'apport est suspectée. À noter qu'une cause médicamenteuse reste également possible, notamment sur prise de Brintellix. Durant l'hospitalisation, la patiente développe une hypokaliémie qui se normalise après substitution orale. L'évolution clinique et biologique étant rapidement favorable, la patiente rentre donc à domicile le 8.12.2018. Le suivi est prévu chez son médecin et psychiatre traitant. Mme. Y, patiente de 66 ans connue pour un diabète insulino-dépendant de Type 1, est admise le 03.12.2018 pour une acido-cétose diabétique sur une dysfonction de sa pompe à insuline. La patiente présente un état confusionnel avec une déshydratation importante. Au service des urgences, une acido-cétose diabétique est objectivée et une insulinothérapie intraveineuse est débutée. La correction métabolique est suivie par laboratoires itératifs et des substitutions selon les nécessités. Un relais avec la pompe sous-cutanée est effectué le 05.12.2018, sous le contrôle de l'équipe de diabétologie. Un choc hypovolémique majeur est mis en évidence à l'admission et nécessite un remplissage important ainsi que des hautes doses d'amines vasopressives. Une insuffisance rénale est mise en évidence dans le contexte de choc et elle se corrige spontanément. La patiente est ensuite transférée en unité de médecine pour la suite de prise en charge. À l'étage de médecine, l'hydratation veineuse et la substitution des électrolytes sont poursuivies. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Y peut retourner à domicile le 11.12.2018. Mme. Y, patiente de 66 ans, est admise pour une acido-cétose diabétique sur malfonction de sa pompe à insuline. La patiente présente un état confusionnel avec une déshydratation importante. Aux urgences, une acido-cétose diabétique est objectivée et une insulinothérapie est débutée. La patiente est hospitalisée aux soins pour poursuite de la prise en charge, la correction des désordres métaboliques est suivie et substituée selon nécessité. Un relais est effectué avec la pompe sous-cutanée sous le contrôle de l'équipe de diabétologie. Initialement, devant la persistance d'un choc hypovolémique majeur, malgré des remplissages vasculaires adéquats, Mme. Y est traitée par noradrénaline sevrée le 04.12.2018. Une insuffisance rénale est mise en évidence dans le contexte de choc et elle se corrige après remplissage vasculaire. Nous observons une thrombopénie légère à 3 jours de l'admission. En raison d'une exposition à l'héparine, nous vous proposons de suivre les thrombocytes afin d'exclure un HIT.La patiente est ensuite transférée en unité de médecine pour la suite de prise en charge. Mme. Y est une patiente de 85 ans, prise en charge aux soins intensifs pour une décompensation cardiaque globale avec une insuffisance respiratoire globale probablement due à un nouveau fibrillo-flutter ou une origine ischémique (sachant que la patiente ne s'est jamais plainte de douleurs thoraciques). À l'entrée, un épanchement pleural droit est ponctionné. On constate un NSTEMI à l'entrée secondaire devant un ECG montrant des troubles de la repolarisation dans le territoire inférieur et antéro-septal. La patiente est chargée en Aspirine et mise sous anticoagulation thérapeutique d'autant qu'elle présente un fibrillo-flutter nouveau avec présence d'une hypokinésie de la paroi septale antérieure étendue à l'ETT. On découvre fortuitement une dysfonction cardiaque droite qui fait suspecter une embolie pulmonaire, qui est infirmée par un CT-scan thoracique effectué le jour même. La patiente est mise sous Lasix et VNI avec une amélioration lente au niveau respiratoire, étant très sensible à la VNI au niveau hémodynamique, ce qui fait suspecter une origine ischémique. Au vu de la stabilité de la fonction rénale, il est décidé d'effectuer une coronarographie afin de confirmer cette hypothèse. La coronarographie montre une maladie coronarienne tritronculaire sévère avec sténose subocclusive de l'IVA (DA), occlusion subaiguë de la circonflexe et subocclusion de l'ACD. L'ACD est traitée par stenting, mais au passage de l'IVA, la patiente présente un arrêt cardiaque récupéré. Nous constatons des sus-décalages à la récupération, qui sont transitoires, avec des épisodes itératifs de bradyasystolie traitée à chaque fois par amines. La patiente ne reprend pas un état de conscience et représente un arrêt pour lequel nous décidons de ne plus la réanimer, au vu du contexte global de la patiente. Mme. Y, Selon votre lettre du 02.11.2018 : • Évolution depuis le dernier rapport du 14.08.2018 : Réapparition de douleurs au niveau du poignet, surtout lors de mouvements de flexion forcée et de l'effort. • Plaintes actuelles : Douleur au niveau du poignet, surtout à l'effort et lors de mouvements forcés du poignet. • Résultats objectifs des récentes consultations : Limitation du mouvement du poignet douloureux lors de mouvements de flexion contrariée. Un ENMG effectué par le Dr. X le 12.10.2018 : pas d'argument en faveur d'une atteinte des structures nerveuses, notamment du nerf ulnaire au niveau du coude et de la loge de Guyon. • Thérapies : traitement médical antalgique et anti-inflammatoire, ergothérapie pour raffermir les muscles et pour l'étirement neuroméningé au niveau du nerf membre supérieur à droite. • Incapacité de travail : actuellement, elle est à 100 % jusqu'au prochain rendez-vous du 04.02.2019. À noter qu'une demande de l'AI a été remplie par le patient et par moi-même. Mme. Y est hospitalisée pour oxygénothérapie dans un contexte d'insuffisance respiratoire due à une broncho-pneumonie bi-basale. Sur le plan respiratoire, la formule sanguine complète est alignée hormis une discrète lymphopénie à 1.51 G/l, la CRP est augmentée à 45 mg/l. Le frottis naso-pharyngé à la recherche du RSV est négatif. L'évolution clinique est favorable sous traitement de Ventolin espacé progressivement toutes les 6 heures et sous antibiothérapie par Amoxicilline 50 mg/kg/jour, prescrit pour une durée de 7 jours. Mme. Y reçoit également 3 doses de Betnesol 0.25 mg/kg/jour. L'oxygénothérapie, débutée en raison de désaturation aux urgences, est sevrée à l'étage dès le 22.12. Au vu de l'état clinique rassurant, Mme. Y rentre à domicile le 23.12 avec un traitement par Amoxicilline jusqu'au 25.12 inclus et Ventolin en réserve. Sur le plan ORL, le traitement par Floxal, débuté en raison d'une conjonctivite bilatérale, est arrêté à son arrivée, avec une bonne évolution clinique. Sur le plan digestif, Mme. Y maintient ses apports hydriques et diversifiés durant son séjour. Mme. Y est hospitalisée pour antibiothérapie intraveineuse dans le cadre de son abcès para-amygdalien gauche. Sur le plan infectieux, le bilan inflammatoire initial met en évidence une leucocytose à 23 G/l à prédominance neutrophiles, ainsi qu'une CRP à 51 mg/l. L'évolution clinique est rapidement favorable sans nécessiter d'imagerie ou de sanction chirurgicale, après 48 heures d'antibiothérapie par Co-amoxicilline 150 mg/kg/jour et Solumedrol 1 mg/kg/jour (sur avis ORL), avec une enfant ne présentant plus d'état fébrile, une mobilisation de la tête complète ainsi qu'une normalisation de la leucocytose et une diminution de la CRP à 15 mg/l. Les hémocultures prélevées à l'arrivée sont négatives après 48 heures. À noter une tolérance médiocre au Solumedrol chez une enfant présentant des troubles du comportement transitoires suite au traitement, de type crises colériques. Celui-ci est arrêté le 02.12.18. Sur le plan digestif, Mme. Y bénéficie d'une perfusion de Glucosalin dès son arrivée à 50 ml/kg/jour, en complément de sa prise hydrique par voie orale. Celle-ci s'améliore au cours du séjour avec des prises de 80 ml/kg/jour en complément de sa perfusion, permettant un sevrage de l'intraveineuse dès le 03.12.18. Sur le plan hématologique, Mme. Y présente une légère anémie normocytaire normochrome asymptomatique, s'améliorant spontanément au cours du séjour, que nous proposons de recontrôler en ambulatoire à distance de l'épisode infectieux (possibilité d'une anémie inflammatoire transitoire). Devant l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 03.12.18 avec un relais antibiotique par voie orale par Co-amoxicilline 75 mg/kg/jour pour une durée de 10 jours (soit 12 jours d'antibiothérapie au total) et un contrôle clinique chez son pédiatre en fin de traitement. Magnésiocard Magnesiocard sachet 2x/j jusqu'au 03.12.2018 Substitution intraveineuse dès le 03.12.2018 Suivi biologique Magnesiocard 5 mmol/j Magnésium iv Cordarone 200 mg per os Remplissage Magnésium iv Cordarone 200 mg per os Remplissage Magnésium le 19.12.2018 Magnésium 2 g iv aux urgences Magnésium 20 mmol/l IV Magnésium 20 mmol/l IV Magnésium 5 g iv Cordarone 200 mg Rythme sinusal dès le 05.12.2018 Magnésium 5 g iv Cordarone 200 mg Remplissage Main droite : arrachement du ligament collatéral ulnaire du PIP du 4ème doigt suite à un écrasement de la main le 23.08.2018. Main droite : lésion 100 % du tendon extenseur Dig III avec lésion de la jonction tendineuse Dig II-III avec arthrotomie traumatique MCP 3. Main droite : pas de trouble VN, pas de troubles de la motricité, force globale conservée, pas de déformations visibles. Pas de douleurs à la rotation du poignet, douleurs seulement à la palpation face dorsale entre ulna et radius distale avec tuméfaction sans hématome visible. Pas de signe du piston, pas de douleurs à la tabatière. Pas de douleurs au coude, pas de douleurs à la palpation des carpes, métacarpes ni phalanges. Nous réalisons la radio du poignet qui ne montre pas de fractures. Nous mettons en place la bande élastique. Main droite Dig V : broche bien positionnée, en place sans descellement secondaire. Main droite : -status post-réinsertion du ligament collatéral radial MCP II le 16.08.2018 -tendinopathie des fléchisseurs en post-opératoire -probable CRPS débutant -doigts à ressaut Dig II, Dig III, green 2 à 3 Main droite : -status post-réinsertion du ligament collatéral radial MCP II le 16.08.2018 -tendinopathie des fléchisseurs en post-opératoire -probable CRPS débutant -doigts à ressaut Dig II, Dig III, green 2 à 3Main G : • Neuropathie du nerf radial superficiel après 2 injections para-veineuses (antibiotique) en janvier 2018. • Rhizarthrose G du 1er degré. Main D : • Rhizarthrose du 2ème degré avec distance scapho-lunaire augmentée. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral, sous-clinique. Main G : exploration, rinçage et suture du muscle 1er lombrical et 1er interosseux dorsal avec : • suture capsule articulaire. • suture du nerf digital radial dig II. • suture primaire cutanée (OP le 01.12.2018) Main G : lésion cutanée zone 4 et 5 du 2ème rayon : arthrotomie traumatique MCP 2 avec lésion du nerf digital radial II, lésion de l'artère indicis, lésion du 1er muscle lombrical et du 1er interosseux dorsal. Main G Dig III G (à dominant) : status post lésion EDC zone 3 avec suture le 17.03.2018. Main gauche : status post réinsertion du ligament collatéral ulnaire MP1 le 15.01.2018 pour une lésion de Stener le 21.12.2017. Maintien à domicile impossible au vu de l'hospitalisation de son mari en gériatrie aiguë, dans un contexte de : • Démence d'origine mixte : Alzheimer et vasculaire Maintien à domicile impossible avec chute à domicile sans possibilité de se relever le 15.12.2018 Maintien à domicile précaire Maintien de la sonde urinaire à l'entrée Changement de sonde urinaire pour plus grand calibre le 27.11.2018 Maintien impossible à domicile • dans un contexte de troubles de l'équilibre et de la marche avec chutes à répétition, déconditionnement global, malnutrition protéino-énergétique, troubles cognitifs non investigués Maintien de la semelle rigide pour une durée de 5 semaines. Nous le reverrons le 14.01.2019 pour un contrôle radio-clinique. Nous restons entre temps à disposition en cas de besoin. Majoration Amlodipine à 10 mg/j dès le 03.12.2018 Majoration antalgie (Prednisone 10 mg 5j 17.11 au 21.11.2018) Morphine pompe dès le 16.11.2018 + réserve CT thoracique du 02.11.2018 : majoration en taille et en nombre des multiples lésions ostéocondensantes et ostéolytiques touchant l'ensemble du squelette axial. Majoration de l'envahissement tumoral du canal vertébral de T7 à T10. On retrouve les fractures costales pathologiques bilatérales Avis radio-oncologue (Dr. X). Vu l'état général et une espérance de vie fortement réduite, pas de radiothérapie et de se limiter aux meilleurs soins de confort Majoration Cymbalta à 60 mg/j le 24.12.2018 Majoration palladon et R d'hydromorphone dès le 25.12.2018 Laxobéron et Movicol dès le 25.12.2018 (possible composante de coprostase) Pister US doppler Pas d'explication de la symptomatologie au dernier OGD et CT disponible Majoration de l'antalgie : AINS, Dafalgan, Tramal. Augmentin 625 mg 3x/jour pendant 7 jours au total. A rendez-vous le 13.12.18 chez son médecin traitant à 9h00. Majoration de la dexaméthasone dans le contexte infectieux à 10 mg/j Réduction de la dexaméthasone à 4 mg dès le 27.12.2018 sur avis du Dr. X (Schéma dégressif prévu initialement : 8 mg jusqu'au 20.12.2018, 6 mg du 21.12.-27.12.2018, 4 mg à partir du 28.12.2018) Prochaine radiothérapie le 09.01.2019 à 11h (Dr. X) Le 11.01.2019 : prise de sang à 14h30 pour CT thoraco-abdo (à jeûn dès 11h) Rendez-vous en oncologie chez le Dr. X le 14.01.2019 à 14h30 Majoration de l'antalgie avec Oxycontin et Oxynorm. Relaxant musculaire. Maintien du rendez-vous au team rachis le 15.01.2019. Majoration de l'IPP pour 7 j Rediscuter d'une OGD en ambulatoire Majoration des aérosols Poursuite de bilan selon examens déjà effectués par médecin traitant Majoration des diurétiques : Lasix 20 mg iv le 10.12.2018 Aldactone 150 mg Torem 40 mg • Laboratoire du 08.12.2018 : syndrome inflammatoire (CRP 43 mg/l, Leuco 4,6 G/l), perturbation des tests de type cholestase, test pancréatique aligné. • US ciblé aux urgences (Dr. X) le 08.12.2018 : ascite dans chaque quadrant abdominal, pas d'épanchement péricardique, épanchement pleural des deux côtés (à droite > 500 ml, peu à gauche) avec atélectase basal à droite, varicocèle ddc (droit > gauche), pas de signe d'hydrocèle • Ponction d'ascite de 2,6 litres aux urgences le 08.12.2018 • Radiographie du thorax : épanchement pleural droit Majoration des diurétiques ETT Majoration de la dexaméthasone Arrêt du Xarelto Avis radio-oncologues : Prévoir IRM cranio-cervicale si prise en charge radiothérapeutique souhaitée. Restent à disposition. Majoration du B-bloquant Laboratoire ECG Contrôle pacemaker : fonctionnement normal ETT 5.12.2018 Attitude : • Pas d'aldactone au vu de la clearance rénale et du risque de troubles électrolytiques • Pas de cordarone au vu de l'état pulmonaire déjà très altéré de la patiente • ASA, Beloc pour contrôle de la fréquence Majoration du bêtabloquant à 2 x 25 mg dès le 21.12.2018 Poursuite Amiodarone Poursuite anticoagulation Majoration du Pantozol Transfusion 2 x CE : 18.12.18, 1 x CE 20.12.2018 Reprise Clexane prophylactique 2 x 40 mg le 18.12.2018 Dosage de Clexane à réévaluer à distance Avis Dr. X : en vue de l'équilibre perturbé, hémorragique et procoagulant, l'indication à l'anticoagulation thérapeutique doit être interrompue puis reprise sous contrôle. Un traitement par HBPM ou par héparine iv serait adéquat, vu la courte durée d'action. Majoration du Torasémide, à adapter selon symptômes de surcharge cardiaque droite Majoration du traitement Majoration du traitement Majoration du traitement antalgique : AINS, Dafalgan, Lidocaïne spray. Poursuite du traitement instauré par le médecin traitant. Majoration du traitement de Metformine à 500 mg 3 x/j Suivi de l'hémoglobine glyquée à 3 mois Majoration du traitement de Torasemide dès le 22.12.2018 Introduction de Lasix du 23.12 au 25.12.2018 Reprise du Torasemide le 25.12.2018 Majoration du traitement diurétique Antalgie Contrôle à la filière ambulatoire des urgences à 48h Patient prié de reconsulter en cas de fièvre ou péjoration Majoration du traitement Nifedipine 20 mg mis en réserve Majoration du Xarelto à 15 mg Majoration en taille de l'hématome rétro-orbitaire droit, sans effet de masse sur le nerf optique Majoration et adaptation traitement diurétique par Torem et Lasix IV Adalat dès le 10.12.2018 Contrôle pacemaker le 27.11.2018 US pleural le 11.12.2018 (Dr. X et X) : minime épanchement pleural G, veine cave agrandie proBNP le 11.12.2018 : 8152 Majoration Euthyrox Contrôle dans 3 mois Majoration légère de la créatinine dans le contexte aigu le 19.12.2018 Majoration Oxycontin Infiltration sacro-iliaque gauche par le Dr. X le 20.11.2018 Majoration Oxycontin Infiltration sacro-iliaque gauche par le Dr. X le 20.11.2018 La patiente est reclassée, en attente de réadaptation gériatrique dès le 26.11.2018 Majoration Pantozol 2 x 40 mg. Introduction Ulcar. Recherche H. Pylori chez le médecin traitant. Majoration Sirdalud de 2 mg à 4 mg ad flector patch. Poursuite Tramal, Irfen, Dafalgan comme prescrit précédemment. Contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine. Critère de gravité expliqué au patient avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Majoration Torasemide Metolazone 2.5 mg du 03.12.18 au 05.12.18 Suivi poids 1 x/j Majoration traitement antihypertenseur Suivi tensionnel Majoration traitement bêtabloquant et antihypertenseur Majoration traitement diurétique i.v. puis po Spot urinaire : légère protéinurie avec 0.21 g/l US des membres inférieurs le 04.12.2018 : pas de TVP visible PET-CT : pas de signes de compression veineuse intra-abdominale Suivi poids avec cible avant sortie de 61.5 kg Suivi d'OMI par le MT par la suite Majoration Ventolin à 6 x/j 2 push Stop Betnesol (J3/3), Poursuite Axotide Poursuite toilettes nasales + Ad. Nasivine : très important, à faire avant chaque repas au moins ! Contrôle d'office chez la pédiatre demain pour réévaluation du traitement : attention à une prise alimentaire limite, sans signes de déshydratation au moment de la consultationMal à la gorge Mal à la gorge, fièvre Mal au dos côté droit. Mal de dos. Mal de gorge Mal de gorge. Mal de gorge et thoracalgie depuis 3 jours. Mal être généralisé, le 11.12.2018. Mal perforant au niveau du talon D avec une déformation en varus et en équin neurologique sur status post syndrome de la queue de cheval résiduel avec spondylodèse L5-S1. Status post mise à plat du kyste para-patellaire du genou gauche. Status post transfert tendineux et ostéotomie calcanéenne à droite en 2014 au HUG. Mal perforant chronique plantaire de la pulpe du 3ème orteil pied gauche. • biopsies proximales positives pour un Staphylococcus aureus Mal perforant plantaire de l'AMP du premier orteil droit. Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit. Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche. NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018 probablement secondaire à l'oedème aigu du poumon avec : • troponine à 31 ng/l à H0, 42 ng/l à H1 et 77 ng/l à H3 • pas de modification ECG • patiente asymptomatique. Dosage des troponines. Aspirine 500 mg. Brilique 180 mg. Clexane 60 mg le 03.04.2018. Coronarographie à l'HFR Fribourg. Brilique 90 mg 2x/j pendant 6 mois. Aspirine 100 mg à vie. Beloc 50 mg. Décompensation cardiaque gauche avec oedème aigu du poumon. Laboratoire. Dosage des troponines. ECG. RX thorax. Sonde urinaire. Lasix 2 x 40 mg aux urgences. CPAP à 6 mmH2O 1 heure. Echocardiographie transthoracique le 03.04.2018. Stop Lasix le 05.04.2018. Hyperkaliémie à 6.2 mmol/l sans signe ECG. Actrapid 5 UI en ordre unique puis Actrapid 3 UI/h puis 2 UI/h. Resonium 15 g le 03.04.2018. Suivi biologique. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée avec CRP à 6 mg/l et leucocytose à 17.1 G/l. Suivi clinique. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 138 mcmol/l (GFR à 46 ml/min) avec hyperkaliémie à 6.2 mmol/l sans signe ECG avec : • FE urée à 30.3% suggestif de pré-rénal • protéinurie (2.29 g/l) dans le cadre d'une possible néphropathie diabétique • acidose métabolique avec pH à 7.26 (trou anionique à 15) DD : insuffisance pré-rénale sur déshydratation vs néphropathie diabétique. Suivi biologique. Sartan en suspens. Contrôle protéinurie à distance de l'insuffisance rénale aiguë. Antidiabétiques oraux en suspens, à réévaluer par le médecin traitant selon valeur de créatinine. Hyperglycémie à 28.6 mmol/l. Actrapid 5 UI en ordre unique, puis Actrapid 3 UI/h pour diminution de 3-4 mmol/h jusqu'à 15 mmol de glucose. Levemir 22 UI dès le 04.04.2018 puis 36 UI à la sortie. Schéma de correction de Humalog. Glucovance en suspens en raison de la fonction rénale. Mal perforant plantaire de l'AMP du premier orteil droit Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018 Maladie auto-immune systémique non spécifique diagnostiquée en 2009 avec : • Cardiopathie restrictive avec atteinte myocardique • Péri-myocardite en 2010 • Atteinte cutanée • Oligo-arthrite avec synovites articulaires • Syndrome inflammatoire persistant, auto-anticorps négatifs • Traitements jusqu'ici : Plaquenil en 2009 (augmentation de la maladie), Imurek en 2010 (effets indésirables GI), Cellcept en 2011 (exacerbation lésions cutanées), Mabthera 2012 (prurigo sévère) Maladie bitronculaire • s/p PTCA/2DES CD et PTCA 2DES IVA en 2016 Flutter auriculaire paroxystique le 20.01.2016 avec BBG nouveau, FA intermittente sous Cordarone Implantation de MitraClip (2 clips) le 28.01.2016 pour insuffisance mitrale sévère secondaire S/p implantation d'un défibrillateur FRCV : tabagisme ancien, hérédité Arthrose destructrice du genou droit Maladie coeliaque. Maladie coronarienne avec atteinte du tronc commun G : • 19.09.2018 : ETT : VG non dilaté avec une hypokinésie globale minime. FEVG 49%. Valves normales. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. AG légèrement dilaté. VD normal. Absence d'épanchement péricardique. • 21.09.2018 : NSTEMI sur subocclusion du tronc commun G. Procédure : 21.09.2018 : coronarographie (Dr. X - HFR Fribourg-Hôpital cantonal) : subocclusion du tronc commun G. Sténose 70% ACD moyenne, subocclusion IVP. Bonne fonction VG systolique, EF 60%. FA. AMIG et AMID sp. Absence de sténose significative des aa. carotides communes/internes 22.09.2018 : 5 pontages aorto-coronariens (AMIG/IVA, veine/marginale, veine/rétro-interventriculaire postéro-latéral, veine/rétro-interventriculaire postérieure distale) avec fermeture de l'atrium G par AtriClip (35 mm), ballon de contre pulsion intra-aortique (Dr. X - Inselspital) • FEVG post-opératoire 35-40% avec akinésie apicale et fonction VD limitée Complications post-opératoires : 23.09.2018 : infarctus inféro-latéral péri-opératoire avec pic des CK à 171 U/L • nouveau bypass de l'artère rétro-interventriculaire postérieure péri-opératoire Maladie coronarienne avec : • bon résultat à long terme après stenting de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne, et distale avec mise en place de trois stents • sténoses significatives de l'artère coronaire droite proximale, moyenne et distale : PTCA/DES x3 • sténose subocclusive de la PLA de la CD : PTCA/DES • Fraction d'éjection VG Indéterminée Maladie coronarienne avec : • Excellent résultat après PCI IVA proximale pour STEMI antérieur le 3.11.2018 • Sténose 70% ACD moyenne : PCI (1DES) : Bon • Fraction d'éjection VG 40%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • lésion non significative du tronc commun • sténose longue, significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • fraction d'éjection VG 50% Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Excellent résultat après stenting IVA proximale et RCX moyenne le 30 avril 2013 • Récidive resténose 70% RCx ostiale : PCI (1DEB) : Bon • Sténose 70% RCx moyenne sur resténose : PCI (1DES) : Bon Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Lésion non significative du tronc commun. • Sténose longue, significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Fraction d'éjection VG 50% Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Occlusion RCx distale : PCI (1DES), Sténose 80% MA2 : PCI (1DES), Sténose 80% IVA proximale : PCI (1DES), Sténose 75% IVA distale : PCI (1DES) Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Occlusion RCx distale : PCI (1DES) • Sténose 80% MA2 : PCI (1DES) • Sténose 80% IVA proximale : PCI (1DES) • Sténose 75% IVA distale : PCI (1DES) • Fraction d'éjection VG 55%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de la première marginale. • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite moyenne : PCI (1DES) : Bon • Fraction d'éjection VG 55%. Maladie coronarienne bitronculaire • STEMI inférieur le 13.10.2017 avec : coronarographie le 13.10.2017 : PCI/DES 2x CD, coronarographie le 16.10.2017 : PCI/DES 2x IVA moyenne et distale (Dr. X)Cavernome temporal droit Zabramski type II (IRM le 17.10.2017) Troubles visuels (Syndrome de Terson) Glaucome oeil droit Trouble mnésique séquellaire à rupture anévrisme en 1987 Maladie coronarienne bitronculaire : • Absence de resténose du tronc commun au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de l'artère circonflexe proximale (lésion de bifurcation). • Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Absence de resténose significative de l'ostium de la première diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Occlusion chronique de l'artère circonflexe proximale. • Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. • Lésion non significative de l'artère rétroventriculaire postérieure. Lésion intermédiaire de l'artère marginale du bord droit. • En résumé : pas de changement constaté par rapport à l'examen du 7.7.2018. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Athérosclérose diffuse touchant les axes carotidiens extra-crâniens avec épargne des membres inférieurs. • Échocardiographie le 23.04.2017 : FEVG 75%, Cardiomyopathie hypertrophique homogène. • Coronarographie le 13.07.2018 : sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire à 50% de l'artère bissectrice. • Status post angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif (07/2018) • Sous Lisinopril, Tambocor, Aspirine cardio et Efient. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Lésion intermédiaire de l'IVA proximale (50%) • Sténose significative de l'ACD proximale/moyenne/Instentrestenose : 2 stents actifs • Sténose subtotale de l'ACD distale (lésion de bifurcation) : angioplastie + 1 stent actif • FEVG 45% (akinésie inférieur) Maladie coronarienne bitronculaire avec : • NSTEMI subaigu le 14.12.2018 • Sténose significative de la première diagonale nécessitant une PTCA avec 2x DES • Absence de resténose significative de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif • Fraction d'éjection VG : 40 % Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Status post PCI de l'IVA le 13.11.18 et de l'ACD le 28.11.2018 Maladie du sinus avec status post fibrillation auriculaire rapide en 11.2018 Sténose carotide droite subtotale Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie traitée ATCD de TVP ? G il y a 20 ans selon patiente Hernie hiatale Maladie coronarienne bitronculaire avec : • STEMI antérieur sur sténose significative thrombotique de l'IVA proximale le 17.08.2015. • Sténose significative thrombotique de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (traitée le 17.08.2015). • Angor instable le 01.09.2016 avec sténose significative de la diagonale stentée. Tabagisme actif. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale : PTCA/Stent actif en octobre 2011. • PTCA des branches diagonales (2007). • Lésion non significative de l'ostium de l'artère bissectrice. • Lésion non significative de l'artère rétroventriculaire postérieure. • Lésion significative de l'artère interventriculaire proximale et moyenne - PTCA avec stent actif le 15.12.2018. • FEVG 70% le 09.09.15. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 70-90 % de l'artère circonflexe moyenne : PCI (1xDES) : bon. • Sténose intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. • EF 65 %. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Athérosclérose diffuse touchant les axes carotidiens extra-crâniens avec épargne des membres inférieurs. • Echocardiographie le 23.04.2017 : FEVG 75%, Cardiomyopathie hypertrophique homogène. • Coronarographie le 13.07.2018 : Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire à 50% de l'artère bissectrice. • S/p angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif (07/2018) • Sous Lisinopril, Tambocor, Aspirine cardio et Efient. Maladie coronarienne bitronculaire avec coronarographie le 23.10.2018 : • Sténoses en série de l'IVA : lésion de 70-90% au niveau proximal, 50-70% au niveau moyen. • Lésion complexe longue de la coronaire droite de 50-70%. • Légère insuffisance ventriculaire gauche avec FEVG à 50%. • Absence d'insuffisance valvulaire relevante. • Pic des CK à 202 U/L. Procédure : 08.11.2018 : double pontage aorto-coronarien avec AMIG-IVA et veine CD le 08.11.2018 par le Dr. X à la Clinique Beau-Site à Berne. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Excellent résultat après PCI de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Sténose focale 70% ostium DA de petit calibre. • Excellent résultat après PCI de l'IVP. • Excellent résultat après PCI de l'ACD moyenne. • Sténose de novo 75% ACD distale : PCI (1DES) : Bon. • Fraction d'éjection VG 65%. • Aspirine cardio à vie. • Prasugrel 10 mg pour 6 mois. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Excellent résultat à court terme après PCI MA/RCx x 1 mois. • Longue sténose de l'ACD proximale à distale avec départ aberrant : PCI (3DES) : Bon. Artériopathie périphérique des MI bilatérale. • Fraction d'éjection VG 55% le 17.11.2018. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de la première diagonale : PTCA/2xDES. • Absence de resténose significative de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Fraction d'éjection VG : 40%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Sténose subocclusive et calcifiée de la coronaire droite moyenne : rotablator/PTCA/DES x3. • FE VG 60%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 40% du tronc commun. • Sténose 70% de l'ostium de l'ACD et subocclusion de l'ACD proximale: PTCA/2xDES (bon résultat). • Fonction systolique du VG préservée (EF 55-60%), hypokinésie diaphragmale. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 70-90% de l'artère circonflexe moyenne : PCI (1xDES) : bon. • Sténose intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. • EF 65%. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 80% de l'IVA proximale : stentée. • Sténose 80% de l'artère bissectrice : stentée. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose 90% de l'artère circonflexe proximale : 2xDES (bon résultat). • Sténose 50-70 de l'IVA distale. • EF 65%, akinésie antéro-latérale. • Perforation de l'artère fémorale superficielle. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Subocclusion calcifiée de l'ACD moyenne : PTCA/rotablation/1xDES (bon). • Sténose 80% de l'IVA moyenne. • EF 65%. Maladie coronarienne bitronculaire : • Bon résultat après PCI d'une resténose intratsent de l'ACD en 2015 et 2016. • Bon résultat angiographique après PCI ACD plus distalement. • Sténose 90% IVA proximale : PCI (1DES, PTCA septale) : Bon. • Sténose serrée RCx/ MA : PCI (1DES/KB) : Bon. • Fraction d'éjection VG 70%. Maladie coronarienne bitronculaire, dernière coronarographie en 11/2017 (Dr. X) avec : • Excellent résultat intrastent • Subocclusion calcifiée DA : PTCA • Sténose 80% IVA moyenne : PCI (1DES). Bon • Infiltration diffuse IVA distale • Fraction d'éjection VG 55%. Maladie coronarienne bitronculaire diagnostiquée le 26.01.2017 • Sténose 1ère diagonale 90-99%. • Sténoses IVA et CD 30%. • Occlusion de la 1ère marginale (PCI/DES 26.02.2017) • FEVG 55% • NSTEMI sur occlusion de la première marginale le 26.01.2017 Hypertension artérielle traitée Glaucome traité des deux côtés Maladie coronarienne bi-tronculaire • FEVG normale (63%). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Absence de resténose significative de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent nu. Lésion non significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère circonflexe moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de la seconde marginale. Sténose significative de l'artère circonflexe distale. • Absence de resténose de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite distale. • Succès d'angioplastie de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale sans stent. Maladie coronarienne bitronculaire le 03.12.2018 avec: • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. • Sténose significative de la première marginale : 1xDES direct • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne : 1xDES direct • Fraction d'éjection VG 40% Réaction allergique au contraste Suspicion de vasospasme Maladie coronarienne bitronculaire le 03.12.2018 • Sténose significative de l'ostium de la première diagonale : stent direct (DES) • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale : stent direct (DES) Maladie coronarienne bitronculaire le 03.12.2018 avec: • Absence de resténose de l'artère circonflexe moyenne au niveau du site d'implantation du stent, • Sténose significative de l'artère circonflexe distale : 1xDES • Sténose significative de l'ostium de la première marginale : PTCA/2xDES Maladie coronarienne bitronculaire le 10.12.2018 avec: • Sténose significative de l'IVA moyenne/1ere diagonale (bifurc) : PTCA/3xDES • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale : PTCA/1xDES • Fraction d'éjection VG normale Maladie coronarienne bitronculaire le 21.11.2018 • Sténoses subocclusives de la bifurcation de l'artère interventriculaire antérieure avec la branche diagonale • Sténose subocclusive de la coronaire droite moyenne • FEVG 40% Maladie coronarienne bi-tronculaire: • Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure distale • Absence de resténose de la seconde marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. • Sténose significative de l'artère bissectrice : PTCA et 1DES • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. • FEVG 78% Maladie coronarienne bitronculaire: • Lésion significative de la première marginale : PTCA et 1DES • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite distale • FEVG 80% Maladie coronarienne bitronculaire • Occlusion de l'IVA proximale au niveau de la diagonale (lésion de bifurcation): Recanalisation/PTCA/3xDES (bon résultat) • Sténose 80% de l'artère coronaire droite moyenne • Fraction d'éjection du ventricule gauche 30-35%, akinésie antérieure et apicale Maladie coronarienne bitronculaire, s/p STEMI antérieur 09.12.2018: • Bon résultat après PCI (2xDES) de l'IVA prox. au niveau de la DA (1xDES) • Sténose 80% de l'ACD moyenne : PTCA/2xDES (bon résultat) • Sténose intermédiaire de la bissectrice • Fraction d'éjection VG 35%, hypo- à akinésie antérieure et apicale Maladie coronarienne bitronculaire, s/p STEMI en 2010 avec: • Bon résultat à long terme après PCI de l'IVA moyenne • Sténose intermédiaire de l'IVA proximale et moyenne (FFR = 0,88) • Sténose intermédiaire de l'ACD proximale et moyenne (FFR = 0,89) • EF 65% Maladie coronarienne bitronculaire • Status post-STEMI antérieur sur occlusion de l'IVA le 22.08.2016, avec implantation de 2 stents actifs et thrombectomie • Tabagisme actif à 20 cigarettes/jour • Coronarographie le 22.08.2016: FEVG à 60%, akinésie apicale, lésion non significative de l'IVA proximale, occlusion aiguë de l'IVA d'aspect thrombotique englobant l'origine de la seconde diagonale, lésion intermédiaire de l'IVA moyenne au niveau de la portion distale, lésion intermédiaire de la CD moyenne, sténose significative de l'IVP • Echocardiographie (Dr. X) du 24.08.2016: VG non dilaté non hypertrophié, hypokinésie sévère de la paroi apicale, hypokinésie modérée de la paroi septale antérieure moyenne, hypokinésie minime de la paroi antérieure moyenne et de la paroi septale antéro-basale, pas de valvulopathie significative, FEVG à 40-50% • ETT (Dr. X) le 20.11.2018: VG non dilaté, non hypertrophié avec une hypokinésie modérée de la paroi apicale et de la paroi septale antérieure moyenne. FEVG à 50% (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Amélioration de la fraction d'éjection. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). OG non dilatée. OD normale. VD normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP (PAPs à 26 mmHg). VCI se collabe en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Emphysème pulmonaire avec quelques bulles sous-pleurales bi-apicales (CT le 14.11.2018) Diverticulose sigmoïdienne étendue (CT le 14.11.2018) Emphysème pulmonaire avec quelques bulles sous-pleurales bi-apicales (CT le 14.11.2018) Diverticulose sigmoïdienne étendue (CT le 14.11.2018) Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose significative de l'IVA proximale, englobant l'origine de la première DA (lésion de bifurcation): traitée le 15.12.2018. • Sténose à 75% de l'artère coronaire droite distale avec thrombus: traitée le 25.12.2018. • FEVG 65% Maladie coronarienne bitronculaire • Sténose 80% de l'artère coronaire droite moyenne • Occlusion de l'IVA prox. au niveau de la bifurcation avec triple stents actifs le 09.12.2018 FEVG à 30-35% Maladie coronarienne bitronculaires avec: • Occlusion de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation): PCI (1DES): Bon • Sténose 75% de l'artère coronaire droite proximale. • Fraction d'éjection VG 45%. Maladie coronarienne bitronculaires avec: • Sténose 70% de l'IVA moyenne: direct stenting (2xDES): bon résultat • Sténose intra-stent 80% de l'artère coronaire droite moyenne: PTCA/1xDES (bon) • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne bitronculaires (Dominance G) avec: • Sténose 50-70% de l'IVA proximale: 1xDES (bon résultat) • Sténose 50-70% de l'ostium de la première marginale: 1xDES (bon résultat) • Fraction d'éjection VG normale, EF 65% Maladie coronarienne de 1 vaisseau (sténose subtotale 99% coronaire droite proximale). Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE: 70%). PCI/1 DES coronaire droite proximale: bon résultat. Maladie coronarienne de 2 vaisseaux (IVA et CX). • Bon résultat à court terme PCI/1 DES IVA moyenne, PCI/1 DES 1ère diagonale et PCI/1 DES IVA proximale-moyenne du 08 Actuel: PCI/1 DES artère circonflexe distale (stenting direct): bon résultat immédiat. Maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec: • coronarographie du 23.04.2014: Bon résultat à court terme PCI/1 DES artère coronaire droite proximale et PCI/4 stents actifs (DES) de l'artère interventriculaire postérieure • ETT du 12.10.2018: Rétrécissement aortique serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1,2 cm². Gradient moyen VG-Ao à 16 mmHg Artériopathie obstructive de stade I à IIa à droite avec: • status post-angioplastie périphérique des artères fémorales communes, superficielles et poplitée à droite en technique cross-over le 09.11.2011, avec récidive modérée au niveau des artères fémorales communes et superficielles à droite Diabète de type II HTA Hypercholestérolémie Discopathie dégénérative pluri-étagée avec importante arthrose des massifs articulaires postérieurs en L4-L5 et L5-S1. Volumineuse saillie disco-ostéophytique extra-foraminale droite venant au contact de la racine L5 à droite à sa sortie du foramen avec: • status post-infiltration exoforaminale de la racine L5 à droite le 28.09.2018 Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. Bon résultat au long terme PCI/1 DES artère circonflexe proximale et PCI/1 DES artère coronaire droite distale. Actuel: PCI/1 DES IVA proximale et PCI/1 DES 1ère diagonale: bon résultat. Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE: 62%). Maladie coronarienne de 3 vaisseaux. • Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées (FE: 75%). • Bon résultat au long terme PCI/1 stent nu de l'artère coronaire droite moyenne et PCI/1 DES de la 1ère marginale de l'artère circonflexe. • Actuel: PCI/1 DES IVA moyenne, PCI/1 DES IVA proximale, PCI/1 DES 2ème marginale de l'artère circonflexe: bon résultat immédiat. Maladie coronarienne diagnostiquée le 28.10.2016 (coro Prof. X): • Sténose de la bifurcation IVA/DA angiographiquement intermédiaire (50%), fonctionnellement non significative (FFR 0.90) • Hypokinésie inféro-basale nouvelle par rapport à août 2016 • Fraction d'éjection du ventricule gauche à 55% • NSTEMI possiblement sur un embole le 26.10.2016 Maladie du sinus avec passage en bradycardie le 08.08.2016: • Pose de pacemaker AAI-DDD type Advisa DR MRI, No série PZK823312S par Dr. X • Contrôle du pacemaker le 09.08.2016: le stimulateur cardiaque fonctionne de façon satisfaisante Hypertension artérielle traitée Méningiome cérébelleux Malnutrition protéino-énergétique modérée Tests de la cognition du 30.05.2018: MMSE à 29/30, test de la montre à 0/7, GDS à 1/15 Maladie coronarienne diffuse/monotronculaire le 03.12.2018 avec: • Lésion non significative du tronc commun • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation): PTCA/2x DES • Fraction d'éjection VG indéterminée. Maladie coronarienne et hypertensive avec: • Coronarographie du 06.07.2012: Excellent résultat angiographique de l'IVA et ACD après PCI en 2009, Lésion RCx 40% inchangée depuis 2009, Bonne fonction VG systolique (FEVG 70%). • Echographie cardiaque 06.07.2012: Cardiopathie hypertensive avec bonne FEVG (minime anévrisme du septum apical mais sans thrombus visualisé), dysfonction diastolique de grade 1. Absence d'HTAP et de valvulopathie significative. FEVG à 65%. Remodelage concentrique. Hypertension artérielle traitée Rhinite chronique Dorsalgies chroniques dans contexte scoliose Maladie coronarienne et valvulaire • choc cardiogène 2016, PTCA/DES ACD et IVA 2016 • 2x Mitraclip 2016; ICD prim. prophyl. • FE du VG sévèrement diminué (20%) • bon résultat après stenting ACD 2016 • IVA moyenne: re-sténose (thrombus?) 90% intrastent: PTCA: bon Maladie coronarienne mono-tronculaire Maladie coronarienne monotronculaire Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale: PTCA/DES. • fonction systolique du VG préservée, Fraction d'éjection VG 55% Maladie coronarienne monotronculaire • Resténose serrée IVA moyenne: PCI de la bifurcation IVA/DA: Bon • Fraction d'éjection VG 55%. Maladie coronarienne monotronculaire. • Sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Sténose fonctionnellement significative. FFR = 0,63 (1,00 au repos): PCI et 1 DES • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Lésion intermédiaire de la première diagonale. • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. • Lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. Maladie coronarienne monotronculaire avec: • sténose significative de l'artère circonflexe moyenne englobant l'origine de la 2ème marginale, traitée par PTCA/DES le 04.12.2018 • FEVG estimée à 50%. Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) • NSTEMI sur sténose significative de l'IVA proximale le 20.02.2015 • Pose de pacemaker le 12.09.2016 Dyslipidémie Troubles érectiles avec consommation de Viagra 1x/semaine Dégénérescence maculaire liée à l'âge Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose significative de l'IVA proximale, englobant l'origine de la première DA (lésion de bifurcation): PTCA/1xDES le 15.12.2018 • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne • Fraction d'éjection VG normale (FEVG 65% à l'ETT du 14.12.2018) Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Bon résultat à long terme après PCI de l'IVA moyenneSténose 90% de l'artère circonflexe moyenne: PCI (1 DES) : Bon • Lésion intermédiaire de l'artère bissectrice. Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Occlusion chron. de l'ostium de l'IVA proximale : PTCA/2x DES • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. • Fraction d'éjection VG 50%. Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Occlusion thrombotique recanalisée (OCT) de l'IVA moyenne: PTCA/1x DES • Fraction d'éjection VG indéterminée. Maladie coronarienne monotronculaire avec: • sp infarctus ant. 6/2017 • Sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure moyenne: PTCA/Implantation de 1 stent actif. • Fraction d'éjection VG 35% (ETT). Maladie coronarienne monotronculaire avec sténose CD • Succès d'angioplastie primaire de la CD proximale et moyenne avec implantation de 2 stents actifs le 18.08.2010 Diabète de type II insulino-requérant Tabagisme actif Lombosciatalgies chroniques Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose significative de l'IVA proximale, englobant l'origine de la première DA (lésion de bifurcation): PTCA/1x DES le 15.12.2018 • Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite moyenne. • Fraction d'éjection VG normale (FEVG 65% à l'ETT du 14.12.2018). Maladie coronarienne monotronculaire avec: • Sténose 80% de la Cx proximale: direct stenting (1x DES, bon résultat) • Fonction systolique du VG normale, EF 65%. Maladie coronarienne monotronculaire (CD) le 12.12.2018 • Hypokinésie inféro-postérobasale. • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE :55%). • Désoblitération de l'artère coronaire droite avec mise en place de 4 stents actifs. • HbA1c à 5.6%. Maladie coronarienne monotronculaire et hypertensive avec: • Lésion non significative du tronc commun • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure prox. • Lésion non significative de l'artère circonflexe proximale. • Sténose significative de l'artère coronaire droite prox. (70%, FFR = 0,79) • Succès d'angioplastie avec implantation de 2 stents actifs. • Fraction d'éjection VG : 40%, hypokinésie inf. importante. Maladie coronarienne monotronculaire le 26.11.2018 avec: • Occlusion aigue de l'artère interventriculaire antérieure proximale : Recanalisation/PTCA/2x stent actif : bon • Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale • Sténose significative de l'artère rétroventriculaire postérieure • Fraction d'éjection VG 40%. Maladie coronarienne monotronculaire: • Resténose significative de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent nu: PTCA et 1 DES • Lésion non significative de l'IVA proximale • Lésion non significative de l'artère circonflexe proximale • FEVG 82%. Maladie coronarienne monotronculaire: • Sténose CD Succès d'angioplastie primaire de la CD proximale et moyenne avec implantation de 2 stents actifs le 18.08.2010 FRCV • DM II • Tabagisme actif Lombosciatalgies chroniques Maladie coronarienne monotronculaire : 01.11.2018 : STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'interventriculaire antérieure moyenne Procédure : 01.11.2018 : coronarographie réalisée à Fribourg (Dr. X) : • Thrombo-aspiration, dilatation et mise en place de 2 stents de l'IVA moyenne • Pic des CK à 6653 U/l • FEVG à 45%, akinésie apicale. Maladie coronarienne sévère de 3 vaisseaux, avec sténose de 90-95% du tronc commun et sténoses subtotales proximales des 3 troncs coronaires (CX, IVA, CD). Fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées à l'échocardiographie (FE :70%). Discrète sténose aortique calcifiée (gradient moyen : 9 mmHg). Maladie coronarienne sévère tritronculaire • Occlusion de la branche rétro-ventriculaire de l'artère coronaire droite • Sténose de 80-90% de l'interventriculaire postérieure • Sténose significative d'interventriculaire antérieure proximale et distale • Sténose significative de l'ostium de la 1ère diagonale • Sténose significative de l'artère circonflexe moyenne • Fonction systolique globale du ventricule gauche conservée (FE :70%). Maladie coronarienne silencieuse de 3 vaisseaux. Bon résultat à court terme d'un stenting direct d'une sténose de 70-80% de l'IVA proximale. Actuel : PCI/ 1 DES artère coronaire droite proximale : bon résultat immédiat. Maladie coronarienne, s/p STEMI aigu inférieur 06.11.2018: • Excellent résultat à moyen terme après recanalisation/DES (le 06.11.2018) de la coronaire droite moyenne • Sténose subocclusive de la marginale : PTCA/DES (le 04.12.2018) • Récupération de la fonction systolique du VG avec FEVG 55%. Maladie coronarienne tritronculaire : • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure proximale : PCI (1 DES) : bon • Subocclusion IVA moyenne : PCI (1 DES) : bon • Subocclusion IVA distale : PCI (1 DES) : bon • Subocclusion RCx proximale : PCI (1 DES) : bon • Subocclusion ACD distale : PCI (1 DES) : bon • Fraction d'éjection VG 40% • NSTEMI subaigu sur maladie tritronculaire le 31.08.2017 • Coronarographie le 01.09.2017 • Aspirine à vie, Brilique 90 mg 1-0-1 pour 6 mois, contrôle cardiologique dans 1 mois, ergométrie dans 1 an • ETT le 04.12.2017 : FEVG à 60 %. Hernie hiatale. Stéatose hépatique. Diverticulose sigmoïdienne. Suspicion de leucémie lymphoïde chronique. Asbestose (ancien couvreur, plaques Eternit). BPCO. Hypertension artérielle. Hyperplasie de la prostate de grade 3 avec rétention urinaire chronique à 1.5 L, dilatation pyélo-urétérale et insuffisance rénale (créatinine à 364 µmol/l) avec : • TURP le 29.01.2014 • Histologie : hyperplasie musculo-glandulaire avec foyer de prostatite, pas de cancer. Obésité de stade I. Insuffisance rénale chronique. Maladie coronarienne tritronculaire avec: • Lésion non significative de l'ostium du tronc commun • Excellent à court terme après PCI de la RCx proximale le 5.10.18 • Occlusion chronique ACD proximale à moyenne : Angioplastie complexe avec abord bilatéraux, rotablation et 2 DES : Bon • Fraction d'éjection VG 65%. Maladie coronarienne tritronculaire: • Mise en place de 4 stents dans la coronaire droite et la circonflexe en 1996 • Double pontage aorto-coronarien avec 2 greffons veineux sur l'artère interventriculaire postérieure et la marginale gauche le 19.03.2007 (Dr. X) • FEVG 65% (ETT en 2016) NSTEMI sur sténose du pont veineux sur la marginale le 28.05.2016: • CD: occlusion proximale chronique, pont veineux sur IVP perméable, mais sclérosé • IVA: lésions non-significatives • Cx: occlusion proximale (resténose intra-stent) • M1: sténose proximale, PTCA le 29.05.2016 • Pont veineux sur M1: sténose moyenne et anastomose distale, PTCA x2 le 29.05.2016 • FEVG 65 % (31.05.2016). Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale d'environ 3.7 cm de diamètre. Hypertension artérielle traitée par quadrithérapie. Sténose des artères rénales G>D. Athéromatose des axes carotidiens sans sténose significative. Athéromatose de l'aorte thoracique, abdominale et des axes iliaques D>G. Athéromatose importante de l'aorte thoracique et abdominale avec petite ectasie des iliaques communes à 18 mm à droite et à 13 mm à gauche. Maladie coronarienne tritronculaire : • Occlusion de la Cx moyenne • Sténose significative de l'IVA proximale • Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure et de l'artère rétroventriculaire postérieure Maladie coronarienne tritronculaire • Occlusion thrombotique de l'IVA proximale et IVA moyenne • Sténose significative de la Cx moyenne englobant l'origine de la seconde marginale • Occlusion chronique de la CD droite proximale • FEVG à 20 % le 14.12.2018 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, traitée par pose de 2 stents actifs (31.01.2014) • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale, traitée par 1 stent actif (31.01.2014), et de la 1ère marginale avec implantation d'un stent actif (31.01.2014) • Sténose significative de l'artère coronaire droite moyenne, traitée par pose de 1 stent actif (06.12.2013) • Fraction d'éjection du ventricule gauche normale (72 %). Régurgitation mitrale de degré II sur IV Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Ancien tabagisme. Probable maladie de reflux. Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Occlusion de l'IVA moyenne, sténose significative de la seconde diagonale • Occlusion de la Cx moyenne • Occlusion de la CD proximale, occlusion chronique de l'IVP • Triple pontage aorto-coronarien pour infarctus (Vx-CD distale perméable, Vx-marginale G occlus, AMIG-IVA perméable) en 1996 Cardiopathie valvulaire : insuffisance mitrale secondaire sévère Cardiopathie rythmique : BAV 1er et BBG • Pose CRT-D (DDD-R) le 05.09.2016 • FEVG en 09/2018 à 30 % BPCO (syndrome obstructif sévère sans réversibilité après bronchodilatateur) avec Tiffeneau à 87 % et VEMS/CVL à 60 % le 23.11.2015 avec : • Décompensation de BPCO sur probable surinfection en novembre 2015 Artériopathie des membres inférieurs stade IIb sur subocclusion des A. fémorales superficielles avec athérosclérose diffuse de l'axe ilio-fémoral et calcification des axes jambiers des deux côtés avec pose de stent fémoral superficiel gauche en novembre 2015 Sténose carotidienne avec endartérectomie (sans précision) Hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie substituée Probable consommation d'alcool à risque Troubles mnésiques sans plus de précision Perturbation des tests hépatiques de type cytolyse d'origine indéterminée Diabète de type 2 insulino-requérant • Introduction de Ryzodeg (basale Degludec + rapide Aspart) le 24.06.2016 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose IVA moyenne 70 % : PCI (1DES) : Bon • Sténose 70-90 % CX moyenne : PCI (1DES) : Bon • Sténose 70-90 % CX distale : PCI (1DES) : Bon • Occlusion chronique CD proximale • Dysfonction systolique VG modérée (FEVG 45 %) Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Subocclusion RCx ostiale : PCI (1DES) : bon résultat • Sténose serrée IVA ostiale : PCI (1DES) : bon résultat • Lésions intermédiaires IVA moyenne et ACD moyenne • Fraction d'éjection VG 65 %, FA paroxystique Maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte du tronc commun : • Status post infarctus du myocarde inférieur silencieux non datable • 12.07.2018 : ETT : suspicion d'une séquelle d'infarctus inféro-latéral voir inféro-basal. • 30.08.2018 : IRM cardiaque : hypokinésie sévère de la paroi latérale basale et hypokinésie des parois inférieure basale et moyenne. Séquelle d'infarctus inféro-latéral étendu avec une probable absence de viabilité de la paroi latérale basale. • 12.09.2018 : coronarographie : atteinte du tronc commun, sténoses proximales et périphériques multiples, rendant de toute façon incomplète une revascularisation chirurgicale multiple. Procédure : 29.10.2018 : quadruple pontage coronarien (AMIG-IVA, AMID-1ère diagonale, veine bissectrice et veine RVP) par le Dr. X. • 02.11.2018 ETT de contrôle : FEVG conservée. Suspicion d'akinésie inférieure basale. Maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte périphérique : • Coronarographie le 05.12.2012 (Dr. X) : occlusion chronique de l'IVA, lésion intermédiaire de la circonflexe moyenne, occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale, présence d'une collatéralisation marquée. Lésion non significative de la coronaire droite moyenne, lésion non significative de la coronaire droite distale, occlusion aiguë de l'interventriculaire postérieure. Pas de geste thérapeutique, FEVG 75 % • NSTEMI le 05.12.2012 sur occlusion aiguë de l'interventriculaire postérieure traité conservativement • NSTEMI le 26.01.2016 • Maladie coronarienne tritronculaire • Coronarographie le 26.01.2016, abord radial G (Dr. X) : sténoses intra-stent subocclusive et thrombotiques de l'artère coronaire droite distale, moyenne et proximale. PTCA avec implantation de 3 stents actifs (stent in stent). Artériopathie périphérique Ancien tabagisme, hypertension artérielle, dyslipidémie, Maladie coronarienne tritronculaire avec s/p STEMI inférieur 01/2017 : • AMIG sur IVA perméable • Bon résultat après stenting de la RCx proximale et distale • Bon résultat après PCI de l'ACD proximale à distale • Subocclusion de l'ACD distale : PCI (1DES) : Bon résultat • Fraction d'éjection VG 65 %. Maladie coronarienne tritronculaire avec s/p PAC 1997 : • Occlusion chronique IVA proximale avec AMIG-IVA perméable • Bon résultat à long terme après PCI de la Cx proximale 05/2017 • Re-sténose intrastent de la RCx moyenne et distale (PCI 2016, DEB 06/18) : PTCA/2xDES (bon résultat) • Sténose intermédiaire de l'ACD proximale • Bon résultat à long terme après PCI ACD proximale et moyenne (05/2017) • Bon résultat à long terme après PCI de l'ACD distale Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Subocclusion RCx ostiale : PCI (1DES) : Bon • Sténose serrée IVA ostiale : PCI (1DES) : Bon • Lésions intermédiaires IVA moyenne et ACD moyenne • Fraction d'éjection VG 65 %, FA paroxystique. Maladie coronarienne tritronculaire avec : 18.10.2018 : triple pontage coronarien (artère mammaire interne droite pédiculée sur IVA, artère mammaire interne gauche pédiculée sur marginale et veine saphène sur rétro-ventriculaire gauche) sous circulation extracorporelle (Dr. X, CHUV) dans le contexte de : • Fonction systolique globale et régionale du ventricule G conservée à 76 % en 2018, 65 % en 2008 • Coronarographie du 31.07.2018 : maladie coronarienne tritronculaire avec bonne fonction systolique du ventricule gauche. Lésions au niveau de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale. Lésions au niveau de l'artère circonflexe proximale et moyenne, indemne au niveau du stent actif datant de 2008. Lésions de la coronaire droite proximale, indemne au niveau du stent actif datant de 2006. Indication à revascularisation chirurgicale. • ETT le 24.10.2018 : bonnes fonctions biventriculaires. Pas de valvulopathie significative. Épanchement péricardique léger de 10 mm sans répercussion hémodynamique en regard des cavités D. FEVG à 65 % en 2008 • NSTEMI en 2006 avec PTCA/stent de la coronaire droite distale en 2006 • PTCA/stent de l'interventriculaire antérieure en janvier 2007 • PTCA/stent de la circonflexe moyenne le 03.12.2008 • Sténose de novo de 70 % de l'artère bissectrice en amont du stent : PTCA/stent actif avec bon résultat le 14.05.2010 Maladie coronarienne tri-tronculaire • FEVG normale (65 %). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. • Sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • Sténose significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Lésion non significative de l'ostium de la première marginale. Sténose significative de l'artère circonflexe distale.• Occlusion aiguë de l'artère coronaire droite proximale. • Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II. • Perméabilité de pontage mammaire droite pédiculée CD II. • Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe distale. Implantation de 1 stent actif. • Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe proximale. Implantation de 1 stent actif. Maladie coronarienne tri-tronculaire • infarctus antéro-septal en 2003 • triple pontage coronarien AMIG/IVA en 2003 • dernière coronarographie en février 2017 Arthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique Maladie coronarienne tritronculaire ischémique et hypertensive : • BAV 1er degré • s/p probable infarctus antéro-septal (date inconnue, diagnostiquée à l'ECG) • s/p échec recanalisation IVA en 2003 • s/p double stenting de la CD en 2004 • s/p double pontage coronarien en 2005 • s/p double pontage coronarien à cœur battant avec greffon veineux sur la CD et anastomose artère mammaire interne G sur l'IVA en 2005 • s/p stenting nu de la CX moyenne et échec angioplastie de l'anastomose proximale du pontage saphène sur la CD distale en 2009 FRCV : HTA, hypercholestérolémie, anamnèse familiale positive Goutte Troubles cognitifs Trouble de la marche et de l'équilibre Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire Malnutrition protéino-énergétique modérée AOMI de stade IV bilatérales avec : S/p recanalisation avec angioplastie artère tibiale antérieure gauche le 27.04.2018 (Sion) S/p amputation trans-P1 du 3ème orteil gauche avec surinfection d'une nécrose du 3ème orteil gauche le 16.05.2018 avec débridement post-amputation le 19.05.2018 (Sion) S/p pose de neurostimulateur médullaire le 01.06.2018 avec pose de pile définitive en FIG le 06.06.2018 S/p amputation transmétatarsienne du pied gauche le 04.06.2018 Écoulement de la plaie avec mauvaise cicatrisation, rougeur et frottis positif pour P. aeruginosa et Enterobacter cloacae le 27.06.2018 Bilan angiologique le 06.12.2018 : importante artériopathie avant tout jambière avec occlusion artère tibiale antérieure et tibiale post des 2 côtés. TcPo2 gauche au-dessus du seuil ischémie critique, TcPO2 droit au-dessus du seuil d'ischémie critique Panaris sous-unguéal et para-unguéal le 11.12.2018 avec ablation de l'ongle, curetage collection et ulcère (présence contact osseuse), IRM à recherche d'ostéomyélite non effectuée au vu neurostimulateur non compatible. Mis sous Co-amoxicilline per os Maladie coronarienne tritronculaire ischémique et hypertensive : • BAV 1er degré. • s/p probable infarctus antéro-septal (date inconnue, diagnostiquée à l'ECG) • s/p échec recanalisation IVA en 2003. • s/p double stenting de la CD en 2004. • s/p double pontage coronarien en 2005. • s/p stenting de la CX moyenne en 2009. Goutte. Hypercholestérolémie. Problème de démence dégénérative débutante. Troubles de la marche et de l'équilibre. Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec score NRS à 4 et perte de poids de 5% en deux mois. Maladie coronarienne tritronculaire ischémique et hypertensive : • BAV 1er degré. • status post probable infarctus antéro-septal (date inconnue, diagnostiqué à l'ECG). • status post échec recanalisation de l'artère interventriculaire antérieure en 2003. • status post double stenting de la coronaire droite en 2004. • status post double pontage coronarien en 2005. • status post stenting de la coronaire circonflexe moyenne en 2009. Goutte. Hypercholestérolémie. Problème de démence dégénérative débutante. Trouble de la marche et de l'équilibre. Anémie normocytaire normochrome d'origine inflammatoire. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec score NRS à 4 et perte de poids de 5% en deux mois. Maladie coronarienne tritronculaire (IVA, Cx, CD) • FEVG à 25 % le 14.12.2018 Maladie coronarienne tritronculaire le 04.12.2018 avec : • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau de sa bifurcation avec la branche diagonale et sténose segment moyen : PTCA/DES x2 • occlusion chronique de la circonflexe proximale • bon résultat à moyen terme après stenting x3 de la coronaire droite proximale-moyenne le 27.11.2018 • légère dysfonction ventriculaire gauche avec FEVG 50% Maladie coronarienne tritronculaire le 21.12.2018 • Sténose 90% de l'IVA moyenne et distale • Sténose 90-99% de la première diagonale • Sténose 80% de la première marginale • Bon résultat après angioplastie de l'artère coronaire droite proximale et distale • AMIG sp • FEVG 65% Maladie coronarienne tritronculaire : • Occlusion de la Cx moyenne • Sténose significative de l'IVA proximale • Sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure et de l'artère rétroventriculaire postérieure • FEVG 35%, akinésie diaphragmatique Maladie coronarienne tritronculaire, s/p STEMI antérieur aigu avec choc cardiogène le 11.09.2018 • excellent résultat après recanalisation et mise en place d'un stent actif dans l'IVA proximale le 11.09.2018 • sténose de la branche marginale : PTCA/DES • occlusion de la circonflexe moyenne : échec de recanalisation • longue sténose de la coronaire droite moyenne (petit vaisseau) • dysfonction ventriculaire gauche sévère, Fraction d'éjection VG 30%. Maladie coronarienne tritronculaire, s/p STEMI antérieur aigu avec choc cardiogène le 11.09.2018 • excellent résultat après recanalisation et mise en place d'un stent actif dans l'IVA proximale le 11.09.2018 • sténose de la branche marginale : PTCA/DES • occlusion de la circonflexe moyenne : échec de recanalisation • longue sténose de la coronaire droite moyenne (petit vaisseau) • dysfonction ventriculaire gauche sévère, Fraction d'éjection VG 30%. • Pose de défibrillateur simple chambre à gauche le 13.12.2018 en prophylaxie Insuffisance rénale chronique stade G3bA3 sur probable néphropathie hypertensive • IgG Kappa Lambda augmentées • Sténose sur artère rénale gauche sans répercussion hémodynamique (doppler 17.01.2018) • Suivi par le Dr X (Payerne) Hypertension artérielle BPCO/emphysème 2 petits polypes bénins au niveau sigmoïde (colonoscopie le 13.10.2016) Dolicho-colon Hémorroïde stade 1 Souffle inguinal droit le 13.09.2018 (Bilan angio le 13.09.2018 : pas de faux anévrisme. Plaque athéromateuse pouvant expliquer le souffle) Goutte Maladie coronarienne tritronculaire, stenté en 08.2017. Maladie coronarienne tritronculaire • Stenting de la coronaire droite proximale/moyenne le 15.12.2006 pour STEMI • Stenting du tronc commun, de la circonflexe et la 1ière marginale en 2007 et ré-intervention sur la circonflexe le 28.08.2015 • FEVG 55% avec hypokinésie postérobasale Maladie coronarienne tritronculaire • Subocclusion IVA ostiale • Sténose 70% IVA moyenne • Sténoses significatives DA, RCx proximale et IVP • Fraction d'éjection VG 35%, LVEDP 28 mm Hg Maladie coronarienne tritronculaires avec : • Occlusion RCx proximale • Sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure ostiale et moyenne • Sténose 50-70% ACD moyenne • Fraction d'éjection VG 60%. Maladie coronarienne tritronculaires le 01.12.2018 avec : • occlusion RCx proximale • sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure ostiale et atteinte moyenne • sténose 50-70% ACD moyenne • FEVG 60% le 01.12.2018 (ventriculographie). Maladie coronarienne tritronculaires, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable Pontage saphène-ACD 90% : implantation de 1 stent actif Fraction d'éjection VG normale Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie surajouté, diabétique • Pallesthésie à 0/8 en malléolaire et 6/8 en styloradial bilatéralement. Proprioception abolie aux deux hallux • Évolutive depuis début 2016, diagnostic inaugural en février 2018 • Bilan sanguin large et ponction lombaire non contributifs Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90% : implantation de 1 stent actif • Fraction d'éjection VG normale Bigéminisme ventriculaire (type retard droit) Hypertension artérielle traitée Dyslipidémie traitée Lichen plan diagnostiqué en octobre 2017, en amélioration sous traitement topique Polyneuropathie sensitivomotrice longueur dépendante à prédominance myélinique d'origine indéterminée • Diagnostic différentiel : toxique, post-chimiothérapie surajouté, diabétique • Pallesthésie à 0/8 en malléolaire et 6/8 en styloradial bilatéralement. Proprioception abolie aux deux hallux • Évolutive depuis début 2016, diagnostic inaugural en février 2018 • Bilan sanguin large et ponction lombaire non contributifs Maladie coronarienne tritronculaire, status post-triple PAC 2001 • Occlusion de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale • Absence de resténose de l'ostium de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent actif (2016) • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale • AMIG-IVA, AMID-LCX : perméable • Pontage saphène-ACD 90% : implantation de 1 stent actif 27.08.2018 • Fraction d'éjection VG normale Maladie coronarienne tritronculaire 24.10.2018 : NSTEMI Procédure : 24.10.2018 : triple pontage AMIG-Mx, AMID IVA, Vx-D le 30.10.2018 (CEC de 63 min et clampage aortique de 50 min) Maladie d'Alzheimer Maladie d'Alzheimer Arthrose du genou droit Maladie d'Alzheimer Hypothyroïdie Pathologie rhumatismale déformante Maladie de Basedow • Adaptation du traitement par Néo-Mercazole selon avis Dr. X Maladie de Basedow traitée par Propycil hors grossesse Maladie de Biermer (injection de B12 en février) Maladie de Churg-Strauss sous corticothérapie depuis plus de 10 ans (granulomatose éosinophilique avec polyangéite et asthme). Asthme Maladie de Creutzfeld-Jakob Maladie de Crohn • Date du diagnostic : avril 2017 • Suivi par Prof. X • Traité par Remicade 1x/2 mois depuis mai 2017 (dernière injection : 07.06.18) Maladie de Crohn évolutive. Maladie de Dupuytren bilatérale à prédominance gauche au niveau de Dig IV Status post-cure de canal carpien gauche le 19.06.2018 (Dr. X) Maladie de Hashimoto avec hypothyroïdie substituée Séquelles motrices d'une poliomyélite au pied G et à la jambe D (à l'âge de 5 ans) Cardiopathie ischémique sur coronaropathie bitronculaire • NSTEMI sur occlusion de la 1ère marginale le 16.12.2012 • Coronarographie et ventriculographie du 16.12.2012 (Prof. X) : occlusion de l'ostium de la marginale. Désocclusion et implantation d'un stent biorésorbable (Absorb). Ventriculographie : hypokinésie modérée postéro-latérale et inféro-latérale avec discrète altération de la FE (55%) Métaplasie intestinale de la jonction gastro-oesophagienne : • OGD le 27.03.2014 : présence de flammèches en ligne Z en direction crâniale jusqu'au 30 cm des arcades dentaires compatibles avec oesophage de Barrett. Lymphome à cellules B matures de type MALT pulmonaire LSG, thoracoscopie, résection Wedge du lobe supérieur gauche (OP le 27.02.2014) - actuellement surveillance. Hémochromatose mutation C282y Syndrome obstructif de degré léger le 26.02.2014 avec VEMS à 72% Lombosciatalgie S1 droite hyperalgique sur lésion tissulaire S2 droite avec invasion tumorale des trous sacrés 1, 2 et 3. CT colonne lombaire le 10.09.2018 : lésion S2 droit, reste sans changement. IRM colonne lombaire le 11.09.2018 Dexaméthasone 16 mg du 11.09.2018 au 14.09.2018, 8 mg du 15.09.2018 au 18.09.2018, 4 mg dès le 19.09.2018 au 24.09.2018, 2 mg dès le 25.06.2018. Pregabaline dès le 12.09.2018. Radiothérapie sacré antalgique du 18.09.2018 au 3.10.2018 (12 séances de 2.5 Gy) Myélome multiple de type IgG Kappa, classé selon Durie-Salmon IIIA, ISS stade I : • Date du diagnostic : 29.01.2014 • Cytologie : moelle hypercellulaire avec prolifération 40-90% des plasmocytes atypiques • CT thoraco-abdomino-pelvien le 20.01.2014 : lésion suspecte pulmonaire de 2.3 cm apicale gauche, tassement connu de D8 • PET le 27.01.2014 : hypercaptation modérée du nodule pulmonaire, multiples hypercaptations osseuses (humérus, colonne vertébrale dans son intégralité, articulations sacro-iliaques, gril costal droit) • Status post-fractures pathologiques de D5, D6 et D7 sur myélome multiple • Actuellement : chimiothérapie RVD (Revlimid, Velcade, Dexa) le 14.03.2014, au 5.05.2014 • Mobilisation de cellules souches hématopoétiques avec gemcitabine, Neupogen dès le 19.06.2014 • Récolte de cellules souches hématopoétiques le 26, 27.06.2014 • Chimiothérapie à haute dose par Alkeran le 29.07.2014, suivie d'une infusion de cellules souches hématopoétiques le 30.07.2014 • Traitement de Zometa 03.2014 au 02.02.2016 • récidive tumorale biologique asymptomatique en 07.2016 • 3 cures de chimiothérapie type KRD (carfilzomid, Lenolodomide, Dexamethasone) du 08.09 au 15.12.2016 avec rémission biologique, stoppé selon demande du patient (refus catégorique de poursuivre les chimiothérapies) • progression tumorale biologique, devenue symptomatique en septembre 2017 • 4 cures de chimiothérapie de type KRD du 09.10.2017 au 09.02.2018, avec rémission partielle • radiothérapie du fémur droit à une dose de 30Gy du 27.11 au 13.12.2017 Actuellement : progression de la maladie oncologique, sous chimiothérapie de type KRD. Suivi par Dr. X Status post décompression inter-laminaire L4-L5 et mise en place d'un Sténofix taille 10 le 13.10.2014 pour des lombosciatalgies gauches avec claudication spinale sur important canal spinal étroit L4-L5 • Récidive de douleurs avec listhésis de grade I et kyste articulaire L4-L5 à droite. • décompression et stabilisation L4-L5 avec ablation du kyste arthro-synovial facettaire à droite L4-L5 à rediscuter selon évolution des douleurs Hypertension artérielle Maladie de Hodgkin classique, médiastinale bulky stade IIB • date du diagnostic : 20.10.2006 • histologie : lymphome de Hodgkin classique (soit sous-type scléro-nodulaire de grade 1 avec peu de fibrose, soit sous-type riche en lymphocytes) • CT cérébro-thoraco-abdomino-pelvien du 27.09.2006 : épanchement péricardique. Conglomérats ganglionnaires médiastinaux moyens contigus s'étendant dans tout le médiastin moyen. Hépatomégalie • status post thoracotomie droite avec biopsies ganglionnaires hilaire droite et médiastinale postérieure le 17.10.2006 • absence d'infiltration à la ponction-biopsie de moelle osseuse (cytogénétique médullaire : caryotype normal, 45, XY) du 20.11.2006 • PET-CT du 14.11.2006 : multiples hypercaptations basi-cervicales bilatérales et médiastinales • status post 6 cures de chimiothérapie type ABVD (12x) du 20.11.2006 au 24.04.2007 • rémission complète au PET-CT du 15.05.2007 • status post radiothérapie du médiastin et de la région sus-claviculaire bilatérale 30Gy du 11.06 au 12.07.2007 • récidive avec apparition d'adénopathies sus-claviculaires gauches, dorsales droites. • pathologie : exérèse ganglionnaire sus-claviculaire gauche et dorsale droite du 12.11.2018 : lymphome de Hodgkin classique, variante riche en lymphocytes, compatible avec une récidive du lymphome de Hodgkin connu, diagnostiqué en 2006. Infection par EBV. Pas de sclérose. Relecture de pathologie Hôpital Universitaire de Bâle : lymphome de Hodgkin classique riche en lymphocytes associé à EBV • ponction-biopsie de moelle osseuse du 27.11.2018 : médullogramme avec moelle hypocellulaire, trilinéaire, sans signes de dysplasie significatifs dans les trois lignées ni infiltration lymphocytaire. Pathologie : tissu hématopoïétique légèrement hyper-cellulaire avec modification réactive non spécifique. Moelle osseuse réactionnelle, sans évidence d'une infiltration par un lymphome • PET-CT du 21.11.2018 : status après exérèse d'un ganglion susclaviculaire gauche et dorsal droite. Deux petites captations ganglionnaires axillaires suspectes de traduire une récidive du lymphome. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de malignité. • laboratoire du 21.11.2018 : VS 2 mm/1h, ß-2-microglobuline 1,7 mg/l, CMV IgG <5 U/ml, IgM 14 U/ml, EBV VCA IgG 276 U/ml, IgM 10,2 U/ml, EBNA-1 IgG <3 U/ml, sérologie hépatite A avec infection guérie ou status post-vaccination, hépatite B, C et HIV négatives. • fonctions pulmonaires complètes du 26.11.2018 : absence de troubles ventilatoires obstructifs et restrictifs. Absence d'air-trapping statique et dynamique. La capacité de diffusion du CO est dans la norme. • échocardiographie transthoracique du 27.11.2018 : examen dans les limites de la norme hormis des insuffisances mitrales et aortiques minimes. Contrôle par échocardiographie dans 2-3 ans recommandé. • avis : proposition d'une chimiothérapie de rattrapage/rechute 2 cycles puis transplantation de cellules souches autologues. • actuellement : chimiothérapie de type ESAP 2 cycles puis nouveau PET-CT puis transplantation de cellules souches autologues avec chimiothérapie à haute dose à l'Inselspital à Berne. Maladie de la Peyronie Maladie de Lupus. Maladie de Ménière, depuis 2011. Hypothyroïdie substituée : • Status post-thyroïdectomie totale pour Struma nodosa. Maladie de Ménière. Appendicectomie. Hypotension orthostatique le 15.05.2018. Maladie de Parkinson Maladie de Parkinson Maladie de Parkinson, avec : • crises motrices intermittentes de type akinésie/hyperkinésie • s/p décompensation en 2014 et 2017 • diagnostiquée en 2010 par Dr. X Maladie de Parkinson DD Démence de Lewy, avec : • démence avancée, hallucinations, troubles de la marche et de l'équilibre, hypotension orthostatique • consilium neurologie par Dr. X : possible multiples troubles neurologiques (parkinsonisme typique/atypique, hydrocéphalie à pression normale, AVC) • consilium neurologique par Dr. X le 16.11.2018 : adaptation du Madopar à 375 -250-125 mg Maladie de Parkinson de stade III (Hoehn et Yahr) • suivi par Dr. X et Prof. X • stimulateur cérébral sous-thalamique depuis 2014. Changement des paramètres de stimulation le 18.10.2018 par Dr. X. • chutes à répétition Maladie de Parkinson (diagnostiquée en 2013) • actuellement épisodes de freezing fréquents Maladie de Parkinson, diagnostiquée en 2013 • sous Madopar depuis 2013, suivie par Dr. X jusqu'en 2016 • stade Hoehn & Yahr 4, avec atteinte motrice, végétative et comportementale Maladie de Parkinson • sous Madopar, Lexotanil, Rivotril, Distraneurin Maladie de Parkinson sous Madopar Polyarthrite rhumatoïde sous Méthotrexat Ostéoporose Etat dépressif sous Citalopram Maladie de Parkinson sous Madopar Polyarthrite rhumatoïde sous Méthotrexat Ostéoporose Etat dépressif sous Citalopram Maladie de Parkinson sous traitement neurologique médicamenteux HTA traitée Maladie de Parkinson traitée. Hypertension artérielle traitée. Insuffisance aortique 2/4 : • dernier échographie cardiaque en 2016 • FEVG à 75% Maladie de Parkinson traitée. Hypertension artérielle traitée. Insuffisance aortique 2/4 avec : • dernière échocardiographie en 2016 avec FEVG à 75% Maladie de Parkinson Trouble de l'anxiété Insuffisance rénale chronique Maladie de Parkinson Polyarthrite Dépression Ostéoporose Anémie chronique pluri-investiguée Maladie de reflux sous IPP. Maladie de reflux sous IPP. Maladie de Sever. Maladie de sinus avec tachy-bradycardie le 14.02.2013 • status post-implantation d'un pacemaker (Reply DDDR). Hypertension artérielle traitée. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle avec facteurs de risque : • malnutrition protéino-énergétique • troubles du sommeil • nycturie (deux épisodes). Troubles cognitifs légers à modérés avec : MMSE à 22/30 et test de la montre à 1/7. Polyneuropathie d'origine indéterminée. Ostéoporose. Hernie ombilicale asymptomatique. Kératose actinique faciale. Vertiges positionnels paroxystiques bénins sous Betaserc. Hypovitaminose D3 sévère et déficit alimentaire en calcium. Maladie de sinus avec tachy-bradycardie le 14.02.2013 • status post-implantation d'un pacemaker (Reply DDDR) Hypertension artérielle traitée Insuffisance rénale chronique stade 3b selon KDIGO avec : • Clairance de la créatinine estimée selon Cockcroft-Gault à 31 ml/min le 15.11.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multi-factorielle avec facteurs de risque :• malnutrition protéino-énergétique • troubles du sommeil • nycturie (deux épisodes) Troubles cognitifs légers à modérés avec (19.05.2018) : MMSE à 22/30 et test de la montre à 1/7 Polyneuropathie d'origine indéterminée Ostéoporose Hernie ombilicale asymptomatique Kératose actinique faciale (Dr. X) Vertiges positionnels paroxystiques bénins sous Betaserc Hypovitaminose D3 sévère et déficit alimentaire en calcium Maladie de Still de l'adulte probable • polyarthrite • pics fébriles • exanthème maculo-papuleux fluctuant • pharyngite Maladie de Südeck main droite sur statut post ostéosynthèse radius distal droit le 7.5.2018. Epaule gelée droite avec lésion partielle transfixiante du sus-épineux droit de date inconnue avec légère atrophie de la masse musculaire du sus-épineux. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 23.11.2018. Maladie de Sudeck main gauche sur statut post ostéosynthèse d'une fracture pluri-fragmentaire d'une fracture intra-articulaire pluri-fragmentaire du radius distal gauche le 23.1.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture pluri-fragmentaire diaphysaire de l'humérus gauche ouverte du 1er degré le 21.1.2018. Maladie de Verneuil Maladie de Wegener diagnostiquée en janvier 2018, avec: • atteinte pulmonaire sévère : abcès pulmonaires aseptiques, ulcère paratrachéal droit sous-glottique, sténoses multi-étagées avec desquamation trachéale, trachéomalacie débutante • insuffisance rénale aiguë sur glomérulonéphrite rapidement progressive le 03.01.2018 • pétéchies des membres inférieurs le 03.01.2018 • arthralgies (chevilles et poignet G>D) • scléro-malacie de l'œil gauche Hypertension artérielle Goutte sous Allopurinol Gonarthrose droite Maladie de Widal. Maladie des membranes hyalines avec CPAP jusqu'au 09.12.2016 (72 hrs au total) et oxygène jusqu'au 10.12. Suspicion de late-onset sepsis le 7.12.2016 avec antibiotique du 07-14.12.2016; Hémocultures négatives. Hyperbilirubinémie non conjuguée du prématuré et prolongée sur lait maternel/Ictère prolongé non conjugué sans incompatibilité (Mère : A Rh pos; enfant O Rh pos., Coombs nég.) (Bili tot. max. 155 umol/l) Mycose du siège traitée depuis le 28.12.- 03.01.2017 Syndrome bradyapnéique post MMH Anémie de la prématurité (Hb min. 151 g/l) Hospitalisation élective pour vaccination (1ère dose) le 07.02.2017. Maladie diverticulaire. Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie substituée. Mycose unguéale. Maladie d'Osgood Schlatter symptomatique. Maladie d'Osgood-Schlatter du genou gauche Maladie du sinus avec asystolies répétées jusqu'à 4 secondes avec : • nombreux épisodes symptomatiques objectivés le 12.12.2018 • notion de malaises depuis quelques semaines, • patiente sous Atenolol 25 mg 1-0-0-0 pour une FA Maladie du sinus avec bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré avec : • rythme d'échappement (QRS fins) Maladie du sinus avec bradycardie et vertiges avec : Implantation de pace maker (Sorin. KORA 250 DR. IRM 1.5T compatible) le 05/01/2017. Mode de stimulation : AAIR-DDDR. Fréquence de base : 70 bpm, Fréquence max : 140 bpm. Dépendance : non dépendant. Compatibilité IRM : oui à 1.5 T corps entier. Cataracte Détachement rétinien Maladie du sinus avec pauses sinusales : pose d'un pacemaker (Medtronic, Advisa DR MRI le 17.09.2015, non dépendant • mode de stimulation : AAIR-DDDR (compatibilité IRM, Tesla 1.5) Maladie du sinus, bradycardie, vertiges avec mise en place de pace maker (Sorin. KORA 250 DR. IRM 1.5T compatible) le 05/01/2017 Maladie du sinus symptomatique et avec pauses sinusales mesurées jusqu'à 4 secondes avec : • malaise à répétition depuis quelques semaines • patiente sous Atenolol 25 mg 1-0-0-0 pour une FA Maladie hypertensive et coronarienne bitronculaire avec : • excellent résultat après PCI IVA proximale et RCx distale en avril 2012 • excellent résultat après PCI (1 DES) de l'artère interventriculaire antérieure distale le 21 avril 2017 • FEVG à 65 % (2017) Insuffisance rénale probablement chronique stade 3A : • eGFR à 49 ml/min selon MDRD le 11.05.18 • eGFR à 51 ml/min selon MDRD le 23.11.2018 Apnées obstructives du sommeil sous CPAP Hypercholestérolémie Artéria lusoria Obésité Canal lombaire étroit Lombarthrose Hernies postéro-latérale et médiane T11-12, médiane et para-médiane droite T10-11 Suspicion de restless-legs Kyste de Baker à droite Chondrocalcinose du genou droit Maladie sinusale avec arrêt cardio-respiratoire avec pose de pacemaker le 25.06.2006 • Ultrason cardiaque 10.07.2012 : FE à 65%, contrôle du pacemaker normal • changement du boîtier du pacemaker le 04.02.2016 Broncho-pneumopathie chronique obstructive modérée • VEMS à 51% du prédit, VEMS/CVF à 63 du prédit le 10.07.2012 Insuffisance rénale chronique Colopathie fonctionnelle avec reflux gastro-oesophagien Maladie thrombo-embolique anticoagulée (ATCD de TVP, EP bilatérale en avril 2008) Hernie hiatale. Maladie thrombo-embolique avec : • CT thoraco-abdomino-pelvien du 06.08.2018 : apparition d'opacités diffuses en verre dépoli voire de petites condensations alvéolaires des deux poumons compatibles avec une perfusion en mosaïque. A posteriori, il existait très vraisemblablement une embolie pulmonaire significative bilatérale sur le scanner de mars dernier au Brésil, persistant a minima au niveau de la postéro-basale droite en avril, pas de signe d'EP évident ce jour sur ce temps vasculaire non dédié, à confronter au contexte et au mieux à une recherche d'hypertension artérielle pulmonaire (pouvant se manifester par le poumon mosaïque) et à un nouveau scanner thoracique avec protocole EP. Une maladie embolique pourrait expliquer la toux et cette perfusion en mosaïque (pour cette dernière le principal DD serait une pneumopathie interstitielle). • angio-CT thoracique du 14.08.2018 : aspect compatible avec un thrombus dans l'artère segmentaire para-cardiaque droite et de façon plus modeste dans la segmentaire postéro-basale droite. L'atteinte était plus évidente en avril dernier au niveau de la postéro-basale droite. Cet aspect de poumons mosaïque est peut-être en partie dû à un trouble perfusionnel suite à des embolies pulmonaires. Nous mettons cependant plus en avant ce jour le diagnostic de pneumopathie interstitielle vu les foyers épars de réticulations interstitielles associés, stables depuis le 6 août dernier. Origine iatrogène ? Une origine infectieuse semble le moins probable • évaluation pneumologique (Dr. X) : pneumopathie interstitielle très peu probable (risque très rare de pneumopathie interstitielle sur Gazyvaro ; pas décrit pour la Rimobustin) ; probabilité d'une toux positionnelle et d'une dyspnée causées par l'épanchement pleural et les embolies pulmonaires beaucoup plus grande. Proposé de poursuivre traitement d'EP et d'effectuer une ponction pleurale • CT thoracique du 08.10.2018 : embolie pulmonaire subocclusive segmentaire basale postérieure du lobe inférieur droit correspondant à un CTOI à 2,5%. Pas de dilatation du tronc pulmonaire et rapport VD/VG dans la norme. TVP au sein de la veine fémorale gauche non occlusive. Maladie thrombo-embolique avec : • anticoagulation par Sintrom à vie • statut post-embolie pulmonaire de l'artère lobaire inférieure D complète le 03.04.2013 avec épanchement pleural et atélectasie associés, sous Sintrom • statut post-suspicion de syndrome des anticorps anti-phospholipides le 03.04.2013. Incontinence urinaire de stress connue, incontinence de selles occasionnelle depuis septembre 2012. • S/p TVP en 2017 et à l'âge de 32 ans. Maladie thrombo-embolique avec : • une embolie pulmonaire segmentaire basale postérieure du lobe inférieur droit (angio CT octobre 2018)Maladie thrombo-embolique chronique • thrombose du membre supérieur gauche (sur VVP de la chimiothérapie) • embolie pulmonaire sur découverte fortuite en avril 2017 (sous Xarelto 10 mg) • arrêt de toute anticoagulation depuis mi-2018 sur saignements massifs récidivants secondaires à la tumeur Status post-Bricker avec multiples épisodes de pyélonéphrite • dernier épisode le 04.06.2018 • sous Augmentin au long cours Cancer papillaire du pyélon et du calice supérieur du rein gauche pTa G3 R0 • status post-néphro-urétérectomie gauche en novembre 2010 • status post-5 injections BCG intra-rénales droites pour amas papillaire de bas grade du rein droit • status post-RTU de la vessie pour cancer urothélial papillaire superficiel en juin et novembre 2011, 2014, septembre 2015 Insuffisance surrénalienne avérée • sous substitution par Prednisone 10 mg Maladie thrombo-embolique • CT scanner thoracique 2011: argument pour une hypertension pulmonaire avec défaut de réhaussement d'artères sous-segmentaires • Bilan angiologique en 2016: argument pour des séquelles de maladie thrombotique Maladie thrombo-embolique le 03.05.2017. • Embolie pulmonaire bilatérale subaiguë (PESI 0 points = low risk). • TVP de la veine fémorale superficielle distale/poplitée proximale du membre inférieur gauche. • HTP à l'ETT le 01.05.2017 (Dr. X). Bypass gastrique (2005): perte de 50 kg. Réduction mammaire bilatérale (12.2013). Tophus goutteux pouce main droite (07.2016). Malaise d'allure vagale avec PC le 08.09.2017. Mycose vaginale le 08.09.2017. Lipothymie le 22.09.2017. Vertiges probablement sur pic hypertensif le 04.03.2018. Maladie thrombo-embolique sous Sintrom à vie • Embolies pulmonaires segmentaires multiples Maladie thrombo-embolique sous Xarelto 15 mg 1x/j • TVP des MI et thromboses veineuses oculaires récidivantes • US Doppler MIG le 12.11.2018: séquelles d'anciennes thromboses, pas de TVP occlusif récent Maladie thrombo-embolique sur thrombose veineuse profonde de la jambe gauche et probable embolie pulmonaire en novembre 2018 avec status post-thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en janvier 2018. Maladie variqueuse chronique avec : • Cure des deux grandes veines saphènes par crossectomie stripping long et phlébectomies en 1993 (Dr. X) • Récidive de varices dans les territoires des deux grandes veines saphènes avec néocrosses larges aux deux plis inguinaux et performante incontinente large à mi-cuisse à droite • Stade actuel : C6 avec petit ulcère variqueux ou actif de la cheville gauche et zone de dermite à menace d'ulcération à la jambe droite Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise. Malaise.. malaise malaise malaise malaise Malaise Malaise à l'effort avec traumatisme crânien et perte de connaissance, d'origine probablement cardiaque (sténose aortique, maladie coronarienne, trouble du rythme) 10/2018 Fracture en 3 parties de la tête humérale G le 12/2016 Malaise avec douleurs basi-thoraciques droites, associée à une dyspnée et des palpitations le 20.12.2018 Malaise avec douleurs thoraciques oppressives le 12.12.2018 Malaise avec hypotension artérielle Malaise avec hypotension artérielle probablement d'origine mixte sur embolies pulmonaires et urosepsis sur pyélonéphrite débutante Malaise avec ou sans perte de connaissance. Malaise avec PC Malaise avec PC liée probablement au surdosage de lorazépam. DD: hypoglycémie Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance. Malaise avec perte de connaissance et traumatisme crânien. Malaise avec perte de contact et amnésie circonstancielle le 07.12.2016 Crise hypertensive (220/110 mmHg) en mars 2016. Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance le 07.12.2018 avec : • fracture os occipital et temporal droit non déplacée Malaise avec traumatisme crânien et perte de connaissance le 07.12.2018 • avec fracture os occipital et temporal droit non déplacée Malaise avec traumatisme crânien, perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Malaise avec vertige et tremblement sans perte de connaissance le 19.12.2018, d'origine indéterminée. Malaise d'origine indéterminée • DD: sur hypoglycémie. Malaise d'origine indéterminée, DD: orthostatique, mauvaise adaptation du pacemaker. Malaise d'origine indéterminée DD passage en fibrillation auriculaire à conduction ventriculaire rapide Malaise d'origine indéterminée, probablement orthostatique. Malaise d'origine indéterminée probablement sur éthylisation aiguë à 0.84 pour mille. Malaise d'origine multiple (virose, fatigue, glycémie faible, orthostatique) Malaise d'origine probablement médicamenteuse le 11.12.2018 • Introduction de Lyrica 75 mg 1x/j la veille • anti-hypertenseurs avec profil tensionnel bas lors de son séjour hospitalier Malaise d'origine probablement médicamenteuse 11.12.2018 • Introduction de Lyrica 75 mg la veille Malaise d'origine probablement orthostatique avec traumatisme du menton et plaie profonde de 3,5 cm. Malaise d'origine probablement orthostatique 07.12.2018 Malaise d'origine vagale. Malaise d'origine vagale. • dans un contexte de déshydratation. Malaise d'origine vaso-vagale probable le 24.09.2012 Oesophagite peptique aiguë et chronique, hémorragie au contact Anémie microcytaire hypochrome le 24.09.2012 Amputation gros orteil D (non datée) Bypass gastrique en 2006 (Dr. X). Cholécystectomie par laparoscopie pour cholécystite aiguë Plastie abdominale le 04.05.2010 Malaise du nourrisson Malaise en 2016 Malaise et choc du pacemaker/défibrillateur. Malaise et perte de connaissance avec troubles sensitifs au niveau de l'hémicorps gauche le 21.06.2011. Status post-PTH bilatérale 1990. Suspicion AIT avec hémi-syndrome sensitivo-moteur à prédominance brachiale régressif • DD associée à la pathologie rhumatologique. Angor sur crise hypertensive, possiblement sur maladie des petits vaisseaux. Hémorragie digestive haute sur probable gastrite/ulcère gastrique dans un contexte de prise d'Apranax en juillet 2017. Contusion genou gauche. Examen clinique. Bilan radiologique. Antalgie standard. RAM en charge selon douleurs avec 2 cannes. Contrôle médecin traitant à 5 jours. Douleurs chroniques hanche gauche avec: • sp PTH en 2008 par le Dr X (Lausanne) • Bilan radiologique • RAM en charge selon douleurs • Contrôle orthopédiste à prévoir par la patiente à distance. Malaise et perte de connaissance avec troubles sensitifs au niveau de l'hémicorps gauche le 21.06.2011 Suspicion AIT avec hémi-syndrome sensitivo-moteur à prédominance brachiale régressif • DD associée à la pathologie rhumatologique Angor sur crise hypertensive, possiblement sur maladie des petits vaisseaux. Hémorragie digestive haute sur probable gastrite/ulcère gastrique dans un contexte de prise d'Apranax en juillet 2017 Coxalgie gauche chronique (suivi auprès du Dr X) PTH bilatérale 1990 PTH en 2008 par le Dr X (Lausanne) Malaise et perte de connaissance avec troubles sensitifs au niveau de l'hémicorps gauche le 21.06.2011. Suspicion AIT avec hémi-syndrome sensitivo-moteur à prédominance brachiale régressif • DD associée à la pathologie rhumatologique. Angor sur crise hypertensive, possiblement sur maladie des petits vaisseaux. Hémorragie digestive haute sur probable gastrite/ulcère gastrique dans un contexte de prise d'Apranax en juillet 2017 Douleurs chroniques hanche gauche suivi avec le Dr X. PTH bilatérale 1990. PTH en 2008 par le Dr X (Lausanne) Malaise et perte de connaissance sans critère de gravité le 20.12.2018 avec: • crise d'angoisse avec hyperventilation dans un contexte social. Malaise hypotensif péri-coronarographie le 07.12.2018. Malaise orthostatique. Malaise orthostatique d'origine mixte le 19.09.2015 Status post fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 01.05.1995 pour maladie de reflux récidivante avec oesophagite peptique stade III. Status post cholécystectomie et montage anti-reflux en 1968. Oesophagite de reflux stade I • status post fundoplicature selon Nissen par laparoscopie en 1995 Vomissement sur iléus paralytique • Retrait des opiacés • Ablation de la SNG (mise en place du 11.11-12.11.218) Malaise orthostatique d'origine probablement mixte • diarrhées • médicamenteux (Remeron, Seresta). Malaise probablement orthostatique dans un contexte d'alcoolisation aiguë et manque de sommeil. Malaise probablement sur hypotension orthostatique. Malaise sans étiologie retrouvée, le 11.12.2018. DD: malaise orthostatique. DD: malaise sur trouble de la nutrition. Malaise sans PC sur déshydratation. Malaise sans perte de connaissance. Malaise sans perte de connaissance dans le cadre d'une aménorrhée, le 28.10.2016. Infection urinaire, le 28.10.2016. Malaise sans perte de connaissance d'origine indéterminée le 05.12.2018. Malaise sans perte de connaissance ou chute d'origine probable algique. Malaise sans perte de connaissance ou chute • Probablement sur forte douleur. Malaise sur alcoolisation aiguë. Malaise sur hypoglycémie le 14.12.2018. Malaise sur hypotension orthostatique versus vaso-vagal. Malaise sur orthostatisme. Malaise sur prise de Tramadol. Malaise sur probable passage en fibrillation auriculaire rapide le 07.12.2018. DD: pause post cardioversion spontanée de la FA. Malaise sur probable reflux DD sur hypoglycémie 09.2015. Malaise sur reflux gastro-oesophagien probable. Malaise d'origine indéterminée le 15.12.2018 avec: • VHF-Récidive 1 semaine auparavant, sous Bilol et Tambocor • cvRF: Adipositas, FA: Oncle vs MI; VHF, Vd.a. AH, Dyslipidémie non connue, Non-fumeur • EKG: nkSR, HF 63/min, Linkslage, schmale QRS, T-Welle négative en V1, plate en V3-V4, R/S-Umschlag en V4, QTc 421ms • Troponin T négatif. Malaise vagal avec PC et TC. Malaise vagal dans un contexte d'hypotension et anémie à 95 G/L sur spoliation digestive le 07.12.2018. • chez patient traité par Aprovel 300 mg qui a perdu 40 kg dans les 2 dernières années. Malaise vagal dans un contexte d'hypotension iatrogène et anémie à 95 G/L. • chez patient traité par Aprovel 300 mg qui a perdu 40 kg dans les 2 dernières années. Malaise vagal le 07.12.2018 dans un contexte d'hypotension iatrogène et anémie à 95 G/L. • chez patient traité par Aprovel 300 mg qui a perdu 40 kg dans les 2 dernières années. Gonarthrose droite. Hernie inguinale opérée dans l'enfance. Cryptorchidie opérée dans l'enfance. Status post-amygdalectomie. Récidive d'une obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 38,6 kg/m². • status post-anneau gastrique par laparoscopie en 1997 • Conversion de l'anneau gastrique en bypass par laparoscopie le 15.09.2016. Méléna en 08.2017 investiguée par coloscopie et OGDS, les deux qui n'ont pas montré d'anomalies. Malaise vagal le 14.12.2018. Malaise vagal post-chute. Malaise vagal. Malaise vagal simple. Malaise vagaux. Obésité morbide. Malaise vaso-vagal dans un contexte algique (VVP douloureuse + douleurs abdominales). Malaise vasovagal avec perte de connaissance sur hypotension artérielle. Malaise vaso-vagal dans un contexte algique (voie veineuse douloureuse + douleurs abdominales). Malaise vasovagal (post-prandial et post-douleur) et troubles électrolytiques dans le contexte d'une déshydratation et d'un status post-rapproché d'une OGD et d'une coloscopie, chez une patiente connue pour des angoisses et une hyperventilation, le 05.07.2012. Hystérectomie en 1986. Césarienne en 1982. Appendicectomie non datée. Malaise vaso-vagal sur déshydratation. Contusion pied droit. Malaise vaso-vagal le 28.12.2018 • dans un contexte de jeûne. Malaise vs syncope d'origine indéterminée. Malaises. Malaises à répétition d'origine indéterminée. • DD: épilepsie post-traumatique, Mastocytose systémique. • Holter 03/2015: rythme sinusal. Pas d'arythmie relevante. • Suivi par le Dr X et traitement avec Keppra. • Schellong 10/2017: pas de troubles orthostatiques. • R-Test 11/2017: pas de troubles de rythme. • Tryptase sérologique 12/2017: normale. • EKG 12/2017: RSR, BAV 1er, pas de trouble de la repolarisation. • CT cérébral 12/2017: Pas de saignement. • Taux de Keppra: 75 µmol/l 11.10.2017, 79 µmol/l 04.12.2017. Malaises à répétitions depuis 15 jours. Malaises d'origine peu claire sur possible dumping tardif le 21.12.2018. Malaria. Malaria. Malaria - 11900 gb, CRP 11. Pas de point d'appel infectieux. Retour à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique. Malaria inaugurale le 04.12.2012. Syndrome du ligament arqué diagnostiqué le 04.12.2012. Malarone, protection par spray Nobite. Dafalgan, toilette nasale avant avion. Consultation médecin au Cameroun si fièvre. Malcompliance médicamenteuse. Malformation au pied droit. Malformation de Chiari type 1 associée à une syringomyélie centro-médullaire et hydrocéphalie tétraventriculaire. Malformation de Chiari type 1 associée à une syringomyélie centro-médullaire et hydrocéphalie tétraventriculaire • IRM cérébro-médullaire le 07.11.2018. Malgré le résultat négatif de l'infiltration, je conclus à un conflit sous-acromial de l'épaule étant donné l'examen clinique. Je conseille un traitement physiothérapeutique ciblé à but de recentrer la tête humérale et renforcer la coiffe des rotateurs et les abaisseurs de la tête humérale. La patiente va suivre un traitement physiothérapie à l'HFR Riaz. Malgré un état général bon et l'identification à la clinique d'un foyer ORL, au vu de la persistance d'un état hautement fébrile chez un petit de 7 mois, nous décidons de compléter le bilan avec une prise de sang et une analyse urinaire, à la recherche d'une possible pyélonéphrite. Les résultats sont rassurants et permettent d'exclure une infection urinaire. Nous retenons une virose des voies aériennes supérieures et recommandons l'administration de fébrifuges au besoin. Malgré un faux croup léger, nous décidons de prescrire quand même du Betnesol (débaté dans la littérature).Nous soulignons les enjeux d'un traitement répété et conseillons de ne pas administrer le traitement sans avis médical dans le futur. Malgré un sédiment urinaire sans particularité, nous traitons la patiente par l'antibiothérapie suscitée au vu de symptômes clairs et connus. Au vu des cystites à répétition, nous effectuons une culture urinaire que nous vous laissons le soin de pister. En cas de récidive, des investigations supplémentaires seraient nécessaires (imagerie des voies urinaires). Malgré une image radiologique correcte, la patiente montre une restriction assez marquée de la flexion, qui ne va pas au-delà des 90°. Une raison de cette restriction de la flexion pourrait être un ober stuffing de la rotule. En accord avec la patiente, j'aimerais bien l'adresser pour un 2ème avis à la consultation spécialisée du Dr. X à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. La patiente sera directement convoquée par le team genou de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal. Malgré 5 jours de fièvre, nous décidons de ne pas faire de prise de sang pour l'instant compte tenu d'un état général bon, d'une fièvre en amélioration et d'une auscultation pulmonaire symétrique. Contrôle dans 48 heures pour espacement du Ventolin et évaluation de l'indication à des examens complémentaires si persistance de fièvre à ce moment. Malheureusement, il s'est à nouveau formé un volumineux sérome malgré le MI bandé pendant 4 jours (attelle Jeans en extension). Je propose à Mr. Y une révision de plaie, mis à plat du sérome et mise en place d'un drainage, avec une hospitalisation d'environ 3-4 jours afin de s'assurer de la bonne évolution. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. Le Plavix reste en suspend et poursuit son traitement d'Aspirine Cardio. Un rendez-vous à la consultation d'anesthésie est programmé. Malheureusement, le patient se plaint toujours de gonalgies G. Le bilan radiologique effectué lors de la dernière consultation du 22.10.18 n'a pas mis en évidence de pathologie, raison pour laquelle je propose d'effectuer un IRM du genou G à la recherche d'une lésion dégénérative méniscale et/ou d'un éventuel kyste de Baker. Je revois le patient le 16.01.2019 afin de discuter des résultats de cet examen et envisager la suite du traitement. Mallet Finger à D le 07.10.2018. Mallet Finger doigt III de la main droite. • Traumatisme direct sur l'IPD le 11.11.2018 Mallet finger osseux annulaire D Mallet Finger tendineux 5ème doigt à D. Mallet Finger 5ème doigt gauche le 26.12.2018 Malnutrition avec : • Carence en vitamine B12 • Carence en acide folique • Carence en vitamine D Malnutrition chronique dans le contexte de mucoviscidose. • Bouton de gastrostomie, oesophago gastroscopie (Dr. X) et mise en place de PEG (Dr. X) utilisée du 14.10.14 à fin 10/18. • BMI 19 Kg/m2 le 01.12.2018. • Ostéopénie et sarcopénie. • Insuffisance pancréatique exocrine substituée. • Diabète sur insuffisance pancréatique. • Carence en vitamine D. • Atteinte intestinale. Diabète sur insuffisance pancréatique endocrine. • Le patient ne prend plus de nutrition parentérale donc plus d'Insulatard. • Glycémies. • Novorapid selon schéma. Anémie hypochrome normocytaire à 118G/l d'origine inflammatoire le 03.12.2018 • Hb 134G/l le 05.12.2018 • Ferritine 19ug/l, saturation transferrine 16%. Pas d'injection de Venofer au vu d'une valeur d'hémoglobine acceptable. Hépatopathie associée à la mucoviscidose. Asthme allergique aux acariens. Malnutrition chronique dans le contexte de mucoviscidose. • Ostéopénie et sarcopénie • Insuffisance pancréatique exocrine substituée • Diabète sur insuffisance pancréatique • Carence en vitamine D • Atteinte intestinale • Bouton de gastrostomie le 14.10.2014 • Oesophago gastroscopie (Dr. X) et mise en place de PEG (Dr. X) Hépatopathie associée à la mucoviscidose Asthme allergique aux acariens Malnutrition chronique dans le contexte de mucoviscidose • Patient porteur de PEG, non utilisée depuis fin 10/18 • BMI 19 Kg/m2 le 01.12.2018 Malnutrition dans le contexte du diagnostic 1 Malnutrition dans le contexte oncologique Malnutrition modérée dans le contexte d'infection parasitaire chronique et de trouble dépressif modéré. Malnutrition protéino-énergétique • albumine : 26.9 g/l. Malnutrition protéino-énergétique grave • SNG du 13.10.2018 au 6.11.2018 Malnutrition protéino-calorique avec status post-dysphagie post-opératoire avec sonde Freka du 25.09 au 06.11.2018 avec : • hypoalbuminémie à 30.8 g/l et hypoprotéinémie à 49.1 g/l le 20.11.2018 • OMI Malnutrition protéino-calorique dans le cadre tumoral. Malnutrition protéino-énergétique modérée • en lien avec une baisse d'appétit et des nausées sur chimiothérapie • NRS à 5/7 Malnutrition protéino-énergétique Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique. Malnutrition protéino-énergétique avancée • perte d'env 10 kg en 2 mois Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave Malnutrition protéino-énergétique grave. Malnutrition protéino-énergétique grave avec apport oral insuffisant : • Protéines totales 57 g/l, Albumine 36 g/l (19.09.2018) Malnutrition protéino-énergétique grave avec hypophosphatémie 0.77 mmol/l le 06.12.2018 et hypokaliémie 2.9 mmol/l le 10.12.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave avec perte pondérale de 14 kg depuis janvier 2018 • acide folique 3.4 ng/ml le 06.12.2018, vitamine B12 dans la norme Malnutrition protéino-énergétique grave (BMI 17.6) Malnutrition protéino-énergétique grave dans contexte oncologique et mucite radique. Malnutrition protéino-énergétique grave • en lien avec dysphagie • NRS 6 Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec un transit perturbé, type diarrhéique avec NRS >5 : • déficit en folates à 2.2 ng/ml et vitamine D à 39 nmol/l le 15.11.2018. Malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec un transit perturbé, type diarrhéique avec NRS >5 : • Déficit en folates à 2.2 ng/ml et vitamine D à 39 nmol/l le 15.11.2018 • Colonoscopie le 15.11.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave NRS à 5 avec BMI 16.1kg/m2 • S/p Cancer de l'estomac à la fin des années 1990, avec gastrectomie • Hypoalbuminémie et hypoprotéinémie Malnutrition protéino-énergétique grave • NRS 4 • Dans un contexte oncologique Malnutrition protéino-énergétique grave • NRS 5/7 Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 6/7 • dans un contexte d'éthylisme chronique Malnutrition protéino-énergétique grave • SNG du 13.10.-06.11.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave • NRS 4 Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 4 S/p Nutrition par sonde NG S/p stent oesophagien Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère. Malnutrition protéino-énergétique légère • Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement, nutrition entérale • Substitution par une sonde naso-gastrique le 24.10.18.Substitution vitaminique Malnutrition protéino-énergétique légère avec • Apport oral insuffisant (56-59%), NRS 3/7 • Apport hydrique insuffisant (5 dl > cible boire +/- 2 L) Malnutrition protéino-énergétique légère, dysphagie Malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec un apport oral insuffisant démontré par NRS 3 et une perte de poids de 5.3 kg/8% en 8 mois Malnutrition protéino-énergétique légère • hypoalbuminémie et hypoprotéinémie • NRS 5/7 Malnutrition protéino-énergétique légère • NRS 3/7, apports oraux de 65 % Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée Malnutrition protéino-énergétique modérée. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec : • hypophosphatémie à 0.58 mmol/l • hypomagnésiémie à 0.71 mmol/l • hypovitaminose B12 à 182 pg/l • déficit en acide folique à 3.1 ng/ml • hypoprotéinémie à 60.2 g/l. Malnutrition protéino-énergétique modérée avec NRS à 4, le 27.11.2018 • dans le contexte adénocarcinome de la tête du pancréas Malnutrition protéino-énergétique modérée avec perte de 20 kg en 1 an Malnutrition protéino-énergétique modérée • Laboratoire 24.01.2018 : Albumine 37.3 g/l, vitamines B12 et B9 dans la norme (492 pg/ml, respectivement 4.8 ng/ml) Malnutrition protéino-énergétique modérée le 04.12.18 Malnutrition protéino-énergétique modérée NRS à 4 avec : • dans le contexte du diagnostic principal Malnutrition protéino-énergétique modérée NRS 4 • sur troubles de l'alimentation dans le contexte du diagnostic principal Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère • NRS 5/7 Malnutrition protéino-énergétique sévère • poids stable durant la dernière année • NRS 5/7 • BMI 17 kg/m2 Malnutrition protéino-énergétique sévère • poids stable durant la dernière année • NRS 5/7 • BMI 17 kg/m2. Malnutrition protéino-énergétique sévère avec : • Consilium diet : apport oral insuffisant en lien avec appétit diminué et adaptation du menu pour troubles de la déglutition, démontré par apport oral 70-73 % de ses besoins. • DD post-intubation, DD perte d'appétit • SNG : arrachée 2 fois par la patiente (dernière fois le vendredi 7/12/18, décision prise avec la fille et Andrea de ne pas la reposer) Malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec des difficultés de déglutition et mastication des solides Malnutrition protéino-énergétique sévère • Hypovitaminose D sévère Malnutrition protéino-énergétique sévère • Perte de 5 kg en 3 semaines (anamnestique) • BMI à 15 kg/m2 Malnutrition protéique et énergétique sévère avec une albuminémie à 18.6 g/l Malnutrition sévère Malnutrition sévère Malnutrition sévère sur dysphagie aux solides et liquides avec régurgitations, sur compression médiastinale NRS : 5 Maltofer cp 100 mg 3 mois Maltofer per os 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j 3 mois Maltofer 100 mg 1x/j Maltofer 100 mg 1x/j Malunion du radius diaphysaire distal après réduction ouverte et embrochage d'une fracture du radius diaphysaire associé à une fracture du cubitus traité au Portugal en juillet. Malvoyant Mammakarzinom rechts unter Dauertherapie mit Tamoxifen Bluthochdruck Chronische venöse Insuffizienz Herzinsuffizienz Coxarthrose rechts Vorhofflimmern bislang unter prophylaktischer Antikoagulation • Absetzen von Xarelto ab 10.04.2018 Verwirrungszustand aufgrund einer vorbestehenden, schweren Demenz Mammographie et US à planifier Consilium gynécologique le 26.11.2018 • Mammographie et US du 26.11.2018 • Rendez-vous à la consultation du Dr. X prévu en ambulatoire le 21.12.2018 Mammoplastie réductionnelle. Manœuvre de Semont par ORL, le 21.11.2018 Manœuvre Halmagyi et Dix Hallpike avec lunettes de Frenzel. Manœuvre de Epley. Retour à domicile avec antiémétique. Proposition de consulter un ORL dès début 2019 pour diagnostic clair. Patiente informée des symptômes de vertiges d'origine centrale et de consulter si persistance ou péjoration. Manœuvres de Sténon. Retour à domicile avec Primpéran et Motilium en réserve, instruction de poursuivre les manœuvres à domicile pendant 2 jours. Arrêt de travail. Consultation en ORL au Tessin si les vertiges persistent. Manque de fer substitué par voie intraveineuse. Manutrition protéino-énergétique Manutrition protéino-énergétique modérée Marche digitigrade permanente DD Cause orthopédique : pas de malformation des pieds Dystrophie musculaire de Duchenne : ROT plutôt vifs, pas de diminution de la force musculaire Triceps courts : limitation de la dorsiflexion, diagnostic d'élimination Lésion cérébrale (leucodystrophie) : probable devant les signes pyramidaux : réflexes vifs, spasticité prédominante à gauche, IRM cérébrale prévue Marche et mobilisation habituelle Pas de fièvre Marche habituelle sur la pointe des pieds. Marcoumar en suspens Marcoumar en suspens, dernière prise le 23.11.2018 Clexane 80 mg 1x/j Reprise Marcoumar le 30.11.2018 Marfan syndrome Mr. Y est hospitalisé pour antibiothérapie intraveineuse dans le contexte d'une cellulite péri-orbitaire gauche. Sur le plan infectieux, un bilan inflammatoire est prélevé à son arrivée, montrant une CRP négative ainsi qu'une discrète thrombocytose à 362 G/l. Une hémoculture est prélevée également. Une antibiothérapie est débutée par Co-Amoxicilline intraveineuse initialement à 60 mg/kg/jour puis à 100 mg/kg/jour, pour une durée totale de 48 heures. Mr. Y n'a pas présenté d'état fébrile ni de douleur. Au vu d'une évolution clinique favorable avec absence d'état fébrile, nette diminution de l'œdème sous-palpébral et une hémoculture restant négative à 48 heures de traitement, un relais par Co-Amoxicilline à 80 mg/kg/jour per os est effectué le 11.12.18 avec un retour à domicile. Marisques anales le 11.12.2018. Mr. Y présente une IVRS pour laquelle nous proposons de poursuivre le traitement symptomatique. Concernant son otalgie, cliniquement il n'y a pas d'otite, mais nous proposons un traitement symptomatique avec un contrôle clinique à 48 h en cas de persistance des douleurs. Massage avec baume du tigre. arrêt de sport durant 5 jours contrôle pédiatre dans 5 jours pour évaluation Massage avec baume du tigre. arrêt de sport durant 5 jours contrôle pédiatre dans 5 jours pour évaluation Massage cardiaque externe en pré-hospitalier Ventilation mécanique invasive du 16.12 au 19.12.2018 N-Acetylcystéine iv le 17.12.2018 CT cérébral-thoracique-abdominal le 17.12.2018 Consilium psychiatrique le 19.12.2018 Cathéter artériel radial droit du 17.12 au 18.12.2018 Séjour aux soins intensifs du 16.12 au 20.12.2018 Transfert à la Villa St-François le 28.12.2018 Massage cardiaque externe en pré-hospitalier Ventilation mécanique invasive du 16.12.2018 au 19.12.2018 N-Acetylcystéine iv le 17.12.2018 CT cérébral-thoracique-abdominal le 16.12.2018 Consilium psychiatrique le 19.12.2018 Cathéter artériel radial droit du 17.12.2018 au 18.12.2018 Massage cardiaque externe le 05.12.2018 Pacing externe le 05.12.2018 IOT (Cormack 2) et ventilation mécanique protectrice du 05.12 au 11.12.2018 Ventilation non-invasive du 11.12 au 13.12.2018 Clonidine du 10.12 au 12.12.2018 Labétalol du 10.12 au 12.12.2018 Cathéter artériel inguinal droit du 05.12 au 09.12.2018 Cathéter artériel radial droit le 09.12 au 13.12.2018 Swan-Ganz jugulaire interne gauche du 06.12 au 08.12.2018 VVC (Cool-guard) jugulaire gauche du 05.12 au 07.12.2018 Cathéter de dialyse jugulaire interne droit et CVVHDF sous citrate du 06.12.2018 au 10.12.2018 Sonde nasogastrique du 05.12 au 13.12.2018 Sonde vésicale du 05.12 au 13.12.2018 Noradrénaline du 05.12 au 08.12.2018 Hydrocortisone du 05.12 au 07.12.2018 Anticoagulation prophylactique du 06.12.2018 au 13.12.2018 CT-scan cérébral et thoracique le 06.12.2018 Massage utérin Pertes sanguines estimées à 700 cc Masse à l'apex pulmonaire gauche. Masse abdominale basse d'étiologie indéterminée le 30.11.2018 Masse au niveau de la mandibule à droite. Masse au niveau du cou. Masse au niveau du mollet droit, d'origine indéterminée • connue depuis 3-4 ans selon l'époux • DD: varices, kyste Masse au niveau du mollet droit le 10.12.2018 Masse bourgeonnante du caecum 3x3x3 cm, le 09.12: • Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative ferriprive 05.12.2018 (transfusion 1 CE et fer) • Hémorragie digestive basse, le 09.12 Masse cervicale le 09.12.2018 avec : • status post vidage d'un kyste thyroïdien le 07.12.2018 (Dr. X). Masse d'origine inconnue sur la face dorso-radiale de l'IPD de l'index gauche. Masse d'origine indéterminée de la jonction vésico-urétérale droite avec : • dilatation urétérale et pyélo calicielle • altération de la fonction rénale Masse d'origine indéterminée jonction vésico-urétérale D avec • dilatation urétérale et pyélo calicielle • altération de la fonction rénale Masse du corps du pancréas de 1.3x1.5 cm suspecte de néoplasie découverte fortuite au CT thoraco-abdominal. DD: Tumeur neuroendocrine, autre tumeur pancréatique • CT thoraco-abdominal le 02.11.2018: Masse dans le corps du pancréas, hypervascularisée sur le temps artériel, mesurant 1.5 cm • IRM abdominale le 06.11.2018: Masse hypervascularisée du corps du pancréas évoquant en premier lieu une lésion tumorale. • PET-CT du 13.11.2018: Masse dans le corps du pancréas mesurant 1.5 cm, hypervascularisée dans les examens avec injection de produit de contraste. Cette tumeur peut correspondre à une tumeur endocrine (fonctionnelle ou non) ou à une tumeur neuroendocrine. Elle n'a pas l'aspect d'un carcinome du pancréas classique. Absence d'hypercaptation pathologique nette correspondant à la masse tumorale pancréatique connue, ce qui parle plutôt contre une tumeur hypermétabolique. Une éventuelle tumeur peu avide en glucose, comme par exemple un carcinome neuro-endocrinien ne peut être exclue à ce stade. Absence d'autre lésion hypermétabolique suspecte de néoplasie. • Octréoscan du 27. et 28.11.2018: à pister • Endoscopie haute du 28.11.2018: à pister Labo du 07.11.2018: CA 19-9: 18 (N: <35), Chromogranine A: 44 (N: < 102), NSE: 10.7 (N: < 12.5) Labo du 23.11.2018: NSE et Chromogranine A: à pister Urines de 24h du 26.11.2018: 5-Hydroxyindoleacetic acid: à pister Masse frontale cortico-sous-corticale droite suspecte de tumeur primaire (glioblastome) Masse inguinale droite. Masse intracrânienne de 5x5 cm intra-axiale envahissant le ventricule latéral droit, le 21.12.2018 avec: • quadranopsie inféro-latérale de l'œil droit, le 21.12.2018. • pas d'hypertension intracrânienne, pas d'hydrocéphalie, hémorragie intra-lésionnelle ne pouvant pas être écartée. Masse intracrânienne intraparenchymateuse avec envahissement des ventricules latéraux gauche, œdème péri-lésionnel, effet de masse avec déviation légère de la ligne médiane sans hypertension intracrânienne, sans hydrocéphalie. Possible hémorragie intra-lésionnelle. Masse médiastinale antérieure de 32 x 16 mm au contact de l'aorte. • Angio-CT thoracique: pas d'embolie pulmonaire, masse médiastinale antérieure de 32 x 16 mm au contact avec l'aorte compatible avec thymome à investiguer par un examen complémentaire type IRM. • Avis oncologique (Dr. X/Dr. X): dosage des AC anti-R à l'acétylcholine puis le patient sera convoqué par le service d'oncologie pour explorer la masse au besoin. Masse médiastinale probablement d'origine tumorale suivi par le Dr. X • symptômes B depuis 3 mois • toux sèche et dyspnée progressive • CT thoracique 10.12.2018 : masse médiastinale hile pulmonaire droit avec adénopathies médiastinales • PET-CT 27.12.2018 : volumineuse masse tumorale du hile pulmonaire droit, infiltrant la moitié droite du médiastin et provoquant une occlusion de la bronche souche droite, avec pneumonie tumorale intéressant l'ensemble du poumon droit. Volumineuses adénopathies métastatiques médiastinales : pas de métastases à distance • IRM cérébrale prévue le 03.01.2019 • Suite de prise en charge à la consultation du Dr. X le 04.01.2019 Masse orbitaire gauche découverte fortuitement au CT 10/2013 • suivi ambulatoire par les ophtalmologues HFR Fribourg. Masse ovarienne droite solido-kystique Masse pelvienne (probable tératome ovarien gauche et kyste de l'ovaire D) Masse sous-mandibulaire gauche, DD nodule thyroïdien. Masse surrénalienne gauche de découverte fortuite Masse suspecte glande surrénale gauche, DD métastase, DD phéochromocytome Masse testiculaire. Masse testiculaire d'origine indéterminée. Masse vésicale postéro-latérale avec: • Ganglions suspects de métastase rétro-péritonéales et rétro-oesophagiennes associés à une carcinose péritonéale • Lésion pancréatique suspecte de métastase • Cytologie urinaire: Promed C2018.1582 carcinome urothélial de haut grade Masses cérébrales Masses cérébrales pariéto-occipitales droites avec œdème vasogénique périphérique et effet de masse local DD: tumeur probablement primaire cérébrale (gliome de haut grade, glioblastome) Masses frontale droite, le 30.12.2018 avec: • 1.20 et 0.91 cm de diamètre • troubles d'équilibre nouveaux, marche à petits pas, sensation d'engourdissement du bras gauche • discrète perte de force M4+ à l'opposition pouce-index gauche, régressive • NIHSS à 0 • Transfert depuis Riaz DD: suspicion d'AIT Massive rectalblutung DD divertikelblutung avec/bei: • sous OAK avec Xarelto 20 mg bei VHF • Hb 147 g/l Mastectomie bilatérale avec curetage ganglionnaire droite en 2016 pour un carcinome mammaire. Mastectomie gauche 2011 Ablation fibrome utérin 2012 Gastro-entérite probablement d'origine virale Faiblesse subjective des membres supérieurs spontanément résolutive sur probable crise d'angoisse Mastoïdite aiguë droite Otite moyenne aiguë gauche Mastoïdite droite aiguë. Intervention du 27.06.2011 (Dr. X): PARACENTÈSE DROITE, DRAIN TRANSTYMPANIQUE ET MASTOIDECTOMIE DROITE EN ANESTHÉSIE GÉNÉRALE. Fracture en motte de beurre métaphysaire distale du radius droit Mr. Y présente un prurit d'origine peu claire. Pas d'argument pour une étiologie allergique, car clinique non compatible. Pas de lésions cutanées. Pas de changement des produits d'hygiène corporelle. Traitement symptomatique, motifs de reconsultation expliqués. Mr. Y présente une angine probablement à streptocoques (selon la clinique), pour laquelle nous débutons une antibiothérapie. Il présente également une otite moyenne aiguë et une IVRS pour lesquelles nous proposons de poursuivre le traitement symptomatique (posologie adaptée). A noter que Mr. Y présente également un souffle systolique à 2/6, maximal au foyer d'Erb, non irradiant, inconnu selon la mère. Nous vous laissons le soin de recontrôler à distance de l'épisode fébrile. Mr. Y a un bon état général sans signes de déshydratation et prend bien le sein en cours de prise en charge. Nous le laissons rentrer avec surveillance de la prise alimentaire et des signes de déshydratation. Mr. Y est donc hospitalisé pour poursuite du Ventolin et surveillance respiratoire. Mr. Y s'améliore sur le plan respiratoire et général avec un traitement par Ventolin pouvant être graduellement espacé jusqu'à 4 pushes 6x/jour. Le Betnesol est à poursuivre jusqu'au 17.12. Il rentre à domicile le 15.12 et nous conseillons un contrôle chez le pédiatre lundi. Mr. Y est hospitalisé pour éducation parentale et surveillance respiratoire dans le contexte d'une bronchite obstructive modérée. Sur le plan respiratoire, la gazométrie aux urgences est alignée sans signes d'acidose respiratoire, d'hypercapnie ni d'hypokaliémie. Le test rapide pour le RSV revient négatif. Mr. Y reçoit un train de Ventolin ainsi que 4 pushes d'Atrovent avec une évolution rapidement favorable sans nécessiter d'oxygénothérapie, permettant un espacement progressif du Ventolin aux 4 heures. Il reçoit également un traitement de Betnesol pour une durée prévue de 3 jours et bénéficie du protocole de traitement complémentaire pour sa bronchite. L'indication et la manière d'utilisation du Ventolin est reprise avec la mère lors de l'hospitalisation, avec explication de la nécessité de peser le dispositif du médicament (feuille avec poids donnée), l'importance de poursuivre le schéma dégressif même si l'évolution est favorable et les signes et consignes en cas de détresse respiratoire. L'importance de reconsulter plus rapidement en cas de non réponse au Ventolin est soulignée. Sur le plan digestif, Mr. Y maintient ses apports hydriques et diversifiés durant son séjour. Sur le plan métabolique, en raison d'une polydypsie-polyurie de longue date rapportée par la mère au moment de la sortie (avec prise hydrique possible d'1 L d'eau sur les nuits), nous effectuons un bilan urinaire ne montrant pas de glucosurie ni de corps cétoniques mais une densité urinaire inférieure à la norme. Dans ce contexte, nous proposons au pédiatre de répéter le bilan urinaire en dehors de l'épisode infectieux avec notamment rajout d'une osmolarité urinaire et d'un ionogramme sanguin au besoin. Devant l'évolution favorable de sa bronchite obstructive, Mr. Y rentre à domicile le 03.12.18 avec un schéma dégressif de Ventolin, une dernière dose de Betnesol et le traitement de médecine complémentaire adapté au domicile. Mme. Y présente une otite moyenne aigüe, pour laquelle nous débutons une antibiothérapie étant donné la prise régulière de Dafalgan et Algifor depuis plusieurs jours. Maturation pulmonaire par Celestone les 05.11.2018 et 06.11.2018 sous tocolyse par Adalat. Mauvais contrôle à domicile selon le patient. Vu l'arrêt du Meto-Zerok ce jour sur avis cardiologique, surveillance tensionnelle à accroître à domicile. Vu bradycardie symptomatique actuellement, nous ne débutons pas de traitement aux urgences, mais proposons au patient de prendre 1 cp d'Amlodipine 5 mg si TAS > 160 mmHg au domicile (et de le notifier). Nous avons bien expliqué au patient de bien prendre sa tension 3x/jour ces prochains jours et de réévaluer la problématique avec son médecin traitant en fin de semaine. Mauvaise évolution de périonyxis doigt 2 main droite. Mauvaise guérison de la plaie cheville G sur • Status post ablation des exostoses sur conflit mécanique talo-fibulaire cheville G le 23.10.2018. • Status post infiltration du bord externe de l'arrière-pied G le 24.05.2018. • Ancienne lésion du LTFA de la cheville G datant de janvier 2017. Mauvaise hygiène dentaire. Mauvaise prise médicamenteuse. Maux de gorge. Maux de tête. Mécanisme typique Status neurovasculaire et OA. Rx avant-bras et coude : pas de fractures. Manoeuvre de Broca pour la réduction efficace. RAD avec antalgie en réserve. Médecin traitant le 17.11 : n'a pas de notion de cancer cutanée cuisse gauche. Médecine du personnel. Infection au sang. Medial Maleolus Fraktur links. Consommation d'alcool à risque dans le cadre d'un épisode dépressif avec idées suicidaires. Médication avec Tabotamp. Soins de plaie avec Bétadine tulle, bandage. Antalgie. Surveillance régulière. Médicaux : Pyélonéphrite gauche en novembre 2016. Pneumothorax gauche post traumatique sur acupuncture en juin 2017 (hospitalisation à Berne). Crise d'angoisse. Hypothyroïdie suivi par le Dr. X (actuellement pas de traitement). Méfénacide d'office pendant 48 heures, Ben-u-ron en réserve. Consultation chez pédiatre si persistance de la fièvre > 48 heures. Consultation aux urgences si péjoration. Mélanome du cuir chevelu, non ulcéré, Breslow 11 mm pT4a pN0 (0/2) cM0, stade IIB, PDL-1 à 15%, mutation BRAF V600K. • 25.04.2017 : excision en totalité. • 06.06.2017 : reprise de la cicatrice et recherche de ganglion sentinelle. • 18.07.2018 : radiothérapie stéréotaxique des 4 lésions cérébrales (24 Gy en dose unique). • Dès le 16.08.2018 : immunothérapie avec Ipilimumab et Nivolumab aux 3 semaines. • 06.09.2018 : IRM : volumineuse lésion partiellement hémorragique frontale droite, 2 lésions nodulaires cortico-sous-corticales droites. • 07.09.2018 : craniotomie et exérèse de métastase frontale droite (Dr. X, Dr. X, Prof. X, CHUV) car augmentation de volume avec hématome et ralentissement psychomoteur avec propos incohérents.maintenance par nivolumab (dernière le 20.09.18, intervalle toutes les 3 semaines) ; en arrêt thérapeutique pour intolérance médicamenteuse Mélanome malin de primitif indéterminé classé cTx cN0 cM1 (métastases surrénaliennes et splénique) : • Date du diagnostic : 21.07.2017 • Histologie (Promed P8196.17) : mélanome malin pigmenté (biopsies, surrénale gauche) • Examen de biologie moléculaire : mutation pathogène du gène NRAS, absence de mutation des gènes BRAF, KIT, expression de PD-L1 en cours • Présentation initiale par masses surrénaliennes bilatérales découvertes fortuitement à l'imagerie • CT thoraco-abdomino-pelvien du 23.06.2017 : volumineuses masses surrénaliennes (13 cm à droite, 6.7 cm à gauche), absence d’adénopathie thoracique ou abdominale, absence de lésion nodulaire pulmonaire, hépatique, osseuse • PET-scan au FDG : refusé en raison d'une claustrophobie • IRM cérébrale du 08.08.2017 : refusée en raison d'une claustrophobie • LDH initiales : 1'150 U/l (2.2 x ULN) • Sous immunothérapie palliative de 1ère ligne de type ipilimumab (Yervoy) et Nivolumab (Opdivo) avec maintenance par nivolumab (dernière le 20.09.18, intervalle toutes les 3 semaines) ; en arrêt thérapeutique pour intolérance médicamenteuse Mélanome nodulaire ulcéré scapulaire droit, Breslow 1.65 mm, pT2bpN1M0 • Shavé le 29.11.2017 avec reprise de la racine le 07.12.2017 • CT cérébro-thoraco-abdo-pelvien du 20.12.2017 : pas de lésion d'allure secondaire • S/p excision cicatrice avec marge de sécurité et recherche ganglions axillaires gauche, droit et scapulaire droit le 10.01.2018 • CT-TAP (12.07.2018) : présence d'une adénopathie axillaire gauche suspecte • Cytoponction (24.07.2018) : métastase ganglionnaire axillaire gauche du mélanome connu • Curage axillaire gauche (28.09.2018) avec drainage axillaire gauche en place • Actuellement : probable surinfection du drainage axillaire gauche au décours • Prochainement : immunothérapie Nivolumab toutes les 2 semaines Mélanome sans tumeur primaire • métastase pulmonaire Hypothyroïdie substituée Hypercholestérolémie Méléna. Melina est hospitalisée dans le cadre d'un état fébrile sans foyer clair évoluant depuis 12 jours, malgré une antibiothérapie per os pour suspicion de pneumonie rétro-cardiaque gauche. Sur le plan infectieux, face à une suspicion de maladie de Kawasaki (notamment atypique), le bilan complet est réalisé aux urgences sans critères cliniques ou biologiques suffisants pour débuter une thérapie d'immunoglobulines. Le bilan sanguin met en évidence un syndrome inflammatoire majoré par rapport au bilan ambulatoire du 26.11, avec une CRP à 33 mg/l, une leucocytose à 29 G/l ainsi qu'une thrombocytose à 663 G/l. La gazométrie est alignée, de même que les fonctions rénales et hépatiques et le dosage de l'albumine sanguine. Des hémocultures sont prélevées aux urgences. Le bilan urinaire ne montre pas de leucocyturie ou de nitrites. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer ni d'épanchement et le diagnostic de pneumonie rétro-cardiaque gauche n'est pas retenu comme cause de son état clinique actuel. Un électrocardiogramme est également effectué et ne montre pas de signes de péricardite. Enfin, le test rapide pour RSV est négatif. Un avis cardiologique est demandé au Dr. X, qui ne propose pas d'échocardiographie d'emblée au vu de la faible suspicion de Kawasaki. Melina est donc hospitalisée avec poursuite du traitement antibiotique initial par co-amoxicilline à 90 mg/kg/jour ainsi que fébrifuges. L'évolution est favorable, avec une disparition de la fièvre dès le 02.12 et une amélioration de l'état général. Dans ce contexte, une fenêtre thérapeutique de 24 heures est proposée avec arrêt de l'antibiothérapie ainsi que des fébrifuges, sans récidive de fièvre ou de douleurs. Le diagnostic retenu est donc celui de viroses à répétition, expliquant l'état fébrile prolongé et la baisse de l'état général. Par ailleurs, les hémocultures prélevées aux urgences restent négatives à plus de 72 heures du prélèvement. Sur le plan digestif, Melina est initialement réhydratée par perfusion intra-veineuse de Glucosalin. Dans le cadre de la fenêtre thérapeutique effectuée du 03 au 04.12, sa perfusion est arrêtée, avec une reprise de l'hydratation satisfaisante à environ 70 ml/kg/jour de même qu'une reprise alimentaire. Melina garde un poids globalement stable au cours de son séjour, malgré une perte de 3 % objectivée par la mère sur la dernière semaine. Au vu de l'évolution clinique favorable et de l'absence de fièvre durant plus de 24 heures sans fébrifuges, Melina rentre à domicile le 04.12.18 avec une ordonnance pour un traitement complémentaire pour renforcer son rétablissement ainsi que soutenir son système immunitaire de manière préventive (Meteoreisen/Phosphor/Quarz WALA 5 granules 1 x/jour et Sirop d'Argousier WELEDA 1 cuillère à café 2 x/jour). Un contrôle clinique chez le pédiatre est préconisé dans les 48-72 heures notamment pour le suivi de la perte pondérale. Mme. Y présente une gastro-entérite sans déshydratation pour laquelle nous recommandons de bien stimuler l'hydratation et rendons les parents attentifs aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Elle présente également une IVRS sans difficultés respiratoires, pour laquelle nous proposons de poursuivre le traitement symptomatique et des rinçages de nez au besoin. Membre supérieur D : probable tendinopathie du muscle sous-scapulaire. Épicondylite latérale et lésion du nerf radial au niveau de l'arcade de Frohse à D après cure épicondylite latérale et libération du nerf radial au niveau de l'arcade de Frohse en juin 2016 (Dr. X). Syndrome tunnel carpien et syndrome loge de Guyon niveau poignet D. Contracture de la musculature paravertébrale droite plus qu'à gauche. Membre supérieur G (non dominant) : fracture sous-capitale de la tête humérale et fracture spiroïde du tiers moyen de l'humérus du 11.09.2018 avec traitement conservateur par Sarmiento. Fracture du radius distal extra-articulaire et processus styloïde du 11.09.2018 avec traitement conservateur par plâtre AB. Membre supérieur gauche : • Status post anté-position nerf cubital gauche le 07.09.2017. Membre supérieur droit : • Status post neurolyse et anté-position nerf cubital en 2013. Suspicion de cervico-brachialgies bilatérales Menace d'accouchement prématuré Menace d'accouchement prématuré avec col raccourci à 11 mm chez une patiente de 36 ans 1G0P à 30 3/7 semaines d'aménorrhée. Contractions utérines ressenties non-douloureuses. Menace d'accouchement prématuré d'une grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique à 31 2/7 semaines d'aménorrhée chez patiente 5G1P de 32 ans. Menace d'accouchement prématuré sur cerclage chez une patiente de 22 ans primigeste à 30 3/7 semaines d'aménorrhée. Menace d'accouchement prématurée avec col à 10 mm à 31 SA chez patiente 2G 1P de 30 ans Menace de fausse couche tardive Menace de fugue, situation psychosociale complexe avec notion de violence verbale et physique ménarche à 16 ans spanioménorrhée sans autres plaintes gynécologiques, DDR inconnue. Méningiome de la face interne du lobe temporal gauche le 05.12.2018 Méningiome frontal Méningiome il y a 20 ans op au CHUV. Méningiome parasagital occipital bilatéral avec extension infratentorielle sur les hémisphères cérébelleux à droite en progression radiologique avec œdème : • Grade II selon l'OMS • Résection incomplète en 2007 (Histologie : Méningiome Grade 1 selon la classification de l'OMS) • Radiothérapie externe avec 54 G en 02/2008 (CHUV) • Récidive en novembre 2015 avec reprise chirurgicale (Prof. X, Clinique Cécile) • Mise en place d'une dérivation ventriculo-péritonéale le 11.12.2015 pour progression du méningiome cérébelleux avec hydrocéphalie obstructive secondaire• Octesoscan positif en 2015 avec 3 cycles de radiopétidothérapie avec 7.4 GBp 177-Lu-Dotatate • Trépanation bilatérale en 2016 pour hématomes sous-duraux bilatéraux, probablement sur surdrainage ventriculo-péritonéal • Révision du shunt ventriculo-péritonéal avec changement de la valve par un ProGav 2.0 (20/20) actuellement en fermeture chronique. • Épilepsie secondaire traitée par Keppra et Phenytoine • CT cérébral 17.11.2017 : lésion prenant le contraste au contact de la partie inférieure de la tente du cervelet suspect de récidive de méningiome. Diminution en taille des collections sous-durales bilatérales. • CT cérébral natif 11.11.2018 : nette progression de la maladie tumorale. Passage à l'étage supratentorial, masse de 15x11 mm lobe occipital pouvant expliquer les symptômes • IRM cérébrale le 12.11.2018 : progression tumorale avec nouvelle lésion occipitale à prédominance droite • CT-cérébral injecté le 17.11.2018 : lésion prenant le contraste au contact de la partie inférieure de la tente du cervelet suspect de récidive de méningiome. Diminution en taille des collections sous-durales bilatérales • IRM le 20.11.2018 : récidive vs reliquat tumoral du méningiome de la fosse postérieure. Séquelles cérébelleuses post-opératoires, sans nouvelle lésion intra-axiale par rapport à l'IRM de 2014. • Cécité bilatérale d'apparition brutale le 10.11.2018 sur progression de méningiome (DD épilepsie) • Avis neurochirurgien (Dr. X), Neurologie (Dr. X), Ophtalmologie (InselSpital), Neuroradiologie (InselSpital) • Avis neurochirurgien (Dr. X, Chef de clinique adjoint) : compression avec œdème des lobes occipitaux, dexaméthasone. Transfert à l'Inselspital pour suite de prise en charge en urgence le 12.11.2018 • Ponction de shunt le 16.11.2018 : pression d'ouverture 0 cm H20 (Inselspital Bern) • Excision de la tumeur le 27.11.2018 (Inselspital Bern) • Méningite à l'âge de 3, 9 et 16 ans ayant nécessité une hospitalisation au Portugal. • Tachycardie connue depuis l'enfance, non traitée. • Status post-lithiase urétérale à droite traitée conservativement en 2013. • Calcul rénal pré-vésical droit de 5 mm avec dilatation pyélocalicielle de 10 mm en 2014 • Urétéroscopie, extraction de calcul et double-J à droite le 02.05.2014. • Colique néphrétique résolue spontanément en 2017. • Méningite virale le 25.11.2018. • Méningite • Otite • Méningo-encéphalite • Méningo-encéphalite à tique le 27.09.2018, avec : • Troubles neuro-cognitifs • Hémisyndrome moteur facio-brachio-crural G transitoire d'origine indéterminée le 28.09.2018 • Méningo-encéphalite d'origine probablement infectieuse le 13.10.2018 • avec hypertension intracrânienne et engagement cérébelleux par le foramen magnum le 16.10.2018 • Méningo-thrombo-encéphalite d'origine indéterminée probablement inflammatoire (25.10.18) avec • DD syndrome de Bickerstoff, séronégatif, syndrome de Clippers • IRM du 07.10.18 : IRM du cerveau dans la norme • Suspicion d'une crise d'épilepsie le 09.10.2018 • Électroencéphalogramme le 25.10.18 : bradydysrythmie diffuse • IRM neurocrâne le 25.10.18 : Leptoméningite touchant principalement le tronc cérébral et les nerfs crâniens bilatéralement. • LCR 30.10.2018 : persistance d'une pléocytose avec protéinorachie et hypoglucorachie à un mois d'évolution. Éléments 223/mm^3, Lymphocytes : 92 %. Glucose 2.5 mmol/l. Lactate 3.96 mmol/l. Protéines 1.66 g/L • Bilan infectieux large (bactérien, virus etc) : négatif • Bilan autoimmunitaire et paranéoplastique : négatif • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation : syndrome cérébelleux bilatéral oculaire, statique et cinétique bilatérale, prédominant aux MS • Ménopausée depuis 2015 • S/p conisation • Ménopausée depuis 3 ans • Perfusion mise en place -> TA 130/100 mmHg de suite • Appel gynécologue de garde (assistante) Fribourg pour transfert, appel ambulance • Mepilex light avec application de crème Bépanthène • Merci de bien vouloir convoquer Mme. Y pour suite de la prise en charge au centre des sarcomes • Merci de contrôler l'IPP (x) de Mme. Y pour possible interactions avec Efient. • Merci d'évaluer la poursuite des diurétiques à distance, selon l'évolution clinique. • Mère : Rhésus négatif. Bébé : Rhésus positif • Hb foetale : 0 • Rhophylac 300 mcg le 01.12.18. • Mère connue pour hépatite B chronique • Mère Rhésus négatif • Enfant Rhésus négatif • Mère : Rhésus négatif. • Enfant : Rhésus négatif. • Mère : Rhésus négatif • Nouveau-né : Rhésus négatif • Mère : Rhésus négatif • Nouveau-né : Rhésus négatif • Mère : Rhésus négatif • Nouveau-né : Rhésus négatif • Mère : Rhésus négatif • Nouveau-né : Rhésus positif • Rhophylac 300 mcg le 18.12.2018 • Message laissé à la combox pour informer des résultats et que la parasitologie n'a pas pu être effectuée. Consulter chez le pédiatre si persistance des diarrhées. Résultats faxés au pédiatre • Mesure à trois reprises tensionnelle : TA n°1 = 151/80, TA n°2 = 138/85, TA n°3 = 137/85 mmHg. • Explication préalable pour les différents examens : • Stix et sédiment urinaire : négatif. • Avis gynécologue : valide un retour à domicile avec suivi tensionnel en ambulatoire pour recherche d'une hypertension essentielle +/- instauration d'un anti-hypertenseur. • Retour à domicile. • Réassurance. • Suivi tensionnel des 24h à réaliser en ambulatoire. • Mesure positionnelle • Contrôle chez le pédiatre en début de semaine si pas d'amélioration • Mesurer la fièvre si l'enfant est chaud (thermomètre avec vaseline en i.r., montré à la maman) • Rinçages de nez avant les repas (technique apprise à la maman) • Mesures conservatoires expliquées (froid,..) • Si persistance de d'inconfort, ad. Chamomilla suppo • Mesures d'hygiène diététique. • Suivi biologique à distance. • Métastase ganglionnaire du lobe supérieur gauche d'un carcinome rénal à cellules claires pT2b pN1 M1, diagnostiqué le 11.04.2018 • Status post-néphrectomie droite et curage ganglionnaire le 06.04.2018 • PET-CT du 19.11.2018 : lésion dans le segment apico-postérieur du lobe supérieur gauche présentant une tendance continue à la croissance par rapport aux examens précédents avec un léger rehaussement • CT thoracique du 06.11.2018 : nodule péri-broncho-vasculaire dans le segment apico-postérieur du lobe supérieur gauche de 7 x 9 mm • Histopathologie PROMED P2018.14472 : métastase ganglionnaire intra-nodulaire d'un carcinome rénal à cellules claires située près d'une bronche (Æ maximal 1,1 cm) • Métastase ostéolytique au niveau de la diaphyse du fémur gauche avec risque fracturaire • Radio bassin et cuisse le 26.11.2018 (par rapport au PET-CT du 21.11.2018) : lésion ostéolytique touchant de façon préférentielle la corticale externe de la diaphyse fémorale, située à environ 27 cm du genou et mesurant environ 4,5 cm d'extension crânio-caudale Métastase ostéolytique de la diaphyse fémorale G avec risque fracturaire. Métastase pulmonaire d'un adénocarcinome du rectum au niveau du lobe inférieur droit avec atteinte ganglionnaire médiastinale antérieure et station 4 • PET-CT du 05.11.2018 : lésion hypermétabolique au niveau du lobe inférieur droit et hypercaptation au niveau d'un ganglion hilaire et médiastinal antérieur ipsilatéral • Status post-bronchoscopie EBUS le 23.11.2018 : médiastinale positive en 11R. Métastases osseuses • stables au niveau vertébral, costal et sternal au CT thoracique du 19.11.2018. Métatarsalgies 2ème métatarse pied droit. Méthotrexate et tocilizumab en suspens depuis le 19.11.2018 Avis rhumatologique pour reprise : en cours (Dresses Ahmana, réponse le 13.12.2018). Methylprednisolone 500 mg IV le 12.10.2018 Prednisone 20 mg PO q24h à partir du 17.10.2018 Methotrexate 15 mg/semaine dès le 17.10.2018 Hydroxychloroquine 200 mg PO q24h dès le 17.10.2018 Acide folique 5 mg 2x/semaine dès le 17.10.2018 Bilan biologique • Électrolytes • FSC • VS, CRP • Tests hépatiques • Vitamine D • C3, C4, CH50 Sédiment urinaire le 16.10.2018 Récolte d'urine de 24h le 16.10.2018 Electrophorèse des protéines le 17.10.2018 (à contrôler à distance) Test de COOMB's le 17.10.2018 Anticorps antiphospholipides le 16.10.2018 ECG-12 pistes le 16.10.2018 Radiographie thoracique face-profile le 16.10.2018 Fonctions pulmonaires le 23.10.2018 Fond d'œil (Mme. Y sera convoquée). Prochain contrôle à 1 mois avec tests hépatiques. Métolazone 2,5 mg 1x/j du 06 au 16.11.2018 Adaptation des diurétiques Bandes de contention Suivi poids pour cible 88-90 kg (cf. également lettre de transfert de médecine du 02 au 22.11.2018). Metoprolol dès le 19.11.2018 Xarelto dès le 25.11.18. Metozeroc 95 mg 1x/j. Métronidazole et Ciprofloxacine par voie orale du 29.11.2018 au 06.12.2018 Consultation du Dr. X le 07.01.2018 à 10h. Métrorragie. Métrorragie à 8 1/7 SA chez Mme. Y 2G 1P. Métrorragie dans contexte de GIU à 5-6 SA chez Mme. Y 2G1P. Grossesse de probable évolutivité non favorable. Métrorragie de faible abondance sur atrophie endométriale et cycle dysovulatoire. Douleur en FID sans piste gynécologique claire. Métrorragie d'origine indéterminée. Métrorragie du 1er trimestre. Métrorragie et douleur FID. Métrorragie et rupture prématurée des membranes sur placenta praevia antérieur chez Mme. Y de 31 ans 3G2P à 29 1/7 semaines d'aménorrhée. Métrorragie modérée à 26 2/7 SA sur probable ectropion après RS chez une patiente primigeste de 23 ans. Oligoamnios sévère avec AFI à 2 chez une patiente connue pour suspicion de RCIU, confirmée par le CHUV (examen morphologique). Métrorragie sous atrophie endométriale et probable cycle anovulatoire avec trouble de cycle (1er épisode). Pas de piste gynécologique pour la douleur en FID, absence de kyste et masse annexielle, piste de PID par probable. Métrorragie 1er trimestre. Métrorragies. Métrorragies depuis le 06.12.2018 • dans un contexte d'arrêt de la pilule contraceptive depuis septembre 2018 • thrombocytopénie. Métrorragies d'origine indéterminée sans facteur déclenchant chez Mme. Y de 33 ans 4-gestes 1-pare à 26 0/7 semaines d'aménorrhée. Métrorragies sur placenta praevia. Mg 2g iv. Laboratoire (TSH dans la norme). MGUS. MGUS diagnostiqué en 2017 • IgG 22.83 G/l le 03.12.2018 • rapport Kappa/Lambda dans la norme • pas de critère CRAB. MGUS le 21.11.2018. Mr. Y est hospitalisé pour investigations concernant l'étiologie de sa diplopie mono- et binoculaire. Sur le plan neurologique, il bénéficie aux urgences d'une recherche de toxines urinaires qui revient négative, avec une glycémie dans la norme. Un scanner injecté cérébral est effectué le 10.12 et ne montre pas de saignement, pas de thrombose veineuse ni de fracture crânienne. Une consultation ophtalmologique est demandée et met en évidence une diplopie monoculaire et binoculaire bilatérale horizontale qualifiée d'origine fonctionnelle probable sans œdème papillaire. En raison d'un statut neurologique fluctuant avec apparition d'une hypoesthésie de l'hémiface et l'hémicorps gauche et d'ataxie transitoire, un avis neurologique est demandé (Dr. X) puis une IRM cérébrale le 12.12 ne montrant pas de signes de foyer épileptique, d'accident vasculaire cérébral ou de lésion parenchymateuse. Mr. Y présente des céphalées occipitales tout au long de son séjour, mises sur le compte d'une contracture musculaire du sternocléïdomastoïdien gauche car déclenchée par la palpation dudit muscle et répondant à la stimulation chaude et à l'antalgie. Face au bilan radiologique rassurant et en raison d'une absence d'étiologie neuro-anatomique compatible avec ses symptômes persistants (notamment diplopie et hémisyndrome sensitif gauche incluant la face), nous proposons à Mr. Y un retour à domicile avec traitement antalgique de ses douleurs, contrôle chez son médecin traitant et consultation chez notre neurologue-pédiatre le Dr. X. Par ailleurs, une consultation chez l'orthoptiste est organisée par l'ophtalmologie pour le 17.12 à 17h30. Nous retenons comme diagnostic une diplopie mono- et binoculaire avec hémisyndrome sensitif gauche fluctuant, dans un contexte de commotion cérébrale probable. Mr. Y est ré-hospitalisé pour acuité de ces céphalées post-traumatiques et persistance d'un statut neurologique pathologique. Sur le plan neurologique, le statut à son arrivée montre la persistance d'un hémisyndrome sensitif gauche incluant la face homolatérale, une dysmétrie bilatérale, un trouble de l'équilibre ainsi qu'une diplopie mono et binoculaire. Dans ce contexte, un avis neuro-pédiatrique est demandé au Inselspital qui ne préconise pas de nouvelle imagerie. Une nouvelle consultation ophtalmologique et chez l'orthoptiste est rassurante, et ne montre pas de déficit visuel ni de diplopie ou d'œdème papillaire. Nos collègues ophtalmologues préconisent un contrôle à 5-6 mois. Les toxiques urinaires sont répétés durant ce séjour et reviennent négatifs. Un bilan sanguin avec formule sanguine, CRP, fonctions rénale et hépatique, gazométrie et sérologies de Lyme revient aligné hormis une discrète acidose hypercapnique non compensée que nous mettons sur le compte de l'appréhension liée à la prise de sang. Un nouvel avis est demandé à nos collègues neurologues de l'HFR qui l'examinent et ne mettent pas en évidence de syndrome neurologique particulier compatible avec ses symptômes. Par ailleurs, le statut neurologique est fluctuant au cours du séjour avec globalement une nette amélioration des troubles d'équilibre, une disparition de la dysmétrie et une amélioration de l'hypoesthésie à gauche, le jour de sa sortie. Le diagnostic retenu est celui de troubles neurologiques aspécifiques post-commotion cérébrale. Sur le plan orthopédique, en raison de la persistance de douleurs aux apophyses épineuses cervicales C1-4, des radiographies cervicales sont effectuées et ne montrent pas de tassement ou de franche fracture. Par ailleurs, la mobilité de sa nuque reste toujours libre et complète. Sur le plan de l'antalgie, Mr. Y bénéficie d'un traitement de réserve par Paracétamol, Ibuprofène et Tramadol, efficaces sur les douleurs. La limitation de l'utilisation des écrans électroniques lui est recommandée à plusieurs reprises, sans compliance de sa part. Néanmoins, les céphalées diminuent progressivement au cours du séjour.Sur le plan psychiatrique, Mme. Y décrit une tristesse occasionnelle liée à la séparation de ses parents 7 ans auparavant et une relation parfois contrôlante de la part de sa mère concernant ses loisirs. Dans ce contexte, une consultation pédo-psychiatrique est agendée au cours du séjour avec le Dr. X, avec qui Mme. Y a un bon contact. Celle-ci est demandeuse de poursuivre le suivi en ambulatoire, ce qui est organisé par le Dr. X et les parents au moment de sa sortie. Au vu de l'évolution favorable de sa symptomatologie neurologique, Mme. Y rentre à domicile le 19.12.18 avec une antalgie en réserve, un suivi pédopsychiatrique par le Dr. X et un suivi somatique par son médecin traitant. Miconazole gel buccal. Microalbuminurie de 0.26 g/24 h le 29.11.2018 •sur spot urinaire Microbiologie du 18.12.2018 microhématurie ddx sur colique néphrétique vs crise hypertensive Microhématurie découverte fortuitement le 25.12.2016 Microhématurie d'origine indéterminée (pas de macrohématurie) •ménopause depuis 2012 Micro-hémorragie de la corne postérieure du ventricule latéral gauche (DD : cavernome) le 20.12.2018 Microlax Magnésiocard Sirop de figue Micro-TESE testiculaire pour prélèvement en vue de FIV (le 19.12.13, en Turquie). Péricardite dans le cadre d'un syndrome grippal en 2012. Orchidopexie bilatérale à l'âge de 5 ans pour ectopie testiculaire (1987). Dermo-hypodermite sus-pubienne le 12.01.2015. Migraine Migraine avec aura Migraine avec aura avec hémisyndrome sensible côté G le 10.03.2017 •ECG le 10.03.2017 : rythme sinusal., FC 94/min, pas de troubles de repolarisation •Avis neurologie (Dr. X) : migraine avec aura, re-consultation si les symptômes persistent plus de 2 jours •IRM neurocrâne le 10.03.2017 : s.p. Fracture du sésamoïde médial du pied G traitée conservativement en 2012. Douleur musculo-squelettique basi-thoracique droite le 18.05.2017. Migraine avec aura inaugurale. DD : AVC/AIT. Migraine avec aura, le 11.12.2018. Migraine avec aura Hyperactivité vésicale Migraine chronique. Asthme allergique. Migraine droite dans un contexte de trouble anxieux. S/p appendicectomie par laparoscopie par Dr. X le 16.09.2018 Migraine Fracture en motte de beurre du radius distal droit Gastroscopie normale et colonoscopie en février 2015 normales Migraine gauche sans aura le 08.09.18. Migraine le 17.12.18. Migraine, pas de crise pendant la grossesse (Zomig) Migraine temporale gauche chronique sans aura depuis l'âge de 16 ans, suivie au CHUV (Dr. X) : •Status post-céphalées sur abus médicamenteux avec sevrage en automne 2016 •IRM cérébrale (01.09.2016) : légère asymétrie mésio-temporale, sinusite maxillaire et ethmoïdale •Status post-crise migraineuse temporale gauche sans aura le 31.08.2016 •État de mal migraineux sans aura le 14.03.2017 •Sous traitement de Saroten d'office et Maxalt, Tramal et Dafalgan en réserve •le patient a des infiltrations de corticoïdes dont la dernière le 04.05.17 au CHUV. •Une décompression nerveuse a été réalisée au CHUV en mars 2018 Exacerbation de migraine temporale gauche chronique le 14.08.2017, 21.09.2017, 02.10.2017, 14.03.18, 24.05.2018, 14.07.2018, 06.09.2018, 15.09.2018, 14.11.18, 25.11.2018 Epigastralgies chroniques. État dépressif. Migraine traitée par Triptan Migraine Endométriose. Migraine Néphrolithiases d'oxalate de calcium à répétition à droite •sonde double J droite septembre 2012-février 2013 •lithotripsie droite février 2013 •suivie par Dr. X Troubles anxio-dépressifs Constipation chronique Migraine. Reflux gastro-oesophagien. Migraines Migraines Migraines Migraines Migraines Migraines Migraines Migraines Migraines Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines. Migraines avec aura. Hypertension artérielle traitée. Hypothyroïdie substituée. Migraines avec aura visuelle. Maladie thrombo-embolique veineuse avec : •thrombose étendue de la grande veine saphène gauche le 10.02.2017 •embolie pulmonaire segmentaire bilatérale avec surcharge du cœur droit le 01.06.2018, thrombolyse par cathétérisme (EKOS) à l'Inselspital de Berne •facteurs de risque thrombo-embolique : néoplasie myéloproliférative, âge. Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle JAK2 V617F positive : •diagnostic posé en 2001 •biologie moléculaire du sang périphérique du 24.04.2017 : mutation JAK2 V617F •CT thoraco-abdominal du 28.06.2017 : splénomégalie 15 x 7.8 x 7 cm •cyto-réduction par Litalir depuis le diagnostic •suivi par le Dr. X. Vertiges non rotatoires depuis août 2017 d'origine indéterminée avec : •contrôle ORL en août 2017 : sans particularité •IRM cérébrale du 18.08.2017 : dans les limites de la norme hormis une sinusopathie sphénoïdale droite nouvelle Ostéoporose. Syndrome rhizomélique avec suspicion d'artérite gigantocellulaire sous prednisone (1 mg/kg) 50 mg PO dès le 25.10.2018 Migraines plusieurs fois par mois Migraines récidivantes de façon hebdomadaire •Dafalgan, Zomig •consultation neurologique en ambulatoire Migraines sans aura. Gastrite à helicobacter pylori traitée en novembre 2016 Migraines Dépression Obésité (BMI 35 kg/m2) Insuffisance rénale chronique Hypothyroïdie substituée (status post-thyroïdectomie) Migraines. Fibromyalgie. Polymyosite. Migraines Restless legs syndrome Migraines. Tabagisme actif. Dyslipidémie. Migraine Varices MID Palpitations ECG État anxieux Migraine. Vertiges orthostatiques. Mme. Y présente une éruption cutanée non prurigineuse sur visage et torse probablement d'origine virale, nous n'avons pas d'éléments pour diagnostiquer une maladie exanthématique particulière, toutefois une rubéole reste possible même si peu probable (pas de ganglions rétroauriculaires, vaccin reçu il y a 2 semaines) et dans ce cas un contact avec les femmes enceintes présenterait des risques. Nous proposons aux parents de se mettre en contact avec les 2 femmes enceintes pour qu'elles vérifient leur statut vaccinal avec leur gynécologues.Mild cognitif impairment DD démence débutante, avec: • MMS 25/30 et test de l'horloge 5/6 en 2013 • MMS 22/28 (devoirs écrits et test de l'horloge irréalisables à cause de Mr. Y Parkinson) le 29.11.2018 • vit. B12 et folate dans la norme le 30.11.2018 Mild cognitive impairment • troubles de la mémoire, persévération, comportements familiers • thymie abaissée dans le cadre d'un veuvage récent • IRM cérébrale en 2014: AVC ischémique subaigu du pont central, atrophie cortico-sous-corticale, leucoencéphalopathie • MMS 29/30, test de l'horloge 4/7 et GDS 0/15 points le 29.11.2018 • consilium neuropsychologique le 10.12.2018: légères difficultés exécutives et des praxies idéomotrices, léger dysfonctionnement exécutif au plan cognitif (planification, flexibilité mentale) et comportemental (familiarité, quelques remarques inappropriées) Minerve rigide pour 2 mois Minerve Rx cervicale face/profil transbuccal Antalgie en réserve Contrôle chez pédiatre Mini pneumothorax de 1 mm LSD Minime insuffisance anastomotique colo-rectale • Status post résection antérieure basse avec iléostomie de protection le 05.12.2018 Minime pneumothorax post-ponction pleurale droite le 30.11.2018 Mini-Schellong: négatif. Traitement symptomatique. Nouvelle consultation en cas de péjoration. MIRM (mycoplasma-induced rash and mucositis) avec atteinte des muqueuses ophtalmiques / nasales / buccales / respiratoires Mis en place Bair Hugger Surveillance: normalisation de la température Mis en suspens des médicaments néphrotoxiques Hydratation i.v. jusqu'au 30.11.2018 Reprise progressive du traitement diurétique et antihypertenseur suivant valeurs rénales et clinique dès le 01.12.2018. Résolu le 05.12.2018 Mise à jeun le 19.11.2018, reprise de l'alimentation dans la suite Hydratation iv aux soins intensifs Introduction créon depuis 10.2018 Antalgie habituelle Us abdominal (Dr. X) le 19.11.2018: sludge biliaire, pas de caillots radio-opaques, pas de dilatation des voies biliaires CT-abdominal: infiltration de la graisse au contact de la deuxième portion du duodénum et de la tête du pancréas, superposable au comparatif (DD: séquellaire versus signes d'inflammation persistante) Cathéter artériel radial gauche du 19.11.2018 au 21.11.2018 Att: suivi biologique, à rediscuter avec le MT si besoin de consultation d'antalgie Mise à jeun CT scan abdominal Antalgie Mise à plat abcès loge thénarienne main G, prélèvements, débridement, lavage. (OP le 04.12.2018) Second look avec débridement abcès loge thénarienne main G (OP le 05.12.2018) Avis infectiologie 06.12.2018 : Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 04.12. au 07.12.2018 puis co-amoxicilline 1 g 2x/j dès le 08.12.2018 et jusqu'au 14.12.2018 Mise à plat de l'abcès gauche + biopsie de la coque sous anesthésie générale le 06.12.2018 Drainage par une lame multi tubulaire qui sera retirée à J2 post-opératoire Antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j pendant 10 jours et Métronidazole 500 mg 2x/j pendant 5 jours Mise en abri sur idées suicidaires et consommation OH à risque chez un patient émotionnellement labile avec plusieurs hospitalisations à Marsens. Mise en danger. Mise en danger de son intégrité physique et psychique. Mise en évidence à l'US cérébral du 13.11.2018 IRM cérébrale sans sédation à terme, en ambulatoire, le 11.01.2018. Consultation neurologie pédiatrique par la suite Mise en évidence d'une décompensation musculaire dans le cadre d'une scoliose avec une patiente qui présente notamment une très mauvaise posture. Nous lui proposons donc des séances de physiothérapie pour hygiène posturale, stretching abdominal et renforcement musculaire. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 an. Mise en pause Aprovel Résonium 2 cuillères mesurées aux urgences Mise en pause du Carvédilol Mise en pause du Janumet 50/1000 2x/j le 05.10.2018 devant une insuffisance rénale avec une clairance à 30 ml/min. Introduction de Januvia 50 mg/j + Metformine 500 mg/j le 17.10.2018. Rendez-vous diabétologique le 06.11.2018. Mise en pause du Xarelto Actuellement sous Clexane 60 mg 2x/j Mise en place de Cerumenol. Mise en place d'Epril 10 mg en réserve 2x/j si TAS>160. Bilan tensionnel à effectuer par médecin traitant. Mise en place d'un fixateur externe cheville D. (OP le 14.11.2018) Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Pedus 2.7 avec vis libre tibia distal D. (OP le 22.11.2018) Changement d'une vis intra-articulaire par plaque Pedus pilon tibial D. (OP le 28.11.2018) Mise en place d'un nouveau cystofix (Ch 12) le 16.11.2018 (HFR Tafers) Mise en place d'un plâtre AB fendu à contrôler dans 7 jours Mise en place d'un plâtre AB fermé pour les prochaines 3 semaines. Contrôle radio-clinique le 10.01.2019. Mise en place d'un plâtre fendu Contrôle dans une semaine Mise en place d'un plâtre Geisha amovible avec charge progressive. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Suite de la prise en charge à la consultation de Dr. X à 6 semaines du traumatisme. Mise en place d'une prothèse céphalique à D le 05.11.2018 sur fracture du col fémoral à D Garden II. Mise en place d'une prothèse céphalique et d'un cerclage Dall Miles 2 mm. (OP le 05.12.2018) Mise en place d'une prothèse totale inversée humérus proximal droit avec ostéosuture des tubercules le 02.11.2018 sur fracture 4 parts déplacée humérus proximal droit. Mise en place d'une semelle en carbone. Prochain contrôle radio-clinique le 24.01.2019. Mise en place d'une semelle rigide avec marche en charge complète. Nous conseillons à la patiente de progressivement se sévrer des cannes. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin décembre. Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Mise en place d'une sonde urinaire Charrière 14. Ablation de la sonde sous contrôle urologique après 5-10 jours. Mise en place d'une sonde vésicale aux urgences de l'HFR Riaz le 21.05.2018 Mise en place d'une sonde 3 voies. Rinçages en continu. Ablation de la sonde le 13.12.2018. Mise en place pacemaker double chambre à gauche AAI-DDD le 20.12.2018 (Dr. X) Contrôle de plaie à 10 jours en cardiologie, contrôle du pacemaker à 4-6 semaines (la patiente sera convoquée) RX de thorax le 20.12.2018 Mise en place sous guidage scanographique d'un drain dans la collection abdominale antérieure gauche, ainsi que dans l'espace para-rectal gauche, à l'endroit de la fuite le 20.12.2018 Bactériologie: présence de Enterococcus avium et Escherichia coli Mise en suspend de l'alimentation entérale Retrait de la SNG suite au colloque familial Alimentation plaisir, limitée en texture en raison de l'obstruction oesophagienne Physiothérapie, ergothérapie Mise en suspens ACO dans contexte hématurie macroscopique Pose SV 3 voies avec rinçage Liquemine prophylactique Mise en suspens bêtabloquant jusqu'à contrôle par ETT pose de pacemaker à rediscuter Mise en suspens d'Aprovel dès le 08.12.2018 Suivi tensionnel avec reprise du traitement en fonction Mise en suspens de la Dépakine et Lorazépam Restriction hydrique du 25.12.18 au 27.12.2018 Reprise du traitement habituel le 27.12.2018 avec suivi biologique Mise en suspens de la Distraneurine et de la Rispéridone MMS après correction de l'insuffisance rénale aiguë Mise en suspens de la nutrition parentérale • Substitution électrolytes IV sous surveillance aux soins intensifs • Reprise nutrition parentérale (1/3 de la cible) le 27.12.2018 Mise en suspens de l'héparine • IRM cérébrale le 20.12.2018 • Avis neurologique le 21.12.2018 Mise en suspens des médicaments néphrotoxiques • Réintroduction de Torasemide à dose diminuée le 02.11.2018 Mise en suspens des néphrotoxiques Mise en suspens des psychotropes Mise en suspens des traitements. • Suivi clinique. Mise en suspens du Keytruda CT abdominal 16.11.2018 : dilatation importante des voies intra-hépatiques et extra-hépatiques sur adénopathies du tronc porte, progression de 2 métastases hépatiques et apparition d'un nouveau nodule suspect pancréatique, suspicion de colite ascendante et transverse, pas de thrombose ERCP le 19.11.2018 : mise en place d'un stent de polyéthylène dans le cholédoque pour dériver une sténose du cholédoque rétro-papillaire sur compression externe Amélioration clinique et biologique, présence d'ascite stable avec traitement d'Aldactone Visite le 21.11.2018 : patient au courant de ses métastases, évoquées lors d'une consultation début novembre 2018, patient sera convoqué en janvier pour la suite de la prise en charge oncologique par le Dr X Mise en suspens du Sintrom • Relais par anticoagulation prophylactique dans le contexte préopératoire et postopératoire • Reprise de Sintrom le 22.10.2018 Mise en suspens du Torasemide et Cordarone, reprise le 11.12.2018 • Xyzal PO • Betnovate crème 2x/j du 6 au 9.12.2018 puis 1x/j du 10 au 17.12.2018 • Consilium dermatologique le 6.12.2018 • Biopsie cutanée du 6.12.2018 • Consilium pharmacologique le 06.12.2018 Suivi clinique et biologique Bilan allergologique avec tests cutanés à faire à 1 mois (début janvier) Mise en suspens du traitement habituel (Diamicron, Metformine, Januvia). • Insulinothérapie en IV continu du 19 au 20.11.2018 puis relais en sous-cutané dès le 20.11.2018. • Réadaptation du traitement et mise en place d'un schéma insulinique sous-cutané en accord avec l'équipe de diabétologie de l'HFR Fribourg par le Dr X le 10.12.2018. Mise en suspens du Xarelto Mise en suspens du Xarelto dès le 26.11.2018 • Bottes antithrombotiques du 28.11.2018 au 29.11.2018 • Clexane prophylactique du 30.11.2018 au 03.12.2018 • Reprise du Xarelto dès le 04.12.2018 Mise en suspens d'Insulatard dès le 14.12.2018 • Suivi glycémie Mise en suspens du traitement de Simponi, en accord avec le Dr X Mise en suspens du Sintrom • Héparine Mise en suspens transitoire du Sintrom du 18 au 21.12.18 • Pas de réversion de crase, chez ce patient stable, n'extériorisant pas activement et porteur d'une valve mécanique Suites : • INR de contrôle chez médecin traitant le 04.01.18 à 15h15 Mise en suspens du traitement anti-HTA • ECG : pas de trouble rythmique, pas de signe ischémique • Test de Schellong : pathologique sans symptôme Mise en travail Mise en travail spontané Mise en travail spontanée Mise en travail spontanée et accouchement par voie basse chez une patiente primigeste à 36 1/7 semaines d'aménorrhée. • Diabète gestationnel non insulino-dépendant. • Médicaux : incontinence urinaire d'effort. • Accouchement par voie basse en 2013 à 36 semaines d'aménorrhée. Mise en travail spontanée sur présentation siège Mise en travail spontanée Suite de couches Missed abortion à 8 1/7 SA selon US Missed abortion à 8 1/7 SA et 12 1/7 SA selon DDR chez patiente 2G 1P. Mme Y admise pour un malaise (cf Entrée). Vu le status neurologique dans la norme, symptomatologie très fluctuante - cliniquement suspicion des troubles neuro sur lyrica. DD sur hyponatriémie légère. Mme Y ne supporte pas les douleurs et ne peut pas gérer à domicile. En accord avec la nièce - hospitalisation pour antalgie et compléter le bilan pour rectalgie Mme Y, 82 ans, que vous nous avez adressée pour une baisse de l'état général avec perte d'appétit et perte de poids. La patiente rapportait qu'elle n'avait plus rien mangé depuis une semaine et qu'elle était épuisée de devoir s'occuper de son mari mal-voyant. Malgré le placement du mari en EMS pour une durée déterminée de deux à trois semaines, la patiente ne se sentait toujours pas mieux et avait de la peine par rapport à l'absence de son mari. Elle avait même fait une chute à domicile, mais elle ne présentait pas de douleur particulière ni de plaintes somatiques. À l'entrée, la patiente était asthénique avec de légers signes de déshydratation (pli cutané persistant). D'un point de vue psychiatrique : l'humeur était légèrement dépressive, la patiente n'avait pas d'appétit mais ne présentait pas de trouble du sommeil sous Seresta. Le bilan biologique initial a montré une hypokaliémie sévère à 2,8 mmol/l avec une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 (DFG après CKD-EPI : 16,9 ml/min) que nous avons corrigée par une supplémentation potassique et une réhydratation adéquate. L'ECG a montré des extrasystoles supra-ventriculaires, un sous-décalage du segment ST et des ondes T négatives de V2 à V6 et dans les dérivations I et II, probablement dus à l'hypokaliémie. Le bilan biologique a également révélé une anémie normochrome macrocytaire probablement en rapport avec l'éthylisme chronique (Hb : 95 g/l, VMC : 105 fl, MCHC : 342). Il existe également une hypoprotéinémie totale avec une hypoalbuminémie. Dans ce sens, nous avons réalisé une enquête nutritionnelle qui a conclu à une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec un apport oral insuffisant, démontré par un NRS 3 et une perte de poids de 5,3 kg/8 % en 8 mois. Au cours de son hospitalisation, Mme Y a présenté une légère décompensation cardiaque probablement sur surcharge hydrique que nous avons traitée par une thérapie de Torem à 10 mg/j. Devant une bonne évolution clinique et devant la probable nécessité d'une réadaptation, nous transférons Mme Y au département de gériatrie aiguë le 10.12.2018. Mme Y, 71 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour une substitution électrolytique dans le cadre d'un syndrome de renutrition inapproprié sur nutrition parentérale le 26.12.2018. Pour rappel, Mme Y est hospitalisée pour un iléus du grêle sur bride. Une laparotomie avec adhésiolyse est réalisée le 23.12 avec résection segmentaire du grêle sans complication postopératoire. Une nutrition parentérale est débutée le 25.12.2018 avec la mise en évidence d'une dysélectrolytémie sévère (hypophosphatémie, hypomagnésiémie et hypokaliémie) avec un ECG dans la norme, notamment sans QT allongé, ce qui était le cas à son arrivée le 22.12.2018. Après mise en suspens transitoire de la nutrition parentérale, elle est mise en suspens et sous substitution intraveineux des électrolytes, on assiste à une bonne correction. Nous proposons une reprise lente de la nutrition, avec augmentation progressive, sans dépasser la moitié des besoins dans les 48 heures à venir, et un suivi biquotidien des électrolytes avec substitution combinée iv/po. La patiente est retransférée à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge le 27.12.2018. Mme. Y se présente donc à l'hôpital avec des symptômes similaires à ceux présentés en août. Le diagnostic retenu alors était celui d'une possible érythrodermie aux AINS, les symptômes ayant disparu suite à l'arrêt de tous les traitements. Dans l'intervalle, les contrôles effectués chez le médecin traitant avaient montré une résolution complète de l'état inflammatoire. À l'étage, nous introduisons un traitement symptomatique par tramadol et éviction du paracétamol pour démasquer un possible état fébrile. Toutefois, la patiente ne présente pas d'autre état fébrile à partir du 03.12.18. L'exanthème fluctue rapidement. Les arthralgies sont importantes, voire invalidantes par moments, et la patiente développe finalement une arthrite confirmée par une ponction du genou gauche avec un liquide inflammatoire. Au vu de la recrudescence de l'exanthème le 05.12.18, une biopsie est effectuée par nos collègues dermatologues, ainsi qu'au niveau du tatouage de l'avant-bras gauche. Un traitement local est proposé par Dermovate jusqu'au prochain contrôle à 4-6 semaines. Concernant le diagnostic, l'érythrodermie médicamenteuse évoquée en août n'est pas retenue au vu de la récidive des symptômes. Un DRESS avait été également évoqué, mais en l'absence d'éosinophilie, ce diagnostic semble peu probable. Au vu des symptômes plus légers cette fois, ainsi que des marqueurs biologiques moins élevés qu'en août mais toutefois altérés (ferritine, tests hépatiques), nous retenons une probable maladie de Still de l'adulte, forme intermittente. Le fait que les deux épisodes se sont déclenchés lors d'un séjour en Turquie n'évoque pas d'autre diagnostic, mais il pourrait éventuellement s'agir d'un déclencheur environnemental. En raison de la présence d'une infiltration d'un des tatouages, le diagnostic de sarcoïdose est émis; toutefois, le CT-scanner thoracique effectué en août ne montre que de rares adénopathies hilaires infracentimétriques et il n'y a pas d'atteinte d'organe. La biopsie permettra de déterminer le type d'infiltrat; un infiltrat neutrophilique étant un élément supplémentaire en faveur d'une maladie de Still le cas échéant. Concernant le traitement systémique, étant donné la réponse aux antalgiques permettant une nette amélioration de la polyarthrite, nous proposons initialement de poursuivre uniquement les anti-inflammatoires avec le traitement de stéroïdes topiques pour l'exanthème. Nous reverrons la patiente à une semaine à notre consultation et nous restons à disposition dans l'intervalle si nécessaire. Si, lors de la prochaine consultation, les symptômes n'avaient pas suffisamment régressé, nous proposerons un traitement par stéroïdes systémiques. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs pour une hémorragie post-partum. La patiente a accouché par voie basse après provocation pour rupture prématurée des membranes. L'accouchement se complique par une hémorragie utérine en rapport avec une atonie utérine et rétention des membranes. Une révision de l'utérus ainsi qu'une mise en place d'un ballon de Bakri sous anesthésie générale sont effectuées. La patiente reçoit du Cyclokapron et du Fibrinogène et un traitement par Nalador est administré. La surveillance s'avère sans particularités avec absence de récidive du saignement. Le ballon de Bakri est retiré le 05.12.2018 avec bonne évolution. La prophylaxie par Céfuroxime est aussi stoppée. La patiente est ensuite transférée dans le service de maternité pour suite de prise en charge. Mme. Y, 27 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance neurologique après craniotomie et décompression de la fosse postérieure. La patiente a été diagnostiquée d'une malformation de Chiari type 1 associée à une syringomyélie centro-médullaire et hydrocéphalie tétraventriculaire qui est traitée par une décompression de la fosse postérieure. L'intervention se déroule sans complication. La patiente reste hémodynamiquement stable et les douleurs sont contrôlées avec une antalgie simple. La surveillance neurologique est sans particularité. L'évolution étant favorable, la patiente est transférée en chirurgie pour suite de prise en charge. Mme. Y nous est adressée pour une réhabilitation musculo-squelettique après une intervention le 12.11.2018 de l'épaule gauche pour une luxation antérieure invétérée de l'épaule. À l'entrée, la patiente se plaint de douleur chronique de son articulation sacro-iliaque. Elle décrit également un inconfort quant au port de l'attelle de l'épaule. Mme. Y est veuve, a plusieurs enfants dont 3 issus d'un regroupement familial, habite au premier étage d'un appartement avec ascenseur. Elle était à la maison indépendante pour les AVQ et demandait de l'aide à sa voisine pour le ménage. Le but global de la réhabilitation est un retour à la maison. Le statut d'entrée est sans particularité. Sur le plan fonctionnel, la patiente est handicapée par le port de son gilet orthopédique. L'évaluation d'entrée montre des transferts réalisés avec guidance physique, la marche est autonome avec moyen auxiliaire. Le risque de chute est éventuellement augmenté. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie de physiothérapie et ergothérapie. En fin de séjour, la patiente réalise aussi bien les transferts que la marche de façon autonome sans moyen auxiliaire. Le risque de chute demeure le même. Afin de faciliter son retour à domicile, un passage infirmier a été organisé 2x/j pour l'habillage et le déshabillage. Dans le but de poursuivre sa réadaptation, de la physiothérapie ambulatoire est également prescrite. Nous mettons en évidence une anémie d'origine postopératoire sans autre carence. En ce qui concerne l'antalgie, nous réduisons avec l'accord de la patiente son dosage d'oxycontin avec une bonne tolérance. Sur le plan mental, nous observons une patiente orientée dans les 3 modes, capable de discernement, collaborante. Toutefois, elle est hyperactive, logorrhéique, avec quelques troubles du cours de la pensée et sporadiquement un délire de persécution sans hallucinations. À noter un trouble du sommeil de type réveil itératif. La thymie est conservée et on ne note pas d'idéation suicidaire. Après prise de contact avec sa fille, celle-ci nous indique être inquiète du comportement nouveau de sa mère. Nous réalisons un bilan sanguin qui est sans particularité. Après discussion avec la patiente, celle-ci refuse toute introduction de médicament et ne souhaite pas de consultation psychiatrique durant le séjour. La patiente ne présentant pas actuellement un risque pour elle-même, nous respectons son choix. Nous vous laissons le soin de rediscuter avec celle-ci de l'utilité d'une prise de contact avec un psychiatre. Enfin, nous mettons en évidence un profil tensionnel tout au long de l'hospitalisation situé au-dessus des valeurs recommandées. Nous laissons par ailleurs la patiente prendre sa tension elle-même. Le profil est également au-dessus des valeurs normales. La patiente ne souhaite pas l'introduction d'une thérapie. Nous vous proposons de rediscuter avec la patiente l'intérêt d'un tel traitement. Au vu de la stabilité clinique et de l'autonomie de Mme. Y, celle-ci regagne son domicile le 05.12.2018.Mme. Burgy, 72 ans, est admise à notre étage de médecine depuis les soins intensifs, pour suite de prise en charge d'une embolie pulmonaire bilatérale à risque intermédiaire-haut. Pour rappel, la patiente a présenté une douleur rétrosternale intermittente associée à une dyspnée et tachypnée au repos. Après une prise en charge initiale pour une suspicion de NSTEMI, la patiente bénéficie d'un CT thoracique qui met en évidence une maladie thrombo-embolique centrale gauche et segmentaire droite avec une répercussion sur le ventricule droit. Une anticoagulation est débutée. La patiente bénéficie d'une oxygénothérapie. Hormis l'hospitalisation récente, il n'y a pas d'autre facteur de risque de MTEV, la maladie oncologique étant en rémission, avec un contrôle échographique du foie ne montrant pas de lésions suspectes (sous réserve d'une mauvaise qualité technique de l'examen). Le bilan cardiaque par échocardiographie transthoracique met en évidence une fraction d'éjection du ventricule gauche abaissée en raison d'une hypokinésie globale sévère. La coronarographie démontre des coronaires normales. La patiente est toutefois symptomatique depuis environ une année avec nycturie et dyspnée paroxystique nocturne. Un contrôle échocardiographique est prévu à 3 semaines. Nous introduisons un traitement d'insuffisance cardiaque avec IEC, diurétique d'épargne potassique, et bêta-bloqueur, bien tolérés par la patiente. L'évolution est favorable avec sevrage progressif de l'oxygène, permettant d'orienter la patiente vers une réadaptation cardio-pulmonaire, pour laquelle la patiente est en attente dès le 04.12.2018. Au vu d'une notion d'asthme cependant non confirmée par des fonctions pulmonaires, nous proposons de réaliser ces dernières à distance afin d'affiner le traitement de cet éventuel syndrome obstructif, survenant par ailleurs dans le contexte d'un SAOS connu (tentative d'appareillage infructueuse). La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Chevalier est une patiente de 70 ans transférée des soins intensifs de Berne pour un état confusionnel hyperactif suite à un accident vasculaire cérébral hémorragique, survenu le 03.12.2018, probablement dans le cadre d'une hypertension artérielle mal contrôlée. La patiente a été diagnostiquée le 03.12.2018 aux urgences de l'HFR Fribourg et ensuite transférée aux soins intensifs à Berne pour manque de place. Le bilan a été complété à Berne avec une IRM cérébrale et une angiographie, sans qu'une vasculopathie soit mise en évidence. L'origine retenue a été l'hypertension artérielle mal contrôlée, une angiopathie amyloïde n'est cependant pas exclue. En raison d'une symptomatologie de type absence le 05.12.2018, une péjoration de l'hémorragie a été exclue par un CT scan cérébral. Un EEG ne montrait pas de signe d'épilepsie. Un traitement par Valproate a été débuté dans le doute. Un deuxième EEG effectué le 10.12.2018 ne montrait pas non plus de composante irritative. Nous laissons aux collègues neurologues le soin de décider la suite du traitement par Valproate. L'état confusionnel aigu hyperactif a nécessité une contention mécanique et chimique par Halopéridol, Catapresan et benzodiazépines. L'évolution aux soins a rapidement été favorable avec un arrêt du Catapresan le 09.12.2018, nous poursuivons le traitement par benzodiazépines, avec la proposition d'effectuer un schéma dégressif, ceci en raison d'une possible notion de consommation abusive de Temesta. Nous vous proposons de poursuivre l'Halopéridol en systématique le soir. Nous profitons de son séjour aux soins pour demander un avis psychiatrique, nos collègues de psychiatrie proposent un suivi régulier sans autre traitement pour l'instant. Mme. Clerc est donc hospitalisée en raison de ces douleurs lombaires irradiant dans la jambe gauche nouvellement apparues le mois précédent et devenues ingérables à domicile. L'examen clinique parle en faveur d'une lombocruralgie gauche. L'antalgie est adaptée avec introduction d'un AINS et d'antalgie du palier III qui permettent une amélioration initiale. Nous ne proposons finalement pas d'infiltration de la colonne en raison des symptômes peu congruents avec une atteinte radiculaire précise. Nous effectuons toutefois une infiltration locale du grand trochanter par lidocaïne le 17.12.18 qui n'améliore pas les symptômes. La physiothérapie en piscine et à sec aide partiellement et permet une reprise de la mobilisation sans moyen auxiliaire. Dans le contexte des investigations proposées pour la suite de prise en charge de la patiente, nous avons effectué une biopsie des glandes salivaires le 17.12.18. L'immunohistochimie vous parviendra par la suite. Étant donné que la patiente travaille surtout avec des enfants en bas âge, un arrêt de travail est donné jusqu'à début janvier avec réévaluation à votre consultation. L'antalgie pourra à ce moment également être rééquilibrée. Nous reverrons la patiente à notre consultation de rhumatologie selon ses souhaits à la fin février. Mme. Currat peut poursuivre avec une charge complète selon tolérance avec abandon progressif des cannes. Xarelto plus nécessaire. Début de physiothérapie pour remusculation. Prochain contrôle clinique dans 2 mois, soit le 12.02.2019. Mme. De Oliveira Barros est hospitalisée de manière élective pour effectuer un traitement par ocrelizumab (anti-CD20) sous surveillance au vu d'une réaction allergique aux derniers traitements par Mabthera en août 2018. En raison d'une thrombopénie aggravée lors du dernier contrôle fin novembre (Tc 13 G/l), un traitement de Prednisone avait été réintroduit à 1 mg/kg (80 mg). À son entrée, les thrombocytes étaient à 84 G/l. Il a été décidé de poursuivre ce dosage pour un total de 2 semaines, puis de diminuer par palier de 10 mg chaque semaine jusqu'au prochain contrôle. Le traitement par Ocrevus s'est déroulé sans complication le 05.12.18. La patiente n'a en effet présenté aucun symptôme ni signe allergique durant la perfusion. Mme. De Oliveira Barros sera reconvoquée à 2 semaines pour un deuxième traitement. Après discussion avec Dr. X, nous ne proposons pas de contrôle sanguin dans l'intervalle étant donné que la cinétique des thrombocytes à la hausse. Mme. Dubey est une patiente de 82 ans, sous Xarelto pour une FA, qui se présente aux urgences pour un traumatisme crânien sans perte de connaissance suite à une chute mécanique après avoir trébuché dans une marche en montant les escaliers. Le bilan radiologique exclut une fracture crânienne ou une hémorragie intracrânienne. La patiente est hospitalisée pour une surveillance neurologique de 24h. Mme. Echenard-Séchaud, 66 ans, a été admise en unité stroke monitorée en raison de multiples AVC ischémiques survenus en per-coronarographie. La patiente avait présenté le 23.12.2018, après une semaine de douleurs thoraciques intermittentes à l'effort, un STEMI antérieur sur une occlusion de l'artère interventriculaire antérieure proximale, qui a été traitée à l'Inselspital à Berne par l'implantation de 1 stent actif (la salle de cathétérisme cardiaque de l'HFR Fribourg était occupée). Suite à cette intervention, elle a été transférée aux soins intensifs de l'HFR Fribourg le même jour, puis dans le service de médecine interne le 25.12.2018. Le 27.12.2018, une 2ème coronarographie a été réalisée en électif pour le traitement des sténoses de 75 % de l'artère circonflexe et de la coronaire droite par l'implantation respectivement de 1 stent actif et 2 stents actifs. Durant la procédure, elle a signalé un scotome scintillant unilatéral droit et extrême gauche qui s'est résolu spontanément. L'IRM cérébrale a identifié de multiples lésions ischémiques punctiformes (cérébelleux droit, occipital droit et frontal droit), vraisemblablement d'origine cardio-embolique. Aucun déficit neurologique n'a été constaté dès l'admission (NIHSS 0). Une anticoagulation par héparine a été débutée à 15 000 UI / 24h et dont l'indication est à rediscuter avec les cardiologues en l'absence de thrombus apical visualisé à l'échocardiographie du 28.12.2018.Une amélioration de la fraction d'éjection a été observée après 5 jours, passant de 35% à 48%. La double antiagrégation sera maintenue pour 12 mois avec l'aspirine à vie. Après la phase aiguë de l'AVC, le traitement par IEC et bêta-bloquant sont transitoirement mis en suspens et seront repris selon le profil tensionnel. Une réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire devrait être envisagée et une ergométrie après 1 année. Le bilan lipidique montre une hypercholestérolémie légère. Vu la coronaropathie et un dosage de la lipoprotéine(a) élevé à 107 nmol/l, une statine a été débutée. Mme. Y, patiente de 69 ans connue pour un s/p AVC ischémique en 2015 avec syndrome extra-pyramidal, troubles cognitifs et troubles de la déglutition séquellaires, des troubles schizo-affectifs avec de nombreuses hospitalisations en psychiatrie à Marssens, une HTA non traitée et un diabète insulino-requérant, nous est référée depuis le home St François où elle vit pour des douleurs buccales avec odynophagie et altération de l'état général depuis environ une semaine. À l'anamnèse, la patiente se plaint de ne plus pouvoir manger ni boire. Elle mentionne aussi une toux sèche. L'anamnèse est cependant très limitée et de fiabilité discutable; la patiente ne répond pas à toutes les questions. Elle dit avoir mal dans la bouche depuis environ 1 mois, mal également à la gorge. Elle explique que depuis l'apparition des douleurs, elle a des difficultés à manger et des douleurs lors de la déglutition. Elle aurait perdu 20 kg. Au status, nous retrouvons une patiente en état général diminué, dénutrie, afébrile. Les paramètres sont dans la norme hormis une saturation basse à 86% à l'air ambiant, 95% sous 2L d'O2. La patiente présente une hypersalivation constante. Il existe au status neuro une dysarthrie importante, un réflexe de Babinski positif à droite et une force diminuée à M4 à droite pour les 2 membres, connus depuis l'AVC. Les réflexes achilléens sont absents des deux côtés. Au niveau respiratoire, l'auscultation est anormale avec des crépitants sur l'ensemble des plages pulmonaires. L'examen de la filière orale montre une gorge rouge et chargée. Le reste du status est sans particularités. Le laboratoire réalisé à l'entrée montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 91 et une hyperleucocytose à 18 G/L. Les plaintes de la patiente et l'examen de la filière orale nous font suspecter une mycose buccale. Nous réalisons un frottis buccal qui montre une colonisation par Candida Albicans. Un consilium ORL à Fribourg à l'hôpital cantonal pose le diagnostic de gingivostomatite floride sans argument pour une atteinte fongique invasive. Un traitement par Fluconazole est introduit, avec un résultat rapidement favorable. Le laboratoire retrouve également une hypokaliémie que nous substituons oralement avec un bon résultat. Le reste de l'hospitalisation se déroule sans autre complication, et le 28.11.2018, nous pouvons laisser rentrer la patiente dans un état général amélioré. Mme. Y, 87 ans, est admise aux soins intensifs pour une insuffisance rénale aiguë anurique dans un contexte de choc hypovolémique avec une composante septique sur des diarrhées. Elle présente une baisse de l'état général avec diarrhées depuis une semaine. Le CT thoraco-abdominal non injecté ne montre pas de complication digestive ni rénale. À l'admission, la patiente présente une instabilité hémodynamique nécessitant une expansion volémique, un soutien aminergique transitoire et une antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole. L'étiologie du choc est l'hypovolémie avec une composante septique sur les diarrhées infectieuses, majorée par l'accumulation du traitement antihypertenseur dans le contexte de l'insuffisance rénale aiguë. Une hémodiafiltration est mise en route en raison de l'insuffisance rénale aiguë compliquée d'une acidose métabolique sévère et de troubles électrolytiques avec une bonne évolution. La diurèse reprend sous traitement diurétique, permettant d'arrêter la dialyse en continu. Une insuffisance respiratoire globale d'origine multifactorielle (obésité, hypoventilation, SAOS, surcharge hydrique) est traitée transitoirement par des séances de VNI mais qui sont relativement mal supportées. Concernant le projet global, il est convenu d'entente avec la patiente et sa famille de ne pas procéder à une escalade thérapeutique (pas de reprise de dialyse, pas de réanimation et pas de réadmission aux soins). En cas de péjoration, des soins de confort seront à privilégier. La patiente est transférée en médecine le 06.12.2018. Mme. Y, patiente de 76 ans connue pour HTA, pour des antécédents d'AVC ischémique et de cancer du sein, ainsi que pour une démence d'origine possiblement vasculaire, nous est référée le 29.11.2018 depuis les urgences de l'hôpital de Fribourg pour une chute sur le côté gauche avec amnésie circonstancielle, fracture de la glène gauche ainsi qu'une probable lésion du ligament collatéral médial du coude gauche. À l'anamnèse, la patiente raconte être tombée sur le côté gauche le 28.11.2018, mais ne se souvient pas exactement de ce qu'il s'est passé. Elle dit n'avoir pas eu de traumatisme crânien ni de perte de connaissance et avoir pu se relever seule. Elle ne se plaint pas de douleurs, ni de paresthésies ou d'autres troubles de la sensibilité. Elle évoque des troubles de la mémoire depuis quelque temps, sans pouvoir dire quand ils ont commencé. À l'examen clinique, nous retrouvons une patiente en bon état général, orientée aux 3 modes, calme, collaborante, eupnéique à l'air ambiant. Le bras gauche ne présente pas de plaie ni d'hématome. La tête ne présente aucune plaie; sa palpation et sa mobilité sont tout à fait indolores. À l'observation, il existe une déformation visible de l'épaule avec surélévation du sulcus gléno-huméral. La palpation de l'articulation gléno-humérale est douloureuse, celle de la clavicule et des cervicales sont indolores. La mobilité est impossible étant donné les douleurs. Il n'existe aucun trouble sensitif, le touché-piqué est dans la norme, et les pouls sont palpables en périphérie. La palpation du coude est douloureuse et sa mobilité réduite vu la douleur. Le poignet est indolore et mobile. La hanche gauche ne présente pas de douleur à la palpation, ni de déformation visible. La douleur étant bien contrôlée sous l'analgésie actuelle, nous n'entreprenons pas d'augmenter les antidouleurs, mais mettons en place une surveillance continue de celle-ci. Un contrôle radio-clinique de la fracture de l'épaule est réalisé 1 semaine après la chute avec le Dr. X, orthopédiste à l'HFR Meyriez. Ce contrôle ne montre à la radio aucun déplacement secondaire. Le Dr. X recommande un nouveau contrôle radiographique dans une semaine, ainsi qu'un contrôle radio-clinique 6 semaines après la chute. Il insiste sur la nécessité de garder l'articulation de l'épaule gauche au repos pendant 6 semaines.L'ECG d'entrée de la patiente était normal et superposable au dernier réalisé (en janvier 2018). Devant l'impossibilité d'exclure un trouble du rythme cardiaque pour expliquer les chutes à répétition de Mme. Y, nous mettons en place un Holter ECG de 72h, dont les résultats sont encore à venir, et vous parviendrons dans les plus courts délais. Concernant les troubles de la mémoire de la patiente, nous prenons contact avec le neurocentre à Villars-sur-Glâne (déjà contacté par vos soins). Un nouveau rendez-vous est fixé pour le mercredi 12 décembre à 9h auprès du Dr. X. Entre-temps un MMS est réalisé ici, montrant un résultat de 23/30, le test de l'horloge étant à 4/ (dernier MMS réalisé chez le médecin traitant il y a un an : 27/30). La patiente vit avec son mari à Fribourg. Elle s'occupe de la cuisine et du ménage mais est aidée par son mari. Elle est indépendante pour la toilette et pour la plupart des AVQ, mais le mari gère ses médicaments. Elle marche beaucoup de manière quotidienne (jusqu'à 2h de marche par jour jusqu'il y a peu de temps). Devant l'impossibilité pour la patiente de bouger son épaule gauche nous mettons en place des soins à domicile 2 fois par jour pour la toilette et pour l'habillage. Le 04.12.2018 nous pouvons laisser la patiente rentrer à son domicile en bon état général. Mme. Y, 40 ans, est admise pour un iléus sur hyperinflation colique sur colonoscopie. La patiente qui était traitée pour une diverticulite avec une probable sténose sigmoïdienne est prise en colonoscopie élective ce jour. Une exsufflation de l'air est impossible suite à la sténose et la patiente présente un iléus bilan par ASP. Une 2ème colonoscopie est un échec et la patiente est transférée au HFR Fribourg. La 3ème colonoscopie (faite au CO2) permet une exsufflation. Une sonde rectale de décompression est laissée en place. Une couverture antibiotique est administrée en prévision d'une translocation, elle est stoppée 48 heures après. La patiente est intubée pour protection des voies aériennes dès son admission aux SI en raison d'un iléus floride avec vomissement malgré SNG. On remarque à l'exposition, un œdème glottique sans entrave à l'intubation. Le test de fuite étant négatif, un traitement cortico-stéroïde est introduit. 12h plus tard le test de fuite devient positif et la patiente est extubée sans complications. Le status ORL montre une petite lésion sur la face laryngée de l'épiglotte, la patiente devra manger des repas mixés-lisses, tièdes pendant 02 jours. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs le 23.12.2018 pour tentamen médicamenteux suite à une intoxication aux opiacés et à l'alcool. La patiente est amenée par les ambulanciers aux urgences suite à l'ingestion de 100 mg de Oxynorm avec un état semi-comateux et un Glasgow à 9. L'évolution est favorable sous Naloxone permettant un réveil adéquat. On ne note pas de signes de sevrage alcoolique durant le séjour. L'évaluation psychiatrique conclut à l'absence de risque suicidaire, par ailleurs, une hospitalisation en mode volontaire à Marsens est préconisée dès amélioration somatique. La patiente présente une crise tonico-clonique qui s'estompe spontanément. Sa neurologue (Dr. X) propose de rajouter l'Urbanyl à 10 mg pendant 4 jours puis à 5 mg pendant 5 jours puis reprendre contact avec elle afin de définir la suite de la prise en charge. À noter que le dosage de Depakine reste à pister. La patiente présente également une TSV non soutenue qui s'est résolue spontanément. Un SIADH médicamenteux est mis sous le compte de Cymbalta (psy au courant) qui est stoppé. Une restriction hydrique est également mise en place. Mme. Y est transférée en médecine pour suite de prise en charge. Mme. Y est admise aux soins intensifs en post-opératoire d'un anévrisme de l'aorte abdominale infrarénale compliqué de choc hémorragique. La patiente a été polytransfusée avec un soutien aminergique jusqu'au 24.10.2018. Un scanner abdominal réalisé à J3 post-opératoire en raison d'un syndrome inflammatoire montre un thrombus endoluminal aortique proximal à risque emboligène s'étendant au niveau de l'artère rénale gauche ainsi que de multiples zones d'infarctus du rein droit. Dans ce contexte, une anticoagulation thérapeutique est introduite dès le 27.10. Parallèlement, on note l'apparition d'un iléus paralytique post-opératoire motivant une nutrition parentérale exclusive. L'apparition d'un ictère avec élévation des paramètres de choléstase sans élévation des enzymes hépatiques motive l'indication d'un ultrason abdominal qui permet d'exclure une obstruction des voies biliaires. Dans ce contexte, le Tazobac est incriminé et arrêté. Les paramètres s'améliorent par la suite. Le réveil post-opératoire s'avère pathologique avec une biparésie proximale, suspicion d'apnées centrales. La patiente est extubée le 28.10 puis finalement réintubée pendant 72 heures suite à un arrêt respiratoire. Une IRM cérébrale permet d'exclure une lésion du tronc. Un EEG ne montre pas de foyer épileptogène. Sur avis neurologique nous débutons un traitement par Clonidine. La suspicion d'une encéphalopathie toxico-métabolique secondaire à un surdosage au Tazobac est la seule hypothèse plausible sachant que les mouvements choréiformes ont persisté à distance de l'arrêt du Tazobac. La patiente est restée dépendante à la VNI en post-extubation. Le 03.11.2018 la patiente présente une nouvelle insuffisance respiratoire nécessitant une réintubation. La bronchoscopie montre un bouchon bronchique avec une atélectasie du lobe moyen droit. Nous débutons une antibiothérapie par Ciprofloxacine. Une trachéostomie est effectuée devant le sevrage ventilatoire difficile chez une patiente BPCO sévère avec probablement une dysfonction diaphragmatique gauche avec par ailleurs une suspicion d'une composante cardiaque, au vu du diagnostic de NSTEMI clinique et biologique, traité conservativement initialement. Une coronarographie faite à distance met en évidence une maladie coronarienne tritronculaire avec sténose 60 % du tronc commun, stentée et une occlusion chronique de l'ACD. Un traitement antiplaquettaire par Aspirine cardio et Plavix est associé à l'anticoagulation thérapeutique. Malgré le traitement coronarien le sevrage ventilatoire n'a pas été possible et a été entravé par des épisodes de pneumonie nosocomiales traités sans documentation bactériologique. Le 21.12.2018 la patiente présente une nouvelle insuffisance respiratoire avec une bradycardie et finalement un état comateux avec un Glasgow à 3 avec des pupilles en anisocorie. Un CT cérébral natif montre une volumineuse hémorragie intra-parenchymateuse gauche, associée à un hématome de la faux et de la tente du cervelet, ainsi que possiblement une composante sous-arachnoïdienne fronto-pariétale gauche. Un engagement sous-falcoriel, uncal, et central. Devant cette situation un passage aux soins de confort est entrepris et Mme. Y décède paisiblement entourée par ses proches. La fille n'a pas souhaité d'autopsie médicale pour expliquer les troubles neurologiques inexpliqués depuis son réveil post-opératoire. Mme. Y, 86 ans, connue pour une cardiopathie rythmique, valvulaire et hypertensive, ainsi qu'une insuffisance rénale chronique, est admise aux soins intensifs le 4.12.2018 dans le cadre d'une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique. La patiente était hospitalisée à Tavel depuis le 3.12.2018 en raison d'une dermohypodermite de la jambe droite. Durant l'hospitalisation elle présente une nette péjoration de la fonction rénale d'étiologie prérénale dans le contexte infectieux et de diarrhées motivant son transfert aux soins intensifs. L'US rénale permet d'exclure une cause post-rénale.L'évolution est rapidement favorable après mise en suspens du traitement diurétique et hydratation. Les troubles électrolytiques sont substitués. Suite à l'évolution favorable de la fonction rénale, l'anticoagulation de la fibrillation auriculaire par Eliquis peut être reprise et les traitements diurétiques sont progressivement réintroduits. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution de la fonction rénale et d'adapter les traitements diurétiques en conséquence. Dans le cadre d'une suspicion de syndrome cardio-rénal, une ETT est effectuée, restant stable par rapport au comparatif de 2017. Une cause coronarienne n'est pas exclue, mais ne semble pas être l'étiologie du problème. La fonction cardiaque reste altérée. L'évolution de la dermohypodermite du membre inférieur droit est favorable sous Co-Amoxicilline. Mme Y, 68 ans, est admise aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire dans le cadre d'une bronchopneumonie à Klebsiella Pneumoniae. La patiente est actuellement immunosupprimée par Rituximab pour un lymphome B folliculaire. Le CT thoracique révèle une atteinte bronchiolaire diffuse. Une antibiothérapie par Céfépime, Clarithromycine et Co-Trimoxazole est débutée. Une bronchoscopie avec lavage broncho-alvéolaire sous anesthésie générale est effectuée le 14.12.2018. Les prélèvements respiratoires permettent d'exclure une tuberculose ainsi qu'une pneumocystose par PCR et identifient un Haemophilus influenzae, permettant l'adaptation du spectre antibiotique par Ceftriaxone. La durée totale reste à discuter avec les infectiologues (les autres PCR sont encore à pister). À noter la persistance d'un état subfébrile. L'échographie pleurale montre un petit épanchement pleural non ponctionnable à l'heure actuelle et la radiographie thoracique révèle une augmentation de l'infiltrat pulmonaire. Au vu de la baisse du syndrome inflammatoire et de la stabilité de l'état clinique, on n'a pas changé l'antibiothérapie. L'insuffisance respiratoire est traitée par de courtes séances de VNI (mal tolérées par la patiente). L'hypercapnie nous fait suspecter un syndrome d'overlap entre asthme et BPCO chez cette patiente connue pour un asthme. Une corticothérapie est introduite en raison de bronchospasme. Des investigations pulmonaires sont à prévoir à distance. L'immunosuppression induite par le Rituximab indique, après résolution de l'épisode aigu, une prophylaxie du pneumocystis par Co-Trimoxazole en l'absence de contre-indications. La patiente est transférée en médecine pour suite de prise en charge. Mme Y est réadmise aux soins intensifs pour une majoration d'une hémorragie sous arachnoïdiennes dans un contexte de chute traumatique et d'anticoagulation thérapeutique. Pour rappel, la patiente avait été hospitalisée aux soins intensifs du 04 au 06.12.2018 pour la prise en charge d'une thrombose des sinus cérébraux d'origine indéterminée compliquée d'une hémorragie sous arachnoïdienne. L'évolution initialement favorable sous anticoagulation thérapeutique avait permis son transfert en Stroke Unit non monitorée. Malheureusement, la patiente présente un traumatisme crânien suite à une chute accidentelle avec majoration de l'hémorragie sous arachnoïdienne. Suite à sa réadmission, l'anticoagulation par HBPM est arrêtée. Le scanner cérébral de contrôle montre une stabilité des lésions hémorragiques permettant la réintroduction de l'héparine à dose thérapeutique depuis le 09.12.2018. Durant la surveillance, la patiente reste stable avec persistance d'une ataxie du membre supérieur droit. L'angio CT cérébral révèle une discrète majoration des thromboses sinusiennes veineuses plurifocales (probablement dans le contexte de l'arrêt transitoire de l'anticoagulation). Le neuroradiologue interventionnel de garde ne propose aucun geste complémentaire. Au vu de la stabilité de l'état clinique de Mme Y, elle est transférée au Stroke Unit non monitorée. Une imagerie de contrôle est à prévoir le 13.12.2018. Mme Y consulte donc les urgences en raison de cette douleur au poignet devenue invalidante et d'une altération de l'état général avec état subfébrile. Au vu de l'examen clinique, la suspicion d'arthrite septique est évoquée. Un US ne met pas en évidence de signe clair pour une infection; le poignet n'est pas ponctionné. La patiente bénéficie d'un traitement par Prednisone 15 mg et d'une antalgie. Le 30.11.2018, nous ponctionnons le poignet qui montre un liquide inflammatoire; la microbiologie reste négative. L'évolution clinique locale et globale est favorable. Mme Y est autonome dans ses AVQ et pour ses déplacements avec son rollator. Il existe des troubles de l'équilibre en l'absence d'un moyen auxiliaire, mais la présence de ce dernier rend les déplacements tout à fait sécuritaires. Concernant la suite du traitement, nous avons proposé de poursuivre la Prednisone pendant 48 heures après la disparition des douleurs. En raison de crises devenant à nouveau plus fréquentes, nous avons proposé à la patiente de changer le traitement de fond pour de la Colchicine. Toutefois, Mme Y a refusé ce changement, car elle aurait eu par le passé un traitement de Colchicine qui lui aurait provoqué de fortes diarrhées. Nous laissons le soin à Dr. X de rediscuter le traitement de fond lors d'une prochaine consultation. Dans l'intervalle, nous avons proposé un traitement de crise par Prednisone 40 mg sur 3 jours en cas de récidive en attendant de consulter. Mme Y quitte notre service le 04.12.2018. Mme Y est une patiente de 72 ans connue pour BPCO sévère GOLD IV, état anxio-dépressif, coronaropathie, HTA et sténose de l'aorte abdominale qui s'est présentée à la permanence de l'HFR Meyriez-Morat le 08.12.2018 pour dyspnée avec fièvre à 38,8°C, d'où son hospitalisation pour exacerbation de BPCO. À l'entrée, la patiente présentait une dyspnée NYHA III, mais ne présentait pas de toux ni d'expectoration. Elle se plaignait également de crampes épigastriques. Au status, la patiente était apyrétique, en état général légèrement diminué. Elle était tachycarde à 105 bpm et polypnéïque à 21 cpm. La TA était de 153/80 et la SpO2 à 93 %. À l'auscultation pulmonaire, il y avait de légers crépitants bi-basaux et une hypoventilation bilatérale. À l'auscultation cardiaque, on retrouvait un souffle systolique aortique (2/6) sans irradiation. L'abdomen était souple et dépressible. Devant une péjoration de la dyspnée chronique, une fièvre et une CRP à 48 mg/l, nous avons retenu le diagnostic d'exacerbation de BPCO que nous avons traité par de la co-amoxicilline à 2 g/j pendant 5 jours et du Prednisone 40 mg/j pendant 5 jours. La patiente a présenté une bonne évolution clinique, mais devant la fréquence des hospitalisations, nous proposons à la patiente une réhabilitation respiratoire à l'HFR Billens (auparavant déjà proposée par vous-même et par Dr. X, mais refusée par la patiente). La demande de réhabilitation a été faite et Mme Y recevra une convocation à domicile quand une place sera disponible. Le laboratoire initial a montré une hyponatrémie à 131 mmol/l que nous avons corrigée jusqu'à 137 mmol/l, ainsi qu'une insuffisance rénale chronique stade 1 (DFG: 92 ml/min). Devant des troubles cognitifs à type de troubles de la mémoire rapportés par la patiente et par sa fille, nous réalisons des tests cognitifs: MMS: 26/30, Clock test 5/6, MMS-Clock test: 7/9, GDS: 13/15. Nous vous proposons de poursuivre une surveillance par des tests cognitifs réguliers. Au cours de son hospitalisation, Mme Y a présenté des chiffres tensionnels élevés: PAS: [160 - 198], PAD: [62 - 97]. Nous lui proposons de mesurer les tensions à domicile et de discuter avec vous de la reprise de l'Amlodipine.Face à la persistance de l'état d'anxio-dépressif ancien, nous organisons pour la sortie de Mme. Y le passage d'une infirmière psy à domicile, nous lui proposons également de changer de psychiatre puisque la patiente semble non satisfaite de sa prise en charge psychiatrique actuelle. Le 13.12.2018, Mme. Y peut regagner son domicile en attendant son RDV de contrôle par-vous même prévu le 17.12.2018. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs le 19.11.2018 pour une spondylodiscite thoracique avec un abcès péri-vertébral. Sous traitement conservateur, la patiente présente une paraplégie aiguë le 22.11.2018, motivant une décompression par laminectomie, avec malheureusement persistance de la paraplégie. L'évolution est marquée par une insuffisance respiratoire globale nécessitant un support ventilatoire dont trois périodes d'intubation, et un séjour de 15 jours aux soins intensifs. Le 04.12.2018, la patiente peut être transférée en médecine interne. La suite pourra se faire probablement au centre de paraplégie de Nottwil, une demande d'admission est en cours. Le diagnostic de spondylodiscite du corps vertébral T6-T7 et du disque intervertébral, avec présence d'un abcès au contact de l'aorte descendante, est retenu sur la base de l'imagerie. L'attitude initiale était conservatrice, mais l'apparition aiguë d'une paraplégie sans atteinte de la sensibilité motive une décompression par laminectomie le 22.11.2018. Ni le statut per-opératoire, ni l'IRM de la colonne vertébrale post-opératoire ne montrent de compression médullaire, l'origine de cette paraplégie persistante n'est donc pas claire. Le plus probable semble une atteinte ischémique para-infectieuse. Une nouvelle IRM est réalisée le 03.12.2018 afin de statuer sur une éventuelle atteinte vasculaire médullaire, mais des artefacts respiratoires empêchent une bonne acquisition d'images, après discussion avec l'équipe de neurochirurgie, une nouvelle imagerie serait à faire à distance, sans aucune urgence. De plus, un ENMG pourrait être utile pour déterminer le niveau exact, ainsi que des potentiels évoqués. Un traitement d'Aspirine a été débuté, en raison de l'infection et d'un syndrome inflammatoire persistant, une corticothérapie n'a pas été tentée. Le statut neurologique montre une paraplégie flasque persistante, une sensibilité tactile conservée, une hypoesthésie piquer et température avec niveau D3-4 des deux côtés. Le seul pathogène trouvé via PCR dans les biopsies est un E. coli, probablement responsable de cette spondylodiscite. À noter que des multiples cultures sont négatives sur fond de traitement antibiotique ambulatoire préalable, aucun autre foyer infectieux primaire ou secondaire n'a été mis en évidence. Une infection urinaire reste une hypothèse, au vu d'un sédiment urinaire pathologique. L'antibiothérapie a été adaptée à plusieurs reprises, puis le spectre a été finalement réduit à la Ceftriaxone. Une durée de six semaines est proposée. La patiente présente une insuffisance respiratoire globale plurifactorielle, d'abord sur un œdème du poumon sur pic hypertensif et tachycardie supraventriculaire, puis viennent s'ajouter en cours de séjour des atélectasies sur fond d'obésité morbide, ainsi qu'un encombrement bronchique important avec une pneumopathie d'aspiration. Après une troisième extubation, l'évolution est favorable avec sevrage du soutien ventilatoire invasif et non-invasif le 03.12.2018. Un suivi biquotidien par la physiothérapie respiratoire est encore nécessaire. La prise en charge nutritionnelle par nutrition entérale se complique le 30.11.2018 d'un syndrome de renutrition avec hypokaliémie et hypomagnésémie nécessitant une supplémentation électrolytique. À noter également des troubles de la déglutition nécessitant un suivi rapproché de l'alimentation orale avec un régime adapté. La patiente est connue et traitée pour une schizophrénie. Le traitement de Risperdal a été mis en suspens en raison de troubles respiratoires. Sa reprise est à envisager dans les jours à venir. Mme. Y, 71 ans, est admise aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire d'une résection d'un probable glioblastome découvert récemment. Une craniotomie avec exérèse totale macroscopique est effectuée. En post-opératoire, nous observons une paralysie faciale gauche et une hémiparésie du membre supérieur gauche. Après discussion avec les neurochirurgiens, la patiente est autorisée à se mettre à 90° et si la déglutition est conservée, une alimentation pourrait être reprise. Une IRM de contrôle est effectuée le lendemain de l'intervention. La lecture définitive par les radiologues et les neurochirurgiens est à pister afin de discuter la suite de prise en charge, dans l'attente nous ne débutons pas de corticothérapie, la patiente n'ayant pas d'œdème sur l'IRM initiale (du 27.11.2018). Une hypertension est notée en post-opératoire qui est initialement traitée par voie intraveineuse. Un relais par patch de nitrés est effectué. Dès que la déglutition sera possible, nous vous proposons de passer à une médication par anticalciques per os. La suite de prise en charge est à discuter avec les oncologues. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs le 23.12.2018 pour une HTA mal contrôlée. La patiente est hospitalisée en ORL pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal latéral gauche. Elle a eu une tumorectomie avec pose d'une PEG. L'intervention se complique d'un abcès de la paroi avec une péritonite localisée nécessitant une prise en charge chirurgicale. Actuellement, la patiente présente une gastroparésie avec une hypertension artérielle symptomatique nécessitant son transfert aux soins intensifs. Un scanner abdominal est effectué permettant de confirmer la bonne position de la PEG et l'absence d'iléus. En accord avec les chirurgiens, une alimentation parentérale est débutée le 25.12.2018 en raison de la persistance de résidus gastriques importants. L'hypertension artérielle nécessite transitoirement un traitement par Trandate en intraveineux continu. Une quadrithérapie (IEC, inhibiteur calcique, diurétique, antihypertenseur central) permet de contrôler le profil tensionnel. Un suivi par nos collègues internistes est demandé. La patiente est transférée à l'étage de ORL pour la suite de la prise en charge. Mme. Y, patiente de 91 ans connue pour cardiomyopathie hypertensive et valvulaire, nous est référée le 30.11.2018 depuis la permanence de l'hôpital de Meyriez pour une décompensation cardiaque. À l'anamnèse systématique, la patiente se plaint de dyspnée en augmentation, d'OMI en augmentation, d'orthopnée (habituelle), de toux sèche et de sueurs. Elle explique avoir pris 4 kg en 2 mois. Elle se plaint également de lombalgies chroniques. Le reste de l'anamnèse est sans particularités. À l'examen clinique, nous retrouvons une patiente en état général diminué, collaborante, calme, parfaitement orientée aux 3 modes, et eupnéique à l'air ambiant. Les paramètres sont dans la norme. L'auscultation cardio-vasculaire montre un rythme irrégulier, sans souffle. À l'auscultation des poumons, il existe une bonne entrée d'air des deux côtés, ainsi que des crépitants bibasaux. Le reste du statut est sans particularités. L'ECG réalisé à l'entrée montre quelques épisodes de passage en FA. La radiographie de thorax montre des signes d'insuffisance cardiaque décompensée avec une cardiomégalie, une redistribution vasculaire baso-apicale, ainsi qu'une suspicion d'épanchement pleural léger bibasal. Sur l'hypothèse de décompensation cardiaque probable, nous augmentons la thérapie par diurétiques de 5 à 10 mg de Torasémide. La réponse est rapidement favorable avec une perte de poids de 600 g en 1 journée et la disparition des symptômes respiratoires ainsi que la régression des œdèmes et des crépitants auscultatoires.Le reste de l'hospitalisation se déroule sans autre complication, et le 04.12.2018 nous pouvons laisser la patiente rentrer à son domicile en bon état général. Mme. Y, 86 ans, a été admise dans le cadre d'un accident ischémique transitoire cérébral frontal gauche. La patiente a présenté une aphasie et une dysarthrie, complètement résolutives avec un status neurologique normal dès l'admission. Un accident vasculaire cérébral ischémique a été suspecté d'après la clinique et l'imagerie par CT montrant une asymétrie de perfusion en région frontale gauche, sans lésion vasculaire, mais avec une récupération rapide et l'absence de lésion ischémique résiduelle à l'IRM cérébrale. Aucune cause cardio-embolique n'a pu être identifiée par l'échocardiographie transthoracique. Dans le contexte de cet évènement cérébro-vasculaire, un traitement par Aspirine a été débuté ainsi qu'une statine. La surveillance neurologique et rythmique en unité stroke monitorée a été sans particularité. Un enregistrement Holter devra être organisé au cours du séjour hospitalier. Une légère hyponatrémie s'est améliorée spontanément. La patiente a été transférée le 28.12.2018 dans le service de médecine interne. Mme. Y, patiente de 88 ans, nous est transférée aux soins palliatifs le 12.11.2018 depuis le service de médecine pour des soins de confort des suites d'une péjoration de l'état général suite à de multiples AVC ischémiques survenus dans la nuit du 9 au 10.11.2018 (pour l'hospitalisation antérieure nous vous référons aux lettres de sortie des services respectifs). Pour rappel, le 7.11.2018, Mme. Y avait été transférée de l'hôpital de Fribourg suite à une prise en charge d'une hématochézie le 24.10.2018. Le 10.11.2018, Mme. Y présente une détérioration rapide de l'état de conscience. Un bilan fait à l'Inselspital montre de multiples nouveaux infarctus cérébraux. Elle retourne à Meriez pour la suite de la prise en charge avec soins de confort. Socialement, la patiente vit dans un appartement au-dessous de celui d'une de ses filles, qui lui rend régulièrement visite. Elle a huit enfants, des petits-enfants ainsi qu'une arrière-petite-fille de un mois. La famille est soudée et solidaire, elle est très affectée par la situation actuelle. A l'entrée, Mme. Y était dans un état somnolent, réveillable et ouvrant les yeux à l'appel, avec mobilité dirigée à la douleur. La fille est présente et permet de compléter l'anamnèse. La patiente semble ne pas avoir de douleur, mais présente des diarrhées aqueuses importantes ainsi que de la fièvre. Des mouvements anormaux de l'avant-bras et de la jambe gauche, séquellaires depuis l'AVC du 13.10.20187, sont présents. La patiente souffre de douleurs chroniques de l'avant-bras gauche connues des suites d'un zona, ainsi que de dorsalgies chroniques. Une discussion est menée avec la famille, qui décide selon les voeux de la patiente de laisser uniquement en place des soins permettant d'assurer son confort. Le bilan biologique fait en médecine montre une insuffisance rénale sévère ainsi qu'une persistance de signes de décompensation cardiaque. Mme. Y présente une anémie qui était connue avant son entrée aux soins palliatifs, dont l'origine est probablement mixte avec une composante spoliative mais une probable composante tumorale est suspectée. Le bilan effectué en médecine permet d'exclure une carence martiale ou un déficit vitaminique. Une culture de selles revenant positive pour Clostridium difficile, un traitement avec métronidazole pendant 10 jours est mis en place, ainsi qu'un isolement protecteur. L'évolution est favorable avec disparition totale des diarrhées. Au cours de l'hospitalisation, la patiente sort étonnamment de l'état de somnolence présent à l'entrée. Au niveau neurologique, la patiente présente des symptômes fluctuants, une désorientation dans les quatre modes ainsi qu'un état confusionnel persistant. Elle manifeste des douleurs à l'épaule ainsi qu'au dos, des nausées, une diminution de l'appétit et une sécheresse buccale importante. Une adaptation du traitement nous permet un bon contrôle des symptômes. Les traitements stoppés à l'entrée sont remis en place. Il est décidé conjointement avec la famille que Mme. Y soit inscrite dans un home médicalement assisté. Le 21.11.2018, Mme. Y présente une péjoration des signes de surcharge cardiaque. Une réintroduction puis majoration du torasemide est effectuée, avec bonne réponse symptomatologique obtenue sur quelques jours. Le traitement est maintenu à la sortie. Mme. Y reste dans un état de conscience fluctuant durant tout le reste du séjour, montrant des moments d'éveil plus importants. Elle est très diminuée dans ses activités physiques mais peut s'asseoir sur une chaise roulante et bénéficie de physiothérapie tous les jours. Des troubles de déglutition importants sont retrouvés, mais la patiente et la famille ne souhaitent pas de prévention de fausse route. Ils sont au courant des risques. Pour le traitement de la soif, nous prêtons une attention particulière à une hydratation à la demande. Mme. Y est transférée le 14.12.2018 à l'EMS Maggenberg à Tafers. Mme. Y est hospitalisée en raison d'une exacerbation de douleurs habituelles avec de nouvelles douleurs au niveau de la racine des membres inférieurs qui n'ont pas répondu à l'augmentation du traitement antalgique. A son arrivée, l'antalgie habituelle est initialement augmentée, puis modifiée pour majorer le traitement anti-inflammatoire. Nous introduisons alors de l'étodolac retard et rapide, ainsi qu'un comprimé de tramadol pour améliorer les douleurs nocturnes. Nous introduisons également un traitement de colchicine à l'essai en raison du syndrome inflammatoire chronique. Une prise de sang de contrôle effectuée le 04.12.2018 montre une persistance du syndrome inflammatoire (VS 66 mm/h, CRP 29 mg/l). Nous proposons également un dosage des anticorps anti-médicaments pour le Remicade que nous organiserons en ambulatoire sous US au vu de la difficulté de piquer la patiente. Le bilan sanguin initial montre toujours une hypovitaminose D importante malgré la substitution par le passé. Nous avons effectué un bolus oral de 150 000 U poursuivi par une dose journalière de 800 U. La physiothérapie quotidienne et la modification de l'antalgie ont permis une reprise de la mobilisation progressive avec disparition complète des douleurs des racines des membres inférieurs. Les collègues physiothérapeutes ont également pu retirer le gilet orthopédique mis à visée antalgique de l'épaule droite. Mme. Y quitte notre service en marchant avec 2 cannes. Une consultation de contrôle est prévue chez le Dr. X le 17.12.2018. Mme. Y, 66 ans, est admise aux soins intensifs pour une infection post-opératoire d'une spondylodèse lombaire et une hyponatrémie. Une imagerie lombaire, effectuée en urgence pour des douleurs, révèle un abcès le long de la cicatrice justifiant une reprise chirurgicale. L'intervention consiste en une évacuation de l'abcès et décompression L2-L3. Le matériel n'est pas ablaté. Les cultures microbiologiques reviennent positives pour du S. Hominis et du S. Epidermidis. Une PCR eubactérienne est encore en cours. Sur avis du Dr. X, l'antibiothérapie est adaptée pour la Daptomycine. La durée totale reste à définir. A noter, la présence d'un redon qu'on vous laisse le soin d'enlever. L'antalgie est assurée par paracétamol et opiacés. En accord avec l'opérateur, une mobilisation au bord du lit a été effectuée aujourd'hui. L'hyponatrémie est mise sur le compte d'un SIADH possiblement dans le contexte post-opératoire, voire infectieux. Après restriction hydrique et administration de NaCl isotonique, la natrémie se corrige.La patiente présente une anémie normochrome et initialement normocytaire, expliquée probablement par le contexte post-opératoire récent et par le contexte inflammatoire. Des transfusions itératives sont nécessaires avec possiblement une réaction post-transfusionnelle simple sous forme d'état fébrile le 15.12.2018, traitée uniquement par fébrifuges. Une cholestase nouvelle sans augmentation de la bilirubine est découverte chez cette patiente opérée d'une cholecystectomie en juin 2018. Cette dernière est probablement médicamenteuse et nous vous proposons de la contrôler à 48h. En cas de péjoration, nous conseillons la réalisation d'un US abdominal. Face à l'évolution favorable, la patiente est transférée en orthopédie pour la suite de la prise en charge. Mme. Y est hospitalisée par nos collègues urgentistes de l'Hôpital de Tavel pour une réadaptation en gériatrique aiguë dans le cadre d'une chute mécanique à domicile le 26.11.2018. A son entrée, la patiente se plaint d'une faiblesse généralisée en péjoration depuis plusieurs semaines. Elle décrit également des vertiges de type tangage lors des mouvements de tête. Elle déclare avoir glissé avec ses cannes en allant aux toilettes. Au status, nous notons une plaie occipitale droite. Le reste de l'examen, en particulier neurologique, est sans particularité. Dans le cadre de la chute, un CT crânio-cervical est réalisé aux urgences à la recherche d'un saignement intracrânien. Nous découvrons fortuitement à cette occasion des séquelles d'événements ischémiques anciens. Sur cette base, nous introduisons une statine. L'ECG et le test de Schellong réalisés dans le cadre du bilan de chute sont sans particularité. Sur le plan nutritionnel, Mme. Y souffre de malnutrition chronique. Son poids reste stable durant le séjour. Nous maintenons les compléments alimentaires. Le profil tensionnel étant suboptimal durant le séjour, le candésartan a été augmenté. Le séjour de Mme. Y est compliqué d'un coma subit lors de la soirée du 07.12.2018. L'équipe infirmière retrouve la patiente inconsciente (Glasgow à 3/15) dans son lit sans respiration apparente et sans pouls palpable. Un massage cardiaque sera entrepris immédiatement avec une reprise de l'activité cardiaque. Au status, les pupilles sont asymétriques, associés à cela des râles grossiers sont retrouvés à l'auscultation pulmonaire. La patiente est intubée par le SMUR avant d'être transférée aux urgences de l'Hôpital cantonal de Fribourg. À noter que la patiente décède malheureusement aux urgences après qu'une hémorragie cérébrale massive a été diagnostiquée. MMS +/- bilan neuropsy/avis psychiatrique à prévoir MMS et test de la montre Bilan biologique: vit B12 et B9 dans la norme Service de liaison MMS et test de l'horloge à faire à distance de l'épisode aigu MMS et test de l'horloge Contrôle biologique MMS le 26.12.2018 à 24/30 La patiente sera convoquée pour un bilan neuropsychologique en ambulatoire. Afin de limiter d'éventuelles erreurs dans la prise médicamenteuse, nous instaurons un semainier. MMS, test de l'horloge et GDS (la patiente souhaite interrompre au milieu du MMS et ne pas poursuivre les tests) MMS, test de l'horloge, GDS le 25.01.2018 suivi clinique MMS, test de l'horloge, GDS Consilium neuropsychologique MMS 21/30 le 12.12.2018 MMS 26/30, test de l'horloge 2/6 et GDS 0/15 points le 30.11.2018 Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur sciatalgie droite déficitaire L5 sur protrusion discale le 19.11.2018 et ostéoporose et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan de la locomotion, de l'autonomie et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 14 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 15/28 avec Rollator Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 73/29 MMS/CLOCK 26/30 2/6 GDS 0/15 Évaluation sociale (5 domaines) 30.11.2018 Colloque interdisciplinaire 1 04.12.2018 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 15/28 avec Rollator Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 120/86 MMS 27/30, test de l'horloge 4/7 et GDS 2/15 points le 12.12.2018 (dans un contexte de douleurs intenses) MMS 29/30, test de l'horloge 2/7 et GDS 0/15 Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus sur pneumonie communautaire le 23.11.2018 et malnutrition et par réduction/perte des capacités fonctionnelles sur le plan nutritif, de la locomotion, de l'autonomie et de l'état général. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 18 thérapies de 30 min. chacune par unité de thérapie (max. 10% en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mardis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 22/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 59/24 MMS/CLOCK 29/30 2/7 GDS 0/15 Evaluation sociale (5 domaines) 29.11.2018 Colloque interdisciplinaire 1 04.12.2018 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 25/28 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 69/26 MMSE à 14/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 5/15 MMSE 26/30, test de la montre à 2/7 le 27.11.2018 Evaluation neuropsychologique le 17.01.2019 à 13h30, HFR Riaz MMS/GDS le 26.11.18 : MMS 29/30, clock-test 6/6, GDS 1/15 le 26.11.2018 Schellong 28.11.2018 : physiologique ECG le 27.11.2018 : Rythme sinusal irrégulier 61/min, PR 200ms, QRS fins, axe -45°, pas de trouble de la repolarisation, QTc 491ms CT cranio-cervical natif le 26.11.18 : séquelle ischémique de la région para-ventriculaire gauche. Pas d'hémorragie intracrânienne. Pas de fracture du crâne ni de fracture de la colonne cervicale. Hématome sous galéal occipital droit. Rx thorax le 28.11.2018 : pas d'infiltrat, pas d'épanchement. Apport d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce de min. 7 jours indiqué par la nécessité d'un traitement stationnaire en soins aigus en raison d'un traumatisme crânio-cérébral mineur avec plaie occipitale droite. Un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales CHOP a été apporté à raison de 18 thérapies de 30 min chacune par unité de thérapie (max. 10 % en thérapie de groupe) intégrées dans un groupe de travail comprenant la physiothérapie, l'ergothérapie, la logopédie, la diététicienne, la neuropsychologie, les soins infirmiers (soins thérapeutiques et mobilisateurs complémentaires par un personnel soignant spécialement formé - 7j/7) et les assistantes sociales (évaluation sociale dans 5 domaines) sous la direction médicale spécialisée en gériatrie (Dr. X, médecin-chef en réhabilitation gériatrique et en gériatrie aiguë, gériatrie FMH), et documenté par des comptes rendus lors de colloques interdisciplinaires hebdomadaires. Le colloque hebdomadaire du service a lieu tous les mercredis sous la direction des médecins spécialistes en gériatrie avec la participation des différents groupes de thérapeutes (physiothérapie, ergothérapie, logopédie, diététicienne, neuropsychologie, personnel soignant, service de liaison). On y documente l'évolution de chaque patient et on fixe semaine après semaine un objectif propre à chaque patient à atteindre avec l'aide des différentes thérapies. Cet objectif fixé et adapté aux besoins de chaque patient est retranscrit sur le plan des thérapies et remis individuellement chaque semaine au patient afin d'en prendre non seulement connaissance mais de pouvoir aussi y prendre part activement. Examen d'entrée Mobilité (Tinetti) 8/28 avec tintébin Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 31/17 MMS/CLOCK 29/30 • 5/6 GDS 1/15 Evaluation sociale (5 domaines) 27.11.2018 Colloque interdisciplinaire 1 28.11.2018 Colloque interdisciplinaire 2 05.12.2018 Examen de sortie Mobilité (Tinetti) 17/28 avec rolateur le 04.12.2018 Aide à soi-même MIF (mot./cogn.) 13/5 Mobilisation active Déplétion volémique VNI et physiothérapie respiratoire Mobilisation du poignet selon douleur. Attelle en extension du 5ème doigt en ergothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 24.01.2019. Mobilisation en charge libre, reprise progressive des activités sportives. Réévaluation à distance. Mobilisation libre Antalgie Ablation des fils à J14 Consultation avec radiographie de contrôle le 31.01.2019 à 10h30 à la policlinique orthopédique de l'Inselspital, bâtiment INO, étage E2 Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 04.01.2019. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 07.01.2018. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 07.01.2019. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 07.01.2019. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 07.01.2019. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 07.01.2019 afin de discuter des résultats de l'infiltration, et suite au 2ème avis demandé au CHUV. Mobilisation selon douleur. Contrôle à ma consultation le 21.01.2018. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 21.1.2019 pour refaire le point. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 4.1.2019 pour voir l'efficacité de l'infiltration. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 7.1.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle chez moi le 16.1.2019. Mobilisation selon douleurs. Physiothérapie. Ablation du pansement à 24 h. Contrôle à ma consultation le 04.01.2019. Mobilisation selon douleurs. Ablation du pansement à 24 heures. Contrôle à ma consultation le 7.1.2019. Mobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 21.1.2019. Mobilisation sous narcose le 03.01.2019. MOCA, le 26.11.2018 : 17/30 Bilan vitaminique montrant un déficit en vitamine B12 à 167, substitué par B12 1000 mcg p.o. du 28.11 au 04.12.2018 Acide folique dans la norme TSH dans la norme MOCA 11.12.2018 19/30 troubles de la mémoire demande de curatelle en cours Mr. Y présente du cérumen des deux côtés avec échec de l'enlever. Vue l'augmentation de douleurs depuis 3 jours et le rhume une otite moyenne est possible. Nous débutons un traitement symptomatique pendant 48h, suivi par un contrôle chez la pédiatre. Molluscum contagiosum Mme. Y est une petite fille de 4 ans connue pour des angines à répétition et un kyste palpébral à droite gênant son champ de vision. Elle est hospitalisée le 06.03.2018 et bénéficie d'une amygdalectomie ainsi que d'une excision de la lésion kystique palpébrale droite. Les deux interventions se déroulent sans complication. Après l'opération la patiente doit manger froid et lisse. Elle sera revue à la consultation du Dr. X dans 1 semaine et chez Dr. X dans 10 jours. Mr. Y, un patient de 59 ans connu pour un antécédent d'AVC sylvien droit en 2017, est hospitalisé pour surveillance et évaluation psychiatrique d'un trouble neurologique d'allure fonctionnelle. Pour rappel, il a consulté aux urgences en raison d'un réveil nocturne agité le 22.12.2018 objectivé par son épouse, avec mouvements atypiques et absence de quelques secondes. Contexte de céphalées hémicrâniennes gauches, asthénie et état grippal les derniers jours. L'évaluation neurologique est rassurante et parle en faveur d'un trouble neurologique fonctionnel au vu de symptômes peu typiques pour une épilepsie, et de la survenue de plusieurs épisodes similaires ces deux dernières années évalués comme trouble fonctionnel également. Par ailleurs, au vu du dernier examen radiologique datant de plus d'une année, un CT-scan cérébral a été demandé et a permis d'écarter une lésion ischémique ou hémorragique aiguë. Les suites d'hospitalisation sont simples, avec disparition pratiquement complète des symptômes. L'évaluation psychiatrique confirme un épisode dépressif moyen et une situation psycho-sociale difficile depuis l'arrêt de travail datant de 18 mois, créant un terrain anxio-dépressif favorable à la survenue de ces troubles neurologiques fonctionnels. Un traitement antidépresseur par Brintellix 5 mg est introduit, à augmenter à 10 mg dans 4 jours si bonne tolérance, tout en poursuivant le traitement de Remeron actuel. Un séjour à Marsens est proposé au patient afin de stabiliser les angoisses et les idées suicidaires, mais il s'y oppose en nous rassurant sur l'amélioration du moral pendant le séjour et d'une reprise du suivi de manière rapprochée avec son psychologue traitant.Il quitte l'hôpital le 25.12.2018 avec contrôle chez son psychologue à une semaine. • Monitoring • Monitoring cardio-respiratoire • Surveillance alimentaire • Monitoring cardiorespiratoire • Bilan biologique • Hospitalisation 24h • Transfert à Bern pour poursuite de la prise en charge • Diazepam IR en réserve Monitoring cardio-respiratoire du 01.12.2018 au 12.12.18 Monitoring cardio-respiratoire du 04.12 au 21.12.18 Monitoring cardio-respiratoire du 07.11.18 au 21.11.2018 Monitoring cardio-respiratoire du 26.11.2018 au 24.12.2018 Monitoring cardio-respiratoire du 28.11 au 20.12.18 Monitoring cardio-respiratoire du 28.11 au 9.12.2018 Monitoring cardio-respiratoire du 28.11.2018 au 11.12.18 Monitoring cardio-respiratoire du 30.11.2018 au 16.12.18 Introduction de caféine du 3.12.2018 au 09.12.18 Monitoring cardio-respiratoire du 3.12 au 15.12.18 Traitement par caféine du 30.11 au 5.12.18 Monitoring cardio-respiratoire Oxygénothérapie par lunettes Toilettes nasales Médecine anthroposophique Monitoring cardio-respiratoire Toilettes nasales Médecine anthroposophique Surveillance alimentaire • Monitoring cardiorespiratoire • Gazométrie à 1 heure de vie : acidose respiratoire avec pH 7.12, pCO2 9.6 KPa, Bic 29 mmol/l, Hb 176 g/l, Glu 3.9 mmol/l • Rx thorax de face : pas de PTX, infiltrat réticulo-nodulaire diffus, pas de foyer ; SNG dans l'estomac • Ventilation non invasive par CPAP max FiO2 à 21% du 27.12 au 28.12.18 Monitoring cardiorespiratoire High Flow depuis le 14.12, max 4lt 37% O2 3 aérosols d'adrénaline la nuit du 14-15.12 Transfert à Bern pour besoin de CPAP dans un contexte de péjoration respiratoire et épuisement Monitoring cardio-respiratoire Ventolin train (3x6pushs) puis espacement progressif, arrêt du traitement le 05.12, Ventolin gardé en réserve Betnesol 0,25 mg/kg/dose du 05.12 au 07.12 Rinçage du nez régulier Test rapide RSV le 05.12 : positif O2 à la volée Consultation pneumologique chez Dr. X en janvier 2019 avec polysomnographie à domicile à organiser Monitoring Hémostase avec glace Bilan héamatologique Prise en charge ORL Monitoring respiratoire Betnesol 0.25 mg/kg/dose Ventolin au besoin Rinçage du nez Consignes de surveillance expliquées en détail Monitoring respiratoire Oxygénothérapie du 19.12 au 22.12 Bilan inflammatoire : CRP 45 mg/l, pas de leucocytose Antibiothérapie orale par Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 prises durant 7 jours Betnesol 0.25 mg/kg p.o. 1x/j le 18.12 (domicile), 19.12, 20.12 Ventolin 4 push espacé aux 6 heures Frottis naso-pharyngé RSV : négatif (très peu de matériel). Monoarthrite de l'articulation métacarpo-phalangienne 1 de la main droite le 15.12.2018. DD : • arthrite microcristalline • arthrite idiopathique • arthrite septique • tendinopathie. Monoarthrite d'origine indéterminée Monoarthrite du poignet droit probablement sur goutte récidivante le 16.12.2018 Monoarthrite du poignet G Mononucléose. Mononucléose en 2006 Mononucléose en 2006. Mononucléose le 28.11.2018 avec : • Méningite virale ? Mononucléose. • Sérologie du 24.12.2018 : IgM et IgG positives • Antibiothérapie par Cefuroxime du 21.12-27.12.2018 pour suspicion d'angine bactérienne initialement. • Tests hépatiques perturbés. Mono-traumatisme de la main droite. Monotraumatisme du membre supérieur droit le 30.11.2018. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 17.12.2018 pour un STEMI inférieur. La coronarographie révèle une sub-occlusion de l'artère coronaire droite moyenne qui est traitée par angioplastie et mise en place de 3 stents actifs. La surveillance s'avère sans complications. Le pic de CK est à 371 U/L. La fonction cardiaque gauche est légèrement diminuée à 45%. Un traitement par IEC et bétabloqueurs est introduit avec bonne tolérance. Une statine est aussi débutée dont la posologie est à adapter en fonction du profil lipidique à 3 mois (objectif LDL < 1.8 mmol/L). Le traitement par Aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pour 12 mois. Une échocardiographie est à prévoir avant la sortie de l'hôpital. Une ergométrie est à organiser dans 2 à 3 mois afin d'évaluer la nécessité d'intervenir sur l'artère interventriculaire antérieure. Le patient est transféré en unité de médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 58 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur sur une sub-occlusion de l'artère coronaire droite moyenne le 17.12.2018 suite à des douleurs typiques. La coronarographie permet la mise en place de 3 stents actifs sur la CD. Le traitement par Aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient 12 mois. La fonction cardiaque gauche est légèrement diminuée à 45 %. Nous introduisons un bêta-bloquant, un IEC et une statine, à adapter selon le profil lipidique à 3 mois afin d'obtenir un contrôle strict des valeurs. L'évolution est favorable avec un point de ponction calme, ce qui permet un transfert en unité de médecine. L'ETT de contrôle montre une FEVG à 45 % ainsi qu'une hypokinésie modérée du septum moyen et du septum basal. Le patient bénéficie également d'une physiothérapie de mobilisation progressive. Au vu du diabète mal contrôlé avec une HbA1c à 7.9 %, un avis diabétologique a été demandé. Une instauration du Jardiance Met 5-500 est préconisée chez ce patient au vu du contexte cardiovasculaire actuel, à la place du Diamicron, si le patient n'a jamais présenté d'effets secondaires à la metformine ou s'il n'y a pas de contre-indication connue. Nous ne l'instaurons pas lors de l'hospitalisation au vu de votre absence les prochaines semaines, et vous laissons le soin de le faire. Nous demandons au patient de faire un contrôle glycémique 4x par jour dans l'intervalle. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 21.12.2018. Une réhabilitation cardio-vasculaire stationnaire au Heiligeschwendi (Bern) est demandée dès janvier 2019. Mr. Y, patient de 81 ans, est admis aux soins intensifs le 19.12.2018 pour une hyponatrémie sur SIADH dans un contexte de pneumonie. La radiographie du thorax révèle une pneumonie bilatérale, traitée par antibiothérapie. Les antigènes urinaires sont positifs pour un pneumocoque. Au niveau respiratoire, on observe une légère insuffisance respiratoire hypoxémique, traitée avec oxygène aux lunettes et physiothérapie respiratoire. L'hyponatrémie est corrigée lentement par hydratation NaCl 0.9 % puis par restriction hydrique. Une protéinurie et glycosurie sont constatées. Nous vous laissons le soin d'organiser un bilan complémentaire afin d'exclure une néphropathie chronique, si la protéinurie persiste au-delà de l'épisode infectieux aigu. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 29.12.2018. Mr. Y, 81 ans, est admis aux soins intensifs le 19.12.2018 pour une hyponatrémie dans un contexte de pneumonie à Streptococcus pneumoniae. Le patient présente une toux grasse nouvelle, ainsi qu'une dyspnée nouvelle depuis 3 à 4 jours et un syndrome inflammatoire biologique. La radiographie du thorax montre des infiltrats bilatéraux. La pneumonie s'associe à une légère insuffisance respiratoire hypoxémique, traitée par oxygène aux lunettes et physiothérapie. Une antibiothérapie empirique de Ceftriaxone et Clarithromycine a été débutée. Les antigènes urinaires reviennent positifs pour du Streptococcus pneumoniae, raison pour laquelle uniquement la Ceftriaxone est poursuivie dès le 20.12.2018.L'hyponatrémie est probablement due à un SIADH dans le contexte infectieux. Elle reste asymptomatique et se corrige progressivement sous NaCl 9%. Une protéinurie et glycosurie pourraient être secondaires à une néphropathie diabétique méconnue ou une néphroangiosclérose hypertensive. Un bilan complémentaire devra être envisagé en cas de persistance. Le patient a été transféré le 20.12.2018 dans le service de médecine interne. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle et un tabagisme actif, nous est adressé des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 02.12.2018 pour suite de prise en charge d'un NSTEMI inféro-latéral sur occlusion de l'artère circonflexe, traité par pose de stent actif. Pour rappel, le patient consulte initialement les urgences de l'HFR Riaz le 01.12.2018 en raison d'un angor atypique en forme de brûlure épigastrique à l'effort avec irradiation dans l'épaule droite. Ces douleurs sont soulagées par la prise de Morphine et Pantozol. Par contre, le bilan biologique montre une modification en dynamique des troponines et un sous-décalage du segment ST en D2, D3 et aVF. Nous retenons un NSTEMI et, en accord avec le cardiologue de garde, le patient est transféré à l'HFR Fribourg pour coronarographie et angioplastie. Sur le plan cardiovasculaire, l'évolution clinique est favorable, sans récidive de douleurs ni signe de décompensation cardiaque. Une échocardiographie n'est pas effectuée durant le séjour aigu au vu d'une fraction d'éjection conservée lors de la ventriculographie; elle sera à prévoir à distance. Sur le plan médicamenteux, un traitement par IEC et bétabloquant est introduit avec bonne tolérance clinique et nous vous laissons le soin d'augmenter progressivement la posologie afin d'atteindre les doses cibles. Un traitement par Atorvastatine est également introduit en prévention secondaire et un traitement par Efient est indiqué durant une année, avec relais par Clopidogrel, sans Aspirine au vu d'une allergie sous forme d'anaphylaxie. Enfin, en raison de la mise en évidence d'une maladie coronarienne tritronculaire à la coronarographie, une consultation avec le Dr. X est prévue à un mois afin de discuter de la suite de la prise en charge. Dans l'intervalle, un séjour de réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens est organisé dès le 10.12.2018, à 10h00. Sur le plan orthopédique, le patient a bénéficié d'une suture de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite le 14.11.2018 par le Dr. X et bénéficie durant le séjour de physiothérapie de mobilisation qui sera poursuivie 2x/semaine durant le séjour de réadaptation cardiovasculaire. Un contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 19.12.2018. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.12.2018. Il est attendu à l'HFR Billens le 10.12.2018. Mr. Y 58 ans, est admis aux soins intensifs le 01.12.2018 pour surveillance d'un NSTEMI inféro-latérale sur occlusion de la Cx. Il consulte initialement en raison d'un angor atypique en forme de brûlure épigastrique à l'effort avec une irradiation dans l'épaule droite. Aux urgences à Riaz, un NSTEMI antéro-latéral est objectivé. La coronarographie réalisée en urgence montre une maladie coronarienne tritronculaire, avec une occlusion thrombotique aiguë de l'artère circonflexe proximale. Le patient bénéficie de la mise en place d'un stent actif. Le pic de CK est à 2782 U/l. La surveillance hémodynamique et rythmique aux soins intensifs est sans particularité. Le patient est transféré le 02.12.2018 à l'HFR de Riaz service de médecine interne pour la suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 35 ans, connu pour une obésité morbide de grade III, qui bénéficie d'un bypass gastrique laparoscopique le 17.12.2018. L'opération se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient évolue bien par la suite, permettant un retour à domicile le 19.12.2018. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J-12. Mr. Y viendra à l'hôpital de jour pour ablation de la sonde vésicale le 14.12.2018 à 08h30. Le patient sera convoqué par le secrétariat de la consultation du Dr. X pour contrôle à 1 semaine. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 15.12.2018 inclus. Mr. Y est admis en raison d'une angine bactérienne à Streptotest positif, aphagiante, associée à un phlegmon péri-amygdalien gauche. Nous introduisons un traitement par Co-Amoxicilline 2.2g et du Solumedrol 125mg. L'évolution clinique est favorable avec une reprise de l'alimentation par voie orale sans odynodysphagie. Il peut donc retourner à domicile. Mr. Y présente un syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance D confirmé par EMG. Nous posons l'indication à une cure de tunnel carpien de la main D, ensuite de la main G. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé. L'intervention se déroule le 10.01.2019 en ambulatoire. Il devra stopper le Sintrom 1 semaine avant, et le remplacer par une thromboprophylaxie par une héparine à bas poids moléculaire, type Clexane. Je prie donc le Dr. X de bien vouloir organiser ce changement de traitement. Mr. Y est un patient de 63 ans, connu pour une cirrhose Child B suivi en ambulatoire par Dr. X. Il vient en électif toutes les 2 semaines pour des ponctions d'ascite itératives (dernière le 12.12.2018) sur décompensation ascitique en raison d'une consommation alcoolique toujours active avec anosognosie. Il ne présente pas de symptômes ou signes cliniques de péritonite hormis la décompensation ascitique. Au bilan biologique, une insuffisance rénale aiguë est mise en évidence ainsi qu'une hyponatrémie chronique. Sous hydratation intraveineuse, ces paramètres évoluent de manière favorable. La ponction d'ascite du jour permet le retrait de 7l sans complications. L'analyse du liquide est évocatrice d'une péritonite bactérienne spontanée. La culture d'ascite est négative à 2 jours. Une antibiothérapie par Rocéphine est débutée puis un relais per os par Levofloxacine est effectué pour une durée d'antibiothérapie totale de 7 jours. Mr. Y rentre à domicile le 24.12.2018 avec la consigne, également transmise à sa femme, de reconsulter les urgences en cas d'état fébrile, de douleur abdominale importante ou de signes d'état confusionnel. Le suivi sera effectué au C2, la prochaine ponction étant prévue dans 2 semaines environ. En cas de récidive de péritonite bactérienne spontanée, nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à une antibiothérapie prophylactique. Mr. Y présente une lésion isolée stade II du ligament collatéral interne. Je propose un traitement conservateur. L'attelle du genou en extension est remplacée par une orthèse articulée du genou que le patient portera pour une durée de 6 semaines. Il ira faire de la physiothérapie pour la rééducation de son genou et pour le stabiliser. Je reverrai le patient le 30.01.2019. Jusque-là il reste en arrêt de travail à 100% en tant qu'ambulancier. Mr. Y, âgé de 85 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une PTH D le 07.11.2018 dans un contexte de coxarthrose symptomatique à droite. L'opération a été réalisée à distance d'une implantation d'une valve aortique TAVI le 03.09.2018 par le Dr. X pour un rétrécissement aortique sévère.Sur le plan social, le patient, veuf depuis 7 ans, vit seul à domicile. Il est à la retraite (ancien chauffeur poids lourd puis conducteur de machine chez Philippe Morris). Pour accéder à son domicile, il y a 15 marches d'escaliers avec main courante. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. A l'anamnèse par système, le patient signale une douleur au niveau du site opératoire qui correspond à un volumineux hématome, en effet sensible à la palpation. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme (vision à travers le Comfeel). La flexion de la hanche D est de 70° en actif et en passif. La force du quadriceps est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises en respectant la décharge sur périmètre > 150 m. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche D à 70° en actif et en passif. La force du quadriceps D et du psoas est cotée à M4. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 28.11.2018, en bon état général. A la sortie, les soins à domicile sont activés. Mr. Y est un patient de 56 ans avec une maladie coronarienne bitronculaire, un BPCO non-stadé ainsi qu'un diabète de type II NIR, qui est hospitalisé pour investigation d'un syndrome rhizomélique avec polyarthrite périphérique le 29.09.2018. Cela fait environ 1 année qu'il ressent des douleurs inflammatoires de la ceinture scapulaire associées à une raideur matinale de plusieurs heures et des réveils nocturnes quasi quotidiens. Les douleurs débutent par une atteinte unilatérale de l'épaule droite, péri-articulaire, survenant de manière progressive dans un contexte atraumatique. Celles-ci sont à prédominance matinale et s'améliorent avec la mobilisation. Avec les semaines, le patient constate une extension des mêmes douleurs au niveau du rachis cervical et de l'épaule controlatérale. Depuis 2 mois environ, les symptômes progressent vers la ceinture scapulaire. Il y a deux semaines apparaît un tableau clinique de polyarthrite périphérique et symétrique survenant avec une perte pondérale de 30 kg en 3 ans. Il n'y a pas d'éléments cliniques en faveur d'une artérite géantocellulaire. Le bilan biologique d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 102 mg/dL et une vitesse de sédimentation à 64 mm/h. Une anémie modérée normocytaire normochrome est également mise en évidence et attribuée au contexte inflammatoire. Un dosage séquentiel du facteur rhumatoïde, des anti-CCP ainsi que du facteur antinucléaire révèlent une légère positivité du facteur rhumatoïde à 14 UI/L ainsi qu'une forte positivité du FAN à 1:1200 sans spécificité au Dot. Sur le plan radiologique, nous procédons à des radiographies séquentielles du thorax, des deux épaules, du bassin de face ainsi que des mains et pieds de face, à la recherche d'un processus expansif à l'étage thoracique, des signes de polyarthrite rhumatoïde ou des signes d'arthrite à CPPD. Ces examens ne révélant ni masse, ni érosions, ni calcifications des fibrocartilages. La radiographie des mains ne démontre aucune déviation des rayons ainsi qu'une absence d'ostéopénie en bande. Nous en concluons à une polymyalgie rhumatismale et débutons un traitement par 20 mg de Prednisone PO avec une excellente réponse thérapeutique sur 24 h. Sur les jours qui suivent, le patient déclare ressentir une nette amélioration de ses symptômes avec diminution de la raideur matinale et amélioration de la mobilité articulaire. Une perturbation des contrôles glycémiques survenant dans le contexte d'introduction d'une corticothérapie nous pousse à instaurer une insulinothérapie lente sous l'avis de nos collègues diabétologues. Mr. Y reçoit un enseignement thérapeutique et bénéficie de ses premiers traitements d'insuline en intra-hospitalier. Il quitte l'HFR le 05.10.2018, stable sur le plan clinique et biologique. Nous reverrons le patient en ambulatoire à 2 semaines afin de discuter d'un sevrage de la Prednisone pour introduction d'un traitement cortico-épargneur tel que le méthotrexate. Une ostéodensitométrie associée à une prophylaxie anti-ostéoporotique reste à introduire en ambulatoire. Nous renonçons à effectuer une recherche d'étiologie paranéoplasique pour le moment étant donné la composante volontaire de la perte de poids de 30 kg et la bonne réponse thérapeutique. Cette attitude reste à réévaluer en fonction de l'évolution et des signes évocateurs. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur sur une occlusion de l'artère coronaire droite proximale le 16.12.2018. Le patient a présenté un angor typique par intermittence dès le 16.12.2018 à midi. Il présente une syncope vers 22 h, raison pour laquelle il appelle les ambulanciers qui objectivent un STEMI inférieur. La coronarographie montre une occlusion de l'artère coronaire droite qui est traitée par angioplastie et la mise en place d'un stent actif. Par ailleurs, il y a une sténose significative de l'artère interventriculaire moyenne qu'il va falloir revasculariser dans 2 semaines. En per procédure, le patient présente une bradycardie à 30/min ainsi qu'une hypotension avec une bonne réponse à l'Atropine. La surveillance par la suite s'avère sans complications. Le pic de CK est à 1482 U/l. La fonction ventriculaire gauche est conservée. Un traitement par IEC est débuté afin de mieux contrôler le profil tensionnel. Une statine est aussi introduite. Le patient est transféré à l'étage de médecine le 18.12.2018. Mr. Y, patient de 59 ans, est hospitalisé pour un STEMI inférieur sur une occlusion de l'artère coronaire droite proximale le 16.12.2018. Le patient a présenté un angor typique par intermittence dès le 16.12.2018 à midi. Il présente une syncope vers 22 h, raison pour laquelle il appelle l'ambulance qui objective un STEMI inférieur. La coronarographie montre une occlusion de l'artère coronaire droite et il bénéficie de la mise en place d'un stent actif. Il présente une bradycardie à 30/min ainsi qu'une hypotension durant la coronarographie avec une bonne réponse à l'Atropine. L'IVA moyenne montre une longue lésion significative. Une coronarographie est prévue dans 2 semaines pour traiter cette lésion. Une échocardiographie transthoracique montre une FEVG à 65 %. Nous introduisons de l'aspirine à vie, du Prasugrel pour 1 an et un IEC. Une statine est introduite au vu d'une hypercholestérolémie. Un bêtabloquant n'est pas introduit au vu de la bradycardie. Une fois stabilisé, le patient est transféré des soins continus à l'étage où il bénéficie de physiothérapie et montre une bonne évolution clinique. Mr. Y rapporte l'envie d'arrêter de fumer et de recommencer de l'activité physique. Une réhabilitation cardiaque en ambulatoire à l'HFR Billens est organisée et le patient sera convoqué. Mr. Y rentre à domicile le 21.12.2018. Mr. Y est un patient de 72 ans qui est hospitalisé le 03.12.2018 pour bénéficier d'une OGD avec pose de PEG dans le cadre du diagnostic susmentionné. En post-opératoire, sur efforts de toux, le patient développe un pneumothorax sous tension gauche, un drain thoracique est posé en salle de réveil avec une évolution par la suite favorable. Un CT-scan thoraco-abdominal ne montre pas de signe d'une perforation de l'œsophage et permet de visualiser la bonne position de la PEG. Une alimentation entérale par la PEG est alors introduite le 04.12.2018.Après ablation du drain thoracique, le patient peut retourner à domicile le 06.12.2018. A noter qu'en raison du pneumothorax, la pose de port-à-cath prévue le 04.12.2018 a été annulée et un nouveau rendez-vous pour la pose de port-à-cath est prévu le 10.12.2018. Mr. Y est un patient de 88 ans qui nous est adressé le 21.11.2018 par le service de médecine de l'HFR Fribourg pour une nouvelle décompensation cardiaque gauche secondaire à une fibrillation auriculaire bradycarde dans le cadre d'une cardiopathie ischémique, rythmique et valvulaire terminale NYHA III connue. A l'entrée, le patient se plaint principalement d'une faiblesse généralisée, d'une insécurité à la marche et d'une dyspnée à l'effort. Il ne présente pas de douleurs thoraciques ou d'autres symptômes cardiaques. Cliniquement, Mr. Y se trouve dans un état général diminué, désaturé entre 85% et 92%, est hypotendu et normocarde. Sur le plan cardiopulmonaire, nous notons un rythme cardiaque irrégulier, un souffle systolique 3/6 maximal sur le foyer d'Erb et des râles crépitants bilatéraux diffus. Il ne présente pas d'oedèmes des membres inférieurs, et le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le patient habite seul dans un appartement accessible par ascenseur. Avant son hospitalisation, il recevait les soins à domicile pour les activités de la vie quotidienne et se mobilisait avec un rolateur. Ad diagnostic principal et diagnostic supplémentaire 3) Après majoration du traitement diurétique, l'évolution clinique est lentement favorable. Au vu d'une stabilisation de la fonction rénale, l'Aldactone est réintroduite à faible dose. Avant la sortie, la créatininémie se stabilise ainsi autour de 180 mcmol/l, et cliniquement, il ne persiste que de légers râles bibasaux. Ad diagnostics supplémentaires 1-2, complication 1) Mr. Y est connu pour une fibrillation auriculaire non anticoagulée en raison d'hémorragies digestives récidivantes. A l'admission, le patient avait une anticoagulation prophylactique par héparine. Malheureusement, l'anémie se péjore de nouveau pendant l'hospitalisation, nécessitant l'arrêt définitif de l'anticoagulation. Le test du sang occulte dans les selles revient positif. Nous augmentons transitoirement le traitement par Pantozol à 40 mg 2x/j. Par la suite, l'hémoglobine se stabilise entre 85-90 g/L. Nous renonçons à une transfusion malgré des taux d'hémoglobine limites au vu de l'insuffisance cardiaque terminale et de l'absence de péjoration clinique (subjective et objective) du patient. Ad diagnostic supplémentaire 4) Le problème de la malnutrition est évalué par nos diététiciennes qui adaptent le régime alimentaire. Ad diagnostic supplémentaire 5) Les valeurs des tests hépatiques restent stables durant l'hospitalisation. Au vu de l'âge du patient, nous ne procédons pas à d'autres investigations supplémentaires. Ad diagnostics supplémentaires 6 et 7) Parallèlement à la prise en charge aiguë, nous effectuons une rééducation gériatrique précoce. Une antalgie avec Dafalgan per os et Ecofenac gel topique selon besoin permet un contrôle satisfaisant des douleurs. La carence en vitamine D est substituée. Au début de l'hospitalisation, Mr. Y effectue les transferts avec une autonomie réduite et se déplace avec un rolateur sur 80 m sous supervision. Le patient bénéficie de thérapies intensives et individuellement adaptées. A la fin du séjour, les évaluations objectives de mobilité montrent des résultats identiques à l'entrée, mais le patient se sent plus sûr dans ses déplacements. Le Tinetti est à 19/28. Tout au long de l'hospitalisation, la sécurité de la mobilisation varie fortement en fonction du moment de la journée et de la fatigue du patient. Celui-ci vivant seul dans un appartement, un placement dans un EMS est discuté avec Mr. Y et sa famille. Malgré le risque de chute encore élevé dans certaines situations, le patient souhaite rentrer à la maison, raison pour laquelle une sortie avec un réseau ambulatoire élargi est organisée. Mr. Y peut donc regagner son domicile le 10.12.2018 en état général stabilisé. Mr. Y est un patient de 52 ans, connu pour une IRC, qui se présente aux urgences pour des coliques néphrétiques à droite. En raison d'un diagnostic de lithiase urinaire droite hyperalgique et d'une péjoration aiguë de l'IRC, nous hospitalisons le patient pour une surveillance clinique et biologique. L'évolution est par la suite favorable et le patient peut rentrer à domicile le 07.12.2018. Mr. Y est un patient de 59 ans connu pour les diagnostics susmentionnés, qui est hospitalisé actuellement pour une résection par laparotomie de son adénome de la prostate. L'intervention se déroule le 07.12.2018 sans complication. Les suites opératoires sont simples avec l'ablation du Cystofix à J-2 et l'ablation du drain intra-abdominal à J-4. Les dialyses pendant l'hospitalisation se passent sans problème, permettant un retour à domicile le 12.12.2018. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour un antécédent de dermo-hypodermite du membre inférieur gauche sur porte d'entrée ulcéreuse en juin 2018, qui nous est transféré de médecine interne pour suite de prise en charge chirurgicale pour un ulcère chronique sur insuffisance veineuse profonde et superficielle du membre inférieur gauche. Le patient était hospitalisé à la base en médecine interne pour une anémie et un ulcère du membre inférieur gauche. Les collègues de médecine interne nous consultent pour un avis chirurgical concernant la plaie. Nous décidons de faire un débridement et pose de VAC ainsi qu'une greffe à distance si bonne évolution de la plaie. Mr. Y bénéficie d'un débridement avec pose de VAC le 04.12.2018. Vu la bonne évolution, le patient bénéficie d'une greffe Thiersch au niveau de la plaie du membre inférieur gauche le 07.12.2018. L'opération se déroule sans complication. L'évolution est par la suite favorable. Nous enlevons le pansement le 12.12.2018 et nous constatons une bonne évolution du mesh-graft. Mr. Y rentre à domicile le 14.12.2018. Les soins à domicile sont organisés pour changer le pansement tous les jours. Le patient reviendra le 19.12.2018 à 10h30 pour un contrôle de plaie en stomathérapie. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour un antécédent de dermo-hypodermite du membre inférieur gauche sur porte d'entrée ulcéreuse en juin 2018, qui consulte pour des douleurs crurales sur plaie chronique en progression depuis quelques jours, ainsi qu'une baisse d'état général avec méléna et perte pondérale ce dernier mois (20 kg anamnestiquement dans le cadre d'un régime). Il avoue avoir pris sporadiquement des AINS dans le cadre des douleurs et consomme quotidiennement une unité d'OH. Des douleurs épigastriques sont reproductibles à la palpation abdominale. Une anémie sévère à 55 g/L et transfusée avec 2 CE aux urgences. Au vu d'une suspicion d'hémorragie gastro-intestinale haute, une thérapie intraveineuse par IPP est débutée puis relayée per os. Une gastroscopie et colonoscopie ne montrent pourtant pas de saignement actif, et les biopsies duodénales reviennent normales. Le bilan est complété par une colonoscopie montrant plusieurs polypes, qui sont réséqués et dont les biopsies sont encore en cours. L'origine de la perte est probablement multifactorielle, d'une part par inflammatoire dans le cadre de l'ulcère et l'autre toxique (AINS/OH). Un bilan complet d'anémie révèle une régénération active malgré un manque en acide folique que nous substituons avec bonne évolution clinico-biologique. Concernant le membre inférieur gauche, un ulcère veineux important est mis en évidence. Le bilan artériel est dans la norme avec la mise en évidence d'un syndrome post-thrombotique pour lequel une contention élastique et des soins locaux de l'ulcère sont préconisés. Nos collègues chirurgiens vasculaires proposent un débridement sous anesthésie générale effectué le 04.12.2018 avec une greffe cutanée le 07.12.2018 au vu de l'évolution clinique favorable de la plaie. La prochaine révision du pansement est prévue le 12.12.2018. Des soins de plaie par notre équipe de stomatothérapie sont instaurés et une échosclérose locale est à organiser avec les angiologues à distance de l'épisode aigu. Un suivi diététique est instauré durant l'hospitalisation devant une perte pondérale anamnestique difficilement objectivable chez un patient à consommation éthylique à risque et une plaie chronique. Le CT thoraco-abdominal ne montre pas de lésions suspectes de néoplasie. Mr. Y est transféré le 11.12.2018 dans le service de chirurgie pour la suite de la prise en charge de l'ulcère. Mr. Y, 64 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance respiratoire en raison d'un SAOS non appareillé dans les suites d'une pose de prothèse totale de hanche pour une nécrose de la tête fémorale gauche stade FICAT III. Il est connu pour un syndrome métabolique, un syndrome dépressif et une sténose aortique modérée. Il bénéficie le 19.12.2018 de la pose d'une prothèse totale de hanche pour une nécrose de la tête fémorale gauche sous rachianesthésie. L'intervention se déroule sans complication. Le saignement per opératoire est estimé à 1 L. L'hémoglobine diminue à 113 g/l et se stabilise autour de 100 g/l. Le patient présente le lendemain de l'intervention une insuffisance respiratoire aiguë mixte (hypoxémique et hypercapnique) qui est probablement due au traitement par benzodiazépines prescrit pour la prévention d'un sevrage à l'alcool et des opiacés pour la gestion de la douleur, ceci dans un contexte de BPCO non stadé. Un traitement par ventilation non invasive et des bronchodilatateurs permettent de corriger l'hypercapnie. Les besoins en oxygène restent stables mais persistent et nous proposons des séances de CPAP et une physiothérapie respiratoire pour l'étage. Une prévention du delirium tremens est réalisée par Seresta et Thiamine. Le Seresta est interrompu le 21.12.2018 en raison de l'insuffisance respiratoire et il sera à administrer uniquement en cas de besoin, selon la clinique. Nous vous proposons de limiter au minimum l'administration des benzodiazépines et de sevrer au plus vite les opiacés pour éviter les complications respiratoires. Devant l'évolution favorable, le patient est transféré à l'étage d'orthopédie le 21.12.2018. Mr. Y est un patient de 53 ans, notamment connu pour un adénocarcinome colorectal moyennement différencié du moyen rectum, opéré en mai 2018 d'une résection antérieure ultra-basse avec iléostomie de protection et hospitalisé le 12.11.2018 pour une fermeture d'iléostomie. L'intervention se déroule sans complication. En raison d'une absence de reprise de transit à J-10 post-opératoire et au vu d'un CT abdominal qui met en évidence un iléus grêle en amont de l'anastomose, nous décidons d'une reprise chirurgicale le 23.11.2018 lors de laquelle une absence de passage à travers l'anastomose est constatée. L'anastomose est réséquée et une nouvelle anastomose est confectionnée de manière manuelle. Par la suite, l'évolution est rapidement favorable avec une reprise du transit dès J-1 post-opératoire. En raison de la présence de diarrhée, nous réalisons une culture de selles qui revient positive pour un Clostridium, que nous traitons par du Flagyl 500 mg 3x/jour et qui sera à poursuivre jusqu'au 09.12.2018. Le 03.12.2018, un retour à domicile est organisé. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X le 13.12.2018 à 11h40 pour un contrôle. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à la peau. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est adressé aux urgences par le Dr. X le 23.11.2018 pour suspicion de dermohypodermite sur infection de plaie du premier orteil gauche. Le patient rapporte des douleurs du membre inférieur gauche depuis 2 jours avec des difficultés à charger. Il signale également une plaie au niveau du 1er orteil gauche, avec présence de pus la veille, déjà suivie par les soins à domicile. Pour rappel, le patient a été hospitalisé du 21.08 au 04.09.2018 pour un erysipèle du tiers distal de la jambe gauche avec porte d'entrée au niveau du 1er et 2ème orteils gauches, traité par Co-Amoxi du 21.08 au 03.09.2018. À noter également que le patient est sous Rocéphine im depuis le 20.11.2018 pour une bronchopneumonie basale droite. À l'admission aux urgences, Mr. Y est en état général conservé et hémodynamiquement stable. Il est normotendu à 114/76 mmHg, normocarde à 75/min, afébrile à 36,1°C, eupnéique à 16/min et sature à 95% à l'air ambiant. Au status cutané, notons une rougeur au niveau de la face médiale du premier orteil gauche avec une phlyctène percée, sans écoulement. On remarque aussi une rougeur sur la face latérale de la jambe gauche et la face interne de la cuisse gauche, associée à un œdème. Les mollets sont souples et indolores et le signe de Homans est négatif. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le bilan biologique met en évidence une CRP à 63 mg/l sans leucocytose. Nous effectuons une radiographie du premier orteil gauche qui ne montre pas d'atteinte osseuse. Le patient est hospitalisé pour une antibiothérapie injectable par co-amoxicilline 2,2 g iv 4x/j et des soins de stomathérapie avec une évolution favorable permettant le relais de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g per os 2x/j dès le 28.11.2018, à poursuivre jusqu'au 02.12.2018 inclus. Mr. Y peut regagner son domicile le 30.11.2018 avec passage des soins à domicile 3x/semaine. Mr. Y, âgé de 78 ans, nous est adressé par la Clinique Générale pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une fracture péri-prothétique du fémur distal droit le 03.08.2018, traitée par ostéosynthèse par plaque Zimmer et plaque LCP 3.5 genou droit, le 06.08.2018. Sur le plan social, le patient est marié; sa femme n'est présente que 3 jours par semaine. Il bénéficie d'une aide à domicile pour la douche, l'habillement et les bas de contention. Il travaille encore comme administrateur pour la Fédération Romande des Carrossiers. Il était président d'une association de basketball suisse et vice-président du Fribourg Olympic. À l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. La flexion/extension du genou droit est de 35-0-0 en actif et 45-0-0 en passif. La force du quadriceps et de l'iliopsoas est cotée à M3 et la sensibilité est conservée. Les réflexes sont hypovifs et symétriques aux 4 membres. Durant son séjour, Mr. Y demeure apyrétique et hémodynamiquement stable. Les plaies opératoires restent calmes, sans signe inflammatoire. Du point de vue ORL, le patient se plaint au réveil de sang coagulé s'extirpant du conduit auriculaire droit, indolore, chez ce patient connu pour une presbyacousie bilatérale appareillée. Le test de Weber est latéralisé à droite avec un Rinné positif. L'otoscopie confirme du sang coagulé dans le CAE sans visualisation de la membrane tympanique. L'évolution est spontanément favorable.Sur le plan nutritionnel, Mr. Y a été suivi durant son séjour pour une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec un dégoût pour les repas de l'hôpital. Ses besoins ont été couverts de manière fluctuante (de 30 à 70%) durant son séjour, mais jamais entièrement, et cela malgré les diverses adaptations mises en place, dont des SNO. Les SNO ne seront pas poursuivis à domicile en raison d'un dégoût. Le patient repart à domicile avec un enseignement pour une alimentation riche en protéines et l'objectif de stabiliser son poids. Nous referons le point sur ses apports lors de la consultation interdisciplinaire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. L'évolution a été particulièrement lente du fait des limitations par la décharge ainsi que par le déconditionnement sévère du patient et les omalgies bilatérales (G>D). À la sortie, le patient marche de façon autonome et sécuritaire avec son tintébin sur un périmètre d'environ 40-50m. Les amplitudes articulaires montrent une flexion/extension de 85° en passif et 80° en actif pour le genou D et de 100° en passif et en actif pour la hanche D. La force musculaire est cotée à M4 pour le psoas, le quadriceps et les ischio-jambiers à droite. Après 4 mois d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable. Cependant, un retour à domicile n'est pas envisageable et Mr. Y quitte notre service pour rejoindre un appartement protégé à la Rose d'Automne le 17.12.2018, en bon état général. À la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie/ergothérapie à domicile. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y sera revu pour une consultation interdisciplinaire avec le Dr. X à l'HFR Billens le 28.02.2019. Mr. Y est encore gêné lorsqu'il se met en flexion complète de son genou droit. Autrement, il est content du résultat et de l'évolution clinique. Il a regagné déjà une flexion complète de son genou. Je propose un contrôle dans un mois le 23.1.2019. En cas de persistance de douleurs, on pourrait éventuellement infiltrer le genou avec de la cortisone. Mr. Y, patient de 62 ans, notamment connu pour une dissection de l'artère mésentérique supérieure en 2013 traitée conservativement, se présente aux urgences le 05.12.2018 en raison de douleurs abdominales aiguës évoluant depuis 24 heures, en barre au niveau épigastrique, sans facteur déclenchant, qui se sont par la suite résolues de manière spontanée en 24 heures. Au CT-scanner, l'apparition d'une occlusion de l'artère pancréatico-duodénale est notée, ainsi qu'un défaut de rehaussement dans le processus unciné du pancréas sur une plage d'environ 15 mm. Le patient est donc hospitalisé pour des investigations et mis sous traitement par héparine intraveineuse thérapeutique. La recherche des marqueurs tumoraux est négative et une IRM effectuée par la suite démontre une reperméabilisation de l'artère pancréatico-duodénale, avec un rehaussement homogène du pancréas. Le 12.12.2018, au vu de la bonne clinique du patient, un retour à domicile est organisé. Nous introduisons le Sintrom dès sa sortie et nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous le 13.12.2018 chez son médecin traitant afin de régler les doses de Sintrom. Mr. Y, patient de 85 ans, connu pour une insuffisance mitrale sévère, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 03.12.2018 pour la pose élective d'un Mitra clip. L'intervention se déroule sans complication par les cardiologues interventionnels le 04.12.18 et le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique en post-opératoire. Une échocardiographie transthoracique de contrôle montre un clip mitral en place avec une insuffisance mitrale modérée résiduelle. Durant la surveillance aux soins intensifs, on note un hématome au point de ponction fémoral droit nécessitant la pose d'un fémostop. À noter également un passage en fibrillation auriculaire rapide asymptomatique chez un patient connu pour une fibrillation auriculaire lente sous Cordarone. Un simple remplissage et la reprise du traitement de Cordarone permettent un retour en fibrillation auriculaire lente. Le patient est transféré le 04.12.2018 en division de médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 85 ans, connu pour une insuffisance mitrale sévère sur excès tissulaire (maladie de Barlow), est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 03.12.2018 pour la pose élective d'un Mitra clip. L'intervention se déroule sans complication par les cardiologues interventionnels le 04.12.18 et le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique en post-opératoire. Une échocardiographie transthoracique de contrôle montre un clip mitral en place avec une insuffisance mitrale modérée résiduelle. Durant la surveillance aux soins intensifs, on note un hématome au point de ponction fémoral droit nécessitant la pose d'un fémostop. À noter également un passage en fibrillation auriculaire rapide asymptomatique chez un patient connu pour une fibrillation auriculaire lente sous Cordarone. Un simple remplissage et la reprise du traitement de Cordarone permettent un retour en fibrillation auriculaire lente. Le patient est transféré en division de médecine interne le 04.12.2018 pour suite de prise en charge. L'hémorragie au point de ponction veineux récidive le 05.12.2018, motivant la pose d'un simple Hémo-stop. Le patient est asymptomatique et l'hémoglobine reste stable. Au vu d'une évolution favorable tant sur le plan clinique que biologique, le patient rentre à domicile le 08.12.2018. Mr. Y, 26 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique suite à une myocardite probablement virale au décours. La coronarographie montre une ectasie de l'IVA, sans sténose. Il présente un bloc de branche droit en péri-interventionnelle qui persiste durant plusieurs heures par la suite. La ventriculographie montre une hypokinésie antérieure et une fraction d'éjection du ventricule gauche à 45% qui est réévaluée à 55% lors de l'ETT au décours. Il sera nécessaire de répéter cette ETT avant la sortie de l'hôpital. Le sport est proscrit pendant 3 mois. Un traitement par IEC et bêta-bloquant est débuté le 28.12.2018. La surveillance rythmique est marquée par la présence de deux épisodes de TV non soutenus, asymptomatiques, qui motivent une prolongation de la surveillance jusqu'au 29.12.2018. Mr. Y est un patient de 71 ans, aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie le 18.12.2019 d'une cholécystectomie laparoscopique dans le cadre d'une cholécystolithiase. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient peut rentrer à domicile le 20.12.2018. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à J14 post-opératoires. Mr. Y est un patient de 67 ans connu pour un adénocarcinome de la prostate, cT1c cN0 cMx traité par radiothérapie et hormonothérapie en 2017, qui est hospitalisé dans notre service le 28.11.2018 en raison d'une hématurie macroscopique d'apparition soudaine, avec une anurie. Le patient est également connu pour une cardiopathie ischémique en 2010 ainsi que pour des thromboses à répétition traitées par Xarelto. Dans ce contexte, le Xarelto et l'Aspirine sont suspendus et le Cyklokapron est introduit. Une surveillance clinique et biologique est effectuée et montre une évolution favorable avec un patient hémodynamiquement stable et des valeurs d'hémoglobine dans la norme. L'Aspirine est reprise le 29.11.2018, puis il est discuté d'une reprise du Xarelto dès le lundi 03.12.2018. Le patient bénéficie de rinçages continus puis manuels avec une disparition progressive de l'hématurie. La sonde vésicale est retirée le 30.11.2018 avec une reprise de la diurèse. Le patient évoluant favorablement regagne son domicile le 30.11.2018. Un rendez-vous de contrôle est prévu chez le médecin traitant le 17.12.2018, ainsi qu'à la consultation du Dr. X le vendredi 14.12.2018.Mr. Y est un patient de 77 ans, aux antécédents suscités, qui consulte le Dr. X en juillet 2018 suite à l'apparition d'urines rosées, sans algurie, ni macrohématurie. Le Dr. X réalise une cystoscopie mettant en évidence une récidive tumorale exophytique de la paroi postéro-latérale gauche de la vessie. Le patient est hospitalisé le 05.12.2018 en vue d'une résection transurétrale de la vessie, intervention qui se déroule sans complication. Les suites opératoires sont simples, les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie standard et le patient bénéficie d'une antibiothérapie prophylactique par Cefuroxime 500 mg/jour du 05 au 08.12.2018. La sonde vésicale est retirée le 08.12.2018, avec bonne reprise des mictions. Devant cette bonne évolution, Mr. Y peut retourner à domicile le 08.12.2018. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un remplacement de la valve aortique avec une prothèse mécanique, un remplacement de la racine aortique et un remplacement de la prothèse de l'aorte ascendante mise en place en 2001 (Dr. X - Inselspital / 25.10.2018). Le traitement à l'entrée comprend : • Marcumar selon schéma, • Clexane 1.6 mg, • Aspirine Cardio 100 mg, • Metoprolol 150 mg, • Candesartan 8 mg, • Amlodipin 10 mg, • Simvastatin 40 mg, • Nexium 20 mg, • Novalgine 2 g, • Makatussin 4x/j. Le 06.11.2018, Mr. Y a présenté un épisode de FA inaugurale traité initialement par 1 dose unique de Beloc Zok 50 mg avec instauration d'un traitement de Cordarone, permettant ainsi une cardioversion avec un retour en activité sinusale. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et nous avons pu observer une progression durant le séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pour une durée de 25 minutes à une puissance de 80 W sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 180 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Au bilan lipidique à la sortie, on retrouve un LDL à 3.55 mmol/l, un HDL à 1.11 mmol/l et des triglycérides à 1.45 mmol/l. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 111/90 mmHg et une FC à 76 bpm. Mr. Y, patient de 52 ans, est hospitalisé en électif pour la pose d'un pacemaker défibrillateur dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatée avec dysfonction ventriculaire gauche sévère. Le 13.12.18, un PaceMaker Défibrillateur CRT-D est posé. Le cliché radiographique de contrôle permet d'exclure toute complication. Mr. Y demeure stable hémodynamiquement à l'étage. Un rendez-vous de contrôle de la plaie est organisé auprès des infirmières 10 jours suivant l'intervention. Le patient sera convoqué en cardiologie dans 4-6 semaines afin de contrôler la fonction du pacemaker. Au vu d'une bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le vendredi 14.12.18. Mr. Y, un patient de 53 ans, connu pour un syndrome de la queue de cheval opéré en 2014, est amené aux urgences suite à un malaise au volant de la voiture sur douleur thoracique de forte intensité, avec tachypnée et frissons, ainsi que désorientation initiale, avec GCS à 10/15. Il décrit des douleurs par lombaires droites et en fosse iliaque droite. Aux urgences, un EF 38.5°C est mis en évidence avec un syndrome inflammatoire. Le CT thoraco-abdominal met en évidence une hypodensité focale du rein droit pouvant correspondre à un foyer de néphrite avec un sédiment sale sans autre foyer à l'examen clinique. Un traitement de Rocéphine est instauré avec une évolution clinique favorable permettant un relais per os par Ciprofloxacine. Les cultures reviennent toutes négatives, à noter que l'uricult a été prélevé post-initiation de l'antibiothérapie. Les douleurs rétrosternales évoluent favorablement aux urgences après remplissage et morphine sans récidive durant l'hospitalisation. Le malaise est mis sur le compte de l'épisode septique. Le CT thoracique permet d'exclure une embolie pulmonaire et dissection aortique. À noter l'absence de cinétique de troponines et de modifications ECG. Toutefois, au vu des facteurs de risque cardiovasculaire avec un malaise dans des conditions peu claires chez un patient normotendu à l'admission aux urgences, nous organisons des investigations cardiaques supplémentaires après discussion avec les cardiologues. Un Holter et une échocardiographie de stress sont organisés en 01.2019. À noter que dans le contexte d'antécédents lourds, le patient présente une baisse de morale et de la fatigue, avec des idéations suicidaires survenant par épisode, le dernier il y a 5 jours avec un projet de se pendre à un arbre. Le patient n'est jamais passé à l'acte et se sent mieux lors de l'hospitalisation. Une évaluation psychiatrique met en évidence un trouble de l'adaptation pour lequel un suivi ambulatoire serait indiqué. Un traitement de Quétiapine est instauré durant l'hospitalisation avec un bon effet, nous vous laissons le soin de réévaluer la nécessité d'un traitement psychotrope avec un suivi psychiatrique en ambulatoire. Le patient rentre avec son traitement habituel de Dalmadorm en réserve. Mr. Y peut rentrer à domicile le 11.12.2018 en bon état général. Mr. Y nous a été transféré le 17.12.2018 en début d'après-midi depuis l'Hôpital de Zurich pour suite de prise en charge. Pendant un vol reliant Cancun à Zurich, le patient ressent une douleur thoracique, décrite comme un coup de poignard. Par la suite, la douleur se déplace au niveau du bras gauche. En parallèle, il développe un déficit sensitivo-moteur facio-brachio-crural gauche, avec déviation de la commissure labiale. Il atterrit à Zurich le dimanche 16.12.2018 et est directement transféré à l'hôpital de Zurich en ambulance. Il bénéficie d'un CT scan thoracique qui exclut une dissection aortique ainsi qu'un CT scan cérébral et une IRM neurocrânienne qui exclut un accident vasculaire cérébral ou une autre lésion. Nos collègues de l'hôpital de Zurich suspectent un syndrome psycho-somatique et proposent, par ailleurs, de faire une ponction lombaire et/ou un potentiel évoqué au besoin. Au status neurologique d'entrée, notons une parésie faciale légère sans déviation de la commissure labiale ni dysarthrie, la sensibilité faciale est conservée. Présence d'un déficit moteur du muscle trapèze (NXI) avec une force à M3. L'épreuve des bras tendus est impossible à gauche avec une chute du bras sans pronation. La force du membre supérieur gauche est à M2. La sensibilité est réduite au membre supérieur gauche (impossible de nous dire le chiffre dessiné dans la main gauche). La force du membre inférieur gauche est à M4. Le patient peut tenir le Mingazzini avec une chute précoce du membre inférieur gauche.À peine arrivé, le patient souhaite sortir de l'hôpital afin de se rendre à l'Inselspital de Berne pour voir un neurologue le 18.12.2018. Nous lui conseillons de rester chez nous pour observation mais le patient préfère rentrer dormir chez lui. Mr. Y quitte notre service le 17.12.2018. Mr. Y, jeune patient en bonne santé habituelle, est hospitalisé dans un contexte de trouble sensitif hémicorporel G d'origine indéterminée. Pour rappel, le patient rapporte avoir présenté un flou visuel binoculaire durant la matinée du 03.12.2018, suivi de céphalées fronto-pariétales D de type serrement, associées à une phonophobie, puis apparition brutale de troubles sensitifs négatifs de l'hémicorps G environ deux heures plus tard. Les symptômes sont fluctuants dans le temps. Aux urgences, est notée une discrète dysmétrie du MSG, ainsi qu'une hypoesthésie de l'hémicorps G respectant la ligne médiane. Le CT cérébral est dans la norme. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en Aspirine. L'IRM cérébral ne révèle pas de lésion suspecte d'une ischémie ou hémorragie. N'ayant que peu d'arguments pour une origine cérébrovasculaire, nous suspectons en premier lieu un premier épisode de migraine avec aura atypique avec un diagnostic différentiel de troubles sensitifs d'origine fonctionnelle. Une consultation neurologique de contrôle est prévue à 3 mois, pour s'assurer de l'évolution favorable. Sur le plan hématologique, une anémie microcytaire et hypochrome arégénérative est mise en évidence. Le bilan d'anémie révèle une carence martiale importante avec une ferritine à 6 mcg/L. Le patient ayant déjà quitté le service lors de la réception des résultats, nous le contactons et lui recommandons de prendre contact avec son médecin traitant dans le but d'organiser une substitution avec un bilan étiologique. L'évolution clinique est satisfaisante, sans récurrence des symptômes durant l'hospitalisation. Le statut neurologique de sortie est dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.12.2018. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs IIb ayant bénéficié d'un pontage ilio-fémoral et fémoro-poplité droit ainsi que d'un pontage fémoro-fémoral croisé qui s'était compliqué d'une déhiscence de plaie inguinale gauche traitée par des pansements à pression négative jusqu'au 11.10.2018, date de fermeture de la plaie. Le patient est actuellement hospitalisé pour une infection de plaie inguinale gauche avec une collection au contact de la prothèse du pontage ilio-fémoral et fémoro-fémoral croisé. Un débridement est effectué le 27.10.2018 avec la mise en place de pansement VAC avec instillation. Des changements de VAC sont effectués de façon itérative jusqu'au 07.12.2018 puis par des pansements simples. Des soins à domicile sont mis en place pour des changements quotidiens et nous verrons le patient une fois par semaine en consultation pour le suivi de la plaie. Sur le plan infectiologique, les examens de microbiologie mettent en évidence une infection à pseudomonas aeruginosa et le patient est traité par Tienam sur avis de nos collègues infectiologues, du 26.10 au 22.11.2018 avec un relais par Meropenem jusqu'au 30.11.2018, puis par Lévofloxacine per os dès le 01.12.2018 et ce jusqu'au 31.01.2019. Sur le plan cardiovasculaire, le bilan radiologique met en évidence un thrombus flottant au niveau fémoral gauche, raison pour laquelle nous débutons une anticoagulation par Xarelto. Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.12.2018 avec des soins à domicile organisés. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire et pour réhabilitation musculo-squelettique suite à l'alitement prolongé sur les douleurs de la dermohypodermite. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Eliquis 2.5 mg, Pantozol 20 mg, Beloc Zok retard 75 mg, Lisinopril 5 mg, Torasemide 20 mg, Inegy cpr 10/40 mg, Januvia 50 mg, Insuline insulatard HM Flexpen stylo 18 UI, Dafalgan 500 mg max 4/24h si douleurs, Lacrinorm gel ophtalmique 1 goutte, max 4/24h si yeux secs. Étant à distance de l'épisode infectieux, des séances de drainage lymphatique sont mises en place afin d'aider à résorber l'œdème du MIG. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser sur la durée du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 20 minutes à une puissance de 25 W sous 2 L d'O2 sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+60 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. À l'examen clinique de sortie, statut normo-compensation avec une pression artérielle de 135/81 mmHg et une FC à 100 bpm. Amélioration sensible de l'œdème des MI : résiduel à gauche, disparu à droite. Mr. Y est un patient de 62 ans suivi à la consultation des Chefs de clinique pour une hernie inguinale gauche symptomatique, qui bénéficie le 14.12.2018 d'une cure de cette hernie selon Lichtenstein. Les suites opératoires sont simples et le patient peut rentrer à domicile le 15.12.2018. Le patient ne doit pas porter de charge de plus de 5 kg durant 5 semaines. Mr. Y, en bonne santé habituelle, consulte les urgences le 01.12.2018 au soir en raison de douleurs rétrosternales. Plus précisément, alors qu'il est assis au restaurant, il présente, vers 18h45, des douleurs rétrosternales d'apparition brutale, d'intensité 7/10, oppressives, non respiro- ni positio-dépendantes et localisées au niveau du tiers moyen du sternum. Pas d'irradiation ni de dyspnée, pas de céphalée ni autre symptôme. Les douleurs s'apaisent spontanément après environ 15 minutes. Son fils l'amène aux urgences pour contrôle. À l'anamnèse, Mr. Y ne rapporte aucun symptôme au cours des derniers jours. Pas de facteur de risque cardiovasculaire. Il rapporte présenter parfois des pics hypertensifs jusqu'à environ 170 mmHg de systolique, mais les symptômes ne sont pas les mêmes (il développe plutôt des céphalées). À l'admission aux urgences, le patient est légèrement hypertendu à 150/16 mmHg, normocarde et afébrile. Au status cardiaque, B1B2 bien frappés, réguliers, sans souffle. Les mollets sont souples. Le reste du statut d'entrée est dans la norme. L'ECG d'entrée ne montre pas de signe d'ischémie. Nous trouvons une pression artérielle élevée chez un patient connu pour une hypertension artérielle non traitée. Le risque d'ischémie cardiaque est non négligeable avec un dosage des troponines montrant une cinétique ascensionnelle, raison pour laquelle nous contactons le Dr. X, cardiologue de garde, qui conseille de ne pas intervenir en urgences mais de garder le patient en surveillance jusqu'au lendemain matin. Mr. Y est donc hospitalisé pour charge d'Héparine et bêtabloquant. Les troponines sont à la baisse le 03.12.2018 au matin, à 23 ng/l. Nous administrons une dose unique d'Amlodipine 5 mg au vu d'un profil tensionnel à tendance haute. Nous recontactons le Dr. X et une coronarographie est agendée pour le 03.12.2018 au matin. L'examen met en évidence des coronaires saines et le bilan est complété par un CT scan thoracique qui permet d'écarter une dissection aortique. Une échocardiographie transthoracique est également effectuée et revient sans particularité. Le diagnostic d'infarctus du myocarde de type 2 sur pic hypertensif est retenu et le Dr. X conseille un traitement avec Aspirine cardio à vie malgré un NSTEMI de type 2 et Valsartan 160 mg/j.Mr. Y est réadmis à l'HFR Riaz le 04.12.2018 puis peut regagner son domicile le 05.12.2018 avec un contrôle cardiologique à prévoir à 6 mois. Mr. Y est hospitalisé en retour de l'Inselspital dans le contexte d'un AVC ischémique multifocal le 29.11.2018. Pour rappel, le patient avait présenté brutalement une dysarthrie associée à une parésie faciale D, retrouvée partiellement aux urgences. Le CT cérébral avait confirmé une lésion constituée frontale G. L'IRM cérébrale avait révélé plusieurs lésions ischémiques frontales et insulaires G, ainsi que occipitale D. Il avait été hospitalisé en lit monitoré. L'échocardiographie du 30.11.2018 avait montré une masse para-valvulaire mitrale suspecte d'une tumeur cardiaque de type fibro-élastome ou myxome, raison pour laquelle le patient avait été transféré à l'Inselspital pour évaluation chirurgicale. L'indication opératoire n'a pas été retenue en raison du doute diagnostique à l'échographie et d'une évaluation risque-bénéfice défavorable au vu de l'âge et des comorbidités du patient. Une recommandation de contrôle échographique est émise par les cardiologues de l'Inselspital. Un traitement anticoagulant d'Eliquis est introduit le 05.12.2018. Sur le plan métabolique, le traitement de Pravastatine avait été majoré par Atorvastatine 40 mg/j lors de la prise en charge initiale. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Sur le plan étiologique, un R-Test de 7j, posé à l'Inselspital est en cours d'enregistrement lors de la rédaction de cette lettre, nous vous invitons à pister les résultats. Une nouvelle échocardiographie transthoracique du 07.12.2018 révèle une diminution significative de la masse para-valvulaire mitrale, faisant suspecter un thrombus vu sa diminution sous anticoagulation, malgré une présentation échocardiographique atypique. Les lésions cérébrales multifocales et d'allures emboliques s'ajoutent à la suspicion d'origine cardio-embolique, l'anticoagulation par Eliquis, introduite à l'Inselspital est donc poursuivie. Le patient bénéficiera d'un contrôle ultrasonographique à la consultation du Dr. X le 20.12.2018 à 9h30. L'indication à la poursuite de l'anticoagulation sera discutée lors de la consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois. Un bilan neuropsychologique est rassurant montrant de discrètes difficultés langagières. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15j. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 07.12.2018. Mr. Y présente les lésions susmentionnées. Vu la suspicion de thrombose veineuse superficielle, le patient est mis sous Xarelto 15 mg 1 cp/j et nous organisons un bilan angiologique pour le 14.01.2019 à 16 h 00. Jusque-là, le patient continue la prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 15 mg 1 cp/j. Après avoir clarifié la situation du point de vue veineux, nous discuterons de la suite de la prise en charge. Je reverrai le patient après le bilan angiologique. Prochain rendez-vous : 27.01.2019. Mr. Y, patient de 74 ans, est adressé par le centre de dialyse pour suite d'investigation et hospitalisation en raison d'une baisse d'état général avec un épisode de frissons solennels le 06.12.2018 durant la dialyse, sans état fébrile objectivé. Le patient rapporte notamment une toux sèche nouvelle sans autres plaintes. Il rapporte également un traitement de Ciprofloxacine (fin de traitement le 06.12), introduit de manière empirique en raison d'une dysurie, actuellement résolue. Il rapporte également une intervention urologique le 03.12.2018, faite par le Dr. X à Peseux, à savoir une dilatation urétérale dans un contexte HPBP à intervalle régulier de 2.5 mois environ. Nos collègues de dialyse effectuent 4 paires d'hémocultures sur le cathéter le 06.12.2018 qui reviennent toutes positives pour un Enterococcus faecalis. Une culture d'urine est également prélevée et positivée pour le même germe. La radiographie du thorax effectuée ne démontre aucun nouvel infiltrat. Selon l'avis des infectiologues, l'antibiothérapie par Cefepime débutée empiriquement en dialyse est stoppée le 07.12.2018. Nous introduisons 1g iv de Vancomycine le 07.12.2018, puis le patient recevra 1g iv de Vancomycine uniquement les jours de dialyse, après celle-ci, jusqu'au 20.12.2018. Une ETT effectuée le 07.12, puis une seconde de contrôle à 5 jours, le 12.12.2018, ne démontre pas d'argument clinique ni échocardiographique pour une endocardite. Quatre nouvelles paires d'hémocultures (à froid) ont été effectuées sur le cathéter de dialyse le 11.12.2018 et sont toujours négatives à 3 jours. Selon l'avis infectiologique, il n'y a pas d'indication à changer le cathéter de dialyse, l'infection étant probablement d'origine urinaire. Le Dr. X recommande donc une culture urinaire 3-4 jours avant chaque dilatation urétérale avec une antibiothérapie, selon l'antibiogramme, de 24h pré et 48h post-geste si la culture est positive. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 13.12.2018. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 30.11.2018 suite à une intoxication médicamenteuse volontaire par Dafalgan, Oméprazole, Aerius, Citalopram, Anxiolit, Seroquel et Arcoxia (aurait pris son semainier de 4 jours, selon les informations prises par téléphone à la pharmacie habituelle du patient). Le patient, qui travaille comme boulanger-pâtissier, s'est fait licencier ce matin. C'est lui-même qui appelle l'ambulance. À l'admission aux urgences, tension artérielle 113/68 mmHg, fréquence cardiaque 63/min, température 35,8°C, saturation à 90% à l'air ambiant, glycémie capillaire 5,7 mmol/l. Au status neurologique, le patient est somnolent avec réponse à la parole, plongeant par la suite. Glasgow à 14/15, pupilles en myosis des deux côtés. Force symétrique conservée aux 4 membres. Au niveau respiratoire, patient eupnéique, murmure vésiculaire symétrique sans bruit surajouté, pas de toux. Au status cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés, pas de souffle. Pouls périphériques palpés, extrémités chaudes, pas d'oedème des membres inférieurs. Mr. Y reçoit 5 ml de Flumazénil aux urgences ainsi que 2000 ml de NaCl. Le taux de Paracétamol est à 85,7 mg/l à l'admission et à 82,2 mg/l à 4 heures, ne nécessitant pas l'administration de N-Acétylcystéine. La gazométrie montre une acidose métabolique discrète sans compensation respiratoire. La radiographie du thorax ne montre pas de signe de foyer sur une éventuelle broncho-aspiration. Le patient est gardé en lit d'observation aux urgences avec une évolution favorable et un retour à un état de conscience normal. Avec l'accord du Dr. X, Mr. Y est transféré au CSH Marsens le 01.12.2018 pour la suite de la prise en charge psychiatrique. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X au début 2019 pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Mr. Y, 75 ans, hospitalisé le 24.11.18 pour une pneumonie communautaire du lobe moyen/inférieur droit. Il se présente aux urgences en ambulance pour une dyspnée avec toux productive depuis 24 heures dans un contexte de baisse d'état général depuis plusieurs jours. Il affiche une FR à 24/min et une SpO2 à 92% ainsi qu'une T° à 37.5°C. Le reste des paramètres vitaux est dans la norme. Au status, seuls des ronchis bibasaux sont mis en évidence. La radiographie pulmonaire indique des foyers d'allure infectieuse dans le lobe inférieur droit et moyen. La gazométrie met en évidence une légère insuffisance respiratoire hypoxémique, avec une légère hypocapnie. Le patient est donc mis au bénéfice d'un traitement intraveineux de Rocéphine ainsi que d'une unique dose de Klacid. A l'étage, des aérosols d'Atrovent et de Ventolin ainsi que de la physiothérapie permettent une évacuation efficace d'expectorations jaunâtres. L'évolution clinique est favorable avec un sevrage de l'oxygénothérapie possible dès 27.11.18 et une absence d'état fébrile dès le 26.11.18. Sur le plan cardiaque, l'ECG d'entrée met en évidence une fibrillation auriculaire à 95 bpm, bien tolérée hémodynamiquement, connue chez le patient depuis 2015 et pour laquelle il était sous Dilzem 90 mg 2x par jour. Aux urgences, il reçoit un bolus supplémentaire de Dilzem. Au vu d'un score CHADS-VASC à 2 points et d'une ETT le 27.11.18 ne montrant pas de thrombus intra-auriculaire, nous débutons une anticoagulation prophylactique par Xarelto dès le 28.11.18, bien tolérée par le patient. Des ECG de contrôle effectués lors du séjour mettent en évidence une FA intermittente, bien tolérée. Le patient rentre à domicile en bon état général le 04.12.18, avec un traitement d'anticoagulation par Xarelto. A noter qu'il bénéficiera de physiothérapie respiratoire en ambulatoire. De plus, nous vous laissons le soin de suivre biologiquement l'anémie connue du patient ainsi que la thrombopénie, toutes deux asymptomatiques et probablement s'inscrivant dans le cadre infectieux. Mr. Y est admis aux soins intensifs pour une chute compliquée d'une fracture pertrochantérienne gauche dont l’évolution est défavorable. A l'arrivée des ambulanciers, le patient est bradycarde à 20/min avec une normalisation de la fréquence cardiaque par la suite. L'échographie cardiaque montre une fonction contractile segmentaire et globale normale avec une FEVG à 65 % et un rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif avec une surface aortique à 1,23 cm² (0,68 cm²/m²). Un surdosage en Xarelto avec troubles de la coagulation est constaté à l'admission. Dans ce contexte, un scanner cérébral et cervical est effectué, permettant d'exclure toute lésion traumatique et/ou hémorragique. L'origine de la chute est probablement multifactorielle. D'une part, le bas débit cardiaque avec une fibrillation auriculaire à conduction lente et d'autre part, les troubles cognitifs sévères, la polyneuropathie et la sarcopénie importante. Durant la surveillance, le patient présente une insuffisance respiratoire aiguë probablement secondaire à une bronchoaspiration avec augmentation de ses besoins en oxygène. Au vu des comorbidités avec des troubles cognitifs sévères et de l'état respiratoire, il est décidé en entente avec l'anesthésiste et le chirurgien orthopédique de renoncer à une intervention chirurgicale. La famille est tout à fait d'accord avec cette décision. Un retrait thérapeutique avec des soins de confort est débuté. Le patient décède paisiblement le 18.12.2018. Pas d'autopsie demandée. Mr. Y est hospitalisé en médecine interne le 27.11.2018 dans le cadre d'un syndrome de glissement. Il a en effet présenté une baisse progressive de son état général sur plusieurs semaines avec perte pondérale importante. Le bilan effectué en médecine, comprenant notamment une imagerie cérébrale, un CT thoraco-abdominal et un suivi clinique, conclut essentiellement à la présence d'un éthylisme chronique sévère ayant entraîné une malnutrition, des troubles de la marche et des chutes à répétition. La présence d'un syndrome de sevrage a nécessité une substitution par benzodiazépines. C'est dans ce contexte que le malade présente une première broncho-aspiration le 29.11.2018, traitée par antibiotiques et oxygénothérapie. Le 05.12.2018, il présente une nouvelle broncho-aspiration compliquée par un arrêt cardio-respiratoire motivant son admission aux soins intensifs. L'ACR survient sur une broncho-aspiration massive avec un rythme initial non choquable. Le ROSC a lieu à 10 minutes et après injection de 1 mg d'adrénaline avec reprise d'un rythme sinusal. Il est intubé à l'étage de médecine interne avec un transfert immédiat aux soins intensifs. Durant l'hospitalisation, le patient a présenté une bronchopneumonie d'inhalation traitée par Co-Amoxicilline et Clarithromycine puis par Méropénem. Dans les suites immédiates, le patient développe une défaillance multi-organique avec une atteinte hémodynamique, cardiaque droite et rénale. L'évolution initiale est marquée par une vasoplégie importante nécessitant un remplissage vasculaire et un traitement par amines vasopressives, dont il peut être sevré le 09.12.2018. La vasoplégie est d'origine mixte sur le sepsis pulmonaire et sur le syndrome d'ischémie-reperfusion. L'hypoxémie sur la broncho-aspiration se complique d'un ARDS pour lequel le patient bénéficie d'une ventilation protectrice avec sédation profonde et curarisation jusqu'au 07.12.2018. Le traitement de la bronchopneumonie d'inhalation par Co-Amoxicilline et Clarithromycine est relayé par Méropénem et poursuivi pour un total de 7 jours du fait de la découverte d'Enterobacter aerogenes dans les expectorations du 06.12.2018. L'extubation est possible à partir du 11.12.2018 avec un relais par des séances de VNI en continu puis intermittentes. Devant la persistance d'une acidose métabolique avec une insuffisance rénale anurique, nous débutons une dialyse (CVV-HDF) en continu du 06.12 au 09.12.218. Une diurèse forcée est possible par Lasix dès le 09.12.2018. Malgré l'ensemble des mesures diagnostiques et thérapeutiques mises en place, l'évolution clinique est défavorable sur le plan respiratoire avec persistance d'une insuffisance respiratoire et dépendance à la VNI, avec comme conséquence une indication théorique à une nouvelle IOT et probablement même à une trachéotomie. Dans ce contexte, l'attitude a été rediscutée le 13.12.2018. En effet, devant une baisse progressive de l'état général avec perte pondérale dans le contexte d'un éthylisme actif et sans autre cause identifiée lors du bilan en médecine interne avant l'ACR, ainsi que devant la situation actuelle aux soins intensifs avec un réveil inadéquat et des probables séquelles anoxiques post-ACR, la poursuite des mesures de réanimation est mise en question. Après discussion avec la famille (fille et fils), nous arrivons à la conclusion que Mr. Y n'aurait pas voulu avoir des soins si lourds, ayant toujours plutôt refusé le suivi médical. Nous optons donc pour des soins de confort dès le 13.12.2018. Le patient décède le 14.12.2018 à 05:30 entouré de ses proches. Une autopsie n'a pas été demandée. Mr. Y est un patient de 69 ans connu pour un status post-colectomie subtotal en avril 2018 pour un adénocarcinome sigmoïdien, qui bénéficie le 19.12.2018 d'un rétablissement de la continuité. L'intervention se déroule sans complication, les suites post-opératoires sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 26.12.2018. A noter que l'anticoagulation par Sintrom est réintroduite le 23.12.2018, un laboratoire pour adapter le dosage du Sintrom est prévu le 28.12.2018 chez le médecin traitant. Mr. Y est un patient hospitalisé dans un contexte de douleurs abdominales, de vomissements et de constipation. Le bilan clinique et biologique laisse suspecter une pancréatite aiguë. Concernant l'origine de celle-ci, l'apparition brutale des symptômes tend à penser à une cause biliaire de la symptomatologie. Cependant, un ultrason abdominal ne met pas en évidence de calcul ou de dilatation des voies biliaires. Le patient est consommateur d'OH chronique, laissant suspecter une cause alcoolique de la pancréatite, étiologie que nous retenons.La réalimentation progressive se déroule bien. La clinique et les paramètres biologiques s'améliorent rapidement. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à domicile le 04.12.2018 avec un rendez-vous de contrôle chez son médecin-traitant. Mr. Y, 44 ans, est admis pour un choc septique sévère à point d'appel abdominal. Ce patient, connu pour un adénocarcinome à point de départ inconnu et sorti de l'hôpital le 21.12.2018, est transféré depuis le HIB de Payerne après intubation pour un état d'agitation et une détresse respiratoire sur un probable choc septique. Le patient nécessite des besoins importants en Noradrénaline parallèlement à l'expansion volémique. Il présente une fibrillation auriculaire rapide mal tolérée nécessitant un choc électrique externe à 100 J. Le scanner montre un épaississement pariétal de la quasi-totalité des anses grêles, sans défaut de rehaussement, une hypodensité d'une anse jéjunale à la jonction jéjuno-iléale dans l'hémi-abdomen gauche et du liquide libre dans les quatre quadrants abdominaux. Avant une prise en charge chirurgicale, une discussion est entreprise avec la famille et avec le Dr. X, qui rapporte un contexte oncologique péjoratif. Il est décidé finalement d'une prise en charge de sauvetage, tout en insistant auprès de la famille sur la situation très critique. En péri-opératoire, le patient est fortement instable au niveau respiratoire et hémodynamique avec besoin en amines trop élevés (1.5 mcg/kg/mn). Le statut abdominal montre une perforation avec 2 tumeurs à environ 40 cm de l'angle de Treitz, une résection segmentaire du grêle (30 cm) à 50 cm du Treitz est effectuée, suivie d'une confection d'une split stomie en fosse iliaque gauche. Au vu de l'état hémodynamique précaire et du contexte opératoire et général du patient, on décide d'un retrait thérapeutique après discussion avec ses parents et sa compagne. Le patient décède le 24.12.2018. Mr. Y nous est adressé du RFSM CSH Marsens le 30.11.2018 en raison d'une rétention urinaire aiguë depuis ce matin. Une sonde est posée à Marsens. L'anamnèse est compliquée en raison des troubles cognitifs connus, mais le patient ne se plaint pas de douleur abdominale. A l'admission aux urgences, le patient est tachycarde à 106/min, hypertendu à 141/60 mmHg, afébrile à 37°C et sature à 93% à l'air ambiant. Au status digestif, l'abdomen est tendu, la vessie est palpable jusqu'au rebord costal et les loges rénales sont indolores. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire avec CRP à 10 mg/l et leucocytose à 14,9 G/l et une insuffisance rénale aiguë sur chronique. Au niveau du globe urinaire, nous effectuons un retrait de la sonde avec un léger saignement probablement traumatique. Le traitement de Sintrom est mis en pause. Une nouvelle sonde est posée et le sondage permet le retrait de 3,4 litres d'urines. Au vu de l'antécédent récent de globe urinaire chez ce patient, nous recommandons une consultation urologique ambulatoire et proposons le maintien de la sonde urinaire jusqu'à cette évaluation spécialisée. Durant le séjour, le patient présente un épisode de douleurs thoraciques pour lequel nous effectuons un contrôle des troponines et un ECG. Les troponines sont positives à 18 ng/l au premier contrôle, puis à 21 ng/l au deuxième contrôle (à 1 heure) et à 22 ng/l au troisième contrôle (à 3 heures). Les douleurs thoraciques se calment spontanément. Nous retenons une origine pariétale à la douleur. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan de l'insuffisance rénale, nous hydratons le patient à l'aide de NaCl 0.9% avec une bonne réponse clinique. Nous laissons un traitement d'entretien à 1000 ml/24 h durant le séjour. Le suivi biologique montre un syndrome inflammatoire léger stable à 9 mg/l de CRP ainsi qu'une amélioration de la fonction rénale avec une créatinine à 135 umol/l le 07.12.2018. Dans la nuit du 05 au 06.12.2018, le patient présente des diarrhées aqueuses importantes avec chute de la tension artérielle. L'unité de prévention des infections nous prévient qu'au vu de l'épidémie récente à l'hôpital de Riaz, nous devrions suspecter une gastro-entérite à Norovirus et dans ce contexte, le patient est mis en isolement de contact. La PCR multiplex à la recherche d'infection bactérienne dans les selles revient négative. Avec ajustement à la hausse de la perfusion, la tension artérielle s'améliore. Durant le séjour, Mr. Y présente une agitation nocturne, avec arrachage de perfusion, de sonde urinaire et déambulation. La nuit du 06 au 07.12.2018, l'agitation se péjore avec hétéro-agressivité envers le personnel soignant et jets de plusieurs objets. Au vu de la situation difficilement gérable, nous contactons le Dr. X, du service de psychogériatrie du RFSM CSH Marsens, qui refuse une réhospitalisation en milieu psychiatrique en raison de l'isolement de contact. Il nous propose de reprendre l'Haldol 0,5 mg 4x/j fixe et en réserve ainsi que la Distraneurine d'office et en réserve. La nuit du 07 au 08.12.2018, Mr. Y présente toujours une agitation et une hétéro-agressivité nécessitant une contention. Le 08.12.2018 au matin, au vu de l'absence de selles liquides depuis plus de 48 heures, l'isolement de contact est levé et nous contactons le psychiatre de garde afin de pouvoir effectuer un transfert en psychogériatrie au RFSM CSH Marsens. La famille du patient est tenue informée de la situation quotidiennement. Mr. Y est retransféré au RFSM CSH Marsens le 08.12.2018 en fin de matinée. Mr. Y nous est transféré du service de médecine interne pour suite de prise en charge et réhabilitation suite à un infarctus du myocarde compliqué d'un choc cardiogène. A son admission, le patient n'a pas de plaintes spontanées hormis une asthénie et des sudations nocturnes. Au status d'entrée, nous retrouvons de discrets signes d'insuffisance cardiaque droite (turgescence jugulaire, reflux hépato-jugulaire, œdèmes des membres inférieurs) avec une auscultation pulmonaire sans particularité. Le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. Sur le plan cardiaque, nous réalisons plusieurs ECG durant l'hospitalisation montrant une évolution normale post-infarctus. Les traitements introduits à Fribourg sont poursuivis avec réduction du torasémide. Le traitement antihypertenseur est majoré en raison d'un profil tensionnel suboptimal. Le patient est instruit à se peser quotidiennement à domicile et à l'auto-mesure de sa tension artérielle. Concernant le diabète, les glycémies restent stables durant tout le séjour (glycémies à jeun 7-8 mmol/L). Nous profitons de l'hospitalisation pour organiser un enseignement thérapeutique à propos du diabète. Nous poursuivons l'Atorvastatine dans le but d'obtenir une valeur de LDL inférieure à 1.8 mmol/L. Durant le séjour, le patient évoque son expérience de mort imminente à plusieurs reprises et nous fait part de ses inquiétudes avant le coucher avec trouble de l'endormissement. Nous réintroduisons avec bon effet l'Imovane déjà connu du patient après un essai infructueux par Quétiapine. Peu après son entrée, le patient présente des signes d'inflammation du bras gauche au site de l'ancien Venflon associés à une fièvre à 39.1°C. Nous concluons à une phlébite. Nous débutons immédiatement un traitement par Augmentin per os. Une bouteille sur quatre d'hémocultures est positive pour un staphylocoque doré multisensible. Au vu de l'évolution très rapidement favorable sous antibiothérapie orale, nous considérons ce germe comme un contaminant et nous décidons de traiter le patient pour une durée de 7 jours. Dans le contexte du traitement diurétique, la patient développe une insuffisance rénale qui se normalise après adaptation du traitement. Mr. Y est célibataire et n'a pas d'enfant. Il vit au 3ème étage avec ascenseur d'un appartement au Schönberg. Avant son hospitalisation, il était indépendant pour les AVQ et des IAVQ et se déplaçait sans moyen auxiliaire. Il possède une voiture. • Le patient bénéficie d'une évaluation multidisciplinaire de sa motricité et de ses besoins. Au bilan initial, les transferts et la marche se font avec une autonomie réduite. La montée des marches n'est pas testée. Le risque de chute est très légèrement augmenté. Mr. Y bénéficie de physiothérapie selon le protocole de réhabilitation cardiaque. En fin de séjour, le résultat du test de marche de 6 minutes est de 315 mètres avec une saturation à l'air ambiant de 94% à 97% et une fréquence cardiaque de 61 à 85/min. Par ailleurs, le patient est mobile de manière autonome et monte 2 étages d'escaliers. Le risque de chute est nul. Il peut regagner son domicile le 18.12.2018 après un rendez-vous en ambulatoire chez Dr. X pour le suivi post-opératoire de son genou droit. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un quadruple pontage coronarien par Dr. X au CHUV le 29.10.2018 dans le contexte d'une maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte du tronc commun. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Duofer, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25 mg, Glucophage 500 mg, Nexium 40 mg, Supradyn Energy, Torasémide 10 mg les lundi, mercredi et vendredi, Dafalgan en R si douleurs. Lors de son séjour, nous mettons en évidence une élévation de la créatinine à 125 mmol/l au laboratoire d'entrée. Une origine pré-rénale est suspectée et nous décidons d'arrêter le Torasémide le 21.11.2018, malgré une persistance de légers œdèmes des membres inférieurs. L'évolution clinique sans traitement diurétique est favorable. Au niveau tensionnel, le patient présente une crise hypertensive à 207/116 mmHg asymptomatique le 06.12.2018 post-test des 6 minutes. L'examen clinique neurologique et cardio-pulmonaire est dans la norme et la tension artérielle se normalise de façon spontanée et progressive. Nous ajoutons un traitement de Pemzek 32/12.5 0.5 1x/jour à la sortie que le patient avait déjà auparavant associé au Beloc Zok 25 mg 1x/jour. Nous suggérons au patient de diminuer l'intensité de ses entraînements pour le retour à domicile et nous lui proposons de contrôler sa tension artérielle à domicile de façon régulière. Nous proposons au médecin traitant de surveiller le profil tensionnel de Mr. Y. Sur le plan endocrinologique, le diabète du patient est bien contrôlé avec un simple traitement de Metformine 500 mg 1x/jour. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu bien progresser tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 45 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 4 km/h sur une pente de 4% pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 50 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec un arrêt pour atteinte de la fréquence cardiaque maximale et réponse chronotrope excessive secondaire au post-opératoire récent. Il présente une bonne adaptation hémodynamique à la récupération. Sur le plan rythmique, le test d'effort met en évidence des extrasystoles ventriculaires à intervalle de couplage tardif non péjoré par l'effort avec un aspect de BBD, négatif en inférieur. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.5 mmol/L, des HDL à 0.95 mmol/L, des LDL à 1.4 mmol/L, des triglycérides à 0.83 mmol/L. • Sous traitement, les tensions artérielles du patient sont dans la norme. Nous proposons au patient de reprendre son traitement antérieur par Pemzek 30/2 0.5 comprimé 1 fois par jour en association au traitement bétabloquant lors de son retour à domicile en raison d'un pic hypertensif post-effort en physiothérapie. Mr. Y bénéficie de l'intervention susmentionnée sans complication. Un ictère est noté en post-opératoire chez ce patient sans antécédent hépatique, connu pour un ictère néonatal traité par photothérapie. Il n'a pas de douleur abdominale, pas de prurit, ni selles décolorées ni changement de couleur des urines. Le status ne retrouve pas d'ictère des sclères, un foie palpable à 1 cm du rebord costal, l'ictère est résolutif en 24h. Le bilan montre une bilirubine directe légèrement augmentée, des paramètres hépatiques dans la norme et une hémoglobine légèrement abaissée à 127g/l. Devant la bonne évolution et après avis internistique, une surveillance simple est instaurée sans bilan plus poussé et le patient reconsultera en cas de récidive de l'ictère. Un possible syndrome de Gilbert versus hémolyse dans le contexte inflammatoire est retenu. Le patient rentre à domicile le 06.12.2018 et sera revu en contrôle dans 2 semaines. Mr. Y est un patient de 24 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences le 16.12.2018 pour un abcès fessier gauche, raison pour laquelle il est mis sous Co-Amoxicilline per os. Le 18.12.2018, le patient se représente en raison d'un échec de traitement conservateur, raison pour laquelle nous procédons à l'incision et au drainage de l'abcès au bloc opératoire. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples. Nous procédons à l'ablation du Penrose le 19.12.2018 et Mr. Y peut regagner son domicile le jour même en bon état général. L'antibiothérapie par Co-Amoxicilline sera poursuivie jusqu'au 20.12.2018 et il sera revu pour un contrôle à la consultation de proctologie le 21.12.2018 à 08h30. Mr. Y est un patient de 84 ans, qui est admis dans notre service de chirurgie pour la prise en charge élective d'un adénocarcinome du côlon transverse. Il bénéficie le 04.12.2018 de l'intervention susmentionnée. L'évolution post-opératoire est initialement favorable jusqu'à J-3. Par la suite, le patient présente une clinique d'iléus post-opératoire nécessitant la mise en place d'une sonde naso-gastrique qui peut être sevrée le 09.12.2018. Le patient présente par la suite une toux productive sans désaturation avec une radiographie de thorax normale le 09.12.2018. Après un pic subfébrile le 12.12.2018, le patient bénéficie d'une nouvelle radiographie de thorax qui retrouve cette fois un foyer basal droit que nous couvrons par une antibiothérapie empirique de Rocéphine. Le patient peut être transféré à Riaz le 12.12.2018 pour une suite de prise en charge. Le cas de Mr. Y sera présenté au TumorBoard du 12.12.2018, nous transmettrons ensuite les résultats de cette discussion à nos collègues de Riaz. Mr. Y est un patient de 60 ans, diagnostiqué d'un adénocarcinome du rectum, qui bénéficie le 05.12.2018 d'une résection antérieure basse avec iléostomie de protection ainsi que d'une sonde vésicale suspubienne. Face à une importante augmentation du syndrome inflammatoire le 2ème jour post-opératoire, un CT scanner thoraco-abdominal est réalisé et retrouve une minime fuite anastomotique. Un traitement empirique par Tazobac est initié le 07.12.2018 et le patient est repris au bloc opératoire le 08.12.2018 pour une suture de cette fuite avec mise en place d'un VAC sous-cutané. L'évolution clinique étant favorable, nous procédons à la fermeture de la peau le 14.12.2018 ainsi qu'à l'ablation des drains le 18.12.2018 respectivement le 19.12.2018.Le 21.12.2018, le syndrome inflammatoire est en augmentation, raison pour laquelle nous réalisons un CT scanner thoraco-abdominal qui montre une persistance de la fuite anastomotique ainsi qu'une collection de liquide abdominal à gauche sous le rectus abdominis. Nous procédons à la mise en place d'un drain para-rectal et d'un drain dans la collection abdominale sous contrôle scanographique. En vue d'une évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 22.12.2018 avec les deux drains ainsi que la sonde vésicale suspubienne en place. Il sera revu à la consultation du Dr. X le 27.12.2018 ainsi que le 14.01.2019. Le patient bénéficiera également d'un suivi urologique et diététique en ambulatoire. Sur le plan oncologique, l'image histologique correspond à une régression complète du tissu carcinomateux. Le cas de Mr. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire du 12.12.2018 et nous préconisons une chimiothérapie adjuvante par la suite. Le patient sera convoqué par nos collègues oncologues pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 55 ans, qui nous est envoyé par son médecin traitant le 21.12.2018 en raison de douleurs abdominales aiguës évoluant depuis 48 heures en fosse iliaque droite, accompagnées de vomissements, de frissons et d'un état fébrile à 39°. Au laboratoire, on retrouve un syndrome inflammatoire et au CT une appendicite non perforée est mise en évidence. Le patient est donc pris au bloc le 22.12.2018, après avoir signé le consentement de manière libre et éclairée. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient rentre à domicile le 23.12.2018 et nous lui laissons le soin de prendre contact avec son médecin traitant pour l'ablation des fils à J12. Mr. Y, connu pour un diabète de type 2 sous Metformine, consulte les urgences le 04.12.2018 en raison de la persistance d'un hoquet depuis 4 jours, apparu après avoir bu une bière avec des amis. Ce hoquet est quasi constant et aggravé en post-prandial. Vous avez introduit un traitement de Motilium le 03.12.2018 sans amélioration. Pour rappel, le patient a été opéré par le Dr. X le 16.11.2018 d'une hernie discale au niveau L4-L5 avec pose des vis et en raison de la persistance des douleurs, une IRM de la colonne lombaire est effectuée ce jour à l'HFR Fribourg et met en évidence la présence d'un trajet trop médial de la vis pédiculaire L5 gauche avec probable conflit dans le récessus latéral gauche avec la racine de L5. Dans ce contexte, le patient sera repris au bloc opératoire en janvier 2019. Il est également au bénéfice d'un traitement par Fortecortin en schéma dégressif en raison de douleurs au niveau de la hanche. L'examen clinique d'entrée est sans particularités, la palpation abdominale est indolore avec des bruits intestinaux présents dans les quatre quadrants. Le status ORL de base (fond de gorge, palpation des aires ganglionnaires, cervicales et otoscopie) est dans la norme. Nous mettons en place un traitement par Nexium 40 mg/j et Haldol 1 mg 3x/j per os sans effet sur le hoquet. Le laboratoire met en évidence des leucocytes à 16 G/l, une CRP < à 5 mg/l et une Gamma GT à 108 U/l. Le reste des tests hépato-pancréatiques est dans la norme. La radiographie du thorax est sans particularité. Le patient est hospitalisé pour investigations et prise en charge du hoquet. A l'étage, nous notons effectivement des épisodes de hoquet, avec une augmentation en fréquence en période post-prandiale, incoercibles, handicapant le patient qui reste allongé lors des épisodes et le gênent pour dormir. Nous introduisons un traitement par Nozinan 25 mg dès le 05.12.2018 avec disparition du hoquet par la suite. Le patient n'a pas présenté de perte pondérale récente. Il est fumeur mais nous n'avons pas d'argument pour rechercher plus en avant (CT scan) une tumeur. Nous demandons l'avis du Dr. X, spécialiste en soins palliatifs et habitué à cette problématique. Pour un épisode unique du hoquet, il ne recommande pas de bilan CT, ORL ou endoscopique. Si le patient devait présenter à nouveau un hoquet, il faudrait l'évaluer plus en détail. Mr. Y peut donc regagner son domicile le 06.12.2018. Nous prescrivons du Nozinan 25 mg à prendre en cas de récidive de hoquet. Nous concluons à un accès isolé et ne préconisons pas d'autres investigations. Nous vous laissons le soin de recontrôler la formule sanguine et les tests hépatiques à distance de l'hospitalisation. Mr. Y est connu pour un diabète de type 2 et a bénéficié d'une spondylodèse et d'une discectomie dans le contexte de lombosciatalgies le 16.11.2018. De plus, depuis fin novembre en raison des douleurs lombaires, le Dr. X a mis le patient sous un traitement de corticoïdes (Fortecortin 2 mg/24 h) qu'il est censé poursuivre jusqu'au 14.01.2019, date de changement du matériel d'ostéosynthèse. Le 16.12.2018, il consulte les urgences en raison d'une perturbation de son diabète depuis la prise de corticoïdes avec des glycémies entre 16 et 22 mmol/l. Par ailleurs, il est connu pour des abcès péri-anaux récidivants depuis 2016 et il se plaint d'une douleur et d'une tuméfaction péri-anales apparues il y a 2 jours et associées à un écoulement la nuit dernière. Pas de notion d'état fébrile. A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général et bien hydraté. Les status cardiovasculaire et digestif sont sans particularité. Au status de la région péri-anale, on objective un abcès fistulisé de 0.5 cm à droite sur une cicatrice, sans écoulement à la pression. Le toucher rectal est indolore, pas de sang sur le doigtier. Le reste du status est sans particularité. Nous drainons l'abcès péri-anal et nettoyons la plaie sans difficulté. L'évolution est excellente. En cas de récidive, le patient peut s'adresser à la policlinique de chirurgie pour évaluer une prise en charge chirurgicale. Nous réalisons une recherche de calprotectine dans les selles afin d'exclure une maladie inflammatoire de l'intestin (dans ce contexte d'abcès récidivants), mais elle revient négative. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire avec une CRP à 9 mg/l et une leucocytose à 10.4 G/l. L'hémoglobine glyquée est à 9.3% et la glycémie à 15.9 mmol/l. La gazométrie montre un pH à 7.44 sans lactates. Le stix ne montre pas de corps cétoniques. Nous hospitalisons le patient en médecine afin d'équilibrer son diabète. Nous décidons de stopper la corticothérapie et de mettre en réserve un traitement antalgique de premier palier au besoin. Nous majorons le traitement de Metformine à 2 x 500 mg/24h en raison des glycémies élevées et laissons ce traitement à la sortie. L'évolution est par la suite favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 19.12.2018. Mr. Y est un patient de 42 ans, connu pour une diverticulite du sigmoïde stade IIb selon Hansen & Stock diagnostiqué radiologiquement le 04.11.2018 et traité conservativement, qui se présente aux urgences le 15.12.2018 en raison de douleurs sous-ombilicales crampiformes. Le bilan radiologique met en évidence une persistance de cette diverticulite, raison pour laquelle nous introduisons un traitement empirique par Tazobactam intraveineux le 15.12.2018. Une colonoscopie est effectuée le 20.12.2018, qui montre une diverticulite aiguë.En vue de l'évolution clinique favorable, les antibiotiques sont relayés le 21.12.2018 par Ciproxine et Flagyl par voie orale et le patient peut regagner son domicile en bon état général le 22.12.2018. Mr. Y sera revu à la consultation des Chefs de clinique le 10.01.2019, précédé par un contrôle scanographique le 09.01.2019. Mr. Y, connu pour des antécédents de pneumonies d'aspiration dans le contexte d'un handicap psychomoteur, est amené au service des urgences par ses parents le 22.12.2018 en raison d'un état fébrile, de diarrhées et une dyspnée. Le bilan initial révèle une insuffisance respiratoire globale sur pneumonie, motivant un passage aux soins intensifs pour suivi gazométrique rapproché et VNI. Il bénéficie d'une antibiothérapie empirique par Tazobac et Klacid, ce dernier arrêté une fois les antigènes urinaires revenus négatifs. Le séjour aux soins intensifs se complique de diarrhées, probablement sur un Norovirus, nécessitant un isolement de contact (d'ores et déjà installé vu un antécédent de portage MRSA), ainsi qu'un traitement symptomatique. Mr. Y est transféré dans notre service de médecine le 29.12.2018, et rentre à domicile le 30.12.2018 après réussite d'un sevrage en oxygène. Mr. Y est un patient de 81 ans, qui se présente aux urgences le 27.11.2018 en raison de plusieurs épisodes d'hématochézies depuis 24 heures, sans douleurs abdominales. Le 29.11.2018, il bénéficie d'une coloscopie ainsi que d'une oesogastroduodénoscopie qui met en évidence 4 polypes dans le côlon transverse, qui sont réséqués, ainsi que plusieurs diverticules au niveau de tout le côlon gauche, probablement à l'origine de l'hémorragie. En raison de l'apparition de douleurs post-geste, nous réalisons un CT abdominal qui ne montre pas de complication de l'intervention, en particulier pas de perforation colique. Le patient rentre à domicile le 30.11.2018, il sera revu par son médecin traitant durant la semaine du 03.12.2018 pour un contrôle biologique et clinique. Mr. Y souffre d'une coxarthrose gauche. L'implantation d'une prothèse totale de la hanche gauche par voie transfessière est programmée. Le patient est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et bénéfices liés à celle-ci. Il me donne son accord, le consentement est signé. L'intervention est programmée pour le 30.01.2019. Le patient sera vu par nos collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire le 23.11.2018 suite à une réparation valvulaire mitrale par annuloplastie, exclusion de l'auricule gauche par atriclip et fermeture du foramen ovale perméable le 01.11.2018. Traitement à l'entrée : • Sintrom mitis 1 mg selon INR pendant 3 mois avec cible entre 2-3 • Colchicine 1 mg 0.5-0-0.5 pendant 6 semaines, puis réévaluer • Cordarone 200 mg 1-0-0 pendant 1 mois post-opératoire puis réévaluer • Pantozol 20 mg 1-0-0 30 minutes avant le repas du matin • Dafalgan 1g 1 cp max 3x/jour si douleurs Durant son séjour, le patient ne rapporte aucune plainte. Les contrôles clinico-biologiques ainsi que les électrocardiogrammes sont satisfaisants, raison pour laquelle nous arrêtons le traitement de Cordarone le 4.12.2018. Nous diminuons également la Colchicine à 0.5 mg par jour le 4.12.2018 et laissons le soin au Dr. X de réévaluer si un arrêt de ce traitement est possible à 6 semaines post-opératoires. Au vu de la bonne évolution clinique, nous décidons avec l'accord du patient de raccourcir l'hospitalisation et nous lui proposons une prise en charge ambulatoire. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser jusqu'à un groupe d'intensité forte. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée d'une heure sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 6.5 km/h sur une pente de 3.5 % pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 100 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des facteurs de risque cardiovasculaires, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 3.1 mmol/L, des HDL à 0.9 mmol/L, des LDL à 2.07 mmol/L, des triglycérides à 1.1 mmol/L. 2. Sous traitement, les tensions artérielles du patient sont dans la norme. Mr. Y, 77 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI inférieur sur thrombose de stent au niveau de la CD. Il est connu pour une BPCO, un antécédent d'AVC ischémique et présente une douleur rétrosternale le 14.12.2018 ressemblant à ces précédentes douleurs d'infarctus. L'ECG montre un sus-décalage dans les territoires inférieurs avec un sous-décalage en miroir dans les dérivations antérieures et latérales. Un traitement par Aspirine, Prasugrel et Héparine est débuté en pré-hospitalier. Le patient est amené directement en salle de coronarographie par la filière Fast-track STEMI. La coronarographie réalisée le 14.12.2018 démontre une occlusion intra-stent thrombotique de l'ACD distale comme corrélat angiographique au STEMI inférieur qui est directement re-canalisée, dilatée et stentée en urgence. De plus, il y a une sténose subtotale de l'ACD proximale qui est traitée en passant avec un stent actif. Le patient présente une dysfonction VG systolique modérément sévère avec une FE à 35% à la ventriculographie. Une échocardiographie de contrôle est organisée pour la semaine du 17.12.2018. Durant la surveillance aux soins intensifs, on n'objective pas de troubles du rythme. Le pic de CK est à 742 U/i et on débute une mobilisation par physiothérapie selon protocole STEMI. L'indication à une réhabilitation cardiovasculaire sera à rediscuter avec les collègues de cardiologie. Dans l'intervalle, on introduit sur avis des cardiologues un traitement par antiagrégant, par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois. La reprise ou non du Clopidogrel (traitement habituel du patient pour l'antécédent d'AVC) sera à rediscuter entre cardiologue et neurologue. En post-coronarographie, on objective un souffle fémoral au point de ponction mais sans signes de gravité (pas de masse, pas d'hématome). Un avis angiologique propose un bilan échographique à distance. À mentionner que l'on retrouve aussi un souffle fémoral gauche qui sera à investiguer au vu du contexte vasculaire du patient.Le patient présente une dysfonction VG systolique modérément sévère avec une FE à 35% à la ventriculographie. Une échocardiographie de contrôle est effectuée le 17.12.2018. Durant la surveillance aux soins intensifs, on n'objective pas de troubles du rythme. Le pic de CK est à 742 U/i et on débute une mobilisation par physiothérapie selon protocole STEMI. On introduit sur avis des cardiologues un traitement antiagrégant par Aspirine à vie et Efient pour 12 mois. La reprise ou non du Clopidogrel (traitement habituel du patient pour l'antécédent d'AVC) sera à rediscuter entre cardiologue et neurologue. Un IEC est débuté et au vu du profil tensionnel satisfaisant durant l'hospitalisation, nous ne reprenons pas l'amlodipine ni le sartan. En post-coronarographie, on objective un souffle fémoral au point de ponction mais sans signes de gravité (pas de masse, pas d'hématome). Un avis angiologique propose un bilan échographique à distance. À mentionner que l'on retrouve aussi un souffle fémoral gauche qui sera à investiguer au vu du contexte vasculaire du patient. Il est transféré en médecine interne le 15.12.2018 pour suite de prise en charge. Au vu de la toux et de râles crépitants en base gauche, nous effectuons une radiographie de thorax qui ne révèle pas de foyer mais plusieurs nodules. Nous complétons par CT cervico-thoraco-abdominal qui confirme les divers nodules, sans retrouver de néoplasie à l'étage abdominal. Les différents nodules sont aussi hypermétaboliques au PET-CT qui ne montre pas d'hypercaptations extra-pulmonaires. Les investigations seront complétées par une biopsie sans CT en ambulatoire. Le patient rentre à domicile le 20.12.2018. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc hypovolémique avec une insuffisance rénale aiguë et une acidose métabolique dans un contexte de diarrhées. Pour rappel, Mr. Y est connu pour une BPCO stade IIB, une cardiopathie ischémique bitronculaire avec une insuffisance cardiaque sévère et une consommation chronique d'alcool. Il est amené à l'hôpital de Riaz pour une dégradation de l'état général avec diarrhées sur les derniers jours. Au vu d'une hypotension, une insuffisance rénale aiguë AKIN 3 et une acidose métabolique avec hyperkaliémie, il nous a été transféré pour la suite de la prise en charge. L'état hémodynamique se stabilise rapidement après remplissage vasculaire, soutien aminergique durant 48 h et une antibiothérapie. L'insuffisance rénale aiguë et les complications initiales (acidose métabolique et hyperkaliémie) se corrigent rapidement. Le contrôle échocardiographique révèle une dilatation modérée du ventricule gauche avec une FEVG estimée à 61 %. Dans le contexte actuel, le traitement antihypertenseur et antiarythmique sont arrêtés transitoirement. En raison d'une insuffisance respiratoire partielle, apparue durant le séjour, probablement dans le contexte de surcharge pulmonaire, des séances de VNI sont introduites sur la journée (appareil personnel du patient). Le 23.11.2018, le patient développe un état fébrile associé à une péjoration respiratoire, initialement sans foyer pulmonaire. Une pneumonie basale droite est diagnostiquée le 29.11.2019. L'évolution est rapidement favorable après antibiothérapie par Piperacillin-tazobactam puis Levofloxacine. Les signes de sevrage alcoolique (tremblements marqués) sont bien gérés par les benzodiazépines. Une supplémentation par Thiamine est également instaurée. Sur le plan digestif, nous initions un traitement empirique par Ciprofloxacine et Clarithromycine pour couvrir un possible Campylobacter en vue des épisodes de diarrhées à domicile. Lors de son séjour, le patient ne présente plus de diarrhée. Une spoliation digestive est recherchée dans le contexte d'une anémie normocytaire normochrome. Du sang occulte est retrouvé dans les selles. Le patient sera convoqué en ambulatoire en vue d'une gastroscopie et colonoscopie. Suite au déconditionnement respiratoire et musculosquelettique après les épisodes infectieux, nous inscrivons le patient en réhabilitation musculosquelettique à Billens. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 66 ans, est hospitalisé en médecine aiguë pour investigation de tremblements chroniques d'origine indéterminée et pour un sevrage aux benzodiazépines (voir séjour du 5 au 12.12.2018). En parallèle de la réduction progressive et mal tolérée du Seresta, nous observons la recrudescence des tremblements, nous obligeant à maintenir les doses initiales élevées. Ces tremblements d'action des membres supérieurs seraient apparus après un séjour hospitalier en 2015. Suspectant une possible étiologie médicamenteuse (Cordarone) ou fonctionnelle, des avis cardiologiques et neurologiques sont demandés. Les neurologues évoquent un tremblement physiologique exagéré et une probable polyneuropathie périphérique des 4 membres, prédominant aux membres supérieurs, d'origine toxique probable sur syndrome de dépendance à l'alcool. Au bilan vitaminique, la B12 et l'acide folique sont dans la norme. Une carence en vitamine D est substituée. Les neurologues évoquent également une composante médicamenteuse au tremblement et proposent l'arrêt de la Cordarone et le sevrage du Seresta. Cependant, les cardiologues sont contre un arrêt de la Cordarone au vu d'un antécédent de tachycardie ventriculaire non soutenue en 2017, et les tremblements étaient déjà présents avant l'introduction de la Cordarone. Un tremblement essentiel est également maintenu dans le diagnostic différentiel. Finalement, les neurologues proposent l'introduction de gabapentin. Nous diminuons progressivement le Seresta et proposons la suite du sevrage par le médecin traitant. Nous proposons de la physiothérapie et de l'ergothérapie en ambulatoire. Des tremblements persistent chez le patient. Si ces tremblements ne diminuent pas sous le traitement de gabapentin et après le sevrage, le service de neurologie se tient à disposition pour revoir le patient. Mr. Y rentre à domicile le 20.12.2018 avec activation des SAD. Mr. Y, 66 ans, est reclassé en attente de réhabilitation musculosquelettique à Billens. Le patient ayant acquis une autonomie fonctionnelle satisfaisante durant le séjour en médecine interne, la demande est refusée. En effet, Mr. Y est totalement autonome dans les AVQ, la prise en physiothérapie étant terminée car il a atteint tous ses objectifs, il se déplace en rollator de manière autonome et sécuritaire et effectue ses exercices pulmonaires de manière régulière. Mr. Y présente un tremblement des membres supérieurs persistant malgré la fin du sevrage alcoolique, ce qui nécessite le maintien de hautes doses de benzodiazépines. Les médicaments doivent être sevrés, en vue d'un retour à domicile et en raison de la péjoration de la saturation en oxygène. En parallèle de la réduction progressive du Seresta, nous observons la recrudescence des tremblements, nous obligeant à maintenir les doses initiales élevées. Le patient mentionne que ces tremblements seraient apparus après les séjours hospitaliers des années précédentes. Suspectant une possible étiologie médicamenteuse (Cordarone) ou fonctionnelle, des avis cardiologiques et neurologiques sont demandés. Les pneumologues sont également régulièrement impliqués dans la discussion des thérapies médicamenteuses. En raison de ces nombreuses investigations en cours, nous mettons fin au séjour de reclassement le 12.12.2018, ce qui résulte d'une nouvelle prise en charge en médecine aiguë.Mr. Y est hospitalisé pour le bilan de deux masses occipitales volumineuses. Pour rappel, Mr. Y s'est présenté le 07.12.2018 à votre consultation pour un deuxième avis sur un problème de gonalgie et souhaitant changer de médecin traitant. A cette occasion, il décrit des chutes vers la gauche en marchant et en faisant du vélo. Cela fait deux mois que ces problèmes évoluent. A l'examen, on retrouve une hémianopsie latérale gauche sans autre latéralisation. Une IRM est effectuée le 06.12 et montre la présence de masses agressives contiguës pariéto-occipitales droites avec œdème vasogénique périphérique et effet de masse local. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire mais une insuffisance rénale connue. Un CT-scan ne montre pas de lésion primaire (examen non injecté en raison de l'insuffisance rénale chronique) et un US hépatique ne montrant pas de lésions suspectes. Nous prenons avis auprès de nos confrères de neurochirurgie qui évoquent une lésion agressive primairement cérébrale avec indication opératoire. Un traitement de Dexaméthasone 12 mg 1x/j est introduit et l'Aspirine cardio est arrêté le 13.12. La prise en charge opératoire aura lieu par Dr. X / Dr. X le 21.12.2018 à l'HFR Fribourg et une IRM cérébrale sera effectuée le 20.12.2018 pour nouvelle évaluation sous corticoïdes. Le patient rentre à domicile le 13.12.2018 et sera convoqué pour son admission en neurochirurgie le 20.12.2018. Mr. Y, âgé de 74 ans, connu pour les diagnostics et antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche. Sur le plan social. Il vit seul à domicile. Il a deux fils. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Au status, pouls irréguliers, B1-B2 irréguliers en lien avec la FA. Le patient se plaint de douleurs à la face antérieure de la cuisse D et de la fesse D, en péjoration depuis l'intervention et qui rendent les transferts et la marche difficiles. Au MIG, la force du quadriceps et du psoas est cotée à M3+, releveurs du pied à M2+ et fléchisseurs du pied à M5. Au MID, la force est cotée à M2+ pour le quadriceps, au psoas à M2, aux releveurs du pied à M2 et aux fléchisseurs du pied à M5. A l'ECG d'entrée, on relève une FA qui avait déjà été signalée en pré-opératoire en octobre 2016. Nous instaurons alors un traitement par Xarelto 20 mg/jour dans ce contexte. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. La force dans le MIG est cotée au quadriceps à M5, psoas à M5, releveurs du pied à M2+, fléchisseurs du pied à M5. La force dans le MID est cotée au quadriceps à M4, psoas à M3-, releveurs du pied à M2+, fléchisseurs du pied à M5. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche D à 70° en actif. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y quitte notre service pour rejoindre son domicile, à sa demande, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, âgé de 71 ans, connu pour un hémisyndrome sensitivomoteur facio-brachio-crural droit spastique sévère avec aphasie et légers troubles cognitifs suite à un AVC ischémique sylvien sur sténose de l'artère carotidienne gauche en 2004, nous est adressé pour un nouveau séjour en neuro-réadaptation. Sur le plan social, le patient vit à domicile avec son épouse et bénéficie de passages infirmiers. Il se déplace en fauteuil roulant mais parvient à effectuer quelques pas avec une canne quadripode et avec l'aide d'un tiers. C'est son épouse qui s'occupe de la plupart des soins et des contrôles glycémiques. Mr. Y bénéficie habituellement de séances d'ergothérapie (1x/semaine) et de physiothérapie à domicile (1x/semaine) ainsi que de la venue quotidienne d'une infirmière. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Il ne présente aucune plainte particulière. Par rapport aux séquelles de l'AVC, Mr. Y présente un hémisyndrome facio-brachio-crural moteur D avec spasticité sévère. Il se déplace aux WC avec l'aide des soignants. Mr. Y présente des épisodes d'incontinence urinaires, surtout nocturnes, mais ne présente pas d'incontinence fécale et son transit est régulier sous Movicol. A l'examen clinique, le patient est orienté et collaborant. Il présente un hémisyndrome facio-brachio-crural moteur D spastique. L'hémicorps G ne présente pas de déficit sur le plan moteur et sensitif. Les pupilles sont isocores et isoréactives. Le reste de l'examen clinique est non contributif. Au bilan sanguin d'entrée, nous retrouvons une anémie hypochrome microcytaire. Dans ce contexte, nous complétons le bilan qui révèle une carence en fer. Le patient bénéficie d'une substitution i.v. par Ferinject et le suivi biologique montre ensuite des résultats d'hémoglobine améliorés. Les contrôles glycémiques montrent des valeurs trop élevées, raison pour laquelle nous majorons son traitement antidiabétique en augmentant les doses de Metformine et en ajoutant du Diamicron. Une plaie au niveau du testicule, qui était présente à l'entrée, se péjore durant l'hospitalisation malgré des soins quotidiens et la pose d'un condom. Une sonde vésicale est posée le 06.12.2018 le temps de permettre une cicatrisation optimale. Le retrait sera à réévaluer dans 1 à 2 semaines par le médecin traitant et effectué par les infirmières à domicile. Suite au partage de matériel en physiothérapie avec un patient porteur MRSA, un frottis de dépistage (narine - plis inguinaux et aisselles) est effectué et est négatif pour les 3 sites de prélèvements. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie, avec évolution favorable. A la sortie, il a encore besoin d'un peu d'aide pour les transferts couché-assis, mais est indépendant pour le reste. Il peut marcher avec sa canne quadripode sur 25 m sans pause selon sa fatigue. Après 3 semaines d'hospitalisation, Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 07.12.2018, en état général conservé. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie à domicile. Les soins à domicile sont réactivés. Mr. Y est un patient de 81 ans, connu pour une glomérulonéphrite membraneuse sous Prednisone, qui se présente aux urgences le 18.12.2018 pour des œdèmes des membres inférieurs D>G en augmentation ainsi que des signes d'inflammation locale au niveau de sa jambe droite. Rappelons qu'il est connu pour un lymphoedème chronique, et un premier épisode de dermohypodermite en juin 2018 d'évolution compliquée, finalement traité par Cefepime. Le patient est hospitalisé en médecine pour suite de prise en charge. La dermohypodermite est traitée par Co-Amoxicilline IV durant 7 jours avec bonne évolution clinique et biologique. La microbiologie n'a pas permis l'isolation du pathogène clair et à la vue de la présence d'un S. aureus sensible à la Co-amoxicilline le traitement a été poursuivi. Le patient bénéficie d'une prise en charge physiothérapeutique avec drainage lymphatique et bandage des membres inférieurs. Cette prise en charge sera à poursuivre à domicile.Sur le plan néphrologique, le patient est visité par les néphrologues qui considèrent le syndrome néphrotique comme stable avec une augmentation du poids et une prise en charge nécessaire par diurétiques. Le patient a pu rentrer en bon état général avec une amélioration du lymphoedème et de l'érythème le 27.12.2018 à domicile. Le patient a été instruit sur les signes évocateurs d'une nouvelle infection cutanée et est averti de consulter rapidement en cas d'apparition de ceux-ci. Mr. Y nous est transféré de l'Hôpital cantonal de Fribourg pour une réadaptation gériatrique suite à une fracture de l'humérus D d'origine traumatique dans un contexte d'ethylisation aiguë, traitée conservativement. Pour rappel, Mr. Y vit avec son épouse au domicile. Il est dépendant de l'alcool depuis plusieurs dizaines d'années et le médecin traitant et la famille du patient décrivent une situation extrêmement précaire à domicile entraînant un épuisement de l'épouse du patient. Dans ce contexte, le retour à domicile étant impossible. Le patient, anosognosique, refuse d'entrer en matière et une évaluation psychiatrique a confirmé une absence de capacité de discernement concernant sa propre situation. Dans ce contexte, une intervention de la Justice de paix avec la demande de mise sous curatelle a été demandée. À l'admission, Mr. Y est très négligeant envers son état de santé, n'a pas de plainte spontanée et aimerait simplement rentrer à la maison le plus tôt possible. Il est partiellement orienté dans l'espace et désorienté dans le temps. Cliniquement, il porte un gilet orthopédique à l'épaule droite, la main droite est tuméfiée et présente un hématome diffus en voie d'absorption, distalement son bras droit ne présente pas de troubles neurovasculaires. Le bilan au laboratoire montre une hyponatrémie légère à 128 mmol/l d'origine probablement mixte (Spot Urinaire : Na 54 mmol/l, K 49 mmol/l, osmolalité 544 mosmol/kg). Concernant le syndrome de dépendance à l'alcool, les CIWA restent négatifs au cours du séjour, ce qui nous permet une diminution des doses d'Oxazépam (Seresta) à 7.5mg 3x/j. Nous vous laissons le soin d'en diminuer les doses jusqu'à arrêt complet si possible. L'hyponatrémie, probablement chronique sur diminution des apports et traitement diurétique, est d'évolution favorable au cours du séjour avec une valeur à la sortie à 130 mmol/l. Nous vous conseillons d'effectuer un contrôle à 1 semaine après la sortie. À l'entrée, Mr. Y présente un risque de chute élevé avec un Tinetti à 19/28 sans moyens auxiliaires. Il arrive à faire les transferts seul (FIM 6), monter 54 marches en se tenant avec une main (FIM 6) et peut marcher de façon autonome en trébuchant (FIM 6). La mobilité passive de l'épaule permet une rotation externe à 10° et 30° en abduction externe + abduction. Grâce à un traitement de réadaptation comprenant des séances de physiothérapie et d'ergothérapie, Mr. Y a amélioré son risque de chute avec un Tinetti à 21/28. Les transferts, la marche et les escaliers sont encore avec un FIM à 6. Au niveau de la mobilité passive, la rotation externe est possible jusqu'à 30° et 80° combinée avec abduction. Une physiothérapie ambulatoire est envisagée. Concernant la situation sociale à risque, nous nous entretenons avec la Justice de Paix et la famille de Mr. Y le 11.12.2018 et Mr. Y est mis sous curatelle avec ses deux fils nommés curateurs. Une inscription en EMS est envisagée. Mr. Y est transféré le 17.12.2018 à l'EMS Villa Beau-Site pour la suite de la prise en charge. Il sera convoqué pour le contrôle orthopédique clinique et radiologique en 01.2019. Mr. Y, patient de 71 ans connu pour une HTA, un OH chronique et un adénocarcinome de la prostate diagnostiqué le 08.10.2018, est adressé au service des urgences le 18.12.2018 par son médecin traitant pour un sevrage d'alcool dans le cadre d'une découverte de cirrhose débutante de score Child-Pugh B (7 points) afin de permettre la suite de la prise en charge de l'adénocarcinome. Sur le plan toxicologique, l'anamnèse révèle une consommation de 2 L de vin rouge et rosé par jour depuis 6 ans, âge de sa retraite. Le patient effectue ici son premier sevrage. Il bénéficie donc d'un traitement par Benerva et Becozyme ainsi que de Seresta en fixe et en réserve avec une surveillance rapprochée des signes de sevrage (Score de CIWA). Un schéma régressif de Seresta est mis en place et peut être arrêté le 25.12.2018. En ce qui concerne la suite de la prise en charge de la dépendance, elle sera réalisée par la fondation Le Torry. Sur le plan hépatologique, nous effectuons un bilan étiologique de la cirrhose. Un ultrason abdominal effectué le 18.12.2018 met en évidence une hépatosplénomégalie, un flux du tronc porte diminué sans thrombose et une stéatose hépatique avec signes d'une cirrhose débutante. Nous avons également effectué un premier bilan biologique de la cirrhose, permettant d'exclure une étiologie auto-immune ou infectieuse de la cirrhose. Sur le plan hématologique, nous mettons en évidence une Gammapathie monoclonale à IgA Kappa (IgA 10 g/l, Kappa libre 47.7 mg/l. Pic monoclonale positif d'IgA Kappa) dont le bilan sera complété par une ponction de moelle en ambulatoire. Les examens ayant été analysés après la décharge du patient, celui-ci n'est pas au courant et sera reconvoqué par le secrétariat de Dr. X. En raison de douleurs au niveau inguinal, un ultrason abdominal ciblé a été réalisé et confirme le diagnostic d'une hernie inguinale indirecte à droite, néanmoins à contenu uniquement liquidien et graisseux. Un avis chirurgical est demandé et ne voyant pas d'indication à une opération chirurgicale avant le traitement de l'adénocarcinome prostatique (sous réserve d'incarcération de l'hernie), les chirurgiens proposent un rendez-vous en ambulatoire à la consultation des chefs de clinique de chirurgie à prévoir une fois l'adénocarcinome prostatique traité. Au vu d'une évolution favorable, Mr. Y peut rentrer à son domicile en bon état de santé général le 29.12.2018. Mr. Y, 82 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 23.12.2018 pour un arrêt cardiorespiratoire sur STEMI antérieur dont l'évolution est défavorable. Le patient est connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire. Il présente un arrêt circulatoire à domicile. Le no flow est estimé à 3 min. La reprise d'une activité cardiaque est notée après 15 minutes de réanimation. La coronarographie révèle une sténose significative intrastent au niveau de l'artère interventriculaire antérieure moyenne distale et une sténose significative de la première diagonale. Ces lésions sont traitées par angioplastie et mise en place de 4 stents actifs. Durant la surveillance, le patient présente initialement une instabilité hémodynamique nécessitant un soutien aminergique transitoire. Une pneumopathie d'inhalation, sans retentissement respiratoire majeur, est traitée par antibiothérapie. À l'arrêt de la sédation, on note des myoclonies généralisées avec absence de signe de réveil. L'EEG confirme une encéphalopathie post-anoxique sévère sans arguments pour un foyer épileptogène. Au vu du mauvais pronostic neurologique et d'entente avec la famille, nous procédons à un retrait thérapeutique. Mr. Y décède le 25.12.2018 en présence de sa famille. Une autopsie n'est pas demandée. Mr. Y est un patient de 55 ans, notamment connu pour une fibrillation auriculaire anticoagulée par du Xarelto et porteur d'une pompe intrathécale (Morphine 2 mg/j + Bupivacaïne 0.34 mg/j) et de patchs de Fentanyl pour des douleurs dorsales chroniques, qui nous est transféré de Tafers pour une appendicite. Le patient se présente aux urgences le 13.12.2018 pour des douleurs abdominales, évaluées à 7/10 malgré l'antalgie, avec des vomissements et des diarrhées à plusieurs reprises, non sanguinolentes. Le laboratoire initial révèle un syndrome inflammatoire et au CT-scanner, une appendicite aiguë non perforée est mise en évidence.L'intervention se déroule le 16.12.2018 sans complication. Les suites opératoires sont simples et afébriles. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, un retour à domicile est possible le 18.12.2018. Nous laissons au soin du patient de contacter son médecin traitant pour l'ablation des fils à J-12 post-opératoire. Par ailleurs, après son intervention, il bénéficie aussi d'un contrôle de sa pompe intrathécale qui montre un débit stable du mélange. Mr. Y est un patient de 89 ans, connu pour un syndrome myélodysplasique/myéloprolifératif suivi par le Dr. X qui consulte sur demande de ses enfants pour une baisse d'état général avec faiblesse généralisée. Sur le plan hématologique, Mr. Y présente une leucocytose (184 g/l), une thrombopénie (37 g/l) et une anémie macrocytaire (hémoglobine à 71 g/l) dans le cadre d'un syndrome myélodysplasique/myéloprolifératif de type leucémie myélomonocytaire chronique. Dans le cadre de l'anémie, le patient reçoit deux culots érythrocytaires la semaine précédant l'hospitalisation, un le 09.12.2018 et un autre le 11.12.2018. Nous constatons un syndrome de leucostase avec une atteinte pulmonaire et rénale. Sur avis hématologique, nous discutons les différentes options (intensification du traitement par Litalir versus traitement palliatif) et nous convenons d'un traitement de type palliatif après discussion avec sa famille. Sur le plan néphrologique, le patient présente une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 pré-rénale et post-rénale, avec mise en place d'une sonde urinaire après objectivation ultrasonographique de la présence d'un globe urinaire. Sur le plan pulmonaire, Mr. Y présente une dyspnée et une insuffisance respiratoire hypoxémique nécessitant une oxygénothérapie. Il présente également un état confusionnel. Finalement, au vu de la rapide péjoration de l'état clinique, nous mettons en place des soins de confort. Mr. Y décède le 12.12.2018 à 3h20. Mr. Y, patient de 84 ans, connu pour une cardiopathie multifactorielle (ischémique, rythmique sur FA, valvulaire et hypertensive) est hospitalisé dans un contexte de pneumonie acquise en communauté à germe indéterminé. Pour rappel, l'anamnèse révèle une baisse de l'état général évoluant depuis 2 jours avec une toux productive. Il présente des frissons à domicile motivant une consultation aux urgences. L'évaluation clinique aux urgences est suspecte d'une pneumonie basale droite, confirmée à la radiographie du thorax. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge et un traitement antibiotique par Rocéphine est introduit. Les antigènes urinaires Legionella et pneumocoque se révèlent être négatifs. L'évolution rapidement favorable permet un relais per os pour du Klacid 500 mg 2x/j seul pendant 5 jours. Un traitement macrolide est introduit devant la suspicion de germe atypique comme pathogène selon l'aspect radiologique. Les examens de laboratoire mettent en évidence une insuffisance rénale d'allure prérénale aiguë d'évolution rapidement favorable. Le patient regagne son domicile le 14.12.2018. Suite à un colloque familial en présence du patient et son épouse, nous n'introduisons pas d'encadrement infirmier à domicile. Mr. Y est un patient de 65 ans connu pour une insuffisance rénale pré-terminale non-dialysée, qui bénéficie le 30.11.2018 d'une confection de fistule artério-veineuse radio-céphalique du membre supérieur gauche. Les suites opératoires sont simples. Mr. Y présente un thrill audible et un pouls radial. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 01.12.2018. Mr. Y, patient de 77 ans, connu pour un adénocarcinome du haut-rectum, est hospitalisé le 07.12.2018 pour bénéficier d'une résection antérieure basse avec iléostomie de protection. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire du patient est favorable. Les résultats anatomo-pathologiques mettent en évidence un adénocarcinome moyennement différencié du haut rectum TNM ypT2 ypN0 (0/18) L0 V1 Pn0 R0. Le patient est présenté au colloque interdisciplinaire oncologique du 12.12.2018 où il est décédé de proposer une thérapie par chimiothérapie adjuvante. Le patient sera contacté par nos collègues du service d'Oncologie pour organiser la suite de la prise en charge. Nous organisons un service de soins à domicile pour prise en charge de stomatothérapie. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y quitte notre service pour un retour à domicile le 13.12.2018. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, notamment une hémicolectomie droite en octobre 2018 pour un cancer du côlon, nous est adressé par les urgences de l'HFR Fribourg le 29.11.2018 pour suite de prise en charge. Pour rappel, le patient consulte les urgences de l'HFR Riaz le 28.11.2018 en raison de douleurs en fosse iliaque gauche. Un CT scan abdominal est effectué et le Dr. X, chirurgien de garde, conclut à une coprostase sur consommation d'opiacés. Mr. Y regagne son domicile le jour même avec un traitement laxatif d'office. Le lendemain, au vu de la récidive des douleurs, le patient consulte les urgences de l'HFR Fribourg qui nous l'adresse. À noter que le patient est sous traitement antalgique morphinique à haute dose depuis l'hémicolectomie, ce qui peut expliquer la coprostase. Le patient rapporte deux épisodes de vomissements alimentaires dans le cadre des douleurs. Pas d'autre plainte ni symptôme à l'anamnèse par système. Au niveau social, Mr. Y est dans une situation compliquée. En effet, il est sous curatelle, n'a pas de moyen financier et ne recherche aucune aide. Il passe régulièrement plusieurs jours sans manger. Il rapporte également une baisse de la thymie depuis le décès de son père il y a deux ans, associée à une perte pondérale de 27 kg. De plus, le jour de l'admission, le déménagement de son appartement est en cours. À l'admission dans notre service, le patient est cachectique. Au status digestif, les bruits sont normaux et audibles dans les 4 quadrants, sans défense ni défense, pas de douleur à la percussion. Les loges rénales sont indolores. Le reste du status d'entrée est dans la norme. Au vu des douleurs persistantes, nous prenons l'avis du Dr. X qui préconise de réaliser un ASP couché et de contrôler les tests hépatiques qui sont tous deux dans la norme. Nous concluons donc à des douleurs abdominales sur coprostase. Le laboratoire met en évidence une carence en phosphate, magnésium, vitamine B12 et acide folique. Une substitution orale est débutée et nous vous laissons le soin de contrôler ces valeurs une semaine après la sortie. En cas d'hypovitaminose B12 persistante, un traitement parentéral serait judicieux. Pendant le séjour, l'évolution est favorable avec une nette amélioration des douleurs, nous permettant d'arrêter l'antalgie. Nous profitons de l'hospitalisation pour effectuer un bilan nutritionnel qui met en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec un contexte de deuil et un accès limité aux aliments (situation sociale précaire) démontrée par un NRS à 4/7 avec une perte pondérale de 25 kg en 1,5 ans (28 %) et des ingestas à 0-25 % au cours de la dernière semaine (probablement 25-50 % la dernière année). Des suppléments nutritifs oraux sont introduits et un suivi ambulatoire est programmé.En ce qui concerne l'état dépressif, le patient est évalué par le Dr. X, psychiatre de liaison, qui conclut qu'avec la stabilisation de l'état somatique du patient et suite à la résolution de ses problèmes de domicile (qui se sont résolus pendant l'hospitalisation), la situation devrait se stabiliser à nouveau. Le patient refuse de l'aide à domicile et un suivi en ambulatoire chez un psychiatre, il dit qu'il est déjà suivi par un psychologue à Fribourg et il va continuer à être suivi chez lui. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.12.2018. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour une insuffisance cardiaque terminale avec une composante ischémique, valvulaire et dysrythmique, actuellement en situation palliative. Il est envoyé dans notre service par sa médecin généraliste en raison d'une péjoration de sa dyspnée avec un NYHA de stade 4, d'une toux avec des crâchats blanchâtres en augmentation ces derniers jours ainsi qu'une tachycardie. À noter, aucune amélioration avec le retrait des diurétiques chez sa médecin généraliste. Au vu de la clinique et du syndrome inflammatoire présent au laboratoire, on retient un diagnostic d'insuffisance respiratoire partielle probablement sur exacerbation de BPCO et décompensation cardiaque sur tachycardie et dans le contexte infectieux. L'évolution est favorable sous antibiothérapie, prednisone et bronchodilatateurs associés à un traitement diurétique. Le patient est rapidement sevré de l'oxygène et décrit une amélioration de sa dyspnée avec toutefois la persistance de sa dyspnée chronique, connue de longue date. Le Lasix iv peut être sevré avec un relais par Torasémide que nous diminuons progressivement durant l'hospitalisation jusqu'à 60 mg lors de la sortie. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution du poids et des signes de surcharge en ambulatoire et d'adapter le traitement diurétique en conséquence. Durant l'hospitalisation, nous observons une acutisation de l'insuffisance rénale chronique du patient, probablement d'étiologie cardio-rénale, avec une évolution favorable sous diurétique. Après discussion avec le patient, son cardiologue et notre consultant des soins palliatifs, le Dr. X, nous adaptons le traitement du patient dans une optique de prise en charge palliative de sa dyspnée chronique sur cardiopathie mixte avancée avec arrêt de tous les traitements ne participant pas au confort de celui-ci. Le patient exprime sa volonté de retour au domicile avec une prise en charge palliative sur place sans nouvelle réhospitalisation. Dans ce contexte et après discussion avec l'épouse, nous majorons l'encadrement par les soins au domicile à 2x/j avec la reprise du suivi par l'équipe mobile des soins palliatifs. Un protocole d'urgence en cas de dyspnée aiguë est déjà en place. Nous vous proposons de majorer le Lasix du protocole d'urgence à 40 mg en sc, de poursuivre la morphine à 2 mg et de ne mettre l'isoket qu'en cas d'angine de poitrine. Durant le séjour, le patient présente plusieurs épisodes d'hypoglycémie motivant la diminution du traitement d'insulinothérapie avec des cibles au domicile entre 10-20 mmol/. Une VVP sous-cutanée est mise en place au domicile afin de faciliter l'administration du protocole d'urgences. Au vu de crises de gouttes fréquentes chez un patient sous diurétiques, nous maintenons le traitement d'Allopur. Le traitement d'Euthyrox est également maintenu en raison d'un patient encore actif se mobilisant à domicile. Nous vous laissons le soin de réévaluer leur indication en cas de péjoration clinique. Au vu de la bonne évolution, le patient peut rentrer le 14.12.18. Mr. Y nous est transféré depuis la clinique de réhabilitation de l'HFR Meyriez pour un probable état confusionnel aigu d'origine indéterminée le 23.11.2018. Pour rappel, ce patient est hospitalisé dans le cadre d'un déconditionnement important après plusieurs séjours hospitaliers, avec entre autres trois opérations. Sur le plan neurologique, Mr. Y est connu pour un probable syndrome parkinsonien avec démence, des céphalées occasionnelles, un ralentissement psychomoteur, des troubles de la concentration, des hallucinations et un hémisyndrome moteur gauche discret depuis une durée indéterminée. À l'exception de vertiges orthostatiques, il n'y a pas de plainte spontanée concernant les autres systèmes. Avant ses diverses hospitalisations cet été, le patient était autonome à domicile avec son épouse sans aide. Il n'utilisait pas de moyens auxiliaires. Il a deux fils qui sont présents. Le 23.11.2018, le patient présente des mouvements anormaux non caractérisables, observés par son voisin de chambre. À l'arrivée du personnel médico-soignant, Mr. Y est réveillé mais absent, ne répondant initialement pas aux questions et n'exécutant pas les ordres simples. Les pupilles sont isocores et isoréactives, le patient bouge les quatre membres de façon symétrique et aucun mouvement anormal n'est observé. Un bilan biologique est aligné, ne montrant pas de syndrome inflammatoire ni de troubles électrolytiques, hépatiques ou rénaux. Le résidu postmictionnel est à 147 ml, et un statut urinaire est dans la norme. Une constipation est traitée par ajout de laxatifs. Une hémorragie cérébrale peut être exclue par CT. Après amélioration progressive de l'état général, nous retenons initialement un probable état confusionnel aigu. En raison d'une persistance d'hallucinations et selon avis neurologique, un EEG est effectué qui ne montre pas d'éléments épileptiques. Parallèlement à la problématique aiguë, Mr. Y bénéficie d'une réhabilitation précoce intensive avec physiothérapie et ergothérapie. À l'entrée dans notre service, le patient peut effectuer ses transferts avec une aide physique légère (FIM 4/7). Il se déplace avec un rollator et une aide de contact (FIM 4/7). Le Tinneti est à 7/28. À la sortie, il est autonome dans les transferts (FIM 6/7) et se déplace seul avec un rollator sur un périmètre de 200 mètres (FIM 6/7). Le Tinneti est à 18/28. Mr. Y peut être transféré dans l'EMS Le Manoir le 06.12.2018 en état général amélioré. Mr. Y, patient de 50 ans, connu pour migraines, est adressé par le service d'ophtalmologie pour investigation d'une diplopie et suspicion de SEP. Le patient rapporte une diplopie binoculaire horizontale apparue le 20.12.2018 en regardant la télévision (avec ses lunettes), puis à nouveau le 22.12.2018 avec ses lentilles de contact. Il rapporte depuis le 25.12.2018 des vertiges difficilement caractérisables sans nausée ni vomissement et depuis le 27.12.2018 des céphalées périorbitaires droites, d'intensité 3/10 irradiant dans l'hémicrâne droit sans photo-/phonophobie, différentes de ses migraines habituelles, ce qui motive sa consultation aux urgences ophtalmiques. Le patient est connu pour des céphalées péri-orbitaires à droite depuis plusieurs années sans photophobie, sans nausées ni vomissement, non pulsatiles, soulagées par Sumatriptan à la demande. Il est aussi connu pour un antécédent de méningite en 2000 (d'étiologie indéterminée) avec tinnitus bilatéral par la suite et un trouble visuel de type quadranopsie supérieure droite en 1990 spontanément résolutif en 1 mois. Des IRM en 2010 et 2013 (Givision) étaient dans la norme et le Dr. X aurait infirmé une SEP. Le statut neurologique montre une parésie discrète du regard vers la gauche de l'œil gauche avec nystagmus excentrique de haute intensité bilatéral. Une ponction lombaire aux urgences montre une légère protéinorachie. Nos collègues neurologues proposent une hospitalisation pour investigation avec IRM cérébrale. L'examen est dans les limites de la norme et ne montre pas de signe de SEP. Le bilan est complété avec une HbA1c dans la norme, des sérologies HIV, Lyme et syphilis négatives. La TSH, la vitesse de sédimentation et le facteur rhumatoïde sont dans la norme, tout comme la radiographie de thorax. Les facteurs anti-nucléaires, le T Spot TB et les globulines sont en cours lors de la sortie du patient.Aucune indication à un traitement de Solumedrol n'est retenue. Mr. Y sera revu en ophtalmologie le 07.01.2019 avec évaluation pour des lunettes à prisme et il sera convoqué pour un rendez-vous en neurologie à 6 semaines afin de discuter des résultats des différents examens encore en cours. Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.01.2018 et il est averti de son interdiction de conduite jusqu'au rendez-vous ophtalmologique. Mr. Y, 78 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique sur pneumonie à Légionelle, compliqué d'une défaillance multi-organique d'évolution défavorable. Le patient est admis aux soins intensifs pour un choc septique sur pneumonie à Légionelle, confirmé par des antigènes urinaires nécessitant un soutien aminergique important et des corticoïdes à haute dose. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Clarithromycine est débutée puis optimisée par Levofloxacine dès le 01.12.2018. Au niveau respiratoire, il développe une insuffisance respiratoire aiguë mixte, nécessitant une intubation orotrachéale et ventilation mécanique associée à une curarisation profonde, décubitus ventral et administration de NO. Il bénéficie également de bronchoscopies à répétition pour nettoyage bronchique. L'évolution se fait rapidement vers une défaillance multi-organique et une insuffisance rénale anurique nécessitant une hémodiafiltration en continu. L'évolution est malheureusement défavorable avec récidive du syndrome fébrile et des besoins en augmentation de noradrénaline probablement en rapport avec une nouvelle surinfection pulmonaire le 02.12.2018. Au vue des désirs du patient, qui a déjà exprimé de ne pas vouloir être réanimé, ni dialysé, ni intubé, la décision est prise en accord avec la famille d'effectuer des soins de confort. Il décède le 02.12.2018 à 14:50 en présence de sa famille. Une autopsie n'est pas demandée. Mr. Y, patient de 51 ans, connu pour une artériopathie des membres inférieurs ainsi qu'un diabète de type II, et un statut post-amputations des orteils I, IV et V du pied droit sur multiples gangrènes, est envoyé par nos collègues de la diabétologie pour investigation d'une plaie surinfectée au niveau médial du moignon du gros orteil. Une radiographie du pied ne montre pas de signe d'ostéite. Au vu de signes inflammatoires locaux importants avec un écoulement purulent de la plaie, le bilan est complété par une IRM qui montre une ostéomyélite en regard du métatarsien I. En absence de prise en charge chirurgicale immédiate, un traitement empirique par Tazobac est instauré, relayé par du Co-amoxicilline dès le 30.11.2018 suite à la mise en évidence de St. aureus dans les hémocultures prélevées à froid avant le début de l'antibiothérapie. Sur avis infectiologique, un relais par Clindamycine per os est effectué pour une durée totale de 3 mois. Au vu d'une évolution clinique favorable, les orthopédistes ne proposent pas de prise en charge chirurgicale en urgence. Un contrôle est prévu à leur consultation le 12.12.2018. Dans le cadre d'une éventuelle intervention, un bilan angiologique artériel est effectué le 30.11.2018. Celui-ci montre une sténose poplitée à 50% et de multiples sténoses de la tibiale postérieure, seul axe ouvert jusqu'au pied. L'artériographie montre une sténose chronique des artères tibiales antérieures et postérieures avec échec de recanalisation de l'artère tibiale postérieure. À noter toutefois un bon réseau collatéral. Compte tenu d'une bactériémie à Staph. aureus chez un patient porteur de valve aortique mécanique, des hémocultures à froid sont prélevées pendant 3 jours, revenant toutes négatives. L'ETO effectué suite à une suspicion de lésion hypoéchogène de l'anneau aortique à l'ETT permet d'exclure une endocardite. L'anticoagulation par Sintrom pour la prothèse valvulaire aortique est mise en pause à l'admission au vu d'un INR supra-thérapeutique avec un relais par énoxaparine thérapeutique en vue d'une éventuelle intervention orthopédique envisagée lors de l'hospitalisation. Le Sintrom est repris pour la sortie. Nous vous laissons le soin de stopper la Clexane dès obtention de 2 INR thérapeutiques. Durant l'hospitalisation, le patient présente un profil tensionnel élevé motivant la majoration du traitement. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution de la tension en ambulatoire et adapter le traitement en conséquence. À l'admission, le patient présente une insuffisance rénale pré-rénale dans le contexte infectieux qui évolue favorablement après stimulation hydrique. Un contrôle est à prévoir le 11.12.2018 suite à l'artériographie. Mr. Y peut rentrer à domicile le 08.12.2018 en bon état général. Son épouse s'occupera des réfections quotidiennes de pansement à domicile. Mr. Y nous est adressé des soins intensifs de l'HFR Fribourg le 27.11.2018 pour suite de prise en charge post-coronarographie avec angioplastie dans le contexte d'un NSTEMI subaigu. À l'admission dans notre service, le patient est hémodynamiquement stable et afébrile. Il n'a pas de plainte et ne rapporte aucune douleur. Le point de ponction fémoral est calme et sans souffle. Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie. L'évolution étant favorable, sans récidive de douleur thoracique ni de dyspnée, Mr. Y peut regagner son domicile le 29.11.2018. Il sera convoqué à domicile pour une réadaptation cardio-vasculaire en ambulatoire à l'HFR Billens. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est adressé aux urgences par l'infirmière à domicile le 09.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général et d'une dyspnée. À l'admission, le patient ne rapporte pas de plainte. À noter une avulsion dentaire avec arrêt du Sintrom, repris il y a 7 jours. Le patient est souvent désorienté selon sa famille. Il vit seul à domicile avec passage de l'aide à domicile 2 fois par jour. Il ne sort pas de chez lui, fait seulement quelques pas dans la maison. Au status, Mr. Y est en état général conservé. Il est normotendu à 120/72 mmHg, normocarde à 72/min, afébrile et désaturé à 84% à l'air ambiant. L'auscultation cardiaque est normale, pas de turgescence jugulaire ni de reflux hépato-jugulaire. Il a des œdèmes des membres inférieurs plus marqués à gauche prenant le godet, connus de longue date. Au niveau respiratoire, il est dyspnéique et tachypnéique (>30/min), il y a un tirage et quelques crépitants aux deux bases. Au status neurologique, le patient est désorienté, les pupilles sont isocores et isoréactives, la force et la sensibilité sont conservées aux 4 membres. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Nous concluons à une probable décompensation cardiaque globale avec un NT proBNP à 11599 ng/l, une dyspnée en péjoration depuis quelques semaines avec insuffisance respiratoire partielle (pH: 7.50, pCO2: 3.5 kPa, PO2: 8.1 kPa) et des œdèmes des membres inférieurs. L'ECG révèle un bloc de branche gauche nouveau. Nous réalisons deux trains de troponine sans cinétique, ce qui exclut un infarctus myocardique. Une embolie pulmonaire est très peu probable avec un INR supra-thérapeutique. Aux urgences, il présente une tension artérielle à 170/130 mmHg probablement majorée par la pose de la sonde vésicale. Après 2 pushs d'isoket, les tensions s'améliorent.Nous constatons une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement mixte, prérénale, rénale et postrénale avec petit globe de ~200 ml post-mictionnel. Nous suspendons les traitements néphrotoxiques et posons une sonde vésicale. Aux urgences, nous mettons en place un traitement de Lasix 20 mg 3x/jour iv et de l'oxygénothérapie. Pendant la première nuit dans notre service, le patient est très agité et il arrache le venflon et la sonde vésicale. Le lendemain, la sonde vésicale est remise, mais nous décidons de ne pas remettre de venflon et relayer le traitement diurétique par Torem 20 mg per os. À l'étage, l'évolution est d'abord favorable du point de vue cardiologique, avec un rapide sevrage possible de l'oxygène et du point de vue psychique, avec un patient qui devient calme et collaborant. Le contrôle biologique du 12.12.2018 montre une CRP en augmentation à 160 mg/l, avec une leucocytose à 18 G/l. Le patient reste afébrile et vu l'absence de pistes infectieuses, nous prélevons un urotube qui montre la présence de Klebsiella dans les urines. Le patient reste toujours asymptomatique et afébrile, nous n'introduisons donc pas de traitement antibiotique. Toutefois, le 14.12.2018, en raison d'un état d'agitation, nous débutons une antibiothérapie par Bactrim per os. Le patient devient cependant de plus en plus confus et agité, et nous notons une importante péjoration de l'état général. Mr. Y décède le 15.12.2108 à 00h15. Mr. Y nous a été adressé pour une fatigue et somnolence diurne chronique, rendant le travail et la conduite difficiles, et une irascibilité importante, raison pour laquelle une polygraphie diagnostique avait été organisée en début août 2018. Elle confirmait un syndrome d'apnées/hypopnées du sommeil de degré très sévère (IAH initial à 101/h) avec une nette prédominance d'apnées d'origine centrale. Une mise sous CPAP (pression 8/16 cmH2O) est organisée dans notre laboratoire du sommeil en août 2018 avec une nette amélioration du nombre d'événements (IAH résiduel à 25/h). Nous modifions les pressions à 8/12 cmH2O et le revoyons 1 mois plus tard en contrôle. Les résultats à ce moment-là sont semblables avec persistance des événements centraux et la fatigue et somnolence n'ont que peu diminué malgré une bonne compliance du port de la CPAP durant 4 mois. Raison pour laquelle nous proposons une hospitalisation dans notre service du sommeil pour effectuer une capnographie nocturne et mettre une CPAP à pression fixe. Mr. Y explique travailler de jours principalement comme infirmier et depuis peu d'années comme ICUS en plus. Souvent, il rentre du travail et s'endort vers 19 heures devant la télévision, se réveille vers 22 heures et ne peut plus se rendormir une fois au lit durant de nombreuses heures. Il se sent très stressé par son travail, a fréquemment des ruminations durant la nuit (dort avec un bloc-note sur son chevet pour noter les choses à ne pas oublier durant la journée lorsqu'il se réveille pendant la nuit), se réveille parfois à cause de douleurs articulaires ou pour aller uriner, avec d'importantes difficultés à se rendormir. Il ne présente pas de symptôme de jambes sans repos ou autre parasomnie. N'a plus de réveil dyspnéique depuis la mise sous CPAP. Il a essayé de nombreux traitements (dormicum, tranxilium, plantes, fleurs de bach, sans effet bénéfique sur son sommeil). Il dit se sentir également plus sensible depuis quelques mois dans des situations qui ne l'auraient pas forcément affecté auparavant. Mr. Y avait consulté un psychiatre il y a de nombreuses années pour un état dépressif suite à son arrivée en Suisse et avait été traité durant quelques mois avec des antidépresseurs. Les fonctions pulmonaires et la gazométrie sont normales. La polygraphie nocturne sous CPAP à pression fixe montre un résultat stable par rapport à la polygraphie d'octobre 2018 avec un IAH résiduel à 21.8/h et des événements obstructifs et centraux surtout présents après les mouvements. La capnographie est normale avec une SpO2 moyenne de 97 % et une tcpCO2 moyenne de 5.4 kPa. Au vu des événements rapportés après discussion avec Mr. Y, nous suspectons la présence d'un trouble anxio-dépressif chez un patient avec antécédent de dépression. Effectivement, il relate une mauvaise hygiène du sommeil, de fréquentes ruminations nocturnes, beaucoup de stress lié à sa fonction d'infirmier et surtout d'ICUS au home, et une sensibilité exacerbée nouvelle réactive à des événements mineurs. Raison pour laquelle nous l'adressons, avec son accord, chez Dr. X pour la suite de la prise en charge. Nous vous remercions de bien vouloir convoquer le patient. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 15.11.2018 suite à un double pontage aorto-coronarien le 08.11.2018 par Dr. X à la Clinique Beau-site. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100mg 1x/jour • Coversum combi 5/1.25 mg 1x/jour • Gliclazid retard 60 mg 1.5 comprimé 1x/jour • Metfin 1000 mg 2x/jour • Pravastatine 20 mg 1x/jour • Beloc Zok 25 mg 1x/jour • Dafalgan 500 mg en R 4x/jour si douleurs • Victoza 1.8 mg 1x/jour • Tresiba Flextouch 18 U 1x/jour Durant son séjour, nous stoppons le traitement de Gliclazide pour protéger le patient lors de ses efforts et adaptons les glycémies avec un schéma d'insuline rapide. Sous traitement d'insuline lente et rapide associé à un analogue du GLP-1, les glycémies du patient sont contrôlées. Nous proposons au patient une aide à domicile pour le contrôle de son diabète dans un premier temps, que nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 4.5 km/h sur une pente de 3.5 % pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 135 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 4.4 mmol/L, des HDL à 1.05 mmol/L, des LDL à 3.07 mmol/L, des triglycérides à 1.79 mmol/L. 2. Patient tabagique en cours de sevrage. Il a montré beaucoup d'intérêt lors des entretiens avec notre tabacologue, Dr. X. Les situations à risque et les stratégies de prévention de la rechute ont été rediscutées. Elle reverra le patient à sa consultation dans 2 semaines. 3. Sous traitement, les tensions artérielles du patient sont dans la norme. Mr. Y, 69 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc hypovolémique sur diarrhées compliquées d'une insuffisance rénale AKIN 3. Il est connu pour un myélome multiple avec une insuffisance rénale et un antécédent de sepsis à E. Coli sur translocation bactérienne et thrombose septique de la veine mésentérique inférieure. Il est actuellement traité par Velcade et Prednisone pour son myélome. Il présente une toux avec expectoration et diarrhées depuis plusieurs jours sans douleur abdominale. Il est admis aux urgences pour un tableau de choc nécessitant un remplissage et la mise en place d'un soutien aminergique par noradrénaline. Le scanner thoracique et abdominal, réalisé sans injection de produit de contraste en raison de la fonction rénale, retrouve un status post-sigmoïdectomie avec anastomose colorectale étanche. En revanche, apparition d'une pneumatose pariétale dans un segment de 7 cm, qui s'étend en amont et en aval de l'anastomose, sans autre signe franc d'atteinte ischémique. Un traitement conservateur est préconisé par nos collègues chirurgiens et une antibiothérapie par Tazobac est instaurée. L'évolution digestive par la suite est favorable.En raison de l'antécédent de thrombose mésentérique récent, il est décidé de reprendre l'anticoagulation thérapeutique. La réalisation d'un scanner abdominal avec injection de produit de contraste est à discuter en fonction de l'évolution clinique. Sur le plan pulmonaire, le CT thoracique met en évidence des signes de bronchite/bronchiolite aux bases pulmonaires. L'évolution pulmonaire est rapidement favorable sous physiothérapie. Les expectorations reviennent positives à E. Coli, une rétrogradation de l'antibiothérapie par Rocéphine est effectuée. Le patient présente à l'arrivée une insuffisance rénale aiguë sévère AKIN 3 d'origine pré-rénale dans le contexte du choc hypovolémique et possiblement septique. Au vu de la réponse différée au remplissage, une composante de nécrose tubulaire aiguë est possible sur une hypovolémie prolongée. Une atteinte tubulaire en lien avec le traitement de Zometa n'est pas exclue. L'absence de protéinurie urinaire parle en défaveur d'une complication du myélome multiple. La fonction rénale s'améliore après remplissage et alcalinisation des urines à partir du 30.11.2018 avec une phase de polyurie. Devant l'évolution clinique favorable, le patient est transféré en médecine le 01.12.2018. Mr. Y est un sportif de 32 ans, qui depuis environ 2 ans est devenu fortement passionné par l'ultra-trail et qui se fixe des objectifs de plus en plus élevés mettant son corps à un effort soutenu. L'intensification rapide de ses entraînements a déclenché un syndrome des loges aux jambes à nette prédominance droite. Il présente également un syndrome fémoro-patellaire bilatéral et finalement une hypersollicitation du muscle pyramidal à l'origine de fausses sciatalgies bilatérales. Dans ces conditions, et chez ce sportif très demandeur, nous instaurons une prise en charge multimodale. Nous commençons par la réalisation de radiographies des genoux et de la jambe droite, essentiellement pour rassurer le patient qui a une forte appréhension quant à la survenue d'une fracture de fatigue. Par la suite, nous avons fait une analyse de la course à pied chez un podologue spécialisé avec confection de supports plantaires. Nous avons également fait le tri des différentes chaussures qu'utilise Mr. Y pendant les entraînements et ses compétitions. Notre physiothérapeute du sport va prendre en charge le patient pour des conseils sur la répartition de ses entraînements, un travail excentrique pour le stretching du triceps sural ainsi que des techniques d'étirement des membres inférieurs et un renforcement musculaire des vastes médiaux. Nous avons également adressé Mr. Y chez un spécialiste en diagnostic et performances afin de le coacher dans ses entraînements. Mr. Y aura une mesure de la VO2 max le 07.01.2019, suivi du coaching. Après plusieurs entretiens et plusieurs téléphones, nous arrivons finalement à rassurer Mr. Y qui peut continuer son activité sportive sereinement. Nous allons le suivre régulièrement durant l'année 2019. Mr. Y est adressé aux urgences le 12.12.2018 par le Dr. X, médecin de garde, en raison de troubles mnésiques en péjoration et d'une agressivité. La famille décrit également des troubles du comportement avec une diminution des activités quotidiennes. Le patient peut par contre effectuer ses activités de la vie quotidienne lorsqu'on le stimule (notamment lorsque sa femme lui donne une tâche à effectuer). Il tient des propos inhabituels. À noter que vous l'avez adressé dans ce contexte chez le Dr. X, neurologue, le matin de l'hospitalisation et qu'une IRM neurocrâne est agendée pour le 17.12.2018. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Au status neurologique, Glasgow à 14/15, Mr. Y est désorienté dans le temps. Les pupilles sont en myosis, réactives bilatéralement. Ptérygion de l'œil droit. Les nerfs crâniens sont sans particularité. La force est à M5 aux membres supérieurs, M4+ aux membres inférieurs. La sensibilité et le tonus sont conservés aux 4 membres. Les réflexes sont vifs et symétriques aux 4 membres. L'épreuve des bras tendus et talon-genou est sans particularité. Pas d'adiadococinésie. L'épreuve de Barré est tenue. Mingazzini et Romberg tenus et stables. Au niveau cardiovasculaire, présence de légers œdèmes des membres inférieurs. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une insuffisance rénale aiguë avec une créatinine à 178 mcg/l, sans troubles électrolytiques, ni de syndrome inflammatoire. Hémoglobine dans la norme à 131 g/l, pas de trouble de la crase. Le sédiment urinaire est propre avec la présence de cylindres hyalins. L'ECG et la radiographie du thorax sont sans particularité. Un ultrason de la vessie montre 150 ml d'urine. Mr. Y est hospitalisé pour hydratation et investigations complémentaires. Nous contactons le Dr. X qui retient, au niveau cognitif, le diagnostic de troubles cognitifs sévères avec suspicion d'une démence d'Alzheimer. Le soir du 13.12.2018 et durant la nuit du 13 au 14.12.2018, le patient est très agité. Il déambule dans le couloir, entre dans les chambres des autres patients et cherche à partir de l'hôpital. Nous administrons de l'Haldol sous-cutané, sans résultat. Nous contactons la Dr. X pour une évaluation psychiatrique. Un transfert au RFSM CSH Marsens est refusé en raison de l'insuffisance rénale aiguë et d'un manque de place. Mr. Y reste donc hospitalisé dans notre service avec mesures de contrainte par ceinture et drap Zewi. La famille en est informée et les accepte. Malgré ces mesures, le patient arrive à sortir de son lit et arrache à plusieurs reprises son venflon. Nous administrons 4 mg d'Haldol et 1 mg de Valium durant la nuit. Le laboratoire de contrôle du 14.12.2018 au matin montre une amélioration de la fonction rénale. Durant la matinée, le patient reste calme dans sa chambre, mais l'après-midi, il recommence à s'agiter, à déambuler dans le corridor et à entrer dans les autres chambres. Mr. Y est réévalué par la Dr. X et un transfert en psychogériatrie au RFSM CSH Marsens en ambulance est effectué, sous PAFA au vu de l'état cognitif, en accord et en présence de sa famille. Mr. Y nous est adressé pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un STEMI inférieur survenu le 09.11.2018. Pour rappel, le patient présente une douleur thoracique vers 7h au matin du 09.11.2018, qui s'intensifie et devient insupportable. Les ambulanciers observent des ondes de Pardee à l'ECG et déclenchent le fast-track coronarographie. Le patient reçoit une dose de charge d'Aspirine, Prasugrel et Héparine. Une occlusion de l'artère circonflexe droite proximale est objectivée avec bonne reperfusion par un stent actif. Une autre sténose (artère circonflexe proximale) est mise en évidence et nécessitera un traitement ultérieur. Le patient fait une fibrillation ventriculaire au cours de l'examen suite à l'administration d'Atropine, nécessitant un choc, avec reprise d'un rythme sinusal par la suite. Il ne présente plus de douleur thoracique après l'examen et l'ECG de contrôle à 24h est sans particularité. Une double antiagrégation par Aspirine et Efient est introduite pour une année ainsi que du Lisinopril, de l'Atorvastatine et un bétabloquant faiblement dosé.Le patient est progressivement mobilisé par les physiothérapeutes selon le protocole. Un contrôle dans un mois est prévu chez Dr. X ainsi qu'une coronarographie dans 3 mois avec ventriculographie (suivi FEVG) et une revascularisation d'une lésion focale de la RCx moyenne. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg 1-0-0-0 • Atorvastatine 40 mg 0-0-1-0 • Beloc Zok ret 25 mg 0.5-1-0-0 • Efient 10 mg 1-0-0-0 • Lisinopril 20 mg 1-0-0-0 • Tamsulosine 0.4 mg 1-0-0-0 • Dafalgan 1 g cpr 1 cpr si douleurs, max 4/jours • Movicol 1 sachet si constipation • Temesta expidet 1 mg 0.5 cpr, max 3x/24h, 4h, si agitation Le 27.11.2018 vers 14h30, le patient présente une douleur rétro-sternale constructive typique de repos. L'ECG réalisé montre une négativation des ondes T de V4 à V6 par rapport à l'ECG d'entrée. Le test aux dérivés nitrés est positif puisque la douleur s'estompe légèrement après l'administration d'une bouffée d'isosorbide (sans normalisation de l'ECG) puis disparaît 15 minutes après la mise en place d'un patch de 5 mg. Un transfert vers les urgences de l'HFR Fribourg est demandé pour la suite de la prise en charge et des examens complémentaires. Mr. Y nous est réadressé pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un STEMI inférieur survenu le 09.11.2018, compliqué d'un NSTEMI lors de son 1er séjour dans notre centre le 27.11.2018. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Efient 10 mg, Beloc Zok retard 25 mg, Lisinopril 20 mg, Atorvastatine 40 mg, Tamsulosine retard 0.4 mg. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant 25 minutes à une intensité de 87 W sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 100 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risque cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Au bilan lipidique de sortie, on retrouve un LDL à 1.24 mmol/L, un HDL à 1 mmol/L et des triglycérides à 0.77 mmol/L. À l'examen clinique de sortie, status normo-compensation avec une pression artérielle de 123/70 mmHg et une FC à 67 bpm. Mr. Y, patient de 76 ans, hospitalisé dans le service de réadaptation cardio-vasculaire de Billens suite à un STEMI le 09.11.2018, sur maladie bitronculaire avec occlusion thrombotique de l'artère coronaire droite proximale traitée par PCI, nous est renvoyé le 27.11.2018 pour suspicion de NSTEMI. Le patient rapporte cette fois des douleurs rétro-sternales avec oppressions, apparues au repos, d'une durée de 15 min, similaires à celles du 09.11 mais moins intenses, sans dyspnée associée, répondant bien aux nitrés. Le status d'entrée montre un patient hémodynamiquement stable avec un status cardio-pulmonaire dans la norme. L'ECG effectué à Billens montre une inversion des ondes T en V5-V6 et le cardiologue propose une hospitalisation avec nouvelle coronarographie. Le patient bénéficie le 28.11.2018 d'une angioplastie de l'artère circonflexe avec pose de stent actif. La coronarographie montre également un excellent résultat après PCI de l'ACD après 2 semaines avec normalisation de la fonction VG systolique. Le double traitement d'antiagrégation est poursuivi et le patient aura un contrôle à 1 mois chez Dr. X. Mr. Y ne présente pas de douleur à la suite du geste, le point de ponction est calme et il se mobilise sans aide. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement le 03.12.2018 en attente d'un transfert en réhabilitation cardio-vasculaire à Billens. Vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 05.11.2018 suite à un triple pontage coronarien le 18.10.2018 dans le contexte d'une maladie tritronculaire connue depuis 2006 qui avait nécessité la pose de stents au niveau de l'artère interventriculaire antérieure, de la coronaire droite distale et de la circonflexe moyenne. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine Cardio 100 mg, Duofer 1 cp, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25 mg, Lisinopril 10 mg, Ibuprophène 400 mg 2x/jour jusqu'au 7.11.2018, Dafalgan effervescent 1 g 4x/jour, Tramal 100 mg/ml, 50 mg en R si douleurs max 4x/jour, Tramal R 100 mg 2x/jour, Movicol sachet en réserve max 2x/jour si constipation, Nexium 40 mg, Supradyn Energy effervescent 1x/jour, Xyzal 5 mg. Durant son séjour, le patient se plaint de douleurs thoraciques bilatérales importantes concordantes avec le status post-opération cardiaque additionné à l'utilisation des deux artères mammaires durant l'opération. Nous ajustons son antalgie avec administration d'un patch de Fentanyl 25 mcg du 06. au 22.11.2018 avec un relais par du Fentanyl 12 mcg dès le 23.11.2018 et addition de Novalgine en réserve. De plus, le patient décrit une orthopnée nocturne sur la nuit du 06.11 au 07.11.2018. À l'auscultation cardiaque, on retrouve un frottement péricardique nouveau, raison pour laquelle une échocardiographie est réalisée le 07.11.2018. Celle-ci est compatible avec une péricardite. L'échocardiographie réalisée par Dr. X ne met pas d'épanchement péricardique en évidence et nous réintroduisons le traitement de Brufen 400 mg 2x/jour. Sur le plan respiratoire, le patient se plaint d'une dyspnée au repos avec des difficultés à prendre de grandes inspirations. Nous réalisons une oxymétrie qui revient dans la norme. Au vu de la persistance de la dyspnée, nous réalisons une gazométrie le 23.11.2018 qui montre des valeurs normales avec un PH à 7.4, une pCO2 à 4.69 kPa, une pO2 à 17.2 kPa avec des bicarbonates à 21.5 mmol/L et un excès de base à 2.3 mmol/L. La dyspnée du patient est le plus probablement en lien avec son status post-triple pontage coronarien avec sternotomie dans un contexte d'hypoventilation antalgique exacerbée en position de décubitus dorsal. Sur le plan hématologique, le patient présente une anémie normocytaire normochrome à 86 G/L le 05.11.2018 d'origine probablement post-opératoire. Au vu de la persistance d'une hémoglobine inférieure à la norme et du patient qui décrit une fatigue généralisée, nous administrons du Ferinject 500 mg le 23.11.2018. Nous laissons le soin à son médecin traitant de contrôler l'hémoglobine environ une semaine après sa sortie. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long de son séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant à une vitesse de 4.5 km/h sur une pente de 2-3 % pendant 28 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 130 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l'effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants :• Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.7 mmol/L, des HDL à 0.68 mmol/L, des LDL à 1.7 mmol/L, des triglycérides à 1.06 mmol/L. • Le patient poursuit son sevrage tabagique depuis 2006. • La FC et la tension artérielle du patient sont stables tout au long de son séjour. • Mr. Y est un patient de 47 ans, aux antécédents sus-mentionnés, qui est hospitalisé électivement afin de bénéficier d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 17.12.2018. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples avec un patient qui reste apyrétique et bien soulagé au niveau algique par la prescription standard. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 19.12.2018. Il sera revu pour un contrôle à la consultation du Dr. X le 17.01.2019 à 09h40. • Mr. Y, patient de 81 ans connu pour des antécédents de tachyarythmies supraventriculaires (TSV, Flutter), une AOMI de stade III, un syndrome de dépendance à l'alcool et IRC de stade G4, est amené en ambulance le 16.12.2018 en raison d'un malaise survenu à domicile ce matin en présence de sa fille, faisant suite à une ingestion importante d'eau de vie la veille. Une hypoglycémie à 0.8 mmol/L, recontrôlée à 0.9 mmol/L, est mise en évidence sur site par les secours, motivant l'administration de sucre oral. De plus, le patient présente une tachycardie supraventriculaire, nécessitant plusieurs tentatives de manœuvres de Valsalva, restées infructueuses. La tachycardie se cardioverse spontanément aux urgences. Le patient est hospitalisé et une hydratation intraveineuse par NaCl ainsi que des substitutions intraveineuses de glucose et de magnésium sont introduites. De plus, une reprise du traitement de bêtabloquant est effectuée chez ce patient non compliant médicamenteusement affirmant avoir arrêté progressivement ses traitements et ne plus faire de contrôle de TP depuis environ 2 mois. A l'étage, le patient fait une chute de sa hauteur avec traumatisme crânien le 17.12.2018. En raison d'un INR supra-thérapeutique, un CT cérébral est effectué en urgence, ne mettant pas en évidence de fracture ou d'hémorragies. En raison d'un syndrome de dépendance à l'alcool, un traitement par Seresta est mis en place et un avis psychiatrique est demandé le 18.12.2018. Un sevrage est entamé le 20.12.2018 et complété le 22.12.2018, avec une bonne réponse somatique du patient. Au vu d'une situation à domicile compliquée avec sa fille, de sa dépendance à l'alcool avec un comportement non compliant et d'un syndrome démentiel suspecté par la réalisation d'un MOCA Test (15/30), un placement en EMS est décidé en accord avec le patient et sa fille. Notre service de liaison a donc réactivé les inscriptions déjà faites par Mr. Y dans plusieurs EMS du canton. En attendant une place en EMS, Mr. Y peut rentrer à domicile le 22.12.2018 en état de santé satisfaisant et prendra rendez-vous avec son médecin traitant pour une adaptation au long terme de ses différents traitements. • Mr. Y, patient de 86 ans connu pour un BAV 2e degré type Mobitz II, est hospitalisé pour la pose d'un pacemaker prévu en électif. Le geste se déroule sans particularité avec un contrôle radiologique qui ne met pas en évidence de complication majeure. Un contrôle de la cicatrice est prévu à 10 jours chez son médecin traitant. Un suivi chez le Dr. X est prévu en février 2019. Le patient regagne son domicile le 14.12.2018. • Mr. Y, âgé de 21 ans, en bonne santé habituelle, est adressé aux urgences par son médecin traitant en raison de douleurs abdominales, associées à des brûlures mictionnelles, pollakiurie sans état fébrile et une diurèse conservée. En raison d'un diagnostic de lithiase urinaire droite hyperalgique sans argument pour une prise en charge chirurgicale, nous hospitalisons le patient. Parallèlement, nous suspectons radiologiquement une maladie de la jonction pyélo-urétérale droite. Sur avis Dr. X, le patient sera revu à sa consultation pour la suite de la prise en charge. L'évolution est favorable et le patient peut rentrer à domicile le 06.12.2018. • Mr. Y est un patient de 76 ans, connu pour un adénocarcinome de type colorectal du sigmoïde distal stade IV et une BPCO, qui est conduit aux urgences en raison d'une asthénie avec dyspnée et douleurs abdominales progressant depuis 13 jours. Aux urgences, le patient présente un état de choc avec hypoxie hypocapnique et important syndrome inflammatoire. Malgré l'absence de foyer pulmonaire franc à la radiographie du thorax, un choc septique sur origine pulmonaire est suspecté, avec début d'antibiothérapie empirique par Cefepime 2g iv et remplissage vasculaire rapide. La réponse clinique est favorable et le patient est hospitalisé en médecine interne. Lors de son admission, malgré le tableau oncologique avancé, le patient exprime le souhait d'investigations complémentaires, motivant la réalisation d'un scanner thoraco-abdominal. Ce dernier met en évidence une progression tumorale avec métastase hépatique nécrosée fistulisant avec le duodénum ainsi qu'une dilatation des anses intestinales après ingestion de produit de contraste et infiltrats pulmonaires du poumon droit. Sur avis du Dr. X, aucune mesure chirurgicale n'est envisageable et la mise en place d'une sonde nasogastrique de décharge à but symptomatique ainsi que des soins de confort sont proposés. Une antibiothérapie par Metronidazole 500 mg 3x/j est également administrée du 01 au 09.12.2018 en concomitance avec le traitement par Céfépime. Sur le plan oncologique, après discussion avec le Prof. X, le traitement oncologique par 5-FU et Avastin est arrêté, ce dernier probablement responsable de la nécrose hépatique avec fistule duodénale. Au vu du contexte clinique, un transfert aux Soins Palliatifs est décidé en équipe multidisciplinaire et après discussion avec le patient et ses proches. Dans l'intervalle, sur avis du Dr. X, palliétologue, le traitement est adapté par introduction de Pantoprazol, Buscopan et Morphine, permettant de soulager les symptômes d'inconfort abdominal. Le patient bénéficie également d'un traitement par bronchodilatateurs et d'une physiothérapie respiratoire à but symptomatique. En raison d'une péjoration de l'état clinique, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service de médecine et décède le 17.12.2018 en présence de ses proches.Lors de son admission, malgré le tableau oncologique avancé, le patient exprime le souhait d'investigations complémentaires, motivant la réalisation d'un scanner thoraco-abdominal. Ce dernier met en évidence une progression tumorale avec métastase hépatique nécrosée fistulisant avec le duodénum ainsi qu'une dilatation des anses intestinales après ingestion de produit de contraste et infiltrats pulmonaires du poumon droit. Sur avis du Dr. X, aucune mesure chirurgicale n'est envisageable et la mise en place d'une sonde nasogastrique de décharge à but symptomatique ainsi que des soins de confort sont proposés. Une antibiothérapie par Metronidazole 500 mg 3x/j est de même administrée du 1.12.2018 au 9.12.2018 en concomitance au traitement par Céfépime. Sur le plan oncologique, après discussion avec le Prof. X, tout traitement oncologique par 5-FU et Avastin est arrêté, ce dernier probablement responsable de la nécrose hépatique avec fistule duodénale. Au vu du contexte clinique, un transfert au Service de Soins Palliatifs est décidé en équipe multidisciplinaire et après discussion avec le patient et ses proches. Dans l'intervalle, selon avis du Dr. X, palliétologue, le traitement est adapté par introduction de Pantoprazol, Buscopan et Morphine, permettant de soulager les symptômes d'inconfort abdominal. Le patient bénéficie également d'un traitement par bronchodilatateurs et d'une physiothérapie respiratoire à but symptomatique. En raison d'une péjoration de l'état clinique, le patient reste hospitalisé dans notre service de médecine et décède le 17.12.2018 à 16h54 en présence de ses proches. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Mr. Y, patient de 80 ans, connu pour une cardiopathie rythmique et ischémique, est adressé après avis cardiologique pour une suspicion de décompensation cardiaque. Le patient présente des douleurs thoraciques, sous forme de serrement, depuis environ 10 jours en péjoration, ainsi qu'une dyspnée NYHA II-III. Le patient aurait pris 2 kg en 2 mois (poids habituel : 82 kg) avec apparition d'oedèmes des membres inférieurs. Vu la présentation clinique et radiologique, nous retenons le diagnostic de décompensation cardiaque droite. En accord avec nos collègues de la cardiologie, Mr. Y est hospitalisé pour un traitement diurétique. Une ETT montre une fraction d'éjection du ventricule gauche à 65%. Le patient se présentant hypertendu à 170 mmHg, nous suspectons une hypertension artérielle mal contrôlée comme cause de cette décompensation. Un traitement par Lisinopril 5 mg est introduit ainsi que Torasémide avec bonne tolérance. Au vu des douleurs typiques, sans anomalie électrocardiographique nouvelle, une coronarographie est réalisée le 24.12.2018 avec mise en évidence d'un excellent résultat après stenting de l'IVA en mai 2018, sous nouvelles lésions significatives mises en évidence. Selon l'histoire familiale actuelle, nous attribuons les douleurs thoraciques au contexte anxieux. Le Sintrom est relayé par de la Clexane à dose thérapeutique avant la coronarographie puis repris à la sortie. Au vu de l'amélioration clinique, le patient peut rentrer à domicile le 24.12.2018. Mr. Y présente des douleurs aspécifiques du genou gauche depuis son accident du 2.8.2017. Je n'ai pas d'explication pour les douleurs, raison pour laquelle je propose de répéter l'IRM native du genou le 17.12.2018. Comme potentiel diagnostic, je retiens une boursite chronique pré-patellaire. Le patient sera revu le 11.1.2019 pour discuter des résultats et du traitement. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 17.12.2018 pour un STEMI antérieur sur une occlusion aiguë de l'IVA moyenne. Le patient se réveille vers 2h du matin avec des douleurs thoraciques typiques. La coronarographie révèle une cardiopathie ischémique monotronculaire avec une occlusion de l'artère interventriculaire antérieure moyenne qui est traitée par angioplastie et mise en place de deux stents actifs. La fonction systolique du VG est légèrement diminuée avec une hypokinésie antéro-apicale. La surveillance s'avère sans complications hormis un hématome au point de ponction qui reste stable. Le bilan angiographique ne montre pas de saignement actif. Une double antigrégation plaquettaire par aspirine à vie et prasugrel pour 12 mois est instaurée. Un traitement par bêtabloquant et IEC est débuté avec une bonne tolérance hémodynamique. Une échocardiographie est demandée. Une réhabilitation cardiologique est à organiser ainsi qu'un test d'effort dans 06 mois. Le patient est transféré en médecine interne le 18.12.2018 pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 70 ans, connu pour un antécédent de pancréatite biliaire sévère en septembre 2018, raison pour laquelle il avait bénéficié d'une mise en place d'un stent cholédocien par ERCP le 20.09.2018. Le patient est hospitalisé en électif afin de bénéficier de l'ablation du stent par ERCP le 17.12.2018 et d'une cholécystectomie laparoscopique le 18.12.2018. Les interventions se déroulent sans complications notables et les suites opératoires sont simples. En raison de la bonne évolution clinico-biologique, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 19.12.2018. Il sera revu pour un contrôle à la consultation du Prof. X le 28.01.2019 à 09h00. Mr. Y est un patient de 46 ans, connu pour un asthme bronchique, qui nous est adressé par le Dr. X le 11.12.2018 en raison d'un ulcère pénien avec écoulement purulent suite à une injection sous-cutanée à la base du pénis d'un produit à but d'élargir le pénis. Une antibiothérapie empirique par Co-Amoxicilline avait été mise en place le 09.12.2018, que nous relayons par Tienam intraveineux le 11.12.2018. Le 12.12.2018, un 2ème abcès se démasque à la face dorsale de la base pénienne qui est incisé sous anesthésie locale. La bactériologie du liquide d'abcès revient positive pour E. coli et entérocoques multisensibles, raison pour laquelle nous relayons l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline le 13.12.2018. Les suites sont favorables avec une diminution d'écoulement permettant un relais par voie orale de l'antibiothérapie et un retour à domicile le 16.12.2018. Mr. Y est hospitalisé pour la pose d'un pacemaker double chambre DDD pour bloc AV Mobitz 2ème degré type 1 symptomatique. La pose se déroule sans complication. La radiographie post-opératoire confirme la bonne tenue de l'intervention. Un contrôle de la plaie aura lieu en cardiologie dans 10 jours, et un contrôle du pacemaker dans 4-6 semaines. Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.12.2018. Mr. Y est un patient de 66 ans hospitalisé le 06.12.2018 en vue d'une cure d'éventration sus-ombilicale par filet Progrip, intervention réalisée ce même jour par le Dr. X, sans complication, avec mise en place d'un filet Progrip. Les suites post-opératoires immédiates sont rassurantes, avec reprise bien tolérée de la mobilisation et de l'alimentation. Le 07.12.2018, Mr. Y présente un globe urinaire nécessitant la mise en place d'une sonde vésicale, retirée le même jour après amélioration de la symptomatologie. Après plusieurs tentatives de diurèse sans succès malgré une hydratation orale abondante et en raison de fortes douleurs ressenties par le patient, nous mettons en place une nouvelle sonde vésicale le 08.12.2018, avec bonne réponse sur la symptomatologie. Devant la bonne évolution clinique, Mr. Y peut retourner à domicile le 08.12.2018 avec la sonde vésicale en place. Le patient contactera son urologue traitant, Dr. X, dès son retour à domicile. Aucune antibiothérapie n'est prescrite à la sortie.Mr. Y, le patient de 18 ans, qui est en bonne santé habituellement, en trottinette ce matin vers 6h50, à 30 km/h environ, heurte un objet qu'il n'a pas vu et chute. Réception sur l'épaule sur la face latérale de l'épaule gauche. Pas de TC, pas de PC, et pas d'AC. Pas de douleur cervicale. Pas de plaie ni dermabrasion. Pas de fourmillement. N'arrive pas à bouger l'épaule gauche. Pas de touche de piano. Le patient a pris un comprimé de Dafalgan 1 g et tramal 50 mg. Mr. Y, 39 ans, connu pour une maladie auto-immune non spécifique ainsi qu'un antécédent de NSTEMI et d'AVC en 2014, sorti le 30.11.2018 d'une hospitalisation de 3 semaines en dermatologie aux HUG pour investigation de sa maladie auto-immune, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 04.12.18 en raison d'un flutter auriculaire. Aux urgences, il se plaint d'une dyspnée depuis plusieurs mois en péjoration depuis 2 jours, avec apparition d'une oppression thoracique présente en position couchée, respiro-dépendante, non reproductible à la palpation. Il affiche une FC à 143/min, une TA à 101/72 mmHg, une SpO2 à 99% à l'air ambiant, et une température à 37.2°C. Au status, seuls sont mis en évidence une tachycardie irrégulière, avec de multiples lésions cutanées connues sur sa maladie auto-immune. A l'ECG, un flutter auriculaire à 140 bpm est mis en évidence. Le patient est cardioversé par Cordarone, avec évolution favorable. Au laboratoire, les troponines aux alentours des 100 ng/L présentent une cinétique descendante au fil des heures. Le patient est hospitalisé à l'étage de médecine interne pour surveillance et investigations. Un scanner thoracique effectué en raison de la dyspnée, du tabagisme, des antécédents de Mr. Y ainsi que de sa maladie auto-immune exclut une embolie pulmonaire mais met en évidence une fine lame d'épanchement péricardique non circonférentiel, n'ayant aucune répercussion dynamique. Un ultrason transthoracique met en évidence la cardiomyopathie hypertrophique connue, ainsi qu'une hypokinésie générale. La FEVG est environ 35-40%. Selon avis cardiologique, la cardiomyopathie pourrait être sur cause toxique (le patient déclare ne plus consommer d'alcool depuis des années mais a été polytoxicomane par le passé) ou sur la maladie auto-immune. Nous concluons à un flutter paroxystique sur anomalie structurelle cardiaque. En vue de cette insuffisance cardiaque modérée, le bêta-bloquant est majoré à 2x 50 mg par jour et un traitement par Entresto est débuté le 14.12.2018 après 36 heures d'arrêt de l'IEC habituel, avec bonne tolérance clinique. Aucune hyperkaliémie ni augmentation de la créatinine ne sont objectivées. A noter que Mr. Y nous fait part d'une sensation de brûlure et de paresthésies au niveau des 3 premiers doigts de la main droite, sans aucun signe d'appel inflammatoire. Au vu de la maladie systémique et des antécédents professionnels du patient comme chauffeur poids-lourds, nous vous laissons le soin d'investiguer un éventuel syndrome du tunnel carpien si vous le jugez nécessaire. Mr. Y rentre à domicile le 16.12.2018 et bénéficiera d'une prise en charge ambulatoire par le cardiologue Dr. X sur Fribourg. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour une BPCO stade II C selon Gold, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une exacerbation avec insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique et décompensation cardiaque surajoutée le 09.11.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son amie à domicile et il est indépendant. A l'admission, le patient rapporte une dyspnée stade II selon NYHA, sans toux ni expectoration. Le status général est sans particularité hormis un souffle systolique à 4/6 p.m. aortique dans un contexte de sténose aortique connue. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif d'entité moyennement sévère et confirme le diagnostic de BPCO stade II C selon Gold. Nous tentons d'interrompre le traitement de corticoïdes inhalés et introduisons un traitement bronchodilatateur par Ultibro. Il n'y a pas de modification significative de la clinique et des valeurs fonctionnelles. La gazométrie d'entrée montre une saturation à 95.6% avec une pO2 à 10.5 kPa, sans hypercapnie. Un bilan lipidique est effectué et met en évidence une diminution du HDL et une augmentation du LDL avec un taux de cholestérol dans les normes. Dans un contexte de risque cardiovasculaire important, nous introduisons un traitement hypolipémiant par statine à partir du 12.12.2018. Le sevrage tabagique est maintenu pendant l'hospitalisation et à la sortie, nous rappelons au patient le bénéfice qu'apporte le maintien de ce sevrage à domicile. La radiographie du thorax met en évidence une surélévation de la partie postérieure de la coupole diaphragmatique droite, de grands volumes pulmonaires et aspect aplati des coupoles associé à une raréfaction de la trame parenchymateuse et un épaississement bronchique diffus bilatéral dans le contexte de la BPCO connue. Sur avis du service de diabétologie de l'HFR Fribourg, qui avait suivi le patient lors de son hospitalisation en soins aigus, le traitement par Lantus est adapté avec une injection le soir à la place du matin. Le suivi des glycémies est satisfaisant avec le traitement en place. Sur le plan nutritionnel, le patient se rend 1x/6 semaines au service de diabétologie de l'HFR Fribourg pour un suivi de son diabète, et bénéficie également d'une consultation avec une diététicienne. Il est actuellement en phase de perte de poids volontaire et ne souhaite pas de suivi durant son hospitalisation à Billens, mais il suit les cours sur la nutrition dans le contexte des maladies respiratoires. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 305 m à 400 m et le patient augmente la distance parcourue sur le vélo pendant 20 minutes de 1.55 km à 2.37 km. A la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 13.12.2018, en bon état général. Mr. Y est un patient de 51 ans, qui est admis dans notre service le 03.12.2018 pour une cure d'hydrocèle et spermatocèle des deux côtés. L'opération susmentionnée se déroule sans complication et l'évolution post-opératoire est favorable avec un retrait des redons de chaque côté le 04.12.2018. Le patient rentre à domicile le 06.12.2018 avec un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X. Le patient sera convoqué prochainement. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire hospitalière le 08.11.2018 suite à la thrombo-aspiration, dilatation et pose de 2 stents au niveau de l'artère interventriculaire antérieure moyenne à Fribourg par le Dr. X le 01.11.2018 dans le contexte d'un STEMI antéro-latéral sur occlusion de l'IVA moyenne. Le traitement à l'entrée comprend : Aspirine cardio 100 mg, Atorvastatine 40 mg, Beloc Zok 25 mg, Clexane 120 mg/ml, Efient 10 mg, Lisinopril 2.5 mg, Pantozol 1x/jour, Ulcar suspension 1 g 4x/jour, Movicol en réserve max 1x/jour si constipation, Ulcar en réserve max 1x/jour si douleurs gastriques. Lors de son séjour, nous réalisons une échographie cardiaque de contrôle à l'entrée qui n'objective plus de thrombus mais toujours un ralentissement du flux sanguin, raison pour laquelle nous décidons de poursuivre l'anticoagulation thérapeutique avec de la Clexane 60 mg 2 fois par jour pendant 1 mois. Nous diminuons la Clexane à 80 mg 1x/jour le 13.11.2018 en raison d'un épisode inaugural de crachats hémoptysiques avec évolution favorable. Nous arrêtons la Clexane le 19.11.2018 en raison d'une mauvaise tolérance du patient face aux piqûres quotidiennes et d'une indication préventive du traitement avec des contrôles échocardiographiques réguliers qui infirment la présence de signe en faveur d'un thrombus. Un contrôle échocardiographique est déjà prévu le 7.12.2018.Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long de son séjour. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 30 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du tapis roulant à une vitesse de 5.5 km/h sur une pente de 4.5 % pendant 30 minutes. Au test de marche de 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 45 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d'effort final est sous maximal sur le plan de la réserve coronaire, arrêté pour fatigue musculaire des MI et présence d'extrasystole auriculaire isolée et asymptomatique pour FC >130/min. L'épreuve reste cliniquement et électriquement négative. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : • Le bilan lipidique montre un cholestérol total à 2.8 mmol/L, des HDL à 0.87 mmol/L, des LDL à 1.52 mmol/L, des triglycérides à 1.61 mmol/L. • Poursuite du sevrage tabagique depuis l'évènement. Il a montré beaucoup d'intérêt lors des entretiens avec notre tabacologue, la Dresse X. Les situations à risque et les stratégies de prévention de la rechute ont été rediscutées. Elle reste à sa disposition au besoin. • Sous traitement, la tension artérielle est dans la norme. Mr. Y est admis en raison d'une suspicion d'angine ulcéronécrotique bilatérale aphagiante. Un frottis microbiologique est effectué avec recherche d'anaérobes. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline et une corticothérapie par Solumedrol 125 est introduite avec bonne évolution clinique et biologique. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Mr. Y présente une toux depuis deux mois, sèche et stable depuis son apparition. L'examen clinique est rassurant. Nous effectuons une radiographie pulmonaire qui ne montre pas de foyer franc. Nous lui proposons dès lors un traitement symptomatique et un contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Mr. Y est un patient de 73 ans connu pour hypertension artérielle et une cardiopathie ischémique et rythmique. Il présente une sténose carotidienne gauche d'environ 70 % symptomatique, sous forme d'amaurose fugace, raison pour laquelle l'indication à une thrombendartériectomie de la bifurcation carotidienne et plastie d'élargissement est posée. L'intervention se déroule sans complication le 20.12.2018, mais au retour du bloc opératoire une asymétrie de la bouche est objectivée avec une chute labiale contro-latérale, ainsi qu'une légère dysarthrie qui est déjà connue par le patient mais actuellement en légère péjoration. Dans ce contexte, une IRM cérébrale est effectuée et met en évidence une chute du signal en regard de la corne postérieure du ventricule latéral gauche de 5 mm compatible avec comme diagnostic différentiel : un cavernome vs un saignement. Un avis neurologique est demandé suite auquel, aucun lien causal n'est établi entre cette lésion et la symptomatologie du patient. Les symptômes diminuent progressivement durant l'hospitalisation et le patient rentre à domicile le 23.12.2018. A noter sur la radiographie de bilan préopératoire, un nodule au niveau de la mi-plage D décrite comme stable depuis 2014 et pour laquelle, nous proposons en accord avec nos collègues radiologues, un contrôle par radiographie à une année. Un rendez-vous à la consultation du Dr. X est prévu en mai prochain avec au préalable un Doppler effectué en neurologie le 24.04.2019. Mr. Y nous est adressé par son médecin traitant en raison d'une hypercalcémie à 3.4 mmol/l mise en évidence lors d'un laboratoire de suivi. Pour rappel, Mr. Y est suivi aux HUG depuis 2016, pour une probable hyperparathyroïdie primaire (sans indication opératoire, jusqu'à présent). A son arrivée, le patient est totalement asymptomatique. L'acutisation de la calcémie mise en évidence par le médecin traitant est probablement en lien avec la méthode de prélèvement (calcium corrigé à 2.81 mmol/l sur le contrôle réalisé le jour même aux urgences). Une composante médicamenteuse surajoutée est également probable au vu de l'introduction d'un thiazidique 6 mois auparavant. Dans ce contexte, nous stoppons le traitement thiazidique et sur avis endocrinologique le Mimpara introduit aux urgences. Les valeurs de calcémie se montrent stables durant l'hospitalisation. Un laboratoire de contrôle est organisé à 10 jours de la sortie à l'HFR Riaz (afin d'éviter d'éventuelles variations en lien avec la méthode de prélèvement). Les résultats seront suivis par le service d'endocrinologie. Mr. Y, 71 ans, est hospitalisé en électif pour prise en charge chirurgicale d'un anévrysme de l'aorte abdominal sous-rénal avec progression rapide. Le patient arrive aux soins intensifs pour surveillance hémodynamique. Il arrive extubé, calme et collaborant. Le geste chirurgical initialement prévu n'ayant malheureusement pas pu être réalisé devant un statut aortique difficile et une impossibilité d'exclure l'anévrysme sans clampage aortique, le patient bénéficie uniquement d'une adhésiolyse large sans geste vasculaire. Les documents d'imagerie sont par la suite fournis à l'équipe de chirurgie vasculaire de Bern pour avis et le patient est transféré aux urgences de chirurgie vasculaire dès 15h30 le 27.12.2018 en accord avec les Drs X et Dr. X. Mr. Y est un patient de 22 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour une dyspnée d'apparition brutale alors qu'il faisait du vélo. Le bilan radiologique met en évidence un pneumothorax gauche nécessitant la pose d'un drain thoracique en urgence. L'intervention se déroule sans complication. Par la suite, le drain thoracique continue à fistuler. Nous retenons alors l'indication pour une thoracoscopie gauche avec résection extra-anatomique de l'apex du lobe supérieur gauche et abrasion pleurale. L'opération se déroule sans particularité. Les suites post-opératoires sont simples avec une ablation du 1er drain thoracique le 30.11.2018, puis du 2ème le 01.12.2018. Durant l'hospitalisation, le patient se plaint d'une masse rétro-auriculaire rouge, fluctuante. Nous retenons l'indication pour une incision et drainage sous anesthésie locale. Il y a du pus qui sort. On laisse une compresse bétadinée dans la plaie qui est enlevée à J1. Les suites sont simples avec une plaie calme. Mr. Y retourne à domicile le 01.12.2018. Mr. Y est un patient de 60 ans connu de notre service pour un GIST opéré en 2014 dans le petit bassin, actuellement sous Glivec, qui se présente aux urgences pour des frissons avec un épisode de vomissements et un état fébrile. Le laboratoire d'entrée retrouve un syndrome inflammatoire avec une cytolyse et stase hépatique. Un ultrason et un CT scanner abdominal retrouvent des signes indirects de migration lithiasique telle qu'une dilatation du cholédoque avec des arguments pour une cholangite. Le patient est hospitalisé avec une antibiothérapie empirique de Ceftriaxone et Metronidazole en intraveineux. Une cholangio-IRM retrouve les mêmes arguments pour un passage de lithiase sans lithiase vésiculaire. Nous retenons l'indication à une cholécystectomie laparoscopique, qui sera discutée à la consultation du Prof. X le 07.01.2018 à 10h. Le patient rentre à domicile le 29.11.2018 avec une antibiothérapie par voie orale à poursuivre jusqu'au 06.11.2018. Nous recommandons un suivi biologique et clinique chez le médecin traitant à la fin de ce traitement.Mr. Y, patient de 73 ans, est transféré de l'Hôpital Insel Bern pour la prise en charge d'une pneumonie communautaire. Pour rappel, le patient avait consulté le service des urgences de l'Hôpital Insel Bern le 01.12.2018 en raison d'une diminution de l'état général avec fièvre, frissons, sudation et toux productive. En raison du tableau clinique, les collègues de Berne effectuent une radiographie du thorax compatible avec une pneumonie associée à une décompensation cardiaque. Une thérapie par Rocéphine et Klacid est introduite à partir du 01.12.2018 avec un arrêt du Klacid le 03.12.2018 en raison d'antigènes urinaires à légionnelle négatifs. Le patient est transféré le 04.12.2018 à l'HFR Fribourg pour la suite de la prise en charge. À son arrivée, le patient est hémodynamiquement stable et sans plaintes particulières. Nous continuons le traitement par Co-Amoxicilline avec un relais per os à partir du 06.12 jusqu'au 09.12.2018. En raison d'une radiographie de thorax difficile d'interprétation dans le cadre d'une pleurodèse sur mésothéliome, nos collègues de Berne suspectent une décompensation cardiaque gauche, motivant l'introduction de diurétiques. L'ETT du 06.12.2018 montre une cardiopathie d'origine indéterminée avec une FEVG à 45 % et une hypokinésie globale modérée. Sur avis des cardiologues, nous organisons une coronarographie le 07.12.2018 qui ne montre pas de maladie coronarienne et confirme une FEVG abaissée à 30 % avec une hypokinésie sévère et diffuse. Le bilan de l'insuffisance cardiaque est complété par une TSH, ferritine et électrophorèse des protéines, qui révèle une gammapathie monoclonale de signification indéterminée versus un myélome multiple débutant, pour lequel nous vous laissons effectuer un contrôle dans 3 mois. Nous concluons à une insuffisance cardiaque probablement toxique sur chimiothérapie versus sur un myélome multiple débutant. Une ETT de contrôle est prévue dans 3 mois avec produit de contraste. L'IRM cardiaque est à rediscuter selon le contrôle du bilan de myélome multiple. Un traitement de Périndopril et Aldactone est instauré avec une diminution concomitante du traitement par Bilol en raison d'une tendance à la bradycardie. Nous vous laissons le soin de suivre le poids et la clinique en ambulatoire et d'adapter le traitement de l'insuffisance cardiaque en conséquence. À l'étage, Mr. Y ne formule pas de plainte et reste hémodynamiquement stable. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, il rentre à son domicile le 10.12.2018. Mr. Y, patient de 31 ans, connu pour un tabagisme actif (1 paquet/j, 18 UPA) et un asthme traité par Symbicort et Ventolin en réserve, est envoyé le 30.11.2018 pour une dyspnée progressive depuis 4 jours, réfractaire à un traitement per os de Prednisone 20 mg 2x/j, ainsi que plusieurs aérosols de Ventolin et Pulmicort. Le patient rapporte une toux progressive, avec peu d'expectorations blanchâtres, une rhinite avec un écoulement clair et des maux de gorge sans dysphagie. Le patient dit ne pas être compliant avec son traitement de Symbicort (ne le prend qu'en réserve). Le statut montre une cyanose périphérique avec un expirium prolongé et des sibilances diffuses. Le patient est hospitalisé avec majoration des aérosols et poursuite de la corticothérapie. Un laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire et une radiographie de thorax ne montre pas de foyer pulmonaire. Une gazométrie de suivi montre une amélioration de l'hypoxémie et le patient évolue favorablement cliniquement. Un consilium est demandé à nos collègues pneumologues qui conseillent une majoration du traitement de base de Symbicort, de la Prednisone pour 5 jours, ainsi que du Nasonex pour une sinusite chronique durant 3 mois. Nous conseillons une perte de poids, un arrêt du tabac, ainsi que la vaccination contre la grippe. Le patient sera revu en janvier 2019 pour effectuer des fonctions pulmonaires complètes et évaluer le suivi du traitement. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.12.2018. Mr. Y est un patient de 90 ans, institutionnalisé et connu pour une démence d'Alzheimer, qui est transféré du service de chirurgie pour la prise en charge de troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de traumatisme crânien le 21.11.18, avec hématome sous galéal occipital stable et absence de déficit neurologique. Vous aviez suspecté un accident vasculaire ischémique transitoire la veille de la chute, avec introduction de traitement par Aspirine. Sur le plan neurologique, au vu de troubles du comportement nouveaux selon l'hétéroanamnèse, une IRM du neurocrâne nous semble indiquée. Cependant, en raison d'un pacemaker non IRM compatible, la poursuite seule du traitement par Aspirine est décidée. Un test de déglutition est réalisé, montrant un risque important de broncho-aspiration, avec indication d'adapter le régime alimentaire. Sur le plan cardiaque, nous mettons en évidence une décompensation débutante avec des valeurs de NT-proBNP élevées et des signes de surcharge à l'imagerie. Un traitement par oxygénothérapie est mis transitoirement en place et des diurétiques sont initiés à faible dose. Nous vous laissons le soin d'évaluer leur indication à distance selon l'évolution clinique. Enfin, une hypotension orthostatique est constatée (test de Schellong pathologique le 27.11.2018), justifiant la mise en place de bandes de contention et stimulation hydrique à plus de 2 litres par jour. Dans le contexte des troubles de la marche et de l'équilibre, certes d'origine multifactorielle, le patient bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation à l'aide d'un rollator et des mesures précédemment décrites. Enfin, une carence en vitamines est substituée. Au vu d'une évolution clinique favorable, Mr. Y réintègre le Home de la Vallée de la Jogne à Charmey le 03.12.2018. Mr. Y, 51 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un NSTEMI le 20.12.2018. Il est connu pour une HTA non traitée et une obésité. Il présente une douleur pectorale droite intermittente avec un premier épisode le 19.12.2018 l'après-midi à la marche, puis récidive après le repas le même soir. Il consulte le 20.12.2018 en raison de persistance de douleur au réveil ce matin avec irradiation dans le bras droit après consultation en pharmacie. Le médecin sur place lui donne de la nitroglycérine et l'envoie aux Urgences en raison d'une hypertension importante avec douleurs thoraciques. Aux soins intensifs, le patient ne présente ni douleur rétrosternale ni troubles du rythme. Il bénéficie d'une échographie cardiaque trans-thoracique qui montre une bonne fonction cardiaque sans trouble de la cinétique segmentaire. La coronarographie montre une maladie bitronculaire avec sténose 80 % de l'IVA proximale (stentée) et sténose 80 % de l'artère bissectrice (stentée). Le point de ponction étant calme et l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 21.12.2018. Il devra être vu en consultation chez Dr. X dans un mois. Mr. Y, âgé de 48 ans, connu pour un STEMI en 2007, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une chute de 10 m avec TCC et fractures multiples, le 06.10.2018.Sur le plan social, le patient vit seul dans une ferme. Il n'a pas d'escalier à la maison. Il travaille dans la construction métallique. A l'admission, le patient se plaint de douleurs au coude D, à la hanche G et de lombalgies. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. De plus, le patient allègue une diplopie transitoire, accentuée aux mouvements rapides des yeux. Au status, le patient est orienté et collaborant. La flexion/extension du coude D est complète et indolore avec des mouvements de pro-/supination conservés. Pas de déficit de force ou sensibilité au MSD. La flexion de la hanche G est à 120° en actif et passif, avec une légère douleur au niveau para-lombaire G. La force est à M4 au psoas G et au quadriceps G. La palpation de la colonne vertébrale déclenche une douleur au niveau para-lombaire G. La percussion de l'hémi-thorax G est douloureuse. Une évaluation psychiatrique a mis en évidence un déficit aussi bien au niveau intellectuel qu'au niveau du développement psycho-sexuel et relationnel depuis l'enfance, et par conséquent, des capacités d'adaptation très limitées. De plus, suite à un infarctus du myocarde, il n'a pas pu se réinsérer au travail comme avant, et a présenté une 2ème décompensation anxio-dépressive, traitée actuellement par Dr. X, psychiatre à Bulle (pas d'indication à changer le traitement). Le patient a besoin d'un accompagnement au long cours et au-delà de la rééducation physique, en raison de la problématique psychiatrique handicapante. Une demande AI à 100% pourrait être faite. Au contrôle radioclinique du 27.11.2018, à la consultation du Dr. X, il est recommandé de porter la minerve rigide pour encore 2 semaines puis retrait le 11.12.2018. En ce qui concerne la fracture du bassin, une marche en charge de 25 kg est autorisée pour 6 semaines. Nos collègues recommandent l'utilisation de cannes axillaires (pas de cannes anglaises). Un nouveau contrôle orthopédique est prévu le 15.01.2019. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec 2 cannes axillaires en respectant la décharge (charge pour le MIG à 25 kg). Il peut monter/descendre les escaliers avec 2 cannes axillaires de manière sécuritaire. Le patient porte la minerve cervicale 24h/24. Après 5 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 06.12.2018, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie et d'ergothérapie. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y, âgé de 77 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une opération pour canal lombaire étroit dégénératif prédominant en L4-L5 et L5-S1. Pour mémoire, Mr. Y a présenté un NSTEMI le 17.11.2018 pour lequel il a été transféré à l'HFR Fribourg du 17.11 au 23.11.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. A l'admission, Mr. Y est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Il se plaint de douleurs lombaires et de sciatalgies G, connues et bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, orienté et collaborant. La cicatrice est calme. Force aux MIG et MID à M5. Sensibilité conservée aux MI, il ne signale plus de perte de sensibilité à la jambe G. Hématome présent au niveau inguinal et sur la face antérieure de la cuisse droite (site d'insertion du cathéter fémoral pour la coronarographie du 19.11.2018). Au status cardio-pulmonaire et abdominal, pas de particularités. Pas d'OMI. Au niveau hématologique, le patient présente une anémie normocytaire normochrome arégénérative à 120g/l postopératoire, sans carence vitaminique et une TSH dans la norme. Le bilan révèle une possible carence martiale que nous vous laissons substituer en ambulatoire. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un rollator ou 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre 5 marches d'escaliers avec la rampe. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service, à sa demande, pour rejoindre son domicile, le 07.12.2018, en état général conservé. Mr. Y, connu pour un antécédent d'AVC ischémique pontique D, ainsi qu'une sténose asymptomatique de l'artère carotide interne G, est hospitalisé dans un contexte d'AVC sylvien D. Pour rappel, le patient avait été retrouvé au sol dans sa chambre d'EMS, avec impossibilité de s'exprimer le 14.12.2018 à 14h45 avec une dernière preuve de bonne santé à 13h15. Aux urgences, est mise en évidence une hypoesthésie du MID, ataxie au MSG et signe de Babinski G. Le CT cérébral ne montre pas de signe d'ischémie ou hémorragie aiguë. L'IRM cérébral révèle des lésions multiples du territoire de l'artère cérébrale moyenne D. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en Plavix. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de source cardio-embolique. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux et transcrânien retrouve la sténose asymptomatique carotidienne interne gauche de l'ordre de 70% connue, ainsi qu'une sténose serrée et symptomatique du départ de l'artère cérébrale moyenne D. Nous retenons donc une étiologie artério-artérielle. Une double antiagrégation par Aspirine Cardio 100 mg et Plavix 75 mg est débutée et à poursuivre durant 3 mois, suivie de Plavix seul au long cours. Le patient n'a pas présenté d'épistaxis sous double antiagrégation, mais en cas de récidive, une poursuite du Plavix seul est proposée. Nous vous invitons à pister le Holter à la recherche d'une arythmie emboligène. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie qui montre un patient globalement ralenti au niveau psychomoteur, parésie de l'abduction de l'œil G connue et séquellaire de son AVC pontique en 2015. La marche est instable, avec une rétropulsion marquée, mais est similaire à l'état habituel du patient. Mr. Y peut regagner le home St Joseph le 18.12.2018. Mr. Y, 82 ans, est hospitalisé aux soins intensifs le 14.12.2018 pour une suspicion d'AVC ischémique sur sténose carotidienne gauche. Il est connu pour un antécédent d'AVC en 2015 avec un hémisyndrome moteur gauche résiduel. Il se déplace habituellement avec un rollator. Il présente une aphasie à 14h15 objectivée par l'infirmier de l'EMS avec difficulté à l'élocution et recherche du mot sans pouvoir s'exprimer correctement. A l'arrivée aux urgences, il présente un NIHSS à 1 avec une hypoesthésie du tibia à droite. Le CT cérébral retrouve la présence d'une sténose carotidienne gauche connue. Après avis neurologique, le patient habituellement sous aspirine reçoit une dose de charge de Plavix 300 mg.Le patient est hospitalisé en unité stroke monitorisée pour la suite de la prise en charge. Concernant la sténose carotidienne gauche symptomatique, les chirurgiens vasculaires devront être contactés afin de discuter de l'indication à une TEA. L'évolution est favorable, permettant un transfert en Stroke Unit non monitorée le 15.12.2018. Mr. Y, 71 ans, connu pour une schizophrénie paranoïde sous traitement d'Haldol, nous est transféré le 20.11.2018 depuis l'hôpital Inselspital après une prise en charge chirurgicale d'un gliosarcome découvert inauguralement dans le cadre d'un état de mal épileptique le 13.11.2018. Le patient a été opéré avec une résection incomplète compliquée d'une ischémie dans le territoire de l'artère cérébrale postérieure. Le patient reste séquellaire avec un hémisyndrome gauche complet et un état confusionnel. Au vu de la persistance d'un état confusionnel avec une somnolence, un CT de contrôle est effectué, ne montrant pas d'hémorragie. Un traitement de dexaméthasone est instauré afin de diminuer l'oedème. Un suivi sur 2 semaines est proposé pour voir l'évolution post-opératoire et décider de la suite de la prise en charge oncologique et neurologique. L'évolution est défavorable avec apparition d'un état confusionnel persistant nécessitant la majoration du traitement d'Haldol du patient. Dans ce contexte, un passage en soins de confort est effectué dès le 4.12.2018 après consultation avec le Dr. X et la famille du patient. Durant le séjour, nous avons adapté le traitement antihypertenseur du patient ainsi que l'insulinothérapie dans le cadre d'un diabète cortico-induit. Le traitement est simplifié dans le cadre du passage en soins de confort. Aux soins intensifs, des modifications ECG sont mises en évidence avec une possible étiologie ischémique versus modification ECG dans le contexte neurologique. Au vu de la situation générale, les investigations cardiaques ne sont pas poursuivies. Le patient est confortable sous traitement de dormicum IV. Il décède paisiblement le 7.12.2018. Mr. Y est un patient de 79 ans, qui est hospitalisé en électif pour pose de pacemaker pour une FA avec contrôle insuffisant de la fréquence cardiaque. L'intervention se déroule sans complications. L'évolution clinique est favorable. La radiographie de contrôle ne montre pas de signe de pneumothorax, ni d'autres complications. Le positionnement du pacemaker est correct. Mr. Y rentre à domicile le 18.12.2018. Mr. Y souhaite refaire le point de la situation au mois de février après avoir terminé tous les examens neurologiques. À notre avis, il n'y a aucune contre-indication à cette procédure. Le traitement conservateur par antalgiques et anti-inflammatoires que nous avions instauré la semaine passée a clairement amélioré l'état clinique du patient, il peut, grâce à ce traitement, remarcher sans boiterie et sans l'aide de canne. Mr. Y présente un probable sartorius snapping syndrome. Comme diagnostic différentiel, il faut retenir une plica mediopatellaris symptomatique. Il présente également une lésion cartilagineuse sur le versant médial de la rotule. Afin de mieux différencier les douleurs, j'ai proposé à Mr. Y une infiltration de test loco dolenti par un anesthésiant local en profitant en même temps d'injecter de la cortisone à but thérapeutique. Cette infiltration est prévue pour le 19.12.2018. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Mr. Y est un patient de 79 ans, qui nous est adressé le 24.12.2018 par le médecin de garde en raison de douleurs épigastriques depuis 3 jours avec plusieurs épisodes de vomissement. Au laboratoire, nous retrouvons des paramètres hépatiques perturbés et le bilan radiologique par CT abdomen met en évidence une dilatation du cholédoque ainsi qu'une pancréatite de Balthazar B. Une ERCP réalisée le 25.12.2018 ne montre pas de calculs biliaires et une papillotomie est réalisée. En vue de l'évolution clinico-biologique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 27.12.2018. Une cholécystectomie avec cholangiographie en peropératoire est prévue le 01.03.2019. Les modalités de l'intervention ainsi que les possibles risques et complications sont exposées au patient, qui signe le consentement éclairé. Mr. Y sera revu à la consultation de pré-hospitalisation le 13.02.2019. Mr. Y est un patient de 74 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale, actuellement dialysé via un permcath droit. Le bilan angiologique préopératoire montre des artères et veines du membre supérieur gauche de calibre insuffisant pour une fistule native, c'est pourquoi nous effectuons une fistule par boucle omniflow, le 13.12.2018. L'opération se déroule sans complication, l'évolution est favorable par la suite. Mr. Y rentre à domicile le 14.12.2018. Il aura sa prochaine session de dialyse aujourd'hui à Payerne à 14h00 (discuté avec Dr. X, néphrologue). Mr. Y, âgé de 58 ans, connu pour une BPCO stade IV B selon Gold, nous est adressé par son pneumologue traitant pour une réhabilitation respiratoire suite à un pneumothorax droit sur rupture de bulle thoracique, le 26.11.2018. Dans ce contexte, il a été hospitalisé du 26.10 au 09.11.2018 dans le service de chirurgie thoracique du CHUV pour une prise en charge chirurgicale. Les vaccins sont à jour. Sur le plan social, le patient vit en couple à Bulle, il a 3 enfants qui vivent avec son ex-épouse dans la région. Il travaille à 100 % comme chauffeur poids lourd. À l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. En général, il rapporte une dyspnée stade 2 selon NYHA, en nette amélioration depuis l'intervention thoracique, sans toux ni expectoration. Il évoque également une crise de goutte la semaine précédente, actuellement avec des douleurs en régression. À l'auscultation pulmonaire, on retrouve un murmure respiratoire sans bruit surajouté. La spirométrie d'entrée montre des valeurs compatibles avec un syndrome obstructif de degré léger et permet de modifier le diagnostic de BPCO à un stade II B selon Gold. La gazométrie d'entrée montre une saturation à 93,7 % avec une pO2 à 8,5 kPa, sans hypercapnie. La radiographie du thorax met en évidence une désorganisation marquée de la trame bronchovasculaire avec un aplatissement des coupoles diaphragmatiques dans le cadre de la BPCO connue. Une BIA a été faite et montre une masse musculaire tout à fait dans les normes, la masse grasse diminuée et la répartition entre les compartiments corporels est plus harmonieuse. Nous l'avons encouragé à poursuivre ainsi avec de l'activité physique, en mangeant de manière équilibrée et de stabiliser son poids vers 88-90 kg (dans un contexte de sevrage tabagique). En cas de modification de poids importante, le patient est encouragé à reprendre contact avec le service de diète. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et de l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 520 m à 630 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis pendant 20 minutes de 1,45 km à 1,82 km. À la sortie, il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire afin de maintenir les acquis. Les soins à domicile sont également activés pour un suivi des plaies au niveau des anciens drains thoraciques. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 01.12.2018, en bon état général. Mr. Y, 30 ans, est admis aux soins intensifs pour un coma suite à une ingestion volontaire de GHB le 06.12.2018.Le patient d'origine française a récemment déménagé chez une amie en Suisse. Il révèle que tout son entourage l'a fortement déçu et qu'il a souhaité passer à l'acte dans ce contexte. Après ingestion de GHB, il a écrit à un ami pour lui dire qu'il a pris une quantité létale de GHB. Il est retrouvé inconscient à l'arrivée du SMUR et est intubé sur place. L'imagerie cérébrale est dans la norme. La gazométrie montre une acidose métabolique qui se corrige après hydratation. Le patient est rapidement extubé et l'évolution sur le plan neurologique et respiratoire est rapidement favorable. Il aurait présenté des idées suicidaires scénarisées sans passage à l'acte par le passé. Il n'y a pas d'antécédent psychiatrique connu. Il regrette son acte mais est très démuni avec un déni circonstanciel de la gravité. Après avis de nos collègues psychiatres, le patient est transféré en milieu psychiatrique pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 52 ans, connu pour un tabagisme ancien (20 UPA), consulte en raison de douleurs rétro-sternales typiques avec irradiation dans les 2 bras et sudations le 16.12.2018. Les douleurs ont débuté alors qu'il regardait un match de foot à la télévision. L'ECG montre un sus-décalage dans le territoire antéro-septal, rapidement résolutif et le laboratoire montre une augmentation des enzymes cardiaques. Pour rappel, ce patient avait présenté une symptomatologie similaire en janvier 2017 et une coronarographie était alors revenue normale. Le patient est admis aux soins intensifs pour un syndrome coronarien aigu et la coronarographie ne retrouve pas de lésion coronarienne et parle en faveur d'un syndrome de Takotsubo. A noter que l'anamnèse ne révèle aucun stress émotionnel récent. Nous poursuivons l'Aspirine et le Plavix pour une durée de 9 mois, introduisons progressivement un IEC et un B-bloquant. Un contrôle échocardiographie le 17.12.2018 montre une FEVG à 45%. Le patient peut rentrer à domicile le 17.12.2018 et sera revu par un cardiologue le 17.01.2019 avec une ETT de contrôle. Mr. Y, 52 ans, est admis aux soins intensifs pour un syndrome de Takotsubo. Le patient a présenté des douleurs rétrosternales typiques avec une irradiation dans les deux bras durant environ 30 minutes. L'ECG montre un sus-décalage dans le territoire antéro-septal, rapidement résolutif et le laboratoire montre une augmentation des enzymes cardiaques. La coronarographie ne retrouve pas de lésion coronarienne et parle en faveur d'un syndrome de Takotsubo. L'échocardiographie montre une akinésie de la paroi apicale, du septum moyen et de la paroi septale antérieure moyenne avec une FEVG à 45 %. La surveillance s'avère sans particularités. Les enzymes cardiaques sont à la baisse. Un traitement par IEC et bêta-bloquant est introduit. On vous laisse le soin de l'adapter en fonction de l'évolution. Sur avis du cardiologue, l'Aspirine est à poursuivre à vie et le Plavix pour une durée de 9 mois. Un contrôle cardiologique est à prévoir dans un mois. Le patient est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle traitée, est amené aux urgences en ambulance le 20.12.2018 suite à un malaise avec probable perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Le patient était aux toilettes quand il a présenté des prodromes de type voile noir visuel. Il s'est mis à terre et a crié. Il explique ensuite avoir perdu connaissance. Il ne pense pas s'être tapé la tête et ne se plaint pas de céphalées. Son fils, qui habite juste au-dessus de chez lui, est arrivé quelques secondes après le cri et l'a retrouvé conscient au sol, avec présence d'une flaque d'eau par terre (soit de l'évier, soit des urines). Il a ensuite appelé l'ambulance. Lors de sa reprise de conscience, le patient présente un épisode de vomissements. Malgré le fait que le patient dit avoir été à selles, il est couvert de selles à l'arrivée aux urgences. Pas de morsure de langue. A signaler un stress actuel important ainsi qu'une fatigue liés à ses activités (nombreux aller-retour à Genève avec un travail qu'il espère finir avant ses vacances). Son épouse le trouve euphorique depuis quelques jours. Ce n'est apparemment pas la première fois qu'il présente ce type de malaise mais cela n'a jamais été aussi intense. A l'anamnèse systémique, le patient rapporte une dysurie de type brûlures mictionnelles. Pas d'autre plainte notamment pas de douleur rétrosternale, pas de palpitations, pas de dyspnée, pas de toux, pas de douleur abdominale. A l'anamnèse familiale, nous notons le décès de son père à l'âge de 30 ans (cause cardiaque). A l'arrivée aux urgences, le patient est légèrement hypertendu à 147/84 mmHg, normocarde à 77 battements par minute et sature à 96 % à l'air ambiant. Il est apyrétique à 36 °C. Au status neurologique, Mr. Y est confus (épisodes d'état confusionnel aigu pendant quelques heures aux urgences) mais orienté dans le temps, l'espace et pour sa personne. A l'auscultation cardiaque, les bruits sont réguliers sans souffle ausculté. Les pouls périphériques sont palpés. Il n'y a pas de signe de décompensation cardiaque droite ni gauche. Au niveau respiratoire, le patient est eupnéique à 16 par minute, sans signe de détresse respiratoire. Le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'ECG montre un rythme sinusal régulier à 60 battements par minute, une onde P bifide en V1 et des ondes T aplaties en aVL / V1 / V5 / V6. Le laboratoire met en évidence une hypokaliémie à 3.3 mmol/l et une hypocalcémie à 2.10 mmol/l. Le reste du laboratoire est aligné et ne montre notamment pas de syndrome inflammatoire et des CK normaux à 75 U/I. La gazométrie artérielle montre un pH normal à 7.38 avec une hypoxie légère à 10.7 kPa, les lactates sont légèrement augmentés à 2.1 mmol/l. Après les résultats des examens paracliniques, un test de Schellong est réalisé et provoque une augmentation de la tension artérielle de plus de 20 mmHg. Le patient est gardé aux lits d'observation aux urgences pour la nuit. Au vu de l'état post-critique avec confusion d'une durée relativement longue, nous décidons de réaliser une IRM cérébrale le 21.12.2018 qui est normale et ne montre notamment pas d'accident vasculaire cérébral ni de masse. Les vaisseaux sont perméables. Nous proposons un EEG en ambulatoire afin d'éliminer une possible épilepsie. La demande est envoyée au service de neurologie à l'HFR Fribourg et le patient sera convoqué à domicile. Mr. Y peut regagner son domicile le 22.12.2018. Nous lui recommandons de vous consulter avant la reprise du travail et nous lui expliquons également les différents critères de gravité qui doivent l'amener à reconsulter aux urgences. Mr. Y, connu pour une arthrite psoriasique traitée par Humira, ainsi que pour une maladie diverticulaire, consulte une première fois les urgences le 05.12.2018 en raison de frissons, d'arthralgies et de douleurs abdominales. A noter un retour de voyage en Thaïlande, le 30.11.2018 ainsi qu'une dernière cure d'Humira le 04.12.2018. Au vu des antécédents de diverticulite avec une leucopénie et une CRP modérément augmentée au contrôle biologique, nous effectuons un CT scan abdominal qui exclut une diverticulite et une radiographie du thorax écartant un foyer pulmonaire. Après avoir reçu une antalgie simple aux urgences, l'évolution est spontanément favorable. Mr. Y rentre à domicile avec un contrôle clinique et biologique aux urgences le lendemain. Lors du contrôle du 06.12.2018, le patient se plaint toujours de myalgies avec frissons mais note toutefois une amélioration de son état général ainsi qu'une disparition des douleurs abdominales. Nous poursuivons le traitement symptomatique et laissons le patient regagner son domicile, tout en lui recommandant de reconsulter les urgences en cas d'état fébrile.C'est dans ce contexte d'état fébrile à 38.9°C et de réapparition de douleurs abdominales que Mr. Y reconsulte les urgences le 06.12.2018. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec pancytopénie et des tests hépato-pancréatiques augmentés. Le laboratoire met également en évidence une insuffisance rénale aiguë qui se corrige sous hydratation. En raison de la présentation clinique et du voyage récent, selon l'avis infectiologique du Dr. X, le patient bénéficie d'une dose unique de Rocéphine 2 g iv suivie par un traitement de Ciproxine 500 mg 2x/j. Un test rapide de malaria revient négatif. Mr. Y est hospitalisé pour suspicion de fièvre dengue ou typhoïde. Sur le plan infectiologique, l'évolution clinique est favorable, sans récidive de symptômes gastro-intestinaux. Les cultures de selles ainsi que les hémocultures reviennent négatives et l'antibiothérapie est arrêtée à J5. La sérologie pour la dengue se révèle par contre positive avec un taux pathologique d'antigènes, sans IgM, évoquant une infection très récente. Un traitement symptomatique est ainsi proposé avec contrôle clinique et biologique à votre consultation à quelques jours de la sortie. Un contrôle de la formule sanguine ainsi que de la fonction hépato-rénale est suggéré. Sur le plan hématologique, nous constatons à l'entrée une pancytopénie d'origine infectieuse. Une origine médicamenteuse ne peut néanmoins être exclue, raison pour laquelle, sur recommandation du Dr. X, toute nouvelle injection d'Humira est suspendue jusqu'au contrôle prévu à sa consultation le 18.12.2018. L'évolution biologique est favorable avec des valeurs de sortie de leucocytes à 2.8 G/l, hémoglobine à 135 g/l et thrombocytes à 39 G/l. Mr. Y peut regagner son domicile le 12.12.2018. Mr. Y, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, est hospitalisé depuis le 26.11.2018 au RFSM CSH Marsens pour mise à l'abri dans un contexte d'une agitation psychomotrice, d'un refus de soins et d'un risque hétéro-agressif élevé. Il est amené aux urgences en ambulance le 04.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général et d'un état subfébrile à 37.5°C. Le laboratoire effectué le 03.12.2018 à Marsens montre une CRP à 43 mg/l, pas de leucocyte, une créatinine à 135 umol/l, une urée à 11.7 mmol/l et une hyponatrémie à 131 mmol/l. Le stix urinaire montre des nitrites mais pas de leucocytes. Pour rappel, Mr. Y est traité par ciprofloxacine 500 mg 2x/j depuis le 30.11.2018 pour une infection urinaire, traitement prévu jusqu'au 06.12.2018. Le patient ne présente pas de dysurie, d'hématurie ni de diarrhée. Pas de toux. À l'admission aux urgences, le patient est subfébrile à 38,1°C. Il est agité mais se calme lors de la discussion. Il est orienté dans le temps et l'espace. Au statut uro-génital, pas de douleur à la percussion rénale, le toucher rectal est indolore. Au statut digestif, les bruits sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple et indolore. Au niveau respiratoire, hypoventilation généralisée. Murmure vésiculaire présent et symétrique, sans bruit surajouté. Au statut ostéo-articulaire, le genou gauche est œdématié, chaud et légèrement érythémateux. Pas de signe du glaçon. À noter au statut cutané, la présence d'une plaie cicatrisée sur le bord du tibia gauche ainsi qu'un ancien ulcère au niveau de la malléole interne droite. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire ainsi que des leucocytes et érythrocytes dans les urines parlant pour une infection urinaire. La radiographie du thorax permet d'écarter un foyer pulmonaire. Le laboratoire met également en évidence une hyponatrémie à 124 mmol/l dans le contexte d'un SIADH probablement sur l'infection actuelle et la possible maladie néoplasique gastro-intestinale, raison pour laquelle nous instaurons une restriction hydrique à 1 litre par jour. Nous prélevons un uricult qui revient négatif. Nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge en suspectant néanmoins une piste urinaire. Concernant la tuméfaction, la rougeur et la chaleur du genou gauche, avec douleurs à la mobilisation, une ponction articulaire est effectuée le 06.12.2018. L'analyse du liquide montre la présence de 46000 éléments avec plus de 20000 hématies et 91% de polynucléaires. La culture revient négative à 5 jours. Il s'agit donc d'un liquide intra-articulaire inflammatoire et hémorragique, sans toutefois pouvoir éliminer la piste d'arthrite septique à 100%, la ponction ayant été faite sous antibiothérapie. Afin de confirmer le diagnostic, une ponction sans antibiotique serait nécessaire, mais n'est pas envisagée pour l'instant. Un contrôle à la consultation du Dr. X est prévu le 15.01.2019 à 09h15 à la policlinique d'orthopédie à l'HFR Riaz. Durant le séjour, nous notons une baisse de l'hémoglobine à 79 g/l le 10.12.2018, chez un patient connu pour une anémie chronique d'origine multifactorielle avec un déficit en fer et en acide folique que nous substituons. Cette péjoration est mise dans le contexte de l'inflammation. Nous recommandons un contrôle de l'hémoglobine à une semaine. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable, l'antibiothérapie est passée per os par Bactrim 800/160 mg 2x/j dès le 11.12.2018, à poursuivre jusqu'au 18.12.2018 et Mr. Y est réadmis au RFSM CSH Marsens le 12.12.2018. Mr. Y est partiellement satisfait de l'appareillage par ASV. Il présente des difficultés dans l'interface avec le masque étant gêné par les fuites, et a déjà entrepris des démarches auprès de la Ligue Pulmonaire pour le changer. Il se dit toutefois volontaire à poursuivre la thérapie et dit en ressentir les bénéfices notamment avec une amélioration de sa fatigue et de la somnolence diurne. Au niveau respiratoire, le patient dit faire habituellement 2-3 épisodes de bronchites par an, traités par homéopathie sans antibiotique ni hospitalisation. Absence d'autre plainte sur le plan respiratoire. Il effectue quotidiennement une sieste par habitude et par plaisir. Pas de céphalée, pas de trouble de la mémoire ni de la concentration, pas de perte de tonus. Le contrôle ResScan montre une légère amélioration de la compliance par rapport à l'an dernier avec une utilisation moyenne quotidienne de 4h04 et 57% de jours employés > 4 heures (48% en 2016-2017). Mr. Y explique cette mauvaise compliance par la difficulté à trouver un masque adapté. Les fonctions pulmonaires ne mettent pas en évidence de trouble ventilatoire obstructif ou restrictif. Absence d'air-trapping statique ou dynamique. La capacité de diffusion du CO est normale et la gazométrie artérielle à l'air ambiant est physiologique. La polygraphie respiratoire nocturne sous ASV montre une péjoration de l'IAH à 16.8 /h, probablement augmentée par les nombreuses fuites (25.2 l/min au 95e centile). La saturation moyenne est excellente à 98% et la tcpCO2 moyenne à 5.7 kPa à la capnographie. Dans ce contexte, nous ne modifions pas les paramètres et reverrons le patient dans une année pour un nouveau contrôle avec polygraphie et capnographie nocturne. Dans l'intervalle, nous demandons à la Ligue Pulmonaire de bien vouloir adapter le masque afin de diminuer les fuites. Mr. Y est un patient de 53 ans, en bonne santé habituelle, qui est emmené aux urgences par la police après avoir été retrouvé dans la rue par une passante. Aux urgences, le patient présente une amnésie circonstancielle rétrograde ainsi qu'une alcoolémie à 1.17%. Un CT-scan cérébral le 08.12.2018 met en évidence un hématome sous-galéal frontal gauche ainsi qu'une hémorragie intra-parenchymateuse minime en basi-frontale droite. Un CT-scan de contrôle est effectué le lendemain, qui est superposable.En vue de l'évolution clinique favorable, le patient peut regagner son domicile en bon état général le 10.12.2018. Il sera revu pour contrôle à la consultation de neurochirurgie le 10.01.2019 à 09h00. Mr. Y est un patient de 73 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale dialysée, insuffisance artérielle des membres inférieurs stade 4 bilatérale et une anticoagulation au long cours pour une thrombose de la veine cave supérieure. Le patient était hospitalisé en novembre pour une reperfusion du membre inférieur droit. Le patient se présente le 07.12.2018 aux urgences en raison de douleurs depuis 48 heures au niveau d'un ulcère sous-malléolaire gauche de longue date. Une revascularisation artérielle était prévue pour le 11.12.2018 en électif. Le patient est mis sous antibiothérapie au long cours. Un angio-CT effectué le 08.12.2018 montre une athéromatose artérielle des membres inférieurs prédominant à gauche avec absence d'opacification de l'artère tibiale postérieure gauche dans sa distalité. Le patient est mis sous héparine et bénéficie d'une angioplastie du membre inférieur gauche avec une dilatation de l'artère tibiale antérieure. L'évolution est par la suite favorable. Nous effectuons des changements de pansement réguliers. Le patient rentre à domicile le 12.10.2018. Le patient bénéficie aussi de son hémodialyse pendant l'hospitalisation en néphrologie. L'anticoagulation habituelle est reprise et nous remercions nos collègues de néphrologie d'adapter le dosage du Marcoumar. Mr. Y, patient de 78 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et anticoagulé pour une maladie thrombo-embolique veineuse, nous est adressé par son médecin traitant le 14.12.2018 en raison de douleurs rétrosternales à l'effort en crescendo depuis environ 1 semaine et la mise en évidence de nouveaux sous-décalages du segment ST à l'ECG avec des enzymes cardiaques positives. Le bilan biologique et électrocardiographique retient un diagnostic de probable NSTEMI et le patient est hospitalisé en médecine interne dans l'attente d'une coronarographie, qui est effectuée le 15.12.2018 sans complication immédiate. L'examen démontre comme possible corrélat aux douleurs une lésion subtotale de la première diagonale qui est traitée par implantation de 2 stents actifs avec une fonction systolique du ventricule gauche estimée à 40 %. En per-coronarographie, le patient est chargé en Aspirine et Plavix. Sur avis des cardiologues, l'anticoagulation pour la MTEV est reprise à 24h de l'intervention. La double antiagrégation quant à elle sera à maintenir pour 1 mois avec poursuite de l'Aspirine pour un minimum de 6 mois. Le patient est admis aux soins intensifs en post-coronarographie. La surveillance rythmique et hémodynamique durant 4h post-intervention est sans particularité, chez un patient n'ayant pas présenté de récidive de douleurs thoraciques depuis son hospitalisation. Il est retransféré à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 18.12.2018 en très bon état général. Un contrôle à 1 mois en angiologie, ainsi qu'une ergométrie à 6 mois, sont déjà planifiés pour la suite. Mr. Y est admis pour une angine virale vs bactérienne aphagiante. Nous instaurons un traitement empirique par Co-Amoxicilline, Solumedrol et Valtrex, ainsi qu'une antalgie de palier I. L'évolution clinique est rapidement favorable avec une reprise de l'alimentation. Il retourne à domicile le 19.12.2018. Mr. Y, patient de 74 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec maladie tri-tronculaire, un diabète type II insulino-requérant, nous est envoyé depuis Billens le 21.12.2018, où il était en réhabilitation cardiovasculaire depuis le 14.12.2018. La réhabilitation cardiovasculaire faisant suite à un pontage aorto-coronarien compliqué d'un syndrome post-péricardiotomie. Le patient est donc hospitalisé en raison de douleurs abdominales maximisées en hypocondre gauche et irradiant dans l'hémi-thorax droit. Un CT-scan réalisé le jour même dans un contexte de contrôle post-péricardiotomie écarta la suspicion initiale de cholécystite mais démontra cependant une majoration de l'épanchement péricardique, ainsi qu'une majoration des épanchements pulmonaires bilatéraux déjà présents sur un CT-scan le 08.12.2018. Un syndrome inflammatoire est mis en évidence à l'entrée et une récidive de péricardite est évoquée avec un diagnostic différentiel de surinfection. Nous renonçons à une antibiothérapie d'emblée sur conseil de nos collègues cardiologues et cardiochirurgiens. Le traitement par AINS est poursuivi et majoré. Une échocardiographie transthoracique est réalisée le 22.12.2018 et montre un épanchement péricardique minime, en grande partie organisé, sans répercussion hémodynamique sur les cavités cardiaques. Nous introduisons Colchicine dès le 22.12.2018, qui sera à poursuivre pour une durée de 4 à 6 semaines selon la clinique. Une échocardiographie de contrôle sera réévaluée en consultation de cardiologie en ambulatoire dans 4 semaines ou suivant l'évolution clinique. Le bilan biologique initial montre également une élévation des NT-proBNP à 1337 ng/l. Au vu d'une dyspnée en augmentation et la présence d'épanchements pleuraux, nous retenons une décompensation cardiaque le 21.12.2018 et démarrons un traitement diurétiques et une restriction hydrique. L'évolution à la fois clinique et biologique est favorable. Une poursuite de sa réhabilitation cardiovasculaire à Billens est prévue pour la suite. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, en attente de sa réhabilitation, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 28.12.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté notre service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y présente un kyste de Baker débutant et une lésion cartilagineuse en regard du condyle fémoral interne mais en dehors de la zone de charge. L'indication pour une intervention chirurgicale n'est pas donnée. Pour le moment, je n'ai pas de proposition thérapeutique. En cas de persistance de douleur ou en cas de péjoration des douleurs, on pourrait éventuellement effectuer une infiltration par Cortisone. En tout cas, il n'y a pas d'indication pour l'implantation d'une prothèse totale de genou. Le patient me recontactera en cas de besoin. Autrement, je le reverrai pour le contrôle annuel radio-clinique de sa prothèse de genou le 11.10.2019. Mr. Y, 44 ans, est en bonne santé habituelle. Il présente un saignement oropharyngé le 08.12.2018 à J4 d'une amygdalectomie et septoplastie effectuées pour une ronchopathie. Dans un premier temps, aucun saignement n'est mis en évidence au contrôle clinique du 10.12.2018. Présence d'un saignement en regard du tiers moyen antérieur de la loge amygdalienne gauche qui est cautérisé à la bipolaire sous anesthésie locale. Présence également d'un caillot au niveau du cavum. Le patient reste encore une nuit en observation. Absence de nouveau saignement. Le patient rentre à domicile le 11.12.2018. Mr. Y, connu notamment pour une sténose urétrale opérée par le Dr. X en 2014, consulte les urgences le 01.12.2018 en raison d'une infection urinaire défavorable malgré une antibiothérapie par Nopil 2x/j depuis le 29.11.2018 avec apparition le 30.11.2018 d'un état fébrile à 39°C sans frisson. Mr. Y rapporte également des douleurs au niveau du pied gauche remontant jusqu'au mollet avec rougeur et tuméfaction du pied. Pas de notion de traumatisme récent, de piqûre ni de plaie.A l'admission aux urgences, au status cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Les pouls périphériques sont bien perçus. Au status respiratoire, le murmure vésiculaire est symétrique sans bruit surajouté. Au status digestif et urogénital, la palpation suspubienne et la percussion des loges rénales sont indolores. Au niveau cutané, le pied gauche est oedématié avec un érythème chaud et douloureux au niveau des os du tarse remontant jusqu'à la cheville, la palpation du pied est douloureuse. Le mollet n'est pas induré, la palpation est indolore, le signe de Homans est négatif et le score de Wells est calculé à 1 point. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec CRP à 101 mg/l et leucocytose à 14,8 G/l. Les D-Dimères sont à 850 ng/l. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie, une hématurie ainsi qu'une protéinurie. La radiographie du pied gauche ne met pas en évidence de fracture et l'US veineux du membre inférieur ne montre pas de thrombose. Mr. Y est hospitalisé pour infection urinaire et suspicion de dermohypodermite gauche et une antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g iv 3x/j est introduite. Sous antibiothérapie, l'évolution est rapidement favorable au niveau cutané et urinaire. Les hémocultures et l'urotube prélevés à l'admission reviennent négatifs. Mr. Y peut regagner son domicile le 04.12.2018 avec une antibiothérapie per os par co-amoxicilline 625 mg 3x/j à poursuivre jusqu'au 16.12.2018. Un contrôle clinico-biologique est agendé à votre consultation pour le 07.12.2018 et nous recommandons un contrôle à la consultation du Dr. X début 2019 pour contrôle urologique. Mr. Y, connu pour un carcinome rénal découvert fortuitement en octobre 2017, d'emblée métastatique, est référé dans notre service de médecine interne au terme d'une consultation ambulatoire en oncologie. Un nouveau bilan d'extension sous immunothérapie montre une progression tumorale importante, avec notamment une métastase au niveau fémoral gauche associée à d'importantes douleurs et un risque fracturaire. L'indication opératoire a été retenue à Riaz, mais l'opération ne peut pas s'y effectuer. À l'entrée, le patient est vu en consultation anesthésiologique en prévision d'une intervention sur son fémur gauche (rachianesthésie). Il est ensuite vu par un collègue de l'orthopédie, le Dr. X, qui prévoit un enclouage prophylactique (clou PFNA) pour le mardi 04.12.2018. Il est décidé de revoir le délai nécessaire à la cicatrisation avec l'oncologie et la radio-oncologie avant une radiothérapie prévue une fois l'opération terminée et de transférer le patient en orthopédie pour le suivi postopératoire. Nous substituons le traitement habituel de Xarelto pour la FA connue du patient, par de l'héparine iv continue en prévision de l'opération. Sur le plan algique, le patient semble confortable avec les doses de Targin déjà introduites en ambulatoire. L'opération a lieu le 04.12.2018, au terme de laquelle le patient est admis dans le service d'orthopédie. Mr. Y est hospitalisé pour la pose d'un défibrillateur implantable dans un contexte de cardiomyopathie dilatée avec dysfonction systolique ventriculaire gauche sévère (FE 20%) et arythmie ventriculaire complexe, suivi par le Dr. X. L'intervention a lieu le 27.12.2018 par le Dr. X. La radiographie post-opératoire montre un pacemaker en place et l'absence de complications. Un contrôle de la plaie à 10 jours est agendé, ainsi qu'un contrôle du défibrillateur à 4-6 semaines en cardiologie. Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.12.2018. Mr. Y, connu pour une maladie de Parkinson diagnostiquée en 2013, nous est adressé par vos soins pour une adaptation de la médication antiparkinsonienne dans le cadre d'épisodes de freezing fréquents. A l'anamnèse, ce patient de 70 ans présente des troubles des mouvements et des épisodes de freezing fréquents ces derniers temps, amenant à une mobilité réduite et des troubles de la marche. Sur le plan neurologique, nous notons un tremblement de repos, de 2-3 Hz environ, des membres supérieurs et de la mâchoire, sans tremblement d'intention à l'épreuve doigt-nez. De plus, Mr. Y présente une roue dentée bilatérale avec un signe de Froment positif, une motricité fine diminuée et des réflexes ostéo-tendineux hypovifs symétriques. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Sur le plan social, le patient habite dans l'EMS de Sugiez. Il a une sœur, avec laquelle il a peu de contact. Au niveau des AVQ, il est autonome, peut même lacer seul ses chaussures. Mr. Y présente des épisodes de tonus musculaire augmenté généralisé l'empêchant de sortir de son lit surtout le matin. Il souffre également des épisodes de dyskinésie le matin entre 10 et 14h. Un protocole de Parkinson montre d'ailleurs des tremblements entre 10 et 11h. Le traitement antiparkinsonien est donc adapté en fonction de cette symptomatologie. Le Stalevo du matin est diminué à 100/25/200, et une thérapie par Madopar liq. est ajoutée, ce qui permet une nette amélioration clinique. De plus, un PK-Merz est prescrit. Pour le traitement de l'anxiété, le Temesta est remplacé par du Quetiapine. Parallèlement à ces problèmes médicaux aigus, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée. Au début du séjour, la mobilité dépend du moment dans la journée, elle est surtout très diminuée lors des blocages. Grâce à des séances de physio- et ergothérapie intensives ainsi qu'une adaptation du traitement antiparkinsonien, une amélioration de l'autonomie et de la mobilité sont observées. A la sortie, le patient est autonome dans les transferts, se déplace sans moyens auxiliaires et monte les escaliers de manière autonome. Le Tinetti est à 26/28. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y peut être retransféré à l'EMS de Sugiez le 13.12.2018. Mr. Y est un patient de 67 ans, connu pour tabagisme à 43 UPA et consommation d'alcool régulière, qui se présente aux urgences pour des douleurs rétrosternales oppressives irradiant depuis le bas du sternum, une dyspnée en progression depuis 2-3 jours avec légers oedèmes des membres inférieurs et dyspnée paroxystique nocturne avec nycturie, ainsi qu'un épisode de vomissement sur nausées la veille. Une hypertension mesurée à domicile est autour de 160 mmHg, non traitée. L'anamnèse familiale est positive pour un infarctus chez le père. Un ECG ainsi que des troponines excluent une cause ischémique et le patient répond bien à la nitroglycérine aux urgences. Nous concluons à des douleurs sur un pic hypertensif dans le cadre d'une cardiopathie hypertrophique valvulaire et hypertensive. Une trithérapie antihypertensive est débutée. Un suivi est organisé en ambulatoire. En cas de persistance d'un profil élevé malgré la trithérapie, nous vous laissons le soin de faire un bilan d'une hypertension secondaire. Au vu des facteurs de risque cardiovasculaires, on effectue un bilan laboratoire qui exclut une hypercholestérolémie ou un diabète. À noter un souffle systolique aortique à l'admission motivant la réalisation d'une ETT qui montre une sténose aortique modérée avec une FEVG conservée. Un suivi annuel de la sténose aortique est mis en place avec un prochain contrôle le 11.12.2019. Une anémie ferriprive hyporégénérative est constatée au laboratoire substituée par Ferinject. Un suivi biologique est recommandé. Malgré une absence d'extériorisation à l'anamnèse, une gastroscopie et une colonoscopie sont à organiser en ambulatoire. Une symptomatique de reflux gastro-oesophagien nous motive à introduire un IPP auquel le patient répond bien.En cours d'hospitalisation, le patient se plaint d'une tuméfaction douloureuse au niveau de la cheville gauche, sans traumatisme. Après avis rhumatologique, nous retenons le diagnostic d'une chondrocalcinose et traitons la crise sous Colchicine, avec bonne résolution de la symptomatique. Le patient sera suivi en ambulatoire pour un contrôle. Le patient rentre le 11.12.2018 en bon état général et va contacter un médecin traitant pour la suite de la prise en charge. • Mr. Y est hospitalisé durant 3-4 heures aux soins intensifs en raison d'une tachycardie supra-ventriculaire, symptomatique, sans retentissement hémodynamique. Celle-ci est réduite par l'administration de Magnesium iv, sans récidive par la suite. À noter qu'il présente, semble-t-il de façon chronique, une tachycardie sinusale entre 110-120. • Mr. Y est un patient connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique ainsi qu'un mélanome multimétastatique, avec mauvaise tolérance de l'immunothérapie et récidive surrénalienne. Pour rappel, le patient est hospitalisé dans le service de médecine HFR Riaz dans le contexte d'un sepsis sur foyer pulmonaire depuis le 15.11.2018. Le 21.11.2018, il nous est transféré en gériatrie pour réadaptation en raison d'un déconditionnement sur néoplasie active et hospitalisation de longue durée. Sur le plan infectieux, l'évolution tant clinique, biologique et radiologique est favorable et le traitement par antibiothérapie peut être stoppé le 25.11.2018. Au niveau oncologique, le traitement par corticoïdes est progressivement réduit. Selon avis du Dr. X, au vu de l'état général du patient et de l'absence de thérapie à proposer, nous effectuons un retrait thérapeutique. Sur le plan urologique, un sevrage de sonde urinaire, mise en place dans le contexte du sepsis, est tenté, chez un patient continent urinaire avant l'hospitalisation. Cependant, ce dernier développe un globe urinaire, raison pour laquelle la sonde est maintenue en place. Le bilan nutritionnel montre une dénutrition protéino-énergétique grave avec perte progressive de poids durant le séjour en raison d'une inappétence. La mise en place d'une nutrition artificielle est débutée avec suivi rapproché des électrolytes. La nutrition par la sonde nasogastrique est finalement arrêtée le 04.12.2018 au vu de vomissements qui ne permettent pas de garder la sonde en place. Pour la suite, nous optons pour une nutrition selon le plaisir du patient, avec hydratation parentérale. En raison d'une hypomagnésémie à 0.56 mmol/l le 03.12.2018, une substitution intraveineuse est initiée, avec normalisation le 04.12.2018. Le laboratoire indique une hyponatrémie normo-osmolaire probablement dans un contexte de SIADH dans la situation oncologique. Une perfusion de NaCl est alors mise en place. Le 02.12.2018, le patient développe un état fébrile associé à des diarrhées et des vomissements probablement dans le contexte d'une gastroentérite virale. Le bilan de laboratoire objective un syndrome inflammatoire avec une CRP à 249 mg/l, sans leucocytose. Les tests hépatiques reviennent dans la norme. Nous instaurons un traitement symptomatique. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche est limité. Le patient ne peut pas gravir d'escalier. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 67/126, par rapport à 77/126 à l'entrée. Le patient souhaitant une suite de prise en charge à domicile et après discussion avec la famille, nous le laissons rentrer avec organisation du passage de Voltigo pour la suite des soins de confort. • Mr. Y est un patient de 73 ans qui nous est transféré depuis Riaz le 05.12.2018 pour des hématochézies courantes depuis 3 jours et nécessitant la transfusion de 3 concentrés érythrocytaires chez un patient qui présente une cardiopathie ischémique. Une rectoscopie le 05.12.2018 ne retrouve pas de saignement dans la partie explorée. La chute de l'hémoglobine nécessite la transfusion de 2 nouveaux concentrés érythrocytaires le 05.12.2018. Une colonoscopie le 06.12.2018 retrouve une importante diverticulose sigmoïdienne sans saignement actif avec une muqueuse par ailleurs sans particularité. Le suivi biologique et clinique se montre par la suite rassurant sans nouvelle extériorisation de sang et le patient rentre à domicile le 07.12.2018. Pour rappel, le patient a présenté un épisode identique avec les mêmes résultats colonoscopiques il y a 13 ans. • Mr. Y, patient de 69 ans connu pour un diabète non insulino-réquant, est hospitalisé le 18.12.2018 en raison d'un NSTEMI. Il présente le 18.12.2018 des douleurs basithoraciques, irradiant dans le dos, apparues à l'effort. Un CT-scan thoracique permet d'exclure une dissection aortique ou une embolie pulmonaire. L'ECG montre une bradycardie sinusale, sans trouble de la repolarisation. Il y a une cinétique des troponines, raison pour laquelle il bénéficie d'une coronarographie le 19.12.2018 qui met en évidence une maladie tri-tronculaire, dont une obstruction de la branche rétroventriculaire de l'artère coronaire droite qui est désobstruée et traitée par 2 stents actifs, une sténose significative de l'artère interventriculaire postérieure qui est traitée par 1 stent actif, ainsi que des sténoses significatives sur l'interventriculaire antérieure et la circonflexe qui seront traitées dans un mois. La fraction d'éjection du ventricule gauche a été calculée à 70% (en OAD). Le pic de CK s'est élevé à 661 U/l. Durant la période de surveillance aux soins intensifs, le patient présente une bradycardie sinusale asymptomatique, raison pour laquelle un traitement bêtabloqueur n'est pas initié. Vu l'évolution favorable, le patient est transféré à l'étage de médecine le 20.12.2018, où une physiothérapie de mobilisation par paliers progressifs est réalisée. Un bilan par Holter sur 24 heures a été réalisé le 22.12.2018, dont les résultats sont encore en cours. Un dosage des hormones thyroïdiennes démontre une hypothyroïdie subclinique, qui sera à suivre à distance par le médecin traitant. Au vu de valeurs rénales favorables, le traitement antidiabétique habituel est repris le 21.12.2018 avec des valeurs de glycémies satisfaisantes. • Mr. Y peut rentrer à domicile en bon état de santé général le 24.12.2018.En raison d'une bradycardie sinusale asymptomatique, le traitement bétabloqueur n'a pas été initié. Vu la bonne tolérance hémodynamique, uniquement un bilan par Holter est proposé. Nous vous laissons le soin de l'organiser à l'étage. Le patient a été transféré dans le service de médecine interne le 20.12.2018. Mr. Y est hospitalisé pour une dyspnée aiguë (NYHA IV). Le patient a présenté le 29.11.2018 pendant un repas au restaurant 3 épisodes de diarrhées subites en grandes quantités. Presque simultanément, il a développé une dyspnée en progression avec une toux productive et des expectorations blanchâtres, ainsi qu'une tachycardie objectivée à l'arrivée aux urgences. Une hydratation iv et une oxygénothérapie ont permis une résolution presque complète de la dyspnée aux urgences. La dyspnée a probablement été déclenchée par une déshydratation due à une diarrhée d'origine indéterminée et une insuffisance d'apport hydrique, au vu de la restriction hydrique faite par le patient en raison de son insuffisance cardiaque. Une hydratation i.v. puis per os a permis une bonne évolution clinique du patient. Une insuffisance rénale aiguë AKIN 2 est également mise en évidence au laboratoire suite à la déshydratation, raison pour laquelle ses traitements néphrotoxiques ont été stoppés. Au vu de la bonne évolution des valeurs rénales, son traitement a pu progressivement être réintroduit en intégralité, avec une bonne tolérance. Une bonne évolution clinique et biologique permet à Mr. Y de rentrer à domicile en bon état de santé général le 05.12.2018. Mr. Y, patient de 80 ans connu pour une FA bradycarde avec pose de pacemaker VVI 50/min en 2007, fermeture de l'auricule gauche en juillet 2016 et arrêt de l'anticoagulation, une cardiopathie valvulaire avec FEVG conservée (55% 2017), une anémie spoliative arégénérative, ferriprive récidivante sur probable saignement digestif à bas bruit depuis 2009, est adressé par vous-même en raison d'une décompensation cardiaque globale stade NYHA 3. L'anamnèse met en évidence une péjoration progressive depuis plusieurs mois de la dyspnée du patient avec une péjoration franche depuis une semaine qui motive la consultation de ce jour. Pas d'élément anamnestique pour une cause à l'origine de la décompensation. Nous mettons en évidence des œdèmes des membres inférieurs allant jusque dans le bas du dos, une hypoventilation jusqu'à mi-plage droite et des crépitants en basale gauche. Mr. Y bénéficie d'une radiographie du thorax confirmant des signes de décompensation cardiaque. Nous retenons une décompensation cardiaque globale d'origine indéterminée. Nous débutons une thérapie de Lasix adaptée à la clinique et la perte de poids du patient avec une bonne évolution qui permet un relais par Torem 10 mg/j. En raison du traitement diurétique, nous substituons le patient en potassium. En raison d'une probable insuffisance cardiaque sous-jacente sans traitement médicamenteux, nous introduisons un traitement de Lisinopril que nous augmentons progressivement jusqu'à 5 mg. Nous vous proposons de poursuivre la majoration du Lisinopril selon la tolérance du patient jusqu'à atteindre 10 mg/j. Un traitement par bétabloqueurs n'a pas été entamé devant un rythme cardiaque de base de l'ordre des 75 bpm et devant les antécédents de tendance à la bradycardie. Nous vous proposons également de réaliser une échographie cardiaque à distance de l'événement aigu afin d'évaluer la fonction cardiaque. Concernant l'hypocalcémie, nous la substituons par Calcimagon-D3 avec résolution en laboratoire. Devant une nette amélioration de la symptomatologie, Mr. Y peut retrouver son domicile le 07.12.2018. Mr. Y, patient de 83 ans connu pour une cardiopathie ischémique, rythmique et hypertensive avec pacemaker-défibrillateur (FEVG à 25-30% en février 2018) est hospitalisé en raison d'une bronchite. Ce qui l'amène aux urgences est cependant une forte épigastralgie d'apparition subite le 25.12.2018, sans nausées ou vomissements, spontanément résolutive. Un épisode cardiaque ischémique est exclu par un ECG et un train de troponines. De plus, le patient présente depuis une semaine un fort rhume et une toux dans un premier temps sèche, qui est devenue grasse avec dysphonie et expectorations blanchâtres sans hémoptysies. L'examen biologique démontre un syndrome inflammatoire et la radiographie thoracique, un épaississement bronchique, sans foyer franc. Les hémocultures prélevées restent négatives à 4 jours. Nous interprétons le tableau clinique comme une bronchite, raison pour laquelle le patient ne reçoit dans un premier temps qu'une dose unique de Co-amoxicilline. Le patient devient fébrile avec frissons solennels, raison pour laquelle des hémocultures sont à nouveau prélevées, également restées négatives à 4 jours. Au vu de la fragilité du patient, notamment au niveau cardiaque, et d'un syndrome inflammatoire restant important, une antibiothérapie intraveineuse par Co-amoxicilline est reprise le 26.12.2018 et sera à poursuivre per os jusqu'au 01.01.2019. Un concilium psychiatrique est demandé le 27.12.2018, au vu d'un tableau anxio-dépressif observé chez ce patient durant l'hospitalisation. Les psychiatres diagnostiquent un épisode dépressif moyen et proposent l'introduction de Brintelix. Cependant, le médicament n'est pas désiré par le patient, mais l'indication est à rediscuter à distance. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut retourner à son domicile en bon état de santé général le 29.12.2018. Mr. Y, patient de 68 ans connu pour un adénocarcinome du corps pancréatique diagnostiqué en novembre 2018, est hospitalisé dans un contexte de baisse de l'état général sur vomissements. Le patient a débuté la chimiothérapie par du Folfirinox le 10.12.2018, il présente des vomissements à répétition motivant une consultation aux urgences avec incapacité de s'hydrater motivant une consultation chez son oncologue traitant le 11.12.2018, qui l'adresse aux urgences. Les épisodes de vomissements auront débuté le 27.11.2018 et ont donné lieu à un reflux gastro-oesophagien important, traité par IPP. Il présente une amélioration transitoire suivie par une réaggravation depuis la chimiothérapie. Il relate une perte pondérale d'environ 15 kg sur les 3 derniers mois. Le suivi diététique en ambulatoire a retenu une malnutrition protéino-énergétique sévère motivant la pose d'une sonde nasogastrique le 10.12.2018. Le patient présente une ablation spontanée de la sonde nasogastrique lors des épisodes de vomissements le 10.12.2018. Nous retenons une baisse de l'état général dans un contexte de vomissements d'origine probablement médicamenteuse. Le traitement aux opiacés aurait été introduit il y a 3 semaines, sans modification récente. Le traitement IPP est poursuivi sans modification. L'anamnèse ne révèle pas d'argument en faveur d'un saignement digestif. L'évaluation clinique ne révèle pas d'argument en faveur d'une mycose, nous proposons des bains de bouche par solution bic 1.4% en prévention d'éventuelle mucite d'origine iatrogène. Sur le plan pharmacologique, un traitement de Dexaméthasone est introduit à but antiémétique avec un traitement de Primperan. L'évolution est rapidement favorable avec une réalimentation orale possible. Un suivi diététique est prévu en ambulatoire. À noter que le patient présente une réticence importante à la nouvelle pose de sonde nasogastrique. Il accepte l'introduction de Callshake comme enrichissement et bénéficie de conseils hygiéno-diététiques. Nous ne proposons pas de rotation d'opiacés à l'heure actuelle devant l'évolution favorable, néanmoins la chronologie du début des vomissements pourrait correspondre à l'introduction de ce traitement. Une rotation avec l'introduction de Palexia pourrait être envisagée dans un deuxième temps. En termes d'effets secondaires à la chimiothérapie, nous ne retenons pas d'arguments pour un syndrome mains-pieds ni de neuropathie. Les examens de laboratoire révèlent une anémie légère probablement d'origine iatrogène (post-chimiothérapie) avec nadir à 127 g/l.Mr. Kappeler bénéficie de la pose d'une consultation chirurgicale pré-pose de PAC le 13.12.2018, ce geste est prévu le 21.12.2018 à Tavel. Lors de l'hospitalisation, le patient témoigne d'une anxiété importante en lien avec le contexte médical actuel. Il se révèle être réticent dans la prise d'anxiolyse. Il bénéficie d'un soutien médicoinfirmier et réassurance verbale. La suite de prise en charge est prévue à la consultation du Dr. X le 17.12.2018. Mr. Keller, connu de longue date pour une maladie de reflux sous Nexium dans un contexte de stress, ainsi que pour une hypertension artérielle, consulte les urgences le 03.12.2018 en raison de douleurs abdominales en région épigastrique et péri-ombilicale, d'apparition brutale ce matin à 9 heures alors qu'il était au repos au travail. Les douleurs sont en barre, au niveau de l'abdomen supérieur, non transfixiantes, améliorées à la position déclive latérale, d'intensité 7/10 de type crampiforme et intermittentes. Pas de nausée ni vomissement. Dernières selles ce matin, très sombres et malodorantes, évoquant du méléna, avec des urines claires. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. Au status digestif, l'abdomen est souple mais douloureux à la palpation de l'épigastre et au niveau péri-ombilical. Pas de défense ni de détente, signe de Murphy et psoas négatif. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Au toucher rectal, pas de selles dans l'ampoule rectale, pas de sang au doigtier. Le patient est afébrile et le reste du status d'entrée est sans particularité. Au laboratoire, pas de syndrome inflammatoire et les tests hépato-pancréatiques sont dans la norme. La radiographie du thorax est sans particularité. Le patient est cliniquement très algique nécessitant un traitement morphinique dès son arrivée dans notre service. Nous effectuons une recherche de sang occulte dans les selles qui revient positive, raison pour laquelle nous débutons un traitement de protection gastrique à dose majorée et iv, en suspectant une hémorragie digestive haute. Malgré un laboratoire rassurant, nous demandons un avis chirurgical au Dr. X (chirurgien de garde) qui propose un CT scan abdominal ne mettant pas en évidence de pathologie chirurgicale ni d'étiologie aux douleurs. Nous dosons finalement les troponines afin d'exclure une pathologie cardiaque, mais elles reviennent négatives. Au vue des épigastralgies, nous suspectons notamment un ulcère gastrique et nous hospitalisons le patient en médecine à jeûn, avec un traitement IPP en pompe. Une OGD effectuée par Dr. X le 04.12.2018 permet d'exclure une pathologie gastrique sévère, mais met en évidence une duodénite aiguë. La pompe d'IPP est stoppée et du Nexium per os est prescrit. L'évolution est favorable, sans récidive de méléna et les contrôles biologiques sont dans la norme. Les biopsies sont rassurantes : pas de lésion maligne ni d'Helicobacter pylori. Mr. Keller peut regagner son domicile le 06.12.2018. Mr. Koelliker est un patient de 82 ans, connu pour un adénocarcinome du bas rectum moyennement différencié cT3 cN1 cM0 qui bénéficie le 20.11.2018 d'une amputation abdomino-périnéale avec colostomie terminale définitive. Les suites opératoires sont simples. Le cas de Mr. Koelliker est discuté au tumorboard du 28.11.2018, où la décision est prise de proposer une chimiothérapie adjuvante. Le patient sera convoqué par le service d'oncologie pour discuter de cette éventualité. En attendant d'être transféré à Tavel pour bénéficier d'une réadaptation, le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Koestinger, patient de 60 ans, connu pour un diabète insulino-requérant, une fibrillation auriculaire paroxystique non anti-coagulée, une insuffisance rénale chronique avec status post transplantation rénale, un pied diabétique avec artériopathie oblitérante des membres inférieurs ayant nécessité une amputation de la jambe droite le 12.10.2018 qui a fait une chute le 19.11.2018 avec déhiscence de la plaie du moignon, est adressé par l'Inselspital dans ce contexte pour soin de plaie et adaptation de la prothèse. A son entrée, le patient n'a pas de plainte et son examen clinique montre des signes d'insuffisance veineuse et artérielle du membre inférieur gauche, une polyneuropathie du membre inférieur gauche ainsi qu'une plaie de la partie interne du moignon sans signe inflammatoire mais avec la persistance d'un suintement sanguinolant. Nous réalisons des soins de plaie quotidien avec une bonne évolution de la plaie. D'après le contrôle en angiologie à l'Inselspital les fils peuvent être retirés le 13.12 et la réhabilitation peut être entamée le 14.12.2018. Concernant l'antalgie, nous réalisons un relais par Palexia avec bonne évolution des douleurs, ce qui permet de le diminuer progressivement jusqu'à arrêt total le 30.11.2018. Sur le plan de la surcharge, nous adaptons le traitement diurétique en fonction du poids du patient avec une cible de 93 Kg. Quant au diabète, nous réintroduisons le traitement de Levemir aux doses habituelles. Devant des hyperglycémies post-prandiales nous augmentons le traitement par Levemir à 5 UI avec bonne réponse ultérieure sur les glycémies. Nous mettons en évidence une carence en acide folique que nous substituons pour une durée de 3 mois. Concernant l'hypertension, nous majorons le traitement du patient de Nebivolol à 5 mg. Sur le plan infectieux, Mr. Koestinger a présenté une pyélonéphrite à Proteus mirabilis. Nous débutons un traitement de Rocéphine 1g iv adapté à la fonction rénale du patient puis réalisons un relais par Co-Amoxicilline 625 mg/j pour une durée totale de 7 jours. Devant une bonne évolution clinique de la plaie, nous retirons les fils le 13.12.2018 et adressons Mr. Koestinger le 14.12.2018 en réhabilitation musculo-squelettique dans notre établissement et non plus à Heiligenschwendi comme le souhaite le patient. Mr. Kohli, 60 ans, est hospitalisé à Marsens pour une psychose d'origine indéterminée. Il consulte ce jour en raison d'une chute d'environ 2 m avec réception sur le poignet G en hyperflexion et sur l'épaule G. Aux urgences, pas de trouble neuro-vasculaire mais douleur diffuse. La mobilisation est complète mais légèrement douloureuse avec sensation d'engourdissement. Les radios ne montrent pas de fracture, pas de luxation. Les tests pour la coiffe des rotateurs excluent une lésion. Mr. Kolly est un patient de 72 ans, qui se présente le 26.11.2018 aux urgences pour des vomissements fécaloïdes, accompagnés de fièvre et de frissons depuis 3 jours ainsi que de douleurs abdominales en hypochondre droit depuis 10 jours. On retrouve, au laboratoire initial, un syndrome inflammatoire important, avec la mise en évidence au CT abdominal d'une importante cholécystite aiguë lithiasique. Au vu de la durée des symptômes, un traitement conservateur est choisi avec l'introduction d'une antibiothérapie par Rocéphine et Flagyl intraveineuse, ainsi que la réalisation d'un drainage percutané transhépatique en urgence après réversion de la crase.L'évolution est par la suite favorable, tant au niveau clinique que biologique. Le patient rentre à domicile le 03.12.2018, avec de l'aide à domicile pour le rinçage du drain quotidiennement, qui sera retiré lors de la cholécystectomie élective à environ 6 semaines de l'épisode aigu. Par ailleurs, durant son hospitalisation, le traitement habituel par Sintrom a été suspendu et remplacé par de l'héparine puis par de la Clexane. Le Sintrom est réintroduit avant la sortie et nous laissons le soin au médecin traitant de réaliser le relais dès que l'INR le permettra. Mr. Y est un patient de 90 ans, aux co-morbidités et antécédents suscités, qui est amené par son fils aux urgences le 28.11.2018 après une chute de sa hauteur à domicile avec réception du côté gauche (frontal gauche, coude et main gauches). Le patient dit ne pas avoir perdu connaissance mais l'anamnèse est douteuse en raison de troubles cognitifs connus. A noter que Mr. Y a été retrouvé au sol par son fils environ deux heures après la chute. A l'examen clinique, le patient est bien orienté, les nerfs crâniens sont dans la norme, asymétrie de la commissure labiale connue, force et sensibilité conservées aux quatre membres. Réflexes ostéo-tendineux hypovifs et symétriques. Le reste de l'examen neurologique est sans particularité. Présence d'une plaie de 6 cm transversale superficielle palmaire de la main gauche, ainsi que dermabrasion du coude gauche. Volumineux hématome frontal gauche, indolore. Les articulations sont libres et indolores. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire avec rhabdomyolyse modérée, ainsi qu'une augmentation de la créatinine. Au vu de la clinique chez ce patient sous Aspirine, un CT cérébral natif est effectué, permettant d'exclure toute lésion traumatique du parenchyme cérébral, montrant uniquement un hématome sous-galéal frontal gauche. Mr. Y est hospitalisé dans le service de chirurgie pour surveillance neurologique rapprochée. Celle-ci se déroule sans complication, le statut neurologique répété est dans la norme. Une consultation ergo-physiothérapeutique a lieu et il est suggéré à Mr. Y l'utilisation d'un Rollator pour ses déplacements. Une insuffisance rénale aiguë répond bien à l'hydratation intraveineuse avec une normalisation de la créatinine. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 03.12.2018, muni d'un formulaire de surveillance neurologique. En outre, nous avons augmenté la fréquence des soins à domicile à 3 x/semaine. Mr. Y nous est adressé pour une réadaptation cardiovasculaire le 27.11.2018 suite à un remplacement de la valve aortique par une prothèse biologique le 20.11.2018 par Dr. X à l'Inselspital. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100 mg 1x/jour • Lisinopril 5 mg 2x/jour • Metoprolol 50 mg 1.5 cp 2x/jour • Atorvastatine 20 mg 1x/jour • Co-amoxicilline 1000 mg 3x/jour jusqu'au 2.12.2018 Durant son séjour, le patient est en isolement de contact du 27.11. au 13.12.2018 pour suspicion de portage d'enterobacter résistant à la Vancomycine. Les frottis rectaux reviennent négatifs à 3 reprises. Sur le plan cardiaque, nous auscultons un frottement péricardique associé à un souffle tubaire à gauche compatible avec un épanchement péricardique. Un traitement de Brufen 400 mg 2 fois par jour est instauré du 28.11 au 13.12.2018 avec évolution favorable. Une échographie cardiaque le 13.12.2018 objective la persistance d'un épanchement résiduel en regard de la paroi postérieure basale et moyenne. Au niveau du profil tensionnel, le patient présente une baisse de la tension artérielle le 03.12.2018 raison pour laquelle nous diminuons le Lisinopril à 5 mg 1 fois par jour et le Beloc Zok à 50 mg 2 fois par jour. Au sujet du ré-entraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité faible et il a pu progresser durant son séjour, malgré la limitation des techniques de physiothérapie en lien avec l'isolement de contact. A la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 25 minutes sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du vélo à 20 W pendant 10 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue de 120 mètres avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique sous traitement montre un cholestérol total à 3 mmol/L, des HDL à 1.05 mmol/L, des LDL à 1.64 mmol/L, des triglycérides à 1.0 mmol/L. 2. Patient tabagique sans intérêt à diminuer sa consommation. Il a bénéficié d'une consultation avec notre médecin tabacologue, Dr. X, qui a préconisé un sevrage du tabac avec réalisation d'un entretien motivationnel. Elle reste à disposition si le patient le désire. 3. Sous traitement, la fréquence cardiaque basale du patient reste stable dans la limite supérieure de la norme. 4. Sous traitement, la pression artérielle basale est dans la norme. Mr. Y, patient de 55 ans, en bonne santé habituelle, consulte les urgences pour des douleurs thoraciques à l'effort, en crescendo depuis un mois, disparaissant spontanément au repos. Au niveau des facteurs de risque cardio-vasculaires, un ancien tabagisme ainsi qu'une anamnèse familiale positive pour des AVC chez la maman et les frères et sœurs. Au vu d'un ECG et de troponines dans la norme, un angor instable est suspecté et une charge en Aspirine et liquémine est administrée aux urgences. Sur avis cardiologique, une coronarographie est effectuée le lendemain et montre une sténose de l'IVA qui est dilatée au ballon et stentée. Un traitement par Aspirine Cardio à vie et Effient pour 6 mois est initié. Le patient ira en contrôle chez son cardiologue et nous laissons le soin au médecin traitant de contrôler les facteurs de risque. Une ETT est planifiée dans une année. A titre préventif, une statine est débutée avec cible selon facteurs de risque. Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.12.2018. Mr. Y, âgé de 90 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à la mise en place d'une prothèse céphalique le 23.11.2018, suite à une fracture du col du fémur droit type Garden III le 19.11.2018, après chute mécanique de sa hauteur avec réception sur la hanche droite. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il y a environ 32 marches d'escaliers à son domicile. Il est à la retraite. A l'admission, il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs à la hanche opérée sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Il se plaint de douleurs au genou D. Au status, le patient est orienté et collaborant, mais il présente un ralentissement cognitif. Cypho-scoliose prononcée. Présence d'un lipome au dos. A l'auscultation pulmonaire, murmure respiratoire diminué. A l'auscultation cardiaque, B1 B2 lointains. Turgescence jugulaire. OMI bilatéraux, D > G. La cicatrice est calme. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche D à 50° en actif et à 70° en passif. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un tintébin sous surveillance car il ne respecte pas la décharge. Les escaliers n'ont pas été testés. Les amplitudes articulaires montrent une flexion de la hanche D à 60° en actif et à 70° en passif. La force musculaire du MID est cotée au quadriceps à M3 et au psoas à M3, celle du MIG est cotée à M4.Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 22.12.2018, en état général conservé et ce à la demande de son épouse. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie en ambulatoire. Mr. Y, connu pour une hypertension sous quadrithérapie, est hospitalisé dans un contexte d'AVC sylvien G. Pour rappel, le patient a présenté un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit apparu brutalement le 02.12.2018 à 07h45, durant quelques secondes avant une régression complète. Dans ce contexte, il chute de sa hauteur résultant en un traumatisme crânien simple fronto-temporal D. Aux urgences, le patient montre de très légers signes d'aphasie avec de discrets troubles de la dénomination et des paraphasies phonémiques. Le CT cérébral révèle un AVC ischémique sylvien antérieur G non constitué. L'IRM cérébral révèle deux lésions ischémiques aiguës, incluant les territoires vasculaires sylviens G et antérieurs G, ainsi qu'une lésion thalamique ancienne. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une charge en Aspirine. Une thrombolyse n'est pas initiée vu la régression spontanée de la symptomatologie. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de dilatation auriculaire, parlant pour une arythmie emboligène. Un foramen ovale persistant de grade III est mis en évidence avec shunt important au Valsalva. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour la pose d'un Holter de 72h, dont nous vous invitons à pister les résultats. Un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux et transcrânien ne montre pas d'athéromatose ou sténose hémodynamiquement significative. Nous suspectons une étiologie cardio-embolique au vu de l'IRM montrant des lésions d'âges différents dans différents territoires vasculaires. Nous vous invitons alors à rechercher activement une arythmie emboligène, par l'organisation d'un R-Test de 7 jours en cas de négativité du Holter de 72h. Le cas de Mr. Y sera abordé au colloque pluridisciplinaire neuro-cardiologique, afin de discuter l'indication à la fermeture du FOP, avec une causalité incertaine (RoPE score de 5). Un courrier séparé vous sera adressé avec nos recommandations. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en raison d'une hypercholestérolémie. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Le bilan neuropsychologique ne révèle pas de trouble phasique important, ni de trouble exécutif. Le MOCA est mesuré à 26/30. En cas de difficultés phasiques persistantes, nos neuropsychologues sont à disposition pour un bilan d'évolution ou un suivi ambulatoire. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15 jours suite à l'AVC. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un statut neurologique de sortie dans la norme. Mr. Y peut regagner son domicile le 05.12.2018. Mr. Y est hospitalisé le 02.12.2018 aux soins intensifs pour un AVC ischémique sylvien gauche. Le patient consulte aux urgences en raison d'un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural droit apparu brutalement le 02.12.18 avec une régression complète au bout de quelques secondes. Dans ce contexte, il chute de sa hauteur avec un traumatisme crânien simple. Aux urgences, l'examen neurologique est sans particularités. Le CT cérébral révèle un AVC sylvien gauche non constitué justifiant l'administration d'une dose de charge d'aspirine. Durant la surveillance, le patient garde un état neurologique dans la norme. L'IRM cérébral révèle deux lésions ischémiques aiguës dans les territoires vasculaires sylviens gauche et antérieurs gauche, ainsi qu'une lésion thalamique ancienne. Une origine cardio-embolique est suspectée. Un Holter est à prévoir. A noter que le patient a un foramen ovale perméable qui a été découvert en 2016. Une fermeture de ce FOP est à rediscuter. Une hypercholestérolémie est diagnostiquée justifiant l'introduction d'un traitement par Atorvastatine. Le patient est transféré le 03.12.2018 en Stroke non-monitoré pour suite de prise en charge. Mr. Y est un patient de 83 ans, qui se présente aux urgences le 11.12.2018 avec une dysarthrie et un syndrome cérébelleux gauche. Le bilan initial révèle une maladie athéromateuse touchant plusieurs vaisseaux pré-cérébraux sans lésion constituée. L'IRM révèle deux lésions punctiformes, l'une au niveau du gyrus post-central gauche et l'autre dans le centre semi-ovale à droite, pouvant correspondre à de minuscules lésions ischémiques aiguës, ainsi que des lésions athéromateuses marquées au niveau des artères du polygone de Willis. Un doppler des vaisseaux précérébraux confirme la sténose de l'artère carotide gauche et le patient est pris au bloc opératoire pour une thrombendartériectomie carotide gauche le 13.12.2018 avec plastie d'élargissement. L'intervention se déroule sans particularité. Le patient présente, en post-opératoire, une déviation de la langue vers la gauche, stable pendant l'hospitalisation sans trouble de la déglutition objectivé. Sur avis de nos collègues neurologues, nous arrêtons l'Aspirine en raison de l'anticoagulation thérapeutique. Le traitement par Sintrom est repris dès le 15.12.2018, l'INR étant légèrement au-dessus de la cible le 19.12.2018 (INR 3.7), nous laissons le soin au médecin traitant de le régler. Suite à un contrôle radiologique dans la norme, le patient rentre à domicile le 19.12.2018. Il sera revu en consultation du Dr. X le 09.04.2019 à 11h00, suite à un contrôle Doppler organisé le 03.04.19 à 15h30. Mr. Y, patient de 87 ans, connu pour une pneumopathie interstitielle d'étiologie indéterminée sous oxygénothérapie à domicile, consulte les urgences le 14.12.18 pour la persistance d'un état fébrile, une péjoration de la dyspnée ainsi qu'une baisse de l'état général. Initialement, il avait consulté la veille pour un état fébrile et des frissons depuis 3 jours, un diagnostic d'infection virale a été retenu et le patient est rentré à domicile. Le 14.12.2018, une décompensation cardiaque est mise en évidence et le patient nous est transféré après initiation d'un traitement diurétique. Compte tenu d'un léger syndrome inflammatoire à l'admission et des hémocultures prélevées le 13.12.2018 qui se sont positives rapidement, un traitement par Rocéphine est initié pour une piste pulmonaire. Celui-ci est rapidement relayé par de la Co-amoxicilline en raison d'hémocultures positives (4/4) à staphylocoque doré avec bonne évolution clinique. Nous effectuons une ETT, complétée par une ETO permettant d'exclure une endocardite. La relecture de la radiographie thoracique permet d'exclure un foyer. Un avis infectiologique est demandé afin de déterminer les investigations à effectuer pour préciser la source de la bactériémie. En absence de piste à l'examen clinique et au vu de l'évolution clinique favorable et des complications d'une imagerie chez un patient insuffisant rénal, nous renonçons aux investigations complémentaires. Un traitement de Floxapen est instauré afin de réduire le spectre antibiotique pour une durée totale de 2 semaines. En cas de péjoration clinique ou récidive de bactériémie, nous vous laissons le soin d'effectuer les examens complémentaires à la recherche de la source infectieuse.En ce qui concerne la décompensation cardiaque gauche, l'évolution est rapidement favorable sous diurétique avec un relais per os. A l'admission, la patiente présente une acutisation de son insuffisance rénale chronique dans le contexte infectieux et de la décompensation cardiaque. L'évolution est favorable sous diurétique. Nous vous laissons le soins de suivre son évolution en ambulatoire. Après discussion avec Mr. Y et son épouse, une réadaptation gériatrique à Tavel est proposée afin d'augmenter l'autonomie du patient et faciliter un retour au domicile. Une majoration de l'aide au domicile est à prévoir afin d'éviter l'épuisement de l'épouse. Des contacts pour le foyer de jour Famille au jardin ont été donnés à la famille et des inscriptions préventives en EMS vont également être entreprises. A noter des troubles cognitifs débutants mis en évidence par la famille depuis l'été 2018. Un bilan cognitif avec MMS et test de l'horloge sont à effectuer à distance de l'épisode aigu. Selon les résultats, un bilan neuro-cognitif complet est à envisager. Mr. Y sera transféré le 28.12.2018 en réadaptation gériatrique à Tavel. D'ici là, il reste hospitalisé au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 19 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance rythmique suite à une électrocution. En apprentissage d'électricien, il s'est électrocuté en prenant avec la main droite une prise électrique avec courant alternatif de 230 V et 10-12 Ampères. La durée du choc électrique n'est pas définie. Le patient présente une amnésie circonstancielle et se souvient uniquement s'être réveillé au sol mais pas de perte de connaissance selon témoin. Le patient consulte les urgences de Tavel puis est transféré aux soins intensifs pour une surveillance rythmique, qui s'est déroulée sans particularité. Les CK sont discrètement augmentés à l'entrée (272 U/l) et se normalisent le lendemain. Il présente 2 plaies au niveau de la face postérieure de la main droite, dont une de 5 cm qui nécessite 10 points de suture qui seront à enlever à 7 jours, et une autre, plus médiale, qui est superficielle. Un rappel antitétanos n'a pas été effectué. Les vaccins sont, anamnestiquement, à jour. Le patient peut regagner son domicile le 19.12.2018 et se rendra à votre consultation le 21.12.2018. Mr. Y est hospitalisé en électif du 12.12. au 13.12.2018 pour une tentative de mise sous ASV après mauvaise tolérance d'une CPAP à pression fixe à 10 cmH20 dans le cadre de son syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré modéré. Pour rappel, le patient avait initialement bénéficié d'une mise sous CPAP avec pressions réglées à 8/13 cmH20. A la polygraphie de contrôle, nous avions objectivé une réapparition d'apnée et hypopnée mixtes motivant un changement de pression à une pression fixe à 10 cmH20. Ce changement avait été mal toléré entraînant une mauvaise compliance. Dans ce contexte, une mise sous ASV avait été planifiée. A noter que depuis sa dernière venue (il y a environ 1 mois et demi), nous avions procédé à un changement de masque pour un masque plus léger. Ce jour, le patient rapporte mieux tolérer ce masque, lui permettant une plus grande liberté de mouvement. Il se sent moins fatigué et moins somnolent et les céphalées matinales ont disparu. Il rapporte également avoir changé de profession avec arrêt des horaires de nuit, entraînant une amélioration de l'hygiène du sommeil. Il se remet progressivement à l'activité physique (2 x 20 min de marche par jour). Il nous mentionne aussi avoir vécu une période de deuil (perte d'un enfant) en début d'année avec amélioration de la thymie actuellement. Malgré une bonne tolérance de l'appareillage par le patient, on observe malheureusement des résultats de polygraphie sous ASV insatisfaisants avec IAH à 28.1/h. Ces résultats sont identiques à ceux de la polygraphie diagnostique et nettement moins bons que ceux sous CPAP à pression fixe (15.4/h). Nous décidons donc de ne pas débuter de thérapie par ASV et reprenons un traitement par CPAP à pression fixe à 10 cmH20, d'autant plus que cet appareillage était mieux toléré ces dernières semaines grâce à l'adaptation du masque. Nous encourageons fortement le patient à porter sa CPAP de manière assidue et reverrons le patient à 1 mois et demi pour une analyse ResScan et consultation sommeil en pneumologie. Nous lui rappelons aussi les règles d'hygiène du sommeil et l'importance d'une perte de poids afin de réduire au maximum les risques cardio-vasculaires. Mr. Y est un patient de 67 ans, connu pour une paraplégie inférieure incomplète, qui se présente aux urgences avec une clinique compatible avec une appendicite aiguë confirmée par une CT scanner et qui pose l'indication à la réalisation d'une appendicectomie laparoscopique. En per-opératoire, une appendicite aiguë ulcéro-nécrotique est trouvée, qui nécessite un agrafage au niveau du pôle caecal et motive une antibiothérapie empirique intraveineuse puis per os pour une durée totale de 7 jours. Les suites opératoires sont simples. Le patient rentre à domicile le 04.12.2018. Les fils seront enlevés chez le médecin traitant à J-12. Mr. Y est un patient de 61 ans, connu notamment pour un antécédent d'alcoolisme chronique et d'un asthme, consulte les urgences pour une baisse d'état général avec dyspnée. Une pneumonie lobaire inférieure droite est diagnostiquée avec un syndrome inflammatoire biologique important. Le patient est traité par Ceftriaxone avec une bonne évolution clinique et biologique permettant une poursuite par co-amoxicilline orale le 28.12.2018. Dans ces antécédents, le patient compte plusieurs pneumonies, dont une pneumonie basale bilobaire en juin 2018. Comme le CT thoracique d'Interlaken a été effectué en juillet, nous nous abstenons de planifier un nouveau CT thoracique pour exclure un malignome avec ces pneumonies à répétition. Des vaccinations contre la grippe et le pneumocoque sont également effectuées durant le séjour. A son entrée, il présente également un prurit généralisé sans eczéma avec multiples excoriations importantes, le consilium de dermatologie considère celui-ci comme un eczéma atopique exacerbé et propose un traitement par Monovo crème et lotion d'hydratation. L'épouse de Mr. Y demande d'évaluer la situation sociale et psychologique difficile du patient, actuellement en cours de sevrage OH au Torry et dans un contexte de trouble anxieux généralisé et d'isolement social. Mr. Y, que nous considérons capable de discernement, nous demande de se concentrer sur le traitement de la pneumonie et désire retourner à la fondation du Torry d'y suivre le reste de son accompagnement. Avec son accord, nous informons sa femme du souhait du patient. Ainsi, un retour à la fondation le Torry est organisé et le patient pourra y rentrer le 28.12.2018 afébrile. Mr. Y, âgé de 61 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réhabilitation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à une réduction ouverte et ostéosynthèse du plateau tibial externe gauche par plaque LCP 4.5 le 16.11.2018 suite à une fracture-enfoncement du plateau tibial externe gauche le 02.11.2018, lors d'un AVP. Sur le plan social, la patiente a une compagne. Il vit seul. Il a une fille qui vit au Portugal. Il est à la retraite.A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Il se plaint de douleurs à la jambe et au genou G, surtout à la mobilisation, qui sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Le patient est orienté et collaborant. Au status cardio-pulmonaire, pas de particularité hormis un murmure respiratoire diminué bilatéralement. OMI à gauche postopératoire. La cicatrice est calme. La flexion du genou G est de 85° en actif et de 95° en passif sans flexum. La force et la sensibilité sont conservées. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et la marche avec un tintébin ou 2 cannes anglaises en respectant la décharge. Il peut monter/descendre 5 marches d'escaliers avec 1 canne et la rampe. Les amplitudes articulaires montrent une flexion du genou G à 115° en passif et 110° en actif, sans flexum. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 21.12.2018, en bon état général. A la sortie, le patient bénéficiera de séances de physiothérapie. Les soins à domicile sont activés. Mr. Y est un patient de 64 ans connu pour une cardiopathie ischémique et dysrythmique, que vous nous adressez suite à la mise en évidence d'une anémie à 75g/l lors d'une prise de sang. Hormis une fatigue depuis 1-2 mois et un épisode d'orthostatisme prolongé il y a deux semaines, le patient n'a pas de plainte et ne présente aucune extériorisation. Nous concluons à une anémie ferriprive dans le contexte d'une probable hémorragie digestive à bas bruits dans un contexte d'anticoagulation et antiagrégation. Nous suspendons le traitement par Xarelto (introduit en raison d'une fibrillation auriculaire, mais le patient étant actuellement en rythme sinusal) et l'Aspirine Cardio transitoirement. Le patient présente une bonne amélioration clinique après 2 culots érythrocytaires et une substitution de Ferinject. Une OGD montre un probable adénome de la papille sans signe de saignement. Sur avis du gastro-entérologue, une duodénoscopie ainsi qu'une colonoscopie sont demandées le 21.12.2018 mais en raison des fêtes et au vu de l'absence d'urgences, celles-ci n'ont pas eu lieu durant le séjour. Le patient sera convoqué pour une courte hospitalisation afin de bénéficier de ces examens. Au niveau biologique, une péjoration de la fonction rénale est notée, probablement dans le contexte d'anémie. Sous stimulation hydrique, les valeurs de créatinine s'améliorent et le patient reste asymptomatique. En vue d'une stabilité tant clinique que biologique, le patient rentre à domicile le 26.12.2018. Il sera convoqué pour les examens endoscopiques. Mr. Y, 65 ans, nous est retransféré de l'Inselspital à Bern après prise en charge d'une cécité aiguë bilatérale apparue dans le cadre de la progression du méningiome coonu et opéré à plusieurs reprises avec compression occipitale. En raison de la progression de la tumeur au niveau infra-tentoriel à droite et supra-tentoriel à gauche, le patient a bénéficié d'une crâniotomie avec excision tumorale le 27.11.2018. L'évolution post-opératoire était favorable, il nous est donc retransféré le 13.12.2018 pour suite de la prise en charge en attente d'une place de réhabilitation neurologique. L'état clinique du patient reste stable pendant le séjour dans notre service. Mr. Y est transféré dans le centre de la réhabilitation neurologique à Tschugg le 20.12.2018 pour suite de prise en charge. Mr. Y, connu pour une dermatose prurigineuse, consulte les urgences le 25.11.2018 pour une péjoration des démangeaisons pour lesquelles il a pris des antihistaminiques sans efficacité, ainsi qu'une asthénie de plus en plus prononcée. Pour rappel, le patient a consulté les urgences le 22.11.2018 en raison d'un malaise probablement sur hypoglycémie, DD vaso-vagal. Mr. Y a pu regagner son domicile le jour même avec conseil de bien s'hydrater. A noter qu'en raison de D-Dimères à plus de 500 ng/ml, un CT scan thoracique a été effectué et a permis d'exclure une embolie pulmonaire. Notons également qu'en raison des démangeaisons nous avons recommandé une biopsie cutanée. A l'admission aux urgences, le patient se plaint de douleurs crampiformes aux cuisses et aux plis inguinaux. Pas d'autre plainte ni douleur. Au status cutané, notons un érythème diffus sur le corps avec macules et papules, épargnant le visage, déjà connu et décrit comme stable par rapport au 22.11.2018. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire montre une insuffisance rénale chronique, le reste est aligné et l'ECG est dans norme (superposable à celui du 22.11.2018). En raison de l'asthénie prononcée et de la dermatose, Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le lendemain de l'admission, le patient nous signale que le prurit est en augmentation. Dans ce contexte, nous augmentons le Xyzal et ajoutons l'Atarax le soir. Son épouse nous informe que ce prurit est présent depuis 2 ans mais en péjoration ces derniers temps et l'empêchant de dormir. Les lésions quant à elles sont présentes depuis octobre, en péjoration par rapport à cet été. Nous contactons le Dr. X, dermatologue traitant, qui nous explique avoir conseillé au patient la mise en suspens de la Ranitidine, suspectant une toxidermie. Ce traitement est donc arrêté. Toutefois, après avoir examiné le patient le 27.11.2018, le Dr. X nous communique suspecter une pemphigoïde bulleuse, pour laquelle une biopsie et une IFO sont effectuées au cabinet. Il nous conseille également l'introduction d'une thérapie avec Dermovate onguent 20-30 g/jour sur le corps entier, Nicotinamide cp 500 mg 3 fois par jour et Doxyclin cpr 100 mg 2 fois par jour. Nous avons bien expliqué au patient et à son épouse comment mettre la crème sur le corps entier. Pendant l'hospitalisation, nous mettons en évidence une TSH élevée à 10.31 mU/l, pour laquelle nous introduisons l'Euthyrox 50 ug par jour dès le 27.11.2018. Nous vous laissons le soin de recontrôler cette valeur. Le matin du 29 novembre, Mr. Y aurait dû rentrer à domicile, mais il se plaint d'une asthénie avec un prurit important au niveau du pied droit et des douleurs au niveau inguinal droit et du membre inférieur droit, ne lui permettant pas de rester debout. Il est tachypnéique. Le status cardio-pulmonaire et abdominal est sans particularité et l'évolution est rapidement favorable après administration d'1 mg de Temesta. Nous vous conseillons d'effectuer des investigations complémentaires afin d'exclure une éventuelle artériopathie des membres inférieurs en cas de persistance de la symptomatologie. Mr. Y peut regagner son domicile le 30.11.2018. Nous lui recommandons un contrôle à votre consultation. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire aiguë sévère dans le cadre d'une insuffisance mitrale avec hémorragie alvéolaire et une pneumopathie interstitielle concomitante rapidement progressive. L'évolution sera malheureusement fatale, en raison d'une progression de l'atteinte pulmonaire, de plusieurs épisodes de surinfection, le tout conduisant à une insuffisance respiratoire irréversible. La raison initiale de l'insuffisance respiratoire est une insuffisance mitrale sévère sur prolapsus des 2 feuillets mitraux, avec une fonction contractile segmentaire et globale normale et des coronaires saines. L'indication à une réparation chirurgicale a été retenue par les collègues au CHUV, mais l'état respiratoire et l'atteinte pulmonaire apparue en cours de séjour n'ont pas permis d'aller dans ce sens.Lors du séjour, une pneumopathie avec présence d'une hémorragie alvéolaire et des signes cytologiques de lésions alvéolaires diffuses est mise en évidence. Son origine reste indéterminée : une biopsie pulmonaire n'a pas pu être effectuée en raison de l'instabilité respiratoire, raison pour laquelle nous nous sommes limités à des lavages broncho-alvéolaires et des biopsies bronchiques, examens qui n'ont pas permis de déterminer une cause précise. Le bilan au Liban avait déjà mis en évidence des infiltrats en verre dépolitis et la présence de facteur anti-nucléaire et rhumatoïde positif. Avec un bilan négatif pour p-ANCA, c-ANCA et ANA, une vasculite semblait improbable. Le tableau était peu typique pour une pneumopathie à la cordarone. Dans le doute d'une atteinte pulmonaire inflammatoire, un traitement de corticostéroïde à haute dose a été entrepris, malheureusement sans réponse notable, voire même une progression des infiltrats. Sur le plan rénal, le patient présente une insuffisance rénale d'origine probablement mixte, pré-rénale dans le cadre de syndrome cardio-rénal et rénale dans le contexte de néphropathie sur produit de contraste. Une biopsie rénale à la recherche d'une vasculite ne montre pas de signe parlant en faveur d'une vasculite, mais plutôt pour une glomérulosclérose ischémique et une stase glomérulaire en faveur d'une microangiopathie localisée. Lors du séjour, on note plusieurs complications, notamment une thrombose veineuse profonde étendue de la veine fémorale commune jusqu'aux veines jambières sur cathéter, un sepsis sur une pneumonie et une bactériémie à Staphylocoques. Ces complications ont pu être traitées et contrôlées. Après 16 jours de traitement intensif, on note une nette diminution de l'état général, un réveil retardé et surtout la persistance d'une insuffisance respiratoire sévère avec dépendance de la ventilation mécanique. En absence d'autre option thérapeutique pour l'atteinte pulmonaire, nous devons finalement conclure avec le pneumologue que la situation est dépassée. Au 28.12.2018, nous optons pour l'instauration des soins de confort et un sevrage ventilatoire terminal, en commun accord avec son épouse et les deux filles. Le patient décède paisiblement en présence de sa famille qui n'a pas souhaité d'autopsie. Mr. Y présente une rupture tout du moins partielle du LCA du genou D associée à une distorsion stade II du ligament collatéral interne. Je propose un traitement conservateur par attelle articulée du genou D, à porter pour une durée totale de 6 semaines. Il va également débuter un traitement de physiothérapie dans le but de stabiliser son genou. Un contrôle est prévu d'ici 6 semaines pour une réévaluation clinique (1.2.19). Un arrêt de travail a déjà été dispensé par le service des Urgences jusqu'au 23.12.18 à 100 %, puis reprise du travail à 100 % (travail administratif). La thromboprophylaxie par Clexane 40 mg sous-cutanée est à poursuivre jusqu'à la marche en charge complète. Mr. Y, patient de 65 ans, porteur d'une stomie trans-iléale selon Bricker depuis 2012, connu pour 3 urosepsis (2012, 2014, 2015), est hospitalisé le 26.12.2018 pour une pyélonéphrite gauche. Le patient a présenté de la fièvre avec des frissons hier sans autre symptôme. Il rapporte aussi une cure d'abcès péri-anale le 10.12.2018 au Daler avec rinçage 4-6x/j depuis, sans nouveau signe de douleur ou d'infection. Il a consulté son médecin traitant le 21.12.2018 pour asthénie, engourdissements dans les jambes, dyspnée, avec prescription de Mirtazapine. Le statut montre une sensibilité bilatérale des loges rénales à la percussion et une cicatrice para-anale calme. Le bilan biologique retrouve un syndrome inflammatoire et le sédiment urinaire des bactéries. Le patient est hospitalisé et bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine. L'urotube montre un E.coli et un E.fecalis sensibles à la Co-amoxicilline. Les hémocultures reviennent négatives. Un relais per os par Co-amoxicilline est effectué le 29.12.2018 et le patient peut rentrer à domicile le 30.12.2018. Mr. Y présente les lésions susmentionnées, l'indication pour une arthroscopie et ablation du corps libre +/- micro-fractures en regard de la rotule et du condyle fémoral, respectivement de la trochlée est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que les risques et les bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue en ambulatoire le 14.01.2019. Le patient sera vu par mes collègues anesthésistes pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y est un patient de 49 ans, connu pour un antécédent de diverticulite en 2002, qui consulte aux urgences le 12.12.18 en raison de douleurs abdominales basses en barre avec un état fébrile à 38° mesuré au domicile. Il aurait déjà consulté son médecin traitant le 06.12.18 pour ces douleurs et aurait été mis sous Ciprofloxacine 2x/j, sans amélioration. Au laboratoire d'entrée, un syndrome inflammatoire est mis en évidence, et au CT, une diverticulite Hansen & Stock IIb est notée. Le patient est hospitalisé par la suite en chirurgie et mis sous antibiothérapie par Rocéphine et Metronidazole en intraveineux. Il présente par la suite une bonne évolution clinique et biologique, et rentre à domicile le 14.12.2018. Une coloscopie de contrôle sera organisée d'ici 6 semaines, ainsi qu'une consultation chez les chefs de cliniques par la suite. Mr. Y, patient de 70 ans, est hospitalisé en raison d'un angor stable atypique. Un bilan cardiaque avec enzymes et ECG le 11.12.2018 permet d'exclure un infarctus aigu du myocarde. L'ECG met en évidence une fibrillation auriculaire paroxystique à conduction normocarde avec un nouveau bloc de branche droit le 11.12.18. La fibrillation auriculaire se cardioverse spontanément le 11.12.18. Nous organisons une ergométrie le 12.12.2018 qui se révèle non interprétable en raison du bloc de branche droit. En conséquence, nous organisons une coronarographie le 14.12.2018 qui démontre une resténose complexe du stent de l'IVA de 2004 et qui est traitée avec un stent actif. La FEVG est estimée à environ 55 %. Nous maintenons le traitement d'aspirine cardio à vie et introduisons un traitement par efient pour une durée de 6 mois. Nous recommandons un contrôle chez le médecin traitant à un mois post-coronarographie. Nous attribuons l'épisode de fibrillation auriculaire paroxystique le 11.12.2018 à une probable étiologie ischémique sur resténose du stent de l'IVA de 2004. Pour cette raison et en accord avec nos collègues de la cardiologie, nous renonçons à débuter une anticoagulation orale. Afin d'exclure un trouble du rythme sous-jacent, nous organisons un examen par Holter 72 heures le 03.01.2019 chez le Dr. X à Guin avec discussion des résultats le 21.01.19. Nous laissons le soin à notre confrère cardiologue de réévaluer l'indication à une anticoagulation thérapeutique en fonction des résultats et d'organiser une ergométrie. À l'étage, le patient ne formule pas de plaintes particulières et reste hémodynamiquement stable. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, le patient rentre à son domicile le 15.12.2018. Mr. Y est patient de 86 ans, connu pour une récidive d'adénocarcinome de la jonction œso-gastrique avec adénopathie et métastase pulmonaire et cancer de la vessie. Il est adressé aux urgences par son médecin traitant pour suspicion d'iléus avec des douleurs abdominales et perte d'appétit. Le patient est hospitalisé en service de médecine interne où il bénéficie d'un traitement laxatif ainsi que de lavements améliorant peu la symptomatique. Une rupture du fornix à gauche est trouvée sur un épaississement tumoral de la paroi du plancher vésical avec un syndrome inflammatoire associé. Nous retenons alors l'indication d'une pose de néphrostomie. L'intervention se déroule sans complication. Les suites sont simples avec une nette amélioration du tableau clinique et biologique, permettant un reclassement le 07.12.2018 en attente d'une réadaptation gériatrique à Meyriez.Mr. Y est un patient de 86 ans, connu pour un carcinome œsophagien métastatique et un cancer de la vessie de type glandulaire avec une rupture du fornix gauche qui a nécessité une néphrostomie de décharge le 05.12.2018. Il se présente aux urgences pour une macrohématurie nécessitant la pose d'une sonde urinaire et des rinçages en continu. Au suivi biologique, l'hémoglobine est stable. L'évolution de la macrohématurie est favorable, permettant une ablation de la sonde et un retour à domicile le 24.12.2018. Mr. Y, connu pour un antécédent d'AVC vertébro-basilaire en 2013, ainsi qu'un cancer ORL diagnostiqué en 2016 et actuellement en rémission, est amené en ambulance le 10.12.2018 en raison d'une dysarthrie associée à une confusion d'apparition rapide à 20h avec une dernière preuve de bonne santé, observée par l'épouse à 19h20. Aux urgences, est notée une dysarthrie avec ataxie du MSD et MSG. Le CT cérébral révèle une pénombre cérébelleuse droite sur subocclusion de l'artère cérébelleuse supérieure (SCA) avec une artère vertébrale D filiforme et sténosée en V4. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une lyse intraveineuse permettant une diminution rapide des symptômes. La surveillance neurologique de 24h est satisfaisante et le patient est transféré en lit stroke non monitoré le 12.12.2018. L'IRM cérébrale révèle des lésions pontiques et cérébelleuses bilatérales et une sténose de l'artère vertébrale V4 droite juste en amont du tronc basilaire. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne révèle pas de source cardio-embolique. Un Holter de 72h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Nous suspectons en premier lieu une étiologie embolique artério-artérielle avec en DD d'origine cardio-embolique. Nous vous invitons à pister les résultats du Holter et à organiser un R-Test en cas d'absence de mise en évidence d'arythmie emboligène. Une double anti-agrégation par Aspirine Cardio 100 mg et Plavix 75 mg est introduite et à poursuivre durant 1 mois, puis Plavix seul. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est introduit en prévention secondaire et d'une athéromatose diffuse prédominant en vertébro-basilaire. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Sur le plan de la déglutition, le patient présente une dysphagie importante dans un contexte de néoplasie ORL, acutisée par l'AVC ponto-cérébelleux. Nous contactons Dr. X, l'ORL de Mr. Y qui rapporte un examen endoscopique en juillet sans particularité, sans signe de récidive locale de son carcinome épidermoïde du sinus piriforme gauche. Nous organisons un transit baryté en ambulatoire le 18.12.2018 à 8h, puis une consultation par Dr. X le 19.12.2018 à 15h. Nous proposons la pose d'une sonde naso-gastrique, qui est refusée par le patient. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 15 jours. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. Nous ne sommes malheureusement pas en mesure d'effectuer un bilan neuropsychologique durant l'hospitalisation. Nous vous invitons à effectuer un tel examen en ambulatoire en cas de troubles mnésiques ou autres troubles attentionnels rapportés par le patient ou son entourage. L'évolution clinique est satisfaisante avec un status neurologique de sortie montrant une résolution de l'ataxie et de la dysarthrie. Mr. Y peut regagner son domicile le 15.12.2018. Mr. Y, 83 ans, est hospitalisé pour prise en charge d'un trouble aigu neurologique le 10.11.2018 pour lequel il bénéficie d'une prise en charge Time is Brain. Le bilan initial scannographique retrouve des lésions hypodenses dans le cervelet droit ainsi que dans le tronc cérébral. Devant le caractère précoce des symptômes, il bénéficie d'un protocole de lyse vasculaire. Le NIHSS initial à 3 sera de 1 après la lyse. Le CT de contrôle ne montre pas de transformation hémorragique et nous débutons une antiagrégation par Clopidogrel. Finalement, l'IRM de contrôle montre deux lésions ischémiques aiguës centimétriques dans le cervelet des deux côtés avec petite transformation hémorragique focale de celle dans le cervelet droit. Deux petites lésions punctiformes dans le pons plus anciennes. Sur le plan de déglutition, le patient présente une dysphagie sévère. Le CT montre une asymétrie des sinus piriformes avec hypertrophie de la muqueuse devant être en lien avec le traitement de radiothérapie, sans évidente prise de contraste. Nous contactons Dr. X, l'ORL de Mr. Y. Un examen d'endoscopie en juillet a été sans particularité, sans signe de récidive locale de son carcinome épidermoïde du sinus piriforme gauche. Un nouveau examen endoscopique peut être envisagé, plus ou moins un examen de transit baryté. Dans l'attente, le patient reste à jeun avec possibilité de prendre les médicaments avec de l'eau épaissie. Le patient n'accepte pas la sonde naso-gastrique pour le moment. Nous remarquons une polyurie à 5 l avec une normo-natriémie, une osmolalité plasmatique inférieure à 295 mosmol/l et une osmolalité urinaire supérieure à celle urinaire. Nous vous proposons une surveillance de la diurèse et éventuellement un test de restriction hydrique. Notons une absence de lésions au niveau de l'hypophyse à l'IRM. Le bilan lipidique et l'hémoglobine glyquée sont dans la norme. L'évolution est par la suite bonne avec une NIHSS à 1 à sa sortie des soins intensifs (dysmétrie membre supérieur G) et le patient peut être transféré en neurologie le 12.12.2018. L'échographie cardiaque est sans particularité et le bilan sera complété par un Holter par la suite. Mr. Y est transféré de Berne le 13.11.2018 pour un accident vasculaire cérébral hémorragique gauche sur pic hypertensif dans un contexte d'arrêt du traitement antihypertenseur. Le patient a présenté, lors d'une séance de fitness, un trouble de l'état de conscience et un hémisyndrome fascio-brachio-crural droit. À l'arrivée aux urgences de Fribourg, il est mis sous ventilation mécanique. Le scanner cérébral montre un AVC hémorragique des noyaux gris centraux avec inondation ventriculaire, raison pour laquelle il est transféré à Berne. Durant l'hospitalisation aux soins intensifs de Berne, le patient bénéficie d'un drainage ventriculaire transitoire. Une thérapie par Levetiracetam est mise en place en raison de mouvements myocloniques de l'hémicorps malgré l'absence de foyer épileptogène à l'EEG. L'état de conscience reste fluctuant avec une stabilité des lésions au CT cérébral de contrôle. La trachéotomie a pu être enlevée le 28.11.2018. La surveillance aux soins intensifs se passe sans particularité. Le patient garde une fluctuation de son état neurologique avec un hémisyndrome droit séquellaire et des troubles de la déglutition. Une alimentation entérale exclusive par sonde naso-gastrique est poursuivie. Un EEG de contrôle est à prévoir dans 3 mois et rediscuter en fonction des résultats l'indication de la poursuite du traitement antiépileptique. Une demande de neuro réhabilitation à Meyriez est faite.Concernant l'hypertension artérielle, le traitement médical est optimisé. Une néphropathie est objectivée, raison pour laquelle un doppler des artères rénales est demandé. On vous laisse le soin de suivre la fonction rénale et de compléter le bilan de retentissement de l'HTA (fond d'œil, échographie cardiaque). Une perturbation du bilan hépatique est notée. Une toxicité médicamenteuse du keppra ne peut être exclue. On vous prie de contrôler le bilan hépatique et de discuter le switch avec un autre antiépileptique en cas de péjoration. Le patient est transféré le 03.12.2018 à l'étage de médecine interne pour la suite de prise en charge en attendant le transfert en réhabilitation neurologique à Meyriez. Mr. Y, patient de 49 ans, transféré de Berne après prise en charge pour un accident vasculaire cérébral hémorragique des noyaux gris à gauche, survenu le 13.11.2018 et ayant une origine très probablement hypertensive. En effet, le patient a présenté une syncope lors d'une séance de fitness, avec par la suite un GCS à 10 et un hémisyndrome facio-brachio-crural droit. Il est connu pour une hypertension artérielle pour laquelle il n'a plus pris de traitement dernièrement. Le patient a bénéficié d'un drainage ventriculaire du 14.11 au 27.11.2018 avec un CT cérébral de contrôle le 29.11.2018 qui a montré une situation stationnaire, ne nécessitant pas la mise en place d'un nouveau drain. En raison de mouvements myocloniques répétés de l'hémicorps droit, une thérapie par Levetiracetam a été mise en place dès le 15.11.2018. Les EEG n'ont pas mis en évidence de foyer épileptogène. Une trachéotomie mise en place dans un contexte de troubles de la vigilance avec un Glasgow fluctuant a été fermée le 28.11.2018 en raison d'une amélioration de son état de vigilance et de déglutition. Le patient est transféré le 03.12.2018 à l'étage de médecine interne pour la suite de prise en charge. L'hypertension artérielle est bilantée par une échographie doppler des artères rénales, qui se révèle dans la norme. Nous effectuons un US abdominal au vu de l'insuffisance rénale et de la cholestase, qui montre uniquement un kyste rénal à droite, sans autre anomalie. Le profil tensionnel du patient reste cependant très haut, motivant l'introduction de l'Esidrex et d'un patch de Nitré en réserve. Le CT abdominal du 10.12.2018 met en évidence un incidentalome surrénalien, nous effectuons, après avis endocrinologique, un bilan biologique le 19.12.2018 qui ne permet pas d'écarter la suspicion de phéochromocytome. Nous vous laissons encore le soin d'effectuer un test de freinage à la dexaméthasone. Nous introduisons du Cardura. Les endocrinologues vont vous contacter pour la suite de la prise en charge. L'évolution sur le plan neurologique est favorable durant le séjour, le patient fait des progrès au niveau moteur et des interactions, il redevient capable de déglutir. Le patient est nourri par sonde nasogastrique, puis GPR avec une bonne tolérance. Dès le 17.12.2018, nous démarrons une alimentation lisse et semi-liquide, il ne fait pas de fausse routes. Mr. Y est transféré en réhabilitation neurologique intensive à l'HFR Meyriez le 27.12.2018. Mr. Y est un patient de 53 ans qui est admis aux urgences le 02.12.2018 pour des douleurs abdominales diffuses avec arrêt du transit depuis 4 jours et plusieurs épisodes de vomissements. Le patient ne présente pas de syndrome inflammatoire au laboratoire. Le bilan est complété par un scanner abdominal qui montre un saut de calibre clair en fosse iliaque gauche. Nous posons alors l'indication à une laparoscopie exploratrice en urgence. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire est favorable avec une reprise du transit le 05.12.2018 et une réalimentation bien tolérée. Le patient rentre à domicile le 07.12.2018. Mr. Y est un patient de 82 ans connu pour une insuffisance rénale terminale pour laquelle il bénéficie de dialyses via une fistule hybride protético-veineuse au niveau du membre supérieur gauche (ma-je-sa). Il avait présenté une occlusion de celle-ci le 30.10.2018 pour laquelle une thrombectomie et une reprise anastomotique avaient été effectuées, et une anticoagulation par Sintrom avait été débutée pour 3 mois. Actuellement, le patient remarque une absence de thrill sur sa fistule, ce qu'il décrit en dialyse à Payerne. Un bilan angiologique est effectué, mettant en évidence une nouvelle occlusion de la fistule. Dans ce contexte, Mr. Y bénéficie d'une thrombo-embolectomie par Fogarty de la fistule artério-veineuse et d'un remplacement de la veine céphalique distale par une Omniflow. Les suites opératoires sont simples et afébriles. La plaie est calme. Sur le plan des dialyses, Mr. Y est dialysé pour la dernière fois le vendredi 30.11.2018. Mr. Y, patient de 42 ans en bonne santé habituelle, consulte aux urgences dans un contexte de douleurs rétrosternales. Le patient rapporte un point au niveau du sternum avec irradiation bilatérale depuis environ 10 jours, accompagné d'asthénie, sans facteur déclenchant clair. Les douleurs durent environ 15 minutes et sont majorées à l'effort, et parfois associées à une dyspnée. Il consulte au vu d'une péjoration de ces douleurs avec nausée sans vomissement. Il a présenté une infection virale des voies respiratoires supérieures au décours. Le patient travaille comme agriculteur et habite au-dessus d'une ferme avec son épouse et ses 3 enfants. L'ECG d'entrée ne montre pas de signe d'ischémie aiguë mais une image d'hémibloc antérieur gauche et la radiographie du thorax est sans particularité. Les douleurs du patient sont amendées par l'administration de nitrés. Le bilan biologique montre des troponines et D-dimères négatifs. Un avis cardiologique est demandé le lendemain afin de préciser l'origine de ces douleurs. Au vu de l'anamnèse et des facteurs de risque du patient, une coronarographie est effectuée le 28.12.2018, ne retrouvant pas de sténose des artères coronaires. Un traitement d'épreuve par IPP est introduit pour une probable gastrite, ainsi que de l'Amlodipine au vu de valeurs tensionnelles légèrement élevées. Les suites de la coronarographie sont simples avec un point de ponction calme. Nous conseillons au patient du repos malgré son travail d'agriculteur et l'arrêt du tabac. Mr. Y peut rentrer à domicile le 28.12.2018 et prendra rendez-vous chez son médecin traitant à mi-janvier. Mr. Y est un patient de 67 ans connu pour une opération selon Nissen avec mise en place d'un filet en 2003 qui se présente aux urgences avec d'importantes douleurs abdominales crampiformes et un arrêt des matières depuis 24h. Un CT scanner abdominal retrouve un iléus grêle mécanique avec saut de calibre sans signe de souffrance. Le patient bénéficie d'un traitement conservateur avec mise en place d'une sonde nasogastrique. Un transit est repris dès le 27.11.2018. Le patient peut ensuite être réalimenté et rentre à domicile le 29.11.2018. Le patient sera convoqué en ambulatoire pour la réalisation d'une gastroscopie pour faire le bilan de la récidive de hernie hiatale et sera ensuite vu à la consultation du Dr. X. Mr. Y, patient de 78 ans, polyvasculaire et traité actuellement par Xarelto et Aspirine, consulte aux urgences par ses propres moyens le 11.12.2018 en raison d'une faiblesse du MSD et MID, ainsi qu'un manque du mot apparu au réveil le 08.12.18 vers 5h du matin et persistante jusqu'au 09.12.2018 au soir. Actuellement, il rapporte une nette amélioration malgré une persistance légère des symptômes, surtout remarqués à la marche. Aux urgences, le status neurologique est décrit dans la norme. Le CT cérébral révèle des remaniements athéromateux mixtes des troncs supra-aortiques avec segment V4 de l'artère vertébrale G et du tronc basilaires grêles évoquant des sténoses, sans signe d'ischémie ou hémorragie aiguë du territoire vasculaire correspondant. L'IRM cérébrale révèle une lésion ischémique aiguë sous-corticale du territoire sylvien G. Le patient est hospitalisé en lit non monitoré, après avoir bénéficié d'une dose d'Aspirine de 100 mg.Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transthoracique ne montre pas de source embolique cardiaque. Nous ne recherchons pas d'arythmie emboligène en raison du traitement anticoagulant préalable. Au vu de l'image radiologique typique et de l'hypertension artérielle mal contrôlée, nous suspectons une étiologie microangiopathique avec un diagnostic différentiel d'origine athéromateuse sur sténose l'ACM G (M1). Nous décidons alors de ne pas majorer le traitement anti-agrégant, mais recommandons un contrôle agressif de la pression artérielle avec des valeurs cibles inférieures à 130/80 mmHg. Un traitement de Lisinopril est ajouté au traitement d'Atenolol du patient. Nous vous invitons à contrôler prochainement les pressions du patient et à organiser un Remler si jugé nécessaire. Sur le plan métabolique, le traitement d'Atorvastatine est majoré à 80 mg/j en raison d'une hypercholestérolémie persistante et de l'importante athéromatose décrite ci-dessus. Nous vous proposons d'effectuer un bilan lipidique ainsi que des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l). Sur le plan cardiologique, l'échocardiographie transthoracique révèle une légère diminution de la FEVG à 45%. Le patient ne rapporte pas d'anamnèse compatible avec une cardiopathie ischémique et l'ECG ne montre pas de signe d'ischémie aiguë ou ancienne. Une coronarographie est proposée par nos cardiologues, que nous vous laissons le soin d'organiser si jugé nécessaire. Le bilan neuropsychologique du 14.12.2018 révèle des troubles mnésiques d'encodage et du nom propre, nous faisant suspecter une composante dégénérative débutante. Nous ne sommes en mesure d'évaluer le patient de manière globale durant l'hospitalisation en raison de sa courte durée. Nous vous invitons alors à suivre le patient et à discuter l'introduction de soins à domicile si jugé nécessaire. Nous proposons tout de même au patient un téléalarme qu'il souhaite organiser avec l'aide de son entourage. La conduite de véhicule automobile est contre-indiquée pendant 1 mois, jusqu'au bilan neuropsychologique de contrôle en janvier 2019, pour lequel le patient sera convoqué. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est favorable avec un status neurologique de sortie ne montrant plus de déficit sensitivo-moteur. Mr. Y peut regagner son domicile le 14.12.2018. Mr. Y, connu pour une cardiopathie ischémique, consulte les urgences le 04.12.2018 en raison de l'apparition d'une hémiparésie faciale droite, progressant depuis deux jours, avec tuméfaction de la paupière supérieure, ptose de la commissure labiale et sensation d'hypoesthésie à l'hémiface droite. Le reste du status neurologique est normal. Il n'y a pas de vésicule au niveau de l'oreille droite. Une origine périphérique idiopathique est suspectée et le patient est hospitalisé pour surveillance clinique. Sur le plan neurologique, l'évolution clinique est stable. Sur avis neurologique (Dr. X, Dr. X, HFR-Fribourg), un traitement par Prednisone 60 mg/j durant 7 jours est débuté avec couverture par Valtrex 1 g 3x/jour en raison de la gravité du tableau clinique. Une sérologie HIV est réalisée et revient négative. Un ENMG est prévu en ambulatoire à l'HFR Fribourg afin d'évaluer le potentiel de récupération du nerf et pour lequel le patient sera convoqué à domicile. Dans l'intervalle, un contrôle clinique à votre consultation est prévu la semaine du 10.12.2018. Sur le plan ophtalmologique, au vu de l'absence d'occlusion oculaire complète à droite, une protection oculaire nocturne est mise en place avec traitement topique par sérum physiologique et vitamine A. Une consultation ophtalmologique sera à prévoir en cas d'apparition de troubles visuels, absents à l'heure actuelle. Enfin, sur le plan endocrinologique, un pré-diabète est mis en évidence avec une hémoglobine glyquée mesurée à 6.4%, pour lequel nous proposons des mesures d'hygiène diététique avec suivi à distance. Mr. Y rentre à domicile le 07.12.2018. Mr. Y présente des gonalgies D, d'origine peu claire, en premier lieu toutefois dans le contexte d'un flexum persistant du genou D dû à sa fracture du fémur distal dont il a souffert à l'âge de 10 ans, guérie en mauvaise position. Afin de mieux bilanter ce genou, je propose à Mr. Y d'effectuer une IRM de son genou, dans le but d'exclure des lésions cartilagineuses. Je revois le patient suite à cet examen. Mr. Y, patient de 78 ans, admis aux soins intensifs en surveillance post-coronarographie pour un angor instable. Le patient, traité pour une dyslipidémie sans autre facteur de risque cardio-vasculaire connu, consulte les urgences le 14.12.2018 pour des douleurs thoraciques et une dyspnée nouvelles. Le bilan clinique, biologique et électrocardiographique conclut à un angor instable. Une échocardiographie transthoracique montre une fonction ventriculaire gauche conservée (65%) avec uniquement une hypokinésie minime de la paroi septale antérieure moyenne. Dans ce contexte, le patient est hospitalisé en médecine interne dans l'attente d'une coronarographie qui a lieu le 15.12.2018. L'examen montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) qui est ballonnée et revascularisée par un stent actif. Le patient est chargé en Aspirine et Clopidogrel avec proposition de poursuivre la double antiagrégation plaquettaire pour 12 mois puis l'Aspirine à vie selon les collègues cardiologues. En post-coronarographie, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique qui est sans particularité. Le traitement hypolipémiant du patient est poursuivi et un traitement par bêta-bloquant et IEC est introduit dès le 15.12.2018. Le patient est retransféré le 16.12.2018 à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y, patient de 78 ans connu pour une dyslipidémie sans autre facteur de risque cardio-vasculaire connu, consulte le service des urgences le 14.12.2018 pour des douleurs thoraciques et une dyspnée nouvelles. Le bilan clinique, biologique et électrocardiographique conclut à un angor instable. Une échocardiographie transthoracique montre une fonction ventriculaire gauche conservée (65%) avec uniquement une hypokinésie minime de la paroi septale antérieure moyenne. Dans ce contexte, le patient bénéficie d'une coronarographie le 15.12.2018 montrant une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, qui est revascularisée par un stent actif. Le patient est admis aux soins intensifs en surveillance post-coronarographie qui demeure sans particularité. Il est chargé en Aspirine et Clopidogrel avec proposition de poursuivre la double antiagrégation plaquettaire pour 12 mois puis l'Aspirine à vie selon les collègues cardiologues. Le traitement hypolipémiant du patient est poursuivi et un traitement par bêta-bloquant et IEC est introduit. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient peut rentrer à domicile le 18.12.2018.Mr. Y est un patient de 79 ans, connu pour HTA et consommation OH chronique, il est amené en ambulance suite à une première syncope objectivée par son fils. La syncope s'est déclenchée en position assise, le patient a perdu connaissance et son fils l'a déposé au sol. Il a noté des mouvements de gonflement des joues et une protrusion de la langue. La perte de connaissance était de courte durée, 30-60 secondes, mais le patient est resté confus pendant plusieurs dizaines de minutes après. Aux urgences, le patient se présente orienté aux 4 modes, en bon état général avec une cyanose centrale. À l'auscultation, on note un bruit systolique avec effacement du B1 sur le foyer aortique. On note aussi une saturation à l'air ambiant de 90%. Le bilan biologique met en évidence une élévation des lactates et une pseudohyponatrémie, un CT crâne exclut une cause hémorragique ou ischémique nouvelle. Le patient est hospitalisé pour un bilan de syncope/épilepsie. Pour compléter le diagnostic en vue d'un diagnostic différentiel épileptique, un EEG est fait qui ne montre pas de signes post-ictal d'épilepsie, mais une interdiction de conduire pour 3 mois est quand même prononcée par Dr. X. L'ETT du 27.12.2018 démontre une sténose aortique sévère avec un gradient LVOT-Aorte de >40 mmHg et une surface d'ouverture de 0.6 cm2. En plus de cela, une hypokinésie de plusieurs segments est notée. Il en suit une coronarographie avec pose de 2x stents actifs dans l'IVA et l'IVP. L'indication pour une TAVI est posée due à la sténose avancée et symptomatique et est discutée avec le patient qui ne souhaite pas d'intervention sans pouvoir y réfléchir et en parler avec son médecin traitant auparavant. Les traitements antihypertenseurs sont majorés. Un Holter est installé, les résultats suivront. Nous nous mettons d'accord de laisser un temps de réflexion, et que le patient prendra contact avec son médecin traitant. Selon son avis, une consultation en cardiologie devra être organisée. Mr. Y présente en premier lieu une distorsion grade II du ligament collatéral interne du genou gauche. Je ne peux pas confirmer une lésion du ménisque interne, ni sur l'IRM, ni au contrôle clinique. En tout cas, pour le moment, il n'y a pas d'indication opératoire. Le patient sera revu d'ici 6 semaines à ma consultation pour une réévaluation clinique le 1.2.2019. Mr. Y travaille comme agriculteur, indépendant. Il ne désire pas d'arrêt de travail. Je l'équipe avec une genouillère articulée qu'il portera pour une durée de 6 semaines. Une thrombo-prophylaxie n'est pas nécessaire. Le patient arrive à marcher en charge complète. Je lui prescris encore des anti-inflammatoires sous forme d'Irfen 600 mg 3 cp/jour en réserve. Mr. Y, 61 ans, connu pour les diagnostics susmentionnés, est transféré du CHUV pour la suite de la prise en charge d'une péjoration des troubles moteurs des membres inférieurs à prédominance gauche dans un contexte d'une myélite d'origine indéterminée. Pour rappel, le patient présente des troubles de la marche avec atteinte sensitivo-motrice progressive depuis 2014 et des troubles sphinctériens symptomatiques attribués à une lésion médullaire thoracique, un canal lombaire ainsi qu'une vessie neurogène, diagnostiquée en 2016. Une toxocarose est suspectée et traitée suite à des sérologies positives accompagnées d'une discrète éosinophilie. Le traitement permet la diminution des douleurs et une normalisation de la valeur absolue des éosinophiles. Toutefois, l'atteinte motrice et les troubles sphinctériens persistent. Le suivi radiologique et bio-clinique en 2017 montre une situation stable avec légère progression des troubles de la marche, prédominant au membre inférieur gauche. Le patient nécessite de cannes anglaises pour se mobiliser. Depuis mars 2018, une fluctuation de la paraparésie est observée, notamment par des lâchages brutaux des membres inférieurs gauche et une pollakiurie intermittente. Le 15.11.2018, il est hospitalisé à Fribourg puis transféré au CHUV pour investiguer une nouvelle péjoration des symptômes. Le bilan ne montre pas de nouvelles lésions. Une neuroréhabilitation intensive est indiquée. Le bilan est complété par une biopsie des glandes salivaires à la recherche d'une neurosarcoïdose. Les résultats sont en cours. À l'entrée, le patient décrit une nette amélioration des troubles mictionnels. Nous observons une paraparésie spastique amyotrophiante du membre inférieur gauche, en légère amélioration selon le patient. À droite, il présente une discrète parésie du membre inférieur. Il se déplace muni d'une attelle de la jambe gauche et de cannes anglaises. L'examen neurologique est superposable tout au long du séjour. Nous poursuivons un suivi physio- et ergothérapeute. Mr. Y est transféré le 14.12.2018 pour une neuroréhabilitation intensive à l'HFR Meyriez. Mr. Y présente une fracture transverse déplacée du 2ème métacarpien de la main droite. L'indication pour une ostéosynthèse est donnée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention aura lieu en ambulatoire le 3.1.2019. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y est un patient connu pour une mucoviscidose, ayant arrêté le suivi pneumologique à Berne il y a 3 semaines, qui consulte pour une dyspnée et toux productive en péjoration depuis 7-10 jours. La présentation clinico-radiologique parle en faveur d'une surinfection pulmonaire bactérienne. Sur avis infectiologique et pneumologique, nous introduisons une thérapie antibiotique par Piperacilline-Tazobactam avec une bonne évolution clinico-biologique. La thérapie antibiotique est complétée avec Co-amoxicilline per os pour une durée totale de 10 jours. Vu le contexte de compliance difficile et le refus du patient d'être suivi à l'Inselspital ou au CHUV, un suivi pneumologique à l'hôpital Lindenhof à Berne est proposé, en accord avec le patient. Nous vous prions de convoquer le patient pour une première consultation au début de l'année 2019, puis d'organiser une prise en charge en ambulatoire. L'introduction d'immunomodulateurs par macrolides est également à rediscuter. À noter que le patient a décidé de ne plus utiliser la gastrostomie pour s'alimenter depuis un mois et dit avoir des apports suffisants avec des compléments alimentaires oraux. Nous impliquons les collègues de nutrition clinique qui ne préconisent pas de retirer la PEG. À la demande du patient, une rentrée à domicile est organisée le 05.12.2018. Mr. Y, patient de 85 ans, connu pour bronchites chroniques, diabète de type 2 et autres comorbidités, consulte les urgences le 03.12.2018, envoyé par Medhome pour une dyspnée et une toux en péjoration. La toux est présente depuis des semaines avec des expectorations jaunes à brunâtres en augmentation depuis 1 semaine. Il rapporte aussi une baisse de l'état général depuis sa sortie de l'UATO le 02.10.2018 (réhabilitation suite à hospitalisation pour IVRS d'origine virale avec composante d'anxiété probable, contexte psychosocial difficile). Le laboratoire d'entrée montre une leucocytose importante et la gazométrie une légère hypoxémie à 8.3 kPa. Une radiographie thoracique retrouve des opacités pulmonaires bi-basales et une discrète cardiomégalie sans signe de décompensation cardiaque. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par Rocéphine 2 g i.v. et une adaptation de ses aérosols pour une probable pneumonie. Les hémocultures reviennent négatives. Un relais p.o. est effectué le 04.12.2018 avec Co-Amoxicilline 1 g 3x/j. Le patient a consulté Dr. X en 05.2018 avec adaptation du traitement pneumologique. Le patient était porteur d'une CPAP de 2002 à 2012, qu'il a abandonnée car mal supportée. Le traitement de sa bronchite chronique est poursuivi et nous proposons un contrôle chez Dr. X, vu que le dernier organisé avait été manqué. Au vu de l'amélioration clinique, le patient peut rentrer à domicile le 09.12.2018. Mr. Y est un patient de 64 ans, aux antécédents susmentionnés, qui nous est adressé par son médecin traitant le 13.12.2018 en raison de faiblesse généralisée avec selles méléniques depuis 4 jours ainsi qu'une hémoglobine à 80 g/l. Un traitement par Pantozol intraveineux en continu est instauré aux urgences et une OGD est effectuée le 17.12.2018, montrant deux lésions compatibles avec des GIST pédiculé intra-gastrique d'environ 25 mm et 15 mm sur la grande courbure gastrique. Le cas de Mr. Y est discuté au Tumorboard du 19.12.2018 et nous préconisons une prise en charge chirurgicale. Une gastrectomie partielle par voie laparoscopique est prévue le 28.12.2018 et le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 27.12.2018. Entre temps, Mr. Y peut regagner son domicile le 20.12.2018 en bon état général. Mr. Y, patient de 62 ans, est hospitalisé dans le contexte d'un AVC ponto-mésencéphalique gauche après un premier AVC il y a dix jours sur hypercoagulabilité par tumeur oesophagienne. Le 29.11.2018, il présente des vertiges rotatoires d'installation subite, ainsi que des nausées et vomissements. Le status neurologique montre une ataxie du membre supérieur et inférieur gauche ainsi qu'une ophtalmoplégie internucléaire gauche. Le bilan radiologique confirme l'AVC ponto-mésencéphalique gauche. Le patient est hospitalisé aux SI pour surveillance neurologique et mis, après discussion avec les neurologues et les hématologues et compte tenu du fait qu'il a une thrombopénie, post-chimiothérapie, sous Héparine à dose infra-thérapeutique (10000 UI), sans indication pour une antiagrégation. Le patient sera trouvé confus dans son lit avec des dermabrasions sur probables chutes du lit dans la nuit du 3.12.2018. Un CT natif pour exclure un TCC avec hémorragie révèlera un saignement sous-arachnoïdien temporal probablement secondaire à un nouvel AVC. Vu la situation avec des AVC récurrents sous anticoagulation, d'abord Xarelto 20 mg puis Héparine IV continu, avec une thrombocytopénie persistante <50 G/l et un saignement intracrânien, nous avons pris la décision, en consultant sa conjointe et lui-même, de ne pas continuer le traitement anticoagulant. Une prise en charge palliative est débutée. Un état fébrile est constaté le 07.12.2018 dans un contexte de toux avec expectoration, un léger infiltrat est constaté sur la radio du thorax que nous traitons par Co-Amoxicilline IV du 7 au 12 décembre. Une origine centrale sur l'hémorragie ou une origine oncologique sont également possibles. Après consultation des médecins de la Villa St-François, le patient pu y être transféré le 11.12.2018. Mr. Y est un patient de 69 ans, institutionnalisé depuis fin novembre 2018, connu pour une démence vasculaire Fazekas 2-3 et diverticule de Zenker, des multiples épisodes de broncho-aspiration sur troubles de la déglutition, qui présente le 15.12.2018 une dyspnée en péjoration suite à un épisode de fausse route. Un traitement par Rocéphine est introduit le 17.12.18 par le médecin de garde. En raison d'une désaturation à 52% avec signes de détresse respiratoire, le patient est adressé le 18.12.2018 aux urgences. À l'admission, le patient présente une insuffisance respiratoire sévère avec acidose respiratoire hypercapnique (pH à 7.21, hypoxie à 9.4 kPa et hypercapnie à 9.4 kPa) et syndrome inflammatoire sur leucocytose à 32.9 g/l et CRP à 203 mg/l. La radiographie du thorax ne montre pas de foyer infectieux franc sous réserve d'une déshydratation. Au vu de l'état clinique compromis, le patient bénéficie d'une ventilation non invasive et d'une surveillance rapprochée aux lits monitorés. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g 3x en IV pour pneumonie bilatérale sur récidive de broncho-aspiration est également débutée. L'évolution clinique est favorable et le patient est transféré à l'étage de médecine interne. Sur le plan infectieux, le profil biologique et clinique évolue favorablement avec physiothérapie respiratoire et antibiothérapie durant 5 jours. Sur le plan alimentaire, un bilan de déglutition est réalisé à plusieurs reprises, et se révélant pathologique pour la prise des solides et liquides. Malgré la mise en évidence d'une malnutrition protéino-énergétique grave et des broncho-aspirations à répétition, en raison des volontés présumées du patient quant au refus de toute sonde nasogastrique, le régime seul est adapté avec prise alimentaire sous surveillance de l'équipe soignante. Cependant, le 21.12.2018, le patient présente une insuffisance respiratoire aiguë, sur probable récidive de broncho-aspiration, rapidement progressive. Le patient décède le 21.12.2018. Mr. Y, connu pour un tabagisme actif à 35 UPA et une sclérose en plaques avec dernière poussée il y a 10 jours traitée par Solumedrol 1 g durant 5 jours, consulte les urgences le 04.12.2018 en raison de l'apparition de sibilances expiratoires progressant sur 3 jours, sans dyspnée, accompagnées de rhinorrhée claire et dysphonie. Aux urgences, un bilan biologique montre une hypoxémie à 7,9 kPa, sans hypercapnie, un léger syndrome inflammatoire et un Peak Flow réduit pour l'âge du patient. Un foyer infectieux est exclu à la radiographie du thorax et Mr. Y est hospitalisé pour prise en charge d'une bronchite asthmatiforme d'origine probablement virale. Sur le plan respiratoire, il bénéficie d'un traitement bronchodilatateur en aérosol par Ventolin, Atrovent et Seretide ainsi que d'un traitement par Prednisone 80 mg durant 5 jours. L'évolution clinique est favorable avec une PO2 à la gazométrie et un Peak Flow qui se corrigent. Au vu de la persistance de sibilances expiratoires à la sortie, un traitement ambulatoire par Atrovent est prescrit, avec contrôle clinique à votre consultation la semaine du 10 décembre 2018. Nous recommandons au patient de consulter immédiatement en cas de fièvre ou dyspnée importante. Enfin, une évaluation des fonctions pulmonaires est à prévoir en ambulatoire à distance de l'épisode aigu afin de dépister une pneumopathie sous-jacente. Sur le plan neurologique, nous prenons l'avis du Dr. X, neurologue traitant, afin d'exclure une participation de sclérose en plaques au tableau clinique actuel. Cela est peu probable au vu du récent traitement par Solumedrol. Une majoration de la posologie de Prednisone nous est conseillée au vu des hautes doses récentes et un contrôle clinique est prévu à sa consultation le 07.12.2018. Mr. Y quitte notre service le 05.12.2018. Mr. Y présente un début de syndrome du tunnel carpien de la main G. Je propose dans un premier temps un essai de traitement conservateur avec le port d'une attelle de nuit. Je revois le patient d'ici 2 mois pour une réévaluation clinique (05.02.19). En cas de persistance des symptômes, une neurolyse serait indiquée. Mr. Y souffre d'un syndrome du tunnel carpien bilatéral plus symptomatique actuellement à G. L'EMG confirme le diagnostic. Nous posons l'indication pour une cure du tunnel carpien, tout d'abord de la main G. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 10.01.2019 en ambulatoire. Le patient sera encore évalué par nos collègues du service d'anesthésie pour le contrôle pré-anesthésique. Un arrêt de travail n'est pas attesté.Mr. Y est un patient hospitalisé pour une déshydratation sur diarrhées importantes depuis plusieurs jours avec état fébrile, suspects de récidive de cholangite. Des prélèvements microbiologiques sont effectués au niveau sanguin et des selles, mais reviennent négatifs. Le patient a déjà eu des épisodes de cholangite par le passé dans le contexte tumoral, ayant nécessité la pose de stent biliaire. Un ultrason abdominal n'a pas permis de visualiser la perméabilité du stent, cependant la présence d'une aérobilie permet de conclure à celle-ci. Les tests de cholestase étant légèrement élevés, nous ne pouvons exclure une cholangite. Au vu des diarrhées et de leurs amenuisements sous l'antibiothérapie, une colite infectieuse serait également possible, mais les prélèvements de selles se sont avérés négatifs. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, nous pouvons passer le traitement antibiotique per os pour une durée totale de 10 jours. Mr. Y rentre à domicile le 04.12.2018. Un rendez-vous de suivi sera à organiser chez son médecin traitant. Un contrôle chez son oncologue est agendé au début 2019. Mr. Y, patient de 97 ans connu pour une insuffisance cardiaque sur cardiopathie hypertensive, une insuffisance rénale chronique et des douleurs chroniques sur arthrose, nous est transféré de la médecine interne de l'HFR Meyriez le 29.11.2018 pour suite de traitement d'une pneumonie communautaire et d'une décompensation cardiaque. Pour rappel, à l'anamnèse systématique le patient s'est plaint d'une augmentation de sa dyspnée habituelle (stade NYHA 3) jusqu'à une dyspnée de repos, qui a motivé son hospitalisation en médecine interne le 23.11.2018. Pour toutes les informations concernant cette dernière, veuillez vous référer à la lettre correspondante. Lors de son transfert, Mr. Y se présente en état général légèrement diminué. Sur le plan cardiaque, nous notons un rythme irrégulier avec de multiples extrasystoles, un dédoublement du deuxième bruit cardiaque et un souffle prototosystolique rugueux présents aux 4 foyers. À l'auscultation pulmonaire, il persiste une hypoventilation bibasale avec des crépitants fins G>D. Le patient est veuf et vit avec sa fille dans une maison avec deux étages, sans ascenseur. Il a l'aide du Spitex pour les bas de contention et la douche ainsi que de sa fille dans les AVQ. Nous poursuivons l'antibiothérapie par Tavanic. Sur le plan respiratoire, l'évolution est favorable avec une diminution de la dyspnée. Les paramètres inflammatoires sont dans la norme avant la sortie. Une décompensation cardiaque mise en évidence le 26.11.2018 est lentement régressive sous adaptation régulière des diurétiques. La fonction rénale s'améliore progressivement durant l'hospitalisation revenant aux valeurs habituelles autour de 220 mcmol/l. L'eGFR du 06.12.2018 est calculée à 20 ml/min. Parallèlement à ces problèmes aigus, le patient bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée. À l'entrée, il est capable d'effectuer les transferts sous supervision (FIM 5), se mobilise avec des cannes sous supervision et a un périmètre de marche de 60 mètres (FIM 5). Le Tinneti est évalué à 22/28. Grâce à des thérapies intensives, une amélioration de la mobilité et de l'autonomie sont observées. À la fin de l'hospitalisation, le patient est autonome dans les transferts (FIM 6), se mobilise avec une canne de manière autonome et a un périmètre de marche de 100 mètres sans pause (FIM 6), et peut monter seul deux étages de marches d'escalier avec une canne (FIM 6). Le Tinneti est évalué à 25/28. Mr. Y peut rentrer à son domicile le 11.12.2018 en état général amélioré avec l'aide du Spitex deux fois par jour. Mr. Y, votre patient de 90 ans nous a été transféré de l'HFR Tavel pour prise en charge par coronarographie d'un angor instable. En effet, votre patient, connu pour une cardiopathie ischémique, dysrythmique (fibrillation auriculaire anticoagulée) et hypertensive, consulte le service des urgences de l'HFR Tavel le 16.11.2018 en raison d'une oppression thoracique pendant une heure avec dyspnée inhabituelle à moindre effort, dans un contexte des épisodes habituels de douleurs rétrosternales de courte durée et de prise pondérale de 3 kg en 24 h. À l'examen clinique, il présente un souffle cardiaque systolique 3/6 au foyer mitral sans irradiation et des œdèmes de membres inférieurs de faible importance. L'ECG montre un sous-décalage en V3-V6. Des troponines sont respectivement à 47, 47 et 56 ne qualifiant pas pour NSTEMI. Après avoir reçu à l'HFR Tavel, une charge en Plavix et Aspirine (et du Xarelto 15 du matin), il est transféré à l'HFR Fribourg pour une coronarographie effectuée le 21.11.2018 avec mise en place de 2 stents actifs sur la coronaire droite, sans complication majeure. Il poursuivra son anticoagulation, une double antiagrégation par Aspirine 100 mg/j et Plavix 75 mg/j pendant un mois puis Plavix seul pour les 5 mois suivants pour un total de 6 mois. D'un point de vue urinaire, dans un contexte d'hyperplasie prostatique avec hématurie intermittente, le patient bénéficie d'une mise en place d'un nouveau cystofix (Ch 12) le 16.11.2018 (HFR Tavel), sans complication. Notons cependant qu'au moment du transfert, les urines sont nauséabondes et purulentes. Nous laissons le soin à nos collègues de l'HFR Tavel d'évaluer la nécessité d'investigations urinaires supplémentaires. Mr. Y vous est retransféré à l'HFR Tavel pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 67 ans connu pour de multiples FDRCV ainsi qu'un antécédent d'AVC ischémiques bi-frontaux et sylviens d'origine artéro-artérielle probable le 23.09.2016 est hospitalisé pour une récidive d'AVC ischémiques multifocaux. Il est amené en ambulance le 25.11.2018 en raison de l'apparition d'un hémisyndrome sensitif-moteur G facio-brachio-crural, associé à une dysarthrie et une aphasie non fluente dès 10 h du matin, retrouvés aux urgences. Le CT cérébral ne révèle pas d'ischémie aiguë. Le patient est hospitalisé en lit monitoré pour une surveillance neurologique, après avoir bénéficié d'une lyse intraveineuse par Alteplase le 25.11.2018. La surveillance neurologique de 24 h est satisfaisante et le patient est transféré en lit stroke non-monitoré le 26.11.2018, après une IRM cérébrale qui révèle des lésions ischémiques multiples subaiguës des territoires sylvien D et antérieur G, avec légère transformation hémorragique. Sur le plan étiologique, l'échocardiographie transœsophagienne montre un foramen ovale persistant de grande taille, associé à une communication interauriculaire et un anévrisme du septum interauriculaire. Le CT cardiaque ne révèle pas d'anomalie morphologique cardiaque. Un Holter de 72 h est posé durant l'hospitalisation, les résultats sont toujours en cours lors de la rédaction de cette lettre. Un ultrason des vaisseaux pré-cérébraux et transcrâniens retrouve une athéromatose diffuse sans sténose significative. Les facteurs de risque cardiovasculaires semblent contrôlés. Nous suspectons une étiologie d'embolie proximale (artério-artérielle vs cardio-émbolique) au vu des lésions ischémiques emboliques multiples et de localisation touchant plusieurs territoires artériels. Devant cette récidive survenue sous traitement antiplaquettaire, nous introduisons une anticoagulation par Pradaxa 110 mg 2x/j dès le 03.12.2018. Le cas de Mr. Y sera discuté au colloque interdisciplinaire neuro-cardiologique afin d'évaluer la nécessité de fermeture du FOP et de l'ASIA. Sur le plan métabolique, un traitement d'Atorvastatine 40 mg/j est poursuivi en raison d'un bilan lipidique dans les cibles (<1.8 mmol/L). Le traitement diabétique habituel semble également adéquat au vu de l'HbA1c à 6.5%.Sur le plan orthopédique, le patient chute le 28.11.2018, en marchant dans sa chambre, résultant en une fracture Weber B de la cheville G. Un avis orthopédique recommande une radiographie en charge du pied G, que nous ne pouvons pas effectuer au vu de l'état actuel du patient. Une attelle de type Vaco-Ankle est posée le 29.11.2018 et à poursuivre 6 semaines. Une radiographie en charge confirme la possibilité d'un traitement conservateur, avec une charge selon douleur possible. Nous vous invitons à effectuer un contrôle radiologique le 12.12.2018 et de contacter le Dr. X, au team pied de l'Hôpital cantonal. Une consultation neurovasculaire de contrôle est prévue à 3 mois. L'évolution clinique est lentement favorable avec un status neurologique de sortie montrant la persistance d'un hémisyndrome moteur G facio-brachio-crural, à prédominance brachiale distale, une aphasie non-fluente et dysarthrie modérée et des signes d'héminégligences sensitives. Mr. Y est transféré en neuroréhabilitation intensive à Meyriez le 06.12.2018. Mr. Y, patient de 85 ans connu pour une IRC de stade G3b-G4A3 sur probable néphropathie hypertensive et un smoldering myélome à IgA lambda. Il nous est adressé le 13.12.2018 par le HIB afin d'effectuer une biopsie rénale pour investigation étiologique de l'acutisation de son insuffisance rénale. Un examen biologique effectué montre une insuffisance rénale aiguë ainsi qu'une légère anémie normochrome normocytaire. Une biopsie rénale est effectuée sous anesthésie loco-régionale le 14.12.2018 par nos collègues urologues. Après avoir suivi le protocole usuel post-biopsie rénale, Mr. Y est retransféré, couché en ambulance, au HIB le soir même. La suite de la prise en charge sera faite par nos collègues du HIB. Mr. Y est amené aux urgences en arrêt cardio-respiratoire par ses enfants en raison d'une dyspnée aiguë avec douleur des membres inférieurs. Une réanimation cardio-respiratoire est d'emblée initiée avec intubation endo-trachéale et administration d'adrénaline en raison d'une asystolie avec reprise d'un rythme cardiaque. Il est décidé après discussion avec la famille et en accord avec tous les intervenants d'arrêter les manœuvres de réanimation en raison de paramètres biologiques n'étant pas compatibles avec la vie. Mr. Y décède le 02.12.2018. Mr. Y est un patient de 25 ans, qui se présente aux urgences en raison de douleurs en fosse lombaire gauche associées à une algiurie et pollakiurie. En raison d'une insuffisance rénale avec créatinine à 106 mmol/l, nous hospitalisons le patient. Au vu d'une normalisation de la fonction rénale au laboratoire de contrôle et d'une douleur contrôlée par l'antalgie simple, nous laissons le patient rentrer à domicile le 05.12.2018. Notons que le patient n'a jamais présenté de fièvre et une diurèse conservée. Le patient sera convoqué le lundi prochain 10.12.2018 à la consultation du Dr. X, pour un contrôle clinico-radiologique. Mr. Y est un patient de 73 ans, d'origine vietnamienne, qui se présente aux Urgences le 18.12.2018 en raison d'un abcès dorsal gauche, d'un diamètre d'environ 6 cm, associé à des douleurs 6/10, sans état fébrile ou frisson. Celui-ci serait apparu il y a 14 jours alors qu'il était en voyage au Vietnam. Il aurait consulté le 15.12.2018 un médecin au Vietnam qui l'aurait mis sous Augmentin oral 2x/j. Au vu de l'aspect de l'abcès et de la mauvaise évolution sous antibiothérapie, un drainage au bloc est organisé le 19.12.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le 20.12.2018, le patient rentre à domicile. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour le suivi, tout en lui expliquant les soins qu'il devra réaliser à domicile. Mr. Y est un patient de 58 ans, qui se présente aux urgences de Tavel le 05.11.2018 avec un abdomen aigu avec défense et détente accompagné par des nausées mais sans vomissement. Un CT abdominal met en évidence une dilatation du colon ascendant, colon transverse et du caecum jusqu'à 11 cm et une sténose sigmoïdienne à 40 cm de la marge anale de probable origine tumorale. Dans ce contexte, le patient est transféré à Fribourg pour la suite de la prise en charge chirurgicale. Une laparoscopie exploratrice avec transverso-stomie de décharge est effectuée le 05.11.2018 en urgence. Le bilan oncologique est complété le 12.11.2018 par une colonoscopie et un CT thoracique. Le cas est présenté au Tumorboard le 14.11.2018 où on pose l'indication pour une sigmoïdectomie ouverte qui est effectuée le 19.11.2018 sans complication. Le patient est présenté le 28.11.2018 au tumorboard pour discuter la suite de la prise en charge oncologique qui consistera en une chimiothérapie adjuvante. Dans le CT abdominal du 05.11.2018, on découvre fortuitement une ostéonécrose des têtes fémorales bilatérales, raison pour laquelle le patient bénéficiera d'une densitométrie et sera vu en ambulatoire par les orthopédistes pour la suite de la prise en charge. La suite de l'hospitalisation est simple et permet un retour à domicile le 29.11.2018 à 11h. Le patient sera revu en consultation des Chefs de clinique le 17.01.2018. Le patient sera convoqué en oncologie pour la discussion chimiothérapie adjuvante. L'ablation des agrafes se fera chez le médecin traitant la semaine du 03.12.2018. Mr. Y est adressé aux urgences de l'HFR Riaz le 15.11.2018 en raison de troubles de la marche, vertiges et troubles cognitifs nouveaux en péjoration depuis un mois. A l'anamnèse, le patient se plaint d'oublis, de troubles de la marche et de vertiges rotatoires en péjoration depuis un mois. Le status initial met en évidence une poursuite binoculaire saccadée, avec diplopie et augmentation du polygone de sustentation, ainsi qu'une tendance à la rétropulsion. Le diagnostic différentiel d'encéphalite, versus accident vasculaire cérébral est retenu. Le CT-scan initial écarte la piste de l'accident vasculaire cérébral et Mr. Y est hospitalisé dans le service de gériatrie aiguë pour investigations. Au vu du contexte clinique et des troubles de l'orientation, nous complétons le bilan par une IRM du neurocrâne qui montre une encéphalite, un état de mal épileptique partiel ou une maladie à prions. Une atteinte hypophysaire a pu être écartée. Le patient est transféré à l'HFR Fribourg le 19.11.2018 pour la suite des investigations. A Fribourg, le patient formule des plaintes similaires. Il demeure désorienté dans le temps et sa personne et développe de nombreuses confabulations, avec anosognosie fluctuante. Il éprouve quelques difficultés à la compréhension des ordres complexes, ainsi qu'une fluence verbale réduite avec trouble de l'attention et altération des fonctions visuo-spatiales. Nous objectivons par ailleurs une exophtalmie avec oculomotricité saccadée et restreinte dans les périphéries et nystagmus multidirectionnel. Le patient présente une dysmétrie à gauche, sans disdiadococinésie. Le Romberg reste pathologique, avec l'absence de décollement des talons à l'accroupissement. En conséquence, au vu du contexte clinique et de notre examen neurologique, nous décidons de soumettre le patient à un électro-encéphalogramme, qui témoigne d'une irritation corticale diffuse, ainsi qu'à une ponction lombaire, avec recherche de la protéine 14-3-3, qui nous revient positive. Le diagnostic de maladie de Creutzfeld-Jacob est posé et des soins de confort ainsi qu'une thérapie par Levetiracetam sont introduits. Au cours de son séjour, Mr. Y développe des myoclonies et se péjore fortement sur le plan cognitif, avec des oublis de plus en plus fréquents et une désorientation plus importante. Notre équipe des soins palliatifs est avertie et se chargera de la prise en charge spécialisée en détachant un consultant.Au vu de l'agitation nocturne et des risques élevés de chute du lit, il a été décidé d'introduire une contention abdominale la nuit. Le patient est transféré dans le service de médecine de l'HFR Riaz pour la suite de la prise en charge palliative, à sa demande et celle de sa famille, le 06.12.2018. Pendant le séjour, le patient reste stable et paraît confortable. Nous discutons avec le frère du patient (le représentant thérapeutique) qui nous informe que plusieurs inscriptions dans des homes ont été effectuées. Dans l'attente d'une place et dès le 11.12.2018, Mr. Y reste hospitalisé dans notre service bien que la prise en charge spécifique soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Mr. Y décède le 19.12.2018. Une autopsie avec biopsie du cerveau était prévue à Zurich afin de poser le diagnostic définitif de Creutzfeld-Jacob, mais elle a finalement été annulée. Mr. Y est un patient de 73 ans, aux antécédents susmentionnés, qui présente une masse occipitale et pariétale à droite qui a été découverte dans le cadre d'un bilan d'investigation pour hémianopsie et troubles de l'équilibre. Le patient bénéficie le 21.12.2018 d'une crâniotomie pour exérèse de la masse. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. Une IRM de contrôle effectuée le 24.12.2018 montre une prise de contraste latérale sur la cavité interprétée comme matériel hémorragique. Une deuxième prise de contraste sur la partie inféro-médiane est également mise en évidence. En vue de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile le 24.12.2018 en bon état général avec un index de Karnofsky de 80% à la sortie. Il sera revu à la consultation de neurochirurgie à 4 semaines de l'intervention. Mr. Y sera également vu par nos collègues en oncologie le 21.01.2019 ainsi que par nos collègues en ophtalmologie le 31.01.2019. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 12 jours post-opératoires. Mr. Y est un patient de 73 ans qui se présente aux Urgences pour un BEG depuis 1-2 mois. Il décrit des douleurs au bas ventre et en sus-pubien qu'il a du mal à caractériser. La communication avec le patient est difficile parce qu'il ne parle que somalien. Le bilan radiologique met en évidence une forte suspicion d'un carcinome de la vessie avec une adénopathie rétro-péritonéale et médiastinale associée ainsi qu'une suspicion de métastase au niveau du pancréas. Le bilan d'extension par cytologie urinaire est revenu positif pour un carcinome urothélial de haut grade. Le cas est discuté au Tumorboard le 06.12.2018 où on décide d'effectuer encore une TURV avec biopsie avant de se décider pour une prise en charge oncologique de suite. Les douleurs sont bien contrôlées par Targin, permettant un retour à domicile le 13.12.2018. Mr. Y, âgé de 78 ans, connu pour une BPCO stade IV selon Gold sous O2 5 lt/min à domicile, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation respiratoire suite à une insuffisance respiratoire hypoxémique acutisée dans un contexte post-traumatique le 04.10.2018. Sur le plan social, le patient vit avec son épouse à domicile. Il est à la retraite. Le patient n'a pas de plainte particulière. La gazométrie d'entrée sous 6 lt/min montre une hypoxie sévère, sans hypercapnie. Nous maintenons le débit d'oxygénothérapie à 6 lt/min. La spirométrie d'entrée montre une obstruction bronchique d'entité très sévère. La capnographie nocturne du 15.11.2018 montre un tcpCO2 moyen à 5,2 kPa et un SpO2 moyen à 88,8%. À la radiographie du thorax du 14.11.2018, l'examen est superposable au comparatif du 27.10.2018 avec d'importants remaniements emphysémateux, prédominant dans les parties supérieures des poumons et du côté D, ainsi que des infiltrats interstitiels prédominant aux bases et du côté G. Le 16.11.2018, le patient présente un état subfébrile et la majoration d'un encombrement bronchique. Le bilan biologique démontre un syndrome inflammatoire motivant l'introduction d'un traitement de Tazobac pour une pneumonie nosocomiale. La présence de Pseudomonas aeruginosa dans l'expectoration permet de réduire le spectre de l'antibiothérapie et de passer à la Ciproxine. L'évolution est par la suite favorable. Le patient demeure très handicapé dans le quotidien par une intense dyspnée et des débits d'O2 de 9 lt/min sont nécessaires lors de ses déplacements. Le 03.12.2018, le patient se plaint de douleurs à l'épaule D au repos, à la palpation et à la mobilisation, soulagées par des poches de glace. À la radiographie, arthrose gléno-humérale et AC débutante, sans calcification visualisée au niveau des tissus mous. Nous prescrivons du Tramal en réserve avec une évolution favorable et disparition des douleurs au moment du retour à domicile. Le 08.12.2018, le patient relate une asthénie et un mal-être généralisé, sans symptôme pulmonaire. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire significatif. La culture d'expectorations ne démontre pas de Pseudomonas. La corticothérapie est réintroduite dans la perspective d'une insuffisance cortico-surrénalienne et nous vous laissons le soin de réduire très progressivement la corticothérapie systémique. Nous vous recommandons de maintenir un dosage de 5 mg. Sur le plan nutritionnel, Mr. Y a été suivi en raison d'un apport insuffisant en protéines et énergie au début de son séjour. Au cours du séjour, il a couvert ses besoins grâce aux adaptations alimentaires et à un SNO. Il rentre à domicile avec pour consignes de maintenir un poids stable et de recontacter son médecin en cas de perte de poids (cut-off à 80 kg). Il a reçu un enseignement pour une alimentation enrichie en énergie et un apport suffisant mais non excessif en protéines. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et à l'endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes n'évolue pas avec une distance parcourue de 30 m (interrompu après 1'45'' à l'entrée et 2'45'' à la sortie). Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 14.12.2018, en état général conservé. Mr. Y est amené aux urgences en ambulance le 22.11.2018 en raison d'une faiblesse des membres inférieurs avec 4 chutes au cours des dernières 48 heures, la dernière occasionnant un traumatisme crânien occipital, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Pas de nausée ni vomissement. À l'anamnèse, Mr. Y se plaint d'une faiblesse généralisée depuis quelques jours, avec une sensation de jambes qui lâchent. Il ne rapporte pas de sensation de malaise lors des chutes mais uniquement une faiblesse musculaire. Pas d'autre plainte ni douleur. À l'admission aux urgences, le patient est sarcopénique et cachectique avec un BMI calculé à 15,8 kg/m2. Hormis une parésie des extenseurs du pied droit connue, l'examen clinique est sans particularité. Le bilan biologique met en évidence une hyponatrémie chronique à 120 mmol/l, ainsi qu'une hypokaliémie à 3,4 mmol/l, une hypomagnésémie à 0,65 mmol/l et une anémie normochrome normocytaire à 113 g/l. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire.La radiographie des hanches et du bassin est suspecte d'une fracture du grand trochanter droit, non déplacée, avec peu de retentissement clinique que nous décidons de traiter conservativement par antalgie et charge selon douleur. La plaie occipitale est suturée et en raison de l'état général diminué, Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le bilan de l'hyponatrémie met en évidence une osmolalité sérique à 267 mosmol/kg, une osmolalité urinaire à 402 mosmol/kg et un sodium urinaire à 105 mmol. Ces résultats font évoquer un SIADH dont l'étiologie la plus probable est médicamenteuse sur le traitement de SSRI du patient. La TSH est dans la norme. Une restriction hydrique à 1.5 litre par jour permet de corriger partiellement la natrémie. Nous vous laissons le soin d'effectuer un suivi biologique et d'évaluer la nécessité d'adapter le traitement antidépresseur. Nous substituons le patient en potassium et en magnésium avec bonne évolution biologique. En ce qui concerne la sarcopénie, le patient rapporte avoir toujours été maigre et avoir toujours contrôlé son poids. Il présente un comportement d'évitement de certains aliments et pratiquait jusqu'à peu une activité sportive intense. Il ne semble pas présenter de conscience morbide de son état de dénutrition. Au vu d'un habitus marfanoïde et à la recherche d'une cause organique de la sarcopénie, nous effectuons un US abdominal qui montre une aorte de calibre normal et aucun argument expliquant la clinique du patient. Nous demandons un bilan nutritionnel et psychiatrique. La Dr. X pose le diagnostic de probable anorexie mentale atypique, ne remplissant pas tous les critères, d'évolution à bas bruit de longue date. Elle met en avant le déni du patient vis-à-vis de ses troubles du comportement alimentaire. Elle note également un trouble anxio-dépressif léger et propose d'introduire un traitement par Remeron que le patient refuse. Nous insistons sur la nécessité d'un suivi psychiatrique en ambulatoire que le patient accepte. Il contactera de lui-même un psychiatre. Nous vous laissons le soin d'évaluer la bonne mise en place de ce suivi. Mr. Y peut regagner son domicile le 29.11.2018. Mr. Y, âgé de 75 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HFR Fribourg pour une réadaptation musculo-squelettique suite à un déconditionnement physique dans un contexte de choc septique sur pneumonie bilatérale à germe indéterminé avec insuffisance respiratoire aiguë partielle le 04.10.2018. Sur le plan social, le patient, portugais d'origine, veuf depuis septembre 2018, est venu en Suisse vivre chez ses fils après la mort de son épouse. Il est à la retraite. A l'admission, le patient est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme sous O2 3 lt/min. Au status pulmonaire, murmure respiratoire transmis bilatéralement, sifflements au lobe inférieur droit. La force est cotée à M4 aux MI et MS. Sensibilité conservée. Le patient se plaint de perte de mémoire et signale une sensation de confusion. La famille dit qu'il est devenu plus agressif après l'hospitalisation aux soins intensifs. Au vu de l'insuffisance respiratoire et l'oxygénothérapie en place, nous effectuons un bilan respiratoire qui met en évidence une oxymétrie nocturne sous O2 3 lt/min dans les normes. Après plusieurs tentatives de sevrage de l'oxygène, nous maintenons un débit de 1 lt/min au repos, 2 lt/min aux efforts légers et jusqu'à 6 lt/min en physiothérapie. Une prescription pour une oxygénothérapie au domicile a été établie. La radiographie du thorax effectuée le 18.12.2018 démontre la persistance d'un infiltrat interstitiel bilatéral diffus connu, sans changement significatif par rapport au 04.12.2018, un discret émoussement du sinus costo-phrénique postérieur D, inchangé. Actuellement, il n'y a pas d'argument pour un bronchogramme aérique en faveur d'un foyer parenchymateux surajouté décelable. Mr. Y est aussi connu pour un état dépressif dans un contexte de deuil (épouse décédée il y a 3 mois) sous Clonazépam et Sertralin. Nous demandons l'avis de la Dr. X qui ne retrouve pas de dépression majeure et ne pose pas d'indication absolue au traitement antidépresseur. Ce dernier n'est pas réintroduit. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge multidisciplinaire avec physiothérapie respiratoire, réentraînement à l'effort et endurance, avec une évolution favorable. La distance parcourue au test des 6 minutes passe de 330 m à 360 m et le patient augmente la distance parcourue sur le tapis pendant 20 minutes de 0.64 km avec 7 lt/min d'O2 à 0.77 km avec 6 lt/min d'O2. Après 4 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 21.12.2018, en bon état général. Mr. Y est un patient de 76 ans qui bénéficie d'une hémicolectomie droite avec CME le 06.12.2018 dans le cadre du diagnostic susmentionné. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par un iléus récidivant se compliquant par une pneumonie de broncho-aspiration le 12.12.2018. Le patient est alors admis aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë et bénéficie d'une ventilation non invasive avec une évolution rapidement favorable. Les suites sont favorables avec une réalimentation progressive bien tolérée. L'antibiothérapie intraveineuse peut être arrêtée le 20.12.2018 et le patient peut retourner à domicile le 21.12.2018. Concernant la maladie oncologique, un CT scan thoraco-abdominal effectué le 14.12.2018 met en évidence une lésion hyperdense au niveau du foie, suspecte dans ce contexte oncologique. En raison d'une impossibilité de rester en apnée, une IRM ne peut pas être effectuée. Après discussion au colloque oncologique multidisciplinaire, nous décidons de débuter une chimiothérapie adjuvante et d'effectuer un PET scan dans 3 mois. Mr. Y nous est transféré depuis les urgences de l'HFR Fribourg pour une exacerbation de lombalgies chroniques non déficitaires atraumatiques rendant un maintien à domicile impossible. Pour rappel, le patient est connu pour une maladie de Parkinson et une épilepsie sur probable séquelle d'AVC ischémique en 2010. Mr. Y se plaint de douleurs lombaires, sans irradiation dans les jambes, apparues il y a six semaines environ, qui se sont acutisées il y a 10 jours après une manipulation chiropractique, avec une péjoration progressive depuis surtout à la mobilisation. Il ne rapporte pas de déficit neurologique ni de troubles sphinctériens. Au status d'entrée, nous notons un ralentissement psychomoteur. Sur le plan neurologique, il n'y a pas de déficit sensitivomoteur. Les réflexes ostéotendineux sont hypervifs symétriques et le Babinski est en extension des deux côtés. Le patient présente une roue dentée bilatérale avec un signe de Froment positif des deux côtés, et un tremblement au repos des membres supérieurs. Mr. Y vit à domicile avec son épouse. Il est autonome pour les AVQ. Il n'utilise pas de moyens auxiliaires mais n'est pas sorti de sa maison depuis la péjoration des douleurs. Un bilan biologique est aligné, permettant d'exclure un syndrome inflammatoire, et un status urinaire est dans la norme. Cliniquement, nous notons des douleurs myofasciales du muscle carré des lombes droit. Dans le cadre de sa maladie de Parkinson, le patient présente des troubles positionnels. Un bilan radiologique infirme la suspicion d'éventuelles lésions de lyse ou d'ostéocondensation suspectes, permettant d'écarter une origine osseuse des douleurs. Par contre, des altérations dégénératives importantes sont observées au niveau L4-S1. Finalement, une composante somatoforme des douleurs nous semble probable chez ce patient.Le traitement initial par Oxycontin est rapidement arrêté en raison d'une baisse de la concentration exprimée par le patient ainsi que par un manque d'effet sur les douleurs. Après une rotation d'opiacé, le Palexia est majoré jusqu'à 350 mg fixe par 24 heures, également sans amélioration de la symptomatologie. Un relais par Fentanyl patch ne permet pas non plus un contrôle satisfaisant des douleurs. En raison d'une baisse de la vigilance chez Mr. Y, cette thérapie est finalement arrêtée et de nouveau remplacée par le Palexia à doses moyennes (100 mg 2x/j). De plus, différentes mesures antalgiques locales sont effectuées. Les lombalgies étant très fluctuantes dans le temps et un GDS parlant pour un possible état dépressif, un traitement concomitant par Saroten retard est proposé au patient, que celui-ci ne souhaite pas pour l'instant. Parallèlement, Mr. Y bénéficie d'une réadaptation précoce individuellement adaptée avec physio- et ergothérapie. Initialement, il ne participe pas souvent aux thérapies par crainte d'une nouvelle aggravation des douleurs. Petit à petit, le patient se mobilise de plus en plus fréquemment avec les thérapeutes, mais également tout seul. Initialement, il effectue les transferts avec une aide de contact et se mobilise uniquement sous supervision. Malgré un risque de chute élevé avec un Tinetti à 17/28, il ne souhaite pas utiliser des moyens auxiliaires pour la mobilisation. À la fin de l'hospitalisation, il est autonome dans les transferts, se mobilise sous supervision sur un périmètre de marche de plusieurs centaines de mètres et peut monter les escaliers sous supervision. Un escarre sacral présent à l'entrée s'améliore progressivement durant l'hospitalisation. Le Nexium a été arrêté n'ayant pas d'indication claire chez un patient asymptomatique. Mr. Y peut regagner son domicile le 11.12.2018, en état général amélioré. Mr. Y est un patient de 71 ans qui bénéficie le 30.11.2018 d'une confection de FAV ulno-basilique au membre supérieur gauche. Les suites opératoires sont simples. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 01.12.2018. Mr. Y sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Mr. Y, connu de notre service pour un carcinome épidermoïde glotto-sous-glottique, nous est transféré de Meyriez pour une panendoscopie de contrôle à 3 mois post-radiothérapie curative. Des biopsies de contrôle sont effectuées. Mr. Y, 53 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI antérieur, découvert suite à une douleur thoracique apparaissant vers 4h du matin durant la nuit du 08.12.2018 au 09.12.2018 avec une syncope. Il bénéficie le 09.12.2018 d'une coronarographie qui retrouve une maladie bitronculaire avec mise en place de 2 stents sur l'IVA proximale et un stent sur la diagonale. La revascularisation a lieu à 6h22 (temps d'ischémie < 2h30). L'échocardiographie retrouve une FEVG estimée à 25-30%. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs au décours de la coronarographie. L'évolution est favorable, le patient ne présente pas de douleur thoracique ou de trouble du rythme durant son séjour aux soins. Nous introduisons dès le 09.12 au matin un traitement par Béta-bloquant et Lisinopril avec une bonne tolérance hémodynamique. Le bilan lipidique met en évidence un LDL à 4.9 mmol/l et un traitement par Atorvastatine est à poursuivre pour viser une valeur inférieure à 1.8 mmol/l. L'hémoglobine glyquée est dans la norme. L'ETT de contrôle montre une akinésie apicale étendue avec une FEVG de 30%. Il est décidé de débuter une anticoagulation en plus de la double antiagrégation. Le patient peut être transféré à l'étage de médecine interne le 10.12.2018. Il bénéficie de physiothérapie, ne présente pas de douleur thoracique. Une demande de réadaptation cardiovasculaire à Billens en stationnaire a été faite. Au vu de l'évolution favorable, il rentre à domicile le 14.12.2018. Mr. Y, 53 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un STEMI antérieur, découvert en raison d'une douleur thoracique aiguë irradiée au bras gauche, survenue au repos durant la nuit du 08.12.2018 au 09.12.2018 avec une syncope au décours. Il bénéficie le 09.12.2018 d'une coronarographie qui retrouve une maladie coronarienne bitronculaire avec mise en place de 2 stents sur l'IVA proximale et un stent sur la diagonale. La ventriculographie retrouve une FEVG estimée à 25-30%. L'évolution est favorable, le patient présente une salve unique de tachycardie ventriculaire (10 complexes) asymptomatique. Il est mis sous traitement bétabloqueur. Un traitement inhibiteur de l'enzyme de conversion est également introduit et bien supporté. Le bilan étiologique montre une hémoglobine glyquée à 5.8 et un LDL-cholestérol à 4.96 mmol/l. Un traitement par Atorvastatine est initié et nous proposons une cible LDL-cholestérol inférieure à 1.8 mmol/l. Une échocardiographie transthoracique de contrôle effectuée le 10.12.2018 montre une fraction d'éjection du ventricule gauche abaissée à 30% avec une akinésie apicale et sans thrombus intracardiaque. Devant cette image, nos collègues cardiologues proposent une anticoagulation thérapeutique par Xarelto, avec remplacement de l'Efient par du Plavix. La double antiagrégation et anticoagulation sont à réévaluer après un nouveau contrôle échographique dans un mois. Le patient est transféré à l'étage de médecine le 10.12.2018 avec la proposition d'organiser une réadaptation cardio-vasculaire ambulatoire pour la suite. Mr. Y, 53 ans, est hospitalisé via la filière STEMI pour une douleur thoracique durant la nuit du 08.12.2018 avec une syncope au décours. Il bénéficie le 09.12.2018 d'une coronarographie qui retrouve une maladie bitronculaire avec mise en place de 3 stents sur IVA proximal, la bifurcation et la circonflexe. La ventriculographie en sortie de salle de cathétérisme retrouve une FEVG estimée à 25-30%. Mr. Y est admis pour un phlegmon péri-amygdalien droit aphagiant. L'évolution clinique et biologique est favorable avec une diminution de la tuméfaction péri-amygdalienne droite et une reprise de l'alimentation par voie orale sans odynodysphagie. Au vu de la bonne évolution, le patient peut retourner à domicile. Mr. Y est un patient de 71 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale, une cardiopathie ischémique et rythmique, une hypertension artérielle ainsi qu'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs avec statut post-pontage fémoro-poplité à droite et stenting fémoral à gauche qui nous est adressé depuis la dialyse pour une ischémie critique du membre inférieur gauche. Le patient présente un membre inférieur gauche froid et une absence de pouls ainsi que des ulcères d'allure nécrotique au niveau des 2 premiers orteils et de la malléole externe avec un syndrome inflammatoire pour lequel une antibiothérapie par Vancomycine est débutée le 16.11.2018. Nous effectuons un bilan radiologique par angio-CT et angiographie montrant une occlusion des stents fémoraux et une absence de perméabilité en distalité. En raison d'une longue occlusion vasculaire et d'une occlusion des axes en distalité, une revascularisation n'est possible ni par voie endovasculaire, ni ouverte. C'est pourquoi, nous posons l'indication à une amputation supra-géniculée qui est acceptée par le patient et effectuée le 26.11.2018. À noter que le Sintrom est suspendu en préopératoire avec un relais par héparine. Il est repris dès le 30.11.2018 avec un INR thérapeutique (2.0) le 10.12.2018. Nous laissons le soin à nos collègues de Billens de faire l'adaptation de celui-ci.Sur le plan infectiologique, le traitement de Vancomycine est maintenu pour une durée de 12 jours sur avis de nos collègues infectiologues et est administré pendant les séances de dialyse. Les suites opératoires sont simples, permettant un transfert en réadaptation à Billens le 11.12.2018. Les dialyses seront reprises à Riaz. Mr. Y est un patient de 58 ans aux antécédents susmentionnés, qui bénéficie d'un bypass gastrique proximal par laparoscopie le 12.12.2018. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le 15.12.2018 Mr. Y retourne à son domicile. Un rendez-vous de suivi chez le Dr. X est prévu le 15.01.2019 et nous laissons au soins le patient de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils. Concernant les traitements anti-diabétiques, la Metformine sera reprise dès le lundi à dose de 2x500/j. Mr. Y est un patient de 71 ans suivi en Oncologie par la Dr. X pour un lymphome à cellule B mature de type folliculaire depuis le mois de mai 2018. Il bénéficie alors d'une immuno-chimiothérapie. Lors d'un CT scanner de suivi, une augmentation d'une masse pelvienne droite est constatée par rapport au comparatif, qui est confirmée et hypercaptante au PET CT du 11.12.2018. Le patient bénéficie d'une biopsie de cette masse par laparoscopie le 12.12.2018. Les suites opératoires sont simples et le patient rentre à domicile le 13.12.2018. Mr. Y, âgé de 87 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, nous est adressé par l'HIB Payerne pour une réadaptation musculo-squelettique et rééducation à la marche suite à des fractures des processus transverses droits de L1-L4 non déplacées, traumatisme crânien et contusions faciales le 04.11.2018 suite à un accident de la route à haute cinétique. Sur le plan neurologique, suite au traumatisme crânien, le patient a eu une amnésie circonstancielle. Mr. Y a été hospitalisé dans le service de chirurgie du HIB Payerne du 04.11 au 15.11.2018. Sur le plan ostéo-articulaire, le patient a présenté d'importantes douleurs à la mobilisation traitées par antalgie avec une évolution favorable d'un point de vue de la mobilité. D'un point de vue neurologique, il n'a pas présenté de troubles focaux. Il a quand même présenté une hypertension artérielle avec des pics mesurés à 180 mmHg de systolique. Sur le plan social, le patient, veuf, vit seul à domicile dans une maison avec des escaliers (environ 26 marches). Il est à la retraite. Ses fils vivent à proximité et peuvent l'aider. A l'admission, le patient n'a pas de plainte. Il est hémodynamiquement stable et les paramètres vitaux sont dans la norme. Les douleurs sont bien contrôlées par l'antalgie en place. Au status, le patient est orienté et collaborant. Il présente un grand hématome autour de l'orbite oculaire G qui descend sur le visage et le cou. Une évaluation neuropsychologique a mis en évidence un MMSE de 24/30. Mr. Y a vraisemblablement des troubles cognitifs pré-morbides difficiles à mettre en lien avec une étiologie particulière au vu de l'âge du patient. Cela serait peut-être à confronter avec une hétéroanamnèse. En tout cas, il n'y a pas de symptôme post-traumatique typique ni d'atteinte focale ou de modification comportementale. D'un point de vue neuropsychologique, la conduite automobile est contre-indiquée et une aide pour la gestion administrative serait recommandée. Ces informations ont été transmises à la fille et au fils du patient qui ont entrepris les mesures nécessaires. Durant son séjour, le patient a bénéficié d'une prise en charge interdisciplinaire avec physiothérapie et ergothérapie. A la sortie, il est indépendant pour les transferts et marche avec 2 cannes anglaises. Il peut monter/descendre les escaliers avec 1 canne et la rampe. Le patient se plaint de douleurs lombaires lors de la position debout prolongée. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile le 30.11.2018, en bon état général. Mr. Y est un patient de 74 ans, connu pour un GIST de la paroi gastrique postérieure qui est hospitalisé le 10.12.2018 pour bénéficier d'une gastrectomie partielle par laparoscopie. L'intervention effectuée le jour même se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par un syndrome de malnutrition pour lequel nous administrons une nutrition parentérale. Par la suite, le patient présente une désaturation à l'air ambiant avec une augmentation du syndrome inflammatoire, ce qui motive une recherche de foyer. Les examens complémentaires mettent en évidence une atélectasie pulmonaire bilatérale avec possible surinfection. Nous traitons l'infection pulmonaire avec une antibiothérapie en intraveineux pendant 7 jours. A noter également la mise en évidence d'une anémie hypochrome hyporégénérative ferriprive, traitée par administration de fer par intraveineuse ainsi qu'un traitement par EPO à partir du 18.12.2018 avec une injection une fois par semaine. Par la suite, l'évolution clinique et biologique du patient est favorable avec une réalimentation bien tolérée. Le patient retourne à domicile le 21.12.2018. Mr. Y est un patient de 79 ans, institutionnalisé depuis mai 2018 pour situation ingérable à domicile malgré les soins, qui nous est adressé dans un contexte de troubles de la conscience avec GCS diminué à 4 le matin du 20.12.2018 ainsi qu'un état fébrile. Aux urgences, un CT Time is Brain exclut un événement ischémique. Une hypoglycémie à 3.3 mmol/l est resucrée par Glucagon. Une raideur de la nuque motive une ponction lombaire qui revient propre. Un sédiment sale ainsi qu'une radiographie avec probable foyer infectieux basal gauche motivent une initiation d'antibiothérapie par Rocéphine. Au status, on retrouve à l'étage un patient conscient, mais confus avec une toux grasse sans crachat et une hernie ombilicale sans signe d'iléus. Au niveau de l'étiologie infectieuse, nous retenons un foyer pulmonaire car l'urotube est contaminé et le patient asymptomatique. Sous Rocéphine, le patient évolue favorablement, avec une diminution du syndrome inflammatoire. Il reste afébrile. Des troubles de la déglutition sont mis en évidence durant l'état confusionnel et un régime mixé-lisse est débuté avec boissons épaissies, qui serait à maintenir pour diminuer le risque d'aspiration. Au sujet du diabète de type II, l'Insulatard est majoré le matin pour des hyperglycémies sur la journée. Le traitement est à réadapter à la baisse si des hypoglycémies se manifestent. Mr. Y peut rentrer au Home de Châtel-St-Denis le 28.12.2018. Mr. Y est un patient de 56 ans, en bonne santé habituelle, qui bénéficie d'une cure d'hernie inguinale gauche selon Lichtenstein le 21.12.2018 en raison d'une récidive d'hernie inguinale. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont simples. En vue de la bonne évolution clinique, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 22.12.2018. Mr. Y est un patient de 65 ans, qui a été hospitalisé suite à un traumatisme crânien sur un malaise, accompagné d'une perte de connaissance de 2-3 minutes, sans phase post-critique ou signes d'épilepsies. Au CT-scanner, on note une fracture occipitale et temporale droite crânienne occipitale à droite non déplacée, sans hémorragie intra-crânienne. A noter la présence d'une dermabrasion saignante du conduit auditif externe distal traitée localement par Ciproxine HC.Durant son hospitalisation, le patient évolue bien et les contrôles neurologiques sont en ordre. Mr. Y rentre à domicile le 10.12.2018 avec un contrôle en neurochirurgie prévu le 17.01.2019. Mr. Y est un patient de 48 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences pour un état fébrile associé à des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales en fosse iliaque droite depuis 4 jours, apparus suite à un repas avec des œufs et de la viande. Le laboratoire initial met en évidence un syndrome inflammatoire ainsi qu'une hypophosphatémie, substituée par la suite. Au CT-abdominal, nous notons une colite ascendante non compliquée. Le patient est hospitalisé et mis sous traitement antibiotique par Rocéphine et Flagyl. Par la suite, les cultures de selles réalisées aux urgences reviennent positives pour une Salmonelle. Le patient évolue ensuite bien sur le plan clinique et biologique, permettant un retour à domicile le 06.12.18, avec poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 09.12.2018. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé suite à une syncope survenue le 05.12.2018. Le patient s'est levé, a marché 50 m puis s'est senti mal sans pouvoir décrire ce qu'il ressentait et a perdu connaissance sans traumatisme crânien. Le patient a présenté une perte d'urine sans morsure de langue ni mouvements stéréotypés. Sa femme décrit que le patient gémissait et hyperventilait. À noter qu'il a présenté un malaise du même type le 30.11.2018. Le diagnostic retenu était une crise d'épilepsie partielle avec un électroencéphalogramme (EEG) sans particularité. Un CT cérébral réalisé aux urgences montrait alors un aspect filiforme de l'artère vertébrale gauche (DD hypoplasie) ainsi qu'une possible séquelle ischémique, raison pour laquelle le patient a été mis sous Brilique (au vu d'une intolérance à l'aspirine et au Clopidogrel). Une IRM de contrôle est faite le 10.12.2018. Celle-ci ne montre pas de lésion ischémique ni d'hypoplasie de l'a. vertébrale, raison pour laquelle le traitement par Brilique est stoppé le 11.12.2018. Selon l'avis du Dr. X, un deuxième EEG a été effectué le 05.12 qui se révèle une nouvelle fois dans la norme. Le test de Schellong est dans la norme et une échocardiographie transthoracique (ETT) se révèle superposable à celle faite chez le Dr. X en 2016. Un Holter a également été mis en place sur 24 h le 07.12 sans révéler d'arythmie significative. Au vu d'une indication à une pose de Pacemaker posée par son cardiologue le Dr. X en janvier 2017, qui avait alors été refusée par le patient en raison d'une forte anxiété et de 2 épisodes de syncope actuellement, nous présentons le cas à nos collègues de la cardiologie. Il est décidé d'implanter dans un premier temps un Loop-Recorder, implantation prévue pour le 19.12.2018, afin de réévaluer l'indication à une pose de Pacemaker ultérieure. Le patient semblant très anxieux, une consultation psychiatrique est demandée. Elle met en évidence des troubles de l'adaptation avec une réaction anxieuse au premier plan, raison pour laquelle un traitement par Distraneurin en réserve est instauré. Un suivi psychiatrique en ambulatoire au CPS de Fribourg lui est fortement recommandé (numéro de téléphone transmis). Mr. Y rentre à domicile le 13.12.2018 et sera revu dans une semaine par nos collègues de la cardiologie. Mr. Y et sa femme nous demandent de pratiquer une ablation du matériel d'ostéosynthèse ce que nous déconseillons fortement vu le caractère instable de ces fractures ainsi que le manque de soutien antérieur sur un segment fortement cyphotique. Nous lui expliquons que ces douleurs ne sont pas dues à l'appui du matériel mais plutôt à un déconditionnement musculaire et une mauvaise posture avec flexion spontanée du tronc en avant ainsi que des épaules. Le patient souhaite tout de même un 2ème avis lequel nous lui recommandons également. Un CD avec toutes les images lui est donné ce jour. Prochain contrôle au mois d'août 2019 afin d'exclure une décompensation par cyphotisation progressive et descellement du matériel. Le patient nous fera part de sa décision s'il devait changer d'avis. Nous vous prions aussi de faire un bilan angiologique des MI notamment à droite au vu d'une suspicion de claudication vasculaire. Mr. Y, connu pour une hypertension artérielle, un diabète de type 2, une cardiopathie ischémique avec quadruple pontage coronarien en 2013 et une épilepsie, est amené aux urgences en ambulance le 06.12.2018 à 10h00 en raison d'une chute de son lit, vers 01h00 du matin avec perte d'urines et amnésie circonstancielle, mais sans morsure de la langue. Sa femme n'a pas assisté à la chute mais elle l'a entendue quand il a voulu se relever. Il est resté au sol jusqu'à 07h30 du matin. À l'admission aux urgences, Mr. Y est en bon état général, mais déshydraté. Il n'a pas de plainte ni douleur. Il ne se souvient pas du mécanisme de la chute, ni à quelle heure c'est arrivé. À l'anamnèse, il se plaint d'une toux sèche depuis une semaine, associée à une asthénie, sans état fébrile ni frisson. Il rapporte également une tendance à la diarrhée depuis 4 semaines (selles molles tous les 2 jours). Pas de douleur rétrosternale ni dyspnée. Concernant l'épilepsie, le patient est suivi par le Dr. X qui a diminué son traitement de Keppra il y a quelques semaines. Dernière crise d'épilepsie en juillet 2018. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, réguliers, sans souffle surajouté. Présence d'œdèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux des deux côtés. Les mollets sont souples, le ballant est conservé. Au niveau pulmonaire, le murmure vésiculaire est symétrique avec une hypoventilation basale droite et des râles crépitants. Le status digestif et neurologique est dans la norme. Au status cutané, présence d'une escarre talonnière et de l'hallux gauche ainsi que d'une plaie au niveau de la face dorsale du 2ème orteil droit. La peau est érythémateuse au niveau des deux jambes (depuis deux mois selon le patient). Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire avec CRP à 100 mg/l et leucocytose à 10.6 G/l ainsi qu'une insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique avec une clairance de la créatinine à 61.5 ml/min selon Cockroft & Gault. La radiographie du thorax montre un foyer basale droite. Nous retenons le diagnostic de pneumonie basale droite, débutons une antibiothérapie par co-amoxicilline iv et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. À l'étage, l'évolution est rapidement favorable permettant le sevrage de l'oxygénothérapie ainsi que le passage de l'antibiothérapie per os dès le 11.12.2018. Toutefois, au vu de la persistance d'une petite hypoventilation basale droite à l'auscultation pulmonaire, nous effectuons une radiographie de thorax de contrôle qui met en évidence un petit épanchement pleural de probable origine para-pneumonique. À noter que le patient ne rapporte pas de plainte au niveau respiratoire. Nous notons que le patient est sous double antiagrégation plaquettaire depuis le quadruple pontage coronarien en 2013. Selon vos informations, ce traitement a été introduit par le cardiologue traitant et est à poursuivre. Sur le plan infectieux, l'évolution est favorable et Mr. Y reste afébrile, avec de bonnes constantes, toutefois, il reste faible et présente des difficultés à la marche et aux transferts. Dans ce contexte, une demande de réadaptation générale à l'HFR Billens est demandée. Par rapport à l'anémie, le bilan effectué montre un déficit en acide folique et en fer que nous substituons pour un mois. De plus, un hémofecatest sur trois revient positif et nous vous laissons le soin d'organiser une colonoscopie en ambulatoire.La demande de réadaptation est acceptée et Mr. Y est transféré à l'HFR Billens le 17.12.2018. Mr. Y est connu pour un adénocarcinome moyennement différencié de type colorectal invasif des tiers moyen et inférieur du rectum classé cT3cN + cM0 avec diagnostic le 04.11.2015 traité par chimiothérapie néo-adjuvante et chirurgie de résection antérieure avec rectostomie latéro-terminale le 01.04.2018 avec apparition de métastases hépatiques et pulmonaires par la suite. Il est également connu pour un accident vasculaire cérébral ischémique occipital gauche en avril 2018. Il a bénéficié de la pose d'une sonde double J pour dilatation pyélo-calicielle gauche en décembre 2017 (Dr. X) et d'une bronchoscopie pour lésion médiastinale suspecte le 23.11.2018. Le patient consulte les urgences le 26.11.2018 en raison d'un état fébrile persistant depuis la bronchoscopie. Le patient rapporte une asthénie ainsi qu'un état fébrile, accompagnés de toux depuis le 23.11.2018. Il se plaint également de lombalgies qui, selon lui, sont liées au décubitus dorsal. A l'admission aux urgences, le patient est hypotendu à 78/63 mmHg, normocarde à 93/min, subfébrile à 37.7°C et sature à 95% à l'air ambiant. Au status cardio-pulmonaire, l'auscultation est sans particularité. Pas de signe d'insuffisance cardiaque droite ni gauche. Les pouls périphériques sont tous palpés. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont dans la norme, notamment des loges rénales souples et indolores bilatéralement. Le bilan sanguin montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 314 mg/l sans leucocytose (4.4 g/l), une thrombocytopénie à 71 g/l, une insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale avec une créatinine à 158 umol/l et un Cockroft calculé à 36.5 ml/min. Le sédiment urinaire met en évidence une infection urinaire. L'urotube montre un E. coli multisensible. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine intraveineuse 2 g 1x/24h dès le 26.11.2018 et Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Le 29.11.2018, le patient se plaint de douleurs rétrosternales localisées en rétro-sternal gauche de type tiraillement, respiro-dépendantes et soulagées par la mobilisation de l'épaule gauche. Nous effectuons un ECG tout à fait rassurant, un laboratoire avec deux trains de troponines (premier à 28 ng/l, deuxième à 27 ng/l) et une radiographie thoracique qui ne montre pas de pneumothorax ni de foyer. Nous concluons à des douleurs rétrosternales probablement d'origine pariétale et nous prescrivons une antalgie par AINS. En raison de la persistance des douleurs nous ajoutons un traitement par MST continu 10 mg matin et soir, que nous vous laissons le soin d'adapter selon l'évolution. Au vu de la présence de la sonde double J, nous demandons un avis au Dr. X, urologue traitant, qui préconise un changement de cette sonde double J qui était initialement prévu en janvier 2019. Le changement est effectué le 30.11.2018 avec pose d'une sonde urinaire à garder pendant 5 jours. Le Dr. X demande de garder l'antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine encore 3 jours (jusqu'au 02.12.2018) puis de passer à la Ciproxine 500 mg 2x/jour per os pour un total de dix jours d'antibiothérapie depuis le changement de la sonde double J. L'intervention se déroule sans complication. Les hémocultures reviennent négatives le 03.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y peut regagner son domicile le 05.12.2018. Nous lui recommandons un contrôle clinique et biologique à votre consultation 3 jours après la sortie et vous laissons le soin d'adapter l'antalgie par MST. Mr. Y, patient de 73 ans, est admis aux soins intensifs pour la surveillance respiratoire et hémodynamique suite à une thoracotomie le 27.12.2018. Le patient a bénéficié d'une thoracotomie avec une résection extra-anatomique du lobe inférieur droit pour une métastase d'un adénocarcinome colorectal. Les suites post-opératoires sont simples. A noter une dose de Plavix le 28.12.2018 sur erreur de prescription qui ne permettra l'ablation du cathéter de péridurale que 5 jours après cette date. Le patient en a été informé. L'intervention s'est compliquée avec une lésion du nerf phrénique à droite qui a été suturée. Mr. Y, connu notamment pour une BPCO stade IV D selon GOLD sous 2 litres d'oxygène à domicile et VNI nocturne, est amené aux urgences en ambulance le 18.11.2018 en raison d'une dyspnée au repos, d'une augmentation de la toux sans modification des expectorations et d'un état fébrile à 39°C sans frisson. Son épouse nous rapporte que la dyspnée est en péjoration progressive depuis le 05.11.2018. Dans ce contexte, il vous consulte et vous introduisez une antibiothérapie par Levofloxacine le 06.11.2018 pour une pneumonie, sans évolution favorable. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. A l'admission aux urgences Mr. Y est tachycarde à 100/min, fébrile à 38,2°C et sature à 85% sous oxygène. Au status pulmonaire, présence de crépitants en base droite. Le reste du status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 38 mg/l et une leucocytose à 29,9 G/l avec neutrophilie à 26,5 G/l (88,8 %) sans anémie et la radiographie du thorax met en évidence un possible foyer au niveau du lobe inférieur droit en para-cardiaque. Mr. Y est hospitalisé et nous introduisons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv et Klacid 500 mg per os. Après avis infectiologique (Dr. X), en présence d'antigènes urinaires négatifs et au vu du précédent traitement par Levofloxacine infructueux, le Klacid est arrêté le 20.11.2018. Le même jour, après 2 doses de Rocéphine, la CRP est en nette augmentation (230 mg/l) avec une leucocytose à 22.9 G/l et dans ce contexte Dr. X préconise l'arrêt de la Rocéphine et le relais par Céfépime 2g 2x/j. La culture d'expectorations et les hémocultures reviennent négatives respectivement le 22.11 et le 24.11.2018. Le laboratoire du 26.11.2018 met en évidence une hyperkaliémie à 5.3 mmol/l. Un ECG effectué est superposable à celui du 18.11.2018. Nous mettons le traitement d'Aldactone en pause et majorons le Torem à 5 mg/j. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement diurétique selon l'évolution. L'évolution clinique et biologique étant favorable, l'antibiothérapie par Céfépime est arrêtée le 27.11.2018 et Mr. Y peut regagner son domicile le 28.11.2018. Il bénéficiera d'une réadaptation respiratoire à l'HFR Billens en ambulatoire. Mr. Y souffre d'une lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne, probablement mobile, avec des sensations de pincements et conflit mécanique régulier. Je propose donc au patient d'effectuer une arthroscopie de son genou afin de régulariser la corne postérieure du ménisque interne. Il est informé clairement du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention programmée au 14.01.2018. D'ici là le patient reste en arrêt de travail à 100%. Il est déjà équipé de 2 cannes anglaises à but antalgique. Mr. Y est hospitalisé pour renutrition et réévaluation de la situation. Le CT du 03.12.2018 montre une progression locorégionale de la maladie et des métastases (pulmonaire et rachidienne cervicale). La douleur est bien contrôlée par une antalgie de pallier 1 pour l'instant. La situation de Mr. Y est discutée au concilium oncologique du 5.12.2018 en sa présence avec décision commune d'une attitude palliative / soins de confort. Mr. Y refuse une trachéotomie ou des mesures de réanimation. On organise donc un retour à domicile avec Voltigo et poursuite des soins à domicile comme avant, en accord avec son médecin traitant qui est de principe d'accord pour une fin de vie au domicile.Le Dr. X des soins palliatifs évalue le patient le 7.12.2018 et on propose un arrêt des médicaments non indispensables, notamment le Sintrom (risque de saignement tumoral vu l'invasion carotidienne). Du point de vue nutritionnel, la PEG est changée lors de son séjour et Mr. Y poursuivra l'autoadministration de 2 Fresubin par jour en parallèle d'une alimentation récréative lisse ou mixée selon ses envies. Mr. Y rentre à domicile le 7.12.2018. Mr. Y est un patient de 72 ans, connu pour un adénocarcinome au sein d'un polype du côlon transverse diagnostiqué en 2017, qui bénéficie dans ce contexte d'une hémicolectomie droite avec CME le 20.12.2018. L'intervention se déroule sans complications, et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient peut rentrer à domicile le 25.12.2018. Nous lui laissons le soin de prendre rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des agrafes à la peau à J14 post-opératoire. Mr. Y est hospitalisé pour la découverte fortuite d'une anémie. Il a consulté au service des urgences de Payerne pour une sonde à demeure bouchée. Lors du bilan, nous découvrons une anémie importante nécessitant 2 transfusions érythrocytaires. Le bilan vitaminique montre une carence en folate que nous substituons. Une origine digestive est suspectée au vu des antécédents du patient et de l'objectivation de rectorragies par le passé. Les valeurs se stabilisent et nous ne constatons pas de signe d'extériorisation. Nous laissons l'anti-agrégation en suspens. Nous laissons le soin de le reprendre en ambulatoire au vu de l'évolution. Lors de l'hospitalisation, le patient présente l'apparition d'un état fébrile associé à des douleurs sus-pubiennes, un syndrome inflammatoire ainsi qu'une bactériurie et une leucocyturie. Un traitement empirique antibiotique est débuté avec amélioration clinique et biologique. Le patient bénéficie également d'un scanner de planification concernant une future radiothérapie pour un carcinome prostatique à but palliatif antalgique. Il sera convoqué prochainement pour des séances ambulatoires. Le patient a rendez-vous le 17.12.2018 chez son médecin traitant pour un suivi de l'hémoglobine et organisation du suivi urologique à l'hôpital de Payerne. Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.12.2018 avec une sonde à demeure. Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation pour contrôle et nous vous laissons le soin d'organiser une coloscopie à distance. Mr. Y est un patient de 56 ans qui se présente aux urgences le 02.12.2018 pour des douleurs en hypochondre droit depuis la veille. Le bilan clinique et par ultrason abdominal met en évidence une cholécystite lithiasique, le patient bénéficie alors d'une cholécystectomie laparoscopique. L'intervention se déroule sans complication, les suites postopératoires sont favorables et le patient peut retourner à domicile le 04.12.2018. Mr. Y présente donc les lésions susmentionnées. Nous posons l'indication à une arthroscopie du genou D afin de retirer les corps libres cartilagineux. En fonction de la lésion, nous effectuerons des micro-fractures à la surface articulaire interne de la rotule. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices liés à celle-ci. Il nous donne son accord oral et signé pour cette intervention agendée au 13.12.2018. Poursuite de l'arrêt de travail à 100%. Mr. Y est un patient de 86 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique et pour une artériopathie avec des lésions ulcéreuses des membres inférieurs récidivantes, qui est hospitalisé pour un bilan angiologique et débridement des lésions des membres inférieures le 10.12.2018. Le patient bénéficie d'un bilan angiologique le 11.12.2018 montrant une sténose au niveau de l'artère fémorale superficielle gauche et pléthysmographie à gauche à 30 mmHg et 60 mmHg à droite. En raison d'une coxarthrose importante provoquant un flexum des 2 membres inférieurs, nous ne proposons pas de revascularisation, techniquement très difficile. Un débridement des ulcères des deux jambes est effectué, le 14.12.2018. L'intervention se déroule sans complication, l'évolution est par la suite favorable avec une réfection des pansements 1x/jour. Le patient rentre à domicile le 18.12.2018. Un suivi de plaie journalier est organisé via les soins à domicile et le patient sera revu en consultation de chirurgie vasculaire le 27.12.2018. Mr. Y, 53 ans, connu pour un diabète insulinorequérant compliqué, une HTA, un tabagisme à 30 UAP sevré depuis 5 ans, et des antécédents familiaux cardiovasculaires significatifs ainsi qu'une dyslipidémie, est transféré depuis les soins intensifs de Fribourg vers notre service de médecine interne à Meyriez pour les suites de prise en charge d'un STEMI sur occlusion de la coronaire droite survenu le 22.11.2018. Pour rappel, il avait présenté il y a une semaine une douleur des membres inférieurs suivie d'une douleur rétrosternale constante pendant 48 heures. Le patient avait présenté un malaise sans perte de connaissance mercredi 21.11.18 en voulant se lever la nuit. Il avait consulté par la suite à Meyriez. L'ECG avait retrouvé un STEMI dans les dérivations inférieures, raison pour laquelle il fut transféré à Fribourg où une coronarographie avait été réalisée montrant une lésion monotronculaire de l'aorte coronaire droite. Une angioplastie par ballonet avait été réalisée et un stent actif implanté. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (66 %) mais la ventriculographie gauche avait montré une akinésie diaphragmatique. Le pic de CK avait été atteint le 23.11.2018 à 1612 U/l. Le patient bénéficie d'un traitement par double anti-aggrégation, bêta-bloquant, statine et IEC. À son arrivée à Meyriez, le patient ne se plaint de rien hormis une fatigue mais il n'évoque pas de douleurs thoraciques ou d'autres symptômes. Durant l'hospitalisation aux soins intensifs à Fribourg, la thérapie antidiabétique orale par Metformine avait été mise en pause du fait de la coronarographie et du risque d'acidose lactique associé. Il en a résulté un déséquilibre des glycémies qui a persisté après la reprise de la Metformine, raison pour laquelle, étant donné une HbA1c à 11.4 % et les nombreuses complications ophtalmologiques avec entre autres une rétinopathie diabétique, nous convoquons un consilium diabétologique à l'issue duquel nous implémentons un nouveau traitement par Jardiance/Met en plus de la Metformine et du Levemir. Un traitement par Novorapid fixe est également ajouté au traitement habituel du patient. Pour la suite, nous recommandons vivement au patient d'être suivi pour son diabète par un diabétologue 2 fois par an. Un rendez-vous avec une infirmière spécialisée en diabétologie est prévu à l'issue de cette hospitalisation. Les suites de l'hospitalisation se déroulent sans autre complication. Nous inscrivons le patient sur une liste d'attente pour une réhabilitation cardio-vasculaire à Billens, et le recontacterons aussitôt qu'une place se sera libérée. En attendant, nous pouvons le laisser rentrer à son domicile dans un bon état général. Mr. Y présente donc une récidive des douleurs de sa tendinopathie achilléenne chronique G intéressant son insertion interne. Celle-ci présente pour mémoire une réaction de l'os spongieux qui laissait présager une évolution encore plus longue. Nous procédons alors à une nouvelle infiltration et nous poursuivrons la physiothérapie avec notamment les ondes de choc. Le 10.01.2019, notre physiothérapeute du sport m'informe que l'évolution est cette fois-ci très favorable et que Mr. Y reprendra progressivement le football, après environ 2 ans d'arrêt de son activité sportive préférée. je reverrai Mr. Y pour un contrôle début février 2019. Mr. Y est un patient de 84 ans admis pour une suspicion de STEMI. Le patient consulte pour des douleurs typiques en progression depuis plusieurs jours associées à un bloc de branche gauche sans que l'on ne connaisse un ECG antérieur. Le patient est traité comme une suspicion de STEMI et la coronarographie réalisée montre 2 lésions de l'ACD qui sont traitées avec une pose de stents actifs. Il existe aussi une lésion à 40% du tronc commun. Le patient est chargé en Aspirine et en Efient. L'Efient sera poursuivi à demi-dose pendant 6 mois. La fonction ventriculaire gauche est à 55-60%. Un contrôle cardiologique est prévu à 1 mois chez le Dr. X et une ergométrie est à faire dans 1 an. Une ETT de contrôle est prévue dès le 10.12.2018. Nous reprenons son traitement habituel par Sartan et renonçons à l'introduction de béta-bloquant devant une bradycardie sinusale. A noter qu'après renseignements pris auprès du médecin traitant, le bloc de branche gauche est connu depuis 2013. Devant un souffle fémoral droit, nous demandons un bilan angiologique chez ce patient par ailleurs suivi par le Dr. X et connu pour une AOMI ayant nécessité plusieurs angioplasties, la plus récente en septembre 2018. Le bilan ne retrouve pas d'anomalie, le souffle étant déjà connu. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge le 10.12.2018. À l'étage de médecine, une mobilisation selon le protocole de physiothérapie est mise en place. Une échocardiographie transthoracique est effectuée le 11.12.2018 montrant une fonction systolique du VG toujours préservée (EF 57%), sans autre nouvelle péjoration. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique du patient, celui-ci rentre à domicile le 12.12.2018, avec une mise en place des soins à domicile par notre service de liaison. Mr. Y, patient de 82 ans, est hospitalisé suite à un tentamen médicamenteux dans un contexte de récidive de cancer de la sphère ORL. Le patient aurait ingéré du Paracétamol, du Tramadol et de la Trimipramine en quantité indéterminée le 16.12.2018 vers 13h puis a été retrouvé inconscient par ses proches quelques heures plus tard. À l'arrivée de l'ambulance vers 18h, le patient a été retrouvé en arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique nécessitant une réanimation avec ventilation par trachéomasque jusqu'à son arrivée au service des urgences. Il a été intubé par la trachéotomie. Au bilan radiologique, on retrouve des foyers de bronchoaspiration bilatéraux ainsi que des fractures costales suite au massage cardiaque. Il n'y a pas de saignement cérébral. Suite à l'intoxication possible au Paracétamol, le patient reçoit de la N-acétylcystéine en prévention avec stabilité de la fonction hépatique. À son réveil, Mr. Y a présenté un état d'agitation sur mauvaise tolérance de la canule de trachéotomie et dans le contexte d'un sevrage en benzodiazépines. Il retrouve son niveau cognitif habituel par la suite. Les douleurs costales sont bien contrôlées avec une antalgie simple et réserves ponctuelles de morphine. L'insuffisance respiratoire évolue favorablement avec une assistance ventilatoire qui a pu être rapidement stoppée et sa canule habituelle remise en place. Une oxygénothérapie est poursuivie pour le confort du patient. Il bénéficie d'une antibiothérapie empirique de Co-Amoxicilline pour une durée de 7 jours. Suite à un échec de mise en place d'une sonde nasogastrique, nous réévaluons la situation oncologique. L'infiltration locale du larynx par la tumeur semble massive. Le patient présente une dysphagie sévère aux liquides avec une occlusion complète à la nasofibroscopie. L'indication d'effectuer un bilan par panendoscopie initialement prévu le 17.12.2018 à l'Inselspital a été rediscutée avec nos collègues du service d'ORL de Berne, le médecin traitant, ainsi que le patient et sa famille. Le désir du patient de ne plus être opéré nous permet de débuter une prise en charge adaptée à cette situation palliative. Le patient est transféré le 20.12.2018 dans le service de médecine interne en attente d'un transfert dans l'unité de soins palliatifs. Au vu de l'impossibilité d'effectuer une GPR, une pose de PICC-line est effectuée le 27.12.2018 pour poursuivre la nutrition parentérale initiée le 20.12.2018. Le patient pourra ainsi profiter du temps qui lui reste avec ses proches. Nous prévoyons également la suite en unité de soins palliatifs spécialisée à la Villa St-François où un soutien supplémentaire pourrait être approprié. Suite au colloque avec sa famille et l'équipe médico-soignante, le patient a exprimé son adhérence au projet. À ce stade, le risque suicidaire a été évalué comme bas. Un soutien psychiatrique ne semble pas nécessaire dans l'immédiat, mais pourrait être rediscuté si nécessaire. L'attitude générale visant le confort du patient a été confirmée. Dans ce contexte, il n'y aura pas d'escalade thérapeutique en cas de complication, ni de réadmission aux soins intensifs. Mr. Y est transféré à la Villa St-François le 28.12.2018. Mr. Y, 82 ans, est admis aux soins intensifs pour un tentamen médicamenteux dans un contexte de récidive de cancer de la sphère ORL. Le patient a mixé du Paracétamol, du Tramadol et de la Trimipramine en quantité indéterminée le 16.12.2018 vers 13h puis a été retrouvé inconscient par ses proches quelques heures plus tard. À l'arrivée de l'ambulance vers 18h, le patient a été retrouvé en arrêt cardio-respiratoire d'origine hypoxémique nécessitant une réanimation avec ventilation par trachéomasque jusqu'à son arrivée aux urgences. Il a été intubé par la trachéotomie. Au bilan radiologique, on retrouve des foyers de bronchoaspiration bilatéraux ainsi que des fractures costales suite au massage cardiaque. Il n'y a pas de saignement cérébral. Suite à l'intoxication possible au Paracétamol, le patient reçoit de la N-acétylcystéine en prévention avec stabilité de la fonction hépatique. À son réveil, le patient a présenté un état d'agitation sur mauvaise tolérance de la canule de trachéotomie et dans le contexte d'un sevrage en benzodiazépines. Il retrouve son niveau cognitif habituel par la suite. Les douleurs costales sont bien contrôlées avec une antalgie simple. L'insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë a régressé sous assistance ventilatoire qui a pu être rapidement stoppée et sa canule habituelle remise en place. Une oxygénothérapie est poursuivie pour le confort du patient. Malgré l'amélioration clinique, le syndrome inflammatoire a augmenté sous une antibiothérapie empirique de Co-Amoxicilline, que nous proposons de maintenir jusqu'au 24.12.2018. Suite à un échec de mise en place d'une sonde nasogastrique, nous réévaluons la situation oncologique. L'infiltration locale du larynx par la tumeur semble massive. Le patient présente une dysphagie sévère aux liquides avec une occlusion complète à la nasofibroscopie. L'indication d'effectuer un bilan par panendoscopie initialement prévue le 17.12.2018 à l'Inselspital a été rediscutée avec nos collègues du service d'ORL de Berne, le médecin traitant, ainsi que le patient et sa famille. Le désir du patient de ne plus être opéré nous permet de débuter une prise en charge adaptée à cette situation palliative. À sa demande, nous planifions une pose de gastrostomie radiologique percutanée sans effectuer d'examens supplémentaires. Cette procédure sera organisée le 21.12.2018 et la nutrition entérale devra être débutée progressivement en surveillant un syndrome de renutrition.Le patient pourra ainsi profiter du temps qui lui reste avec ses proches. Nous prévoyons également la suite en unité de soins palliatifs spécialisée à la Villa St-François où un soutien supplémentaire pourrait être approprié. Suite au colloque avec sa famille et l'équipe médico-soignante, le patient a exprimé son adhérence au projet. A ce stade, le risque suicidaire a été évalué comme bas. Un soutien psychiatrique ne semble pas nécessaire dans l'immédiat, mais pourrait être rediscuté si nécessaire. L'attitude générale visant le confort du patient a été confirmée. Dans ce contexte, il n'y aura pas d'escalade thérapeutique en cas de complication, ni de réadmission aux soins intensifs. Le patient a été transféré le 20.12.2018 dans le service d'ORL sous la supervision médicale du service de médecine interne dans l'attente d'un possible transfert dans l'unité des soins palliatifs dont le responsable a été informé. Mr. Y est un patient de 74 ans, aux antécédents susmentionnés, qui présente une hernie cicatricielle suite à la mise à plat d'un anévrisme aorto-iliaque par laparotomie en mars 2018, raison pour laquelle il bénéficie d'une cure d'hernie cicatricielle par filet le 13.12.2018. L'intervention se déroule sans complication notable et les suites post-opératoires sont marquées par une désaturation à air ambiant accompagnée d'une tachycardie, motivant la recherche d'une pathologie pulmonaire ou cardiaque. Après réalisation d'un bilan cardiaque et pneumologique nous concluant à une hypertension artérielle pulmonaire légère probablement préexistante ne motivant pas de prise en charge supplémentaire à l'heure actuelle. Le patient sera convoqué par le service de pneumologie à distance pour réaliser des fonctions pulmonaires. Une anticoagulation thérapeutique est réintroduite le 17.08.2018. Après l'ablation des redons, le patient peut retourner à domicile le 22.12.2018. Mr. Y est un patient de 65 ans, connu pour une diverticulose sigmoïdienne qui se présente aux urgences le 01.12.2018 pour des douleurs abdominales diffuses à prédominance au flanc gauche. Un CT-scan abdominal met en évidence une diverticulite sigmoïdienne Hansen Stock IIa, le patient est alors hospitalisé pour une antibiothérapie intraveineuse par Ceftriaxone et Metronidazole. L'évolution clinique et biologique est favorable et le patient peut retourner à domicile le 04.12.2018. Mr. Y, patient sous curatelle et connu pour une sclérose en plaques avec paraplégie et paresthésie des membres inférieurs, est adressé aux urgences en ambulance par MedHome le 14.12.2018 en raison de soins impossibles à domicile. En effet, le sommier du lit du patient s'est cassé le 11.12.2018 et dans ce contexte une demande de remplacement a été effectuée à la société Medtec. Toutefois, cette dernière ne fera l'échange qu'une fois reçue une attestation de l'AI. La justice a été contactée et a donné comme seule solution l'appel d'un médecin en visite à domicile pour constater et faire hospitaliser le patient. Mr. Y était suivi au CUV pour la sclérose en plaques, mais n'a plus un suivi régulier. Il nous dit ne pas être plus handicapé que d'habitude. A l'admission aux urgences, Mr. Y n'a pas de plainte spontanée. L'examen clinique est sans particularités hormis une paraplégie des membres inférieurs connue ainsi que des râles crépitants à l'auscultation en base pulmonaire gauche. Nous effectuons une radiographie thoracique au vu de ce dernier élément clinique, qui exclut des signes de surcharge ou un foyer pulmonaire. Le patient est hospitalisé en médecine pour des raisons sociales. Au regard d'un état clinique restant excellent durant le séjour ainsi que des signes vitaux sans particularités, Mr. Y peut regagner son domicile le 19.12.2018 suite au ré-appareillage de son lit. Mr. Y, patient de 76 ans, en bonne santé habituelle, est hospitalisé en raison d'une crise convulsive généralisée tonico-clonique inaugurale le 19.12.2018. Il décrit l'apparition subite de mouvements cloniques du membre supérieur gauche puis perte de connaissance avec amnésie circonstancielle jusqu'à son arrivée aux urgences. Il ne décrit pas de symptômes B ou d'anomalie neurologique. Un avis neurologique propose de débuter un traitement par Levetiracetam, le bilan est complété par un EEG dont le résultat ne montre pas de foyer épileptique majeur. Le résultat définitif reste à pister. La surveillance neurologique aux soins intensifs puis à l'étage de médecine se déroule sans particularité. Il est proposé de réaliser un taux de Levetiracetam à 3 semaines chez le médecin traitant (2ème semaine de janvier). Le Dr. X, du service de neurologie, se tient à disposition en cas de question concernant l'adaptation du traitement antiépileptique en cas de taux infra- ou supra-thérapeutique. Au CT cérébral du 19.12.2018, on retrouve de multiples lésions hémisphériques droites. Au vu d'une suspicion initiale de lésions d'origine métastatique, un CT-scan thoraco-abdominal est réalisé et revient sans particularité. Une IRM cérébrale permet de caractériser la lésion qui est fortement suspecte de glioblastome avec un diagnostic différentiel de lymphome. Un avis est pris auprès de l'équipe de neurochirurgie de l'HFR et de l'Inselspital avec proposition d'organiser une biopsie stéréotaxique. Le patient est attendu à l'Inselspital et électif le 26.12.2018, la biopsie aura lieu le 27.12.2018. Le patient sera convoqué par le service d'oncologie d'ici un mois pour prévoir la suite de la prise en charge. Un retour à domicile est organisé le 22.12.2018. Mr. Y, 76 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique d'une crise convulsive généralisée tonico-clonique inaugurale sur des processus intra-crâniens. Un avis neurologique propose de débuter un traitement par Levetiracetam et le bilan est complété par un EEG sans signe irritatif. Durant le séjour aux soins intensifs, la surveillance neurologique est stable et le patient ne présente qu'une légère pronation et ataxie du membre supérieur gauche. Une IRM cérébrale permet de caractériser les lésions fronto-temporo-pariétales droites qui sont fortement suspectes de glioblastome avec un diagnostic différentiel de lymphome. Un avis est pris chez l'équipe de neurochirurgie qui suivront le patient et proposeront les investigations nécessaires. Du fait des lésions cérébrales multiples, un bilan d'imagerie complémentaire par CT-scan thoraco-abdominal n'a pas identifié d'autre lésion tumorale. La fonction rénale du patient est initialement légèrement perturbée et se corrige spontanément sous hydratation. L'évolution générale étant favorable, le patient est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 81 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI subaigu. Le patient a présenté une chute accidentelle le 26.12.2018 le matin avec une impossibilité de se relever en raison de faiblesse et des dorso-lombalgies. Le bilan d'entrée aux urgences montre un STEMI sub-aigu, raison pour laquelle il bénéficie d'une coronarographie en urgences qui montre une occlusion de l'artère coronaire circonflèxe. Il bénéficie de la mise en place d'un stent actif. Une sténose de la coronaire droite est à traiter dans un deuxième temps. Au vu d'une persistance d'une douleur rétro-sternale une échocardiographie transthoracique est demandée qui montre un épanchement péricardique minime sans répercussion hémodynamique. Le bilan radiologique montre une suspicion de fracture tassement au niveau dorsal et lombaire. Un CT de la colonne montre des fractures tassement au niveau D7 et D8 et une ancienne fracture tassement au niveau L1. Une prise en charge conservatrice est proposée avec une mobilisation libre. Une radiographie de contrôle dans une semaine est à prévoir.Le patient présente également une pollakiurie importante. Le bilan biologique confirme une infection urinaire et une antibiothérapie par Ceftriaxone est débutée le 28.12.2018. Mr. Y, un patient de 67 ans, connu pour une récidive d'un adénocarcinome dans un polype rectal entre le 28.11.2018, est électif pour une exérèse trans-anale ce jour. L'intervention se déroule sans complication. La suite de la prise en charge à l'étage est simple. Les douleurs sont maîtrisées sans problèmes. Mr. Y peut retourner à domicile le 30.11.2018. Il sera revu à la consultation des Chefs de clinique le 06.12.2018 à 10h30 afin de discuter des résultats histopathologiques et la suite de la prise en charge. Mr. Y est un patient de 68 ans, connu pour un carcinome épidermoïde du lobe supérieur du poumon droit, qui bénéficie d'une pose de Port-à-Cath à gauche par ponction de la veine sous-clavière le 11.12.2018. En post-opératoire, on constate un pneumothorax apical de 9 mm, raison pour laquelle le patient est hospitalisé pour une surveillance clinique. La radiographie de contrôle du lendemain montre une augmentation du pneumothorax, raison pour laquelle un drain thoracique est posé le 12.12.2018. L'évolution est par la suite favorable. Après l'ablation du drain thoracique, le patient peut retourner à domicile le 14.12.2018. Mr. Y nous est adressé par le CHUV pour une réhabilitation cardiovasculaire suite à un triple pontage (AMIG-Mx, AMID IVA, Vx-D) réalisé le 24.10.2018 suite à un STEMI. Le 22.10.2018, le patient se présente aux urgences de l'HFR Riaz pour des douleurs rétrosternales, avec troponines positives (troponines H0 94 ng/l chez le médecin traitant, H1 141 ng/l, H2 133 ng/l) motivant un transfert à l'HFR Fribourg pour une coronarographie. La coronarographie montre une maladie coronarienne sévère des 3 vaisseaux, avec une fonction systolique globale du ventricule gauche à la limite inférieure de la norme (FEVG à 51%), avec une hypokinésie postéro-basale, posant l'indication à une revascularisation chirurgicale. Traitement à l'entrée : • Aspirine cardio 100mg: 1-0-0-0 • Atorvastatine 40mg: 0-0-1-0 • Beloc Zok 25mg cpr retard: 2-0-1-0 • Dafalgan cpr 1g: 4/j si douleurs Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de marcher pendant une durée de 45 minutes à une allure modérée sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Il peut aussi faire du vélo à une puissance de 40 watts pendant 25 minutes. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+ 155m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Le bilan lipidique montre un LDL à 2.37 mmol/L (5.71 le 23.10), un HDL à 0.92 mmol/L, des triglycérides à 1.73 mmoles/L. Mr. Y présente une péjoration des lombosciatalgies bilatérales déjà connues. Je propose de faire un nouveau bilan par IRM de la colonne lombaire pour clarifier la situation. La dernière IRM date d'il y a une année approximativement. Une nouvelle IRM nous permettra de comparer avec l'ancienne IRM pour voir s'il y a eu éventuellement une péjoration et des discopathies déjà connues. Je revois le patient après l'IRM du 09.01.2019 pour discuter des résultats et des différentes options thérapeutiques. Mr. Y, 70 ans, nous est transféré du service d'orthopédie pour la suite de prise en charge de lombalgies aigües non déficitaires et investigation d'une néoplasie plasmocytaire nouvellement diagnostiquée. Pour rappel, le patient est hospitalisé en octobre dernier en orthopédie en raison des dorso-lombalgies sur fractures pathologiques L1, T11 et T12. Il reçoit un traitement chirurgical avec amélioration des douleurs permettant un retour à domicile le 31.10.2018. Les résultats de la biopsie osseuse effectuée en intra-opératoire montrent la présence de cellules plasmocytaires matures à IgG Kappa. Il consulte son médecin traitant le 5.11.2018 pour une nouvelle progression des douleurs. La radiographie de la colonne ne montre pas de nouvelle fracture. Le PET réalisé dans le contexte des résultats d'histologie met en évidence de multiples lésions lytiques disséminées dans tout le squelette, compatibles avec un processus néoplasique. Un traitement antalgique par Morphine puis Oxynorm et Pregabaline sont introduits. Au vu de la persistance des douleurs, nous débutons une prise en charge palliative complexe dès le 20.11.2018. Le patient bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire par des physiothérapeutes, ergothérapeutes, infirmiers, et le service social. L'adaptation et le suivi de l'antalgie permettent une nette amélioration des douleurs et l'amélioration de la mobilité. Du point de vue hémato-oncologique, l'immunofixation montre une bande monoclonale à IgG. Une ponction-biopsie de moelle montre une infiltration diffuse de plasmocytes matures IgG kappa à 60-70% avec une mutation génétique de mauvais pronostic à la cytogénétique. Nous retenons un myélome plasmocytaire à IgG kappa et débutons un soutien thérapeutique par biphosphonate, corticoïdes et antibiotiques. Le patient est également vacciné contre la grippe. Le patient bénéficie de séances quotidiennes de radiothérapie du 23.11 au 10.12.2018, avec quasi disparition des douleurs. Mr. Y vit à domicile avec son épouse. À son retour, il recevra le passage de Spitex 1 fois par semaine et le suivi régulier du médecin traitant. Le patient se déplace de manière autonome à l'aide d'un rollator. Une adaptation à domicile est également faite par l'équipe des ergothérapeutes. Au vu de l'amélioration clinique, Mr. Y rentre à domicile à la fin des séances de radiothérapie le 11.12.2018. Mr. Y, connu pour un myélome multiple à IgG traité par Revlimid et Dexaméthasone, consulte les urgences le 10.12.2018 en raison de l'apparition d'une éruption cutanée vésiculeuse douloureuse, principalement au niveau thoracique gauche aux dermatomes T3-T4, antérieurement et postérieurement, avec d'autres vésicules présentes diffusément sur le corps. Un bilan biologique met en évidence une leucopénie sans syndrome inflammatoire. Le patient est hospitalisé pour prise en charge de zona disséminé avec début de traitement antiviral par Acyclovir 750 mg 3 fois par jour en intraveineux. Sur le plan infectieux, l'évolution clinique et biologique est favorable, sans apparition de signe d'atteinte neurologique centrale, pneumonie virale ou atteinte hépatique. Sur avis de Dr. X, infectiologue, un traitement oral par Valtrex 1000 mg 3 fois par jour par voie orale est débuté après 5 jours de traitement intraveineux d'Acyclovir, pour une durée totale de deux semaines. Au vu de la gravité du tableau clinique ainsi que du contexte oncologique, une prophylaxie par Valtrex sera à maintenir sur le long terme à posologie réduite à but prophylactique. Enfin, tout traitement oncologique est mis en suspens jusqu'à résolution de l'état infectieux, la décision est partagée avec Dr. X, oncologue traitant. Un contrôle clinique et biologique est proposé en fin de semaine à votre consultation. Sur le plan dermatologique, l'évolution clinique est favorable avec séchage progressif des lésions vésiculeuses, traitées par application topique de badigeon blanc. Sur le plan hématologique, une pancytopénie sur leucopénie, anémie normochrome normocytaire et thrombocytopénie dans le contexte oncologique ainsi qu'inflammatoire est constatée avec amélioration biologique en cours de séjour. Un contrôle à votre consultation est proposé.Sur le plan électrolytique, nous substituons une hypokaliémie avec nadir à 3.3 mmol/l, résolue après substitution orale. Sur le plan médicamenteux, le patient présente une intolérance au traitement par Tramal et Oxycontin, sous forme de vomissements et vertiges, introduits pour douleurs zostériennes et arrêtés durant le séjour. Mr. Y peut regagner son domicile le 17.12.2018. Mr. Y est un patient de 55 ans, connu pour un adénocarcinome moyennement différencié du rectum traité par radio-chimiothérapie néo-adjuvante, qui est hospitalisé électivement afin de bénéficier d'une résection antérieure basse avec mise en place d'une iléostomie de protection. L'intervention a lieu le 14.12.2018 et se déroule sans complication notable. Les suites post-opératoires sont simples avec un patient qui reste apyrétique et bien soulagé au niveau algique par la prescription standard. En vue de l'évolution clinique favorable, Mr. Y peut regagner son domicile en bon état général le 20.12.2018. Une aide à domicile est organisée pour la gestion de l'iléostomie. Le patient sera revu pour contrôle à la consultation du Dr. X le 24.01.2019 à 10h00. Sur le plan oncologique, le cas de Mr. Y est discuté lors de notre colloque interdisciplinaire du 19.12.2018 et nous préconisons une chimiothérapie adjuvante. Le patient sera convoqué par nos collègues oncologues afin d'organiser la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 68 ans, nous est adressé par le service de médecine de Payerne dans les suites d'une décompensation cardiaque globale chez un patient avec les antécédents susmentionnés. Le patient est ensuite adressé à l'HFR Billens pour la suite de la prise en charge et réhabilitation cardiovasculaire. Traitement à l'entrée : • Aspirine Cardio 100mg: 1.0.0.0 • Brilique 90 mg: 1.0.1.0 • Carvédilol 6.25mg: 1.0.1.0 • Entresto 50 mg: 1.0.1.0 • Torasemide 10 mg: 1.5.0.0.0 • Aldactone 25 mg: 0.5.0.0.0 • Néphrotans 500 mg: 1.1.1.0 • Atorvastatine 40 mg: 0.0.1.0 • Vitamine D3- 4000 UI/mL. 800 UI le midi • Acide folique 5mg: 1.0.0.0 jusqu'au 01.02.2019 Mr. Y n'a pas présenté de complication durant son séjour. Le patient a rendez-vous le 13.12.2018 en cardiologie à l'HFR Fribourg pour mise en place d'un défribillateur (Dr. X). Consultation pré-anesthésique planifiée le 06.12.2018. Au sujet du réentraînement à l'effort, le patient a débuté dans un groupe d'intensité modérée au sein duquel nous avons pu constater une progression tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du vélo pendant une durée de 25 minutes à une puissance de 35-40W, sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+90m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Mr. Y a participé au programme d'éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu'aux ateliers diététiques. Sur le plan des corrections des FRCV, nous retenons les points suivants : 1. Le bilan lipidique retrouve un LDL à 2.32 mmol/l, un HDL à 0.67 mmol/L et des triglycérides à 1.9 mmol/L 2. Patient tabagique sevré depuis 6 mois, nous l'encourageons à poursuivre. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte de mélena depuis le 07.12.2018. Pour rappel, le patient consulte son médecin traitant en raison des épisodes de mélena associé à un orthostatisme. Il est adressé à l'Hôpital de Riaz qui prévoit une prise en charge ambulatoire avec transfusion d'un culot érythrocytaire chez son médecin traitant le lendemain. Devant une péjoration biologique, le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Il bénéficie d'une gastroscopie le 10.12.2018 qui met en évidence un ulcère à la jonction gastro-jéjunale avec visualisation limitée de l'estomac. Un traitement IPP est proposé pendant 2 mois. Le traitement d'Aspirine Cardio est arrêté devant l'absence d'indication claire. Sur le plan biologique, le patient présente une anémie normochrome normocytaire hyporégénérative comme complication au diagnostic susmentionné. Il bénéficie de la transfusion de deux culots érythrocytaires. Une carence ferriprive est calculée à 1639 mg, motivant une substitution par Ferinject 1000 mg le 11.12.2018. Sur le plan tensionnel, en vue du profil tensionnel bas, le traitement de sartan est mis en suspens. Nous vous proposons un suivi tensionnel en ambulatoire avec reprise du traitement en cas de besoin. Mr. Y, patient de 56 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique sur endocardite aiguë de la valve tricuspide avec défaillance multi-viscérale et probable embolisation septique au niveau pulmonaire et para-vertébral. Le patient est connu pour une polytoxicomanie intraveineuse, une hépatite C chronique et une schizophrénie. Il est amené aux urgences le 26.12.2018 dans un contexte d'arthralgies diffuses. Le bilan clinique et biologique aux urgences retrouve un patient en état de choc septique. Une ETT montre une masse vibratile de taille importante de la valve tricuspide évoquant une végétation qui est confirmée par ETO. Un avis chirurgical demandé à Bern ne retient pas d'indication chirurgicale. Le patient est admis dans ce contexte aux soins intensifs pour suite de prise en charge. D'un point de vue étiologique, les hémocultures mettent en évidence la présence d'un S. aureus et d'un Streptococcus oralis. Dans le contexte du choc septique, le patient présente une défaillance multi-viscérale. Sur le plan hémodynamique, le patient nécessite un remplissage agressif avec soutien aminergique et administration transitoire de corticoïdes systémiques. Sur le plan hématologique, on note une perturbation de la crase avec thrombopénie septique et CIVD sans nécessité de transfusion ou autre mesure thérapeutique. La fonction rénale est perturbée avec une hyperkaliémie nécessitant l'administration itérative de protocole d'Insuline-Glucose. Sur le plan neurologique et respiratoire, le patient présente une anisocorie avec troubles de l'état de conscience nécessitant une intubation le 26.12.2018. Un CT-scan cérébral et thoraco-abdominal ne montre pas d'atteinte centrale mais retrouve des embolies pulmonaires de probable origine septique, ainsi qu'un abcès para-vertébral gauche au niveau L3-L4, L4-L5, L5-S1 sans signe de spondylodiscite. L'évolution clinique est par la suite favorable permettant une extubation le 29.12.2018. Sur le plan purement psycho-social, ce patient est peu suivi et vit actuellement à l'ancien domicile de ses parents, domicile vendu dès janvier 2019, et sera donc sans domicile dès lors. De plus, il poursuit une consommation active de drogues, entraînant de lourdes conséquences financières. Un placement et mise sous tutelle devraient dès lors être envisagés. Après une longue discussion avec la famille du patient, au vu des comorbidités et du contexte global, il est décidé de ne pas escalader en cas de nouvelle complication. Le 30.12, le patient présente une nette altération de son état avec apparition de fortes douleurs abdominales en fosse iliaque gauche avec défense sans détente. Devant les éléments cités préalablement, nous renonçons à toute investigation supplémentaire et procédons dès lors à des soins de confort. Mr. Y est transféré en médecine le 30.12.2018. Sa famille a bien évidemment été informée de la situation et du transfert. Mr. Y est un patient de 72 ans connu pour les antécédents susmentionnés, qui est hospitalisé en électif afin de bénéficier d'une IPOM laparoscopique ainsi que d'une cure de hydrocèle droite et d'une circoncision complète. L'intervention se déroule le 30.11.2018 sans complication notable. Les suites opératoires sont simples avec un patient qui reste apyrétique et bien soulagé au niveau antalgique par la prescription standard. En vue de la bonne évolution clinique, le patient peut regagner son domicile en bon état général le 04.12.2018. Il sera revu à la consultation des chefs de clinique pour un contrôle le 10.01.2019 à 09h00.Mr. Y est un patient de 84 ans connu pour une paraplégie, cardiopathie ischémique, aortique et rythmique, ainsi qu'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs bilatérales de stade IV avec multiples poses de stents. Il nous est adressé actuellement pour une péjoration de plaies chroniques des membres inférieurs. Un bilan angiologique est effectué, mettant en évidence des sténoses étagées de l'axe fémoro-poplité et du tronc tibio-péronier à gauche. Une angioplastie au ballon éludé de l'axe fémoro-poplité et du tronc tibio-péronier est effectuée le 26.11.2018 au membre inférieur gauche. Une angioplastie et stenting du tronc tibio-péronier est également effectuée le 28.11.2018. Les suites opératoires sont simples avec des points de ponction calmes. Sur le plan clinique, nous laissons le soin au médecin traitant de suivre Mr. Y. Après discussion avec le Dr. X (angiologue), il est décidé de continuer l'Aspirine et le Xarelto et de ne pas commencer de Plavix (malgré le stenting). Concernant les plaies, ces changements itératifs des VAC sont effectués en chambre durant l'hospitalisation. Après réalisation des gestes endo-vasculaires, Mr. Y retourne à Nottwil le 30.11.2018. Mr. Y est un patient de 48 ans amené par l'ambulance aux urgences pour un trauma crânien avec perte de connaissance et amnésie rétrograde et circonstancielle, associé à des vomissements suite à une chute en patinage. Le bilan radiologique exclut une fracture crânienne ou une hémorragie intra-crânienne. Le patient est hospitalisé pour une surveillance neurologique de 24h. Les suites sont simples et le patient peut regagner son domicile en bon état général le 26.12.2018. Mr. Y est un patient de 46 ans connu pour Facteur V Leiden homozygote et déficit en protéine S qui bénéficie d'une cure de hernie inguinale gauche selon Lichtenstein le 30.11.2018. L'intervention se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples avec une plaie calme permettant un retour à domicile le 02.12.2018. Mr. Y est un patient de 79 ans sous Aspirine cardio, connu pour une coronaropathie tri-tronculaire, qui nous est adressé par son médecin de famille le 10.12.2018 pour des troubles de l'équilibre en péjoration ainsi qu'une diminution de la force du membre inférieur gauche. Le bilan radiologique aux urgences met en évidence un hématome sous-dural chronique droit avec composante aiguë surajoutée et effet de masse, raison pour laquelle nous procédons à une trépanation en urgence le 11.12.2018. Le patient est transféré aux soins intensifs pour une surveillance neurologique post-opératoire. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut être transféré à l'étage le soir-même. En accord avec les cardiologues, nous mettons en suspens l'Aspirine et introduisons une anticoagulation prophylactique par Clexane 20 mg. Notons également la suspicion d'une occlusion vertébrale partielle V4 gauche, pour laquelle un avis neurologique a été demandé. Un bilan complémentaire par une ultrasonographie pré-cérébrale est préconisé, ainsi qu'un traitement de la dyslipidémie et un traitement antiagrégant plaquettaire dès que possible. Nous préconisons également la reprise de l'Aspirine dès que possible. Mr. Y, 79 ans, admis le 11.12.2018 aux soins intensifs pour suite de prise en charge en post-opératoire immédiat de drainage d'hématome sous-dural droit. Le patient, traité par Aspirine cardio pour une coronaropathie tri-tronculaire, est initialement adressé aux urgences pour bilan de troubles de l'équilibre en péjoration, ainsi qu'une diminution de la force du membre inférieur gauche. Les investigations mettent en évidence un hématome sous-dural droit chronique avec composante aiguë surajoutée et effet de masse, qui est trépané en urgence le 11.12.2018. Une anticoagulation prophylactique par Clexane 20 mg/jour a été mise en place 12 heures après l'intervention. Une mise en suspens de l'Aspirine s'impose au vu de l'hématome sous-dural. Cette attitude est validée par les cardiologues, qui proposent toutefois une reprise de l'Aspirine dès que possible, sachant que le patient est connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire sévère non-stentée. Notons également la présence d'une occlusion vertébrale V4, pour laquelle un avis neurologique a été demandé. Un bilan complémentaire par une ultrasonographie pré-cérébrale est préconisé, ainsi qu'un traitement de la dyslipidémie et un traitement antiagrégant plaquettaire dès que possible. La surveillance post-opératoire est sans particularité et le patient peut être transféré à l'étage le 11.12.2018. Au moment du transfert, il est calme, collaborant et orienté aux 3 modes. Les pupilles sont isocores et isoréactives. La communication est difficile en raison d'une presbyacousie sévère malgré l'appareillage. Mr. Y, patient de 73 ans connu pour une cardiopathie rythmique sur fibrillation auriculaire intermittente, est hospitalisé dans un contexte de décompensation cardiaque. Pour rappel, l'anamnèse révèle une prise pondérale progressive sur 2 semaines avec notamment des douleurs des membres inférieurs bilatérales. L'origine de la décompensation cardiaque reste indéterminée. Le patient est hospitalisé pour une prise en charge médicamenteuse maximaliste par Lasix, Metolazone et Aldactone. Ce dernier est introduit durant l'hospitalisation malgré la gynécomastie douloureuse connue sur ce traitement présenté par le patient. L'évolution est favorable avec une perte de 7.5 kg au décours de l'hospitalisation. Le patient se plaint de douleurs invalidantes des membres inférieurs décrites comme à prédominance nocturne, l'évolution est favorable avec la perte de poids. Les examens de laboratoire confirment la bicytopénie connue avec amélioration voire quasi résolution de la thrombopénie. Le bilan thyroidien se révèle être dans la norme. Le bilan vitaminique confirme une hypovitaminose B9, motivant une substitution pendant 1 mois. Le score de CHILD est calculé à 5 points, compatible avec une cirrhose CHILD A. Devant l'évolution favorable, le patient regagne son domicile le 14.12.2018 avec suivi prévu en ambulatoire chez son médecin traitant. Les démarches sont faites pour organiser le RTUP monopolaire prévu initialement le 20.11.2018, une consultation anesthésiste est agendée à la Clinique Daler pour le 19.12.2018 et l'intervention est prévue pour le 08.01.2018 (hospitalisation en élective à la Clinique Daler dès le 07.01.2018). Mr. Y se présente eupnéique avec une saturation à 98% sans oxygène. Une radiographie du thorax ne montre pas d'infiltrat. Nous proposons un traitement symptomatique pour le patient. Nous interprétons l'hyponatriémie asymptomatique dans le contexte du Co-Candesartan. Nous changeons donc le traitement antihypertenseur par du Candesartan sans thiazides. Mr. Y peut donc retourner au home avec un contrôle du sodium le lendemain prévu. Mr. Y est hospitalisé pour la prise en charge d'ulcères chroniques bilatéraux dans un contexte d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IV. Il est convenu d'hospitaliser le patient en vue d'une artériographie par l'équipe d'angiologie.Celle-ci est effectuée, mais un geste avec dilatation n'est malheureusement pas possible au vu de la sténose. Cependant, le geste permet d'objectiver la persistance d'une vascularisation distale au niveau de la plaie, ce qui permet de traiter les plaies par des soins locaux. Un protocole de soins est mis en place par l'équipe de stomathérapie et un contrôle régulier des plaies aura lieu 3 fois par semaine à domicile avec un suivi par l'équipe de stomathérapie et le Dr. X le 16.01.2018 à 10h00. Une consultation angiologique à 6 mois chez le Dr. X sera à agender. Mr. Y est un patient de 80 ans, status post-cholécystectomie en 2017, connu pour plusieurs cholangites sur cholédocholithiase. Il avait été hospitalisé au mois de septembre de cette année pour une nouvelle cholangite et avait bénéficié d'une ERCP avec mise en place d'un stent plastique et extraction de plusieurs concréments. Le 06.12.2018, le patient bénéficie d'une ablation du stent et reste hospitalisé pour une nuit de surveillance en raison d'une anticoagulation thérapeutique dans un contexte de FA et d'une maladie thromboembolique. 5 jours avant le geste, le Sintrom avait été suspendu et relayé par une Clexane thérapeutique. Dès 6h post-opératoire, une anticoagulation prophylactique avait été reprise par Clexane. Nous proposons une reprise d'une Clexane thérapeutique dès le 09.12.2018 avec une introduction du Sintrom sous bridging par Clexane chez le médecin traitant dès le 10.12.2018. Mr. Y, connu pour une cardiopathie tritronculaire et valvulaire, a présenté à plusieurs reprises des chutes dues à des syncopes et fréquemment de l'angor à l'effort. L'écho cardiaque confirme une aggravation du rétrécissement valvulaire aortique avec une surface calculée cette fois-ci à 0.63 cm² (0.38 cm²/m²). Il est convenu d'effectuer un bilan pré-TAVI à l'Hôpital cantonal. À la coronarographie, on trouve des lésions tritronculaires avec des occlusions chroniques de l'artère interventriculaire antérieure proximale, de l'artère circonflexe proximale, de l'artère coronaire droite proximale et du pontage saphène IVP, ainsi qu'une sténose significative du tronc commun. Nous réintroduisons l'aspirine cardio et l'anticoagulation par Eliquis au vu de la présence d'un thrombus dans l'auricule à l'ETO. Celle-ci montre également une hypokinésie globale sévère du VG avec 20-25 % de FE et une SA mesurée à 0.5 cm². Dans le contexte du flutter à conduction rapide (100-140/min), de la sténose aortique serrée et de la cardiopathie ischémique avec une dysfonction sévère, nous introduisons un traitement prudent de bêta-bloquant et d'un inhibiteur de l'enzyme de conversion. Étant donné l'âge, les risques de chute et la sténose aortique, nous hospitalisons le patient pour l'adaptation et la surveillance du traitement. Cependant, le patient développe des symptômes de décompensation cardiaque. Un traitement diurétique est entrepris avec une amélioration progressive. Au vu de l'état général du patient, il est convenu unanimement de renoncer à l'intervention prévue dans un premier temps. En effet, les risques au vu de l'état de santé du patient seraient trop importants. Nous discutons également de la suite d'hospitalisation. Après discussion avec la famille ainsi qu'avec le patient sur la situation actuelle, il est convenu qu'un placement en EMS serait la meilleure solution. Des demandes sont effectuées par la famille en ce sens. L'état de santé global se détériorant, nous entreprenons une discussion avec la famille et Mr. Y. Il est décidé de stopper les traitements non indispensables et de passer en soins de confort. Des demandes d'hospitalisation dans le centre de soins palliatifs de la villa St-François sont effectuées. Mr. Y est reclassé le 20.12.2018. Le patient reste hospitalisé au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que le patient a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mr. Y, 77 ans, connu pour le diagnostic susmentionné, est hospitalisé en électif pour la mise en place d'un défibrillateur biventriculaire (CRT-D). L'intervention se déroule sans particularité. Les suites sont simples. Le patient peut rejoindre son domicile le 04.12.2018. Mr. Y est un patient de 50 ans qui se présente le 09.12.2018 pour des douleurs abdominales péri-ombilicales aiguës à 10/10, sans irradiation, accompagnées de vomissements, sans état fébrile. Le laboratoire initial retrouve un syndrome inflammatoire avec une élévation importante de la lipase, et au CT, une pancréatite aiguë du corps et de la queue classée Balthazar D est mise en évidence. Le patient est par la suite hospitalisé. Durant son séjour, il présente une bonne évolution clinique et biologique, avec notamment une diminution du syndrome inflammatoire et de la lipase. Le 14.12.2018, Mr. Y peut rentrer à domicile. Une IRM de contrôle est prévue pour le 20.12.2018 à 14h45 et une consultation de suivi le 21.12.2018 à 9h avec la Dr. X. Concernant la consommation excessive d'alcool, nous informons le patient des risques qu'il encoure en continuant une telle consommation et lui laissons le soin de contacter son médecin traitant pour organiser une éventuelle prise en charge en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 46 ans, connu pour une fissure anale avec un spasme sphinctérien important, qui se présente aux urgences de l'HFR Fribourg le 19.12.2018 en raison de fortes douleurs anales survenues quelques heures après une infiltration d'anesthésiant au niveau du sphincter anal. À l'IRM, une fistule avec un abcès de la marge anale sous-sphinctérien est mise en évidence à 06h00 en position gynécologique, ainsi qu'une collection à 09h00 en position gynécologique. L'indication opératoire est retenue et le patient est transféré à l'HFR Riaz pour suite de la prise en charge en raison d'un manque de place à l'HFR Fribourg. L'intervention se déroule le 23.12.2018 et les suites post-opératoires sont parfaitement simples, chez un patient confortable sous l'antalgie prescrite. Le même jour, Mr. Y peut retourner à domicile. Mr. Y est un patient connu pour un carcinome non à petites cellules du poumon avec métastases hépatiques. Lors d'un contrôle oncologique à l'HFR Riaz, il est constaté un ictère important et une perturbation des tests de cholestase, motivant un transfert à l'HFR Fribourg et la mise en suspens du Keytruda. Un scanner abdominal montre une dilatation des voies biliaires importantes sur adénopathies et métastases obstructives montrant une progression de la maladie tumorale. Nous constatons également la présence d'une ascite en faible quantité, stable sous traitement d'Aldactone. Après avis gastro-entérologique, une ERCP avec pose de stent est indiquée. Celle-ci a lieu sans complication le 19.11.2018 avec amélioration clinique et biologique. Cependant, nous constatons une chute importante de l'hémoglobine nécessitant 2 transfusions de concentré érythrocytaire. Au vu de l'absence de signes d'extériorisation dans un premier temps, nous effectuons un angio-CT ne montrant pas de sources de saignement ou d'explication radiologique de cette baisse. Par la suite, nous observons la présence de méléna et de sang frais dans les selles. Nous effectuons une OGD ne montrant pas de source de saignement. Le patient se présente le 29.11.2018 avec un état de choc sur pancolite. Nous suspectons une origine auto-immune au vu du traitement récent d'immunothérapie ou une translocation bactérienne. Il répond favorablement à un traitement de stéroïdes en schéma dégressif, d'antibiotiques et de VNI.Au vu de cet effet indésirable, le traitement de Keytruda ne peut pas être repris. Le patient sera convoqué durant le mois de janvier par le Dr. X pour la suite de la prise en charge oncologique. Mr. Y est intégré dans des soins palliatifs complexes à l'aide d'une équipe multidisciplinaire afin d'assurer une prise en charge globale. La plainte principale du patient est les douleurs abdominales d'origine oncologique. Nous parvenons à contrôler celles-ci à l'aide d'une antalgie de palier III. Après discussion avec le patient et la famille et au vu de la situation actuelle, un retour à domicile devient compromis. En effet, Mr. Y se sent de moins en moins indépendant et pense qu'un placement en EMS serait la meilleure option. Des demandes sont faites en ce sens. Une place est trouvée au home de l'Intyamon à Villars-sous-Mont dès le 18.12.2018. Mr. Y est un patient de 85 ans connu pour de multiples épisodes d'hématochézies qui consulte aux Urgences pour une récidive de cette symptomatologie. L'hémoglobine chute sans répercussion hémodynamique. Une anuscopie retrouve une source de saignement en amont de la zone explorée. Un angio-CT retrouve un saignement actif probablement diverticulaire sigmoïdien à proximité des clips mis en place lors de la dernière hospitalisation. Le patient bénéficie le même jour d'une rectosigmoïdoscopie qui retrouve le saignement et la mise en place de deux nouveaux clips dans cette région. Par la suite, l'hémoglobine reste stable malgré une chute antérieure jusqu'à 90 g/l environ. Nous transfusons un CE chez ce patient cardiopathe symptomatique d'une anémie le 12.12.2018. Suite à une bonne évolution clinique sans nouvelle extériorisation de sang, le patient rentre à domicile le 13.12.2018. Mr. Y est un patient de 23 ans qui présente une hernie inguinale droite symptomatique, raison pour laquelle une intervention chirurgicale avec cure de hernie unilatérale selon Lichtenstein est proposée le 21.12.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples. Le patient peut rentrer à domicile le 23.12.2018. Mr. Y, 73 ans, est reclassé en aigu pour une coronarographie. Pour rappel, le patient est hospitalisé depuis le 24.10.2018 pour un choc cardiogénique sur défaillance cardiaque droite secondaire à un STEMI droit sur occlusion subaiguë au niveau de l'ostium de la coronaire droite. Une coronarographie le 25.10.2018 par le Dr. X permet une recanalisation de la coronaire droite avec thrombaspiration et mise en place de trois stents. La nouvelle coronarographie du 20.11.2018 permet une angioplastie de l'IVA proximale avec implantation de 2 stents actifs et montre une FEVG à 50%. L'aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pour 12 mois. Le reste du traitement est inchangé. Le point de ponction fémoral droit est calme et le patient ne présente aucune plainte cardiovasculaire. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Mr. Y est reclassé le 21.11.2018 en attente d'une réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens. Mr. Y, patient de 57 ans connu pour une hépatite C traitée et une cardiopathie valvulaire avec valve aortique mécanique (antécédent de méningite avec bactériémie), est hospitalisé en médecine interne le 23.11.2018 pour une suspicion biologique et radiologique de néoplasie hépato-biliaire avec dilatation des voies biliaires, chez un patient présentant une baisse de l'état général avec ictère, nausées, douleurs abdominales et diarrhées. Le patient est alors présenté au Tumor Board du 28.11.2018 résultant en une proposition de stenting biliaire par ERCP et de biopsies par brossage. Hélas, l'ERCP du 05.12.2018 est un échec et ne permet pas la pose de stent ou de biopsies, et se complique d'une pancréatite aiguë Balthazar C en post-ERCP. Le patient présente alors le 07.12.2018 une tachycardie supraventriculaire symptomatique motivant un transfert aux soins intensifs. Le remplissage vasculaire et l'administration d'adénosine permettent une rapide cardioversion. L'épisode de tachycardie est explicable par le contexte d'hyperbilirubinémie ainsi qu'un état septique sur cholangite débutante. Pour ce qui est de la lésion suspecte de néoplasie à la confluence des voies biliaires avec une dilatation des voies biliaires intra-hépatiques et en raison de l'échec d'ERCP, le patient bénéficie de la mise en place d'un drain biliaire par voie trans-hépatique le 07.12.2018. Le drain ramène du liquide sanguin-biliaire avec une amélioration de la bilirubinémie par la suite. Notons que le patient a été intubé et ventilé pour ce geste sans complication immédiate sur le plan respiratoire. Nous complétons l'antibiothérapie de ceftriaxone par du métronidazole. À visée diagnostique, un complément du drainage biliaire avec brossage est effectué le 11.12.2018. L'analyse d'histopathologie auprès du laboratoire montre des cellules épithéliales atypiques suspectes de carcinome, sans pour autant pouvoir confirmer ou infirmer un diagnostic. Concernant la pancréatite aiguë Balthazar C post-ERCP, la mise à jeun permet une évolution favorable d'un point de vue biologique (stabilisation des tests pancréatiques). L'antalgie est simple par l'administration ponctuelle de morphine. En raison d'une inappétence et d'une dénutrition protéino-calorique, le patient bénéficie d'une nutrition parentérale pendant le séjour aux soins intensifs. Un suivi par l'équipe de diététique est mis en place. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 12.12.2018 pour suite de prise en charge. À l'étage de médecine, la nutrition entérale est reprise dès le 14.12.2018. De plus, la physiothérapie respiratoire et de remobilisation est poursuivie. Un sevrage complet en oxygène reste impossible lors de son transfert le 20.12.2018, le patient supporte néanmoins des pauses de plusieurs heures sans oxygène. Pour la suite de la prise en charge à la fois diagnostique et thérapeutique, Mr. Y est transféré en ambulance le 20.12.2018 dans le service d'hépatologie de l'Hôpital de l'Ile à Berne, où un work-up diagnostique sur plusieurs jours est prévu. Il se peut qu'il nous soit retransféré une fois le diagnostic posé, selon la prise en charge thérapeutique nécessaire. Mr. Y, patient de 81 ans connu pour un adénocarcinome prostatique opéré en 1991, est hospitalisé suite à un CT abdominal le 30.11.2018 montrant une thrombose de la veine porte gauche. Le patient consulte son médecin traitant le 09.11.2018 pour une baisse de l'état général avec fatigue, sudations nocturnes, perte involontaire de 4 kg et état fébrile récidivant. Un traitement de ciprofloxacine sur 10 jours est initié pour une probable infection urinaire. Il présente le 21.11.2018 un nouvel état fébrile motivant une consultation aux urgences, où une TSV est mise en évidence, ralentie, et il rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Il présente le 29.11.2018 un état fébrile avec des frissons solennels à 6h30 du matin, durant environ 40 minutes, résolu à son arrivée aux urgences. Le bilan ne met pas en évidence de foyer infectieux et un CT à la recherche de foyer profond ou néoplasie est organisé en ambulatoire. Celui-ci montre une thrombose de la veine porte gauche, avec splénomégalie sans nécrose mésentérique et le patient nous est adressé pour la suite des investigations et du traitement. À noter sur le CT une lésion ostéocondensante au niveau de l'os iliaque droit et 2 adénopathies thoraciques suspectes.Une anticoagulation thérapeutique par Liquémine est instaurée avec un relais par Clexane le 04.12.2018, puis par Xarelto dès le 15.12.2018 pour un total de 6 mois sur avis hématologique. Un bilan étiologique de la thrombose avec un dosage de la PSA, un dosage de JAK2 (syndrome myéloprolifératif), des anti-cardiolipines et anticorps anti-B2GP1 revient dans la norme. Sur avis des hématologues, un dosage des anticorps anti-phospholipides est à compléter après arrêt du Xarelto. Durant le séjour, le patient présente à plusieurs reprises des pics fébriles vespéraux asymptomatiques. Les hémocultures reviennent toutes négatives. Au vu d'un syndrome inflammatoire persistant et des pics fébriles vespéraux, le bilan radiologique est complété par un US abdominal puis une IRM hépatique montrant plusieurs lésions compatibles avec des abcès. Après discussion avec les infectiologues et les radiologues, une biopsie sous US est réalisée le 12.12.2018 montrant des lésions compatibles avec une embolisation septique de la thrombose de la veine porte avec des abcès à Fusobacterium nucleatum. Un traitement antibiotique iv par Tazobac pour un total de 5 jours est initié avec un relais par Ciprofloxacine et Flagyl pour un total de 6 semaines sans récidive d'état fébrile lors de l'hospitalisation. Un suivi en hématologie ou infectiologie n'est pas indiqué. Toutefois, une imagerie par CT abdominal est à effectuer au terme du traitement antibiotique afin d'évaluer l'évolution des abcès et prolonger l'antibiothérapie en cas de nécessité. Concernant l'étiologie de la thrombose, une colonoscopie est organisée en ambulatoire à la recherche d'une néoplasie ou diverticulite. Des épisodes de tachycardie supra-ventriculaire asymptomatiques sont résolutifs après majoration de la Tenormin. Le patient rentre à domicile le 19.12.18 et prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle à 2 semaines. Mr. Y est un patient de 86 ans qui se présente aux Urgences le 03.12.2108 pour plusieurs épisodes d'hématochézies de sang frais durant 24h. Le patient est hémodynamiquement stable. Il bénéficie d'une rectosigmoïdoscopie le 03.12.2018 qui retrouve une diverticulose sigmoïdienne avec présence de sang frais dans le sigmoïde sans saignement actif. Le patient est gardé en observation et ne présente par la suite qu'une seule extériorisation de sang frais. Nous retenons le diagnostic très probable de saignement diverticulaire. Le patient rentre à domicile le 06.12.2018 après un suivi biologique et clinique rassurant. Un CT-scanner pour faire le bilan d'un éventuel anévrisme de l'aorte sera effectué le 19.12.2018 à 9h30. Mr. Y est revu ce jour pour un contrôle clinique et biologique, présentant une évolution favorable du point de vue clinique avec une biologie stable. Nous le renvoyons à Marsens et proposons d'effectuer un contrôle biologique en début de semaine prochaine avec contrôle des tests hépatiques, des CK, CK-MB, du syndrome inflammatoire ainsi qu'une formule sanguine complète afin de contrôler la pancytopénie. Nous lui recommandons également de reconsulter en cas de fièvre importante et de réapparition de son érythème. Nous proposons également de ne pas reprendre le Tégrétol au vu de l'évolution favorable après l'arrêt de celui-ci le 12.12.2018. Mr. Y présente des gonalgies droites en péjoration depuis 3 mois. Les signes cliniques parlent pour une probable lésion dégénérative du ménisque interne. Afin de clarifier la situation, je demande une IRM. Je le reverrai après cet examen pour discuter des résultats et du traitement. Prochain rendez-vous le 21.12.2018. Mr. Y présente une lésion de la corne postérieure du ménisque interne qui s'étend jusqu'au corps du ménisque. Je propose au patient une arthroscopie du genou droit et régularisation du ménisque, voire résection partielle, +/- suture du ménisque en fonction de la lésion. Le patient est informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques et des bénéfices liés à celle-ci et il nous donne son accord. Le consentement est signé. L'intervention est prévue pour le 14.1.2019 en ambulatoire. Le patient sera encore vu par mes collègues du service d'anesthésie pour la consultation pré-anesthésique. Mr. Y est un patient de 69 ans, hospitalisé en électif pour OGD et ERCP avec biopsies. Il a consulté son médecin traitant pour une dyscoloration des selles et des diarrhées depuis 10 jours. Au bilan scannographique et biologique, une cholestase avec dilatation des voies biliaires et suspicion de masse tumorale duodénale. L'intervention se déroule sans complications. Une masse sous-muqueuse de la papille comprimant le cholédoque distal est mise en évidence pour laquelle des biopsies sont effectuées. Une papillotomie avec extraction d'un peu de sludge est réalisée. Le drainage de la bile se fait correctement. Le contrôle clinicobiologique montre une rapide évolution sans signe de pancréatite. Mr. Y rentre à domicile le 30.12.2018. Il sera convoqué par Dr. X pour résultats et suite de prise en charge. Mr. Y nous est adressé par l'Inselspital pour une réadaptation cardiovasculaire suite à un triple pontage dans le contexte d'une maladie tritronculaire, opérée le 15.10.2018 par Dr. X. Le patient avait consulté les urgences de l'HFR pour des douleurs angineuses irradiantes dans l'épaule D et un diagnostic de NSTEMI a été posé. La coronarographie du 11.09.2018 met en évidence une subocclusion de l'IVA moyenne traitée par angioplastie et pose d'un stent actif. La FEVG est estimée à 40% avec une akinésie antéro-septo-apicale et il est gardé aux soins intensifs pour surveillance. L'évolution est favorable et une nouvelle coronarographie élective est organisée pour le 25.10.2018. Celle-ci confirme la présence d'une maladie avec nécessité d'une intervention chirurgicale et le patient est adressé à l'Inselspital pour pontage qui est réalisé le 15.10.2018. La chirurgie se déroule sans complication per-opératoire, à part une anémie expoliative avec besoin de 3 CE et un TK. Le patient rentre à domicile le 23.10.2018 et arrive à l'HFR Billens pour une réadaptation. Il mentionne des douleurs thoraciques au niveau de la cicatrice de la sternotomie et saphenectomie, sans douleur angineuse. L'anamnèse par système met en évidence une douleur au niveau du greffon cutané de la main gauche. Pas d'autre plainte. Le statut cardiovasculaire est dans la norme. Les cicatrices sont calmes et sans signe de laxité de l'ostéosynthèse sternale. Des points de suture au niveau de la sortie des redons sont visibles. La main gauche présente un greffe cutané en place, sans signe inflammatoire, sensible à la palpation. Les amplitudes articulaires IP et MCP sont limitées à 70° en actif, sans douleur, probablement sur un rétrécissement des tissus mous. Les médicaments cardiovasculaires à l'entrée comprenaient Aspirine, Plavix, Metoprolol, Lisinopril et Atorvastatine. Le 11.11.2018, le patient présente une récidive d'angor avec nécessité de transfert vers les urgences de l'HFR Fribourg. Le bilan confirme un NSTEMI. Une première coronarographie est réalisée en urgence et montre comme corrélat à l'infarctus une occlusion du pont veineux sur l'IVP. On note une hypokinésie inférieure à la ventriculographie (FEVG 60%). Lors de l'examen initial, il y a impossibilité de passer l'occlusion du pont veineux-IVP avec uniquement une réouverture partielle de l'IVP par le passage du guide. Une seconde coronarographie est réalisée le 12.11.2018, qui permet le traitement d'une lésion sur l'ostium de l'artère circonflexe avec mise en place d'un stent. La double anti-agrégation est adaptée, avec un remplacement du Clopidogrel par du Prasugrel qui est à poursuivre pour une année. D'entente avec les cardiologues, le patient est transféré à l'HFR Billens le 13.11.2018 pour poursuivre la réadaptation cardiovasculaire.A sa réadmission, le status cardiovasculaire est sans particularité et sans récidive de douleur thoracique. Traitement à la réadmission : • Aspirine 100 mg : 1x/j po • Prasugrel 10 mg : 1x/j po • Enoxaparine 40 mg : 1x/j sc • Atorvastatine 40 mg : 1x/j po • Lisinopril 2.5 mg : 1x/j po • Metoprolol 25 mg : 2x/j po • Pantoprazole 40 mg : 1x/j po • Paracétamol 1 g : 3x/j en réserve Au sujet du réentraînement à l’effort, le patient a débuté dans un groupe d’intensité modérée et il a pu progresser tout au long du séjour. À la fin de la prise en charge, il est capable de faire du tapis roulant pendant 25 min à une allure de 5.5 km/h sans symptôme ou limitation fonctionnelle. Au test de marche des 6 minutes à la sortie, on objective une augmentation de la distance parcourue (+215 m) avec des paramètres cardiaques qui restent dans la norme. Le test d’effort final montre un bon résultat avec une bonne adaptation hémodynamique à l’effort et à la récupération. Mr. Y a participé au programme d’éducation thérapeutique concernant les maladies et les facteurs de risques cardiovasculaires ainsi qu’aux ateliers diététiques. Mr. Y est clairement informé du déroulement de l'intervention ainsi que des risques/bénéfices d'une implantation de prothèse totale de genou à G. Il nous donne son accord oral et signé. Afin de pouvoir bénéficier de l'instrumentation spécifique (Zimmer), une IRM est agendée au 03.01.2019. L'intervention est agendée au 06.02.2019. Mr. Y est un patient de 41 ans qui bénéficie d'une segmentectomie S1-S2 du lobe supérieur gauche le 13.12.2018 dans le cadre d'une suspicion de métastase d'un carcinome rénal à cellules claires. L'intervention se déroule sans complication et les suites opératoires sont simples et afébriles. Après l'ablation du drain thoracique, le patient bénéficie d'un retour à domicile le 16.12.2018. Mr. Y, connu pour les diagnostics susmentionnés, nous est réadressé par le CHUV après une hospitalisation de 10 jours pour investigations de sa maladie pulmonaire. Son transfert dans notre service a pour but de poursuivre la prise en charge physiothérapeutique et d'organiser le retour à domicile. À l'admission, le patient se plaint d'une dyspnée stade III-IV selon NYHA, avec peu de toux et d'expectorations claires et rapporte une diminution de sa capacité respiratoire à l'effort. Le reste de l'anamnèse est inchangé par rapport à son hospitalisation précédente. Au status général, nous retrouvons des bruits cardiaques réguliers sans souffle valvulaire, un abdomen souple et indolore avec des bruits hydroaériques normaux en fréquence et en tonalité, et à l'auscultation pulmonaire un murmure respiratoire présent avec des crépitants aux 2 bases. Sur le plan social, le patient est divorcé. Il a fait les démarches pour vivre dans un appartement protégé à Belfor. Il est à la retraite (ancien instructeur militaire, puis directeur de pénitencier). Durant l'hospitalisation au CHUV, une immunothérapie par Azathioprine (Imurek) 100 mg a été introduite ainsi qu'un traitement par Isoniazid pour une tuberculose latente mise en évidence au TB-Spot de dépistage à l'introduction de l'immunosuppression. La proposition du CHUV est de majorer la posologie de l'Imurek selon tolérance jusqu'à 150 mg/jour et de poursuivre la Prednisone à 10 mg/jour. Dans le contexte de cette nouvelle thérapie, nous effectuons un bilan sanguin qui montre des paramètres de cholestase élevés. Un ultrason abdominal complet est sans particularité avec notamment l'absence de dilatation des voies biliaires ou de cholélithiase. Nous imputons cette cholestase à un effet secondaire médicamenteux, changeons le traitement d'Isoniazid et introduisons à la place la Rifampicine. Nous décidons également de stopper le traitement par Imurek et attendons l'avis des pneumologues du CHUV quant à la nécessité de poursuivre ce traitement. La corticothérapie avait été diminuée lors de l'hospitalisation au CHUV et Mr. Y souffre d'une péjoration des douleurs polyarticulaires avec synovite inflammatoire et avec une augmentation des paramètres inflammatoires au bilan sanguin. Nous décidons de majorer la corticothérapie ce qui permet une amélioration de la clinique. Dans ce contexte, la posologie de Prednisone est maintenue à 20 mg/jour et nous introduisons un traitement d'Arava à raison de 20 mg/jour selon le consilium rhumatologique effectué quelques jours auparavant. En ce qui concerne l'hypertension pulmonaire, la proposition du CHUV est de traiter les symptômes de surcharge cardiaque droite en adaptant la posologie des diurétiques de l'anse. Aucun nouveau médicament n'a été introduit. Les oedèmes des membres inférieurs régressent et le traitement par diurétique peut être diminué à la fin de l'hospitalisation. L'oxygénothérapie est maintenue à 4 l/min au repos et à 6 l/min à l'effort, ce qui permet de maintenir une saturation satisfaisante. Après 2 semaines d'hospitalisation, l'évolution est relativement favorable et Mr. Y peut quitter notre service pour rejoindre son domicile, le 06.12.2018, en état général conservé. Il bénéficiera de séances de physiothérapie respiratoire en ambulatoire à l'HFR Billens 1x/semaine afin de maintenir les acquis. Il sera également vu à la consultation du Dr. X 1x/semaine afin de suivre l'évolution de la clinique et de procéder aux contrôles nécessaires à sa maladie. Mr. Y présente une arthrose du compartiment fémoro-tibial interne avec des lésions dégénératives des ménisques interne et externe sur status post arthroscopie et toilettage du genou gauche avec résection partielle de la corne postérieure du ménisque interne en 2011. Je propose à Mr. Y une infiltration par Cortisone de son genou gauche. Cette infiltration est prévue pour le 09.01.2019. Le patient est d'accord. Pour le moment, l'indication pour l'implantation d'une prothèse n'est pas donnée. Mr. Y est un patient de 72 ans présentant des douleurs de type vasculaires, nocturnes, compatibles avec une artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade III à gauche, au niveau de l'hallux gauche. À droite, il présente une claudication de stade II B. Les douleurs sont présentes depuis plusieurs mois et en péjoration ces dernières semaines. Un bilan angiologique et radiologique met en évidence les lésions susmentionnées. En raison d'un status post-multiples interventions digestives, nous posons l'indication à un pontage fémoro-fémoral croisé. Les suites opératoires sont simples et suite à un contrôle radiologique post-opératoire montrant une bonne perméabilité du pontage, le patient rentre à domicile, le 25.12.2018. Il sera cité pour un contrôle angiologique à 3 mois post-opératoire puis à notre consultation. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour monitoring cardiaque dans le contexte d'un bloc atrio-ventriculaire complet découvert le 11.12.2018 suite à deux épisodes de syncope à l'emporte-pièce le 10.12.2018. Nous retenons comme cause du bloc atrio-ventriculaire une étiologie dégénérative. Cliniquement, biologiquement et électriquement, il n'y a pas d'argument pour une origine ischémique ou infectieuse. L'échocardiographie est normale. En raison d'une bradycardie inférieure à 30/min, un traitement d'Isuprénaline est introduit. Deux épisodes de fibrillation auriculaire (dont 1 avant l'introduction d'Isuprénaline) sont observés durant la surveillance. Ils motivent l'introduction d'un bétabloqueur et d'une anticoagulation par Lixiana dès le 14.12.2018. À noter un profil tensionnel plutôt haut en cours de séjour, le traitement antihypertenseur pourrait être adapté en ambulatoire.La pose du pacemaker a lieu le 13.12.2018, suivi d'une radio de thorax et d'un contrôle du pacemaker. L'intervention est sans complication immédiate et le patient rentre à domicile le 13.12.2018. Le patient sera suivi par le Dr. X à 6 semaines. Il prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour l'ablation des fils à 10 jours. Mr. Y, hospitalisé au CSH Marsens pour sevrage alcoolique, est amené aux urgences en ambulance le 22.11.2018 en raison d'une tachycardie à 136/min suite à un effort physique (45 min de vélo). Le patient se plaint également d'une baisse de l'audition avec une sensation d'étirement au niveau cervical. Pas de douleur rétrosternale ni de dyspnée. Pour rappel, le patient a été hospitalisé pour un épisode similaire du 19 au 20.11.2018 avec mise en place d'un traitement par Dilzem 2x 90 mg/j. À noter que le patient a eu un accident de la route sur trouble rythmique en avril 2018, qu'il devait être suivi par un cardiologue mais ne s'est jamais présenté. À son arrivée aux urgences, le patient est en bon état général, orienté. Au status, on note une tachycardie à 136/min, régulière sans souffle surajouté, de discrets râles crépitants bibasaux et un léger tremblement des doigts à la manœuvre des bras tendus évoquant un asterixis. De plus, nous mettons en évidence des bouchons de cérumen dans les deux oreilles, expliquant cette hypoacousie. Nous administrons du Diltiazem 25 mg iv dose unique, ce qui permet de réduire la fréquence cardiaque aux alentours de 95 bpm. Nous gardons le patient en observation aux urgences pour la nuit. Le 23.11.2018, nous demandons l'avis du Dr. X, cardiologue, qui ne recommande pas de plus amples investigations. Au vu de l'incapacité de discernement du patient et de l'absence d'une symptomatique du flutter auriculaire, une cardioversion ou une thermoablation ne sont pas indiquées. Il préconise d'arrêter le Dilzem et d'augmenter le Métoprolol à 75 mg 1x/jour afin de viser une fréquence cardiaque de repos (et non pas d'effort ou post-effort) inférieur à 120 bpm. Un Holter permettrait d'avoir une évaluation objective de la réponse ventriculaire moyenne sur 24h afin d'optimiser le traitement freinateur mais ne modifierait pas la prise en charge. Mr. Y est réadmis au CSH Marsens le 23.11.2018. Mr. Y est un patient de 85 ans, connu pour les antécédents susmentionnés dont un status post-pontage fémoro-poplité en mars 2017 pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs stade IV ayant présenté une sténose avec suspicion de compression cicatricielle extrinsèque lors du suivi post-opératoire. Le cas du patient est discuté au colloque de vasculaire, où l'indication à une révision a été posée. L'intervention est effectuée le 03.12.2018 et se déroule sans complication. Un CT de contrôle post-opératoire montre une persistance de sténose, raison pour laquelle une angioplastie est effectuée le 07.12.2018 avec succès. Les suites sont favorables et le patient rentre à domicile le 10.12.2018. À noter que le patient présente un globe vésical le 10.12.2018, raison pour laquelle une sonde vésicale est mise en place avec amélioration des symptômes. Le patient a un rendez-vous de contrôle le 18.12.2018 chez son urologue, le Dr. X pour l'ablation de la sonde. Mr. Y est un patient de 85 ans connu pour status post-pontage fémoro-poplité droit avec révision de l'anastomose distale le 03.12.2018. Lors du suivi post-opératoire, il présente un hématome sous tension en regard de la cicatrice poplitée en augmentation depuis le 14.12.2018 empêchant la marche. L'hématome est évacué et un pansement VAC est posé le 20.12.2018 avec une réfection le 24.12.2018 montrant une plaie calme. En raison de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 25.12.2018. Le patient sera revu au centre des plaies dès le 28.12.2018 pour des réfections de pansement en ambulatoire. Mr. Y est un patient de 39 ans récemment diagnostiqué pour un lymphome de Burkitt avec un taux de prolifération avoisinant les 100%. Après la pose d'un port-à-cath et le contrôle par échocardiographie, Mr. Y est hospitalisé le 6 décembre en clinique de médecine pour l'introduction du traitement de chimiothérapie. Mr. Y bénéficie d'un traitement de chimiothérapie selon le protocole R-CODOX-M/IVAC dès le 07.12.2018. En raison du syndrome de lyse pré-traitement, nous introduisons d'office du Fasturtec du 07.12.2018 au 09.12.2018 avec bonne évolution. Il bénéficie également de chimiothérapie intrathécale par Cytosar le 10.12.2018 et 12.12.2018. Le traitement est bien toléré et il peut rentrer à domicile le 13.12.2018. Il est attendu le 15.12 pour chimiothérapie et contrôle de la formule sanguine complète. Si le patient devait être en agranulocytose, ce qui est fort probable, il devra être réadmis. Sachant qu'il pourrait se mettre en agranulocytose à domicile, avant son départ, le 13.12, il est rendu attentif à la conduite à tenir (masque, nourriture, état fébrile, ...). Mr. Y sera revu à la consultation de proctologie du Dr. X à l'HFR Fribourg le 12.12.2018. Mr. Y est un patient de 40 ans, qui bénéficie le 12.12.2018 d'une cholecystectomie laparoscopique avec cholangiographie. L'opération se déroule sans complication, et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient peut rentrer à domicile le 14.12.2018. Mr. Y est un patient de 40 ans, qui bénéficie le 12.12.2018 d'une cholecystectomie laparoscopique avec cholangiographie. L'opération se déroule sans complications, et les suites opératoires sont simples et afébriles. Le patient peut rentrer à domicile le 14.12.2018. Mr. Y, connu pour une hernie discale lombaire symptomatique diagnostiquée en 2017, consulte les urgences le 16.12.2018 en raison de lombalgies d'apparition brutale, au niveau L4-L5, d'intensité 8/10, de type brûlure et piqûre, avec irradiation vers le côté du bassin et en s'arrêtant au niveau du pli inguinal gauche quelques heures après avoir changé les pneus de sa voiture. Il ne présente pas de paresthésie, pas de perte de force, mais la marche est difficile en raison des douleurs. Il a pris 2 cpr d'Irfen sans effet. Les douleurs sont péjorées par la position assise et l'appui ainsi qu'à la flexion du rachis. À noter que le patient fait un travail physique (charge et décharge des camions). Le status aux urgences montre une douleur à la palpation paravertébrale droite en regard L4-L5. La flexion de la colonne est douloureuse au niveau lombaire, l'extension est indolore. La rotation vers la gauche est indolore, douloureuse vers la droite au niveau para-lombaire gauche. Signe du psoas négatif des deux côtés. Hanches indolores à la mobilisation dans tous les plans. Le status neurologique est normal, avec Babinski indifférent des deux côtés et Lasègue positif à 60° à gauche et négatif à droite. Aux urgences Mr. Y reçoit 50 ug de Fentanyl et du paracétamol qui sont peu efficaces, raison pour laquelle nous titrons de la morphine. Cette titration est modérément efficace et le patient rapporte de ne pas pouvoir rentrer à domicile ni marcher en raison de la douleur. Il est donc hospitalisé pour adaptation de l'antalgie et physiothérapie, avec une évolution favorable sur les douleurs. Le 18.12.2018 le patient se plaint d'une douleur au niveau du testicule gauche, avec irradiation au pli inguinal gauche. À l'examen clinique, le testicule gauche est surélevé par rapport au droit. Pas de signe d'hernie inguinale. Nous effectuons un ultrason testiculaire qui permet d'exclure une torsion ou un kyste testiculaire. L'examen met par contre en évidence une petite hernie inguinale gauche.L'évolution est favorable sous antalgie, avec disparition des douleurs lombaires et testiculaires et Mr. Y peut regagner son domicile le 18.12.2018 avec de la physiothérapie en ambulatoire. Nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à une prise en charge chirurgicale de l'hernie inguinale gauche. Mr. Y est un patient de 69 ans en soins palliatifs pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal, classé cT4 cN2b cM1 évolutif. Ce dernier est amené aux Urgences le 06.12.2018 pour une gêne oropharyngée. Un CT cervico-thoracique est effectué, mettant en évidence une progression tumorale et métastatique qui explique la symptomatologie. Le patient reste hospitalisé pour suivi clinique, il bénéficie d'une transfusion érythrocytaire le 10.12.2018 pour une hémoglobine évaluée à 69g/l. Le patient est en meilleur état général, ce qui motive un retour à domicile le 10.12.2018. Mr. Y est un patient de 80 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec pose de deux stents en 2016, sous aspirine cardio, avec un antécédent d'AVC et de multiples saignements digestifs bas sur diverticules, qui consulte aux urgences le 03.12.2018 pour un nouvel épisode d'hématochésie. L'anuscopie effectuée à l'entrée ne montre pas de saignement actif. De nouveaux épisodes d'hématochésies le lendemain motivent la recherche d'une source de saignement par rectosigmoïdoscopie sans résultat. L'hémoglobine se stabilise et le patient ne présente pas de nouvel épisode hémorragique. L'évolution est favorable avec une reprise de transit normal. Après discussion avec le gastro-entérologue (Dr. X), au vu des résultats de la dernière colonoscopie effectuée en juin dernier et de la bonne évolution du patient, il est décidé de ne pas effectuer de nouvelle colonoscopie. Le patient rentre à domicile le 07.12.2018. Mr. Y, patient de 76 ans, polymorbide connu notamment pour une BPCO Gold 3-4 stade D, de retour en Suisse depuis 06.2018 après avoir vécu 18 ans en Espagne. Le patient est envoyé par son MT pour une décompensation de sa BPCO sur tabagisme toujours actif. Le patient a présenté ce dernier mois deux exacerbations de sa BPCO. Il a consulté son médecin traitant (début novembre) qui lui a prescrit à chaque exacerbation un traitement par Co-Amoxicilline et Prednisone 40 mg pendant 7 jours. Au vu de la faible amélioration clinique du patient, il est envoyé par son médecin traitant pour une poursuite des investigations. Mr. Y décrit également avoir perdu 12 kg en un an avec une diminution d'appétit, des douleurs abdominales post-prandiales et une asthénie en progression. Un CT thoraco-abdominal injecté, effectué le 05.12.2018, montre une volumineuse masse tumorale pulmonaire péri-hilaire gauche avec métastases ganglionnaires loco-régionales, associée à des métastases hépatiques et surrénaliennes des deux côtés, ainsi qu'une lymphangite carcinomateuse pleurale et pulmonaire (tumeur classée T4 N3 M1b). Le patient n'a pas souhaité d'investigations supplémentaires de sa masse tumorale. Au vu d'une péjoration clinique, il est mis en soins de confort dès le 08.12.2018 et a passé plusieurs jours de manière confortable, soutenu par ses proches. Mr. Y est décédé paisiblement le 14.12.2018 à 15h30 en présence de sa famille. Mr. Y, connu pour une artériopathie sévère et une maladie de Parkinson, est amené aux urgences en ambulance le 04.11.2018 suite à un malaise avec perte de connaissance. A l'hétéro-anamnèse, son épouse explique que le patient a présenté des mouvements tonico-cloniques le 04.11.2018 à 10h30, d'une durée de 5 minutes avec un état post-critique d'environ une heure. Lors de la crise, le patient était au lit. Pas d'élément déclencheur. Pas de chute. A l'arrivée des ambulanciers, le patient est conscient, agité, désorienté et présente des troubles de l'élocution. A l'admission aux urgences, Glasgow à 15/15. Mr. Y est hypertendu à 170/86 mmHg, normocarde à 85/min et sature à 96% sous deux litres d'oxygène. L'auscultation cardiaque montre des bruits réguliers sans souffle audible. L'auscultation pulmonaire est sans particularité. L'examen abdominal et l'examen urogénital sont normaux. L'examen neurologique est dans la norme. L'examen ostéo-articulaire montre un genou gauche en flexum connu selon le patient, non oedématié, sans hématome, ni d'épanchement articulaire. Douleurs à la palpation de la surface latérale du genou, extension très douloureuse. Pas de masse palpable au creux poplité. Le laboratoire montre une lactatémie à 2.4 mmol/l, un syndrome inflammatoire avec une CRP à 43 mg/l et une leucocytose à 14.3 G/l, des troubles électrolytiques avec hypokaliémie à 3.3 mmol/l et hypomagnésémie à 0.29 mmol/l, ainsi qu'une anémie normochrome normocytaire. La gazométrie artérielle à l'air ambiant montre une alcalose respiratoire avec pH à 7.47, hypocapnie à 3.8 kPa et hypoxie à 9.1 kPa. Le sédiment urinaire est sans particularité. Le CT scan cérébral est sans particularité et la radiographie du genou montre une gonarthrose sévère sans signe de fracture. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Au vu de la persistance des gonalgies gauches, une IRM est réalisée le 13.11.2018 et montre des altérations de signal du condyle fémoral externe qui doivent faire évoquer en premier lieu une ostéonécrose spontanée du condyle fémoral (SONK). La lésion dans le fémur proximal peut correspondre à une zone de nécrose ancienne en premier lieu, avec possible ancienne fracture s'étendant en direction du plateau tibial externe et la petite lésion située sous le plateau tibial interne doit également correspondre à une zone de nécrose ancienne. Un avis orthopédique est demandé et nos collègues proposent un traitement conservateur avec pose d'une attelle jean à 20°, décharge du membre inférieur gauche et physiothérapie pour mobilisation passive flexion/extension du genou gauche. Un contrôle clinico-radiologique est prévu en policlinique le lundi 17.12.2018 à 13h45. Durant l'hospitalisation, le patient bénéficie de physiothérapie de mobilisation. En ce qui concerne les troubles électrolytiques, le patient est substitué en potassium et en magnésium. Des contrôles biologiques sont effectués avec une amélioration de la magnésiémie. La substitution per os est à continuer avec un contrôle biologique à prévoir d'ici 2-3 semaines. La syncope qui a mené à l'hospitalisation est d'origine indéterminée. Des convulsions sur hypomagnésémie sont possibles. La dernière échocardiographie date de juin 2018 : FEVG à 50-55% et sténose aortique légère à environ 2 cm2. Le patient n'a pas présenté de trouble du rythme cardiaque durant le séjour. Il est sous Xarelto 20 mg/j en raison d'une embolie pulmonaire sous-segmentaire en août 2018. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mr. Y peut regagner son domicile le 05.12.2018, avec poursuite de la physiothérapie en ambulatoire. Nous vous proposons de stopper le Seresta prescrit durant le séjour. Mr. Y est admis en surveillance pour des crachats hémoptoïques post-amygdalectomie. La surveillance clinique se déroule sans complication. Nous introduisons une antibiothérapie prophylactique par Co-Amoxicilline. Les loges amygdaliennes restent calmes. L'alimentation par voie orale est reprise le 25.12.2018 avec bonne tolérance. Au vu de l'évolution clinique favorable, il peut retourner à domicile. Monuril 3g le 30.11.18 Urotube: négatif Monuril. Consignes de surveillance.Morphée (sclérodermie cutanée localisée) Douleurs abdominales basses d'origine indéterminée le 28.10.2015 • Avec diarrhées en 2014 d'origine indéterminée et récidive il y a environ 3 semaines, résolues après corticoïdes • Colonoscopie avec biopsies en mars 2014 • CT abdominal septembre 2015 : varices utérines avec dilatation de la veine ovarienne gauche • Opération des varices utérines en laparoscopie novembre 2015 • Calprotectine mars 2014 : 122 Appendicectomie à l'âge de 9 ans. Ovariectomie gauche et ablation de la veine ovarienne gauche en novembre 2015. Morphine : échec - mauvaise tolérance Hydromorphone d'office et en réserve dès le 04.12.2018 Morphine et Midazolam en IV. continu Morphine IV puis PO Prednisone 50 mg/j dès le 10.12.2018 CT abdominal du 09.12.2018 Avis Oncologue de garde (Dr. X) : Prednisone et radiothérapie dès que possible Avis Radiothérapie (Dr. X) : Début radiothérapie le 12 ou 13.12.2018 Suivi onco (Dr. X) RAD le 11.12.2018 avec antalgie par MST continu 10 mg 2x/j Sera convoquée pour débuter la radiothérapie le 12 ou 13.12.2018 Morphine per os + Paracétamol per os. Explications données par le médecin pour : Laboratoire : sans particularité. CT cérébral injecté : formation anévrismale de 1.2 mm à l'origine de l'artère cérébelleuse antérieure gauche sans stigmate de saignement. Ponction lombaire avec xanthochromie : négatif. Avis neurochirurgien (Dr. X) : absence d'arguments pour saignements actifs, IRM en ambulatoire + antalgie. Attitude : Retour à domicile avec antalgie. IRM organisée au centre d'imagerie de Ste-Thérèse. Adresser la patiente par la suite à la consultation de neurochirurgie de l'HFR Fribourg. Morphine titration IV. Réadaptation du traitement antalgique. Conseil de réévaluer avec neurochirurgien le 12.12.2018. Morphine 10 mg aux urgences. Tramal en réserve à domicile. Proposition d'une consultation aux urgences dentaires le lendemain. Morphine 10 mg, Tramal 50 mg et Brufen 600 mg. Patiente va beaucoup mieux, douleurs supportables. Morphine 5 mg PO q4h du 20.09.2018 au 21.09.2018 MST 20 mg PO q12h dès le 21.09.2018 Morphine 5 mg SC en réserve 6x/j Ibuprofène 800 mg q8h dès le 24.09.2018 Methylprednisolone 125 mg IV le 26.09.2018 Anakinra 100 mg q24h du 05.10.2018 au 07.10.2018 Bilan biologique • FSC • CRP, VS Sédiment urinaire le 20.09.2018 Radiographie lombaire et sacro-iliaques le 20.09.2018 Hospitalisation pour gestion de l'antalgie Infiltration périradiculaire le 10.10.2018 Avis Team spine le 09.10.2018 : Lyse isthmique sans sanction chirurgicale Réadaptation musculo-squelettique à Billens le 15.10.2018 Morsure Morsure de chat au niveau du 2ème rayon de la main gauche, face dorso-radiale. Morsure de chien. Morsure de chien au niveau de la face latérale de la jambe droite, le 20.12.2018. Morsure de chien au niveau du quadrant supéro-latéral du mollet D avec : • plaie profonde en V d'environ 3.5 cm • 2 plaies punctiformes • 2 écorchures transversales au mollet Examen clinique Désinfection à la Bétadine Rinçage abondant avec NaCl Avis Dr. X Exploration de la plaie Débridement des berges Rinçage avec aiguille boutonnée et NaCl Co-Amoxicilline 2.2 g IV aux urgences Co-Amoxicilline 875/125 mg 2x/j pendant 5 jours Rappel tétanos fait Status de vaccination du chien connu - vacciné contre la rage Rendez-vous en policlinique orthopédie le 18.04 Déclaration de morsure de chien Morsure de chien au visage ayant nécessité une reconstruction en 2012. Cystite aiguë simple traitée par Monuril fin novembre 2018. Morsure de chien main droite de mauvaise évolution le 12.12.2018 avec : • œdème des doigts 2, 3 et 4 probablement sur immobilisation. • pas d'argument clinique ou radiologique pour un phlegmon. Morsure de mauvaise évolution. Morsure par chien le 22.12.2018 avec : • minime dermabrasion au niveau de D3 main droite • hématome au niveau de la cuisse droite • état anxieux post-traumatique. Morsure superficielle de chien, main gauche AVC ischémique aigu sylvien superficiel gauche d'origine indéterminée (cardio-embolique vs artério-artérielle) le 21.01.2017 avec : • symptomatologie : dysarthrie et ataxie du membre supérieur gauche • NIHSS à 2 pts à l'entrée, 0 pt à la sortie Lésion nodulaire non spécifique au niveau du lobe thyroïdien gauche Morsures de chat en regard dorsal de la MCP de D2 et en regard dorsal de la CMC du pouce à G Mort fœtale intra-utérine à 31 5/7 semaines d'aménorrhée le 26.12.2018 Mort fœtale in-utéro Mouches noires œil D Mouches volantes œil droit. Movicol Antalgie au besoin Consultation chez le pédiatre si persistance pour bilan plus large et éventuelle imagerie vu les réveils nocturnes Consultation aux urgences si péjoration Movicol en première intention, Laxoberon en deuxième intention. Mucilage. Movicol Junior 1 sachet *2/jour si constipation Movicol sachet en réserve Antalgiques en réserve Movicol selon un schéma progressif sur 7 jours Movicol si constipation Movicol 1 sachet par jour, à diminuer/augmenter selon schéma expliqué à la maman Movicol 1 sachet par jour pendant 3 jours Movicol 1 sachet par jour Bilan maladie cœliaque le 21.12 à pister Movicol 1x/jour Arrêt du traitement de fer per os Movicol 1-2 sachets par jour Dafalgan / Algifor en réserve Movicol 2 sachets par jour Buscopan en réserve Reconsultation si péjoration de l'état général Mr. Y, 39 ans, est hospitalisé aux soins intensifs suite à une intoxication au Paracétamol et ingestion d'eau de Javel le 29.12.2018. Dans un contexte de rupture relationnelle, il prend vers 21:30 les produits susmentionnés. La symptomatologie est rassurante avec absence de stridor et sans clinique de perforation œsophagienne. Une nasofibroscopie par les collègues d'ORL montre des aryténoïdes érythémateuses sans œdème. Les cordes vocales sont normales. Une gastroscopie ne montre pas d'anomalies et permet une reprise de l'alimentation. Aucun contrôle nécessaire. Un traitement par Acétylcystéine est également introduit avec une première paracétamolémie à H4 qui revient dans la norme et permet l'arrêt du traitement. Le patient est évalué par l'équipe de psychiatrie qui propose un suivi ambulatoire. Mr. Y est hospitalisé suite à une récidive de syndrome néphrotique sur hyalinose segmentaire et focale suivi par le Dr. X. Celle-ci s'est manifestée par une prise de poids importante ainsi que l'apparition d'œdèmes des membres inférieurs récemment. Nous introduisons un traitement de stéroïdes intraveineux lors de l'hospitalisation, ainsi qu'un traitement diurétique que nous adaptons en fonction de la diurèse. L'hospitalisation se déroule sans complications. En accord avec le Dr. X, le patient peut rentrer à domicile le 31.12.2018 avec un contrôle clinique et biologique le 04.01.2019 en néphrologie. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 22.10.2018 pour un choc septique sur cholangite obstructive. Le patient s'adresse aux urgences pour des douleurs de l'hypochondre droit avec vomissements. Le bilan montre une cholestase et cytolyse associées à une possible cholécystite à l'imagerie. Le diagnostic d'une cholangite obstructive est retenu. En raison d'une dégradation hémodynamique, une ERCP est effectuée mais qui s'est soldée par un échec à cause d'un œdème papillaire. Un drainage des voies biliaires par voie transhépatique est alors réalisé avec succès. A l'admission, le patient présente une instabilité hémodynamique avec une oligurie qui a rapidement bien évolué après une expansion volémique, un soutien aminergique transitoire et une antibiothérapie à large spectre. Les prélèvements bactériologiques reviennent positifs à E. coli multisensible permettant le relais par Ceftriaxone. Concernant l'insuffisance rénale, on note une péjoration de la fonction rénale mais avec reprise d'une diurèse satisfaisante. Une néphropathie sur produit de contraste ne peut être exclue. A suivre. Une insuffisance cardiaque est découverte avec à l'échocardiographie une hypokinésie globale (FEVG estimée à 30%) qu'on a attribuée à une cardioplégie septique. Une échographie cardiaque de contrôle est à prévoir à distance de l'épisode infectieux. En l'absence d'amélioration, une coronarographie est à discuter. Une thrombopénie se développe probablement dans le contexte septique. Une origine médicamenteuse sur les bêta-lactamines n'est pas complètement exclue. A surveiller. Le patient est transféré en chirurgie pour suite de prise en charge avec suivi régulier par les internistes. Mr. Y est un patient de 58 ans, admis pour un bilan de cirrhose. Il est envoyé par le centre d'addictologie de Fribourg par lequel il est suivi pour une baisse de l'état général depuis un mois avec ralentissement psychomoteur, état ictérique et distension abdominale nouvelle. Dans ce contexte, une cirrhose avec ascite est suspectée et le patient est adressé aux urgences pour le bilan. Sur place, l'US abdominale montre un volumineux ascite avec un foie cirrhotique sans thrombose de la veine porte. Le bilan biologique permet de poser le diagnostic de cirrhose CHILD C probablement éthylique au vu de l'anamnèse du patient et le patient nous est adressé pour une ponction d'ascite et suite du bilan. Les hépatites virales reviennent négatives ainsi que le VIH. L'alpha-protéine est à 7,6 ng/ml. A noter des troubles de la crase spontanée sur insuffisance hépatique sans amélioration après administration de Konakion. Un traitement de spironolactone est entrepris dès le 29.11.18 pour l'ascite avec une ponction le 31.11.18 qui permet de retirer 8,14 L d'ascite claire sans critère pour une péritonite ni cellules suspectes de malignité à la cytologie. Un traitement d'importal est instauré avec une cible de 2-3 selles par jour et une ammoniémie dans la norme le 28.11.2018. A noter une encéphalopathie de grade 1 à l'admission, d'apparition progressive selon la famille au cours des derniers mois. Une OGD est prévue en 01.2019 en ambulatoire pour bilancer d'éventuelles varices œsophagiennes et instauration de bêta-bloquant en cas de nécessité. Durant le séjour, le patient ne présente pas de signe de sevrage sous traitement de Seresta diminué progressivement. Une substitution de Benerva et Becozyme est instaurée. Un projet de consolidation de sevrage a été discuté avec le patient, sa famille et le médecin d'addictologie avec la suite de prise en charge en ambulatoire à la fondation le Torry. Le 07.12.18, le patient présente un choc septique sur probable PBS avec une défaillance multi-organique. Un remplissage vasculaire est initié avec une couverture antibiotique par Imipénème ainsi qu'une substitution de l'hypoglycémie par du G40% et le patient est transféré aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs pour un choc septique d'origine pulmonaire dans un contexte d'agranulocytose en post-chimiothérapie pour un lymphome B en cours de transformation dont l'évolution est défavorable. Le patient est connu pour un lymphome B folliculaire avec une atteinte rénale sur engainement des uretères, qui est découvert en mai 2018. Il est traité par 4 cycles d'immuno-chimiothérapie de mai à septembre 2018. Une progression de la maladie avec une atteinte aussi bien cérébrale, bulbaire que médullaire est diagnostiquée (hémisyndrome moteur droit) nécessitant un séjour au CHUV et une chimiothérapie (Rituximab et Méthotrexate haute dose) qui s'est compliquée d'une néphrite interstitielle, d'un état confusionnel aigu et d'une cytolyse hépatique. Le patient est réhospitalisé en médecine à Fribourg pour poursuite de la chimiothérapie ou un nouveau cycle qui est débuté le 23.11.2018. Mr. Y est transféré aux soins intensifs à J10 post-chimiothérapie pour un choc septique d'origine pulmonaire dans un contexte d'agranulocytose fébrile. L'état hémodynamique se stabilise après remplissage vasculaire, soutien aminergique transitoire et antibiothérapie à large spectre. Les prélèvements microbiologiques révèlent une bactériémie à Pseudomonas aeruginosa. Une insuffisance respiratoire aiguë nécessite une oxygénothérapie à haut débit. La ventilation non invasive est mal tolérée. L'origine est mixte d'une part la pneumonie et d'autre part l'épanchement pleural droit. Ce dernier est drainé ramenant un liquide chyleux. De point de vue hématologique, on note une pancytopénie nécessitant des transfusions itératives par des culots érythrocytaires et des concentrés plaquettaires. L'anticoagulation thérapeutique, déjà débutée pour une embolie pulmonaire diagnostiquée en mois d'octobre, est arrêtée dans le contexte de la thrombopénie. D'entente avec les oncologues, un traitement par Neupogène est débuté. Une hématurie macroscopique nécessite la pose d'une sonde à 3 voies avec des rinçages continus et l'optimisation de la crase. L'évolution est marquée par une péjoration de l'état de conscience et l'état respiratoire du patient. Au vu du pronostic oncologique sombre et la volonté présumée du patient, il est décidé d'entente avec la famille de privilégier les soins de confort. Mr. Y décède le 05.12.2018 entouré de ses proches. Pas d'autopsie demandée. Mr. Y, connu pour une granulomatose avec polyangéite, est transféré aux soins intensifs le 22.12.2018 pour hémoptysies. Le patient est hospitalisé en électif en chirurgie pour une reprise de continuité intestinale après une résection colique gauche en octobre. Il développe 48h après l'intervention, des crachats de sang frais en faible abondance (100 cc). Un bilan ORL par nasofibroscope permet d'exclure un saignement au niveau trachéal. Le patient bénéficie d'un CT thoracique non injecté, qui montre une condensation basale gauche et un comblement bronchique gauche avec l'image d'infiltrats en verre dépolis au niveau des lobes supérieurs et inférieur gauches. Le syndrome inflammatoire est à la hausse. Devant ce tableau, nous suspectons la pneumonie comme origine à ces épisodes de crachats hémoptoïques. Après un prélèvement des hémocultures et des expectorations, nous débutons le traitement antibiotique à large spectre par Imipenem. Nous vous laissons le soin de pister les résultats microbiologiques et d'adapter le traitement selon les dernières nouvelles. Pour ce qui est de l'antiagrégation, elle peut être reprise et l'anticoagulation prophylactique par Liquemine est à débuter selon avis pneumologique à partir du 25.12.2018 au dosage réduit 2500 UI aux 12h et selon l'évolution à rediscuter une anticoagulation progressive avec les pneumologues et néphrologues. La dialyse est poursuivie comme prévu ce jour. En vue de stabilité clinique sans nouvelle récidive d'hémoptysies, le patient est transféré à l'étage de chirurgie pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, patient de 71 ans, connu pour une FA paroxystique réfractaire, une cardiopathie hypertensive et une dyslipidémie, est transféré de l'Inselspital ce jour pour suite de prise en charge d'un AVC ischémique de l'ACM gauche segment M1 survenu le lundi 26.11.2018.A l'anamnèse, le patient dit avoir présenté lundi 26.11.2018 une hémiplégie brusque de tout le côté gauche avec une aphasie globale, alors que sa femme s'était absentée 5 minutes pour aller à la cave de la maison. Celle-ci l'a donc découvert ainsi après 5 minutes. Rappelons que le patient était alors anticoagulé sous Marcoumar. A l'Inselspital, où le patient a été transporté par ambulance, un INR thérapeutique > 2 avait formellement contre-indiqué une thrombolyse, mais une thrombectomie avait été réalisée, avec succès. Actuellement, le patient se plaint d'une fatigue très prononcée et d'une discrète perte de force au niveau du membre supérieur gauche. Il évoque des paresthésies du membre inférieur droit survenues après l'AVC, mais résolues selon lui spontanément. Il se plaint également de céphalées légères. A l'examen clinique, nous retrouvons un patient à l'état général diminué, GCS 15/15, orienté aux 3 modes, calme, collaborant, légèrement ictérique et eupnéique à l'air ambiant. Au niveau cardio-vasculaire, des bruits bien frappés, réguliers mais lents, sans souffle surajouté. Il n'y a pas de turgescence jugulaire ni de RHJ. Les pouls périphériques sont faibles. Le statut neurologique retrouve des paires crâniennes sans particularité, à l'exception d'une très légère parésie faciale inférieure droite. Les épreuves cérébelleuses sont bien réalisées. La sensibilité superficielle est conservée. La force motrice est évaluée à M4+ au MID et MSD, M5 au MIG et MSG, le Romberg est tenu, ainsi que le Mingazzini. Les ROT sont normaux et symétriques. Il existe une très légère aphasie avec perte du mot. La prise de sang réalisée à l'Inselspital le 30.11.2018 montrait un INR > 2, raison pour laquelle nous n'entamons pas d'anticoagulation par NOAC le jour de l'arrivée du patient. L'INR est mesuré à 1.4 le lundi 03.12.18, et un CT cérébral du 03.12.2018 ne montre aucune transformation hémorragique, nous commençons donc une anticoagulation thérapeutique avec du Pradaxa 150 mg 2x par jour. Le soir du dimanche 2.12.2018, le rythme cardiaque du patient passe de nouveau en fibrillation auriculaire rapide avec des fréquences allant jusqu'à 120 à 130 par minute, symptomatique, raison pour laquelle nous augmentons prudemment le traitement par bêta-bloquants de 25 à 50 mg par jour. Nous recommandons un suivi de ce traitement et une surveillance étroite de la fréquence cardiaque du patient pour la suite de la prise en charge. Pendant le bilan d'hospitalisation, le bilan thyroïdien montre une TSH élevée à 6,420 mU/l et une T4 libre normale à 14 pmol/l, associées à l'anamnèse à une asthénie diffuse et à une discrète diminution de la capacité physique déjà présente avant l'accident ischémique, sans autres symptômes évocateurs d'une dysthyroïdie. Il est à noter qu'en 2014, le patient avait présenté une hyperthyroïdie sur Cordarone. Cette dernière avait donc été stoppée et le patient avait bénéficié d'un traitement par Spiricort et Neomercazole. Depuis, un suivi des hormones thyroïdiennes est organisé environ 2x/an par le médecin traitant. Nous pensons que la perturbation thyroïdienne actuelle pourrait être expliquée par une hypothyroïdie subclinique. Le bilan thyroïdien pourrait également être perturbé par l'administration de produit de contraste lors des divers examens radiologiques réalisés à l'Insel. Au vu du bilan thyroïdien actuel, nous vous proposons de réévaluer la fonction thyroïdienne d'ici six semaines. Le reste de l'hospitalisation se déroule sans complication et le 04.12.2018 nous pouvons transférer le patient vers la station de neuroréhabilitation pour y suivre une réhabilitation intensive. Mr. Y, patient connu pour une schizophrénie et une paraplégie posttraumatique, est hospitalisé pour un état comateux apparu en quelques heures, suite à plusieurs épisodes de vomissements et de diarrhées profuses. Dès l'admission, il est en état de choc. On constate une ischémie colique avec un côlon sévèrement dilaté dont la muqueuse montre des signes de nécrose ischémique à l'endoscopie. Le choc septique consécutif est sévère, avec une défaillance multi-organique. On note une vasoplégie importante nécessitant un remplissage agressif et des très hautes doses de noradrénaline et une insuffisance respiratoire hypoxémiante suite à une bronchoaspiration. De plus, il présente un état comateux attribué au bas débit, avec une possible composante d'hypoxie cérébrale prolongée, avec apparition d'une mydriase fixe bilatérale. Malgré le support cardio-respiratoire et l'antibiothérapie à large spectre, l'évolution est rapidement défavorable. Pour le contrôle de l'infection, une colectomie totale aurait été indiquée. Mais vu de l'état extrêmement critique, le pronostic semblait d'emblée très compromis. De plus, la sœur, le frère et la maman nous signalent que le patient n'aurait pas voulu une prise en charge si lourde. Nous décidons alors en commun accord avec la famille et les chirurgiens de ne pas poursuivre les mesures de réanimation et d'instaurer des soins de confort. Mr. Y décède en présence de sa famille qui n'a pas souhaité d'autopsie. Mr. Y, patient de 58 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique après infarctus du myocarde type STEMI le 23.12.2018. M. Y présente une douleur thoracique oppressive vers 20 h. Un infarctus avec élévation des segments ST dans le territoire inférolatéral est diagnostiqué. La coronarographie en urgence met en évidence une occlusion de la circonflexe moyenne qui est traitée par angioplastie et pose d'un stent actif. La ventriculographie révèle une fraction d'éjection conservée à 60%. La surveillance aux soins intensifs se déroule sans complications. Une double antiagrégation est introduite pour une année ainsi qu'un traitement par IEC, bêta-bloquants et statines. Un contrôle échocardiographique est encore à organiser. Il est transféré en médecine pour la suite de la prise en charge. A noter qu'il demande de poursuivre son séjour à Fribourg malgré une résidence à Genève. Mr. Y, 47 ans, est admis aux soins intensifs pour un STEMI inférieur. Le rythme initial à la présentation en coronarographie est une FA rapide suivie d'une bradycardie jonctionnelle durant la revascularisation. La coronarographie montre une longue subocclusion thrombotique de la coronaire droite revascularisée par 4 stents actifs. A la fin de l'intervention survient un ACR sur fibrillation ventriculaire nécessitant un massage cardiaque court avec choc électrique et l'administration d'amiodarone. Aucune séquelle neurologique d'anoxie cérébrale n'est à relever par la suite. La surveillance rythmique est simple avec un rythme sinusal et une régression des stigmates de souffrance électrique. La FEVG est conservée. Le relais antiagrégant se fait par Aspirine à vie et Efient pour 6 mois après infusion d'abciximab à cause du nombre de stents et de l'aspect long et thrombotique de la lésion. Un bêta-bloqueur, un IEC et une statine sont aussi introduits. Le patient se plaint de douleurs thoraciques sans corrélat électrique qui sont attribuées à des douleurs pariétales suite au massage cardiaque, pour lesquelles nous prescrivons des morphiniques. La radiographie thoracique ne révèle pas de fractures costales mais une atélectasie bibasale pour laquelle nous préconisons une spirométrie incitative et, au besoin, quelques séances de VNI. Mr. Y est admis le 21.12.2018 aux soins intensifs pour une pneumonie à pneumocoque compliquée d'un choc septique et d'une insuffisance respiratoire aiguë dans un contexte d'agranulocytose post-chimiothérapie, dont l'évolution est favorable.Le patient est connu pour un carcinome pulmonaire métastatique à petites cellules traité par chimiothérapie et radiothérapie. La dernière séance de chimiothérapie date du 12.12.2018. L'état hémodynamique se stabilise moyennant une expansion volémique importante, un soutien aminergique transitoire et une antibiothérapie initiale à large spectre par Imipénème et clarithromycine. Le prélèvement microbiologique revient positif à pneumocoque justifiant un relais par Ceftriaxone. Les corticostéroïdes prescrits habituellement pour des métastases cérébrales sont majorés en aigu avec reprise des doses habituelles par la suite. Une prophylaxie par Bactrim est à discuter avec les infectiologues (corticothérapie au long cours). L'état respiratoire évolue favorablement sous oxygénothérapie à haut débit en alternance avec des séances de ventilation non invasive itératives. Une nette amélioration des échanges gazeux est obtenue permettant le sevrage de l'optiflow, de la VNI et la diminution des besoins en oxygène. Une FA rapide apparaissant dans la phase aiguë est spontanément résolutive. Une salve de TV non soutenue et totalement asymptomatique est aussi observée. Une thrombopénie, sans besoin transfusionnel, est attribuée au sepsis et à la chimiothérapie. On vous laisse le soin de discuter avec les hématologues le seuil plaquettaire qui permet d'introduire une anticoagulation prophylactique. Une sortie d'agranulocytose est rapidement obtenue sous Neupogen. Durant le séjour, le patient présente une décompensation de son diabète dans le cadre du sepsis et de la corticothérapie. Le traitement antidiabétique habituel est repris. On vous laisse le soin de suivre les glycémies de façon rapprochée sur les prochaines heures. Le projet global est à discuter avec les oncologues afin de définir l'attitude de réanimation avec le patient et ses proches. Mr. Y est transféré en médecine pour suite de prise en charge. Mr. Y est admis aux soins intensifs le 25.12.2018 pour surveillance suite à une coronarographie pour angor instable. Le patient a été déjà hospitalisé du 14.12.2018 au 18.12.2018 pour un angor instable sur sténose au niveau de l'artère interventriculaire antérieure proximale qui a été traité par pose d'un stent actif. Il reconsulte les urgences le 23.12.2018 pour un nouvel épisode de douleurs thoraciques oppressives où le diagnostic d'angor instable est retenu justifiant son hospitalisation en médecine. Une anticoagulation thérapeutique par Clexane et un switch d'anti-agrégation de Plavix à Efient sont effectués. La coronarographie démontre comme corrélat à l'angor instable une sténose significative de l'artère coronaire droite distale avec un petit thrombus d'aval. Une angioplastie est alors réalisée avec la mise en place d'un stent actif. La FEVG est conservée. Le point de ponction est calme sans souffle. La surveillance post-coronarographie s'avère sans complication. D'entente avec le Dr. X, le patient rentre à domicile. Le cardiologue préconise un contrôle à 1 mois chez le médecin traitant et une ergométrie à une année. Mr. Y, connu pour un adénocarcinome pulmonaire stade IV, est hospitalisé de manière élective le 19.11.2018 pour pose de sonde nasogastrique et re-nutrition en stationnaire (à risque de syndrome de renutrition). La pose de la sonde ainsi que la nutrition entourée par les nutritionnistes se passa sans soucis avec la substitution nécessaire d'électrolytes hormis une hyponatrémie résistante et se péjorant nécessitant un passage aux soins intensifs, dans le cadre d'un SIADH sur adénocarcinome pulmonaire métastatique. Une perfusion de NaCl 0.9 % associée à une restriction hydrique et une supplémentation en NaCl caps permit la correction lente et contrôlée de la natrémie. Malgré la nutrition, Mr. Y reste asthénique dans le contexte de sa maladie oncologique et d'une BPCO avancée. Une réadaptation musculo-squelettique est refusée et une tentative de retour à domicile est mise en échec par le patient qui se sent trop asthénique malgré une autonomie complète dans les AVQ. Mr. Y exprime son souhait de rester dans un milieu médicalisé et refuse également une réadaptation aux soins palliatifs. Finalement, le patient a directement pu être placé au home de la Gruyère. D'un point de vue oncologique, la chimiothérapie palliative est poursuivie avec un suivi par le Dr. X. Une discussion avec son oncologue Dr. X et Dr. X eu lieu afin de préciser le projet à moyen terme du patient ainsi que d'envisager un encadrement palliatif dans un éventuel retour à domicile. Un reclassement a eu lieu du 6.12 jusqu'à la sortie du patient. Mr. Y se présente pour une demande de sevrage alcoolique dans les suites de son abstinence depuis 3 jours. Le patient n'a pas de plainte somatique si ce n'est une importante fatigue et quelques nausées. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 0.35 et les tests hépatiques sont en nette amélioration par rapport aux dernières hospitalisations. L'hémoglobine glyquée est élevée, mais le patient décrit un diabète plutôt bien réglé sur les dernières semaines. Nous prenons avis auprès de nos collègues de Psychiatrie (Dr. X et Dr. X), qui préconisent une hospitalisation. Sans critère pour effectuer ce sevrage en milieu somatique, nous lui proposons dès lors une hospitalisation à Marsens, qu'il refuse. En raison de mise en danger de sa personne, nous effectuons un PAFA et transférons le patient à Marsens en ambulance le 07.12.2018. Mr. Y est hospitalisé en électif pour bilanter un état fébrile avec baisse de l'état général, sans source identifiée depuis 2 mois. Il a consulté régulièrement son médecin traitant qui l'a orienté vers la consultation d'infectiologie du CHUV où des sérologies ont été effectuées et sont revenues négatives. Lors de l'hospitalisation, le patient ne développe pas de fièvre et nous ne constatons pas de syndrome inflammatoire ou d'anomalies biologiques. Un avis neurologique est demandé ne retenant pas d'indication à des investigations supplémentaires. Un bilan vitaminique est effectué et montre une hypovitaminose D que nous substituons. Nous faisons également appel à l'équipe de psychiatrie sur demande du patient, mais ceux-ci ne retiennent pas d'indication à un traitement ou à un suivi. Devant l'absence de signe de gravité ou de complication, Mr. Y peut rentrer à domicile le 05.12.2018. Un rendez-vous en ambulatoire chez son médecin traitant est à agender. Mr. Y, 60 ans, est admis aux soins intensifs pour une hémorragie digestive basse après ligature de varices œsophagiennes. Connu pour une cirrhose Child C, compliqué de varices œsophagiennes, il bénéficie le 26.11.2018 en électif d'une ligature de ses varices œsophagiennes. Dans la suite, il présente des extériorisations de sang frais dans son iléostomie motivant la recherche de la source du saignement par gastro-iléoscopie, qui ne montre pas de saignement actif. Un CT abdominal injecté montre des varices importantes au niveau de la stomie, probablement sous pression à cause des ligatures des varices œsophagiennes. Finalement, des saignements de la muqueuse de la stomie sont objectivés, confirmant les saignements sur ces varices. Un traitement par Somatostatine est administré pour 72 h avec reprise de son traitement par Inderal et Aldactone par la suite. Un traitement par IPP à haute dose est à continuer pour 2 semaines. Une antibiothérapie probabiliste par Rocéphine est débutée (faible quantité d'ascite, non ponctionnable). Un traitement chirurgical est refusé au vu du risque de saignement peropératoire. Une sclérothérapie est également jugée risquée comme les varices ne peuvent pas être visualisées par le lumen iléal. Après discussion avec les hépatologues du CHUV Lausanne, une indication à un TIPS est retenue.Sur le plan hémodynamique, le patient reste stable après transfusion de 6 culots érythrocytaires au total. La crase est optimisée par du Cyklokapron sans arguments au ROTEM d'un autre déficit en facteurs de coagulation. La situation globale est discutée avec le patient et ses fils. A noter que le patient refuse la réanimation cardiopulmonaire et chaque intervention menaçant de manière significative sa qualité de vie. Il est d'accord pour le transfert en centre universitaire pour l'intervention prévue avec les risques qui lui sont expliqués. Il est transféré le 1.12.2018 au CHUV de Lausanne pour la suite de la prise en charge. Mr. Y est hospitalisé dans un contexte d'état fébrile post-chimiothérapie. Aucun foyer infectieux n'a été retrouvé et des hémocultures restent à pister. Après 24h de surveillance sans antibiothérapie, le patient n'a pas récidivé d'état fébrile et présente un bon état général. Il rentre à domicile le 01.12.2018 après avoir été sensibilisé aux signes infectieux nécessitant une consultation. Mr. Y, connu pour un glioblastome récemment réséqué au CHUV, une cardiopathie avec opération d'une dissection aortique type A cette année et des EP récidivantes sous Xarelto, se présente pour une baisse de l'état général après une antibiothérapie (Ciprofloxacin) commencée il y a trois jours par son médecin pour une infection urinaire. Il se plaint d'une asthénie. Le bilan réalisé aux urgences fait initialement suspecter une asthénie sur pneumonie, DD une insuffisance cardiaque avec une insuffisance respiratoire partielle. Un traitement par Co-Amoxicillin est débuté. A la réévaluation à l'étage, le patient semble plutôt souffrir d'une insuffisance respiratoire hypoxémique non infectieuse et non congestive probablement chronique. La baisse de l'état général est mise sur le compte de l'infection urinaire et du traitement par Ciproxine. Le bilan est complété par un CT thoracique fine couche qui démontre un emphysème centro-lobulaire marqué avec des infiltrats de verre dépoli surtout dans les bases pulmonaires, sans épanchement. Les fonctions pulmonaires ainsi que le consilium aux pneumologues démontrent un phénomène restrictif, non répondant aux bronchodilatateurs, avec un trouble de la diffusion au CO, et une hypoxémie à 6.30 kPa à l'air ambiant. Une hypertension pulmonaire majeure pu être exclue par ETT le 20.12.2018. Le traitement par oxygène devra être poursuivi à vie à domicile et l'installation est organisée avec la ligue pulmonaire. D'un point de vue oncologique, le bilan est complété par un CT crânien, en vue du statut post opératoire pour exclure une complication post-opératoire. La radiothérapie sera organisée à Fribourg, avec une première consultation le 28.12.2018. Une chimiothérapie sera discutée dans notre service d'oncologie en ambulatoire, le patient sera convoqué. La situation sociale reste précaire avec une incapacité de gérance des affaires sociales et administratives dans un contexte de troubles cognitifs. Après discussion avec notre service de liaison, le patient ainsi que sa fille, nous avons décidé de formuler un avis de détresse au tribunal de la paix du district de la Gruyère (# dossier: 100-2018-444, Juge: Mme. X). Avec pour objectif de clarifier la situation et de prévenir un retard trop important administratif et social au vu de la péjoration attendue vue des maladies progressives. En plus de cela, une demande à l'état de Fribourg a été formulée pour des prestations complémentaires, et est en cours d'évaluation. Le patient rentre à domicile le 23.12.2018 en compagnie de sa fille, avec de l'oxygène à vie. Mr. Y est hospitalisé pour une bradycardie de découverte fortuite lors d'une transfusion sur anémie ferriprive normochrome normocytaire chronique. D'un point de vue cardiologique, Mr. Y se plaint d'une dyspnée NYHA II sans angor ni dyspnée paroxystique nocturne. Une décompensation cardiaque légère est diagnostiquée et un surdosage en digoxine est initialement incriminé, mais finalement exclu au vu d'une persistance de la bradycardie après une semaine d'arrêt du traitement. Nous proposons tout de même de stopper ce traitement au vu de la bradycardie persistante. Le bilan est complété par une ETT qui ne met pas en évidence d'anomalie structurelle. Un Holter est également réalisé pour lequel les résultats restent à pister. Bien qu'une anticoagulation soit indiquée en attente d'une cardioversion, cette dernière n'est pas débutée au vu de la forte suspicion de spoliation digestive pour laquelle une OGD est déjà prévue en ambulatoire. A noter que la bradycardie s'amende lors de l'effort (90 bpm lors de la marche). Si la bradycardie devenait symptomatique, la mise en place d'un pacemaker pourrait être rediscutée. La légère décompensation évolue favorablement sous traitement diurétique. Les derniers examens radiologiques (CT CIMF: 15.11.2018) avaient mis en évidence une cirrhose avec des signes d'hypertension portale (varices oesophagiennes et splénomégalie). Bien qu'un traitement bêtabloquant serait indiqué pour la prévention de rupture des varices, il n'est pas envisageable avec la bradycardie actuelle. Un ultrason abdominal confirme le diagnostic sans inversion du flux porte. Les sérologies virales sont négatives et une hémochromatose est exclue. Nous ne poussons pas les examens biologiques plus au vu de l'histoire claire d'éthylisme chronique. Le patient a accepté de discuter de son éthylisme chronique avec Mr. X de la fondation Le Torry le 17.12.2018 à 16:00. D'un point de vue rhumatologique, bien que le traitement par méthotrexate soit hépatotoxique, il reste indiqué au vu de l'atteinte unguéale du psoriasis. Au vu de la bonne tolérance, les rhumatologues proposent de poursuivre ce traitement. En cas de péjoration de la cirrhose, un avis dermatologique devra être pris pour changer de traitement. Une bicytopénie déjà connue est mise sur le compte de la cirrhose avec splénomégalie et d'une possible spoliation digestive. Nous ne constatons pas de déficit vitaminique ou de dérèglement thyroïdien pouvant expliquer l'anémie. Le déficit ferrique est traité par Ferinject et un bilan endoscopique est déjà prévu en ambulatoire. Bien que la formule sanguine complète soit rassurante, un SMD n'est pas exclu et pourra être recherché en cas de persistance de la cytopénie après correction des déficits. Durant l'hospitalisation, les glycémies sont augmentées et nécessitent une adaptation de l'insulinothérapie. Le traitement par metformine est stoppé en raison de la cirrhose. Mr. Y se plaint également de douleurs d'allure neurogène aux membres inférieurs possiblement secondaires à son diabète et à son éthylisme. Un traitement par prégabaline est débuté et devra être majoré progressivement. Après surveillance clinique de la bradycardie et un bilan adapté à la situation, le patient pu rentrer à domicile en bon état général après explications du diagnostic. Mr. Y travaille comme charpentier et chute ce jour (le 11.12) d'une échelle, d'une hauteur d'environ 1,5m et se coince le pied D entre 2 barreaux. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est immobilisé dans un plâtre fendu avec un contrôle prévu à la consultation d'orthopédie dans 7 jours et sera recontacté pour la décision du collier d'orthopédie pour la prise en charge chirurgicale v/s conservatrice. Mr. Y est hospitalisé aux soins intensifs le 21.12.2018 pour un choc septique sur perforation d'un ulcère duodénal.L'intervention chirurgicale consiste en une laparotomie, une suture duodénale avec un patch épiploïque et mise en place d'un pansement à pression négatif sous-cutané. En per opératoire, une gastroscopie est réalisée (Dr. X) afin de poser une sonde nasogastrique. Cette dernière révèle une nécrose partielle de l'oesophage distal ainsi que plusieurs ulcérations duodénales. En post opératoire, le patient est transféré aux soins intensifs. L'état hémodynamique se stabilise après remplissage vasculaire, soutien aminergique transitoire, corticothérapie, antibiothérapie à large spectre et traitement antifongique. Les catécholamines sont sevrées et le patient a pu être extubé après déplétion hydro-sodée. On vous laisse le soin de réintroduire le traitement de l'insuffisance cardiaque en fonction de l'évolution. L'antalgie est initialement gérée par Fentanyl. En raison d'une somnolence qu'on a attribuée à un surdosage en opiacés, nous avons introduit le Paracétamol et la Novalgine. Sur le plan digestif, un traitement par Pantoprazole est conduit. Une alimentation parentérale est débutée progressivement. On vous laisse le soin de l'adapter en fonction des besoins caloriques et de l'évolution des électrolytes. Concernant l'attitude générale, on a convenu avec la famille de ne pas faire d'escalade thérapeutique et de privilégier les soins de confort en cas d'aggravation. Le patient est transféré en chirurgie pour la suite de la prise en charge. MRSA 2 positif, décolonisation faite : pas besoin d'isolement aux urgences par contre, demander avis UPCI si hospitalisation. Endoprothèse aortique couvrant la partie distale de la crosse et la partie proximale de l'aorte descendante sur environ 11,5 cm. Diabète insulino-requérant. Douleurs thoraciques pariétales G récidivantes depuis 2012. Mucite de l'estomac 30.10.2018 avec : • radio-chimiothérapie pour cancer de l'oesophage jusqu'au 23.11.2018 • impossibilité d'alimentation par PEG Mucite digestive dans post-chimiothérapie pour un mésothéliome : • 3ème cycle de chimiothérapie par Paraplatine/Alimta le 22.10.2018 Mucite orale post radique sans dysphagie avec douleur neuropathique. Mucite post chimiothérapie avec diarrhées, nausées et vomissements récidivants, déshydratation, état fébrile le 29.11.2018 • possible translocation bactérienne digestive Mucite secondaire à la chimiothérapie avec diarrhées profuses en octobre 2018. Cure de hernie inguinale droite en 2016. Pose de PTH bilatérale à l'âge de 60 ans. Mucite sévère sur chimiothérapie le 16.12.2018. Mucite sévère sur 5-FU le 16.12.2018. Mucoviscidose delta F508 homozygote avec : • multiples hospitalisations pour exacerbation en 2011 et 2012 • greffe bipulmonaire (lobes supérieurs) le 30.01.2013 pour syndrome obstructif sévère (suivi : CHUV, Dr. X) • insuffisance pancréatique exocrine substituée. Colonisation à Pseudomonas aeruginosa (2013). Hépatomégalie sans stéatose 02.2017. Sinusite chronique avec papillomatose de grade II-III ddc avec : • septoplastie, méatotomie, ethmoïdectomie et fronto-méatotomie et sphénoïdotomie le 30.09.2015. Muguet. Muguet buccal. Muguet débutant asymptomatique. Muguet fond de gorge. Muguet intrabuccal. Multilind crème (Nystatin) 3x/jour jusqu'à 2 jours après disparition des symptômes. Multilind. Calendula crème. Conseils de changement de couches. Multiparité. Multiple fracture intra-articulaire de l'olécrane gauche, le 30.12.2018. Multiple fractures du bassin le 30.10.2018 avec : • fractures ilio-pubiennes gauche et ilio-ischio-pubienne droite non déplacées • fracture sacrum transverse incomplète atteignant le foramen S5 D • fracture du mur antérieur du cotyle à gauche. Multiple interventions orthopédiques pour arthrose. Hystérectomie avec repositionnement de la vessie. Multiples adénopathies mésentériques, associées à une hépatosplénomégalie le 14.12.2018. DD: infectieux, inflammatoire, tumoral. Multiples agressions. Multiples angines bactériennes. Multiples angines virales et à streptocoques. Multiples angiodysplasies dans l'antre gastrique : • oesophago-gastro-duodénoscopie 27.01.2017 : angiodysplasies multiples dans l'antre gastrique • CT thorax-abdomen du 12.10.2017 : pas de diverticulite, diverticule colon descendant • status post transfusions sanguines, dernière transfusion le 18.10.2017 • status post APC (Argonplasmacoagulation) en gastro-entérologie à l'HFR le 20.10.2017 (Dr. X) • anémie normocytaire hypochrome d'origine spoliative le 18.11.17. Hypertension artérielle traitée. Hypercholestérolémie. Cuff-tear arthropathie épaule droite. Gonarthrose tricompartimentale genou droit avec status post arthroplastie droite le 23.11.2011. Colonisation urinaire à E. Coli ESBL sensible à la nitrofurantoïne le 21.11.2017. Souffle systolique aortique le 18.11.17. Multiples AVC ischémiques subaigus au niveau frontal, pariétal et occipital droits et de la moelle allongée à gauche le 27.12.2018 • syndrome de Wallenberg • NIHSS : 3. Multiples chirurgies intra-abdominales par laparotomie avec iléus (anamnestique) Appendicectomie PTH gauche Chirurgie de la cataracte de l'œil gauche. Multiples contusions par des coups de son copain avec TC sans PC sans AC le 22.12.2018 • hématome orbitaire droite > gauche • hématomes de l'étranglement sur le cou • plusieurs hématomes - de 1 à 2 cm coude ddc, genoux ddc, épaule gauche • hématome région para lombaire L3 à droite 4 cm linéaire. Multiples décompensations cardiaques : • sur crise hypertensive en février 2008 • sur rétention hydrosodée en juin 2014 • sur tachycardie supraventriculaire en novembre 2015 • sur progression de l'insuffisance cardiaque terminale juin 2016 • d'origine indéterminée 2017. État confusionnel aigu en 2008. État confusionnel aigu hyperactif probablement d'origine multifactorielle (insuffisance respiratoire, sevrage éthylique, médicamenteux, épisodes d'hypoglycémies) juin 2014. Anémie normocytaire normochrome régénérative d'origine indéterminée juin 2016. Hyponatrémie légère aiguë asymptomatique probablement sur Métolazone juin 2016. Acutisation AKIN I sur bas débit d'une insuffisance rénale chronique KDIGO 3 probablement mixte sur néphropathie hypertensive et diabétique. Hypomagnésémie à 0.76 mmol/l le 20.03.2017. Hyponatrémie normo-osmolaire à 130 mmol/l le 20.03.2017. Suspicion d'arrachement du rebord latéral métatarse I distal. Multiples décompensations cardiaques : • sur crise hypertensive en février 2008 • sur rétention hydrosodée en juin 2014 • sur tachycardie supraventriculaire en novembre 2015 • sur progression de l'insuffisance cardiaque terminale juin 2016 • d'origine indéterminée 2017. État confusionnel aigu • en 2008 • en juin 2014, ECA hyperactif probablement d'origine multifactorielle (insuffisance respiratoire, sevrage éthylique, médicamenteux, épisodes d'hypoglycémies) juin 2014. Anémie normocytaire normochrome régénérative d'origine indéterminée juin 2016. Hyponatrémie légère aiguë asymptomatique probablement sur Métolazone juin 2016. Acutisation AKIN I sur bas débit d'une insuffisance rénale chronique KDIGO 3 probablement mixte sur néphropathie hypertensive et diabétique.Hypomagnésémie à 0.76 mmol/l le 20.03.2017 Hyponatrémie normo-osmolaire à 130 mmol/l le 20.03.2017 Suspicion arrachement rebord latéral métatarse I distal Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle sur BPCO, décompensation cardiaque para-infectieuse et tachycardie le 06.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine probablement cardio-rénale le 06.12.2018 avec une clairance selon MDRD à 30 ml/min Multiples décompensations cardiaques : • sur crise hypertensive en février 2008 • sur rétention hydrosodée en juin 2014 • sur tachycardie supraventriculaire en novembre 2015 Décompensation cardiaque globale sur probable progression d'une insuffisance cardiaque terminale en juin 2016 Etat confusionnel aigu en 2008 Etat confusionnel aigu hyperactif probablement d'origine multifactorielle (insuffisance respiratoire, sevrage éthylique, médicamenteux, épisodes d'hypoglycémies) juin 2014 Décompensation cardiaque globale subaiguë le 15.03.2017 Anémie normocytaire normochrome régénérative d'origine indéterminée juin 2016 Hyponatrémie légère aiguë asymptomatique probablement sur Métolazone juin 2016 Acutisation AKIN I sur bas débit d'une insuffisance rénale chronique KDIGO 3 probablement mixte sur néphropathie hypertensive et diabétique Hypomagnésémie à 0.76 mmol/l le 20.03.2017 Hyponatrémie normo-osmolaire à 130 mmol/l le 20.03.2017 Suspicion arrachement rebord latéral métatarse I distal Multiples dermabrasions et plaies superficielles du massif facial Multiples EP et TVP, sous Sintrom Cure d'hernies inguinales bilatérales 09.2018 Cancer de la prostate traité par radiothérapie il y a 10 ans, rémission complète Cure d'hémorroïdes Phakectomie droite en 2017 Multiples épisodes d'EP (dernier épisode en 2014). Multiples épisodes de TVP. • TVP MID en 11/18, actuellement sous Xarelto. Multiples épisodes d'état fébrile sur probable pneumonie de broncho aspiration : • pneumonie le 25.09.2017 : Co-Amoxicilline du 25.09 au 02.10.2017 • récidive le 13.10.2017 avec Piperacilline-Tazobactam du 13.10 au 20.10.2017 • récidive le 05.11.2017 avec Piperacilline-Tazobactam du 07.11 au 15.11.2017 • surinfection pulmonaire du lobe inférieur droit le 25.05.2018 (co-amoxicilline durant 10 jours) • pneumonie mi-juin 2018 avec Co-amoxicilline du 11.06 au 18.06.2018 et ajout de Ciprofloxacine du 12.06 au 19.06.2018 (vu Serratia Marcescens dans les prélèvements de la bronchoscopie du 29.05.2018) puis hospitalisation avec Tazobac du 22.06 au 26.06.2018 et Co-amoxicilline 1 gr 3x/j du 27.06 au 29.06.2018 Pneumonie du lobe inférieur droit le 09.08.2018 dans le contexte de : • Carcinome pulmonaire du lobe supérieur droit sous immunothérapie par Atezolizumab • Prophylaxie par Co-amoxicilline 1g 2x/j pour stent endotrachéal colonisé par S. aureus Dénutrition protéino-calorique dans un contexte oncologique avec NRS 4 • aggravée par anorexie post-chimiothérapie le 29.09.2017 • perte pondérale de 15 kg en 4 - 5 mois • Pose de sonde naso-gastrique le 03.10.2017 avec renutrition entérale Multiples éraflures du visage et des mains Multiples événements vasculaires cérébraux d'origine cardio-embolique sous ACO thérapeutique : • AVC ischémique sylvien superficiel gauche sur occlusion de M1 le 07.08.2015 (INR 3.3). • AVC ischémique sylvien superficiel droit en janvier 2014. • AIT avec dysarthrie et hypoesthésie de la main droite régressif en 15 min en avril 2014 (INR 2,8). • AIT sylvien droit avec dysarthrie et faiblesse MSG le 09.10.2015 (INR supra-thérapeutique). • AIT basilaire le 26.10.2015 (INR 3.8). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement prérénale sur déshydratation en 2014. Infection urinaire basse le 18.12.2015 traitée par Bactrim du 18-20.12.2015. Status post-hyperthyroïdie sur Amiodarone. Status post-excision de 3 polypes coliques en mai 2014. Hystérectomie en 2000. Hospitalisation en milieu psychiatrique pour phobies en 2000. Remplacement valvulaire mitrale Redux avec mise en place d'une bioprothèse Magna Ease de 31mm en péricarde sur armature type Carpentier Edwards Magna Ease 31 sous CEC, fecit Prof. X le 09.12.2015, pour thromboses à répétition de la valve mécanique avec multiples AVC d'origine cardio-embolique : • Status post remplacement de la valve mitrale par valve mécanique ATS 33 mm fecit Dr. X en mars 2011. • Status post multiples AVC cardio-emboliques sur thromboses répétitives de la valve mitrale mécanique sous ACO thérapeutique. • Artères coronaires sans sténose significative (angio-CT du 07.12.2015). • Axes pré-cérébraux au Doppler carotido-vertébral du 08.12.2015 normaux. • FA intermittente sous ACO, status post ligature de l'auricule gauche en 2011. • FEVG à 48% le 14.12.2015. Algoneurodystrophie (CRPS type 1) du MSD prédominant à l'épaule droite. Hypomagnésémie légère à 0.78 mmol/l le 04.01.2016. Eczéma de contact au niveau bimalléolaire externe sur bas de contention. Gastrite avec probable gastroparésie. • Patiente sous Pantozol 2X40 mg pour gastrite => introduction Motilium 10 mg. Multiples fractures le 24.11.2018 • Fracture par compression latérale du bassin des branches ilio-pubienne et ischio-pubienne gauches non déplacées • Suspicion de fracture du sacrum gauche non déplacée Multiples fractures traumatiques des chevilles et des poignets au sport durant l'enfance Multiples interventions chirurgicales épaule D Multiples métastases cérébrales dans un contexte de carcinome épidermoïde pulmonaire avec : • hémisyndrome distal droit ataxique et parétique • aphasie de Broca Multiples morsures de chat (ou chien) thénard, hypothénard G, MCP palmaire et dorsal Dig II D et P3 palmaire Dig II D le 13.08.12 Syndrome du tunnel carpien main droite Multiples nodules pulmonaires au CT du 18.12.2018 Multiples plaies chroniques au niveau des mains et des MI • DD vasculite Multiples plaintes algiques d'origine musculo-squelettique, le 08.12.2018. Multiples sténoses asymptomatiques au niveau précérébral : • Sténose significative asymptomatique au niveau de l'artère sous-clavière gauche • Sténose de 50% à 70% au départ de la carotide interne gauche • Subocclusion au départ de la carotide interne droite Multiples TC sans PC dans contexte d'anticoagulation • chute mécanique sur faiblesse des membres inférieurs. Multiples tentatives médicamenteuses. Alcoolisation aiguë le 30.04.2016. Hystérectomie inter-annexielle par laparotomie pour utérus myomateux symptomatique le 26.11.2014. Hématome sous-cutané surinfecté à J6 post-opératoire d'une hystérectomie totale par Pfannenstiel le 26.11.2014, drainage et rinçage sous anesthésie générale le 03.12.2014. Multiples traumatismes au pouce au volley Multiples tumeurs sous-cutanées avant-bras droit. DD fibrome, myofibrome, neurofibrome. Status post exérèse biopsie en 2015. Irritation nerf cubital à D. Multitude d'otites médianes. Mutation du facteur V Leiden avec embolie pulmonaire en décembre 2011, sous Xarelto 20 mg. Hernie hiatale de 3 cm. Fibrillation auriculaire à conduction rapide inaugurale le 18.10.2018. Fracture tassement D6 d'origine indéterminée. Gastrite sous IPP. Mutation du facteur V Leiden sous-anticoagulation thérapeutique par Xarelto avec status post multiples thromboses veineuses profondes et embolie pulmonaire.Status post traumatisme crânio-cérébral en 2009 avec : • Fracture non embarrée occipitale droite • Multiples foyers d'hémorragies intra-parenchymateuses bi-frontales et temporo-basales antérieures • Hémorragie sous-arachnoïdienne pré-pontique et péri-mésencéphalique • Petit hématome sous-dural para-sagittal gauche au niveau de la faux du cerveau • Anosmie Epilepsie suite au TCC de 2009 Malade de Verneuil Syndrome d'apnées obstructives du sommeil appareillé Troubles dépressifs récurrents, avec tentative de suicide par ingestion alcool-médicaments 2018 Hypogonadisme substitué Ostéopénie densitométrie Mutation hétérozygote du facteur II. Mutation hétérozygote du Facteur V Leiden avec : • Médicaux : Status post 3x TVP mollet gauche en 2002 (sous pilule)/2004 (pilule)/2008 • Lésions substance blanche à l'IRM en janvier 2015 : séquellaires de thrombose (données anamnestiques) Lombosciatalgies S1 G sur rétrécissement foraminal L5-S1 et probable impingement de la racine S1 au niveau récessal G ainsi que rétrécissement congénital du canal L4-L5. Mutilation génitale de type 2 Mutilation génitale féminine de type 2. Mutilation génitale féminine IIIa (OMS) désinfibulée lors de l'AVB en 11.2017 Mutisme Myalgies. Myalgies à prédominance scapulaire Opération d'une tumeur X au cerveau à l'âge de 20 ans Insuffisance veineuse des membres inférieurs Myalgies dans un contexte d'une gastro-entérite aigue légère (DD : Norovirus, myosite, troubles électrolytiques) Myalgies diffuses • DD : contexte d'infection, état grippal. Myalgies diffuses et dysurie au décours d'un syndrome grippal. Mycose au niveau inguinal Mycose buccale. Mycose buccale : • Dans un contexte de traitement par Dexaméthasone depuis fin septembre 2018 Mycose dans la région péri-anale Mycose du siège Mycose inguinale, le 08.12.2018. Mycose interdigitale. Mycose interdigitale entre le 4ème et le 5ème orteil à droite. Mycose oesophagienne en 2011 Dysphagie d'origine X le 24.04.2013 DD : corps étranger, mycose Mycose orale le 19.11.2018 Mycose oropharyngée dans contexte de corticothérapie Mycose sous-mammaire à gauche le 19.11.2018 Mycose sub mammaire gauche le 17.12.2018 Mycose submammaire Mycose vaginale Mycose vaginale. Mycose vaginale. Mycose vaginale. DD : Infection urinaire basse. Mycose vaginale récidivante. Infection urinaire basse. Mycose vaginale. Intoxication alimentaire. Mycostatin Mycostatin 1ml 4x/j du 16.11.2018 au 04.12.2018 Mycostatine dès le 13.12.2018 jusqu'à amélioration des symptômes Mycostatine du 05-12.2018 Fluconazole 200 mg po du 06-10.12.2018 Traitements symptomatiques : Primperan, Bexine, Morphine Mycostatine du 19.11 au 26.11.2018 Mycostatine p.o. 19.11-5.12 Fluconazole 5.12-10.12.2018 Fluconazole en réserve à la sortie si récidive Mycostatine 100 000 E/ml Myélite non traitée en mai 2013. Hypothyroïdie non substituée. Myélo-fibrome diagnostiqué en 2015 (Dr. X) Myélofibrose diagnostiquée en 2009 avec : • Métaplasie myéloïde (1% de blastes), bicytopénie (leucopénie, anémie) et hépato-splénomégalie • Transfusions de culots érythrocytaires toutes les 3 semaines, stoppées depuis 2013 • Traitée par Revlimid 1x/semaine • Anémie normocytaire hypochrome depuis septembre 2016 • Hyperuricémie avec crise de goutte au genou D en sept 2013 dans ce contexte sous Allopurinol Insuffisance cardiaque traitée Hypertension artérielle traitée Reflux gastro-oesophagiens Paralysie faciale incomplète non datée avec affaissement du pli naso-génien Myélofibrose primaire de la rate traité par ruxolitinib. Attaque de panique. Myélographie au CIMF le 08.01.2019 Prochain contrôle le 22.01.2019 Myélographie chez IMDG le 10.12.2018 Prochain contrôle le 18.12.2018 Myélographie dynamique sous hypnose et sédation puis contrôle chez nous Myélographie fonctionnelle + CT du 10.12.2018 (IDMG) : Discopathie étagée de L2 à L5 avec présence d'une hernie gazeuse foraminale G L2-L3 et L3-L4 majorant une protrusion discale foraminale et extra-foraminale à l'origine d'une amputation radiculaire sur la séquence myélographique, pouvant expliquer la symptomatologie de cette patiente. Important remaniement dégénératif et statique avec arthrose interfacettaire étagée de L2 à L5. Myélographie fonctionnelle + CT le 21.12.2018 (CIMF) Evaluation neurologique au Neurocentre (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle après ces examens Myélographie fonctionnelle avec CT du 28.11.2018 (PACS) : Cf diagnostic. Myélome multiple à chaînes légères lambda stade ISS IIIB, avec infiltration diffuse (plus de 90%) du tissu hématopoïétique • Date du diagnostic : 10.10.2018 • Laboratoire initial : créatinine 117µmol/l, calcium corrigé 2,65mmol/l, LDH 409U/l, kappa libre 1'330mg/l, rapport kappa/lambda libre 0.02, hémoglobine 96g/l, bêta-2-microglobuline 10.8mg/l, immuno-fixation positive avec présence de chaînes légères lambda non associées à des chaînes lourdes • CT-scan thoraco-abdomino-pelvien du 02.10.2018 : multiples lésions ostéolytiques touchant notamment l'humérus proximal droit, le corps vertébral de L5 et le bassin (principalement au niveau de l'aile iliaque droite) • Echocardiographie transthoracique du 11.10.2018 : fraction d'éjection ventriculaire gauche normale, sans argument clair pour une amyloïdose cardiaque • Ponction-biopsie de moelle osseuse le 11.10.2018 avec biopsie, frottis, cytogénétique et cytométrie de flux : en cours • Actuellement : Dexaméthasone 20mg 1x/jour les 11, 12, et 13.10.2018, puis introduction d'un traitement de première intention par Revlimid, Velcade et Dexaméthasone Myélome multiple à IgG Kappa ISS stade II, Durie et Salmon stade IIIA • Date du diagnostic : 14.12.2017• ponction-biopsie de moelle osseuse crête iliaque gauche du 14.12.2017 : infiltration médullaire plasmocytaire monoclonale de 20-30% • cytométrie en flux : infiltration par une population plasmocytaire clonale • cytogénétique : en cours • laboratoire du 12.12.2017 : immunofixation positive, Hb 116 g/l, créatinine 77 µml/l, albumine 27.6 g/l, calcium corrigé 2.78 mmol/l, IgG 37.9 g/l, Kappa 615 mg/l, lambda 8.4 mg/l • CT thoraco-abdominal du 11.12.2017 : destruction ostéolytique du rachis avec atteinte de D2, D5, D10 et L2. Anciennes fractures des 7ème, 8ème et 9ème côtes à droite • status post-radiothérapie du rachis de D1 à D5, de D10 et de L2, 30 Gy du 24.01.2018 au 08.02.2018 • sous traitement de première intention par Revlimid et Dexaméthasone dès le 04.01.2018 avec diminution de la dose à 20 mg 21 jours sur 28 dès le 05.04.2018 et diminution progressive de la Dexaméthasone actuellement 4 mg par semaine avec normalisation des IgG et des chaînes légères Kappa, absence d'insuffisance rénale, d'hypercalcémie et anémie stable • actuellement : poursuite du traitement par Revlimid à 20 mg/jour 3 semaines sur 4 et Dexaméthasone à 4 mg/semaine. Poursuite du Zometa de façon mensuelle. Prochaine chimiothérapie prévue le 12.12.2018 • Myélome multiple de stade III • CT thoraco-abdominal le 14.12.2018 : multiples lésions ostéolytiques au niveau de la colonne et bassin avec fractures costales • US abdominal le 14.12.2018 : absence de tumeur primaire • CT cérébral le 18.12.2018 : multiples lésions ostéolytiques • Electrophorèse : kappa libre à 2350 mg/l, rapport kappa/lambda 273.3 • beta-2-microglobuline 5.7 mg/l • Ponction moelle osseuse (19.12.2018, Promed B2018.4475) : dyscrasie plasmocytaire, infiltration 70 % • CRAB initialement tous positifs • Myélome multiple de type IgG Kappa en stade ISS II Durie Salmon stade II • date du diagnostic : 02.11.2015 • pathologie (Promed P9503.15) : Myélome plasmocytaire immunophénotype IgG Kappa avec infiltration à prédominance interstitielle 30 – 35 % du tissu hématopoïétique • CT-scan abdomino-pelvien du 16.10.2015 : lésions lytiques D11, L1, L3 et de la ceinture pelvienne • bilan biologique : Hb 113 g/l, calcémie normale, IgG 65,28 g/l, kappa libre 880 mg/l, béta-2-microglobuline 3,7 mg/l • status post-3 cures de chimiothérapie par Velcade, Melphalan, Prednisone du 09.11.2015 au 03.03.2016 avec rémission partielle • traitement par bisphosphonates (Zometa) débuté en 2015 • CT thoraco-abdominal du 25.04.2016 : lésions ostéocondensantes pouvant correspondre à des lésions de myélome guéries • traitement par Revlimid 25 mg J1-J21 débuté le 14.11.2016 • CT thoracique du 08.03.2017 : pas de progression des lésions osseuses • arrêt du Revlimid sur atteinte médullaire des 3 lignes le 02.07.2018 • Radiothérapie à visée palliative du 02.08.2018 au 20.08.2018 en 12 séances de 2.5 Gy • C1-C3, C6-7, pointe omoplate G et clavicule G • IRM 05.11.18 : infiltration médullaire diffuse sans fracture • En raison d'une progression de la maladie avec augmentation du pic monoclonal d'IgG de 8.8 g/L à 27.7 g/L, instauration thérapie par imnovid et dexaméthasone avec cycle de 21 jours de traitement puis 7 jours de pause à partir du 20.11.2018 • Dernier contrôle chez l'oncologue traitant (Dr. X) le 11.12.2018 • Rendez-vous de contrôle le 08.01.19 et 11.01.19 • Myélome multiple indolent (smouldering myeloma) à IgG Lambda, de stade IA selon Durie-Salmon et de stade III selon ISS avec : • hémogramme au diagnostic : Hb 158 g/l, GB 7,8 G/l (PMN 57%, eo 5%, mono 11%, lympho 26,5 %), Tc 220 G/l • laboratoire au diagnostic : créatinine 96 mmol/l, LDH 430 U/l, CRP 5 mg/l, calcium 2,41 mmol/l, protéine totale 91,5 g/l, albumine 41,6 g/l, IgG 31,65 g/l, IgA 2,23 g/l, IgM 2,28 g/l, Kappa 15,2 mg/l, Lambda libres 24,3 mg/l, bande monoclonale IgG Lambda à l'immunofixation, bêta-2-microglobulines 7,4 mg/l. • ponction-biopsie de moelle du 30.03.2015 : moelle normocellulaire, trilinéaire, avec infiltration plasmocytaire allant jusqu'à 20% au médullogramme, et à 15% (à par endroits 25%) par des plasmocytes CD38+, MUM1+, CD56+ et cyclines D1+, avec monotypie IgG et Lambda à la biopsie ostéomédullaire, compatible avec un myélome plasmocytaire. • cytométrie en flux médullaire du 30.03.2015 : population plasmocytaire clonale CD38+, CD138+, CD56+, CD19 faible, CD20 partiel, CD27 partiel et CD28 partiel, c-KIT-, Lambda +, représentant 1,8% des éléments nucléés.• bilan radiologique standard (colonne totale, bassin, fémurs, bras et crâne) du 25.03.2015 : pas de lésion lytique évidente hormis une petite lésion lytique d'aspect ovalaire isolée se situant à la jonction métaphyso-diaphysaire distale et proximale du bras droit. • traitement à visée anti-prurigineuse par Deroxat 20 mg par jour le 07.04.2015, stoppé le 10.04.2015 en raison d'une intolérance (vomissements) • traitement anti-myélomateux par un 1er cycle MPT (Melphalan 4 mg/m², Prednisone 40 mg/m², Thalidomide 100 mg par jour) le 03.06.2015, sans prise de Prednisone en raison d'une notion d'intolérance aux stéroïdes, et avec interruption après déjà 4 jours de traitement de Melphalan (en raison d'importantes nausées et vomissements) et après 7 jours de Thalidomide (apparition de paresthésies dans les mains et les pieds, et de douleurs dans les pieds) • traitement anti-myélomateux par 5 cycles de Dexaméthasone haute dose (40 mg par jour J1 – J4) les 22.06.2015, 14.07.2015, 04.08.2015, 24.08.2015 et 14.09.2015, compliqué d'une décompensation diabétique nécessitant une insulinothérapie, avec obtention d'une très bonne réponse hématologique partielle (normalisation du taux d'IgG total, forte diminution du prurit) • progression du myélome dès le 28.01.2015 avec un pic de paraprotéine IgG à 24,43 g/l le 11.01.2016 associée à une aggravation du prurit • traitement : 1er cycle de Dexaméthasone seule (20 mg, J1, J8, J15 et J22) effectué le 11.01.2016, puis traitement combiné par Revlimid (25 mg par jour J1 – J21) et Dexaméthasone (20 mg, J1, J8, J15 et J22) en cycle de 28 jours, avec un 1er cycle débuté le 04.02.2016, un 2ème cycle (avec Revlimid à 50% de la dose totale en raison d'une insuffisance rénale) débuté le 02.03.2016, un 3ème cycle effectué le 30.03.2016, un 4ème cycle effectué le 27.04.2016, un 5ème cycle effectué le 25.05.2016, un 6ème cycle effectué sans Dexaméthasone le 22.06.2016, un 7ème cycle effectué sans Dexaméthasone le 20.07.2016 (avec Revlimid 25 mg 100% DT) avec obtention d'une très bonne réponse hématologique partielle (VGPR) le 17.08.2016 (IgG totales à 14,68 g/l) • reprise d'un traitement par Thalidomide 50 mg 1x/jour le 11.08.2017 (stoppé le 21.08.2017 en raison d'une intolérance sous forme d'un exanthème cutané prurigineux diffus). • situation actuelle (21.08.2017) : lente progression de la paraprotéinémie avec des IgG totales à 24.79 g/l le 21.08.2017 • Myélome multiple stade IA diagnostiqué en 2010 avec status post 2 cycles de chimiothérapie par Velcade associé à Dexaméthasone (hebdomadaire) du 11.09 au 31.10.2018, puis Zometa 4 mg 1x/mois. Prochain traitement le 12.12.2018 • Polyarthropathie microcristalline à cristaux d'acide urique avec crises à répétition (1990s) • Myélome multiple traité par chimiothérapie avec : • Velcade 19 mg, Alkeran 5x 2 mg et Prednisone (1ère dose le 24.08.2017, 2ème dose le 31.08.2017). • Prophylaxie par Bactrim, Valaciclovir. • Prophylaxie anti-thrombotique par Aspirine. Arrêt du Bactrim selon avis infectiologique, Dr. X. Reprise du Valaciclovir dès le 08.09.2017. Reprise d'une anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg du 08.09.2017 au 12.09.2017, puis par Xarelto 10 mg. Prochaine chimiothérapie prévue le 14.09.2017. Suivi par Dr. X. Zona, herpès sur dermatome C5. Accident vasculaire cérébral ischémique fronto-cortical gauche d'origine indéterminée mais probablement embolique sans séquelles. Avis oncologique, Dr. X : • Ad anticoagulation thérapeutique par Xarelto, d'accord avec l'avis neurologique. • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec importante rétropulsion. Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 29.10.2018 au 08.11.2018, avec : • Test de la cognition du 01.11.2018 : MMSE à 16/27, test de la montre pas réalisable (n'arrive pas à garder le stylo) ; GDS à 3/15. Troubles cognitifs modérés. Test de la cognition du 01.11.2018 : MMSE à 16/27, test de la montre pas réalisable (n'arrive pas à garder le stylo) ; GDS à 3/15. Tremblements essentiels. • Myélome plasmocytaire à IgG Kappa • ED le 12.11.2018 • Fracture-tassement en galette de L1 avec recul du mur postérieur et fracture T11 type A1 traitée par cyphoplastie L1, vertébroplastie T11-T12 le 22.10.2018 • biopsie osseuse le 22.10.2018 (Promed) : néoplasie à plasmocytes matures (immunophénotypage IgG kappa) avec infiltration osseuse diffuse (60-70%) • Anémie normocytaire hypochrome arégénérative • suivi par Dr. X • Myélome plasmocytaire indolent avec hypercalcémie, anémie, insuffisance rénale et lésion ostéolytique occipitale. Diagnostic le 18.05.2017, suivi par Dr. X et par le médecin traitant Dr. X • Myélopathie cervicodorsale d'origine indéterminée • DD : atteinte paranéoplasique, sarcoïdose, inflammatoire, ischémique le 29.11.2018 • des niveaux C2-C6, D2 et D4-D6, avec prise de contraste intense et œdème médullaire • symptomatique : hémisyndrome moteur droit en progression, incontinence urinaire • BEG avec deux chutes mécaniques avec trauma crânien sans perte de connaissance à domicile • Myélopathie D5-D6 et radiculopathie à prédominence axonale des membres inférieurs d'origine indéterminée • Paraparésie spastique amyotrophiante à prédominence gauche, hypoesthésie et troubles sphinctériens évoluant depuis 2014 • sérologie toxocarose positive, discrète éosinophilie en 2016 : traitement par Albendazole et Prednisone • amélioration des troubles sensitifs, sphinctériens, persistance de l'atteinte motrice du membre inférieur gauche • bilan sérologique exhaustif 10.2018 (immuno : FAN, ANCA. Infectieux : Schistosomiase (ELISA), Burdorferi, TPHA, HIV/HTLV1, TB spot) : négatif • IRM médullaire 2016 : lésion intra- et extra-médullaire D5-D6. Canal lombaire étroit L3-L5 d'allure constitutionnelle et acquise. Protrusion discale postérieure à large rayon de courbure en L4-L5 surtout en extra-foraminale gauche venant au contact de la racine L5 gauche. • IRM thoraco-lombaire 16.11.2018 : pas de changement de la lésion médullaire non rehaussée de D5 à D7. Nodule d'environ 8 mm juxtamédullaire au niveau D5 • PET scan 20.11.2018 : l'étude PET-CT 18F-FDG ne met pas en évidence d'hypercaptation pathologique nette correspondant à la lésion suspecte visualisée à l'IRM. Nous ne mettons pas en évidence de foyer hyperactif pathologique net en regard des principales aires ganglionnaires, des plages pulmonaires, du foie, de la rate ou du cadre osseux. • ENMG 2016 : atteinte radiculaire • ENMG 11.2018 : examen compatible avec radiculopathie L5-S1 • PL 2016 : hyperprotéinorachie sans pléocytose • PL du 21.11.2018 : 1 élément, Protéines 0.54 g/L • Actuellement : paraparésie spastique amyotrophiante gauche en légère amélioration selon patient. Troubles sphinctériens absents. Oedème des membres inférieurs • Suivi par Dr. X • DD toxocarose peu probable • Myocardite post-angine streptococcique le 24.12.2018 • Pic des CK à 182 U/L le 24.12.18 à 4h26 • ETT le 24.12.2018 : FEVG à 48 %, troubles de la cinétique segmentaire en apico-latéral • Pas d'argument clinique, électrocardiographique, ni échographique pour une péricardite associée • Myoclonie possiblement sur le traitement par Dibenzyran • Myoclonies nouvelles du côté droit avec déficit moteur et état confusionnel aigu • Myodésopsies • status post laser rétinien le 17.12.18. • Myoglobinurie au sédiment du 20.12.2018.Myoglobinurie d'origine indéterminée DD : rhabdomyolyse sur virose, alitement Myome de 4 cm sous séreux antérolatéral gauche Myopéricardite d'origine virale le 29.12.2018 • contexte de myopéricardites récidivantes 2010, 2011 et 2017 Myopéricardite en mars 2015 et récidive en juin 2015. Syncope avec prodrome en octobre 2015. Syncope à l'emporte-pièce en octobre 2017. Probable gastrite sur AINS. Troubles de l'adaptation. • dans un contexte de rupture sentimentale et de conflits familiaux. • sans idéation suicidaire. TCC mineur le 13.03.2017 sur chute mécanique. Syncope avec prodrome le 25/11/2017. DD : fonctionnel, rythmique, épileptique. Myopéricardite en 1990, résolue. Myopéricardite post-angine streptococcique le 24.12.2018 Myopéricardite virale le 27.12.2018 • dysfonction VG systolique modérée, FEVG 45 % • BBD intermittent N a plus de symptôme actuellement. N à terme par accouchement par voie basse, pas de risque infectieux. PN : 3555 g s/p pyélonéphrite s/p otites à répétition, avec pose de drain trans tympanique Na à 131 le 16.12.2018 Na 134 Osm plasmatique : 295 Ad hydratation ++ per os N-acétylcystéine du 21.12.2018 au 22.12.2018 Pister sérologies virales Mise en suspens des psychotropes et Keppra N-acétylcystéine du 21.12.2018 au 22.12.2018 Sérologies virales (HAV, HBV et HCV) négatives le 24.12.2018 Mise en suspens des psychotropes et du Keppra > Nach Rücksprache mit DA Kieferchirurgie, Inselspital : • Mechanismus des Traumas spricht gegen einer Fraktur • flüssiger Kost pour 2 Wochen • Analgesie b. Bedarf WV bei Zustandsverschlechterung oder Persistenz der Beschwerden über 1 Woche > Nach Rücksprache mit dem DA Orthopädie : • Immobilisation mit einem Handgelenkgips gespalten • Analgesie • Indication für eine OP gegeben • Transfer nach HFR Kantonspital zum weiteren Procedere > Nach Rücksprache mit dem DA Orthopädie : • Immobilisation mit einem Handgelenkgips gespalten • Analgesie • Indication für eine OP gegeben • Transfer nach HFR Kantonspital zum weiteren Procedere > Nach Rücksprache mit dem Dienst-Neurologe, verlegen wir den Patient mit Time is Brain Protokoll mit Ambulanz nach Fribourg. > Nachkontrolle bei der Permanence am 18.12.2018 Nackenschmerzen am ehesten muskuloskelettal bei une Kyphose NaCl iv NaCl IV du 6 au 7.12.2018 Suivi biologique NaCl IV 1000 ml Primpéran, Buscopan, Perfalgan iv Stix - Test de grossesse - • Attitude - Conseils d'usage Traitement symptomatique. NaCl 0.9 % 1000 ml/24h Suivi biologique NaCl 0,9 % 1000 ml/24h. Suivi biologique. NaCl 0.9 % 1000 ml + Primperan 10 mg + Novalgin 1 g Unter der Analgesie und Hydratation deutliche AZ-Besserung Klinische Kontrolle beim HA b. Bedarf NaCl 0.9 % 500 ml + Primperan 10 mg i.v. NaCl 0.9 % 500 ml + Primperan 10 mg NovoRapid 9 E i.v. Aspirin 500 mg i.v. Transfer mit der Ambulanz auf die Insel NaCl 0.9 % 500 ml Transfer nach Fribourg zur Neuro-Überwachung, TTE/TEE, EEG, CT Angio NaCl 0.9 % 500 ml + Novalgin 1 g + Buscopan 10 mg Pat a pris Dafalgan 1 g et Pantozol 40 mg soi avant 45 min Im Verlauf + Paracetamol 1 g i.v. + Primperan 10 mg NaCl 0.9 % 500 ml + Paracetamol 1 g + Voltaren 75 mg i.v. Novalgin 1 g p.o. Novalgin 1 g i.v. ; Buscopan 10 mg i.v. Bei unklarem Krankheitsbild und bei schlecht therapierbaren Schmerzen avec persistierender Schmerzintensität von 5-6/10 -> Hospitalisation auf die Innere Medizin, HFR Meyriez NaCl 0.9 % 500 ml i.v. + Paracetamol 1 g i.v. Transfer nach HFR Fribourg NaCl 0.9 % 500 ml i.v. Transfer auf die Neurologie Inselspital NaCl 0.9 % 500 ml i.v. Buscopan 10 mg, Novalgin 1 g, Voltaren 75 mg, Primperan 10 mg Nach Rücksprache mit dem DA Urologie Dr. X : • Trinkrestriktion 1-1.5 L • NSAR fix + Novalgin 1 g x3 i.R. • Tamsulosin 0.4 mg x1 • Kontrolle in 2-3 Tage NaCl 0.9 % 500 ml i.v. Klinische Kontrolle beim HA in 2-3 Tage Sofortige WV bei Zustandsverschlechterung NaCl 0.9 % 500 ml Transfer zur Überwachung in die Insel NaCl 1000 ml/12h avec KCl 20 mmol/L Contrôle labo demain Mme. Y présente une fracture de clavicule non déplacée avec traitement conservateur par rucksack durant 4 semaines et un contrôle intermédiaire à une semaine en orthopédie. Concernant les douleurs du coude gauche, elles sont très légères et la clinique est peu évocatrice d'une fracture. Nous ne réalisons pas de Rx à ce niveau, la patiente est prévenue de reconsulter si les douleurs ne devaient pas s'amender d'ici 48 heures. Mr. Y présente une bronchite spastique légère débutante, ayant bien répondu au Ventolin que la mère a administré avant la consultation. Nous proposons de poursuivre le Ventolin aux 4 heures et la rendons attentive aux éléments à surveiller. Naissance à terme, Poids de naissance à 4.1 kg Naissance à terme à 39 SA, PDN 3146 gr, 1er enfant Naissance à terme à 40 4/7 par voie basse avec un poids de naissance à 3490 g, un périmètre crânien à 34 cm et une taille à 48 cm. Bonne adaptation néonatale avec Apgar à 9/7/9 avec pH à 7.26. Infection virale des voies respiratoires supérieures Difficultés alimentaires dans le contexte d'une infection virale des voies respiratoires supérieures s/p Fissure anale en octobre 2018 traitée conservativement Eczéma de contact sur plastique Bépanthène Naissance à terme à 40 4/7 par voie basse avec un poids de naissance à 3490 g, un périmètre crânien à 34 cm et une taille à 48 cm. Bonne adaptation néonatale avec Apgar à 9/7/9 avec pH à 7.26. Infection virale des voies respiratoires supérieures Difficultés alimentaires dans le contexte d'une infection virale des voies respiratoires supérieures s/p Fissure anale en octobre 2018 traitée conservativement Eczéma de contact sur plastique Bépanthène Naissance à terme par césarienne élective, Apgar à 5/7/7 Détresse respiratoire néonatale transitoire Développement psychomoteur : Position assise avec aide à 6 mois, et sans aide à 8 mois préhension pouce index à 8 mois Naissance à terme par césarienne programmée. Naissance à terme par voie basse, PN 4545 g 1 épisode de pyélonéphrite, plusieurs cystites (CUM et US des voies urinaires normaux) Naissance à terme sans complications, Poids de naissance de 4.1 kg Naissance à 36 SG, PN 3090 gr, pas de problème pendant la grossesse et la naissance Bronchiolite Boucle d'oreille coincée dans le lobe de l'oreille droite (25.11.18) Naissance à 36 4/7 par césarienne dans le contexte d'un myome utérin envahissant. Apgar 1/8/9 avec pH en ordre à 7.25. Traitement habituel Vit. D3, Physiothérapie Naissance à 41 2/7 SG, avec ventouse pour non-progression de la présentation, PN 3000 g (P10), TN 48 cm (P10), PCN 32.3 cm (<10), Apgar 9/10/10, pH v 7.31, perte pondérale >10 % à J2 de vie. Naissance au Daler Nouveau-né à 38 2/7 SA, poids de naissance à 4080 g (P 97) Naissance sans trouble d'adaptation, provocation pour RPM, risques infectieux en ordre PN 3160 g Naissance VB, 3.3 kg, T + 12. grossesse : décollement du placenta en début de grossesse Naloxon Bolus et puis iv continu jusqu'au 24.12.2018 Consilium psychiatrique (Dr. X) le 24.12.2018 : Hospitalisation à Marsens acceptée par la patiente. Transfert possible après résolutions des problèmes somatiques. Naloxone en continu le 12.12.2018 Thiamine 900 mg aux urgences Expansion volémique Consilium psychiatrie Naloxone 0.2 mg le 24.12.2018 Nasofibroscopie par ORL le 22.12.2018 CT thoracique natif le 23.21.2018 Imipenem du 23.12.2018 Avis pneumologique (Dr. X) Nasonex durant 3 mois, à réévaluer dans 3 mois si prise en charge ORL nécessaire Perte de poids et arrêt du tabac Vaccin pour la grippe Nasonex, Résyl. Nasonex, rinçage à l'eau de mer, Fluimucil. Consultera son médecin traitant en cas de récidive. • Nasonex Spray, Bexin Sirup et Makatussin Nasonex 2x/j dès le 30.11.2018 pendant 3 mois Mr. Y présente les lésions susmentionnées. J'explique à Mr. Y et à Mme. Y que cette lésion peut être traitée conservativement. Mr. Y est équipé d'une attelle jeans en extension à 0° qu'il portera pour les 4 prochaines semaines, jour et nuit. Il peut se déplacer en charge complète en gardant l'attelle jeans en place. Prescription d'une prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg sous-cutané 1x1/jour pendant l'immobilisation avec l'orthèse de genou. Mr. Y poursuivra la physiothérapie pour la rééducation de l'épaule. Le suivi de Mr. Y sera assuré par la consultation du Dr. X qui le suit déjà pour le premier épisode de luxation de l'épaule droite. Je propose de faire un contrôle radiologique lors du prochain contrôle le 20.12.2018 à la consultation du Dr. X. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Mr. Y peut toujours me recontacter en cas de besoin. Nausée Nausée compliquée avec des épisodes de vomissements d'origine centrale (territoires attachés de l'AVC), DD hyperbilirubinémie • Sous Motilium dès 14.11.2018 • Labo le 22.11.18: légère hypercalcémie, hyperbilirubinémie, pas de trouble des électrolytes, pas d'altération des valeurs hépatiques • Labo le 27.11.18: Calcium corrigé 2.53 mmol/l, Bilirubine total 22 mmol/l, bilirubine direct 8.5 mmol/l Nausée d'origine indéterminée, le 25.12.2018 • inappétence et déshydratation DD: Gastro-entérite virale Nausée et toux sur candidose oropharyngée Nausée et vomissement sur sténose distale de l'estomac Nausée et vomissements Nausée et vomissements Nausée et vomissements récurrents dans le contexte d'une cholécystite et d'un iléus sur carcinose péritonéale Nausée gravidique DD : effets secondaires tri-thérapie. Nausée, vomissement. Nausée, vomissement. Nausée, vomissements, diarrhées Nausées. Nausées et aphagie totale d'origine indéterminée depuis le 03.12.2018 • DD multifactorielle, sur candidose oropharyngée Nausées et céphalées Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements. Nausées et vomissements dans le cadre du diagnostic principal Nausées et vomissements dans un contexte de pharyngite. Nausées et vomissements d'origine indéterminée Nausées et vomissements d'origine indéterminées le 25.12.2018 avec : • Inappétence et déshydratation • Pas de contage. Pas de douleurs abdominales ni troubles du transit associé. DD : Gastro-entérite virale, intoxication alimentaire Nausées et vomissements iatrogènes sur toxicité à la Morphine, surdosage en opiacés, hypercalcémie, insuffisance rénale aigüe Nausées et vomissements itératifs, le 30.12.2018 • DD: intoxication alimentaire gastrite virale Nausées et vomissements sur iléus secondaire à une carcinose péritonéale, sur hydratation/alimentation parentérale Nausées sans vomissement. Nausées sans vomissement dans le contexte de chimiothérapie. Nausées sans vomissement. DD : virale, contexte anxieux. Nausées, vomissements. Nausées vomissements. Nausées, vomissements et diarrhées. Nausées, vomissements et diarrhées sur probables intoxications alimentaires 11.12.2018 Nausées/Vomissements. Nausées/vomissements Nausées/vomissements. Nausées/vomissements. Nausées/vomissements et douleur en FID Né à terme à 3.050 kg par voie basse, grossesse gémellaire né à terme, bonne adaptation. PN: 3550g Né à terme. Connu pour bronchites. Né à terme de 39 2/7 opéré à 8 jours de vie pour une transposition des gros vaisseaux. 3 communications inter-ventriculaires résiduelles avec une HTA pulmonaire Extra-systoles post-opératoires. Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchiolite à RSV 21.04.16 Réaction cutanée sur enveloppements de lavande Né à terme de 39 2/7 opéré à 8 jours de vie pour une transposition des gros vaisseaux. 3 communications inter-ventriculaires résiduelles avec une HTA pulmonaire Extra-systoles post-opératoires. Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchiolite à RSV 21.04.16 Réaction cutanée sur enveloppements de lavande Né à terme par AVB avec PN de 3.5 kg Né à terme, pas d'antécédents péri-nataux Né à terme, PN 2900gr Né à terme, syndrome de détresse respiratoire nécessitant une ventilation non invasive par CPAP max FiO2 à 30% du 20.11.2018 au 21.11.2018 (On ne dispose pas du carnet de santé pour les paramètres de naissance) Mesures anténatales d'une dilatation bilatérale de 8mm : Introduction antibioprophylaxie par amoxicilline à raison de 10mg/kg/dose, 2x/j. Né à terme, syndrome de détresse respiratoire nécessitant une ventilation non invasive par CPAP max FiO2 à 30% du 20.11.2018 au 21.11.2018 (On ne dispose pas du carnet de santé pour les paramètres de naissance) Mesures anténatales d'une dilatation bilatérale de 8mm : Introduction antibioprophylaxie par amoxicilline à raison de 10mg/kg/dose, 2x/j. Né à terme, tachypnée transitoire du nouveau-né sans hospitalisation nécessaire Né à terme 39 3/7 SA par voie basse avec une bonne adaptation né à 34 5/7SA, PN 2310g, PC 33.5cm, taille 45cm Hyperinsulinisme sous Proglycem Né à 36 3/7 semaines d'aménorrhée par césarienne pour désir maternel, avec une bonne adaptation néonatale 9/10/10. Poids de naissance à 2830 g (P25-50), périmètre crânien à 34 cm (P90) et une taille à la naissance à 45 cm (P25) Né à 36 3/7 semaines d'aménorrhée par césarienne pour désir maternel, avec une bonne adaptation néonatale 9/10/10. Poids de naissance à 2830 g (P25-50), périmètre crânien à 34 cm (P90) et une taille à la naissance à 45 cm (P25) Infection urinaire à E coli à l'âge de 1 mois, Echographie et cystographie dans les normes Né à 36 3/7 semaines d'aménorrhée par césarienne pour désir maternel, avec une bonne adaptation néonatale 9/10/10. Poids de naissance à 2830 g (P25-50), périmètre crânien à 34 cm (P90) et une taille à la naissance à 45 cm (P25) Probable infection virale DD : pas d'argument pour résistance de la PNA aux ATB Repose VVP Poursuite Ceftriaxone IV comme prévu Surveillance à domicile Reconsulter si EF > 38°C, récidive des vomissements ou péjoration de l'état général Né à 36 6/7 SA au Daler par césarienne élective sans complication péri-natale, bonne adaptation. Grossesse sans particularité, pas de médicament, artère ombilicale unique PN 3170g, TN 46 cm, PC 35 cm Les premiers vaccins ont été effectués à 3 mois Pyélonéphrite aiguë (24.05.2017) Reins polykystiques/ Hypertension artérielle dans un contexte de reins polykystiques sous traitement d'Enalapril 2.5 mg 2x/j US des voies urinaires le 26.05.2017: multiples kystes ddc, anéchogènes, pas de signes d'abcès, pas de dilatation pyélo-calicielle, vessie sp. Scintigraphie des voies urinaires ( septembre 2017) Né à 37 SA, par césarienne en urgence pour échec de provocation, DGIR, trouble de l'adaptation avec nécessité de massage cardiaque, bonne évolution par la suite Né à 37 6/7 SA, Poids de naissance 3860 g (P90), Taille de naissance 53 cm (P75-90), Périmètre crânien de naissance (P90-95) Césarienne élective pour DGID et HTA maternelle, bonne adaptation, SDR sur probable aspiration de liquide amniotique Né à 38 0/7 semaines de gestation, poids de naissance de 3015 g (P25), taille de naissance 47 cm (P 3-5), périmètre crânien de naissance 33.5 cm (P 10-25). ATCD d'hospitalisation pour insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV à 1 mois de vie.Né à 38 6/7 SA, PN 3320 g (P 25-50), TN 50 cm (P 25), PCN 35 cm (P 25-50) Insuffisance respiratoire sur bronchiolite modérée Né à 39 1/7, AVB avec bonne adaptation Né à 39 3/7, avec césarienne en urgence pour défaut de provocation. Né à 39 4/7, PN 3180 (P10-25), TN 49.5 cm (P10-25), PCN 36.5 cm (P75-90) Né par césarienne élective itérative à 38 5/7 SG, PN 2780 g (P 5), TN 48 cm (P 5), PCN 35.1 cm (P 25-50) Rupture des membranes peropératoire. Streptocoques B négatif anamnestiquement. Sérologies maternelles sans particularité (anamnestiquement). Pas de notion d'infection périnatale. Pyélonéphrite à Staph. haemolyticus et Corynebacterium sp. (1er épisode) Ne souhaite pas rester en raison de l'attente importante. Consultera son médecin traitant le 10.12.18.0 Né 37 3/7 SA césarienne d'urgence car CTG pathologique. Pas d'antécédents médico-chirurgicaux. Nécrose avasculaire de la tête fémorale D sur status post ostéosynthèse d'une fracture pertrochantérienne du fémur D le 03.10.20015. Nécrose avasculaire stade III selon Koshino du condyle fémoral interne genou D. Nécrose cutanée surinfectée de l'hallux droit sur status post-infiltration. Nécrose de la peau superficielle prétibiale à D sur hématome intradermique prétibiale à D le 25.11.2018. Insuffisance veineuse chronique. Nécrose de la tête fémorale G stade FICAT III Nécrose de la tête fémorale gauche. Status après ostéosynthèse par plaque LISS d'une fracture du fémur proximal en 2014. Nécrose de la tête humérale G et re-rupture massive de la coiffe des rotateurs post-arthroscopie, ténotomie du LCB, suture sus-épineux, mini open le 17.05.2018 pour rupture massive de la coiffe sur AVP avec luxation antérieure inférieure de l'épaule. Arthrose débutante du carpe avec lésion partielle du ligament SL ainsi que lésion centrale du DFCC. Status traitement post conservateur pour fracture non déplacée 3ème métacarpien à G. Status post-fixation du Lisfranc pied G. Nécrose sèche de D2 main gauche Nécrose testiculaire bilatérale avec status post-biopsie testiculaire, le 09.03.2018. hématome post-biopsie avec évacuation de l'hématome le 09.03.2015. Née à terme. Multiples otites avec thérapie antibiotique, bronchites. Née à terme par césarienne pour position en siège Née à terme sans complications, aucun antécédents. Née à 36 4/7, PN 2220 gr (P5-10), TN 45 cm (P5-10), PC 31 (P3-5) Groupe B +, Coombs négative Née à 38 1/7, Poids 2620 g (P5-10), Taille 46 cm (P3), Périmètre crânien 33 cm (P10-25) s/p 1er épisode de bronchite 02.18 s/p Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchite obstructive à RSV le 25.03.18 Née à 38 1/7 semaine d'aménorrhée, poids de naissance 3500 g (P 75-90), taille de naissance 52 cm (P 75-90), périmètre crânien de naissance 35 cm (P 50-75) ACCOUCHEMENT: • position céphalique • CTG normal • Liquide amniotique: Clair • Liquide amniotique, Quantité: Normale • Rupture des membranes: Artificielle • Type d'accouchement: Par ventouse • naissance le 23.12.2018 à 07.05h • ph artériel du cordon: 7.31, pH veineux: 7.35, bases excess: -3 mmol/L • APGAR 9/10/10 Née à 39 1/7 par voie basse avec PN à 3230 g Née à 39 4/7 par accouchement par voie basse spontanée PN 3070 g, TN 47 cm, PCN 33 cm. Bonne adaptation APGAR 10/10/10, pH ombilical 7.23. Constipation traitée avec Movicol à la maison Kystes infracentimétriques rate (DD kyste simple, kyste épidermoïde, lymphangiome) US abdominal le 26. et 27.08. Consilium hématologique : Dr. X Consilium gastro-entérologique : Dr. X Consilium chirurgical pédiatrique : Dr. X Née à 39 6/7 SA, poids de naissance 3630 g (P50-75). Pas de risque infectieux. Ictère prolongé du nourrisson (dans le contexte d'une perte de poids > 10%) Née à 41 2/7, par césarienne en urgence pour liquide amniotique "vert" Née le 28.02.2018 à l'Hôpital du Daler, par césarienne d'urgence suite à rupture des membranes avec retournement de l'enfant et compression sur cordon ombilical. Apgar 5-9-10, pH 7.07-7.20 (à 1h de vie, 7.39). Née voie basse par ventouse puis forceps, T+10 par provocation. Bonne adaptation néonatale. Colique du nouveau-né Néoplasie myéloproliférative de type myélofibrose primaire selon la classification OMS 2008, en phase fibreuse, mutation CALR positive, diagnostiquée le 30.08.2006, avec: • anémie normocytaire hypochrome et thrombopénie • traitement: cyto-réduction par Litalir depuis le diagnostic jusqu'au 06.09.2016, puis en raison d'une progression de la maladie (score DIPSS Plus à 2 points le 08.08.2016), par Jakavi depuis le 07.09.2016 • suivi hématologique par Dr. X • transfusion de 1 CE le 14.11.2018 et de 1 CT le 15.11.2018 • labo le 22.11.2018: anémie microcytaire normochrome Hb 72 g/l, Tc 224 G/L, acide folique 3,2 ng/ml Néoplasie myéloproliférative de type thrombocytémie essentielle • Diagnostiquée en 2013 • JAK2 V617F positive • Suivi par Dr. X Néoplasique: Carcinome non à petites cellules de type épidermoïde du lobe moyen droit cT1b pN2 cM0 soit stade IIIA • date du diagnostic : 20.09.2018 • histologie (Promed P 2018.10609 bronchoscopie EBUS, stations 4R et 7) : carcinome épidermoïde moyennement à peu différencié d'origine pulmonaire • CT thoracique du 12.07.2018 : nodule sub-solide du lobe moyen • PET-CT du 11.09.2018 : légère hypercaptation de la lésion du lobe moyen, hypercaptation ganglionnaire médiastinale station 7 • bronchoscopie avec EBUS le 18.09.2018 • tumorboard d'oncologie thoracique du 26.09.2018 : stade IIIA, chimiothérapie néo-adjuvante puis lobectomie et curage ganglionnaire médiastinal. Suivi par Dr. X. Actuellement chimiothérapie néo-adjuvante par Platinol et Gemzar. Pulmonaire: BPCO sur tabagisme actuellement sevré (50 UPA) sous Spiriva et Seretide 250. Cardiaque: Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale : PCI (1DES) : bon • sténose 70% de l'artère coronaire droite moyenne : PCI (1DES) : bon • fraction d'éjection VG 50%. Autre: Hypothyroïdie post-chirurgie de la thyroïde, sous Euthyrox. Dyslipidémie.• bronchoscopie avec EBUS le 18.09.2018 • tumorboard d'oncologie thoracique du 26.09.2018 : stade IIIA, chimiothérapie néo-adjuvante puis lobectomie et curage ganglionnaire médiastinal. Suivi par Dr. X. Actuellement chimiothérapie néo-adjuvante par Platinol et Gemzar. Pulmonaire: BPCO sur tabagisme actuellement sevré (50 UPA) sous Spiriva et Seretide 250. Cardiaque: Maladie coronarienne bitronculaire avec : • sténose 50-70% de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale : PCI (1DES) : bon • sténose 70% de l'artère coronaire droite moyenne : PCI (1DES) : bon • fraction d'éjection VG 50%. Autre: Hypothyroïdie post-chirurgie de la thyroïde, sous Euthyrox. Dyslipidémie. Néphrectomie droite sur cancer rénal localisé en 2016 Fracture du poignet G du 21.11.2017, déplacée intra-articulaire comminutive du radius et arrachement de la styloïde ulnaire • ORIF radius distal par plaque palmaire et styloïde ulnaire par vis HCS Néphrolithiase droite de 3 mm unique à la jonction pyélo-urétérale le 06.12.2018. Néphrolithiase en 200 X, traitée par ESWL et cathéter JJ. Néphrolithiase G de 6 mm avec dilatation pyélocalicielle infectée • Pose de sonde double J le 11.12.2018 (Dr. X) • Changement de sonde double voie pour 3 voies le 13.12.2018 avec rinçages, retirée le 15.12.2018. • Culture d'urine du 09.12.2018 et le 14.12.2018 : Candida krusei Néphrolithiase gauche en 2011 et 2010. Pancréatite sur Imurek. Néphrolithiases à répétition (actuellement 1 calcul de 1 cm en 12.2018) Sclérose coronarienne débutante (coronarographie le 10.05.2018) Néphrolithiases à répétition (actuellement 1 calcul de 1 cm) 12.2018 Sclérose coronarienne débutante sur la coronarographie du 10.05.2018 • GSLA : faible risque 7.5% • Laboratoire : • HbA1c 6.2% le 11.05.2018 • bilan cholestérol dans la norme le 11.05.2018 • Mesures d'hygiène de vie et de diététique proposées au patient Néphrolithiases gauches en 2011 et 2010. Pancréatite sur Imurek. Infection urinaire basse. Néphromégalie gauche Néphropathie diabétique de stade V avec/sur : • syndrome néphrotique • insuffisance rénale chronique de stade G3b à G4 avec composante aiguë de néphropathie sur injection de produit de contraste répétées Néphropathie X avec suivi spécialisé au Costa Rica HTA Néphrotrans du 04.12 au 11.12.2018 Spot urinaire FEurée 26 % Sédiment urinaire US aux urgences (Dr. X) pas de dilatation des voies urinaires. Patient urine spontanément Nette amélioration au niveau du trajet du tibialis antérieur à D. Actuellement elle n'est pas gênée à G. Les douleurs qui sont encore présentes sont dues à la fasciite plantaire ddc. On fait une instruction à la patiente pour faire des exercices de stretching ainsi qu'avec une balle de tennis pour la fasciite plantaire. Pas de prochain contrôle prévu. Nette amélioration de la symptomatologie après administration d'irfen Nette amélioration de l'épaule gelée, amélioration lente du CRPS de sa main droite. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie. Contrôle chez moi dans 2 mois le 13.2.2019. Nette amélioration des douleurs neuropathiques au niveau de l'avant-pied à D sous traitement en antalgie et de l'ergothérapie. Nous lui donnons encore un bon pour l'ergothérapie. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle radioclinique (rx pied f/p/o en charge). Nettoyage à l'eau désoxygénée Gel Let Désinfection par Betadine puis suture par Ethilon 5-0 : mise en place de 2 pts Ablation des fils chez le pédiatre à J7 Vaccination à jour Nettoyage de la plaie en gynécologie ce jour. Suivi en gynécologie à 48 h. Augmentin et Flagyl prescrits par les gynécologues. Nettoyage, exploration de la plaie et 3 points de suture. Changements quotidiens de pansement, premier avec nettoyage à hibidil. Contrôle à 11 jours à la Permanence pour ablation des fils Nettoyage par ORL Gouttes auriculaires de Ciproxine. Neupogen du 08.11 au 10.11.2018 Neupogen 30 mio IU O.U. le 19.11.2018 Transfusion d'un concentré érythrocytaire le 26.11.2018 Attitude : • Suivi biologique • Seuil à 80 g/L Neupogen du 21.12.2018 au 24.12.2018 Neupogen 30 mio U/j depuis le 20.10.2018 Antibiothérapie Céfépime du 19.10.2018 au 23.10.18 Tavanic 500 mg/j du 23.10.18 au 30.10.18 Pantoprazol 40 mg 2x/j dès 8.11 vu risque important d'hémorragie digestive Substitution en vitamine K dès le 9.11.18 Pentacarinat 1x/mois , dernière dose 31.11.2018 au C1 Transfusions : 4 CP et Beriplex 1000 UI reçu le 8.11.2018, 2 CE et 1 CP le 3.12.2018, 1 CP le 6.12.2018 Anticoagulation prophylactique dès 50 G/l de TC Isolement protecteur du 20.10.2018 au 23.10.18 Seuils transfusionnels : CE si Hb < 70 g/l CP si Tc < 5 G/l ou < 10 G/l si EF, < 20 si saignement, réintroduction Clexane si Tc > 50 CT thoraco-abdominal 30.10.18 PET CT le 6.11.2018 Tumor board du 6.11.18 8.11.18 : Excision ganglion axillaire G, biopsie ganglions rétro-péritonéaux, pose VVC, fils à enlever à J12 CT abdominal 14.11.2018 Biopsie ganglionnaire axillaire et rétropéritonéale le 15.11.2018 : lymphome à cellules T (reste à pister) VVC jugulaire D du 15 au 23.11.2018, pick line dès le 26.11.2018 Avis radio-oncologie (Dr. X) Pentacarinat à poursuivre 1x/mois , dernière dose 31.11.2018 au C1 Neupogen 30 mio U/j depuis le 20.10.2018 Antibiothérapie Céfépime du 19.10.2018 au 23.10.18 Tavanic 500 mg/j du 23.10.18 au 30.10.18 Pantoprazol 40 mg 2x/j dès 8.11 vu risque important d'hémorragie digestive Substitution en vitamine K dès le 9.11.18 Pentacarinat 1x/mois , dernière dose 31.11.2018 au C1 Transfusions : 4 CP et Beriplex 1000 UI reçu le 8.11.2018, 2 CE et 1 CP le 3.12.2018, 1 CP le 6.12.2018 Anticoagulation prophylactique dès 50 G/l de TC Isolement protecteur du 20.10.2018 au 23.10.18 Seuils transfusionnels : CE si Hb < 70 g/l CP si Tc < 5 G/l ou < 10 G/l si EF, < 20 si saignement, réintroduction Clexane si Tc > 50 CT thoraco-abdominal 30.10.18 PET CT le 6.11.2018 Tumor board du 6.11.18 8.11.18 : Excision ganglion axillaire G, biopsie ganglions rétro-péritonéaux, pose VVC, fils à enlever à J12 CT abdominal 14.11.2018 Biopsie ganglionnaire axillaire et rétropéritonéale le 15.11.2018 : lymphome à cellules T (reste à pister) VVC jugulaire D du 15 au 23.11.2018, pick line dès le 26.11.2018 Avis radio-oncologie (Dr. X) Pentacarinat à poursuivre 1x/mois, dernière dose 31.11.2018 au C1 Neupogen 30 mio U/j 1x/jour du 20.10 au 14.12.2018 Suivi biologique Neurapraxie du nerf fibulaire superficiel. Status post AMO d'une plaque au niveau du péroné et d'une vis au niveau de la malléole le 24.08.2018. Douleurs au Lisfranc post accident du 07.07.2017 sur fracture-luxation bi-malléolaire de type Weber C fixée par un vissage de la malléole interne et mise en place d'une plaque avec des vis au péroné et fixation de la syndesmose par 2 vis de traction, effectué au Portugal. Status post AMO de 2 vis de traction en septembre 2017 par le Dr. X à l'HFR Riaz. Neurapraxie du nerf péronier D, traumatisé en peropératoire le 07.11.2018 Neurapraxie du plexus brachial D le 24.11.2018 Neurapraxie du plexus brachial droit le 24.11.2018, accompagnée d'un œdème du MSD, possiblement sur installation opératoire. Pneumonie basale gauche le 20.11.2018 Exacerbation de BPCO le 19.08.2018 avec : • insuffisance respiratoire hypoxémique • possible foyer lingulaire gauche dans contexte de fausse route • exacerbation BPCO avec 2/3 critères Anthonisen (dyspnée, expectorations en augmentation) Pneumonie communautaire basale gauche le 04.04.2018, avec : • insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë • Mr. Y connu pour une BPCO (stade II), sans critère pour une exacerbation Insuffisance respiratoire hypoxémique le 03.01.2015 sur : • embolies pulmonaires segmentaires (depuis sous Sintrom à vie car EP multiples) • pneumonie lobaire supérieure droite • décompensation cardiaque Fracture subaiguë de L3 le 24.10.2014 Macrohématurie le 08.11.2014 sur cysto-prostatite Épisodes de cupulolithiase (2014) Exacerbation de BPCO sur pneumonie rétrocardiaque le 25.06.2014 Neurofibromatose de von Recklinghausen Épilepsie traitée par Keppra Hypertension artérielle traitée Status après accident vasculaire cérébral sylvien profond sous-cortical droit d'origine micro-angiopathique avec paralysie faciale gauche en avril 2015 Dysfonction érectile Infertilité primaire avec oligospermie et spermatozoïdes immobiles Neuroleptique en réserve Neurologische aufwachung Neuronite vestibulaire gauche au décours avec : • Tests vestibulaires négatifs • IRM cérébrale du 29.11.2018 dans la norme • Avis Dr. X (ORL), qui a examiné la patiente le 27.11.0018 : aréflexie vestibulaire gauche. Neuronite vestibulaire gauche d'année indéterminée Vertiges non vestibulaires dans un contexte post-insolation et balade en bateau le 25.06.2015 Vertiges d'origine indéterminée musculo-cervicale DD : sur hypertension artérielle DD : sur hypothyroïdie Neuropathie du nerf interosseux postérieur après réduction ouverte, ostéosynthèse scaphoïde et radius distal puis ablation du matériel d'ostéosynthèse radius distal G le 15.04.16 puis le 03.10.16 Neuropathie motrice multifocale depuis 2013 • l'injection des immunoglobulines sur l'ordonnance de CHUV Neuropathie motrice multifocale (NMM) janvier 2013 • 4 cures d'IVIG (Intrathect avril 2014, Privigen octobre 2013) • 6 cures de Kiovig (la première du 12 au 16.05.14) Neuropathie périphérique, d'origine indéterminée le 10.12.2018 avec : • parésie membre supérieur gauche touchant le territoire C8-TH1 • paresthésie et trouble de la sensibilité touchant le territoire C7-TH1 • DD : neuropathie post-zostérienne. Neuropraxie du n. radial G sur compression au niveau du poignet avec atteinte sensitivo-motrice (hypoesthésie territoire n. radial au niveau de la main G et force diminuée à M4 extension P1 et P2 pouce G), suite à un AVP à 80-100 km/h le 11.12.2018 Neuropraxie en regard des nerfs tibial et péroné superficiel, profond et surral post-opératoire, DD : hématome ? œdème des tissus ? Neuropraxie en regard des nerfs tibial et péroné superficial, profond et surral post-opératoire, sur lésion/étirement peropératoire Neuro-réadaptation Neuro-réadaptation avec physiothérapie, amélioration de l'endurance et ergothérapie Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Évaluation neuropsychologique et suivi Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Marche en charge selon douleurs Adaptation de l'antalgie Prophylaxie thromboembolique par Clexane jusqu'au 23.10.2018 Neuro-réadaptation avec physiothérapie et ergothérapie Grille d'évaluation de la maladie de Parkinson Adaptation de la médication antiparkinsonienne Neuroréadaptation suite à un AVC ischémique pariétal gauche manifesté par un h Neuro-réhabilitation Neuroréhabilitation avec physio- et ergothérapie intensive Lodine 300 mg le matin et 600 mg jusqu'au 15.11.2018 Analgésie par MST 120 mg/j + R 60 mg/j Clexane arrêté le 04.12.18 en raison d'une amélioration de la mobilité Neuroréhabilitation avec physio- et ergothérapie intensive Radiographie de contrôle post-op le 04.12.2018 Rendez-vous de contrôle le 11.12.2018 à 13h Neuroréhabilitation intensive multidisciplinaire Anticoagulation thérapeutique par Xarelto à maintenir en raison du thrombus sub-occlusif du segment V4 Aspirine cardio 100 mg/jour Atorvastatine 80 mg pour 3 mois, puis réduire à 40 mg/jour (à partir du 29 décembre 2018) Vidéofluoroscopie le 09.10.2018 : Pas de fausse route ni de pénétration laryngée. Quelques stases de contraste orales dans la phase orale Contrôle neurologique par Dr. X le 07.03.2019 à 14:00 h Contrôle neuropsychologique par Mme. Y le 25.02.2019 à 09:00 h US neurovasculaire de contrôle ambulatoire à l'HFR Fribourg (le patient sera convoqué) Neuroréhabilitation intensive Prise en charge neuropsychologique Régime alimentaire adapté avec bilan 4D Contrôle à l'Inselspital dans le service de chirurgie vasculaire le 09.01.2019 à 13:00 h Contrôle neurologique par Dr. X le 28.03.2019 à 13:00 h Contrôle neuropsychologique par Mme. Y le 25.03.2019 à 09:00 h Neurorehabilitation intensive Régime alimentaire à 4D Prophylaxie par Bactrim forte 3x/sem, Calcimagon et Pantoprazol Levetiracetam à poursuivre jusqu'au contrôle à la consultation du Dr. X le 23.01.2019 à 15h15 en raison d'une suspicion d'une crise d'épilepsie le 09.10.18 Suivi glycémie en raison de la thérapie avec corticostéroïdes Clexane arrêté le 16.11.18, car amélioration de la marche et de la mobilité Dosage sérique anti-G1Qb 08.11.18 (Zurich) : négatif Dosage sérique anti-MOG + dans LCR (Berne) : à pister Corticothérapie à dosage dégressif, avec dernière dose le 13.02.2019 Neutropénie à 0.86 G/L le 07.12.2018 • d'origine multifactorielle : chimiothérapie, antibiotique Neutropénie d'origine indéterminée • leucocytes à 1.3 G/L Neutropénie d'origine infectieuse DD origine occulte • Labo : Leucocytopénie à 1.8, Neutropénie à 0.8 • Consultation téléphonique avec pédiatre et hématologue de l'Inselspital Neutropénie post-infectieuse modérée à 0.76 G/L Neutropénie post-chimiothérapie, le 26.11 • Leucocytes 1.3 G/L • segmentés 0.37 G/L Neutropénie sévère le 21.12.2018 dans un contexte de chimiothérapie du 12.12.2018 par carboplatine-étoposide Névralgie cervico-brachiale droite non déficitaire. Névralgie de la branche terminale intermédiaire du nerf péronier superficiel à D. Névralgie fémoral poplité intermittente du nerf plantaire médial à D. Status post ostéotomie d'extension et de raccourcissement au niveau sous-capital du 4ème métatarsien du pied droit le 09.01.2018 pour des métatarsalgies du 4ème rayon du pied D sur status post polytraumatisme avec fracture sous-capitale du 4ème métatarsien consolidée en flexion plantaire et en varus. En post-opératoire, métatarsalgies de transfert du 3ème et 5ème rayon. Névralgie d'une branche calcanéenne du nerf tibial à D. Status post infiltration loco-dolenti face interne du pied D le 21.06.2018. Fasciite plantaire du pied D plus qu'à G. Suspicion de lésion méniscale dégénérative avec arthrose débutante du côté médial genou G. Névralgie post-zostérienne du MSG. Névralgies. Névrite vestibulaire. Névrite vestibulaire à gauche. probablement d'origine virale. Névrite vestibulaire gauche le 21.05.2016. Névrite vestibulaire 06.02.2017. Névrite vestibulaire en 2012. Névrome de Morton entre MT2 et MT3 ddc, plus symptomatique à D. Névrome de Morton entre MT3 et MT4 à D. Hallux valgus ddc. Névrome de Morton espace inter-métatarsien 3-4 à gauche. Excision du névrome de Morton (OP le 13.11.2018). Nexium 20 mg 2x/jour du 27.12.2018 au 31.12.2018. Nexium 20 mg 1x/j pendant 1 mois. Contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. Mesure hygiéno-diététique. Nexium 30 mg/jour depuis le 27.10. Ranitidine 6 mg/kg/j en 2 doses. Primperan 0,5 mg x 3/j. Frebini par PEG. Nexium 40 mg IV et Ulcar 1 sachet aux urgences. Traitement avec Pantozol 40 mg et Ulcar à la sortie. Nexium 80 mg iv en bolus dès le 08.12.2018, puis Nexium 8 mg/heure. Transfusion d'un CE aux urgences de Riaz le 08.12.2018 avant transfert. Avis Gastroentérologue de garde Dr. X : hospitalisation aux Soins intensifs à Fribourg, gastroscopie en urgence si patient hémodynamiquement instable. Avis Chef de garde des soins intensifs : patient à adresser aux Urgences de Fribourg pour suite de la prise en charge. Nez à 37 SA, grossesse gémellaire, pas de problème respiratoire. Nez encombré DD rhinite prolongée DD tic. Nhil. Nichts bekannt. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil.NihilNihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. Nihil. nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil nihil Nihil, bonne santé habituelle Nihil. Né à terme, PDN 3625 g. Nihil. Non connue pour douleurs abdominales. Pas d'hospitalisation, pas de chirurgie y compris abdominale. Nihil, pas d'antécédents de chirurgie abdominale. Nihil. Pas d'hospitalisations. Nihil p.o. et suivi par la physiothérapie Nutrition entérale par sonde dès le 21.11.2018 Suivi diététique bihebdomadaire Nihil p.o. et suivi par la physiothérapie Nutrition entérale par sonde dès le 21.11.2018 Suivi diététique bihebdomadaire nihil Anxiété avec idéations suicidaires scénarisées le 15.07.2018 Laboratoire : dans la norme, TSH à pister Avis pédopsychiatre (Dr. X) : transfert en volontaire en Marsens, accompagné par sa maman. La patiente et sa mère s'engagent à ce que le transfert se passe bien. Hospitalisation à Marsens en volontaire. Nihil Bronchiolite à RSV avec composante spastique Frottis RSV 18.01.2015 : douteux Isolement de contact du 18.1 au 22.01.2015 Betnesol du 18.1 au 21.1.2015 Aérosols de Ventolin et Atrovent selon besoin du 18.01 au 22.01.2015 Dafalgan et Algifor en R Physiothérapie respiratoire du 19.1 au 22.01.2015 Début du traitement complémentaire par médecine anthroposophique le 19.1.2015 Insuffisance respiratoire sur bronchiolite à RSV avec composante spastique Oxygénothérapie aux lunettes du 18.1 au 21.01.2015 Saturométrie en continu du 18.01 au 22.01.2015 Difficultés alimentaires sur bronchiolite Bilan hydrique du 18.01 au 22.01.2015Stimulation de l'hydratation Otite moyenne aiguë bilatérale Amoxicilline 50 mg/kg/j po du 18.01 au 28.01.2015 (tot 10j) nihil Contusion du poignet gauche le 22.04.2016 Nihil Contusion du pouce G le 14.02.2016 Nihil. Douleur thoracique d'origine pariétale probable. nihil Douleurs abdominales d'origine inconnue Antalgie; contrôle chez médecin traitant dans 1 sem Nihil. Erythème migrant • Antibiothérapie par Doxycycline 100 mg 2x/j pendant 10 jours. nihil Fracture type Burst T12 le 24.06.2018 Traitement conservateur avec mobilisation en bloc nihil. Infection urinaire haute le 17.09.2018. nihil Luxation antérieure épaule G le 22.06.2017 • 2e épisode Intoxication d'OH Surveillance clinique RAD avec son père Nihil. Malaises à répétition d'origine probablement médicamenteuse (Atenolol) • DD : trouble du rythme (bradycardie). Nihil NSTEMI inférieur subaigu le 14.02.2013 sur sub-occlusion thrombotique de la CD proximale • Coronarographie le 14.02.2013 (Prof. X) : maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion chronique de l'IVA moyenne avec échec de désocclusion, sub-occlusion thrombotique de la CD proximale traitée par PCI et 1 stent actif. FEVG 35% sur hypokinésie modérée postéro-basale et apicale. • Coronarographie du 21.02.2013 (Prof. X) : occlusion chronique de l'IVA moyenne : PCI (2DES), subocclusion IVA ostiale : PCI(2DES). Bon résultat après PCI de l'artère CD proximale. Réaction allergique à une substance indéterminée le 15.02.2013 DD : allergie alimentaire Nihil Piqûre de tique au niveau abdominal le 28.05.2015 Retrait de la tique avec pince spécialisée Désinfection locale nihil Plaie de 1 cm x 1 cm avec perte de substance au niveau de la gencive supérieure en regard des dents 11, 21 Examen clinique Tétanos à jour Avis de Dr. X Avis Dr. X, ORL de garde : proposition de mettre 2-3 points de suture pour rapprocher les bords de la plaie Transfert dans le service des urgences pédiatriques HFR Fribourg pour la prise en charge ORL Plaie superficielle de 2 cm de longueur non transfixiante non suturable Examen clinique Tétanos à jour Nihil Plaie du menton droit le 30.11.2017 Nihil Plaie superficielle avec lambeau flottant de 2x1 cm en regard de la phalange proximale du doigt 5 droit Nihil Réaction allergique stade II le 20.07.2017 DD : décharge histaminique Solu-Medrol 60 mg iv Surveillance aux urgences pendant 3h Prednisone 50 mg et Zyrtec 5 mg pendant 5j Rendez-vous chez allergologue à organiser via médecin traitant Pyélonéphrite gauche le 20.08.2017 à E. coli multisensible Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, fonction rénale dans la norme Sédiment urinaire : leucocyturie, micro-hématurie Culture des urines : à pister Rocéphine 2 g IV aux urgences Ciprofloxacine 500 mg X2 pour 7 jours Antalgie Co clinique et biologique à la FUA le 22.08.2017 Nihil Trauma hanche gauche. Examen clinique. Rx-bassin/hanche G nihil Traumatisme crânien simple Fiche de surveillance neuro à la mère Nihil. Traumatisme crânio-cérébral en 2014 nihil V.a. Urolithiasis rechts bei Nierenkolik rechts Buscopan, Novalgin, Pethidin, Paspertin NIHSS à 2 à l'arrivée au HFR Laboratoire ECG à Riaz : pas de sus-décalage ST, pas de signe d'ischémie CT-SCAN Time is Brain : pas de signe d'ischémie, pas d'hémorragie, pas de thrombose veineuse Avis neurologique (Dr. X) : • Hospitalisation en stroke unit aux soins intensifs • Dose de charge Aspirine 250 mg i.v. NIHSS d'entrée à 21 pts (au service des urgences) et 2 pts à la sortie (parésie faciale mineure et dysarthrie modérée). Clexane à dose thérapeutique à partir du 30.11.2018, switch à Rivaroxaban 15 mg 2x/j 3 semaines le 06.12.2018, puis 20 mg/j à vie. Neuroréhabilitation standard à Billens dès le 12.12.2018. NIHSS le 03.12.2018 à 07h30 : 6 points. CT scan du neurocrâne du 03.12.2018 : diagnostic susmentionné, sans effet de masse. Avis neurochirurgical : surveillance neurologique, prévoir IRM dans les 4h pour trouver l'origine du saignement, car pas d'injection possible en raison d'allergie à l'iode, Trandate pour traitement de l'hypertension pour atteindre la cible de 140 mmHg systémique, actuellement Trandate 10 mg/h. Nihil Mr. Y présente un traumatisme crânien simple, pour lequel nous rassurons les parents et leur donnons les consignes de surveillance. Nihil Nihil Nihil Nitrofurantoïne 100 mg 2 x/j pendant 5 jours Nitrofurantoïne 100 mg 2X/J pour 5 jours Changement de sonde urinaire à 48h Contrôle à la UFA pour résultat uricult mercredi Nitrofurantoïne 2x/j du 23.11 au 27.11.2018 Nitrofurantoïne 2x/jour du 23.11 au 27.11.2018 NN à terme 40 2/7 SG, PN 2690 g (P<3), TN 48 cm (P <3), PC 32 cm (P<3) S/p RCIU harmonieux S/p Wet-lung NN 37 2/7 SG (Daler), PN 2650 g, TN 44 cm, PCN 33 cm. APGAR 9/10/10, pH 7.21/7.31. Accouchement par voie basse. S/p Probable malaise vagal dans le contexte d'une régurgitation S/p Souffle systolique 2/6 aigu maximum en parasternal G non irradiant avec US cardiaque normal NN 38 3/7 SG. Césarienne pour échec de provocation. PN 2400 g, TN 44 cm, PCN 33 cm, Apgar 10-10-10. pHa 7.31. Né 37 4/7 SG, PN 3230 g (P50-75), TN 48 cm (P10-25), PCN 35 cm (P50-75) Entrée J5 de vie, Poids : 3035 g NNT, AVB sans complication, bonne adaptation. Bronchiolite non oxygénodépendante à l'âge de 5 mois. NNT, AVB sans complication, bonne adaptation. Bronchiolite non oxygénodépendante sans difficultés alimentaires à l'âge de 5 mois. NNT, PN 2830 g, période néonatale sp. Pas d'allergie connue. NNT 37 6/7, Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite à RSV en mars 2018. Noah a été alimenté par lait artificiel en continu à 60 ml/kg/jour puis passage en discontinu aux 3 heures dès le 23.12 sans récidive d'hypoglycémie. Il n'a pas nécessité d'hydratation intraveineuse. Sur le plan cardiopulmonaire, le monitoring cardiorespiratoire a objectivé quelques épisodes de désaturations rapides sur pleurs ou concomitantes à la mise en bouche de la sucette. Nous réalisons d'un bilan sanguin normal pour exclure une cause infectieuse. Sur le plan alimentaire, Noah est allaité par du lait artificiel avec une bonne tolérance digestive. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons Noah rentrer à domicile le 25.12.18. Nodule apex pulmonaire D de 6 mm avec • mise en évidence fortuite le 01.12.2018 Nodule de 11 mm du segment postérieur du lobe supérieur gauche en 08.2018 Nodule de 5 mm lobe moyen droit Nodule de 8.5 mm du LSD selon le dernier CT scan thoracique Nodule d'environ 12 mm x 19 mm au contour discrètement irrégulier au niveau du lobe moyen, suspect pour une néoplasie le 30.11.2018 Nodule du lobe thyroïdien gauche Nodule pulmonaire de 5 mm au lobe moyen au CT thoracique du 27.09.2017 • CT thoracique - 05/2018 (Affidea) : pas de nodule décelé. Status post-vasectomie en 1997 Status post éthylisme chronique sevré en 1990 Amygdalectomie dans l'enfance Nodule pulmonaire de 9x10 mm du segment dorsal du lobe supérieur droit accolé à la scissure dd infectieux, dd tumoral à contrôler dans 3 mois par CT. Nodule pulmonaire droit de 6,5 mm dans la région para-cardiaque objectivé à la radiographie du 12.12.2018.Nodule pulmonaire lobe inférieur droit de 7 mm sous-pleural postéro-basal (diagnostiqué sur CT 23.05.2012). Cardiomyopathie dilatée sévère avec FEVG à 40% avec composante ischémique, hypertensive et dysrythmique, avec: • status post STEMI inférieur avec pose de stent sur l'artère coronaire droite en 1996 • status post tachycardie ventriculaire non soutenue (Holter) 2008 • maladie coronarienne tritronculaire avec pose de 4 stents (CD et CX), lésion intermédiaire de l'IVA en 2008 • status post flutter auriculaire 2:1 le 23.05.2012, ralentie par bétabloquant • dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 30%) le 24.05.2012 • status post récidive de flutter auriculaire 2:1 à 140/min, électrocardioversé le 22.08.2012 • dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 15%) le 22.08.2012, (ETO Dr. X) • légère dilatation du VG, FEVG 40%, avec une akinésie inféro-postérieure. Dilatation importante du VD dans le cadre ischémique sans dysfonction systolique (16.10.2012, ETT Dr. X). Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Excellent résultat à long terme post PCI CD prox et moyenne (1996, 2008) • Excellent résultat à long terme post PCI CX (2008) • Sténose 70-80% IVA proximale : PCI (1xDES) : bon résultat • Cardiopathie dilatée avec dysfonction VG sévère (FEVG 30-35%). BPCO stade IV D selon Gold avec/sur : • status post exacerbation sur pneumonie basale bilatérale le 30.05.2018 • insuffisance respiratoire sévère sous oxygénothérapie continue avec VNI depuis 2011 • adaptation à EPAP 7 - IPAP 17 dès le 18.06.2018 • oxygénothérapie à 2 lt/min en continu, 3-4 lt/min à l'effort (modification du débit gérée par l'épouse) • traitement inhalateur par Vannair et Spiriva dès le 08.06.2018. • probable composante professionnelle (agriculteur/vacher) et ancien tabagisme à 20 UPA stoppé en 2000 • composante d'asthme bronchique associée • hypertension artérielle pulmonaire • emphysème pulmonaire avec troubles de la diffusion de degré modéré (DLCO à 54% du prédit en 03.2017) • polygraphie nocturne diagnostique du 24.02.2016 : IHA 13.1/h, IDO 6.8/h, satO2 moyenne 87.3% • cachexie • déconditionnement sévère à l'effort • CAT score le 12.06.2018 : 19/40 Paresthésies des membres inférieurs de longue date. Surdité à droite post-traumatique. Suspicion d'ostéoporose. Nodule pulmonaire rond bien délimité de 8 mm au niveau apical du lobe inférieur droit, de découverte fortuite. Nodule pulmonaire solide du lobe inférieur droit de 8 mm le 26.08.2015. Malaise avec perte de connaissance de type probablement vagal sur prise d'alcool le 26.08.2015. Nodule pulmonaire supérieur droit (DD métastase controlatérale, DD étiologie infectieuse, DD étiologie inflammatoire). Nodule pulmonaire 6 mm périphérique du lobe inférieur gauche, dx en septembre 2015, stabilité au contrôle réalisé 6 mois. Nodule surrénalien droit de 12 x 16 mm, DD phéochromocytome. Nodule suspect de 5 mm de découverte fortuite. Nodule thyroïdien centré sur le lobe thyroïdien droit, DD goître le 30.11.2018. Nodule thyroidien du lobe gauche. Nodules pulmonaires des lobes supérieurs des deux côtés d'une grandeur < 5 mm. Mme. Y est admise le 01.12 dans le service pour une surveillance dans le contexte d'un tentamen médicamenteux au paracétamol. Sur le plan digestif, Elle bénéficie à son arrivée aux urgences, de l'administration de charbon actif et mise en place d'une perfusion d'entretien. Selon avis du ToxZentrum, nous réalisons une paracétamolémie à 4h post-prise qui montre un taux à 63 mg/l, en dessous des doses toxiques. Les tests hépatiques sont alignés. Pendant le séjour, elle ne présente pas de douleurs abdominales et reste stable sur le plan hémodynamique. Sur le plan pédopsychiatrique, Ne nécessitant plus de prise en charge sur le plan somatique, nous prenons contact avec nos collègues de Marsens et avec l'accord du Dr. X, nous décidons d'un retour à l'hôpital de Marsens le 02.12, accompagnée de sa maman, pour suite de prise en charge pédopsychiatrique. Concernant les scarifications des 2 bras, nous désinfectons les plaies et réalisons des pansements. Mme. Y présente une gastro-entérite aiguë probablement virale au décours, avec état général conservé et sans red flags laissant penser à une GE bactérienne. Il y a une déshydratation légère associée, probablement le poids n'est pas interprétable au vu de la différence entre les deux balances, néanmoins l'hydratation conservée, la diurèse régulière, les muqueuses bien mouillées. Nous proposons du Normolytoral qu'elle n'a pas l'air d'aimer, en remplacement des soupes par exemple. Une crème pour la dermite du siège est prescrite. Noeud lymphatique induré pectoral gauche DD: Neoplasique. • Radical excision d'un nodule sous-cutané le 7.11.2018 (Fait par Dr. X). Non-union tibia proximal droit. Status post-réduction ouverte, OS tibia proximal droit par plaque LISS 4.5/5.0 7 trous et 2 vis libres 4.5 le 02.02.2017, sur : Status post-fermeture fasciotomies jambe droite le 26.01.2017. Fracture tibia proximal et tête péroné jambe droite (AO 4.1-C2) ; le 22.01.2017 avec : Status post-fasciotomies médiale et latérale jambe droite, mise en place d'un fixateur externe fémoro-tibial le 22.01.2017. Analgésie par cathéter périnerveux périphérique du 03.02. au 04.02.2017, gérée par les anesthésistes. Nopil Forte Sirop pour 5 jours. Urotube en cours. Nopil pendant 2 semaines. Normo-osmolaire : 282 mOsm/kg. Surveillance. Normolytoral. Normolytoral. Normolytoral. Normolytoral, antalgie. Consignes de réhydratation et alimentaires. Normolytoral en réserve. Antalgiques. Consignes de réhydratation. Explication de signes de gravité. Normolytoral en réserve. Antalgiques en réserve. Consignes de réhydratation. Normolytoral en réserve. Consignes de réhydratation expliquées en détail. Analyse de selles. Normolytoral en réserve. Fractionnement alimentaire. Sédiment négatif. Normolytoral en réserve si difficulté à s'hydrater. Normolytoral en réserve. Zofran 2,5 mg po. Consignes de réhydratation données à domicile. Signes de gravité bien expliqués. Normolytoral en réserve. Consignes de réhydratation. Antalgiques en réserve. Normolytoral pour réhydratation. Normolytoral pour réhydratation fractionnée. Itinérol si nausées. Normolytoral pour réhydratation. Pérentérol 1x/j 7j. Consignes de surveillance (hydratation et diurèse) données à la maman. Normolytoral si vomissements. Consignes de surveillance données aux parents. Normolytoral sur la nuit. Recherche virale (adénovirus/rotavirus) dans les selles : négative. Normolytoral, surveillance de l'hydratation et de la diurèse. Normolytoral 100-200 ml/diarrhée, 50-100 ml/vomissement. Fractionnement des boissons et repas. Reconsulte si déshydratation. Normolytoral 200 ml. Évolution à suivre. Normolytoral 200 ml. Itinérol B6. Ondansetron 2 mg. Normolytoral. Conseils d'hydratation et alimentation. Traitement symptomatique. Reconsulter en cas de déshydratation ou de signes d'alarmes. Normolytoral. Conseils hydratation. Traitement symptomatique. Reconsulter en cas de signes de déshydratation ou échec d'hydratation. Normolytoral. Surveillance alimentation. Normolytoral. Traitement symptomatique avec Ibuprofène et Paracétamol. Conseil hydratation (brochure donnée avec). Reconsulter en cas de signes de déshydratation, sang ou glaire dans les selles ou persistance de la fièvre pendant 48h. Normolytoral. Traitement symptomatique. Conseils hydratation. Reconsulter en cas de signes de déshydratation. Notion anamnestique de fibrose pulmonaire/BPCO. Notion anamnestique de hernie discale lombaire. Notion d'anémie chronique multiinvestiguée. Notion d'asthme bronchique. Céphalées de type migraine. Gonarthrose bilatérale. Notion d'asthme il y a 3 ans, résolu ce jour.Notion de cancer cutané Notion de cancer cutané cuisse G Notion de cardiopathie ischémique avec pose de 3 stents en 2016, suivi chez le Dr. X Notion de consommation chronique éthylique à risque Notion de masse rénale investiguée à Berne sans sanction thérapeutique Investigation à reprendre avec les néphrologues Notion de nodules mammaires calcifiés (pas de plus amples investigations) Nodule pulmonaire hilaire bénin calcifié FA paroxystique anticoagulée par Simtron Schizophrénie paranoïde Artériopathie des membres inférieurs avec : • amputation du côté gauche en 2009 après échec de revascularisation chirurgicale et endovasculaire • recanalisation d'une sténose serrée de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent, ainsi que d'une occlusion étendue de l'artère tibiale antérieure et de l'artère pédieuse par des angioplasties le 29.02.2012 • angioplastie de resténose fémorale superficielle et intra-stent le 08.01.2013 • angioplasties au ballon actif de 2 resténoses de l'artère fémorale superficielle droite le 09.06.2015 • status après angioplasties de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée au ballon à élution le 16.06.2016 à droite, avec aspiration de thrombus formés en intra-opératoire, sans embolisation • status post-angioplastie au ballon médicamenteux de l'artère fémorale superficielle proximale et angioplastie de toute l'artère tibiale antérieure droite le 08.09.2016, compliquées par 2 pseudo-anévrismes au niveau des sites de ponction de l'artère fémorale commune et de l'artère fémorale superficielle, traitées par compression écho guidée et injection de thrombine avec succès • Consilium angiologie (Dr. X) : absence d'ischémie critique, avec sténose serrée de l'AFS proximale droite 3 mois prévue Notion de pancréatite biliaire en 2010. Contusion pancréatique post-AVP à vélo. Contusion de l'épaule gauche avec : • multiples dermabrasions • plaie transverse de 5 cm de la région de l'omoplate gauche atteignant l'épiderme. Contusion des arcs antérieurs et moyens des côtes 3, 4 et 5 à gauche. Notion de pyélonéphrite en D en 2014 sans complication. Notion de rapports non protégés. Notion de saignements des gencives et hématomes fréquents Si récidive épistaxis, évaluation contrôle de la crase chez pédiatre Notion d'éthylisme chronique • 3-4 verres/jours Notion d'infection HBV Goitre sous LT4 Notion d'insuffisance cardiaque chronique sans bilan clair effectué Notion d'une légère scoliose, non investiguée, Hydrocèle en décembre 2012, Chute à ski en 2012, cervicalgies résiduelles. Contusion du 5ème orteil du pied droit. Réaction anaphylactique degré III sur piqûre de guêpe Notion pose PM -> indication ? ACO ? coronaropathie ? Antécédents ortho MIG (PTG ?) Noue évoquons des éruptions cutanées de type dermatite du contact. Nous proposons la poursuite de la prise de médicaments antistaminiques et l'application locale de la crème Anti-dry. Noue évoquons des lésions eczématiformes sans réaction allergique évidente. Nous proposons la poursuite du Feniallerg vu les antécédents des réactions allergiques et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire consulter l'enfant aux urgences. Noue évoquons un épisode d'urticaire sans facteurs déclenchants évidents. Nous proposons la poursuite de la prise des antistaminiques et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent amener l'enfant à consulter aux urgences pédiatriques. Noue évoquons un état général excellent avec des douleurs abdominales et des selles fréquentes d'après les parents. Devant l'absence de signes de gravité et l'état général excellent de Mr. Y, il peut rentrer à domicile. Nous donnons des consignes de surveillance, de réhydratation et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent amener l'enfant à consulter aux urgences. Nous évoquons une gastro-entérite aigue sans signes de déshydratation. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile avec consignes alimentaires et réhydratation en expliquant les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une otite droite débutante. Nous proposons la poursuite des AINS pendant 48 heures et contrôle clinique aux urgences (vu samedi) si douleurs persistantes. Explication en détails des signes de gravité. Nous évoquons une toux fébrile d'origine virale probablement. Vu l'absence d'arguments pour une infection bactérienne, nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique. Nous évoquons un traumatisme crânien simple sans signes de gravité. Mr. Y rentre à domicile vu son état général excellent et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Consignes de surveillance données écrites. Nourrisson de 20 jours, naissance à terme avec poids de naissance 3600 g. 2ème de la fratrie (frère de 2 ans et demi, bonne santé). Pas de problèmes durant la grossesse. Pas d'hospitalisation après la naissance. Nourrisson né à 36 SA PN 2650 g (P25-50). Difficultés alimentaires. TOGD 2.11.16 ECG 2.11.16: Introduction du Cisapride dès le 5.11. 16. Pleurs du nourrisson dans le contexte d'intolérance aux PLV et RGO. Protocole des pleurs. Nous faisons désinfection avec Bétadine solution, mettons des stéri-strips pour rapprocher les bords et un pansement stérile. Contrôle chez MT dans 48 h. Nous allons effectuer une arthro-IRM de l'épaule D. En même temps, je conseille une infiltration des tendons fléchisseurs au niveau de l'articulation de l'IPP pour essayer de faire dégonfler les poulies à ce niveau, une reprise chirurgicale ne devrait pas être nécessaire. J'ai programmé l'infiltration pour le 14.12.2018. Nous avons expliqué à Mme. Y la nécessité de prendre les médicaments antalgiques régulièrement pendant 5-7 jours. Mme. Y rentre à domicile avec le traitement antalgique par Dafalgan, Brufen, Sirdalud et Tramal en réserve. Contrôle chez le MT si pas d'amélioration de la symptomatologie dans 5-7 jours. Nous avons fait un bon d'ergothérapie pour débuter une rééducation sensitive de la pulpe du pouce. Mr. Y sera revu par son médecin traitant le 28.12.2018 pour évaluer la faisabilité d'une reprise de travail. Arrêt de travail à 100% dès le 14.11.2018 jusqu'au 31.12.2018 (provisoire) à régler par son médecin traitant. Traitement terminé ce jour le 14.12.2018. Nous avons pris contact avec sa résidence puis avec le psychiatre de liaison. Ce dernier recommande une hospitalisation à Marsens en vue de prévenir une décompensation plus importante. Mr. Y, après un premier refus, accepte la démarche. En cas de refus, un PAFA aurait été émis. À noter, cette leucocytose modérée, mais sans éléments à l'anamnèse ni au statut somatique. En cas d'apparition d'une symptomatologie somatique nouvelle, Mr. Y consultera aux urgences. Nous avons vivement conseillé à Mr. Y de vous consulter la semaine prochaine au vu de sa consommation alcoolique à risque. Nous avons vu Mme. Y ce jour, qui se présente pour des cervico-brachialgies gauches non traumatiques. La prise de sang et la radiologie cervicale réalisées aux urgences sont rassurantes. Prenant en compte l'absence de red flags, nous suggérons à Mme. Y un traitement symptomatique et nous laissons au médecin traitant la liberté de discuter avec elle d'une éventuelle prise en charge physiothérapeutique ou de la réalisation d'une IRM si ces douleurs venaient à persister. Nous changeons le pansement occlusif en raison du fait que ce dernier est taché. La plaie est en voie de granulation. Nous remettons en place un pansement occlusif avec un suivi qui devra se faire dans 3 jours chez le médecin traitant. Nous changeons le plâtre (trop serré) et remettons en place un BAB fendu avec renforcement postérieur et 10° de flexion du poignet. L'antalgie en cours est maintenue (Irfen 400 4 X par jour + Dafalgan 500 3 X par jour). Mme. Y sera revue à la consultation le 04.01.2019 (une semaine post fracture). Nous changeons le traitement antibiotique par de la Ciprofloxacine en sirop, même dosage. Mme. Y sera examinée fin de traitement par son MT en France. Nous complétons le bilan par un CT-scan du genou gauche afin de juger de la consolidation osseuse. Une date opératoire avait déjà été agendée pour le 12.02.2019. Nous reverrons Mr. Y après le scanner. Nous complétons le bilan par une nouvelle IRM du genou D et reverrons Mme. Y ensuite pour discuter des résultats et de la suite de prise en charge. Nous complétons le traitement symptomatique et recommandons à Mme. Y de prendre tous les médicaments et de réévaluer après 48 heures. Nous complétons les radiographies réalisées par MT par cliché de profil. Nous obtenons l'avis de Dr. X qui préconise une immobilisation en attelle Édimbourg, antalgie, RICE, contrôle polyclinique avec Dr. X à la fin de cette semaine. Nous concluons à des douleurs abdominales sans signes de gravité d'origine probablement virale. Une adénite mésentérique sur état grippal la semaine précédente reste possible, mais nous n'avons pas de critères pour effectuer un ultrason abdominal ciblé. Nous concluons à une angine virale, une otite droite débutante et une IVRS. Nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec une thérapie anti-inflammatoire pendant 48 h et antalgique et conseillons un contrôle clinique aux urgences dans 48 h en cas de fièvre/otalgie persistante. Nous donnons des consignes de surveillance et expliquons les signes de gravité pour lesquels une consultation aux urgences serait nécessaire. Nous concluons à une crise d'asthme modérée qui suit une bonne évolution après 2 aérosols d'Atrovent/Ventolin avec peak flow remontant à 360 l/min (77% de la valeur attendue). Mme. Y se sentant à nouveau bien et le statut pulmonaire restant normal, elle rentre à domicile. Nous concluons à une cystite simple au vu des résultats du sédiment urinaire et de l'examen clinique (patiente apyrétique, pas de douleur des loges rénales). Nous proposons un retour à domicile et si persistance des symptômes malgré le traitement ou apparition d'un état fébrile, Mme. Y reconsultera. Si persistance des brûlures vaginales après résolution des symptômes, il lui a été conseillé d'avancer son rendez-vous chez sa gynécologue. Conseils en lien avec la cystite donnés. Nous concluons à une cystite simple et débutons un traitement de Nitrofurantoïne. Mme. Y reconsultera en cas d'état fébrile, douleurs lombaires, ou persistance des symptômes. Nous concluons à une gastro-entérite débutante et laissons rentrer Mr. Y à domicile avec du Normolytoral et une thérapie antalgique en expliquant les signes de gravité (altération de l'état général, fièvre persistante >5 j) pour lesquels une consultation serait à nouveau indiquée. Nous concluons à une IVRS et une otite moyenne séro-muqueuse à droite. Nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec une thérapie anti-inflammatoire d'office pour 48 h pour l'otalgie en expliquant les signes de gravité (détresse respiratoire, otalgie persistante >48 h, fièvre non tolérée >48 h, toux >14 j) pour lesquels une consultation chez le pédiatre serait à nouveau indiquée. Nous concluons à une otite moyenne à gauche et laissons rentrer Mme. Y à domicile avec une thérapie antibiotique étant donné le traitement symptomatique depuis plus de 48 heures.Nous concluons à une pharyngite virale associée à une réaction allergique stade 2. La patiente présente un angioedème avec oedème palpébral sans réaction cutanée qui diminue avec l'administration de 5 mg de Xyzal. Au vu de l'absence de critère de gravité, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique de la pharyngite et la poursuite du Xyzal pour 5 jours. La patiente sera vue en contrôle à la FUA le 27.12 à 13h. Nous concluons aux lombalgies non déficitaires. Calcul rénal est moins probable au vu du sédiment urinaire qui montre pas de nitrite, leucocytes +, laboratoire - CRP 8, leucocytes - 7,3. Nous retenons le diagnostic de lombalgies non déficitaires et mettons en place l'antalgie : • Voltarène, • Pantoprazol, • Dafalgan, • Sirdalud. Nous concluons donc à un état grippal dans le contexte d'une probable virose. Nous recevons par la suite un appel des parents annonçant un vomissement, nous posons donc le diagnostic de gastro-entérite virale débutante. Nous concluons pour une contusion de la clavicule droite et mettons en place un traitement antalgique simple. Nous remarquons un comportement hyperactif, parfois une absence de contact visuel ; selon le père, Max présente un comportement habituel. Il est suivi par un pédopsychiatre, il aurait également des problèmes à l'école. Pas de médicaments psychotropes ni autres au long cours. Prise seulement d'Algifor ce soir, il n'aurait pas pu prendre d'autres médicaments à la maison chez le papa. Pupilles iso-iso. Nous concluons pour une gastro-entérite virale, le principal diagnostic différentiel étant une invagination-désinvagination intestinale au vu du caractère paroxystique des douleurs. La dernière crise de douleurs est survenue vers 8 h ce matin, durant les 6 heures suivantes, Aaron n'a pas eu de nouvelle crise de douleurs. Au vu de cet élément et d'une clinique abdominale rassurante et sans suspicion d'appendicite, nous ne complétons pas le bilan avec un US abdominale. La maman reconsultera en cas de récidive de douleurs abdominales paroxystiques, de symptômes digestifs ou de baisse de l'état général. Un US sera à rediscuter en cas de récidive de douleurs. Compte tenu d'un syndrome inflammatoire biologique important, nous excluons une infection urinaire (analyse urinaire propre). Il n'y a pas d'éléments à l'anamnèse ni au statut pour suspecter une pneumonie. Nous concluons pour une IVRS probablement virale et mettons en place un traitement symptomatique plus costaud au vu d'une fréquente récidive des symptômes et de l'impact sur la vie quotidienne. Recommandation d'une durée de traitement de max 5 jours pour le vasoconstricteur nasal, rinçages de nez à privilégier. Recommandation de prise du sirop antitussif max 1x/j au coucher si difficultés d'endormissements. Nous n'avons pas d'autres diagnostics différentiels : • pas de suspicion clinique d'angine à streptocoque : score Centor O. • TBC : pas de contact avec TBC ni voyages, pas d'hématémèse, Rx thorax normale. • Coqueluche : statut vaccinal en ordre a priori, pas de toux aboyante, ni vomissements, pas de douleurs abdominales. • pneumonie : pas de fièvre. • toux sur décompensation asthmatique : clinique d'angine, auscultation pulmonaire sp. Nous confirmons donc l'indication opératoire pour un ALIF L5-S1 et mise en place d'une cage Synfix. Mme. Y est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 18.01.2019. Nous confirmons l'indication à une décompression sélective de la racine L5 au niveau foraminal G. Mme. Y est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 08.02.2019, en ambulatoire. Nous confirmons l'indication opératoire. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 17.12.2018. Une surveillance aux soins continus est organisée en post-opératoire. Nous conseillons au patient de se sevrer progressivement de l'attelle velcro. Reprise du travail le 12.12.2018 avec restriction du port de charge jusqu'au 31.12.2018. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. Nous conseillons au patient d'enlever l'attelle et de la garder pour travailler. Prescription d'ergothérapie afin de regagner la mobilité. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous conseillons un traitement local et AINS per os et conseillons à la patiente de consulter le spécialiste ORL en cas de persistance de la douleur. Nous considérons la symptomatologie comme des effets indésirables à la prise de Co-Amoxicilline et AINS. Nous conseillons à la patiente de prendre un traitement symptomatique et de retourner chez son MT pour un contrôle clinique le 19.12. Nous constatons une bonne évolution radio-clinique à 5 mois postopératoires. On poursuit les séances de physiothérapie avec renforcement musculaire et on reverra la patiente à 9-10 mois postopératoires pour un contrôle radio-clinique des deux épaules. Nous contactons Dr. X qui effectue le changement de la sonde, la procédure se déroulant sans complication. Nous débridons légèrement les parties nécrotiques avec le tampon. Réfection du pansement avec de la Bétadine tulle. La réfection du pansement sera faite une fois par jour par les infirmières des soins à domicile. Nous la reverrons pour un contrôle clinique le 17.12.2018. Si elle remarque une aggravation, elle peut nous recontacter. Nous décidons de compléter le bilan par une nouvelle IRM du genou G et reverrons la patiente en consultation pour discuter des résultats de cet examen et de la suite de prise en charge. Nous décidons de ne pas procéder à une suture de la plaie au vu de la perte de substance qui rendrait la suture sous tension, sans avoir ainsi aucun bénéfice sur le plan esthétique. La plaie est désinfectée et protégée par du Cofix. Nous décidons de ne pas réaliser de radiographie, la mère décide donc de rentrer à domicile sans consultation plus approfondie. Nous décidons de poursuivre le port des semelles pyramidales le plus souvent possible. Nous lui prescrivons de la physiothérapie en raison d'une dorsi-extension limitée de la cheville. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous décidons de stopper la physiothérapie pendant 1 mois. Elle peut continuer les exercices avec le Kinetec régulièrement selon douleurs ainsi que les activités sportives comme le vélo ou la natation. Le Miacalcic est à continuer pour 2 mois au total. Nous la reverrons mi-janvier pour un contrôle clinique. Si l'arrêt sec au niveau de la capsule antérieure persiste, nous pourrions envisager une capsulectomie antérieure par arthroscopie. Nous défaisons le plâtre cassé. L'examen clinique est superposable à celui du 07.12. Une radio de la cheville/calcanéum est effectuée et ne montre pas de déplacement. Nous refaisons le plâtre circulaire fendu. La radio de contrôle post-plâtre ne montre pas de déplacement et un plâtre est en place. Le patient rentre à domicile avec les suites maintenues comme prévues le 07.12. Nous demandons des radiographies du coude qui sont visualisées par Dr. X. La clinique étant restreinte à l'olécrâne et la mobilité complète, nous concluons à une contusion du coude. Un laboratoire est effectué pour écarter une boursite. La patiente rentre à domicile avec une antalgie et une bande élastique.Nous demandons l'avis de Dr. X, gynécologue, pour les varices pelviennes : l'examen clinique est normal. Mme. Y reviendra le 08.11 à 9h pour un contrôle en filière des urgences ambulatoires avec formule, CRP et avis de Dr. X, chirurgien. Nous demandons un avis à Dr. X, et selon son conseil, nous reposons le drain de Penrose sous anesthésie locale, et Mme. Y reviendra à la FUA pour un contrôle clinique demain. Ensuite, elle s'occupera elle-même des soins locaux, et le nouvel contrôle sera chez le MT. Nous demandons un bilan angiologique afin d'exclure une stase veineuse importante et une artériopathie. Nous prions donc le service d'angiologie de convoquer Mr. Y dans les plus brefs délais. Nous lui prescrivons du Pruri-Med pour traiter localement l'eczéma et nous l'informons qu'il ne faut pas mettre de cortisone pour le moment. Actuellement, nous ne suspectons pas d'infection à ce niveau-là. Nous le reverrons suite au bilan angiologique. Nous demandons une radio qui ne montre pas de fracture. Au vu de l'incapacité à charger, nous prenons l'avis de Dr. X et immobilisons Mr. Y avec un Splint pod. Il déchargera avec des cannes et peut rentrer à domicile avec une prescription de Clexane 40 mg 1x/jour et d'antalgie. Il sera revu la semaine prochaine en polyclinique pour un contrôle. Nous demandons une radiographie de la jambe gauche ; celle-ci montre une fracture diaphysaire du tibia gauche peu déplacée. La radiographie de la cheville ne montre pas de fracture. Nous mettons en place un plâtre cruro-pédieux fendu. La radiographie post-plâtre ne montre pas de déplacement secondaire. Étant donné que Mr. Y vient du canton de Valais, nous le laissons partir et proposons qu'il se présente dimanche 04.11.2018 au RFSM Valais pour la suite de la prise en charge. Nous désinfectons et suturons la plaie sous anesthésie locale et mettons en place 3 points de suture simple. Le tétanos est à jour anamnestiquement. Il sera suivi régulièrement par le médecin traitant pour réfection du pansement et ablation des fils à J7. Nous désinfectons la brûlure et mettons en place un pansement avec Lalugen et compresse Tefla. Mr. Y verra son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle. Nous administrons un rappel anti-tétanique à Mr. Y et il peut rentrer à domicile. Nous désinfectons, rinçons et nettoyons bien cette plaie, qui se présente sale. Ensuite, nous suturons par 3 points simples non résorbables, avec obtention d'une hémostase efficace. Un pansement compressif est mis en place et Mr. Y est mis sous prophylaxie antibiotique en raison de la saleté de l'instrument qui a causé la plaie et de la plaie en soi. Mr. Y RAD avec contrôle prévu le 20.12 à la FUA (n'a pas de MT en Suisse). L'ablation des fils à J7 sera faite par le MT au Portugal. Nous désinfectons la plaie et faisons une anesthésie par rapidocaine. Au moment d'explorer la plaie, nous butons contre l'os, sans l'apercevoir. Pour cette raison, nous effectuons une radiographie mandibulaire, qui ne met aucune fracture en évidence. Nous suturons avec Ethylon 5.0. Nous renvoyons Mr. Y à domicile avec antalgie simple et antibiothérapie co-amoxiciline 1g 2x/j. Contrôle chez le MT à J3 et ablation des fils à J7. Mr. Y a reçu une dose d'antibiotiques aux urgences. Nous désinfectons la plaie et la dermabrasion avec l'eau oxygénée, mettons en place 3 points de suture avec Ethilon 6-0 et des pansements stériles. Vaccination anti-tétanos a été réalisée aux urgences. Vu l'examen clinique rassurant, Mme. Y rentre à domicile avec co-amoxicilline 1g per os 2 fois par jour pendant 5 jours, nasivine spray 2 fois par jour pendant 3 jours, Brufen en réserve si douleurs. Contrôle clinique chez ORL durant 7 jours. Ablation des fils dans 7 jours. Nous désinfectons la plaie, rinçons et explorons sous AL. La plaie est profonde d'environ 0.5 cm chez Mme. Y avec un tissu sous-cutané épais. Nous ne visualisons pas les tendons. Nous refermons par 2 points simples avec Ethilon 3.0 et faisons un pansement simple. Le dernier rappel tétanique date de cet été. Mme. Y verra son médecin traitant pour contrôle à 48h et pour retrait des fils à J10. Elle reconsultera en cas de signe inflammatoire. Nous désinfectons les scarifications. Nous discutons avec Mr. Y et notons un risque suicidaire faible mais toutefois présent. Selon l'avis du collègue psychiatre de garde et selon le souhait de Mr. Y, nous organisons un transfert pour hospitalisation à Marsens. Nous désinfectons, rinçons et explorons la plaie qui ne présente pas de corps étranger. Nous faisons une AL et suturons avec 2 points simples. Mme. Y ira retirer les fils à J5 chez son pédiatre. Au vu du TC léger, nous donnons la feuille de surveillance à la maman qui reconsultera en cas de nouveaux symptômes. Nous diagnostiquons une otite moyenne aiguë gauche chez une fille de < 2 ans qui est hautement fébrile, sous traitement systématique de Dafalgan durant les dernières 24 heures. Ainsi, nous introduisons une antibiothérapie par Amoxicilline 50 mg/kg/j durant 10 jours, avec contrôle si persistance de la fièvre dans 48 heures chez le pédiatre. Nous discutons à nouveau de la suite de prise en charge, soit d'une arthrodèse. Au vu du territoire infectieux, une prothèse est donc exclue. Il reste hésitant vis-à-vis de cette intervention chirurgicale mais d'un autre côté, il souffre de plus en plus de cette situation. Il ne peut plus faire de longues marches et travaille encore à 50 % comme informaticien. Ce taux à 50 % est un travail de bureau qui est gérable, mais les déplacements à l'extérieur ne sont plus faisables. Nous proposons donc un temps de réflexion. Nous le reverrons dans 2 mois avec un CT afin de déterminer si l'arthrodèse naturelle progresse ou si l'évolution stagne. Nous discuterons à nouveau de la suite de la prise en charge, soit d'attendre soit de planifier une arthrodèse. Nous discutons avec Mme. Y des différentes options thérapeutiques. À terme, elle serait candidate à une AMIC de la rotule para-patellaire externe avec ostéotomie de la TTA et reconstruction du MPFL. Étant donné que Mme. Y est actuellement asymptomatique et ne présente aucune limitation dans ses activités de la vie quotidienne, nous lui proposons de surseoir toute prise en charge chirurgicale. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 1 an. Elle reprendra contact avant au besoin. Nous discutons avec Mme. Y des diverses options thérapeutiques. Une révision chirurgicale en 2 voire 3 temps devrait être organisée avec une reconstitution de la lordose lombaire par abord antérieur ou latéral, une reprise suivante avec prolongation de la fixation au niveau sacral avec vis iliaques et prolongation de la fixation pour obtenir une correction de la cyphose dorsale. Actuellement, selon les indications littéraires, le pourcentage de réussite d'une telle intervention est d'environ 50 % avec un taux de mortalité de 2 % environ. À notre avis, la cause du débalancement de Mme. Y, qui provoque les douleurs, est une insuffisance de proportion musculaire ainsi qu'une posture incorrecte. Nous proposons de faire 3 à 6 mois de physiothérapie intensive et de réhabilitation de la posture ou de la marche, également à l'aide d'un rollator. Mme. Y a bien compris notre proposition de traitement. Prochain contrôle au mois de mars afin de faire le point de la situation. Nous discutons avec Mme. Y des suites du traitement. Nous lui expliquons qu'elle pourra ressentir une fatigue lors des efforts de concentration durant quelques semaines encore, ainsi que d'éventuels troubles de la concentration et de la mémoire. Dans ce cas, elle devra nous recontacter pour évaluer la nécessité d'une consultation neuropsychologique. Sinon, pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin.Nous discutons avec la patiente, qui accepte une hospitalisation au RFSM de Marsens. Nous contactons alors la psychiatre de grade, le Dr. X, qui accepte l'hospitalisation. Nous réalisons donc une surveillance clinique puis transférons la patiente à Marsens en ambulance. Concernant la pancréatite biologique, nous prenons l'avis du chirurgien, le Dr. X, qui propose un suivi biologique à 24h et 72h. Nous discutons avec le Dr. X et nous lui prescrivons de la physiothérapie avec stretching. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous discutons avec le patient de procéder à l'ablation des vis. Le patient ne peut pas s'organiser avant le mois de mars 2019, en raison de son travail. Nous le reverrons avant cette date pour discuter des détails de l'intervention. Nous discutons avec le patient une nouvelle fois des différentes options thérapeutiques. Nous recommandons, au vu de son âge, de surseoir à toutes nouvelles prises en charge chirurgicale. Le patient va chez Orthoconcept pour faire adapter son attelle. Prochain contrôle clinique dans 3 mois. Nous discutons avec Mr. Y et lui réexpliquons encore une fois la nature de la pathologie pour laquelle il a été opéré en soulignant qu'il y a un risque de récidive herniaire. Nous l'informons qu'il faudra nous recontacter au moment où il devrait y avoir une aggravation des symptômes. Nous l'informons également qu'il y a la possibilité de bénéficier encore d'une récupération du côté gauche et sommes favorables à la reprise du sport de façon intensive mais en évitant les sports où le risque d'accident est élevé (ski, snowboard,...) en raison de la perte de force partielle au niveau de la jambe gauche. Nous reverrons Mr. Y dans une année pour un dernier contrôle clinique. Nous discutons ce jour avec la patiente accompagnée de sa fille et lui expliquons que les douleurs devraient se calmer. En cas de persistance de celles-ci, un cimentage peut être envisageable. Toutefois, le niveau de la fracture rend cette intervention plus risquée. Pour l'instant, Mme. Y dit tolérer les douleurs et souhaite attendre. Nous modifions donc l'antalgie avec substitution du Targin par Co-Dafalgan. Poursuite du Brufen et de la protection gastrique et prescription de Miacalcic spray 200U intranasal par jour. Prochain contrôle radio-clinique mi-janvier. Nous discutons de l'amputation de la phalange distale de l'hallux. Actuellement, elle est traitée par du Clindamycine 3 x 300 mg par jour ainsi que du Levofloxacine 1 x 500 mg à midi. Elle va stopper l'antibiothérapie 5 jours avant l'opération. Nous organisons l'intervention pour le 04.01.2019. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Si elle remarque des signes d'infection aigus, elle nous recontactera. Nous discutons du cas avec le Dr. X, infectiologue. Nous décidons donc de faire une AMO côté médial, fenestration osseuse et prise de prélèvements histologiques/bactériologiques. Le Dr. X recommande qu'on applique ensuite des pellets de Vancomycine dans la fenestration osseuse afin d'avoir une haute concentration d'antibiotique locale. En même temps, il doit recevoir du Co-amoxicilline 2,2 g i.v 4x/jour jusqu'aux résultats des biopsies. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Il est informé qu'une partie du matériel peut rester en place. Nous discutons d'une éventuelle AMO. Il ne souhaite pas la faire pour le moment mais nous recontacte dans le cas où il se sentirait dérangé par la plaque. Nous discutons longuement avec Mr. Y et sa fille de cette pathologie isthmique probablement présente depuis son adolescence mais qui ne se manifeste pas par des douleurs lombaires plutôt de manière secondaire avec listhésis et compression foraminale de la racine L5 du côté droit sur bombement discal, déplacement antérieur des foramens et kyste arthro-synovial. Cette symptomatologie devient très handicapante pour le patient et pourrait donc mériter à notre avis une décompression foraminale avec arthréctomie partielle et ablation du kyste ainsi que foraminotomie étendue aussi en avant. Nous expliquons au patient que cette solution permettrait d'améliorer les douleurs radiculaires avec tout de même un risque de décompensation par la suite d'un point de vue de stabilité avec besoin d'une spondylodèse dans un 2ème temps. Celle-ci est un peu plus à risque de déhiscence et lâchage sur des patients souffrant de la maladie de Parkinson, raison pour laquelle nous ne la préconisons pas comme 1ère option. Le patient va réfléchir à notre proposition et nous pré-réservons une date opératoire en demandant un consilium anesthésiologique en attendant la décision définitive du patient. Il reçoit le consentement et nous le retournera. Si les douleurs devenaient insoutenables, nous pourrions également pratiquer entre temps une infiltration foraminale L5 droite sous scanner. Nous donnons à la patiente une attelle Velcro à porter lorsqu'elle sort de la maison. Prescription de séances de physiothérapie pour regagner la mobilité articulaire. Nous la reverrons le 21.01.2019 pour un contrôle clinique. Nous donnons des conseils d'hygiène et ajoutons du Movicol en plus de son traitement avec contrôle chez son MT. Nous donnons 2 sirops et une crème dessert au patient avec disparition de la confusion et correction de la glycémie à 6.3 mmol/l. Le bilan biologique montre une légère insuffisance rénale avec Créatinine à 106 et urée à 9.7 ainsi qu'une CRP à 7 sans leucocytose. Au vu de l'absence de drapeau rouge concernant les céphalées qui semblent plutôt entrer dans le cadre d'une IVRS, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan déjà en place. Nous ne répétons pas de radio car il n'y a pas eu de nouveau traumatisme. Au vu de la suspicion d'une boursite inflammatoire, nous demandons un laboratoire que la patiente ne veut pas faire ce soir car elle doit partir. Nous la laissons donc rentrer à domicile avec une bretelle à but antalgique et la poursuite du traitement antalgique. Elle prendra rendez-vous à la polyclinique d'orthopédie pour le 28.12. Elle reconsultera les urgences en cas de péjoration de douleur ou d'apparition de fièvre. Nous écartons un syndrome coronarien aigu et une embolie pulmonaire. Nous retenons des douleurs thoraciques probablement d'origine musculo-squelettique que nous mettons sous traitement symptomatique avec contrôle chez son MT. Nous écartons une fracture sur la base d'un examen radiologique et retenons une entorse de cheville grade II (ligament talo-fibulaire antérieur). Le patient repart avec une attelle Aircast qu'il devra porter selon un schéma de 2 semaines jour et nuit, puis 2 semaines uniquement le jour, puis 2 semaines uniquement lors des activités physiques. Contrôle chez son médecin traitant dans 10 jours. Nous écartons une pneumonie et retenons le diagnostic d'infection virale des voies supérieures et initions un traitement symptomatique. Nous écartons une urgence vitale et proposons à la patiente de consulter aux urgences gynécologiques de Fribourg. Nous effectuons des radiographies avec incidences scaphoïdes qui ne montrent pas de fracture. Au vu de la suspicion clinique de fracture du scaphoïde, nous demandons l'avis du Dr. X qui préconise la réalisation d'un CT. Le radiologue de garde de Fribourg (Dr. X) ne visualise pas de fracture mais ne peut exclure une lésion du ligament scapho-ulnaire avec un espace scapho-ulnaire de 4.8 mm. Dans ce contexte, il proposerait une arthro-IRM à discuter. Nous concluons à une entorse du poignet et une entorse du LCU et nous immobilisons le patient avec un plâtre AB fendu en cubital et il prendra rendez-vous à la polyclinique d'orthopédie pour un contrôle à 4-5 jours. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve et un arrêt de sport.Nous effectuons des tests hépatiques et un stix urinaire qui permettent d'exclure des lésions internes. Les radiographies de l'épaule et du poignet gauches ne montrent pas de fracture, pas de luxation. Les tests de la coiffe des rotateurs excluent une lésion. Le patient peut ainsi regagner Marsens avec une antalgie, accompagnée de son épouse. Nous effectuons les D-Dimères et les troponines qui reviennent dans la norme. Nous en concluons, au vu de la situation, que nous débutons un traitement antalgique et mettons en place une perfusion de potassium 20 MEQ avec relais per os à la sortie de notre service des urgences. Un traitement médicamenteux débuté par le médecin traitant pour hypertension depuis environ 10 jours n'a pas été modifié au vu des dosages inconnus de ceux-ci. Nous effectuons un bilan biologique mettant en évidence une microhématurie et des signes d'infection urinaire ainsi qu'un syndrome inflammatoire avec une leucocytose à 12.5 G/L sans CRP. À noter une anémie à 93 g/l, connue selon la patiente. Au vu de ces éléments, nous effectuons un CT abdominal qui montre des signes de S/p calcul rénal G mais sans calcul visible. La patiente devient asymptomatique juste avant le CT. À noter que la patiente a urinée pour l'analyse urinaire. Au vu de cette excellente amélioration clinique, la patiente peut rentrer à domicile avec le traitement et le suivi ci-dessous. Nous effectuons un CT dans un premier temps à la recherche d'une lithiase urinaire surinfectée vs diverticulite. Au CT scan, on découvre un anévrisme de l'aorte abdominale rompu. Le patient est immédiatement transféré à l'Inselspital à Berne pour suite de prise en charge chirurgicale. Nous effectuons un ECG ne montrant pas d'arythmie ni d'origine ischémique ainsi qu'un bilan biologique dans la norme. Au vu de la présentation clinique et biologique, nous suspectons des douleurs pariétales d'origine probablement musculo-squelettique. La patiente étant actuellement en deuil avec une tristesse profonde, nous lui proposons un suivi auprès du centre psychosocial de Fribourg et de reconsulter les urgences si péjoration ou apparition de nouvelles douleurs. Nous effectuons un ECG qui est dans la norme et une radio de thorax qui ne montre pas de foyer ni de pneumothorax. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Les troponines ne suivent pas de cinétique (H0: 5 ng/l et H1: 5 ng/l) ce qui nous permet d'exclure un NSTEMI. Nous dosons les D-dimères qui sont négatifs selon l'âge (<550 ng/ml) et nous excluons une EP. Au cours de son séjour aux urgences, le patient normalise spontanément sa tension artérielle. Nous concluons à des douleurs pariétales sur crise hypertensive à résolution spontanée et laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple. Il verra son médecin traitant pour contrôle clinique et réévaluation du traitement antihypertenseur. Nous effectuons un ECG qui est dans la norme. Le laboratoire est aligné. Un test de Schellong est positif autant objectivement que subjectivement et déclenche une nouvelle syncope au bout de 4 minutes. Nous concluons donc à une syncope orthostatique. À noter qu'au vu des symptômes gastro-intestinaux, nous ne pouvons exclure une origine vaso-vagale, bien qu'elle soit peu probable. Dans ce contexte, nous laissons le patient rentrer à domicile avec une prescription pour des bas de contention. Nous stimulons le patient à boire. Nous effectuons un ECG qui est superposable à sa précédente hospitalisation. Les trains de troponines reviennent négatifs. Une radiographie de thorax est effectuée et revient sans particularité. Au vu de la clinique, le diagnostic sus-mentionné est retenu. Au vu du contexte social difficile, nous proposons au médecin traitant d'augmenter les soins à domicile pour le patient avec éventuellement une consultation ergothérapeutique. Le patient peut rentrer à domicile sans ordonnance. Nous effectuons un ECG qui ne montre pas de signe d'ischémie. Le bilan biologique est dans la norme avec notamment des tests cholestatiques et hépato-pancréatiques alignés. Le sédiment urinaire montre 11-20 globules rouges par champ sans leuco. Pas de syndrome inflammatoire. L'examen clinique est rassurant et le patient est soulagé par traitement p.os de Nexium 40 mg, de paracétamol 1 g et de Motilium, il peut donc rentrer à domicile avec une prescription de Pantozol 40 mg 1-0-0-0 et verra son médecin traitant pour un contrôle. Nous effectuons un laboratoire qui est dans la norme et un ECG qui ne montre pas de signe d'ischémie. Au vu du caractère oppressif des douleurs, nous dosons les troponines qui ne montrent pas de cinétique. Avec une antalgie par Dafalgan 1 g, les tensions diminuent jusqu'à 135 de systoliques et les douleurs disparaissent presque complètement. Nous mettons les douleurs sur le compte de l'hypertension et conseillons fortement à la patiente de discuter de l'introduction d'un traitement antihypertenseur. Elle peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Nous effectuons un laboratoire qui met en évidence une CRP à 21. Nous effectuons un stix et sédiment urinaire qui mettent en évidence un fort taux de leucocytes. Au vu de la clinique, nous posons le diagnostic de pyélonéphrite simple. Une dose de ceftriaxone 2 g iv lui est administrée aux urgences, suivie d'une prescription de Ciproxine 500 mg 2x/j per os pendant 7 jours. La patiente voit son médecin traitant le lundi 10.11.2018 à 14h pour un contrôle annuel, du coup nous lui conseillons de garder ce rendez-vous. Nous lui proposons un contrôle à la FUA le mardi 11.12.2018, pour pister les résultats de l'urotube. En cas de péjoration de son état clinique (fièvre, baisse de l'état général), nous conseillons à la patiente de reconsulter aux urgences. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture visible. Au vu d'une clinique en faveur d'une fracture du scaphoïde, nous prenons un avis orthopédique qui préconise une immobilisation par plâtre prenant le pouce et un contrôle à la polyclinique le vendredi 14.12. Il préconise la réalisation d'un CT scan dans le cas où les douleurs dans la tabatière anatomique seraient toujours présentes à ce moment-là. Nous effectuons un rinçage abondant suite à une désinfection et anesthésie locale. Retrait d'un bouchon de 2x3 cm de tissus blanc. Mise en place d'une mèche bétadinée et réfection du pansement. RDV FUA lundi pour ablation de la mèche, rinçage et réfection du pansement. RDV chez le médecin traitant déjà prévu le 02.01.2019. Sera vue en consultation par un médecin afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée. Travail en blanchisserie avec nécessité de mouvement membre supérieur toute la journée. Arrêt de travail fait pour lundi, jour de la consultation à la FUA. Discuter avec la patiente en fonction de l'évolution pour un prolongement ou non de l'arrêt maladie. Nous effectuons un sédiment urinaire qui montre une infection urinaire avec leucocyturie, nitriturie et sang. Au vu du traitement antibiotique récent, nous considérons une cystite compliquée et instaurons donc un traitement par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Un urotube est envoyé au laboratoire. Nous laissons le soin au médecin traitant de la pister et d'adapter selon le besoin l'antibiothérapie.Le patient peut rentrer à Marsens et nous lui conseillons d'effectuer un rinçage de la plaie 6x/jour pendant 2-3 jours, sous pression, avec le pommeau de douche. Puis la fréquence pourra être diminuée. Contrôle à 5-7j chez le médecin traitant. Nous effectuons une désinfection locale, un champage et une anesthésie locale par Rapidocaïne. Puis, nous incisons l'abcès avec rendu de pu, et mettons en place une mèche et un pansement simple. Le patient rentre à Marsens avec une antalgie simple et sera revu en contrôle demain à la FUA. Nous effectuons une désinfection, un rinçage et une exploration de la plaie, sans atteinte des structures nobles. Le status local est rassurant et nous suturons la plaie avec 3 points 4-0 non résorbables. Sa mère retirera les points à J7 et effectuera le contrôle clinique. Nous effectuons une radio de la main droite qui montre une fracture intra-articulaire de la base du 5ème métacarpe. Nous prenons l'avis du Dr. X qui préconise la réalisation d'un CT pour évaluer la présence d'un déplacement qui n'est pas mis en évidence. Nous immobilisons donc le patient avec une attelle Edimbourg pour 6 semaines. Il sera vu pour un contrôle clinico-radiologique à la polyclinique d'orthopédie le 28.12. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Nous effectuons une radio de l'épaule droite et demandons l'avis du Dr. X. Elle demande un avis radiologique qui permet d'exclure une luxation de la tête humérale. Elle préconise la réalisation d'une arthro-IRM la semaine prochaine afin de mieux bilanter ces douleurs, suivie d'un rendez-vous à sa consultation. Le patient peut rentrer à domicile avec une antalgie. Nous effectuons une radio du doigt qui montre une fracture de la tête de P1D5. Nous immobilisons le patient avec une attelle alu englobant l'ensemble de D4-5, y compris les métacarpophalangiennes. Le patient sera revu en contrôle à la polyclinique d'orthopédie. Dans l'intervalle, il reçoit une antalgie et un arrêt de sport. Nous effectuons une radio du genou D qui ne montre pas de fracture. La patiente ne rapportant pas d'instabilité et le status clinique étant rassurant, nous concluons à une contusion du genou droit. Elle rentre à Marsens avec une bande élastique et une antalgie. Au niveau de la plaie, la profondeur n'est que d'environ 1 mm, nous ne pouvons rien suturer. Nous désinfectons et posons 2 Stéristip. La patiente présente un status neuro dans la norme et n'a pas de nausée/vomissement, nous lui remettons donc la feuille de surveillance post-TC et restons à disposition si besoin. Nous effectuons une radio du genou qui ne montre pas de fracture. Au vu de l'examen clinique rassurant et d'une charge possible sans instabilité, nous concluons à une contusion du genou. Le patient rentre à domicile avec une bande élastique et une antalgie. Nous effectuons une radio qui exclut une fracture. Nous concluons donc à une entorse de stade 2 au vu de l'impossibilité de charger. Nous immobilisons la patiente avec une Slim pod et la laissons rentrer à domicile avec une antalgie, un arrêt de travail et une prophylaxie antithrombotique. Nous effectuons une radio qui montre une fracture de P2 O4. Nous immobilisons donc avec une syndactylie prenant O3 et O4. Le patient rentre à domicile avec une antalgie. Sa pédiatre étant en vacances, nous demandons à la maman de prendre rendez-vous à la polyclinique d'orthopédie pour un contrôle à J7. Nous effectuons une radio qui ne montre pas de fracture. Lors du testing de la mobilité, la patiente peut effectuer tous les mouvements mais est limitée par la douleur. Nous proposons un contrôle à 7 jours chez le médecin traitant pour réévaluation. Dans l'intervalle, nous lui prescrivons une antalgie et du repos avec mobilisation selon douleur. Nous effectuons une radio qui ne montre pas de fracture, mais un épanchement intra-articulaire. Nous demandons un avis orthopédique (Dr. X), qui préconise une immobilisation par une attelle Jean à 20° de flexion avec IRM à une semaine et consultation chez le Dr. X ensuite. La patiente peut rentrer à domicile avec une antalgie simple, une prescription de Clexane prophylactique et un arrêt de travail d'une semaine. Nous effectuons une radio qui ne montre pas de fracture. Nous concluons à une entorse de l'IPP de D4 à gauche et nous immobilisons la patiente avec une attelle alu en cuillère, laissant la métacarpophalangienne libre. La patiente consultera son médecin traitant la semaine prochaine pour un contrôle. Elle peut rentrer à domicile avec une antalgie simple. Nous effectuons une radio qui ne montre pas de fracture. Nous concluons à une entorse de stade 2 avec charge partielle possible. Nous immobilisons la patiente avec une attelle Air Cast et la laissons rentrer à domicile avec un arrêt de sport et une antalgie. Nous effectuons une radiographie du pouce gauche qui ne met pas en évidence de fractures mais montre un ancien corps étranger à distance de l'événement actuel de la masse thénarienne palmaire. Nous effectuons une exploration et désinfection par Hibidil gel qui ne montre pas d'atteintes des structures nobles, suivi de 6 points de suture par Ethilon 4-0. Prochain contrôle chez le médecin traitant le 10.12 et ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. RAD avec antalgie simple. Nous effectuons une radiographie et demandons l'avis du Dr. X qui visualise une fracture proximale de PP du pouce gauche. Nous immobilisons donc le patient avec un plâtre AB fendu. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve et un arrêt de sport. Il prendra rendez-vous à la polyclinique d'orthopédie à une semaine. Nous effectuons une radiographie qui montre une fracture Salter Harris III de P1 D5 déplacée. Nous prenons l'avis orthopédique (Dr. X et Dr. X) qui préconisent une réduction sous Meopa que fait le Dr. X avec bon résultat. Nous immobilisons la patiente avec une syndactylie et une attelle Edimbourg. Elle peut rentrer à domicile avec une antalgie et un contrôle à 7 jours à la polyclinique d'orthopédie. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture ni luxations du pouce, et la clinique est rassurante. Nous mettons en place RICE, bande élastique pendant 3-4 jours et antalgiques (pas d'AINS car intolérante), et la patiente peut rentrer à domicile. Nous effectuons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous concluons à une entorse de la cheville stade I. La patiente rentre à domicile avec une bande élastique et une antalgie simple. Nous effectuons une réfection du pansement. Le patient rentre à domicile et continuera la réfection des pansements lui-même. Il reconsultera en cas de récidive et il faudra alors discuter d'une possible intervention chirurgicale pour ablation du kyste si besoin. Nous effectuons une réfection du pansement. Le patient ira consulter son médecin traitant à J10 pour procéder à un retrait des fils. Nous en concluons une cervicalgie avec irradiation à la colonne thoracique sans signes d'atteinte neurologique grave. Une hernie cervicale n'est pas exclue mais cela ne changerait pas la prise en charge. La patiente peut rentrer à domicile avec antalgiques, myorelaxants, tramadol en réserve et prescription de physiothérapie. Elle insiste pour voir le médecin traitant, et nous lui conseillons donc un rendez-vous le 21.12.18 pour suivi clinique. Nous la prions de reconsulter si apparition de symptômes neurologiques (perte de force, vertiges, ...). Nous en retenons une céphalée de tension que nous traitons symptomatiquement (la patiente insiste pour utiliser l'ibuprofène 600 mg car en a déjà à domicile); nous conseillons à la patiente de bien s'hydrater. Nous encourageons la patiente à débuter dès maintenant la physiothérapie avec des mouvements libres sans charge jusqu'à l'horizontale. Nous la reverrons dans 4 semaines pour un contrôle radio-clinique et refaire le point.Nous encourageons Mme. Y à poursuivre la physiothérapie pour renforcement musculaire et proprioception. Prochain contrôle dans 3 mois. Nous encourageons Mme. Y à poursuivre les exercices de renforcement musculaire afin de compenser l'instabilité ligamentaire. Nous lui prescrivons de la physiothérapie à cet effet. Prochain contrôle dans 6 mois. Nous encourageons Mr. Y à effectuer un renforcement musculaire avec du fitness médical. Prochain contrôle dans 3 mois. Nous enlevons la broche aujourd'hui. Réfection d'un pansement que Mme. Y pourra enlever une fois que le trou sera bien fermé. Mme. Y pourra recommencer à marcher avec des chaussures selon les douleurs. Contrôle rx-clinique dans 6 semaines. Nous établissons un constat de coup à la demande du père. Nous lui donnons le contact de la SPJ qu'il nous dit déjà connaître. Au vu de l'absence de symptôme clinique, nous n'effectuons pas de bilan complémentaire. Mr. Y peut rentrer à domicile. Nous évoquons des céphalées d'origine para-infectieuse probablement sans red flags. Nous proposons la poursuite des antalgiques en expliquant en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (altération de l'état général, vomissements incoercibles, céphalées aigües ou persistantes malgré antalgiques, épistaxis ou otorrhée ou inquiétude parentale importante). Nous évoquons des douleurs abdominales persistantes en FID sans évolution d'un syndrome inflammatoire. Après avis chirurgical, nous proposons un contrôle clinique et labo avec FSC, CRP le lendemain aux urgences pédiatriques pour prise de décision opérationnelle ou non. Consultation aux urgences plus tôt si péjoration des douleurs. Nous évoquons des douleurs mictionnelles avec un début de balanite. Nous proposons des bains de Kamillosan avec des antalgiques en réserve et contrôle chez le médecin traitant si persistance des gênes mictionnelles. Nous évoquons des douleurs osseuses de la cheville et du genou gauche sans épanchement, sans arguments en faveur d'une arthrite. Nous évoquons des douleurs osseuses associées à un traumatisme de la cheville gauche dans un contexte d'une infection probablement virale. Nous proposons un contrôle clinique aux urgences pédiatriques dans 48 heures (l'enfant va être vu par Dr. X aussi). Poursuite des antalgiques et consignes de surveillance données et explications des signes de gravité en détail. Nous évoquons des érythèmes plantaires bilatéraux d'origine para-infectieuse sans signes de gravité. Nous rassurons le père et nous donnons des consignes en détail de surveillance à domicile. Nous évoquons des gênes respiratoires d'origine indéterminée, mais probablement d'origine psychogène. Nous éliminons une suspicion de péricardite, pneumothorax ou infection pulmonaire vu l'historique et la clinique excellente. Vu l'état général excellent et l'examen somatique excellent aussi en dehors d'une rhinite simple et un panaris simple sans indication de drainage, nous proposons: • Diminution des activités stressantes, création d'un milieu de calme à domicile, consignes lors d'un épisode d'hyperventilation • Vu l'épisode traumatique de faible abondance il y a 4 jours: application de la crème Sportusal au niveau thoracique • Toilettes nasales pour la rhinite • Bains de Daklin et Fucidine avec pansement pour le panaris, antalgiques • Explication des signes de gravité: PULMONAIRE: douleurs thoraciques fortes, signes de détresse respiratoire, état fébrile, persistance d'un cas d'hyperventilation, altération de l'état général, perte de connaissance, inquiétude parentale. CUTANÉ: surveillance de l'image clinique du panaris, consultation aux urgences si: état fébrile, douleurs de l'index ou troubles articulaires, tuméfaction importante. Nous évoquons des myalgies dans un contexte d'une gastro-entérite virale probablement à Norovirus sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation et consignes de surveillance à domicile. Nous évoquons des vomissements avec une rhinite obstructive légère et un état général excellent. Vu cet état général excellent, nous proposons une poursuite de toilettes nasales régulières, fractionnement alimentaire et contrôle aux urgences le même jour si persistance des vomissements. Nous évoquons devant ce tableau une origine vagale. Un malaise dans un contexte infectieux vu le syndrome inflammatoire ou une origine cardiaque ne peuvent pas être écartés. Mr. Y rentre à domicile avec des conseils d'hygiène et un contrôle chez son médecin traitant le 13.12.2018. Il sait quand reconsulter aux urgences. Nous évoquons un abcès dentaire gauche débutant. Après avis ORL, nous proposons la poursuite antibiotique et AINS en systématique avec des bains buccaux et contrôle dentiste dès demain. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons un ballonnement abdominal sans signes de gravité avec un examen post-suppositoire excellent et un état général aussi excellent. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (vomissements, méléna, anorexie, altération de l'état général, état fébrile, ballonnement abdominal persistant). Un contrôle chez le pédiatre est prévu pour le 28.12. Réévaluation pondérale pour compléter l'allaitement vu un déficit d'apports probable. Nous évoquons un épisode d'urticaire aigu d'origine indéterminée. Nous proposons un traitement avec Feniallerg gouttes avec explication en détail des signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons un faux croup léger sans signes de gravité associé à une angine virale. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences et nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique. Nous évoquons un hématome tempo-pariétal droit sans signes de gravité. Nous discutons avec la mère de toutes les causes possibles qui peuvent provoquer cet hématome en attirant son attention pour une surveillance proche à domicile par la suite. Nous éliminons les signes de gravité actuels et nous autorisons un retour à domicile avec les consignes bien détaillées et expliquées. Nous évoquons un panaris compliqué de l'index gauche. Drainage et incision par Dr. X. Pansement fait et contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour contrôle clinique +/- avis orthopédique selon l'évolution. Contrôle du 22.12: Pas de collection purulente, avec une plaie en bonne voie de cicatrisation. Pas de changement d'attitude, et contrôle le 24.12. Nous évoquons un traumatisme crânien simple sans signes de gravité. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences et nous donnons des consignes de surveillance à domicile (consignes données écrites). Nous évoquons un traumatisme crânio-cérébral léger. Vu une évolution favorable lors de la surveillance clinique aux urgences pendant 4 heures, Mr. Y peut rentrer à domicile avec des consignes de surveillance écrites et consignes alimentaires. Nous évoquons un traumatisme crânio-cérébral simple sans signes de gravité. Après une surveillance neurologique aux urgences pendant 5 heures pour une durée totale de 6 heures dès son traumatisme avec un examen et une attitude normale, nous autorisons le retour à domicile en expliquant en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (feuille de surveillance à domicile donnée). Nous évoquons un traumatisme gingival léger. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile avec consignes alimentaires et soins locaux. Nous évoquons un premier épisode de bronchite légère d'évolution favorable après le Ventolin. Vu qu'il s'agit du premier épisode de bronchite, nous posons quand même la suspicion d'une pneumonie atypique à Mycoplasme vu les sibilances diffuses. Étant donnée l'évolution favorable avec le Ventolin, nous poursuivons le traitement avec du Ventolin aux 4 heures puis aux 6 heures avec contrôle clinique aux urgences pédiatriques le 28.12, vu qu'il s'agit du premier épisode de bronchite et la communication (le père ne parle pas bien français) est difficile. Nous ne mettons pas en place un traitement sous Macrolide vu la période très courte de la symptomatologie. Contrôle pour réévaluation clinique et adaptation médicamenteuse. Si signes de gravité qui sont bien expliqués, consultation de nouveau aux urgences.Contrôle 28.12.18 (Dr. X) Anamnèse : amélioration selon la mère, pas de dyspnée, pas d'état fébrile, toux sèche. Ventolin 2 pushs aux 6 heures Status : eupnéique, pas de signe de détresse respiratoire, murmure vésiculaire symétrique avec quelques ronchi sur la plage pulmonaire droite, pas de sibilances Attitude : poursuite du Ventolin selon un schéma dégressif (28.12 2 push 4x/j, puis 2 pushs 2x/j et stop le 30.12.18) Nous évoquons une angine à Streptocoque. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Pénicilline et des antalgiques en réserve. Nous expliquons à la mère l'indication d' un avis ORL si persistance des épisodes en répétition ou des troubles de sommeil Nous évoquons une angine à streptocoque. Nous mettons en place une antibiothérapie per os et nous donnons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une angine à Streptocoque positif. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Pénicilline V et des antalgiques en réserve. Devant les épisodes des angines à streptocoque en répétition, nous proposons un contrôle chez le pédiatre devant l'hypothèse d'une porteuse à streptocoque ou l'indication d'une amygdalectomie (+/- contrôle ORL). Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une angine probablement d'origine virale. Est traitée sous Amoxicilline depuis 48 heures avec une faible dose. Vu le Strep test négatif après cette faible dose et l'état général excellent, nous proposons une fenêtre thérapeutique pendant 48 heures pour observation de symptômes cliniques. Si fièvre persistante, torticolis, trismus ou refus de réhydratation, consultation de nouveau aux urgences pédiatriques Nous évoquons une angine virale avec une IVRS. Nous proposons la poursuite des antalgiques et nous donnons des consignes de réhydratation à domicile avec contrôle chez le pédiatre si douleurs auriculaires ou écoulement auriculaire ou aux urgences si altération de l'état général. Nous évoquons une angine virale débutante avec une IVRS sans signes de gravité. Nous supposons que les pleurs nocturnes ne sont pas associés à une pathologie somatique. Nous donnons des consignes de soutien psychologique pour des méthodes d'apprentissage du sommeil nocturne. Nous évoquons une angine virale. L'otite bilatérale pour laquelle Mme. Y est sous antibiothérapie est en régression et en guérison complète. Nous proposons un traitement symptomatique avec explication en détails de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (torticolis, trismus, refus de réhydratation) et la poursuite de l'antibiothérapie pour l'otite bilatérale. Contrôle chez le pédiatre dans 72 heures si persistance de la fièvre pour contrôle clinique dans un contexte d'une angine virale et une otite sous traitement d'évolution favorable. Nous évoquons une angine virale. Nous donnons des consignes de réhydratation et d'alimentation avec antalgiques et soins locaux en réserve. Nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (refus de réhydratation, torticolis, trismus, altération de l'état général) Nous évoquons une angine virale. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une angine virale. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (altération de l'état général, refus de réhydratation). Nous évoquons une angine virale. Nous proposons un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences pédiatriques. Nous évoquons une angine virale. Nous proposons un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation. Nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (persistance de l'état fébrile > 7 jours, refus de réhydratation, torticolis, trismus, altération de l'état général) Nous évoquons une angine virale. Nous proposons un traitement symptomatique et nous donnons des consignes de surveillance à domicile. Nous évoquons une angine virale sans signes de gravité avec une IVRS simple. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile persistant, torticolis, trismus, troubles de réhydratation) Nous évoquons une angine virale sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite des antalgiques en réserve et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous donnons des consignes de réhydratation à domicile. Nous évoquons une bronchiolite légère chez un nouveau-né de 2 mois de vie sans facteurs de risque. Nous proposons la poursuite de toilettes nasales et le fractionnement alimentaire en donnant en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile > 39°C, détresse respiratoire, refus alimentaire, vomissements en répétition). Nous expliquons en détails les consignes alimentaires à domicile. Contrôle et réévaluation alimentaire aux urgences pédiatriques dans 24 heures. Nous évoquons une bronchiolite modérée avec un traumatisme crânien sans signes de gravité. Nous proposons le fractionnement alimentaire et la surveillance à domicile et contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour réévaluation alimentaire / respiratoire. Concernant le traumatisme crânien, il s'agit d'un hématome sous-cutané qui ne nécessite pas de suivi particulier. Nous évoquons une bronchiolite modérée sans signes de gravité associée à une angine virale. Pas de changement clinique après le Ventolin et le Betnesol. Nous proposons la poursuite des toilettes nasales et des antipyrétiques et nous donnons des consignes de surveillance à domicile. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (détresse respiratoire importante avec dyspnée, troubles de réhydratation, fièvre persistante, altération de l'état général). Nous proposons un RDV au fast-track des urgences dans 48 heures.Nous évoquons une bronchiolite modérée. Vu le bon état général et la prise alimentaire satisfaisante et le contexte social fiable, nous autorisons le retour de Mr. Y à domicile sous consignes avec : • toilettes nasales régulières • fractionnement alimentaire • explication de signes de gravité en détails. Nous préconisons un contrôle aux urgences dans 24 heures et nous expliquons les signes qui peuvent faire l'enfant consulter plutôt aux urgences (péjoration d'état respiratoire, prise alimentaire <2/3, vomissements alimentaires en répétition, altération de l'état général). Le 16.12 : Devant l'état général beaucoup amélioré avec un état respiratoire stable et une prise alimentaire satisfaisante, nous proposons la poursuite du traitement symptomatique et un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Consultation aux urgences si état fébrile >39°C avec mauvaise tolérance, péjoration respiratoire, troubles alimentaires, épuisement parental, altération de l'état général. Très bonne attitude parentale, parents fiables. Nous évoquons une bronchiolite surinfectée sans signes de gravité. Nous mettons en place un traitement avec la Clarithromycine et nous proposons la poursuite de l'antibiothérapie sous Zinat avec du Ventolin en réserve. Enfant examiné aussi par sa pédiatre aux urgences et un contrôle chez elle est organisé pour demain au cabinet. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile en expliquant les signes de gravité qui peuvent faire consulter aux urgences (détresse respiratoire, troubles de réhydratation, altération de l'état général). Nous évoquons une bronchite d'évolution favorable après le Ventolin et une angine virale. Nous proposons la poursuite du Ventolin en réserve et des toilettes nasales régulières et des consignes de réhydratation. Nous évoquons une bronchite modérée associée à une angine virale. Nous proposons la poursuite du Ventolin aux 4 heures et puis au besoin avec du Betnesol pour une durée totale de 3 jours. Explication en détails de signes de gravité et les consignes de surveillance à domicile. Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures ou aux urgences si péjoration respiratoire ou signes de gravité. Nous évoquons une bronchite modérée avec amélioration nette aux urgences. Nous proposons la poursuite du Ventolin aux 4 heures pour les prochaines 24 heures et aux 6 heures par la suite en expliquant en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences et les consignes de surveillance à domicile. Nous proposons un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique. Nous évoquons une bronchite modérée d'évolution favorable aux urgences associée à une angine virale. Nous proposons la poursuite du Ventolin avec un schéma progressif et du Betnesol et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences pédiatriques (péjoration respiratoire, altération de l'état général). Nous évoquons une bronchite modérée d'évolution favorable aux urgences. Nous proposons la poursuite du Ventolin et du Betnesol à domicile en donnant des consignes de surveillance et de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consultant aux urgences. Nous évoquons une bronchite spastique modérée avec évolution favorable aux urgences. Nous proposons la poursuite du Ventolin aux 4 heures et puis au besoin avec du Betnesol pour un schéma de 3 jours et des toilettes nasales régulières. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences et le schéma à suivre en cas de crise récidivante. Nous évoquons une bronchite surinfectée avec une otite bilatérale débutante. Vu l'absence de foyer local au niveau radiologique, nous proposons le traitement sous Clarithromycine et la prise des AINS en systématique. Nous proposons un contrôle chez le pédiatre pour réévaluation pulmonaire et auriculaire. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences pédiatriques (refus de réhydratation, détresse respiratoire, altération de l'état général). Nous évoquons une conjonctivite bilatérale surinfectée dans un contexte d'IVRS. Nous proposons la poursuite d'une antibiothérapie locale oculaire avec un traitement symptomatique. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (céphalées fébriles intenses, douleurs oculaires, troubles visuels). Nous évoquons une constipation aiguë sans signes de gravité. Nous donnons les consignes alimentaires et de réhydratation et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une contusion de l'épaule gauche et de la clavicule gauche. Après avis orthopédique, traitement antalgique et crème locale (communication aussi faite avec le service d'onco-hématologie du CHUV). Nous évoquons une contusion du bassin gauche avec contusion abdominale sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite des antalgiques avec application locale de Sportusal gel. Explication en détails de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (douleurs abdominales importantes, hématurie macroscopiques, vomissements). Nous évoquons une contusion humérale post-traumatique. Nous proposons un traitement symptomatique. Nous évoquons une contusion thoracique probablement post-traumatique. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et un arrêt de sports. Contrôle chez le pédiatre dans une semaine si douleurs persistantes. Nous évoquons une crise d'asthme modérée avec évolution favorable aux urgences pédiatriques. Nous proposons la poursuite de l'Axotide, du Ventolin et du Betnesol selon les consignes et nous expliquons en détails les signes de détresse respiratoire. La mère s'inquiète sur le fait que Mr. Y n'a pas un suivi pneumonologique, non organisé par le pédiatre malgré les crises en répétition. Nous adressons la mère vers son pédiatre pour organisation de la prise en charge pneumonologique et l'explication d'un schéma d'attaque fixé. Nous expliquons quand même le schéma proposé avec du Ventolin en série en cas de crises. Nous évoquons une cystite. Nous mettons en place un traitement avec du Podomexef. Urotube : Citrobacter Coseri sensible. Échographie rénale-vessie proposée vu les épisodes de cystite rapprochés et en répétition. Poursuite de la prise en charge par le pédiatre. Nous évoquons une cystite. Urotube en cours. Antibiothérapie avec Podomexef 8 mg/kg/j en cours et antalgiques avec échographie rénale à organiser auprès du pédiatre traitant vu les ACds rénaux (échographie rénale le 26.06.14 qui montre reins de taille symétrique, avec ectasie du pyélon, sans dilatation calicielle, évoquant des kystes parapyéliques). Explication aux parents de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile >38,5°C, mauvaise tolérance de la fièvre, vomissements, douleurs rénales). Nous évoquons une entorse du genou droit légère. Nous proposons la poursuite des antalgiques en réserve, repos avec décharge et contrôle chez le pédiatre dans une semaine si douleurs persistantes.Nous évoquons une éruption cutanée surinfectée sans signes systémiques. Nous proposons la poursuite des antibiotiques locaux et des mesures de désinfection systématique avec une poursuite des AINS. Nous préconisons le contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour la réévaluation clinique (poursuite des antibiotiques locaux, switch aux antibiotiques per os en fonction de l'évolution) et nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile, tuméfaction douloureuse, altération de l'état général). Nous évoquons un exanthème morbiliforme sur prise médicamenteuse sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite de la surveillance à domicile avec signes de gravité expliqués en détail. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë légère sans signes de déshydratation associée à une bronchite légère et une IVRS. Nous proposons une réhydratation orale et un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation et consignes alimentaires à domicile. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation associée à une angine virale. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et nous donnons des consignes de surveillance à domicile avec consignes de réhydratation et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences pédiatriques. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation avec un état général excellent. Nous proposons la poursuite de la réhydratation orale et nous expliquons en détail les signes de déshydratation qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Après communication avec son pédiatre traitant, nous proposons un contrôle clinique auprès de lui demain. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Nous effectuons un bilan urinaire qui ne met pas en évidence une infection urinaire en premier lieu. En attendant l'uroculture, nous mettons en place un traitement symptomatique avec signes de déshydratation bien expliqués à Mme. Y et explication de consignes de réhydratation à domicile. Résultat uricult le 17.12 : négatif. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite de la réhydratation à domicile avec consignes alimentaires. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant reconsulter aux urgences pédiatriques. Nous évoquons une gastro-entérite aiguë virale sans signes de déshydratation. Nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences et nous donnons et expliquons en détail les consignes de réhydratation à domicile. Nous évoquons une gastro-entérite probable sans signe de déshydratation. Nous proposons la poursuite de consignes de réhydratation et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire consulter aux urgences (refus de réhydratation, altération de l'état général). Nous évoquons une gingivo-stomatite aphteuse virale sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique en donnant des consignes de réhydratation. Pas d'arguments pour une infection par Parvovirus. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une hernie inguinale gauche indirecte et incarcérée. Pas de possibilité de sa réduction aux urgences pédiatriques par la cheffe de clinique de chirurgie. Transfert à Bern pour la poursuite de la prise en charge. Communication faite avec la cheffe de clinique des urgences pédiatriques à Bern. Nous évoquons une impotence fonctionnelle de la marche probablement para-infectieuse sans arguments en faveur d'un processus tumoral ou d'une cause traumatique. Parallèlement, en retrouvant des éruptions cutanées, nous suspectons une allergie à l'amoxicilline ou des éruptions virales. Nous proposons la poursuite des AINS en cas de douleur à la marche, l'alternance antibiotique devant une réaction médicamenteuse probable et le contrôle clinique aux urgences dans 24 heures pour réévaluation clinique. Nous évoquons une infection de voies respiratoires supérieures d'origine virale. Nous proposons la poursuite de toilettes nasales et un traitement symptomatique. Contrôle chez le pédiatre si persistance de l'état fébrile > 5 jours ou plus tôt si altération de l'état général. Nous évoquons une infection urinaire. Nous mettons en place une antibiothérapie avec Podomexef et des antalgiques en réserve. Urotube en cours. Échographie rénale à programmer auprès du pédiatre traitant. Le 14.12 : uricult montrant E. coli sensible au Podomexef. Nous évoquons une infection virale de voies respiratoires supérieures avec une angine virale. Nous proposons la poursuite de toilettes nasales régulières et des antalgiques en réserve avec du Ventolin en réserve vu les ACDs de bronchite. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une infection virale de voies respiratoires supérieures sans signes de gravité. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique avec toilettes nasales régulières et antipyrétiques, consignes de réhydratation et explication de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (détresse respiratoire, refus de réhydratation, altération de l'état général). Nous évoquons une infection virale de voies respiratoires supérieures avec état fébrile depuis 7 jours. Nous n'avons pas d'arguments pour une péricardite, une myocardite, une infection pulmonaire bactérienne, ni un syndrome de Kawasaki. Devant l'état général excellent et l'absence de signes de gravité (très bien expliqués à Mme. Y), Mr. Y rentre à domicile avec consignes de surveillance et traitement symptomatique. Contrôle aux urgences dans 48 heures pour contrôle clinique. Nous évoquons une ingestion d'un corps étranger non radio-opaque sans pénétration pulmonaire probable avec un examen clinique strictement normal. Nous rassurons les parents devant un examen clinique normal et nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile, détresse respiratoire, vomissements en répétition). Nous évoquons une IVRS associée à une otite externe droite. Nous retrouvons aussi une vulvite. Nous proposons un traitement symptomatique avec un traitement auriculaire local et des bains de Kamilosan fréquents. Nous expliquons en détail les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (détresse respiratoire, altération de l'état général). Consultation chez le pédiatre si otalgie persistante.Nous évoquons une IVRS associée à une thrombopénie modérée > 10 G/l sans signes de saignement actif. Vu cette thrombopénie > 10 G/l, pas d'indication d'IVIG. Après avis du service d'Onco-hématologie de CHUV, proposition d'un contrôle hématologique dans 24 heures aux urgences pédiatriques et communication de nouveau avec CHUV pour poursuite de la prise en charge (poursuite du suivi au CHUV prochainement, vu qu'il n'y a pas encore un RDV programmé pour Mr. Y). Contact à prendre avec Dr. X, assistante du service d'Oncologie-Pédiatrie (elle va discuter le cas avec ses chefs demain 28.12) Contrôle 28.12.18 (Dr. X) : Thrombocytopénie à 9 G/L Anamnèse : pas de nouvelle plainte, selon le père pétéchies stables, mais n'arrive pas à dire si les pétéchies présentes au niveau du dos et des membres inférieurs sont nouvelles ou anciennes. Il n'y a jamais eu d'effets secondaires sévères suite à l'administration d'immunoglobulines intraveineuses ; uniquement des céphalées et vomissements. Status : Poids 39 kg Général : bon état général, bien hydraté et perfusé, afébrile ORL : fond de gorge et tympans calmes, adénopathies infracentimétriques sous-mandibulaires Cardio-vasculaire : B1B2 bien frappés, réguliers, pas de souffle audible Respiratoire : eupnéique, murmure vésiculaire symétrique sans bruits surajoutés, pas de détresse respiratoire Digestif : souple et indolore, bruits hydro-aériques normaux en fréquence et tonalité Cutané : pétéchies au niveau du front et des joues, quelques pétéchies dans le dos et les membres inférieurs, ecchymoses anciennes le dos, les épaules et prétibiale. Attitude : • Contrôle biologique : thrombopénie à 9 G/L • Contact hémato-oncologie du CHUV (Dr. X méd-ass, discuté avec Dr. X) : -- Ad immunoglobulines intra-veineuses (Intratec 1 g/kg), bien toléré -- contrôle bio-clinique à 48 heures • Convocation en hémato-oncologie organisée pour mars 2019 Contrôle biologique le 30.12.18 (Dr. X) : Anamnèse : a à nouveau eu des céphalées et vomissements post-immunoglobulines (à chaque perfusion il a présenté cette symptomatologie). Il a également été fébrile à 38.9°C, dans son contexte d'IVRS en cours. Status : IVRS cliniquement encore bien présente. Pétéchies en nette amélioration Attitude : • Contrôle biologique : thrombocytes à 108 G/L • RAD sans contrôle nécessaire Nous évoquons une IVRS avec otite gauche débutante et conjonctivite droite virale. Traitement symptomatique avec AINS pendant 48 heures et contrôle auriculaire chez le pédiatre. Nous évoquons une IVRS sans signes de détresse respiratoire sans signes de gravité. Nous proposons un traitement symptomatique et un contrôle chez le pédiatre si symptômes persistants après 1 semaine. Nous évoquons une IVRS sans signes de gravité. Nous constatons aussi une hypertension artérielle (prise du Ventolin régulier les dernières 12 heures, enfant stressé) en 2 reprises. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et le contrôle de TA chez le pédiatre. Nous évoquons une IVRS sans signes de gravité. Nous proposons un traitement symptomatique avec consignes de réhydratation. Nous expliquons les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (état fébrile persistant, tachypnée, refus de réhydratation, altération de l'état général). Nous évoquons une otite débutante droite sans signes de gravité. AINS à poursuivre en systématique pendant 24 heures et réévaluation clinique chez le pédiatre. Explication en détail des signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une otite droite avec une IVRS. Vu l'échec des AINS, nous mettons en place une antibiothérapie sous Amoxicilline pendant 10 jours et nous proposons la poursuite de toilettes nasales régulières. Nous évoquons une otite droite persistante malgré céphalosporine de 2e génération avec une angine virale. Nous administrons une dose de Rocéphine 50 mg/kg im x1 et nous proposons un contrôle clinique aux urgences pédiatriques 24 heures après la prise de l'injection pour le contrôle clinique. Si persistance de l'otite, consilium ORL à préconiser. Nous évoquons une otite droite. Vu l'échec des AINS en systématique pendant 48 heures, nous mettons en place un traitement avec l'Amoxicilline pendant 5 jours. Nous évoquons une otite externe gauche. Nous mettons en place un traitement local avec des gouttes auriculaires et des AINS. Contrôle chez le pédiatre dans 76 heures si douleurs persistantes. Explication de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (perforation, altération de l'état général, céphalées importantes). Nous évoquons une otite gauche débutante avec une rhinite obstructive. Nous proposons la poursuite des AINS pendant 48 heures et puis des toilettes nasales régulières. Consultation ORL à envisager vu les otites à répétition. Nous évoquons une otite gauche sous antibiothérapie depuis 24 heures et une gastro-entérite aiguë sans signes de déshydratation. Une culture bactério est en cours vu le comptage chez le père avec la Salmonelle. Les consignes de réhydratation sont bien expliquées en détail à la mère et les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une otite moyenne gauche avec otite externe droite. Nous proposons la poursuite d'une antibiothérapie per os vu l'échec des AINS per os, l'application de gouttes Panotile et les toilettes nasales régulières. Nous évoquons une otite perforée droite. Traitement antibiotique pendant 10 jours et contrôle chez le pédiatre à la fin du traitement. Consignes de surveillance données à domicile. Nous évoquons une otite perforée gauche. Nous mettons en place une antibiothérapie et des antalgiques en réserve et nous préconisons un contrôle chez le pédiatre dans 10 jours pour contrôle clinique. Nous évoquons une oxyurose. Nous mettons en place un traitement avec Vermox avec rappel dans 14 jours. Nous suspectons aussi une constipation pour laquelle on met en place un traitement avec Movicol et des antalgiques en réserve et nous donnons des consignes alimentaires.Nous évoquons une plaie post-traumatique au niveau labiale. Nous mettons en place 2 points Prolene 6-0 x 2. Mesures de désinfection et antalgiques en réserve. Ablation de fils dans 5 jours aux urgences pédiatriques ou aux urgences pédiatriques en fonction de la disponibilité du pédiatre traitant. Consignes de surveillance neurologique expliquées. Nous évoquons une pleuro-pneumonie droite sans insuffisance respiratoire. Nous mettons en place une antibiothérapie per os (Co-Amoxicilline 130 mg/kg/j en 2 doses, vu l'absence de la disposition de la Cepfrozil) avec des antalgiques et nous donnons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (péjoration respiratoire, refus réhydratation, altération de l'état général). Nous préconisons un contrôle aux urgences pédiatriques pour contrôle clinique et radiologique dans 36 heures le 28.12. Nous évoquons une pneumonie bilatérale. Nous mettons en place un traitement avec Amoxicilline 80 mg/kg/j en 2 doses et antalgiques en réserve. Nous donnons et expliquons des consignes de surveillance avec consultation aux urgences pédiatriques si péjoration de l'état respiratoire, troubles de réhydratation, état fébrile pour >3 jours. Nous évoquons une rhinite obstructive et nous proposons une rhinite obstructive sans signes de gravité. Nous expliquons en détails les signes de gravité à surveiller à domicile. Nous évoquons une rhinite obstructive légère sans signes de gravité sans signes de bronchiolite. Lors de notre contrôle, nous détectons pas une péjoration clinique, d'ailleurs il est plus réactif aujourd'hui avec une prise pondérale et des signes de détresse respiratoire. Devant l'amélioration clinique, nous proposons la poursuite de toilettes nasales et le fractionnement alimentaire. Nous proposons un contrôle chez le pédiatre dans 48 heures pour réévaluation clinique. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent arriver et faire l'enfant consulter aux urgences (refus alimentaire, détresse respiratoire, état fébrile). Nous évoquons une rhinite obstructive sans signes de gravité. Au vu d'un état fébrile et d'une toux sans signes de gravité, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et conseillons un contrôle clinique chez le pédiatre dans 24 heures. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (péjoration respiratoire, altération de l'état général, fièvre mal tolérée, troubles ou refus alimentaire). Nous évoquons une rhinopharyngite virale. Nous proposons la poursuite d'un traitement symptomatique et les consignes de réhydratation. Contrôle dans 3 jours si odynophagies en péjoration ou refus réhydratation. Nous évoquons une rhinopharyngite virale sans signe de gravité. Consignes données pour surveillance à domicile et explication en détails de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences. Nous évoquons une somnolence probablement effet médicamenteux post-introduction du Tégrétol. Le bilan sanguin qu'on réalise ne met pas en évidence de troubles électrolytiques, ni de troubles rénaux, ni de troubles hépatiques. Nous proposons la diminution du traitement du Tégrétol à 2,5 mg/kg/j en 3 doses avec augmentation progressive à 5 mg/kg/j et ensuite 10 mg/kg/j à chaque 5 jours après avis Dr. X lors de la dernière augmentation. Parallèlement, nous traitons avec Amoxicilline l'otite gauche débutante vu la contre-indication des AINS vu sa polykystose rénale. Nous évoquons une stomatite aphteuse dans un contexte d'une maladie pieds-mains-bouche probablement débutante. Nous donnons des consignes de surveillance à domicile avec un traitement symptomatique et nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire consulter l'enfant aux urgences (refus de réhydratation, altération de l'état général). Nous évoquons une stomatite aphteuse sans signes de gravité. Nous proposons un traitement symptomatique avec explication de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (refus réhydratation, altération de l'état général). Nous évoquons une tachypnée avec signes de détresse respiratoire avec un état général excellent. Nous proposons la poursuite des antipyrétiques à domicile et nous décrivons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (péjoration respiratoire, altération de l'état général). Devant l'état général rassurant malgré la tachypnée et les légers signes de détresse respiratoire et sans avoir des arguments pour une myocardite, péricardite, infection pulmonaire bactérienne, il rentre à domicile avec contrôle clinique aux urgences dans 24 heures. Nous évoquons une vulvite en association avec un traumatisme léger des OGE. Nous proposons la poursuite de soins locaux avec traitement antalgique en réserve. Nous expliquons en détails les signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences pédiatriques (saignement actif, état fébrile, hématurie, douleurs abdominales). Nous excisons l'abcès sous NO et anesthésie en spray en raison de la réaction à la rapidocaine que le patient a eue au dernier geste il y a 1 mois. Des bains de bétadine sont prescrits pour 1 semaine. La mère a pour consigne de se représenter si apparition de symptômes infectieux généralisés ou locaux. Nous expliquons à la mère et à la patiente qu'il faut faire attention à son poignet lors des activités de la vie quotidienne pour éviter de refaire une chute. Dispense de sport jusqu'au 31.12.2018. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous expliquons à la mère qu'une prise en charge chirurgicale est possible. La mère préfère réfléchir à cette possibilité, car sa fille n'est actuellement pas gênée par son doigt. Prochain contrôle dans 7 mois. Nous expliquons à la patiente ainsi qu'à son mari cette maladie des segments adjacents suite à la fixation dynamique pratiquée il y a 15 ans. Nous mettons en évidence une scoliose sévère avec rétrécissement foraminal mais aussi canalaire, récessal et central en L2-L3 et L3-L4 ce qui explique tout à fait la symptomatologie. Vu le contexte général, 2 interventions pourraient être proposées: • une simple décompression par foraminotomie L2-L3 et L3-L4 avec un risque de décompensation progressive de la scoliose et augmentation des douleurs dorso-lombaires • une prolongation de la spondylodèse postérieure par XLIF L2-L3 et L3-L4, redressement de la courbure et ré-instrumentation L2-L5 avec des suites intra- et post-opératoires plus lourdes. Après discussion, la patiente opte pour la première variante. Elle est clairement informée des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est rempli en sa présence et lui est remis pour réflexion et signature. Une date opératoire est fixée au 21.01.2019. Nous expliquons à la patiente la discordance clinico-radiologique de son tableau avec un petit contact radiculaire L5 gauche sans aucun symptôme sur ce dermatome. Ces douleurs nous font suspecter une origine au niveau de l'articulation sacro-iliaque gauche raison pour laquelle nous pouvons lui proposer encore une infiltration à but diagnostic. Cette dernière est organisée pour le mois de février. Nous la reverrons 3 semaines après ce geste afin d'évaluer le succès de cette mesure thérapeutique et diagnostique. Nous avons pu écarter toute compression radiculaire comme étant à l'origine de ces symptômes et en cas d'absence d'amélioration suite à cette infiltration sacro-iliaque, nous vous laisserons le soin d'exclure d'autres causes telles qu'une hernie inguinale.Nous expliquons à la patiente la trouvaille de cette fracture sur le niveau instrumenté. Une telle fracture sur le plan coronal est une découverte rare et nous suspectons un fond ostéoporotique pouvant justifier cette mauvaise évolution. Nous instaurons donc un traitement de Miacalcic et prions le médecin traitant de compléter le bilan. Pour notre part, nous organisons encore une IRM afin de juger l'état du canal et des différents foramens et écarter une éventuelle compression radiculaire. Dans l'intervalle, prescription d'un corset 3 points à porter lors des positions assise et debout. Lors du prochain contrôle, nous déciderons de la stratégie opératoire qui consistera en une instrumentation postérieure avec vis pédiculaires afin de sécuriser le niveau +/- décompression en dépendance de l'IRM. Nous expliquons à la patiente le caractère chronique de cette sténose sur troubles dégénératifs pluri-étagés avec suspicion de pincement médullaire en C3-C4 et C4-C5 ainsi que le tableau clinique très frustre à l'heure actuelle, sans évidence non plus de myélopathie radiologique. Vu le tableau clinique douteux, nous préférons compléter le bilan par des examens électro-physiologiques avec PES/PEM afin d'exclure une atteinte médullaire débutante. Nous reverrons la patiente suite à cet examen pour discussion de la suite de prise en charge. Si l'examen s'avérait négatif, nous pourrions envisager un rendez-vous de contrôle dans 6 mois à 1 an avec IRM cervicale dynamique pour exclure une composante dynamique compressive. Si au contraire il s'avère qu'une lésion médullaire débutante s'installe, une éventuelle décompression antérieure sur 2 niveaux serait à considérer. Nous expliquons à la patiente les risques et les bénéfices d'un traitement conservateur ou d'une prise en charge chirurgicale. Nous décidons de poursuivre avec le traitement conservateur au vu du minime impact sur la mobilité de l'articulation de l'épaule. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie pour mobilisation pendulaire pour les 3 premières semaines avec une mobilisation du coude en actif assisté. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 semaine. Nous expliquons à la patiente les 2 différentes options de prise en charge, à savoir une éventuelle arthrodèse de l'IPP pour maintenir le doigt dans l'axe ou une reconstruction du tendon fléchisseur. J'étais plutôt réticent au vu de la période longue et compliquée que nous avons derrière nous pour maîtriser l'infection. Actuellement, la situation est très calme. Je souhaite avoir l'avis du Dr. X pour la suite de la prise en charge puisqu'il a déjà vu la patiente dans l'intervalle. Je revois la patiente au mois de février 2019. Nous expliquons à la patiente l'état actuel de sa colonne dégénérative ainsi que les multiples rétrécissements de la colonne dorso-lombaire. Il n'y a pas d'indication urgente à opérer mais une opération pourrait quand même être pratiquée au moment où la patiente le souhaite si la thérapie conservatrice ne fait plus d'effet. Une possible intervention consisterait à une décompression en L4-L5, L5-S1 par la gauche avec des foraminotomies et à discuter des niveaux D12-L1 et L1-L2 du côté gauche aussi avec une sténose importante et symptomatique. La patiente nous fera part de son souhait au courant des prochaines semaines dépendant de l'évolution clinique et selon la discussion avec vous. Nous expliquons à la patiente notre suspicion de syndrome radiculaire L4 G. Nous organisons donc une nouvelle IRM afin d'objectiver l'état de la colonne lombaire et exclure une compression osseuse, discale ou ligamentaire de la racine L4 du côté G. Lors du prochain contrôle, nous organiserons également un orthoradiogramme de la colonne totale face/profil et une radiographie de la hanche G. Nous expliquons à la patiente qu'actuellement l'évolution est tout à fait favorable et qu'à 3 mois, les activités qu'elle arrive à faire montrent un bon résultat. La persistance des douleurs est probablement due à une surcharge chez une patiente qui devrait continuer la physiothérapie pour renforcement musculaire et relâchement des chaînes postérieures. Nous lui expliquons qu'elle peut progressivement reprendre certaines activités en faisant toujours attention à faire un bon échauffement. Prochain contrôle clinique à 6 mois post-opératoires. Nous expliquons à la patiente qu'au vu de l'absence d'amélioration suite aux infiltrations sacro-iliaques gauches, nous allons essayer de traiter une possible autre source pour ses douleurs au niveau des facettes, là où les douleurs se trouvent de manière prédominante à l'heure actuelle entre L3 et L5. Nous organisons des infiltrations séquentielles en commençant par L3-L4 et par la suite L4-L5. Nous reverrons la patiente avec une nouvelle IRM de la colonne lombaire 3 semaines après la dernière infiltration. Nous expliquons à la patiente que cette maladie dégénérative discale peut provoquer une limitation fonctionnelle transitoire en dépendance de l'évolution des douleurs. Elle est motivée à poursuivre la thérapie conservatrice maximale avec physiothérapie et renforcement musculaire. Elle va également tenter une reconversion professionnelle. Une reprise à 100% est donc convenue. Nous ne prévoyons pas de nouveau contrôle mais restons à disposition au besoin. Nous expliquons à la patiente que la sensibilité peut prendre plusieurs semaines pour revenir et qu'il ne s'agit donc pas d'une indication à un traitement chirurgical. Par contre, nous lui expliquons l'importance de respecter le traitement conservateur avec repos. Prochain contrôle dans 3 semaines. Dans le cas d'une aggravation des douleurs ou apparition de troubles neurologiques, une éventuelle indication chirurgicale sera à réévaluer. Nous expliquons à Mr. Y le caractère probablement congénital de cette lyse isthmique, sans fracture récente. Celle-ci a pu se décompenser suite à la contusion lombaire qui a eu lieu il y a quelques mois. Nous préconisons donc une prise en charge conservatrice, celle-ci montrant de bons résultats dans la plupart des cas. Nous organisons une infiltration de la lyse isthmique puis le reverrons pour discuter de l'évolution. En cas d'apparition de douleurs radiculaires, une éventuelle infiltration péri-radiculaire pourra être envisagée, puis, si persistance de celles-ci malgré le traitement conservateur, une intervention chirurgicale avec TLIF serait à considérer. Dans l'intervalle, nous lui conseillons de pratiquer des séances de natation et de stretching de la musculature abdominale et dorsale. Nous expliquons à Mr. Y la mauvaise évolution radiologique et l'importance de faire un bilan étiologique par le moyen d'une scintigraphie à la recherche d'une infection à bas bruit et d'une densitométrie osseuse à la recherche d'une éventuelle ostéoporose ou ostéopénie atypique. Nous reverrons le patient une fois ces examens effectués afin de discuter d'un complément de stabilisation avec vis percutanées de L4 à S1 afin de stopper la progression de la cyphotisation. Nous expliquons à Mr. Y et son épouse que la progression de la fracture du corps de L2 est probablement due au myélome multiple qui est maintenant traité. Au vu de la cyphotisation locale, sans douleur à la palpation ni à la percussion et un tableau clinique sous contrôle, nous ne préconisons pas de traitement d'emblée mais un suivi clinico-radiologique avec IRM dorso-lombaire début janvier afin d'exclure d'autres fractures.Nous expliquons à Mme. Y l'importance de pratiquer des séances de stretching et étirements ainsi que de rééduquer sa posture corporelle afin d'améliorer ses douleurs musculaires. Nous ne pouvons pas non plus écarter une origine inflammatoire pour ces douleurs à prédominance matinale mais nous restons pour l'instant sur une thérapie maximaliste conservatrice ainsi qu'un suivi à notre consultation dans 6 semaines. En ce qui concerne cette sténose canalaire, c'est à suivre puisqu'elle ne se démontre pas symptomatique à l'heure actuelle. Nous expliquons à Mme. Y notre suspicion de cervicobrachialgie C8 droite laquelle n'a pas pu être objectivée sur la base de l'imagerie du mois d'octobre. Pour cette raison et au vu de cette progression assez rapide, nous organisons une nouvelle IRM de la colonne cervicale avec des coupes fines obliques sur les foramens du côté droit pour le 12.12.2018 et reverrons la patiente le 13.12.2018. Nous instaurons un traitement de stéroïdes par Dexaméthasone 4 mg 3x/j pour 5 jours avec du Sirdalud à prendre le soir en plus du Co-Dafalgan et Pantoprazol déjà instaurés. Nous expliquons à la patiente l'importance de nous consulter plus vite que prévu en cas de progression de cette parésie sans douleur ou d'apparition de nouveaux symptômes. Une éventuelle infiltration péri-radiculaire C8 droite serait à proposer d'un point de vue diagnostic et thérapeutique en cas d'absence d'amélioration. Nous expliquons à Mme. Y la consolidation de la vertèbre L2 de la même manière que pour la vertèbre D12 lors du dernier épisode. Ceci rend donc impossible toute sorte de traitement par du ciment. Nous proposons de ce fait une poursuite du traitement conservateur avec optimisation de ce dernier et traitement de l'ostéoporose. Vu la nouvelle irradiation douloureuse dans un territoire crural au niveau des 2 jambes, nous prions nos collègues de l'HFR Riaz (où la patiente est actuellement hospitalisée) d'organiser une IRM de la colonne lombaire et de nous recontacter en cas de résultat pathologique. Concernant le suivi de la fracture, nous reverrons la patiente début février avec de nouvelles radiographies face/profil. Nous expliquons à Mr. Y sa pathologie mixte sacro-iliaque et lombo-sacrée. Nous lui proposons des infiltrations par Curavisc qui seront réalisées au niveau sacro-iliaque gauche afin d'essayer d'éliminer cette composante algique. Si toutefois les symptômes devraient persister suite à ces infiltrations, nous devrons nous concentrer sur la discopathie et une éventuelle infiltration de la racine S1 ou même ALIF dépendant de l'intensité de sa gêne seraient à considérer. Nous expliquons à Mr. Y l'absence de syndrome radiculaire compressif et donc la nécessité de poursuivre les investigations à la recherche d'un syndrome péroné ou d'une autre neuropathie à cause indéterminée chez nos collègues neurologues avec également des examens électrophysiologiques. En ce qui concerne sa douleur lombaire localisée, nous le reverrons après le rdv au Neurocentre afin de discuter de la nécessité d'une éventuelle infiltration facettaire L4-L5, L5-S1. Un syndrome douloureux sur coxarthrose est pour l'instant cliniquement peu probable vu la mobilisation de la hanche ddc sans douleur importante. Au vu du diagnostic et si nos collègues neurologues ne retrouvent pas de pathologie neurologique claire, nous pourrions encore procéder à une investigation du muscle piriforme bien que beaucoup moins probable ainsi que non douloureux à la palpation de son insertion proximale. Nous expliquons à Mr. Y, à son épouse ainsi qu'à son soignant la possibilité de pratiquer une cyphoplastie chez ce patient ayant énoncé les risques et bénéfices de cette intervention. Le patient se montre encore réticent vis-à-vis de cette opération raison pour laquelle nous organisons pour l'instant qu'une IRM avec séquences STIR et protocole court afin que le patient puisse mieux tolérer cet examen et pour mieux comprendre l'anatomie de ces fractures. Nous reverrons le patient par la suite et discuterons d'une potentielle prise en charge. S'il s'avère que le patient souhaite cette intervention, nous devrons donc l'adresser en consultation d'anesthésie et discuter de la possibilité d'arrêt du Sintrom. Nous expliquons au patient de manière très détaillée sa pathologie dégénérative herniaire lombaire ainsi que les plusieurs options thérapeutiques. Vu le caractère réfractaire de la symptomatologie avec cette fois-ci absence de réponse à l'infiltration péri-radiculaire, nous doutons de l'efficacité du traitement conservateur et croyons en une relative indication chirurgicale. Nous tentons une dernière prise en charge conservatrice par Dexaméthasone per os, Co-Dafalgan et Mydocalm. Prochain contrôle dans 9 jours pour discuter de la suite de prise en charge. Nous restons à disposition dans l'intervalle. Nous expliquons au patient la bénignité d'un poil incarné et le fait qu'il n'est pas nécessaire de faire une incision pour quelque chose de si petit. La petite bulle régressera spontanément dans les jours à venir. Nous expliquons au patient la probable origine de ses douleurs au niveau de cette compression radiculaire C6. Au vu de l'absence de déficit neurologique et l'absence de myélopathie clinico-radiologique, nous lui proposons dans un premier temps un traitement conservateur par antalgie et physiothérapie pour stretching de la colonne cervicale. Nous gardons une infiltration de la racine C6 D sous CT comme 2ème ligne thérapeutique, à réévaluer lors du prochain contrôle dans 4 semaines environ. Nous restons à disposition dans l'intervalle en cas de changement ou apparition de troubles moteurs. Nous expliquons au patient la suspicion d'une étiologie pluri-factorielle pour les douleurs résiduelles. Celles-ci sont à notre avis dues au rebalancement de la colonne suite à la spondylodèse et au regain de lordose lombaire. Il présente également une importante contracture musculaire paravertébrale, raison pour laquelle nous optons dans un premier temps pour une intensification de la physiothérapie et de l'ostéopathie avant de procéder à des infiltrations par CURAVISC. Prochain contrôle clinique début février pour refaire le point. Nous expliquons au patient le caractère bénin de cette fracture ainsi que l'absence d'hypersignal démontrant un œdème de la vertebra-plana en D12 laquelle semble se guérir spontanément avec un cal osseux. En ce qui concerne le tassement L3 et vu l'atteinte du plateau inférieur nous lui expliquons également le risque d'une progression aussi vers vertebra-plana à ce niveau, raison pour laquelle nous allons réaliser un suivi rapproché. Nous décidons de ne pas intervenir avec une cimentoplastie dans un premier temps vu la nette amélioration des douleurs durant les dernières semaines avec une préservation de la hauteur de la vertèbre. Nous optimisons le traitement antalgique et prescrivons des séances d'enseignement postural et redressement sans manipulation active. Nous reverrons le patient la semaine prochaine et lui expliquons qu'il doit consulter plus rapidement en cas de recrudescence des douleurs majeures ou de nouveaux déficits. Nous expliquons au patient les différentes options de prise en charge, à savoir un traitement conservateur ou une intervention chirurgicale, cette dernière n'est pas obligatoirement nécessaire à l'heure actuelle. Le patient préfère poursuivre le traitement conservateur. Nous lui prescrivons une attelle thermo-formée intrinsèque plus prenant D4 et D5 avec une syndactylie, qui sera confectionnée en ergothérapie. Le patient peut mobiliser ses doigts à partir de J8, sans force, hors attelle, sous couvert de la syndactylie.Prochain contrôle radio-clinique dans 5 semaines. Nous expliquons au patient les différentes options thérapeutiques, à savoir poursuite de la physiothérapie ou infiltration sous-acromiale et physiothérapie par la suite. Le patient préfère pour l'instant faire que de la physiothérapie jusqu'au retour de ses vacances en Thaïlande. Prochain contrôle en février 2019. Nous expliquons au patient notre suspicion de maladie du segment adjacent en L3-L4, raison pour laquelle nous prévoyons de l'infiltrer sous CT-scanner au niveau facettaire des deux côtés. Suite à cette infiltration, nous aimerions évaluer la réponse à ce geste et discuter d'une possible suite de prise en charge chirurgicale par prolongement de spondylodèse. Nous expliquons au patient que le test pour le VIH qui détecte les anticorps anti-VIH est fiable à 3 mois après une prise de risque. Nous lui recommandons de refaire le test à 3 mois après le rapport sexuel à risque (fin janvier). Le patient est très anxieux, a beaucoup de questions et souhaite avoir une consultation avec un suivi par la suite. Il ne souhaite pas consulter son MT. Nous lui recommandons de consulter un check point du centre de santé communautaire. Nous expliquons les modalités opératoires au patient qui les accepte et signe le consentement éclairé après avoir été informé des risques et des bénéfices de l'intervention. Nous organisons donc l'intervention pour le 16.01.2019. Nous expliquons longuement à la patiente la discordance entre cette parésie de la flexion plantaire du pied sans douleur et les images ne montrant pas de compression radiculaire notamment de la racine S1 du côté droit. Vu cette parésie d'allure chronique persistante avec apparemment atteinte myographique, nous suspectons une neuropathie périphérique d'origine incertaine laquelle pourrait mériter un bilan complet par nos collègues neurologues avec ENMG à but de pronostic. La patiente souhaite pour l'instant poursuivre sa vie quotidienne avec la bonne qualité de vie qu'elle a et ne souhaite pas faire de bilan en raison de l'absence de conséquence thérapeutique. Nous restons à disposition en cas de changement des symptômes ou d'apparition de nouveau déficit. Nous expliquons longuement au patient la suspicion de radiculopathie S1 au niveau clinique, sans véritable compression à l'imagerie. Une compression dynamique pourrait expliquer une irritation du nerf à long terme, raison pour laquelle nous optimisons le traitement antalgique per os et lui prescrivons des séances de physiothérapie pour hygiène posturale, renforcement musculaire abdominal et dorsal et antalgie. Nous organisons également une infiltration péri-radiculaire S1 D à but diagnostique et thérapeutique. Prochain contrôle après ce geste pour refaire le point. Nous explorons la plaie après désinfection, sans retrouver une atteinte des structures nobles. Nous suturons la plaie avec 4 points simples Ethilon 5-0. L'ablation sera à J5 chez le pédiatre. Nous faisons un renforcement du plâtre avec soft cast 2.5 cm au niveau de la main à l'endroit abîmé. Nous faisons une désinfection de la plaie avec de la Bétadine, un champage, une anesthésie en bague et un rinçage. Nous suturons la plaie avec du fil d'Ethilon 4.0 (1 point). Nous effectuons un pansement simple. Le patient prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle clinique le 03.12.2018 et pour l'ablation des fils à 14 jours. Dafalgan selon les douleurs (le patient a une boîte pleine chez lui). Nous ferons demain l'ablation du matériel d'ostéosynthèse, c'est-à-dire de la vis. Je la vois après le scanner pour lui expliquer que la situation est assez grave et qu'il faudra trouver une solution plus importante pour la suite et que demain je ferai uniquement l'ablation de la vis pour éviter la menace de la peau. La patiente a bien compris la situation. J'ai discuté du cas avec le Prof. X et je demanderai également un avis au Prof. Y à l'Inselspital à Berne ce que j'ai expliqué à la patiente. Nous gardons en surveillance cardio-respiratoire Y. Il ne présente pas de symptômes de type apnée ou désaturation significatives durant son séjour. Sur le plan digestif, il s'alimente de manière régulière et autonome et sans symptômes de reflux gastro-oesophagien. Sur le plan neurologique, il ne présente pas de mouvements anormaux et son examen clinique est dans la norme. Sur le plan infectieux et ORL, il présente une légère rhinite sans état fébrile. Nous ne retrouvons donc à l'anamnèse ou lors de sa surveillance pas d'arguments pour des épisodes de type ALTE ni pour une cause somatique. Nous réassurons les parents concernant la bonne santé actuelle de Y et proposons de rentrer à domicile avec contrôle chez le pédiatre dans la semaine. Concernant l'IVRS débutante, des rinçages nasaux sont à réaliser au besoin et nous donnons les conseils de surveillance à domicile avec consultation aux urgences en cas de péjoration. Nous gardons la patiente en surveillance pendant 3 heures, sans retrouver une péjoration du cadre clinique ni l'apparition de nouveaux symptômes. Nous retenons donc une angine virale et renvoyons à domicile la patiente avec traitement symptomatique. La patiente sait quand reconsulter aux urgences. Nous gardons le patient sous surveillance aux urgences. Il reste stable hémodynamiquement avec un Glasgow à 15/15, orienté et alerte. L'ECG montre un rythme sinusal régulier. Le bilan radiologique effectué ne met pas en évidence de fracture ou de pneumothorax. Au vu des douleurs persistantes à la palpation de D3-D5, nous complétons le bilan par un CT-scanner de la colonne thoracique qui revient sans particularité notamment pas de fracture, bon alignement des murs postérieurs. L'abdomen est souple et dépressible à la palpation superficielle et profonde sans défense ni détente. Le bilan biologique est aligné. Le stix urinaire est propre sans présence de sang. Nous retenons une contusion de la colonne thoracique et une entorse acromio-claviculaire de stade I pour laquelle une bretelle à but antalgique est mise en place. Après l'administration d'une antalgie de palier I-II aux urgences, les douleurs s'améliorent. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple à la sortie. Nous hydratons la patiente IV rapidement, et effectuons un laboratoire qui montre une légère leucocytose avec lymphopénie relative, ce qui nous fait suspecter un début de gastro-entérite infectieuse. Nous retrouvons une légère hypokaliémie. L'hydratation permet une remontée des valeurs tensionnelles et une amélioration des symptômes. La patiente s'hydrate oralement sans récidive des symptômes raison pour laquelle nous autorisons son départ avec contrôle clinique le 05.12.2018. Nous immobilisons les orteils avec syndactylie + chaussure rigide Darco. Le patient rentre à domicile avec antalgie en réserve. Contrôle à la polyclinique d'ortho dans 1 semaine. Nous incisons donc cet abcès et mettons en place une mèche qui sera enlevée le 16.12.2018. Par la suite, le patient sera suivi à la polyclinique de chirurgie. Nous instaurons un traitement par ondes de choc. Nous le reverrons dans 2 mois. D'ici là, il peut se mobiliser librement. Nous demanderons également un avis au professeur X. Nous interprétons la clinique de la patiente dans un contexte musculaire. Nous lui proposons un traitement symptomatique ainsi qu'un contrôle ophtalmologique au vu de la leucocorie trouvée à l'examen clinique. Nous interprétons la diminution de l'alimentation dans le cadre d'une obstruction du nez. Après le rinçage du nez, il boit 100 ml sans problèmes. Vu le bon état général, il peut rentrer à domicile. Nous expliquons l'importance du rinçage du nez avant de manger. Pour le changement de lait, nous proposons un suivi par la pédiatre.Nous interprétons le refus de boire dans le cadre de la pharyngite et débutons un traitement symptomatique. Vue le bon état d'hydratation sans perte de poids et la possibilité de réhydratation per os Mr. Y peut rentrer à domicile. Reconsultation si signes de déshydratation. Nous interprétons l'épisode avec des frissons et une tachypnée dans le contexte de l'augmentation de la fièvre. Vue l'examen clinique rassurant, l'absence de boiterie et le CRP à 6 mg/ml, nous renonçons à faire d'autres examens aux urgences. Nous recommandons de reconsulter en cas d'apparition de boiterie, de détresse respiratoire ou d'état général diminué. Nous interprétons les douleurs abdominales et le vomissement dans le contexte de la consommation d'alcool. Nous recommandons un traitement symptomatique à Mme. Y. Nous interprétons les douleurs de Mme. Y dans le contexte d'un épanchement pleural. Un traitement symptomatique est débuté ce jour. Nous interprétons les gênes de Mme. Y dans un contexte d'hypertension artérielle mal contrôlée. Nous adaptons donc le traitement. Mme. Y bénéficiera d'une IRM en ambulatoire. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une infection virale des voies respiratoires supérieures. Nous interprétons le vomissement brunâtre comme liquide pré-digéré et les expectorations dans le contexte des vomissements. Vu l'absence de signes d'alarmes, il peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique. Il peut donc rentrer à domicile avec un contrôle chez le pédiatre le 03.12. vu l'âge. Reconsultation avant en cas de répétition des expectorations brunâtres ou si signes de déshydratation. Nous interprétons les symptômes du patient comme décompensation débutante de la BPCO connue. Nous commençons un traitement par Prednison pendant 4 jours. Il sera revu au secteur ambulatoire au 07.12.2018. Nous interprétons les vomissements dans le cadre d'une intolérance à l'antibiotique, DD allergique, DD mauvais goût et changeons l'antibiotique pour la Clindamycine. Nous recommandons une reconsultation en cas d'une éruption cutanée ou d'autres signes d'alarmes. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec les consignes RICE. Il a une genouillère à domicile qu'il pourra porter selon douleurs. Au vu de l'important épanchement et de l'éventuelle séquelle visible sur la radiographie, avec des traumatismes récidivants, nous organisons une IRM avant que le patient soit revu en consultation en ortho-urgences. La charge étant possible, nous ne prescrivons pas de cannes et Clexane, mais expliquons bien au patient de recontacter son médecin traitant pour une anticoagulation prophylactique si la charge devient impossible. Nous laissons le soin à son médecin traitant, Dr. X, de demander les images de l'examen et de réévaluer l'indication à effectuer un bilan plus approfondi. Nous laissons le soin au médecin traitant d'adresser Mme. Y à un pneumologue afin d'effectuer une pulsoxymétrie. Nous laissons le soin au médecin traitant d'envisager un test d'effort selon l'évolution clinique. Nous laissons une première fois le patient rentrer à domicile car les investigations sont rassurantes et il se sent bien. Nous concluons plutôt à un malaise d'origine vagale. En arrivant à la sortie, nouvel épisode de malaise similaire, qui motive le complément de bilan par un Schellong, qui est positif. Le patient est réhydraté et le Schellong se négative. Nous le voyons en contrôle à la FUA, suite à un AVP survenu le 4.12.2018 avec traumatisme cervical et suite auquel le patient a consulté le 5.12.2018 aux urgences. Les radiographies cervicales, thoraciques et lombaires du 5.12 ne montraient pas de fractures. Le patient est rentré à domicile avec une minerve mousse et antalgie. Au vu des cervicalgies toujours importantes, nous demandons l'avis du Dr. X à la team spine de l'HFR qui propose d'effectuer un CT cervical ce jour afin d'exclure une lésion osseuse, une IRM afin d'exclure une lésion ligamentaire et de voir le patient en consultation. Le CT cervical ne montre pas de fractures, pas de déplacements, pas d'hématomes. L'IRM est prévue le 17.12.2018 à 7h45 et le patient sera vu à la team spine à l'hôpital cantonal de Fribourg le 20.12.2018 à 15h. Nous lui remettons un arrêt de travail de 100% jusqu'au 21.12.2018 et lui préscrivons du Mydocalm en plus du traitement antalgique et de la minerve mousse à porter jour et nuit. Nous lui conseillons d'abandonner les cannes et de poursuivre la physiothérapie avec des exercices de stabilité ainsi que de la mobilisation des cicatrices. Nous lui prescrivons également de la crème Keli-Med. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'à fin janvier puis il pourra probablement reprendre à 100%. Nous le reverrons fin janvier pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons de continuer le traitement instauré par Dr. X. Nous le reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Arrêt de travail prolongé jusqu'à la fin de l'année puis il verra avec son patron. Nous lui conseillons de porter ses semelles dès qu'elle les reçoit. Poursuite de la physiothérapie avec stretching, massages plantaires, US et renforcement. Nous la reverrons dans 2 mois pour un contrôle clinique. Nous lui conseillons du repos et de faire du stretching quotidiennement. Elle doit stopper ces exercices juste avant les douleurs. Nous lui prescrivons également des ondes de choc. Elle sera revue début janvier par Dr. X. Nous lui expliquons des diverses options thérapeutiques. Le patient opte pour l'opération. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous lui expliquons qu'il faut ramollir la cicatrice. Nous lui montrons des exercices avec une balle de tennis à faire rouler sous le pied ainsi que du stretching à faire régulièrement. Dans une activité adaptée avec une chaussure adaptée, il est capable de travailler à 100%. Nous le reverrons dans 3 mois pour un contrôle clinique. Nous lui prescrivons encore de la physiothérapie pour renforcement et stabilité. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous lui proposons une chirurgie afin d'exciser le kyste. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous mettons donc en évidence une pseudarthrose à une année de l'opération avec la persistance de douleurs. La fracture n'a pas guéri malgré la dynamisation du clou puis les ondes de choc. De ce fait, une indication pour une cure de pseudarthrose avec des prises de greffes de la crête iliaque et ablation du clou est posée. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices et le formulaire de consentement est rempli et signé. L'opération est agendée pour le 11.1.2019. Nous mettons en évidence une antétorsion fémorale bilatérale, prédominante à gauche. Actuellement, le trouble reste modéré et ne présente aucune indication chirurgicale. Nous proposons de la suivre à distance. Comme les pieds plats sont asymptomatiques, nous proposons également un suivi. Nous la reverrons dans 1 année pour un contrôle clinique. Nous mettons en évidence une apparition de douleurs aigües au niveau de la ligne métatarso-phalangienne 2 à 5, probablement sur une surcharge dans le cadre d'une mauvaise immobilisation suite à une douleur du genou. Nous lui proposons de mettre en place une nouvelle semelle provisoire avec une décharge complète de la ligne métatarso-phalangienne. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique.Nous mettons en pause l'Eliquis dès le 19.12.2018 pour la prise du soir, et vous invitons à réévaluer sa reprise post-opératoire. OGD à rediscuter en ambulatoire. Dans le but d'identifier l'agent responsable de la toxidermie, un test de stimulation lymphocytaire est proposé à 6 semaines de l'épisode. Nous mettons en place le traitement antalgique habituel du patient lorsqu'il présente des crises migraineuses. Bonne évolution des douleurs. Nous prévenons Mr. Y du risque en lien avec la prise du Brufen à plus de la dose prescrite (rénal, gastrique). Le patient sera suivi par son médecin traitant. Pour ce qui est des douleurs FIG, nous mettons en évidence une hernie graisseuse sans critère d'urgence. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X. Nous mettons en place un traitement par Vaseline et acide acétylsalicylique 20% pour essayer de diminuer cette hyperkératose. Pour le reste, nous laissons Dr. X prendre en charge la diminution de l'Oxycodone. Poursuite de l'utilisation du Mepilex qui fait du bien à la patiente. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous mettons en place une antalgie par Paracétamol, Irfen, Morphine en titration 12 mg avec amélioration de la symptomatologie. Nous objectivons la diminution de la sensibilité au toucher région L4, avec sensibilité au piqué préservée, sans déficit moteur. Nous mettons en place le traitement symptomatique avec suivi chez le MT à la fin de cette semaine. Nous expliquons à la patiente qu'il n'est pas nécessaire de faire une imagerie actuellement. Si péjoration de la symptomatologie, apparition de déficit neurologique, la patiente va reconsulter les urgences. Nous mettons en place une antalgie par Tramal, la radiographie de l'épaule montre une luxation inféro-antérieure de l'épaule gauche. Réduction par le Dr. X en traction douce. Radiographie post-réduction montrant un arrachement de la partie inférieure de la glène articulaire. Nous mettons en place un gilet orthopédique. Nous prenons l'avis du Dr. X, orthopédiste, qui propose un contrôle le 27.12.2018 à la policlinique d'orthopédie, à organiser à ce moment une arthro-IRM. Consultation chez le Dr. X à 3-4 semaines (patiente rappelée). Arrêt de travail. Antalgie. Nous mettons une attelle jambière postérieure vu l'incapacité à charger le pied D. La patiente prendra RDV dans une semaine à la policlinique d'orthopédie. Nous ne notons aucun critère de gravité. De plus, la symptomatologie respiratoire est en amélioration après l'aérosol de ventolin, posant le diagnostic. Au vu de ces éléments, la patiente peut rentrer à domicile avec le traitement susmentionné et un ventolin en réserve. Elle consultera son médecin traitant en cas de persistance ou péjoration des symptômes. En cas de récidive, nous vous proposons d'investiguer plus loin ses troubles respiratoires. Nous ne notons pas de drapeau rouge hormis l'antécédent chirurgical. Au vu de cela, nous vous proposons le suivi. À noter que nous ne pouvons exclure une cholélithiase symptomatique. Un US des voies biliaires serait à envisager en cas d'absence d'efficacité du traitement d'épreuve. Le patient décrit une excellente baisse des douleurs suite à la prise de Nexium 40 mg iv (EVA 7 à 2/10). Nous ne pouvons pas suturer cette plaie avec perte de substance. Nous explorons et rinçons plusieurs fois, mettons en place un pansement compressif et renvoyons le patient en contrôle à la FUA à J3, avec indication de reconsulter avant si augmentation des douleurs ou nouveaux symptômes. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous ne proposons pas d'autres options thérapeutiques à la patiente pour l’instant. Malgré les douleurs, elle arrive toutefois à fonctionner au quotidien. Elle a un RDV avec l’AI le 15.01.2019. Nous reverrons la patiente dans le courant du mois de mars 2019 pour refaire le point de la situation. Nous ne retenons pas d'indication à une incision. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple et des AINS topiques. Il reconsultera en cas de persistance malgré le traitement conservateur à 48-72 h ou si augmentation en taille de la tuméfaction ou si température. Nous ne retrouvons pas d'arguments pour une cause ORL ni neurologique. Nous réalisons un test de Schellong qui est normal. La sensation vertigineuse se calme aux urgences, et le patient peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique antiémétique en réserve. Nous ne retrouvons pas de pensée suicidaire chez la patiente. Nous interprétons l'incident dans le contexte d'un malentendu. Nous ne voyons pas de corrélation entre la symptomatologie actuelle et l'imagerie de décembre 2017. Nous organisons donc une nouvelle IRM début janvier avant de discuter d'une éventuelle infiltration. À noter qu'une IRM de l'épaule D est également prévue prochainement. Nous n'effectuons pas de bilan sanguin en l'absence d'arguments pour une origine inflammatoire ni de radiographie. Les douleurs semblent plutôt d'origine musculo-tendineuse. La patiente ne désire pas pour l'instant de bon de physiothérapie, disant ne pas avoir le temps pour cela. Nous discutons longuement des origines possibles de ces douleurs multiples, du stress et de sa gestion. Nous lui recommandons également, au vu de son importante perte de poids et de sa fatigue, de faire dans les prochaines semaines un bilan sanguin chez son médecin traitant. Nous n'objectivons pas de troubles neurologiques, et renvoyons la patiente à domicile avec traitement symptomatique, physiothérapie et conseil de prendre RDV orthopédique si persistance des douleurs, et de reconsulter les urgences si apparition de symptômes neurologiques. Nous notons une bonne évolution après l'aérosol Atrovent/ventolin avec disparition des sibilances expiratoires. Nous posons donc le diagnostic. La patiente se rendra prochainement chez son pneumologue pour la suite du bilan pulmonaire. Nous nous basons sur le rapport de notre collègue le Dr. X ainsi que l'état clinique du patient qui est plutôt rassurant. Nous lui expliquons l'absence radiologique de compression radiculaire sciatique gauche et sommes très rassurés quant à l'évolution clinique très favorable sous traitement conservateur. Nous expliquons au patient les signes d'alarme en cas de réapparition de douleurs majeures ou de nouveau déficit neurologique. Nous le reverrons pas d'emblée mais restons à disposition. Nous nous chargeons de pister les résultats des biopsies et de vous en tenir informé. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Nous objectivons une amélioration du cadre, tant à la clinique qu'au laboratoire. Le CT nous permet d'objectiver des syndesmophytes cervicaux, raison pour laquelle une spondylarthrite ankylosante ne peut pas être exclue, et reste en diagnostic différentiel avec une simple contracture musculaire. Nous renvoyons le patient à domicile avec traitement symptomatique et lui conseillons de prendre RDV chez le MT début de la semaine prochaine pour un suivi clinique et biologique. Au laboratoire, nous vous conseillons une recherche de HLA-B27 et d'organiser, si persistance de rachialgies, une consultation ambulatoire rhumatologique. Nous objectivons une détresse respiratoire légère sans désaturation et une alimentation satisfaisante. Retour au foyer avec consignes habituelles bronchiolite. Poursuite du fractionnement des repas aux 3 h avec un minimum de 80 ml par prise, équivalent à environ 600 ml par 24 h. Nous obtenons l'avis de Dr. X. US veineux met en évidence une thrombophlébite superficielle 1/3 inférieur de la cuisse gauche. Laboratoire montre D-dimères (483), leucocytes 11, CRP 5. ECG • repolarisation précise, pas de DRS. Malheureusement, Mr. Y part contre avis médical à cause de trop longue atteinte • n'a pas reçu de prescription de bas de contention, ni AINS. Nous obtenons l'avis de Dr. X, qui conclut à une phlegmon au niveau de l'arcade sourcil droit et préconise le traitement par Ichiolan 10 %, pansement cutiplast, Co-Amoxi 1 g x 2 j, contrôle clinique FUA le 02.12.2018. Nous obtenons l'avis de Dr. X qui préconise Jelonet pansement, suivi à la polyclinique chirurgie à 2 semaines. Nous optimisons le traitement antalgique de Mme. Y et la mettons sous Miacalcic en vous conseillant de pratiquer un bilan d'ostéoporose afin de prévenir des futures fractures ainsi que de prévenir une progression de cette fracture. Nous organisons un prochain contrôle au début janvier avec une IRM de la colonne lombaire avec séquences STIR. Si lors du prochain contrôle, Mme. Y devait encore montrer des douleurs majeures et que sur l'IRM lombaire nous devrions visualiser un hypersignal sur un de ces deux niveaux, nous pourrions lui proposer un geste thérapeutique type cyphoplastie pour les douleurs. Nous restons à disposition en cas de progression des douleurs ou de nouveaux symptômes. Nous organisons le transport à Marsens par ambulance. Nous organisons un CT-scan (22.01.2019) de la main droite pour évaluer la consolidation osseuse surtout en prévision d'une ultérieure ablation du matériel d'ostéosynthèse associée à une arthrolyse/ténolyse. Prochain contrôle pour discuter du résultat du CT-scan, le 22.01.2019. Entretemps, Mr. Y va poursuivre les séances d'ergothérapie intensive. Nous organisons un scanner et reverrons Mr. Y à la suite de ça. Nous organisons une infiltration facettaire L4-L5 sous CT puis reverrons Mr. Y pour faire le point. Une reconversion professionnelle est envisageable dès aujourd'hui. Nous organisons une IRM afin de voir s'il n'y a pas une collection en profondeur vu qu'il a un écoulement à la pression. La probation to bone est positive ce qui laisse suspecter une ostéomyélite aiguë. Réfection du pansement avec le Nugel chaque jour. S'il remarque une aggravation de la rougeur ou un écoulement actif, il va contacter les urgences. Sinon nous le reverrons suite à l'IRM. Nous organisons une IRM afin d'exclure une inflammation du tendon péronier et de l'ancienne fracture type pseudo-Jones de la base du 5ème métatarsien. Nous la reverrons suite à l'examen. Nous organisons une IRM de la cheville afin d'exclure une lésion structurelle du jambier postérieure. Nous la reverrons suite à cet examen. Nous organisons une IRM de la cheville D afin de bilanter l'état ligamentaire et le rétinaculum au niveau du péroné. Nous le reverrons ensuite. Nous pensons qu'avec la fréquence d'entraînement qu'elle a, une structure a été endommagée ce qui peut provoquer une enflure et une inflammation. Comme il y a une discrète achilodynie DDC, nous lui conseillons de stopper l'entraînement et les matchs jusqu'à la fin de l'année. Nous lui conseillons également de faire du stretching en physiothérapie intensivement ainsi que des US, iontophorèse par Voltarène et de la proprioception. Le Dr. X va revoir Mme. Y début janvier avant la reprise des entraînements. Nous posons le diagnostic avec le traitement et suivi suscité. Concernant sa crise épileptique, nous lui avons conseillé de prendre contact avec le CHUV afin de les informer de cette récidive. Nous posons le diagnostic de gastro-entérite. Nous proposons un traitement de Dafalgan et Primperan. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Si persistance des douleurs, évaluation éventuelle par ultrason. Nous posons le diagnostic suscité sans noter de critère de gravité. Au vu de cela, Mme. Y peut retourner à domicile avec le suivi suscité. Nous posons le diagnostic suscité sans relever de critère de gravité. Nous lui avons vivement conseillé de vous consulter prochainement au vu de sa consommation alcoolique à risque. Nous posons l'indication opératoire à une arthrotomie postéro-externe. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'il signe. Nous l'informons également de l'éventualité de faire une ostéotomie du Chaput mais celle-ci sera évaluée durant l'intervention. Poursuite de la décharge et de la Clexane. Mr. Y a refusé la confection d'un Schlupfgips. Nous posons l'indication opératoire à une cure d'hallux valgus en mini-invasif. Nous ferons en même temps un release de la capsule de la MTP 2 mais pas de cure d'orteil en griffe. Les risques et les bénéfices de l'intervention lui sont expliqués à l'aide d'un formulaire de consentement qu'elle signe. Nous posons l'indication pour une cure d'ongle incarné à droite selon Kocher. L'intervention est programmée pour le 7.12.2018. Nous poursuivons les séances de physiothérapie avec du Taping et selon le schéma San Antonio. Nous reverrons Mme. Y pour un prochain contrôle clinique dans 2 mois. Nous pouvons planifier une ablation du matériel d'ostéosynthèse pour le 24.01.2019 en ambulatoire. Vu la bonne évolution des cicatrices, il n'y a pas d'indication à une révision de celles-ci. Le formulaire d'information et de consentement est rempli et signé par la maman de Mr. Y. Nous pratiquons ce jour une réfection du pansement, avec une plaie qui présente un état très rassurant. Prochain contrôle dans 1 semaine avec retrait des fils. Concernant les nouvelles douleurs lombo-crurales, Mr. Y préfère attendre début janvier avant d'envisager une infiltration foraminale L4 D. Nous prenons l'avis ophtalmologue de garde qui propose d'adresser Mr. Y aux urgences ophtalmologiques de HFR Fribourg. Nous prenons l'avis chir. Dr. X qui réalise une désinfection avec rinçage au niveau externe et pansement. Il propose un lavage 1 x/j et désinfection, le tétanos à jour. Poursuite de l'antibiothérapie Co-Amoxi 1 g 3 x/j avec contrôle le 03.01.2018 à la policlinique de chirurgie. Nous prenons l'avis de la Dr. X qui préconise un arrêt de travail jusqu'à samedi, Mr. Y ayant ensuite des congés, ainsi que l'introduction de l'Imovane. La suite de prise en charge pouvant être ambulatoire, Mr. Y verra Dr. X au CSSM de Bulle le 10.01.19. Le numéro des urgences psychiatriques lui est donné s'il en ressent le besoin. Nous prenons l'avis du psychiatre de garde Dr. X qui a eu un entretien téléphonique avec elle et son mari et ne pose pas l'indication d'hospitalisation ou de médicament et Mme. Y rentre à domicile et elle va appeler le centre de Bulle pour un RDV avec un psychiatre. Nous prenons l'avis Dr. X et réalisons une IRM qui montre un épaississement au niveau ligament collatéral ulnaire sans effet Steinert. Nous retenons une entorse MCP au niveau collatéral ulnaire du pouce G. Nous mettons un gantelet antalgique AINS et contrôle dans une semaine à la consultation Dr. X. Nous prenons l'avis Dr. X et retenons des ongles incarnés des 2 gros orteils stade I. Mr. Y rentre à domicile avec prescription de bains 3 à 4 fois/jour de Bétadine, pansement de compresses imbibées de Bétadine, conseil hygiène et antalgie. Nous proposons une consultation podologique avec un RDV à la consultation de Dr. X dans 3 semaines. Nous prenons l'avis Dr. X et retenons une fracture non déplacée de trochiter. Nous mettons un gilet orthopédique, antalgie AINS au besoin et Mr. Y va prendre un RDV à la policlinique d'ortho dans 2 semaines. Nous prenons l'avis Dr. X qui retient un hématome périnéal thrombosé. Une application crème Emla est appliquée. Puis une désinfection par Hibidil, anesthésie par bicarbonate et lidocaïne ainsi qu'une...Incision est réalisée par Dr. X Nous donnons des conseils douche 3x/j à partir de demain et le patient va prendre un RDV à la consultation proctologique de Fribourg le 27.12.2018 Le patient rentre à domicile avec AINS et antalgie au besoin. Nous prenons l'avis de Dr. X et le patient reçoit Aspegic 500 mg IV Nous prenons l'avis de Dr. X cardiologue qui retient plutôt trouble de repolarisation aspécifique sur anxiété, une ischémie est peu probable. Nous retenons des Dl thoracique d'origine pariétal. Un test d'effort est à organiser en ambulatoire Nous prenons l'avis de Dr. X qui propose un avis médical Nous contactons alors le pédiatre de garde Dr. X qui propose de voir la patiente. La patiente est transférée à l'HFR de Fribourg aux urgences pédiatriques accompagnée par son père Nous prenons l'avis de Dr. X, qui n'objective pas non plus de signes de sinus pilonidal. Il nous conseille donc de faire RAD la patiente avec un traitement symptomatique et les soins locaux habituels. Nous prenons l'avis de Dr. X qui préconise la réalisation d'un CT pour compléter le bilan qui montre des arrachements en regard de la partie antéro-supérieure du naviculaire. Nous prenons l'avis du pédiatre de garde à Fribourg (Dr. X) qui préconise un retour à domicile avec contrôle chez son pédiatre traitant demain et poursuite du traitement conservateur par Dafalgan et Algifor. La maman est informée de consulter aux urgences pédiatriques de Fribourg si péjoration sur la nuit. Nous prescrivons à la patiente de la physiothérapie à but de mobilisation du poignet. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Nous prescrivons à la patiente des séances de physiothérapie pour de la physiothérapie respiratoire. Nous renouvelons l'ordonnance d'antalgie que la patiente doit prendre de manière régulière pour les prochaines semaines à but antalgique pour le thorax. En ce qui concerne la clavicule, la patiente peut se mobiliser sans charge jusqu'à l'horizon et utiliser la bretelle uniquement lors des déplacements. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique le 14.01.2019. Nous prescrivons à la patiente des séances d'ergothérapie afin d'améliorer la mobilité des deux poignets. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous prescrivons à la patiente des séances d'ergothérapie afin d'améliorer la mobilité. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à fin janvier 2019 avec reprise à 50% dès février. Prochain contrôle clinique fin février 2019. Nous prescrivons à la patiente un régime antalgique et organisons un US lundi 17.12.2018 à 14h. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie à but anti-inflammatoire pour traiter l'inflammation du TFCC associé à des anti-inflammatoires locaux. Par rapport au nerf, nous suggérons au médecin traitant de poursuivre comme indiqué par le neurologue la thérapie par Pregabaline. Le patient sera revu au team membre supérieur le 19.02.2019, pour évaluer l'efficacité de la thérapie. Nous prescrivons au patient des séances de physiothérapie afin de prévenir les récidives. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous prescrivons au patient une attelle thermo-formée prenant D4-D5 laissant le poignet libre en position intrinsèque, qui sera confectionnée en ergothérapie. Nous lui prescrivons également des séances d'ergothérapie pour mobilisation libre, sans charge, hors attelle. Prochain contrôle radio-clinique à 6 semaines du traumatisme. Nous prescrivons au patient une attelle thermo-formée qui sera confectionnée en ergothérapie et qui devra être portée pour les 4 prochaines semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines. Nous prescrivons un arrêt de travail jusqu'au début du mois de janvier avec l'indication de ne pas faire d'effort jusque-là. Nous réévaluerons la patiente à la fin janvier pour juger de la reprise des activités sportives et professionnelles également. Nous prescrivons un protocole de pansement avec Nu-gel à changer tous les deux jours par les infirmières des soins à domicile. Vu la présence de germes dans les biopsies osseuses, nous décidons de le traiter comme une ostéite. En accord avec les collègues de l'infectiologie, nous prescrivons de la Ciproxine 750 mg 2 x /jour pour un total de 6-12 semaines, à réévaluer selon l'évolution clinique. Nous demandons au médecin traitant d'effectuer un ECG une fois par semaine pour voir si la Ciproxine ne donne pas d'altération de l'activité cardiaque. Prochain contrôle clinique dans une semaine pour voir l'évolution. Nous prescrivons un traitement par Cerumenol suivi d'un rinçage à l'eau tiède et le patient RAD. Nous prescrivons une antalgie à la patiente, du repos et de la physiothérapie. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant pour un contrôle du traitement de l'hypertension artérielle. Nous prescrivons 9 séances d'ergothérapie à domicile, et vous laissons le soin de réévaluer la nécessité de reconduire cette thérapie en ambulatoire. Nous prions le médecin traitant d'évaluer les troubles mnésiques et les vertiges de la patiente (signalés uniquement à la sortie) et de discuter d'un éventuel renforcement de l'encadrement. Contrôle clinique dans 6 semaines à la consultation de Dr. X. Nous prions le médecin traitant d'évaluer s'il y a indication pour un bilan d'ostéoporose. Nous prions les anesthésistes de convoquer le patient pour une infiltration comme discuté lors de la consultation du 4.9.2018. Le patient se plaint surtout de douleurs chroniques au niveau de la cheville latérale qui diminue sa qualité de vie. Pour notre part, nous ne pouvons pas soulager le patient actuellement. Nous le reverrons un mois après l'infiltration faite par les anesthésistes. Nous procédons à l'ablation du fil résiduel après désinfection et incision de l'épiderme en regard qui n'occasionne pas de saignement. Pansement. La patiente reprendra progressivement les activités sportives (course à pied). Elle peut également reprendre le ski cet hiver. Les douleurs résiduelles au niveau de la face antérieure de la cheville sont imputées à une tendinite du tibial antérieur et éventuellement du long extenseur des orteils. Prescription d'Ecofenac lipogel en réserve. Contrôle à 3 mois de l'opération. Nous procédons à une réfection du pansement. Ce dernier sera à refaire tous les 2 jours, instructions données au patient par l'infirmière. Nous remettons une ordonnance de matériel pour réfection du pansement au patient. Il prendra contact avec son médecin traitant pour ablation des fils à J14. Nous procédons ce jour à l'ablation des broches et des fils. Nous expliquons à la patiente l'importance de débuter un traitement en ergothérapie axé sur la mobilisation de l'IPD D4 ainsi que le massage des cicatrices. En ce qui concerne cette zone de nécrose, elle est au courant que des soins de plaie sont nécessaires dans le but d'assécher cette zone. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. La patiente reviendra avant si besoin. Nous procédons ce jour à une infiltration en anesthésie locale avec de la cortisone en intra-articulaire de l'épaule droite qui montre immédiatement une nette diminution des douleurs. Chez cette patiente, l'origine des douleurs n'est probablement pas due à la discopathie cervicale mais à une suspicion de rupture de la coiffe des rotateurs. Nous proposons donc que la patiente bénéficie d'une IRM de contrôle et d'un suivi à la consultation de Dr. X. Nous restons à disposition en cas d'apparition d'une symptomatologie compatible avec une myélopathie cervicale. Nous procédons donc ce jour à l'ablation des fils avec une plaie qui reste propre. Nous organisons également une infiltration de la racine L4 début janvier, date à laquelle nous reverrons le patient pour un nouveau contrôle de la plaie. Nous prévoyons ensuite un nouveau contrôle à 1 mois de l'infiltration pour juger de l'effet de celle-ci. Nous proposons à la patiente de consulter son médecin traitant dans le cadre de ce contexte et période. Nous proposons à la patiente de débuter un traitement en physiothérapie axé sur l'antalgie, l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire, la proprioception et le gainage. En parallèle, nous lui proposons une infiltration du mur méniscal interne sous US par nos collègues radiologues. Nous reverrons la patiente pour un prochain contrôle le 05.04.2019 ; elle reviendra avant si besoin. Nous proposons à la patiente de vous voir dans les meilleurs délais et de réaliser un suivi laboratoire de la fonction rénale, du potassium et du calcium et d'adapter son traitement au besoin. Nous proposons au patient de débuter un traitement en physiothérapie axé sur l'antalgie et la récupération des amplitudes articulaires, étirement des chaînes postérieures, proprioception et gainage. Il est autorisé à progressivement sevrer ses cannes. Nous reverrons le patient pour un contrôle dans 1 mois. Arrêt de travail à 100% prolongé jusqu'au prochain contrôle. Nous proposons au patient de refaire une intervention avec une prise de greffe iliaque afin de guérir la pseudarthrose. Au vu de son arthrose tibio-talienne avancée, il faut aussi discuter d'une arthrodèse de la cheville. Le patient souhaite la future prise en charge chez le Dr. X à la Clinique générale. Nous proposons au patient de terminer les séances de physiothérapie en cours et puis de poursuivre la rééducation par lui-même. Prochain contrôle clinique en avril 2019. Nous proposons au patient et à la maman de débuter un traitement de physiothérapie axé sur la correction de la position lors de la marche. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Il reprendra contact avant au besoin. Nous proposons au patient un traitement de physiothérapie respiratoire. Nous prions également le médecin traitant de bien vouloir organiser une évaluation pneumologique en cas d'absence d'amélioration suite à ce traitement. Nous le reverrons dans 6 mois pour un nouveau contrôle radio-clinique. Dans l'intervalle, poursuite du sevrage du Lyrica avec 25mg pour 1 mois puis arrêt complet. Nous proposons au patient un traitement physiothérapeutique pour reconditionnement du genou et pour traiter les lombalgies résiduelles. Prochain contrôle radio-clinique dans 2 mois suite à la physiothérapie. Nous proposons au patient une infiltration dig 2 de la main G, qu'il accepte. Prochain contrôle après infiltration dans 2 mois. Nous proposons d'attendre le contrôle chez le Dr. X en septembre et nous reverrons le patient environ un mois après. Nous proposons d'enlever le pansement avec le tulle bétadiné et faire des pansements secs. Par contre, sur le site de prélèvement, on met en place un protocole de tulle bétadiné jusqu'à ce que la plaie soit sèche. Poursuite des séances de physiothérapie selon schéma "tendon d'Achille" (le patient le donnera à son physiothérapeute). Contrôle clinique dans deux semaines. Nous proposons d'organiser un rendez-vous de suivi à 6 mois chez l'ophtalmologue traitant. Nous proposons un contrôle à la consultation ambulatoire des urgences dans 48h pour un contrôle clinique et biologique selon évolution. Nous proposons un contrôle chez le médecin traitant à 10 jours pour suivre l'évolution. Si les douleurs persistent, un rendez-vous chez un proctologue pourrait être envisagé. Nous proposons un contrôle clinique à 1 semaine. Une investigation en urologie pourrait être envisagée si la patiente continue de présenter des infections urinaires basses à répétition. Nous proposons un contrôle de la fonction rénale à une semaine chez le médecin traitant. Nous proposons également une évaluation des troubles de la marche et le besoin de mettre une aide pour la marche. Nous proposons un contrôle pour l'évolution de la toux et l'évaluation à la mise en place d'un traitement pour l'asthme. Nous proposons un retour à domicile avec un traitement symptomatique, car à la vue de la radiographie, nous pouvons exclure une pneumonie. Nous proposons de planifier dans le courant de la semaine prochaine un CT-scanner thoraco-abdomino-pelvien, afin que lors de sa 1ère consultation chez son nouveau médecin traitant, le 20 décembre 2019, il puisse discuter avec elle de la référer à un oncologue pour discuter des possibilités quant à une prise en charge des 2 tumeurs du sein droit. La patiente reconsultera en cas de péjoration des symptômes ou d'apparition d'un état fébrile. Nous proposons un suivi pondéral 3x/sem à domicile avec une réintroduction de 10mg de torasémide supplémentaire si prise pondérale (pour une dose totale de torasémide de 50mg) et un contrôle clinique et biologique à votre consultation dès début janvier. Nous proposons un suivi tensionnel à domicile et d'adapter le traitement de fond en fonction. Nous proposons une poursuite de la physiothérapie et remplaçons le gilet orthopédique par une écharpe pour encore 2 semaines. Nous décidons de la fin du traitement mais nous restons à disposition. Nous proposons une prise en charge chirurgicale avec réinsertion de la coiffe des rotateurs et ténodèse du biceps. Il faudra évaluer l'importance de la lésion Hill's-Sachs. Nous proposons une suite chez le médecin traitant selon le résultat de l'ultrason de l'abdomen. Nous rappelons à la patiente l'importance de garder une bonne hygiène posturale pour éviter une récidive. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition au besoin. Nous rassurons la maman sur la nature bénigne de cette asymétrie sur discrète posture scoliotique lombaire. Nous lui expliquons l'importance de garder une bonne mobilité avec une élongation de la colonne par le biais de natation. Une physiothérapie à cet âge n'apporterait pas le bénéfice désiré, raison pour laquelle nous n'en proposons pas encore. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 ans. Nous restons à disposition en cas de changement. Nous rassurons la patiente par rapport à la bonne évolution clinique et radiologique et enlevons la minerve définitivement. Nous ne prévoyons plus de la revoir suite à cette période de 3 mois, mais déconseillons tout de même des mouvements d'hyperflexion ou d'hyperextension de la colonne. Nous lui prescrivons des séances de physiothérapie avec massages doux et restons à disposition en cas de nouveau symptôme. Nous rassurons la patiente quant à la très bonne évolution clinique à 6 semaines de l'intervention susmentionnée. Nous lui rappelons les signes d'alerte en cas d'une importante recrudescence des douleurs et surtout en cas d'une perte motrice aiguë ou d'un syndrome de la queue de cheval. Nous lui conseillons une reprise progressive du travail pendant le mois de décembre et lui prescrivons des séances de physiothérapie. Interdiction de pratiquer des sports plus poussés jusqu'à 3 mois. Nous vous laissons le soin de poursuivre les contrôles et restons à disposition si nécessaire. Nous rassurons la patiente sur l'absence d'infection. La progression de la consolidation est satisfaisante. Les douleurs sont suffisamment soulagées par le Dafalgan et l'Irfen. Nous lui conseillons de porter des chaussures de ville larges afin d'éviter la compression sur les cicatrices. Nous la reverrons comme prévu le 07.01.2019.Nous rassurons Mr. Y et son épouse par rapport à cette très bonne évolution. Nous prévoyons un prochain contrôle radioclinique dans 6 mois, c'est-à-dire à un an et demi après l'intervention. Nous rassurons Mr. Y quant à la bonne évolution et lui autorisons à enlever la minerve rigide en la remplaçant par une minerve mousse pour la nuit à porter jusqu'au prochain contrôle, à 3 mois de l'accident avec des radiographies en flexion/extension afin de pouvoir clore le dossier. Interdiction pour la conduite toujours maintenue jusqu'au prochain contrôle. Nous rassurons Mr. Y quant à la nature bénigne de ce diagnostic et ne voyons pas d'indication pour une prise en charge chirurgicale au vu des symptômes légers et en nette amélioration. Nous lui conseillons tout de même des séances de physiothérapie pour enseignement postural, renforcement musculaire ventral et dorsal et stretching avec étirements. Si Mr. Y devait présenter des nouveaux symptômes tels que des douleurs ou des dysesthésies/paresthésies en augmentation, le plan médicamenteux devrait être revu avec instauration de Neurontin ainsi qu'une éventuelle infiltration. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Nous rassurons Mr. Y quant à la très bonne évolution radioclinique. Prochain contrôle dans 6 semaines, 3 mois après l'accident. Poursuite de l'arrêt de travail. Interdiction à pratiquer du sport. Si le prochain contrôle s'avère bon, il sera libéré pour toutes ses activités en incluant le sport. Prescription de séances de physiothérapie douce jusqu'à la prochaine consultation. Nous rassurons Mr. Y quant à l'absence de lésion ostéo-disco-ligamentaire suite à l'accident et lui expliquons qu'il n'a plus besoin de porter la minerve mousse. Il est informé que suite à une telle contusion cervicale, les douleurs musculaires peuvent persister encore plusieurs semaines. Il pourra donc continuer l'antalgie au besoin durant cette période. Prescription de physiothérapie pour hygiène posturale et massages doux au niveau cervical. Pas de nouveau contrôle prévu, nous restons à disposition. Nous rassurons Mr. Y qu'il ne s'agisse pas d'une lésion faisant suspecter une piqûre de tique. Mr. Y est avisé de prendre contact avec son médecin traitant pour discuter du vaccin contre l'encéphalite à tiques au vu de l'intérêt de Mr. Y pour ce vaccin. Nous rassurons Mr. Y sur la bonne évolution avec régression partielle et début de chronicisation de l'hématome épidural ainsi que de la contusion de contre-coup. Nous lui expliquons que la reprise du travail dépendra des résultats de l'examen neuropsychologique qui a été pratiqué en ambulatoire et prévoyons un dernier contrôle avec IRM cérébrale fin janvier afin de pouvoir clore le dossier. Cette IRM permettra également à Mr. Y de faire le suivi du kyste pinéal qui devait être réalisé en début d'année prochaine selon le protocole bernois. Lors du prochain contrôle, nous organiserons également des radiographies cervicales face/profil et flexion/extension afin de pouvoir juger de la possibilité d'enlever la minerve mousse. La pratique du sport reste interdite pour 3 mois à compter de l'accident. Nous restons à disposition en cas de maux de tête en augmentation ou apparition de troubles neurologiques. Nous rassurons Mme. Y et son mari sur la bonne évolution radio-clinique. Nous prévoyons un nouveau contrôle radio-clinique dans 6 semaines et restons à disposition dans l'intervalle au besoin. Nous rassurons Mr. Y quant à la très bonne évolution clinique et radiologique. Nous le reverrons à 3 mois de l'accident, c'est-à-dire à la fin janvier. Vu la haute cinétique de l'accident avec une instabilité traumatique soignée par notre opération ainsi que la difficulté à visualiser la charnière cervico-thoracique, nous planifions un scanner pour le prochain contrôle afin d'écarter tout problème de déplacement du matériel avant de libérer Mr. Y pour ses activités professionnelles ainsi que pour les autres activités physiques. Prescription de physiothérapie. En cas d'aggravation de ces paresthésies voire dysesthésies C7 droites, nous pourrions instaurer un traitement de Lyrica ou Neurontin dans le futur. Nous rassurons Mr. Y quant à son bon état clinique sans mise en évidence de décompensation de cet hématome sous-dural. Prochain contrôle dans 3 à 4 semaines avec un nouveau scanner de contrôle afin d'écarter une progression de cette collection qui pour l'instant se montre bénigne. Nous le prions de nous informer en cas de nouveaux symptômes tels que céphalées, nausées ou nouveaux déficits neurologiques au niveau des 4 membres. Mr. Y n'est pas anti-coagulé et ne doit pas l'être durant ces prochaines semaines jusqu'à notre contrôle. Nous rassurons notre patient quant à la bonne évolution radioclinique et prévoyons de le revoir à une année post-opératoire, c'est-à-dire en juin 2019. Nous sommes d'accord avec une reprise du travail dès janvier et restons à disposition en cas de changement ou nouveau symptôme. Nous réalisons ce jour une nouvelle Rx qui ne retrouve pas de déplacement secondaire. Nous prenons un avis orthopédique qui conclut pour une fracture pseudo-Jones (arrachement osseux) et qui pose l'indication à la mise en place d'une attelle Darco à la place du Vaco Pedes. Concernant les douleurs de la partie distale du 3ème métatarsien, il n'y a pas de fracture sous-jacente. Les douleurs sont localisées au niveau d'un point d'appui du Vaco Pedes qui est beaucoup trop grand pour Mr. Y. Le contrôle de janvier déjà fixé est maintenu. Mr. Y peut charger complètement selon douleurs. Nous proposons une meilleure prise du traitement antalgique si besoin. Nous réalisons deux cycles d'aérosols suivis de mesures du Peak Flow, le dernier montrant une amélioration du débit expiratoire : 0.76 (Peak Flow réalisé/estimé) et amélioration de l'auscultation et un murmure vésiculaire symétrique, diminution des sibilances et clinique de Mme. Y nettement améliorée. Nous réalisons un bilan biologique qui met en évidence une leucocytose sans CRP. La radiographie de thorax ne met pas en évidence de foyer. Nous laissons Mme. Y rentrer à domicile avec une majoration de son traitement habituel par Trimbow jusqu'à 3 pushes sur chaque prise (utilisation de celui-ci avec masque). Nous réalisons le laboratoire - Hb 130 g/L, pas de syndrome inflammatoire. Nous demandons l'avis du gynécologue à Fribourg. Mme. Y étant stable HD, part à Fribourg par ses propres moyens. Nous réalisons le laboratoire qui montre le créat 81, tests hépatiques sp sauf /LDH 630, PA 128, bi 5./ lipase, amylase N, le reste N. st de grossesse Beta HCG - nég. Au but médico-légal, nous réalisons les Rx cervicales, Rx lombaires F/P - pas de fractures visibles. Sédiment urinaire sang ++, leucocytes +++, nitrites nég chez une patiente avec des symptômes urinaires, nous mettons en place le nitrofurantoïne. Avis psychiatre de Marsens consultation auprès de Mr. Y - Mme. Y ne présente pas de danger pour elle-même ni pour les autres, RAD possible avec 3 réserves de Temesta, suivi en psychiatrie en ambulatoire. Certificat constat de coups fait avec des photographies. Nous prions de recontrôler les tests hépatiques et les symptômes urinaires chez le MT dans 1 semaine. Nous réalisons le laboratoire qui montre CRP 44, leucocytes 9, Rx thorax ne montre pas de foyer. Nous concluons à une bronchite virale et mettons en place le traitement symptomatique. L'ECG montre - ECG - RSR FC 97 bpm, PR 159 ms, axe normal, onde Q en DII DIII AVF de 1 mm, QRS fins 94 ms, pas de sus sous décalage significatif, onde T nég en AVR. Après discussion avec Dr. X, nous suspectons les douleurs thoraciques d'origine pariétale au vu de la reproductibilité à la palpation en ne réalisant pas de troponines.Nous réalisons le laboratoire qui montre des leucocytes 10,4, CRP nég. Status anti t : il y a 4 ans. Test de grossesse nég. Rx doigt - pas de lésion osseuse visible. Anesthésie en bague et incision réalisée par Dr. X, Dr. X, prélèvement bactérien, curetage des berges, plaie laissée ouverte • Contrôle clinique et biologique le 23.12 en FUA avec rappel des orthopédistes • Dr. X • 64651 • Attelle aluminium mise en place. ATB • par Dalacin 3 x 600 mg (car allergie Pénicilline) PO (600 mg IV O.U.). Nous réalisons le laboratoire qui montre leucocytes 11, CRP 55, créatinine 66. Nous concluons à une gastro-entérite virale avec des consignes de reconsulter les urgences si non amélioration clinique. Nous mettons en place le traitement symptomatique de NaCl 1500 ml, Paracétamol, Nexium 40 mg. Après la surveillance aux urgences, la patiente devient normocarde et normotendue. Nous réalisons le laboratoire qui ne montre pas de syndrome inflammatoire, D-dimères nég. Nous réalisons la Rx thorax qui ne montre pas de pneumothorax, ni de foyer. Nous réalisons le test de grossesse urinaire qui revient négatif, sédiment urinaire - leuco ++, nitrites nég, sang +. En absence de plaintes urinaires, et le type des douleurs en défaveur de l'origine de calcul néphrétique, nous concluons à des douleurs musculo-squelettiques. Nous mettons en place l'antalgie simple par Brufen et Dafalgan avec le suivi chez le médecin traitant. Nous réalisons la prise de sang qui ne montre pas de syndrome inflammatoire. Le sédiment urinaire revient négatif pour une infection urinaire. Nous conseillons à la patiente de revoir son gynécologue et de continuer le suivi avec le MT. Malheureusement, nous ne retrouvons pas de cause de douleurs sus-pubiennes et des symptômes urinaires présentés par la patiente. Nous réalisons la radiographie du thorax qui ne montre pas de pneumothorax, pas de foyer, les tests hépatiques se révèlent dans la norme, nous ne retrouvons pas de syndrome inflammatoire. Nous mettons en place une antalgie simple, arrêt de travail pour 3 jours. Nous réalisons la radiographie qui montre une fracture styloïde cubitus main droite et suspicion de fracture radius distal main droite. Nous demandons l'avis de Dr. X qui préconise le traitement conservatif par plâtre brachio-ante-brachial-palmaire. Contrôle clinique, radiologique avec Dr. X le vendredi 07.12. Nous réalisons la radiographie qui ne montre pas de fractures, nous mettons en place attelle aluminium, bandage, RICE, antalgie, suivi chez le MT. Nous réalisons la Rx de cheville gauche qui ne montre pas de fracture. Nous mettons en place • Bande élastique, Antalgie, RICE, Arrêt de travail 3 j, Suivi chez le MT dans 7 jours. Nous réalisons la Rx de 1 orteil pied droit qui ne montre pas de fractures. Nous mettons en place une bande élastique avec RICE, antalgie. Le patient va consulter son MT par la suite si besoin. Nous réalisons la Rx doigt qui ne montre pas de fractures. Nous mettons en place attelle d'aluminium avec but antalgique. Antalgie, RICE, Suivi avec le MT. Nous réalisons la Rx épaule et clavicule gauche qui ne montre pas de fractures. Nous mettons en place une bretelle, antalgie, la patiente prendra le RDV à la polyclinique d'orthopédie la semaine prochaine. Concernant la TC simple, nous ne préconisons pas de suivi particulier. Nous réalisons la suture de la plaie avec 3 points par Vycrile et 7 points par Etilon. Nous laissons le MT faire l'ablation des fils à 5 jours. Pour le bilan de la chute, nous effectuons un scanner cérébrale et du massif facial qui met en évidence l'absence de signes d'hémorragie post-traumatique, pas de fracture. Vu l'examen clinique, biologique et radiologique rassurants, la patiente rentre au Foyer Horizon Sud accompagnée par son éducateur. Nous proposons de surveiller la dame pendant 48h, si apparition de nouveaux symptômes neurologiques - retour aux urgences. Nous réalisons le laboratoire CRP <5, leucocytes 10,2, créatinine dans la norme, sédiment urinaire - pas de leucocytes, pas de nitrites, pas de sang. Nous concluons à des douleurs abdominales d'origine indéterminée, avec le contrôle à la FUA le 04.12 pour un suivi clinique et biologique. Nous réalisons le sédiment urinaire : leucocytes nég, nitrites nég, sang +++, laboratoire - pas de syndrome inflammatoire. Avec l'avis de Dr. X, nous réalisons l'uro-CT en Valsalva - pas de calcul, pas d'hernie inguinale. Nous concluons à des douleurs inguinales droites d'origine indéterminée le 09.12.2018 avec la diagnostique différentielle de douleurs musculaires versus névralgies L1. Il est possible qu'un petit calcul soit présent, non visible au CT. Proposition au MT de prévoir une filtration des urines si les symptômes sont toujours présents. Nous réalisons l'ECG qui montre RSR 50 bpm, axe gauche, PR 226 ms, QRS fins 92 ms, pas de troubles de la repolarisation, en absence de DRS, une ischémie cardiaque nous semble peu probable. Nous avons raisonnablement écarté l'EP au vu de D-dimères négatives. Nous ne retrouvons pas de déficit neurologique, et le Dix-Hallpike est négatif. Sur le laboratoire, nous retrouvons leucocytes à 14, CRP 5, Mr. Y ne présente pas de symptômes infectieux, l'examen clinique ne retrouve pas de foyer infectieux. La gazométrie montre un pH 7.42, pCO2 4.6, pO2 9.6, bicarbonate 22, excès de base -2.2, glucose 5.8, lactate 2.1, chez un patient fumeur chronique. Nous concluons à des vertiges périphériques d'origine indéterminée. Nous réalisons les radiographies qui ne montrent pas de fractures. Nous mettons en place une antalgie simple et un arrêt de travail. Nous réalisons les radiographies thoraciques qui ne montrent pas de pneumothorax. Nous mettons en place une antalgie par Tramal 50 mg O.U. aux urgences. Nous concluons à des douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique sur le syndrome de Tietze versus neuropathie de scalène droite avec mise en place de Sirdalud, Brufen, suivi en ambulatoire. Nous informons la patiente qu'en cas de persistance des douleurs malgré le traitement, elle doit reconsulter son MT ou des urgences de Riaz. Nous réalisons la manœuvre de Hallpike avec les lunettes de Frenzel qui ne montre pas de nystagmus. Vu l'examen clinique et biologique rassurant, le patient rentre à domicile avec les explications des manœuvres thérapeutiques (de Toupet-Semont). Motilium en réserve si nausées. Contrôle clinique à la consultation de Dr. X avec le bilan des vertiges. Nous réalisons plusieurs radiographies à cause des douleurs présentées par la patiente. La Rx poignet montre une fracture EDR droit, fracture de la styloïde ulnaire + du triquetrum et une suspicion de fracture de la styloïde radiale. Nous demandons l'avis à Dr. X qui préconise plâtre AB fondu avec contrôle à la polyclinique de l'orthopédie dans 1 semaine. Une antalgie simple est mise en place avec une protection gastrique. Discussion au colloque d'orthopédie : antélisthésis L5-S1 déjà présent sur les anciennes radios, mais en péjoration. Vu que la patiente n'a pas de douleur à la palpation, l'indication de faire un scanner lombaire n'est pas retenue. Nous laissons le médecin traitant faire une réévaluation clinique à distance et nous la réadresser si nécessaire. Nous réalisons la Rx main - pas de lésion osseuse visible, arthrose marquée. Désinfection, lavage de la plaie par Chlorhexidine, exploration des plaies - pas de lésion de structures nobles retrouvée. Bétadine, sans anesthésie locale, suture Ethilon 4 (art IPD 2ème 1 cm 2 points, milieu phalange médiale 5 mm 1 point, art IPD 4ème 1 cm 2 points). Pansement sec, attelle aluminium du 2ème et 4ème doigts.Rappel tétanos. Control à la polyclinique orthopédie le 20.12.18. Nous réalisons un laboratoire qui est normal, un ECG et une hydratation par NaCl 1000 ml sur 1 heure. La surveillance aux urgences pendant 3 heures est dans la norme, mais la patiente est toujours somnolente, mais réveillable. Nous obtenons l'avis téléphonique du psychiatre de garde qui retient l'indication à une hospitalisation à Marsens. La patiente est d'accord d'aller à Marsens en mode volontaire, sa mère est informée et d'accord. Nous réalisons une radio qui ne montre pas de fracture. Au vu de l'impotence fonctionnelle, nous concluons à une entorse stade III et immobilisons la patiente avec une attelle jambière postérieure. La radio de contrôle montre une mal position ce qui nous pousse à refaire le plâtre. Un nouveau contrôle montre une amélioration de la position. La patiente rentre à domicile avec la Clexane prophylactique et un contrôle à la polyclinique d'ortho la semaine prochaine. Nous réalisons une radiographie qui ne montre pas de fracture. Nous concluons à une entorse stade II et immobilisons le patient avec une attelle splint pod et marche en décharge à l'aide de cannes. Il peut rentrer à domicile avec une antalgie en réserve, une prophylaxie anti-thrombotique et un arrêt de sport. Il prendra rendez-vous à la polyclinique d'ortho dans une semaine pour un contrôle. Nous recevons ce jour Mr. Y qui se présente aux urgences avec une plaie du crâne en regard de l'os pariétal droit suite à un traumatisme au domicile. Pas de signe de gravité, statut tétanique en ordre. Nous avons procédé à un nettoyage et à une désinfection de la plaie. Anesthésie locale à la Rapidocaine 1% et mise en place de 7 points simples à l'Ethilon 4.0. Rendez-vous chez le médecin traitant dans 7-10 jours pour retrait des fils. Nous recommandons au médecin traitant de faire un ultrason de la thyroïde et d'évaluer les enzymes thyroïdiennes. Nous recommandons de faire un ultrason hépatique pour évaluer la lésion hépatique. Nous recommandons d'explorer. Nous recommandons d'instaurer un traitement freinateur de la fréquence cardiaque ainsi que d'organiser un bilan pneumologique à distance. Arrêt définitif de la théophylline. Nous recommandons une prise en charge par antibiotique topique pour une semaine avec un contrôle clinique à 5 jours à la Permanence. Nous rediscutons des options thérapeutiques pour l'intervention susmentionnée. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire. Il me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 22.01.2019. Nous réexpliquons au patient qu'une intervention chirurgicale de fixation lombaire pluri-étagée et fusion inter-somatique ne serait proposée qu'en cas de motivation réelle à une réadaptation musculaire. Pour l'instant, comme les douleurs ne limitent pas le patient dans sa vie quotidienne et que nous ne pouvons pas lui garantir une amélioration de la symptomatologie suite à l'intervention, nous laissons le patient réfléchir. Nous lui prescrivons à nouveau des séances de physiothérapie, à renouveler au besoin en cas de bonne évolution. Mr. Y va discuter des différentes options avec son médecin traitant et nous fera part de sa décision. Nous remettons à la mère du patient la feuille de surveillance TC. Nous suturons la plaie sous MEOPA par 3 points simples Ethilon 4-0. L'ablation des points sera à J10 chez le pédiatre traitant. Nous renvoyons la patiente à son domicile au vu de la bonne évolution clinique et biologique, nous lui recommandons de prendre la dose de Monuril qui avait été prescrite le 12.12.18. Nous reprenons contact avec le Dr. X qui ne préconise pas de nouveau Uro-CT. Nous prenons un avis urologue (Dr. X), qui préconise un RAD avec poursuite du traitement conservateur et rendez-vous à sa consultation le 18.12 à 13h30. Nous retenons après discussion avec Dr. X une bronchite probablement virale. Nous mettons sous antalgie AINS. Concernant l'hyponatrémie, elle va prendre ce soir un bouillon salé et nous administrons 2 cpr KCl retard aux urgences comme substitution d'hypokaliémie. La patiente rentre à domicile avec un contrôle clinico-biologique à la FUA le 16.12.2018. Nous retenons des douleurs thoraciques et épigastralgies sur angoisse. Nous mettons la patiente sous TTT de Nexium 40 mg/j pendant 1 semaine avec un contrôle chez son médecin traitant. Nous expliquons à la patiente dans quels cas il faut reconsulter. Nous retenons des douleurs en regard des muscles de la loge postérieure, grand adducteur et semi-tendineux, sans hématome, sans tuméfaction. Au vu des résultats rassurants de la radiologie, nous laissons le patient rentrer à domicile avec des anti-inflammatoires. Pas de compression, pas de mise en décharge. Nous lui suggérons de reprendre progressivement appui sur la jambe gauche au seuil des douleurs. Nous retenons une lombocruralgie D non déficitaire mal systématisée. Nous mettons la patiente sous TTT symptomatique. Physiothérapie avec arrêt de travail et la patiente va avoir un contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. La patiente rentre à domicile et elle sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons des paresthésies d'origine périphérique avec comme diagnostic différentiel de canal carpien ou origine cervicale, raison pour laquelle nous mettons le patient sous TTT par Lyrica pendant une semaine qui sera réévalué par son médecin traitant. Le patient va prendre un rendez-vous chez son médecin traitant dans une semaine et il sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons des douleurs des loges rénales d'origine indéterminée, DD syndrome loin, douleur, hématurie, syndrome casse-noisette, endométriose péritonéale, néphrite interstitielle et prenons l'avis Dr. X qui propose une antalgie par dérivé morphinique et hospitalisation pour adaptation antalgie et suite prise en charge (sédiment urinaire demain à discuter d'un US doppler des artères rénales ou CT injecté, à discuter d'une biopsie rénale par la suite). Nous retenons des douleurs des loges rénales d'origine indéterminée, DD syndrome loin, douleur, hématurie, syndrome casse-noisette, endométriose péritonéale, néphrite interstitielle et prenons l'avis Dr. X qui propose une antalgie par dérivé morphinique et hospitalisation pour adaptation antalgie et suite prise en charge (sédiment urinaire demain à discuter d'un US doppler des artères rénales ou CT injecté, à discuter d'une biopsie rénale par la suite) et la patiente est transférée à HFR de Fribourg par manque de place. Nous retenons des douleurs des loges rénales d'origine indéterminée, DD syndrome loin, douleur, hématurie, syndrome casse-noisette, endométriose péritonéale, néphrite interstitielle et prenons l'avis Dr. X qui propose une antalgie par dérivé morphinique et hospitalisation pour adaptation antalgie et suite prise en charge (sédiment urinaire demain à discuter d'un US doppler des artères rénales ou CT injecté, à discuter d'une biopsie rénale par la suite) et la patiente est transférée à HFR Fribourg en raison de manque de place à l'HFR de Riaz. Nous retenons une douleur lombaire D probablement d'origine musculo-squelettique vu la clinique. Le bilan du 02.12 permet d'exclure un calcul urinaire radio-opaque. La présence d'un calcul radio-transparent reste peu probable vu la clinique et l'absence de dilatation pyélocalicielle. Nous proposons à la patiente de continuer avec le traitement antalgique et contrôler chez son médecin traitant. La patiente reconsultera aux urgences en cas de péjoration des douleurs ou d'effets secondaires. Concernant les pertes vaginales sanguinolentes, la patiente va prendre un rendez-vous chez son gynécologue. Nous retenons le diagnostic de pneumonie basale gauche débutante sur la base de laboratoire CRP < 5, leucocytes 14. Rx thorax foyer à gauche. ECG - RSR 96 bpm, PR 152 ms, QRS fins 92 ms, pas de sous ni sus-décalage. Nous suspectons l'origine musculo-squelettique sur la toux. Nous mettons en place Co-Amoxi 2.2 IV, Co-Amoxi 1 g x 2 j PO pendant 7 jours avec contrôle à la FUA pour des hémocultures le 07.12.Nous retenons la diagnostique de poussée hypertensive sans atteinte d'organe cible avec des facteurs déclencheurs de l'exacerbation des douleurs polyarticulaires et céphalées habituelles le 18.12.2018. Nous réalisons l'ECG • RSR 69 bpm, axe gauche, avec hémibloc ant G, PR 176 ms, QRS fins 90 ms, pas de sous décalage, onde T aVR, V1, laboratoire • creat 118 qui est la valeur habituelle chez une patiente connue pour IRC, pas de syndrome inflammatoire. Nous mettons en place Isoket 1 push, Nifédipine 20 mg avec normalisation de TA. Nous vous proposons de revoir la possibilité d'introduction de l'Amlodipine. Pour l'exacerbation des douleurs polyarticulaires chroniques nous remplaçons le Co-Dafalgan pour Targin 5mg/2.5 mg. Nous retenons le diagnostic d'angine persistante avec un traitement insuffisant de la part de la patiente. Nous répétons l'importance de prendre les médicaments de manière régulière et ordonnons un arrêt de travail pour aujourd'hui. Nous retenons le diagnostic d'asthme bronchique, probablement d'origine tabagique. Nous introduisons un traitement par Symbicort pour une durée de 3 semaines et conseillons au patient de reconsulter en cas d'absence d'amélioration à 3 semaines, de péjoration ou d'apparition de fièvre. Nous retenons le diagnostic de céphalées de tension et proposons un traitement symptomatique ainsi qu'un arrêt de travail pour 3 jours. Nous retenons le diagnostic de contusion et initiions un traitement antalgique et une attelle à porter pendant au moins 2 semaines. Arrêt de travail 3 jours. Nous retenons le diagnostic de crise d'asthme sévère avec une évolution rapidement favorable sous un traitement d'inhalations ainsi que Solumedrol i.v. Nous introduisons une corticothérapie pour 5 jours et proposons un contrôle chez le pneumologue traitant, le Dr. X dans la semaine. Nous retenons le diagnostic de douleur de hanche probablement d'origine arthrosique et introduisons un traitement antalgique pour 10 jours. En présence d'une image atypique de calcification d'origine indéterminée avec un diagnostic différentiel ouvert nous proposons de compléter le bilan par un CT ou IRM injecté en cas de persistance des douleurs à 10 jours. Nous retenons le diagnostic de douleurs thoraciques d'origine probablement musculaire. Un syndrome coronarien aigu est exclu par contrôle chimique. La synéchie pulmonaire à gauche trouvée de manière fortuite sera à réévaluer par le médecin traitant avec des images comparatives. Nous recommandons un bilan cardiaque en ambulatoire avec une écho pour compléter le bilan. Nous retenons le diagnostic de fracture distale du radius. Après discussion avec les orthopédistes de Fribourg, nous organisons un contrôle au HFR pour le lendemain. La patiente apportera la radiographie de la précédente fracture afin de comparer la bascule et de discuter de l'option thérapeutique. À sa sortie, nous donnons 2 doses d'Irfen 600mg à la patiente ainsi que 4 Dafalgan en réserve. La thérapie antalgique sera discutée à Fribourg. Nous retenons le diagnostic de fracture et, après avis orthopédique, initiions un traitement conservateur avec une attelle Edimbourg en attente d'une attelle spécialisée organisée chez une ergothérapeute. Le patient se présentera chez son médecin traitant au retour de vacances pour effectuer un contrôle clinique et radiologique. Nous retenons le diagnostic de gastro-entérite virale et introduisons un traitement symptomatique. En cas d'absence d'amélioration à 12h nous proposons à la patiente de reconsulter la Permanence. En cas de péjoration sur les 12h, elle se présentera aux Urgences de Fribourg. Nous retenons le diagnostic de persistance de lithiase rénale droite. Après contact avec le Dr. X nous proposons de poursuivre le traitement antalgique introduit à Aarberg et de filtrer les urines. En cas de persistance des douleurs jusqu'au lundi 17.12.18, nous proposons au patient de se représenter à la Permanence, il sera alors vu par le Dr. X. Nous retenons le diagnostic d'entorse et mettons en place une antalgie et un plâtre pour 5 jours. Nous ne pouvons écarter une fracture Salter-Harris I en vue de la présence de cartilage de croissance, raison pour laquelle nous organisons un rendez-vous de contrôle à la Permanence à 5 jours. Nous retenons le diagnostic d'infection virale de voies aériennes supérieures et instaurons un traitement symptomatique. Nous retenons le diagnostic d'infection virale et introduisons un traitement symptomatique. Nous retenons le diagnostic d'infection virale et introduisons un traitement symptomatique ainsi que Symbicort pour 7 jours. Nous retenons le diagnostic de constipation et introduisons un traitement par Movicol avec conseils diététiques et d'hygiène de vie pour la patiente. Nous stoppons également la substitution en fer per os et proposons l'évaluation par le MT de l'indication à un Ferrinject. Nous retenons l'indication opératoire en semi-urgence pour demain. Le consilium anesthésique est en ordre et le Xarelto a été arrêté hier ce qui fera plus de 48h jusqu'à l'opération. Nous ferons encore un contrôle de la crase avec un anti-Xa Xarelto demain matin afin d'exclure encore un effet résiduel de ce médicament. Nous redébuterons le traitement de Xarelto à partir du 3ème jour postopératoire. Le consentement éclairé a déjà été signé par le patient auparavant, ainsi que le consentement d'anesthésie. Nous retenons probablement une chondrocalcinose de cheville G et nous augmentons l'olfen à 50 mg 3x/j avec Tramal en R avec contrôle dans une semaine chez son MT. La patiente rentre à domicile et elle sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons un arrachement talo-fibulaire ant après discussion avec Dr. X. Le patient repart avec une attelle Aircast avec une antalgie AINS et contrôle dans une semaine à la policlinique d'ortho. Nous retenons un diagnostic probable/possible d'allergie aux protéines du lait de vache au vu de l'anamnèse familiale positive. Il n'y a pas de fissure anale visualisée. Néanmoins, en raison des selles liquides présentes depuis la veille, nous prélevons des selles pour une culture et réalisons une recherche de rotavirus et adénovirus qui sont en cours, afin d'exclure une cause infectieuse. Le plus probable est un changement de transit sur l'administration du nouveau lait. Nous proposons aux parents de ne pas rechanger de lait introduit il y a 48h pour le moment et de reprendre contact avec vous pour la suite de la prise en charge. Nous conseillons également de suivre l'état d'hydratation et de revenir si la diurèse devait diminuer. Nous retenons un eczéma de lobule d'oreille infecté et mettons la patiente sous Fucidin crème pendant 7 jours avec contrôle chez son médecin traitant. La patiente sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons un probable diagnostic d'eczéma d'origine indéterminée et traitons le patient avec une crème à base de corticoïdes faibles. En cas de persistance à une semaine, nous recommandons une consultation spécialisée. Nous retenons un probable phlegmon de la gaine des fléchisseurs, index gauche. La patiente ne présente pas d'EF. Au statut, nous n'avons pas d'ADP auxiliaire, pas de trajet lymphatique. La patiente rentre à domicile sans traitement antibiotique afin de permettre le prélèvement pour mise en évidence d'un germe si opération le 22.12.2018. La patiente rentre à domicile avec un traitement antalgique et attelle alu à visée antalgique et reviendra le lendemain pour contrôle clinico-biologique +/- prise en charge chirurgicale. Nous retenons un syndrome grippal et la patiente rentre à domicile avec un traitement symptomatique. Elle reconsultera si péjoration de l'état général. Nous la rendons attentive à une bonne hydratation per os à domicile. Suivi chez le médecin traitant.Nous retenons un Zona, nous mettons le patient sous Valtrex cpr 1 g 3x/j pdt 07 j avec antalgie et contrôle chez son MT. Nous administrons un cpr de Temesta aux urgences. Nous retenons une baisse d'état général d'origine indéterminée probablement dans le cadre d'une démence débutante. Pour les nausées nous mettons un TTT d'épreuve pour une suspicion de gastrite. Le patient va avoir un contrôle chez son MT. Il sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons une bursotomie traumatique du coude G. Nous prenons l'avis de Dr. X et nous faisons un frotti puis une désinfection par Bétadine, champagne stérile. Anesthésie par Bicarbonate et Lidocaïne, exploration de la plaie. Eau oxygénée rinçage abondant au NaCl 0.9 % et bétadine, suture par 3 points d'Ethilon 3.0. Antalgie au besoin. Contrôle le 31.12.2018 au policlinique d'ortho (un RDV à la FUA est donné si poli est fermé) pansement avec tulle bétadiné et bandage écossais. Une dose ATB co-amoxicilline 2.2 IV est administrée aux urgences puis 1 g 2x/j pdt 03 j. Tétanos à jour. Concernant la chute, nous prenons l'avis de Dr. X et nous retenons un malaise vagal post chute et le patient rentre à domicile. Il sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons une contusion lombaire et le patient rentre à domicile avec un TTT symptomatique avec contrôle chez son MT. Le patient est informé dans quels cas il faut reconsulter aux urgences. Nous retenons une contusion rachis lombaire et du coude G et nous mettons le patient sous TTT symptomatique (il a Dafalgan, Irfen et Tramal à domicile) et il rentre à domicile avec contrôle chez son MT. Nous retenons une contusion simple de la main G et proposons à la patiente un traitement antalgique. Nous la conseillons de consulter son MT par la suite si nécessaire. Nous retenons une entorse stade I. Nous mettons une bande élastique avec antalgie AINS protocole RICE et contrôle avec son MT dans une semaine. Nous révisons le dossier avec Dr. X qui suspecte ainsi que le radiologue Dr. X une suspicion de fracture de talus raison pour laquelle nous convoquons après discussion avec Dr. X la patiente demain pour un scanner à 09h30. Nous ne convoquons pas la patiente ce soir pour l'immobilisation mais nous l'avons appelée et informée et elle va venir demain pour un scanner et contrôle clinique à la FUA. Nous retenons une étiologie périphérique des vertiges. Un traitement symptomatique est installé. Le patient se représentera à la consultation d'ORL. Nous retenons une gastrite et nous mettons le patient sous TTT de Nexium 40 mg pdt 2 semaines. Nous lui recommandons d'arrêter le tabagisme et l'aspirine de 500 mg. Pour le profil tensionnel haut, nous mesurons en même temps la TA ddc qui est similaire. Aux urgences, il reçoit de l'Adalat 20 mg/j et Amlodipine 5 mg avec amélioration du profil tensionnel et Nexium 40 mg IV avec amélioration des symptômes. Le patient rentre à domicile avec contrôle chez son MT et il sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons une gastroentérite débutante et recommandons un traitement symptomatique à la patiente. Nous retenons une gastroentérite et nous prenons l'avis de pédiatre Dr. X qui propose une hydratation IV 500 ml en 2 h aux urgences avec des suppositoires d'Itenerol 1x/j et Normolytoral 1 sachet dilué dans 200 ml et de ne pas donner d'antalgie et de reconsulter si récidive de douleurs ou non amélioration aux urgences pédiatriques de HFR Fribourg. Nous retenons une gastroentérite virale. Le patient ne présente pas de récidive de vomissements lors de son passage aux urgences. Les nausées sont en diminution. Nous rendons attentif le patient à bien s'hydrater lors du retour à domicile. Pour les douleurs thoraciques, nous retenons une origine musculo-squelettique et mettons en place un traitement antalgique simple. Nous retenons une intoxication alcoolique aiguë comme origine à ce malaise et à ces troubles de la sensibilité transitoire de l'hémiface inférieur gauche et de la main gauche après discussion avec Dr. X. Nous mettons en place une hydratation de 1500 ml avec réchauffement. Nous proposons un avis psychiatrique pour le sevrage mais la patiente refuse et préfère en parler à son MT. Avant son départ, la patiente mentionne qu'elle soupçonne une prise de drogue mise par autrui dans son verre raison pour laquelle nous ajoutons la recherche de toxiques dans les urines qui sont en cours. Après une surveillance aux urgences, la patiente rentre à domicile. Nous retenons une luxation acromio-claviculaire G stade III selon Rockwood après discussion avec Dr. X et nous mettons le patient sous gilet orthopédique à visée antalgique, antalgie AINS, glace. Arrêt de travail avec un contrôle le 17.12 chez Dr. X (le patient est rappelé). Nous retenons une origine pariétale à ces douleurs thoraciques et mettons en place un traitement antalgique. Le patient reconsultera si persistance des douleurs. Nous lui conseillons de prendre un médecin traitant pour le suivi. Nous retenons une origine virale et laissons le patient repartir avec ses accompagnants. Il restera à l'hôtel à Genève en repos en attendant l'amélioration des symptômes. Nous retenons une otite externe du côté G et conseillons un traitement antibiotique et anti-inflammatoire. Le patient est conseillé de consulter son MT à la fin du traitement et en cas d'évolution défavorable de revenir aux urgences. Le patient dit avoir un MT mais ne se souvient pas du nom. Nous retenons une otite moyenne aiguë D. Nous mettons sous amoxicilline 500 mg 3x/j pdt 07 jours avec antalgie AINS. Concernant la conjonctivite, nous conseillons des soins oculaires. Nous expliquons à la patiente les risques de voyage en avion mais elle va réfléchir à l'annulation du voyage et la patiente sait quand elle doit reconsulter aux urgences. Nous retenons une pneumonie possiblement décapitée par ATB. Nous mettons les DL basithoraciques D sous le compte d'une pleurite. La patiente va continuer l'ATB prescrit par son MT avec Dafalgan et Irfen avec un contrôle le 18.12.2018 chez son MT. Nous retenons une probable déchirure musculaire, pour laquelle nous proposons un traitement anti-inflammatoire pour 3 jours. Nous reverrons la patiente le 11.12.18 à la polyclinique d'orthopédie pour un contrôle clinique. À savoir que la patiente émet une inquiétude par rapport aux résultats d'un CT abdominal réalisé la veille suite à la visualisation d'un rétrécissement sur une coloscopie. Nous prenons contact avec le centre radiologique et obtenons le rapport d'examen dont nous transmettons les résultats à la patiente. Nous retenons un surdosage de Leponex et en accord avec le chef de clinique de garde en psychiatrie, nous recommandons une diminution de la dose de Leponex à 350 mg/j et un contrôle chez le psychiatre traitant par la suite. Nous retenons un torticolis G et mettons le patient sous TTT symptomatique avec arrêt de 03 jours et contrôle chez MT (il va avoir un MT). Le patient sait quand reconsulter aux urgences. Nous retenons un zona ophtalmique. Nous prenons l'avis de Dr. X qui propose un TTT par Valtrex 1 g 3x/j et va recevoir le patient demain à 16h15 pour une consultation ophtalmologique. Nous reverrons la patiente dans 4 semaines pour un contrôle radio-clinique. D'ici là, nous restons à disposition en cas de besoin. Nous revoyons le patient ce jour pour un contrôle clinique de sa plaie thénarienne du 07.12.2018. À l'anamnèse, le patient décrit une amélioration de la sensibilité avec toutefois une légère diminution de la sensibilité à P2D1 du bord ulnaire. Au status, nous n'observons pas de Tinel au niveau de la plaie. Toucher piquer dans la norme et la discrimination à 2 points est de 1 cm sur le bord ulnaire de P2D1 à 4 mm dans les autres parties de D1. Un avis est demandé à la Dr. X. Suite à cela, nous suspectons la formation d'un hématome comprimant une des branches du nerf médian et préconisons un contrôle clinique à la policlinique d'orthopédie le mercredi 12.12.2018. Nous revoyons le scanner de septembre qui met en évidence une ostéite pour laquelle on ne peut exclure une ostéomyélite. Pour cette raison, nous allons discuter avec la Dr. X (infectiologue) pour le traitement. Nous proposons d'enlever la plaque vu la bonne guérison de la corticale à cet endroit et de faire des biopsies et introduire du ciment antibiotique pour traiter la possible infection. Contrôle dans deux semaines. Nous sommes face à une bonne évolution radio-clinique à 6 mois. Le patient peut continuer toutes les activités de la vie quotidienne sans problème. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. Nous sommes à 3 semaines d'une lésion du Chopart. Nous mettons en place une immobilisation avec un Schlupfgips. Nous lui prescrivons de la Clexane. Nous la reverrons le 21.01.2019 pour un contrôle clinique hors plâtre. Nous sommes donc devant une bursite pré-patellaire interne du genou D post-traumatique récidivante. Afin de rassurer le patient, nous réalisons une IRM du genou D le 17.12.2018 qui confirme l'intégralité de tous les éléments nobles du genou D et ne retient que cette bursite pré-patellaire. Nous convenons alors avec Mr. Y de respecter un repos strict, d'autant plus que les semaines à venir, il sera en vacances. Il faudra poursuivre le glaçage 3-4x/jour. Mr. Y me tiendra au courant de l'évolution le 07.01.2019. Nous sommes face à une bonne évolution radio-clinique à 3 mois de la fracture. Nous prescrivons encore des séances de physiothérapie pour améliorer la mobilité. Nous la reverrons le 14.03.2019 (soit à 6 mois de la fracture) pour un contrôle clinique et évaluer la mobilité. Nous sommes face à une évolution satisfaisante. Nous prescrivons à la patiente de la physiothérapie selon schéma S. Antonio. Nous la reverrons le 23.01.2019 pour un contrôle clinique. Entre-temps, nous restons à disposition en cas de besoin. Nous sommes plutôt rassurés par cette bonne évolution clinique chez ce patient qui peut marcher avec l'aide d'une canne sans nouveau déficit et sans douleur mécanique. Nous prévoyons tout de même un contrôle rapproché vu la progression de la fracture lors de la dernière consultation à 3 mois du début du suivi, c'est-à-dire à la mi-janvier avec une radiographie debout afin de mieux comparer. Si de nouveaux symptômes tels que douleurs en aggravation ou de nouvelles douleurs irradiantes dans les MI, nous restons à disposition pour un rdv en urgence. Nous sommes rassurés par la bonne évolution clinique de notre patiente mais souhaiterions tout de même une nouvelle image cérébrale avec pour but d'évaluer l'évolution de la collection sous-durale chronique frontale droite de 10 mm déjà objectivée sur l'image du 07.11.2018 mais qui n'a plus été contrôlée ainsi que pour suivre la thrombose sinusale transverse droite en regard de la fracture occipitale du même côté, laquelle n'a pas été non plus suivie depuis lors. Nous organisons un scanner sans urgence au vu de la bonne évolution clinique et reverrons la patiente le jour même. Nous restons à disposition pour une consultation plus rapidement en cas d'apparition de nouveaux symptômes ou de céphalées en progression. Nous sommes très satisfaits de l'évolution à presque une année de cette fracture traumatique et rassurons la patiente quant à la bonne évolution. Nous restons à disposition en cas de besoin. Nous vous laissons le soin de poursuivre le suivi et vous conseillons également d'entreprendre toutes les mesures afin d'écarter une ostéoporose voire ostéopénie et de prévenir d'éventuelles fractures ostéoporotiques à l'avenir. Nous souhaitons demander un avis neurologique pour expliquer ce pied Charcot. Merci de la convoquer prochainement. Nous soulageons la patiente aux urgences avec titration de la Morphine jusqu'à 8 mg avec bonne évolution clinique. La patiente peut rentrer à domicile avec adaptation de l'antalgie et contrôle chez son médecin traitant. Nous surveillons la patiente aux urgences avec suivi de la TA qui diminue progressivement jusqu'à 150/70. La patiente rapporte une disparition des céphalées et des vertiges et une nette diminution de la sensation de palpitation. Elle ne développe pas de douleur. Nous la laissons rentrer à domicile avec contrôle chez le médecin traitant et évaluation de l'adaptation du traitement anti-hypertenseur. Nous surveillons Mr. Y pendant 1.5 h aux urgences où il mange et boit, joue. Vu la surveillance sans particularités et l'excellent état général, nous n'avons aucun argument pour faire d'autres investigations ou surveillance aux urgences. L'origine de la perte de contact reste inconnue. Vu les mouvements du pied et les selles, une convulsion doit être considérée. Nous expliquons le diagnostic aux parents, vu qu'il habite proche et la possibilité d'une surveillance à domicile, ils peuvent rentrer à domicile, avec reconsultation immédiate aux urgences en cas d'apparition de quelconques symptômes. Nous suspectons chez cette patiente qui a eu 2 grossesses un syndrome de la sacro-iliaque bilatéral. Pour l'instant, nous proposons un traitement conservateur par traitement de la sacro-iliaque ainsi qu'entraînements posturaux, étirements de la musculature abdominale et stretching. Nous expliquons à la patiente qu'en cas de persistance ou péjoration des douleurs, nous restons à disposition pour une infiltration. Mme. Y nous recontactera au besoin. Nous suspectons fortement une phlegmasia coerula dolens pour expliquer la clinique au membre inférieur gauche. Cette clinique justifie encore la confirmation par un angiologue. Une anticoagulation thérapeutique est à débuter dans tous les cas dès ce soir une fois l'accord de l'urologue. Le patient présente de plus un priapisme avec paraphimosis qui bénéficie d'un drainage puis instillation d'une solution d'adrénaline 1/100000 aux urgences de Riaz mais sans effet sur le paraphimosis qui reste non réductible. Sur proposition du Dr. X, nous transférons le patient pour une prise en charge urologique, s'agissant de l'urgence prédominante actuellement. Nous suspectons un AVC D subaigu depuis le 08.12.2018 qui n'est pas mis en évidence à l'Angio-CT. Compte tenu que la patiente est domiciliée à Genève et que la situation est sub-aiguë, nous organisons un transfert sur Genève pour suite de prise en charge avec accord CDC des urgences HUG et Neurologue de garde au HUG. Cela est discuté avec la patiente et son fils. Nous proposons un IRM cérébral pour suite d'investigation. Nous suspectons une angine bactérienne au vu de l'asymétrie des lésions et dans ce contexte, nous prescrivons une ordonnance pour une antibiothérapie en cas de persistance des plaintes. Une consultation en rhumatologie est à évaluer au vu de la récidive des épisodes. Nous suspectons une décompensation de la discopathie L5-S1 déjà connue auparavant au niveau adjacent à l'ancienne ostéosynthèse. Vu que la dernière IRM date du mois de novembre 2017, nous en organisons une nouvelle dans les plus brefs délais et organisons également à des fins thérapeutiques une infiltration de la racine L5 dans son foramen sous scanner chez nos collègues radiologues. Nous reverrons la patiente quelques semaines après ce geste afin de discuter de la suite de la prise en charge. Nous suspectons une infection urinaire chez un nouveau-né >3 mois en état général excellent. Nous proposons une antibiothérapie en ambulatoire avec Rocéphine 50 mg/kg x 1 par jour avec un contrôle clinique dans 24 heures pour réévaluation pondérale vu les vomissements notés par la mère.Nous suspectons une persistance de l'infection urinaire et effectuons un Urotube à pister à la FUA lors du contrôle du patient le 28.12. Au vu de la clinique rassurante et de l'absence de douleur au TR et de signe inflammatoire notamment absence de fièvre, le patient rentre à domicile. Nous suspectons une tendinite péronienne à gauche. Nous organisons une IRM du pied gauche pour exclure une tendinite. Nous attendons les résultats de cet examen et nous pourrons alors proposer de faire une infiltration de la cheville. Nous tentons de suturer la plaie avec sédation au Midazolam sans réussite. Il est donc pris au bloc opératoire par le Dr. X où les sutures sont faites. Il est surveillé par la suite en ambulatoire, les suites opératoires sont simples et sans complication. Nous vous laissons le soin de contrôler les valeurs des vitamines B12, B9 et D à distance. Merci de suivre le profil tensionnel et le poids afin d'adapter la thérapie en cours. Nous vous laissons le soin de contrôler l'évolution des électrolytes et des bicarbonates. Le patient doit refixer un rendez-vous à la consultation du Dr. X pour faire le bilan de l'insuffisance rénale. Nous vous laissons le soin de suivre la kaliémie. Nous vous laissons le soin de suivre l'anémie du patient et de pister les résultats de recherche de sang occulte dans les selles. Nous vous laissons le soin d'organiser une OGD en ambulatoire au vu des antécédents de méléna. Nous vous laissons le soin de discuter de la suite des investigations quant au nodule découvert lors de l'imagerie thoracique. Nous vous proposons de contrôler les valeurs de vitamine B9 et la fonction thyroïdienne à distance. Merci de suivre le profil tensionnel et d'arrêter le Inhibace en cas d'hypotension persistante. Nous vous proposons de faire une ETT pour bilanter la fonction cardiaque à la recherche d'une cardiopathie hypertensive, ainsi qu'un Remler afin de pouvoir optimiser au besoin le traitement anti-hypertenseur. Rendez-vous pour changement de sonde GPR en radiologie à l'HFR le jeudi 07.03.2019 à 8h30 (Dr. X). Diminution du Keppra à 2x 500 mg par jour dès le 28.12.2018 et EEG et réévaluation du traitement antiépileptique à prévoir mi-février. Nous vous laissons le soin d'effectuer un test de freinage à la dexaméthasone pour compléter le bilan surrénalien. Nous vous proposons de réaliser un suivi clinique après la fin de l'antibiothérapie avec un suivi de la calcémie de la patiente et d'évaluer la nécessité d'investigations supplémentaires selon l'évolution. Nous vous proposons d'organiser un ultrason de contrôle à 6 mois des probables angiomyolipomes du rein droit et du rein gauche. Nous vous proposons de réaliser un suivi clinique et biologique du syndrome inflammatoire au terme de l'antibiothérapie. En cas de récidive ou de persistance de symptômes, nous vous proposons de prévoir une colonoscopie de contrôle à 4-6 semaines de l'événement aigu. Nous vous proposons de réaliser un US cardiaque en ambulatoire afin d'évaluer la fonction cardiaque. Nous vous proposons de réaliser une radiographie du thorax de contrôle à distance de la pneumonie. Nous vous proposons de suivre l'évolution de l'hémoglobine de la patiente et d'évaluer la nécessité d'une supplémentation en fer. Nous vous proposons de suivre l'évolution des tests de fonction hépatique. Nous vous proposons de recontrôler la fonction rénale dans la semaine et de réévaluer la réintroduction d'un traitement diurétique. Rendez-vous le 04.12.2018 à 15h15 chez le Dr. X, urologue, pour évaluer la suite concernant l'hyperplasie prostatique et la sonde urinaire. Nous vous proposons de recontrôler la TSH et les électrolytes à distance, ainsi que d'organiser un bilan urologique et un US rénal. Contrôle du Sintrom à votre cabinet. Nous vous proposons de rediscuter de l'arrêt du tabac avec le patient. Nous vous proposons de revoir le patient dès la semaine du 23 décembre pour une adaptation du schéma de Sintrom selon INR. Nous vous proposons de revoir le patient dès le 17.12.2018 afin de suivre la fonction rénale et les électrolytes du patient. Concernant la lésion croûteuse suspecte au niveau de la racine du nez, nous vous laissons le soin d'organiser en ambulatoire une consultation chez un dermatologue. Nous vous proposons de revoir le patient pour une évaluation clinique d'ici deux semaines (début janvier 2019). Propositions sur le plan cardiaque : • Contrôle chez vous à 2 semaines • Ergométrie à 2-3 mois pour évaluer une intervention sur l'IVA + adaptation du traitement B-bloqueur et IEC • Adaptation statine selon profil lipidique à 3 mois • Réhabilitation cardio-vasculaire stationnaire à Heiligenschwendi (Bern) dès janvier 2019. Propositions pour le suivi du diabète : • Ophtalmologique : fond d'œil à effectuer 1x/an • Neuropathie/podologie : contrôle régulier préconisé • Cardiovasculaire : bilan lipidique (valeur de LDL cholestérol < 1.8 mmol/l), maintien de la TA < 130/80 mmHg • Néphropathie : dépistage de la néphropathie diabétique avec rapport micro-albuminurie/créatinurie à distance de l'épisode aigu. Nous vous proposons de suivre le poids et les signes de surcharge de la patiente et d'évaluer la nécessité de reprise du traitement. Nous vous proposons d'objectiver cette allergie chez un allergologue. Nous vous recommandons de maintenir l'Eliquis à 2x 5mg/j durant 6 mois et vous laissons le soin de réévaluer la reconduite de ce traitement. Le prochain contrôle du Pacemaker sera à prévoir avec son cardiologue traitant le Dr. X à HFR Fribourg en novembre 2019. Nous voyons ce jour ce patient de 14 ans qui consulte pour des douleurs post-traumatiques de la cheville gauche avec traumatisme en varus équin. Au vu des résultats rassurants de la clinique et de l'imagerie, nous retenons une entorse de cheville de grade 1 et suggérons au patient de rentrer à domicile avec une antalgie simple et une bande élastique à garder 7-10 jours. Certificat d'incapacité pour les cours de sport durant 10 jours. Le patient reviendra à la consultation de policlinique d'orthopédie entre le 08 et 09.11.2018, pour un contrôle clinique avec +/- CT-scan. Nous voyons ce jour la patiente avec le Professeur X. Au niveau prothétique, la radiographie de contrôle est tout à fait en ordre et ne donne pas de piste pour expliquer les douleurs ressenties par la patiente, la position des implants étant optimale. Pour nous, il s'agit plutôt de douleurs musculaires sur une mauvaise statique dans un contexte de lombosciatalgies préexistantes avec une importante raideur sur raccourcissement des chaînes musculaires avec notamment une distance talon/fesse à 50 cm du côté droit. On prescrit donc des exercices de stretching du quadriceps et des abdominaux avec travail de la posture, ainsi que des exercices de crochetage du muscle piriforme. Pour pallier la petite différence de longueur secondaire à l'implantation prothétique, nous prescrivons une semelle de 4 mm pour le côté gauche. Nous reverrons la patiente dans 3 mois pour faire le point sur les douleurs. Nous voyons ce jour Mr. Y qui se présente aux urgences dans un contexte de crise de colique néphrétique récidivante. A son arrivée aux urgences, les douleurs sont stabilisées. En raison des résultats clinico-biologiques rassurants, et sur avis du Dr. X, nous avons laissé le patient rentrer à domicile avec AINS, antalgie, Pradif et filtre urinaire. Nous lui suggérons de se représenter aux urgences en cas de crise dans la nuit, le cas échéant nous lui proposons de revenir à J+1 pour une réévaluation de son état. Nous voyons ce jour Mme. Y qui se présente aux urgences avec une plaie centimétrique sur le bord supérieur de la langue non transfixiante et des cervicalgies post-traumatiques.Au vu de l'allure non transfixiante de la plaie et de l'absence de saignement actif, ainsi que de l'absence de red flag au niveau cervical, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple et de l'Hextril en bain de bouche. • Nouveau cas. • Nouveau contrôle à la filière ambulatoire des urgences à 48h. • Nouveau contrôle si non amélioration d'ici 48h. • Nouveau-né à terme • Varicelles anamnestiques en 04/2016 • Malaise vaso-vagal dans le cadre de vomissements importants avec IVRS débutante • Laboratoire 20.10. • Selles Rota-/Adénovirus/Culture: nég. • Monitoring cardio-pulmonaire 20-22.10.2016 • Nouveau-né de 39 6/7 semaines de gestation, poids de naissance 3180 g (P25), taille de naissance 49 cm (P10), périmètre crânien de naissance 33 cm (P5) • Nouveau-né prématuré de 36 6/7 SA, • Hernie inguinale gauche opérée • Pleurs du nourrisson avec épuisement maternel • Rash sous Amoxicilline le 25.09 • Convulsion fébrile en 09.2018 • Nouveau plâtre. • Explication préalable pour les différents examens: • Radiographie de contrôle après nouveau plâtre. • Antalgie par Tramadol et continuer le traitement par Redoxon • Avis orthopédique (Dr. X). • Recommandation de consulter les urgences en cas de douleur intense, trouble neuro-sensitif • Patiente vivant en Espagne (retour le 5.1.18): suite de prise en charge orthopédique/opératoire en Espagne. • Nouveau-né à terme + 5 jours avec PN 4250 g (P75-90), TN 52 cm (P25-50), PCN 37 cm (P75-P90) avec Wet-lung et suspicion d'infection néonatale infirmée • Nouveau-né à terme + 8 jours, PN à 4340 g (P90-95), grossesse sp, accouchement par voie basse • Nouveau-né à terme à 38 6/7 semaines d'aménorrhée, accouchement par voie basse sans complication, bonne adaptation avec Apgar 10/10/10, poids de naissance 3450 g. Risque infectieux présent avec streptocoque B positif (antibiotiques reçus par la mère, contrôles pour risque infectieux en ordre durant 48h). • Nouveau-né à terme à 40 0/7 SG, PN 2860 g (P20), T 49 cm (P30), PC 34.5 cm (P30) avec: • S/p infection urinaire en post-opératoire à Proteus mirabilis le 03.11.2015 • Status post-pyéloplastie gauche pour sténose de la jonction pyélo-urétérale le 29.10.2015 • Sous Bactrim à dose thérapeutique depuis le 29.10.2015 • Nouveau-né à terme, PN 3220 (P25-50), TN 48 cm (P10), PCN 35,5 cm (P50-70). • Nouveau-né du sexe féminin à 27 1/7 SG, PN 1020 g (P50), TN 35.5 cm (P50), PCN 24 cm (P25) • S/p dysplasie broncho-pulmonaire sévère (à 36 0/7 SA CPAP et FiO2 0.33) • S/p ventilation invasive du 30.06. au 01.07.17 • S/p pneumothorax sous tension G avec instabilité hémodynamique et exsufflation/drain thoracique 30.06.17 • S/p atélectasie du lobe supérieur D • S/p apnées de la prématurité • S/p difficultés alimentaires de la prématurité • S/p colonisation à MRSA (isolement de type contact dès le 19.09.17 avec 2 contrôles négatifs, nouveau contrôle le 06.11.17 narines positif) • Mère avec abcès du sein D à MRSA résolu • S/p anémie de la prématurité • S/p 2 transfusions érythrocytaires le 09.07 et le 06.08. • S/p hyperbilirubinémie sans incompatibilité traitée par photothérapie • S/p vaccins (Prevenar et Infanrix) le 03.10.2017 (événements stimulés) • Nouveau-né né à terme • Nouveau-né né 3 semaines avant le terme, 3.2 kg. Pas de soucis péri-postnataux. • Nouveau-né née à terme à 37 2/7 SA avec un poids de naissance à 2390 g (P5-10), un périmètre crânien à 32 cm (P5-10) et une taille à 44 cm (NRS 4 Pose de SNG le 31.08.2018 : échec Pose de SNG par endoscopie le 20.11.2018 • instructions pour maniement de la sonde Consilium diététique, physiothérapeutique et ergothérapeutique Suppléments alimentaires. >NRS 4 Substitution Pose Sonde Nasogastrique 29.11.2018 Pose Sonde Nasogastrique 30.11.2018 Pose Sonde Nasogastrique 02.12.2018 Renutrition par Novasource Substitution électrolytique (K, Mg, Phos, Ca, Vitamine D3, Becozym, Benerva, Supradyn) suivi clinique et biologique. • NSAR Brufen 600 mg x3 pour 5 jours • Ruhigstellen des Armes gauche • AUF 100 % jusqu'au 02.01.2019. • NSAR, Dafalgan fixe pour 3 jours • WV en cas de détérioration de l'état. • NSAR pour 5-7 jours • AUF 100 % 15.12.-17.12.2018 • Physiothérapie remise • WV si persistance des symptômes. NSCLC adénocarcinome pulmonaire du lobe inférieur droit en stade IV avec épanchement pleural malin à droite A M1 : • Date du diagnostic : 18.10.2012. • Statut post-ponction avec drainage de l'épanchement pleural le 15.10.2012 : transsudat avec un amas de cellules d'un carcinome papillaire primitif du poumon (Promed Cytologie 8183.12). Bigéminisme. HTA "blouse blanche". Trouble de l'adaptation, réaction mixte anxieuse et dépressive. NSCLC de type épidermoïde à cheval des lobes supérieur et inférieur gauche, cT4 cN2 cM0, stade IIIB • Date du diagnostic : 10.04.2018 • Bronchoscopie avec biopsie le 08.05.2018 • Histopathologie : carcinome épidermoïde en partie nécrosé (inter-lobaire station 10 L) • CT thoracique le 19.04.2018 : • PET-CT le 19.04.2018 : • IRM cérébrale du 24.04.2018 : pas de lésion suspecte de métastase intra- et extra-axiale • Statut post-thoracoscopie et biopsie d'un ganglion médiastinal (positif) le 16.04.2018 (histologie : carcinome épidermoïde bien à moyennement différencié, station 6, Promed P2018.6826) • Statut post 3 cycles de chimiothérapie par Platinol et Gemzar du 02.07.2018 au 14.08.2018, bonne réponse partielle • Down-staging post-opération pT4 --> ypT1a et pN2 --> ypN0. NSCLC du poumon droit stade IIIA pT3, pN1 (5/38) cM0, avec : • lobectomie droite par thoracoscopie avec lymphadénectomie médiastinale radicale le 24.09.2015. • suivi par Dr. X • sous chimiothérapie. Cardiopathie ischémique et rythmique avec : • double pontage aorto-coronarien (04.2014), sur maladie coronarienne tritronculaire avec atteinte du tronc commun. • fibrillation auriculaire anticoagulée par Sintrom. Hypertension artérielle. Diabète de type 2 non insulino-dépendant. Asthme bronchique sous Ventolin au besoin. Polyartériopathie des membres inférieurs avec statut post-endartériectomie ilio-fémorale droite en 2002. Insuffisance veineuse avec cure de varices du membre inférieur gauche en 2004. NSCLC multifocal de type adénocarcinome segment 3 et 6 (multifocal) droite minium pT1c (2) pN0 (0/7) cM0 L0 Pn = G2 R0, Stde IA3 : • Date du diagnostic : 09.06.2017 • Statut post-résection anatomique par lobectomie moyenne avec résection des segments 3 et 6, curage ganglionnaire médiastinal et adhésiolyse par thoracoscopie uniportale le 26.06.2017. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • Statut post-STEMI avec angioplastie et stent en 2013 • Statut post-décompensation cardiaque en 2017. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Hypovitaminose D sévère. • Vit. D 23 nmol/l au 09.08.2017. Troubles de l'équilibre et de la marche avec risque de chute avec : • coxarthrose • malnutrition • au 09.08.2017 : MMS 25/30, Uhrentest 5/7. Consommation chronique d'alcool. Cholestase d'étiologie peu claire. NSCLC type adénocarcinome multifocal à droite (lobe supérieur droit, lobe moyen, lobe inférieur droit) : • Date du diagnostic : 09.11.2018 par lavage broncho-alvéolaire • Histologie (Promed P2018.12849) : adénocarcinome in situ du tissu alvéolaire • Histologie (Promed C2018.1429) : brossage, cellules tumorales malignes de type carcinome non à petites cellules • Biopsie pulmonaire par EBUS du 09.11.2018 : pas d'infiltration néoplasique mise en évidence • CT-scan thoracique du 12.10.2018 : plages de condensation alvéolaire diffuse avec bronchogramme aérique en région apico-dorsale et ventrale du lobe supérieur droit ainsi que dans le lobe moyen. Multiples nodules en verre dépoli confluents prédominant au poumon droit • PET-CT du 20.11.2018 : mise en évidence de multiples hypercaptations pulmonaires bilatérales compatibles avec une origine maligne. Probable composante inflammatoire. Probables métastases ganglionnaires médiastinales. Pas de mise en évidence de métastase à distance • Discussion au tumor-board de chirurgie thoracique les 14.11.2018, 05.12.2018 et 12.12.18. • Résection Wedge diagnostique le 30.11.2018 • Histologie 30.11.18 Inselspital : adénocarcinome à prédominance lépidique (60 %, 20 % solide, 10 % acinaire, 10 % micropapillaire), ggl Station, 4R : pas d'infiltration. NSCLC type épidermoïde lobe supérieur droit pT2a pN0 (0/13) L0 V1 pN0 G3 R0, stade IB : • Statut post-lobectomie supérieure droite avec curage ganglionnaire médiastinal radical par thoracoscopie uni-portale le 12.06.2018 (Dr. X, Inselspital) • Actuellement sous surveillance clinique et radiologique par Dr. X (HFR Fribourg). NSTEMI. NSTEMI. NSTEMI le 21.12.2018. NSTEMI antérieur le 13.12.2018 sur sténose subtotale de l'artère interventriculaire antérieure proximale et moyenne. NSTEMI aigue le 22.12.2018 : • Pic des CK à 599 U/l le 22.12 • Coronarographie le 24.12.2018 • Fraction d'éjection VG 55 %. NSTEMI • DD : Epi-myocardite. NSTEMI de type II • sur décompensation cardiaque. NSTEMI en février 2013 avec mise en place d'un stent actif sur la Cx. PTH D sur nécrose aseptique de la tête fémorale le 13.02.2014. PTH G sur nécrose aseptique de la tête fémorale le 19.03.2015 avec intubation difficile. Cure hernie discale en 2015 et 2016 à la Clinique Générale (Dr. X). Triple pontage aorto-coronarien le 25.10.2017 (Dr. X, Clinique Cécil) dans le cadre d'une maladie coronarienne tritronculaire, découverte suite à un angor instable, avec : • sténose serrée du tronc commun distal • occlusion chronique de la coronaire droite • hypoakinésie inféro-postérieure, éventuellement inféro-septale avec FEVG à 45-50 %. Réadaptation cardiovasculaire, contrôle des facteurs de risque et optimisation du traitement. NSTEMI et crise hypertensive le 23.9.2009. Accident vasculaire cérébral ischémique thalamique gauche sur occlusion complète de l'artère cérébrale postérieure gauche le 27.12.2016. Hypertension artérielle. Diabète non insulino-dépendant. Hypercholestérolémie. Urticaire d'origine indéterminée. Insuffisance rénale aiguë le 27.12.2016 Carence en vitamine D à 22 nmol/L le 29.12.2016 AVC ischémique pré-central gauche et zones frontières d'ischémies ponctiformes multiples (probable hémodynamique) • Plastie d'élargissement et patch bovin de la carotide interne D asymptomatique avec sténose à 80% le 5.12.2017 • Resténose post-OP avec stent endovasculaire le 5.12.2017 (Inselspital) • NIHSS d'entrée 4/42 : parésie faciale centrale droite, parésie de l'hypoglosse, dysarthrie Insuffisance rénale aiguë de type rénale AKIN 1 sur produit de contraste le 13.12.2017 NSTEMI inférieur subaigu, Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Sténose intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Occlusion de l'artère coronaire droite distale : PCI (2DES) : Bon • Sténose 70% IVA moyenne : PCI (1DES) : Bon • Fraction d'éjection VG 55% NSTEMI inférolatéral aigu sur occlusion de l'artère circonflèxe proximale le 01.12.2018 NSTEMI inférolatéral aigu sur occlusion de l'artère circonflèxe proximale le 01.12.2018 avec : • PCI (1DES) au niveau de l'occlusion RCx proximale le 01.12.2018 (Dr. X) NSTEMI le 07.09.2015 sur occlusion de la Cx proximale, lésions tritronculaires : • ACR d'origine hypoxémique (OAP) le 09.09.2015 : ROSC 2 minutes, massage cardiaque externe • Occlusion de la Cx proximale traitée par recanalisation/PTCA/1DES, sténose à 50% de la M1 • Sténose subtotale de la CD moyenne traitée par PTCA/1DES • Sténose à 50% de l'IVA proximale Implantation de MitraClip le 10.12.2015 (Inselspital) pour insuffisance mitrale fonctionnelle sévère secondaire à NSTEMI le 07.09.2015. Multiples AVC/AIT avec hémisyndrome facio-brachio-crural droit sur occlusion chronique de l'artère carotide interne G et bas débit cérébral le 31.10.2015 avec NIHSS à 3, puis récupération complète par la suite (NIHSS 0). Pneumonie atypique le 02.10.2018 • Rocéphine 2g IV + Klacid 500 mg aux urgences • Co-Amoxicilline 1200 mg iv 2x/j du 02 au 04.10.18 • Klacid 500 mg po 2x/j du 04 au 10.10.18 Décompensation cardiaque principalement gauche le 02.10.2018 • Contexte hypertensif à l'admission • ETT le 02.10.2018 NSTEMI le 13.09.2014 • Avec occlusion de la première branche de la diagonale • Coronographie le 13.09.14 : occlusion fonctionnelle de la 1ère branche de la diagonale : PTCA/DES, légère diminution de la fonction systolique (FEVG 50%), pas de FOP mis en évidence. • ETO 13.09.2014 : hypokinésie antérieure, fonction systolique légèrement diminuée, fonction diastolique normale • Notion d'intolérance aux statines AVC ischémique subaigu sur territoire de l'ACM et ischémie ponctiforme dans le territoire de l'artère moyenne droite le 13.09.2014 : • Cardio-embolique sur NSTEMI • Pas d'anticorps antiphospholipides mis en évidence Depuis octobre 2018 (investigations aux HUG) : • Maladie coronarienne monotronculaire le 19.11.18 (coronarographie) avec lésion intermédiaire de l'IVA proximale et absence de resténose de la première diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif de 2014 • Pangastrite chronique avec mise en évidence d'Helicobacter Pylori, traité par Esoméprazole, métronidazole, clarithromycine et amoxicilline • Acrosyndrome sans phénomène de Raynaud avec une capillaroscopie anormale (dystrophies majeures et mineures bilatérales) • Nodule à raccord pleural de 16x12mm du segment postéro-basal du lobe inférieur droit hypermétabolique, probablement d'origine infectieuse • Aphtose bipolaire d'origine médicamenteuse sur le traitement de méthotrexate en octobre 2018 (HUG) • Polyneuropathie axonale sensitive longueur-dépendante sur déficit en vitamine B6 et hypothyroïdie (ENMG du 14.11.2018) • Hypothyroïdie substituée • Anémie hypochrome normocytaire arégénérative d'origine inflammatoire, sans carences Syndrome obstructif de degré léger non réversible, date non spécifiée Dépression, sous Remeron Tabagisme actif (tabac et cannabis) NSTEMI le 14.12.2018 NSTEMI le 20.12.2018 NSTEMI le 21.12.2018 • FA nouvelle paroxystique le 21.12.2018 • Anévrisme thoracique connu, dernier diamètre 5 cm en 12/2017 NSTEMI le 22.12.2018 NSTEMI le 26.11.2018 avec : • Sténose coronaire droite moyenne • Sténose non obstructive de l'IVA proximale • Légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie apicale, FEVG à 55% NSTEMI le 27.11.2018 avec : • S/p STEMI sur maladie bitronculaire le 09.11.2018 avec occlusion thrombotique de l'ACD avec angioplastie et implantation de stent actif, traitement de ACx prévu en 02/2018 • Fraction d'éjection du ventricule gauche : 60 % (45 % le 09.11.2018) NSTEMI le 31/12/18 NSTEMI récidivants les 19.10, 24.10 et 28.10.2018 : • Secondaires sur anémie, pics hypertensifs et sténose aortique serrée • Dilatation et stenting IVA le 29.10 (3 DES) NSTEMI secondaire le 17.11.2018 sur tachycardie supra-ventriculaire par ré-entrée • Coronarographie du 19.11.2018 (Dr. X) : coronaires athéromateuses sans lésions significatives. FeVG normale. BB pour TSV, discussion d'une ablation dans le cas d'une récidive. Diabète de type 2 HTA traitée OH chronique • Stoppé depuis le 26.10.2018 • Hallucinations visuelles le 20.11.2018 NSTEMI secondaire le 05.12.2018 NSTEMI secondaire le 21.12.2018 NSTEMI subaigu le 22.12.2018 NSTEMI subaigu sur subocclusion de la CD proximale le 09.12.2018 NSTEMI subaiguë le 09.12.2018 : • Avec BBG nouveau • Stent sur le CD moyenne DD : STEMI subaiguë NSTEMI subaiguë, le 14.12.2018 • Douleur persistante depuis 1 semaine • Troponine à 45 chez médecin traitant à 10h le 14.12 NSTEMI subaiguë le 14.12.2018 • PTCA/2xDES de la première diagonale • FEVG 40% NSTEMI sur cœur pulmonaire, hypoxémie et coronaropathie le 13.01.2013. 2 épisodes de candidose orale le 07.02.2013 et le 23.02.2013 traités par Diflucan. Embolie pulmonaire sous-segmentaire du lobe inférieur droit le 13.01.2013. NSTEMI sur coronaropathie tritronculaire le 22.10.2018 • Occlusions collatéralisées de l'IVA moyenne et de la coronaire droite proximale • Sténose significative de la Cx • FEVG à 51%. Ligamentoplastie bilatérale de la coiffe des rotateurs (2005 et 2008). NSTEMI sur maladie coronarienne de 3 vaisseaux le 24.11.2018 avec : • Occlusions anciennes ponts mammaire gauche-IVA et PAC-CD. • Bon résultat à long terme après dilatation PV-1ère diagonale/bissectrice avec un stent actif Actuel : Artère circonflexe ostiale 99% : PTCA/2xDES. NSTEMI sur occlusion de la CX moyenne le 14.12.2018 NSTEMI sur occlusion de l'IVP avec occlusion du pont veineux le 11.11.2018 NSTEMI sur occlusion des ostia de la Cx et IVA proximale le 06.12.2018 NSTEMI sur probable spasme coronarien le 14.12.2018 NSTEMI sur sténose de l'IVA proximale le 25.10.2018. • Maladie coronarienne monotronculaire. • Pic de CK 2680 U/l. Perturbation des tests hépatiques le 25.10.2018. NSTEMI sur subocclusion de l'IVA moyenne le 08.11.2018 • Coronarographie le 08.11.2018 (Dr. X) : 2 stents actifs de l'IVA moyenne et 1 stent actif de la diagonale NSTEMI sur subocclusion de l'IVA ostiale le 24.12.2018 NSTEMI sur une maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 60% du tronc commun : PTCA/1xDES (bon résultat) • Sténose 70-90% de l'IVA proximale à moyenne : PTCA-only (bon résultat) • Occlusion chronique de l'ACD NSTEMI territoire antérieur d'origine indéterminée le 13.12.2018 (diagnostic différentiel : infarctus avec recanalisation spontanée).NSTEMI 13.10.2018 NSTEMI 18.12.2018 NSTEMI Coronarographie (Dr. X) le 22.12.2016 : rotablator et pose de 2 stents actifs sur la coronaire droite. Angioplastie de la bifurcation distale avec kissing ballon final. Maladie coronarienne bitronculaire le 22.12.2016 : • Sténose 75 % de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Subocclusion ACD distale : PCI (Rotablator/1DES) • Sténose 75 % PLA : PCI (1DES) • Fraction d'éjection VG 60 % Consommation d'alcool à risque, le 22.12.2016 HTA traitée Tabagisme chronique actif (60 UPA) NT-pro BNP > 8000 ng/l Adressée par le Dr. X à l'HFR pour hospitalisation en médecine le 27.11.2018, afin de reverser la crase et de pouvoir ponctionner les épanchements pleuraux. Aux urgences 100 mg de Torasemid per os et 10 mg de Konakion per os Au vu du contexte de fragilité, de la prise en charge effectuée en dialyse et de l'avis des néphrologues : pas d'examen complémentaire supplémentaire, pas de bilan supplémentaire de la décompensation cardiaque. Majoration Torasemid 200 mg 1x/j au lieu de 100 mg 1x/j. ECG du 28.11.2018 : rythme sinusal, normocarde, pas de BAV, pas de BBB, léger sus-décalage en V2 superposable (comparatif ECG du 29.09.2018). Absence de douleurs thoraciques. Ponction pleurale gauche sous US le 28.11.2018 : environ 700 ml prélevé au total. • Transsudat (selon Critères de Light) • Cultures négatives à 3 jours, Hématies ++, Débris cellulaires + NT-ProBNP : dans la norme Lasix 20 mg en dose unique aux urgences le 16.11.2018 Torem 5 mg le 17.11.2018 Suivi pondéral Echocardiographie transthoracique en ambulatoire le 06.12.2018, HFR Riaz, Dr. X Nucalgie sans traumatisme depuis 3 jours • Examen neurologique dans la norme Nucalgies et scapulalgies chroniques • Greffe osseuse visage 1999 après guerre en Erythrée. Crises d'épilepsie occasionnelles, Mr. Y ne prend plus de traitement. Nuit du 11 au 12.12.2018 : Polygraphie nocturne sous 2 l/min O2 : IAH non mesuré (Qualité faible/absence de flux respiratoire) IDO 22.4/h SpO2 moyenne 84.6 % Fraction du temps passé à une SpO2 < 90 % : 88.8 % Pouls moyen : 57.8/min Capnographie sous 2 l/min O2 le 11-12.12.2018 : SpO2 moyenne : 85.8 % pCO2 moyenne 7.49 kPa Gazométrie du 12.12.2018 pH 7.38, pCO2 6.6 kPa, pO2 7.9 kPa, bicarbonate 29 mmol/l Commentaire : hypoxémie et hypercapnie dans le contexte d'une hypoventilation alvéolaire. Nuit du 12-13.12.2018 : Mise sous VNI, sous 3 l/min d'O2 Paramètres de ventilation Machine : Lumis VPAP 150 ST-A (S/N : 22181040442) Masque : Facial, Air Fit F20 L Pression : 6-14 cmH2O, EPAP initiale 4 cmH2O, FR 14/min, Ti Max 1.5 s, Ti Min 0.9 s Polygraphie 12-13.12.2018 Durée d'enregistrement : 6h09 min IAH : 36/h, dont 35.8/h hypopnées IDO : 38.3 Ronflements : 38.5 % Saturation nocturne moyenne en oxygène : 85.9 % Fraction du temps passé à une saturation inférieure à 90 % : 88.7 % Fréquence cardiaque moyenne : 54.9 bpm Capnographie nocturne sous 3 l/min O2 le 12-13.12.2018 : • SpO2 moyenne : 87.2 % • pCO2 moyenne 7.7 kPa Analyse ResScan 12-13.12.2018 Fuite médiane : 0 Fuite au 95ème centile : 2.4 l/min Commentaire : traitement peu efficace concernant les apnées et l'hypercapnie nocturne. Augmentation des pressions expiratoire et aide inspiratoire. Nuit du 13-14.12.2018, sous 3 l/min O2 Paramètres de ventilation Machine : Lumis VPAP 150 ST-A (S/N : 22181040442) Masque : Facial, Air Fit F20 L Pression : 8-18 cmH2O Polygraphie du 12-13.12.2018 Durée d'enregistrement : 7h24 min IAH : 46/h, dont 34.5/h hypopnées de type obstructif IDO : 49.8 Saturation nocturne moyenne en oxygène : 87.4 % Fraction du temps passé à une saturation inférieure à 90 % : 72.8 % Fréquence cardiaque moyenne : 54.2 bpm Analyse ResScan 12-13.12.2018 Fuite médiane : 2.4 l/min Fuite au 95ème centile : 10.8 l/min Commentaire : tolérance moins bonne, diminution des apnées mais persistance des hypopnées de type obstructif, hypercapnie persistante. Nutrition entérale Nutrition entérale à débuter dès que possible avec prévention d'un syndrome de renutrition. Nutrition entérale du 25.12 au 29.12.2018 (Bern) Nutrition entérale par isosource Energy fibre 750 ml sur 12 h avec suivi par l'équipe de diététique. Apport par os : alimentation plaisir et peu salée/sucrée. Nutrition entérale par SNG Isosource 1'000 ml/24h Suivi nutritionnel. Nutrition entérale par SNG jusqu'au 07.12.2018 Pose de GPR (Dr. X) le 07.12.2018 CT abdominal injecté le 10.12.2018 Reprise d'une alimentation par os dès le 17.12.2018. Nutrition entérale Substitution et suivi des électrolytes. Nutrition par SNG dès le 21.11.2018 Test de déglutition le 04.12 et 10.12.2018 : dysphagie modérée persistante Alimentation p.o. sous surveillance stricte dès le 04.12.2018. Nutrition par SNG dès le 21.11.2018 Test de déglutition le 04.12 et 10.12.2018 : dysphagie modérée persistante Alimentation p.o. sous surveillance stricte dès le 04.12.2018. Nutrition par SNG dès le 21.11.2018 Test de déglutition le 04.12.2018 : dysphagie modérée persistante Alimentation p.o. sous surveillance stricte dès le 04.12.2018. Nutrition par sonde nasogastrique jusqu'au 26.11.2018 puis nutrition par voie orale. Nutrition parentérale du 07.11 au 19.11, puis 24.11 au 06.12.2018. Nutrition parentérale du 28.11.2018 au 6.12.2018. Nutrition parentérale par voie veineuse centrale du 30.11.2018 au 14.12.2018 Substitution électrolytique IV. Nutrition parentérale par VVC dès le 08.12.2018 Suivi électrolytes. Consilium et suivi diététique. Nutrition parentérale par VVC du 08.12.2018 au 11.12.2018 Suivi électrolytes. Pose difficile de SNG du 19.12 au 20.12 (retrait accidentel). Hypophosphatémie substituée dès le 13.12.2018. Suivi diététique à continuer à l'Insel Spital. Nutrition parentérale par VVC du 11.12.2018 au 18.12.2018. NYHSS : 2 pts Antalgies aux urgences : Dafalgan 1 g, Brufen 400 mg : avec bon effet. Bilan biologique. ECG. CT cérébral injecté. Aspirine 100 mg po donné à 16:00. CDC des urgences HUG et Neurologue de garde aux HUG avertis et transfert accepté. Transfert sur Genève pour suite de prise en charge. Patient qui est domicilié à Genève. Nystagmus battant vers la droite qui ne disparaît pas à la fixation. Labo. Avis neurologue Dr. X : Au vu de la présentation clinique, parle plutôt pour un vertige d'origine périphérique vestibulaire gauche. Le symptôme de diminution de l'accuité est le seul symptôme non compatible avec une cause périphérique. Demander un avis ORL et faire un CT cérébral injecté. CT cérébral injecté le 28.12.18 : pas de signe d'AVC, vx cérébraux et pré-cérébraux perméables, pas de signe d'ischémie, pas de masse, pas d'argument pour un AVC. Petit neurinome ne peut pas être exclu avec le CT. Avis ORL Dr. X aux urgences le 28.12.18 : pas de tableau typique pour un vertige périphérique, céphalées ne collent pas avec des vertiges d'origine périphérique, il n'y a pas de déviation axiale. Pas un tableau typique d'une névrite vestibulaire. Avis ORL Dr. X : aucune déviation axiale, nystagmus rotatoire. ATT • hospitalisation en médecine • prévoir une consultation en neurologie • prévoir un IRM OAP flash sur pic hypertensif avec le 24.11.2018. OAP le 03.12.2018 DD ischémique. Obésité Obésité Obésité avec BMI à 32. Obésité avec BMI 32 kg/m2. Discopathie lombaire pluri-étagée avancée et arthrose facettaire pluri-étagée avancée avec : • Manque de force extenseurs pied/grand orteil gauche à M3. • Claudication spinale. • Troubles mictionnels et de la défécation. • Déficit sensitif au niveau du membre supérieur gauche. Obésité avec BMI 32.5 kg/m2 (157 cm pour 80 kg). Strabisme. Retard psycho-moteur. • Sous curatelle administrative, bénéficiaire d'une rente AI. Obésité classe II (BMI 39 kg/m2) Hypercholestérolémie non traitée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition Vessie hyperactive Probable syndrome d'hypoventilation d'obésité avec hypoxémie • VNI non désiré par la patiente Diabète de type 2 non insulino-requérant • HbA1c : 5.7 % le 10.11.2017 Obésité classe III (BMI 45,3 kg/m2) Luxation chronique rotule D Obésité de classe I avec BMI à 34,9 kg/m2 le 26.03.2014 Hyperphagie Lombalgies Aménorrhée secondaire probable Syndrome des ovaires polykystiques Hypercholestérolémie Carence modérée en vitamine D Notion d'eczéma Troubles du sommeil Anxiété dans le contexte d'une personnalité émotionnellement labile type borderline Troubles de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive avec : • multiples épisodes de tentamen médicamenteux (26.08.2015, septembre 2010, 04.11.2013, 26.04.2017 et 16.01.2018) • dernier séjour à Marsens en automne 2017 Situation socio-professionnelle et familiale précaire avec : • retard mental léger (QI de 63) - F70.1 • difficultés liées à l'entourage immédiat (sa mère, le père de son enfant) - Z63 Lymphome de Hodgkin classique de type sclérose nodulaire, stade IIA avec facteurs de risques, IPS 0/7 : • date du diagnostic : 01.05.2017. • RX thorax du 26.04.2017 : masse médiastinale supérieure et antérieure droite. • CT thoracique du 26.04.2017 : volumineuse masse médiastinale antéro-latérale droite venant au contact de la colonne vertébrale postérieurement s'étendant vers le haut via le défilé cervico-thoracique en direction de la thyroïde, semblant infiltrer le pôle inférieur du lobe droit et la partie inférieure de l'isthme. Cette masse s'étend inférieurement jusqu'à la bronche souche droite. Dimension d'environ 8,4x7,5x10 cm. • PET CT du 03.05.2017 : hypercaptation hétérogène correspondant à la masse médiastinale supérieure latéralisée à droite avec un SUV à 8,7, compatible avec une origine maligne. On note également plusieurs hypercaptations ganglionnaires latéro-cervicales bilatérales avec un SUV max à droite à 7 et 4,1 à gauche, rétro-mandibulaire à droite avec 6,6 de SUV. Il n'y a pas de foyer hyperactif pathologique en regard des plages pulmonaires du foie, de la rate, des chaînes ganglionnaires abdominales ou dans le cadre osseux. • biopsie chirurgicale par le Dr X le 27.04.2017. • histologie (Promed P4712.17) du 01.05.2017 : lymphome de Hodgkin classique type sclérose nodulaire, négativité pour EBV. • facteurs de risques : VS à 4, bulk tumoral à 10 cm, atteinte de plus de deux sites nodaux. • ponction-biopsie de moelle : absence d'atteinte médullaire. • status post 2 cures de chimiothérapie selon schéma BEACOPP escaladé les 10.05.2017 et 31.05.2017 PET-CT du 13.06.2017 + CT 14.06.2017 : absence d'hypercaptation pathologique au niveau de la masse lymphomateuse médiastinale droite et des ganglions latéraux cervicaux ce qui parle pour une excellente réponse à la chimiothérapie. Nette diminution des masses tumorales d'environ 70 % • status post 2 cures de chimiothérapie selon schéma ABVD du 21.06. au 09.08.2017 compliquées par myélotoxicité avec adaptation posologique et report d'une semaine de la chimiothérapie • PET-CT du 22.08.2017 : absence d'hypercaptation pathologique. Tout particulièrement d'hypercaptation au niveau de la masse médiastinale connue. • status post radiothérapie 30 Gy sur les volumes résiduels persistants après la chimiothérapie (masse médiastinale antérieure, adénopathie résiduelle sus-claviculaire bilatérale, cervicale moyenne et haute à droite) et une dose de 24 Gy sur l'ensemble du volume tumoral pré chimiothérapeutique du 25.09.2017 au 13.10.2017 • actuellement : rémission partielle, poursuite de la surveillance oncologique Obésité de classe II selon OMS avec BMI à 36 kg/m2 Hypertension artérielle Diabète de type 2 insulino-requérant Dyslipidémie BPCO non stadée Tabagisme actif Obésité de stade II selon OMS avec BMI à 38 kg/m2 Obésité grade I Diabète type 2 non insulino-requérant Polyneuropathie diabétique Insuffisance rénale chronique de grade III HTA Hypercholestérolémie Tabagisme actif Obésité. Hémorroïdes. Obésité. Hypertension artérielle. Diabète type 2 insulino-requérant. Obésité importante Obésité modérée de grade II selon l'OMS avec BMI à 32,5 kg/m2 (87 kg ; 164 cm) Obésité morbide Obésité morbide à BMI 37,18 kg/m2. Consommation à risque avec 1 l de vin par jour. Obésité morbide avec : • status post-pose d'un anneau gastrique en 2008 à Lyon • actuellement anneau ouvert depuis octobre 2017 Obésité morbide avec un BMI à 44,7 kg/m2. Hypertension artérielle traitée avec hypertrophie ventriculaire gauche, Extrasystoles. DM type 2. Oesophage de Barrett. Syndrome d'apnée du sommeil appareillé. Hypercholestérolémie sous traitement. Syndrome de Bernard-Soulier. Hernie discale lombaire L5-S1 gauche avec antalgie mal adaptée le 02.06.2013. Stéatohépatite non alcoolique (NASH) le 02.06.2013. Obésité morbide (BMI 46 kg/m2). Hypertension artérielle (sous Beloc Zok et Vascord, le dernier suspendu le 22.05.2015). Trouble bipolaire de type II, diagnostiqué en automne 2014. Hyperphagie. Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec BMI à 45,4 kg/m2 (125 kg ; 166 cm) Obésité morbide de grade III selon l'OMS avec un BMI à 44 kg/m2 (120 kg, 165 cm). Bypass gastrique avec cholécystectomie par laparoscopie, le 29.05.2017. Entérite le 21.12.2017. Douleur abdominale d'origine indéterminée le 12.06.2018. Obésité morbide de grade III selon l'OMS (BMI 42,6) Obésité morbide : poids 147,7 kg pour 157 cm ; BMI 60. Proposition de consultation chirurgie bariatrique avec Dr X Décompensation cardiaque globale le 02.10.2013 Gastrite aiguë antrale avec hématine le 11.10.2013 Anémie ferriprive le 03.10.2013 Hépatomégalie au CT du 02.10.2013 probablement sur stéatose hépatique le 02.10.2013 • pas de perturbation des tests hépatiques • Sérologies hépatites, FR, ANCA : négatifs Syndrome d'apnée du sommeil avec : • hypertension pulmonaire sévère (PAPs 83 mmHg) • mise sous CPAP avec oxygénothérapie nocturne en octobre 2013 Pas de contraception, DDR le 19.08.15 Cycles irréguliers depuis plusieurs années. Hyperménorrhées, avec prise de Duphaston 1x par mois pendant 10 jours pour diminuer les saignements. Obésité morbide. État dépressif • épisode aigu le 25.07.2017 • hospitalisation volontaire à Marsens. Obésité morbide. Hypertension artérielle. Obésité morbide. Hypertension artérielle traitée. Obésité morbide. SAOS appareillé. Obésité opérée par bypass gastrique en 2016 Obésité, poids actuel : 133 kg. Dysfonction érectile. Hypertension artérielle traitée. Diabète de type 2 (Dr X). Troubles lipidiques depuis 2016. Syndrome des apnées du sommeil, appareillé. Discrètes lésions dégénératives médio-dorsales. Obésité sévère de grade II selon l'OMS • BMI à 35,2 kg/m2 (96 kg, 1m64) Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 36,8 kg/m2 (109 kg ; 172 cm) avec • poids maximal : 136 kg (il y a 15 ans) • poids en 07/2018: 111 kg Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 37,1 kg/m2 (95 kg; 160 cm) Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 36,6 kg/m2 (95 kg, 161 cm) • Bypass gastrique le 03.12.2018 Trouble non spécifique du comportement alimentaire Tabagisme actif (7 UPA) Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial à 36,6 kg/m2 (95 kg, 161 cm) • trouble non spécifique du comportement alimentaire • poids actuel : 96 kg Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI initial 39,1 kg/m2 (113 kg, 170 cm) • poids actuel 104 kg (BMI 37 kg/m2) Obésité stade 1 selon l'OMS (BMI 31 kg/m2) Obésité. Status post bypass gastrique le 31.10.2016. Tabagisme 10 UPA. Ovaires polykystiques. Résistance à l'insuline. Lumbago sur hernie discale L5-S1. Status post polytraumatisme. Obésité. Tabagisme actif. Obésité Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010 CPAP depuis 2006 HTA traitée depuis 2003 Hypospadias sous glandulaire diagnostiqué en 2001 (risque élevé d'urétrite) Prostatite chronique Obésité Diabète type II non insulino-requérant depuis 2010 CPAP depuis 2006 HTA traitée depuis 2003 Hypospadias sous glandulaire diagnostiqué en 2001 (risque élevé d'urétrite) Prostatite chronique Obésité Dyslipidémie Hypertension artérielle Anévrisme sacculaire calcifié de l'artère splénique de 16 mm de grand diamètre sur le plan axial Sténose su-occlusive du départ de l'artère fémorale superficielle droite asymptomatique Obésité. HTA essentielle sous Amlodipine 5 mg/jour. Dépression. Diabète de type I insulino-requérant mal équilibré avec : • Néphropathie diabétique. • Pompe à insuline depuis le 16.05.2018. Dysthymie chez une patiente connue pour des troubles de la personnalité borderline et troubles bipolaires. • Suivi par Dr. X. Obésité HTA essentielle sous amlodipine 5 mg/j Dépression Obésité HTA traitée Obésité HTA Intolérance au glucose Canal lombaire étroit avec claudication Obésité Hypercholestérolémie Connu pour anémie méditerranéenne Obésité Hypertension artérielle traitée Obésité. Hypertension artérielle traitée. Obésité. Hypothyroïdie substituée. Obésité. Tabagisme actif. Hypothyroïdie substituée. Obésité Tabagisme actif Hypothyroïdie substituée Dyslipidémie non traitée Obésité Tabagisme actif Psychose sous Olanzapine Obésité. Trouble de la personnalité, sans précision, dyslexie. Episode dépressif, sans précision. Observation par la maman. Consultation en cas de stomatite Obstétricaux : AVB : 1992 au Congo à 40 SA d'une fille (Natacha) de 3100 g. Périnée EMLD. Allaitement durant 9 mois. AVB : 1994 au Congo à 40 SA d'un garçon (Emi) de 3300 g. Périnée intact. Allaitement durant 12 mois. AVB : 2005 à l'HUG à 39 SA d'une fille (Marie-Mol) de 3320 g. Périnée intact. AVB : 2006 à l'HUG à 39 SA d'un garçon (Samuel) de 3920 g. Périnée intact. Accouchement par voie basse spontané à 36 SA chez une patiente 5G 5P. Thrombocytopénie modérée : DD sur hépatite B ou dans contexte de PTI. Anémie ferriprive microcytaire. Obstétricaux : • AVB, instrumentation : ventouse, lésion génitale : Déchirure II, délivrance : Nle complète, Date : 11.03.2010, anesthésie : Péri, lieu : HFR Riaz, sexe : M, Prénom : Altin, SA : 39, poids (g) : 2530, allaitement (mois) : bib. • AVB, lésion génitale : Déchirure II, délivrance : Nle complète, Date : 11.05.13, anesthésie : Péri, lieu : HFR Riaz, sexe : M, Prénom : Elvin, SA : 40, poids (g) : 3960, allaitement (mois) : bib, particularités : bébé avec rein unique. Gynécologiques opératoires : • 06.2012 : LSC et antefixation utérine + hystéroscopie. Médicaux : Gastro-entérite virale chez une patiente 3G2P de 26 ans à 29 1/7 SA d'une grossesse harmonieuse. Obstétricaux : • AVB, instrumentation : ventouse, lésion génitale : Déchirure II, délivrance : Nle complète, Date : 11.03.2010, anesthésie : Péri, lieu : HFR Riaz, sexe : M, Prénom : Altin, SA : 39, poids (g) : 2530, allaitement (mois) : bib. • AVB, lésion génitale : Déchirure II, délivrance : Nle complète, Date : 11.05.13, anesthésie : Péri, lieu : HFR Riaz, sexe : M, Prénom : Elvin, SA : 40, poids (g) : 3960, allaitement (mois) : bib, particularités : bébé avec rein unique. Gynécologiques opératoires : • 06.2012 : LSC et antefixation utérine + hystéroscopie. Médicaux : Gastro-entérite virale chez une patiente 3G2P de 26 ans à 29 1/7 SA d'une grossesse harmonieuse. Gastrite aiguë DD : gastro-entérite Anamnèse : brûlure d'estomac depuis 2 semaines, vomissement 1x ce jour, notion de conflit de couple depuis 2 semaines Status : palpation épigastrique douloureuse, pas de défense ni détente Laboratoire aligné, pas de syndrome inflammatoire RAD sous Nexium 40, Ulcar en R et Primpéran 10 mg Contrôle MT le 10.12.2018 Obstétricaux : Voie d'accouchement : AVB, 06/2010, sexe : M, poids (g) : 3800. Lésion génitale : EMLD. AVB spontané après provocation par Misoprostol pour dépassement du terme et désir maternel. Colonisation vaginale par streptocoques groupe B. Obstétrique : Accouchement par voie basse en 2015 sous péridurale 3140 g à terme. Gynécologie : 2013 : Interruption volontaire de grossesse médicamenteuse (Lausanne) 2018 : Fausse couche spontanée de grossesse gémellaire à 5 et 8 semaines d'aménorrhée, pas de curetage Chirurgical : 1994 : appendicectomie/AL, sp (F) 1999 : dents de sagesse/AL, sp (F) Obstruction de la sonde PEG Obstruction de la sonde PEG dans un contexte oncologique. Obstruction du tube endo-trachéal par sécrétions le 14.12.2018 • IOT le 06.12.2018 • Pseudomonas aeruginosa du 18.12.2018 Obstruction nasale chronique bilatérale avec rhinorrhée post-traumatique : • deux traumatismes nasaux en 1998, 2006 • septo-turbinoplastie bilatérale, 13.12.2007 4 opérations au niveau de l'astragale D 3 opérations au niveau des genoux Cure de hernie inguinale bilatérale APP Obstruction partielle des voies biliaires sur calculs cholédociens 27.11.2018 avec : • perturbation des tests hépato-biliaires • s/p cholécystectomie le 26.09.2011 obstruction stent œsophagien Occlusion boucle omniflow membre supérieur gauche le 29.11.2018 • Dernière occlusion, le 30.10.2018 Occlusion fistule AV membre supérieur gauche Occlusion vertébrale gauche V4 (lésion sub-aiguë à chronique) ODG avec biopsie de la masse pancréatique en ambulatoire Odontalgie Odontalgie post-interventionnelle de la dent 36 Odynodysphagie Odynodysphagie Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie. Odynodysphagie et myalgies diffuses. Odynophagie Odynophagie Odynophagie Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. Odynophagie. odynophagie odynophagie odynophagie Odynophagie avec sensation d'étouffement depuis 1 mois d'origine peu claire. DD : anxiogène. Odynophagie et céphalée. Odynophagie, fièvre Odynophagie post-amygdalectomie droite et septoplastie. Odynophagie, saignement Odynophagie sans signes d'amygdalite, vieux sang et tâche bleutée sur l'amygdale gauche Contrôle chez ORL le 09.12 Contrôle chez Dr. X à 1 mois afin de contrôler la coagulabilité Odynophagie Patient en bonne santé habituelle qui se présente pour des maux de gorge et dysphagie débuté hier soir, avec fièvre et frissons, ainsi que des crachats de sang frais. Le patient est connu pour des angines à répétitions qu'il traite par antibiothérapie généralement, au Portugal. Rhinite associée. Pas de toux, pas de dyspnée, pas de douleur thoracique. Pas d'otalgie.Oedème. Oedème aigu du poumon sur pic hypertensif et STEMI latéral les 28.10 et 29.10.2018. Oedème aigu du poumon sur pic hypertensif le 5.09.2018. Pneumonie communautaire le 5.09.2018, traitement par Ceftriaxone et clarithromycine. Oedème annulaire main droite, avec alliance bloquée. Sciage de la bague. Oedème des mains. Oedème des membres inférieurs DD: origine lymphatique. Oedème des MI d'origine indéterminée • DD : Compression tumorale abdominale lymphatique/veineux, capillary leak syndrome post-chimio, hypoalbuminémie. Oedème doigt 5. Oedème du membre inférieur gauche. Oedème du visage. Oedème d'un membre. Oedème et rougeur du membre inférieur D. Oedème laryngé le 20.12.2018: • 3 intubations le 20.12.2018. Oedème osseux transitoire condyle externe gauche. Oedème palpébral inférieur non traumatique oeil droit. Oedème péri-orbitaire d'origine probable allergique (allergène X). Oedème sous-cutané avant-bras D le 03.11.2018. Oedème unilatéral jambe gauche • Suspicion de thrombose veineuse profonde • Dyspnée nouvelle. Oedèmes de MI probablement sur artériopathie et l'insuffisance veineuse le 11.12.2018. Oedèmes de MI probablement sur artériopathie et l'insuffisance veineuse • DD: dermohypodermite débutante. Oedèmes des membres inférieurs. Oedèmes des membres inférieurs avec réponse insuffisante aux diurétiques. Oedèmes des membres inférieurs chroniques à prédominance gauche en progression le 19.12.2018 avec : • sur probable syndrome post-thrombotique • status post thrombophlébite superficielle médiale de la veine tibiale post gauche le 20.08.2018. Oedèmes des membres inférieurs remontant jusqu'aux genoux ddc avec dermatite de stase sans signe d'infection local ou biologique le 18.05.2018 • sous Torem 20 mg/j. Status post-hémorragie digestive haute sur ulcère. Status post-crise de goutte. Status post-chute avec fracture d'un corps vertébral en 1998, traitement conservateur. Status post-hystérectomie. Traumatisme crânien le 13.11.2018 sur chute mécanique probable avec : • CT cérébral natif le 13.11.2018 • Plaie occipitale avec saignement artériolaire le 13.11.2018 • Hémostase par cautérisation bipolaire et 3 points de sutures en X 3.0 • Eliquis en suspens, à réévaluer reprise par le médecin traitant. Oedèmes des membres inférieurs sur hypoalbuminémie, iatrogène sur hydratation. Oedèmes des membres inférieurs sur insuffisance veineuse chronique avec dermite de stase associée. Troubles de la marche d'origine multi-factorielle • Polyneuropathie • Déconditionnement • s/p hernie discale avec parésie des releveurs pied D • Syndrome de dépendance à l'alcool. Stéatose hépatique 07/2017 probablement alcoolique et diabétique • US hépatique 06.07.2017. Hépatite chronique d'origine alcoolique • Sérologies hépatites/HIV négatives en 07/2017. Troubles d'oculomotricité 15.05.2018 • Connus depuis la naissance. BPCO stade A / Gold I • Tabagisme actif 50 UPA • Fonctions pulmonaires le 27.06.2018 : syndrome obstructif sans réversibilité avec FEV1 à 73 % du prédit et FEV1/FVC à 86 %. Oedèmes des MI. Oedèmes modérés des membres inférieurs • dans un contexte d'hypoalbuminémie. Oedèmes plantaires bilatéraux d'origine para-infectieuse. Oeil D rouge et douloureux d'origine X DD iatrogène (Lacrycon). Oeil rouge. Oeil rouge et trouble de la vision. Oeil rouge indolore avec non discernement des quadrillages de la grille de Amsler. Oesogastroduodénoscopie en ambulatoire: Mr. Y sera convoqué. Contrôle FSC lundi 05.11.2018 chez médecin traitant. Enseignement de prise de glycémies à domicile par service de soins à domicile. Oesogastroduodénoscopie le 06.12.2018 + biopsies. Oesophagite à éosinophile, dernière gastroscopie il y a un mois. Sous pantozol 20 mg 2x/j, motilium 10 mg 2x/j. Suspicion de small intestinal bacterial overgrowth évoquée avec traitement de Flagyl durant 5 jours début décembre, stoppé en raison de bruits dans les oreilles. Constipation, actuellement non traitée. Oesophagite sur probable maladie de reflux le 21.12.2018. Oesophagite sur probable RGO, de découverte fortuite, le 21.12.2018. Oesophagite type 4 sévère et gastrite. Oesophago-gastro-duodénoscopie 10.12.2018: pas de signe de gastrite, pas de hernie hiatale, pas de béance du cardia. Colonoscopie 10.12.2018: pas de saignement actifs ou passifs visible. Oesophagoscopie rigide et souple. Oeuf? Éviction 1 semaine et observation lors de la prochaine consommation. Feniallerg 8 gouttes 3x/j 48h puis en R si persistance de la réaction cutanée. Cô à 10 jours chez le pédiatre. OGD + iléoscopie le 27.11.18: Status post 6 ligatures de varices oesophagiennes avec ulcération et une ligature résiduelle. Absence de signes d'hémorragie récente. Absence de source de saignement active ou visible dans le tube digestif supérieur. Absence de trace de sang dans le tube digestif supérieur. Absence de trace de sang ou de lésion dans l'iléon en amont de la stomie sur 10 cm au moins avec présence de selles non teintées de sang au-delà. Le CT abdominal du 29.11.2019 : Sur les coupes passant par les bases thoraciques, petit épanchement pleural droit avec atélectasie passive sous-jacente. Pas de nodule suspect ni de foyer de pneumonie. L'oesophage distal présente un épaississement circonférentiel de sa paroi pouvant être en rapport avec un oedème. Le foie est dysmorphique se rehaussant de façon hétérogène en rapport avec une cirrhose sans lésion focale suspecte. Absence de dilatation des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. La vésicule biliaire est à paroi fine à contenu hypo dense dans un calcul radio-dense. Le tronc porte, les veines sus-hépatiques et les veines mésentériques sont perméables. Le pancréas est de taille normale homogène sans dilatation canalaire. La rate est de taille normale mesurée à 10 cm d'axe bipolaire. Les surrénales et les reins sont de taille et de morphologie normales. Pas de dilatation des cavités pyélo-calicielles et des uretères. Ganglions rétro péritonéaux latéro-aortiques inchangés. Epanchement liquidien intra-péritonéal de densité liquidienne d'abondance moyenne prédominant au niveau de l'abdomen supérieur. Au niveau des anses intestinales, on ne met pas en évidence de saignement actif en revanche on note la présence d'un contenu spontanément dense au sein des anses grêles distales en fosse iliaque gauche dont la nature hématique ne peut être exclue. Status après colectomie avec iléostomie droite. Présence également d'une veine dilatée au sein de la stomie DD varices.Absence d'iléus. L'aorte et les vaisseaux mésentériques ainsi que la veine cave inférieure sont perméables. Pas d'adénopathie intra ou rétro-péritonéale. La vessie est en semi-réplétion à paroi fine régulière. Pas d'hypertrophie prostatique. Les régions inguinales et parties molles se présentent normalement. Les structures osseuses se présentent sans particularité hormis quelques troubles dégénératifs disco-vertébraux lombo-sacrés. Foie de cirrhose avec ascite en quantité modérée. Présence de veines dilatées, DD varices au sein de la stomie sans saignement actif. Présence d'un contenu dense probablement hématique au sein des anses grêles distales en fosse iliaque gauche sans mise en évidence de saignement actif. OGD à l'HFR dès que possible; le patient sera convoqué. OGD du 03.12.2018: tumeur connue à 17-20 cm des arcades dentaires, lésion supplémentaire hautement suspecte à 25, 28 et 32 cm des arcades dentaires, petit diverticule d'environ 0,5 cm de diamètre à 30 cm des arcades dentaires. Pose de PEG le 03.12.2018 (Dr. X). OGD en 2008 qui a conduit à un traitement d'épreuve contre H. Pylori. OGD en novembre 2010: pas de pathologie. Status post probable gastrite traitée par Pantozol 40 mg per os. Status post hystérectomie en raison de polypes utérins. Cystite non compliquée le 08.10.2015. Traumatisme oculaire sur gaz poivre non daté. OGD et colonoscopie déjà prévues en ambulatoire. OGD le 26.10.2018: œsophage de Barrett et angiodysplasie de l'antre gastrique. Pantozol 80 mg i.v., puis 8 mg/h du 24 au 27.10.2018, Protamin 2500 mg le 24.10.2018. 2 CE le 24.10.2018. OGD le 27.12.2018: pas de geste. OGD contrôle autour du 10.01.2019: à prévoir. Pantoprazol ivc du 25.12.2018 au 27.12.2018, puis discontinuité. Sandostatine iv bolus le 26.12.2018. Fibrinogène 1 g le 26.12.2018. OGD le 29.10.2018: voir en copie. OGD repoussée au vu du risque anesthésiologique (Dr. X averti). Réévaluation de la possibilité d'OGD demain, le patient à jeun pour l'OGD. Si pas de geste possible dans l'immédiat, rediscuter de l'instauration d'une nutrition parentérale. OGD 10.12.2018: pas de signes d'érosion, pas de hernie hiatale. OGD-Colonoscopie en ambulatoire, la patiente sera convoquée. OH aigu! OH aigue avec traumatisme crânien. OH sevré en 2014. Opération de cataracte ddc. Oligo-anurique 17.12.2018. Selon CKD-EPI: 66 ml/min/1.73 m². Oligurie sur déshydratation le 06.12.2018 avec bonne fonction rénale. OMA bilatérale débutante. OMA bilatérale débutante. OMA bilatérale débutante. OMA bilatérales. OMA débutante à gauche. OMA droite perforée. OMA droite GEA débutante. OMA et conjonctivite infectieuse bilatérale. OMA gauche, débutante à droite. OMA gauche récidivante. OMA réfractaire à gauche. OMA. Bronchite. Retard du langage et retard scolaire. Omalgie. Omalgie D d'origine indéterminée, DD bursite sous-acromiale non traumatique de l'épaule droite. Omalgie droite. Omalgie droite. Omalgie droite. Omalgie droite sur rupture de la coiffe des rotateurs: déchirure du tendon du sous-épineux avec rétraction tendineuse. Omalgie G non traumatique sur crise de pseudogoutte (chondrocalcinose) le 17.12.2018. Omalgie gauche atraumatique probablement sur atteinte de la coiffe des rotateurs chronique (DD conflit sous-acromial). Omalgie gauche d'origine indéterminée le 06.12.2018. DD: goutte, chondrocalcinose, arthrite septique, syndrome coronarien aigu chez un patient diabétique. Omalgies D d'origine inconnue sur status post traction forcée de l'épaule D l'été 2017. Omalgies droite d'origine peu claire. Suite à l'agression par un tiers (sans notion claire de traumatisme direct de l'épaule droite). Omalgies G d'origine très probablement multifactorielle avec tendinopathie du sus-épineux et probable enchondrome de la tête humérale. Omalgies G sévères sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 2ème degré et atrophie musculaire du 3ème degré. Arthrose AC G asymptomatique. Tendinopathie du long chef du biceps avec tendinopathie du tendon du sous-scapulaire. Omalgies gauche. Omalgies gauche. Malnutrition protéino-énergétique grave avec: NRS 4. S/p nutrition par sonde NG. S/p stent oesophagien. Pose de sonde PEG-J le 21.12.2018 avec nutrition entérale par sonde (Dr. X). Omalgies gauches. Omalgies gauches d'origine inconnue. DD: tendinopathie du sus-épineux. DD: lésion de la coiffe des rotateurs. Omalgies gauches post-vaccination DD nécrose musculaire au décours, inflammation du site d'injection. Omarthrose avancée de l'épaule droite. Status post infiltration intra-articulaire épaule droite le 21.09.2018. Omarthrose avec tendinopathie sévère du sus-épineux épaule D sur status post: arthroscopie diagnostique, synovectomie, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps et résection AC le 30.08.2016. Omarthrose bilatérale. Omarthrose D chronique. Infiltrations régulières chez MT. Ancrage au sein de la tête humérale droite. Omarthrose débutante de l'épaule droite sur rupture chronique du sus-épineux avec rétraction du 3ème degré. Omarthrose excentrée sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche sur status post ostéosynthèse d'une fracture diaphysaire de l'épaule gauche le 28.04.2017. Omarthrose G décompensée. Omarthrose post-traumatique de l'épaule gauche, sur status post ostéosynthèse d'une fracture de la glène type I, le 24.03.2016. Douleurs chroniques post-traumatiques de l'épaule droite. Omentectomie + annexectomie bilatérale + par laparotomie médiane le 13.12.2018. Antalgie. Omezol 40 mg. Naproxen pausieren. Alucol Gel 5 ml 1 h avant le repas. Contrôle clinique et laboratoire le 30.12. sur la permanence. Abklärung der Microhämaturie beim HA. Omission de 2 doses de Sintron. Contrôle du TP quotidien jusqu'au 21.12.2018. Schéma de Sintron simplifié à 1 comprimé par jour dès le 21.12.2018. Suivi biologique et adaptation du traitement à faire par le médecin traitant. On a longuement parlé d'une indication opératoire pour un remplacement du LCA car elle est tout de même sportive. Elle aimerait faire du foot et du ski. Elle a peur de l'intervention car elle a une dépendance à l'alcool. Nous allons chercher une solution avec les anesthésistes pour ce problème. Pour l'instant, on fixe une date en juillet 2019. Nous la reverrons avant pour rediscuter de l'intervention. On a une évolution clinique favorable à 6 semaines post opératoire. Au niveau radiologique, la situation s'est légèrement péjorée mais elle est acceptable. On fait une prescription pour une attelle St-Maurice pour le pouce droit. Le patient va continuer les séances d'ergothérapie et de physiothérapie et on prévoit le prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. On a une évolution radioclinique favorable à 3 mois de traitement conservateur. On prescrit des nouvelles séances de physiothérapie pour une mobilisation libre du poignet et active assistée de l'épaule. On enlève ce jour le Sarmiento et on confectionne dans la salle de plâtre une attelle type Sarmiento mais qui ne prend pas l'épaule que la patiente doit toujours porter et on prévoit le prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. On a une évolution radioclinique favorable à 3 semaines post opératoires. On circularise le plâtre AB et on prévoit le prochain contrôle radioclinique mi-janvier avec un CT du poignet au préalable. En ce qui concerne l'épaule droite, on a proposé au patient même une prothèse mais vu l'âge on reste sur un traitement conservateur en prescrivant des séances de physiothérapie selon le schéma San-Antonio.On a une évolution radioclinique favorable à 6 semaines postopératoire. On ne prévoit pas d'autre contrôle clinique mais restons à disposition en cas de besoin. On a une évolution radio-clinique satisfaisante à 4 mois du traitement conservateur. On poursuit les séances de physiothérapie pour le renforcement musculaire et la mobilité articulaire. On ne prévoit pas d'autre contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. On administre un traitement par adalat cpr en forme ret 30 mg, avec bon effet et baisse de la pression à 160/92 (Mr. Y normalement aux alentours de 140 mmHg à 150 mmHg de systolique. L'examen clinique est aligné et le patient se dit mieux sans présence des symptômes ni douleurs par la suite, notamment pas de céphalée ni trouble de la vision. Le bilan biologique est aligné. Pas de douleurs décrites de type angor. On retient une crise hypertensive sans atteinte d'organes cibles. On laisse le patient rentrer à domicile avec rajout d'un IECA pour la longue durée d'action. Un contrôle est déjà prévu chez son médecin traitant d'ici 15 jours avec adaptation du traitement selon besoin et un contrôle cardio au mois de janvier. On commence avec un traitement conservateur avec physiothérapie. Le patient n'est pas très sportif, il fait uniquement un peu de ski pour le plaisir. Nous avons bien expliqué qu'une intervention chirurgicale serait réalisable dans 6 mois. On confirme l'intervention du 15.01.2019 avec une reconstruction du LCA par TQ. Il signe le consentement éclairé. On conseille contrôle clinique, plaie et laboratoire chez MT dans 3 jours, ablation de fils dans 5 jours chez MT. On constate une régression en ce qui concerne le flexum. On conseille de continuer les séances d'ergothérapie pour récupérer l'extension au niveau de l'IPP. On prescrit du Voltaren gel pour application locale. On ne prévoit pas de contrôle mais on prie le patient de nous communiquer par téléphone l'évolution. On contact le Prof. X pour un avis quant à l'indication à la PPE. Aucune indication à administrer la prophylaxie est retenue, à noter une probabilité de 1/million, pas de partenaire confirmé pour une infection VIH ni virémie connue, pas de position géographique endémique. La prise de sang pour dépistage sérologique qui a été déjà prélevée a été annulée. La patiente a été rassurée quant au faible risque de contamination. Une prise de sang pour un dépistage pour le VIH et hépatite C peut être effectuée chez le médecin traitant à partir de la 4ème semaine (le patient n'a pas les coordonnées du partenaire pour le contacter), la patiente prendra rendez-vous. On continue la physiothérapie pour renforcement musculaire école de la marche. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. On désinfecte les plaies et débride la fibrine. Réfection du pansement avec Plurogel et compresse. Poursuite de l'antibiothérapie et réfection du pansement par les soins à domicile. On donne du Plurogel au patient. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. On discute avec la patiente de continuer la physiothérapie, également pour la tendinite du tendon d'Achille à gauche. Elle doit faire régulièrement des exercices de stretching. On prescrit des semelles pour le pied plat en valgus afin qu'il supporte la situation. Nous prions le service d'angiologie de convoquer la patiente pour un bilan pour cette insuffisance veineuse chronique. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 3 mois. On discute avec la patiente de la mobilisation selon douleur avec un Vacoankle avec charge progressive. Nous prescrivons également de la physiothérapie pour des exercices pour la stabilité, proprioception et traitement local pour dégonfler. Elle peut arrêter les injections de Clexane si elle charge complètement. Nous la reverrons dans 6 semaines. Pas d'arrêt de travail nécessaire. On discute avec la patiente de la possibilité de développement d'un syndrome du tunnel carpien mais pour le moment elle ne désire pas d'investigation complémentaire. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 mois. À ce moment-là, en cas de persistance de la symptomatologie du tunnel carpien, on organisera des investigations complémentaires. On discute avec la patiente de l'ablation du matériel. Nous expliquons le déroulement opératoire ainsi que les risques et les bénéfices. L'intervention en ambulatoire est prévue pour le 04.01.2018. Elle a signé le consentement à la consultation. On discute avec la patiente de l'ablation du Vacopedes et la mobilisation selon douleurs avec une semelle rigide en carbone type Ottobock. Elle doit continuer la physiothérapie pour des exercices de stabilité et renforcement musculaire. Pas de mobilisation libre du rayon du Lisfranc. Elle va reprendre le travail à 50 % au bureau du 15.12.2018 jusqu'à la fin janvier 2019. Nous la reverrons pour un contrôle radio-clinique dans 6 semaines. On discute avec la patiente et lui conseillons de poursuivre la physiothérapie avec un renforcement musculaire et un traitement avec US au niveau du tibialis postérieur. On la reverra à la fin février 2019 pour un contrôle radio-clinique. Si le matériel la gêne encore beaucoup, nous pourrions discuter d'une AMO avant 1 an postopératoire. On discute avec le patient de la possibilité de faire une reconstruction du LCA. Il va encore réfléchir et éventuellement s'organiser avec son employeur en raison de l'arrêt de travail post-opératoire. Prochain contrôle dans 1 mois pour faire le point de la situation. Entre-temps, le patient va poursuivre la physiothérapie. On effectue un bilan qui se montre sans particularité notamment pas de trouble du rythme au niveau de l'ECG ni trouble électrolytiques ou signes d'infection à l'origine de la chute au laboratoire. Le patient présente aucun symptômes ni plainte. L'examen clinique est aligné sans souffle aortique audible en faveur d'une sténose valvulaire. Le Schellong est négatif. On retient un éventuel malaise sur hypotension orthostatique dd trouble du rythme avec proposition d'une pose de Holter en ambulatoire à l'exclusion de celui-ci. Le statut neurologique est aligné et le patient présente 0 critères selon Canadien CT head Rule, ainsi que passage 24 heures depuis la chute. Un rendez-vous de contrôle sera pris par le patient la semaine prochaine chez le médecin traitant. On est confronté à deux pathologies possibles, notamment une instabilité du long chef du biceps et une irritation du nerf cubital au niveau du coude droit. Je demande un nouvel examen neurologique pour le nerf cubital. Les explications du patient m'intriguent. Il dit catégoriquement qu'il ne peut pas faire une activité professionnelle dans ces conditions, clairement pas comme chauffeur poids lourds. Il m'explique également que s'il effectuait un travail administratif il ne pourrait pas l'exécuter car il aurait peur de faire tomber par exemple un tas de papiers. Je vais faire le maximum pour objectiver ses plaintes somatiques. Je le revois après l'examen neurologique du 21.12.2018. On est en face d'un patient qui fait une raideur articulaire post-opératoire marquée. Je conseille un traitement physiothérapeutique à sec et dans l'eau motivant le patient de faire des exercices de stretching lui-même. Physiothérapie en piscine pour essayer de ramollir les parties molles. Poursuite d'un arrêt de travail. Prochain contrôle chez moi le 17.1.2019. On est face à une très bonne évolution clinique avec la physiothérapie installée. J'explique au patient qu'il est important qu'il continue lui-même les exercices d'étirement régulièrement à la maison. Je propose de terminer les 4 séances de physiothérapie restantes et en fonction éventuellement rajouter une nouvelle série de 9 séances de physiothérapie.Le patient décidera lui-même avec son physiothérapeute si ceci est nécessaire. Pour ma part, je n'ai pas prévu un contrôle d'emblée à ma consultation. Le patient me recontactera en cas de besoin et je pourrai lui faire parvenir une nouvelle ordonnance pour de la physiothérapie. Pas d'arrêt de travail nécessaire vu qu'il a repris le travail à 100 % dès le 3.12.2018. On explique au patient que le traitement chirurgical est réservé à l'échec d'un traitement conservateur. Compte tenu du caractère réductible de la lésion, nous proposons au patient de bénéficier d'abord de la confection d'une orthoplastie chez un orthoprothésiste ce qui devrait permettre de décharger efficacement la zone hyperkératosique. Dans un deuxième temps, le patient pourra être vu par un podologue et bénéficier de l'excoriation de cette hyperkératose. De plus, il s'agit d'un patient connu pour un status post ostéosynthèse de la rotule gauche en juin 2017. Il se pose la question de l'indication à l'ablation du matériel, même s'il n'a pas mal au genou. Nous proposons d'entreprendre un bilan radiologique de son genou gauche dans la perspective éventuelle de l'ablation du matériel. Le patient prendra un rendez-vous après avoir effectué la confection de l'orthoplastie. On garde la patiente hospitalisée avec une hydratation de 2000 ml de NaCl sous surveillance. Le bilan biologique montre une alcoolémie à 1.92 ‰. Après séjour et surveillance, la réévaluation clinique montre un status aligné, la patiente se plaint uniquement des céphalées avec bonne réponse au dafalgan et nausées sans épisode de vomissement. On la laisse rentrer à domicile accompagnée. On hydrate le patient avec 2 L de NaCl et 1 L de NaCl + glyc 5 %. À l'évaluation du matin, le status neuro est aligné avec un GSC 15/15 orienté alerte, sans plaintes. Par ailleurs, on n'a pas de signes cliniques ou anamnestiques en faveur d'une éventuelle crise d'épilepsie suite à l'alcoolisation. Au vu des lactates légèrement augmentés à 4.3 mmol/l, on appelle le neurologue de garde Dr. X pour un avis neurologique suite à cet antécédent de crise d'épilepsie à l'âge de 6 ans, qui ne retient pas l'indication d'effectuer un EEG ou d'autres investigations, attribution de lactates augmentés dans le contexte d'hypothermie. On laisse le patient rentrer avec des conseils pour une bonne hydratation et repos. Un rendez-vous de contrôle sera pris par les parents chez le médecin traitant la semaine prochaine. On immobilise le patient avec une attelle sapin en hyperextension et relais par gouttière sur mesure en ergo pour un total minimum de 6 semaines jour et nuit. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X en polyclinique à 1 semaine de distance. On lui prescrit des séances de physiothérapie pour école du dos, relâchement de la musculature abdominale. Pour l'instant, il n'y a pas d'indication pour un geste chirurgical à la hanche droite. Elle nous recontactera si elle est trop limitée dans ses activités de la vie quotidienne. On maintient le protocole en cours avec réfection du pansement à la Bétadine Tulle. Prochain contrôle dans notre service à 14 jours. Si d'ici là des signes infectieux devaient apparaître, elle se présentera plus précocement. On met en place une immobilisation par attelle sapin et relais par anneau en 8 en ergo. Un rendez-vous de contrôle sera pris à la consultation du Dr. X à 1 semaine. On note des signes de sevrage des opiacés sans douleurs aiguës. On donne à la patiente un comprimé d'oxycontin 20 mg (accompagné par son mari, avertie sur l'interdiction de conduire) et prendra contact avec son médecin traitant demain. On signale un syndrome de dépendance aux opiacés utilisés à long cours, un retrait progressif / adaptation de l'antalgie serait préconisé. On note donc une situation stable du poignet et on rassure la patiente. En ce qui concerne les symptômes au niveau du poignet, nous expliquons à la patiente que c'est une tendinite de De Quervain et nous décidons de traiter de manière conservatrice avec mobilisation douce du tendon et application topique de Voltaren. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. On note un stix urinaire positif chez une patiente connue pour des infections urinaires à répétition, au bilan biologique on note l'absence de syndrome inflammatoire ni EF ou douleurs au niveau des loges rénales. Un urotube est envoyé qui suit. La patiente est mise sous traitement AB empirique par Nitrofurantoïne pour 5 jours. Elle est domiciliée à Genève sans MT. Elle sera contactée si modification au traitement à faire selon antibiogramme. Consignes de bonne hydratation. Elle est avertie qu'elle devrait reconsulter en urgence si EF ou frissons. On note une bonne évolution à 6 semaines de l'accident et de l'intervention. La patiente va commencer à reprendre une charge jusqu'à 2 kg durant le prochain mois puis augmentation de la charge graduellement. On lui explique que les douleurs et les tuméfactions du côté ulnaire peuvent être liés au petit arrachement de la pointe du styloïde ulnaire. On revoit la patiente dans 6 semaines pour un contrôle radioclinique. On note une bonne évolution à 6 semaines postopératoire. Le patient va continuer la mobilisation avec la physiothérapie avec mobilisation active. On revoit le patient dans 6 semaines pour un contrôle clinique. On note une efficacité satisfaisante de l'infiltration du 15.11.2018. Les douleurs résiduelles décrites actuellement sont imputables à une exacerbation de la fasciite plantaire et nous recommandons à la patiente de poursuivre les exercices de stretching enseignés à notre consultation. La patiente doit également faire un bon choix pour ses chaussures qui doit être plus dicté par la qualité de la semelle que par son aspect esthétique. Contrôle dans 3 mois. On note une évolution favorable suite à la dernière infiltration. Nous proposons donc une attitude expectative et nous prévoyons le revoir dans 3 mois pour un nouveau contrôle clinique. Il peut nous contacter avant en cas de récidives de douleurs. On note une évolution lentement favorable. En ce qui concerne les fourmillements des orteils, on pense en premier lieu à une problématique vasculaire pour lequel le patient avait anamnestiquement déjà bénéficié d'une évaluation angiologique qu'il ne parvient pas à dater. Nous prions nos collègues du département d'angiologie de convoquer le patient pour un bilan d'ici le 04.02.2019. Quant à nous, nous le reverrons dans 6 semaines pour un contrôle clinique. On note une évolution nettement favorable. Toutefois, on recommande à la patiente de poursuivre préventivement les exercices de stretching qui lui ont été enseignés. Sur le plan professionnel, la patiente est actuellement en recherche d'emploi dans la vente. Compte tenu de l'évolution favorable, nous ne jugeons pas utile de poursuivre les contrôles mais nous restons à disposition. On note une évolution particulièrement favorable dans ce contexte de fracture bilatérale. Nous recommandons la poursuite de la rééducation fonctionnelle en physiothérapie (3ème séries de 9 séances en cours). La reprise d'activité professionnelle à 100 % est fixée au 15.12.2018. Nous le reverrons à 6 mois pour un contrôle radio-clinique. On note une évolution toujours favorable chez un patient qui a remarqué une diminution progressive de la tuméfaction et un effet positif de la physiothérapie. On conseille de poursuivre les exercices de stretching et le patient reçoit une 3ème prescription de physiothérapie. Prochain contrôle dans 2 mois. Pas d'arrêt de travail. On note une évolution très favorable chez cette patiente que nous reverrons dans 3 mois pour un contrôle radioclinique à 6 mois post-opératoires.On note une excellente évolution à 6 semaines post-opératoire. Mme. Y va continuer ses exercices par elle-même après cette dernière séance de physiothérapie. On programme un dernier contrôle dans 2 mois que Mme. Y annulera au cas où elle n'a plus aucun problème. On note une persistance des symptômes de tunnel carpien et une exacerbation des douleurs au niveau du coude et du nerf ulnaire qui était déjà à la limite lors de l'examen neurologique du 25.04.2018. Mr. Y avait un nerf déjà très coincé qui nécessite probablement une récupération plus longue que d'habitude. Nous conseillons d'attendre l'évolution des symptômes. Nous prescrivons des séances d'ergothérapie afin de désensibiliser les cicatrices, étirer le nerf et masser au niveau du coude et du poignet. Nous reverrons Mr. Y fin janvier pour un contrôle clinique. Entre-temps, arrêt de travail jusqu'au 31.01.2019. On observe une amélioration en ce qui concerne la mobilité au niveau de l'épaule. On poursuit les séances de physiothérapie selon le schéma San-Antonio ainsi que pour la mobilisation des doigts de la main droite et on prévoit le prochain contrôle clinique dans 2 mois. On organise pour le 28.12.2018 une IRM de son genou. Nous le reverrons ensuite en consultation pour discuter de la suite. On peut ce jour effectuer une botte de marche fermée. Mme. Y doit continuer à marcher en touchdown pour les 5 prochaines semaines. En cas de problème avec le plâtre, Mme. Y est informée qu'elle doit directement appeler le plâtrier pour un contrôle. Prochain contrôle dans 5 semaines. On planifie l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Je remplis avec la maman le formulaire d'information et de consentement en vue de la prise en charge en ambulatoire. On planifie l'opération pour le courant du mois de janvier, soit le 30.01.2019. On poursuit le traitement conservateur en prescrivant des anti-inflammatoires pour la période des fêtes, et on prévoit une infiltration sous acromiale début janvier et on se met d'accord avec Mr. Y de commencer les séances de physiothérapie pour le centrage de la tête humérale et le renforcement musculaire après l'infiltration selon les douleurs. On prévoit le prochain contrôle clinique suite à l'infiltration. On prend contact avec l'ophtalmologue de garde Dr. X qui consultera Mr. Y à 14.30, accompagné à Fribourg par sa femme. En attendant, un traitement par Pred forte 2gtts/heure peut être répété. On prescrit des séances de physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. On prescrit des séances d'ergothérapie pour la désensibilisation de la branche superficielle du pouce D. En ce qui concerne la main G, il s'agit d'un syndrome de tunnel carpien. Mme. Y a bénéficié durant l'hospitalisation d'un ENMG qui montre une atteinte modérée du nerf médian qui ne concerne que les fibres sensitives. Un traitement conservateur a été mis en place. On prescrit le port d'une attelle nocturne. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. On prévoit une reprise de travail à 50% dès vendredi prochain et ceci pour 1 mois. Poursuite d'ergothérapie. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. On procède à la réfection du pansement. Elle pourra continuer à refaire le pansement elle-même tous les deux à trois jours. Elle doit s'adresser à son médecin traitant pour une ablation des fils à J14 postopératoires. Nous la reverrons dans 1 mois. On procède à l'ablation de la broche lors de la consultation. Le point de sortie de la broche est désinfecté et fermé par un pansement Mepore. Mr. Y est adressé au plâtrier ce jour pour la confection d'une botte de décharge. Il reçoit une prescription de Clexane pour les 4 prochaines semaines. Prochain contrôle radioclinique dans 4 semaines, soit à 8 semaines du traumatisme. On procède à l'ablation des broches ce jour. On garde le metacarpal brace pour 3 semaines supplémentaires. Mobilisation en ergothérapie qui peut également raccourcir l'attelle pour libérer les interphalangiennes. Prochain contrôle radioclinique dans 3 semaines, soit le 08.01.2019. On propose à Mr. Y de poursuivre le traitement en physiothérapie axé sur le drainage, l'étirement des chaînes postérieures, le renforcement musculaire et la proprioception, gainage. Prochain contrôle clinique en avril 2019. On réalise deux paires d'hémocultures sur pic fébril à 39.4 qui suivent. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une déviation gauche, leuco à 15.8G/l et CRP 73mg/l. Au statut clinique, on note un fond de gorge érythémateux sans adénopathie cervicale ou exsudat amygdalien, sur 2 critères Centor on réalise un strep test qui revient négatif. Par ailleurs, Mr. Y reçoit un traitement symptomatique antipyrétique et reste stable sans plaintes. On décide de le laisser rentrer sur suspicion de virose et on prévoit de le revoir à la FUA à 48h. Il est averti ainsi que son entourage de reconsulter en urgence si fièvre persistante ou altération du statut neurologique. On réalise la pose de sonde urinaire ramenant 1300cc et 900cc (avec clampage tous les 500cc) d'urines claires sans présence d'hématurie macroscopique ni caillots de sang. Le laboratoire montre une leucocytose à 14G/l sans présence de CRP et le stix urinaire est par ailleurs propre hormis la présence de sang au stix (post-geste, probablement légèrement traumatique). On laisse Mr. Y rentrer à domicile avec instauration de Pradif T 0.4mg, avec la sonde vésicale. Un rendez-vous pour consultation urologique et ablation de la sonde vésicale sera pris la semaine prochaine par les soins de Mr. Y au retour à son pays. On réalise un bilan biologique qui ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire mais sur une clinique compatible avec une APP débutante, on transfère Mme. Y aux urgences de Fribourg pour un U/S abdominal. Si confirmation, Mme. Y serait de retour sur Riaz pour prise en charge chirurgicale, si ce n'est pas le cas, elle serait réadressée aux urgences de Fribourg afin d'être évaluée par les gynécologues. On réalise un bilan biologique qui montre un syndrome inflammatoire discret et une perturbation des tests hépatiques persistants. Anamnéstiquement, pas de prise de médicament qui pourrait être à l'origine, pas d'aspect du foie gras lors du dernier U/S pour un NASH. Clinique évocatrice de coliques biliaires malgré l'U/S négatif, on programme une cholangioIRM avec rendez-vous pris le 03.01 (pas de place libre avant). Mme. Y sera appelée demain après discussion avec le radiologue pour avancer l'IRM, puis contrôle à la FUA. Elle est hydratée avec 1000ml de perfusion et reste indolore. Elle rentre avec un traitement symptomatique à domicile, antalgique/antiémétique. On réalise un bilan par ECG qui ne met pas en évidence d'incident ischémique aigu ainsi qu'un bilan biologique qui revient sans particularité. Les troponines à T0 et T1 sont sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. Par ailleurs, Mr. Y se montre sans symptômes lors de sa présentation aux urgences. Anamnéstiquement, il évoque avoir arrêté son traitement de statines il y a 10 jours en raison des brûlures épigastriques qu'il aurait attribuées dans ce contexte. Après discussion, il est conseillé de reprendre celui-ci et de réévaluer la suite avec un éventuel changement si intolérance chez le médecin traitant. Un avis cardiologique à distance avec +/- test d'effort serait également préconisé chez un patient connu pour des facteurs de risque cardiovasculaires afin d'exclure un angor stable. On réalise un CT cérébral natif injecté avec vaisseaux précérébraux sous suspicion d'occlusion actinique carotidienne post-irradiation à l'origine d'un éventuel AIT. Le CT cérébral revient dans la norme sans hémorragie ni signes d'occlusion.On demande un avis au neurologue de garde le Dr. X qui préconise de l'Aspegic 250mg IV et introduction de l'Aspirine 100mg 1x/le matin en prévention primaire. On retient un AIT probable dd migraine avec aura prolongée. Un rendez-vous pour un IRM cérébral est pris à Riaz le 03.01 à 14.45h, le patient sera contacté pour être vu par le Dr. X. On réalise un CT cérébral natif injecté avec vaisseaux précérébraux sous suspicion d'occlusion actinique carotidienne post irradiation à l'origine d'un éventuel AIT. Le CT cérébral revient dans la norme sans hémorragie ni signes d'occlusion. On demande un avis au neurologue de garde le Dr. X qui préconise de l'Aspegic 250mg IV et introduction de l'Aspirine 100mg 1x/le matin en prévention primaire. On retient un AIT probable dd migraine avec aura prolongée. Un rendez-vous pour un IRM cérébral est pris à Riaz le 03.01 à 14.45h, le patient sera contacté pour être vu par le Dr. X. On réalise un CT cérébral natif qui ne met pas en évidence d'hémorragie intracrânienne, on note la présence d'un hématome sous galéal avec de petits corps étrangers, plaie superficielle déjà cicatrisée croûteuse la quelle on désinfecte. Selon l'avis orthopédique, on réalise une réduction fermée avec sédation par propofol, et mise en place de plâtre BAB. Les clichés post-réduction sont satisfaisants. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X à la polyclinique à 10 jours de distance avec des clichés dans le plâtre. On laisse la patiente regagner ainsi son domicile avec une antalgie simple en réserve. On réalise un CT thoracique à distance de 2 mois de l'épisode initial qui revient dans la norme. La patiente ne présente par ailleurs pas d'autres symptômes, pas de plaintes. On ne propose pas de suivi par imagerie ou examen autre par la suite, un suivi à distance sera fait par les soins du médecin traitant. On réalise un ECG qui ne met pas en évidence de signes d'ischémie, on réalise deux trains de troponines revenant à 8ng/l sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. A l'anamnèse, le patient décrit des douleurs épigastriques crampiformes précédant les épisodes diarrhéiques et vomissements compatibles avec la clinique de gastro-entérite, raison pour laquelle nous ne réalisons pas une radiographie de thorax. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire sans leucocytose avec une CRP à 160mg/l. Le patient a été hydraté avec 2000mL de NaCl et ttt antiémétique par Primpéran, une hypokaliémie à 3.1mmol/l a été mise en évidence, le patient reçoit un KCL eff 30mmol/l. On note une probable contamination par sa femme qui travaille à l'étage de gériatrie avec plusieurs cas de norovirus. On réalise un prélèvement de selles envoyé en culture (+norovirus) et le patient est mis sous traitement empirique de ciprofloxacine 500mg 2x/j pendant 5 jours, conseils d'hydratation, motilium et perenterol. On retient une gastro-entérite avec des diarrhées fébriles inflammatoires, le patient sera vu à la FUA mardi pour un contrôle clinique et résultats de la culture des selles. On réalise un ECG qui ne montre pas de signe d'ischémie et deux trains de troponines sans cinétique permettant d'exclure un événement ischémique. Sur un score de Genève à risque modéré pour une EP, on réalise un dosage de d-dimères qui reviennent négatifs. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et la radiographie du thorax ne montre pas de signe de foyer. Les douleurs sont soulagées après antalgie simple. On retient des douleurs musculosquelettiques ou anxiogènes probables et on laisse la patiente rentrer à domicile avec un contrôle prévu chez le médecin traitant la semaine prochaine. La patiente évoque des épisodes de palpitations par le passé, un contrôle cardiologique serait préconisé à distance. On réalise un ECG qui revient dans la norme et un bilan biologique sans particularité. On retient des effets secondaires sur consommation de cannabis, de résolution progressive à sa présence aux urgences. On laisse la patiente rentrer à domicile avec un antiémétique en réserve et surveillance par l'entourage. On réalise un ECG qui revient sans particularité hormis la présence des ondes T inversées en III présentes sur un comparatif. Deux trains de troponines avec des douleurs sur >1h reviennent sans cinétique permettant d'exclure un NSTEMI. Malgré un score de Genève à faible risque mais sur des douleurs récurrentes motivant une deuxième consultation, on décide de réaliser un dosage de d-dimères revenant négatifs. Sur la radiographie de thorax, ayant un doute quant à l'aspect de l'apex droit (non compatible par ailleurs avec la localisation des douleurs), on réalise une échographie qui infirme un pneumothorax. On laisse ainsi le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple en réserve et on retient des douleurs anxiogènes dd musculosquelettiques. On préconise au vu de la persistance des symptômes un test d'effort +/- ETT et évaluation cardio pour laquelle on laisse aux soins du médecin traitant à organiser. On réalise un prélèvement des urines pour mise en culture avant d'administrer une dose unique de Rocéphine 2g IV (à noter que la patiente a déjà eu de la ciprofloxacine ce matin). Une antalgie par Dafalgan et Morphine 4mg IV est administrée avec soulagement des douleurs. Un relais par Cipro 500mg 2x/j comme prévu pendant 7 jours sera fait à partir de demain. La patiente reviendra en contrôle clinique et résultats de l'urotube à la FUA à 3 jours. On réalise une désinfection à l'hibidil et pose de steristrips, compresses et bandages. Un contrôle de la plaie est prévu chez le médecin traitant à 48h et contrôle du carnet de vaccination à ce moment-là, si vaccination non à jour, un rappel tétanos. On réalise une désinfection à l'hibidil sur les dermabrasions de l'oreille droite. L'examen par ailleurs est sans particularité, le patient n'a pas de plaintes. Constat de coup remplis donné au patient, photos archivées. On réalise une désinfection de la plaie à l'hibidil et pose de steristrips. Un contrôle clinique sera prévu au pédiatre à 48h. On réalise une exploration de la plaie montrant une déchirure du tendon fléchisseur. La sensibilité au testing est conservée. On réalise 3 points de rapprochement, et on passe 2.2g d'Augmentin IV et rappel DiTe, pansement et attelle à but antalgique. On appelle le CDC de clinique en ortho, la patiente est mise en programme pour demain, à jeun à partir de minuit. La patiente rentre à domicile avec une antalgie en réserve. On réalise une radio du pied gauche qui ne met pas en évidence de fracture. On retient une podalgie d'origine indéterminée dd sur surcharge ou éventuelle fracture de fatigue, on laisse le patient rentrer à domicile avec un protocole RICE, antalgie/AINS et consignes pour utilisation d'une semelle rigide. Un rendez-vous de contrôle serait préconisé à 7-10 jours chez le médecin traitant, si douleurs persistantes, une IRM serait recommandée. On réalise une radiographie du genou gauche ne mettant pas en évidence de fracture. On note un petit épanchement pré-patellaire et pincement discret fémoro-tibial interne. On immobilise le patient avec une attelle jeans à 0°, clexane 40mg SC et ttt anti-inflammatoire + antidouleur. Un rendez-vous de contrôle sera pris en polyclinique à 5-7 jours à distance. Sur non-résolution des symptômes, une IRM du genou gauche serait préconisée afin d'exclure une lésion méniscale. On réalise une syndactylie, protocole RICE et antalgie par algifor en réserve. On remplit ce jour le formulaire de consentement éclairé que l'on fait signer et l'on planifie l'opération pour le 10.01.2019. On remplit le formulaire de consentement éclairé pour une ostéotomie péri-acétabulaire avec une révision de la hanche par voie d'abord trochanter flip en position latérale, ainsi que luxation chirurgicale de la hanche. La patiente entrera le jour même.Intervention le 13.02.2019. On retient une toux persistante sur une angine d'origine virale. Il est expliqué à la patiente que la toux peut persister sur 3 semaines avec résolution d'autres symptômes. On laisse la patiente rentrer à domicile avec un traitement symptomatique par antalgie et AINS, contrôle au besoin si persistance des symptômes chez le MT. On suspecte tout d'abord une neuropathie diabétique du patient. Il me semble par contre rester une composante mécanique en ce qui concerne le nerf cubital gauche. Je prie le Dr X de reconvoquer le patient pour un autre bilan de sa part. Je reverrai le patient à la suite de cet examen neurologique. Onchopsychologue le 27.11.2018 : proposition d'évaluation par psychiatre de liaison pour introduction antidépresseur. Psychiatre de liaison (Dr X) le 29.11.2018 : proposition : Distraneurine Mixture à hauteur de 5 ml 1-0-1-0 et de 10 ml au coucher. Avis pharmacologue clinique (Dr X) : Vortioxetine peut être introduit avec la surveillance de son efficacité. D'autres options sont : escitalopram, citalopram ou venlafaxine, aussi avec la surveillance d'efficacité. Attitude : • distraneurine en réserve • poursuite suivi psychiatrique intra hospitalier Oncologue : Dr X Radio-oncologie par Dr X, 5x/semaine jusqu'au 23.11.2018 Chimiothérapie tous les lundis (1x/semaine) : Paraplatine et Taxol (4/6 traitements effectués) Attitude : • le patient sera reconvoqué pour un CT scanner et un contrôle clinique en 01.2018 Ondansétron 2mg Normolytoral Conseils d'hydratation Reconsulter en cas de signes de déshydratation Ondansétron 1mg - Surveillance 2h sans récidive de vomissements, réhydratation par Normolytoral Poursuite Normolytoral au domicile, Itinérol si vomissements Signes de gravité expliqués. Ondansetron 4 mg aux urgences Consignes usuelles Ondansétron 4 mg Normolytoral Conseils d'hydratation Reconsulter en cas de signes de déshydratation Ongle incarné avec écoulement purulent sans collection. Ongle incarné de l'hallux droit le 29.12.2018. Ongle incarné du bord médial de l'hallux droit. Ongle incarné du côté médial 2ème orteil pied D avec déformation en griffe DD ostéomyélite. Status post amputation épibasale P2 orteil 3 pied D le 24.08.2018 sur une ostéomyélite des phalanges 2-3 du 3ème orteil du pied D. Ongle incarné face interne gros orteil pied D. Ongle incarné gros orteil à dr. Ongle incarné hallux D ddc, plus symptomatique du côté latéral. Ongle incarné hallux G. Ongle incarné orteil 1 G. Ongle incarné surinfecté hallux droit face médiale. Ongle incarnée D1 à droite. Ongles incarnés des 2 gros orteils Stade I. OP cheville D en 2010 OP cheville G Fracture Weber A1 du péroné D le 29.12.2014 OP de l'uvula 2003 Prostatectomie 2000 OP hernie inguinale Anémie normochrome normocytaire arégénérative OAP débutante le 29.03.18 • sur probable pic hypertensif Symptômes neurologiques polymorphes le 07.04.18 Pneumonie basale droite à germe indéterminé le 07.06.2018 • Ceftriaxone IV du 07.06 au 13.06.2018 • Clarithromycine PO du 07.06 au 09.06.2018 • Prednisone 40mg du 07.06 au 11.06.2018 • co-amoxicilline du 08.05 au 18.05.2018 en ambulatoire Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 07.06.2018 DD : médicamenteux (torasémide) Décompensation cardiaque globale NYHA III le 07.06.2018 Décompensation diabétique dans le cadre de la corticothérapie sur diabète connu non traité : • HbA1c à 8.4% le 08.06.18, 6.7% en janvier 2018 Pleurésie non tuberculeuse durant l'enfance. OP épaule droite pour tendinopathie de la coiffe des rotateurs chronique et petite déchirure du labrum postéro-inférieur en 2015 Hystérectomie partielle pour fibromes, 2011 OP hallux valgus D, 2001. OP genou triade malheureuse par le Dr X à l'HFR en 1982. OP goitre par le Dr X à l'HFR en 1983. OP tumeur colonne par le Dr X à l'HFR en 1992. OP utérus par le Dr X à l'HFR en 1992. Chimiothérapie suivi par le Dr X en 1992. OP hernie abdominale ? OP le 04.01.2019. Op. le 06.12.18. OP le 08.01.2019. OP le 09.01.2019. Op. le 12.02.19. OP le 14.12.2018. OP le 15.01.2019. OP le 16.01.2019. OP le 16.01.2019. OP le 18.12.18. OP le 18.12.2018 à Tavel. OP le 19.12.2018. OP le 22.01.2019. OP le 28.12.2018. OP pré-réservée pour le 04.02.2019. OP prévue le 10.01.2019. OP prévue le 11.03.2019. OP prévue le 11.12.2018. OP prévue le 29.01.2019 à Tavel. Op prostate en 2009 APP Probable gastrite DD : hernie hiatale, ulcère gastrique/duodénal. OP tunnel carpien ddc Dépression (il y a 20 ans) Césarienne (1) Appendectomie. OP tunnel carpien ddc Dépression (il y a 20 ans) Césarienne (1) Appendectomie. OP tunnel carpien G le 20.12.2018. OP tunnel carpien D le 07.01.2019. OP yeux pour un strabisme Cure hémorroïdes Curetage Amygdalectomie Tentamen médicamenteux le 24.08.2017 • OH, quantité inconnue. Opacification à la Gastrographine le 17.12.2018. opé. en electif. Opération à planifier. Opération à 4 reprises pour hernie discale L5-S1, dernière en 2008 Status post-amygdalectomie Status post-appendicectomie Status post-ligature des trompes Status post-arthroplastie totale de la hanche droite par voie minimalement invasive pour coxarthrose droite invalidante le 12.05.2015 Status post-pneumonie basale gauche le 09.03.2016. Opération anévrisme cérébral (Clip) Chute avec TC avec PC dans un contexte d'alcoolisation aiguë, le 22.12.2018 avec : • Contusion cervicale niveau C4-C5 • ATCD : Opération anévrisme cérébral (Clip) FA tachycarde sur OH aiguë, sans instabilité hémodynamique, avec cardioversion spontanée, le 22.12.2018 Hypothermie à 34.1 °C à l'admission, le 22.12.2018 Plaie frontale contuse de 10 cm de long, le 22.12.2018 Rhabdomyolyse, le 22.12.2018. Opération au niveau abdominal. Opération au niveau du dos, d'une hernie discale pas d'autre précision. Bronchite aiguë 15.03.2015. Vertige positionnel paroxystique bénin (06.10.2016). Vertiges aspécifiques avec lésion de la substance blanche au niveau du corps calleux. DD : maladie démyélinisante débutante. IRM neurocrâne sans vaisseaux pré-cérébraux car déjà fait en avril 2018 : conclusion probable maladie démyélinisante avec stabilité des hypersignaux focaux de la substance blanche péri-ventriculaire ainsi que l'hypersignal focal du genou du corps calleux DD : leucoencéphalopathie vasculaire, absence de prise de contraste. Pas de lésion ischémique récente. Opération au Portugal : • amygdalectomie il y a 7 ans • Pose de drain des deux côtés, avec sortie du drain à gauche, pas à droite, il y a 3 ans • retrait des végétations, il y a 3 ans Opération au Portugal : • amygdalectomie il y a 7 ans • Pose de drain des deux côtés, avec sortie du drain à gauche, pas à droite, il y a 3 ans • retrait des végétations, il y a 3 ans Opération cataracte gauche en avril 2018. Opération cataracte gauche en avril 2018. Opération cervicales avec hypoesthésie bras G. Opération coiffe des rotateurs à D en 2010 Idée suicidaire scénarisée dans un contexte de trouble délirant nécessitant une hospitalisation à Marsens 03.2018. Opération de hanches en 2007/2008 Prothèse totale de genou droit pour gonarthrose et Genu valgum le 18.10.10 Broncho-pneumonie droite (2010) Troubles électrolytiques (hyponatrémie, hypochlorémie) 2010. Opération de hanches en 2007/2008 Prothèse totale de genou droit pour gonarthrose et Genu valgum le 18.10.10. Broncho-pneumonie droite (2010) Troubles électrolytiques (hyponatrémie, hypochlorémie) 2010 Opération de hanches en 2007/2008 Prothèse totale de genou droit pour gonarthrose et genu valgum le 18.10.2010 Broncho-pneumonie droite (2010) Troubles électrolytiques (hyponatrémie, hypochlorémie) 2010 Opération de la cataracte ddc • à gauche il y a 3 semaines • à droite il y a 1.5 semaine Opération de la cataracte oeil droit le 06.11.2018 et oeil gauche le 11.12.2018 • prochain contrôle le 11.01.2109 Mal perforant plantaire de l'AMP du premier orteil droit Nécrose surinfectée du 4ème orteil droit Arthrite avec fistulisation à la peau de l'inter-phalangienne proximale du 4ème orteil gauche NSTEMI sur maladie tritronculaire avec la pose de 3 stents actifs le 04.04.2018 Opération de la cataracte oeil gauche, avec conjonctivite subséquente Etat confusionnel aigu hyperactif sur globe vésical le 08.10.2018 Lésion nécrotique sur le nez le 08.10.2018 Opération de la cataracte oeil gauche le 21.10.2015 Infection urinaire à Lactobacillus sp chez Mme. Y symptomatique (brûlures mictionnelles) en mars 2018, traitée par Acimethin cpr 1500 mg/jour en 3 prises Troubles de la déglutition connus (1-2x/an) Mycose des plis inguinaux et sous ventral Opération de la prostate pour dysplasie (versus carcinome?) Néphrectomie Appendicectomie à l'âge de 11 ans Cure d'hernie inguinale bilatérale dans l'enfance Prolongation de m. demi-tendineux gauche, le 23.05.2017 Hernie lombaire L4/L5 en cours d'investigation chez Dr. X • S/p infiltration par corticoïdes Céphalées atypiques primaires chez Mr. Y connu pour migraines le 10.01.2018 • DD: céphalées tension, migraineuses Labo CT-cérébral: pas de saignement, pas de masse, pas de pathologie Titration morphine Poursuite de traitement de crise si douleurs Reconsultation si apparition de nouveaux symptômes de gravité Contrôle chez médecin traitant, ad consultation neuro si nécessaire et discussion de début de traitement des migraines au long cours Opération de l'épaule D à Payerne 10/2018 Multiples opérations de fistules anales (dernière en 2013) Cholécystectomie pour lithiase en 2013 Appendicectomie avec histologie d'adénome dysplasique en 2011 Résection de deux polypes sigmoïdiens en 2009 Gastrite à H. Pylori en 2008 Cure de hernie hiatale Méniscectomie bilatérale Acromioplastie, résection de la clavicule distale et suture de la coiffe des rotateurs en 2005 Opération de l'intestin grêle (résection selon la patiente). Opération de Nissen pour reflux gastro-oesophagien important en juin 2018 Urostomie trans-iléale selon Bricker avec cystoprostatectomie radicale pour vessie neurogène (néovessie iléale selon Bricker) et adénocarcinome de la prostate pT2 N0 R0 Gleason 6 et dérivation (depuis 10.2012) Hernie parastomiale symptomatique Sepsis urinaire en: • 05.2015 Klebsiella multi-sensible • 2014 E.coli multi-sensible • 2012 E.coli multi-résistant Pose de neurostimulateur S3 gauche pour hyperréflexie détrusorienne 04.2012 Injection intra-détrusorienne de Botox en 06.2011 Pose de sphincter artificiel (Inselspital 2008) Neuromodulation sacrée par implantation de neurostimulateur S3 droit (2005) TURP (2002, 2003, 2004, 2005) Sténose subtotale de la bifurcation de l'artère interventriculaire antérieure proximale : provisional T Stenting (IVA x2 DES, DA 1x DES). Plaque non obstructive de la coronaire droite moyenne. Fraction d'éjection préservée 55%, discrète hypokinésie Opération de prolapsus vésical par voie trans-vaginale en 2017 (dernière prise au bloc en novembre 2017). Pic hypertensif en 2013. Cystite aiguë non compliquée, décembre 2015. Infection des voies aériennes basses le 05.03.15. État anxieux avec symptômes somatiques (nausées - vomissements - vertiges - céphalées) le 05.03.2011. Status post opération de la vessie (?), 1991. Status post hystérectomie, 1990. Status post trois accouchements par voie basse. Status post appendicectomie dans l'enfance. Pyélonéphrite droite en 2016. Crise hypertensive avec épistaxis. • Adalat R 20 mg. • ECG • Laboratoire: Hb H0 125 g/l; H2: 122 g/l. Opération de varices. Ostéotomie selon Akin de O1, ostéotomie de Weil de O2 et O3 et fixation avec des broches (07.03.2016 par Dr. X). Opération des amygdales dans l'enfance. Cystite. Opération des ligaments croisés du genou droit en 2010 Erysipèle du MID en 2012 Opération des ligaments croisés du genou droit en 2010 Erysipèle du MID en 2012 Opération des varices en 2008 Lithiases rénales en 2010 Opération du coude gauche Réaction conjonctivale sur corps étranger oeil Opération du fémur Opération de la vésicule biliaire Opération de la cataracte D Ablation d'un polype colo-rectal il y a 4-5 ans Ptose labiale droite connue depuis 1938 dans le cadre d'une paralysie du nerf facial suite à la diphtérie qui a été traitée chirurgicalement Syndrome vertigineux avec baisse de l'état général associée depuis le 14.03.2015 DD : • Maladie de Ménière • Névrite vestibulaire • Vertiges orthostatiques • Troubles électrolytiques : hypokaliémie, hypomagnésémie Substitution : Magnésium et potassium Hydratation Test de Schellong le 21.03.2015 : pathologique ECG le 21.03.2015 IRM cérébro-cervicale le 23.03.2015 Consilium ORL le 23.03.2015 Opération du genou D Hématome sous-dural aigu temporo-pariétal G, hémorragie intraparenchymateuse temporale G et hémorragie sous-arachnoïdienne temporale G et frontale D sur chute dans un contexte d'alcoolisation le 27.03.2017 avec: • symptomatologie: aphasie, héminégligence motrice D, troubles exécutifs, troubles de l'équilibre • traitement conservateur avec surveillance au CHUV du 27.03 - 04.04.2017 Opération du tunnel carpien des deux côtés Dépression (il y a 20 ans) Césarienne (1) Appendicectomie Opération du tunnel carpien des deux côtés Dépression (il y a 20 ans) Césarienne (1) Appendicectomie Opération d'un strabisme. Opération des cornets nasaux. Opération des végétations. Neuronite vestibulaire gauche. Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 01.05.2016: • résolution spontanée avec absence de douleurs et de dyspnée aux urgences. • probablement d'origine pariétale. Angiokératome de Fordyce le 18.07.2016. Douleur paracervicale G probablement sur coup de lapin sur AVP. Opération d'une hernie discale L4-L5 le 16.11.2018 avec pose de vis et probable conflit au récessus latéral gauche à la racine de L5 post-opératoire (reprise chirurgicale en janvier 2019). Opération d'une hernie inguinale droite en 2014 Polypectomies coliques en 2014, 2015 et 2017 Opération d'une hernie supra-ombilicale le 28.08.2017 Opération de la mâchoire en 2016 Pneumonie en 2015 Opération élective Opération en septembre pour strabisme Opération épaule D le 13.12.2018 Opération épaule D le 13.12.2018 Opération hanche droite Opération le 04.01.2019. Opération le 11.02.2019 Opération le 11.03.2019. Opération le 14.01.2019 Opération le 17.01.2019 Opération le 18.1.2019 Opération le 18.12.18 Opération le 18.12.2018 Opération le 19.3.2019 Opération le 20.12.2018 Opération le 21.01.2019 Opération le 24.01.2019 Opération le 8.1.2019 Opération le 8.1.2019 Opération méniscale genou droit pour plica en 2005 Amygdalectomie Opération ménisque genou droit. Entorse cheville gauche le 09.02.2013. Opération ménisques des deux côtés il y a plus de 10 ans. Bypass gastrique. Volvulus. Opération ovaire (kyste hémorragique sur chute à cheval) et uretère à droite (malformation de l'uretère) il y a plus de 10 ans Opération ovaire (kyste hémorragique sur chute à cheval) et uretère à droite (malformation de l'uretère) il y a 10 ans Sensation de brûlure au niveau de la loge rénale droite Opération pied bot en 1948. Opération pour descente de la vessie 2007. Status post-anémie hypochrome hyporégénérative ferriprive le 05.12.2018 avec transfusion 2 CE le 07.12.2018. Opération pour polype nasal avec mise en place de 2 drains tympaniques de chaque côté 2016. Opération pour rupture tendon d'Achille le 20.11.2018 (Dr. X). Opération pour strabisme dans l'enfance. Amygdalectomie. Nodules pulmonaires suspects au scanner thoraco-abdominal en 2012, sans autres lésions. Traumatisme de l'épaule D. Hernie hiatale sans signe de gravité avec: • upside-down stomach • herniation dans le colon transverse Cure de hernie hiatale par laparotomie avec filet Ultrapro le 21.05.2018. Opération pré-réservée pour le 07.01.2019. Opération prévue le 04.01.2019. Opération prévue le 05.02.2019. Opération prévue le 08.01.2019. Opération prévue le 18.12.2018. Opération prévue le 21.12.2018. Opération prévue le 25.01.2019. Opération prévue le 28.12.2018. Opération prolapsus rectal 1997. Hystérectomie 1990. Appendicectomie. Opération sinus, 2007 et 2008. Status post-césarienne en 2012. Status post-laparoscopie avec salpingectomie pour grossesse extra-utérine, 2016. Status post-césarienne, 2017. Status post-hystérectomie, août 2018. Opération sous AL le 03.12.2018 avec incision et rinçage. Par la suite, début de l'antibiothérapie. Opération s/p torsion de l'ovaire gauche il y a plusieurs années. Lombago non déficitaire. Opération sur les cornets nasaux pour obstruction nasale chronique en 1972. Rhino-conjonctivite allergique. Opération appendicite + endométriose en Italie. Opération tendon à la main gauche en 2017. Opération testiculaire gauche suite à un traumatisme. Opération tête fémorale en 2017. Contusion osseuse pied médial côté gauche. Opération valve mitrale 2008 HUG. Opéré en août 2018 pour VA et pose de drains transtympaniques. Opérée pour un nodule sein droit. 1997: AVB d'un garçon pesant 2500 g. 2002: AVB d'un garçon pesant 2500 g. 2003: curetage interrupteur. 2006: conisation. Hématome volumineux à J5 post-tumorectomie du QSE du sein droit 2013. Myalgies bras droit post mouvements répétitifs. Opisthotonos d'origine indéterminée DD neurologique. Oppression de l'hémicrâne G. Oppression de l'hémicrâne gauche mal systématisée d'origine indéterminée depuis 2 semaines le 31.12.2018 avec: • absence de déficit neurologique nouveau sauf manque de mot occasionnel avec fluidité verbale conservée. Oppression thoracique. Oppression thoracique dans un contexte d'anxiété. Oppression thoracique d'origine indéterminée le 14.12.2018. Oppression thoracique d'origine indéterminée le 27.12.2018. DD : pic hypertensif, gastrite. Facteurs de risque cardio-vasculaires : tabagisme actif (22 UPA), hérédité. Oppression thoracique d'origine indéterminée. DD : anxiogène. Oppression thoracique et dyspnée. Oppressions thoraciques atypiques d'origine indéterminée. Optiderm 2x/j. Optiflow du 22.12.2018 au 25.12.2018. VNI du 21.12.2018 au 26.12.2018. Cathéter artériel radial gauche du 21.12.2018 au 26.12.2018. Optimisation hémodynamique. Orchi-épididymite droite. Orchi-épididymite droite: • antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Métronidazole 3 x 500 mg/jour du 15 au 18.12.2018 puis relais per-os par Co-amoxicilline 3 x 1 g/jour et Vibramycine 2 x 100 mg/jour jusqu'au 04.01.2019 inclus. Hyperplasie bénigne de la prostate (sous traitement médicamenteux). Glaucome droit. Orchi-épididymite gauche le 02.12.2018. Orchi-épididymite le 22.12.2018. Risque de MST faible. Pas d'argument pour prostatite. Orchite aiguë testicule droit en 2014. Sp reprise cure hernie inguinale à D le 02.04.2014 (Dr. X). Sp cure hernie inguinale à G. Ordonnance. Oreilles bouchées. Organiser consultation avec Dr. X, chirurgien, pour pose de fistule et prévoir une consultation chez un dermatologue. Organiser une polysomnographie en ambulatoire. Orgelet paupière droite. Orgelet, paupière inférieure droite. Orgelet paupière supérieure gauche dans la partie nasale de la paupière. ORIF par plaque Aptus d'une fracture spiroïde du 2ème métacarpe main D le 30.10.2018. ORIF par plaque Philos et Hinge Plate 2.0 Aptus. (OP le 11.12.2018). ORIF radius distal G le 16.11.2018 d'une fracture intra-articulaire plurifragmentaire du radius distal G avec une fracture de la styloïde ulnaire à G, le 15.11.2018. Origine médicamenteuse probable sur sartan. Hydratation avec NaCl pendant 24h et diminution posologie du sartan. Amélioration biologique sur le séjour. ORL injoignable, patiente installée en F34. Orteil en griffe des rayons II-III et IV à droite et II et III à gauche. Hallux valgus bilatéral. Orteil en marteau O2 pied D. Status post cure d'ongle incarné hallux valgus face interne/externe ddc le 09.03.2018. Status post cure d'hallux valgus en mini-invasif et cure du 2ème orteil en marteau du pied G le 5.1.2018. Ongle incarné hallux gauche/droit interne et externe. Orthopantomogramme. Retour à domicile avec bains de bouche et antalgie simple. Orthoradiogramme colonne totale apporté par le patient (sur la base du rapport du radiologue uniquement): Scoliose thoracique dextro-convexe avec angle de Cobb de 15° entre D10 et D2. Orthoradiogramme colonne totale face/profil + odontoïde du jour (PACS): Cf. diagnostic. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du jour (PACS): Superposable au dernier contrôle. Orthoradiogramme colonne totale face/profil du 17.09.2018 (CIMED): Cf. diagnostic. Orthoradiogramme de la colonne totale f/p du jour (PACS) : mise en évidence d'une spondylodèse multi-étagée allant de D2 à L4. Signes d'une discopathie L4-L5 avec une arthrose facettaire. Manque de lordose lombaire avec un dos plat. Orthoradiogramme f/p du jour (PACS) : scoliose sinistro-convexe lombaire avec angle de Cobb à 43°. Orthostatisme le 17.12.18. OS fracture clavicule D en 1986. OP, non précisée, de la coiffe des rotateurs épaule D en 1989 et 1992. • Infiltration épaule D le 05.10.2018.OS fracture intra-articulaire radius distal G avec syndrome tunnel carpien traumatique débutant, le 01.03.2012; AMO le 26.06.2012 Plaie pulpe Dig I main G le 21.12.2014 OS humérus proximal G par plaque Philos et stabilisation du hinge antéro-médial avec une plaque Aptus 2.0, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps le 21.07.2017 Fracture tibia-péroné proximal G avec syndrome des loges le 22.01.2016. Osmolalité: 290 mOsm/kg Spot urinaire Résonium 15g Gastro-enterologen (Dr. X): OGD (Bericht diktiert), Panzotol 40mg i.v. 3x/T, Gaviscon liq 3x/T, Rehydratation. Nutrition: liquide et froid, le 22.12.2018, soupe froide le 23.12.2018, ensuite selon tolérance. Dès normalisation de l'alimentation, sortie possible. Contrôle OGD après 7-10 jours. Thérapie: • Pantozol 40mg i.v. 3x/J + Gasviscon liq 3x/T • Rehydratation 2000mL/24h • Paracétamol, Morphine • Nouvelle OGD après 7-10 jours, éventuellement plus tôt en cas de détérioration des symptômes Hospitalisation pour réhydratation et ré-alimentation. Ospen durant 10 ans. Algifor en cas de fièvre. Ostéite chronique tibia proximal G à MSSA le 17.09.2018: • avec atteinte complexe des tissus mous • Statut post-AMO plaque Tomofix, débridement, prélèvements, cimentage avec Cerament-ATB, ré-ostéosynthèse le 23.08.2017 dans un contexte de pseudarthrose tibia proximal G • Statut post arthroscopie genou G avec plastie de reconstruction LCA par tendon quadricipital contro-latéral (prélevé au genou D) le 13.12.2016 pour déchirure du LCA post greffe • Statut post ponction genou G, ablation de matériel d'OST, débridement, rinçage par arthroscopie et ré-OS par plaque Tomofix 4.5 le 21.04.2016 et débridement, lavage foyer d'OST ainsi que des tunnels osseux tibiaux, changement de plaque d'OS, lavage articulaire arthroscopique genou G le 24.04.2016 sur infection de matériel d'OST et arthrite septique du genou G à Staph. aureus. • Statut post arthroscopie genou G, ablation vis d'interférence fémorale dans l'échancrure, curetage tunnel tibial et greffe d'os spongieux, prélèvement greffe spongieuse à la crête iliaque G et OST tibiale de valgisation type ouverture interne 11° le 24.02.2016 sur re-rupture d'une greffe du LCA genou G réalisée en 2005, ballonnage du tunnel tibial, gonarthrose fémoro-tibiale interne sur déformation en varus tibial post méniscectomie en 1994. Ostéite DD : ostéomyélite du tibia gauche sur : Guérison lente et déhiscence face médiale d'une ancienne plaie de fracture ouverte au niveau de la jambe G. Statut post cure de pseudarthrose du tibia distal G avec ablation du matériel d'ostéosynthèse antéro-latéral du tibia, greffe osseuse et spongieuse de la crête iliaque et fixation interne par plaque 3.5 mm en médial et latéral du tibia G le 16.02.2018 pour une pseudo-arthrose hypotrophique du tibia G. Statut post réduction ouverte par voie d'abord latérale en canne de hockey et ostéosynthèse du tibia distal par plaque antéro-latérale, vissage libre 2.5, ostéosynthèse du péroné par plaque LCB 2.5 au niveau de la jambe G le 28.02.2017. Statut post débridement et mise en place d'un pansement VAC au niveau de la jambe G le 21.03.2017. Réduction fermée, maintien par fixation externe, révision et rinçage et adaptation des plaies de la jambe G le 15.02.2017 sur une fracture ouverte postillon 2 du pilon tibial G et fracture du péroné. Ostéoarthrite de l'inter-phalangienne proximale du deuxième orteil droit. Deuxième orteil droit en griffe. Ostéomyélite à Staph aureus le 27.11.2018 sur fistule cutanée dorsale chronique au niveau de la tête de vis de D12 gauche sur gêne du matériel depuis 2016, avec: • s/p spondylodèse D8-12 avec système URS (Synthes) et VBS, cimentage avec Vertécem ainsi que vertébroplastie préventive de D7 et L1 pour une fracture Reverse chance de D10 en 2011 • s/p ablation du matériel URS (Synthes) de D8-12 bilat., révision de plaie avec débridement et résection de fistule cutanée en 01/2016 • frottis de plaie dorsale le 20.01.2016: Staph. epidermidis (Rifampicine S, Vancomycine S) • CRP 115 mg/l le 27.11.2018 • 2 paires d'hémocultures le 27.11.2018: négatives • frottis de plaie dorsale le 27.11.2018: Staph. aureus (multisensible) • IRM colonne thoracique et lombaire le 30.11.2018: ostéomyélite des processus épineux D9-10, collection sous-cutanée D7-10, pas d'atteinte épidurale ou du myélome • consilium chirurgical le 28.11.2018: effectuer IRM afin de vérifier profondeur fistule et atteinte colonne vertébrale • consilium infectiologie le 30.11.2018: ABT par Floxapen 2000 mg 6x/j au moins pour 6 semaines et traitement chirurgical Ostéomyélite phalange distale hallux D. Statut post fixation de la cheville droite pour une fracture du pilon tibial avec un fixateur externe tibio-calcanéo-métatarsien le 29.04.2005. Statut post AMO du fixateur externe et ostéosynthèse du pilon tibial droit par des plaques et du péroné droit par une plaque avec AMO le 11.05.2005. Statut post ostéosynthèse du sustentaculum tali et du processus antérieur du calcanéum gauche le 17.05.2005. Statut post couverture cutanée de la cheville droite par un lambeau sural pédiculé en îlot le 23.05.2005. Ostéomyélite pied G 1987 Cc mammaire G tumorectomie et radiothérapie 1995 Gonarthrose G 2005 Suspicion AIT 2013 Paralysie faciale périphérique G probablement idiopathique 2015 Ostéomyélite sévère avec abcès phalange distale Dig II et dermohypodermite de l'avant-bras à D sur statut post plaie pulpe au niveau sous-unguéal Dig II le 09.11.2018 • Germe en cause (27.11.2018): Staph. aureus (pénicilline R) Ostéomyélite sur pied Charcot diabétique avec exostose du cuboïde dans le contexte d'un mal perforant plantaire à G • Germes en cause (16.11.2018): Staph. caprae et Staph. pettenkoferi • Statut post plusieurs débridements à l'HFR Tafers et instauration d'une antibiothérapie en septembre 2018 par co-amoxicilline et Ciproxine. Ostéomyélite sur ulcère chronique du bord médial de la tête du métatarsien I pied D le 28.11.2018 avec: • Dermohypodermite associée • s/p désarticulation MTP 1 de l'hallux D (OP le 31.08.2018) • s/p ostéomyélite P1 O1 pied D avec ulcère du hallux et dermohypodermite du pied D en août 2018 • s/p complément d'amputation P1 du gros orteil du pied D le 11.03.2014 sur ostéomyélite P1 gros orteil pied D avec à la microbiologie du Staph. epidermidis et pettenkoferi • s/p amputation de la phalange distale du hallux D le 10.05.2013 sur ostéomyélite à Staph. epidermidis. Ostéonécrose du condyle fémoral externe mis en évidence le 04.11.2018. Ostéonécrose fracturaire du fémur distal gauche (SONK). Ostéonécrose spontanée de condyle fémorale externe G Ostéonécrose des têtes fémorales bilatérales (05.11.2018) Ostéoporose. Ostéoporose. Ostéoporose: • traitée par Prolia de 2012-2016 • sous traitement d'Aclasta, dernier injection Aclasta le 01.12.2017 Ostéoporose • carence en vitamine D: 62 nmol/l (le 12.10.2018) • sous Calcimagon et vitamine D Ostéoporose, avec dernier bilan en 2008 Ostéoporose avec: • s/p fracture du fémur G (2008) • s/p fractures vertébrales D7, D9 et L1 (2013) • Calcimagon depuis 2014 • s/p Forsteo (2014-2016), injection d'Aclasta (01.02.2017) Hypovitaminose D légère 59 nmol/l (05.04.2017) substituée Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire Ostéoporose fracturaire : • Fracture L5Ostéoporose fracturaire avec : • Anciens tassements vertébraux multiples : D6, D12, L3, L4 Amygdalectomie Appendicectomie Hystérectomie Fracture du plancher orbitaire gauche avec hémosinus gauche sur chute le 07.11.2017 Zona thoracique en 2003 Troubles cognitifs Fibrillation auriculaire intermittente non anticoagulée Ostéoporose fracturaire avec nouveaux tassements L1-L4 atraumatique avec : • syndrome lombo-radiculaire L3-L4 D nouvelle Ostéoporose fracturaire avec traitement par Bonviva iv le 21.09.2018 Possible polyneuropathie sensitive des membres inférieurs (investiguée en 2016, Dr. X - neurologue) : • ENMG montrant une polyneuropathie sensitive • Hypovitaminose B12 et le reste du bilan étiologique dans la norme. HTA traitée Ostéoporose fracturaire (clavicule G, bassin), sous aclasta 1x/an. HTA Hernie hiatale. Scoliose Sciatalgies gauches non déficitaires. Ostéoporose fracturaire • fracture du métatarse IV gauche et arrachement talo-calcanéen le 26.07.2018 Ostéoporose fracturaire le 30.10.2018 Ostéoporose fracturaire • traitement par Bonviva 3 mg i.v. le 21.09.2018 • Vitamine B12, Calcimagon D3, Miacalcic (suivi en rhumatologie) Possible polyneuropathie sensitive des MI (investiguée en 2016, Dr. X - neurologue) : • ENMG montrant une polyneuropathie sensitive • Hypovitaminose B12 et le reste du bilan étiologique dans la norme. Hypertension artérielle traitée Ostéoporose fracturaire • traitement par Bonviva 3 mg i.v. le 21.09.2018 • Vitamine B12, Calcimagon D3, Miacalcic (suivi en rhumatologie) Possible polyneuropathie sensitive des MI (investiguée en 2016, Dr. X - neurologue) : • ENMG montrant une polyneuropathie sensitive • Hypovitaminose B12 et le reste du bilan étiologique dans la norme. Hypertension artérielle traitée Ostéoporose le 21.11.2018, avec : • fracture-tassement L3 ancienne atraumatique • aspect ostéopénique des corps vertébraux Ostéoporose probable • Laboratoire du 30.11.2018 : 25OH-Vitamine D2-3 44 nmol/l, Ca2+ 2.13 mmol/l, phosphatase alcaline 72 UI/l, PTH norme Ostéoporose sévère avec chutes à répétition avec : • thoracalgies diffuses d'allure mécanique. • contusion du genou et décompensation gonarthrosique (16.10.18). • ancienne fracture L1/L3 non datée. • fracture des branches iléo-ischio-pubiennes (08.2017). Lombalgies sur ostéoporose fracturaire (tassements D12 et L4 récents et L1 et L3 anciens) dans un contexte de chutes à répétitions. ECG, laboratoire. Radiographie rachis lombaire : • 14.11.18 : tassements D12 et L4 nouveaux par rapport au comparatif du mois d'octobre 2017. • 19.11.18 : fractures stables. Attitude : • Antalgie par Fentanyl patch (12 mcg/j puis 25 mcg/h dès le 20.11.18), Dafalgan et Novalgine. • Physiothérapie à visée antalgique. • Réhabilitation à Valmont pour poursuite de physiothérapie en vue d'un retour à domicile sécure. Ostéoporose sous Forsteo Ostéoporose sous traitement par Prolia, arrêté. Ostéoporose traitée par Raloxifène Ostéoporose • 2 injections/année de Prolia depuis 2016 (Dr. X, rhumatologue) Hypoacousie G. Cervicalgies chroniques. Reflux gastro-oesophagien. Hyperplasie bénigne de la prostate. Malnutrition protéino-énergétique. Cardiopathie hypertensive et rythmique • Fibrillation auriculaire diagnostiquée le 16.02.2018 • CHADS-VASc Score : 3 points • HAS-BELD-Score : 5 points • ECG 01.10.2018 : bradycarde FA 67/min, axe G, QTc 450 ms, changement R/S en V4, persistance de S en V6, pas de modification du segment ST. • Ad adaptation traitement : Torem 5 mg • ECG 16.02.2018 : bradycarde FA, 56/min, axe gauche, QT 555 ms, pas de modification du segment ST • Consilium Dr. X du 16.02.2018 sur risque de saignement estomac dans le cadre de consommation alcoolique Ostéoporose Cardiopathie rythmique avec pacemaker depuis 2019 Ostéoporose. État dépressif. Ostéoporose HTA HCL Diminution de longueur de MIG congénitale (chaussures orthopédiques) Ostéoporose HTA HCL Diminution de longueur de MIG congénitale (chaussures orthopédiques) Masse médiastinale de 4.4 x 3.9 cm dans le médiastin supérieur • probable goitre plongeant Ostéoporose. HTA. HCL. Diminution de longueur du membre inférieur gauche congénitale (chaussures orthopédiques). Masse médiastinale de 4.4 x 3.9 cm dans le médiastin supérieur. • probable goitre plongeant. Ostéoporose. Hyperlipidémie. Ostéoporose Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée Ostéoporose. Hypothyroïdie d'Hashimoto substituée. Ostéoporose Syndrome tachycardie-bradycardie avec syncope et fibrillation auriculaire le 11.03.2009 • Pose de pacemaker AI DDIR le 12.03.2009 (Dr. X) Tachycardiomyopathie avec dysfonction ventriculaire gauche et insuffisance mitrale modérées Ostéosuture selon Hawkins du trochiter, humérus G le 08.12.2018 : • Luxation gléno-humérale G antéro-inférieure et fracture déplacée du trochiter, humérus G le 04.03.2012 (premier épisode). Luxation gléno-humérale antéro-inférieure G, 2ème épisode, avec déplacement secondaire du trochiter le 08.03.2017 OP de type Scopolino en 1988 avec reprise en 1996. TVP il y a plus de 10 ans Amygdalectomie dans l'enfance. Ostéosynthèse cervicale post-traumatique sans précision Ostéosynthèse de la malléole externe D en 2000 Cure d'hémorroïdes en 2003 Dupuytren D, cure en 2006 Cataracte opérée en 2009 Péridiverticulite avec abcès en 2009 Ostéosynthèse de la malléole externe droite Ulcère de la plante du pied gauche (résolu et suivi en diabétologie) Ostéosynthèse du sustentaculum tali à D par une vis, filetage partiel et canulée Pedus 4.0. (OP le 30.11.2018) Ostéosynthèse d'une fracture multifragmentaire pilon tibial jambe G le 30.10.2015 • Ablation matériel prothétique du pilon tibial G le 29.11.2016 • Raccourcissement du tendon d'Achille D et fasciite plantaire D chronique • Arthrodèse de l'articulation tibio-astragalienne et sous astragalienne avec plaque antérieure D avec AMO partielle D le 15.11.2018 (Clinique Moncor) Ostéosynthèse en mini open du tibia par plaque métaphysaire LCP 3.5/4.5 12 trous. Ostéosynthèse du péroné par plaque LCP 3.5 tiers-tube 8 trous. Botte plâtrée pour 6 semaines, transferts lit-fauteuil. Clexane dès 6 heures post-opératoires durant 6 semaines. Ablation des sutures en policlinique d'orthopédie à la consultation du Dr. X le 11.12.2018 à 9h 30 Confection d'une botte de décharge circulaire en policlinique d'orthopédie après ablation des fils. Contrôle à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines post-opératoires, le 08.01.2019 à 9h 45. Ostéosynthèse en mini-invasif avec fixation par plaque F3 du calcanéum D le 13.09.2018 sur une fracture du calcanéum, type joint depression multi-fragmentaire du pied D. Ostéosynthèse en position anatomique avec matériel d'ostéosynthèse en place et évolution favorable malgré la raideur encore présente. Physiothérapie pour mobilisation active et passive et renforcement musculaire progressive. Anti-inflammatoire selon nécessité. Prochain contrôle dans 6 semaines. Ostéosynthèse fémur proximal gauche par clou centromédullaire PFN A (11 mm x 240 mm, lame cervicale 95 mm à 130°) le 09.03.2012 Probable AIT sylvien droit le 18.07.2011 Prothèse totale du genou gauche (clinique X, Dr. X) en 2008 et droite (Clinique Y) en 2007 avec gonalgies résiduelles à gauche Strumectomie en 1974 Appendicectomie non datée Ostéosynthèse humérus proximal à gauche par plaque Philos et plaque Aptus avec ténotomie ténodèse du long chef du biceps et réinsertion des rotateurs sous-scapulaires sous-épineux et sus-épineux le 21.11.2017 sur fracture 4 parts comminutive de l'humérus proximal gauche avec lésion de la coiffe des rotateurs sous-épineux totale et sous-scapulaire à 50% avec instabilité du long chef du biceps.Status post infiltration de l'épaule G le 16.10.2018. Ostéosynthèse humérus proximal à gauche par plaque Philos et plaque Aptus avec ténotomie ténodèse du long chef du biceps et réinsertion des rotateurs sous-scapulaires sous-épineux et sus-épineux le 21.11.2017 sur fracture 4 parts comminutive de l'humérus proximal gauche avec lésion de la coiffe des rotateurs sous-épineux totale et sous-scapulaire à 50% avec instabilité du long chef du biceps. Status post infiltration de l'épaule G le 16.10.2018. Ostéosynthèse 5ème doigt D dans l'enfance. Contusion Main et poignet D avec: • Plaie superficielle de 0.8 cm pulpe phalange distale index D. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. Otalgie. otalgie. otalgie. otalgie. Otalgie à droite. Otalgie bilatérale cette nuit avec inappétence et asthénie ce jour. Sans fièvre. Otalgie D. Otalgie D. Otalgie d'origine probablement virale le 23.12.2018. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite. Otalgie droite isolée, à suivre. Otalgie droite, sensation de baisse de l'audition. Otalgie et hypoacousie sur obstruction de la trompe d'Eustache dans un contexte de rhinite. Otalgie, état fébrile. Otalgie, état fébrile. Otalgie G. Otalgie Gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche. Otalgie gauche d'origine peu claire, le 18.03.2018. Probable granulome apical dent 22 le 10.03.2016. AVP, 01.2007. Gastrite, gastroscopie 01.2007. Sigmoïdectomie avec anastomose colo-rectale termino-terminale et surrénalectomie droite pour Incidentalome en 2006. Douleur au niveau du pied gauche avec tuméfaction localisée en 2014. Gastrite sans signe de gravité. Plaques érythémateuses prurigineuses migrantes d'origine indéterminée. • DD: urticaire multiforme, érythème annulaire. Algiurie et pollakiurie récidivantes. otalgie virale droite. Otalgies. Otalgies. Othématome à droite suite à un traumatisme crânien sans perte de connaissance le 08.12.2018 sous Clopidogrel. Otite à l'âge de 18 ans. Abcès dentaire en regard de la dent 38 le 06.09.2017. État dépressif avec fatigue chronique depuis 1 mois. Examen clinique. Laboratoire. Suivi chez un psychiatre à organiser par le MT. Malaise avec PC, mais sans TC ni AC sur hypotension orthostatique. Test de Shellong: positif. Hydratation à domicile. Constipation depuis 4 jours. Traitement avec Movicol à la maison. Suivi chez le MT. Pyélonéphrite droite simple à E.Coli sensible à la ciprofloxacine. • loge rénale douloureuse. • bactériurie avec pyurie et microhématurie, nitrites positifs. Examen clinique. examen laboratoire. Rocéphine 2 g iv aux Urgences. Ciprofloxacine 500 mg 2x/jour dès le 06.07.2018 à midi pour 7 jours. Pister la culture d'urines chez le médecin traitant pour adapter l'antibiothérapie si nécessaire. Otite aigue droite avec évolution défavorable. Otite aigue il y a un mois. Otite bilatérale. Otite bilatérale moyenne non perforée. Otite bilatérale perforée à droite. Otite bilatérale résistante aux céphalosporines 2 e génération. Otite bilatérale résistance aux céphalosporines 2 e génération. Otite congestive bilatérale. Otite congestive bilatérale. Otite débutante. Otite débutante. Otite débutante droite. Otite droite. Otite droite débutante. Otite droite débutante. Otite droite débutante. Otite droite débutante. Otite droite débutante. AINS en systématique et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Explication de signes de gravité qui peuvent faire l'enfant consulter aux urgences (altération de l'état général, écoulement auriculaire). Otite droite moyenne non compliquée. otite droite moyenne non compliquée. Otite droite sans perforation. Otite externe D, probable serotympanome D et dépôts cire CAE D. Otite externe droite. Otite externe droite. Otite externe droite. Otite externe droite le 23.12.2018. Otite externe et moyenne le 22.08.2018 traité par Ciproxine durant 7 jours. Entorse radio-carpienne gauche le 11.10.2018. • sur chute avec mécanisme d'hyperextension il y a 3 semaines. Otite externe et moyenne le 22.08.2018 traité par ciproxine 7j. Entorse radio-carpienne gauche le 11.10.2018. • sur chute avec mécanisme d'hyperextension il y a 3 semaines. Otite externe G. Otite externe G. Otite externe gauche. Otite externe gauche. Otite externe gauche. Otite externe gauche débutante (dd douleurs dentaires irradiantes). Otite externe gauche non compliquée. Otite externe non compliquée. otite externe probablement virale. Sensation d'oreille pleine suite à une otite moyenne aiguë. otite externe probablement virale. Sensation d'oreille pleine suite à une otite moyenne aiguë. Otite G débutante qui complique une IVRS. Otite gauche. Otite gauche débutante. Otite gauche débutante. Otite gauche débutante. otite il y a un mois. Otite média aiguë gauche. Otite médiane sous amoxicilline depuis 24.12.2018. Otite moyen aigue. Otite moyenne à gauche. Otite moyenne à gauche débutante. Otite moyenne aigu D. Otite moyenne aigue. Otite moyenne aigue. Otite moyenne aiguë à droite. Otite moyenne aigue à gauche. Otite moyenne aigue à gauche. otite moyenne aiguë à gauche. Otite moyenne aiguë avec otorhée purulente. Otite moyenne aigue avec otorrhée purulente à gauche. Otite moyenne aigue bilatérale. Otite moyenne aiguë bilatérale. Otite moyenne aigüe bilatérale. Otite moyenne aigüe bilatérale. Otite moyenne aigue bilatérale avec écoulement purulent vs otite externe mycotique. Otite moyenne aigüe bilatérale avec otorrhée purulente à droite. Otite moyenne aïgue bilatérale chez enfant à otites fréquentes. Otite moyenne aigue bilatérale D>G. Otite moyenne aiguë bilatérale, perforée à droite. Otite moyenne aiguë dans contexte de traitement immunosuppresseur après greffe pulmonaire pour mucoviscidose le 30.12.2018. Otite moyenne aiguë débutante à droite. Otite moyenne aigue débutante à gauche. Otite moyenne aiguë débutante bilatéralement. Otite moyenne aigue D>G. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aigue droite. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aigüe droite. otite moyenne aiguë droite. Otite moyenne aigue droite débutante. Otite moyenne aigue droite débutante.Otite moyenne aiguë droite perforée Otite moyenne aiguë droite perforée d'évolution défavorable, suivi par ORL de l'HFR Otite moyenne aiguë droite perforée en cours de traitement avant l'hospitalisation Otite moyenne aiguë droite virale Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche Otite moyenne aiguë gauche dans le cadre d'une IVRS : Otite moyenne aiguë gauche débutante Otite moyenne aiguë gauche non compliquée Otite moyenne aiguë gauche perforée Otite moyenne aiguë le 22.11.2015, premier épisode. Otite moyenne aiguë le 28.02.2017 Antalgie simple Contrôle chez le médecin traitant le 02.03.2017 Otite moyenne aiguë perforée à droite Otite moyenne bilatérale Otite moyenne bilatérale avec écoulement purulent abondant Otite moyenne bilatérale et otite externe gauche le 01.12.2018 chez patient pilote de ligne connu pour des otites récidivantes. Otite moyenne bilatérale non compliquée Otite moyenne bilatérale non compliquée non purulente Otite moyenne bilatérale non perforée Otite moyenne bilatérale non purulente Otite moyenne débutante Otite moyenne débutante droite Otite moyenne droite. Otite moyenne droite non compliquée Otite moyenne droite non perforée Otite moyenne gauche Otite moyenne gauche : bombement du tympan Otite moyenne gauche bactérienne DD post-traumatique Otite moyenne gauche le 26.12.2018 Otite moyenne non compliquée à droite Otite moyenne non perforée Otite moyenne perforée Otite moyenne perforée droite le 26.12.2018. contexte de otite moyenne chronique perforée dans contexte de tympanosclérose avec perforation subtotale opérée le 11.2017. Otite moyenne purulente Otite moyenne purulente non perforée Otite moyenne séro-muqueuse à droite Otite moyenne virale Otite moyenne virale bilatérale Otite perforée à droite Otite perforée droite Otite perforée gauche Otite séro-muqueuse gauche Otite séro-muqueuse gauche sur infection des voies respiratoires supérieures. Otite virale le 24.12.2018. avec symptomatologie d'orthostatisme et présyncope vaso-vagale. DD : otite bactérienne aiguë débutante. otites à répétition Otites à répétition drain tympanique Otites bilatérales Otites moyenne bilatérale Otites moyennes aiguës bilatérales otites moyennes en répétitions OP 2016 végétation et Paracentèse. Otites 2-3x l'année dernière Otorrhée Otorrhée D probablement résiduelle à un status post OMA D avec otorrhée traitée par antibiotique jusqu'au 18.05.2017 Otosclérose bilatérale opérée 1975 Opération des varices 1990 TURP 2009 AVC régressif sylvien gauche mars 2004 AIT sylvien droit juillet 2004 TVP gauche 2005 Trauma crânio-cérébral et HSD aigu 12.2012 Opération tunnel carpien 2014 Cataracte opérée ddc 2015 Otoscopie aux urgences: tympan non visible (a mis un produit dans son oreille). Poursuite de l'antibiothérapie débutée par le médecin traitant. Consultation en ORL ce jour. Otoscopie bilatérale Cérumenol et rinçages réguliers à l'eau tiède Déconseillée l'utilisation de coton-tige Otoscopie: sang coagulé dans le CAE sans visualisation de la membrane tympanique. Weber latéralisé à droite. Rinné positif ddc Traitement symptomatique avec évolution favorable Otrivin spray nasal pour 4 jours. Ouate hémostatique Bepanthen onguent nasal Le secret Consilium ORL demandé Ovaires polykystiques Hypothyroïdie substituée. Ovariectomie bilatérale en 2016. Hystérectomie en 1998. Traumatisme crânien mineur avec perte de connaissance brève. DD : vagal, orthostatique, trouble du rythme. Overlap syndrome Asthme-BPCO HTA Sténose L3-4 (IRM 2016) Consommation d'alcool à risque Oesophagite HBP Syndrome métabolique Ovule + crème pendant 4-5 jours. Oxazépam le 02.12.2018 Haldol en réserve Oxybuprocaïne goutte; ordre médical du Dr X. Vu avec Dr X; Pansement ophtalmique œil G, reçoit en réserve Dafalgan 1g 2 comprimés et Brufen 400 mg 2 comprimés. Vitamine A. Oxybuprocaïne gouttes. Vitamine A. Cache œil. Rendez-vous en ophtalmologie le lendemain. Oxybuprocaïne. Vitamine A. Pansement occlusif. Oxycodone retard 20 mg PO q12h dès le 15.10.2018 Gabapentine 300 mg PO q8h dès le 16.10.2018 Bilan biologique le 16.10.2018 Electrophorèse des protéines le 16.10.2018 IRM lombaire le 16.10.2018 Infiltration sous CT à rediscuter après avis neurochirurgical: foraminal L4-L5 ou hiatus sacré Oxycodone retard 5 mg q12h dès le 04.10.2018 Prednisone 10 mg q24h dès le 04.10.2018 puis 5 mg dès le 11.10 Bilan biologique le 04.10.2018 -FSC, CRP, VS -B12, folates, Thiamine -TSH -HbA1c Electrophorèse des protéines et immunofixation le 08.10.2018 ECG-12 pistes le 04.10.2018 Radiographie thoracique face-profile le 05.10.2018 Fonctions pulmonaires complètes le 10.10.2018 Oxycodone 10 mg q12h Methylprednisolone 125 mg IV le 26.09.2018 HLA-B27: négatif Facteur rhumatoïde le 26.09.2018 Bilan biologique le 18.09.2018 -CRP à 7 mg/dL, VS à 65 mm/h -Tests hépatiques -IgG4 à 1.04 g/L Electrophorèse des protéines le 21.09.2018 PET-CT le 24.09.2018 IRM lombaire en novembre 2017: doute sur sacro-ilite IRM cervicale demandé en ambulatoire: recherche d'enthésite cervical (à pister) Bilan pré-biologique le 21.09.2018 -Radiographie thorax -Sérologies ROR, VZV -Tests hépatiques Suivi rhumatologique: Dr X Oxycodone 5 mg q4h le 20.08.2018 au 21.08.2018 Morphine 5 mg PO q6h depuis le 21.08.2019 Morphine 5 mg SC en réserve MST 20 mg PO q12h dès le 02.10.2018 Pregabaline 50 mg CT thoraco-abdominale le 19.08.2018 (Meyriez): pas d'appendicite IRM lombaire et bassin le 26.09.2018 Infiltration péri-radiculaire de racine L4 sous guidage CT le 03.10.2018 Oxygène à 40% de 6-8 min à 12-16 min de vie Oxygénothérapie Oxygénothérapie à domicile à 2 l/min Ventolin 0.5 ml 4x/j dès le 30.11.2018 Spiriva 18 µg depuis le 22.11.2018, puis mis en pause le 17.12.2018 Ad Atrovent 250 µg 4x/j dès le 17.12.2018 Oxygénothérapie à haut débit Cyanokit 5 g le 16.12.2018 Oxygénothérapie au besoin Oxygénothérapie du 11.12.2018 au 14.12.2018 Pose de drain thoracique CH 20 le 12.12.2018 Oxygénothérapie. Gazométrie. Rx thorax. Oxygénothérapie. Lasix. Torasemide 5 mg. Oxygénothérapie pour SpO2 90-98% Rinçage du nez au besoin Ventolin en réserve Physiothérapie respiratoire 2 x/jour Bilan sanguin: FSC, CRP, bilan cardiaque/rénal/hépatique, gazométrie le 14.12.18 Avis cardiologique (Dr X) le 14.12, échocardiographie la semaine prochaine à sa consultation (jeudi 20.12 à 9h30) Oxygénothérapie. Traitement bronchodilatateur par Ventolin et Spiriva. Oxygénothérapie 2 l/min. Majoration du Torem à 10 mg jusqu'au 17.12.2018, puis 5 mg. Oxygénothérapie CT Scan thoracique 03.12.2018 Co-amoxicilline du 29.11.2018 au 05.12.2018 Clarithromycine du 04.12.2018 au 06.12.2018 Drain thoracique G du 06.12 au 08.12.18 Avis chirurgical (06.12.18) Rx thorax (07.12.18) : pneumothorax gauche sans shift médiastinal Rx thorax face (07.12.18) : résolution du pneumothorax Rx thorax (08.12.18) : minime pneumothorax gauche résiduel < 4 mm post ablation de drain Oxygénothérapie Gazométries Majoration de la Prednisone à 40 mg/j Majoration du traitement diurétique de Lasix 40 mg 2x/j Surveillance en lit d'observation aux urgences HFR Riaz (MEDU) le 17.12.2018 pour ventilation non invasive le 17.12.2018 Oxyure Oxyure Oxyures Oxyures Oxyurose Oxyurose. O2 en griffe pied gauche. O2 pour saturation > 90 % Bilan hydrique Pabal 100 mg Pacemaker endoveineux provisoire fémoral D du 26.11.2018 au 27.11.2018 Pacemaker le 13.12.2018 Pacemaker le 13.12.2018, Contrôle Rx thorax et pace maker le 13.12.2018 PADUA score à 3 points • Obésité • Immobilité • Maladie inflammatoire PADUA score à 5 points • indication à anticoagulation palie Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs au repos calmes, péjorées dès le lever pour devenir handicapantes ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue majorée par la douleur ; Somnolence dort bien ; Inappétence majorée par la douleur ; Autre gêne liée à la fistule très importante Barthel Index : 90 % Palliative Performance Scale : 70 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit avec son époux dans une maison pratique qu'ils ont construite en pensant aux éventuelles adaptations liées à la maladie. A deux enfants et des petits-enfants, se dit bien entourée par ses parents, des amies. Mme. Y aime bouger, être active, à l'extérieur. Aime travailler de ses mains, apprécie le contact mais aime aussi s'occuper d'elle-même seule (aller au cinéma ou manger seule). Apprécie les thérapies corporelles. La situation de la maladie est particulièrement difficile pour ses parents, qui ont déjà perdu un fils à l'âge de 40 ans, frère de Mme. Y. Projet du patient / des proches : Diminuer un peu la souffrance, rêve de pouvoir remarcher, refaire des balades. Comment le patient souhaitet-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Pas évoqué. En raison de son travail, Mr. Y n'est pas toujours à la maison, doit parfois travailler la nuit. Mme. Y est hospitalisée du domicile pour gestion d'antalgie dans un contexte de douleurs péjorées réfractaires au Buprenorphine et d'écoulements vaginaux sur fistule ano-vaginale. Pour rappel, elle a présenté durant les derniers mois des saignements digestifs très conséquents à répétition, ayant motivé l'arrêt de toute chimiothérapie au profit d'une prise en charge symptomatique exclusive. Au moment du transfert, Mme. Y rapporte des douleurs diffuses dans le ventre et bas-ventre, marquées au niveau du bassin et irradiant au niveau de la peau de la cuisse gauche. Elle explique souffrir d'écoulements de selles au niveau vaginal, source d'intenses brûlures. Nous notons un phénomène d'allodynie au niveau cutané sur douleurs neuropathiques. La problématique de la fistule nous est connue car Mme. Y fréquente depuis peu notre accueil de jour, un contrôle chez le gynécologue traitant ayant déjà été organisé. Sur le plan général, l'état de Mme. Y est conservé. Nous proposons une première adaptation de l'antalgie par Fentanyl en pompe CAD au vu des accès douloureux paroxystiques et des doses maximales administrées par patch de Buprenorphine. Cette dernière a un relativement bon effet au prix d'un surdosage intermittent avec somnolence et signes discrets de neurotoxicité, que Mme. Y préfère tolérer plutôt que de risquer un sous-dosage. Face à la problématique de la fistule, nous contactons nos collègues chirurgiens qui proposent une colostomie de décharge. La fistule s'étant formée dans du tissu tumoral prétraité et friable, une intervention proctologique est exclue. Lors du bilan radiologique pour évaluer l'opérabilité de Mme. Y, un abcès péri-iliaque est découvert fortuitement. Nous adaptons l'antibiothérapie prophylactique par Augmentin pour l'administrer IV afin de couvrir ce foyer infectieux, contribuant probablement à la symptomatique rapportée. En parallèle, les divers intervenants de l'équipe sont impliqués dans la prise en charge interdisciplinaire en ciblant les besoins et rythmes de Mme. Y. Un transfert en chirurgie viscérale a lieu le 13.12.2018 à l'HFR Fribourg - Hôpital Cantonal en vue d'une intervention chirurgicale. Selon l'évolution postopératoire, un retransfert à la Villa St-François est anticipé pour suite de prise en charge et organisation d'une antalgie compatible avec un retour à domicile. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs aux transferts principalement, au niveau lombo-sacré ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Fatigue en progression ; Somnolence dort bien ; Inappétence appétit conservé ; Anxiété se dit sereine ; Autre constipation. Barthel Index : 70 % Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y est connue de notre service. Divorcée d'un premier mariage avec enfants (et petits-enfants), son 2ème compagnon est décédé après 13 années de vie commune heureuses. Mme. Y se décrit comme une battante, apprécie les contacts avec ses enfants, aime s'occuper seule. Elle avait un magasin de laine en ville qu'elle a remis. Être indépendante dans les AVQ est essentiel à ses yeux. Projet du patient / des proches : Améliorer l'antalgie, profiter du cadre de la villa, redoute de perdre son indépendance, redoute une progression inattendue de la maladie. Comment le patient souhaitet-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Pas évoqué. Mme. Y, connue de notre service, est hospitalisée électivement depuis son domicile pour gestion d'antalgie dans un contexte d'adénocarcinome du sein métastatique. Au moment de l'entrée, elle rapporte une douleur péjorée depuis quelques semaines, invalidante, la forçant à rester le plus souvent alitée. Elle note l'apparition d'une boule au niveau sacré. Cliniquement, nous notons une sensibilité au niveau lombaire et au niveau du sacrum avec une protubérance très algique que nous interprétons comme une métastase osseuse active. La démarche est algique et Mme. Y est limitée sur le plan fonctionnel. Nous contactons nos collègues de la radio-oncologie afin d'explorer la possibilité de traiter ces douleurs osseuses. Nous adaptons l'antalgie mais devons conserver un fond d'AINS, que Mme. Y arrive à gérer seule à raison de 1 à 2 comprimés de 400 mg d'Ibuprofène par jour. Sur avis de l'oncologue traitant, nous dosons les marqueurs tumoraux qui illustrent une relative stabilité biochimique. Le Dr. X maintient l'indication au traitement, bien supporté par ailleurs. Parallèlement, Mme. Y apprécie le cadre de la Villa, dont les divers intervenants sont impliqués dans la prise en charge globale. Sur le plan fonctionnel, sous AINS par intermittence et Morphine retard, elle arrive à être autonome dans ses déplacements et les AVQ. Elle n'estime pas avoir la nécessité d'autre soutien que celui de Voltigo, déjà impliqué. La radiothérapie est débutée durant le séjour et se poursuivra en ambulatoire. Mme. Y peut rejoindre son domicile le 19.12.2018. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs non ; Dyspnée non ; Nausée non ; Fatigue moyenne ; Somnolence nuits difficiles à l'hôpital ; Inappétence peu d'appétit car difficulté à avaler ; Anxiété : grandes angoisses relatives au transfert ; Dépression tristesse/colère quant à sa situation, se dit que c'est sa faute ; Autre difficulté à avaler (sténose oesophagienne) Barthel Index : 40% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y a deux filles et un ami, elle vit seule dans un appartement. Mme. Y est croyante (catholique), sa foi la renforce. Elle aime être tranquille mais apprécie aussi les moments d'échanges. A travaillé comme veilleuse en EMS, puis dans une cafétéria. • Projet du patient / des proches : Aimerait retrouver un semblant de vie normale, dit que si sa qualité de vie ne s'améliore pas, elle préfèrerait encore être euthanasiée. • Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Cite ses proches comme référents. Mme. Y nous est adressée par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Riaz pour suite de prise en charge dans un contexte de carcinome oesophagien avec plusieurs complications récentes (cholangite, anasarque, cf lettre de nos collègues) Au moment du transfert, Mme. Y explique vouloir retrouver de la qualité de vie, elle ne se voit pas rentrer chez elle avec une sonde naso-gastrique. Elle regrette avoir perdu la capacité à s'alimenter normalement (texture), alors que c'était un plaisir important pour elle. Au niveau du status, nous trouvons l'état général de Mme. Y modérément réduit. Lors de nos échanges, en évoquant les avantages et inconvénients des traitements actuels et futurs, Mme. Y se questionne s'il est possible d'y renoncer. Nous proposons d'essayer de sevrer l'alimentation entérale afin de voir si l'appétit en est amélioré. Lors d'un colloque familial quelques jours plus tard avec ses filles, Mme. Y nous annonce vouloir faire appel à EXIT, ses filles se disent prêtes à l'accompagner dans ce sens. Nous convenons de retirer la sonde nasogastrique. Des démarches par rapport à cette demande de suicide assisté sont entreprises par les filles de Mme. Y. Cette dernière insiste sur l'importance de partir avant Noël, que la perspective de vivre les fêtes lui pèse. Nous essayons d'explorer les alternatives avec Mme. Y mais elle ne souhaite pas envisager un autre point de vue. L'état de Mme. Y se dégrade toutefois après une semaine avec la survenue d'une baisse de l'état de conscience et d'un état confusionnel hypoactif. Nous focalisons les traitements sur la symptomatique et limitons les médications au vu d'une possible neuro-toxicité. L'évolution spontanée de la maladie soulage les filles face à l'organisation d'un suicide assisté qui n'est plus envisageable. Mme. Y décède le 20.12.2018 durant la nuit à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs pas décrites spontanément, rapporte à l'examen clinique des crampes. Dyspnée non. Nausée pas actuellement, dernier vomissement il y a 2 semaines, semble-t-il (selon elle). Somnolence difficulté à s'endormir au Cantonal. Inappétence dit avoir bon appétit, regrette d'avoir été mise à jeûn. Sensation de mal-être - se sent bien, y compris moralement. Barthel Index : 35% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit à la Villa Beausite, où elle connaît beaucoup de monde, est divorcée, 3 enfants, 7 petits-enfants, apprécie le contact, écrire des lettres, tricoter, ne s'ennuie jamais, a fait une école de commerce, puis a travaillé à temps partiel dans le service des curatelles, travail qu'elle aimait beaucoup. Mme. Y a toujours eu le contact facile avec les gens. • Projet du patient / des proches : Vivre encore, profiter des petits-enfants, rentrer pour Noël à la Villa Beausite. • Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Cite un grand nombre de proches et amies. Mme. Y nous est adressée par nos collègues de la médecine interne pour suite de prise en charge dans un contexte d'iléus obstructif sur cancer digestif. Au moment du transfert, Mme. Y déclare se sentir bien, n'avoir plus vomi récemment. Elle a repris une alimentation selon envie et boit spontanément. Nous notons un état général conservé et un transit présent. À l'auscultation, des bruits digestifs vifs signalent un passage difficile mais possible. Mme. Y apprécie le cadre de la Villa et de rencontrer les divers intervenants, même si elle s'ennuie de ses connaissances à Beausite. En discutant avec Mme. Y et après contact avec l'équipe soignante de la Villa Beausite et du médecin référent, nous adaptons les traitements pour faciliter la prise en charge dans le lieu de vie habituel de Mme. Y. Nous impliquons l'équipe Voltigo pour un accompagnement ambulatoire. Un essai de relais du Buscopan en per os s'avère infructueux avec récidive des vomissements, nous privilégions une administration parentérale ; un nouvel essai de passage per os à distance pouvant être le cas échéant ré-évalué. Nous pouvons laisser Mme. Y rejoindre la Villa Beausite le 14.12.2018. Palliative Basic Assessment : d'entrée ESAS : Douleurs 2/10 : douleurs abdominales épigastriques bien soulagées par Fentanyl 360 mcg/jour en sous-cut en continu ; Dyspnée 0/10 : patiente confortable en position allongée à 30° ; Nausée 1/10 : nette amélioration depuis 24h avec l'introduction d'Haldol et nozinan ; Fatigue 4/10 ; Somnolence 4/10 : la patiente décrit une somnolence accrue depuis introduction Nozinan le 06.11.2018, la gêne beaucoup et souhaite être plus réveillée pour ses visites ; Inappétence absence d'alimentation po ou iv ou entérale depuis 1 semaine (elle a vomi sa sonde nasogastrique le 31.10.2018), pas de sensation de faim à son entrée ; Anxiété a eu des horribles cauchemars cette nuit ; Dépression 0/10 ; Sensation de mal-être elle décrit des hauts et des bas, avec ce jour le 07.11.2018 un bon moral ; Autre dernière selles il y a 3 jours, pas de passage de gaz selon Mme. Barthel Index : 20 pts Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : patiente mariée, 3 enfants, son époux très proche et un frère ; • Projet du patient / des proches : RAD si possible RDV le 16.11.2018 avec Dr. X pour discuter suite de prise en charge oncologique ; • Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : la famille veille Mme. Y quasi en continu Mme. Y est transférée à la Villa St François le 07.11.2018 pour suite de prise en charge. Nous accueillons une patiente cachectique avec un PPS à 40% à son entrée. À son arrivée, elle se plaint principalement d'une asthénie générale ainsi que d'une somnolence accrue suite à l'introduction du Nozinan. Nous stoppons alors le Nozinan et introduisons le Temesta qui est mieux toléré. Elle présente également dès son entrée un iléus et des nausées importantes pour lesquels nous complétons le traitement anti-émétique. Le drain abdominal est retiré le 13.11.2018 au vu de la stabilité clinique et de l'absence de drainage depuis plusieurs jours. Le 18.11.2018, nous observons une recrudescence des douleurs abdominales en hypochondre droit associée à un Murphy positif et une défense localisée. Face à la suspicion d'une récidive de cholécystite et un certain inconfort de Mme. Y, nous reprenons une antibiothérapie intraveineuse. Toutefois, à partir du 27.11.2018, la patiente présente une péjoration progressive de son état clinique. À la demande de la patiente et de sa famille, la patiente bénéficie d'une consultation d'onco-génétique le 26.11.2018 avec la proposition de rechercher un syndrome de Lynch. Le prélèvement sanguin est effectué le jour même. La suite du séjour est focalisée sur l'adaptation des traitements selon l'évolution clinique de Mme. Y, qui se dégrade lentement et s'accompagne finalement d'un état de conscience réduit. Nous soutenons la famille dans le processus de deuil anticipé.Mme. Dupré décède entourée de l'ensemble de sa famille le 21.12.2018 au petit matin à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : à son arrivée dans le service, insupportables, après traitement 3-4, supportables ; Dyspnée : non ; Nausées : si traitées non ; Fatigue : importante ; Somnolence : présente durant l'entretien ; Inappétence : mange peu ; Anxiété : non ; Sensation de mal-être résolue après l'antalgie ; Autre : pas de selle > 48h Barthel Index : 40% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y vit à domicile, était chauffeur poids lourds, a une fille et est marié, a une sœur en Suisse. Mme. Y et leur fille s'occupent de Mr. Y de manière rapprochée. Si Mr. Y va mal, elles souffrent aussi. Mr. Y est sportif, s'est battu en continu depuis le début de la maladie, aime la montagne, courir (marathons) ; Projet du patient / des proches : Être confortable (douleurs). Ils ont le projet d'une immunothérapie expérimentale ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Fille et épouse l'accompagnent à toutes les étapes de la maladie. À l'entrée, Mr. Y, accompagné de son épouse, est extrêmement algique, nécessitant une administration de réserve parentérale. Ils rapportent une asthénie en progression depuis quelques jours, des douleurs ne répondant pas à l'antalgie par morphine et fentanyl, une inappétence importante et une constipation. Nous objectivons une absence de bruits intestinaux, évoquant un transit à l'arrêt complet. Compte tenu du contexte oncologique, nous suspectons initialement un iléus sur obstruction et débutons le traitement ad hoc. L'apparition d'une confusion par la suite motive un bilan biologique avec hypercalcémie sévérissime. Après hydratation et biphosphonates, la valeur se normalise et permet une nette amélioration clinique. L'antalgie est d'abord initiée au Palladon avec bon effet ; un relais par pompe de fentanyl pour favoriser la titration des accès douloureux s'avère inefficace en dépit d'une escalade rapide des doses. Une reprise du Palladon permet un nouveau contrôle de la douleur rapidement. Nous constatons une non-réponse clinique au fentanyl et essayons une antalgie contrôlée par pompe de Palladon avec succès. Cette dernière adaptée et l'état de Mr. Y se stabilisant, nous pouvons envisager un retour à domicile avec Voltigo et un suivi à l'accueil de jour pour l'antalgie et un rendez-vous oncologique chez le Dr. X la semaine suivante. Mr. Y rejoint son domicile le 06.12.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs abdominales à 5/10 en continu qui se péjorent à 10/10 le soir en lien avec ses angoisses, sous forme de spasme. Bon effet du Buscopan. ; Dyspnée 0/10, sauf en cas d'angoisse ; Nausée 0/10 ; Fatigue 8/10 très importante ; Somnolence 4/10 modérée ; Inappétence 4/10 modérée ; Anxiété 7/10 et se péjorant à 10/10 la nuit, peur du noir ; Dépression 10/10 Barthel Index : 90 pts Palliative Performance Scale : 70% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Vit avec sa compagne, a une sœur qui vit à Montpellier avec laquelle il est proche. Le couple n'a pas d'enfant mais a un fils d'un premier mariage. Mr. Y a exercé le métier d'infirmier anesthésique ; Projet du patient / des proches : Pas évalué à son entrée. Mr. Y est un patient de 65 ans connu pour un adénocarcinome pulmonaire et une carcinose péritonéale. Il nous est adressé par son infirmier de Voltigo pour des angoisses nocturnes importantes depuis trois jours devenues incontrôlables à domicile accompagnées d'insomnies et d'une asthénie secondaire. Le patient est désireux de cette hospitalisation ne se sentant plus en sécurité chez lui. Sur le plan psychique, dans les premiers temps, nous adaptons son traitement de Tranxilium à plusieurs reprises sans succès. Face à une persistance de crises d'angoisse, nous introduisons du Nozinan dès le 10.12.2018. Cette adaptation de traitement nous permet également d'arrêter la pompe de Sandostatine dans le même temps. Mr. Y bénéficie également d'une approche multidisciplinaire afin de pallier ses angoisses avec, entre autres, une psychothérapie et des approches manuelles par massage et aromathérapie. Sur le plan digestif, dès son arrivée, Mr. Y présente des douleurs abdominales nociceptives viscérales non contrôlées par une antalgie de MST 80 mcg 2x/jour, antalgie que nous majorons dès le 01.12.2018. À partir du 11.12.2018, nous décidons de passer à de la morphine intraveineuse continue nous permettant une meilleure titration antalgique. Mr. Y présente à partir du 11.12.2018 une péjoration rapide de son état général avec une somnolence marquée ainsi qu'un état confusionnel fluctuant nécessitant l'administration des traitements en intraveineux et la majoration du traitement de Nozinan. Mr. Y décède le 15.12.2018 en compagnie de son amie. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs aux genoux à la marche (arthrose) ; Dyspnée : non ; Nausée : non ; Fatigue en amélioration, intense avant ; Somnolence dérangée par voisins/passages infirmiers à l'hôpital aigu, dort bien à domicile ; Inappétence en amélioration, médiocre avant ; Anxiété se dit très bileuse Barthel Index : 50% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mme. Y vit à domicile dans une maison de plein pied avec son ami, qui est affecté par la situation, il aimerait toutefois que les choses se déroulent comme avant (projet d'organiser des fêtes pour Noël). Mme. Y a été mariée précédemment, 2 enfants, 7 petits-enfants, a l'impression que sa fille ne réalise pas la gravité de son état, son fils est plus inquiet. Mme. Y a travaillé dans une boulangerie, appréciait ce travail. Aime les travaux manuels ; Projet du patient / des proches : Améliorer la situation abdominale (ascite), rentrer à la maison après avoir repris des forces ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Évoque sa famille et belle-famille Mme. Y nous est adressée par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour le suivi de la prise en charge dans un contexte de cholangiocarcinome en progression. Au moment du transfert, Mme. Y rapporte une inappétence et une asthénie. Elle envisage un retour à domicile mais n'arrive pas à se projeter temporellement sur ce dernier. Depuis quelques semaines, elle a développé une augmentation du diamètre abdominal, qui la dérange énormément. Nous objectivons un état général relativement conservé, les bruits abdominaux sont présents mais discrets. L'abdomen est modérément tendu et tympanique. Nous tentons une paracentèse sans succès ; nous suspectons une carcinose péritonéale probablement responsable des symptômes. Les traitements sont adaptés pour un retour à domicile, nos thérapeutes sont impliqués dans la prise en charge. Privilégiant une alimentation plaisir et l'arrêt d'une restriction hydrique pour hyponatrémie, nous constatons une stabilité des électrolytes lors d'un bilan biologique. Nous discutons à plusieurs reprises avec Mme. Y et son partenaire. L'échec de la ponction d'ascite est perçu comme un signe de maladie avancée. La présence de crampes intermittentes, répondant au Buscopan et à la morphine, évoque une composante de sub-iléus probable. Nous constatons avec le couple qu'en dépit de ces signes de progression, l'état général de Mme. Y est stable et compatible avec un retour à la maison. Voltigo est impliqué pour accompagner ce retour et, Mme. Y préférant un suivi oncologique ambulatoire, nous organisons des rendez-vous rapprochés au C4.Mme. Grandjean peut rentrer à domicile le 10.12.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : crampes abdominales ; Nausée : nouvellement apparue, 1x vomissement à domicile ; Fatigue : intense, difficulté à faire des transferts ; Inappétence totale Barthel Index : 25 % Palliative Performance Scale : 30 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : cf précédente hospitalisation, également car connue du service, le retour à domicile a été difficile mais vécu comme une bonne expérience pour Mme. et son compagnon, ce fut important pour Mme. de revoir son chez-soi ; Projet du patient / des proches : Le couple se projette sur le confort, fin de vie semble se rapprocher. Mme. espère avoir un nouveau contact avec sa fille qui ne semble pas réaliser la gravité de la situation ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Mr. est très présent. Mme. Grandjean, connue du service, revient après 72h d'un retour à domicile en raison d'une dégradation de son état. Son compagnon rapporte une faiblesse nouvelle, des vomissements, une incapacité à aller aux toilettes. Malgré la difficulté des derniers jours, le couple considère le retour à domicile comme quelque chose de positif. Nous constatons une nette dégradation de l'état général de Mme. Grandjean. Une parésie du membre supérieur droit évoque un AVC dans le contexte de thrombophilie secondaire à la maladie oncologique. Nous débutons un traitement par Buscopan au vu d'une clinique évoquant fortement un iléus obstructif. Mme. Grandjean se péjore rapidement avec la survenue d'un état confusionnel ; nous anticipons une fin de vie imminente. Elle décède le matin du 15.12.2018 à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : modérées, majorées à la mobilisation à la hanche ; Fatigue : en amélioration ; Inappétence : bon appétit ; Dépression : triste de ne pas rentrer à la maison de suite Barthel Index : 55 pts Palliative Performance Scale : 50 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vient d'Algérie, vit seule dans un appartement, accès par 3 escaliers, son neveu lui porte assistance et sa sœur la visite souvent. Mme. est veuve, son époux est décédé il y a plus de 20 ans. Elle n'a pas d'enfant. Se débrouille dans le quotidien avec l'aide de ses voisins et Voltigo 1x/semaine. A fait des ménages au Collège St-Michel ; Projet du patient / des proches : Rentrer à la maison, guérir les douleurs à la hanche ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Cite sa sœur comme proche qui la visite le plus. Mme. Ourgli nous est adressée par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge suite à une chute avec fracture du bassin traitée conservativement. Au moment du transfert, Mme. Ourgli rapporte une asthénie en amélioration et des douleurs à la charge. La démarche est antalgique et requiert un cadre de marche. Nous notons un état général conservé dans le contexte d'un adénocarcinome métastatique pour lequel un traitement ciblé avait été débuté récemment mais a été mis en suspend lors de l'hospitalisation. L'objectif de Mme. Ourgli est un retour à domicile. Nous adaptons l'antalgie et impliquons les collègues thérapeutes dans la prise en charge. Compte tenu de l'absence d'ascenseur dans son immeuble, nous rencontrons la famille de Mme. pour clarifier l'objectif de la réhabilitation et le réseau nécessaire. Les proches s'engagent à porter assistance à Mme. Ourgli, la condition pour un retour à domicile restant la capacité à réaliser des escaliers de manière sûre. Encouragée par la perspective du retour, Mme. Ourgli progresse dans sa mobilité, gère ses AVQ de manière sécuritaire et arrive à gravir des escaliers. L'antalgie s'avère suffisante et bientôt le cadre de marche n'est plus nécessaire pour la décharge. Nous pouvons organiser un retour à domicile avec introduction d'un passage des soins à domicile 1x/j pour soins de base et gestion des médicaments ; Voltigo étant déjà impliqué dans la situation. Nous prévoyons un rendez-vous ambulatoire chez le Dr. X en oncologie en début janvier 2019 pour contrôle et éventuellement reprise du traitement ciblé. Mme. Ourgli rejoint son domicile le 28.12.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : moyennes ; Dyspnée : présente (mais pas de signe objectivable ?) ; Nausée : un peu ; Fatigue : importante ; Inappétence : ne peut que boire de l'eau ; Anxiété : importante ; Dépression : oui quand il pense à ce qu'il ne peut plus faire ; Sensation de mal-être demande à mourir, à être soulagé Barthel Index : 5 % Palliative Performance Scale : 20 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. vit avec son épouse dans une maison des années 70, ont 2 fils. Les proches accompagnent Mr. dans son projet de ne pas souffrir. Mr. aime le bois, a beaucoup travaillé sur sa maison et en a fait un lieu de vie agréable pour sa famille ; Projet du patient / des proches : Veut que cela s'arrête, veut mourir, veut ne pas souffrir, être soulagé. N'exclut pas de rentrer à la maison, mais préfère avoir un bon suivi là, peur de souffrir ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Dit que son épouse prend des nouvelles, que lui n'est pas forcément au courant Mr. Crausaz nous est adressé par nos collègues de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte d'ischémie terminale du membre inférieur et du bassin en lien avec un carcinome digestif métastatique. Au moment du transfert, Mr. Crausaz rapporte d'emblée un désir de mourir, un ras-le-bol face aux souffrances et il réclame qu'on le soulage. L'antalgie instaurée par nos collègues anesthésistes est selon lui efficace. En voulant clarifier sa demande, nous demandons à Mr. Crausaz s'il pense à faire appel à EXIT ; il nie, considérant que cela causerait trop de souffrance à ses proches. Nous trouvons un patient à l'état général nettement réduit, alité et incapable de s'alimenter. Au vu des complications récentes et de la limitation fonctionnelle de Mr. Crausaz, nous lui proposons une approche purement symptomatique, ce qui lui convient. Suspectant une anxiété péjorée par la situation (selon les actes, Mr. utilisait la commande de PCA aux 5 min), nous débutons un traitement d'anxiolyse avec un bon effet. Nous rencontrons sa famille le 21.12.2018 ; sa femme et son fils se disent au clair avec la situation et abondent dans le désir de Mr. Crausaz. Ce même jour, nous constatons une somnolence pathologique, probablement sur un état confusionnel. Mr. Crausaz décède le 24.12.2018 dans la soirée à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : nihil ; Dyspnée : importante au moindre effort ; Nausée : nihil ; Fatigue : nihil ; Somnolence présente après la prise du traitement de Quétiapine de réserve ; Inappétence : absente avec un très bon appétit ; Anxiété : il s'agit de la plainte principale. Les crises d'angoisse arrivent principalement en milieu de nuit ; Dépression : nihil ; Sensation de mal-être nihil Barthel Index : 60 pts Palliative Performance Scale : 70 % Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Patient marié depuis 60 ans. Fratrie de 18 enfants, il est le numéro 14. Sa mère est décédée en couche. A 4 fils, 7 petits-enfants et 8 arrière-petits-enfants. A été paysan. A 34 ans, il est parti avec ses enfants et son épouse au Canada et y a vécu 17 ans. Retour en Suisse en 1994 pour des raisons familiales. Trois enfants restés au Canada et un fils qui habite en Suisse. Vivent dans un appartement avec soins à domicile 1x/jour ; Projet du patient / des proches : amélioration des traitements anxiolytiques et retour à domicile ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : épouse très présente qui participe énormément à la prise en charge du patient.Mr. Y est un patient de 80 ans, que vous nous adressez pour une adaptation de ses traitements anxiolytiques et antalgiques dans le cadre d'un cancer pulmonaire métastatique. Le patient est connu pour des troubles anxieux depuis des années pour lesquels vous avez essayé de nombreux traitements, mais sans succès, ces derniers s'avérant inefficaces ou non supportés par le patient. Le dernier traitement mis en place est la Quétiapine XR que le patient semble bien supporter. Au vu du contexte, un avis auprès de notre collègue psychiatre est demandé. Il retient le diagnostic de trouble panique (anxiété épisodique paroxystique) et trouble du sommeil chronique pour lesquels il préconise l'introduction du Brintellix. Au vu de la persistance d'angoisse, nous décidons de majorer la Quétiapine XR à 200 mg et introduisons de l'Entumine dès le 03.12.2018. Après plusieurs adaptations de ces thérapies et une prise en charge interdisciplinaire, nous arrivons à une anxiolyse satisfaisante nous permettant d'organiser un départ le 12.12.2018. Pour le retour à domicile, nous poursuivons les soins à domicile 1x/j. par jour, nous introduisons Voltigo et nous vous laissons prendre le relai pour le suivi médical, suivi que Mr. Y et Mme. Y apprécient beaucoup. Concernant les traitements oncologiques, le patient bénéficie d'une séance de chimiothérapie durant son hospitalisation, qui est bien tolérée. La prochaine séance est prévue le 18.12.2018 avec un bilan biologique la veille. Mr. Y rentre à domicile le 12.12.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs: pas actuelle, mais péjorées ce matin ; Dyspnée: selon son épouse intermittente, si alité ; Nausée: pas actuelle ; Fatigue: soporeux voire dort lors des discussions ; Inappétence: ne mange rien depuis hier. Barthel Index : 35% Palliative Performance Scale : 40% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y est connu de notre service (cf hospitalisation) ; la situation devient très difficile pour les proches face à leurs obligations professionnelles. Selon ses proches, Mr. Y espère pouvoir vivre le plus longtemps possible ; Projet du patient / des proches : Régler le problème aigu, débuter un nouveau traitement oncologique ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Fille et épouse sont très impliquées, présentes à l'entretien d'entrée. Mr. Y, bien connu de notre service, est ré-hospitalisé après quelques jours à domicile sur baisse d'état général. À l'entrée, son épouse relate une dégradation rapide au domicile. Nous constatons des signes neuro-psychomoteurs (tremblements, ralentissement) évoquant fortement une récidive de l'hypercalcémie traitée lors du précédent séjour. Un bilan biologique la confirme. Nous reprenons un traitement par hydratation IV et Zometa. En raison d'un état fébrile, nous débutons une antibiothérapie pour traiter un potentiel sepsis en l'absence de foyer clair. Enfin, la mise en évidence d'une anémie probablement sur spoliation digestive motive une transfusion au vu de l'asthénie importante rapportée. L'évolution est initialement bonne avec une réponse partielle au traitement, permettant à Mr. Y de se mobiliser hors de la chambre par moments. Un entretien familial a lieu le jour de l'entrée afin d'expliquer notre démarche thérapeutique et soutenir les proches face aux complications de la maladie. Une rencontre le 12.12.2018 avec l'oncologue traitant met en évidence une impasse thérapeutique au vu de l'état général réduit de Mr. Y. Une semaine post-biphosphonates, Mr. Y se re-péjoré sur le plan neurologique, une 3ème administration de Zometa n'apporte pas de bénéfice ; un sevrage de l'hydratation s'étant avéré infructueux. Nous communiquons à la famille que l'hypercalcémie échappe probablement au traitement et anticipons une fin de vie, l'hydratation devenant par la suite néfaste avec l'apparition d'un anasarque important. La famille profite du cadre de la Villa pour entourer Mr. Y et l'accompagner jour et nuit. Les divers intervenants sont impliqués pour le confort de Mr. Y mais aussi pour le soutien des proches. Les parents de Mr. Y les rejoignent pour Noël depuis le Portugal. Mr. Y décède le 26.12.2018 en présence de sa famille à la Villa St-François. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs: présence de céphalées au changement de position avec résolution spontanée en seconde. Céphalées absentes au repos ; Dyspnée: nihil ; Nausée: nihil ; Fatigue: patient se sent en forme ; Somnolence: nihil ; Inappétence: patient a bon appétit mais se plaint d'une dysphagie aux liquides ; Anxiété: nihil, patient très positif et motivé ; Dépression: nihil ; Sensation de mal-être nihil ; Autre - absence d'incontinence urinaire ou fécale. Barthel Index : 35 pts Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : un fils d'un premier mariage, deux enfants de 6 et 10 ans avec deuxième épouse ; Projet du patient / des proches : désir d'un retour à domicile pour le patient, désir non partagé par l'entourage. Mr. Y est un patient de 53 ans, connu pour un astrocytome anaplasique de l'hippocampe gauche opéré en décembre 2017, pour lequel il a ensuite bénéficié d'une radiothérapie puis chimiothérapie de maintenance d'avril à septembre 2018. En raison d'une progression tumorale en octobre 2018, une chimiothérapie palliative de seconde ligne par Avastin est débutée. Mr. Y est hospitalisé depuis le 10.11.2018 suite à une chute à domicile et l'apparition d'une hémiplégie droite avec mise en évidence d'un hématome intra-cérébral sur progression tumorale. Au vu du saignement et de la croissance tumorale sous traitement, la chimiothérapie d'Avastin est arrêtée. Le patient est alors transféré à la Villa St-François pour une réhabilitation palliative avec réévaluation du projet social et oncologique selon l'évolution neurologique. À son arrivée, les plaintes principales de Mr. Y sont son hémiplégie droite et une dysphagie aux liquides. Il bénéficie d'une prise en charge multidisciplinaire avec de la physiothérapie et ergothérapie intensive dans la mesure de ce que nous pouvons offrir. Le traitement habituel de Dexamethasone avait été augmenté dans le contexte aigu, avec un schéma dégressif. Sous 4mg, nous observons une légère aggravation du déficit neurologique. Le dosage est donc maintenu à 8mg avec une bonne stabilité clinique. Devant une certaine récupération neurologique chez un patient très motivé et dont le seul souhait est de pouvoir rentrer chez lui, nous décidons de l'inscrire en neuro-réadaptation intensive, afin de maximiser ses chances de retour à domicile. L'évolution est marquée le 04.12.2018, par une pneumonie probablement sur une bronchoaspiration associée à une péjoration neurologique avec l'apparition d'une incontinence urinaire et fécale. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie par co-amoxicilline. L'évolution clinique est favorable nous permettant de maintenir le projet d'une neuro-réadaptation. Mr. Y quitte notre unité le 10.12.2018 pour le service de neuro-réadaptation à Meyriez. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 0/10 ; Nausée: pas actuellement, crachats/glaires régulièrement en revanche ; Fatigue: présente ; Somnolence 0/10 ; Inappétence: n'a aucun appétit ; Anxiété 0/10.Barthel Index : 60% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec son ami dans un appartement au rez-de-chaussée, a deux filles et des petites-filles. Les proches la visitent souvent ; Mme. Y n'élabore pas davantage sur leur ressenti face à la situation. Mme. Y se déclare comme très active, aime la nature, bouger, l'équitation. Partager des activités avec ses proches est essentiel ; Projet du patient / des proches : Récupérer des forces pour pouvoir davantage se mobiliser, rentrer à la maison ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : • Mme. Y nous est adressée par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans un contexte de récidive d'adénocarcinome gastrique avec carcinose péritonéale récemment mise en évidence. Au moment du transfert, Mme. Y rapporte une certaine asthénie sur l'hospitalisation prolongée. Elle souffre de renvois glaireux en continu mais n'a plus vomi depuis le clampage récent de la sonde nasogastrique. Nous constatons un état général relativement conservé, un status abdominal avec bruits digestifs discrets mais de tonalité normale. Le projet s'orientant d'emblée vers un retour à domicile, nous adaptons les traitements dans ce sens. Après quelques jours, nous convenons avec Mme. Y de retirer la sonde de décharge, sans difficulté et sans récidive des vomissements. Les thérapeutes sont impliqués dans l'approche de réhabilitation. Nous essayons d'adapter la nutrition pour le domicile ; la majoration du débit s'avère mal supportée avec vomissements et sensation de plénitude. Nous modifions la durée de perfusion de l'alimentation parentérale pour permettre des périodes de sevrage dans l'après-midi. Parallèlement, Mme. Y arrive à s'hydrater de manière modérée mais suffisante, comme objectivé par des valeurs d'urée stables durant le séjour. Elle s'alimente en petite quantité spontanément (soit 1/4 de portion). Nous pouvons renoncer à une hydratation IV. Constatant que les apports ne couvrent pas forcément 100% des besoins caloriques, nous renonçons à re-majorer le débit après avoir exposé la problématique à Mme. Y, elle préférant éviter de re-développer des symptômes digestifs. Une chimiothérapie est administrée durant le séjour, avec une tolérance réduite. Elle se complique d'une mucite digestive, de diarrhées et d'un état fébrile à priori d'origine digestive répondant rapidement à une antibiothérapie IV. Dans ce contexte, la sortie à domicile, planifiée depuis un entretien familial le 22.10.2018, doit être repoussée d'une semaine. Après quelques jours, l'état de Mme. Y s'améliorant, nous organisons un suivi ambulatoire par l'oncologue traitant et le service de nutrition clinique. Voltigo et les soins à domicile sont réactivés pour la prise en charge de Mme. Y à la maison. Mme. Y rentre chez elle le 05.12.2018. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 0/10 ; Dyspnée 2/10 peu importante et fluctuante ; Nausée 8/10 surtout nocturne ; Fatigue 10/10 très importante ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 2/10 légère ; Anxiété 0/10 ; Dépression 8/10 longue hospitalisation, sa famille lui manque ; Sensation de mal-être 0/10 Palliative Performance Scale : 40% Barthel Index : 40 pts Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Marié depuis 37 ans, 4 enfants dont un atteint d'autisme, 2 petits-enfants. Vit dans un appartement. Patient catholique. Vient du Mozambique, en Suisse depuis 32 ans. Projet du patient / des proches : envi d'un retour à domicile. Mr. Y est un patient de 68 ans, chez qui un lymphome à cellules T a été récemment diagnostiqué. Son état général est déjà très diminué dans le cadre de lourds antécédents hémato-oncologiques, mais aussi infectiologiques, ayant nécessité plusieurs longues hospitalisations au cours des derniers mois. Aussi, après discussion interdisciplinaire, un traitement palliatif par radiothérapie splénique seule est débuté le 28.11.2018 et Mr. Y est transféré dans notre unité le 06.12.2018. Les priorités verbalisées par le patient à ce stade sont de passer du temps avec sa famille notamment à Noël et de faire des congés à domicile. Au cours de son hospitalisation en médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal, Mr. Y avait présenté de multiples états fébriles d'origine vraisemblablement oncologique, traités par corticostéroïdes, avec bon effet. Il développe secondairement une candidose oropharyngée. Dans ce contexte, à son arrivée à la Villa St François, il se plaint principalement d'une asthénie générale avec des nausées importantes. Un traitement de Mycostatine et Fluconazole, associés transitoirement à des anti-émétiques, s'avère rapidement efficace. Durant son séjour, Mr. Y restera très faible avec une inappétence marquée. Malgré une amélioration sur le point biologique, le patient présente une baisse rapide de son état général dès le 14.12.2018 avec un état fébrile, une instabilité hémodynamique et une diminution de l'état de conscience. Au vu du contexte palliatif, nous décidons d'accompagner Mr. Y, qui décède le 17.12.2018 en compagnie de sa fille. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs 6/10 : douleurs principalement buccales post-radiothérapie ; Dyspnée 2/10 : peu importante pour le patient ; Nausée 0/10 : transit en ordre ; Fatigue 5/10 : asthénie marquée associée à une faiblesse des membres inférieurs ; Somnolence 0/10 ; Inappétence 0/10 ; Anxiété 0/10 ; Dépression 0/10 : le patient décrit son moral comme étant bon. Il se réjouit de pouvoir rentrer chez lui afin de profiter des temps qui lui restent ; Sensation de mal-être 0/10 Barthel Index : 85 pts Palliative Performance Scale : 60% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Patient divorcé avec absence de contact avec son ex-épouse, a deux enfants et cinq petits-enfants. Vit dans un appartement de plain-pied, son fils vit à l'étage. Passage des soins à domicile 2x/jour déjà en place. Mr. Y était soudeur et serrurier. Projet du patient / des proches : Retour à domicile dès qu'il aura plus de force et se sentira plus en forme. Mr. Y est un patient de 76 ans connu pour un carcinome épidermoïde au niveau ORL et pulmonaire, en situation palliative, avec chimio- et radiothérapie de la sphère ORL d'août à novembre 2018. Une mucite radique nécessite l'introduction d'une nutrition entérale à domicile. Mr. Y est hospitalisé au HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 08.11.2018 pour une exacerbation de sa BPCO puis transféré à la Villa St François le 28.11.2018 pour une réhabilitation palliative avec le projet d'un retour à domicile par la suite. A son arrivée, il se plaint principalement de douleurs buccales, d'une asthénie généralisée et d'une dyspnée à l'effort. Nous majorons le traitement déjà en place par des gargarismes d'Aspegic et de morphine permettant une amélioration très progressive. Toutefois, le patient restant symptomatique et ne couvrant pas ses besoins protéino-énergétiques quotidiens, nous maintenons une alimentation entérale ainsi que le suivi diététique. Il bénéficie d'un encadrement multidisciplinaire avec notamment de la physiothérapie et d'ergothérapie dans le but d'une réhabilitation musculo-squelettique et d'une adaptation d'une aide auxiliaire de marche. Son séjour à la Villa St François est marqué, le 03.12.2018, par l'apparition d'un état confusionnel hypoactif associé à une majoration des expectorations respiratoires, attribués à une nouvelle exacerbation de sa BPCO. Nous le traitons par une seconde cure d'antibiotique et de cortisone pour une durée de 5 jours, associée à de la physiothérapie respiratoire. Parallèlement, un traitement symptomatique de la dyspnée est introduit. La morphine étant peu efficace et mal tolérée, nous effectuons un relais par hydromorphone, d'office et en réserve, avec bon effet. Rapidement, nous observons une résolution de l'état confusionnel et une amélioration de l'état général. Le 08.12.2018, Mr. Y présente un globe urinaire. Devant une récidive précoce après ablation de la sonde et sans argument pour une cause infectieuse, nous suspectons une hyperplasie prostatique, motivant la pose d'une nouvelle sonde et l'introduction de Tamsulosine. Nous préconisons un suivi urologique ambulatoire à 1-2 semaines pour le retrait de la sonde, pour lequel le patient prendra contact avec Dr. X. Concernant le projet du retour à domicile, le patient bénéficiait déjà d'un passage des soins à domicile deux fois par jour. À cela, nous ajoutons un suivi par Voltigo et organisons l'introduction d'un téléalarme. Une ordonnance pour de la physiothérapie à domicile pour améliorer la fonction pulmonaire et la mobilisation est remise à Mme. Y à sa sortie. En cas d'échec de maintien à domicile, un placement en EMS devra être rapidement discuté. Mr. Y rentre à domicile le 19.12.2018. Un rendez-vous chez son oncologue est prévu le 20.12.2018 pour discuter de la suite de la prise en charge. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Fatigue : semble épuisé ; Somnolence : confus, somnole ; Inappétence : ne mange rien depuis 3 jours ; Anxiété : angoisses relatives aux AVC, à la mort, à la suite ; Sensation de mal-être selon la famille, inconfort à la limite du supportable ; Autre : insomnie réfractaire, ne dort plus depuis 2 semaines Barthel Index : 10% Palliative Performance Scale : 20% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : vit avec sa 2ème épouse, était veuf d'un premier mariage dont sont issus 2 enfants. Mr. Y et sa famille étaient dans l'espoir de guérir initialement, leur proximité relationnelle les aidait mutuellement. La succession des mauvaises nouvelles les a beaucoup affectés. Ils veulent privilégier la tranquillité, la sérénité ; Projet du patient / des proches : Dormir, se reposer. Proches : idem, le voir confortable ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : Les enfants et l'épouse sont présents, très impliqués. Mr. Y nous est adressé par nos collègues de la médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge dans le contexte d'AVC récidivants sur carcinome digestif en progression, après un passage aux soins intensifs. Au moment du transfert, l'anamnèse est difficile à prendre en raison d'un état confusionnel. Mr. Y évoque sa peur de revivre un nouvel AVC lors de son sommeil, mais a besoin de dormir. Nous trouvons un patient à l'état général très réduit et cachectique. Ce dernier s'apaisant lors de la discussion, les proches nous rapportent que les dernières semaines ont été traumatisantes pour tous avec la survenue de deux accidents vasculaires. Selon eux, Mr. Y n'a plus vraiment dormi depuis plus de deux semaines. Nous partageons nos inquiétudes quant à l'espérance de vie réduite de Mr. Y, la famille nous rejoint sur l'objectif de favoriser le confort de ce dernier. Du Nozinan est essayé comme sédatif afin d'induire le sommeil avec un effet mitigé. Le lendemain du transfert, Mr. Y présente un état d'agitation important et semble hautement inconfortable. D'entente avec les proches, le Dormicum offrant un bon effet, nous instaurons une sédation palliative. Une levée de sédation à 24h s'accompagnant d'une récidive des plaintes, nous décidons de la maintenir. L'apparition d'une anurie au décours nous signale un décès imminent. Sous Dormicum, il semble confortable, ce qui soulage ses proches. Mr. Y décède le 14.12.2018 à 16h à la Villa St-François en présence de son fils. Palliative Basic Assessment d'entrée : ESAS : Douleurs : en péjoration (cf précédente hospitalisation) ; Nausées : en péjoration ; Fatigue : en péjoration ; Inappétence : en péjoration ; Autre : diplopie, vertiges Barthel Index : 80% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y vit seul à l'hôtel, il est célibataire. Il a une sœur dont il est proche. Son frère est récemment décédé, ce qui l'a beaucoup marqué. Mr. Y apprécie le contact, partager des anecdotes (Mr. Y est connu du service, suivi en ambulatoire) ; Projet du patient / des proches : Améliorer les symptômes actuels ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : - Mr. Y, bien connu de notre service, est hospitalisé sur demande de Voltigo en raison d'une symptomatique invalidante à domicile. Au moment de l'entrée, Mr. Y rapporte des céphalées, des nausées et une diplopie nouvelle depuis 2 semaines. Ces plaintes ont partiellement régressé depuis, mais le limitent dans sa mobilité. Il signale en outre une progression de la fatigue, de l'inappétence et des douleurs connues, ayant motivé une consultation du médecin Voltigo avec adaptation de l'antalgie en ambulatoire. Cliniquement, nous trouvons un patient diminué sur le plan général par rapport aux précédentes hospitalisations avec une cachexie en progression. Nous notons un nystagmus net dans toutes les directions, accompagné de diplopie sans atteinte neurologique focale en périphérie. La présence de vomissements et de céphalées motive une IRM de contrôle, qui exclut une atteinte centrale. Nous mettons un terme à une corticothérapie empirique. Nous pouvons en partie expliquer le nystagmus et la diplopie d'après les antécédents connus de Mr. Y sur le compte d'une encéphalopathie de Wernicke. Sur le plan antalgique, nous poursuivons le traitement par Ketalgin et Oxycodone, ce dernier ne nécessitant pas d'adaptation ultérieure. Les intervenants de la Villa St-François sont impliqués dans une prise en charge interdisciplinaire. Constatant une régression spontanée des plaintes, nous pouvons organiser un retour à domicile avec reprise du suivi par Voltigo, les médecins Voltigo restant à disposition en cas de besoin. Mr. Y quitte l'unité le 12.12.2018. Palliative Basic Assessment : ESAS : Douleurs "ankylose" au niveau de la mâchoire ; Dyspnée 0/10 ; Nausée 0/10 ; Somnolence : bonnes nuits ; Inappétence : limitée par son régime ; Dépression : déçu que le dentiste ne puisse pas l'opérer. Barthel Index : 50% Palliative Performance Scale : 50% Advanced Care Planning - Anamnèse sociale : Mr. Y travaillait dans le bâtiment, a travaillé sur la Villa St-François autrefois (il y a installé le gaz). Il a 2 enfants et vit avec son épouse dans un immeuble. Mr. Y aimait être à l'extérieur lors de son temps libre, en raison des contraintes de son métier. Il rapporte que son épouse l'a vu "décliner" ; c'est elle qui l'a invité à venir aux soins palliatifs ; Projet du patient / des proches : être avec soi-même, ne pas déranger les autres, voit la maison comme projet, mais sans être un dérangement pour autrui ; Comment le patient souhaite-t-il associer les proches aux décisions et aux soins ? : est d'accord d'impliquer ses proches. Mr. Y nous est adressé par nos collègues de médecine interne de l'HFR Fribourg-Hôpital Cantonal pour suite de prise en charge. Au moment du transfert, Mr. Y rapporte principalement des symptômes liés à la mâchoire avec des difficultés à manger, parler et inconfort permanent. Nous constatons une limitation importante de l'ouverture buccale, un statut dentaire altéré avec ulcérations gingivales. La muqueuse en elle-même ne semble pas être inflammée. Nous adaptons l'antalgie avec méthadone, permettant une diminution partielle des symptômes sensitifs. Du Lioresal est essayé sans succès, se compliquant par ailleurs d'une confusion transitoire.Souhaitant être le plus au calme, les infirmiers s'adaptent au rythme de Mr. Y et favorisent des moments de tranquillité en chambre. Les thérapeutes sont impliqués dans l'adaptation du domicile de Mr. Y. L'état général de Mr. Y évolue de manière stationnaire. Face à un ras-le-bol clairement verbalisé en notre présence, nous discutions avec Mr. Y et ses proches lors d'un colloque de famille. Mr. Y n'exprime pas en leur présence sa souffrance face à une qualité de vie réduite. Nous partageons nos limites thérapeutiques face à une maladie oncologique avancée et des atteintes mécaniques irréversibles sur le plan mandibulaire. Nous convenons d'un retour à domicile avec mise en place d'une aide formelle pour décharger l'épouse de Mr. Y, proche aidante, Voltigo étant déjà impliqué dans la situation. Mr. Y peut rejoindre son domicile le 04.12.2018. Palpation mandibulaire et maxillaire indolore, gencives et dents. Suivi clinique simple. Palpitations d'origine indéterminée le 29.12.2018. DD : • extra systoles, TSV. Palpitations. Palpitations le 21.12.18. Palpitations, dyspnée et frissons auto-résolutifs d'origine indéterminée. DD : infection débutante, trouble du rythme (passage en TSV?), crise d'angoisse. Palpitations et douleur thoracique investiguées en 2008-2009 par échocardiographie cardiaque, test d'effort et IRM cardiaque dans la norme. Palpitations et douleurs thoraciques gauches pariétales sur ESV dans le contexte d'un stress psychologique. Palpitations intermittentes. Palpitations le 21.12.2018. Palpitations le 23.12.2018 • probablement dans un contexte de stress psychosocial. Palpitations sur extrasystoles supraventriculaires monomorphes parfois bigéminées le 18.12.2018. Palpitations. Diagnostic différentiel : anxiété. Panari 2e orteil pied gauche. Panaris. Panaris au 4ème doigt de la main droite. Panaris auriculaire droit. Panaris auriculaire gauche. Panaris avec collection. Panaris de l'index droit. Panaris du gros orteil droit récidivant, drainé hier par son médecin traitant. Panaris du gros orteil droit. Plaie de la face palmaire de la main droite de 3 cm le 07.02.2014. Contusion pied droit, le 16.12.2014. Entorse cheville droite de grade I le 11.12.2017. Panaris du gros orteil gauche. Douleurs pariétales le 08.11.2017. Panaris du pouce droit le 14.12.2018. Panaris du Vème doigt à droite le 08.12.2018. Panaris du 4ème doigt de la main droite, le 04.12.2018. Panaris du 5ème doigt à droite le 08.12.2018. Panaris index doigt. Panaris péri-unguéale pouce droit. Suspicion de colique biliaire, 24.10.2017. Panaris sous-unguéal et para-unguéal le 11.12.2018 • dans le contexte d'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. • status post amputation transmétatarsienne du pied gauche pour surinfection d'une nécrose du 3ème orteil. • neurostimulateur médullaire (St-Jude Proclaim elite 7ème génération, IRM compatible sous mode IRM) posé le 01.06.2018, pile définitive le 06.06.2018. Panaris 1er orteil du membre inférieur gauche • CRP <5, pas de leucocytose. • Soins à domicile ont drainé du pus. Panaris 4ème doigt main droite le 04.12.2018 avec status post incision. Panaritium sous-unguéal et para-unguéal le 11.12.2018. • dans le contexte d'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. • s/p amputation transmétatarsienne du pied gauche pour surinfection d'une nécrose du 3ème orteil. • neurostimulateur médullaire (St-Jude Proclaim elite 7ème génération, IRM compatible sous mode IRM) posé le 01.06.2018, pile définitive le 06.06.2018. Pancolite • d'origine probablement bactérienne. Pancolite et suspicion cholécystite le 29.11.2018 • suspendue colite auto-immune au vu immunothérapie. Pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte d'une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A • mise en suspend de la chimiothérapie. • Introduction de Budenoside 0.5mg 3x/j per os du 23.10 au 26.10.2018. • Entocort 3mg 2x/j dès le 26.10.2018, sevrage Entocort entamé le 05.11.2018 et terminé le 12.11.2018. Anémie normocytaire normochrome à 121 g/l le 26.10.2018. Perturbation des tests hépatiques probablement sur Mabthera et Zydélig. Douleurs rétrosternales, le 02.11.2018 • s/p PTCA pour sténose de l IVA avec mise en place d'un stent en octobre 1998. • DD : Ischémie, anxiété. ECG le 02.11.2018 : image de bloc de branche D (connu et présent sur ECG d'entrée), pas de trouble de la repolarisation. État fébrile avec bactériémie le 07.11.2018 • probablement sur infection de la voie veineuse. • ATB avec Ceftriaxon 2g iv 1x/j le 08.11.2018 stopper le 09.11.18. • Passage au Tazobac 4.5g 3x/j pendant 7 jours sur avis infectiologique, le 09.11.2018 au soir iv jusqu'au 16.11.2018. Colite à clostridium le 23.11.2018 traité par flagyl. Pancolite ulcéro-hémorragique diagnostiquée en juillet 2015, avec : • première rechute après sevrage de Cortisone en septembre 2015. • deuxième rechute après sevrage d'Asacol en avril 2016. • dernière biopsie en avril 2016 : colite chronique modérément à sévèrement active. Pas d'ulcère fissural, pas de granulome, pas de métaplasie de cellule de Paneth, pas d'inclusion virale, pas de tissu dysplasique/néoplasique. • bilan infectiologique le 20.05.2016 : hépatites B et C, HIV, Quantiféron négatifs, RX thorax dans la norme. Poussée de recto-colite ulcéro-hémorragique, avec : • calprotectine > 1'000 le 12.05.2016. • bilan infectiologique négatif le 20.05.2016 pour hépatites B et C, HIV, Quantiféron. Pancréatite aiguë probablement d'origine médicamenteuse (Humira) chez patient traité pour un RCUH : • amylase le 20.06.2017 : 329 U/l. • lipase le 20.06.2017 : 857 U/l. Pancréas annulaire avec sténose duodénale • TOGD le 22.09.2016 au CHUV : rétrécissement sans passage du liquide de contraste au-delà du bulbe duodénal. • S/p duodéno-duodénostomie, opérée le 24.09.2016, CHUV. Déshydratation modérée dans le cadre de gastro-entérite (02.02.18). OMA perforée bilatérale (02.18). s/p Déshydratation modérée. s/p Vomissements et diarrhées sur probable gastro-entérite infectieuse (virale, bactérienne, parasites) DD origine anatomique, invagination, maladies métaboliques, troubles électrolytiques.s/p Hypoglycémies (min. 2.4 mmol/l) sur 1er diagnostic s/p Hyponatrémie (min 131 mmol/l) s/p Purulation bactérienne associée au traitement long terme de Nexium s/p Pancréatite post opératoire s/p Cellulite au niveau de la cuisse gauche au point d'injection du Pneumovax (vaccin effectué le 11.06.18) s/p adénoïdectomie et paracentèse avec mise en place de drains transtympaniques le 25.07 s/p Etat fébrile sans foyer DD : VRS prolongée, infections virales à répétition, maladie auto-inflammatoire, neutropénie cyclique Pancréatite à Herpès Simplex Pancréatite aigue Balthazar B, le 09.12.2018 DD étiologie : tr. électrolytiques, OH Pancréatite aiguë Balthazar C, d'origine alcoolique, le 01.09.2016 Status post zona avec douleurs post-zostériennes en 2016 Status post fracture comminutive aile iliaque droite en mai 2016 Status post hépatite aiguë d'origine probablement médicamenteuse le 01.06.2014 (DD sur Cipralex, Remeron, Losartan, moins probable sur du Propycil) Status post hypovitaminose D sévère à < 10 mmol/l le 03.06.2014 Pancréatite aigüe Balthazar C le 05.12.2018 • post-ERCP Pancréatite aiguë Balthazar D d'origine alcoolique le 09.12.2018 Pancréatite aiguë d'origine OH en 2008. Pancréatite aiguë le 19.11.2018 • contexte de pancréatite chronique d'origine éthylique • lipase à 643 Ui/l le 19.11.2018 Pancréatite aiguë le 21.03.2017, sur probable consommation OH (4ème épisode) BPCO stade IV B selon Gold Hyponatrémie à 118 mmol/l le 21.03.2017 (DD : SIADH, consommation OH) Status post excision d'un adénome tubulo-villeux avec dysplasie épithéliale de bas grade le 09.09.2013 Rectocolite aiguë à Campylobacter jejuni en 2005 Arthroscopie pour une lésion du ménisque gauche en 2000 Bulbite apicale érosive Crise de goutte en 1995 Pancréatite aiguë le 30.11.2018 d'origine alcoolique • DD : biliaire US abdominal : pas de lithiase visualisée, pas de dilatation des voies biliaires principales Pancréatite aiguë lithiasique non compliquée le 03.12.2018 Pancréatite aiguë 5ème épisode d'origine probablement médicamenteuse sur prise de Nitrofurantoïne le 16.11.2015 • Status post-pancréatite biliaire traitée conservativement Diarrhées chroniques (peu investiguées) Incontinence fécale aux selles liquides Lombalgies chroniques sur hernie discale, scoliose dégénérative et arthrose Multiples infections urinaires (4-5x/an) • dernier épisode le 29.11.2018, traité par ciproxin pendant 5 jours Hystérectomie avec appendicectomie Cholécystectomie le 12.09.2014. Pancréatite aiguë ? Lithiase biliaire ? Pancréatite avec zones de nécrose le 22.11.2018 DD : origine médicamenteuse (Mirtazapine ?) Pancréatite Balthazar B Pancréatite Balthazar C Pancréatite Balthazar C post ERCP et pose de stent le 30.11.2018 : • Lithiase cholédocienne en 2016 avec ERCP au Lindenhof • Pancréatite post-ERCP avec papillotomie pour cholédocolithiases le 02.07.2014 • Cholécystectomie en 2003 Pancréatite biologique après ERCP Déconditionnement sur cholangite récidivante sur cholédocholithiase Pancréatite biologique après ERCP Déconditionnement sur cholangite récidivante sur cholédocholithiase + chute de sa hauteur le 04.10.2016 avec : • Contusion du coude gauche • Contusion des genoux Ergothérapie Physiothérapie Antalgie Pancréatite biologique avec : • Lipase à 407, amylase à 113 à 02 h le 05.11.2018. • Lipase à 126, amylase à 122 le 05.11.2018. Pancréatite oedémateuse Balthazar B avec coulées liquidiennes au niveau des fascia para-rénaux (facteur précipitant : éthylisme, hypertriglycéridémie), le 01.10.2010. Consommation OH à risque. Pancréatite post ERCP Pancréatite post ERCP et pose de stent le 30.11 au Lindenhof Pancréatite post-ERCP Balthazar C • ERCP du 17.12.2018 : papillotomie et évacuation d'un calcul de 3 mm dans le bas cholédoque Pancytopénie Pancytopénie : • hémoglobine 80 g/l • leucocytes 2.3 G/l • thrombocytes 84 g/l. Pancytopénie avec agranulocytose le 30.11.2018 : • contexte post chimiothérapie • sepsis Pancytopénie chronique d'origine multifactorielle sur splénomégalie dans le contexte de lymphome T et myélotoxicité du Valcyte Pancytopénie chronique le 04.10.2018 • B12 et folates dans la norme • splénomégalie radiologique • immunosuppression : ciclosporine, Mycophénolate mofetil, prednisone • s/p rituximab dans le contexte • aspiration de moelle osseuse en mai 2018 • réactivation de CMV le 30.10.2018 DD Médicamenteux Pancytopénie chronique persistante d'origine multifactorielle sur : • Splénomégalie dans le contexte de lymphome T • Myélotoxicité du Valcyte • Agranulocytose fébrile, sans foyer clinique du 20 au 24.10.2018 • Agranulocytose du 12 au 21.11.2018 Pancytopénie dans le contexte de myélome multiple Pancytopénie d'origine indéterminée hyporégénérative avec : • Thrombocyte 19 G/L, Hb 81 g/L, Leucocytes 2.5 G/L DDx : Myélofibrose SMD Pancytopénie d'origine indéterminée le 13.12.2018 avec : • Thrombocyte 19 G/L, Hb 81 g/L, Leucocytes 2.5 G/L DD : anémie aplasique débutante / SMD hypoplasique débutant / anémie de Biermer Pancytopénie le 10.12.2018 dans un contexte oncologique et origine inflammatoire avec : • leucopénie à 3.6 G/l • hémoglobine 131 G/l • thrombocytes à 95 G/l. Pancytopénie le 23.10.2018 dans le contexte de myélofibrose • Hb à 67, L à 1.7, Thrombocytes à 51 Pancytopénie légère chronique d'origine inconnue DD d'origine médicamenteuse • anémie hypochrome normocytaire Hb 114 g/l le 29.11.2018 • paramètres d'anémie dans la norme le 06.12.2018 • leucopénie 2.5 G/l et neutropénie 1.03 G/l le 10.12.2018 • thrombopénie 122 G/l le 10.12.2018 • électrophorèse des protéines le 07.12.2018 : dans les limites de la norme • déjà présentes en 03/2018 Pancytopénie (leucocytes à 1.4 G/l, thrombocytes à 58 G/l, Hb 51 g/l) • dans un contexte de syndrome myélodysplasique connu Pancytopénie • leucopénie à 1.5 G/l le 19.11.2018 • anémie normocytaire normochrome à 81 G/L le 23.11.2018 DD : infectieux, sur chimiothérapie Pancytopénie sur origine infectieuse et médicamenteuse (traitement par Humira le 04.12.2018) avec : • thrombopénie à 37 g/l le 07.12.2018 • leucopénie à 1.3 g/l le 07.12.2018 • hémoglobine à 119 g/l le 07.12.2018. Pancytopénie sur origine mixte (médicamenteuse, néoplasique, rénale) : • Anémie normochrome normocytaire normo-régénérative avec : • Ferritine à 390 µg/l, B12 et B9 dans la norme, TSH à 2 mU/l, hémofecatest négatif le 24.09.2018 • Leucopénie le 02.11.2018 • Anémie normochrome macrocytaire le 18.12.2018 (hémoglobine à 83 g/l) Pandiverticulose prédominant le long du sigmoïde à la colonoscopie du 18.07.2018 Oesophagite distale érosive type I selon Savary avec petite hernie hiatale axiale sous-jacente sur 2 cm à l'OGD du 18.07.2018, sous Esoméprazole Hypertension artérielle Hyperuricémie Panendoscopie Panendoscopie avec suture directe de la brèche pharyngée le 26.11.2018 par les ORL Révision du site opératoire et mise en place d'un drain easy flow (OP le 26.11.2018) Antibiothérapie prophylactique par co-amoxicilline du 26.11. au 02.12.2018 Nutrition entérale du 27.11. au 01.12.2018 Panikaattack Panotile et traitement symptomatique avec Dafagan et Bexine. Panotile gouttes Antalgiques Panotile gouttes: 2-3 gouttes 3-4x/j dans l'oreille pendant 7 jours. Rinçage à l'eau tiède 1x/jour avant les gouttes Si persistance à 7 jours, reconsulte. Panotile 3 gouttes 4x/j pendant 7 jours. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Panotile 3 gouttes 4x/j pour 7 jours Rinçage 1-2 x/jours du conduit auditif externe Algifor 10mg/kg/dose 3x/j si nécessaire Dafalgan 15mg/kg/dose 4x/j si nécessaire Pansement à base de Jelonet VS normale. Suivi clinique avec bonne évolution Pansement Adaptic et doigtier des deux doigts, attelle aluminium à changer toutes les 48h. Co-Amoxicilline 1 g 3x/j pendant 48h à poursuivre. Ablation des fils de suture à 10 jours en filière car médecin traitant en vacances. Critères d'infection expliqués au patient avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Pansement d'Ialogen Pansement gras avec Bepanthène à changer tous les 2 jours Contrôle chez le MT début de semaine prochaine Pansement par Ialugen et Mepilex transfert. Pansement quotidien jusqu'à fermeture des plaies. Consigne de protection contre le soleil. Critères de surinfection expliqués avec consigne de reconsulter le cas échéant. Pansement quotidien de Jelonet+Ialugen sur dos et avant-bras gauche Bepanthen sur visage Rappel vaccin tétanos le 15.12.2018 Avis chirurgie plastique CHUV (Dr. X): pas de nécessité à un transfert au centre des brûlés, tenir au courant de l'évolution des lésions cutanées par l'envoi de photographies d'ici 2-3 jours, à adresser à la consultation ambulatoire de chirurgie plastique CHUV à la sortie de l'hôpital Pansement semi-occlusif avec Opsite Flex Fix. Pansement simple. Pansement simple avec Bepanthène, surveillance Pansement stérile à changer toutes les 48 heures. Ablation des points de suture à la peau à 10 jours post-opératoires. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg sc 1x/j pour 3 semaines. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du PD Dr. X / Dr. X. Pansement Suivi clinique Pantoprazol X 2 semaines et Novalgine si douleur. Contrôle si péjoration. Pantoprazol 20 mg dès le 26.11.18 Pantoprazol 20 mg PO q24h Pantoprazol 40 mg q12h du 01.10.2018 Bilan hémolyse, LDH, haptoglobine, bilirubine le 02.10.2018 Colonoscopie en ambulatoire OGD en ambulatoire Sang occulte dans selles le 02.10.2018 Pantoprazol 40mg pour 14j Pantoprazole 40 mg Primpéran 10 mg Retour aux urgences si pas d'amélioration. Explications données à la patiente. Pantoprazole 40 mg/jour. Pantoprazole OGD à prévoir en ambulatoire Pantozol au long cours Pantozol bolus intraveineux le 13.12.2018 puis perfusion continue jusqu'au 19.12.2018 OGD le 17.12.2018: Haute suspicion de GIST pédiculé intra-gastrique d'environ 25 mm sur la grande courbure gastrique et d'une 2ème lésion identique de 15 mm en aval sur la grande courbure gastrique Tumorboard du 19.12.2019: prise en charge chirurgicale Pantozol, Dafalgan en réserve. Conseils alimentaires et d'éviction du tabagisme. Pantozol iv continu 8mg/h du 14.12 au 15.12.2018, 3x 40 mg iv du 16 au 17.12.2018, relais per os le 17.12.2018 Primpéran Contrôle Hb : 158 g/l le 14.12.2018 à 6h, puis 14h Suivi clinique et biologique Pantozol, Motilium sublingual, Dafalgan, Novalgin Pantozol pendant 5 jours. Contrôle chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Pantozol 20 mg/j Primperan 10 mg 3x/j en R Haldol 0.5 mg en 2ème R Pantozol 20 mg. Pantozol 40 mg iv. Laboratoire : CRP 109 mg/l, Leuc en ordre. ECG. Novalgine. CT-abdomino-pelvien du 22.12.2018 : pas de perforation gastrique, pas de liquide libre dans l'abdomen, appendice légèrement élargi. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 24.12.2018. Éducation sur les signes devant amener à reconsulter. Pantozol 40 mg et antalgie Conseils et explications donnés au patient. Patient informé de reconsulter en cas de persistance ou péjoration des symptômes (pas de médecin traitant). Lors d'une prochaine consultation, indication à une gastroscopie avec recherche H. Pylori. Pantozol 40 mg matin et soir. Alucol. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Prise en charge psychologique difficile dans le contexte d'un problème de langue effectué en ambulatoire avec la présence d'un traducteur. Pantozol 40 mg pour 2 semaines, Alucol en réserve Suite de prise en charge chez le médecin traitant Nouvelle consultation si mauvaise évolution, exacerbation des douleurs, état fébrile, vomissements. Pantozol 40 mg pour 3-4 semaines. Prévoir OGD en ambulatoire si persistance des douleurs sous IPP. Pantozol 40 mg 1x/j Pantozol 40 mg 1x/j Angina MCC et Bexin sirop Rx thorax le 15.12.2018 : sp Pantozol 40 mg 2x/j pendant 5j, diminué à 20 mg 1x/j À réévaluer à long terme Pantozol 40 mg 2x/jour. Alucol en réserve. Primpéran 10 mg 3x/jour maximum. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Conseils sur l'alimentation prodigués au patient. Pantozol 40 mg. Retour à domicile car ne veut plus attendre, n'a plus de douleur. Pantozol 40mg 1x/d pour 2 semaines avec réévaluation chez le médecin traitant Gastroscopie en cours de discussion - patient a plus de fois demandé. Pantozol 40mg 1x/jour Ulcar 1g 4x/jour arrêté le 09.11.2018 sur refus du patient. Pantozol 80 mg bolus puis 8 mg/h du 17.12 au 18.12.2018 Pantozol 40 mg 2x/j dès le 18.12.2018 Consultation ORL le 18.12.2018 : cautérisation narine gauche Tamponnement nasal, Rhino-rapide Pantozol 80 mg intraveineux bolus, puis 8 mg/h intraveineux jusqu'au 10.10.2018 Suivi biologique et clinique OGD et colonoscopie le 10.12.2018 (Dr. X) Biopsie de l'anastomose iléo-transverse: à pister Pantozol 80 mg iv. Pantozol 20 g 1 x/j Papier dans le nez Papillome nez 2010 Papule d'origine peu claire au niveau pariétal droit Papule infectée Par les ambulanciers: 100 mcg de Fentanyl, 4 mg Ondansetron, 1 g Paracétamol Laboratoire du 22.12.2018 ECG: normocarde, rythme sinusal, bloc de la branche gauche (trouvé dans le dernier ECG du 19.12.2018, pas trouvé dans un comparatif du 07/18), pas de trouble de la répolarisation Bloc fémoral aux urgences le 22.12.2018 (Dr. X) Paracentèse tentée le 28.11.2018 : infructueuse Majoration de la corticothérapie pour 5 jours Paracétamol Paracétamol Paracétamol, Badigeon Blanc et boissons abondantes. Paracétamol, Ibuprofène et Nasivine spray pendant 48h Contrôle aux urgences pédiatriques dans 48h Le 16.12: Échec des AINS 48 heures Amoxicilline 50 mg/kg/j pendant 5 jours Antalgiques en réserve Paracétamol iv, Alucol gel. Conseils d'usage, traitement symptomatique et poursuite de l'IPP durant quelques jours Paracétamol 1 g per os, Voltarène 50 mg per os. Parti sans consultation médicale. Paracétamol 1 g. Voltarène 50 mg. Paracétamolémie, fonctions hépatique et rénale, crase Toxiques urinaires Consilium pédopsychiatrique Paracétamolémie: inférieure au seuil de traitement (82 mg/L) Tests hépatiques: alignés Crase: alignée Fonction rénale: alignée Toxiques urinaires: négatifs Paracétamolémie: négative Salycilates: négatif Alcoolémie: 1,14% CT-scan cérébral natif : pas d'hémorragie, pas de fracture Paracétamol Temgesic Hydratation Paracétamol Weleda chamomilla suppositoire Reconsulter si baisse de l'état général ou signes de déshydratation Parage de la plaie = Dr. X, désinfection locale, champage, pose de 4 points de suture 4/0 PROLENE post ALR par LIDOCAINE 1%, Pas de complication post geste • Retour à domicile • Ablation des fils dans 8 jours par le médecin de famille. Parage de la plaie : Dr. X, désinfection locale, champage, pose de 6 agraphes, occlusion par bandage CAT : • Ablation d'agrafe dans 10 jours Paralyse faciale périphérique Paralysie avec anesthésie complète transitoire des membres inférieurs le 12.12.2018 • statut post-spondylodèse D1-L2 06/2017 (Dr. X, Genève) pour scoliose. DD: fonctionnel. Paralysie de l'hémiface droite. Paralysie de l'hémiface droite le 15.12.2018. • statut post-traumatisme crânien et perte de connaissance le 07.12.2018 avec fracture os occipital et temporal droit non déplacée. Paralysie des membres inférieurs. Paralysie du plexus brachial supérieur G suite à une dystocie des épaules Paralysie faciale. Paralysie faciale droite. Paralysie faciale droite périphérique le 09.12.2018 Paralysie faciale droite sévère d'origine périphérique le 04.12.2018, apparue depuis plus de 48 heures, de probable origine idiopathique. Paralysie faciale, dysarthrie Paralysie faciale gauche périphérique, House-Brackman stade II • parésie légère et partielle de l'hémiface gauche, front inclus (discret), clignotement œil gauche diminué • dysesthésies légères de la joue et langue gauche • pas de déficit moteur des autres nerfs crâniens • pas d'autre déficit sensitivo-moteur • pas de ralentissement psychomoteur • pas de vésicules herpétiformes au visage et tympans Paralysie faciale périphérique d'origine indéterminée le 06.12.2018. Paralysie faciale périphérique gauche grade 4-5 selon House-Brackmann, d'origine indéterminée le 25.01.2017 avec récupération complète. Paralysie faciale périphérique. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Diabète type II. Cervico-brachialgie à droite. Diplopie. Insomnie. Dépression sévère • suivi psychiatrique à la clinique de jour (Dr. X). Reflux gastro-œsophagien. Cardiomégalie d'origine X Dernière ETT et coronarographie en 12.2017 (bilan de dyspnée) • maladie coronarienne sans sténose significative • fonction systolique du ventricule gauche normale (EF 65%) • pas de cardiomégalie. Toux chronique depuis le mois de juillet 2018 DD : allergique, RGO, infectiologique, cardiaque, hypersensibilité, médicamenteux (peu d'arguments). Insuffisance respiratoire partielle d'origine mixte dans un contexte infectieux à germes atypiques, pathologie interstitielle et décompensation musculo-squelettique dans un contexte d'obésité. Paralysie fonctionnelle du diaphragme avec dyspnée d'effort en septembre 2016 Décompression sélective L2-L3 G avec undercutting contro-latéral et décompression sélective L3-L4 G ainsi que herniectomie le 08.07.2016 sur canal lombaire étroit L2-L3 et hernie discale L3-L4 récessale G Résection d'un cancer mammaire G avec mammoplastie + radiothérapie, considéré en rémission Sigmoïdectomie pour diverticulose en 2010 Paralysie hémicorps gauche Paralysie partielle du NC III gauche, le 20.12.2018 avec: • Diplopie œil droit lors de l'abduction. DD: AVC punctiforme, myasthénie grave Paralysie partielle du troisième nerf crânien droit le 20.12.2018 • Diplopie œil droit lors de l'adduction • Nystagmus œil gauche DD myasthénie grave, Miller-Fisher Paramètres de ventilation Appareil: Lumis VPAP 150 mode ST-A, EPAP 6, IPAP 8, FR 12, Timin/max: 0.1s/1.6s, 2 LO (S/N: 22151906672) Masque: Amara View L (Au vu des fuites importantes, changement du masque dès le 19.12) Statistiques ResScan du 20.12.2017 au 19.12.2018 (Avec masque Quattro L/Air Fit F30 S) 0 jour de non-utilisation sur 365 au total Utilisation moyenne quotidienne : 8h52min 100 % des jours employés >4h Fuites médianes 13l/min, fuites au 95ème centile 46 l/min Volume courant médian 1020 ml, volume courant au 95ème centile 1660 ml Ventilation minute médiane 14 l/min, Ventilation minutes au 95ème centile 20 l/min Fréquence respiratoire médiane 13/min, Fréquence respiratoire au 95ème centile 20/min Polygraphie nocturne sous VNI du 20.12.2018 IAH : 10/h (hypopnées) IDO: 12/h Ronflements 0% SpO2 moyenne 89.8%, durée SpO2 < 90 % = 38 % Pouls moyen 55 bpm Statistiques ResScan du 19.12 au 20.12.2018 Durée de l'enregistrement 4h53min Fuites médianes 2l/min, fuites au 95ème centile 9l/min Volume courant moyen 560ml, volume courant au 95ème centile 700ml Ventilation minute médiane 9 l/min, ventilation minutes au 95ème centile 12l/min Fréquence respiratoire médiane 16/min, fréquence respiratoire au 95ème centile 22/min Capnographie sous VNI du 19.12 au 20.12.2018: SaO2 moyen 92.8 %, pCO2 moyenne 6.2 kPa Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil le 20.12.2018 : pH 7.36, PaCO2 6.5 kPa, PaO2 10.4kPa, HCO3- 27 mmol/l Commentaire: Examen de bonne qualité technique. Paramètres de ventilation Ventilation non invasive par Resmed S9 BIPAP ST IVAPS par masque quattro S, IPAP 19 cm H2O, IPAP 6 cm H2O, TI max 1.7 sec, TI min 0.1 sec, débit O2 2L/min. Polygraphie nocturne du 03.12 au 04.12.2018 Durée d'enregistrement : 7h 59 min IAH 3.7/h dont 3.1/h hypopnées IDO 3/h Saturation moyenne nocturne en oxygène : 94.4% Fraction du temps à une saturation < 90% : 1.6% Fréquence cardiaque moyenne : 73.9 bpm Capnographie nocturne du 03.12 au 04.12.2018 pCO2 moyenne 5.2 kPa, Saturation moyenne en oxygène 96.8 % ResScan du 04.12.2017 au 03.12.2018 Fuites médianes 0l/min, au 95ème centile 0 l/min Utilisation moyenne quotidienne : 7h07min Jours de non-utilisation : 0 Paraparésie des membres inférieurs post-dissection aortique • lésions ischémiques de la moelle épinière (Th4-6, Th11) • troubles dégénératifs de la colonne lombaire • absence de réflexes, tonus membres inférieurs en discrète amélioration au 10.12.2018 Paraparésie flasque des membres inférieurs avec : • Cure d'hernie discale L4-L5 le 10.11.2004 (Clinique Ste-Anne) • Spondylodiscite L4-L5 le 06.12.2004 avec abcès épidural, méningite d'accompagnement et troubles neurologiques des membres inférieurs et incontinence aux selles et urines (EMG du 04.07.2005 lésions axonales importantes à partir de la racine L3) • Hémi-laminectomie L3 et laminectomie L4 pour abcès épidural à MRSA le 28.12.2004 • Évacuation d'un hématome post-laminectomie le 01.01.2005 • Plaie béante au niveau L4-L5 et escarre sacré depuis janvier 2005 • Récidive d'abcès épidural et du psoas droit le 12.03.2005 • Vessie neurogène Cardiopathie ischémique dysrythmique et hypertensive : • Infarctus intra-opératoire en décembre 2004 • FEVG 44% en 2017 • FA non datée, non anti-coagulée dans le contexte global, aspirine seule Incontinence urinaire et fécale, avec : • Ulcère de décubitus de grade III au niveau pré-sacré en 2013 • Pose de cystofix en 2005 • Hémicolectomie avec intervention de Hartmann en 2005 • Hernie para-stomiale • Avec sonde supra pubienne Maladie thromboembolique veineuse, avec : • Arrêt de l'anticoagulation début novembre 2017 dans le cadre d'un saignement de la stomie • CAVE : thrombopénie sur l'héparine (Liquémine) le 09.11.2017 un épisode thrombo-embolique en 2004, décision de non-reprise de l'anticoagulation (sera éventuellement réévaluée en ambulatoire) Asthme bronchique Opacités lobulaires pulmonaires supérieures droites sans indication de bilan d'extension au vu de la situation générale Léger fléchissement cognitif le 07.03.2018 : MMSE à 28/30 et test de la montre à 2/7 Polyarthrite rhumatoïde anciennement traitée par Arava Paraparésie flasque des membres inférieurs avec : • Cure d'hernie discale L4-L5 le 10.11.2004 (Clinique Ste-Anne) • Spondylodiscite L4-L5 le 06.12.2004 avec abcès épidural, méningite d'accompagnement et troubles neurologiques des membres inférieurs et incontinence aux selles et urines (EMG du 04.07.2005 lésions axonales importantes à partir de la racine L3) • Hémi-laminectomie L3 et laminectomie L4 pour abcès épidural à MRSA le 28.12.2004 • Evacuation d'un hématome post-laminectomie le 01.01.2005 • Plaie béante au niveau L4-L5 et escarre sacré depuis janvier 2005 • Récidive d'abcès épidural et du psoas droit le 12.03.2005 • Vessie neurogène Incontinence urinaire et fécale, avec : • Ulcère de décubitus de grade III au niveau pré-sacré en 2013 • Pose de cystofix en 2005 • Hémicolectomie avec intervention de Hartmann en 2005 • Hernie para-stomiale • Avec sonde supra pubienne Asthme bronchique Opacités lobulaires pulmonaires supérieures droites sans indication de bilan d'extension au vu de la situation générale Léger fléchissement cognitif le 07.03.2018 : MMSE à 28/30 et test de la montre à 2/7 Cardiopathie ischémique et hypertensive : • Infarctus intra-opératoire en décembre 2004 • FEVG 44% en 2017 Polyarthrite rhumatoïde anciennement traitée par Arava Paraparésie flasque des membres inférieurs avec troubles sphinctériens associés sur carcinose méningée rachidienne diffuse dans le contexte de carcinome mammaire avancé Paraplégie aiguë d'origine indéterminée le 22.11.2018 • cf. problème spondylodiscite Parasite retrouvé dans une expectoration le 30.12.2018 au soir Parathyroïdectomie gauche Prothèse de la rotule genou droit Cholécysectomie Opération glaucome et cataracte Rectorragies sur rectite actinique et anticoagulation orale, avec hypotension orthostatique et syncope le 05.02.2012 Douleurs thoraciques probablement sur FA intermittente connue Parésie Parésie de la corde vocale gauche (paramédian) asymptomatique Hypoparathyroïdisme post-opératoire Parésie du membre inférieur à droite d'origine indéterminée Parésie du membre inférieur droit sur poliomyélite dans l'enfance Parésie du MSD Parésie du nerf crânien III gauche sur probable ischémie d'origine micro-vasculaire (diabète), le 25.06.2015 Hyponatrémie à 125 mmol/l le 25.06.2015 (DD : SIADH) Paralysie faciale transitoire gauche en avril 2008 Fracture/tassement de L2 stable le 06.01.2017, traitée conservativement Parésie du nerf crânien VI à gauche d'origine indéterminée le 27.12.2018 avec : • DD microangiopathique, infectieux, orbitopathie thyroïdienne, inflammatoire/vasculitique, idiopathique • S/p quadranopsie de l'œil en 2003 • S/p IRM en 2013 à Givision ; normal selon le patient Parésie du nerf VI G d'origine indéterminée avec le 10.11.2018 : • possible atteinte concomitante du nerf V3 évoluant depuis deux semaines DD : atteinte infiltrative, méningite carcinomateuse, syndrome de la fissure orbitaire (V+ VI) Parésie faciale Parésie faciale avec dysarthrie et ralentissement de la parole d'origine probablement centrale le 09.12.2018 vers 17-18 h • NIHSS initial 3 points (parésie faciale partielle gauche, dysarthrie légère) • FRCV : hypertension artérielle traitée, obésité Parésie faciale droite et légère dysarthrie aiguë post-opératoire secondaire à une micro-hémorragie de la corne postérieure du ventricule latéral gauche (DD : cavernome) le 20.12.2018 Parésie faciale G Parésie faciale gauche probablement périphérique Parésie fluctuante du quadriceps G, aréflexie rotulienne G le 02.11.2018 Parésie hémifaciale gauche Parésie membre supérieure droite DD : origine centrale, périphérique, fonctionnel Parésie membre supérieure droite DD : origine centrale, périphérique, fonctionnel Parésies MSG d'origine indéterminée sans atteinte neurologique sous-jacente (examen neurologique du 5.12.2018) sur status post : • Arthroscopie diagnostique, synovectomie partielle, boursectomie sous-acromiale, ablation d'une calcification du tendon du sus-épineux, réparation du sus-épineux, ténotomie du LCB épaule gauche le 29.06.2017 Paresthésie aux extrémités Paresthésie des 2 mains et 2 pieds sur : • anxiété connue avec possible hyperventilation • polyneuropathie diabétique et alcoolique connue • possiblement médicamenteuse sur les injections d'Etanercept Paresthésie d'origine indéterminée probablement sur hyperventilation Paresthésie d'origine périphérique au niveau MSD DD canal carpien, hernie cervicale ou autre Paresthésie du membre supérieur droit et hémicrâne droit avec hyperesthésie le 19.12.2018 Paresthésie du membre supérieur gauche d'origine indéterminée Paresthésie membre inférieur gauche le 05.12.2018 avec : • hernie discale depuis 3 mois avec infiltration au centre de la douleur de Vevey le 05.12.2018 Paresthésie membre supérieur droit Paresthésies Paresthésies Paresthésies / troubles visuels Paresthésies de l'épaule et du membre supérieur gauche sur probable cervicalgie DD état anxieux Paresthésies des doigts III à V avec sensation de lourdeur du bras droit probablement d'origine musculaire Antalgie Myorelaxant Avis Dr. X RDV de contrôle à la FUA le 15.02.2016 à 10 h : discuter imagerie au besoin Paresthésies des doigts III à V avec sensation de lourdeur du bras droit probablement d'origine musculaire Antalgie Myorelaxant Avis Dr. X RDV de contrôle à la FUA le 15.02.2016 à 10 h : discuter imagerie au besoin Paresthésies du membre supérieur gauche Paresthésies hémiface et membre supérieur à droite Parois vésicale inflammatoire avec lésions blanchâtres, infra centimétriques (séquelles d'endométriose, tuberculose ?) Paronychie du majeur gauche Paronychie du 3ème doigt main gauche, stade phlegmoneux Paronychie ongle pouce droit Paronychie 3ème doigt main gauche, stade phlegmoneux Parotide aiguë suppurative droite DD oreillons DD parotide juvénile récurrente Parotide juvénile droite récidivante Parotidectomie sus-faciale gauche sous neuromonitoring (Dr. X) le 13.11.2014 Piqûre d'hyménoptère le 21.05.2018 à l'espace interphalangien des 1er et 2ème rayons de la main gauche avec réaction toxique locale possiblement surinfectée Parotidite à gauche le 06.07.2017 Suspicion fracture costale C9 gauche suite à un traumatisme direct le 23.09.2017 Douleurs abdominales d'origine indéterminée le 22.10.2018 • Mr. Y asymptomatique aux urgences Parotidite droite le 26.12.2018 Parotidite droite le 31.12.2018 Parotidite gauche virale vs bactérienne Parotidite juvénile droite récidivante Parotidite probablement virale Parotidite virale Parotite aiguë le 01.12.2018 Paroxysmale, régulière supraventriculaire tachycardie • EKG du 16.10.2018 : Normokarder Sinusrhythmus bei HF 93/min, vereinzelte supraventrikuläre und ventrikuläre Extrasystolen • Holter EKG du 17.10.2018 : paroxysmale supraventriculaire quasiment régulière tachycardie, partiellement sans P avec hémodynamiquement significatif tachycarde Überleitung, a.e. atriale tachycardie et aucun signe clair de fibrillation/ flutter auriculaire, modérée polymorphe VES avec quelques Couplets et Bigeminie Kardiologisches Konsil am 26.09.2018: Keine weiteren Abklärungen i.R.d. Gesamtsituation, keine kardiologische Konsultation • Angststörung • Part sans consultation médicale. • Partie fracturée récupérée • Consultation chez le dentiste sans urgence. • Pas d'ablation des fils au niveau du Port-à-Cath (résorbables). • Ablation des fils thoraciques à J 12. • Pas d'activité à risque pour 4 semaines. Contrôle chez le pédiatre pour évaluer la récupération de la mobilité dans 4 semaines. Contrôle radiologique à une année postopératoire à notre consultation. • Pas d'allergies, pas de maladies chroniques, pas d'opérations, pas de médication régulière. • Pas d'amélioration après 6 push de ventolin, prise de 2 push d'atrovent. • Pas d'antécédent de saignement abondant ou d'hématomes. • Pas d'antécédent notoire. • Pas d'antécédents. • Pas d'antécédents médico-chirurgicaux. • Pas d'antécédents médico-chirurgicaux. • Pas d'antécédents médico-chirurgicaux. • Née à terme par césarienne. • Pas d'antécédents notoires. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Pas d'antécédents pathologiques. • Psychosocial: a grandi au Portugal, arrivée en Suisse il y a 2 mois. • Pas d'anticoagulation (risque de saignement des métastases cérébrales, thrombopénie). • Pas d'anticoagulation en raison du risque de saignement des métastases cérébrales. • Pas d'argument pour retenir une origine centrale. • Mme. Y adressée en ORL. • IRM cérébrale prévue le 19.12.2018 à Riaz. • Pas d'argument pour un syndrome sérotoninergique/extra-pyramidal. • Pas d'argument clinique pour un CT cérébral. • TSH (chez le médecin traitant) dans la norme. Attitude: • Hospitalisation à Marsens. • Pas d'argument pour une angine à streptocoque. • Traitement symptomatique par Algifor 40mg 3x/j et Dafalgan 500mg 4x/j + 2x/j en R. • Reconsulte si T° ou torticolis ou persistance des symptômes après 10J. • Pas d'argument pour une maladie de Kawasaki. Pas de signe pour une infection bactérienne, probable virose (grippe?). • Reconsulter si persistance état fébrile > 48h ou péjoration. • Pas d'argument pour une prise en charge dermatologique rapide en l'absence de signe de malignité. • Proposition d'une consultation en dermatologie pour ablation du grain de beauté et +/- analyse de celui-ci. • Pas d'argument somatique. • Essai avec méthode de détournement de l'attention. • Respirations amples et calmes à la survenue des crises. • Reconsulter si péjoration. • Pas d'arguments cliniques pour infection pulmonaire. • Rinçage de nez et Rinosedin pour rhinite productive. • Fluimicil pour toux grasse. • Fébrifuges au besoin. • Pas d'arguments cliniques pour infection. • Pansement local avec Ialugen. • Contrôle le 07.12 avec évaluation de l'évolution, à voir si possible avec chir. pédiatre. • Pas de radiographie faite car mobilisation possible, à réévaluer lors du contrôle. • Pas d'arguments cliniques pour otite moyenne ou externe. • Rinçage nasal et gouttes nasales. • Reconsultation si péjoration ou état fébrile. • Pas d'arguments pour cause pulmonaire ou ostéoarticulaire. • Traitement symptomatique. • Reconsultation si persistance ou péjoration. • Pas d'arguments pour étiologie chirurgicale à l'examen clinique. • Dafalgan au besoin. • Reconsultation si péjoration de l'état général. • Pas d'arguments pour étiologie chirurgicale. • Statut clinique rassurant. • Buscopan et Dafalgan en réserve. • Reconsultation si péjoration ou persistance des plaintes. • Pas d'arguments pour méningite ou encéphalite (bon état général, nuque souple, examen neurologique normal). • Poursuite Benuron/Algifor. • Si persistance état fébrile > 48 heures ou péjoration de l'état général, contrôle chez pédiatre. • Pas d'arguments pour péricardite, myocardite, infection pulmonaire bactérienne. • Traitement symptomatique à poursuivre. • Contrôle aux urgences dans 48 heures si état fébrile persistant. • Pas d'arguments pour vertige d'origine ORL. • Conseils pour verticalisation par étape et bonne hydratation. • Pas d'ATCD médico-chirurgicaux. • Pas d'ATCD médico-chirurgicaux. • Pas d'attitude active de ma part pour le moment. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Cas échéant, le patient me contactera directement pour planifier une bursectomie. • Pas d'attitude active de ma part pour le moment. • Mme. Y me recontactera en cas de réapparition du kyste. À ce moment-là, je la reverrai rapidement pour faire une IRM pour confirmer la localisation de ce kyste. • Je me tiens à disposition. • Pas d'attitude active pour le moment. Le patient verra l'évolution. J'ai programmé un prochain contrôle clinique chez moi en avril 2019. • Pas de bétabloquant envisageable sur asthme. • Pas de Betnesol. • Dafalgan / Algifor si fièvre. • Rinçages de nez en réserve (enseignement fait). • Critères de gravité expliqués, feuille informative donnée au père. • Pas de cause infectieuse mise en évidence pour la chute de ce jour. ATT • bilan chute à prévoir +/- réadaptation selon opération ortho. • physio. • Pas de comorbidités connues. • Pas de composante obstrucive à l'examen clinique. • Poursuite traitement habituel par Ventolin et Pulmicort 2x/jour. • Pas de conduite pendant 6 mois, jusqu'à la consultation de contrôles. • Consultation neurovasculaire de contrôle le 27.03.2019 à 14h00 avec EEG. • Pas de conduite 24h suivant l'examen. • Pantozol 2x 40mg pendant 1 mois. • Suivi du traitement par les néphrologues. • Pas de critères d'anaphylaxie. • Hydratation rapide IV (2000 mL passés aux urgences). • Primpéran 10mg IV. • Statut clinique. • Laboratoire + tryptase envoyée au CHUV : suspect de gastro-entérite débutante. • Retour à domicile. • Contrôle clinique à la FUA avec réception des résultats de la tryptase le 05.12.2018. • Pas de critères d'hospitalisation actuellement (pas de désaturation, bonne prise alimentaire). • Suivi clinique dans 24 heures. • Pas de critères pour une angine à streptocoque (score de Centor 0). • Traitement symptomatique (rinçages de nez +++, anti-inflammatoires si douleurs, anti-toussif si toux insomniante). • Pas de CT crânien vu les limitations thérapeutiques. • Pas de déficit vitaminique, TSH normale. • 3 CE. • Pas de directive anticipée. • Mme. Y confuse actuellement, pas capable de discernement. • Discussion avec filles: pas plus d'information, ont évité d'en parler jusqu'alors, mais notent que leur maman a déjà refusé un PM il y a quelques années. Acceptent la dialyse si nécessaire. • Pas de directives anticipées. REA Non 26.11.2018, souhaite soins maximaux. • Marié, Mme. Y atteinte d'alzheimer. • Fils Dominic Y, technicien en radiologie Riaz: 076 494 18 16. • MT Dr. X. • En EMS, home des Martinets Villars sur Glane. • Pas de douleur thoracique, pas de FRCV connu à part âge. ECG Troponines T1 = 21 ng/l, T2 = 20 ng/l. Traitement aux urgences: • 2g de Magnesiumsulfat i.v. • Hydratation pour tachycardie sinusale. • Prudence avec médication pouvant allonger le QTc • Contrôle ECG le 23.12.2018. • Évaluer indication à bilan cardiologique à distance. Pas de fièvre depuis 12 heures. Persistance d'une cétonurie : réhydratation riche en sucre. Dernier vomissement la veille. Pas de fissure visualisée mais anamnèse évoctrice de saignements sur fissure raison pour laquelle celle-ci est traitée. Si persistance, la famille reconsulté ici. D'office un contrôle chez le pédiatre dans une semaine. Si nécessaire, l'adresser à la gastroentérologue. Pas de fracture cliniquement. Pas de FRCV. Anamnèse familiale : négative. Pas de tabagisme. Consommation d'alcool très sporadique. Pas de laboratoire le 05.12.2018. Tryptase du 03.12.2018 à 3.25 mcg/l. Pas de laboratoire réalisé. Solumédrol 125 mg IV. Clemastine 2 mg IVD. Surveillance 6 heures aux urgences. Attitude : • Retour à domicile. • Prednisone pendant 5 jours. • Lévocétirizine pendant 5 jours. • Conseil de se représenter aux urgences si recrudescence des symptômes. Pas de leucocytose, pas de déviation gauche, CRP négative. PCT 0.11 mg/dl. Pas d'arguments pour une infection bactérienne grave. Pas d'arguments pour une infection urinaire avec un stix propre. Souffle connu et suivi au Portugal. Mise en évidence d'une anémie non connue, normochrome et normocytaire. Pas de maladie ni médication chronique, pas d'opérations. Psychosocial : naissance et séjour 4 ans en Érythrée, puis 6 mois en Éthiopie. Arrivée en Suisse il y a 3 semaines suite à un regroupement familial via le père. Vit avec sa famille dans un appartement à Fribourg. Pas de contrôle chez pédiatre effectué depuis son arrivée. Pas de pédiatre en Suisse, bilan sanguin effectué dans les 12 heures de l'état fébrile : Contrôle clinique et biologique demain aux urgences pour évaluation de la cinétique des paramètres infectieux sanguins. Ajouter Bilirubine, Haptoglobine, LDH, réticulocyte le 15.12.2018. Pas de recherche d'hémoglobinopathie d'emblée si bilan en ordre. Consulter chez un hématologue pédiatre au Portugal après le retour. Pas de place à Marsens, pas de critère d'urgence, reconsulté lundi en cas de persistance des symptômes pour une consultation psychiatrique. Pas de ponction vu l'absence d'indication à un nouveau cycle de méthotrexate à haute dose. Pas de radio selon critère d'Ottawa. Pas de radiographie au vu de l'anamnèse (faible cinétique) et de l'examen clinique. Retour en appartement protégé. Traitement antalgique du domicile (Paracétamol 1 cpr max 4x/j, aux 6h, Diclofenac en crème 3x/j pour max 3 j). Contrôle chez son médecin traitant déjà prévu le 11.01.2019. Consultation avant si péjoration clinique. Pas de signe clinique de torsion. Antalgie simple par paracétamol en réserve. Pas de signe de déshydratation. Coproculture : échantillon de selles à apporter par le patient. Antalgie par Dafalgan, Buscopan. Conseils de bonne hydratation donnés au patient. Consultation au secteur ambulatoire des urgences le 03.02.2019 pour évaluation des symptômes et discussion ad laboratoire. Pas de signe de gravité clinique. Consignes de surveillance. Pas de signe de gravité, stable hémodynamiquement. Solumedrol 125 mg i.v. Tavegyl 2 mg i.v. Surveillance aux urgences pour 6h. Attitude : • Retour à domicile au vu de la tuméfaction régressant. • Proposition de contrôle chez l'allergologue dans 6 semaines. • Proposition de dosage C1-inhibiteur pour confirmation de diagnostic. Pas de signe d'extériorisation. ATT • Pas de Sintrom ce soir, TP INR demain. • Réévaluer ACO selon prise en charge chir. Pas de signe d'extériorisation. Reprise de Clexane 60 mg 2x/j dès le 23.12.2018. Pas de signe inflammatoire locaux. Suivi clinique. Pas de signes d'alarme (pas de perte de connaissance, pas de cyanose, pas de difficultés respiratoires majorées). Réassurance des parents, conseils en cas de récidive. Pas de signes de déshydratation, bonne prise alimentaire, poids stable. Pas de signes de déshydratation. A bu 100 ml de Normolytoral en salle d'attente. Réhydratation fractionnée par Normolytoral, réintroduction alimentation habituelle graduellement selon évolution. Itinerol B6 Suppo en réserve. Reconsultation en cas de péjoration. Pas de signes de gravité cliniquement. Poursuite traitement symptomatique (seul Dafalgan, pas d'Algifor). Reconsulte si douleurs malgré antalgie. Pas de signes de méningisme. Pas d'infection urinaire. Suivi chez le pédiatre dans 24-48 heures si encore fébrile. Pas de signes focaux neurologiques. Att : Antalgie en réserve, éviter écrans. Reconsulte en cas de persistance des douleurs ou d'apparition de nouveaux symptômes dont fièvre. Réévaluer un examen ophtalmologique si persistance. Pas de signes pour une bronchite spastique : arrêt Ventolin. Antitussif en réserve. Dafalgan et Algifor en réserve. Pas de substitution. Pas de substitution orale. Attitude : Suivi ambulatoire. Pas de suspicion d'abcès ce jour. Mis sous traitement antibiotique en attendant la consultation chez le dentiste. Pas de suture. Pas de suture nécessaire. Pas de suture nécessaire. Antalgie au besoin. Pas de douche pour 48h, pas de shampoing pour 5 jours. Surveillance signes d'infection. Pas de syndrome inflammatoire au laboratoire fait à Meyriez dans la journée. Demande d'US abdominal au vu de la clinique. En raison de l'attente en radiologie, les parents sans prendre de rendez-vous de contrôle. Pas de syndrome inflammatoire. Si apparition fièvre, toux - Suivi avec le MT. Pas de traitement. Pas de traitement ambulatoire mis en place à cause de re-hospitalisation. Traitement médicamenteux. Pas de traitement nécessaire. Pas de traitement, on s'attend à une disparition dans les prochaines 24-48 heures (durée moyenne 3-7 j). Contagiosité jusqu'à 2 semaines du début de l'éruption, règles d'hygiène. Pas de trouble de la crase. Consilium ORL le 18.12.2018 : rhinosinusite bilatérale aiguë. Épistaxis antérieur droit sur ectasie vasculaire au niveau de la tache de Kiesselbach. Laryngite chronique sur RGO probable et écoulement postérieur. Cautérisation sous AL à la bipolaire, rinçage nez 2x/j, avec Bloxang 1x/j pendant 7j dans narine droite après rinçage, puis Bepanthen 1x/j pendant 1-2 semaines. Pas d'éléments anamnestiques ni cliniques pour une fracture, hormis douleurs localisées. Avis ORL : adresser le patient chez le dentiste pour réalisation d'un OPG et annonce de l'accident dans les 3 jours ; antalgie en réserve. Pas d'éléments pour une pneumonie dans le cadre d'un état fébrile > 39 depuis 5 jours avec IVRS, car pas de DRS et auscultation pulmonaire physiologique. Douleurs abdominales sans signes de gravité clinique. Pas d'encadrement supplémentaire souhaité par le patient et sa famille. Soins à domicile 1x/semaine pour préparation du semainier. Pas de lésions visibles. Constat de coups remplis. Pas d'extériorisation. Dernier contrôle cardiologique il y a 2-3 ans suivi par le Dr. X. ATT • Sintrom en suspens, INR le 27.12. Pas d'hypoesthésie objectivée aux urgences. Labo. ECG. Réassurance et RAD. Pas d'immobilisation. Application de chaud. Irfen 400 mg 3x/j durant 3 jours de manière systématique. Si antalgie insuffisante, contrôle pédiatre dans 3 jours. Reprise du suivi hanche si réapparition de douleur de la hanche. Pas d'indication à une radiographie. Antalgie proposée mais refusée par le patient. Pas d'indication chirurgicale. Poursuite du suivi infectiologique. Contrôle avec CT-scanner du rachis thoracique pour contrôle évolutif à la fin de l'année. Entre-temps, nous restons à disposition. Pas d'indication chirurgicale. Vu la situation stable et bien tolérée par le patient, nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition si besoin. Pas d'investigation après discussion avec Mme. Y et sa fille. Pas d'investigation complémentaire. Pas d'investigation ou traitement supplémentaire. Arrêt de l'anticoagulation dans le contexte global. Pas d'opération ni d'hospitalisation. Pas d'opération. s/p plaie frontale 2 cm suturée. Otite moyenne bilatérale dans le contexte d'IVRS débutante. Pas fait aujourd'hui. Pas trouvé de documentation dans le dossier. Vu le contexte septique, ad O2 cible > 94 % à réévaluer. Passage de calcul biliaire, le 09.12.2018: • Lipase 191 U/l avec normalisation lors d'un deuxième contrôle. Passage de calculs biliaires avec pancréatite Balthazar B associée le 24.12.2018. Passage de l'antibiothérapie IV. Transfert en chirurgie viscérale le 13.12.2018 pour colostomie de décharge +- évaluation d'un drainage concomitant de l'abcès. Passage de lithiase cholédocienne le 28.09.2018. Bypass gastrique au DALER, Dr. X, suivie par Dr. Y en 06/15. Tonsillectomie en 04/15. Opérée d'une CIA au CHUV, suivie actuellement par Dr. Z en 2004. Statut post-drain dans l'oreille à l'âge de 6 ans. Accouchement par voie basse chez une patiente primigeste devenue primipare à 40 1/7 semaines d'aménorrhée après provocation par Misodel. Connectivite indifférenciée avec : • péricardite récidivante (dernière en 09/17) • polyarthrites • aphtose uni-polaire • traitement par Enbrel depuis le 19.02.2018 IVRS le 10.03.2018 : • chez patient traité par Enbrel Diagnostic différentiel : virale. Pas d'élément actuel pour une infection bactérienne. Passage des IG sans complications, constantes dans la norme. Passage du Dr. X : Au vu de la clinique, le diagnostic de syndrome de Maigne est suspecté. Nous effectuons une radiographie dorsolombaire, pour laquelle il nous est difficile de se prononcer sur une arthrose dorsales basses ou lombaires hautes. Nous proposons à Mme. Y un US inguinal à distance dans le site de Riaz. Cette dernière, ne voulant plus être suivie pour cette problématique par son MT, nous lui proposons de prendre rendez-vous à la consultation d'orthopédie, afin d'investiguer le diagnostic suscité. Passage du Dr. X (1er) : Laboratoire : leucocytose à 13 G/L, CRP < 5 mg/l, pas de perturbation rénale. Culture de selle (bactériologie standard, calprotectine) : à réaliser à domicile puis amener chez son médecin traitant pour analyse. Consultation chez son médecin traitant en début de semaine prochaine pour un contrôle clinique et pour l'analyse de selle suscitée. Consultation avant aux urgences si péjoration clinique. Passage en FA rapide 145/min le 12.12.2018. Passage en soins de confort dès le 18.12.2018 avec adaptation/arrêt des médicaments. Introduction Fentanyl patch. Voltigo proposé pour le home. Passage en tachycardie à 145/min, transitoire. ECG : FA non objectivée aux urgences. Patient asthénique ne sortant plus du lit. Patient avec VAC en place. Doit le retirer demain le 27.12.2018 (13h30). ATT : • Contacter le chirurgien Dr. X. Patient connu pour SAOS appareillé, ancien tabagisme 30 UPA fini il y a 30 ans. Vu trauma costal, proposition d'hospitalisation pour antalgie et physio respiratoire que Mr. Y et son épouse refusent. Ils ont bien compris les risques liés à cette décision. Ils reconsulteront au besoin. Patient connu pour un retard mental discret, en bonne santé habituelle, qui est amené en ambulance suite à une chute alcoolisée il y a environ 1 h en arrière de sa présence aux urgences, lorsqu'il a raté la dernière marche d'escalier et est tombé réception sur la face au niveau frontal droit et nasal droit avec œdème et plaie superficielles à ce niveau.Le patient travaille à l'Horizon Sud et aurait bu 4 bouteilles de bière lors d'une fête. TC sans PC mais pas de témoin, a été trouvé peu après par des gens qui ont appelé l'ambulance. Il aurait également tapé la tête en région occipitale, présente une petite plaie d'environ 2 cm de longueur. Pas de céphalées, pas de nausées ni vomissements. Pas de DRS ni palpitations précédant la chute. Perte d'urines, pas de perte de selles, pas de morsure de la langue. Examens cliniques TA 135/88, FC 104 bpm, Sat 94% Cardio : b1b2 bf, pas de souffle audible, pp, pas d'OMI Resp : murmure vésiculaire symétrique sans bruits surajoutés Neuro : GSC 15/15, ralentissement psychomoteur, orienté sur l'espace et la personne, pas sur le temps, pupilles iso-iso, nerfs crâniens II-XII sp, pas de trouble du champ visuel, pas de nystagmus, force symétrique conservée à 5/5 MS et MI, sensibilité grossièrement dans la norme, épreuves cérébelleuses non testables OA : palpation de la colonne entière, notamment colonne cervicale indolore Palpation faciale arcade zygomatique dd indolore, temporomandibulaire sp Tuméfaction nasale en proximal avec petite plaie superficielle d'environ 1 cm, sans asymétrie palpable ; pas de déviation de la cloison, pas d'épistaxis Œdème frontal droit et hématome avec petite dermabrasion Douleurs à la palpation occipitale avec petite plaie superficielle d'environ 2 cm Épaule G : dermabrasion et œdème en face postérieure, sensible à la palpation, pas d'hématome, élévation latérale/antérieure complète, test de Jobe négatif Uro : LRSI Examens Labo : 12.1 G/l, CRP <5 mg/l, glu 7.3 mmol/l, Créat 73 µmol/l, Na 142 mmol/l, K 4.0 mmol/l, alcoolémie à 2.28 %o, pas de trouble de la crase On hospitalise le patient pour un TC sans PC, le bilan biologique montrant un taux d'alcoolémie à 2.28 %o. Une perfusion de NaCl 1500 ml/24h est débutée et du benerva. Sur des critères canadiens CT head Rule à 0, on hospitalise le patient au service de chirurgie pour une surveillance neuro 48h. On note une plaie superficielle d'environ 2 cm pour laquelle on réalise une suture avec 1 point d'Ethicon 4.0 et rappel DiTe. Mr. Y, connu pour une FA anticoagulée par Sintrom, est adressé aux urgences le 13.12.18 par son cardiologue Dr. X pour une suspicion d'infection urinaire haute lors d'un contrôle de routine (dans le contexte de la FA). Le patient présente depuis environ deux semaines une baisse de l'état général accompagnée d'une asthénie, de pollakiurie et dysurie. Il aurait eu à plusieurs reprises des épisodes de frissons et de la température >38.5°. Le patient ne présente pas d'autres symptômes, pas de céphalées, pas de toux, pas de crachats, pas de nausées ni vomissements. Malgré un stix urinaire propre, le patient est alors mis sous Ciprofloxacine per os et renvoyé à domicile. Le lendemain (14.12), les deux paires d'hémocultures récoltées la veille aux urgences montrent des Gram+. Le patient est rappelé afin de chercher un foyer infectieux et de cibler la thérapie. Aux urgences le 14.12, le patient ne présente pas de plaintes particulières, pas de céphalées, pas de troubles ORL, pas de toux, pas de crachats, pas de dyspnée, pouls irrégulier (contexte de FA), pas d'OMI, pas de nausées ni vomissements, tendance diarrhéique sans présence de sang dans les selles, pas de plaintes urinaires, pas de fièvre. Au statut pulmonaire, des crépitements sont audibles en auscultation antérieure du lobe moyen. Une radiographie du thorax est alors faite, montrant un net foyer infectieux au niveau du lobe moyen. Le patient rapporte des troubles de miction apparus il y a environ 2-3 ans, avec incontinence au repos (vessie hyperactive). Une cystoscopie a été faite le 16.09.2018 chez l'urologue Dr. X. Le patient est sous Duodart depuis cette date-là. Le patient est hospitalisé du 14.12 au 18.12.2018, avec une antibiothérapie iv par Ceftriaxone du 14.12 au 17.12. Les hémocultures positives à S. pneumoniae le 17.12 motivent un avis infectiologique : • Traitement par Co-Amoxicilline per os pendant deux semaines, depuis le 18.12. • Contrôle clinique et radiologique à 10 jours post-sortie par Dr. X en infectiologie • 2 semaines après rémission : vaccin contre la grippe, Fluarix, et vaccin contre les Streptocoques sur avis infectiologique. Le vaccin contre la grippe ayant déjà été fait début novembre chez le médecin traitant, le vaccin contre les streptocoques uniquement sera fait lors du contrôle chez Dr. X. La radiologie thoracique sera effectuée le 27.12 avant le contrôle infectiologique. Les valeurs de laboratoire montrant une anémie normochrome normocytaire à Hb 108 g/l ne sont pas investiguées dans le contexte de l'hospitalisation, au vu des valeurs basses chroniques de l'hémoglobine chez le patient. Nous laissons soin au médecin traitant de contrôler et d'investiguer l'anémie en ambulatoire. Mr. Y consulte hier pour un malaise vagal sur suspicion de spoliation digestive. Contrôle de l'hémoglobine ce jour qui est diminuée de 15 points. Au vu d'un tableau clinique parlant en faveur d'une hémorragie digestive haute, le patient est hospitalisé à nos lits monitorés. La protection gastrique et une hydratation sont débutées. En raison d'une péjoration de l'hémoglobine, nous prenons contact avec Dr. X qui propose un contact avec les soins intensifs, le passage d'un concentré érythrocytaire avant un transfert sur Fribourg. Mr. Y consulte pour des coups. Traumatisme cérébral sur coups par un tiers ce jour. Pas de PC ni AC. Constats de coups effectués. Le patient n'évoque ne souhaitant pas d'antalgie à la sortie. Mr. Y consulte pour probable torsion du pouce main droite et dos de la main gauche. Il repart sans consultation car ne veut plus attendre. Mr. Y, âgé de XX, nous est adressé par Dr. X pour une coronarographie de contrôle chez un patient connu pour un STEMI en 05.05.2017. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une resténose significative de la RCx (deux lésions) que nous traitons d'emblée avec un ballon à élution de paclitaxel (proximal, là où il y a déjà deux couches de stents) et un stent court de 2ème génération (moyenne). Excellent résultat angiographique immédiat. Un traitement par double antiagrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement est inchangé. On recommande un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 07.12.2018 à domicile. Mr. Y, âgé de XX, nous est adressé pour une dyspnée importante depuis quelques semaines. Un premier bilan échocardiographique par Dr. X a relevé une sténose aortique et la décision d'une coronarographie gauche et droite est prise pour évaluer plus en détail la sténose aortique ainsi que pour dépister une maladie coronarienne. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale. La fonction systolique du VG est préservée. Le patient bénéficie d'une dilatation de l'IVA proximale avec mise en place d'un stent actif. Un traitement par double antiagrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1x/j à vie et Plavix 75 mg 1x/j pour 6 mois est débuté. L'examen du jour confirme la sténose aortique de degré modéré avec une surface à 1.07 cm². En plus, on trouve une hypertension artérielle pulmonaire importante. Une embolie pulmonaire ayant été exclue par un Angio-CT thoracique, nous retenons donc la sténose aortique comme causale pour l'hypertension pulmonaire.Comme prévu par le Dr. X, nous procéderons à un IRM pour la recherche d'une maladie infiltrative (amyloidose). Le bilan cardiaque sera complété par un Holter à la recherche d'une FA. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 05.12.2018 à domicile. Patient de 1 an et 9 mois en BSH qui se coupe l'index gauche avec une boîte de conserve ce matin. La plaie est à vue d'œil superficielle mais une exploration est indiquée, mais pas possible en absence de sédation. En vue de la situation, nous transférons le patient à Fribourg en pédiatrie pour exploration de plaie sous sédation pour exclure des lésions profondes. Patient de 10 ans qui, à 14h50 en jouant au hockey, se fait pousser et se cogne contre un rocher au niveau de l'arcade sourcilière gauche. La vaccination tétanique est à jour. À l'examen cutané, nous retrouvons une plaie de 3 cm, verticale, en-dessous de l'extrémité externe de l'arcade sourcilière gauche, sans saignement actif, sans signe de surinfection, sans traumatisme oculaire. Nous désinfectons la plaie et suturons 3 points Ethilon 5.0, puis mettons en place un pansement simple avec retour à domicile. Le patient contrôlera l'état de la plaie chez le pédiatre à 48h et l'ablation des fils sera faite le 31.12.2018 à la FUA. Patient de 11 ans qui est connu pour un pied bot gauche opéré, qui présente aujourd'hui une luxation de la rotule gauche avec réduction spontanée alors qu'il a fait un faux mouvement de torsion au gym aujourd'hui. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est immobilisé en attelle en extension et serait revu en consultation la semaine prochaine chez le Dr. X. Patient de 13 ans qui, en bonne santé habituellement, présente des douleurs et diminution de mobilisation au niveau du coude gauche. D'après le Dr. X, la radiographie du coude ne montre pas de fractures. Vu l'examen radiologique rassurant, le patient rentre à domicile accompagné par sa mère avec antalgie en réserve et bretelle. Contrôle chez le pédiatre dans 5 jours. Patient de 15 ans, présente une plaie superficielle de muqueuse de 0,3 cm de longueur non transfixiante au niveau du frein labial supérieur. Vu l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile accompagné par son père. Rinçage quotidien par Drossadin 0,1% solution 4 fois par jour pendant 4-5 jours. Patient de 16 ans qui revient comme prévu à 24 heures pour un contrôle par l'orthopédiste et pour un bilan complémentaire de radiologie par US. L'US n'étant pas concluant, une IRM est organisée pour vendredi et le patient sera revu par la suite par l'orthopédiste pour suite de prise en charge. Patient de 17 ans en bonne santé habituelle, suivi en rhumatologie pour une suspicion initiale de spondylarthropathie (HLA-B27 négatif, absence de sacro-iléite à l'IRM), qui est hospitalisé le 22.10.2018 pour adaptation antalgique et poursuite des investigations. Le patient présente un tableau clinique de polyarthralgies chroniques axiales, périphériques et symétriques d'allure mixte (mécaniques et inflammatoires) depuis janvier 2018, surajoutant des gonalgies bilatérales qui durent depuis deux ans. Les douleurs sont décrites comme étant profondes, intra-articulaires, de type serrement et majorées à la mobilité ainsi que la nuit. Une raideur matinale de plusieurs heures est décrite par le patient. Depuis plusieurs mois, le patient décrit des selles liquides 2-3 fois/semaine, survenant majoritairement après un repas. Le reste de l'anamnèse par système met en évidence une perte de poids de 3-4 kg en 6 mois et une asthénie chronique. À noter une spondylolyse spontanée au niveau de la vertèbre L5, découverte lors d'une IRM du 07.05.2018, pour laquelle le port d'un corset avait été prescrit (complète d'un côté, incomplète de l'autre). Le bilan biologique d'entrée se révèle aligné, sans trouble de la formule sanguine complète ni syndrome inflammatoire. Nous notons cependant une élévation isolée et légère des LDH et de la bilirubine directe, avec une hémoglobine dans la norme. Un dosage de la vitamine D3 ainsi que des anticorps anti-transglutaminase et anti-gliadine se révèlent dans la norme. Nous effectuons également une électrophorèse des protéines, le dosage de la bêta-2-microglobuline, la vitamine B12/folates ainsi qu'un sédiment urinaire, tous revenant dans la norme. Une calprotectine dans les selles est dosée en vue de la symptomatologie digestive et revient positive à 600 UI/L. L'interprétation de cela peut s'avérer faussée par la prise d'AINS (Piroxicam) que prend le patient. Une IRM lombaire est ré-effectuée le 02.11.2018, afin de contrôler l'état de la spondylolyse. Celle-ci révèle une absence d'anomalies franches avec une incapacité d'exclure formellement une persistance de la lyse osseuse. Pour cette raison, un CT de la colonne lombaire sera effectué en ambulatoire. Nous introduisons de la physiothérapie en séances rapprochées et intensives que le patient décrit comme bénéfique. Nous décidons d'arrêter son traitement de prégabaline, décrit comme inefficace jusqu'à présent, et nous remplaçons le Piroxicam par du nimesulide en association à du tramadol-paracétamol. Le changement est mieux toléré avec un effet partiellement bénéfique pour les douleurs. Globalement, l'hospitalisation semble avoir eu un effet tout de même partiellement bénéfique. À sa sortie, nous décidons d'introduire un traitement anti-TNF afin de pallier des douleurs fortement inflammatoires à l'anamnèse et évoquant tout de même une SpA, malgré la pauvreté des signes radiologiques. Un essai de 3 mois sera tenté avec de l'adalimumab 40 mg en SC (Humira), puis réévalué par la suite. À la sortie de son IRM, le patient est victime d'une entorse de la cheville gauche en varus forcé avec craquement audible et une douleur importante au niveau du trajet du ligament TFA ainsi que de la base du 5e métatarse. En vue de la charge impossible, une radiographie du pied/cheville gauche de face et profile est effectuée, ne montrant pas de fracture franche. Le patient est prescrit un Air-Cast avec immobilisation postérieure du pied, des cannes de décharge ainsi qu'une anticoagulation prophylactique en prévention thrombo-embolique. Les modalités de traitement lui sont expliquées et sont bien entendues et comprises. Le patient quitte l'HFR avec un RDV de contrôle chez son médecin traitant à 7 jours pour contrôle clinique. Nous reverrons le patient prochainement à notre consultation de rhumatologie. Patient de 18 ans, en bonne santé habituelle avec des antécédents de suivi psychiatrique il y a quelques années dans le cadre de mobbing à l'école, présente depuis octobre 2018 des douleurs abdominales intermittentes en coliques, soulagées par la défécation, avec inappétence par peur de douleurs abdominales post-prandiales, perte de 7-8 kg et asthénie. Il est adressé par vos soins pour investigation en raison d'une CRP élevée. L'examen clinique met en évidence une légère douleur à la palpation profonde en FID et FIG sans péritonisme. En raison des symptômes et de la persistance d'une CRP à 72 mg/l, nous réalisons un scanner qui met en évidence de multiples adénopathies mésentériques, associées à une hépatosplénomégalie avec une faible quantité de liquide libre au niveau du petit bassin. Nous suspectons une origine infectieuse en premier lieu et proposons une antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl pour une durée de 7 jours. Un rendez-vous de suivi à la consultation du Dr. X est fixé au 18.12.2018. Nous réalisons également une recherche de calprotectine dans les selles. Le résultat vous sera transmis. En fonction de l'évolution, une colonoscopie sera prévue.Au vu de l'état clinique du patient, il rentre à domicile le 14.12.2018. • Patient de 19 ans connu pour une encéphalopathie d'origine prénatale et des pneumonies à répétitions nous est adressé par son médecin traitant pour une pneumonie non résolutive sous Co-amoxiciline par voie orale depuis 4 jours. À l'entrée, le patient présente une toux avec des expectorations. Au status, il est fébrile à 38.5 °C, sature à 88% à l'air ambiant et présente une hypoventilation en base droite avec un souffle tubaire. Un syndrome inflammatoire est détecté au laboratoire. Une radiographie du thorax montre un possible foyer en base pulmonaire droite. Des hémocultures reviennent négatives. Une antibiothérapie intraveineuse est introduite avec une bonne réponse clinique et biologique. Nous passons à une antibiothérapie par voie orale le 25.12.18 et proposons la poursuite de ce traitement jusqu'au 27.12.2018. • Mr. Y présente des diarrhées depuis l'introduction de l'antibiothérapie. Au status, le ventre est souple et indolore. Le patient est mis en isolement du 21.12 au 23.12.18. La culture de selles à Clostridium revient négative. Nous proposons un suivi clinique et un contrôle chez le médecin traitant si les diarrhées ne cessent pas après la fin de l'antibiothérapie. Le patient présente un escarre sacré superficiel depuis 2 semaines suivi par les infirmières à domicile. Nous proposons de poursuivre les soins actuels. Le patient a un rendez-vous chez la dermatologue le 27.12.18 pour la prise en charge de cette plaie. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 24.12.2018. • Patient de 19 ans en BSH qui, en se levant d'une chaise, ressent des douleurs au dos localisées lombaires paravertébrales à droite. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic sus-mentionné. Un traitement symptomatique est mis en place et le patient fera le suivi si nécessaire chez son médecin traitant. • Patient de 19 ans qui se présente ce jour avec une récidive de luxation géno-humérale non traumatique de l'épaule gauche (9ème épisode). Après une mise en évidence clinico-radiologique de la luxation, nous avons décidé de réduire la luxation aux urgences avec support antalgique par fentanyl et dormicum. Une radiographie de l'épaule gauche post-réduction a mis en évidence un positionnement correct de la tête humérale dans la glène et l'examen clinique a montré une mobilisation passive non douloureuse sans perte sensitivo-motrice. En raison des résultats clinico-radiologiques rassurants, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec un gilet orthopédique pour deux semaines, une physiothérapie proprioceptive pour 2 semaines et un rendez-vous chez le Dr. X fin janvier 2019. • Patient de 19 ans, qui a présenté un premier épisode de crise tonico-clonique avec état de mal épileptique en novembre 2018, qui consulte aux urgences le 19.12.18 en raison d'une aphasie motrice apparue le matin au réveil, qui se résout progressivement sur la journée. Une origine fonctionnelle est probable d'après l'évaluation par les neurologues. Une origine comitiale reste possible, motivant l'adaptation du traitement antiépileptique. L'EEG ne met pas en évidence de foyer épileptique. Au vu de l'évolution neurologique favorable, le patient rentre à domicile le 20.12.18. • Patient de 20 ans qui se présente ce jour aux urgences avec une douleur abdominale datant de 48h, initialement en région ombilicale ayant migré en FID hier soir, évaluée à 4/10 sans antalgie, sans état fébrile et sans vomissements, accompagnée de selles molles et sans troubles fonctionnels urinaires. Un laboratoire sanguin effectué aux urgences ne montre pas de syndrome inflammatoire franc avec une CRP à 11 et une leucocytose à 7000. Le sédiment urinaire est parfaitement normal. À l'examen clinique, la douleur est marquée en FID avec une défense sans détente et nous observons un patient stable ne nécessitant pas d'antalgie. En raison de résultats clinico-biologiques rassurants avec toutefois une suspicion d'appendicite débutante simple, sans risque de perforation ou autre complication dans la nuit, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple pour la nuit et l'invitons à se présenter dans 12h pour un nouveau contrôle clinico-biologique, accompagné d'un examen échographique prévu le 27.12 à 8h. Le patient se présentera aux urgences à jeun. Nous l'invitons à se présenter directement aux urgences de Fribourg si des signes de gravité venaient à apparaître dans le courant de la nuit (douleur franche, état fébrile). • Patient de 20 ans qui se présente ce jour pour un contrôle clinico-radio-biologique pour des douleurs en FID datant du 24.12 sans état fébrile et sans vomissements. Pour rappel, le patient s'est présenté le 26.12 avec des douleurs abdominales continues EVA 4/10 sans antalgie, initialement localisées en région ombilicale avec migration progressive en FID depuis la veille au soir. Un laboratoire et une clinique rassurants nous ont permis de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple pour la nuit afin de le reconvoquer ce jour pour réaliser une nouvelle prise de sang ainsi qu'une échographie abdominale à la recherche d'une appendicite. Ce jour, la CRP est à 10 avec une leucocytose à 5000. À l'échographie abdominale, nous visualisons un segment appendiculaire de 4mm, mais un appendice non visualisé en entier. Une suspicion d'abcès débutant à l'imagerie ne concordant pas avec la clinique. Sur avis du Dr. X, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile ce jour et l'invitons à se présenter le 28.12 au matin à la FUA pour un nouveau contrôle clinique +/- biologique si persistance ou aggravation de la douleur. Le patient annulera son rendez-vous en cas d'amélioration de sa symptomatologie. • Patient de 21 ans connu pour une rectocolite ulcérante et hémorragique traité par Remicade et Imurek se présente ce jour pour des douleurs anales depuis jeudi 20.12. Le patient décrit une nouvelle poussée de la maladie en ce moment (la 5ème depuis le début de la maladie) avec de nombreuses diarrhées et se présente pour une boule douloureuse périanale. À l'entrée aux urgences, le patient est en bon état général avec de bons paramètres. Examen abdominal : palpation abdominale indolore sans défense ni détente avec bruits intestinaux légèrement augmentés dans les quatre quadrants. Visualisation d'une lésion périanale d'environ 2cm, rouge, douloureuse à la palpation. Le reste de l'examen clinique est sans particularités. Le bilan biologique du patient est dans la norme. Un avis est demandé au Dr. X, qui diagnostique un hématome périnéal infecté avec écoulement de pus lors de l'incision. Suite à l'évacuation, un lavage abondant est fait et le patient sera revu en consultation de contrôle proctologique le 27 ou 28.12, puis une nouvelle fois mi-janvier. Le patient rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan 3x/j. • Patient de 22 ans en bonne santé habituelle, qui consulte les urgences pour des douleurs derrière l'œil gauche depuis 4 jours. Il a eu une grippe il y a quelques jours avec nez bouché et douleurs à la gorge. Il dit qu'au travail, il porte des lunettes parce qu'il travaille avec du métal et il y a souvent quelque chose qui entre dans les yeux. Mais il nous dit que ces derniers jours, rien n'est arrivé dans ses yeux. Il nous dit que cela fait longtemps qu'il voit un peu moins bien de l'œil gauche, mais il n'a pas eu de péjorations importantes. Il n'a pas de céphalée, pas d'otalgie. Pas de fièvre. Il nous dit que son père a eu une thrombose veineuse de l'œil dans le passé, mais il ne sait pas à quel âge ni d'autres détails. Aux urgences, le patient est bien orienté. L'examen neurologique est dans la norme et aussi les champs visuels des deux côtés. L'examen neurologique est sans déficits, l'otoscopie et l'analyse du fond d'œil sont sans particularités.Nous avons fait un test avec la fluorescéine à la recherche des lésions de la cornée, qui est revenu négatif. Nous conseillons à Mr. Y de prendre un RDV demain avec un ophtalmologue pour investiguer avec un spécialiste ces douleurs. Mr. Y, 22 ans en BSH, droitier, étudiant, se coupe avec un verre à 2h30 du matin le 14.12.2018. Il a désinfecté et a mis un pansement dessus et vient aujourd'hui pour une consultation médicale. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Une désinfection et un rinçage abondant sont effectués avec 2 points de rapprochement vu que la plaie date de plus de 6 heures. Mr. Y sera revu à 24 heures pour un contrôle de plaie. Mr. Y, 22 ans en BSH, se coupe avec un verre à 2h30 du matin le 14.12.2018. Il vient ce jour pour le contrôle de la plaie. Vu l'examen clinique rassurant, Mr. Y rentre à domicile. Ablation des fils à J7 chez MT. Mr. Y, 23 ans, en bonne santé habituelle, consulte aux urgences le 22.12.2018 à 1h en raison d'une odynophagie présente depuis environ 24h, associée à une asthénie et une sensation de frissons sans fièvre objectivée à domicile, ainsi qu'une toux grasse et irritative intermittente. Mme. Y a également présenté la veille au soir 2 épisodes de vomissements alimentaires, sans douleurs abdominales ni nausée/vomissements, ni trouble du transit récent, ni signe fonctionnel urinaire. Pas de dyspnée ni douleurs thoraciques. Elle a pris de l'Irfen, soulageant bien les douleurs, mais se plaint des douleurs durant la nuit. Elle dit faire fréquemment des épisodes d'angines mais n'a jamais eu de test strepto A. Elle travaille comme employée de commerce. Apyrétique 37.8°C. Examen ORL : Amygdales érythémateuses et tuméfiées de manière bilatérale, sans dépôt pultacé. Pas de douleurs à la percussion des sinus maxillaires, frontaux et ethmoïdaux. Examen cardio-pulmonaire : Pouls périphériques bien perçus, bruits du cœur réguliers sans souffle surajouté, pas de signe d'ICD/ICG, MV claire et symétrique, patiente eupnéique en AA, saturation 96%. Examen uro-digestif : Bruits hydro-aériques normaux, abdomen souple et indolore à la palpation. Percussion des loges rénales indolores. Après un statut clinique rassurant et un strepto-test rassurant, Mme. Y rentre à domicile avec un traitement symptomatique par Dafalgan et Irfen. Nous lui expliquons de consulter de nouveau en cas de persistance des symptômes à 7 jours ou de péjoration des douleurs malgré un traitement bien conduit. Mme. Y, 23 ans, en BSH, pas de traitement habituel, métier : serveuse, ce soir, elle a une entorse du genou G en rentrant chez elle en courant. Le genou est resté bloqué en flexion à 30° pendant quelques minutes, ensuite restauration de la motilité complète suite à un traitement avec tramadol 50 et Voltaren gel (donné par le compagnon qui l'utilise suite à des soins chirurgicaux récents) avec bénéfice sur la douleur. Pas de chute. Elle marche en charge complète sans douleur à l'arrivée aux urgences. Mme. Y se plaint de douleur au niveau du genou G sur l'effort depuis longtemps sans notion de traumatisme déclenchant, le MT en France avait fait une RX (compte rendu rapporté par la patiente : négatif) et avait aussi conseillé un IRM que la patiente n'a pas fait en suspicion de chondropathie, pas d'antécédents de luxation de la rotule. Elle a déménagé il y a 1 mois. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, on pose un bandage avec diclofénac (on donne un tube de diclofénac). Contrôle chez MT si douleur. À disposition pour un éventuel suivi orthopédique à l'hôpital de Riaz. Mr. Y, 24 ans, présente une rupture de la plastie du LCA presque 2 ans après la chirurgie, à la suite d'un nouveau traumatisme le 04.12.2018, pour lequel nous décidons dans un premier temps de compléter le bilan par un CT du genou G afin d'évaluer la position et l'état des tunnels. Nous reverrons Mr. Y à la suite de cet examen pour planifier la suite de la prise en charge. Mr. Y, 25 ans, est hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance rythmique dans le cadre d'une péri-myocardite récidivante. Mr. Y présente depuis trois jours une rhinite avec apparition d'une douleur thoracique constrictive, respiro-dépendante, survenue au repos, lui rappelant les épisodes de myocardite qu'il a eus en 2010, 2011 et 2017. Le bilan biologique met en évidence des enzymes cardiaques élevées, parlant en faveur d'une récidive de péri-myocardite. Après discussion avec les cardiologues, une IRM cardiaque est organisée à l'hôpital de Tiefenau à Berne. La surveillance rythmique est sans particularité. Dans le contexte des antécédents de Mr. Y, nous demandons un consilium rhumatologique. Mr. Y, 26 ans en BSH, qui le vendredi dernier en bougeant un anneau de béton de 70 kgs avec le bout des doigts ressent des douleurs et des lancées électriques dans son annulaire gauche. Le même jour, il se tape le poignet en hyperextension en fermant une porte lourde avec une sensation de crépitements dans le poignet. Mr. Y se présente aux urgences le lundi à cause de douleurs qui ne lui permettent pas de travailler (maçon). Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Un traitement avec antalgie et repos est alors instauré. Mr. Y, 26 ans, sans traitement régulier, métier : laborantin, vers 23h30 commence à avoir des douleurs 5-6/10 au niveau du flanc D sans irradiation. Nausée, pas de vomissement, pas de symptômes urinaires, pas de diarrhée, pas de fièvre. Évacuation de selles régulière, normo-conformes. Mr. Y est connu pour 2 épisodes de calculs rénaux. La douleur de ce soir ne ressemble pas à celle des derniers épisodes de calculs rénaux, maintenant c'est plus légère selon lui. Pas de traumatisme ni d'efforts récemment. En triage, on donne Dafalgan et Ponstan avec bénéfice complet sur la douleur. Vu l'évolution clinique favorable et le laboratoire sans signe d'insuffisance rénale ni d'inflammation systémique, on conseille un suivi clinique et laboratoire à la FUA le 1.12.2018 à midi. Mr. Y, 28 ans en BSH, consulte aux urgences pour une douleur au poignet D. Le 16.12.2018, il est tombé en arrière avec réception sur le dos et sur la main D en flexion dorsale à 90 degrés. Depuis, il se plaint de douleur au niveau du poignet D côté ulnaire. Examen clinique : pas d'œdème, ni d'hématome du poignet D, mobilité normale, pas de troubles neurovasculaires. Mr. Y décrit une douleur à la palpation de l'extrémité distale de l'ulna, pas de douleur à la palpation du radius ni du lunatum, piston du pouce sans douleur. Rx : pas de lésion osseuse. Attitude : En accord avec Dr. X, nous retenons une contusion du poignet D, pour laquelle nous recommandons un traitement antalgique. Contrôle chez le MT si nécessaire. Mr. Y, 28 ans, fait un travail manuel dans une institution pour personnes avec handicap, connu pour anomalie chromosome 4 avec caryotype 46,XY, dup(4)(q31qter) avec retard mental sans déficit d'organe. Ce soir, il était au «espace gruyère» pour l'exposition de ses bêtes, vers le soir il est allé aux toilettes (il a dit n'avoir rien fait) et, suite à une sensation de fatigue, a eu un épisode de lipothymie. Le Securitas a vu que Mr. Y n'était pas bien donc il l'a pris et Mr. Y n'est pas tombé. Pas de crise tonico-clonique ni de morsure ni de perte urinaire ou de selles attestées par les compagnons. Pas de douleur thoracique. À l'arrivée des secours, Mr. Y pouvait marcher mais avec beaucoup de difficulté, à cause de la fatigue, pas de déficit neuro, glycémie 5.7 et température 33.6. Selon les parents, Mr. Y a eu un manque de sommeil avant l'exposition d'aujourd'hui. Pas de diarrhée aujourd'hui ou dans les derniers jours, ni de nausée, vomissement, symptômes urinaires ou douleurs ou traumatisme, selon les parents.Le patient avait déjà eu une syncope avec fatigue persistante depuis 48h et ralentissement psychomoteur en 2011, les examens avaient montré BAV1 à l'ECG et EEG qui ne permettait pas d'écarter complètement un problème épileptogène. Pour cette raison, il avait aussi fait un nouvel EEG de privation de sommeil dont on n'a pas le compte-rendu. Le patient avait aussi fait un échocardiogramme et un holter, résultats négatifs. On donne 2l NaCl, couverture chauffante. Après 2h aux urgences, température 35.2, amélioration de la réaction à l'appel. Vers 1:00 du matin, le patient présente vigile et complètement collaborant. Examen clinique à la sortie sans déficit. Le patient dit avoir bu avant l'épisode 1 verre de liqueur de la région. Avis Dr. X: EEG standard début semaine prochaine. Mr. Y, 29 ans, en bonne santé habituelle, vient aux urgences pour un accident avec la voiture. Il était en train de conduire et était ceinturé. Il allait à 30 km/h quand une camionnette est arrivée contre sa voiture de son côté. L'airbag s'est déployé, il dit ne pas avoir perdu connaissance, de n'avoir pas tapé la tête et d'être sorti de la voiture tout seul. Il a tapé la main à cause de l'accident, ne se rappelle pas contre quoi. Il vient aux urgences pour des douleurs à la main et au poignet G avec limitation de la fonctionnalité. Aux urgences, le patient est conscient et bien orienté. Il a des douleurs à la palpation et à la mobilisation active et passive du poignet G et de la main G. Les douleurs sont surtout au niveau des os pyramidales, pisiforme et semi-lunaire. Il n'y avait pas de plaies, ni d'hématomes, ni de gonflements au niveau de l'articulation radio-carpienne ni médio-carpienne. Il n'a pas de douleurs à la palpation de la colonne vertébrale, ni au niveau thoracique, ni aux membres inférieurs. Le statut cardio-pulmonaire et abdominal est sans particularités, le statut neurologique était dans la norme. La force est conservée aux niveaux des 5 phalanges de la main gauche. Nous avons fait une radio de la main et du poignet gauche qui n'ont pas mis en évidence une fracture. Nous avons aussi fait un stick urinaire pour exclure une atteinte rénale qui est revenu négatif. Les tests hépatiques faits pour exclure un problème au foie sont aussi résultats négatifs. Nous avons donc exclu une fracture et avons posé le diagnostic de contusion. Nous immobilisons l'articulation radio-carpienne avec une orthèse amovible rigide (Velcto) et lui donnons de l'antalgie pendant quelques jours. Le patient aura un RDV à la FUA à Riaz le 28.12.2018 pour un contrôle clinique. Mr. Y, 29 ans, se présente aux urgences car depuis vendredi 21.12, douleurs progressives de la hanche gauche irradiant sur la cuisse gauche avec troubles de la sensibilité du genou. Pas de déficit moteur, pas de troubles sphinctériens. Douleurs insomniantes 7/10 au moment des mouvements. Mr. Y est connu pour des hernies discales, IRM en 2016 faite pour des lombalgies (volumineuse hernie L3-L4 paramédiane D qui mène vers un canal spinal déjà, a priori, étroit et imprime le sac dural en paramédian D, sans effet d'inflammation nette d'une racine). Traité par physiothérapie de mobilisation. Rapporte chute il y a 1 semaine sur le dos, de sa hauteur. Ce jour-là, il a pris du Tramal 50 mg et Voltarène sans nette amélioration. Pas de fièvre, ni symptômes infectieux. Actuellement, pas de douleurs au repos. Pas de traitement à domicile. GEN : GCS (Y4, V5, M6) EG conservé. OA : Pas de douleurs à la palpation, ni percussion vertèbres, pas de contracture musculaire visible. NEURO : Tonus conservé dans les 4 membres. Jambes tenues réussies. Force et sensibilité conservées aux 4 membres. Marche sp. Pas de trouble statique majeur. Pas de contracture mm visible en position couchée. Lasègue négatif. ROT rotulien diminué à gauche. Force mm - M5/5 normale. Avec légère hypoesthésie au toucher de la L4 (cuisse). Sensibilité - sensibilité normale de la région péri-anale et le tonus du sphincter anal normal. Nous réalisons la radio lombaire au vu de traumatisme récent, qui ne montre pas de fracture visualisée. Le patient a été vu par Dr. X - pas d'urgence chirurgicale, au vu d'absence de déficit mm, pas de troubles sphinctériens. Nous mettons en place une antalgie, feuille pour la consultation en neurochirurgie remise au patient. Nous informons le patient qu'en cas de péjoration de la symptomatologie, il doit reconsulter les urgences. Mr. Y, 30 ans, BSH sans traitement, présente, au travail à 15:00, une entorse en inversion de la cheville G alors qu'il descendait des escaliers. Pas de chute ni de plaie. Depuis, il marche dessus pendant quelques heures, aidé par ses collègues, mais ensuite les douleurs augmentent et il consulte aux urgences. N'a pas pris de traitement antalgique. Au statut de la cheville G : Comparé à la cheville D, léger œdème périmalleolaire externe et interne ne s'étendant pas à l'avant-pied. Mobilisation très douloureuse en flexion (mais possible et normale en passif, limitée par la douleur en actif). Sensibilité mais amplitude normale en extension passive et active. Pronation normale active et passive. Supination impossible en actif et passif à cause de la douleur (le patient ne se laisse pas faire le testing). Lisfranc et Chopart négatifs. Palpation malléole externe douloureuse, malléole interne sensible. Base 5ème métatarse indolore. Autres métatarses sensibles aux bases. Palpation de l'épine calcanéaire et de la face plantaire du pied indolore. La charge partielle est possible mais très douloureuse selon le patient. Charge totale impossible. À la radio, nous ne retrouvons pas de fracture, nous traitons par antalgie, AINS, RICE et attelle aircast avec contrôle chez le MT dans une semaine. Mr. Y, 30 ans en BSH, cuisinier de profession, droitier, se coupe avec un couteau de cuisine en coupant des légumes. Le bilan clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par pansement occlusif est mis en place avec un contrôle prévu en orthopédie dans 5 jours ou plutôt en cas de perte d'étanchéité du pansement (le patient prendrait contact). Mr. Y, 30 ans, fumeur, sans antécédents particuliers, se présente aux urgences pour une plaie profonde de l'index gauche. Le patient, travaillant dans l'isolation, s'est taillé le doigt avec un cutter le 17.12.2018 dans la matinée. N'étant pas inquiet, il a rincé son doigt puis a nettoyé avec de la bétadine. En se levant ce matin, le patient retrouve ses draps ensanglantés et décide de se rendre aux urgences. Plaie profonde et semi-circulaire de l'index gauche à la limite de la perte de substance, début de nécrose de la partie distale de la phalange. Troubles sensitifs au niveau de la partie nécrosée de la plaie, sensation de constriction au niveau de la phalange distale. Un avis orthopédique est demandé et Dr. X procède à un débridement de la plaie ainsi qu'un lavage abondant. Le patient rentre à domicile avec une couverture antibiotique par co-amoxiciline 2g/j pendant 5 jours ainsi que du Dafalgan pour antalgie. Le patient aura une consultation de suivi à la polyclinique d'orthopédie de Riaz le jeudi 20 décembre. Mr. Y, 30 ans, est adressé par son médecin traitant en accord avec Dr. X pour rupture spontanée d'un abcès périanal (premier épisode) qui évolue depuis environ 6 mois. Il avait un contrôle prévu mi-janvier chez Dr. X. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. L'ouverture de l'abcès est prolongée avec drainage du pus. Le patient sera revu en polyclinique de chirurgie dans 3 jours pour un contrôle clinique. Mr. Y, 31 ans, consulte pour des douleurs thoraciques atypiques respiro-dépendantes avec un ECG montrant des T négatifs en III et V1 pour lesquels un laboratoire avec troponines est négatif. Au vu d'une douleur respiro-dépendante, nous effectuons un score de Genève puis des d-dimères qui se retrouvent dans la norme. En l'absence de critères de sévérité, le patient rentre à domicile avec des antalgiques.Patient de 31 ans en BSH qui se plaint de lombalgies depuis le réveil ce matin. Le bilan aux urgences est rassurant avec des lombalgies non déficitaires, sans évidence d'origine infectieuse. Dans le cadre rassurant, une antalgie est prescrite au patient avec repos. Un suivi serait effectué chez le médecin traitant si nécessaire. Des consignes pour drapeaux rouges ou aggravation sont données au patient pour lesquels il devrait reconsulter. Patient de 31 ans qui se présente ce jour avec un pouce du skieur après un traumatisme isolé du premier rayon de la main droite en varus forcé avec hyperabduction du pouce droit en dévissant une scie circulaire. Une Rx du pouce droit réalisée aux urgences permet d'exclure la présence d'une lésion osseuse. Nous posons aux urgences le diagnostic d'une entorse de grade 1 de l'articulation MCP du pouce droit et proposons au patient un traitement conservateur avec antalgie simple, anti-inflammatoires et mise en place aux urgences d'une attelle pouce softcast pour la nuit et faisons une prescription pour une attelle Rhizoloc dès le 27.12 que le patient devra porter pendant 4 à 6 semaines, suite à quoi il sera revu par son médecin traitant. Patient de 32 ans qui se présente ce jour avec une plaie superficielle longitudinale de 1 cm de long sur la face dorsale de l'épiphyse distale de P1D2 de la main gauche à 0.5 cm de l'articulation IPP, datant de la veille au soir, apparue alors que le patient découpait du fromage avec un couteau à dents. Aux urgences, pas de signes de gravité local ni systémique. Désinfection de la plaie à l'hibidil, mise en place d'un pansement compressif avec compresses 5x5 cm et bande dermaplast. Vaccin anti-tétanique par TD-Pur fait aux urgences. Le patient est invité à consulter son médecin traitant à J2 pour contrôle de la plaie. Si le médecin traitant est absent (samedi), et en raison de l'absence de signes de gravité de la plaie ce jour, le patient refera son pansement compressif lui-même à domicile le 29.12 sans devoir passer à la FUA et ira ensuite consulter son médecin traitant le 31.12. Patient de 33 ans présentant une clinique de gastro-entérite qui est amené pour faiblesse généralisée. Vingt diarrhées aujourd'hui avec peu d'hydratation. Le laboratoire se montre favorable. Le patient bénéficie d'une hydratation IV aux urgences puis s'hydrate oralement. Les douleurs s'améliorent nettement après l'administration de paracétamol. Au vu de l'évolution favorable, ainsi qu'une hydratation par voie orale bien tolérée, le patient regagne son domicile. Il lui est recommandé de boire en suffisance. En cas de non tolérance de l'hydratation orale, il lui est recommandé un contrôle précoce. Nous lui proposons un contrôle d'emblée chez son médecin traitant en fin de semaine. Patient de 35 ans, connu pour syndrome de dépendance à l'alcool (multiples éthylisations aiguës avec chute et traumatisme crânien, dernière il y a 1 mois), est hospitalisé pour une crise tonico-clonique. Le patient se rappelle avoir pris le bus, puis s'être réveillé aux urgences. Il aurait présenté à 18h, une clonie faciale puis un affaissement au sol avec crise tonico-clonique et perte de contact, sans perte d'urine ni morsure de langue, le tout objectivé dans le bus. Il présente par la suite une phase post-critique avec désorientation, sensation de chaleur dans le bras gauche spontanément résolutive aux urgences. Le patient n'avait pas consommé d'alcool ce jour (consommation habituelle : 3 bières 5 dl et 1/2 bouteille de vodka). Le reste de l'anamnèse par système retrouve une diminution de l'appétit avec une perte de poids d'environ 5 kg en 6 mois sans état fébrile, ainsi qu'une toux matinale chronique avec expectorations blanchâtres occasionnelles. Le patient a été hospitalisé à Marsens en été 2018 sous PAFA pour un sevrage et a déjà souffert d'une crise d'épilepsie le 18.09.2018. Le bilan biologique d'entrée retrouve une alcoolémie à 0 ‰o, une thrombocytopénie et une perturbation des tests hépato-biliaires. Le patient est hospitalisé pour surveillance neurologique et investigations. Un EEG réalisé le lendemain est dans la norme et nous ne retenons pas d'indication pour un traitement anti-épileptique. Le patient reçoit une substitution par Seresta pour éviter les symptômes de sevrage. Un bilan pour la thrombocytopénie est prévu mais ne peut être réalisé, vu que le patient fugue de notre hôpital le 12.12.2018. Au vu du contexte social précaire et de cette consommation à risque, le médecin traitant avait parlé avec le patient d'un sevrage hospitalier avec séjour à Marsens par la suite, ce que le patient a par la suite refusé. Nous contactons les services de police afin de retrouver le patient. À son retour, le patient avoue avoir consommé de l'alcool et une alcoolémie est mesurée à 4.03 ‰o. Une évaluation psychiatrique montre une anosognosie quant à la situation, et donc une mise en danger pour le patient. Le patient est transféré en ambulance à l'hôpital de Marsens sous PAFA le 13.12.2018. Patient de 35 ans, en BSH, pas de traitement habituel, métier : technicien, depuis un mois le patient a la sensation d'avoir une légère tuméfaction petite et circonscrite entre les fesses, près de l'anus. Le patient commence à avoir mal hier et aujourd'hui la douleur augmente. Pas de fièvre, pas d'écoulement. Un épisode. Désinfection avec bétadine, anesthésie avec rapidocaine 10 ml + 2 ml bicarbonate, incision, exploration avec pincette hémostatique, rinçage avec 400 ml NaCl + bétadine, mèche (gaze bétaminée), compresse. Patient de 35 ans en BSH qui se présente ce jour avec un œdème palpébral inférieur de l'œil droit, probablement réactionnel à une sinusite maxillaire droite dans un contexte d'infection dentaire au niveau de sa canine supérieure droite (dent 13) chez un patient avec mauvaise hygiène dentaire. Sur avis du Dr. X, nous décidons d'instaurer une antibiothérapie IV en bolus aux urgences par co-amoxicilline 2.2 g avec antalgie et anti-inflammatoires. Le patient a pu rentrer à domicile le soir même avec antalgiques et anti-inflammatoires ainsi qu'une antibiothérapie par voie orale par co-amoxicilline 1 g 3x/j pendant 10 jours. Le patient est invité à prendre contact avec le centre dentaire Ardentis à Bulle le 27.12 pour prise en charge de son affection dentaire. Patient de 35 ans qui fait tomber une disqueuse sur son pied chaussé qui perce son chausson et lui fait une plaie sur la face dorsale du pied. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un débridement de la plaie est effectué et le patient est mis sous antibiotique avec un contrôle prévu dans 24 heures de la plaie. Patient de 36 ans, connu pour une intervention au niveau de la glande pituitaire par voie trans-nasale pour un prolactinome en 2010, qui présente depuis 4 jours un état fébrile avec une toux sans expectorations et des douleurs abdominales. Il décrit également des nausées, avec anorexie et frissons à domicile. Il a pris spontanément de l'amoxicilline et du paracétamol sans amélioration des symptômes. Le statut pulmonaire met en évidence des crépitants en base droite, et la radiographie confirme le foyer. L'évolution est favorable sous ceftriaxone, nous effectuons un relais par voie orale par co-amoxicilline le 08.12.2018 après 48h sans fièvre. Nous mettons en évidence une hématurie microscopique avec protéinurie et discrète insuffisance rénale aiguë. Le bilan montre une atteinte extraglomérulaire, les anticorps anti-streptodornase sont encore en cours. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y rentre à domicile le 08.12.2018.Patient de 36 ans, 5 gestes, nullipare, hospitalisée pour bilan d'une infertilité secondaire d'origine masculine avec échec d'hystéroscopie diagnostique avec curetage explorateur en ambulatoire. A noter que la patiente a eu 5 fausses couches avec deux partenaires différents de celui actuel avec un bilan de thrombophilie négatif. Dans ce contexte, nous lui proposons une hystéroscopie sous anesthésie générale au bloc opératoire. La patiente accepte et signe le consentement après information claire. L'intervention est effectuée le 07.12.2018 et se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le jour de l'intervention. La patiente sera revue à la consultation du Dr. X le 09.01.2019. Patient de 37 ans, admis aux soins intensifs le 12.12.2018 dans les suites d'une tentative de suicide à l'héroïne. Le patient est retrouvé par sa mère dans le coma avec les pupilles en miosis à son domicile. Il répond rapidement à de hautes doses de Narcan. Il exprime clairement que son désir était de s'injecter une dernière dose létale. L'évolution dans notre service est simple, sans récidive de dépression respiratoire majeure ni de troubles de l'état de conscience à plus de 8 heures après le sevrage complet du Narcan iv continu. Le patient est connu pour une insuffisance respiratoire globale chronique d'origine multifactorielle posant théoriquement une indication formelle à une VNI et une oxygénothérapie nocturne à domicile. D'après le médecin traitant et le pneumologue traitant, tous deux contactés en cours de séjour, des tentatives d'appareillages se sont soldées par des échecs en raison d'une non-compliance au long cours. Par surplus, le patient refuse explicitement de nouvelles investigations et interventions concernant son état respiratoire. Il refuse en particulier l'éventualité d'une oxygénothérapie ou encore un appareillage par BiPAP. Après avis psychiatrique et compte tenu du risque majeur de rechute en ambulatoire et de la non-compliance du patient avec risques de fugues, un transfert à Marsens en mode non-volontaire est effectué le 12.12.2018. Les documents de PAFA sont remplis en 5 exemplaires, dont l'un est remis en mains propres au patient au moment du départ. Patient de 37 ans, consulte en raison de douleur cervicale G depuis 1 semaine, augmentée par rotation de la tête vers la gauche. Nous retenons un torticolis et mettons le patient sous traitement symptomatique avec physiothérapie et l'arrêt du travail de 3 jours et contrôle chez Dr. X. Patient de 37 ans, en BSH, pas de traitement habituel, métier : peintre en bâtiment, depuis vendredi le patient a un lumbago, que pendant la soirée est augmenté. La douleur est bilatérale au niveau lombaire. Pas d'irradiation de la douleur, pas de fièvre, pas de traumatisme récemment. C'est le 2e épisode (1 épisode il y a 2 mois, épisode de douleurs aiguës bref, environ 2 jours de douleurs). Le patient peut marcher, il n'y a pas de position qui soulage la douleur. Le patient a pris à midi AINS non spécifié. En triage on donne paracétamol, Voltaren, Tramal avec bénéfice sur la douleur. Vu l'évolution clinique favorable, on donne antalgie pour la nuit et on fait sortir le patient. Patient de 38 ans en bonne santé habituelle, qui vient aux urgences pour un accident au travail. Ce matin vers 10 h 45, il était au travail, un élévateur électrique avec une barre métallique conduit par un collègue, est venu contre son pied, il dit gentiment. La barre métallique lui a percuté le pied D et le pied a fait un mouvement de flexion plantaire. L'élévateur électrique avait un système de sécurité qui l'a arrêté. Il a continué le travail parce qu'il nous a dit ne pas avoir de douleurs, puis à midi, il est rentré chez lui où il a commencé à sentir mal au pied. Il a mis de la glace qui l'a soulagé. Il vient aux urgences parce que les douleurs sont en augmentation, surtout quand il marche (douleurs à 7/8 à la marche), douleurs pas trop intenses au repos. Pas de plaie au pied, pas d'hématome. Il a des douleurs à la palpation du pied D au niveau des os cuboïde et calcanéum. Pas de plaie, pas d'hématome au niveau du pied et de la cheville. Pas de gonflement au niveau de l'articulation. La sensibilité au niveau du pied et la force sont conservées au niveau des phalanges. Pas de douleurs à la supination, ni à la pronation, ni à l'adduction, ni à l'abduction. Pas de douleurs à la dorsiflexion du pied droit. Douleurs au niveau des os cuboïde à la flexion plantaire du pied. Tendon d'Achille normal à la palpation, ligaments supérieurs des péroniers et ligaments inférieurs des extenseurs normaux à la palpation. Nous avons fait une radio du pied qui n'a pas montré de fractures. Nous avons donc donné au patient un anti-inflammatoire non stéroïdien, et nous avons conseillé du repos, de mettre de la glace et de tenir le pied élevé quand il est au lit. Pour ne pas charger à la marche sur le pied, nous avons donné au patient des cannes. Nous avons conseillé de prendre un RDV avec le médecin traitant demain ou vendredi 21.12 pour suivre l'évolution. Patient de 38 ans, en BSH, qui consulte aux urgences pour des douleurs au niveau du genou G. Le patient est magasinier et ne fait pas de sport. Il accuse une douleur d'apparition progressive depuis hier soir. La douleur est localisée au niveau du condyle fémoral externe du genou G et pendant la flexion au niveau de la fosse poplitée. Pas de notion de traumatisme, pas de fièvre, ni frisson. Il dit entendre un craquement quand il fait la flexion du genou et qu'il n'arrive pas à faire la flexion au même degré que le genou controlatéral. Il arrive à marcher, mais en boitant. Pas d'ATCD de lésion au niveau du genou G. Examen clinique : genou G discrètement œdématié par rapport au controlatéral, pas d'hématome, genou G flexion maximale à 135 degrés, extension complète, signe du Glaçon positif bilatéral, pas de douleur à la palpation du plateau tibial, ni des deux condyles fémoraux, ni au niveau de l'interligne articulaire, ni de LLI ni LLE, pas de tiroir ni à 45 degrés ni à 90 degrés, varus et valgus stress test ne déclenchent pas la douleur, McMurray et Grinding test négatifs, flexion de la cuisse sur l'abdomen avec le MIG tendu normale, pas de trouble neurovasculaire. RX genou G : pas de lésion osseuse. Labo : pas de syndrome inflammatoire. Attitude : Après avoir exclu une urgence de genou G (arthrite, fracture, anse de seau), nous conseillons au patient un traitement antalgique et organisons un contrôle à la FUA le 27.12.2018. Nous conseillons au patient de consulter aux urgences avant en cas de péjoration de la symptomatologie. Patient de 39 ans, en BSH, qui consulte aux urgences pour des douleurs du 5e orteil G. Il dit que ce matin, il a tapé avec le 5e orteil contre une porte. Depuis, l'orteil est devenu violet et il présente des douleurs à la marche au niveau de la phalange proximale du 5e orteil. Il arrive à marcher en boitant. Examen clinique : hématome et œdème du 5e orteil, douleur à la palpation de la phalange proximale, pas de trouble sensitive ni moteur, TRC < 3 sec, pas de douleur à la palpation de la base du 5e métatarsien. Rx : fracture P2O5. Attitude : Nous retenons une fracture de la phalange moyenne du 5e orteil pour laquelle nous conseillons syndactylie et un traitement antalgique. Contrôle dans 4 semaines en polyclinique d'orthopédie, car il n'a pas de MT. Patient de 4 ans qui reçoit une viande de 3 kg surgelée sur son hallux gauche en chaussettes. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur est mis en place. Le patient sera revu par son pédiatre pour un contrôle dans 2 à 3 semaines. Pas de radiographies seront nécessaires.Patient de 40 ans infirmier à l'HFR Riaz qui se présente ce soir aux urgences pour des douleurs épigastriques en pics présentes depuis J-1 avec irradiation dans l'HCG et l'HCD, sans notion de fièvre (état subfébrile la veille au soir 37.9°C), pas de frissons, pas de vomissements. Le 26.12 soir le patient s'est présenté aux urgences pour épigastralgies avec diarrhées et vomissements avec état subfébrile à 37.9°C. Nous l'avons laissé rentrer à domicile en raison d'une amélioration de la symptomatologie et avons posé le diagnostic d'une gastro-entérite aiguë. Ce jour, le patient se présente aux urgences inquiet d'une possible origine cardiaque de sa douleur en raison de ses comorbidités et atcd familiaux cardio-vasculaires. Un ECG ainsi qu'un premier train de troponines sont réalisés aux urgences et reviennent rassurants. En raison de la consommation régulière d'AINS, nous suspectons une possible gastrite et décidons d'initier un traitement par Nexium 40mg 2x/jour avec une mise en suspens des AINS chez le patient. Le patient a pu rentrer à domicile et organisera un OGD au cours de son séjour au Portugal cette semaine. Patient de 40 ans qui se présente ce jour aux urgences avec une douleur pariétale hémithoracique droite, dans l'épaule droite et dans la région interscapulaire ainsi qu'une douleur épigastrique en pics datant depuis une semaine sans notion d'état fébrile, de vomissements ni de troubles du transit. En raison de la douleur thoracique, nous décidons de réaliser un ECG et une Rx thorax qui reviennent tous deux rassurants, nous permettant d'exclure une origine cardiaque de sa douleur. Un laboratoire sanguin nous permet d'exclure un dysfonctionnement hépato-pancréatique. En raison des résultats clinico-radio-biologiques rassurants, nous posons le diagnostic d'une épigastralgie probable surconsommation d'AINS dans un contexte de douleur pariétale sur effort musculaire important et décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple par dafalgan, un arrêt des AINS et une couverture gastrique par Nexium 40mg 1x/jour pour une durée de 7 jours. Nous prescrivons également un traitement par Sirdalud 2mg 1x/jour au coucher afin d'apaiser les douleurs musculaires du patient. Nous l'invitons à se présenter aux urgences en cas de récidives importantes de ses douleurs ou d'autres signes de gravité (vomissements, état fébrile). Le patient se présentera à la consultation de son médecin traitant dans une semaine pour un contrôle clinique. Patient de 42 ans se présente pour une plaie de 2.5cm (le patient s'est taillé avec une scie en coupant du bois) en diagonal au niveau de l'articulation interphalangienne proximale de l'index gauche. Pas d'autres plaintes, vaccination tétanique à jour. Examen cutané : plaie propre, longue de 2.5cm, saignant peu, mobilisation du doigt parfaite en flexion et extension sans troubles sensitivo-moteurs. Exploration de la plaie : pas de lésion tendineuse. Nous procédons à une désinfection de la plaie, une anesthésie locale par Rapidocaine, 2 points de suture ethilon 5.0 et un pansement. Nous proposons un contrôle de la plaie à 48h et une ablation des points à 10 jours. Patient de 43 ans en BSH qui lors du travail essaie de porter un poids d'environ 95 kg avec la main droite avec le coude en extension et ressent des vives douleurs et une impotence fonctionnelle au niveau du coude directement après. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence une rupture complète du tendon distal du biceps droit. Sur avis orthopédique, nous immobilisons le MSD avec une écharpe avec un contrôle prévu le lendemain chez le Dr X pour la suite de prise en charge. Patient de 44 ans connue pour une maladie de Crohn avec s/p colectomie totale et iléostomie terminale et rétablissement de la continuité par anastomose iléo-rectale en 1995. Le patient se présente pour un contrôle clinique demandé à la FUA pour ses douleurs abdominales présentes ces derniers jours. Le patient rapporte un nouvel épisode de douleurs soulagées ce matin par la prise de Tramal 50mg. Au vu de l'examen clinique normal du patient et du soulagement des douleurs sous la prise de Tramal, le patient rentre à domicile avec 3 comprimés en réserve, à prendre si les douleurs reviennent. Le patient a un rendez-vous prévu en ambulatoire avec le Dr X le 03.01.2019 pour la suite de la prise en charge. Patient de 44 ans, connue pour une polyarthrite rhumatoïde traitée par leflunomide et arcoxia, se présente pour une douleur forte et une tuméfaction importante de la cheville droite. La patiente décrit un mécanisme de torsion par rotation externe de la cheville puis interne sans craquements audibles lorsque la patiente a mis son pied dans une bouche d'égouts. La patiente ne présente pas d'autres plaintes. Ostéo-articulaire de la cheville droite : tuméfaction importante de la malléole externe, discrète tuméfaction de la malléole interne, légère douleur à la palpation du ligament deltoïdien, douleurs à la palpation du ligament talo-fibulaire antérieur, et calcanéo-fibulaire, pas de douleur du ligament talo-fibulaire postérieur, Squeeze test négatif, Lisfranc et Chopard indolores, pas de douleur à la palpation de la base du 5ème métatarse, pas de douleur à la palpation du péroné proximal, pas de laxité, cheville stable, sensibilité conservée, pouls périphériques palpables, marche en charge douloureuse mais possible. La radiographie ne montre pas de fracture visible, la patiente rentre à domicile avec mise en place d'une attelle Aircast et d'un traitement selon le protocole RICE, avec dafalgan 1g 3x/j et contrôle chez son médecin traitant à 7 jours. Patient de 44 ans, en BSH, qui consulte aux urgences pour une plaie au niveau du visage. Il était en train de travailler avec une meuleuse avec une lame sale quand la lame a explosé et a coupé son visage. Il se plaint de douleur au niveau du visage et de la main gauche. Vaccin anti-tétanique fait il y a 2 mois. Général : normocarde, normotendu. Cardio : bruits du cœur réguliers, pouls périphérique perçus. Pulmonaire : auscultation libre et symétrique. Digestif : abdomen souple, dépressible, pas de défense, pas de détente, douleur à la palpation sous-pubienne et des deux fosses iliaques, bruits hydroaériques normaux. Neuro : pas de trouble sensitivo-moteur au niveau du pouce gauche (abduction et adduction active normales, flexion et extension normales, tendon fléchisseur profond et superficiel normaux, toucher-piquer normal, test de discrimination de 2 points non accurate sur la côté radiale du pouce). Le bilan biologique est normal. Après anesthésie locale, nous explorons la plaie du pouce qui est sale avec des débris noirs. Lavage abondant et nettoyage de la plaie (débris restants) et mise en place de 3 points de suture séparés avec Ethilon 3.0. Après 100 mcg de Fentanyl et 18 mg de morphine, le patient est soulagé. Le médecin chirurgien de garde conseille la prise en bloc opératoire du patient pour suture et nettoyage de la plaie du visage sous anesthésie générale. 14.12.2018 : séance au bloc opératoire : - exploration plaie côté radial pouce gauche, au niveau MCP, suture de APL, rinçage, fermeture, pansement, attelle poignet prenant le pouce en primacast : l'exploration montre rupture de l'abductor pollicis longus, qui est suturé par maxon, sans arthrotomie ; pas de lésions neurovasculaires en regard du neurovascular bundle dorsal médial/lateral, en dehors de coupure de petites branches du plexus vasculaire dorsal. - procédé : rester en attelle comprenant le pouce jusqu'à guérison de la plaie. Surveillance neurovasculaire postopératoire comme d'habitude par contrôle de couleur et sensibilité au bout du pouce gauche. Pansement J2. Continuation de l'antibiothérapie par coamoxi jusqu'à sortie. Contrôle clinique à la policlinique lundi 17 décembre à 16h00. Avis Dr X le 15.12 - évolution favorable. Par la suite, contrôle à la polyclinique d'orthopédie le 17.12 à 16 heures. Patient vu le 15.12. par Dr. X • RAD avec bains de bouche, Co-Amoxi 1 g x 3 j pour 5 jours, Dafalgan, Tramal en R, contrôle en polyclinique d'orthopédie le 17.12 à 16 heures • voir aussi l'état de la plaie de la lèvre. Patient de 45 ans, ancien toxicomane actuellement sevré, qui consulte aux urgences pour une douleur au niveau de la cheville D. Il dit avoir fait un mouvement en varus forcé avec une chute sur le côté D le 16.12. Le patient s'est levé et a marché jusqu'au 20.12.2018 sans problème. Depuis ce jour, il se plaint de douleur sous malleolaire externe et au niveau de la face antérieure de la cheville (astragale). Pas de notion de nouveau traumatisme. Plusieurs entorses de la cheville D dans le passé. TT habituel : Sevrelong Clinique : légère œdème de la cheville D, pas d'hématome, pas de trouble neuro-vasculaire, douleur à la palpation superficielle de la cheville au niveau du ligament talo-fibulaire antérieur, ligament calcanéo-fibulaire et ligament talo-fibulaire postérieur, varus passif impossible car trop douloureux. Rx : arrachement de la pointe de la malléole latérale d'allure ancienne, pas d'autre lésion osseuse. Attitude : Dans le doute d'une entorse stable III versus II, nous traitons le patient pour une entorse stade III et organisons un RDV en polyclinique d'orthopédie (numéro du secrétariat donné au patient) pour réévaluation et suite de la prise en charge. Sur avis du Dr. X au colloque du 24.12.18, le patient est invité à se présenter à la FUA le 24.12 pour mise en place d'un aircast et arrêter la clexane. Le patient sera ensuite revu par son médecin traitant à J7. Patient de 45 ans, BSH pas de ttt, agriculteur. Vers 09:30 il se blesse au niveau de la face dorsale du pied G avec sa tronçonneuse (portait une chaussure de sécurité, qui a été partiellement coupée). Il ne rapporte pas de troubles de sensibilité, arrive à marcher et à bouger les orteils. Ne connaît pas ses vaccinations. A jeun depuis 09:00 (un chocolat et un café) Au status ciblé : • pied D sp • pied G : testing du fléchisseur profond avec déficit complet (flexion de la 2ème phalange sur la 1ère impossible), flexion du doigt en entier possible et normale. 2 plaies délabrantes transversales parallèles à 2 mm l'une de l'autre, juste en distal de la 1° MCP du 1er orteil, longueur 3 cm, profondes 1 cm. Pas d'os, d'articulation ni de tendon visualisé. • sensibilité conservée. TRC <3 s sur l'orteil 1. Une radiographie ne montre pas de fracture. Nous demandons avis au Dr. X, qui explore la plaie en stérile avec conclusion d'une section complète du tendon fléchisseur profond avec probable fracture ouverte proximale de la 1ère phalange. L'indication est donc opératoire, le patient signe de consentement éclairé et une copie lui est remise. Il sera pris au bloc opératoire ce jour même selon la disponibilité du bloc. Nous effectuons un rinçage très abondant et une suture de rapprochement par 4 points simples non résorbables 4-0 et un pansement. Une antibiothérapie par co-amox 2200 IV est débutée (1ère dose à 13:00 aux urgences), le patient est vacciné pour le tétanos et monte à l'étage d'orthopédie dans l'attente de l'opération. Patient de 45 ans, en bonne santé habituelle, sans facteurs de risque cardio-vasculaires, qui est admis aux soins intensifs le 30.12.2018 en raison d'un STEMI antéro-septal. Le patient avait déjà présenté des douleurs thoraciques oppressives atypiques le 29.12.2018 à deux reprises, irradiant dans la mâchoire et le bras gauche et cédant spontanément après quelques minutes. À 3 heures du matin le 30.12.2018, il est réveillé par les mêmes douleurs qui cette fois ne cèdent pas. Il consulte aux urgences de Payerne où un STEMI antéro-septal est mis en évidence. Il est chargé en Aspirine et Prasugrel et adressé pour une coronarographie en urgence. L'examen invasif met en évidence une sténose significative de l'IVA antérieure proximale et moyenne, ainsi qu'une lésion significative de la 1ère diagonale. Une angioplastie de l'IVA antérieure proximale sans stent est effectuée sans complication, associée à une angioplastie de l'IVA moyenne avec mise en place d'un stent actif. Un contrôle par ergométrie sera à réaliser dans un mois pour réévaluer la pertinence clinique de la sténose de la 1ère diagonale. L'évolution est favorable, simple, sans complication rythmique ni hémorragique et permet un transfert du patient le 31.12.2018. Patient de 45 ans qui porte une charge lourde il y a 2 semaines et depuis se sent bloqué au dos sans amélioration. Le bilan clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous instaurons un traitement avec AINS et musculo-relaxant et repos pour quelques jours. Le patient regagne alors son domicile. Patient de 45 ans qui se présente ce jour pour réévaluation à J1 après une première consultation aux urgences le 23.12 avec suspicion d'entorse de cheville droite de grade III. Pour rappel, le patient a été vu la veille pour une douleur post-traumatique à la cheville droite. Sur base des examens radiologiques, le patient a été renvoyé à domicile avec une attelle splintpode, une anticoagulation prophylactique par clexane et une antalgie simple à la demande. Ce jour, sur demande du Dr. X, nous décidons de reconvoquer le patient à la FUA pour retrait de son attelle splintpode, mise en place d'un aircast et arrêt de son traitement quotidien par clexane. Le patient sera revu par son médecin traitant à une semaine pour contrôle clinique. Patient de 46 ans en sevrage OH depuis le 23.12 sous méthadone et seresta, qui se présente ce jour aux urgences à J+5 après un TC sans PC ni AC en raison d'une douleur musculaire frontale et pariétale sans signes de gravité. En raison de la clinique plus que rassurante, nous ne voyons pas d'indication à réaliser un CT-Scan cérébral et nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple et l'invitons à se présenter en cas d'apparition de signes de gravité (signes neurologiques focaux, vomissements). Patient de 46 ans, status connu pour des coliques néphrétiques à répétition (status post lithotripsie et pose d'une sonde double J à gauche le 08.07.2013, status post colique néphrétique compliquée d'une pyélonéphrite gauche, status post urosepsis sur urétéro-lithiase lombaire à gauche), consulte aux urgences le 24.12.2018 pour une crise de colique néphrétique récidivante apparue brutalement vers 2 h du matin. Le patient explique que les douleurs sont semblables à celles des nombreuses crises de colique néphrétiques qu'il a subies auparavant (dernier épisode 30.07.2018). Il est suivi par 2 urologues, Dr. X à Bulle et Dr. X à Fribourg. Un laboratoire sanguin effectué aux urgences se montre sans particularité hormis des leucos à 13. Bonne évolution clinique du patient avec douleur apaisée par antalgie simple IV, EVA 2/10. Sur avis du Dr. X, retour à domicile avec antalgie simple, AINS, Pradif pour extraction du calcul et filtre urinaire. Le patient est invité à se présenter pour un contrôle US le 27.12.18 à 9:15 à jeûn si le calcul n'a pas encore été extrait, le cas échéant le patient se présentera simplement aux urgences avec son calcul dès que celui-ci aura été évacué. Patient de 47 ans, en bonne santé habituelle, tabagique, est admis pour un STEMI de la CD. Le patient amené directement en salle de coronarographie présente une lésion aiguë étendue de la CD qui est traitée par revascularisation et 4 stents actifs. Le temps d'ischémie est inférieur à 2h30 et le pic de CK s'élève à 1903 U/l le 13.12.2018. Un traitement par Abciximab est introduit en rajout en bolus et sur perfusion de 12 heures. La fonction ventriculaire est à 55 %. Le patient est chargé en Aspirine et Efient en extra-hospitalier. L'Aspirine est à poursuivre à vie et l'Efient pour 6 mois. Un bêtabloqueur, un IEC et une statine sont aussi introduits.Le rythme initial est une FA rapide (à priori nouvelle), cette dernière passe en bradycardie jonctionnelle durant la revascularisation motivant de l'Atropine sériée. A la fin de l'intervention (après retrait du guide intra-cardiaque), le patient présente une fibrillation ventriculaire avec ACR défibrillée d'emblée par 150kJ. Il est ensuite massé jusqu'au ROSC de moins d'une minute. L'état de conscience est normal par après et le status neurologique dans la norme. Il est transféré en médecine interne le 14.12.2018 pour suite de prise en charge. Il présente un état fébrile le 14.12.2018 avec une toux sans expectorations, le status pulmonaire révèle une hypoventilation bibasale et nous concluons à une surinfection des atelectasies. Nous instaurons une antibiothérapie par co-amoxicilline. Il ne représente pas de douleur thoracique, il bénéficie de physiothérapie et présente une évolution favorable. Le patient rentre à domicile le 19.12.2018. Il sera convoqué pour une réhabilitation cardiovasculaire à Billens en ambulatoire. Patient de 47 ans qui présente une arthrose fémoro-patellaire pour laquelle il est peu symptomatique dans les activités de la vie quotidienne. Nous proposons donc au patient de surseoir toute prise en charge pour le moment. Il reçoit également diverses recommandations d'usage pour les activités de la vie quotidienne et sportive. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition au besoin. Patient de 47 ans qui se présente aux urgences ce jour avec une plaie de 1.5cm de diamètre avec perte de substance et lésion tendineuse (LEP) en regard de MCP1 de la main droite après avoir utilisé une machine à découper de la viande à son domicile. En raison de la déchirure aponévrotique et de la visualisation des structures profondes, sur avis du Dr X, nous avons instauré une ABIV par co-amoxi 2.2g aux urgences. Rinçage, désinfection, champage, AL en bague au pouce droit par rapidocaine et bicarbonate, exploration de la plaie, fermeture du plan aponévrotique par 3 points simples au vicryl rapide 4-0 puis fermeture du plan cutané par 4 points simples à l'éthilon 5-0 complétés par un pansement compressif. Rappel anti-tétanique effectué aux urgences. Le patient a pu rentrer à domicile avec une antalgie simple à la demande et une poursuite de son antibiothérapie par co-amoxi 1g 3x/j per os pendant 5 jours. Nous l'invitons à se présenter à la polyclinique d'orthopédie à J3 pour un contrôle de sa plaie. Le patient se présentera par la suite chez son médecin traitant pour procéder à une ablation de ses fils à J10. Patient de 47 ans se présentant aux urgences pour une consultation de contrôle post opératoire d'une bursectomie olecranienne gauche le 15.12. Le bandage Ecossais est retiré et un avis orthopédique est demandé pour inspection de la cicatrice, le patient ne présente pas de signes inflammatoires locaux ni systémiques, le bilan biologique étant normal. Le coude présente encore une quantité de liquide ne mettant pas la cicatrice sous pression, il n'y a pas d'écoulement au niveau à la pression. La mobilisation du coude est complète mise à part un léger Flessum 5° réductible. Le pansement Ecossais est refait et le patient sera revu à la consultation du Dr X le 28.12. Patient de 48 ans, sans traitement habituel, avec status post-amygdalectomie bilatérale le 11.12.2018 par le Dr X. Il consulte aux Urgences le 22.12.2018 après avoir présenté un épisode de saignement oropharyngé à domicile, l'ayant réveillé vers 02h. Il décrit avoir perdu environ 200 cc de sang frais avec des caillots survenus juste après avoir bu de l'eau. Il a ensuite téléphoné aux Urgences de l'HFR Fribourg devant la persistance du saignement. Ceux-ci lui ont conseillé de se rendre aux Urgences de Riaz, où il arrive à 3h41. Le patient a déjà vu le Dr X le 19.12.2018 en consultation post-opératoire, il avait alors présenté durant la consultation un épisode de saignement et un nouvel épisode dans l'après-midi, puis plus aucun saignement jusqu'à cette nuit. Pas de fièvre, pas de douleur, pas d'autre plainte fonctionnelle. A l'arrivée aux Urgences, il présente un nouvel épisode de saignement de sang frais avec des caillots d'environ 200 cc au total. Il dit sentir un saignement actif au fond de la gorge. Pas de dyspnée. Hémodynamiquement normal. Après une hydratation iv par NaCl et devant la récidive d'un épisode de saignement 30 minutes après son arrivée, nous prenons avis auprès du Dr X, ORL de garde à 4h30, qui nous conseille d'envoyer le patient à l'HFR Fribourg. Nous prenons contact avec le chef de clinique d'ORL de l'HFR Fribourg à 4h33, qui propose d'envoyer le patient aux Urgences. Le patient part en ambulance à 5h02, il est alors stable hémodynamiquement. Il a présenté durant toute la durée de son séjour environ 350 cc de sang frais avec caillots. L'évolution post-opératoire a été favorable. Pas de récidive du saignement. Reprise de l'alimentation per os par un régime lisse. Patient de 49 ans connu pour sarcoïdose traitée en 2015 qui se présente ce jour pour une toux sèche persistante depuis environ 1 mois sans autre symptôme associé. Une radio de thorax est effectuée aux urgences et ne met pas de foyer pulmonaire en évidence. En raison des résultats clinico-radiologiques rassurants, nous décidons de laisser le patient rentrer à la maison avec des comprimés de codéine et un traitement anti-tussif en réserve et l'invitons à se présenter chez son médecin traitant dans une semaine. Patient de 49 ans, nulligeste, hospitalisée pour prise en charge d'un abcès tubo-ovarian droit. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée chez nous du 03.11 au 08.11.2018 pour cet abcès tubo-ovarian symptomatique et a bénéficié d'une antibiothérapie parentérale selon le protocole afin de refroidir l'abcès avant d'effectuer une chirurgie.Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec salpingectomie droite. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 06.12.2018 et met en évidence un statut adhérentiel important avec un abcès tubo-ovarien de grande taille pour lequel une annexectomie droite est effectuée. L'intervention se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le jour de l'intervention. La patiente sera revue à J10 pour ablation des fils et contrôle post-opératoire, à la consultation du Dr. X. Patient de 49 ans, nulligeste, hospitalisée pour prise en charge d'un abcès tubo-ovarien droit. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée chez nous du 03.11 au 08.11.2018 pour cet abcès tubo-ovarien symptomatique et a bénéficié d'une antibiothérapie parentérale selon le protocole afin de refroidir l'abcès avant d'effectuer une chirurgie. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec salpingectomie droite. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 06.12.2018 et se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles, permettant un retour à domicile le jour de l'intervention. Mme. Y sera revue à J10 pour ablation des fils et contrôle post-opératoire à la consultation du Dr. X. Patient de 49 ans qui présente des douleurs récidivantes au niveau de la rotule gauche après avoir subi un choc direct dessus il y a 2 mois. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement anti-inflammatoire est mis en place sous avis orthopédique et un contrôle est prévu chez le Dr. X dans une semaine. Patient de 50 ans, suivi par Dr. X pour des douleurs thoraciques chroniques d'origine X, porteur d'un Reveal avec dernière coronarographie normale en 2014, alors qu'il était au Centre de la douleur à Vevey pour des infiltrations lombaires. Il présente en salle de réveil une douleur rétrosternale à 8/10 avec irradiation dans le membre supérieur gauche et la mâchoire, cédant sous morphine et nitrés. Ces douleurs sont similaires à celles connues, mais d'intensité plus forte. Pas d'argument pour un événement ischémique aigu au laboratoire ni à l'ECG. Au vu de la symptomatologie typique, il est transféré à l'HFR pour une suspicion d'angor instable. La coronarographie démontre des artères coronaires normales et une FEVG normale. Le traitement est inchangé. Les douleurs étant connues et chroniques, le patient est déchargé le 07.12 pour suite de prise en charge ambulatoire. Patient de 51 ans, connu pour une colique néphrétique droite en novembre 2017, consulte les urgences pour une douleur soudaine et violente à la loge rénale droite le 27.12. La douleur était semblable à celle de la dernière colique néphrétique. Pas de dysurie ni fièvre ni autres symptômes. Le 28.12, le patient est convoqué aux urgences pour réalisation d'un uro-CT qui ne met pas en évidence de calcul ni de dilatation pyélo-calicielle. À l'examen clinique, on observe un patient stable et non algique. En raison des résultats clinico-radiologiques rassurants, nous laissons le patient rentrer à domicile et lui suggérons de se présenter aux urgences en cas de récidive de ses symptômes. Patient de 51 ans en BSH, chauffeur de train, qui tombe en changeant de trains sur une barre métallique avec choc direct sur la face latérale gauche du nez et la lèvre supérieure. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est mis sous antalgie et un contrôle en ORL prévu dans 3 jours. Vu que le patient n'a pas d'évidence de plaie et n'a pas eu de saignements, nous ne prescrivons pas d'antibiothérapie. Patient de 52 ans qui se brûle avec de l'eau chaude aujourd'hui au travail sur la face antérieure de l'avant-bras gauche. Le bilan aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Un traitement avec du l'alugen et des pansements stériles est fait. Un suivi chez le médecin traitant sera fait dans 24 heures. Patient de 52 ans qui se brûle comme susmentionné le 13.12.2018 avec de l'eau chaude. Vient pour contrôle des brûlures à 24 heures. La situation demeure stable. Le patient sera revu en policlinique le lundi. Patient de 52 ans qui se présente ce jour avec une douleur abdominale post-traumatique en HCG et dans la loge rénale gauche sur accident de ski à J-2. Ce jour, à son arrivée aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable, orienté dans le temps et dans l'espace, afébrile. Un US abdominal fast est réalisé aux urgences et nous permet d'exclure la présence de liquide libre intra-abdominal. Un laboratoire sanguin est effectué et montre une créatinine légèrement augmentée à 119 sans syndrome inflammatoire et sans perturbation des tests hépato-pancréatiques. Nous décidons donc d'effectuer un CT abdominal mettant en évidence une infiltration de la graisse péri-rénale gauche avec dilatation pyélo-calicielle gauche et la présence d'un calcul urétéral de 3 mm dans l'uretère gauche. Au vu de ces résultats, nous décidons de laisser le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple d'office pendant 3 jours, Tramal et Buscopan en réserve ainsi que du Pradif 0.4 mcg pour faciliter l'expulsion de son calcul. Le patient est invité à se présenter aux urgences avec son calcul dès expulsion de celui-ci. Si le calcul n'est pas expulsé dans les 7 jours, nous suggérons au patient de consulter son urologue. Patient de 52 ans, 6 gestes, 5 pares, hospitalisée pour prise en charge d'un carcinome mammaire gauche avec adénopathie axillaire et d'une masse pelvienne gauche. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec tumorectomie et curage axillaire, puis hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale et washing péritonéal par Pfannenstiel. La patiente accepte et signe le consentement après information claire. L'intervention est effectuée le 04.12.2018 et se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles, néanmoins marquées par une tension artérielle élevée, connue de la patiente mais jamais traitée. Dans ce contexte, nous demandons un consilium auprès des internistes, qui préconisent l'introduction d'un traitement antihypertenseur par lisinopril 5 mg, à adapter selon les chiffres tensionnels. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 07.12.2018 et sera revue en contrôle post-opératoire le 10.12.2018 à notre consultation ambulatoire. Le traitement antihypertenseur devra être adapté par son médecin traitant. Patient de 53 ans, admis le 04.12.2018 aux soins intensifs pour un STEMI antérieur. Il consulte aux urgences le 04.12.2018 en raison d'un angor crescendo associé à des modifications ECG. Il bénéficie d'une coronarographie qui met en évidence une sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Il bénéficie d'une dilatation et mise en place d'un stent, sans complication. La ventriculographie montre une dysfonction ventriculaire gauche avec dyskinésie apicale, avec une FEVG à 35%. Il nous est adressé en fin d'examen pour suite de prise en charge. L'évolution dans le service est simple, sans complications rythmiques significatives ni récidive d'angor. Le traitement par IECA et bêtabloqueur est à adapter selon la clinique. On note un discret hématome au point de ponction fémoral droit, à suivre cliniquement. Une ETT est réalisée le 06.12.2018, qui montre une FEVG à 48% avec une akinésie apicale sans signe d'anévrisme. Dans ce contexte, seule une anticoagulation prophylactique est préconisée. Patient de 53 ans, connu pour un retard mental et un trouble du spectre autistique, est vu ce jour aux urgences en vue d'un bilan somatique en vue d'une hospitalisation au RFSM.Les paramètres à l'entrée sont dans la norme, le patient est peu collaborant lors de l'examen clinique, refusant de se déshabiller, nous avons cependant une auscultation cardiopulmonaire dans la norme, un abdomen indolore à la palpation avec des bruits intestinaux présents dans les 4 quadrants. Les loges rénales sont indolores, et l'examen neurologique du patient ne montre pas de signes d'hémorragie cérébrale. L'analyse sanguine ne révèle aucune anomalie mise à part une CRP très légèrement élevée, probablement dans le contexte de l'agitation et de l'agressivité du patient. • Patient de 53 ans nous est adressé pour un Angor de Novo. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne de 1 vaisseau sous forme d'une sténose proximale subtotale de l'artère coronaire droite, traitée par PCI/ 1 DES avec un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté ainsi qu'un traitement par Atorvastatine 40 mg/j. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez la Dre Echegoyen Anne-Catherine ainsi qu'une ergométrie dans 6 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 20.12.2018. • Patient de 54 ans, allergique à la pénicilline, pas de traitement habituel, métier : technicien, pendant la nuit, il se réveille pour aller à la toilette (selles), il n'a pas de malaise ni de douleur thoracique au réveil ni quand il passe de la position couchée à assise. Il a des évacuations diarrhéiques, en position assise sur le wc le patient a un épisode de syncope, il tombe en avant, avec réception sur la région frontale où il se procure une plaie longitudinale de 3 cm. Il a un TC avec une brève perte de connaissance. Après la chute, le patient a 2 épisodes de vomissement alimentaire. Hier soir, il avait mangé des pâtes avec du saumon, une personne avec gastroentérite chez lui. Le patient, depuis 25 ans, a 2-3 évacuations diarrhéiques par jour, il n'a jamais fait de contrôles pour intolérances alimentaires ni maladie coeliaque. Pas de fièvre pendant les derniers jours ni de symptômes urinaires. L'épouse appelle les secours qui ramènent le patient aux urgences. Le patient explique ce qu'il s'est passé, de plus, il y a un an, il a eu un épisode similaire, une syncope vaso-vagale au changement de position d'assis à debout. On fait un ECG, laboratoire, examen clinique, rappel anti-tétanos, suture (désinfection, champage, anesthésie locale avec rapidocaine, rinçage, suture avec ethilon 4/0 en 3 points). On suspecte après les investigations initiales une syncope vasovagale avec un TC avec PC et AC sur gastroentérite débutante. Nous hydratons le patient avec 3L. Le patient ne complète pas le test de Schellong à deux reprises (présentant des nausées et pseudovertiges importants), raison pour laquelle nous demandons un avis chirurgical à Dr. X qui propose un CT cérébral natif. Ce dernier examen est sans particularité. Après ré-hydratation, nous effectuons un massage du sinus carotidien qui ne montre pas de pauses sinusales. Nous dosons encore les D-dimères au vu d'une hypoxémie à la gazométrie sans plaintes qui reviennent négatifs. Au vu de la situation, nous laissons le patient rentrer à domicile avec un traitement symptomatique pour les nausées et des instructions de bien s'hydrater, de prendre des aliments transitoirement riches en selles. On conseille un contrôle clinique, plaie et laboratoire chez le MT dans 3 jours, ablation de fils dans 5 jours chez MT. • Patient de 54 ans, en bonne santé habituelle qui se présente le 06.12 suite à un traumatisme de l'œil. Il a en effet reçu une poussière de bois dans l'œil droit sur son lieu de travail, malgré le port de lunettes de protection. L'examen clinique ne retrouve pas de corps étranger, néanmoins, le test à la fluorescéine est positif. Après avis ophtalmologique, nous prescrivons des gouttes de Floxal 4x/j, de la pommade Floxal pour la nuit et des larmes artificielles. Le patient sera vu en consultation d'urgence à Fribourg le 07.12.2018. • Patient de 55 ans, admis aux soins intensifs le 02.12.2018 en raison d'une hyponatrémie vraie secondaire à un probable SIADH chez un patient connu pour un adénocarcinome pulmonaire métastatique. Pour rappel, ce dernier est hospitalisé depuis le 19.11.2018 en médecine interne en raison d'une dénutrition sévère associée à une sarcopénie. En cours de séjour, une renutrition par sonde entérale. Il développe une hyponatrémie vraie pauci-symptomatique motivant son transfert dans notre service pour suite de prise en charge. Une perfusion de NaCl 0.9 % associée à une restriction hydrique permet la correction lente et contrôlée de la natrémie. Le suivi oncologique est assuré par son oncologue traitant, Dr. X. Le patient ne souhaite pas entendre parler de prise en charge palliative conjointe à ce stade. Compte tenu du contexte oncologique avancé et de l'état de dénutrition sévère, seuls des soins de confort sont cependant préconisés en cas de dégradation majeure. Le patient est transféré en médecine le 03.12.2018. • Patient de 55 ans admis pour des syncopes récidivantes d'origine rythmique sur BAV III. Connu pour une sarcoïdose pulmonaire, un carcinome urothélial de la vessie en rémission, il présente plusieurs épisodes de syncope avec des prodromes sous forme de malaise, vertiges, nausées et détresse respiratoire légère. Son médecin traitant objective une syncope convulsive d'une minute. Aux urgences à Tavel, une salve d'extrasystoles ventriculaires est enregistrée. Après son transfert aux soins intensifs à Fribourg, un BAV de haut grade est mis en évidence. En raison de troubles cinétiques à l'échocardiographie, une coronarographie permet d'exclure une cause ischémique. Le patient décrit des piqûres de tiques au mois d'août sans érythème migrant, sans fièvre, sans arthralgies ni douleurs thoraciques ni déficit neurologique, ce qui rend peu probable une cardite de Lyme. La sérologie à la recherche d'une borréliose retrouve toutefois un titre d'IgG dans une zone intermédiaire nécessitant une confirmation par western blot qui est à suivre. La cardiologue Dr. X n'y voit pas de contre-indication pour une implantation de pacemaker dont il bénéficie le 21.12.2018. La radiographie de thorax de contrôle est sans particularité. • Patient de 55 ans, connu pour un antécédent de tuberculose traitée il y a environ 30 ans, qui se présente aux urgences en raison de douleurs thoraciques droites évaluées à 8/10, respiro-dépendantes, apparues le 10.12.2018, en péjoration progressive. Mr. Y décrit également une toux grasse avec des expectorations blanchâtres depuis 3-4 jours. Il n'a pas présenté de perte de poids ni d'état fébrile. Par ailleurs, le patient décrit un possible choc au thorax la veille sur le chantier, mais il ne se souvient pas exactement de l'événement. Aux urgences, l'auscultation cardiaque montre un B1 et un B2 bien frappés et une absence de souffle. L'auscultation pulmonaire montre des sibilances sur les 2 plages pulmonaires avec des ronchis au 2/3 inférieurs de la plage pulmonaire droite. Le status abdominal met en évidence la présence d'un hématome au niveau de l'hypocondre droit, douloureux à la palpation. Les bruits hydro-aériques sont normaux en fréquence et en tonalité. L'abdomen est souple, sensible à la palpation de l'hypocondre droit. Pas de défense, pas de détente. Le signe de Murphy est négatif. Les loges rénales sont indolores à la percussion. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une neutrophilie, la radiographie du thorax ne montre pas de foyer.Au vu de la localisation de l'hématome, un CT thoraco-abdomino-pelvien est effectué, qui montre une image d'infection des voies bronchiques et des alvéoles pouvant être associées à une bronchiolite infectieuse, une pneumonie ou une réactivation de la tuberculose du patient. De plus, des fractures des côtes 9, 10 et 11 droites sont visualisées, expliquant probablement les douleurs du patient. Dans ce contexte, nous procédons à un isolement aérosol et effectuons un prélèvement d'expectorations. Un traitement antibiotique n'est pas débuté compte tenu du bon état général du patient et de l'absence d'état fébrile malgré un syndrome inflammatoire important. Mr. Y est hospitalisé en médecine. Un traitement de Morphine iv est administré à l'admission, avec bon effet sur les douleurs. Durant son séjour, le patient ne présente pas de nouveau symptôme et ses douleurs régressent bien sous traitement antalgique de Dafalgan et Tramal en réserve. L'examen direct des expectorations montre une absence totale de BAAR lors des deux prélèvements. De plus, avec accord du patient, nous effectuons un test sérique du VIH, qui revient négatif. Les contrôles biologiques les 12.12.2018 et 13.12.2018 montrent une diminution du syndrome inflammatoire. Au vu des deux prélèvements d'expectorations négatifs pour la tuberculose et d'une clinique en amélioration sous traitement antalgique, nous levons l'isolement aérosol le 13.12.2018. Mr. Y regagne son domicile le 14.12.2018, avec un traitement antalgique et un certificat médical pour un arrêt de travail jusqu'au 20.12.2018. Il se présentera à votre consultation durant la semaine suivant sa sortie pour contrôle clinique et biologique. Nous vous laissons suivre aussi l'évolution de la tension artérielle. • Patient de 55 ans connu pour une gonarthrose à prédominance fémoro-tibiale externe dans le cadre de méniscectomies et d'une rupture du LCA pour laquelle nous proposons, pour l'instant, de surseoir toute prise en charge chirurgicale au vu de la symptomatologie du patient et de l'absence de gêne dans les activités de la vie quotidienne. Il poursuivra le traitement de physiothérapie. Nous ne prévoyons pas de revoir le patient mais restons à disposition au besoin. • Patient de 55 ans sans antécédents, qui en courant ce jour, saute au-dessus d'un ruisseau et son pied gauche retombe sur un rocher sans notion de torsion de la cheville. Le patient ressent une vive douleur à la cheville immédiate et ne pouvant poursuivre sa course se présente aux urgences. Ostéo-articulaire de la cheville droite: tuméfaction modérée de la malléole externe, sans tuméfaction de la malléole interne, pas d'hématome, pas de douleur à la palpation du ligament deltoïdien, douleurs à la palpation du ligament talo-fibulaire antérieur et calcanéo-fibulaire, pas de douleur du ligament talo-fibulaire postérieur, Squeeze test négatif, Lisfranc et Chopard indolores, pas de douleur à la palpation de la base du 5ème métatarse, pas de douleur à la palpation du péroné proximal, pas de laxité, cheville stable, sensibilité conservée, pouls périphériques palpables, marche en charge impossible. La radiographie ne montre pas de fracture visible, le patient rentre à domicile avec mise en place d'un Aircast et d'un traitement selon le protocole RICE, avec Brufen 400mg 3x/j et contrôle à la polyclinique d'orthopédie ou la FUA à 7 jours. • Patient de 56 ans admis pour un STEMI antéro-latéral. Il présente des épigastralgies intenses, oppressives, constantes avec irradiation dans le bras gauche et la mâchoire associées à une sensation de malaise. On retrouve un STEMI sur les dérivations antérieures en extra-hospitalier. La coronarographie révèle une maladie tritronculaire avec une occlusion aiguë de l'artère interventriculaire antérieure proximale d'aspect thrombotique, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation) qui est doublement stentée. De plus, une occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale est mise en évidence. Cette lésion est possiblement à l'origine des douleurs épigastriques présentes depuis un mois malgré un traitement par IPP bien conduit et une OGD sans particularité organisée par le médecin traitant. Du fait de la persistance d'un angor, une deuxième coronarographie effectuée montre une thrombose du stent de l'IVA proximale qui est revascularisée par aspiration et ballonnement. La coronaire droite est recanalisée par 4 stents dans le même geste. Une double anti-aggrégation est poursuivie avec l'adjonction d'une anticoagulation thérapeutique par Arixtra en raison d'une akinésie apicale avec FEVG abaissée à 25%. De l'Aldactone, IEC, b-bloquant et statine sont introduits. Le point de ponction reste calme. Une échocardiographie de contrôle est encore à organiser. La poursuite de l'anticoagulation et de l'Aldactone seront à rediscuter avec les cardiologues selon l'évolution de la fonction cardiaque et des troubles cinétiques apicaux. Une coronarographie est à planifier dès le 19.12.2018 pour traiter une lésion restante de la circonflexe significativement sténosée. • Patient de 57 ans, admis aux soins intensifs en raison d'une tachycardie supraventriculaire à 190/min, symptomatique (dyspnée de stade III et hypotension) le 07.12.2018. Le patient est hospitalisé en médecine interne depuis le 23.11.2018 pour investigations et prise en charge d'un probable cholangiocarcinome avec dilatation des voies biliaires. Une ERCP réalisée le 05.12.2018 se solde par un échec de drainage compliqué d'une pancréatite aiguë Balthazar C. Il présente le 07.12.2018 une tachycardie supraventriculaire symptomatique motivant un transfert aux soins intensifs. Un remplissage vasculaire ciblé et l'administration d'Adénosine permettent une stabilisation rythmique et hémodynamique rapide. L'épisode de tachycardie s'inscrit dans le contexte d'un état septique sur cholangite débutante. En raison d'un ictère cholestatique en progression, le patient bénéficie de la mise en place d'un drain biliaire par voie trans-hépatique le 07.12.2018. Ce geste, effectué sous couverture d'antibiotique par Ceftriaxone et Métronidazole, est associé à une baisse progressive de la bilirubinémie. À visée diagnostique, un complément du drainage biliaire avec brossage est effectué le 11.12.2018. L'analyse d'histopathologie est en cours auprès du laboratoire ProMed. Le séjour aux soins intensifs se complique d'une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë secondaire à des atélectasies bi-basales. Ces atélectases sont attribuées à trois anesthésies générales successives chez un patient présentant par ailleurs une surcharge pondérale avec probable syndrome restrictif associé. L'évolution est favorable sous VNI et physio-respiratoire. Nous avons procédé à un US abdominal ciblé le 11.12.2018, sans ascite visualisée. Concernant la pancréatite aiguë Balthazar C post-ERCP, la mise à jeûn permet une évolution favorable d'un point de vue biologique (stabilisation des tests pancréatiques). L'antalgie est simple par l'administration ponctuelle de Morphine. En raison d'une inappétence et d'une dénutrition protéino-calorique, le patient bénéficie d'une nutrition mixte entérale et parentérale pendant le séjour aux soins intensifs. Une VVC est posée pour cette raison le 08.12.2018, qui devra être retirée dès que possible. Un suivi en division par l'équipe de diététique est demandé. Le patient est anticoagulé au long cours de manière thérapeutique pour une valve aortique mécanique. Dans le contexte péri-procédural, le traitement habituel de Sintrom est mis, avec un relais par Clexane thérapeutique. Pendant le séjour aux soins intensifs, le traitement par Clexane est poursuivi et la reprise du Sintrom sera à réévaluer à distance.A mentionner que le patient est connu pour une hépatite C avec un traitement et un suivi infectiologique (Dr. X) débutés en mars 2017 et désormais interrompus par le patient lui-même semble-t-il. Une virémie mesurée durant l'hospitalisation actuelle étant indétectable, nous vous laissons le soin d'organiser la suite du suivi biologique avec les collègues infectiologues ou le médecin traitant. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne le 12.12.2018 pour suite de prise en charge. • Patient de 57 ans, connu pour une cardiopathie ischémique, qui nous est adressé par le Dr. X pour des douleurs thoraciques suspectes. Nous effectuons alors une coronarographie qui montre un bon résultat après PCI de l'ACD. Il y a par contre une subocclusion de l'IVA proximale et une progression de la lésion de bifurcation RCx/MA (MEDINA 1-1-1). Selon entente avec le patient, on effectue une angioplastie des deux branches. Pour le traitement : Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Pour la suite de la prise en charge : Contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Re-coro d'emblée dans 9-12 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 27.12.2018 à domicile. • Patient de 57 ans, STEMI le 3.11.2018, vient pour une prise en charge de la lésion de l'ACD connue. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat après PCI de l'IVA proximale il y a 1 mois avec amélioration de la fonction VG systolique. Comme convenu, angioplastie de l'ACD avec un stent actif et un bon résultat immédiat. Le traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 11 mois est poursuivi, le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 15.12.2018 à domicile. • Patient de 58 ans, connu pour un ATCD stent actif, Cx + CD, première ATC (05/06/2015), nous est adressé pour dépister une cause ischémique de l'extrasystolie ventriculaire complexe asymptomatique. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat au long terme des PCI de l'artère circonflexe et de l'artère coronaire droite. Il existe une sténose nouvelle de 70-80% de l'IVA proximale et une sténose de 70-90% de la 1ère diagonale de l'IVA : ces 2 lésions ont été traitées par PCI/1 DES chacune avec un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le patient aura une ergométrie dans 1 mois chez Dr. X afin de voir si l'arythmie ventriculaire persiste à l'effort. En raison d'une tendance à la bradycardie, le traitement par bétabloqueur est arrêté. Le patient aura une ergométrie dans 1 mois chez Dr. X afin de voir si l'arythmie ventriculaire persiste à l'effort. Si sa nature est bénigne, elle devrait plutôt disparaître. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 20.12.2018 à domicile. • Patient de 58 ans, connu pour un adénocarcinome pulmonaire du lobe supérieur gauche cT4 cN2 cM0 stade IIIB diagnostiqué en 09/2017, hospitalisé dans le service de médecine dès le 20.12.2018 en raison d'un état fébrile et d'une péjoration de sa toux expectorative. Le patient est connu pour de multiples épisodes de surinfection du stent endotrachéal traité régulièrement par antibiotique, la dernière infection ayant eu lieu en 06/2018. À l'entrée au service de médecine, le patient présente une toux expectorative sans autre foyer infectieux avec un état fébrile et une hypoxie. Une radiographie du thorax est effectuée et montre un épaississement bronchique sans franc foyer de pneumonie. Nous commençons une antibiothérapie IV par Rocéphine 2 g le 20.12.18. Un avis infectiologique est demandé, au vu des antécédents du patient. Nous adaptons alors l'antibiothérapie avec Ertapénème 1 g IV et stoppons la Rocéphine le 21.12. Les antigènes urinaires reviennent négatifs à Legionella et Pneumococcus. La bactériologie des hémocultures est négative et des expectorations montrent un S. aureus résistant à la Pénicilline. Une prophylaxie antibiotique par Ciproxine est reprise à la sortie du patient. Mr. Y présente également des douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée actuellement péjorées. Ces douleurs abdominales sont assez constantes depuis quelques mois, suite à une dilatation post-sténotique du tronc cœliaque et de l'artère mésentérique supérieure sur plaque molle d'athérome avec pose de stent le 22.08.2018. Nous adaptons l'antalgie avec un bon effet sur les douleurs. Sur le plan de l'adénocarcinome pulmonaire, le patient est actuellement en poursuite de traitement par Atezolizumab aux trois semaines avec un dernier traitement le 14.12.18 et un prochain traitement le 4.01.19, chez Dr. X. Toutes les deux semaines, le patient bénéficie d'une bronchoscopie de nettoyage en pneumologie. La séance agendée au 21.12 a été repoussée fin décembre au vu de l'hospitalisation actuelle. L'évolution est favorable sous ce traitement et Mr. Y rentre à domicile le 27.12.2018. • Patient de 58 ans hospitalisé aux soins intensifs pour une surveillance post-opératoire après fermeture d'une iléostomie de protection. Le patient, connu pour une maladie de Wegener avec greffe rénale non fonctionnelle, actuellement dialysé, avait bénéficié le 03.10.2018 d'une sigmoïdectomie avec iléostomie de protection pour un adénocarcinome sigmoïdien. Une fermeture de l'iléostomie élective est effectuée le 20.12.2018, qui se déroule sans complication. Une sonde naso-gastrique de protection est mise en place durant l'intervention et restera en place jusqu'à la reprise du transit gastro-intestinal, qui n'a pas eu lieu durant la surveillance aux soins intensifs. La surveillance aux soins intensifs se passe sans événement notable. Le patient bénéficie de sa séance habituelle de dialyse aux soins intensifs le 21.12.2018. Les chélateurs de phosphore sont mis en suspens pour la période du jeûne et le Néphrotrans est diminué devant des bicarbonates à 33 mmol/l. Une hyperkaliémie à 6.3 mmol/l est constatée en pré-dialyse, corrigée après la dialyse et imposant un contrôle quotidien du potassium jusqu'à la prochaine séance de dialyse. L'évolution post-opératoire étant favorable, le patient est transféré à l'étage de médecine le 21.12.2018. • Patient de 58 ans, serrurier, pas de traitement habituel, hier soir il a bu 6 bières, vers 22:00 h il s'est levé du canapé pour aller se coucher, mais il est tombé et a tapé la tête contre une table en verre (vitre pas brisé). Il a vu la plaie au niveau de l'arcade sourcilière droite mais il est allé dormir. Pas de perte de connaissance, pas de traitement antiagrégant ni anticoagulant, pas de vomissement, pas de nausée, pas de céphalée. Pas de douleur au niveau du rachis cervical. Pas de douleur au niveau maxillaire et orbite œil droit. Pas de rhinorrhée ni d'oto-liquorrhée. Le patient vit seul, il était seul hier soir. Pas de douleur au niveau du thorax, ni abdomen, ni des membres. Vaccination anti-tétanos à jour. On fait : désinfection avec chlorexidine, champagne, anesthésie avec rapidocaine 1% 8 ml + bicarbonate 2 ml, rinçage 400 ml NaCl, nettoyage des berges (coupure des berges nécrosées, ablation de petits corps étrangers, abrasion des berges jusqu'à saignement avec compresse imbibée de chlorexidine), suture avec ethilon 4/0, steril strip, sparadrap.On donne 1 cpr coamoxi 1g. traitement: coamixi pour 3 jours, antalgie contrôle chez Dr. X lundi, ablation fils dans 5-7 jours contrôle traumatisme crânien chez Mme. Y pour 24 h (feuille expliquée et donnée) Patient de 59 ans admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique et hémodynamique d'un possible NSTEMI. Mr. Y est un patient de 59 ans qui consulte les urgences pour des douleurs thoraciques. Dans ses antécédents, on note un épisode de périmyocardite en 05.2018 qui avait été investigué par une coronarographie ayant montré une sclérose coronarienne ainsi qu'une IRM cardiaque qui n'avait pas montré d'atteinte structurelle. Le 20.12.2018, le patient présente un épisode unique de douleurs thoraciques au repos qui cèdent spontanément. Le laboratoire aux urgences montre des troponines élevées avec des modifications à l'ECG dans le territoire inférieur (inversion onde T). Un avis cardiologique préconise une surveillance rythmique et hémodynamique aux soins intensifs dans l'attente d'une échocardiographie transthoracique. L'échocardiographie transthoracique montre une hypokinésie apicale et apico-latérale. La coronarographie ne révèle pas de lésion significative. La fraction d'éjection du ventricule est de 60%. Au vu de la symptomatologie, un angor de Prinzmetal reste le plus probable. Nous introduisons la Lecarnidipine afin de prévenir des événements futurs. Pour ce qui est des facteurs de risque cardiovasculaire, une hémoglobine glyquée est à 6,8% et un LDL s'élève à 4,75 mmol/l. Nous introduisons de l'Atorvastatine 40 mg et vous laissons le soin d'organiser un suivi diététique pour un suivi nutritionnel avec un suivi de LDL et hémoglobine glyquée par la suite. En vue de bonne évolution clinique, le patient peut rentrer à domicile le 22.12.2018. Patient de 59 ans, connu pour un carcinome épidermoïde de l'œsophage métastatique, sous traitement palliatif de 3ème ligne par FOLFIRI depuis le 29.10.2018 chaque 14 jours. Il présente depuis environ 1 mois une baisse de l'état général avec inappétence. Depuis 3-4 jours, augmentation de sa toux chronique et changement des expectorations qui sont jaunâtres (blanches auparavant) et ont augmenté en volume. Depuis 3 jours également, épisodes de diarrhées aqueuses, sans présence de sang, ce qui est habituel avant les séances de chimiothérapie selon le patient. L'auscultation révèle des râles crépitants en base gauche, le scanner thoracique confirme un foyer de bronchopneumonie. Nous introduisons une antibiothérapie. L'alimentation entérale est augmentée, ce qui permet de couvrir les besoins du patient. À noter toutefois une lente dénutrition de l'état prérénal du patient en relation avec la progression de la maladie oncologique. Le patient ne souhaite pas de soutien à domicile. Il est toutefois suivi par Voltigo qui le contacte régulièrement. Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 15.12.2018. Patient de 59 ans qui se présente ce jour aux urgences avec une luxation gléno-humérale antérieure de l'épaule droite survenue sur un traumatisme isolé de l'épaule lors d'une chute à ski le jour même. Examen clinique rassurant avec un testing du nerf axillaire sans particularité et une symétrie de force et de sensibilité aux membres supérieurs. La Rx de l'épaule a confirmé une luxation GH antérieure sans présence de lésion osseuse. La luxation a été réduite aux urgences par Dr. X à l'aide d'une sédation IV. Le contrôle radiologique et l'examen clinique post-réduction étaient rassurants et nous avons laissé le patient rentrer à domicile avec un gilet orthopédique pour une durée de 2 semaines et une antalgie simple. Le patient est invité à se présenter à la policlinique d'orthopédie dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Patient de 60 ans, admis aux soins intensifs le 06.12.2018 en raison d'une décompensation diabétique hyperosmolaire inaugurale. Il est initialement adressé aux urgences par son frère, après avoir été retrouvé confus et agité à domicile. Le bilan biologique d'entrée met en évidence un diabète inaugural avec décompensation hyper-osmolaire secondaire. Celle-ci survient dans un contexte de sepsis et de globe urinaire, avec une insuffisance rénale aiguë associée. Le CT-scan cérébro-thoraco-abdominal (natif) ne permet pas d'identifier de foyer infectieux avec certitude. Un traitement empirique par Ceftriaxone et Métronidazole est instauré et le patient nous est alors adressé pour suite de prise en charge. L'origine du sepsis demeure incertaine (urosepsis? passage de calcul biliaire? gastro-entérite au décours?). Nous vous proposons de poursuivre le traitement antibiotique probabiliste pour une durée maximale de 7 jours en l'absence de complication intercurrente. Il présente initialement une désorientation et un état confusionnel hypomane attribué au déséquilibre métabolique et au globe vésical, qui est rapidement contrôlé sous petites doses de benzodiazépines. En date du 08.12.218, le patient est calme, collaborant et orienté aux 3 modes, sans déficit neurologique moteur focal objectivé. Les patients rapportent des douleurs abdominales dès l'admission, associées à un syndrome inflammatoire sans péritonisme. En l'absence de cétose franche, celles-ci sont attribuées en premier à un globe vésical sondé et possiblement à une gastroentérite anamnestique au décours. L'évolution clinique sous antibiothérapie est rapidement favorable. Le diabète est progressivement contrôlé sous insuline IV continu et réanimation volémique ciblée, avec un relais sous-cutané dès le 08.12.2018 au matin. Un suivi rapproché des glycémies et un avis diabétologique à organiser dès le 10.12.2018 sont préconisés. L'insuffisance rénale aiguë s'inscrit dans un contexte de déshydratation et de globe vésical, avec une rapide amélioration après sondage et remplissage. La sonde vésicale doit toutefois être maintenue, le patient ayant présenté une récidive de globe après une tentative infructueuse d'ablation. Une hypertrophie de la prostate est à rechercher et bilanter. De la Tamsulosine est introduite dans ce contexte. Patient de 60 ans admis dans les suites d'une laparotomie avec élargissement de la résection du grêle suite à la découverte d'une tumeur neuro-endocrine. Il se présente aux urgences pour douleurs abdominales en péjoration depuis 10 jours. Un iléus est mis en évidence à l'imagerie. Il bénéficie d'une laparoscopie exploratrice convertie en tomie au cours de laquelle une résection segmentaire de l'intestin grêle est effectuée. Le résultat histopathologique met en évidence une tumeur de type neuroendocrine. Une résection élargie est alors entreprise dans un deuxième temps. Il est admis par la suite aux soins continus à cause d'une labilité tensionnelle per-opératoire et d'une antalgie mal contrôlée. Les tensions se normalisent après administration de clonidine et urapidil IV et surtout après amélioration de l'analgésie par pompe PCA morphine. Suite à l'ablation de la sonde nasogastrique qui ne ramenait plus de résidu, la reprise d'une réalimentation légère est bien tolérée. L'antibiothérapie est poursuivie jusqu'au 24.12.2018. Nous préconisons le suivi et la correction d'une dysélectrolytémie apparue suite à la renutrition. Patient de 60 ans, initialement adressé aux urgences par son frère, après avoir été retrouvé confus et agité à domicile. Le bilan biologique d'entrée met en évidence un diabète inaugural avec décompensation hyper-osmolaire secondaire. Celle-ci survient dans un contexte de sepsis et de globe urinaire, avec une insuffisance rénale aiguë associée. Le CT-scan cérébro-thoraco-abdominal ne permet pas d'identifier de foyer infectieux. Un traitement empirique par Ceftriaxone et Métronidazole est instauré au vu de douleurs abdominales et diarrhées les jours précédents l'hospitalisation. Une décompensation hyperosmolaire d'un diabète inaugural est mise en évidence et le patient est hospitalisé aux soins intensifs. L'évolution est rapidement favorable après expansion volémique, insulinothérapie IV et substitution électrolytique permettant un transfert dans notre service.En collaboration avec nos collègues diabétologues, nous adaptons le traitement diabétique du patient permettant un bon contrôle glycémique. Un enseignement thérapeutique est effectué, toutefois au vu du léger retard du patient, nous constatons que les glycémies et les insulines sont difficilement gérables par le patient et instaurons des soins à domicile pour le retour. Un suivi diabétologique ambulatoire est instauré à la consultation de Meyriez. Le patient sera convoqué. L'origine de la décompensation diabétique reste indéterminée avec un possible sepsis digestif. La symptomatologie digestive peut toutefois être attribuée à la décompensation diabétique. Un passage de calcul biliaire pourrait expliquer l'élévation des tests hépatiques. L'imagerie par CT et US abdominal ne montre pas de foyer. Nous raccourcissons donc le traitement antibiotique instauré aux soins intensifs à 6 jours avec une bonne évolution clinico-biologique après. À l'admission, le patient présente un globe vésical nécessitant un sondage. Plusieurs tentatives de sevrage se soldent par un échec. La sonde vésicale est maintenue à demeure. Il n'y a pas de signe d'hypertrophie de la prostate au CT abdominal réalisé à l'admission. Un rendez-vous en urologie ambulatoire est prévu le 11.01.2019 à 14h30 chez le Dr. X. L'insuffisance rénale aiguë s'inscrit dans un contexte de déshydratation et de globe vésical, avec une rapide amélioration après sondage et remplissage. L'aspirine cardio et le pantoprazol sont stoppés sans indication claire. Mr. Y, 60 ans, nous est adressé pour un angor. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une occlusion chronique et bien collatéralisée de l'ACD moyenne. Il y a de plus une sténose d'une branche marginale. Bonne fonction VG systolique. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'ACD moyenne avec implantation d'un stent actif et un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Re-coronographie dans 1 mois pour PCI de la MA. Nous proposons une Echo-TT dans 6 semaines chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 22.12.2018 à domicile. Mr. Y, 60 ans, fait un faux mouvement en valgus forcé sur son genou, causant des douleurs et une impotence. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Le patient est immobilisé en attelle et un IRM avec contrôle en orthopédie est organisé par la suite. Mr. Y, 61 ans, se présente ce jour avec un abcès péri-anal localisé entre 3-5h en position gynécologique. Drainage de l'abcès en 3 sites d'incision et désinfection abondante à l'isobétadine, pas de mèche, mise en place de compresses stériles. Malgré un drainage efficace, l'induration et la douleur persistent. Sur avis du Dr. X, nous laissons le patient rentrer à domicile pour la nuit avec une antalgie simple et des recommandations de douches ce soir et demain matin pour rincer les plaies. Le patient est invité à se présenter à J+1 le matin afin d'être réévalué en présence du Dr. X. Mr. Y, 61 ans, se présente ce jour pour contrôle d'un abcès péri-anal localisé entre 3-5h en position gynécologique drainé aux urgences le 24.12.18. Ce jour, sur avis du Dr. X, rinçage abondant au NaCl aux sites d'incision. Le patient a pu rentrer à domicile avec une antalgie simple et des conseils de douche 4x/j au niveau de la plaie. Nous l'invitons à se présenter chez son médecin traitant en cas de persistance de la douleur ces prochains jours ou de consulter les urgences en cas d'apparition de symptômes de gravité (état fébrile, frissons, douleur). Mr. Y, 62 ans, connu pour un s/p PTH ddc, présente depuis minuit des douleurs qui lui ont réveillé la nuit sans notion de trauma ni changement d'habitudes de la vie quotidienne le soir ou le jour précédent. Le bilan radio-clinique aux urgences est en faveur d'une hernie discale au niveau L4/L5. Le patient est soulagé par l'antalgie simple et n'a pas de déficit neuro-musculaire. En vue de la clinique stable du patient, une antalgie est prescrite avec le conseil d'organiser une IRM avec le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Le patient reçoit des consignes pour les drapeaux rouges et les raisons pour lesquelles il devrait se représenter aux urgences. Mr. Y, 62 ans, connu pour un tabagisme actif à 75 UPA ainsi qu'une BPCO stade III, est adressé par son médecin traitant pour une décompensation de sa BPCO. Nous initions une antibiothérapie par Co-Amoxicilline, en plus du traitement de corticothérapie déjà initié par le patient, avec un traitement d'aérosols. Le patient présente de fréquentes désaturations lors de ses déplacements et activités. Nous discutons avec le patient de son tabagisme, et lui assurons notre soutien en cas de volonté de sevrage. Nous indiquons au patient qu'un retour à domicile doit se faire après sevrage de l'oxygène, vu son tabagisme actif. Nous proposons au patient un séjour de réhabilitation pulmonaire, ce que le patient refuse. Devant une bonne amélioration clinique, nous laissons le patient rentrer à domicile le 05.11.18. Mr. Y, 62 ans, connu pour une BPCO stade III avec composante asthmatique associée, est amené en ambulance pour une dyspnée depuis une semaine en péjoration ce jour. Il présente également une toux d'apparition nouvelle associée, sans expectoration. Le patient décrit également une difficulté à la miction depuis 3 jours avec pollakiurie et urines nauséabondes, sans franche algurie. Il présente des lésions eczématiformes depuis 2 mois avec prurit nocturne, sans évolution malgré un traitement émollient topique et antifongique per os. Nous traitons une exacerbation de BPCO par antibiothérapie et corticothérapie. Il bénéficie également d'aérosols et de physiothérapie respiratoire. Après avis dermatologique, nous traitons l'eczéma atopique par corticothérapie topique, ce qui permet une évolution favorable et une disparition du prurit. Après contrôle par le dermatologue, il est décidé d'un relais par Tacrolimus topique 5 jours sur 7 et corticothérapie topique 2 jours sur 7. Au vu de l'épuisement psychique du patient à son arrivée, il bénéficie d'une consultation par le psychiatre de liaison qui retient un épisode dépressif moyen et propose un suivi au patient. Le 20.12.2018, le patient rentre à domicile, avec soins à domicile 1x/jour. Mr. Y, 62 ans, connu pour une cardiopathie ischémique tritronculaire, se présente de manière élective pour une pose de pacemaker-défibrillateur le 17.12.2018. Anamnestiquement, le patient décrit un angor stable de manière quotidienne, une dyspnée NYHA IV, des œdèmes des membres inférieurs. L'auscultation pulmonaire révèle des sibilants diffus. L'intervention se déroule sans complications, la radiographie du thorax est dans la norme. Au vu de l'insuffisance cardiaque, nous proposons au patient de rester hospitalisé quelques jours afin d'optimiser son traitement, ce qu'il refuse. Nous introduisons donc de l'aldactone 25 mg et le laissons rentrer à domicile le 18.12.2018. Mr. Y, 62 ans, connu pour une HTA et une dyslipidémie, s/p résection d'un adénocarcinome de la jonction recto-sigmoïdienne en 08.2018 avec métastase au lobe inférieur du poumon droit avec prévision de résection chirurgicale post-chimiothérapie, actuellement sous chimiothérapie par FOLFOX depuis 09.2018 (6ème cycle sur 12 reçu), se présente au service des urgences pour une dysphagie/aphagie avec nausées en péjoration depuis le 03.12.2018 et un épisode de vomissements le 05.12.2018 sans hématémèse, environ 30 minutes après prise de Primperan, sans amélioration des nausées.Le CT thoraco-abdominal montre une thrombose partielle de la veine porte, raison pour laquelle nous débutons une anticoagulation. Concernant la dysphagie, nous traitons une candidose buccale. Le patient reste malgré tout très inappétent avec déjà une perte pondérale de 14 kg, raison pour laquelle nous posons l'indication à une nutrition entérale, d'autant plus qu'une chirurgie est prévue. Monsieur Y se plaint également d'un saignement du pénis d'origine indéterminée (sang sur le papier en s'essuyant après avoir uriné, pas d'hématurie objectivée) sans autre symptôme urinaire. Le laboratoire montre une thrombopénie en aggravation. Les analyses d'urines montrent une leucocyturie ainsi qu'une hématurie microscopique. Le CT thoraco-abdominal montre un épaississement suspect de la paroi vésicale ce qui indique d'effectuer une cystoscopie, et au vu du sédiment, nous traitons l'infection urinaire basse par antibiothérapie. Des saignements actifs ont plusieurs fois été objectivés sur le porte-à-cath droit du patient, raison pour laquelle il a été décidé de ne pas l'utiliser pendant l'hospitalisation. Cela sera réévalué par le Dr. X par la suite. Le cas du patient est discuté au tumorboard du 12.12.2018, et il en ressort que la chirurgie pulmonaire pourrait être avancée à début janvier 2019, étant donné la mauvaise tolérance du patient à la chimiothérapie et la bonne réduction en taille de la métastase pulmonaire. Un rendez-vous pré-opératoire en chirurgie thoracique est prévu au 21.12.2018. Monsieur Y rentre à domicile avec sa sonde naso-gastrique et des soins à domicile le 18.12.2018. Patient de 62 ans, polymorbide, notamment connu pour une dépendance à l'alcool et une insuffisance cardiaque dans le cadre d'un syndrome de Takotsubo, hospitalisé dans le contexte d'une nouvelle alcoolisation aiguë, le patient ayant été retrouvé très alcoolisé dans son bureau. Au vu d'une suspicion de traumatisme crânien, un CT cérébral natif permet d'exclure une hémorragie intracrânienne. En prévention d'un syndrome de sevrage, le patient bénéficie d'une couverture par benzodiazépines, sevrées progressivement avec bonne tolérance. Sur le plan cardiaque, le patient rapporte une péjoration de ses oedèmes des membres inférieurs depuis plusieurs jours, raison pour laquelle nous majorons transitoirement le traitement diurétique, avec une bonne réponse clinique. Dans le contexte de l'insuffisance cardiaque sur Takotsubo, une consultation cardiologique est déjà prévue le 07.01.2019. Au niveau biologique, nous mettons en évidence des troubles électrolytiques que nous substituons par voie orale. Nous vous laissons le soin de répéter le bilan biologique à la prochaine consultation et d'adapter le traitement en conséquence. Suite à notre signalement à la Justice de Paix en date du 04.10.2018, et vu la nouvelle alcoolisation aiguë malgré la mise en place d'un suivi psychiatrique, nous sollicitons à nouveau la Justice de Paix afin de reconsidérer la mise en place de mesures adéquates de protection de l'adulte. Monsieur Y rentre à domicile le 27.12.2018, avec une consultation psychiatrique auprès de Dr. X prévue le jour même. Patient de 63 ans admis pour un choc septique avec insuffisance respiratoire hypoxémique sur une pneumonie à pneumocoques. Atteint d'un carcinome pulmonaire métastatique à petites cellules, il se présente au décours d'une chimiothérapie en choc septique associé à une neutropénie sévère nécessitant une expansion volémique importante et des amines vasopressives. Une antibiothérapie est débutée par Imipénème et clarithromycine relayés par ceftriaxone pour une durée totale de sept jours. Les corticostéroïdes prescrits habituellement pour des métastases cérébrales sont majorés en aigu. La neutropénie récupère sous Neupogen. La noradrénaline est rapidement sevrée et l'évolution respiratoire est favorable sous ventilation non invasive et oxygénation à haut débit en intermittence. Le patient est rapidement sevré de l'oxygène et reprend les activités de la vie quotidienne. Une correction volémique avec des diurétiques est commencée et bien tolérée, en raison d'une légère hyponatrémie, une correction par NaCl caps est commencée. En raison de tensions normales à basses, les traitements antihypertenseurs sont mis en pause et le patient est instruit de se présenter chez son médecin traitant pour une réactivation du traitement avec contrôle des électrolytes. Une FA rapide spontanément cardioversée et des extrasystoles ventriculaires possiblement une salve courte de TV apparaissent dans la phase septique. L'anticoagulation thérapeutique est cependant contre-indiquée en raison d'un précédent saignement des métastases cérébrales et l'implantation d'un défibrillateur serait déraisonnable au vu du contexte palliatif. Au souhait du patient, et après organisation du suivi par les oncologues, il rentre le 29.12.2018 sans aide à domicile. Patient de 63 ans connu pour des douleurs chroniques au niveau d'une cicatrice ombilicale sur un s/p cure d'hernie ombilicale il y a 30 ans au Portugal, qui a été déjà investigué plusieurs fois et traité plusieurs fois avec toujours des récidives de douleurs. Il présente car les douleurs n'étaient pas gérées par antalgie simple (dafalgan). Le bilan aux urgences ne met pas en évidence d'incarcération ou de récidif clinique d'hernie. Vu l'examen clinique rassurant, le patient est traité symptomatiquement et ferait un contrôle chez son médecin traitant fin de semaine. Des consignes de drapeaux rouges sont données au patient pour lesquels il reconsultera. Patient de 63 ans qui est adressé par son médecin traitant pour une dysurie indolore avec hématurie microscopique sans notion d'infection ou de trauma. Le bilan clinique et biologique aux urgences n'est pas suspect pour des calculs rénaux. Le patient est soulagé par la prise d'AINS. Selon avis urologue, nous traitons le patient symptomatiquement et nous l'adressons chez son urologue pour des investigations complémentaires pour son hématurie, vu son âge et ses antécédents de fumeur. Le patient a reçu des consignes de reconsulter en cas de péjoration et de boire beaucoup d'eau. Patient de 63 ans qui se présente ce jour aux urgences avec une plaie interdigitale (1er-2e rayons de la main droite) longitudinale profonde de 3 cm de long survenue sur un accident de travail lors duquel le patient s'est enfoncé un crochet métallique dans la main. Aux urgences, désinfection de la main, champage, anesthésie locale par rapidocaïne 1% et bicarbonate, exploration de la plaie avec le Dr. X, rinçage abondant de la plaie par 1L de NaCl puis fermeture des plans cutanés par 5 points simples à l'ethilon 5-0 complétés par un tulle gras bétadiné, des compresses stériles et un bandage. Le patient a reçu aux urgences une dose unique de co-amoxi 2.2g en IV ainsi qu'un rappel anti-tétanique par TD-Pur. Nous laissons le patient rentrer à domicile avec une antalgie simple et l'invitons à se présenter à la FUA dans 48h pour un contrôle de sa plaie. Le patient ira consulter son médecin traitant dans 10 jours pour procéder à un retrait des fils. Patient de 63 ans en BSH, témoin de Jéhovah, droitier qui chute de sa hauteur hier en courant avec réception sur le poignet droit en hyperextension. Son médecin traitant met en évidence le diagnostic susmentionné et nous adresse pour prise en charge. Le bilan est complété par un CT et le patient est immobilisé dans un plâtre fendu sous avis orthopédique en attendant la décision du colloque orthopédique pour la suite de la prise en charge (opération v/s traitement conservateur).Patient de 64 ans avec un statut post-spondylodèse L4-L5 en 2015, connu pour un BPCO non-stadé, un SAOS appareillé ainsi qu'une hypertension artérielle traitée, qui est hospitalisé le 15.10.2018 à but antalgique pour une lombosciatalgie associée à un déficit moteur depuis 2 ans. Le patient est en attente d'un avis neurochirurgical à Berne le mardi 23.10.2018. À l'entrée, il présente un tableau clinique de lombosciatalgies gauche associé à une perte pondérale de 10 kg, en partie volontaire, sur une période de 8 mois. L'examen clinique révèle un déficit moteur de M3 au releveur de l'hallux gauche et M4 au niveau du quadriceps gauche, ainsi qu'une hypoventilation diffuse sur l'ensemble des deux plages pulmonaires. Un bilan biologique d'entrée révèle une CRP à 7 mg/dL avec des électrolytes et tests hépatiques alignés. L'électrophorèse des protéines ne montre pas de pic monoclonal. Une IRM effectuée dans un but de bilan pré-opératoire et de suivi de l'évolution du canal lombaire étroit montre un état inchangé par rapport à 2016. Celle-ci montre un statut post mise en place de matériel intersomatique en L4-L5 et de vis aux niveaux L4 et L5 ainsi qu'un comblement du trou de conjugaison prédominant en L3-L4 et L4-L5 gauche. Une infiltration péri-radiculaire au niveau foraminal de L4-L5 gauche serait envisageable ainsi qu'au niveau du hiatus sacré. Dr. X souhaite cependant attendre son avis neurochirurgical et rentrer à domicile avant de tenter une infiltration. Une majoration du traitement par opiacé est effectuée avec un effet partiel et incomplet sur les douleurs. Nous majorons l'oxycodone retard à 20 mg 2x par jour avec des réserves d'oxycodone sur la journée. Nous ajoutons un traitement de gabapentine 300 mg q 24h divisé en 3 doses, qui sera à augmenter progressivement. Un suivi par le médecin traitant est envisagé avec le patient quant à l'adaptation des doses d'antalgique. Le patient désirant rentrer à domicile, nous le laissons partir le 19.10.2018, en vue de son rendez-vous à Berne en neurochirurgie. Patient de 64 ans, connu pour un ATCD stent actif dans CD, nous est adressé pour un angor de novo. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une sténose intra-stent significative de l'ACD moyenne et une sténose de novo de l'IVA moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'IVA moyenne (2xDES) et de l'ACD moyenne (1xDES) avec bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 22.12.2018 à domicile. Patient de 64 ans hospitalisé aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire après une gastrectomie partielle pour GIST diagnostiquée le 17.12.2018 dans le contexte d'une hémorragie digestive haute. Le patient a été hospitalisé du 13 au 20.12.2018 pour investigations d'une hémorragie digestive haute. Suite à ces investigations, la suspicion d'une GIST est évoquée et la décision d'une gastrectomie partielle par laparoscopie est prise. L'intervention a lieu le 28.12.2018 et le patient est ensuite transféré aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire et respiratoire chez un patient connu pour un SAOS non-appareillé. Les suites opératoires sont simples permettant un transfert en chirurgie le 29.12.2018. Patient de 64 ans, nous est adressé par Dr. X pour une coronarographie en électif. La coronarographie montre une lésion subtotale dans le stent actif au niveau de l'IVA moyenne (dd thrombus). Les autres segments ne montrent pas de lésions significatives. Le résultat en général à long terme est bon après revascularisation 2016. La fonction systolique est sévèrement diminuée, FE 15-20%. Après dilatation de la lésion dans l'IVA, l'artère est indemne d'une sténose résiduelle. Il faut noter qu'il n'est pas sûr que les symptômes soient provoqués par cette resténose focale qu'on a traitée aujourd'hui. Les pressions télésystoliques sont élevées. L'ETO du jour met en évidence un possible thrombus intraventriculaire. Devant ce tableau clinique, nous arrêtons le traitement par Aspirine cardio et débutons une anticoagulation par Xarelto à 15 mg/j pour 3 mois. Le traitement par Clopidogrel 75 mg/j se poursuit pour 3 mois. Au-delà, monothérapie par Xarelto 20 mg/j. Nous augmentons le traitement par diurétique pour une insuffisance cardiaque pas encore traitée d'une manière optimale. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle chez Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 18.12.2018 à domicile. Patient de 65 ans admise aux soins intensifs pour une insuffisance respiratoire globale. Elle est connue pour BPCO de stade II sous oxygénothérapie à domicile. La patiente se présente avec une dyspnée en péjoration depuis 48h avec augmentation des expectorations, sans état fébrile. La décompensation de BPCO est attribuée à une probable bronchite, sans argument pour une pneumonie. En vue d'une insuffisance respiratoire globale, elle bénéficie du traitement par VNI avec une bonne tolérance. L'évolution est rapidement favorable avec une normalisation de la capnie et les séances de VNI peuvent être interrompues. Un court traitement par antibiotique et Prednisone est prévu. La patiente reste stable sur le plan pulmonaire et elle peut être transférée à l'étage de médecine interne le 13.12.2018 pour la suite de la prise en charge. Patient de 65 ans, nous est adressé pour une ergométrie cliniquement positive et électrophysiologiquement suspecte. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une fraction d'éjection du ventricule gauche normale (70%) ainsi qu'une sténose significative de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale qui se présente fonctionnellement significative (FFR = 0,63 (1,00 au repos)). On note également une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, une sténose intermédiaire de la première diagonale, une lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale ainsi qu'une lésion non significative de l'ostium de l'artère marginale du bord droit. La patiente bénéficie d'une angioplastie de l'ostium de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec implantation de 1 stent actif. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Prasugrel 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 14.12.2018 à domicile. Patient de 65 ans, nous est adressé par Dr. X pour un angor de nouveau, connu pour ATCD ATC Cx+CD. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un excellent résultat à long terme après stenting de la RCx proximale et distale ainsi que de l'ACD proximale à distale. Le pontage mammaire sur l'IVA est perméable. Par contre, il y a une sténose de nouveau du genou distal de l'ACD. La fonction systolique du VG est préservée. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'ACD distale avec implantation de 1 stent actif et avec bon résultat final.Le traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs et après à l'étage de médecine interne sont sans complications. Le patient rentre le 08.12.208 à domicile. Patient de 65 ans est adressé par Dr. X suite à un test d'effort cliniquement pathologique avec sensation de vertiges. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre comme corrélat pour le test d'effort pathologique une lésion subtotale de la LCX et une sub-occlusion de la première marginale. Les deux lésions sont traitées avec trois stents actifs au total avec un bon résultat immédiat. La fonction systolique est normale. Un traitement par double antiagrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement habituel reste inchangé. Nous recommandons un contrôle dans 1 mois chez vos soins ainsi qu'une ergométrie dans 4-6 mois. Lors de la coronarographie, on note un gradient transvalvulaire aortique à 34 mmHg. Pour une suspicion de sténose aortique modérée, nous effectuons encore une échocardiographie transthoracique qui ne montre pas de sténose aortique. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 04.12.2018 à domicile. Patient de 65 ans est connue pour des épisodes dépressifs récidivants sur trouble bipolaire actuellement décompensé. Il est suivi par Dr. X. Évalué à domicile par les soins à domicile, l'ont retrouvé confus. Dr. X a vu le patient aujourd'hui et a retrouvé une décompensation d'allure psychotique, il l'a trouvé déprimé, désorganisé, culpabilisable, avec idées de persécution, ambivalence. Le patient a des idées noires chroniques, actuellement pas scénarisé. Il vit avec sa soeur; le curateur est le beau-frère de la soeur. Il vient aux urgences pour une évaluation somatique avant d'aller à Marsens. Aux urgences, le status était sans particularités. Le labo n'a pas montré de syndrome inflammatoire. Vu rien objectivé au niveau somatique, on contacte le médecin de garde de Marsens et on envoie le patient à Marsens avec le beau-frère. Patient de 66 ans admis pour un AVC ischémique sur le territoire antérieur droit. Connu pour une valve mécanique mitrale et une FA sous anticoagulation par Sintrom, il présente une parésie de l'hémicorps gauche. Le déficit est d'apparition progressive d'abord du MIG puis du MSG et de l'hémiface gauche. Les symptômes sont par la suite partiellement régressifs. Le scanner cérébral montre une dédifférenciation cortico-sous-corticielle du territoire antérieur compatible avec une lésion ischémique récente, l'IRM cérébral confirme l'AVC probablement d'origine thrombo-embolique. Une anti-agrégation par Aspirine est débutée et un traitement hypolipémiant est débuté. Le patient a été opéré pour une rupture chronique du tendon d'Achille gauche le 20.11.2018, avec des suites compliquées par un hématome et une déhiscence de la plaie ayant nécessité une évacuation et un pansement VAC le 05.12.2018. Le pansement par VAC a été changé le 27.12.2018 et un rendez-vous à la consultation de Dr. X à la clinique générale est à prendre le 31.12.2018 pour un prochain changement du VAC le 03.01.2019. Patient de 66 ans, connu pour une cardiopathie hypertensive, avec antécédent d'AVC ischémique, présente à 13h15 devant son fils une crise convulsive tonico-clonique généralisée spontanément résolutive avec déficit post critique sous forme d'un hémi-syndrome droit. Il est pris en charge par le SMUR et reçoit 1 mg de midazolam et 1000 mg de Keppra. Aux urgences, il bénéficie d'un CT time is brain, qui révèle une asymétrie de perfusion compatible avec un status post crise d'épilepsie. L'hémisyndrome droit se résorbe progressivement, et au vu de la disparition complète 24h après la crise, nous n'effectuons pas d'IRM. L'EEG montre un foyer temporal compatible avec la lésion séquellaire d'AVC. Le traitement de Keppra est augmenté à 750 mg 2x/jour. La conduite automobile est contre-indiquée dès à présent et pour une durée d'au moins 3 mois, à réévaluer par un avis neurologique. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 31.12.2018. Patient de 66 ans est adressé pour un test d'effort pathologique et une fatigue en progression. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une fraction d'éjection du ventricule gauche normale (82 %). La ventriculographie gauche montre un anévrisme diaphragmatique localisé. On met en évidence une maladie coronarienne monotronculaire avec une resténose significative de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent nu. On note une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et une lésion non significative de l'artère circonflexe proximale. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 1 stent actif. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 21.12.2018 à domicile. Patient de 66 ans est adressé par Dr. X pour une recrudescence angineuse. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une nouvelle resténose dans la PAC saphène sur la RCx. Le reste est virtuellement inchangé. Le patient bénéficie d'une angioplastie de pontage saphène Marginale 1 avec implantation d'un stent actif et un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 3 mois et Plavix 75 mg 1-0-0 à vie. Le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 08.12.2018 à domicile. Patient de 66 ans, résident au Portugal, connu pour un diabète insulino-requérant, consulte suite à des frissons solennels le 16.12.2018. Mr. Y rapporte un état grippal depuis environ 10 jours avec toux sèche et myalgies, traités symptomatiquement au Portugal. Depuis son arrivée en Suisse le 15.12.2018, il rapporte de la toux en péjoration avec de rares expectorations. Il ne ressent pas de douleur ni de dyspnée. Le status d'entrée montre un patient en état général réduit, cyanosé aux lèvres, fébrile à 39.1° avec saturation à 91 %. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire et une radiographie de thorax ne montre pas de franc foyer. La gazométrie retrouve une hypoxémie. Le patient bénéficie d'une antibiothérapie empirique par Co-Amoxicilline et Klacid avec relais per os par Co-Amoxicilline uniquement. Concernant son diabète, le patient est suivi au Portugal et gère ses contrôles de glycémies. Il modifie son insuline basale selon ses valeurs journalières. Nous conseillons un contrôle chez son médecin traitant dès son retour au Portugal. Au vu de la bonne évolution, Mr. Y peut rentrer à domicile le 19.12.2018. Patient de 67 ans est adressé par son médecin traitant pour réalisation d'une échographie abdominale en ambulatoire ce jour en raison de douleurs dans l'HCD datant depuis 5-6 jours sans notion de fièvre ni vomissements.L'examen met en évidence une stéatose hépatique diffuse, mais pour le reste, il se montre dans les limites de la norme, sans lithiase vésiculaire et sans signe de cholécystite. En raison de douleurs persistantes, Mr. Y se présente aux urgences sur avis du radiologue afin d'effectuer une prise de sang. Mr. Y se plaint essentiellement d'une douleur épigastrique et dans l'HCD en pics évaluée à 5/10 datant depuis 5 jours ne cédant pas aux antalgiques simples. Nous effectuons un laboratoire sanguin qui se montre tout à fait normal, sans syndrome inflammatoire, sans perturbation des tests hépato-pancréatiques hormis une légère hyperbilirubinémie directe isolée à 6.1 micromol/L. En raison des résultats clinico-radio-biologiques rassurants, nous décidons de laisser Mr. Y rentrer à domicile avec une antalgie simple, arrêt des AINS et couverture gastrique par Nexium 40 mg 1x/j pour une durée de 7 jours en raison de ses épigastralgies. Nous lui suggérons de consulter son médecin traitant dans une semaine pour un contrôle clinico-biologique. Nous recommandons également à Mr. Y un régime pauvre en graisses saturées, des aliments à index glycémique bas et une consommation éthylique modérée. Nous laissons le soin à son médecin traitant de discuter avec Mr. Y d'une adaptation de ses assuétudes quant à sa stéatose hépatique. Mr. Y de 67 ans vient pour un traitement de la lésion connue de la ACD. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un excellent résultat à court terme après PCI de la MA/RCx. Comme planifié, angioplastie de l'ACD avec 3 stents actifs et un excellent résultat immédiat. Le traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 15.12.2018 à domicile. Mr. Y de 68 ans admis pour une FA inaugurale avec NSTEMI secondaire. Connu pour un anévrysme de l'aorte thoracique ascendante suivi par le Dr. X, il est adressé par son médecin traitant en raison de douleurs thoraciques associées à une fibrillation auriculaire dont la cardioversion est spontanée aux urgences. Le bilan radiologique ne montrant pas d'anomalie, un mouvement d'enzymes cardiaques sans modification électrique oriente vers un NSTEMI. La coronarographie retrouve une sclérose coronarienne sans sténose significative. La souffrance myocardique est finalement attribuée à la fibrillation auriculaire. Les dimensions de l'anévrisme de l'aorte thoracique sont stables par rapport au comparatif. Un traitement anti-arythmique par Amiodarone et une anticoagulation orale par Rivaroxaban sont initiés. Aucun nouvel événement de fibrillation auriculaire n'est enregistré durant la surveillance rythmique. Le point de ponction fémoral est calme sans souffle. Un contrôle est prévu au mois de janvier chez son cardiologue traitant Dr. X. Un reflux gastro-oesophagien avec des signes d'oesophagite au scanner est traité par Pantoprazole. Un bilan par oesogastroduodénoscopie en ambulatoire semble indiqué. Mr. Y de 68 ans, connu pour des troubles délirants persistants, consulte aux urgences pour plusieurs plaintes somatiques. Il dit présenter une dysurie, constipation, des paresthésies céphaliques. Sa femme dit que le contact avec Mr. Y est plus particulier ces derniers jours et qu'il réfléchit en boucle à des scénarios catastrophiques. De plus, la semaine dernière, il a eu un choc émotionnel et est anorexique depuis. Le bilan biologique et le test urinaire sont rassurants. Mr. Y est vu par le psychiatre de garde qui conseille une hospitalisation pour la prise en charge de la décompensation psychotique. L'épouse de Mr. Y refuse la prise en charge hospitalière, donc un traitement antipsychotique est proposé et le numéro du Dr. X, psychogériatre, est donné à l'épouse de Mr. Y. Mr. Y regagne son domicile. Mr. Y de 68 ans, connu pour un ATCD de PTCA et stent dans la seconde marginale en 2011, nous est adressé pour un bilan pré-opératoire et des douleurs thoraciques atypiques. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une fraction d'éjection du ventricule gauche normale (78%). On note une maladie coronarienne bitronculaire avec une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, une lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure distale et absence de resténose de la seconde marginale au niveau du site d'implantation du stent actif. On met en évidence une sténose significative de l'artère bissectrice. Lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 semaines est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. L'opération prévue auprès du Dr. X pour un canal lombaire étroit peut être agendée dès mi-février 2019, une semaine après que le Plavix aura été arrêté. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 21.12.2018 à domicile. Mr. Y de 68 ans, connu pour une maladie coronarienne tritronculaire, se présente de manière élective pour une pose de défibrillateur le 13.12.2018 par Dr. X. Il est récemment sorti d'un séjour à Billens en réadaptation cardiovasculaire car il a eu un STEMI le 11.09.2018. Il ne présente pas de symptômes d'insuffisance cardiaque, le statut est dans la norme. L'intervention se passe sans complication, la radiographie de thorax est sans particularité. Mr. Y rentre à domicile le 14.12.2018. Mr. Y de 68 ans nous est adressé par Dr. X pour un angor chez un patient avec ATCD d'un stent au niveau de la première marginale. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui démontre la maladie coronarienne bitronculaire avec une progression au niveau de l'artère circonflexe proximale. Mr. Y bénéficie d'une angioplastie de l'artère circonflexe proximale et de la première diagonale avec la mise en place de 2 stents actifs avec bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Pour une hypertension artérielle, un traitement par Irbesartan 150 mg 1-0-0 est débuté. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 04.12.2018 à domicile. Mr. Y de 68 ans vient pour une re-coronarographie pour traiter des lésions de l'IVA. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre la sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau de sa bifurcation avec la branche diagonale et sténose segment moyen. Comme prévu, on procède à une PCI de l'IVA avec mise en place de deux stents actifs avec bon résultat final. La coronaire droite montre un bon résultat à moyen terme après stenting de la coronaire droite du 27.11.2018. Le traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivi. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 05.12.2018 à domicile. Mr. Y de 69 ans aux antécédents de cirrhose éthylique CHILD C et de cardiopathie ischémique et rythmique est admis aux soins intensifs pour surveillance post-opératoire de la mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule droite avec transposition du grand dorsal. La surveillance postopératoire à J1 est sans particularité. L'antalgie est contrôlée par oxycontin et Oxynorm. Au vu de l'évolution favorable, il est transféré au service d'orthopédie pour suite de soins.Patient de 69 ans, connu pour les antécédents et co-morbidités suscités, suivi par le Dr. X pour une tumeur papillaire de la paroi latérale droite de la vessie. L'indication à une résection transurétrale de la vessie est retenue et l'intervention est agendée au 19.12.2018. En prévision du risque hémorragique sous Sintrom, nous organisons un relais préopératoire par Clexane thérapeutique, suivi d'un relais par Liquémine 3 x 5000 UI/jour en post-opératoire. L'intervention se déroule sans complication, avec bonne gestion de l'antalgie dans les suites. Les urines restent claires. La Liquémine est stoppée, remplacée par 120 mg de Clexane par jour, avec reprise du Sintrom selon schéma jusqu'à une valeur thérapeutique permettant de stopper la Clexane. À noter que Mr. Y présente une obstruction de la sonde urinaire le 22.12.2018, nécessitant une remise en place de la sonde vésicale permettant d'évacuer 900 ml d'urines rouges. Plus tard dans la journée, Mr. Y présente un malaise pour lequel le médecin de garde est sollicité. Devant l'amélioration spontanée de la symptomatologie, aucune investigation supplémentaire n'est nécessaire. Par la suite, le patient présente plusieurs épisodes d'obstruction de la sonde vésicale, raison pour laquelle le Sintrom est stoppé et la Clexane réduite à 80 mg/jour. Le 23.12.2018, le patient présente une douleur sus-pubienne évaluée à EVA 10/10, nécessitant une antalgie en salle de réveil. L'évolution est ensuite favorable et, sur avis du Dr. X, Mr. Y peut retourner à domicile le 25.12.2018 avec un Uriflac. Patient de 69 ans, connu pour un myélome multiple traité par Velcade et prednisone, hospitalisé aux soins intensifs pour un choc hypovolémique sur diarrhées compliqué d'une insuffisance rénale AKIN 3. Il présente une toux avec expectorations et diarrhées depuis plusieurs jours sans douleur abdominale. Il est hypotendu aux urgences, nécessitant un remplissage et la mise en place d'un soutien aminergique par noradrénaline. Le scanner thoracique et abdominal, réalisé sans injection de produit de contraste en raison de la fonction rénale, montre un début de foyer pulmonaire et un pneumatocèle abdominal sans signe de perforation. Une antibiothérapie par Tazobac est instaurée initialement dans le contexte de l'état de choc. En raison d'une expectoration positive à E. Coli, une rétrogradation de l'antibiothérapie par Rocéphine est effectuée. En raison de l'antécédent de thrombose mésentérique récent, il est décidé de reprendre l'anticoagulation thérapeutique. Le scanner abdominal avec injection de produit de contraste est organisé une fois la fonction rénale normalisée, et ne montre pas de thrombose, raison pour laquelle l'anticoagulation est stoppée. Le patient présente à l'arrivée une insuffisance rénale aigue sévère AKIN 3 d'origine pré-rénale dans le contexte du choc hypovolémique et possiblement septique. Au vu de la réponse différée au remplissage, une composante de nécrose tubulaire aigue est possible sur une hypovolémie prolongée. Une atteinte tubulaire en lien avec le traitement de Zometa n'est pas exclue. L'absence de protéinémie urinaire parle en défaveur d'une complication du myélome multiple. La fonction rénale s'améliore après remplissage et alcalinisation des urines à partir du 30.11.2018 avec une phase de polyurie. Mr. Y présente des diarrhées fluctuantes et parfois très abondantes depuis le début des chimiothérapies. Une prise en charge oppressive de ces diarrhées est nécessaire afin d'éviter un nouvel épisode d'insuffisance rénale. D'autre part, il présente une malnutrition sévère en lien avec une inappétence et une part de malabsorption. Il reçoit des SNO et sera revu en consultation de nutrition clinique. Devant l'évolution favorable de la fonction rénale, le patient est transféré en médecine le 01.12.2018. Les diarrhées s'amenuisent progressivement, nous pouvons stopper l'hydratation et la supplémentation électrolytique intraveineuse. Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 10.12.2018. Il ne souhaite pas de soins à domicile et a reçu des informations concernant les repas à domicile. Patient de 69 ans, connu pour une BPCO Gold III diagnostiquée en 2013 avec un épisode d'exacerbation en 2014, hospitalisé pour une décompensation modérée infectieuse de sa bronchite chronique. L'exacerbation est traitée par antibiothérapie (Co-Amoxi), bronchodilatateur à courte durée d'action et de la Prednisone pendant 5 jours. L'évolution est favorable. À l'anamnèse, cela fait 2-3 mois qu'il présente une dyspnée croissante à l'effort (NYHA III), raison pour laquelle un CT Scan est effectué. On note un foyer lobaire inférieur gauche associé à un épaississement péri-bronchique chronique bilatéral avec un comblement endo-bronchique du même lobe sans argument pour une néoplasie. Sur le plan cardiologique, à son entrée à l'HFR Fribourg, Mr. Y présente des troubles de la repolarisation avec des sous-décalages supra-millimétriques des dérivations inférieures. Il n'a jamais eu de douleurs thoraciques et les troponines sont négatives. Au vu d'une HTA nouvelle, de la dyspnée en péjoration, des troubles ECG et d'une maladie pulmonaire chronique pouvant créer une HTAP, un bilan échocardiographique est demandé, qui montre une bonne fonction ventriculaire G (FEVG ~70%) sans dyskinésie segmentaire et une HTAP minime (PAPs à 47 mmHg). Si la dyspnée venait à persister une fois la réadaptation respiratoire terminée, il sera nécessaire de discuter d'une coronarographie pour exclure une cardiopathie ischémique sous-jacente associée. Au vu de l'évolution respiratoire rapidement favorable mais d'une maladie pulmonaire chronique, Mr. Y peut rentrer à domicile le 12.12.2018 et sera reconvoqué par l'HFR Billens pour une réhabilitation pulmonaire mi-janvier 2019. Patient de 69 ans, nulligeste, hospitalisée pour prise en charge d'un kyste ovarien gauche complexe, non suspect. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec annexectomie bilatérale + washing péritonéal sous anesthésie générale. La patiente accepte et signe le consentement après information claire. L'intervention est effectuée le 07.12.2018 et se déroule sans complications. Les suites postopératoires sont simples et afébriles. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 09.12.2018 et sera revue en contrôle postopératoire à J10 de l'opération, à la consultation de la Dr. X. Patient de 69 ans se présente aux urgences de l'hôpital de Vevey pour des douleurs épigastriques similaires à celles qu'il a présentées lors de son dernier infarctus du myocarde. L'ECG aux urgences témoigne d'un STEMI. Le patient est transféré au CHUV, où la coronarographie montre une sténose de la coronaire droite, intra-stent et distale, traitée par 2 stents actifs. L'évolution est favorable. Une double antiagrégation par Aspirine à vie et Ticagrelor pour 12 mois est instaurée. Le patient nous est adressé pour suite de prise en charge et organisation d'une réhabilitation cardio-vasculaire. À l'admission, nous percevons un léger souffle au point de ponction. Un examen ultrasonographique-Doppler permet d'écarter toute complication vasculaire. Au vu d'une tendance à la bradycardie asymptomatique, nous décidons de réduire la dose de bisoprolol. Nous vous invitons à revoir le dosage de cette médication selon la tolérance du patient. Nous organisons un programme de réhabilitation cardio-vasculaire ambulatoire à Billens. L'évolution étant favorable, le patient rentre à domicile le 11 décembre 2018.Patient de 69 ans, connu pour une BPCO gold IV groupe C, qui consulte aux urgences le 16.12.2018 pour une péjoration de sa dyspnée, un changement en caractère de ses expectorations et une insomnie. A noter qu'il avait été récemment hospitalisé pour une exacerbation de BPCO du 29.11 au 06.12.18. Nous retenons une nouvelle exacerbation de BPCO. L'évolution est favorable avec des bronchodilatateurs, une corticothérapie sur 5 jours et la physiothérapie respiratoire. A noter que le patient bénéficie également d'un traitement à base de lasilacton lors de son séjour pour traiter une possible composante de surcharge cardiaque associée, la radiographie d'entrée montrant un épanchement à gauche. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 21.12.18. Patient de 70 ans, connu pour une maladie coronarienne silencieuse de 3 vaisseaux avec s/p stenting d'une sténose de 70-80% de l'IVA proximale le 07.11.2018, est venu pour une re-coronarographie pour traiter la sténose de l'artère coronaire droite proximale connue. Le traitement par Plavix 75 mg, débuté lors de l'angioplastie du 07.11.2018, a été changé pour du Efient 10 mg/j dans l'intervalle devant une mal-tolérance (douleurs abdominales). Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à court terme de la PCI de l'IVA proximale. On procède à une PCI/ 1 DES de l'artère coronaire droite proximale avec un bon résultat final. Le traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine à vie et Efient 10 mg 1-0-0 est poursuivi pour 6 mois. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle chez le Dr. X dans 1 mois ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 13.12.2018 à domicile. Patient de 70 ans, en bonne santé habituelle, qui se présente aux urgences en raison de douleurs thoraciques atypiques, accompagnées d'un ralentissement psychomoteur, de vertiges et d'une parésie des 4 membres. A noter que le patient a bénéficié d'une opération maxillaire supérieure en Hongrie le 17.12.2018, avec antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 17.12 au 25.12.2018, et un retour de Hongrie le 20.12.2018. Au vu du trouble de l'état de conscience, et selon l'avis neurologique auprès du Dr. X, un CT cérébral est effectué et permet d'exclure une thrombose veineuse et une hémorragie intracrânienne. Vu l'absence de syndrome inflammatoire biologique, une étiologie infectieuse semble exclue. Au vu de la résolution complète des symptômes après l'imagerie, nous décidons d'une attitude expectative avec surveillance neurologique. Celle-ci se réveille sans particularité durant tout le séjour. Concernant les douleurs thoraciques, l'électrocardiogramme ne montre pas de signe d'ischémie aiguë et nous ne retrouvons pas de mouvement enzymatique. Nous complétons les investigations par un test d'effort qui est électriquement négatif, mais cliniquement positif, avec l'apparition de douleurs thoraciques à type de piqûre. Dans ce contexte, nous introduisons de l'Aspirine et une statine en prévention primaire, et le patient sera convoqué chez Dr. X pour une IRM cardiaque afin de compléter le bilan cardiologique. Au vu de l'évolution clinique favorable, sans récidive de la symptomatologie neurologique, le patient rentre à domicile le 28.12.2018. Patient de 70 ans en bonne santé habituelle qui se présente ce jour avec un abcès de 3 cm de diamètre dans la région lombaire gauche datant depuis environ 3 jours, non douloureux sans signes de gravité. Désinfection et drainage de l'abcès sous anesthésie locale à la rapidocaine 1% complété par un pansement compressif. Le patient a pu rentrer à domicile avec ordre de rincer sa plaie 4-6x/jour sous la douche et de refaire son pansement compressif après chaque douche avec désinfection locale à l'octanisept. Le patient sera revu pour un contrôle clinique à la FUA le 29.12.18 à 9 h. Patient de 70 ans nous est adressé par le Dr. X pour dysfonction VG. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un état coronarien stable depuis 2012 avec uniquement une sténose significative au niveau d'une petite branche diagonale périphérique. La fonction VG systolique est par contre sévèrement diminuée. Ceci est probablement explicable par la fibrillation auriculaire rapide et une tachycardiomyopathie surajoutée à la cardiopathie hypertensive de base. On propose de ce fait un contrôle de la fréquence cardiaque et la potentialisation du traitement de l'insuffisance cardiaque. Nous arrêtons le Lisinopril pour du Valsartan 40 mg 1-0-1 (puis changement pour de l'Entresto) et stoppons également l'amlodipine. Nous débutons un traitement par Digoxine jusqu'à ce que la phase aiguë soit passée. Merci de contrôler la digoxinémie dans 1 semaine. Nous proposons de discuter une CRT-D avec le Dr. X au vu de la dysfonction VG systolique sévère et de la TV au Holter du Dr. X. Le patient rentre le 14.12.2018 à domicile. Patient de 70 ans qui est venu en électif pour une re-coronarographie pour traiter la lésion de la branche marginale. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui démontre un bon résultat après recanalisation de la coronaire droite pour STEMI le 6.11.2018. La fonction systolique du VG s'est normalisée. On procède à une dilatation avec mise en place d'un stent actif dans la branche marginale. Le traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 12 mois est poursuivi. Le reste du traitement est inchangé. On propose un suivi cardiologique auprès de Dr. X, qui nous lit en copie. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 05.12.2018 à domicile. Patient de 71 ans, connu pour un lymphome diffus à grandes cellules B (DLBCL) et un Morbus Parkinson sous Madopar, adressé pour une hospitalisation élective par son oncologue Dr. X, en raison d'états d'agitation et de confusion fluctuants depuis quelques jours. Ces états sont apparus le vendredi 14.12, suite à la dernière séance de radiothérapie (radiothérapie mono-fractionnée stéréotaxique sur lésion bi-nodulaire dans la région latérale de la corne occipitale du ventricule latéral gauche). Les états d'agitation se traduisent par une incapacité à rester au repos, une expression floue de malaise ou douleurs diffuses, et des hallucinations, apparaissant au cours de la journée et paroxystiques en fin d'après-midi. La communication reste difficile dans ces états d'agitation, d'après la famille qui l'accompagne au quotidien. L'administration de Dafalgan par la conjointe semble calmer ces états. Depuis hier, le patient aurait reçu environ 5-6 grammes par jour. La prise de Temesta serait inefficace, voire augmenterait les états d'agitation. La famille rapporte aussi une diminution de l'état général depuis fin novembre 2018, avec l'impression que l'état psychique et psychologique est touché. Le patient rapporte de lui-même que la situation globale le fatigue et que l'hospitalisation actuelle le pèse. A l'arrivée à l'étage, le patient est confus mais non agité. Il est accompagné de son épouse et de son fils. L'anamnèse se compose majoritairement d'une hétéro-anamnèse avec les membres de sa famille. Le patient bénéficie d'un soutien et accompagnement de son épouse au quotidien. La situation n'est actuellement pas pesante pour et selon l'épouse, mais les états d'agitation et confusionnels restent inexpliqués et difficiles à gérer par l'épouse et ses enfants, aussi impliqués dans la prise en charge. Le souhait de la famille et du patient est de rester le plus longtemps possible à domicile, avec augmentation des soins à domicile si nécessaire, jusqu'aux soins palliatifs à domicile si besoin. Le lieu de domicile est adapté selon les explications de la famille.Sur le plan de la confusion, nous observons des états d'agitation et de confusion dans l'après-midi et sur la soirée, tels que décrits par l'épouse du patient. Nous majorons la Dexaméthasone à 8 mg du 19.12 au 26.12, puis passage à 4 mg du 26.12. Nous instaurons une médication par benzodiazépines fixe, ce qui permet de calmer ces états d'agitation. Un EEG est effectué le 20.12.18 et ne montre pas d'états de mal épileptiques. L'avis du Dr. X est de ne pas instaurer de traitement anti-épileptique, de confirmer l'horaire des hallucinations et d'éventuellement adapter la dose précédant les hallucinations de Madopar. Un traitement des hallucinations par Leponex ou Seroquel pourrait également être envisagé. Sur le plan du lymphome, nous suivons le plan thérapeutique prévu et le patient sera convoqué chez Dr. X. Le patient peut rentrer à domicile le 24.12 en compagnie de son épouse. Mr. Y, 71 ans, connu pour une maladie coronarienne bitronchulaire stentée en septembre dernier, se présente ce jour pour une douleur importante ponctiforme au niveau supérieur de l'épaule gauche, qui est apparue cette nuit lorsque Mr. Y s'est retourné dans le lit. Depuis, cette douleur est présente à la mobilisation de Mr. Y, notamment quand il se lève et tourne la tête. Mr. Y n'a pas d'autres plaintes. Au vu de l'intervention coronarienne récente de Mr. Y, nous faisons un ECG à l'entrée qui est tout à fait normal. L'examen clinique ciblé aux urgences retrouve : • CV : b1b2 bien frappés, réguliers sans souffle surajouté • Pulm : MV symétrique et bilatérale sans bruits surajoutés • Osteo-Art : Douleur ponctiforme sur le trajet du faisceau moyen du trapèze, présente à la palpation du point et la contraction du muscle, la mobilisation de l'épaule est indolore. Le reste de l'examen est sans particularités. Nous diagnostiquons un torticolis, Mr. Y est traité par Brufen 400 mg et Sirdalud 2 mg qui soulagent la douleur. Mr. Y rentre à domicile avec ce même traitement pour 3 jours et un contrôle chez le médecin traitant si les douleurs persistent. Mr. Y, 71 ans, connu pour une mastectomie du sein gauche en 2013 dans le cadre d'un carcinome canalaire invasif, présente actuellement un carcinome canalaire invasif NST avec recherche d'une mutation pathogène pour les gènes BRCA1 et BRCA2 négative. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec mastectomie droite et recherche de ganglion sentinelle. Mr. Y accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 30.11.2018 et se déroule sans complications avec retrait de 2 ganglions sentinelles. Les suites post-opératoires sont marquées par un hématome à J2 post-opératoire ayant nécessité un drainage au bloc opératoire sous anesthésie générale. L'évolution est favorable par la suite, Mr. Y reste afébrile pendant tout son séjour et les redons sont retirés le 04.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 04.12.2018 et sera revu en contrôle post-opératoire le 07.12.2018 pour refaire le pansement et discuter des résultats, à la consultation du Dr. X. Mr. Y, 71 ans, connu pour une myasthénie grave diagnostiquée en juin 2018, est hospitalisé dans notre service de façon élective pour une péjoration des symptômes sur les trois dernières semaines. Pour rappel, Mr. Y présente une difficulté croissante pour le maintien de la tête, une augmentation de la fréquence de fausses routes aux solides et aux liquides, une péjoration de l'équilibre et une fatigue croissante. Tous ces éléments motivent une hospitalisation pour un traitement par Intratect sur demande du Dr. X, acceptée par le Dr. X. Nous cherchons une cause de décompensation de sa maladie, mais les investigations cliniques, biologiques et radiologiques reviennent sans particularité. Le traitement prévu sur une durée de 5 jours est bien toléré par Mr. Y et il peut rentrer à domicile le 03.12.2018 avec reprise de son traitement habituel. Suite à ce traitement, il convient d'effectuer un suivi biologique de la formule sanguine, des paramètres hépatiques et rénaux en ambulatoire. Au vu de la corticothérapie, nous proposons d'instaurer un traitement de prévention de l'ostéoporose. Un bilan pulmonaire avec spirométrie sera effectué en ambulatoire le 07.12.2018 chez Dr. X. Mr. Y souhaite, pour des raisons personnelles, effectuer la suite de prise en charge auprès du Dr. X. Il sera prochainement convoqué à sa consultation. Mr. Y, 71 ans, nous est adressé par Dr. X pour une EF du VG diminuée avec une hypokinésie inférieure. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre, comme corrélat pour l'hypokinésie inférieure, une lésion longue significative de l'ACD proximale (FFR 0.79). Les autres artères montrent des lésions peu sévères. La fonction systolique est diminuée à 40%. Mr. Y bénéficie d'une angioplastie de l'artère coronaire droite proximale avec implantation de 2 stents actifs avec un bon résultat final. Un traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté, ainsi qu'un traitement par Pantoprazol 20 mg pour 6 mois. Nous augmentons son traitement par Simvastatin à 40 mg/jour (LDL <1.8 mmol). Nous proposons un contrôle dans 4-6 mois chez Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 11.12.2018 à domicile. Mr. Y, 72 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique en post-coronarographie pour un NSTEMI subaiguë. Mr. Y est hospitalisé pour un NSTEMI subaigu depuis le 22.12.2018. La coronarographie démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion de la RCx distale, une sténose de l'IVA distale et proximale, et une sténose de la marginale. Les différentes lésions sont traitées par angioplastie et pose de 4 stents actifs. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 55% à la ventriculographie. La surveillance post-coronarographie s'avère sans particularités. L'Aspirine est à poursuivre à vie, l'Efient pour une durée de 12 mois. Un contrôle dans 1 mois est à prévoir chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Au vu de la stabilité clinique et surveillance hémodynamique sans particularité, le patient peut être transféré à l'étage 6 h post-coronarographie. Mr. Y, 72 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique dans le cadre d'un NSTEMI. Mr. Y présente une douleur oppressive récidivante au niveau épigastrique. Il a présenté plusieurs épisodes similaires par le passé qui ont cédé spontanément. Un NSTEMI est évoqué en raison d'une cinétique de troponines positives. Nous introduisons une double antiagrégation plaquettaire. Sur avis du Dr. X, une anticoagulation thérapeutique est débutée vu la récidive des douleurs thoraciques. La coronarographie est prévue le 24.12.2018. Durant la surveillance, Mr. Y reste sur le versant hypertendu. Son traitement antihypertenseur est poursuivi avec introduction d'un bêta-bloquant et de nitroglycérine. Mr. Y est transféré à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge. Mr. Y, 72 ans, est adressé par les urgences de l'HFR Riaz en raison d'une tuméfaction douloureuse du thénar main G, dominante après morsure de chat le 30.11.2018. Un US réalisé à Riaz met en évidence une collection de 4 x 1 cm de la loge thénarienne G. L'indication opératoire est posée.L'intervention chirurgicale se déroule le 04.12.2018, sans incident. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g i.v. 4x/j. A 24 h postop, l'érythème et la tuméfaction sont en nette diminution. Après retrait du drain de Penrose, il s'écoule du vieux sang. Présence d'une macération des berges de la plaie au niveau proximal. L'indication à un second look est posée et réalisée le 05.12.2018. Les suites postopératoires sont favorables. La microbiologie peropératoire du 04.12.2018 revient positive pour un Pasteurella multocida. Selon ordre des infectiologues, poursuite de l'antibiothérapie i.v. La plaie opératoire évolue favorablement, elle est calme et sèche à la sortie. Antalgie de base. Retour à domicile le 08.12.2018 avec une antibiothérapie p.o. Mr. Y, 72 ans, connu pour une maladie thrombo-embolique chronique, des hémorragies intra-cérébrales dont un AVC hémorragique sur INR supra-thérapeutique en 2006, nous est référé depuis la permanence de Meyriez où il avait été amené par une ambulance pour une intoxication éthylique aiguë avec chute de sa hauteur le 23.11.2018. Le patient avait été retrouvé au sol par des passants à Avenches, conscient, dans un état d'ivresse aiguë. La police serait arrivée, l'alcotest réalisé a montré 1.3 0/00 d'alcool dans le sang. Les ambulanciers ont retrouvé l'homme hémodynamiquement stable, conscient, avec une glycémie à 6.3 mmol/l, en légère hypothermie, avec des extrémités froides. A l'entrée, l'homme explique qu'il est allé au centre portugais qu'il fréquente souvent, qu'il y aurait bu 3 bières, puis voulait rentrer mais est tombé en marchant. A l'anamnèse systématique, nous retrouvons uniquement des vertiges chroniques. Le patient raconte habiter seul dans un appartement, être divorcé et avoir une fille de 43 ans avec qui il n'a plus de contact, autrement aurait des amis. Il dit ne pas prendre de médicaments de façon régulière, et boire 2-3 bières par jour. Il est sous curatelle par Mr. Corminboeuf. L'hétéroanamnèse du médecin traitant Dr. X révèle que le patient prend plusieurs médicaments, dont un anticoagulant pour sa maladie thrombo-embolique, mais que le patient gérerait ses médicaments comme il l'entend, avec une compliance très faible selon lui. Sur la suspicion d'un éthylisme chronique possible, nous mettons en place une thérapie de prévention d'un syndrome de sevrage avec du Seresta plusieurs fois par jour et une prophylaxie du syndrome de Korsakoff par de la vitamine B1. Nous hydratons également massivement le patient. La radiographie de thorax du 23.11.2018 montre un infiltrat basal D avec épanchement pleural franc basal D, ainsi que des fractures des côtes 4 et 5 à G. Cependant, dès son entrée, le patient refuse toute compliance au traitement mis en place, il refuse également les soins et se montre peu collaborant. Le médecin traitant nous explique par téléphone que le patient ne prend généralement pas ses traitements et que plusieurs tentatives de suivi par un psychiatre ont été mises en place devant les troubles du comportement manifestes, toutes échouées. Devant ce manque de compliance du patient, nous devons le laisser rentrer à son domicile, accompagné de son curateur le 28.11.2018, en meilleur état général. Mr. Y, 72 ans, hospitalisé pour des douleurs oppressives récidivantes au niveau épigastrique. Il a présenté plusieurs épisodes similaires par le passé qui ont cédé spontanément. Un NSTEMI est évoqué en raison d'une cinétique de troponines positives. Le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique. Nous introduisons une double antiagrégation plaquettaire et une anticoagulation thérapeutique jusqu'à la coronarographie. Le patient reste sur le versant hypertendu au cours de son séjour. Son traitement anti-hypertenseur est poursuivi avec introduction d'un bêta-bloquant et de nitroglycérine. Il présente un bref épisode de douleurs résolu spontanément et ne développe pas de trouble du rythme. Après 48h de surveillance, le patient est transféré à l'étage de médecine interne. La coronarographie du 24.12.2018 démontre une maladie coronarienne bitronculaire avec occlusion de la RCx distale qui est directement traitée avec un stent actif, puis angioplastie d'une grosse 2ème branche marginale, puis de l'IVA proximale et enfin de l'IVA distale (4 stents actifs en tout) avec un bon résultat immédiat. De retour à l'étage, le patient est asymptomatique et l'examen clinique montre un petit hématome stable au niveau du point de ponction, pas de souffle et une bonne perfusion distale. L'Aspirine est à poursuivre à vie, Efient pour une durée de 12 mois. Nous ne changeons pas le reste de son traitement. Le patient sera convoqué pour une consultation Cinacard en ambulatoire. Le patient va bénéficier d'un contrôle dans 1 mois chez Dr. X pour écho-TT et ECG de repos, et une ergométrie dans 1 année. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 26.12.2018. Mr. Y, 72 ans, nous est adressé pour un angor de novo stade II depuis quelques semaines. A l'ECG du 04.12.18 au repos, on note un ST sous-décalé < 1 mm V2-V5 et des fonctions systoliques globale et régionale du ventricule gauche conservées avec une FE : 70 % et une discrète sténose aortique calcifiée (gradient moyen : 9 mmHg) à l'échocardiographie du 04.12.2018. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne tritronculaire sévère avec des sténoses subtotales du tronc commun et de la partie proximale des 3 troncs coronariens, avec une bonne fonction systolique ventriculaire gauche à l'échocardiographie, posant l'indication à une revascularisation chirurgicale en semi-urgence. Le patient est transféré ce jour à l'Inselspital. Mr. Y, 72 ans, nous est venu pour une re-coronarographie pour traiter la lésion connue de l'ACD. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat après la PCI de la RCx proximale du 05.10.2018. Comme planifié, le patient bénéficie d'une angioplastie complexe de l'ACD proximale à distale avec 2 stents actifs et un bon résultat immédiat. La double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivie. Le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X et une ergométrie dans 1 année. A noter qu'environ 3 minutes après le retrait des deux introducteurs, la survenue d'un malaise hypotensif qui est résolutif après administration d'atropine (2x0.5mg) et par remplissage. La glycémie est à 11 mM. On ne relève pas de symptôme pour un saignement rétropéritonéal. Un épanchement péricardique est exclu par écho-TT. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 08.12.2018 à domicile. Mr. Y, 73 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance après laparotomie. Le patient présente une douleur abdominale diffuse depuis plusieurs semaines, associée à une inappétence et à une fluctuation de constipation et de diarrhée. Il présente un iléus au niveau de l'intestin grêle à l'imagerie. Il est opéré en urgence et bénéficie de la résection de 30 cm du grêle au niveau distal avec splitstomie. Au vu d'un syndrome inflammatoire à la hausse, un nouveau scanner permet d'exclure une complication post-opératoire abdominale, avec persistance de l'iléus et besoin de maintenir la sonde naso-gastrique jusqu'au 28.12.2018, avec par la suite une reprise du transit et de nutrition entérale dès le 29.12.2018. Sur le plan infectieux, le traitement par Rocéphine et Metronidazole est changé pour Pipéracilline/Tazobactam le 26.12.2018 en raison d'une possible contamination péritonéale lors de l'intervention.Sur le plan respiratoire, en vue des atélectasies probablement post-opératoires, le patient bénéficie d'une VNI intermittente ainsi que des drainages d'épanchements pleuraux bilatéraux. Notons une suspicion de tumeur urothéliale sur le CT du 22.12.18 (masse au niveau de l'uretère) qui reste à discuter avec le patient et les urologues. L'antalgie est aisément contrôlée avec de la lidocaïne et des opiacés qui seront progressivement sevrés. Patient de 73 ans admis dans les suites d'une crâniotomie pour exérèse d'une masse pariéto-occipitale droite suspecte de tumeur cérébrale primaire. A l'admission, il présente une hémianopsie gauche connue avec possible héminégligence ipsilatérale et une discrète dysmétrie du bras gauche. Les suites opératoires sont simples sans apparition de nouveaux déficits neurologiques. Le patient a pu déambuler sans troubles de l'équilibre. Une IRM cérébrale de contrôle est prévue le 24.12.2018. La dexaméthasone est poursuivie jusqu'au 24.12.2018, puis sera progressivement sevrée. Les glycémies devront être suivies dans l'intervalle. Une prophylaxie anti-thrombotique par enoxaparine 20mg a été débutée dès le 22.12.2018. Patient de 73 ans, connu pour un asthme et une probable BPCO non stadée, qui présente depuis 4 jours une nausée et des vomissements liquidiens après chaque tentative d'hydratation, sans autres symptômes digestifs. Il décrit également une péjoration de sa toux chronique avec une difficulté à expectorer et une dyspnée en augmentation (NYHA III actuellement). Au status, on retrouve un patient tachypnéique et tachycarde, l'auscultation pulmonaire révèle des sibilances inspiro-expiratoires diffus et des ronchis. Nous retenons une décompensation de BPCO que nous traitons par antibiothérapie et corticothérapie, ainsi que des aérosols de Ventolin et Atrovent. La théophylline est stoppée. Les vomissements se tarissent spontanément. Nous effectuons un taux plasmatique de théophylline, qui s'avère être bien au-dessus du taux thérapeutique (274 µmol/l pour un intervalle 55-111 µmol/l) confirmant la suspicion de surdosage et le lien avec les symptômes. Nous préconisons de stopper ce traitement et de poursuivre avec le Vannair comme traitement de fond. Le 29.12.2018, le patient présente une sensation de vertige et de malaise, l'ECG montre une tachycardie supra-ventriculaire pour laquelle il est transféré aux soins continus pour suite de prise en charge. L'administration de sulfate de magnésium permet la résolution de la tachycardie et le patient bénéficie d'une surveillance monitorée. L'évolution est par la suite favorable et le patient est retransféré en médecine le 30.12.2018. Au vu de la tachycardie persistante, nous décidons d'introduire de Dilzem 90mg 2x/j, cependant le patient refuse ce traitement et demande sa sortie le 31.12.2018. N'ayant pas de contre-indication majeure, nous accédons à sa demande. Patient de 73 ans connu pour un premier épisode de goutte à l'orteil il y a quelques années, ainsi qu'une HTA traitée, se présente aux urgences pour une douleur du genou gauche sans notion traumatique. La douleur a débuté il y a deux jours, centrée sur la rotule, est persistante et augmentée à la charge du genou. Le patient est afébrile à l'arrivée et ne note pas de frissons. Examen ostéo-articulaire : Oedème important du genou gauche qui est rouge et chaud, sans signes francs d'épanchement intra-articulaire. Pas de troubles vasculaires (pouls périphériques perçus) ou sensitivo-moteurs. Palpation douloureuse en regard de la rotule, les autres repères osseux sont indolores. Marche en charge complète possible, ni trop douloureuse, mobilisation passive légèrement douloureuse en flexion du genou, hyperextension possible. Au vu de l'examen clinique et du bilan biologique, nous écartons la suspicion d'une arthrite septique et suspectons une arthrite inflammatoire probablement microcristalline au vu des antécédents du patient et du bilan biologique. Le patient ne souhaitant pas d'autres investigations ce jour, nous mettons en place un traitement antalgique et anti-inflammatoire et le patient rentre à domicile avec recommandation de reconsulter à cinq jours si persistance des symptômes. Patient de 73 ans, connu pour une cirrhose hépatique Child B, qui présente une baisse de l'état général depuis deux semaines avec des douleurs abdominales, une dyspnée en augmentation sans toux ni expectorations. Il aurait pris 5 kg en 11 jours et 13 cm au périmètre abdominal. Il décrit également une douleur testiculaire à gauche. Une ponction d'ascite est réalisée aux urgences et ramène 2.6L de liquide trouble. Une antibiothérapie est débutée au vu d'une suspicion de péritonite bactérienne spontanée, cependant nous la stoppons au vu du peu d'éléments en faveur d'une infection, la bactériologie revient d'ailleurs négative. Nous décidons de ne pas répéter de ponction mais d'optimiser le traitement médicamenteux en majorant les diurétiques. Le 14.12.2018, nous mettons en évidence une dermo-hypodermite cutanée au niveau de la paroi abdominale, sans porte d'entrée objectivée, ni état fébrile. L'évolution est favorable sous antibiothérapie. L'infection s'étant développée de manière centrifuge autour du nombril, il serait judicieux de pratiquer une bonne hygiène de celui-ci. Concernant les douleurs diffuses mal systématisées, nous introduisons une antalgie par Temgesic et prenons contact avec Voltigo qui viendra évaluer le patient à l'EMS pour soutenir l'équipe soignante et optimiser l'antalgie. Le 20.12.2018, le patient retourne à l'EMS Les Peupliers. Patient de 73 ans, hospitalisé pour TEA élective le 20.12.2018 pour une sténose carotidienne gauche symptomatique, sous forme d'amaurose fugace. L'intervention se déroule sans complication mais au retour du bloc opératoire, une asymétrie de la bouche est objectivée avec une chute labiale contro-latérale, ainsi qu'une légère dysarthrie qui est déjà connue par le patient mais actuellement en légère péjoration. Dans ce contexte, une IRM cérébrale est effectuée et met en évidence une chute du signal en regard de la corne postérieure du ventricule latéral gauche de 5 mm, ouvrant un diagnostic différentiel entre un cavernome ou un micro-saignement. Après une évaluation neurologique spécialisée (Dr. X), une origine centrale de l'asymétrie labiale n'est pas retenue. Cette dernière s'inscrit probablement dans le contexte post-opératoire. La lésion décrite à l'IRM est possiblement un micro-saignement de découverte fortuite, sans lien avec l'intervention et sans répercussions. L'antiagrégation et une éventuelle anticoagulation thérapeutique ne sont pas contre-indiqués. Le patient est connu pour un flutter auriculaire, sous Cordarone et, actuellement en rythme sinusal et non anticoagulé. Il présente un tremor des membres supérieurs, ainsi que des paresthésies au niveau des pieds, évoquant une polyneuropathie, possiblement liée à la Cordarone. Une TSH a été demandée et nous vous laissons la pister. Nous vous proposons également d'effectuer un bilan vitaminique, de compléter le bilan neurologique par une pallesthésie à la recherche d'une polyneuropathie périphérique et de rediscuter avec le cardiologue traitant (Dr. X) l'indication à une anticoagulation thérapeutique, ainsi que les éventuelles alternatives au traitement antiarythmique. L'évolution est favorable et le patient est transféré à l'étage de chirurgie vasculaire le 21.12.2018. Au moment du transfert, il présente encore une minime asymétrie de la bouche, le reste de l'examen neurologique étant normal.Patient de 73 ans qui a été opéré le 27.12.2018 pour un ORIF du poignet droit, vient pour un contrôle de plaie. L'évolution est favorable. Le patient sera revu pour un prochain contrôle dans 3 jours en policlinique d'orthopédie. Patient de 74 ans admis en post-coronarographie d'un NSTEMI. Il est adressé par son médecin traitant pour des douleurs rétrosternales. Le bilan montre un mouvement de troponines avec un rabotage des ondes R en latéral et inversion des ondes T en antérieur. La coronarographie montre une maladie tritronculaire avec des sténoses significatives de l'IVA proximale et moyenne revascularisée par 2 stents actifs. La FEVG est abaissée à 35%. Le pic des CK n'est pas encore atteint (plateau à 500). La surveillance hémodynamique reste sans particularité avec une introduction de Lisinopril et Carvedilol. La double antiagrégation est à poursuivre pour 1 an. Au vu d'une hypercholestérolémie à 4.7, l'Atorvastatine est introduite. Nous proposons un relais par la Rosuvastatine à la sortie (atcd de crampes sous Atorvastatine). L'hémoglobine glyquée est dans la norme. Le patient est connu pour deux récidives de Polymyalgia rheumatica avec une corticothérapie arrêtée il y a environ 3 ans. Il présente des douleurs au niveau de l'épaule et du bras droit, sans signe d'arthrose à l'examen clinique. Nous vous laissons le soin de pister les résultats de vitesse de sédimentation et d'évaluer la nécessité d'un traitement selon l'évolution clinique. Sur le plan urinaire, il présente une insuffisance rénale probablement aiguë, pré-rénale, nous poursuivons une hydratation. Nous vous laissons le soin de recontrôler la fonction rénale. En vue d'une bonne évolution et stabilité clinique et hémodynamique, le patient est transféré à Riaz pour la suite de la prise en charge. Nous vous laissons le soin d'organiser une réhabilitation cardiaque (souhait du patient : ambulatoire à l'hôpital de la Tour, GE). Le patient va également bénéficier d'un contrôle dans 1 mois chez Dr. X (cardiologue) avec écho-TT et Holter de 48 heures. Patient de 74 ans admis pour réadaptation neurologique après le 22.10.2018 microdécompression de L1-S1 à droite (fenestration et hémilaminectomie) dans le cadre de son syndrome douloureux lombaire. A l'anamnèse, il rapporte une faiblesse marquée connue et des douleurs en diminution au pied droit. Il y a cependant une amélioration de cette symptomatologie depuis l'intervention. Il ne rapporte pas d'autres symptômes durant l'anamnèse systématique à l'exception d'une baisse de morale transitoire. A l'examen clinique, nous notons une faiblesse généralisée aux 2 jambes, particulièrement accentuée à droite. M3 à la flexion du pied droit et à la flexion du genou droit. Marche possible à l'aide de Arjo. Le reste du statut est sans particularité. Les fils sont retirés le 05.11 avant son entrée à Meyriez. La cicatrice est calme, sans suintement ni signes inflammatoires. Après l'intervention, une anémie d'origine spoliative post-op est notée. Amélioration des valeurs de l'hémoglobine durant le séjour. Valeur à la sortie : 117 mg/L. Suite à des douleurs musculaires diffuses, nous changeons l'atorvastatine 10 mg 1 x/j par de la pravastatine 40 mg 1 x/j. Les valeurs de CK au laboratoire ne sont pas augmentées. Le patient réagit bien au nouveau traitement. Le patient habite avec sa femme dans une maison résidentielle accessible par rampe, sans marche ni tapis. Il y a 12 marches jusqu'au premier étage ou à la cave. Une main courante est située à droite (en montant). Il y a une douche sans seuil ni poignée ni siège. Pas de téléalarme. À noter que le patient conduit toujours. Nous avons expliqué au patient qu'avec sa pathologie impliquant une diminution de la force et de la sensibilité au pied droit, il n'est officiellement pas permis de conduire sans l'autorisation des autorités compétentes. Des douleurs, d'origine neurologique, au niveau du coup du pied droit dont l'origine sont traitées avec succès à l'aide de Lyrica 75 mg 1x/j. Le patient stoppe cependant ce traitement en raison d'effets secondaires. Nous vous laissons le soin de le reprendre si les douleurs venaient à réapparaître. Une éraflure au niveau du pied gauche est constatée et traitée par un soin de plaie. Un suivi par Spitex sera effectué jusqu'à guérison. Une neuroréhabilitation avec physiothérapie et ergothérapie intensive est commencée. À l'entrée en réhabilitation, pour les transferts, le patient a besoin de guidance physique pour le transfert allongé-assis (FIM 4/7). Le patient peut marcher quelques mètres avec une guidance physique (FIM 4/7). Les escaliers ne sont pas encore faisables (FIM 1/7). Au test de Tinetti, le patient atteint 8/28. La réadaptation multidisciplinaire intensive et individuelle avec physio- et ergothérapie a permis de rendre la marche plus sûre et d'améliorer la condition. À la sortie, le patient peut faire ses transferts seuls avec Arjo (FIM 6/7) et marcher à l'aide de deux béquilles sous supervision de manière autonome (FIM 5/7) et monter 18 marches sous supervision avec l'aide d'une main courante (FIM 5/7). Le Tinetti a progressé à 12/28 avec Arjo. Le patient a besoin de Spitex entre autres pour le contrôle de la plaie du pouce du pied gauche. Patient de 74 ans, connu pour un hématome subaigu paramédian thalamique gauche en résolution et néphrectomie droite sur carcinome rénal à cellules claires en 2016, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz pour péjoration de troubles de l'équilibre et perte d'appétit ces derniers jours. À son admission, le patient se plaint de troubles de l'équilibre en aggravation, d'une inappétence avec dysgueusie et d'une légère dyspnée. Par ailleurs, le patient présente une labilité émotionnelle. Lors de sa dernière hospitalisation, une IRM réalisée le 19.09.2018 mettait en évidence une lésion au niveau paramédian thalamique gauche. Au début, nous avions suspecté une lésion métastatique gauche, mais suite à une consultation au CHUV, le diagnostic d'un hématome subaigu paramédian thalamique gauche en résolution après accident vasculaire cérébral a été retenu. Nous organisons une échocardiographie transthoracique le 06.12.18 auprès de Dr. X dans le cadre d'un bilan étiologique, dont vous recevez le rapport en copie. En outre, nous mettons en place un schéma dégressif de Dexaméthasone étant donné la diminution de l'oedème adjacent à cet hématome. Sur le plan cardiovasculaire, signalons la présence de signes d'insuffisance cardiaque gauche avec des oedèmes aux membres inférieurs et des râles crépitants bibasaux. Nous constatons aussi de légers signes de surcharge à la radiographie du thorax justifiant la mise en place d'un traitement diurétique que nous stoppons au vu de la bonne évolution clinique. Sur le plan néphrologique, notons la présence d'une insuffisance rénale aiguë sur chronique d'origine probablement prérénale pour laquelle nous initions une hydratation parentérale, avec bonne évolution. Remarquons également un syndrome inflammatoire dès son admission, dont l'origine n'est pas clarifiée durant le séjour malgré les examens paracliniques, mais se résolvant toutefois spontanément. Sur le plan gastro-entérologique, présence d'une infection à Norovirus dans un contexte de contage, avec une bonne évolution clinique. Sur le plan endocrinologique, nous réduisons le traitement de Metformine à 500 mg 2x/j en raison de l'insuffisance rénale chronique et du profil glycémique. Enfin, concernant ses troubles de la marche et de l'équilibre, le patient effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seul et à l'aide d'une canne est de 100 mètres. Le patient peut gravir 27 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 103/126, par rapport à 95/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le TUG est à 17.66 secondes avec rollator.Mr. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie sur le plan des activités de la vie quotidienne. Un retour à domicile est effectué le 04.12.2018 avec augmentation de la fréquence des passages des soins à domicile. Mr. Y, 74 ans, nous est adressé par le Dr. X pour une échocardiographie de stress pathologique avec une hypokinésie latérale et antéro-apicale. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une re-sténose intrastent après PTCA avec ballon éluant 06/2018 comme corrélat angiographique à l'hypokinésie latérale et latéro-apicale dans l'ETT de stress. Nous avons procédé à une angioplastie de l'artère circonflexe moyenne et distale avec implantation de 2 stents actifs et bon résultat final. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 3 mois est poursuivi. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X, ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 19.12.2018 à domicile. Mr. Y, 74 ans, nous est adressé pour une fermeture de l'auricule gauche pour un AVC ischémique 25.10.2018 sur FA intermittente et non anticoagulée, faisant suite à un AVC hémorragique 1.10.2018. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à long terme après stenting des trois artères coronariennes principales. L'ACD montre une sténose moyenne avant le segment stenté. Après visualisation de la taille de l'auricule gauche (invasive après ponction transseptale et avec ETO), on note que les dimensions sont trop petites pour une fermeture, le risque d'une formation d'un caillot dans l'auricule est négligeable. Échec de fermeture. On propose un traitement par Aspirine cardio 1-0-0 à vie sans anticoagulation associée. Une échocardiographie transthoracique post-interventionnelle a pu exclure un épanchement péricardique. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 11.12.2018 à domicile. Mr. Y, 75 ans, est adressé aux urgences de Riaz en raison de troubles de la marche, vertiges et troubles cognitifs en péjoration depuis un mois. Aux urgences, le statut initial met en évidence une poursuite binoculaire saccadée, avec diplopie et augmentation du polygone de sustentation, ainsi qu'une tendance à la rétropulsion. Les médecins ouvrent alors le diagnostic différentiel d'encéphalite versus AVC. Le CT-scan initial écarte la piste de l'AVC. La décision d'hospitaliser le patient pour investigations est donc arrêtée. Au vu du contexte clinique et des troubles de l'orientation que présente le patient, une IRM cérébrale est effectuée. Le résultat est compatible avec une encéphalite, un état de mal épileptique partiel ou une maladie à prions. Sur avis neurologique, le patient est transféré dans notre service pour la suite des investigations. À son arrivée à Fribourg, Mr. Y développe de nombreuses confabulations, avec anosognosie fluctuante. Il éprouve quelques difficultés à la compréhension des ordres complexes, ainsi qu'une fluence verbale réduite avec trouble de l'attention et altération des fonctions visuo-spatiales. Nous objectivons par ailleurs une exophtalmie avec oculomotricité saccadée et restreinte dans les périphéries et nystagmus multidirectionnel. Le patient présente une dysmétrie à gauche, sans disdiadococinésie. Le Romberg reste pathologique, avec une absence de décollement des talons à l'accroupissement. L'EEG montre une irritation corticale diffuse. La PL montre une protéinorachie. Nous effectuons un bilan large à la recherche d'une encéphalite paranéoplasique ainsi que toutes les causes réversibles d'encéphalite qui reviennent négatives. Au vu d'une clinique et d'une imagerie typiques pour une maladie de Creutzfeld-Jacob, nous dosons la protéine 14-3-3 dans le LCR permettant de poser le diagnostic. Dans ce contexte, au vu du caractère incurable avec une évolution clinique rapidement défavorable, des soins de confort sont mis en place après discussion avec la famille du patient. Une demande de curatelle à portée générale est également faite. Nous procédons au signalement de la maladie et contactons le centre de transfusion de Lausanne où le patient était donneur de sang pour les informer du résultat. Un consilium de soins palliatifs est demandé auprès du Dr. X au vu d'une péjoration clinique rapide du patient avec des myoclonies, une agitation, une péjoration des troubles cognitifs. Le traitement médicamenteux est adapté et le patient est transféré pour la suite des soins de confort à Riaz, à proximité de sa famille. Le Dr. X reste à disposition en cas de questions quant à la prise en charge palliative de ce patient. Le patient est transféré à Riaz en Médecine le 06.12.2018. Mr. Y, 75 ans, avec le diagnostic susmentionné, vient pour un contrôle de plaie. L'évolution est favorable. Le pansement est refait et le patient sera revu à la policlinique d'orthopédie dans 3 jours. Mr. Y, 75 ans, connu pour un adénocarcinome prostatique métastatique au niveau osseux, présente depuis 10 jours une baisse d'état général avec toux, expectorations et dyspnée suite à une IVRS. Il présente des œdèmes aux membres inférieurs en augmentation depuis 1 semaine et des pétéchies au niveau des pieds depuis le 27.11.2018. Au vu de l'asthénie en augmentation et d'une chute le 28.11.2018 sans traumatisme crânien ni perte de connaissance, le patient se rend aux urgences. À son arrivée, il présente d'importants œdèmes généralisés ainsi qu'une faiblesse musculaire. Nous concluons à un anasarque et une myopathie sur corticothérapie (le patient est sous dexaméthasone 4 mg depuis fin octobre en raison de douleurs au niveau de l'épaule, probablement dans le contexte des métastases osseuses). Nous démarrons donc un sevrage progressif des corticoïdes sur 3 semaines et instaurons un traitement diurétique prudemment, au vu de l'hypotension. Il bénéficie également de physiothérapie. Le patient présente des pieds blancs et froids, sans pouls pédieux ni tibial postérieur palpables à droite. Il bénéficie de consultations en angiologie, puis d'une artériographie du membre inférieur droit afin de revasculariser l'artère tibiale antérieure le 14.12.2018. Cela permet une évolution favorable des lésions pétéchiales croûteuses présentes sur la face dorsale des pieds du patient, à droite plus qu'à gauche. Concernant la problématique oncologique, le Dr. X préconise un dosage du PSA et de la testostérone, qui reviennent respectivement à 45.6 ng/ml et 0.4 nmol/l le 13.12.2018. Nous sollicitons ensuite nos collègues oncologues pour la suite de la prise en charge, en accord avec le Dr. X. Ils vous contacteront concernant la prochaine injection de Prolia vs Xgeva et l'organisation d'un CT thoraco-abdomino-pelvien et d'une scintigraphie pour le bilan d'évolution de l'adénocarcinome prostatique. Le 19.12.2018, le patient est transféré en réhabilitation à Tavel pour la suite de la prise en charge. Mr. Y, 75 ans, connu pour un carcinome épidermoïde pulmonaire multi-métastatique, est adressé par le Dr. X en raison d'une aggravation de son état neurologique associée à des chutes depuis 3 semaines. Au statut, on met en évidence une aphasie de Broca et une parésie/ataxie distale du membre inférieur droit (Force M4+). À l'imagerie cérébrale demandée par le Dr. X, on constate de multiples métastases (au moins 11) cérébrales qui sont entourées d'un œdème péri-lésionnel exerçant un discret effet de masse sur la corne antérieure du ventricule latéral gauche. Un traitement de Dexaméthasone est initié dès le 06.12. Rapidement, l'évolution est favorable avec une bonne récupération neurologique et un profil glycémique dans la norme.Il est vu en consultation de radio-oncologie par le Dr. X le 10.12 et sera reconvoqué pour une première thérapie dès que possible. En raison de la bonne évolution et après discussion avec son épouse, il rentre à domicile le 10.12.2018. • Patient de 75 ans, connu pour une maladie coronarienne tri-tronculaire, avec ATCD de PCI et PCA. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une fraction d'éjection du ventricule gauche normale (65 %). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. On note une sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, une sténose significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Lésion non significative de l'ostium de la première marginale. Sténose significative de l'artère circonflexe distale. Occlusion aiguë de l'artère coronaire droite proximale. Perméabilité de pontage mammaire gauche pédiculée IVA II. Perméabilité de pontage mammaire droite pédiculée CD II. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe distal avec implantation de 1 stent actif. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe proximale avec implantation de 1 stent actif. Nous rajoutons à son traitement par Aspirine 100 mg/j à vie du Plavix 75 mg pour 6 mois. Le reste du traitement est inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 14.12.2018 à domicile. • Patient de 75 ans connu pour une BPCO légèrement traitée qui consulte les urgences le 04.10.2018 suite à une chute accidentelle de sa hauteur avec réception sur le poignet droit en hyperextension. Le bilan radiographique réalisé aux urgences met en évidence la fracture susmentionnée. Le patient est immobilisé dans un plâtre AB et bénéficie d'un suivi radioclinique régulier en policlinique d'orthopédie. • Patient de 76 ans admis pour un NSTEMI, connu pour un lymphome oesogastroduodénal et une cardiopathie ischémique. Il consulte pour un angor. Le bilan montre un mouvement de troponine sans modification électrique. La coronarographie révèle une occlusion de la circonflexe moyenne comme lésion responsable et une sténose significative de l'interventriculaire proximale qui sont revascularisées par 2 stents actifs. La fraction d'éjection est à 35 %. Nous reprenons son traitement habituel par sartan et introduisons un bétabloquant. Le pic de CK est atteint le 14.12. Le point de ponction est calme. Le patient est transféré en médecine pour suite de prise en charge. • Patient de 76 ans, connu pour un diabète de type 2, qui consulte il y a 4 jours (12.12.2018) pour une baisse de l'état général depuis environ 15 jours et une péjoration de sa constipation. Au vu du syndrome inflammatoire important et d'un patient subfébrile, un CT abdominal est réalisé à St-Thérèse montrant une coprostase importante. Après un lavement non résolutif, il consulte les urgences le 15.12.2018 et bénéficie d'un Practomil avec bon effet. La fatigue et les douleurs abdominales se péjorant, il se présente à nouveau aux urgences le lendemain. Il décrit des douleurs abdominales para-ombilicales gauches, constantes, irradiant dans tout l'abdomen, sans nausée ni vomissement, sans état fébrile ni frisson, ainsi qu'un arrêt du transit depuis 3 jours (transit normal 1x/3 j depuis environ 1 an, tendance à la constipation). La dernière colonoscopie remonte à 2012 (diverticulose, pas de polype). Il décrit aussi une toux sèche sans expectoration depuis août de cette année, sans dyspnée et environ 8 épisodes d'épistaxis depuis 1 semaine avec arrêt après environ 20-30 minutes de compression. La baisse d'état général s'accompagne d'une perte de 2 kg en 2 semaines et de troubles de la marche et de l'équilibre depuis 1 semaine, de type tangage, sans nausée ni vomissement, ni chute. Pas de trouble visuel ni auditif nouveau. Il décrit un acouphène à gauche depuis 1 an et demi. Le status d'entrée montre un patient avec un abdomen distendu mais souple et sensible en fosse iliaque gauche. Le status neurologique retrouve un Romberg très instable avec rétropulsion. Le bilan biologique d'entrée montre une hyponatrémie hypo-osmolaire légère, une CRP augmentée sans leucocytose ainsi qu'une légère anémie normochrome normocytaire. Un ASP à l'entrée montre un aéro-colon modéré sans signe d'iléus. Au vu des troubles de l'équilibre importants, nous réalisons une IRM cérébrale retrouvant une masse hypophysaire. Un avis endocrinologique est demandé avec bilan hormonal. Les résultats montrent un pan-hypopituitarisme sur probable adénome non sécrétant. Un traitement d'Euthyrox et d'hydrocortisone est débuté. Parallèlement, un avis neurochirurgical est demandé. Vu l'absence de trouble ophtalmique, aucune urgence chirurgicale n'est posée et le patient bénéficiera d'un contrôle en ambulatoire. Une IRM centrée sur l'hypophyse est réalisée le 19.12.2018. Un bilan ophtalmologique revient dans les limites de la norme et ne montre pas d'atteinte ophtalmologique de l'adénome hypophysaire. L'examen des champs visuels sera à répéter dans deux mois, une fois que l'état général du patient sera meilleur pour une meilleure fiabilité. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 24.12.2018. • Patient de 76 ans, connu pour une cardiopathie ischémique avec antécédent d'infarctus en 2004 et un lymphome oesogastro-duodénal, admis pour un NSTEMI. Il consulte pour un angor. Le bilan montre un mouvement de troponine sans modification électrique. La coronarographie révèle une occlusion de la circonflexe moyenne comme lésion responsable et une sténose significative de l'interventriculaire proximale qui sont revascularisées par 2 stents actifs. La fraction d'éjection est à 35 %, puis 42 % à l'ETT de contrôle du 17.12.2018. Nous reprenons son traitement habituel par sartan et introduisons un bétabloquant, ainsi que de l'Efient pour 12 mois. Le pic de CK est atteint le 14.12 (2907 U/l). Le patient est transféré en médecine pour suite de prise en charge le 15.12.2018. Il ne présente pas de douleur thoracique, le point de ponction reste calme, sans souffle ausculté. Au vu de la bonne évolution, il rentre à domicile le 18.12.2018. • Patient de 76 ans connu pour une cardiopathie ischémique et dysrythmique, avec pauses sinusales au Holter du 05.11.2018, pour lesquelles une indication à une pose de pacemaker a été posée. Le patient est hospitalisé en électif pour une pose de pacemaker le 20.12.2018. La radiographie du thorax montre une sonde en place sans pneumothorax. Le traitement par Beloc Zok est repris. Le traitement par Sintrom doit être repris selon schéma du carnet le 21.12.2018. • Patient de 76 ans, connu pour une cirrhose Child B, une fracture L5 récente avec cyphoplastie le 28.11.2018, qui nous est adressé du service d'orthopédie pour une réadaptation gériatrique. Au status à l'admission, nous remarquons la présence d'oedèmes des membres inférieurs. Le reste de l'examen cardiaque est dans la norme. Le patient présente également de fins râles crépitants aux deux bases pulmonaires. Le reste du status est dans la norme. Sur le plan de l'antalgie, nous introduisons selon avis des anesthésistes de la prégabaline dès le 07.12.2018 avec bonne réponse clinique. Concernant les troubles de la marche et de l'équilibre, nous mettons en place une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seul à l'aide d'un rollator est de plus de 200 mètres. Le patient peut gravir 36 marches en s'aidant d'une rampe. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 73/126, par rapport à 72/126 à l'entrée. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'un suivi nutritionnel qui constate une couverture des besoins énergétiques de 92% à la sortie, contre 53% à l'entrée. Le patient bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie, avec amélioration de son autonomie dans les activités de la vie quotidienne. Mr. Y présente dès le 10.12.2018 une prise de poids et une augmentation des oedèmes aux membres inférieurs dans le cadre d'une cirrhose hépatique connue et d'une thrombose portale, ainsi que d'une possible décompensation cardiaque droite. Cette péjoration nécessite la mise en place d'un traitement diurétique intensifié et donc un transfert en gériatrie aiguë HFR Riaz le 12.12.2018 pour une prise en charge adaptée. Mr. Y, 76 ans, nous est adressé par le Dr. X pour un angor typique lors d'une montée assez légère il y a une semaine. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre des sténoses significatives de l'IVA proximale et de l'ostium de la première marginale. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est normale (EF 65%). Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale et de l'ostium de la première marginale avec implantation de 2 stents actifs et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez la Dr. X et une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 07.12.2018 à domicile. Mr. Y, 76 ans, nous est adressé par le Dr. X pour un angor typique CCS II et une ergométrie subjectivement positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une sténose de 80% de la Cx proximale. La fonction systolique du VG est normale avec une EF à 65%. Le patient bénéficie d'une mise en place d'une angioplastie de la Cx proximale avec implantation de 2 stents actifs et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 15.12.2018 à domicile. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé pour une re-coronarographie en électif après un STEMI antérieur avec PCI de IVA/DA (09/12/2018) pour traiter la lésion de l'ACD connue. Comme prévu, nous avons procédé à une angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne avec implantation de 2 stents actifs et bon résultat final. La fonction systolique est modérément diminuée avec une EF à 35% et une hypo- à akinésie antérieur. Le traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0, Plavix 75 mg 1-0-0 et Xarelto 20 mg est poursuivi pour 1-3 mois et sera réévalué lors du prochain contrôle en mi-janvier chez Dr. X. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons en plus une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 19.12.2018 à domicile. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé pour une crise de goutte polyarticulaire. Mr. Y présente depuis 6 mois des crises de gouttes successives, avec actuellement une atteinte de la main droite et des deux pieds empêchant la marche. Des taux élevés de CRP et d'acide urique sont mesurés. Une ponction au niveau du poignet droit permet de mettre en évidence des cristaux d'acide urique confirmant le diagnostic de goutte. Des radiographies permettent d'exclure des atteintes articulaires osseuses. Un avis rhumatologique est demandé. Un traitement par Prednisone, Colchicine, Adenuric et Tramal est introduit. L'évolution est bonne sous ce traitement. La Prednisone est à poursuivre jusqu'à 48 heures après arrêt des symptômes. La Colchicine est à prendre pendant 6 mois si les effets secondaires sont contrôlés. L'Adénuric sera réévalué à distance lors d'un suivi en rhumatologie avec contrôle des tests hépatiques et une cible d'acide urique < 360 umol/l. Le patient sera convoqué par le service de rhumatologie de l'HFR Fribourg pour un suivi. Mr. Y présente également une perte de poids de 13 kg en 6 mois en association avec les crises de goutte, une inappétence et des diarrhées intermittentes. Nous réalisons un bilan avec fonction thyroïdienne, immunofixation des protéines, des tests hépatiques, une PSA et une formule sanguine dans la norme. Un CT thoraco-abdo-pelvien ne montre aucune lésion tumorale, mais une adénopathie axillaire droite suspecte de 17x19 mm qui peut être expliquée par la crise de goutte au membre supérieur droit. Nous proposons un suivi clinique de l'adénopathie axillaire droite. Avec l'amélioration de la goutte, le patient retrouve de l'appétit et se remet à manger normalement. Nous proposons un suivi clinique et une poursuite du bilan avec une colonoscopie si le patient continue à perdre du poids. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 24.12.2018. Mr. Y, 76 ans, se présente aux urgences ce jour avec un hématome non tuméfié avec décollement épidermique sur 3-4 cm² et un saignement peu actif au niveau du coude gauche survenu dans le décours d'un traumatisme isolé du coude gauche. L'examen clinique est tout à fait rassurant et à l'anamnèse le patient ne rapporte aucune douleur, aucune impotence fonctionnelle et aucun trouble neurologique de son MSG. Nous décidons donc de poser un pansement compressif avec tulle gras au niveau de la plaie et invitons le patient à se présenter à la FUA le 30.12.2018 à 10h30 pour un contrôle de sa plaie et une surveillance du saignement. Pas d'antalgie pour le retour à domicile. Mr. Y, 76 ans, est hospitalisé le 19.12.2018 pour un épistaxis spontané. Au service des urgences, le patient est afébrile et présente de plus un hématome au genou droit et des pétéchies aux membres inférieurs. Un laboratoire montre une thrombocytopénie isolée à 6 G/l. Un avis hématologique est demandé. Un bilan extensif permet d'exclure une CIVD (fibrinogène dans la norme, D-dimères négatifs), une cause infectieuse (HBV, HCV, HIV, CMV), une cause médicamenteuse (pas de traitement habituel), sur H. Pylori (négatif dans les selles) et une cause de carence vitaminique (acide folique dans la norme, B12 légèrement diminué). Un diagnostic de purpura thrombocytopénique idiopathique est donc retenu par exclusion. Un traitement par corticoïdes est administré au service des urgences puis à l'étage par immunoglobulines (Intratect) sur 2 jours. Des plaquettes sont données. Rapidement, les thrombocytes remontent. Le traitement par corticostéroïde sera maintenu pour une durée de 4-6 mois (avec IPP et Vit. D) et sera réévalué par les hématologues. Nous proposons au médecin traitant de pister le bilan oncologique avec un CT thoraco-abdomino-pelvien (organisé pour le 28.12.2018 à l'HFR Fribourg). Au niveau de l'épistaxis, un rhinorapid de 5.5 cm est mis en place aux urgences, puis retiré à 48 heures sans complication.Une hypothyroïdie infra-clinique est détectée. Nous proposons un suivi biologique. Mr. Y rentre à domicile le 21.12.2018 et sera convoqué par les hématologues pour un suivi en ambulatoire. Patient de 76 ans admis électivement pour une pose de pacemaker bicamérale le 27.12.18 pour des syncopes répétées d'origine cardiaque. L'intervention se déroule sans complications. La radiographie de contrôle ne retrouve pas de pneumothorax. Le contrôle en cardiologie est sans particularités, permettant un retour à domicile à J1. Patient de 77 ans, connu pour un ATCD ATC IVA (30/10/2009), nous est adressé par le Dr. X pour un angor typique. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à long terme après stenting de l'IVA moyenne. Par contre, il y a une sténose significative de l'artère circonflexe moyenne et un spasme coronarien initial de l'IVA proximal qui cède après 400ug de nitroglycérine i.c. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. En cas de persistance de la symptomatologie, nous proposons d'essayer un anticalcique. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 08.12.2018 à domicile. Patient de 77 ans, connu pour une HTA, une FA paroxystique et une probable BPCO, chez qui un carcinome épidermoïde de la glotte a été diagnostiqué en octobre 2018 et mis sous radio-chimiothérapie par Platinol (3 cycles, cycle pas reçu ce jour, dernier il y a 3 semaines). À la consultation oncologique ambulatoire ce jour, il se plaint d'une toux avec expectorations claires en aggravation depuis 3 jours, avec dyspnée légère et fatigue. Le patient explique avoir perdu 4 kg en 3 semaines, depuis le début de la thérapie, car il souffre d'odynophagie importante en avalant. Une sonde naso-gastrique est posée sous contrôle fibroscopique par les ORL le 29.11.2018 pour assurer une nutrition qui couvre ses besoins. La radiothérapie est poursuivie. Nous le traitons par ailleurs pour une insuffisance cardiaque et une surinfection bronchique et supplémentons les troubles électrolytiques. Le 30.11.2018, Mr. Y présente une détresse aiguë de manière imprévue, possiblement sur une obstruction des voies respiratoires, avec activité électrique sans pouls. Le patient ne souhaitant pas de manœuvre de réanimation, il décède. Il n'y a pas eu d'autopsie pratiquée. Patient de 77 ans, connu pour un NSTEMI le 08.11.2018, est venu pour une re-coronarographie pour traiter la lésion restante de l'artère circonflexe. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à court terme de la triple PCI de l'IVA proximale-moyenne et de la 1ère diagonale. On procède à un direct stenting d'une sténose de 70-90% de l'artère circonflexe distale avec un bon résultat immédiat. Le traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient (Prasugrel) 10 mg 1-0-0 est poursuivi pour 6 mois. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle auprès du Dr. X dans 1 mois. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 13.12.2018 à domicile. Patient de 77 ans, en attitude palliative en raison d'un mélanome multimétastatique, porteur d'une sonde vésicale à demeure pour des globes à répétition, qui consulte les urgences de l'HFR Riaz le 15.12.2018, envoyé par les soins à domicile pour la pose d'un cystofix. Rappelons que Mr. Y était rentré à domicile d'un séjour en médecine puis réhabilitation gériatrique 4 jours auparavant. À l'entrée, le patient n'a aucune plainte hormis une asthénie chronique, mais rapporte ne presque rien avoir bu depuis 3 à 4 jours et ne pas avoir mangé depuis 4 jours. Les soins à domicile s'inquiètent d'une diminution de la diurèse, leur bladder scan étant en panne, et ces derniers sont convaincus de la présence d'un bouchage de la sonde. Dans ce contexte, les infirmières à domicile retirent la sonde du patient et, n'arrivant pas à en poser une nouvelle, s'inquiètent d'un éventuel globe urinaire. C'est la raison pour laquelle Mr. Y est adressé aux urgences. Le status clinique est strictement normal hormis la cachexie habituelle du patient et une importante déshydratation clinique qui explique la diminution de diurèse. Un laboratoire revient superposable au comparatif avec un syndrome inflammatoire sans leucocytose dans le contexte oncologique, et une hyponatrémie chronique en légère amélioration par rapport aux comparatifs. Nous réalisons un bladder scan qui constate une vessie vide, excluant ainsi une rétention urinaire. Nous hydratons alors le patient en intraveineux aux urgences et, au vu de l'impossibilité d'un retour à domicile en raison de sa faiblesse trop prononcée, nous hospitalisons Mr. Y en gériatrie aiguë le jour même. À l'étage, nous instaurons un suivi des mictions, chez ce patient désormais sans sonde urinaire. Mr. Y se mobilise seul et se rend plusieurs fois aux toilettes durant la nuit, sans difficulté urinaire. Le 16.12.2018, ce dernier est capable d'uriner sans plainte. Un bladder scan de contrôle écarte une rétention urinaire et la palpation abdominale ne s'avère pas douloureuse. Le 16.12.2018, le patient mentionne son désir d'un retour à domicile. En effet, après discussion avec le Dr. X, aucune raison n'est trouvée pour garder le patient hospitalisé, qui est libre de rentrer à la maison si la famille le souhaite également. Nous rencontrons donc la famille dans l'après-midi. Cette dernière se montre d'accord pour un retour à domicile, avec poursuite des soins de confort déjà organisés. Patient de 77 ans, infirme moteur cérébral, institutionaliser au Heim Linde, qui présente des épisodes d'épilepsie avec rigidité et spasmes. Il reçoit pour la première fois une réserve d'Orfiril. Par la suite, il devient très hypotone et est amené au service des urgences. Le CT cérébral permet d'exclure un saignement. Le Dr. X évalue le patient et propose d'introduire de l'aspirine et de diminuer la lamotrigine à 300mg/j. Nous retenons surtout un effet secondaire du traitement d'Orfiril et proposons de ne pas le réintroduire. Dans notre service, le status neurologique est superposable, un contact est possible par moments. Les éducateurs du Heim le trouvent dans son état habituel. À noter que le patient présente une anurie, sur infection urinaire. La pose de sonde urinaire se révèle difficile, un Cystofix est finalement posé par le Dr. X le 01.12.2018. Une antibiothérapie est débutée pour 1 semaine. Nous organisons donc le retour au Heim Linde le 04.12.2018. Patient de 77 ans, qui nous est adressé le 06.12.2018 pour une troisième cure de Levosimendan dans le cadre d'une insuffisance cardiaque chronique sévère. À l'admission, le patient est pauci-symptomatique. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale aiguë d'origine cardio-rénale, qui s'améliore suite à la cure de Levosimendan. La diurèse spontanée est excellente en cours de séjour. L'Entresto, initialement suspendu, est repris à la sortie en association avec le reste du traitement médicamenteux habituel. La cure de Levosimendan se déroule sans complication, avec une bonne tolérance clinique et hémodynamique. Le patient a été informé d'une interdiction de conduite d'automobile pendant une semaine après la cure de Levosimendan. L'évolution étant favorable, il quitte notre service pour se rendre à domicile le 07.12.2018, d'entente avec le cardiologue traitant le Dr. X.Patient de 78 ans, connu pour ATCD stent dans la CD, dernière ATC (10/05/2010), Cx, nous est adressé pour un angor de novo. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne de 3 vaisseaux avec une bonne fonction systolique ventriculaire gauche. On procède à une PCI/ 1 DES de l'IVA moyenne, PCI/ 1 DES de l'IVA proximale et PCI/ 1 DES de l'ostium de la 2ème branche marginale de la circonflexe avec un bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 6 mois et Clopidogrel 75 mg à vie est débuté et le traitement par Bisoprolol est diminué à 2,5 mg/j devant une bradycardie asymptomatique. Le reste du traitement reste inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 13.12.2018 à domicile. Patient de 78 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et anticoagulé pour une maladie thrombo-embolique veineuse, qui est admis aux soins intensifs le 15.12.2018 pour une surveillance post-coronarographie. Le patient consulte les urgences le 14.12.2018 en raison d'un angor d'effort crescendo sur 4-5 jours. Le bilan biologique et électrocardiographique retient un diagnostic de probable NSTEMI et le patient est hospitalisé en médecine interne dans l'attente d'une coronarographie qui est effectuée le 15.12.2018 sans complication immédiate. L'examen démontre comme possible corrélat aux douleurs une lésion subtotale de la première diagonale qui est traitée par implantation de 2 stents actifs avec une fonction systolique du ventricule gauche estimée à 40%. En per-coronarographie, le patient est chargé en Aspirine et Plavix. Sur avis des cardiologues, l'anticoagulation pour la MTEV pourra être reprise à 24h de l'intervention. La double antiagrégation quant à elle sera à maintenir pour 1 mois avec poursuite de l'Aspirine pour un minimum de 6 mois. Le patient est admis aux soins intensifs en post-coronarographie. La surveillance rythmique et hémodynamique durant 4h post-intervention est sans particularité chez un patient n'ayant pas présenté de récidive de douleurs thoraciques depuis son hospitalisation. Il est retransféré à l'étage de médecine interne pour suite de prise en charge. Patient de 78 ans consultant pour une toux apparue il y a une semaine, avec fièvre jusqu'à 39 et un état confusionnel passager le mercredi 12.12 selon sa femme. À l'anamnèse, nous notons également des douleurs diffuses dans les membres. Le reste de l'anamnèse systématique est sans particularité. Le patient a été vacciné contre la grippe il y a un mois. Il a fait un AVC il y a un an pour lequel il a été hospitalisé à l'Inselspital. Anamnestiquement, il est sous Plavix, un traitement antihypertenseur et un hypolipémiant. La SaO2 est à 93%, nous notons un tachypnée à 20-25 respirations/minutes. La TA est à 115/79, la T est à 36°C, le pouls est à 88 bpm. Le status montre une hypoventilation en base droite avec des crépitants au niveau du lobe moyen droit avec une matité à ce point. Le reste du status cardio-vasculaire est aspécifique. Nous décidons d'hospitaliser le patient après discussion avec ce dernier et sa femme. Patient de 79 ans, admis pour une syncope à l'emporte-pièce avec traumatisme crânien et amnésie circonstancielle le 27.11.2018. Le patient a présenté le 27.11, au soir, une syncope à l'emporte-pièce en se baissant pour une bouteille d'eau dans la cuisine. La perte de connaissance est de courte durée et son épouse l'aide directement à se relever et l'adresse aux urgences. À noter qu'il s'agit du 2ème épisode de syncope. Lors de l'épisode du 24.11.2018, le patient a présenté des prodromes orthostatiques. À noter que le patient est sorti récemment d'une hospitalisation de longue durée suite à une décompression lombaire. Les traitements psychotropes sont stoppés chez le patient âgé avec un risque de chute élevé et en absence d'indication. Le test de Schellong met en évidence une hypotension orthostatique persistante malgré la mise en place des bas de contention. Au vu de la gêne occasionnée par leur port et l'absence d'effet, nous ne poursuivons pas ce traitement à domicile. En cas de récidive de chute malgré l'arrêt des traitements psychotropes et en présence d'une hypotension, un traitement de Gutron pourrait être envisagé. L'échocardiographie met en évidence une légère hypokinésie apicale avec une FEVG à 50%. Le massage des sinus carotidiens revient dans la norme. Un R-test est posé le 29.11 pour une durée totale de 4 jours. Un contrôle en cardiologie est organisé pour l'interprétation des résultats et la discussion d'une coronarographie ambulatoire au vu de l'hypokinésie apicale et des calcifications coronariennes visualisées sur le CT pulmonaire effectué aux urgences pour exclure une embolie pulmonaire. Le 29.11.2018, le patient présente un état confusionnel aigu d'étiologie indéterminée résolutif sous Haldol. Nous vous conseillons d'effectuer un bilan cognitif avec MMS et test de l'horloge en ambulatoire. Le patient rentre au domicile le 4.12.2018 avec la reprise du passage quotidien des soins à domicile. Patient de 79 ans connu pour un syndrome myélodysplasique, un status post-AVC sylvien droit récidivant et une polyneuropathie axonale chronique développée probablement dans le contexte du syndrome myélo-dysplasique, nous est transféré le 13.12.2018 depuis l'unité de gériatrie aiguë de l'hôpital de Tafers dans notre unité de neuro-réhabilitation. Au niveau de l'anamnèse sociale, le patient est marié, a 4 enfants et habite avec son épouse dans un appartement au 3ème étage avec un ascenseur. Pas d'escalier obligatoire. Avant l'hospitalisation, le patient était partiellement autonome au niveau des ADL et IADL et avait besoin de l'aide de son épouse. Il se mobilisait avec une canne. Les soins à domicile venaient 1x/mois pour un contrôle général. À l'anamnèse, le patient n'a pas de plainte. Le contact est difficile au vu de la fatigue du patient à son arrivée. À l'examen physique, le patient est calme et collaborant, tachypnéique à l'air ambiant. Paramètres vitaux : TA à 117/75 mmHg, FC à 112/min, température à 36.2°C, SaO2 à 95% sous air ambiant, fréquence respiratoire à 35/min. L'examen pulmonaire est réalisé antérieurement, au vu de l'état général du patient. Présence de râles grossiers de manière symétrique bilatéralement, avec toux importante productive, crachats non-mobilisables. L'examen cardiaque est limité par le status pulmonaire, avec des bruits cardiaques difficilement audibles. Pouls périphérique irrégulier, tachycarde. L'examen abdominal révèle des bruits abdominaux normaux en fréquence et en intensité dans les 4 cadrans, souple et indolore à la palpation superficielle et profonde ; pas de défense ni détente. Status neurologique à l'entrée : Patient avec orientation fluctuante, sans trouble phasique ni dysarthrie au 1er contact. Nerfs crâniens dans la norme, hormis le champ visuel avec une probable hémiexitinction visuelle +/- hémianopsie homonyme latérale G ; possible atteinte sensitive de l'hémiface gauche. Présence d'une hémiplégie discrètement spastique à gauche, avec abolition possible des réflexes ostéo-tendineux. Possible atteinte sensitive tactile (patient pas toujours fiable). Au niveau de l'hémicorps droit, on observe une force à M4+ dans la flexion de la hanche, extension de la jambe et flexion plantaire. Force à M4- dans la flexion de la jambe et de la dorsiflexion plantaire. Réflexes ostéo-tendineux quasiment abolis. Force à M4+ pour la flexion du bras, M4- dans la préhension de la main droite. Pallesthésie à 5/8 au niveau du MID, à 5.5/8 au niveau du MIG. Présence d'une amyotrophie globale au niveau du MID. Présence d'un tremblement au repos de la main D, avec discrète roue dentée sans brady- ni akinésie. Atteinte sensitive tactile et vibratoire possible, mais difficile à confirmer.Mr. Y présente le 15.12.2018 des épisodes de pics fébriles, avec péjoration de la toux. Un bilan infectiologique est lancé, et une antibiothérapie par Co-amoxicilline 1200 mg I.V. 3x/jour est débutée en raison des antécédents de pneumonies d'aspiration connus chez le patient, ainsi que d'une radiographie du thorax montrant un infiltrat interstitiel diffus et un épanchement pleural à gauche, sans qu'un foyer infectieux puisse être exclu. Dans le contexte infectieux, nous majorons la Prédnisone à 90 mg le 16.12.18 au vu d'une probable insuffisance cortico-surrénalienne dans un contexte médicamenteux, par de la Prédnisone sur le long cours. Une amélioration clinique chez le patient est observée, permettant de re-diminuer la Prédnisone à 45 mg le 17.12.2018. Suite à une péjoration de son état général malgré l'antibiothérapie par Co-amoxicilline 1.2 gr I.V. 3x/j, et au vu de l'impossibilité de poursuivre une neuro-réadaptation, Mr. Y est transféré le 21.12.2018 dans le service de soins palliatifs de l'hôpital de Meyriez. Patient de 79 ans, connu pour une insuffisance rénale terminale dialysé 3x par semaine ainsi que les comorbidités sus-mentionnées, hospitalisé de manière élective pour une greffe de cornée prévue le 20.12.2018. L'indication est posée par le Dr. X suite à une déplétion endothéliale, probablement dans les suites de la cataracte. L'intervention se déroule sans complications. Au vu de l'évolution favorable, il rentre à domicile le 21.12.2018. Patient de 79 ans, connu pour une probable BPCO, suivi par le Dr. X pour un adénocarcinome pulmonaire multifocal (4 localisations) du LID et lobe moyen diagnostiqué en novembre 2017, ayant progressé après résection chirurgicale, sous thérapie palliative par Keytruda. Le jour de son 12ème cycle, le patient décrit depuis le vaccin de la grippe, il y a une semaine, une fatigue généralisée avec davantage de difficulté à marcher, une dyspnée péjorée (stade NYHA IV actuellement), une toux sans expectorations ni hémoptysie. Parallèlement, il présente une rhinorrhée continue depuis 7 jours. Il est fébrile, tachypnéique et présente le jour de son admission 2 épisodes de vomissements liquides brunâtres avec des nausées et un pic hypertensif à 229/97 mmHg. L'évolution est favorable après 30 mg d'Adalat retard. Nous le traitons pour une surinfection pulmonaire. Le CT de suivi oncologique met en évidence une lésion suspecte du lobe gauche de la prostate, le PSA s'élève à 9.9 ng/ml. La suite du traitement sera rediscutée avec le Dr. X. Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 12.12.2018. Patient de 79 ans nous est adressé pour un malaise avec une suspicion de maladie coronarienne sévère selon CT. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une lésion subtotale de l'artère circonflexe et une lésion significative de la bifurcation IVA moyenne/1ère diagonale. Après dilatation des deux artères et implantation de 4 stents, le résultat final est bon sans sténose résiduelle. La fonction systolique du VG est normale. Un traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 12 mois est débuté, ainsi qu'un traitement par Crestor 10 mg/j. Le reste de son traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi que dans 6 mois chez la Dr. X. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 11.12.2018 à domicile. Patient de 79 ans nous est adressé pour une coronarographie en électif. La coronarographie montre une fraction d'éjection du ventricule gauche normale (63%). La ventriculographie gauche montre une hypokinésie modérée diaphragmatique. Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Absence de resténose significative de l'artère circonflexe proximale au niveau du site d'implantation du stent nu. Lésion non significative de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'artère circonflexe moyenne au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de la seconde marginale. Sténose significative de l'artère circonflexe distale. Absence de resténose de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Sténose significative de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. Lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite distale. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'ostium de l'artère coronaire droite proximale sans stent. Un traitement par Aspirine cardio – Plavix et Xarelto pour un mois, puis Xarelto et Plavix pour 3 mois, puis Xarelto seul est débuté. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 15.12.2018 à domicile. Patient de 80 ans, admis aux soins intensifs en surveillance post-opératoire d'un pontage fémoro-poplité gauche. Mme. Y est un patient de 80 ans connu pour une artériopathie oblitérante des membres inférieurs opéré le 20.12.2018 en électif d'un pontage fémoro-poplité gauche. L'intervention s'est déroulée sans complication mais au vu de nombreuses comorbidités ainsi que d'une labilité tensionnelle en per-opératoire, le patient est admis aux soins intensifs pour une surveillance hémodynamique. L'évolution locale est favorable avec de bons pouls distaux. Les pansements sont tachés sans saignements importants. Le patient est tout de même transfusé le 22.12.2018. Le patient présente un encombrement bronchique post-opératoire pour lequel nous conseillons de la physiothérapie intensive. Durant le séjour aux soins intensifs, un soutien aminergique ainsi qu'une expansion volémique sont nécessaires afin de maintenir des pressions artérielles satisfaisantes. Les médicaments peuvent ensuite être sevrés tout en gardant une diurèse préservée sous diurétiques ainsi qu'une stabilité hémodynamique. Le patient connu pour une démence présente un état confusionnel hyperactif post-opératoire. Une réafférentation et un traitement à base de neuroleptiques permettent une amélioration. Patient de 80 ans, admis aux urgences pour un choc septique sur dermohypodermite du membre inférieur gauche. A l'arrivée aux urgences, le patient est septique avec des troubles de l'état de conscience et des douleurs généralisées. Devant une clinique de dermohypodermite, un CT de la jambe est effectué ne montrant pas de critère en faveur d'une fasciite nécrosante. Un traitement antibiotique par Tazobac est initié associé à un remplissage agressif et à un soutien aminergique. Toutefois, au vu d'un pronostic sombre devant une défaillance multi-organique et une vasoplégie importante, une décision de passage en soins de confort avec arrêt du traitement antibiotique et aminergique est décidée en accord avec la famille du patient. A noter la mise en évidence d'un probable AVC subaigu fronto-pariétal gauche au CT cérébro-cervical effectué aux urgences dans le cadre des troubles de l'état de conscience. Aucune investigation supplémentaire n'est entreprise dans le cadre d'un passage en soins symptomatiques.Un traitement de morphine et dormicum en iv continu est instauré permettant un bon soulagement des douleurs du patient. Le patient décède paisiblement le 6.12.2018. Patient de 80 ans, connu pour un syndrome métabolique et une cardiopathie ischémique, qui nous est adressé par le Dr. X pour une dermo-hypodermite érysipèle du MIG non résolutif depuis 12 jours sous traitement par clindamycine. Le patient présente une rougeur au MIG sans adénopathies inguinales ni fièvre. Un ultrasons permet d'exclure une thrombose veineuse. Une antibiothérapie par Co-Amoxicilline iv est introduite avec bonne évolution biologique mais une rougeur persiste au niveau du MIG que nous proposons de suivre cliniquement. Mr. Y présente des œdèmes des membres inférieurs importants d'origine mixte qui nous pousse à majorer le Torem. Un rendez-vous en angiologie est organisé pour le 22.01.2018. Entre-temps, nous proposons d'introduire des bas de contention sur mesure. Un contrôle clinique est prévu chez le médecin traitant le 31.12.2018. Nous vous laissons le soin d'évaluer la nécessité de soins à domicile pour aider Mr. Y à mettre les bas, une fois que ceux-ci seront commandés. Au vu de la bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 28.12.2018. Patient de 80 ans, récemment hospitalisé dans notre service pour une décompensation cardiaque sur décompensation de BPCO chez un patient connu pour une insuffisance cardiaque terminale en prise en charge palliative. Il est réhospitalisé suite à un état confusionnel aigu hyperactif probablement sur une nouvelle décompensation cardiaque d'étiologie peu claire. Nous instaurons un traitement diurétique iv associé à un traitement symptomatique par morphine de la dyspnée permettant une amélioration progressive de la décompensation cardiaque du patient. Concernant l'état confusionnel aigu du patient, le bilan met en évidence une hyponatrémie hypervolémique dans le cadre de la décompensation cardiaque ainsi qu'un syndrome inflammatoire sans piste clinique pour lequel nous procédons à une surveillance avec une évolution favorable. L'agitation est traitée par Distraneurin et Quétiapine de manière suboptimale. À noter une démence de longue date avec des états confusionnels récidivants. À noter une oligo-anurie avec une péjoration de la fonction rénale ayant motivé la pose d'une sonde urinaire dès le 17.12.2018. Sur l'agitation, le patient développe une macrohématurie traumatique sur tirage sur la sonde urinaire résolutive après rinçage. Le patient reste confus durant l'ensemble du séjour, demeure sans plainte et nous fait part régulièrement de son envie de rentrer chez lui. Il est retrouvé décédé le 26.12.2018. Il s'agit d'une mort subite probablement sur un trouble du rythme malin dans le cadre de la cardiopathie terminale. Patient de 81 ans admis pour un STEMI antérieur sur occlusion de l'IVA proximale le 26.11.2018. Mr. Y a présenté des douleurs rétrosternales depuis le 24.11.2018 avec l'apparition d'une douleur aiguë et dyspnée le 26.11.2018. Il est admis aux urgences de Payerne où un STEMI est mis en évidence. Le patient est chargé en Aspirine et Brilique et nous est transféré pour une coronarographie en urgences. La coronarographie montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une occlusion aiguë de l'IVA proximale traitée par deux stents actifs avec un bon résultat. À l'arrivée en salle de coronarographie, le patient présente une BAV 2ème degré Mobitz II qui motive la mise en place d'un pacemaker endoveineux provisoire avant le geste. Le rythme évolue en Mobitz I et le patient reste totalement asymptomatique si bien que le pacemaker peut être retiré le 27.11.2018. Un ECG de contrôle le 28.11.2018 révèle la présence d'une tachycardie sinusale qui motive l'introduction d'un traitement par Carvedilol 12.5 mg à partir du 29.11.2018. Lors de l'ECG de contrôle du 30.11.2018, nous mettons en évidence un bloc atrio-ventriculaire du 2ème degré de type I et arrêtons en conséquence le traitement par Carvedilol. Après discussion avec les cardiologues, la pose d'un pacemaker permettant l'introduction d'un traitement bêta-bloquant serait indiquée et à rediscuter lors du contrôle échocardiographique à 1 mois post-infarctus. Nous effectuons un bilan cardiaque par ETT le 28.11.2018 qui révèle une FEVG à 40% ainsi qu'une hypokinésie apicale et antérieure. Nous déconseillons au patient d'effectuer son voyage de retour au Pakistan le 07.12.18 et d'effectuer un contrôle par ETT avant son départ. Le patient souhaite toutefois rentrer au Pakistan contre avis médical. Il prendra directement contact avec le service de cardiologie pour un contrôle en cas de changement d'avis. En cas de départ, nous recommandons d'effectuer une ETT de contrôle à 30 jours post-STEMI afin d'évaluer la fonction cardiaque. En fonction des résultats, nous recommandons d'évaluer l'indication à la mise en place d'un pacemaker avec ou sans défibrillateur ainsi que l'introduction d'un traitement par bêta-bloquant. Une réhabilitation cardiaque est dans tous les cas indiquée et recommandée. Dans le cadre de la prise en charge post-STEMI, nous introduisons un traitement antihypertenseur par Lisinopril à partir du 27.11.2018. En raison d'un profil lipidique perturbé, nous débutons un traitement hypolipémiant par Atorvastatine avec des LDL cibles inférieures à 1.8 mmol/l. Le patient est connu pour un diabète non insulino-requérant. Dans un contexte de valeurs perturbées, nous introduisons un traitement d'insuline avec mise en suspens de la metformine au vu de l'insuffisance cardiaque. Sur avis diabétologique, nous instaurons un traitement par insuline Lantus 20 unités/jour dès le 29.11.2018 et reprenons le traitement par metformine en adaptant la posologie dès le 29.11.2018. Un enseignement thérapeutique pour l'insuline est effectué en présence du fils. Nous recommandons au patient de consulter un diabétologue dans son pays d'origine afin de mettre en place un suivi régulier et d'accomplir un rapport micro-albuminurie/créatininurie afin de dépister une néphropathie diabétique, d'effectuer des contrôles annuels chez l'ophtalmologue avec dépistage de rétinopathie ainsi que des contrôles réguliers en podologie. Au vu d'une bonne évolution clinique et biologique, Mr. Y quitte l'hôpital le 01.12.2018. Patient de 81 ans nous est adressé par le Dr. X pour un angor typique et une ergométrie cliniquement et électriquement positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bitronculaire avec une sténose significative de circonflexe moyenne et des lésions intermédiaires de l'artère coronaire droite moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65%. Le patient bénéficie d'une angioplastie de l'artère circonflexe moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Le traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 5 mg 1-0-0 pour 6 mois se poursuit. Nous augmentons l'Atorvastatine à 40 mg/j. Le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle chez le Dr. X dans 1 mois ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 08.12.2018 à domicile. Patient de 82 ans, connu pour une cardiopathie hypertrophique et dysrythmique et 2 épisodes d'embolies pulmonaires, admis électivement pour la mise en place d'un pacemaker VVI à gauche, en raison d'une fibrillation auriculaire bradycarde avec des pauses de plus de 3 secondes asymptomatiques. Le patient ne présente aucun symptôme, le statut est sans particularité. La pose de pacemaker se déroule sans complication.Nous organisons un bilan angiologique en ambulatoire au vu des 2 antécédents d'embolies pulmonaires, des œdèmes chroniques des membres inférieurs et du filtre cave présent depuis 1991. Le patient peut rentrer à domicile le 04.12.2018. • Patient de 82 ans, connu pour une insuffisance rénale chronique et des troubles de la marche et de l'équilibre, qui a chuté à domicile durant la nuit, avec traumatisme crânien, mais sans perte de connaissance. Il a des douleurs au niveau du genou, de la hanche et de l'épaule droite, des cervicalgies et de légères céphalées. • Mr. Y est déjà tombé il y a 10 jours et présente depuis une diminution de l'appétit. Il décrit des nausées et un épisode de vomissement sans hématémèse, ainsi que des diarrhées actuellement au décours et une notion de contage (compagne). Le status est rassurant et les examens radiologiques ne montrent pas de fracture. D'un commun accord avec le Dr. X, néphrologue qui suit le patient, nous décidons de l'hospitaliser afin de débuter la dialyse dans ce contexte de baisse de l'état général. Un cathéter jugulaire provisoire est posé le 27.11.2018 et la dialyse débute le 28.11.2018, à raison de 3x par semaine. Le traitement en séance consiste en Taurolock hép, Dialvit, Venofer et vitamine D3. Un bilan angiologique est réalisé, la fistule sera posée secondairement, le Dr. X a été contacté. Nous observons une lésion annulaire érythémateuse en regard de l'omoplate droite et 2 plaques érythémateuses dorsales de 6 cm de diamètre prurigineuses présentes depuis plusieurs mois. Nous préconisons une hydratation topique. Un traitement antifongique pourrait être essayé en cas de persistance, ou l'avis d'un dermatologue pourrait être demandé. Au vu de l'évolution favorable, Mr. Y rentre à domicile le 01.12.2018, après sa 3ème séance de dialyse. • Patient de 82 ans, est hospitalisé en électif pour la pose d'un pacemaker dans le cadre de syncopes récidivantes sur étiologie rythmique. Le 27.12.2018, un PaceMaker DDR est posé. Le cliché radiographique de contrôle permet d'exclure toute complication. Mr. Y demeure stable hémodynamiquement à l'étage. Le patient sera convoqué en cardiologie dans 4-6 semaines afin de contrôler la fonction du pacemaker. Au vu d'une bonne évolution clinique, Mr. Y rentre à domicile le 28.12.2018. • Patient de 83 ans, admis aux soins intensifs pour une surveillance neurologique dans le cadre d'un accident vasculaire cérébral. Mr. Y présente un état de confusion transitoire associé à une ataxie à la marche vers 14 h le 11.12.2018. À son arrivée aux urgences, seule une dysarthrie et un syndrome cérébelleux gauche sont observés. Le bilan initial révèle une maladie athéromateuse touchant plusieurs vaisseaux pré-cérébraux sans lésion constituée. Le NIHSS est de 0 point à l'arrivée aux soins intensifs. Un AVC mineur est suspecté et le patient est admis pour une surveillance neurologique et hémodynamique rapprochée. L'IRM révèle deux lésions punctiformes, l'une au niveau du gyrus post-central gauche et l'autre dans le centre semi-ovale à droite, pouvant correspondre à de minuscules lésions ischémiques aiguës, ainsi que des lésions athéromateuses marquées au niveau des artères du polygone de Willis. Le bilan lipidique montre un LDL à 2.86 mmol/L. L'hémoglobine glyquée est normale à 5,1%. L'échocardiographie transthoracique ne met pas en évidence de source cardio-embolique. Un doppler des vaisseaux pré-cérébraux confirme la sténose de l'artère carotide gauche et le patient est pris au bloc opératoire pour une TEA le 13.12.2018 avec plastie d'élargissement par Dr. X. L'intervention se passe sans particularité et le patient reste stable sur le plan neurologique par la suite, hormis un état confusionnel post-opératoire et une déviation de la langue à gauche dans un contexte de compression du nerf hypoglosse lors de l'intervention. L'origine de l'accident vasculaire cérébral est possiblement artério-artérielle sur l'athérosclérose importante. Toutefois, une origine cardio-embolique ne peut pas être exclue au vu de l'existence des lésions multifocales. Malgré cela, il n'y a pas d'intérêt à effectuer un Holter, vu que le patient est déjà anticoagulé pour sa maladie thrombo-embolique. Du point de vue neurologique, une association antiagrégation-anticoagulation n'est pas nécessaire. Nous laissons le soin aux collègues chirurgiens cardiovasculaires de décider le moment de l'arrêt de l'Aspirine. Au vu de la stabilité neurologique et hémodynamique, le patient peut être transféré à l'étage de chirurgie le 14.12.2018 pour la suite de la prise en charge avec également une optimisation de l'anticoagulation thérapeutique. À sa sortie des soins intensifs, il a un NIHSS à 0 point. • Patient de 83 ans se présente avec des douleurs thoraciques. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une absence de resténose du tronc commun au niveau du site d'implantation du stent actif, englobant l'origine de l'artère circonflexe proximale (lésion de bifurcation). Absence de resténose de l'ostium du tronc commun au niveau du site d'implantation du stent actif. Absence de resténose de l'artère interventriculaire antérieure proximale au niveau du site d'implantation du stent actif. Absence de resténose significative de l'ostium de la première diagonale au niveau du site d'implantation du stent actif. Occlusion chronique de l'artère circonflexe proximale. Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. Lésion non significative de l'artère rétroventriculaire postérieure. Lésion intermédiaire de l'artère marginale du bord droit. En résumé : pas de changement constaté par rapport à l'examen du 7.7.2018. Les douleurs thoraciques sont vraisemblablement d'origine œsophagienne. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 14.12.2018 à domicile. • Patient de 84 ans, admis aux soins intensifs le 08.12.2018 en raison d'une décharge septique dans le cadre d'une cholangite biliaire. Il est hospitalisé à Tavel en raison d'une pancréatite biliaire. Il présente depuis une année des épisodes de coliques biliaires occasionnels sans lithiase biliaire visualisée à l'imagerie. Des frissons solennels associés à un état fébrile pendant l'hospitalisation font suspecter une cholangite. Une antibiothérapie par Ceftriaxone et Métronidazole est initiée en cours de séjour. Au vu de la récidive des frissons dans les 24 h suivant l'introduction des antibiotiques, il nous est transféré pour une surveillance hémodynamique et discussion d'une ERCP en urgence au besoin. Une cholécystectomie était initialement prévue le 11.12.2018 par le Dr. X à Tavel. Les paramètres hépatiques sont en voie de correction et les douleurs sont bien contrôlées avec une antalgie simple. À l'arrivée, le patient est à nouveau stable, en bon état général. Dans ces conditions, les antibiotiques sont poursuivis. Nos collègues chirurgiens ne retiennent pas d'indication à une ERCP en urgence. L'évolution étant favorable, avec une stabilité hémodynamique exemplaire, le patient est transféré en chirurgie pour la suite de la prise en charge. • Patient de 84 ans, connu pour un développement démentiel et une cardiopathie ischémique, qui est amené par les ambulanciers aux urgences de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal en raison d'un maintien impossible à domicile. L'anamnèse avec le patient est peu contributive, mais confirme des chutes à répétition. Il se plaint de manière redondante de ses cervicalgies qui seraient présentes depuis plusieurs années. La fille du patient confirme des épisodes de confusion la semaine passée avec des chutes et des phases agressives, pendant lesquelles le patient ne souhaite plus prendre ses médicaments. Sur le plan social, Mr. Y est marié et vit avec son épouse. Le couple a 2 enfants, un fils au Ghana et une fille proche. Il bénéficie d'aide à domicile. A l'examen clinique d'admission, le status neurologique indique une désorientation temporaire et quant au lieu. Le reste du status est non contributif. Nous recherchons de prime abord un foyer infectieux pouvant expliquer cet état confusionnel et pour lequel nous n'avons pas d'argument à la radiographie du thorax et aux bilans biologiques. Dans le cadre d'une hétéro-anamnèse, nous apprenons que Mr. Y prendrait des Tramadol de manière anarchique, ce qui pourrait expliquer ses états confusionnels aigus. Au cours du séjour, nous notons une décroissance des états confusionnels pouvant corroborer cette hypothèse. Sur le plan cardiovasculaire, nous avons un test de Schellong pathologique se corrigeant sur stimulation à l'hydratation et après mise de bandes de contention. Dans le contexte endocrinologique, relevons la présence d'une décompensation hyperglycémique avec une hémoglobine glyquée à 8.6% pour laquelle nous mettons en place de la Lantus à 8UI, stabilisant le profil glycémique. Malheureusement, les soins à domicile ne pouvant pas assumer ces injections, nous l'arrêtons à la sortie et vous invitons à réévaluer la situation. Durant son séjour, Mr. Y bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 13.11.2018 au 27.11.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 25/30 et un test de la montre à 4/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 7/15. Dans ce cadre, le patient est vu le 14.11.2018 par le géronto-psychiatre, le Dr. X, qui indique une IRM cérébrale, un bilan modulaire d'ergothérapie et un bilan neuropsychologique. L'évaluation neuropsychologique a lieu le 22.11.2018 et ne retient pas d'argument en faveur d'une étiologie dégénérative, à contrario de l'IRM cérébrale qui suggère une démence fronto-temporale (pas d'argument clinique pour une myélinolyse centro-pontique ou une rhombencéphalite). Le bilan modulaire d'ergothérapie retient un défaut de réceptivité au niveau de la compréhension qui demande une répétition et manque du mot. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A la sortie, son périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 100 mètres. Le patient peut gravir 32 marches sans accompagnement. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 80/126, par rapport à 74/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 1/7). Le TUG est à 27.83 secondes avec rollator. Le risque de chute est bas. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel ne mettant pas en évidence d'apport protéino-énergétique insuffisant en lien avec des troubles cognitifs. Pour le retour à domicile, nous augmentons la fréquence des soins à domicile à un passage quotidien. Mr. Y, âgé de 84 ans, nous est adressé par le Dr. X suite à une échocardiographie de stress pathologique pour dépister une possible maladie coronarienne. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne monotronculaire avec une lésion significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, englobant l'origine de la première diagonale (lésion de bifurcation). J'ai procédé à une dilatation et implantation de deux stents actifs avec un bon résultat. L'ostium de la première diagonale reste ouverte, mais est aussi serré (pas d'intervention au point de vue de l'insuffisance rénale). Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté, ainsi qu'un traitement par Atorvastatine 10 mg/j. Pour une suspicion d'une sténose rénale gauche, nous injectons l'artère rénale gauche lors de la coronarographie qui montre de multiples sténoses très distales. Nous proposons une consultation angiologique dont nous vous laissons le soin d'organiser. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 03.12.2018 à domicile. Mr. Y, âgé de 84 ans, vient pour une coronarographie en électif pour compléter la revascularisation avec traitement de la CD. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à long terme après stenting de l'artère interventriculaire antérieure proximale, moyenne et distale avec mise en place de trois stents le 27.02.2018 et les sténoses significatives de l'artère coronaire droite proximale, moyenne et distale. Nous complétons la revascularisation avec traitement de la coronaire droite ce jour au niveau de 4 segments avec la mise en place de trois stents actifs avec bon résultat final. La double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est poursuivie. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 28.03.2018 à domicile. Mr. Y, âgé de 86 ans, connu pour une BPCO, se présente sur conseil de son médecin traitant en raison d'une recrudescence d'une toux avec difficulté à expectorer. Il avait déjà présenté des symptômes similaires il y a 3 semaines et avait été traité par co-amoxicilline pendant 2 semaines. Nous retenons une nouvelle exacerbation de BPCO que nous traitons initialement par co-amoxicilline et Klacid. La culture d'expectoration met en évidence un Citrobacter freundii résistant à la co-amoxicilline, nous relayons donc l'antibiothérapie par du Bactrim pendant 5 jours. Le traitement médicamenteux ainsi que la physiothérapie respiratoire permettent une évolution favorable des symptômes respiratoires. Le patient rentre à domicile le 10.12.2018, avec des soins à domicile 2 fois par semaine. Mr. Y, âgé de 86 ans, connu pour une cardiopathie d'origine multifactorielle (hypertensive, ischémique et valvulaire), est hospitalisé dans un contexte de baisse de l'état général suite à une chute de sa hauteur le 11.12.2018. Nous retenons une broncho-pneumonie bilatérale débutante avec dans le contexte infectieux une extrasystolie ventriculaire monomorphe réactionnelle. Une antibiothérapie par Rocéphine et Klacid est introduite pendant une période de 5 jours. Les possibles diagnostics différentiels sont exclus dont des troubles électrolytiques et thyréotoxicose. Nous ne retenons pas d'argument en faveur d'une origine ischémique aiguë. Le patient développe par la suite une décompensation cardiaque pour laquelle nous majorons transitoirement son traitement diurétique habituel. L'évolution clinique est favorable, permettant un retour à domicile le 27.12.18. A noter cependant que dans le contexte du traitement diurétique intensif, le patient développe une acutisation de son insuffisance rénale, motivant une adaptation posologique du torasémide à 40mg 1x/j. Mr. Y, âgé de 86 ans, connu pour un lymphome splénique de la zone marginale suivi par le Dr. X, est hospitalisé de manière élective pour suspicion de transformation en forme agressive de ce lymphome. Le patient rapporte l'apparition progressive d'une masse sur la face interne du bras gauche en environ 6 semaines sans autre plainte. Durant l'hospitalisation, le patient bénéficie d'une résection de cette masse par le Dr. X. L'analyse anatomo-pathologique permet le diagnostic nouveau d'un carcinome neuro-endocrine de type carcinome à cellules de Merkel. La ponction biopsie de moelle osseuse montre une stabilité de la maladie hématologique connue. En vue des traitements à venir, une échographie cardiaque est effectuée et ne révèle pas d'anomalie majeure. Un PICC line est également mis en place.L'évolution clinique est favorable avec l'absence de complications locales ou systémiques durant le séjour. Vu l'absence d'indication à un traitement immédiat sous surveillance hospitalière, le patient rentre à domicile le 5.12.2018. Un rendez-vous est prévu le 12.12.2018 chez le Dr. X pour la suite de la prise en charge oncologique et le contrôle de la plaie avec ablation du pansement. Le PICC-line sera utilisé par la suite dans le cadre du traitement. Mr. Y, 86 ans, nous est adressé par le Dr. X pour des douleurs angineuses, des troponines augmentées, un ECG sans modification significative et un test d'effort du 24.12.2018 : significatif, cliniquement négatif, électriquement borderline. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une occlusion thrombotique en partie organisée de l'ACD distale, une sténose 70 % de l'ACD moyenne et une lésion intermédiaire de l'IVA moyenne. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55 %. Après discussion avec Mr. Y, on procède à une recanalisation de l'artère coronaire droite distale avec 2 stents actifs, puis angioplastie de la sténose moyenne avec un 3ème stent actif et un excellent résultat immédiat. Pour le traitement : Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois, reste du traitement inchangé. Pour la suite : contrôle dans 1 mois chez le Dr. X et ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Le patient rentre le 28.12.2018 à domicile. Mr. Y, 87 ans, avec antécédent d'arthrite septique du genou gauche à S. epidermidis multi-résistante en août 2017 traité conservativement par antibiothérapie (Co-amoxicilline 2.2 g 4x/j le 27.08.17, Vancomycine 500 mg 2x/j du 28.08.17 au 30.08.17, Cubicine du 30.08.17 au 01.09.18 puis Vancomycine du 03.09.17 au 08.09.17 puis relais par Bactrim/Rifampicine jusqu'au 08.03.18). Il présente depuis 3 jours une douleur et une chaleur pré-tibiale gauche, sans frisson ni état fébrile. Il n'y a pas de plaie, pas de traumatisme. La douleur au niveau du genou gauche est décrite comme habituelle. Il ne présente pas de fièvre, est hémodynamiquement stable, le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire. Le status local ne met pas de rougeur ni d'épanchement en évidence, seulement une différence de chaleur par rapport au genou droit avec un léger épanchement. Au vu des antécédents, nous retenons une infection chronique à bas bruit du genou. Nous décidons, d'un commun accord avec nos collègues infectiologues et orthopédistes, de ne pas ponctionner le genou gauche ni débuter une antibiothérapie, qui n'aurait pas plus de succès que la précédente antibiothérapie bien conduite durant 7 mois, le patient présentant peu de symptômes. La seule solution thérapeutique serait un changement de prothèse, refusé par le patient. En cas de péjoration des symptômes ou de l'apparition d'un épanchement articulaire, une ponction pourra être effectuée à visée symptomatique. Le patient rentre donc à domicile le 13.12.2018. Mr. Y, 87 ans, connu notamment pour une maladie coronarienne monotronculaire avec pose de pacemaker le 12.09.2016, qui présente un état fébrile et des frissons depuis le 17.12.2018. Il consulte le médecin de garde à domicile le 20.12.2018 qui lui prescrit du paracétamol avec une évolution défavorable, se manifestant par la persistance de l'état fébrile et une sensation vertigineuse. Dans ce contexte, Mr. Y est adressé aux urgences de l'HFR Riaz avec un état fébrile à 38.8 °C. À l'anamnèse de l'admission, le patient se plaint de myalgies au niveau des membres inférieurs, et relève un épisode de diarrhées il y a deux jours (ce qui serait habituel chez lui). Par ailleurs, Mr. Y signale s'être rendu en République Dominicaine avec un retour en Suisse début novembre ; durant ce séjour, le patient aurait pris à plusieurs reprises du Viagra pour avoir des rapports sexuels avec son amie qui réside là-bas. De plus, il a eu un traitement au niveau d'une racine dentaire il y a environ 2 semaines. À l'admission, Mr. Y est hypotendu à 67/45 mmHg avec une température à 37.1 °C. Nous mettons en place une hydratation intraveineuse avec une bonne réponse clinique. Compte tenu de l'important syndrome inflammatoire (leucocytose avec une déviation gauche et une CRP à 364 mg/l), une antibiothérapie est débutée par Rocéphine 2 g intraveineux pendant 24h le 23.12.2018. Sur le plan paraclinique, nous écartons la malaria, et le test HIV reste à pister. Nous effectuons une recherche sérologique pour l'amibiase qu'il faudrait compléter sur avis du Dr. X par une recherche dans les selles. Au vu de la perturbation des paramètres hépatiques (hépatocytolyse et cholestase), le patient est consulté par le Dr. X qui propose une ultrasonographie abdominale pour visualisation de la vésicule biliaire le 24.12.2018. Cet examen met en évidence des lésions hypo-échogènes. Nous complétons ce test par un CT abdominal (Dr. X), qui objective des abcès hépatiques multiples. Nous ajoutons le Métronidazole le 24.12.2018 afin de couvrir d'éventuels germes anaérobes. Nous obtenons les premiers résultats des hémocultures le 25.12.2018 avec une présence de cocci gram positif en chaînettes pour lesquels nous adaptons l'antibiothérapie, avec mise en place de Pipéracilline et Tazobactam pour probables entérocoques faecalis. En raison de la situation clinique complexe, nous transférons le patient à l'HFR Fribourg. Mr. Y, 87 ans, connu pour une cardiopathie ischémique et rythmique, qui se présente aux urgences en raison d'une dyspnée à l'effort en péjoration depuis 1 mois. Il est bradycarde, l'ECG met en évidence une maladie du sinus avec un BAV 2ème degré avec rythme d'échappement pour laquelle les cardiologues retiennent l'indication à une pose de pacemaker. Celle-ci a lieu le 03.12.2018 et se déroule sans complication. Le patient peut rentrer à domicile le 04.12.2018. Mr. Y, 87 ans, connu pour une FA non-traitée ainsi qu'un s/p endocardite en 2017 sur bioprothèse aortique posée en 2003 au CHUV, qui présente une dyspnée d'aggravation progressive depuis le 27.11.2018 et est hospitalisé le 30.11.2018. Le laboratoire et l'imagerie permettent de poser le diagnostic d'insuffisance cardiaque globale. Au CT thoracique injecté, on découvre fortuitement une dissection aortique ascendante sur anévrisme connu. Nous discutons avec le patient et sa famille (fille et petite-fille) qui se positionnent clairement sur un refus d'intervention chirurgicale. Le patient ne désire pas d'acharnement thérapeutique et souhaite uniquement des soins de confort. Le traitement diurétique permet d'améliorer la situation clinique du patient. Nous laissons le patient rentrer à la villa Beausite le 11.12.2018. Concernant la découverte fortuite de dissection aortique et le refus du traitement chirurgical par le patient, nous vous proposons de maintenir le B-bloquant pour diminuer la fréquence cardiaque et la tension artérielle dans la dissection aortique. Mr. Y, 88 ans, connu pour une insuffisance respiratoire avec oxygénothérapie à domicile (2 l O2 15 h/24h), amené en ambulance en raison d'une péjoration rapidement progressive de sa dyspnée habituelle depuis 3 jours, avec toux sèche associée. Nous retenons une insuffisance cardiaque sur fibrillation auriculaire nouvelle, normocarde. Le bêta-bloquant est reconduit, les diurétiques majorés. Nous décidons d'introduire une anticoagulation, au vu du faible risque de chute chez Mr. Y qui se déplace peu et de son état cognitif préservé. Nous ne réintroduisons pas la spironolactone au vu de la kaliémie (4.6 mmol/l le 10.12.2018) et de l'insuffisance rénale.Au vu de la bonne évolution, le patient rentre à domicile le 11.12.2018 avec une majoration des soins à domicile. Patient de 88 ans, anticoagulé, décrivant une asthénie et une dyspnée d'effort d'évolution progressive depuis le mois d'août, que vous nous adressez pour prise en charge et investigations d'une anémie à 63 g/L. Le patient bénéficie en tout sur son séjour de la transfusion de 4 CE. Il demeure hémodynamiquement stable. À la sortie, l'hémoglobine s'élève à 80 g/L. Concernant l'anémie, nous retenons une origine multifactorielle, avec une carence martielle sur probable spoliation à bas bruit par les voies urinaires, une hémolyse secondaire à ses valves mécaniques, une hypothyroïdie et une probable sénescence de la moelle. Une origine digestive à l'origine de la spoliation semble peu probable avec une recherche de sang occulte dans les selles qui revient négative et une absence de lésion suspecte sur le CT abdominal. Des examens endoscopiques ne sont donc pas réalisés. Sur le plan rénal, le patient présente une insuffisance rénale AKIN II à son entrée, avec une probable composante post-rénale sur une rétention urinaire chronique avec dilatation pyélocalicielles bilatérales pour laquelle il bénéficie de la mise en place d'une sonde vésicale transurétrale permettant d'évacuer 1250 mL d'urine chez ce patient, décrivant un prostatisme et une incontinence par regorgement, sans douleurs abdominales. La fonction rénale se corrige rapidement. Une discrète macrohématurie est alors objectivée, confortant notre hypothèse étiologique de l'anémie spoliative. Par la suite, l'hématurie devient plus importante, nécessitant transitoirement des rincages manuels. Le patient a un INR supra-thérapeutique à son arrivée avec une correction spontanée après la mise en suspens transitoire du Sintrom. L'anticoagulation est reprise dès le 21.12.18. Au vu du profil tensionnel, limite inférieure, nous mettons en suspens le sartan habituel du patient. Au vu de son état volémique clinique, nous diminuons de moitié le traitement diurétique habituel du patient à sa sortie. Au vu de l'évolution favorable, le patient rentre à domicile le 28.12.18. Patient de 90 ans adressé par son médecin traitant en raison d'une tuméfaction, rougeur et douleurs au niveau de l'IPD de l'index gauche depuis 14 jours avec une petite plaie s'étant ouverte il y a deux jours. Un traitement de Céfuroxime est initié en ambulatoire le 21.11.2018, permettant une discrète amélioration des douleurs. Suite au développement d'un écoulement purulent avec persistance d'un état fébrile, le patient est adressé au service des urgences avec une prise en charge dans le service d'orthopédie par la suite. Dans le cadre de la tuméfaction, un consilium de rhumatologie permet d'exclure une crise de goutte. Le bilan radio-clinique met en évidence une arthrite septique pour laquelle un débridement avec arthrodèse est effectué le 25.11.2018. L'intervention se déroule sans complication et les suites post-opératoires sont simples. Le contrôle radiologique est satisfaisant, la plaie est propre et calme. Des prélèvements mettent en évidence un staphylocoque doré avec la poursuite d'une antibiothérapie par Céfuroxime 500 mg pour 3 semaines, et au moins jusqu'à 3 jours après ablation de la broche sur avis des infectiologues. Durant le séjour, le patient présente plusieurs épisodes d'angor dans un contexte de FA rapide à 150/min, motivant la majoration du traitement bêtabloquant. Suite à une chute le 11.12.2018, le patient présente des plaies en parchemin au dos et un hématome du flanc gauche. À noter une peau fragile dans le cadre de la corticothérapie au long cours. Les plaies en parchemin sur la face dorsale des avant-bras sont surveillées. Les plaies sont sèches au transfert. À cause d'un saignement veineux au niveau de l'avant-bras gauche, un traitement par Tabotamp et bandage compressif est effectué. Au laboratoire de contrôle, une péjoration de l'anémie à 85 g/L motive la transfusion d'un CE avec bonne évolution de l'hémoglobine. Un bilan d'anémie revient sans particularité et l'évolution clinique reste stable. Durant le séjour, le patient développe une insuffisance rénale aiguë pré-rénale sur surdosage de diurétiques, motivant l'arrêt des diurétiques. En raison de la persistance d'états fébriles récidivants sans piste clinique claire avec une asthénie en péjoration chez un patient sous corticothérapie au long cours, le patient nous est transféré pour la suite de la prise en charge le 13.12.2018. Après exclusion d'un foyer infectieux, nous retenons une probable étiologie néoplasique au syndrome inflammatoire persistant et états fébriles récidivants. Le patient présente une asthénie avancée avec une décision de prise en charge purement palliative sans investigations supplémentaires de la néoplasie pancréatique. Compte tenu de l'évolution clinique du patient, un passage en soins de confort est décidé après discussion avec l'entourage du patient. Nous adaptons le traitement du patient et organisons un transfert au Home des Martinets le 19.12.2018 où séjourne son épouse pour la suite des soins de confort. Voltigo se tient à disposition pour un suivi concomitant en cas de nécessité. Lors du transfert, le patient est confortable sous patch de Fentanyl. Patient de 90 ans connu pour de multiples antécédents (liste ci-dessous) qui se présente à la Permanence en raison de douleur au gros orteil gauche. Les soins à domicile ont drainé du pus et lui ont conseillé de consulter. Anamnèse : une douleur est apparue la veille, sans cause précise. Pas de fièvre, pas de frissons. Il a été hospitalisé jusqu'au 21 novembre 2018 en raison d'une décompensation cardiaque. CV : Pas de palpitations, œdèmes des membres inférieurs en augmentation depuis sa sortie, prise de 4 kg (81.4 à 85.6 kg), pas de péjoration de sa dyspnée à l'effort. Pulm : pas de toux, pas d'hémoptysie. Abdo : Pas de douleur abdominale, appétit stable, pas de nausées, pas de vomissements, selles sans particularités. Uro : pas de changement dans les urines. Patient de 90 ans connu pour une FA non-anticoagulée (Sintrom stoppé après épisode d'hématurie/hématochézie le 18.10.2018), qui est hospitalisé pour une décompensation cardiaque globale, manifestée par une dyspnée au repos et des œdèmes des membres inférieurs, accompagnés d'une douleur dans le mollet droit. Le patient relate également une perte de poids d'une dizaine de kilos en 6 mois, involontaire, sans autre symptôme B, avec appétit conservé. Sur le plan cardiaque, nous avons introduit un traitement diurétique ainsi qu'un B-bloquant. Malgré un score CHA2DS2-VASC/HASBLED en faveur d'une introduction d'un anticoagulant, nous décidons de nous abstenir au vu des épisodes anamnestiques d'hématurie/hématochézie sous Sintrom. Sur le plan de la perte de poids suspecte de 10 kg en 6 mois et l'épisode d'hématochézie en 18.10.2018, une OGD/colonoscopie avait déjà été envisagée, mais refusée par le Dr X. Durant l'hospitalisation, les valeurs des hémoglobines et de la ferritine sont stables et le patient ne se plaint d'aucune extériorisation de sang d'origine digestive/urinaire. Nous avons discuté le 12.12.2018 avec le patient et son épouse concernant la suite de prise en charge et les investigations du problème cardiaque et du problème de la perte de poids. Il en est ressorti que le patient ne désire pas d'investigations invasives. Il souhaite rentrer à domicile dès que possible avec le traitement nécessaire et pouvoir réfléchir à distance d'une suite éventuelle de prise en charge (ETT, coronarographie, OGD/colonoscopie, ...). Le patient et ses proches affirment n'avoir pas besoin d'aide à domicile.Nous organisons un suivi infirmier spécialisé en cardiologie (CINACARD) pour le retour et le maintien du patient à domicile. Devant la bonne évolution clinique du patient, nous le laissons rentrer à domicile le 15.12.2018. • Patient de 91 ans connu pour une éventration post cholecystectomie il y a une vingtaine d'années, ainsi qu'une opération cardiaque à cœur ouvert il y a 30 ans (pontage coronarien?) se présente aux urgences pour une douleur abdominale qui a débuté ce matin à l'hypochondre droit avant d'irradier à l'ensemble de l'abdomen ainsi qu'aux fosses lombaires. Les dernières selles remontent au matin du 23.12 ainsi que les derniers gaz. Ayant des invités ce jour, le patient décide de dîner ce midi malgré ces douleurs. Le patient présente de nombreux vomissements post-prandiaux, alimentaires puis biliaires, puis au vu de la persistance de ces douleurs, le patient se présente aux urgences. À son entrée aux urgences, les paramètres du patient sont dans la norme, le patient présente cependant des vomissements et douleurs importants. Status: Abdominal: Bruits hydro-aériques augmentés à gauche mais fortement diminués à droite, palpation superficielle et profonde douloureuse à l'ensemble de l'abdomen avec défense, irréductibilité de l'éventration qui est aussi fortement douloureuse. CV: b1b2 bien frappés, régulier, normocarde sans souffles surajoutés. Pulm: MV bilatéral et symétrique. Uro: loges rénales non douloureuses à la palpation. Neuro: sp. Le bilan biologique est normal. Antalgie par Dafalgan, Tramal puis morphine 2mg en titrage. Un CT thoraco-abdominal est fait le 23.12 montrant un estomac rempli malgré les vomissements du patient, ainsi qu'une dilatation +- souffrance des anses intestinales sous l'hypochondre droit. Avis Dr. X, puis discussion avec le patient et sa famille concernant les attentes de ceux-ci. Suite à celle-ci, nous mettons en place une sonde naso-gastrique et une radiographie post-sonde. Suite à une discussion téléphonique entre le Dr. X et le Dr. X à l'hôpital cantonal, nous transférons le patient à l'hôpital cantonal pour la suite de la prise en charge du patient en vue d'une opération dans des conditions optimales si elle s'avère nécessaire. • Patient de 92 ans, qui est connu pour une hypertension artérielle, un diabète de type 2 présent depuis 2 mois, ainsi qu'une dyspnée à l'effort avec toux sèche s'accompagnant d'oedèmes importants des membres inférieurs et d'une anurie depuis 12 heures, et qui arrive aux urgences de l'HFR Riaz le 19.11.2018. À l'anamnèse et hétéro-anamnèse, nous relevons une aggravation de son état général malgré l'augmentation de la posologie du traitement diurétique. À l'examen clinique d'admission, signalons également des oedèmes aux membres inférieurs jusqu'aux genoux ainsi que des râles crépitants basaux bilatéraux. Le reste du status est non contributif. Au vu de l'examen clinique et paraclinique (radiographie du thorax) évoquant une décompensation cardiaque, un traitement diurétique intraveineux ainsi qu'un bêtabloquant sont initiés. Toutefois, face à une évolution défavorable, nous adaptons le traitement diurétique en instaurant le Lasix sous pompe de 10mg/h et le Metolazone 5mg, en plus de l'ajout de Digoxine. Après reprise de la diurèse, nous repassons en traitement par voie orale, avec mise en place de la Torasémide. Sur le plan hépatique, signalons une perturbation des tests que nous mettons sur le compte d'un foie de stase en lien avec l'insuffisance cardiaque. Au niveau cognitif, les tests de dépistage effectués le 29.11.2018 signalent des performances altérées avec un MMS à 17/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 8/15. Durant son séjour, Mr. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. En fin de séjour, son périmètre de marche accompagné et à l'aide d'un rollator est de 80 mètres. Le patient ne peut pas gravir d'escalier. Il nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 26/126, par rapport à 67/126 à l'entrée. (MIF physio à la sortie : transferts à 5/7, marche à 5/7, escaliers à 1/7). Le risque de chute est intermédiaire. Durant le séjour, Mr. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique légère en lien avec une baisse de l'état général sur décompensation cardiaque induisant une inappétence, et démontrée par un NRS à 3/7. Un suivi ergothérapeutique est entamé, sans parvenir à atteindre des objectifs en raison de l'état clinique du patient. Dans ce contexte, nous poursuivrons la prise en charge dans le cadre d'une réadaptation gériatrique à partir du 29.11.2018. • Patient de 92 ans, se présente aux urgences pour des épigastralgies avec nausées et vomissements le 20.10. Un diagnostic d'iléus mécanique de l'intestin grêle est retenu, et il est hospitalisé en chirurgie pour prise en charge et bilan. Le scanner du 21.10 met en évidence une probable tumeur du côlon descendant à la jonction sigmoïde. Les biopsies du côlon descendant effectuées lors de la colonoscopie du 24.10, mettent en évidence un lymphome à cellules B matures de haut grade, à prédominance à grande cellules avec une grande fraction de cellules en prolifération. Le PET-scan du 05.11 met en évidence de multiples hypercaptations abdominales parlant en faveur d'une carcinose péritonéale diffuse ainsi que péri-cardiques à l'apex. Après discussion au Tumor Board du 31.10, au vu du bon état général du patient, une chimiothérapie est proposée. Un port-à-cath est posé le 06.11.2018. La ponction de moelle osseuse effectuée le même jour ne montre pas d'envahissement médullaire par le lymphome. Le patient nous est transféré pour la suite du traitement oncologique. À la date du 06.11.2018, Mr. Y souffre d'un nouvel iléus, traité conservativement avec une évolution favorable. Le Professeur X le consultera le 10.12.2018 pour un contrôle. À l'admission, le patient présente un épanchement pleural gauche massif. La ponction du 08.11.2018 confirme l'étiologie néoplasique de l'épanchement avec une récidive rapide de celui-ci motivant la mise en place d'un PleurX le 15.11.2018. Un drainage aux 4 jours est mis en place avec un contrôle en chirurgie le 14.12.2018. Avant l'initiation de la chimiothérapie, le patient bénéficie d'un traitement d'hydratation, Allopurinol et corticothérapie en prévention du syndrome de lyse. L'évolution est favorable permettant l'initiation de la chimiothérapie par R-mini-CHOP dès le 12.11.2018, bien tolérée par le patient hormis une myélo-suppression rapidement résolutive. À noter la persistance de diarrhée intermittente avec un Cl. diff qui revient négatif, qui est mise sur le compte de l'atteinte digestive par le lymphome ainsi que la chimiothérapie. Le patient débute son deuxième cycle par MabThera le 03.12.2018 avec la suite de la chimiothérapie qui sera organisée en ambulatoire. Une consultation auprès du prof. X est organisée le 10.12.2018. Nous vous laissons le soin de faire le bilan biologique pré-chimiothérapie et le suivi post-chimiothérapie selon les recommandations de notre lettre. Le traitement d'Allopurinol est à poursuivre, avec une adaptation de la posologie à la fonction rénale. L'évolution étant favorable, Mr. Y est transféré à la Providence le mercredi 5 décembre, en attente d'un placement en EMS. • Patient de 94 ans, connu pour une hyperplasie de la prostate, qui présente depuis 2 semaines une asthénie avec perte d'appétit et des douleurs épigastriques post-prandiales avec sensation de reflux. Le médecin traitant effectue un CT natif de l'abdomen supérieur le 15.11.2018 qui révèle une pneumonie du lobe inférieur gauche et une cholécystolithiase. Il nous l'adresse pour suite de prise en charge.Le laboratoire d'entrée met en évidence une insuffisance rénale aiguë d'origine mixte, pré- et post-rénale. Nous posons une sonde urinaire et hydratons le patient. Nous tentons à plusieurs reprises de clamper la sonde, mais ne tentons pas de l'enlever, le patient ne ressentant pas le besoin d'uriner. Il présente des signes de surcharge et reçoit des diurétiques en iv, qui permettent une évolution favorable. Cependant, la créatinine le 03.12.2018 est légèrement à la hausse (209 umol/l). Les tests hépatiques et la cholestase sont également perturbés, le patient présente un ictère le 19.11.2018, puis l'US de contrôle montre une disparition de la dilatation des voies biliaires, nous retenons donc un passage de calcul présent dans le cholédoque (présent sur le CT du 25.11.2018). Le patient rentre à domicile le 03.12.2018, avec une majoration des soins à domicile. Mr. Y doit être patient et laisser du temps à la plaie pour guérir, actuellement pas de signe d'une infection. Traitement local avec Bepanthen, puis pansement sec. Doit reconsulter si péjoration. Mr. Y effectuera sa réadaptation ambulatoire à l'HFR Fribourg, débutant le mardi 13.12 puis le jeudi 15.12.2018 à 13h. Ne pas utiliser de VNI directement lors de la réadaptation respiratoire, en raison de l'hypercapnie de Mr. Y. Nous vous laissons le soin de suivre la microalbuminurie inaugurale. Mr. Y en bonne santé habituelle. Mr. Y en bonne santé habituelle, pas de traitement. Mr. Y en bonne santé habituelle qui se présente pour un épistaxis spontané. Aux urgences, le patient est afébrile et présente de plus un hématome au genou droit et des pétéchies aux membres inférieurs. Un laboratoire montre une thrombocytopénie isolée à 6 G/l, pas d'anémie ni de leucopénie. Un avis hématologique est demandé. Un bilan extensif permet d'exclure une CIVD (fibrinogène dans la norme, D-dimères négatif), une cause infectieuse (HBV, HCV, HIV, CMV), thrombocytopénie induite par l'héparine, une cause médicamenteuse (pas de ttt) et une cause de carence vitaminique (acide folique dans la norme, B12 légèrement diminué). Un diagnostic de probable purpura thrombocytopénique idiopathique est donc retenu par exclusion. Un traitement par immunoglobulines est administré sur 2 jours. Un concentré plaquettaire est administré aux urgences. Un traitement par corticostéroïdes, pantozol et calcimagon est introduit. Les thrombocytes remontent à 99G/l le 21.12.18. Le traitement par corticostéroïdes est proposé pour une durée de 4-6 mois et sera réévalué par les hématologues qui mettront en place un suivi. Nous proposons au médecin traitant de réaliser un bilan oncologique avec un CT thoraco-abdomino-pelvien et une supplémentation en B12. Facteurs anti-nucléaires en cours ? augmenté Recherche de H. Pylori négatif Au niveau de l'épistaxis, un avis ORL est demandé. Un rhinorapid 5.5 cm est mis en place. Il est retiré à 48h avec tarissement du saignement. Une hypothyroïdie infraclinique est détectée. Nous proposons un suivi biologique. Le patient rentre à domicile le 21.12.18 et sera convoqué par les hématologues pour un suivi en ambulatoire. Mr. Y en bonne santé habituelle. OMA gauche avec antalgie insuffisante. • Antalgie par Dafalgan • Otosan gouttes auriculaires. Mr. Y encouragé à une mobilisation précoce, selon douleurs. Antalgie prudente au vu des comorbidités. Proposition de reconsulter en début de semaine prochaine si non amélioration des douleurs et de limiter la prise d'AINS à 5 jours. Proposition de physiothérapie une fois terminé la phase aiguë. Mr. Y envoyé par Dr. X pour une ponction lombaire et une suite de prise en charge en raison d'un syndrome de Guillain-Barré mis en évidence par ENMG le 05.12.2018. Symptomatologie de paresthésies aux quatre extrémités débutant autour du 20.11.2018, probablement suite à une gastro-entérite il y a environ un mois. Traitement par IVIG du 6.12 au 10.12.2018, bien supporté. Les résultats de laboratoire montrent un taux d'albumine dans le LCR à 1420 mg/l, ce qui tend à confirmer le diagnostic. Suivi clinique et contrôle prévus chez Dr. X, que le patient prendra soin de contacter dès son retour à domicile. Mise en évidence d'une carence vitaminique au bilan biologique durant le séjour dans le service, traitement de substitution sur la durée du séjour. Mr. Y est reparti sans consultation médicale après avoir reçu un paracétamol 1 g. Mr. Y évalué cliniquement par Dr. X. Suite de prise en charge ambulatoire. Temesta en réserve. Mr. Y gaucher, charpentier, qui se présente avec une plaie superficielle de 1.5 cm de longueur au niveau de D3 main gauche en regard de la face palmaire de l'IPP dû à des débris de verre. Il présente une tuméfaction de tout D3 G avec douleur à la palpation, pas de déficit des fléchisseurs profonds et superficiels, difficulté de discrimination des 2 points. Nous contactons Dr. X qui explore la plaie avec Dr. X où une atteinte de la gaine des fléchisseurs de D3 est visualisée, un penrose est posé après rinçage abondant du site, et un pansement simple est effectué. De la co-amox 1G 2x/j pendant 5 jours avec antalgie est prescrite. Le patient a rdv demain à 8h30 à la polyclinique d'ortho pour enlever le penrose et contrôle clinique de l'hypoesthésie. Les fils seront à retirer dans 14 jours à la consultation du médecin traitant. Mr. Y hospitalisé après l'intervention chirurgicale poignet G, agendée en ambulatoire le 29.11.2018 en raison de douleurs postopératoires ainsi que de vertiges. L'évolution est favorable sous antalgie adaptée. La plaie opératoire reste propre et calme. Rx postop satisfaisantes. Le statut neuro-vasculaire est sans particularité. Retour à domicile le 30.11.2018. Mr. Y hospitalisé en juin 2018 pour une pancréatite radiologique Balthazar C, mais biologiquement négative. Mr. Y hospitalisé pour une baisse de l'état général, une toux avec expectorations, un état sub-fébrile et un syndrome inflammatoire. L'imagerie ne montre pas de foyer infectieux franc. Les hémocultures, les expectorations et les antigènes urinaires sont négatifs. Sous ce traitement, nous constatons une amélioration de l'état clinique et biologique. Mr. Y est sous traitement de prednisone au très long cours avec une notion de polyarthrite séronégative sans lésions radiologiques visibles, aussi nous proposons un schéma dégressif de la prednisone avec surveillance d'une réactivation des symptômes rhumatologiques. La médication par benzodiazépine nous semble également lourde compte tenu de l'âge et de la fragilité cognitive du patient, nous effectuons un sevrage progressif durant le séjour hospitalier et organisons un semainier et des soins à domicile 1x par semaine. Mr. Y rentre à domicile le 11.12.2018 accompagné de sa fille. Mr. Y informé de consulter le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Traitement symptomatique. Mr. Y informé de reconsulter le médecin traitant en cas d'apparition de fièvre, dyspnée, douleur thoracique. La symptomatologie pouvant durer jusqu'à 10-12 jours, nous expliquons également au patient de reconsulter en cas de persistance des symptômes au-delà de ce délai. Dafalgan, Irfen et gouttes vasoconstrictives nasales. Mr. Y n'avait pas besoin d'uriner. Spot urinaire chez le médecin traitant. Mr. Y parti contre avis médical. Mr. Y parti sans consultation médicale, vient pour un vaccin. Mr. Y présentant depuis environ 5 ans des épisodes de malaises itératifs, sans élément déclencheur identifié. Dans ce contexte, nous recherchons une éventuelle syncope d'origine cardiaque. Le tracé ECG long est tout à fait normal, les valeurs du bilan sanguin de base alignées.Nous réalisons un massage carotidien sous contrôle ECG afin de rechercher un éventuel événement cardiaque provoqué. Le massage revient négatif, nous notons tout de même une légère diminution de la fréquence cardiaque, non significative. Mr. Y est invité à prendre contact avec son médecin traitant afin d'investiguer les autres causes potentielles de syncopes et de réaliser un bilan sanguin élargi. Concernant l'épisode de vomissement, il s'agit d'un épisode isolé, alimentaire, pour lequel Mr. Y repart avec un traitement par motilium lingual à la demande. Il lui est instruit de se représenter aux urgences en cas de renforcement de la symptomatologie. Mr. Y présente un déconditionnement musculaire au MID, à la suite d'un traumatisme il y a presque 8 mois, pour lequel nous lui proposons de débuter un traitement en physiothérapie axé sur le relâchement musculaire des chaînes postérieures, proprioception, gainage, massage transverse profond et renforcement musculaire. Nous reverrons Mr. Y dans 3 mois pour un contrôle clinique. Mr. Y présente un état fébrile et des douleurs abdominales dans le contexte de retour de voyage de Thaïlande, ainsi que dans le contexte d'immunosuppression (traitement par humira). Au vu des antécédents de diverticulite avec une leucopénie et une CRP modérément augmentée, nous demandons un avis à Dr. X qui propose un CT scan écartant l'hypothèse de diverticulite. Après avoir reçu une antalgie simple aux urgences, l'évolution est spontanément favorable. Nous retenons au vu de l'état fébrile avec des myalgies diffuses, une suspicion de syndrome. Au vu de l'état général, nous proposons à Mr. Y un contrôle avec laboratoire à la FUA le 06.12.2018 avec si nécessaire des investigations supplémentaires dans le contexte de fièvre de retour de voyage. Mr. Y présente une évolution clinique lentement favorable à 6 semaines postopératoires. Il est autorisé à mobiliser librement son genou et à charger selon douleurs sur le MID. Il poursuivra le travail en physiothérapie axé sur l'antalgie et le drainage, massage, décollement de cicatrice, étirement des chaînes postérieures, renforcement musculaire. Prochain contrôle clinique à 3 mois postopératoires. L'arrêt de travail est prolongé à 100 % jusqu'au prochain contrôle. Mr. Y présente une évolution favorable à 4 mois de la dernière intervention. Nous lui proposons de poursuivre la rééducation sous forme de fitness médicalisé afin de renforcer la musculature du MIG. Il reprendra son activité professionnelle de charpentier à 100 % dès le 06.01.2019. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle ; Mr. Y reprendra contact au besoin. Mr. Y présente une plaie superficielle prétibiale G, qui ne cicatrise pas depuis 3 semaines. Pas de signe d'appel pour un érysipèle ou autre infection. Contrôle biologique rassurant. Au vu des œdèmes marqués aux membres inférieurs de Mr. Y, nous lui proposons de regagner son domicile avec un traitement par Torem 2,5 mg + Aldactone 25 mg 1x/jour pour une durée totale de 7 jours. Nous lui proposons de prendre contact avec son médecin traitant afin de réaliser un contrôle clinico-biologique en fin de semaine. Il sera nécessaire de suivre son hypokaliémie modérée, que nous avons tenté de corriger par 1 cpr de potassium effervescent, plus l'utilisation d'aldactone de manière concomitante au Torem. Il est également nécessaire d'introduire un suivi rapproché de sa plaie. Il est également conseillé à Mr. Y de porter ses bas de contention afin d'éviter une péjoration de l'œdème de stase. Mr. Y consulte en raison d'une dyspnée aiguë depuis ce jour. Il présente par ailleurs une péjoration d'hémoptysies investiguées au Liban. Le bilan montre un probable saignement alvéolaire d'étiologie mixte, sur HTAP, INR supra thérapeutique, ainsi qu'une décompensation cardiaque globale. Un germe est retrouvé lors de la culture d'expectoration, que les infectiologues ne proposent pas de traiter d'office. Mr. Y montre une bonne réponse au Lasix, mais les saturations se péjorent. La crase est reversée avec du Beriplex, et Mr. Y est hospitalisé au SI pour une surveillance. Mr. Y est adressé par Marsens en raison d'une anurie depuis ce matin. Mr. Y est sondé et connu pour un antécédent de globe urinaire. Mr. Y n'a rien bu depuis ce matin. À l'anamnèse, la communication est compliquée. Mr. Y nie une douleur aiguë de l'abdomen. Il rapporte une sensation de tension abdominale. À l'entrée aux urgences, on retrouve Mr. Y tachycarde (106 bpm), hypertendu (141/60), afébrile (37°C), saturant à 93 % d'oxygène. Au status, on retrouve un abdomen tendu avec une vessie palpable jusqu'aux rebords costaux. Les loges rénales sont non douloureuses. Un bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire à 10 mg/l de CRP, une insuffisance rénale aiguë sur chronique à 224 umol/l. Une osmolarité sérique à 312 mosmol/kg. Une leucocytose à 14.9 G/L. Au niveau du globe urinaire, nous effectuons un retrait de sonde avec un léger saignement probablement traumatique. Le traitement au Sintrom est mis en pause. Nous replaçons une sonde à Mr. Y et ce sans complication. L'urine s'écoule pour un total de 3.4 Litres. Au niveau cardiaque, Mr. Y présente un épisode de douleurs thoraciques pour lequel nous effectuons un contrôle des troponines et un ECG. Les troponines reviennent positives à 18 ng/l, le contrôle à h+1 donne 21 ng/l, raison pour laquelle nous effectuons un contrôle à h+3 qui donne 22 ng/l. La cinétique des troponines étant négative, nous pouvons exclure un NSTEMI. Nous hospitalisons Mr. Y en médecine pour surveillance clinique sur nouveau globe urinaire et réhydratation. Discuter d'un avis urologique si non réalisé lors des précédentes hospitalisations. Sur le plan de l'insuffisance rénale, nous hydratons Mr. Y à l'aide de NaCl 0.9 % avec une bonne réponse clinique. Nous laissons un traitement d'entretien à 1'000 ml/24 h durant le séjour. Le suivi biologique montre un syndrome inflammatoire léger stable à 9 mg/L de CRP ainsi qu'une amélioration de la fonction rénale avec une créatinine à 176 umol/L. En raison de la bonne évolution clinique, nous laissons rentrer Mr. Y à : _________________ Mr. Y présente une évolution favorable à une année et demie du traumatisme avec une absence d'instabilité dans les activités de la vie quotidienne. Je propose de poursuivre le renforcement musculaire sous forme de fitness médicalisé. Nous reverrons Mr. Y pour un prochain contrôle au printemps 2019. Mr. Y présente une évolution favorable après ablation du matériel au niveau du tibia proximal D et qui a repris l'ensemble de ses activités sans limitation. Nous ne proposons donc pas de prochain contrôle d'office. Mr. Y reprendra contact au besoin. Mr. Y présente une suspicion de bronchite virale aiguë avec à l'examen clinique des sibilances sans notion d'asthme à l'anamnèse. Nous effectuons un laboratoire et une radiographie qui se montrent sans particularité. Après avoir reçu du Ventolin, Mr. Y évoque une nette amélioration de la symptomatologie. Il rentre à domicile avec une prescription de Ventolin pour 3 jours et un contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. Mr. Y se présente en consultation à presque 10 mois d'un traumatisme au niveau des deux genoux avec déchirure partielle de la face profonde du tendon rotulien au niveau de son insertion proximale pour laquelle nous lui proposons de débuter un traitement en physiothérapie axé sur les massages transverses profonds au niveau des zones douloureuses, travail excentrique sur le quadriceps et ondes de choc selon tolérance. Mr. Y est averti qu'il ne doit pas pratiquer de sport de pivot ou pivot contact. Nous reverrons Mr. Y pour un contrôle clinique d'ici 3 mois. Nous complétons le bilan par une nouvelle IRM dans 6 mois afin de voir l'évolution de ces déchirures. En cas d'absence de guérison, Mr. Y serait candidat à une aspiration du liquide présent dans le tendon et injection de PRP.Patient qui se présente pour un deuxième épisode de dysesthésie du membre supérieur gauche, qui ne correspond pas à un territoire radiculaire ou neurologique. L'examen clinique ne retrouve aucune anomalie malgré un examen minutieux. Nous lui proposons dès lors de reconsulter son médecin traitant à distance ou en cas de modification des symptômes. Patient qui se présente suite à une consultation la veille aux urgences pour un contrôle clinique. Nous notons une évolution clinique favorable avec une diminution des douleurs et de la rougeur. Le patient est vu par nos collègues du service d'ORL, qui le prennent en consultation pour un examen ORL complet et pour la suite de la prise en charge. Patient qui subit le diagnostic susmentionné il y a 48 heures qui vient pour un contrôle. Vu que son pansement occlusif n'était plus étanche, une réfection est faite et un contrôle est prévu dans 5 jours en orthopédie. Patient qui vient pour un contrôle 24 heures après avoir consulté les urgences pour un contrôle clinique et biologique. Le tableau clinique est en défaveur d'une infection et plutôt d'une stase veineuse du MI. Un bandage des MI est effectué et un bilan angiologique sera fait le 17.12.2018 avec un suivi soit par le MT, l'angiologue ou le chirurgien vasculaire selon les résultats. Patient rassuré, retour à domicile. Conseil de reconsulter en cas de péjoration des symptômes gastro-intestinaux et état fébrile important. Patient reçoit une barre de 10 kg au travail. Repart car ne veut pas attendre plus longtemps et va à Tavel. Patient refuse des interventions supplémentaires, une oxygénothérapie à domicile ou en hospitalier et une équipage par BiPAP. Patient repart après consultation infirmière. Il ira chez son dentiste demain. Patient repart sans consultation médicale. Patient retournant au Portugal le 02.01.2019, proposition de contrôle chez son médecin traitant au Portugal si péjoration ou persistance des symptômes. Patient souhaite sevrage/remplacement Temesta. À faire: • évaluer consultation psychiatrique à distance (patient préfère dans un deuxième temps, dès que douleurs sont bien gérées). Patient travaillant dans un atelier à bois qui vient pour une plaie superficielle de 3.5 cm sur l'éminence du thénar de la main gauche survenue avec un ciseau à bois à 14h30. Nous avons vacciné le patient contre le tétanos, désinfecté la plaie, champignon, anesthésié et fait 3 points de sutures avec du fil 5.0 qui seront à retirer chez le médecin traitant dans 12-14 jours. Nous lui avons prescrit une antalgie, arrêt de travail de 100% pour 2 semaines et lui avons informé de contrôler la plaie dans 24 heures à Marsens où il va être hospitalisé demain. Patient vu au tri par Dr. X. Prendra rendez-vous à son secrétariat pour fixer une date opératoire dès que possible. Patient vu au tri par Dr. X. Antalgie. Retour à domicile. Patient vu ce jour avec Dr. X, ne voyant pas de bénéfices à hospitaliser le patient en attendant que la cheville désenfle et le patient ne souhaitant pas rentrer en France pour se faire opérer, le patient rentre à domicile ce jour avec un nouveau contrôle le 02.01.2018 en vue d'une hospitalisation pour opération de la cheville droite. Le patient reçoit en attendant une thromboprophylaxie par clexane 40 mg injectable, anti-inflammatoires par Brufen 400 mg 3 fois par jour, dafalgan 1 g 3 fois par jour et Tramal 50 mg en réserve si nécessaire. Patient vu par Dr. X au tri. Repart après consultation médicale. Patient vu par Dr. X au tri, pas de saignement actif. Repart après consultation infirmière. Patient vu par Dr. X, psychiatre de liaison. Haldol 4 mg en doses cumulées entre le 13 et le 14.12.2018. Hydratation iv. Transfert en psychogériatrie, RFSM CSH Marsens. Patient à risque BPCO présentant en temps normal une dyspnée d'effort stade II. À faire: • prévoir fonctions pulmonaires à distance de l'événement aigu. Patient admise en réadaptation gériatrique pour déconditionnement global suite à une chute avec traumatisme crânien et fracture du coude droit le 06.11.2018, et initialement une hospitalisation en chirurgie puis en gériatrie aiguë HFR Riaz (cf lettre n°1). Le 23.11.2018, la plaie pariétale s'ouvre à nouveau, suite au grattage, raison pour laquelle nous effectuons une nouvelle suture avec 5 points de fil Ethylon 3.0 après anesthésie locale. Les fils seront enlevés le 02.12.2018. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués lors du séjour en gériatrie aiguë (le 15.11.2018) indiquent des performances altérées avec un MMS à 20/25, mais un test de la montre non réalisable étant donné le plâtre. L'échelle de dépression gériatrique est à 1/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de plus de 200 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 91/126 par rapport à 78/126 à l'entrée. (MIF physio: transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 21 secondes. Le risque de chute est bas. Mme. Y bénéficie aussi d'une physiothérapie de mobilisation du bras droit, ce qui sera à poursuivre en ambulatoire. Au niveau ergothérapeutique, la patiente bénéficie d'une évaluation gériatrique avec bilan modulaire, et d'un travail sur la sécurité dans les actions, des exercices en situation (cuisine) et de mobilisation passive infra-douloureuse du poignet. Finalement, et malgré des douleurs résiduelles au membre supérieur, la patiente retrouve en fin de séjour un niveau correct d'indépendance. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte le service le 03.12.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera du passage des soins à domicile. Patient adressé en gynécologie. Patient adressé par l'hôpital de Marsens pour douleurs thoraciques avec agitation. Le patient relate une douleur thoracique avec une sensation d'anxiété après un entretien à l'hôpital de Marsens. Lors de notre évaluation, il ne présente plus de plainte. La douleur n'était pas liée à la position, non respiro-dépendante et non reproductible à la palpation. Il a beaucoup de difficultés à caractériser la douleur mais la présente plutôt comme un serrement. Pas d'autres plaintes anamnestiques. Status cardio-vasculaire: b1 et b2 bien frappé, pas de souffle audible, pouls périphériques présents et symétriques pas d'œdème de MI, pouls régulier. Status respiratoire: murmure vésiculaire symétrique sans bruits surajoutés. Diagnostic retenu: probable crise d'angoisse. Nous écartons un infarctus de type STEMI avec un ECG sans sus/sous-décalage du segment ST, un infarctus de type NSTEMI avec une cinétique de troponine négative. La radiographie du thorax ne met pas en évidence de surcharge, épanchement, de décollement de la plèvre ou d'infiltrats alvéolaires.Le laboratoire ne met pas en évidence de perturbation en dehors d'une anémie macrocytaire normochrome connue et stable. En raison d'examens clinique, biologique et radiologique rassurants, nous organisons un retour à l'hôpital de Marsens pour la suite de la prise en charge psychiatrique en accord avec le médecin de garde. • Patiente avec le diagnostic susmentionné qui vient pour un contrôle clinique et pour les résultats de l'urotube. Le bilan clinique est rassurant et la microbiologie revient négative pour des germes. Nous poursuivons alors le même traitement initialement instauré. Suite chez médecin traitant. • Patiente connue pour des troubles de l'alimentation (anorexie). BMI 17 kg/m2. Rupture traumatique de la rate en 2007. Kyste ovarien gauche de 8 cm d'allure bénigne chez une patiente de 15 ans. Laparoscopie : washing péritonéal et kystectomie gauche le 23.06.2016. Complication laparoscopie : suspicion de perforation intestinale avec l'aiguille de Veress. Complications : anémie sévère sur probable saignement post-opératoire au niveau de la paroi abdominale avec hématome léger (quadrants inférieurs) et hémodilution sans retentissement clinique. Douleurs post-opératoires mal contrôlées (spondylodèse le 20.06.2017) le 30.06.2017. Infection urinaire basse le 30.06.2017. Pyélonéphrite gauche 20.10.2017. Réaction inflammatoire locale au niveau du majeur de la main gauche. Crise d'angoisse déclenchée par une forte douleur. • Patiente connue pour le diagnostic susmentionné récemment établi, qui vient à cause de douleurs qui l'empêchent de dormir. Un bilan clinique et biologique est rassurant vis-à-vis d'une infection, et le diagnostic initial est retenu. La patiente est alors prescrite une dose de prednisone plus haute et serait revue par son rhumatologue le 18.12.2018. • Patiente connue pour un lymphome de type MALT diagnostiqué en 09/2018 est hospitalisée pour un état fébrile à la suite de sa chimiothérapie par Maptera-bendamustine. Pour rappel, la patiente a été hospitalisée du 12.12 au 19.12.2018 pour un état fébrile et une raideur de nuque 10 jours après son premier cycle de Maptera-bendamustine. Une méningite herpétique avait été retenue malgré un PCR négatif et un traitement par Valtrex introduit. Mme. Y est admise au service des urgences pour des frissons solennels et un état fébrile à 39.5°C. Elle présente également des douleurs oppressives de la nuque et des trapèzes semblables aux douleurs qu'elle a eues il y a 2 semaines lors de sa probable méningite herpétique. Le statut neurologique est dans la norme. Aucun foyer infectieux n'est détecté malgré un syndrome inflammatoire important. Sur avis infectiologique, nous n'introduisons pas de traitement antibiotique et n'effectuons pas de ponction lombaire. La patiente reste afébrile lors de l'hospitalisation. Nous constatons une élévation importante de la CRP sans répercussion clinique et spontanément en régression. Cet état fébrile et inflammatoire est mis sur le compte de la maladie tumorale et du traitement d'immunothérapie. Au vu de l'amélioration clinique et biologique, Mme. Y peut rentrer à domicile le 31.12.2018. Elle est avertie de reconsulter en cas d'apparition de symptômes ou de fièvre. La suite de prise en charge se fera à la consultation du Dr. X début janvier 2019. Un contrôle de la crase avec potentielle adaptation du Sintrom se fera au cabinet du médecin traitant. • Patiente consulte par rapport à des douleurs au niveau de l'épaule droite depuis 2 jours sans notion de traumatisme. Bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire. Vu l'absence de notion de traumatisme dans l'anamnèse mais compte tenu de la profession de la patiente, nous retenons le diagnostic de bursite non-traumatique de l'épaule droite. Vu l'examen biologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec le traitement par AINS pendant 5 jours. • Patiente de 28 ans, 2G1P, admise en salle d'accouchement le 23.12.2018 en vue d'une provocation pour terme dépassé et désir maternel. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 23.12 dans la nuit. La mise en travail est rapide et la dilatation harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3570 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 26.12.2018, en bon état général. • Patiente de 41 ans, 2-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement au vu d'une provocation pour RCIU et oligoamnios le 25.12.2018 à 40 1/7 semaines d'aménorrhée. Cette dernière se fait par Syntocinon. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon de 2890 g avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 27.11.2018 en bon état général. • Patiente de 10 ans en BSH, qui fait une torsion du genou en courant aujourd'hui, sans chute ou choc direct. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par antalgie est mis en place avec un contrôle dans 1 semaine chez le Dr. X. • Patiente de 13 ans en BSH qui subit une luxation de rotule gauche (premier épisode il y a 2 mois) avec remise en place spontanée. La patiente est immobilisée en attelle jeans en flexion de 20 degrés et mise en décharge à l'aide de cannes pendant quelques jours avec un IRM prévu et un contrôle chez le Dr. X suite à l'IRM pour le reste de la prise en charge. • Patiente de 14 ans qui fait une chute au gym avec réception sur le poignet et le coude en hyperextension. Douleurs au niveau du coude suite à la chute avec douleurs à la mobilisation du coude. Pas de déformation ou TNV en distalité. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur par antalgie et écharpe est instauré. Un contrôle clinique en orthopédie est prévu dans 5 jours. • Patiente de 15 ans qui, ce matin vers 11h30, chute en vélomoteur à 30 km/h en glissant. La patiente rapporte un trauma direct sur la rotule, qui tape premièrement le vélomoteur puis le sol, ensuite la patiente glisse sur 2 mètres. La patiente qui portait un casque, ne présente pas de trauma crânien ou de perte de connaissance lors de la chute. La patiente ne présente pas d'autres douleurs. Examen ostéo-articulaire : Oedème important au niveau de la rotule gauche sans signes d'épanchement intra-articulaire, dermabrasion présente. Pas de troubles vasculaires (pouls périphériques perçus) ou sensitivo-moteurs. Palpation douloureuse en regard de la rotule, les autres repères osseux sont indolores. Marche en charge complète possible, mobilisation passive légèrement douloureuse en flexion du genou. Testing ligamentaire : Pas de tiroirs antérieurs ou postérieurs, Lachman négatif, Varus et valgus stress tests aussi. Ménisque : Steinmann négatif. La radiographie du genou est demandée et ne révèle pas de fracture. Nous concluons à une contusion simple du genou gauche au niveau de la rotule avec une dermabrasion associée, la patiente rentre à domicile avec un pansement et une antalgie par Dafalgan 1 g et Brufen 400 mg 3x/j.La patiente se représentera à la polyclinique d'orthopédie ou à la FUA pour un contrôle du genou d'ici 5 jours. Mme. Y de 15 ans qui, ce matin vers 11h30, chute en vélomoteur à 30km/h en glissant. La patiente rapporte un trauma direct sur la rotule, qui tape premièrement le vélomoteur puis le sol ; ensuite, la patiente glisse sur 2 mètres. La patiente qui portait un casque ne présente pas de trauma crânien ou de perte de connaissance lors de la chute. La patiente ne présente pas d'autres douleurs. Examen ostéo-articulaire : • Oedème important au niveau de la rotule gauche sans signes d'épanchement intra-articulaire, dermabrasion présente. • Pas de troubles vasculaires (pouls périphériques perçus) ou sensitivo-moteurs. • Palpation douloureuse en regard de la rotule, les autres repères osseux sont indolores. • Marche en charge complète possible, mobilisation passive légèrement douloureuse en flexion du genou. • Testing ligamentaire : Pas de tiroirs antérieurs ou postérieurs, Lachman négatif, varus et valgus stress tests aussi. • Ménisque : Steinmann négatif. La radiographie du genou est demandée et ne révèle pas de fracture. Nous concluons une contusion simple du genou gauche au niveau de la rotule avec une dermabrasion associée. La patiente rentre à domicile avec un pansement et une antalgie par Dafalgan 1g et Brufen 400mg 3x/j. La patiente se représentera à la polyclinique d'orthopédie ou à la FUA pour un contrôle du genou d'ici 5 jours. Mme. Y de 15 ans qui, le matin du 25.12 vers 11h30, chute en vélomoteur à 30km/h en glissant. La patiente rapporte un trauma direct sur la rotule, qui tape premièrement le vélomoteur puis le sol ; ensuite, la patiente glisse sur 2 mètres. La patiente qui portait un casque ne présente pas de trauma crânien ou de perte de connaissance lors de la chute. La patiente ne présente pas d'autres douleurs. Examen ostéo-articulaire : • Oedème important au niveau de la rotule gauche sans signes d'épanchement intra-articulaire, dermabrasion présente. • Pas de troubles vasculaires (pouls périphériques perçus) ou sensitivo-moteurs. • Palpation douloureuse en regard de la rotule, les autres repères osseux sont indolores. • Marche en charge complète possible, mobilisation passive légèrement douloureuse en flexion du genou. • Testing ligamentaire : Pas de tiroirs antérieurs ou postérieurs, Lachman négatif, varus et valgus stress tests aussi. • Ménisque : Steinmann négatif. La radiographie du genou est demandée et ne révèle pas de fracture. CT genou 26.12 : Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'épanchement intra-articulaire. Infiltration et tuméfaction des tissus mous antérieurement et latéralement à la rotule avec présence d'un hématome de 15 mm de grand axe en avant de la rotule. Nous demandons l'avis au Dr. X qui recommande de traiter la patiente comme une fracture avec une attelle Jeans 0°, une immobilisation de 6 semaines avec décharge ainsi qu'une Clexane avec thromboprophylaxie et antalgie. La patiente rentre à domicile et sera suivie par Dr. X à la polyclinique d'orthopédie. Mme. Y de 16 ans en BSH qui tombe au gym avec torsion de cheville. Le bilan radiocliniques aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Vu les douleurs à la charge de la patiente, nous immobilisons la cheville dans une attelle préformée avec décharge et contrôle clinique dans 5 à 7 jours à la polyclinique d'orthopédie. Mme. Y de 16 ans présentant une clinique compatible avec des lombalgies non déficitaires survenues ce jour. Dans l'absence de red flags, nous renonçons à des investigations supplémentaires. Il est expliqué à la patiente de reconsulter en cas d'apparition de fièvre, déficits neurologiques, apparition d'une symptomatologie urinaire, en cas de non-amélioration. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Mme. Y de 16 ans qui fait une chute avec réception sur le pouce en hyperextension. Le bilan radiocliniques aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par attelle est mis en place avec un US pour visualiser les ligaments collatéraux de la MCP1 sera fait par la suite dans la semaine avec contrôle en orthopédie suite à l'examen. Mme. Y de 17 ans en BSG se présente aux urgences le 22.12 pour un périonyxis de l'index droit, consulte pour réévaluation clinico-biologique. La patiente dit que la face dorsale de sa main s'est légèrement oedématiée. Pas de fièvre, pas d'autre plainte. Status : • Pas d'adénopathie axillaire, pas de trajets lymphatiques, léger oedème de la face dorsale de la main en regard du 2ème méta, oedème de l'extrémité distale du doigt, pas d'écoulement, pas de trouble neuro-vasculaire. Labo : GB normales, CRP 8. Avis ortho : évolution favorable, changement de pansement, contrôle à la FUA le 25.12.2018. Mme. Y de 17 ans, venue aux urgences le 22.12 pour un périonyxis de l'index droit, avec une première consultation de contrôle clinico-biologique le 23.12 se présente ce jour pour une réévaluation clinique. La patiente ne présente pas de plaintes, nous décrit une amélioration clinique au niveau de la main. Status : • Bon état général. • Pas d'adénopathie axillaire, pas de trajets lymphatiques, léger oedème de la phalange distale, pas d'écoulement, pas de trouble sensitivo-moteur. Nous changeons le pansement et mettons comme date de fin de l'antibiothérapie au 28.12.2018, le prochain contrôle pourra se faire chez le médecin traitant après les fêtes. Mme. Y de 17 ans sans antécédents particuliers se présente ce jour aux urgences pour vomissements qui ont débuté cette nuit à 4h du matin. Ces vomissements sont tout d'abord alimentaires puis bilieux ; puis la patiente présente des nausées et efforts de vomissements sans extériorisation. La patiente rapporte 2 cas similaires familiaux de gastro-entérite virale avec vomissements. Mme. Y de 17 ans avec paramètres tout à fait normaux : • Examen digestif : abdomen souple indolore sans défense ni détente, bruits intestinaux d'intensité normale. • Le statut cardio-pulmonaire est tout à fait normal. • Le reste de l'examen est sans particularités, la patiente reçoit une perfusion d'hydratation associée à du primpéran IV. Au vu de la symptomatologie de la patiente et des épisodes dans la famille, nous concluons une probable gastro-entérite virale. Au vu de l'évolution clinique favorable, la patiente rentre à domicile avec une antalgie par Dafalgan 1g 3x/j ainsi que 2 comprimés de Primpéran 10mg en réserve si besoin. Mme. Y de 18 ans admise en salle d'accouchement le 29.11.2018 à 38 semaines et 2 jours d'aménorrhée pour pré-travail douloureux. Sur demande de la patiente, en état de détresse et de décompensation, nous posons l'indication à une césarienne en urgence dans 30 minutes. L'intervention se déroule sans complication et primigeste devenue primipare, elle donne naissance à un garçon de 3070g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique par voie orale. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21 ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, elle rentre à domicile avec son bébé le 05.12.2018. Mme. Y de 18 ans, en BSH, consulte aux urgences pour douleur abdominale. La patiente accuse le début de la menstruation ce matin. En cours de la matinée, elle s'est mise à avoir un voile noir devant les yeux et s'est sentie faible. Elle a eu le temps d'ouvrir la porte qui était fermée à clé et d'appeler sa mère avant de perdre connaissance et tomber par terre. Sa mère est allée de suite et l'a trouvée par terre, inconsciente. Elle s'est réveillée après une dizaine de secondes, sans état post-critique. Pas de morsure de la langue, ni perte d'urine. Elle décrit par la suite une douleur sus-pubienne, sans irradiation, continue, très importante. Devant la persistance de la douleur, elle consulte aux urgences.La patiente dit qu'elle fait souvent des malaises d'allure vagale dans un contexte de stress émotionnel ou de douleurs importantes. L'anamnèse systématique: • gynéco: menstruations aux intervalles irréguliers (différence de quelques jours), G0P0, vierge, pas d'écoulement anormal les derniers jours, pas de syndrome de dysménorrhée • digestif: transit régulier, appétit normal • urinaire: pas de brûlure mictionnelle, pas de dysurie, pas de fièvre Général: normocarde, normotendue Cardio: bruits du cœur réguliers, pouls périphérique perçus Pulmonaire: auscultation libre et symétrique Digestif: abdomen souple, dépressible, pas de défense, pas de détente, douleur à la palpation sous-pubienne et des deux fosses iliaques, bruits hydroaériques normaux. Le bilan biologique est normal. Le test de grossesse est négatif. Le sticks urinaire met en évidence une croix de leucocytes, pas de nitrites, sang et protéines. L'US abdominale met en évidence une image en cocarde, sans mise en évidence de l'origine de l'appendice au niveau du cæcum, diamètre de l'appendice de 6,5 mm. En accord avec le Dr. X, nous adoptons une attitude conservatrice et conseillons un traitement antalgique PO, avec un contrôle biologique et clinique à la FUA. Patiente de 18 ans, en BSH, reconsultée aux urgences pour douleur abdominale. Le bilan biologique est normal. Après la discussion avec Dr. X, la patiente rentre à domicile sans antalgie, elle a été informée si douleurs ou nouveaux symptômes - retour aux urgences. Patiente de 18 ans, G0P1, qui demande une interruption volontaire de grossesse sans ambivalence. À l'US, on objective une grossesse à 6 4/7 semaines d'aménorrhée le 18.12.2018. Elle reçoit la Mifegyne le 22.12.2018 (7 1/7 semaines d'aménorrhée) et le Cytotec le 24.12.2018. En raison de saignements légers actifs persistants après l'expulsion, un examen gynécologique au spéculum objective un reste de matériel au niveau de l'orifice externe du col utérin retiré et un US qui ne met pas en évidence de sac gestationnel mais un endomètre à 20 mm avec prise de Doppler sur le fond de la cavité. Après une surveillance clinique et hémodynamique favorable, la patiente rentre à domicile le jour même en bon état général. La contraception future se fera par un stérilet en cuivre. Patiente de 19 ans ayant bénéficié d'une extraction des dents 28, 38 et 48. Elle présente une tuméfaction jugale droite avec trismus. Un CT est effectué, mettant en évidence un phlegmon de la région sous-mandibulaire, péri-amygdalienne et para-pharyngée gauches. Nous gardons donc la patiente pour surveillance et traitement antibiotique I/V. Le 16.12.2018, drainage d'une petite quantité de pus après ablation des fils en regard de la dent 38. Nous effectuons des rinçages réguliers de la plaie avec bonne évolution. La patiente rentre à domicile le 17.12.2018. Patiente de 19 ans sans antécédents particuliers, se présente aux urgences pour une dysphagie ainsi que dysphonie et toux grasse depuis la veille. La patiente nous décrit quelques expectorations sanguinolentes la veille, mais plus depuis ce jour. La patiente ne présente pas d'autres plaintes et est afébrile. À l'examen de la cavité buccale, la muqueuse est tout à fait normale sans aspect inflammatoire, les amygdales sont d'aspect normal, non œdématiées, la dentition est en bonne condition. Pas d'adénopathies palpables ou d'autres anomalies de la sphère ORL, le reste de l'examen clinique est normal. Au vu de l'examen clinique rassurant, la patiente rentre à domicile avec des bains de bouche avec Dentohexin 0,2% et Dafalgan 3x/j. La patiente, travaillant dans la préparation de nourriture, reçoit un arrêt de travail jusqu'au 31.12.2018. Patiente de 2 ans qui consulte suite à une chute de 1m20, avec réception sur le bras gauche. Avec une douleur importante subite après la chute, bras en position antalgique, déformation du bras, tuméfaction sur le bras, sur la face latérale du coude. Pas de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance. En bonne santé habituelle (bronchite récente) Cure de TGV (avec CIV encore perméable) ostéo-articulaire: Tuméfaction non indurée, érythémateuse, latérale au niveau du coude avec une limitation algique de tous les mouvements du coude. Innervation, mobilisation et perfusion en aval conservées. Suite à la fracture et à l'indication d'opérer et dans le contexte d'un statut post-cure d'une transposition des grands vaisseaux avec une communication interventriculaire perméable, nous décidons d'un transfert aux CHUV pour une prise en charge en orthopédie avec prise en charge au bloc opératoire et suites opératoires aux soins intensifs. Patiente de 20 ans, nulligeste, hospitalisée pour prise en charge d'un kyste ovarien droit de 6 cm. Dans ce contexte, nous lui proposons une kystectomie droite avec cytologie péritonéale par laparoscopie. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 14.12.2018 et se déroule sans complication, mettant en évidence un kyste dermoïde de l'ovaire droit. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 14.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Professeur X dans 10 jours pour discussion des résultats et ablation des fils. Patiente de 20 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement à 37 4/7 semaines d'aménorrhée pour une mise en travail spontanée le 16.12.2018. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 2730g avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique per os. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 19.12.2018 en bon état général. Patiente de 20 ans, 2 gestes, 1 pare à 10 1/7 SA, hospitalisée pour prise en charge d'une hyperémèse gravidique ne répondant pas au traitement ambulatoire, avec impossibilité de s'alimenter et de s'hydrater et perte de 3 kg en une semaine. Pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées, mais constipation. À l'examen clinique à l'entrée, on retrouve une patiente hémodynamiquement stable, apyrétique, avec des signes de déshydratation extracellulaire. L'abdomen est souple, sans détente ni défense avec des BHA normaux et les loges rénales sont indolores. Le laboratoire retrouve une hyponatrémie et hypokaliémie modérées. Le stix retrouve 4 croix de cétones. L'échographie retrouve une bonne grossesse évolutive avec activité cardio-foetale. Dans ce contexte clinico-biologique, nous hospitalisons la patiente pour réhydratation parentérale et traitement symptomatique par antiémétique intraveineux. La patiente décrit également une constipation avec absence de selles depuis un mois, sans signes cliniques d'occlusion et avec un toucher rectal normal. Nous instaurons alors un traitement laxatif et effectuons même un petit lavement par Microlax, qui est efficace. Le traitement antiémétique standard par voie parentérale s'avère inefficace. Nous introduisons alors un traitement par corticoïdes per os qui est rapidement favorable et pour lequel, une décroissance progressive est effectuée et sera à continuer à domicile jusqu'à l'arrêt.Devant la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 07.12.2018 et sera revue en consultation pour l'échographie du 1er trimestre et le contrôle du potassium le 11.12.2018 à 15h00. • Patiente de 21 ans admise pour surveillance rythmique suite à une périmyocardite post-angine streptococcique. Elle présente des douleurs thoraciques soulagées à la pronation au décours d'une angine streptococcique traitée par Azithromycine depuis deux jours. Le bilan révèle un mouvement d'enzymes cardiaques avec inflammation biologique et des troubles de la repolarisation suggérant une périmyocardite. L'échocardiographie montre une altération modérée de la fonction cardiaque avec des troubles cinétiques apico-latéraux. Un traitement anti-inflammatoire est débuté. La cinétique des enzymes cardiaques est par la suite à la baisse sans récidive de douleurs, seuls persistent des changements dynamiques à l'ECG sous forme d'inversions diffuses de l'onde T. Le prochain contrôle échocardiographique est à prévoir dans une semaine. Nous notifions à la patiente de s'abstenir de tout effort physique pour les trois prochains mois. • Patiente de 21 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 17.12.2018 pour une mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse pour défaut d'expulsion et CTG suspect à un garçon pesant 2980g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. Au vu de l'absence d'incompatibilité Rhésus, nous n'injectons pas de Rhophylac en post-partum. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. En raison d'une infection dentaire, après un conseil auprès de son dentiste traitant, nous débutons une antibiothérapie par Amoxiciline. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.12.2018 en bon état général. • Patiente de 21 ans qui fait un AVP hier. Elle se présente à cause de douleurs au flanc droit. Le bilan radiologique et clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est traitée symptomatiquement et rentre à domicile. Elle fera un suivi chez son médecin traitant selon l'évolution des douleurs si nécessaire. • Patiente de 21 ans qui présente un échec de plastie du ligament croisé antérieur à partir des ischio-jambiers à presque 3 ans de la chirurgie primaire. La patiente désire reprendre des sports de pivot et pivot contact, et présente une instabilité fonctionnelle dans ses activités de la vie quotidienne. Dans ce contexte, elle serait candidate à une nouvelle prise en charge chirurgicale sous forme d'une arthroscopie diagnostique et plastie du LCA à partir du tendon quadricipital ipsilatéral. Cette chirurgie pourra se réaliser en un temps au vu de la bonne position du tunnel fémoral et tibial et de l'absence de dilatation des tunnels. Les ménisques seront également à évaluer lors de l'arthroscopie diagnostique, en particulier la corne postérieure du ménisque interne qui présente une déchirure verticale à l'IRM du 02.11.2018 et déjà présente sur l'IRM du 17.09.2015. La patiente souhaite réfléchir et discuter avec sa maman. Elle nous recontactera. • Patiente de 21 ans sans antécédents particuliers présente depuis une semaine des douleurs fessières en péjoration jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus rester assise ce jour. La patiente est apyrétique avec de bonnes constantes à son arrivée aux urgences. Examen de la région interfessière : Tuméfaction rouge, arrondie, d'environ 5cm de diamètre, localisée à gauche et inférieurement au sommet du sillon interfessier, extrêmement douloureuse à la palpation. Le reste de l'examen clinique est normal. Nous demandons un avis chirurgical au Dr. X et nous procédons à une désinfection importante de la zone, à une incision de l'abcès sous anesthésie locale puis à une évacuation de celui-ci. Suite à un lavage abondant avec du NaCl et de la bétadine, nous mettons en place un méchage et un pansement compressif. La patiente rentre à domicile déjà soulagée de la douleur avec une antalgie par Brufen 400mg et Dafalgan 1g 3x/j. La patiente sera revue à la FUA le 26.12.2018 par le Dr. X et le Dr. X à 9h00. • Patiente de 21 ans sans antécédents particuliers qui vient pour un contrôle à J3 post-incision d'un abcès du pli interfessier avec pose de drain Penrose. Les douleurs sont toujours présentes mais minimes par rapport au 25.12, elle n'a pas eu de fièvre. Cliniquement, diminution de l'érythème péri-site d'incision, drain de Penrose qui n'a presque rien ramené sauf un peu de liquide séreux. Légère douleur à la palpation locale, mais pas d'écoulement mis en évidence. Nous retirons le drain, rinçons et désinfectons le site d'incision et la patiente peut retourner à domicile tout en continuant les soins locaux et prenant un rendez-vous de contrôle pour le début de la semaine prochaine chez le médecin traitant. • Patiente de 21 ans qui, en descendant les escaliers hier, fait un faux mouvement d'inversion de la cheville gauche. Le bilan radiologique et clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est mise en attelle postérieure préformée avec décharge, vu qu'elle n'arrive pas à charger le pied, avec traitement anti-inflammatoire et repos, et sera revue pour un contrôle clinique dans 1 semaine en orthopédie. • Patiente de 22 ans admise pour hypokaliémie modérée avec QT long. Connue pour une anorexie mentale, elle est adressée par son médecin traitant pour une hypokaliémie modérée avec allongement du QT. Une substitution potassique IV avec un relais par voie orale, ainsi que la mise en suspens de la Fluoxétine, permet la correction de l'hypokaliémie et de l'intervalle QT, sans trouble rythmique durant la surveillance. L'avis psychiatrique (Dr. X) ne voit pas de motif d'hospitalisation en milieu psychiatrique et approuve un retour à domicile. La patiente a un rendez-vous prochainement dans le centre vaudois anorexie/boulimie où elle est suivie. Dans l'intervalle, Dr. X conseille la mise en suspens de la Fluoxétine. • Patiente de 22 ans connue pour un lymphome hodgkinien traité par chimiothérapie ABVD (dernière cure à J-5) qui se présente aux urgences avec des douleurs abdominales diffuses EVA 10/10 datant de 24 heures avec absence de selles depuis J-5 et 3 épisodes de vomissements bilieux depuis J-1. Un laboratoire effectué aux urgences montre des tests hépato-pancréatiques dans la norme dans le contexte oncologique de la patiente, sans syndrome inflammatoire. Nous décidons de faire un grand lavement par Practomyl, en soulageant la patiente et atténuant ses douleurs. En raison d'une évolution clinique favorable, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple à la demande et un traitement par laxatif. La patiente sera ensuite revue chez son oncologue le 31.12 et par son médecin traitant dans une semaine. • Patiente de 22 ans, nulligeste, hospitalisée pour prise en charge d'un saignement actif sur probable chute d'escarre et lâchage des sutures à J7 d'une kystectomie de la glande de Bartholin gauche. À l'anamnèse, la patiente décrit un saignement brutal dans la nuit du 29.11.2018 au 30.11.2018 après avoir perdu un caillot d'environ 5 cm. La patiente ne rapporte pas de traumatisme, pas de rapport sexuel, pas de frottement ou autre cause ayant pu déclencher ce saignement. À l'examen clinique dans le service, la patiente est hémodynamiquement stable. On retrouve la présence d'un saignement actif, modéré au niveau de la cicatrice qui semble déhiscente. La patiente étant très douloureuse, malgré le Kalinox, l'examen gynécologique est très difficile et la plaie ne peut pas être bien explorée.Nous décidons alors d'une méthode expectative avec pose d'une mèche vaginale, afin de faire une hémostase par compression. Nous retirons la mèche 2h00 après et devant la persistance des saignements et une baisse de l'hémoglobine, nous posons l'indication à une reprise au bloc opératoire sous anesthésie générale en urgence. L'intervention est effectuée le 30.11.2018 et se déroule sans complications, mettant en évidence un lâchage complet des sutures avec saignement actif, sur probable chute d'escarre. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile, en bon état général le 01.12.2018 et sera revue en contrôle post-opératoire le 04.12.2018 à la consultation du Dr. X. • Patiente de 22 ans, primigeste à 30 3/7 semaines d'aménorrhée avec s/p cerclage selon Mcdonald le 25.09.2018 suite à la découverte fortuite d'un col à 11 mm et s/p cure de Celestone les 23 et 24.10.2018, qui consulte pour des contractions utérines depuis 1 semaine à raison de 20x/j qui deviennent douloureuses ce jour sans autres symptômes. La patiente est sous traitement d'Utrogestan 400mg/j. À son arrivée, elle est stable et afébrile. L'examen au spéculum révèle un col postérieur fermé d'aspect sain avec les fils du cerclage en place. L'échographie abdominale objective un fœtus féminin eutrophique de 1459g en présentation céphalique avec un doppler ombilical dans la norme et l'échographie vaginale met en évidence un col fermé à l'OE avec funneling en amont et fils de cerclage bien placés. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire et le stix revient propre. Le CTG est réactif non pathologique avec une élévation de tonus sur 40 minutes sans contractions utérines. La patiente est hospitalisée pour une surveillance et nous débutons une Tocolyse par Tractocile pour 48h suivi par Adalat. L'échographie de contrôle le 22.11.2018 retrouve un fœtus eutrophique de 1580g, des dopplers ombilicaux et cérébraux dans la norme, un ILA normal et une longueur du col de 3.6mm avec funneling en amont. L'examen au spéculum montre une béance du col de 5mm. En raison d'un échec de Tocolyse par Adalat, nous débutons une deuxième cure de Tractocile pendant 48h du 28 au 29.11.2018 avec une bonne évolution permettant le relais par Adalat. En raison d'une suspicion d'infection urinaire, elle bénéficie d'une dose de Monuril 3g le 30.11.2018. L'urotube revient négatif. Dé cerclage le 13.12.2018 pour contractions utérines douloureuses toutes les 3 minutes et menace de mise en travail. Les contractions diminuent spontanément par la suite. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut rentrer à domicile le 14.12.2018. Elle sera revue en contrôle à votre consultation. • Patiente de 22 ans qui se tape le coude gauche sur une étagère au travail il y a une semaine qui nous consulte aujourd'hui à cause de la persistance de douleurs. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est traitée par antalgie simple et fera son suivi si nécessaire chez le médecin traitant. En cas de persistance, la patiente reçoit instruction de recontacter la policlinique d'orthopédie pour un contrôle. • Patiente de 22 ans se présentant ce jour pour un abcès sacral s'étant percé cet après-midi avec présence de pus et de sang. La patiente a déjà eu un épisode d'abcès qui a été drainé au CHUV le 16.11.2018. Traitement à domicile : Elyfem et Nexium (pour des reflux gastro-œsophagiens). Patiente afébrile. Ex sacré : tuméfaction ovalaire de 3cm de diamètre au niveau supérieur du sillon interfessier gauche, chaude, sous tension avec ouverture visible. Nous désinfectons la région sacrée et procédons à une anesthésie locale par rapidocaïne et bicarbonate, l'abcès est incisé, évacué et nous mettons en place une mèche qui sera à retirer par la patiente le lendemain. Nous demandons l'avis au Dr. X vu cet deuxième épisode d'abcès sacral en l'espace de deux mois et la patiente sera donc revue en contrôle à la FUA le 27.12.2018 à 16h. • Patiente de 23 ans en BSH qui souffre de multiples épisodes de diarrhées depuis hier matin (environ 15 fois) et un épisode de vomissements ce matin. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement symptomatique est mis en place. La patiente reconsultait son médecin traitant en cas de persistance au-delà de 5 à 7 jours. • Patiente de 23 ans présentant un 1er épisode de luxation de rotule au genou D. Elle reçoit, ce jour, une ordonnance pour une attelle de recentrage de la rotule type GenuTrain P3. Elle débutera un traitement en physiothérapie axé sur la récupération des amplitudes articulaires, l'antalgie et la tonification du vaste interne. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. • Patiente de 23 ans, 2 gestes 0 pare, admise en salle d'accouchement le 26.11.2017 pour rupture prématurée des membranes. Après 12 heures d'expectative, nous débutons une induction par Misodel et une antibioprophylaxie par Clamoxyl selon protocole. Après une dilatation harmonieuse et 50 minutes de poussées actives, nous posons l'indication à une instrumentation par forceps en raison d'une NPP et CTG suspect aux épines +1. Elle donne naissance à un garçon de 3160g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et sevré secondairement en raison d'une mauvaise tolérance. La patiente bénéficie d'une consultation avec notre sage-femme de conseil, avec un suivi de périnatal mis en place. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.11.2018, en bon état général. • Patiente de 24 ans admise en salle d'accouchement le 01.12.2018 en vue d'une provocation pour RCIU p<3. Cette dernière est réalisée par la mise en place de deux Propess puis d'un ballonet. Elle se met en travail le lendemain, dilate rapidement et donne naissance à un garçon de 3100g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique par voie orale pour 3 mois. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.12.2018. • Patiente de 24 ans, primigeste à 33 4/7 semaines d'aménorrhée, admise en salle d'accouchement le 01.12.2018 en raison de douleurs épigastriques et œdème des membres supérieurs avec suspicion de HELLP-syndrome. À l'examen clinique, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile et l'abdomen gravide est souple. Le laboratoire d'entrée démontre une cytolyse et cholestase hépatique avec un syndrome inflammatoire et la protéinurie sur 24 heures revient négative. L'ultrason obstétrical objective un fœtus eutrophique en siège complet avec PFE 1789g (p10), un ILA en quantité normale, un placenta postérieur normalement inséré et des dopplers ombilicaux et cérébraux dans la norme. L'ultrason abdominal démontre une hépatomégalie sans stéatose ni lésion focale, une vésicule biliaire alithiasique sans signe de cholécystite ni dilatation des voies biliaires mais une légère ectasie pyélocalicielle gauche. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinico-biologique. Elle bénéficie d'une cure de maturation pulmonaire par Celestone les 01.12.2018 et 02.12.2018 et d'une dose unique d'antibiothérapie par Dalacin le 01.12.2018.Nous observons une résolution spontanée de la clinique avec une normalisation du bilan biologique. L'échographie du 03.12.18 objective un foetus eutrophique en siège complet avec PFE 1789g (p10), un ILA en quantité normale, un placenta postérieur normalement inséré et des dopplers ombilicaux et cérébraux en ordre. Le rapport sFlt-1/PLGF revient à 145 parlant en faveur d'une pré-éclampsie imminente ou aiguë. Dans ce contexte, après discussion avec la patiente et son désir de rentrer, nous la laissons sortir avec un contrôle régulier aux 48h. La patiente regagne son domicile le 03.12.2018 en bon état général. • Patiente de 24 ans, 2 gestes 1 pare, hospitalisée pour prise en charge d'une endométrite post-partale. • Pour rappel, la patiente a accouché par voie basse spontanée le 27.11.2018 au Petit Prince. • Le 04.12.2018, Mme. Y nous est adressée par son médecin traitant pour un état fébrile à 39.8 °C avec frissons depuis 24h. • La patiente signale des leucorrhées jaunâtres malodorantes. • Pas de plaintes gastro-intestinales ou urinaires. • Elle est également suivie dans notre service pour contrôle de la cicatrice d'une déchirure du 2e degré, partiellement déhiscente. A l'examen dans le service, on retrouve une patiente hémodynamiquement stable, afébrile à 37.7°C. L'abdomen est souple avec une douleur à la palpation profonde suspubienne, sans défense ni détente. Au speculum, cicatrice calme mais légèrement déhiscente avec fils lâches sans collection palpable. Col postérieur d'aspect sain mais leucorrhées purulentes brunâtres malodorantes. Au toucher vaginal, douleur à la mobilisation du col et utérine, sensibilité latéralisée aux annexes. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour une endométrite et nous débutons l'antibiothérapie par co-amoxicilline en intraveineux après prélèvement de 2 paires d'hémocultures. Un uricult est en cours. Au vu de la bonne évolution clinico-biologique, Mme. Y rentre à domicile le 07.12.2018 après 48h d'apyrexie et amélioration du syndrome inflammatoire biologique. La patiente restera sous antibiotiques pour une durée totale de 10 jours et sera revue dans 7 jours. • Patiente de 24 ans, 2G 1P, hospitalisée pour prise en charge d'une endométrite post-partale. • Pour rappel, la patiente a accouché par voie basse spontanée le 27.11.2018 au Petit Prince. • Le 04.12.2018, elle nous est adressée par son médecin traitant pour un état fébrile à 39.8 °C avec frissons depuis 24h. • La patiente signale des leucorrhées jaunâtres malodorantes. • Pas de plaintes gastro-intestinales ou urinaires. • Elle est également suivie dans notre service pour contrôle de la cicatrice d'une déchirure du 2ème degré, partiellement déhiscente. A l'examen dans le service, on retrouve une patiente hémodynamiquement stable, afébrile à 37.7°C. L'abdomen est souple avec une douleur à la palpation profonde sus pubienne, sans défense ni détente. Au speculum, la cicatrice est calme mais légèrement déhiscente avec des fils lâches, sans collection palpable. On retrouve un col d'aspect sain et des leucorrhées purulentes brunâtres malodorantes. Au toucher vaginal, douleur à la mobilisation du col, utérine et latéralisée aux annexes avec syndrome inflammatoire biologique important. Dans ce contexte d'endométrite post-partale, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie parentérale par Co-amoxicilline après avoir réalisé tous les prélèvements nécessaires. L'évolution est rapidement favorable et la patiente rentre chez elle le 07.12.2018 après 48h d'apyrexie et amélioration du syndrome inflammatoire biologique. La patiente restera sous antibiotiques pour une durée totale de 10 jours et sera revue dans 7 jours. • Patiente de 24 ans, 2-gestes devenue 1-pare, admise en salle d'accouchement au vu d'une provocation pour dépassement de terme le 25.12.2018 à 41 semaines d'aménorrhée. • Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel. • Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance le 27.12.2018 à une fille de 3200 g avec une bonne adaptation néonatale. • Les suites post-partales sont simples et sans complications. • L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. • La patiente ne désire pas de future contraception. • Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente regagne son domicile le 29.12.2018 en bon état général. • Patiente de 24 ans, 2G0P à 38 1/7 semaines d'aménorrhée qui consulte en urgence après avoir chuté de sa hauteur avec réception sur l'abdomen. • Elle ne se plaint pas de douleurs ou contractions utérines, les pertes vaginales sont physiologiques, notamment absence de saignement et elle sent bien son bébé bouger. • À l'examen clinique, absence d'ecchymose ou hématome de la paroi abdominale et l'abdomen est souple sans défense ni détente. • Le bilan biologique revient aligné avec une hémoglobine foetale à 0. • L'échographie abdominale retrouve un foetus eutrophique avec PFE à 3100g en présentation céphalique dos à droite, un placenta postérieur normalement inséré, un ILA à 14, un Manning à 8/8 et un doppler Ao en ordre. • Le CTG est R-NP et objective quelques contractions utérines irrégulières non ressenties par la patiente. Dans ce contexte, nous l'hospitalisons pour surveillance. Cette dernière se déroule sans complication avec un contrôle échographique normal le 05.12.18 qui objective un foetus en position céphalique, un placenta postérieur normalement inséré sans signe de décollement, un ILA dans la norme et des dopplers ombilicaux et cérébraux en ordre. L'hémoglobine foetale après 24h revient à 0 et les CTG sont rassurants. La patiente restant asymptomatique, elle regagne son domicile le 05.12.18. • Patiente de 25 ans avec comme antécédent un kyste ovarien droit opéré en 2017 en Pologne, se présente aujourd'hui aux urgences pour une douleur en fosse iliaque droite venue ce matin à 6h, à type coup de poignard qui s'est ensuite atténuée et la patiente a pu dormir. • Les douleurs sont revenues par la suite et la patiente consulte aux urgences. Paramètres sont stables, la patiente est afébrile : • Digestif : Palpation abdominale douloureuse en FID, descendant jusqu'à la région inguinale, Mcburney -, Rosving +-, murphy-, Bruits intestinaux présents. • Pas de défense ni détente. • Le reste de l'examen est sans particularités. Le bilan sanguin ne montre pas de syndrome inflammatoire ou d'autres anomalies, BHCG -, Sédiment urinaire tout à fait normal. La patiente nous décrit que son cycle doit débuter d'ici une semaine et souhaiterait une consultation de contrôle gynécologique en vue de ses antécédents et de ces douleurs. Ne pouvant pas proposer d'échographie à Mme. Y avant la fin de la journée, la patiente décide de se présenter à l'hôpital cantonal en vue d'un avis gynécologique. • Patiente de 25 ans qui ressent un état grippal depuis lundi. • Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. • Un traitement symptomatique est mis en place. • La patiente fera le suivi chez son médecin traitant. • Patiente de 25 ans, 3-gestes, 2-pares, admise en salle d'accouchement le 03.12.2018 à terme +10 en vue d'une provocation pour terme dépassé. • Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel. • Après une dilatation et un travail harmonieux, la patiente donne naissance par voie basse à une fille de 3030g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne désire pas de contraception. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.12.2018, en bon état général. • Patiente de 26 ans, admise en salle d'accouchement à 39 6/7 semaines d'aménorrhée pour rupture prématurée des membranes d'un liquide amniotique teinté le 01.12.2018. • Elle se met en travail spontanément et nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl iv après 12h de rupture. • Devant un CTG pathologique, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes. • L'intervention se déroule sans complication et 2-gestes devenue 1-pare, elle donne naissance à un garçon pesant 3030g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.12.2018. Mr. Y, 26 ans, admis en salle d'accouchement en pré-travail le 27.11.18 à 41 2/7 semaines d'aménorrhée. Après une dilatation dystocique avec un CTG pathologique en pré-travail, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes. L'intervention se déroule sans complication et primigeste devenue primipare, elle donne naissance à un garçon de 3420 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera les préservatifs si besoin. Les contrôles obstétricaux sont en ordre et la cicatrice est calme et propre avant son départ. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 03.12.2018 en bon état général. Mr. Y, 26 ans, admis en salle d'accouchement le 03.12.2018 à 41 1/7 semaines d'aménorrhée pour une rupture prématurée des membranes. Après 12h d'expectative, nous provoquons par Syntocinon au vu d'un col favorable et débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl iv selon protocole. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 3830 g de bonne adaptation néonatale. L'accouchement est compliqué par une hémorragie du post-partum nécessitant une révision des 3 étages sous anesthésie générale qui revient positive pour des membranes et un ballon de Bakri est mis en place. En raison d'une atonie utérine, elle bénéficie de la perfusion de 5+20UI de Syntocinon. Elle est ensuite transférée aux soins intensifs pour surveillance rapprochée sous Nalador. Elle reçoit alors 1g de Cyklokapron et 2g de Fibrinogène. Une antibiothérapie prophylactique est débutée par Céfuroxime, stoppée après ablation du ballon de Bakri le 05.12.18. L'évolution est favorable permettant son transfert dans le service de maternité le 05.12.18. Les suites post-partales sont par la suite simples mais marquées par une anémie spoliative du post-partum motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. Nous introduisons une substitution potassique en raison d'une hypokaliémie asymptomatique. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne désire pas de contraception. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.12.2018, en bon état général. Mr. Y, 26 ans, primigeste, admis en salle d'accouchement pour rupture prématurée des membranes le 20.12.2018. Après une expectative de 12 heures, nous débutons la provocation par Misodel et nous commençons une prophylaxie antibiotique par Clamoxyl et Gentamycine IV pour suspicion de chorio-amniotite au vu d'une tachycardie fœtale et maternelle et une leucocytose à 19 g/l. Nous posons l'indication à une césarienne en urgence pour stagnation de la dilatation jusqu'à 8 cm. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance à une fille pesant 4070 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont favorables et Mme. Y reste afébrile durant son séjour. La vaccination Boostrix étant non à jour, nous conseillons un rappel chez le médecin traitant en post-partum immédiat. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé, en bon état général. Mr. Y, 26 ans, 1G0P, demande une interruption volontaire de grossesse sans ambivalence. À l'échographie vaginale, on diagnostique une grossesse à 5 5/7 semaines d'aménorrhée le 20.12.2018. Elle reçoit la Mifegyne le 22.12.2018 (5 2/7 semaines d'aménorrhée) et les 2x 2cp de Cytotec le 24.12.2018 sans expulsion objectivée dans notre service. Une attitude expectative avec un contrôle en consultation gynécologique est prévu dans 10 jours. Vu l'évolution clinique favorable avec des pertes sanguines légères, la patiente rentre à domicile le jour même. La contraception se fera soit par Depo-Provera soit par Implanon qui sera discutée à la prochaine consultation selon le désir de la patiente. Mr. Y, 26 ans, 2-gestes 1-pare, à 28 2/7 semaines d'aménorrhée, connue pour une MAP sévère depuis 25 semaines d'aménorrhée avec maturation pulmonaire effectuée, est admis dans notre service pour une probable lithiase rénale droite. La patiente présente une douleur en colique au niveau de la loge rénale droite d'apparition subite depuis 24h sans autres symptômes notamment pas d'état fébrile ou frissons. À l'admission, elle est stable sur le plan hémodynamique et afébrile. L'examen clinique révèle une loge rénale droite douloureuse à la percussion avec un abdomen gravide souple et indolore. Le bilan biologique objective un léger syndrome inflammatoire et l'US met en évidence une dilatation pyélocalicielle droite de 17mm sans calcul visualisé, ainsi qu'un jet urinaire droit diminué par rapport à celui à gauche. L'US obstétrical montre un fœtus eutrophique en présentation céphalique avec un PFE 1250g (p35), un Manning à 8/8, un doppler ombilical en ordre, un placenta postérieur normalement inséré et un col de 11mm avec funneling, stable au Valsalva. La patiente est alors hospitalisée pour surveillance. Au vu d'une péjoration du syndrome inflammatoire, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2g/j avec un urotube qui revient positif pour S. Haemolyticus. Après avis infectiologique, nous arrêtons l'antibiothérapie le 18.12.18, une pyélonéphrite étant peu probable avec des germes contaminants. Une échographie de contrôle est réalisée après avis urologique qui retrouve une diminution de la dilatation pyélocalicielle droite sans lithiases visualisées. Nous retenons alors un probable passage de lithiase urinaire comme diagnostic. En raison d'une vaginose bactérienne, nous débutons une thérapie par fluomizin. Après avis auprès du Dr. X, nous ne réalisons pas de deuxième cure de maturation pulmonaire. L'évolution étant favorable, la patiente rentre à domicile le 19.12.2018. Mr. Y, 26 ans, 2-gestes 1-pare, admis en salle d'accouchement le 19.12.2018 à 39 3/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 4070g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile durant son séjour. Au vu de l'absence d'incompatibilité rhésus, nous n'administrons pas de Rhophylac. Sevrage secondaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future sera rediscutée à son contrôle à 6 semaines, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.12.2018, en bon état général. Patiente de 26 ans, 3 gestes 2 pares, connue pour une hépatite B chronique traitée par Tenofovir, adressée par les urgences à 32 semaines 2/7 d'aménorrhée pour un diagnostic de pyélonéphrite gauche le 15.12.2018. Elle présente depuis 3 jours des douleurs suspubiennes avec pollakiurie sans brûlures mictionnelles, état fébrile sans frissons et un syndrome grippal avec odynophagie, rhinorrhée, toux productive et myalgies diffuses. A son arrivée, la patiente est fébrile à 38.8°C, tachycarde à 120/min et normotendue. L'examen clinique retrouve une douleur à la percussion de la loge rénale gauche avec un abdomen souple mais sensible en suspubien. Le bilan sanguin objective un léger syndrome inflammatoire et le stix revient positif pour leucocytes et germes. Le CTG objective un rythme cardiaque fœtal sub tachycarde avec résolution après perfusion IV de Ringer. L'échographie montre un fœtus eutrophique en position céphalique avec un PFE de 2111 g, un placenta antérieur normalement inséré, un Manning à 8/8, un doppler ombilical en ordre et un col stable à 4 cm. Après hémocultures, uricult, frotti cervico-vaginal et streptococque du groupe B, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2 g/j pour un diagnostic de pyélonéphrite gauche. Les suites sont favorables tant sur le plan clinique que biologique. Nous effectuons un relai par Zinat le 18.12.2018 pour une durée totale de 14 jours. Le frotti cervical revenant positif pour Candida albicans, nous débutons un traitement de gyno-pevaryl. L'évolution étant favorable, la patiente rentre à domicile le 19.12.2018. Patiente de 27 ans connue pour une SpA, qui est hospitalisée pour exacerbation douloureuse de celle-ci le 20.09.2018. En effet, cela fait deux semaines que la patiente déclare une majoration crescendo de lombalgies et sacralgies de type inflammatoire et mécanique, survenant 1 semaine après un traitement pour une pyélonéphrite. Mme. Y décrit des douleurs identiques à ses exacerbations de SpA habituels, simplement majorées en intensité, devenant ingérables à domicile. L'examen clinique ne révèle pas de déficit neurologique des membres inférieurs. On note l'absence de drapeaux rouges anamnestiques associés aux lombalgies (symptômes B, traumatisme, ATCD de corticothérapie, ATCD néoplasique, déficit neurologique). Un bilan biologique effectué aux urgences révèle une leucocytose à 14 G/L associée à une thrombocytose, déjà mise en évidence en juillet 2018. Le sédiment urinaire ne montre pas de persistance de la leucocyturie post-pyélonéphrite. En vue de la prédominance des symptômes en position debout avec mise en charge, une radiographie de la colonne lombaire et sacro-iliaque est demandée afin d'exclure une fracture de type tassement vertébral. Celle-ci est ensuite complétée par une IRM lombaire en vue de la chronicisation des symptômes d'allure mécanique. Cette dernière met en évidence une lyse isthmique associée à une discrète inflammation au niveau de l'insertion musculaire paraépineuse L4, sans signes de fracture ou de spondylodiscite abactérienne. Un traitement par morphine PO associé à de l'ibuprofène et des réserves en sous-cutanés sont débutés le jour de l'hospitalisation avec une réponse médiocre. Une majoration du traitement opiacé ainsi qu'une dose intraveineuse de Méthylprednisolone 125 mg permettent de mieux pallier aux symptômes. L'évolution sur l'ensemble de l'hospitalisation est difficilement favorable, avec une persistance des douleurs malgré un traitement opiacé soutenu, et une limitation des exercices en physiothérapie en raison de la douleur trop intense. Nous décidons après avis de nos collègues anesthésistes d'effectuer une infiltration périfacettaire bilatérale au niveau de L4. Cette dernière a permis une légère amélioration des douleurs. Sur le plan médical, la patiente a pu bénéficier de l'ensemble du tableau thérapeutique que peut offrir l'HFR. Nous proposons une réadaptation musculo-squelettique intense avec adaptation de l'antalgie selon douleur à Billens. Mme. Y est transférée le 15.10.2018 stable sur le plan clinique et biologique. Elle sera revue en ambulatoire par le Dr. X pour la suite de la prise en charge. Patiente de 27 ans en BSH qui depuis 3 jours présente des symptômes de rhume. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement symptomatique est mis en place et la patiente serait suivie chez son médecin traitant si nécessaire (à changer de domicile et va en trouver un prochainement). Patiente de 27 ans, 2 gestes 2 pares, hospitalisée pour prise en charge d'une probable PID, dans un contexte de douleurs abdomino-pelviennes évoluant depuis 4 semaines. Pour rappel, la patiente a déjà consulté son gynécologue traitant le 20.11.2018 qui a retrouvé un examen gynécologique en ordre avec un chlamydia négatif selon la patiente. Devant la péjoration des douleurs, Mme. Y a alors consulté son médecin traitant qui lui a prescrit un scanner abdomino-pelvien le 27.11.2018 qui est revenu sans particularités, hormis un foyer de bronchopneumopathie débutant. La patiente consulte le 29.11.2018 aux urgences de Riaz pour une péjoration clinique avec vomissements et douleurs pelviennes intenses. Elle nous est alors adressée pour une suspicion de PID dans ce contexte de douleurs pelviennes intenses avec syndrome inflammatoire biologique. L'examen clinique dans le service retrouve une patiente hémodynamiquement stable et apyrétique. L'abdomen est souple et sensible à la palpation de la fosse iliaque gauche, droite et sus-pubienne, sans défense ni détente. Les loges rénales sont souples et l'ébranlement lombaire est négatif des deux côtés. L'examen gynécologique retrouve au spéculum un col et une muqueuse vaginale érythémateuses, avec des leucorrhées abondantes. Le toucher vaginal est douloureux à la mobilisation du col et au niveau des annexes. L'échographie pelvienne est normale et on retrouve un syndrome inflammatoire avec une CRP à 51. Dans ce contexte, nous suspectons une PID et devant les douleurs en péjoration, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie, antalgie et surveillance clinico-biologique. Mme. Y reçoit 500 mg de Rocéphine IM et clindamycine, Métronidazole selon le protocole. Devant la péjoration des douleurs, un nouveau bilan biologique est réalisé et retrouve un bilan hépatique et pancréatique perturbés, pour lequel un consilium chirurgie et gastro-entérologie est demandé. Un US abdominale est alors demandé, éliminant une atteinte des voies biliaires intra ou extra-hépatiques. Le bilan hépatique et pancréatique restent labiles, mais la patiente reste asymptomatique au niveau des douleurs. L'évolution clinique est favorable sous antibiothérapie, mais la patiente présente toujours ces mêmes douleurs pelviennes depuis son accouchement, qui seront bilantées ainsi que les voies biliaires par une IRM abdomino-pelvienne, prévue le 05.12.2018 en ambulatoire. Au vu d'une bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 03.12.2018 avec un traitement per os à poursuivre à domicile et sera revue par sa gynécologue traitante pour discussion des résultats de l'IRM et contrôle clinique. Patiente de 27 ans, 2 gestes devenue 1 pare, transférée du Daler pour rapprochement mère-enfant après césarienne en urgence pour CTG pathologique et stagnation de la dilatation suite à une provocation par Propess et Syntocinon pour cassure de la courbe de croissance. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 2540 g, taille 46 cm, Apgar 8-10-10, pHa 7.27, pHv 7.32, qui est transféré à l'HFR pour hypoglycémies. Dans ce contexte, la patiente est transférée pour rapprochement mère-enfant. Les suites post-partales sont simples et afébriles. A noter que la patiente était sous antidépresseur stoppé en début de grossesse. Elle reprendra contact avec son médecin traitant pour réévaluation du traitement.Un sevrage primaire est effectué. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé, en bon état général. Patiente de 28 ans admise en salle d'accouchement à 34 6/7 semaines d'aménorrhée, le 01.12.2018, pour mise en travail spontané. Après une dilatation harmonieuse, 2-gestes devenue 2-pares, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 2200 g, de bonne adaptation néonatale qui est alors admis dans le service de néonatologie pour prématurité. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée lors de son contrôle à 6 semaines, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 03.12.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans en bonne santé habituelle qui nous est transférée des soins intensifs pour une suite de prise en charge d'une crise d'asthme sévère inaugurale dans un contexte de probable virose. Pour rappel, Mme. Y consulte les urgences en raison d'une dyspnée en péjoration depuis 48 h, accompagnée d'une toux et d'un état fébrile. L'évolution aux soins intensifs est rapidement favorable sous bronchodilatateurs et corticothérapie systémique. Le bilan est toutefois complété par un CT thoracique afin d'exclure une maladie thrombo-embolique sous-jacente ainsi qu'un foyer pulmonaire. Une bronchite aiguë sur infection à un germe atypique ne peut être complètement exclue et au vu de la gravité des symptômes initiaux, une antibiothérapie par Clarithromycine est poursuivie pour une durée totale de 7 jours. À son arrivée dans notre service de médecine interne, la patiente présente la persistance d'une spasticité importante qui s'améliore lentement sous traitement inhalateur et corticoïdes systémiques. Elle bénéficie également de physiothérapie respiratoire. L'étiologie de la maladie asthmatique restant peu claire, nous organisons un bilan allergologique et pneumologique à distance de l'exacerbation actuelle. À noter que lors du scanner thoracique injecté, elle présente un épisode d'exacerbation de la crise respiratoire lors de l'injection. Aucun traitement n'a dû être administré en urgence et l'évolution est spontanément favorable. Une allergie au produit de contraste est évoquée par les radiologues et sera à investiguer à la consultation d'allergologie. Un bilan IgE total sera également à prévoir. Mme. Y rentre à domicile le 14.12.2018, en bon état général. Le traitement par Vannair 2x/j et Ventolin en réserve sera à poursuivre à domicile. Un contrôle à la consultation d'allergologie chez Dr. X et des fonctions pulmonaires à la consultation de pneumologie de l'HFR de Fribourg sont organisés. Patiente de 28 ans, hospitalisée aux soins intensifs le 06.12.2018 en raison d'une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur crise d'asthme aigu sévère inaugurale. Elle présente une dyspnée fébrile avec une toux depuis 48 h et consulte à Payerne pour une crise d'asthme sévère avec une hypoxémie sévère. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. L'évolution est rapidement favorable sous bronchodilatateurs topiques associés à une corticothérapie systémique et topique. Nous attribuons la décompensation respiratoire actuelle à une probable virose intercurrente. Hormis une anamnèse d'eczéma atopique dans l'enfance, nous n'avons pas identifié d'autres facteurs précipitant évidents tant alimentaires qu'environnementaux. Compte tenu de l'anamnèse et de la clinique, et en l'absence de foyer pulmonaire radiologique franc, nous interrompons de suite les antibiotiques. Nous vous proposons de poursuivre la corticothérapie systémique pour 3 jours au total. Un traitement par Symbicort est débuté. La patiente bénéficie d'un traitement antibiotique transitoire qui est stoppé vu la suspicion d'infection virale. La crise d'asthme est gérée par magnésium, Solumedrol et les aérosols avec une évolution rapidement favorable. Au vu de la bonne évolution, la patiente peut être transférée à l'étage le 07.12.2018. Elle sera réévaluée par les pneumologues pour les fonctions pulmonaires et adaptation du traitement. Patiente de 28 ans, primigeste à 13 5/7 semaines d'aménorrhée hospitalisée pour prise en charge d'une hyperémèse gravidique ne répondant pas au traitement ambulatoire; en péjoration depuis le 29.11.2018, avec impossibilité de s'alimenter. Pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées. Cliniquement, Mme. Y présente des signes de déshydratation extracellulaire avec une perte pondérale de 3 kg depuis le début de sa grossesse. À l'examen, l'abdomen est souple, sans détente ni défense avec des bruits hydro-aériques normaux et les loges rénales sont indolores. Le laboratoire ne retrouve pas de troubles hydroélectrolytiques. Le stix retrouve des corps cétoniques. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour réhydratation parentérale, mise à jeun et traitement symptomatique par antiémétique intraveineux. L'évolution est rapidement favorable, avec une reprise de l'alimentation progressive sans vomissements, permettant un retour à domicile le 05.12.2018. La patiente sera revue en contrôle clinique chez sa gynécologue traitant dans 7 jours. Patiente de 28 ans primigeste admise en salle d'accouchement à 39 1/7 semaines d'aménorrhée le 28.11.2018 pour une rupture prématurée des membranes. Après une expectative de 12 h sans mise en travail spontanée, devant un col favorable, nous provoquons le travail par Syntocinon et débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. Après une dilatation et un travail harmonieux, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2910 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée à la consultation du post-partum, dans l'intervalle la contraception se fera par préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 02.12.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans qui se présente ce jour aux urgences avec des douleurs abdominales en région épigastrique, en région ombilicale et en FID datant de 24 h sans notion d'état fébrile ni vomissements ni troubles du transit. Un laboratoire sanguin réalisé aux urgences met en évidence des leucos à 19 sans CRP et HCG négative. En raison de la clinique et des résultats du laboratoire, sur avis du Dr. X, nous décidons de transférer la patiente à l'hôpital cantonal pour suite de la prise en charge afin de réaliser une échographie abdominale en raison de notre forte suspicion d'appendicite. Patiente de 28 ans qui se tape le coin de l'orteil 5 pied droit contre une palette de bois au travail hier. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente rentre à domicile avec un traitement par syndactylite antalgie pour 5 jours, sans arrêt de travail.Patiente de 28 ans, 4 gestes 3 pares, admise en salle d'accouchement le 27.12.2018 à 36 1/7 semaines d'aménorrhée en raison de douleurs importantes en regard de la cicatrice de césarienne associées à des contractions utérines irrégulières. À son arrivée, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile et l'abdomen gravide est souple mais douloureux à la palpation de la cicatrice. L'US révèle un segment inférieur à 1.4 mm. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une césarienne en urgence pour suspicion de pré-rupture utérine. Elle donne alors naissance à un garçon de 3310 g de bonne adaptation néonatale, admis alors en néonatologie pour prématurité. L'intervention est marquée par un status très adhérentiel avec lésion vésicale en per-opératoire suturée. Une sonde vésicale est alors mise en place avec rinçage pendant 12 h et nous débutons une antibioprophylaxie par céfuroxime pendant 48 h. La sonde vésicale sera laissée en place 7-10 jours avec une cystoscopie de contrôle dans 2 semaines. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule avec l'aide du tire-lait. La patiente a bénéficié d'une stérilisation tubaire en per-opératoire. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile le 30.12.2018, en bon état général. Patiente de 28 ans, 6 gestes 3 pares, à 27 1/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse marquée par un cerclage à 7 3/7 semaines d'aménorrhée pour une incompétence cervicale et un risque de pré-éclampsie élevé, adressée par sa gynécologue traitante en raison d'une thrombopénie nouvelle à 70 G/l le 17.12.2018. À son entrée, Mme ne présente aucune plainte, notamment aucun symptôme de pré-éclampsie. À son entrée, elle est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen clinique ne démontre pas d'oedèmes des membres inférieurs ou supérieurs, l'abdomen gravide est souple et indolore et les réflexes sont normovifs et symétriques. Le bilan de gestose revient négatif avec absence de protéinurie et le stix revient propre. La protéinurie sur 24 h revient négative. Au vu du contexte et des antécédents, nous décidons d'hospitaliser la patiente. Elle bénéficie d'une cure de maturation pulmonaire les 17.12.2018 et 18.12.2018. L'évolution est favorable avec un profil tensionnel normal au cours de l'hospitalisation chez une patiente asymptomatique, mais le rapport SFLT1/PLGF revient à 85 avec alors un risque de pré-éclampsie élevé au cours des 4 prochaines semaines. En raison d'une hypomagnésémie, nous débutons une substitution orale. Le bilan objective une anémie ferriprive motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. Nous décidons alors de la laisser rentrer à domicile le 19.12.2018 avec un contrôle rapproché 1 x/semaine au vu du risque important de développer une pré-éclampsie. Patiente de 28 ans, 4G1P, admise en salle d'accouchement le 12.12.2018, pour mise en travail spontanée. Le travail est harmonieux avec une dilatation rapide et elle accouche spontanément. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par le préservatif. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.12.2018, en bon état général. Patiente de 29 ans, 3 gestes 0 pares, admise en salle d'accouchement le 26.11.2018 pour un pré-travail persistant et douloureux. Nous lui proposons une provocation, qu'elle accepte. Sous Syntocinon, la patiente stagne à 4 cm. Devant une suspicion de dystocie associée, nous posons l'indication à une césarienne en urgence pour non progression de la dilatation. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 4080 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par mini pilule (Azalia). Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 30.11.2018, en bon état général. Patiente de 29 ans, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication et devient deux pares suite à une césarienne à 39 1/7 semaines d'aménorrhée le 30.11.2018, elle donne naissance à un garçon de 3270 g avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et l'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs. Les contrôles obstétricaux sont en ordre et les cicatrices sont calmes et propres avant son départ. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 03.12.2018 en bon état général. Patiente de 29 ans, admise en salle d'accouchement pour une rupture prématurée de membranes et contractions utérines sur une présentation en siège à 33 4/7 semaines d'aménorrhée le 28.11.2018. Elle a été hospitalisée récemment pour une menace d'accouchement prématuré où elle a bénéficié d'une maturation pulmonaire par cure de Celestone les 19 et 20.11.2018. Après confirmation de la rupture et devant un changement du col utérin, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complications et elle donne naissance à un garçon de 2330 g avec une bonne adaptation néonatale, admis alors en néonatologie. Les suites post-partales sont simples et favorables. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera les préservatifs si besoin. Les contrôles obstétricaux sont en ordre et la cicatrice est calme et propre avant son départ. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile sans son bébé le 03.12.2018 en bon état général. Patiente de 29 ans, infirmière, connue pour des troubles gastro-intestinaux chroniques en cours d'investigation se présente pour des douleurs nouvelles à prédominance épigastrique mais présentes également diffusément au niveau abdominal. L'examen clinique est rassurant parlant en faveur d'une gastrite. Le laboratoire met en évidence un CRP à 11. Nous prenons avis du Dr X qui propose, au vu de la symptomatologie, un ECG qui montre un BBD incomplet et des P neg en II, III, aVF, raison pour laquelle nous demandons des troponines qui reviennent négatifs. Au vu du contexte rassurant, nous autorisons la patiente à rentrer à domicile avec un traitement antalgique. La patiente souhaite des investigations supplémentaires au vu des symptômes inhabituels. Nous proposons un contrôle clinico-biologique à la FUA. Il serait nécessaire de contacter son gastroentérologue (Dr X) qui aurait effectué une prise de sang le 07.12.2018 pour demander la suite des investigations et ses propositions pour la suite, ainsi que son gynécologue (Dr X) qui a prévu d'effectuer le 18.12.2018 une laparoscopie exploratrice afin de demander s'il serait nécessaire d'avancer l'examen ou d'effectuer un contrôle gynécologique dans l'intervalle. Patiente de 29 ans, primigeste à 16 3/7 SA qui est admise dans notre service pour une hyperémèse gravidique. Patiente connue pour une personnalité borderline et émétophobie, qui a refusé une hospitalisation à 7 SA pour les mêmes symptômes qui s'étaient améliorés sous anti-émétique per os. Depuis plusieurs jours, la patiente présente une incapacité à s'alimenter et à s'hydrater avec asthénie et malaises orthostatiques.Pas de notion de fièvre, pas de troubles fonctionnels urinaires, pas de diarrhées, pas de constipation. A l'examen clinique à l'entrée, on retrouve une patiente hémodynamiquement stable, apyrétique, sans signes de déshydratation extracellulaire. L'abdomen est globuleux, souple, dépressible et indolore. Le laboratoire retrouve une hyponatrémie et hypokaliémie modérées. Le stix retrouve 2 croix de cétones et l'échographie est rassurante avec une bonne vitalité fœtale. Dans ce contexte clinico-biologique, nous hospitalisons la patiente pour réhydratation parentérale et traitement symptomatique par anti-émétique intraveineux. Après discussion, la patiente accepte l'hospitalisation. L'évolution est rapidement favorable et la patiente est autorisée à rentrer à domicile le 07.12.2018. Elle sera revue à notre consultation ambulatoire pour l'échographie morphologique. Mme. Y de 29 ans, 2G 0P à 30 6/7 SA, qui nous consulte ce jour pour persistance de douleurs épigastriques et rétrosternales depuis hier avec dyspnée au repos, raison pour laquelle elle avait consulté son médecin traitant ce jour qui a réalisé un scanner ayant exclu une embolie pulmonaire. Mme. Y actuellement sous Metozeroc 95 mg qui a été instauré il y a 3 jours en raison d'hypertension gestationnelle apparue il y a 1 semaine. Pas de plaintes uro-génitales ou urinaires. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. A l'entrée, la patiente présente des tensions artérielles labiles se maintenant en dessous de 160/110 mmHg, elle est afébrile et hémodynamiquement stable avec saturation à 99 % à l'air ambiant. L'auscultation cardiopulmonaire est normale. L'abdomen gravide est souple, sensible à la palpation épigastrique. Les réflexes sont normovifs, normoréactifs et symétriques. Le laboratoire démontre une cytolyse hépatique, une thrombopénie ainsi qu'une hémolyse. L'ECG montre un rythme sinusal régulier. Le CTG est réactif non pathologique, pas de contractions utérines. Manning à 8/8. US obstétrical : présentation céphalique, bonne vitalité fœtale, poids fœtal estimé 1313 g. Col long de 4 cm, fermé. Doppler AO et ACM en ordre. Dans ce contexte, nous posons le diagnostic de HELLP syndrome, nous débutons le traitement de sulfate de magnésium et procédons à une première cure de maturation pulmonaire le 04.12.2018 à 23h00. La patiente reçoit une dose de charge de sulfate de magnésium soit 4 g puis incident pendant l'administration de la dose d'entretien : la patiente reçoit sulfate de magnésium 10 mg dans 1 h. Elle bénéficie alors de 2 ampoules de gluconate de calcium 20 ml à 10 % avec bonne réponse. L'ECG de contrôle en ordre, fréquence respiratoire normale, paramètres vitaux en ordre. Au vu du terme de la patiente, nous la transférons à l'inselspital à Bern pour suite de la prise en charge. Mme. Y de 29 ans, 2G 0P à 30 6/7 SA nous consulte ce jour pour persistance de douleurs épigastriques et rétrosternales depuis hier avec dyspnée au repos, raison pour laquelle elle avait consulté son médecin traitant ce jour qui a réalisé un scanner ayant exclu une embolie pulmonaire. Mme. Y actuellement sous Metozeroc 95 mg qui a été instauré il y a 3 jours en raison d'hypertension gestationnelle apparue il y a 1 semaine. Pas de plaintes uro-génitales ou urinaires. Le reste de l'anamnèse par système est sans particularité. A l'entrée, la patiente présente des tensions artérielles labiles se maintenant en dessous de 160/110 mmHg, elle est afébrile et hémodynamiquement stable avec saturation à 99 % à l'air ambiant. L'auscultation cardiopulmonaire est normale. L'abdomen gravide est souple, sensible à la palpation épigastrique. Les réflexes sont normovifs, normoréactifs et symétriques. Le laboratoire démontre une cytolyse hépatique, une thrombopénie ainsi qu'une hémolyse. L'ECG montre un rythme sinusal régulier. Le CTG est réactif non pathologique, pas de contractions utérines. Manning à 8/8. US obstétrical : présentation céphalique, bonne vitalité fœtale, poids fœtal estimé 1313 g. Col long de 4 cm, fermé. Doppler AO et ACM en ordre. Dans ce contexte, nous posons le diagnostic de HELLP syndrome, nous débutons le traitement de sulfate de magnésium et procédons à une première cure de maturation pulmonaire le 04.12.2018 à 23h00. La patiente reçoit une dose de charge de sulfate de magnésium soit 4 g puis incident pendant l'administration de la dose d'entretien : elle reçoit sulfate de magnésium 10 mg dans 1 h. Elle bénéficie alors de 2 ampoules de gluconate de calcium 20 ml à 10 % avec bonne réponse. L'ECG de contrôle en ordre, fréquence respiratoire normale, paramètres vitaux en ordre. Au vu du terme de la patiente, nous la transférons à l'inselspital à Bern pour suite de la prise en charge. Mme. Y de 29 ans, 4G 2P, admise en salle d'accouchement le 28.11.2016 pour une mise en travail spontané. Elle donne naissance par voie basse rapide le 29.11.2018 à un garçon pesant 3150 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée lors du contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.12.2018, en bon état général. Mme. Y de 3 ans et 5 mois en BSH qui tombe à la maison avec réception sur sa bouche par terre. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La plaie étant superficielle sans fracture alvéolaire ou de dent, un geste urgent n'est pas indiqué et la patiente sera vue par le dentiste demain matin. Mme. Y de 30 ans, admise en salle d'accouchement pour mise en travail spontanée le 06.12.18 à 40 1/7 semaines d'aménorrhée. En raison d'un portage de Streptocoques du groupe B, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl selon protocole. Suite à un accouchement par voie basse spontané et rapide, la patiente donne naissance à un garçon de 3690 g avec une bonne adaptation néonatale. Elle bénéficie de la perfusion prophylactique de 20 UI de Syntocinon pour multiparité et travail rapide. Les suites post-partales sont simples et sans complications. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Mirena, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si nécessaire. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente regagne son domicile en bon état général. Mme. Y de 30 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 18.12.2018, adressée par sa gynécologue traitante pour une hypertension gravidique sans signe de pré-éclampsie avec un bilan de gestose aligné. Dans ce contexte, elle bénéficie de la mise en place d'un Misodel le 18.12.2018 à 22h50, puis ballonnet, Propess et Syntocinon. En raison d'un échec de provocation, on pose l'indication à une césarienne en urgence 1 qui se déroule sans complications. Naissance d'une fille de 3190 g avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont favorables durant son séjour. En raison d'une hypertension artérielle labile post-partum, un traitement par Trandate 200 mg 3/j pour 10 jours est agendé. L'anémie légère à 109 G/l, un traitée par Maltofer. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé, en bon état général. Contrôle post-partum dans 6 à 8 semaines, à votre consultation. Mme. Y de 30 ans, primigeste future primipare, admise en salle d'accouchement le 21.12.2018 en vue d'une provocation pour suspicion de macrosomie. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 21.12.2018, puis d'une stimulation du travail par Syntocinon. Au vu d'un défaut de progression de la présentation, une instrumentation par ventouse Kiwi est effectuée après une heure de poussées actives. Elle donne naissance à une fille de 3500 g avec bonne adaptation néonatale. Le post-partum immédiat est compliqué d'une hémorragie avec rétention placentaire et déchirure périnéale de degré 3b qui sont pris en charge au bloc opératoire. Les suites post-partales sont marquées par une anémie spoliative symptomatique nécessitant la transfusion de 3 concentrés érythrocytaires. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se discutera lors du contrôle du post-partum et en attendant utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 25.12.2018, en bon état général. Mme. Y de 30 ans qui a consulté le 29 et le 30 pour une suspicion de cholecystite qui revient pour un contrôle. L'examen clinique et biologique est rassurant. En vu de cela et après discussion avec le Dr. X, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec un IPP pour 2 semaines et primpéran en réserve avec un contrôle chez le MT dans 1 semaine. Si jamais les symptômes de la patiente se dégradent, elle reprendra contact avec nous. Mme. Y de 30 ans 1G0P admise en salle d'accouchement le 21.12.2018 pour une provocation pour désir maternel en raison d'un syndrome de la veine cave inférieure symptomatique. Elle bénéficie d'une provocation par Propess. Elle se met en travail avec une rupture spontanée des membranes. La dilatation est harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3160 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Mme. Y de 30 ans, 2-gestes 0-pare, admise en salle d'accouchement le 18.12.2018 à terme + 8 pour une mise en travail spontanée. Après une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon pesant 3440 g, de bonne adaptation néonatale. En raison d'une suspicion de chorioamnionite en per-partum, elle reçoit une antibiothérapie par Clamoxyl et gentamicine selon protocole. Les frottis placentaires reviennent positifs pour Lactobacillus et l'évolution est favorable. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par symptothermie. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.12.2018. Mme. Y de 30 ans, 2-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 04.12.2018 à 38 1/7 semaines d'aménorrhée, en vue d'une césarienne élective itérative. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à un garçon pesant 2600 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera probablement par stérilet en cuivre, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 07.12.2018, en bon état général. Mme. Y de 30 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 21.12.2018 en vue d'une césarienne élective pour le 21.12.2018. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3950 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Nous mettons en évidence une anémie du post-partum à 90 g/l. Un traitement par Maltofer est débuté. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia. Concernant son hyperthyroïdie, elle reprendra contact avec son endocrinologue pour réévaluer la reprise du Propicil. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé, en bon état général. Mme. Y de 31 ans à 29 1/7 semaines d'aménorrhée 3G2P connue pour antécédent de 2 césariennes pour stagnation de la dilatation qui consulte pour un saignement vaginal apparu ce matin à 10 h. Les saignements sont de grande quantité et ont même traversé les vêtements de la patiente. Il n'y avait pas de caillots. La patiente ne relate pas avoir eu de notion de traumatisme, ni d'effort important ni de rapport sexuel ces derniers jours. Il y a de bons mouvements fœtaux depuis ce matin et elle ne ressent pas de contractions utérines. À l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable et apyrétique. Nous objectivons au spéculum des pertes sanglantes avec un petit saignement rouge non actif. L'ActinProm revient positif. L'ultrason retrouve un placenta recouvrant sans signe de décollement et un fœtus en position transverse. Le laboratoire montre un Kleihauer négatif et une hémoglobine à 122 g/l. Nous décidons, au vu de l'âge gestationnel, d'adresser la patiente en centre universitaire à Bern. Mme. Y de 31 ans en bonne santé habituelle qui présente depuis le 06.12.2018 des douleurs abdominales au niveau de l'hypocondre droit et du flanc droit. Elle avait consulté la permanence le 06.12.2018 avec une prise en charge symptomatique sans amélioration des symptômes, raison pour laquelle elle consulte à nouveau. La patiente décrit l'apparition depuis mai 2018 de douleurs intermittentes au niveau de l'hypocondre et du flanc gauche, de forte intensité, d'une durée de maximum 12 h, sans trouble du transit ayant motivé une consultation chez son gynécologue. Les douleurs sont similaires mais persistantes actuellement et elle a présenté un épisode de diarrhées sans hématochézie ni méléna. En raison des symptômes et d'un syndrome inflammatoire, la patiente bénéficie d'un scanner abdominal mettant en évidence une colite ascendante et de l'angle colique droit. Nous prenons avis auprès de nos collègues chirurgiens de Fribourg qui proposent une antibiothérapie par Ciprofloxacine et Flagyl pour une durée de 10 jours. Le suivi pourra être réalisé par vos soins. Nous proposons de réaliser un suivi clinique et biologique du syndrome inflammatoire. En cas de récidive ou persistance des douleurs, une colonoscopie est à prévoir 4-6 semaines après l'événement aigu. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique de la patiente, elle rentre à domicile le 10.12.2018 en bon état général. Mme. Y de 31 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement le 28.11.2018 à 40 1/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée. Après un travail et une dilatation très rapides, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 3330 g de bonne adaptation néonatale. Au vu de la rapidité, elle bénéficie de la transfusion de 20 U de Syntocinon. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future sera discutée au contrôle du post-partum. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, elle rentre à domicile avec son bébé le 01.12.2018. Mme. Y de 31 ans primigeste transférée depuis la maison de naissance du Petit Prince à 39 2/7 semaines d'aménorrhée le 08.12.2018 pour rupture prolongée des membranes sans mise en travail spontanée. Nous débutons une antibiothérapie prophylactique par Clamoxyl IV selon protocole. En raison d'un CTG suspect, nous posons l'indication à une césarienne en urgence de 30 minutes. Elle donne alors naissance à une fille de 3110 g avec une bonne adaptation néonatale. L'intervention se complique par un saignement diffus motivant la perfusion de 5 + 20 + 20 de Syntocinon et 1 g de Cyklokapron avec une bonne évolution et des pertes finalement estimées à 300 cc.Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera les préservatifs si besoin. Les contrôles obstétricaux sont en ordre et la cicatrice est calme et propre avant son départ. Elle est alors transférée à la maison de naissance du Petit Prince le 11.12.2018. Mme. Y, 31 ans, 2 gestes primipare hospitalisée à 17 5/7 semaines d'aménorrhée le 26.12.2018 pour menace de fausse couche tardive sur insuffisance cervicale et rupture prématurée des membranes dans un contexte de probable chorioamniotite. A l'anamnèse, la patiente décrit des métrorragies depuis 24h avec des tiraillements du bas ventre depuis 3 semaines. Pas de notion de trauma abdominal, pas de fièvre, pas de dysurie mais pollakiurie, pas de diarrhées, pas de vomissements. Dernier rapport sexuel il y a 3 jours. L'examen clinique dans le service retrouve une patiente hémodynamiquement stable et apyrétique. L'abdomen est souple et indolore, sans défense ni détente. Au speculum, la poche est bombante au niveau du col sans écoulement de liquide, ni de saignements actifs. L'actim prom réalisé est positif et l'échographie objective une bonne vitalité foetale avec un placenta postérieur marginal. Le col est mesuré à 4mm avec présence de sludge en regard de l'orifice interne. Le laboratoire met en évidence un léger syndrome inflammatoire pouvant faire suspecter une chorioamniotite. Dans ce contexte de menace de fausse couche tardive sur probable chorioamniotite, nous hospitalisons la patiente après information et débutons une antibiothérapie par Clamoxyl parentérale selon le protocole et mettons la patiente au repos. Malheureusement, l'évolution est rapidement défavorable avec mise en évidence le 27.12.2018 à l'examen clinique et à l'échographie d'un col effacé avec progression de la protrusion de la poche des eaux et procidence des pieds dans le vagin. Dans ce cas, nous proposons au couple une interruption médicale de grossesse, que la patiente accepte en signant le consentement. La patiente bénéficie de la pose d'un comprimé de Misoprostol et d'un complément de rupture de la poche des eaux le 27.12.2018 afin d'induire le travail. Au moment de l'expulsion, une hémorragie est objectivée, raison pour laquelle Mme. Y est prise au bloc opératoire en urgence pour expulsion dirigée, délivrance manuelle, révision utérine et curetage sous échographie. L'intervention se déroule sans complications et les pertes sanguines totales sont estimées à 900 ml. Une autopsie foetale est demandée par les parents et le placenta est adressé en anatomopathologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. L'hémoglobine post-partale est à 86 g/l et la patiente reçoit 1g de Ferinject le 28.12.2018. Le sevrage à l'allaitement est réalisé. La contraception se fera par préservatif et sera rediscutée au contrôle post-opératoire. Devant la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 29.12.2018 et sera revue en contrôle dans 4 semaines. Mme. Y, 31 ans, 2 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 17.12.2018 pour pré-travail après une rupture spontanée des membranes à 39 4/7 semaines d'aménorrhée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon pesant 3370 g, de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une rétention placentaire complète non hémorragique nécessitant une délivrance artificielle. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. En raison d'une incompatibilité rhésus, nous administrons une dose de rhophylac 300 mcg le 18.12.2018. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Nous introduisons un traitement de ProctoSynalar en raison d'hémorroïdes externes non thrombosées. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.12.2018, en bon état général. Mme. Y, 32 ans, admise en salle d'accouchement le 30.11.2018 à 39 2/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée. Après une dilatation et un travail harmonieux, 3 gestes devenu 3 pares, elle donne naissance par voie basse spontanée le même jour à une fille de 4220 g, de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une atonie utérine nécessitant 20 UI de Syntocinon et une révision des 3 étages qui revient négative. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. En raison d'une incompatibilité rhésus, elle bénéficie de l'injection de Rhophylac 300 mcg le 01.12.18. Le mari de la patiente a bénéficié d'une vasectomie. Nous observons une résolution complète de son prurit durant son hospitalisation. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre, elle rentre à domicile avec son bébé le 03.12.2018. Mme. Y, 32 ans avec grossesse actuelle marquée par un placenta praevia antérieur recouvrant et vasa praevia, consulte à 34 4/7 semaines d'aménorrhée pour des contractions utérines associées à un spotting le 29.11.18. Elle a bénéficié d'une cure de maturation pulmonaire par Celestone les 09 et 10.11.18 lors de son hospitalisation pour métrorragie. Dans ce contexte, nous débutons une tocolyse par Adalat et posons l'indication à une césarienne en semi-urgence au vu du deuxième épisode de saignement. L'intervention se déroule sans complication et 3 gestes devenu 2 pares, elle donne naissance le 30.11.18 à une fille de 2400 g, de bonne adaptation néonatale, qui est alors admise dans le service de néonatologie. Les suites post-partales sont simples. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera par Nuvaring. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, elle rentre à domicile le 03.12.18 sans son bébé. Mme. Y, 32 ans, primigeste, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective pour présentation siège - transverse d'une grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique à 37 0/7 semaines d'aménorrhée le 14.12.2018. L'intervention se déroule sans complications et la patiente donne naissance à deux garçons de 2780 g et 3020 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et sans complications. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21. En raison de l'antécédent d'embolie pulmonaire, nous poursuivons la thromboprophylaxie pour 6 semaines post-partales. Au vu de la bonne évolution, avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente regagne son domicile avec ses bébés le 19.12.2018. Mme. Y, 32 ans, qui présente des céphalées inhabituelles dans un contexte avec une fausse couche récente. Nous suspectons une thrombose du sinus veineux, raison pour laquelle nous réalisons un angio-CT cérébral avec temps veineux, qui ne montre pas de lésion. Nous permettons donc à la patiente, au vu du statut neurologique rassurant, de regagner son domicile avec un traitement antalgique simple, du repos, ainsi qu'un contrôle chez son médecin traitant en début de soirée. Mme. Y, 32 ans, 2 gestes 0 pare, admise en salle d'accouchement le 18.12.2018 à 35 2/7 semaines d'aménorrhée pour une mise en travail spontanée. En raison d'un RCIU avec un PFE estimé à 1850 g et d'une présentation en siège, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention est marquée par une rétention de tête nécessitant l'administration de NO et elle donne naissance à un garçon pesant 2050 g, admis alors directement dans le service de néonatologie pour détresse respiratoire. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera par pilule oestro-progestative qu'elle reprendra après son contrôle à 6 semaines, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de l'absence d'incompatibilité rhésus, nous n'administrons pas de Rhophylac. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 22.12.2018, en bon état général. Patiente de 32 ans, 2-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement à 38 6/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée le 28.12.2018. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille de 2810 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Sevrage primaire de l'allaitement sans Dostinex selon désir de la patiente. La contraception future sera rediscutée à son contrôle à 6 semaines, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente regagne son domicile en date du 29.12.2018 accompagnée de son bébé. Patiente de 32 ans, 3-gestes 1-pare, connue pour un purpura thrombopénique idiopathique sous corticothérapie, admise en salle d'accouchement pour une rupture prématurée des membranes à 32 4/7 semaines d'aménorrhée le 17.12.2018 à 11h du matin sans autres symptômes. A l'examen d'entrée, la patiente est stable et afébrile et l'abdomen gravide est souple et indolore. L'examen au spéculum met en évidence un col long et fermé avec présence de liquide clair en quantité modérée dans le cul-de-sac postérieur avec extériorisation au Valsalva et l'Actim prom confirme la rupture. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire mais une thrombopénie à 87 G/l. L'US démontre un foetus eutrophique avec un PFE à 1850 g en position céphalique avec une bonne vitalité foetale, un placenta postérieur normalement inséré, un doppler ombilical en ordre et un col long stable au Valsalva. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour antibiothérapie par Clamoxyl, Tocolyse par Adalat pour la maturation pulmonaire et débutons une cure de Celestone les 18.12.2018 et 19.12.2018. Après avis hématologique, nous effectuons des contrôles réguliers 3x/semaine avec une thrombopénie stable. Nous posons alors l'indication à une césarienne en urgence à 33 3/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée le 24.12.2018. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à une fille pesant 1840 g de bonne adaptation néonatale, admise alors dans le service de néonatologie pour prématurité. Les suites sont simples et Mme. Y reste afébrile. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Après avis hématologique, nous réduisons sa corticothérapie avec Prednisone 25 mg/j et la thrombopénie reste stable. L'évolution étant favorable avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 29.12.2018. Patiente de 32 ans, 4-gestes 3-pares, admise en salle d'accouchement en vue d'une césarienne élective itérative avec présentation en siège à 38 1/7 semaines d'aménorrhée le 05.12.2018. L'intervention se déroule sans complication sous anesthésie générale et elle donne naissance à un garçon de 2360 g nécessitant une réanimation néonatale avec une bonne évolution par la suite. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.12.2018, en bon état général. Patiente de 32 ans, 5G1P, à 31 2/7 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire bichoriale-biamniotique sur stimulation ovarienne et rapports sexuels dirigés qui est admise dans notre service pour une MAP avec un col à 17 mm. À l'entrée, le CTG réactif et non-pathologique avec 3CU/10 min douloureuses. L'US met en évidence un col fermé à 17 mm stable au Valsalva, J1 en céphalique et J2 en siège. L'ActimPartus est négatif. Nous hospitalisons la patiente pour tocolyse et on débute une cure de maturation pulmonaire par Celestone. La patiente a une bonne réponse à l'Adalat 10 mg aux 15 min et on fait un relais par Adalat CR30 2x/j. Pendant son séjour, Mme. Y reste stable et ne présente plus de contractions douloureuses, mais le col passe de 17 mm à 11 mm. Nous autorisons un retour à domicile avec du repos strict, un arrêt de travail à 100 %, une poursuite du traitement par Adalat, et des contrôles échographiques et obstétricaux une fois par semaine. La patiente regagne son domicile le 30.11.2018 en bon état général, et sera vue à la consultation du Dr. X dans 1 semaine. Patiente de 33 ans, primipare hospitalisée pour une rétention de matériel intra-utérin à J9 d'un accouchement par voie basse, qui s'était compliqué en post-partum immédiat d'une atonie utérine modérée avec des pertes estimées à 700 ml, résolutive par massage utérin et n'ayant pas nécessité de révision utérine. Pour rappel, Mme. Y a consulté ce jour pour une perfusion de Ferinject en post-partum. À son entrée, la patiente est hypertendue et signale des céphalées intenses depuis 48h, ainsi que des phosphènes et des œdèmes des membres inférieurs. Elle signale également des tensions élevées à domicile, contrôlées par la sage-femme. L'examen clinique à son entrée retrouve une patiente hypertendue, normocarde et apyrétique, avec des réflexes ostéotendineux vifs et des légers œdèmes des membres inférieurs. L'abdomen est souple avec un utérus bien contracté à un doigt sous l'ombilic. La cicatrice d'épisiotomie est propre et au spéculum on objective un saignement actif de faible abondance. Le profil tensionnel est pathologique et le bilan de gestose réalisé est strictement normal avec un spot négatif. Nous effectuons une échographie endo-vaginale qui retrouve une masse hétérogène intracavitaire de 33*17 mm, cervico-isthmique ne prenant pas le doppler. Dans ce contexte, nous suspectons une rétention de matériel intra-utérin et posons l'indication à un curetage évacuateur au vu des tensions artérielles pathologiques. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement après information claire. L'intervention est effectuée le 29.12.2018 et se déroule sans complication, ramenant des membranes ainsi que des caillots. En raison d'une hypertension artérielle en per et post-opératoire symptomatique atteignant une tension artérielle systolique maximale à 200 mmHg en post-opératoire direct, la patiente a bénéficié d'un traitement d'alpha-bloqueur (urapidil) avec bonne réponse initiale. Au vu de tensions artérielles labiles par la suite et symptomatiques avec des céphalées, la patiente a bénéficié, après demande d'un consilium de médecine interne, d'un traitement par Adalat CR 30 en réserve durant son séjour. Dès J1, Mme. Y présente une amélioration notable des céphalées avec des tensions normalisées ne motivant pas l'introduction d'un traitement d'office.L'évolution est favorable, permettant à la patiente de rentrer à domicile le 30.12.2018 en bon état général avec un contrôle tensionnel à domicile par la sage-femme. • Patiente de 33 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 22.12.2018, en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 22.12.2018 dans la nuit. La mise en travail est rapide et harmonieuse. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 2880g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 4G1P, admise en salle d'accouchement le 12.12.2018 à 38 5/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail après une rupture prématurée des membranes. Après une dilatation rapide, elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3820g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par le préservatif. En raison du syndrome anti-phospholipide, nous poursuivons la thromboprophylaxie au vu du risque augmenté de thrombose en post-partum, qui sera à poursuivre pendant 6 semaines. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 14.12.2018, en bon état général. • Patiente de 33 ans, 4G1P à 26 0/7 semaines d'aménorrhée qui consulte en urgence pour métrorragies de sang brunâtre depuis ce matin sans événement déclencheur. Pas d'autres plaintes, notamment pas de contractions utérines ni perte de liquide et les mouvements fœtaux sont bien ressentis. À l'examen clinique, elle est stable sur le plan hémodynamique et afébrile et l'abdomen gravide est souple. Le bilan biologique revient aligné hormis une hémoglobine fœtale à 9. L'examen au spéculum ne retrouve pas de saignement actif mais des pertes brunâtres depuis le col qui est long et fermé. L'échographie abdominale retrouve un fœtus eutrophique avec PFE à 804g en position céphalique, un placenta latéral droit sans signe de décollement et un Doppler ombilical en ordre. Le CTG n'objective pas de contractions utérines. Dans ce contexte, nous l'hospitalisons pour surveillance et maturation pulmonaire avec cure de Celestone les 04.12.18 et 05.12.18. Sur le plan hématologique, au vu de l'anémie microcytaire hypochrome, nous effectuons un bilan à la recherche de thalassémie. L'évolution est favorable avec absence de récidive de saignement et une hémoglobine fœtale à 0 le 05.12.18. L'échographie du 05.12.18 retrouve un fœtus eutrophique avec PFE à 902g en position transverse, un placenta antérieur haut normalement inséré sans signe de décollement, un ILA dans la norme, des Dopplers ombilicaux et cérébraux dans la norme et une bonne vitalité fœtale. Elle rentre alors à domicile le 05.12.18. • Patiente de 34 ans, 4G2P, admise en salle d'accouchement le 24.12.2018 pour mise en travail spontané après rupture spontanée des membranes. Après une mise en travail spontanée et une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3540g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé, en bon état général. • Patiente de 34 ans, connue pour un asthme depuis l'enfance, suivie par le Dr X et Dr X, consulte pour une dyspnée en péjoration. La patiente, assistante médicale, traite son asthme avec une utilisation occasionnelle d'Atrovent et Symbicort (<1x/mois) ou en prophylaxie avant le sport (gymnastique). Elle rapporte une sensation de refroidissement il y a 4 jours avec maux de gorge, frissons, puis toux non productive et dyspnée. Son employeur lui prescrit de la Co-amoxicilline il y a 2 jours pour une suspicion d'angine et une dose de Prednisone 20 mg hier au vu de la péjoration clinique. Malgré ce traitement, la dyspnée se péjore, apparaissant même au repos et non améliorée par son traitement d'Atrovent. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire significatif et la radiographie ne montre pas de foyer. La gazométrie ne retrouve pas de rétention de CO2. La patiente est hospitalisée avec un traitement par Prednisone et un Symbicort fixe. Concernant son angine, un relais par Amoxicilline est effectué pour un total de 5 jours, ainsi qu'un traitement symptomatique. Le peak-flow s'améliore au cours du séjour, tout comme les symptômes de la patiente. Après discussion, elle émet le souhait de tenter un sevrage du tabac et nous proposons une substitution par un patch de nicotine. Mme. X peut rentrer à domicile le 14.12.2018. • Patiente de 34 ans, en BSH, qui consulte aux urgences pour une douleur au niveau du 5ème orteil du pied D. Elle explique que cet après-midi, elle s'est encoublée et a tout de suite ressenti une douleur très importante au petit orteil. Elle dit qu'elle n'arrive plus à poser le pied par terre, tellement ça lui fait mal. Pas de trauma du petit orteil dans le passé. Elle travaille pour une boulangerie et dit marcher beaucoup. Examen clinique: pied D : œdème et hématome du 5ème orteil, impotence fonctionnelle, pas de trouble sensitif, TRC<3 sec, pas de rotation interne de l'orteil, pas de douleur à la palpation de la base du 5ème métatarsien. Rx: fracture oblique diaphysaire de la P1O5 sans déplacement. Attitude: Nous réalisons une syndactylie entre le 4ème et le 5ème orteils et recommendons un traitement antalgique avec port d'une semelle rigide. Vu que la patiente est très algique et qu'elle n'a pas de MT, un contrôle clinique est organisé à la FUA. Arrêt de travail. • Patiente de 34 ans, en BSH, qui revient pour contrôle à J5 suite à une fracture oblique P1O5 D sans déplacement. Elle rapporte que les douleurs ont diminué mais persistent toujours. Elle peut marcher quand même. Au statut, l'hématome a disparu et l'œdème aussi. Il n'y a toujours pas de troubles sensitivo-moteurs, mais des légères douleurs à la palpation de l'épiphyse distale du 5ème métatarse. La patiente est toujours algique, et nous lui conseillons de continuer avec la syndactylie à visée antalgique. Elle poursuivra les traitements antalgiques en réserve et contrôlera chez son MT (est en train d'en chercher un) si persistance des douleurs d'ici la nouvelle année. • Patiente de 34 ans, métier: sommelier, en traitement avec tramadol et ibuprofène (douleurs rachis), seresta, pantoprazole. Le 23 novembre au soir, une voiture en rétro-marche percute la patiente à basse vitesse. La patiente tombe en arrière avec traumatisme d'entorse de la cheville G. Elle a toujours des douleurs au niveau de la cheville qui sont augmentées jusqu'à aujourd'hui quand elle ne peut pas charger à cause de la douleur. La patiente a appelé le médecin de garde qui a préconisé de se rendre aux urgences. Elle appelle l'ambulance et est ramenée aux urgences. Pas de grossesse selon la patiente (laboratoire d'entrée avec test grossesse demain matin en attente opération, incision prévue à 9:00). La radio montre Weber B déplacé. Avis Dr. X : opération demain. Consentement éclairé signé, MI marqué, prévenu médecin anesthésiste. • Patiente de 34 ans, nulligeste, connue pour une insuffisance ovarienne précoce, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un hématomètre récidivant sur imperméabilité cervicale avec échec de reperméabilisation en 2017.Dans ce contexte, nous lui proposons une hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 11.12.2018 et se déroule sans complication. Une annexectomie gauche est réalisée, ainsi qu'une salpingectomie droite. Une cystoscopie post-hystérectomie est réalisée après injection iv d'Indigo Carmine; elle retrouve une bonne perméabilité des méats mais met en évidence une vessie à parois inflammatoires avec des lésions blanchâtres centimétriques. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 13.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X dans 10 jours. • Patiente de 34 ans, pas de traitement habituel, droitière, métier : assistante de pharmacie. En coupant du pain, elle s'est coupé le doigt index G au niveau face palmaire IPD. Rappel anti-tétanos fait aux urgences. Désinfection, champage, anesthésie en bague, exploration de la plaie, rinçage avec NaCl et bétadine, suture avec ethilon 4/0 (3 points), pansement simple, alu-schiene en extension. Contrôle dans 3 jours chez Dr. X, ablation des fils chez Dr. X dans 14 jours, antalgie selon douleurs. • Patiente de 34 ans primigeste avec grossesse actuelle marquée par une thrombopénie idiopathique stable suivie par le Dr. X, actuellement sous corticothérapie depuis le 01.12.18. Elle nous est transférée de Payerne pour une mise en travail spontanée avec un contrôle thrombocytaire à 64 G/l à 40 2/7 semaines d'aménorrhée le 04.12.18. À son arrivée, le bilan biologique objective des thrombocytes à 81 G/l, autorisant alors la mise en place d'une péridurale. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl iv pour portage streptocoque du groupe B inconnu. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse kiwi pour défaut d'expulsion à une fille de 3270 g de bonne adaptation néonatale. Sur le plan hématologique, après consultation avec le Dr. X, elle bénéficie de la transfusion de deux concentrés plaquettaires afin de retirer la péridurale. Au vu de l'augmentation plaquettaire post-transfusion, une origine auto-immune est exclue, avec un diagnostic différentiel qui reste ouvert entre une thrombopénie gestationnelle précoce ou constitutionnelle idiopathique. Les contrôles par la suite reviennent rassurants avec une thrombopénie à 96 G/l à sa sortie. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique, motivant la poursuite d'une substitution ferrique per os. Nous introduisons un traitement de procto Synalar en raison d'hémorroïdes externes non thrombosées. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente ne désire pas de contraception. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.12.2018. • Patiente de 34 ans, 3 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement à 38 semaines d'aménorrhée le 06.12.2018 en vue d'une provocation pour désir maternel chez une patiente avec des troubles anxio-dépressifs. Cette dernière se fait par la mise en place de Misodel x2 et Ballonnet. Après un travail et une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3230 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera par stérilet Mirena; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 10.12.2018. • Patiente de 34 ans, 3G2P, admise en salle d'accouchement le 12.12.2018 en vue d'une provocation pour hypertension artérielle labile. Le bilan de gestose est revenu négatif, hormis une augmentation des urates à 466 g/l. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 12.12.2018. Après rupture artificielle de membrane, elle se met alors en travail avec une dilatation rapide et harmonieuse, et elle accouche spontanément. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3000 g avec bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et favorables. L'allaitement maternel est sevré à la demande de la patiente. La contraception future sera rediscutée lors du contrôle du post-partum; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 16.12.2018, en bon état général. • Patiente de 35 ans, primipare suivie par le Dr. X pour un CIN 3 avec HPV 16 positif, qui a bénéficié d'une conisation avec curetage endocervical en septembre 2018 et qui présente une persistance du CIN 3. Dans ce contexte, nous lui proposons une hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale par laparoscopie. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 13.12.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 15.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X dans 10 jours. • Patiente de 35 ans qui, il y a 3 semaines, s'est fait une torsion de la cheville. Le médecin traitant suspecte une entorse de cheville avec un traitement instauré. Vu la persistance des douleurs, le Dr. X organise un scanner qui met en évidence le diagnostic susmentionné. Il nous adresse pour prise en charge orthopédique. Le bilan radio-clinique met en évidence le diagnostic susmentionné. Vu que la fracture date déjà de 3 semaines, une botte de marche est mise en place avec contrôle dans 3 semaines en orthopédie. • Patiente de 35 ans, 2 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 02.12.2018 à 35 1/7 semaines d'aménorrhée pour métrorragies sur placenta praevia recouvrant postérieur. Nous posons alors l'indication à une césarienne en urgence. L'intervention se déroule sans complication et la patiente donne naissance à un garçon pesant 2240 g, de bonne adaptation néonatale. L'enfant est par la suite hospitalisé en néonatologie dès le 06.12.18 pour hypothermie et jaunisse. Les suites post-partales sont marquées par une thrombopénie avec un nadir à 85 g/l. Un bilan de gestose exclut un HELLP et l'évolution est spontanément favorable avec une thrombopénie à 107 g/l le 04.12.18. Nous introduisons une substitution ferrique per os en raison d'une anémie spoliative asymptomatique. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par symptothermie. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 07.12.2018, en bon état général. • Patiente de 35 ans, 2 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 18.12.18 à 39 1/7 semaines d'aménorrhée pour rupture prématurée des membranes d'un liquide amniotique clair. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl en raison d'un frotti streptocoque du groupe B dépassé. Elle se met en travail spontanément et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille pesant 3520 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera par pilule oestroprogestative par Minerva qu'elle reprendra après son contrôle à 6 semaines; dans l'attente, elle utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile le 21.12.2018.• Patiente de 35 ans, 3G devenue 3P, admise en salle d'accouchement le 07.12.2018 pour mise en travail spontanée dans un contexte d'utérus cicatriciel avec un segment inférieur à 4 mm. La dilatation est harmonieuse et le travail est spontané sous péridurale. Au vu d'un tracé pathologique, instrumentation par ventouse Kiwi à épine +2. La patiente donne naissance par voie basse à une fille pesant 3500 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours après l'accouchement. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 09.12.2018 en bon état général. • Patiente de 35 ans, 3-gestes 0-pare, admise en salle d'accouchement à 35 5/7 semaines d'aménorrhée le 24.12.2018 pour un saignement vaginal sur placenta praevia marginal. Dans ce contexte de suspicion de décollement placentaire, nous posons l'indication à une césarienne en urgence. Elle donne naissance à une fille de 2220 g de bonne adaptation néonatale. L'intervention est compliquée par une hémorragie du post-partum sur atonie utérine nécessitant la perfusion de 100 mcg de Pabal, 2 ampoules de Nalador, 1 g de Cyklokapron et massage utérin avec une bonne évolution et des pertes finalement estimées à 1100 cc. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative motivant l'introduction d'une substitution ferrique par voie orale. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 29.12.2018 en bon état général. • Patiente de 35 ans, 3-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 19.12.2018 à 37 3/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée. Nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl IV pour portage streptocoque du groupe B inconnu. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 2850 g de bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une rétention placentaire non hémorragique nécessitant une délivrance artificielle au bloc opératoire qui se déroule sans complication. Les suites sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 22.12.2018, en bon état général. • Patiente de 35 ans, 4 gestes 1 pare, suivie pour une grossesse arrêtée à 18 semaines d'aménorrhée, qui a bénéficié de la prise de Mifegyne le 01.12.2018, qui s'est présentée dans la nuit du 02 au 03 décembre pour des contractions utérines avec métrorragies. A l'entrée dans le service, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen gynécologique met en évidence une mise en travail avec une présentation fœtale dans le vagin. La péridurale est rapidement posée et la patiente expulse un enfant mort-né de 117 g. La patiente délivre, d'un placenta semblant complet, et un curetage évacuateur est effectué le 03.12.2018, sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Un sevrage d'allaitement primaire par Dostinex est initié et se déroule sans complication. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 03.12.2018 et sera revue en contrôle post-partum dans 1 mois chez son gynécologue traitant. Concernant la contraception,la patiente préfère en discuter avec son gynécologue lors du contrôle dans 1 mois et utilisera le préservatif. • Patiente de 35 ans, 4G1P, admise en salle d'accouchement le 12.12.2018 à 40 4/7 semaines d'aménorrhée pour une rupture prématurée des membranes. Après 12 h d'expectatif, une provocation par Syntocinon est débutée. Elle se met rapidement en travail. La dilatation est rapide. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3720 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 15.12.2018, en bon état général. Contrôle post-partum dans 4 à 6 semaines, à votre consultation. • Patiente de 36 ans, admise en salle d'accouchement le 03.12.2018 à 40 5/7 semaines d'aménorrhée en vue d'une provocation pour oligoamnios. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Propess. Après un travail soutenu par Syntocinon, nous posons l'indication à une césarienne en urgence pour défaut d'engagement et suspicion de disproportion fœto-pelvienne. Elle donne naissance à un garçon pesant 3530 g, de bonne adaptation néonatale. L'intervention se complique par une atonie utérine résolue par la perfusion de 5+20+10 UI de Syntocinon. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique par voie orale. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par préservatifs. Selon le désir de la patiente, elle est transférée le 06.12.2018 au petit prince pour la suite de l'hospitalisation. • Patiente de 36 ans ayant bénéficié ce 11.12.2018 d'une amygdalectomie droite + septoplastie. Odynophagie importante nécessitant une hospitalisation pour traitement antalgique. Bonne évolution, donc retour à domicile le 12.12.2018. • Patiente de 36 ans qui se coupe avec un couteau de cuisine ce matin. Le bilan aux urgences met en évidence une plaie superficielle. Un pansement avec stéristrips est fait avec un rappel tétanos. La patiente sera revue pour le contrôle de la plaie chez le médecin traitant dans 48 heures. • Patiente de 36 ans, 1G0P, à 30 3/7 semaines d'aménorrhée, adressée par son gynécologue traitant dans le contexte de mise en évidence d'un col court à la consultation de routine ce matin. Pas de perte de liquide ou de sang. Pertes vaginales en ordre. Pas de troubles gastro-intestinaux, pas de troubles urinaires. A l'entrée, la patiente présente 3-4 contractions utérines ressenties non douloureuses aux 10 min, résolutives dans un premier temps après 4 comprimés d'Adalat 10 administrés selon protocole. Le col utérin est mesuré à 14 mm à l'entrée (13h30). Après 2 h d'observation (15h30), col raccourci à 11 mm, CTG R NP avec 2 contractions aux 10 min ressenties, décision de débuter la cure de maturation pulmonaire et tocolyse par Tractocyle selon protocole. La patiente rentre à domicile le 15.12.2018 avec bonne évaluation. Col à 19 mm, pas de contractions. CTG : R-NP. • Patiente de 36 ans, 3G1P, admise en salle d'accouchement le 21.12.2018 pour mise en travail spontanée. A noter un antécédent de césarienne en 2015 avec la patiente désireuse d'un accouchement par voie basse avec un segment inférieur à 4 mm. Elle dilate rapidement et accouche spontanément d'une fille de 3100 g. Les suites post-partales sont simples et afébriles. La patiente désire un sevrage secondaire. La contraception future sera à rediscuter en post-partum, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.12.2018, en bon état général.Patiente de 37 ans admise en salle d'accouchement au vu d'une césarienne élective bi-itérative à 38 6/7 semaines d'aménorrhée le 30.11.2018. L'intervention se déroule sans complication et elle donne naissance à un garçon de 3350 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur puis par stérilet Mirena. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 04.12.2018 en bon état général. Patiente de 37 ans, connue pour un trouble bipolaire et une hypothyroïdie substituée, adressée depuis l'hôpital de Vevey pour suite de prise en charge. La patiente rapporte une pression rétro-orbitaire droite le 07.12.2018 lorsqu'elle conduisait avec des troubles visuels sous forme de diplopie (mono- ou binoculaire, ne sait pas), durant 1 heure environ. Par la suite, elle présente des céphalées bilatérales temporales, d'intensité 7/10 irradiant dans la nuque avec une paresthésie, des fourmillements et une sensation de lourdeur du membre supérieur gauche, avec des vertiges et une instabilité à la marche (rétropulsion). La patiente est amenée aux urgences de Vevey, où un CT cérébral injecté revient dans la norme. Le bilan biologique initial est aligné avec notamment une lithémie dans la norme. Elle est transférée à Fribourg pour suite de prise en charge. Après discussion avec le Dr X (neurologue), au vu de la résolution de la diplopie et amélioration des céphalées lors de son arrivée à Fribourg, nous hospitalisons la patiente pour surveillance neurologique et antalgie. Durant le séjour, la patiente présente par la suite une dysesthésie de l'avant-bras droit avec une perte de force, ainsi qu'une sensation d'oedème de la main droite non objectivée. Nous complétons le bilan par une IRM cérébrale qui est dans la norme, ne montrant pas de signe d'AIT ni de sclérose en plaques mais une sinusite maxillaire droite, pour laquelle la patiente ne présente pas de symptôme. La patiente se plaint toujours de vertiges avec troubles de l'équilibre ainsi que d'une dysesthésie de son membre supérieur droit. Un bilan ORL est également effectué retrouvant une rhinite au décours avec un status otoneurologique non spécifique d'une pathologie ORL. Avec antalgie et physiothérapie, l'état de la patiente s'améliore et au vu des examens effectués rassurants, une composante fonctionnelle de ces troubles n'est pas exclue. Les physiothérapeutes proposent des bâtons de Nordic Walking afin d'avoir une marche plus rassurante. Après explications à la patiente et proposition de consultation psychiatrique, la patiente dit avoir rendez-vous avec son psychiatre le 14.12.2018. Mme Y peut rentrer à domicile le 12.12.2018 avec rendez-vous chez le Dr X. Patiente de 37 ans, connue pour une SEP en traitement avec Gilenya suivie par le Dr X, connue aussi pour une endométriose sévère suivie par la gynécologie de Fribourg. En Juillet 2018, la patiente a été opérée aux USA pour une rupture de kyste ovarien. La dernière IRM bassin/pelvis du 11.09.2018 a montré des kystes endométriosiques bilatéraux. La patiente vient aux urgences pour des douleurs très fortes dans le bas-ventre apparues brutalement aujourd'hui vers 15h. La patiente a pris du Dafalgan 1 g et du Tramal 40 gouttes sans bénéfice. Pas de nausées ou de vomissements. Pas de pertes de conscience. La patiente nous dit que les douleurs sont similaires aux douleurs qu'elle a eues cet été aux USA. Elle décrit des douleurs à 7 sur 10. Aux urgences, nous avons donné à la patiente 1 g de Novalgine avec une amélioration des douleurs. La patiente était sous-fébrile (37.9), avec une hypertension diastolique (TA 142/108), tachycardique à 96/min. Le status cardio-pulmonaire était sans particularités. Au niveau abdominal, la patiente a des douleurs à la palpation en fosse iliaque D et G, en hypogastre et en épigastre. Elle a aussi une légère défense en fosse iliaque D. Au laboratoire, la CRP était dans la norme (<5 mg/l) avec des leucocytes à 10.9 G/l. À noter que la patiente nous a dit avoir des valeurs des leucocytes à 3 au dernier contrôle labo à cause du traitement pour la sclérose en plaques. Vu le cadre clinique, nous avons contacté la gynécologue de garde de Fribourg (Dr X) qui nous a conseillé d'envoyer la patiente à Fribourg pour la suite de la prise en charge. La patiente était stable, elle a pris 40 gouttes de Tramal 100 mg pour soulager les douleurs pendant le voyage, et elle est partie pour Fribourg avec sa mère. Patiente de 37 ans qui est adressée par son médecin traitant pour une tuméfaction douloureuse au niveau de la main droite en progression depuis quelques semaines. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Nous organisons une IRM en ambulatoire pour mieux caractériser la lésion et la patiente sera vue par la suite à la consultation du Dr X. Patiente de 37 ans qui se présente ce jour à J+1 post incision-drainage d'abcès para-anal à 11h en PG par le Dr X au bloc opératoire le 25.12.18. Ce jour-là, la plaie est propre, le drain de Pennrose est en place. La patiente rapporte une nuit calme et une nette amélioration de sa symptomatologie. Nous effectuons aux urgences un rinçage par NaCl au site d'incision. La patiente sera revue le 27.12.18 chez le Dr X pour contrôle clinique et retrait du drain de Pennrose. Patiente de 37 ans qui se présente ce jour avec un abcès para-anal à 11h en PG qui date depuis J-3. Ce jour-là, la douleur est insoutenable et sur avis du Dr X nous décidons d'envoyer la patiente au bloc opératoire pour prise en charge chirurgicale de son abcès sous AG. Les suites post-op immédiates sont rassurantes et la patiente est mise sous surveillance à l'étage de chirurgie pour son réveil. En raison d'une bonne récupération clinique, nous laissons la patiente rentrer à domicile le soir même avec une antalgie simple et l'invitons à se présenter à la FUA ce 26.12 à 9h pour contrôle clinique post-opératoire. Patiente de 37 ans, 1-geste devenue 1-pare, admise en salle d'accouchement le 22.12.2018 pour des pertes du bouchon muqueux le 22.12.2018 à 9h avec des contractions douloureuses aux 10 min. La patiente est hospitalisée pour une attitude expectative. Elle se met spontanément en travail. Après un complément de rupture, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3750 g, de bonne adaptation néonatale. En raison d'une rétention placentaire, nous effectuons une révision manuelle de la cavité. La patiente développe par la suite une atonie utérine nécessitant l'instauration de Nalador. Les pertes sanguines totales sont estimées à 800 ml. Les suites post-partales sont marquées par une anémie du post-partum à 88 g/l chez une patiente asymptomatique traitée par Maltofer 100 mg 1x/j. Nous proposons en complément par Férinject 1000 mg IV. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par stérilet. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé en bon état général. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. Patiente de 37 ans, 2 gestes 2 pares, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'une insuffisance ovarienne prématurée, symptomatique, iatrogène post-chimiothérapie d'une maladie de Hodgkin. Nous lui proposons une greffe de tissu ovarien par laparoscopie opératoire. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 27.11.2018 et se déroule sans complication.Les suites post opératoires sont marquées par un épisode fébrile à 38°C à J1 de l'intervention, sans point d'appel infectieux et pour lequel un bilan infectieux a été réalisé et est revenu normal. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 30.11.2018 et sera revue en consultation ambulatoire chez le Professeur X dans 10 jours pour ablation des fils. • Patiente de 37 ans, 3G 3P, en BSH, à J8 d'une césarienne pour utérus bi-cicatriciel qui consulte en urgence pour des tensions artérielles élevées (TAS entre 150-178 mmHg) associées à des palpitations et céphalées soulagées par Dafalgan sans autres signes de pré-éclampsie. La patiente décrit une grossesse harmonieuse sans antécédents d'hypertension et n'a aucune autre plainte à l'entrée. Elle a pris du Brufen et du Dafalgan à dose maximale depuis la césarienne. Pas de fièvre ni frissons. Au vu du profil tensionnel élevé à l'entrée avec un bilan de gestose aligné hormis une perturbation des tests hépatiques (ASAT 133, ALAT 186, LDH 848, gama-GT 105) et un contrôle clinique post-partal en ordre avec un US gynécologique confirmant la vacuité utérine, nous transférons la patiente aux urgences pour un avis de médecine interne. Après avis de la médecin interne, nous concluons à une perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée avec un US abdominal ne démontrant pas d'altérations hépatiques. Dans ce contexte, nous décidons d'hospitaliser la patiente pour une surveillance tensionnelle et biologique. Lors de son séjour, elle présente un profil tensionnel normal sans traitement initié hormis une dose unique de Nifédipine 20 à son entrée et ne présente plus de plaintes cliniquement avec résolution des céphalées. Au niveau biologique, nous notons une diminution de la cytolyse et cholestase. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 09.12.2018. Un contrôle clinique est prévu auprès de son gynécologue traitant dans 2 semaines. • Patiente de 37 ans, 4-gestes 1-pare, admise en salle d'accouchement le 15.12.2018 à 33 6/7 semaines d'aménorrhée pour rupture prématurée des membranes. Nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV pour portage du streptocoque du groupe B inconnu. Elle se met en travail spontanément et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille pesant 2120 g, de bonne adaptation néonatale hospitalisée en néonatologie pour prématurité. Accouchement compliqué par une hémorragie du post-partum nécessitant une révision des 3 étages qui revient positive pour des cotyledons avec bonne évolution après la perfusion de 20 UI de Syntocinon et des pertes totales estimées à 500 c. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 18.12.2018, en bon état général. • Patiente de 37 ans 4G2P, admise en salle d'accouchement le 20.12.2018 pour une mise en travail spontanée. La dilatation est harmonieuse et elle accouche spontanément le 21.12.2018. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'hémoglobine est stable. Dans ce contexte, nous proposons la poursuite de l'Elevit et de répéter une formule sanguine avec ferritine en post-partum. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La patiente mentionne des céphalées fronto-occipitales avec irradiation dans la nuque, non positionnelles, intermittentes, cédant par l'antalgie de base. Depuis le dernier mois de grossesse, elle signale également une baisse de force au membre supérieur droit avec rémission après l'accouchement mais persistance de paresthésies palmaire droite. La patiente est toujours normotendue, normocarde, afébrile avec un examen neurologique dans la norme. On prend un avis téléphonique avec le Neurologue de garde Dr. X qui nous propose, au vu de la régression des symptômes, un contrôle dans 10 jours chez le médecin traitant pour suivre l'évolution. La contraception future se fera par préservatif si besoin. Contrôle post-partum dans 6 semaines, à votre consultation. • Patiente de 38 ans, 1G0P, admise en salle d'accouchement le 24.11.18 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant et RCIU au p7. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess le 24.11 et le 25.11.2018 sur un col défavorable. Devant l'absence de modification du col après 36 heures sous Propess, nous proposons la pose d'un ballonnet que Mme. Y refuse, en demandant une césarienne. L'intervention se déroule sans complication le 27.11.2018. Elle donne naissance à une fille de 2880 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont marquées par une douleur basithoracique/hypochondre droit au premier jour après sa césarienne, motivant un laboratoire complet ainsi qu'un CT scan. L'embolie pulmonaire est infirmée et nous traitons une surcharge pulmonaire par restriction hydrique pendant 24 heures. L'évolution est favorable avec disparition complète de la symptomatologie et un bilan entrées-sorties qui est correct. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Azalia dès 21 jours post-accouchement. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 01.12.2018, en bon état général. • Patiente de 38 ans, en BSH, qui consulte aux urgences pour une douleur sus-pubienne. Elle s'est levée ce matin et après miction, elle ressent une douleur d'apparition brutale au niveau sous-pubien, sans irradiation, fluctuante en intensité avec des lancées. La patiente est G0, P0, avec les dernières règles le 21.11.2018. Elle essaie de tomber enceinte depuis 7 mois, sans succès. Pour cela, elle a consulté Dr. X, gynécologue à Fribourg. Dernière consultation avec US abdo il y a 3 semaines et un prochain contrôle est prévu pour lundi, le 17.12.2018. Elle ne prend aucun traitement actuellement, pas d'allergie. Contacts sexuels non protégés avec un seul partenaire. Pas d'écoulement anormal. La patiente note un contact sexuel plus intense il y a 3 semaines avec un petit saignement par la suite. Anamnèse par système négative (pas de dysurie, pas de brûlure mictionnelle, pas de nausées, ni vomissements, transit régulier, pas de fièvre, ni frissons). Examen clinique: Général: bon état Digestif: abdomen souple, dépressible, pas de défense, ni détente, douleur à la palpation sus-pubienne à la palpation, bruits hydroaériques normaux, signe de psoas négatif. Cardio: bruits du cœur réguliers. Le bilan biologique est normal, le test de grossesse est négatif et le stick urinaire met en évidence une croix des leucocytes et 3 crois de sang. La douleur est soulagée après prise d'un g de Dafalgan. En accord avec le gynécologue de Fribourg, nous laissons la patiente regagner son domicile, vu qu'elle a eu un examen gynécologique normal récent, que le test de grossesse est négatif et que la douleur est soulagée. Nous la conseillons de respecter son RDV du 17.12 avec son gynécologue traitant. • Patiente de 38 ans qui s'est tordu la cheville hier. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement avec aircast et antalgie est mis en place et expliqué à la patiente. Elle fera un suivi chez son médecin traitant si nécessaire selon évolution. • Patiente de 38 ans, 2 gestes primipare hospitalisée pour prise en charge d'une grossesse extra-utérine gauche à 7 semaines d'aménorrhée. Pour rappel, Mme. Y a été amenée par les ambulances pour de fortes douleurs en fosse iliaque gauche et sus-pubiennes. Les douleurs sont apparues brutalement le 26.12.2018 matin, associées à des métrorragies dans un contexte de grossesse débutante, jamais visualisée. A l'examen clinique dans le service, on retrouve une patiente hémodynamiquement stable. L'abdomen est douloureux dans son ensemble avec une défense en FIG, sans détente. Le toucher vaginal est douloureux à la mobilisation du col et latéralisé à l'annexe gauche. L'échographie met en évidence une grande quantité de liquide libre, avec une image suspecte de grossesse extra-utérine au niveau du Douglas et un endomètre fin. Dans ce contexte, nous suspectons une grossesse extra-utérine gauche rompue avec hémopéritoine et posons l'indication à une laparoscopie en urgence. L'intervention est effectuée le 26.12.2018 et se déroule sans complications, mettant en évidence un hémopéritoine de 2L et une grossesse extra-utérine gauche rompue. Devant une trompe gauche très altérée, une salpingectomie est réalisée. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles, permettant à la patiente de rentrer à domicile le 27.12.2018. Mme. Y sera revue en consultation ambulatoire chez le Dr. X à J 10 pour ablation des fils. Patiente de 38 ans, 2 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement à terme + 1 le 08.12.2018 pour une mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à une fille pesant 3660 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel est initié et se déroule sans complication avec complément. La contraception future sera rediscutée au contrôle à 6 semaines, Nuvaring n'étant pas compatible avec l'allaitement. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 11.12.2018. Patiente de 38 ans, 3 gestes primipare, suivie en ambulatoire pour un kyste de la glande de Bartholin. Nous lui proposons une ablation de la glande de Bartholin sous anesthésie générale. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 13.12.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par des vomissements et une somnolence post-anesthésie, raison pour laquelle nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinique sur la nuit. L'évolution est favorable, la mèche est retirée le 14.12.2018 et l'examen de la cicatrice est en ordre. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 14.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire le 17.12.2018 pour contrôle clinique. Patiente de 39 ans, en bonne santé habituelle, qui est hospitalisée à notre étage de médecine en vue d'une embolisation des artères utérines pour traitement d'un utérus polymyomateux. L'intervention se déroule bien, avec toutefois la perte d'un résidu métallique du matériel d'embolisation dans l'artère fémorale droite lors du retrait du cathéter. Il n'y a pas de complication sténosante significative, le membre inférieur demeurant bien perfusé, et le contrôle échographique de sortie se montrant très rassurant, sans besoin d'effectuer un nouveau contrôle à distance. Les douleurs ont été bien contrôlées par des bolus (Bupivacaïne associée à du Fentanyl) pris par la patiente au moyen d'une PCEA, dont elle a été sevrée le 30.11.2018. Elle quitte notre hôpital le 03.12.2018 avec antalgie per os et repos pour la semaine. Elle sera reconvoquée à distance en Radiologie pour un contrôle par IRM. Patiente de 39 ans, en bonne santé, qui fait une chute de sa hauteur avec réception en hyperextension du pouce et main droite. Le bilan radio-clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur est mis en place et la patiente sera recontrôlée en orthopédie dans 1 semaine. Patiente de 39 ans, G3P2 à 35 semaines de grossesse, qui souffre d'hémorroïdes externes à chaque fin de grossesse, qui présente à cause d'hémorroïdes douloureuses. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un avis chirurgical est demandé et un traitement conservateur est mis en place avec un contrôle prévu chez le Dr. X début de la semaine prochaine. Patiente de 39 ans sans antécédents notables se présente ce jour pour d'importantes paresthésies débutant au niveau de la scapula gauche et se poursuivant dans le membre supérieur gauche jusqu'aux doigts. Ces paresthésies ont débuté la veille, lors d'un épisode bref, qui a disparu aussi vite qu'il n'est venu et la patiente ne s'en est pas inquiétée. Ces paresthésies sont revenues ce jour, alors que la patiente était en train de cuisiner à midi, bien plus intenses que la veille, toujours débutant au niveau de l'omoplate gauche en se prolongeant dans le bras mais touchant cette fois l'hémiface gauche, avec tachycardie et palpitations associées. Prise de panique, la patiente décide de consulter aux urgences suite à cet épisode. Aux urgences, les paramètres de la patiente sont dans la norme hormis une légère hypertension à 160/80 mmHg. Le statut neuro: retrouve une force et sensibilité conservées aux 4 membres, des ROT normaux, une mobilisation de l'épaule indolore et ne reproduisant pas ces paresthésies (qui sont désormais seulement présentes au niveau des doigts), Cv b1b2 bien frappés, réguliers, normocarde sans souffles surajoutés. Digestif: La patiente décrit un inconfort abdominal depuis une césarienne en avril 2018. Le reste de l'examen est sans particularités. Au vu d'un bilan clinico-biologique rassurant, la patiente rentre à domicile ce jour avec antalgie et repos avec contrôle chez le médecin traitant si les douleurs persistent. Patiente de 40 ans, connue pour une hypothyroïdie substituée et hépatite auto-immune dans l'enfance traitée par Prednisone, est adressée le 08.12.2018 aux urgences par le service de gynécologie pour investigations d'une thrombopénie. La patiente, connue pour des ménorragies anémiantes avec saignements abondants durant 5-6 jours (transfusions de fer toutes les 3 mois), consulte pour des règles plus abondantes que d'habitude ainsi que l'apparition d'ecchymoses spontanées sur les membres inférieurs et supérieurs depuis environ 3 jours. Elle rapporte aussi une asthénie marquée depuis plusieurs mois sans perte pondérale ni sudation nocturne. Elle est également connue pour des douleurs musculo-squelettiques depuis plusieurs mois au niveau des pieds et des épaules, surtout au réveil. Sa mère est connue pour un lupus et son oncle pour une polyarthrite rhumatoïde.Le bilan biologique d'entrée met en évidence une thrombocytopénie à 15 G/l. Après avis auprès du Dr. X, un bilan étiologique est lancé et la patiente bénéficie d'un traitement par Prednisone 100 mg/j avec Pantozol 40 mg. Une recherche d'infections virales (HIV, HBV, HCV, CMV) est réalisée, ne montrant qu'une infection ancienne à CMV. La formule sanguine ne montre pas de blaste et l'électrophorèse des protéines est dans la norme, écartant raisonnablement un syndrome myélodysplasique ou un myélome multiple. Une recherche d'H. pylori dans les selles est également négative. La TSH est légèrement augmentée et nous vous proposons un contrôle complet des tests thyroïdiens et une adaptation de la substitution. Les FAN sont toujours en cours lors de la sortie de la patiente. Une anémie est également retrouvée à l'entrée. Le bilan étiologique montre une carence en fer et la patiente reçoit 1000 mg de Ferinject. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique sous Prednisone et des premiers résultats, la piste auto-immune est privilégiée et la patiente peut rentrer à domicile le 11.12.2018 avec un contrôle à la consultation du Dr. X le 18.12.2018 à 15h30. Mme. Y, 40 ans, 4 gestes 4 pares, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'une incontinence urinaire d'effort, pour laquelle nous lui proposons une TOT. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 06.12.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. La sonde urinaire est retirée le 07.12.2018 avec un résidu post-mictionnel normal. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 07.12.2018 et sera revue à notre consultation ambulatoire dans 10 jours. Mme. Y, 40 ans, 4 gestes 1 pare, admise en salle d'accouchement le 15.12.2018 en vue d'une provocation pour âge maternel à 40 semaines d'aménorrhée. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel permettant une mise en travail. Après une dilatation harmonieuse et rapide, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3350 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une thrombophlébite superficielle de la cuisse gauche motivant un avis hématologique qui préconise un traitement de fragmin 15000 U/j pour 3 semaines puis 7500 U/j pour 3 semaines. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future sera rediscutée à son contrôle post-partum. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 19.12.2018, en bon état général. Mme. Y, 41 ans, est hospitalisée pour une diplopie d'étiologie indéterminée. Connue pour un tabagisme actif, une obésité et sous traitement d'Olanzapine pour un trouble psychotique, elle présente une diplopie au réveil avec une sensation de tangage. Sans autre déficit neurologique, elle consulte un ophtalmologue qui ne retrouve pas d'étiologie oculaire à sa diplopie et l'adresse aux urgences. Après administration d'une dose de charge d'Aspirine sur suspicion d'un événement ischémique cérébral, une imagerie cérébrale avec cartes de perfusion scanographiques et IRM est effectuée sans retrouver d'anomalie. La ponction lombaire ne montre qu'un seul élément. Les résultats d'analyses supplémentaires sanguins (Lyme, HIV, Syphilis, anti-GQ1b) et dans le LCR (électrophorèse des proteins à la recherche de bandes oligoclonales) sont à suivre. La patiente sera convoquée en consultation ambulatoire de neurologie (Dr. X) pour un éventuel test au Tensilon et pour apprécier l'évolution de la diplopie. Dans l'intervalle, il a été clairement notifié à la patiente de ne pas conduire, ce qu'elle accepte. Un deuxième rendez-vous est programmé le 07.01.2019 chez l'ophtalmologue (Dr. X) pour une évaluation orthoptique. Un traitement d'Atorvastatine a été introduit sur la base d'un bilan lipidique perturbé. Mme. Y, 41 ans, consulte les urgences en raison d'un état grippal du 25 décembre avec fièvre et asthénie. La patiente a eu aussi de la toux maintenant en amélioration avec des glaires blanchâtres. Beaucoup de rhinorrhée. La patiente a pris de l'aspirine et du Neocitran sirop pour la toux. Pas de céphalée, pas d'otalgie, pas de nausée ni de vomissements. La patiente nous dit ne pas avoir de médecin traitant, raison pour laquelle elle consulte les urgences. Aux urgences, la patiente est bien orientée. Le status cardio-pulmonaire et abdominal est sans particularités, elle n'a pas de plaques aux tonsilles palatines. Vu le status dans la norme, nous retenons un état grippal et conseillons à la patiente de prendre du Dafalgan 1 g si elle a de la fièvre. Nous lui donnons aussi du Vibrocil gouttes nasales pour essayer d'améliorer la rhinorrhée et du Neocitran sirop si elle a encore de la toux. Nous conseillons à la patiente de se reposer à domicile pendant quelques jours. Nous conseillons aussi à la patiente de choisir un médecin traitant et, si les symptômes continuent dans les jours suivants avec des crachats verts, d'aller le consulter pour une éventuelle antibiothérapie. Mme. Y, 41 ans, se fait un faux mouvement de plantarflexion forcée, chaussée, alors qu'elle marchait avec des douleurs immédiates au niveau de l'avant-pied et de la cheville avec douleurs à la charge. Le bilan radioclinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Une immobilisation est mise en place avec antalgie et thromboprophylaxie avec clexane et un contrôle dans 7 à 10 jours en orthopédie pour réévaluation. En cas de doute sur le chopart, un CT serait réalisé. Mme. Y, 41 ans, 3 G2P, admise en salle d'accouchement le 19.12.2018 en vue d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel permettant une mise en travail. Après une dilatation harmonieuse et rapide, elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3540 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile. Le profil glycémique à J3 est en ordre. Elle sera revue en diabétologie pour une HGPO à 3 mois. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.12.2018. Mme. Y, 43 ans, nulligeste, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un utérus polymyomateux symptomatique avec douleurs pelviennes. Nous lui proposons une hystérectomie totale avec salpingectomie bilatérale et washing péritonéale par laparoscopie. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 28.11.2018 et se déroule sans complication. Devant un statut très adhérentiel de l'annexe gauche, une annexectomie gauche est effectuée. Les suites post-opératoires sont simples du point de vue chirurgical. Néanmoins, la patiente présente un profil tensionnel élevé durant son hospitalisation sans symptômes associés. Dans ce contexte, nous proposons à la patiente un traitement d'Adalate CR 20 1x/jour et un tensiomètre avec consigne de noter ses tensions à domicile. Elle prendra rendez-vous chez son médecin de famille dans les meilleurs délais. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 01.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire chez le Dr. X dans 10 jours pour contrôle clinique et ablation des fils. Mme. Y, 44 ans, connue pour une polyarthrite rhumatoïde séropositive suivie par le Dr. X, est hospitalisée pour une radiculopathie L4 sur hernie discale avec compression extra-foraminale de la racine L4 droite le 20.09.2018. Pour rappel, la patiente bénéficie d'une perfusion de Rituximab en juin 2018, après échec de nombreuses molécules pour allergies et intolérance. Elle consulte en urgence ce même jour, pour des douleurs de hanches atraumatiques, rapidement progressives, irradiant sur la face antérieure de la cuisse droite. L'examen neurologique, sur une patiente difficilement examinable, démontre une aréflexie patellaire droite associée à un déficit en force estimé à M4 au niveau quadricipital et ischio-jambier. L'évaluation en position couchée du Mingazzini ainsi que de la motricité des hanches fut impossible, malgré antalgie. En vue de l'absence de drapeaux rouges anamnestiques et cliniques le jour même, nous décidons d'hospitaliser Mme. Y pour antalgie et observation.A l'étage le bilan biologique d'entrée montre un syndrome inflammatoire persistant associant une CRP à 24 mg/dL, une leucocytose à 14 G/L et une vitesse de sédimentation à 40 mm/h. Sur les jours qui suivent, la patiente déclare ressentir progressivement des paresthésies de la zone péri-anal, associées à une diminution de la sensation de besoin d'aller à selle. Une ré-examination en position couchée met en évidence un déficit en Mingazzini à droite avec un déficit en flexion de la hanche (mm. Iliopsoas; racine L1/L2, que la patiente décrit comme chronique et déjà présente 12 mois auparavant), une persistance du déficit M4 du quadriceps et ischio-jambier droit ainsi qu'une persistance de l'aréflexie patellaire. Un toucher rectal ré-effectué montre un tonus flasque, indiquant une imagerie en urgence et un avis neurochirurgical. L'IRM lombaire montre une discopathie L4-L5 et L5-S1, avec en L4-L5 protrusion discale foraminale et extra-foraminale droite. Nous consultons le Dr. X de la neurochirurgie qui, après analyse des images, nous indique une non-concordance des plaintes de la patiente vis-à-vis du déficit neurologique. Il en conclut une radiculopathie L4 simple sans autres atteintes radiculaires ni du plexus. A noter la mise en évidence d'une perturbation des tests hépatiques en cours d'hospitalisation, survenant dans un contexte asymptomatique et après la prise de Leflunomide 3 semaines plus tôt ainsi que la ciprofloxacine et Metronidazole 1 semaine avant l'hospitalisation. Au suivi biologique, nous assistons à une amélioration spontanée des tests hépatiques, raison pour laquelle nous renonçons à des examens radiologiques. Nous attribuons cette élévation à une probable hépatite médicamenteuse. Au vu de l'échec du traitement antalgique par opiacés, ainsi que des nombreux effets indésirables rencontrés (rétention urinaire, constipation réfractaire), une infiltration péri-radiculaire sous guidage CT est effectuée le 03.10.2018 par nos collègues radiologues. L'évolution clinique est médiocre sur l'ensemble du séjour, avec une patiente qui se mobilise peu, non soulagée par haute doses de morphine PO et SC. L'introduction de la prégabaline afin de pallier aux symptômes neuropathiques n'a eu qu'un effet modeste. La patiente est transférée à Billens le 16.10.2018 pour réadaptation musculo-squelettique. Mme. Y, 44 ans, habitant Nyon, est amenée par son ami (habitant le canton de Fribourg) ce matin pour douleurs à l'épaule gauche, majorées à la mobilisation. Douleurs connues, IRM récente faite à Nyon montrant une capsulite gléno-humérale ainsi qu'une tendinite chronique du sus-épineux. CV: b1b2 bien frappés normocarde sans souffle surajoutés. Abd: palpation indolore, bruits intestinaux présents. Osteoart: palpation de l'épaule peu douloureuse, mobilisation passive faite aisément mais douloureuse contre résistance, notamment en abduction. Suite à la discussion avec le chef de clinique des urgences et au vu de ces douleurs connues et d'une imagerie récente, nous décidons de ne pas faire de radiographie de l'épaule, nous instaurons une antalgie par Dafalgan et Brufen ainsi qu'un patch de Flector et nous recommandons de revoir l'indication de l'infiltration avec le Dr. X par la suite. Mme. Y, 46 ans, 4-gestes 0-pare, avec une grossesse gémellaire bichoriale biamniotique sur un don d'ovocytes et ICSI, connue pour une pré-éclampsie modérée depuis le 29.11.18 (rapport sFLT1/PLGF élevé), est admise dans notre service pour une pré-éclampsie devenue sévère avec péjoration tensionnelle à 35 semaines d'aménorrhée le 17.12.2018. Cliniquement, elle est hypertendue avec des systoles à >160 mmHg et présente des œdèmes des membres inférieurs stables ainsi que des réflexes hypervifs sans extension de la zone réflexogène. L'ultrason confirme des jumeaux en siège, avec un PFE pour J1 à droite estimé à 1433 g et J2 à gauche à 1595 g. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance tensionnelle, protéinurie sur 24h et introduisons un traitement de sulfate de magnésium. Au vu d'une péjoration tensionnelle, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 2. Elle donne naissance à deux filles pesant 1750 g et 1440 g, de bonne adaptation néonatale qui sont alors admises dans le service de néonatologie pour prématurité. L'intervention est compliquée par un passage en bloc de branche droite après la perfusion de Pabal chez une patiente asymptomatique avec résolution spontanée. L'ECG en post-partum revient normal et nous décidons, après avis cardiologique, de ne pas effectuer d'investigations supplémentaires. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant l'introduction d'une substitution ferrique per os. Les tensions artérielles sont réglées sous Trandate qui sera poursuivi et à réévaluer par son médecin traitant. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La nécessité d'une contraception future sera à rediscuter au post-partum; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile sans ses bébés le 23.12.2018. Mme. Y, 46 ans, 7G 2P, à 37 5/7 SA d'une grossesse sur FIV avec don d'ovocytes et infection à HIV, suivie par le Prof. X, est admise pour des contractions utérines le 13.12.2018. Au vu de la persistance de la symptomatologie, il est décidé de procéder à une césarienne en urgence 1 dès la réception de la virémie indétectable. L'intervention se déroule sans complication. Elle donne naissance par voie basse à une fille pesant 3019 g, de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. Un sevrage primaire est effectué sans complications. La contraception future se fera par stérilet; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. La thérapie antirétrovirale sera poursuivie comme demandé par le Prof. X jusqu'au 24.12.2018, puis une nouvelle prise de sang sera effectuée le 3.1.2019. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 17.12.2018, en bon état général. Mme. Y, 47 ans, se présente aux urgences ce jour avec des douleurs abdominales en région ombilicale et en FID datant de 24h, avec défense et détente en fosse iliaque droite, ainsi qu'un signe de McBurney positif. Un laboratoire réalisé aux urgences met en évidence un syndrome inflammatoire avec une CRP à 49 et une leucocytose à 15 000. En raison de la forte suspicion d'appendicite, et au vu de la forte corpulence de la patiente, nous décidons de garder la patiente à jeûn, de lui donner une hydratation ainsi qu'une antalgie IV et de réaliser un CT Scan abdominal qui pose le diagnostic d'une appendicite. La patiente est amenée au bloc opératoire pour prise en charge chirurgicale de son affection par le Dr. X ce 26.12.18.Mme. Y, 47 ans, vient pour un contrôle de plaie sur s/p incision et drainage pour une récidive d'un kyste sébacé surinfecté dorsal de 4x5 cm de taille le 28.12.2018. L'évolution est favorable, permettant l'ablation de la mèche. Mme. Y sera vue par le médecin traitant le 02.01.2019 et sera revue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée. Mme. Y, 48 ans, diabétique de type I LADA, est admise à notre étage de médecine pour la suite de la prise en charge d'un STEMI antérieur. La coronarographie a retrouvé une subocclusion à la bifurcation entre l'IVA et la diagonale, traitée par 2 stents actifs, et une subocclusion de la CD moyenne, revascularisée par un stent actif. La FEVG est estimée à 40 %. Une anticoagulation thérapeutique a été mise en place transitoirement jusqu'à l'obtention des résultats de l'ETT, avec une hypokinésie apicale sans thrombus dans le ventricule gauche. Une double antiagrégation est instaurée, avec Aspirine à vie et Efient pour 12 mois, ainsi qu'un IEC, bêtabloquant et une statine pour le contrôle des FRCV. Le traitement du diabète par schéma d'insuline basal-bolus est repris, avec un suivi par nos diabétologues. Un entretien motivationnel régulier semble important dans ce contexte, vu les difficultés rapportées par Mme. Y dans le traitement de son diabète par le passé. Un avis psychiatrique est demandé pour investiguer les troubles de l'humeur et les difficultés de compliance connues. Il n'y a pas d'arguments significatifs pour un trouble dépressif ou anxieux majeur, et Mme. Y semble avoir bien compris les enjeux du traitement de fond et l'importance d'une bonne compliance. En revanche, une évaluation médico-sociale en vue d'une demande d'AI semble importante suite à cet événement. Nous avons demandé également un bilan des fonctions pulmonaires à la recherche d'un BPCO, vu le tabagisme actif dans le contexte d'une fonction cardiaque diminuée. Mme. Y bénéficiera d'une réhabilitation cardiovasculaire stationnaire à Billens. Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que Mme. Y a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 48 ans, nulligeste, est hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'une masse abdomino-pelvienne avec un utérus polymyomateux. Vu les antécédents néoplasiques de Mme. Y, nous lui proposons une hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale et washing péritonéal par laparoscopie. Mme. Y accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 28.11.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et Mme. Y reste apyrétique. Vu la bonne évolution clinique, Mme. Y rentre à domicile le 01.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire chez le Dr. X dans 10 jours pour ablation des fils et discussion des résultats. Mme. Y, 48 ans, sans antécédents particuliers, se présente aux urgences ce jour car, le 24 au soir, en ouvrant des huîtres, elle s'est planté le couteau entre les doigts 4 et 5. La plaie saignant très peu à ce moment et étant peu douloureuse, Mme. Y décide de ne pas se présenter aux urgences. Vu l'évolution défavorable avec une main qui enfle et qui devient plus rouge, Mme. Y décide de consulter ce jour. Examen clinique : Cutané : plaie infracentimétrique fermée, croûteuse et jaunâtre, interdigitale 4 et 5 de la main gauche. Tuméfaction au niveau des doigts 4 et 5 et léger œdème de la face ventrale et dorsale de la main, pas de trajet lymphatique visible, pas d'adénopathie, Mme. Y est par ailleurs afébrile. Pas de trouble sensitivo-moteur de la main, flexion et extension complètes difficiles en vue de l'œdème, mais indolores. Franche douleur à la palpation de la phalange proximale de D4 - Suspicion de phlegmon de la gaine de D4. Le bilan biologique ne montre pas de syndrome inflammatoire et, suite à l'avis orthopédique du Dr. X, nous procédons à une désinfection de la plaie, une anesthésie locale par rapidocaine, un débridement et une exploration de la plaie ne révélant pas de corps étranger visible. Nous procédons à un lavage abondant puis mettons en place un pansement. Un US Main gauche est fait par le Dr. X, qui ne révèle pas d'épanchement liquidien de la gaine de D4, donc pas d'argument pour un phlegmon. Nous procédons à une antibiothérapie par Coamoxycilline 1 g 3x/j pendant 5 jours (la première dose est donnée IV). Mme. Y contrôlera la plaie chez son médecin traitant le Lundi 31.12.2018, ne souhaitant pas revenir à la FUA. Mme. Y, 49 ans, ancienne toxicomane sous Méthadone, connue pour une hyperthyroïdie sévère sur maladie de Basedow depuis fin 2017 traitée par Néomercazole, nous est adressée par le Dr. X pour une recrudescence de symptômes d'hyperthyroïdie. Pour rappel, Mme. Y rapporte depuis quelques jours des palpitations, une insomnie, une fatigue et des nausées avec douleurs abdominales intermittentes. Vu les tests thyroïdiens perturbés, le traitement par Néomercazole est adapté et un traitement par Propranolol est introduit. Pendant l'hospitalisation, l'évolution est favorable. Un contrôle biologique thyroïdien sera à organiser à votre consultation une semaine après la sortie. Un suivi à la consultation d'endocrinologie est également organisé. Vu le contexte social précaire, une instauration de soins à domicile est proposée à Mme. Y, qui les refuse actuellement. Nous laissons le soin au médecin traitant de rediscuter fréquemment de la situation avec Mme. Y. Mme. Y retourne à domicile le 17.12.2018. Mme. Y, 50 ans, est hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance neurologique après une tentative suicidaire par ingestion de benzodiazépines et alcool et tentative d'injection d'air intraveineux. Mme. Y avait été hospitalisée du 25.12 au 29.12.2018 à l'hôpital psychiatrique suite à un tentamen médicamenteux par Paracétamol et Ibuprofen et préalablement hospitalisée à Berne pour ce tentamen. Ce soir, elle s'était disputée avec son mari, qui est parti de la maison. Elle a été ensuite retrouvée inconsciente par son enfant de 10 ans, entourée des seringues. À l'arrivée de l'ambulance, elle avait un GCS à 3/10 suivi par un état d'agitation nécessitant une sédation par Midazolam et Fentanyl. Aux urgences de Payerne, en raison d'un GCS à 10, elle reçoit de la Naloxone, sans effet, puis du Flumazénil avec normalisation de son état de conscience. Alcoolémie à 1.14 o% à Payerne. À l'arrivée aux soins intensifs, elle a un GCS à 15 et est stable sur le plan hémodynamique et respiratoire. Elle dit avoir voulu en finir et elle aurait essayé de s'injecter de l'air dans les veines. En raison de ce nouveau tentamen survenu alors que Mme. Y était en congé du séjour psychiatrique, le psychiatre de garde décide d'un PAFA au CPNV où elle est retransférée le 30.12.2018. Mme. Y, 50 ans, se présente ce jour avec sa fille pour une fatigue avec céphalées et arthralgies datant du 24.12 dans un contexte de stress professionnel et familial. Le laboratoire sanguin effectué aux urgences est rassurant et l'examen clinique de Mme. Y est sans particularités. En raison de l'absence de signes de gravité face à la symptomatologie de Mme. Y, nous décidons de la laisser rentrer à domicile avec une antalgie simple pour prise en charge de ses douleurs et un arrêt de travail d'une semaine. Nous lui prescrivons également du Sirdalud pour une durée de 4-5 jours et lui donnons aux urgences 3 comprimés de Temesta en réserve en cas d'insomnies persistantes.Nous recommandons à la patiente un contrôle clinique chez son médecin traitant dans 10 jours pour suite de la prise en charge. Patiente de 51 ans connue pour des calculs rénaux, présente depuis hier soir des douleurs au niveau de la loge rénale droite avec pollakiurie et brûlures mictionnelles. Le bilan clinique, biologique et radiologique permet de mettre en évidence le diagnostic susmentionné. Vu la taille du calcul, sans syndrome inflammatoire ou souffrance rénale biologique, la patiente est traitée par antalgie et reçoit des consignes pour filtrer les urines avec un contrôle chez le médecin traitant dans 24 heures. Patiente de 51 ans, connue pour des algies faciales droites récidivantes d'origine indéterminée, qui est hospitalisée pour antalgie dans le contexte d'une nouvelle crise douloureuse paroxystique. Un CT cérébral effectué aux urgences, en raison de la survenue des douleurs après des relations sexuelles, n'a pas montré d'hémorragie ni de masse. Un contrôle des douleurs est rapidement atteint avec la médication figurant dans le protocole préétabli par nos collègues neurologues : Rivotril i.v. et per os et Morphine i.v. à petites doses, associé à du Brufen et Mydocalm. L'évolution est favorable au cours de l'hospitalisation, avec diminution progressive des douleurs permettant un retour à domicile le 01.12.2018 avec une antalgie de réserve usuelle. Une infiltration du grand nerf auriculaire proposée pendant l'hospitalisation (Dr. X) ne s'est pas avérée nécessaire. Un contrôle à la consultation du Dr. X (Neurologie) est prévu au mois de janvier prochain. Patiente de 51 ans, en BSH, pas de traitement régulier, métier : ouvrière, depuis hier maux de gorge et fièvre (pas mesurée ; en triage 37.5) avec difficulté à avaler et présence de tuméfaction région sous-mandibulaire à G. Pas de changement de voix, pas de trismus. Score 2, frottis négatif. On donne ordonnance pour antalgie. Patiente de 52 ans qui se présente avec une douleur et tuméfaction post-traumatique du poignet droit sur traumatisme en compression-flexion dans le cadre d'une chute la veille, sans traumatisme crânien sans perte de connaissance. Une radiographie réalisée aux urgences met en évidence une fracture intra-articulaire du radius distal avec bascule palmaire et une fracture déplacée de la styloïde cubitale. Sur avis des Drs X et X, nous décidons de garder la patiente afin de l'opérer le jour même de son affection. Nous complétons le bilan préopératoire par un laboratoire sanguin. La patiente est mise à jeûn et est amenée au bloc opératoire pour son intervention. Patiente de 53 ans, a été reconvoquée ce jour après le colloque du matin. Actuellement Mme. Y note une nette amélioration des douleurs. Charge possible et indolore. Après une discussion avec Dr. X et vu l'amélioration clinique, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile avec antalgie en réserve. Patiente de 53 ans en BSH qui fait un faux mouvement il y a 5 jours avec des cruralgies et douleurs dans le pli de l'aine droit, a consulté son médecin traitant qui lui a fait une radiographie du bassin et de la hanche et a mis en place un traitement anti-inflammatoire, mais la patiente vient aujourd'hui aux urgences car elle a toujours des douleurs qui l'empêchent de se mobiliser. Le bilan aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. La patiente est soulagée suite à un traitement anti-inflammatoire et musculo-relaxant. La patiente regagne son domicile accompagnée par son mari avec un traitement anti-inflammatoire et musculo-relaxant avec un suivi chez le médecin traitant. Patiente de 53 ans, en traitement habituel pour hypertension artérielle, hypercholestérolémie et diabète de type 2, en AM suite à un infarctus en 2015, depuis 2.5 jours elle se plaint de douleur à la loge rénale G avec irradiation en FIG. La douleur est déclenchée par le changement de position, quand elle se met en position assise et debout la douleur de la loge rénale G arrive jusqu'à FIG, et est soulagée quand elle est allongée. Hier et avant-hier la douleur était à son maximum lors de changements de position, maintenant elle est continue. Pas de vomissements, fièvre. Évacuation habituellement diarrhéique. Pas de symptômes urinaires. La patiente a eu il y a 1-2 ans une colique néphrétique G, mais la douleur présente maintenant est beaucoup plus légère par comparaison. Pas de traumatisme ni d'efforts récemment. À l'arrivée aux urgences, la douleur était à 5-6, après la prise de Voltaren en triage elle a diminué, au moment de la visite douleur 3/10. Vu que la douleur est dépendante de la position et vu l'examen clinique positif pour lombago, on prescrit des anti-inflammatoires non stéroïdiens et on conseille repos et contrôle chez le médecin traitant dans 1 semaine. On donne 1 g de Novalgin pour la nuit. Patiente de 53 ans qui se présente ce jour aux urgences avec une contusion des muscles ischio-jambiers de la cuisse gauche sur un traumatisme avec réception au sol sur la région fessière. Une radiographie effectuée aux urgences nous permet d'exclure une lésion osseuse. Pas d'arrachement osseux au niveau de l'ischium. Au vu de la clinique et de l'imagerie, sur avis du Dr. X, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple par Dafalgan, Écofenac et Tramal en réserve ainsi que des séances de physiothérapie pour prise en charge de son affection. Nous octroyons à la patiente un arrêt de travail de 2 semaines. Patiente de 53 ans, se présente aux urgences au matin du 12 décembre pour un état fébrile avec frissons et diaphorèse, évoluant depuis quatre jours. Elle se plaint par ailleurs de myalgies sans arthralgies. Le statut initial met seulement en évidence une raideur nuchale. Les médecins écartent un foyer pulmonaire et urinaire. Un frottis de grippe et RSV est effectué et revient négatif. Au vu de la rigidité nucale, une ponction lombaire est effectuée avec une réversion de la coagulopathie au préalable. L'analyse révèle 22 éléments à prédominance lymphocytaire avec une protéinorachie, une bactériologie négative et une PCR virale négative. Un traitement antibiotique, antiviral et de dexaméthasone est introduit aux urgences, pouvant être rapidement stoppé suite aux résultats bactériologiques. Une étiologie virale étant probable chez une patiente avec une immunosuppression cellulaire motive la poursuite du traitement d'Acyclovir malgré une PCR négative. Nous renonçons à effectuer une nouvelle ponction à 48 heures afin d'écarter le diagnostic au vu de l'évolution rapidement favorable sous Acyclovir chez une patiente anticoagulée. Le traitement est à poursuivre pour une durée totale de 3 semaines. L’IRM cérébrale montre un rehaussement des méninges, probablement induit par la ponction lombaire. Une étiologie sur Bendamustine est également possible. Mais au vu de l'évolution clinique et d'une dose unique de Bendamustine cette piste n'est pas retenue. Il n'y a aucun argument pour une encéphalopathie sur virus JC ni une dissémination méningée du lymphome de la patiente. L'évolution étant cliniquement favorable, la patiente rentre à domicile le 19.12.18. Elle sera attendue en oncologie le 27.12.18 pour une analyse sanguine. Le Dr. X, oncologue traitant de la patiente, la reverra en consultation le 28.12.18. Patiente de 53 ans, 2 gestes 2 pares suivie pour un carcinome de type NST du sein gauche. Dans ce contexte nous lui proposons une prise en charge chirurgicale par tumorectomie du sein gauche avec ganglion sentinelle axillaire gauche. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 19.12.2018 et se déroule sans complication, 1 ganglion sentinelle et 1 ganglion accessoire sont retrouvés et envoyés en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les redons sont retirés le 21.12.2018.Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 21.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X le 27.12.2018. • Patiente de 54 ans, qui est admise aux soins intensifs le 05.12.2018 en raison d'un pneumothorax massif à droite survenant au décours d'une résection Wedge le 30.11.2018 à l'Inselspital à Berne. Cette intervention a été réalisée dans le cadre d'un carcinome pulmonaire non à petites cellules. La patiente présente initialement des douleurs latéro-thoraciques droites intenses, en relation avec le drainage du pneumothorax. Celles-ci sont progressivement jugulées de manière satisfaisante par opiacés iv puis po. Dans l'intervalle, une PCA de morphine est également instaurée dès le 06.12.2018. Le suivi par l'équipe d'antalgie est assuré en division. L'origine du pneumothorax est incertaine. L'évolution rapidement favorable parle en premier lieu pour une brèche pleurale (DD: fistule broncho-pleurale). Au moment du transfert en division, le drain bulle par intermittence à l'inspirium profond, l'emphysème sous-cutané est en régression et la radiographie du thorax post-drainage montre un poumon droit désormais à la paroi avec une aspiration continue à -20cmH2O. • Patiente de 54 ans, 2 gestes 2 pares connue pour une cirrhose Child C d'origine éthylique avec hypertension portale et varices oesophagiennes est hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un kyste ovarien droit. Mme. Y est actuellement ménopausée. Dans ce contexte, nous lui proposons une annexectomie bilatérale avec washing par laparoscopie. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 11.12.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 13.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec Dr. X dans 10 jours. • Patiente de 55 ans, admise aux soins intensifs le 24.11.2018 en raison d'un état de mal épileptique. Elle présente initialement une crise tonico-clonique impliquant préférence l'hémicorps droit, sans reprise de l'état de conscience. L'événement survient dans un contexte de sevrage éthylique depuis 3 semaines. Le bilan radiologique par CT et IRM cérébraux montre les séquelles d'une hémorragie cérébrale de 2013 et des anévrismes au niveau du polygone de Willis, sans nouveaux éléments. L'origine de l'état de mal est probablement mixte, survenant dans le cadre d'un sevrage éthylique anamnestique, d'une encéphalopathie hépatique avec ammoniémie élevée et sur un terrain séquellaire suite à une hémorragie cérébrale post-traumatique en 2013. L'EEG du 26.11.2018 est compatible avec un état de mal épileptique partiel qui persiste durant plusieurs jours sur les EEG de contrôle. Une adaptation du traitement antiépileptique est effectuée selon l'avis des neurologues. L'EEG du 03.12.2018 ne montre plus de foyer irritatif persistant. L'évolution neurologique est par la suite très lentement favorable, avec un état confusionnel hypomane persistant. À son admission, la patiente présente une insuffisance respiratoire secondaire à une pneumonie d'inhalation motivant d'emblée une intubation orotrachéale avec ventilation mécanique. Sous traitement antibiotique de Pipéracilline-Tazobactam, l'évolution est favorable et la patiente peut être extubée le 04.12.2018. Les suites sont marquées par des troubles significatifs de la déglutition. Une nutrition entérale est débutée avec nécessité d'une substitution électrolytique initialement rapprochée en raison d'un syndrome de renutrition. À noter une dénutrition protéino-calorique avec une sarcopénie marquée et un déconditionnement important survenant dans un contexte d'apparente précarité bio-psycho-sociale. Nous vous laissons le soin de discuter d'un éventuel placement et de limitations thérapeutiques explicites avec le médecin traitant. Nous ne sommes pas parvenus en l'état à contacter ce dernier. En raison d'une composante d'encéphalopathie hépatique surajoutée, un traitement par lactulose est débuté. Un US abdominal montre un foie dysmorphique lié à la cirrhose connue avec un flux porte non mesurable et une quantité d'ascite modérée. Cette dernière est à suivre cliniquement et à ponctionner en cas de symptômes. • Patiente de 55 ans connue pour HTA traitée et notion d'hépatite d'origine indéterminée en août 2018, se présente pour une boursite du coude G survenue dans la nuit du 05.11.2018 au 06.11.2018. Nous effectuons un prélèvement de liquide du coude G à pister lors du contrôle le 08.11.2018. Poursuivre ou adapter l'antibiothérapie selon le résultat. Plâtre BAB pour 7 jours jusqu'au 13.11.2018. Si bonne évolution, suite chez le médecin traitant. Pour son ictère, le laboratoire du 06.11.2018 montre des valeurs hépatiques perturbées, un nouveau contrôle est prévu le 08.11.2018. S'il n'y a pas d'amélioration, une recherche de cause infectieuse, toxique et médicamenteuse est à prévoir ainsi qu'une imagerie avec consultation en gastro-entérologie. • Patiente de 55 ans, connue pour une SEP progressive depuis 1992 avec tétraplégie, se présente aux urgences pour une récidive de névralgie de trijumeau V3 à droite depuis 3 semaines. La patiente est hospitalisée en médecine pour suite de prise en charge. Sur avis de nos collègues de neurologie, un traitement de Rivotril en intra-veineux continu avec relais per os par la suite est débuté ainsi qu'une cure de corticoïdes. Une majoration de la dose de Carbamazépine et Baclofène intrathécale est également effectuée. L'évolution clinique est initialement défavorable avec une antalgie difficilement contrôlable et un ajustement du traitement limité par le risque sédatif important des médications en cours. Par la suite, bonne évolution avec bon contrôle des douleurs en fin de séjour. La patiente peut rentrer à domicile le 28.12.2018. Les soins à domicile sont repris de manière inchangée par rapport à avant l'hospitalisation. Le suivi neurologique sera effectué par Dr. X, avec notamment l'ajustement de la médication par Rivotril et Tegretol, et neuro-chirurgical avec gestion de la pompe à Baclofène par Dr. X. • Patiente de 56 ans, admise le 03.12.2018 aux soins intensifs en raison d'une insuffisance respiratoire globale sur un œdème aigu du poumon d'origine cardiogénique. Elle se présente initialement aux urgences en détresse respiratoire aiguë avec une dyspnée depuis 24h accompagnée d'un état fébrile et d'une toux. Elle nous est adressée en raison d'un tableau clinique d'œdème aigu du poumon (OAP). L'OAP répond favorablement à une déplétion par diurétiques et un soutien ventilatoire par VNI. Le bilan biologique, électrocardiographique et échocardiographique permet d'exclure une origine ischémique. L'interrogation du pacemaker ne trouve pas d'arythmies malignes et la fréquence d'entraînement du pacemaker est transitoirement majorée. Une cause infectieuse est suspectée sur la base de l'anamnèse et de l'imagerie. Les cultures reviennent positives pour un S. aureus. Une antibiothérapie empirique par Co-amoxicilline est introduite avec une bonne évolution clinique et biologique. La cardiomyopathie de non-compaction est essentiellement apicale, sans obstruction dynamique. La fonction globale est modérément diminuée à 30 % sans troubles de la cinétique ni valvulopathie nouvelle. La présence de QRS larges nouveaux pose l'indication à l'implantation d'un traitement de resynchronisation CRT-D avec changement de la pile. En raison du risque d'événements cardio-emboliques, l'anticoagulation thérapeutique sera à rediscuter après la procédure. La décompensation cardiaque s'accompagne d'une insufisance rénale aiguë avec acidose lactique chez une patiente initialement oligoanurique. Une réanimation volémique ciblée permet d'améliorer la fonction rénale.L'évolution étant favorable, la patiente est transférée en médecine interne le 06.12.2018. • Patiente de 56 ans, connue pour thromboangéite oblitérante de Buerger, amenée ce jour aux urgences en raison d'une HTA évaluée à 240 mmHg en systolique au domicile ce jour avec cyanose des phalanges distales des 3e et 4e doigts de la main droite. Sur demande du Dr X, nous suggérons à la patiente de l'hospitaliser dans le service d'orthopédie ce jour pour prise en charge de son affection. Toutefois, malgré nos mises en garde, la patiente a refusé une hospitalisation. En raison de son hypertension persistante aux urgences (280/150 mmHg), nous refusons de la laisser rentrer à domicile avant toute investigation plus approfondie. Nous effectuons donc un ECG et un dosage des troponines aux urgences. La patiente reçoit deux doses de nitroglycérine sublinguale en spray, permettant une normalisation de sa TAs à 160 mmHg. Par la suite, mise en place d'un patch de nitroglycérine TTS 10 mg. En raison de l'absence de symptomatologie, de la normalisation de la tension artérielle (137/101 mmHg) et des résultats biologiques rassurants, et en raison du refus d'hospitalisation de la patiente, nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile et l'invitons à se présenter le 27.12 afin d'être examinée par le Dr X afin de décider communément de la suite de la prise en charge. Nous avons également fait signer une décharge à la patiente en raison de son refus catégorique d'hospitalisation. Nous recommandons à la patiente de se présenter aux urgences en cas de douleur thoracique ou de céphalées importantes cette nuit. • Patiente de 56 ans sans antécédents notables, lors d'une réunion au travail ce matin, présente de fortes douleurs au membre supérieur droit, avec vertiges associés, pour lesquelles Mme Y se lève se sentant très mal, titube et est retenue par son chef avant une probable chute. La patiente présente des céphalées traitées par Topamax depuis mercredi passé, pas d'autres médicaments, la patiente présente des allergies à la pénicilline et aux AINS. Paramètres : Fc 69/min, TA : 135/90, SPO2 100 % L'examen clinique aux urgences montre : Auscultation cardiaque : b1b2 bien frappés, régulier, sans souffles surajoutés, Auscultation pulmonaire : MV symétrique bilatéral, Ostéo-articulaire : membre supérieur droit indolore à la mobilisation, sans perte de sensibilité, sans paresthésies, ROT vifs bilatéraux. Le reste de l'examen est sans particularités. Au vu d'un examen clinique rassurant, d'un ECG et d'un bilan biologique tout à fait normaux, nous concluons à un malaise probablement d'origine algique sans perte de connaissance ni de chute. La patiente rentre à domicile ce jour avec un certificat d'arrêt de travail jusqu'au 21.12.2018, nous recommandons une IRM du membre supérieur droit en ambulatoire pour bilanter ces douleurs non investiguées jusqu'à présent. • Patiente de 57 ans, connue pour constipation chronique, qui se présente ce soir avec une douleur en FIG datant depuis ce matin sans notion de fièvre, sans vomissements. Un laboratoire sanguin est effectué aux urgences et revient parfaitement rassurant. À l'examen clinique, nous observons une légère douleur à la palpation de la FIG, sans défense, sans détente. Le TR revient négatif. Nous décidons d'effectuer un ASP qui met en évidence une légère dilatation aérienne au niveau de l'angle colique droit avec impaction. Nous décidons de laisser la patiente rentrer à domicile en raison d'une clinique tout à fait rassurante et lui prescrivons une antalgie simple ainsi qu'un traitement par laxatifs oraux pour une durée de 5 jours. La patiente ira consulter son médecin traitant pour un contrôle clinique. • Patiente de 57 ans, en BSH, consulte les urgences pour une douleur au niveau des 7e, 8e et 9e côtes et une douleur au pied D. Le 25.12, en glissant dans son salon, elle tombe par terre avec un traumatisme au niveau des côtes à G, douleur respiro-dépendante et reproductible à la palpation. Pas de traumatisme crânien. De plus, trauma du pied droit sans déficit mais avec présence d'un hématome. Elle arrive à marcher mais elle a un peu mal quand elle charge complètement sur le pied D. STATUS Ostéo-articulaire : douleur à la palpation des côtes 7-8-9 à gauche, surtout au niveau de la partie antérieure. Pas de déformation, pas d'instabilité. Au pied D, douleur au niveau de la face dorsale du métatarse O3-O4-O5 et au niveau de O5. Pas de déformation. Pas de plaie, mais hématome au niveau de O5. Vascularisation périphérique conservée, sensibilité dans la norme. Pulmonaire : MVS sans bruits surajoutés. Urogénital : LRSI. Abdomen : ventre souple et indolore. Aux urgences, nous effectuons une radio du thorax et une radio du pied D qui permettent d'exclure des fractures. Nous mettons en place un traitement antidouleur. Le suivi est chez le MT si persistance des douleurs. • Patiente de 57 ans, se présentant hier pour une entorse de la cheville droite. La patiente est rappelée en raison d'une lésion suspecte du talus. Notion d'ancien traumatisme avec mécanisme d'inversion de la cheville droite il y a une vingtaine d'années. CT ce jour confirme une fracture Weber A de la cheville droite. Un avis est demandé à Dr X qui propose une immobilisation en attelle jambière postérieure, décharge complète et contrôle à la policlinique d'orthopédie dans une semaine. • Patiente de 58 ans, se présentant ce jour pour une douleur inguinale présente depuis ce matin. La patiente décrit une douleur à type de déchirement lorsqu'elle s'est retournée dans le lit, suite à ce mouvement la patiente présente des douleurs constantes, débutant dans l'aine droite et irradiant en région hypogastrique, aggravées à la mobilisation et à la marche. CV : B1b2 bien frappés sans souffles surajoutés Auscultation pulmonaire sans particularités Abdomen : palpation douloureuse en fosse iliaque droite, reproductible à la flexion de la hanche ainsi qu'à la contraction volontaire abdominale, pas de tuméfaction palpée ou objectivée. Le reste de l'examen est sans particularités. Un US abdominal est demandé qui montre la présence d'une lame de liquide extra péritonéale coïncidant avec un probable déchirement musculaire du grand droit. Pas de signes en faveur d'une hernie. Un avis est demandé au Dr X qui conclut qu'au vu de la concordance entre la clinique et la radiologie, nous concluons à un probable déchirement musculaire du grand droit. La patiente rentre à domicile avec Brufen 3x400 mg/j et un rendez-vous chez le médecin traitant d'ici une semaine. • Patiente de 59 ans avec retard mental et syndrome PICA, connue pour des antécédents d'ingestion de corps étrangers, qui se présente ce jour avec son tuteur pour une suspicion par ce dernier d'une ingestion de corps étranger (pile électrique AA) ce jour. Un ASP est réalisé aux urgences et ne met pas en évidence de corps étranger dans le tube digestif. Nous décidons donc de laisser la patiente rentrer à son foyer avec un contrôle des selles sur 3 jours. • Patiente de 59 ans, connue pour une dépression, un éthylisme chronique et statut post-bypass gastrique, nous est référée depuis la permanence le 29.11.2018 pour une suspicion d'attaque de panique dans un contexte d'alcoolisme chronique avec tentative de sevrage depuis 3 jours à domicile, de problèmes sociaux, judiciaires et financiers importants. À l'entrée, la patiente rapporte une crise d'angoisse survenue l'après-midi alors qu'elle réglait des problèmes administratifs avec la caisse du chômage, avec des tremblements diffus, une difficulté respiratoire, puis des vertiges et des maux de tête. Elle rapporte ne plus boire d'alcool depuis 3 jours. Avant cela, elle consommait une bouteille de vin par jour.Au status nous retrouvons une patiente à l'état général bon mais fatiguée, normocolorée, normohydratée, calme, collaborante, et eupnéique à l'air ambiant. Les paramètres sont dans la norme. Il n'existe pas de signes de sevrage : pas de sueurs, pas de tremblements, pas de tachycardie. Le status neuro est sans particularités hormis une démarche légèrement ataxique. Le status psy retrouve une patiente avec une humeur dépressive mais sans formulation d'idées suicidaires. Pas d'hallucinations visuelles ou auditives. Le reste du status est sans particularités. En prévention du syndrome de sevrage nous mettons en place, en plus d'une hydratation avec du NaCl 0.9% iv du Seresta plusieurs fois par jour, et en prévention du syndrome de Korsakoff de la vitamine B1 en substitution. Nous n'observons aucun signe de sevrage durant l'hospitalisation. Sur le plan de l'alcoolisme chronique, la patiente nous explique qu'elle souhaite arrêter de boire, malgré plusieurs tentatives de sevrage non fructueuses et l'absence de projet clair. La patiente explique avoir été suivie en centre de jour à Neuchâtel fin 2017 (le CENEA) pendant une semaine, avoir été hospitalisée en psychiatrie à Bellelay en 2017, et avoir été suivie par un psychiatre en 2018 (date de début non connue). Toutes ces tentatives ont été avortées prématurément, raison pour laquelle nous orientons la patiente vers des psychologues, psychiatres et assistante sociale dont nous fournissons les coordonnées via notre infirmière de liaison. Nous pensons en effet qu'une tentative de sevrage n'a de sens et ne peut aboutir que si les problématiques sociales, financières et psychologiques de la patiente sont prises en charge en même temps. Devant l'amélioration clinique et l'absence de projet de sevrage à long terme chez la patiente, nous pouvons laisser la patiente rentrer à son domicile le 30.11.2018 en bon état général. Mme. Y de 59 ans fait une chute dans les escaliers avec réception et choc direct sur la rotule droite le 08.12.2018. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement conservateur est mis en place. La patiente sera revue en contrôle d'orthopédie le 28.12.2018. Mme. Y de 59 ans, 3 gestes primipares, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un prolapsus génital total, pour lequel nous lui proposons une hystérectomie totale par voie vaginale avec colporraphie antérieure, postérieure et Richter. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 06.12.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont marquées par une rétention urinaire aiguë après échec d'un premier sevrage de sonde, raison pour laquelle elle a bénéficié d'un deuxième sondage avec sevrage sans complication le 09.12.2018. L'urotube est revenu négatif. La patiente reste apyrétique durant son séjour. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 10.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec Dr. X dans 10 jours. Mme. Y de 59 ans, 3 gestes 2 paires, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'une masse ovarienne droite solido-kystique suspecte. Dans ce contexte nous proposons à la patiente une annexectomie bilatérale. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 28.11.2018 et met en évidence une volumineuse tumeur avec un status adhérentiel très important qui se complique d'une hémorragie per opératoire sur saignement tumoral, nécessitant une conversion en tomie médiane. La suite de l'intervention se déroule sans complications, les pertes sanguines totales sont estimées à 2000 ml, raison pour laquelle la patiente bénéficie d'une transfusion d'un culot érythrocytaire pendant l'intervention. Au vu des antécédents personnels de la patiente, il est décidé qu'elle passe la nuit aux soins intensifs pour surveillance rapprochée post-anesthésie générale. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 21.11.2018 et sera revue en consultation ambulatoire le 27.12.2018 pour ablation des fils et discussion des résultats à la consultation de Dr. X. Mme. Y de 60 ans admise pour une coagulopathie intravasculaire disséminée avec syndrome d'activation macrophagique dans le contexte d'un carcinome mammaire nouvellement découvert. Un carcinome mammaire gauche invasif est diagnostiqué le 14.11.2018, d'emblée métastatique au niveau cérébral et osseux médullaire. Elle est transférée depuis Tavel pour prise en charge oncologique en urgence d'une coagulopathie intravasculaire disséminée avec syndrome d'activation macrophagique provoquant une atteinte hépatique. Des crises d'angoisse se manifestent régulièrement depuis l'annonce du diagnostic. Les oncologues débutent une chimiothérapie de sauvetage le 01.12.2018. La transfusion de produits sanguins permet une stabilisation des troubles de la crase. Toutefois, le syndrome d'activation macrophagique progresse avec persistance de stigmates biologiques. Suite à l'évolution rapidement défavorable marquée par un état comateux et au vu du pronostic sombre à très court terme, des soins de confort sont privilégiés après discussion avec les proches et les oncologues. La patiente décède entourée des siens le 03.12.2018 à 22 h 00. Mme. Y de 60 ans qui est connue pour cholélithiase consulte par rapport à des douleurs abdominales depuis hier soir. Vu l'examen biologique rassurant et la disparition des douleurs suite à la prise de Voltaren et Dafalgan, la patiente rentre à domicile. Après la discussion avec Dr. X, nous organisons le contrôle clinique et biologique, US abdominale demain le 14.12.2018. Mme. Y de 60 ans qui est connue pour des cholélithiases, prévu pour une opération en mars 2019 par Dr. X, présente le 13.12.2018 avec le diagnostic susmentionné. Elle revient le 14.12.2018 pour un contrôle clinique, biologique et US. Le bilan étant rassurant, la patiente rentre à domicile avec contrôle en ambulatoire chez Dr. X. Mme. Y de 61 ans consulte pour brûlure mictionnelle, dysurie, impériosité évoluant depuis une semaine. Elle a déjà pris du Cranberry qui a temporairement soulagé les symptômes, qui sont actuellement de retour. Pas de notion d'écoulement anormal, ni de prurit génital. La patiente dit être au premier épisode de cystite depuis longtemps. Pas de fièvre (36.5 à la maison), notion de frisson, pas de douleur lombaire. La patiente est traitée par son MT pour une maladie de Lyme depuis 2 ans avec des traitements divers, dont elle dit avoir pris assez souvent des antibiotiques, mais ne se souvient pas des noms des médicaments. Pas de traitement antibiotique actuellement. Examen clinique : Digestif : abdomen souple, dépressible, pas de défense, ni détente, légère douleur à la palpation des deux fosses iliaques, bruits hydroaériques normaux. Rénal : loges rénales non douloureuses à la palpation. Le stick urinaire trouve une + de leucocytes et trois +++ de sang. Nous effectuons une culture urinaire. Nous conseillons à la patiente un traitement antibiotique pendant 5 jours et un contrôle chez le MT à la fin du traitement. Nous lui recommandons de revenir aux urgences en cas de péjoration de la symptomatologie. Mme. Y de 62 ans connue pour une sclérodermie systémique avec acro-dactylie et phénomène de Raynaud invalidant, nécessitant une adaptation de traitement, fibrose pulmonaire et reflux gastro-œsophagien, actuellement sous méthotrexate 25 mg/semaine, est hospitalisée pour une cure d'iloprost le 18.10.2018. En effet, cela fait plusieurs mois que la patiente souffre d'un phénomène de Raynaud bilatéral et invalidant, associé à des lésions ulcéreuses des MTP en voie de guérison, et déclenchées par le froid. En vue du rapprochement de la saison hivernale, ainsi que du haut risque d'aggravation des crises, nous décidons d'entreprendre un traitement par iloprost. À l'arrivée, la patiente présente une dyspnée NYHA III connue, dans le contexte de sa fibrose pulmonaire, non oxygène-dépendante, associée à un RGO avec dysphagie aux solides, une faiblesse musculaire proximale ainsi qu'une perte pondérale de 8 kg. L'examen clinique révèle des râles crépitants fins type Velcro aux deux bases.Le bilan biologique d'entrée se révèle aligné sans syndrome inflammatoire ni d'anomalies de la formule sanguine complète. Une radiographie thoracique révèle un infiltrat interstitiel superposable aux anciens clichés. L'ECG-12 pistes révèle un microvoltage de V4-V6, sans bloc de conduction atrio-ventriculaire ni de branche. Une échocardiographie transthoracique effectuée par le Dr. X le 02.11.2018 met en évidence un épanchement péricardique superposable à l'ancien examen d'il y a une année, avec des PAP's non mesurables en vue de l'absence d'une insuffisance tricuspidienne physiologique, et avec des signes indirects d'HTAP. En vue de l'absence de sanction thérapeutique, il doit être rediscuté à distance d'effectuer un cathétérisme cardiaque gauche-droite afin de dépister une HTAP. La thérapie d'iloprost IV se déroule sans complications sur deux séances de 5 jours chacune entre le 18.10.2018 et le 02.11.2018. Les séances sont relativement bien tolérées avec un flush du visage et des céphalées rapportés comme effet secondaire. La patiente quitte l'HFR stable sur le plan clinique et biologique le 02.11.2018. Mme. Y, 62 ans, connue pour un lupus érythémateux systémique depuis août 2018 avec une atteinte cutanée, articulaire et pleuro-péricardique, est hospitalisée le 16.10.2018 pour intensification du traitement par prednisone et poursuite des investigations. Pour rappel, la patiente était sous association de colchicine et AINS jusqu'à début octobre 2018, traitement instauré pour une polysérosite à sa sortie de la dernière hospitalisation. À son arrivée, Mme. Y est asymptomatique, hormis la présence d'une sécheresse digitale avec présence de crevasses et d'une éruption maculo-papulaire prurigineuse touchant les plis des coudes, axillaire, le tronc et la nuque. L'examen clinique est sans particularités. Une perfusion de 500 mg de méthylprednisolone a été réalisée vendredi 12.10.2018 au vu du syndrome inflammatoire biologique et de l'atteinte pleuro-péricardique persistante. Un bilan biologique d'entrée est réalisé dans le but de compléter les investigations déjà effectuées en ambulatoire. Nous effectuons des dosages séquentiels des protéines du complément C3, C4 ainsi que le CH50 et les anticorps antiphospholipides. Les résultats montrent un C4 abaissé isolé avec un CH50 dans la norme, parlant donc contre un déficit primaire. Le sédiment urinaire ne montre pas de protéinurie, de leucocyturie ni d'hématurie macroscopique en faveur d'une néphrite lupique. Le reste du laboratoire est aligné. L'électrocardiogramme d'entrée ne montre pas de bloc de conduction ni de trouble de la repolarisation. La radiographie thoracique montre un très léger émoussement des recessus costo-diaphragmatique, sans autres anomalies. Des fonctions pulmonaires sont organisées pour le mardi 23.10.2018 à l'HFR. Un bilan ophtalmologique par fond d'œil est organisé en vue de l'introduction de l'hydroxychloroquine. Sur le plan thérapeutique, un traitement par prednisone 20 mg q24h est instauré le 17.10.2018, associé à de l'hydroxychloroquine 200 mg PO q24h et du méthotrexate 15 mg CS 1x/semaine. Nous expliquons à la patiente les risques et particularités liés à ces trois traitements. Une prophylaxie d'acide folique à 5 mg PO 2x/semaine ainsi qu'une prophylaxie anti-ostéoporotique (alendronate 70 mg 1x/semaine) sont également instaurés en cours d'hospitalisation. La patiente reste stable sur le plan clinique avec une amélioration du syndrome inflammatoire biologique après la première dose de méthylprednisolone. Mme. Y quitte l'HFR stable sur le plan clinique le 17.10.2018. Elle sera convoquée en rhumatologie dans un mois, avec des rendez-vous en pneumologie et ophtalmologie dans l'intervalle. Mme. Y, 63 ans, admise le 08.12.2018 par la filière STEMI en raison d'un angor typique associé à des ondes de Pardee en inférieur. La coronarographie montre une lésion de la Cx motivant la pose de 2 stents. La patiente est chargée en aspirine et Efient. Elle reçoit aussi 2x5 000 UI d'héparine. La fonction ventriculaire gauche est à 65%. La coronarographie est compliquée d'une hypotension sévère symptomatique (diaphorèse) avec TAS minimum à 90 mmHg. Un saignement de l'artère fémorale commune avec un choc hémorragique d'installation rapide est initialement suspecté à l'artériographie. La crase est corrigée avec 7 500 UI de protamine. Elle reçoit rapidement une expansion volémique importante et 2 culots érythrocytaires. Cela permet une stabilisation tensionnelle rapide. L'équipe de cardiologie met en place un ballon en regard de la lésion artérielle suspectée en passant par un abord contro-latéral (fémoral gauche). Après 30 minutes de compression endo-vasculaire, le saignement est maîtrisé. Après discussion avec l'équipe de chirurgie et de radiologie interventionnelle, il est décidé d'une surveillance clinique aux soins intensifs. A posteriori et au vu de la cinétique de l'hémoglobine (à la hausse avec la transfusion), l'étiologie est remise en question avec un diagnostic différentiel de choc vagal (stress, ponction artérielle +/- sur globe urinaire). L'évolution post-coronarographie est rapidement favorable, et la patiente est transférée en médecine pour la suite de la prise en charge. Une échocardiographie est à effectuer le 10.12.2018 pour suivi de la fonction cardiaque. Un contrôle est prévu dans un mois chez le Dr. X, qui sera suivi d'une ergométrie dans un an. Mme. Y, 63 ans, diagnostiquée il y a 5 ans d'une hernie discale L4-L5 suivie par traitement conservateur chez le Dr. X se présente ce jour aux urgences avec une douleur lombaire gauche handicapante à la marche datant du 24.12. À son arrivée aux urgences, exclusion de red flags (fièvre, troubles de la continence fécale et urinaire, troubles sensitivo-moteurs du membre inférieur). En raison de l'importance de la douleur, nous instaurons un traitement unique par morphine en gouttes aux urgences pour contrôler la douleur aiguë de la patiente. Au vu de la bonne évolution clinique sous traitement antalgique aux urgences, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec adaptation de son antalgie per os. Nous instaurons donc un traitement par Tramal retard 50 mg 2x/j d'office et Tramal 25 mg en réserve max 6x/j. Mme. Y, 63 ans, est admise le 08.12.2018 via la filière STEMI. La patiente rapporte au départ des sudations avec serrement dans la mâchoire, puis douleurs dans le bras gauche, raison pour laquelle elle appelle sa voisine qui contacte Medhome. Après un ECG, la patiente est transportée en ambulance à l'hôpital. Une coronarographie montre une sténose de l'artère circonflexe pour laquelle 2 stents sont posés. La coronarographie est compliquée d'une hypotension sévère symptomatique avec suspicion de saignement de l'artère fémorale commune. La patiente reçoit 7 500 UI de protamine et une expansion volémique importante et 2 culots érythrocytaires, ainsi qu'un ballon sur le saignement visualisé en passant par le côté contro-latéral. Après 30 minutes de compression, le saignement est maîtrisé. Après discussion avec l'équipe de chirurgie et de radiologie interventionnelle, il est décidé d'une surveillance clinique aux soins intensifs. A posteriori et au vu de la cinétique de l'hémoglobine (à la hausse avec la transfusion), l'étiologie de l'hypotension est remise en question avec un diagnostic différentiel de réaction vagale et de choc anaphylactique.L'évolution post-coronarographie est rapidement favorable. Une échocardiographie montre une hypokinésie minime de la paroi postérieure moyenne avec FEVG à 65% (méthode de Simpson). La médication est adaptée avec introduction et adaptation de Lisinopril et Beloc Zok. Nous informons la patiente, connue pour migraine, que son traitement habituel par Imigran est contre-indiqué au vu de sa coronaropathie. Nous proposons un traitement par AINS et une augmentation des B-bloquants. À noter pendant l'hospitalisation des symptômes urinaires avec gêne sus-pubienne et loge rénale gauche, associés à un état subfébrile. Le sédiment revient positif et un diagnostic de pyélonéphrite est retenu. Un traitement par Rocéphine pendant 7 jours est administré. Un possible choc anaphylactique lors de la coronarographie ne pouvant être exclu, un bilan allergologique est à prévoir à distance. Après discussion avec la patiente, une réadaptation cardio-vasculaire à Billens est organisée et Mme. Y est transférée le 13.12.2018. Patiente de 64 ans, admise aux soins intensifs le 28.11.2018 en raison d'une insuffisance respiratoire globale aiguë associée à des troubles de l'état de conscience survenant en relation avec de multiples AVC ischémiques. Elle est connue pour une BPCO non stadée, une dépression et une dépendance aux psychotropes de longue date. Elle présente le matin du 28.11.2018 au réveil une somnolence, des troubles du langage, un hémisyndrome facio-brachio-crural gauche et une désaturation à 77%. Elle est transférée aux urgences de Fribourg. L'IRM cérébrale montre de multiples lésions ischémiques récentes dans le territoire superficiel de l'artère cérébrale moyenne droite, de l'artère cérébrale postérieure gauche et de la PICA touchant les deux lobes cérébelleux. La patiente présente initialement des troubles de la conscience et une première tentative de réveil pathologique. L'EEG réalisé montre un ralentissement diffus de l'activité cérébrale. L'échographie cardiaque effectuée dans le cadre du bilan d'AVC montre une fonction contractile segmentaire et globale normale du VG et la présence d'une dysfonction cardiaque droite avec dilatation modérée des cavités droites et une hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à au moins 48 mmHg. Le test au microbulles effectué par les cardiologues le 30.11.2018 retrouve la présence d'un FOP de haut grade. Le tableau clinique et l'US cardiaque parlent pour une origine cardio-embolique à l'AVC ischémique. De plus, le CT-scan thoracique montre un passage important inter-auriculaire du contraste avec une suspicion de CIA. Les collègues de cardiologie proposent de poursuivre le bilan avec réalisation d'une échocardiographie trans-oesophagienne à distance (dans la semaine du 03.12 au 07.12.2018). L'AVC ischémique se complique d'une broncho-aspiration nécessitant une intubation le 30.11.2018. L'antigénurie est positive pour un pneumocoque. Une antibiothérapie par Augmentin est instaurée à partir du 28.11.2018 pour une durée totale de 5 jours. Le CT thoracique du 29.11.2018 montre des embolies pulmonaires sous-segmentaires touchant le poumon gauche. Une anticoagulation thérapeutique est donc débutée le 29.11.2018 et augmentée à dose thérapeutique en accord avec les neurologues. Devant l'amélioration sur le plan respiratoire, la patiente peut être extubée le 30.11.2018 avec une évolution favorable à l'aide d'un relais par VNI. En raison de la présence de troubles de la déglutition, une alimentation entérale par sonde nasogastrique est débutée le 30.11.2018 avec une bonne tolérance et peut être sevrée le 03.12.2018 avec reprise d'une alimentation per os. En accord avec les neurologues, la patiente est transférée dans le service de médecine interne le 03.12.2018 avec un suivi conjoint par l'équipe de neurologie. Patiente de 65 ans, transférée des soins intensifs pour une décompensation de BPCO le 12.12.2018. La patiente a présenté une insuffisance respiratoire globale avec une rétention de CO2 nécessitant une hospitalisation aux soins intensifs. L'évolution est favorable sous VNI permettant un transfert dans notre service. Nous poursuivons le traitement de corticothérapie, antibiothérapie et bronchodilatateurs instauré aux soins intensifs avec une évolution rapidement favorable. Un traitement d'Ultibro est instauré pour le retour à domicile avec la poursuite de la physiothérapie respiratoire. Un contrôle en pneumologie est prévu le 16 et 17 janvier 2019 pour l'adaptation de la VNI de la patiente. Au vu d'une évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 17.12.2018. Patiente de 66 ans, connue pour une anorexie mentale chronique avec un poids stable à 35 kg, est hospitalisée dans le cadre d'une insuffisance rénale aiguë. L'anamnèse révèle l'apparition de diarrhées depuis le 08.10.2018 sans douleurs abdominales ni fièvre et sans extériorisation de sang ni de méléna. Elle ressent une baisse de l'état général qui motive sa consultation. L'examen clinique montre une déshydratation, une baisse de l'état général. Nous mettons en évidence une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale ainsi qu'une hyponatrémie que nous traitons par hydratation IV. L'évolution est rapidement favorable avec résolution de l'insuffisance rénale. Concernant l'hypokaliémie de la patiente qui bénéficie déjà d'une substitution à domicile, nous réalisons une substitution par voie intraveineuse et per os avec résolution de l'hypokaliémie. Nous poursuivons la dose habituelle de potassium que la patiente avait à domicile. Nous mettons en évidence une hypocalcémie probablement d'origine carentielle que nous substituons avec une bonne évolution mais persistance d'une légère hypocalcémie à la fin de son séjour. Nous poursuivons une substitution à faible dose. Nous proposons à la patiente de vous voir dans les meilleurs délais et de réaliser un suivi laboratoire de la fonction rénale, du potassium et du calcium et d'adapter son traitement au besoin. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique de la patiente, elle rentre à domicile en état général conservé le 14.12.2018. Patiente de 66 ans nous est adressée par Dr. X pour investiguer une possible cause coronarienne de sa dysfonction ventriculaire gauche. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne avec des lésions dans toutes les trois artères coronariennes. Une lésion à 70% et une à 50% dans la branche marginale, l'ACD est traité avec un stent actif avec un bon résultat. On observe une tendance pour des vasospasmes. L'artère interventriculaire antérieure moyenne montre une lésion <50%. La fonction systolique est diminuée à 40%. Après l'intervention, Mme. Y développe une réaction allergique au produit de contraste (traitement immédiat avec Solumedrol 125 mg IV et Tavegyl 2 mg IV). Une double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 pour 1 mois et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débutée. Le traitement par Sintron est poursuivi. Nous débutons un traitement par Crestor 10 mg avec une cible du LDL < 1.8 mmol/l. Le reste de son traitement habituel est inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sur un lit cardio sont sans complications. La patiente rentre le 04.12.2018 à domicile. Patiente de 66 ans, 3 gestes 3 pares, hospitalisée pour une prise en charge chirurgicale d'un prolapsus total C2R1V2 avec incontinence urinaire d'effort, pour lequel nous proposons une colpectomie (Cléisis) avec TOT. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 29.11.2018 et se déroule sans complication.Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 03.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X dans 10 jours. Mme. Y, 67 ans, connue pour une leucémie lymphoblastique aiguë B et un syndrome métabolique avec un diabète insulino-requérant, est adressée au service des urgences par son hématologue traitant, Dr. X, dans un contexte de neutropénie subfébrile (température mesurée à 37.8°C). Pour rappel, la patiente a quitté l'HFR le 28.11.2018, en agranulocytose. Depuis le 30.11.2018, elle relate des douleurs buccales en augmentation, une impossibilité à s'alimenter, des maux de gorge et une asthénie. Au status, on constate une candidose buccale importante sans autre signe de foyer. Sur le plan infectiologique et dans le cadre d'une agranulocytose fébrile, un traitement de Céfépime et Fluconazole est introduit. Les hémocultures reviennent négatives. Après 5 jours d'antibiothérapie, la patiente est toujours fébrile et présente une nouvelle lésion suspecte pour une dermohypodermite dans le creux inguinal G. Le Céfépime est remplacé par du Pipéracilline/Tazobactam le 06.12.2018. Un CT scan effectué le 07.12.2018 montre des signes d'oesophagite, une persistance de signes de colite du côlon descendant, moins marquée que sur le comparatif de novembre, une infiltration de la graisse sous-cutanée des deux plis inguinaux et de la racine de la cuisse gauche (DD: érysipèle), sans collection abcédée. Selon le Dr. X, infectiologue, au vu du risque de MRSA lié à la dermohypodermite inguinale gauche et de E. Faecium lié à la colite, le traitement est complété par de la Vancomycine du 06.12 au 12.12.2018. Au vu d'une aggravation du status local (plis inguinaux) à la sortie d'agranulocytose, un US est effectué qui ne montre pas d'apparition de collection ni d'adénopathie. L'évolution est favorable sous ce traitement. Sur le plan oncologique, la patiente bénéficie d'une nouvelle chimiothérapie le 17.12.2018, initialement prévue le 07.12.2018 et reportée en raison de l'agranulocytose fébrile. Sur le plan hématologique, elle bénéficie d'un traitement de Neupogen du 28.11 au 10.12.2018, puis du 24.12 au 27.12.2018, suite au nouveau bloc de chimiothérapie, sans nouvelle agranulocytose. Sur le plan diabétologique, le traitement insulinique est adapté durant l'hospitalisation, permettant d'atteindre un bon contrôle des glycémies. Mme. Y rentre à domicile le 28.12.2018, avec une hospitalisation élective prévue le 31.12.2018 pour un nouveau bloc de chimiothérapie. Par la suite, elle sera revue à la consultation du Dr. X le 04.01.2018 pour un contrôle biologique. Mme. Y, 68 ans, 2 gestes 2 pares, connue pour un antécédent de carcinome ovarien opéré et traité par chimiothérapie en 2007-2008, présente actuellement une probable récidive tumorale de son cancer, découverte lors d'un bilan de contrôle chez son médecin traitant. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec biopsie du hile splénique et washing péritonéal. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 13.12.2018 et se déroule sans complication. Les suites post-opératoires sont simples et la patiente reste apyrétique. Le drain est retiré le 14.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 14.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X dans 10 jours pour ablation des fils et discussion des résultats. Mme. Y, 68 ans, 4 gestes 2 pares, admise pour prise en charge d'une hyperplasie endométriale post-ménopausique. Dans ce contexte, nous lui proposons une hystéroscopie diagnostique avec curetage explorateur. La patiente accepte l'intervention en signant le consentement éclairé après information. L'intervention est effectuée le 14.12.2018 et s'est compliquée d'une perforation utérine, lors de la dilatation cervicale avant introduction de l'hystéroscope. À noter que la dilatation était compliquée du fait d'un col atrophique et entièrement sténosé. Dans ce contexte, nous avons converti en laparoscopie diagnostique où nous mettons en évidence une perforation utérine antéro-fundique latéralisée à gauche de 3 mm, non hémorragique, qui est coagulée à la bipolaire. Le curetage est fait sous contrôle laparoscopique et ramène beaucoup de matériel qui est adressé en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont marquées par des nausées et vomissements, raison pour laquelle nous décidons de garder la patiente pour surveillance clinique. L'évolution est rapidement favorable, permettant un retour à domicile le 15.12.2018. La patiente sera revue en contrôle ambulatoire post-opératoire dans 10 jours pour discussion des résultats. Mme. Y, 68 ans, 6 gestes primipare, suivie pour un carcinome canalaire invasif du sein gauche, multicentrique, ayant bénéficié d'une chimiothérapie néo-adjuvante depuis juin 2018. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale par mastectomie du sein gauche avec ganglion sentinelle axillaire. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 12.12.2018 et se déroule sans complication, 3 ganglions sentinelles et 1 ganglion accessoire sont retrouvés et envoyés en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les redons sont retirés le 15.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 15.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X le 20.12.2018. Mme. Y, 69 ans, consulte aux urgences pour une douleur sternale respiro-dépendante et reproductible à la palpation. Elle est tombée sur la glace le 17.12.2018 avec réception sur le dos à plat. Elle a tout de suite ressenti une douleur au niveau du sternum. Elle a consulté aux urgences le 17.12 et l'immobilisation du MSG pour une suspicion de fracture du scaphoïde a été réalisée. Elle revient ce jour car depuis hier soir la douleur sternale est très importante. La douleur est localisée au niveau de l'extrémité craniale du corps sternal, sans irradiation, est continue mais est péjorée par l'inspiration profonde ou par la mobilisation. Elle n'arrive pas à s'allonger sur le dos et a dormi avec plusieurs coussins sous le thorax. Pas de notion de toux les derniers jours. Elle n'a pas pris re Examen clinique: Ostéo-articulaire: douleur corps sternum reproductible à la palpation Pulmonaire: auscultation libre et symétrique Cardio: bruits du cœur réguliers Rx thorax: épanchement pleural G en petite quantité, pas de pneumothorax. Rx sternum: fracture extrémité caudale du corps sternale. ECG: RSR, axe vertical, fréquence 60 bpm, onde P négative en V1, QRS fins, pas de trouble de repolarisation. Après discussion avec le Dr. X, nous recommandons à la patiente de physiothérapie respiratoire (avec l'aide d'un Inspirex) et un traitement anti-inflammatoire systématique avec une protection gastrique. La patiente a déjà RDV en policlinique d'orthopédie le 03.01.2019. Mme. Y, 70 ans, connue pour une cardiopathie ischémique et hypertensive avec stenting en juin 2018 en Turquie et probable BPCO non stadée, consulte le 07.12.2018 pour une fatigue avec vertiges connus mais en péjoration et céphalées intermittentes. Elle rapporte aussi des épigastralgies en péjoration et 6 épisodes de diarrhées aqueuses sur la journée. La patiente rapporte avoir arrêté le Furospir après son événement ischémique en Turquie et l'avoir repris il y a environ 2-3 semaines. Le bilan biologique d'entrée montre une hyponatrémie hypoosmolaires modérée. Le traitement de Furospir est mis en pause et une restriction hydrique est effectuée. Les valeurs de sodium se corrigent rapidement mais la patiente se plaint toujours de céphalées bilatérales pulsatiles intermittentes, sans signe de vertige. Au vu d'une légère prise de poids et du statut clinique, nous introduisons du Torasémide 5 mg avec bonne évolution. Une échocardiographie transthoracique montre une bonne fraction d'éjection du ventricule gauche (65%) et la spironolactone est stoppée. Un rendez-vous de contrôle chez le Dr. X est bien agendé le 25.01.2019. Au début du séjour, la patiente se plaint de diarrhées occasionnelles. Le transit est par la suite régulier avec des selles molles 1x/j sans trace de sang. Des épigastralgies sont traitées avec majoration du Pantozol à 40 mg 2x/j pendant 1 semaine. Nous proposons un bilan avec OGD et coloscopie en ambulatoire. Au vu de l'amélioration clinique et biologique, la patiente peut rentrer à domicile le 13.12.2018. Mme. Y, 70 ans, nous est adressée pour un angor de novo. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une subocclusion de la branche diagonale et une longue lésion de l'IVA sur la bifurcation IVA/DA qu'on traite avec deux stents actifs et un bon résultat immédiat. Lésions intermédiaires de la RCx et de l'ACD. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 70%. Un traitement par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté, le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. La patiente rentre le 14.12.2018 à domicile. Mme. Y, 70 ans, qui est connue pour des crises de goutte, sans traitement d'inhibiteurs de xanthine oxydase, présente depuis 1 semaine une tuméfaction, rougeur et douleurs au niveau de la MTP 5 du pied gauche. La situation ne s'améliore pas malgré la prise d'AINS. Le bilan clinique et radiologique met en évidence le diagnostic susmentionné. En vue de l'absence de signes septiques, la patiente est gardée sous AINS avec le conseil de consulter un rhumatologue pour prise en charge de sa goutte chronique. Mme. Y, 71 ans, admise aux soins intensifs le 03.12.2018 en raison d'un volumineux hématome pelvien survenu dans le contexte d'une anticoagulation supra-thérapeutique et compliqué par une insuffisance rénale aiguë et un iléus paralytique. La patiente, connue pour un syndrome des anticorps anti-phospholipides et anticoagulée par Marcoumar, est initialement hospitalisée en orthopédie en raison d'un mal perforant plantaire chronique avec des infections récidivantes motivant une amputation de P3 O3 (OP le 27.11.2018). Dans le contexte opératoire, l'anticoagulation par Marcoumar est remplacée par de la Clexane. Les investigations effectuées en raison de douleurs abdominales aiguës post-opératoires révèlent la présence d'un hématome au niveau du bassin sur un saignement actif de l'artère épigastrique inférieure gauche. Elle bénéficie d'une embolisation le 01.12.2018. L'anticoagulation est reprise par la suite avec une récidive de saignement et une augmentation de volume de l'hématome. Secondairement, elle développe une insuffisance rénale aiguë et un nouvel épisode de déglobulisation motivant son transfert aux soins intensifs. L'hémoglobine se stabilise finalement après l'arrêt de l'anticoagulation. Cette dernière peut être ensuite reprise à dose thérapeutique à partir du 09.12.2018. Nous vous laissons adapter les doses pour viser un anti-Xa entre 0.3 et 0.4 UAXA/ml. En parallèle, un suivi quotidien de l'hémoglobine et de la fonction rénale est préconisé. Devant la persistance de dilatations pyélocalicielles bilatérales sur compression de l'hématome, associées à une insuffisance rénale aiguë, Mme. Y bénéficie de la mise en place d'une sonde double J à droite le 04.12.2018 par le Dr. X. L'évolution clinique et biologique est rapidement favorable avec une reprise de la diurèse et une normalisation de la fonction rénale dès le 07.12.2018. Les différentes échographies rénales montrent une évolution favorable, notamment du côté gauche où la pose d'une sonde double J a été techniquement impossible. Nous vous laissons le soin d'assurer le suivi urologique. Par ailleurs, durant son séjour, Mme. Y présente des douleurs abdominales sur l'hématome, désormais bien contrôlées grâce à un traitement par opiacés voie orale associé à une PCA morphine dès le 08.12.2018. Un suivi par l'équipe d'antalgie en division est demandé. La patiente présente depuis son arrivée aux soins un iléus paralytique expliqué d'une part par l'hématome, d'autre part par la prise d'opiacés. La sonde nasogastrique a pu être retirée le 08.12.2018 avec une reprise de l'alimentation per os progressive et une alimentation parentérale concomitante, à adapter en fonction de la couverture nutritionnelle orale. Au moment de son transfert à l'étage, le transit gastro-intestinal est toujours absent. La voie veineuse centrale posée dans ce contexte est à retirer dès que possible. Une insuffisance respiratoire hypoxémique modérée est attribuée à une surcharge hydrique après des remplissages répétées et aux atélectasies bibasales dans un contexte d'immobilisation secondaire aux douleurs abdominales. L'évolution est favorable sous ventilation non-invasive et traitement diurétique. Nous vous laissons le soin de poursuivre la physiothérapie respiratoire et la CPAP 2x/jour. Mme. Y, 71 ans, connue pour un syndrome lombo-vertébral et spondylogène ainsi qu'un diabète de type 2 non insulinoréquérant, se présente ce jour pour des lombosciatalgies connues, déjà investiguées et suivies en rhumatologie à l'hôpital cantonal. À son arrivée, la patiente est stable, peu algique en position couchée et nous décrit une aggravation de ces douleurs lors d'un mouvement brusque de rotation du corps il y a une semaine. Les douleurs sont cependant supportables, évaluées à 3-4/10 selon l'échelle visuelle de la douleur et aggravées à la mobilisation. La patiente décrit aussi des paresthésies de longue date des membres inférieurs, probablement d'origine polyneuropathique sur un diabète de type 2. Cardio: B1B2 lointains, pas de souffle audible, pas d'OMI. Pulm: MVS, pas de râles, pas de sibilances. Abdo: bruits sp, douleurs à la palpation profonde FIG et FID, pas de défense ni détente. TR: indolore, tonus sphinctérien conservé. Ostéo-articulaire périphérique: Rachis: douleurs à la palpation de la colonne lombaire L3-S1 et paravertébrale, limitation de la mobilité lombaire dans tous les plans, rotation hanche sp, marche difficile au vu des douleurs. Neurologique: force conservée à M5 au testing segmentaire de tous les groupes musculaires. Hypoesthésie en chaussette DDC. ROT normaux Babinski négatif. Nous soulageons la douleur par Tramal 50 mg et Dafalgan 1 g, la patiente se mobilise beaucoup plus facilement suite à l'antalgie et au vu de l'état clinique rassurant de la patiente ainsi que l'absence de signes d'alerte, la patiente rentre à domicile. Nous recommandons un rendez-vous chez le médecin traitant après les fêtes de fin d'année pour revoir l'antalgie et la suite de la prise en charge rhumatologique de la patiente. Mme. Y, 71 ans, nous est adressée par le Dr. X, connue pour un s/p STEMI avec PCI de l'IVA moyenne (31/05/2010), une capacité physique limitée par l'asthme et l'artériopathie périphérique avec une ergométrie fortement positive pour une ischémie myocardique. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre un bon résultat à long terme après PCI de l'IVA moyenne. Il y a des sténoses intermédiaires de l'IVA proximale et moyenne et de l'ACD proximale et moyenne qui sont fonctionnellement pas significatives. La fonction systolique du VG est normale avec une EF à 65%.Le traitement est poursuivi inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 11.12.2018 à domicile. Mme. Y, 72 ans, nous est adressée par le Dr. X pour dépistage d'une maladie coronarienne. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui démontre une occlusion thrombotique recanalisée (OCT) de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Mme. Y bénéficie d'une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement est inchangé. Pour la sténose aortique sévère, nous proposons maintenant une TAVI le 07.01.2018 à la Clinique Cecile à Lausanne. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mme. Y rentre le 08.12.2018 à domicile. Mme. Y, 72 ans, nous est adressée par le Dr. X pour dépistage d'une maladie coronarienne. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui démontre une occlusion thrombotique recanalisée (OCT) de l'artère interventriculaire antérieure moyenne. Mme. Y bénéficie d'une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure moyenne avec implantation de 1 stent actif et bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 3 mois est débuté. Le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une Ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmiques aux soins intensifs sont sans complications. Mme. Y rentre le 08.12.2018 à domicile. Mme. Y, 73 ans, admise en réadaptation gériatrique après prise en charge en orthopédie HFR Riaz du 10.11.2018 au 15.11.2018 suite à une chute ayant engendré une fracture de la branche ilio et ischio-pubienne gauche. Dans notre service et sur le plan de l'antalgie, le traitement est adapté afin de permettre un confort lors des mobilisations de Mme. Y. Durant son séjour, Mme. Y évolue favorablement, avec de bonnes ressources et une excellente motivation, ce qui explique les progrès détaillés ci-dessous. Cependant, le 28.11.2018, Mme. Y présente des vomissements ainsi que des diarrhées, suivis d'un pic fébrile le lendemain qui a spontanément régressé sous traitement symptomatique. Le prélèvement des selles dans un contexte de contage de Norovirus revient négatif. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide de deux cannes est de 100 mètres. Mme. Y peut gravir 9 marches sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 82/126, par rapport à 42/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 39 secondes. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau ergothérapeutique, Mme. Y possède déjà un sommier électrique, une planche de bain et un rollator. Elle réalise son habillage avec une pince et se lève et se couche seule du lit. À noter que ses douleurs sont présentes principalement à la charge et qu'il n'y en a pas lors de la flexion du tronc. Nous prescrivons 9 séances d'ergothérapie à domicile et vous laissons le soin de réévaluer la nécessité de reconduire cette thérapie en ambulatoire. Devant l'évolution favorable de Mme. Y, un retour à domicile est décidé le 13.12.2018 en accord avec Mme. Y. Il est prévu le passage de soins à domicile 1x/j pour aide à la toilette et démarrage ainsi que mise des bas de contention le matin. Mme. Y, 73 ans, admise en réadaptation gériatrique après une prise en charge en chirurgie à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal du 08.11.2018 au 26.11.2018 suite à une chute ayant engendré un hématome sous-dural chronique sur aigu pariétal droit d'origine traumatique. Durant son séjour, Mme. Y profite d'une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'un rollator est de 60 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir seule les escaliers. Elle nécessite de l'aide pour les soins (après mise en place du matériel, elle arrive à bien se laver, aide pour le dos et les jambes, guidance verbale pour le reste et aide modérée pour l'habillage). Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 75/126, par rapport à 70/126 à l'entrée. (Mesure de l'indépendance fonctionnelle : physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 1/7). Le Timed Up and Go Test est de 2 minutes. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau nutritionnel, Mme. Y présente un indice de masse corporelle à 28 kg/m² avec une absence de malnutrition protéino-énergétique mais un apport insuffisant en protéines. Nous proposons donc à Mme. Y des potages enrichis durant son séjour. Sur le plan ergothérapeutique, il est mis en évidence la nécessité d'utiliser une pince et un enfile-chaussettes. Au lavabo, Mme. Y nécessite de l'aide uniquement pour les pieds et le dos et peut utiliser un coussin pour se surélever de sa chaise face au lavabo. Mme. Y nécessite une supervision pour enfiler ses chaussures car elle n'y arrive pas encore totalement seule. À noter que Mme. Y bénéficiera d'un contrôle en neurochirurgie le 20.12.2018 à 13h avec un CT-scanner cérébral le 20.12.2018 à 11h30. Devant la bonne évolution de Mme. Y, une sortie est décidée et Mme. Y rentre à domicile le 12.12.2018. Les soins à domicile passeront 1x/jour pour la mise en route le matin et 1x/semaine pour contrôle santé et suivi du poids. Mme. Y gèrera ses repas et ses médicaments. Mme. Y, 73 ans, se présente ce jour aux urgences avec un VPPB datant depuis le 24.12.2018 sans signes neurologiques focaux et sans autres signes de gravité. Une manœuvre de Hallpike réalisée aux urgences nous permet de poser le diagnostic. Nous effectuons deux manœuvres consécutives à intervalle de 15 minutes avec contrôle des symptômes à 30 minutes, permettant une résolution partielle des symptômes chez Mme. Y. En raison de l'amélioration de la symptomatologie, nous décidons de laisser Mme. Y rentrer à domicile avec un traitement par Betahistine pour contrôle de ses symptômes pour une durée de 5 jours. Nous lui recommandons également de consulter son médecin traitant à une semaine pour un contrôle clinique et suite de la prise en charge. Mme. Y, 73 ans, sous aspirine, subit un AVP avec choc latéral droit. Le bilan radio clinique aux urgences met en évidence les diagnostics susmentionnés. Le CT montre un possible saignement parenchymateux frontal droit. Vu que Mme. Y est sous aspirine et le doute sur le CT, nous gardons Mme. Y pour une surveillance neuro pour 24 heures. Mme. Y, 73 ans, 3 gestes 3 pares, connue pour un carcinome ovarien FIGO IV, ayant bénéficié de plusieurs cycles de chimiothérapie néo-adjuvants de mars à septembre 2018. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale par laparotomie avec annexectomie bilatérale, omentectomie et washing péritonéal. Mme. Y accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 11.12.2018 et se déroule sans complication. Mme. Y est hospitalisée aux soins intensifs en postopératoire le 12.12.2018 pour adaptation de l'antalgie. Les suites post-opératoires sont simples et Mme. Y reste apyrétique.Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 16.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X dans 10 jours. • Patiente de 74 ans, admise aux soins intensifs le 10.12.2018 en raison d'une décompensation respiratoire globale aiguë d'origine multi-factorielle. Connue pour une BPCO stade II et un état anxio-dépressif associé à une polymédication, elle développe une dyspnée de stade IV en péjoration et un état fébrile malgré la prise de Co-amoxicilline depuis 10 jours prescrite par son médecin traitant. Elle nous est adressée pour suite de prise en charge depuis les urgences de Riaz. Le bilan infectieux évoque un urosepsis après isolement d'un E. coli multirésistant dans les urines. Ce germe est couvert par Imipénème, qui est à poursuivre jusqu'au 17.12.2018. Elle est rapidement stabilisée après réanimation volémique ciblée. Nous n'objectivons par ailleurs pas de foyer clair à la radiographie du thorax. L'insuffisance respiratoire aiguë globale s'améliore sous ventilation non invasive. Celle-ci est attribuée en premier lieu à des troubles de l'état de conscience survenant d'une part à l'encéphalopathie hypercapnique et d'autre part à l'accumulation de psychotropes. En raison d'un état anxio-dépressif et d'une polymédication de psychotropes, nous demandons un avis psychiatrique pour réévaluer la liste médicamenteuse. Dans l'intervalle, nous avons réduit les doses d'opiacés et mettons en suspens une partie du traitement antidépresseur. La CPAP nocturne, bien tolérée, est poursuivie. Sous ce traitement, nous n'avons pas objectivé de désaturation significative. Toute majoration et/ou introduction de traitements respiro-dépresseurs en l'absence de monitorage continu est formellement contre-indiquée. • Patiente de 74 ans, connue pour une leucémie en rémission qui a présenté un zona ophtalmique droit en 09.2018. Depuis, la patiente présente des douleurs post-zostériennes importantes, avec une antalgie difficilement contrôlable à domicile associée à une somnolence secondaire au traitement. La patiente est alors réhospitalisée dès le 19.11.2018 pour antalgie. Nous remajorons d'abord le traitement de prégabaline à 150 mg 2x/j et poursuivons l'oxycontin 10 mg 2x/j et Saroten 25 mg 1x/j. Les douleurs persistantes, la patiente bénéficie d'une prise en charge anesthésiologique avec le 22.11.18 une perfusion de lidocaïne, puis une instillation de lidocaïne du ganglion sphéno-palatins le 26.11.18 et une infiltration du tissu sous-cutané en regard du nerf supra-ophtalmique droit à deux reprises le 3 et 10.12.18. En parallèle, la patiente bénéficie de séances d'hypnose avec bon effet antalgique. En raison d'une somnolence diurne importante, l'oxycontin est diminué à 2x 5 mg. La patiente présente également des hallucinations nocturnes, que nous mettons sur le compte du traitement de Saroten qui est alors suspendu dès le 23.11 avec résolution de celles-ci. En parallèle, nous augmentons la gabapentine matinale à 200 mg puis introduisons un traitement de duloxétine 30 mg à visée antalgique neuropathique. Avec l'introduction de la duloxétine, la patiente présente par ailleurs une amélioration de sa labilité émotionnelle et de son manque d'initiative qu'elle présentait en début de séjour. Sur le plan hématologique, la formule sanguine réalisée à l'entrée est alignée et la patiente n'a pas d'adénopathies. Les LDH sont également dans la norme. Le prochain rendez-vous de suivi post-leucémie est agendé chez le Dr. X dans 6 mois. Sur le plan viral, la patiente a été traitée par Valtrex lors du diagnostic du zona et ne présente actuellement plus de lésions vésiculaires. Vu qu'il s'agissait d'un premier épisode de zona, chez une patiente actuellement non immuno-supprimée, il n'y a pas d'indication d'introduire une prophylaxie anti-herpétique selon les recommandations infectiologiques. Au vu de l'évolution favorable, avec une diminution des douleurs paroxystiques et une meilleure tolérance médicamenteuse, la patiente rentre à domicile le 11.12.2018 avec des soins à domicile pour la gestion des traitements. • Patiente de 74 ans sous Eliquis pour un épisode d'EP l'an dernier, qui se présente ce jour aux urgences sur recommandations du médecin traitant de sa fille 24h après un TC avec PC de 10 secondes sans AC sur probable syncope vagale. L'ECG réalisé aux urgences est rassurant et le CT cérébral met en évidence une fracture de l'os occipital avec deux hématomes de contre-coup au niveau frontal, probablement à l'origine de ses légères céphalées frontales. L'examen clinique neurologique de la patiente est parfaitement rassurant et la patiente est stable et orientée. En raison de l'anticoagulation, de la PC et des lésions observées au CT Scan, nous suggérons à la patiente de l'hospitaliser pour surveillance neurologique. Toutefois, la patiente refuse l'hospitalisation mais se dit prête à revenir pour un contrôle si nécessaire. Sur avis du Dr. X, en raison de l'intervalle temporaire entre la chute et la consultation aux urgences, et au vu de l'examen clinique rassurant, nous autorisons la patiente à rentrer au domicile de sa fille et l'invitons à se présenter le 31.12.18 pour un contrôle radiologique de ses lésions par un CT Scan cérébral prévu à 10h30. La patiente est également invitée à se présenter aux urgences en cas d'apparition de signes de gravité (signes neurologiques focaux, vomissements, fièvre, céphalées). Nous recommandons également vivement à la patiente de consulter son cardiologue à son retour en Belgique afin de réaliser un bilan complet. • Patiente de 75 ans, admise aux soins intensifs le 08.12.2018 en post-opératoire immédiat en raison d'un syndrome d'apnée du sommeil non appareillé. Elle consulte initialement aux urgences en raison de douleurs abdominales diffuses avec un tableau radiologique d'iléus grêle mécanique. Elle bénéficie le 08.12.2018 d'une laparoscopie exploratrice avec adhésiolyse, sans résection intestinale. L'intervention se déroule sans complication. L'évolution post-opératoire immédiate est favorable avec l'émission des gaz le jour d'après. L'antalgie est contrôlée de manière satisfaisante par Dafalgan et Novalgine avec Tramal en réserve. Elle présente un épisode transitoire et asymptomatique de désaturation à 79% sur la nuit, spontanément résolutif en moins d'une minute. Dans ce contexte, l'introduction de benzodiazépines et/ou l'augmentation des opiacés en l'absence de monitorage continu est formellement contre-indiquée. Au vu d'un status respiratoire et abdominal sans particularité, Mme. Y peut être transférée en chirurgie le 09.12.2018. Elle peut boire jusqu'à 500 ml et nous vous laissons le soin de reprendre la nutrition selon l'évolution clinique. • Patiente de 75 ans, connue pour une échinococcose alvéolaire, épiploïque et pulmonaire, qui nous est envoyée par le Dr. X pour une baisse de l'état général. La patiente souffre d'asthénie généralisée qui se péjore depuis le diagnostic, associée à une perte de poids progressive. Pour rappel, le diagnostic d'échinococcose est posé en mai 2018 et un traitement par Zentel avait été débuté. Plusieurs adaptations thérapeutiques sont nécessaires jusqu'alors, en raison d'une perturbation des tests hépatiques. À son arrivée, une altération des tests hépatiques est mise en évidence. Une échographie abdominale exclut une thrombose et une hypertension portale. Le bilan est complété par une échocardiographie transthoracique qui ne met pas en évidence d'hypertension pulmonaire. Les tests hépatiques se péjorent après augmentation du Vermox. L'amélioration est modérée après mise en suspens de la thérapie. Après discussion avec les infectiologues, nous décidons de reprendre un traitement par Albendazole, traitement le plus étudié et le plus efficace dans ce contexte, malgré une composante d'hépatite médicamenteuse que nous décidons de tolérer.Une dénutrition est également objectivée, associée à une hypophosphatémie, une hypomagnésémie et un déficit en vitamine D. Un traitement par substitution orale est débuté. Après évaluation de nos collègues diéticiens, en raison d'une perte pondérale d'environ 10% en 8 mois et un apport estimé à 60% de ses besoins, nous débutons un complément nutritionnel par boissons énergétiques. Dans le contexte de baisse de la thymie, nous demandons un avis psychiatrique. Un diagnostic de troubles dépressifs modérés avec troubles de l'adaptation est posé. Un traitement et un suivi ambulatoire sont proposés, mais ils sont refusés par la patiente. Concernant son diabète, au vu du profil glycémique haut et de la mauvaise fonction hépatique, nos collègues de diabétologie proposent un relais de la thérapie par insuline basale. L'enseignement pour le retour à domicile est très difficile et la patiente se montre peu compliante. Une thérapie orale par Metformine et Januvia est alors décidée. L'insulinothérapie basale resterait la meilleure option thérapeutique et nous laissons le soin au médecin traitant de réévaluer sa faisabilité à domicile à distance. La patiente retourne à son domicile le 18.12.2018 avec mise en place de repas à domicile 1x/j ainsi que l'organisation d'un semainier. Elle sera revue à la consultation de Dr. X le 27.12.2018. Mme. Y, 75 ans, en home depuis peu à Kerzers, connue pour une hydrocéphalie normotensive avec un drain ventriculo-atrial, une épilepsie séquellaire de cette hydrocéphalie sous Keppra, une BPCO, est transférée de l'Inselspital vers notre service de médecine interne pour une prise en charge suite à un choc septique sur péritonite stérolocale sur déhiscence d'anastomose d'une chirurgie de prolapsus rectal. A l'anamnèse, la patiente parle peu et semble très fatiguée. Les réponses aux questions sont partielles et à la fiabilité discutable. Elle dit vouloir dormir et qu'on la laisse tranquille. A l'anamnèse systématique, elle se plaint uniquement d'une toux et dit n'avoir pas de douleurs. L'hétéroanamnèse de la fille rapporte que la patiente avait avant l'hospitalisation à l'Insel un bon moral, qu'elle aimait rire, se mobilisait peu (et surtout en fauteuil roulant), avait un excellent appétit. Au status, nous retrouvons une patiente à l'état général très diminué et dénutri, déshydratée, normocolorée, collaborante, calme, elle parle très peu et semble désorientée. Elle est alitée et non mobilisable (y compris avant l'opération où elle était en fauteuil roulant la plupart du temps selon l'hétéroanamnèse de la fille). Il existe une hypophonie (probablement post-intubation aux SI). Le status cardio-vasculaire et pulmonaire est sans particularités hormis des petits crépitants audibles diffusément. Au niveau abdominal, sont présentes 2 stomies en bon état, et un pansement-VAC en bon état de fonctionnement. La plaie opératoire est propre. L'ébranlement lombaire est négatif. Le status neuro n'a pu être réalisé étant donné le manque de collaboration de la patiente. Le consilium logopédique met en évidence une dysphagie modérée à sévère de la phase orale et pharyngée avec un risque de broncho-aspiration, probablement partiellement dû à l'intubation réalisée aux soins intensifs. Un régime mixé-lisse 2c est prescrit, et les liquides sont épaissis. Nous diagnostiquons dans le même temps une malnutrition protéino-énergétique sévère probablement en lien avec ces troubles de la déglutition et avec un appétit très diminué. Une sonde naso-gastrique est mise en place et arrachée 2 fois par la patiente. Le 7/12/18, après que la patiente ait de nouveau arraché la sonde, la décision est prise en accord avec la fille et selon les volontés supposées de la patiente, de ne pas la remettre en place. Pour information, des directives anticipées datant d'il y a 2 ans ont été laissées par la patiente. Les douleurs sur la plaie post-opératoire, particulièrement à la mobilisation et aux changements de VAC, sont gérées par un patch de Fentanyl, de la Novalgine, du Dafalgan, et des réserves d'Oxynorm. Au vu du contexte clinique et d'une péjoration de l'état de la patiente, une prise en charge palliatif de soins de confort est instituée. La patiente décède paisiblement le 09.12.2018. Mme. Y, 75 ans, récemment diagnostiquée d'un adénocarcinome du caecum et d'un phéochromocytome gauche, hospitalisée en chirurgie jusqu'au 21.12.2018. Elle a bénéficié d'une première séance de radiothérapie le 21.12.2018 à visée hémostatique et a débuté un traitement alfa-bloqueur (Dibenzyran 3x 10 mg) le 20.12.2018 au soir pour le phéochromocytome. Elle consulte le service des urgences le 23.12.2018 pour des diarrhées sanglantes présentes depuis la veille au soir, associées à une asthénie. Nous estimons que ces symptômes sont en lien avec l'adénocarcinome du caecum ainsi que la radiothérapie. Les diarrhées se tarissent spontanément durant l'hospitalisation. Au status, la patiente présente des tremblements au repos, en lien avec des troubles électrolytiques et notamment une hypocalcémie. Le laboratoire montre en effet de multiples carences électrolytiques, et après substitution, les tremblements disparaissent. Nous mettons en suspens le traitement de Co-Aprovel et débutons une restriction hydrique, ce qui permet de corriger la natrémie à une vitesse adéquate. Nous reprenons l'Irbesartan dès le 28.12.2018. Nous mettons en évidence une péjoration de l'anémie déjà connue dans le contexte oncologique et sur diarrhées sanglantes, et la patiente reçoit 1 culot érythrocytaire avant son retour à domicile. Sur le plan oncologique, la radiothérapie du caecum est reprise dès le 26.12.2018 pour les 4 séances résiduelles. Sur le plan endocrinien, le Dibenzyran est augmenté jusqu'à 4x 10 mg par jour. Mme. Y rentre à domicile le 31.12.2018, au vu de l'évolution favorable. Mme. Y, 75 ans, connue pour une arthropathie destructive et scoliose, est adressée pour un déficit de force de la cuisse droite. Lors de son évaluation aux urgences, la force de la cuisse est conservée et nous mettons uniquement en évidence une radiculopathie L5 ancienne selon la patiente avec un pied tombant et une hypoesthésie dans le territoire correspondant du membre inférieur droit. La radiographie lombaire montre l'importante scoliose sinistro-convexe connue. Il n'y a pas de fracture. Nous débutons un traitement de dexaméthasone le 20.12.18 afin de traiter une éventuelle composante irritative de sa radiculopathie, sans effet, motivant l'arrêt du traitement le 24.12.2018. Lors de son séjour, la patiente bénéficie de physiothérapie locomotrice. La patiente demeure cependant encore insécure à la marche et nous organisons une réhabilitation musculosquelettique à Billens afin d'améliorer sa mobilité en vue d'un retour à domicile durable. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y, 76 ans, admise en post-opératoire d'une laparoscopie pour une péritonite localisée suite à une pose de PEG. La patiente est hospitalisée en ORL pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal latéral gauche pour lequel elle bénéficie d'une tumorectomie. Lors de l'intervention, une gastrostomie endoscopique percutanée est mise en place par les gastro-entérologues pour renutrition. Dans les suites, la patiente présente des douleurs abdominales motivant un bilan radiologique qui révèle un abcès de la paroi abdominale au point de passage de la PEG. Un rinçage est effectué sous laparoscopie ainsi qu'une refixation de la PEG à la paroi le 22.12.2018. Transférée en post-opératoire aux soins intensifs, la patiente est hémodynamiquement stable pendant la surveillance. Elle maintient ses diurèses et l'antalgie est contrôlée. L'antibiothérapie est à poursuivre pour une durée minimale de 7 jours, la durée totale est à préciser avec le Dr. X. La SNG ramène du liquide de moyenne abondance. La patiente souffrant d'une dysphagie sévère, une hydratation par la PEG a été débutée dans l'attente d'une reprise de transit.Patiente de 76 ans connue pour un carcinome épidermoïde du plancher buccal latéral gauche, classé pT1 G1-2 LV0 Pn0 R1 uN0/cN2a cM0, pour lequel nous effectuons le 19.12.2018 une tumorectomie et fermeture par glissement de la muqueuse adjacente. L'intervention se déroule sans complication per-opératoire. Dans le même temps, une PEG est mise en place par les gastroentérologues. Dans les suites, la patiente présente des douleurs abdominales motivant un bilan radiologique qui révèle une laxité de la PEG, dont les tentatives de fixation s'avèrent infructueuses. Un péritonisme s'installe en raison de fuites autour de la PEG avec formation d'un abcès de la paroi abdominale. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie, initialement par Ceftriaxone et Metronidazole puis par Tazobac, mais persistance de la symptomatologie avec nécessité d'une laparoscopie exploratrice en urgence le 21.12.2018 afin d'effectuer un rinçage abondant avec fixation de la PEG à la paroi. Dans les suites de la laparoscopie, Mme. Y est hospitalisée aux Soins Intensifs du 23.12.2018 au 25.12.2018 pour un pic hypertensif avec une gastroparésie post-opératoire. L'hypertension est gérée dans un premier temps par Trandate avec un switch par une triple thérapie antihypertensive par la PEG, après l'accord des chirurgiens. Le 28.12.2018, la patiente présente une anurie suite à une insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine rénale sur probable nécrose tubulaire aiguë (dans le cadre d'une hypotension artérielle sur traitement anti-hypertenseur agressif). Tous traitements anti-hypertenseurs stoppés, la patiente reprend une diurèse normale et la fonction rénale aux contrôles laboratoires se normalise. Un contrôle chez le médecin traitant est proposé le 05.01.2019. La patiente peut donc rentrer à domicile le 31.12.2018. Patiente de 76 ans nous est adressée par le Dr. X pour une dyspnée et thoracalgie à l'effort et une ergométrie cliniquement positive. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bitronculaire avec subocclusion calcifiée de l'ACD moyenne et sténose significative de l'IVA moyenne. La patiente bénéficie d'une angioplastie de l'artère coronaire droite moyenne par Rotablator et implantation de 1 stent actif avec bon résultat final. Un traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Efient 10 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. Le reste du traitement reste inchangé. La patiente sera convoquée pour une re-coronarographie dans 1 mois pour PCI de l'IVA. Nous proposons un contrôle dans 2 mois chez Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 année. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications majeures. Le patient rentre le 15.12.2018 à domicile. Patiente de 77 ans, admise aux soins intensifs le 06.12.2018 en raison d'une embolie pulmonaire centrale à risque intermédiaire-haut. Elle consulte initialement aux urgences en raison d'une dyspnée depuis 3 semaines, en progression rapide sur les dernières 72 heures. Le CT scan met en évidence une embolie pulmonaire centrale avec répercussion sur le VD (au CT) et troponines positives. Elle est classée risque intermédiaire haut. Une anticoagulation par Héparine non fractionnée ainsi qu'une oxygénothérapie sont débutées avec une amélioration clinique rapide. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. L'évolution clinique est sans particularité. L'échocardiographie réalisée le 07.12.2018 montre des signes discrets de dysfonction droite, sans signe de défaillance associée. Dans ce contexte, aucun traitement invasif n'est effectué. Un relais est effectué par héparine de bas poids moléculaire pour la suite de prise en charge. Nous n'avons pas identifié en l'état de facteur déclencheur de l'embolie pulmonaire. Elle est mobilisée au fauteuil dès le 07.12 au matin, sans complication. Une insuffisance rénale légère est mise en évidence à l'admission. Elle s'améliore spontanément après réhydratation a minima. Une thrombopénie est mise en évidence dès l'admission. À l'anamnèse dirigée, nous ne retrouvons pas d'exposition récente à l'héparine en dehors de l'hospitalisation actuelle. Une possible composante de CIVD est suspectée. Un bilan carentiel est en cours. Nous vous proposons de contacter le médecin traitant afin d'obtenir des valeurs de base. En cas d'évolution défavorable, un avis hématologique est préconisé. La patiente est transférée en médecine le 07.12.2018 pour suite de prise en charge. Patiente de 77 ans, connue pour une paraparésie flasque des membres inférieurs post-cure de hernie discale, qui est hospitalisée pour une baisse de l'état général avec douleurs aux MI et une hyperkaliémie objectivée à son entrée. Au cours de l'hospitalisation, nous diagnostiquons une pneumonie basale gauche au vu de la toux, d'un état fébrile et d'un possible foyer à la radiographie. Des cultures d'expectorations reviennent positives pour Haemophilus influenzae. Nous introduisons une antibiothérapie par Rocephin IV puis per os par Co-amoxicilline à poursuivre jusqu'au 31.12.2018 avec une bonne évolution clinique. Le bilan biologique d'entrée montre une hyperkaliémie à 6 mmol/L survenant dans un contexte d'IRA et d'acidose. Nous introduisons du Resonium et stoppons les traitements anti-hypertenseurs avec une bonne évolution biologique. Une insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale est corrigée par hydratation et arrêt des traitements anti-hypertenseurs. Une acidose mixte respiratoire et métabolique est corrigée après résolution de l'insuffisance rénale et de l'hypoventilation. Nous réintroduisons le Torem et l'Aprovel mais pas l'Aldactone avec une bonne évolution clinique. La patiente présente des douleurs à la jambe droite de type décharges électriques, en lancées, de quelques secondes, partant de la cuisse droite descendant jusqu'à mi-mollet. Elle est connue pour des douleurs neurogènes chroniques des membres inférieurs et a présenté par le passé ce même type de décompensation. Nous constatons des œdèmes aux membres inférieurs plus prononcés à droite. Un ultrasons permet d'exclure une thrombose veineuse profonde et nous proposons un suivi clinique. Nous continuons le traitement antalgique habituel et remplaçons l'Oxynorme par de la Buprénorphine avec une bonne évolution clinique. Une hernie parastomiale, augmentée de taille, se normalise avec un traitement laxatif. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 27.12.2018 avec de l'aide à domicile. Patiente de 77 ans est venue pour une prise en charge des lésions coronariennes connues de l'IVA et la CX. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne tritronculaire avec une occlusion chronique de CD proximale après stenting, une sténose significative à 70 % de l'IVA moyenne et une longue sténose calcifiée de l'artère circonflexe. Comme convenu, nous effectuons une angioplastie des deux branches épicardiques gauches avec 3 stents actifs et un bon résultat immédiat. Un traitement par double anti-agrégation plaquettaire par Aspirine cardio 1-0-0 pour 1 mois et Plavix 75 mg 1-0-0 pour 6 mois est débuté. L'anticoagulation par Xarelto 15 mg est poursuivie à vie. Le reste du traitement est inchangé. Nous proposons un contrôle dans 1 mois chez le Dr. X ainsi qu'une ergométrie dans 1 an. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 08.12.2018 à domicile. Mme. Y, 77 ans, se présente ce jour avec une douleur lombaire droite continue datant de 3 jours sans irradiations, sans fièvre, évaluée à EVA 7/10 aux pics, sans troubles sphinctériens, sans troubles moteurs à la marche et sans perte de sensibilité aux membres inférieurs. Un laboratoire sanguin et urinaire est effectué et les deux sont rassurants. En raison des résultats clinico-biologiques non inquiétants et en l'absence de red flags, nous décidons de laisser Mme. Y rentrer à domicile avec une antalgie simple et un myorelaxant (Sirdalud) pour soulager ses symptômes. Nous invitons également Mme. Y à se présenter chez son médecin traitant en cas de persistance de ses symptômes ou de revenir aux urgences en cas d'apparition de red flags (fièvre, troubles de la marche, perte de force/sensation des membres inférieurs, troubles sphinctériens). Mme. Y, 77 ans, vous nous adressez le 06.12.18 pour une suspicion d'embolie pulmonaire. En effet, Mme. Y présente une dyspnée évoluant depuis 1 mois, initialement associée à une IVRS, évoluant défavorablement, motivant sa consultation chez vous le 06.12.18. Devant une augmentation des d-dimères et des troponines, vous nous l'adressez le jour même au vu de la suspicion d'une embolie pulmonaire avec répercussion cardiaque. Un angio-CT est réalisé, qui confirme cette suspicion avec de multiples embolies pulmonaires, au niveau central à droite et segmentaire bilatérale, avec des répercussions cardiaques et une zone d'infarcissement pulmonaire dans le segment postéro-basal gauche. Une anticoagulation par héparine IV continue est débutée et Mme. Y bénéficie d'une surveillance aux soins intensifs pendant 24 h qui se déroule sans particularités. L'échocardiographie y est rassurante et la dyspnée s'améliore. Une thrombolyse n'est donc pas réalisée. Mme. Y est alors transférée à l'étage. L'évolution clinique est favorable et l'oxygène est progressivement diminué. Mme. Y demeure cependant oxygéno-dépendante sous 1 L, notamment à l'effort. Sur le plan de l'anticoagulation, nous effectuons lors du séjour un relais par HBPM puis par rivaroxaban dès le 11.12.18. Au vu de l'absence d'identification de facteurs étiologiques, l'anticoagulation sera à poursuivre pour 6 mois puis sera réévaluée lors du rendez-vous de suivi en angiologie. Sous rivaroxaban, Mme. Y développe un épistaxis droit le 12.12.18 due à une ectasie vasculaire qui est alors cautérisée au nitrate d'argent par les ORL avec absence de récidive de saignement. Une thrombopénie est mise en évidence dès l'admission, possiblement sur consommation au vu de l'importance de l'embolie. Au vu de la cinétique, un HIT n'est pas retenu. La thrombopénie se corrige entièrement lors du séjour. Le bilan vitaminique ne met pas en évidence de carence. À noter cependant la découverte fortuite d'une augmentation de la TSH pour laquelle nous proposons un contrôle à distance. Au vu de l'évolution favorable, Mme. Y rentre à domicile le 18.12.18 avec mise en place de la ligue pulmonaire pour poursuite de l'oxygénothérapie à domicile. Mme. Y, 78 ans, est admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique en raison d'une suspicion d'accident vasculaire cérébral. Mme. Y, connue pour un hémisyndrome résiduel gauche minime, suite à un AVC pontique en 2017 d'origine cardio-embolique supposée mais non objectivée, présente un état confusionnel aigu avec dysarthrie et dysmétrie transitoires (15 minutes). Le CT-scan cérébral effectué en urgence ne met pas en évidence d'accident vasculaire aigu. L'IRM effectuée le lendemain montre les lésions déjà connues mais pas de lésion nouvelle compatible avec un AVC aigu. À noter que Mme. Y présente une rhinite depuis quelques jours et que l'IRM cérébrale montre une sinusite aiguë. Nous retenons une réactivation des lésions de l'AVC connu dans un contexte inflammatoire. Mme. Y reste stable sur le plan neurologique et elle ne présente pas d'état fébrile ni de syndrome inflammatoire biologique. Nous proposons un traitement symptomatique pour la sinusite. Le reste du traitement est inchangé. L'examen neurologique à la sortie met en évidence une discrète parésie faciale et une diminution de la sensibilité de l'hémicorps gauche, déjà présente depuis l'accident vasculaire cérébral de 2017. Mme. Y, 78 ans, nous est adressée pour un angor d'effort. Nous effectuons alors une coronarographie en électif qui montre une maladie coronarienne bi-tronculaire avec une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, une lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure moyenne et une sténose significative de la première marginale. Elle présente également une lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale ainsi qu'une lésion intermédiaire de l'artère coronaire droite distale. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (80%). Mme. Y bénéficie d'une angioplastie de la première marginale avec implantation de 1 stent actif. Le traitement par double anti-agrégation par Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie et Clopidogrel 75 mg/j pour 6 mois est continu. Le reste du traitement reste inchangé. Les suites post-interventionnelles et la surveillance rythmique aux soins intensifs sont sans complications. Mr. Y rentre le 21.12.2018 à domicile. Mme. Y, 78 ans, polymorbide, est amenée aux urgences par ambulance suite à une chute durant la nuit du 14.12.2018 dans le contexte d'une probable syncope. Mme. Y présente une fracture du sternum, au tiers distal, avec léger déplacement du cortex osseux postérieur et fractures des côtes 3, 4 et 5 à gauche, une fracture de P2 au niveau distal du 2ème orteil droit. Vu la station prolongée au sol suite à la chute, elle présente une rhabdomyolyse. Pendant l'observation aux urgences, un ECG est effectué, ne montrant pas de signe pathologique. Le bilan biologique montre des D-dimères très élevés, raison pour laquelle un angio-CT est effectué, qui exclut une embolie pulmonaire. Mme. Y est hospitalisée pour surveillance et traitement antalgique. Durant le séjour, bon contrôle de la douleur. À l'auscultation pulmonaire, murmure vésiculaire dans tous les champs, sans bruit surajouté. Douleurs lors de la respiration profonde. À l'auscultation cardiaque, bruits bien frappés, sans souffle surajouté. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'une physiothérapie respiratoire. Une radiographie de contrôle est préconisée à 10 jours. Mme. Y présente un hématome au niveau des deux genoux, sans fracture péri-prothétique à la radiographie. Mme. Y se mobilise en charge complète. Une syndactylie est effectuée au niveau du 2ème orteil droit pour une durée d'un mois après le traumatisme. Devant la bonne évolution clinique, Mme. Y regagne son domicile le 21.12.2018. Mme. Y, 78 ans, nous est adressée le 06.12.2018 par nos collègues néphrologues en raison d'un NSTEMI dans un contexte de nouvel épisode de FA rapide (160 bpm) avant branchement de dialyse avec hypotension, angor atypique et troponines positives. La coronarographie montre une maladie tritronculaire avec 2 lésions serrées (ostia Cx et IVA) et 2 lésions < 50% de l'IVA et la CD qui ne sont pas traitées. La fonction ventriculaire gauche est à 65%. L'Aspirine est à poursuivre à vie, Mme. Y est chargée en Clopidogrel qui est à poursuivre pour 3 mois. Le Sintrom est repris dès le 08.12.2018. En cas de récidive de FA, les cardiologues proposent une fermeture du LAA. Le point de ponction fémoral est à suivre attentivement. Un avis angiologique pourra être pris selon l'évolution.Une HTA sévère est mise en évidence. Elle est initialement traitée par TNT iv puis une majoration du traitement est débutée et sera à adapter. La patiente est dialysée le lendemain de sa coronarographie. La diurèse déjà forcée par diurétiques reste bonne malgré l'injection de produit de contraste. Patiente de 79 ans connue pour des lombalgies chroniques d'origine mixte (suivie par Dr. X) ainsi qu'une maladie de Parkinson que vous nous avez adressée au vu de douleurs répondant mal au traitement actuel ainsi que des vomissements et une asthénie depuis 2 mois. Nous avons maintenu l'infiltration sacro-iliaque gauche en ambulation qui était prévue le jour même de son entrée à notre étage, et réalisée par le Dr. X. Elle a permis une amélioration significative des douleurs lombaires. Son traitement antalgique de fond par Oxycodone est maintenu, et l'Arcoxia est suspendu au vu de la problématique des vomissements. A ce sujet, elle décrit depuis 2 mois une asthénie progressive ainsi que des vomissements quotidiens généralement après la prise de médicaments. Dans le cadre de sa maladie de Parkinson, elle est connue pour une légère dysphagie aux liquides. La nature chronique de ces vomissements rend peu probable une cause médicamenteuse comme cause à l'acutisation récente, notamment pour le Stalevo comme rediscuté avec Dr. X. De même, la prise d'opioïdes en tant qu'analgésique est chronique chez cette patiente et donc peu suspecte. Bien qu'un ulcère gastrique ait été documenté en 2013, il n'y a pas de notion d'hématémèse ni de douleur abdominale/épigastrique, rendant peu utile une éventuelle gastroscopie sachant qu'un traitement d'IPP est déjà en cours. Par ailleurs, une diminution des nausées et des vomissements est observée pendant le séjour, après introduction d'Ondansetron et reprise d'un bon transit. Nous renonçons ainsi à d'autres investigations. Bien que l'évolution soit favorable pendant l'hospitalisation, un retour à domicile paraît difficile à envisager dans l'immédiat au vu d'une symptomatologie vertigineuse à la mobilisation et d'une limitation dans les AVQ. Une réhabilitation gériatrique est donc planifiée. La patiente a également été inscrite dans différents EMS par sa famille, mais un retour à domicile est souhaité dans un premier temps. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 79 ans connue pour une chondrocalcinose, une BPCO stade II, une HTA et une ostéoporose fracturaire, nous est référée par son médecin traitant Dr. X, pour un état fébrile avec syndrome inflammatoire. A l'entrée, la patiente raconte avoir de la fièvre depuis 2 jours jusqu'à 38°C avec une faiblesse généralisée et des troubles de la marche et de l'équilibre. Elle se plaint également de douleurs de l'hypochondre droit. L'anamnèse systématique retrouve de la fatigue, une toux sèche, sans dyspnée ni douleur thoracique. Il existe aussi une nycturie (déjà de longue date) sans dysurie ni pollakiurie. Au status, nous retrouvons une patiente normohydratée, ictérique au niveau cutané et conjonctival, parfaitement orientée aux 3 modes, collaborante, calme, et eupnéique à l'AA. La température est à 38.3°C, les autres paramètres vitaux sont dans la norme. A l'auscultation, nous percevons des murmures vésiculaires normaux et symétriques ainsi que de légers crépitements légers bibasaux. L'abdomen est souple et dépressible, sensible au niveau de l'hypochondre droit avec des bruits hydro-aériques audibles. L'ébranlement lombaire est négatif. Le status neuro est sans particularités hormis un Mingazzini non tenu, des réflexes ostéo-tendineux vifs et symétriques, et une marche instable. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire élevé avec une CRP à 200 et une hyperleucocytose neutrophile. Les antigènes urinaires Legionella et Pneumocoque sont négatifs. La radiographie du thorax montre un infiltrat pulmonaire basal droit compatible avec un foyer pulmonaire, associé à un petit épanchement pleural homolatéral. Sur l'hypothèse diagnostique probable d'une pneumonie basale droite, nous entamons une antibiothérapie par Rocéphine 2g par jour IV pendant 48h puis un relais per os par CO-Amoxicilline 1 g 2x/j pour un total de 7 jours avec une bonne évolution clinique. L'hyponatrémie légère diagnostiquée à l'entrée est prise en charge par une restriction hydrique et un apport sodé avec un bon résultat. Concernant l'hypercalcémie, le suivi laboratoire montre une stabilité de l'hypercalcémie légère et la PTH intacte se révèle dans les limites de la norme. Nous vous proposons de suivre la calcémie de la patiente et d'évaluer la nécessité d'investigations supplémentaires selon l'évolution. Concernant le probable passage de lithiase vésiculaire avec perturbation des tests hépatiques et de cholestase, nous réalisons un suivi qui montre une normalisation de la bilirubine. Nous vous proposons de réaliser un suivi des tests hépatiques et de cholestase. En cas de cholécystolithiase symptomatique ou récidive de passage de calcul, nous proposons une cholécystectomie. Nous mettons en évidence de manière fortuite des probables angiomyolipomes du rein droit et du rein gauche. Nous vous proposons d'organiser un ultrason de contrôle à 6 mois. Le 12.12.2018, nous pouvons laisser rentrer la patiente dans un bon état général. Patiente de 79 ans qui ressent une perte partielle de l'ouïe droite soudaine le 10.12.2018. Le bilan clinique aux urgences met en évidence le susmentionné. Sous avis ORL, la patiente sera vue à la consultation ORL le lundi 17.12.2018 à 11h30 chez Dr. X. Patiente de 79 ans, anticoagulée au long cours par marcoumar pour une fibrillation auriculaire, qui consulte aux urgences le 14.12.18 pour une dyspnée évoluant depuis plusieurs semaines, persistante malgré l'augmentation transitoire de son traitement diurétique habituel au vu d'une clinique de décompensation cardiaque à votre consultation, associé à une péjoration de ses palpitations. Aux urgences, une fibrillation auriculaire tachycarde à 170/min est mise en évidence. La patiente bénéficie d'un remplissage et d'un traitement cardiophrénateur à base de béloc. Le rate control demeure satisfaisant lors de la suite de son séjour sous métoprolol 2x75mg et digoxine 0.125mg tous les 2 jours. Au vu de la persistance d'une dyspnée, malgré l'absence de clinique franche de décompensation cardiaque initialement et la résolution de la tachycardie, nous complétons les investigations par un CT thoracique qui met en évidence une embolie pulmonaire lobaire inférieur gauche, malgré un INR thérapeutique. Après avis hématologique, nous changeons de modalité d'anticoagulation et remplacons le marcoumar par l'éliquis dès le 17.12.18 pour une durée minimale de 6 mois. A noter que les cardiologues ne retiennent pas d'indication cardiologique à l'anticoaguler au long cours. La patiente développe par la suite des signes de décompensation cardiaque, d'origine mixte sur la mise en suspend transitoire du torasémide et des passages rapides de la fibrillation auriculaire avec une FEVG estimée à 19% à l'ETT sans autre étiologie identifiée. La patiente retrouve un état euvolémique sous torasémide 20mg et aldactone 50mg.Sur le plan endocrinien, nous mettons en évidence une TSH augmentée sous le traitement habituel de néomercazole. Nous le mettons en suspend et proposons un contrôle de la fonction thyroidienne à 6 semaines. Au vu de l'évolution favorable, la patiente rentre à domicile le 27.12.2018. • Patiente de 80 ans, connue pour hypertension artérielle traitée, dyslipémie traitée et tumeur neuro-endocrine bien différenciée en partie kystique de la queue du pancréas pT2N0R0 avec status après pancréatectomie distale avec reconstruction en Y selon Roux avec anastomose pancréatico-jéjunostomie termino-latérale et splénectomie le 10.12.2013, ainsi que pour AVC ischémique pariéto-temporal droit sans zone infarcie en 2013, se présentant aux urgences de l'HFR Riaz pour baisse d'état général. Mme. Y rapporte avoir une baisse d'état général depuis sa chute, avec fracture du col fémoral gauche traitée par mise en place d'une prothèse céphalique le 09.11.2018. Elle se plaint en outre d'une asthénie importante avec inappétence et perte de 4 kg en un mois (passant de 85 kg à 81 kg). Mme. Y signale également des vertiges rotatoires anti-horaires surtout présents lors de la mobilisation et qui s'améliorent après 5 minutes d'immobilisation. Les vertiges sont apparus depuis le 07.12.2018 alors qu'elle se baissait pour ramasser quelque chose. Un test de Schellong effectué le 14.12.2018 s'avère négatif. La patiente déclare ne plus souffrir de ces vertiges durant le séjour. Néanmoins, nous objectivons une anxiété de type anticipatrice très importante, avec des difficultés d'endormissement. Nous introduisons à but hypnotique la Mirtazapine à 15 mg, avec de bons effets. Durant son séjour, Mme. Y bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 12.12.2018 au 20.12.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 28/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 1/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À la sortie, son périmètre de marche seule à l'aide d'un rollator est de 200 mètres. La patiente peut gravir 9 marches avec main courante. Elle nécessite une légère aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126, par rapport à 90/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 5/7). Le TUG est à 20 secondes avec rollator. Le risque de chute est intermédiaire. Durant le séjour, Mme. Y bénéficie d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence l'absence de malnutrition protéino-énergétique avec un indice de masse corporelle à 28.7 kg/m2. La patiente bénéficie d'un bilan modulaire d'ergothérapie mettant en évidence de bonnes capacités cognitives et sensorielles. Sur le plan social, la patiente est veuve et vit seule. Elle habite dans un immeuble au premier étage avec ascenseur. Une de ses filles représente une ressource pour elle. Devant la bonne évolution de la patiente, un retour à domicile est décidé le 20.12.2018, avec passage des soins à domicile 1x/j. • Patiente de 80 ans, 4 gestes 4 pares, hospitalisée pour prise en charge d'un carcinome mammaire du sein gauche. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale avec tumorectomie gauche sous harpon et recherche de ganglion sentinelle. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 30.11.2018 et se déroule sans complications. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les redons sont retirés le 02.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 02.12.2018 et sera revue en contrôle post-opératoire le 06.12.2018 pour refaire le pansement et discussion des résultats, à la consultation du Dr. X. • Patiente de 81 ans, connue pour une cardiopathie valvulaire et hypertensive, qui est hospitalisée de manière élective pour un bilan internistique avant la pose d'une PTH gauche en raison d'une coxarthrose (initialement prévue le 28.11.2018 mais annulée au vu d'un perturbation de la crase). Elle décrit des douleurs de la hanche gauche, augmentées à la mobilisation, et des œdèmes des membres inférieurs. Au status, nous retrouvons un souffle systolique. L'échocardiographie révèle une insuffisance mitrale massive ainsi qu'une hypertension artérielle pulmonaire sévère, ce qui contre-indique formellement la chirurgie orthopédique. Nous décidons de ne pas effectuer d'investigations supplémentaires concernant la faisabilité d'un mitral clip, jugeant cela trop invasif au vu de l'HTAP avancée et l'âge, mais plutôt d'optimiser le traitement médicamenteux. Nous organisons un entretien avec la patiente, ses filles et l'anesthésiste afin de leur expliquer cette situation. Concernant la coxarthrose, nous poursuivons le traitement antalgique par paracétamol, et elle bénéficie de physiothérapie. L'évolution étant favorable, la patiente rentre à domicile le 22.12.2018 avec des soins à domicile 2x/jour. • Patiente de 81 ans, hospitalisée aux soins intensifs pour surveillance après coronarographie avec angioplastie et stent sur l'artère interventriculaire antérieure proximale pour un NSTEMI antérieur le 13.12.2018. La patiente, connue pour une coronaropathie bitronculaire, stentée par le passé sur la coronaire droite et sur la diagonale, consulte les urgences de l'hôpital de Payerne pour des douleurs retro-sternales typiques. L'ECG montre un sus-décalage V2, V3 de 1 mm avec un mouvement de troponines. La patiente bénéficie d'une coronarographie le 15.12.2018 qui met en évidence une lésion monotronculaire de l'IVA dans sa partie proximale et moyenne. Une angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale avec implantation du stent actif est effectuée avec la proposition d'une double antiagrégation pendant une année (Aspirine et Brilique), suivie par une antiagrégation par Aspirine à vie. Une échocardiographie est à effectuer dans 48 heures. L'évolution dans les heures suivant le geste est marquée par la survenue d'un hématome sous-cutané au niveau du point de ponction, sans autre complication. L'hémoglobine reste stable. Une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 est mise en évidence, probablement pré-rénale dans le contexte du jeûne avant le geste. Une hydratation prudente est initiée. La patiente est transférée aux soins intensifs de Payerne 6 heures après la coronarographie. • Patiente de 81 ans, hospitalisée en réhabilitation aiguë gériatrique à l'hôpital de Tavel dans le cadre d'une chute mécanique à domicile, présente ce jour des vomissements répétés avec subite chute du GCS à 3/15 raison pour laquelle nos collègues de Tavel appellent le SMUR. Sur site, la patiente présente un GCS à 3/15 avec hypertension à 210/78 mmHg, mydriase bilatérale aréactive. Elle bénéficie d'une sédation avec Dormicum, Fentanyl et Esmeron avec intubation et transfert à l'HFR-Fribourg pour suite de prise en charge. Aux urgences de l'HFR-Fribourg, la patiente présente toujours un GCS à 3/15, hémodynamiquement stable, nous effectuons un bilan biologique ainsi qu'un CT-cérébral natif mettant en évidence une hémorragie cérébrale massive. Une décompression ou un drainage ventriculaire ne permettant pas une amélioration ou restitution clinique acceptable selon nos collègues neurochirurgiens, nous effectuons en accord avec la famille et les soins intensifs, un retrait thérapeutique.Mme. Y décède dans le service des urgences, entourée de ses proches le 08.12.2018 à 4h15. • Patiente de 81 ans qui nous est adressée pour une réadaptation gériatrique suite à une hospitalisation en chirurgie HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour iléus mécanique nécrotique du grêle sur bride le 21.10.2018, compliqué par un NSTEMI sur hypovolémie, pneumonie de broncho-aspiration et candidémie de probable origine digestive. A Fribourg, une sonde nasogastrique avait été posée en raison d'une malnutrition sévère. Ce jour, Mme. Y est adressée dans notre service de réadaptation gériatrique HFR Riaz pour reconditionnement. • A noter des troubles du sommeil rapportés par la patiente, déjà connus et persistants malgré un traitement par Trazodone et Distraneurin. • A son arrivée dans notre service, Mme. Y est en état général moyen, se plaint de nausées connues depuis ses précédentes hospitalisations. • Au bilan d'entrée, relevons une hypokaliémie à 3.2mmol/l, que nous substituons. Le bilan vitaminique objective une hypovitaminose B9 et B12, qui est substituée. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. • Le 19.11.2018, au vu de douleurs abdominales et d'une perturbation des tests hépatiques, nous effectuons un CT abdominal qui ne montre pas de diverticulite ni de récidive d'iléus. Par la suite, nous effectuons un contrôle des valeurs hépatiques, qui se normalisent. • Durant ce séjour, la nutrition par sonde nasogastrique est poursuivie avec 750mg par jour ; remarquons que la sonde est enlevée de manière involontaire le 29.11.2018. En accord avec le service de nutrition, nous ne la reposons pas pour l'instant, mais effectuons un bilan calorique et proposons à la patiente de boire des suppléments nutritifs à raison de 3 unités par jour, qu'elle apprécie et qui lui permettent de couvrir de manière optimale ses besoins nutritionnels. • Sur le plan médicamenteux, nous mettons en place 6.25mg de Quétiapine le soir en raison d'une agitation, avec un bon effet, ainsi qu'un traitement de Motilium en réserve pour les nausées. • La patiente présente un risque de chute à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. • Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie pour les transferts sous guidance. Concernant la marche, la patiente est extrêmement ralentie. En outre, se sentant souvent fatiguée, la patiente accepte de faire ses exercices au lit. • Mme. Y a besoin d'aide pour les soins, ne montrant aucune initiative dans les activités de la vie quotidienne malgré ses capacités, et devant donc être stimulée. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 46/126 par rapport à 39/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 3/7, marche 4/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 23 secondes avec rollator. Le risque de chute est élevé. • Au niveau nutritionnel, nous mettons en évidence une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une inappétence sur nausées, douleurs et vomissements, et démontrée par un NRS à 5/7, un indice de masse corporelle à 17.6kg/m2 et une perte de 10% de son poids en moins d'un mois. En ce qui concerne la nutrition, et pour la suite de la prise en charge à domicile, nous proposons une alimentation enrichie en énergie et protéines ainsi qu'un supplément nutritif oral par jour. Une prise en charge diététique se poursuivra en outre en ambulatoire. • Le 03.12.2018, un colloque familial a lieu en présence de la patiente, afin de parler du projet de sortie : en accord avec les voeux de la patiente et de son époux, la décision est finalement prise pour un retour à domicile le 08.12.2018. Nous avons exprimé néanmoins nos inquiétudes. • Patiente de 81 ans, institutionnalisée, connue pour une BPCO stade Gold 3, au bénéfice d'une oxygénothérapie au long court à 2L/min augmentée sur ses derniers mois à 4L/min, chez qui on objective une désaturation à 67% sous ses 4L lors de sa consultation ambulatoire en pneumologie pour un suivi des fonctions pulmonaires. • A l'anamnèse, la patiente décrit une légère péjoration de sa dyspnée, présente actuellement au moindre effort, avec une toux et expectorations blanchâtres stables, sans état fébril. Elle présente une prise pondérale de 6kg en 3 mois, associée à une orthopnée et des œdèmes des membres inférieurs. La gazométrie met en évidence une hypoxémie à 5.3kPa, sans trouble acido-basique. La patiente est hospitalisée pour une insuffisance respiratoire hypoxémique sur probable décompensation cardiaque. La radiographie thoracique concorde avec cette suspicion. • Un traitement diurétique à base de furosémide, métholazone et aldactone est introduit avec une perte pondérale de 6kg, une diminution clinique de la surcharge, une amélioration de la dyspnée et de l'hypoxémie à la gazométrie. L'hypoxémie persistante et au vu de la maladie de Crohn avérée chez cette patiente, après relecture des images du précédent CT thoracique, une maladie interstitielle inflammatoire pulmonaire surajoutée est possible. Nous débutons alors un traitement d'épreuve empirique à base de prednisone 60mg dès le 05.12.18 pour 3 jours, avec une amélioration moins prononcée de l'hypoxémie. Nous retenons alors la décompensation cardiaque comme étant l'origine principale de la péjoration de l'insuffisance respiratoire hypoxémique chez cette patiente. • Sur le plan digestif, la patiente décrit des selles liquides-molles 2-3x/j, objectivées également lors de son séjour. Le CDA-index est faible, faisant suggérer un bon contrôle de la maladie de Crohn. Cependant, lors du traitement empirique par prednisone pour la pathologie pulmonaire, nous notons une résolution complète de ses selles liquides, laissant suspecter la persistance d'une activité de fond de la maladie de Crohn. Nous préconisons une réévaluation en ambulatoire du traitement de fond de la maladie de Crohn, d'autant plus au vu de la faible posologie actuelle d'Imurek avec un impact incomplet sur l'activité de la maladie et exposant tout de même la patiente à ses effets secondaires. • Dans le cadre du traitement diurétique intensif et les selles liquides, la patiente développe un état d'hypovolémie associé à une insuffisance rénale aiguë AKIN 1, une hypokaliémie et une hyponatrémie, qui se corrigent après mise en suspens des diurétiques, hydratation et substitution transitoire. • Au vu de l'évolution favorable, la patiente retourne dans son home le 12.12.18 avec une oxygénothérapie à 3/Lmin. • Patiente de 82 ans, admise aux soins intensifs le 11.12.2018 en raison d'une hémorragie active de varices basi-linguales. L'événement survient sous anticoagulation thérapeutique par Xarelto, prescrit en raison d'une fibrillation auriculaire chronique. • Un geste d'hémostase est réalisé sous anesthésie générale par l'équipe d'ORL le 11.12.2018, après réversion de la crase. La patiente bénéficie au total d'un soutien transfusionnel par 4 culots érythrocytaires et 2 concentrés plaquettaires. Le geste se déroule sans complication. Elle nous est alors adressée intubée et sédatée pour la suite de la prise en charge. • L'évolution dans notre service est simple, sans récidive hémorragique ni complication respiratoire. La patiente peut être extubée le 11.12.2018, sans complication. L'origine des varices basi-linguales demeure incertaine. Un CT-scan du cou est réalisé avant l'extubation et n'a pas permis d'identifier une éventuelle malformation veineuse ou encore un processus néoplasique à ce niveau. L'US-Doppler abdominal réalisé par la suite ne montre pas de signe d'hypertension portale. • Au vu de ce qui précède, le Xarelto est mis en suspens. Nous obtenons un contrôle satisfaisant de la fréquence cardiaque sous Metoprolol iv et une dose unique de digoxine iv, avant de reprendre le traitement anticoagulant habituel. Une échocardiographie est demandée afin de quantifier le degré de dilatation auriculaire et la FEVG (à suivre svp).La reprise éventuelle d'une anticoagulation thérapeutique à distance de l'épisode hémorragique actuel est à discuter avec les ORL et les cardiologues, en pondérant le risque hémorragique d'une part et le risque thromboembolique d'autre part chez une patiente connue pour une HTA pulmonaire sévère et une FA. En cas de risque thromboembolique élevé sans possibilité de reprise de l'anticoagulation, une fermeture d'auricule est à discuter. Dans le cas où la reprise d'une anticoagulation thérapeutique devait être décidée, une initiation par Liquémine avec relais par Sintrom est préconisée (réversibilité plus aisée de la crase en urgence). Concernant l'hyperthyroïdie connue en relation avec un goitre documenté au CT, un bilan endocrinien est en cours. En fonction des résultats, nous vous proposons d'organiser un consilium endocrinologique en vue d'une éventuelle majoration du Néomercazole. Une insuffisance rénale aiguë se corrige progressivement après réanimation volémique. Patiente de 82 ans, connue pour des troubles de la marche et de l'équilibre, qui chute à domicile de manière accidentelle avec traumatisme crânien le 03.12.2018 vers 21h. Elle est adressée par les soins à domicile le lendemain matin. Elle présente des plaies au niveau de la pommette et de l'arcade sourcilière gauche ainsi qu'au niveau du nez qui sont délabrantes et nécrotiques. Le scanner ne montre pas de fracture ni saignement intracrânien. Elle est prise en charge par les ORL qui suturent la plaie de l'arcade et préconisent une antibiothérapie. L'évolution est favorable par la suite. Le contrôle en ophtalmologie montre une conjonctivite bactérienne, de bonne évolution sous Floxal. Le CT met en évidence un nodule thyroïdien du lobe gauche, la TSH est dans la norme, et en accord avec l'endocrinologue, nous proposons de ne pas effectuer de bilan supplémentaire, la patiente étant asymptomatique. Après discussion avec les soins à domicile, Dr. X, la psychiatrie de liaison et vous-même, nous demandons à la Justice de Paix des mesures urgentes de protection de l'adulte. En effet, Mme. Y se met en danger à domicile et les possibilités d'aide et de soutien à domicile sont actuellement dépassées. Elle a régulièrement des crises d'angoisse, consomme des benzodiazépines et est incapable de discernement. Nous répétons un examen neuropsychologique le 18.12.2018 qui confirme les troubles cognitifs sévères. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 83 ans connue pour une sclérose latérale amyotrophique est hospitalisée dans le cadre d'hématochésie et méléna. L'anamnèse révèle un épisode d'hématochézie et de méléna le 12.12.2018 sans douleurs abdominales ni vomissement mais quelques nausées. La patiente décrit une fatigue progressive depuis le diagnostic de SLA ainsi qu'une perte de poids de 13 kg. L'examen clinique montre une patiente en état général diminué avec une faiblesse généralisée mais plus marquée sur l'hémicorps droit. Après discussion avec la patiente et sa famille et en accord avec ses directives anticipées, aucune investigation n'est entreprise et la patiente refuse une gastroscopie diagnostique et thérapeutique. Nous introduisons un traitement de Pantozol iv puis per os que nous vous proposons de poursuivre. Nous réalisons un suivi clinique de la patiente qui présente des épisodes de méléna et d'hématochésie intermittent mais reste asymptomatique entre les épisodes. Selon le désir de la patiente et sa famille et en accord avec le Home de Meyriez, elle est transférée en état général diminué le 14.12.2018 au Home de Meyriez pour suite de prise en charge palliative. Patiente de 83 ans, qui consulte le service des urgences le 25.12.2018 pour des malaises répétés le jour même suite au passage de selles puis à des efforts de vomissements. Au vu de l'anamnèse, nous retenons une origine vagale. Afin de compléter le bilan, au vu de plusieurs épisodes de syncopes sur ces derniers mois, nous effectuons un test de Shellong qui revient négatif et un Holter est posé le 27.12.2018. Lors du séjour, la patiente ne présente pas de récidive de vomissements ni de malaise. La patiente rentre alors à domicile le 28.12.2018. Patiente de 83 ans qui consulte les urgences pour des douleurs abdominales apparues depuis 3 jours en fosse iliaque droite associées à des nausées sans vomissements, ni état fébrile. Elle ne se plaint pas de dyspnée ou de douleurs rétrosternales. Mme. Y décrit juste une faiblesse depuis quelques jours et une anxiété. Elle ne se plaint pas de symptômes urinaires. Les dernières selles étaient normales la veille. Aux urgences, la patiente est afébrile, normocarde et normotendue. L'examen clinique retrouve de légers œdèmes des membres inférieurs aux chevilles, sans godet (la patiente porte habituellement des bas de contention pour des varices). L'abdomen est souple, douloureux en hypocondre droit, avec une défense, sans détente. Les signes de Murphy et Rovsing sont positifs. Il n'y a pas de douleur au point de Mac Burney. Le toucher rectal est sans anomalie. Le laboratoire retrouve un syndrome inflammatoire avec une CRP à 26 mg/l, sans leucocytose, ainsi qu'une insuffisance rénale avec une créatinine à 106 mcmol/l et une urée à 8.7 mmol/l pour laquelle une hydratation est instaurée. Les tests hépatiques sont dans la norme. Le CA 19.9 est augmenté à 38 U/ml. Le sédiment urinaire montre une leucocyturie et une hématurie microscopique. La culture retrouve une infection à E. Coli multisensible. La patiente bénéficie d'une antibiothérapie iv par Rocéphine 2 g/jour du 15.07 au 17.07.2018, avec un relais par Ciprofloxacine 500 mg - 2 x/jour du 18.07 au 22.07.2018, après réception de l'urotube retrouvant une infection à E. Coli multisensible. Nous effectuons un CT abdominal le 15.07.2018 qui permet d'exclure une appendicite mais qui montre une masse de 7.5 cm probablement au niveau de la tête du pancréas infiltrant le rein droit. Nous informons la patiente, puis l'hospitalisons en médecine pour prise en charge de cette infection urinaire et investiguer cette masse. Le 16.07.2018, la patiente bénéficie d'une IRM abdominale qui suspecte un adénocarcinome de l'uncus du pancréas, sans dilatation du Wirsung, avec des ganglions satellites. Un avis auprès de Dr. X, oncologue, est demandé qui propose la réalisation d'un CT thoracique dans le cadre du bilan d'extension qui ne retrouve pas de métastase pulmonaire. Le cas de la patiente est discuté lors du colloque du Tumor Board le 18.07.2018, qui conclut à une tumeur non opérable. Une biopsie par ERCP est proposée, puis un suivi oncologique à une semaine. Nous prescrivons également lors du séjour de la physiothérapie et demandons un bilan nutritionnel qui ne retrouve pas de malnutrition ou dénutrition. Le 18.07.2018, l'antalgie est augmentée avec initiation de morphiniques, puis nous mettons en place du Nexium 40 mg, la patiente se plaignant de brûlures gastriques après l'introduction de l'Oxycontin. Le laboratoire montre une amélioration de la créatinine à 95 mcmol/l. Nous informons la patiente de poursuivre une bonne hydratation et d'effectuer un contrôle par la suite à votre consultation.Mme. Barras regagne son domicile le 20.07.2018. Une biopsie pancréatique est organisée le 31.07.2018 avec un rendez-vous oncologique prévu au début août. La patiente va recevoir tous les documents à son domicile. • Patiente de 83 ans, que vous nous adressez en raison de l'évolution défavorable d'un ulcère prétibial à droite. La patiente décrit présenter cette plaie depuis plusieurs semaines, suite à un traumatisme direct. Par la suite, en raison d'une suspicion de surinfection, vous débutez une antibiothérapie à base de co-amoxicilline le 12.12.18. Au vu de la mauvaise évolution, vous nous adressez la patiente le 14.12.18 et un relais iv est effectué. La patiente bénéficie le 17.12.18 d'un bilan angiologique qui met en évidence une occlusion de l'artère fémorale superficielle et la persistance d'un axe jambier résiduel, la fibulaire. Elle bénéficie alors de la revascularisation de son membre inférieur gauche avec angioplastie au ballon et de l'artère fémorale superficielle et de l'artère fibulaire et mise en place d'un stent. La patiente bénéficie également de soins de plaies avec des débridements par notre équipe spécialisée. L'évolution locale est favorable, permettant un arrêt de l'antibiothérapie et un retour à domicile le 19.12.18 avec poursuite des soins de plaies 3x/semaine par les infirmières à domicile. • Patiente de 84 ans admise dans les suites opératoires d'une thrombendartériectomie élective de la carotide droite. L'indication opératoire a été posée en ambulatoire en raison de la mise en évidence d'une sténose carotidienne droite serrée, ainsi que des signes d'un AVC ipsi-latéral non daté et asymptomatique. L'évolution post-opératoire est favorable, sans événement notable durant la période de surveillance aux soins intensifs. Le traitement antihypertenseur est repris partiellement le 11.12.2018. Nous vous laissons le soin de l'adapter à l'étage en fonction de son profil tensionnel. • Patiente de 84 ans, connue pour une cardiopathie valvulaire, rythmique et hypertensive, qui est amenée aux urgences le 08.11.2018 par sa fille après l'avoir retrouvée à terre chez elle suite à un traumatisme crânien avec perte de conscience et amnésie circonstancielle. Initialement, Mme. Ansermet est hospitalisée du 08.11.2018 au 13.11.2018 en chirurgie HFR Riaz pour surveillance neurologique toutes les 4 heures, avec bonne évolution clinique, avant d'être transférée dans notre service de gériatrie aiguë pour bilan spécialisé avant retour à domicile. À l'anamnèse sociale, la patiente vit seule dans un appartement sans escalier ; elle se déplace à l'aide d'un rollator pour aller faire ses courses et utilise une canne pour se mobiliser à l'intérieur. Sur le plan hématologique, la patiente présente un facteur anti-Xa pour le Xarelto élevé (408 ng/ml) justifiant le changement vers l'Eliquis 2,5 mg bid après consilium pharmacologique clinique (Dr. X). Sur le plan ostéoarticulaire, Mme. Ansermet présente une fracture intra-extra articulaire du poignet gauche avec bonne évolution au suivi radioclinique. La patiente a un rendez-vous à la policlinique d'orthopédie le 18.12.2018 à 14h15 pour contrôle radioclinique à 6 semaines. En raison de la chute qui paraît d'origine multifactorielle, Mme. Ansermet bénéficie d'un traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 15.11.2018 au 29.11.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués à l'admission montrent des performances altérées avec un MMS à 24/30 et un test de la montre à 4/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 11/15. Une brève évaluation neuropsychologique a lieu le 22.11.2018 et met en évidence au premier plan des difficultés exécutives et gnosiques visuelles discriminatives. L'atteinte cognitive n'est donc pas importante et ne devrait pas entraver massivement la gestion des activités de la vie quotidienne. Sur le plan psychique, la patiente est vue par le gérontopsychiatre le 21.11.2018, le Dr. X, qui conclut à un épisode dépressif pour lequel le traitement par Escitalopram est majoré à 10 mg. La patiente bénéficie d'un suivi ergothérapeutique principalement au niveau des activités de la vie quotidienne. Durant son séjour, Mme. Ansermet effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, son périmètre de marche seule à l'aide d'un rollator est de 120 mètres. La patiente peut gravir 9 marches sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 87/126, par rapport à 75/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 4/7, marche à 5/7, escaliers à 2/7). Le TUG est à 25,43 secondes avec rollator. Durant le séjour, Mme. Ansermet bénéficie d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence une malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence et la thymie en baisse, démontrée par un NRS à 4/7 et des apports à 25-50 % des habitudes cette dernière semaine. Pour la sortie le 30.11.2018, nous augmentons la fréquence de passage des soins à domicile. • Patiente de 84 ans, connue pour une insuffisance veineuse des membres inférieurs, présente une dyspnée au repos depuis 3 jours sans DRS, toux ni expectorations associées. Au vu d'une persistance des symptômes avec apparition d'un état fébrile associé, elle fait appel au Dr. X de Medhome qui met en évidence une dyspnée sur probable sepsis urinaire et nous l'adresse dans ce contexte. Sur site, elle présente une dyspnée au repos sans douleurs, une tachypnée à 30/mn, une tachycardie à 110/mn, un état fébrile à 39°C, une désaturation à 84 % AA rétablie à 92 % sous 3L d'O2. Aux urgences, la patiente ne présente pas de douleurs et dit être soulagée par l'oxygène. • Patiente de 84 ans, récemment hospitalisée en gériatrie aiguë, qui consulte ce jour aux urgences de l'HFR Riaz pour des frissons. Elle explique que depuis son retour à domicile le 30.11.2018, elle se sent faible et présente des frissons depuis le 01.12.2018 l'empêchant de dormir. Le bilan biologique met en évidence une insuffisance rénale stable, pas de trouble électrolytique, une anémie stable et une légère augmentation de la CRP avec des GB normales. La radiographie du thorax constate une légère surcharge. L'ECG est superposable au précédent. Nous retenons un déconditionnement global dans un contexte infectieux : cystite aiguë traitée dans un premier temps à 1 g/j de ciprofloxacine avant d'adapter la dose à la fonction rénale (500 mg/j), et ceci avec une bonne évolution. Relevons le besoin de soutien d'une structure ambulatoire autour de Mme. Ansermet, qui s'avère néanmoins impossible actuellement du fait de sa nécessité quasi constante de réassurance. Il est important aussi de noter que la famille est épuisée et souhaite un placement. Durant son séjour, Mme. Ansermet effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'une canne simple est de 200 mètres, avec une dyspnée importante. La patiente peut gravir 18 marches avec main courante de manière sécuritaire. Mme. Ansermet nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 83/126, par rapport à 75/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 23,8 secondes. Le risque de chute est intermédiaire. Au niveau nutritionnel, nous mettons en évidence une légère malnutrition protéino-énergétique, en lien avec une inappétence et dans le contexte son état infectieux. Sur le plan médicamenteux, hormis l'antibiothérapie, nous effectuons des changements au niveau de la médication diurétique et psychotrope. Sur le plan diurétique, nous diminuons par moitié la Torasémide que Mme. Ansermet prenait à 40 mg/j à l'entrée avec l'introduction de la spironolactone à raison de 25 mg/j afin d'épargner le potassium qui a tendance à la baisse chez cette patiente ; nous effectuons un suivi clinique de la patiente afin de réévaluer les dosages.Sur le plan des psychotropes, nous introduisons la Mirtazapine à 15 mg à la place de son SSRI habituel et ceci à visée hypnotique de façon concomitante avec la Distraneurin. À partir du 11.12.2018, la patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. • Patiente de 84 ans, 4 gestes, 4 pares suivie pour un carcinome canalaire invasif du sein gauche. Dans ce contexte, nous lui proposons une prise en charge chirurgicale par tumorectomie du sein gauche avec ganglion sentinelle axillaire gauche. La patiente accepte en signant le consentement éclairé. L'intervention est effectuée le 19.12.2018 et se déroule sans complication. 1 ganglion sentinelle et 2 ganglions accessoires sont retrouvés et envoyés en anatomo-pathologie. Les suites post-opératoires sont simples et afébriles. Les redons sont retirés le 21.12.2018. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 21.12.2018 et sera revue en consultation ambulatoire avec le Dr. X le 27.12.2018. • Patiente de 85 ans admise aux soins intensifs pour surveillance neurologique dans le cadre d'une suspicion d'accident vasculaire cérébral. La patiente présente deux épisodes de paresthésies avec perte de force dans le membre supérieur et inférieur droit d'une durée inférieure à 1 heure. Une hypertension à >200 mmHg de systole est mise en évidence en pré-hospitalier, qui se normalise par la suite. L'imagerie cérébrale initiale ne montre pas de lésion ischémique constituée, ce qui est confirmé par l'IRM. Une sténose carotidienne gauche à 50 % est mise en évidence, ainsi qu'une sténose de l'artère cérébrale postérieure et une athéromatose carotidienne droite sans sténose. Il n'y a pas d'indication chirurgicale. L'hémoglobine glyquée est à 5.9 % et le LDL-cholestérol à 3.60 mmol/l. Un traitement hypolipémiant est mis en place avec la proposition de cibler un LDL inférieur à 1.8 mmol/l. Un traitement par double antiagrégation plaquettaire est mis en place avec proposition de le poursuivre durant 1 mois et ensuite un traitement par Plavix à vie. L'évolution étant favorable, la patiente est transférée en stroke unit non monitorée. • Patiente de 85 ans, admise pour hypokaliémie dans un contexte de diarrhées au décours d'une hystérectomie compliquée d'un abcès pelvien. La patiente est connue pour des apnées du sommeil et un diabète type 2 non insulino-requérant, elle bénéficie au Daler d'une hystérectomie en novembre 2018 qui s'est compliquée le 07.12.2018 d'un abcès pelvien. Après drainage et mise en place d'un VAC, l'abcès est couvert par antibiothérapie. Elle est adressée aux soins intensifs pour hypokaliémie sur diarrhées. Les diarrhées sont attribuées soit à l'antibiothérapie soit à un éventuel iléus post-opératoire. La recherche de Clostridium est revenue négative. La substitution de la kaliémie est satisfaisante avec une kaliémie à 3.6 mmol/l à la sortie. Nous vous laissons le soin de continuer la substitution et de l'adapter selon l'évolution. Notons une persistance des diarrhées, mais en diminution. Sur le plan infectieux pour son abcès, une antibiothérapie est poursuivie comme proposé par les infectiologues par Ciprofloxacine et Metronidazole. Le syndrome inflammatoire est à la baisse et la patiente reste afébrile. Nous avertissons les infectiologues de la présence de l'Enterococcus faecalis au niveau de l'abcès abdominal. Nous vous laissons le soin de pister leur avis. Le pansement VAC a été changé le 11.12.2018 par nos collègues chirurgiens et la plaie reste à suivre. Le redon de l'abcès n'est pas opérationnel et il est enlevé comme prévu le 11.12.2018. Pendant la nuit, nous ne remarquons pas d'apnées, ni de désaturation nocturne. Elle est sous oxygénothérapie nocturne à domicile dans le contexte d'intolérance de la C-pap. Notons une radiographie post-opératoire qui met en évidence une opacité rétro-cardiaque avec signe de la silhouette diaphragmatique dont le diagnostic différentiel se pose entre une atélectasie et un foyer infectieux. En vue de l'absence de critère clinique pour une pneumonie, nous vous proposons de continuer la physiothérapie mobilisatrice et respiratoire. En vue d'une bonne correction de la kaliémie et stabilité clinique, la patiente peut être transférée à l'étage de gynécologie le 11.12.2018. • Patiente de 85 ans admise pour une probable maladie du sinus avec pauses sinusales symptomatiques. Connue pour une FA sous Sintrom et une épilepsie traitée, elle décrit des lipothymies répétées depuis une semaine et la survenue d'une syncope motivant sa consultation aux urgences. Le bilan objective des pauses sinusales symptomatiques jusqu'à 4 secondes. Depuis la mise en suspens du traitement b-bloqueur, la surveillance rythmique montre des pauses sinusales brèves asymptomatiques. Elle bénéficie d'un pacemaker le 13.12.2018. Le contrôle radiographique ne montre pas d'hémo- ou de pneumothorax. • Patiente de 85 ans, connue pour un asthme avec composante allergique (chat/chien/oiseau) depuis ses 12 ans, traitée par Ventolin en réserve, consultée le 09.12.2018 pour une dyspnée en péjoration depuis 2 jours avec signes de détresse respiratoire lors de son arrivée aux urgences. La patiente ne rapporte pas de toux ni d'état fébrile, mais une orthopnée nouvelle la veille. Elle n'a pas été exposée aux allergènes susmentionnés. Son médecin traitant a introduit du Relvar Ellipta le 17.10.2018, que la patiente a pris durant 1 mois puis stoppé. Le statut d'entrée montre des râles type velcro aux 2 bases sans sibilances. Le bilan biologique ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire et la radiographie de thorax montre des signes d'emphysème pulmonaire. La patiente est hospitalisée avec introduction d'aérosols et corticothérapie pour 5 jours, avec bonne évolution. Une piste cardiaque ou infectieuse à cette dyspnée semble peu probable. Un avis pneumologique est demandé le 11.12.2018 et nos collègues proposent la poursuite du Relvar Ellipta avec Ventolin en réserve et des fonctions pulmonaires à distance, par exemple chez le Dr. X. Au vu de l'amélioration clinique, la patiente peut rentrer à domicile le 12.12.2018. • Patiente de 85 ans, connue pour une HT et des lithiases biliaires depuis 2016 pour lesquelles une indication chirurgicale avait été posée mais pas réalisée car Mme. Y ne voulait pas le faire. Elle nous est adressée par son médecin traitant en raison de dyspnée avec malaise ce matin à 9 h sans perte de connaissance et douleurs abdominales en épigastre non irradiantes depuis hier qui ont disparu. Ces douleurs sont connues par la patiente qu'elle met sur le compte des lithiases biliaires connues. Les dernières selles sont d'hier et de couleur brune; elle n'a pas eu de diarrhées. Les douleurs ne sont pas survenues après un repas lourd, elle n'a pas eu de nausées ni de vomissements. Au labo, le médecin traitant ne retrouve pas de syndrome inflammatoire, les D-dimères et les troponines sont négatives. Pas de symptômes respiratoires, pas de symptômes urinaires. Présence d'orthopnée, pas de nycturie depuis introduction de diurétique, elle porte des bas de contention. Malheureusement, la patiente n'avait pas avec elle la liste de ses médicaments. Aux urgences, la patiente nous a décrit des douleurs en épigastre ce matin avec une sensation d'oppression qui sont résolues.Nous avons répété les examens du sang pour examiner les tests hépatiques et la bilirubine. Les examens sont revenus négatifs, aussi les leucocytes étaient dans la norme. Au niveau du statut, l'abdomen était ballonné mais sans douleurs à la palpation et avec un Murphy négatif. Le reste du statut est dans la norme. Vu la clinique et le laboratoire dans la norme, nous avons contacté le Dr. X qui nous a dit que la patiente pourrait aussi faire la CT abdominale en élection, sans urgence. Nous avons discuté avec la patiente en lui expliquant qu'il n'y avait pas beaucoup d'arguments pour une CT en urgence vu la clinique silencieuse et un labo dans la norme; mais nous lui avons aussi dit que, vu l'indication du Dr. X, si elle voulait on aurait essayé de faire le CT aujourd'hui. La patiente a décidé de rentrer chez elle et de prendre un RDV avec le médecin traitant la semaine suivante. Nous lui avons expliqué que ces douleurs qu'elle décrit pourraient être aussi liées à l'hernie hiatale qu'elle a eue dans le passé. Vu la notion de constipation et l'abdomen ballonné, nous avons donné à la patiente du Metamucil poudre et du Flatulex pour essayer de soulager les symptômes. Nous conseillons de prendre un RDV avec le Dr. X pour discuter d'un RDV pour une CT abdominale élective et pour discuter si continuer la thérapie pour la constipation. Patiente de 86 ans, admise le 04.12.2018 aux soins intensifs en raison d'une insuffisance rénale aiguë oligo-anurique. Elle est initialement hospitalisée à Tavel dès le 03.12.2018 en raison d'un sepsis secondaire à une dermohypodermite de la face antérieure de la jambe droite. Rapidement, elle présente une dégradation de sa fonction rénale d'allure prérénale, survenant dans un contexte de diarrhées au décours. Une cause post-rénale est écartée par un ultrason abdominal. Elle nous est alors adressée pour suite de prise en charge. Le traitement diurétique est mis en suspens et les électrolytes sont corrigés. La fonction rénale se corrige progressivement après remplissage et nous ne retenons pas d'indication à la dialyse. Le suivi quotidien du poids, des diurèses et de la fonction rénale est préconisé. Une composante de décompensation cardiaque avec syndrome cardio-rénal est également évoquée. L'ETT est superposable au comparatif de 2017 et révèle une FEVG à 30%. Une coronaropathie concomitante ne peut être exclue, mais ne semble pas être l'étiologie du problème. Nous renonçons à d'éventuelles investigations complémentaires compte tenu de l'amélioration clinique et biologique chez une patiente par ailleurs pauci-symptomatique. L'anticoagulation thérapeutique par Apixaban pour la fibrillation auriculaire est stoppée avec relais par de l'héparine. La dermohypodermite du membre inférieur droit est traitée par Co-Amoxicilline avec bonne évolution clinique et biologique. Concernant les diarrhées sous Augmentin, les coprocultures s'avèrent non-contributives. La patiente est transférée en médecine interne pour suite de prise en charge le 06.12.2018. Patiente de 86 ans, connue pour une fracture-tassement de D8 ayant bénéficié d'une vertébroplastie le 10.12.2018 à HFR Fribourg, amenée ce jour en ambulance pour douleurs paravertébrales extrêmement fortes, spontanées, non-traumatiques, partant à la hauteur de D8-D10 sous forme de coups de poignard et irradiant sur le trajet costal droit. Depuis l'intervention, la patiente ressent de fortes douleurs persistantes malgré une bonne antalgie. L'antalgie a été renforcée avec du Targin (40/20mg), du Dafalgan, des AINS à petite dose sous contrôle de la fonction rénale (Irfen 400mg 2x/j) et de la Novalgin 3-4x 20 gouttes par jour. Une Rx post-vertébroplastie a été réalisée le 10.12.18 montrant une suspicion de tassement de D7 absente avant l'intervention, qui n'a pas été confirmée au CT-Scan fait à Riaz le 20.12.2018 alors que la patiente consultait déjà pour des douleurs. Ce jour, nous décidons de refaire une Rx de la colonne dorsale en suspectant une fragilisation des vertèbres sus- et sous-jacentes post-vertébroplastie. Nous observons une nette diminution en taille de D7 en comparaison à la Rx du 10.12.18 avec un mur postérieur de 1.4cm de hauteur par rapport à 2.3cm de hauteur sur la Rx précédente. Sur avis de la Team Spine de l'hôpital cantonal chez qui la patiente est bien connue, et avec accord de nos chirurgiens orthopédistes de garde, nous décidons de faire hospitaliser la patiente en orthopédie à Fribourg avec immobilisation en lit strict pour contrôle de son antalgie. Selon la Team Spine, l'indication à une vertébroplastie D7 est posée. Dans le cours de son hospitalisation, une IRM de la colonne dorsale sera à prévoir afin d'exclure une fracture-tassement d'une autre vertèbre sus- ou sous-jacente à la vertèbre opérée (D8). Nous décidons de transférer la patiente à Fribourg pour suite de la prise en charge. Patiente de 86 ans, connue pour une leucémie lymphatique chronique en stade initial Binet A et un statut post-pancolite probablement sur chimiothérapie dans le contexte oncologique, qui nous est adressée par la médecine de l'HFR pour une réadaptation gériatrique. Mme. Y porte une sonde naso-gastrique depuis le 30.10.2018 dans le contexte d'une malnutrition. La patiente vit à la maison, sans aide à domicile, pas connue pour maladie d'Alzheimer, ni de troubles du sommeil sous Temesta, mais signale une nycturie. À son arrivée, Mme. Y n'a pas de plainte particulière et relate une amélioration de la dysgeusie. La patiente est en bon état général. Remarquons, au statut neurologique, une anisocorie connue avec une pupille droite aréactive. Le reste du statut est sans particularité. Le bilan vitaminique objective un déficit en vitamine D qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Le 23.11.2018, Mme. Y présente plusieurs épisodes de diarrhées. Au vu d'un traitement antibiotique lors de la précédente hospitalisation et qui a été prescrit jusqu'au 16.11.2018, nous effectuons une recherche de Clostridium qui revient positive. Un traitement par Flagyl 500mg trois fois par jour est débuté et sera à poursuivre pendant 14 jours. Par la suite, le transit redevient régulier et Mme. Y ne présente plus de douleur abdominale. Les bilans biologiques faits par la suite sont dans les limites de la norme dans ce contexte. En ce qui concerne la sonde nasogastrique, la nutrition entérale est finalement arrêtée le 27.11.2018 au vu d'un bon apport par voie orale. Sur le plan médicamenteux, nous mettons en suspens la statine en raison du risque d'effets secondaires chez les patients âgés. Au vu de la présence de vertiges au lever, nous effectuons un test de Schellong le 28.11.2018 qui revient positif. Le test de Schellong avec bas revient négatif. Nous posons donc le diagnostic d'hypotension orthostatique et effectuons une prescription de bas de contention. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche seule est de 300 mètres. La patiente peut gravir 18 marches sans accompagnement. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 98/126 par rapport à 88/126 à l'entrée. (mesures d'indépendance fonctionnelle de physiothérapie : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le risque de chute est bas. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée montre une malnutrition protéino-énergétique grave en lien avec une dysgeusie, des nausées, une inappétence et des pertes par diarrhées démontrées par un NRS à 6/7. La nutrition entérale est finalement stoppée le 27.11.2018 au vu d'une bonne couverture des besoins par voie orale.Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service le 29.11.2018, sans aide à domicile selon son souhait. • Patiente de 86 ans, qui est prise en charge en réadaptation gériatrique suite à une hospitalisation en gériatrie aiguë HFR Riaz du 23.10.2018 au 09.11.2018 dans un contexte de chute avec rhabdomyolyse. Sur le plan néphrologique, la patiente présente une insuffisance rénale AKIN I avec une créatinine à 121µmol/l et une clairance à 48ml/min/1.73m2 selon Cockroft le 10.11.2018, en amélioration par rapport au séjour précédent (créatinine à 184µmol/l et une clairance à la créatinine selon Cockroft à 32ml/min/1.73m2 le 24.10.2018). • Au niveau des troubles de la marche et de l'équilibre, Mme. Y présente une amélioration de sa mobilisation grâce au suivi physiothérapeutique. En effet, la patiente effectue une physiothérapie de mobilisation. À sa sortie, le périmètre de marche seule à l'aide d'un rollator est de plus de 100 mètres. Mme. Y ne peut pas gravir d'escalier. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 78/126, par rapport à 44/126 à l'entrée de ce séjour. (MIF physio : transferts 4/7, marche 5/7, escaliers 1/7). • Sur le plan ergothérapeutique, la patiente bénéficie d'un suivi axé sur la mobilisation et les transferts. Durant sa prise en charge, Mme. Y profite d'un suivi nutritionnel qui objective un apport insuffisant en protéines, en lien avec des besoins augmentés, et démontré par des ingestas couvrant 46% de ses besoins protéiques. Des suppléments nutritifs oraux sont mis en place avec une couverture de 60% des besoins protéiques. Au vu de la bonne évolution clinique, Mme. Y intègre le Foyer St-Joseph de La Roche le 03.12.2018. • Patiente de 86 ans sous aspirine, connue pour démence de type Alzheimer, qui se présente ce jour aux urgences suite à une chute accidentelle de sa hauteur à son home deux heures auparavant, avec TC sans PC et AC. La radio effectuée aux urgences met en évidence une fracture cervicale du fémur gauche GARDEN III et une fracture de la styloïde radiale nécessitant la mise en place d'un plâtre AB. En raison de l'âge et des comorbidités de la patiente et sur avis du Dr. X, nous décidons de transférer la patiente vers le service des urgences de Fribourg pour la réalisation d'une échographie cardiaque trans-oesophagienne et pour une prise en charge chirurgicale de sa fracture fémorale. • Patiente de 86 ans, adressée aux urgences le 16.11.2018 dans les suites d'une chute à domicile sans prodromes, avec traumatisme crânien sans perte de connaissance. La patiente décrit des chutes répétées depuis plusieurs années, mais plus fréquentes depuis plusieurs semaines. Elle décrit également des œdèmes des membres inférieurs et une orthopnée en péjoration. Au status, la patiente présente une décompensation cardiaque globale prédominante à droite, ainsi qu'une plaie occipitale qui est suturée. Le CT total body permet d'exclure des fractures et une hémorragie intra-cranienne. L'ECG retrouve la fibrillation auriculaire connue et des signes ischémiques subaigus. Le laboratoire montre des troponines discrètement augmentées à 29ng/L et une hypomagnésémie. La patiente est alors hospitalisée dans l'unité de Frailty care. Sur le plan cardiaque, la patiente bénéficie le 16.11.2018 d'une échocardiographie qui montre une FEVG conservée sans hypokinésie segmentaire et des valvulopathies sévères (insuffisances aortique, mitrale et tricuspidienne). L'évolution clinique est favorable avec un traitement diurétique transitoire à base de furosémide (iv jusqu'au 25.11.2018 puis per os), métolazone et aldactone avec amélioration de la dyspnée, résolution des œdèmes des membres inférieurs et une perte pondérale de 9kg. Au vu de sa fréquence cardiaque limite inférieure lors de son séjour, nous diminuons le bisoprolol de 7.5 à 5mg 1x/j. Sur le plan métabolique, la patiente présente une carence en vitamine D motivant un traitement de charge puis du calcimagon D3 forte. Elle présente également une hypo-albuminémie sévère sur manque d'apport et une probable entéropathie exsudative, chez une patiente décrivant plusieurs selles par jour et une calprotectine fécale élevée. La patiente refuse d'effectuer une colonoscopie. Nous prenons contact auprès des gastro-entérologues et proposons d'effectuer un traitement empirique de budénoside pendant 9 semaines pour une possible colite microscopique, à distance de la décompensation cardiaque. Sur le plan endocrinien, un goitre thyroidien avec un nodule hypoéchogène est découvert fortuitement sur le CT d'entrée. Le bilan thyroidien met en évidence un T3 abaissé compatible avec un euthyroid sick syndrome. Nous n'effectuons pas d'échographie thyroidienne. Sur le plan général, la patiente présente une instabilité à la marche et des troubles cognitifs compromettant un retour à domicile à l'heure actuelle. Une ponction lombaire est effectuée au vu de son déclin cognitif, dont l'analyse est sans particularités et elle ne présente pas d'amélioration à la marche malgré l'évacuation de LCR. Une atteinte fonctionnelle de l'hypothalamus est suspectée (perte d'appétit, manque d'initiative et apnées respiratoires diurnes). Une insuffisance de production d'ADH associée est également évoquée au vu de l'osmolalité sérique et urinaire. La patiente est transférée à l'UATO le 10.12.2018 pour poursuite de la physiothérapie et évaluation de la situation avec l'entourage et l'ergothérapie en vue d'un retour à domicile si bonne évolution ou d'un placement, qui semble actuellement l'option la plus raisonnable. • Patiente de 87 ans, connue pour une infection chronique à Mycobacterium avium sans traitement actuellement au vu de la mauvaise tolérance à l'antibiothérapie, récemment hospitalisée dans un contexte de dénutrition protéino-calorique sur diarrhées, qui nous est adressée pour une aggravation de sa toux chronique avec majoration de la dyspnée, en plus de palpitations et de douleurs thoraciques de type angor stable. Un CT thoracique montre une évolution de la maladie pulmonaire connue, sans montrer de franc foyer de pneumonie. Nous traitons alors empiriquement une surinfection bronchique par Rocéphine-Klacid du 04.12.2018 au 05.12.2018, puis réalisons un changement en faveur de la Co-Amoxicilline du 05.12.2018 au 10.12.2018. Les cultures d'expectorations révèlent un Pseudomonas sensible à la pipéracilline/tazobactam, amikacine et Imipénème. Une discussion avec les infectiologues et les pneumologues rapporte la nécessité de traiter le Pseudomonas, en épargnant le M. avium. Nous ajustons donc le traitement antibiotique avec du Pipéracilline-Tazobactam du 12.12.2018 au 16.12.2018, en raison de la non-réponse clinique aux traitements préalables. Sur le plan cardiaque, l'ECG montrait une tachycardie auriculaire avec entraînement ventriculaire par le pacemaker. Son pacemaker a été révisé et ne montrait aucune anomalie. Une ETT a été réalisée et montrait une FEVG abaissée à 30%. Nous n'avons pas non plus introduit d'aldactone au vu de la clairance rénale de la patiente et du risque de troubles électrolytiques. Nous n'avons pas introduit de cordarone, au vu de l'état déjà très altéré des poumons. Au vu de l'angor stable anamnestique contrasté par un ECG ininterprétable ainsi qu'une échographie cardiaque ne mettant pas en évidence de trouble de la cinétique segmentaire, nous vous laissons le soin d'évaluer l'introduction d'un patch de nitrés, en plus du traitement par aspirine cardio et B-bloquant. Sur le plan de l'alimentation, un avis diététique rapporte que la patiente nécessite des suppléments nutritifs oraux, qui permettent alors de couvrir ses besoins. Après discussion avec la patiente, sa fille et son fils, il est convenu que la patiente ira en réadaptation musculo-squelettique après son hospitalisation chez nous.L'évolution clinique de la patiente est favorable et la patiente est transférée en réhabilitation musculo-squelettique à Billens le 17.12.2018. • Patiente de 87 ans, connue pour une maladie d'Alzheimer diagnostiquée en 2010, arrive en ambulance pour des troubles de l'état de conscience avec dyspnée en aggravation depuis le 13.12.2018. La patiente a consulté le centre médical de Bulle le 10.12.2018 suite à une chute à domicile avec mise en évidence d'une fracture costale droite, traitée avec antalgie. Selon l'hétéro-anamnèse avec la fille, l'état général se péjore avec alitement, confusion et notion de toux sans état fébrile. Une pneumonie est objectivée, associée à une décompensation cardiaque. Au service des urgences, la patiente reçoit une dose de Lasix et bénéficie de ventilation non invasive sans amélioration. Au vu de la sévérité de la situation et de la qualité de vie limitée de la patiente, après discussion avec sa fille, il est décidé des soins de confort. La patiente reçoit de la morphine en continu avec bon effet sur la dyspnée et ses douleurs. Mme. Y décède le 17.12.2018. • Patiente de 88 ans, connue pour bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III et tabagisme actif, hospitalisée le 15.11.2018 à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour diarrhées sur prise d'antibiotiques dans le contexte d'une pneumonie communautaire. Ce jour, Mme. Y nous est transférée pour réadaptation en raison d'un déconditionnement suite à son hospitalisation et dans un contexte social précaire (mari récemment hospitalisé pour chirurgie du genou). A l'admission, la patiente n'a pas de plainte, pas de péjoration de toux, et une dyspnée de stade NYHA II (stable). Mme. Y n'a pas non plus de plainte abdomino-urinaire, pas de douleur articulaire, pas de douleur rétrosternale ni de palpitations. La patiente ne rapporte pas de céphalée ni de vertige. Il n'y a pas de notion de chute récente, et Mme. Y marchait sans moyen auxiliaire avant son hospitalisation, mais avec un rollator à Fribourg. Elle est continente urinaire et fécale. Au statut social, Mme. Y vit avec son mari, sort de chez elle pour les courses (ne conduit plus) et s'occupe des paiements. Le statut à l'entrée dans notre service note au niveau pulmonaire, un murmure vésiculaire avec expirium prolongé, sans râles ni sibilances. Le statut neurologique relève une marche instable. Le reste du statut n'est pas contributif. Le bilan biologique fait à l'entrée indique un déficit en vitamines B12, B9 et D qui est substitué. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Nous effectuons un test de Schellong le 01.12.2018 qui revient négatif. Sur le plan médicamenteux, nous mettons en suspens l'Amlodipine au vu d'un bon profil tensionnel ainsi que le Co-Lisinopril étant donné l'absence de signe de surcharge. Nous remplaçons ce dernier par du Lisinopril. De plus, au vu des nombreux effets secondaires chez les sujets âgés, nous mettons en suspens la pravastatine. Nous vous laissons le soin de suivre le profil tensionnel et le poids afin d'adapter la thérapie en cours. La patiente présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 140 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide partielle pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 95/126 par rapport à 76/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 5/7). Le risque de chute est bas. Le bilan nutritionnel fait à l'entrée constate une malnutrition protéino-énergétique sévère, en lien avec une baisse des apports protéino-énergétiques et la dyspnée, et démontré par une perte pondérale de 10% en 2 mois, un NRS à 5/7, une apparence cachectique et des apports caloriques de 60% des besoins. Pendant l'hospitalisation, nous effectuons un enrichissement des repas et introduisons des suppléments nutritifs oraux. Finalement, après une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte notre service pour rejoindre son domicile le 06.12.2018. • Patiente de 88 ans, hospitalisée suite à un malaise avec chute de sa hauteur et état confusionnel aigu. Aux urgences, les D-dimères sont fortement élevés. Une scintigraphie est effectuée et montre une embolie pulmonaire segmentaire gauche au niveau du segment postérieur du lobe supérieur et segment supérieur du lobe inférieur. Nous débutons un traitement par héparine iv en continu, relayé successivement par Sintrom. Une décompensation cardiaque aiguë dans ce contexte est bien améliorée sous adaptation des diurétiques. De plus, une insuffisance rénale aiguë prérénale est mise en évidence avec bonne résolution sous hydratation intraveineuse. Une infection urinaire est également diagnostiquée. Au statut clinique, la loge rénale droite est douloureuse à la palpation. Un diagnostic d'infection urinaire haute est posé. Nous débutons donc un traitement par Rocéphine iv. Pendant l'hospitalisation, Mme. Y présente des épisodes fébriles sans nouvelle piste clinique. Les hémocultures et les cultures urinaires reviennent négatives. L'évolution est rapidement favorable. D'un point de vue cognitif, Mme. Y présente un état confusionnel aigu hyperactif à son entrée. L'origine est probablement multifactorielle, en lien avec les diagnostics précités. Un traitement par Distraneurin et Haldol est introduit avec amélioration clinique. Une évaluation neuropsychiatrique conclut à une atteinte mnésique modérée avec troubles des fonctions exécutives et désorientation, MMSE 13/30 (le rapport définitif est en cours). Durant le séjour, nous mettons en évidence une rougeur et tuméfaction au coude gauche, associées à des douleurs intermittentes. Un bilan radiologique montre une fracture de la tête radiale. Une immobilisation par attelle BAB est mise en place du 12.12 au 19.12.2018. A l'ablation du BAB, la patiente se plaint d'une douleur à la palpation du radius distal. Le bilan radiologique ne montre pas de fracture mais une possible chondrocalcinose. Une mobilisation selon tolérance avec physiothérapie est débutée dès le 19.12.2018. Après discussion familiale et multidisciplinaire, un retour à domicile n'est pas envisageable en raison des troubles mnésiques et un placement en EMS est décidé. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 19.12.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Mme. Y est transférée dans l'EMS des Martinets le 20.12.2018. • Patiente de 89 ans admise dans notre service de gériatrie aiguë pour soins impossibles à domicile en raison de l'hospitalisation de son époux le même jour. Rappelons que Mme. Y est connue pour une démence mixte (Alzheimer et vasculaire) et vit à domicile avec son époux avec qui elle bénéficie des soins à domicile et des repas livrés à domicile. Leurs deux enfants vivent à Genève. A l'entrée, le statut est sans particularité mis à part une fibrillation auriculaire déjà connue et perceptible à l'auscultation, ainsi que des troubles cognitifs (voir diagnostics susmentionnés). Le bilan d'entrée effectué le 05.12.2018 est aligné et l'ECG du même jour retrouve une fibrillation auriculaire connue.Durant son bref séjour en gériatrie aiguë, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule, sous surveillance et sans moyen auxiliaire est de 200 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec la rampe sous surveillance. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 88/20, par rapport à 80/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 15 secondes. Le risque de chute est intermédiaire. Dès le 11.12.2018, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. En effet, après discussion avec son médecin traitant et au vu des éléments rapportés par les soins à domicile, un retour à la maison pour la patiente et son époux s'avère impossible. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 89 ans, admise pour une réadaptation gériatrique dans un contexte de chute avec fracture comminutive de l'olécrâne droit le 03.11.2018. En effet, Mme. Y était hospitalisée du 03.11.2018 au 22.11.2018 au service d'orthopédie HFR Riaz où elle a bénéficié d'une réduction et ostéosynthèse par cerclage-haubanage. A l'anamnèse, la patiente avait chuté de sa hauteur dans la rue après avoir été bousculée par deux personnes, avec réception directe sur le coude droit d'après elle. Il n'y a pas eu de traumatisme crânien ni perte de connaissance. De plus, Mme. Y a subi il y a 5 ans une fracture du bassin, avec traitement conservateur, présentant depuis des douleurs à la hanche droite, en augmentation depuis sa récente chute. Sur le plan social, Mme. Y vit actuellement dans un hôtel à Bulle, sa fille et son beau-fils vivant à proximité. Elle se déplace avec une canne. La patiente n'a pas d'antécédent traumatique du coude droit. Elle est en bonne santé habituelle mais présente des troubles mnésiques débutants depuis quelques années d'après sa fille. A son admission dans notre service, l'examen clinique constate des status neurologique, cardiovasculaire, pulmonaire et digestif sans particularité. Sur le plan vitaminique, nous objectivons une hypovitaminose D, que nous supplémentons. Lors de la radiographie de contrôle du coude droit le 23.11.2018, nous constatons une rupture de l'haubanage avec désolidarisation du cerclage par rapport aux 2 broches. Une opération est planifiée le 12.12.2018. Durant ce séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation. A sa sortie, le périmètre de marche seule et à l'aide d'une canne est à volonté. Mme. Y peut gravir 32 marches sans accompagnement. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 79/126, par rapport à 78/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 5/7, escaliers 4/7). Le TUG est à 18.10 secondes. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un suivi nutritionnel indiquant un apport oral insuffisant, en lien avec une inappétence sur angoisse et troubles cognitifs, démontré par la consommation de 75% des apports habituels sur une durée indéterminée et un indice de masse corporelle à 16 kg/m2. Mme. Y bénéficie également d'un suivi d'ergothérapie axé sur les activités de la vie quotidienne. Un transfert en orthopédie HFR Riaz est donc effectué le 12.12.2018 pour la reprise opératoire suite à la rupture de l'haubanage avec désolidarisation du cerclage. Patiente de 89 ans admise pour une réadaptation gériatrique dans un contexte de chute avec traumatisme crânien. Pour rappel, Mme. Y était hospitalisée en chirurgie HFR Riaz du 21.11.2018 au 30.11.2018 en raison d'un traumatisme crânien avec hémorragie épidurale pariétale droite, des hématomes sous-arachnoïdiens pariétal et occipital droits, et un hématome sous-galéal pariéto-temporal et frontal gauche, en bonne évolution. A l'examen clinique d'admission dans notre service de réadaptation gériatrique, la patiente présente un status neurologique dans la norme. Sur le plan ostéo-articulaire, Mme. Y décrit des douleurs lors des mouvements de préhension de la main gauche. Le reste du status est non contributif. Le bilan biologique fait à l'entrée montre une hypovitaminose B9 qui est substituée. La fonction thyroïdienne revient dans la norme. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Le 02.12.2018, Mme. Y présente une tachycardie à 120 battements par minute, asymptomatique. Nous effectuons un ECG qui constate une tachycardie supraventriculaire à QRS fins. Nous discutons alors avec le Dr. X, cardiologue, par rapport au diagnostic et introduisons le 04.12.2018 un traitement de Beloc ZOK afin de ralentir la fréquence, ce qui est obtenu. Par la suite, nous effectuons un nouvel ECG qui met en évidence un flutter auriculaire. Devant un CHADSVASC à 6 avec un HASBLED à 2, nous introduisons une anticoagulation par Eliquis 5 mg 2x/j. Le traitement par Beloc ZOK 50 mg est maintenu. Pendant l'hospitalisation, nous objectivons une hypertension artérielle nous motivant à mettre en place un traitement d'Amlodipine qui est arrêté le 03.12.2018 au vu d'un profil tensionnel correct. Nous vous proposons de suivre le profil tensionnel et de stopper l'Inhibace en cas d'hypotension persistante. Dans le contexte de chutes, nous effectuons un test de Schellong qui revient positif. Deux jours plus tard, nous effectuons le même test avec les bas, procurant un résultat négatif. Nous posons donc le diagnostic d'hypotension orthostatique et recommandons le maintien des bas de contention. Mme. Y présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. A sa sortie, le périmètre de marche seule est de 140 mètres. La patiente peut gravir 18 marches avec accompagnement en se tenant à la rampe. Elle est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 104/126 par rapport à 96/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 6/7, marche 6/7, escaliers 6/7). Le TUG est à 19.5 secondes. Le risque de chute est bas. Suite à une bonne évolution clinique, Mme. Y quitte le service le 07.12.2018. Dès sa sortie, elle bénéficiera de soins à domicile 2x/j pour les bas de contention. Patiente de 89 ans, adressée par son entourage en ambulance pour une baisse d'état général depuis environ 4 semaines avec impossibilité de se mobiliser. La famille rapporte une asthénie avec perte d'appétit, une baisse de moral, ainsi que des troubles cognitifs en péjoration avec troubles mnésiques et confusion intermittente. La patiente rapporte une dysurie avec pollakiurie sans état fébrile ni douleurs. Pas d'autre plainte. Le bilan biologique montre un léger syndrome inflammatoire et un sédiment urinaire en faveur d'une infection. L'Urotube montre un E.coli multisensible. L'infection est traitée par ceftriaxone initialement avant un relais po par Bactrim forte. Un traitement de Prednisone avec schéma dégressif avait été introduit il y a 3 semaines afin d'améliorer son état général et son appétit sans amélioration. Des soins à domicile ont été introduits il y a 15 jours mais refusés par la patiente, qui reçoit de l'aide de ses filles. Le status d'entrée montre une patiente désorientée dans le temps sans autre déficit neurologique.La patiente présentait également un état confusionnel à son entrée. Un globe urinaire est mis en évidence et une sonde vésicale est posée à l'entrée et le traitement de Prednisone est stoppé. Après résolution de l'infection et du globe, la patiente est toujours confuse et présente un syndrome de glissement avec refus des soins et de traitement. Une IRM prévue le 13.12.2018 dans un contexte de bilan neuropsychologique est refusée par la patiente. Un avis psychiatrique est demandé retrouvant des troubles cognitifs sans précision. La patiente refuse également le bilan neuropsychologique. Nos collègues trouvent la patiente anosognosique avec de probables troubles cognitifs. Un traitement d'Haldol est initié dès le 18.12.2018 avec une acceptation plus volontiers des soins mais refuse toujours les investigations complémentaires et les traitements. Parallèlement, en accord avec la famille, un placement en EMS est décidé au vu de la situation globale et de l'épuisement de l'entourage. Il en résulte un séjour de reclassement dès le 21.12.2018 et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Patiente de 89 ans connue pour une HTA, une dépression et un syndrome parkinsonien bilatéral. Mme. Y vit dans une home à Broc, elle n'a plus sa capacité de discernement et elle est connue pour des troubles cognitifs. La patiente est fébrile depuis samedi 15.12.2018, elle a fait une urino culture qui était positive, donc elle a été traitée avec la Furantoïne 100 mg 2f/j. Lundi 17.12, Mme. Y était toujours fébrile à 38.8 avec douleurs au niveau des loges rénales à la percussion. Elle a reçu Ciprofloxacine 500 mg 2f/ le 17.12. Aujourd'hui, Mme. Y est toujours fébrile (38-38.8) avec loges rénales dolentes. À cause de ça, la patiente est envoyée aux urgences pour cette infection et pour un état confusionnel. Aux urgences, la patiente est très faible, elle nous réfère des brûlures mictionnelles ces derniers jours et une asthénie en augmentation. La patiente est orientée mais très faible. Le status cardio-pulmonaire est dans la norme, mais elle présente des légères OMI. Au niveau abdominal, la patiente a une douleur à la palpation superficielle et profonde en hypogastre et des douleurs à la palpation des deux loges rénales, surtout à gauche. Au niveau cutané, elle présente un érythème aux deux genoux et des pétéchies aux pieds. Le labo nous a montré une inflammation avec CRP à 140. L'examen urinaire a montré... Nous commençons du Rocephin 2g iv une fois par jour et transférons Mme. Y à Mayer car à Riaz, il n'y a pas de places libres. Patiente de 89 ans connue pour une LLC-B, un déficit cognitif léger, un syndrome dépressif, une FA anticoagulée sous Xarelto et une HTA, nous est référée depuis la permanence de Meyriez vers notre service de médecine interne, pour prise en charge d'une pneumonie du lobe moyen. La patiente parle très peu et n'est pas collaborante. Elle ne répond à aucune question. L'hétéroanamnèse du mari rapporte des douleurs basi-thoraciques depuis avant-hier, à type de crampes irradiant vers les lombes à droite. La patiente n'aurait pas fait de fièvre mais aurait eu des frissons avant-hier dans la nuit. Il rapporte des nausées sans vomissements. La patiente n'a apparemment jamais beaucoup d'appétit, mais celui-ci serait encore diminué ces derniers temps (la patiente n'a pas mangé hier). Pas de toux ni d'expectorations, mais des céphalées frontales pulsatiles hier matin. Il n'y a pas d'autre plainte à l'anamnèse systématique. Le mari de la patiente rapporte une grande faiblesse avec une mobilisation rare depuis la dernière hospitalisation (la patiente passe la plupart de ses journées au lit). Au status, nous retrouvons une patiente à l'état général très diminué, asthénique, pâle, déshydratée, calme, peu collaborante (collabore mieux lorsque son mari est présent), eupnéique à l'air ambiant. La saturation en oxygène est à 84% à l'air ambiant, 94% sous 2L d'O2. Les autres paramètres vitaux sont dans la norme. La patiente est orientée dans l'espace et sur sa personne, pas dans le temps. Les pupilles sont isocores et isoréactives, les paires crâniennes sans particularités. Pas de déficit sensitivo-moteur des 4 membres. Les ROT sont normovifs et symétriques. Les épreuves cérébelleuses sont correctement réalisées. À l'auscultation pulmonaire, nous percevons des murmures vésiculaires normaux asymétriques avec aucun bruit audible venant du poumon droit, et une matité à la percussion du poumon droit. L'abdomen est non souple, dépressible, avec des douleurs référées toujours au niveau basi-thoracique droit, à la palpation de chaque cadran de l'abdomen. Il existe un prolapsus anal. Les loges rénales sont indolores. Au status cardio-vasculaire, des bruits bien frappés, rapides, irréguliers. Les pouls périphériques sont perçus, il n'y a pas d'OMI, pas de TJ ni de RHJ. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire élevé avec une CRP à 100. Il existe une hyperleucocytose majeure due à la LLC. La radiographie du thorax montre, en comparaison avec la dernière radio du 16.08.2018, une nette progression d'un épanchement pleural droit, et une diminution de la ventilation pulmonaire gauche (probablement en lien avec des troubles ventilatoires au contact de l'épanchement pleural). Par ailleurs, un foyer infectieux surajouté à droite ne peut être exclu. Sur l'hypothèse diagnostique probable d'une pneumonie du lobe moyen, nous entamons une antibiothérapie par Rocéphine 2g par jour IV, que nous poursuivons pendant 7 jours avec un résultat rapidement favorable cliniquement. Une échographie du 05.12.2018 montre que l'épanchement pleural droit, volumineux, contient de multiples cloisons, raison pour laquelle nous n'entreprenons pas de le ponctionner. L'insuffisance rénale aiguë diagnostiquée à l'entrée est prise en charge par une hyperhydratation et une adaptation temporaire des médicaments néphrotoxiques, avec un bon résultat. Nous ne réintroduisons pas le traitement de Torasémide en raison de l'absence de signe de surcharge. Nous vous proposons de suivre le poids et les signes de surcharge de la patiente et d'évaluer la nécessité de reprise du traitement. Le 11.12.2018, nous pouvons laisser rentrer la patiente dans un meilleur état général avec la proposition de mise en place d'aide à domicile que le mari de la patiente ne considère pas nécessaire actuellement. Patiente de 90 ans admise aux soins intensifs pour un AVC ischémique sylvien droit. La patiente est connue pour une FA intermittente anticoagulée par Sintrom. Elle est retrouvée par terre par les ambulanciers, en décubitus ventral dans la salle de bain avec la tête contre la porte. L'examen initial montre un hémisyndrome sensitivomoteur brachio-crural gauche avec une discrète parésie faciale du même côté. Le scanner cérébral révèle une occlusion des artères sylvienne et antérieure droite avec une hémorragie sous-arachnoïdienne. Une thrombectomie mécanique n'est pas indiquée d'après les collègues de Bern à cause de la distalité des lésions. À l'arrivée aux soins, le NIHSS est à 9. L'anticoagulation thérapeutique par Sintrom est arrêtée et un traitement par Aspirine est débuté en concertation avec le Dr. X (neurologue). Durant la surveillance, la patiente garde un hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche. L'IRM montre les mêmes lésions décrites au CT cérébral. Un thrombus intracavitaire a pu être écarté par une échographie transthoracique. Dans ce contexte, l'anticoagulation reste en suspens et nous continuons uniquement le traitement antiplaquettaire par Aspirine cardio. On vous laisse le soin de réintroduire l'anticoagulation thérapeutique dès que c'est possible.Le bilan de facteurs de risque cardiovasculaires montre une hypercholestérolémie avec un LDL à 4.77 mmol/l et une hémoglobine glyquée dans la norme à 5.7 %. Un traitement par Atorvastatine est débuté. Mme. Y est transférée au Stroke Unit non monitorée pour la suite de la prise en charge. À sa sortie, elle a un NIHSS à 9 points. Patiente de 91 ans, institutionnalisée, qui nous est adressée par son home le 19.12.18 pour investigations d'un œil rouge avec une péjoration de la vision, notamment lors de la lecture de la grille d'Amsler, sur recommandation de son ophtalmologue traitant. À noter que la patiente a présenté le 17.12.18 au soir un épisode de céphalées associé à une dysarthrie avec aphasie et troubles visuels avec résolution complète en moins de 24h. Aux urgences, un CT cérébral est réalisé qui ne met pas en évidence de lésions ischémiques récentes. L'examen ophtalmologique montre une pseudophakie et une DMLA bilatérale (sèche à gauche et cicatricielle à droite). Une urgence ophtalmologique est ainsi exclue et les traitements ne sont pas modifiés. La patiente retourne alors dans son home le 21.12.18 au vu de la stabilité de son état général selon la description du personnel du home et des résultats rassurants du CT cérébral et de l'examen ophtalmologique. Patiente de 92 ans amenée aux urgences après être tombée de son lit. Il n'y a pas eu de traumatisme crânien, pas de perte de connaissance, pas de vertiges ni de nausées. La patiente, n'étant toutefois pas parvenue à se relever seule, a actionné son alarme pour aviser ses proches et a été emmenée aux urgences de l'HFR Riaz. Le status à l'entrée aux urgences est sans particularité et Mme. Y est prise en charge dans notre service de gériatrie aiguë. Durant son séjour, la patiente bénéficie d'un traitement complexe de réadaptation gériatrique précoce du 23.11.2018 au 03.12.2018. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 27.11.2018 indiquent des performances altérées avec un MMS à 24/30 et un test de la montre à 0/7. L'échelle gériatrique de dépression s'élève à 3/15. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche seule et à l'aide d'un déambulateur s'élève à 200 mètres. Les escaliers ne sont pas testés. La patiente est autonome pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 75/126, par rapport à 54/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts à 6/7, marche à 5/7, escaliers à 1/7). Le TUG n'a pas été testé durant ce séjour. Mme. Y bénéficie également d'un bilan nutritionnel, mettant en évidence un bon état de nutrition ne nécessitant pas de prise en charge spécifique. La patiente profite également d'un bilan modulaire d'ergothérapie, qui est comparé avec celui d'il y a un an, et qui révèle une péjoration globale des fonctions cognitives et praxiques, hormis la mémoire à court terme qui est un peu mieux, une orientation spatio-temporelle qui était à 100% il y a une année aujourd'hui passablement altérée, tout comme les praxies idéomotrices et des déficits de mémorisation non aidés par l'indiçage, observés dans la discussion avec la patiente, qui a des tendances à la persévération verbale. À noter que l'auto-estimation et la compréhension de la situation sont également altérées. Mme. Y refuse que nous installions des adaptations à domicile, estimant qu'en fin de séjour, elle aura récupéré la même force qu'elle avait avant de venir ici. Effectivement, et en raison d'une bonne évolution, Mme. Y peut rentrer à domicile le 04.12.2018 avec les soins à domicile 2x/jour pour mise en route le matin et aide au coucher le soir, 1x/jour pour l'insuline et les glycémies, 2x/jour pour donner les médicaments et 1x/semaine pour contrôle santé, suivi du poids et réalisation du semainier. Les repas lui sont livrés. Patiente de 93 ans, sous Sintrom et porteuse d'un Pacemaker pour un bloc atrioventriculaire de haut degré, qui consulte le 30.11.2018 aux urgences pour une chute avec traumatisme crânien et réception sur le côté droit. Après bilan ne montrant pas d'hémorragie ni de fracture, la patiente est hospitalisée en chirurgie HFR Riaz pour surveillance neurologique, puis admise en gériatrie aiguë le 03.12.2018 pour suite de prise en charge. À son entrée, la patiente est stable, normocarde et normotendue. Le status constate des douleurs au niveau du pli inguinal droit, en relation avec la contusion de la hanche droite. Le reste est sans particularité. Le bilan biologique fait à l'entrée indique une anémie normochrome normocytaire chronique que nous suivons biologiquement. Le bilan vitaminique relève une hypovitaminose B9 et D qui est substituée. Nous vous laissons le soin de recontrôler ces valeurs à distance. Pendant le séjour dans notre service de gériatrie aiguë, au vu d'une surveillance neurologique normale, nous reprenons l'anticoagulation par Sintrom. Sur le plan de l'antalgie, nous adaptons le traitement avec l'introduction d'abord de l'Oxycontin à 10mg/j puis à 20mg/j afin de rendre la patiente plus confortable. Au vu de la persistance de la douleur, une relecture des images du CT lombaire et de la hanche droite est demandée, n'objectivant pas de fracture. Par la suite, Mme. Y poursuit sa mobilisation selon douleur, avec amélioration. Le 12.12.2018, la patiente présente des douleurs abdominales raison pour laquelle nous effectuons une radiographie de l'abdomen sans préparation qui visualise une dilatation du grêle avec un aspect de subiléus. Après avis pris auprès du chirurgien, le Dr. X, un CT abdominal est effectué le 13.12.2018 qui confirme le diagnostic. Selon le Dr. X, nous mettons en place un traitement conservateur avec reprise de l'alimentation et de l'hydratation, une réduction des opioïdes et une stimulation à la mobilisation. La patiente présente un risque de chute, avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche accompagnée se fait à l'aide d'un rollator sur 60 mètres. La patiente ne peut pas gravir de marches. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 64/126, par rapport à 63/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 4/7, marche 5/7, escaliers 1/7). Le TUG est à 40 secondes avec rollator. Le risque de chute est élevé. Au vu du déconditionnement global et d'une mobilisation pas encore optimale avec une possibilité de progression, un séjour de réadaptation gériatrique à l'HFR Riaz est proposé à partir du 13.12.2018. Patiente de 94 ans, qui présente des douleurs pelviennes chroniques de plus en plus invalidantes, motivant l'organisation d'un examen proctologique chez le Dr. X le 11.12.18. Le matin du rendez-vous, la patiente a présenté un malaise à domicile sans perte de connaissance. La patiente est alors adressée aux urgences par le Dr. X, pour investigations de ce malaise, après un examen proctologique qui met notamment en évidence un prolapsus rectal interne. Une origine médicamenteuse est retenue au malaise (anti-hypertenseurs et prégabaline introduits la veille). Les douleurs étant difficilement contrôlées à domicile, la patiente est hospitalisée pour antalgie avec suivi des effets indésirables et poursuite des investigations étiologiques. Sur le plan urinaire, la patiente présente des infections urinaires à répétition avec actuellement une antibiothérapie par ciprofloxacine à partir du 9.12.18. Elle a bénéficié en octobre d'une cystoscopie mettant en évidence une inflammation vésicale avec des ulcérations de la paroi. Le CT abdominal réalisé lors du séjour montre un épaississement pariétal de la vessie avec une infiltration de la graisse péri-vésicale. Nous retenons une probable cystite interstielle chronique. Nous instaurons alors un traitement à base de prednisone et de doxycycline. La culture d'urine met en évidence un E. Coli et un Staphylocoque coag neg.Nous pensons que la cystite explique une partie du tableau des douleurs. Nous complétons les investigations par une IRM pelvienne qui confirme l'épaississement vésical, sans autres anomalies pelviennes visualisées. Les douleurs se concentrant principalement en regard de la région péri-anale, nous maintenons le rendez-vous déjà prévu chez Dr. X pour une réévaluation de la situation à distance du traitement introduit. Au vu d'un contrôle satisfaisant des douleurs avec une bonne tolérance médicamenteuse sous paracétamol, prégabaline et buprénorphine en réserve, la patiente rentre à domicile le 19.12.18. Mme. Y, patiente de 95 ans, est hospitalisée dans notre service de gériatrie aiguë HFR Riaz pour prise en charge d'une infection pulmonaire. Le jour même, Mme. Y est amenée aux urgences de l'HFR Riaz en raison d'une dyspnée de stade III depuis une semaine, associée à une asthénie, des myalgies globalisées et une toux productive avec des crachats blanchâtres. Au status, Mme. Y est apyrétique et nous relevons un souffle systolique à 3/6, plus intense au foyer mitral. Au status pulmonaire, nous notons des murmures vésiculaires diminués dans la base gauche, avec crépitants et matité à la percussion. L'examen abdominal signale un abdomen ballonné, mais sans douleur à la palpation. Le reste de l'examen est sans particularité. Aux urgences, nous effectuons un ECG dont le rythme est sinusal, une gazométrie indiquant une insuffisance respiratoire partielle, et un laboratoire mettant en évidence un syndrome inflammatoire avec leucocytose à 12.6G/l et CRP à 97mg/l, avec une anémie ferriprive à 89g/l. La radiographie thoracique visualise un important épaississement de la trame broncho-vasculaire avec un épanchement pleural à gauche, probablement enkysté par endroits. Dans ce contexte, nous prescrivons de la Rocéphine 2g intraveineuse du 15.10.2018 au 18.10.2018. Dans notre service de gériatrie aiguë, Mme. Y présente une insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë et des râles crépitants diffus au niveau de la plage pulmonaire droite et de la base pulmonaire gauche. Nous demandons un CT-scan thoracique qui visualise de multiples métastases pulmonaires et ganglionnaires dans le médiastin, raison pour laquelle le radiologue complète son examen par l'étage abdominal et y découvre un carcinome du caecum avec métastase dans le pancréas ainsi qu'une volumineuse tumeur de l'apex pulmonaire gauche, probablement à considérer également comme métastase de la tumeur du caecum (diagnostic différentiel : carcinome bronchique primaire). Le diagnostic est communiqué à la fille de Mme. Y, avec option d'une attitude thérapeutique limitée, constituée par des soins de confort et la poursuite des antibiotiques (Co-Amoxicilline 1.2g 4x/j du 19.10.2018 au 24.10.2018 et Klacid 500mg 2x/j du 18.10.2018 au 22.10.2018). Au niveau nutritionnel, signalons une malnutrition protéino-énergétique sévère en lien avec une inappétence, démontrée par un NRS à 5/7, des ingesta à 50% de ses habitudes depuis 1 semaine, un indice de masse corporelle à 18kg/m2 et une baisse d'état général, pour laquelle Mme. Y bénéficie d'un enrichissement des repas et mise en place d'une supplémentation nutritive orale par jour afin d'améliorer sa couverture nutritionnelle et prévenir l'apparition d'escarres. Le 31.10.2018, la patiente est institutionnalisée au Foyer St-Joseph de Sâles. Mme. Y, patiente de 96 ans, est amenée aux urgences ce jour suite à un TC sans PC ni AC dans un contexte de chute accidentelle à domicile sous Plavix. Lors de la chute, la patiente a cogné son crâne contre la table de chevet et s'est réceptionnée sur sa main gauche. Elle présente une plaie longitudinale superficielle de 5cm à la main gauche en regard du 5e métacarpien ainsi qu'une plaie longitudinale superficielle de 2cm en regard de l'os pariétal gauche. Un CT cérébral réalisé aux urgences nous permet d'exclure une lésion osseuse ainsi qu'une hémorragie intra-crânienne. À la radiographie, aucune lésion osseuse n'est décelée à la main gauche. Main gauche : rinçage de la plaie, désinfection, anesthésie locale à la rapidocaine + bicarbonate, fermeture de la plaie par 8 points simples d'éthilon 4-0, pansement compressif. Crâne : rinçage de la plaie, désinfection, anesthésie locale à la rapidocaine + bicarbonate, fermeture de la plaie par 4 points simples d'éthilon 4-0 complétés par une couche d'opsite spray. Un rappel anti-tétanique a été effectué aux urgences. En raison des résultats clinico-radiologiques rassurants, nous laissons la patiente rentrer à domicile avec une antalgie simple à la demande. La patiente est invitée à se présenter à la consultation de son médecin traitant à J10 pour retrait des fils de ses deux plaies. Mme. Y, patiente de 96 ans, est connue pour BPCO, IRC, carcinome canalaire invasif du sein droit de grade II traité actuellement conservativement par Aromasin depuis avril 2014, FA sous Sintrom, troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Orthostatisme • Artériopathie des membres inférieurs (ischémie critique du membre inférieur gauche avec occlusion de l'artère fémorale superficielle sur toute sa longueur et atteinte jambière sur probable artériopathie au long cours) • Sténose aortique (refus d'une prise en charge chirurgicale par la patiente) Chute ce jour en se penchant en avant pour allumer le feu - 15h15 pas de TC ni PC. La femme de ménage l'a retrouvée. Dernier repas : midi. TTT : • Aromasin 25 mg midi • Beloc ZOK 50 mg matin • Calcimagon • Euthyrox 0.75 mg matin • Pantozole 40 mg matin • Perindopril 2 mg matin • Seresta 15 soir • Sintrom • Torem 10 mg matin • Dafalgan, Movicol • Ecofenac • Complément nutritif • Aranesp 0.4 ml s Cut aux 3 semaines • Pulmicort en R • Spiriva en R GEN : GCS (Y4,V5,M6) EG conservé. OA : MID en rotation externe, raccourcissement. CV : B1B2 bien frappés, irréguliers. Souffle cardiaque 4/6 tous les foyers, ni de souffle carotidien. Pas de TJ, ni de RHJ. Pas de souffle dans les grands axes. PP non perçues. Pas d'OMI. Mollets : ballants du mollet souple et indolore. RESP : Pas de tirage, ni d'utilisation de la mm accessoire. Ampliation thoracique symétrique. DIG : abdomen souple et indolore à la palpation, sans défense, ni détente. NEURO : Patient orienté. Pas d'aphasie. Nuque souple et indolore. Pupilles : iso-iso. Pas d'asymétrie faciale. Pas de nystagmus, motricité oculaire sp, champ visuel sp. Pas de dysarthrie. Reste des NC sp. Bras tenus réussi aux MS. Mme. Y, patiente de 97 ans, est connue pour HTA, qui perd l'équilibre au Foyer et chute de sa hauteur. Pas de TC, pas de PC. Forte douleur, impotence fonctionnelle, raccourcissement membre inférieur D, bloqué en rotation externe. Status : GCS 15, patiente calme et collaborante. Algique lors des mouvements, confortable au repos. Désature à 71% sans O2, (89% sous 4L). Membre inférieur D raccourci et en rotation externe. Pas d'hématome dans la région de la hanche. Palpation du pli inguinal D douloureuse. Palpation du grand trochanter à D indolore. MID bien perfusés, temps de recoloration <3 sec, pouls pédieux bien frappés et symétriques. Extension Hallux possible. Sensibilité préservée sur tout le membre inf D. B1B2 bien frappés, pas de souffle, pas d'OMI, pas de douleur au mollet.MVS, pas de bruits surajoutés Mme. Y en excellent état de santé se présente pour une baisse de l'état général ce jour motivant son fils à lui proposer de consulter les urgences. La patiente décrit une sensation de mal-être avec un ressenti de palpitations. Aux urgences, nous ne témoignons pas d'atteinte à l'ECG ni au laboratoire. Par ailleurs, la patiente ne décrit pas de palpitations au cours de son séjour aux urgences. Nous hydratons la patiente et après surveillance, la patiente conserve un état général excellent, raison pour laquelle nous la laissons rentrer à domicile avec comme conseils de reconsulter un cardiologue si récidive de ses palpitations. Mme. Y est envoyée aux urgences pédiatriques de Fribourg accompagnée par ses parents, Dr. X avertit. Mme. Y est envoyée par la radiologie suite au CT lombaire confirmant une fracture-tassement L1 avec atteinte du pédicule droit datant de 2-3 semaines. L'antalgie est maîtrisée selon la patiente à domicile. Nous demandons un avis chirurgical à Dr. X qui propose, au vu de la date du traumatisme, d'une antalgie maîtrisée ainsi que l'état de santé habituel de la patiente, un retour à domicile avec antalgie simple. Nous discutons avec l'infirmière du foyer qui constate des douleurs en amélioration graduelle depuis 2 semaines. Actuellement, la patiente reçoit de la novalgine 500 mg 4x/j avec en réserve du paracétamol que la patiente refuse systématiquement. Nous mettons l'infirmier au home au courant que si nécessaire, il doit proposer plus fréquemment ses réserves d'antalgie. Mme. Y est envoyée par le laboratoire pour prise de sang (car n'arrive pas à piquer). Mme. Y hospitalisée pour une pyélonéphrite gauche du 22-24.12.2018 revient en contrôle clinico-biologique ce jour, montrant une diminution du syndrome inflammatoire. Le E. coli multisensible est mis en évidence à la culture d'urines. Au vu de la situation, la patiente reçoit une dernière dose de Rocéphine dans notre service puis est mise au bénéfice de ciprofloxacine pour 7 jours totaux d'antibiothérapie. Pour rappel, la patiente a bénéficié hier d'une perfusion de Ferinject 1000 mg au vu d'un déficit en fer mis en évidence au cours de l'hospitalisation. Au vu d'un déficit en acide folique, nous mettons en place un traitement de substitution. La patiente est fortement conseillée à reconsulter son médecin traitant dans une semaine à son retour en France. Mme. Y hospitalisée préalablement en gériatrie aiguë HFR Riaz du 01.11.2018 au 20.11.2018 pour suite de prise en charge d'un AVC ischémique, est admise ce jour en réadaptation gériatrique en raison d'un déconditionnement global. À son arrivée, Mme. Y est stable mais se plaint de douleurs aux épaules et aux bras des deux côtés. Ces douleurs sont investiguées par une IRM cervicale le 21.11.2018 qui indique une uncarthrose pouvant en être la cause. Un bilan rhumatologique effectué à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal s'était avéré négatif. Au vu de la persistance de la douleur des membres supérieurs, nous mettons en place une antalgie avec Ecofenac 50 mg 2x/j permettant une nette amélioration de la douleur. Sur le plan médicamenteux, nous effectuons des adaptations de l'insulinothérapie selon les conseils de Dr. X. Le bilan neuropsychologique fait le 22.11.2018 met en évidence l'absence de capacité de discernement par rapport au choix du lieu de vie. En outre, Mme. Y présente un risque de chute avec des chutes à répétition dans le cadre de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle. Les facteurs de risque sont mentionnés dans les diagnostics. Sur le plan cognitif, les tests de dépistage effectués le 22.11.2018 indiquent des performances altérées avec un MMS à 14/30. Durant son séjour, Mme. Y effectue une physiothérapie de mobilisation en charge complète. À sa sortie, son périmètre de marche accompagnée et à l'aide d'un rollator est de 300 mètres, non sécuritaire. La patiente peut gravir 36 marches avec accompagnement. Elle nécessite de l'aide pour les soins. Sa mesure d'indépendance fonctionnelle totale est évaluée à 67/126 par rapport à 60/126 à l'entrée. (MIF physio : transferts 5/7, marche 4/7, escaliers 4/7). Le risque de chute demeure élevé. Au niveau nutritionnel, les tests de déglutition effectués à nouveau le 27.11.2018 permettent de remettre en place un régime normal. Le 28.11.2018, Mme. Y présente un état fébrile à 38.6°C. L'examen clinique signale une légère douleur en loge rénale gauche, sans dysurie ni pollakiurie. Nous effectuons deux paires d'hémocultures qui reviendront négatives ainsi qu'un sédiment et un urotube qui signaleront des germes et une flore mixte+++. Dans l'attente des résultats, nous suivons cliniquement et nous n'introduisons pas d'antibiothérapie pour l'instant. Au niveau ergothérapeutique, Mme. Y réalise des exercices sensoriels et moteurs de la zone bucco-linguale. Le 27.11.2018, nous organisons un colloque avec la patiente et sa fille afin de clarifier le projet de sortie : un placement est finalement décidé. Dans cette perspective, Mme. Y reste hospitalisée au sein de l'HFR à partir du 30.11.2018, bien que sa prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Finalement, la patiente sera institutionnalisée au Foyer de Bouleyres à Bulle le 11.12.2018. Mme. Y initialement traitée par Dr. X pour signes de surcharge. Actuellement, pas de surcharge pulmonaire. • contacter Dr. X pour savoir si la patiente était plus rapide à son cabinet ces dernières semaines. Mme. Y inquiète par rapport à des douleurs de la gorge en avalant. Pas de dysphagie. Nous retrouvons les douleurs à la palpation de la chaîne cervicale antérieure. Au vu de l'absence de critères de gravité, la patiente regagne son domicile. Proposition de contrôle chez le médecin traitant. Mme. Y ne souhaite pas de prise en charge par la psychiatrie. Mme. Y nous est envoyée aux urgences en raison d'un manque de critère pour une suspicion de pré-éclampsie. Après réévaluation et discussion avec le service de gynécologie, nous effectuons un US abdominal qui ne montre pas de lésions hépatiques et nous décidons en commun accord avec le médecin de garde d'hospitaliser la patiente en obstétrique pour suspicion d'hypertension gravidique. N : GCS 15/15, orienté aux 3 modes, NC dans la norme, forces et sensibilités conservées, barré et Mingazzini tenu, réflexes normovifs et symétriques, RCP sp C : B1B2 bien frappé, sans souffles surajoutés, pouls périphériques bien palpés, OMI jusqu'à mi-mollet P : MVS sans bruits surajoutés A : BFTN, abdomen souple et indolore, Murphy négatif, LRSI P : cicatrice calme et propre. Mme. Y partie sans consultation médicale. Mme. Y partie sans consultation médicale, vient pour prise de sang. Mme. Y partie sans consultation médicale, vient pour prise de sang car médecin traitant en vacances. Mme. Y partie sans consultation médicale. Prendra contact avec son médecin traitant. Mme. Y présentant des douleurs de l'hypochondre droit depuis une semaine avec une péjoration ce jour. L'examen clinique et le laboratoire sont rassurants. Nous proposons à la patiente un contrôle avec laboratoire et tests hépatiques le 11.12.2018. Mme. Y présentant des douleurs antérieures du genou pouvant être mises sur le compte d'une gonarthrose et une limitation des amplitudes articulaires secondaires à diverses opérations de ce genou. La patiente est cependant peu gênée dans ses activités de la vie quotidienne. Nous ne lui proposons donc pas de mesures complémentaires pour le moment. Elle est autorisée à réaliser toutes ses activités selon douleurs et sans limitation. Pas de prochain contrôle prévu, elle reprendra contact au besoin.Patiente présentant des lombalgies aigües non déficitaires. Au vu de douleurs nouvelles chez une patiente de >50 ans, un bilan radiographique est proposé à la patiente, ce qui est refusé au vu de la durée d'attente aux urgences. Nous proposons à la patiente d'effectuer un contrôle chez son médecin traitant avec, si nécessaire, l'organisation de cet examen par ses soins. Patiente présentant une clinique et une histoire personnelle compatibles avec une crise d'asthme. Au vu d'une probable infection virale récente, nous effectuons un laboratoire et une radiographie du thorax à la recherche d'une complication infectieuse pulmonaire. La gazométrie ne montre pas d'hypoxémie. Le peak flow montre une diminution importante du débit. La patiente refuse tout au long de la consultation un traitement par aérosol nécessitant l'intervention de Dr. X qui convainc la patiente de l'indication pour un traitement par Ventolin aux urgences. Au vu d'une clinique qui s'améliore suite à l'introduction de ce traitement, la patiente rentre à domicile avec un traitement par Ventolin pendant 5 jours avec des doses en réserve. La patiente devra consulter son médecin traitant pour la réévaluation de la réponse au traitement. Patiente présentant une évolution défavorable à 3 mois d'une lésion de la corne postérieure du ménisque interne pour laquelle nous discutons d'une prise en charge chirurgicale sous forme d'une arthroscopie et méniscectomie partielle interne. Cette chirurgie pourrait se dérouler dans le courant du mois de janvier. La patiente nous annonce cependant qu'elle doit être opérée en janvier d'une tumeur au niveau de l'utérus. Elle souhaite donc surseoir la prise en charge chirurgicale pour son genou gauche à une date ultérieure. Nous fixons donc un prochain contrôle fin janvier 2019 et agenderons une date opératoire à ce moment-là. Patiente présentant une probable hernie cervicale. Au vu de la bonne réponse au traitement par AINS et Dafalgan au cours de la surveillance dans notre service, nous lui proposons de regagner son domicile avec un traitement anti-inflammatoire pendant 7 jours, et contrôle chez médecin traitant en début de semaine prochaine. Si persistance de la symptomatologie, nous préconisons de poursuivre les investigations par la réalisation d'une IRM cervicale. Invitée à se représenter aux services d'urgence en cas de péjoration de la symptomatologie ou en cas d'apparition de nouveaux symptômes. Patiente présente des douleurs depuis 17h. STE antérieur à l'ECG. Avis de Dr. X ad coro en urgences mais manque de disponibilité coronarographie à HFR Fribourg, transfert à Bern. Patiente primigeste de 24 ans à 36 5/7 semaines d'aménorrhée, admise dans notre service pour une pyélonéphrite droite le 14.12.2018. Elle présente un état fébrile sans autres symptômes depuis ce jour. À l'admission, elle est fébrile à 38.2°C, tachycarde et normotendue. L'examen clinique met en évidence une percussion de la loge rénale droite douloureuse et l'abdomen gravide, souple et indolore. Le bilan biologique retrouve un léger syndrome inflammatoire et le stix est positif. Le CTG met en évidence un foetus tachycarde, sans contractions utérines. Après hémocultures, uricult, frottis cervico-vaginal et streptocoque du groupe B, nous débutons une antibiothérapie par Rocéphine 2g/j pour un diagnostic de pyélonéphrite droite. Les suites sont favorables tant sur le plan clinique que biologique. Les hémocultures ainsi que l'uricult reviennent positifs pour E. coli multisensible, motivant le relais par Cefuroxime après 48h d'afébrilité pour une durée totale de 14 jours. La patiente peut alors regagner son domicile le 19.12.2018. Patiente primigeste de 24 ans admise en salle d'accouchement le 20.12.2018 pour une mise en travail spontanée à terme +1. Le travail est harmonieux et soutenu par Syntocinon. Elle donne naissance par voie basse à un garçon pesant 3730 g, avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et afébriles. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 23.12.2018. Patiente primigeste de 24 ans, avec grossesse actuelle marquée par une pré-éclampsie imminente confirmée par le rapport Sflt1/PIGF avec contrôle clinique aux 48h, et qui a bénéficié d'une maturation pulmonaire les 01.12.2018 et 02.12.2018. Elle consulte le 03.12.18 à 34 semaines d'aménorrhée pour recrudescence de gêne épigastrique, sans autres symptômes de pré-éclampsie. À son arrivée, elle est hémodynamiquement stable et afébrile. L'ECG montre un rythme sinusal régulier, le laboratoire met en évidence un bilan de gestose aligné hormis une augmentation de l'acide urique et un léger syndrome inflammatoire. L'échographie montre un Manning à 8/8 avec un foetus eutrophique en siège complet avec PFE 1789g (p10), un ILA en quantité normale, un placenta postérieur normalement inséré et des dopplers ombilicaux et cérébraux en ordre. Dans ce contexte, nous posons l'indication à une césarienne en semi-urgence. L'intervention se déroule le 04.12.2018 sans complication et la patiente donne naissance à un garçon de 2080g, de bonne adaptation néonatale admis alors dans le service de néonatologie pour prématurité. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile durant son séjour. Sevrage primaire de l'allaitement par Dostinex. La contraception future se fera par Meliane 21 dès son contrôle post-partum à 6 semaines ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile sans son bébé le 09.12.2018 en bon état général. Patiente primigeste de 25 ans admise en salle d'accouchement le 18.12.2018 pour rupture prématurée des membranes le même jour à 2h45 à terme +3. Au vu du statut streptocoque du groupe B positif, nous débutons une antibiothérapie par Clamoxyl. Par la suite, la patiente se met en travail et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 3310g de bonne adaptation néonatale. Une épisiotomie ainsi qu'une déchirure vaginale sont suturées sous anesthésie locale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique, motivant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21 ; dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Sur le plan endocrinologique, le contrôle de la TSH et de la T4 reviennent dans la norme à J3. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 21.12.2018, en bon état général. Patiente primigeste de 28 ans admise en salle d'accouchement le 17.12.2018 pour une mise en travail spontanée à 38 1/7 semaines d'aménorrhée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse Kiwi pour non progression de la présentation et CTG suspect à une fille de 2710g de bonne adaptation néonatale. Une révision de la cavité utérine est effectuée en salle d'accouchement sous péridurale en raison d'une rétention de membranes, et une déchirure vaginale et des éraillures des petites lèvres bilatérales sont suturées.Les suites post-partales sont simples et Mme. Y reste afébrile durant son séjour. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 20.12.2018 en bon état général. Mme. Y, primigeste de 29 ans, est admise en salle d'accouchement le 04.12.2018 à 41 3/7 semaines d'aménorrhée, en vue d'une provocation pour terme dépassé. Cette dernière se fait par la mise en place d'un Misodel. Devant un CTG pathologique, nous posons l'indication à une césarienne en urgence 30 minutes. La patiente donne naissance à un garçon de 3110 g, de bonne adaptation néonatale. L'intervention se complique d'une atonie utérine nécessitant la perfusion de Syntocinon, Nalador et Cyklokapron avec bonne réponse. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative motivant l'introduction d'une substitution ferrique per os. L'allaitement maternel complet est débuté et se déroule sans complication. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre et une cicatrice calme, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 08.12.2018. Mme. Y, primigeste de 29 ans, est admise en salle d'accouchement le 26.12.2018 à 40 4/7 semaines d'aménorrhée pour mise en travail spontanée. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse kiwi pour CTG pathologique à une fille de 3590 g de bonne adaptation néonatale. À son arrivée, on constate un globe vésical à 500 ml motivant un sondage à demeure. Après épreuve de clampage-déclampage, cette dernière est retirée le 27.12.2018 avec une reprise spontanée des mictions. Les suites post-partales sont simples et favorables. L'allaitement maternel est débuté. La contraception future se fera par préservatif dans l'attente d'en rediscuter avec son gynécologue traitant lors du contrôle post-partum. Les contrôles obstétricaux sont en ordre et les cicatrices sont calmes et propres avant son départ. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 29.12.2018 en bon état général. Mme. Y, primigeste de 30 ans, est admise dans notre service pour suspicion de pré-éclampsie avec hypertension labile, douleurs épigastriques par intermittence, céphalées en barre et phosphènes depuis environ une semaine en péjoration ces derniers jours. À son entrée, la patiente est hémodynamiquement stable avec des profils tensionnels dans la norme et afébrile. L'examen clinique retrouve un abdomen gravide souple et indolore, absence d'œdèmes et des ROT symétriques et hypovifs. Le bilan de gestose est aligné et le spot ne démontre pas de protéinurie. L'US obstétrical révèle un RCIU de type I avec brain sparing. Le CTG est réactif non pathologique. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour surveillance clinique. La protéinurie sur 24 h revient négative. Le rapport Sflt1/PIGF revient à 54 avec alors un risque élevé de faire une pré-éclampsie dans les 4 semaines. En raison d'une hypomagnésémie, nous introduisons une substitution po. L'évolution bio-clinique étant favorable avec un profil tensionnel dans la norme et un bilan biologique aligné, la patiente rentre alors à domicile le 21.12.2018 avec contrôle rapproché. Mme. Y, primigeste de 31 ans, est admise en salle d'accouchement pour rupture prématurée de membranes sans contractions utérines le 25.12.2018 à 39 6/7 semaines d'aménorrhée. Après une attitude expectative de 12 h, nous débutons une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV et provoquons par Propess. Après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse Kiwi pour non-progression de la présentation à une fille de 2930 g avec une bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative nécessitant l'introduction d'une substitution ferrique po. L'allaitement maternel est débuté. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera les préservatifs si besoin. Les contrôles obstétricaux sont en ordre et les cicatrices sont calmes et propres avant son départ. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 29.12.2018 en bon état général. Mme. Y, primigeste de 33 ans, est admise en salle d'accouchement en vue d'une provocation pour fatigue maternelle à 40 6/7 semaines d'aménorrhée le 16.12.2018. Cette dernière se fait par la mise en place de deux Propess et un ballonnet avec un travail soutenu par Syntocinon. Après une dilatation dystocique, elle donne naissance par voie basse instrumentée par ventouse métallique pour défaut d'expulsion à une fille de 3790 g avec une bonne adaptation néonatale. Accouchement compliqué par une hémorragie du post-partum sur atonie utérine résolue par massage utérin avec finalement des pertes sanguines estimées à 700 ml. Les suites post-partales sont simples mais marquées par une anémie spoliative asymptomatique motivant la perfusion de 1000 mg de Ferinject. En raison d'hémorroïdes externes non thrombosées, nous introduisons un traitement de ProctoSynalar. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par Desonur dès J21, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente regagne son domicile avec son bébé le 22.12.2018 en bon état général. Mme. Y, primigeste nullipare de 24 ans, est admise en salle d'accouchement le 03.12.2018 à 40 5/7 semaines d'aménorrhée pour pré-travail douloureux et rupture prématurée des membranes non datable. Nous débutons alors une antibioprophylaxie par Clamoxyl IV selon protocole. Elle se met en travail de manière spontanée et après une dilatation harmonieuse, elle donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 3940 g de bonne adaptation néonatale. À noter une dystocie des épaules résolue après une manœuvre de Woods et Menticoglu après échec de Mc Roberts et appui suspubien. En raison d'un profil tensionnel élevé en péri-partum, nous effectuons un bilan de gestose qui revient négatif et l'évolution est spontanément favorable. Les suites post-partales sont simples et la patiente reste afébrile. L'allaitement maternel complet est initié et se déroule sans complication. La contraception future se fera par la mise en place d'un stérilet en cuivre, dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution avec des contrôles obstétricaux en ordre, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 06.12.2018. Mme. Y consulte ce jour aux urgences pour des symptômes digestifs persistants depuis environ 1 an, avec consultation motivée par son nouvel ami trouvant la situation très précaire. L'examen clinique et le laboratoire ne mettant pas évidence de cause franche pour la symptomatologie gastrique présentée par la patiente, nous proposons un suivi gastroentérologique. Nous lui recommandons de reconsulter en cas de péjoration de la symptomatologie.Mme. Y consulte pour toux sèche depuis 3 semaines, sans fièvre associée à des douleurs articulaires et musculaires, sans notion de contagion ou voyage récent. Nous effectuons un frottis nasopharyngé dont les résultats seront envoyés chez le médecin traitant. Nous retenons une infection respiratoire virale des voies supérieures pour laquelle nous prescrivons du Dafalgan, de l'Irfen et un sirop anti-tussif. La patiente prendra rendez-vous chez son médecin traitant la semaine prochaine pour le suivi et les résultats. Mme. Y, qui est venue la nuit dernière pour les raisons susmentionnées, revient pour un contrôle prévu aujourd'hui. La patiente montre une amélioration clinique, et selon l'avis de son gastro-entérologue et de son gynécologue, pas d'investigations supplémentaires ne sont faites, et la patiente rentre à domicile avec le traitement instauré la veille. Si péjoration ou persistance des douleurs, la patiente prendrait contact avec son gastro-entérologue. Mme. Y présente depuis hier soir des plaques érythémateuses et prurigineuses qui ont débuté au niveau du décolleté puis se sont propagées au niveau de l'abdomen, plis du coude, cuisse et pli poplité, associées à des douleurs abdominales diffuses, 2 épisodes de vomissements et 1 épisode de vertige, sans autres symptômes associés. Nous retenons une réaction allergique de stade II pour laquelle nous prescrivons du Xyzal 5 mg 1x/j et de l'Excipial U hydrolotion. L'allergène n'étant pas clairement identifié, nous suspectons un nouveau pull qui n'avait pas été lavé avant le premier usage. La patiente est avisée de consulter son médecin traitant si les symptômes continuent ou se péjorent. Nous lui faisons part des symptômes (dyspnée, dysphagie, dysphonie, perte de connaissance) qui doivent l'amener à consulter au plus vite. Mme. Y présente depuis jeudi des céphalées occipitales d'apparition brusque alors qu'elle était énervée. Les douleurs sont en augmentation sans effet des antalgiques. Les douleurs partent de la nuque, bilatérales, G>D, et irradient vers le haut. Douleurs qui fluctuent entre 3-9/10 de type serrement et parfois pulsatile. La patiente décrit une raideur de nuque G. La patiente a présenté une chute vendredi sur la glace avec péjoration des douleurs de nuque dans un second temps. Pas de traumatisme crânien. Pas de photophobie, pas de phonophobie, pas de nausées/vomissements. Pas d'examen physique. A pris Celecoxib Mepha 100 mg vers minuit sans effet. La patiente est suivie par le Dr. X, allergologue, suite à un choc anaphylactique après la prise de Brufen en juin 2018. La patiente est également en investigation pour une possible allergie au bêtalactame et Metronidazole. Les AINS sont pour l'instant contre-indiqués sauf pour le Celecoxib. NEURO : NC sp, force segmentaire à M5, pas de troubles de la sensibilité grossière, Barré tenu, pas de dysmétrie MS. OA : pas de douleurs à la percussion du rachis. Douleurs à la palpation paravertébrale G avec contracture musculaire. Raideur de nuque lors de la flexion D avec mise sous tension de la musculature paravertébrale G. Pas de limitation à l'extension. Pas de douleurs reproductibles lors de l'élévation des jambes. Nous concluons à des céphalées occipitales sur probable torticolis répondant bien au Dafalgan et Tramal. La patiente présente aussi des valeurs tensionnelles élevées constamment au-dessus de 160 en systolique depuis son arrivée. Nous instaurons un traitement par Adalact 30 mg avec des valeurs qui se normaliseront par la suite. Nous recommandons néanmoins un contrôle de la tension artérielle chez le médecin traitant et de discuter l'indication d'un traitement antihypertenseur. Au vu de l'amélioration des douleurs occipitales ainsi qu'une normalisation des tensions, nous laissons rentrer la patiente à domicile avec un contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Mme. Y présente une évolution défavorable à presque 4 ans d'une arthroplastie totale du genou G avec persistance d'importantes douleurs au genou, l'empêchant de pratiquer ses activités quotidiennes et rendant son activité professionnelle de femme de chambre difficile. Nous discutons ce jour des différentes options thérapeutiques avec la patiente, à savoir la poursuite du traitement conservateur axé sur le relâchement et le renforcement musculaire, proprioception, gainage et massage transverse profond sur les insertions musculaires dans un but de permettre une diminution des douleurs et une stabilisation du genou par la musculature. L'alternative serait une révision de la prothèse en un temps. La patiente est informée qu'il est possible que la symptomatologie persiste malgré la chirurgie. Nous convenons ensemble de poursuivre pour le moment le traitement conservateur avec la physiothérapie. Nous la reverrons dans 3 mois. Lors de cette consultation, nous pourrons réaliser des radiographies des membres inférieurs. Mme. Y présente une évolution favorable pour ses gonalgies droites avec un traitement conservateur à base d'antalgiques et de physiothérapie. Au vu de l'évolution favorable, nous ne proposons pas de prochain contrôle à la patiente mais restons à disposition au besoin. Mme. Y se présente avec des diarrhées non-glairo-sanguinolentes depuis 2 jours, associées à des vomissements depuis le 10.12.2018. Le laboratoire montre un léger syndrome inflammatoire avec CRP à 8 mg/l sans leucocytose. Nous retenons une gastro-entérite d'origine probablement virale pour laquelle la patiente est réhydratée avec NaCl et reçoit du Primpéran IV. Au vu de la possibilité de réhydratation et d'alimentation aux urgences, la patiente rentre à domicile avec les conseils de réhydratation et de réalimentation. Mme. Y souffre de douleurs au hallux droit depuis quelques jours sans amélioration malgré des bains de Dakins. Le bilan met en évidence le diagnostic susmentionné. Un traitement par antibiothérapie est mis en place en vue du statut infectieux, avec un contrôle dans 1 semaine pour contrôle et probable prise en charge chirurgicale si pas d'amélioration. Mme. Y, suite à un traumatisme de l'avant-pied G contre une marche en granit samedi, présente une douleur de l'avant-pied G principalement en D5 avec un hématome en regard des articulations métatarso-phalangiennes en D4 et D5 avec marche possible uniquement sur le talon. Elle présente une douleur à la mobilisation et à la palpation de D5. Nous sollicitons le Dr. X qui confirme une fracture de la base de la phalange proximale en D5 G. Dans ce contexte, une syndactylie est réalisée ainsi qu'une prescription pour une botte de Barouk et antalgie avec décharge selon douleurs. La patiente a rendez-vous le 21.12.2018 à 14h15 à la polyclinique d'orthopédie pour contrôle. Mme. Y vient pour des lombalgies. Nous retenons le diagnostic de pyélonéphrite sur la base des examens sanguins et urinaires (cf. rapport ci-joint). Elle reçoit de la Rocephine 2 g IV en dose unique, la patiente rentre à domicile avec de la Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Contrôle chez son médecin traitant dans 2 jours. Nous avons également prélevé un urotube (à savoir après la prise des antibiotiques), dont nous vous ferons parvenir les résultats. Nous expliquons à la patiente de se représenter aux urgences si péjoration de la symptomatologie. Mme. Y vient pour un contrôle 3 jours après avoir présenté le 28.12.2018 24h après un traumatisme crânien avec perte de connaissance de 10 secondes sans antécédent sur probable syncope vagale. L'évolution est favorable avec un scanner cérébral rassurant. La patiente est alors permise de rentrer chez elle en Belgique le jeudi avec contrôle chez son médecin traitant. Nous lui donnons une copie du scanner sur CD et une attestation pour qu'elle puisse prendre l'avion. Mme. Y a été reclassée le 04.12.2018, en attente d'une réadaptation gériatrique à l'hôpital de Meyriez. Au vu des tensions artérielles basses pour l'âge, nous avons suspendu les traitements antihypertenseurs présents à l'entrée. Nous vous laissons le soin de réévaluer la reprise de ces médicaments à distance.• Patiente reçoit 80 mg de Pantoprazole iv. Vu la suspicion d'un anévrisme abdominal chez une patiente avec de nombreux facteurs de risque cardiovasculaire, ad CT abdominal angio : pas d'anévrisme, pas d'air ou de liquide libre. CT dans les limites de la norme. • Patiente reconsulte aux urgences par rapport à des douleurs au pied suite à un changement de plâtre. Vu l'absence de possibilité de respecter la décharge dans le plâtre après la discussion avec Dr. X, nous enlevons le plâtre et immobilisons la cheville avec un Air-Cast. Le prochain contrôle à la polyclinique est prévu le 03.01.2018. • Patiente rentrée après lavement sans avoir exonéré car souhaitait le faire à domicile. • Patiente repartie sans consultation médicale. • Patiente revue dans le contexte d'un contrôle clinique, persistance d'un léger défaut sensitif au niveau de la colonne du pouce, avec discrète amélioration de la symptomatologie. La patiente est vue par Dr. X qui préconise la réalisation d'une IRM de la colonne cervicale à la recherche d'un conflit radiculaire. Celle-ci est agendée au 10.12.2018 et la patiente sera revue à la consultation de Dr. X le 11.12.2018. • Patiente se présentant suite à une chute sur le membre supérieur droit. Une fracture supracondylaire est mise en évidence. Un avis à Dr. X est demandé. Nécessitant une réduction fermée et dans l'absence du plateau technique la nuit à l'Hôpital de Riaz, nous envoyons la patiente accompagnée de ses parents en pédiatrie. • Patiente se représentant pour urticaire aiguë sans péjoration mais avec une symptomatologie très gênante et persistante. En raison d'une patiente évoquant des frissons, nous effectuons un laboratoire qui est aligné. Au vu d'une symptomatologie non améliorée sous Xyzal, nous changeons de traitement anti-H1 et mettons en place un traitement par Elocom. • Patiente sous Subutex 6 mg/j pour sevrage à l'héroïne (stoppée en 2011) (suivie par Mme. Y, centre UTA de Fribourg). • Patiente sous Xarelto pour une FA intermittente (cardiologue Dr. X). ATT • Bilan vitaminique à prévoir si pas fait récemment par MT. • Rediscuter l'indication Xarelto avec le cardiologue traitant Dr. X. • Mise en suspens de Xarelto si hématome. • Patiente traitée par néomercazole pour un goitre multinodulaire toxique, TSH dans la cible il y a 6 mois. TSH augmentée à 7.130 mU/L Att : • Néomercazole en suspens. • Nous proposons un contrôle en ambulatoire de la fonction thyroidienne à 6 semaines. • Patiente vue au tri par Dr. X. Retour à domicile. • Patiente adressée par la pédiatrie pour avis gynécologique sur douleur FID-inguinale droite depuis plus d'une semaine. Quelques nausées. Dyschézie. Partenaire stable depuis 5 mois, rapports protégés. Dernier rapport sexuel il y a une semaine interrompu en raison de la douleur préexistante. À noter qu'elle a consulté à Payerne il y a une semaine pour le même motif (rapport de la consultation dans le dossier) : cô gynécologique eo, frottis bactério avec Chlam et Gon négatif, US sans KO visualisé. Examen clinique : normotendue, normocarde, afébrile. Abdomen souple, sensibilité avec défense à la palpation profonde en FID, sans détente, loges rénales souples indolores. Spéc : col de nullipare d'aspect sain, sécrétions sp, KOH négatif, Ex direct : pas de clue cells. CONCLUSION Échographie pelvienne sans anomalies décelées. Explications à la patiente et à sa mère (la patiente en pleurs, dit qu'on ne l'écoute pas, mais refuse toute proposition d'antalgie ou de CHC). Douleur FID sur ovulation au vu du corps jaune à droite ? Absence d'argument pour autre cause gynécologique de cette douleur. Adressée de nouveau en pédiatrie pour exclusion des causes digestives, appendicite, etc. • Patiente à 31 SA, qui consulte pour des contractions utérines douloureuses avec premier épisode il y a une semaine et récidive ce jour entre 4 h et 7 h à raison de 2-3 par heure. La patiente ne présente aucune autre plainte. Il n'y a pas de symptôme urinaire, de changement des pertes vaginales, pas de signes de pré-éclampsie, de perte de liquide ou de sang. À l'entrée, la patiente est hémodynamiquement stable et afébrile. L'examen clinique met en évidence un col à 10 mm avec funneling à l'ultrason sans signe s'appel infectieux et le CTG objective 2 contractions utérines. Le laboratoire ne montre pas de syndrome inflammatoire. Dans ce contexte, nous hospitalisons la patiente pour une cure de maturation pulmonaire ainsi qu'une tocolyse. Les frottis microbiologiques urinaires et vaginaux deviennent négatifs. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 09.12.2018 avec un traitement tocolytique par Adalat, bryophyllum et magnésium. Un contrôle est prévu dans 72 h auprès de son gynécologue traitant. • Patiente 1G admissible le 01.12.2018 à 39 SA pour mise en travail spontanée. Après une dilatation et un travail harmonieux, elle donne naissance par voie basse à un garçon en présentation siège décomplété pesant 3150 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et l'allaitement maternel complet est initié. La contraception future sera rediscutée à son contrôle à 6 semaines. Dans l'attente, la patiente utilisera le préservatif si besoin. Au vu de la bonne évolution, la patiente rentre à domicile avec son bébé le 05.12.2018, en bon état général. • Patiente 3G1P de 22 ans, à 8 semaines d'aménorrhée, qui consulte en urgence pour une douleur pelvienne aiguë avec métrorragie depuis le même matin. Le test de grossesse urinaire est positif. Au status, la patiente est normotendue, légèrement tachycarde à 100 bpm, afébrile. Nous constatons une défense généralisée à l'hémi-abdomen inférieur. Au spéculum, traces de métrorragie rouge avec douleur importante à la mobilisation cervicale. À l'échographie, nous mettons en évidence une masse annexielle droite de taille importante avec du liquide libre, et devant le taux de bêtahCG élevé et l'état clinique de la patiente, nous posons l'indication à une laparoscopie exploratrice en urgence. La patiente comprend cette indication et signe le consentement éclairé. L'intervention se déroule le 20.12.2018 sans complications, confirmant la présence d'une grossesse au niveau de l'ampoule tubaire droite. Nous effectuons une salpingotomie droite, et le matériel d'expulsion est envoyé en analyse anatomopathologique. La patiente reçoit toutes les informations nécessaires et bénéficie d'une injection intramusculaire de méthotrexate le 21.12.2018. Devant la bonne évolution clinique, la patiente regagne son domicile le 21.12.2018 avec un contrôle prévu à J7 pour contrôle biologique (bêtahCG, bilan hépatique-rénal) ainsi qu'ablation des fils. Contraception : Désorel 20 pour 3 mois. • Patiente 4G1P de 38 ans admise en salle d'accouchement à 38 semaines d'aménorrhée au vu d'une provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant. Elle bénéficie de la mise en place d'un Propess, ainsi que d'une antibioprophylaxie par Dalacin pour un portage de Streptocoque B. Elle se met en travail, dilate rapidement, et donne naissance par voie basse spontanée à un garçon de 2910 g de bonne adaptation néonatale. Les suites post-partales sont simples et sans complications. L'allaitement maternel est débuté et se déroule sans complications. La contraception future se fera par injection de Depo-Provera chez son gynécologue traitant. Au vu de la bonne évolution, la patiente regagne son domicile le 02.12.2018 en bon état général. Mme. Y, 55 ans, pas de traitement régulier, métier : consultante en éducation, droitière. Il y a une heure, la patiente conduisait la voiture sur l'autoroute, toute seule, à une vitesse de 100 km/h, quand une voiture l'a tapée à l'arrière gauche (vitesse de l'autre voiture : 125 km/h), la voiture de la patiente se tourne et tape contre la barrière de sécurité, avec ouverture des airbags, la patiente avait la ceinture de sécurité. La patiente n'a pas eu de traumatisme crânien ni de perte de connaissance, ni de traumatisme du rachis, ni au niveau du thorax/abdomen/bassin. La patiente présente seulement des douleurs au niveau du doigt 4 main G pour laquelle elle se rend aux urgences. Quelques minutes après l'arrivée aux urgences, la patiente n'a presque plus de douleurs au doigt. L'examen clinique général est rassurant. On fait une RX doigt 4 qui exclut des fractures. La patiente refuse l'immobilisation du doigt. On conseille le repos et explique la surveillance pendant 24 heures à la patiente et à son mari. Si présence de symptômes (douleur, malaise, altération de la conscience), d'hématurie, se rendre aux urgences. Contrôles du doigt chez MT si nécessaire. Mme. Y se fait mordre par un chat il y a 2 jours. Vient pour un contrôle clinique et biologique après 48 heures comme prévu. Le contrôle est rassurant avec des plaies calmes, et une amélioration du syndrome inflammatoire. La patiente fera alors le reste des suivis de plaies chez son médecin traitant. Pauline présente des difficultés alimentaires avec perte pondérale de 2-3 % depuis son retour à domicile. Nous rappelons à la mère comment stimuler l'hydratation et la reverrons en contrôle le 30.12.18. Contrôle le 30.12.18 (C. Pina) Anamnèse : la mère a donné le biberon avec une tétine de taille II et l'a mieux stimulé, permettant une meilleure prise depuis hier. Depuis hier soir, elle est davantage encombrée au niveau du nez. Status : poids 4.125 kg (+55 g), congestion nasale, pas de détresse respiratoire Attitude : poursuivre l'alimentation ainsi, continuer les rinçages de nez Pause respiratoire d'origine inconnue. Pauses respiratoires. Pauses sinusales avec dysfonctionnement sinusal. Pauses sinusales dans le cadre d'une cardiopathie ischémique et rythmique. - Fibrillation auriculaire permanente anticoagulée. - Maladie coronarienne tritronculaire sévère avec : - Status post PTCA stent de l'IVA proximale le 04.04.2014 pour STEMI antéro-latéral par Dr. X. - Status post revascularisation myocardique pour pontage de l'artère mammaire interne G sur l'IVA et pontage en Y avec l'artère mammaire interne D sur la marginale circonflexe à cœur battant le 09.12.2014 pour sténose significative du tronc commun distal, sténose de l'ostium de l'IVA proximale. - Status post ligature de l'auricule G le 09.12.2014. - Status post procédure de Maze par radiofréquence le 09.12.2014. - Discrète dilatation VG avec akinésie du septum apical et de la paroi inféro-apicale et une hypokinésie modérée de la paroi latéro-apicale. FEVG 50 % le 07.09.2018. - BAV 1er degré avec PQ à 280 ms le 25.05.2016. PC pour 1er T. Utrogestan 200 cp vag 2x/j. PC sans TC d'origine probablement vaso-vagale. PCR chlamydia/gonocoque : non finalisées le 04.12.18. (En accord avec le patient : appel le 05.12.18 (078 748 28 98) pour communiquer les résultats et orienter le traitement). Discuter d'une consultation en cabinet d'urologie si récidive de dysurie. PCR Clostridium dans les selles le 16.11.2018 : négatif. Att : - suivi clinique et électrolyte. Peak Flow : 95 % du prédit (400 l/minute). Attitude : - traitement symptomatique. - suite de prise en charge chez le médecin traitant. Peau sèche sur maladie de Goujereot. Péjoration aiguë AKIN I d'une insuffisance rénale chronique de stade 3b (Cockcroft-Gault à environ 35 ml/min) le 14.12.2018. - créatinine à 168 umol/l (valeurs habituelles autour de 130 umol/l). - probablement d'origine pré-rénale sur syndrome cardio-rénal. - FeNa : 1.04 % suggestif de pré-rénal voire mixte. Péjoration aiguë d'une insuffisance rénale chronique. Péjoration aigue d'une insuffisance rénale chronique : - créatinine à 168 umol/l (valeurs habituelles autour de 130 umol/l). - probablement d'origine pré-rénale sur syndrome cardio-rénal. Péjoration de dyspnée. Péjoration de dyspnée. Péjoration de la crase avec INR à 1.3 et de l'anémie à 99 g/l le 28.11.2018. Dénutrition. Péjoration de la dyspnée sur progression tumorale le 08.12.2018. Péjoration de l'état de démence. Péjoration de l'hémiplégie gauche. Péjoration de lombalgies chroniques non déficitaires le 25.12.18. Péjoration des douleurs dans le cadre d'une décompensation musculaire et sacro-iliaque. Nous expliquons à la patiente de continuer à garder sa motivation pour une bonne rééducation malgré les douleurs chroniques. Afin de l'y aider, nous lui proposons dans un premier temps de poursuivre la physiothérapie en piscine et lui conseillons un séjour de 2 semaines dans un centre thermal tel que Loèche-les-Bains. Concernant le matériel de spondylodèse, celui-ci est bien en place sur les radiographies. La poursuite du traitement antalgique peut donc être poursuivie par Dr. X qui nous lit en copie. Prochain contrôle dans le courant du mois de mars 2019. Péjoration d'une insuffisance rénale chronique sans critères AKIN le 20.12.2018. - CKD-EPI : 37 ml/min/1.73 m2 ; MDRD : 38 ml/min/1.73 m2. Péjoration d'une lombosciatalgie D sur - Status post foraminotomie L4-L5 D et libération radiculaire sur sténose foraminale L4-L5 D symptomatique et arthrose facettaire le 29.10.2018. - Hernie discale L5-S1 paramédiane D (conflit racine S1 D) avec probable fragment exclu. Pemphigoïde bulleuse. Pénicilline V. Antalgiques en réserve. Consignes de réhydratation et alimentaires. Pénicilline V 500.000 IE. Antalgiques en réserve. Pénicilline V 500'000 2x/j pendant 10 jours. Antalgie. Mesures hygiéno-diététiques. Percussion de la main avec un marteau le 10.12.2018. Père allergie au poisson. Perf NaCl 0.9 % 1000 ml. Stimulation à l'hydratation po. Perforation digestive le 25.09.2017. - Colite sigmoïdienne avec diverticulose. - Colonoscopie le 24.09.2017. Baisse d'état général avec perte de 10 kg le 14.09.2017 sur : - Gastrite chronique à H. pylori. - Colite G avec diverticulose DD néoplasie colique. - Malnutrition dans un contexte de troubles cognitifs. PTH D. PTG bilatérale. Perforation du tympan D traumatique le 20.12.2015. Perforation pharyngée post vissage antérieur de l'odontoïde le 26.11.2018. Perforation prépylorique le 26.01.2016, avec : - suture de la perforation le 27.01.2016 et lavage abdominal. Perforation probablement iléale sur iléite d'origine indéterminée. Perforation tympanique gauche. Perforation tympanique, le 13.10.2018. - Contrôle ORL en ambulatoire le 24.10.18. Etat confusionnel aigu sur pneumonie en mars 2018 • décompensation cardiaque gauche dans le contexte infectieux le 23.03.2018 Endocardite à Staphylococcus aureus multisensible sur valve prothétique mécanique (aortique et/ou mitrale) le 30.12.2017 avec : • collection musculaire paravertébrale de L4 à S1, arthrite interfacettaire L4-L5, ostéomyélite du processus articulaire supérieur droit L5 • CT cérébral et thoracique (Inselspital) : pas de lésion visualisée au niveau cérébral, foyer pulmonaire Bursite du coude gauche • ponction le 31.12.2017 : cultures négatives à 2 jours Pneumonie basale droite le 30.12.2017 Lésions ischémiques possiblement subaiguës constituées cérébelleuse droite dans le territoire de la PICA le 12.10.2016 Infection à S. Aureus avec fistule sur mal perforant plantaire au niveau MTP du 1er rayon du pied droit en mai 2013 Accident de la voie publique en 2008 piéton contre voiture avec : • fracture tibia-péroné droit • syndrome des loges de la jambe droite • ostéosynthèse avec clou tibial centro-médullaire et fasciotomie le 02.12.2008 Episode dépressif non daté Ongles incarnés hallux gauche et droit, opérés le 31.05.2016 Perforation utérine antéro fundique latéralisée à gauche de 3 mm, non hémorragique Perforation utérine lors de la dilatation cervicale Perfusion de Benerva. Perfusion de G5% 1000 ml. Perfusion de 100 mcg de Pabal Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion de 20 UI de Syntocinon Perfusion de 500 mL aux urgences Indication à s'hydrater per os Perfusion de 5+20+10 UI de Syntocinon. Perfusion d'Ocrevus (ocrélizumab, anti-CD20) le 05.12.18 Pré-médication par Tavégyl, Solumédrol, Paracétamol Perfusion Gluc 10 % à 7.5 mg/kg/min Perfusion du 18.11 au 24.11 Perfusion glucosaline 2:1 1700 ml en 24 h en cours Perfusion NaCl 0.9 % 1000 ml aux 24 h. Substitution orale de potassium. Péri-anixis D2 à G à staphylocoque épidermidis Péri-myocardite post-angine streptococcique le 24.12.2018 : Périarthrite de l'épaule G sur omarthrose Péricardite • avec suspicion • dans un contexte d'hospitalisation à Billens pour réadaptation cardiovasculaire post péricardiotomie le 08.12 (post pontage aorto-coronarien le 23.11.18) Péricardite aiguë péri-infarctus le 18.09.2012. Péricardite aiguë post-opératoire sur probable syndrome de Dressler précoce le 09.11.2018 Péricardite en janvier 2016 Péricardite, avec signes de décompensation cardiaque, sans répercussion hémodynamique, le 12.07.2018 • Antécédent de péricardite en janvier 2016 ECG : Rythme sinusal régulier, PR descendants en V5-V6 et aVF. Laboratoire : Troponines normales. Syndrome inflammatoire (CRP 244, Lc 10.2), NT-pro-BNB 1587 RX thorax le 12.07.2018 : Cardiomégalie. Epanchement pleuraux. CT thoracique injecté le 13.07.2018 : Epanchement péricardique d'une épaisseur maximale de 11 mm, compatible avec une péricardite. Signes de décompensation cardiaque. Pas d'embolie pulmonaire. Pas de pneumopathie interstitielle. Avis cardiologique et ETT le 13.07.2018 (Dr. X) : Présence de liquide dans le péricarde. Ensemble avec les douleurs typiques, le frottement et le PR descendant en V5-V6 et aVF, nous pourrions retenir 4 critères diagnostics sur 4 en faveur d'une péricardite. Un bilan rhumatologique à la recherche d'un syndrome auto-immun ou une connectivite s'impose. Voltarène 75 mg 2x/jour pendant 1-2 semaines avec schéma dégressif. Colchicine 0.5 mg 1x jour pendant 3 mois. IPP Péricardite post-opératoire Péricardite récidivante • avec suspicion de surinfection • hospitalisé depuis le 14.12.18 à Billens pour réadaptation cardiovasculaire post-péricardiotomie le 08.12.18 ( complication de pontage aorto-coronarien le 23.11.18) Péricardite récidivante non compliquée. Péricardite virale Hernie discale Opération de l'épaule gauche Cure de tunnel carpien bilatéral avec syndrome du tunnel carpien gauche résiduel Épicondylite droite Ostéotomie au pied gauche Suspicion d'arrachement de l'aponévrose plantaire droite au niveau du calcanéum, le 15.08.2015 Douleurs thoraciques le 16.09.2017 d'origine indéterminée AVC ischémique sylvien D sans confirmation radiologique le 03.05.2017 Hémisyndrome sensitif facio-brachial gauche fonctionnelle le 09.2017 Péricardite virale Hernie discale Opération de l'épaule gauche Cure de tunnel carpien bilatéral avec syndrome du tunnel carpien gauche résiduel Épicondylite droite Ostéotomie au pied gauche Suspicion d'arrachement de l'aponévrose plantaire droite au niveau du calcanéum, le 15.08.2015 Douleurs thoraciques le 16.09.2017 d'origine indéterminée DD : chroniques sur ancienne péricardite, angoisse Péricardite X4 (X2 2018, X2 2017). Migraine avec aura. Péricardite 2 ans. Périchondrite droite le 12.12.18 • pas de porte d'entrée visualisée DD : polychondrite chronique atrophiante, Wegener ? Périonyxis l'index droit le 22.12. Périonyxis sous-unguéale et para-unguéal hallux droit le 11.12.2018. • dans le contexte d'une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. • s/p amputation trans-métatarsienne du pied gauche pour surinfection d'une nécrose du 3ème orteil. • neurostimulateur médullaire (St-Jude Proclaim elite 7ème génération, IRM compatible sous mode IRM) posé le 01.06.2018, pile définitive le 06.06.2018. Péritonite stercorale et purulente sur perforation colique avec nécrose de la colostomie terminale le 11.10.2016 Dilatation pyélocalicielle à droite le 18.10.2016 Ulcère de la malléole externe du membre inférieur gauche en 2017 Embolie pulmonaire centrale gauche et segmentaire postéro-basale droite le 17.05.2018 Maladie thromboembolique dans un contexte de complications chirurgicales et médicales, progression tumorale et alitement avec embolie pulmonaire récente : • arrêt d'anticoagulation sur hématurie récidivante 07.2018 Hématurie macroscopique récidivante le 18.07.2018 • sous anticoagulation par Xarelto Pneumonie basale droite acquise en communauté le 28.10.2018 traitée par Ceftriaxone et Metronidazole IV Escarre stade I aux talons bilatéralement le 28.10.2018 Persistance de douleurs de P 1 D3 de la main G. Status post cure Dig 1 à ressaut main D le 23.10.2018 pour un Dig 1 à ressaut main D stade 3-4 selon Green. Status post cure Dig 1-3 à ressaut poulie A1 main G et prise de prélèvements histologiques le 21.08.2018 pour les doigts 1-3 à ressaut main G stade 3-4 selon Green. Persistance de lombalgies non déficitaires sur contracture musculature paravertébrale. Persistance de symptômes post-traumatisme crânio-cérébral Persistance des sibilances et des crépitants après traitement par ventolin et prise de betaméthasone. Ajout de 2 push d'atrovent avec disparition des sibilances, persistance de léger crépitant médian bilatéralement. N'a jamais présenté de tirage et n'a jamais désaturé. Retour à domicile avec 2 push d'atrovent au 8 h et du ventolin 4 push en réserve. Betaméthasone à prendre 5 co 1x/j pendant 2 jours. Persistance d'état fébrile. Persistance d'une angine Persistance d'une angine virale à 48 h Persistance d'une lithiase rénale de 4x5 mm dans l'uretère proximale droite. • Dilatation du pyélon droit de 11 mm Perte auditive et tinnitus droit sur bouchon de cérumen le 27.12.2018. Perte d'appétit et perte de poids Perte d'appétit et perte de poids probablement en rapport avec un épisode de dépression légère. • Placement du mari en ESM pour 2 à 3 semaines • N'arrive pas à faire le deuil de son fils décédé subitement d'un arrêt cardiaque il y a 8 ans Perte de connaissance Perte de connaissance Perte de connaissance Perte de connaissance Perte de connaissance Perte de connaissance Perte de connaissance Perte de connaissance associée à des palpitations le 29.12.2018.Perte de connaissance avec cyanose le 09.11.2013 • DD : Spasme de sanglot, malaise vagal, convulsions. Invagination intestinale, origine cardiaque, infection du SNC sont raisonnablement exclus Perte de connaissance avec tremblement atypique des 4 membres et révulsion des yeux d'origine indéterminée le 03.12.2018. • DD épilepsie. Perte de connaissance brève sur douleurs abdominales basses d'origine indéterminée le 16.12.2018. Perte de connaissance et douleurs abdominales Perte de connaissance et traumatisme crânien. Perte de connaissance et traumatisme crânien, sans amnésie circonstancielle, le 03.12.2018 • d'origine vaso-vagale probable. • DD : Hypotension orthostatique sur majoration de Brintellix. Perte de connaissance sur malaise vagal • DD : état grippal • DD crise d'épilepsie • DD arythmies • Trouble moteur pur du membre supérieur droit et trouble sensitivo-moteur du membre inférieur droit distal, probable origine antalgique, pas de raideur de nuque CT Scan : pas d'hémorragie visualisée, pas d'effet de masse Laboratoire : Gazométrie artérielle alignée, pas de trouble électrolytiques, pas d'augmentation des lactates (1.3 mmol/L) ECG : rythme sinusal régulier Perte de contact le 29.04.2017. • DD épilepsie. Perte de force hémicorps G et vertiges Perte de l'audition. Perte de poids de 10 kg en 6 mois • PSA à 13.43 le 04.10.18 chez Dr. X • OGD/coloscopie refusée par Dr. X • Hématochézie +/- hématurie sous Sintrom le 18.10.2018 • CT abdomen natif + injecté du 20.11.2018 : petit épanchement pleural bilatéral évoquant une insuffisance cardiaque, mais pas de cause objectivée à la diminution de l'état général. Perte de poids de 5 kg au cours des derniers mois, DD tumorale ? Perte de poids d'environ 13 kg depuis 08.2017 dans le contexte de SLA mais stable depuis 06.2018 Perte de poids d'origine multifactorielle avec : • poids de 120 kg avant le bypass effectué en 2009, poids actuel de 48 kg • trouble de l'adaptation avec réaction mixte anxieuse et dépressive. • Syndrome de dépendance aux opiacés • Syndrome de fibromyalgie • Troubles statiques et dégénératifs dorso-lombaires avec discarthrose L3-L4, L4-L5, légère discopathie L5-S1, séquelles de maladie de Scheuermann et arthrose postérieure L5-S1 Perte de substance du côté radial du pouce droit d'environ 1 cm de diamètre, le 23.12.2018. Perte de substance du côté radial du pouce gauche, d'environ 1 cm de diamètre. Perte de substance pulpaire superficielle, tangentielle, d'environ 1 cm de diamètre sur le bord radial de P3D2 main droite, le 30.11.2018 Perte de 10 kg en 3 mois, non volontaire. D'après dernier CT progression de la maladie. A RDV pour prise de sang de contrôle le 28.12.2018 chez Dr. X. Perte de 5 kg en 3 semaines chez Mr. Y cachectique Perte du poids 8,4% de son PN sur probable déficit des apports post-allaitement Perte partielle de l'ouïe droite soudaine le 10.12.2018 Pertes estimées à 1.5 litres Transfusion de 1 concentré érythrocytaire le 18.12.2018 Pertes estimées à 2 litres Transfusion 1 culot érythrocytaire en per-op Surveillance hémoglobine Pertes sanguines estimées à 1100 cc 100 mcg de Pabal 2 ampoules de Nalador Cyklokapron 1 g Massage utérin Pertes sanguines estimées à 300 ml. Syntocinon : 5+20+20 UI. 1 g de Cyklokapron. Pertes sanguines estimées à 900 ml. Pabal + Nalador Révision utérine et curetage. Révision du col, vagin et périnée en ordre. Hb post-op : 86 g/l. Ferinject 1000 mg le 28.12.2018 Pertes vaginales Pertes vaginales intermittentes : • Mme. Y ménopausée depuis 6 ans • pas de signe de mycose Perturbation de la crase avec INR 1.2, TP 65%, PTT 31 sec le 17.12.2018 Perturbation de la crase avec TP à 56%. Perturbation de la crase le 24.12.2018 avec TP 44, INR 1.5, PTT à 39 Perturbation de la fonction rénale Perturbation de tests hépatiques avec discrète cytolyse DD médicamenteux sur injection de Ferinject Perturbation des enzymes cardiaques d'origine indéterminée • dans un contexte épileptique probable • DD : coronaropathie sous-jacente Perturbation des paramètres hépatiques • DD foie de stase Perturbation des tests hépatiques avec gamma-GT élevé d'origine familiale, connue Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 30.11.2018 • DD : Alcoolique probable. Perturbation des tests hépatiques et cholestase le 16.11.2018 sur calcul cholédocien • Ictère le 19.11.2018 Perturbation des tests hépatiques le 05.12.2018 • hyperbilirubinémie à 22.9 µmol/L sans cytolyse, pas de cholestase • DD : anémie hémolytique post-chimiothérapie Perturbation des tests hépatiques le 2.12.2018 • résolution spontanée Perturbation des tests hépatiques le 24.09.2018 • Cholestase et cytolyse • DD moxifloxacine, Syndrome d'activation macrophagique Perturbation des tests hépatiques le 25.09.2018 • Cytolyse et cholestase • Murphy négatif • Spontanément résolutif • DD Médicamenteux (Leflunomide, antibiothérapie) Perturbation des tests hépatiques le 27.12.2018 • PA 603 U/L, ASAT 42 U/L, ALAT 30 U/L, GGT 601 U/L, bilirubine totale 27 µmol/L, bilirubine directe 18.1 µmol/L • Probablement sur métastases hépatiques connues Perturbation des tests thyroïdiens avec : • TSH 4.62 mU/l, T3-T4 libres non réalisés Perturbation discrète globale des tests hépatiques Perturbation du bilan hépatique : • Toxicité médicamenteuse du traitement anti-épileptique (Keppra) Perturbation du cycle du sommeil Perturbation hydro-électrolytique dans un contexte de malnutrition, syndrome de renutrition et hypovolémie : • Hyponatrémie hypoosmolaire hypovolémique à 120 mmol/l, résolue le 23.10.2018 • Hypokaliémie à 2.7 mmol/l, résolue le 28.10.2018 • Hypomagnésémie à 0.54 mmol/l • Hypophosphatémie à 0.62 mmol/l, résolue le 26.10.2018 Perturbation spontanée de la crase le 04.12.18, probablement sur déficit vitaminique • TP à 41% le 04.12.18 Perturbation des tests hépatiques d'origine indéterminée le 07.11.2018 • DD sur passage de calcul biliaire Pes adductus à D, réductible. Pes plano valgus décompensé à D. Pes varus bilatéral Prématuré de 34 2/7 SG (grossesse gémellaire bi-bi sur FIV), PN 1990 g (P10-25), TN 45 cm (P25-50), PCN 30.5 cm (P10-25) ; à l'entrée à J8 (35 3/7 SG) poids 1808 g (P10-50), taille 45 cm (P50), PC 31 cm (P10-50) Pesanteur pelvienne. PET Scan 11.12.2018 Evaluation endocrinologique (Dr. X) : 17-Hydroxyprogestérone, DHEAS, Androstanédiol, Métanéphrine sériques libres et totales envoyées au CHUV (Dr. X) le 12.12.2018 Scintigraphie MIBG le 18.12.2018: phéochromocytome gauche Traitement par Dibenzyran 10 mg 3x/j, à augmenter progressivement selon le schéma Consultation ambulatoire d'endocrinologie le 03.01.2019 à 15h00 pour évaluation et adaptation du traitement. Consultation chez Dr. X le 07.01.2019 à 14.30h pour planifier la surrénalectomie gauche PET Scan 11.12.2018 Evaluation endocrinologique (Dr. X): 17-Hydroxyprogestérone, DHEAS, Androstanédiol, Métanéphrine sériques libres et totales envoyées au CHUV (Dr. X) le 12.12.2018 Scintigraphie MIBG le 18.12.2018: phéochromocytome gauche Traitement par Dibenzyran 10 mg 3x/j, Consultation ambulatoire d'endocrinologie le 03.01.2019 à 15h00 pour évaluation et adaptation du traitement. Surrénalectomie gauche prévue au mois de janvier, date à définir PET Scan 11.12.2018 Evaluation endocrinologique (Dr. X): 17-Hydroxyprogestérone, DHEAS, Androstanédiol, Métanéphrine sériques libres et totales envoyées au CHUV (Dr. X) le 12.12.2018 Scintigraphie MIBG le 18.12.2018: phéochromocytome gauche Traitement par Dibenzyran 10 mg 3x/j, Consultation ambulatoire d'endocrinologie le 03.01.2019 à 15h00 pour évaluation et adaptation du traitement. Surrénalectomie gauche prévue au mois de janvier, date à définir PET Scan 11.12.2018 Evaluation endocrinologique (Dr. X): 17-Hydroxyprogestérone, DHEAS, Androstanédiol, Métanéphrine sériques libres et totales envoyées au CHUV (Dr. X) le 12.12.2018 Scintigraphie MIBG prévue le 18.12.2018 PET scanner le 20.12.2018 Avis cardiologique: fenêtre Efient pour une ponction-biopsie possible seulement 1 mois après la coronarographie Avis oncologique: sera convoqué en ambulatoire Avis radiologue interventionnel: ponction-biopsie sous CT le 28.12.2018 PET-CT (03.12.2018) Scintigraphie (05.12.2018) Pétéchies sur effort de toux Petit anévrisme spurium fémoral droit Syndrome cervico-brachial chronique • status post-ostéosynthèse de la colonne cervicale (spondylodèse C5-C6 post-traumatique en 1980 aux Etats-Unis) Syndrome de Raynaud avec acrocyanose, sans atteinte significative vasculaire, bilan angio en 2018 Petit hématome au dos de la main gauche au point de ponction du venflon. Petit hématome du dos de la main gauche le 06.12.2018. Petit hématome prétibial droit le 06.12.2018. Petit IPMN de la tête du pancréas (dernière IRM en avril 2018) Hépatite C diagnostiquée en 2003 (suivi Dr. X). Petit lavement Petit lavement sans succès US (Dr. X) Petite coupure au niveau de la face palmaire de la phalange moyenne du 3ème doigt D de 4 mm Petite fracture fraîche de D4 au niveau de son plateau supérieur. Petite hernie ombilicale asymptomatique Petite impaction au niveau du Tillaux Chaput antérieure de la cheville D le 14.12.2018. Petite tuméfaction dure à la jambe droite. Peu d'argument pour RGO (pas d'inconfort avec régurgitations, pas de positions en opisototonos, bonne prise de poids et alimentaire) Réassurance Suivi chez pédiatre et sage-femme pour le poids et les symptômes Reconsultation en cas de péjoration sur le week-end Peu de signes cliniques ce jour, à recontrôler chez pédiatre Pas de fièvre depuis vendredi Pevaryl crème Pevaryl crème Pevaryl crème 4x/j du 17.12 au 19.12.2018 Tanno-Hermal 3-4x/j dès le 20.12.2018 Suivi clinique Pevaryl crème. Diflucan 150 mg en ordre unique Proposition de consulter chez un dermatologue en ville ou aux urgences de dermatologie à Berne en cas de persistance des douleurs. Pevaryl Poudre Pevaryl poudre Pevaryl poudre Pevaryl poudre 2x/j dès le 08.11.2018, pour 15 jours PFAPA, sous Dafalgan et Voltaren Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite Pharyngite. Pharyngite viral Pharyngite aiguë virale Pharyngite bactérienne • Strep test positif Pharyngite débutante DD gastroentérite Pharyngite débutante probablement virale. Pharyngite d'origine indéterminée Pharyngite d'origine probable virale Pharyngite d'origine probable virale depuis le 10.12.2018 Pharyngite d'origine virale. Pharyngite d'origine virale DD bactérienne • Pas de fièvre, toux, pas d'adénopathie ou de tonsillopathie Pharyngite irritative post OGD de 29.11.2018 (consultation urgences le 01.12.2018.) Pharyngite, le 11.12.2018. Pharyngite probablement d'origine virale pharyngite viral Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale Pharyngite virale. Pharyngite virale dans un contexte de virose ORL Pharyngite virale le 05/03/17 Gastroentérite virale, 13.01.2018 DD: état grippal Plusieurs interventions chirurgicales au niveau des orteils Pharyngite virale le 25.12 Pharyngite virale le 25.12 Pharyngite virale le 26.12.2018. DD: • angine à streptocoque. Pharyngo-tonsillite aiguë Insuffisance respiratoire dans un cadre de pneumonie rétrocardiaque gauche Difficultés alimentaires et déshydratation modérée dans le contexte de pneumonie Anémie hypochrome et microcytaire DD para-infectieux, ferriprive Pharyngo-amygdalite Pharyngo-amygdalite aiguë virale Pharyngo-amygdalite probablement virale Phase maniaque dans le cadre d'un trouble bipolaire le 06.12.2018. Phayngite Phénomène de Raynaud invalidant sur sclérodermie Phénomène de Raynaud réfractaire le 16.10.2018 • Sclérodermie systémique anti-Scl70 positifs avec sclérodactylie • Sous antagonistes de l'endothélie (Bosantan) Phenylephrine, Clémastine le 11.12.2018 Tryptase le 11.12.2018, à suivre Phéochromocytome glande surrénale gauche Phéochromocytome glande surrénale gauche Phéochromocytome glande surrénale gauche • découverte d'un nodule surrénalien gauche au CT abdominal du 09.12.2018, hypercaptant au PET-CT du 11.12.2018 • bilan hormonal du 12.12.2018: 17-Hydroxyprogestérone, DHEAS, Androstanédiol, Métanéphrine sériques libres et totales • scintigraphie au MIBG du 18.12.2018: hypercaptation surrénalienne gauche précoce et tardive, compatible avec un phéochromocytome • consilium endocrinologique du 19.12.2018 (Dr. X): nous vous proposons l'introduction d'un traitement alpha-bloquant par Dibenzyran 10 mg 3x/j, à augmenter progressivement en fonction de la tolérance tous les 3-4 jours jusqu'à une posologie de 1 mg/kg/jour. Une fois cette posologie atteinte, un traitement bêtabloquant pourra être introduit • Actuellement sous Dibenzyran 10 mg 3x/j débuté le 20.12.2018 au soir (pas d'augmentation posologique effectuée jusqu'à présent) Phéochromocytome surrénalien gauche Phimosis Phimosis Phimosis et rétention urinaire le 04.09.2018 Phlébite de l'avant-bras gauche sur VVP le 03.12.2018 • Retrait de venflon avant le transfert le 03.12.2018 Phlébite du membre supérieur droit le 21.11.2018 Phlébite du membre supérieur gauche sur voie veineuse périphérique Phlébite sur voie veineuse périphérique du membre supérieur droit le 10.12.2018 Phlébo-lymphoedème chronique avec insuffisance veineuse chronique superficielle et profonde (veine poplitée), artériopathie périphérique et mobilité réduite • Status post plusieurs séances de sclérothérapie échoguidée de la PVS, de la GVS cuisse et jambier et de différents tributaires jambières de 12/2016 à 03/2017 • Consilium angiologie (Dr. X) : recanalisation de quelques tributaires jambières avec discret reflux Drainage lymphatique 1x/semaine. Consultation à 3 mois prévue Phlegmasia cerulea dolens membre inférieur droit le 09.12.2018 probablement paranéoplasique (syndrome de Trousseau) Phlegmon abcédé du pouce gauche avec ostéite de contact de P2 D1 gauche sur fracture fermée avec perte de substance du côté radial de la base de P2, pouce gauche à Staphylococcus aureus sensible à l'Augmentin. Phlegmon au niveau de l'arcade sourcil droit, depuis le 28.11.2018 Phlegmon de la gaine des fléchisseurs de D3 de la main gauche compliquant une plaie surinfectée de la face palmaire de P1 D3. Phlegmon de la gaine des fléchisseurs du 3ème doigt de la main droite le 22.12.2018 Phlegmon de la paroi abdominale le 21.12.2018 Phlegmon gaine fléchisseur D2 main D • germent en cause : streptocoque pyogène bêta-hémolytique A le 23.06.2014. • microbiologique le 28.06.2014 négative. Varices symptomatiques du membre inférieur droit sur incontinence proximale de la grande veine saphène. Crossectomie et stripping du tiers proximal de la grande veine saphène droite, phlébectomies étagées. Phlegmon inguinal gauche bas Phlegmon lingual le 19.12.2018. Phlegmon péri-amygdalien droit Phlegmon péri-amygdalien droit compliquant une angine mononucléosique EBV test positif Phlegmon péri-amygdalien gauche. Phlegmon sous-cutané sur surinfection du point de ponction d'une pompe à insuline Phlyctène de la malléole externe du membre inférieur gauche avec nécrose sur insuffisance veineuse distale débutante Phlyctène du MIG avec érythème au pourtour (dès le 20.11.18) Phlyctène du pouce Phlyctène du pouce droite, d'origine peu claire (post-traumatique ? Brûlure?) Phlyctène surinfectée face palmo-ulnaire pulpe pouce D avec phlegmon débutant du flexor pollicis longus • Germe en cause (07.12.2018) : Streptocoque pyogenes Phobie du dentiste Phosphonorm 2x/j dès le 18.12.18 Photokératite aux UV. Collyre anesthésiant + fluorescéine : nombreuses lésions cornéennes punctiformes. Photos prises renonce à faire un constat de coup Surveillance à domicile pendant 48-72 h pour traumatisme crânien traitement symptomatique Reconsulter en cas de signes d'alarmes photothérapie à Berne durant 24h Photothérapie du 10.11.18 au 11.11.18 (24h) Photothérapie intermittente 20.11 - 23.11 (72h) et du 24.11-25.11 (24h) et du 26.11-29.11 (48h) Photothérapie 06.12-7.12 (24h) Photothérapie 4.12-05.12.2018 (24h) Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie Physio- et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Poursuite de la substitution de calcium et vitamine D • Suivi laboratoire • Rx lombaire • Avis team spine • Evaluation gériatrique multimodale Physio- et ergothérapie • Contrôle laboratoire • Calcimagon D3, Vitamin D3 et Prolia Physio- et ergothérapie • Orthèse genou gauche • Antalgie Physio- et ergothérapie • Contrôle laboratoire • Substitution de vitamine D Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie Physiothérapie. Physiothérapie. Physiothérapie : pas de mise en danger, un moyen auxiliaire serait indiqué pour les déplacements extérieurs Attitude : • Moyen auxiliaire à rediscuter avec Mme. Y Physiothérapie à domicile indiquée Suivi glycémies 2 fois par jour, et une jour par semaine 4 fois pendant la journée (utiliser un carnet pour écrire toutes les valeurs) Atorvastatine 80 mg pour 3 mois, puis réduire à 40 mg/jour (à partir du 29 décembre 2018) Suivi biologique régulier (électrolytes, fonction rénale, paramètres thyroïdiens) Contrôle neurologique par Dr. X le 07.03.2019 à 14:00 h à Meyriez Contrôle neuropsychologique par Mme. Y le 25.02.2019 à 09:00 h à Meyriez US neurovasculaire de contrôle ambulatoire (le patient sera convoqué) Surveiller apparition de symptômes d'angine de poitrine, si c'est le cas, reprendre le Dancor Réévaluer la poursuite du Remeron après 6 mois de traitement Conduite interdite pendant 4 mois, jusqu'à réévaluation par le contrôle neurologique du 07.03.2019 Physiothérapie ambulatoire indiquée Suivi diététicienne ambulatoire par Dr. X Suivi prescription analgésie par le médecin traitant Physiothérapie Attitude : • poursuite Sintrom au vu de chutes peu fréquentes Physiothérapie avec augmentation des amplitudes articulaires et charges progressives. Reprise des activités professionnelles dans l'atelier de cannage dès le 01.01.19. Physiothérapie avec électro-stimulation Attelle d'Heidelberg (Orthoconcept) pour la mobilisation Physiothérapie avec mobilisation d'amplitude libre, charge progressive sous protection du biceps tant que celui-ci est symptomatique. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'au prochain contrôle dans 6 à 8 semaines. Physiothérapie avec ondes de choc Infiltration loco dolenti du tendon d'Achille G à son insertion calcanéenne interne, le 12.12.2018 Physiothérapie avec programme San Antonio Physiothérapie avec réadaptation à la marche Discuter réadaptation gériatrique Physiothérapie. Bas de contention. Prochain contrôle au team pied le 21.01.2019. Physiothérapie de mobilisation Physiothérapie de mobilisation. Contrôle radio-clinique le 30.01.2019. Physiothérapie de mobilisation. Prochain contrôle clinique le 23.01.2019. Physiothérapie de mobilisation. Prochain contrôle radio-clinique le 16.04.2019. Physiothérapie de mobilisation. Contrôle radio-clinique le 30.01.2019. Physiothérapie de mobilisation. Prochain contrôle clinique le 23.01.2019. Physiothérapie de mobilisation Score de Tinetti à 17/28 points (16.12.2016) Physiothérapie de rééducation Mise en place d'une SNG le 22.10.2018 pour nutrition entérale Contrôle en ORL le 08.11.2018 à 16h00 pour ablation de la SNG Physiothérapie en ambulatoire. Suivi chez le médecin traitant avec éventuelle prise en charge chez un chirurgien pour l'hernie inguinale. Physiothérapie en cours. Traitement symptomatique.Physiothérapie en régime ambulatoire Contrôle radio-clinique à 6 semaines Dr. X/Dr. X 11.12.2018 10h Physiothérapie, ergothérapie Physiothérapie et Ergothérapie Contrôle radio-clinique du 09.11.2018 - Dr. X : contrôle radiographique en ordre. Physiothérapie et ergothérapie Infiltration par corticoïdes refusée par la patiente Physiothérapie intensive Physiothérapie mobilisatrice Casque protecteur Physiothérapie Nutrition clinique Ergothérapie Bilan vitaminique et substitution Test de Schellong du 01.12.2018 : négatif Physiothérapie pour drainage (refus) et mobilisation (accepté) Bas de contention (refus) Physiothérapie pour mobilisation et reprise de l'activité professionnelle sans limitation. Physiothérapie pour regagner la mobilité. Actuellement au chômage comme ouvrière, la patiente est à nouveau en pleine capacité de travail. Contrôle dans 6 semaines qu'elle annulera si l'évolution est tout à fait favorable. Physiothérapie. Prochain contrôle au team membre supérieur le 13.02.2019. Physiothérapie. Prochain contrôle clinique le 23.01.2019. Physiothérapie. Prochain contrôle le 17.01.2019. Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 03.01.2019. Physiothérapie. Prochain contrôle radio-clinique le 08.02.2019. Physiothérapie Réadaptation gériatrique à Riaz dès le 05.12.2018 Physiothérapie respiratoire Physiothérapie respiratoire en ambulatoire Suivi nutritionnel en ambulatoire à l'HFR Proposition de suivi au Lindenhof, le Quartier bleu à Berne Discussion introduction d'immunomodulateurs par macrolides (par ex. Azithromycine) à distance Physiothérapie respiratoire antalgie par Oxycontin, Oxynorm et Paracétamol Physiothérapie respiratoire Co-amoxicilline du 05.12.2018 au 09.12.2018 Physiothérapie Rotation des AINS (Lodin effet partiel, Arcoxia intolérance (nausée) Stop Adalimumab (Humira) Reprise d'étanercept (Enbrel) le 13.09.2018 Bilan biologique le 10.09.2018 • CRP, VS • FSC • Tests hépatiques Quantiféron le 13.09.2018 : négatif Dépistage VIH (IgM et IgG anti-gp124, P24) le 17.09.2018 : négatif Anti-transglutaminases le 20.09.2018 : négatif Calprotectine le 25.09.2018 : supra-normale HLA-B27 : négatif Radiographie thoracique le 11.09.2018 : pas de foyer, pas de signe TB. CT thoraco-abdomino-pelvien le 12.09.2018 : Pas de lésion suspecte thoracique ou abdominale visible Laryngoscopie le 20.09.2018 Bilan nutritionnel le 13.09.2018 PHYSIOTHERAPIE • Schéma PTH : mobilisation dès J1 avec charge partielle de 15 kg. Pas de flexion >70°. Pas d'adduction et abduction contre résistance. Mouvements rotatoires à éviter pour 6 semaines. Physiothérapie Adaptation de l'antalgie Physiothérapie Adaptation de l'antalgie École du dos Physiothérapie Adaptation des moyens auxiliaires Ergothérapie et physiothérapie pour le domicile Physiothérapie Bilan vitaminique Physiothérapie Bilan vitaminique Substitution vitaminique Tests de la cognition du 27.11.2018 : MMSE à 26/30, test de la montre à 2/7 Physiothérapie Discussion avec époux : placement en home discuté, inscriptions déjà effectuées Physiothérapie Épaississement liquides Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie Ergothérapie Physiothérapie, Ergothérapie Physiothérapie. Ergothérapie. Physiothérapie. Ergothérapie. Bilan nutritionnel. Physiothérapie Ergothérapie Évaluation nutritionnelle Tests de la cognition effectués durant le séjour en gériatrie aiguë HFR Riaz le 04.10.2018 (lettre n°1) : MMS à 22/28 ; GDS à 8/15 Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Bilan neuropsychologique Physiothérapie Ergothérapie Rdv Orthopédique le 19.12.2018 à 15h40 Physiothérapie. Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. Physiothérapie Réhabilitation à Riaz le 10.12.2018 Physiothérapie. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X. Physiothérapie Suivi diététique Pic fébrile à 39.5°C d'origine indéterminée avec • HTA et tachycardie • épisode de lipothymie • CRP 26 mg/l, Lc 10.2 G/l Pic Flow avant Ventolin : 69 % du prédit. Pic Flow après Ventolin : 88 % du prédit. Traitement de Ventolin en réserve. Enseignement pour l'utilisation du Ventolin. Oesogastroduodénoscopie organisée par le médecin traitant pour le 19.12.2018. Discuter fonctions pulmonaires en ambulatoire en fonction de l'évolution respiratoire. Pic HTA asymptomatique le 01.12.2018 Pic hypertensif Pic hypertensif. Pic hypertensif à 186/110 mmHg. Pic hypertensif à 198/94 mmHg le 18.12.2018. Pic hypertensif à 260/130 mmHg le 15.12.2018. Pic hypertensif asymptomatique à 190/110 mmHg. • connu pour une hypertension artérielle traitée. Pic hypertensif asymptomatique avec palpitations associées le 20.12.2018. Pic hypertensif avec nausées et vomissements le 05.12.2018 Pic hypertensif avec TA à 200 mmHg asymptomatique le 01.12.2018 Pic hypertensif dans un contexte algique Pic hypertensif le 02.12.2018 : • troubles visuels et céphalée temporale droite associés. Pic hypertensif le 09.10.2017 • dans contexte d'hypertension artérielle sous quadrithérapie avec sténose de l'artère rénale en cours d'investigation. Pic hypertensif le 29.12.2018 Pic hypertensif probablement sur la douleur Pic hypertensif sans atteinte d'organe le 21.12.2018. Pic hypertensif spontanément résolutif le 25.12.2018 Pic hypertensif sur douleurs post-traumatiques. Pic hypertensif symptomatique avec : • vertiges et céphalées Pic hypertensif symptomatique le 20.10.2016. Status post carcinome mammaire gauche en 2003 traité par tumorectomie et radiothérapie et curage ganglionnaire (2003). Tachyarythmie supraventriculaire en rapport avec une hyperthyroïdie. Vertiges paroxystiques positionnels bénins (cupulolithiase à droite). Pseudo-hyponatrémie le 30.06.2018 : • dans contexte d'hyperprotéinémie Status post-opération de hallux valgus bilatéral. Status post-opération de varices au membre inférieur droit. Status post-opération de la mâchoire. Fibrillation auriculaire rapide stable le 30.06.2018 : • diagnostic différentiel : sur hyperthyroïdie. • CHADS-VASc : 5 points potentiellement 6 (vasculopathie +/-). Pics hypertensifs récidivants, notamment à 193/62 le 30.11.2018 Pied bot Cardiopathie dysrythmique et ischémique • status post infarctus de myocarde • fibrillation auriculaire (CHA2DS2-VASc Score 5 points 03.07.2017), sous Xarelto • Coronarographie 07/2008 (HFR Fribourg) : importante hypokinésie postéro-basale • ETT 02/2009 (HFR Fribourg) • Pose d'un pacemaker en 2007 ; contrôle (01.2017, Dr. X) : le stimulateur cardiaque fonctionne de façon satisfaisante Pied D : fracture non déplacée du cunéiforme latéral avec composante articulaire avec le 3ème métacarpe. Fracture non déplacée du cuboïde et minime fracture non déplacée de la base du 5ème métatarsien. Pied de Charcot à droite. Pied D : • entorse de Chopart cheville D le 27.11.2018 avec arrachement du ligament calcanéo-cuboïdien. • entorse stade II de la cheville droite le 11.9.2018. Pied G : • entorse de Chopart et de Lisfranc pied gauche avec arrachement du calcanéum et du cuboïde le 11.9.2018. Pied diabétique 4D selon Wagner Armstrong et AOMI droite • Tentative infructueuse de recanalisation de l'ATA et ATP droite le 10.09.2018 • PTA /Stenting distale de l'ATA droite, lyse le 12.09.2018 • Nouvelle tentative infructueuse de PTA de l'ATP droite le 13.09.2018 • Amputation de la jambe droite à mi-mollet le 12.10.2018 à l'Inselspital Pied plano valgus modéré symptomatique à droite. Pied tombant à D : Ad attelle releveur Pied-Main-Bouche Pieds blancs et froids indolores d'origine indéterminée le 29.11.2018 avec ischémie critique du pied droit DD : vaso-spastique vs athéromateux vs thrombotique Pieds plano valgus bilatéraux réductibles, plus prononcé à G. Pieds plano valgus ddc. Légers genu valgum ddc. Pieds plats flexibles bilatéraux. Pieds plats flexibles, plus prononcé à G. Pieds tombant D chronique d'origine indéterminée Pilocarpine 5mg p.o. du 17.09.2018 au 21.09.2018 : stop pour bradycardie Anétholtrithione dès le 24.09.2018 DOT connectivite 17.09.2018 • FAN, anti-SSA/SSB • Anti-RNP et Sm positifs Test de Schirmer 08.2018 (ophtalmologie) : pathologique Ultrason des parotides le 20.09.2018 CT natif des parotides le 20.09.2018 Avis ORL le 20.09.2018 Avis neurologique le 19.09.2018 Pilule contraceptive depuis 6 mois. Pipéracilline-Tazobactam du 20.11 au 23.11.2018 Vancomycine du 20.11 au 22.11.2018 Ceftriaxone du 23.11 au 25.11.2018 Pipéracilline-Tazobactam du 21.10 au 31.10.2018 Rocéphine depuis le 11.11 jusqu'au 12.11.2018 Co-Amox depuis le 12.11 au 21.11.2018 pour infection de plaie pied droit Cubicine depuis le 13.11 jusqu'au 21.11.2018 pour bactériémie à Staph. haemolyticus sur thrombophlébite VVP Tazobac du 22.11 au 27.11.2018 Pipéracilline/Tazobactam du 25.11.2018 au 29.11.2018 Piperacillin/tazobactam du 22.12.2018 au 28.12.2018 Pip-tazo du 01.10 au 10.10.2018 ; Klacid du 02.10 au 11.10.2018 ; Meropenem du 09.10 au 22.10.2010 ; Bactrim forte et stéroïdes dès le 17.10.2018 Prednisone avec schéma dégressif Bactrim en prophylaxie 3x/semaine, à réévaluer au prochain contrôle à distance en pneumologie à l'Inselspital Contrôle en pneumologie à l'Inselspital dans 4 semaines avec CT, gazométrie et spirométrie Piqûre de tique dans le mollet droit, 07.12.2018 Piqûre d'insecte avec réaction inflammatoire locale. Piqûres par oursins le 12.02.14 Pister bilan chez Dr. X TTT de fond ? Pister bilan d'hémoglobinopathie Pister CH50, dosages vitamine A, E Pister bilan à la recherche d'une maladie de Fabry Poursuite calendrier des douleurs Antalgie en réserve par paracétamol 1g aux 6 heures et ibuprofène 400 mg aux 8 heures Substitution par vitamine D 2000 UI 1 x/jour, à poursuivre selon avis de Dr. Y Consultation chez Dr. Y début janvier 2019 Rendez-vous le 30.01 avec Dr. X pour avis cardiologique Rendez-vous le 08.01 à 10h avec Dr. X pour avis génétique (connectivite héréditaire ?) Pister FeUrée Pister les résultats des prélèvements de colonoscopie Échosclérose locale à proposer à distance de l'épisode aigu Pister les résultats du Holter de 24h Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15 jours Pister les résultats du Holter de 72h avec organisation d'un R-Test en cas de négativité des résultats Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15 jours Consultation neurovasculaire de contrôle le 27.03.2019 à 15h30 Pister les résultats du Holter de 72h. Pister le potassium à distance. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte). Pas de conduite pendant 15j. Consultation neurovasculaire de contrôle le 18.03.2018 à 15h15. Pister les résultats du Holter de 72h Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15j Consultation neurovasculaire de contrôle le 18.03.2019 à 16h00 avec examen neurosonologique de contrôle Pister les résultats du Holter de 72h Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.04.2019 à 14h30. Pister les résultats du Holter de 72h Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 1 mois, jusqu'au bilan d'évolution en neuropsychologie. Consultation neurovasculaire de contrôle le 27.03.2019 à 15h15. Pister les résultats du Holter de 72h Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15j Consultation neurovasculaire de contrôle le 18.03.2019 à 16h00 avec examen neurosonologique de contrôle Pister les résultats du Holter de 72h. Suivi tensionnel avec valeurs cibles habituelles. Organisation de Remler en ambulatoire. Pister les résultats du R-Test de 7j effectué à l'Inselspital. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15j. Consultation neurovasculaire de contrôle le 13.03.2019 à 15h15. Echocardiographie transthoracique de contrôle au cabinet de Dr. X le 20.12.2018 à 9h30. Pister medication à domicile, pas info complète par entourage Pister prélèvements de la première colonoscopie Pister résultats histologie Suivi oncologique : à organiser avec son oncologue (Dr. X) Pister résultats Holter Évaluer poursuite du traitement par Ultibro Poursuite du bilan étiologique d'anémie Pister signalement à la justice de paix Pister TSH Consultation neurologique ambulatoire pour tremblement des membres supérieurs et à la recherche d'une polyneuropathie périphérique Discuter alternatives de traitement antiarythmique et indication à une anticoagulation thérapeutique avec le médecin traitant Pister valeurs antécédents Suivi biologique Pister valeurs du médecin traitant Réticulocytes demandés pour le 15.12, voir si complément par sang occulte et bilan vitaminique Placement à l'Hospiz St. Peter GurmelsSuivi par MT home • Placenta envoyé en anatomo-pathologie • Placenta envoyé en anatomo-pathologie. • Suivi pédiatrique du nouveau-né. • Placenta envoyé en anatomo-pathologie • Aspirine cardio 100 mg/j lors de la prochaine grossesse • Plages en verre dépoli avec par endroit des foyers de condensation dans le LIG d'origine indéterminée • s/p pneumonie communautaire à germe indéterminé le 16.11.2018 • s/p tuberculose pulmonaire du LIG en 1977 DD : pneumonie nosocomiale à germes atypiques, pneumonie organisée cryptogénique lymphocytaire post-infectieuse, pneumopathie d'hypersensibilité • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • Plaie. • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • plaie • Plaie profonde de 4 cm de longueur au niveau du menton (partie droite) • Plaie transfixiante au niveau de la lèvre inférieure. Dermoabrasion au niveau du nez et au niveau de l'arcade sourcilière droite • Plaie à la joue et à la lèvre droite de 1.5 cm en Y transfixiante. Trauma crânien avec amnésie circonstancielle le 24.02.2016 Entorse genou D le 24.02.2016 Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 23.09.17 • Plaie à la main gauche le 01.12.2018. • Plaie à la paupière inférieure de l'œil droit • Plaie à l'arcade sourcilière gauche. • Plaie angle externe de l'œil • Plaie arcade G de 2 cm • Plaie arcade sourcilière droite • Plaie arcade sourcilière D et joue D • Plaie au crâne le 02.09.2018 • Plaie au majeur gauche para-unguéal. • Plaie au membre inférieur droit • Plaie au niveau de la face dorsale du pouce droit le 19.12.2018. • Plaie au niveau de la pulpe du doigt II de la main droite. • Plaie au niveau de l'articulation inter-phalangienne D2 main droite. • Plaie au niveau du majeur gauche en 2015 avec défaut de positionnement de l'IPP du majeur gauche en flexion. • Plaie au niveau du MSD de date inconnue • Plaie au niveau menton post-traumatique • Plaie au visage • environ 3 cm, verticale, à 1 cm de la ligne médiale à hauteur des sourcils • Plaie au-dessus du tibia proximal à droite • Plaie aux 2 mains. • Plaie avant bras D • Plaie avec perte de substance à l'extrémité du pouce gauche sur traumatisme. • Plaie avec perte de substance au niveau de la phalange distale de l'index gauche et lésion du lit unguéal par écrasement, traité par suture. Status post PTH droite il y a 6 ans Avril 2011, douleurs thoraciques probablement liées à une crise d'angoisse. • Plaie avec section du tendon du long extenseur du pouce, main gauche. • Plaie base de l'index gauche, 4 cm. • Plaie bras gauche. • Plaie chronique au niveau du 1er orteil du pied D sur la face plantaire. • Plaie chronique de la face antérieure de la jambe D, 2 x 1 cm. Status post ablation du fixateur externe, cure de la pseudarthrose infectée avec débridement, mise en place du BoneAlive, mise en place de la greffe mélangée avec de la greffe artificielle, mise en place d'un BMP et fixation par une plaque métaphysaire 16 trous jambe D (OP le 11.03.2016) sur pseudarthrose infectée à Entérocoque faecium, Staph. caprae, Staph. epidermidis avec déplacement secondaire fracture jambe D ouverte au 3ème° selon Gustillo avec lésion des 3 vaisseaux artériels, par écrasement le 16.02.2015; réduction fermée, fixateur externe, pontage de la tibiale postérieure jambe D par prélèvement d'une veine saphène ipsi-latérale, fasciotomie pied D le 16.02.2015, changement fixateur externe le 27.02.2015 puis enclouage du tibia par clou Tibia Expert, verrouillage statique le 06.03.2015. • Plaie chronique de la face plantaire de la 1ère métatarso-phalangienne du pied droit. Status post amputation de P1 hallux droit, ablation du cartilage de la tête métatarsienne I à droite et prise de biopsies le 01.07.16 pour ostéomyélite de la base restante de P1 hallux droit et de la tête du 1er métatarse sur une plaie chronique. Status post amputation O1 D sur nécrose humide sur syndrome des loges tardif du pied sur probable reperfusion après immobilisation prolongée dans un contexte d'OH aigu le 29.07.15. • Plaie chronique de l'hallux gauche sur hyper-appui au niveau sous-unguéal chez un patient artériopathe. • Plaie chronique de mauvaise évolution • Plaie chronique du pied droit • Plaie chronique face latérale et plantaire de la MTP 5 pied G. Status post débridement, prélèvements, rinçages d'une plaie en regard de la MTP V pied G le 02.10.2018. Abcès plantaire MTP 5 à G sur une plaie chronique sur la face latérale de la MTP 5 G et plantaire sur : Status post incision abcès, débridement et prise de prélèvements au niveau du 5ème orteil face latéro-plantaire pied G le 09.05.2018 pour un mal perforant plantaire avec abcès latéral de la MTP 5 et phlyctène au niveau du 5ème orteil dorso-médial pied G. Plaie chronique en regard de la face plantaire de P2 de l'hallux gauche. Mycose de l'ongle de l'hallux droit avec décollement partiel de l'ongle. • Plaie chronique hallux gauche sur hyper-appui au niveau sous-unguéal chez patient artériopathe. • Plaie chronique hallux G. Status post ablation de broches per-cutanées MTP 1 pied G le 30.08.2018 Status post révision de la cicatrice, rinçage, débridement MTP 1 pied G le 10.08.2018. Status post incision d'un abcès, rinçage articulaire et arthrodèse de la MTP 1 pied G le 01.08.2018 pour : Arthrite septique et ostéomyélite de la MTP 1 pied G avec ulcère post-traumatique depuis novembre 2017 • Germe en cause (01.08.2018) : Pseudomonas aeruginosa • Plaie chronique 3ème doigt main D avec déficit de matière au niveau m. lumbricalis, absence atteinte articulaire ou tendineuse suite à trauma du 3.06.17 Cloque hémorragique intracicatricielle post-plaie chronique sans traumatisme • Plaie circulaire main gauche. • Plaie commissure dorsale interdigitale 3-4 main D méningite à 6 mois Erythème prurigineux DD : lucite • Plaie complexe face palmaire D2 main droite avec arthrotomie palmaire et section complète du tendon fléchisseur profond dans la zone 1 le 24.08.2015. Dyspepsie sur gastrite à H. Pylori 09.12.2016. Crise d'angoisse 09.12.2016. Gastrite à H. Pylori le 02.09.2017 avec : • traitement de Pariet 20 mg, Clarithromycine 500 2x/j, Metronidazole 500 2x/j et Amoxicilline 1 g 2x/j depuis le 28.09.2017. Laboratoire. Temesta 1 mg. Morphine 2 mg. Pantozol 40 mg iv. Alucol 2x 20 mg. • Plaie contuse de 8 mm face interne de la lèvre inférieure • Plaie crâne • Plaie cuisse droite. • Plaie cuisse gauche suturée • Plaie cutanée au niveau dorsal de l'interphalangienne proximale D3 de la main droite. • Plaie cutanée au niveau dorsal IPP D3 main droite.Plaie cutanée au niveau dorsal IPP D3 main droite. Plaie du doigt V à gauche. Plaie de la base du nez de 1 cm. Plaie de la face dorsale de l'index droit au niveau médian, le 15.12.2018. Plaie de la face palmaire du pouce gauche en regard de la métacarpo-phalangienne. Plaie de la gencive sur l'incisive centrale supérieur gauche (numéro 21). Plaie de la lèvre supérieure. Plaie de la lèvre supérieure post-traumatique. Plaie de la main. Plaie de la main droite. Plaie de la main gauche. Plaie de la phalange moyenne de D2 de la main gauche. Plaie de la pulpe de l'index gauche. Plaie de la pulpe du doigt 3ème gauche avec lésion du lit de l'ongle, fracture de houppe 24.12.2018. Plaie de la pulpe du pouce gauche. Plaie de la pulpe phalange distale du 4ème doigt main gauche. Plaie de la pulpe phalange distale du 4ème doigt main gauche le 03.12.2018. Plaie de la pulpe phalange distale du 4ème doigt main gauche, suturée par 2 pts le 03.12.2018. Plaie de la tête. Plaie de l'arcade. Plaie de l'arcade sourcilière de 1.5 cm à droite sur TC le 27.11.2018. • 2 points de suture 4.0 Plaie de l'arcade sourcilière droite. Plaie de l'arcade sourcilière droite de 1 cm. Plaie de l'arcade sourcilière droite de 1.5 cm de longueur sur traumatisme du 24.12.2018. Plaie de l'index. Plaie de l'index D avec lésion des branches palmaire radiale du nerf et de l'artère et arthrotomie traumatique des articulations IPP et IPD (op le 07.11.2017). Plaie de l'index droit. Plaie de talon gauche de 0,5 cm de diamètre superficielle. Plaie de 0.3 cm superficielle sur TC sans PC ni amnésie. Plaie de 0.5 cm de profondeur au niveau supérieur de l'hélix gauche. Plaie de 1 à 2 mm de l'hémi-langue à droite dans sa moitié antérieure le 14.12.2018. Plaie de 1 cm au avant-bras proximal droit. Plaie de 1 cm au niveau du front côté gauche le 12.12.2018. Plaie de 1 cm de la pulpe de la phalange distale pouce gauche le 14.12.2018. Plaie de 1 cm de l'index gauche. Plaie de 1 cm longueur base D5 main D. Plaie de 1 cm diamètre face radiale D2 main G, avec perte de substance. Plaie de 1 cm x 1 cm avec perte de substance au niveau de la gencive supérieur en regard 11, 21 dents. Plaie de 1 cm de l'arcade sourcilière gauche. Plaie de 1.2 cm de la lèvre inférieure, à la jonction cutanéo-muqueuse et se prolongeant à la peau. Plaie de 1.5 cm arcade droite et de 2 cm sous la paupière inférieure sur chute de sa hauteur dans le contexte de crise d'épilepsie. Plaie de 15 cm au niveau frontal sur chute mécanique le 05.12.18. Plaie de 2 cm de l'arcade sourcilière droite profonde. Plaie de 2 cm frontale gauche. Plaie de 2 cm menton. Plaie de 2 cm profonde au menton. Plaie de 2 cm superficielle suturée par 2 points dafilon 4-0 aux urgences. Contrôle de plaie à 48h puis ablation des fils à 14 jours chez le médecin traitant. Plaie de 2 cm long en regard de la face dorsale de la main G, à proximité de l'épiphyse distale du 3ème métacarpien. Plaie de 2.5 cm avec hématome et bosse pariéto-occipitale gauche. Plaie de 2.5 cm temporale droite. Plaie de 2.5 x 0.5 cm avec perte de substance (0.5 x 0.5 cm) au niveau de la pulpe et de la face latérale de P3 D5 main G. Plaie de 3 cm au niveau de l'occiput droit. Plaie de 3 cm au niveau occipital. Plaie de 3 cm face latérale de la main droite. • contexte de traumatisme avec une chaîne de machine de travail. Plaie de 3 cm face latérale de la main droite le 26.12.2018. • contexte de traumatisme avec une chaîne de machine de travail. Plaie de 3 cm de longueur transversale en regard de la face dorsale de l'épiphyse distale du 1 MCP main G, sale (mouleuse) avec : • saignement actif du tiers distal de la plaie • profondeur 2 mm Plaie de 3.5 cm au menton. Plaie de 4 cm au niveau pariétal G. Plaie de 5 cm cuisse droite. Plaie de 5 cm sous le talon gauche. Plaie de 7 cm arciforme de face dorsale de l'avant-bras D. Désinfection, anesthésie, électrocoagulation, Ethilon 5-0 5 pts, pansement, contrôle chez le médecin traitant à 48h et ablation des fils à J12, tétanos à jour. Plaie déhiscente de la face interne du genou gauche sur statut post-ablation d'une plaque du plateau tibial interne à Staphylococcus aureus. Plaie délabrante 2ème doigt gauche en travaillant sur sa scie. Plaie d'environ 0.5 cm au niveau occipital. Plaie d'environ 1 cm, à la base inguéale de D2 gauche. Plaie d'environ 1.5 cm de la pulpe du 3ème doigt à droite, sans perte de substance le 25.09.2018. Acné kystique. Plaie d'environ 1.5 cm en regard dorsal du 1er métacarpien de la main G. Plaie d'environ 2.5 cm au niveau de la phalange distale du doigt V gauche le 19.12.2018. Plaie doigt 4 main G. Plaie du cadran moyen lèvre inférieure, longueur 1.5 cm et profondeur 2 mm. sans atteinte de l'orbiculaire. Plaie du coude à droite. Plaie du coude droit suite à une chute le 10.12.2018. Plaie du crâne, avec parésie du muscle frontal D avec parésie faciale droite (périphérique) dans le cadre du diagnostic principal. Plaie du cuir chevelu. Plaie du cuir chevelu au niveau fronto-pariétal à droite de 1,5 cm. Plaie du cuir chevelu de 3 cm. Plaie du cuir chevelu superficielle et linéaire. Plaie du cuir chevelu superficielle infracentimétrique. Plaie du doigt. Plaie du doigt V. Plaie du genou droit sur chute accidentelle avec contusion genou droit. Contusion du cou du pied gauche le 03.08.2017. Plaie du menton le 27.12.18, transversale de 2 cm de longueur et 4 mm de profondeur. Plaie du mollet droit en forme d'étoile sur lésion liée à la chaise roulante le 09.12.2018. Plaie du nez. Plaie du poignet droit le 23.12.2018. Plaie du poignet gauche. Plaie du pouce avec perte de substance le 26.12.2018. Plaie du pouce droit avec perte de substance le 27.11.2018. Plaie du pouce gauche sur 2 cm. Plaie du scalp. Plaie du scalp le 27.12.2018. Plaie du scalp superficielle, linéaire et à bords nets, d'environ 3 cm le 13.03.2017, suite à un traumatisme crânien simple le 28.02.2017. Fracture intra-articulaire radius distal G type AO 23-C3 en 09.2013 : • ostéosynthèse radius distal G par plaque palmaire (Aptus 2,5 radius distal standard) OP le 20.09.2013. Contusion thoraco-lombaire en 09.2013. Plaie du visage. Plaie du 2ème orteil gauche. Plaie du 3ème doigt gauche. Plaie du 5ème doigt de la main gauche sur coupure avec du verre. Plaie du 5ème doigt main droite non suturable. Plaie d'1 cm à la base de l'index gauche suturée. Accouchement voie basse après provocation au Propess. Plaie D3 main droite sur contusion le 21.12.2018. Plaie en étoile sur la phalange distale de 4ème doigt face dorsale, dermabrasion phalange distale côté dorsale 5ème doigt avec avulsion d'un petite partie de l'ongle. Plaie en L de 1 x 1.5 cm, sur la pulpe du P3D4 main droite. Plaie en pointe avec décollement de la peau superficielle de 0.5 cm au niveau de l'articulation inter-phalangienne proximale D2 main droite. Plaie en regard de la base du 5ème métacarpien de la main gauche le 01.12.2018. Plaie en regard de l'IPD du D3 gauche avec : • Section complète du tendon des extenseurs des doigts. Plaie face dorsale main droite en regard articulation métacarpo-phalangienne 3 sur morsure humaine le 21.12.2018. Plaie face dorsale main droite le 18.12.2018. • 5 cm de longueur. Plaie face latérale de la main droite. • contexte de traumatisme avec une chaîne de machine de travail. Plaie frontale.Plaie frontale de 2 cm de longueur sur la ligne médiane le 15.12.2018 Plaie frontale de 3 mm. Plaie frontale de 7 cm le 16.12.2018. Plaie frontale droite arcade sourcilière de 5 cm le 18.12.2018 Plaie frontale droite de l'arcade sourcilière le 18.02.2018. Plaie frontale droite de 3 cm Plaie frontale droite le 08.11.2018 Plaie frontale gauche de 1 cm Plaie frontale médiane de 2 cm et plaie infra-orbitale droite de 1.5 cm. Plaie frontale post-traumatique Plaie frontale superficielle Plaie frontale superficielle avec examen neurologique excellent. Consignes de surveillance à domicile données. Plaie fronto-pariétale le 15.12.2018. • consultation 15 heures après le traumatisme. Plaie fronto-pariétale superficielle de 2 cm de long rectiligne Plaie gingivale post-traumatique. Pas d'indication de coudre après avis ORL. Soins locaux buccaux à poursuivre avec consignes alimentaires et surveillance données en détails. Plaie gros orteil droit. Plaie hémorragique du conduit auditif externe droite (DD: perforation tympanique) Plaie horizontale avant bras D face palmaire et côté ulnaire Plaie horizontale superficielle Plaie I MTP 3 cm profonde avec: • lésion complète tendon courte extenseur Plaie index Plaie index G Plaie index gauche Plaie index gauche. plaie index main G Plaie interdigitale D4-D5 gauche avec un couteau à huître DD Suspicion de phlegmon de la gaine du fléchisseur D4 gauche Plaie intermétacarpienne 4/5 gauche distale le 27.12.2018 • par couteau huître. Plaie intermétacarpienne 4/5 gauche distale le 27.12.2018 • avec un couteau à huîtres. Plaie IPD, DV main gauche, le 18.12.2018 avec: • Déchirure osseuse et atteinte du tendon extenseur • Sur morsure de chien • Urgence Tavel: Rappel Tétanos, Débridement, Suture de tendon par Prolène 4.0, Penrose, Immobilisation attelle Edimbourg Plaie labiale inférieure le 20.12.2018. Plaie labiale post-traumatique Plaie linéaire de 2 cm de longueur au niveau sourcilière gauche Plaie linéaire de 3 cm longueur à 1 cm au-dessus de l'articulation MCP 1 G, sur le côté ulnaire et palmaire du pouce avec rupture de abductor pollicis longus. Plaie linéaire profonde de 3 cm de long au niveau pré-tibial droit le 18.10.2016 Rx jambe droite Rappel tétanos Désinfection Bétadine, anesthésie locale lidocaïne et bicarbonate, exploration de la plaie à l'aiguille boutonnée Avis ortho, Dr. X: rinçage avec NaCl 0,5 L, 2 points simples de rapprochement sans refermer le fascia avec fil 2.0, 2,2 g co-amoxicilline iv et 4 jours de co-amoxicilline per os. Rappel tétanos Contrôle chez médecin traitant vendredi 21.10.2016 Ablation points à J14 Plaie linguale et cervicalgies post-traumatiques. Plaie linguale non transfixiante post-traumatique. Plaie longitudinale front de 4 cm, 5 mm de profondeur, atteinte du périoste Plaie longitudinale front de 4 cm, 5 mm de profondeur, atteinte périoste Plaie longitudinale profonde de 3 cm de longueur, interdigitale entre les 1er et 2e rayons de la main droite plaie longitudinale superficielle de 3 cm de long au menton Plaie main D en regard de l'articulation MCP2 Plaie main droite. Plaie main G Plaie main gauche. Plaie majeur main droite. plaie MCP1 main droite Plaie membre inférieur D Plaie membre inférieur Droit Plaie menton 1.5 cm Anesthésie avec gel LET puis lidocaïne 1%-Na-Bic (1:9), injection de env 1 ml du mélange désinfection avec hibidil exploration / rinçage avec NaCl 0.9% Suture avec 2 points d'Ethylon 5-0 Contrôle de plaie à 48 h chez le MT Plaie nécrotique de 10 x 5 cm de la face antéro-latérale de la jambe gauche. Plaie nette de 2 cm de longueur, verticale, bord radial du poignet gauche, le 29.11.2018, suturé par 4 points Plaie non transfixiante de la lèvre intérieure inférieure droite d'1 cm de diamètre le 29.01.2018. Plaie occipital 8 X 10 X 5 cm, le 02.12.2018. • Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle. Plaie occipitale. Plaie occipitale béante de 5 cm de diamètre Plaie occipitale béante de 5 cm de diamètre le 06.12.2018 • initialement hémorragie artériolaire traitée par cautérisation bipolaire et 3 points de suture en X 3.0 le 13.11.2018 • sur chute avec TC le 13.11.2018 Plaie occipitale d'environ 4 cm de longueur Plaie occipitale droite de 1.5 cm Plaie occipitale post-traumatique Plaie occipitale traumatique 12 cm Plaie occipitale 3 cm. Plaie occipito-pariétale gauche le 31/12/18 Plaie occipito-pariétale rétro-auriculaire gauche. Plaie oreille gauche. Plaie ouverte d'environ 3.5 cm du pli interfessier D le 24.10.2018: • Status post excision kyste sacro-coccygien le 19.09.2018 (Dr. X) Plaie ouverte du crâne. Plaie palmaire main droite sans atteinte des structures profondes. Rinçage de la plaie, suture avec 1 point simple sous anesthésie locale. Plaie par lame. Plaie parchemin face dorsale avant-bras G Plaie pariétale sur chute le 06.11.2018 Plaie pariéto-temporales gauche, le 09.11.2018 Plaie paupière inférieure droite avec légère atteinte conjonctivale Plaie pénétrante de 1 x 0.5 cm de taille et 1.4 cm de profondeur de l'éminence thénar main G le 18.12 Plaie perforante cornéenne œil gauche et corps étranger intra-oculaire. Suture cornéenne et phakectomie simple effectuée le 11.09.2013. Greffe cornéenne 2015, seconde greffe suite au rejet en octobre 2018. Plaie péri-orbitaire droite superficielle. Plaie pied G Plaie plantaire métatarse I pied droit avec section partielle de 30% du tendon fléchisseur long de l'hallux, section nerf plantaire médial à la hauteur métatarso-phalangienne 1 le 15.04.2016 • révision plaie plantaire avec suture tendon long fléchisseur de l'hallux, suture nerf plantaire médial avec neurotube 2.0 mm (OP le 16.04.2016). Plaie post-traumatique sans signes de gravité. Colle traumatique appliquée, consignes de surveillances à domicile expliquées. Plaie post-traumatique crânienne. Coudre avec 3 points 6-0. Mesures de désinfection, consignes de surveillance à domicile. Ablation de fils chez le pédiatre dans 5 jours. Plaie post-traumatique. Plaie post-traumatique avec suture x 3 points Prolene 6-0. Plaie post-traumatique d'environ 2 cm de l'arcade gauche. Coudre avec 2 points 6-0, consignes de surveillance, désinfection et ablation de fils chez le pédiatre dans 5 jours. Plaie post-traumatique du cuir chevelu Plaie pouce droit. Plaie pouce G Plaie pouce gauche. Plaie pouce gauche.Plaie pré-patellaire gauche et plaie abdominale à gauche. Status post Thiersch du pied gauche après fascéïte nécrosante le 20.7.2018 sur status post ouverture des loges pied et mollet gauche sur status post choc septique. Plaie prétibiale gauche le 08.12.2015. • Avis orthopédique Dr. X: antibiothérapie par Co-amoxiline 2.2 iv aux urgences chute avec station au sol prolongée Etat confusionnel aigu Plaie prétibiale gauche suite à traumatisme mineur sur site d'ulcère chronique ancien le 18.11.2018 DD: Réactivation d'ulcère prétibial Plaie profonde Plaie profonde. Plaie profonde Plaie profonde au-dessus du sourcil D sur traumatisme crânien sans PC, sans AC (hier soir 22:00 environ) sur abus d'alcool Plaie profonde au majeur droit et plaie superficielle de l'index droit le 21.12.2018. Plaie profonde au niveau du genou droit le 20.12.2018 avec: • déconditionnement Plaie profonde au niveau du genou droit le 20.12.2018 sur chute de sa hauteur Plaie profonde base Index G le 01.12.2018 avec lésion nerf digital radiale et capsulotomie MCP II Plaie profonde de la face dorso-radiale de l'avant-bras D le 17.12.2018 avec: • rupture complète du tendon ECRL en zone 7 • rupture partielle de plus de 50% du tendon de l'ECRB en zone 8 • avulsion osseuse millimétrique en regard de la diaphyse radiale Plaie profonde de la face médiale et postérieure du coude G le 07.10.2018 Plaie profonde de la main gauche. Plaie profonde de l'arcade sourcilière gauche de 7 cm Plaie profonde de 1.5 cm de diamètre avec perte de substance et lésion tendineuse du LEP en regard de MCP1 de la main droite Plaie profonde de 2 cm en regard du tendon d'Achille G avec Plaie profonde de 2 cm de la paume de la main gauche Plaie profonde de 2 cm du bord radial du tiers distal de l'avant-bras Plaie profonde de 3.5 cm au niveau du menton le 16.12.2018. Plaie profonde du fémur distal et suspicion arthrotomie genou gauche sur AVP moto contre voiture à 50 km/h le 13.12.18 Plaie profonde du poignet gauche. Plaie profonde entre D1 et D2 main D le 02.12.2018 Plaie profonde entre D1 et D2 main droite le 02.12.2018. Plaie profonde entre les 1er et 2ème doigts de la main droite, le 02.12.2018. Plaie profonde face dorsale IPP 5e doigt main D, avec atteinte bandelette des extenseurs et suspicion d'atteinte de la capsule Plaie profonde face palmaire en regard de l'IPP index G avec déchirure du tendon fléchisseur Plaie profonde face palmaire IPP Dig II main G avec lésion du nerf collatéral radial et lésion partielle de la capsule articulaire, le 23.11.2018 Plaie profonde linéaire de 2 cm de longueur intercomisurale sur la face dorsale de la main G (entre 1 et 2 eme rayons) Plaie profonde longitudinale de 6 cm de D1 gauche Plaie profonde oblique face palmaire de D3 gauche, en regard IPP, 1.5 cm de long Plaie profonde oblique face palmaire de D3 gauche, en regard IPP, 1.5 cm de long • ouverture traumatique de la gaine des fléchisseurs Plaie profonde poignet G avec section complète du tendon du fléchisseur radial du carpe, le 27.11.2018 Plaie profonde pulpe de 1.5 cm de longueur pouce droit. Luxation antérieure épaule gauche. Fracture déplacée de la tête du 5 MT le 26.11.2015 (traumatisme il y a 3 semaines). Adénopathie sous-axillaire droite le 17.05.2016. Plaie profonde sous-mandibulaire droite Plaie profonde sur la face palmaire du poignet gauche avec hypoesthésie de l'éminence thénar le 04.12.2018. • status post exploration de la plaie et suture sous-cutanée et cutanée. Plaie profonde sur la face palmaire du poignet gauche, avec hypoesthésie de l'éminence thénar, le 04.12.2018. Plaie pulpaire du pouce droit le 01.03.15. Lombocruralgie non déficitaire droite, le 21.11.2016. Cure de hernie inguinale 2014. Cure de hernie ombilicale 2014. Cholécystectomie 2016. Appendicectomie 2010. Lombosciatalgie droite non déficitaire 28.12.2016. Lombalgies droites non déficitaires post-traumatiques le 09.01.2017. Plaie pulpe phalange distale index gauche Plaie punctiforme surinfectée face ulnaire 1/3 moyen avant-bras D en avril 2018 Plaie P3 D4 main G avec lambeau en V (pointe distale), de 1x1 cm de berges Plaie rectiligne de 1.5 cm, espace interdigitale entre le 1er et 2ème doigt, main G Plaie rectiligne de 2 cm de long pariétale G, superficielle Plaie rectiligne de 2 cm de long pli interdigitale entre le 1er et 2e doigt Plaie rectiligne superficielle de 2 cm de long frontal D Plaie semi circulaire sur la pulpe de l'index gauche distale avec début de nécrose Plaie simple de l'arcade sourcilière gauche sur traumatisme le 19.12.18. Plaie simple du menton Plaie simple suturée par du ethilon 5.0 aux urgences. La feuille d'information neurologique est transmise au père. Contrôle de plaie et ablation des fils chez le médecin traitant. Plaie sous labiale inférieure transfixiante avec ouverture cutanée de 3 mm et muqueuse de 1 cm Plaie suintante à H-24 d'une mastoïdectomie radicale modifiée gauche le 05.12.2018. • pas de signe infectieux. Plaie superficielle Plaie superficielle hélix oreille gauche, le 11/12/2018 Plaie superficielle au niveau de bord ulnaire de phalange proximale et distale de 2 cm de pouce droit Plaie superficielle au niveau de front de 1.5 cm Plaie superficielle au niveau du philtrum de 1 cm Plaie superficielle au niveau du thénar gauche de 1.5 cm de longueur Plaie superficielle au niveau face dorsale de l'IPP de l'index droit en V de 2.5 cm Plaie superficielle au niveau l'arcade sourcilière V-forme droite de 3*3 cm de longueur sans saignement actif Plaie superficielle au niveau pariétal droit en Y et rectiligne à gauche, sans perte de substance. Plaie superficielle au niveau replis latéraux de l'annulaire gauche de 1 cm de longueur et une plaie de 3 mm de longueur au niveau de la pulpe de 3ème doigt gauche Plaie superficielle au niveau temporale droit de 5 cm de longueur Plaie superficielle contuse du mollet G de 4 cm. Plaie superficielle de la face palmaire du doigt V à gauche avec saignement artériolaire le 30.12.2018.• Pas d'atteinte des fléchisseurs. • Plaie superficielle de la pulpe de D III main gauche le 28.12.2018. • Plaie superficielle de la pulpe du majeur gauche le 12.12.2018. • Plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite en V de 3 x 3 cm. • Plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche. • Plaie superficielle de l'arrête du nez. • Plaie superficielle de l'éminence thénar de la main gauche. • Kyste sacro-coccygien froid. • Fracture de la phalange distale du IIIème doigt. • Multiples opérations du genou médial gauche en 2006. • Plaie superficielle de l'index droit de 1.5 cm sur l'IPP. • Plaie superficielle de l'index gauche au niveau de l'articulation interphalangienne proximale. • Plaie superficielle de l'index gauche au niveau dorsal, le 14.12.2018. • Plaie superficielle de moins de 1 cm métacarpo-phalangienne V le 26.12.2018. • Plaie superficielle de muqueuse de 0.3 cm de longueur non transfixiante au niveau de frein labiale supérieur. • Plaie superficielle de 0.5 cm de longueur au niveau occipital non suturable. • Plaie superficielle de 1 cm au niveau de la pulpe de la phalange distale de D1 à droite. • Plaie superficielle de 1 cm de longueur avec perte de substance au niveau de la pulpe distale du doigt 5 gauche. • Plaie superficielle de 1 cm sur pieds gauche. • Plaie superficielle de 1 cm de long au niveau de la malléole interne gauche. • Traumatisme crânien simple le 23.06.2014. • Fracture de l'os propre du nez. • Plaie superficielle de 1 cm sur la face dorso-médiale de P2 du 4ème doigt, main gauche, sans perte de substance le 27.12.2018. • Plaie superficielle de 1.5 cm de long au niveau de l'interphalangienne proximale de l'index gauche. • Plaie superficielle de 1.5 cm de long IPP D2 main gauche. • Plaie superficielle de 1.5 cm de longueur au niveau du menton non suturable. • Plaie superficielle de 1.5 cm de longueur au niveau frontal gauche. • Plaie superficielle de 1.5 cm de longueur au niveau occipital. • Plaie superficielle de 1.5 cm sur la pulpe ulnaire de P3 D2 à gauche. • Plaie superficielle de 1.5 cm sur l'IPP de l'index droit sans signes d'infection, mobilisation et sensibilité conservées. La plaie a été désinfectée, rincée à l'aiguille boutonnée et refermée par un point de suture à faire enlever dans 7-10 jours. Rdv dans 48h chez son médecin traitant pour vérifier qu'il n'y ait pas une surinfection de la plaie. Prescription d'antalgique et une attelle à garder 2-3j en réserve si travaille. Le patient ne désire pas d'arrêt de travail, il est avisé de ne pas mouiller la plaie. • Plaie superficielle de 2 cm, bord net, en regard de P1 D2 D face radial. • Plaie superficielle de 2 cm de longueur au niveau occipital. • Plaie superficielle de 2 cm de longueur non transfixiante non suturable. • Plaie superficielle de 2 cm de longueur et de 2 mm de profondeur longitudinale niveau frontal. • Plaie superficielle de 2 cm de longueur et de 2 mm de profondeur longitudinale niveau frontal. • Plaie superficielle de 2 cm dans le cuir chevelu temporal gauche. • Plaie superficielle de 2 cm palmaire en regard de la base du 2ème-3ème métacarpien à droite. • Plaie superficielle de 2.5 cm au niveau de l'interphalangienne proximale de l'index gauche, sur sa face dorsale. • Plaie superficielle de 2.5 cm au niveau frontal droit. • Plaie superficielle de 3 cm arcade sourcilière gauche. • Plaie superficielle de 3.5 cm sur l'éminence du thénar de la main gauche. • Plaie superficielle de 4 cm de l'arcade sourcilière droite sur chute accidentelle le 04.12.2018. • Plaie superficielle de 4 cm du coude droit suite à une chute d'une hauteur de 1 m avec réception sur le coude, le 10.12.2018. • Plaie superficielle de 6 cm, transversale palmaire de la main gauche. • Plaie superficielle de 6 mm sur la face radiale de P3 de l'index gauche. • Plaie superficielle d'environ 1 cm au niveau de D2 gauche. • Plaie superficielle d'environ 2 cm genou gauche le 13.01.2015. • Plaie superficielle d'environ 3 cm sur le flanc gauche. • Plaie superficielle digital III main droite en avril 2016. • Entorse colonne cervico-dorsale en juillet 2014. • Sutures plaie profonde de 3 cm de diamètre face interne proximale cuisse gauche et plaie superficielle pli de l'aine gauche et scrotum gauche en juillet 2014. • Douleurs après SL Band Refixation le 06.09.2016. • Gastro-entérite avec Mallory-Weiss le 04.12.2017. État dépressif probable. • Orchite avec épididymite et prostatite aiguë. • État anxieux aigu le 20/11/18. • Plaie superficielle du D III main gauche. • Plaie superficielle du front. • Plaie superficielle du menton. • Plaie superficielle du mollet gauche de 4 cm. • Plaie superficielle du pouce radial à droite, le 14.12.2018. • Plaie superficielle du talon droit plantaire le 01.12.2018. • Plaie superficielle en arc de cercle face palmo-radiale P1 D3 main droite, le 05/12/2018. • Plaie superficielle en regard du pavillon oreille droite. • Plaie superficielle environ 4 cm fesse gauche, 10.02.2015. • Douleurs abdominales en hypochondre droit et épigastrique depuis le 02.12.2018, d'origine indéterminée avec élévation des paramètres hépatiques. • DD : Passage de calcul biliaire. • Plaie superficielle face dorsale de l'avant-bras gauche. • Réaction locale sur piqûre de guêpe le 07.08.2018. • Plaie superficielle face dorsale en regard de l'IPP de l'index gauche. • Plaie superficielle front côté gauche type égratignure sur une longueur de 2 cm. • Plaie superficielle frontale de 3 cm. • Plaie superficielle frontale gauche 0.5 cm longitudinale désinfection par Hibidil. • Suture par 1 point de Prolène 6.0. • Stéri-strip. • Antalgie en réserve. • Traumatisme crânien simple. • Surveillance neurologique post-TC à poursuivre par les parents à domicile (feuille de conseils distribuée). • Plaie superficielle fronto-temporale gauche le 22.12.2018. • Plaie superficielle gingivale. • Plaie superficielle index gauche. • Plaie superficielle index gauche face dorsale hauteur articulation interphalangienne proximale le 01.11.2017. • Plaie superficielle index gauche le 18.12.2018. • Plaie superficielle linéaire de <1 cm face palmaire IPD, D2 main gauche. • Plaie superficielle longitudinale de 1 cm de long sur la face dorsale de l'épiphyse distale de P1D2 de la main gauche à 0.5 cm de l'articulation IPP. • Plaie superficielle longitudinale de 2 cm de long en regard de l'os pariétal gauche. • Plaie superficielle longitudinale de 5 cm de long en regard du 5ème métacarpien gauche. • Plaie superficielle longitudinale de 7 cm de longueur à la face palmaire de la main gauche en regard des 2e-3e-4e métacarpiens. • Plaie superficielle main droite. • Plaie superficielle main gauche. • Plaie superficielle majeur gauche avec trancheuse. • Plaie superficielle ne nécessitant pas d'intervention. Poursuite arnica aux dosages prévus par l'homéopathe que les parents appelleront demain. • Plaie superficielle au niveau du 3ème et 4ème doigt gauche en 2017. • Plaies superficielles face dorsale des 2e et 3e doigts de la main gauche. • Plaie superficielle occipitale de 2 cm. • Plaie superficielle ovalaire de 2.5 cm avec perte de substance de la face palmaire du poignet gauche. • Radiographie. • Tétanos à jour. • Désinfection. • 3 points de suture ethylon 3.0. • Pansement simple. • Fils à enlever à 14 jours chez Mr. Y. • Contrôle de la plaie chez Mr. Y à 48h. • Antalgie. • Arrêt de travail. • Plaie face palmaire de la main avec perte de substance. désinfection pansement Adaptic Plaie superficielle ovalaire de 2,5 cm avec perte de substance de la face palmaire du poignet gauche radiographie tétanos à jour désinfection 3 points de suture ethylon 3.0 pansement simple Fils à enlever à 14 jours chez Mme. T contrôle de la plaie chez Mme. T à 48h Antalgie Arrêt de travail Plaie face palmaire de la main avec perte de substance désinfection pansement Adaptic Plaie superficielle 05 pied gauche. Plaie superficielle pariétale gauche le 01.12.2018. Plaie superficielle paupière gauche. Plaie superficielle paupière gauche le 15.12.2018. Plaie superficielle pulpe pouce gauche. Plaie superficielle pulpe pouce gauche le 03.12.2018. Plaie superficielle sans atteinte des structures profondes face dorsale de la main gauche en regard du 1er métacarpien en proximal Plaie superficielle sur le bord externe de l'arcade sourcilière droite d'environ 1.5 cm Plaie superficielle temporale gauche. Plaie superficielle temporale gauche de 2 cm de long. Plaie superficielle transversale de 1,5 cm localisée à l'éminence thénar de la main droite. Plaie superficielle transversale de 5 cm au niveau du tiers distal du poignet gauche. Plaie sur la face antérieure du membre supérieur droit Plaie sur le menton. Plaie sur probable morsure d'animal au niveau du 2ème orteil à droite datant du 15.12.2018. Plaie surinfectée en regard de la troisième métacarpo-phalangienne de la main gauche. Plaie surinfectée et fistulisée du genou droit en regard d'une calcification du tendon rotulien à Proteus Mirabilis. Plaie suturable de l'arcade gauche Plaie tangentielle de la pulpe du 4ème doigt de la main gauche avec perte de substance, le 11.12.2018. Plaie tibiale droite de 1,5 cm. Plaie transfixiante de la lèvre supérieure gauche Plaie transfixiante lèvre inférieure le 22.12.2018. Plaie transfixiante linéaire verticale de 3 cm de la lèvre supérieure côté gauche le 14.12.2018 Plaie transversale profonde proximale du tibia gauche sur chute le 10.12.2018. Plaie transversale profonde tibia proximal gauche sur chute le 10.12.2018. Plaie transversale sur face dorsale niveau tête métatarse 1 pied droit de 2 cm, superficielle Plaie transverse de l'avant-bras gauche le 20.12.2018. Plaie transverse du pouce gauche avec section complète du tendon court extenseur du pouce. Plaie traumatique à la tête, niveau frontal d'environ 8 cm. Plaie trop superficielle d'environ 1 cm de long sur la face dorsale de l'index gauche, à hauteur de l'articulation interphalangienne proximale Plaie visage Plaie x 2 de la face latérale de la jambe droite, 1 et 1,5 cm, sur blessure par bris de verre le 17.05.2012 Plaie 1x1 cm du mollet à droite - écoulement purulo-séreux Plaies contuses multiples hémi-visage gauche Plaies de la jambe droite Plaies en U de 2 cm de long entre les 2 sourcils. Plaie de 7-8 mm de long en V au-dessus de la lèvre supérieure gauche. Plaies et escarres au niveau des deux jambes, dans un contexte d'artériopathie des membres inférieurs de stade II chez un patient diabétique. Plaies face antérieure du poignet gauche. Plaies jambe droite Plaies lacero-contuses multiples hémis visage gauche Plaies nécrotiques. Plaies non circulaires Pansement avec Ialugen à garder 48 heures puis contrôle chez pédiatre Antalgie au besoin Plaies superficielles. Plaies superficielles aux 3ème et 5ème doigts de la main droite le 03.12.2018. Plaies superficielles main et coude gauche datant du 01.12.2018. Plaies superficielles para-médianes gauches du front avec perte de substance le 28.12.2018 Plaies superficielles péri-orbitaires droite (sourcilière et sous-ophtalmique) Plaintes multiples non systématiques Planification Radio-Chimio HFR CT cérébral (10.12): zone de résection fronto-temporale droite avec réhaussement spontané probable récidive de glioblastome avec œdème mais pas d'effet de masse, il y a une collection de 7 mm spontanément dans (DD saignement lésion de 7 mm décrit sur un IRM) Plaque palmaire avec petit arrachement osseux non déplacé IPP auriculaire gauche Plaque palmaire de l'IPP du 5ème doigt de la main droite le 11.09.2018. Plaque palmaire IPP 4ème doigt de la main droite. Plaque palmaire MCP pouce droit le 08.11.2018. Plaque pleurale bilatérale connue depuis 2013 (exposition professionnelle à l'amiante) - bilan par CT thoracique en 2013 Plaquenil 200 mg/j Plaques blanches sur la langue et les lèvres Plaques pleurales bilatérales de découverte fortuite: - CT thoraco-abdominal du 19.11.2017: plaques pleurales bilatérales DD sur exposition à l'amiante ou à la poussière - Avis pneumologie: pas d'investigations, pas de surveillance actuellement Trauma thoracique le 19.11.2017 avec fracture des arcs antérieurs des côtes 4-8 à droite S/p hémorragie cérébrale il y a 30 ans Plaques pleurales en partie calcifiées bilatérales le 05.12.2018 - sur probable exposition professionnelle à l'amiante Plastie de suspension et cure de tunnel carpien gauche en 2004 PTG gauche en 2006 OS fracture malléoles interne et externe cheville droite en 2008 ; AMO en mai 2012 Status post TVP post intervention chirurgicale Hystérectomie en 1982, APP en 1963, cholécystectomie en 2008 Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine pré-rénale sur insuffisance rénale chronique le 22.08.2018 - GFR selon CDK-EPI: 19 ml/min/1.73 m² - FE Urée: 22% Plastie des cuisses et ré-implantation de prothèses mammaires en Tunisie le 21.05.2016. Lymphocèle cuisse droite infectée en septembre 2015. Plastie des cuisses, abdominale et reprise des seins en Tunisie en octobre 2014. Mise à plat, drainage et retrait des prothèses le 12 novembre 2014. Mise en place de prothèses mammaires et plastie des deux bras en Tunisie en décembre 2013. Obésité morbide opérée d'un bypass (Daler) en 2013, avec une perte de 62 kg en novembre 2014. Greffe de cornée en 2014. Obstétricaux: Status post-accouchement par voie basse en 2003. Status post-accouchement par voie basse en 2007. Pectus carinatus depuis la naissance. Kyste dermoïde ovaire gauche chez une patiente 2G 2P de 31 ans. Kystectomie gauche. Traumatisme crânien le 30.04.2018 avec plaie de 4 cm du cuir chevelu. Plastie du ligament croisé antérieur du genou droit selon Kenneth Jones et méniscectomie arthroscopique de la corne postérieure du ménisque externe en juillet 2013. Traumatisme crânien simple avec: - Ethylisation aiguë à 3,27 pour mille. - Contusion cervicale. Colique néphrétique gauche le 24.01.2016 Labo Filtrage des urines Antalgie par Morphine Consilium Dr. X US voies urinaires Plastie ligamentaire de la cheville gauche en 1992 Laminectomie L4-L5 en 1995 Ostéosynthèse par vis de l'arrière-pied d'une fracture ouverte multifragmentaire à droite en 1999 Correction chirurgicale en 2005 d'une malposition en valgus de l'arrière-pied droit post-traumatiqueOstéosynthèse par fixateur externe fracture poignet G en 1999 • infection postopératoire et lésion nerf médian iatrogène. Paralysie faciale en 2003 Exostosectomie face interne calcanéum D Plastie mammaire 2008. Bypass gastrique 2007-2008 (Dr. X, suivi Tselepis). Ligature des trompes en 2005. Embolie pulmonaire bilatérale en 2005. Abdominoplastie en 2001. AVB en 1996, 1997 et 2000. IVG en 2005. Plâtre AB fendu à Meyriez. Avis orthopédique Dr. X/Fraignère. Indication opératoire pour réduction ouverte et ostéosynthèse par plaques. Mr. Y rentre à domicile et sera convoqué par le service d'orthopédie. Plâtre AB fendu. Intervention chirurgicale pour réduction ouverte et ostéosynthèse du poignet D est agendée au 13.12.2018 en ambulatoire. Plâtre AB poignet gauche fendu pendant 1 semaine Contrôle radio-clinique à la policlinique d'orthopédie à 1, 2 et 6 semaines Changement de plâtre pour circulaire à 1 semaine Plâtre BAB abîmé au niveau de la main Plâtre BAB fendu à but antalgique. Ok retrait du plâtre par la famille si parfaitement asymptomatique. Contrôle ortho début janvier Plâtre du pied droit trop serré le 30.11.2018. • mis le 23.11.2018 pour pied plat valgus avec insuffisance postérieure à droite et 2ème orteil en marteau, symptomatique à droite. • OP le 09.11.2018: • Débridement du jambier postérieur, augmentation avec le flexor digitorum longus. • Ostéotomie d'allongement de la colonne externe en regard du calcanéum et fixation par plaque Pedus. • Cure 2ème orteil en marteau avec Pip tree. Plâtre fermé. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 10.01.2019. Plâtre jambier fermé pour 7 semaines. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X le 06.02.2019. Plâtre jambier fermé. Contrôle radio-clinique le 23.01.2019. Plavix pour 1 mois (jusqu'à 11.01.2018), poursuite Aspirine Plénitude abdominale sur carcinose péritonéale • périmètre augmenté depuis 1 mois Pleurésie non tuberculeuse durant l'enfance Prostatectomie 2000 Opération de l'uvula 2003 Cure d'hernie inguinale Décompensation diabétique dans le cadre de la corticothérapie sur diabète connu non traité: • HbA1c à 8.4% le 08.06.18, 6.7% en janvier 2018 OAP débutant le 29.03.2018 • sur probable pic hypertensif Symptômes neurologiques polymorphes le 07.04.2018 Pneumonie basale droite à germe indéterminé le 07.06.2018 Hypokaliémie à 2.7 mmol/l le 07.06.2018 DD: médicamenteux (torasémide) Décompensation cardiaque globale NYHA III le 07.06.2018 Pleuromesothéliome malin biphasique inopérable • Diagnostic le 04.09.2018 • Histologie (Pathologie Universität Bern B2018.29802) : infiltration par un mésothéliome biphasique au niveau de la biopsie pleurale dorsale droite ainsi que ventrale droite et au niveau de diaphragme • CT colonne cervicale dorsale et thorax du 13.07.2018 : tassement vertébral de D11, aspect ostéoporotique. Masse dans le segment antérieur du lobe supérieur droit avec multiples métastases pleurales, adénopathies médiastinales. Suspicion de lésion au niveau oesophagien • Facteurs de risque : non-fumeur, exposition à l'amiante (travailleur dans une scierie) • PET-CT du 31.07.2018 : lésions tumorales actives au niveau de la plèvre droite avec épanchement pleural ainsi qu'au niveau para-oesophagien, adénopathie infracarinaires • St. p. cytoponction de l'épanchement pleural et double ponction des adénopathies para-oesophagiennes et la lésion pleurale : mise en évidence de cellules carcinomateuses (DD Mésothéliome) • Pose de PAC le 14.08.2018 (Dr. X) • St. p. Thoracoscopie avec biopsie pleurale, diaphragmatique et du paquet lymphatique 4 avec talcage et pose d'un PleurX à droite le 27.08.2018 • St. p. retrait du PleurX le 06.09.2018 en raison de douleurs • Actuellement : chimiothérapie palliative par Paraplatine et Alimta Hernie hiatale Hypertension artérielle Malnutrition protéino-énergétique grave dans un contexte oncologique • Pose de SNG le 29.10.2018 • Alimentation entérale dès le 29.10.2018 Leucocytose post Neulasta le 24.10.2018 DD sur Dexaméthasone 4 mg par chimiothérapie Anémie normochrome normocytaire • Transfusion 1CE le 31.10.2018 Hypomagnésémie 10/2018 Pleuro-pneumonie droite Pleuro-pneumonie droite Pleurs Pleurs Pleurs Pleurs Pleurs beaucoup durant l'examen. Fréquence respiratoire diminuée lorsqu'il est dans les bras du père. Explications que c'est le début d'une infection respiratoire qui peut se péjorer sur les prochains jours. Pleurs la nuit. Pleurs nocturne depuis 3 mois Pleurs sur poussée dentaire Pleurs uniquement la nuit, calme la journée, bonne prises de poids et alimentaire Pas d'argument pour sténose du pylore (pas de vomissements en jet), pas d'arguments pour cause infectieuse (pas de fièvre, status clinique en ordre) Conseils de surveillance donnés Plus de plaintes au moment de la consultation, pas d'atteinte visible Rinçage au sérum physiologique aux urgences sans corps étranger visualisé Rinçage au besoin Reconsultation si écoulement purulent ou douleurs Plus de 2 ans après la 1ère intervention à savoir l'arthrodèse du poignet, après ablation du matériel d'arthrodèse, le patient est encore très symptomatique. Il présente un CRPS et une allodynie importante au niveau de son poignet gauche. Ainsi, une reprise du travail sur les chantiers me semble être impossible. Dans ce contexte, nous demandons à l'assurance-invalidité de bien vouloir évaluer le patient pour une rente AI, en plus de son problème au niveau du poignet gauche, le patient présente également des troubles psychologiques qui ont été causés par son incapacité de travail et pour les douleurs chroniques qu'il ressent au niveau de son poignet gauche. Une réinsertion professionnelle me semble être également difficilement applicable au vu des douleurs que le patient ressent au niveau de son poignet gauche. Dans un premier temps, le but de l'ergothérapie est de diminuer ses douleurs et d'augmenter son autonomie pour les soins corporels quotidiens. Une telle autonomie me semble actuellement le premier but à atteindre, la vie professionnelle n'est que tout à fait secondaire. Prochain contrôle en juin 2019. Plusieurs brûlures au corps visage brûlure deuxième degré 2 x 2 cm²épaule gauche 1% de la surface, deuxième degré avant bras gauche dorsal 3% de la surface, entre 2e à 3e degré, dos apical 3% deuxième à troisième degré, au-dessus de la scapula ddc deuxième degré 2 x 2% de la surface Plusieurs contusions le 23.10.2015 : • Contusion + dermabrasions genou des deux côtés • Contusion + dermabrasion poignet droit • Contusion + plaie superficielle 0.5 cm 2 MC droite. Plusieurs épisodes d'infection urinaire. Pyélonéphrite droite en Novembre 2017 chez une patiente connue pour une polykystose rénale Plusieurs interventions sur hernies discales lombaires. • Spondylodèse L4-L5 et L5-S1 en janvier 2018, Lindenhof. • Révision plaie L5-S1 D en avril 2018 sur infection épidurale sous-fasciale à Staph. epidermidis, Lindenhof. • Actuellement, antibiothérapie par Bactrim forte 3x1/j. Status post embolies pulmonaires. • Sous Sintrom. Sintrom mis en suspens le 02.06.2018. Ad Konakion 2 m i.v. le 02.06.2018. Reprise Sintrom le 03.06.2018. Plusieurs lésions érythémato-papulaires, au niveau des quatre membres avec status post-biopsie cutanée au niveau du poignet gauche. Entorse du ligament latéral externe du genou droit. Status post-appendicectomie. Plusieurs plaies superficielles au niveau du siège DD : escarre vs plaies de frottement PN 2395g né à 34 6/7 transfusion contexte infectieux antibiothérapie, autre cause possible pas clairement établie, photothérapie Pneumo-hémato-thorax et fractures de côtes en septembre 2009 Ulcère oesophagien non daté Gastrite non datée APP status post dans l'enfance Pneumomédiastin très discret le 18.01.2016, sans investigation supplémentaire requise, traité par antibioprophylaxie par Augmentin du 18.01 au 28.01.2016 Traumatisme thoracique par blast, le 18.01.2016, compliqué par : • ACR avec FV nécessitant un choc électrique • Dissection traumatique de l'IVA proximale avec pose de 2 stents actifs • Minime lame d'épanchement péricardique • Contusion myocardique • Insuffisance cardiaque avec FEVG à 40-45% • Fracture sternale avec hématome rétro-sternal • Pneumomédiastin très discret sans investigation supplémentaire requise • 6 fractures de côtes Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort RX thorax Adaptation de l'antalgie Dissection traumatique de l'IVA proximale avec double stenting compliquée d'une insuffisance cardiaque avec FEVG à 40-45% : • Echocardiographie du 21.01.2016: VG non dilaté. Hypokinésie sévère de la paroi antérieure, de la paroi apicale et de la paroi septale antérieure moyenne. Hypokinésie modérée de la paroi latérale moyenne et hypokinésie minime du septum moyen. Poursuite de la double anti-agrégation plaquettaire : Brilique avec ASA au moins 6 mois, puis ASA à vie Traitement de l'insuffisance cardiaque Contrôles échocardiographiques à 3, 6 et 12 mois (prochain contrôle le 06.04.2016 chez Dr. X) Fracture de la base du 4ème métacarpien G Attelle en équerre avec interphalangiennes libres RX de la main le 19.02.2016 Avis Dr. X le 22.02.2016 Avis orthopédique le 02.03.2016 à l'HFR Fribourg Troubles cognitifs avec troubles de la mémoire Évaluation neuropsychologique IRM cérébrale le 29.02.2016 Suspicion de fausses routes Test de la déglutition Arrachement d'une dent (incisive) épargnant la racine En attente d'un contrôle dentaire Pneumonectomie gauche en 2001 pour un cancer épidermoïde du lobe inférieur. Probable overlap syndrome entre une BPCO et un asthme Pneumonie Pneumonie Pneumonie à E.coli le 28.11.2018 Pneumonie à gauche avec • baisse de l'état général Pneumonie à pneumocoque basale G Pneumonie à Pneumocystis jirovecii le 13.07.2018 Agranulocytose fébrile sur probable sinusite le 04.12.2012 Appendicectomie à l'âge de 11-12 ans CIVD le 18.09.2013 Ulcère uro-génital le 17.09.2018 Pneumonie à répétitions • Choc septique sur pneumonie acquise en communauté le 19.04.2017 • Pneumonie d'aspiration le 26.09.2016 • Pneumonie débutante basale droite le 03.09.2016 • Probable début de foyer pneumonie le 28.12.2015 • Pneumonie basale droite le 23.06.2015 • Infections pulmonaires en octobre et novembre 2014 • Infection des voies respiratoires inférieures en juillet 2014 • Pneumonie basale droite, probablement sur broncho-aspiration en juillet 2014 • Pneumonie rétro-cardiaque avec insuffisance respiratoire globale modérée à S. agalactiae en mai 2014 • Suspicion de broncho-aspiration en mai 2014 • Sepsis d'origine pulmonaire sur broncho-aspiration basale gauche, fin mars 2014 • Bactériémie à S. pneumoniae à point de départ pulmonaire (lobe inférieur droit) en octobre 2012 Mycose oropharynx le 23.06.2015 Fracture mandibulaire sur ostéoradionécrose avec : • Opération le 14.10.2014 (Dr. X, Dr. X): reconstruction mandibulaire par lambeau libre du péronier et trachéotomie Drainage d'abcès de la dent 48 en novembre 2005 Surdité unilatérale brusque à gauche le 25.07.2014 traitée par Prednisone 70 mg pendant 1 semaine Colite du côlon descendant et transverse d'origine indéterminée en juillet 2012 Pneumonie bilatérale sur broncho-aspiration (E. coli) le 22.07.2017 • hospitalisation à l'Hôpital de Sion du 22.07 au 26.07.2017 • CT thoracique le 24.07.2017 : condensation bibasales avec impactions mucoïdes en faveur d'une origine infectieuse • Augmentin du 22.07 au 24.07.2017, relai par Rocéphine et Flagyl à partir du 24.07.2017 Troubles électrolytiques le 26.07.2017 avec • Hypercalcémie corrigée à 2.71 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.55 mmol/l • Hypokaliémie à 3.6 mmol/l • Hyponatrémie à 131 mmol/l Pneumonie abcédante du lobe supérieur droit en 2004 Carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit : • date du diagnostic : juin 2004 • status post 6 cures de chimiothérapie par Platinol et Navelbine de juin à août 2004 • status post radiothérapie (60,8 Gy) du 06.07 au 31.08.2004 • PET du 08.06.2006 : récidive purement localisée au lobe supérieur droit, sans autre lésion • status post 4 cures d'une chimiothérapie par Paraplatine et Gemzar d'août 2006 à janvier 2007 • contrôle 2016 : pas d'évidence de récidive tumorale Nodule bénin d'origine mixte au niveau du lobe inférieur gauche diagnostiqué le 26.01.2009 : • DD : dommage post-actinique ou vasculaire, bronchiolite oblitérante • thoracotomie gauche avec Wedge-résection et résection de deux ganglions le 23.04.2009 • status post carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit cT2 cN2 cM0 - (date du diagnostic juin 2004) traité par chimio- et radiothérapie Exacerbation de BPCO le 29.12.2017 avec : • Tavanic du 08.01.2018 au 14.01.2018 Décompensation cardiaque le 29.12.2017 : DD : post-infectieuse, sur HTAP, sur épanchement péricardique Epanchement péricardique d'origine indéterminée le 29.12.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 29.12.2017 : • FeUrée à 40.5% Crampes musculairesCarcinome épidermoïde du lobe supérieur droit : • date du diagnostic : juin 2004 • status post-6 cures de chimiothérapie par Platinol et Navelbine de juin à août 2004 • status post-radiothérapie (60,8 Gy) du 06.07 au 31.08.2004 • PET du 08.06.2006 : récidive purement localisée au lobe supérieur droit, sans autre lésion • status post-4 cures d'une chimiothérapie par Paraplatine et Gemzar d'août 2006 à janvier 2007 • contrôle 2016 : pas d'évidence de récidive tumorale Nodule bénin d'origine mixte au niveau du lobe inférieur gauche diagnostiqué le 26.01.2009 : • DD : dommage post-actinique ou vasculaire, bronchiolite oblitérante • thoracotomie gauche avec Wedge-résection et résection de deux ganglions le 23.04.2009 • status post-carcinome épidermoïde du lobe supérieur droit cT2 cN2 cM0 - (date du diagnostic juin 2004) traité par chimio- et radiothérapie Exacerbation de BPCO le 29.12.2017 avec : • Tavanic du 08.01.2018 au 14.01.2018 Décompensation cardiaque le 29.12.2017 : DD : post-infectieuse, sur HTAP, sur épanchement péricardique Epanchement péricardique d'origine indéterminée le 29.12.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 le 29.12.2017 : • FeUrée à 40,5 % Crampes musculaires Pneumonie acquise en communauté du lobe moyen/inférieur droit le 24.11.2018 • dans un contexte d'adénocarcinome pulmonaire supérieur droit pT4 pN0 cM0, stade IIIA en rémission complète Pneumonie acquise en communauté en 2012 Pneumonie acquise en communauté, le 30.12.2018 avec : • BPCO GOLD B avec 3 critères d'Anthonisen • CURB 65 : 3 - Risque sévère Pneumonie aiguë du lobe inférieur D chez un patient BPCO, le 15.11.2018 Pneumonie acquise à domicile PSI : 81 points : Risk Class III, 0.9-2.8 % mortality. Pneumonie acquise à domicile PSI : 81 points : Risk Class III, 0.9-2.8 % mortality. Outpatient or inpatient treatment, depending on clinical judgment. Pneumonie atypique février 2013. Erysipèle du membre inférieur droit le 26.04.2016 chez Mme. Y diabétique. Pneumonie avec foyer retrocardiaque, DD : Pneumonie à mycoplasmes. DD : Infection virale Pneumonie bactérienne dans le lobe supérieur gauche Pneumonie basale à droite débutante Pneumonie basale droite le 27.12.2018 • CRP 139 mg/l, Lc 11.5 G/l Pneumonie basale droite acquise en communauté à germe indéterminé dans un contexte de probable sarcoïdose le 08.03.2014 Cholécystectomie par laparotomie en 1990 3 accouchements par voie basse en 1981/1982/1986 Choc septique le 14.08.2015 sur hématome infecté sein droit à S. aureus post-mastectomie droite le 30.07.2015 Pyélonéphrite à Escherichia Coli le 08.07.2015 Anémie normochrome normocytaire à 107 g/l d'hémoglobine le 14.08.2015 d'origine inflammatoire Broncho-pneumonie en avril 2016 Pneumonie basale droite acquise en communauté (EMS) le 25.11.2018 avec insuffisance respiratoire aiguë partielle • score de CURB-65 : 2 points Pneumonie basale droite acquise en communauté en 12.2011. Lombalgies communes d'effort non déficitaires le 01.12.2014. Infection urinaire simple le 01.12.2014. IVRS avec syndrome grippal. • patiente HIV + traitée par Trithérapie suivie par le Dr. X. Pneumonie basale droite avec : • Clinique : AEG avec perte de force et faiblesse généralisées, toux, pas d'expectorations, déshydratation, tachycardie • Labo 06.12.2018 : syndrome inflammatoire avec CRP 200 (labo Dr. X 06.12.2018) et hyperleucocytose neutrophile à 15.5 G/L • Ag urinaires pneumocoque et légionella : absents • Rx thorax : -- Infiltrat pulmonaire basal droit compatible avec un foyer pulmonaire, associé à un petit épanchement pleural homolatéral. -- Pas de signes de décompensation cardiaque. Pneumonie basale droite dans un contexte possible d'exacerbation de BPCO avec : • CT thoraco-abdominal 19.11.2018 (CT de contrôle pour lymphome de Hodgkin en rémission, HFR Fribourg) : augmentation en taille de ganglions médiastino-hilaires, augmentation d'une condensation pulmonaire lobaire supérieure gauche et d'un épaississement pariétal bronchique avec de multiples impactions mucoïdes, parlant en premier lieu pour une acutisation infectieuse/inflammatoire. • Echo thoracique ciblée (Dr. X, HFR Fribourg) : -- pulmonaire : pas d'oedème pulmonaire -- cardiaque : légère insuffisance valvulaire mitrale et tricuspidienne • Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 18.07.2017 • Culture expectoration 26.11.2018 : négative pour le pseudomonas • DD exacerbation de BPCO avec : -- Critères d'Anthonisen : augmentation dyspnée + purulence des expectorations -- BPCO stade II • Antigènes urinaires Legionella négatifs • Isolation contact + gouttelettes, puis levée de l'isolation dès le 28.11.2018 (culture d'expectoration négative) • Vaccins grippe et pneumocoque à jour Pneumonie basale droite, DD : infection virale, DD : Pneumonie à mycoplasmes Pneumonie basale droite débutante le 25.12.2018 Pneumonie basale droite en 02.2017 AVC pariétal droit non daté Pneumonie basale droite le 04.12.2018 • Co-Amoxicilline du 04.12 au 11.12.2018 Pneumonie basale droite le 10.10.2018 traitée par Ceftriaxone jusqu'au 18.10.2018. Pneumonie basale droite le 10.12.2018 Pneumonie basale droite le 14.12.2018 • sur probable broncho-aspiration au domicile Pneumonie basale droite le 17.07.2018 Pneumonie basale droite le 26.12.2017 : • neutropénie fébrile associée dans le contexte de la chimiothérapie Troubles électrolytiques multiples (hypokaliémie, hypophosphatémie, hypomagnésiémie) le 26.12.2017 Status post-dysphagie sur carcinome épidermoïde de l'oesophage avec sténose circonférentielle à une distance de 27 à 32 cm des arcades dentaires --> pose de GPR 16/04/2018 Endocardite à Streptococcus anginosus le 19.10.2018 • frissons solennels • pas de trouble neurologique franc • Co-Amoxi 2.2 g 4x/j du 19.10 au 22.10.2018 ; Rocéphine 2 g du 22.10.2018 au 19.11.2018 Dénutrition sur trouble de la déglutition sur carcinome de l'oesophage poursuite nutrition entérale : • Isosource Energyfibre plutôt que le Fresubin 2kal HP habituel (seulement durant l'hospitalisation) Pneumonie basale droite le 04.12.2018 avec : Pneumonie basale droite nosocomiale à Pseudomonas aeruginosa bactériémique le 22.12.2018 Pneumonie basale droite nosocomiale le 09.12.2018 avec épanchements pleuraux bilatéraux Pneumonie basale droite probablement sur broncho-aspiration, chez un patient connu pour des troubles de la déglutition sur status post-accident vasculaire cérébral en 2007. Pneumonie basale droite sur broncho-aspiration. Pneumonie basale droite Bilan biologique. RX thorax. CT scan cérébral natif. Co-amoxicilline 2.2 g iv 4x/jour le 21.02, puis 1 g 2x/jour pendant 10 jours. Altération de l'état de conscience d'origine multifactorielle : • pneumonie médicamenteuse. Surveillance neurologique. Pneumonie basale droite. Tendinobursite péri-trochantérienne Pancréatite le 28.07.2018 DD sur obstruction dans le contexte d'un Ca de la tête du pancréas Laboratoire Ranson score le 28.07.2018 : 0 pts Après antalgie 1er pallier, n'a plus aucune douleur. L'abdomen est souple et indolore. Pas de nausée. Avis Chir (Dr. X) : Pancréatite, pas d'indication à hospitalisation, contrôle biologique et clinique à 48h. ATT • discuté avec le patient. Lundi, va contacter le service d'oncologie de l'Insel Spital pour contrôle clinique + prise de sang (Ranson à 48h). Selon l'évolution, CT abdominal à effectuer (patient a RDV pour CT la semaine prochaine)• Antalgie, si péjoration des symptômes, nausée, EF ou autre, doit reconsulter, soit à Fribourg, soit à Bern. • Pneumonie basale gauche le 20.11.2018 • Pneumonie basale gauche à hémophilus influenzae le 24.12.2018 • Pneumonie basale gauche débutante le 05.12.2018 • Pneumonie basale gauche d'origine communautaire le 22.12.2018. • Pneumonie basale gauche hypoxémiante > avec OAP concomitant > dans un contexte de trauma costale D le 10.12.18 et traitement de Co-Dafalgan • Pneumonie basale gauche hypoxémiante le 16.12.2018 avec : > bactériémie à E.coli > OAP concomitant > dans un contexte de traumatisme costal droit le 10.12.2018 • Pneumonie basale gauche le 03.12.2018 • Pneumonie basale gauche le 09.12.2018. • Pneumonie basale gauche le 16.11.2018 • Pneumonie basale gauche le 17.02.2017 au décours Chute d'origine peu claire avec traumatisme crânien et hématome en monocle droit le 18.03.2015 : > diagnostics différentiels : syncope, vertiges, médicamenteuse (Dexaméthasone) > pas de saignement intra-crânien, pas de fracture du crâne (CT neurocrâne du 22.03.2015 HFR Fribourg) > pas de fracture de l'épaule (Rx épaule droite du 22.03.2015 HFR Fribourg) > BAV 1er degré, bloc de branche droit, pas de trouble de la repolarisation (ECG du 22.03.2015 HFR Fribourg) > test de Schellong positif le 28.03.2015 > bradycardie à normocardie sinusale avec bloc de branche droit, quelques extrasystoles supra-ventriculaires, pas de trouble du rythme cliniquement relevant, pas d'indication à une origine rythmogène à la syncope (Holter du 24-25.03.2015 HFR Fribourg) • Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne gauche en avril 2010 (HFR Fribourg) • Thrombo-endartériectomie de la bifurcation carotidienne gauche en février 1998 (CHUV) • Excision d'un mélanome au niveau de la joue gauche en 08.2005, avec ré-excision en janvier 2006 (Dr. X) • Cure de varices non datée • Cholécystectomie en 1964 • Appendicectomie en 1938 • Opération des végétations en 1946 • Hyperkaliémie le 02.03.2017 Anémie hypochrome normocytaire avec hémoglobine à 99g/l le 02.03.2017, sur : > d'origine inflammatoire > sur insuffisance rénale chronique > carence en folate et vitamine B12 > bilan martial non effectué Rash cutané érythémateux prurigineux non papulaire dans le dos sur tout le flanc gauche, suite à l'application de Sportusal • Pneumonie basale gauche le 30.10.2018 avec : > score de Fine 106 points (classe IV) • Pneumonie basale gauche sur bronchoaspiration le 07.08.2017 Crise tonico-clonique le 04.08.2017 avec : > Électro-encéphalogramme le 11.08.2017 : foyer lent assez étendu sur l'hémisphère droit à prédominance de la région fronto-temporale, d'un caractère discrètement irritatif Crise de goutte de l'hallux droit au niveau de l'articulation du 1er métatarso-phalangien le 16.08.2017 Trouble de la repolarisation électrique avec augmentation du QTc sous traitement de Cymbalta le 25.09.2017 Malnutrition protéino-énergétique modérée avec sonde nasogastrique du 14.08.2017 au 28.08.2017 Colite à Clostridium difficile le 15.10.2018 chez patiente sous Co-Amoxicilline depuis le 08.10.2018 pour une masse colique avec probable surinfection : > Laboratoires > Hémocultures > PCR multiplex selles > Recherche antigènes urinaires Légionelle et pneumocoque > Recherche de C. difficile > Isolement de contact > Surveillance en lit d'observation puis transfert à l'étage de médecine > Antibiothérapie par : > Rocéphine 2g intraveineux 1x/j du 15.10.2018 au 21.10.2018 > Métronidazole 500mg intraveineux en dose unique le 16.10.2018 > Vancomycine 125mg par voie orale 4x/j du 16.10.2018 au 28.10.2018 Anémie normocytaire d'origine indéterminée avec hémoglobine à 78g/l le 17.10.2018 : > Diagnostic différentiel : saignement digestif bas > Laboratoires > Mise en suspens du Xarelto > Hémofécatest > Transfusion d'un culot érythrocytaire le 17.10.2018 Malnutrition protéino-énergétique modérée : > Suivi nutritionnel • Pneumonie basale gauche 08/2018 Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie bilobaire droite le 20.06.2018 : DD : décompensation de BPCO, bronchoaspiration sur surdosage de benzodiazépines (Valium) Suspicion de BPCO > DD overlap syndrome, notion d'asthme depuis l'enfance Syndrome de dépendance aux benzodiazépines et OH > contexte de situation psychosociale compliquée avec divorce en cours et absence de domicile fixe actuellement > curatelle de gestion > s/p hospitalisation à Marsens jusqu'au 11 juin 2018 (abstinence OH depuis, selon le patient) > s/p cure de désintoxication OH et benzodiazépines en 2015 (Meiringen) > suivi psychiatrique ambulatoire par Dr. X 026 422 43 03 > suivi addictologique au Torry (résidence) jusqu'à l'hospitalisation Leucocytose d'origine indéterminée le 03.04.18 > avec 87,2% de neutrophiles • Pneumonie basale gauche. Appendicectomie à l'âge de 9 ans. Amygdalectomie. Deux accouchements par voie basse. Stérilisation en 1965. Laminectomie L3 en août 2014 sur canal spinal étroit L2-L3 et L3-L4 avec troubles urinaires et sphinctériens. Cure de varices. Cystite subaiguë et chronique. Le 19.08.2015, Dr. X : résection transurétrale de la vessie. DAP : cystite subaiguë et chronique. Absence de signe de malignité. Douleurs para-dorsales droites dans un contexte de toux. • Pneumonie basale sur hypoventilation suite aux fractures de côtes à droite en novembre 2017 • Candidose oro-pharyngée en novembre 2017 • Fracture-tassement bénigne de D9 en 2014 • Probable AIT en 2006 • Pneumonie base pulmonaire gauche le 28.11.2018. • Pneumonie bibasale à Achromobacter xylosoxidans (R à Ciprofloxacine, I à Tazobac et Imipénème) et S. aureus 06/2011. • Gastro-entérite virale 05.2015. • Achromobacter xylodans et E.coli dans sécrétions maxillaires traitées par Ceftriaxone puis Bactrim 09.2015 Suspicion de lésion du LLI articulation métacarpophalangienne pouce droit le 29.09.2014 • Gastrostomie en 2004 et pose de PEG en 02.2013 • Fundoplicature par laparoscopie le 28.10.2013 (Reflux) • Fermeture de trachéostomie en juin 2013 • Insuffisance rénale aiguë hémodialysée en post-greffe (2013)Urosepsis le 03.05.2017 (E.coli) • Uro- CT le 03.05.2017 : pas de dilatation des voies urinaires visualisées, l'appendice apparaît hyperdense malgré l'absence d'injection de produit de contraste. US abdominal le 03.05.2017 : appendice rétro-caecale ne pouvant être visualisé dans son ensemble. Pas de liquide libre, visualisation d'un calcul dans la vésicule biliaire. • Céfépime et Flagyl le 03.05.2017 • Ertapénème dès le 04.05.2017 • Rocéphine du 05.05.2017 au 18.05.2017 • Avis Dr. X (CDC Pneumologie du CHUV - 079 556 27 10) : Stopper le Cellcept pendant 48h et doser le Tacrolimus le 05.05.2017 avant la prise et puis régler le Tacrolimus selon les résultats. Cellcept repris à 48h et Tacrolimus baissé à 4mg/J (taux à 12.9 ug/ml le 05.05.2017). Cervicite à Chlamydia le 03.05.2016 Azithromycine 1 g le 08.05.2016 Sérologies le 08.05.2017 : syphilis neg, HIV neg Pneumonie bibasale le 03.12.2018 Pneumonie bibasale le 28.10.2018 Pneumonie bilatérale Pneumonie bilatérale à germe indéterminé le 23.11.2018 sur broncho-aspiration, avec : • insuffisance respiratoire aiguë avec hypoxémie sévère • contexte de trisomie 13 Pneumonie bilatérale à Streptococcus pneumoniae le 19.12.2018 avec • insuffisance respiratoire hypoxémique légère Pneumonie bilobaire inférieure sur probable dysphagie Pneumonie communautaire aiguë le 31.12.2018. Pneumonie communautaire avec foyer apical droit et foyer rétrocardiaque. Pneumonie communautaire basale droite. Pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé le 08.12.2018 Pneumonie communautaire basale droite à germe indéterminé le 08.12.2018 • score de CURB-65 : 2 points Pneumonie communautaire basale droite de mauvaise évolution le 26.11.2018 dans un contexte de : • Traitement par Co-Amoxicilline jusqu'au 25.11.2018 • Pneumopathie chronique oxygénodépendante à domicile Pneumonie communautaire basale droite en 2016. Pneumonie communautaire basale droite le 07.11.2018. Epigastralgies sous Pantozol. Pneumonie communautaire basale gauche, le 04.04.2018 avec : • Insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë chez patient connu pour une BPCO (stade II), sans critère pour une exacerbation Exacerbation de BPCO sur pneumonie rétrocardiaque le 25.06.2014 Insuffisance respiratoire hypoxémique le 03.01.2015 sur : • embolies pulmonaires segmentaires (depuis sous Sintrom à vie car EP multiples) • pneumonie lobaire supérieure D • décompensation cardiaque Exacerbation de BPCO le 19.08.2018 : • avec insuffisance respiratoire hypoxémique • possible foyer lingulaire G dans le contexte de fausse route • exacerbation BPCO avec 2/3 critères Anthonisen (dyspnée, expectorations en augmentation) Rocéphine du 19.08. au 21.08.2018, puis co-amoxi 2x1 g du 22.08. au 26.08.2018, Klacid du 19.08. au 20.08.2018, Prednisone du 19.08.2018 au 24.08.2018 Fracture subaiguë de L3 le 24.10.2014 Macrohématurie le 08.11.2014 sur cysto-prostatite Épisodes de cupulolithiase en 2014 Pneumonie communautaire basale gauche en novembre 2018 traitée par co-amoxicilline Colectomie gauche pour adénocarcinome de la jonction colo-sigmoïdienne pT3N0M0 réséqué en juillet 2008 • coloscopie de contrôle du 27.07.2017 ne montrant aucune lésion sur le côlon restant. PTH gauche. Pneumonie communautaire basale gauche le 19.08.2017. Douleurs abdominales chroniques acutisées multi-investiguées d'origine indéterminée le 19.08.2017. Bronchite en juillet 2017, traitée par Bronchipret. Phlébite membre inférieur droit en mai 2017, traitée temporairement par Clexane. Diverticulose spastique (coloscopie du 05.11.2014) Complications post-colonoscopie avec ischémie de la paroi et nécrose hémorragique subtotale du côlon ascendant, nécessitant une hémicolectomie droite le 06.11.2014 (Dr. X) Laparoscopie exploratrice avec appendicectomie d'un appendice rétro-caecal et caecopexie latérale le 23.05.2012 (Dr. X). Cure selon Lichtenstein d'une hernie inguinale gauche, associée à une cure de tunnel carpien droit le 01.02.2012 (Dr. X). Contusion costale droite en 2012. Gonarthrose droite et chondrocalcinose. Décompensation cardiaque sur sténose aortique sévère le 22.11.2018. Cheville gauche douloureuse, sans chaleur, rougeur ni tuméfaction chez patient avec antécédent de crise de goutte le 22.11.2018. Pneumonie communautaire du lobe moyen droit le 22.04.2017 Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 18.07.2017 • Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa LID le 18.10.2017 avec traitement de Cefepime (10 jours) • Portage persistant de Pseudomonas aeruginosa + en novembre 2017 • Status post pneumonie nécrosante bilobaire gauche avec choc septique et bactériémie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 28.07.2017 • Trachéotomie du 11.08 au 16.09.2017 Pneumonie lingula gauche • Culture expectoration 26.11.2018 : négative pour le Pseudomonas • Antigènes urinaires Legionella neg • Échographie thoracique ciblée (Dr. X) : pulmonaire : pas d'oedème pulmonaire. cardiaque : légère insuffisance valvulaire mitrale et tricuspidienne • Hémocultures à froid : négatives après 5 jours • Tazobac 4.5 mg iv 3x/j dans un contexte de colonisation par Pseudomonas puis Pipe Tazo dès le 23.11.2018 Diarrhées sous antibiotiques du 23.11 au 26.11.2018 avec : • Coproculture : négative pour le Clostridium Difficile Insuffisance rénale aiguë le 26.11.2018 avec : • Creat 113, GFR 42 ml/min (GFR de base 64 ml/min) • Origine probablement pré-rénale sur pertes liquidiennes importantes sur diarrhées profuses Décompensation cardiaque gauche dans la nuit du 23 au 24.11.2018 Pneumonie communautaire du lobe moyen droit le 22.04.2017 Résection du pancréas ectopique au niveau du gastre et ovariectomie pour kyste bénin gauche, en mars 2013 (Hôpital Daler) Hystérectomie en 1991 Appendicectomie et amygdalectomie non datées Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 18.07.2017 • Pneumonie à Pseudomonas aeruginosa LID le 18.10.2017 avec traitement de Cefepime (10 jours) • Portage persistant de Pseudomonas aeruginosa + en novembre 2017 • Status post pneumonie nécrosante bilobaire gauche avec choc septique et bactériémie à Pseudomonas aeruginosa et Staphylocoque doré le 28.07.2017 • Trachéotomie du 11.08 au 16.09.2017 Malnutrition protéino-énergétique grave Pneumonie communautaire gauche débutante Pneumonie communautaire le 01.12.2018 Pneumonie communautaire le 17.12.2018 Pneumonie communautaire le 23.11.2018, avec : • chute à domicile le 22.11.2018 • CRP 238 mg/l le 24.11.2018 • Rx thorax le 23.11.2018 : présence d'un infiltrat pulmonaire bibasal G>D, petit épanchement pleural G Pneumonie communautaire lobaire droite Pneumonie communautaire lobe moyen Pneumonie communautaire le 26.09.2016. Cholécystectomie 1980 Hernie hiatale 1989 Pneumonie communautaire du lobe moyen droit • Rx : Infiltrat du lobe moyen droit, • Labo : leukocytose 18 G/L, CRP : 282 Pneumonie cryptogénique organisée en 2015, sans séquelles aux CT scan thoracique du 20.05.2016. Diverticulite non compliquée du côlon descendant le 02.09.2015. Leucémie en 1983 avec greffe médulaire, actuellement plus d'immunosuppresseur. Plaie transfixiante de la joue droite épargnant la commissure labiale. Morsure de chien au niveau de l'index gauche le 03.2014. Septicémie spondylodiscite en 2005. Thyroïdectomie en 2014 pour nodules diffus de nature bénigne, substituée. Infarctus myocardique le 06 février 2017 avec pose d'un stent par Dr. X (traitement par Plavix et Aspirine). • Sténose très serrée de l'artère interventriculaire antérieure proximale (70-90%) avec pose d'un stent actif. • Succès d'angioplastie de la première diagonale sans stent. Plaie semi-circulaire superficielle de la face palmaire du 3ième doigt à droite en regard de la phalange distale, le 22.05.2018Pneumonie d'aspiration à S. pneumoniae, H. influenzae le 31.07.2018 (Soins intensifs inselspital) traitée par Co-Amoxicilline iv 31.07. au 06.08.2018 Bronchite asthmatiforme dans le cadre d'un état grippal au décours Pneumonie d'aspiration basale droite le 12.12.2018 Pneumonie d'aspiration basale gauche le 18.11.2018 Pneumonie d'aspiration le 21.10.2018 Pneumonie d'aspiration le 22.12.2018 Pneumonie de bronchoaspiration à Morganella morganii avec insuffisance respiratoire hypoxémique aiguë le 16.12.2018 Pneumonie de Broncho-aspiration, le 21.12.2018 Pneumonie de la lingula à germe indéterminé le 21.08.2018. Etat confusionnel d'origine mixte le 21.08.2018 (contexte infectieux et médicamenteux sur majoration traitement par opiacés) Syndrome douloureux chronique sur canal cervical étroit et hernie discale L4-L5 et L5-S1 (Suivi par Dr. X / Consultation de la douleur (Dr. X) le 23.08.2018 : augmentation du Palladon à 8-4-8 mg et ad Arcoxia 60 mg 1x/j). Mycose du gland le 21.08.2018. Opération cataracte bilatérale le 01.02.2018. Gastrite à Helicobacter Pylori. Pneumonie communautaire du lobe inférieur droit, le 08.08.2013. Pneumonie débutante non compliquée Pneumonie d'inhalation le 29.11.2018 • insuffisance respiratoire hypoxémique le 04.12.2018 Pneumonie droite en 2011. Pneumonie communautaire lobaire inférieure gauche en novembre 2012. Aphtose buccale traitée par Valtrex (exclusion d'une origine herpétique après biopsie) et corticothérapie systémique en juin 2013. Infection pulmonaire à germe indéterminé le 29.08.2013. Pneumonie droite le 23.11.2018 avec : • Microbiologie : culture d'expectorations, culture d'urine et hémocultures négatives. Pneumonie du lobe inférieur droit traitée par Rocéphine en intraveineux du 03.09 au 07.09.2018 avec relais par Co-Amoxi 625 mg par voie orale jusqu'au 10.09.2018 Status post-bursectomie olécrânienne du coude gauche le 02.01.2018 Status post-ablation du neurostimulateur le 07.07.2017 pour une surinfection à Staph. epidermidis le 05.07.2017 (neurostimulateur mis en place en juin 2016) Status post-hypothyroïdie sub-clinique probablement sur surcharge iodée en mars 2017, substituée Status post-PTG D en 2015 Status post-saignements digestifs bas depuis le 20.07.2015 • Télangiectasies multiples rectales (rectosigmoïdoscopie, 20.07.2015) Status post-zona lombaire D en avril 2012 Status post-bursite du coude droit sur exostose olécranienne (opérée en 2012) Status post-fracture de la clavicule gauche avec résection de la clavicule distale et acromioplastie en 2010 Status post-cure de hallux valgus Status post-cholécystectomie Status post-appendicectomie Toux grasse d'origine virale probable le 22.09.2018 Rhizarthrose pouce gauche Difficultés liées à une enfance malheureuse (privation de relation affective) Anémie normocytaire hypochrome avec Hb à 94 g/l le 21.09.2018 • Ferritine à 19 ug/l et folates 2.1 ng/ml le 03.08.2018 Diarrhées liquides dès le 08.10.2018, avec : • Douleurs abdominales crampiformes intermittentes • Nausées et un épisode de vomissement DD : sur Abound, gastroentérite virale Pneumonie du lobe inférieur gauche à Haemophilus influenzae multisensible le 17.12.2015. NSTEMI le 03.03.2018. CT thoracique injecté le 03.03.2018 : absence d'embolie pulmonaire, calcification coronarienne Coronarographie le 04.03.2018 (Dr. X) : • Sténose sévère de l'ostium de l'IVA, PTCA/2x stent actifs • Sténose sévère de l'artère circonflexe proximale, PTCA/1x stent actif Aspirine à vie Plavix pour une année (jusqu'au 03.03.2019) Maladie coronarienne tritronculaires et hypertensive avec : • sténose sévère de l'ostium de l'IVA • sténose sévère de l'artère circonflexe proximale • occlusion de l'artère coronaire droite moyenne (petite artère) Mise en suspens transitoire de l'Aprovel (remplacé par Nifédipine) Metoprolol dès le 04.03.2018 Contrôle des FRCV habituels Suivi de la fonction rénale (CT injecté le 03.03.2018 et coronarographie le 04.03.2018) Pneumonie du lobe moyen Pneumonie du lobe moyen avec : • Epanchement pleural droit volumineux avec : -- Clinique : matité à la percussion, pas de bruits audibles dans le champ droit -- Radio 04.12.2018 : en comparaison avec le 16.08.2018 nette progression d'un épanchement pleural droit. Diminution de la ventilation pulmonaire gauche probablement en lien avec des troubles ventilatoires au contact de l'épanchement pleural. Un foyer infectieux surajouté à droite n'est pas exclu. -- US Dr. X 05.12.2018 : Volumineux épanchement pleural droit contenant de multiples cloisons, mesurant au moins 13 x 8,6 x 18 cm (> 700 ml). • Etat d'immunodépression sur LLC connue depuis 17 ans • CRP 100 le 04.12.2018 Pneumonie du lobe moyen droit • avec signe de détresse respiratoire le 19.12.18 Pneumonie du lobe moyen droite le 21.11.2018 Pneumonie du LSD à germe indéterminé en 2010 Carcinome épidermoïde pulmonaire du lobe supérieur droit cT2a cN0, cM0 stade IIIA minimum avec : • diagnostic radiologique le 23.05.2018 • CT cérébro-cervico-thoraco-abdominal 23.05.2018 : masse pulmonaire 3x3 cm apicale lobaire supérieure droite aux contours spiculés suspect d'une lésion pulmonaire primaire. ADP mésistino-hilaire de 17 mm dans la loge de Barty. Hypodensité mal délimitée de 15 mm à la jonction du segment IVb-V hépatique • PET-CT 07.06.2018 : Tumeur pulmonaire maligne dans le LSD avec métastase ganglionnaire médiastinale et hilaire. • IRM cérébral 08.06.2018 : Légère atrophie cortico-sous-corticale prédominant dans les régions frontales, en relation avec l'âge de la patiente. Pas de prise de contraste aux étages supra- et infra-tentoriels. • Bronchoscopie avec EBUS le 15.06.2018 • Biopsie (Promed) 15.06.2018 : Carcinome épidermoïde avec MIB 50% • Echographie abdominale 12.06.2018 • Tumorboard thoracique 20.06.2018 : Carcinome épidermoïde non à petites cellules. Traitement par chimiothérapie palliative Cysplatine + Gemzar (suivi par Dr. X). Pas d'opération. • 6 cycles de chimiothérapie Cisplatine + Gemzar du 25.06 au 05.11.2018 • Consultation Soutien/Symptômes/Palliatif avec Dr. X le 25.06.2018 • Rdv en chirurgie le 28.06.2018 à 10h pour pose de PAC prévue le 06.07.2018 Insuffisance respiratoire hypoxémique et hypercapnique Poly/Capnographie 11.06 + VNI du 12.06.2018 au 21.06.2018 ETT 20.06.2018 Sous O2 4L/min nocturne, 2L/min diurne Ultibro 110/50 mcg 1x/j, switch pour Ventolin et Atrovent Physiothérapie Test de marche aux 6 mn Oxygénothérapie et VNI au long cours à domicile Réadaptation respiratoire à Billens après la chimiothérapie. Oedèmes des membres inférieurs DD : cardiaque (HTAP) Introduction de Torem 5 mg 1x/j Addiction tabac (60 UPA) Cessation du tabac à réévaluer en ambulatoire Patch de Nicotell 14 mg/24h Pneumonie en juillet 2018, traitée par antibiotiques Varicose bilatérale Tabagisme ancien à 40 UPA Pneumonie en juin 2018 Leuco-encéphalopathie dégénérative vasculaire de type FAZEKAS III Lombarthrose multi-étagée avec status post infiltration Carcinome épidermoïde bord langue gauche traité par glossectomie partielle gauche, évidement cervical II-IV et radio-chimiothérapie en 2004 Pneumonie en septembre 2018 Pneumonie gauche avec état fébrile le 01.12.2018 Pneumonie gauche le 04.12.2018 avec : DD néoplasie (perte pondérale de 12 kg, sudations nocturnes), maladie systémique (conjonctivite, arthralgies), TB Pneumonie gauche Résection d'adénomes tubuleux de la muqueuse colique (coloscopie 18.05.2017, Dr. X) Polypectomie Saint-Laurent en 2006 Pneumonie gaucheRésection d’adénomes tubuleux de la muqueuse colique (coloscopie 18.05.2017, Dr. X) Pneumonie il y a 4 ans Multiples stents Infiltration lombaire Pneumonie LID DD: Décompensation BPCO Pneumonie (liée à la ventilation) du lobe supérieur droit à Pseudomonas Aeruginosa (résistant à la Céfépime) le 23.12.2018 Pneumonie LIG le 19.11.2018 et 27.11.2018 • secondaires à une infiltration tumorale de la bronche souche gauche Pneumonie lobaire droite Pneumonie lobaire droite le 3.11.2018, traitée par Augmentin (5 j) et Tavanic (7-8 j). Fracture longitudinale de la phalange distale du 5ème doigt de la main gauche. Pneumonie lobaire droite nosocomiale avec germes colonisants multisensibles le 29.11.2018 Pneumonie lobaire gauche. Pneumonie lobaire inférieure droite le 25.12.2018 • S/p multiples pneumonies en 2018 avec CT thoracique 08.07.2018 à Interlaken sans argument pour une obstruction bronchique néoplasique Pneumonie lobaire lobe inférieur gauche Pneumonie lobe inférieur à droite Pneumonie lobe inférieur gauche Pneumonie lobe moyen droit le 17.12.18 • sous Co-amoxicilline 1 gramme 3 x/j depuis le 15.12.18 CURB 65: 1 point. Score de Fine II. Pneumonie nosocomiale après bronchoscopie. Pneumonie nosocomiale avec crachats hémoptoïques le 22.12.2018 Pneumonie nosocomiale basale gauche le 14.11.2018 • PSI à 152 points (Risk Class V) • foyer clinique Pneumonie nosocomiale basale gauche le 25.11.2018 Pneumonie nosocomiale basale gauche sur broncho-aspiration le 04.12.2018 Pneumonie nosocomiale dans le contexte de broncho-aspiration à germe indéterminé le 11.12.2018 Pneumonie nosocomiale le 16.11.2018: • Expectorations : positives pour Ps. Aeuroginosa Pneumonie nosocomiale le 20.11.2018 • antécédent ESBL en novembre 2018 Pneumonie nosocomiale multilobaire le 05.02.2018 • Ceftriaxone 2g en i.v. le 05.02.2018; Cefepime 2x2g par jour du 05.02.2018 au 12.02.2018 Épisode dépressif sévère avec tentative de suicide par défenestration le 03.01.2016 Kyste synovial L4-L5 avec instabilité articulaire accompagnée d'une hernie discale L4-L5 G avec petit fragment séquestré : • Décompression L4-L5 par la G avec facettectomie et ablation du fragment luxé, discectomie et spondylodèse percutanée L4-L5 D, le 19.11.2015 Épididymite le 07.11.2015 à E. Coli multisensible Rupture de la coiffe des rotateurs post-traumatique en décembre 2014, traitée conservativement RTUP et biopsie de diverticule vésical en décembre 2013 pour hypertrophie prostatique symptomatique (hyperplasie bénigne de la prostate) Macrohématurie d'origine prostatique ou diverticulaire en 2011 Bronchopneumonie à Staphylocoque coagulase négative en octobre 2011 sur probable BPCO Intoxication alcoolique et hospitalisation à l'HFR Fribourg le 27.10.2010 Dépression avec hospitalisation à Marsens du 25.01 au 04.03.2010 Crise d'épilepsie en 1996 Opération pieds bots en 1955 Status post PTH D et PTH G pour coxarthrose, le 25.01.2018 Pneumonie organisante post-infectieuse depuis le 16.01.2017 (suivi pneumologique par Dr. X) avec : • Status post pneumonie à pneumocoques sévère et ARDS au Portugal fin 2016 • thoracoscopie gauche avec résection atypique du lobe supérieur et inférieur le 18.10.2017 • bilan immunologique à la recherche de collagénose, d'hépatite auto-immune, de polymyosite à anti-synthétase : négatif • FAN négatif, anti-CCP négatif, FR négatif • corticothérapie systémique prolongée, stoppée le 23.01.2018 • hospitalisation en décembre 2017 pour insuffisance respiratoire avec passage aux soins intensifs sur protéinose alvéolaire et surinfection bactérienne • bronchoscopie le 14.12.2017 (Dr. X) : BAL, examen pato-histo : protéinose alvéolaire Protéinose alvéolaire très probable avec : • limitation thérapeutique suite à un échec d'amélioration après répétition de LBA et impossibilité de prescription d'inhalateur par GM-CSF dans un contexte de consommation active et chronique d'alcool et tabac BPCO GOLD IIb: suivi Dr. X • Tabagisme actif à 40 UPA • sous traitement Ultibro Breezhaler 1x/j • Fonction pulmonaire du 02.02.2018: péjoration trouble diffusionnel avec 36% du prédit Ostéoporose Trouble dépressif récurrent sous antidépresseur Anémie macrocytaire normochrome d'origine mixte Pneumonie par aspiration sur probable obstruction du stent oesophagien DD: origine tumorale, translocation bactérienne au niveau du stent Pneumonie para-cardiaque droite sur probable broncho-aspiration le 29.11.2018 dans le contexte de vomissements biliaires Pneumonie para-cardiaque droite le 13.01.2018 Pneumonie lobe supérieur droit le 29.12.2016 Pneumonie possiblement décapitée par ATB DD bronchite Pneumonie probablement d'origine bactérienne le 07.10.2018. Rétention urinaire aiguë le 22.02.2018. Ostéo-nécrose mandibulaire traitée par débridement chirurgical le 25.01.2017. Hernie discale L3-L4-L5 il y a 10 ans. Pneumonie rétrocardiaque à germe indéterminé Pneumonie rétro-cardiaque DD : abcès pulmonaire Pneumonie sur atélectases post-opératoire Pneumonie sur broncho-aspiration Pneumonie sur broncho-aspiration le 04.12.2018 Pneumonie sur broncho-aspiration sans signe de foyer franc à la radiographie du thorax Pneumonie traitée ambulatoirement en septembre 2017, avec composante de décompensation cardiaque traitée par Torem ponctuellement • S/p prothèse de genou, date non spécifiée • S/p thyroïdectomie, date non spécifiée Pneumonie trilobaire communautaire à germe indéterminé en 2011 Pneumonie basale bilatérale acquise à domicile à Streptocoque pneumoniae (expectoration du 24.04.2014) Bronchiectasie du lobe inférieur gauche avec asthme allergique discret, avec status après vaccination Pneumovax en 2012 Status après carence en acide folique en mai 2012, substituée Carence en vitamine D Malaise sur probable hypotension le 06.04.2013 Status post hystérectomie et annexectomie bilatérale pour myome utérin et kyste ovarien en 2005 Déconditionnement dans le cadre d'une bronchite virale RSV positive surinfectée le 18.02.2018 : • Frottis Grippe : négatif, RSV positif Opération de cataracte à droite (environ 2016) Pneumonie 2013, 2006 Pneumonies à répétition, dont pneumonie atypique Suspicion d'ostéomyélite en août 2011, traitée par Augmentin iv du 26 au 31.08.2011 Status post-circoncision Status post-opération selon Niessen et pose de PEG Insuffisance respiratoire sur probable pneumonie en mars 2017 Pneumonies à répétitions sur pathologie pulmonaire X, dernier épisode en début 2015. Asthme non traité.Pneumonies et bronchites à répétition (dernière en 2015) Pneumopathie d'inhalation sur broncho-aspiration • Co-amoxicilline du 15 au 19.05.2017 Hématome du grand fessier sur traumatisme direct sans atteinte nerveuse 08/2015 Rhabdomyolyse sur statine le 05/2012 Cholécystectomie Colique néphrétique sur calcul urétéral droit Opération du coude droit pour épicondylite Ulcère gastrique 04/2006 AVC en 2002 • CHADS VASC Score 8 points • uniquement antiagrégation plaquettaire simple par Aspirine cardio 100 mg 1-0-0 au vu du risque hémorragique important (discuté avec le Dr. X) Prothèse totale de la hanche droite en mai 2017 Changement prothèse totale de la hanche gauche en mai 2012 sur descellement de la PTH implantée en 1998 Pneumopathie fibrotique chronique Pneumopathie interstitielle diffuse fibrosante depuis 2013 avec: • DD : pneumopathie interstitielle desquamative (DIP) avec emphysème, pneumopathie interstitielle non spécifique (NSIP), pneumopathie interstitielle lymphoïde (LIP), pneumopathie d'hypersensibilité • Troubles de la diffusion de degré sévère (DLCO 19%) • Episodes d'insuffisances respiratoires aiguës récidivants • Tabagisme à 100 UPA sevré en 2012 Pneumopathie interstitielle diffuse traitée par antibiotiques en mai 2018. Malaise vaso-vagal sur anémie normochrome normocytaire à 91 g/l le 29.06.2018. Epaississement tubaire bilatéral sur échographie endovaginale le 07.06.2018. Hystéroscopie opératoire sous anesthésie générale le 29.06.2018 : myomectomie à l'anse diathermique, résection endométriale. Adhésiolyse le 10.07.2014 (Hôpital Daler). Bypass gastrique le 18.12.2013 (Hôpital de Daler, Dr. X). Subiléus sur status adhérentiel post-bypass gastrique réalisé en 2013 et constipation. Cure de varices bilatérales en 2011 et il y a 16 ans. Stérilisation tubaire il y a 16 ans. 1 accouchement par voie basse et 3 césariennes. Pneumopathie interstitielle d'origine indéterminée le 09.11.2018 DD Amiodarone Pneumopathie interstitielle fibrosante • DD : exacerbation DIP/PHS/sarcoïdose, pneumopathie radique, infectieuse • Suivi par le Dr. X (pneumologue) et spécialistes du CHUV Pneumopathie Obstructive Chronique Gold II • Déchets de saturation en cas d'atélectasie bibasale anaphylactique, d'emphysème toxique pour la nicotine • thorax aux rayons X du 28.12.2016: réductions persistantes de la transparence bibasale (atélectasie? Infiltrations?) • ABGA du 30.12.2016: insuffisance respiratoire partielle • Fonction pulmonaire à partir du 30.12.2016: cible du VEMS à 68%, VEMS / CVF à 59%, cible du DEP 56%, cible de la CVF à 93% (pas d'amélioration significative par inhalation) Anémie normochrome chronique, macrocytaire • Laboratoire du 28.12.2016: Hb 132g / l Abus d'alcool chronique • 15-20 bières par jour insuffisance veineuse chronique stade III • ulcères récurrents des membres inférieurs • syndrome post-thrombotique grave des veines profondes des jambes Maladie artérielle périphérique (MAP) des membres inférieurs stade I • fermeture de l'artère tibiale postérieure gauche État dépressif Trouble borderline, Vd.a. trouble bipolaire cannabis Tabac 50 py Pneumothorax apical droit de <1cm spontané inaugural le 28.04.2018. Contusion par écrasement de l'index gauche le 23.11.2017. Céphalées frontales avec vertiges rotatoires et N + V • DD : céphalée tension, migraine vestibulaires, périphérique, orthostatique Shellong: nég. • Consilium ORL: Status ORL dans la norme. Pas d'argument pour une origine ORL. Pneumothorax complet gauche iatrogène le 11.12.2018 • status post-pose de Port-à-Cath à gauche par ponction de la veine sous-clavière Pneumothorax D probablement secondaire à BPCO sous-jacente le 05.12.2018 Pneumothorax droit massif le 04.12.2018 • post Wedge résection le 30.11.2018 (Insel) Pneumothorax droit probablement secondaire à BPCO persistant le 05.12.2018 Pneumothorax droit sur rupture de bulle thoracique le 26.10.2018 Pneumothorax gauche iatrogène. Pneumothorax gauche iatrogène le 06.12.2018 • post-installation de pacemaker Pneumothorax gauche iatrogène (post-ponction pleurale) le 03.11.2018 Pneumothorax gauche minime post-drainage pleural du 17.12.2018 Pneumothorax gauche sous tension, diagnostic différentiel sur rupture de bulle d'emphysème Pneumothorax gauche spontané persistant le 21.11.2018 (1er épisode) Pneumothorax gauche spontané le 21.12.2018 • 2ème épisode à G Pneumothorax gauche sur quinte de toux. Pneumothorax massif D post Wedge surgery le 30.11.2018: • avec emphysème sous-cutané Pneumothorax massif droit le 04.12.2018 • post résection-Wedge diagnostique le 30.11.2018 Pneumothorax sous tension gauche le 27.12.2018 • Sous ventilation à pression positive et progression d'atteinte pulmonaire Pneumothorax spontané apical gauche en avril 2018. Pneumothorax spontané G vers 20 ans Pneumothorax spontané gauche à l'âge de 20 ans Pneumothorax spontanée Poche de glace sur la nuque Arrêt spontané de l'hémorragie Podagra pied gauche depuis 10 jours. Podalgie gauche d'origine indéterminée ( dd sur surcharge, fracture de fatigue) Podalgies D d'origine indéterminée : • DD : surcharge pondérale Pes plano valgus bilatéral. Podomexef 4mg/k x 2 /j Podomexef 8 mg/kg/j en 2 doses Antalgiques Stix/Sédiment urinaire Urotube Podomexef 8mg/kg/j en 2 doses 5 jours. Kamilosan bain RDV pédiatre dans 48h pour voir évolution Podomexef 8mg/kg/j en 2 doses 5 jours. Kamilosan bain RDV pédiatre dans 48h pour voir évolution Bon apport hydrique Poids : -190g entre poids chez le pédiatre le 17.12 et durant consultation Boit 160ml en salle d'attente par la suite Poursuite alimentation fractionnée Reconsultation si baisse de la prise alimentaire Le 24.12: Prise pondérale +70 gr Poursuite alimentation fractionnée Contrôle dans 24 heures pour réévaluation alimentaire Poids : -190g entre poids chez le pédiatre le 17.12 et durant consultation Boit 160ml en salle d'attente par la suite Poursuite alimentation fractionnée Reconsultation si baisse de la prise alimentaire Le 24.12: Prise pondérale +70 gr Poursuite alimentation fractionnée Contrôle dans 24 heures pour réévaluation alimentaire Poids de naissance pas encore doublé (Poids de naissance à 40 SA 3250gr soit P10-25) Poids de naissance 2800g Poids de naissance 3250g (P10-25), taille de naissance 49cm (P5-10), périmètre crânien de naissance 34cm (P5-10). Poignet D : cure de tunnel carpien le 06.11.2018. Poignet droit : distorsion du poignet datant d'avril 2018 avec : • lésion TFCC, instabilité ECU, syndrome canal carpien. Poignet droit : status post traitement d'une fracture distale intra-articulaire type chauffeur du 28.08.2018 avec suspicion sur lésion SL aiguë Actuellement : • malunion avec une marche intra-articulaire 2 mm • diastase SL • ulna impaction syndrome Poignet droit : syndrome du canal carpien avec : • Status post cure du tunnel carpien le 20.10.2018. • Snac Wrist stade II, lésion LCL. Poignet droit : Neuropathie post-traumatique du nerf médian droit sur accident le 10.07.2018. Lésion du ligament scapho-lunaire droit sans instabilité scapho-lunaire.Poignet droit (non-dominant) : Snac Wrist stade II. Status post arthroscopie diagnostic styloïdectomie radiale partielle et plastie capsulaire le 03.09.2018. Poignet gauche : kyste arthro-synovial de la face dorsale. Fracture de la base de la styloïde gauche, non traitée. Poignet gauche : • status post arthrodèse par plaque Synthes 2,7, 3,5, greffe spongieuse prélevée au bassin ipsi-latéral le 27.10.2016 pour luxation péri-lunaire chronique • status post ablation plaque d'arthrodèse le 15.02.2018 Poignet gauche : status post ostéosynthèse d'une fracture du scaphoïde sur une fracture type Herbert B2 le 29.09.2017. Status post mise en place d'une prothèse pyrocarbone TMC à gauche il y a quelques années à Berne en 2013. Poignet gauche (non dominant) : • Tendinite de Quervain • Kyste scapho-lunaire sur la face dorsale avec status post infiltration écho guidée le 03.01.2018 • Lésion du TFCC Poignet gauche (non dominant) : status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal et cure de tunnel carpien le 04.04.2018. Instabilité du DRUJ sur lésion TFCC. Poignet gauche : status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire (Aptus Adaptive 2), réduction ouverte et ostéosynthèse ulna distal (Synthes hoot plate) le 10.12.2017 sur fracture radius distal intra-articulaire multifragmentaire, fracture ulna distal. Status post fracture de l'aile iliaque gauche. Status post tassement D11. Poil incarné au niveau du bas ventre. Point avec fils 5.0. Désinfection de plaie. Points x2 6-0. Antalgiques en réserve. Désinfection. MEOPA. Ablation de fils chez le pédiatre dans 5 jours. Points 6-0 Prolène x3. Désinfection. Points 6-0 x5. Désinfection. Pansement. Ablation de fils chez le pédiatre dans 5 jours. Polinose. Tilaviste, Nasic spray, Cetrine. Entorse stade III du LCE, le 21.03.2018. Examen clinique. Rx cheville D : pas de fracture visualisée. Pollakiurie d'origine indéterminée le 23.12.2018. Pollakiurie d'origine non infectieuse. DD : Vessie hyperactive, prostatisme. Polyarthralgie d'origine inconnue depuis 2004. Polyarthralgies axiales et périphériques chroniques d'allure mixte. • HLA-B27 négatif • FAN positif à 1:320 • Absence de sacro-iléite à l'IRM • Associée à une calprotectine élevée DD SpA, éventuellement associée aux MICI, Lupique. Polyarthrite. Polyarthrite aiguë asymétrique migratrice et récidivante d'origine indéterminée le 25.04.2017 : • Consultation le 26.06.2017 (Dr. X) Goutte traitée par Adénuric. Cardiopathie ischémique : • STEMI inférieur sur atteinte diffuse de l'ACD et occlusion de l'IVP traitée par angioplastie et implantation de 5 stents actifs par Dr. X (HFR Fribourg) le 21.04.2017 pour maladie bitronculaire avec : • FEVG à 50% • Coronarographie le 27.07.2017 : excellent résultat après stenting de l'ACD. Stent actif dans IVA pour sténose significative. Hyperthyroïdie subclinique le 25.04.2017. Polyarthrite aiguë séronégative érosive (anti-CCP en cours) dans le contexte d'une polyarthrite juvénile et gonarthrose G sévère avec : • Ponction du genou gauche 26.09.14 : 20'800 éléments, 98% PMN • Infiltration intra-articulaire du genou gauche par DepoMedrol 40 mg + Lidocaïne le 28.09.2014 (Dr. X) • Traitement immunosuppresseur par Arava 20 mg 1x/j dès le 01.10.2014 Anémie hypochrome normocytaire hyporégénérative d'origine probablement inflammatoire, associée à une carence en acide folique en octobre 2014. Infection urinaire basse à E. Coli 10E6 en octobre 2014. Status après arthroscopie du genou G en 08/2014 (Dr. X, Clinique générale). Prothèse rotule D en 1995. PTH G en 01/2011 et D en 05/2011 pour coxarthrose. OS fracture supra-condylienne fémur G en 2005. Appendicectomie. Interruption de grossesse volontaire en avril 2014. Polyarthrite périphérique de type rhumatoïde. Gonarthrose bilatérale. Dyslipidémie secondaire au traitement d'Actembra. Tabagisme chronique. Tunnel carpien bilatéral handicapant. Lombosciatalgie gauche non déficitaire sur hernie discale L5-S1. Arthrite giganto-cellulaire avec aortite. Polyarthrite périphérique et symétrique à début rhizomélique le 14.09.2018 : • Épaules, coudes, genoux, MCP's II, III de main droite, tarsite bilatérale • FR+ à 24 UI/L, Anti-CCP négatif, FAN négatif • antécédent de psoriasis cutané connu, régression post-chimiothérapie et GSSH • Syndrome inflammatoire biologique VS à 95 mm/h, CRP à 340 mg/dL DD Arthrite psoriasique, PR séronégative, PMR, microcristalline, paranéoplasique, endocardite. Polyarthrite rhumatoïde. Polyarthrite rhumatoïde - DD maladie arthrosique : • suivi anciennement par Dr. X • actuellement : pas de suivi rhumatologique, CRP à 18 mg/l, pas de traitement en cours. Bradycardie sinusale asymptomatique connue de longue date : • Holter en février 2018 : pas d'arythmie maligne, pas de pause sinusale. Sclérose aortique - DD sténose aortique asymptomatique (souffle aortique à 4/6) : • ETT en février 2018 : FEVG à 65 %, surface valvulaire à 1.8 cm². Maladie thrombo-embolique avec plusieurs événements par le passé : • thromboses veineuses profondes en 2003 et 2007, anticoagulation depuis 2003 (Marcoumar) • status post varicectomie sur probable insuffisance veineuse chronique secondaire • proposition de relais par Xarelto à distance de l'hématome poplité (10 jours post normalisation de l'INR) chez une patiente compliante et avec fonction rénale conservée. Anémie normochrome normocytaire avec Hb à 95-100 g/l : • déjà décrite en février 2018, bilan vitaminique sans particularité. Polyarthrite rhumatoïde depuis 1992. Omarthrose bilatérale avec rupture de la coiffe des rotateurs. Arthrite du carpe bilatérale. Dysfonction des tendons extenseurs. Polyarthrite rhumatoïde (diagnostic mai 2018) : Status post changement de PTH G le 07.10.2015 sur descellement de la cupule sur probable infection à bas bruit. Gonarthrose G fémoro-tibiale avec status post 3 méniscectomie par voie ouverte. • Suspicion de syndrome sacro-iliaque bilatéral. • Status post ostéosynthèse sacro-coccygienne par plaque Aptus 2.0 le 28.10.2016 sur instabilité sacro-coccygienne post-traumatique. Polyarthrite rhumatoïde diagnostiquée en 1982 : • Multiples traitements (Arava, Méthotrexate, Cimzia, Sel d'or, Salazopyrin) • Dernier traitement par Orencia de juillet 2017 à janvier 2018, arrêté car mal toléré (infections urinaires récidivantes). Fibrillation auriculaire paroxystique de 2009 à 2017 : • Réfractaire à de multiples traitements (Sotalol, Tambocor, Multaq) • Thermo-ablation le 14.06.16 • Thermo-ablation le 03.01.17 (Clinique X) ETT 25.04.17 : FEVG à 70% Pas de passage en FA au Holter du 27.10.17 Diverticulose sigmoïdienne : • Colonoscopie sp le 01.02.13 (HFR) • CT sp à Givision le 26.03.13 Polyarthrite rhumatoïde en rémission sous traitement homéopathique. Polyarthrite rhumatoïde séronégative d'évolution spontanément positive Troubles du sommeil et état d'anxiété Prostatisme : PSA limite avec status post-biopsie négative Colon irritable Gastrite peu symptomatique Polyarthrite rhumatoïde séropositive depuis 1999 avec : • traitement d'Humira en 2010 • status post exacerbation le 13.08.2010 • traitement par MabThera repris en octobre 2017, pas de traitement d'Humira actuellement (2018 ; dernière dose en février 2018) • suivie par Dr. X Lithiase biliaire chronique s/p Hypertension artérielle Polyarthrite rhumatoïde séropositive diagnostiquée en octobre 2018 (anticorps anti-citrullines positifs) Polyarthrite rhumatoïde séropositive dx en 2004, traitée par Enbrel, suivi par Dr. X Hépatite C chronique Cirrhose biliaire primitive, traitée par Ursofalk, dernier contrôle à Berne en 2015 Anorexie Polyarthrite rhumatoïde séropositive (FR à 815 U/ml le 08.06.2018) • Sous Leflunomide 20 mg/j • multiples réactions allergiques médicamenteuses : Remicade®, Actemra®, Orencia®, Humira®, Xeljanz®, l'Olumiant® • Rituximab en perfusion 2x500 mg le 06.06.2018 et 2x500 mg le 22.06.2018 Probable trouble dépressif récurrent (depuis l'âge de 15 ans) avec suivi psychiatrique Obésité Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Polyarthrite rhumatoïde sous traitement depuis 2015 Polyarthrite rhumatoïde sous méthotrexate et tocilizumab depuis 2015 Arthrose Asthme allergique Polyarthrite rhumatoïde sous traitement de méthotrexate et Enbrel (1x/semaine le vendredi). Polyarthrite rhumatoïde, suivie par Dr. X, sous Prednisone 5 mg/j et Rituximab (juillet 2018) Polyarthrite rhumatoïde • Prednisone 5 mg au long cours Polyarthrite rhumatoïde. Sinusite chronique. Diabète de type 2. Polyarthrite séronégative Surcharge pondérale (BMI : 26.5 kg/m2) Tabagisme actif avec 4-5 cigarettes/jour Polyarthromyalgies Polycontusions le 08.12.2018 dans le contexte de : • AVP à haute cinétique. Polycythémie vera (maladie de Vaquez) traitée • sous Litalir 500 mg Polydipsie Polydipsie-polyurie de longue date, sans perte de poids ni douleurs abdominales Poly-endocrinopathie type MEN II a avec surrénalectomie bilatérale et thyroïdectomie Status post-double cure de hernie discale L5-S1 dans les années 1980 Polyglobulie avec Hb à 182 g/l le 02.11.2018 • Recherche mutation JAK2 le 05.11.2018 : négatif Polyglobulie possible (depuis mars 2017). Hb 184 g/l, Hct 55%. Suivi chez médecin traitant. Polyglobulie Hépatopathie éthylique Polytoxicomanie • Abus de nicotine avec 60 cigarettes par jour, consommation de cocaïne à Saint-Nicolas (par voie intraveineuse), benzodiazépine Hépatite C, génotype 4, DE 17.06.2014, a.e. à iv. abus de drogues Polyneuropathie périphérique Syndrome métabolique • Obésité III • dyslipidémie • syndrome d'apnée du sommeil (démolition CPAP) • Consommation active de tabac (50 PA) Hypothyroïdie non substituée Structure vasculaire anormale dans le truncus basilaris Polygraphie le 29.11.2018 Mise en place d'une C-PAP (5/15) dès le 03.12.2018 Polykystose ovarienne Hyperthyroïdie sous Néomercazole depuis 2012, depuis septembre 2018 sous PTU car la patiente voulait grossesse Polykystose rénale bilatérale suivie par son médecin traitant Polype du côlon sigmoïde de 1 cm Polykystose rénale en attente de greffe. Polymyalgia rheumatica (suivie par Dr. X), traitée par corticoïdes avec doses régressives jusqu'à décembre 2017. Carcinome type NST du QSE du sein droit, classé pT1c G2 pN0 (0/1) (sn) (i-) cMx, V0, L0, Pn0, R0, stade 1A ; ER et PGR 100 %, Ki-67 5 à 10 % et HER-2 non amplifié. avec : • Diagnostic en 08.2017. • Tumorectomie et excision ganglion sentinelle à droite le 24.08.2017. • Radiothérapie adjuvante de 58.56 Gy sur 34 jours du 11.10 au 14.11.2017. Polymyalgia rheumatica • Traitement par Cortisone en dégressif : actuellement à 2.5 mg/jour. Polyarthrite rhumatoïde. Polymyalgia rheumatica sous corticothérapie depuis septembre 2013 Polymyalgie Polymyalgie sous traitement par corticothérapie. Diabète type II non insulino-requérant. Polyneuromyopathie sur maladie critique dès le 02.11.2018 Polyneuropathie à prédominance sensitive en aggravation clinique avec extension actuelle aux membres supérieurs, d'origine indéterminée avec multiples investigations neurologiques déjà effectuées en ambulatoire : • pas de substrat électrophysiologique actuel (ENMG du 05.07.2018) • bilan étiologique : origine infectieuse (HIV, syphilis, Borrelia) exclue, origine vitaminique carentielle (vitamine B1, B6, B12, acide folique) exclue, origine endocrino-métabolique (diabète, dysthyroïdie) exclue, origine inflammatoire (y compris autoimmune) raisonnablement exclue (CRP, VS, immunofixation des protéines sériques, etc) • IRM colonne totale 12.07.2018 : pas de lésion visible au niveau du cordon médullaire sur cet examen. Altérations dégénératives du rachis plus marquées de L3 à S1. • Laboratoire : Ac anti-neuronaux, vitamines (B1, B6, B12, E), HbA1c, TSH, FAN/ANCA/FR, électrophorèse des protéines, fx hépatorénal, bilan lipidique Polyneuropathie axonale à prédominance sensorielle • diagnostic en 2012 • contexte diabétique, chimiothérapie avec platine Diabète sucré de type 2 Néphrolithiase • épisode de colite néphrétique traitée par lithotripsie Polyneuropathie axonale chronique Polyneuropathie axonale chronique avec composante inflammatoire probable, dans un contexte d'un syndrome myélo-dysplasique polyclonal avec rapport Kappa/lambda préservé. • Bonne réponse à la corticothérapie • Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation (avec impact du diagnostic supplémentaire 3) : Orientation fluctuante. Hémisyndrome pyramidal gauche avec héminégligence gauche (possible hémianopsie homonyme latérale gauche). Hémicorps droit : tremblement de repos MSD, amyotrophie (MID > MSD), parésie aréflexique et hyposensibilité probablement superficielle et profonde. Polyneuropathie débutante à prédominance motrice d'origine peu claire à l'ENMG du 19.04.18Troubles dégénératifs de la colonne lombaire (syndrome facettaire L3-L4 bilatéral prédominant à gauche) Discopathies multi-étagées Troubles statiques des pieds avec pieds creux Syndrome des jambes sans repos Polyneuropathie démyélinisante inflammatoire chronique (CIDP), diagnostic inaugural en 2015 : • Status post-polyradiculite aiguë de type Guillain-Barré en mai 2013 avec une tétraparésie à prédominance dans les jambes et proximale et des dysesthésies distales progressives, ainsi qu’une dysautonomie • Status post-thérapie par IVIG en mai 2013 puis en juin 2013 en raison d’une suspicion de récidive • Nouvelle péjoration en novembre 2013 avec introduction d’une thérapie par Prednisone, avec diminution des doses jusqu’en mars 2015 • Reprise de Prednisone (à dose réduite) dès novembre 2017, en raison d’une péjoration des dysesthésies résiduelles • Récidive avec augmentation des troubles de sensibilité et de l’équilibre, avec parésie proximale des jambes début février 2018, traitée par augmentation du dosage des stéroïdes et thérapie par IVIG du 13.02 au 17.02.2018 • Mars 2018 (Dr. X) : proposition de thérapie par Imurek, que la patiente refuse. • Probable récidive le 26.10.2018 avec : progression de dysesthésie jusqu'en sus-géniculé (auparavant sous géniculé), sans symptômes moteurs, ni aréflexie. Stabilité depuis majoration du traitement de 10 mg à 50 mg de prednisone (le 22.10.2018) • Rechute novembre 2018 : ENMG avec péjoration par rapport à l'examen d'août 2018, avec fortes atteintes démyélinisantes, paraparésie proximale membres inférieurs à prédominance droite. Thérapie IVIG du 22.11 au 26.11.2018 avec amélioration des symptômes. Instauration traitement prophylactique par Bactrim 3X/semaine. Polyneuropathie diabétique des membres inférieurs, avec : • douleurs neuropathiques Polyneuropathie diagnostiquée en 2015 suivie par le Dr. X. Syndrome lombo-vertébral non déficitaire. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Polyneuropathie périphérique d'origine diabétique DD : carentiel en vitamine B12 Polyneuropathie prédominante aux membres inférieurs Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen MMSE : 28/30, horloge 10/10 (en 10/2018) Polyneuropathie sensitivomotrice à prédominance des membres inférieurs, symétrique, de caractère plutôt axonale chronique. • dans le contexte d'un syndrome myélodysplasique polyclonale avec rapport Kappa/lambda préservé DD : Chronic Inflammatory Demyelinating Polyneuropathy (CIDP). • Suspicion initiale d'un syndrome parkinsonien, sans réponse au Madopar. Madopar en dose progressive jusqu'à 250 mg 3x/d du 01.11.2018 au 13.11.2018, sans réponse • IRM Crâne/Carotide le 20.09.2018 : superposable au précédent de 2016 • Ponction Lombaire le 21.09.18 : pas d'éléments, glucose et protéines dans la norme • Avis Neuro (Dr. X, 01.10.2018) : probable syndrome parkinsonien avec composante idiopathique. Majorer le traitement de Madopar jusqu'à 250 mg 3x/jour, à poursuivre pendant 2-3 mois si tolérée pour juger de l'efficacité. Polyneuropathie sensorielle aux niveaux des membres inférieurs d'origine mixte (toxique, diabète et malnutrition) Syndrome de dépendance OH • abstinence à l'anamnèse depuis 2017 Maladie de Dupuytren • Op ddc Faiblesse diaphragmatique à gauche (ED am 09.09.2018) Polype de 3 cm sur un large pédicule dans le sigmoïde supérieur à 50 cm de la marge anale, réséqué pour 90% le 18.10.2017 (histologie : adénome tubulo-villeux avec une dysplasie de bas degré (Promed P2017.12544) Goutte traitée Dyspnée dans le contexte d'un épanchement pleural D sur carcinomatose pleurale en 08/2018 • ponction pleurale le 22.08.2018 : 1100 ml, 3/3 critères de Light, culture négative à 2 jours, • Cytologie (Promed C2018.1067) : réaction inflammatoire subaiguë non spécifique, pas de cellule suspecte de malignité dans le matériel examiné. • Mise en place d'un PleurX à D le 24.08.2018 (Dr. X), retiré en ambulatoire Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique avec : • FA anticoagulée par Rivaroxaban avec échec de cardioversion électrique août 2017 (CHA2DS2VASC : 2 points) • Bloc de branche D le 03.11.2015 • QTc allongé déjà décrit en 2015. • Insuffisance aortique modérée 2/3 le 03.11.2015 • Hypertension artérielle traitée Douleurs liées aux métastases osseuses • Poursuite de l'antalgie par Targin/Oxynorm Insuffisance rénale chronique, GFR à 50 ug/min, en août 2017 • Adaptation dose Xarelto à 15 mg • créatinine à l'entrée 114 umol/l Polype gastrique de 1 cm Hypothyroïdie substituée Status post-cure de hernie discale en 2004 Fibrillation auriculaire • Sous xarelto Cardiopathie hypertrophique avec troubles de la repolarisation secondaire : • échocardiaque du 15.04.2009 : fraction d'éjection du ventricule gauche à 60 %. Cardiomyopathie hypertrophique asymétrique d'origine probablement hypertensive. Pas de signe d'obstruction dynamique. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4) • Coronarographie (06/2010) : fraction d'éjection du ventricule gauche normale (90 %). Cardiomyopathie hypertrophique apicale massive. Coronarographie normale. Hyperparathyroïdisme primaire sur adénome avec : • status post parathyroïdectomie en 2009 Hyperparathyroïdisme primaire sur adénome avec : • status post parathyroïdectomie en 2009 • Polypectomie bilatérale, méatotomie moyenne bilatérale, fronto-méaticotomie bilatérale et ethmoïdectomie antérieure et postérieure bilatérale, sphénoïdotomie bilatérale, conchotomie moyenne bilatérale, turbinoplastie inférieure bilatérale à la radiofréquence. (OP le 26.11.2018). • Colique néphrétique droite avec passage de calculs le 25.07.2013. • Traumatisme crânien léger le 18.09.2016. • Intoxication aiguë à l'alcool 18.09.2016. • Dépression traitée avec idéation suicidaire 18.09.2016. • Contusion colonne lombaire 18.09.2016. • Contusion genou droit. • Colique néphrétique le 21.08.2017. • Polypose chronique • FRCV : dyslipidémie, hypertension artérielle, diabète de type 2, adipositas • Syndromes d'apnées-hypopnées du sommeil de degré sévère diagnostiqué par polygraphie respiratoire nocturne en 2008 (IAH 47/min) • Anémie normocytaire normochrome d'origine rénale • Troubles cognitifs (dysfonctionnement exécutif sur le versant cognitif et comportemental) à l'examen neuropsychologique du 01.12.2017 • Polypose des sinus il y a 20 ans. • Polytoxicomane (pas de consommation de drogues IV) en 2003 • Coma sur intoxication mixte (Stilnox, Zyprexa, CO) en 2008 • Péricardite et épanchement pleural lors du diagnostic de LED, 2011 • Exanthème morbiliforme dorsal sous Rocéphine le 02.03.2017 • Pneumonie basale gauche dans un contexte d'immunosuppression en mars 2017 • Rupture tympanique gauche. • Oedèmes des paupières dans un contexte probablement allergique, mai 2014 • Abcès para-anal droit 25.10.2014 • Hyponatrémie hypo-osmolaire à 128 mmol/l en mars 2017 • Polytoxicomanie active à l'héroïne et à la cocaïne en IV. • Polytrauma, le 06.09.2015 avec : • Fracture de la clavicule droite multifragmentaire et status post ostéosynthèse • Fractures en série des côtes ddc (G : 4, 5, 7, 12 et D : 3 à 11) • Hémothorax bilatéral • Trauma abdominal de la veine mésentérique supérieure et status post laparoscopie exploratrice • Lacération hépatique grade IV à D et I à gauche • Contusion rénale gauche • Instabilité hémodynamique avec asystolie et massage cardiaque par thoracotomie antéro-latérale • Embolie pulmonaire para-centrale et gastroparésie postopératoire. • Fracture tibiale ouverte gauche (1998). • Dermo-hypodermite du membre inférieur gauche le 26.03.2018 : • dans un contexte de plaie chronique prétibiale suite à une fracture ouverte en 1998 • avec de multiples adénopathies inguinales. • Fibrillation auriculaire inaugurale le 28.03.2018 • CHADsVASC : 0 et HAS-BLED : 0. • Polytraumatisme. • Polytraumatisme en 2015 sur AVP, avec : • s/p Fracture type Hawkins 2 de l'astragale pied G • Réduction fermée, ostéosynthèse par 2 vis antéro-postérieures et 1 plaque + 2 vis latérales pied G • s/p ostéosynthèse pour fracture en 2 parts humérus proximal gauche • ablation du matériel (OP le 25.10.2016) • Polytraumatisme suite à une chute de 26 m le 19.04.2018 avec : • Fracture oblique diaphyse proximal de la fibula G • Déchirure sévère partielle du ligament croisé antérieur G • Hématome du muscle sural G • Fracture côtes D 9, 10, 11 à G • Hémothorax G • Pneumothorax G • Fracture des processus transverses L2-L3 ddc L4 G • Syndrome de Morel-Lavallée lombaire, drainé • Lacération rate grade III-IV • Lésions multifocales du parenchyme rénal gauche • TCC léger • Colique néphrétique mai 2018 • Syndrome lombo-vertébral persistant mars 2013 • post-traumatique (chute dans les escaliers décembre 2012) • Oswestry 52 % le 26.03.2013 • Polytraumatisme sur chute d'une hauteur de 10 m le 06.10.2018 avec : • TCC modéré et hémorragie sous-arachnoïdienne frontale bilatérale D>G et péri-mésencéphaliques D, contusion cutanée/sous-cutanée rétro-auriculaire G • Multiples fractures traitées conservativement • Polytraumatisme 2005 • Polycontusion corporelle sur chute de sa hauteur le 21.11.2016 avec : • Traumatisme crânien simple avec plaie de l'arcade sourcilière droite • Contusion main droite • Contusion arcs costaux inféro-latéraux gauche • Contusion épaule gauche • Contusion genou droit • Démence d'origine mixte probablement vasculaire avec possible composante médicamenteuse et neurodégénérative surajoutées • Tests de la cognition du 29.11.2016 : MMS à 26/30, test de la montre à 3/7 et GDS à 3/15 • Bilan neuropsychologique le 29.11.2016 • Malnutrition protéino-énergétique sévère • Status après fracture ancienne du radius distal droit • Avis orthopédique Dr. X : antalgie simple • Épisode dépressif léger • Fracture péri-prothétique droite • Examen clinique • Radio du bassin et hanche • Avis Dr. X : retour à domicile avec traitement symptomatique • Informé de prendre contact avec le Dr. X (carte donnée) • Polyurie • Polyurie d'origine indéterminée : • DD : centrale, idiopathique, tumorale • Polyurie le 23.11.2018 • DD sur hyperhydratation dans le cadre de la chimiothérapie, DD épanchement pleural en résorption (diurétique), DD polydipsie • Polyurie, polydipsie, hyperglycémie, hypoglycémie. • Pommade Vitamine A aux urgences • Pommade vitamine A et pansement occlusif. • Consultation ophtalmologique demain. • Pommade vitamine A et pansement oculaire. • Consultation ophtalmologique. • Pommade vitamine A • Consilium ophtalmologique à l'HFR le 20.12.2018 : Absence de lésion cornéenne, acuité visuelle 100 %, status post implantation de lentille intra-oculaire multifocale bilatérale. Anamnèse familiale de rétinite pigmentaire. Pas de nécessité de traitement ou de suivi ophtalmologique (Dr. X) • Pommade vitamine A • Consilium ophtalmologique le 18.12.2018 à 14h • Pompe à insuline depuis le 16.05.2018 • Suivi diabétologique rapproché (Dr. X) • Suivi nutritionnel • Contrôle chez le néphrologue dans 3 mois. • Ponction articulaire genou D le 16.11.2018 : stérile • Révision PTG D avec changement polyéthylène, prélèvements pour microbiologie, refixation et reconstruction par allogreffe appareil extenseur (OP le 27.11.2018) • Microbiologie peropératoire du 27.11.2018 : négative • Transfusion de 2 CE en salle de réveil le 27.11.2018 • Ponction biopsie sous CT le 28.12.2018. Le patient sera convoqué en oncologie après les résultats de la biopsie. ETT de contrôle dans 3 mois au cabinet du Dr. X pour évaluation de la fonction cardiaque et de l'insuffisance mitrale. Nous vous laissons le soin d'organiser un bilan angiologique en ambulatoire. • Ponction d'ascite évacuatrice le 17.12.2018 : 3.8 litres drainées • Surveillance post-drainage durant une nuit en raison de vertiges et malaise lors d'une précédente ponction ambulatoire • Ponction d'ascite itérative • Ponction genou D le 07.10.2018 : retrait d'environ 250 ml de liquide trouble, 48 890 éléments dont 87 % de PMN, pas de cristaux. Microbiologie du 07.10.2018 : Pasteurella multocida. • AS et rinçage genou D (OP le 08.10.2018) • Microbiologie du 08.10.2018 : Pasteurella multocida • 2nd look genou D avec lavage arthroscopique et débridement (OP le 10.10.2018) • Lavage, débridement et synovectomie par arthrotomie para-patellaire interne genou D (OP le 16.10.2018) • Microbiologie peropératoire du 07.10., 10.10., 16.10.2018 : négative. • Consilium d'infectiologie 09.10.2018 + suivi (en annexe) • Antibiothérapie : • Co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 07 au 11.10.2018 • Clamoxyl 2 g 4x/j i.v. du 11 au 30.10.2018 puis prévoir antibiothérapie par amoxicilline 1 g 3x/j p.o. pour 2 semaines supplémentaires • Pose d'une PICC-Line dans la veine basilique G le 15.10.2018 au vu d'un capital veineux pauvre chez cette patiente • Ponction kyste cervical en 11.2018Descellement aseptique prothèse à charnière genou gauche en septembre 2012. • status post implantation d'une prothèse totale du genou gauche en 2008, changement en 2010 à l'HFR Tavel. • status post ostéotomie valgisante du genou gauche en 1997. • Dépose de prothèse totale du genou gauche type charnière rotatoire et mise en place d'un spacer (opération le 5 septembre 2012). • Ablation spacer genou gauche, réimplantation prothèse totale du genou gauche type charnière rotatoire Zimmer (opération le 26 septembre 2012). Prothèse totale du genou gauche en juin 2006. Ostéotomie valgisante du genou droit en 1991; AMO en 1993. Prothèse totale du genou droit type Maeva en mars 1995; changement de prothèse totale du genou pour un SAL en novembre 1995. Changement partiel prothèse totale du genou droit en avril 1999. PTH droite Cure d'hernie discale 3x dans les années 90. AS, arthrotomie trans-deltoïdienne, refixation sous-épineux avec 4 sutures fibre-wire trans-osseuses assurées par douille d'ancrage et vis, débridement de l'articulation et acromioplastie, résection distale de la clavicule à gauche en 2007. Fracture radius distal droit en 2008. Cholécystectomie en 1984 puis cure d'éventration en 1987 Cure de varices en 1965. Urticaire probablement allergique. Ponction lombaire. Ponction lombaire. Ponction lombaire le 13.12.2018. Ponction péri-amygdalien gauche à l'aiguille : pas de pus. Streptotest + prélèvements microbiologiques envoyés en microbiologie. Labo : Leuco 12.8g/l, CRP 86.1 Co-Amoxicilline 2.2g, Ssolumedrol 125 mg i/v, antalgie, hydratation. Ponction pleurale gauche, le 08.12.2018 : retiré 900 ml de liquide séro-sanguinolant, envoyé pour chimie et microbiologie Ponction pleurale le 10.12.2018 : probable transudat Pathologie : Pas de cellules suspectes de néoplasie maligne objectivée Ponction pleurale le 12.12.2018 : 1L CT-Scann thoraco-abdominal le 11.12.2018 Colonoscopie le 13.12.2018 : pas de lésion suspecte Ponction pleurale le 19.11.2018 avec drain pleural - retrait le 22.11.2018 • cytologie Promed C2018.1475 : présence de cellules tumorales malignes (commentaire : morphologie et immunophénotype compatibles avec une métastase pleurale du carcinome à petites cellules connu) Radiographie de thorax le 22.11.2018 Mise en place de PleurX à gauche le 23.11.2018 (Dr. X) Physiothérapie respiratoire Ponction pleurale le 30.11.0218 : exsudat (T790M à pister) Facteur anti-Xa dans la norme le 30.11.2018 Xarelto en pause du 29.11.2018 au 30.11.2018 Chimiothérapie par Taxotere prévue dès le 04.12.2018, refusée le jour-même par la patiente, au courant des conséquences de son choix Pose de PAC annulée Passage en soins de confort avec adaptation des médicaments en vue du retour au home du couvent Ste-Ursule (Dr. X d'accord avec la suite de prise en charge, Voltigo déjà instauré auparavant) Physio respiratoire Suivi psycho-oncologue Mme. Y Suivi par Dr. X et X Pontage aorto-bi-iliaque + ligature A. iliaque int. droite, le 03.11.2015, pour : • Anévrisme de l'aorte abdominale sous-rénale (57mm) • Anévrismes iliaques multiples : commune D (31mm), interne D (23mm), commune G (21mm) AVC ischémique aigu de la corona radiata gauche d'origine indéterminée, le 06.11.2015, avec minime hémisyndrome moteur droit Colique néphrétique le 11.01.18 • lithiase de 6mm à la jonction urétéro-vésicale gauche avec hydronéphrose gauche et IRA • pose d'une sonde JJ le 18.01.2018 (Dr. X) Urinome surinfecté à gauche 13 x 2,5 x 15 cm post pose de sonde JJ le 18.01.2018 pour uro lithiase gauche (Dr. X) • Drainage de la collection sous guidage CT avec mise en place d'un Pigtail le 30.01.2018, retiré le 06.01.2018 AVC ischémiques bilatéraux fronto-central droit et pariétal gauche, d'origine cardio-embolique de date précise inconnue (fenêtre temporale dès 18.10.18 - 25.10.18) • patient connu pour FA intermittente objectivée en janvier 2018, non anticoagulée • faisant suite à un AVC hémorragique cérébelleux droit le 01.10.2018 d'origine hypertensive probable • dans le contexte d'une angiopathie amyloïde et microangiopathique cérébrale hypertensive • IRM cérébral le 25.10.2018 (CIMF) : ischémie subaiguë dans la région centrale droite et de plus, haute pariétale gauche, compatible avec une ischémie de 2 à 7 jours avec signe d'une angiopathie amyloïdienne (avec des microbleeds) et d'une maladie de Binswanger • Ponction lombaire le 27.10.2018 • Electrophorèse LCR le 27.10.2018 Insuffisance rénale chronique d'origine alimentaire (déshydratation) dès 29.10.18 • Labo le 02.11.18 : Créatinin 119 mmol/l, eGFR selon CDK-EPI 51.6 ml/min • Labo le 27.11.18 : Créatinin 177 mmol/l, eGFR selon CDK-EPI 31.9 ml/min Pontage fémoral croisé à l'aide d'une prothèse armée de droite à gauche, endartériectomie fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à gauche et endartériectomie ilio-fémorale avec plastie d'élargissement de la bifurcation fémorale à droite le 15.10.2018 Débridements et changements de pansement VAC sur la plaie inguinale droite itératifs du 24.10 au 19.11.2018 Mauvaise évolution de greffe de Thiersch au niveau inguinal droit, le 19.11.2018 Application d'un pansement VAC sur des ulcères propres / des plaies inguinales droites le 26.11.2018 Floxapen intraveineux du 01.11 au 22.11 Rifampicine per os du 22.11.18 au 22.01.19 Lévofloxacine per os du 22.11 au 22.01.19 pontage fémoro-fémoral croisé, le 19.12 Pontage fémoro-fémoral crossover (Opération le 06.12.2018) Angio-CT membres inférieurs (06.12) Angio-CT membres inférieurs (10.12) Angio-CT membres inférieurs (12.12) Pontage fémoro-poplité gauche le 20.12.2018 Cathéter artériel radial droit du 20.12.2018 au 22.12.2018 Noradrénaline du 20.12.2018 au 22.12.2018 1 CE le 22.12.2018 CT membre inférieur gauche prévu le 22.12.2018 Pontage fémoro-poplité P3 à gauche à l'aide d'une prothèse Omniflow le 04.04.2016 Cystadénolymphome de la parotide gauche ayant nécessité une parotidectomie gauche en 2009 Status post-résection sigmoïdienne pour une diverticulite perforée en 2006 Porphyrie aiguë intermittente (ED 1998) • Suivi par Prof. X, Triemli Zürich • Sous thérapie avec Oxycontin, Oxynorm, Brufen, Morphin Décompensation biventriculaire (HF-rEF) NYHA III sur cardiopathie dilatative d'origine indéterminée • DD dans le contexte d'une atteinte inflammatoire systémique, DD hypertension, DD idiopathique • 08-09/2018 investigations externes : exclusion d'une EP (CT), exclusion d'une coronaropathie (coronarangiographie HFR Fribourg), exclusion d'une atteinte valvulaire par TTE, screening HIV négatif, biopsie du tissu adipeux ne montrant pas d'accumulation d'amyloïdes (Pathologie Länggasse Bern B2018.41129), d'après les actes médicaux pas d'accumulation Kongo-Rot d'amyloïdes dans la moelle osseuse, augmentation des ANA (1:320), augmentation des ANCA (1:320) DD : lien avec ANA, PR3-ANCA et MPO-ANCA négatifs. • Investigations à l'Inselspital BE : • 04.09.18 Echocardiographie transthoracale : EF fortement limitée à 25-30% avec troubles régionaux de mouvements de la paroi (akinésie septale et inférieure). Ventricule gauche dilaté avec hypertrophie excentrique. Dilatation biatriale. Pression veineuse centrale : gradient RV/RA 40+10mmHg. Insuffisance tricuspidienne modérée, insuffisance mitrale légère, insuffisance aortique légère. Ventricule droit dilaté avec limitation fonctionnelle. 14.09.18 Cardio-IRM: cardiomyopathie dilatative non ischémique d'origine indéterminée avec fibrose diffuse. Pas d'indication pour une myocardite aiguë, ni pour une amyloïdose, ni pour une sarcoïdose cardiaque ou pour une hémosidérose cardiaque. 11.09.18 Anti dsDNS négatif, Anti-Histone négatif, Anti-sm négatif, Vitamine D dans la norme • cvRF: hypertension artérielle, consommation de nicotine abusive persistante (environ 40-50 UPA) Insuffisance rénale chronique AKIN 1, KDIGO stade 3a • 05/2015-06/2016 Baseline de créatinine 100-110 pmol/l Hépatosplénomégalie d'origine indéterminée • DD dans le contexte d'une insuffisance cardiaque décompensée, DD atteinte systémique inflammatoire indéterminée, DD Morbus Gaucher • 02.07.18 CT Abdomen: Splénomégalie environ 20 cm • 07.09.18 Abdomen-Sonographie: Splénomégalie (distance polaire 15 cm) et hépatomégalie. Pas de lésions hépatiques focales. Lymphadénopathie proéminente, bien limitée, non pathologique, au niveau de l'hile hépatique. • 18.09.18 taux d'ECA sérique: diminué, 1,25-Dihydroxy-Vitamine D dans la norme Bicytopénie d'origine indéterminée • DD hypersplénisme sur insuffisance cardiaque, AA-amyloïdose, hémorragie occulte, Morbus Gaucher • 03.07.18 biopsie de la moelle osseuse (B2018.23230): hyperrégénération • 03.07.18 immunophénotypisation par cytométrie de flux: pas d'indication pour une néoplasie lymphatique • 02.07.18 immuno-électrophorèse sérique: sans particularité • 19.09.18 cytométrie de flux périphérique: pas d'indication pour une néoplasie lymphatique • 19.09.18 Serum-Amyloïde A: 13 mg/L (norme 0-6.8 mg/L) • 18.09.18 hémoculture positive (1/1) Légère uvéite antérieure gauche • DD dans le contexte d'une atteinte systémique inflammatoire indéterminée, DD idiopathique • 18.09.18 IFN-gamma négatif, taux d'ECA sérique diminué, HLA-B51 négatif Hyperkaliémie • DD IECA, DD nutritionnel (selon anamnèse: 2 bananes/jour), DD sur insuffisance rénale • 13.09.18 Test au synacthène; pathologique à la limite de la norme (augmentation jusqu'à 504 nmol/l) Hypothyroïdie subclinique (02.07.2018 TSH 4.35 mU/L, fT4 17 pmol/l) HTA BPCO non stadée Etat dépressif Portage de Streptocoques du groupe B positif Portage streptocoque du groupe B Portage vaginal du GBS traité par Amoxicilline iv. Porte d'entrée possible: manucure lundi 17.12.2018, plaie avec du verre > 3 semaines Signe de Kanavel: 4/4 Hôpital de Riaz: • Bilan biologique: CRP 11 mg/l, leucocytes 12.2 G/l • Rx index G: pas de calcification, pas de lésion osseuse • Immobilisation par attelle alu dorsale 20° de flexion Hôpital de Fribourg: • Avis orthopédique (Dr. X): chirurgie pour débridement Attitude: • Hospitalisation en orthopédie avec antalgie, PAS d'antibiothérapie avant l'opération • Opération main G pour débridement prévue aujourd'hui Porteur de Pseudomonas multirésistant, Acetinobacter multirésistant producteur de carbapénémase avec: • Urines natives 28.11.2018: acinetobacter non détectable • Voyage en Arménie en déc 2017 où il aurait probablement contracté le germe Porteur d'un pacemaker pour une hypersensibilité du sinus carotidien Porteuse hétérozygote pour alpha-thalassémie Hétérozygote pour drépanocytose Pose CRT-D le 03.12.2018 Contrôle CRT-D le 03.12.2018: dispositif fonctionnel Rx thorax le 03.12.2018 Contrôle plaie dans 10 jours chez son médecin traitant Contrôle défibrillateur le 14.01.2018 à 15h45 Pose de boucle Omniflow sur le membre supérieur gauche le 22.06.2018 Anticoagulation par Sintrom pendant 3 mois Pose de CRT-D -stimulation DDD (pacemaker-défibrillateur-Claria MRI Quad) le 13.12.2018 Rx thorax (13.12.18): absence de pneumothorax Suivi plaie à 10 jours. Rendez-vous en cardiologie pour contrôle du pacemaker Pose de défibrillateur implantable en électif Pose de défibrillateur implantable en électif le 10.12.2018 pour cardiopathie de non-compaction avec: • dilatation importante du ventricule gauche avec FEVG à 25% • Bloc de branche gauche • Insuffisance mitrale secondaire sévère • NYHA II • Thérapie par Entresto Pose de défibrillateur simple chambre à gauche le 13.12.2018 en prophylaxie Radiographie du thorax le 13.12.2018 ECG le 13.12.2018 Pose de défibrillateur triple chambre (CRT-D) le 10.12.2018 Radio de thorax de contrôle: pas de complications Contrôle du défibrillateur à 4-6 semaines Contrôle de la plaie à 10 jours en cardiologie Pose de défibrillateur 3 sondes DDD le 27.12.2018 par le Dr. X en prophylaxie primaire Radio de contrôle: sonde en place, pas de complications, légers épanchements pleuraux Contrôle de la plaie à 10 jours chez son médecin-traitant Contrôle du défibrillateur à 4-6 semaines en cardiologie Pose de drain thoracique le 03.12.2018 Pose de drain thoracique en aspiration le 28.11.2018. Retrait du drain le 01.12.2018. Contrôle en policlinique de chirurgie le 11.12.2018. Pose de fémostop le 03.12.18 Récidive le 05.12.18: Pose d'Hémo-stop (Dr. X), surveillance clinico-biologique Pose de Mitraclip le 03.12.2018 (Dr. X, Dr. X, Dr. X) ETT 04.12.18: Bonne réduction de l'insuffisance mitrale. Livret: prophylaxie des endocardites. Contrôle ambulatoire chez Dr. X à 1 mois ETT à prévoir dans 3 mois chez Dr. X Pose de Mona Lisa en per-opératoire Pose de néphrostomie gauche le 05.12.2018 Pose de Pacemaker Pose de pacemaker (AAI-DDD à 60/min, IRM compatible pour 1.5 T) pour brady/tachy-arythmie le 20.12.2018 (Dr. X) • Fibrillo-flutter paroxystique connu depuis 2016 • Bradycardie sinusale, nadir à 39 bpm Pose de pacemaker DDD le 13.12.2018 Pose de pacemaker double chambre DDD pour bloc AV Mobitz 2ème degré type 1 et vertiges Pose de pacemaker double chambre (Dr. X) le 27.12.2018 Radiographie post-opératoire: pacemaker en place, pas de complications Contrôle de la plaie à 10 jours en cardiologie Contrôle du Pacemaker à 4-6 semaines en cardiologie Pose de pacemaker élective Pose de Pacemaker le 06.12.2018 (Dr. X) Retrait du Reveal le 6.12.2018 Radio thorax 06.12.2018: dans la norme Rendez-vous de contrôle ambulatoire en cardiologie organisé Suite du suivi par Dr. XReprise Beloc Zok 25mg 1x/j • Pose de pacemaker pour FA • Pose de Pacemaker pré-TAVI le 20.12.18 • Pose de pacemaker VVI le 03.12.2018 Radio de thorax : pas de pneumothorax Anticoagulation à vie par Xarelto • Pose de PM double chambre G le 20.12.18, Dr. X Rx thorax 20.12.18 Contrôle de la plaie le 28.12.2018 au cabinet de la Dr. X Contrôle du pacemaker dans 4-6 semaines (le patient sera convoqué) • Pose de PM en 2013 pour insuffisance chronotrope mise en évidence lors d'un test d'effort (Dr. X) Status post AIT en 2007 Status post appendicectomie Status post hystérectomie Probable saignement digestif sur anticoagulation suprathérapeutique avec: • Pantozol 40mg bolus puis 8mg/h + Gastroscopie Anémie normocytaire hypochrome d'origine spoliative suivi biologique bilan d'anémie • Pose de Port-à-Cath • Pose de port-à-cath le 10.12.2018 Soins à domicile pour soins de PEG organisés Suivi en oncologie comme prévu • Pose de prothèse totale du genou gauche en 2001. Pose de prothèse totale de la hanche droite en 2008. Résection antérieure basse et iléostomie de protection pour diverticulite en 2004. Cure de varices non datée. Opération du tunnel carpien des deux côtés. Zona cutané localisé au niveau du dermatome C5-C6 à droite, diagnostiqué le 24.08.2015. Infection urinaire asymptomatique en décembre 2017. • Pose de SNG par endoscopie le 20.11.2018 Nutrition par sonde dès le 20.11.2018 Instructions pour maniement de la sonde Consilium diététique, physiothérapeutique et ergothérapeutique Suppléments alimentaires Suivi en ambulatoire par Dr. X et équipe nutritionniste • Pose de SNG Alimentation par lait artificiel en continu 60 ml/kg/jour le 22.12 puis passage en discontinu aux 3 heures dès 23.12 Glycémies régulières • Pose de sonde double J le 11.12.2018 (Dr. X) • Suivi fonction rénale régulière • Pose de sonde nasogastrique • Pose de sonde naso-gastrique : rendu 400ml de liquide fécaloïde CT abdominal le 20.12.2018: épanchement thorax gauche, pas de franc signe d'iléus, pas de signe de souffrance, liquide libre péri-splénique aspécifique sans infiltration de la graisse et hépatiques aspécifiques et moins qu'en 2017. Anastomose entre estomac et jéjunum avec dilatation en amont et en aval de l'anastomose pouvant expliquer la clinique. Le grêle et colon sont de taille normale. Hydratation 1000ml/24h Gastroscopie pour confirmer la sténose? • Pose de sonde urinaire le 10.12.2018 Réintroduction de Duodart le 10.12.2018 • Pose de sonde vésicale Ch 14 bloc 10ml Dr. X Sédiment urinaire: pas de signes infectieux Urotube: sans pathogène • Pose de sonde vésicale le 10.12.2018 Contrôle chez son urologue (Dr. X) le 18.12.2018 à 16h00 pour ablation de la sonde vésicale • Pose de stérilet Jaydess/Mirena ? chez une patiente de 26 ans nulligeste le 19.10.2018 • Pose de voie veineuse périphérique Antalgie par Dafalgan 1 gr, Brufen 600 mg et Tramadol 50 mg per os Avis neuro-pédiatrique (InselSpital) le 16.12 : pas de nouvelle imagerie, réassurance Consilium ophtalmologique le 17.12 Avis neuropédiatrie (Dr. X et Dr. X) Radiographie cervicales le 18.12 Bilan sanguin le 18.12: FSC, CRP, tests hépatiques/rénaux, gazométrie, sérologie de Lyme Toxiques urinaires le 17.12 Consilium pédopsychiatrique • Pose de 4 points simples Ethilon 5-0 Ablation à J5 chez le pédiatre • Pose d'un cystofix avec ballonnet le 22.10.2018 Pradif T dès le 24.10.2018 • Pose d'un implant pour glaucome chronique à gauche en novembre 2018 • Pose d'un pacemaker Medtronic AAI-DDD (IRM compatible 3T) le 27.09.2018 (Dr. X) pour: • BAV du 3ème degré supra-hissien symptomatique le 25.09.2018 Cardiopathie ischémique avec: • Quadruple pontage aorto-coronarien en 1996 au CHUV (greffon veineux sur coronaire droite, circonflexe, anastomose de la mammaire interne gauche sur IVA et diagonale en séquentiel) • Perméabilité du pontage mammaire gauche sur diagonale et IVA, occlusion de l’anastomose du pontage saphène sur coronaire droite et circonflexe avec angioplastie et mise en place d’un stent actif au niveau de la 1ère marginale gauche (06.06.2016) • Insuffisance mitrale modérée et petite insuffisance aortique Décompensation de la sacro-iliaque droite dans un contexte de : • Raccourcissement du MIG de 2 cm • Fracture du pôle antéro-latéral de la rotule droite après chute en avril 2017 traitée conservativement • Status post changement PTH droite le 07.05.2003 • Status post ostéosynthèse du fémur droit par plaque LISS en 2005. Carcinome invasif du QSI du sein droit diagnostiqué en décembre 2013 • Tumorectomie et radiothérapie en monothérapie par Aromasin • Tumorectomie mammaire droite en 2015 Hypercholestérolémie traitée Hypothyroïdie substituée (status post-thyroïdectomie en 1992) Ostéoporose traitée par Biphosphonate depuis 1997 Cancer cutané au niveau du nez, traité par radiothérapie • Pose d'une pacemaker VVI 60/1 pour une FA avec contrôle insuffisant de la fréquence cardiaque le 17.12.2018 • Pose d'une sonde double-J le 06.12.2018 par Dr. X • Pose d'une sonde nasogastrique le 29.11.2018 avec clampage et retrait le 30.11.2018. • Pose d'une sonde vésicale aux urgences Hydratation intraveineuse avec 2 L de Glucosalin par 24h Contrôle biologique • Pose élective de défibrillateur • Pose SV aux URG Position d'opisthotonos à répétition DD: • dans un contexte de troubles de développement • moyen de locomotion Suivi en neuropédiatre • Possible angioedème à bradykinine le 09.12.2018. • Possible AVC droit subaigu depuis le 08.12.2018 avec : • Hémisyndrome sensitivo-moteur gauche : sensation d'engourdissement membre supérieur gauche et membre inférieur gauche en distalité, avec force à M4 pour le membre supérieur gauche distal et dorsiflexion membre inférieur gauche • Angio-CT et vx précérébraux : pas de saignement ou ischémie • Possible cirrhose débutante • spider naevi, varices oesophagiennes • hépato-splénomégalie • contexte d'hépatite C chronique de génotype 1A • Possible côlon irritable HTA inaugurale en décembre 2017 BPCO Gold II Exacerbation de BPCO d'origine infectieuse le 22.12.2017 Tabagisme actif (50 UPA) Status post rupture chronique partielle du tendon d'Achille à droite (réaction au Tavanic) Tendinopathie du tendon d'Achille gauche (réaction au Tavanic) Status post thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit en 2009 Status post zona en 2007 Douleurs dorsales sur fractures de tassement Douleur SCM gauche/art. sterno-claviculaire gauche suite à faux-mouvement Rx thorax/clavicule gauche (Dr. X) : pas de fracture, pas de lésion osseuse Antalgie Physiothérapie • Possible embolie pulmonaire 11/2014 Maladie de Weber-Christian et panniculite récidivante actuellement stable Diverticulite en 05.2005 Rosacée Lombalgies chroniques Fibromyalgie APP, CCK, ligature des trompes • Possible étirement du plexus brachial droit. • Possible gastro-entérite débutante • Possible infection urinaire basse • Datant d'il y a une semaine, plus de symptôme actuellement • De résolution spontanée • Possible maladie neurodégénérative (avec probable atteinte hypothalamique au vu de pauses respiratoires objectivées, manque d'appétit et manque d'initiative) CT cérébral : atrophie cérébrale Ponction lombaire le 29.11.18 Att: • introduction trittico et distraneurine le 29.11 au vu de la perturbation du cycle circadien et de l'agitation nocturne avec bon effet • Possible méningite herpétique le 12.12.2018 • Possible pouce du skieur gauche. • Possible poussée sur maladie démyélinisante de type sclérose en plaques avec douleur des membres inférieurs, avec: • Leucodystrophie possiblement génétique surajoutée : test négatif pour la hereditary diffuse leucoencephalopathy with steroids (Inselspital : 04.16). • Mutation homozygote du gène SORL1 associée à une sécrétion de bêta-amyloïde avec un risque augmenté de late-onset Alzheimer's disease (LOAD): • IRM cérébrale du 05.07.2017 : atteinte marquée de la substance blanche dans pratiquement toute son intégralité, en rapport avec une SEP. • Dernière poussée le 11.03.2017. • Consommation d'alcool à risque entre 1999 et 2008. • Vessie neurogène avec vidange incomplète de cause indéterminée. • Possible SAOS • Possible sepsis d'origine biliaire 06.12.2018 • Possible spondylarthropathie axiale et enthésitique périphérique • sacro-iliite bilatérale et multiples enthésopathies à l'IRM de 2017 • tendinite du moyen fessier gauche • absence de réponse au Cosentyx (novembre 2017 - février 2018) et Cimzia (mars 2018 - septembre 2018) • Possible syndrome d'apnées du sommeil non appareillée • Possible syndrome de Mallory-Weiss le 20.05.2017 • Possible tendinite du fléchisseur du pouce à droite le 19.12.18. • Possible thrombocytose (Tc agrégés ce jour) • Thrombocytose à 692 G/l en 06/2017 non répertoriée • Possible 5ème maladie, DD éruption virale indéterminée • Possibles oxyures • Post nasal drip syndrome • post PL reprise selon clinique • Postoperative Lungenembolie 2016 • Arthroskopie in 2009 mit Burs- und Meniskektomie • Totale Knieprothese links 2016 • Inguinalhernien-OP rechts in 2010 mit Bauchwandhämatom • Pot pour culture des selles (bactériologie standard et calprotectine) donné et expliqué. Le patient se rendra demain à votre consultation pour envoyer les analyses et pour un contrôle clinique. • Potassium à 3mmol/l le 23.11.2018 • Substitution • ECG • Laboratoire de contrôle le 24.11.2018 • Potassium effervescent cpr. • Sulfate de Magnésium 2g iv. • Potassium effervescent • aldactone 25mg pour 7 jours • Potassium effervescent 3x/j jusqu'au 09.12.2018 • Potentiels évoqués au Neurocentre • Prochain contrôle le 08.01.2019 après CT colonne cervicale du jour • OP pré-réservée pour le 08.02.2019 • Pouce à ressaut droit avec formation d'un kyste téno-synovial. • Pouce à ressaut droit et D4 à ressaut droit du 1er degré. • Status post cure de pouce à ressaut gauche le 27.3.2018. • Pouce à ressaut du 1er degré ddc. • D3 et D4 à ressaut du 2ème degré bilatéral. • Status post infiltration D3 et D4 de la main D le 12.10.2018. • Pouce à ressaut G. • Pouce à ressaut G du troisième degré. • Pouce à ressaut gauche. • Pouce à ressaut gauche chronique. • Pouce à ressaut gauche chronique. • Pouce à ressaut droit sub-aigu. • Pouce de skieur à D. • DD : lésion de Stener le 17.12.2018. • Pouce de skieur droit le 11.12.2018 • Pouce du skieur à D le 08.12.2018 • Pouce du skieur droit le 17.12.2018 Pour ces douleurs thoraciques d'origine indéterminée, nous suspectons des douleurs musculo-squelettiques et le patient rentre à domicile sous traitement symptomatique avec un contrôle chez son médecin traitant avec conseil de bilan cardiologique en ambulatoire (qui n'est jamais fait selon le patient) Pour cette crise d'épilepsie, nous prenons l'avis Dr. X qui propose de remettre son traitement par Orfiril 1000 mg 2x/j pendant 3 jours puis 500 mg le matin 1000 mg le soir par jour et le patient va prendre rendez-vous chez Dr. X début de semaine prochaine. Nous expliquons au patient la contre-indication de conduire Pour cette FA paroxystique non objectivée aux urgences, nous prenons l'avis Dr. X qui propose de garder la même posologie de Beloc et d'ajouter du Tambocor 100 mg 2x en R. Nous contactons Dr. X pour l'informer de cette proposition et elle va le revoir en janvier. Nous administrons selon avis Dr. X 1 cpr de 100 mg aux urgences bien toléré au niveau clinique et ECG et le patient rentre avec ce traitement en réserve Pour des raisons professionnelles, la patiente ne peut pas se faire opérer rapidement. Je préconise donc une infiltration sous-acromiale afin de calmer les douleurs. Celle-ci est programmée pour le 14.12.18. Je revois la patiente le 21.01.2019 afin de discuter des résultats suite à l'infiltration. Pour documenter cette luxation du tendon ECU, nous demandons au Dr. X, radiologue à l'HFR, de bien vouloir faire un examen dynamique du tendon ECU. Nous allons par la suite revoir le patient, devant cette lésion complexe au niveau de la radio-ulnaire distale, une opération me semble être nécessaire et consisterait à refixer le TFCC ainsi qu'à faire une reconstruction du rétinaculum extensorum du 6ème compartiment. Prochain contrôle en février 2019. Pour le fibrome non-ossifié, il ne nécessite plus de contrôle. Pour ses multiples contractures, il faut continuer la physiothérapie avec du stretching. L'année prochaine, il va voir pour traiter son obésité. Fin de traitement. Pour le moment, j'ai du mal à expliquer les symptômes de la patiente qui sont assez marqués malgré l'absence d'une compression radiculaire évidente sur l'IRM. Dans le doute, je vais compléter les examens par une arthro-IRM de l'épaule gauche le 8.1.2019 pour faire le point. Je prie Dr. X de convoquer la patiente pour un avis spécialisé de sa part. Je reverrai la patiente le 11.1.2019 pour une consultation plus approfondie d'environ 30 minutes pour refaire le point. Pour l'entorse, nous avons mis un aircast et prescrit une antalgie simple, avec arrêt de travail jusqu'à la fin de la semaine. Après avis téléphonique avec l'urologue, nous avons mis le patient sous Ciprofloxacine 2x/jour pendant 7 jours pour suspicion d'une infection urinaire (absence de leucocytes et de nitrites mais présence de bactéries dans le sédiment), avec un contrôle chez son médecin traitant en début de semaine prochaine, avec les résultats de l'urotube. (Le patient étant déjà parti lors de l'avis urologique, l'épouse du patient a été avertie qu'une nouvelle ordonnance serait faxée directement à leur pharmacie habituelle, BENU-pharmacie de la gare à Fribourg). Pour l'hernie : RDV à la consultation de Dr. X vendredi. Reconsultera aux urgences en cas de majoration des douleurs. Migraine : suivi par le médecin traitant Pour l'instant, évolution favorable sans péjoration et il n'y a aucune indication à effectuer d'autres investigations. Il doit éviter les sports à impact et l'explosivité pour les 6 prochains mois. Reprise de la course à pied au printemps. Pas de contrôle prévu, je reste à disposition. Pour l'instant le patient n'est pas trop gêné par cette voussure mis à part d'un point de vue esthétique l'été. Nous pouvons proposer une ponction sous contrôle US avec une injection de cortisone à l'intérieur. Pour l'instant le patient n'a pas de douleur. Nous proposons donc d'attendre et restons à disposition. Pour rappel : la patiente de 18 ans qui est en bonne santé habituellement présente des douleurs abdominales depuis 3 jours. Douleurs péri-ombilicales de type de serrement, déplacées avec le temps dans la fosse iliaque droite, accompagnées par des nausées avec vomissements (produits alimentaires), de la fièvre 38-40°. Pas de plaintes urinaires. Pas de troubles du transit : les dernières selles hier normales en consistance et en couleur. Pas de notion de contage. Pas de voyage récent. Les derniers règles il y a 1 mois. Pas d'écoulement vaginal. Rapport sexuel il y a 2 semaines avec son copain. La patiente fumeuse présente une toux non productive un peu plus intensive que d'habitude. CV : b1b2 bien frappées, pas de tachycardie, pas de souffle audible. Resp : murmure respiratoire bilatéral et symétrique, pas de bruits surajoutés. Dig : abdomen souple, palpation abdominale douloureuse au niveau péri-ombilical et de la fosse iliaque droite sans défense ni détente, Murphy négatif, Mac Burney négatif, bruits normaux en fréquence et en intensité. Uro : loges rénales indolores à la percussion. Neuro : patiente orientée et collaborative, pupilles iso-iso, pas de nystagmus, pas de diminutions des champs visuels, pas de latéralisation, le reste de NC sp, pas de rigidité de la nuque, pas de déficit de sensibilité, forces musculaires à M5 aux 4 membres, ROT vifs et symétriques, Romberg tenu, Barré et Mingazzini tenus, pas de troubles d'équilibre et de la marche. Bilan biologique montre l'absence de leucocytose, CRP à 71, pas de perturbation des tests hépato-pancréatiques, b-HCG à 0. Sédiment urinaire : leuco++, pas de nitrites, pas d'érythrocytes. La patiente avait quitté notre service des urgences la nuit du 24.12.18 avec forte suspicion d'appendicite. La patiente a été convoquée pour une US abdominale à Riaz le 25.12 à 9h du matin. Pour des raisons personnelles, la patiente a décidé de ne pas se présenter à son examen, malgré un rappel téléphonique de notre part le jour même. Dans la journée du 25.12, nous avons reçu un appel de la mère de la patiente nous indiquant la persistance de fièvre et de vomissements chez la patiente, sur quoi nous l'invitons à se présenter aux urgences. Pour des raisons personnelles à nouveau, la patiente et sa mère ont décidé de quitter le service ce jour sans que nous ayons pu compléter l'examen clinique. Nous avons laissé la patiente rentrer à domicile avec consigne de se présenter aux urgences en cas de persistance de sa douleur. Pour rappel : Patient de 20 ans, en bonne santé habituelle, consulte aux urgences le 24.12.2018 à 3h40 accompagné d'un ami pour une plaie de l'arcade sourcilière droite alors que le patient a heurté le rebord d'un bar, sans PC ni AC. Vaccination anti-tétanos à jour. Examen neurologique rassurant. Suture par 3 points d'Ethilon 5-0, pansement Opsite spray. Conseils de glace, antalgie et anti-inflammatoires de réserve. Le 26.12 : contrôle clinique de la cicatrice à 48h. Ce jour, la plaie est propre, non inflammatoire. Le patient se porte bien, pas de douleur, pas de fièvre, pas de vertiges, pas de symptômes neurologiques focaux. Examen neurologique rassurant. Le patient a pu rentrer à domicile et ira consulter son médecin traitant pour un retrait des fils dans 3 jours. Pour rappel : patiente de 21 ans sans antécédents particuliers présente depuis une semaine des douleurs fessières en péjoration jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus rester assise. Le 25.12, nous décidons de drainer l'abcès aux urgences, mettons en place une mèche et donnons à la patiente des conseils de douche au niveau de l'incision avec une antalgie simple pour son RAD. Le 26.12, la patiente se présente à la FUA pour un contrôle à J+1. En présence du Dr. X, nous décidons d'inciser à nouveau et de drainer le reste de l'abcès dans le sillon inter-fessier. Nous mettons en place un drain de Pennrose et invitons la patiente à se présenter à la FUA le 27.12 pour un nouveau contrôle clinique. Nous ajoutons également du tramal en réserve pour son antalgie à domicile en cas de non-résolution de la douleur par antalgiques de palier 1. Pour rappel, Mme. Y a bénéficié d'un accord de l'assurance pour une réhabilitation musculo-squelettique après une prise en charge en gériatrie aiguë. L'anamnèse et l'examen physique se révèlent sans particularité. La patiente habite seule dans un appartement au rez-de-chaussée, sans escaliers. Elle est veuve et a 3 enfants. Avant son hospitalisation, elle était indépendante dans les activités quotidiennes et se mobilisait avec un tintébin à la maison et un rollator à l'extérieur. Elle avait l'aide du Spitex 2x/j et les repas à domicile. L'objectif global est un retour à la maison. L'analyse de la motricité de la patiente au début de la réhabilitation montre : des transferts effectués avec une autonomie réduite, une marche avec autonomie réduite avec un périmètre de 300m avec rollator. Les escaliers ne sont pas testés. La patiente présente un risque de chute augmenté. À la fin de l'hospitalisation, les items sont superposables. La patiente progresse toutefois dans sa confiance à appréhender les obstacles de son quotidien. Sur avis de nos diététiciens, les suppléments nutritifs oraux sont poursuivis et doivent l'être à domicile. L'hémoglobine reste stable durant la réhabilitation. Mme. Y peut regagner son domicile le 29.11.2018 en bon état général. Poursuite Algifor et Dafalgan, collu-blache localement. Consulter si convulsion fébrile ou échec d'hydratation. Consultation chez la pédiatre si absence d'amélioration. Poursuite Altéra. Contrôle chez pédiatre en début de semaine. Culture et recherche virale en cours dans les selles. Surveiller l'hydratation. Poursuite amoxicilline per os, pas de switch iv ce jour. Contrôle dans 3 jours. Consultation avant si péjoration. Poursuite antalgie. Consignes de surveillance. Discuter nouvelle imagerie avec médecin traitant. Poursuite antibiothérapie ad 10 jours. Reconsultation si péjoration locale ou état général. Poursuite antibiothérapie et antalgie. Critères de gravité expliqués avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Poursuite antibiothérapie jusqu'au 10.12 par Co-Amoxicilline 75 mg/kg/jour. Contrôle clinique dans 7 à 10 jours chez le pédiatre. Poursuite antibiothérapie pendant environ 2 mois. Rinçage drain biliaire 3x/j. CT abdominal avec opacification par drain biliaire et produit de contraste intraveineux fin décembre 2018, puis discussion avec Dr. X sur l'indication à une pose de stent choledochien. Poursuite antibiotique Rocéphine et Klacid. Hydratation 1500ml/24h. Ajout du Bactrim 2cpr/j en cas de suspicion de PCP. Majoration de dexaméthasone en fonction du sepsis. Poursuite antibiotiques comme prévu. Poursuite anticoagulation, ad dosage anti-Xa HBPM le 08.12, 3-5 heures après la 3ème dose de Clexane (et adaptations si nécessaire compte tenu du BMI). Suivi des thrombocytes et créatinine. Poursuite anti-inflammatoires 48h, puis contrôle chez le pédiatre si persistance de l'otalgie droite. Poursuite arnica selon dosages prévus par l'homéopathe que les parents appelleront demain. Consignes de surveillance données (tant pour le TC que pour une tuméfaction éventuelle de la paupière supérieure par la suite). Poursuite Atorvastatine. Poursuite Atorvastatine 40mg. Poursuite avec l'antalgie par Dafalgan 1g max 4x/j en glace topique au besoin. Poursuite Beloc Zok 50mg, à augmenter jusqu'à 2x50mg/jour selon évolution clinique. Poursuite de l'anticoagulation par Sintrom, arrêt de Clexane dès que 2 INR thérapeutiques. 12.11.2018 - avis Dr. X : remplacer le Beloc Zok 50 + 25mg par du Bisoprolol 5mg. Poursuite de l'anticoagulation par Sintrom. Poursuite des bétabloqueurs à petite dose (à augmenter selon fréquence cardiaque). Holter : à effectuer en cours de réhabilitation (mi-janvier 2019). IRM cardiaque : à envisager à distance. Poursuite des bétabloqueurs à petite dose (à augmenter selon fréquence cardiaque). Magnésium. Holter : à effectuer en cours de réhabilitation (mi-janvier 2019). IRM cardiaque : à envisager à distance. Poursuite Ciproxine. Pister frottis local. Circoncision à discuter si souhait du patient. Poursuite Clexane thérapeutique avec dosage anti-Xa le 06.12.2018. US à l'étage le 5.12.2018 (Dr. X) : pas d'épanchements pleuraux.RX thorax le 6.12.2018 Morphine PO Majoration de 1 mg/j de la corticothérapie. Poursuite Co-amoxicilline jusqu'au 21.11.2018. Poursuite co-amoxicilline 50 mg/kg/jour durant 10 jours au total. Frottis auriculaire sera pisté par ORL avec suite du traitement de leur part. Poursuite Cordarone 3x200 mg pendant 8 jours puis réduction 200 mg par jour. IEC en suspens, à réintroduire progressivement. Poursuite de Bactrim forte jusqu'au 11.12.2018. Poursuite de Céfuroxime 15 mg/kg/j sur 2 doses durant 7 jours. Le 30.12 : Désinfection de surface à l'Hybidil, débridement de la plaie, évacuation mécanique de pus, rinçage à l'eau avant l'application de Ialugen plus et Adaptic, compresses et pansement. Contrôle clinique dans 48 heures. Poursuite de la clexane thérapeutique. • mise en suspens le 20.11.2018 en vue d'une potentielle ponction pleurale. Switch pour héparine iv continue le 29.11.2018 (en vue de l'aplasie à venir). Poursuite de la Clexane 60 mg prophylactique 1x/j jusqu'à Sintrom thérapeutique après deux contrôles successifs. Poursuite du traitement antibiotique par Clamoxyl 2 g 4x/j i.v. jusqu'au 30.10.2018 puis passer à une antibiothérapie par amoxicilline 1 g 3x/j p.o. pour 14 jours supplémentaires. Contrôle à la consultation du Dr. X/Dr. X à 4 semaines. Une cardioversion électrique peut être envisagée si Mme. Y est d'accord (aimerait en discuter avec son médecin traitant). Poursuite de la Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 7 jours avec traitement symptomatique. Réassurance de Mme. Y. Retour au domicile avec contrôle chez le médecin traitant la semaine prochaine et évaluation de l'indication d'un CT des sinus en ambulatoire dans le contexte de sinusites récidivantes. Poursuite de la Dexamethasone à but anti-émétique du 11.12.2018 au 14.12.2018 avec réserves en cas de besoin. Pose de PAC prévue le 21.12.2018 (Dr. X). Consultation Dr. X prévue le 17.12.2018 (HFR Fribourg) avec suite de la chimiothérapie dès le 24.12.2018. Consultation diététique le 17.12.2018 (HFR Fribourg). Poursuite de la dialyse itérative. Poursuite de la médication déjà prise au domicile. Hydratation fractionnée. Alimentation selon envie. Poursuite de la physiothérapie avec tecarthérapie. Fin de traitement. Poursuite de la physiothérapie avec US et ondes de choc. Nous organisons une infiltration loco-dolenti au niveau du talon D. Nous le reverrons suite à ce geste. L'IRM de 2016 ne montre aucune lésion du tendon d'Achille ni à son insertion. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle à distance. Poursuite de la physiothérapie et contrôle à distance. Poursuite de la physiothérapie. Il peut reprendre les activités sportives dès le début d'année 2019 ainsi que les entraînements de foot selon les douleurs. Les matchs avec le contact sont encore à éviter. Nous le reverrons fin février pour un contrôle clinique et pour discuter d'une éventuelle AMO. Poursuite de la physiothérapie. Nous lui montrons également des exercices de stretching à faire à domicile avec un élastique. La physiothérapie améliore également la marche. Nous la reverrons en mars pour un contrôle clinique. Poursuite de la physiothérapie pour école à la marche et balancement de la musculature du MIG. Prochain contrôle dans 3 mois, suite à la physiothérapie. Nous gardons en réserve une consultation avec le Team Hanche. Poursuite de la physiothérapie pour encore 1 mois. Nous prions le médecin traitant de faire un schéma de sevrage pour la Prégabaline qu'il faudra stopper entre la dernière semaine de janvier et la 1ère semaine de février. Nous reverrons le patient pour un contrôle clinique au mois de mars 2019. Poursuite de la physiothérapie pour mobilisation afin de gagner les dernières amplitudes. Prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie pour mobilisation et renforcement musculaire. Prochain contrôle à distance. Poursuite de la physiothérapie pour traiter la boursite sous-acromiale résiduelle. Une infiltration serait à envisager si l'évolution venait à stagner. Prochain contrôle dans 3 mois. Poursuite de la physiothérapie selon le schéma de la rééducation avec charge totale avec un VacoPed pour encore 2 semaines puis, charge totale hors VacoPed et exercices en physiothérapie. Arrêt de travail à 100% pour 6 semaines. Nous le reverrons pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Poursuite de la prise en charge à Marsens. Poursuite de la prophylaxie pendant 2 semaines post-opératoires. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X le 14.12.2018 pour contrôle clinique et réfection du pansement, puis pour la suite de la prise en charge orthopédique. Arrêt du sport jusqu'au 23.01.2019. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 2 semaines. Contrôles réguliers des cicatrices à travers le pansement Comfeel, avec réfection pour un pansement standard en cas de perte d'étanchéité. Ablation des pansements Comfeel et des fils à 14 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 2 semaines. Réfection régulière du pansement à votre consultation. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à 1 mois post-opératoire à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Ablation des agrafes à 15 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 18.01.2019 inclus. Soins à domicile 3 x/semaine. Mme. Y sera revue à votre consultation pour contrôle et ablation des fils à 15 jours post-opératoires. Un rendez-vous est prévu à la consultation du Dr. X à 4 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 20.01.2019. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. durant la rééducation à Billens. Ablation des agrafes restantes à J10 selon évolution de la guérison. Adaptation et titrage de l'antalgie (cf consilium d'antalgie du 04.12.2018). Contrôle rx-clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X. Poursuite de la prophylaxie thrombo-embolique par Liquémine 5000 UI 2x/j en rééducation à Billens. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 et 12 semaines. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pendant 15 jours. Contrôle de la cicatrice le 03.12.2018 à la consultation du Dr. X. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires, puis de la broche à 4 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pendant 2 semaines post-opératoires. Réfection du pansement et contrôle en policlinique d'orthopédie le 19.12.2018 à 08h30. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X le 14.01.2019 à 10h00. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pendant 6 semaines. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pour la durée d'immobilisation. Contrôle à la consultation du Dr. X le 18.12.2018 pour évaluation de l'état cutané. Contrôle radio-clinique le 17.12.2018 en policlinique d'orthopédie et planification du suivi ultérieur. Poursuite de la radiothérapie Poursuite de la substitution de Méthadone Prochain rendez-vous chez son psychiatre, Dr. X, à Tafers en janvier 2019 Poursuite de la thromboprophylaxie durant 6 semaines post-opératoires. Ablation des fils à 15 jours post-opératoires à l'HFR Billens. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de la thromboprophylaxie jusqu'au 14.01.2019 inclus. Ablation des fils et Comfeel à 14 jours post-opératoires à la consultation du Dr. X. Dans l'intervalle, en cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il sera remplacé par un pansement standard. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de l'Amoxicilline Poursuite du traitement symptomatique Réassurance parentale Poursuite de l'antalgie. Poursuite de l'antalgie par pompe Poursuite de l'antalgie par Targin/Oxynorm Poursuite de l'antalgie. Arrêt de travail jusqu'au 23.12.2018. Physiothérapie (9 séances). Recommandation au patient de consulter son médecin traitant si persistance des symptômes. Nous conseillons également au patient de reconsulter en cas d'apparition de red flags (explication donnée au patient). Poursuite de l'antibiothérapie déjà débutée Poursuite de l'antibiothérapie et des antipyrétiques Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.01.2019 inclus. Mr. Y prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.01.2019 inclus. OGD prévue le 17.01.2019 à l'HFR Riaz, avec consultation pré-anesthésique le 14.01.2019 à 13h30. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.01.2019. Réfection des pansements 3 x/semaine par les infirmières des soins à domicile. Contrôle en policlinique d'orthopédie le 03.01.2018. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 1 semaine. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 04.01.2019 inclus. Suivi à votre consultation, avec organisation d'une consultation auprès d'un urologue. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 08.12.2018 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le 09.01.2019 pour discussion d'une cholécystectomie. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 14.12.2018 inclus. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X pour contrôle, discussion du résultat anatomopathologique et suite de la prise en charge urologique. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 15.01.2019. Contrôle de plaie par les infirmières de diabétologie le 19.12.2018. Contrôle à la consultation du pied à risque du Dr. X le 07.01.2019 à 09h15. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 17.12.2018 inclus. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, pour réfection du pansement le 11.12.2018. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 18.01.2019 inclus. Réfection du pansement à la policlinique d'orthopédie les 03 et 07.01.2019. Avant ces deux dates, réfection du pansement par les infirmières des soins à domicile. Contrôle biologique de la fonction hépatique 1 x/semaine à votre consultation pour toute la durée du traitement par Clindamycine. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 19.12.2018 à 08h15. Réfection du pansement et contrôle de plaie le 19.12.2018 à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie. Ablation des fils le 22.12.2018 à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 19.12.2018 inclus. Suivi en policlinique d'orthopédie avec premier rendez-vous le 17.12.2018. Port d'un gantelet laissant le pouce libre, pour une durée de 6 semaines. Ablation des fils au niveau du pouce à 14 jours post-opératoires. Les plaies du visage ont été suturées avec du fil résorbable. Contrôle à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 22.12.2018 inclus. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 08.01.2019 à 13h30. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 22.12.2018 inclus. Réfection du pansement et contrôle clinique à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 21.12.2018. Ablation des fils le 24.12.2018. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 22.12.2018 inclus. Réfection du pansement toutes les 72 heures à votre consultation. Contrôle de plaie le 19.12.2018 à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie. Ablation des fils à 14 jours post-opératoires. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 23.12.2018 inclus. Pas de mouchage pendant 3 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 23.12.2018 inclus. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique jusqu'au 03.01.2019. Réfection du pansement chez le patient les 23 et 30.12.2018. Réfection du pansement à la policlinique le 27.12.2018. Ablation des fils à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie le 03.01.2019. Ablation de la broche à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 25.12.2018 inclus. Contrôle clinique le 21.12.2018 en policlinique d'orthopédie. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires à votre consultation. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 29.12.2018 inclus. Contrôle à la consultation du Dr. X, policlinique d'orthopédie, le 21.12.2018. Ablation des fils de suture à 15 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'antibiothérapie par Bactrim forte 800/160 mg 2x/j p.o. pendant 7 jours. Réfection régulière du pansement et ablation des fils à J14 jours à la filière 34. Poursuite de l'antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg pendant 14 jours. Pas de contrôle vu la bonne évolution clinique. Poursuite de l'antibiothérapie par ciprofloxacine 500 mg 2x/j jusqu'au 23.12.2018 pour une durée totale de 7 jours d'antibiothérapie Contrôle par vos soins à la fin de l'antibiothérapie. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline p.o. jusqu'au 17.12.2018 inclus. Contrôles réguliers de la plaie en ergothérapie, ablation des fils à partir de J10. Contrôle à la consultation du Dr. X à 4 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 2x/j jusqu'au 14.12.2018 inclus. Contrôles réguliers de la plaie, à raison de 3x/semaine. Contrôle à la consultation du Dr. X à l'HFR Riaz le 13.12.2018 à 07h30, ablation des fils à J14. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par co-amoxicilline 1 g 3x/j jusqu'au 10.12.2018 inclus. Contrôles réguliers des plaies et orifices des broches, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X avec ablation des broches à 6 semaines. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-Amoxicilline. Ablation des fils le 02.01.2019 au secteur ambulatoire des urgences. Critère de gravité expliqué avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Arrêt maladie jusqu'au 02.01.2019. Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline. Reconsultation en cas d'absence d'amélioration, péjoration ou fièvre. Poursuite de l'antibiothérapie per os jusqu'au 11.12.2018 Colonoscopie à distance dans 6 semaines, le patient sera convoqué par le service de gastro-entérologie pour le rendez-vous. Poursuite de l'antibiothérapie pour une pneumonie basale droite Ablation des fils dès J14 Présentation au TB du 12.12.2018 Poursuite de l'antibiothérapie. Contrôle clinique au secteur ambulatoire des urgences le 30.12.2018 pour évolution clinique. Poursuite de l'anticoagulation par Xarelto 10 mg/jour durant 4 semaines post-opératoires. Ablation des fils à 2 semaines post-opératoires à votre consultation.Contrôle journalier de la plaie par les infirmières des soins à domicile jusqu'à l'ablation des fils. Contrôle radio-clinique et ablation de la broche dans 1 mois post-opératoire à la consultation du Dr X. Poursuite de l'antibiothérapie jusqu'au 02.01.2019 inclus. Poursuite de l'anticoagulation prophylactique durant 6 semaines. Contrôle de la plaie à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, le remplacer par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils de suture au niveau de la hanche à 14 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr X, policlinique d'orthopédie, à 6 semaines post-opératoires. Poursuite de l'arrêt de travail. Je préconise une IRM native à la recherche d'une raison des craquements de l'épaule. Nous allons annuler le rendez-vous auprès du Dr X, vu l'indisponibilité du service de neurologie de l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal et solliciter un rendez-vous auprès de la Dr X à Fribourg. Je reverrai le patient le 10.12.2018. Je prie le secrétariat de la Dr X de convoquer le patient au 079 611 32 28. Poursuite de l'attelle Edimbourg au niveau du poignet droit mise en place par vos soins. Contrôle clinique à 48 heures, puis ablation des fils à J5 à votre consultation. Poursuite de l'auto-médication par Sirdalud. Poursuite de l'ergothérapie et du port de l'attelle Stack la nuit. Nous le reverrons pour un contrôle radioclinique à 3 mois post-opératoires. Poursuite de l'immobilisation dans le plâtre pelvi-cruro-pédieux encore pendant 2 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 21.12.2018. Poursuite de l'incapacité de travail à 50% jusqu'à mi-janvier, ensuite reprise à 100%. Prochain contrôle en mars 2019. Poursuite de l'incapacité de travail jusqu'au 06.01.19 puis reprise à 100%. Poursuite de la physiothérapie avec renforcement musculaire. Contrôle dans 2 mois. Poursuite de physiothérapie pour le renforcement musculaire de la hanche ainsi que pour la mobilisation du poignet. Mme Y peut charger complètement le membre inférieur droit. Prochain contrôle radio-clinique le 22.01.2019. Poursuite de traitement avec Pulmicort et Ventolin. Poursuite de traitement symptomatique. Poursuite de Vimpat. Poursuite des antibiotiques jusqu'au 06.12.2018. Ablation des fils chez le médecin traitant à J-12. Poursuite des contrôles cliniques jusqu'à J4, toutes les 6 heures : pouls pédieux, tibial postérieur, douleurs, sensibilité, motricité, remplissage capillaire, couleur, chaleur cutanée du membre inférieur droit + circonférence du mollet. Liquémine (range PTT 60-80) pour 5 jours post-opératoires, puis discuter d'une anticoagulation thérapeutique pour 3 mois sur avis du Prof. X. Vu la compliance difficile de Mme Y, le traitement par Xarelto thérapeutique est indiqué. Doppler à 3 mois. Réfection des pansements tous les 3 jours. Ablation des fils à 2 semaines. Poursuite des rinçages de nez. Poursuite des rinçages de nez. Nasivine max 7 j. Dafalgan et Algifor en réserve. Poursuite des rinçages de nez. 48h d'Algifor 10mg/kg/d 3x/j et Dafalgan 20mg/kg/d 4x/j. Poursuite des traitements initiés par le médecin traitant avec Xylométazoline Spray. Adjonction de Dafalgan, Aspegic et Solmucalm. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Poursuite des traitements par Aciclovir pendant 10 jours et traitement topique par EMLA. Antalgie par Paracétamol, Tramal et Lyrica. Suite de prise en charge chez le médecin traitant pour contrôle, antalgie (adaptation Lyrica) et contrôle des lésions. Poursuite diurétiques. Suivi électrolytique. Soins de confort si péjoration, pas de réadmission aux soins intensifs. Poursuite du Fresubin 4/j depuis le 08.11.2018. Suivi par diététicienne. Poursuite du Fucicort 3x/jour. Poursuite du Fucicort 3x/jour. Poursuite du Plavix en péri-opératoire. ETT le 13.12.2018 à 11h30. Poursuite du port de la semelle rigide avec syndactylie et sevrage progressif dès la 4ème semaine. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du port de l'attelle à titre de protection pour 3 semaines supplémentaires. Mobilisation quotidienne, sans charge, hors attelle. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. Poursuite du port de semelles orthopédiques et des exercices en physiothérapie. Nous la reverrons dans 2 ans pour un contrôle clinique. Poursuite du Rilutek. Poursuite du stretching plusieurs fois par jour ainsi que du port de l'attelle Dorsal lift pour la nuit. Afin d'exclure un syndrome du tunnel tarsien, nous prions le service de Neurocentre de convoquer Mme Y. Nous la reverrons suite à cet examen. Poursuite du suivi au Neurocentre. Consilium rhumatologique (merci de convoquer Mme Y). Poursuite du suivi par Dr X en ambulatoire. Arrêt médical de travail du 23.12.2018 au 25.12.2018. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Consultation en ambulatoire chez Dr X (médecin traitant) pour contrôle de la plaie le 21.12.2018. Consultation en cardiologie HFR le 06.02.19 Dr X à 9h15. Poursuite du suivi par vos soins habituels. Suivi pondéral. Réactivation de l'encadrement infirmier sur le retour à domicile. Consultation anesthésiste le 19.12.2018 à 11h (Clinique Daler, Dr X). Hospitalisation élective le 07.01.2018 pour RTUP monopolaire organisé pour le 08.01.2019 à la Clinique Daler par le Dr X. Poursuite du traitement antalgique anti-inflammatoire et antibiotiques comme prévu. Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Poursuite du traitement avec physiothérapie et réévaluation dans 2 mois. Reprise des activités professionnelles à l'essai le 21.01.2019. En fonction de l'évolution, on fera une IRM de contrôle à distance. Poursuite du traitement conservateur. Ablation des fils à J12 et des fils au niveau de l'ongle à J21 soit en ergothérapie soit chez le médecin traitant. Arrêt de travail à 100% jusqu'au 04.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec changement de l'attelle Edimbourg pour une attelle intrinsèque ergothérapeutique. Prochain contrôle radio-clinique dans 1 semaine puis à 6 semaines. Dispense de sport pour 8 semaines au total. Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie selon schéma S. Antonio et Terra bande à domicile. Nous le reverrons dans 5 semaines pour un contrôle clinique. Le patient est autorisé à reprendre le travail (il travaille à l'ordinateur). Poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie. Traitement anti-inflammatoire. Je revois le patient dans 2 mois si nécessaire. Poursuite du traitement conservateur avec remplacement de l'attelle Stack thermo-formée par une attelle Stack ergo-thermo-formée. Reprise du travail à 100% dès le 07.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur avec une mobilisation en charge selon douleurs au moyen d'une paire de cannes avec une flexion maximale de 60° pour les 4 premières semaines et à 90° pour les 2 dernières semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Poursuite du traitement conservateur. Dans 1 semaine, le plâtre BAB sera changé pour un AB fermé. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 3 semaines. Poursuite du traitement conservateur. Il ne me semble pas opportun de refaire un bilan d'imagerie médicale, les ligaments collatéraux ulnaires ont été que partiellement lésés, Mme Y présente également une légère douleur à la palpation de la capsule articulaire dorsale à l'endroit où je palpe une légère résistance. En regardant de nouveau les clichés radiologiques, je peux suspecter un arrachement capsulo-ligamentaire dorsale. Ceci n'a par ailleurs aucune conséquence thérapeutique. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle, mais restons à disposition en cas de besoin. • Poursuite du traitement conservateur par gantelet pour une durée totale de 6 semaines. Je prolonge l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 18.01.2019. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. • Poursuite du traitement conservateur par gilet orthopédique pour une durée de 5 semaines. Nous reverrons le patient pour un contrôle radio-clinique le 16.01.2019. • Poursuite du traitement conservateur par plâtre BAB, qui est circularisé ce jour. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre dans 1 mois. • Poursuite du traitement conservateur par gantelet de type pouce du skieur. Mme. Y ne souhaite pas d'arrêt de travail, je lui conseille donc d'être prudente et de se reposer (Mme. Y est gestionnaire de stock et travaille principalement sur un ordinateur). Prochain contrôle clinique dans 6 semaines. • Poursuite du traitement conservateur pour une entorse sévère par une botte de marche plâtrée circularisée pour une durée de 3 semaines. Nous reverrons le patient le 04.01.2019 pour un contrôle clinique. • Poursuite du traitement d'Augmentin instauré au HiB jusqu'au 23.11.2018. • Poursuite du traitement de physiothérapie à l'HFR Riaz pour récupérer les amplitudes articulaires et le déficit fonctionnel. Reprise du travail à 50% à partir du 07.01.2019 et à 100% à partir du 03.02.2019. Contrôle chez moi dans 3 mois : le 07.03.2019. • Poursuite du traitement de Procto-Glyvenol que Mme. Y a déjà à domicile. Suivi chez le médecin traitant pour discuter d'une consultation chirurgicale si récidive. Pour la rétention urinaire : suivi et contrôle chez le médecin traitant début de semaine. • Poursuite du traitement en cours. Adaptation du traitement diurétique. • Poursuite du traitement habituel. Consultation chez son médecin traitant dans le courant de la semaine prochaine. • Poursuite du traitement par co-amoxicilline. Contrôle chez le pédiatre dans 48h et en fin de traitement par co-amoxicilline. • Poursuite du traitement par Daflon 3 x 2 cpr/jour. Antalgie par Dafalgan et crème Emla. • Poursuite du traitement par Dibenzyran selon le schéma. Mme. Y sera convoquée par le service de radio-oncologie pour la radiothérapie. Consultation en endocrinologie pour évaluation et adaptation du traitement par Dibenzyran le 03.01.2018. Consultation chez Dr. X en chirurgie le 07.01.2019 à 14.30h. • Poursuite du traitement par Madopar et Stalevo. Essai de PK-Merz 100 mg 1x/j du 05.-07.12.2018 sans amélioration de la symptomatologie. • Poursuite du traitement prescrit le 12.12.2018. • Poursuite du traitement sans changement (Orfiril 75 mg 1x/j). Contact par mail avec Dr. X. • Poursuite du traitement symptomatique. • Poursuite du traitement symptomatique à domicile. Prolongation de l'arrêt de travail. Consultation ORL le 21.12.2018 comme prévu. • Poursuite du traitement symptomatique. Critères de gravité expliqués à Mme. Y avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Contrôle chez le médecin traitant après les fêtes. • Poursuite du traitement symptomatique. Prolongation de l'arrêt de travail jusqu'au 21.12.2018. Conseils de glaçage et de surélévation. • Poursuite du Trittico 100 mg/j et Sycrest 10 mg/j. Prochaine hospitalisation à la clinique Le Noirmont prévue pour janvier 2019. • Poursuite du Ventolin aux 4 heures (4 à 6 push). Seretide 2x/jour. Prednisone en réserve. Si péjoration respiratoire, reconsultation aux urgences. • Poursuite du Ventolin tel que prescrit. • Poursuite du Ventolin. Betnesol si péjoration respiratoire. • Poursuite Eliquis 5 mg 2x/j. • Poursuite des gouttes oculaires Weleda (tt symptomatique). Hygiène des mains. Reconsulte si augmentation de l'extension ou troubles visuels ou de l'oculomotricité. • Poursuite hydratation fractionnée à domicile. Itinerol au besoin. Consultation si signes de déshydratation expliqués à la mère. • Poursuite hydratation fractionnée avec Normolytoral, lait si toléré. Reconsultation si signes de déshydratation ou péjoration clinique. • Poursuite IPP pour 15 jours en tout. Contrôle chez le pédiatre. • Poursuite Metformine. Suivi glycémique. Consultation pour enseignement diabétologique. Enseignement par la diététicienne. • Poursuite Mycostatine jusqu'au 03.12.2018. Diflucan dès le 30.11.2018. • Poursuite oxygénothérapie (1.5 - 2 L). Adaptation thérapie de morphine. • Poursuite Pantozol per os. Ne souhaite pas de CE. Ne souhaite pas de gastro-scopie. Soins de confort. • Poursuite Pantozol 40 mg 2x/j pour 8 semaines au total. • Poursuite physiothérapie avec bandage et drainage lymphatique 2x par semaine. Nécessité de soins à domicile pour bandage des jambes à évaluer, souhaite suivi physiothérapie en ambulatoire. Suivi du poids journalier. Contrôle début janvier à prévoir chez le médecin traitant, clinique-biologique avec contrôle des tensions artérielles, protéinurie, albuminémie. Discussion de substitution d'albumine si <20g/l et discussion d'anticoagulation. • Poursuite physiothérapie en ambulatoire. • Poursuite Prégabaline 75 mg/j. • Poursuite rinçage du nez. Pas de nouvel contrôle d'office. Consignes devant motiver une nouvelle consultation aux urgences réitérées. • Poursuite rinçages de nez. Dafalgan. Algifor. Contrôle clinique le 30.12.18. 30.12.18 : Bronchiolite légère à modérée non oxygénodépendante. Poursuite traitement symptomatique. • Poursuite rinçages de nez. Réassurance, signes de gravité expliqués. • Poursuite substitution par Methadone. • Poursuite surveillance au domicile. Signes de gravité expliqués. • Poursuite toilettes nasales. Poursuite fractionnement alimentaire, minimum des apports 300 ml/24 h = 70 ml/kg/j. Signes de gravité réitérés. • Poursuite traitement inflammatoire, réalisation d'une IRM, suivi par Dr. X. • Poursuite traitement par Amoxicilline 50 mg/kg/jour. Consignes usuelles otite moyenne aiguë perforée. • Poursuite traitement par Amoxicilline 50 mg/kg/jour. Consignes usuelles otite moyenne aiguë perforée. • Poursuite traitement pour une durée de 5 jours. • Poursuite traitement symptomatique, mesure de la température avant et après l'administration des fébrifuges. Reconsulte si température ne répond pas aux fébrifuges ou apathie. Si persistance de fièvre, consulte chez le pédiatre dans 48-72h. • Poursuite Vancomycine pour une durée totale de 14 jours. Reprise Sartan dès le 27.12.2018. • Poursuite Ventolin comme suit : 4 pushs 4x/j durant 3 jours, puis 4 pushs 2x/j durant 3 jours. Stop Betnesol. Consulte si réapparition de DRS (signes de gravité expliqués à la mère). • Poursuite Ventolin, 2 pushs 4x/j. Consignes de surveillance données. • Poursuite Ventolin 6 pushs aux 6 heures puis selon schéma dégressif. Consultation de pneumologie prévue en janvier 2019 avec Dr. X à Berne. Consultation poids début janvier 2019 chez Dr. X. Consultation neurologique dans 6 mois (soit juin 2019) chez Dr. X. Transfert du suivi neuro-sensoriel de Berne à Fribourg, à la demande de Dr. X. Demande de crèche Bosquet faite par Dr. X (suivi physiothérapie/ergothérapie/logopédie). • Poursuivre Sérétide et Ventolin. • Poussée d'Eczéma sévère, le 2.12.2018 : - poignet droit et nuque des deux côtés. - connue pour eczéma. • Poussée HTA. • Poussée hypertensive sans atteinte d'organe cible avec des facteurs déclencheurs de l'exacerbation des douleurs polyarticulaires et céphalées habituelles le 18.12.2018. • Poussée d'arthrite microcristalline des deux chevilles. • Poussée d'arthrose le 05.07.2015 : cheville gauche, articulation talo-naviculaire Diagnostic différentiel : arthrite micro-cristalline. Opération pour un kyste des seins et opération pour kyste ovarien. Poussée de connectivite mixte en mars 2018 suivie par Dr. X avec : • dyspnée, douleurs thoraciques transfixiantes • adénopathies axillaires et rétro-claviculaires • syndrome inflammatoire • réponse rapide à la corticothérapie Sialolithiase de la parotide droite en mars 2018. Rash cutané aigu (diagnostic différentiel : toxidermie à la clindamycine, lupus médicamenteux, poussée de connectivite mixte) en avril 2018. Hyperplasie nodulaire focale et hémangiome hépatique. Tache de naissance joue droite en cours de traitement au laser. Poussée de connectivite mixte en mars 2018 suivie par Dr. X avec • dyspnée, douleurs thoraciques transfixiantes • ADP axillaires et rétro-claviculaires • syndrome inflammatoire • réponse rapide à la corticothérapie Sialolithiase de la parotide droite en mars 2018 Rash cutané aigu (diagnostic différentiel : toxidermie à la clindamycine, lupus médicamenteux, poussée de connectivite mixte) en avril 2018 Hyperplasie nodulaire focale et hémangiome hépatique Tâche de naissance joue droite en cours de traitement au laser Première crise de convulsion généralisée selon témoins le 09.12.2018 Laboratoire : Mg 0,77 mmol/l, K, Na et CA en ordre, CRP 75 mg/l (diagnostic différentiel : poussée de connectivite) CT cérébral natif et injecté du 09.12.2018 : pas d'hémorragie intracrânienne, pas de thrombose du sinus veineux, pas de fracture, pas d'œdème Microalbuminurie et hématurie microscopique le 06.06.2018. Poussée de sclérose en plaque avec diminution de l'acuité visuelle à gauche le 23.09.2018 • Diagnostic en 2013 • Sous Gilenya Cystite symptomatique le 29.04.2012. Poussée de spondylarthrite ankylosante à prédominance axiale. Poussée de zona lombaire droite. Poussée hypertensive. Poussée hypertensive symptomatique avec vertiges, céphalées, diplopie. AIT en 2005. Paralysie faciale en janvier 2001. Réduction mammaire en 1997. Plastie abdominale en 1990. Hystérectomie par voie vaginale en 1986. Cholécystectomie en 1986. Appendicectomie en 1980. Status post probable thyroïdite du post-partum. Vertiges rotatoires de droite à gauche durant quelques minutes, mouvement-dépendants, d'origine indéterminée le 27.02.2013 avec : • nausées • céphalées fronto-temporales tensionnelles. • Diagnostic différentiel : origine périphérique (cupulolithiase gauche atypique) : médicamenteuse. Traumatisme crânien le 01.02.2014 avec : • fracture du plancher de l'orbite sans incarcération musculaire • plaie de l'arcade sourcilière de 4 cm. Accident ischémique transitoire sur athérosclérose carotidienne gauche le 04.12.2015 avec : Maladie coronarienne avec lésions bitronculaires avec : • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale, lésion intermédiaire de l'artère bissectrice. Lésion non significative de l'artère coronaire droite moyenne. • succès d'angioplastie de l'artère interventriculaire antérieure proximale. Implantation de 1 stent actif. • fraction d’éjection VG indéterminée. Poussée inaugurale d'une sclérose en plaque en 2017. Céphalées occasionnelles. Tabagisme actif. Poussée tensionnelle le 28.12.18 chez Mme. Y enceinte de 16 SA : Diagnostic différentiel : hypertension essentielle. Poussées hypertensives répétées avec angor et coronarographie normale le 08.08.2012. Accident vasculaire cérébral ischémique droit le 04.12.2010 avec : • subocclusion sur thrombose de l'artère carotide interne droite. • dysarthrie et hémisyndrome moteur facio-brachio-crural gauche partiellement régressifs. • atteinte de l'insula. • status post-thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne droite le 13.12.2010. Endartériectomie carotidienne (CEA) en 2010. Cure de cataracte droite en 2008, avec décollement de la rétine après cure et cerclage. Cure de hernies inguinales des deux côtés. Probable colique biliaire le 16.11.2013. Poxclin Mousse 3x/jour Paracétamol aux besoins Pas d'Ibuprofène Reconsulter si signes de surinfection. Prasugrel pour 12 mois et par la suite Clopidogrel à vie. ALLERGIE de type anaphylaxie à l'aspirine. Coronarographie le 01.12.2018 (Dr. X) : PCI (1DES) au niveau de l'occlusion RCx proximale : bon résultat. Précédentes opérations : hallux valgus en 2013, prolapsus rectal en 2007, hystérectomie en 1983. Précédentes opérations : hallux valgus en 2013, prolapsus rectal en 2007, hystérectomie en 1983. Pred forte répéter 2x/h Avis ophtalmo de garde transfert évaluation à Fribourg à 14.30 (Dr. X). Prédiabète le 06.12.2018 avec : • hémoglobine glyquée à 6.4%. Prédiabète traité par Janumet. Prednisone du 13.12.2018 au 14.12.2018 et du 17.12.2018 au 21.12.2018 Céfépime du 13.12.2018 au 16.12.2018 Clarithromycine du 13.12.2018 au 15.12.2018 Co-trimoxazole du 13.12.2018 au 14.12.2018 Amikacine en dose unique le 14.12.2018 Ceftriaxone du 16.12.2018 au 27.12.2018 (en cours) Diamox du 19 au 24.12.2018 Bactrim forte 3x/semaine dès le 17.12.2018. CT thoracique le 13.12.2018 VNI du 13.12.2018 au 16.12.2018, puis du 19.12.2018 au 21.12.2018 Cathéter artériel radial droit du 13.12.2018 au 17.12.2018 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique le 14.12.2018 (pour bronchoscopie) Bronchoscopie avec LBA le 14.12.2018 (Dr. X) Prélèvement LBA : positif pour Haemophilus influenzae Hémoculture du 13.12.2018 : négative à 5 jours Consilium d'infectiologie (Dr. X) Gazométrie veineuse du 19.12.2018 Gazométrie artérielle du 20.12.2018 ; pH 7.4, CO2 6.6, O2 7.5, bicarbonate 30 US pleurale du 20.12.2018 (Dr. X et Dr. X) : absence d'épanchement pleural bilatéral Gazométrie du 24.12.2018. Saturation cible 88 à 92%. Reclassement le 27.12.2018 en attente de réadaptation respiratoire à Billens. Prednisone per os 100 mg dès le 13.12.2018 à poursuivre pour 7 jours Allopurinol 300 mg à long terme dès le 13.12.2018. Suivi à la consultation Dr. X le 18.12.2018 à 12h00 Suivi à la consultation du Dr. X le 20.12.2018 à 10h00. Prednisone (1 mg/kg) 50 mg PO du 25.10.2018 Pantoprazole 40 mg PO q24h. Bilan biologique le 25.10.2018 • FSC • Vitesse de sédimentation et CRP • Frottis sanguin périphérique • Facteur rhumatoïde et anti-CCP Radiographies multi-étagées à la recherche de CPPD le 25.10.2018 • Bassin de face • Mains de face • Genoux de face US articulaires des ceintures scapulaires le 25.10.2018 US-doppler des artères temporales le 26.10.2018 Fond d'œil le 29.10.2018 Angio-CT des vaisseaux pré-cérébraux le 30.10.2018. Prednisone 20 mg q24h dès le 12.10.2018 Etericoxib du 14.09.2018 au 16.09.2018 Co-Amoxicilline du 08.09. au 12.09.2018 Rinçage arthroscopique le 07.09.2018. Bilan biologique le 07.09.2018 : • CRP 297 mg/l, VS à 97 mm/h • FSC • FAN Hémoculture le 07.09.2018 : négatif Hémoculture le 10.09.2018 : en cours Bilan pré-biologique : prévu pour le 18.09.2018 FR, Anti-CPP le 18.09.2018 Radiographies du 17.09.2018 • Bassin de face • Main de face • Pieds droit et gauche de face US articulaire (Dr. X) le 14.09.2018 : tarsite bilatérale, liquide libre genou droit, synovite poignet droit. Arthroscopie genou droit avec prélèvement le 07.09.2018 : 50000 E, 64 % PMN, pas de cristaux, culture négative. Radiographie genoux droit le 07.09.2018 : épanchement articulaire visible en surprojection du récessus supra-patellaire. Gonarthrose débutante avec quelques ostéophytes notamment du plateau tibial dans le compartiment interne. Pas de fracture mise en évidence. Ponction poignet gauche le 14.09.2018 : échec, liquide non récolté. Prednisone 20 mg q24h Pantoprazole 20 mg q24h. Bilan biologique le 29.09.2018 • CRP, VS • CK • Facteur rhumatoïde, anti-CCP, FAN Diagnostic : connectivite. Radiographies • Thorax face-profile • Mains droite et gauche de face • Bassin de face. Avis rhumatologique = Dr. X = nécessité hospitalisation dans un contexte de syndrome rhizomelique avec impotence fonctionnelle importante, symptômes B, poursuite des investigations et introduction de prednisone 20 mg chez un patient diabétique.Hospitalisation en rhumatologie Prednisone 20 mg 1x/jour du 30.11 au 02.12.2018, puis Prednisone 40 mg 2x/j du 03 au 06.12.2018. Colchicine du 02 au 08.12.2018. Allopurinol dès le 09.12.2018. Prednisone 20 mg du 14.12 au 16.12.2018 Prednisone 20 mg le 19.11.2018 Prednisone 40 mg PO dès le 28.09.2018 Hydroxychloroquine 200 mg PO q24h Clobetazol crème de dermocorticoïde 1x/application par jour Methotrexate 15 mg SC 1x/semaine dès semaine du 08.10.2018 Acide folique 5 mg PO 2x/semaine dès 08.10.2018 Bilan biologique • CRP, VS • Urée créatinine • FAN, DOT connectivité, DOT myosite • Tests hépatiques Sérologies ROR, VZV le 27.09.2018 Sérologies HBV, HCV, HIV le 27.09.2018 Quantiféron le 27.09.2018 CT thoraco-abdominale le 18.08.2018: pas de néoplasie sous-jacente IRM musculaire cuisse droite et gauche: A effectuer en ambulatoire. Radiographie de l'épaule gauche Face-Neer le 01.10.2018 Fonctions pulmonaires le 28.09.2018 Electromyogramme le 02.10.2018 Nasofibroscopie le 02.10.2018 Test de Schirmer le 02.10.2018 Biopsie cutanée le 27.09.2018 Avis dermatologique HFR le 27.09.2018: Probable dermatomyosite Avis ORL le 02.10.2018 Avis ophtalmologique le 02.10.2018 Prednisone 50 mg du 05-09.12.2018 Levofloxacine 500 mg 1x/j du 05-09.12.2018 (allergie à la co-amoxicilline) Oxygénothérapie et physiothérapie respiratoire Changement morphine pour hydromorphone le 04.12.2018, majoré le 07.12.2018 Prednisone 50 mg 1x/j. pour 5 jours. Prednitop 0.25% ong 2x/j en couches fines sur les plaques d'eczéma du visage Pour le reste du corps, poursuite de Trixera Baume + 5% Glycérine Prednisone 1 mg/kg, 30 mg, 1x/j pendant 3 jours Ventolin 1 train de 12 push en 1h, puis 6 push au 4h Atrovent 2 push contrôle chez le pédiatre dans 24h Pré-éclampsie Pré-éclampsie Pré-éclampsie imminente Pré-éclampsie imminente chez Mme. Y de 24 ans, primigeste à 33 4/7 semaines d'aménorrhée Pré-éclampsie sévère 35 semaines d'aménorrhée chez Mme. Y de 46 ans 4-gestes 0-pare. Prégabaline arrêtée le 02.12.2018 dans le cadre du diagnostic suppl. 2 Sifrol 0.125 mg dès le 03.12.2018 avec majoration progressive Pregabaline 150 mg q8h Start Humira Bilan biologique le 23.10.2018 • FSC • CRP, vitesse de sédimentation • Tests hépatiques, urée, créatinine ECG-12 pistes le 23.10.2018 Calprotectine le 23.10.2018 Anticorps anti-transglutaminase 23.10.2018 IgA totaux le 23.10.2018 Pregabaline 50 mg PO q8h dès le 05.10.2018 Gabapentine 300 mg q8h Tapenthadol 50 mg PO en réserve du 10.10.2018 Fentanyl patch 100 mcg/h Fentanyl 100 mcg sublingual (Effentora) en réserve max 6x/j Bilan biologique le 04.10.2018 • Urée, créat • B12/folate • TSH • Electrophorèse des protéines • VDRL Béta-2-microglobuline le 09.10.2018 Serum amyloid A le 23.10.2018 HLA-B51 ENMG le 05.09.2018 (ambulatoire) Biopsie des petites fibres le 11.10.2018 CT thoracique natif à coupes fines le 11.10.2018 Scintigraphie osseuse des membres inférieurs le 30.10.2018 Perfusion de lidocaïne le 11.10.2018 Pregabaline 50 mg 2x/jour Prégomin AS depuis le 07.12 A poursuivre Pré-hosp: Fentanyl 50 mg Aux urgences: Laboratoire Radiographie hanche gauche Radiographie thorax ECG Pose de sonde urinaire Stix/Sédiment : nitrite positif Pas de traitement vu d'une patiente asymptomatique Opération le 16.12.2018 Hospitalisation en orthopédie Prélèvement -> culture à pister Co-amoxicilline 80 mg/kg/jour jusqu'au contrôle et décider de la durée selon évolution et antibiogramme Cô à 48h pour antibiogramme +/- changement de l'atb pour Ceftriaxone Triofan Prélèvements plaies 25.11.2018 : Staphylococcus aureus Débridement, lavage, prélèvement et arthrodèse IPD 2ème doigt gauche le 25.11.2018 Cefuroxime p.o. du 02.12 au 28.12.2018 Consilium rhumatologique : pas d'argument pour une goutte Consilium infectiologique : Céfuroxime 500 mg 2x/j minimum 3 semaines, et au moins jusqu'à 3 jours après ablation de la broche (sera convoqué en orthopédie) Prélèvements positifs pour MRSA. Premandol crème 2x/jour pour 3-4 jours Prématuré de 31 SG, né à Berne, SDR, intubation S/p Adéno-amygdalectomie, 01.2010 S/p Hospitalisation pour phlegmon cervical, 2009 S/p Env. 5-6 bronchites spastiques par année S/p Plaie superficielle circulaire 2 cm en regard épitrochlée coude D S/p Contusion coude D S/p IVRS avec péjoration d'asthme allergique 06.2015 S/p Bronchopneumonie atypique vs bactérienne Prématuré de 36 0/7 semaines de grossesse avec poids de naissance à 2620 g S/p Thrombose de la veine iliaque externe G (post pose d'une voie veineuse fémorale) S/p choc cardiogénique avec œdème pulmonaire le 06.09.18 Prématuré né à 27 4/7 SG, PN 1040 g (P40), TN 37 cm (P50), PCN 27 cm (P60) Détresse respiratoire à la naissance sur manque de surfactant. Canal artériel avec fermeture médicamenteuse (Indométhacine 2x) confirmée le 01.07.2016 Insuffisance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite RSV en janvier 2017 Varicelle (frottis VZV: positif le 16.01.17) avec surinfection pulmonaire (ttt par Acyclovir IV) Suspicion de Sepsis à E. Faecalis (sensible à l'ampicilline et Gentamicine) en janvier 2017 S/p adénoïdectomie en avril 2017 à Berne Prématuré né à 32 4/7 SG, PN 1640 g (P 25), TN 39 cm (P 10), PCN 28 cm (P 10) Difficultés alimentaires du prématuré Trouble de l'adaptation respiratoire sur anesthésie générale maternelle (overhang) Possible sevrage à la Venlafaxine Risque de lésions rénales, malformations de la face et du crâne dues au Périndopril (Coversum) et malformations congénitales dues à la Carbamazépine/Oxcarbazépine (anurie, diminution perfusion rénale, hypotension artérielle, hyperkaliémie) Situation psycho-sociale complexe (Annonce juge de paix) Curateur Christophe Seydoux: tel 026.651.92.88 Mme. Y n'a pas de contact avec la petite (Annonce juge de paix) (suivi par curatrice) Plusieurs bronchites spastiques, Ventolin en réserve non utilisé. Prématurée macrosome née à 34 1/7 SG, avec PN 3210 g (>P97), TN 50 cm (P75-90), PCN 35 cm (P97) A l'entrée: J0, poids 3210 g Prématurée née à 29 0/7 SA, PN 1150 g (P25-50), TN 40 (P50-75), PCN 26.5 (P25-50) Prématurée née à 32 1/7 SG, poids 1750 g (P50-25), PC 29 cm (P25-10), T 41 cm (P25), Wet-lung Prématurité Prématurité. Prématurité 36 1/7 SA, Poids: 1740 g ( TP-INR à contrôler le 23.12 • Pas à jeun, doit être évaluée avant opération (cas complexe) Prise en charge Riaz : Rx bassin hanches Rx thorax Laboratoire INR 1.4 - creat 184, Hb 128 ECG - RSR 70 bpm, PR 190 ms, axe N, pas de sus-sous décalage visible, Antalgie - Morphine 2 mg à titrer 100 fenta 1 g Dafalgan (CAVE allergie Temgesic) Stop sintrom passage au HNF prophylactique Avis anesthésiste de garde - au vu des comorbidités la patiente ne peut pas être prise en charge opératoire à Riaz Fille de la patiente et la patiente veut être opérée Avis Dr. X - transfert à Fribourg en accord avec le CdC de garde orthopédique Prise occasionnelle de cannabis et d'alcool. Plaie de 1 cm au niveau de l'arcade sourcilière droite le 26.01.2012. Trouble psychotique avec besoin de prescription d'Akineton. Intoxication médicamenteuse volontaire le 03.12.2016. Prise pondérale de 7 kg en postopératoire Probable acrocyanose intermittent non observée pendant l'examen physique. DD : Raynaud. Probable adénite mésentérique Probable AIT cérébelleux droit le 04.12.2018 • symptomatologie : flou visuel binoculaire, syndrome cérébelleux statique • NIHSS initial : 0 point, score ABCD2-I3 : 3 points • S/p AVC cérébelleux gauche d'origine indéterminée juillet 2018 Probable AIT de la fosse postérieure le 04.12.2018. • NIHSS initial 0 pts. Probable AIT le 01.12.2018 avec : • hémisyndrome brachio-crural G transitoire avec dysarthrie associée • 1ère consultation le 03.12 avec NIHSS initial à 0 Probable AIT sylvien superficiel gauche d'origine cardio-embolique probable le 12.12.2018 • Symptomatologie : trouble de la compréhension (durée des symptômes 15 minutes) • Score ABCD2 : 4 (risque intermédiaire) Probable allergie à la pénicilline Probable angine bactérienne. DD : Angine à gonocoque. Probable angine virale. Diagnostic différentiel : angine à gonocoque. Probable angiomyolipome du rein droit et du rein gauche le 11.11.2018 Probable angor instable DD : Péricardite Probable anorexie mentale atypique avec : • anosognosie complète • déconditionnement global • évolution à bas bruit de longue date • BMI à 15.8 kg/m2. Probable anxiété masquée dans un contexte de maladie oncologique en progression • avec hospitalisation prolongée Probable arthrite septique chronique du genou gauche le 11.12.2018 Probable asthme bronchique • chez un patient fumeur à 14 UPA Probable AVC ischémique gauche récent • parésie nouvelle du membre supérieur droit dans un contexte de syndrome de Trousseau sous anticoagulation prophylactique • hémorragie digestive haute récente sous anticoagulation thérapeutique Probable AVC ischémique thalamique gauche novembre 2017 Probable arthrite septique genou gauche le 28.11.2017 Crise d'épilepsie partielle avec phase post-critique le 02.10.2018 Probable BPCO. Probable BPCO de stade I selon Gold avec : • tabagisme actif important (environ 50 UPA avec consommation de cannabis) • syndrome obstructif de degré léger • probable emphysème pulmonaire associé • composante d'asthme bronchique associée Éthylisme chronique (environ quatre bières par jour) Probable BPCO de stade I selon Gold avec : • tabagisme actif important (environ 50 UPA avec consommation de cannabis) • syndrome obstructif de degré léger • probable emphysème pulmonaire associé • composante d'asthme bronchique associée Éthylisme chronique (environ quatre bières par jour) Probable BPCO en cours d'investigation en Espagne (12.2018) Probable BPCO non stadée sur tabagisme actif (60 UPA) État dépressif traité Probable insuffisance veineuse Gonalgie bilatérales chroniques • Status post méniscectomie partielle interne et OST de valgisation type ouverture proximale sur gonarthrose fémoro-tibiale interne G avec surinfection du site opératoire • AS diagnostique, OST de valgisation tibia proximal D de type ouverture le 16.12.2015 pour gonarthrose fémoro-tibiale interne D sur genu varum. Probable BPCO, non traitée Probable BPCO Diabète de type II Hypertension artérielle Diverticuloses Syndrome dépressif Sténose aortique Éthylisme chronique Probable BPCO OH chronique Probable brief resolved unexplained event. Nécessité de 48 heures de surveillance intrahospitalière. En raison d'un manque de place dans notre hôpital, prise de contact avec Berne et Payerne. Payerne est prêt à accueillir Mme. Y pour surveillance cardiorespiratoire. Les parents ne souhaitent pas de surveillance et signent une décharge avant de rentrer à domicile. Les signes d'alarme et mesures de réanimation sont expliqués. Probable bronchite asthmatiforme le 28.12.2018. Probable bronchite chronique. Probable bursite trochantérienne gauche le 7.12.2018 Probable carcinome basocellulaire temporal droit avec exérèse en 2017 Opération cataracte des deux côtés le 18.06.2013 Trapézectomie droite et suspension-plastie par bandelette de tendon long abducteur du pouce droit le 03.07.2012 pour rhizarthrose droite Plastie de suspension trapézo-métacarpienne gauche en 2003 Amygdalectomie en 1958 Appendicectomie en 1945 Probable cardiopathie ischémique. Hypertension artérielle traitée Syndrome de Sudeck Syndrome des apnées du sommeil d'origine centrale appareillé par BiPAP depuis 2008. Probable cellulite pré-orbitaire le 06.12.2018. • s/p polypectomie bilatérale le 26.11.2018. Probable céphalée de tension. Diagnostic différentiel : sinusite maxillaire. Probable cholécystite avec passage lithiasique Probable cholélithiase symptomatique le 27.12.2016. Probable chondrocalcinose cheville G DD crise de goutte Probable chondrocalcinose du poignet gauche Probable colique lithiasique, premier épisode. Probable colique néphrétique gauche. Probable colique néphrétique récidivante à G le 08.11.2018 • ATCD colique néphrétique récidivante à D sur calcul préméatal, le 03.05.2015 • ATCD colique néphrétique D sur calcul de 6 mm au niveau méatal, en 2013. Colique néphrétique récidivante à D sur calcul préméatal, le 03.05.2015 Colonoscopie, endoscopie en 2014 pour dépistage cancer colorectal (Mère et sœur qui ont eu un cancer colorectal) Status après cure de hernie inguinale gauche en 2009. Status après arthroplastie totale du genou droit pour gonarthrose varisante en novembre 2012. Céphalées hémi-crâne droite probablement sur pic hypertensif le 12.03.2015 Status après arthroscopie des deux genoux il y a 10 ans. Status après suture de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite en 1995 Status après lithiase urinaire (calcul de 6 mm au niveau méatal droit). Probable conjonctivite bactérienne œil gauche. Probable bronchite asthmatiforme dans un contexte d'infection des voies respiratoires supérieures le 08.10.2017. Probable contusion du menton Probable contusion supra-épineuse droite après choc par béquille de camion de 150 kg sur épaule droite. Radiographies : épaule droite et acromio-claviculaire droite : pas de fracture, surélévation claviculaire droite. Vu par orthopédie Dr. X : pas de fracture, surélévation claviculaire droite probablement antérieure à cet épisode (lésion ligamentaire antérieure). Il propose comme traitement : bretelle antalgique, physiothérapie antalgique et musculaire, antalgie, contrôle dans 10 jours en ortho-urgence, arrêt de travail pendant 10 jours. Explications données au patient. Probable crise d'angoisse Probable crise d'angoisse le 30.01.2018 avec serrement de gorge. Probable aponévrosite plantaire le 20.08.2018. Probable crise d'anxiété avec tachycardie et hypertension. Probable crise de goutte 5e orteil pied droit le 24.04.2013. Entorse cervicale bénigne. Crise de goutte en 2010. Probable crise de migraine sans aura Probable crise hypertensive Probable crise hystérique le 15.09.2017 Status après laparoscopie pour endométriose avec résection de nodules endométriosiques en décembre 2013. Status post endométrite avec suspicion d'annexite à Gardnerella + BGN, traitée. Status après décompression du nerf ulnaire gauche en 2015. Status après cure d'hémorroïdes et de marisque, non datée. Status post opération du coude Opération genou G pour excroissance G en 2008 Opération genou D pour Plica par Arthroscopie en 2012 Ablation d'un nodule du genou D en 2009 Hématome du périnée à 3h en PG le 22.01.2017 Suspicion de lésion de LLI G Entorse coude gauche le 11.01.18 Pelvic inflammatory disease avec pyomètre après retrait stérilet Mona Lisa chez patiente nulligeste de 27 ans Crise hystérique avec des idées suicidaires, le 27.02.2018 Contractions utérines d'origine indéterminée avec légère modification de col chez une patiente de 28 ans primigeste à 27 + 1/7 SA Probable CRPS au décours après accident de travail le 21.07.2015 avec fracture intra-articulaire du radius distal droit. Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire le 24.07.2015, AMO et révision de la 3ème coulisse le 10.11.2016. Douleur chronique de l'épaule gauche. Status post arthroscopie capsulolyse débridement sous-acromial et mobilisation sous narcose pour épaule gelée en 2012 après arthroscopie ténotomie ténodèse du long chef du biceps et réinsertion transosseuse sus-épineux par voie mini open le 16.06.2011. Cervicalgie chronique avec troubles dégénératifs cervicaux. Probable déchirement musculaire du Grand droit Probable déchirure musculaire DD : arrachement ischion Probable déchirure musculaire du mollet droit. • avec reprise du travail impossible. Probable déchirure musculaire du moyen fessier G Probable décompensation cardiaque le 08.06.2016. Anémie normocytaire normochrome à 104 g/l le 08.06.2016 avec 2 épisodes d'hématochézies le 07.06 et 08.06.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN I sur insuffisance rénale chronique de stade III le 08.06.2016 (FE urée 24 %). Hypothyroïdie et pneumopathie sous Amiodarone. Diverticulite aiguë en septembre 2015. Malaise avec perte de connaissance le 19.11.2015. Insuffisance rénale acutisée d'origine pré-rénale dans un contexte post-infectieux le 19.11.2015. Suspicion saignement intestinal haut le 19.11.2015 avec • OGD le 20.11.2015 : gastrite possiblement atrophique. Abcès prostatique loge droite à E. Coli le 13.12.2015. Insuffisance rénale aiguë modérée le 13.12.2015. Hyperkaliémie à 5.4 mmol/l le 13.12.2015. Opération de l'aorte abdominale en 1985. Thrombo-endartériectomie aorto-iliaque droite en 1982. TEA de l'aorte abdominale dans les années 80. Probable décompensation de BPCO le 27.12.2018 Probable démence de la maladie d'Alzheimer à début tardif. Hypertension artérielle traitée. Fibrillation auriculaire intermittente traitée par Tambocor. Prolapsus utérin. Syndrome obstructif des voies respiratoires partiellement réversible avec bronchectasies connues (suivi Dr. X à Lausanne). Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • facteurs de risque de chute : fibrillation auriculaire intermittente, lombalgies, troubles cognitifs. Lombalgies non déficitaires et atraumatiques et affection des articulations ilio-sacrales des deux côtés dans le cadre d'une ostéoporose : • fractures-tassements D11, L3, D12 • vertébroplastie de D12 le 02.03.2012. • Probable démence débutante • MMS 22/28 le 10.12.2018 • Probable dermo-hypodermite à germe indéterminé du mollet gauche le 30.11.2018 DD infection urinaire compliquée chez Mme. Y porteuse de SV à demeure et sondes double-J ddc, avec: • 2 paires d'hémocultures le 30.11.2018: négatives • uriculte le 30.11.2018: 10^5 E. coli (multiS) et E. faecalis (AmpiS et VancoS) • Rx thorax le 30.11.2018: pas de foyer infectieux • Probable diabète de type II • HbA1c à 7.5% • glycémies hautes sous corticothérapie • Probable dysfonction tubaire à gauche. • Probable eczéma d'hypersensibilité avec une petite guinisation secondaire le 24.12.2018. • Probable encéphalite et polyradiculonévrite sur immunothérapie (Ipilimumab et Nivolumab) avec: • Trouble de l'initiative • Ralentissement idéomoteur • Parésie MID > MIG • Parésie proximale MSG • Troubles sphinctériens • Probable endocardite à Streptococcus Bovis sur valve aortique prothétique en 2011 puis en 06.2016 • Excision d'un carcinome baso-cellulaire scapulaire droit en 1998 • Probable endocardite à Streptococcus bovis sur valve aortique prothétique en 2011 • Excision d'un carcinome baso-cellulaire scapulaire droit en 1998 • Maladie du sinus avec bloc sino-auriculaire de 2ème degré de type 1 avec: • implantation d'un pacemaker en 2015 • Etat fébrile le 30.06.2016 sur très probable d'endocardite • Hémocultures le 30.06.2016 : 4/4 positives pour un streptococcus du groupe bovis, sensible à la Rocéphine • Antibiothérapie: Ceftriaxone 2gr iv / j du 30.06.16 et prévue jusqu'au 11.08.16 • INR suprathérapeutique le 30.06.2016 • Probable entorse de l'interphalangienne distale du pouce droit. • Probable entorse du ligament collatéral externe du genou droit, cliniquement discret avec peu de douleurs ressenties par Mr. Y. Mr. Y ne souhaitait pas d'antalgie. Controle chez le médecin traitant avec réévaluation orthopédique si nécessaire. • Probable entorse du ligament collatéral médial du genou gauche. DD: contusion musculaire du vaste médial. • Probable épanchement séreux rétro-tympanique post-otite moyenne aiguë de l'oreille droite traitée par antibiothérapie. • Probable épilepsie d'origine indéterminée le 31.12.2018. • Probable épisode dépressif léger avec perte d'appétit et pondérale, avec: • épuisement dans les soins pour le mari malvoyant, actuellement placement du mari en EMS pour 2-3 semaines • deuil pathologique de son fils décédé subitement d'un arrêt cardiaque il y a 8 ans • malnutrition protéino-énergétique légère • NRS 3 • perte pondérale de 5 kg (8%) en 8 mois • Probable épisode vasovagal avec nausées. • Probable érosion cornéenne gauche après réception d'un jouet dans l'œil. • Probable érosion cornéenne le 17.12.18. • Probable état confusionnel aigu hyperactif 28.12.2018 DD: sur infection des voies urinaires • Probable état d'anxiété généralisée. • Probable faux positif (hématurie positive sur myoglobinurie) • Probable fracture de côte 10 à gauche 15.12.2018. • Sur chute accidentelle. • Probable fracture de la phalange distale du 1er orteil à gauche • Probable fracture du coccyx 03.12.2018 • Probable fracture du coccyx 03.12.2018. • Probable fracture du coccyx. Réaction dépressive à des problèmes familiaux. • Probable fracture P1 O4 gauche • Probable gastrite • Probable gastrite • Probable gastrite. • Probable gastrite. • Probable gastrite. • Probable gastrite aiguë le 20.12.2018. • Probable gastrite aiguë le 30.12.2018. • Probable gastrite alcoolique. • Probable gastrite associée • Probable gastrite chronique le 23.01.2018. • Probable gastrite. DD : cholélithiase. • Probable gastrite le 23.10.2014. • Bradycardie sinusale avec bloc atrio-ventriculaire du 1er degré le 23.10.2014 asymptomatique, chez Mme. Y connue pour fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée. • Décompensation cardiaque globale le 10.06.2016 sur arrêt de traitement. • Fracture déplacée du radius distal droit avec arrachement de la styloïde ulnaire. • 20.09.2018, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque Aptus palmaire. • Traumatisme crânien simple. 09/2018 • Hyponatrémie chronique légère le 20.09.2018, à 126 mmol/l (130 mmol/l le 28.05.2018). • Perturbation chronique des valeurs de cholestase sur probable insuffisance cardiaque • Toxicité médicamenteuse sur accumulation d'opiacées dans un contexte d'IRA AKIN I (novembre 2018) • Probable gastrite le 23.10.2014. • Bradycardie sinusale avec bloc atrio-ventriculaire du 1er degré le 23.10.2014 asymptomatique, chez Mme. Y connue pour fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée. • Décompensation cardiaque globale le 10.06.2016 sur arrêt de traitement. • Fracture déplacée du radius distal droit avec arrachement de la styloïde ulnaire. • 20.09.2018, Dr. X, Dr. X : réduction ouverte et ostéosynthèse par une plaque Aptus palmaire. • Traumatisme crânien simple. 09/2018 • Hyponatrémie chronique légère le 20.09.2018, à 126 mmol/l (130 mmol/l le 28.05.2018). • Perturbation chronique des valeurs de cholestase sur probable insuffisance cardiaque • Toxicité médicamenteuse sur accumulation d'opiacées dans un contexte d'IRA AKIN I (novembre 2018) • Probable gastrite, le 28.12.2018. • Probable gastrite sur consommation d'alcool le 01.12.2018. • Probable gastrite sur traitement d'AINS avec hématémèse sur processus de Mallory-Weiss. DD : angiodysplasie gastrique. • Probable gastrite sur traitement par AINS le 01.12.2018. • Probable gastrite sur vomissements à répétition, le 27.11.2018. • Probable gastro-entérite alimentaire le 12.12.2018. • Probable gastro-entérite • Probable gastro-entérite aiguë au décours. • Probable gastro-entérite au décours • Probable gastro-entérite au décours le 16.01.2016 Etat grippal le 17.02.2016 Réaction allergique à l'acétylcystéine stade II • Probable gastroentérite avec vomissements et diarrhée, le 26.12.2018. • Probable gastroentérite débutante • Probable gastroentérite (diagnostic différentiel: maladie inflammatoire de l'intestin, intolérance alimentaire). • Probable gastro-entérite virale • Probable gastro-entérite virale. • Probable gastro-entérite virale le 14.11.2018 • US abdominal le 15.11.2018: pas de lésion hépatique, pas de dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatiques, vésicule biliaire lithiasique sans signe de cholécystite • Probable gastro-entérite virale le 16.12.2018. • Probable gastro-entérite virale le 23.12.2018. • Probable gastroentérite Itinérol suppositoire 1x/j Normolittoral sachet Consultation chez pédiatre si nécessaire revient aux urgences si péjoration • Probable glioblastome multiforme multifocal fronto-pariéto-temporal droit le 19.12.2018 DD lymphome • Probable gliome de haut grade frontal droit • IRM le 27.11.2018 • Craniotomie et exérèse macroscopique complète (Dr. X) le 03.12.2018 • IRM cérébrale de contrôle le 04.12.2018 • Suivi en oncologie en ambulatoire • Suivie par Dr. X • Probable goutte. Diagnostic différentiel: arthropathie microcristalline. • Probable hémorragie digestive haute le 21.12.2018 • Probable hémorragie intra-alvéolaire sur bronchiectasies du lobe moyen et de la lingula. • Probable hernie cervicale G avec déficit sensitif avant bras G (dermatome C6-C7) • Probable hernie de la ligne blanche. • Probable herpès anal. • Probable hyperréactivité bronchique avec: • Rhinite chronique avec probable eczéma léger récidivant favorisé au travail au contact du PVC • RGO traité par Pantoprazole 40 mg du 15.05 au 28.08.2017 • Absence complète d'aéroallergie (bilan chez Dr. X du 14.08.2017) • Anamnèse familiale vierge, absence d'antécédent d'asthme ou de bronchite dans l'enfance • Fonctions pulmonaires complètes du 15.05.2017 : absence de trouble ventilatoire obstructif ou restrictif. Légère hypoxémie à la gazométrie artérielle (effectuée en décubitus dorsal). Fonctions pulmonaires simples du 20.10.2017 : absence de trouble ventilatoire obstructif. • Traitement d'épreuve par Prednisone 20 mg pendant 7 jours avec bon effet sur les symptômes respiratoires. • Traitement par Seretide 250/50µg du mois de mai au mois d'août avec effet favorable sur la dyspnée. • ACT score du 15.05.2017 : 12 points • ACT score du 20.10.2017 : 23 points • Fin de prise en charge sur souhait du patient asymptomatique Hernie discale postéro-latérale gauche L1-L2 atraumatique avec déficit sensitif du membre inférieur droit Probable hypertrophie bénigne de la prostate Probable infection prostatite. Probable infection virale avec angine et rhinite. Explications aux parents qu'elle présente possiblement un début d'otite moyenne aiguë droite qui sera traité en première intention avec un traitement anti-inflammatoire. Contrôle chez la pédiatre dans 24h-36h pour évaluation du traitement et si nécessaire introduction des antibiotiques Probable infection virale en cours. Probable ingestion de corps étranger Probable insertion du tendon extenseur radial du carpe main G. Probable insuffisance rénale chronique Coronaropathie avec : • FRCV : HTA, dyslipidémie, adipositas, ancien tabagisme avec 30 UPA, anamnèse familiale positive • coronarographie le 03.03.2017 : angioplastie de la Rcx et postéro-latérale (possible responsable de l'angor). Implantation de 2 stents actifs. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 65 %. • Aspirine cardio à vie ; Clopidogrel pour 6 mois Carcinome bronchique • s/p lobectomie du lobe moyen le 18.11.2016 Polyarthrite séronégative • ED 02.2002 • Suspicion d'arthropathie microcristalline (chondrocalcinose) (US genoux, épaule) (Rx mains, pieds ddc) 01.2016 • traité par MTX de 10.2007 à 08.2014 (stoppé en raison d'une altération biologique) ; corticostéroïdes depuis 2002 ; Arava de 12.2016 à 04.2017 (remplacé par Actemra, plus efficace en cas de vasculite des gros vaisseaux) Gonalgies chroniques droites • s/p prothèse totale de genou droit 08.2016 Douleurs membre inférieur gauche post-traumatique Ostéoporose induite par glucocorticostéroïde Asthme Hypothyroïdie substituée Lombosciatalgies chroniques droites • IRM lombaire 07.2014 : pseudospondylarthrose L3/L4, tassement vertébral L3 • IRM lombaire 12.2016 : lésions dégénératives de L3/L4, sténose subtotale canal lombaire L2-4 et compression foraminale L5 droite • Infiltration péri-radiculaire L4/5 droite le 21.12.2016 avec Kenacort 40 mg Prochaine infiltration prévue le 24.05.2017, au cabinet de Dr. X Probable intoxication alimentaire le 12.12.2018. Diagnostic différentiel : gastro-entérite virale, pancréatite débutante. Probable intoxication alimentaire le 26.12.2018 avec malaise vagal. Probable laryngite virale Probable lésion du ménisque externe genou D, le 02.12.2018 Probable lithiase rénale droite à 28 2/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente 2-gestes 1-pare de 26 ans. Probable maladie de Sever. On prescrit donc de la physiothérapie à but antalgique et du stretching du tendon d'Achille. On montre comment faire le stretching du tendon d'Achille que le patient doit faire lors des activités sportives et durant la journée. On conseille de mettre de la glace avant et après l'activité sportive pour réduire les douleurs. Administration d'Algifor possible en cas de fortes douleurs. On le revoit dans 6-8 semaines. Probable maladie du sinus le 12.12.2018 • pauses sinusales symptomatiques jusqu'à 10 secondes Probable maladie du sinus le 12.12.2018 • pauses sinusales symptomatiques jusqu'à 4 secondes Probable maladie thrombo-embolique avec : • thrombose veineuse profonde avant-bras droit (avant 2000) • thrombose veineuse superficielle du membre supérieur droit en 2000 et 2012 • thrombose veineuse superficielle de la veine basilique du bras gauche en 2014 traité par Arixtra et Nitrés durant quelques semaines. État dépressif avec épisodes aigus en 2005, 2013 et octobre 2017 et plusieurs tentatives médicamenteuses, nécessitant une hospitalisation en milieu psychiatrique. Tabagisme actif. Psoriasis. Arthrose et chondrocalcinose du genou. Lombalgies chroniques. Hernie discale lombaire. Probable malaise vagal sans PC Probable méniscopathie interne du genou droit le 13.08.2014. Suspicion d'entorse du Chopar pied droit le 07.01.2016 Probable crise de goutte pied D le 23.03.2016 Probable MGUS mis en évidence le 08.11.2018 Probable migraine avec aura DD : AIT hémisphérique gauche peu probable Probable migraine avec aura le 31.12.2018 Probable migraine avec vomissements, phonophobie et photophobie. Probable onychomycose pied ddc Probable ostéoporose. Probable ostéoporose fracturaire. Probable ostéoporose fracturaire (IRM faite à Düdingen par Dr. X) Spondylolisthésis L5-S1 avec sténose (infiltration épidurale le 14.02.2018) Probable ostéoporose • laboratoire le 30.11.2018 : 25OH-Vitamine D2-3 44 nmol/l, Ca2+ 2.13 mmol/l, phosphatase alcaline 72 UI/l, PTH norme Probable otite congestive débutante à gauche. DD : dysfonction tubaire. Probable ouverture de la bourse olécrânienne sur plaie coude gauche. Probable pancréatite aiguë d'origine indéterminée (1er épisode). Probable passage de calcul rénal gauche le 04.12.18. Probable passage de lithiase vésiculaire avec : DD : médicamenteux • douleur de l'hypocondre droit intermittente actuellement résolue • Clinique 06.12.2018 : ictère cutané et conjonctival, douleurs spontanées hypochondre droit depuis 2j (disparues le 7.12), Murphy nég • Labo 06.12.2018 : Ph.Alc. 312, GOT 76, GPT 48, GGT 107, bili totale 26.1 Probable périostite tibia droit le 16.11.2013. Statut post thyroïdectomie partielle pour kyste en 2010. Douleurs thoraciques gauche de probable origine musculo-squelettique. Dermo-hypodermite pavillon et lobule oreille droite le 18.10.2015. Probable perturbation des tests hépatiques sur foie de stase Probable PID chez une patiente de 27 ans, 2 gestes 2 pares Probable pneumonie atypique Probable pneumonie atypique 22.12.2018 • statut post traitement antibiotique en novembre. Probable pneumonie basale droite le 11.12.2018 DD : tumoral Probable pneumonie basale gauche à Streptococcus pneumoniae le 03.12.2018 : • chez patient connu pour bronchites chroniques DD : surinfection bronchique, IVRS au décours Probable pneumonie d'aspiration le 22.12.2018 avec • insuffisance respiratoire hypoxémique Probable pneumonie de broncho-aspiration le 22.11.2018 Probable polyneuropathie en relation avec la maladie critique Probable prostatite le 22.12.2018. Probable pyélonéphrite gauche le 16.12.2018. Probable pyélonéphrite le 14.12.2018 DD : douleurs ovariennes. Probable réaction allergique Probable récidive de cholécystite le 13.12.2018 avec : • patiente hospitalisée pour une cholécystite avec passage de lithiase dans un contexte de cholécystothiase du 05.12.2018 au 11.12.2018 Probable reflux gastro-œsophagien le 08.05.2015 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 probablement pré-rénale le 08.05.2015 Statut post cure de varices Statut post opération de kyste de la main G Héparine-Induced Thrombocytopénie (HIT) le 20.05.2015 avec : DD : • ITP auto-immune • purpura post-transfusionnel • nadir du taux de thrombocytes à 16 G/L • taux de thrombocytes à 209 G/l le 25.06.2015 à la sortie Arrêt héparine, sintrom, introduction d'Argatroban Traitement par IVIG les 24 et 25.05.2015 Réintroduction du Sintrom le 26.05.2015 Mycose sous le sein gauche le 23.06.2015 Toux sub-aiguë probablement sur prise de lisinopril Malaise avec PC d'origine indéterminée le 11.11.2015 DD malaise vaso-vagal, trouble du rythme Probable reflux gastro-oesophagien sévère, DD oesophage de Barrett. Probable reflux gastro-oesophagien sous IPP Ostéoporose et hypovitaminose D substituée Troubles de la marche depuis 24.12.2017 DD: dénutrition, contexte infectieux, métastases cérébrales (infirmées), (poly)neuropathie sur chimiothérapie Hémochromatose AOMI jamais investiguée Hypercholestérolémie Sténose importante de l'artère rénale droite, légère sténose de l'artère rénale gauche (objectivée au CT du 19.10.2018) • Pas de prise en charge particulière des sténoses des artères rénales vu absence d'hypertension réfractaire ou d'insuffisance rénale. Contrôle angiologique pour bilan AOMI en ambulatoire - patient sera convoqué Carcinome épidermoïde de l'œsophage moyen stade cT2 à 3 N0 M0 • date du diagnostic : 19.10.2017 • histologie (Promed P2017.12578) : carcinome épidermoïde de la muqueuse oesophagienne du tiers moyen. • status post-oeso-gastro-duodénoscopie du 19.10.2017 : masse tumorale à 27 cm des arcades dentaires sténosante et circonférentielle. • OGD avec mise en place d'une sonde d'alimentation le 23.10.2017 : tumeur oesophagienne sténosante circonférentielle de 27 à 32 cm des arcades dentaires. Echo-endoscopie pas possible au vu de la sténose sévère. Mise en place d'une sonde d'alimentation naso-duodénale. • CT thoraco-abdominal du 20.10.2017 : épaississement tumoral irrégulier de la paroi de l'œsophage distale sans adénopathie satellite et sans lésion d'allure métastatique secondaire à distance. • PET CT du 07.11.2017 : hypercaptation intense au niveau de l'œsophage moyen sans adénopathie ou métastase à distance • Facteurs de risque : tabagisme, consommation régulière d'alcool (environ 2 dl par jour) • Tumorboard de chirurgie viscérale du 25.10.2017 : radio-chimiothérapie néo-adjuvante suivie par une éventuelle résection chirurgicale. • status post-chimiothérapie par Carboplatine et Taxol combinée à une radiothérapie à titre néo-adjuvant du 23.11.2017 au 03.01.2018 (chimiothérapie arrêtée précocement pour une pneumonie basale droite fin décembre 2017) : très bonne réponse partielle au PET-CT • TB du 17.01.2018 : patient non opérable, radio-chimiothérapie à compléter, status post-reprise de radio-chimiothérapie par Carboplatine et Taxol du 23.01. au 19.02.2018 • Echec de pose de PEG, pose de GPR le 16.04.2018 Actuellement : pas d'évidence de progression tumorale, dilatations à répétition au vu d'une sténose oesophagienne, dernière le Péjoration de lombalgie chronique post effort • contexte de canal lombaire étroit dégénératif Probable résistance à l'insuline : • HbA1c à 6.2% Probable SAOS Probable scarlatine (suspicion clinique forte) Probable SIADH d'origine médicamenteuse (SSRI) avec : • hyponatrémie à 120 mmol/l Probable somatisation dans le contexte d'une fracture de l'aile droite du bassin datant du 14.12.2017 • douleurs chroniques peu systématisées • sensation de faiblesse de la jambe droite • tremblements intermittents • sensation d'une sorte de flux douloureux ascendant depuis le bassin, intéressant tout le torse antérieur • sensation intermittente de serrement au cou • consultations médicales multiples • patient déjà vu par le neurologue et rhumatologue du CHUV qui n'auraient rien trouvé. Probable somatisation dans le contexte d'une fracture de l'aile droite du bassin datant du 14.12.2017 sur chute de 80 cm • douleurs chroniques peu systématisées • sensation de faiblesse de la jambe droite • tremblements intermittents • sensations d'une sorte de flux douloureux ascendant depuis le bassin, intéressant tout le torse antérieur • sensation intermittente de serrement au cou • consultations médicales multiples • patient déjà vu par le neurologue et rhumatologue du CHUV qui n'auraient rien trouvé Probable surcharge pulmonaire suite à remplissage le 22.12.2018 Probable surdosage DD début d'une neurotoxicité au Fentanyl Probable surinfection cutanée 5ème doigt main gauche suite à piqûre de guêpe Probable surinfection de kyste de la racine dentaire numéro 17 le 29.12.2018. • Traitement de racine prévu au retour de vacances. Probable syndrome de Sudeck du membre inférieur droit le 28.12.2018 dans un contexte de : • Fracture du calcaneum le 21.10.2018 traitée conservativement par Vacoped jusqu'au 21.12.2018 (suivi à la Providence, Vevey) Probable syndrome du défilé des scalènes à gauche suite à une irritation musculaire en faisant du paddle • DD : lésion périphérique du plexus brachial gauche sur surélévation prolongée du bras gauche. Antécédent de STEMI avec pose d'un stent en 2013. Probable syndrome grippal avec gastro-entérite virale le 21.12.2018. Probable syndrome grippal débutant. Probable syndrome obésité-hypoventilation. Probable tendinite du coude gauche le 26.12.2018. Probable tendinite du jambier antérieur et tendon d'Achille à droite Probable lithiase salivaire G en 2017 Probable tendinite du long abducteur du pouce gauche. Occlusion du conduit auditif externe ddc (bouchons de cérumen) le 06.08.2016 poursuite du traitement par Cerumenol consultation ORL demandée antalgie Probable torsion/détorsion du testicule gauche Probable traumatisme crânio-cérébral le 15.12.2018 Probable traumatisme crânio-cérébral simple le 16.12.2018 Probable traumatisme du premier orteil pied D Probable trouble anxieux • suivi par Dr. X au centre psycho-social de Bulle. Troubles de conversion investigués en 2016 par Dr. X à Payerne. Probable trouble de l'adaptation avec réaction dépressive sous Wellbutrin Mme. Y du CPS. Migraine sous Topamax (suivie par Dr. X). Probable troubles anxio-dépressifs Probable troubles anxio-dépressifs Probable troubles cognitifs sur consommation d'alcool chronique. Bronchite chronique. Incontinence urinaire. Hypothyroïdie. Dyslexie. Glaucome débutant suivi par Dr. X. Kyste graisseux au niveau de l'auriculaire gauche. Probable tuberculose pleurale traitée le 13.02.2018 - suivi par Dr. X. Douleurs thoraciques respiro-dépendantes le 12.05.2018 sur suspicion de tuberculose traitée probable. Hématémèse récurrente sur : • épisodes de Mallory-Weiss. • reflux gastro-oesophagien grade B selon Los Angeles (OGD à l'Inselspital le 20.07.2010). • gastrite chronique avec éradication H. pylori en 2010. Cardiopathie hypertensive débutante : • ETT le 26.03.2012 : FEVG à 65 % avec bonne fonction contractile. Hémoglobinopathie : • drépanocytose hétérozygote (pas de crise vaso-occlusive) avec alpha-talassémie hétérozygote. • test effectué au laboratoire de l'Hôpital Cantonal d'Aarau (non datable selon le document mais plus de 10 ans). Troubles mixtes de la personnalité avec traits narcissiques et impulsifs (F61) : selon consilium psychiatrique du 20.06.2017. Consommation tabagique. Consommation problématique d'alcool, actuellement abstinent (F10). Consommation problématique de cannabis, actuellement abstinent (F12). Probable urolithiase droite. Probable vertiges périphériques paroxystiques bénins, 1er épisode avec • DD neuronite vestibulaire débutante • étourdissements déclenchés par la rotation de la tête • pas de nystagmus (Frenzel) • pas de déficit neurologique Probable vertiges positionnels paroxystiques bénins le 25.12.2018 Probable virose Probable virose de voies respiratoires supérieures Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire Rx de thorax : pas de foyer Traitement symptomatique Suivi par Dr. X Probable virose débutante (IVRS, GEA) Probablement dans le cadre inflammatoire Ad bilan ferrique à distance de l'épisode infectieux Probables AIT sylviens G à répétition le 14.12.2018 d'origine indéterminée DD : Artério-artériel, Cardio-embolique • Symptomatologie : Hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural D. Dysarthrie. • NIHSS à l'admission à 2. NIHSS à 24h à 2, NIHSS de sortie à 1. • Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 14.12.2018 au 15.12.2018, puis non monitoré du 15.12.2018 jusqu'au 18.12.2018, date de son retour à domicile. • Aspirine 100 mg/j et Plavix 75 mg/j pendant 1 mois, puis Plavix seul au long cours. • Introduction d'Atorvastatine 40 mg/j • Consultation neurovasculaire de contrôle le 18.03.2019 à 16h00 avec examen neurosonologique de contrôle. Suspicion de neuropathie ulnaire D le 14.12.2018 Status après trois hernies discales, opérées en 1999 et 2012. Greffe cornée droite en 2016. Ancien syndrome post-ménopausique, traité par Estradot-Matrixpflaster 75µg/24h. Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale et possiblement pré-rénale le 05.01.2017, résolue le 07.01.2018 Infection urinaire basse le 05.01.2018 traitée par Ciprofloxacine puis Augmentin. Décompensation cardiaque légère le 10.01.2018 sur arrêt du traitement diurétique dans un contexte infectieux : • Reprise Torem habituel le 10.01.2018 Appendicectomie en 1941. Probables céphalées de tension occipitales droites • DD : migraine. Probables céphalées de tension. DD : Syndrome grippal débutant avec céphalées, vertiges orthostatiques, épigastralgies. Probables céphalées de tension. Diagnostic différentiel : sinusite frontale. Probables condylomes accumulés du pénis. Probables tendinites du muscle sus-épineux, du muscle sub-scapulaire et tendon du long chef du biceps brachial le 29.12.2018. Probablisch chronische Niereninsuffizienz (Kreatinin 119 umol/l am 04.12.18, 132 umol/l am 14.08.18) Probablisch mittellapen Pneumonia • mit Atelektase DD pleuraerguss • Chronische lymphatische Leukämie (sehe unter) • CRP 100 Problématique sociale • non-compliance médicamenteuse • consultations aux urgences et hospitalisation à répétitions (13 x en 2018). • signalée à la justice de paix (Tavel) Problématique sociale • non-compliance médicamenteuse • consultations aux urgences et hospitalisation à répétitions (13 x en 2018). • signalement à la justice de paix, rendez-vous le 27.11.2018. problème cardiaque : suivi par Dr. X Holter 24h effectué en attente des résultats Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dentaire. Problème dermatologique. Problème dermatologique. Problème dermatologique. Problème gynécologique. Problème mèche ballonnet nasal. Problème ophtalmique. Problème ophtalmique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmologique. Problème ophtalmolpogique. Problème PEG Problème Rhino-Rapid. Procéder : après désinfection avec Octenisept et anesthésie par Rapidocaïne 1%, exploration de la plaie -> absence corps étranger visualisé. Pose de 5 points avec fils 5-0. Ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant ou par l'infirmière de la famille. Antalgie Prochain contrôle : 14.1.2019 Prochain contrôle : infiltration le 22.01.19 Prochain contrôle : 10.12.2018 Prochain contrôle : 11.2.2019 Prochain contrôle : 11.3.2019 Prochain contrôle : 12.12.2018 Prochain contrôle : 13.5.2019 Prochain contrôle : 16.9.2019 Prochain contrôle : 17.12.2018 Prochain contrôle : 19.12.2018 Prochain contrôle : 20.12.2018 Prochain contrôle : 21.1.2019 Prochain contrôle : 23.1.2019 Prochain contrôle : 25.2.2019 Prochain contrôle : 28.1.2019 Opération réservée pour le 5.2.2019 Prochain contrôle : 30.4.2018 Prochain contrôle : 4.3.2019 Prochain contrôle : 7.1.2019 Prochain contrôle : 8.10.2018 Prochain contrôle à ma consultation le 30.01.2019. Prochain contrôle à une année post-opératoire Prochain contrôle au mois d'août Prochain contrôle au team membre supérieur le 19.02.2019. Prochain contrôle au team pied. Prochain contrôle avec CT cérébral le 27.12.2018 Prochain contrôle avec CT le 06.12.2018 Prochain contrôle avec IRM cérébrale le 22.01.2019 Prochain contrôle avec IRM cervicale le 08.01.2019 Prochain contrôle avec IRM dorsolombaire le 15.01.2019 Prochain contrôle avec IRM le 27.03.2019. Prochain contrôle avec IRM lombaire le 06.12.2018 Prochain contrôle avec IRM lombaire le 08.01.2019 Prochain contrôle avec IRM lombaire le 20.12.2018 Prochain contrôle avec IRM lombaire le 27.12.2018 Prochain contrôle b-HCG dans 1 semaine. Si douleur pelvienne forte et localisée, la patiente va nous contacter en urgence. Prochain contrôle cardiologique chez Dr. X. Rendez-vous en angiologie chez Dr. X le 28.01.2018 à 9h15, pour un bilan dans le contexte des EP, du filtre cave et des OMI. Prochain contrôle chez Dr. X le 07.02.2019 Prochain contrôle chez gynécologue traitant pour US 1er trimestre. Monuril 3 gr dose unique (au vu bacteriurie + grossesse) Uricult à répéter lors du prochain contrôle. Prochain contrôle chez le Dr. X (dermatologue) dans 2 mois Si la perte de poids persiste, nous vous proposons d'organiser un scanner à la recherche d'une néoplasie. Nous vous proposons également de réorganiser des fonctions pulmonaires à distance afin d'évaluer l'évolution de la BPCO Prochain contrôle chez le médecin traitant le 17.12.2018, la patiente a été instruite de reconsulter en cas de signes de gravité. Prochain contrôle chez moi dans six semaines. Prochain contrôle chez votre consultation selon RDV. Primperan 10 eR 3x/j max Elevit Prochain contrôle clinique dans 3 semaines le 9.1.2019. Prochain contrôle clinique et échographique après les prochaines règles dans votre cabinet. Acide folique pour 3 mois sur demande de la patiente. Contrôle endocrinologique pour fonction thyroïdienne en janvier 2019 comme prévu. Prochain contrôle clinique le 03.01.2018. Prochain contrôle clinique le 04.01.2019. Prochain contrôle clinique le 07.01.2019. Prochain contrôle clinique le 08.01.2019. Prochain contrôle clinique le 08.02.2019.Prochain contrôle clinique le 14.03.2019. Prochain contrôle clinique le 15.01.2019. Prochain contrôle clinique le 16.01.2019. Prochain contrôle clinique le 17.01.2018. Prochain contrôle clinique le 17.01.2019. Prochain contrôle clinique le 18.01.2019. Prochain contrôle clinique le 21.01.2019. Prochain contrôle clinique le 30.07.2018. Prochain contrôle dans le courant de l'année 2019 Prochain contrôle dans un mois le 9.1.2019. Prochain contrôle dans une année Prochain contrôle dans une année avec IRM Prochain contrôle dans 1 an Prochain contrôle dans 2 ans. Prochain contrôle dans 2 mois Prochain contrôle dans 3 mois qu'elle annulera si l'évolution est favorable. Prochain contrôle dans 3 semaines à ma consultation le 4.1.2019. Prochain contrôle dans 6 semaines. Prochain contrôle d'ici 3 semaines (28.12.18) pour un contrôle clinique. Prochain contrôle en angiologie (merci de convoquer la patiente) Prochain contrôle le 18.03.2019 Prochain contrôle en angiologie (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle en décembre 2019. Prochain contrôle en février 2019. Prochain contrôle en juillet 2019 Prochain contrôle en mars 2019. Prochain contrôle en octobre 2019 Prochain contrôle en septembre 2019 Prochain contrôle et IRM le 25.02.2019. Prochain contrôle évolutivité le 10.12.2018 chez votre consultation. Utrogestan 200 2x/j AT 100 % jusqu'au 10.12.2018. Traitement selon résultats frottis bactériologie vaginale. Prochain contrôle fin février 2019 Prochain contrôle le 01.02.19. Prochain contrôle le 01.02.2019. Prochain contrôle le 01.03.19. Prochain contrôle le 01.03.2019. Prochain contrôle le 03.01.2019. Prochain contrôle le 03.05.2019. Prochain contrôle le 04.01.2019. Prochain contrôle le 04.02.2019. Prochain contrôle le 04.03.2019. Prochain contrôle le 05.04.2019. Prochain contrôle le 05.06.2019. Prochain contrôle le 05.07.2019. Prochain contrôle le 06.02.2018. Prochain contrôle le 06.02.2019. Prochain contrôle le 06.03.2019. Prochain contrôle le 06.03.2019 suite IRM du 13.12.18 Prochain contrôle le 06.06.2019. Prochain contrôle le 06.12.2019. Prochain contrôle le 07.01.2018. Prochain contrôle le 07.01.2019. Prochain contrôle le 07.01.2019 à Meyriez. Prochain contrôle le 07.02.2019. Prochain contrôle le 07.03.2019. Prochain contrôle le 07.06.19. Prochain contrôle le 08.01.2019. Prochain contrôle le 08.02.19. Prochain contrôle le 08.02.2019. Prochain contrôle le 08.05.2019. Prochain contrôle le 08.07.2019. Prochain contrôle le 09.01.2019. Prochain contrôle le 10.01.2019.Prochain contrôle le 10.01.2019 Prochain contrôle le 10.01.2019. Prochain contrôle le 10.01.2019 après CT du jour. Prochain contrôle le 10.02.2019. Prochain contrôle le 10.04.2019. Prochain contrôle le 11.01.2019. Prochain contrôle le 11.01.2019 avec IRM le jour même. Prochain contrôle le 11.01.2019 team genou. Prochain contrôle le 11.02.2019. Prochain contrôle le 11.03.2019. Prochain contrôle le 11.04.2019. Prochain contrôle le 12.03.2019. Prochain contrôle le 12.04.2019. Prochain contrôle le 12.06.2019. Prochain contrôle le 12.12.2018. Prochain contrôle le 13.02.2019. Prochain contrôle le 13.02.2019 suite ENMG du 05.02.2019. Prochain contrôle le 13.03.2019. Prochain contrôle le 14.01.2019 après IRM. Prochain contrôle le 14.03.2019. Prochain contrôle le 14.06.2019. Prochain contrôle le 14.12.2018 dans votre consultation pour contrôle post-partum. Prochain contrôle le 15.01.2019 après IRM lombaire du jour. Prochain contrôle le 15.01.2019 avec IRM. Prochain contrôle le 15.02.2019. Prochain contrôle le 15.03.2019. Prochain contrôle le 16.01.2019. Prochain contrôle le 17.01.2019. Prochain contrôle le 17.05.2019. Prochain contrôle le 17.06.2019. Prochain contrôle le 17.12.2018 après IRM du 14.12.2018. Prochain contrôle le 18.01.2019. Prochain contrôle le 18.02.2019. Prochain contrôle le 18.12.2018 après CT lombaire du jour Poursuite du bilan d'ostéoporose. Prochain contrôle le 18.12.2018 après IRM lombaire du jour. Prochain contrôle le 19.12.2018. Prochain contrôle le 20.02.2019. Prochain contrôle le 20.03.2019. Prochain contrôle le 20.12.2018. Prochain contrôle le 21.01.2019. Prochain contrôle le 21.02.2019. Prochain contrôle le 21.03.2019. Prochain contrôle le 21.12.2018. Prochain contrôle le 22.01.2019, également avec le Professeur Gautier Infiltration pré-réservée pour le 22.01.2019. Prochain contrôle le 22.02.2019.Prochain contrôle le 22.03.2019 Prochain contrôle le 22.05.2019 Prochain contrôle le 23.01.2019 Prochain contrôle le 24.01.2018. Prochain contrôle le 24.01.2019. Prochain contrôle le 24.04.2019. Prochain contrôle le 24.05.2019 Prochain contrôle le 24.06.2019. Prochain contrôle le 25.01.19. Prochain contrôle le 25.01.2019 Prochain contrôle le 25.01.2019 avec CT OP pré-réservée pour le 10.04.2018 Prochain contrôle le 25.02.2019. Prochain contrôle le 25.03.2019. Prochain contrôle le 26.04.2019 Prochain contrôle le 27.02.2019. Prochain contrôle le 27.06.2019 Prochain contrôle le 27.12.2018. Prochain contrôle le 27.12.2019 Prochain contrôle le 28.01.2019. Prochain contrôle le 28.03.2019 Prochain contrôle le 28.12.2018. Prochain contrôle le 29.01.2019 Prochain contrôle le 29.03.2019. Prochain contrôle le 30.01.2018. Prochain contrôle le 30.01.2019. Prochain contrôle le 30.01.2019. Prochain contrôle le 30.01.2019 suite infiltration du 04.12.2018. Prochain contrôle le 31.01.2019. Prochain contrôle le 31.01.2019 à 15h30 Prochain contrôle radio-clinique à 1 an de la fracture. Prochain contrôle radio-clinique à 1 année du traumatisme. Prochain contrôle radio-clinique dans 3 semaines. Prochain contrôle radio-clinique dans 4 semaines en France. Prochain contrôle radio-clinique dans 6 semaines. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 17.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 19.12.2018. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 28.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique hors plâtre le 28.12.2018. Prochain contrôle radio-clinique le 04.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 05.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 07.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 07.02.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 07.12.2018. Prochain contrôle radio-clinique le 08.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 09.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 10.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 11.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 13.03.2019 (à 6 mois de la fracture). Prochain contrôle radio-clinique le 14.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 16.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 17.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 18.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 22.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 24.01.2019. Prochain contrôle radio-clinique le 25.01.2019. Prochain contrôle selon évolution Prochain contrôle 13.03.2019 Prochain contrôle 15.03.2019 Prochain contrôle 30.01.2019 Prochain CT thoracique le 11.02.2019 Prochain rendez-vous en oncologie prévu les 17 et 18.12.2018 à Riaz Prochain rendez-vous le 03.01.19 en oncologie Prochaine chimio prévue le 10.01.2019 Prochain rendez-vous en oncologie le 28.12.2018. Prochaine consultation dans une année. Prochaine consultation fin mars 2019.Prochaine consultation le 05.06.2019 Prochaine consultation le 06.02.2019 Prochaine consultation le 10.01.2019. Prochaine consultation le 11.02.2019 Prochaine consultation le 11.04.2019 Prochaine consultation le 13.02.2019 Prochaine consultation le 14.03.2019. Prochaine consultation le 15.03.2019. Prochaine consultation le 16.01.2019 Prochaine consultation le 20.03.2018 Prochaine consultation le 20.03.2019 Prochaine consultation le 21.03.2019. Prochaine consultation le 22.02.2019. Prochaine consultation le 25.01.2019. Prochaine consultation le 28.12.2018 Prochaine consultation le 29.03.2019. Prochaine consultation le 30.01.2019 Prochaine consultation le 31.01.2019. OP le 19.02.2019. Prochaine consultation printemps 2019. Prochaine consultation 01.03.2019. OP le 26.03.2019. Prochaine dialyse le 04.12.2018 Prochaine dose de Aclasta prévue le 28.12.2018 à 10h Hôpital de Jour HFR Riaz. Contrôle clinique et biologique chez médecin traitant dans 7 à 10 jours. Colonoscopie en ambulatoire. Prochaine radiothérapie le 09.01.2019 à 11h au HFR Fribourg (Dr. X) Le 11.01.2019: prise de sang à 14h30 au HFR pour CT thoraco-abdo (à jeûn dès 11h) Rendez-vous en oncologie chez le Dr. X le 14.01.2019 à 14h30 Prochains rendez-vous et suivi biologiques organisés à Payerne Suivi oncologique à Payerne par Dr. X Proctite le 18.12.2018 Procto Synalar Profil glycémique à J3 HGPO à 3 mois Profil glycémique à J3 HGPO dans 3 mois. Profil quotidien de la glycémie Profil tensionnel Bilan de gestose négatif Rapport prot/créat négatif Protéinurie sur 24h à 0.08g/24h Rapport SFLT1/ PIGF à 54-> risque élevé de faire une pré-éclampsie dans les 4 semaines Profil tensionnel normal Bilan HELLP/pré-éclampsie: négatif Protéinurie sur 24h: négatif Rapport sFLT1/PIGF: 145 -> PE aiguë ou imminente Maturation pulmonaire par cure de Celestone les 01 et 02.12.18 Dalacin 900mg iv en ordre unique Profil tensionnel normalisé au post-partum Bilan de gestose négatif Profil tensionnel élevé Profonde plaie de arcade sourcilière gauche, de 4cm longueur Progression du cancer prostatique avec une masse rétropéritonéale de 5 x 3 cm, adénopathies iliaques internes, para-aortiques multiples et hydronéphrose bilatérale et métastases osseuses multiples (L1, humérus droit, côtes bilatérales, calotte crânienne): • Adénocarcinome de la prostate cT3b cNo cMo, Gleason 9 (4+5) avec radiothérapie du 07.01.2015 au 27.02.2015 avec hormonothérapie débutée novembre 2014. Progression d'une échinococcose alvéolaire, épiploïque et pulmonaire, sous traitement avec Vermox • Diagnostic en 05/2018 • Zentel 400mg 2x/J, puis à dose réduite 05.-08.2018 • Vermox 1000mg 2x/J, puis 500mg 2x/J 08/18, stoppé en 11.18. Reprise le 26.11.2018 Vermox 1000mg 2x/j Progression métastatique osseuse au niveau du fémur gauche le 23.12.2018 Stabilisation par clou PFNA long fémur G à but prophylactique (OP le 04.12.2018) Projet social à réévaluer. Suivi des glycémies et adaptation du traitement. Prolapsus génital total C4H3R2, chez Mme. Y de 59 ans, 3 gestes 1 pare Prolapsus hémorroïdaire avec saignement taris spontanément (Stade III) Prolapsus muqueux péri-anal avec incontinence anale: • bilan endoscopie en vue d'une pexie. Prolapsus total C2R1V2, avec incontinence urinaire d'effort, chez Mme. Y de 66 ans 3 gestes 3 pares Prolapsus utérin opéré en 2006 (Murten) 2 opérations de la vessie HFR et la 2ème Dr. X AVC (DD crise conversive) à l'âge de 23 ans au Portugal avec séquelles neuropsychologiques: mémoire, concentration • IRM neurocrâne native et injectée en 2012: dans les limites de la norme Prolene 6-0 x2 Désinfection Ablation des fils dans 5 jours Pronation douloureuse coude gauche Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl et Gentamycine IV en per partum selon protocole Provocation par Misodel le 20.12.2018 Travail soutenu par Syntocinon Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV pour portage Streptocoque B Syntocinon 20UI en post-partum pour accouchement rapide Suites de couches Prophylaxie antibiotique par Clamoxyl IV selon protocole Prophylaxie antithrombotique par Clexane pour 4 semaines. Ablation du Comfeel et des steristrips à 2 semaines à la policlinique d'orthopédie. Contrôle à la consultation du Dr. X à 4 semaines post-opératoires. Prophylaxie antithrombotique par Xarelto 10 mg jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 (ou avant si perte d'étanchéité) chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie du SNC par Méthotrexate dans le cadre d'un lymphome à cellules B • Prophylaxie hépatite B en raison d'une infection active chez la mère • Prophylaxie par Fragmin 7500U/j lors de la grossesse • Anticoagulation par Fragmin 15000U/j pour 3 semaines puis 7500U/j pour 3 semaines • Prophylaxie par 20UI de Syntocinon • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg s.c. 1x/j pour 3 semaines. Contrôles intermédiaires et ablation des Stéristrips à J10 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j pour 3 semaines. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14. Contrôle clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 20 mg 1x/j sc pour 3 semaines. Contrôles intermédiaires et ablation des agrafes à J10 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc 1x/j pendant 6 semaines. Contrôles réguliers des plaies avec réfection régulière du pansement (3x/semaine). Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg sc/jour jusqu'au 15.12.2018, puis reprise du Xarelto. Contrôle à la consultation du Dr. X le 17.12.2018 à 16h15. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j durant 6 semaines minimum ou jusqu'à la charge complète hors plâtre. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Bilan tensionnel à distance et adaptation du traitement par le médecin traitant. Contrôle radio-clinique 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Plâtre Geisha amovible. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X le 07.01.2019. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle radio-clinique à 8 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers de la plaie avec ablation des fils à J14 et mise en place d'un plâtre fermé à la consultation du Dr. X. Redoxon retard 500 mg 1x/j pour 50 jours post-op. Contrôle radio-clinique à 8 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j pour 8 semaines ou jusqu'à charge complète. Contrôles réguliers des plaies par l'infirmière des soins à domicile. Ablation des fils à J15 et mise en place d'un plâtre fermé à la consultation du Dr. X. Contrôle radio-clinique à 8 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. Suivi de la kaliémie et adaptation du traitement par le médecin traitant. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à la charge complète. Contrôle de plaie le lundi 03.12.2018 puis suivi hebdomadaire en diabétologie, ablation des fils le 05.12.2018 par le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à la reprise de l'Eliquis qui sera évaluée par le médecin traitant le 03.12.2018. Contrôles réguliers de la plaie opératoire, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies au travers des pansements Comfeel qui sont à enlever à J14, ablation des fils à cette échéance. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pour 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers des plaies et ablation des fils à J14 chez le pédiatre. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. Le patient sera revu à la consultation du Dr. X le 12.12.2018 avant l'intervention chirurgicale cheville D le 14.12.2018. • Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sus-cut. jusqu'à 3 mois postopératoires. Réfection régulière du pansement et ablation des fils dès J14 selon état cutané. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 et 12 semaines postopératoires. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 2 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de plaie, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle à la consultation du Dr. X à 3 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 chez le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. A planifier selon histologie peropératoire du 28.11.2018 (rapport en attente), une synoviorthèse entre 4 et 6 semaines par le service de rhumatologie, respectivement de radiologie. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 par le médecin traitant; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôles réguliers de la plaie opératoire, ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Suivi du programme ERAOS. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j pendant 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie à travers le pansement Comfeel avec ablation de celui-ci à J14 ou avant en cas de perte d'étanchéité. Ablation des fils à J14. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. • Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j pour 6 semaines. Contrôles réguliers de la plaie. Pas d'ablation de fils nécessaires; fils résorbables. Contrôle radio-clinique à 6 semaines postopératoires à la consultation du Dr. X. Proposition de colonographie à réaliser en ambulatoire. Proposition de consultation gynécologique, la patiente prendra contact avec son gynécologue. Proposition de suivi psychologique, la patiente verra avec son médecin traitant. Numéro du CPS remis à la patiente. Proposition de consulter son orthopédiste/médecin traitant si persistance ou péjoration des douleurs. Proposition de contrôle scannographique à 3-6 mois. • Proposition de recherche le sang occulte dans les selles en ambulatoire • Bilan d'anémie à prévoir en ambulatoire. Proposition de reconsulter en cas de péjoration/troubles visuels. Proposition de suivi en psychiatrie: contacts donnés à la patiente La patiente sera convoquée en neuropsychosomatique à Berne (Dr. X) Poursuite de la physiothérapie ambulatoire. Proposition de suivi psychologique. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Confronter la clinique avec la prise de sang du médecin traitant, respectivement contrôle des tests hépatiques et TSH si pas déjà effectuée. Proposition de surveillance cardiorespiratoire à Payerne qui a une place pour son hospitalisation. Refus des parents. Retour à domicile. Proposition de thérapie avec traitement positif automatique (APAP) pour la composante obstructive ou CPAP avec pression fixe pour la composante centrale. Proposition d'effectuer un ultrason abdominal en ambulatoire et un suivi chez le médecin traitant. Proposition du port de bas de contention. Hydratation per os suffisante. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, ad discussion d'un éventuel bilan complémentaire. Arrêt de travail de 10 jours dans le contexte d'un surmenage évident. Proposition d'une ostéodensitométrie à distance que nous vous laissons le soin d'organiser. Propositions: • Suivi annuel des vitamines en ambulatoire. • Evaluer la substitution en vitamine D. Propositions: • Movicol et Laxoberon en réserve. • Hydratation per os. Propositions: • Substitution per os. Prostacycline IV dès le 22.10.2018. ECG-12 pistes le 18.10.2018. Radiographie thoracique le 18.10.2018. Prostatite aigu DD hyperplasie de la prostate avec vessie de lutte. • douleur suspubienne et pollakurie. • Stix et sédiment urinaire avec leucocytes ++, sang +++ et bactérie +. Prostatahyperplasie Grad II. • TURP 04/2016. • PSA Anstieg unter Nebido. Hypogonadotroper Hypogonadismus, Substitution mit Nebido 3x/Jahr seit 2007. Compound heterozygote Hämochromatose C 282 Z H 63 D (ED 09/2003 Inselspital). • mit assoziierter Arthropathie. • Serologies 11/2003: kein Nachweis einer Hepatitis A, B oder C. • Ultraschall Abdomen 07/2015: Keine Leberveränderungen abgrenzbar. • Echokardiographie 11/2003: keine Hinweise für eine Eisenüberladung. • rezidivierende Aderlasstherapie seit 11/2003. • begleitend Chondrokalzinose und Diabetes mellitus Typ 2. • Ziel: Hkt < 50%, Ferritin 50-100 µg/l. Intermittierende, sekundäre Polyglobulie (ED 10/2011). • DD im Rahmen einer Testosterontherapie oder bei bekanntem obstruktiven Schlafapnoesyndrom mit CPAP Therapie. • JAK2-Mutation: negativ. • Erythropoetinspiegel 6 UI/l. Chroniques douleur syndrome. • Chondrokalzinose im Bereich beider Kniegelenke. -- Status nach Meniskusoperation Knie links. • Hämochromatose. • Persistierendes schweres Schmerzsyndrom im Bereich der Hände. -- Tendovaginitis stenosans A1-Ringband Dig. III und IV beidseits, möglicherweise im Rahmen eines rheumatologischen Formenkreises. -- St.n. kortikosteroid Infiltrationen beidseits mit leichtgradiger Besserung. -- Karpaltunneloperation beidseits. • Morbus Forestier. • Chroniques Zervikovertebralsyndrom. -- Unkovertebralarthrose C3-C7. -- Aggravation durch einen stattgehabten Autounfall mit Commotio cerebri und Kieferverletzung 1972. • Myarthropathie der Kiefergelenke beidseits, möglicherweise im Rahmen eines Bruxismus CTS beidseits, St. n. CTS-Release beidseits. -- Verdacht auf lumbale Claudicatio bei grenzwertiger Spinalkanalstenose L4/L5 und Facettengelenksarthrosen L3/L4 sowie L4/L5 bds. -- St.n. BV gesteuerter Facettengelenksinjektion L3/L4 und L4/L5 rechts mit geringgradigem Erfolg. • St. n. Hospitalisation im HFR Tafers 18.07. - 26.07.2016. • Erfolgloser Therapieversuch mit Tegretol 2 x 100 mg 19.-26.07.2016, Oxycontin und Oxynorm. • unter Tramadol. Chroniques dépressive Entwicklung bei komplexer Persönlichkeitsstörung sowie schwierigen psychosozialen Verhältnissen. • St.n. schwerer Episode mit Hospitalisation 6-9/2011. • Ablehnende Haltung gegenüber psychiatrischer Betreuung. • unter Cymbalta 60 mg und Trittico 50 mg, Temesta bei Bedarf. Hypertensive Kardiopathie (ED 2003). • FVEF 65 %. • Kardiovaskuläre Risikofaktoren: Diabetes mellitus Typ 2, arterielle Hypertonie, Adipositas, Dyslipidämie. Schweres obstruktives Schlafapnoesyndrom (ED 2009) unter CPAP-Therapie. Metabolisches Syndrom. • Diabetes mellitus Typ 2 insulinpflichtig seit 7/1998; subjektiv Unverträglichkeit von Metformin. • Arterielle Hypertonie avec hypertensiver Kardiopathie. • Adipositas, Dyslipidämie. Prostatectomie pour troubles urinaires obstructifs sur phimosis en 05/2018. Insuffisance respiratoire hypoxémique d'origine mixte sur pneumonie bibasale et décompensation cardiaque le 06.03.2012. Décompensation cardiaque globale en 2007. Sepsis sévère sur colite ascendante et sigmoïdite à Campylobacter Jejuni le 05.10.2015. Pneumonie nosocomiale le 13.03.2017. Hématochézie le 01.03.2017 sur probable diverticulose sigmoïdienne. Ancien éthylisme chronique, abstinent depuis novembre 2015. Décompensation cardiaque à prédominance droite NYHA 3 sur Cardiopathie ischémique et rythmique le 20.06.2018. Insuffisance rénale AKIN I d'origine pré-rénale sur déshydratation le 28.08.2018 avec : • créatinine à 167 umol/l, urée 30 mmol/l. • FeUrée à 24.4 %. Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative, avec Hb 101g/l le 28.08.2018. Bilan d'anémie : réticulocytes dans la norme, ferritine dans la norme, TSH dans la norme, acide folique dans la norme, VitB12 excès. Prostatisme probablement sur hyperplasie bénigne de la prostate. Prostatite à E. Coli le 18.11.2018 dans un contexte de : • Urétrotomie pour double sténose serrée de l'urètre péno-bulbaire en 2016 et hyperplasie de la prostate grade 2, avec sonde urinaire à demeure. • Traitement par Nitrofurantoine jusqu'au 11.11.2018 pour infection urinaire, avec ablation de la sonde urinaire avant l'admission. Prostatite à E. coli sensible à la Ciproxine. • dans un contexte d'hypertrophie prostatique. Prostatite aigu. Prostatite aiguë et épididymite droite en 2016. Carcinome urothélial papillaire non invasif de bas grade traité par résection transurétrale de la vessie en 2010. Exérèse d'un lipome de la cuisse droite le 15.02.2016. Myosite de l'épaule droite opérée en 2000. Prostatite aiguë le 02.12.2018. Prostatite aiguë sans étiologie retrouvée le 31.12.18. Prostatite en juin 2016. Cataracte gauche. Cure d'hernie discale en 2005. Prostatite en 08.2012 traitée par Doxycycline. Prostatite le 13.12.18. Prostatite le 23.12.2018. Prostatites à répétition. Pyélonéphrite le 27.09.1942. Prostatites à répétition. Pyélonéphrite le 27.09.1942. Prostatites à répétition. Pyélonéphrite le 27.09.1942. Protamine 2500 UI le 27.11.2018. Céfuroxime le 27.11.2018 et le 29.11.2018. Drainage péricardique sous anesthésie locale le 27.11.2018 avec drain jusqu'au 29.11.2018. Reprise coronarographie le 27.11.2018: stent couvert sur la branche postéro-latérale de la CD. Echocardiographie les 27.11.2018, 28.11.2018, 29.11.2018 et 30.11.2018. Cultures du drain et du liquide péricardique: négatives. Contrôle échocardiographique à 2 semaines.Protéinurie à 1.31 g/l le 03.12.2018 • DD : sur néphropathie hypertensive Protéinurie (1.32 g/l) et glycosurie le 19.12.2018 • DD : néphropathie diabétique méconnue, néphroangiosclérose Prothèse de genou droite Prothèse de hanche droite Prothèse épaule droite Prothèse genou droit Infection à Staph aureus prothèse genou droit Hyponatrémie hypo-osmolaire sévère à 110 mmol/l d'origine multifactorielle le 08.01.2018 : • sur potomanie (4 l/jour), SIADH médicamenteux (Duloxetine, Quétiapine), sur Torasémide • avec possible crise d'épilepsie secondaire État confusionnel aigu, avec trouble de l'état de conscience et aphasie dans un contexte d'hyponatrémie sévère et sur probable crise d'épilepsie le 08.01.2018 • CT Time-is-brain le 08.01.2018 • Consilium neurologique le 08.01.2018 (Dr. X) Infection urinaire basse le 12.01.2018 Prothèse genou gauche en juillet 2016 Iléus grêle sur bride et hernie interne avec sténose inflammatoire du jéjunum distal : laparotomie exploratrice, adhésiolyse, section bride, entérectomie segmentaire avec anastomose latéro-latérale mécanique en urgence le 10.07.2010 Résection distale de la clavicule, acromioplastie et suture du tendon du muscle sus-épineux pour syndrome sous-acromial et arthrose acromio-claviculaire, 23.11.2006 Fundoplicature selon Nissen 1991 Cholécystectomie 1991 Hémi-thyroïdectomie en 1976 Hystérectomie avec annexectomie bilatérale en 1972 Mastectomie préventive bilatérale en 1990 : sœur décédée d'un cancer du sein à 47 ans et mère ayant eu un cancer du sein Prothèse totale de la hanche droite en octobre 2011 Cholécystectomie en 2010 Prothèse totale du genou gauche en 2006 Cure de tunnel carpien droit en 2002 Prothèse totale du genou droit en 1998 Cure de cataracte bilatérale en 1996 Hystérectomie et cystopexie en 1995 Cure de varices en 1995 Prothèse totale de genou gauche début mai 2018. Lombosciatalgie droite non déficitaire, le 26.06.2018. Prothèse totale de hanche droite le 14.06.2017 pour coxarthrose (Dr. X). Choc septique à E. coli dans un contexte d'agranulocytose fébrile le 13.06.2018 sur probable translocation digestive sur colite à clostridium. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 sur sepsis le 13.06.2018. Coagulation intravasculaire disséminée sur sepsis le 13.06.2018. Hématome thoracique droit après ponction sur le PAC le 13.06.2018. AVC ischémique aigu d'origine indéterminée au niveau du thalamus du côté gauche avec aphasie, apraxie et ptose labiale gauche le 13.06.2018. AIT en 2010 (hémisyndrome sensitif facio-brachio-crural droit). Neutropénie à 0.7 G/l le 21.08.2018. Thrombocytopénie à 93 G/l le 21.08.2018. Anémie à 85 g/l le 22.08.2018. Prothèse totale de hanche droite (4 opérations) Thrombose artérielle œil D Prothèse totale de hanche en novembre 2012 Prothèse totale de hanche en Orthopédie (HFR), mi-novembre 2012. Prothèse totale de hanche gauche en 2012 Cure de hernie discale L3-L4 G en 2005 Fracture des orteils II, III, IV et V droite, durant l'enfance Prise en charge après lombotomie droite pour une récidive d'abcès du muscle iléo-psoas droit sur le site d'un ancien hématome : • Pyélonéphrite bilatérale à E. coli multisensible • 1er drainage de l'hématome, 05/2017 • Lombotomie avec 2ème drainage de l'abcès du muscle ilio-psoas au CHUV le 25.06.2017 Prothèse totale de hanche gauche en 2012. Cure de hernie discale L3-L4 G en 2005. Fracture des orteils II, III, IV et V droite, durant l'enfance Prise en charge après lombotomie droite pour une récidive d'abcès du muscle iléo-psoas droit sur le site d'un ancien hématome : • Pyélonéphrite bilatérale à E. coli multisensible • sous Apixaban pour MTEV et status post embolies pulmonaires bilatérales en 2016 • 1er drainage de l'hématome, 05/2017 • Lombotomie avec 2ème drainage de l'abcès du muscle ilio-psoas au CHUV le 25.06.2017. • Antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j du 25.06.2017 au 03.07.2017. • Physiothérapie avec drainage lymphatique. • Transfert en rééducation musculo-squelettique à Estavayer-le-Lac le 18.07.2017 Prothèse totale de la hanche droite en 1994 (Dr. X, Clinique Ste-Anne, Fribourg) avec : • multiples épisodes de luxation postéro-supérieure de la prothèse totale de la hanche droite Résection iléo-caecale et confection d'une splitostomie iléon terminal le 07.11.2017 pour perforation caecale post-colonoscopie • laparotomie exploratrice et cure d'éviscération avec mise en place d'un filet intrapéritonéal le 17.11.2017 pour éviscération de la cicatrice de laparotomie • infection de la cicatrice de laparotomie avec colonisation à Candida Albicans • fermeture de splitostomie, débridement de plaie abdominale et pose de VAC sous-cutané le 05.03.2018 Iléus mécanique sur status adhérentiel le 09.01.2018 Infection urinaire le 07.03.2018 Prothèse totale de la hanche droite en 2008. Prothèse totale du genou gauche. Ostéotomie du genou gauche sur chondrocalcinose. Ostéosynthèse d'une fracture ouverte comminutive du tibia distal gauche le 19.01.2011. Contusion de la hanche droite en 03.2017. Cholangio-IRM le 13.11.2013. Cholécystectomie laparoscopique le 15.11.2013 (Dr. X). Fracture rotule gauche à son aile interne le 14.05.2017 chez un patient connu pour un statut post prothèse totale du genou gauche. Diverticulite sigmoïdienne le 28.11.2017 : • Stade IIB selon Hansen/Stock. Prothèse totale de la hanche gauche. Hernie inguinale droite indirecte. Cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein avec filet (Dr. X) en 2014. Implantation d'un stimulateur cardiaque double chambre Biotronik en 2013 sur décompensation cardiaque sur un bloc atrio-ventriculaire sans plus de précisions (dispositif IRM compatible sous réserve d'une modification temporaire de la programmation avant l'examen).Prothèse totale de la jambe gauche. Gastroscopie en décembre 2007 avec gastrite chronique et éradication H. pylori. Colonoscopie en décembre 2007 montrant la présence d'hémorroïdes internes sans autres anomalies. PSA en décembre 2010 à 0.80. Zona Territoire T3 gauche 23.12.2014. Insuffisance rénale (AKIN 1) aiguë le 20.12.2014 avec une clairance à 50 ml/min. Irritation de la plèvre pulmonaire droite le 24.10.2016. Prothèse totale des deux hanches. Résection transurétrale de la prostate. Status post-mastectomie gauche. Phéochromocytome surrénalien droit de 1 cm, avec surrénalectomie droite laparoscopique le 25.04.2014. Erysipèle 3ème orteil pied gauche sur mal perforant plantaire. Prothèse totale du genou droit en 2008 et genou gauche en 2012. Accident vasculaire cérébral ischémique en 2005. Cholécystéctomie en 1986. Prothèse totale du genou gauche le 21.11.2018 en ambulatoire, Dr. X à Nyon. Syndrome des loges en 2000 avec fasciotomie pré-tibiale gauche. Plastie du ligament croisé antérieur du genou gauche en 1998. Brûlures thermiques dans l'enfance avec cicatrices à la face antéro-interne des deux cuisses. Prothèse totale du genou gauche le 24.11.2015. Prothèse totale du genou droit le 20.10.2014 (HIB Payerne). Déchirure des ligaments de l'épaule droite suite à une chute accidentelle le 16.03.2015. Bronchite asthmatiforme le 04.07.2018. • patiente immunosuppressive dans contexte LLC sous Bactrim et Valtrex prophylactique • infections respiratoires à répétitions Insuffisance respiratoire partielle dans le contexte d'une infection pulmonaire à Haemophilus influenzae multi-résistant le 03.12.2013. Insuffisance respiratoire partielle sur infection des voies respiratoires à germe indéterminé le 11.11.2013. Infection des voies respiratoires à germe indéterminé le 22.10.2013. Colique néphrétique sur néphrolithiase à répétition: • Hématurie macroscopique à gauche sur persistance de néphrolithiase gauche de 6 mm, à 1 cm de la jonction urétéro-vésicale (CT scan du 01.04.2017). • Lithotripsie le 21.04.2015 • Néphrolithiases calicielles bilatérales (CT-scan du 20.08.2012) • Lésion d'aspect tissulaire de la corticale du rein gauche non évolutive (CT-scan du 24.11.2011 et du 20.08.2012). Colique biliaire sur cholélithiase (date non connue): • Cholecystectomie par laparotomie sous chondrale. Lymphangite du membre inférieur droit le 14.10.2011. Prurit généralisé avec lésions de grattage (diagnostic différentiel: paranéoplasique). Prothèse uni-compartimentale genou droit sur gonarthrose, le 27.11.2018. Protocole des soins palliatifs (carnet de santé) - Suivi Dr. X: Paracétamol 190 mg 4x/j Morphine retard (MST sachet à 20 mg): 14 mg x3/jour Morphine 4 mg jusqu'à 6x/j en réserve. Protocole insuline - Glucose à répétition. Protocole pansement fistule du 20.11.2018 : nettoyer avec NaCl et mettre mèche 3x/j. Protocole R-MTX du 10.12.2018 au 15.12.2018 avec substitution en acide folique et alcalinisation des urines: Taux de méthotréxate: H36 : 2.86 mM H60 : 0.15 mM H84 : 0.04 mM Neulasta 6 mg le 14.12.2018. Suivi oncologique (Dr. X): US pleural le 10.12.2018 (Dr. X, Dr. X): Pas d'épanchement pleural significatif visualisé. RAD le 15.12.2018 au matin. Prochains rendez-vous et suivi biologiques organisés à Payerne. Protocole urgence pour dyspnée et angoisse. Protrusion des implants dentaires en sous-muqueux dans la cavité nasale. Thrombopénie chronique (notion ancienne de purpura thrombopénique idiopathique). Lombalgie non-déficitaire sur ancien tassement L5. Tension artérielle labile le 05.09.2018. Cardiopathie valvulaire et ischémique avec: • status post RVAo (MitroFlow 25mm) par bioprothèse en 2009 : pas de fuite, sténose visuelle à l'arcographie. • remplacement bioprothèse aortique par bioprothèse avec annuloplastie mitrale et tricuspidienne suite à endocardite en 2013. • TAVI le 14.09.2017 (Clinique Cecil, Dr. X) suite à délabrement de bioprothèse dans un contexte d'insuffisance cardiaque aiguë. • coronarographie 11.08.2017 (Dr. X) : Multiples sténoses « en collier » de l'IVA distale; Lésion 40% ACD moyenne. • ETT du 18.09.2017 (Contrôle après TAVI): FEVG à 51%. • ETT 29.01.2018: FEVG à 60%. Extrasystoles ventriculaires symptomatiques. • Cordarone depuis novembre 2018. Protrusion discale postéro-latérale gauche à l'étage L1-L2, saillies dégénératives L3-L4, L4-L5: • connue pour hernie discale L5-S1 avec conflit S1 (sciatique à droite) en 2009. • IRM colonne lombaire du 27.09.2018 : pas de compression médullaire. Provocation de l'accouchement pour dépassement de terme. Provocation depuis le 18.12.2018 par Misodel, ballonnet, Propess, Syntocinon. Incision selon Pfannenstiel. Utérotomie transverse basse. Surjet intradermique à la peau. Pertes sanguines estimées à 500 ml. Suites de couches. Provocation et travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Provocation le 21.12.2018 par Propess pour suspicion de macrosomie. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Instrumentation par ventouse Kiwi. Suites de couches. Provocation par Misodel. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Provocation par Misodel. Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie. Utérotomie isthmique transverse basse. Surjet intradermique. Prophylaxie antithrombotique. Antibioprophylaxie par Cefuroxime 1.5g. Suites de couches. Provocation par Misodel le 16.12.2018. Suites de couches. Provocation par Misodel pour rupture prolongée des membranes. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Révision du col. Suites de couches. Provocation par Misodel pour terme dépassé. Antalgie par péridurale. Travail soutenu par Syntocinon. Suites de couches. Provocation par Misodel. Suite de couches. Provocation par Propess depuis le 03.12.18. Travail soutenu par Syntocinon. Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie. Utérotomie isthmique transverse basse. Surjet intradermique. Prophylaxie antithrombotique. Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g. Suites de couches. Provocation par Propess et Syntocinon pour cassure de la courbe de croissance. Incision selon Pfannenstiel sous anesthésie péridurale. Utérotomie isthmique transverse basse (PE 500cc). Surjet intradermique. Prophylaxie antithrombotique. Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g. Suites de couches. Provocation par Propess le 12.12.2018 puis RAM-LAC. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Provocation par Propess le 22.12.2018. Antalgie par Kalinox. Suites de couches. Provocation par Propess le 29.11.18. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Provocation par Propess le 29.11.2018. Travail soutenu par Syntocinon. Pertes sanguines estimées à 200 ml. Suites de couches. Provocation par Propess les 24.11 et 25.11.2018. Incision selon Pfannenstiel sous rachi-anesthésie. Utérotomie isthmique transverse basse Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Suites de couches Provocation par Propess pour désir maternel Provocation par Propess pour désir maternel et syndrome de la veine cave symptomatique Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Propess pour oligoamnios Antalgie par Kalinox Suites de couches Provocation par Propess pour rupture prolongée des membranes le 25.12.2018. Travail soutenu par Syntocinon. Antalgie par péridurale. Suites de couches. Provocation par Propess x2, Ballonet Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Propess x2 et ballonnet depuis le 16.12.2018 Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par Syntocinon et rupture artificielle des membranes Antalgie par Kalinox Suites de couches Provocation par Syntocinon le 26.11.2018 Antalgie par péridurale puis anesthésie générale Antibioprophylaxie par Céfuroxime 1.5g Incision selon Pfannenstiel sous AG Utérotomie isthmique transverse basse (PE 1000cc) Surjet intradermique Prophylaxie antithrombotique Suites de couches Provocation par Syntocinon Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches Provocation par 2x Misodel, Ballonnet dès le 06.12.2018 Suites de couches Provocation pour âge maternel. Provocation pour désir maternel Provocation pour DGIR Provocation pour diabète gestationnel insulino-requérant Provocation pour fatigue maternelle Provocation pour hypertension artérielle gravidique. Provocation pour hypertension artérielle labile Provocation pour oligoamnios Provocation pour RCIU Provocation pour suspicion de macrosomie. Provocation pour suspicion de RCIU et oligoamnios Provocation pour terme dépassé Provocation pour terme dépassé. Provocation Propess Antalgie par péridurale Suites de couches Prurit au niveau des deux jambes avec: • léger érythème, pas de chaleur ni autre signe infectieux Prurit avec lésions eczémateuses • DD : début d'un Morbus Grover • Exposition à la gale au home Prurit cholestatique avec lésions de grattage Prurit d'origine indéterminée Prurit d'origine indéterminée durant la grossesse. Prurit généralisé Prurit généralisé d'origine probablement médicamenteuse DD: autre origine Dernier épisode en 2015 d'origine exacte indéterminée, sous Co-Amoxicilline à ce moment-là Prurit le 25.12.2018. PSA le 07.12.2018 : 9.9 ng/ml Avis oncologique PSA 0.3 ng/ml le 04.12.2018 Pseudarthrose de l'odontoïde sur statut post fracture de l'odontoïde type II selon Anderson et d'Alonzo; chute dans les escaliers le 22.08.2018 Pseudarthrose du fémur proximal D. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse col du fémur à D par DHS 130°, 4 vis, 1 vis libre 4.5 le 13.06.2018 pour une fracture col du fémur D type Garden III. Pseudarthrose du tibia distal G sur : • Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse du tibia G (2 vis de verrouillage proximal et 2 vis de verrouillage distal d'un clou tibia externe) le 24.04.2018. • Status post réduction fermée et ostéosynthèse par clou centro-médullaire du tibia G le 16.12.2017. • Status post fracture spiroïde ouverte du tibia péroné G stade Gustilo I type AO-43-A1. Pseudarthrose d'une fracture pluri-fragmentaire déplacée du tiers-moyen de la clavicule G le 24.05.2018. Pseudarthrose sur fracture de la base de P1 D5 à D le 21.09.2018. Pseudarthrose sur statut post déhiscence de plaie chirurgicale tiers moyen tibia droit sur infection. Status post ostéosynthèse du tibia par plaque LCP 4.5 large le 19.08.2017. Pseudarthrose S4-Cx1 sur • Status post réduction ouverte et OS S4-Cx1-Cx2-Cx3 le 17.11.2017 sur instabilité post-traumatique Cx1-Cx2; chute datant d'octobre 2016. Pseudohyponatrémie à 120mmol/l hyperosmolaire 310 mOsm/l Pseudo-hyponatrémie à 128mmol/l le 30.11.2018. Pseudoparalysie de l'épaule D sur rupture chronique du sus-épineux épaule D avec rétraction du 3ème degré, atrophie musculaire du 2ème degré avec lésion des parties hautes du sous-épineux. Pseudovertiges dans un contexte de crise hypertensive Pseudovertiges d'origine indéterminée DD déshydratation, anxiété Psoriasis Psoriasis • anciennement traité par Methotrexate, arrêté suite à intolérance (nausées, vomissements, thrombopénie) Psoriasis cutané et unguéal • sous MTX Psoriasis en gouttes et en plaques Insuffisance veineuse chronique avec statut post opération varices et plusieurs thromboses, sous Sintrom Tabagisme chronique actif à environ 40 UPA Probable méningite herpétique le 12.12.2018 Valtrex 1000 tid du 17.12.18 au 07.01.19 puis ad 500mg bid sur une durée indéterminée Psoriasis. Hypercholestérolémie. Psoriasis. Hémorroïdes. Migraine. Psoriasis. SAS (le patient n'utilise pas le CPAP). Psychiatrie: Tentamen médicamenteux par Quétiapine et abus d'alcool le 22.03.2018 Perturbation des tests hépatiques en probable lien avec la consommation abusive d'alcool le 22.03.2018 Tentamen par intoxication médicamenteuse volontaire de Zopiclone le 06.09.2017 avec GSC initial à 10/15. Médecine interne: Sepsis sur infection de VVC à Serratia marcescens le 24.10.2013 traité par Tienam, Diflucan et Invanz. Insuffisance rénale chronique de stade III dans le cadre du sepsis avec normalisation de la créatinine par la suite. Bactériémie à Enterococcus faecium le 06.10.2013 traitée par Vancomycine, Diflucan et Tienam. Anémie normochrome normocytaire avec Hb à 74 g/l, traitée par transfusion de 2 CE et Ferinject. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'étiologie multifactorielle (atélectasie basale gauche, épanchement pleural gauche) le 27.08.2013. Syndrome extra-pyramidal et tremblement (DD : médicamenteux, neuropathie des soins). Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en 2006. Digestif: Bypass gastrique en juillet 2013 avec abcès du flanc gauche probablement sur le trajet d'un drain avec débridement et lavage le 29.08.2013. Appendicite dans l'enfance. Orthopédique: Fracture de l'humérus proximal droit sur chute accidentelle le 06.11.2014 dans le contexte d'une alcoolisation aiguë. Acromio-claviculo plastie droite en 2003 et gauche en 2007. Opération du tunnel carpien bilatéral en février 2000. • récidives en 2002 et 2005, opérées. Épicondylite droite opérée en 1991. Psychiatriques : • tentamen médicamenteux par Quétiapine et abus d'alcool le 22.03.2018 • perturbation des tests hépatiques en probable lien avec la consommation abusive d'alcool le 22.03.2018 • tentamen par intoxication médicamenteuse volontaire de Zopiclone le 06.09.2017 avec GSC initial à 10/15. Sepsis sur infection de VVC à Serratia marcescens le 24.10.2013 traité par Tienam, Diflucan et Invanz. Insuffisance rénale chronique de stade III dans le cadre du sepsis avec normalisation de la créatinine par la suite. Bactériémie à Enterococcus faecium le 06.10.2013 traitée par Vancomycine, Diflucan et Tienam.Anémie normochrome normocytaire avec Hb à 74 g/l, traitée par transfusion de 2 CE et Ferinject. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique d'étiologie multifactorielle (atélectasie basale gauche, épanchement pleural gauche) le 27.08.2013. Syndrome extra-pyramidal et tremblement (DD : médicamenteux, neuropathie des soins). Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche en 2006. Bypass gastrique en juillet 2013 avec abcès du flanc gauche probablement sur le trajet d'un drain avec débridement et lavage le 29.08.2013. Appendicite dans l'enfance. Fracture de l'humérus proximal droit sur chute accidentelle le 06.11.2014 dans le contexte d'une alcoolisation aiguë. Acromio-claviculo plastie droite en 2003 et gauche en 2007. Opération du tunnel carpien bilatéral en février 2000. • récidives en 2002 et 2005, opérées. Épicondylite droite opérée en 1991. Psychose d'origine indéterminée avec initiale le 12.12.2018 • avec hallucinations visuelles nouvelles • s/p trouble de l'état de conscience nouveau atraumatique le 01.12.2018 Psychose d'origine indéterminée en 2014. PTG bilatérale. Appendicectomie en 1959. Stripping de varices bilatérales en 1979. Cure de hernie ombilicale étranglée en 1990. Hystérectomie en 1996. Cholécystectomie et cure d'éventration avec prothèse pre-péritonéale en 1998. Cure de doigt à ressaut en 2008. Polymyalgia rheumatica. Résection antérieure et confection d'une iléostomie de protection pour diverticulose colique sévère avec une diverticulite chronique, focalement fortement active abcédante et nécrosante avec des adhérences superficielles d'accompagnement. Cure d'hallux valgus. PTG bilatérale Arthrose coude gauche et neuropathie nerf ulnaire : • Mise en place d'une prothèse totale de coude gauche • Neurolyse nerf ulnaire, résection tête radiale gauche (opération le 20.02.2012) Pyélonéphrite gauche bactériémique à E. Coli multisensible sur infection urinaire traitée par Zinat, puis Meropénem et Amikacine, Rocéphine en septembre 2018. Insuffisance cardiaque gauche. PTG bilatérale. Arthrose coude gauche et neuropathie nerf ulnaire : • mise en place d'une prothèse totale de coude gauche • neurolyse nerf ulnaire, résection tête radiale gauche (opération le 20.02.2012). Pyélonéphrite gauche bactériémique à E.Coli multisensible sur infection urinaire avec : • Zinat jusqu'au 10.09.2018 pour 10 jours • raclage vésical prévu à l'HFR Riaz par le Dr X le 26.09.2018 (annulé). Laboratoire. Hémocultures. Expansion volémique. Consilium infectiologique, Dr. X. Antibiothérapie par : • Meropenem 1 g 3x/j du 23 au 25.09.2018 • Rocéphine 2 g du 25.09 au 07.10.2018 • Amikacin 750 mg 1x/j du 29 au 30.09.2018. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 23.09.2018. Remplissage KCl iv 1 x 40 mmol/24h. Potassium effervescent per os. Suivi biologique. Fibrillation auriculaire paroxystique avec : • cardioversion médicamenteuse en sinusal. ECG. Cordarone 150 mg à 21h30 et 300 mg à 23h30 le 23.09.2018. Suivi clinique et biologique. Insuffisance cardiaque gauche. Oxygénothérapie. Lasix jusqu'au 04.10.2018, relais par Torem per os 10 mg 1x/j dès le 04.10.2018. PTG bilatérale. Arthrose coude gauche et neuropathie nerf ulnaire : • mise en place d'une prothèse totale de coude gauche. • neurolyse nerf ulnaire, résection tête radiale gauche (opération le 20.02.2012). Pyélonéphrite gauche bactériémique à E.Coli multisensible sur infection urinaire. Fibrillation auriculaire paroxystique avec : • cardioversion médicamenteuse en sinusal. Insuffisance cardiaque gauche. PTG D. Chirurgie de l'épaule D, non précisée. Tension-free vaginal tape pour incontinence urinaire d'effort 03.2011. Récidive d'une hernie inguinale 04.2008. OP du tunnel carpien 05.2005. Cholécystectomie 11.2002. OP volumineuse hernie cervicale C5-C6 en 1988. Chute sans témoins le 13.09.2018, probablement sur syncope vaso-vagale (sur douleurs intenses de la nuque) avec : • DD syncope vaso-vagale, médicamenteuse, liée à son genou D, autre cause. Contusion latéro-thoracique gauche le 13.09.2018. Suspicion de névralgie d'Arnold 09/2018 : • IRM cervicale 3.10.2018 : remaniement dégénératif étagé cervical avec réaction ostéophytaire. Pas d'hernie discale. Pas de myélopathie. Pas d'effet de masse ou de prise de contraste en regard du départ du trajet du nerf occipital bilatéralement. Excroissance dos du poignet G apparue en juillet 2018 rouge et douloureuse, purulente 09/2018. PTG D mai 2018. PUC G en 2013. PTG D sur gonarthrose le 13.11.2018. PTG D sur gonarthrose le 29.11.2018. PTG D sur gonarthrose tricompartimentale, le 03.12.2018. PTG D sur gonarthrose tricompartimentale le 31.10.2018. PTG droit en 2014, à la Clinique générale. Lésions du jéjunum proximal : • OGD du 19.08.2016 : pas de lésion intra-luminale mise en évidence • biopsie du 19.08.2016 : ectasies des vaisseaux lymphatiques dans la lamina propria des axes villositaires pouvant être secondaires à une lésion sous-jacente (p.ex néoplasique, parasitaire). Cardiopathie hypertensive, valvulaire et coronaire avec : • Tachycardie supra-ventriculaire par réentrée récidivante les 12.08, 20.08 et le 26.08.2016 avec ischémie myocardique (NSTEMI) secondaire le 20.08.2016 • status post deux NSTEMI • ETT (15.07.2016) : pas de dilatation du VG, hypokinésie inféro-basale minime, FEVG à 70%, bonne fonction valve aortique biologique, obstruction VG au Valsalva, dilatation modérée OG. • hypotension artérielle sur phénomène d'obstruction dynamique (ETT du 15.07.2016) • coronarographie (18.07.2016) : Sténose de la branche principale à 50% et distale chronique de l'IVA. • status post ACB LIMA auf RIVA (2013) • status post valve biologique pour sténose aortique (2013) • Avis cardiologique (Dr. X) le 29.08.2016 : pas d'indication à une thermoablation, proposition d'arrêter les bêta-bloquants et d'introduire de la Cordarone. Insuffisance rénale chronique stade G3a sur glomérulonéphrite membraneuse cortico-dépendante depuis 2013 : • eGFR selon CKD-EPI : 52.1 ml/min, Crea : 114 umol/l le 18.07.2018 • eGFR selon CKD-EPI : 47.5 ml/min, Crea 123 umol/l, le 25.07.18 • eGFR selon CKD-EPI : 41 ml/min, Crea 139 umol/l, le 27.07.18 • eGFR selon CKD-EPI : 52.6 ml/min, Crea 113 umol/l, le 02.08.18 Maladie de Ménière G sous Betaserc. HTA. Nucalgies chroniques dans contexte d'arthrose colonne. Chondrocalcinose. Diverticulose sigmoïdienne. Hémorroïdes externes. Goutte sous Allopurinol. PTG droit en 2014, à la Clinique générale. Lésions du jéjunum proximal : • OGD du 19.08.2016 : pas de lésion intra-luminale mise en évidence • biopsie du 19.08.2016 : ectasies des vaisseaux lymphatiques dans la lamina propria des axes villositaires pouvant être secondaires à une lésion sous-jacente (p.ex néoplasique, parasitaire). Glomérulonéphrite membraneuse avec : • IRC avec clairance à 42 ml/min le 10.06.2018 • Prednisone au long cours (10 mg actuellement). Cardiopathie hypertensive, valvulaire et coronaire avec : • tachycardie de ré-entrée SV récidivantes • status post deux NSTEMI • ETT (15.07.2016) : pas de dilatation du VG, hypokinésie inféro-basale minime, FEVG à 70%, bonne fonction valve aortique biologique, obstruction VG au Valsalva, dilatation modérée OG. • coronarographie (18.07.2016) : Sténose de la branche principale à 50% et distale chronique de l'IVA. • status post ACB LIMA auf RIVA (2013) • status post valve biologique pour sténose aortique (2013). Maladie de Ménière G sous Betaserc. HTA. Nucalgies chroniques dans contexte d'arthrose colonne. Chondrocalcinose. Diverticulose sigmoïdienne. Hémorroïdes externes. Goutte sous Allopurinol. Tachycardie supra-ventriculaire par réentrée récidivante les 12.08, 20.08 et le 26.08.2016 avec • ischémie myocardique (NSTEMI) secondaire le 20.08.2016 • hypotension artérielle sur phénomène d'obstruction dynamique (ETT du 15.07.2016).Avis cardiologique (Dr. X) le 29.08.2016: pas d'indication à une thermoablation, proposition d'arrêter les bêta-bloquants et d'introduire de la Cordarone Insuffisance rénale chronique stade G3a sur glomérulonéphrite membraneuse cortico-dépendante depuis 2013 • eGFR selon CKD-EPI: 52.1 ml/min, Crea: 114 umol/l le 18.07.2018 • eGFR selon CKD-EPI: 47.5 ml/min, Crea 123 umol/l, le 25.07.18 • eGFR selon CKD-EPI: 41 ml/min, Crea 139 umol/l, le 27.07.18 • eGFR selon CKD-EPI: 52.6 ml/min, Crea 113 umol/l, le 02.08.18 PTG droite (Dr. X, Clinique Générale Fribourg) en 2015. PTG gauche (Dr. X). Cure de hernie ombilicale. Appendicectomie dans l'enfance. Opération sur les ménisques des deux côtés. Cure de tunnel carpien des deux côtés. PTG droite et gauche PTG G en février 2018 PTG G sur gonarthrose tricompartimentale le 21.03.2018 TCC pariétal G avec 2 jours de coma en 1969 Cholécystectomie en 1975 Thyroïdite aiguë en 1992 Cure de varices en 1995 Cure du tunnel carpien bilatéral Cupulolithiase en 1996 et 1999 Strumectomie subtotale pour goître multinodulaire en 2004 Opération de diverticule de Zenker Cardiopathie dysrythmique avec thermo-ablation d'un flutter auriculaire en 2005 (CHUV) Hystérectomie et annexectomie pour cystadénome de l'ovaire G en 2006 Cystopexie pour prolapsus utérin en 2006 Accidents vasculaires cérébraux lacunaires en 2006 Fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes G le 24.06.2016, traitée conservativement PTH D et ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure sur coxarthrose D le 13.07.2017 PTG D sur gonarthrose tricompartimentale invalidante le 12.10.2016 • Fracture de la tête péroné D diagnostiquée le 08.11.2016 probablement dans les suites de la PTG (pas de notion de traumatisme) PTG gauche en juin 2018 Embolie pulmonaire 2010 (sous Aspirine Cardio) Cholécystectomie 2010 PTG gauche le 25.11.2016 (Dr. X). Hémarthrose avec déhiscence de la plaie chirurgicale et déchirure complète de l'aileron interne en décembre 2016 sur un statut après PTG gauche avec infection précoce de PTG gauche à staphylococcus epidermidis et staphylococcus haemolyticus. Embolie pulmonaire bilatérale centrale massive avec infarctus débutant. PTH en avril 2018 AVC ischémique temporal et pariétal G sur sténose de l'artère carotide interne G à >90% découvert le 14.11.2017 (datant probablement du 07.11.2017) • TEA carotide G le 20.11.2017 (Dr. X) • Asymétrie tensionnelle aux MS en défaveur de la G (probable sténose tronc brachio-céphalique G) PTH à D non datée Varicectomie G vers 1980 en raison d'une thrombose ? Phlébite ? Malaise sans PC en 2013 PTH à droite avec anneau de Ganz (OP le 21.11.2018) PTH bilatérales s/p 4 opérations dorsales (3x hernie discale, 1x canal lombaire étroit) Délirium tremens (OH ancien) Ostéomyélite X durant l'enfance Tuberculose durant l'enfance Dermohypodermite du visage le 20.11.2014, sans porte d'entrée identifiée PTH bilatérales s/p 4 opérations dorsales (3x hernie discale, 1x canal lombaire étroit) Délirium tremens (OH ancien) Ostéomyélite X durant l'enfance Tuberculose durant l'enfance Dermohypodermite du visage le 20.11.2014, sans porte d'entrée identifiée PTH D en 1994 (Dr. X, HIB) PTH G en 2012 (Dr. X, HIB) Multiples AVC et AIT sous Sintrom PTH D et G PTG G Colique néphrétique gauche le 05.12.2013 PTH D et G PTG G status post-opération hernie discale Sténose L3-L4 modérée et L4-L5 sévère avec claudication spinale. Décompression L3-L4 par la D par cross-foraminotomie. Décompression inter-laminaire L4-L5 avec mise en place d'un SténoFix taille 16 (OP le 22.11.2013) Colique néphrétique gauche le 05.12.2013 Antalgie Uro-CT du 05.12.2013: plus de calcul dans l'uretère, calcul de 2mm dans la vessie Ultrason rénale du 05.12.2013: séquelle de passage de calcul, oedème de meat, bon jet urinaire dans la vessie donc pas d'obstruction urinaire PTH D et G PTG G status post-opération hernie discale Sténose L3-L4 modérée et L4-L5 sévère avec claudication spinale. Décompression L3-L4 par la D par cross-foraminotomie. Décompression inter-laminaire L4-L5 avec mise en place d'un SténoFix taille 16 (OP le 22.11.2013) Colique néphrétique gauche le 05.12.2013 Antalgie Uro-CT du 05.12.2013: plus de calcul dans l'uretère, calcul de 2mm dans la vessie Ultrason rénale du 05.12.2013: séquelle de passage de calcul, oedème de meat, bon jet urinaire dans la vessie donc pas d'obstruction urinaire PTH D le 16.11.2017 PTH D pour nécrose aseptique de la tête fémorale D en janvier 2010 par Dr. X, prothèse non cimentée à couple de frottement métal-céramique. Reprise de cicatrice en mars 2010 pour une déhiscence cicatricielle. Changement de tige PTH D par corail cimentée à couple de frottement céramique céramique en mai 2012 pour un descellement de la tige. En 2012, multiples reprises de cicatrice pour déhiscence. PTH D • s/p-4 opérations S/p-thrombose artérielle œil D Plaie perforante latérale de la cuisse gauche de 1.5cm. PTH D sur coxarthrose invalidante le 07.11.2018 PTH D sur coxarthrose, le 15.11.2018 PTH D sur coxarthrose AIT en 2012 (IRM normale selon patient) Plaie pouce G en juin 2014. Angor instable en août 2015 • coronarographie : pas de sténose. • échocardiographie : FEVG conservée. Cardiopathie hypertensive OP péritonite perforée dans l'enfance S/p op décollement de rétine ddc en 1993 et plus tard date inconnue Fracture sous-capitale humérus avec déchirure de la coiffe des rotateurs en 1994 Fracture processus transverse de L3 D; le 06.01.2016 Contusion muscle fessier D Suspicion de crise d'épilepsie partielle focale DD malaise d'origine cardiaque Laboratoire: Lactates à 1.7 mmol/l Analyses urinaires: flore bactérienne sans leucocyturie ECG: Bloc de branche droit connu. EEG: sans particularités CT cérébral et cou vasculaire : Cicatrice d'AVC au niveau insulaire gauche, hypoplasie de l'A. vertébrale gauche avec artère filiforme (nouveau depuis 2016) Avis neurologique Contrôle à 3 mois (Dr. X) Interdiction de la conduite pour 3 mois expliquée au patient Poursuite du traitement de Prégabaline déjà introduite ou évaluer relais par Tegretol Contrôle à prévoir chez Dr. X, cardiologue PTH D sur coxarthrose AIT en 2012 (IRM normale selon patient) Plaie pouce G en juin 2014. Angor instable en août 2015 Péritonite sur perforation digestive dans l'enfance Chirurgie pour décollement de rétine ddc en 1993 et plus tard date inconnue Fracture sous-capitale humérus avec déchirure de la coiffe des rotateurs en 1994 Fracture processus transverse de L3 D; le 06.01.2016 Contusion muscle fessier D PTH D sur coxarthrose AIT en 2012 (IRM normale selon patient) Plaie pouce G en juin 2014. Angor instable en août 2015 Péritonite sur perforation digestive dans l'enfance Chirurgie pour décollement de rétine ddc en 1993 et plus tard date inconnue Fracture sous-capitale humérus avec déchirure de la coiffe des rotateurs en 1994 Fracture processus transverse de L3 D; le 06.01.2016 Contusion muscle fessier D PTH D 2010 Cure de hernie inguinale selon Lichtenstein le 17.04.2018 PTH droit le 24.07.2017 Hystérectomie PTH droit le 24.07.2017 Hystérectomie Dans le cadre de l'IVC: • Ulcère veineux récidivant à droite • Lymphoedème épifascial secondaire sur st.p. hystérectomie il y a des années • St.p. crossectomie et stripping de la grande saphène ddc • syndrome post-thrombotique des veines des mi-jambes ddc et de la v. fémorale superficielle à droite PTH droite PTH droite opérée deux fois Opération de la prostate sans précision (en 2000?) PTH droite (1985) et gauche (1983). PTH droite (2013). Décompensation d'une insuffisance cardiaque d'origine indéterminée en décembre 2017 Insuffisance respiratoire de type 1. Hématome du muscle grand droit, sous antiagrégation en décembre 2017. PTH droite. Changement de PTH droite en 2003 à la clinique Garcia, proximalisation de grand trochanter. Status post PTH gauche. Status post PTG gauche. Fracture transverse de la patella à droite avec réduction ouverte et ostéosynthèse par cerclage et ostéosuture. Fracture D8 type B reverse Chance sur chute le 10.07.2018 traitée par spondylodèse percutanée D7-D9 par système Viper, cimentée par Vertecem + Cerasorb en postéro-latéral et médial (OP le 11.07.2018). Infection urinaire basse à Proteus mirabilis et Enterococcus faecalis. PTH G de révision le 31.10.2018 suite à l'ablation de PTH et de l'anneau de Ganz après protrusion de la cupule de la PTH G implantée en 1992. • Raccourcissement du MIG de 2 cm. PTH G en 2000, Dr. X. • Descellement, respectivement distalisation de la tige CLS post fracture péri-prothétique G sur chute en avril 2010. • Changement PTH G et cerclage après descellement tige en janvier 2011. Récidive arthrite microcristalline touchant MTP1 en septembre et octobre 2018. Mycose vaginale récidivante en janvier 2017 et 2018. Fracture radius distal G en septembre 2016. PTH G en 2015. AVP non daté : Changement PTH G sur mal-orientation de la cupule après PTH G en 2015 et impingement du tendon du psoas. Opération du 16.02.2017 : • Bursectomie trochantérienne. • Neurolyse du nerf sciatique. • Ostéotomie du grand trochanter. • Ostéotomie péri-acétabulaire. • Reconstruction du fond du cotyle avec un anneau de Burch. • Bursectomie ilio-pectinée et débridement du tendon du psoas. • Ablation d'ostéophyte postéro-inférieur. • Ostéosynthèse du fémur proximal pour une plaque en crochet 110 mm et un total de 4 Dall-Miles. Anémie spoliative postopératoire avec transfusion de 1 CE le 17.02 et le 18.02.2017. Ostéosynthèse du fémur proximal par plaque en crochet sur changement de PTH G le 16.02.2017. Révision de la PTH G le 04.04.2018. PTH G pour coxarthrose rapidement destructrice, le 09.11.2018. PTH G sur coxarthrose invalidante, le 05.12.2018. PTH G vers 2013. Méningite virale le 02.09.14 sans HTIC. • pas de signe d'encéphalite. • avec éruption maculo-vésiculaire prurigineuse. DD : Coxsackie, Echovirus, FSME, VZV, migraine. PTH G vers 2013. Méningite virale le 02.09.14 sans HTIC. • pas de signe d'encéphalite. • avec éruption maculo-vésiculaire prurigineuse. DD : Coxsackie, Echovirus, FSME, VZV, migraine. PTH gauche, sans précision. Arthrodèse cheville D, sans précision. Amygdalectomie sans précision. Césarienne. Fracture poignet ostéosynthésée. AVC ischémique du gyrus précentral gauche d'origine indéterminée (artério-artérielle vs cardio-embolique) le 18.06.2018. • symptomatologie : dysarthrie, ataxie du membre supérieur droit. • NIHSS initial : 1 point, NIHSS à 24h : 2 points, NIHSS de sortie : 1 point. Prise en charge neurologique complexe en lit monitoré en Stroke Unit du 18.06.2018 au 19.06.2018, puis non monitoré du 19.06.2018 jusqu'au 22.06.2018. Laboratoire : cholestérol total 5.7 mmol/l, LDL cholestérol 3.84 mmol/l, HbA1c 5.7 %. Dose de charge en Aspirine cardio 250 mg iv puis Plavix 75 mg/j. Angio-CT cérébral le 18.06.2018. IRM cérébrale le 18.06.2018. Bilan neuropsychologique du 20.06.2018. Echographie cardiaque transthoracique le 21.06.2018. Holter de 24h le 22.06.2018. Consultation neurovasculaire de contrôle le 10.10.2018 à 14h30. PTH le 27.12.2018 sous rachianesthésie. Bloc fémoral aux urgences le 22.12.2018 (Dr. X). Echocardiographie le 24.12.2018. 1 CE le 27.12.2018. PTT allongé le 18.12.2018 : • erreur de laboratoire. PTT allongée le 18.12.2018 : • erreur de laboratoire. Publagies D évoluant depuis mi-octobre 2018. PUC genou D en 2018. APP dans l'enfance. Purpura Henoch-Schönlein. Purpura thrombocytopénique auto-immune. PTI grade 2 avec IVIG (2 doses) en mars 2016. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en janvier 2016. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en octobre 2015. PTI grade 2 avec IVIG (1 dose) en novembre 2014. PTI grade 2 avec IVIG mars 2014. PTI grade 2 avec IVIG (1 dose) janvier 2014. PTI grade 2 en avril 2012 (sans IVIG). PTI grade 1 avec IVIG (2 doses) en février 2012. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en février 2012. Status post adéno-amygdalectomie en 2010. Dernière IVIG en 2/2017. Purpura thrombocytopénique auto-immune. PTI grade 2 avec IVIG (2 doses) en mars 2016. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en janvier 2016. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en octobre 2015. PTI grade 2 avec IVIG (1 dose) en novembre 2014. PTI grade 2 avec IVIG mars 2014. PTI grade 2 avec IVIG (1 dose) janvier 2014. PTI grade 2 en avril 2012 (sans IVIG). PTI grade 1 avec IVIG (2 doses) en février 2012. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en février 2012. Status post adéno-amygdalectomie en 2010. Dernière IVIG en 2/2017. Purpura thrombocytopénique auto-immune. PTI grade 2 avec IVIG (2 doses) en mars 2016. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en janvier 2016. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en octobre 2015. PTI grade 2 avec IVIG (1 dose) en novembre 2014. PTI grade 2 avec IVIG mars 2014. PTI grade 2 avec IVIG (1 dose) janvier 2014. PTI grade 2 en avril 2012 (sans IVIG). PTI grade 1 avec IVIG (2 doses) en février 2012. PTI grade 3 avec IVIG (2 doses) en février 2012. Status post adéno-amygdalectomie en 2010. Dernière IVIG en 2/2017. Purpura thrombopénique idiopathique (Thrombocytes avec nadir à 42 G/l le 11.11.18). Purpura thrombotique idiopathique. Hépatite B chronique. Pyélectasie D suivie par Dr. X (diagnostic en anténatal, prophylaxie antibiotique Amoxi et Bactrim pendant 12 mois, pas d'infection urinaire, au dernier contrôle il y a 2-3 mois 1 cm de dilatation). Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite. Pyélonéphrite à droite. Pyélonéphrite à E. Coli le 11.11.2018. Césarienne. Appendicectomie. Pyélonéphrite à E. Coli le 11.11.2018. Césarienne. Appendicectomie. Crise d'épilepsie suite à sevrage benzodiazépine le 01.12.2018. Tachycardie sinusale à 128/min asymptomatique le 13.12.2018. • Reprise du traitement par Belok Zok 25 mg. Pyélonéphrite à E. Coli le 11.11.2018. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 19.10.2018 dans un contexte de diarrhées, d'origine indéterminée multi-investiguées en octobre. Césarienne. Appendicectomie. Pyélonéphrite à E. Coli le 11.11.2018. Hypokaliémie à 2.9 mmol/l le 19.10.2018. Selles liquides chroniques d'origine indéterminée multi-investiguées en octobre. Césarienne. Appendicectomie. Podagra pied gauche depuis 10 jours. Tachycardie sinusale à 128/min asymptomatique le 13.12.2018. • Reprise du traitement par Belok Zok 25 mg. Pyélonéphrite à E. Coli multisensible. S/p adénoïdectomie, paracentèse et pose de drains transtympaniques ddc et section du frein de la langue, en mai 2014. Pyélonéphrite à proteus mirabilis (01.12.2018). Etat fébrile sans symptôme urinaire. Rx thorax : pas de foyer franc. Urine : leucos innombrables, érythros innombrables, bactéries ++, nitrites négatifs. Culture d'urine : positives à Proteus mirabilis. Hémocultures : négatives. Pyélonéphrite aiguë. Pyélonéphrite aiguë gauche. Pyélonéphrite aiguë gauche. Pyélonéphrite aiguë obstructive ayant nécessité la pose d'une néphrostomie gauche. Status post-hystérectomie et annexectomie bilatérale en 2003 pour sarcome du stroma endométrial avec infiltration du myomètre et de l'isthme utérin : • nombreuses angio-invasions et lymphangioses sarcomateuses. • infiltrat du péritoine avec infiltration péri-urétérale sténosante. • fistule utérovaginale avec hydronéphrose gauche sarcomateuse distale 2003. Urétérocystonéostomie gauche avec fixation de la vessie à la musculature du psoas gauche en 2003 (Dr. X).Status après cure d'éventration sus et sous-ombilicale sur diastasis des muscles grands droits par filet ProGrip prépéritonéal le 27.11.2013. Status après omphalectomie pour omphalite chronique le 27.11.2013. Récidive locale au niveau vaginal et masse para-vaginale en février 2015. Status après excision partielle du vagin et des masses vaginales avec cystostomie à excision partielle de la vessie, excision d'une masse para-vaginale gauche et musculaire par le Dr. X en 2015 (DAP: paroi vaginale: sarcome endométrial de bas grade malignité. GGL sans tumeur 0/1, tranches de section profondes au contact en plusieurs endroits du sarcome endométrial de bas grade) : 2016 : IRM, pas de signes de récidives visibles 2016 : PET CT: hypercaptation thyroïdienne sans signes de malignité 2018 : IRM: suspicion de récidive vaginale associée à une volumineuse adénopathie iliaque gauche. Sarcopénie le 09.02.2015 avec hypoalbuminémie et hypoprotéinémie. Pneumonie nosocomiale basale gauche le 11.02.2015, post-intubation et ventilation mécanique. Status post-mise en place d'une sonde double J à droite le 18.07.2018 pour sténose urétérale droite et système urétéral gauche fin mais perméable, dans un contexte oncologique d'évolution lente. Pyélonéphrite bilatérale à E. Coli non compliquée le 18.12.2018 Pyélonéphrite bilatérale G > D Pyélonéphrite bilatérale sévère le 29.12.13 à germes indéterminés. Cystopexie. Hystérectomie. Cholécystectomie. Tassement de L3 ancien (fracture simple). Hospitalisation en rhumatologie avec corticothérapie en 2009. Décompensation d'un diabète de type 2 dans un contexte de sepsis urinaire le 29.12.2013. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 probablement pré-rénale sur déshydratation et rénale sur injection de produits de contraste iodés le 29.12.2013. Pyélonéphrite à E. Coli multi sensible. Chutes à domicile. Pyélonéphrite débutante. Pyélonéphrite débutante. • infection urinaire symptomatique. Pyélonéphrite droite débutant le 03.12.2018 Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite. Pyélonéphrite droite à germe indéterminé. Pyélonéphrite droite à 17 SA. Colique néphrétique gauche le 27.12.2015 > Uro-CT le 27.12.2015 : calcul de 4 mm au niveau de la jonction urétéro-vésicale, ectasie de l'uretère et dilatation du pyélon de 15 mm, 2ème calcul caliciel supérieur. Récidive de colique néphrétique gauche le 20.01.2016. Pyélonéphrite droite avec : • CRP 83 mg/L, Leuc 15.5 G/l • Porteur d'une sonde urinaire à demeure, remplacée le 16.11.2018 • Résidu post-mictionnel au bladderscan 0 ml. • US Abdomen: pas d'obstruction, pas de dilatation des voies urinaires • Labo 16.11.2018 : syndrome inflammatoire avec CRP 83 mg/L, hyperleucocytose neutrophile avec Lc 15.5 G/L dont 91.2 % de neutrophiles • Sédiment urinaire 16.11.2018 : infection urinaire à nitrites + • Uricult : Escherichia Coli +++ • Infections des voies urinaires à Pseudomonas à répétition sur sonde urinaire à demeure (25.11.2013) Pyélonéphrite droite le 01.12.2018. Pyélonéphrite droite le 05.06.2018. Pyélonéphrite droite le 15.02.2016. Plusieurs infections urinaires, prophylaxie jusqu'à l'âge de 5 ans. Pyélonéphrite droite non obstructive à E. Coli le 30.11.2018. Pyélonéphrite droite non obstructive le 30.11.2018. Pyélonéphrite droite simple. Pyélonéphrite droite sur E. coli ESBL le 28.06.2017 Hémorragie sous-arachnoïdienne frontale droite traumatique sur chute dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 2.6 %o le 27.10.2016 avec hématosinus maxillaire avec suspicion de fracture du mur postérieur non déplacée. 4 interventions gynécologiques dont hystérectomie et ovariectomie totales pour précancéroses gynécologiques. Pyélonéphrite en 2017. Pyélonéphrite G dans contexte de : • lithiase rénale G 6 mm avec dilatation pyélocalicielle. Pyélonéphrite G le 28.08.2016 Opération orthopédique de l'hallux G en 2007. Ancien tabagisme sevré en 2015 à 104 UPA. Ancienne consommation excessive OH sevrée en 1997. Pyélonéphrite G le 28.08.2016 Opération orthopédique de l'hallux G en 2007. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche. Pyélonéphrite gauche. • Etat fébrile depuis 5 jours • CRP : 250, Stix urinaire sale. Pyélonéphrite gauche à E. Coli le 25.12.2018. Pyélonéphrite gauche à germe indéterminé le 09.12.2018 • lithiase rénale G 6 mm avec dilatation pyélocalicielle • probable infection urinaire haute associée. Pyélonéphrite gauche à 32 2/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 26 ans, 3 gestations, 2 pare. le 15.12.2018. Pyélonéphrite gauche compliquée (âge, traitement antibiotique récent inefficace). Pyélonéphrite gauche débutante le 27.12.2018. Pyélonéphrite gauche le 10.12.2018. Pyélonéphrite gauche le 11.11.2018 • CT thoraco-abdominal le 11.11.2018 • Rocéphine en intraveineux du 11.11. au 12.11.2018 • Ciproxine par voie orale du 13.11. au 16.11.2018. Pyélonéphrite gauche le 19.11.2018 à E. Coli ESBL dans un contexte de : • Cystectomie avec dérivation urinaire en septembre 2018 (Dr. X) • Traitement par Bactrim du 12.11.2018 au 16.11.2018. Pyélonéphrite gauche le 20.12.2018. Pyélonéphrite gauche le 26.12.2018 • chez patient porteur d'un Bricker depuis 2012 • antécédent de 3 urosepsis en 2012, 2014 et 2015. Pyélonéphrite gauche non compliquée le 28.12.2018. Pyélonéphrite gauche sous Ciprofloxacine le 24.12.2018. Pyélonéphrite gauche le 13.08.2018. Auto-mutilations à plusieurs reprises : • Hyposensibilité et trouble de la mobilité fonctionnelle mal-systématisée après auto-mutilation de l'avant-bras G le 04.07.2015 • plaie superficielle de 4 cm sur la face postérieure et distale de l'avant-bras G avec section du tendon fléchisseur du carpe radial le 10.02.2014 avec : • exploration de la plaie de l'avant-bras gauche, suture du tendon du fléchisseur du carpe radial selon Kirchmayr-Kessler • révision de la plaie et suture du tendon palmaris longus le 27.04.2014 • Plaie profonde de l'avant-bras D avec troubles sensitifs et moteurs • Plaie de la face palmaire du poignet G le 14.07.2014 • Auto-mutilation de l'avant-bras G. • Plaie profonde, volontaire, main G avec rupture complète en zone 6 du tendon extenseur propre et du tendon extenseur commun de Dig II; le 16.05.2018 • Status post suture tendon extenseur commun et tendon propre de Dig II main G en zone 6 le 20.12.2017 à l'HFR Tafers. • Suture tendon extenseur propre et tendon extenseur commun Dig II G en zone 6 (OP le 16.05.2018) • Plaie superficielle de l'avant-bras gauche face dorsale 1/3 moyen, 7 cm rectiligne, avec une lame de rasoir. Multiples ingestions de corps étranger • Ingestion de 2 briquets le 18.08, dont 1 probablement avec un aimant. • expulsion du plus grand le 20.08 • deuxième présente au niveau de l'estomac? DD côlon? • Ingestion de 3 lames de rasoir le 06.10.2018 à 9 heures, le 06.10.2018 • Présence de 3 lames dans le jéjunum et 1 lame cadre colique droit • Présence de 5 aimants niveau colon descendant (déjà connu, 1 expulsé). • Ingestion de 2 lames de rasoir le 05.10.2018, enlevées par OGD le 05.10.2018 • Ingestion de 6 aimants le 02.10.2018 • Transfert de Riaz à Fribourg: après mise en évidence d'ingestion de lames de rasoir et accord entre chirurgie et endoscopie. Laboratoire • Avis Chirurgien (Dr. X) : au vu du risque d'ingestion d'objet et du faible risque de perforation, une hospitalisation en chirurgie n'est pas indiquée. • Avis soins : après discussion avec la chirurgie, une hospitalisation à Marsens est la plus indiquée avec un contrôle clinique et biologique à Riaz demain si nécessaire. • Avis gastro-entérologie : Dr. X : endoscopie sous AG (IOT cruch par anesthésie) sans visualisation des lames. Section transversale à 90% du tendon extenseur des 3ème et 4ème doigts de la main gauche, section incomplète à 40% du tendon extenseur de l'index à hauteur de la main gauche, face dorsale. Pyélonéphrite gauche Douleurs respiro-dépendantes/thoraciques/loge rénale gauche. Pyélonéphrite le 21.12.2018 • chez patient porteur d'une sonde à demeure • plusieurs récidives de pyélonéphrite sur calculs rénaux Pyélonéphrite obstructive D le 28.12.2018 Pyélonéphrite obstructive gauche sur calcul obstructif de l'uretère proximal Pyélonéphrite sur globe vésicale avec : • anurie depuis 24h • hématurie macroscopique dans contexte ACO Pyélonéphrite traitée fin 2009. OP Tunnel carpien main droite le 28.04.2017. OP Arthrose du pouce droit 2016. Réaction allergique de Stade I depuis >6h le 03.07.2017. Pyélonéphrite (12.15) Pyélonéphrite (12.15) Pyélonéphrite (12.15) Pyélonéphrites bilatérales le 26.06.2018 avec baisse d'état général depuis le 16.06.2018 traitée par Rocéphine + Augmentin Insuffisance rénale aiguë sur chronique (KDIGO stade 3a) avec : Hernies d'Aymand bilatérales sans signe de souffrance, découverte fortuite au CT 26.06.2018. Hypovitaminose D Anémie normochrome normocytaire DD inflammatoire avec : • Labo 23.06.2018 : Hb 105 g/l • Vit B12 517 pg/ml (norme), acide folique 5.9 ng/ml (norme), TSH 3.6 mU/l (norme), ferritine 735 ug/l (élevé), réticulozytes 46 G/L (norme) Contrôle Thrombocytose DD inflammatoire • Labo 29.06.2018 : 532 G/l, ferritine 735 ug/l Contrôle Pyloréctomie dans l'enfance Cholécystectomie il y a plus de 10 ans Suspicion d'hémorragie digestive haute le 29.05.2018 • vomissements marc de café et méléna anamnestiques (pas objectivés pendant hospitalisation) Pyrosis. Pyrosis en péjoration depuis 1 mois. QT long. QT long à QTc 490 ms 11.12.2018 QT long à 499 ms (Bazett) 22.12.2018 • probablement sur dysléléctrolytémie QT long iatrogène à 500 ms sur traitement de Trisenox le 08.11.2018 QT long le 22.12.2018 • sur hypokaliémie QT long le 22.12.2018 • sur hypokaliémie à 2.7 mmol/l QTc long à 480 msec, d'origine médicamenteuse (Cordarone) QTc long à 510 ms acquis probablement sur les neuroleptiques le 22.12.2018 QTc long à 512 ms le 02.11.2018 • Absent sur l'ECG du 26.10.2018 DD : hypomagnésémie (0.61 mmol/l le 02.11.2018), décompensation cardiaque, surdosage Keppra dans le contexte de l'IRA QTc long à 570 ms le 28.11.2018 • DD sur Methadone Quadranopsie inférieure gauche monoculaire gauche mise en évidence en décembre 2018 • problème cornéen inconnu, suivi à l'Inselspital • proposition de consultation ophtalmologique avec champ visuel en ambulatoire, à organiser par la patiente avec l'ophtalmologue traitant Hypertension artérielle traitée Incontinence urinaire d'urgence : traitement médicamenteux refusé par la patiente. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute avec comme facteurs de risque : • Troubles cognitifs légers • 3 hernies discales, opérées en 1999 et 2012 • Troubles visuels • Déficit en vitamine D • Malnutrition protéino-énergétique légère • Anémie • Incontinence urinaire de type stress Quadrigéminisme supraventriculaire paroxystique asymptomatique découvert sur l'ECG du 15.10.2018. Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative d'origine inflammatoire et spoliative le 02.10.2018 sur probable pan-oesophagite sévère ulcéro-proliférative avec : • hémorragie digestive haute et basse le 08.08.2018 dans le cadre d'une oesophagite par reflux, stade C à D selon Los Angeles sur hernie hiatale avec lésion de type Mallory Weiss à la jonction oeso-gastrique • oesogastroduodénoscopie de contrôle du 05.09.2018 : pas de saignement actif, oesophagite circonférentielle avec érosions sur toute la surface de l'oesophage, progression tumorale d'une carcinose péritonéale obstruant partiellement le pylore. Subiléus réflexe, fluctuante le 04.09.2018 dans le contexte de carcinose péritonéale en progression. Acutisation d'une anémie normochrome normocytaire chronique avec hémoglobine à 78 g/l le 11.04.2018 • spoliation gastro-intestinale haute probable • progression de l'infiltration tumorale du pylore du 1er et du 2ème duodénum (CT du 11.04.2018) • hernie hiatale modérée avec aspect d'oesophagite de reflux et endo-brachy-oesophage (oesogastroduodénoscopie du 13.04.2018) • oesophage de Barret connu (histologie Promed 14.09.2017). Abcès scrotal postérieur droit le 22.09.2015. Suspicion d'accident vasculaire cérébral hippocampique sous Aspirine le 20.12.2012. Pancréatite alcoolique en septembre 2008. Phéochromocytome malin en juin 2002. Opération de la cataracte des deux côtés en 2001 et 2002. Ballonisation du feuillet postérieur de la valve mitrale avec insuffisance mitrale discrète. Quelques otites et angines Mr. Y est hospitalisé pour surveillance somatique et psychique dans le contexte d'un tentamen médicamenteux au paracétamol. Sur le plan somatique, la paracétamolémie effectuée 5 heures après la prise est inférieure au seuil de traitement par Fluimicil. Les tests hépatiques et la crase sont alignés, de même que la fonction rénale. Il n'y a pas de toxiques retrouvés dans les urines. Mr. Y se plaint initialement de nausées spontanément résolutives. Par la suite, il n'a pas de plainte. Sur le plan psychiatrique, Mr. Y bénéficie d'une consultation avec notre équipe de pédopsychiatrie de liaison (Dr. X) qui émet l'hypothèse diagnostique d'un épisode dépressif avec besoin de mise à l'abri suite à ce geste suicidaire scénarisé et prémédité. Dans ce contexte, une hospitalisation à l'hôpital psychiatrique de Marsens est proposée, ce que Mr. Y et ses parents acceptent. Dans ce contexte, Mr. Y est transféré à l'hôpital psychiatrique de Marsens le 19.12.18 pour suite de prise en charge pédopsychiatrique, accompagné de sa mère. Questionnaire PACT le 29.11.18 : 57 pts, dissociation 4 pts : auto limitation, incohérence interne Ergothérapie Physiothérapie : • Test Shirado + Sorensen 27.11.18 : non réalisable (douleur) • Test Shirado + Sorensen 28.11.18 : 15 secondes. Sevrage des opiacés Poursuite physiothérapie en ambulatoire Suivi psychiatrique et psychologique adapté au trouble fonctionnel à prévoir en ambulatoire Quétiapine 50 mg p.o., Temesta 1.25 mg p.o. Hospitalisation sous PAFA à Marsens. Quintes de toux dans le cadre d'une IVRS : • pas d'éléments pour un ALTE (pas de pâleur ou cyanose, pas d'apnée, pas d'hypotonie, pas de troubles de l'état d'éveil) • pas d'éléments pour une coqueluche (apyrétique, statut vaccinal à jour, maman vaccinée) Quintes de toux et dyspnée. Rabdomyolyse le 01.12.2018 : • pic de CK à 5381 U/L Raccourcissement des gastrocnémiens ddC, plus marqué à gauche. Rachialgie chronique d'origine mixte : • canal cervical étroit congénital et maladie de Forestier • hernie discale L4-L5 et L5-S1, non déficitaire (IRM du 31.07.2018 ; Dexaméthasone en schéma dégressif sur 10 jours) • canal lombaire étroit modéré • status post-décompression C3-C5 par laminectomie et spondylodèse par voie postérieure C3-C5 avec système synapse le 24.06.2013 pour canal cervical étroit de C3-C5 avec myélopathie cervicale • status post-discectomie antérieure et mise en place d'une cage Triptik C4-C5 et C6-C7, après décompression, vertébrectomie C5, hémivertébrectomie C4 et C6 et mise en place d'une cage ECD, spondylodèse C3-C7 par plaque CSLP le 12.07.2100 pour une myélopathie cervicale évolutive C4-C6 avec souffrance de la moelle sur DISH et canal spinal cervical étroit congénital.Hyperplasie bénigne de la prostate avec globes vésicaux à répétition : • globe vésical d'origine mixte (composantes neurogène et médicamenteuse) en avril 2012 et juin 2013. Dyslipidémie. Diabète de type 2. Rachialgies chroniques multifactorielles avec possible composante de sensibilisation centrale. • dans un contexte de scoliose en S et probables séquelles de maladie de Scheuermann. • évaluée par Dr. X (rhumatologue) en mai 2016. Rachialgies et fessalgies. Rachi-anesthésie. Hystéroscopie diagnostique + curetage évacuateur. Envoi du contenu du curetage en anatomo-pathologie. Rachitisme hypophosphatémique congénital. RAD avec antalgie simple. RAD avec antalgie. Demande de consultation ORL avec si possible consultation avec nos collègues de chirurgie maxillo-faciale pour suite de prise en charge. RAD avec AT à 100 % jusqu'au 21.12.2018, jour de son RDV chez son médecin traitant. Prescription de physiothérapie à but antalgique, pour améliorer la mobilisation et prévention d'une raideur. Prescription d'AINS et de tramal en réserve si douleur persistante. Pas d'examens complémentaires immédiats (US), mais si persistance des douleurs, possibilité de contacter la rhumatologie pour réaliser une infiltration de cortisone. Conseils donnés quant à la mobilisation et signes d'alerte d'une infection. RAD avec consigne : ne pas se moucher en attendant le RDV, ne pas se gratter le nez, appliquer la crème prescrite plusieurs fois par jour. RDV prévu chez l'ORL Dr. X ce lundi. Suivi chez le médecin traitant. RAD avec diminution du Lyrica à 25 mg 3x/j. Suite de prise en charge chez le médecin traitant pour adaptation du traitement, et discussion à consultation en neurochirurgie selon l'évolution des symptômes. RAD avec rendez-vous le 03.12.2018 à 8H pour chercher son traitement + RDV psychologue. RAD avec stimulation à boire p.o. avec suivi chez le médecin traitant la semaine prochaine. RAD avec traitement antalgique simple. Conseils sur surveillance donnés à Mr. Y et à son amie et reconsultation aux urgences si douleurs importantes ou apparition de troubles de la sensibilité ou vasculaires. RAD avec traitement symptomatique. RAD avec traitement symptomatique et stimulation à boire. Retour aux urgences si récidive des symptômes avec incapacité à s'hydrater, sinon suivi chez le médecin traitant. RAD avec traitement symptomatique et suivi chez le médecin traitant mardi (RDV déjà prévu). RAD avec traitement symptomatique. Information donnée aux superviseurs : repos, hydratation p.o., reconsulter en cas de péjoration de l'état général, ne pas poursuivre l'antibiothérapie. RAD et reconsultation en cas de non-amélioration des troubles neurologiques d'ici la fin de semaine. RAD et retour le lendemain pour contrôle clinico-biologique +/- prise en charge chirurgicale. RAD suite au refus catégorique de Mr. Y de rester hospitalisé quelques heures en observation. Finalement, Mr. Y est revenu 5 minutes après son départ à cause de vertiges, nous l'hospitalisons en chirurgie. Radiculopathie aiguë C8 avec douleur neuropathique et paresthésie du membre supérieur gauche. DD : sténose foraminale. Suivi par Dr. X. Radio : fracture de la base de phalange proximale du 3e orteil droit. Radio : pas d'atteintes osseuses. Radio : pas de fracture sous réserve d'une Salter Harris type I non exclusive en raison du cartilage de conjugaison. Plâtre fendu pour 5 jours avec décharge et antalgie. Contrôle à la Permanence au 18.12.18. Radio. Antalgie AINS. Glaçage. Contrôle chez son médecin traitant. Radio. Bande élastique. Antalgie AINS. Protocole RICE. Contrôle chez son médecin traitant dans une semaine. Radio. Bande élastique. Antalgie. AINS. Arrêt de travail. Contrôle chez son médecin traitant. Radio bassin et hanche droite : pas de fracture. US partie molle de la cuisse droite : déchirure du muscle biceps fémoral droit, pas de rétraction. Attitude : • Hospitalisation à Riaz pour antalgie et physiothérapie. • IRM à organiser à l'HFR Riaz. Radio bassin et hanche droite. US partie molle de la cuisse droite. Laboratoire. Contrôle du pacemaker. Radio bassin. CT bassin et lombaire. Avis Dr. X. Repos. Antalgie AINS. Bouet. Mme. Y va prendre RDV en Spine team. Mme. Y refuse l'hospitalisation. Radio cheville droite. Radio cheville droite. Radio cheville droite f/o. Radio avant-pied droit f/p/o. Radio cheville et calcaneum. CT cheville et calcaneum. Radio cheville et calcaneum post plâtre. Radio cheville gauche. Radio cheville gauche : pas d'anomalies osseuses. Radio cheville gauche f/p. Radio cheville gauche sans anomalies. Radio cheville/calcanéum droite : pas de déplacement. Radio coccyx : pas d'anomalies osseuses. Radio colonne lombaire f/p. Radio coude gauche. Glace. Traitement symptomatique. Radio coude gauche f/p. Radio coude gauche f/p. Radio de poignet droit du 12.12.2018 : suspicion de chondrocalcinose. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : arthrite septique peu probable, probable chondrocalcinose, pas d'indication à ponctionner. • Poignet droit : radiologiquement chondrocalcinose, selon Mr. Y, 2e épisode de rougeur et douleurs (1er épisode 11/2018 suite à l'hospitalisation, en régression spontanée), pendant le séjour aux urgences régression des symptômes sous AINS. Actuellement pas d'indication pour une ponction. • Genou droit : radiologiquement chondrocalcinose, pas de rougeur ni chaleur, pas de douleurs à la mobilisation passive/active. Pas d'indication pour une ponction. • Épaule droite : clinique d'un conflit sous-acromial. Traitement symptomatologique : AINS, physiothérapie (renforcement musculaire, protocole San Antonio). Attitude : • Avis rhumatologique demandé. • Traitement symptomatique. Radio de contrôle à 1 semaine + contacter les orthopédistes de Fribourg. Rendez-vous en ortho-urgence à Fribourg pour contrôle clinique et radiologique. Radio de contrôle à 1 semaine. Rendez-vous en ortho-urgence à Fribourg pour contrôle clinique et radiologique (Mme. Y sera convoquée). Radio de la cheville gauche : pas de fractures visibles. CT de la cheville/pied gauche : fracture intraarticulaire astragale. Radio de thorax le 02.11.2018 : status post-mise en place d'une voie veineuse jugulaire droite avec une extrémité distale se projetant à la jonction veine cave-oreillette droite. Status post-mise en place d'un port-à-cath en position inchangée. Pas de pneumothorax. Les plages pulmonaires se présentent normalement. Pas de cardiomégalie. Pas d'épanchement pleural. Structures osseuses sans particularité. ETT 02.11.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG estimée à 70 % (mode TM). Aorte normale. Valve aortique normale. Valve mitrale normale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Échocardiographie normale. ETT 03.11.2018 : ventricule gauche non dilaté mais de taille à la limite supérieure de la normale, avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Aorte normale. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 8 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Décollement péricardique systolique isolé sans répercussion hémodynamique.Radio des mains ap : Pas d'érosion articulaire clairement visible. Ancienne fracture de l'apophyse styloïde ulnaire gauche non consolidée. Avis rhumatologique : En raison d'atteintes cutanées et unguéales, le traitement par méthotrexate est indiqué. Actuellement, nous n'avons pas d'argument pour une arthrite psoriasique concomitante. Formellement, il serait effectivement indiqué de stopper le traitement de méthotrexate chez un patient avec une cirrhose. Cependant, étant donné l'âge du patient et sa bonne tolérance au traitement, nous ne proposons pas de modification. Un suivi dermatologique peut toutefois être recommandé dans l'éventualité d'un changement de traitement. • Radio doigt • Radio doigt droit • Radio doigt gauche • Radio doigt gauche. • Us doigt gauche. • Radio du thorax • Laboratoire • Gazométrie • Sédiment urinaire et urotube Oxygénothérapie Antibiothérapie par Rocéphine 2 g iv 1x/24h jusqu'au 18.12.2018 • Radio D4 main gauche • Radio poignet droit • Radio épaule D • Radio épaule G • Radio épaule G et poignet G • Radio épaule gauche et clavicule • Radio épaule G • Gilet orthopédique • Contrôle dans 2 semaines à la policlinique d'ortho • Antalgie AINS au besoin • Radio face bassin et hanche : pas de fracture pas de signe épiphysiolyse fémorale sup • Radio genou D • Radio genou D le 21.11.2018 • Radio genou droit • Radio genou droit • Radio genou droit • Radio genou droit F + P : pas d'anomalies osseuses • Radio genou droit (F + P) : sans anomalies • Radio genou droit f/p/axiale du 13.12.2018 • Radio genou droit : pas de fractures • Radio genou gauche • Radio genou gauche • Radio genou gauche f/p/axiale • Radio genou gauche f/p/axiale • US genou gauche • Radio genou G : pas de fractures • Radio Genou : suspicion de fracture du plateau tibial externe CT genou : Fracture du plateau tibial externe dans sa partie postérieure s'étendant jusqu'au massif des épines tibiales avec impaction estimée à moins de 2 mm. Impaction osseuse du condyle fémoral externe en regard, avec perte de sphéricité sur une distance d'environ 13 mm. Fragment osseux centimétrique du massif des épines tibiales (DD : avulsion récente ou ancienne ?). Épanchement intra-articulaire. Status après mise en place d'une prothèse uni-compartimentale interne, avec présence d'une marche d'escalier entre la partie antérieure de la prothèse condylienne et le condyle mesurée 9 mm. Liseré radiotransparent au contact de la prothèse condylienne faisant suspecter un descellement. Gonarthrose du compartiment externe et fémoro-patellaire. • Radio hallux gauche • Radio main droite : pas de fracture visualisée • Radio main droite • CT main droite • Radio main f/p/o droite • Radio main G : pas de fractures. • Radio poignet G : pas de fractures. Radio ne montre pas de fracture TTT antalgique AINS. Glace • Radio orteil 4 pied gauche • Radio orteil 5 et pied droit : pas de fractures, fusion P1-P2 orteil 5 • Radio : pas de fracture visible variante ulna plus s/p fracture radius dans l'enfance Avis Dr. X plâtre AB avec Pouce Antalgie AINS Radio post plâtre Contrôle à la consultation de Dr. X dans une semaine • Radio pied gauche • Radio pied gauche : pas d'anomalies osseuses • Radio poignet droit f/p • Radio pouce droit f/p • Radio poignet droit • CT poignet droit • Radio post plâtre poignet droit • Radio poignet G : Fracture extrémité distale radius G, non déplacée • Radio poignet G : pas de fracture ni luxation osseuse visualisée • Radio poignet-main G • Radio pouce droit • Radio du poignet avec vues scaphoides • Radio pouce droit • Radio du poignet avec vues scaphoides • Radio pouce main G • Radio rachis cervical sans anomalies • Radio rachis lombaire ne montre pas de fracture sédiment urinaire Repos TTT symptomatique contrôle chez son MT • Radio thoracique Hémocultures périphériques : 1/4 positivée pour E. Coli multisensible, 3/4 négatives à 5 j Hémocultures sur cathéter de dialyse : négatives à 5 j Couverture antibiotique par Ceftriaxon 1000 mg/24h du 12.12 au 20.12.2018 • Radio thorax • Radio thorax • CT cérébrale Radio Thorax : Dislocation partielle de la PIC-line, jonction V.cava sup, V. subclavia Radio Thorax : Port-à-cath en place, pas de pneumothorax Gastro-Coloscopie du 18.12.2018 : sans signes d'hémorragie digestive haute ou basse. Radio thorax : foyer lobe inférieur à droit Tazobactam 4,5 g i.v. Klacid 500 mg i.v. Antigène de legionelle : le patient n'a pas uriné aux urgences • Radio thorax : pas de fractures aux côtes • Radio avant pied D : pas de fractures • Radio thorax 06.12.2018 : pacemaker et sondes en place • Radio Thorax 18.12.2018 ; Comparatif du 25 juin 2018. Silhouette cardiomédiastinale dans la norme. Aspect légèrement élargi de l'artère pulmonaire interlobaire droite. Examen du parenchyme pulmonaire ne montrant pas de foyer constitué. Remaniement séquellaire du LSG déjà décrit au CT du 11 juillet 2018. Pas d'épanchement pleural. Reste de l'examen superposable. ETT 19.12.2018 : - Ventricule gauche non dilaté avec une hypokinésie minime de la paroi inféro-basale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Hypertrophie concentrique. Absence d'obstruction dynamique intraVG au repos secondaire à l'hypovolémie. Augmentation du débit cardiaque calculé à 6,1 l/min avec un index cardiaque à 2,89 l/min/m² (131 % de la théorique). - Aorte normale. Présence d'une bioprothèse à armature en position aortique non sténosante ni fuyante, sans dysfonction. Le gradient moyen VG-aorte est de 23 mmHg. Surface aortique à 1,25 cm² (0,59 cm²/m²). - Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique minime (grade I). - Oreillette gauche modérément dilatée. - Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. VCI se collapse en inspiration en faveur d'une hypovolémie. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. - Absence d'épanchement péricardique. - Bon fonctionnement de la prothèse pas d'élément en faveur d'une endocardite Récolte d'urines sur 24 h (19-20.12.18) - Protéinurie : 5.60 g/24 h, albuminurie : 4'920 mg/24 h, quotient protéines/créatinine : 430.1 mg/mmol/24 h Valeurs comparatives du 12.06.2018 : protéinurie 3.67 gr/24 h, albuminurie 3'336 mg/24 h, quotient protéines/créat 379.1 mg/mmol/24 h Spot et sédiment urinaires (19.12.18) : Urée urinaire 156 mmol/l, Créatinine urinaire 3.8 mmol/l, Sodium urinaire 109 mmol/l, Potassium urinaire 22 mmol/l, leucocyturie ++ avec leucocytes incomptables - 19.12.2018 : UPCR 632 mg/mmol. Valeur du 14.11.2018 (bilan chez le médecin traitant) : UPCR 888 mg/mmol Consilium Néphrologique 20.12.2018 : Surcharge volémique dans un contexte de syndrome néphrotique sur GEM stable - Insuffisance rénale chronique G3ab - Protéinurie stable à 5.22 g/24 h, UPCR stable - Albumine à 22 g/L - ETT superposable - Tests hépatiques alignés Poursuite d'Irbesartan Suivi clinique et biologique : poids, TA, diurèses (éviter hypotensions : baisser Furosemide selon clinique) Indication à anticoagulation et substitution albumine à < 20 g/L En vue de la diminution de la volémie intravasculaire efficace nécessaire à la mobilisation du 3è secteur, une majoration de la créatinine est attendue avec les diurétiques en IV. L'amélioration clinique des œdèmes reste la cible thérapeutique à atteindre en évitant toute hypotension susceptible de baisser la perfusion rénale.Consilium angiologie avec Duplex veineux (20.12.18): Absence de TVP aiguë proximale ddc. Absence d'insuffisance veineuse superficielle Proposition de: • poursuivre prophylaxie antithrombotique pharmacologique • appliquer une compression élastique par bandes aux MI, puis à distance de l'état infectieux des drainages lymphatiques • Pas de collection type abcès visualisée, mais infiltration diffuse du tissu sous-cutané. Microbiologie: Hémocultures négatives Biopsie: présence de S. aureus résistant à la Pénicilline, et de P. aeruginosa polysensible. Radio thorax Laboratoire Traitement symptomatique (antalgie) Fluconazole 50 mg 1x/J NaCl 1500 ml/J Consilium logopédique Consilium ORL Radio 3.12 : pas de foyer visualisé Codéine pour la nuit Radio Antalgie AINS Bande élastique Glace Certificat pour le sport Contrôle chez son MT la semaine prochaine Radio antalgie habituel Radio Avis Dr. X sédiment urinaire Repos TTT symptomatique avec antalgie AINS Tramal contrôle chez son MT dans une semaine Radio Avis Dr. X attelle plâtrée post avec des cannes anglaises une décharge complète arrêt sport pour 6 semaines antalgie AINS RDV chez Dr. X le 17.12.2018 Radio Avis Dr. X Avis Dr. X Avis Dr. X faire IRM genoux D injecté pour bien caractériser (le 12.12 à 14h) Contrôle par la suite chez Dr. X Radio Avis Dr. X. Attelle Aircast antalgie AINS Glace Certificat pour le sport Contrôle dans une semaine à la policlinique d'ortho. Radio Avis ortho Dr. X antalgique 48h Radio Co-Amoxi Rappel tétanos Paracétamol, Morphine Bloque nerveux doigts II et III à droite Radiographie : fracture distale radius avec bascule postérieure de 30° Consilium orthopédique (Dr. X) : Contrôle HFR pour discuter l'indication opératoire Antalgie Plâtre fendu Contrôle HFR le 19.12.18 Radiographie : fracture non-déplacée de l'IPP 4ème doigt droit Radiographie : pas de lésion osseuse (examen avec explication donnée par le médecin). Avis ortho : contusion simple, pas d'argument clinique pour une rupture de la coiffe. Antalgie physiothérapie, suivi ultérieur chez le médecin traitant. Radiographie : aucun déplacement secondaire des composantes prothétiques, pas de signe de descellement. Radiographie : discontinuité de la corticale au bas de l'os métatarsien I gauche (examen avec explication donnée par le médecin). Traitement analgésique et antiphlogistique. Immobilisation dans un plâtre, prophylaxie thrombose. Scanner du pied gauche ces prochains jours. Discussion et contrôle en ortho-urgences dans 5 jours. Radiographie : fracture au bas de la phalange proximale V (examen avec explication donnée par le médecin). Immobilisation dans un plâtre et analgésie. Consultation en ortho-urgences et discussion de la procédure. Radiographie : Fracture diaphysaire P2 2ème orteil droit avec déviation latérale (38°) Radiographie de contrôle : réduction satisfaisante de la fracture (14°) Radiographie : fracture Salter II du radius distal Radiographie : luxation, pas de lésion osseuse, avec explication du médecin. Reposition. Radiographie de contrôle : reposition correcte, pas de fracture iatrogène. Immobilisation en syndactylie et avec les souliers Darco pour 3-4 semaines. Antalgie. Contrôle chez son médecin traitant. Radiographie : pas de corps étranger visible (probablement radio-transparent) Abdomen rassurant cliniquement Surveillance des selles durant 15 jours Si pas de corps étranger dans les selles après 15 jours : contrôle chez pédiatre, organisation radiologique avec produit de contraste à évaluer Radiographie : pas de corps étranger. Rappel tétanos. Désinfection avec Hibidil, soulèvement avec une pince, pas de tendon ou d'os visible, pansement. Retour à domicile avec antalgie. Radiographie : pas de foyer pulmonaire constitué, pas d'épanchement pleural. Planification d'un CT scan thoraco-abdomino-pelvien en vue d'établir un bilan d'extension du cancer du sein droit. Radiographie : pas de fracture, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique : pas d'instabilité, entorse grade 1. Attelle Aircast, antalgie sans AINS car Aspirine et parfois brûlures gastriques. Contrôle chez le médecin traitant à 10 jours, arrêt de travail jusqu'au contrôle. Physiothérapie. Radiographie : pas de fracture, avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile avec attelle Aircast et antalgie. Contrôle à 10 jours chez le médecin traitant pour réévaluation de l'immobilisation. Radiographie : pas de fracture (examen avec explication donnée par le médecin). Attitude : • syndactylie • antalgie • consultation ortho-urgence à 1 semaine Radiographie : pas de fracture Avis orthopédique (Dr. X) : attelle AirCast nuit et jour jusqu'au contrôle en orthopédie chez Dr. X le 03.12. Entraînement le 02.12 selon tolérance. Antalgie au besoin Radiographie : pas de fractures Radiographie abdomen sans préparation : dilatation gastrique et des anses grêles Mise à jeun le 18.12.2018 Pose de sonde naso-gastrique le 18.12.2018, aspiration douce continue dès le 19.12.2018 Avis chirurgical, Dr. X Voie veineuse centrale le 21.12.2018 (Dr. X) Radiographie. Absence de fracture ou d'arrachement visualisé. Attitude : • anti-inflammatoire • repos • dispense de sport pour 2 semaines. Suite de prise en charge chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Radiographie annulaire droit. Antalgie. Radiographie annulaire droit. Antalgie. Radiographie avant-bras droit : Fracture Salter 1 radius distal droit Radiographie avant-bras droit : pas de fractures Radiographie avant-bras droit : pas de fractures Mobilisation libre et indolore après Algifor Antalgie en réserve Radiographie avant-bras droit Avis orthopédique (Dr. X) Plâtre AB fendu Antalgie au besoin Contrôle aux ortho urgences dans 10 jours Radiographie, avec examen expliqué par le médecin. Avis orthopédique (Dr. X) : US : rupture partielle en myotendineux sur un seul tendon ischio-jambier, sans GAP Charge selon douleur sous couvert de cannes pour 4 semaines puis stretching et renforcement musculaire en physiothérapie. Contrôle clinique en ortho-urgences à 10 jours. Clexane 40 mg sc 1x/jour pendant 4 semaines. Antalgie, repos. Radiographie (avec explication donnée par le médecin). Avis ortho Dr. X : syndactylie, semelle rigide, consultation ortho-urgences dans 7-10 jours. Antalgie. Radiographie, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X. Béquilles. Charge selon douleur. Antalgie. Contrôle chez son médecin dans 1 semaine. Radiographie, avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédique Dr. X. Hospitalisation demain en orthopédie pour chirurgie (le patient refuse une hospitalisation ce soir). Botte plâtrée. Cannes anglaises. Clexane 40. Voltaren 50. Radiographie bassin et hanche gauche 07.12.18 superposable au comparatif Rx de la colonne lombaire 07.12.18 : pas de fractures nouvelles CT hanche gauche 07.12.18 : hématome dans l'iliopsoas gauche, pas de saignement actif, léger épanchement dans la bourse trochantérique à gauche, pas de fractures, prothèse bien mise en place, pas de signes d'instabilité Radiographie bassin et hanche Radiographie thorax ECG du 26.12.18 Laboratoire du 26.12.18 ad hosp chirurgie orthopédique Radiographie bassin F et hanche D F/A : pas de lésion osseuse visualisée, Antalgie de réserve, marche en charge selon douleurs, Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 5 jours. Radiographie bras face, profil Radiographie épaule face Neer CT épaule droite Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) : traitement chirurgical indiqué ATT : Hospitalisation en orthopédie pour la suite de la prise en charge Radiographie bras gauche: absence de fracture. Dernier repas à 17h le 20.12.2018 Avis orthopédique (Dr. X) Attitude : • désinfection octenisept, anesthésie lidocaïne 1% 1/2 ampoule. • suture (Dr. X/Dr. X) : 3 points sous-cutanés Vicryl, points Prolène 4.0 (nombre de points non comptés) : points cutanés 14 jours. • rappel tétanos. • contrôle au secteur ambulatoire des urgences à 48h puis organiser le retrait des points à 14 jours chez le médecin traitant. • antibiothérapie 5 jours, co-amoxicilline 625 mg 3x/jour. Radiographie cervicale : colonne cervicale dégénérative, pas de fractures, alignement conservé (examen avec explication donnée par le médecin). Pas d'arguments pour CT cérébro-cervical. Attitude : • consultation ORL pour suspicion de fracture nasale • explications pour mesure de surveillance post-TCC Radiographie cheville : fracture malléolaire externe de type Weber B cheville gauche. Radiographie cheville en charge : fracture malléolaire externe Weber B sans déplacement secondaire. Pas de diastasis significatif tibio-fibulaire distal. Bonne congruence articulaire. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle jambière postérieure. Contrôle à 7j en team pied. Avis orthopédique (Dr. X) : propose Vaco-Ankle au vu du faible déplacement en charge. Charge possible selon douleurs. Radiographie cheville droite Radiographie cheville droite: pas de fractures visibles Radiographie cheville et avant-pied droite. Avis orthopédique (Dr. X). Attitude : • Immobilisation par plâtre en botte fendue et décharge par cannes anglaises, charge max. 5 kg. • Clexane 40 mg sous-cutané. • Contrôle en orthopédie à 7j au team pied. • Proposition de reconsulter en cas de signe de gravité. Radiographie cheville gauche Radiographie cheville gauche de face et profil Radiographie du pied gauche, de face et oblique Ecofenac crème Radiographie cheville gauche, face et profil, examen expliqué au patient par le médecin. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : patient qui a chargé complètement après le traumatisme, pas de douleurs ligamentaires deltoïdes / malléole interne. Traitement conservateur avec botte plâtrée fendue, circularisation à J5 en ortho-urgence, cannes et chaussure Darko, décharge (15Kg). Contrôle radio-clinique en consultation ortho-urgences avec radio en charge. Antalgie et Clexane prophylactique. Radiographie cheville gauche: absence de fractures Radiographie cheville gauche Avis orthopédique (Dr. X) bande élastique Antalgie aux besoins, crème AINS marche selon douleurs avec béquilles Physiothérapie Arrêt de sport pendant 3 semaines Contrôle clinique chez médecin traitant dans 1 semaine Radiographie colonne dorsale et lombaire f/p CT scanner colonne dorso-lombaire Avis orthopédie (Dr. X/Dr. X) Hospitalisation, lit strict, à jeun OP à programmer avec team spine (CONSENTEMENT à faire) A confronter avec un consilium ORL (suivi Dr. X) quant à une intubation chez une patiente qui est en train de faire un bilan extension sur des fausse routes avec st post carcinome épidermoïde moyennement différentié de la vallécule gauche, de stade pT4 pN0 : 11.06.2002 : trachéotomie percutanée, évidement triangulaire supra-hyoïdien droit, évidement fonctionnel II, III, IV gauche, tumorectomie par laryngectomie sus-glottique (Dr. X, Dr. X) Radiographie colonne dorsale f/p : suspicion fracture de compression D9 Radiographie colonne cervicale f/p/odontoïde CT scanner colonne dorsale : absence de fracture Radiographie colonne dorsale f/p Radiographie colonne cervicale f/p/odontoïde CT scanner colonne dorsale AD IRM avec séq STIR pour exclure tassement D8 et D9 Antalgie, arrêt du sport, pas de mouvement de rotation et pas de flexion extension des extrêmes Contrôle team spine dans 4 jours suite à IRM (Patient sera convoqué, bon faxé) Avis orthopédie (Dr. X/Dr. X) Radiographie colonne lombaire le 27.11.2018 : fractures de tassement de L1 et L4 ; pas de recul de mur postérieur visible CT scanner lombaire le 27.11.2018 Antalgie par Tramal en réserve AINS en suspens Bilan d'ostéoporose et traitement à discuter en ambulatoire Radiographie colonne lombaire Radiographie hanche droite Radiographie du bassin Avis Dr. X, orthopédiste CT lombaire Avis Team Spine Dr. X : IRM lombaire le 17.12.2018 à organiser IRM lombaire non faisable Avis Dr. X, radiologue Avis Dr. X, neurochirurgien Mobilisation selon douleur Antalgie Miacalcic Rendez-vous à la Team Spine le 08.01.2019 à 14h15 pour contrôle radiologique et clinique Radiographie colonne thoracique et lombaire face/profil : pas de lésion traumatique osseuse visualisée, explications données au patient. Attitude : • Morphine 10 mg po aux urgences. • Antalgie simple. • Myorelaxant. • Physiothérapie. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Radiographie colonne thoracique et lombaire face/profil (rapport oral Dr. X) : pas de lésion traumatique osseuse visualisée. Radiographie colonne thoracique le 18.11.2018 Radiographie colonne lombaire le 18.11.2018 Radiographie sacrum-coccyx le 22.11.2018 Antalgie par Tramal Substitution en vitamine D et calcium Radiographie coude : épanchement intra-articulaire, mais pas de lésion osseuse traumatique clairement visualisée. Les rapports ostéo-articulaires sont conservés. Les structures osseuses sont dans les limites de la norme CT du coude : probable fracture non déplacée stade 1 du condyle externe avec composante d'hémarthrose modérée Radiographie coude gauche le 29.11.2018 CT coude gauche le 30.11.2018 Réduction ouverte, OS par cerclage haubanage (OP le 01.12.2018) Noradrénaline le 01.12.2018 Radiographie coude gauche : pas de fracture Radiographie cuisse F/P Radiographie thorax du 28.12 Laboratoire du 28.12 Avis ortho Attitude : • traction membre inférieur gauche • hospitalisation chirurgie ortho • contrôle peau aux 2h • contrôle neuro membre inférieur aux 2h Radiographie de la cheville droite : pas de fracture, examen avec explication donnée par le médecin. Retour à domicile avec antalgie et bande élastique. Arrêt de travail. Physiothérapie. Contrôle chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Radiographie de la cheville droite : CT-scan de la cheville droite : avis orthopédique (Dr. X) Attitude : • hospitalisation en orthopédie lit strict et immobilisation avec un Schlupfgips • surveillance de la peau • quand l'état cutané le permettra, changer pour un plâtre calcanéum Radiographie de la cheville face profil : pas de fracture Attelle Aircast Antalgie : AINS, Dafalgan Physiothérapie Cannes de décharge, charge selon douleurs. Explications données au patient. Contrôle chez le médecin traitant dans 7 jours. Radiographie de la cheville gauche : les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution du patient. Pas de fracture. Pas d'altération des tissus mous. Radiographie de la cheville gauche : pas de fracture, examen avec explication donnée par le médecin. Immobilisation par Air-Cast, repos, glace pendant 48 heures. Anti-inflammatoires. Charge possible. Arrêt de travail pour la fin de la semaine avec reprise le 17.12.2018. Nous recommandons au patient de consulter son médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Radiographie de la cheville gauche : pas de fracture visualisée Radiographie de la cheville gauche : pas de fracture visualisée Radiographie de la cheville gauche Antalgie de premier pallier Consignes habituelles pour entorse Radiographie de la cheville le 01.11.2018 Radiographie du pied droit le 06.11.2018 Aircast pour une durée totale de six semaines dès la résorption de la phlyctène Mobilisation libre selon douleurs Antalgie Radiographie de la jambe gauche : fracture de la diaphyse tibiale non déplacée. Pas d'anomalie visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. Radiographie de la cheville gauche : fracture tibiale distale non déplacée. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. Radiographie post-plâtre de la jambe gauche : bonne contention plâtrée pour fracture diaphysaire distale du tibia. Les rapports anatomiques sont conservés. Radiographie de la main droite face/oblique et du 5ème doigt face/oblique : absence de fracture visualisée. Désinfection, anesthésie en bague, exploration de la base et du lit de l'ongle, qui montre une atteinte minime, lavage et rinçage abondant, puis réinsertion de l'ongle avec un point en 8. Attitude : • Antalgie simple. • Adaptic Digit et attelle sapin. • Contrôle le 26.12.2018 en filière, puis contrôle hebdomadaire en orthopédie urgence. • Arrêt de travail pour 2 semaines. Radiographie de la main et du scaphoïde gauche du 26.12.2018 : pas d'image de fracture visible. Rhizarthrose avancée. Arthrose radio-ulnaire distale. Radiographie de la main gauche : ne montre pas de trait de fracture. Radiographie de la main gauche Atelle Contrôle radiologique et clinique à une semaine. Radiographie de l'avant-bras : Fracture supra-condylaire Gartland 4. Radiographie de l'épaule droite avec explication donnée par le médecin. Réduction sous MEOPA et Fentanyl. Observation aux urgences. Attitude : • retour à domicile avec traitement symptomatique. • consultation au team membre supérieur dans une semaine. Radiographie de l'épaule droite face/Neer : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Bonne congruence gléno-humérale. Radiographie de l'épaule droite : pas de Bankart, tête humérale en place, pas de luxation acromio-claviculaire, hauteur de la tête humérale conservée. Avis orthopédique Dr. X : consultation à 2 semaines au Team Membre supérieur. Physiothérapie de renforcement de la coiffe des rotateurs. Bretelle antalgique. Antalgie médicamenteuse. Radiographie de l'épaule droite : pas de fracture visualisée. Radiographie de l'épaule droite. Radiographie de la cheville droite. Radiographie du pied droit. Avis orthopédique (Dr. X). Retour à domicile avec antalgie. Prescription de physiothérapie pour l'épaule. Arrêt de travail. Pour la cheville : RICE et bande élastique. Proposition de trouver un médecin traitant dans la région pour le suivi. Radiographie de l'épaule gauche face/Neer : luxation gléno-humérale antéro-inférieure, sans lésion osseuse traumatique associée visualisée. Radiographie de l'épaule gauche face/Neer post-réduction : par rapport au comparatif du même jour, on constate une bonne réduction de la luxation gléno-humérale antéro-inférieure. Présence d'un fragment triangulaire en regard de la partie inférieure de la glène, évoquant une fracture de cette dernière. Radiographie de l'hallux. Réduction fermée. Syndactylie. Semelle rigide (Darko). Contrôle en orthopédie le 21.2 avec radiographie. Antalgie de premier palier. Radiographie de l'orteil gauche : pas de fracture. Radiographie de thorax. Radiographie de thorax. Radiographie de thorax de contrôle : pneumonie basale droite. Radiographie de thorax du 25.12.2018 : • Légère cardiomégalie. • Pas de foyer pulmonaire ni de signes de décompensation cardiaque. • Élongation, déroulement et sclérose de l'aorte thoracique descendante. • Pas d'épanchement pleural ou de foyer. • Attitude scoliotique dextro-convexe dorso-lombaire. Omarthrose ddc. Radiographie de thorax du 27.12.18 : Pacemaker pré-pectoral gauche avec deux sondes endoveineuses, l'une dans l'oreillette droite et l'autre dans le ventricule droit. Le dispositif et ces sondes sont d'allure intègre. Pas de pneumothorax ni épanchement. Plages pulmonaires bien ventilées et sans condensation ni lésion nodulaire. Cadre osseux et tissus mous sans particularité. Radiographie de thorax le 03.12.2018 : absence de pneumothorax, pacemaker bicaméral en place. Radiographie de thorax le 18.12.2018. Radiographie de thorax. Paires d'hémocultures. Rocéphine intraveineux du 12.12.2018. Radiographie de thorax : Pas de foyer visible. CT thoracique : Condensation pulmonaire en verre dépoli lobe supérieur droit et inférieur droit avec contenu dans la bronche souche droite. ECG : rythme sinusal régulier, probable début de BBD. Bronchoscopie le 30.10.2018 fecit Dr. X. Présence de sang dans la bronche souche droite dont l'origine provient du segment postérieur du lobe supérieur gauche sans visualisation de la source. Saignement dans le lobe inférieur par continuité. Biopsie et BAL à l'aveugle pour cytologie. Rendez-vous pour résultat le 9.11.2018 à 13h30 avec Dr. X. CT thoracique dans 2 mois pour contrôle : dans la norme, pas d'anomalie mise en évidence. Radiographie de thorax : Pas de foyer visible. CT thoracique : Condensation pulmonaire en verre dépoli lobe supérieur droit et inférieur droit avec contenu dans la bronche souche droite. ECG : rythme sinusal régulier, probable début de BBD. Bronchoscopie le 30.10.2018 fecit Dr. X. Présence de sang dans la bronche souche droite dont l'origine provient du segment postérieur du lobe supérieur gauche sans visualisation de la source. Saignement dans le lobe inférieur par continuité. Biopsie et BAL à l'aveugle pour cytologie. Rendez-vous pour résultat le 9.11.2018 à 13h30 avec Dr. X. CT thoracique dans 2 mois pour contrôle : sans pathologie mise en évidence. Radiographie de thorax : pas de pneumothorax, pas de fracture visualisée (probables anciennes fractures). Retour à domicile avec antalgie de premier palier. Radiographie de thorax : Suspicion de foyer basal droit. Rapport définitif à pister pour éventuelle adaptation du traitement. Bilan sanguin : Syndrome inflammatoire avec leucocytose à 18.9 G/l, neutrophilie à 15.4 G/l. CRP négative. PCT 0.46 ug/l. Frottis nasal mycoplasme : négatif. Radiographie de thorax 10.12.2018 : Flou péri hilaire bilatéral ainsi que épaississement péribronchovasculaire bi-basal parlant en faveur de signes de légère décompensation cardiaque. Opacité mal délimité du lobe inférieur gauche, silhouettant l'apex cardiaque, associée à un émoussement de l'angle costo-diaphragmatique postérieur, pouvant évoquer un foyer débutant avec épanchement pleural. CT cérébral natif (10.12) : S/p trépanation fronto-temporo-pariétale droite ; prise de contraste périphérique au niveau de la loge de résection fronto-insulaire homolatérale, probablement sur résection incomplète du glioblastome. Prise de contraste méningée en regard de la loge de résection et hématome sous-dural fronto-temporal à droite, en rapport avec le status post-trépanation. Test de déglutition : pas de troubles fonctionnels. ETT CHUV 5.10.2018 ; Cet examen d'échogénécité moyenne démontre les éléments suivants : VG à la limite de la dilatation, avec dysfonction globale jugée légère à modérée - FE calculée à 44 % -, avec anomalies de la cinétique segmentaire sous forme d'une hypokinésie inférieure, inféro-septale et inféro-latérale. Relaxation retardée. Dysfonction diastolique grade I. OG de volume à la limite supérieure de la norme. Prothèse biologique aortique caractérisée par un gradient max et moyen de 25/13 mmHg et l'absence d'insuffisance. Valve mitrale sclérosée avec insuffisance jugée au moins modérée sur tenting des 2 feuillets. VD non dilaté, de fonction globale conservée, malgré une importante diminution de la contractilité longitudinale post-opératoire. Valve tricuspide d'aspect normal, avec minime insuffisance. VCI et veines sus-hépatiques non/mal visualisées. Hypertension pulmonaire peu probable avec PAPs mesurée à 29 mmHg + PVC Absence d'épanchement péricardique Racine de l'aorte mal visible Septum interauriculaire d'aspect normal, sans Foramen ovale perméable détectable par Doppler couleur Valve pulmonaire d'aspect normal avec minime insuffisance CT thoracique fine couches 13.12.2018 : On retrouve une adénopathie hilaire droite mesurée à 13 mm de petit axe. Epaississements bronchiques associés à quelques comblements bronchiques distaux. Emphysème pulmonaire diffus de type centro-lobulaire. Infiltrat en verre dépoli dans le segment apical du lobe supérieur droit. Réticulation sous-pleurales dans les deux lobes inférieurs, le lobe moyen et la lingula. Atélectase partielle dans la lingula. Pas d'épanchement pleural. ETT 20.12.2018 • Le ventricule gauche n'est pas dilaté, non hypertrophié avec une fonction systolique globale normale. FEVG à 60 % (méthode de Simpson). Géométrie normale du ventricule gauche. • Sclérose aortique, d'ouverture conservée. Gradient moyen VG-Ao à 9 mmHg. • La valve mitrale est d'ouverture normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Dysfonction diastolique minime (grade I). Elévation des pressions de remplissage ventriculaire gauche. • Oreillette gauche discrètement dilatée. • Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. • Insuffisance tricuspide légère ne permettant pas de quantifier exactement la pression pulmonaire systolique (PAPs calculée à au moins 22 mmHg (Grad max OD-VD à 17 mmHg + POD estimée à 5 mmHg). Insuffisance pulmonaire minime (grade 1/3). PAPd augmentée et calculée à 13 mmHg (Grad min VD-Ap à 8 mmHg + POD estimée à 5 mmHg). • Absence d'épanchement péricardique. Consilium Pneumologique 14.12.2018 : Nécessité d'oxygénothérapie à long terme et organisation de l'oxygène à domicile. Troubles ventilatoires avec syndrome restrictif, trouble de la diffusion au CO, et fibrose pulmonaire d'origine indéterminée. Une pneumopathie sur HTAP doit être exclue et le DD de la pneumopathie sur Cordarone ne doit pas être écarté. Radiographie de thorax 25.12.2018 : Légère cardiomégalie avec apparition d'un infiltrat interstitiel diffus bilatéral suivant un gradient cranio-caudal, et apparition d'un épanchement pleural bilatéral prédominant à droite, compatible avec une décompensation cardiaque. Sclérose du bouton aortique. Pas de foyer individualisé. Le cadre osseux est inchangé. Echographie transthoracique 26.12.2018 : Dilatation modérée du ventricule gauche avec une hypokinésie modérée du septum basal et de la paroi inféro-basale, une hypokinésie minime de la paroi postérieure moyenne et une hypokinésie sévère des segments restants. FEVG à 25 % (méthode de Simpson). Hypertrophie excentrique. Augmentation du débit cardiaque calculé à 7,27 l/min avec un index cardiaque à 3,46 l/min/m² (140 % de la théorique). Aorte normale. Rétrécissement aortique lâche calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1,69 cm² (0,81 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 12 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). Oreillette gauche très dilatée. Dilatation modérée du ventricule droit. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Dilatation modérée des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/4). Valve pulmonaire normale. Contrôle du pacemaker bicaméral 27.12.2018 : Seuils, détections et impédances corrects. Pile encore bonne min 14 mois. Aucune arythmie enregistrée depuis le dernier contrôle effectué le 27.11.2018. Patient en BAV complet sous le pacemaker, stimulation à 100 % dans le ventricule et 0 % dans l'oreillette. Programmé en DDD à 55/min. Coronarographie du 28.12.2018 : L'examen invasif du jour démontre un état coronarien inchangé. La fraction d'éjection du ventricule gauche est estimée à 22 % à la ventriculographie. La fonction s'est effectivement péjorée par rapport à 2015. Il s'agit probablement d'un remodeling pathologique. Il y a par contre une sténose aortique qui est formellement encore légère mais qui pourrait être sous-estimée par le bas débit. US Doppler fémoral droit 28.12.2018 : Radiographie de thorax. Avis radiologue de garde : pas de foyer, pas d'altération. Laboratoire : CRP, leucocytes, D-dimères dans la norme. Radiographie doigt D3 droit : pas de fracture, examen avec explication donnée par le médecin. Avis orthopédie (Dr. X). Antalgique. US en ambulatoire. Ergothérapie. Consultation au Team membre supérieur à 4 semaines. Radiographie doigt V : Corps étranger niveau palmaire à la dernière phalange, pas de fracture. Anesthésie, exploration, retrait du corps étranger, désinfection, suture (en tout 4 points simples). Antibiothérapie pour 5 jours par Co-amoxicilline. Suite de prise en charge chez le médecin traitant avec ablation des fils à 10-14 jours. Radiographie doigt V : Fracture sous-capitale P1 doigt 5 droit avec trouble rotatoire. Avis orthopédique (Dr. X) : Attitude : OP électif le 3.12 pour CR et embrochage percutané. A jeun dès minuit. Consentement fait, anesthésie passée. Radiographie doigt 3 gauche f/p : pas de fracture visible. Radiographie doigt 3 gauche f/p Antalgie selon douleurs. Syndactylie pour antalgie. Arrêt de sport pendant 1 semaine. Reconsultation chez pédiatre si persistance des douleurs dans 1 semaine. Radiographie doigt 4 : Fracture Salter III de la base de P1 D4 droit. Radiographie du bassin et hanche droite de face et en axial : pas de lésion osseuse traumatique récente visualisée. Antalgie. Réadaptation en charge selon douleurs. Radiographie du bassin et hanches le 21.12.2018. Radiographie du bassin face et hanche axiale gauche : pas de lésion osseuse traumatique visualisée notamment au niveau de la hanche gauche. Laboratoire : cf. anneses. Pas de syndrome inflammatoire. Radiographie du coccyx et sacrum face et profil : pas de fracture (examen avec explication donnée par le médecin). Traitement symptomatique. Radiographie du coude droit F/P à Riaz. Antalgie par Algifor 100 mg per os OU, Fentanyl intranasale 1 mcg/kg c-a-d 16 mcg en dose unique à Riaz. Avis orthopédique (Dr. X). Traitement conservateur avec Cuff & Collar à 130°. Antalgie selon douleurs. Rester à domicile jusqu'au 17.12.18. Contrôle aux ortho urgences le 17.12.2018 (organisé par orthopédiste, vas être convoqué). Radiographie du coude droit F/P de ce jour : on remarque un déplacement secondaire en faveur d'une amélioration du positionnement dans le cliché profil avec une ligne de rejet qui croise le noyau de croissance du coronoïde. Radiographie du coude droit F/P : fracture supracondylaire du coude droit. Radiographie du coude droit F/P : fracture supracondylaire du humérus droit. Avis orthopédique (Dr. X) : Traitement conservateur avec Cuff & Collar à 130°, antalgie selon douleurs, rester à domicile jusqu'au 17.12.18. Contrôle aux ortho urgences le 17.12.2018 (organisé par orthopédiste, vas être convoqué). Radiographie du deuxième doigt droit. Radiographie du doigt V : arrachement osseux, sans dislocation. Radiographie du doigt V gauche : • pas d'atteinte osseuse. Avis orthopédique (Dr. X) : • pas d'atteinte des fléchisseurs, prise en charge par des sutures simples. Désinfection, anesthésie en bague, exploration de plaie, suture par 3 points simples, immobilisations par attelle digitale. Contrôle clinique de plaie dans 48 h en filière 34. Ablation des fils dans 10 jours chez le médecin traitant ou aux urgences. Radiographie du fémur gauche : pas de lésion osseuse, notamment traumatique visualisée. (Dr. X). Radiographie du fémur gauche : fracture épiphysaire. Radiographie du genou : pas de fractures. Radiographie du genou droit : épanchement. Avis orthopédique (Dr. X) : Antalgie voltaren 50 mg 3x/jour. Décharge + clexane prophylactique. Attelle jeans. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences demandé par les orthopédistes. Radiographie du genou droit : pas de lésion visualisée. Radiographie du jour met en évidence une fracture consolidée en bonne position, matériel d'ostéosynthèse en place. Radiographie du jour montrant une prothèse intégrée sans descellement. Radiographie du pied face/oblique : pas de lésion osseuse. Radiographie du pied : fracture de Jones. Radiographie du pied gauche F/O novembre 2018 : pas de signes d'ostéomyélite. Consilium infectiologique (Dr. X) novembre 2018 : poursuite Co-amoxicilline à dose maximale selon fonction rénale. Consilium podologie le 08.11.2018 : suspicion d'abcès profond gaine des fléchisseurs du pied, pas de contact osseux, avis ortho pour débridement chirurgical. Consilium angiologie le 08.11.2018 : amélioration de la perfusion du pied gauche par l'artère péronière qui donne des collatérales sur la pédieuse et la tibiale post à la cheville, avec absence d'ischémie critique. Une nouvelle intervention angiologique n'est actuellement pas nécessaire. US pied gauche le 09.11.2018 : infiltration en rapport avec l'inflammation, pas de collection sous-cutanée. IRM non réalisables en novembre 2018 au vu tremblements patient. Laboratoire du 10.12.18. Attitude : • Avis orthopédique (Dr. X) : propose US des tissus mous pour recherche de collection plantaire à drainer en urgences. Hospitalisation puis discussion pour IRM (sous sédation en raison des fasciculations) +/- scintigraphie osseuse. • RX pied gauche : superposable au 7.11.2018. • US du pied gauche (Dr. X) : pas de collections, infiltration des tissus mous compatibles avec dermohypodermite. • Avis infectiologique (Dr. X) : suspecte une récidive de dermohypodermite sur plaies chroniques du pied gauche. Pas de preuves formelles d'ostéomyélite. Propose reprise antibiothérapie IV et soins de plaie et podologies rapprochés pour éviction récidive de l'infection. • Reprise Augmentin IV (adaptation dose rénale) : 1.2 g 3x/jour (première dose le 10.12.2018 à 23 h 15). • Tensions artérielles à la limite inférieure de la norme : mise en suspend traitement Felodipine (à réintroduire par la suite). • Soins de plaies (mal perforant plantaire et escarre interdigitale à protéger). Radiographie du pied le 18.10.17 : pas de fracture mise en évidence. Volumineux ostéophyte à l'interface entre l'os naviculaire et l'os cunéiforme intermédiaire ou latéral, en rapport avec un probable conflit. Bec osseux également visible sur le versant antérieur du dôme et du corps du talus, pouvant également entrer dans le cadre d'un conflit. Éperon osseux calcanéo-plantaire. Antalgie. Radiographie du poignet : pas d'atteintes osseuses. Radiographie du poignet. BAB fendu pour 7-10 jours. Contrôle clinique à la consultation orthopédie urgences. AB pour 2 semaines. Arrêt de sport pour 6 semaines. Antalgie au besoin. Vu et discuté avec Dr. X. Radiographie du poignet et deuxième doigt à droite : pas de fracture. Radiographie du poignet gauche. Radiographie du poignet gauche : fracture Salter I du radius distal gauche. Radiographie du poignet. Mise en place d'un plâtre AB fendu. Contrôle dans une semaine. Radiographie du pouce droit : pas d'image de fracture visible. Les rapports anatomiques sont conservés. Les interlignes articulaires sont conservés. (Dr. X). Radiographie du pouce gauche : suspicion de fissure à la base du P1. Consilium orthopédique : nécessité d'immobilisation, mise en place d'un gantelet en soft-cast. Radiographie du premier doigt et de la main droite : os sésamoïde en regard de l'articulation MCP1, pas d'atteinte des autres articulations de la main. Synthèse : nous ne réalisons pas d'autre examen complémentaire au vu de la situation paucisymptomatique et au vu de l'absence de facteurs de risque pour une arthrite septique. Arthrite inflammatoire ou tendinopathie le plus probable. Contrôle en filière le 16.12.18 (avec avis orthopédique et US articulaire si nécessaire). Radiographie du rachis lombaire face/profil : absence de fracture, signe dégénératif. Radiographie rachis dorsal face/profil : pas de fracture. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax. Antalgie. Inspirex. Physiothérapie à la marche ainsi que respiratoire. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, de masse, avec explication donnée par le médecin. Traitement symptomatique. Radiographie du thorax : pas de pneumothorax, pas de fracture visualisée (probables anciennes fractures). Retour à domicile avec antalgie de premier palier. Radiographie du thorax 18.11.2018 : pas de foyer. Stix urinaire le 18.11.2018 : leucocytes +, flore bactérienne +. Sédiment urinaire le 18.11.2018 : pas de leucocytes, flore bactérienne, cylindres hyalins. Culture urinaire : quelques staphylococcus hominis, quelques staphylococcus epidermidis (contaminants). Hémocultures le 19.11.2018 : négatives à 5 jours. PET CT le 22.10.2018 : voir ci-dessus. Pas de traitement antibiotique car absence de piste clinique. Radiographie du thorax. Co-amoxicilline par voie orale du 18.12.2018 au 25.12.2018. Physiothérapie respiratoire. Radiographie du thorax : discussion avec Dr. X. Pas de fracture. Pas de pneumothorax. Radiographie du thorax du 11.12.2018 : pneumothorax apical de 9 mm. Radiographie du thorax du 12.12.2018 : par rapport au comparatif, nette majoration du pneumothorax gauche mesurant 6.5 cm d'épaisseur maximale avec discret shift médiastinal. Après mise en place d'un drain thoracique, bonne réexpansion du poumon gauche avec persistance d'un discret pneumothorax mesurant 9 mm en apical et 17 mm en basal. Laboratoire : cf. annexes. Radiographie du thorax du 16.12.18 : • Silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. • Pas de foyer pulmonaire constitué. On retrouve des signes de BPCO. • Emoussement du récessus costo-diaphragmatique gauche parlant pour un épanchement de faible quantité. Radiographie du thorax du 25.11.2018. ECG 25.11.2018 : rythme de pacemaker. ETT 26.11.2018 : FEVG conservé à 30 %, pas de HTAP, pas de troubles valvulaires déterminants. Contrôle du pacemaker 26.11.2018 : bilan hydrique, entrées-sorties. Lasix IVC 25.11-03.12.2018. Torem p.o. Suivi fonction rénale et électrolytes. Changement médicamenteux (inotrope positif ?) Voir pour organiser suivi par infirmière spécialisée à l'EMS. Echocardiographie et contrôle de pacemaker prévu en février 2019 (Dr. X). Radiographie du thorax du 25.11.2018 : Silhouette cardio-médiastinale dans les limites supérieures de la norme, sans signe de décompensation cardiaque. Émoussement du sinus costo-diaphragmatique gauche compatible avec un petit épanchement pleural. Pas de pneumothorax. Pas d'infiltrat pulmonaire pathologique. Ostéochondrose de la colonne thoracique. Status post cimentoplastie lombaire haute. Ultrason abdominal supérieur du 26.11.2018 : examen incomplet et de qualité sous-optimale. Présence d'une dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatiques, le cholédoque est mesuré à 7 mm. Vésicule biliaire lithiasique sans signe de cholécystite. Pas de calcul cholédocien proximal mis en évidence, non visualisation du cholédoque distal. Murphy échographique négatif. Le foie a des contours réguliers et une taille normale, sans lésion suspecte mise en évidence. Les veines hépatiques et portes sont perméables. Pas de liquide libre abdominal supérieur. Pancréas non visualisé. Laboratoire : cf. annexes.Radiographie du thorax du 26.12.18: Radiographie du thorax du 30.11.2018: • Par rapport au comparatif, apparition d'une opacité rétro-cardiaque dont l'aspect peut être compatible avec un foyer de pneumonie. • Discrets infiltrats pulmonaires intéressant la base droite pouvant également avoir une origine infectieuse. • Pas de foyer pulmonaire clairement visible ailleurs. • Pas d'épanchement pleural. • Reste du status superposable. Radiographie du thorax du 01.11.2018: • Infiltrats péri-bronchiques aux deux bases pulmonaires devant correspondre à une bronchopathie bilatérale. • Pas d'épanchement pleural. • Aorte déroulée avec anévrisme de la crosse de l'aorte thoracique. • Les deux plages pulmonaires par ailleurs se présentent normalement. • Structures osseuses sans particularité. • Status post-cerclage de sternotomie intact. CT abdominal du 02.11.2018: • Prise de contraste de l'uretère proximal droit qui pourrait correspondre à une excrétion précoce de produit de contraste. • Toutefois, une lésion sous-jacente ne peut pas être exclue. • Nous proposons donc de compléter le bilan par un CT-scan avec temps tardif. • Status post-PEG, en place, sans fuite de contraste. • L'intestin grêle se présente normalement, sans obstruction ou iléus. • Petite condensation dans le segment postéro-basal du lobe inférieur gauche devant correspondre à un foyer. • A noter également quelques plages en verre dépoli dans le lobe moyen (foyer débutant ?). Radiographie du thorax du 20.11.2018: • Foyer de pneumonie dans le segment postéro-basal du lobe inférieur gauche. CT abdominal du 23.11.2018: • Status post mise en place d'une GPR avec dislocation de la plaque intra-gastrique se situant actuellement au niveau sous-cutané. • Pas de collection mise en évidence. • Pas de pneumopéritoine. • Présence de liquide libre en quantité modérée dans le petit bassin. • Le reste de l'examen est superposable comparatif. Abdomen sans préparation le 17.12.2018: • Sonde de jéjunostomie en position superposable. • Pas de dilatation des anses grêles et pas de pneumopéritoine. • Coprostase colique droite. • Le reste du status est inchangé. Radiographie du thorax élargi : pas de corps étranger visible. Radiographie du thorax face/profil : silhouette cardiomédiastinale dans les limites de la norme. • Quelques épaississements bronchiques, mais pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. • Dr. X. • Streptotest réalisé aux urgences négatif. • Laboratoire : cf. annexes. • Hémocultures 2 paires. • Sédiment urinaire : cf. annexes. Radiographie du thorax face/profil du 07.11.2018: • Coeur de taille à la limite supérieure de la norme avec des calcifications au niveau de la crosse aortique. • Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. • Pas de fracture de côte, ni de pneumothorax visualisé. • Dr. X. • Laboratoire: CK, troponine 2x dans la norme, FSS et CRP sans particularité, Na 136 mmol/l, K 3.4 mmol/l. Radiographie du thorax le 19.11.2018 Radiographie du thorax le 28.11.2018 ECG • Diurétiques en bolus à dosage progressif puis en intraveineux continu dès le 21.11.2018. • Oxygénothérapie. • Bronchodilatateurs en réserve. • Pose de voie veineuse centrale le 27.11.2018 (Dr. X). Radiographie du thorax le 19.12.2018, explication donnée par le médecin. • Réassurance et retour à domicile. • Mr. Y ne veut pas d'antalgie (en a déjà à la maison). Radiographie du Thorax, le 21.12.2018: possible foyer droit. Radiographie du thorax le 22.11.2018: • Torem 10 mg dès le 29.11.2018. • Bandes de contention. • Suivi pondéral. Radiographie du thorax le 27.11.2018: • Torasemide 10 mg dès le 28.11.2018. • Suivi pondéral. • Oxygénothérapie. Radiographie du thorax le 29.11.2018: • SNG en place, se terminant en surprojection de l'estomac. • Pas de signe de décompensation cardiaque ou d'épanchement pleural, sous réserve d'un examen effectué en position couchée. • Pas de lésion notable dans le parenchyme pulmonaire. • Structures osseuses sans particularité. Radiographie du thorax le 01.12.2018: • On visualise un status post-mise en place d'une SNG en position correcte, se terminant au sein de l'estomac. • Le reste du status est superposable. Radiographie du thorax le 03.12.2018: • Status post-mise en place d'une SNG se projetant au niveau de l'estomac. • Etalement de la silhouette cardiomédiastinale en rapport avec la position. • Les plages pulmonaires se présentent normalement. US artères rénales le 04.12.2018: • L'examen écho-Doppler est malheureusement suboptimal parce que Mr. Y n'arrive pas à garder le souffle, mais la perfusion des reins semble être homogène avec de bons signaux Doppler intra-rénaux, et sans signes directs pour une sténose significative dans les parties proximales des artères rénales ddc. • Par contre, le parenchyme rénal semble être épaissi ddc (pathologie rénale parenchymateuse ?). CT abdominal le 06.12.2018: • S/p mise en place d'une sonde nasogastrique, de position correcte. • Estomac en position et de morphologie normale et absence de surélévation diaphragmatique gauche. US abdominal complet le 10.12.2018: • Examen abdomino-pelvien dans la norme. CT scanner abdominal le 10.12.2018: • Un des trois ancres de la gastrostomie se trouve en dehors de la paroi gastrique et on note un minime pneumopéritoine parlant en faveur d'un déplacement de cette gastrostomie. • Il y a une infiltration de la graisse péritonéale en rapport avec une légère fuite de suc gastrique. • Pas de collection. • Le ballonnet est dans l'estomac. • Nodule surrénalien droit de 12 x 16 mm (phéochromocytome ?), à corréler à un avis endocrinologique spécialisé. • Fécalome. CT cérébral le 24.12.2018: • Disparition de l'hémorragie intraventriculaire, sans signe d'hydrocéphalie. • Disparition des hémorragies sous-arachnoïdiennes à hauteur des citernes de la base. • Évolution normale de l'hémorragie intraparenchymateuse centrée sur les noyaux gris centraux à gauche avec régression quasi-complète de la composante hyperdense et développement d'une lésion parenchymateuse majoritairement hypodense en lieu et place. Radiographie du thorax: pas de foyer, cardiomégalie ni pneumothorax. • Score de Genève à bas risque pour EP. • ECG: RSR à 64 bpm. PR à 164 ms, QRS fins normoaxés. QTc=398, s. Transition de l'onde R en V4. • Ondes T inversées plus prononcées par rapport au comparatif et aVF. • Laboratoire: Hb à 155, trop à 9 à H0 et 8 à H1. d-dimères négatifs. Radiographie du thorax: pas de foyer, pas de cardiomégalie. • Laboratoire: K=2.9, Hb à 156, CRP à 6, Leuc=9.3, D-dimères à 370, trop à 5 et 6 ng/l à H0 et H1 respectivement. • ECG: RSR à 89 bpm, PR à 122 ms, QRS fins d'axe gauche. QTc à 522 ms. Transition tardive de l'onde R en V6. • Score de Genève modifié à bas risque. Radiographie du thorax: pas de foyers, pas de pneumothorax, pas d'hémothorax. • Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, présence de lymphocytes atypiques. • Gazométrie artérielle: norme. • ECG: rythme sinusal régulier à 83/min, axe normal, pas de signes d'ischémie active, pas d'ondes Q pathologiques, pas de signes d'HVG. Radiographie du thorax: pas d'infiltrat. • Retour à domicile avec traitement symptomatique. Radiographie du thorax 17.12.2018: pacemaker en place, pas de pneumothorax. Radiographie du thorax: • 2 paires d'hémocultures: négatives. • Culture urinaire positive du 02.11.2018: E. coli et E. faecalis après traitement pour les mêmes germes par Ceftriaxone du 31.10.2018 au 03.11.2018, et relais par Ertapenem (selon antibiogramme) du 03.11.2018 au 12.11.2018. • Antigènes urinaires: négatifs. Radiographie du thorax 30.11.18: • Épanchement pleural bilatéral de quantité modérée, associé à des opacités pulmonaires aux deux bases devant correspondre à des atélectasies de contact, silhouettant le bord gauche du cœur. • Épaississements bronchiques diffus, avec quelques discrètes réticulations des deux côtés. • Le tout est évocateur d'une décompensation cardiaque. • Pas de foyer pulmonaire mis en évidence, sous réserve de ne pouvoir l'exclure au sein des atélectasies.ECG 30.11.2018: voir ci-dessus ETT 03.12.18 (Dr. X): Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Dysfonction diastolique minime (grade I). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. HTAP minime (PAPs à 36 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Radiographie du thorax Aérosol Ventolin et Atrovent avec bon effet sur les symptômes. Retour à domicile avec traitement par Seretide 2 x par jour et Ventolin en réserve + traitement symptomatique. Explications données au patient. Le patient s'engage à contacter son médecin traitant en début janvier afin de réévaluer la situation et effectuer au besoin une spirométrie. Radiographie du thorax Avis cardiologique Dr. X Test d'effort le 28.12.2018 Introduction Aspirine et Atorvastatine IRM cardiaque prévue en ambulatoire (le patient sera convoqué) Radiographie du thorax. Contrôle chez médecin traitant dans 48h Radiographie du thorax CT abdominale (Dr. X rapport oral): pancréatite, épaississement postéro-latéral gauche de la vessie avec ganglions iliaques et rétropéritonéale nécrotique, carcinose péritonéale Sédiment Sonde urinaire 3 voies Laboratoire Hospitalisation en chirurgie Radiographie du thorax Gazométrie Rocéphine 2 grammes du 25.12.18 au ___ Klacid 50 mg 2x/j du 25.12.18 au __ Prednisone 50 mg du 25.12.18 au ___ NaCl IV 1000 ml Radiographie du thorax Gazométrie Poursuite du Symbicort 2x/j Radiographie du thorax. Laboratoire. Propositions: • Antibiothérapie pour 5 jours. • Ventolin en réserve. • Contrôle clinique chez le médecin traitant. Radiographie du thorax. Nouvelle consultation aux urgences si récidive. Explications données à la patiente. Radiographie du thorax. Radiographie du bassin. Avis orthopédique (Dr. X). Examen clinique parlant en faveur d'une contusion simple au niveau sacro-iliaque. Traitement conservateur. Retour à domicile avec traitement antalgique par anti-inflammatoire, Dafalgan et Voltarène gel. Arrêt de travail jusqu'en début de semaine prochaine. Mise en place de glace sur zone sacro-iliaque. En cas d'exacerbation des douleurs au niveau sacro-iliaque ou de l'abdomen, le patient a été avisé de reconsulter. Radiographie du thorax Traitement conservateur: • Adaptation de l'antalgie • Physiothérapie de mobilisation Radiographie de la colonne lombaire Radiographie du thorax. Traitement symptomatique. Radiographie du 3è doigt de la main gauche: pas de fracture visible Radiographie du 30.11.18: Cardiomégalie avec redistribution vasculaire baso-apicale, épanchements pleuraux de faible abondance et syndrome interstitiel (lignes de Kerley), compatible avec une insuffisance cardiaque décompensée. Déroulement de la crosse aortique comblant la fenêtre aorto-pulmonaire. Pas de nodule suspect ni foyer de condensation. ECG d'entrée: RSR à 100/min. BAV 1. QRS fin normoaxée. pas de trouble de la repolarisation. QTc entre 430ms et 500ms selon intervalle. Radiographie du 5ème doigt gauche: fracture/arrachement de P3. Pas d'anomalie visible des autres structures osseuses. Les rapports anatomiques sont conservés. (Dr. X). Radiographie D3 F/O: Fracture peu déplacée de la phalange distale. Avis orthopédique (Dr. X). Aux urgences: • Co amoxicilline 2.2g IV • Rappel Tétanos • Désinfection betadinée, champage, anesthésie en bague, exploration de la plaie, qui montre une importante perte de substance et une atteinte du lit de l'ongle importante, ablation de l'ongle, rinçage abondant au NaCl, point de parrage par du vicryl rapide 6-0, pansement Adaptic. Attitude: • Contrôle de plaie au secteur ambulatoire des urgences le 31.12.2018. • Poursuite antibiotique pendant 7 jours. • Antalgie simple. • Consultation en orthopédie urgence à 3 semaines. • Motif de reconsultation expliqué au patient. Radiographie D3-4-5 main G: fracture en mot de beurre de la base de P1D5 Radiographie D5 gauche: suspicion fracture Salter II P2 D5 à gauche Radiographie épaule droite face et neer: Avis Dr. X: Contusion musculaire. Explications données à la patiente. DD: lésion de la coiffe des rotateurs, antalgie, physiothérapie contrôle dans une semaine. Radiographie épaule droite f/neer (avec explication donnée par le médecin). Avis orthopédique (Dr. X). Traitement conservateur avec immobilisation par gilet orthopédique pendant 6 semaines. Antalgie. Physiothérapie pour mobilisation coude et poignet. Soins à domicile 1x/jour et aide au ménage. Contrôle radio-clinique à 1 et 6 semaines au team membres supérieurs. Radiographie épaule droite: pas de déplacement secondaire. Avis orthopédique (Dr. X): suite de prise en charge à la consultation d'orthopédie des membres supérieurs. Radiographie épaule droite: suspicion de fracture de la glène Radiographie épaule droite: suspicion de fracture de la glène CT épaule D: fracture non déplacée glenale inférieure type 1a Radiographie épaule droite CT épaule droite: • pas de fracture Avis orthopédique (Dr. X): • physiothérapie avec mobilisation douce • antalgie 10 jours Attitude: • Retour à domicile avec traitement symptomatique • Physiothérapie avec mobilisation douce. Explications données à la patiente. Radiographie épaule droite Radiographie thorax Radiographie épaule gauche le 22.11.2018 Avis orthopédique le 22.11.2018 (Dr. X): pas de nouvelle imagerie pour l'instant Antalgie Radiographie épaule gauche Ostéosynthèse par plaque philos le 15.12.2018 Fils à enlever le 29.12.2018 Contrôle radio-clinique à 6 semaines chez Dr. X le 28.01.2019 à 7h30 en policlinique d'orthopédie Radiographie et CT du pelvis 04.09.2018 Radiographie et CT genou à gauche: diagnostic susmentionné. Avis orthopédique: Immobilisation dans une attelle jeans pendant une semaine, contrôle à 7 jours. Radiographie et CT scanner colonne cervicale du 30.11.18: pas de fracture visible Radiographie et CT scanner colonne cervicale Avis orthopédie et team spine (Dr. X/ Dr. X) absence de fracture pas de trouble neurologique, pas de radiculopathie traitement symptomatologique (AINS, arrêt sport pendant 3 semaines) Mobilisation selon douleurs Contrôle au team spine dans 7 jours Radiographie et CT-Scann du 30.11.18 post réduction montrent une fracture du tubercule majeur plurifragmentaire. L'IRM du 11.12.2018 re-confirme la fracture du tubercule majeur avec une lésion partielle du tendon sus-épineux dans sa partie antérieure, sans lésion déplacée du labrum. Radiographie (face et oblique à l'externe, cf PACS). Avis ortho (Dr. X). Traitement conservateur: attelle Edimbourg 6 semaines. Certificat médical. Antalgie. Contrôle clinique à une semaine en ortho-urgences avec prescription d'une attelle thermo-formée en ergothérapie après une semaine et renouvellement du certificat médical. Radiographie face et profil du pouce droit: pas de fracture visualisée, arrachement osseux face volaire P2 d'aspect ancien, examen avec explication donnée par le médecin.Avis orthopédie (Dr. X) : immobilisation par attelle Stack pendant 5 jours, puis par la suite mobilisation libre, contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours, antalgie. Radiographie Face/Neer Avis orthopédique (Dr. X) : • Soutien avec bretelle, rotation externe et abduction à éviter • Antalgie • Ad IRM épaule gauche en ambulatoire et contrôle team membre supérieur 3 semaines. Radiographie face/oblique : fracture intra-articulaire phalange distale 4ème orteil gauche. AINS, Dafalgan. Contrôle chez le médecin traitant dans 2 semaines. Radiographie face/profil oblique genou gauche : absence de fracture. Radiographie face/profil oblique main gauche de ce jour : absence de corps étranger résiduel. Radiographie face/profil poignet gauche de ce jour : fracture intra-articulaire déplacée en postérieure du radius distal et arrachement styloïde ulnaire non déplacé. Radiographie (faite à Chatel St Denis) Status neurologique normal Status vasculaire sp Status OA avec douleurs à l'extrémité radiale du poignet, œdème diffus du poignet et de la main Avis Dr. X : • Essai de réduction avec doigtier japonais et réduction fermée • Plâtre AB • Rx post-réduction : persistance de la bascule post à 20° environ • RAD avec antalgiques Discussion entre Dr. X et Mme. Y : opération décidée. Le Dr. X la contactera demain pour la date. Radiographie f/p genou D (à Gstaad, images chez le patient) : absence de fracture. Avis orthopédie (Dr. X). Attelle jeans et anticoagulation prophylactique. Consultation ortho-urgences team genou à planifier dans 3 semaines (car le patient part en vacances) sera convoqué. Traitement symptomatique. Radiographie f/p rotule axiale Avis orthopédie (Dr. X) : absence de fracture, ad genouillère, physiothérapie (renforcement quadriceps) contrôle clinique team genou. Radiographie gauche demandée ! mais radiographie droite réalisée ! : pas de fractures. Radiographie genou face/profil et rotule axiale : pas de fracture. Avis orthopédique Dr. X : Lachmann pathologique, pas de signe méniscal pathologique, bonne stabilité médio-latérale. Pas de Lag postérieur. IRM et consultation au team genou (patient sera convoqué). Immobilisation par attelle jeans 20° pendant la charge, peut être enlevée à la maison pour flexion-extension. Charge selon douleur, cannes, Clexane prophylactique, antalgie. Radiographie genou G et bassin : pas de fractures visualisées. Radiographie genou gauche : pas de fracture, examen avec explication donnée par le médecin. Avis du Dr. X : retour à domicile avec antalgie, attelle jeans, charge selon douleur, arrêt de travail, suite de prise en charge chez son orthopédiste à la clinique Générale. Radiographie genou gauche du 10.11.2018 : pas de fracture, pas d'arguments pour déscellement de la prothèse Avis orthopédique (Dr. X) : gonalgies qui ont commencé dès la mise en place de la prothèse totale ; histoire ne colle pas avec une possible infection de la prothèse ; patiente fortement déconditionnée, douleur ++ à la palpation de l'insertion de la bandelette ilio-tibiale compatible avec une tendinite ; pas d'argument clinique ou radiologique pour un déscellement de prothèse. Radiographie genou gauche face/profil rotule oblique : absence de fracture. Avis orthopédique (Dr. X). Ad IMR en ambulatoire et consultation au team genou le 04.01.2019. Charge selon douleur avec des cannes. Radiographie genou gauche face/profil/axiale : calcification sur la portion latérale des tissus mous péri-rotuliens, atteinte ligamentaire antécédente ? Radiographie genou gauche le 29.11.2018. Physiothérapie. Radiographie genou : pas de fracture. Radiographie genou : pas de fracture. Radiographie genou : pas de fracture CT du 26.12.2018 Les structures osseuses et les articulations mises en évidence ont une morphologie normale, correspondant à l'âge et à la constitution de la patiente. Pas de fracture. Pas d'épanchement intra-articulaire. Infiltration et tuméfaction des tissus mous antérieurement et latéralement à la rotule avec présence d'un hématome de 15 mm de grand axe en avant de la rotule. Radiographie gros orteil G : pas de fractures. Radiographie hanche et bassin G : superposable au comparatif. Rx colonne lombaire : pas de fracture nouvelle. Labo : pas de symptôme inflammatoire. US hanche G (Dr. X + Dr. X, impression hématome péri-prothétique Avis ortho Dr. X : ad CT CT hanche G le 07.12.2018 (Dr. X) : hématome dans l'iliopsoas gauche, pas de saignement actif, léger épanchement dans la bourse trachanteric à gauche, pas de fracture, prothèse bien en place, pas de signe d'instabilité. ATT • Antalgie (pas d'AINS vu anémie nouvelle (pas de méléna anamnestique)) • Conserver rendez-vous orthopédie (PTH) en ambulatoire le 18.12.18 à 14h45 Radiographie hanche et bassin G 07.12.18 : pas de fracture, pas de déscellement. Rx colonne lombaire 07.12.18 : remaniements dégénératifs, pas de fracture. US hanche G 07.12.18 (Dr. X + Dr. X) : probable hématome péri-prothétique. Avis ortho (Dr. X) : ad CT. CT hanche G le 07.12.2018 (Dr. X) : hématome dans l'iliopsoas gauche, pas de saignement actif. Antalgie Rendez-vous orthopédie (PTH) en ambulatoire le 18.12.18 à 14h45 Radiographie hanche/bassin droit : fractures ili-ischio-pubienne droite. CT bassin, le 13.12.2018 : C.F examen complémentaire. Avis (Dr. X) : hospitalisation ortho, traitement conservateur, radiographie de contrôle à une semaine. • Mobilisation lit-fauteuil (charge max 15 kg) Hospitalisation orthopédie : • Compléter anamèse traitement de la patiente (prendrai un anticoagulant Xelia ?) • Traitement conservateur • Radiographie de contrôle à J7 Radiographie index gauche 21.12.2018 : pas de calcification, pas de lésion osseuse. Bilan biologique 22.12.2018 : Hb 129 (124 le 21.12), Leuco 8 (12.2) CRP 22 (11), Créat 61. Ultrason des tissus mous musculosquelettiques : en regard de la douleur maximum décrite par Mme. Y au niveau du versant ulnaire de P2 D2, on visualise une image hyperéchogène sous-cutanée d'environ 4 mm de diamètre, compatible avec un corps étranger. On visualise par ailleurs une lame de liquide en périphérie du tendon extenseur, qui remonte jusqu'à la partie distale du métacarpien de D2 ainsi qu'un aspect phlegmoneux diffus des tissus sous-cutanés de D2, mais pas d'image de collection constituée. Radiographie le 5.12.2018 : comparatif 22.08.2018. On retrouve une cardiomégalie et des épanchements pleuraux bilatéraux prédominant à gauche. Ces épanchements pleuraux sont stables par rapport au comparatif. On note une meilleure ventilation de la base gauche par rapport au comparatif. À gauche, aspect d'infiltrat interstitiel, dd : épaississement des septa interlobulaires dans le cadre d'une surcharge, lymphangite carcinomateuse. Radiographie le 5.12.2018 Torasemide 20 mg. Radiographie : ligne radio-transparente au niveau du tiers distal de la phalange proximale. Radiographie lombaire du 20.12.18 : Comme sur le comparatif, on retrouve une très importante scoliose sinistro-convexe avec un angle de Cobb mesuré à 56° entre le plateau supérieur de la vertèbre D12 et le plateau inférieur de la vertèbre L4, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. On retrouve également des importantes altérations dégénératives inter-somatiques et facettaires intéressant notamment les zones de charge. Il n'y a pas de fracture clairement visible, sous réserve de la mauvaise visualisation de la colonne en raison de l'importante scoliose. Séquelles d'ancienne fracture des branches ilio et ischio-pubiennes à droite avec cal hypertrophique. Le reste de l'examen est inchangé. Radiographie main D : pas de fracture ni luxation de la main ni du poignet ni des doigts. Radiographie main droite et jambe gauche.Radiographie main droite et jambe gauche. Retour au domicile avec antalgie de 1er palier. Convocation au Secteur Ambulatoire des Urgences pour constat de coup, le 19.12.2018. Radiographie main et poignet face/profil/oblique : absence de fracture ou de luxation visualisée. Antalgie simple. Immobilisation par attelle pour max. 5 jours. Arrêt de travail pour 5 jours. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Radiographie main gauche face/profile Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) Traitement conservateur : attelle Edimbourg pendant 4 semaines. Contrôle radio clinique dans 1 et 4 semaine ortho urgences. Radiographie main gauche Avis orthopédique (Dr. X) : • Changement de plâtre pour immobilisation plus sélective (métacarpe brace) • Contrôle à 1 semaine et 6 semaines à la consultation orthopédie urgences (Mr. Y part au Burundi pour 1 mois). • Explications données au Mr. Y. Radiographie main/poignet droit f/p Avis orthopédique (Dr. X) Attelle poignet antalgique pour 7 jours. Antalgie aux besoins. Contrôle médecin traitant au besoin. Radiographie main/poignet droit : pas de fracture. Radiographie main/poignet droit Avis orthopédique (Dr. X) Attelle pendant 5 jours. Antalgie. Suite de prise en charge chez médecin traitant. Radiographie mains face/profil : fracture diaphysaire P1D3 non déplacée gauche. Radiographie membre supérieur gauche : pas d'argument pour une fracture. Bretelle antalgique. Protocole RICE. Si persistance de paresthésie réévaluation avec médecin de famille. Radiographie montrant des infiltrats diffus réticulo-nodulaires compatibles avec une maladie des membranes hyalines, diagnostic différentiel Wet lung, pas de pneumothorax. Ventilation non invasive par CPAP max FiO2 à 40 % du 18.11 au 23.11.2018. Moins de 72h d'O2. Radiographie ne montre pas de fracture. Confection d'une attelle st maurice à but antalgique. Contrôle dans une semaine afin d'évaluer la stabilité après résolution de la tuméfaction. Radiographie : pas de fracture. Radiographie : pas de fracture. Radiographie : pas de fracture. Radiographie : pas de fracture. Radiographie : pas de fracture. Radiographie : pas d'épanchement. Radiographie : pas de lésion osseuse. Avis orthopédique (Dr. X). Immobilisation par écharpe pendant 4 jours. AINS. Contrôle chez le médecin traitant. Radiographie poignet D f/p (externe, sur le PACS) Avis orthopédie (Dr. X) Traitement conservateur : Plâtre AB 3 semaines, à circulariser dans une semaine Contrôle clinique 3 semaines en ortho consult urgence. Arrêt de sport 5 semaines. Radiographie poignet : sans particularité, pas d'argument pour un trouble dégénératif (examen avec explication donnée par le médecin). Attitude : • Schéma à posologie faible de Colchicine au vu de l'insuffisance rénale : Colchicine 0.5 mg 2x/jour pendant 3 jours. • Suite de prise en charge par le médecin traitant. Remarque : nous ne réalisons pas de ponction intra-articulaire car thérapie par Eliquis. Nous considérons une arthrite d'origine inflammatoire et non septique au vu de l'évolution sur 3 semaines et chez ce Mr. Y connu pour goutte probable. Radiographie poignet gauche : déplacement dorsale 8°. Radiographie poignet gauche face/profile : absence de franche lésion osseuse. Radiographie poignet gauche Avis orthopédique (Dr. X) Traitement symptomatique bande et AINS topiques. Contrôle chez médecin traitant dans une semaine. Radiographie poignet gauche Avis orthopédique (Dr. X) Plâtre BAB fendu. Antalgie, Arrêt de sport. Traitement conservateur : BAB 2 semaines (à circulariser à une semaine) et AB pour 2 semaines. Contrôle radioclinique à 1 et 4 semaines aux ortho urgences. Radiographie pouce droit. Radiographie pouce droit : pas de fracture. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de laxité (entorse de grade 1), mise en place gantelet, contrôle ortho-urgence à 1 semaine. Explications données au Mr. Y. Radiographie pouce droit : fracture P2 Avis orthopédique (Dr. X) : Traitement : • Anesthésie en bloc digital avec lidocaïne • Ablation de l'ongle : défect lit de l'ongle de 5x5 mm pas suturable (perte de substance) • Exploration de plaie : faisceau neurovasculaire radial intact, ulnaire pas visualisé, pas de saignement artériel. • Rinçage et suture (5 points avec prolène 5.0, 1 point avec vicryl rapide 6.0), remise en place de l'ongle et fixation par cerclage fil prolène 4.0 • Co-amoxicilline 2.2 gr i.v. dose unique • Rappel tétanos Attitude : • Retour à domicile avec antalgie • Co-amoxicilline 1 gr 2x/jour pour 5 jours • Rendez-vous secteur ambulatoire des urgences pour contrôle clinique le 19.12.2018, puis contrôle à 72h avec mise en place d'une attelle Stack pour immobilisation de l'interphalangienne pendant 3 semaines • Retrait des fils (prolène 0.5) au niveau de la pulpe du doigt à 14 jours chez le médecin traitant • Retrait des points au niveau de l'ongle à 3 semaines chez le médecin traitant • Rendez-vous à 3-4 semaines à la consultation orthopédique pour contrôle clinique. Radiographie pouce droit : fracture P2. Avis orthopédique (Dr. X) : Traitement : • Anesthésie en bloc digital avec Lidocaïne. • Ablation ongle : défect lit ongle 5 x 5 mm pas suturable (perte de substance). • Exploration de plaie : faisceau neurovasculaire radial intact, ulnaire pas visualisé, pas de saignement artériel. • Rinçage et suture (5 points avec prolène 5.0, 1 point avec Vicryl rapide 6.0), remise en place de l'ongle et fixation par cerclage fil Prolène 4.0. • Co-amoxicilline 2.2 g i.v. dose unique. • Rappel tétanos. Attitude : • Retour à domicile avec antalgie. • Co-amoxicilline 1 g 2x/jour pour 5 jours. • Rendez-vous à la consultation ambulatoire des urgences pour un contrôle clinique le 22.12.2018. • Soins à domicile pour réfection du pansement journalière pendant 1 semaine. • Retrait des fils (Prolène 0.5) au niveau de la pulpe du doigt à 14 jours chez le médecin traitant. • Retrait point au niveau de l'ongle à 3 semaines chez le médecin traitant. • Rendez-vous à 3-4 semaines à la consultation d'orthopédie pour contrôle clinique. Radiographie pouce face/profile/oblique : absence de fracture ou luxations. Radiographie pouce f/p : pas de fracture. Avis orthopédie (Dr. X) Évaluation stabilité ligament collatéral limité en regard tuméfaction et douleurs. Ad attele st maurice et re-évaluation à une semaine après antalgie et détuméfaction en consultation ortho urgences. Radiographie pouce f/p/o Avis orthopédique (Dr. X) Immobilisation pendant quelques jours (< 1 semaine) dans gantelet bloquant MCP, mobilisation en dehors régulière autorisée. Antalgie au besoin. Arrêt de sport pendant 1 semaine. Contrôle chez pédiatre dans 1 semaine. Radiographie : suspicion de fracture supracondylienne rigaul 1. Radiographie talon D : pas de fracture déplacée, doute au niveau de l'épine sur hypodensité linéaire. Radiographie thoracique : diminution de la transparence au niveau des bases des hiles. Augmentin pour 7 jours, Ventolin, Antitoussif. Contrôle chez le médecin traitant dans 4-6 jours. Radiographie thoracique : épaississement bronchique, pas de foyer franc. Hémocultures à froid le 25.12. : négatives à 4 jours. Hémocultures à chaud (38.6°) le 25.12, le soir : négatives à 4 jours. Gazométrie : alcalose respiratoire. Urines : Lc nég, nitrites nég, sang nég. Ag urinaire Légionelle : absent. Culture d'expectoration : flore bucco-pharyngée. Physiothérapie respiratoire. Co-amoxicilline 2.2 g iv en dose unique aux urgences. Reprise de Co-Amoxicilline 2.2 g iv le 26.12.2018. Passage à antibiothérapie per os du 28.12.2018 au 01.01.2019. Radiographie thoracique le 22.11.2018. Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 22.11.2018 au 27.11.2018. Radiographie thoracique : pas de foyer visible. Radiographie thorax : pas de foyer clair.ECG: Tachycardie sinusale à 95 bpm, pas de Brugada, pas d'onde delta, pas de QTc 413 ms selon Bazett. Laboratoire : leucocytose à 23 G/L, CPR 46 mmol/L Attitude: • Antibiothérapie par Augmentin 625 mg 3x/jour. • Pulmicort 1x/jour pendant 7 jours. • Contrôle chez le médecin traitant. En cas de mauvaise évolution respiratoire, consigne de reconsulter aux urgences. Radiographie thorax : pas de foyer. Pas d'argument pour une pneumonie post-intubation. Actuellement pas de critère pour une pneumonie d'aspiration, néanmoins l'apparition de fièvre et de toux doit faire penser à une pneumonie d'aspiration. Dans ce cas, nous recommandons de débuter une antibiothérapie à base de Co-Amoxicilline 1 g 3x/jour pour 5 jours. Radiographie thorax : sans particularité (examen avec explication donnée par le médecin). Attitude : • Antalgie par Tramadol à posologie faible. Radiographie thorax, avec explications données au patient. • Retour à domicile avec antibiothérapie Co-Amoxicilline 7 jours et arrêt de travail. • Patient a du Ventolin à domicile, peut en prendre avant d'aller dormir si sensation de dyspnée. Radiographie thorax du 03.12.2018 : pneumothorax gauche complet CT thoraco-abdominal du 03.12.2018 : Pneumothorax gauche avec collapsus complet du poumon gauche, sans cause traumatique décelée. Drain thoracique gauche faisant une boucle à l'apex et se terminant à hauteur de la 7ème côte postérieurement. Status après mise en place d'une gastrostomie, en position correcte. Laboratoire : cf annexes Radiographie thorax élargi : pas de corps étranger, pas d'anomalies visualisées Radiographie thorax élargie : pas de corps étranger Pas d'étiologie ORL à l'examen clinique Pas de signes d'alarmes (pas de bavage, pas de syndrome de pénétration, pas de vomissements, pas de crises douloureuses, pas de fièvre, pas de symptômes B) avec un examen clinique digestif rassurant Granules médecine anthroposophiques à proposer avant repas Si persistance des plaintes, contrôle pédiatre/urgences et évaluation si besoin bilans complémentaires (ORL/gastro-entérologue et +/- US abdominal?) Radiographie thorax : épaississement bronchique diffus, suspicion de foyer retrocardiaque Radiographie thorax le 05.11.2018 Radiographie du genou droit le 05.11.2018 Avis rhumatologique : pas d'explication articulaire au syndrome inflammatoire au vu de l'absence de signe d'arthrite ; proposition d'effectuer un CT thoraco-abdominal à la recherche d'une autre cause telle qu'une vasculite ou une néoplasie CT thoraco-abdominal le 09.11.2018 : absence de signe de vasculite ; signes de pancolite avec épaississement modéré et diffus de la paroi du côlon ; lacération de la rate avec collection sous-capsulaire d'allure ancienne Calprotectine le 11.11.2018 : 349µg/g Colonoscopie prévue le 20.12.2018 à l'HFR de Riaz avec hospitalisation le 19.12.2018 à 14h pour préparation Consultation anesthésie le 04.12.2018 à l'étage Consentement éclairé signé et envoyé Radiographie thorax le 15.12.2018 : pas de foyer visualisé Radiographie thorax : pas de foyer visualisé. Traitement symptomatique. Radiographie thorax 4.12.2018 : en comparaison avec le 16.08.2018 nette progression d'un épanchement pleural droit. Diminution de la ventilation pulmonaire gauche probablement en lien avec des troubles ventilatoires au contact de l'épanchement pleural. Un foyer infectieux surajouté à droite n'est pas exclu. US Dr. X 05.12.2018 : Volumineux épanchement pleural droit contenant de multiples cloisons, mesurant au moins 13 x 8,6 x 18 cm (> 700 ml). Radiographie thorax. Attitude: • Retour à domicile avec antibiothérapie par Augmentin 1000 mg 2x/j pendant 7 jours. • Consultation chez le médecin traitant la semaine prochaine en cas de persistance des symptômes. Radiographie thorax ECG Lasix iv 40 mg Torrem 5 mg Radiographie : Vu pas effectué lors de la première consultation. Pas de fracture visualisée Radiographie 3ème doigt face/profil. Antalgie simple, syndactylie pour 2-3 jours. Radiographie Antalgie par Dafalgan et Irfen Radiographie Antalgie Semelle Darco Radiographie. Avis ortho (Dr. X). Intervention aux urgences (Dr. X/Dr. X) : Désinfection. Champage stérile. Anesthésie de conduction par voie palmaire avec 2 ml de Lidocaïne. Ablation de l'ongle, exploration du lit d'ongle et suture du lit d'ongle avec 3 points de Vicryl 3-0 (Dr. X). Rinçage abondant de la plaie de la pulpe. Suture avec 3 points simples de Prolene 4-0 (Dr. X). Propositions: • Co-Amoxicilline pour 5 jours. • Antalgie simple. • Protéger la plaie de l'eau pour 10 jours. • Changement de pansement à prévoir le 27.12. Mme. Y a été instruite. • Ablation des fils dans 10 jours et ablation de l'ongle dans 2-3 semaines par le médecin traitant. • En cas de douleurs insupportables ou fièvre : consultation médicale. Radiographie. Avis Ortho (Dr. X). Propositions: • Aircast gauche, attelle postérieure droite. • Clexane prophylactique. • Antalgie simple. • Contrôle clinique en orthopédie dans 10 jours. Mme. Y sera convoquée. Radiographie. Avis orthopédie Dr. X. Contrôle consultation orthopédie urgence dans 1 semaine. Physiothérapie. Traitement antiphlogistique et analgésique, retour à domicile. Radiographie Avis orthopédie (Dr. X/Dr. X) Réduction sous MEOPA et anesthésie en bague par med. pract. Dr. X (orthopédiste) Antalgie au besoin Syndactylie et chaussure DARCO pour 4 semaines, charge selon douleurs Contrôle radio-clinique à 1 et 4 semaines en consultation ortho urgences Radiographie Avis orthopédie (Dr. X/Dr. X) Hospitalisation et opération ce jour Radiographie Avis orthopédique (Dr. X, CDC de garde) Attelle d'arrêt dorsal (flexion 20°) pour 10 jours Suivi en ergothérapie Consultation de contrôle en orthopédie le 06.02.2019 Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Co-Amoxicilline pour 5 jours. Antalgie simple. Attelle Edimbourg pour une semaine à but antalgique. Contrôle de plaie à 48h en filière 34. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). Intervention aux urgences (Dr. X/Dr. X/Dr. X) : Champs stérile. Anesthésie en bang 4 mg Lidocaïne. Anesthésie de gaine de fléchisseur avec 6 mg Lidocaïne car anesthésie initiale insuffisante. Désinfection. Rinçage. Cautérisation avec pince bipolaire. Pansement occlusif. Pansement occlusif mis en place aux urgences. Mme. Y a été instruite de la suite (laisser en place le pansement). Contrôle de plaie et changement du pansement prévu le 25.12.2018. Incapacité de travail à prévoir pour la durée totale du pansement. Suite de la prise en charge par les stomatothérapeutes. Reconsultation en cas de fièvre. Mme. Y et son entourage sont avisés qu'un écoulement purulent est normal. Radiographie. Avis orthopédique (Dr. X). VacoPed S. Contrôle en ambulatoire par les orthopédistes dans 10 jours. Mme. Y sera convoquée. Pas d'antalgie souhaitée par Mme. Y. Radiographie Avis orthopédique Fribourg (Dr. X) : contrôle à une semaine, Luzern Cast Attelle Edimbourg Ordonnance Ergothérapie pour attelle plus adaptée type Luzern Cast Contrôle chez son MT Dr. X avec contrôle radiologique Radiographie. CT-scan du pied droit. Avis orthopédique (Dr. X) : marche en charge selon douleurs semelle Carbone type ottobock du pied droit. Antalgie. Contrôle à la consultation du team pied à 1 mois. Radiographie Ibuprofène 400 mg 3x/j Radiographie Laboratoire Avis orthopédie (Dr. X/Dr. X) Rinçage et pansement stérile Ad hospitalisation et prise en charge opératoire (Consentement signé) À jeun Co-Amoxicilline 2.2 g i.v aux urgences Rappel anti-tétanique aux urgences Radiographies. Radiographies bassin et hanche droite de face et axial : pas de lésion osseuse visualisée Antalgie en réserve Physiothérapie pour rééducation à la marche, en charge selon douleurs Oxycontin 10mg 2x/j puis 15mg 2x/j Radiographies cheville droite F/P : pas de fracture visualisée. Radiographies cheville droite F/P : pas de fracture visualisée, présence d'anciens arrachements de la malléole externe. Immobilisation de la cheville dans une attelle jambière postérieure, avec marche en décharge à l'aide de cannes, Consignes de repos et surrélévation du MID, Anticoagulation prophylactique par Clexane 40 mg 1/j durant l'immobilisation, Consignes de surveillance sous plâtre données à la patiente, Contrôle clinique à 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour ablation de l'attelle et prescription d'une attelle Aircast, Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve. Radiographies cheville droite F/P : pas de fracture visualisée, présence d'arrachements anciens de la malléole externe. Radiographies cheville droite F/P post-immobilisation : bonne position dans le plâtre, pas de point d'appui. Radiographies cheville droite F/P : pas de fracture visualisée. Bandage élastique, consignes de surrélévation et glace de l'articulation, marche en charge selon douleurs. Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve, Pratique sportive contre-indiquée pour 15 jours, Consultation à 10 jours chez le pédiatre en cas de persistance des douleurs. Radiographies coccyx face/profil : pas de fracture Traitement symptomatique : AINS, Dafalgan, Tramal. Consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Explications données à la patiente. Radiographies coude droit Antalgie Mobilisation libre selon douleur Radiographies de bassin avec incidences inlet et outlet à 10 jours de la fracture, avec avis orthopédique de l'équipe de chirurgie orthopédique. Radiographies de la colonne dorsale, lombaire et du sacrum : pas de fracture, probable scoliose, examen avec explication donnée par le médecin. Attitude : • retour à domicile avec antalgie • proposition au patient de reconsulter dans 2 semaines chez son médecin traitant en cas de persistance des douleurs • on propose d'organiser de la physiothérapie au vu de la scoliose Radiographies de la main gauche : ne montre pas de trait de fracture. Radiographies de l'épaule, genou et poignet droit le 12.12.2018 : présence d'une chondrocalcinose au niveau du TFCC, ménisques interne et externe. Arthrose genou droit. Possible atteinte de la coiffe des rotateurs à droite. • Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) : arthrite septique peu probable, probable chondrocalcinose, pas d'indication à ponctionner • Consilium rhumatologique (Dr. X, Dr. X) : crise de chondrocalcinose • Brufen 400mg 3x/jour du 12.12.2018 au 19.12.2018 • Physiothérapie de mobilisation Radiographies du jour mettent en évidence un épanchement intra-articulaire sans fracture visualisée. Radiographies du jour : fracture consolidée avec matériel d'ostéosynthèse en place. Radiographies du jour : pas de descellement. Poursuite de remaniement osseux, fracture consolidée. Radiographies du jour montrent des clichés superposables aux précédents. Absence de descellement du matériel, absence de déplacement. Remaniement osseux. Radiographies du jour montrent une distance scapho-lunaire à 3 mm avec une déformation. L'alignement est globalement conservé. Radiographies du jour montrent une fracture consolidée en bonne position. Radiographies du jour montrent une plaque antérieure en place sans descellement. Remaniement osseux à hauteur du trait de fracture avec un cal périosté. La fracture semble consolidée. Matériel d'ostéosynthèse est stable et en place. Radiographies du rachis cervico-dorso-lombaire le 05.12 : alignement satisfaisant des murs antérieurs et postérieurs des vertèbres. Hauteur préservée des corps vertébraux. Sous réserve d'absence de cliché trans-buccal de la dent, pas de fracture mise en évidence. Pas de tuméfaction notable des tissus mous pré-vertébraux à l'étage cervical. IRM cervico-dorsale le 06.12 : examen natif réalisé de C0 à D6. Pas d'anomalie de signal de l'os trabéculaire des vertèbres. L'alignement des corps vertébraux et des articulations facettaires est conservé. Les disques intervertébraux se présentent normalement. Pas d'altération de signal des tissus mous para-vertébraux ou des structures ligamentaires vertébrales. La partie visible du cordon médullaire se présente normalement. Les quelques coupes passant par la base du cerveau ne montrent pas d'anomalie notable. Multiples ganglions de taille légèrement agrandie au sein des aires ganglionnaires cervicales des deux côtés. Conclusion : pas de lésion traumatique visible du rachis cervical et de la partie explorée du rachis dorsal. Radiographies du scaphoïde F/P de ce jour : consolidation osseuse au niveau du scaphoïde. Prothèse en place avec une vis Herbert en place sans descellement secondaire. Radiographies D5 face profil : absence de fracture. Avis orthopédique Dr. X : traitement conservateur par attelle Stack thermoformée en ergothérapie pendant 8 semaines. Mobilisation non forcée à partir de 6 semaines. Contrôle clinique à la consultation orthopédique urgences à 6 semaines. Radiographies épaule face/Neer/Zanca : doute sur une possible fracture. CT épaule : pas de lésion osseuse. Avis orthopédique (Dr. X) : • immobilisation dans attelle • antalgie • arrêt de travail • nouvelle consultation à la consultation team membre supérieur à 2-3 semaines avec réévaluation de l'indication à une IRM Radiographies face profil 5ème doigt à gauche : absence de fracture. Radiographies face/profil de la main gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation par attelle Stack du IIIème doigt gauche. Contrôle en ortho urgences dans une semaine avec un contrôle clinique et radiologique. Radiographies F/P/oblique main D : matériel d'ostéosynthèse intact sans signe de descellement secondaire. Visualisation de cal osseux dans les 3 plans. Radiographies genou gauche de face, profil et axial : troubles dégénératifs sans fracture visualisée. Aux urgences : rappel antitétanique, désinfection et pansement. Radiographies humérus G F/P : matériel d'ostéosynthèse en place. Fracture en voie de consolidation. Radiographies, pas de calcification. ECG en annexe. Radiographies poignet D F/P : fracture peu déplacée du radius distal droit, Immobilisation du membre supérieur droit dans un plâtre AB fendu, surrélévation du membre, consignes de surveillance sous plâtre données au patient, Radiographies poignet D F/P, contrôle dans le plâtre : bonne position dans le plâtre, Antalgie de réserve, Consultation à 1 semaine en policlinique d'orthopédie pour contrôle radioclinique et réfection pour un plâtre AB résine. Radiographies poignet droit Avis rhumatologique (Dr. X) : patient éligible pour ponction dans le service de rhumatologie. Attitude : • patient quitte le secteur ambulatoire des urgences pour ponction en rhumatologie et suite de prise en charge. Radiographies rachis dorsal F/P : pas de fracture visualisée, Antalgie de réserve, marche en charge selon douleurs, Consultation chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs à 5 jours. Radiographies rachis dorsal F/P, bassin F et hanche D axiale : pas de lésion osseuse visualisée. Radiographies poignet D F/P : fracture peu déplacée du radius distal droit. Radiographies poignet D F/P, contrôle dans le plâtre : bonne position dans le plâtre. Laboratoire 14.12.2018 : crase en ordre. Radiographies Avis orthopédique Dr. X Attelle Ergothérapie demandée Consultation orthopédie dans 6 semaines. Radiographie du thorax : pas d'infiltrat, pas de nodule. Ultrason abdominal (Dr. X) le 26.11.2018 : pas de dilatation des voies biliaires, pas de signe de cholécystite, pas de calcul biliaire. Lésion de 10 mm dans le foie (entre segment V et VIII) connue, superposable à examen 2013. Kyste rein D avec portion plus charnue, compatible avec saignement dans le kyste.CT Abdominal (Dr. X) le 26.11.2018: Par rapport au comparatif du 06.03.2017, apparition d'une discrète ectasie du cholédoque associée à un épaississement de la paroi vésiculaire, à des troubles de perfusion transitoires du foie et à une petite adénopathie de Mascagni, le tout pouvant être compatible avec une cholangite avec cholécystite (DD : passage récent de calcul ?). Pas de calcul radio-opaque mis en évidence au sein de la vésicule ou des voies biliaires Laboratoire: cf. annexes Radiologie poignet/main gauche (Avis radiologue Dr. X): pas de fracture Radiologie poignet/main gauche (Avis radiologue) Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre si persistance des douleurs Radiothérapie splénique palliative du 28.11.2018 au 13.12.2018 Radiothorax Radiothorax Laboratoire CT injecté (Dr. X, transmission orale): Pas de saignement. Pas de masse. Hyperostose frontale interne. ATT: • Prévoir avis neurologique +/- EEG +/- IRM cérébrale • Suivi clinique Radio traitement antalgique semelles troué gélatineuse molle Marche en charge sur l'avant-pied selon dl à l'aide de cannes. Le patient a déjà un RDV chez Dr. X le 11.12.2018 Raideur post-traumatique épaule droite sur status post fracture du trochiter peu déplacée humérus proximal D sur status post entorse de l'épaule D le 29.04.2018. Status post infiltration sous-acromiale et intra-articulaire épaule droite le 31.8.2018. Raisonnablement, et étant donné l'anamnèse, je peux exclure un syndrome des loges chronique de l'avant-bras. Le patient présente très probablement un syndrome du tunnel carpien G latent, exacerbé par son activité de VTT ou autre. Etant donné le peu de symptôme actuellement, pas d'attitude active pour ma part. Je me tiens toutefois à disposition en cas de péjoration. Ralentissement psychomoteur d'étiologie indéterminée le 25.12.2018 • s/p opération au niveau dentaire supérieure le 17.12.2018 en Hongrie avec antibiothérapie du 17 au 25.12.2018 • NIHSS : 0 points DD: encéphalite débutante, syphilis tertiaire, médicamenteux (Co-amoxicilline), stress Ramollissement de la prothèse testiculaire droite. Status post-mise en place d'une prothèse testiculaire droite sur tumeur testiculaire en 2016. Rapid rhino 7.5. Explication préalable pour les différents examens: Laboratoire. Contrôle tensionnel. Consultation en ORL dans 48 heures. Éducation sur les signes devant amener à reconsulter. Rappel anti-tétanique Désinfection bétadine, anesthésie locale, rinçage abondant NaCl, 2 pts de rapprochement Prolène 4.0 Ablation des fils dès J14 Rappel anti-tétanique. Plaie la plus distale suturée avec 2 points simples avec Prolène 4.0 après désinfection et anesthésie locale. Contrôle à 48-72h puis ablation des fils dès J10 chez médecin traitant. Plaies plus proximales: pansement simple. Rappel antitétanique à jour. Désinfection par bétadine. Champage stérile. Anesthésie locale par Rapidocaïne et bicarbonate. Exploration de la plaie. Rinçage au NaCl. Suture par Ethilon 5.0 (3 points simples) Pansement standard Contrôle de la plaie par le médecin traitant. Ablation des fils à J14 par le médecin traitant. Rappel antitétanique. Désinfection avec Bétadine solution et suture par 7 points d'Ethilon 6/0 sous anesthésie locale. Pansement stérile. Contrôle clinique à 48 heures, puis ablation des fils à J5 à votre consultation. Rappel antitétanique et suture aux urgences. Ablation des fils le 05.12.2018. Rappel antitétanique le 07.12.2018. Antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 1,2 g/jour du 04 au 15.12.2018, puis relais per-os par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour du 16.12.2018 au 15.01.2019 inclus. Rappel antitétanique, suture par 1 point d'Ethilon 4/0. Contrôle de la plaie à 48 heures. Ablation des fils à J5-J7 à votre consultation. Rappel anti-tétanique. Exploration de la plaie (Dr. X + X) : pas de lésion tendineuse, pas de lésion nerveuse. Suture de l'aponévrose palmaire, sutures sous-cutanée et cutanée, pansement. Vu une allergie X à un antibiotique avec patient réticent à prendre l'antibiotique dans le contexte d'une plaie non souillée, faite par couteau propre, nous ne mettons pas en place d'antibiothérapie. Retour à domicile avec rendez-vous à 48 heures au secteur ambulatoire des urgences - patient SANS antibiothérapie, réévaluer si bonne évolution. Signaux d'alarme pour nouvelle consultation expliqués au patient. Arrêt de travail 10 jours. Retrait des fils chez nous à 10 jours (pas de médecin traitant et ne veut pas en trouver un). Ne pas ouvrir le pansement les 48 premières heures. Rappel anti-tétanique Suture avec 4 points Prolène 5-0 le 04.12.2018 Co-amoxicilline 2.2g IV OU, relais oral 1g 2x/j du 05.12 au 11.12.2018 Vaseline Avis ORL (Dr. X, Dr. X) avec suivi et ablation des fils Rappel anti-tétanos effectué aux urgences. Désinfection de la plaie occipitale, qui ne nécessite pas de suture. Le bilan radiographique du rachis dorsal et du bassin ne retrouve pas de fracture. Les radiographies du poignet droit mettent en évidence une fracture peu déplacée du radius distal droit. Le patient bénéficie alors d'une immobilisation par AB fendu sur le bord ulnaire, il est confortable dans le plâtre, la radiographie de contrôle est sans particularité. Il est donc autorisé à rentrer à l'hôpital de Marsens, raccompagné par ses enfants, avec consignes de surveillance neurologique aux 4 heures et consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveau symptôme. Rappel anti-tétanos effectué aux urgences, Laboratoire 14.12.2018 : crase en ordre, Désinfection de la plaie occipitale, qui ne nécessite pas de suture, Retour à l'hôpital de Marsens avec surveillance neurologique aux 4h, Consultation aux urgences en cas de changement de l'état cognitif ou d'apparition de déficit neurologique focal Rappel anti-tétanos fait le 22.12.2018 Désinfection à la Bétadine, anesthésie locale par Lidocaïne, rinçage NaCl 0.9 %, mise en place de 2 pts de suture 3-0 Ablation des fils à J7 chez le médecin traitant Rappel AT aux urgences (Td pur 0,5 ml i.m.) Co-amoxicilline 2,2 g i.v. aux urgences Débridement fracture ouverte ulna G : • Débridement extensif des lésions cutanées complexes de l'avant-bras et de la main • Ablation de multiples corps étrangers avant-bras et main • Suture de la branche dorsale de l'artère radiale • Suture du tendon du court extenseur du pouce (OP le 03.11.2018) Antibiothérapie : co-amoxicilline 2,2 g 3x/j i.v. du 03 au 06.11.2018 Reconstruction avant-bras G, débridement des nécroses avec excision et Versajet, prise de prélèvements, greffe selon Thiersch (prélevée à la cuisse G), mise en place d'un pansement VAC (OP le 18.11.2018) Microbiologie du 18.11.2018 : Staph. épidermidis Consilium infectiologie 20.11.2018 (en annexe) Antibiothérapie : Pipéracilline-Tazobactam 4,5 mg 2x/24h du 19.11. au 20.11.2018 puis stop. Diagnostic anatomopathologique (biopsies peau avant-bras G) - Rapport Promed du 20.11.2018 : image parfaitement compatible avec un décollement extensif de la peau, nécrose et lésion réactionnelle/inflammatoire (rapport en annexe) Réduction fermée, OS de l'ulna G par clou de Prévôt 2.5 mm (OP le 22.11.2018) Rappel contre le tétanos Désinfection avec Bétadine solution, mise en place d'un pansement stérile et MefixRappel ROR en ambulatoire Rappel tétanos le 10.12.2018 par voie sous-cutanée Consilium orthopédique (Dr. X) Sous conditions stériles : rinçage plaie, suture de rapprochement (4 points séparés Prolene 3.0), pansement adaptic (Dr. X) • Contrôle plaie journalière et changement pansement • Ablation fils J14 Rappel tétanos. Désinfection et exploration de la plaie. Anesthésie locale Rapidocaïne avec 1 point de suture au Prolène 4.0. Ablation des fils à J10. Immobilisation du doigt dans une attelle pendant 10 jours. Arrêt de travail pendant 10 jours. Rappel vaccin antitétanique. Radiographie : pas de lésion osseuse (avec explication donnée par le médecin). Exploration sous anesthésie locale, pas de lésion sous-jacente. Suture 4/0, 6 points, ablation à J7 chez le médecin traitant. Contrôle évolutif dans 24 h chez le médecin traitant. Rappel vaccination anti-tétanos, CT massif facial : pas de lésion osseuse récente, probable enfoncement de la lame lacrymale droite d'aspect ancien, Désinfection, anesthésie locale par Rapidocaine, exploration des plaies et rinçage abondant au NaCl puis suture par 1 point d'Ethilon 5-0 sur la plaie de la lèvre inférieure, 2 points d'Ethilon 5-0 sur la plaie de la lèvre supérieure et 3 points de Vicryl 5-0 sur la plaie intra-buccale, Contrôle des cicatrices à 48 h à la FUA, ablation des fils à 5 jours chez le médecin de famille, Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Rappels de suivi depuis les HUG : • Organiser un breath test post-éradication H. Pylori, ainsi qu'un test au synacthène dans le contexte du traitement par Prednisone, suivre l'évolution de la polyneuropathie ainsi que l'hypothyroïdie. • Imagerie pulmonaire à distance dans le contexte du nodule pulmonaire • Rendez-vous à la consultation des maladies auto-immunes aux HUG le 22.01.2019 • Rendez-vous de suivi le 11.02.2019 à 11 h chez le cardiologue Dr. X (Marly) • Mr. Y sera convoqué à domicile pour consultation CINACARD (enseignement insuffisance cardiaque) • Nous vous laissons le soin d'investiguer la notion de paresthésies au niveau des 3 premiers doigts de la main droite si vous le jugez nécessaire. Rapport d'assurances CSS Rapport définitif de l'angiographie du 17.12.18 Rapport définitif ETT Rapport du Dr. X (infectiologue traitant) : CD4 à 0.561/mm3 et virémie indétectable le 10.10.2018. Streptotest négatif. Avis infectiologique (Dr. X). Traitement symptomatique, conseil de reconsulter en cas de péjoration clinique. Prochain contrôle chez le Dr. X en janvier. Rapport EEG 20.12.2018 Rapport endoscopique (Dr. X) Rapport IRM cérébrale Rapport protéines/créatinine : 0.432 mg Hba1c 10.12.2018 : 13.9 % Insuline IV continu du 06 au 08.12.2018 avec relais par Insulatard sc dès le 08.12.2018 jusqu'au 12.12.2018 Lantus dès le 13.12.2018 au 17.12.2018 Insuline Humalog aux repas du 10.12.2018 au 17.12.2018 Introduction Januvia et Metformin dès le 14.12.2018 au 17.12.2018 Janumet 50/500 2x/j dès le 17.12.2018 Insuline Ryzodeg dès le 18.12.2018 Expansion volémique Substitution électrolytique Suivi diabète : • Rétinopathie : suivi 1x/an chez l'ophtalmologue • Contrôles podologiques réguliers • Dépistage de la néphropathie diabétique (rapport micro-albuminurie/créatininurie) à distance de l'épisode aigu, puis 1x/an. • Cardiovasculaire : bilan lipidique avec cible LDL cholestérol < 2.6 mmol/l et TA < 130/80 mmHg • Suivi ambulatoire par les infirmières diabétologues à Meyriez (Mr. Y sera convoqué) • Rendez-vous ambulatoire de diabétologie le 22.01.2018 à 8 h 30 à l'HFR Rapport sexuel à risque Rapport sexuel non protégé à risque Rapport sFLT/PIGF à 54 le 07.12.2018 Sulfate de Mg du 17.12.2018 au 19.12.2018 Protéinurie sur 24 h : 410 mg Pose de SV avec bilan E/S Restriction hydrique à 1500 ml/24 h Rapport sFlt-1/PLGF à 85 Contrôle bio-clinique 1x/semaine RAS RAS RAS RAS RAS RAS RAS RAS Douleur rétrosternale d'origine indéterminée le 18.10.2015 Gastro-entérite virale Laboratoire 30.11.2018 : Hb 146 Leuco 7.9 CRP 20, tests hépato-biliaires et pancréatiques dans les normes (ASAT 20 ALAT 10 LDH 387 PAL 67 GGT 21 Amylase 38 Lipase 33) Créat 63 Na+ 139 K+ 3.2, B-HCG sanguin 0 Sédiment urinaire : Érythrocytes < 3/champ, Leucocytes 3-5/champs, flore bactérienne qlq, absence de nitriturie, Contrôle clinico-biologique le 01.12.2018 +/- US en FUA, Consultation aux urgences en cas de péjoration des symptômes Spanioménorrhée d'origine indéterminée B-HCG sanguin : 0 Consultation gynécologique à organiser dès que possible Rash à l'amoxicilline Rash à l'amoxicilline Rash cutané Rash d'origine indéterminée Rash maculo-papuleux de 60 % de la surface corporelle sur probable allergie médicamenteuse dès le 3.12.2018 Médicaments suspectés : 1) Rocéphine, 2) Plavix, 3) Torasemide, 4) Cordarone Ras-le-bol dans un contexte d'une maladie oncologique invalidante • anxiété de l'épouse quant au retour à domicile Ras-le-bol dans un contexte d'une maladie oncologique invalidante, difficultés pour l'épouse. RCIU. RCIU au P3 avec brain sparing dans le contexte de DM de type I mal équilibré et tensions artérielles labiles. RCIU au P5. RCIU au P7 RCIU avec brain sparing RCIU de type I (PFE 1850 g < P3) RCIU harmonieux et Small for Gestational Age PN : 2540 (< P3) ; TN : 46 cm (< P3) ; PCN : 33 cm (P3) RCIU inférieure au P3 (Antécédent d'hypertension artérielle chez la mère) RDV à la consultation de Dr. X le 08.01.19 pour contrôle et suite de la prise en charge RDV à la consultation du Dr. X pour suivi de la fonction rénale. RDV à la FUA le 30.12.2018 pour avis orthopédique et discuter de l'excision du botryomycome RDV à l'hôpital de Riaz le 28.12.2018 RDV au Laboratoire de l'HFR le 13.12.2018 à 10 h 00. RDV au Neurocentre (merci de convoquer Mr. Y) Contrôle chez nous par la suite RDV au Neurocentre (merci de convoquer Mr. Y) puis contrôle chez nous RDV au Neurocentre (merci de convoquer Mr. Y) Fin de traitement RDV avec l'angiologue sur Riaz 21.01.2019 à 11 h 30 RDV avec le médecin traitant demain ou vendredi 21.12 RDV avec le Dr. X le 11.12.2018 et chimiothérapie le 12.12.2018. Contrôle de la fonction rénale et des électrolytes à votre cabinet. Nous vous laissons également le soin d'évaluer les fonctions cognitives à distance. RDV chez la Dr. X en nutrition clinique le 08.01.2019. RDV ce 11.12.2018 en FUA pour contrôle clinique RDV chez Dr. X, sera convoqué. RDV chez Dr. X le 11.12 à 15 h RDV chez le Dr. X le 20.12.2018 à 11 h 15 RDV chez le Dr. X le 16.01.2019 à 11 h 30 RDV chez le Dr. X le 28.12.2018 à 15 h. RDV chez le médecin traitant et chez un neurologue pour le suivi et l'adaptation de la médication. RDV chez ophtalmologue HFR prévu 21.12 consultation ophtalmo. Allô ophtalmologue HFR le 21.12.2018 pour voir si suivi urgent. Allô mari de Mme. Y pour apporter traitement oculaire. RDV de consultation en gastro pédiatrie chez Dr. X dans 2 semaines • RDV de contrôle pour début de semaine prochaine chez le MT • Poursuite soins locaux RDV dermato en ambulatoire le 22.01.2019 (Dr. X) RDV en anesthésie le 13.12.2018 RDV en ORL le 19.12.2018 RDV en échographie le 11.12 ainsi qu'un RDV en pédiatrie qui suivra afin de communiquer les résultats. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation.RDV en FUA le 28.12.18 pour Uro-CT, le patient doit se présenter à jeun RDV en FUA pour contrôle clinique ce 13.12.2018 à 15h00. RDV en polyclinique d'ortho le 02.01.2019 RDV en polyclinique d'ortho le 27.12.2018 pour contrôle clinique et pour une radiographie de la cheville en charge. RDV en polyclinique d'orthopédie à J7 (03.01.2019). RDV FUA le 05.12 RDV FUA lundi pour ablation de la mèche, rinçage et réfection du pansement RDV chez le médecin traitant déjà prévu le 02.01.2019 Sera vue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée RDV hôpital de jour jeudi 13.12.18 pour réduction sous anesthésie (+/- opération pour réduction si la réduction manuelle ne tient pas) RDV le lundi 24.12.2018 à 10h chez la Dr. X Consultation santé, soutien et palliation le 21.02.19 à 13h15 à l'HFR (Dr. X) Médecin pharmacologue (Dr. X) à disposition dès le 27.12.2018 pour discuter d'options thérapeutiques alternatives RDV orthopédie dans une semaine RDV policlinique dans 1 semaine RDV pour discuter l'efficacité du ttt et pour suite de PEC chez le pédiatre : dans 5-7 jours. RDV pour uro cystographie rétrograde le 07.02.19 à 9h30 Contrôle clinique chez le pédiatre RDV team hanche RDV chez Dr. X le 11.12.2018 à 8h pour suite de prise en charge Réaction allergique Réaction allergique Réaction allergique Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique. Réaction allergique Réaction allergique à Rocéphine • réaction cutanée Réaction allergique à Rocéphine • réaction cutanée Réaction allergique à 19h15, probablement sur Primpéran, DD : sur Morphine mais la patiente a déjà eu ce traitement sans réaction. Réaction allergique anaphylactique stade I-II sur produit de contraste probable le 03.12.2018 Réaction allergique cutanée alimentaire (courge) Réaction allergique cutanée limitée au produit de contraste iodé le 04.12.2018. Réaction allergique cutanée limitée au produit de contraste iodé le 04.12.2018. Réaction allergique cutanée probablement sur Céfuroxime. Réaction allergique cutanée probablement sur Lasix iv le 29.11.2018 et sur Torem le 01.12.2018. Réaction allergique cutanée type I. Réaction allergique de grade III le 10.12.2018 Réaction allergique de grade 2 suite à prise d'Ibuprofen le 12.12.2018. Réaction allergique de stade II (oedème palpébral), d'origine alimentaire probable, le 30.12.2018. Réaction allergique de stade II sous Ferrinject. Fracture du genou gauche en 2012 non-traitée avec opération du ménisque et une déchirure du ligament croisé antérieur non opérée. Réaction allergique de stade 2 le 16.02.18 • au Tramal/Pantozol. Douleurs abdominales chroniques d'origine indéterminée le 20.01.2018 : gastroscopie et colonoscopie en ambulatoire pour investigation. Douleurs thoraciques probablement dans contexte d'angoisse le 13.04.2016. Césarienne en 2000, avec psychose du pp. Crise de panique sur cortico-thérapie le 18.02.18. Réaction allergique (HL X garde 1) Réaction allergique locale suite à une prise Echinaforce. Réaction allergique modérée de stade II Réaction allergique non spécifique au visage Réaction allergique probablement d'origine alimentaire, le 30.12.2018. Réaction allergique sans étiologie retrouvée le 28/12/18 DD Hypersensibilité Clindamycine de type 4 DD Lymphome, maladie de Whipple, maladie de Still Réaction allergique stade I. Réaction allergique Stade I (07.2015). Appendicectomie. État dépressif sévère il y a 15 ans hospitalisée à Marsens. Trouble dépressif récurrent sans idées suicidaires avec symptomatologie de crise d'angoisse, le 25.11.2018. • bilan biologique dans la norme Réaction allergique stade II. Réaction allergique stade II le 20.07.2017 Pyélonéphrite gauche le 20.08.2017 à E. coli multisensible Réaction allergique stade III le 27.12.2018 au produit de contraste iodé Xanetix 360. Réaction allergique stade 1 Réaction allergique stade 1 Réaction allergique stade 1 Réaction allergique stade 3 très probablement d'origine médicamenteuse sur prise de Brufen : • angioœdème de la face • urticaire généralisé • nausées, dysphagie • oppression thoracique Réaction allergique type 1 Réaction anaphylactique. Réaction anaphylactique avec un angio-oedème degré 2 le 23.12.2018 • possiblement sur sauce de tomates sur une pizza. Réaction anaphylactique de grade 3 le 20.12.2018 : • Probablement sur kaki persimon. Réaction anaphylactique de type I stade III d'origine indéterminée DD : sur produit iodé oral lors d'un examen de PET-CT le 06.12.2018. Réaction anaphylactique degré 3 sur allergène inconnu le 03.12.2018 • DD : sur lait de coco, sur préparation de protéine. Réaction anaphylactique grade 2, le 26.12.2018 • angioedème et dyspnée initialement • probablement sur composante de mélange de noix. Réaction anaphylactique sur piqûre d'abeille ou de guêpe à la main droite. Status post-surinfection de la 2ème phalange du 3ème doigt de la main droite traitée conservativement. Status post-PTG droite. Réaction anxieuse et de colère à un facteur de stress important sur décès subit d'un proche en août 2018. Réaction cutanée locale d'origine allergique (dermatite du contact, allergie au froid, allergie au chien) Réaction dépressive physiologique le 17.12.2018 Réaction locale après piqûre IM de Magnésium au deltoïde droit. Réaction locale inflammatoire sur piqûre d'insecte au niveau du pouce à droite. Réaction sur vaccin de la grippe Réactivation CMV le 23.11.2018 Réactivation CMV le 23.11.2018 Réactivation de CMV • Virémie positive le 30.10.2018 Réactivation d'une arthrose cunéo-naviculaire du pied droit le 12.12.2018. Réactivation d'une lésion cicatricielle d'AVC ischémique dans un contexte d'état grippal et sinusite • NIHSS à 1 à l'entrée aux soins intensifs (dysarthrie) • NIHSS à 0 à la sortie des soins intensifs (sans tenir compte du déficit déjà connu) Réacutisation d'une sciatalgie G chronique Réadaptation musculo-squelettique Prochain contrôle à la consultation de la Dr. X à 1 mois Réadaptation à Riaz après TAVI Suivi clinique et biologique régulier de la fonction cardio-respiratoire et rénale Bilan allergologique avec tests cutanés à faire à distance en ambulatoire Évaluer l'indication à consultation endocrinologique en ambulatoire Réadaptation cardiaque à Billens dès le 21.12.2018. Pose de CRT-D prévue le 03.01.2019, HFR Fribourg, merci de stopper le Xarelto après la prise du 1er janvier 2019. Contrôle clinique dans un mois chez Dr. X, à organiser par le patient. Coronarographie en électif le 28.01.2019 avec échocardiographie de contrôle, réévaluation de l'anticoagulation à ce moment-là. Réadaptation cardiaque ambulatoire à prévoir rapport définitif d'échocardiographie du 06.12.2018 (ETT) à suivre Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Réadaptation cardiovasculaire Adaptation du traitement cardiomodulateur Prophylaxie de l'endocardite Ablation des fils le 31.10.2018 Aspirine Cardio pendant 3 mois Anticoagulation à vie: Marcoumar ciblant un INR à 3.0 Interdiction de porter des charges >5 kg pendant 8 semaines Contrôle du taux de digoxine Contrôle chez le cardiologue traitant avec ETT à 3-4 mois Réadaptation cardiovasculaire au HFR Billens Aspirine à vie et Efient pendant 12 mois Adaptation du traitement cardio-modulateur Interdiction de porter des charges >5 kg pendant 3 mois Ablation des fils le 27.10.2018 Contrôle chez son cardiologue avec ETT à 3 mois, puis contrôle annuel Réadaptation cardiovasculaire avec ergothérapie, physiothérapie et suivi nutritionnel Adaptation du traitement Consultation de tabacologie avec le Dr. X Réadaptation cardiovasculaire avec nutrition clinique, physiothérapie et ergothérapie Isolement de contact pour suspicion de VRE positif du 27.11 au 13.12.2018 Consultation de tabacologie avec le Dr. X ETT le 13.12.2018 Adaptation du traitement Contrôle des facteurs de risques cardiovasculaires Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie, ergothérapie et nutrition clinique Adaptation du traitement Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires Echocardiographie de contrôle le 26.11.2018 Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Adaptation du traitement Retour à domicile prématuré pour bonne évolution avec suite de prise en charge ambulatoire Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement et adaptation hémodynamique Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement et adaptation hémodynamique Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement et adaptation hémodynamique Suivi nutritionnel Surveillance rythmique Cordarone 200 mg/j dès le 18.11.2018, à réévaluer dans 1 mois Eliquis 5 mg dès le 13.11.2018 pendant 3 mois, à réévaluer Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement Suivi nutritionnel Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie et ergothérapie Suivi nutritionnel Ajustement du traitement Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie, suivi diététique et ergothérapie Adaptation du traitement médicamenteux Holter Réadaptation cardiovasculaire avec physiothérapie, suivi diététique et ergothérapie Contrôle des facteurs de risque cardiovasculaires Adaptation du traitement ECG Réadaptation cardiovasculaire avec suivi diététique, ergothérapie et physiothérapie Adaptation du traitement Consultation tabacologie avec le Dr. X Contrôle échocardiographique fait par le Dr. X les 08.11, 21.11 et 26.11.2018 Contrôle par échocardiographie transthoracique prévu le 07.12.2018 Clexane thérapeutique du 07.11 au 19.11.2018 Arrêt de travail du 28.11 au 31.12.2018 Réadaptation cardiovasculaire avec suivi diététique, physiothérapie et ergothérapie. Adaptation du traitement Contrôle chez le Prof. X le 10.12.2018 Réadaptation cardiovasculaire avec suivi diététique, physiothérapie et ergothérapie. Cardiopsychologue Adaptation du traitement Contrôle des FRCV Consultation de tabacologie avec le Dr. X Contrôle à un mois chez le Prof. X Réadaptation cardiovasculaire avec suivi diététique, physiothérapie et ergothérapie Adaptation du traitement Cardiopsychologue le 21.11.2018 Carte orange de prophylaxie de l'endocardite Réadaptation cardiovasculaire avec suivi diététique, physiothérapie et ergothérapie Adaptation du traitement Contrôle des FRCV Contrôle échographique le 19.12.2018 chez le Dr. X Contrôle clinico-biologique Réadaptation cardiovasculaire avec suivi diététique, physiothérapie et ergothérapie Optimisation du traitement Contrôle des FRCV Contrôle à la consultation du Prof. X dans 6 semaines ETT de contrôle dans 4-6 semaines Discuter de la pose d'un défibrillateur dans 3 mois selon évolution de la FEVG Vaccin de la grippe le 20.11.2018 Réadaptation cardiovasculaire en ambulatoire à organiser Contrôle dans 1 mois chez le Dr. X à l'HFR Billens Ergométrie dans 1 année Réadaptation cardiovasculaire et musculosquelettique avec physiothérapie et ergothérapie Ajustement du traitement Suivi nutritionnel Drainage lymphatique Réadaptation cardiovasculaire Optimisation du traitement Holter Consultation gestion du stress Réadaptation gériatrique. Réadaptation gériatrique à Riaz dès le 09.12.2018 Réadaptation gériatrique à Riaz Rendez-vous à la consultation gynécologique du Dr. X prévu en ambulatoire le 21.12.2018 Réadaptation gériatrique dans le contexte de troubles de la marche d'origine multifactorielle : • Cirrhose hépatique • Dermo-hypodermite jambe droite et plaie nécrotique jambe gauche • Hypothyroïdisme • Sarcopénie • Troubles électrolytiques (potassium et magnésium) Réadaptation gériatrique dans un contexte de fracture L5. Réadaptation gériatrique dans un contexte de fracture-tassement du corps vertébral de L5 le 26.10.2018 : • Cyphoplastie par système SpineJack L5 le 28.11.2018 • Fuite de ciment chirurgical en sous-pédiculaire à droite, entrant en contact avec la racine L5 suite à l'intervention du 28.11.2018 • Parésie fluctuante dans le territoire L5 droit à M4, voire à M4+/5 Réadaptation gériatrique dans un contexte de lombalgies chroniques en acutisation d'origine mixte : • Syndrome sacro-iliaque gauche • Status après décompression avec foraminotomie L3-L4 à gauche et ablation de kyste le 13.02.2012 sur cypho-scoliose sinistro-convexe lombaire d'origine dégénérative • Sténose foraminale significative L3-S1 gauche avec sténose foraminale L5-S1 droite (IRM 03.2017) • Rétrécissement canalaire étagé, prédominant en L2-L3 et L3-L4 (IRM 03.2017) Réadaptation gériatrique par physiothérapie et ergothérapie Bilan vitaminique Test de Schellong : négatif Réadaptation gériatrique pour déconditionnement sur néoplasie. Réadaptation gériatrique Bilan et substitution vitaminiques Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique Réadaptation musculo-squelettique à Billens Suivi à la consultation du Dr. X Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Anticoagulation prophylactique par Clexane • Bilan neuropsychologique • Contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X le 27.11.2018 • Port de la minerve rigide pour encore 2 semaines, ablation de cette dernière le 11.12.2018 • Charge à 25 kg pour 6 semaines à partir du 27.11.2018 • Utilisation de cannes axillaires (pas de cannes anglaises) jusqu'à la prochaine consultation orthopédique (15.01.2019) Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Adaptation de l'antalgie • Attelle BAB pour 6 semaines amovible pendant la nuit + physiothérapie de mobilisation • Contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X le 27.11.2018 et le 15.01.2019 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Charge partielle de 20 kg sous couvert de 2 cannes anglaises pour 3 mois. Éviter tous mouvements exagérés la flexion à > 70°. • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg 1x/j pour une durée de 3 mois au total • Switch Clexane pour Xarelto 10 mg le 16.11.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Épaule D : gilet orthopédique pendant 6 semaines postopératoires. Mobilisation passive en élévation-abduction complète, rotation externe 20° maximum • Hanche D : mobilisation en décharge complète. Mobilisation passive : élévation et abduction selon douleurs, RE 20° max. • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Gilet orthopédique pendant 6 semaines • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg pour la durée de l'hospitalisation. Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de 15 kg, pas de flexion de hanche > 70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance • Mouvements rotatoires à éviter pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Sintrom Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de 15 kg, pas de flexion de l'hanche > 70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg puis passage au Xarelto 10 mg dès le 20.11 jusqu'au 21.12.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle de 15 kg pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Adaptation du Sintrom pour anticoagulation curative (FA) avec chevauchement Héparine Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle 15 à 20 kg avec 2 cannes pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg s.c puis Xarelto 10 mg jusqu'au 11.12.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge partielle 15 kg, pas de flexion hanche > 70°, pas d'adduction ou abduction contre résistance, mouvements rotatoires à éviter. • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 11.12.2018 • Contrôle radio-clinique du 09.11.2018 - Dr. X : • Contrôle radiographique en ordre. Augmentation progressive du poids de charge Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg jusqu'au 23.11.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs avec cannes • Adaptation de l'antalgie • Ablation des fils à 14 jours postopératoires • Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg puis relais par Xarelto dès le 08.12.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs avec 2 cannes anglaises, mobilisation du genou sous contrôle physiothérapeutique sans restriction d'amplitude • Adaptation de l'antalgie • Ablation des agrafes le 10.12.2018 • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 25.12.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs avec 2 cannes anglaises pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg/j jusqu'au 16.01.2019 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 10.01.2019 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs pendant 6 semaines postopératoires • Adaptation de l'antalgie • Thromboprophylaxie par Clexane 40 mg jusqu'au 08.01.2019 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie • Marche en charge selon douleurs • Adaptation de l'antalgieMarche en charge selon douleurs. Adaptation de l'antalgie Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg jusqu'au 18.12.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Marche en charge selon douleurs Adaptation de l'antalgie Dexaméthasone du 24.10 au 05.11.2018 puis schéma dégressif sur 10 jours Consilium Team Spine (Dr. X) le 27.11.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation : lit-fauteuil pendant 6 semaines postopératoires Adaptation de l'antalgie Ablation des agrafes le 21.08.2018 Prophylaxie thromboembolique par Clexane 60 mg sc 1x/jour jusqu'au 26.09.2018 relayé par Xarelto 10 mg jusqu'au 26.11.2018 Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X le 26.09.2018 : marche en charge partielle de 15-20 kg durant les 5 prochaines semaines. Poursuivre le renforcement musculaire avec la marche en piscine Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X le 29.10.2018 : augmentation de la charge de 15 kg chaque semaine Avis du Dr. X le 08.11.2018 : marche en charge selon douleurs Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation en charge partielle 15 kg sur le côté gauche pour 6 semaines Contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X le 27.11.2018 et le 15.01.2019 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation en touch down au moyen de cannes anglaises pour 6 semaines postopératoires Adaptation de l'antalgie Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation libre Adaptation de l'antalgie avec cure de Dexaméthasone du 05 au 13.12.2018 devant des douleurs radiculaires G intenses Prophylaxie thromboembolique par Clexane 40 mg jusqu'au 05.12.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Rééducation à la marche en charge selon douleurs sous supervision physiothérapeutique Antalgie Prophylaxie thromboembolique par Clexane 60 mg jusqu'à marche en charge complète sans moyen auxiliaire Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Mobilisation en charge selon douleurs. Kinetec selon tolérance Adaptation de l'antalgie Prophylaxie anti-thrombotique par Clexane 60 mg Soins de plaie réguliers Ablation des fils le 30.10.2018 Contrôle orthopédique à la consultation du Dr. X le 16.11.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Placement en court séjour en EMS Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Prothèse : modelage/mesure et confection par Orthoconcept à Fribourg Ablation des fils les 11 et 15.10.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométries, spirométrie, oxymétrie nocturne RX thorax Oxygénothérapie : 1 lt/min au repos, 2 lt/min à la mobilisation en chambre, jusqu'à 6 lt/min à l'effort Réadaptation musculo-squelettique • Gilet orthopédique • Coussin d'abduction pour 4 semaines puis mobilisation progressive en actif assisté jusqu'à la 6ème semaine. • Mobilisation du coude en flexion-extension hors du gilet uniquement puis dès la 5ème semaine mobilisation progressive libre de l'épaule et ablation du coussin d'abduction. Mobilisation du poignet libre. • Adaptation de l'antalgie • Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X le 28.12.2018. Réadaptation palliative avant possible retour à domicile Rééducation à la marche Suivi antalgie Réadaptation pour rupture complète du tendon quadricipital sur accident de la voie publique le 01.11.2018 Réadaptation pour suture du tendon quadricipital. Réadaptation PTH gauche sur fracture du col de fémur Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Gazométries, spirométries RX thorax Adaptation de l'oxygénothérapie Sevrage tabagique Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométrie, spirométrie RX thorax Traitement immunosuppresseur par Imurek (Azathioprine) depuis le 23.11.2018 Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Adaptation du traitement inhalateur habituel avec arrêt Seretide et introduction de l'Ultibro Gazométrie, spirométries RX thorax Score de Bode, à la sortie : 1 Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Gazométrie, spirométrie RX thorax Évaluation et suivi nutritionnel Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Gazométries, spirométries, oxymétrie et polygraphie nocturne RX thorax Ultibro Breezhaler 110/50 mcg 1x/j Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométrie, spirométries RX thorax Score de Bode, à la sortie : 1 Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométries, spirométries, capnographies nocturnes RX thorax Adaptation de l'oxygénothérapie : 2 lt/min au repos et la nuit, 6 lt/min à l'effort VNI dès le 20.11.2018 (EPAP 5 - IPAP 17 cmH2O) Score de Bode, à la sortie : 5 Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométries, spirométries, oxymétrie et capnographie nocturnes RX thorax Adaptation de la CPAP Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométries, spirométries RX thorax Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométries, spirométries RX thorax Adaptation de l'oxygénothérapie Vaccination contre la grippe saisonnière : Fluarix le 13.12.2018 (Lot AFLBA334AB) Score de Bode, à la sortie : 4 Réadaptation pulmonaire avec physiothérapie respiratoire et réentraînement à l'effort Poursuite du traitement inhalateur habituel Gazométrie Sevrage tabagique RX thorax Vaccins contre la grippe et pneumocoque à jour Réadaptation suite à AVC ischémique pariétal gauche subaigu sur le territoire de l'artère sylvienne gauche superficielle, d'origine microangiopathique suspectée, manifesté par une hémisyndrome moteur brachio-crural droit le 08.11.2018 avec : • NIHSS à 3 points le 08.11.2018 à 14h45. • Symptomatologie : Hémisyndrome moteur pur brachio-crural droit, anamnestiquement depuis le 02.11.2018 • CT cérébral natif le 06.11.2018, IRM cérébrale avec vaisseaux précérébraux le 07.11.2018 : AVC ischémique aigu touchant le territoire superficiel de l'artère cérébrale antérieure droite (lobule pariétal supérieur droit) et celui superficiel de l'artère cérébrale moyenne gauche - territoire jonctionnel (gyrus précentral gauche). Les vaisseaux sont perméables. Réadaptation suite à un AVC ischémique sylvien droit constitué non datable avec hémiparésie brachio-crurale gaucheRéadaptation suite à un AVC ischémique sylvien droit constitué non datable avec hémiparésie brachio-crurale gauche, avec: • CT cérébral natif le 21.11: lésion ischémique constituée dans le territoire de l'artère cérébrale moyenne à droite, sans composante ischémique (lésion ischémique non présente sur le comparatif du mois de mai 2018). • IRM avec grands vaisseaux le 22.11: occlusion complète de la carotide interne droite dès son origine, pas d'indication opératoire • IRM 21.11: AVC sylvien unique • US des vaisseaux précérébraux le 26.11.2018: occlusion complète carotide interne droite, occlusion 60% carotide interne droite • ECG le 21.11: pas de trouble de la repolarisation, RSR, pas d'arythmie • Holter 72h effectué, analyse en cours • ETT le 23.11.2018: pas de thrombus, hypokinésie sévère de la paroi inféro-basale. FEVG à 60% • Bilan lipidique le 23.11: LDL à 2.5 mmol/L (cible à 1.8 mmol/L) • Neuropsychologie le 28.11.2018: atteinte exécutive, mémoire antérograde et attentionnelle, possible composante Réadaptation suite à une fracture du col du fémur gauche Garden IV le 18.10.2018, avec: • Implantation PTH G. (OP le 19.10.2018) Réafférentation + suivi clinique Distraneurin en réserve IRM cérébrale refusée par la patiente le 13.12.2018 Bilan neuropsychologique le 19.12.2018 Avis psychiatrique les 18.12 et 19.12.2018 Haldol 0.5 mg 2x/j dès le 18.12.2018 Réafférentation, résolution des problèmes aigus. Quetiapine 12.5mg 1x R et Quétiapine 25mg 1x/jour d'office le soir. réafférentation Quétiapine Réafférentation Traitement par Haldol et Distraneurin en réserve Réalimentation fractionnée avec Normolytoral Surveillance déshydratation Réalimentation progressive Suivi biologique Hydratation Réanimation cardio-pulmonaire Intubation par le SMUR Transfert aux urgences de Fribourg Réanimation volémique Réanimation volémique ciblée Réanimation volémique Suivi biologique Réanimation: 2 x 2 min de massages cardiaques, 3 chocs externes 150J, adrénaline 1 mg • IOT (Cormack I) et ventilation mécanique du 21.11.2018 au 22.11.2018 • VVC du 21.11.2018 au 26.11.2018 • Cathéter artériel radial gauche du 21.11.2018 au 23.11.2018 • Noradrénaline le 21.11.2018 • ETT le 21.11.2018. • Coronarographie le 22.11.2018: pas de lésions significatives Réassurance. Réassurance de la patiente. Dernier bilan biologique normal. Conseils sur l'hygiène du sommeil. Conseil de consulter un psychologue (numéro du CPS transmis à la patiente). Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Réassurance de la patiente. Traitement symptomatologique. Certificat médical de 3 jours. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Réassurance et adaptation antalgie. Réassurance et antalgie. Bon de physiothérapie analgésique et de reconditionnement en ambulatoire. Proposition de reconsulter le médecin traitant en cas de persistance ou de péjoration des symptômes. Réassurance et examen physique. Réassurance et retour à domicile, explications dans quelles conditions il faudra reconsulter. Antalgie et myo-relaxants. Arrêt de travail pendant une semaine et par la suite proposé de revoir son médecin traitant, dit d'éviter l'alitement. Prescription pour faire de la physiothérapie une fois que la phase aiguë sera terminée. Réassurance parentale Consignes de surveillance données Réassurance parentale Consignes de surveillance données aux parents Réassurance parentale Éducation parentale sur Stesolid (5 mg) Réassurance. Poursuite du traitement initié par le gynécologue traitant. Conseils d'usage quant au traitement symptomatique et l'hydratation. Réassurance, proposition de consulter le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. RAD avec antalgie. Patient informé des signes qui devraient le pousser à reconsulter. Réassurance Ad Feniallerg au besoin, max 6 gttes 3x/j (pas d'effet suite à l'administration de 6 gttes dans la salle d'attente, 1h après, à la réévaluation) Pas contagieux actuellement, donc pas de restrictions Pas de contact avec femmes enceintes durant la phase prodromique. Réassurance Ad Feniallerg au besoin Pas contagieux actuellement Pas de contact avec femmes enceintes durant la phase prodromique. Réassurance. Adaptation de l'antalgie. Consignes de reconsulter en cas de signes de gravité expliqués à la patiente. Réassurance. Antalgie simple. Suite chez le médecin traitant si persistance. Réassurance. Application d'une crème anti-inflammatoire. Surveillance de l'hématome par la patiente et l'infirmière à domicile. Réassurance. Conseils donnés au patient de manœuvre coagulante si recrudescence des symptômes. Consultation ORL pour évaluation d'une tache vasculaire. Réassurance. Consultation ORL si récidive. Réassurance. Critères de Centor: 1 point. Traitement symptomatique. Proposition de nouvelle consultation en cas de péjoration. Réassurance. Excision à but diagnostique et thérapeutique. Réassurance. Explications données au patient si récidive de la symptomatologie (glace sur la nuque, mouchage et compression du nez, position fléchie en avant). Réassurance. Hydratation. Antalgie simple en réserve. Arrêt de sport pour une semaine. Surveillance à domicile par la mère qui a été informée des signes d'alarme (douleurs non gérables, vomissements à répétition, déficit neurologique). Reconsultation en cas de péjoration clinique. Réassurance. Instructions pour l'alimentation. Conseils de la sage-femme: allaitement autorisé. Réassurance. Patient informé de reconsulter en cas de nouveaux symptômes neurologiques ou fièvre. Antalgie à domicile. Réassurance Poursuite des rinçages de nez (éducation par infirmières sur demande de la maman) Réassurance. Proposition de poursuivre la physiothérapie. Nouvelle consultation en cas de symptomatologie atypique ou douleurs non contrôlables. Réassurance. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, avec bilan biologique d'une probable anémie. Réassurance Suivi clinique Diminution posologie lyrica à 2x25mg Stop ciprofloxacine avec relai par doxycycline selon Dx supp 2 Bonne amélioration clinique de la thymie et résolution de l'état confusionnel avec ses adaptations médicamenteuses. Réassurance. Traitement symptomatique. Réassurance. Traitement symptomatique. Conseil de réévaluer en ambulatoire avec neurologue +/- IRM cérébral si recrudescence d'une crise de migraine. Réassurance. US abdominal aux urgences Dr. X: pas de liquide libre, 98 ml d'urine dans la vessie, sonde en place.Traitement symptomatique. • Réassurance. • Pantozol double dose pour deux semaines et une fois 40 mg pendant 2 semaines. • A prévoir EGNR si persistance ou récurrence des douleurs après arrêt du pantozol. • Recherche clostridium: négatif • Stop Colchicine, Magnésium et Movicol. • Recherche de clostridium : négative pour les antigènes • Toucher rectal : pas de sang ni de douleurs, hémorroïdes internes. • Proctoglyvenol 3x/j • Pérotérol 3x/j pendant 7 jours. • Recherche de clostridium : positive • Vancomycine par voie orale 125 mg 4x/j dès le 23.11.2018 pendant 14 jours, puis en schéma régressif jusqu'au 07.01.2019. • Recherche de Clostridium dans les selles : positive • Flagyl 500 mg 3x/j dès le 23.11.2018. • Recherche MST. • Hémorroïde externe non thrombosée le 17.10.2018. • Recherche virale (adénovirus/rotavirus) dans les selles: négative. • Recherche virale et coproculture en cours. • Sédiment urinaire : propre. • Rechute de consommation de métamphétamines dans le contexte de cure de désintoxication. • Récidive abcès du sein gauche, non puerpérale, à cheval des quadrants internes, chez une patiente de 33 ans, nulligeste, afébrile. • Récidive cholécystite aiguë le 18.11.2018 • Drain percutané retiré le 13.11.2018. • Récidive cystite simple. • Récidive d'arthrite septique sur • PTG G posée en 1999 • S/p arthrite septique genou G à Streptocoque Anginosus en 10.2018 traitée par rinçage arthroscopique et antibiothérapie. • S/p arthrite septique genou G en 2011 traitée par débridement avec rinçages à 4 reprises et antibiothérapie. • Récidive d'AVC ischémiques dans de nombreux territoires vasculaires dans la nuit du 9 au 10.11.2018, dans un contexte d'AVC ischémique récent (13.10.2018) sur embolie proximal avec : • Clinique : hémiparésie gauche préexistante, nystagmus unidirectionnel au regard vers la gauche (NIHSS 7) • CT cérébral non injecté 10.11.2018 (Meyriez) : pas de lésion hémorragique • IRM cérébrale séquence diffusion, TOF, FLAIR, tronc cérébral (pas de contraste dans un contexte d'IRA) : multiples AVC ischémiques nouveaux : territoire de l'ACM gauche postérieure (limite ACM gauche ant), cérébelleux droit paramédian, petits infarctus cérébelleux gauches. Vaisseaux intra- et extracrâniens jusqu'à la bifurcation carotidienne dégagés sur séquence TOF • St. p. AVC ischémique de l'a. cérébrale moyenne droite le 13.10.2018 avec : • Hémisyndrome sensori-moteur gauche, prononcé au niveau du membre inférieur (NIHSS 5-6, corrigé à 4-5) • Thérapie : prise en charge complexe (admission en Stroke Unit) thrombolyse intraveineuse 180 min après le début des symptômes • Étiologie indéterminée. • Récidive de broncho-aspiration avec insuffisance respiratoire globale le 17.12.2018 sur : • Broncho-aspirations à répétitions, dernière le 27.09.2018 • Diverticule de Zenker • Troubles cognitifs sévères sur une leuco-encéphalopathie d'origine micro-vasculaire Fazekas 2-3. • Récidive de Colite à clostridium, le 20.12.2018 : • Antibiothérapie pour diarrhées post-ATB pendant 14 j par Metronidazole jusqu'au 14.12.2018. • Récidive de Colite à clostridium, le 20.12.2018 : • Traitement ambulatoire par Metronidazole du 07.12.2018 au 14.12.2018 pour Colite à C. difficile • Traitement par Céfuroxime pour pneumonie du 12.11.2018 au 19.11.2018. • Récidive de décompensation cardiaque bilatérale NYHA IV le 21.11.2018. • Récidive de décompensation cardiaque globale. • Récidive de décompensation cardiaque globale d'une cardiopathie ischémique tri-tronculaire, rythmique et valvulaire NYHA II le 26.10.2018 : • Hospitalisations pour décompensation cardiaque à Meyriez du 28.06 au 03.07.2018 et du 22.08 au 01.09.2018 • STEMI inférieur le 01.10.1992 avec récidive le lendemain • Quintuple pontage aorto-coronarien le 04.11.1999 (Inselspital) • Coronarographie le 10.01.2013 : maladie coronarienne tri-tronculaire; RCX occluse distalement collatéralisée par la CAD, LVEF 50% avec akinésie inférieure • Pacemaker en mode DDDR pour bloc AV intermittent III° et maladie du sinus 07/2002 • Ablation flutter auriculaire typique 03/2006, fibrillation auriculaire paroxystique, anticoagulé par Marcoumar • Insuffisance aortique minime (grade 1/4), insuffisance mitrale minime (grade 1/4) ischémique, insuffisance tricuspide sévère (grade 3/3) fonctionnelle. Stabilité de l'atteinte valvulaire stable en 02/2018. • Radiographie de thorax 26.10.2018 : comparativement au 22 août 2018, on retrouve des signes d'insuffisance cardiaque légèrement décompensée avec nette augmentation des épanchements pleuraux bilatéraux prédominant à gauche. Un foyer infectieux basal surajouté n'est pas exclu. • Coronarographie le 09.08.2016 (Prof. X) : pas de lésion significative nouvelle, hypo-akinésie apicale, FEVG 50% • Echocardiographie du 02.02.2018 (Dr. X) : FEVG 49% (stable), atteinte valvulaire stable. • Contrôle du pacemaker le 02.02.2018 (Dr. X) : programmation en DDDR à 50-140/min. • Récidive de décompensation respiratoire d'origine mixte dans un contexte de : • Insuffisance cardiaque G>D d'origine mixte, avec cor pulmonaire chronique (PAPs 50 mmHg), NT-proBNP 3553 ng/L • Épanchement pleural droit récidivant, multi-investigué et avec refus de drainage actuellement. • Récidive de dermohypodermite du membre inférieur gauche sur esquarre interdigitale entre rayon 1 et 2 du pied gauche et mal perforant plantaire le 10.12.2018 • Suspicion d'ostéomyélite sur la base d'un contact osseux en novembre 2018 mais pas d'IRM ou RX standard diagnostique à disposition. • Dermohypodermite en octobre 2018 avec suspicion d'ostéomyélite (pas d'IRM réalisée car artéfacts de mouvements chez patient qui a des fasciculations). • Récidive de dermohypodermite sus-pubienne et membre inférieur gauche, le 02.12.2018. • DHD récidivante dans un contexte de lymphoedème chronique. • Prophylaxie par Benzatyl-Pénicilline depuis septembre 2018, et Dalacin 600 mg depuis le 22.12.2018. • Récidive de dermohypodermite sus-pubienne et membre inférieur gauche, le 08.12.2018. • DHD récidivante dans un contexte de lymphoedème chronique • Prophylaxie par Benzathine-Pénicilline depuis septembre 2018, et Dalacin 600 mg depuis le 22.12.2018. • Récidive de diverticulite sigmoïdienne simple le 30.12.2018 • S/p diverticulite le 5.12.2018 traitée par Ciproxin et Flagyl pendant 6 jours. • Récidive de douleurs abdominales. • Récidive de douleurs abdominales hyperalgiques d'origine indéterminée le 01.12.2018. • Multiples consultations aux urgences sans critère de gravité. • Dernières récidives les 5.10, 09.10, 11.10, 13.10, 20.10, 23.10 et 25.10.2018. • Multiples investigations par oeso-gastro-duodénoscopie et colonoscopie. • Probable syndrome du côlon irritable, contexte psychiatrique associé. • Suivi en gastroentérologie à l'HFR. • Utilisation récurrente d'opiacés au domicile (Tramal). DD : • Addiction médicamenteuse aux antalgiques opiacés, autre maladie intestinale chronique (coeliaquie, allergie alimentaire). • Récidive de douleurs de la loge rénale droite. • Récidive de fibrillation auriculaire. • Récidive de fibrillation auriculaire. • Récidive de fibrillation auriculaire à réponse ventriculaire rapide jusqu'à 170/min, hémodynamiquement compensée le 06.11.2017. • Récidive de gingivo-stomatite d'origine probablement virale, le 30.12.2018 avec : • Probable candidose orale d'accompagnement. • Récidive de hématochézie sur rectite post-radique le 14.12.2018. • Avec hématochézies intermittentes depuis 2 ans. • Post-rectoscopie probablement sur un ulcère post-Argon Plasma Coagulation. • Endoscopie prévue le 20.12.2018. • Récidive de hernie cicatricielle péri-ombilicale : • Status post-cure de hernie par scopie et pose de filet en février 2009 • Status post-laparotomie exploratrice, adhésiolyse du grêle et reconstruction de la paroi abdominale sous-ombilicale en janvier 2010.Status post-exploration de la région inguinale à gauche, résection de la partie distale du ligament rond gauche dans son trajet inguinal et section du nerf ilio-hypogastre en avril 2010 : • status post-exploration de la fosse iliaque à gauche, évacuation d'un sérome macroscopiquement non surinfecté avec prélèvement bactériologique superficiel et profond en avril 2010 • status post-exploration sous-ombilicale, renforcement par la gaine du grand droit à gauche d'une migration et faiblesse pariétale d'un filet UltraPro et résection d'un excès cutanéo-graisseux sous-ombilical en septembre 2010 Anémie microcytaire hypochrome hyporégénératif avec Hb à 76g/l 10/2018 Récidive de hernie inguinale gauche de type indirect, avec incarcération colique, mais sans iléus. Récidive de hernie inguinale gauche, incarcérée depuis 24h (status post cure de hernie inguinale gauche indirecte par glissement selon Lichtenstein avec mise en place d'un filet Ultrapro Mesch par Dr. X le 26.11.2013) Récidive de luxation postérieure PTH G le 17.11.2018 • Luxation PTH G réduite sous an. générale le 13.09.2018 • PTH de type non-cimentée Delta motion, tige Corail et couple de frottement céramique/céramique grosse tête, taille du cotyle 54 mm, taille de la tête 44 mm, Sleeve L Corail KS 12, implantée le 04.07.2013, Dr. X Clinique Générale. Récidive de lymphome diffus à grandes cellules B de stade IV le 22.11.2018 (score pronostique IPI 4) • date du diagnostic : 08.05.2018 • Symptômes B, douleurs en fosse iliaque gauche • histologie : lymphome B diffus à grandes cellules • PET-CT du 01.05.2018 : hypercaptation abdominale gauche correspondant à la volumineuse masse du pancréas, hypercaptation ganglionnaire rétro-péritonéale ainsi qu'infiltration massive du squelette • échocardiographie du 16.05.2018 : qualité médiocre, fraction d'éjection conservée • ponction-biopsie de moelle du 17.05.2018 : infiltration médullaire par le lymphome • sérologies HCV, HBV, HIV, EBV, CMV : négatives • implantation d'un port-à-cath le 18.05.2018 • pré-phase stéroïde du 17.05 au 23.05.2018 • initiation d'une chimiothérapie selon R-mini-CHOP le 23.05.2018 • status post-3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP • PET-CT du 09.07.2018 : bonne réponse à la chimiothérapie avec diminution en taille et en intensité • 3 cycles de chimiothérapie par R-mini-CHOP jusqu'au 05.09.2018 puis 2 cycles de Mabthera seul jusqu'au 18.10.2018 • PET-CT du 26.09.2018 : rémission partielle scannographique • Progression tumorale, 21.11.2018, infiltration massive de la moelle osseuse sur tout le squelette, augmentation des adénopathies abdominales (PET-CT) • Suivi par Dr. X à l'HFR Récidive de Mallet Finger du 4ème doigt de la main D Premier épisode le 29.07.2018 Deuxième épisode le 16.10.2018. Récidive de névralgie du trijumeau. Récidive de névralgie du trijumeau V3 à droite, dans un contexte de sclérose en plaque secondairement progressive • multiples acutisations de névralgie du nerf trijumeau V3 à droite, depuis janvier 2016, juillet 2016, août 2016. • suivi par Dr. X et Dr. X (mais pas de suivi régulier selon Dr. X). • patiente avait refusé prise en charge chirurgicale en 2016 et refuse encore à ce jour (Dr. X). Récidive de palpitations le 23.12.2018 sur probable extrasystolie. Récidive de parotidite Récidive de péricardite (Post-cardiac injury Syndrom), le 21.12.2018 • dans un contexte post-pontage aorto-coronarien le 23.11.2018 (Dr. X) avec syndrome post-péricardiotomie le 08.12.2018 (minime épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique le 11.12.2018, non retrouvé à l'ETT de contrôle le 13.12.2018) • sous Brufen 2x400mg/jour depuis le 11.12.2018 • séjour en réadaptation cardiovasculaire à Billens du 14.12 au 21.12.2018 Récidive de pneumothorax spontané à gauche. Status après premier épisode de pneumothorax spontané à gauche avec Pleurocath du 17.02 au 23.02.2015, puis drain thoracique du 23.02 au 04.03.2015 compliqué d'un oedème de réexpansion et d'un emphysème sous-cutané. Drainage thoracique le 05.04.2015. Transfert au CHUV pour pleurodèse. Récidive de suspicion d'AVC/AIT sylvien gauche le 18.12.2018 Récidive de tachycardie supraventriculaire à 170/min le 16.12.2018, avec : • acidose lactique à l'admission dans le contexte d'une AOMI grade III • hypomagnésémie à 0.66 mmol/l Récidive d'entorse en inversion de la cheville D stade 2 avec : • 1er épisode d'entorse stade 2 il y a 6 semaines Récidive d'hémorragie digestive basse, probablement sur diverticulose sévère connue le 10.12.2018 avec : • Antécédents d'hémorragie digestive basse le 18.11.2016/20.06.2017/10.05.2018/26.11.2018 • Rectosigmoïdoscopie le 26.02.2018 : diverticulose sigmoïdienne + présence de télangiectasie rectale Récidive d'hernie inguinale gauche • Status post-TEP en 1999 Récidive d'hypercalcémie maligne avec calcium corrigé à 3 mmol/l • reprise de la symptomatique neurocognitive et neuromusculaire Récidive d'iléus mécanique sur DD bride, carcinomatose péritonéale Récidive d'iléus paralytique le 18.12.2018 Récidive d'infection sur une probable nécrose des tendons fléchisseurs après multiples révisions en raison d'une récidive d'infection et infection après cure de doigt à ressaut 2 et 3 en novembre 2017 à la Clinique de Moncor. Status post-résection des tendons fléchisseurs du 3ème rayon le 01.06.2018 Récidive d'ongle incarné bord médial hallux G sur : Status post ablation de l'ongle et de la matrice hallux G le 02.11.2018. Déformation du 3ème orteil G en griffe avec conflit interdigitale avec le 5ème orteil. Status post amputation du 4ème orteil à G sur conflit avec les autres orteils le 22.11.2016. Status post amputation du 3ème orteil à D sur déformation et conflit avec les autres orteils le 01.04.2016. Récidive d'un adénocarcinome dans un polype rectal au minimum intra-muqueux avec : • IRM du pelvis du 02.10.2018 : tumeur du moyen rectum située à 6 cm de la marge anale s'étendant sur 3,7 cm • Colonoscopie du 03.10.2018 : tumeur rectale dans un polype avec état écho-endoscopique uT2 N0. Les biopsies montrent de micro-foyers d'adénocarcinome sans atteindre la sous-muqueuse • Histologie du 03.10.2018 : petit foyer d'adénocarcinome bien différencié de type colo-rectal au minimum intra-muqueux avec dans le tissu inclus en totalité, examiné en coupes profondes et colorations spéciales, pas d'infiltration de la sous-muqueuse reconnaissable. • PET-CT du 10.10.2018 : apparition d'une hypercaptation rectale correspondant à une récidive tumorale sans lésion hypermétabolique suspecte ou éventuelle métastase. • Présentation au tumor board du 10.10.2018 : décision pour une résection locale Récidive d'un kyste arthrosynovial en regard de MTP 1 pied G. Récidive d'une anencéphalie-exencéphalie à 12 6/7 semaines d'aménorrhée, chez une patiente de 33 ans, 5 gestes 2 pares. Récidive d'une kyste sébacée surinfectée dorsale de 4x5cm de taille Récidive d'une luxation de l'épaule droite sur chute de sa hauteur le 05.12.2018 patient alcoolisé. Récidive infection urinaire le 29.11.2018 • Infection urinaire à E. Coli et à Enterococcus spp. sensibles à la nitrofurantoïne le 14.11.2018, sous antibiothérapie jusqu'au 23.11.2018 (nitrofurantoïne) Récidive tumorale dans la racine du mésentère, le 09.12.2018 • dans le contexte de carcinome indifférencié de l'angle colique gauche pT4b N2b (11/59) L1 V1 G3 R0 M0 le 26.08.2018 • Colectomie droite étendue avec anastomose iléo-colique descendante manuelle le 29.08.2018 • Histopathologie Promed P2018.9805: pT4b N2b (11/59) L1 V1 G3 R0 M0 carcinome indifférencié du côlon • Présentation au TB viscéral du 28.11.2018 Récidive tumorale d'un cancer de la sphère ORL en situation palliative • Dysphagie et dysphonie sévères • Dénutrition secondaire Reclassé dès le 21.12.2018 en attente de placement en EMS. Recoit un ballon sur la face dorsale de la main droite avec un possible mécanisme d'entorse forcé par le ballon. Pas de fracture à la radiographie. Bande élastique à but antalgique Reçoit une dose de levocétirizine 10 gouttes Cetirizine 10mg en réserve à domicile Reçoit 1g de Magnésium iv aux urgences. Concernant hypokaliémie, proposition de 40mmol/l iv sur 12h à l'étage. Contrôle de la K à l'étage Récolte d'urine de 24h depuis le 12.12.2018 au matin Laboratoire le 13.12.2018 à 9h00 Consultation en néphrologie le 13.12.2018 à 11h00 Ablation des fils à J12 post-opératoire Récolte urinaire de 12h le 19.10.2018 Récoltes urinaires sur 24h du 20-21 et 21-22.11.2018: clairance à la créatinine de 34 respectivement 26ml/min Contre-indication à une nouvelle cure de méthotrexate à haute dose Recommandation de prendre le Monuril 3g en dose unique qui avait été prescrit le 12.12.2018. Recommandation de proposer à nouveau un Holter de 72 heures à la recherche active d'un trouble du rythme Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 1.8 mmol/l ou réduction > 50% si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15 jours Mme. Y sera convoquée pour une consultation neurovasculaire de contrôle à 3 mois Reconsultation en cas de critères de gravité ou de péjoration. Reconsultation en cas de mauvaise évolution locale Reconsultation en cas de péjoration, atteinte de la vision, fièvre ou persistance des plaintes à une semaine. reconsultation en cas de péjoration de l'état général ou de persistance de symptômes à une semaine Reconsultation en cas de péjoration de l'état général Reconsultation en cas de péjoration des douleurs ou de fièvre reconsultation en cas de péjoration ou de persistance des symptômes à une semaine Reconsultation en cas de récidive de rectorragie, de péjoration de l'état général ou de persistance de constipation sous le traitement actuel Reconsultation si absence d'amélioration à 48h ou péjoration de l'état général Reconsulte les urgences en cas d'état fébrile, de douleur abdominale ou confusion. Suivi sera effectué au C2, la prochaine ponction prévue dans 2 semaines environ. Suite de prise en charge par Dr. X. Si récidive péritonite bactérienne spontanée, évaluer indication à couverture antibiotique au long cours. Reconsulte si péjoration de la symptomatologie malgré traitement ou si impossibilité hydratation et/ou prise de médicaments. Reconsulter à tout moment si apparition de symptômes digestifs ou respiratoires Rechercher le bout de plastique dans les selles Reconsulter chez le MT ou les urgences si absence d'amélioration d'ici 7 jours Reconsulter dans les prochaines semaines si persistance ou péjoration des symptômes malgré le traitement. Reconsulter en cas d'apparition d'un hématome. Reconsulter en cas de persistance des douleurs. reconsulter un ophtalmologue si persistance des symptômes Reconsultera si péjoration des symptômes ou persistance des douleurs. Explication à Mme. Y de la gestion de l'antalgie et réassurance. Recontrôle chez le médecin traitant le 27.12.2018. Recontrôle si péjoration de l'état général Dispense scolaire jusqu'au 14.12.2018 Recontrôler à distance de l'épisode fébrile Re-coro dans 1 mois pour PCI de l'ACD. Re-coronarographie dans 2 semaines avec angioplastie percutanée de l'artère coronaire droite moyenne Rectocolite ulcérante • traitée par Pentasa 2x/j. Rectocolite ulcérante • traitée par Pentasa 2x/jour. Rectocolite ulcérante. • traitée par Pentasa 2x/j suivi chez Dr. X à Genève. • dernière colonoscopie en septembre 2018, dernier bilan biologique en avril 2018 avec CRP augmentée Rectopexie par laparoscopie avec promontofixation le 12.12.2018 Rectorragie Rectorragie. Rectorragie dans le cadre de maladie hémorroïdaire 3ème degré. Rectorragies Rectorragies Rectorragies Rectorragies Rectorragies Réctorragies Rectorragies aigus de sang partiellement digéré le 09.12.2018 • 06h32: Hb à 121 g/l • 11h39: Hb 119 g/l Rectorragies et méléna, d'origine indéterminée, le 13.12.2018 • antécédents de rectorragies en juin 2018 : angio-CT montrant une sténose de l'A. mésentérique supérieure sans ischémie colique • OGD en juin 2018 : oesophage normal sans oesophagite ou varice, pas d'hernie. Estomac, pylore, bulbe, 2ème duodénum sans aucune lésion. Pas de trace de sang ni de lésion muqueuse susceptible d'avoir saigné • coloscopie en juillet 2018 : colonoscopie complète sans aucune lésion susceptible d'avoir saigné DD : dans un contexte probable de rectite sur E. Coli, Colite ischémique Rectorragies le 1.12.2018 Rectorragies non objectivées probablement dans un contexte de constipation chronique Rectorragies post-colonoscopie (FTRD) le 28.12.2018 Rectoscopie, incision/contra-incision et mise en place d'un Penrose Rectoscopie rigide le 12.12.2018 pas de masse visualisée Recto-sigmoïdoscopie du 03.12.2018: Présence de sang et de caillots dans le rectum et le sigmoïde. Le sang est relativement frais mais il n'y a pas de saignement actif visible. Nombreux diverticules dans le sigmoïde. Aucun diverticule ne saigne. Pas de saignement non plus sur des hémorroïdes au passage du canal anal. Laboratoire: cf annexes Recto-sigmoïdoscopie le 03.12.2018 Suivi biologique et clinique Avis gastro-entérologique Dr. X Reçu Paracétamol 1 g et Voltarène 50 mg. Patient ne veut pas attendre (trop de monde). Rédaptation gériatrique à Riaz Rediscuter avec les oncologues pour la suite de prise en charge après l'intervention Rediscuter d'effectuer un cathéterisme gauche-droit afin de dépister une HTAP Rediscuter introduction d'un anti-dépresseur à distance Rediscuter moyen auxiliaire de marche avec Mme. Y pour les déplacements extérieurs. Xarelto à continuer pour un total de 6 mois. Rediscuter prise en charge à distance selon évolution Redormine Redormine Réduction à ciel ouvert hanche G par voie d'abord trochanter-flip, ostéotomie sous-capitale du col fémoral, fixation épiphyse par 3 vis 3.5 mm, refixation du médaillon trochantérien par 2 vis de traction 3.5 mm le 04.04.2014 pour épiphysiolyse tête fémorale G avec déplacement de 50°. Epiphysiolyse traumatique radius distal D avec arrachement de la styloïde ulnaire; le 18.02.2017 TCC avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle rétrograde; le 18.02.2017 Arrachement styloïde ulnaire G; le 18.02.2017 Réduction de la mobilité et trouble de la marche d'origine multifactorielle, avec: Mr. Parkinson • s/p AVC en 2016 avec séquelles motrices de l'hémicorps D • hypovitaminose D 55 nmol/l le 30.11.2018 • Réduction des apports hydriques • hydratation spontanée encouragée • Retrait de la sonde nasogastrique de décharge • Alimentation plaisir • Essai de majoration du débit de la nutrition parentérale infructueux • protocole pour le domicile initial : 50 ml/h sur 18 h • Antiémétique (Haldol) en réserve • Réduction du fragment dorso-médial du plateau tibial latéral par un tunnel tibial. • Arthroscopie et fixation par 2 vis libres 2,7 mm et une plaque LCP tibia proximal de 3,5 mm. • (OP le 06.12.2018) • Réduction d'une hernie discale L5-S1 en 1977 • Status post prothèse de la hanche G • Hyperthyroïdie sous Cordarone avec TSI positif • Ischémie aiguë de l'avant-bras G le 11.10.2016, traitée par embolectomie chirurgicale le 11.10.2016 • Ischémie du MIG sur embole d'origine cardiaque (FA), traitée par une artériographie du MIG avec thrombectomie endovasculaire d'une embole subaiguë poplitée s'étendant dans les 3 axes jambiers le 31.07.2018 (Dr. X) • Réduction et ostéosynthèse par cerclage-haubanage le 04.11.2018 • Réduction et ostéosynthèse par plaque Philos 3 trous d'une fracture sous-capitale déplacée de la tête humérale gauche. • Contusion phalange moyenne 5ème doigt main gauche. • Fracture métaphysaire 5ème métacarpien main droite. • Réduction fermée, DHS avec vis antirotatoire 4,5 mm, arthrotomie, cerclage haubanage du grand trochanter à droite le 20.06.2018 pour une fracture hybride du col du fémur et pertrochantérienne du fémur proximal droit. • Status post réduction fermée et ostéosynthèse par DHS et vis antirotatoire du fragment proximal droit pour une fracture du col du fémur Pauwels III en 2014 puis AMO en 2016. • Réduction fermée, embrochage antérograde par 2 broches 1,2 du 5ème métacarpien D (OP le 23.11.2018) • Réduction fermée, enclouage fémur D par PFNA (OP le 04.12.2018) • Réduction fermée et embrochage P1 Dig V droit le 03.12.2018 sur fracture sous-capitale P1 Dig V droite. • Réduction fermée et enclouage centro-médullaire élastique stable du radius et de l'ulna G. • (OP le 03.12.2018) • Réduction fermée et enclouage par 2 clous Prévôt radius/cubitus avant-bras D (OP le 14.12.2018) • Réduction fermée et mise en place d'un clou PFNA. • (OP le 04.12.2018) • Réduction fermée luxation PTH G sous an. générale le 17.11.2018 • Antalgie, rééducation • Ponction hanche G (OP le 19.11.2018) • Microbiologie du 19.11.2018 : négative à J5. • Réduction fermée, OS fémur G par clou PFNA (OP le 20.11.2018) • Réduction fermée, OS par 2 vis canulées 3,5, 34 mm (1 filetée et 1 semi-filetée en acier) cheville G • (OP le 11.12.2018) • Réduction fermée sous MEOPA par Dr. X le 07.12.2018 • Attelle ALU en extension pour 1 semaine et syndactylie D4-D5 pour 4 semaines • Contrôle dans 1 semaine RX-clinique à la policlinique d'ortho • Arrêt du sport pour 6 semaines • Réduction manuelle • réduction manuelle sous anesthésie locale avec Xylocaine crème • Réduction, OS fracture sous-capitale avec défaut de rotation du 5ème métacarpien main D le 05.03.2016 • Plaie P1 Dig II, face palmo-radiale, avec section du nerf digital radial, main G; le 01.05.2018 • Exploration de plaie, suture nerf digital radial P1 Dig II G (OP le 01.05.2018) • Réduction ouverte et fixation avec 3 Block de Tutoplast 10x10x20 et plaque Philos. • Suture de la coiffe des rotateurs. • (OP le 02.12.2018). • Réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole latérale G par plaque tiers tube LCP 3,5 4 trous et ostéosuture du fragment Wagstaff au Vicryl 1. • (OP le 20.11.2018) • Réduction ouverte et ostéosynthèse fracture plateau tibial externe G par plaque LCP 4,5. • (OP le 16.11.2018) • Réduction ouverte et ostéosynthèse malléole externe par 3 vis libres corticales 3,5 mm et fixation trans-syndesmotique par 1 vis libre corticale 3,5 mm. • (OP le 11.12.2018) • Réduction ouverte et ostéosynthèse par deux broches de Kirschner 1,6 et un cerclage 1 mm olécrâne coude G le 29.09.2016 • Cholécystite aiguë sur cholécystolithiase le 17.03.2014 • Péritonite bactérienne spontanée le 27.03.2014 • Rupture de varices oesophagiennes en avril 2011 • OGD (mai 2012) : varices oesophagiennes stade 2 avec ligature et mise en place de 4 élastiques • OGD (février 2013) : pas de varice oesophagienne ni d'oesophagite. Gastrite diffuse • ponction biopsie hépatique le 26.04.2011 : cirrhose d'activité modérée et hépatite alcoolisme aiguë d'intensité modérée • CT abdominal du 01.03.2013 : nodule hépatique du segment VII et à la jonction des segments V et VIII • sérologies hépatites, hémochromatose et maladie de Wilson (février 2013) sp • Prostatectomie radicale pour cancer de la prostate en 2010 • Sténose de l'urètre dans sa partie membraneuse avec sténose : • Macrohématurie le 15.03.2013 (traumatique) • Tamponade vésicale • Tentative de pose d'une sonde transurétrale infructueuse, urétéroscope, puis laparotomie médiane extra-péritonéale, cystostomie, tentative d'intubation du néoco vésical et mise en place d'une sonde vésicale par voie sus-pubienne (Cystofix), • (Dr. X le 15.03.2013) • Déhiscence de point de ponction avec laparotomie de révision, pose d'une cystostomie, suture de vessie, drainage intra-péritonéal • OS fracture radius distal G et fracture humérus G en 2012 • Thrombose veineuse profonde des MI (thrombus poplité pariétal droit et thrombus occlusif des veines péronières des deux côtés) le 12.03.2013 • Cure hernie inguinale bilatérale • Cataracte bilatérale • Traitement de la maladie de Lyme (2009) • Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos pour fracture sous-capitale 4 parts de la tête humérale droite le 23.01.2016. • Amnésie transitoire. • Crise hypertensive à 207/110 mmHg. • Ostéo-nécrose sur status post-ostéosynthèse d'une fracture à 4 parts de l'humérus proximal droit le 23.01.2016. • Le 16.10.2018, Dr. X : mise en place d'une prothèse inversée Affinis Inverse Mathys, tige 125 x 9, insert 39+6, métaglène standard, glénosphère 39. • Réduction ouverte et ostéosynthèse par 3 vis libres 2,7. • (OP le 01.12.2018) • Réduction ouverte et ostéosynthèse. • Malléole externe : plaque tiers tube LCP 6 trous 3,5 mm • Malléole postérieure : plaque tiers tube LCP 3,5 mm 3 trous • Malléole interne : 2 broches de Kirschner 1,4 mm • Cerclage 0,8 mm, 1 plaque Pedus 2,7 mm en T à 4 trous proximaux. • (OP le 27.11.2018) • Réduction ouverte et ostéosynthèse. • (OP le 05.12.2018) • Réduction ouverte, OS de P1 Dig V G par plaque Aptus Hand 1,5 mm le 07.11.2018 pour une fracture spiroïde déplacée de P1 Dig V, main G datant du 03.11.2018. • Réduction ouverte, OS par cerclage haubanage coude G (OP le 01.12.2018) • Réduction ouverte, OS radius distal par plaque palmaire Aptus 2,5, ostéosuture ulna distal par FibreWire 2, à G • (OP le 23.11.2018) • Réduction ouverte, OS ulna D par vis de traction 2,7 et plaque 10 trous LC-DCP 3,5 (OP le 27.11.2018) • Réduction par hyperpronation • Réduction progressive de la dose de Seresta jusqu'à arrêt le 05.02.2018 • Introduction de Quétiapine 6,25 mg en réserve - prescription arrêtée à la sortie car non utilisée • évaluer évolution intra-hospitalière. • Réduction pronation douloureuse, peut jouer en salle d'attente sans douleurs par la suite. • Si douleurs réapparaissent, reconsulter • Réduction sous anesthésie locale et immobilisation d'une fracture déplacée du radius distal gauche • Réduction sous MEOPA et Fentanyl • Antalgiques en réserve • Rx poignet • Rx poignet du contrôle • Avis orthopédique: Dr. X • Bloc opératoire à poursuivre en France • Réduction suite à la stimulation par SNG • High Flow pendant 8 heures Echographie cardiaque Traitement par Betabloquant débuté le 17.12.18 • Réduction temporaire de prophylaxie clexane à 20 mg • Avis neurochirurgical (Dr. X) le 29.11.2018 : progression modérée de l'hématome mais diminution de l'oedème, pas de prise en charge aiguë ni de contrôle si bonne évolution clinique par la suite • Rééducation cardio-vasculaire ambulatoire à prévoir • Prévoir dosage Lpa/UFUG à la recherche d'une dyslipidémie familiale • HbA1c à suivre • Rééducation musculo-squelettique avec physio et ergothérapie intensive • Mobilisation avec colonne selon protocole de prise en charge de l'Inselpital. • Contrôle à la polyclinique orthopédique de l'Inselspital le 20.12.2018 à 14h • Arrêt de travail délivré par l'Inselspital jusqu'au 31.12.2018 • Réévaluation à distance de l'événement aigu par un nouvel US cardiaque • Réévaluation à J+1 post consultation pour suspicion entorse stade III de la cheville D • Réévaluation au CPP le 27.12 à 15h30. • Réévaluation clinique d'un hématome avec décollement épidermique de 3-4cm² au coude gauche chez un patient sous Aspirine et Sintrom • Réévaluation clinique d'un pic hypertensif et hypokaliémie dans le contexte de vomissements • Réévaluation clinique d'une dermohypodermite du membre inférieur gauche • Réévaluation de l'indication du Lantus. • Réévaluation de l'introduction de l'anticoagulation à distance de l'épisode aigu, selon avis Dr. X, HFR Meyriez. • Suivi du profil tensionnel et de la fréquence cardiaque. • Contrôler les valeurs de vitamines D et B9 à distance. • Réévaluation du traitement immunosuppresseur en discussion avec les pneumologues du CHUV • Suivi à la consultation du Dr. X 1x/semaine • Suivi FSC, fonction rénale et tests hépatiques chaque semaine • Suivi des lymphocytes T CD4 et discuter introduction du Bactrim à dose prophylactique si CD4 inférieurs à 300 • Physiothérapie en ambulatoire 1x/semaine • Réévaluation du traitement par son médecin traitant le 28.12.2018 • Réévaluation d'un périonyxis de l'index droit le 22.12. • Réévaluation d'un périonyxis de l'index droit le 25.12. • Réévaluation en ambulatoire avec médecin de famille (projet de cure de Fer ?). • Réévaluation pondérale dans 12 heures • Complètement lait artificiel • Réévaluer l'Aspirine Cardio 100mg à la consultation de neurochirurgie du 20.12.2018 13h comme indiqué sur la lettre de sortie du service de chirurgie et CT scanner cérébral à 11h30. • Réévaluer l'indication à reprendre le traitement par Thiazide. • Réévaluer l'introduction d'une anticoagulation par le médecin traitant. • Refaire le pansement chaque 2 jours. • Contrôle le 09.12.2018. • Refaire sérologie en ambulatoire • Réfection de pansement et contrôle dans 3 jours en polyclinique d'orthopédie puis chez Dr. X (opératrice). • Réfection de pansement et débridement journalier selon protocole infirmier (Plurogel et compresses au pied, tulle bétadiné au pli inguinal droit) • Xarelto jusqu'au 30.05 • Merci de prendre contact avec le secrétariat de chirurgie vasculaire pour un contrôle de plaie à la consultation du Dr. X dès que la situation psychiatrique se sera stabilisée • Réfection de pansement post circoncision • Réfection de pansement toutes les 48 heures jusqu'à ablation des points, par infirmier à domicile • 21.12 à 11h15 : Dr. X (orthopédie à Riaz) : évaluation de la plaie et ablation des points si l'état clinique le permet. • 23.01.19 à 9h : US-duplex du membre inférieur droit à Riaz • 29.01.19 à 9h30 : Dr. X (chirurgie vasculaire à Fribourg) • 06.02.19 à 9h45 en gynécologie à Fribourg • Suivi anémie par médecin de famille • Réfection de pansement. • Ablation du point de suture à J7 chez le médecin traitant. • Réfection de VAC le 28.12.2018 (centre des plaies) • Réfection des pansements toutes les 48 heures. • Transfert dans le service de médecine le 10.12.2018 pour suite de la prise en charge. • Réfection du pansement. • Réfection du pansement. • Réfection du pansement à 10 jours en cardiologie. • Contrôle du défibrillateur à 4-6 semaines • Réfection du pansement à 48h • Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant • Consultation préalable en cas de signes infectieux, hématome important, douleur importante • Réfection du pansement à 48h chez le médecin traitant • Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant • Réfection du pansement à 48h chez le médecin traitant • Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant • Réfection du pansement, ablation de la peau morte et mise en place d'un pansement sec. • L'évolution est favorable avec une plaie calme. Nous lui prescrivons de l'ergothérapie pour reprendre la mobilisation du doigt. Nous le reverrons dans 1 mois pour un contrôle clinique. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. • Réfection du pansement avec Bétadine tulle. • Au vu de l'évolution lentement favorable de la plaie, nous décidons de poursuivre le protocole de pansement avec la Bétadine tulle à faire tous les 2 jours. Prochain contrôle clinique fin janvier. En cas de persistance de ces troubles, nous envisagerons une adaptation des semelles. • Réfection du pansement avec Bétadine tulle et compresse sèche. • L'évolution est favorable. Poursuite des pansements. Prochain contrôle clinique dans 3 semaines. • Concernant l'hyposensibilité, nous lui conseillons de voir avec son médecin traitant pour faire un bilan neurologique. • Réfection du pansement avec Bétadine tulle. • L'évolution est favorable. Nous lui prescrivons le matériel de pansement à faire jusqu'à ce que la plaie soit sèche. Prochain contrôle dans 1 semaine pour l'ablation des fils et pour faire un plâtre fermé. • Réfection du pansement avec Bétadine tulle. • Nous décidons de poursuivre la réfection du pansement avec Bétadine tulle tous les 2 jours. Il ne faut pas débrider la nécrose qui agit comme un pansement occlusif biologique. Nous la reverrons dans 1 semaine et demi pour un contrôle clinique. Si elle remarque des signes d'infection, elle peut nous recontacter. • Réfection du pansement avec Bétadine tulle. • Réfection du pansement à faire tous les 2 jours avec la Bétadine tulle. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. • Réfection du pansement avec le même protocole. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Le patient reste sous Clindamycine jusqu'au 28.02.2019. À prévoir, à la fin du traitement antibiotique, une IRM pour voir l'état de l'os. Nous restons à disposition entre-temps. • Réfection du pansement avec mise en place d'un Adaptic et de compresses sèches. • La réfection du pansement sera faite par les infirmières des soins à domicile tous les jours avec un contrôle chez le médecin traitant en fin de semaine. • Nous reverrons le patient dans une semaine afin de voir l'évolution de la plaie. • Réfection du pansement avec Nugel. • L'évolution est favorable. Poursuite du protocole de pansement avec Nugel. Nous le reverrons en janvier. • Les techniciens d'Orthoteam sont présents pour faire une orthèse avec une décharge du talon. • Réfection du pansement avec Nugel. • L'évolution est plutôt favorable. Poursuite du protocole de pansement avec Nugel. Prochain contrôle le 20.12.2018. • Réfection du pansement ce jour. Nous lui donnons une ordonnance de matériel afin qu'il puisse effectuer des changements de pansement à domicile. Nous l'informons bien qu'il ne doit pas enlever les Stéristrips. Prochain contrôle le 03.01.2019. • Réfection du pansement dans 48 h par le médecin traitant • Ablation des fils à J5 par le médecin traitant. • Réfection du pansement et ablation des fils à 15 jours post-opératoires en polyclinique d'orthopédie.Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Poursuite de l'anticoagulation prophylactique durant 6 semaines. Réfection du pansement et contrôle de la cicatrice à la consultation du Dr. X le 06.12.2018. Ablation des fils de suture à 15 jours post-opératoires à votre consultation. Contrôle radio-clinique à 6 semaines post-opératoires à la consultation du Dr. X. Réfection du pansement et contrôle de plaie toutes les 72 heures à votre consultation. Ablation des fils à la consultation du Dr. X à 15 jours post-opératoires. Contrôle radio-clinique le 10.01.2019 à la consultation du Dr. X. Réfection du pansement et contrôle de plaies le 14.12.2018 à la consultation du Dr. X. Mme. Y sera revue à la consultation du Dr. X à 15 jours post-opératoires pour ablation de tous les fils de suture. Thromboprophylaxie par Xarelto 2 x 15 mg/jour pendant 3 semaines, puis Xarelto 20 mg/jour de la 3ème semaine jusqu'à la fin du 3ème mois post-opératoires. Prévoir un ultrason de contrôle à 3 mois post-opératoires (Dr. X, angiologie HFR Riaz). Réfection du pansement et mise en place d'un sparadrap dans 48h. auprès du médecin de famille. Ablation des fils à 15 jours. Prochain contrôle à ma consultation le 21.01.2019. Réfection du pansement sec. L'évolution est favorable. Nous procédons à la circularisation du plâtre. Nous la reverrons dans 1 mois pour un contrôle radioclinique. L'ablation des broches est à planifier entre 3 et 6 mois post-opératoires. Réfection du pansement tous les deux jours par le médecin traitant. Ablation des fils J7 par le médecin traitant. Réfection du pansement 3x par semaine par les soins à domicile jusqu'à ce que la plaie soit sèche. Nous le reverrons dans 3 semaines pour un contrôle clinique. Il doit continuer la physiothérapie selon le schéma de la suture du tendon d'Achille HFR team pied. S'il remarque une aggravation au niveau de la plaie, il doit nous recontacter avant. Réfection du pansement. Au vu de l'évolution favorable, nous poursuivons le protocole de pansement. Nous le reverrons dans 2 semaines pour un contrôle clinique. Entre-temps, il sera suivi par le Dr. X. Nous discuterons d'une éventuelle IRM à faire à la fin de l'antibiothérapie début mars. Réfection du pansement. Avis orthopédique, Dr. X. Contrôle à 48 heures, le 04.12.2018, au secteur ambulatoire des urgences. Réfection du pansement. Changement du pansement 2-3 x par semaine chez le médecin traitant jusqu'à l'ablation des fils à 14 jours postopératoires. Arrêt de travail jusqu'à vendredi. Contrôle clinique dans 6 semaines. Réfection du pansement. L'évolution est favorable. Il va refaire lui-même le pansement tous les 2 jours. Nous le reverrons dans 1 semaine pour un contrôle clinique. Poursuite des antibiotiques jusqu'au prochain contrôle. Pour le moment, les résultats bactériologiques sont négatifs. Réfection du pansement. L'évolution est favorable. Poursuite des pansements et ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prochain contrôle radioclinique dans 6 semaines. Réfection du pansement. L'évolution est favorable. Réfection du pansement régulièrement et ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prochain contrôle clinique à 3 mois post-opératoires. Prolongation de l'arrêt de travail à 100 % jusqu'au 31.12.2018. Réfection du pansement. Réfection du pansement régulièrement et ablation des fils à J14 chez le médecin. Nous la reverrons à 6 semaines pour un contrôle radioclinique. Réfection d'un pansement sec au niveau du site de prélèvement et de la greffe de Thiersch. L'évolution est favorable. Nous changeons le Vacoped pour une attelle Innostep. Poursuite du Xarelto jusqu'à la charge complète. Prochain contrôle clinique dans 2 semaines. Réfection pansement avec compresse bétadinée / compresse-bande. Patient averti de le desserrer au cas où il serait trop serré. Consultation ORL prévue le 13.12.18. Réfection pansement avec Ialugen et Adaptic. Contrôle à 48 heures. Réfection plâtre. Réfection régulière du pansement à raison de 3x/semaine, ablation des Stéristrips à J8. Contrôle à la consultation du Dr. X à la Clinique Générale, Fribourg à 6 semaines. Réfection régulière du pansement à raison de 3x/semaine. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 4 semaines (27.12.2018) avec ablation de la broche Dig II main G. Poursuite de l'antibiothérapie par Cefuroxime 500 mg 2x/j pour 4 semaines postop + jusqu'à 3 jours après ablation de la broche. Réfection régulière du pansement et suivi 3x/semaine de la greffe en stomathérapie à l'HFR Fribourg. Sur la prise de greffe cuisse G, laisser le Mepilex jusqu'à ce qu'il tombe de lui-même. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Réfection régulière du pansement protecteur par les soins à domicile. Contrôle 48 h après la sortie puis le 03.12.2018 à la consultation du Dr. X. Si écoulement ou péjoration dans l'intervalle, la patiente consultera les urgences. Réfection du pansement : Aquacel sans argent laissé en place, Ialugel et daptic sur le reste de la paume sous MEOPA. Contrôle dans 48 h. Réflexe de vomissement. Réflexe de vomissement sur probable écoulement postérieur. Reflux gastrique. Reflux gastro-oesophagien le 11/12/18. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien. Reflux gastro-oesophagien avec hernie hiatale. Reflux gastro-oesophagien avec • Sclérodermie systémique avec anti-Scl70 positifs. • Dysphagie aux solides et perte pondérale de > 10 kg en 6 mois. Reflux gastro-oesophagien le 07.12.2018. Reflux gastro-oesophagien occasionnel. Tabagisme actif à 30 UPA. Reflux gastro-oesophagien symptomatique. Reflux gastro-oesophagien traité avec Nexium et Bigaia. Connu pour des pleurs. Reflux gastro-oesophagien 26.11.18. Reflux gastro-oesophagien. Asthme. Reflux gastro-oesophagien. Cystinurie congénitale (selon la maman de la patiente). Troubles anxio-dépressifs. Reflux gastro-oesophagien. Hypercholestérolémie traitée. Reflux gastro-oesophagienne sévère (grade C), avec possibilité de saignement actif. • Suspicion d'hématémèse le 11.08.2018. • Gastroscopie le 21.08.2018 : Reflux gastro-oesophagienne sévère. • Pantoprazol 40 mg/jour, diminué à 20 mg/jour dès le 02.10.2018. Reflux gastro-oesophagien avec hypotonie du sphincter oesophagien inférieur. Obésité avec BMI à 31.8 kg/m2. Troubles du sommeil. Céphalées inhabituelles avec hypoesthésie de l'hémiface droite d'origine indéterminée (DD : cluster headache) en 2016. Intolérance au tramadol (nausées et vertiges). Trouble algodysfonctionnel. Reflux oesophagien probable. Reflux urinaire stade 2 & 3 bilatéralement sous Bactrim. Reflux vésico-urétéral avec : • Néphropathie D. • S/P correction de reflux par Deflux en 2010. Nodule sous-cutané cuisse G : • Exérèse à planifier par Dr. X. Reflux vésico-urétéraux bilatéraux classés grade IV à gauche et grade I à droite : • Cystographie 23.02.2017 : aspect légèrement irrégulier de la paroi du côté gauche, reflux vésico-urétéraux.classés grade IV à gauche et grade I à droite • Cystoscopie, bactériologie du bassinet droit, UPR droite et pose de double J à droite 24.02.2017 (Dr. X) : pose d'une sonde double J à droite car doute sur obstruction, vessie irrégulière avec polypes d'allure inflammatoire de la paroi droite et du fond vésical • Suivi par Dr. X avec changements réguliers de sonde vésicale et double J Néphro-urétéro-pyélonéphrite bilatérale chronique avec status après résection transurétrale de la prostate en 2011 (pour hypertrophie prostatique obstructive) puis résection d'une sténose du col pour obstruction récidivante en mai 2015 : • Sonde vésicale à demeure • Porteur MRSA dans les urines : culture d'urine le 31.07.2017 : absence de MRSA ; frottis et urotube à faire chaque 6 semaines • Culture mycobactérie urines : négative à 8 semaines • Cytologie des urines 01.02.2017 : pas de cellules tumorales • Hospitalisation du 24.06.2017 au 28.06.2017 pour macrohématurie et infection urinaire à Acinetobacter : • Traitement de Meronem en dialyse du 28.06.2017 au 21.07.2017 avec monitoring des taux (Dr. X) • Pas d'autre investigation nécessaire selon urologue traitant (Dr. X) car cystoscopie normale en février 2017, cystite chronique, sonde à demeure et anticoagulation expliquent récidives de macrohématurie Cardiopathie ischémique : • Infarctus du myocarde en 1972 et 1975 • ETT du 31.01.2017 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 55% Artériopathie oblitérante du membre inférieur gauche de stade IV : • Ulcère du talon gauche sur pied diabétique et artériopathie oblitérante • Angioplastie le 10.02.2017 : dilatation au ballon de sténoses du tronc tibio-péronier et de l'artère péronière gauches • Contrôle angiologique 01.09.2017 : valeurs de pléthysmographie juste au-dessus du seuil d'ischémie, stables par rapport au contrôle d'avril 2017 Syndrome des apnées obstructives du sommeil Trouble dépressif sous Venlafaxine (auparavant sous Duloxetine) Prurit généralisé, diagnostic différentiel : xérose cutanée • Xyzal dès le 11.09.2017 et traitement topique • Consultation dermatologie le 06.11.2017 : biopsie : pas de dépôts immunoglobuline ou complément Suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite, le 21.02.2017 Insuffisance rénale terminale d'origine multifactorielle sur néphropathie diabétique et probable néphrite interstitielle chronique et dilatation pyélocalicielle : • Dialyses depuis le 03.02.2017 : • FAV boucle omniflow MSG 21.03.2017 (Dr. X), reprise le 24.04.2017 dans le cadre d'une occlusion par thrombus ; nouvelle thrombose le 25.04.2017 ; inutilisable selon phlébographie du 23.05.2017, car flux extrêmement faible au niveau des veines du bras gauche • KT permanent droit le 01.06.2017 • Complications : acidose métabolique, anémie normochrome normocytaire Dialyses 3 fois par semaine (lu-me-ve après-midi) Suivi par Dr. X Diabète type 2 insulino-requérant Arterielle Hypertonie Dyslipidémie Diabetes mellitus Typ II Chronique venøse insuffisance Re-fracture du radius distal G sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal G le 21.11.2017. Refroidissement débutant. Refroidissement Ialugen crème Adaptic Pansement Fentanyl in Antalgiques en réserve Contrôle urgences pédiatriques dans 24 heures Le 20.12 : Débridement phlyctènes du front Ialugen crème Adaptic Pansement Fentanyl in Antalgiques en réserve Contrôle urgences pédiatriques dans 48 heures Contrôle le 26.12 et puis dans 72 heures Refroidissement Pansement avec Ialugen MEOPA Fentanyl in Avis chir-Péd CHUV Refus d'alimentation solide d'origine indéterminée avec hydratation conservée Refus d'anamnèse plus fournie et de status. Pas de pensée suicidaire. Capable de chercher de l'aide. Mme. Y part contre avis médical. Nous proposons à Mme. Y de consulter son médecin traitant dans le cadre de ce contexte et période. Refus de manger Refus de se mobilisation d'origine comportementale ce jour Refus de soins à domicile Refus d'incision par Mme. Y. Traitement conservateur avec antibiothérapie, AINS. Mme. Y verra son médecin traitant dans le Tessin demain. Explication des signes d'alarme qui devraient l'amener à nous reconsulter. Refus d'un suivi psychiatrique au milieu hospitalier. Institutionnalisation au HMS avec son époux dès la sortie de l'hôpital. Refus hospitalisation psychiatrique en volontaire (a reçu téléphone d'urgence pour plateforme RFSM). Consultation psychiatrique chez Dr. X le 09.01.2019. Refuse l'évaluation psychiatrique cette nuit. Contrat avec le patient : pas de mise en danger durant la surveillance aux urgences. Avis psychiatrique le 09.12.2018 à prévoir après stabilisation au niveau somatique : très bas risque suicidaire, pas de rumination actuelle. Quétiapine 25mg Régime diabétique Surveillance glycémie Consilium diabétologue Régime haché fin Régime haché fin Stoppé le 04.12.2018 pour reprise d'un régime normal, au décours d'un test de déglutition le même jour régime léger Traitement symptomatique au besoin Consultation chez pédiatre dans 48h si pas d'amélioration Régime normal dysphagie avec boissons normales Pas de fausses routes objectivées à Billens Suivi diététique Réglage du Sintrom Réglage du Sintrom chez le médecin traitant durant la semaine du 17.12.2018 Maintien du bridging par Clexane jusqu'à INR thérapeutique Règles hygiéno-diététiques pour le reflux gastro-œsophagien données aux parents Contrôle clinique chez le pédiatre dans une semaine Régulation du rythme jour-nuit, induction du sommeil Essai de traitement par Haldol Poursuite de l'antibiothérapie et des antipyrétiques Régulation du transit par Metamucil et Paragol Douche de la plaie 3x/j Contrôle et ablation du Penrose à la consultation proctologique à l'HFR Fribourg début de semaine. Mme. Y sera convoquée Régulation du transit Buscopan fixe Suivi clinique Régulation du transit Movicol fixe Régurgitations & Vomissements (DD : sténose du pylore, infection urinaire, APLV) Régurgitations et glaires récurrents Régurgitations, inconfort Régurgitations physiologiques Régurgitations sans reflux Réhabilitation musculo-squelettique réhabilitation musculo-squelettique avec physio- et ergothérapie Réhabilitation musculo-squelettique avec physio- et ergothérapie Mobilisation avec charge partielle 10 kg à droite pour 8 semaines (jusqu'au 06.12.2018) Réhabilitation musculo-squelettique suite à une fracture humérus proximal D (3 parts selon Neer) le 20.11.2018 traitée conservativement Réhabilitation musculo-squelettique suite à une fracture humérus proximal D (3 parts selon Neer) le 20.11.2018 traitée conservativement, avec : Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison, colloque interdisciplinaire hebdomadaire • Facteur de performance le 19.11.2018 : ECOG 4, PPS 50% • FIM et ESAS le 19.11.2018 : FIM 21 • Évaluation selon SENS le 19.11.2018 • NRS le 19.11.2018 : 3 Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison, colloque interdisciplinaire hebdomadaire • Facteur de performance le 28.11.2018 : ECOG 1, PPS 60% • FIM et ESAS le 28.11.2018 : 96 • Evaluation selon SENS le 28.11.2018 • NRS le 28.11.2018 : 4 Si le patient présente une récidive, il ne souhaite pas être hospitalisé à l'hôpital cantonal de Fribourg mais souhaite être admis à Morat (ou à Tafers). Pas de réanimation en cas d'arrêt cardiovasculaire. Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art thérapie, psychooncologie, aumônerie, service de liaison, diététicienne, colloque interdisciplinaire hebdomadaire ; entretien familial • Evaluation selon SENS le 12.11.2018 • Autonomie le 14.11.18 : ECOG 4, PPS 20% • Nutrition le 14.11.18 : NRS score : 6 • FIM et ESAS le 13.11.2018 : FIM 20 puis le 16.11.2018 : FIM 18 traitement de confort Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art thérapie, psychooncologie, aumônerie, service de liaison, diététicienne, colloque interdisciplinaire hebdomadaire ; entretien familial • Evaluation selon SENS le 12.11.2018 • Autonomie le 5.12.2018 : ECOG 2, PPS 70% • Nutrition le 5.12.2018 : NRS score : 6 • FIM et ESAS le 5.12.2018 : FIM 97 Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art thérapie, psychooncologie, aumônerie, service de liaison, diététicienne, colloque interdisciplinaire hebdomadaire • Evaluation selon SENS le 6.11.2018 • Autonomie le 7.11.2018 : ECOG 2, PPS 60% • Nutrition le 7.11.18 : NRS score : 1 • FIM et ESAS le 7.11.2018 : FIM 54 • Rx thorax 26.10.2018 : comparativement au 22 août 2018, signes d'insuffisance cardiaque légèrement décompensée avec nette augmentation des épanchements pleuraux bilatéraux prédominant à gauche. Un foyer infectieux basal surajouté n'est pas exclu. • ECG 26.10.2018 : comparable au dernier ECG du 22.08.2018 Augmentation du traitement diurétique, transitoirement Lasix en i.v. Réhabilitation palliative Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 22 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs (ISFM 2017), hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Réhydratation Réhydratation Réhydratation Réhydratation Réhydratation Réhydratation avec Normolytoral Surveillance des signes de déshydratation au domicile (explications données à la maman) Réhydratation en fractionnement, antinauséeux avant repas Reconsultation si péjoration de l'état général Réhydratation fractionnée Antalgie au besoin Reconsultation si signes de déshydratation ou péjoration de l'état général Réhydratation IV Réhydratation NaCl 0.9% 1L par 24h Résolution le 01.12.18 Réhydratation orale par Normolytoral 3dl en 2h après la prise de zofran. Réhydratation par Normolytoral Itinérol pour nausées Dafalgan pour antalgie Conseils de surveillance donnés Cultures et recherche virale en cours, à pister Réhydratation per os Lasix mis en pause Suivi du poids sur cahier tous les jours Contrôle dans 6 jours chez MT Réhydratation selon schéma Rehydratation 500 mL sur 6h Réhydratation Suivi biologique Réimplantation calotte crânienne à 6-9 semaines (début janvier 2019) Augmentation progressive de l'alimentation per os sous suivi diététique Contrôle gastrotube le 19.03.18 - service de radiologie de Fribourg (Dr. X) Contrôle ophtalmologique au HFR à repousser si besoin (27.02.2019 à 15h) Contrôle des tests thyroïdiens à prévoir mi-janvier 2019 Réévaluer ttt anti-dépresseur par Vortioxétine et taux plasmatique à J15 Réintroduction du traitement chronique selon évolution Réafférentation CT membre inférieur le 22.12.2018 Physiothérapie intensive Relai de la dexaméthasone par prednisone avec schéma dégressif sur 3 semaines Suspens statine Suivi clinique Relais aujourd'hui 14.12 d'ATB selon antibiogramme par la gynécologue (Nitrofurantoine du 11 au 13.12, ensuite Doxycicline pendant 10 jours) Status Constantes bonnes Antalgiques et antispastiques, RAD Relais de la Sandostatin au profit Buscopan SC Dexaméthasone PO Novalgine PO Esoméprazol PO Opiacés en réserve Alimentation plaisir Relais par Amoxicilline 1g 2x/j pour 5 j au total Traitement symptomatique Relations sexuelles non protégées Relecture de la radiographie le 19.12.2018 : possible fracture du sacrum, si persistance des douleurs, discuter pour un CT, pas de modification de la conduite à tenir, patient informé. Relpax 40 mg Tramal 50 mg Dafalgan 1g Anti nauséeux (Primperan, Zofran, Haldol) Remaniement arthrosique du 5ème rayon du pied sur l'inter-ligne de Lisfranc sur lésion de Lisfranc en janvier 2018. Rémeron Remeron Atarax en réserve Remeron Soutient psychologique Remis en place la sonde urinaire Remobilisation selon douleurs. Contrôle à ma consultation le 10.1.2019. Remplacement de la valve aortique par bioprothèse (Trifecta 23 mm) et plastie de réduction de l'aorte ascendante le 13.06.2013 (Dr. X) Epilepsie traitée par Aphénylbarbite, Depakine, Lamictal Maladie de Dupuytren bilatérale Hémiparésie droite séquellaire d'un accident vasculaire cérébral Remplacement de l'aorte ascendante supra-coronaire pour dissection aortique type A le 23.02.2017 (Dr. X) : • débutant au niveau de l'aorte ascendante distale jusqu'au niveau du bassin • Angio-CT du 23.02.2017 : dissection aortique de type Stanford A, se prolongeant jusque dans l'iliaque externe gauche • Complication post-opératoire : • tachycardie symptomatique paroxystique, DD : flutter, DD : tachycardie supraventriculaire • anémie avec Hb à 78 g/l • épanchement péricardique sans compromission hémodynamique (10 mm) Douleur thoracique depuis le 08.03.2017 sur épanchement péricardique, DD : syndrome de Dressler avec : • syndrome inflammatoire avec CRP à 45 mg • troponines T à 32 • Echographie ciblée du 08.03.2017 : épanchement péricardique circonférentielle de moyenne abondance (500 à 750 ml), cloisonné avec une épaisseur de 21 mm en postérieur et 18 mm en antérieur, discrète de l'OD VCI distendu et non compliante pas de compression du VD. Actuellement pas de signe de compression hémodynamique Fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 17.09.2007 pour une hernie hiatale Fractures des côtes en 2007 traitées conservativement avec : • Scintigraphie osseuse du 13.12.2011 : par rapport à la scintigraphie osseuse du 02.07.2007, plus d'hypercaptations costales ce qui parle pour une guérison des fissures constatées à l'époque. Pas d'autre lésion hypercaptante costale suspecte. Aspect dégénératif de la colonne vertébrale et des grandes articulations et rhizarthrose gauche Ostéosynthèse d'une fracture de la phalange distale du majeur droit en 2005 Épisodes de pyélonéphrite aiguë Abcès dentaires de l'angle mandibulaire gauche et de la face interne de la mandibule gauche, antérieurement avec cellulite du décolleté et caries pénétrantes des dents 37-38 avec granulome de la dent 38 Pneumonie supérieure droite Infection urinaire basse asymptomatique Suspicion d'adénome du rein droit Remplacement de l'aorte ascendante supra-coronaire pour dissection aortique type A le 23.02.2017 (Dr. X) : • débutant au niveau de l'aorte ascendante distale jusqu'au niveau du bassin • Angio-CT du 23.02.2017 : dissection aortique de type Stanford A, se prolongeant jusque dans l'iliaque externe gauche Complication post-opératoire : • tachycardie symptomatique paroxystique, DD : flutter, DD : tachycardie supraventriculaire • anémie avec Hb à 78 g/l • épanchement péricardique sans compromission hémodynamique (10 mm) Douleur thoracique depuis le 08.03.2017 sur épanchement péricardique, DD : syndrome de Dressler avec : • syndrome inflammatoire avec CRP à 45 mg • troponines T à 32 • échographie ciblée du 08.03.2017 : épanchement péricardique circonférentiel de moyenne abondance (500 à 750 ml), cloisonné avec une épaisseur de 21 mm en postérieur et 18 mm en antérieur, discrète de l'OD VCI distendu et non compliante pas de compression du VD. Actuellement pas de signe de compression hémodynamique Fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 17.09.2007 pour une hernie hiatale Fractures des côtes en 2007 traitées conservativement avec : • scintigraphie osseuse du 13.12.2011 : par rapport à la scintigraphie osseuse du 02.07.2007, plus d'hypercaptations costales ce qui parle pour une guérison des fissures constatées à l'époque. Pas d'autre lésion hypercaptante costale suspecte. Aspect dégénératif de la colonne vertébrale et des grandes articulations et rhizarthrose gauche Ostéosynthèse d'une fracture de la phalange distale du majeur droit en 2005 Épisodes de pyélonéphrite aiguë Abcès dentaires de l'angle mandibulaire gauche et de la face interne de la mandibule gauche, antérieurement avec cellulite du décolleté et caries pénétrantes des dents 37-38 avec granulome de la dent 38 Pneumonie supérieure droite Infection urinaire basse asymptomatique Suspicion d'adénome du rein droit Remplacement de l'aorte ascendante supra-coronaire pour dissection aortique type A le 23.02.2017 (Dr. X à l'Inselspital de Berne) : • débutant au niveau de l'aorte ascendante distale jusqu'au niveau du bassin • angio-CT du 23.02.2017 : dissection aortique de type Stanford A, se prolongeant jusque dans l'iliaque externe gauche • complication post-opératoire : • tachycardie symptomatique paroxystique, DD : flutter, DD : tachycardie supraventriculaire • anémie avec Hb à 78 g/l • épanchement péricardique sans compromission hémodynamique (10 mm) Douleur thoracique depuis le 08.03.2017 sur épanchement péricardique, DD : syndrome de Dressler avec : • syndrome inflammatoire avec CRP à 45 mg • troponines T à 32 • échographie ciblée du 08.03.2017 : épanchement péricardique circonférentiel de moyenne abondance (500 à 750 ml), cloisonné avec une épaisseur de 21 mm en postérieur et 18 mm en antérieur, discrète de l'OD VCI distendu et non compliante pas de compression du VD. Actuellement pas de signe de compression hémodynamique Fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 17.09.2007 pour une hernie hiatale Fractures des côtes en 2007 traitées conservativement avec : • scintigraphie osseuse du 13.12.2011 : par rapport à la scintigraphie osseuse du 02.07.2007, plus d'hypercaptations costales ce qui parle pour une guérison des fissures constatées à l'époque. Pas d'autre lésion hypercaptante costale suspecte. Aspect dégénératif de la colonne vertébrale et des grandes articulations et rhizarthrose gauche Ostéosynthèse d'une fracture de la phalange distale du majeur droit en 2005 Épisodes de pyélonéphrite aiguë Abcès dentaires de l'angle mandibulaire gauche et de la face interne de la mandibule gauche, antérieurement avec cellulite du décolleté et caries pénétrantes des dents 37-38 avec granulome de la dent 38 Pneumonie supérieure droite Infection urinaire basse asymptomatique Suspicion d'adénome du rein droit Remplacement de l'aorte infra-rénale par une prothèse bifurquée sur les artères iliaques en 2005 Fracture sous-trochantérienne à gauche le 17.09.2018 • ROOS du fémur proximal par cerclage et enclouage antérograde par clou PFNa long 19.09.2018 Opération de la cataracte Prostato-vésiculectomie pour un adénocarcinome en 2000 Accident vasculaire central en 2014 Ostéosynthèse d'une fracture sous-trochantérienne gauche le 17.09.2018 suite à une chute sur probable syncope Remplacement de l'aorte thoracique ascendante par opération avec prothèse valvulaire aortique biologique de 25 mm fecit Dr. X (Inselspital) le 15.09.2016 pour anévrisme aortique Stanford type A avec : • insuffisance aortique modérée. • dyspnée stade NYHA +, CCS 0. • coronaropathie sclérosante sans sténose. Coronarographie du 12.11.2015 par Prof. X : anévrisme aortique ascendant 55 mm. Insuffisance valvulaire aortique légère à modérée. Coronarographie normale. Echocardiographie du 11.11.2015 par Dr. X : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 55 % (évaluation visuelle). Dilatation importante de l'aorte. Absence de rétrécissement aortique. Oreillette gauche non dilatée. Echocardiographie du 29.09.2016 (Dr. X) : minime lame d'épanchement péricardique antéro-latérale et apicale de 3 mm d'épaisseur, sans répercussion hémodynamique. FEVG 50 % (selon Teicholtz). FEVG le 11.11.2015 : 55 % (évaluation visuelle). FEVG le 29.09.2016 : 50 % (selon Teicholtz). Remplacement de valve aortique par valve biologique (fécit Dr. X) le 15.02.2010 sur sténose dégénérative sévère Décompensation cardiaque en avril 2018 avec hospitalisation en réadaptation cardiovasculaire à Billens Cataracte opérée de l'œil gauche Hystérectomie il y a 30 ans environ Appendicectomie et amygdalectomie dans l'enfance Remplacement du Keppra par Vimpat le 23.11.2018 (Avis Dr. X) Remplacement Exforge par Amlodipin, Irbesartan et Torem dès le 16.12.2018 au 21.12.2018 avec reprise du traitement habituel par la suite corrigé le 17.12.2018 à 138 mmol/l Remplacement valvulaire aortique mécanique pour bicuspidie en février 2018 à Berne (clinique Hirslanden). Syndrome de Dressler post-remplacement de valve aortique en février 2018. Pneumothorax gauche post-traumatique en 2012. Hématome à la fesse gauche le 19.11.2018 sur anticoagulation supra-thérapeutique. Remplacement valvulaire aortique par prothèse biologique Lotus de 27 mm par implantation valvulaire trans-aortique (TAVI) par voie fémorale gauche fecit Prof. X et Prof. X (Clinique Cecil) le 21.04.2016 pour sténose aortique sévère avec : • Dyspnée NYHA III, angor CCS III. • Décompensation cardiaque le 11.03.2016. • Rétrécissement aortique serré calcifié d'origine dégénératif avec surface à 0.84 cm². • Bloc de branche gauche complet permanent post-opératoire. • Bon fonctionnement de la bioprothèse aortique, sans régurgitation para-valvulaire significative (Gradient maximal/moyen 16/9 mmHg). • Fraction d'éjection du ventricule gauche à 60 % à l'échocardiographie trans-thoracique du 22.04.2016. Maladie coronarienne bitronculaire avec : • Status post PCI au niveau du tronc commun et de l'artère interventriculaire antérieure moyenne le 12.10.2015.• Occlusion chronique de l'artère diagonale. • Sténose focale à 80% de la PLA périphérique. • NSTEMI le 06.09.2018 et décision de prise en charge médicamenteuse uniquement. Accident vasculaire cérébral ischémique avec hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crural et dysarthrie motrice en 2007 totalement régressif. Prostatisme sur hyperplasie de la prostate avec hémorragie iatrogène sur pose d'une sonde vésicale en septembre 2007. Ulcères chroniques des membres inférieurs. Anémie normochrome macrocytaire à 126g/l sur déficit en acide folique le 31.08.2018. Remplacement valvulaire aortique par prothèse biologique (19 mm Edwards Lifesciences Perimount Magna Ease) fecit Dr. X (Clinique Beausite) le 08.09.2015 pour sténose aortique sévère avec coronaires saines et FEVG 55-60%. FRCV: HTA, hypercholestérolémie. Rosacée. Goitre bilatéral prédominant à gauche, euthyroïdien. Colon irritable avec diverticulose. Affaissement de la voûte plantaire D et arthrose du pied. Ostéopénie. Lombalgies sur troubles dégénératifs multi-étagés avec discopathies sévères L2-S1 sans hernie, arthrose post étagée (liquide L4-L5), contact L4 gauche avec spondylophyte extra-foraminal, pas de CLE. FA paroxystique, • diagnostic le 16.09.2015 • sous Marcoumar. Remplissage + Albumine. Remplissage Albumine et amines. Remplissage aux urgences 2x500ml. Mise en suspens hypotenseur Coversum/bilol. Laboratoire. Suivi clinique. Remplissage vasculaire. Adénosine 6 mg ivd le 07.12.2018, avec retour en rythme sinusal régulier. Remplissage vasculaire. Adénosine 6 mg le 07.12.2018. Remplissage vasculaire. Noradrénaline du 01.12. au 02.12.2018. Céfépime et Flagyl le 01.12.2018. Amikacine le 01.12.2018. Imipénem du 01.12.2018 au 03.12.2018. Caspofungine du 01.12.2018 au 03.12.2018. Ciprofloxacine du 03.12.2018 au 04.12.2018. Gentamycine le 03.12.2018. Cefepime du 04.12.2018 au 05.12.2018. CT thoraco-abdominal injecté 01.12.2018. Cathéter central veineux jugulaire droit du 01.12.2018 au 05.12.2018. Cathéter artériel radial droit du 01.12.2018 au 05.12.2018. Remplissage vasculaire. Noradrénaline du 07.12 au 09.12.2018. Imipénem du 07.12.2018 au 14.12.2018. Protocole N-acétylcystéine du 07.12 au 10.12.2018. Konakion du 07.12 au 14.12.2018. Albumine. Sandostatine du 09.12 au 10.12.2018. 1 CP le 11.12.2018, 1 CP le 12.12.2018. Fibrinogène 1 g le 11.12.2018. Cathéter artériel radial gauche du 07.12 au 14.12.2018. VVC jugulaire interne droite du 08.12 au 14.12.2018. Sonde vésicale du 07.12 au 14.12.2018. Drain abdominal avec une voie centrale du 07.12 au 10.12.2018. Drain abdominal avec une voie centrale du 11.12 au 11.12.2018. Ponction évacuatrice d'ascite le 12.12.2018. IOT (cormack I) et ventilation mécanique le 13.12.2018. OGD le 13.12.2018: varices œsophagiennes stade II. Remplissage vasculaire. Noradrénaline du 22.11.2018 au 24.11.2018. Ciprofloxacine du 22.11 au 24.11. Clarithromycine du 23.11 au 24.11. Cathéter artériel radial droit du 22.11.2018 au 24.11.2018. Cathéter veineux central gauche du 22.11.2018 au 24.11.2018. Remplissage vasculaire. Noradrénaline du 22.11.2018 au 24.11.2018. Ciprofloxacine du 22.11 au 24.11.2018. Clarithromycine du 23.11 au 24.11.2018. Cathéter artériel radial droit du 22.11.2018 au 24.11.2018. Cathéter veineux central gauche du 22.11.2018 au 24.11.2018. Remplissage. Schellong post-op à distance à organiser. Remplissage. Schellong post-opératoire à distance à organiser. Rendez-vous chez Dr. X le 7.1.2018, le patient sera convoqué par courrier. Continuation de la radiothérapie le 31.12.2018 à 08.00 en ambulatoire. Nous proposons une radiographie thorax de contrôle dans 2 semaines pour exclure un abcès à pneumocoques, et de faire une vaccination contre la grippe et contre les pneumocoques avant la prochaine chimiothérapie. Mise en suspens du traitement antihypertenseur jusqu'au contrôle chez le médecin traitant. Mise en suspens du Citalopram jusqu'au prochain contrôle de la natrémie et substitution de NaCl par capsules. Poursuite de l'insulinothérapie adaptée avec schéma. Présentation si état fébrile, dyspnée, ou troubles neurologiques. Rendez-vous en consultation chirurgicale. Rendez-vous en oncologie ORL avec Dr. X le 22.1.2018. Rendez-vous à la consultation ambulatoire des urgences le 27.12.2018. Rendez-vous à la consultation de Dr. X pour ablation des agrafes et suite de la prise en charge orthopédique le 04.12.2018. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 09.01.2019 pour contrôle et suite de la prise en charge urologique. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 10.12.2018. Le secrétariat de Dr. X prendra contact avec Mr. Y afin de lui fixer un rendez-vous. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 06.12.2018. Reprise du suivi psychologique en ambulatoire. Rendez-vous à la consultation de Dr. X, le 18.12.2018 à 09h00. Ablation des agrafes à J14 post-opératoires. Rendez-vous à la consultation de Dr. X, le 18.12.2018 afin de discuter d'une adaptation du traitement. Nous vous saurions gré d'organiser une investigation allergologique dans le contexte de la réaction allergique au Primpéran. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 13.12.2018. IRM du genou le 12.12.2018. Attelle de maintien avec décharge selon douleurs. Antalgie. Refus du patient de l'anticoagulation prophylactique malgré les explications par le médecin. Rendez-vous à la consultation de Dr. X le 18.12.18 15h30. Arrêt du Sintrom le 04.01.19 (dernière dose le 03.01.19). Relais par Clexane 40 mg/jour dès le 04.01.18. Convocation le 08 janvier 2019 à 16h00, HFR, service d'orthopédie, intervention chirurgicale le 09 janvier 2019. Rendez-vous à la policlinique d'orthopédie HFR Riaz le 18.12.18 à 14h15 pour contrôle radioclinique à 6 semaines. Rendez-vous à la Team Spine le 08.01.2019 à 14h15 pour contrôle radiologique et clinique. Rendez-vous à votre cabinet de suivi de l'état dépressif avec l'introduction de Citalopram dans les meilleurs délais. Rendez-vous à votre consultation dans 4-5 jours. Rendez-vous à votre consultation en début d'année 2019. Rendez-vous à votre consultation le 07.12.2018. Rendez-vous à 3 semaines à la consultation de rhumatologie. Rendez-vous avec le médecin traitant le 05.12.2018. Lors de cette consultation, nous laissons le soin au médecin traitant d'enlever les bandes et de mettre des bas de contention pour une durée de 6 semaines (2 semaines jour et nuit). Rendez-vous à la consultation d'angiologie HFR-Fribourg, le 23.03.19 à 10h00. Rendez-vous à la consultation de Dr. X, le 02.04.19 à 9h30. Rendez-vous chez Cardiologue Dr. X le 13.12.2018. Rendez-vous chez Dr. X le 13.12.2018 à 14h45. Rendez-vous chez Dr. X le 21.12.2018 à 10h45. Rendez-vous chez Dr. X pour discussion des résultats de la tOGD le 06.12.18 à 10h15. Rendez-vous chez le médecin traitant pour contrôle clinico-biologique. CT scanner de contrôle de l'adénocarcinome prévu à l'HFR Fribourg le 07.01.19 (Dr. X). Rendez-vous chez Dr. X le 11.12.2018 à 12h. Rendez-vous chez Dr. X le 13.12.2018 à 15h15. Rendez-vous chez Dr. X le 30.01.2018 à 15.30h. Le patient sera convoqué par le service de pneumologie à distance pour effectuer des fonctions pulmonaires. Contrôle du laboratoire (crase) le 24.12.2018 à 10h au E12. Rendez-vous chez Dr. X le 04.12.2018 à 14:30. Ultrason abdomen supérieur de contrôle le 21.12.2018 à 11:00: patient à jeun et vessie pleine. Charge 10 kg maximum sur la jambe gauche. Suivi en orthopédie le 15.01.2018 à 8h30. Rendez-vous chez Dr. X, dès le 13.12.2018 pour le suivi de plaie. Contrôle angiologique à distance (patient sera convoqué).IRM de contrôle pour lésion surrénalienne dans 6 mois (on vous prie d'organiser l'examen) Rendez-vous chez le Dr X, urologue, le 18.12.2018 à 15h. Nous vous proposons de doser la lamotriginémie à distance. • Rendez-vous chez le médecin traitant le 21.12.2018 à 13h30 • Rendez-vous le 27.12.18 à 14h chez la Dr Y à Riaz Rendez-vous chez les Chefs de clinique le 13.12.2018 à 09:30 Rendez-vous chez son médecin traitant pour contrôle clinique et laboratoire (suivi du syndrome inflammatoire et tests hépatiques). Rendez-vous chez son médecin-traitant début 2019. Rendez-vous chez son psychiatre le Dr X le 14.12.2018. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr X, urologue. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr X le 10.12.2018 à 15h15. Rendez-vous de contrôle à la consultation du Dr X, urologue, mardi 11.12.2018 à 15h45. Rendez-vous de contrôle à la suite d'une infection génitale. Rendez-vous de contrôle à 24 heures de douleurs abdominales. Rendez-vous de contrôle à 48h en filière 34. Rendez-vous de contrôle ambulatoire en cardiologie planifié. Rendez-vous de contrôle chez Dr X le 17.12.2018 à 9h30 en policlinique d'orthopédie HFR Riaz. Physiothérapie de mobilisation du bras droit à poursuivre en ambulatoire. Rendez-vous de contrôle chez le médecin traitant à prévoir dans la semaine du 03.12.2018 : • Nous vous laissons le soin de recontrôler la vitamine D à distance. Rendez-vous de contrôle chez le Prof. X le 25.01.2019. Bilan avec OGD et coloscopie en ambulatoire. Rendez-vous de contrôle en filière à 48h. Rendez-vous de contrôle en ORL. Rendez-vous de contrôle en orthopédie en fin de semaine prochaine. Rendez-vous de contrôle en pneumologie • le 16.01.19 à 11h00 pour contrôle CPAP • le 17.01.19 à 10h00 pour consultation médicale Rendez-vous de contrôle en stomathérapie le 19.12.2018. Soins à domicile tous les jours avec protocole : • Greffe : Adaptic touch, compresses. Bepanthen sur la peau autour de la greffe • Prise de greffe : Bepanthen, aquacel, compresses • Bandes de contention de courte extension Rendez-vous en consultation de proctologie (le patient sera convoqué). Rendez-vous de suivi à la consultation des chefs de clinique le 17.01.2019 à 8h30. Antibiotique par voie orale jusqu'au 12.12.2018. Rendez-vous en ambulatoire en proctologie le 07.01.2018 à 10.15h. Biopsies rectales et colonoscopie à prévoir en ambulatoire. Rendez-vous en angiologie à Riaz chez le Dr X le 18.01.2018 à 15h45 pour suite de prise en charge. RAD avec soins à domicile 2x/jour pour mise en place de bas de contention + soins de plaie 3x/semaine. Rendez-vous en angiologie pour bilan angiologique organisé ce jour. Le patient sera convoqué par le service de diabétologie afin de bénéficier d'un suivi de plaie par les podologues. Nous recommandons au patient de reconsulter en cas de fièvre ou de péjoration de la rougeur ou des douleurs. Rendez-vous en chirurgie thoracique dans 6 semaines, soit le 25.01.2019 à 13h30. Pas d'ablation des fils (résorbables). Rendez-vous en chirurgie thoracique le 04.01.2019 à 10:00. Rendez-vous en consultation ortho-urgence pour évaluation clinique +/- IRM. Rendez-vous en diabétologie - HFR Fribourg - le 17.12.2018. Rendez-vous en endocrinologie le 03.01.2019 à 15h. Surrénalectomie gauche prévue au mois de janvier, date à définir. Rendez-vous chez médecin traitant dans 2 semaines pour un contrôle des électrolytes. Colectomie droite prévue en janvier, date à définir. Mme. Y sera convoquée par la suite en oncologie. Rendez-vous en filière à 24h pour pansement occlusif. • Rendez-vous en ORL la semaine du 03.12.2018 • Rendez-vous 3x par semaine en stomathérapie Rendez-vous en ORL le 18.12.2018. IRM cérébrale planifiée en ambulatoire dans le cadre de l'investigation des vertiges. Rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 27.12.1018 pour confection d'une botte de décharge. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique pendant 6 semaines post-opératoires. Ablation du Comfeel et des fils à 2 semaines post-opératoires à la consultation du Dr X. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr X à 6 semaines post-opératoires. Rendez-vous en rhumatologie le 27.12.18 à 11h00. Rendez-vous le 03.01.2019 à 9h chez la Dr Y. Rendez-vous orthopédie (PTH) en ambulatoire le 18.12.18 à 14h45. Rendez-vous chez le Dr X le 10.01.09. Rendez-vous polyclinique d'orthopédie le vendredi 14.12 à 13h45. Rendez-vous pré-opératoire de chirurgie thoracique à l'HFR Fribourg le 21.12.2018 avec opération planifiée le 10.01.2019. Cystoscopie en ambulatoire chez Dr X. Rendez-vous chez la Dr Y le 28.12.2018. Suivi diététique avec rendez-vous le 04.01.2019. Rendez-vous prévu le 27.12.2018 à la consultation du Dr X. Nutrition pour le domicile (avis téléphonique Dr Y) : 500 ml / 10 h = 50 ml/h sur 10 heures, rinçage avec 50 ml d'eau 4x/j de sonde jéjunale et 2x/j sonde gastrique à faire à domicile. Le patient contactera l'équipe de nutrition pour se faire livrer le Fresubin (original). Soins à domicile et équipe de nutrition seront avertis de la sortie le 27.12.2018. Rendez-vous prévus : • 10.12.18 chez le Prof. X (chirurgie abdominale) • 14.12.18 en chirurgie thoracique • 21.12.18 chez le Prof. X • Contrôle sanguin à prévoir le 07.12.2018 (FSS, créat) • Contrôle prise de sang post-chimiothérapie à prévoir le 17.12.2018 (FSS et créat) Rendez-vous une semaine après la sortie chez le médecin traitant pour contrôle biologique. Renforcement de pansement. Renforcement du plâtre avec soft Cast 2.5 cm au niveau de la main à l'endroit abîmé. Renouvellement d'ordonnance de Viagra. Rentre à domicile suite à avoir bu de l'eau et mangé son goûter. Recommandations données aux parents. Réorientation. Prise en charge des facteurs précipitants. Repart sans consultation médicale, car ne veut pas attendre. Reparti sans consultation médicale. Reperméabilisation de l'artère poplitée et tibiale antérieure (Dr X). Persistance de l'occlusion du tronc tibio-péronier à l'angiographie finale. Repos à domicile. Dafalgan 1g toutes les 8 h si fièvre. Vibrocil gouttes nasales. Neocitran sirop pour la toux. Repos. AINS. Arrêt de travail de 3 jours (travailleur de chantier). Repos, éviter les écrans. Antalgie selon douleurs. Arrêt de sport pendant 7 jours. Contrôle clinique chez le pédiatre demain. Repos strict pour 48 h avec anti-inflammatoires, puis mise en charge progressive avec correction de la posture pelvienne. Maintien de la mobilité de la hanche. Arrêt de travail présumé sur à peu près 4 semaines. Prochain contrôle dans 2 semaines. Repos, traitement antalgique. Arrêt de travail. Repos 2 jours. Sommeil tôt. Repos. Antalgie. Contrôle chez le médecin traitant dans 5-7 jours. Repos. Surveillance par les parents. EEG standard début semaine prochaine. Contrôle chez le médecin traitant si besoin. Reprendre contact avec Fribourg pour réorganiser l'EEG prévu ce jour et l'IRM pulmonaire prévu à Givisiez. Reprendre Lyrica si persistance de la douleur. Représentant thérapeutique : frère du patient, au courant de l'hospitalisation (vu le 26.12.2018 par Dr X). Reprise chirurgicale pour hémostase le 30.11.2018. Antibiothérapie par Dalacin 300 mg 3 fois par jour pour 10 jours et flagyl 500 mg 3 fois par jour pour 5 jours. Reprise de la cicatrice cervicale postérieure, évacuation d'un hématome vieilli, lavage, débridement profond et prélèvements bactériologiques. Fermeture du fascia musculaire et parage cutané. (OP le 12.10.2018) Transfusion de 1 CE en peropératoire le 12.10.2018. Microbiologie peropératoire du 12.10.2018 : Plaie sous-musculaire : Staph. epidermidis qq. Drainage sous-cutané cervical : nég. Liquide d'abcès frottis musculaire cervical : nég.Frottis plaie cervicale : nég. Consilium d'infectiologie 12.10.2018 (en annexe) Stop Vancomycine Ad Clindamycine p.o. 600 mg 3x/j puis dès plaie fermée Rifampicine 600 mg 2x/j p.o. Cette bi-thérapie est à prévoir pour une durée totale de 3 mois à partir de l'intervention chirurgicale du 12.10.2018. Reprise de la Levemir 4U, augmentation à 5U le 30.11.2018 Schéma de correction selon glycémie. Reprise de l'activité professionnelle à 50% dès le 10.12.2018. Nous expliquons au patient que la chute durant son travail est la cause des symptômes mais pas la cause de la hernie discale qui est un problème dégénératif préexistant. Pas de prochain contrôle à notre consultation mais nous restons à disposition en cas de récidive de la symptomatologie. Reprise de l'anticoagulation par Sintrom à Tafers. Contrôle rx-clinique à la consultation du Dr. X comme prévu à 6 et 12 semaines postopératoires ; 1er contrôle le 08.01.2019. Reprise de l'anticoagulation thérapeutique dès J4. Contrôles réguliers de la plaie opératoire au travers du pansement Comfeel qui est à enlever à J14 ; fils résorbables. Contrôle rx-clinique à la consultation orthopédique de l'HFR Tafers à 6 semaines. Boisson selon tolérance. Reprise graduelle de l'alimentation dès le 27.10.2018. Éventuelle repositionnement de la SNG, selon évolution. Reprise de l'Aspirine à discuter avec le médecin traitant. Reprise de l'hydratation IV transitoirement. Bilan biologique avec hémocultures : stériles. Antibiothérapie avec Flagyl et Rocephin pour 5 jours. Reprise de toutes les activités de la vie quotidienne, sans restriction. Reprise du travail à 100% dès le 05.01.2019. Au vu de la bonne évolution, je ne prévois pas de prochain contrôle, mais reste à disposition en cas de besoin. Reprise des dialyses à Riaz dès le 12.12.2018. Sintrom à adapter selon INR. Ablation des fils à 3 semaines. Rendez-vous à la consultation du Dr. X, le 16.01.2019 à 10h30. Reprise diurétique habituel dès le 18.12.18. Majoration transitoire du traitement diurétique le 19.12.18 avec torasémide 50 mg, métolazone 5 mg et aldactone 50 mg. Retour à domicile sous torasémide 40 mg en raison d'une insuffisance rénale pré-rénale sous doses habituelles. Reprise du Lisinopril 5 mg 1x/jour. Reprise du traitement anti-diabétique habituel. Reprise du traitement par Belok Zok 25 mg. Reprise du traitement. Contrôle chez le médecin traitant. Reprise du travail le 07.01.2019 à 33%. Nous la reverrons fin janvier pour un contrôle clinique et pour augmenter la capacité de travail. Nous lui prescrivons une protection siliconée pour séparer les orteils 1-2. Reprise du Xarelto dès le lundi 03.12.2018. Rendez-vous chez le médecin traitant le 17.12.2018. Rendez-vous à la consultation du Dr. X le vendredi 14.12.2018 à 13h45. Reprise d'une anticoagulation thérapeutique le 12.12.2018. Reprise du Sintrom dès le 13.12.2018. Reprise progressive de la force en ergothérapie et en physiothérapie selon les douleurs. Elle peut arrêter de porter l'attelle. Nous la reverrons pour un contrôle clinique dans 2 mois. Reprise Sintrom le 27.12.2018 au soir. Reproductible à la palpation, respiro-dépendantes, déclenchées à la mobilisation active de l'épaule. RAD avec antalgie, reconsulte en cas de persistance des douleurs à 2 semaines ou en cas de péjoration des douleurs. Re-rupture LCA genou D en décembre 2017 sur statut post. AS genou D, suture-réinsertion du LCA DIS et résection-régularisation corne moyenne ménisque interne le 16.04.2014. Ablation vis tibia proximal, greffe autologue osseuse par Tutoplast et révision cicatricielle genou D le 02.05.2018. Résection AC épaule G le 05.11.2018 sur arthropathie AC. Résection adénome par laparotomie et changement de sonde double-J à gauche le 07.03.2018 par le Dr. X. Résection antérieure basse avec iléostomie de protection et mise en place d'une sonde vésicale suspubienne le 05.12.2018. Tumorboard du 12.12.2018 : chimiothérapie adjuvante. Résection antérieure basse avec iléostomie de protection par laparoscopie et PICO épicutané le 07.12.18. Tumorboard 12.12.2018. Résection antérieure basse par laparoscopie avec laparotomie sous ombilicale et iléostomie de protection le 14.12.2018. Tumorboard du 19.12.2018 : chimiothérapie adjuvante. Résection arthroscopie du centimètre distal de la clavicule de l'épaule G, acromioplastie, synovectomie sous-acromiale D, ténodèse du long chef du biceps D dans sa gouttière 14.11.2018. Résection mélanome paupière inférieure gauche pT1a, cN0, cM0, stade AJCC 1a, Brslow 1 mm, clark IV en 06.2015. REP en 01.2013 (Dr. X). Cure d'hernie inguinale en 1999 et ombilicale en 2011. Macro-adénome hypophysaire avec résection chirurgicale en 2002. Insuffisance surrénalienne en 2010. Appendicectomie en 1963. Tonsillectomie en 1961. Chirurgie hémorroïdes en 1952. Fracture du fémur en 1941. Résection méniscale genou G en septembre 2018. Cure de varices des membres inférieurs avec infection locale post-op par S. aureus en 2015. Osteosynthèse de la scapula G et chirurgie de la coiffe des rotateurs en 2013. Résection méniscale genou D en 2007. Fracture poignet G en 1960. Pneumonie communautaire lobaire inférieure gauche le 16.11.2018. Tuberculose avec pleurésie LIG en 1977, 3 mois de cure antibiotique à Humilimont (probablement par Rifampicine) diagnostiqué par ponction pleurale de 1.5 l, Dr. X. Résection segmentaire anatomique apico-dorsale (S1+2) du lobe supérieur gauche par thoracoscopie uniportale, extemporané et curage ganglionnaire médiastinal le 13.12.2018. Résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie bénigne. Phakectomie. Pneumonie lobaire basale droite communautaire à germe indéterminé le 05.10.2018. Résection transurétrale de la vessie et biopsie de la prostate en 2016 pour récidive tumorale, pT1 G2 et G3. Status après dilatation de l'artère iliaque commune droite en 1994. Patch de l'aorte en 1997. Pontage carotido-sous-clavier gauche en 2005. Embolie pulmonaire en 2005. Tabagisme chronique, stoppé en 1997. Appendicectomie en 1961. Résection wedge d'un GIST de la paroi gastrique 2008. Diverticulose 2001 avec diverticulite en février 2006 et juillet 2008. Cure de tunnel carpien en 2007. PTG G en 2009. Méniscectomie interne (65%) et externe (30%) genou G en 2009. Rupture transfixiante du tendon du tendon du sus-épineux D avec signes de tendinopathie calcifiante en 2015. Appendicectomie et amygdalectomie. Hystérotomie et annexectomie bilatérale. Cure de cataracte bilatérale et herpès cornéen œil D (sous Valaciclovir). Tension-free vaginal tape (TVT) pour incontinence urinaire. Résolution complète avec la correction de la calcémie. Résolution de la symptomatologie complète spontanément. Propositions ORL : consultation médicale si persistance et évaluer OGD pour exclure une oesophagite à éosinophiles +/- transit baryté pour exclure une dysmotilité oesophagienne. Résolution des symptômes après fenillaerg. Probable réaction allergique au brocoli ou carottes, kiwi moins probable vu l'intervalle de trois heures mais en soi plus allergène. Résolution du défaut d'étanchéité par re-connexion ad hoc de la sonde à la pièce de fermeture et changement du bouchon obturateur par un neuf. Resonium avec amélioration. Suivi biologique. Resonium du 26.12 au 27.12.2018. Suivi biologique. Resonium du 27.-29.11.2018. Aldactone en suspens. ECG. Suivi laboratoire. Respiratoire : faux croup léger. Signes de gravité devant motiver une consultation aux urgences sont expliqués à la mère. Contrôles par la mère sur la nuit. Elle compte le faire dormir dans la chambre à coucher parentale, mais dans son propre petit lit. Contrôle d'office chez la pédiatre mercredi, soit dans 36 heures. Alimentaire : Fractionner l'alimentation. Surveillance signes de déshydratation. Représentation aux urgences si diminution de l'hydratation à moins de 50% demain.Re-sténose modérée au niveau de l'anastomose distale du pontage fémoro-poplité droit • Status post-résection des os sésamoïdes du pied droit suite à un mal perforant et une infection chronique en 2008 • Status post-angioplastie avec recanalisation d'une sténose serrée de l'artère iliaque commune droite le 11.08.2015 et pose de stent • Status post-pontage fémoro-poplité distale sous géniculaire droit par une veine céphalique ipsi-latérale inversée le 07.03.2017 • Status post-résection base de P1 et de la tête du 2ème métatarsien droit le 18.04.2017 • Status post-angioplastie au ballon médicamenteux et scoring longitudinal de l'anastomose distale du pontage fémoro-poplité le 10.01.2018 • Status post-angioplastie au ballon actif et au cutting ballon d'une sténose serrée de l'anastomose distale du pontage fémoro-poplité le 19.04.2018 • Status post-angioplastie de l'artère iliaque externe et de l'artère fémorale commune droite avec pose de stent iliaque externe droit et angioplastie d'une sténose de l'artère iliaque externe gauche le 04.06.2018 Restriction hydrique à 500 mL/24h Contrôle biologique Restriction hydrique à 750 ml par jour du 25.12.2018 au__ Spot urinaire: en cours Laboratoire att: Transfert aux soins intensifs pour surveillance Restriction hydrique à 750 ml/j Restriction hydrique dès le 15.11.2018 Hydratation par NaCl 500 ml/24 h stoppée du 18 au 21.11.2018 NaCl Caps du 20 au 25.11.2018 Spot urinaire du 18.11.2018 Transfert aux soins intensifs le 18.11.2018 au 19.11.2018 Catheter artériel radial gauche du 18.11 au 19.11.2018 Restriction hydrique dès le 21.12.2018 Hydratation IV le 21.12.2018 Suivi biologique Restriction hydrique du 24.10 au 04.12.2018 Restriction hydrique du 25.11 au 29.11.2018 Consilium de médecine interne le 27.11.2018 (en annexe) Restriction hydrique Suivi biologique Restriction hydrique Corrigée le 13.12.2018 Restriction hydrique NaCl isotonique Restriction hydrique. Suivi biologique. Contrôle biologique le 18.12.2018 en oncologie. Resucrage avec 3 ampoules de G40% iv Contrôle à 5.8 mmol/l Diminution de la Ryzodeg à 50 U Contrôle glycémique et adaptation du traitement d'insuline basale Resucrage per os Résultat culture gorge le 17.12 : S. pyogenes (SGA) +++. Appel aux parents pour les prévenir de poursuivre antibiothérapie pendant 10 jours. Résultat de la coproculture communiqué aux parents le 11.12, patient asymptomatique (n'a plus de diarrhées, pas de douleur, pas de sang dans les selles). Pas de traitement antibiotique nécessaire. Résultat des hépatites virales et du bilan ferrique. Suite de prise en charge +/- investigations gastro-entérologiques Résultat satisfaisant à 3 mois postopératoires. Mr. Y continue de faire surveiller la zone déhiscente en pharmacie et est prévenu qu'il doit consulter au plus vite en cas de signes inflammatoires ou d'écoulement. Prochain contrôle radio-clinique à 6 mois postopératoires, soit le 19.02.2019. Résultat satisfaisant à 6 semaines postopératoires. Le patient exerçant un travail physique, je prolonge l'arrêt de travail pour 6 semaines supplémentaires. Je prescris de la physiothérapie pour mobilisation du poignet et travail des amplitudes articulaires. On peut augmenter la charge tant sur le poignet que sur la clavicule. Prochain contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires. Prochain contrôle le 22.01.2019. Résultat satisfaisant à 6 semaines postopératoires. Prochain contrôle à 3 mois postopératoires, soit le 29.01.2019. Résultat satisfaisant à 6 semaines postopératoires. Prochain contrôle radio-clinique à 3 mois postopératoires. D'ici là, la patiente peut marcher en charge totale selon douleurs. Prochain contrôle le 22.01.2019. Résultat tout à fait satisfaisant à un an post PTH. Pour les lombalgies basses, j'ai prescrit à la patiente des séances de physiothérapie pour tonification des érecteurs du rachis, travail de la posture et fango. Le prochain contrôle radioclinique se fera à 5 ans postopératoire. Résultat tout à fait satisfaisant à 1 an postopératoire. La patiente ne souhaite pas l'ablation du matériel d'ostéosynthèse et nous décidons donc d'en rester là pour le suivi. Résultat tout à fait satisfaisant à 1 an postopératoire. Prochain contrôle de routine à 5 ans postopératoires. Résultat tout à fait satisfaisant à 3 mois post réduction fermée et embrochage selon Kapandji de cette fracture du radius distal. Mr. Y peut reprendre les activités comme avant, à savoir la gymnastique artistique. Prochain contrôle à 1 an postopératoire afin de contrôler l'évolution de la croissance au niveau du radius distal. Résultat uricult: E-coli multisensible Résultat uricult: E-coli multisensible Laboratoire. créat à 51 µmol/l, K=3.6 mmol/l, CRP à 43 mg/l, Leuc à 5.3, Hb à 79 g/l, MCV=60 fl, MCH=18 pg, MCHC=30 g/l, acide folique à 2.2 ng/ml Résultats de l'examen neurologique du 10.12.2018 : mise en évidence d'une neuropathie ulnaire sensitivo-motrice au coude droit, signes d'innervation chronique du triceps droit. Résultats de l'uricult: positif pour E. coli ESBL sensible à la Ciprofloxacine. Examen clinique. Résultats d'histologie post Wedge à suivre Suivi oncologique à organiser avec oncologue traitante (Dr. X) Résultats satisfaisants à 3 mois postopératoires. Si les douleurs persistent à 6 mois postopératoires, on propose de répéter un contrôle radio-clinique. Si la patiente est asymptomatique à ce moment-là, il n'y a pas d'utilité à recontrôler. Retard de consolidation d'une fracture du pilon tibial et péroné à D avec : • Réduction fermée et fixateur externe cheville D le 29.01.2018. • AMO fixateur externe et ostéosynthèse pilon tibial D avec fixation du péroné le 09.02.2018. Retard de consolidation humérus D sur : • Status post fracture multifragmentaire diaphysaire humérus D traitée conservativement le 29.03.2018. • Status post cure de pseudarthrose, ostéosynthèse par plaque Philos longue humérus D le 31.08.2018. Retard de croissance intra-utérin au P3 Retard de croissance intra-utérin < P3. Retard de croissance osseux Retard de développement psychomoteur retard de langage Retard de mobilisation. Status post implantation d'une PTG droite avec bouclier fémoral C, cimenté, plateau tibial 70, cimenté, polyéthylène UC, fixe 70/8, rotule 31, cimentée le 24.04.2018 sur gonarthrose tricompartimentale genou droit. Retard mental grave avec troubles du comportement F72.1 • agitation marquée Retard mental grave avec troubles du comportement F72.1. • agitation marquée. Trouble envahissant du développement, sans précision F84.9. Kyste de l'ovaire droit de 5.5 cm d'allure fonctionnelle le 19.10.2018. Syndrome inflammatoire et états fébriles récidivants d'origine indéterminée le 13.12.2018. • agitation psychomotrice en péjoration. • IRM du neurocrâne et hypophysaire le 13.12.2018 : pas de lésion focale suspecte cérébrale ou hypophysaire décelée. • CT thoraco-abdomino-pelvien le 14.12.2018 : adénomégalie rétro-pectorale droite, lésion kystique pelvienne droite. • Echocardiographie transthoracique le 14.12.2018 : pas de signe d'endocardite. • Hémocultures le 13.12.2018 : en cours. • Test tuberculose (Quantiféron) le 14.12.2018 : en cours. • Sédiment et culture d'urines le 13.12.2018 : négatif. • Vitesse de sédimentation, procalcitonine et hémogramme le 13.12.2018 : dans la norme. • Ponction lombaire le 14.12.2018 : normale. • Bilan endocrinologique le 14.12.2018 : IGF-1 (en cours), prolactine (à 2x la norme supérieure), FSH, LH, oestrogène, progestérone et TSH/T4 libre dans la norme. • Bilan gynécologique (marqueurs tumoraux en cours) le 15.12.2018 : SCC, CA-125, CA 19-1, ACE, b-HCG, AFP, CA 15-5.Retard mental léger et hypoacousie sur séquelles de méningite dans l'enfance. Trouble de l'adaptation avec perturbation mixte des émotions et des conduites. Cardiopathie hypertensive, valvulaire et rythmique : • FEVG 45% (08.2018) avec dysfonction biventriculaire et IT modérée sur malformation d'Ebstein • fibrillation auriculaire paroxystique non anticoagulée (CHA2DS2-VASc 2 pts) • FRCV : hypertension artérielle traitée, dyslipidémie traitée. Insuffisance rénale chronique stade 2 (CKD EPI) sur probable glomérulosclérose. Insuffisance veineuse périphérique C6S • status post-choc hémorragique sur saignement du pied droit sur ulcère chez un patient sous Xarelto (11.2017). Polyarthrite rhumatoïde séropositive anciennement sous Méthotrexate stoppé fin 2016. Troubles de la marche et équilibre d'origine multifactorielle : • amputation avant-pied gauche suite à un accident de la voie publique • PTG (2013). Retard mental (patient institutionnalisé). TOC. Hypertension artérielle traitée. Retard mental sur IMC (manque d'oxygène à la naissance + fièvre périnatale). Pas d'épilepsie. Troubles anxieux connus (traités par dépakine et Trittico) Anémie normochrome normocytaire Retard mental. Autisme. Infections urinaires, à répétition. Asthme. Intolérance au glucose. Anémie récidivante. Retard staturo-pondéral sur probable manque d'apports caloriques DD : • troubles de l'oralité • intolérance aux protéines de lait de vache • malformation vasculaire avec ischémie transitoire sur compression vasculaire et estomac plein (anticlockwise swirl of mesenteric vessels, pince mésentérique, malformation du tronc coeliaque) Retard/trouble de développement somatosensoriel de la sphère ORL DD : sur trouble de la déglutition. Dysmotilité duodénale persistante postopératoire • sur pancréas annulaire Allergie aux protéines de lait de vaches et aux œufs (IgE médiées) (confirmée par test allergologique) et oesophagite éosinophilique (biopsies oesophagiennes). Stagnation pondérale d'origine allergique aux protéines de lait de vache et aux œufs (insuffisance d'apport) Rétention de fragment placentaire à 3 semaines d'un accouchement par voie basse avec révision utérine, chez une patiente de 30 ans, 2 gestes primipare Rétention de matériel intra-utérin chez une patiente de 33 ans 1G1P à J9 d'un accouchement par voie basse Rétention de matériel placentaire 9 semaines après un accouchement par voie basse au Petit Prince, chez une patiente de 26 ans, 2 gestes 2 pares. Rétention de membranes non hémorragique. Rétention placentaire complète non hémorragique. Rétention placentaire hémorragique avec pertes sanguines estimées à 800 ml Rétention urinaire Rétention urinaire aiguë. Rétention urinaire aigue à répétition • probablement sur atonie vésicale d'origine centrale dans le cadre du diagnostic principal avec contribution d'une infection urinaire basse le 07.10.2018 • Ceftriaxone du 07.10 au 10.10.2018 • échec de sevrage avec récidive de globe urinaire le 22.10.2018 • Sondage vésical le 09.10.2018/ 22.10.2018/ 07.11.2018 • Avis urologique (Dr. X) 13.11.2018 : essayer de mettre une sonde avec robinet, afin que la patiente puisse vider elle-même sa sonde dès que sensation de rétention urinaire et quantifier les pertes. Exercices à faire pendant 2 à 3 semaines. Si exercice concluant (rétention urinaire sentie entre 300 - 400 ml), nouvelle tentative d'ablation de sonde. Si exercice non concluant : prévoir consultation chez le Dr. X pour indication à la pose d'une cystostomie. Rétention urinaire aiguë à 400 ml le 19.08.2018. Appendicite aiguë le 03.09.2012 avec appendicectomie par laparoscopie. Suspicion de reflux gastrique avec irritation pharyngée associée. Rétention urinaire aiguë avec sondage rendant 1400 ml d'urines claires le 23.12.2018. DD : sur position et douleurs. Rétention urinaire aiguë dans contexte d'infection urinaire basse avec hématurie microscopique Appendicectomie (dans l'enfance) Hystérectomie Rétention urinaire aiguë dans un contexte infectieux et médicamenteux (antipsychotiques). Rétention urinaire aiguë dd sur hypertrophie prostatique Rétention urinaire aiguë le 10.12.2018 sur : • hyperplasie de la prostate • arrêt du Duodart le 08.12.2018 Rétention urinaire aigue le 21.11.2018. Sténose subtotale du départ de l'artère carotide interne droite symptomatique. • Endartériectomie et plastie d'élargissement carotidienne droite le 09.09.2010. Rétention urinaire aiguë le 22.10.2018 • hypertrophie de la prostate • échec de sondage vésical Rétention urinaire aiguë, le 27.11.2018 Rétention urinaire aiguë sur sténose urétrale le 26.12.2018. • status post plusieurs récidives et dilatation par le Dr. X. Rétention urinaire au retrait de la sonde vésicale à J1 Rétention urinaire chronique avec : • Passage des soins à domicile pour sondage 2x/semaine Rétention urinaire le 04.12.18 avec : • DD origine mécanique due au rectocèle Rétention urinaire le 25.10.2018 AVP en 1974 avec : • fractures du crâne et de la face et plusieurs mois passés dans le coma Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique à point de départ vertébral en septembre 2012 Tendinite au niveau des insertions du muscle sus-épineux début mai 2013 Malaise avec perte de connaissance le 09.02.2015 sur probable crise épileptique avec • Crises d'épilepsie tonico-cloniques, non traitées, DD suite à l'AVP, sur OH (suivi par Dr. X) Rétention urinaire, le 27.05.2018 : pose de sonde urinaire avec sevrage sans complication. Exacerbation d'une probable BPCO non stadée à Klebsiella pneumoniae multisensible trouvé dans les expectorations, le 27.05.2018 traitée par Rocéphine 2 g iv du 27 au 29.05.2018, puis co-amoxicilline per os du 30.05 au 02.06.2018. Pneumonie basale gauche à Influenzae B le 29.01.2015 avec : • insuffisance respiratoire aiguë globale et sepsis associés, traité par antibiothérapie iv et VNI • subiléus paralytique transitoire dans un contexte septique le 29.01.2015 • globe urinaire le 29.01.2015. rétention urinaire sélective Rétention urinaire sur douleurs et prolapsus hémorroïdaire Rétinite pigmentaire Rétinite pigmentaire avec malvoyance 5% œil droit et cécité clinique œil gauche. Retour à domicile, avec aircast et antalgie pour l'entorse avec arrêt de travail jusqu'à la fin de la semaine. Contrôle chez son médecin traitant en début de semaine prochaine. Le patient sait qu'il doit reconsulter en cas de péjoration des symptômes ou si apparition d'un état fébrile. Retour à domicile avec Algifor et consignes de repos. Retour à domicile avec antalgie. Retour à domicile avec antalgie. Arrêt de travail pour cette semaine. Réassurance, le patient n'a pas de médecin traitant donc expliqué qu'il faudra reconsulter en cas de péjoration des douleurs, apparition de fièvre, apparition d'une dyspnée. Retour à domicile avec antalgie de premier palier, et consignes de surveillance Amoxicilline 50 mg/kg/j pendant 7 jours. Retour à domicile avec antalgie de premier palier et consignes de surveillance. Amoxicilline 50mg/kg/j pendant 7 jours. Retour à domicile avec antalgie et consignes de surveillance. Contrôle en fin de semaine prochaine pour ablation des sutures. Retour à domicile avec antalgie et poursuite de l'antibiothérapie. Recommandation de reconsulter un dentiste lundi en cas de persistance de la tuméfaction et des douleurs ainsi que par la suite pour le traitement de la dent. Signes de reconsultation en urgence expliqués. Retour à domicile avec antalgie. Le patient est informé de rester à jeun dès minuit. Le chef de clinique d'orthopédie prendra contact avec lui le 31.12 au matin. Consultation aux urgences avant si péjoration clinique. Retour à domicile avec antalgie, proposé d'arrêter le traitement le temps qu'elle prenne les médicaments. Arrêt de travail pendant 1 semaine. Explication dans quelles conditions il faudra reconsulter. Retour à domicile avec antalgie standard + Tramal et Pantozol, exercices de physio respiratoire et contrôle chez son médecin traitant à 10 jours si non amélioration ou péjoration. Retour à domicile avec antalgie standard et rendez-vous pour le CT-scanner. Retour à domicile avec antalgie syndactylie et mobilisation libre. Contrôle chez son médecin traitant dans 10 jours. Reconsulter si péjoration de la symptomatologie, malgré antalgie. Pas de sport de contact pendant 15 jours. Retour à domicile avec antalgie. On propose au médecin traitant d'organiser une imagerie de la colonne en ambulatoire en cas de persistance des symptômes. Retour à domicile avec conseils d'usage et traitement symptomatique. Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes en fin de semaine. Retour à domicile avec conseils habituels pour faux-croup. Poursuite avec Betnesol ce soir et de l'algifor. Début de traitement progressif par Lyrica. Suite chez le médecin traitant pour adaptation du traitement. Retour à domicile avec majoration du traitement symptomatique. Discussion d'infiltration et d'une IRM en ambulatoire en cas de péjoration des douleurs. Retour aux urgences en cas de trouble sensitivo-moteur associé. Retour à domicile avec traitement antalgique. Consultation de contrôle le 03.01.2019. Retour à domicile avec traitement antibiotique par Augmentin 1 g 2x/j pendant 5 jours. Traitement symptomatique. Contrôle clinique en urgence chez le dentiste dans 24h. Retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes. Retour à domicile avec traitement symptomatique : Dafalgan, Irfen, Triofan spray, Triomer, Solution Nasobol. Retour à domicile avec traitement symptomatique par jus de Canneberge et antalgiques, résultats de dépistage à 72h au secteur ambulatoire des urgences et antibiothérapie en conséquence. Retour à domicile avec un arrêt de travail jusqu'au 06.12.2018. Voltarène gel, Irfen 400 3x/jour durant 5 jours, Dafalgan 1 g 4x par jour. Retour à domicile avec un traitement de ventolin. Consultation aux urgences si péjoration clinique. Prochain contrôle chez son pneumologue début janvier. Retour à domicile avec 2 push d'atrovent au 8h et du ventolin 4 push en réserve. Betnesol à prendre 5 co 1x/j pendant 2 jours. Contrôle le 29.12 aux urgences.Contrôle du 29.12.2018 : Apyrétique, plus de toux sur la nuit mais n'était pas inconfortable, rhinorrhée persistante. La maman a fait du Ventolin sur la nuit (4h) qui était en réserve en raison d'une respiration sifflante. Atrovent d'office 3x/j et Betnesol per os J3/3. Alimentation solide 50%, hydratation (eau + lait) 100%, diurèse bonne. État général excellent, éveillée, vive, réactive, tonique. Bien hydratée et bien perfusée. Cardiovasculaire : B1B2 bf, pouls fémoraux symétriques. Respiratoire : Sifflement respiratoire audible à distance. Eupnéique sans tirages ni BAN, FR 46/min, Sat 95-96% sous air ambiant, MV symétrique, sans baisse de l'entrée de l'air, disparition complète des sibilances à l'auscultation pulmonaire, pas de bruits transmis du nez. ORL : tympans transparents des deux côtés avec présence du reflet lumineux, pas de LAP cervicale, fond de gorge et amygdales calmes. Abdominale : BHA physiologiques, parois souple, dépressible et indolore sans masses. Dermatologique : quelques tâches érythémateuses qui disparaissent à la vitropression sur dos et abdomen. Att: • stop tous les traitements • signes de gravité rappelés. Retour à domicile contre avis médical. Suivi cardiologique en ambulatoire. Retour à domicile de Mme. Y. Un set à pansement a été prescrit pour un changement de pansement aux 48h. Mme. Y a pour consigne de se représenter à la permanence en cas de symptômes d'infection locaux ou systémiques. Retour à domicile et suivi chez son médecin traitant et sa gynécologue, pas de nouveau contrôle en filière. Retour à domicile sans changement médicamenteux. Mr. Y s'engage à trouver un médecin traitant pour rediscuter son traitement antihypertenseur. Retour à domicile selon la décision de la mère. Retour à domicile sous la surveillance des parents. Consultation aux urgences si péjoration clinique. Retour à domicile. Uro-CT réalisé ce jour (05.12.2018), les résultats seront communiqués par téléphone à Mme. Y. Retour à domicile. Arrêt de travail à 100% pour 5 jours. Prescription d'antalgie standard (+ Sirdalud en réserve). Bon de physiothérapie pour exercices du dos. Conseils donnés quant à l'antalgie (+ chaleur, repos mais mobilisation douce). Ne pas conduire si prise du Sirdalud. Retour à domicile. Contrôle le 15.12 : urée, créat, sodium, stix + spot urinaire. Retour à domicile. Réassurance. Traitement symptomatique. Conseil d'hydratation. Conseil de réévaluer avec le médecin de famille si persistance des douleurs malgré traitement symptomatique. Retour au domicile avec antalgie de 1er palier. Explications données à Mr. Y. Retour aux urgences pour avis ORL si pas d'amélioration dans 48h. Retour aux urgences pour réévaluation si pas de nette amélioration dans 48-72h. Retour aux urgences si pas d'amélioration, fièvre, frissons ou douleur abdominale. Retour de Berne • frottis recherche VRE : négatif Retour de couches. Retour de l'Inselspital. Retrait de la mèche le 30.12.2018. Retrait de la mèche sous MEOPA (douleurs) par Dr. X, bonne évolution clinique. Mr. Y RAD avec poursuite du traitement antibiotique et antalgique; nous prévoyons un arrêt de travail et Mr. Y sera vu en consultation en polyclinique de chirurgie après-demain 20.12.2018. Retrait de la sonde nasogastrique de décharge. Essai de Fluimucil, inefficace. Réduction des apports hydriques ad minima. Retrait de la sonde urinaire. Retrait des agrafes, traitement des plaies. Retrait des fils à 10-14 jours par le médecin traitant. Retrait des fils à 5 jours. Retrait des fils, clôture de la prise en charge. Poursuite du port de l'attelle pour 1 semaine et poursuite des séances d'ergothérapie. Retrait des fils le 19.12.2018 à la Permanence. Retrait du pansement. Belle plaie avec présence de croûtes. Lavage avec eau oxygénée, désinfection. Réfection du pansement avec adaptic et bande élastique. Contrôle le 16.12 aux urgences (si désir appeler pour visualisation de la plaie). Retrait du steri-strip dans 3 jours si pas sale. Changer le steri-strip si présence de sang. Retrait d'un kyste ovarien D sept 2017. Retrait par pince. Rinçage. Conseil aux parents. Weleda Euphrasia 1 goutte 4 x/j pendant 4 jours. Retraits répétés de la SNG par Mme. Y. Revascularisation coronarienne chirurgicale à la clinique de Beau-Site à Bern le 27.12.2018. Réveil prolongé le 28.10.2018 et 01.11.2018 avec : • état confusionnel (encéphalopathie métabolique sur Pipéracilline/Tazobactam, toxique) • biparésie proximale • mouvements stéréotypiques proximaux choréiformes (DD Akathisie, Huntington, Tic) Réversion de la crase. Réversion de la crase. Revient pour contrôle pour : • Hématurie macroscopique chez Mme. Y S/p. TURV le 10.12.2018 par Dr. X. • Sonde en place. • Sous Plavix (5 stents). Revient pour contrôle : Hospitalisation du 28 au 29.12.2018 pour • Péricardite stade 1 probable origine virale • FA paroxystique inaugurale avec cardioversion spontanée • Calcul 4 cm non obstructif du rein gauche. Révision anastomose distale du pontage fémoro-poplité droit le 03.12.2018. Angioplastie du pontage le 07.12.2018. Révision de la cavité utérine en salle d'accouchement sous péridurale. Kefzol 2 gr i.v. Pertes sanguines estimées à 150 cc. Révision de la plaie chirurgicale main D, prélèvements et lavage (OP le 06.12.2018). Microbiologie périopératoire positive pour le même germe. Antibiothérapie par Bactrim forte 2x/j p.o. dès le 06.12.2018 et jusqu'au 14.12.2018. Révision de l'utérus 04.12.2018 sous anesthésie générale (Cormack 2). Mise en place du Ballon de Bakri du 04.12.2018 au 05.12.2018. Cyklokapron 1 g et Fibrinogène 2 g le 04.12.2018. Nalador le 04.12.2018. Céfuroxime du 04.12.2018 au 05.12.2018. Révision de moignon, le 17.12.2018. Antibiothérapie par clindamycine du 17.12 au 20.12.2018. Révision de sonde de pacemaker. Révision des 3 étages sous anesthésie générale positive pour membranes avec mise en place du Ballon de Bakri pendant 20h le 04.12.2018. Syntocinon 5+20 UI le 04.12.2018. Cyklokapron 1 g et Fibrinogène 2 g le 04.12.2018. Nalador selon protocole le 04.12.2018. Céfuroxime du 04.12.2018 au 05.12.2018. Surveillance aux soins intensifs durant 24h. Révision hanche G par une voie d'abord trochanter-flip. Synovectomie subtotale. Ablation du labrum antérieur entre 12 h et 8 h avec égalisation du mur antérieur. Optimisation de l'offset. OS du grand trochanter par 3 vis de rappel 4.5. Biopsies pour histologie (OP le 28.11.2018). Révision L4-L5 G, ablation de la cage TLIF Juliet et mise en place d'une cage OLIF TM Ardis. (OP le 26.11.2018). Microbiologie du 26.11.2018 : culture anaérobie négative à J14. Révision plaie tibia proximal, ponction genou D (OP le 14.11.2018). Liquide de ponction genou D du 14.11.2018 : couleur hématique, aspect trouble, 1'686 éléments, polynucléaires 70%, mono/macrophages 9%, 37'000 érythrocytes/mm3. Cristaux introuvables. Microbiologie du liquide de ponction genou D du 14.11.2018 : culture négative à J5. Revoir avec le médecin traitant indications aux traitements. Rezidivierende schmerzlose Hämaturie sous Aspirin • St. n. Prostatahyperplasie Grad II, TURP 04/2016 Persistierendes Dyspnoegefühl unklarer Aetiologie Reziviedierende Zystitis, sous Aspirin cardio pour un CVI 2007. Ab et à haute BD mais pas d'antihypertenseurs. Elle prend un cholestérolsenseur. • RGO pathologique sur discrète hernie hiatale et estomac horizontalisé, sous traitement depuis septembre 2010 • Hernie ombilicale réductible (opération prévue à 1 année de vie chez Dr. X) RGO sous Pantozol. RGO traité par Oméprazole 2ml 1x/j. Rhabdomyolyse à 9164 u/L le 15.04.2016 Douleur précordiale d'origine indéterminée le 14.04.2016 DD: musculo-squelettique, anxiété Douleurs thoraciques d'origine probablement pariétale le 11.06.2017 Rhabdomyolyse avec CK à 1091 U/l, dans un contexte de chute de son lit d'origine indéterminée. Rhabdomyolyse avec CK à 6655 UI/l le 03.11.2018 sans syndrome des loges ni atteinte rénale. Rhabdomyolyse sur chute le 19.12.2014, avec CK à 2675U/l et perturbation des tests hépatiques. Infection urinaire compliquée à E. Coli multisensible. Ancien tabagisme actif, stoppé en 2005. Anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale de 48mm de diamètre transversal et 53mm de diamètre antéro-postérieur. Sténose de l'artère iliaque commune droite. Infection urinaire. Traumatisme crânien sans perte de conscience, avec une plaie sur la région occipitale d'environ 2-3cm à droite le 06.11.2018. Rhabdomyolyse sur décubitus prolongé le 25.11.2018 • CK 905 U/l Rhabdomyolyse sur station prolongée au sol. Rhésus négatif Rhésus négatif Rhésus négatif. Rhésuskonstellation: Rhophylac am 07.04.2014. Crohn. RGO. Rhinite Rhinite Rhinite Rhinite Rhinite Rhinite allergique Rhinite allergique. Rhinite allergique (sous Xyzal en réserve) Rhinite avec congestion nasale Rhinite claire (le 16.12) Rhinite et état fébrile Rhinite et fièvre Rhinite et toux Rhinite le 23.12.2018 Rhinite légère Rhinite obstructive Rhinite obstructive Rhinite obstructive Rhinite obstructive Rhinite obstructive Rhinite obstructive Rhinite obstructive avec otite bilatérale débutante. Toilettes nasales régulières et AINS en systématique et contrôle chez le pédiatre dans 48 heures. Consignes données pour la réhydratation et explication de signes de gravité (refus réhydratation, persistance de vomissements, détresse respiratoire) Rhinite, toux et état fébrile Rhinite, toux, état fébrile Rhinite virale Rhinite virale Rhinites à répétition depuis l'enfance. Fissure anale sur hypertonie sphinctérienne (anisme). Rhinites à répétition depuis l'enfance Fissure anale sur hypertonie sphinctérienne (anisme) Avis proctologique le 31.10.2018: RECTOGESIC 4 mg de 3 à 4 fois par jour avec surveillance tensionnelle. Traitement par laxatif type sirop de paraffine afin de diminuer les douleurs post-défécation. Rhino-conjonctivite saisonnière Maladie ulcéreuse avec status post-ulcère duodénal et anémie ferriprive Syndrome obstructif moyennement sévère Hypercholestérolémie limite non traitée Fibrillation auriculaire rapide inaugurale le 09.10.2018 avec myopathie rythmique probablement sur prise de Champix: • CHA2DS2-VASc Score à 3 points (=2.2%) - congestive heart disease, âge, sexe • HAS-BLED 3 points (= 5.8%) = ATCD de saignement digestif, âge, alcool Rhino-pharingite virale Rhino-pharyngite Rhino-pharyngite Rhinopharyngite Rhinopharyngite Rhinopharyngite Rhinopharyngite Rhinopharyngite aigue Rhinopharyngite, conjonctivite Rhino-pharyngite infectieuse Rhinopharyngite virale Rhinopharyngite virale Rhinoplastie. Rhinoplastie en 2000 Cure d'hémorroïdes en 2001 2 AVB Diarrhées, vomissements et douleurs abdominales périombilicales sur probable intoxication alimentaire le 07.06.2015 Rhinoseptoplastie (Dr. X) Rhinoseptoplastie (Dr. X) le 30.11.2018 Rhinosinusite aigue. Rhino-sinusite bactérienne aiguë Rhino-sinusite chronique avec Rhinosinusite le 26.12.2018 Rhinosinusite sur IVRS virale le 22.12.2018 DD : surinfection bactérienne. Rhizarthrose avancée traumatisée et suspicion de fracture du scaphoïde gauche lors d'une chute sur le poignet il y a 10 jours. Rhizarthrose bilatérale. Rhizarthrose symptomatique à G. Rhizarthrose symptomatique gauche. Rhophylac 300 im effectué le 08.12.2018 Rhumatisme articulaire sous corticothérapie Reflux gastro-oesophagien Rhumatologique: propositions: • radiographies des mains entières de face: pas de lésions arthritiques • diminuer la prednisone à 7.5 mg pour évaluer l'évolution et éventuellement démasquer des symptômes qui nous permettraient de comprendre les symptômes initiaux: le patient était déjà sous 7.5mg de Prednisone selon la pharmacie Radiologique sur suspicion de l'aortite: aucun élément significatif pour une inflammation des gros vaisseaux sur le CT du 05.12.18 Rhume Rhume Rhume Rhume Rhume Rhume Rhume +/- pharyngite débutante Rhume avec probable syndrome descendant. Rhume avec syndrome descendant Rhume avec syndrome descendant Rhume avec syndrome descendant Rhume des foins. Rhume des foins Contrôle J6 entorse de la cheville droite le 11.08.2018 Ablation de plâtre, Aircast, stop clexane, antalgie Contrôle chez le médecin traitant si persistance des douleurs Rhume et toux Rhume et toux depuis 1 semaine. Inquiétude avant départ en vacances au Portugal en voiture le 20.12.18 Rhume, respiration bruyante Rhume Triofan spray pendant max. 7 jours Dafalgan en réserve RICE Atelle jambière postérieure. Contrôle à la polyclinique d'orthopédie dans 7 jours Rieger-Syndrome: malformation de la pupille gauche, malformation des dents Rien à signaler. Rien à signaler. Rinçage abondant, pas de corps étranger, pansement simple rinçage appel tox centrum test fluorescéine Rinçage avec aiguille boutonnée (NaCl). Mèche bétadinée. Explication des critères d'infection avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Douche répliquée au patient. Rincage avec NaCl Lalugen Compresses et bandage stériles Tétanus à jour Contrôle dans 24 heures chez médecin traitant Rincage avec NaCl Lalugen Compresses et bandage stériles Tétanus à jour Contrôle dans 24 heures chez médecin traitant Rinçage avec Prontosan puis NaCl avec évacuation d'une petite quantité de liquide séro-purulent. Retrait de la mèche, pas d'autre mèche mise en place. Ad douche 4 fois par jour, pas de pansement. Patient reconsultera en cas de récidive de douleur. Rinçage de nez Antalgie de premier palier Lavendula en enveloppement Rinçage de nez au besoin Rinçage de nez au besoin Dafalgan et Chamomilla Suppo au besoin Rinçage de nez au besoin Fébrifuges aux besoins Médecine anthroposophique Rinçage de nez au besoin Rinosedin 3x/jour Rinçage de nez et goutte nasale Consignes de surveillance respiratoire et alimentaire données Reconsultation en cas de récidive Rinçage de nez et goutte nasale Médecine anthroposophique Surveillance respiratoire et hydrique Rinçage de nez 8x/j Antalgie au besoin si difficulté d'hydratation (Dafalgan, Algifor) Ventolin 2 pushs en cas de difficulté respiratoire Rinçage de nez Algifor pour fond de gorge érythémateux Contrôle chez pédiatre si persistance de l'état fébrile > 48 heures Rinçage de nez Dafalgan et Algifor au besoin Rinçage de nez Retour à domicile avec consignes de surveillance Rinçage, désinfection à l'Hibidil + pansement. Rinçage, désinfection à l'Hibidil, anesthésie locale par Lidocaïne et 3 points de suture simples avec prolène 5.0 + pansement. Dernier rappel anti-tétanique en 2006. Données consignes surveillance signes infectieux ; ablation des fils en filière 34 à 5 jours. Rinçage du nez avec sérum physiologique Reconsulter en cas de signes de détresse respiratoire Rinçage du nez Conseil de hydratation Liste avec sage-femmes donnée aux parents Puéricultrice recommandée Reconsulter en cas de signes de détresse respiratoire Rinçage du nez Dafalgan 80 mg au besoin Contrôle chez le pédiatre dans 24h pour évaluation de l'état d'hydratation Rinçage du nez Nasivine spray 0.05% pendant 5 jours Contrôle chez médecin traitant dans 1 semaine Rinçage du nez Traitement symptomatique Rinçage du nez Traitement symptomatique Reconsulter en cas de signe de détresse respiratoire ou échec d'hydratation Adaptation du lait artificiel par le pédiatre Rinçage et anesthésie locale par Novésin Test à la fluorescéine Avis ophtalmologique (Dr. X): • Floxal gouttes 4x/j • Floxal pommade la nuit • Larmes artificielles • Consultation ophtalmologique le 07.12.2018 (HFR Fribourg) Rinçage et désinfection Tétanos à jour Avis Dr. X: • Pose de 2 points simples de rapprochement vicryl 4-0 rapid • Contrôle chez le MT le 21.12.2018 Rinçage et gouttes nasales Algifor pour 48 heures d'office Contrôle chez pédiatre si apparition état fébrile ou péjoration clinique Rinçage et réfection du pansement. Proposition à Mr. Y de prendre contact avec son médecin traitant en cas de récidive ou si apparition de fièvre. Proposition de commencer avec les douches jusqu'à 5x/jour et de refaire les pansements après. Rinçage, méchage. RDV de contrôle le 19.12.2018 au Secteur Ambulatoire des Urgences. Rinçage nasal au besoin Rinçage par sérum physiologique Rinçages de nez Rinçages de nez Rinçages de nez Rinçages de nez Rinçages de nez +/- traitement décongestionnant nasal Traitement symptomatique (Dafalgan / Algifor) Rinçages de nez au besoin Rinçages de nez au besoin (à débuter à distance de l'épistaxis) Sirop contre la toux personnel Rinçages de nez au besoin, Rinosedin Dafalgan et Algifor au besoin Sirop contre la toux à poursuivre Consultation si péjoration Rinçages de nez au besoin Consignes de surveillance expliquées à la mère Rinçages de nez +++ Fractionnement de la prise hydrique Si encore fièvre dans 48 h, consulte à nouveau le pédiatre ; reconsulte avant si péjoration respiratoire Rinçages de nez si besoin Rinçages de nez 4-6x/j avec fioles de sérum physiologique Stop utilisation du mouche-bébé Dafalgan en R en cas de prise alimentaire difficile Rinçages de nez Antipyrétiques Contrôle dans 24h si fièvre persistante (+/- labo, urines) Rinçages de nez Dafalgan en réserve Contrôle clinique à 48h Reconsulte avant si péjoration clinique Rinçages de nez Dafalgan Algifor Stop Ventolin Consignes de surveillance données Rinçages de nez Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre le 03.12.18 Rinçages et gouttes nasales Sirop contre la toux Rinçages nasaux à faire +++ Dafalgan et Algifor en réserve Suivi clinique mardi matin chez le pédiatre si persistance de fièvre (cave : oreille droite non vue), voire avant aux urgences si péjoration respiratoire ou difficultés alimentaires importantes Rinçages 4x/j Surveillance RDV de contrôle le 11.01.2019 à l'hôpital Daler Ringer i.v. 1000ml + Voltaren 75mg + Novalgin 1g Transfer à HFR Kantonspital Echocardio Surveillance stationnaire Neurologique clarification -> Antalgie à adapter Risperdal en suspens du 27.11.2018 au 08.12.2018 Reprise le 08.12.2018 Risperdal mis en suspens dans contexte respiratoire depuis le 27.11.2018 Risque de pré-éclampsie élevé dans les 4 semaines chez une patiente primigeste de 30 ans à 35 semaines d'aménorrhée le 20.12.2018. Risque de pré-éclampsie sévère au cours des 4 prochaines semaines Risque de syndrome de renutrition • Troubles électrolytiques Rocéphin 2 g i.v. dès le 22.10.2018 Intubation oro-trachéale et ventilation mécanique du 23 au 24.10.2018 Bronchoscopie de toilettage peropératoire le 24.10.2018 Rocephin 2 g IV du 04.12.2018 au 07.12.2018, puis relais par co-amoxi 1g 2x/j du 08.12.2018 au 10.12.2018 Klacid 500 mg du 04 au 05.12.2018 Laboratoire Hémocultures: négatives à 5 jours Antigènes urinaires: négatifs ECG RX thorax CT scan thoraco-abdominal Rocephin 2g iv du 20 au 26.10.2018 Rocéphine du 01.12 au 04.12.2018, puis co-amoxi 1g 2x/j jusqu'au 07.12.2018 Sondage à 4 reprises, sans succès, puis tentative infructueuse de la chirurgie US vessie le 30.11.2018 : 360 ml US vessie le 01.12.2018 : 700 cc Spot urinaire : leuco, nitrites, protéinurie estimée sur 24h de 15g/24h avec érythrocytes glomérulaires, glycosurie Urotube : nég mais prélevé après 1ère dose de rocéphine TR le 01.12.2018 Cystofix le 01.12.2018 (Dr. X) Rocéphine du 18.12.18 au 20.12.18 Ciprofloxacine du 20.12.18 au 25.12.18 Urotube (18.12.18): E.Coli multi-sensible US ciblé reins (18.12.18) aux urgences : dilatation pyélo-calicielle importante environ 3.5 cm au niveau du rein G (DD multiples kystes para-pyélique, maladie de la jonction calicielle). Rein D probable kyste para-pyélique. CT abdominal injecté (18.12.18): signe pyélonéphrite à gauche avec dilatation du pyélon, pas de lithiase, pas de défaut. Rein droit signe de pyélite mais pas de dilatation. Avis urologique (20.12.18): dilatation post-pyélonéphrite. Suivi clinique Rocéphine et Métroidazole IV du 14.12.2018 au 17.12.2018 Ciproxine et Flagyl PO dès le 18.12.2018 (au 14.2.2018 environ) Remplissage IV du 13 au 14.12.2018 Antalgie : Fentanyl patch, Effentora et Morphine en R Gazométrie artérielle (FiO2 21%): lactates 1.3 mmol/l CT abdominal du 13.12.2018 Pose de drain biliaire percutané le 14.12.2018 (Dr. X), CT abdominal du 16.12.2018 CT abdominal opacifié par drain biliaire du 17.12.2018 Avis infectieux du 17.12.2018 (Dr. X) Transfert à la VSF le 18.12.2018 Avis radiologique (Dr. X) : drainage des voies biliaires droites à travers la vésicule en raison d'une variation anatomique, drainage des voies biliaires gauche impossible actuellement en raison de l'abcès sur le trajet, y compris par voie transgastrique (selon avis gastro), le drain actuel risque de provoquer un biliome et d'être inconfortable pour la patiente, un CT abdomen avec opacification par drain biliaire + PC iv à faire dans 1 semaine (entre Noël et Nouvel-An) à la recherche de complications sur le trajet et pour réévaluer si la pose d'un drainage choledocien est réalisable. Un nouveau stenting du choledoque ne devrait pas apporter d'avantage au vu de l'obstruction de l'ampoule de Vater par la tumeur. Rinçage à maintenir 3x/j pour éviter toute obstruction du drain. Vu la situation locale, ce drain devra rester à vie. Rocéphine IM 50mg/kg en 1 dose Bilan sanguin Rocéphine IM 50mg/kg en 1 dose Bilan sanguin Rocéphine IM 50mg/kg en 1 dose Bilan sanguin Rocéphine IV 2g/j dès le 23.11.2018 (au 27.11.2018) RX du 22.11.2018 Sédiment et urotube du 23.11.2018 : E. Coli multi-sensible Rocéphine puis Metronidazole Isolement de contactRocéphine 1g/24h Rocéphine 2 g du 25.12.18 au 28.12.2018 Co-Amoxicilline 28.12-1.1.2019 Klacid 500 mg 2x/j du 25.12.18 au 26.12.2018 Prednisone 50 mg du 25.12.18 au 26.12.2018 Radiographie du thorax : infiltrat base D, surélévation coupole diaphragmatique D Ag urinaire Legionelle et Pneumocoque : négatif US pleural le 26.12.2018 (Dr. X et Dr. X) : minime épanchement pleural gauche à contrôler. Absence d'épanchement à droite. Fluarix et Pneumovax le 27.12.2018 Rocéphine 2 g du 8 au 10.12.2018, stoppé car pas de critères (cellules < 500 et protéines > 15g/l) Ponction d'ascite le 8.12.2018 : bactério négative Rocéphine 2g en intraveineux et Metronidazole 500 mg en intraveineux dose unique Appendicectomie laparoscopique le 25.12.2018 Rocéphine 2g IV + Klacid 500 mg IV du 04.12 au 05.12.2018 Co-Amoxicilline PO 625 mg 2x/j du 05.12 au 10.12.2018 Pip/tazo 2.25g 3x/j iv du 12.12 au 16.12.2018 suite à expectorations positives pour un Pseudomonas Physiothérapie respiratoire Laboratoire Antigènes urinaires : Pneumocoque nég, Légionelle nég Gazométrie CT thoracique 4.12.2018 Rocéphine 2g i.v du 20.12.-21.12.18 Ertapénème 1g iv du 20.12.-27.12.2018 Ciproxine 500 mg 2x/j 1 semaine par mois en prophylaxie à reprendre dès le 28.12.2018 Hémocultures 2 paires : négatives Antigènes urinaires : négatifs Culture expectorations : staph aureus +++ Rx thorax le 20.12.2018 ATT : • RAD le 26.12.2018 vers 8h30 - 9h après dernière dose antibio, fille a reçu les ordonnances • Appeler pneumo pour fixer la prochaine séance de bronchoscopie de nettoyage en pneumologie (pas le 4 janvier) puis la transmettre au patient ou sa fille • Avis infectiologique : vérifier si Ciproxine en schéma ci-dessus est indiquée, refaxer une ordonnance au patient pour du Co-Amox le cas échéant Rocéphine 2g i.v. et Metronidazole 500mg i.v. dose unique Appendicectomie laparoscopique le 25.12.2018 Rocéphine 2g/j du 14.12.2018 au 18.12.2018 Cefuroxime 250mg 2x/j du 19.12.2018 au 28.12.2018 Hémocultures Urotube Frottis cervico-vaginal Streptocoques du groupe B Rocéphine 2g/j du 15.12.18 au 18.12.18 pour suspicion de surinfection infirmée Urostix US des voies urinaires et obstétrical Hospitalisation pour antalgie Filtrage d'urines Rocéphine 2g/j du 15.12.2018 au 17.12.2018 Cefuroxime 250mg 2x/j du 18.12.2018 au 28.12.2018 Surveillance CTG 2xj Hémocultures Urotube Frottis cervico-vaginal Streptocoques du groupe B Rocéphine 2g/j intraveineux du 15.10.2018 au 18.10.2018 Co-Amoxicilline 1.2g 4x/j du 19.10.2018 au 24.10.2018 Klacid 500mg 2x/j du 18.10.2018 à 22.10.2018 Antigènes urinaires : négatifs Rocéphine 2g/24h du 16.11 au 21.11 puis Co-Amoxicilline 1g 2x/j du 21.11 au 23.11.2018 Rocéphine 50 mg/kg IM Contrôle aux urgences pédiatriques 24 heures après l'injection Rocéphine-Flagyl intraveineux du 06.12.2018 au 10.12.2018 et relais per os par Ciproxine-Flagyl du 11.12 au 12.12.2018 Mr. Y a présenté une première chute avec TC suite à glissade sur sol mouillé et, peu après, une deuxième chute avec nouveau TC suite à un flou visuel, probablement dans le contexte d'une commotion cérébrale suite à la première chute. La glycémie à ce moment était à 3.6 mmol/l, à la limite inférieure basse, probablement ne justifiant pas complètement les symptômes neurologiques visuels. À son admission, la glycémie est normale (4.8 mmol/l), toutefois la pompe à insuline est suspendue durant une heure, ensuite reprise normalement, sans objectiver d'hypoglycémie. Suite à la disparition des nausées, elle peut s'alimenter normalement environ 1h30 après son admission, sans objectiver de récidive de vomissement. Les céphalées présentes à l'admission, légères, disparaissent complètement suite à une petite sieste et à l'administration de Dafalgan 400 mg. Au vu d'un status neurologique normal, de l'absence de céphalées et de la non-récidive des vomissements, elle peut rentrer à la maison 6 heures après le trauma, avec les consignes habituelles. Ronchopathie chronique sur hypertrophie adéno-amygdalienne Rougeur au niveau de l'œil gauche. Patient revient le lendemain en ophtalmologie. Rougeur autour d'une phlyctène percée au niveau du talon gauche le 30.12.2018. Rougeur des deux MI post traumatique DD : DHD débutante Rougeur douloureuse malléole interne droite Rougeur du membre inférieur gauche. Rougeur et chaleur du membre inférieur gauche Rougeur et gonflement du premier orteil du pied droit. Rougeur et tuméfaction auriculaire gauche suite à piqûre de guêpe le matin. Rougeur et tuméfaction sous-orbitaire gauche Rougeur localisée d'apparition brutale le 6.11.2018 au creux poplité droit, chaude, non douloureuse, de diamètre 10 cms environ avec : • Augmentation de taille du 6 au 7.11 • DD érysipèle Rougeur orteil Rougeur paupières D. Rougeur pied droit Rougeur sus-pubienne. Rougeur thoracique. Rougeur/tuméfaction du visage. RSV négatif Rinçage de nez, Rinosedin et médecine anthroposophique Contrôle à 24 heures Reconsultation si péjoration respiratoire RSV positif Monitoring cardiorespiratoire Surveillance clinique Rubéole non immune Ruirui présente une contusion de la phalange distale du 3ème doigt à droite, avec minime hématome sous-unguéal. En cas de péjoration de l'hématome, nous expliquons au père comment procéder au drainage. Rupture aiguë du tendon bicipital distal D. Rupture complète du tendon d'Achille à droite au niveau de la jonction myotendineuse le 23.7.2018.Rupture complète du tendon d'Achille D le 16.12.2018. Rupture complète du tendon distal du biceps droit. Rupture complète du tendon sus-épineux, lésion de l'intervalle avec instabilité du long chef du biceps gauche sur chute de sa hauteur du 31.12.2014. Status post-ostéosynthèse pour fracture bi-malléolaire droite le 02.07.2009. Status post-opération épaule droite. Status post-opération tendon pouce droite après section traumatique. Status post-opération genou droit pour fracture rotule. Status post-hernie inguinale. Status post-hernie ombilicale. Status post-appendicectomie. Status post-amygdalectomie. Contusion main droite le 29.07.2016. Rupture d'anévrisme cérébrale en 1983 avec pose de clip au CHUV. Rupture de fatigue de la tige prothétique PTH D, PTH D implantée en 2000 (HIB). Rupture de kyste hémorragique de l'ovaire droit, chez une patiente de 19 ans nulligeste. Rupture de kyste ovarien avec drainage laparoscopique et appendicectomie en 2014. Greffe fécale en juin 2018 pour colite pseudomembraneuse récidivante. Alcoolisation aiguë le 08.07.2018. Tentamen médicamenteux le 08.07.2018 avec: • Tentamen alcoolique le 07.07.2018. Rupture de kyste ovarien droit en 06.2017. Laparoscopie opératoire avec résection d'un nodule sacro-utérin gauche, coagulation de foyers d'endométriose et cure d'antéfixation. Corps jaune hémorragique gauche le 19.10.2017. Rupture de la coiffe des rotateurs, sus et sous-épineux épaule G après accident du 28.09.2018. Rupture de la coiffe des rotateurs (sus et sous-épineux) et subluxation du long chef du biceps, arthrose AC asymptomatique épaule D. Status post-ostéosuture d'une fracture du tubercule majeur épaule D en 2001. Rupture de la coiffe rotateurs (sous-scapulaire et sus-épineux) épaule gauche. AS épaule gauche, suture mini-open de la coiffe des rotateurs (sous-scapulaire et sus-épineux), ténotomie par voie arthroscopique et ténodèse du long chef du biceps (OP le 07.01.2013). Rupture de LCA et ménisque interne gauche il y a 25 ans environ, avec plastie du LCA. Dr. X. Rupture de l'haubanage avec désolidarisation du cerclage par rapport aux 2 broches. Rupture de plastie LCA à droite: • traumatisme du 11.10.2018. Status post-plastie LCA droite par tendon ischio-jambier le 03.02.2016. Status post-plastie LCA gauche par tendon ischio-jambier le 29.01.2014. Rupture des ligaments antérieur genou G. Suspicion de fracture doigt 3 main D par écrasement. Examen clinique. Rx doigt 3 main D f/p. Suspicion de crise migraineuse inaugurale avec: • céphalées pulsatiles rétro-orbitaires droites associées à une photophobie légère et des nausées. • troubles de vision transitoires intéressant l'hémichamp gauche. • amélioration rapide de la symptomatologie après paracétamol per os. Examen clinique. Examen de laboratoire. Paracétamol 1 g per os. Irfen 600 mg jusqu'à 3x/j en R si récidive. Rupture du FCR poignet D le 10.11.18. Rupture du fornix rénal gauche le 04.12.2018: • dans un contexte d'obstruction urétérale sur cancer de la vessie. Rupture du LCA du genou D le 01.06.2018. Rupture du LCA genou D. Lésion ligament collatéral interne genou D stade II. Rupture du ligament croisé antérieur du genou droit. Rupture du ligament croisé antérieur traitée conservativement en 2016. Traumatisme crânien simple. 11/2018. Rupture du long chef du biceps proximal, bras droit 16.11.2016. Réinsertion proximale du long chef du biceps par ténodèse sous-pectorale. Rupture du sus-épineux épaule D en 2002, traitée conservativement. OMI importants sur amlodipine. Décompensation de BPCO avec pneumonie bi-basale communautaire en novembre 2013. Insuffisance cardiaque à prédominance D sur probable hypertension pulmonaire en 2013. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine cardio-rénale en novembre 2013. Candidose buccale sur prise de Sérétide en novembre 2013. Hypovitaminose D. Rupture du tendon d'Achille D le 11.12.2018. Rupture du tendon d'Achille le 13.09.2018. Rupture du tendon extenseur pollicis longus G sur plaie profonde en regard de la base du pouce. Rupture LCA du genou G avec lésion de la corne postérieure du ménisque interne. Rupture ligament croisé antérieur LCA. Insuffisance rénale aiguë d'origine intra-rénale sur probable syndrome cardio-rénal avec: • Clearance de créatinine à 45 ml/min selon MDRD le 28.06.2015. • F.E. Na 10%, pas de cylindres. DD: sur atteinte sarcoïdosique. Cardiomyopathie dilatée d'origine indéterminée avec: • Décompensation cardiaque gauche, dysfonction systolique sévère (FEVG à 25%) et insuffisance mitrale modérée à sévère (grade 2-3) probablement secondaire. • DD: Sarcoïdose cardiaque, post-myocardite, cardiomyopathie dilatée idiopathique. Réaction allergique modérée sur piqûre d'abeille. Tavagyl 2 mg iv. Solumedrol 125 mg iv. Surveillance aux urgences 4 heures. Avis Dr. X: RAD avec Xyzal 5 mg po et Prednisone 50 mg po pendant 5 jours. Rupture massive de la coiffe des rotateurs à droite. Rupture partielle des tendons rotuliens ddc en février 2018. Rupture partielle du LCA genou droite avec microfracture de la rotule et lésion ménisque interne en 2012. Fracture P3 D2 droite en 2015. Rupture partielle du LCP au niveau du tibia G. Status post débridement de la cuisse, de la cheville et du talon à G le 26.6.2017. Fracture arrachement de la partie interne de la malléole externe pour fracture-arrachement de la partie interne du talus G. Fracture de la partie postéro-latérale du calcanéum G. Fracture du naviculaire de la base du 2ème, 3ème et 5ème métatarses G. Rupture partielle du tendon d'Achille G (10-20%). Rupture partielle du tendon d'Achille gauche. Rupture partielle sus-épineux épaule gauche sur conflit sous-acromial gauche. Arthropathie AC gauche. Status post-acromioplastie épaule droite. Status post-spondylodèse percutanée C4-C5 C5-C6 par voie postérieure avec DTrax en 2013. Status post-hémorragie sous-arachnoïdienne en 2008. HTA. Trouble anxio-dépressif. Status post-cure tunnel tarsien. Rupture plastie du LCA genou G. Status post-greffe du tendon rotulien pour une plastie du LCA il y a 5 ans en France. Lombosciatalgie non spécifique DD articulation sacro-iliaque symptomatique à D. Rupture prématurée de membranes prolongée (>12h). Rupture prématurée des membranes. Rupture prématurée des membranes Rupture prématurée des membranes à 32 4/7 semaines d'aménorrhée. Rupture prématurée des membranes chez une patiente de 32 ans, 3-gestes, 1-pare à 32 4/7 semaines d'aménorrhée le 17.12.2018. Rupture prématurée des membranes non datable. Rupture prématurée des membranes prolongée >12 heures. Rupture prolongée des membranes avec suspicion de chorio-amniotite. Rupture spontanée de la collection Retour à domicile avec soins habituels. Rupture spontanée des membranes. Rupture subtotale du sus-épineux, subluxation du long chef du biceps avec lésion du bord supérieur du sous-scapulaire, conflit sous-acromial et arthrose acromio-claviculaire, épaule D. Rupture transfixation du sus-épineux épaule G. Contusions AC gauche. Rupture traumatique du sus-épineux, instabilité du long chef du biceps et arthropathie articulation AC traumatisée, épaule D; accident du 01.06.2018. Rupture traumatique du tendon d'Achille droit, le 11.12.2018. Rupture tympanique gauche. Oedèmes des paupières dans un contexte probablement allergique, mai 2014. Abcès para-anal droit 25.10.2014. Péricardite et épanchement pleural lors du diagnostic de LED, 2011. AVC ischémique sub-aigu sur territoire de l'artère moyenne gauche (gyrus pré- et post-central, insula et lobe pariétal postérieur) et une ischémie ponctiforme dans le territoire de l'artère moyenne droite le 13.09.2014 • NIHSS à l'entrée 6 / NIHSS à la sortie 2 • Étiologie: cardioembolique sur NSTEMI d'origine indéterminée • Facteurs de risques: tabagisme, lupus érythémateux disséminé séro-négatif Pneumonie basale gauche dans un contexte d'immunosuppression en mars 2017. Hyponatrémie hypo-osmolaire à 128 mmol/l en mars 2017. Exanthème morbiliforme dorsal sous Rocéphine le 02.03.2017. Polytoxicomane (pas de conso de drogues IV) en 2003. Baisse d'état général avec léger syndrome inflammatoire chez patient connu pour: le 24.07.2017 • LES sous méthotrexate et prednisone DD: effet secondaire médicamenteux? troubles fonctionnels? Laboratoire: CRP 36, leucocytes 10.3, bâtonnets 1.15 G/l, thrombocytes 489. Épaississement de l'oesophage distal DD tumeur de l'oesophage DD lymphome digestif. Labo Urines ECG CT thoraco-abdominal (Dr. X): épaississement de l'oesophage distal (jonction oesophago-gastrique), liquide libre dans le pelvis, ganglions augmentés en taille en rétropéritoine, axillaire. Cardiomégalie avec léger épanchement péricardique. Hépatomégalie, pas possible d'exclure des lésions secondaires hépatiques. Hernie hiatale. OGD en ambulatoire le 05.11.2018 (bon fait sur DPI). Rupture varicocèle testiculaire droite le 01.08.2018. Thrombose veineuse profonde à répétition. Anticoagulation par Xarelto. Epistaxis récidivant le 23.03.2018. RV de contrôle à la consultation du Dr. X le lundi 10.12.2018 à 15h15. RV de contrôle à la consultation du Dr. X, urologue, mardi 11.12.2018 à 15h45. Rv en ambulatoire avec le Dr. X à l'HFR Meyriez le 19.12.2018 à 10.30 (pour pose d'un Cystofix). RVU de stade 5 à 2 mois de vie (découverte lors d'une première - et unique - pyélonéphrite à 2 mois), suivi par Dr. X, diminution progressive du RVU jusqu'à stade 1 au dernier contrôle US à juin 18. Refus de faire une nouvelle CUM, donc proposition de poursuite de l'ATB prophylactique jusqu'à la propreté. • Sous Nopil 3.5 ml 1x/j. Pas d'ATCD de convulsion fébrile chez lui. RX : aucun déplacement. Fracture en voie de consolidation. RX : fracture en voie de consolidation. RX : aucun déplacement secondaire. RX : aucun déplacement secondaire au niveau du pouce et du majeur. RX : aucun déplacement secondaire. Par contre, j'ai du mal à juger de la consolidation osseuse vu la présence des implants. RX : cal solide sur les 4 corticales visibles. Remodelage en cours. L'axe du radius est en train de se corriger, actuellement on observe une bascule palmaire de 20° vers palmaire. RX : clavicule droite en 2 plans : pas de déplacement secondaire. Fracture en voie de consolidation. RX : comparativement aux radiographies postopératoires, la fracture s'est légèrement tassée, avec un recul de la vis céphalique d'un travers de clou. Par contre, pas de déplacement majeur. RX : comparé aux images postopératoires : légère ascension de la clavicule avec une distance coraco-claviculaire de 7.3 mm (post-opératoire à 6.3 mm). RX : comparé aux images précédentes, on observe malheureusement un déplacement secondaire avec une incongruence articulaire au niveau de l'IPD. Le fragment principal s'est déplacé vers palmaire, laissant une marche d'escalier d'à peu près 2 mm. RX : consolidation acquise du foyer de fracture. Implant en place. RX : consolidation de la fracture en progression avec encore présence de la ligne de fracture. Légère migration de la broche dans l'os. RX : consolidation en cours du foyer de fracture. Pas de déplacement secondaire de la fracture ou du matériel d'ostéosynthèse. RX : correction d'axe au niveau du radius distal. RX : coxarthrose avancée de la hanche gauche. RX : coxarthrose bilatérale débutante, petites calcifications du tissu mou avec DD ouvert (lésions tumorales, insertionnel, calcifications hétérotopiques). Labo : CRP 24, pas de leucocytose, VS 12. RX : coxarthrose bilatérale débutante, petites calcifications du tissu mou avec DD ouvert (lésions tumorales, insertionnel, calcifications hétérotopiques). Labo : CRP 24, pas de leucocytose, VS 12. Antalgie. RX : coxarthrose importante à gauche. RX : fracture consolidée. RX : fracture consolidée. RX : fracture consolidée. RX : fracture consolidée en position anatomique. RX : fracture consolidée en position anatomique. RX : fracture du cubitus consolidée. RX : fracture en voie de consolidation sans déplacement secondaire de la fracture ou du matériel d'ostéosynthèse. RX : fracture guérie, pas de déplacement secondaire. Matériel d'ostéosynthèse en place. RX : fracture Salter-Harris de la base du métacarpe 1 main D. RX : fracture Weber A de grande taille, juste infra-centimétrique déplacée. RX : fracture Weber B peu déplacée cheville droite. Avis Dr. X : RAD avec attelle jambière post (décharge complète), clexane et cannes anglaises et protocole RICE. La patiente reviendra le 01.01.2019 à 8h30 en FUA pour évaluation de l'état cutané et prise au bloc opératoire si état cutané le permet. (ambulatoire, consentement signé dans le dossier, à jeun depuis minuit) Antalgie. RX : guérison de l'ostéotomie. Implant en place. Pas de descellement. RX : implant en place. Pas de descellement de la prothèse. RX : implant en place sur la hanche à gauche. Arthrose débutante à droite. RX : implant en varus à droite sur la PTG et également en varus à gauche sur la PUC, implant en place scellé sans signe de descellement. Vis cassée à droite. RX : implants en place. Bonne consolidation de l'os. RX : implants en place, formation progressive de cals osseux. RX + IRM genou D : lésion complexe de la corne postérieure du ménisque interne. Quelques usures cartilagineuses derrière la rotule. Épanchement articulaire et distorsion du ligament collatéral interne. Le reste de l'IRM est dans la norme. Pas de lésion du LCA. Début d'arthrose dans le compartiment fémoro-tibial interne, avec une usure du cartilage débutante.RX : matériel en place, guérison de la fracture. RX : Panorama, ceinture scapulaire : Lésion AC Rockwood III avec une distance coraco-claviculaire gauche à 16 mm, 8 mm à droite. RX : pas de déplacement des implants. Début de consolidation de la fracture avec des traits encore présents. RX : pas de déplacement secondaire. RX : Pas de déplacement secondaire. Cicatrisation acquise du foyer de fracture. RX : Pas de déplacement secondaire. Consolidation en cours pour le Latarjet. Rx : Pas de déplacement secondaire de la prothèse. Implant en place, bien scellé. Métastases multiples visibles. RX : Pas de déplacement secondaire. Fracture en voie de consolidation. RX : pas de déplacement secondaire, fracture en voie de consolidation. RX : pas de déplacement secondaire, le fragment osseux est consolidé en position acceptable. RX : pas de déplacement secondaire. Légère hyper-sclérose de la tête humérale faisant penser à une ostéo-nécrose de la tête. RX : Pas de déplacement secondaire. Ostéotomie en cours de consolidation. Rx : Pas de déplacement secondaire. Progression de la guérison de l'os. RX : Pas de descellement des composantes. Bonne congruence gléno-humérale. RX : pas de fracture arrachement au niveau de l'épine antéro-supérieure, pas d'arrachement au niveau des branches ilio-ischio-pubiennes. Anti-inflammatoires. Contrôle chez le médecin traitant. RX : Pas de fracture en regard de M5. Rx : pas de fracture sous réserve d'une Salter Harris type I non-exclusive en raison du cartilage de conjugaison. Atelle et antalgie. RX : Pas de fracture visible. RX : pas de fracture visible. RX : pas de fracture visible. Rx : pas de fracture visible Rx : pas de fracture visible Rx : pas de fracture visible. Avis orthopédique (Dr. X) : pas d'argument pour une rupture de la plaque palmaire, faire une syndactylie avec mobilisation libre, contrôle à 10 jours. Rx : pas de fracture visible, pas de luxation Rx : pas de fracture visualisée Rx : pas de fracture. Antalgie et attelle Rx : pas de fracture. Attelle AirCast 1 semaine. Arrêt de sport 1 semaine. Contrôle chez pédiatre +/- physiothérapie si persistance des douleurs. RX : pas de fracture. ECG. Rx : pas de lésion nouvelle. Traitement fonctionnel. RX : pas de lésion osseuse, pas de corps étranger. Drainage, Penrose. Fermeture par 2 points. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 17.12.2018 pour ablation du Penrose. RX : Pas de lésion osseuse visible. RX : Pas de lésion osseuse visualisée. RX : Pas de lésion osseuse visualisée. IRM genou G : Légère inflammation en regard du ligament collatéral interne sans mise en évidence de lésion de l'aileron rotulien interne ni de lésion cartilagineuse. RX : pas de lésion osseuse. Immobilisation dans une Splintpod pour une semaine. Contrôle en policlinique d'orthopédie. Rx : pas de lésions osseuses visualisées. RAD avec conseils RICE, charge sur l'arrière-pied. Reconsulte en cas de persistance des douleurs à 2 semaines ou augmentation des douleurs. Rx : pas de lésions osseuses. Aircast pour 6 semaines + cannes anglaises + clexane. PC 1 semaine à la consultation du médecin traitant pour évaluer indication à la poursuite de la Clexane et nécessité des cannes anglaises (actuellement charge possible avec aircast mais thromboprophylaxie jugée nécessaire en aigu). RX : Pas de pathologie particulière. RX : Pas de pathologie visible. Rx : possible avulsion osseuse au niveau de la partie distale de la malléole externe. RX : Status post ablation d'un ostéochondrome. La corticale à cet endroit s'est bien équilibrée. Lésion osseuse du fémur distal médial qui est en train de se ré-ossifier par rapport aux dernières images. RX : status post fracture de la tête radiale Mason 1 sans incongruence articulaire. La radiographie effectuée par la suite ne montre pas de déplacement secondaire. Poignet G : pas de fracture visible, pas de signe indirect d'une lésion ligamentaire. RX : Status post ostéosynthèse du versant cubital de la base de P2 du pouce gauche. Bonne congruence articulaire. Pas de déplacement secondaire. D3 gauche : Status post arthrodèse temporaire d'une fracture pluri-fragmentaire de P3 D3. Broches en bonne position. Bon alignement des fragments. RX : toutes les fractures sont consolidées. Rx : Visualisation d'une gonarthrose tricompartimentale. Rx annulaire D : mallet finger osseux. Rx annulaire gauche : Plaque palmaire avec petit arrachement osseux non déplacé IPP auriculaire gauche. RX articulation AC face : pas de déplacement secondaire comparé aux images précédentes. RX avant-bras D du 18.12.2018 RX avant-bras D du 20.12.2018. RX avant-bras D face et profil de ce jour : fractures consolidées. Bon remaniement osseux. Rx avant-bras D 13.12.2018. RX avant-bras G face et profil de ce jour : pas de déplacement de la fracture. RX avant-bras G f/p : on voit encore où est la fracture qui est en train de se remodeler complètement. Fracture complètement consolidée. RX avant-bras gauche. Antalgie simple. Glace. Rx avant-bras, poignet, coude D 26.11.2018. Rx avant-bras D postOP 28.11.2018. RX avant-pied D du jour : fracture consolidée au niveau de la base de la phalange proximale et fracture en voie de consolidation au niveau de la base de la phalange distale. RX avant-pied droit face oblique : L'orteil est bien aligné. Rx avant-pied f/p/o du jour : matériel d'arthrodèse bien en place sans signe de descellement ni de déplacement secondaire. RX avant-pied G face/oblique : arthrose débutante de l'articulation métatarsophalangienne 1. RX bassin + hanche. Antalgie. Charge selon douleur. Rx bassin + hanche axiale G le 28.11.2018. Rx bassin : Présence de dysplasie modérée de la hanche G avec une altération morphologique de la tête. Rx bassin. Antalgiques en réserve. Cannes pour décharge. RX bassin de ce jour : présence d'ostéonécrose des deux côtés de degré 4 au niveau de la tête fémorale. RX bassin de face et hanche axiale D de ce jour : le matériel d'ostéosynthèse est en place. La fracture est consolidée. RX bassin de face et hanche D axiale : au niveau du cotyle il y a une petite zone de résorption au niveau du bord latéral, sinon la cupule semble bien scellée. Au niveau de la tige, on observe un liseré sur tout le pourtour de la tige avec une réaction périostée de la partie distale de la tige. RX bassin de face et hanche D axiale : prothèse en place sans déplacement secondaire par rapport au contrôle postopératoire. RX bassin de face et hanche D axiale : prothèse en place sans déplacement secondaire par rapport au dernier contrôle et sans signe d'ostéolyse. RX bassin de face et hanche G axiale : prothèse en bonne position, sans déplacement secondaire. Formation de cal au niveau du calcar. RX bassin de face et hanche G axiale : prothèse en place, sans déplacement secondaire. RX bassin de face et hanche G axiale : prothèse en place sans déplacement secondaire. Rx bassin de face, hanche axiale : pas de déplacement secondaire. Fracture consolidée. RX bassin et hanche D du 05.12.2018. RX bassin et hanche D du 06.12.2018. RX bassin et hanche D le 30.11.2018.Rx bassin et hanche droite ECG Avis orthopédique (Dr. X) CT bassin demandé, à faire dès que possible Attitude • Hospitalisation et OP pour prothèse dans les prochains jours • Attelle mousse en gouttière • Bloc inguinal à la bupivacaïne 20ml aux urgences (Dr. X) • Pister allergie auprès du MT • Contacter cardiologue Dr. X • Anesthésie contactée • À jeun dès 23h59 le 31.12.2018 RX bassin et hanche G du 02.12.2018 RX thorax du 02.12.2018 ECG du 02.12.2018 RX bassin et hanche G du 05.12.2018 Rx bassin F et hanche G axial: Rx bassin F et hanche G axial: pas de signe de fracture. PTH en place. Traitement antalgique simple Consultation chez son médecin traitant si persistance à une semaine. Mme. Y convoquée le 15.12.2018 RX (bassin f, hanche axiale D): à gauche, la prothèse de révision est en place sans changement par rapport au comparatif du dernier contrôle. Du côté droit, on observe une usure du polyéthylène avec une tête excentrée. Pas de signe d'ostéolyse évidente, ni aucun signe de descellement. RX (bassin f, hanche axiale ddc) de ce jour: pas de signe de dysplasie. Pas de signe pour une épiphysiolyse. Les apophyses sont dans la norme. Légère coxa valga. Rx bassin f, hanche D ax. postOP 08.11.2018 Rx thorax 09.11.2018 ECG 09.11.2018 US système uro-génital 09.11.2018 IRM colonne lombaire 14.11.2018 Rx bassin f, hanche D ax. 15.11.2018 US hanche D 23.11.2018 Rx bassin f, hanche D ax. postOP 25.10.2018 RX (bassin f, hanche D axiale + cuisse D f/p): pas de pathologie au niveau osseux. Présence de multiples corps étrangers d'allure métallique au niveau de la cuisse, cependant aucun corps métallique en regard de l'articulation de la hanche. RX (bassin f, hanche D axiale): bonne position des composantes de la prothèse, sans signe de descellement. Pas de rupture des câbles Dall-Miles. Ostéotomie transfémorale en voie de guérison. Pas de migration du trochanter major. RX (bassin f, hanche D axiale) de ce jour: bonne intégration de la cupule. Pas de déplacement secondaire du couvercle fémoral. RX (bassin f, hanche D axiale) de ce jour: implants en place. Pas de descellement de la prothèse. RX (bassin f, hanche D axiale) de ce jour: présence de sclérose au niveau du cotyle ddc. avec une déformation en cam de la tête fémorale. IRM (bassin): présence d'arthrose débutante associée à une lésion antérieure du labrum RX (bassin f, hanche D axiale) de ce jour: prothèse en place, sans signe de descellement. RX (bassin f, hanche D axiale): matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de déplacement secondaire, signe de consolidation osseuse. RX (poignet D, f/p): pas de déplacement secondaire de la fracture. Consolidation osseuse en cours. RX (bassin f, hanche D axiale): pas de signe de descellement de la prothèse. Prothèse en place. Rx bassin f, hanche D postOP 22.11.2018 RX (bassin f, hanche ddc. axiale) du 06.11.2018: par rapport au comparatif du 2014, majoration de la migration crâniale de la cupule acétabulaire avec une protrusion. A noter que déjà en 2014, on voit une lyse autour de la cupule. Usure excentrique du polyéthylène. La tige cimentée semble être stable. Raccourcissement du membre inférieur gauche d'environ 2.5 cm. CT-scan du bassin du 06.11.2018: protrusion de la cupule acétabulaire vers crânial, mais surtout, migration postérieure, raison pour laquelle, la colonne postérieure est déficitaire. Lyse osseuse au pourtour de la cupule. Pas de lyse péri-prothétique au niveau fémoral. RX (bassin f, hanche ddc. axiales) de ce jour: implants en place. Pas de signe de descellement. Bonne ostéo-intégration de la prothèse. RX (colonne): présence d'arthrose dorso-lombaire multi-étagée avec une scoliose dégénérative dextro-convexe. RX (bassin f, hanche ddc. axiales): présence d'arthrose du côté droit. Bonne intégration de la prothèse à gauche, pas de descellement. RX (bassin f, hanche droite axiale): implants en place. Pas de descellement de la prothèse. Rx bassin f, hanche G ax. postOP 23.11.2018 Rx bassin f, hanche G ax. postOP 30.11.2018 Rx bassin f, hanche G ax. 17.11.2018 pré et post réduction fermée Rx bassin f, hanche G ax. 23.11.2018 ECG 23.11., 24.11., 25.11., 26.11., 27.11., 28.11., 29.11.2018 RX (bassin f, hanche G axiale): bonne intégration des implants. Présence du trajet en correspondance de l'ostéotomie fémorale. Implants en place. RX (bassin f, hanche G axiale) de ce jour: bonne position du matériel d'ostéosynthèse sans déplacement secondaire. La fracture est en voie de consolidation. RX (bassin f, hanche G axiale) de ce jour: fracture en cours de consolidation. Matériel d'ostéosynthèse en place. RX (bassin f, hanche G axiale) de ce jour: implants en place. Pas de descellement de la prothèse. RX (bassin f, hanche G axiale) du 22.11.2018: présence d'arthrose. RX (bassin f, hanche G axiale): implants en place. Bonne ostéo-intégration de la prothèse. Pas de descellement. RX (bassin f, hanches axiales ddc): status post ostéotomie pelvienne ainsi qu'ostéotomie de varisation du fémur proximal bilatéral. Déconfiguration ddc des têtes fémorales qui ont un aspect légèrement magna et aplati. RX (bassin f): pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse, ni fracture du matériel. Migration supérieure au niveau de la sacro-iliaque droite inchangée au comparatif. Discret signe de consolidation osseuse. RX bassin face: coxarthrose débutante avec sclérose sous-chondrale. Ostéophytes à l'angle latéral, ainsi qu'ostéophytes au niveau du fond cotyloïdien. La diminution de la couche cartilagineuse n'est pas très impressionnante. IRM: diminution de la couche cartilagineuse, plutôt au niveau cotyloïdien et une couronne ostéophytaire autour de la tête. Le labrum a un hyper signal sans preuve de dégénérescence. RX bassin face + hanche D axiale: Pas d'arthrose visualisée. Pas de lésion osseuse visualisée. RX bassin face ddc axiale: pas de descellement prothétique, composantes en place. Genou droit face/profil, rotule axiale et schuss: gonarthrose bilatérale à prédominance dans le compartiment fémoro-tibial externe, plus avancée à droite où il y a un contact os/os. RX bassin face de ce jour: Prothèse totale hanche droite en place du côté gauche. On note une nécrose avasculaire de la tête du fémur. Comparé aux derniers clichés de bassin datant d'il y a une année, on note une dégradation importante de la nécrose de la tête du fémur avec une diminution de la hauteur du MIG d'environ 1.3 cm. RX genou gauche face, profil, rotule axiale: Pas de descellement prothétique. Implant en place. Pas de lésion osseuse visualisée. RX bassin face du 13.09.2018: dans la norme. Pas de signe de latéralisation de la tête. Pas de signe pour une dysplasie. Pas de signe de Perthès. Pas de signe d'épiphysiolise. RX bassin face et hanche axiale G, fémur AP: pas de déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse, ni de la fracture avec une consolidation en cours. Pas de rupture du cerclage. RX bassin face et hanche cross table axiale: bonne intégration de la cupule, aucun liseré autour, ni autour de la vis. Bon cimentage. Pas de liseré autour de la tige. Aucune ossification hétérotopique. Aucune usure du polyéthylène. RX bassin face et hanche D axiale: prothèse en place sans signe de descellement. Pas de déplacement secondaire. RX colonne lombaire face et profil en charge: arthrose facettaire pluri-étagée. RX bassin face et hanche D axiale, fémur D f/p: pas de descellement du matériel. Fracture en voie de consolidation. RX bassin face et hanche G axiale: fracture consolidée sans déplacement secondaire de la fracture ou du matériel d'ostéosynthèse. RX bassin face et hanche G axiale: matériel prothétique en place. Pas de déplacement secondaire. Pas de descellement. RX bassin face et hanche G axiale: pas de descellement de la prothèse. RX bassin face et hanche G axiale : prothèse en place sans déplacement secondaire par rapport au dernier comparatif. Colonne lombaire f/p en charge : courbure physiologique. Antélisthésis de grade I de L4 sur L5 et de L5 sur S1, sans lyse isthmique clairement visible. Spondylose étagée. Arthrose des articulations facettaires plus marquée aux niveaux L3-L4, L4-L5, L5-S1. Phénomène de Baastrup. Altérations dégénératives des articulations sacro-iliaques. RX bassin face et hanche G axiale de ce jour : pas de descellement. Pas d'ossification. RX genou D face, profil et rotule axiale en charge : pincement du compartiment fémoro-tibial interne avec nombreux ostéophytes. Arthrose fémoro-patellaire avec ostéophytose, sclérose sous-chondrale et pincement articulaire. RX bassin face, hanche D ax : Coxarthrose bilatérale plus prononcée à G qu'à D. L'interligne articulaire est encore bien visible, sans contact os/os. Spondylarthrose des derniers segments visibles. Pas d'arthrose des sacro-iliaques. RX bassin face, hanche droite axiale : La fracture est guérie. Le clou est en place. Pas de descellement. Pas de déplacement secondaire de la fracture. RX bassin face, hanche droite axiale : Pas de signe de descellement prothétique. Du côté gauche, déformation de la tête du fémur type CAM avec une coxarthrose débutante. RX bassin face, hanche gauche axiale : Bonne ostéo-intégration des composantes prothétiques. Pas de descellement prothétique. Joli montant de ciment autour de la tige de la prothèse. RX (bassin face, inlet/outlet) de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture qui est en voie de consolidation. Rx bassin face/hanche axiale : pas de déplacement par rapport au cliché du 05.11.2018. CT du 13.12.2018 : pseudarthrose au niveau du fémur proximal. Rx bassin f/hanche axiale à D du jour : matériel d'ostéosynthèse en place sans déplacement secondaire. La fracture est consolidée. Déformation de la tête fémorale à G, connue, inchangée DD ostéonécrose. Rx bassin, hanche et fémur G postOP 05.12.2018 Rx bassin, hanche G 20.11.2018 Rx thorax 20.11.2018 Rx bassin, hanche G postOP 22.11.2018 RX bassin 07.12.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visualisée. Coxarthrose bilatérale encore modérée, en relation avec l'âge de la patiente. Les articulations sacro-iliaques sont bien délimitées. Lésions dégénératives de la symphyse pubienne débutantes. CT et RX de la colonne lombaire 07.12.2018 : Burst fracture de L1 avec recul du mur postérieur à 3 mm. Fracture de la lame droite de L1, remontant dans l'articulation facettaire L1-L2. Au vu de l'atteinte des éléments postérieurs décrite ci-dessus, la fracture est instable. RX bassin/hanche droite, le 01.11.2018. Rx bras D f/p : pas de déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse. Fracture en voie de consolidation. Rx calcanéum D p/axial/broden du jour : consolidation complète de la fracture sans déplacement secondaire. Rx calcanéum ddc du jour : matériel en place sans signe de déplacement secondaire. Rx calcanéum G f/axial/broden du jour : status post ablation du matériel complète et fracture consolidée. Rx calcanéum G latéral axial et broden : bonne consolidation de la fracture. Pas de descellement du matériel d'ostéosynthèse. Rx calcanéum latéral axial et Broden : bonne consolidation de la fracture. RX Calendrier vaccinal à jour désinfection Exploration Stéristrip Pansement Antalgie Contrôle chez son pédiatre dans 48h Rx cervical, thoracique, lombaire 5.12.2018 : pas de fractures visualisées, pas de spondylolysthésis, pas d'asymétrie des tissus mou paravertébraux. CT cervical 11.12.2018 : pas de fracture, pas de déplacement, lésion ostéophytaire postérieur C6-C7 et uncarthrose, pas d'hématome RX cervicale f/p du jour (PACS) : la cage est bien en place, pas de signe de déplacement secondaire. Pas d'autre lésion mise en évidence. RX cervicale : Pas de fractures visibles. Rx cheville Cannes avec charge selon douleurs Bandage élastique Sportusal gel Arrêt du sport Avis orthopédique : Dr. X RX cheville D de ce jour : fracture consolidée. RX cheville D face et profil : fracture consolidée sans déplacement secondaire. Les cartilages de croissance sont complètement fermés tant au niveau du tibia que du péroné. RX cheville D face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX cheville D face et profil de ce jour : fracture consolidée. Rx cheville D, face-profil : bonne consolidation de la fracture. Rx cheville D face/profil : Pas d'image de fracture visible. Structure d'allure calcifiée, sous-malléolaire externe. Dr. X Rx cheville D, face-profil du jour : pas de déplacement secondaire du résidu des vis du tibia. Rx cheville D, face-profil en charge : pas de récidive des ostéophytes. Rx cheville D face/profil. RICE Attelle jambière postérieure Clexane prophylactique Contrôle polyclinique dans 7 jours. RX (cheville D, f/p) de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place. Bonne consolidation osseuse. RX cheville D f/p du jour : fracture consolidée. Matériel en place. Bonne congruence de la mortaise. RX cheville D (f/p) du jour : fracture en cours de consolidation. RX cheville D (f/p) du jour : fracture en voie de consolidation. RX cheville D f/p du jour : montre le matériel en place. Fracture consolidée. RX cheville D f/p du jour : pas de déplacement secondaire au niveau du foyer de fracture. RX cheville D (f/p) du jour : pas de lésion osseuse. Pas d'impaction sur le cartilage de croissance. Rx cheville D f/p du jour en charge : matériel d'ostéosynthèse en place. Les fractures sont consolidées. Rx cheville D f/p du jour : en comparatif des clichés de septembre, nous mettons en évidence une légère opacification de la ligne articulaire. Pour le reste, pas de déplacement des structures osseuses. Rx cheville D f/p du jour : matériel en place. Fracture consolidée. RX cheville D f/p du 03.12.2018 : cf diagnostic RX cheville D (f/p) en charge du jour : bonne consolidation de la fracture. RX (cheville D, f/p en charge, hors plâtre) de ce jour : bonne position du matériel d'ostéosynthèse sans déplacement secondaire de la fracture qui est en cours de consolidation. Pas d'ouverture du medial clear space. RX cheville D f/p : pas de déplacement secondaire des vis. Bonne consolidation de l'arthrodèse. Rx cheville D le 14.11.2018 Rx jambe D le 14.11.2018 Rx poignet/main D le 14.11.2018 CT cheville D 15.11.2018 Rx cheville D le 23.11.2018 CT cheville D le 26.11.2018 Rx cheville D le 29.11.2018 Rx cheville droite face/profile du 19.12.2018 : fracture non déplacée de la partie distale de la fibula. CT scan du pied droit 19.12.2018 : pas de fracture intra-articulaire. RX cheville droite f/p du jour : pas de déplacement secondaire au niveau du matériel d'ostéosynthèse. Fracture guérie. Rx cheville droite : pas de fractures visualisées. Rx cheville droite : pas de fracture visualisée. Rx cheville en charge. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X) : • Suite à immobilisation par Aircast • Contrôle clinique et radiologique à 3 et 6 semaines en ortho urgences au team pied. Rx cheville et avant-pied : fracture non déplacée de la diaphyse juste au-dessus de la jonction diaphyse-épiphysaire proximale. Rx post-pose de plâtre : pas de déplacement fracturaire. Rx cheville et jambe f/p de ce jour à gauche : fracture de la malléole type Weber A externe. Rx cheville et jambe f/p. Avis orthopédique (Dr. X/Dr. X). Traitement conservateur avec Aircast pendant 3 semaines (au total 4 semaines post-fracture, cannes, charge selon douleur). Contrôle radio-clinique à 3 semaines en consultations ortho-urgences (le patient sera convoqué). Rx cheville et pied G : pas de fracture. Rx cheville et pied : pas de fracture ni luxation.Rx: Cheville et pied: Pas de fracture visualisée (CD donné à Mme. Y pour contrôle ortho Dr. X) Cannes et immobilisation par attelle de cheville 6 semaines, marche en charge selon douleur Antalgie 48h d'office puis R par Dafalgan 500 4x/j et Ibuprofen 400mg 3x/j et glaçage 3x20min/j Arrêt de sport 6 semaines Cô chez pédiatre à 10J-2semaines Rx cheville et pieds: sans fracture. Fibrome déjà connu, investigué par IRM RX cheville face et profil : fracture consolidée sans déplacement secondaire. Rx cheville face-profil, pied face-oblique en charge : pas de déplacement secondaire. Rx cheville F/P : pas de fracture Rx cheville F/P : pas de fracture RICE, AirCast Antalgie simple Suivi chez le médecin traitant à une semaine Rx cheville F/P + Pied/avant pied F/O : fracture malléole externe droite SH2 non déplacée Rx cheville F/P en charge : pas d'ouverture de la syndesmose, pas d'écartement de la mortaise Avis Ortho (Dr. X) Botte plâtrée fendue et béquilles Contrôle en ortho urgences dans 1 semaine Durée du plâtre 4 semaines Rx cheville F/P G: fracture trimalléolaire, avec probable atteinte de la syndesmose Rx pied F/O G: pas de fracture au niveau du pied CT cheville G: fracture trimaléolaire, pas de fx de Volkmann, pas de morceau IA Consilium orthopédie (Dr. X) Consilium anesthésiologie (__) Attitude: • Immobilisation dans une botte plâtrée fendue • Hospitalisation en orthopédie • Antalgie simple, AINS, Traumanase • Thromboprophylaxie par Clexane 40mg SC • Vadoplex hors plâtre • Lit stricte, glace et surélévation du pied Rx cheville F/P G: fracture trimalléolaire, avec probable atteinte de la syndesmose Rx pied F/O G: pas de fracture au niveau du pied CT cheville G: fracture trimalléolaire, pas de Volkmann, pas de fragment intra-articulaire, syndesmose intacte. RX cheville G f/p en charge : fracture en voie de consolidation. Pas de déplacement secondaire. RX cheville G du 04.12.2018 RX cheville G du 06.12.2018 RX cheville G du 06.12.2018 RX pied G du 06.12.2018 CT cheville G du 06.12.2018 RX cheville G du 12.12.2018 RX cheville G du 15.11.2018 RX jambe G du 15.11.2018 CT cheville G du 15.11.2018 RX thorax du 15.11.2018 RX cheville G de 19.11.2018 RX cheville G du 20.11.2018 RX cheville G du 23.11.2018 RX cheville G du 28.11.2018 ECG du 15.11.2018 et du 03.12.2018 RX cheville G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est consolidée. RX cheville G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est en voie de consolidation. RX cheville G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Signe de consolidation osseuse sur la malléole interne et postérieure. RX cheville G face et profil en charge : pas de déplacement secondaire. RX cheville G face et profil en charge de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est en voie de consolidation. RX cheville G faites aux urgences : pas de fracture visualisée. Rx cheville G f/p : matériel bien en place. La fracture est quasiment guérie. Pas de déplacement secondaire du matériel d'OS. Rx cheville G F/P : pas de fracture Rx cheville G F/P : pas de fracture Avis Dr. X : • Attelle jambière postérieure • Clexane prophylactique • Antalgie simple et RICE • RDV policlinique dans 1 semaine Rx cheville G f/p du jour: amélioration de la consolidation de l'arthrodèse. Pas de déplacement secondaire. Pas de déscellement du matériel d'ostéosynthèse. Rx cheville G f/p du jour: matériel d'ostéosynthèse en place. Fracture consolidée. RX cheville G f/p du jour: matériel en place avec des fractures consolidées. Pas de déplacement secondaire. RX cheville G f/p du 15.11.2018 RX jambe G f/p du 15.11.2018 RX cheville G f/p du 21.11.2018 RX cheville G (f/p) en charge du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX cheville G f/p sans charge : montre un statut post-ablation complète du matériel, la fracture est consolidée. RX cheville gauche. Immobilisation par Aircast. Antalgie gérée par Mme. Y car dit avoir un anti-algique puissant à domicile dont elle ne se souvient pas du nom utilisé dans le cadre de douleurs de l'utérus. Contrôle chez le médecin traitant à 7 jours. Physiothérapie. Rx cheville: pas de fracture Rx cheville: pas de fracture Rx cheville: pas de fracture visualisée RX cheville Avis orthopédiste (Dr. X) : ostéosynthèse. Attitude : • Immobilisation botte plâtrée fendue (Dr. X sous supervision Dr. X). • Hospitalisation en vue de la chirurgie, Mme. Y à jeun le 04.12.2018 après petit déjeuner. • Pose de VVP à l'étage + hydratation 1000 NaCl sur 24h. Rx cheville/calcanéum D le 03.12.2018 Rx chevilles DDC, face-profil en charge : arthrose avancée de la cheville gauche post-traumatique. Rx chez le médecin traitant Consilium chirurgie (Dr. X et Dr. X) : Drain thoracique, hospit, puis Drain thoracique 20 aux urgences (Dr. X et Dr. X) Rx post-drain : bonne position Attitude : • O2 aux lunettes 4L • Hospitalisation en chirurgie • Antalgie simple • Thoracoscopie à organiser pour le 27.12 RX clavicule D face tangentielle de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX clavicule D face tangentielle de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Visualisation du cal osseux. Rx clavicule D f/t du jour : matériel en place, pas de déplacement secondaire. Traits de fracture toujours visibles. RX clavicule D (f/tangentiel) du jour : début de consolidation de la fracture. Pas déplacement secondaire. RX clavicule D (f/tangentiel) du jour : pas de déplacement secondaire. Fracture en voie de consolidation. RX clavicule D f/tangentielle : consolidation osseuse en cours avec bon cal osseux visible. Pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. RX clavicule droite face tangentielle du jour : consolidation de la fracture, pas de déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse. RX clavicule droite face/tangentiel : pas de signe de déplacement secondaire. Consolidation osseuse en cours. RX clavicule du jour : pas de déplacement de la fracture de la clavicule. RX du bassin : pas d'arrachement osseux, ni de fracture. Rx clavicule face et tangentielle : absence de fracture Antalgie par Dafalgan, glace 3x/j Rx clavicule face Rucksack 4 semaines, antalgie en réserve Contrôle à 1 semaine en ortho urgences Arrêt de sport 4 semaines RX clavicule f/tangentielle à G : bon alignement clavico-acromial comparable au postopératoire. RX clavicule G face tangentielle de ce jour : déplacement de la fracture avec un angle de 26°. Les 2 fragments de la fracture sont encore en contact avec un écartement de 0,8 mm. Rx clavicule G f/tangentiel : discret remaniement osseux par rapport au comparatif. RX clavicule G (f/tangentiel) : pas de déplacement secondaire. Cal osseux visible. Fracture en voie de consolidation. RX clavicule G (f/tangentiel) du jour : fracture en voie de consolidation, sans déplacement secondaire. RX clavicule G f/tangentielle : pas de déplacement secondaire. Matériel d'ostéosynthèse en place. Signe de consolidation osseuse. RX (clavicule G, f/tangentielle) de ce jour : évolution stagnante par rapport au comparatif. Rx clavicule Rucksack Antalgiques en réserve Contrôle urgences ortho dans 10 jours Avis orthopédique tél : Dr. X Rx coccyx: pas de fracture Rx coccyx: pas de fracture Rx colonne cervicale du 04.12.2018 : pas de fracture, pas de spondylolisthésis, pas de modification des espaces intervertébraux Rx colonne cervicale : pas de fracture, pas de spondylolisthésis, pas de modification des espaces intervertébraux Rx colonne cervicale : pas de fractures, Rx thorax : sans particularités Rx colonne cervicale, dorsale, sacrum et coccyx • Avis Dr. X • Surveillance aux 12h aux urgences • Status neuro sp le matin • Antalgie simple • Consignes surveillance TC 48h à la maman Rx colonne cervicale, dorsale, sacrum et coccyx • Avis Dr. X • Surveillance neurologique pendant la nuit • Réévaluation le matin et RAD RX colonne cervicale et lombaire f/p de 2016 : troubles dégénératifs au niveau des facettes articulaires lombaires ainsi que cervicales. Ostéophyte au niveau du mur antérieur de la vertèbre L4. Rétrécissement foraminal au niveau C5-C6, C6-C7. RX colonne cervicale face/profil du jour (PACS) : matériel de fixation antérieur bien en place et intègre. Les cages sont également en place. Pas de perte de hauteur des corps vertébraux. RX colonne cervicale face/profil du jour (PACS) : pas d'aggravation de la décompensation. Vis et cage bien en place. US abdominal du jour (PACS) : légère hépatomégalie et stéatose. Pas de calculs biliaires. Pas de signe en faveur d'une hernie abdominale. RX colonne cervicale face/profil du jour (PACS) : pas de déplacement de C2 ni de la dens. Colonne cervicale bien alignée. RX colonne cervicale face/profil du jour (PACS) : pas de déplacement secondaire de la fracture. Pas de nouvelle fracture. Pas de cyphotisation. RX colonne cervicale f/p du jour (PACS) : matériel de spondylodèse en place. RX colonne cervicale f/p du jour (PACS) : pas de déplacement secondaire de la fracture. Pas d'autre lésion mise en évidence. RX colonne cervicale f/p du jour (PACS) : pas de déscellement du matériel ni de changement au niveau des plateaux adjacents aux cages implantées. RX colonne cervicale f/p du jour (PACS) : pas de mise en évidence de déscellement de la plaque ni de déplacement antérieur. Cages difficiles à visualiser vu de l'anatomie du patient. Rx colonne cervicale 04.12.18 : pas de fracture, pas de spondylolisthésis, pas de modification des espaces intervertébraux RX colonne cervicale 19.12.2018, comparatif 21.03.2018 : la hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Inversion de la courbure physiologique de la colonne cervicale avec une flexion modérée de cette dernière, sans décalage des corps vertébraux. Pas de tuméfaction des parties molles prévertébrales. Sur l'incidence transbuccale, comme sur l'examen du 21.03.2018, on trouve une excentration de la dens par rapport aux massifs latéraux de C1. Ces derniers sont alignés par rapport à C2. En cas de doute clinique sur une lésion ligamentaire, une IRM pourrait être réalisée. RX colonne dorsale : la hauteur des corps vertébraux est conservée. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Pas de tassement. Pas de fracture mise en évidence. RX sacrum : la petite ligne radio-transparente à la partie dorsale du sacrum en regard de S3-S4 doit correspondre à une articulation. À corréler toutefois à la clinique. Sinon pour le reste, rapports articulaires physiologiques. RX colonne cervicale • Novalgine 500 mg RX colonne dorsale et cervicale face et profil de ce jour : pas de péjoration du tassement vertébral. Rx colonne dorsale et lombaire f/p (PACS) : pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. RX colonne dorsale face/profil du jour (PACS) : pas de changement par rapport aux comparatifs avec bonne tenue des vis, sans évidence de déscellement ni de nouvelle fracture. Rx colonne dorsale le 10.12.2018. RX colonne dorso-lombaire face/profil du jour (PACS) : progression d'une fracture pathologique L2 avec cyphotisation segmentaire, sans évidence d'autre fracture. RX colonne dorso-lombaire f/p du jour (PACS) : fracture en cours de consolidation, léger aspect cyphotique relativement stable par rapport au cliché précédent. RX colonne dorso-lombaire f/p du jour (PACS) : pas de changement ni de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Angle de Cobb segmentaire stable. RX colonne dorso-lombaire f/p du jour (PACS) : pas de déplacement secondaire du matériel. Le matériel est intact. Rx colonne lombaire bas : doute radiologique sur la fracture suscitée (ancien vs actuel) Rx colonne lombaire bas : Pas de fracture vertébrale à la localisation des douleurs. Affaissement du mur supérieur de T12 sans recul du mur postérieur (mur postérieur 2.5 cm, mur antérieur 2.08 cm). CT colonne dorsale et lombaire : tassement D12 probablement nouveau selon Dr. X, pas de fractures au niveau lombaire, hernie Schmorl L1L2. RX colonne lombaire du jour f/p (PACS) : stabilité de l'angle de Cobb segmentaire à 18° sans mise en évidence de tassement progressif. Pas de nouvelle fracture. RX colonne lombaire du 03.12.2018. RX colonne lombaire du 10.12.2018. RX colonne lombaire en flexion latérale du jour (PACS) : pas d'instabilité de la scoliose. Pas de glissement des corps vertébraux. IRM colonne lombaire du 13.12.2018 (PACS) : mise en évidence d'un rétrécissement foraminal au niveau L3-L4 G, n'expliquant pas les plaintes de la patiente. RX colonne lombaire face/profil (apportée par la patiente) : légère scoliose sinistro-convexe lombaire idiopathique. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : bonne stabilité du matériel, sans évidence de déscellement ni de fracture. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : impression de discrète progression de la fracture avec angle de Cobb tout de même préservé sur ce segment. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : matériel de spondylodèse bien en place. Pas de déplacement du ciment. RX genou G face/profil du jour (PACS) : légère arthrose du compartiment interne. Pas d'autre lésion, ni de fracture mise en évidence. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : matériel de spondylodèse bien en place, sans déplacement secondaire. Pas de déplacement de la cage. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : matériel de spondylodèse en place. Pas de déplacement secondaire. Rx colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : matériel de spondylodèse en place. Pas de déplacement secondaire. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de déplacement du matériel. Bon alignement vertébral. Pas de perte de hauteur des corps vertébraux. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de déplacement du matériel de spondylodèse. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de déplacement du matériel L4-L5 ni L5-S1. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de déplacement du matériel qui est intact. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de déscellement du matériel. Signes de fusion en progression. Pas de vis cassée ni de tige déplacée. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de déscellement ni de déplacement du matériel. Pas de déplacement des cages. Début de signes de consolidation. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : pas de progression des différentes fractures ni de cyphotisation progressive. Pas de nouvelle fracture. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : progression du tassement L2 en vertèbre plana avec discrète cyphotisation segmentaire et consolidation dans cette position, sans évidence de rétro-pulsion du fragment dans le canal. RX colonne lombaire face/profil du jour (PACS) : stabilité du tassement L2, sans cyphotisation ni progression de la fracture avec angle de Cobb segmentaire stable à 5°. Rx colonne lombaire face/profil : pas de pincement L5S1 visualisé, pas d'anté-listhésis. Rx colonne lombaire f/p du jour (PAC) : impression de discrète progression de la fracture L3 sans changement de l'angle de Cobb. RX colonne lombaire f/p du jour (PACS) : comparé au dernier cliché, pas de déplacement du matériel de spondylodèse. Pas d'autre lésion mise en évidence. Rx colonne lombaire f/p du jour (PACS) : comparé aux derniers clichés, pas de progression de la fracture L1. Pas d'autre lésion mise en évidence mis à part l'arthrose sévère L4-L5, L5-S1. RX colonne lombaire f/p du jour (PACS) : matériel de spondylodèse bien en place sans mise en évidence de descellement ni effondrement des vis ni des cages. Lordose segmentaire et lombaire préservées. Rx colonne lombaire f/p du jour (PACS) : matériel de spondylodèse en place. RX colonne lombaire f/p du jour (PACS) : matériel de spondylodèse en place. Pas de signe de descellement. Pas d'autre lésion mise en évidence. RX colonne lombaire f/p du jour (PACS) : pas de déplacement du matériel. RX colonne lombaire f/p du jour (PACS) : scoliose dégénérative. Discarthrose L2-L3 marquée. Signes d'arthrose au niveau des facettes articulaires surtout au niveau du segment lombaire. Les deux prothèses au niveau L4-L5 et L5-S1 sont décentrées. RX colonne lombaire f/p du 03.12.2018. RX colonne lombaire f/p du 11.12.2018. RX colonne lombaire f/p le 12.12.2018. RX colonne lombaire f/p (PACS) : matériel en place. Pas de déplacement. Rx colonne lombaire le 21.11.2018. Rx colonne lombaire le 26.11.2018. CT colonne lombaire le 26.11.2018. IRM colonne lombaire le 28.11.2018. Rx colonne lombaire postOP 10.12.2018. Rx colonne lombaire postOP 26.11.2018. Rx colonne lombaire postOP 28.11.2018. Rx colonne thoracique le 30.11.2018. Rx cervicales 03.12.2018. Rx hanche droite/bassin 03.12.2018. CT cérébral natif 03.12.2018. Antalgie. RX colonne totale du jour (PACS) : pas d'altération suspecte pour un Morbus de Scheuermann mais suspicion d'une scoliose sinistro-convexe dorsale haute débutante sur le plan coronal. RX cou tissus mou et thorax. labo. avis ORL. RX coude : Fracture guérie en position anatomique. Jolie congruence articulaire. RX coude D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est consolidée. RX coude D face et profil de ce jour : pas de fracture visualisable. Rx coude D postOP le 30.11.2018. RX coude droit et gauche f/p : consolidation des fractures sans déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Rx coude face/profil : absence de fracture visible. Avis orthopédique (Dr. X) Antalgie simple. Reconsulte si diminution de l'utilisation du bras droit ou persistance de la douleur. Rx coude face/profil : absence de fracture visible. Avis orthopédique (Dr. X) Antalgie simple. Reconsulte si diminution de l'utilisation du bras droit ou persistance de la douleur. Rx coude f/p : consolidation de la fracture. Pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. RX coude G face et profil : consolidation de la fracture. Pas de déplacement secondaire. RX coude G face et profil de ce jour : fracture consolidée, sans déplacement secondaire. RX coude G face et profil de ce jour : le matériel d'ostéosynthèse est en place. La fracture est consolidée. RX coude G face et profil de ce jour : très léger déplacement (environ 1 mm) par rapport aux clichés réalisés aux urgences. RX coude G (f/p) du jour : bonne consolidation de la fracture. RX coude G (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx coude G f/p du jour : bonne consolidation de la fracture. RX coude G 29.11.2018. RX genoux ddc 29.11.2018. Rx coude Gauche : pas de fracture visible. RX coude gauche. Avis orthopédique (Dr. X) le 12.12.2018. Antalgie au besoin. Attelle BAB du 12.12 au 19.12.2018. Physiothérapie de mobilisation dès le 19.12.2018 : flexion/extension active assistée, d'amplitude selon tolérance, éviter si possible les mouvements de prosupination, pas de charge ni de contrainte pendant 6 semaines. Contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X le 21.01.2018 à 15h00. Rx coude : pas de fracture visualisée, doute sur un possible "fat pad sign". Traitement symptomatique. Immobilisation du bras droit dans un collet. Consultation ortho-urgences team membre supérieur au 21.12.2018. RX cuisse droite f/p : pas de lésion traumatique visualisée. RX main droite f/oblique : pas de lésion traumatique visualisée. RX cuisse droite f/p : pas de lésion visualisée. RX main droite f/oblique : pas de lésion visualisée. Désinfection, pansement simple. Antalgie simple. Temesta 1 mg. Annonce de morsure à l'Etat de Fribourg. Suite chez le médecin traitant si persistance des douleurs. RX de ce jour : consolidation de la fracture. Présence d'arthrose de la hanche ddc. RX de ce jour : consolidation osseuse complète avec cal hypertrophique complet. Pas de descellement du matériel. Pas de matériel cassé. RX de ce jour : fracture consolidée. RX de ce jour : fracture consolidée. Matériel d'ostéosynthèse en place. RX de ce jour : fracture du tubercule majeur consolidée et en bonne position. RX de ce jour : fracture en voie de consolidation avec remaniement des rebords osseux visibles. Pas de déplacement du matériel. RX de ce jour : le matériel d'ostéosynthèse est en place. Bon alignement de la clavicule avec un comblement progressif du trait de fracture. RX de ce jour : lésion type cam avec un interligne articulaire maintenu, sans signe d'arthrose. RX de ce jour : pas de descellement de la prothèse. Bonne ostéointégration. RX de la cheville D : matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de déplacement secondaire. Signe de consolidation osseuse. RX de la cheville D effectuée aux urgences : pas de fracture visualisée, possiblement petit arrachement au niveau talo-fibulaire. RX de la cheville et du calcanéum gauches : pas de fracture. RX épaule gauche : pas de luxation de l'épaule, pas de fracture, AC gauche pas bien visualisée, luxation acromion-claviculaire stade 2. US de la cheville et du pied gauches : aspect épaissi et forte hétérogénéité de structure hyper- et hypoéchogène à la jonction musculo-tendineuse. Hématome de 12 mm d'épaisseur. Une structure anéchogène évoquant la localisation de la rupture sur un gap estimé à 4 mm. La portion distale du tendon est fibrillaire, conservée. IRM de l'épaule gauche native 18.12.2018 : images d'une distorsion de l'articulation AC avec une probable rupture du ligament AC se caractérisant par un gap d'environ 9 mm entre l'extrémité latérale de la clavicule et l'apophyse coracoïde. Images d'une distorsion du ligament coraco-claviculaire avec de nettes altérations de signal dans la partie distale du ligament, proche de son insertion coracoïdienne. Rx de la cheville gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : • Immobilisation par attelle cheville plâtrée, pas de charge, cannes anglaises. • Xarelto 10 mg per os 1x/j. • Contrôle clinique à J7 en team ortho urgences. • Physiothérapie dès J7, bon de physio déjà donné. RX de la clavicule D (f/tangentiel) du jour : cal osseux bien visible. Pas de déplacement secondaire. RX de la jambe D f/p et de la cheville D f/p : matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Traits de fractures toujours visibles. RX de la main droite f/o du jour : superposable au précédent contrôle. Pas de migration de l'ancre en sous-capital du 2ème métacarpe. Rx de l'épaule D face en 3 rotations. Adaptation de l'antalgie. Rx de l'épaule gauche : antalgie par Dafalgan et Irfen. Repos. Contrôle chez le médecin traitant dans une semaine. Rx de l'épaule gauche incidence antéro-postérieure et Neer : pas de signe de lésion osseuse, espace sous-acromial normal. RX de l'Hallux D (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx de l'index : pas de fracture, présence de corps étranger métallique au niveau du bord latéral de la plaie. Désinfection de la main.Champage stérile, anesthésie locale en bague avec 4 ml de Rapidocaïne. Exploration de la plaie : pas de rupture du tendon extenseur de l'index. Suture avec 2 points par Prolène 4.0. Attelle de l'index. Ablation des fils dans 7 à 10 jours. Vaccination tétanique à jour. Rx de thorax du 26.10.2018 : Comparativement au 22 août 2018, on retrouve des signes d'insuffisance cardiaque légèrement décompensée avec nette augmentation des épanchements pleuraux bilatéraux prédominant à gauche. Un foyer infectieux basal surajouté n'est pas exclu. ECG du 26.10.2018 : ECG pacemaker comparable à ECG du 22.08.2018, régulier, fréquence cardiaque à 55/min, absence d'onde P, QRS larges avec BBG, absence de progression de l'onde R, pas de signe d'ischémie aiguë. Rx de thorax élargi : corps étranger au niveau pylorique. Rx de thorax le 03.12.2018 Catheter artériel radial droit du 03.12 au 05.12.2018. Hydratation intraveineuse. Insuline intraveineuse du 03.12 au 05.12.2018. Reprise de la pompe à insuline sous cutanée le 05.12.2018. Substitution électrolytique (notamment K+ et Phosphate). Noradrénaline du 03.12 au 04.12.2018. Avis endocrinologique (Dr. X) : • Pompe réglée à 15.65 U/24h de NovoRapid. Actuellement augmentée de 10 %. • Schéma de correction préprandiale selon valeurs (géré par la patiente elle-même via la pompe). Rx de thorax le 03.12.2018 Catheter artériel radial droit du 03.12.2018 au 05.12.2018. Hydratation intraveineuse. Insuline intraveineuse du 03.12.2018 au 05.12.2018. Reprise de la pompe à insuline sous cutanée le 05.12.2018. Substitution électrolytique. Noradrénaline du 03.12.2018 au 04.12.2018. Avis endocrinologique (Dr. X). RX de thorax le 18.09.2018. Mise en place pacemaker DDD double chambre à gauche le 17.12.2018, Dr. X. Contrôle de plaie à 10 jours en cardiologie, contrôle du pacemaker à 4-6 semaines (patient sera convoqué). Rx de thorax le 28.11.2018. Rx épaule D + articulation AC ddc le 28.11.2018. Rx colonne cervicale/colonne lombaire le 28.11.2018. CT colonne totale le 28.11.2018. IRM cervico-dorsale le 29.11.2018. RX des Dig III et IV de la main D face et profil : fracture en voie de consolidation. RX des 3 doigts. Probable statut après fracture sous-capitale de P1 qui est guérie en position anatomique. EMG : confirme un syndrome du tunnel carpien droit. Rx Dig I droit f/p : remplissement de la cavité osseuse. Pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Rx Dig III et IV D 04.12.2018. Rx Dig III et IV D postOP 05.12.2018. RX Dig. III main G (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire. RX Dig. IV et V main D (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire. Fractures en cours de consolidation. RX Dig. IV (f/p) : consolidation de la fracture en cours. RX Dig. IV (f/p) du jour : fracture non déplacée. Pas d'angulation. RX Dig IV f/p main gauche : Signe de remplissage osseux. RX Dig. IV G (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire. Fracture en voie de consolidation. RX Dig V à droite : pas d'arthrose tant au niveau de la PIP que de la DIP. RX DIG V f/p : pas d'arrachement osseux. RX dig V gauche f/p : en comparatif au précédent contrôle, consolidation de l'arthrodèse obtenue. Pas de déplacement secondaire. Pas de rupture du matériel d'ostéosynthèse. RX dig V main G f/p : pas de lésion osseuse visualisée. Calcification au niveau de la corticale palmaire dig II, dig V. RX Dig. V main G (f/p) du jour : bonne consolidation de la fracture. Pas de récidive du Mallet Finger. RX (Dig. V, P1 f/p, main G) : matériel d'ostéosynthèse en place, sans signe de descellement. Consolidation de la fracture. Rx d'il y a 10 ans amenées par la patiente met en évidence une fracture non déplacée. Sur les clichés actuels, on voit une bascule dorsale de quelques degrés avec une variante encore ulna + diminuée par rapport à la situation initiale. Rx doigt F/P + main oblique. Avis ortho (Dr. X) : Immobilisation avec attelle alu avec flexion de l'IPP, ensuite protocole plaque palmaire en ergo. Contrôle ortho dans 6 semaines. Arrêt de sport 6 semaines. RX doigt F/P : pas de fracture visualisée. RX doigt F/P. Antalgie. Rx doigt : pas de fracture. Rx doigt : pas de fracture visible. Rx doigt : pas de fracture visible. Avis radiologique (Dr. X) : • incision de décharge de DII du MSD. Att : • prise en charge opératoire pour exploration plaie et prélèvements. • À JEUN jusqu'à l'opération. Rx doigt : Pas de fracture visualisée. Rx doigt. Avis orthopédique. Débridement. RX doigts III et IV main gauche face et profil : fractures en voie de consolidation. Pas de déplacement secondaire. RX dorso-lombaire debout (PACS) : pas de changement morphologique au niveau de la vertèbre D11 comparé au cliché précédent. Pas de changement physiologique au niveau de la cyphose dorsale. RX dorso-lombaire du jour (PACS) : pas de nouvelle fracture au niveau de la colonne. Pas d'altération au niveau de la fixation L5-S1. RX du bassin de ce jour : pas de signe d'arthrose. Pas de cam ou de pincer, mais coxa profunda des deux côtés. AC à gauche 0°, à droite - 2°. Couverture de l'acétabulum à gauche à 42°, à droite à 41° (over coverage). Angle alpha à droite à 40°. IRM du 17.05.2018 chez X : présence d'une déchirure du labrum supérieur avec petite déchirure du labrum postéro-inférieur associée. RX du bassin, de la hanche G, du fémur et genou f/p : les images montrent un bon positionnement du matériel d'ostéosynthèse avec une fracture qui n'est pas encore consolidée et comparée aux images postopératoire légèrement en varus. RX du bassin du 07.12.2018. RX de la colonne lombaire du 07.12.2018. CT de la colonne lombaire du 07.12.2018. IRM de la colonne lombaire du 10.12.2018. RX de la colonne lombaire du 11.12.2018. RX du bassin face + hanche axiale à G : fracture consolidée actuellement avec matériel d'ostéosynthèse bien en place, sans déplacement secondaire. Pas d'autre lésion mise en évidence. RX du coude D (f/p) du jour : fracture consolidée. RX du coude (f/p) du jour : bonne consolidation de la fracture. Rx du coude gauche : déplacement d'un fragment olécrânien en proximal, matériel en place. Rx de la hanche gauche : matériel en place, pas de déplacement secondaire, signe de consolidation. RX du fémur face et profil de ce jour : consolidation osseuse complète. Rx du genou face, profil, patella : pas de fracture visualisée. RX du jour : bonne consolidation de la fracture. RX du jour : bonne consolidation de la fracture. RX du jour : bonne consolidation de la fracture avec cal osseux visible. RX du jour : consolidation de la fracture. RX du jour : consolidation de la fracture avec une bascule vers postérieure de 70° déjà connue. Rx du jour : pas d'arrachement, pas de fracture. RX du jour : pas de déplacement de la fracture. RX du jour : pas de déplacement de la fracture. RX du jour : pas de déplacement de la fracture. RX du jour : pas de liseré autour des ancres. Bonne distance acromio-humérale. RX du jour : pas de signe d'ostéonécrose avancée, pas de signe d'effacement de la surface articulaire. RX du jour : présence de bascule postérieure de 20°. Présence d'un cal osseux. RX du jour : présence d'un petit cal osseux en regard de la fracture. Persistance du déplacement déjà connu. RX du jour f/p (PACS) : angle de Cobb segmentaire stable sans nouvelle cyphotisation. Pas de mise en évidence de progression de la fracture D12. RX du jour humérus D face et Neer : déplacement secondaire majeur avec importante valgisation et flexion. RX poignet D f/p dans le plâtre : pas de signe de lésion osseuse traumatique récente. Importante dégénérescence. RX du jour mettant en évidence une malunion avec une bascule palmaire de 30° au moins sur le tiers distal de la diaphyse radiale. Dans le plan frontal, il est aligné.RX du jour montrant un matériel d'ostéosynthèse en place. Fracture consolidée au niveau du poignet. Au niveau du bassin, consolidation de la fracture. Rx du jour montrant un pisiforme aligné de forme régulière. Au niveau du coude, la fracture est consolidée en position anatomique avec les 3 vis HCS en place. L'interligne articulaire garde une forme régulière. Rx du jour montrant une clavicule alignée avec perte de correction millimétrique par rapport aux clichés post-opératoires. Légère ossification sous la clavicule. Rx du jour montrant une évolution favorable sans descellement. RX du jour montrant une fracture consolidée avec un bon remaniement cortical. RX du jour montrant une fracture consolidée en bonne position. RX du jour montrant une fracture en position anatomique. Matériel d'ostéosynthèse en place, absence de descellement ou de déplacement. RX du jour (PACS) : pas de cyphotisation de la colonne ni de progression significative de la fracture. RX du jour (PACS) : pas de déplacement secondaire de la fracture. Alignement préservé. Pas de nouvelle fracture ni de cyphotisation. RX du jour : Pas de déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse. Remaniement osseux sans déplacement par rapport au comparatif. RX du pied D (f/p/oblique) du jour : bonne consolidation de la fracture. RX du pied (f/p/oblique) du jour : bonne consolidation de la fracture avec déplacement secondaire du fragment proximal vers l'os cuboïde. RX du pied (f/p/oblique) du jour : fracture en cours de consolidation. RX du poignet D f/p du jour : matériel en place. La fracture est bien consolidée même remaniée. RX du poignet D (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX du poignet et main gauche Rx du poignet f/p du jour : pas de déplacement secondaire par rapport au comparatif. RX du poignet f/p montrant un bon positionnement du radius distal avec un bon placement du matériel d'ostéosynthèse. Rx du pouce f/o : pas de fracture visualisée. Traitement symptomatique. Arrêt d'entraînement de volleyball pour 10 jours. RX du thorax du 13.11.2018 : par rapport au CT scan total body du 19.09.2018, on retrouve des infiltrats interstitiels postérieurs aux bases, remontant du côté G jusqu'à la hauteur des hiles avec également des petites opacités à l'apex D. Cœur de taille dans les limites de la norme avec des calcifications aortiques. Corps métallique en surprojection du ventricule G et status post-sternotomie nouveau. Echocardiographie post-opératoire du 26.11.2018 : dilatation biatriale avec prédominance G (SIA bombant vers OD sans shunt objectivé). VG aux limites supérieures de la normale à 56 mm en télé-diastole. Altération significative de la FEVG évaluée à 35-40 % (dyskinésie septale moyenne et apicale, dyskinésie apico-inférieure) ; pas de thrombus intra-cavitaire. Dc à 3.8 l/min. Absence d'épanchement péricardique ; VCi à 15 mm compliante aux mouvements respiratoires. Valve aortique avec calcifications des cuspides responsables d'une insuffisance légère ; pas de sténose. Valve mitrale avec feuillets épaissis et remaniés avec prolapsus partiel du feuillet antérieur sous le postérieur : régurgitation de grade modéré (VC à 3 mm). Valve tricuspide avec fuite tricuspide permettant de calculer un gradient moyen de 20 mmHg + Pod. Pas d'HTAP. ECG d'entrée : rythme irrégulier non sinusale à 83 bpm avec présence de pause de < 1.5 secondes. Bloc variable. QRS fins avec un axe dévié à gauche compatible avec un hémibloc antérieur G. QTc à 383 ms. ECG de sortie : rythme irrégulier non sinusale à 89 bpm. Bloc variable. QRS fins avec un axe dévié à gauche compatible avec un hémibloc antérieur G. QTc 422 ms. Test des 6 minutes à l'entrée avec rollator : distance parcourue 118 m, FC de repos 92 bpm, FC de fin 116 bpm, FC de récup 80 bpm, TA repos 84/58 mmHg, TA fin 86/70 mmHg, BORG 3/10. Test des 6 minutes à la sortie avec rollator : distance parcourue 300 m, FC de repos 73 bpm, FC de fin 76 bpm, BORG 2-3/10. Rx du thorax ECG labo US pas de pneumothorax visualisé, qualité de l'US cardiaque de mauvaise qualité Sur place lors du SMUR : VNI pendant 30 min • remplissage avec 500 NaCl 0.9 % puis 500 NaCl 0.9 % avec Flagyl 500 mg, Rocéphine 2 g • 15 d'épinéphrine puis titration de la noradrénaline • tentative avec Annexate 2x0.25 mg au vu risque suicidaire (consommation de BZD ?) Hospitalisation pour suite de prise en charge et poursuite des soins de confort Rx du thorax Hémocultures à froid le 19.12.18 à pister Antigènes urinaires le 19.12.18 à pister Gazométrie du 19.12.18 : pas de lactate ATT Ceftriaxone 2 g le 19.12.18 Clarithromycine 500 mg le 19.12.18 ad physiothérapie respiratoire Rx du Vème doigt droit F/P : ne montre pas de fracture. Rx du 02.11.2018 (Payerne) : Pas d'épanchement, pas de fracture, pas d'altération de l'axe. Rx du 05.12.2018 : Pas de fracture visualisée. RX du 05.12.2018 (effectué à l'hôpital d'Yverdon) (PACS) : visualisation de la fracture Salter Harris II de la tête radiale D. RX du 10.12.2018 : pas de fracture visualisée. Rx du 11.12.18 : Silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale, sans signe de décompensation cardiaque. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Troubles dégénératifs du rachis thoracique avec ostéophytes antérieurs et latéraux. Coronarographie du 14.12.18 : L'examen invasif du jour démontre une resténose complexe du stent de l'IVA de 2004 traitée d'emblée avec un stent actif (technique en sandwich, bifurcation IVA/DA avec kissing balloon). Bon résultat final. La fraction d'éjection ventriculaire gauche est estimée à 55 %. RX D3 main G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Signe de consolidation osseuse. RX D4 à D face et profil de ce jour : cal osseux visible, fracture en voie de consolidation. RX D4 main D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture avec signe de consolidation visualisable. RX D4 main G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX D5 main D face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Cal osseux visualisable. Rx D5 : pas de fracture RX épaule D + G Physiothérapie et ergothérapie RX épaule D du 14.11.2018 Infiltration le 22.11.2018 RX épaule D face et Neer : matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de descellement, pas de déplacement secondaire des fragments. RX épaule D f/Neer : consolidation osseuse visible avec un bon centrage de la tête humérale. Pas de descellement secondaire au niveau du matériel d'ostéosynthèse ou de la tête humérale. RX épaule D (f/neer) du jour : bonne consolidation de la fracture. Présence d'une calcification du tendon du sous-épineux. Rx épaule D F/Neer et articulation acromio-claviculaire F : fracture suscitée Avis Dr. X Rucksack et Rx de contrôle Retour à domicile avec antalgie. Le patient est informé de rester à jeun dès minuit. Le chef de clinique d'orthopédie prendra contact avec lui le 31.12 au matin. Consultation aux urgences avant si péjoration clinique Rx épaule D F/Neer et articulation acromio-claviculaire F : fracture suscitée Rx de contrôle après pose de Rucksack Rx épaule D f/Neer postOP 30.11.2018 Rx épaule D f/Neer 20.11.2018 CT bras/épaule D 21.11.2018 Rx bassin, hanche D ax. 22.11.2018 RX épaule D f/p : ne montre pas de descellement du matériel. Le tubercule majeur s'est déplacé vers proximal. RX épaule D le 03.12.2018. RX épaule D le 11.12.2018 RX épaule D le 12.12.2018 Rx épaule D postOP 07.12.2018 RX épaule droite : pas de déplacement secondaire. RX cuisse droite en 2 plans : pas de déplacement secondaire. RX épaule droite : pas de fracture visible (RX du 27.09.2018). Rx épaule droite : signes d'arthrose +++Labo Aux urgences : paracétamol 1 g i.v. 1 g paracétamol p.o 1 g Novalgine p.o Malgré l'amélioration des douleurs avec l'antalgie aux urgences, impotence fonctionnelle persistante empêchant RAD chez Mme. Y vivant seule à domicile. À noter la prise de tous ces médicaments habituels ce matin (prend les médicaments du matin, du midi et du soir en même temps) ATT • hosp médecine pour antalgie chez Mme. Y connue pour de multiples intolérances médicamenteuses --> avons tout de même réussi ce jour à donner paracétamol et Novalgine, anciennement mal tolérés • refuse physio ambulatoire, prescrire de la physio hosp pour essayer de la réconcilier avec. Rx épaule droite. Antalgie. Suivi clinique. RX épaule droite face rotation interne/externe ainsi que Neer : pas de pathologie visible à part un acromion de type III. RX épaule droite face/Neer du jour : Au niveau des tubercules, elle se présente non déplacée comparable aux clichés postopératoires. Bon positionnement de la prothèse avec matériel prothétique intact. Pas de déscellement secondaire comparable à la dernière consultation. RX épaule droite face/Neer du jour : Bonne consolidation de la fracture. RX épaule droite face/Neer du jour : Léger déplacement des fragments osseux au niveau de la tubercule majeure. Légère cranialisation de la tête humérale. Rx épaule droite : signes d'arthrose avancée Aux urgences : paracétamol 1 g i.v. 1 g paracétamol p.o 1 g Novalgine p.o Bonne évolution malgré refus de l'antalgie par Mme. Y Rx épaule et clavicule : sans fracture RX épaule face/Neer : pas de fracture visible et la tête humérale est positionnée plus haut, autrement sp. Rx épaule F/N : arthrose, atteinte de la coiffe connue Consilium orthopédie (Dr. X) Attitude : • Antalgie, physio de rééducation et de maintien Rx épaule F/N : arthrose, probable atteinte de la coiffe Consilium orthopédie (Dr. X) Attitude : • Antalgie, physio de rééducation et de maintien RX épaule f/Neer : consolidation de la fracture sans déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Perte de la sphéricité de la tête comparable aux derniers clichés du mois d'octobre. RX épaule f/Neer de ce jour : pas de déscellement des implants. Rx épaule : fracture du milieu de la clavicule droite Rx épaule G : pas de lésion osseuse RX épaule G face et Neer de ce jour : déplacement antéro-supérieur du fragment distal (inchangé par rapport aux clichés effectués aux urgences). RX épaule G face et Neer de ce jour : fracture consolidée. RX épaule G face et Neer de ce jour : les clichés sont superposables aux précédents avec un début de remaniement osseux à hauteur de la fracture. RX épaule G face et Neer de ce jour : sur l'incidence de Neer, on peut dire qu'il n'y a pas de déplacement secondaire par rapport au comparatif. RX épaule G f/Neer de ce jour : pas de déplacement secondaire. Matériel d'ostéosynthèse en place. Fracture en cours de consolidation. RX (épaule G, f/Neer) de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place, sans déplacement et une fracture consolidée. Pas de signe de nécrose. RX (main G, f/p) de ce jour : alignement des os du carpe correct, pas de déhiscence scapho-lunaire. Pas de fracture visible. Pas de rhizarthrose. Rx épaule G le 07.12.2018 Rx épaule G : pas de fractures ni omarthrose visualisées, pas de calcification tendineuse RX épaule gauche : pas de fracture visualisée. Immobilisation. Antalgie. Arrêt de travail de 3 jours. Rx épaule gauche : luxation CT épaule : pas de fractures Rx épaule G Rx coude G Labo ECG Concernant les plaies superficielles : • désinfection, steri strips, pansement. • Refus rappel tétanos. Concernant la fracture de l'humérus G : • CT épaule G • avis orthopédique (Dr. X) Rx et CT du 17.12.2018 : lésion osseuse supéro-externe du dôme de l'astragale jusqu'à 5,5 mm de long dans son grand axe. Sur les coupes sagittales, nous notons aussi la présence d'un petit flake millimétrique au niveau intra-articulaire postérieurement à cette lésion. RX et IRM du genou droit : les RX ne montrent pas de lésion osseuse. L'IRM montre une rupture complète du ligament croisé antérieur et une contusion du condyle fémoral externe et du plateau tibial externe, sans mise en évidence d'une fracture. Les ligaments collatéraux ainsi que les ménisques sont intacts. Pas de lésion cartilagineuse visualisée. Rx face / profil : absence de fracture ni arrachement osseux Antalgie en réserve (Dafalgan) si douleurs RX face et profil du coude D : bon remaniement au niveau du coronoïde face ulnaire. Sinon légère ossification hétérotopique du faisceau externe du LCU. Rx faite par le MT : fracture déplacée de la grande tubérosité Rx : fat pad +/- déformation plastique Avis Ortho (Dr. X/Dr. X) : • mise en place plâtre BAB à 80° • contrôle consultation membre supérieur le 21.12 avec radiographie +/- CT du coude (selon discussion avec médecin cadre Dr. X) • arrêt de sport Rx fémur f/p du jour : matériel d'OS en place. Pas de déplacement secondaire. Traits de fracture encore visibles mais début d'apparition d'un cal osseux. Rx fémur G du jour : pas de déplacement secondaire. Signe de consolidation osseuse. RX fémur G face et profil de ce jour : raccourcissement d'environ 2 cm. Bon cal osseux présent avec visualisation de signe de remodelage. Fracture en bonne voie de guérison. RX (fémur G, f/P) : présence de cal osseux. Raccourcissement d'environ 15 mm, comparable au dernier contrôle. Pas d'altération de l'axe par rapport au dernier contrôle. RX f/Neer de l'épaule D de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place. Alignement Shenton de l'omoplate et l'humérus se présente harmonieusement, comparable au postopératoire. Tête humérale centrée, bien alignée comparable à la dernière radiographie postopératoire. Pas de signe de lyse au niveau de la glénoïde. RX f/p + rotule axiale du genou D : matériel d'ostéosynthèse en place avec une TTA qui montre une guérison osseuse. Bonne position de la rotule. Pas d'autre lésion mise en évidence. Rx f/p du jour : matériel d'ostéosynthèse en place sans déplacement secondaire. Fracture consolidée. Congruence de l'articulation huméro-cubitale. RX f/p genou : gonarthrose fémoro-tibiale interne grade IV. RX f/p poignet G de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place sans déplacement secondaire. Ligne d'articulation à 0°. Pas d'affaissement dans la zone articulaire. Rx f/p poignet gauche : fracture consolidée avec une bascule postérieure à 74°. Sur le cliché face : déplacement radial du fragment distal. RX f/p/o du jour : pas de déplacement secondaire du trait d'ostéotomie avec signe de présence de cal osseux. La broche est bien en place. Rx : fracture bois vert jonction métaphysaire radius G Avis ortho : (Dr. X) : immobilisation par BAB 2 semaines puis AB 2 semaines Contrôle radio-clinique en ortho à 1 semaine pour contrôler la bascule et circulariser Ablation du plâtre à 4 semaines Rx : fracture de l'extrémité distale du radius G avec bascule postérieure de 30° Rx post-réduction : diminution de la bascule à environ 20° RX : fracture en motte de beurre du tibia, élément visualisé au niveau de la tubérosité tibiale. Rx genou : pas de fracture Rx genou + cheville : pas de fracture Échographie de la cheville et du genou gauche : pas d'épanchement, écho normale (écho réalisée par Dr. X) Rx genou D : pas de lésion osseuse RX genou D du 28.11.2018 RX genou D et G + rotules ddc du 03.12.2018 : contenu calcique, structures osseuses et rapports articulaires des 2 genoux conservés. Absence de remodelage dégénératif. Les rotules sont symétriques, centrées sans lésion. Pas d'épanchement intra-articulaire. RX jambe D du 03.12.2018 : contenu calcique, structures osseuses et axes osseux de la jambe conservés. Absence de réaction périostée. Pas de stigmates d'une fracture ancienne ou récente visible. RX genou D et G face/profil + rotules axiale Physiothérapie RX genou D face et profil et rotule axiale de ce jour : le matériel d'ostéosynthèse est en place. RX genou D face/profil du 16.1.18 (Dr. X) : Déformation du fémur distal et du condyle fémoral externe avec un flexum estimé à 25°. Le reste du bilan osseux est normal. L'interligne articulaire montre un bon espace. RX genou D face/profil, rotule axiale : bonne position des composantes prothétiques, pas de signe de descellement. La rotule est bien centrée dans la trochlée. RX genou D f/p du médecin traitant : montre une chondrocalcinose médiale et latérale avec signes de dégénérations du compartiment médial. Il a, en profil, des signes pour une hypoplasie mais pas de clinique pour ceci. Rx genou D f/p le 29.11.2018 RX genou D le 01.12.2018 CT genou / jambe D le 01.12.2018 RX genou G le 02.12.2018 RX genou D le 02.12.2018 IRM genou D le 03.12.2018 RX genou D le 12.12.2018 RX genou D le 13.12.2018. Rx genou D postOP 28.11.2018 Rx genou D 12.11.2018 Rx genou droit : pas de lésion osseuse visualisée. Immobilisation dans une attelle jeans 20° genou droit. RX genou droit : vis au niveau de la rotule, signe d'arthrose avec ostéophyte au niveau médial. Avis orthopédique Dr. X : possible kyste de Baker ou lésion du ménisque interne +/- ligament collatéral médial à droite. Antalgie avec Dafalgan, Irfen, charge selon douleurs. IRM à une semaine. Rendez-vous à la consultation orthopédique chez le Dr. X à 2 semaines. Rx genou droit et rotule axiale : pas de fractures visualisées. RX genou droit face profil : Matériel d'ostéosynthèse en place. La fracture est guérie. Pas de descellement du matériel. RX genou droit face/profil, rotule axiale : pas de lésion osseuse. L'interligne articulaire est encore large, sans signe d'arthrose. Pas de signe de lésion tumorale. Rx genou droit : petit épanchement, pincement fémoro-tibial interne. RX genou et rotule : négatif pour fracture. Signes de dysplasie de la trochlée fémoral : Rx axial de la rotule fait à 40° de flexion : Coin de la trochlée fémoral : 130°, coin de Marchant 14°. Sur la projection latérale, signe du double contour, salvati index environ 1. Rx genou face-profil : bonne évolution. Rx genou F/P : genou remanié, pas de fracture ECG : rythme sinusal, pas d'arythmie. Consilium orthopédie (Dr. X) : suture au service des urgences, antibiotique pour 5 jours, suivi plaie. Désinfection bétadinée, champage, exploration de la plaie qui montre une bourse intacte et l'absence d'atteinte des structures nobles. Lavage abondant, suture sous-cutanée par 2 points, puis suture à la peau. Ablation des fils à J14 le 03.01.2019. Rappel tétanos le 20.12.2018. Antibioprophylaxie par Dalacin 300 mg 2X/J pour 5 jours. Physiothérapie. RX genou fp : pas de péjoration avec le trait de fracture qui est encore très légèrement visible. Pas d'autre lésion mise en évidence. RX genou fp et rotule axiale : prothèse en place, pas de signe de descellement, pas d'autre lésion mise en évidence. Rx genou F/P : genou remanié, pas de fracture. Consilium orthopédie (Dr. X) : Suture aux urgences, AB pour 5 jours, réfection du pansement à 5 jours. Désinfection bétadinée, champage, exploration de la plaie qui montre une bourse intacte et l'absence d'atteinte des structures nobles. Lavage abondant, suture sous-cutanée par 2 points, puis suture à la peau. Rappel tétanos aux urgences. Attitude : • Réfection du pansement à 48h • Dalacine 300 mg 2x/j pendant 5 jours • Ablation des fils à J14 • Physiothérapie +++ • Hospitalisation en médecine pour reconditionnement • Rediscuter indication AINS chronique avec X. RX genou f/p rotule axiale du jour : prothèse bien en place. Pas de signe de descellement. Pas d'autre lésion mise en évidence. RX Genou G : pas de fracture visualisée. Avis orthopédique (Dr. X) : pas de fracture. Propose protocole RICE avec physiothérapie. Mobilisation selon douleur. Rx genou G : corps étranger de 1 x 1 cm intra-articulaire. Co-amoxicilline 2.2 g IV. Avis orthopédique (Dr. X, Dr. X) : • Extraction du corps étranger aux urgences. • Poursuite de l'antibiothérapie par Co-amoxicilline. • Contrôle à la filière ambulatoire des urgences à 24h. RX genou G du 03.12.2018 US genou G du 04.12.2018 RX genou G du 30.11.2018 CT genou G du 30.11.2081 ECG du 01.12.2018 et du 06.12.2018 RX genou G du 07.12.2018 CT genou G du 10.12.2018 RX genou G face et profil et rotule tangentielle de ce jour : la patiente présente une arthrose tricompartimentale prononcée rétro-patellaire et du compartiment interne avec une diminution de la hauteur des compartiments internes. RX genou G face, profil et axiale de la rotule de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX genou G face/profil, rotule axiale : pas de lésion osseuse visualisée. Début d'arthrose rétro-rotulienne et de moindre degré du compartiment fémoro-tibial interne. US creux poplité du 4.12.18 : Examen dans les limites de la norme, notamment pas de kyste poplité mis en évidence. Rx genou G, face-profil, rotule axiale : pas de signe de descellement de la prothèse. RX genou G f/p : matériel d'ostéosynthèse en place. La fracture est consolidée. RX genou G f/p : on voit le Morbus Osgood Schlatter. RX genou G f/p du jour : matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Trait de fracture toujours visible. Rx genou G f/p et axial de la rotule : prothèse en place. Absence de signe de descellement. L'ostéotomie de la TTA semble guérie. Rx genou G f/p et rotule axiale du jour : Matériel prothétique bien en place. Pas de signe de descellement. Bonne congruence du matériel. RX genou G le 13.12.2018 RX genou G le 19.11.2018 Rx genou G le 29.11.2018 Rx genou G postOP 08.11.2018 Rx genou G postOP 22.11.2018 RX genou gauche face profil : La fracture isolée du péroné est guérie. On note une formation de cal osseux. Néanmoins, le trait de fracture est encore visible. RX genou gauche face/profil, rotule axiale : pas de lésion osseuse visualisée. Pas de dysplasie osseuse. RX genou gauche face/profil/rotule axiale. US du membre inférieur gauche. Bilan biologique. RX genou gauche le 04.11.2018. IRM genou gauche le 13.11.2018. Avis orthopédique le 15.11.2018. Attelle jeans 20°. Décharge pour 6 semaines dès le 04.11.2018. Contrôle à la policlinique d'orthopédie - HFR Riaz - le 17.12.2018 avec radiographie. Physiothérapie en ambulatoire. Rx genou gauche : pas de fracture, petit épanchement pre-patellaire. Rx genou gauche : pas de fracture, pas d'épanchement. Rx genou gauche : pas de fracture/ni épanchement visualisé. Rx genou gauche. Avis orthopédique (Dr. X) : attelle jeans 20°, décharge avec cannes, Clexane. Consultation team genou avec réévaluation, antalgie, arrêt de travail et anticoagulation. IRM en ambulatoire puis rendez-vous team genou (le patient sera convoqué). Prophylaxie avec le médecin traitant dans l'intervalle. (le patient informé pour traitement, entre autres, par Odyssey pour VIH, vérifié interactions avec traitement symptomatique, doit faire attention avec les AINS au niveau rénal, prescrit pour court laps de temps). Rx genou : pas de fractures visualisables. Rx genou, rotule G postOP 21.11.2018. Rx genou 3 incidences : Radiographie f/p rotule axiale : absence de fracture. Rx genou/rotule G : absence de lésion osseuse ou descellement de la PTG. Traitement fonctionnel, physiothérapie. RX genoux face/profil, rotules axiales et schuss : pas de dégénérescence osseuse visualisée. On a l'impression que l'interligne articulaire interne est légèrement plus mince que l'interligne articulaire externe. L'espace articulaire est encore bien ouvert.RX hallux G (f/p) du jour : fracture en voie de consolidation, sans déplacement secondaire. Rx hanche D CT hanche D Rx thorax CT thoracique Rx hanche et bassin ; arthrose, pas de fracture Consilium orthopédie (Dr. X) Attitude : • Antalgie, physio de rééducation Rx hanche : fracture déplacée diaphysaire proximale fémur G sous la plaque DHS Rx bassin : pas de fracture du bassin Rx thorax : pas d'épanchement, pas de pneumothorax ECG : RSR, axe N, fréquence 75 bpm, ondes P négatives en V1, BBG incomplète, ondes T négatives en V3, V4, D3 labo : insuffisance rénale aiguë, hypoNa, hypoK, CRP 15, GB normales sticks urinaires : leuco+++, nitrites neg Rx huméral : pas de fracture visualisée RX humérus f/p : Pas de déplacement secondaire vis-à-vis du comparatif. Signe d'une discrète consolidation osseuse. RX poignet gauche f/p : Consolidation osseuse en cours. Pas de déplacement secondaire par rapport au comparatif. RX index D face et profil de ce jour : fracture consolidée, sans déplacement secondaire. Rx index F/P : pas de fracture Glace 15 min 3x/j durant 24h, Dafalgan et Algifor en réserve Syndactylie à but antalgique Arrêt de sport 1 semaine RX index G f/p : fracture en début de consolidation. Pas de déplacement secondaire de la broche. RX index G le 23.11 et le 26.11.2018 : pas de lésion ostéolytique et pas de réaction périostée pouvant parler pour une ostéite ou une ostéomyélite. Arthrose érosive des articulations IPD et IPP du 2ème et du 3ème doigt. Tuméfaction des tissus mous. Bilan rhumatologique : • Main droite du 27.11.2018 Remaniements dégénératifs diffus avec arthrose plus marquée scapho-trapézo-trapézoïdienne, rhizarthrose, arthrose de l'articulation MCP I et des articulations interphalangiennes proximales et distales. Arthrose érosive plus particulièrement marquée à hauteur de l'articulation IPD II où l'on note une déformation en ailes de mouette associée à un nodule d'Heberden dans les parties molles. Variance ulnaire négative. Calcifications vasculaires. • Main gauche 27.11.2018 Remaniements dégénératifs diffus avec arthrose plus marquée scapho-trapézo-trapézoïdienne, rhizarthrose et arthrose des articulations interphalangiennes proximales et distales. Arthrose érosive à hauteur des articulations IPP III, IV et V où l'on note une déformation en ailes de mouette associée à des nodules de Bouchard. Aspect inchangé du status post-embrochage trans-phalangien moyen et distal du 2ème rayon. Variance ulnaire négative. Chondrocalcinose à hauteur de carpe. Calcifications vasculaires. • Pied entier droit du 27.11.2018 Altérations dégénératives diffuses prédominant à hauteur de l'articulation MTP I avec pincement de l'espace articulaire, sclérose de l'os sous-chondral de part et d'autre et présence de géodes sous-chondrales. Ossification ab-articulaire en rapport avec le remaniement dégénératif. Absence d'argument en faveur d'une goutte. Les articulations interphalangiennes ne sont pas analysables en raison de probables orteils en griffes. Calcifications vasculaires. • Pied entier gauche du 27.11.2018 Remaniements dégénératifs des articulations MTP I et IP I. Les articulations interphalangiennes des autres rayons ne sont pas analysables en raison de probables orteils en griffes. Pas de signe de chondrocalcinose ou de goutte. Calcifications vasculaires. RX thorax le 12.12.2018 : cardiomégalie mais sans signe de décompensation cardiaque. Calcification du bouton aortique. On retrouve un infiltrat interstitiel bilatéral plus marqué par rapport au comparatif, en rapport avec une fibrose pulmonaire. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer pulmonaire constitué. Le reste du status est superposable. US abdominal 14.12.2018 : examen de qualité suboptimale en raison d'importantes interpositions de structures aéro-digestives. Le foie est étudié de manière partielle par voie intercostale avec perméabilité des veines sus-hépatiques et de la veine porte. Absence de stéatose hépatique diffuse. Pas de liquide libre péri-hépatique. Rx jambe / cheville D le 27.10.2018 CT cheville D le 27.10.2018 Rx cheville D le 29.10.2018 Rx cheville D le 30.10.2018 RX jambe D : sp Analyse de la course à pied et adaptation du chaussage avec confection de supports plantaires sur mesure Physiothérapie Adaptation du rythme d'entraînement RX jambe D face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX jambe D f/p : bonne consolidation de la fracture. Pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. RX jambe D f/p : bonne consolidation de la fracture. Pas de signe de descellement du clou. RX jambe D f/p : montre les clous en place. Pas de déplacement secondaire. Pas de signe de consolidation de la fracture. Rx jambe D f/p du jour : consolidation osseuse acquise sans déplacement secondaire du matériel. Pas d'autre lésion mise en évidence. Rx jambe D f/p du jour : en comparatif des derniers clichés, nette progression du cal osseux avec des signes de consolidation. Quelques traits de fracture restent encore légèrement visibles. Rx jambe D f/p du jour : mise en évidence d'un descellement de la vis distale mais pas de péjoration par rapport au cliché du 05.11.2018. Rx jambe D f/p du jour : pas de déplacement du matériel avec une vis proéminente sur la partie distale. La consolidation osseuse est en nette amélioration par rapport au cliché du 21.11.2018. Rx jambe D f/p du jour : pas de déplacement secondaire de la plaque ni des vis. Discret déplacement en varus, sous réserve d'incidences non comparables. Progression de la consolidation de cal osseux sur la face latérale, sans déplacement des foyers de fractures. Rx jambe D 25.11.2018 Rx jambe droite : visibilité d'une structure dense postérieure en projection du creux poplité. Pas d'anomalie de la trame osseuse. Les rapports anatomiques sont conservés. US tendon d'Achille droit, Doppler des veines superficielles droites, Doppler de la veine fémoro-poplitée droite le 10.12.2018 : perméabilité du réseau veineux superficiel et profond en regard de la plaie. Aspect normal du tendon d'Achille. Rx jambe face-profil : ostéotomie en bonne voie de consolidation. Depuis le dernier contrôle, nous voyons que le trait de l'ostéotomie devient de plus en plus flou et qu'il y a effectivement quelque chose qui se fait à cet endroit.RX jambe G face et profil : fracture en voie de consolidation avec apparition de cal. Pas de déplacement de la fracture et du matériel d'ostéosynthèse. RX jambe G f/p de ce jour : bonne consolidation de la fracture. Pas de déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse. RX jambe G f/p de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de déplacement secondaire des fractures au niveau tibial et péronier qui sont en voie de consolidation. RX jambe G f/p du jour : par rapport aux comparatifs de septembre, on note une progression de la consolidation surtout au niveau du cal hypertrophique en postérieur. CT scan de la jambe G du 10.12.2018 : par rapport au CT-scan de septembre, on note effectivement une discrète progression de la consolidation et notamment de la calcification du cal en postérieur. RX jambe G f/p du jour : bonne consolidation de la fracture. Début de compensation de l'axe au niveau du péroné. RX jambe G f/p du jour : pas de déplacement secondaire du matériel ou de la fracture. Progression de la consolidation notamment du côté postéro-externe. RX jambe gauche f/p : Bonne consolidation osseuse. Matériel d'ostéosynthèse en place. Bon remaniement osseux. RX lombaire du jour (PACS) : pas de déplacement de la cage L2-L3, ni des vis ni de nouvelle fracture. RX lombaire du 11.09.2018 (Affidea) : antéro-listhésis de grade I au niveau L4-L5. RX lombaire f/p du jour (PACS) : anomalie de transition en sacral I. Pas d'autre lésion. Pas de discopathie visible. RX lombaire : ostélisthésis L4-5 d'aspect ancien. Avis orthopédique (Dr. X) : ancienne lésion, pas d'indication opératoire. Antalgie et mobilisation à adapter • Targin habituel reçu aux urgences. RX lombaire : pas de fracture mise en évidence, discopathie L5S1. RX lombaire : signe d'arthrose discrète, pas d'antélisthésis. RX main : pas de fracture. RX main : pas de fracture. Attelle aluminium à visée antalgique. Contrôle à la polyclinique d'orthopédie le 17.12.2018 afin de tester la laxité MP. RX main D, dig. V f/p de ce jour : la consolidation osseuse reste incertaine. Matériel d'ostéosynthèse en place. RX main D face et profil de ce jour : cal osseux visualisé, fracture en voie de consolidation. RX main D face et profil de ce jour : consolidation osseuse des 2 fractures. Léger raccourcissement du 4e métacarpe. Bonne position de la broche dans le 5e métacarpe. RX main D face, profil et oblique : début de consolidation sans déplacement secondaire de la fracture et du matériel d'ostéosynthèse. RX main D face, profil et oblique de ce jour : fracture en voie de consolidation. RX main D face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement de la fracture, qui est bien visualisable. RX main D face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX main D face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX main D face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX main D face, profil et oblique de ce jour : visualisation d'une pseudarthrose. Fracture consolidée. RX main D f/p/o : fracture en cours de consolidation, pas de déplacement secondaire. Matériel en place. RX main D f/p/o du jour : matériel en place sans déplacement secondaire. Trait de fracture toujours visible. RX main D (f/p/oblique) du jour : bonne consolidation de la fracture. RX main D le 22.11.2018 : Traitement conservateur par attelle sur mesure en équerre. Suivi ergothérapie. Contrôle radioclinique à la consultation du Dr. X. RX main droite : fracture sous-capitale peu déplacée du 5e métacarpien de la main droite. Avis orthopédique (Dr. X) : immobilisation par attelle d'Edimbourg pendant 6 semaines. Contrôle radio-clinique à la consultation ortho-urgence à 1 et 6 semaines. RX main droite, face oblique : fracture transverse déplacée du 2e métacarpien. RX main droite f/p : consolidation osseuse de la fracture en cours sans déplacement secondaire. Mise en évidence d'une vis proéminente au niveau de l'articulation radio-carpienne. RX main et poignet gauche : chondro calcinose radio-carpienne importante. Acide urique : 427 mcmol/l. Avis ortho : • US. US main + poignet : • pas d'infiltration des gaines tendineuses, pas de collection, petit épanchement intra-articulaire de l'articulation radio-carpienne. Att : • Consilium rhumatologique demandé le 04.12. RX main et poignet gauche le 03.12.2018 : chondro calcinose radio-carpienne importante. US main et poignet le 03.12.2018 : pas d'infiltration des gaines tendineuses, pas de collection, petit épanchement intra-articulaire de l'articulation radio-carpienne. Laboratoires : voir annexe. RX main et poignet gauche le 03.12.2018 : chondrocalcinose radio-carpienne importante. Acide urique le 03.12.2018 : 427 mcmol/l. Léger syndrome inflammatoire (CRP à 34 mg/L le 03.12.2018). US main et poignet le 03.12.2018 : pas d'infiltration des gaines tendineuses, pas de collection, petit épanchement intra-articulaire de l'articulation radio-carpienne. Consilium rhumatologique le 04.12.2018 : suspicion de chondrocalcinose, poursuite Colchicine, infiltration corticoïdes (Dépo-Médrol) le 05.12.2018. Amélioration clinique. RX main f/o : pas de fracture visualisée. Antalgie. Repos, glace et AINS. RX main G : pas de lésion osseuse. RX main G face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX main G face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX main G : fracture spiroïde non déplacée de la diaphyse du 4e métacarpe. Deux traits de fracture sont visualisés. Pas d'autre fracture. Articulations congruentes (Dr. X). RX main G index f/p : pas de déplacement secondaire. RX main gauche (Dr. X) : pas de fracture. Antalgie. Arrêt de travail. Suivi chez le médecin traitant. Si persistance des douleurs, ad CT scan. RX main gauche face oblique : fracture à la base de P1 non déplacée. RX main gauche f/p du jour : consolidation de la fracture de P1 Dig II. Consolidation de la fracture de P3 Dig V. RX main gauche : pas de fracture visualisée. RX main : pas de fracture. RX main : pas de lésion osseuse. RX mandibule : pas d'interruption de la corticale. CT cérébrale et massif facial : pas de signes d'hémorragie post-traumatique, pas de fracture. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, pas d'anémie, pas de troubles électrolytiques, pas de troubles de crase. RX normale. RX orteil : sp. Changement du chaussage pour chaussage large. Diminution de l'activité de marche à pied. Suite de prise en charge chez le médecin traitant en cas de nécessité. RX orteil gauche : pas de fracture. RX OSG in 2 Ebenen. RX : pas de fracture. RX : pas de fracture. RX : pas de fracture. RX : pas de fracture visualisée. Attelle poignet 3j à but antalgique, glaçage 3x20min/j. Ibuprofen 400mg 3x/j 2-3j et Paracétamol 500mg 4x/j 2-3j puis en R. RX : pas de fracture visualisée. Avis ortho (Dr. X) : pas de fracture visualisée. Au vu de la douleur, manoeuvre de pronation douloureuse sans amélioration. Décision d'immobilisation par BAB fendu à but antalgique et ablation du BAB à 10 J en ortho. RX : pas de fracture visualisée. RX : pas de fracture. RX : pas de fracture. RX : pas de fracture. RX : pas de fracture.arrêt sport pendant 2 semaines protocole RICE, antalgie et pommade anti-inflammatoire Rx: pas de fractures Rx: pas de fractures • aspect lésion bénigne de 2ème orteil pied gauche au niveau phalange médiale • contrôle Rx dans 6 semaines chez le MT Rx: pas de fracture Weleda arnica 2 appl par jour bande élastique Contrôle chez le pédiatre si douleur persistante Rx pied D : fracture diaphyse du 5e MT D Rx pied D : fracture diaphyse du 5e MT D • Attelle jambière postérieure • Antalgie simple • Clexane 40 mg sc 1x/j • Arrêt de travail jusqu'au prochain RDV • Contrôle dans une semaine à la policlinique d'orthopédie RX pied D en charge F/P/O : pas de déplacement secondaire. Ostéotomie en voie de guérison. RX pied D face, profil et oblique de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX pied D face, profil et oblique en charge de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx pied D, face-profil-oblique : pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Situation superposable à la rx du 19.10.2018. Rx pied D, face-profil-oblique en charge : bonne consolidation de la fracture. Rx pied D, face-profil-oblique en charge : pas de déplacement secondaire. RX pied D f/o/P du jour : arthrose MTP I, fracture de P1 consolidée. Rx pied D f/p/o : matériel en place sans signe de déplacement secondaire. Discret liseré d'ostéolyse autour du Pip tree. RX pied D f/p/o après ablation de la broche : pas de déplacement secondaire. RX pied D f/p/o du jour : pas de déplacement du matériel. Signe de formation du cal osseux au niveau de l'arthrodèse TMT I et II qui ne sont pas encore complètement consolidés. Rx pied D f/p/o du jour: ostéotomie en voie de consolidation au niveau du 2ème orteil. Déplacement secondaire des broches et perforation de la peau sur la partie du bras médial de la broche. RX pied D f/p/o en charge : bonne consolidation de l'arthrodèse au niveau du 1er et du 3ème rayons. Arthrodèse au niveau du 2ème rayon en voie de consolidation. Pas de déplacement du matériel. Rx pied D f/p/o en charge du jour: fractures consolidées sans déplacement secondaire. Pas de subluxation du Lisfranc. Rx pied D f/p/o en charge du jour: pas de déplacement secondaire. RX pied D (f/p/oblique) du jour : pas de déplacement secondaire. RX pied D (f/p/oblique) en charge du jour : consolidation de la fracture pas complète avec un léger déplacement de la fracture. RX pied D (f/p/oblique) en charge du jour : fracture en voie de consolidation, sans déplacement secondaire. RX pied D le 05.12.2018 RX pied droit : arthrose MCP 1 avec aspect érosif dégénératif du bord latéral de la tête du premier métacarpien. Remaniements dégénératifs de l'articulation interphalangienne distale du premier rayon. Ossification des enthèses calcanéennes du tendon achilléen et de l'arcade plantaire. RX pied gauche : érosion du bord médial de la tête du premier métacarpien et du bord médial de la base de la phalange proximale du 1er rayon évoquant des séquelles de goutte. Remaniements arthrosiques de l'articulation métacarpo-phalangienne du premier rayon. Ossification des enthèses calcanéennes du tendon achilléen et de l'arcade plantaire. Rx main droite : arthrose radiolunaire distale et radiocarpienne. Érosion osseuse du bord latéral du triquetrum. Diastasis scapho-lunaire. Pas de calcification du TFCC. Rx main gauche : pas d'image de chondrocalcinose, notamment en regard du TFCC. Pas de franche érosion articulaire mise en évidence. Arthrose STT et discrète rhizarthrose. Petit ostéophyte sur le bord inférieur de l'os semi-lunaire en regard de l'articulation scapho-lunaire, parlant pour une arthrose. Genou droit et gauche : pas d'image de chondrocalcinose. Discrète arthrose du compartiment interne ddc. Pas d'érosion articulaire visible. CT thoraco-abdo-pelvien le 20.12.18 : adénopathie axillaire droite suspecte de 17 x 19 mm. Pas d'autre lésion tumorale mise en évidence aux étages thoracique et abdominal. Rx pied droit : pas de fracture. RX pied droit f/p : pas de fracture. Antalgie. Rx pied droit orteil II du 21.12.2018: suspicion de fracture Salter II de P2D2 à droite. Rx pied droit 27.11.2018: Pas de changement significatif, notamment pas de lésion osseuse suspecte d'ostéite en regard du 1er métatarse. IRM pied droit 27.11.2018: Apparition d'une nouvelle ostéomyélite du 1er métatarsien, juste en regard de la plaie - défect cutané avec petite collection et importante réaction inflammatoire adjacente. ETT le 3.12.2018: probable artefact (Kallinikou: structure hypoéchogène anneau aortique). Présence d'une prothèse mécanique (ATS N°23) en position aortique non sténosante ni fuyante, sans dysfonction. Le gradient moyen VG-aorte est de 15 mmHg. Surface estimée par ITV 1.93 cm². Structure mal définie hypoechogène mobile au niveau du ring de la prothèse DD artefact, abcès, thrombus. Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale hyperdynamique. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Remodelage concentrique. Augmentation du débit cardiaque calculé à 9,05 l/min avec un index cardiaque à 4,39 l/min/m² (147% de la théorique). Aorte non dilatée. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale physiologique (grade 0 à 1). Oreillette gauche non dilatée. Ventricule droit non dilaté. Fonction systolique du ventricule droit discrètement altérée. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Absence d'épanchement péricardique. ETO le 05.12.2018: La structure visualisée sur le ring lors de l'échocardiographie transthoracique du 03.12.2018 était une image construite (artefact). Artériographie 07.12.2018: Rx pied droit 27.11.2018 IRM pied droit 30.11.2018 Hémocultures le 28.11.2018: Staph aureus (4/4 positives) Frottis microbiologique plaie: Staph aureus Picc-line du 03.12.2018 au 7.12.2018 Avis orthopédie (Dr. X): Consultation ambulatoire de contrôle au vu de la bonne évolution sous AB (pas d'OP) Avis infectiologique (Dr. X): ttt empirique par Tazobac au vu de l'état clinique et fébrile. relais par Co-Amoxi lors du résultat à Staph. aureus puis Clindamycine p.o. pour une durée de 3 mois. Tazobac iv. du 28.11. au 30.11.2018 Co-Amoxi iv du 30.11. au 05.12.2018 Clindamycine p.o. du 05.12. au 28.02.2019 (pour une durée totale de 3 mois) Soins de plaie Consultation team pied en ambulatoire le 12.12.2018 à 10h45 Rx pied et cheville D : fracture de la base du 5e MT Rx pied face/oblique: fracture multifragmentaire non déplacée phalange proximale du 5ème orteil D Rx pied face/oblique: pas de fracture visualisée Rx pied face-profil, calcanéum axiale du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture avec quelques signes de consolidation osseuse. Rx pied, face-profil-oblique en charge : consolidation de l'ostéotomie sur le 1er métatarsien pratiquement complète. Au niveau de la base du 1er métatarsien, bonne consolidation. L'alignement est correct. Nous avons un angle inter-métatarsien de 5°. Rx pied face-profil-oblique en charge : pas encore de signe de consolidation osseuse, pas de déplacement secondaire. Rx pied, face-profil-oblique en charge : situation stable, avec moins d'ostéopénie d'immobilisation comme vue sur les dernières radiographies. Rx pied face/profil/oblique: pas de fractures. RX pied f/p en charge et oblique : On ne voit pas de fracture. Bonne congruence des articulations. Rx pied G du jour : léger déplacement dorsal du fragment distal. Consolidation osseuse en cours. RX pied G face et profil de ce jour : fracture consolidée. Rx pied G, face-profil-oblique : cf diagnostic Rx pied G face-profil-oblique du jour : status post cure d'hallux valgus avec un cal osseux bien formé. Mise en évidence également d'un Pip tree bien en place, sans descellement, sans signe de déplacement secondaire et signe de consolidation osseuse au niveau de l'IPP. Rx pied G, face-profil-oblique en charge : bonne consolidation de la fracture du processus antérieur du calcanéum. Pas de déplacement secondaire de l'articulation de Chopart. Rx pied G face-profil-oblique en charge : hallux rigidus important avec pratiquement plus d'espace articulaire, avec des ostéophytes à la base de P1 et de la tête métatarsienne. Rx pied G, face-profil-oblique en charge : hallux valgus avec angle inter-métatarsien de 14°. RX pied G f/p en charge et oblique du jour : Pas de déplacement secondaire. Fracture semble consolidée. RX pied G f/p/o : début de récidive de l'exostose réséquée il y a 6 semaines. RX pied G f/p/o : on voit la broche descellée par rapport au dernier contrôle radiologique. RX pied G f/p/o de ce jour : matériel en place, pas de déplacement secondaire. Signes de consolidation osseuse au niveau de l'ostéotomie transmétatarsienne. Bon alignement osseux. RX pied G f/p/o du jour : montre le matériel en place, sans déplacement secondaire. Bonne correction de l'orteil en griffe. RX pied G f/p/o du jour : pas de déplacement secondaire. Rx pied G f/p/o du jour : contact osseux. Progression de la consolidation osseuse sans déplacement secondaire de l'ostéotomie. Rx pied G f/p/o du jour : progression de la consolidation au niveau de l'ostéotomie sans déplacement secondaire. Correction satisfaisante de l'angle intermétatarsien et de l'angle hallux valgus. Persistance d'un défaut d'axe au niveau de DMAA. Rx pied G f/p/o en charge : bonne consolidation de l'arthrodèse. Pas de déplacement de la plaque. Ostéotomie du 5ème métatarse en voie de consolidation. Rx pied G f/p/o en charge : bonne consolidation de l'arthrodèse. Pas de descellement du matériel d'ostéosynthèse. Rx pied G f/p/o en charge du jour : pas de déplacement secondaire. Fractures au niveau du cuboïde et du naviculaire en voie de consolidation. RX pied G f/p/o le 03.12.2018 RX pied G (f/p/oblique) du jour : fracture consolidée. RX pied G le 17.12.2018 Rx pied G : plus de visualisation des avulsions osseuses. CT pied D : multiples avulsions au niveau du calcanéum synonyme d'une lésion du Chopart. Rx pied G postOP 19.11.2018 RX pied gauche. Doppler veineux. Clexane 40 mg. Antibiothérapie (cf diagnostic principal). Rx pied gauche : pas de fracture visualisée, os sésamoïdes. RX pied/cheville D du 21.11.2018. Rx pied/cheville G 28.11.2018 CT pied/cheville G 28.11.2018 Rx pied G postOP 29.11.2018 Rx plâtre fendu cruro-pédieux antalgie si douleur Avis Dr. X orthopédiste contrôle en ortho urgence dans 5-7 jours Rx poignet à pister RX poignet D face et profil : fracture consolidée avec matériel d'ostéosynthèse en place sans déplacement secondaire. RX clavicule D : fracture en voie de consolidation avec matériel d'ostéosynthèse en place. Absence de déplacement secondaire du matériel ou de la fracture. RX poignet D face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX poignet D face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX poignet D face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX poignet D face et profil de ce jour : fracture consolidée. Pas de nouvelle fracture visualisée. RX poignet D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire. RX poignet D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX poignet D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est consolidée. RX poignet D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est consolidée. Rx poignet D f/p : fracture épiphysaire et métaphysaire du radius distal Avis et vue par Dr. X : • Réduction fermée aux urgences puis attelle palmaire • Bilan biologique, ECG, Rx thorax Evaluation faite par l'anesthésiste le Dr. X RDV hôpital de jour jeudi 13.12.18 pour réduction sous anesthésie (+/- opération pour réduction si la réduction manuelle ne tient pas) - Consentement déjà signé par la patiente Rx poignet D f/p : fracture épiphysaire et métaphysaire du radius distal Bilan biologique : pas de syndrome inflammatoire, Hb 141 g/l, Créatininémie 79 umol/l ECG Rx thorax : pas de foyer visible RX poignet D f/p : matériel d'ostéosynthèse en bonne position avec un bon repositionnement des fragments et une fracture en voie de consolidation. RX poignet D f/p de ce jour : pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Bon remaniement osseux. RX poignet D (f/p) du jour : bonne consolidation de la fracture. La bascule est en diminution depuis le dernier contrôle. RX poignet D f/p du 15.12.2018 : mise en évidence d'un défect osseux à bord sclérose de la partie distale du radius à la hauteur de l'articulation radio-ulnaire distale mesurant 17X6X20 mm de plus grand axe avec un aspect dense dans la partie distale du radius. Scanner poignet D du 15.12.2018 : cf résultat de la radio IRM du poignet D du 19.12.2018 : lésion de la partie distale du radius, fusion dans les tissus mous avec un œdème au pourtour, les lésions ont les caractéristiques d'une lésion agressive. La lésion s'étend sur 2.3 cm de hauteur avec un plus grand axe à 2.3 cm dans le plan transverse. La lésion est hypodense en T1 et hyperintense en T2. Rx poignet D F/P : fracture suscitée Avis Dr. X Plâtre AB fendu Rx de contrôle post-plâtre Contrôle en polyclinique d'orthopédie à une semaine La patiente est avertie de rester à jeun cette nuit et qu'elle recevra un appel téléphonique du Dr. X, chef de clinique, pour la suite de la prise en charge. Contrôle aux urgences avant si péjoration clinique. Rx poignet D F/P : fracture suscitée Rx de contrôle post-plâtre : pas de signe de compression RX poignet D le 09.12.2018. CT poignet D le 09.12.2018. RX poignet droit : le cliché du côté droit a été demandé pour comparaison avec le côté gauche où nous avons noté un ulna + d'environ 2 mm. Du côté droit, le patient a également une variante positive d'environ 2 à 3 mm. Rx poignet droit Avis Dr. X - Plâtre AB fondu Rx contrôle Suivi polyclinique orthopédie dans 1 semaine RX poignet droit face, faux profil : Réduction anatomique. Pas de descellement du matériel d'ostéosynthèse. Pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx poignet droit : fracture radius distal déplacée en dorsal Rx post-réduction : fracture mise partiellement en place (bascule de 20°) Rx poignet droit : Pas de fracture RX poignet du 19.12.2018 Antalgie au besoin RX poignet et avant-bras (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx poignet et main D : pas de fractures. Rx poignet et scaphoïde G : fracture suscitée Attelle plâtrée AB Rx de contrôle post-plâtre Consultation en polyclinique d'orthopédie à une semaine. Consultation avant si péjoration clinique Rx poignet et scaphoïde G : Fracture ulnaire G distal Rx de contrôle post-plâtre : pas de signe de compression RX poignet face / profil : pas de fracture Bandage élastique Glace 15 min 3x/j durant 24 h Antalgie en réserve RX poignet face et profil : fracture consolidée sans déplacement de la fracture ou du matériel d'ostéosynthèse. RX poignet face et profil, status post ablation du matériel d'ostéosynthèse et nécrose de la fossa lunata radius distal : on objective que le semi-lunaire a une position physiologique vis-à-vis du carpe.Rx poignet face-profil : fracture consolidée en bonne position. Pas de déplacement secondaire. RX poignet f/p du jour : matériel d'arthrodèse en place. Important remaniement osseux au niveau de l'articulation. RX poignet G avec incidence scaphoïde de ce jour : fracture consolidée. RX poignet G de ce jour : bon positionnement du matériel d'ostéosynthèse. RX poignet G face et profil : bon positionnement du matériel d'ostéosynthèse sans déplacement secondaire. Fracture en voie de consolidation. RX poignet G face et profil : bonne consolidation de la fracture. RX poignet G face et profil : fracture consolidée sans déplacement secondaire. RX poignet G face et profil : fracture en voie de consolidation. Amélioration de la bascule dorsale. RX poignet G face et profil avec incidence scaphoïde : pas de fracture visualisée. RX poignet G face et profil de ce jour : bonne consolidation de la fracture. RX poignet G face et profil de ce jour : fracture consolidée, sans déplacement secondaire. RX poignet G face et profil de ce jour : fracture consolidée. Rx poignet D face et profil de ce jour : fracture consolidée. RX poignet G face et profil de ce jour : fracture en voie de consolidation, sans déplacement secondaire. RX poignet G face et profil de ce jour : matériel d'ostéosynthèse en place. Progression de l'ossification hétéro-topique par rapport aux derniers clichés. RX poignet G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX poignet G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX poignet G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX poignet G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture de la styloïde ulnaire, pas de déplacement secondaire post-réduction avec une bascule postérieure résiduelle d'environ 5°. Rx poignet G f/p : matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Trait de fracture toujours visible. Rx poignet G f/p de ce jour : absence de déplacement secondaire de la fracture et du matériel d'ostéosynthèse par rapport aux comparatifs. Nouvelle fracture en cours de consolidation. RX (poignet G, f/p) de ce jour : bonne consolidation osseuse. Matériel d'ostéosynthèse en place. Pas de descellement. RX (poignet G, f/p) de ce jour : bonne position du matériel d'ostéosynthèse, sans déplacement secondaire. RX poignet G (f/p) du jour : bonne consolidation de la fracture. Rx poignet G f/p du jour : broche en place. Fracture consolidée. RX poignet G (f/p) du jour : fracture consolidée. Angulation 17° de bascule palmaire. RX poignet G (f/p) du jour : fracture en voie de consolidation. Rx poignet G f/p du jour : consolidation totale. Pas de déplacement secondaire du matériel d'ostéosynthèse. Rx poignet G f/p du jour : fracture en voie de consolidation. Pas de déplacement secondaire de la fracture ni du matériel d'ostéosynthèse. Rx poignet G f/p du jour : la fracture du radius distal est consolidée. En comparant les clichés du 02.10.2018, nous voyons une légère impaction du fragment styloïde radial. En comparant les clichés du 14.11.2018, l'impaction est stable. Rx poignet G postOP 29.11.2018 Rx poignet G 27.11.2018 RX poignet gauche : vis et plaque en place. Avis orthopédique (Dr. X) : RX dans la norme. Hématome post-opératoire. Poursuite de l'antalgie. Recommandation de reconsulter si péjoration des douleurs ou d'apparition de fièvre et/ou de frissons. RX poignet gauche face et profil de ce jour : stigmate d'une AMO du radius distal avec fracture consolidée, sans déplacement secondaire. Arrachement de la styloïde ulnaire corticalisée. RX poignet gauche F/P : fracture transverse de la métaphyse distale de l'ulna et fracture Salter II de la styloïde radiale. Rx poignet gauche f/p du jour : matériel d'ostéosynthèse en bonne position et fracture complètement consolidée. RX poignet gauche f/p du jour : matériel d'ostéosynthèse en place, pas de déplacement secondaire, consolidation osseuse en cours. Rx poignet/main D le 22.11.2018 RX poignet/main G le 01.12.2018 Rx poignet/main G le 01.12.2018. CT poignet/main G le 02.12.2018. RX poignet/main G le 05.12.2018 Rx poignet/main gauche : pas d'atteinte osseuse. Exploration de plaie après désinfection et anesthésie. Suture par 4 pts sous cutanés et 20 points simples cutanés avec Prolène 3.0 sous cutanés. Rappel antitétanique. Avis orthopédique (Dr. X) : points de rapprochement sous cutané nécessaire. Retour à domicile avec traitement symptomatique et antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/jour pendant 5 jours (jusqu'au 10.12.2018). Contrôle de plaie à 48h au secteur ambulatoire des urgences. Ablation des fils dans 10 jours chez médecin traitant. RX pouce D (f/p) du jour : fracture en voie de consolidation. Rx pouce D f/p du jour : matériel en place. Pas de déplacement secondaire. Trait de fracture toujours visible. Rx pouce D F/P : pas de signes de fractures. Rx pouce D F/P : pas de signes de fractures. Attelles alu pouce pour antalgie. Maximum 1 semaine. Traitement antalgique. Arrêt de sport 1 semaine. Contrôle chez son pédiatre en cas de persistance des symptômes à 5 jours. Rx pouce D 07.12.2018. US main D 07.12.2018. RX pouce face et profil : fracture en voie de consolidation sans déplacement secondaire. RX pouce f/p/oblique : consolidation de la fracture en cours. Pas de déplacement du matériel d'ostéosynthèse. Rx pouce G : fracture dernière phalange pouce G. Rx Pouce G : annulée par Dr. X (pas d'indication). Avis Ortho (Dr. X) : Lésion tendon extenseur pouce G partielle, ad hospitalisation, patient à jeun, prévoir exploration chirurgicale au bloc. Pas AB souhaité pour le moment. Hospitalisation en chirurgie orthopédique. Rappel tétanos à jour. RX pouce G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX pouce G (f/p) du jour : pas de lésion osseuse décelable. Rx pouce gauche, face-profil du jour : bonne réduction de la fracture sans déplacement secondaire. Peu de cal osseux encore visible. Rx pouce gauche : luxation de la métacarpo-phalangienne D1 gauche, pas de fractures visualisées. Rx pouce gauche : pas de fracture visualisée, réduction avec succès. Rx pouce : pas de fracture. Rx pouce : pas de fracture ni luxation. Rx pouce : pas de lésion osseuse. Anesthésie locale pouce, nettoyage plaie pouce G, mise en place 3 points de suture séparés. Prise en charge au bloc opératoire. Exploration plaie côté radial pouce G, au niveau MCP, suture de APL, rinçage, fermeture, pansement, attelle poignet prenant le pouce en primacast : l'exploration montre rupture d'abductor pollicis longus, qui est suturé par maxon, sans arthrotomie ; pas de lésions neurovasculaires en regard de neurovascular bundle dorsal médial/latéral, en dehors de la coupure de petites branches du plexus vasculaire dorsal. Procédé : rester en attelle comprenant le pouce jusqu'à guérison de la plaie. Surveillance neurovasculaire postopératoire comme d'habitude par contrôle de couleur et sensibilité au niveau bout pouce G. Pansement J2. Avis Dr. X le 15.12. - évolution favorable. Par la suite contrôle polyclinique orthopédique le 17.12 à 16 heures - voir aussi l'état de la plaie du lèvre. RX premier rayon à G (f/p) du jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Fracture consolidée. Rx puis CT. Avis ortho : hospitalisation en orthopédie pour détuméfaction et prise en charge chirurgicale secondaire ; mise en place d'attelle postérieure. Rx Rachis cervical, rachis dorsal, rachis lombaire : pas de fractures visualisées, pas de spondylolysthésis, pas d'asymétrie des tissus mous paravertébraux. Labo, Sédiment : aligné.Rx sacrum face/profil du jour (PACS): Matériel d'ostéosynthèse en place, sans déplacement secondaire. RX sacrum f/p : pas de fracture visualisée. Antalgie. Repos, glace et AINS. RX série scaphoïde, poignet droit : Il me semble que la fracture est en voie de consolidation. Par contre, elle est limitée par l'examen. Rx Status Avis Dr. X: doute sur la Rx, faire un CT CT: fracture confirmée, tubérosité calcanéum Plâtre circulaire de Paris fendu Contrôle à J7 à la polyclinique d'ortho avec changement du plâtre Antalgie • Plâtre pendant 6 semaines, 3 semaines en décharge et 3 semaines en charge. • Clexane prophylactique • Arrêt du sport pendant 8 semaines Rx TELOS genou D : Net effacement de la TTA avec un tibia qui est en net recul postérieur en comparatif du fémur. Rx longs axes des MI : Léger varus présent au niveau du genou D. Coxarthrose visible à G. IRM genou D du jour : Petite lésion méniscale de la corne postérieure du ménisque interne. Rupture complète du LCA et du LCP. Bonne continuité des collatéraux. RX thoracique : pas de cardiomégalie, pas de foyer, pas de lésion costale visualisée. RX thoracique : sans particularité. Laboratoire : pas de CRP, pas de leucocytose. Retour à domicile avec poursuite du traitement habituel (aérosol matinal). Ad Otrivin pour rinçage nasal. Ad arrêt de travail de 2 jours. Rx thoraco-abdominale (face) : trombonne dans l'estomac Surveillance des selles tous les jours Rx à 14 jours si pas encore éliminé Reconsultation immédiate aux urgences si douleurs abdominales. Rx thoraco-abdominale (face) : visualisation d'une trombonne dans l'estomac, mesurant 3.2x0.3 cm RX thorax. Rx Thorax. Rx thorax : pas de pneumothorax, signes BPCO, mais cliché couché Laboratoire : Hb 155, Créat 102 sans de trouble électrolytique, troponines H0- 18, H1 - 17, H3 15. 349 D-dimères Gazométrie - hypoxie 10, hypocapnie 4, bics 21 ECG - pas de signes d'ischémie RX THORAX : Index cardio-thoracique normal - Pas d'élargissement médiastinal - Sinus costo-diaphragmatiques libres - Pas d'épanchement - Pas de pneumothorax - Pas de foyer RX thorax : infiltrat alvéolaire postéro-basal droit compatible avec un foyer pulmonaire Laboratoire Ciproxine du 15.11 au 22.11.2018 Rx thorax : objet radiopaque de 1.4 cm de grand axe objectivé dans l'estomac. Rx thorax : pas de foyer, pas de pneumothorax. ECG : pas de signe d'ischémie. Rx thorax : pas de foyer visible Rx Thorax : pas de luxation costo-chondrale, pas de pneumothorax Rx thorax : pas d'élément radiopaque objectivé Rx thorax : pas d'épanchement pleural, pas de pneumothorax Rx colonne thoracique : pas de fracture visualisée Rachis lombaire visualisé sur le CT abdominal du 23.11.2018 : fracture non déplacée au niveau du corps vertébral Th9 et suspicion de fissure sur un ostéophyte de Th12 et de nombreuses lésions dégénératives. Attitude : • Traitement conservateur • Hospitalisation pour traitement antalgique et physiothérapie de mobilisation • Introduction d'Oxycontin 2x 10 mg / jour Mme. Y vivant seule à domicile, SAD 3x/j Rx thorax : possible foyer base gauche US MID ; pas de TVP Rx thorax 30.11., 01.12 et 03.12. Traitement conservateur avec oxygénothérapie RX thorax Avis chirurgical (Dr. X, Dr. X) Oxygénothérapie au besoin Pose de drain thoracique du 17.12 au 19.12.2018 Pansement occlusif par Varihésive du 19.12 au 22.12.2018 Ablation des fils le 27.12.2018 Rx Thorax blande CRP 38, Leuk 10.6 Rx thorax (couché) 14.12.18 2 concentrés érythrocytaire le 14.12, 1 CE le 15.12.2018 Pantozol 80 mg i.v puis à 8 mg/h du 14.12.18 au 19.12.18 Pantozol 20 mg /j dès le 20.12.18 Eliquis en suspens dès 14.12.18 Diurétique en suspens dès le 14.12.18 Rx thorax /CT thorax 30.11.2018 IgE totaux (DD : ABPA) 2865 U/ml Sédiment urinaire Culture d'expectorations: S. aureus, Pantoea agglomerans R à Augmentin, E.coli multirésistant (probable colonisant) Avis pneumologique (Dr. X) : au vu du tableau clinique, et de la découverte d'un pseudomonas lors de la dernière hospitalisation à Bern, mise en place de Tazobactam iv pour débuter l'antibiothérapie. Recherche IgE totaux pour ABPA, mise en place de physio resp 2x/j 30-60 min avec Ventolin inhalation, NaCl 3 % 5 ml puis Pulmozyme Avis infectiologique (Prof. X) : Pip.-Tazobactam. Au vu de l'évolution favorable sous Pipéracilline-Tazobactam qui n'agit pas contre l'E.coli multi-résistant retrouvé chroniquement dans les cultures d'expectorations, un relais per os par Co-amoxicilline 1g 2x/j pour une durée totale de 10 jours peut être envisagé, pour autant que l'objectif du traitement soit le traitement de l'exacerbation et non pas l'éradication de la totalité des germes Pipéracilline-tazobactam i.v. du 30.11 au 04.12. avec relais au Co-Amoxi per os 2x 1 g/j pour une durée totale de 10 jours Physiothérapie respiratoire Discussion introduction macrolides (par ex. Azithromycin) à distance Proposition de suivi au Lindenhof, le Quartier bleu à Berne Rx thorax du 01.12.2018 : Signes de surcharge non décompensés avec cardiomégalie, redistribution vasculaire aux apex et flou puis péri-hilaire bilatéral. Pas de foyer infectieux mis en évidence. Absence d'épanchement pleural et de pneumothorax. Pacemaker avec sonde en surprojection du ventricule droit. Rx Thorax du 03.12.2018 : Pas d'épanchement, pas d'infiltrat, pas de cardiomégalie Laboratoire du 03.12.2018 : CRP < 5 mg/l, Lc 4,7 G/l, BNP 289 ng/l Rx thorax du 10.12.2018 Diminution importante de l'épanchement pleural droit. Mise en évidence d'un infiltrat péri-hilaires et basal droit, compatible avec une pneumonie. Pas d'image d'épanchement pleural gauche ni d'infiltrat pulmonaire pathologique gauche. CT thoraco-abdominal du 11.12.2018 : À l'étage thoracique : volumineux épanchement pleural droit. Zones de consolidation et de verre dépoli dans le LSD, le LID et le LSG, d'allure infectieuse en premier lieu, à suivre. À l'étage abdominal : lésion d'allure tumorale de l'angle colique gauche sur un segment de 7 cm. Multiples adénopathies, certaines nécrotiques, coeliaques, rétropéritonéales, péri-pancréatiques et mésentériques. Ascite dans les quatre quadrants. Hépatomégalie stéatosique avec un parenchyme hépatique très hétérogène. On retrouve des séquelles de thrombose porte gauche, celles-ci ayant un aspect filiforme. Signes de pancréatite chronique. Rx thorax du 12.12.2018 Évolution favorable avec régression quasi-complète de l'épanchement pleural droit post-ponction. Diminution également de l'infiltrat pulmonaire droit prédominant dans le lobe supérieur. Reste superposable au comparatif. RX thorax du 13.12.2018 : Cardiomégalie connue avec flou péri-hilaire et épaississement bronchique, compatible avec une décompensation cardiaque. S/p mise en place d'un pacemaker bicaméral pectoral droit, de position inchangée. S/p TAVI. Calcifications du bouton aortique. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Le cadre osseux et les tissus mous sont inchangés. CT cérébral inj. le 13.12.2018 : Pas d'évidence de en faveur d'une hémorragie intracrânienne. Séquelle occipitale droite. Pas de signe en faveur d'une nouvelle démarcation ischémique récente. Masse para-sagittal intracrânienne droite, avec infiltration ostéolytique de la calotte crânienne, stable depuis 2014, a priori compatible avec un méningiome. Rx thorax du 15.12.2018 : Examen de qualité sous-optimale en raison d'un inspirium insuffisant. Signes d'insuffisance cardiaque décompensée, probablement majorés par la position couchée avec cardiomégalie, infiltrat interstitiel diffus et épanchement pleural à gauche. Un foyer infectieux surajouté n'est pas exclu.Normale Herzgrösse sans signes de décompensation cardiaque. Pas de pleuralité. Bronchial wall thickening bilatéral. Bilatérale parakardiale Lungeninfiltrate, compatibles avec une pneumonie d'aspiration. Consilium ORL 23.11.2018 : gingivostomatite très floride avec dépôts blanchâtres détachables de toute la muqueuse, muqueuse saignant au contact car très inflammatoire, dépôts encore plus importants de l'hypopharynx avec atteinte laryngée prédominante à droite. Pas de signes d'abcès de la région pharyngée ou buccale/dentaire. Sous glotte sp. Pas de nécrose tissulaire (aucun argument pour une atteinte fongique invasive). Palpation du cou sp. Perlèche. Rx thorax du 21.12.2018 : pas de foyer mis en évidence. Rx thorax du 26.12 : foyer pulmonaire avec suspicion d'épanchement pulmonaire droit. Rx thorax du contrôle du 28.12 : foyer pulmonaire du lobe supérieur droit stable sans péjoration, sans épanchement pleural diffus. Gazométrie du 28.12 : alignée, pas de troubles de ventilation. Rx thorax du 28.11.2018 : silhouette cardiaque ininterprétable en raison de l'incidence. Sclérose du bouton aortique et déroulement de l'aorte descendante. Réticulations aux deux bases pulmonaires et épaississements bronchiques, pouvant correspondre à une bronchite (DD insuffisance cardiaque sans argument pour une décompensation cardiaque majeure). Pas d'épanchement pleural. Altérations dégénératives du cadre osseux sans lésion suspecte. CT abdominal à blanc le 30.11.2018 : calcul radio-opaque (619 HU) mesurant 7 x 5 x 11 mm, au niveau de l'uretère proximal gauche sous pyélique associé à une dilatation pyélocalicielle mesurée à 27 mm, sans argument radiologique pour une rupture de fornix. Pas d'autre obstacle le long des voies excrétrices urinaires. Les reins sont de taille normale, sans dilatation du système excréteur à droite. Kystes corticaux des deux côtés (-2 HU). Le plus grand au niveau de la lèvre antérieure du rein droit mesure 35 mm de diamètre. Vessie vide, sondée. S/p prostatectomie et lymphadénectomie pelvienne. Sous réserve d'un examen réalisé sans injection de produit de contraste, les parenchymes hépatique, splénique, pancréatique et surrénaliens se présentent normalement. Aucun calcul radio opaque n'est objectivé dans la vésicule. Pas d'adénopathie, ni de liquide libre intra-abdominal. Déhiscence de la paroi abdominale antérieure. Sur les coupes passant par l'étage thoracique : absence de lésion nodulaire suspecte. Épaississements bronchiques avec comblements endobronchiques en distalité des lobes inférieurs. Fine lame d'épanchement pleural bilatéral avec atélectasies passives et partielles des lobes inférieurs. Osseux : absence de lésion ostéolytique ou ostéocondensante suspecte. Stabilité en taille de la lésion ostéocondensante du corps vertébral L5. Hémi-lombalisation de S1. Troubles dégénératifs du rachis thoracique bas et lombaire avec ostéophytes antérieurs et latéraux, associés à des discopathies lombaires. CONCLUSION : Lithiase mesurant 11 x 7 x 5 mm au niveau de l'uretère proximal gauche, associée à une dilatation pyélocalicielle. Échocardiographie le 29.11.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile globale modérément diminuée, sans trouble de la cinétique segmentaire. FEVG à 30 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 3 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Absence de dilatation des cavités droites. Fonction systolique du ventricule droit modérément altérée. Insuffisance tricuspide minime. Hypertension pulmonaire avec PAPs estimée à au moins 42 mmHg. Absence d'épanchement péricardique. L'examen du jour montre une fonction contractile globale modérément diminuée, sans trouble de la cinétique segmentaire. Absence de valvulopathie significative. PAPs estimée à au moins 42 mmHg. DD : cardiopathie ischémique, tachycardiomyopathie, cardiopathie septique. Nous proposons d'introduire un traitement de BB à titrer selon la tolérance. Pas de cardioversion immédiate en raison d'une bonne tolérance de la fibrillation auriculaire. Indication à débuter une anticoagulation. Répéter ETT et réévaluation d'un traitement de l'IC au décours de l'épisode aigu. Rx thorax du 29.11.2018 : cardiomégalie D avec petit bombement de l'arc latéral moyen G, compatible avec une dilatation du tronc pulmonaire, mais pas de signe d'insuffisance cardiaque. Status après remplacement de l'anneau mitral. Déroulement de l'aorte thoracique. Pas de foyer, d'infiltrat ni d'épanchement pleural. Status après intervention chirurgicale au niveau de l'épaule G à confronter avec les antécédents du patient. ECG d'entrée : rythme non sinusal avec FA, normocarde à 92 bpm. QRS à 110 ms avec un axe à 19° et une image de BBD incomplet. QTc normal. ECG de sortie : rythme non sinusal avec FA normocarde à 90 bpm. QRS à 116 ms avec un axe à -20° et une image de BBD incomplet. QTc 474 ms. Échographie cardiaque du 03.12.2018 : dilatation des 4 cavités surtout des oreillettes. HVG. FEVG 35 %. Pas d'HTAP. Insuffisance aortique de grade 1/4 sur défect de coaptation. VCI avec augmentation compliquée aux mouvements respiratoires. Épanchement péricardique en voie de résolution. Épreuve d'effort du 03.12.2018 : FA normocarde avec réponse chronotrope satisfaisante pour le contexte post-opératoire. Test limité par le problème au niveau du genou G. Test de 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 330 m, FC 89-119-100 bpm, TA repos 113/79 mmHg, TA fin 127/82 mmHg, BORG 4/10. Test de 6 minutes à la sortie : distance parcourue 395 m, FC 86-112-62 bpm, TA repos 110/78 mmHg, TA fin 118/93 mmHg, BORG 4/10. Rx thorax du 30.10.2018 : status post sternotomie pour valvuloplastie aortique. Cardiomégalie avec ICT de 16/30, sans signe de décompensation cardiaque. Pas d'épanchement pleural. Pas de foyer parenchymateux systématisé surajouté visible. Lésions dégénératives étagées du rachis dorsal, sans fracture/tassement. Échocardiographie du 13.11.2018 : dilatation modérée de l'OG avec SIA bombé vers OD. Bonne fonction VG globale sur fond d'HVG ; petit retard septal post-opératoire, FEVG 52 % (Simpson). Petite lame péricardique résiduelle en regard du VD - sans caractère significatif. Bon fonctionnement de la bioprothèse aortique sans fuite para ou péri-prothétique. Dp : 10-17 mmHg. Pas de signe en faveur d'une HTAP. ECG d'entrée : rythme régulier avec présence de pauses et d'extrasystoles ventriculaires avec une FC à 56 bpm, onde P à 118 ms, PR 174 ms, QRS large avec un axe hyper G compatible avec une image d'hémibloc antérieur G et un bloc de branche D complet. Repolarisation tardive de l'onde R. QTc 439 ms. Indice de Sokolow à 1.75. ECG de sortie : rythme régulier sinusal à 58/min avec présence d'une extrasystole ventriculaire. Onde P à 126 ms. PR 192 ms. QRS large avec une image d'hémibloc antérieur G associé à un bloc de branche D. QTc à 463 ms. Index de Sokolow à 1.75. Test des 6 minutes à l'entrée : distance parcourue 300 m, FC repos 69 bpm, FC fin 85 bpm, FC récup 74 bpm, TA repos 129/70 mmHg, TA fin 130/66 mmHg, BORG 4/10. Test des 6 minutes à la sortie : distance parcourue 430 m, FC repos 66 bpm, FC fin 85 bpm, FC récup 71 bpm, TA repos 143/70 mmHg, TA fin 153/78 mmHg, BORG 7/10. Rx thorax du 30.11.2018 : signes d'insuffisance cardiaque décompensée avec importante cardiomégalie, redistribution vasculaire aux apex, infiltrat pulmonaire péri-hilaire et basal droit. Épanchements pleuraux bilatéraux prédominant à droite. Rx thorax le 06.12.2018 : comparatif 30.11.2018. Nette diminution de l'épanchement pleural droit par rapport au comparatif. Il persiste seulement un petit émoussement du sinus costo-diaphragmatique. Pas d'épanchement pleural gauche. Persistance de signes d'insuffisance cardiaque légèrement décompensée, diminués par rapport au comparatif. Pas de foyer pulmonaire visible.Rx thorax face Rx thorax face 27.11.18 Oxygénothérapie du 27.11.18 au 04.12.18 Aérosols par Ventolin + Atrovent Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 27.11.18 au 02.12.18 Prednisone 40 mg /j du 27.11.18 au 02.12.18 Physiothérapie respiratoire Réhabilitation pulmonaire en ambulatoire Suivi chez le pneumologue traitant à organiser par le patient dès la sortie Réévaluer l'indication à une oxygénothérapie au domicile. CAVE patient fumeur actif ainsi que son épouse Rx thorax face Antalgie Rx thorax : foyer pulmonaire avec suspicion d'épanchement pulmonaire droit Rx thorax : foyer pulmonaire base droite, suspicion foyer base gauche, pas d'épanchement pleural Rx thorax f/p : pas de foyer Sédiment urinaire : pas de leucocyturie Hémoculture : négatives Bactériologie selles : négatives Sang occulte dans les selles positif, mais stabilité hémoglobine US voies biliaires le 28.11.2018 : dilatation voies biliaires des 2 côtés, aérobilie en faible quantité, stent non-visible Rocéphine IV et Flagyl per os du 27.11 au 02.12.2018 puis Ciprofloxacine per os et Flagyl per os pour une durée totale de 10 jours jusqu'au 06.12.2018 Amélioration clinique et biologique Rx thorax Labo Hémocultures 1 paire Avis infectio : Rocéphine 2 g 1 x/j, discussion autour ETT au vu 2 paires hémoc positives RX thorax Laboratoire : Hb 81 g/l Attitude : • Hospitalisation en médecine pour soutien. • Poursuite antalgie habituelle. • Discuter transfert en soins palliatifs si possible. RX thorax le 06.12.2018 : pas de foyer Reprise de l'IPP dès le 05.12.2018 Rx thorax le 13.12.2018 Lasix iv Rx thorax le 16.12.2018 : silhouette cardiaque ininterprétable. Sclérose du bouton aortique. Volumineuse opacité en base pulmonaire gauche, ne silhouettant pas le bord du cœur pouvant correspondre à un foyer. Réticulations diffuses dans le reste du parenchyme pulmonaire des deux côtés, avec des hiles proéminents (DD incidence AP ? décompensation cardiaque ?). Pas d'épanchement pleural visible. Altérations dégénératives du cadre osseux sans lésion suspecte. Rx thorax le 19.11.2018 : masse trachéo-bronchique CT thoraco-abdominal le 21.11.2018 : Masse bien délimitée au sein de la loge de Baréty, mesurant 27 x 35 x 40 mm Bronchoscopie avec biopsie le 27.11.2018 avec radiographie de contrôle -diagnostic anatomopathologique : carcinome à petites cellules (EBUS TBNA, paratrachéal inférieur droit station 4R) cf. documents promed PET-CT le 04.12.2018 IRMc le 06.12.2018 Port-a-cath le 07.12.2018 Tumorboard le 05.12.2018 Suite de la prise en charge en oncologie (Dr. X) RX thorax le 25.11.2018 : Important foyer de condensation de l'hémi-champ pulmonaire supérieur G. Épanchement pleural G. Épaississement bilatéral de la trame bronchovasculaire. Aorte déroulée et calcifiée. Rx thorax le 26.10.2018 Sédiment urinaire et urotube le 26.10.2018 Mme. Y refuse une ponction pleurale diagnostique, mais accepte une antibiothérapie empirique Co-amoxicilline 26.10.2018 - 02.11.2018 Rx thorax le 26.11.2018 : sonde nasogastrique suivie jusqu'en surprojection de l'abdomen supérieur (extrémité distale hors champ). Status post-trachéostomie avec tube se terminant sur projection de la trachée. Flou péri-hilaire et infiltrats pulmonaires bilatéraux à prédominance centrale, compatibles avec une surcharge. Opacité pulmonaire bi-basale plus marquée (DD : atélectases ? comblements alvéolaires en lien à la surcharge ? foyers ?). Épanchement pleural gauche de faible abondance. Pas d'épanchement pleural à droite. Structures osseuses sans particularité. Rx thorax le 29.11.2018 : S/p mise en place d'une sonde nasogastrique suivie jusqu'en sur-projection de l'abdomen supérieur (extrémité distale hors champ). Échocardiographie transthoracique le 04.12.2018 : le ventricule gauche n'est pas dilaté avec une fonction systolique globale et segmentaire normale. La fraction d'éjection est normale et estimée à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Dysfonction diastolique minime (grade I). Insuffisance aortique légère sur dilatation de l'anneau aortique. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Les cavités droites ne sont pas dilatées. Fonction systolique du VD normale. Il n'existe pas d'insuffisance tricuspidienne. La veine cave inférieure est compliante et non dilatée (POD estimée à 5 mmHg). Absence d'épanchement péricardique. Rx thorax le 26.11.2018 : sonde nasogastrique suivie jusqu'en surprojection de l'abdomen supérieur (extrémité distale hors champ). Status post-trachéostomie avec tube se terminant sur projection de la trachée. Flou péri-hilaire et infiltrats pulmonaires bilatéraux à prédominance centrale, compatibles avec une surcharge. Opacité pulmonaire bi-basale plus marquée (DD : atélectases ? comblements alvéolaires en lien à la surcharge ? foyers ?). Épanchement pleural gauche de faible abondance. Pas d'épanchement pleural à droite. Structures osseuses sans particularité. Rx thorax le 29.11.2018 : S/p mise en place d'une sonde nasogastrique suivie jusqu'en sur-projection de l'abdomen supérieur (extrémité distale hors champ). Échocardiographie transthoracique le 04.12.2018 : le ventricule gauche n'est pas dilaté avec une fonction systolique globale et segmentaire normale. La fraction d'éjection est normale et estimée à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Dysfonction diastolique minime (grade I). Insuffisance aortique légère sur dilatation de l'anneau aortique. Gradient moyen VG-Ao à 7 mmHg. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette gauche non dilatée. Les cavités droites ne sont pas dilatées. Fonction systolique du VD normale. Il n'existe pas d'insuffisance tricuspidienne. La veine cave inférieure est compliante et non dilatée (POD estimée à 5 mmHg). Absence d'épanchement péricardique. Rx thorax le 27.11.2018 : pas d'air libre sous les coupoles diaphragmatiques ECG : rythme sinusal à 72/min, axe indifférent, QRS fins, pas de signes d'ischémie aiguë, QTc 479 ms OGD (Dr. X) 29.11.2018 : Pas de source de saignement visible au TDS, lésion polypoïde ou kystique au niveau de la partie 3 duodénale (colo à prévoir après résultats biopsie, si présence d'hématochézies) CT thoraco-abdominal 30.11.2018 : On note néanmoins l'épaississement de la paroi duodénale de D1, avec ganglion centimétrique en regard avec présence d'un comprimé au sein dd inflammatoire, dd tumoral à corréler à un examen endoscopique. Absence de néoplasie visible au niveau thoracique ou abdomino-pelvien. ETT 30.11.2018 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Fonction diastolique normale. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Absence d'insuffisance mitrale. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Insuffisance tricuspide minime. Absence d'épanchement péricardique. MMSE 03.12.2018 : 29/30 Colonoscopie 05.12.2018 : Grosses hémorroïdes avec polypes fibro-épithéliaux sur les hémorroïdes. Polypes hyperplasiques du rectum et du sigmoïde. Pas d'autre lésion sur l'ensemble du côlon susceptible d'avoir saigné. Les polypes hyperplasiques ne sont pas la source de saignement de même que les polypes fibro-épithéliaux posés sur les hémorroïdes. Ces polypes n'ont pas besoin d'être réséqués. Par contre, les hémorroïdes peuvent avoir été une source de saignement chronique, notamment si la coagulation n'est pas normale.Rx thorax le 29.12.2018: pas de signes de surcharge Prise en charge Dr. X: • Solumedrol 500 mg iv du 29.12 au 31.12.2018, puis 15 mg dès le 01.01.2019 • Lasix 80 mg iv en bolus, puis 2.5 mg/h (cible de diurèse min 400 ml/4h), à monter par escalier de 2.5 mg/h pour cible (relai po à discuter le 31.12 avec Dr. X). Adaptation du Lasix per os pour le domicile • Albumine 20 g 2x/j du 29.12 au 31.12.2018 • héparine prophylactique lors de l'hospitalisation • Poursuite Ciclosporine idem • Add 80 mcg d'Aranesp sous-cutané Suivi biologique et clinique en néphrologie le 04.01.2018 Rx thorax: pas de corps étranger Rx abdo: 2 corps étrangers au niveau de l'articulation sacro-iliaque G, une au niveau de l'articulation sacro-iliaque D, 2 dans l'angle colique hépatique D et une dans l'angle colique splénique avis Dr. X: pas de signe de complication, donc pas d'indication d'intervention chirurgicale en urgence, filtrer les selles pour retrouver les corps étrangers RAD avec une antalgie simple Rx thorax: pas de foyer, pas de cardiomégalie Rx thorax: pas de foyer, pas de cardiomégalie Rx thorax: pas de foyer, pas de fracture ECG: rythmique, sinusal, FC 90/min, axe gauche -34°, QTc 412 ms Rx thorax: pas de foyer, pas d'épanchement, hernie hiatale (radiologiste de garde Dr. X). Laboratoire. CT thoracique: pas d'EP, fracture de côtes à gauche 2 à 7. Inspirex donné à la patiente. Antalgie: Dafalgan, pas d'AINS au vu de la fonction rénale, Tramal 50 mg. Rx thorax: pas de foyer visible Rx thorax: pas de fractures, pas de pneumothorax. Rx colonne dorsale: lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec un aspect cunéiforme des corps vertébraux D8 à D10, évoquant des tassements probablement anciens. Déminéralisation osseuse diffuse. Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs. Rx thorax: pas de pneumothorax, pas de fracture de côte visible Rx thorax: pas d'infiltrat visible, pas de pneumothorax. ECG: bradycardie sinusale. Labo Troponines T0 = 527 ng/l, H1: 649 ng/l CT Protocole aorte (Transmission orale, Dr. X): pas de dissection aortique. Sous limite d'une image sous-optimale: pas d'EP visualisée Avis cardio (Prof. X): • Au vu de la baisse des CK-MB prise en charge aux soins et coro le 20.12.2018 TT aux urgences: • 5000 IU Liquemine • 250 mg Aspégic • 5 mcg Nitroderm • Morphine titrée Att: • Soins Rx thorax post-ponction 30.11, 01.02 et 03.12: petit pneumothorax droit en régression Rx thorax: présence d'un petit infiltrat au niveau du haut du lobe supérieur gauche et possible rétrocardiaque. Rx thorax: signes d'insuffisance cardiaque décompensée avec cardiomégalie, redistribution vasculaire baso-apicale, flou péri-hilaire et infiltrat d'aspect interstitiel prédominant aux deux bases, épaississement péri-bronchique, petit épanchement pleural droit et quelques lignes de Kerley B. Calcifications aortiques. Pacemaker tricaméral. Laboratoires • Rx thorax 06.12.18: flou péri-hilaire compatible avec une surcharge. Pas de franc épanchement pleural, sous réserve d'un examen réalisé en position couchée. Pas de foyer constitué, sous réserve d'une visualisation limitée des bases pulmonaires. S/p mise en place d'un cathéter de dialyse en position inchangée. Le reste de l'examen est globalement inchangé. • Rx épaule gauche 10.12.18: pas d'érosion articulaire visible. Pas d'anomalie des parties molles. Pas de signe franc d'omarthrose. Discrète arthrose acromio-claviculaire. Quelques remaniements sur la partie inférieure de l'articulation acromio-claviculaire avec possible rétrécissement de l'espace sous-acromial pouvant parler pour un conflit ou une possible pathologie de la coiffe. • ECG 06.12.18: rythme sinusal régulier, 90 FC, QRS fins, normo-axé, sans signes d'ischémie myocardique aiguë. Rx thorax (06.12.2018): signes de surcharge, pas de foyer infectieux Laboratoire: CRP en augmentation, leucocytose stable à 13 G/l ECG Gazométrie artérielle (FIO2 29%): pH 7.43, Lactate 1.6 mmol/l Hémocultures cathéter le 06.12.2018: 4/4 positives pour Enterococcus faecalis Culture d'urine le 06.12.2018 (post traitement par Ciprofloxacine): Enterococcus faecalis + Hémocultures (à froid) sur cathéter de dialyse, le 11.12.2018: toujours négatives à 3 jours Avis infectiologique le 07.12.2018 (Dr. X, Dr. X): stopper Cefepime et donner 1 g iv de Vancomycine le 07.12.2018, puis 1 g iv de Vancomycine à répéter post-dialyse les jours de dialyse, jusqu'au 20.12.2018. Pas d'indication à changer le cathéter de dialyse, mais culture urinaire 3-4 jours avant chaque dilatation urétérale, ainsi qu'une antibiothérapie de 24h pré- et 48h post-geste si la culture se positive. ETT le 07.12.2018: ETT inchangée, pas de végétation visualisée. Proposition de répéter ETT car sonde de PM à 5 jours. ETT de contrôle à 5 jours, le 12.12.2018: pas d'argument clinique ni échocardiographique pour une endocardite. Rx thorax (06.12.2018): signes de surcharge, pas de foyer infectieux Labo: CRP en augmentation, leucocytose stable à 13 G/l. ECG Gazométrie artérielle (FIO2 29%): pH 7.43, lactate 1.6 mmol/l. Hémocultures cathéter le 06.12.2018: 4/4 positives pour cocci gram + Culture d'urine le 06.12.2018 (post traitement par Ciprofloxacine): en cours Hémoculture périphérique 07.12.2018: 1 paire en cours Avis infectiologique (Dr. X + Dr. X): appelleront l'assistant de l'étage pour discuter d'ajouter ou non de la vancomycine. Pas d'argument clinique pour endocardite. Dernière ETT 02.11.2018, FeVG 22% Décision de ne pas donner les médications habituelles du midi. ETT le 07.12.2018: ETT inchangée, pas de végétation. Proposition de répéter ETT voir ETO vu sonde de PM à 5 jours si suspicion d'endocardite persiste. Discussion du cas avec Dr. X, pas de critère de SI actuellement. Att: • Pister hémoc et urines • Mise en suspens du torem vu contexte septique • Antibiothérapie par... en post-dialyse uniquement • Vu FeVg diminuée chez patient avec signes de surcharge clinique et rx, pas de remplissage pour hypotension artérielle stable légère sans hypo-perfusion d'organe actuellement. --> si hypotension avec atteinte d'organe, traitement amines au SI. • Proposition de répéter ETT voir ETO vu sonde de PM à 5 jours si suspicion d'endocardite persiste. Rx thorax 10.12.2018 Labo: CRP 39 mg/l, Lc 17 G/l Rocéphine 2 g iv dès le 11.12.20, relais par co-amoxicilline 1 g 2x/j dès le 13.12.2018 Rx du thorax à prévoir à la fin de la thérapie Rx thorax 12.12.18: pas de foyers pulmonaires constitués, pas d'épanchement pleural, examen du cadre osseux superposable. CT abdominal 12.12.18: pas de signes d'iléus; augmentation du liquide d'ascite par rapport aux comparatifs, stabilisation des implants carcinomateux, sub-occlusion de la veine porte (DD infiltration tumorale, adénopathie comprimant le flux?) Rx abdo 16.12.18: absence d'iléus CT-abdo le 17.12.18: absence d'iléus, anses dilatées normalement, stabilité des implants carcinomateux et de l'ascite intra-abdominale Rx thorax 12.12.2018: silhouette cardio-médiastinale de morphologie normale, sans signe de décompensation cardiaque. Le parenchyme pulmonaire se présente normalement. Pas d'épanchement pleural. Attitude scoliotique. Le reste du cadre osseux et les tissus mous sont de morphologie normale. Rx thorax (14.12): pas d'examen comparatif à disposition. Plage de consolidation avec bronchogramme aérique intéressant le lobe moyen et dont l'aspect est compatible avec un foyer de pneumonie. Pas de foyer infectieux clairement visible ailleurs. Silhouette cardio-médiastinale dans les limites de la norme. Aspect déroulé de l'aorte thoracique avec présence d'une calcification de la crosse. Pas d'épanchement pleural. Ostéochondrose étagée du rachis dorsal. Hémocultures 1: positif à 12 h pour S. pneumoniae polysensible.Hémocultures 2: positif à 24 h pour S. pneumoniae polysensible Hémocultures 3: positif à Staph. hominis: contamination Hémocultures 4: en attente Rx thorax 15.10.2018 : pas de foyer objectivé, index cardiaque <50% Avis de médecine interne le 16.10.2018 : Torem mis en suspens. Ad Lasix 20 mg 3x/j Consilium de cardiologie avec échocardiographie ETT 18.10.2018 : Ventricule G non dilaté avec une fonction globale normale. FEVG visuellement à 50-55%, selon méthode de Simpson biplan à 56 %. Cinétique segmentaire non évaluable en raison de mauvaises conditions techniques. Absence de valvulopathie aortique. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Oreillette G modérément dilatée. Ventricule D non dilaté. Fonction systolique du ventricule D normale. Discrète dilatation de l'oreillette D. Insuffisance tricuspide minime (grade 1/3). Absence d'épanchement péricardique. Attitude : ad traitement freinateur par béta-bloquant (Beloc Zok 50 mg 2x/j) Poursuite anticoagulation par Sintrom (IRN anamnestique thérapeutique autour de 2.5). Une cardioversion électrique peut être envisagée si la patiente est d'accord (aimerait en discuter avec son médecin traitant; mauvaise tolérance de la cordarone dans le passé) Rx thorax 19.10.18 Rx thorax 26.10.18 CT thoraco-abdominale 30.10.18 Hémocultures le 20, 22, 23 et 25 octobre, 24, 27 novembre 2018 : négatif (pister celles du 30.11.2018) Recherche Clostridium le 31.10.18 et 27.11.2018 : négatif PCR Leichmaniose le 30.01.18 : négatif Valcyte 450mg 2x/j du 07.11.18 au 23.11.2018 (puis reprise traitement par Valtrex) Déxaméthasone dès le 8.11, majoration de 6 à 10 mg le 5.12.2018 Péthidine 25 mg et Dafalgan en réserve si EF Suivi glycémique 1x/j en escalier Rx thorax 21.10., 22.10., 23.10., 27.10., 28.10.2018 RX thorax 27.12.18 : Silhouette cardiaque et médiastinale dans les limites de la norme. Déroulement de l'aorte thoracique descendante. Épanchement pleural droit, pas d'épanchement pleural gauche notable. Condensation pulmonaire dans le lobe inférieur droit compatible avec un foyer pulmonaire. DISH des vertèbres dorsales. Matériel de spondylodèse dorsal bas. RX thorax. CT thoraco-abdominal. Antalgie par Paracétamol 1000 mg, titration de la Morphine 2 mg. Rx Thorax ECG US Start Rocéphine 2g iv 05.12.2018 jusqu'au 11.12.2018 Rx Thorax EKG US chez Dr. X Att : • US verordnet pour 05.12.18 • kein antibiotikum aujourd'hui, discuter lors de l'US-Resultat ou pour fièvre RX thorax Gazométrie Labo ECG : FA normocarde Attitude : • Diurétique : Lasix IV 20 mg aux urgences puis 2 x 20 mg (puis relais Torasémide). Poids sec 75 kg. • Potassium effervescent 30 mek aux urgences, puis 1x/jour durant le traitement diurétique. • Pister poids. • organiser ETT • O2 pour saturation > 90% RX thorax Laboratoire Gazométrie. Sédiment urinaire + urotube à pister. Attitude : • Rocéphine 2 g IV 1x/24h • O2 pour saturation > 95% RX thorax Pose de pacemaker par le Dr. X Ablation des fils et contrôle de plaie à 10 jours chez le médecin traitant Contrôle de pacemaker à 4-6 semaines chez le Dr. X RX thorax Relais de l'oxynorm pour de la buprénorphine (Temgesic) 22.12.2018 Rx thorax Sédiment urinaire Culture d'urine Hémocultures Rocéphine 1g/24h iv du 01.12 au 02.12.2018 Relais par Co-Amoxicilline 625 mg/j pour un total de 7 jours Rx thorax Hémoculture à froid : __ Gazométrie Urines Co-amoxicilline 2.2 g iv Att : • Ad antibiothérapie si récidive EF Rx Traitement symptomatique RX 1er rayon D f/p : articulation en cours de consolidation. Matériel d'ostéosynthèse en place. RX 1er rayon main droite f/p/o : Déplacement angulaire de la plaque proximale avec le fragment osseux sous-jacent. Signe de consolidation osseuse. RX 4ème doigt à D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx 4ème doigt, face-profil-oblique du jour : la fracture est pratiquement consolidée. Pas de déplacement secondaire. RX 5ème doigt de la main D : pas de déplacement secondaire de la fracture, qui est consolidée. RX 5ème doigt G face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. RX 5ème doigt main D face et profil de ce jour : pas de déplacement secondaire de la fracture. Rx 5ème doigt main G f/p du jour : fracture en voie de consolidation. Pas de déscellement du matériel d'ostéosynthèse. Rx 5ème orteil gauche F/P : absence de fracture Syndactylie pour confort ; antalgie en réserve RX 5ème rayon f/p du jour montre un fragment intégré. Rx Après désinfection bétadine et anesthésie commissurale, lavage et exploration en box Rappel anti-tétanique Avis CDC ortho Dr. X : exploration et lavage au bloc RX. Atrovent aérosol. Contrôle chez le médecin traitant. RX. Avis orthopédique (Dr. X). Plâtre BAV. Contrôle à la consultation orthopédique du Dr. X. Rx-cheville droite du 05/12/2018 : pas de lésion osseuse traumatique visible. Rx-cheville gauche du 20/12/2018 : pas de lésion osseuse traumatique visible. Rx-Ellbogen links AP/lat : fracture supra-condylienne avec atteinte des corticales antérieure et postérieure, plurifragmentaire, avec un déplacement latéral important dans le plan frontal (stade IV Lagrange et Rigault). Cliché de face de mauvaise qualité en raison de l'impossibilité de mobiliser le bras de la patiente. Épanchement articulaire. Rx Exploration plaie (Dr. X) Reçoit aux urgences en tout 1g de Co-Amoxicilline p.o et 1.2 g de Co-Amoxicilline iv. Tétanos à jour. • Hosp ortho, à jeun, antalgie • Immobilisation attelle Édimbourg. • Consommation OH possiblement trop importante à domicile --> ad seresta en réserve si signes de sevrage à l'étage. Rx-index gauche du 05/12/2018 : suspicion d'arrachement osseux base P2 D3 main gauche Rx Labo : crase normale, Hb 174 g/l Consult ortho (Dr. X) : nécessité de réduction aux urgences. Consultation anesthésiale : • Réalisation d'un bloc fémoral G avec succès. Réduction de la fracture aux urgences en traction en attendant bloc opératoire. Hb contrôle après traction : 168 g/l (hemoQ) ATT • Attente aux urgences que le patient puisse être opéré. Femur sous traction. • À jeun, dernier repas midi. • Prévoir labo post hop. • Revoir avec soins à domicile si le patient peut rester seul à domicile. • Surveillance syndrome des loges et Hb. RX Laboratoire ECG Avis orthopédique : Dr. X : prise en charge au bloc opératoire dès que possible (à jeun minuit le 22.12.2018) Attitude : • Antalgie morphine. • Pister laboratoire • Groupage à faire Rx Mise en place attelle Édimbourg Ergothérapie pour confection Metacarpal Brace pour 4 semaines Arrêt de sport 4 semaines Contrôle radioclinique en orthopédie urgences à 1 et 4 semaines Discuté avec Dr. X Rx-poignet/main droite du 20/12/2018 : fracture du pôle distal du scaphoïde droit. CT-poignet/main droite du 20/12/2018 : fracture du pôle distal scaphoïde droit. Rx-pouce droit du 26.12.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visible. Rx-pouce droit du 26.12.2018 : pas de lésion osseuse traumatique visible. Rx-main du 26.12.2018 : bon positionnement de plâtre. RX Réduction luxation par le Dr. X Immobilisation, contrôle RX Antalgie, arrêt de travail contrôlé le 07.12 à la consultation de Dr. X RxT: ETT 19.12.2018: dilatation des cavités droites (nouvelles comparées à l'ETT d'il y a une année); FEVG 45%; insuffisance tricuspidienne, PAP's 60 mmHg; akinésie septale étendue CT-scan thoracique 19.12.2018: RX-Thorax: Normale Herzgrösse sans signes de décompensation cardiaque. Normale volume pulmonaire. Aucun infiltrat pulmonaire pathologique. Bilatérales épaississements de la paroi bronchique. Aucun épanchement pleural et aucun pneumothorax. Structures osseuses sans particularités. Ry thorax: pas de foyer visible Rythme cardiaque irrégulier, le 04.12.2018. • FEVG conservée en 2014 • FA paroxystique en 2008, sous cordarone à long terme. • Œdème des membres inférieurs en péjoration Rythme cardiaque irrégulièrement irrégulier le 06.12.2018 • FEVG conservée en 2014 • FA paroxystique en 2008, sous cordarone à long terme. • Œdème des membres inférieurs en péjoration Mr. Y présente des gonalgies droites d'origine indéterminée. Il s'agit éventuellement de séquelles d'un Osgood Schlatter mais qui radiologiquement n'est plus présent, ni cliniquement. Il se peut qu'il s'agisse tout simplement de douleurs liées à la croissance chez un adolescent. Pour le moment, je n'ai pas de proposition de traitement pour Mr. Y. Je lui conseille de reprendre une activité sportive régulière pour globalement entraîner la musculature. Un contrôle d'emblée à ma consultation n'est pas prévu. Le patient me recontactera si les douleurs persistent au-delà de 3 à 6 mois. Sacralgies non déficitaires le 04.12.2018. • patiente connue pour des sacralgies depuis 08/2018 multi investiguées (Dr. X). SAHOS appareillé. Saignement. Saignement actif à J7 d'une kystectomie de la glande de Bartholin gauche sur lâchage de suture et chute d'escarre, chez une patiente de 22 ans, nulligeste. Saignement actif post-amygdalectomie. Saignement buccal. Saignement buccal sur lésion de la pointe de la langue le 06.12.2018. Saignement de la langue. Saignement de plaie. Saignement de plaie abdominale post ablation des agrafes suite à : • s/p Angioplastie et pontage de l'artère fémorale droite pour AOMI le 13.12.2018 Saignement de plaie, post-excision de tumeur joue droite, le 17.12.18. Saignement de plaie suite à l'ablation des agrafes s/p Angioplastie et pontage de l'artère fémorale droite pour AOMI le 13.12.2018 Saignement d'hémorroïdes. Saignement diffus pendant l'intervention. Saignement digestif haut • probablement sur maladie ulcéreuse • score de Blachford à 11 points • hémoglobine 69 g/l Saignement en loge amygdalienne droite post-amygdalectomie + septoplastie le 04.12.2018. Saignement oropharyngé. Saignement plaie avant-bras G le 10.12.2018 • Hb 85 g/l symptomatique Saignement post-opératoire. Saignement post-tonsillectomie le 23.12.2018. Saignement post-amygdalectomie + septoplastie le 08.12.2018. Saignement post-amygdalectomie le 08.12.2018. Saignement post-OP. Saignement post-opératoire. Saignement post-opératoire. Saignement post-tonsillectomie. Saignement post-tonsillectomie. Saignement post-tonsillectomie le 23.12.2018. Saignement sur placenta praevia recouvrant. Saignement urétral et macrohématurie sur arrachement de sonde. Saignement vaginal. Saignement vaginal. Saignement vaginal. Saignement vaginal chez une femme enceinte le 09.12.2018. Saignement vaginal d'origine indéterminée DD avortement, saignement normal dans le cadre d'une grossesse. Saignements post-opératoires. Saignements vaginaux/plaie chirurgicale. Saignements vaginaux/plaie chirurgicale. Salpingectomie droite sous anesthésie générale par laparoscopie. Envoi de la pièce opératoire en anatomopathologie. Salter-Harris II de la base du P1 du D1 gauche. Salve de TV non soutenue le 28.12.2018 • extrasystolie ventriculaire avec phénomène R sur T (dizaines épisodes) Sandostatin IVC 1mg/24h du 29.10 au 10.12.2018. Adaptation MST puis passage à morphine intraveineuse continue dès le 11.12.2018. Sang : CRP 250, Rx thorax : masse rétrocardiaque CT : pyélite rein gauche avec infiltration, hernie hiatale avec upside down stomach. sang dans la poche de stomie. Sang dans les selles. Sang frais dans les selles, DD: fissure sur constipation. Sangs occultes dans les selles : 1 pos/3. Acide folique du 28.11 au 28.12.2018. OGD/coloscopie en ambulatoire demandée. Patient sera convoqué par écrit à domicile. sang urinaire. Mr. Y reçoit du Normolytoral en salle d'attente, bien toléré. Vomissements d'origine virale vs. eau sale. Sans Dostinex. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. sans particularité. SAOS anciennement appareillés par CPAP (Dr. X). Douleur interfacettaire L5-S1 gauche invalidante d'origine indéterminée le 15.07.2018, avec infiltration sous CT le 20.07.2018. Oscillopsies intermittentes présentes à la fixation visuelle en 07/2018, bilan ophtalmologique sp. Varicelle, le 04.01.2017. S/p opération de la cataracte. SAOS anciennement appareillés par CPAP (Dr. X). Douleur interfacettaire L5-S1 gauche invalidante d'origine indéterminée le 15.07.2018, avec infiltration sous CT le 20.07.2018. Oscillopsies intermittentes présentes à la fixation visuelle en 07/2018, bilan ophtalmologique sp. Varicelle, le 04.01.2017. S/p opération de la cataracte. SAOS appareillé. SAOS appareillé (CPAP). Tabagisme ancien, stoppé en 2009. Surcharge pondérale. SAOS appareillé. Diabète de type 2 non-insulino-dépendant. Obésité. SAOS non appareillé (CPAP rendu à la ligue pulmonaire). DM II insulino-requérant. Dyslipidémie. HTA. Pneumonie organisante LSG sur radiothérapie. SAOS non appareillé (CPAP rendu à la Ligue Pulmonaire). Dyslipidémie traitée. Hypertension artérielle traitée. Pneumonie organisante du lobe supérieur gauche. Tabagisme ancien à 20 UPA, sevré en 2000. SAOS non appareillé (masque pas supporté). Athéromatose carotidienne bulbaire bilatérale non significative. Consommation d'alcool à risque (5 dl/j). SAOS non appareillé. Athérosclérose marquée asymptomatique (4 sites sur 4 touchés, bilan angiologique 2009). Hypercholestérolémie familiale traitée. Tabagisme chronique à 40 UPA. Maladie coronarienne monotronculaire le 11.06.2018. • Lésion non significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale. • Sténose significative de l'ostium de la première marginale avec succès d'angioplastie de l'ostium de la première marginale. Implantation de 1 stent actif le 11.06.2018. • La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (80%). SAOS. Hypercholestérolémie. Mme. Y présente une IVRS depuis 2 semaines, avec état fébrile débutant ce jour, dans un probable contexte de nouvelle virose débutante. Nous proposons un traitement symptomatique et rendons les parents attentifs aux éléments à surveiller. Mme. Y présente une sarcoïdose avec atteinte pulmonaire et cutanée depuis 2014 sous Prednisone 15 mg/j. Hypothyroïdie. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Prurit avec lésions chroniques de grattage (Clinical Classification of Itch, International Forum for the Study of Itch, 2007: groupe 3 (lésions chroniques de grattage), catégorie 1 (origine dermatologique: prurigo ou collagénose perforante), 2 (origine systémique: prurit médicamenteux (Votum) ou insuffisance rénale chronique), 4 (origine psychiatrique/psychosomatique) ou 6 (origine indéterminée).Histologie 24.05.2018 (D 18-7976) : fibrose et signe d'une irritation mécanique chronique • Screening prurit 24.5.2018 ; voir commentaires Kératoses actiniques vertex Sarcoïdose avec atteinte pulmonaire et cutanée depuis 2014 sous Prednisone 15 mg/j Hypothyroïdie Hypertension artérielle Dyslipidémie Prurit avec lésions chroniques de grattage (Clinical Classification of Itch, International Forum for the Study of Itch, 2007 : groupe 3 (lésions chroniques de grattage), catégorie 1 (origine dermatologique : prurigo ou collagénose perforante), 2 (origine systémique : prurit médicamenteux (Votum) ou insuffisance rénale chronique), 4 (origine psychiatrique/psychosomatique) ou 6 (origine indéterminée) Histologie 24.05.2018 (D 18-7976) : fibrose et signe d'une irritation mécanique chronique • Screening prurit 24.5.2018 ; voir commentaires Kératoses actiniques vertex Sarcoïdose avec atteinte pulmonaire et cutanée depuis 2014 sous Prednisone 15 mg/j Hypothyroïdie Hypertension artérielle Dyslipidémie Prurit avec lésions chroniques de grattage (Clinical Classification of Itch, International Forum for the Study of Itch, 2007 : groupe 3 (lésions chroniques de grattage), catégorie 1 (origine dermatologique : prurigo ou collagénose perforante), 2 (origine systémique : prurit médicamenteux (Votum) ou insuffisance rénale chronique), 4 (origine psychiatrique/psychosomatique) ou 6 (origine indéterminée) Histologie 24.05.2018 (D 18-7976) : fibrose et signe d'une irritation mécanique chronique • Screening prurit 24.5.2018 ; voir commentaires Kératoses actiniques vertex Sarcoïdose avec atteinte pulmonaire et cutanée depuis 2014 • Traitement habituel : Prednisone 15 mg/j Sarcoïdose avec atteinte pulmonaire et cutanée depuis 2014 • Traitement habituel : Prednisone 15 mg/j Sarcoïdose avec atteinte pulmonaire et cutanée depuis 2014 • Traitement habituel : Prednisone 15 mg/j Sarcoïdose emphysème avec atteinte ganglionnaire médiastinale. BPCO sur ancien tabagisme sevré en 2010, 52 UPA, compliquée de plusieurs pneumonies. Polyarthrose. Claudication intermittente stade IIb sur athéromatose calcifiante sévère avec occlusion iliaque commune gauche et sub-occlusion des deux artères fémorales. Multiples antécédents de fractures de la cheville. Polyartériopathie des membres inférieurs. Ostéoporose. Nodule pulmonaire D. Sarcoïdose. Hypertension artérielle. Sarcome endométrial avec infiltration de l'annexe gauche, du myomètre de l'isthme, de l'isthme de l'utérus avec infiltration sténosante de l'uretère gauche, cTx Nx M0 (ED 06/2003). Diabète de type 2. Hypertension artérielle. Anémie hypochrome normocytaire. Sarcome endométrial avec infiltration du myomètre de l'isthme, infiltration du péritoine et péri-urétéral sténosante. Status post-mise en place d'une sonde urétérale double J droite, tentative infructueuse de mise en place de sonde urétérale double J gauche et de néphrostomie percutanée gauche le 18.07.2018. Sarcopénie Sarcopénie avec malnutrition protéino-énergétique modérée Sartan, bétabloqueur et statine Contrôle à 1 mois chez le Dr. X Ergométrie à 1 an Sartan et Torem en suspens Contrôle biologique Sartan et Torem en suspens Suivi biologique Saturation à 97% AA Laboratoire : CRP à 13, pas de leucocytose RX thorax : pas d'épanchement, pas de foyer visible CT-Scan cervico-thoracique : progression tumorale au niveau médiastinal, pulmonaire, hépatique Hospitalisation en médecine Saturation et fréquence respiratoire dans la norme Ventolin au tri Saturation 97%, fréquence respiratoire 68/min Satus post PUC externe genou G en 2010. Hystérectomie en 1984. Status post cure de tunnel carpien il y a quelques années. Scanner : fracture intra-articulaire P1 D5 peu déplacée. Scanner cérébral : pas de saignement intra-crânien. Explication donnée à l'épouse concernant le traumatisme crânien. Désinfection, anesthésie locale, rinçage, suture par 6 points simples de Prolène 3.0. Rappel vaccin anti-tétanique. Contrôle à 48h à la consultation ambulatoire des urgences. Scanner cheville avis ortho poursuite traitement conservateur par attelle plâtrée contrôle en policlinique d'orthopédie Scanner du jour : l'astragale est complètement nécrotique et une bonne partie du corps n'existe plus. Scanner du jour (PACS) : stabilité du matériel sans mise en évidence de descellement ni de changement de l'angle de Cobb. Espace discal D8-D9 avec de l'air parlant pour une discopathie et micro-instabilité à ce niveau. Pas de consolidation osseuse latérale majeure. Scanner du poignet G du jour : fracture en voie de consolidation, sans déplacement secondaire. Scanner jambe G : trait de fracture encore bien visible avec des signes de pseudarthrose. Petit cal osseux présent seulement sur la partie postérieure. Pas de déplacement secondaire du matériel, ni de la fracture. Scanner préparatoire radiothérapie le 06.12.2018 Début séances radiothérapie prochainement, le patient sera convoqué Suivi urologique à Payerne Scarification Scarification et idées suicidaires sur tension psychique intense Scarlatine Scarlatine Scarlatine Scarlatine Scarlatine. Scarlatine, adénoïdectomie et amygdalectomie dans l'enfance. Appendicectomie et adhésiolyse intestinale en 1976. Carcinome de l'endomètre : hystérectomie totale, annexectomie et curage iliaque bilatéraux, ainsi que cytologie péritonéale avec exérèse d'un nodule de 8 mm de grand axe sur le grêle le 30.01.2014. Décompression par laminectomie et cure de hernie discale L4-5 gauche, stabilisation par Sténofix 15 pour hernie discale L4-5 gauche luxée vers le haut en 2016. Hernie inguinale droite incarcérée avec iléus d'amont. Découverte fortuite d'une masse mésentérique à mi-grêle (05.2018) (Pas maligne) : Adhésiolyse extensive. Résection grêle et de son mésentère pour masse mésentérique à mi-distance de la grêle, avec anastomose jéjuno-iléale latéro-latérale terminalisée anisopéristaltique. Cure selon Lichtenstein. Scarlatine en octobre 2018 (dernière semaine avant les vacances) Angine virale en juillet 2018 (un jour avant début de l'école) Schellong du 28.12.2018 : orthostatique • Physiotens en suspens Refaire le Schellong le 29.12.2018 Schellong nég Schellong pathologique Mise en place de bas de contention Schellong Bas de contention prescrits mais non portés par le patient Diminution du Lisinopril de 10 à 5 mg/j Schellongtest Kompressionsstrümpfe Arlevert ORL-Konsultation am 12.11.2018 auf Wunsch der Patientin abgesagt Schéma correctif d'insuline Schéma correctif d'insuline Schéma de correction Novorapid jusqu'au 16.11.2018. Insuline Novomix 30 8 UI/matin du 16 au 22.11.2018. Insuline Lantus 6 UI/matin dès le 23.11.2018. Enseignement par les infirmières en diabétologie. Suivi par l'équipe de diabétologie durant le séjour. Schéma de correction par Novorapid Metformine à 500mg 2x/j (à la place de 850mg 2x/j) dès l'entrée schéma de désimpaction au Movicol adulte donné aux parents schéma de désimpaction au Movicol adulte donné aux parents lavement avec freka clyss 6ml/kg Schéma de désimpaction des selles Contrôle des tests hépatiques dans 3 semaines chez le pédiatre Schéma dégressif pour Prednisone à discuter avec médecin traitant Sevrage des benzodiazépines à continuer Soins à domicile 1x/semaine pour préparation du semainier Stix urinaire à distance pour contrôle de la myoglobinurie Schizophrénie Schizophrénie de type non spécifié. Troubles du comportement. Schizophrénie paranoïde • Dr. X Traitement habituel: Amisulprid, Rivotril, Escitalopram, Stilnox et Imovane Idées suicidaires avec antécédents d'hospitalisations en milieu psychiatrique Polyglobulie sur insuffisance respiratoire chronique • Syndrome restrictif sur syndrome hypoventilation obésité Hépatopathie éthylique et infectieuse • Hépatite C, génotype 4, DE 17.06.2014, sur injection drogues IV Polytoxicomanie • Abus de nicotine avec 60 cigarettes par jour, consommation de cocaïne (par voie intraveineuse), benzodiazépine Syndrome de dépendance à l'alcool Polyneuropathie périphérique Syndrome métabolique • Obésité de stade III • Dyslipidémie • Syndrome d'apnée du sommeil (démolition CPAP) • Consommation active de tabac (50 PA) • Diabète de type II non traité Hypothyroïdie non substituée Structure vasculaire anormale dans le truncus basilaris Insuffisance veineuse chronique stade 4 Schizophrénie paranoïde : • hallucination depuis 2001; délire associé Autres troubles envahissants du développement : • retard de langage dans la petite enfance • troubles interaction sociale dans l'enfance • intérêt restreint (pilote d'avion) avec stéréotypies Retard mental léger : • réactions parfois agressives • sur anoxie à la naissance • test QI= 55 (12/2007). Schizophrénie paranoïde chronique. Schizophrénie paranoïde chronique, institutionnalisée sous tutelle. Scoliose dorsale avec discarthrose L5-S1 (CT 23.02.2017, Affidéa Bulle). BPCO non stadée sous Spiriva et Seretide. Hernie hiatale. Tabagisme ancien (40 UPA). Anévrisme de l'aorte ascendante de 80 mm de diamètre, s'étendant jusqu'à la crosse et l'artère sous-clavière droite • status post-pontage carotido-sous-clavier droit avec prothèse Impra armée de 7 mm à cœur battant en avril 2011 puis endoprothèse de l'aorte descendante Valiant Thoracic avec remplacement de l'arc aortique avec prothèse Intervascular, réimplantation des trois branches sous-clavières carotides gauche et droite, remplacement de l'aorte ascendante avec plastie avec même prothèse, sous CEC au CHUV. Schizophrénie paranoïde décompensée le 17.12.2018. Schizophrénie paranoïde : • DD : psychose hallucinatoire chronique • hallucinations auditives chroniques présentes depuis ~ 2 années • MMS 29/30 le 20.02.2017 • introduction Abilify 10 mg 1x/j dès le 17.02.2017. • diminution Venlafaxine 37.5 mg 1x/j le 14.02.2017. Décompensation schizophrénique avec péjoration d'hallucination auditives. Transfert au RFSM CSH Marsens en mode volontaire. Schizophrénie paranoïde • sous traitement d'Haldol 2.5 mg 3x/j (Dr. X, centre psycho-social Fribourg) Schizophrénie paranoïde (traitée) Schizophrénie paranoïde Artériopathie des membres inférieurs avec : • amputation du côté gauche en 2009 après échec de revascularisation chirurgicale et endovasculaire • recanalisation d'une sténose serrée de l'artère fémorale superficielle droite par angioplastie et pose de stent, ainsi qu'une occlusion étendue de l'artère tibiale antérieure et de l'artère pédieuse par des angioplasties le 29.02.2012 • angioplastie de resténose fémorale superficielle et intra-stent le 08.01.2013 • angioplasties au ballon actif de 2 resténoses de l'artère fémorale superficielle droite le 09.06.2015 • status après angioplasties de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée au ballon à élution le 16.06.2016 à droite, avec aspiration de thrombus formés en intra-opératoire, sans embolisation • status post-angioplastie au ballon médicamenteux de l'artère fémorale superficielle proximale et angioplastie de toute l'artère tibiale antérieure droite le 08.09.2016, compliquées par 2 pseudo-anévrismes au niveau des sites de ponction de l'artère fémorale commune et de l'artère fémorale superficielle, traitées par compression écho guidée et injection de thrombine avec succès • Consilium angiologie (Dr. X) : absence d'ischémie critique, avec sténose serrée de l'AFS proximale droite 3 mois prévue Diabète de type II insulino-requérant avec : • rétinopathie diabétique à fond modéré avec début de maculopathie à gauche (suivie par Dr. X) • mal perforant du talon droit (suivie en podologie à HFR Fribourg, Dr. X) HTA sévère Phlébo-lymphoedème chronique avec insuffisance veineuse chronique superficielle et profonde (veine poplitée), artériopathie périphérique et mobilité réduite • Status post plusieurs séances de sclérothérapie échoguidée de la PVS, de la GVS cuisse et jambier et de différents tributaires jambières de 12/2016 à 03/2017 • Consilium angiologie (Dr. X) : recanalisation de quelques tributaires jambières avec discret reflux Drainage lymphatique 1x/ semaine. Consultation à 3 mois prévue Notion de nodules mammaires calcifiés (pas de plus amples investigations) Nodule pulmonaire hilaire bénin calcifié Schizophrénie paranoïde Démence de la maladie d'Alzheimer, forme atypique ou mixte Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère avec symptômes psychotiques sous Plafa actuellement à Marsens Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool HTA Obésité stade III Schizophrénie paranoïde Démence de la maladie d'Alzheimer, forme atypique ou mixte Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère avec symptômes psychotiques sous Plafa actuellement à Marsens Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool HTA Obésité stade III Schizophrénie paranoïde Dépression sévère Diabète traité par antidiabétiques oraux Obésité morbide BMI 42 Asthme diagnostiqué en 2003 Syndrome d'apnée du sommeil diagnostiqué en 2014 Schizophrénie paranoïde Paraplégie depuis 2000 (post-traumatisme crânio-cérébral sur tentamen) Multiples escarres récidivantes (fesses; plis inguinaux; sacrum; cuisses), sévères et profondes Dénutrition avec hypoalbuminémie Schizophrénie paranoïde Paraplégie depuis 2000 (post-traumatisme crânio-cérébral sur tentamen) Multiples escarres récidivantes (fesses; plis inguinaux; sacrum; cuisses), sévères et profondes Dénutrition avec hypoalbuminémie Schizophrénie résiduelle avec : • état anxio-dépressif. • status post-plusieurs tentamens (avec médicaments en janvier 2012 et mai 2012, défenestration le 13.06.2012) • status après hospitalisation à Marsens du 22.05 au 12.06.2012. Cancer du sein gauche multifocal-ductal invasif, diagnostiqué en juillet 2010, stade initial pT2 pN1a M0 R0, stade histologique G2. Schizophrénie sous Risperdal Schizophrénie sous Risperdal Schizophrénie sous Risperdal Schizophrénie Syndrome douloureux chronique avec composante neuropathique Trouble de la marche d'origine multifactorielle Carence martiale récidivante Syndrome métabolique : • obésité de classe II selon OMS • hypertension artérielle • hypercholestérolémie • intolérance au glucose Schizophrénie traitée au long cours • aucune décompensation en cours de séjour hospitalier Schizophrénie traitée au long cours • aucune décompensation en cours de séjour hospitalier Schizophrénie traitée au long cours • aucune décompensation en cours de séjour hospitalier Schizophrénie. Asthme. Obésité classe I (BMI 31). Insuffisance rénale chronique. Sténose de l'artère rénale gauche (découverte en mai 2010). Hyperplasie de la prostate grade 2 et résidu post-mictionnel significatif avec cystites à répétition. Canal lombaire étroit sur discopathie depuis mai 2010. Syndrome du tunnel tarsien, pied droit. Schizophrénie. Asthme. Obésité classe I (BMI 31). Insuffisance rénale chronique. Sténose de l'artère rénale gauche (découverte en mai 2010). Hyperplasie de la prostate grade 2 et résidu post-mictionnel significatif avec cystites à répétition. Canal lombaire étroit sur discopathie depuis mai 2010. Syndrome du tunnel tarsien, pied droit.Schizophrénie. Asthme. Obésité classe I (BMI 31). Insuffisance rénale chronique. Sténose de l'artère rénale gauche (découverte en mai 2010). Hyperplasie de la prostate grade 2 et résidu post-mictionnel significatif avec cystites à répétition. Canal lombaire étroit sur discopathie depuis mai 2010. Syndrome du tunnel tarsien, pied droit. Schizophrénie. Démence débutante, bilantée à Marsens en mai 2017. Schizophrénie Retard mental depuis jeunesse (institutionnalisé). Schmerztherapie: • Algifor Sirup 300mg 1malig um 10h15 • Dafalgan 1g um 10h30 • Kalinox um 10h40 für ca. 15 min • Novalgin 500mg i.v. um 11h00 Schnittverletzung mit Fremdkörpergefühl Dig II Hand rechts Schwäche Schwere Energie- und Eiweissmangelernährung • NRS 5 Punkte, Gewichtverlust von 7% in 3 Wochen, deckt nur 25% des Ernährungsbedarfs ab • Hypofolatämie 3.4 ng/ml und Hypovitaminose D 45 nmol/l am 12.11.2018 Sciatalgie. Sciatalgie. Sciatalgie droite déficitaire L5 sur protrusion discale le 19.11.2018, avec: • force M3-4 à la dorsiflexion du pied droit, hyporefléxie rotulienne droite • cyphose importante et lombalgies intermittantes connues • IRM lombaire le 26.11.2018: protrusion discale L4/5 à base large entraînant un rétrécissement récessal D>G pouvant occasionner un conflit avec l'émergence des racines L5 des deux côtés, ce rétrécissement est majoré par une arthrose interfacettaire postérieure avec une hypertrophie du ligament jaune • consultation Team Spine le 27.11.2018: prise en charge conservatrice Sciatalgie droite L4-L5 non déficitaire le 13.12.2018. Sciatalgie droite non déficitaire le 23.11.2018. Sciatalgie droite récidivante non déficitaire le 30.11.2018. Sciatalgie en décembre 2017. Sciatalgie G non déficitaire le 22.10.2018 Vertiges de type tangage d'origine indéterminée le 22.10.2018. Fatigue généralisée d'origine indéterminée en 02/2018 DD • somatoforme sur état dépressif débutant • évolution de la masse pancréatique connue Cholécystectomie par laparoscopie le 31.03.2016 pour cholécystolithiase symptomatique Sciatalgie G non déficitaire le 22.10.2018 Vertiges de type tangage d'origine indéterminée le 22.10.2018. Fatigue généralisée d'origine indéterminée en 02/2018 DD • somatoforme sur état dépressif débutant • évolution de la masse pancréatique connue Cholécystectomie par laparoscopie le 31.03.2016 pour cholécystolithiase symptomatique Sciatalgie gauche le 18.12.2018 avec • Sensation d'hyposensibilité du membre inférieur gauche (sans anomalie au toucher piquer), connue selon consultation de mars 2018. Sciatalgie gauche le 17.12.2018. Sciatalgie gauche non déficitaire le 04.12.2018. Sciatalgies. Sciatalgies chroniques bilatérales prédominant à gauche actuellement non déficitaires et stables • arthrose dégénérative prédominant au niveau lombo-sacré sans sténose foraminale radiologiquement démontrée (IRM du 12.07.2018) • antécédent de séquelle L5 gauche actuellement quasi résolue • avec st/p opération du dos en 2013 Sciatalgies D récidivantes Sciatalgies D récidivantes Sciatalgies droites. Sciatalgies droites hyperalgiques Sciatalgies droites non déficitaires le 21.12.2018. Sciatalgies L4 Sciatalgies S1 hyperalgiques non déficitaires sur hernie L5-S1 le 06.12.2018. Scintigraphie du 03.12.2018: présence d'intense signal autour de la prothèse, qui parle plutôt pour un descellement. Scintigraphie MIBG le 18.12.2018: Mise en évidence d'une hypercaptation surrénalienne gauche précoce et tardive, compatible avec un phéochromocytome. Laboratoire: cf. annexes Scintigraphie osseuse en 3 phases du 12.12.2018 (PACS): Pas de signe pour une infection à bas bruit. Orthoradiogramme profil + colonne lombaire face/profil du jour (PACS): Examen superposable aux derniers clichés radiologiques du mois d'octobre. Scintigraphie osseuse Physiotherapie Scintigraphie pulmonaire du 07.12.2018: deux embolies pulmonaires, première dans le segment posterior du lobe supérieur à gauche et au segment supérieur du lobe inférieur, hypoventilation apicale ddc, pas de signe d'une hypertension pulmonaire au Scinti Pesi classe V: Heparin 20'000 U/l/ 24h début à 17h15 SCLC du lobe moyen à droite cT1c cN2 Cm1a SCLC du lobe moyen à droite cT1c cN2 Cm1a: • Diagnostic posé le 12.10.2017 • Histologie (Promed P2017.12133) carcinome à petites cellules TTF1, CD56 et synaptophysin positifs, index de prolifération Ki67 à 80% • Radiothérapie jusqu'au 04.2018 • Métastases cérébrales et rénales le 05.12.2018 • Chimiothérapie par Carboplatine et Etoposide, dernière le 12.12.2018 • Radiothérapie dès le 17.12.2018 (quatre séances) SCLC du lobe moyen à droite cT1c cN2 Cm1a • Premier diagnostic le 12.10.2017 • Histologie (Promed P2017.12133) carcinome à petites cellules TTF1, CD56 et synaptophysine positifs, index de prolifération Ki67 à 80% • Radiothérapie jusqu'au 04.2018 • Métastases cérébrales hémorragiques et rénales le 05.12.2018 • Chimiothérapie par Carboplatine et Etoposide, dernière le 12.12.2018 • Traitement par Dexaméthasone 4 mg 2x/j dès le 12.12.2018 • Radiothérapie dès le 17.12.2018 (4 séances) Sclérodermie (sous Prednisone et Plaquenil) Ancien tabagisme (40 UPA) Hypercholestérolémie traitée Hypertension artérielle SAOS non appareillé Sclérodermie sous prednisone Ancien tabagisme Hypercholestérolémie traitée HTA traitée SAOS Sclérodermie systémique avec • Scl70 positif • Raynaud, sclérose cutanée et sclérodactylie, RGO et télangiectasie • Fibrose pulmonaire intersticielle avec trouble ventilatoire restrictif de degré modéré Sclérose avec légère insuffisance valvulaire aortique, légère insuffisance mitrale le 27.12.2018 Sclérose coronarienne en 2013 avec: • lésion non significative de l'ostium de l'IVA proximale (<30 %) • sclérose coronarienne avec plaque non obstructive de l'IVA moyenne (<50 %) • FEVG normale Hypertension artérielle traitée Bec de perroquet cervical Hématochézie récurrente et constipation chronique: • Dernière colonoscopie le 02.08.2017 (Dr. X) : résection d'un polype colique ascendant de 3 mm (DAP : pseudo-mélanose), diverticulose sigmoïdienne, hémorroïdes stade I à II, marisque banale -> ad Metamucil, alimentation riche en fibres, contrôle à 5 ans État anxio-dépressif avec trouble de la personnalité et du comportement connu de longue date • suivi hebdomadaire par le Dr. X • idéations suicidaires le 25.02.2016 • tentamen par veino-section le 14.12.2014 Oesophagite de reflux grade A selon Los Angeles sur hernie hiatale, H. pylori nég (OGD du 02.08.2017) Tremblements essentiels familiaux traités depuis 2016 Consommation d'alcool à risque Sclérose coronarienne en 2013 avec: • lésion non significative de l'ostium de l'IVA proximale (<30 %). • sclérose coronarienne avec plaque non obstructive de l'IVA moyenne (<50 %). • FEVG normale. Pose de pacemaker en janvier 2013 pour maladie du sinus et pause sinusale avec syncopes à répétition. • Syncope sur malposition de sonde du pacemaker avec TC et PC le 17.12.2018. • Révision de sonde pacemaker à gauche le 20.12.2018 (Dr. X). Hypertension artérielle traitée. Bec de perroquet cervical. Hématochézie récurrente et constipation chronique: • Dernière colonoscopie le 02.08.2017 (Dre. X) : résection d'un polype colique ascendant de 3 mm (DAP : pseudo-mélanose), diverticulose sigmoïdienne, hémorroïdes stade I à II, marisque banale -> ad Metamucil, alimentation riche en fibres, contrôle à 5 ans. Etat anxio-dépressif avec trouble de la personnalité et du comportement connu de longue date. • suivi hebdomadaire par le Dr X. • idéations suicidaires le 25.02.2016. • tentamen par veino-section le 14.12.2014. Oesophagite de reflux grade A selon Los Angeles sur hernie hiatale, H. pylori nég (OGD du 02.08.2017). Tremblements essentiels familiaux traités depuis 2016. Consommation d'alcool à risque. Sclérose du col vésical infranchissable à la cystoscopie. Sclérose en plaque avec : • poussée il y a 10 jours, traitée par Solumedrol 1g durant 5 jours • symptômes nouveaux avec hypoesthésie de l'hémicorps gauche le 30.11.2018 • traitement de fond : Tysabri 1x/mois. Sclérose en plaque, diagnostiquée en octobre 2013, suivie par le Dr X • dysmotilité vésicale (hyperactive) Constipation Sclérose en plaque secondairement progressive diagnostiquée en 1992 : • Atteinte multifocale avec handicap sévère (EDSS 8.5-9) • Traitement de fond successif par Rebif, Imurek et Copaxone, définitivement arrêtés en 2014 • Pompe intrathécale de Baclofène depuis 2009 • Sonde sus-pubienne depuis 2010 • Injections de toxine botulique de 2007 à 2010 pour MI paraspastique • Troubles de la marche en chaise depuis 2009 • Troubles de la déglutition • Multiples acutisations de névralgie du nerf trijumeau V3 à droite, depuis janvier 2016, juillet 2016, août 2016. Sclérose en plaque (stable actuellement, non traitée) Sclérose en plaque (Tysabri 1x/mois, suivi Dr X, France). Tabagisme actif à 35 UPA. Sclérose en plaques de forme primaire progressive, EDSS 6.5 le 30.05.2018 Ostéoporose sous Aclasta 1x/an Omarthrose D avec subluxation supéro-antérieure de la tête humérale avec statut post-infiltration (Dépo-Medrol) par voie postérieure (14.05.2009) Restless legs syndrome secondaire dans le contexte de SEP. Hypothyroïdie substituée Bigéminisme ventriculaire à l'ECG du 13.02.2017 avec statut post-thermoablation d'un faisceau accessoire (1999) • coronarographie (30.10.2015) : FEVG 85%, fonction systolique normale, pas de sténose coronarienne significative • ETT (27.10.2015) : FEVG 68%, fonction contractile normale Dyslipidémie le 20.02.2017 Sclérose en plaques de forme récurrente et rémittente depuis 08/2013 Troubles anxieux Sclérose en plaques depuis 36 ans environ avec : • Tétraparésie spastique prédominante aux MI • Vessie neurologique sous cystofix depuis 2006 • Score EDSS à 8.0 • diminution du tonus du tronc avec inclinaison latérale D • Intestin neurogène Sclérose en plaques en rémission depuis 1996. Fécalome le 15.03.2016. Tentamen médicamenteux le 14.07.2016 avec idées suicidaires persistantes. Fracture du radius distal gauche. Le 18.11.2018, Dr X : réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire Aptus du radius distal gauche. Prophylaxie d'une maladie de Sudeck par Redoxon 500 mg/jour pendant 1 mois. Dermabrasion du coude gauche. Désinfection, pansement (vaccination antitétanique à jour). Anxiété aiguë le 03.12. Avis psychiatre - Dr X (avis téléphonique - anamnèse médicamenteuse peu claire, si le patient a pris les médicaments ou pas, donc une suspicion d'intoxication Anafranil n'est pas exclue, une surveillance en milieu somatique pendant 24 heures, puis transfert en psychiatrie si persistance de confusion) Avis Dr X - le patient ne présente pas de signes d'intoxication médicamenteuse, présente une anxiété, le patient peut rentrer à domicile) Chute avec contusion cuisse gauche et thorax gauche le 03.12. Examen clinique Rx thorax - pas de l'hemithorax Rx cuisse, hanche gauche - pas de fracture Sclérose en plaques secondairement progressive. Sclérose en plaques. Coxodynie. Sclérose latérale amyotrophique diagnostiquée en août 2017, suivie Dr X Syndrome polymyalgiforme de type polymyalgia rheumatica (possible polyarthrite rhumatoïde séronégative ou arthrite psoriasique sine psoriasis) : • suivi par Prof. X (HFR Fribourg) Lombalgies chroniques non spécifiques sur troubles statiques et dégénératifs du rachis Myopie et presbytie Sclérose latérale amyotrophique diagnostiquée en août 2017, suivie Dr X Syndrome polymyalgiforme de type polymyalgia rheumatica (possible polyarthrite rhumatoïde séronégative ou arthrite psoriasique sine psoriasis) : • suivi par Prof. X (HFR Fribourg) Lombalgies chroniques non spécifiques sur troubles statiques et dégénératifs du rachis Myopie et presbytie Sclérose latérale amyotrophique • Dysphagie • Neurostatus compatible Sclérose systémique limitée • Masque au niveau du visage, mains froides, alopécie, syndrome sec Syndrome métabolique : Dyslipidémie Hypertension artérielle Diabète de type 2 non insulino-requérant Obésité Grade II (BMI 35,1 kg/m2) Algie gauche chronique Tinnitus Fibrose hépatique sur probable NASH DD cirrhose débutante, hépatite chronique Trouble de la personnalité anxio-dépressif Hypothyroïdie Lombalgies chroniques d'allure neuropathique • Multiples interventions chirurgicales au niveau lombaire • décompression et spondylodèse L4-S1 28.01.2016 • Simplicity III-thérapie gauche avec infiltration S1, S2, S3 et S4 le 18.01.2018 sans amélioration • Sténose L3-L4 avec plusieurs infiltrations en mai 2018 • Spondylodèse L4/L5 le 29.08.2014 Scoliose Scoliose. Scoliose. Scoliose cervicale et hyperlordose. Scoliose (suivi par Dr X, stable). Scoliose thoracique de type I, avec un angle de Cobb à 64° Opérée le 07.11.2018 à Inselspital • lyse des disques T8/9, T9/10, T11/11 intervertébraux par torcopie • Correction de la spondylose dorsale T3-T12, navigation partielle par neuromonitoring, costoplastie de T9, T10 à droite. • implantation de prothèses en titane (Expedium Verse, Expedium SI) • retrait des fils et des drains le 19.11.2018 Scoliose Mutation facteur V Leiden Score CHA2DS2-VASc à 4 Héparine 5000 UI 2 fois par jour Score de Centor = 1 Traitement symptomatique Consultation chez son pédiatre en cas de péjoration clinique Appel téléphonique à l'équipe médicale du CHUV concernant la pathologie épileptique. Score de Centor à 4. Streptotest : positif Traitement antibiotique par Augmentin 1 g 2 x par jour, AINS, Dafalgan, et spray de lidocaïne. Explications données au patient. Hydratation IV, NaCl 1000 ml. Les critères de gravité ont été expliqués au patient avec la consigne de reconsulter immédiatement les urgences le cas échéant. Score de Centor 0. Traitement symptomatique. Patient informé de consulter son médecin traitant en cas de persistance des symptômes et de reconsulter les urgences en cas de fièvre/frissons, douleurs thoraciques. Score de Centor : 1 pt Retour à domicile avec conseils d'usage et traitement conservateur. Contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine en cas de persistance des symptômes. Retour aux urgences dans la semaine en cas de péjoration des symptômes, raideur de nuque, nausées, vomissements importants. Score de CIWA Temesta Attitude : • Introduire suivi ambulatoire Score de PERC à 3 points. Laboratoire : D-Dimères négatifs. ECG. US cœur et thoracique ciblé : pas de pneumothorax, pas d'épanchement péricardique. Retour à domicile avec antalgie simple.Score de Tinetti à 17/28 points (16.12.2016) Score de Wells pour une TVP = 0 Explication préalable pour les différents examens: Echo ciblée vasculaire 4 points fémoro-poplitée. Veines fémorale et poplitée parfaitement compressibles. Bas de contention. Score MASCC: 21 (bas risque) Scores de CIWA Seresta fixe et en réserve Cure de Thiamine et substitution vitaminique Screening des toxiques urinaires: négatifs Screening multidimensionnel en médecine palliative et évaluation a minima (Dr. X, le 28.12.2018) Evaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire: médecin, infirmier, oncologue (Dr. X), radio-oncologue (Dr. X) Screening multidimensionnel en médecine palliative et évaluation a minima (Dr. X, Oliveto, le 29.11.2018) Evaluation par ESAS Équipe de traitement multidisciplinaire: médecin, infirmier, oncologue (Dr. X) Sd grippal SDR sur wet-lung, CPAP jusqu'au 27.01.12 Hypoglycémie néonatale (min. 0.9 mmol/l) Suspicion d'infection néonatale, traitement antibiotique de 3 jours Hyperbilirubinémie sans incompatibilité (max. 136 mcmol/l) Séance de radiothérapie du 24.12.2018 suspendue au vu des diarrhées et des troubles électrolytiques Reprise de la radiothérapie dès le 26.12.2018 (2/5) Sécheresse cutanée Secrétaire ORL, HFR Fribourg Section de bride en fosse iliaque gauche par laparotomie le 02.12.2018 Section des tendons extenseurs et fléchisseurs de D4 et section totale nerfs D4 Section du tendon long extenseur du pouce droit en regard de MCP, le 26.12.2018. Section traumatique du tendon du long extenseur de l'hallux gauche le 18.12.2018. Sédiment: leuco incomptables, érythrocytes 6-10 / champ, flore bactérienne ++ Urotube envoyé, à pister en cas d'évolution défavorable. Uvamine 100mg 2x/jour pendant 5 jours. RAD, reconsultation en cas d'évolution défavorable (fièvre, majoration de l'hématurie, non amélioration sous traitement antibiotique) Sédiment: pas de leuco ni de nitrites. Consultation gynéco le 18/12. Sédiment néphrétique isolé d'origine indéterminée le 13.12.18 Sédiment positif, urotube négatif à 5 jours. Sédiment urinaire: érythrocytes incomptables, leucocytes 21-40/champs, flore bactérienne +, nitrites négatif Sédiment urinaire: érythrocytes incomptables, leucocytes 21-40/champs, flore bactérienne +, nitrites négatif LRSI Prise de sang refusée par la patiente Traitement par Nitrofurantoïne 2x/j pour 5 jours Sédiment urinaire: Lc +++, Lc incomptables, nitrites négatifs, flore bact +, densité 1026-1030 Nitrofurantoïne du 25.12.2018 au 01.01.2019 inclus Sédiment urinaire: Lc 21-40/champ, Sang ++++, pas de nitrites Uricult (résultat vu le 11.12): moins de 10E4 bactéries à la culture, par conséquent pas d'antibiogramme fait. Sédiment urinaire: Leucocytes, Cylindres hyalins, Flore bactérienne 2 paires d'hémocultures le 07.12.2018: négatives Urotube le 07.12.2018: négatif 2 paires d'hémocultures le 12.12.2018: négatives Sonde vésicale du 07.12 au 09.12.2018 Rocéphine 1g du 07.12 au 13.12.2018 Sédiment urinaire: leucocytes, et nitrites + Uricult positif à E. Coli Nitrofurantoïne 100mg 2x/j pendant 5 jours Sédiment urinaire: leucocytes incomptables, nitrites négatifs. Urotube: en cours. Nitrofurantoïne 100 mg 3x/jour pendant 7 jours. Explication à la patiente qu'en cas de persistance des infections (au moins 4 par année) une prophylaxie antibiotique après le coït serait indiquée, nous proposons au médecin traitant donc d'évaluer cette mesure dans le futur. Sédiment urinaire: purée de Lc, pas de nitrites ni de sang, pas de germes Nopil 6mg/kg/jour pour 5 jours Reconsultation si EF ou péjoration de l'état général malgré antibiothérapie et réévaluation besoin d'un US des voies urinaires Contrôle chez pédiatre en fin d'antibiothérapie avec contrôle des urines SÉDIMENT URINAIRE: Sp, notamment pas d'infection urinaire TEST DE GROSSESSE URINAIRE: Négatif Sédiment urinaire. CT-thoraco-abdominal. Sédiment urinaire: encore à prélever (urines jetées par mégarde) ATT • suivi créat, stimuler hydrat p.o, contrôle le 02.12. Sédiment urinaire (hématurie, leucocyturie). Antibiothérapie par Uvamine 2 x 100 mg/jour pendant 5 jours. Changement de la sonde vésicale. Suivi clinique. Sédiment urinaire le 11.12.2018 Rx thorax le 12.12.2018 Hémoculture le 11.12.2018 et 12.12.2018 Transfert en médecine interne le 13.12.2018 Sédiment urinaire le 13.12.2018: propre Urotube le 13.12.2018: en cours Merci de pister l'antibiogramme. Sédiment urinaire, le 21.12.2018: Leucocytes incomptables + flore bactérienne Urotube, le 21.12.2018 Rocéphine 2g IV Sédiment urinaire le 25.12 et le 27.12.2018 Pas d'argument pour une infection urinaire. Nous proposons de faire un contrôle en ambulatoire et si la microhématurie persiste d'évaluer l'indication à une cystoscopie. Sédiment urinaire: leuco 21-40/champ, nitrites +, bactéries +++ Urotube: E. coli (Bactrim, Cipro R), E. fecalis 10E6 Hémocultures: négatives. Rocéphine 2 g du 26.12 au 28.12.2018 Relais avec Co-amoxicilline 1 g 2x/j du 29.12.2018 au 04.01.2019 Sédiment urinaire: Leucocytes +++, Sang +++, nitrites négatifs. Laboratoire: syndrome inflammatoire modéré, avec CRP 22, Leucocytes 10.6 G/l. Uricult: en cours. Rocéphine 2g IV aux urgences. Résidu post-mictionnel à l'US à 32 ml. Pas de caillots visibles dans la vessie. RAD avec traitement par Ciprofloxacine 500 mg 2x/J durant 7 jours. Au vu de la persistance de l'hématurie macroscopique importante, nous ne renonçons pas au RDV chez le Dr. X, maintenu au 07.12.2018 (les résultats de l'uricult lui seront envoyés). Sédiment urinaire: leucocytes incomptables, flore bactérienne ++, nitrites négatifs Antibiothérapie par Nitrofurantoïne 100 mg/j pour 5 jours Traitement symptomatique Consultation aux urgences ou chez le médecin traitant en cas de péjoration clinique. Sédiment urinaire: leucocytes incomptables Urotube positif: Citrobacter coseri sensible Sédiment urinaire leucocytes négatifs, nitrites négatifs, sang +++ Laboratoire - pas de syndrome inflammatoire Avis Dr. X - uro-CT à l'effort - (rapport du Dr. X) - pas de calcul, pas de hernie inguinale Possible qu'un petit calcul soit présent, non visible au CT Proposition au MT de prévoir une filtration des urines si symptômes toujours présents Sédiment urinaire: leucocytes 11-20/champs, érythrocytes incomptables. Sédiment urinaire: leucocytes 11-20/champs, érythrocytes incomptables. Antibiothérapie ci-dessous Consultation chez son médecin traitant ou aux urgences en cas de persistance ou péjoration clinique. Sédiment urinaire: leucocyturie Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire Nitrofurantoïne 100mg 2x/j pour 5 jours Sédiment urinaire négatif Laboratoire: leucocytose 15.5 G/L, CRP négative, reste normal Sédiment urinaire: négatif (sondage urinaire) Urotube en cours Sédiment urinaire négatif. Urotube en cours. SV à demeure en post-partum. Ablation le 27.12.2018 avec reprise spontanée des diurèses Sédiment urinaire normal Test de grossesse négatif Sédiment urinaire: présence de leucocytes et microhématurie CT abdominal natif du 13.12.18: Épaississement pariétal de la vessie et infiltration de la graisse péri-vésicale. IRM pelvienne Uricult du 12.12.18: E. coli et Staph Coagulase négatif Antibiothérapie: • 09.12 - 14.12.18: Ciprofloxacine • à partir du 14.12.18: Doxycycline 200mg 1x/j pendant 10 jours puis 100mg 1x/j pendant 3 mois au total Dès 15.12.18: prednisone 10mg 1x/j jusqu'au 19.12.18 inclus puis 5mg 1x/j jusqu'au 02.01.19 inclus Suite: • Sédiment urinaire et culture d'urine de suivi à 6 semaines du début de l'antibiothérapie par doxycycline Sédiment urinaire Rediscuter si besoin bilan gynécologique ou urologique vs contrôle à distance Sédiment urinaire sang ++, leucocytes +++, nitrites nég Nitrofurantoïne 100 mg x 2 j sur 5 jours Sédiment urinaire: sang ++++, pas de nitrite ni de leucocyte. Laboratoire: Avis gynécologique: après contact téléphonique, la patiente peut aller en consultation de gynécologie aujourd'hui si ce n'est pas possible pour elle d'attendre un rendez-vous avec sa gynécologue. Sédiment urinaire: sans particularité Culture urinaire (cystite à répétition): à pister Antibiothérapie par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pendant 5 jours. Consultation aux urgences ou chez son médecin traitant en cas de persistance ou péjoration clinique. En cas de récidive, des investigations supplémentaires seraient nécessaires (imagerie des voies urinaires). Sédiment urinaire: sans signe d'infection Culture urinaire: à pister Sédiment urinaire sur sondage: leucocytes: incomptables nitrite: négatif Hémoculture et uroculture en cours FSC: leucocytes à 8.2 G/L Hb: 108 g/l thrombocytes: 714 G/L CRP < 5 MG/L Urée/créatinine: 4.7/21 Sédiment urinaire sur sondage vésical Urotube en cours Hémoculture, FSC, CRP, urée, créatinine Rocéphine 50 mg/kg/j en IV * 3 jours en ambulatoire puis relais par voie orale selon antibiogramme Sédiment urinaire: très forts taux de leucocytes (en nombre incomptable) Laboratoire: CRP à 21, leucocytes à 7.3 et GGT à 55 Sédiment urinaire Urotube: E. coli Furadantine 100 mg 2x/j pendant 5 jours Sédiment urinaire Urotube Podomexef 8 mg/kg/jour en 2 doses Sédiment urinaire Uro-tube à pister Ciprofloxacine 500 mg per os 2 fois par jour pendant 7 jours Sédiment urinaire Urotube Bactrim forte 800/160 mg du 27.09 au 01.10.2018 Sédiment urinaire Furadantin 100 mg 2x/j pendant 5 jours Sédiment urinaire Patiente part contre avis médical avant complément d'investigation et avis chirurgie. Sédiment urinaire Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre si état fébrile Sédiment urinaire Urotube: E. coli 10E5 résistant à Ciprofloxacine Rocéphine 2 g i.v. du 27.12.18 au 28.12.2018 Bactrim po. du 29.12.2018 au 02.01.2019 Hydratation i.v. Antalgie Physiothérapie Sédiment urinaire. Urotube: à suivre. Réassurance. Au vu de l'absence de bactériurie et des symptômes d'une infection urinaire, pas d'antibiothérapie. Suivi en ambulatoire à prévoir avec le Dr X. Le patient appellera le secrétariat des urgences pour recevoir les résultats de l'uroculture. Évaluer l'antibiothérapie en fonction des résultats de l'uriculture. En cas de fièvre, dysurie, nausées ou vomissements, le patient est averti de reconsulter aux urgences. Sédiment urinaire Urotube 2 paires d'hémocultures Sédiment urinaire. US FAST (Dr X): pas de liquide libre intra-péritonéal. Sédiments. leucocytes 1 croix, nitrites positif, flores bactériennes 2 croix. Urotube en cours. Le médecin traitant a été mis en copie pour les résultats. Ciprofloxacine 500 mg per os 2x/jour pendant 7 à 10 jours. Dafalgan, Irfen. Les critères de gravité ont été expliqués à la patiente avec consigne de reconsulter immédiatement en cas de complication. Sédiment/stix: nitrites négatif, test de grossesse négatif, erythrocytes 3 - 5/champs, leucocytes <3/champs Bilan biologique: pas de syndrome inflammatoire URO CT: pas de dilatation pyélocalicielle, pas de calcul visualisé, pas d'infiltration de la graisse péri-rénale Sédiment/stix: nitrites négatif, test de grossesse négatif, erythrocytes 3 - 5/champs, leucocytes <3/champs Bilan biologique: pas de syndrome inflammatoire URO CT: pas de dilatation pyélocalicielle, pas de calcul visualisé, pas d'infiltration de la graisse péri-rénale Antalgie simple Contrôle FUA le 03.12.2018 pour suivi clinique (+/- contrôle biologique) La patiente reconsultera avant en cas de péjoration des douleurs ou EF Sédiment/stix le 02.12: nitrites négatif, test de grossesse négatif, erythrocytes 3 - 5/champs, leucocytes <3/champs Bilan biologique le 02.12: pas de syndrome inflammatoire URO CT le 02.12: pas de dilatation pyélocalicielle, pas de calcul visualisé, pas d'infiltration de la graisse péri-rénale Avis Dr X Antalgie Contrôle chez MT La patiente reconsultera aux urgences en cas de péjoration des douleurs ou EF Sédiment/stix urinaire: nitrites négatif, leucocytes 21 - 40/champs, erythrocytes 6 - 10/champs, flore bactérienne ++ Bilan biologique: pas de syndrome inflammatoire Sédiment/stix urinaire: nitrites négatif, leucocytes 21 - 40/champs, erythrocytes 6 - 10/champs, flore bactérienne ++ Bilan biologique: pas de syndrome inflammatoire RPM: 96 ml Nitrofurantoïne 100 mg 2X/J pour 5 jours Changement de sonde urinaire à 48h Contrôle à la FUA pour résultat uricult mercredi Sédiment/stix urinaire: nitrites négatifs, erythrocytes: 6 - 10/champs, leucocytes incomptables, flore bactérienne +++ Sédiment/stix urinaire: nitrites négatifs, erythrocytes: 6 - 10/champs, leucocytes incomptables, flore bactérienne +++ Furadantine 100 mg 2x/j pour 5 jours Sédiment/stix urinaire Nitrofurantoïne 100 mg 2X/J pour 5 jours Changement de sonde urinaire à 48h Contrôle à la UFA pour résultat uricult mercredi Séjour aux soins intensifs avec soutien aminergique Ciprofloxacine du 22.11 au 24.11 Clarithromycine du 23.11 au 24.11 Cathéter artériel radial droit du 22.11.2018 au 24.11.2018 Cathéter veineux central gauche du 22.11.2018 au 24.11.2018 Séjour aux Soins intensifs du 26.11 au 28.11.2018 Séjour en gériatrie aiguë 27.09.2018 au 23.10.2018 (lettre n°1): • IRM épaule le 28.09 • CT-scan thoraco-abdomino-pelvien • Bilan infectiologique: négatif • Mammographie • Avis oncologique Dr X • Ponction de moelle osseuse le 11.10.2018 • Ultrasonographie du cœur le 11.10.2018 • Dexaméthasone 20 mg 1x/jour les 11, 12, et 13.10.2018 • Zometa 3.3 mg le 14.10.2018 Traitement de chimiothérapie avec Revlimid, Velcade et Dexaméthasone: • 1er cycle du 18.10.18 au 08.11.2018 • 2ème cycle du 14.11.2018 au 19.11.2018 • Actuellement en suspens Selles claires Selles envoyées pour recherche virale et coproculture Gazométrie: pas de troubles électrolytiques Pas de signes de déshydratation Contrôle à 24 heures Reconsultation dans l'intervalle si péjoration ou état fébrile Selles liquides Selles méléniques Selles méléniques Selles noires Selles noires: • sur probable régime alimentaire Mme. Y reste en surveillance durant 2 heures, elle boit 200 ml en 1h sans vomissements. Elle présente 2 épisodes de diarrhées. Nous proposons aux parents une hospitalisation mais au vu du meilleur état général et l'absence de vomissements, ils souhaitent rentrer à domicile et poursuivre la réhydratation. Un schéma de réhydratation avec compensation des pertes est donné. Reconsultation aux urgences si hydratation impossible, vomissements itératifs ou baisse de l'état général. Selon avis chirurgical: pas d'abcès (US cutané fait aux urgences). Antibiothérapie orale pour 10 jours, contrôle à 48 heures et selon évolution US parties molles en radiologie et +/- avis chirurgical. Selon avis Drs. X, patient présentant un risque suicidaire élevé qui doit bénéficier d'une hospitalisation en cellule de crise psychiatrique. Le patient étant à ce jour hors canton, nous préconisons une hospitalisation dans son canton d'origine. Dans ce but, nous prenons contact avec le psychiatre de garde du Konigsfelden Spital d'Aarau. Il est convenu d'un transfert en ambulance au vu du risque de passage à l'acte élevé. Selon enfants, maintien à domicile précaire. Le patient et son épouse ont refusé l'introduction d'aide à domicile lors de la dernière hospitalisation de novembre 2018. Rediscuter projet avec entourage et médecin traitant Selon évolution Selon l'avis du ToxZentrum, les effets sont uniquement de l'ordre de l'état de conscience altéré et des hallucinations. Dans ce contexte, elle reçoit 2 doses d'Anexate 0.01 mg/kg iv avec nette amélioration des symptômes. Elle reste en surveillance 1 heure suite à l'administration de l'antidote et peut rentrer à domicile.Nous conseillons de bien ranger tous les médicaments à domicile dorénavant. Selon le Compendium, des doses inférieures à 800 mg d'Escitalopram et à 1000 mg de Trittico ne consistent pas un danger pour la vie. Les paramètres vitaux et l'examen clinique sont rassurants, la fonction rénale et hépatique sont dans la norme. Nous prenons contact avec nos collègues de Marsens, qui, au vu du risque important, préconisent un retour immédiat dans le service où Mme. Y est hospitalisée. La patiente, même si plutôt désireuse de rentrer à domicile et de revenir à Marsens comme prévu demain, est d'accord d'être emmenée par son mari, qui s'engage formellement à le faire, très inquiet d'une récidive. Selon le copain et la famille, 2-3 verres de vin par jour, voire parfois plus. Conseil d'arrêter, suivi d'un conseil psychologique pour le soutien. Selon le souhait du patient, il nous demande de lui fournir un rapport de consultation qui résume les deux dernières années de traitement ambulatoire chez nous suite à la dernière opération du dos. Nous discuterons avec le Dr. X afin de réaliser ce document. Le patient nous informe avoir un dernier rendez-vous pour faire recours contre la décision de l'AI le 21.12.2018. Selon l'IRM cervicale du 12.06.2018, il n'y a pas de grande compression au niveau C6-C7 G et surtout, les discopathies n'expliquent pas les douleurs ni les paresthésies bilatérales. Nous prions donc le Dr. X du Neurocentre de bien vouloir convoquer la patiente pour prise en charge. Nous adressons également la patiente à la consultation de rhumatologie dans la mesure où les plaintes sont diffuses, afin d'exclure une maladie rhumatologique sous-jacente. Pas de nouveau contrôle prévu à notre consultation, nous restons à disposition au besoin. Selon moi, les composantes prothétiques sont bien ancrées dans l'os sans aucun signe de descellement au scanner. Le problème chez Mme. Y est plutôt la dégénérescence, respectivement la scoliose dégénérative de la colonne lombaire qui est responsable de ces irradiations dans la masse fessière et également parfois le long de la cuisse gauche. Comme diagnostic différentiel, les douleurs de la cuisse gauche peuvent également être dues à l'implantation d'une tige non cimentée sans avoir de vrai descellement. Je propose un traitement conservateur, soit par la prise d'anti-inflammatoires et de la physiothérapie avec rebalancement musculaire, renforcement musculaire, stretching des abdominaux, application chaleur, fango, massages. Selon nous, il y a une indication pour une prise en charge chirurgicale, surtout pour le côté gauche étant donné la symptomatologie plus accentuée. Comme le patient présente plusieurs comorbidités, on demande d'abord un consilium anesthésiologique et nous demandons au secrétariat d'anesthésie de bien vouloir convoquer le patient pour évaluer la possibilité d'une prise en charge chirurgicale. Entre-temps, nous allons attendre au moins 6 mois avant de fixer une date opératoire à la suite de l'infiltration de cortisone qu'il a eue pour écarter tous les risques d'infection. On reverra le patient au début février pour discuter des résultats du consilium anesthésiologique. Selon nous, la patiente a une coxa profunda qui détermine un conflit au niveau du labrum. Pas de signe clair de cam ou de pincement. Nous allons procéder à une infiltration test pour évaluer l'origine de la douleur. Suite à cela, on pourra éventuellement proposer une chirurgie, en consultation avec les collègues de Bern. Infiltration le 09.01.2019. Selon nous, la symptomatologie est liée à la colonne lombaire dans le cadre d'une arthrose modérée qui peut justifier la symptomatologie. Nous ne pouvons pas exclure une composante du piriforme, raison pour laquelle on ajoute des séances de physiothérapie pour l'école du dos et le rebalancement de la musculature du dos à faire durant les prochains mois. Si d'ici 3 mois, le patient présente encore une symptomatologie identique, on lui suggère de prendre contact avec le team Spine pour la prise en charge. Selon l'ophtalmologue de garde, suite à la prise en charge à sa consultation. Selon la proposition des cardiologues après ETT : Arrêt d'Efient, à remplacer par Plavix ; poursuite d'Aspirine, ajout de Xarelto 20 mg/j. ETT dans un mois : réévaluer la double antiagrégation et l'anticoagulation en fonction. Prévoir une réhabilitation cardio-vasculaire. Semainier 1x/semaine par la pharmacie. Semelle Darko à visée antalgique pour 1-2 semaines, antalgie. Semelle rigide. Prochain contrôle radio-clinique le 11.01.2019. Semelle rigide 2 jours, pas de cannes, pas d'immobilisation. Surélévation, glace. Sensation de corps étranger œil D. Sensation de corps étranger ORL avec dyspnée d'origine indéterminée. Sensation de malaise. Sensation de nez sec. Sensation de pied froid gauche. Sensation de pied froid gauche le 19.12.2018. DD insuffisance artérielle des membres inférieurs. Sensation de sifflement respiratoire. Sensation de soif dans le contexte de la fin de vie - arrêt nutrition entérale et retrait de la sonde naso-gastrique le 31.10.18. Sensation vertigineuse dans un contexte de virose. Sensation vertigineuse récidivante sans critère de gravité le 28.12.2018. Épisode similaire en janvier 2018, avec bilan vertige complet normal (ORL, IRM et psychiatrique). Sentiment de dépersonnalisation. SEP endométriose sévère. Rupture de kyste ovarien opérée aux USA en juillet 2018. IRM bassin/pelvis du 11.09.2018 : Kystes endométriosiques bilatéraux. Lésion tissulaire d'allure fibreuse en relation avec un probable implant d'endométriose, en arrière du torus utérin, se poursuivant vers l'annexe droite et la face antérieure du rectum, à hauteur de S4. Sepsis à E. coli sur diverticulite sigmoïdienne Hansen-Stock 2b (27.03.2018) avec : • Thrombose septique de la veine mésentérique inférieure par contiguïté, à flore mixte à E. coli, E. avium, B. vulgatus, et avec hypoperfusion hépatique et splénique • Spondylite de la vertèbre L1 • Abcès du psoas droit et gauche • Anticoagulation par Xarelto jusqu'à septembre 2018 Colectomie gauche LS protégée d'une iléostomie le 25.06.2018. Fermeture d'iléostomie le 04.07.2018. Tassement du plateau supérieur et déplacement du mur postérieur de L1 sur spondylite traités par antibiothérapie IV du 29.03.2018 au 11.05.2018, réhabilitation musculo-squelettique à l'HFR Billens. Candidose oropharyngée traitée par Mycostatin (avril 2018). Brûlures au 2ème degré au niveau de la fosse iliaque droite sur ceinture chauffante (mars 2018). Refixation du tendon du sus-épineux gauche (2015). Fracture sous-capitale de l'humérus gauche avec ostéosynthèse par plaque Phylos (2015). Multiples fractures costales sur chute à vélo et ski (2012). Fracture Neer 4 droit avec pose d'une hémiprothèse Affinis (2012). Herpès cornéen avec pose d'un greffe (2007). Cure d'hernie inguinale bilatérale (1994 et 1997).Candidose oropharyngée traitée par Mycostatin (Avril 2018) Brûlures au 2ème degré au niveau de la fosse iliaque droite sur ceinture chauffante (Mars 2018) Refixation du tendon du sus-épineux gauche (2015) Fracture sous-capitale de l'humérus gauche avec ostéosynthèse par plaque Phylos (2015) Multiples fractures costales sur chute à vélo et ski (2012) Fracture Neer 4 droit avec pose d'une hémiprothèse Affinis (2012) Herpès cornéen avec pose d'un greffe (2007) Cure d'hernie inguinale bilatérale (1997 et 1994) Sepsis à pointe départ urinaire le plus probable le 2.12.2018 Sepsis au décours 06.12.2018 DD: gastro-entérite, (passage de calcul biliaire) Sepsis d'origine indéterminée le 25.11.2018 : • Diagnostics différentiels : foyer pulmonaire, plaie pied gauche Sepsis le 21.10.2018 probablement dans le contexte du premier diagnostic supplémentaire Sepsis sévère d'origine probablement respiratoire le 01.12.2018: DD: sepsis urinaire Sepsis sévère sur endocardite le 26.12.2018 Sepsis sévère sur foyer basal gauche le 14.11.2018 Sepsis sévère transitoire à l'admission Sepsis sévère urinaire à E. coli le 30.06.2017. Insuffisance respiratoire partielle d'origine multifactorielle le 30.06.2017 traité par VNI du 30.06 au 01.07.2017. Syncopes récidivantes d'origine indéterminée le 30.06.2017. Insuffisance rénale aiguë prérénale oligurique le 30.06.2017. Dénutrition protéino-énergétique sévère le 30.06.2017 avec probable syndrome de renutrition inappropriée. Traumatisme crânien sur OH en février 2012. AVC en 2017, non séquellaire (anamnestique). Diphtérie dans l'adolescence. Poliomyélite en 1940. Rhabdomyolyse aiguë dans un contexte de récidive de chute à domicile le 21.09.2018. • pic CK à 1573 U/l. • bilan effectué lors de la dernière hospitalisation en juin 2018. Infection du tractus urinaire à E. faecalis le 21.09.2018. Laboratoire. RX thorax. Urines : purée de leucocytes. Urotube : 10^5 Enterococcus faecalis. Rocéphine 2g iv du 21.09-23.09.2018. Co-amoxicilline 1g/12h po du 24.09-30.09.2018. Anémie normochrome macrocytaire avec Hb à 109 g/l le 26.09.2018. Ferritine dans la norme. Vit B12 : 159 pg/ml. Acide folique 3.5 ng/ml. Substitution en acide folique. Sepsis sur cholangite obstructive par progression tumorale d'un adénocarcinome colique métastatique (cf. diagnostic n°2) le 14.12.2018 chez Mme. Y immunosupprimée par stéroïdes au long cours, avec : • obstruction du stent biliaire par masse tumorale • nouvelle masse de 3x3cm dans le foie gauche Status post cholécystite aiguë le 13.09.2018 • Antibiothérapie du 13.9.2018 au 27.9.2018 • Ictère secondaire le 29.10.2018 avec pose de drain percutanée le 02.11.2018 • Retrait du drain avec cautérisation du trajet le 20.11.2018 Sepsis sur cholangite chez Mme. Y immunosupprimée le 13.12.2018 avec • Progression tumorale avec obstruction du stent biliaire. • Progression tumorale foie G nouvelle Chez Mme. Y connue pour: Status post cholécystite aiguë le 13.09.2018 • antibiothérapie du 13.9.2018 au 27.9.2018 • ictère secondaire le 29.10.2018 avec pose de drain percutanée le 02.11.2018 • Retrait du drain avec cautérisation du trajet le 20.11.2018 Sepsis sur pneumonie basale droite avec insuffisance respiratoire globale le 26.06.2018. Endo-brachy-oesophage (résolutif à l'oesogastroduodénoscopie en 2017). Pneumonie communautaire tri-lobaire droite, probablement sur broncho-aspiration le 26.07.2016. Prostatite chronique à E. Coli le 04.07.2016, traitée par antibiothérapie. Appendicectomie en 2016. Dysarthrie et somnolence d'origine indéterminée le 13.05.2015 (DD : état post-critique, excès médicamenteux). Parotidite droite sur probable lithiase du canal du Sténon en 2013. Stase stercorale prédominant au niveau du caeco-ascendant et du transverse en mars 2009. Ulcère duodénal en 1996. Colite néphrétique droite en 1996. Hospitalisation à Marsens pour tentative de suicide au gaz d'échappement de voiture dans un garage en 1996. Bursite olécrânienne en 1995. Traumatisme crânien simple sur accident de la voie publique en 1992. Fracture de la jambe gauche, ostéosynthésée en 1957. Sepsis sur Pneumonie communautaire lobe moyen CURB 65: 1 • SIRS 3/4 points: tachypnée à 22/min, tachycardie 112 bpm, température >38.5° • Hémocultures 4/4 positives S. Pneumoniae, polysensibles Sepsis sur pneumonie lingulaire inférieur et postéro-basal G, 08.07.2018 • Rx thorax le 07.08.2018 : pas de foyer franc • CT thoracique le 07.08.2018 : foyer pulmonaire lingulaire inférieur et postéro-basal gauche Sepsis sur probable origine abdominale le 28.11.2018 Sepsis sur probable origine urinaire le 24.12.2018 Sepsis sur probable pneumonie basale gauche avec troubles de l'état de conscience Sepsis sur probable pneumonie basale gauche le 10.12.2018 Sepsis sur pyélonéphrite à D le 08.12.2018 Sepsis sur pyélonéphrite droite le 08.12.2018 Sepsis sur spondylodiscite le 19.11.2018 • Tachycardie supraventriculaire dans contexte infectieux le 19.11.2018 et le 24.11.2018 Septoplastie en 2017 (Dr. X) Séquelle d'accident en moto 1977 : • fractures multiples des membres supérieurs et inférieurs • fracture du bassin, lésion du nerf sciatique fauche avec pied tombant • coxarthrose post-traumatique gauche • status post prothèse totale de hanche droite • syndrome psycho-organique modéré. Gonarthrose post-traumatique et status post méniscectomie externe en 1996 à gauche. Gastrite antrale érosive avec ulcère stade III. Kyste sébacé au menton excisé 2014. Séquelles d'ancien AVC de découverte fortuite au CT crânio-cervical du 26.11.2018 séquelles sensitivo-motrices (paresthésie faciale D, parésie brachio-crural D, dysesthésie MSD, astéréognosie, ataxie ddc, diminution de la motricité fine MSD) sur hémorragie thalamique G en 2001 et 2004 et 2013 Tremblement essentiel Sera contactée pour début de radiothérapie cette semaine (Dr. X) Suivi oncologique par Dr. X Sera convoqué en rhumatologie à l'HFR Fribourg Sera convoqué par Dr. X pour résultats et suite de prise en charge Sera reconvoqué par la suite de décision du colloque orthopédique. Sera reconvoquée par Dr. X pour le suivi du problème thyroïdien. Suivi biologique de l'hypercholestérolémie suite à l'introduction d'Ezetrol ce jour. Mr. Y est hospitalisé pour insuffisance respiratoire dans le contexte de bronchite obstructive. Sur le plan respiratoire, Mr. Y bénéficie d'un train de Ventolin aux urgences ainsi que de l'Atrovent et du Betnesol. Une oxygénothérapie est débutée dans le contexte d'une désaturation à 85% à l'arrivée. La gazométrie d'entrée montre initialement une hypocapnie sur hyperventilation avec hyperlactatémie à 6.1 puis 7.3 mM ainsi qu'une hyperglycémie, mise sur le compte du traitement par Ventolin et de la détresse respiratoire importante. Celle-ci est répétée à 12 heures de la première et montre une nette diminution de la lactatémie mais une persistance de l'hyperglycémie (dans un contexte de poursuite du traitement de Ventolin). L'évolution clinique est favorable sous traitement de Ventolin qui est progressivement espacé aux 3 heures. Le traitement par Atrovent est poursuivi pour 24 heures et Betnesol pour une durée de 3 jours. L'oxygénothérapie débutée en raison de désaturations au sommeil est sevrée dès le 05.12.18. Sur le plan infectieux, la formule sanguine complète effectuée aux urgences est alignée, avec une CRP à 35 mg/l. Mr. Y présente un pic subfébrile à 38°C le 05.12 sans récidive par la suite. Sur le plan digestif, Mme. Y est initialement perfusée avec ses apports complets par Glucosalin. Celle-ci est sevrée dès le 05.12 au vu d'une prise hydrique adéquate. Par la suite, Mme. Y maintient ses apports hydriques et diversifiés durant le reste de son séjour. Au vu de l'état clinique rassurant, Mme. Y rentre à domicile le 06.12.18 avec du Ventolin à espacer selon ses besoins. • Seresta d'office et en réserve • Score CIWA • Seresta en R • Seresta en R selon CIWA • Becozyme • Benerva • Seresta en réserve • Seresta fixe et en réserve • Substitution vitaminique • Seresta selon protocole • Consilium psychiatrique : Voir avec Dr. X à Perolles • Lettre à la Justice de Paix faite en septembre 2018 • Seresta selon protocole • Suivi psychiatrique par le Dr. X - prochaine consultation prévue le 27.12.2018 • Lettre à la Justice de Paix le 04.10.2018 - réitérée le 27.12.2018 • IRM ou CT abdominal à rediscuter • Seresta 15 mg 4x/jour fixe, puis 4x/jour en réserve • Benerva 3x 300 mg i.v. pour 3 jours • Becozym forte 1x/jour • Déclaration auprès de l'office de la circulation • Seresta 15 mg 4x par jour • suivi par le CCA - Dr. X • Tél. Dr. X le 27.11.2018 lors de l'hospitalisation précédente : patient fluctue entre consommation d'OH et Temesta. trouble dépressif également. Pas d'indication à un changement de traitement actuel. Mise en place d'un cadre avec SAD somatique et psychiatrique, suivi ambulatoire chez elle. • Seresta • Quetiapine • Orientation vers infirmière de liaison, psychologue • Seretide 250 mg 2x/jour Sérologie : Lyme, Syphilis, VIH le 20.11.2018. Ac- paranéoplasique sérique. Anti-TRAK FEIA. Analyse LCR (20.11.2018). CT scan cérébral. IRM du neurocrâne. CT scan thoraco-abdominal. EEG les 20 et 23.11 ainsi que le 03.12.2018. Ponction lombaire le 20.11.2018. Evaluation neuropsychologique les 21 et 27.11.2018. Contention par ceinture abdominale la nuit (prévention des chutes). Benerva 300 mg iv le 16.11.18, puis Benerva 300 mg per os du 16 au 29.11.2018. Keppra du 20 au 23.11.2018 puis sevrage progressif jusqu'au 29.11.2018 y compris; reprise dès le 03.12.2018. Expertise du Dr. X (03.12.18) : possibilité de soins palliatifs à Riaz (souhaité par la famille). Sérologie de Lyme le Dr. X Sérologie des hépatites. Bilan ferrique. Suite de prise en charge chez médecin traitant. Sérologie HCV inconnue Sérologie HIV Retour à domicile. Le patient sera contacté dans le cas où l'un des examens effectués ce jour se révélerait positif. La nécessité de la prise de sang lui a été expliquée (pas de sérologies réalisées lors des dernières prises de sang). • sérologie Lyme • Sérologie Rubéole inconnue. • Sérologie 24.12.2018 : Hép A, Hép B, HIV, CMV : négatifs • US abdominal 30.12.2018 : ascite en quantité modérée • Ponction d'ascite le 30.12.2018 : 700 cc • Sérologies faites à Mme. Y et à Mr. Y source : sérologies négatives pour les deux. • Retour à domicile. • Sérologies le 27.12.18 : HCV négatif, HIV négatif, HBV vaccinée • Sérologies sanguines : HIV1/2, VZV, HSV1/2, Syphilis, CMV IgG positif, EBV IgG positif, Lyme négatif EEG le 21.11.2018 : foyer irritatif rythmique temporal droit, compatible avec une encéphalite herpétique. CT CÉRÉBRAL le 20.11.2018 : plages d'œdème cortico-sous-cortical intéressant l'insula et le lobe temporal droit dont la distribution est compatible avec une encéphalite herpétique (DD : autre encéphalite virale ? atteinte ischémique ?). Pas d'effet de masse significatif et pas de signes d'engagement. Pas de zones d'hémorragie. IRM DU NEUROCRÂNE NATIVE ET INJECTEE DU 20.11.2018 : mise en évidence d'un œdème cytotoxique cortico-sous-cortical touchant surtout la région insulaire et le lobe temporal droit ainsi que le lobe frontal droit, évoquant en premier lieu une encéphalite virale d'origine herpétique. Absence de saignement ou de rehaussement pathologique après injection. CT CÉRÉBRAL NATIF ET INJECTE DU 23.11.2018 : majoration de l'œdème cérébral dans la région fronto-temporo-insulaire droite, associé à l'apparition d'une hémorragie intraparenchymateuse mesurant 6 mm de diamètre, à cheval entre l'uncus et l'hippocampe du lobe temporal droit. Pas d'argument radiologique pour un engagement. CT CÉRÉBRAL NATIF le 29.11.2018 : augmentation de taille de l'hémorragie temporo-polaire droite sur encéphalite fronto-temporale droite avec œdème en discrète augmentation également. Pas de déviation de la ligne médiane ni d'argument pour un engagement. IRM DU PELVIS NATIVE ET INJECTEE DU 28.11.2018 : pas d'évident trajet fistuleux entre le vagin et le rectum. On pourrait discuter de compléter le bilan par un CT scan avec lavement, selon nécessité. Œdème intramusculaire (muscle grand glutéal droit, grand adducteur et obturateur externe ddc), aspécifique (myosite ?). Prise de contraste à l'insertion du muscle moyen glutéal ddc, pouvant correspondre à une boursite, à corréler à la clinique. CT ABDOMINAL NATIF DU 03.12.2018 : en raison des diarrhées présentées par Mme. Y, nous n'avons pas pu réaliser de lavement. Nous restons à disposition pour réaliser cet examen dans de meilleures conditions. Sous réserve de l'absence d'injection de contraste, pas d'argument en faveur d'un abcès pelvien. On retrouve un statut post résection antérieure basse. EEG le 10.12.2018 Sérome face latérale hanche D mesurant 61x12x21 mm, sans signe de surinfection. Sérome post-bursectomie genou D. Sérome post-opératoire du genou droit. Statut post-bursectomie pour bursite aseptique le 19.11.2018. Sérome post-opératoire récidivant du genou droit avec : • Statut post-bursectomie pour bursite aseptique le 19.11.2018. • Drainage, prélèvements bactériologiques, fermeture cutanée le 10.12.2018 (Dr. X) • Sérothèque (dans l'attente des résultats des sérologies (HIV, HBV, HCV) de la personne source Retour à domicile, Mme. Y sera contactée après réception des résultats des sérologies de la patiente source. Serrement au cou. Sérum physiologique Compresse de camomille Sérum physiologique Fébrifuges en réserve Service de liaison S'est coupé l'index gauche Sevrage alcoolique • hospitalisation en médecine dans un premier temps (vu d'un antécédent de sevrage compliqué 2016). Status post sevrage en ambulatoire au printemps 2018, avec abstinence jusqu'à début octobre (rechute précipitée par conflits familiaux). Contusion faciale le 06.10.2018 sur éthylisation aiguë le 06.10.2018 - alcool à 2.58. Traumatisme de la face avec corps étranger sur accident de la voie publique le 12.05.2014. Césarienne 21.02.1986. Ligature des trompes. Hystérectomie 2011. Bypass gastrique 2012, Hôpital Daler. Syndrome des loges dépassé des extenseurs communs des doigts avant-bras gauche sur hématome avant-bras gauche. Fasciotomie des extenseurs, neurolyse nerf inter-osseux postérieur avant-bras gauche (OP le 12.03.2014). Fermeture fasciotomie avant-bras gauche (OP le 17.03.2014). Etat d'alcoolisation aiguë avec signes de sevrage compliqués (tremor, hypertension artérielle, tachycardie, hyperthermie) le 10.02.2016. Bradycardie sinusale nocturne avec QT légèrement allongé transitoire le 11.02.2016. Ethylisation aiguë et intoxication aux benzodiazépines le 17.05.2017. Pneumonie basale gauche d'acquisition communautaire le 17.05.2017. Dénutrition protéino-énergétique le 17.05.2017 avec hypokaliémie à 3.4 mmol/l. Douleurs thoraciques probablement d'origine anxieuse le 17.05.2017.Ethylisation aiguë le 26.06.2017 avec alcoolémie à 2.41. Sevrage aux benzodiazépines • hospitalisation à Marsens en décembre 2018 Sevrage d'alcool Sevrage dans le cadre de consommation d'alcool à risque • 2 L/jour de vin rouge (depuis au moins 6 ans) • ACME : 1 point (pas de culpabilité, pas de consommation le matin, plaintes de l'entourage dont ses filles) Sevrage de prednisone le 17.10.2018 Sevrage des traitements antiépileptiques avec : Stop lévétiracétam le 25.12.2018, poursuite diminution de 100 mg/semaine le lacosamide le 24.12.2018 Traitement encéphalopathie hépatique par lactulose avec cible 3 selles molles/jour Suivi ascite et adaptation traitement aldactone en fonction Rediscuter à distance prise en charge des anévrismes cérébraux selon évolution Passage Juge de Paix le 28.12.2018 à 14h30 au lit de Mr. Y (avertie du transfert à Meyrier) Sevrage opiacé Sevrage primaire Sevrage primaire à l'allaitement Sevrage primaire de l'allaitement Sevrage progressif de la corticothérapie Sevrage progressif de l'Oxycontin. Sevrage récent à l'hôpital Sevrage, relais de Temesta à 0.5 mg Sevrage secondaire Sevrage secondaire de l'allaitement sf/p Reflux gastro-oesophagien SGA asymétrique, poidsD probablement d'origine virale le 11.09.2015 Trauma de la colonne vertébrale sans lésion osseuse • 2x en 2008 (AVP) • 2012 (accident de toboggan) Sinusite fronto-maxillaire gauche. Sinusite maxillaire de continuité sur abcès de la dent 25 le 09.12.2018 • CRP 77 mg/l, Lc 19.5 g/l. Sinusite maxillaire droite le 01.12.2018 chez Mme. Y migraineuse connue. Sinusite maxillaire droite. Dorsalgies. Traitement symptomatique. Sinusite maxillaire et frontale sur croûte surinfectée. Sinusite maxillaire gauche le 22.12.2018 Sinusite maxillaire gauche le 24.12.2018. Sinusite maxillaire gauche. Appendicectomie. Cholédocystolithiase symptomatique. Diarrhées sur intolérance aux antibiotiques. Sinusite virale avec suspicion de surinfection bactérienne probable.Sinusite virale post-état grippal, le 11.12.2018. Sirdalud 2 mg et Tramal 50 mg aux urgences. Sirop antitoussif à base d'extraits de plantes 3x/j, sirop antitoussif antihistaminique en réserve au coucher. Sirop antitoussif en réserve. Pas d'antalgie pour ne pas cacher la fièvre. Reconsulte rapidement si mensuration d'un état fébrile. Sirop contre la toux homéopathique. Dafalgan et Algifor en réserve. Sirop de figue 1x/j. Movicol 1x/j. MicroKlist eo. Sirop de figue 15 ml 2x/jour. Laxoberon 7.5 ml 2x/24h en réserve jusqu'au 03.12.18. Movicol 1 fois par jour dès 04.12.18 jusqu'au 21.12.18 après selon besoin. Intégration alimentaire avec Optifibre 1 cuillère 1x/jour pour les premiers 3 jours, après 2x/jours pour les jours suivants. Réévaluation avec amélioration de la mobilité. Sirop Santasapina. Wala Apis/Belladonna/Mercurius. Traitement symptomatique. SIRS sur probable urosepsie d'origine obstructive, le 11.09.2014. Urosepsie sévère sur lithiase rénale à gauche le 27.08.2014 avec pose de sonde double J le 29.08.2014. Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur atélectasies le 13.10.2013. Choc septique d'origine urinaire sur urolithiase gauche le 12.10.2013 avec pose de sonde double J gauche le 12.10.2013. Cystostomie en 2006 pour grosse lithiase vésicale et petite lithiase rénale gauche. Status post-amygdalectomie. Situation à domicile complexe. Situation à domicile probablement difficile. Situation après infection hépatite A. Détachement arrière du corps vitré de l'œil droit, phaco-émulsification. Fracture intertrochantérienne multi-fragmentaire G-31 AO type A2 en 2016. Intoxication à la Bexine en 2014. Fracture distale du scaphoïde non disloquée en 2013. Commotion cérébrale en 2011. Ostéotomie du pied droit. Appendicectomie. Situation précaire à domicile, RAD à réévaluer avec l'entourage. • Soeur en déplacement et frère dans l'incapacité d'accueillir la patiente. • Le frère contactera le service le 05.12 pour discuter du projet. Contrôler la liste des médicaments avec le médecin-traitant. Situation psycho-sociale complexe et hospitalisation sous placement à des fins d'assistance. Situation psychosociale nécessitant un soutien. Situation sociale précaire. Situation sociale à risque. • Syndrome de Diogène. • Isolement social après décès de sa mère et de son frère. Situation sociale précaire avec : • curatelle de gestion financière. • en cours de divorce avec sa femme. • Transition entre Torry (5j / 7j) et logement pour sevrage OH. • trouble du spectre autistique et trouble anxieux généralisé (anamnestiquement selon l'épouse). • dépression chronique. • multiples hospitalisations pour sevrages OH et benzodiazépines 2017-2018 (Marsens, Torry, Meiringen). • arrêt de l'activité professionnelle en 2017. • absence de filet social. • Perte de poids volontaire de 7 kg en 6 semaines le 25.12.2018 sur absence de volonté de s'alimenter et difficultés pour cuisiner avec le tremblement essentiel. Smoldering myélome IgA lambda diagnostiqué le 22.07.2017. Anémie normochrome normocytaire d'origine mixte. Hypertension artérielle traitée. Dyslipidémie traitée. Hyperparathyroïdisme secondaire. Hypertrophie bénigne de la prostate. SNAC poignet à droite. Rupture chronique de la coiffe des rotateurs ddc. Pouce à ressaut à gauche. Status post-amputation dig II, III, IV et V main gauche. SNG de décharge du 07.12.2018 au ___. SNG de décharge le 13.12.2018. SNG du 20.10 au 24.10.2018 et du 06.11.2018 au 08.11.2018 (CAVE posée sous fibroscopie avec ORL !). CT abdominal le 21.10.2018. Colonoscopie le 24.10.2018. SNG du 22.10.2018 au 08.11.2018 avec relais sonde Freka le 08.11.2018. Procinétique dès le 24.10.2018. Alimentation parentérale sur VVC du 24.10 au 02.11.2018. Alimentation entérale du 02.11.2018 au 21.12.2018. Reprise du transit le 05.11.2018. SNG posée par ORL le 29.11.2018 pour nutrition entérale. Consilium diététique : débuter Novasource 500 ml le 29.11.2018 + SNO. SNO 2x/j à poursuivre. Sodium à 153 mmol/l le 23.11.2018 avec altération de l'état cognitif et de la fièvre. Réhydratation avec du G5 2000 ml/24h. Laboratoires de contrôle le 24.11.2018. Discussion avec la famille le 25.11.2018 : arrêt des perfusions et prises de sang, début de soins visant le confort. Soin de confort. Soin de plaie. Soin de plaie 1x/j. Suivi clinique. Soins locaux par Kamillosan. Movicol 2 sachets 2x/jour. Contrôle pédiatre d'office dans une semaine. Si nécessaire, adresser chez Dr. X. Consultation urgence si persistance, autres saignements, vomissements, fortes douleurs abdominales. Tous les signes d'alarme sont expliqués. Soins locaux. Co-amoxicilline 80 mg/kg/j en 2 doses pendant 7 jours. Contrôle dans 72 h aux urgences. Soins à domicile impossibles le 10.12.2018 sur : • fatigue importante à l'hétéroanamnèse. • douleurs diffuses dans les 2 jambes. Soins à domicile prévus, annonce chez Voltigo effectuée, le référent sera Dr. X. Ablation des fils crâniens le 24.12.2018. Ablation des fils distaux (maintien du cath.) le 14.01.2019. Aspiration du liquide pleural par soins à domicile, max 1000 ml par jour selon dyspnée du patient. Présentation médicale si le PleurX ne livre pas du tout de liquide. Arrêt du Sintrom, échangé par Eliquis. Réserves pour Mme. Y : Torem 10 mg pour 2 jours si prise de poids >1 kg/j. Effentora 100 mcg buccal dose unique si dyspnée massive avec contact médecin traitant ou Voltigo. Réserves pour Voltigo : Morphine 3 mg 1x/h si douleurs ou dyspnée. Haldol 1 mg max 1x/2h si état confusionnel. Dormicum sc 1-2.5 mg max 1x/h si état confusionnel.Lasix 20 mg sc ordre unique si dyspnée massive Soins à domicile tous les jours avec changement de pansements des membres inférieurs (protocole Plurogel et compresses) Rendez-vous à la consultation des plaies, le 27.12.2018 à 11h00 Soins de bouche Fluconazole intraveineux du 16.11.2018 au 19.11.2018 Mycostatin du 16.11.2018 au 21.11.2018 Adaptation du régime Soins de confort Soins de confort • Facteur de performance : ECOG 4 • NRS et diagnostique nutritionnel : pas prévu au vu du contexte • Problématique principale : douleurs • Orientation planifiée (Lieu) : hôpital ; Alternative : nihil Soins de plaie Soins de plaie Soins de plaie. Soins de plaie Soins de plaie et des 2 stomies Soins de plaie locaux Suivi clinique Soins de plaie par Prontosan, Bepanthen, compresses et Microfoam initialement, puis changement pour Aquacel sur la plaie. Soins de plaie, réfection régulière des pansements. Le patient a rendez-vous à la consultation du Dr. X à Châtel-St-Denis pour contrôle le 14.01.2019 à 14h00. Soins de plaie réguliers, ablation des fils à J10 chez le médecin traitant. Contrôle clinique à 6 semaines à la consultation du Dr. X. Soins de plaie réguliers avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 6 semaines postopératoires. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines de la plastie du LCA réalisée le 20.11.2018. Soins de plaie réguliers avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 8 semaines postopératoires. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Soins de plaie. Appel ORL le lendemain pour contrôle clinique de plaie post-op. Soins de plaie. Attitude : • Retour à domicile avec conseils d'usage et contrôle clinique chez le médecin traitant la semaine prochaine. • Soins de plaie à domicile avec désinfection et pansement neuf tous les jours jusqu'au contrôle. Soins de plaie Pas de suture nécessaire Rappel Tétanos Attitude : • soins de plaie pendant 72h. Explications données à la patiente. Soins de plaie RDV en angiologie à l'Inselspital le vendredi 07.12.2018 à 08h Soins de plaies par pression négative. Soins de plaies réguliers avec ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Prophylaxie thrombo-embolique par Xarelto 10 mg 1x/j jusqu'à 3 semaines postopératoires. Contrôle clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines. Soins de plaies Contrôle en chirurgie ambulatoire à Tafers le 14.12.2018 à 14h45 (Dr. X) Soins de support • Facteur de performance : ECOG 2 • NRS et diagnostique nutritionnel ; NRS low risk • Problématique principale : nausées • Orientation planifiée : UATO pour EMS Soins de support • Facteur de performance : ECOG 3 • NRS et diagnostique nutritionnel ; NRS low risk • Problématique principale : désorientation spatiale et temporelle, troubles mnésiques, vertiges et instabilité de la marche, myoclonies • Orientation planifiée : soins palliatifs Soins de support • Facteur de performance : ECOG 3-4 • Problématique principale : dyspnée, dépendance à l'oxygène • Orientation planifiée (Lieu) : RàD avec voltigo, fin de vie à domicile ; Alternative : fin de vie à la villa St-François Soins de supports ESAS, ECOG 3, PPS 40% Soins impossible à domicile. Soins impossible à domicile avec : • Incendie dans son appartement le 04.12.2018 • Contexte de troubles cognitifs et chutes à domicile à répétition Soins impossible à domicile dans cadre d'un déconditionnement global (cf. diagnostics ci-dessous) le 23.11.2018 Soins impossible à domicile le 13.12.2018 Soins impossibles à domicile. Soins impossibles à domicile : • patient dépendant en raison d'une paraplégie chronique sur SEP secondairement progressive • remplacement du lit automatique nécessaire. Soins impossibles à domicile (dûs aux Diagnostics supplémentaires 1 et 3) Soins intensifs du 14.12 au 16.12.2018 Cathéter artériel radial gauche du 14.12 au 15.12.2018 Coronarographie le 14.12.2018 PTCA 2xDES IVA proximale et moyenne 14.12.2018 (Dr. X) Echocardiographie transthoracique le 14.12.2018 Echocardiographie transthoracique le 18.12.2018 Aspirine à vie, Efient 10 mg pour une année Introduction de bêta-bloquant, IEC, Statines Arixtra 7.5 mg sc du 14.12 au 20.12.2018 Xarelto dès le 21.12.2018 (prophylaxie vu akinésie étendue) Réadaptation cardiaque à Billens dès le 21.12.2018 Pose de CRT-D prévue le 03.01.2019, HFR Fribourg Contrôle clinique dans un mois chez Dr. X Soins intensifs du 02. au 03.12.2018 Restriction hydrique à 1000 mL/24h à la sortie Substitution iv puis p.o. par NaCl Caps Soins intensifs du 21.12 au 26.12.2018 Cathéter artériel radial gauche du 21.12.2018 au 26.12.2018 VNI du 21.12 au 26.12.2018 Optiflow du 22.12 au 25.12.2018 Imipenem du 21.12 au 22.12.2018, Klacid du 21.12 au 22.12.2018 Ceftriaxone du 22.12.2018 au 27.12.2018 Noradrénaline du 21.12 au 22.12.2018 Majoration des corticostéroïdes dès le 21.12.2018 Physiothérapie respiratoire Oxygénothérapie et aérosols au besoin Soins locaux Soins locaux Soins locaux Soins locaux Antalgiques Consignes alimentaires Soins locaux avec crème à base de Zinc Soins locaux avec pansement, crème Ichtholan. À poursuivre en rééducation à Billens Soins locaux avec savon et eau. Contrôle dans 3 jours en policlinique de chirurgie. Soins locaux Consignes alimentaires et surveillance à domicile Antalgiques en réserve Soins locaux Consignes de surveillance à domicile Soins locaux Paracétamol en réserve Antistaminiques en réserve Soins locaux. Bétadine tulle, bandage Soins locaux Biopsie et swab pour Microbiologie le 20.12.2018 Soins locaux Co-amoxicilline 80 mg/kg/j en 2 doses pendant 7 jours Contrôle dans 72 h aux urgences Le 16.12 : Tip : Désinfection locale Antibiotiques locaux Consignes de surveillance Soins locaux Contrôles réguliers de la plaie du bras G jusqu'à guérison Ergothérapie pour traitement de cicatrice Soins oculaires, soins de plaie. Vaccin antitétanique le 12.12.2018. Consultation à votre cabinet ou chez l'ophtalmologue en cas de péjoration clinique. Soins symptomatiques (morphine, diurétiques) Décès le 26.12.2018 Solmucalm et Algifor. Contrôle si péjoration. Solmucalm le soir Solu-Cortef 150 mg iv le 20.12.2018, 50 mg 3x/jour du 21 au 23.12.2018 Hydrocortisone 30 - 20 - 10 mg du 24.12 au 30.12.2018 Hydrocortisone 20 - 10 - 0 mg dès le 31.12.2018 Euthyrox 50 mcg IRM cérébrale 18.12.2018 : lésion comblant totalement la selle turcique et s'étendant au-dessus de celle-ci, venant au contact du chiasma optique, et mesurant environ 14 x 18 x 10 mm Consilium endocrinologie le 18.12.2018 : panhypopituitarisme sur probable adénome non sécrétant Avis neurochirurgical (Inselspital) le 19.12.2018 : si pas de trouble visuel, pas d'urgence chirurgicale. Poursuivre bilan endocrinien et réaliser IRM centré sur l'hypophyse. Le 21.12.2018 : patient sera convoqué d'ici 1 mois pour consultation en ambulatoire IRM cérébrale centrée sur l'hypophyse le 20.12.2018 Consilium ophtalmologique le 19.12.2018 : examen dans les limites de la norme, pas d'atteinte ophtalmologique de l'adénome hypophysaire Cortisol basal 26 nmol/l le 19.12.2018 Test au Synacthen le 20.12.2018 : cortisol basal : 22 nmol/l, 30 min : 167 nmol/l, 60 min : 223 nmol/l Solucortef 22.11 et 23.11.2018 Poursuite du traitement habituel Solucortef 22.11 et 23.11.2018 Poursuite du traitement habituel Solucortef 22.11 et 23.11.2018 Poursuite du traitement habituel Solumedrol, Co-amoxicilline, Valtrex, Antalgie de palier I, hydratation et surveillance. Solu-Médrol le 21.12.2018 statut ORL • Solumédrol 125 mg iv. • Tavegyl 2 mg iv. Surveillance 4 h : bonne évolution clinique avec disparition de l'érythème et normalisation de la fréquence cardiaque et de la tension. Retour à domicile avec traitement par Xyzal 5 mg 1 cp pendant 5 jours et Prednisone 0.5 mg/kg pendant 48 h. Nous recommandons à la patiente de prendre rendez-vous chez un allergologue afin d'investiguer la potentielle cause allergique. • Solumedrol 125 mg i.v • Tavegyl 2 mg • Ondansetron 4 mg • Solumedrol 20 mg aux 12 h. • Calcimagon D3 500/800 • Flagyl iv, première dose 660 mg ensuite 330 mg aux 8 h. • Cipro iv 400 mg *2/jour • Nexium 40 mg/jour • Maltofer 100 mg die • Zinc 20 mg die • Folvite 4 mg die Alimentation : 2 bouteilles de 200 ml de 2kCal/ml (fresubin 2kCal) ou 3 bouteilles de Fortimel juicy (1.5kCal/ml) + repas normaux au choix + 30 min avant les repas codafalgan 500/30 2 cpr à la fois Xylocaine gel 2 % topique bilan biologique • Solution CHUV • Consignes réhydratation et alimentaires • Antalgiques en réserve • Explication des signes de gravité • Solution CHUV et médecin anthroposophique d'application locale • Mefenacid d'office 48 heures • Solution CHUV • Algifor • Dafalgan • Solution du CHUV à gargariser avant les repas. Antalgie si douleur • Solution du CHUV au clou de girofle • Solution insuline glucose 500 ml G20 % + 20 UI ACTRARAPID sur 40 min Somatisation Somnambulisme. Somnolence. Somnolence avec tremblements aux 4 membres sur hypercalcémie maligne • Initialement mise sur le compte d'une toxicité à la morphine concomitante Somnolence dans un contexte d'une introduction médicamenteuse avec du Tégretol Somnolence probablement d'origine médicamenteuse le 07.11.2018 Somnolence DD : opiacés (Méthadone) Sondage aux urgences, pas assez d'urine pour sédiment. Sondage urinaire Sondage urinaire CH16 du 27.11. au 28.11.2018 Sondage urinaire dès le 23.11.2018 Consultation en urologie à prévoir en ambulatoire Sondage urinaire (échec de 2 tentatives de sevrage) Tamsulosine Physiothérapie vésicale à poursuivre Nouvelle tentative ablation +/- avis urologique Sondage urinaire : négatif Sédiment urinaire : Urotube en cours Echo abdominale : Hernie inguinale indirecte gauche incarcérée, à contenu colique, sans signe franc d'ischémie. Aspect œdématié de l'épididyme gauche par rapport au côté controlatéral pouvant parler pour une épididymite. Sondage urinaire Stix/Sédiment urinaire : négatif Sondage urinaire Stix/Sédiment Urotube en cours Rocéphine IV Sondage urinaire Stix/Sédiment Urotube Rocéphine IM x 3 doses (vu échec de pose d'une VVP) Relai per os par Podomexef dès le 28.12 Sondage urinaire Echo abdominale Avis chirurgical Sondage vésical Sonde à trois voies pour rinçages de la vessie du 20.12.2018 au 24.12.2018 Sonde naso-gastrique de décharge du 07.12.2018 au 12.12.2018 Sonde naso-gastrique de décharge du 29.11.2018 au 11.12.2018 CT Abdominal le 07.12.2018 Suivi clinique/biologique et traitement conservateur Sonde naso-gastrique du 01.12.2018 au 11.12.18 Sonde nasogastrique du 02.12 au 16.12.18 Sonde naso-gastrique du 07.11 au 01.12.2018 Sonde naso-gastrique du 07.12.2018 au 10.12.2018 Sonde naso-gastrique du 18.11 au 10.12.18 Sonde naso-gastrique du 21.12 au __ Bilan urinaire à faire le 22.12 Dafalgan en réserve Sonde naso-gastrique du 26.11.2018 au 28.11.2018 Réalimentation dès le 28.11.2018 Sonde naso-gastrique du 28.11 au 19.12.18 Sonde naso-gastrique du 28.11.2018 au 08.12.2018 Sonde naso-gastrique du 03.12 au 05.12 Sonde oro-gastrique du 04.12 au 19.12.18 Sonde oro-gastrique du 26.11.2018 au 17.12.18 Sonde oro-gastrique du 27.12 au 28.12.18 Sonde oro-gastrique du 30.11.2018 au 14.12.18 Sonde urinaire + évacuation de 1.5 l d'urine Sonde urinaire à demeure (post traitement de radiothérapie pour carcinome prostatique) Polyarthrose Syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire diagnostiqué en 2015 Insuffisance artérielle stade I Surdité appareillée SAOS appareillé Epilepsie sous traitement de phénytoïne Goutte Sonde urinaire dès le 06.12.2018 avec 3 essais de sevrage non concluants Avis urologique (Dr. X / Dr. X) : essai de clampage, puis de sevrage de sonde si le patient sent le besoin d'uriner. Sinon, sonde à demeure et contrôle ambulatoire. RDV ambulatoire chez le Dr. X le 11.01.2019 à 14 h 30 Sonde urinaire dès le 17.12.2018 Sonde urinaire dès le 17.12.2018 Ultrason de débrouillage le 17.12.2018 : pas de globe urinaire Analyses urinaires : sp Sonde urinaire du 19.11.2018 au 24.11.2018 Sonde urinaire du 25.12. au 28.12.2018 (sevrage) Sonde urinaire le 04.12.18 (permanence), retrait le 05.12.2018 à l'étage de médecine avec suites favorables Sonde vésicale Sonde vésicale 3 voies du 02.12.2018 au 05.12.2018 Rinçages continus du 02.12.2018 au 04.12.2018 Transfusion plaquettaire Sonde vésicale dès le 03.12.2018 Famille éduquée pour la PEC d'une sonde à demeure Sonde vésicale en place Sonde vésicale en place Sonde vésicale pour quelques heures. Sonde vésicale. Rispéridone 0,5 mg aux urgences. Quétiapine en réserve, 12,5 mg 3x/jour. Sonde vésicale. Traitement néphrotoxique en suspens (Ibuprofène). Suivi biologique. Sono abdomen (Dr. X) Sonographie Abdomen : signes de transformation cirrhotique avec flux physiologique portal et veineux. Sérologie, Immunologie : anti-HBs, anti-HBc, HBsAg, anti-HCV négatives Exclusion d'hémochromatose Saturation de transferrine 8 % CT CIMF : 15.11.2018 Pas de traitement bêta-bloquant si Fc < 70 Arrêt de la metformine Traitement : OGD 1x/an pour suivi des varices Us Abdominal 2x/an Suivi par Fondation le Torry prévu Jeudi ou Vendredi 13/14.12 Sonographie et avis angiologique : pas de dissection des artères vertébrales, de la veine jugulaire, site de l'hématome sans signe de tension, pas de signe d'un saignement actif dans l'hématome. Souffle abdominal systolique Souffle aortique au niveau de l'épigastrium Souffle cardiaque d'allure fonctionnelle Souffle cardiaque : • Echo cœur : CIV minime • Suivi par Dr. X Souffle cardiaque mitrale systolique 2-3/6 Souffle cardiaque nouveau Souffle cardiaque 2/6 tous les foyers DD physiologique Souffle cardiaque 2/6 tous les foyers DD physiologique Souffle fémoral D le 14.12.2018 Souffle fémoral D le 14.12.2018 Souffle holosystolique éjectionnel le 11.10.2018 • Echocardiographie transthoracique le 11.10.2018 : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Valve aortique normale. Gradient moyen VG-Ao à 6 mmHg. Insuffisance aortique physiologique. Épaississement léger des 2 feuillets mitraux. Absence de rétrécissement mitral. Insuffisance mitrale minime. Fonction diastolique normale. Pressions de remplissage ventriculaire gauche normales. Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique. Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. Aucune preuve d'une végétation intracardiaque mise en évidence sur cet examen. Souffle systolique 1-2/6 maximum au foyer d'Erb non connu des parents Souffle systolique 2-3/6 maximal en parasternal gauche et irradiant dans le dos (connu) DD : communication interventriculaire, sténose pulmonaire Souffle systolique 2/6 Souffle systolique 2/6 Souffle systolique 2/6 au foyer d'Erb d'allure fonctionnelle • présent dans l'enfance d'après mère puis disparition Souffle systolique 2/6 maximal au foyer d'Erb Souffle systolique 2/6 sur le foyer d'Erb Souffle systolique 2/6e maximal au foyer d'Erb Souffle systolique 3/6 Souffle vasculaire au point de ponction fémoral droit Souffrance de l'entourage dans le contexte d'une progression oncologique • dans un contexte de noyau familial fortement lié Souffrance de l'entourage dans le contexte d'une progression oncologique • dans un contexte de noyau familial fortement lié • épuisement des proches Souffrance et trouble de l'adaptation de l'entourage face à une maladie oncologique terminale Souffrance face à une maladie évolutive terminale • contexte de tensions familiales Souffrance psychologique sur incertitude du diagnostic. Souffrance quant à une situation oncologique avancée avec risque de décès important • dans un contexte familial d'une patiente de 48 ans mariée avec deux enfants adolescents • Entretien familial le 14.11.2018 • Retour à domicile avec encadrement par Voltigo et soins à domicile Douleurs nociceptives viscérales sur progression tumorale Souhait de sa femme : encadrement médicalisé quotidien avec placement en home ou en appartement protégés, aide indispensable pour l'alimentation et les soins quotidiens selon la compagne, volonté d'étendre la curatelle à portée générale Souhait du patient : pas d'institutionnalisation en EMS, poursuite de l'encadrement au Torry, organisera lui-même les repas à domicile, refus d'une consultation psychiatrique et nutritionnelle au HFR Souhait de sevrage OH. Soulagement complet de la patiente après manœuvres libératrices avec disparition du nystagmus. Retour au domicile avec explication donnée à la patiente sur le diagnostic. Sous Allopurinol Sous anesthésie : • incision sur 1,5 cm de longueur, prélèvements bactériologiques, méchage avec tulle bédadine, pansement simple • antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g 2x/j du 06.12.2018 au 12.12.2018. Suivi régulier en policlinique d'orthopédie. Sous anesthésie locale par Rapidocaïne 1% • rinçage de la plaie, exploration sans retrouver d'atteinte de structures profondes, adaptation des berges de la plaie et suture au Prolène 4.0. Contrôle de plaie en policlinique d'orthopédie à 48 heures. Sous Ciprofloxacin 09.12-12.12.2018 Sous condition stérile et contrôle scopique, ponction de la première coulisse et infiltration avec Dépo-Médrol Ropivacaïne. Bon effet immédiat. Sous condition stérile et contrôle scopique, ponction de l'espace sous-acromial et infiltration avec Dépo-Médrol Ropivacaïne. Sous condition stérile, infiltration du canal carpien avec Dépo-Médrol Ropivacaïne avec un bon effet antalgique au niveau du poignet et également un sur les irradiations proximales. Sous conditions stériles et contrôle scopique, ponction de la gaine de fléchisseurs tout d'abord dig II à hauteur de la poulie A1 et infiltration avec Dépo-Médrol Ropivacaïne, moitié du Dépo. On procède de même sur dig III avec la 2ème moitié du Dépo. Après infiltration nette amélioration de la symptomatologie douloureuse à la mobilisation. Les amplitudes articulaires en flexion restent diminuées. Poursuite de la physiothérapie et ergothérapie. Prochain contrôle début février comme prévu. Sous conditions stériles et contrôle scopique ponction de l'articulation AC et infiltration avec Dépo-Médrol Ropivacaïne. Moitié du Dépo en Ac et moitié en sous-acromial. Bonne sensation à la perforation de la capsule, bon retour depuis l'articulation. Après l'infiltration le Body Cross devient négatif, la mobilité est bonne avec quelques douleurs résiduelles. L'IRM de l'épaule G du 11.10.18 effectuée en rotation interne maximale, montre éventuellement une lésion du bord antérieur du sus-épineux fibres profondes, et je pense que cette image est plutôt liée à la rotation interne max. Les examens d'IRM seront mis sur le PACS. Physiothérapie. Reprise des activités professionnelles éventuellement au 15.12.18 si l'effet de l'infiltration est bénéfique, sinon la patiente me recontactera. Je prévois de la revoir dans 2 mois. Sous conditions stériles et contrôle scopique, ponction de l'espace sous-acromial et infiltration avec Dépo-Médrol Ropivacaïne. Bon effet immédiat sur la symptomatologie douloureuse. Physiothérapie. Mobilisation par le patient. Prochain contrôle dans 6 à 8 semaines. Sous conditions stériles, ponction de la 4ème coulisse. Infiltration avec Dépo-Médrol Ropivacaïne et à travers la 4ème coulisse, ponction de l'articulation radio-carpienne et infiltration avec la moitié du Dépo-Médrol et Ropivacaïne. L'infiltration a été réalisée couché en raison de malaise vagal connu chez ce patient. Il n'y a pas eu de perte de connaissance. Peu d'effet sur la symptomatologie douloureuse. Il sera revu à distance. sous CPAP Sous Escitalopram, en suspens à cause de Rifampicine Sous Losartan Sous Marcoumar. ATT • diminution des doses selon carnet. • TP lundi Sous MEOPA (bonne efficacité) : Nettoyage au NaCl 0.9%, débridement des phlyctènes percées Pansements avec Ialugen plus, Adaptic. Prochain contrôle à 48h (status vaccinal tétanos à préciser) Arrêt de sport jusqu'au 21.12. Arrêt d'école jusqu'au 07.12. Arrêt de travail pour la mère jusqu'au 07.12 TIP du 08.12.2018, discuté avec CDC de chirurgie (qui prend un avis téléphonique auprès de Dr. X, chirurgien plasticien à Bern : • Poursuite du protocole Ialugen plus et Adaptic • adresser la patiente pour un avis spécialisé en chirurgie pédiatrique +/- plastique au CHUV en urgence différée, dans 24h Sous MEOPA : Désinfection, rinçage à l'aiguille boutonnée 20cc NaCl 0.9%. 3 points simples Prolène 6.0, Steristrip. Ablation des fils à J5-6 aux Urgences Sous MEOPA : Rinçage avec 20cc de NaCl 0.9% à l'aiguille boutonnée. 3 points simples prolène 5.0 Côte de plaie à 48h par les parents Ablation des fils à J5 aux Urgences pédiatriques Sous quétiapine Sous Remicade (dernière injection le 12.12) sous substitution acide folique 2x/sem sous subst. Vit. D bilan biologique Sous thérapie de Métoprolol et Torem Sous Héparine en continu (attention interaction avec Rifampicine), adapter selon anti-Xa Attitude : • Hospitalisation en médecine interne pour surveillance +/- dialyse le 30.12.2018 Sous thérapie d'Euthyrox Sous traitement conservateur, l'évolution est plutôt favorable. Nous proposons de poursuivre le traitement conservateur dans ce sens et prolongeons la physiothérapie. Pour le travail prolongation d'un travail adapté jusqu'à la fin du mois de février. Prochain contrôle dans 3 mois. Sous traitement de Almogran. Adaptation de la posologie à évaluer chez le médecin traitant cette semaine. Sous traitement de Movicol 1 sachet par jour Sous traitement par Ecofenac 75 mg R 2x/j. le patient supporte bien les symptômes de sa coxarthrose gauche. Je lui propose donc de continuer avec ce traitement anti-inflammatoire pour le moment. Il va essayer de combiner ce traitement avec des Dafalgan 1g jusqu'à 4 x 1 cp/j. pour diminuer le dosage de l'Ecofenac. Je le reverrai dans 3 mois pour une réévaluation clinique. Il y a une possibilité de pratiquer une infiltration de l'articulation de la hanche par cortisone. Le patient va réfléchir. Pour le moment, vu son jeune âge, l'indication pour une implantation de prothèse totale de hanche n'est pas donnée. Lors de la prochaine consultation, nous effectuerons à nouveau un bilan radiologique, afin de mesurer la progression de l'arthrose. Pas d'arrêt de travail.Prochain rendez-vous : 20.02.2019. • Sous traitement par Fluctine. • Sous Xarelto PO Passage à une dose par jour • Soutien interdisciplinaire Colloques familiaux les 10.12.2018 et 12.12.2018 • Soutien interdisciplinaire Rencontre avec le psychologue de l'unité • s/p Accouchement par voie basse à terme, naissance d'une fille de 3500 g • s/p Accouchement par voie basse à terme, naissance d'une fille de 3200 g • s/p bypass gastrique le 18.12.2013 à l'hôpital de Daler, Dr. X. • s/p subiléus sur statut adhérentiel post-bypass gastrique réalisé en 2013 et constipation. • s/p adhésiolyse le 10.07.2014 Hôpital Daler. • s/p cure de varices bilatérales en 2011 et il y a 16 ans. • s/p 1 accouchement par voie basse et 3 césariennes. • s/p stérilisation tubaire non datée • s/p PID traitée par antibiotiques en mai 2018 • s/p hystéroscopie opératoire sous anesthésie générale le 29.06.2018 : myomectomie à l'anse diathermique, résection endométriale. • s/p radio-chimiothérapie palliative du 23.08.2018-26.09.2018 + immunothérapie par Erbitux Pose de GPR le 26.07.2018 Pose de PAC le 25.07.2018 CT du 03.12.2018 ; progression locorégionale et métastatique (pulmonaire et rachidienne cervicale) Discussion au concilium oncologique du 5.12.2018 et discussion avec le patient : attitude palliative / soins de confort. Refus de trachéotomie ou de réanimation. Organisation du retour à domicile avec Voltigo et poursuite des soins à domicile comme avant, en accord avec son médecin traitant. • s/p ablation de la luette et amygdalectomie en 2002 • s/p appendicectomie par laparotomie en 1987 • Lombalgies sub-aiguës. • Dyspepsie et aérocolie le 21.08.2015 • Hématome conjonctival de l'œil droit, post-traumatique, le 13.06.2016 • Colique néphrétique droite le 26.09.2015 • Syndrome grippal le 04.09.2017 • s/p Ablation des dents de sagesse dans l'enfance • s/p Accouchement par voie basse en 2012 à 39 2/7 semaines d'aménorrhée à l'HFR, naissance d'un garçon à 3440 g. • s/p Accouchement par voie basse en 2015 au Petit Prince • s/p accident de la voie publique, avec amnésie circonstancielle, contusions multiples au niveau costal et de l'olécrâne droit. • s/p amygdalectomie dans l'enfance • s/p appendicectomie en 2013 • s/p laparoscopie en 2010 pour kyste hémorragique de l'ovaire gauche • s/p accouchement par voie basse en 2016 à 39 SA 2/7, naissance d'un garçon de 2850 g • Accouchement par voie basse spontané après une provocation par Propess pour diabète gestationnel insulino-requérant, chez une patiente de 22 ans, 2 gestes devenue 2 pares à 38 3/7 SA 31.10.2018 • Lymphome de Hodgkin décembre 2018 - suivi HFR - Chimiothérapie (1er cycle 17.12.18) : Bléomycine, Adriblastine, Velbe, Dacin. - Glossite sur chimiothérapie • Multiples conglomérats d'adénopathies latéro-cervicales droites, sus-claviculaires et hilaires Laboratoire : FSS aligné Consilium hématologie : - Répéter un bilan hématologique dans 1 mois avec FSC LDH et CRP ainsi que bilan martial et vitaminique (ferritine, Vit B12, ac. folique) - Répéter le CT scan cervico-thoraco-abdominal dans 3 à 6 mois. - Si progression des lésions, considérer d'effectuer une biopsie ganglionnaire. Glossite sur chimiothérapie (bleomycine, adriblastine, velb, dacine) Anamnèse : forte douleur de la langue, impossibilité à manger. 1ère cure de chimiothérapie le 18.12.2018 Status : léger érythème de la langue avec voile de dépôt blanchâtre sur les 2/3 postérieurs Avis Dr. X : traiter comme une mycose avec mycostatine, boire de l'eau froide et spray à la lidocaine (sangerol) RAD avec si persistance consultation spécialisée chez ORL • s/p Accouchement par ventouse Kiwi pour CTG pathologique en 2015, à 40 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille de 3080 g • s/p hystéro-salpingographie en 2014 pour infertilité primaire • s/p Accouchement par voie basse à terme + 6 en 2014 • s/p Accouchement par voie basse à terme, fille de 3200g (2011) • s/p Salpingectomie par laparotomie pour grossesse extra utérine (2015) • s/p Fausse couche spontanée (2017) • S/P Accouchement par voie basse à terme • S/P Césarienne à terme en 2007 (PE) • S/P 2 interruptions volontaires de grossesses médicamenteuses • s/p Accouchement par voie basse à 38 semaines d'aménorrhée, naissance d'une fille de 3000 g (2015) • s/p Fausse couche tardive à 16 2/7 semaines d'aménorrhée (2016) • s/p Fausse couche spontanée à 5 semaines d'aménorrhée (2017) • s/p Accouchement par voie basse à 38 5/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'une fille de 3690 g (2015) • S/P Accouchement par voie basse à 41 3/7 semaines d'aménorrhée en 2017. • S/P Hospitalisation pour hyperémèse gravidique à 5 SA 4/7 le 29.10.2018 • s/p Accouchement par voie basse à 42 semaines d'aménorrhée après provocation pour terme dépassé, naissance d'une fille de 3340g. (2012) • s/p Accouchement par voie basse après provocation pour métrorragies inexpliquées à 39 3/7 SA, naissance d'un garçon de 3200g. Déchirure II (2012) • s/p Interruption volontaire de grossesse (2004) • s/p Appendicectomie (dans l'enfance) • s/p Amygdalectomie (dans l'enfance) • s/p Accouchement par voie basse en février 2008 • s/p Accouchement par voie basse en février 2016 • Douleurs suspubiennes d'origine indéterminée chez une patiente suivie depuis 1 année pour des douleurs pelviennes (suspicion d'endométriose vs syndrome de congestion pelvienne) • Rupture de kyste folliculaire de l'ovaire droit chez une patiente 2G2P de 29 ans. • S/P Accouchement par voie basse en 1985 et 1991 • S/P Cure de hernie discale L4-L5 D (OP le 24.08.2011) • S/P Hépatite aiguë le 09.08.2017 • S/P Tachycardie supraventriculaire rapide le 10.08.2017 sur troubles électrolytiques avec cardioversion par adénosine • S/P Péritonite bactérienne spontanée et bactériémie à Salmonella le 10.08.2017 traitée par antibio et drainage de l'ascite • S/P Colonoscopie en 2017 pour hématochézies • S/P OGD en 2017 • S/P Accouchement par voie basse en 2009 à terme. Naissance d'un garçon • S/P Accouchement par voie basse en 2009 • S/P fausse couche spontanée en avril 2018 • s/p Accouchement par voie basse en 2011, 37 semaines d'aménorrhée, 2800g. • s/p Fausse-couche tardive, accouchement par voie basse à 24 semaines d'aménorrhée en 2014 • s/p Fausse-couche spontanée à 9 semaines d'aménorrhée, aspiration-curetage en 2016. • s/p Fausse-couche tardive, accouchement par voie basse à 23 semaines d'aménorrhée en 2017 (cerclage vaginal à 22 semaines d'aménorrhée) • s/p Fausse-couche tardive à 13 semaines d'aménorrhée, curetage évacuateur en décembre 2017. • S/P Accouchement par voie basse en 2013 à 39 6/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'un enfant de 3020 g • S/P Accouchement par voie basse en 2018 à 39 semaines d'aménorrhée. Naissance d'un garçon de 3170 g • S/P Accouchement par voie basse en 2014 à 39 4/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'un garçon de 3300 g • 2 Fausses couches spontanées en 2016 et 2017 • S/P Accouchement par voie basse en 2015 à 36 semaines d'aménorrhée. Naissance d'un garçon de 3250 g. • S/P Fausse-couche tardive d'une grossesse gémellaire bi-choriale-bi-amniotique à 19 1/7 semaines d'aménorrhée pour J1 le 04.11.2017 et à 22 1/7 semaines d'aménorrhée, post-cerclage, pour J2 le 25.11.2017 Gynécologiques opératoires: • S/P Grossesse môlaire avec curetage en février 2017 Chirurgicaux non-gynécologiques: • S/P Appendicectomie par laparoscopie en décembre 2016 • s/p Accouchement par voie basse en 2017 • s/p Fausse couche spontanée en 2015 • s/p Accouchement par voie basse instrumenté par ventouse à 35 semaines d'aménorrhée, naissance d'un fils de 2850g (2012) • s/p Deux fausses couches • s/p Conisation + laser pour condylome (2000) • s/p Accouchement par voie basse instrumenté par ventouse à 41 semaines d'aménorrhée, naissance d'un enfant de 3000g. Déchirure IV. (2013) • s/p Accouchement par voie basse à 40 2/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'un garçon de 3450 g. (2016) • s/p Accouchement par voie basse instrumenté par ventouse pour NPP à 35 6/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'un garçon de 2510g (2014) • s/p infertilité secondaire • s/p Hystéroscopie diagnostique et laparoscopie opératoire avec EBM (perméable des deux côtés) et biopsie péritonéale (replis vésico-utérin) (2017) • s/p Accouchement par voie basse, naissance d'une fille de 3600g. Déchirure I. (2017) • s/p IVG par curetage d'une grossesse gémellaire. (2016) • s/p Accouchement par voie basse, naissance d'une fille de 3015 g. EMLD. (2011) • s/p Accouchement par voie basse spontané à 33 5/7 SA après provocation pour RPM, naissance d'une fille de 1950g (2016) • s/p Accouchement par voie basse spontané à 41 semaines d'aménorrhée. EMLD. Naissance d'une fille de 3580g. (2014) • S/P Acromioplastie en 2013 • S/P Accouchements par voie basse en 2015 à 39 3/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille. • Accouchement par voie basse spontanée après une provocation par Propess pour rupture prolongée des membranes, chez une patiente de 36 ans 2G devenue 2P à 35 4/7 semaines d'aménorrhée le 21.01.2018 • S/P Acromioplastie en 2013 • S/P Accouchements par voie basse en 2015 à 39 3/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille. • Accouchement par voie basse spontanée après une provocation par Propess pour rupture prolongée des membranes, chez une patiente de 36 ans 2G devenue 2P à 35 4/7 semaines d'aménorrhée le 21.01.2018 • SP adéno-tonsillectomie 2012 • 11.12.18: migraine • angine à répétition • Abcès intra-amygdalien droit sur petit reste amygdalien post-tonsillectomie à droite été 2017 • s/p AIT en 2008 • s/p plusieurs Pneumonies • Bronchite aiguë 9.06.2013 • tt symptomatique • Opacité pulmonaire médio-apicale G • Rx du thorax du 09.06 • Contrôle radiologique à prévoir à 3 mois (Rx/CTscan) • s/p amygdalectomie • S/P Amygdalectomie dans l'enfance • S/P Accouchement par voie basse en 2010 • S/P Accouchement par voie basse en 2012 • S/P Curetage interrupteur à 10 semaines d'aménorrhée en 2017 • S/P Amygdalectomie dans l'enfance • S/P TVP en 2000 sur long voyage en avion • S/P Vaginoplastie postérieure en 2001 • S/P Annexectomie droite sur kyste ovarien par laparoscopie en 2008 • S/P Cure d'hémorroïde • S/P Opération du dos? • S/P Tumorectomie du sein (bénin) • s/p Amygdalectomie et végétation en 2017 • s/p ablation d'un ggl cervical gauche en 2018 (biopsie sp) • s/p amygdalectomie (1994) • s/p Amygdalectomie (2017) • s/p Appendicectomie (2007) • s/p Accouchement par voie basse après provocation pour suspicion de PE, naissance d'un garçon de 3150 g. (2014) • s/p Amygdalectomie • s/p Césarienne pour pré-éclampsie à 30 semaines d'aménorrhée, garçon de 1095g (2015) • s/p Amygdalectomie • s/p OS fracture avant-pied • Tendinite inflammatoire des extenseurs le 20.12.2012 • Entorse avant-pied D en regard de l'articulation du Lisfranc • s/p angine à streptocoque compliquée par abcès péri-amygdalien gauche • s/p Annuloplastie de Carpentier pour insuffisance mitrale massive sur rupture de cordage du feuillet postérieur (12.1993) • Phimosis important sur inflammation préputiale • s/p cholecystectomie à l'âge de 30 ans (anamnestique) • s/p cure d'hernie inguinale gauche (anamnestique) • s/p APP en 2000 • s/p AVB par ventouse pour non-progression de la présentation en 2014 • s/p AVP en 2007 avec 4 fractures au niveau du bassin + coccyx • s/p appendicectomie à 22 ans • Crise de goutte en 2008 • s/p opération hernie inguinales ddc en 2009 • Opération X des yeux en 2009 • Ulcère duodénal H.pylori positif avec hémorragie digestive haute en 2013 • s/P syndrome psychotique paranéoplasique le 30.05.2018 DD syndrome de sevrage alcoolique dans un contexte d'hypovitaminose D • s/P pharyngite mycotique dans contexte antibiothérapie le 10.07.2017 DD RGO • S/p appendicectomie à 9 ans • S/p appendicectomie au Mc Burney dans l'enfance • S/p mise à plat d'un abcès du sein gauche en 2012, Mr. Y • S/p appendicectomie dans la jeunesse. • S.p diverticulite du sigmoïde Hansen Stock 2A le 7.10.2018 • traitement conservateur par antibiothérapie. • Rocéphine + Flagyl intraveineux du 07.10.2018 au 10.10.2018 • Ciproxine + Flagyl per os du 11.10.2018 au 17.10.2018. • S/P appendicectomie dans l'enfance • S/P Bypass gastrique proximal avec cholecystectomie par laparoscopie le 21.11.16 (Dr. X) • S/P volvulus intermittent du grêle sur hernie interne mésentérique (pied de l'anse) avec laparoscopie exploratrice, révision grêle, fermeture des fenêtres (Petersen et pied de l'anse) en urgence le 10.11.2017 • S/P interruption volontaire de grossesse médicamenteuse • S/P accouchement par voie basse avec révision utérine le 29.11.2018 au Daler • S/p appendicectomie dans l'enfance • S/p cure de hernie inguinale gauche en 1995 • S/p AVP en 1991 avec TC, fracture coude D et jambe G et anosmie • S/P appendicectomie en 1950 • S/P 4 accouchements par voie basse • S/P cure de hernie inguinale et stérilisation tubaire en 1976 • S/P fissure de la rotule gauche avec ostéosynthèse en 1976 et ablation de matériel d'ostéosynthèse en 1977 • S/P hystéroscopie et curetage explorateur en 2009 sur méno métrorragie post-ménopausique • S/P hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale et curage ganglionnaire iliaque externe bilatérale, par tomie médiane en 2009 pour adénocarcinome endométrioïde peu différencié G3 pT1b, FIGO 1B, N0, Mx • S/P lésion iatrogène urétérale droite diagnostiquée 48h00 après hystérectomie • S/P pose d'une néphrostomie en 2009 • S/P curiethérapie adjuvante • S/P appendicectomie en 1969 • S/P AVC capsule interne droite le 01.09.2012. • S/P fibroscopie oeso-gastro-duodénale en 2013: gastrite érosive avec ulcère (Dr. X) • S/P coloscopie en 2013: colite (Dr. X) • S/P pyélonéphrite à E. coli avec insuffisance pré-rénale en 2013 • S/P appendicectomie par laparotomie en 1997 • S/P appendicectomie par tomie • S/P cure de hernie inguinale gauche en 1980 • S/P accouchement par voie basse en 1981 • S/P 2 interruptions volontaires de grossesse par curetage • S/P 2 vaporisations laser du col • S.p appendicectomie. • S.p cure d'hernie inguinale gauche. • S.p septoplastie nasale. • S/p appendicectomie • S/p amygdalectomie • S/p hystérectomie en 1980 • S/p suspension de la vessie par voie vaginale en 1993 • S/p chute d'origine indéterminée en 05/16 IRM crâne du 09/2016: atrophie cortico-subcorticale d'origine probablement microvasculaire, pas d'ischémie, pas de tumeur, pas d'hémorragie, sclérose de l'artère carotide à gauche, sténose pas significative Stéatose hépatique avec hépatomégalie discrète Pancréas lipomateux Douleurs lombaires chroniques avec irradiation dans la jambe gauche Ostéoporose Fibromyalgie Dépression Diverticulite du sigmoïde en 09/2013 Reflux gastrique sur hernie hiatale Contusion genou droite avec arthrite microcristalline en 07/18 • S/p appendicectomie • S/p torsion testiculaire opérée Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 25.07.15 • S/p APP • S/p amygdalectomie dans l'enfance • S/p césarienne à 41 semaines d'aménorrhée pour échec de provocation, naissance d'un garçon de 4460 g (2009) • S/p césarienne élective itérative (2013) • S/p césarienne élective bi-itérative (2014) • S/p APP • S/p hystérectomie, annexectomie, washing péritonéal le 19.08.2015 pour métrorragies post-ménopausiques avec découverte d'une volumineuse masse à départ vaginal • S/p arthroscopie genou G Vertiges le 05.01.2015 - IRM cérébrale: pas d'AVC (notamment du cervelet) Douleur musculaire muscle jumeau externe gauche le 24.08.2016 • S/p astrocytome anaplasique pariétal droit en 1988 • radiothérapie adjuvante Cavernomes multiples évolutifs probablement radio-induits, avec notamment un cavernome thalamique G ayant saigné en 2001, 2004 et 2013 Hernie hiatale • S/p AVB • S/p AVB à 39 6/7 SA, naissance d'une fille de 2860 g (2015) • S/p traitement conservateur pour fractures clavicule droite (1999) • S/p fracture du coude droit (1997) • S/P AVB en juillet 2018 • S/P AVB en 1987, 1988, 1991 (3 filles) et 1993, 1995 (2 garçons) • S/p AVB en 2000 • S/P AVB en 2012 et 2013 • S/P AVB en 2014 à 35 SA 4/7. Naissance d'un garçon de 2060 g. • S/P révision utérine en 2014 pour rétention placentaire non hémorragique • S/P colposcopie en 2017 pour PAP test ASCUS avec HPV négatif • S/p AVB en 2016 • S/P AVB en 2009 • S/P césarienne en 2006 • S/P 2 IVG par curetage en 2010 et 2015 Grossesse non désirée à 11 2/7 SA chez une patiente de 36 ans, 5G2P Curetage interrupteur sous AG le 29.06.2018 Groupe sanguin : O Rhésus positif PAP du 27.06.2018: absence de cellules suspectes Chlamydia du 27.06.2018: négatifs Sérologies IST (HIV, HBV, HCV) du 29.06.2018: négatives • S/P AVB en 2018 • S/P GEU gauche traitée par salpingectomie (selon la patiente), Daler, 2017 • S/p AVC non daté • S/p AVC en 12/2016 • sous Aspirine Cardio • S/p infection urinaire le 19.10.2018 (traitée par Ciproxine) • S/p hyponatrémie: Na 132 mmol/l (le 05.10.2018) • S/p globe urinaire récidivant le 03.10.2018 et le 05.10.2018 • S/p prothèse inversée totale de l'épaule droite sur omarthrose après 4 fractures en 2008 • S/p fracture proximale de l'humérus gauche traitée par ostéosynthèse en 2008 • S/p fracture du radius distal droit en 2012 • S/p fracture intraarticulaire du radius distal et fracture de l'ulna distale traitées par ostéosynthèse en 04/2018 • S/p fracture du col fémoral gauche Garden IV avec prothèse totale de la hanche en 02/2018 • S/p fracture pertrochantérienne droite avec clou gamma en 2017 • S/p AVP avec multiples interventions de la neuro-rachis • S/p AVP en 2012 avec ostéosynthèse L2-3-4 • S/p AVP (2012) • S/p césarienne pour CTG pathologique à terme, naissance d'une fille de 3200 g. (2010) • S/p césarienne pour NPP à terme, naissance d'une fille de 2990 g. (2001) • S/p AVP (2012) • S/p césarienne pour CTG pathologique à terme, naissance d'une fille de 3200 g. (2010) • S/p césarienne pour NPP à terme, naissance d'une fille de 2990 g. (2001) • S/p AVP (2012) • S/p césarienne pour CTG pathologique à terme, naissance d'une fille de 3200 g. (2010) • S/p césarienne pour NPP à terme, naissance d'une fille de 2990 g. (2001) • S/p césarienne pour utérus bi-cicatriciel, naissance d'un garçon de 3350 g (2018) • S/p balanoposthite il y a 2 ans • suspicion de roséole en 2013 • céphalées frontales probablement sur EF en 2013 • S/p bartholinite incisée 3x (dans l'adolescence) • S/p arthroscopie ménisque gauche sous péridurale (2002) • S/p basaliome nasal en 2008 • S/p blood patch par anesthésiste. • sous Arcoxia Anesthésiste au courant du patient, il sera pris en salle de réanimation pour un nouveau blood patch le 22.12.2018 : selon l'anesthésiste : patient algique avec dysesthésie dans les membres inférieurs au moment de l'anesthésie locale puis arrêt du geste de ponction lombaire en raison de dysesthésie persistante. Dans ce contexte: arrêt du geste. > CT lombaire permettant d'écarter un hématome/abcès. > laboratoire : sans particularité. > proposition de surveillance en chambre d'observation. Réévaluer nouveau geste avec anesthésiste pour blood patch • Patient ne souhaite pas de nouveau geste de ponction lombaire. Retour à domicile avec traitement antalgique. • S/p bronchiolite à respectivement 2 et 10 mois • S/p bronchite asthmatique. • S/p diabète inaugural. • S/p luxation ongle avec déchirure du lit de l'ongle et fracture du processus unguéal et de P2 gros orteil pied G en 09/13. • S/p diabète de type I mal réglé sur DD, mauvaise compliance, mauvaise compréhension.S/p Gastrite dans le contexte d'un diabète de type I. S/p bronchites spastiques avec début de pneumonie en 2011. S/p broncho-pneumonie basale droite à germe indéterminé en septembre 2018 Canal lombaire étroit : • S/p intervention le 29.08.2018 (Clinique Générale Fribourg) Sp, BSH Sp. Bypass gastrique en 2011. Sp. césarienne en 2005. Découverte d'une lésion urétérale iatrogène à J7 post-hystérectomie totale conservatrice des annexes. Hydronéphrose droite. Vaginose bactérienne. Antécédent de kyste ovarien suivi urologique. Kyste lutéal hémorragique droit 4.5 cm x 4.5 cm sans signe de complication Entorse LLE stade II à droite le 11.05.2018 Examen clinique Radiographie jambe face/profil : pas de fracture visualisée. Air cast et mise en charge Contrôle à une semaine chez le médecin traitant S/p carcinome du col de l'utérus stade FIGO IV traité par chimio-/radiothérapie et CURITTT en 1994 S/p hématurie sur urétrite érosive en 1998 S/p PTG G en 2014 S/p PTH G en 2013 et PTH D en 2015 S/p hernie discale foraminale L4-5 G en 1996 S/p appendicectomie S/p amygdalectomie S/p carcinome embryonnaire rétropéritonéal avec hydronéphrose traité par chirurgie et chimiothérapie avec polyneuropathie résiduelle S/p AVP en 2010 avec fracture C5-C6 traité par spondylodèse, discectomie et décompression C5-C6 S/p carcinome mammaire du sein droit : tumorectomie en octobre 2017 S/p thyroïdectomie totale et curage ganglionnaire central pour un carcinome papillaire de la thyroïde en 2018 S/p kystectomie ovarienne gauche en 2013 Sp CCK Sp diverticulite en 2012 Status post hystérectomie Palpitation d'origine X S/p CCK S/p infection des voies aériennes supérieures nécessitant des ATB début 2016 S/p cervicotomie sur fracture de C3 en 2019. S/p opération des 2 seins à l'âge de 26 ans pour des kystes S/p drainage d'un abcès du sein gauche il y a 30 ans. S/p accouchement par voie basse en 1980. S/p 5 fausses couches spontanées. S/p 4 cures de chimiothérapie néo-adjuvante par Adriblastin et Endoxan S/p chimiothérapie néo-adjuvante par Taxol et Herceptin de septembre 2018 à novembre 2018 S/p césarienne en mars 2018 S/p ostéosynthèse pour fracture du tibia et péroné gauche traumatique en 2006 (anamnestique) S/p ostéosynthèse de la cheville droite et tibia et péroné droite traumatique en 2007 (anamnestique) S/p césarienne en urgence pour mise en travail spontanée sur présentation podalique à 37 6/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'un fils de 3270 g (28.02.2018) S/p césarienne pour CTG suspect à terme, naissance d'un garçon de 2800 g en 2017 S/p césarienne pour NPD, en 2014 en Inde à 39 5/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'un garçon de 3200 g S/p césarienne pour siège en 2012 S/p chirurgie des varices MID S/p cholécystectomie S/p cholécystectomie et appendicectomie. Carcinome invasif NST du sein G en 2015 S/p cholécystectomie par laparoscopie en 2006. S/p accouchement par voie basse, 2006, 2300 g, MAP dès 21 semaines d'aménorrhée avec hospitalisation jusqu'à 32 semaines d'aménorrhée. S/p accouchement par voie basse, 2015, 2970 g, MAP avec hospitalisation à 26 et 30 semaines d'aménorrhée. S/p fausse couche précoce sans curetage en 2011. Accouchement par voie basse spontané à 35 5/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente de 34 ans, 4 gestes devenue 3 pares le 03.08.2017. Déchirure vaginale et périnéale de degré 1 Aux urgences, elle reçoit du Dafalgan 1 g S/p cholécystectomie en 1994 S/p cure d'éventration en 1995 S/p cholécystectomie en 1994 S/p cure d'éventration en 1995 Sp cholécystectomie par laparoscopie en 2003 Sp opération genou droit en 1978 et 2004 Sp boursite du coude gauche post-traumatique en 2001 Entorse du LLI du genou gauche avec suspicion de lésion du ménisque interne le 11.05.2016 S/p cholécystite aiguë le 31.01.2016 S/p cholécystectomie laparoscopique le 27.04.2016 S/p curetage interrupteur en 2014 S/p chute de sa hauteur avec contusions thoracique et cervicale le 15.01.2017 Gastro-entérite à Rotavirus positif le 18.01.2017 avec • hématochésie anamnestique • laboratoire (Hemofeca Test : négatif, culture selles : Rotavirus positif, Adenovirus négatif) Insuffisance rénale aiguë AKIN I le 19.01.2017 DD. prérénale • FENA 0.2 % • ClCr Cockcroft 23 ml/min (19.01.2017) Hypovitaminose D • 12 nmol/l (25.01.2017) • substitution orale Pneumonie basale gauche le 30.01.2017 avec : • exacerbation BPCO • Rx thorax • laboratoire : Ag urinaire Legionnelle, Pneumoccoque négatif • Cefuroxim 500 mg 2x/j du 30.01. au 06.02.2017 • Prednison 20 mg/j du 25 au 29.01.2017 • Prednison 50 mg/j dès le 03.02, schéma dégressif dès le 10.02.2017 • Ventolin, Atrovent, Spiriva • physiothérapie respiratoire S/p PTG bilatérale • changement de prothèse partielle du genou gauche en prothèse totale gauche le 12.10.2018 avec assistance par le robot MAKO (Dr. X) • réhabilitation musculo-squelettique à Meyriez • marche en charge selon douleurs avec flexion-extension selon douleur du genou gauche • ablation des agrafes à J15 post-op (27.10.2018) • prophylaxie thrombotique pendant 4 semaines post-op (09.11.2018) S/p opération de cataracte Anémie normochrome normocytaire d'origine postopératoire Dysphagie modérée à légère aux liquides • clinique depuis des mois-années • montée laryngée diminuée et discoordination respiration-déglutition • vidéofluoroscopie du 29.10.2018 : lors d'un deuxième essai de déglutition aux liquides, mise en évidence d'un épisode de fausse route avec effort de toux satisfaisant. Épaississement refusé par la patiente, consultation ORL recommandée Thrombophlébite de la V. saphena parva DD compartment débutant • circonférence le 18.10.2018 : 41.7 cm • ultrason Doppler du membre inférieur gauche le 18.10.2018 : courte thrombophlébite dans le creux poplité de la petite veine saphène jusqu'à son abouchement dans la veine poplitée • ECG le 18.10.2018 : SR, FC 65/min, axe gauche, pas SI/QIII, pas de P pulmonale, pas de bloc de branches Clexane 80 mg 1-0-1 du 18.10.2018 au 08.11.2018 Xarelto 15 mg du 09.11.2018 au 18.01.2018 Dyspnée au repos le 19.10.2018 DD pneumonie DD asthme/BPCO DD trouble anxieux • radiologie thorax le 19.10.2018 : pas de décompensation cardiaque • labo le 19.10.2018 : CRP en diminution (27 mg/l), pas de leucocytes (5.7 G/L), pas de fièvre, SpO2 normale Radiologie thorax le 19.10.2018 Labo le 19.10.2018 Ventolin, Atrovent, puis Symbicort Consultation pneumologue conseillée S/p chute mécanique avec léger traumatisme crânien le 27.08.2018 et le 13.11.2018 • pas de perte de connaissance ni d'amnésie circonstancielle S/p perturbation des tests hépatiques d'origine probablement mixte le 05.07.2018 DD foie de stase, médicamenteux (Co-Amoxi) • US abdominal supérieur le 06.07.2018 : pas de cholécystite, pas d'obstruction des voies biliaires • pas de bilan supplémentaire vu l'âge du patient S/p appendicectomie dans l'enfance S/p colique néphrétique à gauche. S/p colique néphrétique à droite. S/p conisation en macédoine S/p hématomètre drainé par ponction trans myométriale par laparoscopie en 2017 S/p échec de reperméabilisation tubaire sous anesthésie générale en 2017 S/p conisation en 2015 S/p lithiase urinaire en 2016 S/p marsupialisation en 2017 S/p ablation des kystes de Bartholin au Daler en 2017 S/p accouchement par voie basse en décembre 2018, à 41/27 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille de 3790 g. Atonie utérine résolutive par massage utérin. (pertes estimées 700 ml) S/p convulsion fébrile simple (3x, la première à l'âge d'1 an) S/p TC à 15h30, sans PC, avec trouble de l'état de conscience (DD : convulsion) par la suite qui a duré 3 min. S/p convulsion fébrile simple (3x, la première à l'âge d'1 an) S/p TC à 15h30, sans PC, avec trouble de l'état de conscience (DD : convulsion) par la suite qui a duré 3 min.s/p Convulsions fébriles (5 épisodes), EEG fait sans particularités s/p Bronchites spastiques (3 épisodes) s/p correction chirurgicale de scoliose à l'âge de 14 ans AVB spontané rapide, 2G 2P s/p correction d'une hernie inguinale en 10/2018 s/p spondylodèse lombaire L3-L5 pour hernie discale Colique néphrétique avec calcul de 4 mm à la jonction urétéro-vésicale droite avec dilatation pyélocalicielle de 20 mm Douleurs thoraciques D atypiques le 23.06.2014 Exophtalmie gauche sur processus infiltratifs (probables métastases) de la musculature orbitaire le 01.10.2017 • aspect de myosite avec infiltration des muscles rétro-orbitaires bilatérale et exophtalmie • évolution favorable de l'exophtalmie sous stéroïdes (DD orbitopathie dysthyroïdienne) Hyperglycémie cortico-induite Douleurs de l'épaule droite d'origine indéterminée le 31.03.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale sur déshydratation, diarrhées chroniques et vomissements le 14.11.2018 avec: Troubles électrolytiques multiples: • hypomagnésémie à 0.71 mmol/l le 14.11.2018 • hypocalcémie avec Ca corrigé à mmol/l s/p correction d'une hernie inguinale en 10/2018 s/p spondylodèse lombaire L3-L5 pour hernie discale Colique néphrétique avec calcul de 4 mm à la jonction urétéro-vésicale droite avec dilatation pyélocalicielle de 20 mm Douleurs thoraciques D atypiques le 23.06.2014 Exophtalmie gauche sur processus infiltratifs (probables métastases) de la musculature orbitaire le 01.10.2017 • aspect de myosite avec infiltration des muscles rétro-orbitaires bilatérale et exophtalmie • évolution favorable de l'exophtalmie sous stéroïdes (DD orbitopathie dysthyroïdienne) Hyperglycémie cortico-induite Douleurs de l'épaule droite d'origine indéterminée le 31.03.2018 Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale sur déshydratation, diarrhées chroniques et vomissements le 14.11.2018 avec: Troubles électrolytiques multiples: • hypomagnésémie à 0.71 mmol/l le 14.11.2018 • hypocalcémie avec Ca corrigé à mmol/l s/p correction d'une polydactylie bilatérale des pieds s/p crise de goutte 04/2016 s/p crise de goutte 04/2016 PTG gauche s/p cure d'hernie inguinale DDC s/p spondylodèse dans le contexte d'un canal lombaire étroit s/p crise hypertensive en avril 2013. Probable prostatite en août 2018 s/p cryptorchidie gauche s/p bronchite spastique en mars 2018 s/p cure de hernie discale lombaire s/p cure de hernie inguinale gauche avec récidive s.p. cure de transposition des gros vaisseaux au CHUV à 8 j de vie Dermatite atopique s/p cure de tunnel carpien gauche le 31.03.2011 Genou droit : opération du ligament croisé + méniscectomie à 40 ans Genou gauche : ostéotomie de valgisation s/p cure de varices bilatérales (2005) s/p cure de hernie inguinale D en décembre 2018 et G en 1972 s/p fracture tête humérale D en 2008 s/p fracture radius distal D avec traitement conservateur Status après ulcère gastrique s/p dilatation d'une sténose oesophagienne post-radique en octobre 2018 par Dr. X s/p cure d'hernie inguinale droite 1986 et gauche 1964 s/p hépatite dans l'adolescence (anamnestique uniquement) s/p tuberculose dans l'adolescence • Quantiféron positif 10/2009 Douleurs abdominales hautes d'origine indéterminée, poly-investiguées 18.09.2015 Infections urinaires à répétition • 09/2014 • s/p pyélonéphrite 10/2009 • pyélonéphrite à droite le 21.02.2017 (E-coli pansensitive) • Infection urinaire simple le 02.07.2018 Décompensation cardiaque globale avec cardiopathie hypertensive et valvulaire 06.09.2014 Décompensation cardiaque gauche lourde le 03.11.2016 Décompensation cardiaque le 19.12.2017 Décompensation cardiaque en été 2018 Dissection de l'artère fémorale droite après angiographie coronarienne le 12.11.15 Révision herniaire inguinale droite 1986, à gauche 1964 Urticaire, en partie maculaire, d'étiologie inconnue le 02.03.2017 Anémie hypochrome microcytaire avec: • Carence en fer avec ferritine: 25 mcg / l le 07.2017 Dyspnée transitoire d'origine indéterminée le 16.10.2018 • DD : crise d'angoisse s/p cure d'hernie inguinale en 2006 s/p opération d'un lipome de la main en 2006 Zona thoracique mai 2014 s/p cure d'hernie inguinale gauche s/p cure d'hi en 2008 et 2010, avec explantation du filet en novembre 2010 s/p polypectomie colique en 2000, 2010 s/p cure dysplasie congénitale de hanche Plaie superficielle du menton, traitement par suture 5-0, 1 point simple. Ablation à J+5. s/p cure hernie inguinale gauche en 1992 réfection filet inguinal gauche en avril 2009 s/p pyloroplastie et vagotomie tronculaire pour perforation d'un ulcère pylorique en 1997 s/p curetage interrupteur à 11 1/7 semaines d'aménorrhée en 2017 s/p curetage interrupteur (2008) s/p D4 au niveau de son plateau supérieur. s/p déchirure en anse de seau du ménisque externe Suspicion d'insertionniste du tendon du m. long péronier latéral s/p décompensation acidocétosique d'un diabète inaugural Type 1 le 19.08.2016 s/p corps étranger fosse nasale droite 24.08.2016 s/p décompensation cardiaque droite avec foie de stase le 07.05.2018 • dans le cadre de pneumonie et fibrillation auriculaire inaugurale • Echocardiographie le 07.05.2018 : bonne fonction ventriculaire s/p deux accouchements par voie basse en 2009 et 2011. s/p reconstruction vaginale en 2012. s/p maladie de Hodgkin de type sclérose nodulaire en stade IIA en 2012 : traitée par chimiothérapie. s/p greffe de tissu ovarien en 2017 s/p dilatation des reins à la naissance, autorésolu. s/p plaie occipitale s/p varicelle s/p double pontage aorto-coronarien pour maladie tritronculaire en 2004 au CHUV s/p douleurs au niveau de la hanche gauche en septembre 2011 DD : hernie inguinale, claquage musculaire traitées par AINS Fracture processus épineux de C5 sans atteinte articulaire le 12.10.2011 s/p douleurs au niveau de la hanche gauche en septembre 2011 DD : hernie inguinale, claquage musculaire traitées par AINS Fracture processus épineux de C5 sans atteinte articulaire le 12.10.2011 Entorse de la cheville droite, stade II, le 05.12.2018 s/p douleurs côtes D9-10 droites d'origine musculo-squelettiques 15.12.2015 Entorse cheville gauche stade II le 08.10.2017 s/p drainage chirurgical d'un abcès péri-amygdalien gauche, amygdalectomie bilatérale à chaud le 03.01.2011 Suspicion de radiculopathie C6 bilatérale, non déficitaire chez un travailleur de force le 03.01.2015. s/p embolie post-opératoire en janvier 2008 s/p annexectomie bilatérale avec lymphadénectomie pelvienne, omentectomie, appendicectomie et washing péritonéal par laparotomie médiane pour carcinome ovarien bilatéral de type séreux, G2-3 en stade initial FIGO 3C en décembre 2007 avec 6 cures de chimiothérapie adjuvante par Paraplatine et Taxol de février à mai 2008 (rémission complète) s/p cholécystectomie par laparoscopie en 1995 s/p hystérectomie vaginale pour hyperménorrhée en 1979 s/p néphrosclérose droite s/p accouchement par voie basse en 1973 et 1975 s/p embolie pulmonaire en 1980 et 1984 s/p embolie pulmonaire segmentaire le 27.11.2018 • sous Xarelto (en suspens depuis le 05.12.2018) s/p embolie pulmonaire sous pilule oestroprogestative 6 mois après césarienne s/p embolie pulmonaire sur contraception oestroprogestative et immobilisation prolongée en 2012 s/p épisode fébrile d'origine inconnue le 04.08.2018 Hypokaliémie à 2.8 mmol/L le 30.07.2018 s/p fracture poignet droit s/p opération des tendons du poignet droit s/p fracture radius distal G AO-23 C1 avec osthéosynthèse le 28.11.2010 AVC territoire jonctionnel ACM-ACP fronto pariétal gauche 2009 S/p érysipèle du membre inférieur droit (2015) S/p PTH droite (2005) S/p PTG gauche (2017) Arthrite septique à E. Coli pan sensible dans le cadre d'une PTG • Status post révision du genou G avec lavage abondant, changement complet de PTG G cimentée avec du ciment imprégné à la Garamycine. Allogreffe du tibia et du fémur le 22.05.2018 • Status post ponction du genou G le 17.05.2018: E-coli sur tous les prélèvements (3/3) • Status post PTG G en octobre 2017 S/p état confusionnel aigu hyperactif le 11.11.2018 dans le contexte d'événement cérébrovasculaire aigu S/p Embolies pulmonaires bilatérales S/p cholécystectomie laparoscopique S/p implantation prothèse totale hanche des deux côtés. S/p fracture cheville droite 2004 S/p hystérectomie en 1989 AVC ischémique aigu cortical temporal droit. S/p état confusionnel aigu le 05.12.2018 S/p appendicectomie S/p état subcomateux transitoire sur surdosage en benzodiazépines en 2016 S/p chute avec TC simple sans PC en 2016 S/p cure de cataracte bilatérale en 2015 S/p excision tumeur d'origine indéterminée bras gauche en 2010 (DD. Schwannome) Fracture non déplacée du radius distal gauche le 27.11.2015 S/p extraction de fragments d'obus au niveau du crâne et œil gauche avec perte graduelle de la vue et perte de mémoire (2006) S/p accouchement par voie basse instrumenté par forceps à 36 SA compliqué par une HPP, naissance d'une fille <2000g (2012) S/p accouchement par voie basse instrumenté par forceps à 36 SA, naissance d'un garçon <2000g (2013) S/p césarienne pour CTG pathologique sous anesthésie générale à 40 SA, naissance d'un garçon de 2900g (2017) S/p extraction dents de sagesse. S/p excision tumeur bénigne du testicule. S/p opération fissure anale. Epistaxis avec hématome disséquant le 05.06.15, dans un contexte de • S/p rhinoseptoplastie le 24.02.2012 (Dr. X) • Révision de rhinoseptoplastie le 29.05.2015 (Dr. X) S/p fasciite plantaire (Sept 2017) S/p hémythyroïdectomie (2005) S/p appendicectomie compliquée par péritonite (1970s) S/p fracture cheville opérée des 2 côtés (sans précision). Anémie hypochrome microcytaire sous investigation • Gastroscopie le 07.06.2018: serait normal S/p fausse couche avec curetage pour œuf clair en 2018 S/p accouchement par voie basse à 36 semaines d'aménorrhée, naissance d'une fille de 2180g en 2015 S/p fausse couche précoce (2017) S/p fausse couche spontanée à 6 semaines d'aménorrhée S/p fausse couche spontanée en 1997 S/p interruption volontaire de grossesse curetée en 2014 S/p accouchement par voie basse à 40 semaines d'aménorrhée, garçon de 2710g, périnée intact en 2015 S/p fausse couche spontanée en 2012. S/p accouchement par voie basse, 2016, forceps, EMLD, Péri, HFR Fribourg, 3790g, échec de ventouse Kiwi pour défaut d'expulsion + CTG pathologique / déchirure vaginale / provocation par Misoprostol pour TD Accouchement par voie basse spontané le 18.11.2017 chez une patiente 2G devenue 2P à 40 3/7 semaines d'aménorrhée le 18.11.2017. S/p fausse couche spontanée, à 10 semaines d'aménorrhée en 2003 S/p fausse couche tardive à 18 semaines d'aménorrhée suite à une infection traitée par curetage, en 2014 S/p fausse couche tardive d'une grossesse gémellaire à 24 SA malgré cerclage abdominal et vaginal, curetage hémorragique en 2016 S/p fausse couche spontanée à 16 ans S/p amygdalectomie à 19 ans. S/p dépression 2013-2014 S/p opération de l'épaule en 2017 S/p accouchement par voie basse en 2014 à 40 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille de 2800g. Accouchement par voie basse spontané, après mise en travail spontanée, chez une patiente de 32 ans, 3 gestes devenue 2 pares à 40 1/7 semaines d'aménorrhée, le 20.05.2018 Antécédent de dépression Surveillance étroite au post-partum Consilium psychologue proposé S/p fausse couche spontanée à 6 semaines en 2015, non curetée. S/p hystéroscopie exploratrice dans le cadre du bilan d'infertilité. S/p césarienne en urgence 30 min à 40 SA 1/7 en 2017 (grossesse sur don d'ovocyte) S/p fracture bras gauche en 2012 (opération X) Dermabrasions nez, philtrum, lèvres et menton sur chute en trottinette désinfection S/p fracture de la rotule en 2015 avec réduction (document non trouvé) Status: palpation de la rotule sensible, pas de tuméfaction, pas d'hématome, pas de déficit ligamento-articulaire Rx genou D et rotule axiale: pas de fractures visualisées Repos et glace S/p fracture poignet gauche traitée conservativement S/p lésion ligament LLI traitée conservativement S/p APP à 14 ans S/p opération tunnel carpien G Fracture de la tête du 2ème, 3ème et 4ème métatarsiens du pied droit, le 03.01.2015 S/P Fracture réduite sous plâtre des 2 poignets en 1998 S/P Appendicectomie en 2008 S/P Accouchement par voie basse en 2015 à 41 2/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille pesant 2940 g. S/P Accouchement par voie basse le 27.10.2018 à terme au Petit Prince. Naissance d'un garçon de 3940 g. Notion d'hémorragie du post-partum S/P fracture 5e métatarsien gauche en 2010. S/P reconstruction LCA gauche en 2005. S/P mastectomie pour cancer du sein (sans radiothérapie ni chimio) en 2005. S/P opération hallux valgus bilatéral. S/P fracture-tassement D7 et D11 le 24.09.2017 S/P CRPS à 3 reprises anamnestiquement (genou, cheville et bras droit) S/P malaise vasovagal le 14.12.2017 S/P gastro-entérite virale S/P grippe méningée dans l'enfance S/P céphalées tensionnelles sur état grippal le 06/2013 Pneumonie basale droite le 22.07.2013 Syncope situationnelle sur quinte de toux le 22.07.2013 Lésion des ligaments croisés du genou gauche : greffe ligament S/P grossesse extra-utérine traitée par méthotrexate S/P grossesse non évolutive curetée en février 2018 S/P grossesse non évolutive curetée en 2015 S/P césarienne élective pour PTI sur rupture prématurée des membranes à 36 5/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'une fille de 2690 g en 2016 S/P hémicholécotomie en 1998 S/P chirurgie au niveau de la hanche en 2016 S/P hystérectomie par Pfannenstiel en novembre 2018 S/P 3 AVB S/P hémorragie digestive haute sur ulcère S/P chute avec fracture d'un corps vertébral en 1998 S/P hystérectomie S/P hémorroïdectomie au Soudan en 2010 S/P AVB à terme. Déchirure II. Naissance d'une fille pesant 3500 g en 2010 S/P AVB instrumenté par ventouse à terme + 9. EMLD. Naissance d'une fille pesant 3520 g en 2016 S/P épisode dépressif majeur (post-traumatique) • Tentamen médicamenteux en mars 2018 (ingestion d'eau de Javel + autres produits corrosifs) : œsophagite stade I • Suivi par Réseau Fribourgeois de Santé Suisse (Dr. X) puis Mme Y, traitement de Quétiapine 25 mg/j stoppé à 4 mois de grossesse S/P hémorroïdes en 2009 et 2005 S/P opération au genou en 1990 Douleurs rétrosternales avec épisode de tachycardie sinusale d'origine indéterminée le 16.07.2017 S/P herpès génital Familiaux : • Mère : endométriose • Grand-mère : endométriose + carcinome du pancréas • Père : diabète + asthme AVP à 50 km/h avec collision frontale Laboratoire : troponines 7 (H0), 9 (H1) Urines : pas de sang ECG : repolarisation précoce correspondant à l'âge Radiographies claviculaires, thorax, lombaire, bassin, pied droit : pas de fracture visible CT thoraco-abdo-lombaire : pas de lésion traumatique, pas de fracture S/P hyperglycémie cortico-induite en 2014 S/P hyperprolactinémie traitée par Dostinex en Iran S/P hystérectomie en 2005 pour un carcinome épidermoïde in situ S/P érysipèle en 2002 et 2010 S/P appendicectomie dans l'enfance S/P AVB en 1992 à terme S/P AVB en 1994 à terme S/P AVB en 1995 à terme S/P hystérectomie sans annexectomie il y a 40 ans S/P opération d'un goitre S/P accouchement par voie basse en 1962, 1963, 1967, 1972 S/P hystérectomie totale S/P amygdalectomie dans l'enfance S/P appendicectomie dans l'enfance S/P hystérectomie en 2006 S/P opération pour orteils en griffe pied droit en 2012 S/P métatarsalgie de transfert pied droit avec douleurs au 3ème métatarsien S/P névrome de Morton entre le 3ème et le 4ème orteils droits S/P suspicion d'enthésite des abducteurs de la cuisse droite (se manifestant par douleur abdominale) S/P opération de cataractes bilatérales S/P opération pouce du skieur avec instabilité, le 01.2017 S/P hématome comprimant le nerf médian suite à une fasciotomie du 22.10.2017 pour syndrome des loges des fléchisseurs superficiels de l'avant-bras gauche le 28.10.2017 S/P hystérectomie Pyélonéphrite droite le 25.10.2016 Laboratoire Sédiment urinaire Culture d'urine Rocéphine 2 g IV aux urgences Co-Amoxicilline 1 g PO 2x/j pendant 14 jours (en raison d'interaction de la Ciproxine avec son traitement habituel de Trittico et Citalopram) Contrôle clinique et biologique en FUA le 25.10.2016 S/P hystéroscopie diagnostique et curetage explorateur pour myome transmural antérieur (Dr. X le 11.07.2013) S/P multiples FIV S/P ileus par étranglement herniaire droit en 2016 S/P sepsis par pneumonie d'aspiration en 2013 S/P carcinome basocellulaire infiltrant excisé (Pathologie D16-12637, Dermatopathologie, Inselspital) S/P incision kyste pilonidal S/P laser du col en 2014 S/P infection urinaire basse • Traité par ciproxine par le médecin traitant S/P infiltration épidurale L4-L5 le 30.07.2018 S/P interruption thérapeutique de grossesse à 14 semaines d'aménorrhée pour encéphalopathie en 2009 S/P interruption thérapeutique de grossesse à 22 semaines d'aménorrhée pour spina bifida en 2010 S/P accouchement par voie basse à 38 semaines d'aménorrhée après provocation pour suspicion de RCIU en 2011 avec délivrance artificielle et révision utérine. Naissance d'une fille de 2600 g. S/P accouchement par voie basse en 2014 à terme avec délivrance artificielle et révision utérine. Naissance d'une fille de 3600 g. S/P APP en 2000 S/P interruption volontaire de grossesse en 2012 et 2013 par curetage. S/P laparoscopie avec kystectomie ovaire gauche en 2013. S/P césarienne en urgence 2 pour RCIU avec diastole ombilicale nulle à 35 4/7 semaines d'aménorrhée et hypertension artérielle gravidique en 2015. Naissance d'une fille de 1790 g en 2015. S/P opération du genou gauche : ménisque + plica post-accident en 2012. S/P césarienne élective en 09/2018 S/P épisode d'hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crurale gauche en février, pendant 5 minutes avec des paresthésies importantes avec résolution spontanée (suivi par le Dr. X sans autres investigations faites en février 2018) S/P interruption volontaire de grossesse médicamenteuse à 6 semaines d'aménorrhée en 2016 S/P accouchement par voie basse à 40 4/7 semaines d'aménorrhée en 2014. Naissance d'une fille de 3060 g. S/P interruption volontaire de grossesse médicamenteuse en 2015 S/P accouchement par voie basse instrumenté par forceps au Portugal à 37 5/7 semaines d'aménorrhée, lésion génitale EMLD, naissance d'un garçon de 3005 g en 2008 S/P kyste sacro-coccygien récurrent S/P interruption volontaire de grossesse par Mifegyne en 2010 S/P accouchement par voie basse à 41 semaines d'aménorrhée. Lésion génitale : EMLD, naissance d'un garçon pesant 3800 g en 2009 S/P interruption volontaire de grossesse en 1991 S/P salpingotomie pour grossesse extra-utérine gauche en 1992 S/P curetage pour grossesse évolutive en 2013 S/P laser du col pour CIN I en 1997 S/P hystéro-salpingographie (trompe gauche non perméable), laparoscopie diagnostique + EBM + salpingectomie gauche + hystéroscopie diagnostique en 2013 S/P intervention glande pituitaire par voie trans-nasale pour un prolactinome (sous Dostinex 0.5 mg) en 2010 S/P intervention pour rein (prolapsus) asthme S/P intolérance aux protéines de lait de vache et gluten, traitement par pregomin peptit, actuellement mange et boit tout S/P kyste sein droit qui aurait été ponctionné Tendinite du tendon distal du long biceps droit S/P kystectomie de l'ovaire gauche par laparoscopie en 2009 S/P laparoscopie pour suspicion d'endométriose et chromoperturbation en 2008, en Belgique S/P accouchement par voie basse par forceps d'un garçon de 3280 g en 2011, en Belgique S/P abcès du sein traité conservativement en 2012 S/P conisation et curetage endocervical par LEEP le 14.09.2018 pour CIN 3 S/P ligature élastique d'hémorroïdes en mars 2015 S/P thrombose d'une hémorroïde externe incisée en avril 2013 S/P 2 fausses couches spontanées en 2017S/p cure d'hémorroïdes S/p lipothymie vagale en 2017 S/p traumatisme crânien et amnésie circonstancielle sans perte de connaissance en 2016, sous anticoagulation prophylactique S/p hernie discale L4-5 gauche luxée avec compression du canal, associée à une sténose dégénérative • s/p décompression par laminectomie L4-5 • s/p ablation du fragment herniaire L4-5 gauche S/p crossectomie et stripping de la grande veine saphène droite et phlébectomies étagées S/p subiléus grêle en 2002 S/p subiléus sur probable bride en 2001 S/p cholécystectomie pour cholécystite aiguë phlegmoneuse en 2000 S/p cure d'hernie cicatricielle en 2000 S/p excision d'un corps étranger de la 1re commissure droite S/p appendicectomie S/p amygdalectomie S/p luxation antérieure de l'épaule D Amygdalite à strepto le 05.11.2012 S/P Menace d'accouchement prématuré avec un col à 3 mm avec maturation pulmonaire le 06.09.2018 et le 07.09.2018 S/P Cerclage prophylactique sous anesthésie générale le 08.06.2018 à l'HFR cerclage prophylactique le 08.06.2018. Retrait du cerclage 16.11.2018 S/p méningiome fronto-pariétal droit diagnostiqué en 01/2014 S/p abcès dentaire 35 et 42 traité par extraction dentaire en 01/2014 Déconditionnement physique suite à une décompensation cardiaque gauche récurrente stade NYHA III sur pic hypertensif Hémorroïdes internes avec anémie hyporégénérative normochrome, normocytaire en nov 2017 DD hémorragie gastro-intestinale haute/basse AVC ischémique aigu sylvien droit sur occlusion de l'a. cérébrale moyenne D dans le segment M1 distal le 15.08.2018 d'origine probablement cardio-embolique sur FA intermittente • symptomatologie : hémisyndrome facio-brachial gauche, déviation du regard vers la droite • NIHSS d'entrée à 8 points, NIHSS à 0 à la sortie Hospitalisation en Stroke unit monitoré à l'Inselspital du 15.08 au 17.08.2018 puis transfert en unité Stroke non monitoré à l'HFR Fribourg le 17.08.2018 jusqu'au 24.08.2018 Thrombolyse par Actilyse 8 mg bolus puis 72 mg en 60 minutes suivi d'une thrombectomie mécanique TICI 2b sans complication Angio-CT cérébral le 15.08.2018 (Inselspital) : pas de sténose significative CT de contrôle le 16.08.2018 (Inselspital) : pas d'hémorragie ETT le 16.08.2018 (Inselspital) : pas de thrombus, dilatation de l'OG, pas de trouble cinétique, insuffisance mitrale modérée, bonne fonction de la prothèse aortique (TAVI), FEVG visuelle à 45% Interrogation du Pacemaker : multiples épisodes de FA • Brilique remplacé par Eliquis 2,5 g 1x/j dès le 21.08.2018 Etat confusionnel aigu le 17.08.2018 d'origine multifactorielle • contexte AVC • contexte de suspicion de démence vasculaire (MMS à 14/30) en novembre 2018 • infection urinaire avec Stix du 19.08 (leuco +, nitrite +, bactéries +) Quetiapine d'office et en R Distraneurin en R Monuril le 20.08.2018 S/p Mononucléose avec difficulté d'hydratation S/p multiples entorses. S/p épisode dépressif moyen. S/p multiples entorses. S/p épisode dépressif moyen. S/p multiples excisions de kystes sébacés du cuir chevelu S/p multiples luxations latérales de la rotule gauche. S/p refixation fragment ostéochondral rotule gauche. S/p réaxation de l'appareil extenseur gauche. S/p néphrectomie gauche avec lymphadénectomie le 25.06.2008 pour carcinome rénal S/p opération hanches Décompensation de la cardiopathie dilatée NYHA III d'origine inconnue très le 21.10.2016 • Angiographie coronaire le 02.11.2016 à 07h00 à l'HFR Fribourg Embolie pulmonaire le 24.10.2016 probablement provoquée par une infection Lésion pulmonaire peu claire dans le lobe supérieur postérieur à droite le 24.10.2016 • CT thorax le 24.10.2016 : lésion annulaire isolée de 1,2 cm dans le segment postérieur du lobe supérieur droit, ce qui correspond à un hamartome bénin S/p opération hernie discale L4/L5 S/p opération tunnel carpien à droite et à gauche et tunnel de Guyon à droite Neurolyse coude droit du nerf cubital Phlegmon amygdalien gauche dans le cadre d'une angine à streptocoque, le 28.12.2014 Ponction du Phlegmon Co-Amoxi 2,2 g aux urgences puis 1 g 2x/jour pendant 7 jours selon évolution Consilium ORL CRP 124, leuco 11.9, absence de lymphocytose, ASAT 63 Test rapide de la mononucléose : nég S/p opération cataracte ddc Érosion cornéenne œil D S/p opération de hernie inguinale en 2006 Insuffisance respiratoire aiguë sur bronchospasme DD : crise d'asthme sévère, foyer infectieux débutant • Satu : 85% à l'AA, 91% avec O2 2 l/min • gazométrie : sp • labo : FSC, urée, créatinine plasmatique, sodium, potassium, chlore, calcium, phosphate, magnésium, • Streptotest : négatif • Test urine sp. RX thorax : infiltrat bilatéral péri-hilaire, pas de condensation • urgences : Ventolin 12 push, puis 6 push à 20 minutes d'intervalle, Prednisone 40 mg p.o. • hospitalisation pour oxygénothérapie, Prednisone 1 mg/kg/j pendant 3 jours, A/V doses de charge (3x en 2h), puis 4x/j avec Ventolin push en réserve toutes les heures selon auscultation • VVP • Solumédrol i.v 80 mg le 11.07 • Solumédrol i.v. 20 mg 2x/j dès le 12.07 Klaciped 7,5 mg/kg 2x par jour dès le 11.07 Douleurs épigastriques Nexium 40 mg i.v le 11.07 S/p opération de kyste sacro-coccygien en 2016 Appendicectomie. S/P opération des hémorroïdes S/P AVB en 1999 à 38 SA 3/7. Naissance d'une fille de 2390 g. (RCIU) S/P AVB en 2001 à 40 SA 6/7. Naissance d'une fille de 3120 g. S/P AVB en 2004 à 40 SA 5/7. Naissance d'une fille de 3000 g. S/P AVB en 2010 à 38 SA. Naissance d'un garçon de 3120 g. S/p opération du dos STEMI sur maladie coronarienne tri-tronculaire le 3.11.2018 S/p opération du poignet gauche S/p ligatures des trompes S/p opération de varices au MIG S/p AVC cérébelleux gauche en juillet 2018 d'origine indéterminée Syncope d'origine indéterminée avec chute, PC, TC et amnésie circonstancielle le 24.10.2018 DD : orthostatique, troubles du rythme, séquelles d'AVC cérébelleux en juillet 2018 s/p opération du poignet g s/p ligatures des trompes s/p opération de varices au MIG Hyponatrémie modérée hypoosmolaire euvolémique à 124 mmol/l le 24.10.2018 • sous diurétique (hydrochlorothiazide) et antiépileptique (primidone) Syncope d'origine indéterminée avec chute, PC, TC et amnésie circonstantielle le 24.10.2018 DD : orthostatique, troubles du rythme, séquelles d'AVC cérébelleux en juillet 2018 ECG : extrasystole supraventriculaire à QRS fin Schellong : symptomatique, mais pas de chute de la tension artérielle Massage du sinus carotidien : pas de syncope, pas de pause cardiaque ou de chute tensionnelle CT cérébral natif et CT thoracique : pas d'hémorragie intra-crânienne, pas d'embolie pulmonaire s/P opération d'un strabisme en 1985 et en 1995. s/P cimentoplastie L1-L2 pour une fracture vertébrale en 2007. s/P carcinome oncocytaire mammaire gauche, avec • mastectomie gauche • curage ganglionnaire axillaire gauche en 2013 • radiothérapie et chimiothérapie • sous Tamoxifène dès le 27.03.2014 s/p opération ombilic 2016. s/p accidents. s/p opérations à la tête pour hématome rétro-orbitaire G (3x), 2013. s/P opération pour hernie discale L5-S1 s/P opération pour tunnel carpien D s/P APP s/P césarienne s/P opération pour pouce à ressaut D Contusions musculaires et paresthésies liées à l'AVP AINS Dafalgan en R Arrêt de travail 3 jours s/p opération strabisme s/p anaphylaxie stade I (urticaire généralisé) sur piqûre d'abeille (2012) s/p opération végétation durant l'enfance s/p accouchement par voie basse spontané, fille de 3800 g. Déchirure III (2011) s/p accouchement par voie basse spontané, fille de 4360 g. Déchirure II (2014) s/p opérations hernie discale en 1994 et 2014 s/p opération hernie inguinale droite s/p opération astigmatisme 2 yeux en 2015 s/p arthroscopie genou droit il y a 25 ans s/p cautérisation pour épistaxis récidivants s/p orchidopexie dans l'enfance Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique. • Traitement aux Urgences avec Brufen 600 mg et Dafalgan 1 g. s/p ORIF le 27.12.2018 pour fracture de l'extrémité distale du radius D avec bascule dorsale de 15° • avec fracture du processus styloïde ulnaire s/p OS pour fracture du poignet D s/p méniscectomie ddc Mallet Finger doigt V de la main D le 01.04.15 Hernie inguinale droite il y a 10 ans Probable contusion avec une entorse des vertèbres cervicales Examen clinique Rx Collerette cervicale Antalgie standard Contrôle auprès du médecin traitant en cas de persistance de la symptomatologie s/p overectomie et salpingectomie G pour une tumeur (patiente ne sait pas plus) s/p hystérectomie s/p pied bot à gauche s/p bronchiolite traitée par Ventolin sans hospitalisation l'hiver passé s/p faux croup il y a 2 semaines s/p pied bot à gauche s/p bronchiolite traitée par Ventolin sans hospitalisation l'hiver passé s/p faux croup il y a 2 semaines s/p pied-main-bouche (Coxsackie) s/p gastro-entérite à rotavirus s/p vulvite s/p plaie au menton de 4 cm. s/P plastie des LCA s/P plastie des oreilles dans l'enfance s/p plastie du LCA gauche. Vd. a. Distorsion des tarsus fuss rechts nach starkem anprall eines hockey-pucks DD bandläsion • Analgesie mit Voltaren 75 mg und Brufen 400 mg auf dem Notfall • Röntgen Fuss und Vorfuss rechts mit OSG am 15.04.2018 : keine Hinweise auf eine ossäre Läsion s/p plastie LCA genou G avec suture du ménisque interne s/p cure de sinus pilo-nidal anamnestiquement il y a 2 ou 3 ans s/p plusieurs opérations rénales d'origine x s/p pose des prothèses mammaires ddc Pleurite 2011 s/p plusieurs pneumonies s/p plusieurs pneumonies s/p pneumonie d'aspiration avec ABT par Tavanic le 21.10.2018 s/p suspicion de syndrome de sevrage alcoolique en 01/2018 s/p hématémèse avec majoration IPP en 01/2018 s/p cholécystite aiguë avec obstruction du canal cholédoque en 2014 s/p bursite chronique du coude G s/p rupture d'un kyste de Baker en 2016 s/p PTH G sur fracture du col fémoral déplacée en 2015 s/p ostéosynthèse par clou gamma du fémur D en 01/2013 avec AMO en 02/2013 s/p traumatisme crânien avec amnésie circonstantielle en 01/2018 s/p hématome frontal et fracture de l'os temporal D en 2007 s/p pneumonie en 2016 et 2009 s/p cholécystectomie en 1994 s/p cure d'herniés inguinales bilatérales à 18 ans s/p prothèse totale de l'épaule G s/p pneumonie trilobaire communautaire à germe indéterminé en 2011 s/p pneumonie basale bilatérale communautaire à Strept. pneumoniae en 2014 s/p hystérectomie et annexectomie bilatérale pour myome utérin et kyste ovarien en 2005 s/p opération de cataracte à droite en 2016 s/p pneumothorax spontané il y a environ 10 ans s/p gastrite sur hernie hiatale en 05.2011 s/p cholécystectomie le 26.09.2011 (Dr. X) s/p pontage aorto-coronarienne pour maladie trithronculaire en 2004 s/p pose de 6 stents s/p poussée hypertensive symptomatique avec vertiges, céphalées, diplopie. s/p accident ischémique transitoire sur athérosclérose carotidienne gauche le 04.12.2015 et en 2005. s/p paralysie faciale en janvier 2001. s/p réduction mammaire en 1997. s/p plastie abdominale en 1990. s/p hystérectomie par voie vaginale en 1986. s/p cholécystectomie en 1986. s/p appendicectomie en 1980. s/p probable thyroïdite du post-partum. s/p traumatisme crânien le 01.02.2014 avec : • fracture du plancher de l'orbite sans incarcération musculaire • plaie de l'arcade sourcilière de 4 cm. s/p prothèse totale de genou à droite 27.09.2018 s/p rupture du quadriceps TURP 2012 (Dr. X) prothèse totale genou gauche 31.05.2012 Kyste de Baker rupturé à droite Suspicion de diverticulite sigmoïdale proximale perforée 2016 s/p prothèse totale de hanche en 1990 s/p opération des hémorroïdes s/p amygdalectomie Infection urinaire en 10/2018 Dépression traitée en 2005 par le Dr. X s/p opération de la cataracte Iléus paralytique le 30.11.2018 • ASP chez le MT avec dilatation et niveaux hydro-aériques • Traitement laxatif et lavements Diminution de l'état général en rapport avec une rupture du fornix rénal gauche le 04.12.2018 : • Contexte d'obstruction urétérale sur cancer de la vessie • Pose de néphrostomie gauche le 05.12.2018 (HFR Fribourg) Physiothérapie Ergothérapie Le patient sera convoqué par le Dr. X pour la suite de prise en charge (remplacement de la néphrostomie par une sonde double-J) s/p prothèses mammaires s/p accouchement par voie basse à 38 semaines d'aménorrhée, garçon de 3245 g. EML (2011) s/p PTH G en 2000 s/p PTH gauche 17.01.2013 Coxarthrose ankylosante à droite le 25.01.2018 avec : • status post luxation chirurgicale et débridement hanche droite le 28.06.2005 pour un impingement. • AMO et PTH droite (OP le 18.01.2018) • calcification péri-articulaire pré OP hanche droite Anémie normocytaire normochrome post-opératoire en amélioration • Hb 88 g/l le 26.01.2018 hyporégénératif • Hb 117 g/l normocytaire normochrome le 05.02.2018 • B12/folate dans la norme le 05.02.2018 Hématurie macroscopique inaugurale le 26.01.2018 • remarqué par le patient en début de jet rouge vif puis normalisé • non objectivé par les soignants • urine suivante testée au labo mais sans hématurie macro ou microscopique • pas de plaintes de brûlures urinaires • Uro-CT du 26.01 : dans la norme, pas de néoplasie visualisée Probable attaque de panique 27 et 28.01 et 04.02.2018 DD réaction sur produit de contraste (CT le 26.01) • nausée et vertiges non clairs sans vomissement, 1 épisode de diarrhée le 28.01 • Paramètres vitaux dans la limite basse, pouls réguliers, tachycarde. Papilles iso-iso. • tests hépatiques dans la norme • absence de symptôme le 06.02.18 • S/p PTH hanche droite • S/p cholécystectomie • S/p appendicectomie • S/p ulcère gastrique récidivant • sp pyélonéphrite gauche en mars 2014 • sp opération d'un kyste ovarien par abord unique en Corée en mai 2014 • Infection urinaire basse le 25.08.2015 • Suspicion de mycose vaginale le 25.08.2015 • s/p pyélonéphrite gauche en 02.2016 • s/p pyélonéphrite gauche en 02.2016 • s/p valve urétérale avec suivi, avec ultrason de contrôle • S/p pyélonéphrite multifocale et pyélonéphrite droite en septembre 2016. • S/p ablation d'une tumeur bénigne du pied gauche en 2011. • S/p hypochromie sans anémie en 2013. • Cystite avec dysurie, algurie depuis le 18.02.2018. • Grossissement de l'ovaire gauche détecté à l'ultrason DD ovulation en 2018. • Légère hypokaliémie à 3.6 mmol/l le 20.02.2018. • S/p pyélonéphrites à répétition • s/p pyélonéphrite • s/p opération d'un reflux urétéral en 2006 • Fracture tête du 5e métacarpien droit • RX médecin traitant • avis orthopédiste de garde : • S/P Reconstruction mammaire bilatérale et correction de la cicatrice, avec ré-investissement de la plaque mamelonnaire avec greffe cutanée inguinale en 20017 • S/P Reconstruction mammaire en 2011 et 2012 • S/P polypectomie par hystéroscopie en 2007 • S/P Mastectomie bilatérale avec curage ganglionnaire gauche pour carcinome mammaire gauche en 2004. • S/P Myomectomie par laparotomie en 2000 et 2010 • S/P Myomectomie par laparotomie en 1997 en Éthiopie • S/P Épicondylite droite • s/p réduction de la lèvre génitale droite en 2008 • s/p extraction des dents de sagesse • S/p réduction ouverte et ostéosynthèse radius distal G • AMO plaque poignet G, révision de cicatrice (OP le 26.10.2017) • Réduction ouverte, OS radius distal G par plaque palmaire Aptus (OP le 21.08.2016) • Fracture intra-articulaire déplacée radius distal G; le 20.08.2016 • Réduction fermée aux urgences le 20.08.2016 • S/p remplacement de la valve aortique • S/p remplacement de l'aorte ascendante supracoronarienne pour dissection aortique type A le 23.02.2017 à l'Inselspital, avec : • débutant au niveau de l'aorte ascendante distale jusqu'au niveau du bassin • S/p épanchement péricardique postopératoire DD syndrome de Dressler le 08.03.2017 • ETT: épanchement péricardique circonférentielle de moyenne abondance (500 à 750 ml), cloisonné avec une épaisseur de 21 mm en postérieur et 18 mm en antérieur, pas de signe de compression hémodynamique • S/p fractures des côtes traitées conservativement en 2007 • S/p ostéosynthèse d'une fracture de D3P3 D en 2005 • S/p abcès dentaires de l'angle mandibulaire et de la face interne de la mandibule G • S/p épisodes de pyélonéphrite aiguë • S/p pneumonie supérieure droite • S/p remplacement valvulaire aortique par prothèse biologique Edwards Sapien III de 29 mm par implantation valvulaire trans-aortique (TAVI) par voie fémorale droite le 30.06.2016 pour sténose aortique sévère avec : • BBG en post-opératoire • TEE (03/2016): FEVG 40%, coronarographie (06/2016): FEVG 30%, TTE (08/2016): FEVG 50% • S/p AVC pariéto-pariétal droit subaigu avec troubles cognitifs résiduels (2016) • S/p polytraumatisme sur éthylisation aiguë (2014) avec : • hémothorax droit drainé • fractures instables de D6 et D11 • fractures costales étagées 5e-9e à gauche et 9e-12e à droite • ECA au décours post-TCC • S/p choc septique sur pneumonie lobaire inférieure droite sur broncho-aspiration (2014) • S/p urosepsis avec bactériémie à E. coli multisensible (2008) • S/p fracture-tassement D10 avec vertébroplastie (2008) • S/p cholécystectomie • Thrombophlébite superficielle sur VVP avec septicémie à S. aureus le 21.11.2017 DD endocardite infectieuse • persistance de bactériémie à 24h le 22.11.2017 avec suspicion d'endocardite infectieuse • Broncho-pneumonie bilatérale débutante le 13.12.2018 ; décompensation cardiaque secondaire à la bronchopneumonie • sp résection polype colique gauche en novembre 2018 • S/p résection-régularisation de la corne moyenne du ménisque interne du genou à gauche le 22.11.2017 avec révision de la cicatrice voie d'abord médio-patellaire. • Discopathie dégénérative L4-L5 avec irritation de la racine L5 • Suspicion de syndrome sacro-iliaque D • Suspicion de douleurs facettaires C5-C6 C6-C7 sur status post-discectomie antérieure et mise en place d'une PTD Baguera C C5-C6 C6-C7 le 12.07.2010 pour une discopathie invalidante • Aggravation de la symptomatologie avec paresthésies dans le territoire C8 ddc, mais principalement à G. • Discopathie initiale grade III-IV selon Pfirmann L4-L5, accompagnée de lombalgies. • Suspicion de fibromyalgie. • Status après discectomie antérieure C3-C4, C4-C5 avec décompression, cage Mosaïk 12 x 5 C3-C4 et C4-C5 pré-remplie avec tri-calcium-phosphate et fixation par plaque CLSP 6 trous Synthes fixée par 6 vis 14 sur discopathies C3-C4 et C4-C5 post-traumatique, avec cervicalgies chroniques, du 05.12.2008. • Persistance de vertiges avec apparition d'hyperesthésie au niveau occipital accompagné par une démarche insécurisée (selon la maman). • Douleurs internes genou G sur déconditionnement. • S/p révision des 3 étages, positive pour des restes du cotylédons • 20 UI de Syntocinon IV • Pertes sanguines estimées à 500cc • S/p RGO traité par Nexium jusqu'à l'âge de 9 mois • S/p rhabdomyolyse modérée le 09.11.2018 • S/p état confusionnel aigu hyperactif le 11.11.2018 dans un contexte d'événement cérébro-vasculaire aigu S/p Épanchement pleural droit symptomatique exsudatif, d'origine probablement néoplasique le 05.01.2016 avec: • S/p cellulite à Staphylocoque doré sur surinfection du pleurX le 08.02.2016 avec suspicion d'empyème S/p Embolies pulmonaires bilatérales aux niveaux des lobes inférieurs et sous-segmentaires en 2016 S/p cholécystectomie laparoscopique le 25.03.2015 pour pancréatite aiguë biliaire S/p implantation prothèse totale hanche gauche le 22.02.2012 S/p implantation prothèse totale hanche droite le 29.09.2011 S/p fracture cheville droite 2004 S/p hystérectomie en 1989 S/p RTUV le 10.12.18 par le Dr. X Examen clinique Fast abdominale par médecin urgentiste : 437 ml dans la vessie Bilan biologique. Sédiment urinaire Sondage vésical à 3 voix + rinçage Plavix et aspirine cardio en suspense Avis de Dr. X : RAD avec SV S/p Salpingectomie droite pour une grossesse extra-utérine en 2017 S/p Sepsis à Citrobacter coseri sur translocation bactérienne dans le cadre de l'entérocolite nécrosante avec perforation digestive Traitement conservateur : amoxicilline/garamycine relayer par vancomycine (jusqu'au 22.06) et méronem jusqu'au 04.07. Pharmalp 4 gélules par jour débuté le 13 poursuivie jusqu'au 06.08.18 Kyste porencéphalique périventriculaire gauche (15 x 7 mm) et hémorragie de grade 2 périventriculaire droite. Anémie néonatale. Bronchodysplasie pulmonaire légère. S/p sepsis le 23.08.17 sur abcès axilaire gauche S/p tachycardie sur FA août 2017 S/p lymphome T cutané bras G (novembre 2017, excisé) S/p Sinusite maxillaire gauche en 2013 Erythrodermie généralisée d'origine médicamenteuse avec atteinte systémique le 09.08.2018 : • Possiblement sur prise d'Iburamin Cold (Ibuprofen, Pseudoéphédrine HCL, Klofeniramin maleat) le 14.07.2018 en Turquie, au décours d'une infection ORL virale --> apparition rapide d'un érythème maculo-papulaire des membres supérieurs et inférieurs, avec péjoration et extension au corps entier par la suite • Multiples changements médicamenteux en Turquie, selon ordonnances : 20.07 : ciprofloxacine, doxycycline, Celestone (bétaméthasone), rantudil, melox, lansor 21.07 : anti-histaminiques (Bilaxten, deloday) et corticoïdes topiques 23.07 : Gyno-lomexin, Travogen intra-vaginal 25.07 : prednol 16 mg 26.07 : coledan D3 et calciday D3 04.08 : prednol 24 mg, Methotrexate 2.5 mg oral, allerset 10 mg 06.08 : prednol 16 mg, Novalgin, ceftriaxone i.m. reçue 3x DD : Maladie de Still, lymphome (peu probable) Hémocultures : négatives Sérologies en Turquie : HCV nég, HBV nég, Brucella nég, S. typhi nég Sérologies au HFR : CMV IgG positif, EBV IgG VCA et EBNA-1 positifs, VIH négatif, syphilis négative Bilan auto-immun : Facteur rhumatoïde dans la norme, ANCA négatif, FAN négatif, anti-CCP nég, anti ENA nég, anti ANA nég, anti PCNA nég, anti-nucléosome nég, anti-histones nég, anti-Rib P-prot nég, ASLO positifs 361 IU/ml Electrophorèse des protéines le 09.08.2018 : pas de pic monoclonal, immunofixation négative Dosage B-2 microglobuline 3.4 mg/l, Chaines kappa 27.6 mg/l, lambda 28.6 mg/l Consilium infectiologique (Dr. X/Dr. Y) : pas d'argument pour un processus infectieux. Pas de proposition d'un point de vue d'un éventuel diagnostic infectieux ni d'un traitement à poursuivre ou débuter de façon empirique Avis tél. hématologique (Dr. X) le 10.08.2018 : tableau peu suspect d'une maladie hématologique. Possible hyperplasie lymphoïde et ADP réactionnelles dans contexte inflammatoire/infectieux. Pour aller plus loin dans les investigations, il faudrait un PET-CT pour recherche de lymphome agressif (mais clinique peu évocatrice ; NB : lymphome indolent ne serait pas hypermétabolique) suivi de biopsie splénique ou d'un foyer hypercaptant. Proposition : considérer une cause rhumatologique/AI/médicamenteuse comme plus probable, et suivre la formule sanguine +/- imagerie de contrôle à distance Avis rhumatologique le 10.08.2018 (Dr. X/Dr. Y) : possible Maladie de Still malgré absence de neutrophilie (mais possiblement masquée par prise de cortico). DD : syndrome de Schnitzler (vasculite urticariforme). Compléter bilan par FR, ANCA, FAN, tryptase, et ajout immunofixation selon résultat électrophorèse. Options thérapeutiques : anti-IL1 (Kineret) en injection 100 mg 2x/jour, ou Prednisone 1 mg/kg max 60 mg/j, ou Irfen RX thorax le 09.08.2018 : sans particularité CT thoraco-abdominal le 10.08.2018 : adénopathies médiastinales et hilaires des deux côtés. Splénomégalie avec volume estimé à 640 cm3. Un lymphome peut être éventuellement suspecté Anti-histaminiques par Xyzal et Atarax en réserve Paracétamol en réserve du 09.08.2018 au 14.08.2018 Arrêt des autres médicaments et cosmétiques Suspicion de dysthyroïdie • US cervical 17.07.2018 en Turquie avec notion de goître multinodulaire Laboratoire : TSH dans la norme CT thoracique le 10.08.2018 : hypodensité de 10 x 6 mm dans le lobe thyroïdien droit (kyste ?). S/p stent actif de l'IVA proximale en 2004 Coronarographie de contrôle normale 12.02.2014 (HFR), FEVG 71% S/p suspicion de TVP MIG infirmée en US doppler le 15.10.2018 S/p ostéosynthèse d'une fracture de calcanéum G en 2010 S/p cure d'une hernie discale C4 S/p cure d'une hernie ombilicale en 2009 S/p TURP S/p Suspicion impingement fémoro-acétabulaire S/p fausse couche en 2018 S/p ablation 4 dents de sagesse sous anesthésie générale S/p suture de ménisque G en 2007 Dorso-lombalgies non-traumatiques, non-déficitaires, d'origine musculaire S/p syndrome de détresse respiratoire avec CPAP à la naissance S/p tassement vertèbre L4 2017. Fracture non déplacée arc postérieur des côtes 9 et 10 à droite suite à une chute mécanique le 19.10.2018. S/p tentamen médicamenteux (ingestion mixte d'alcool et benzodiazépines) le 08.07.2017 avec chute de sa hauteur secondaire : • traumatisme crânien avec perte de connaissance • fracture ouverte des os propres du nez • hémato sinus bilatéral • hématome frontal D S/p chute avec fracture ouverte des os propres du nez : • hémato sinus bilatéral • hématome frontal D S/p 2 accouchements par voie naturelle. S/p ablation kyste ovarien. S/p APP. Plaie profonde face inférieure base P1O3 D sans atteinte du tendon fléchisseur • plaies superficielles O2 et O4 pied D Fractures non déplacées tête P1O1 D et tête P1O5 D S/p Thoracocenthèse le 29.11.2018 bilatérale : • Transudat S/p Thrombose veineuse jambe droite sous COC (2003) S/p Thrombose veineuse superficielle jambe droite à 6 semaines de grossesse (2014) S/p Thrombophlébite superficielle au niveau du mollet droit à 6 SA, sous thromboprophylaxie par fragmin 7500U/j depuis lors (juin 2018) S/p AVB à 37 2/7 SA, naissance d'un enfant de 2720 g (2015) S/p deux FCS (2014, 2018) S/p thrombose veineuse profonde au niveau du MIG traitée par Sintrom en 2011 S/p thrombose veineuse profonde du membre inférieur G le 29.07.2011 S/p thromboses et embolie pulmonaire multiple Suspicion de tuberculose latente, Quantiferontest positif 12/2012 S/p Hernie discale C6/7 avec Laméctomie C6/7 05.2013 S/p subiléus récurrents avec résections intestinales multiples, dernier épisode 09/2014 AVC ischémique le 31.12.2016 : • la paralysie de la main droite, la récupération spontanée et complète au bout de 5 heures • 01.2017 IRM du crâne : petite lésion ischémique dans le cortex gauche • 02/01/17 TTE : FEVG normale (57 %). Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Reste de l'examen dans les limites de la norme. • 12/02/17 : Holter ECG : extrasystoles supraventriculaires avec courts passages asymptomatiques en tachycardies supraventriculaires, tachycardie ventriculaire unique durant la nuit (175 / min. 6 secondes). Elle n'a jamais souffert d'une syncope. Hémorragie digestive le 18.05.2017 : • 6 épisodes de méléna et hématochézie.• connue pour un ulcère gastrique depuis des années • Hb 129g/l le 18.05.17 DD saignement diverticulaire DD saignement sur ulcère gastrique Suivi biologique Gastroscopie du 18.05.17 : sans particularités. Test rapide pour le H. pylori non effectué en raison de la double antiagrégation. Pas de saignement visualisé. Coloscopie du 23.05.2017 : pas de saignement visualisé. Diverticulose colique. S/P Thyroïdectomie totale bilatérale en 2018, pour nodule toxique avec hyperthyroïdie symptomatique. S/P Fibroscopie oeso gastro duodénale en 2017 S/P Cholecystectomie en 2016 pour vésicule lithiasique symptomatique S/P Appendicectomie par laparoscopie en 2014 S/P Pancréatite biologique avec lipases à 178 U/l. en 2008 S/P Pose d'une prothèse inversée de l'épaule à D en 2007 dans le contexte d'arthrose sévère S/P Fausse couche spontanée en 1987 S/P Mort foetale in utéro en 1988 à 24 semaines d'aménorrhée S/P Accouchement par voie basse en 1990 à terme. Naissance d'une fille de 3320 g S/p tonsillectomie S/p torsion de l'ovaire droit avec laparoscopie à 10 semaines d'aménorrhée en mai 2010 s/p 2x césariennes en 2003 et en 2010, la deuxième compliquée des douleurs thoraciques avec sous-décalage du ST sur probable spasme coronarien dû au Syntocinon (troponine négatif) S/p traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle le 19.04.16. S/p déchirure LLE au ski en 2009. Notion de calculs rénaux à D il y a quelques années S/p Traumatisme crânien, sans perte de connaissance, avec plaie occipito-pariétale gauche de 3.5 cm en mars 2018 S/p Hypotension artérielle sur Oxycontin en 04/2018 S/p Traumatisme crânien simple S/p ulcère en regard de la malléole interne droite 30/07/08 s/p ulcère gastrique il y a 5 ans. Status après plusieurs entorses de la cheville droite, la dernière en 2010. Tendinite muscle péronier court gauche le 19.04.2015. RX cheville gauche f/p, pied gauche f/p et oblique : pas de fracture. Immobilisation par air-cast. AINS. Charge complète. Arrêt du sport. Contrôle à la filière 34 à une semaine. Angine à streptocoque • 1er épisode Stepto test + RAD avec traitement symptomatique et pénicilline 3x/j pour 10 jours. Reconsulte si mauvaise évolution clinique S/p uréterotomie interne à l'Otis, au Sachsé et pose de sonde vésicale à demeure pour sténose sévère post-lésion urétrale sur sonde vésicale Bronchopneumonie nosocomiale basale droite à germe indéterminé, octobre 2016 ECA hyperactif, novembre 2016 IRA RIFLE R d'origine post-rénale Décompensation cardiaque à prédominance gauche sur pic hypertensif et FA rapide le 02.01.2017 S/p uréterotomie interne à l'Otis, au Sachsé et pose de sonde vésicale à demeure pour sténose sévère post-lésion urétrale sur sonde vésicale Bronchopneumonie nosocomiale basale droite à germe indéterminé, octobre 2016 ECA hyperactif, novembre 2016 IRA RIFLE R d'origine post-rénale Décompensation cardiaque à prédominance gauche sur pic hypertensif et FA rapide le 02.01.2017 S/p uréterotomie interne à l'Otis, au Sachsé et pose de sonde vésicale à demeure pour sténose sévère post-lésion urétrale sur sonde vésicale Bronchopneumonie nosocomiale basale droite à germe indéterminé, octobre 2016 ECA hyperactif, novembre 2016 IRA RIFLE R d'origine post-rénale Décompensation cardiaque à prédominance gauche sur pic hypertensif et FA rapide le 02.01.2017 Insuffisance respiratoire partielle sur exsudat pulmonaire récidivant D d'origine néoplasique avec masses pulmonaires bilatérales le 03.12.2018 • Patient non informé du Dg • PleurX Echo ciblée cœur, thorax Rocephin 1 x 2 g i.v. du 03.12.2018 au Klacid 2 x 500 mg i.v. du 03.12.2018 au Physio respiratoire Antigène Legionelle du 03.12.2018 : Test de déglutition Ponction pleurale 4300 ml Exsudat Critères de Light : LDH >500, Quotient LDH >0.6, Quotient protéines 1.61 Cytologie : pas de diagnostic affirmatif Bactériologie : négatifs CT-Thorax-pelvien 10.12.2018 : A l'étage thoracique : Masse tumorale du LSD, mesurant 58 x 57 mm, présentant une invasion du médiastin avec engainement des structures bronchiques et vasculaires (tronc brachio-céphalique), multiples adénopathies médiastinales, une carcinomatose pleurale à droite, multiples métastases avec nodules pulmonaires ddc prédominants dans les LI ddc (particulièrement à droite). A l'étage abdominal : adénopathies en regard du tronc cœliaque, suspectes dans le contexte oncologique. Pose de PleurX le 14.12.2018 CT Thorax natif 17.12.2018 : PleurX en place, épanchement résiduel Ablation des fils craniaux le 24.12.2018 Ablation des fils distaux (maintien du cath.) le 14.01.2019 Fibrillation auriculaire paroxystique • Chad2s-Vasc2 : 4 Has-Bled 2 • 03.12.2018 INR > 5,5, TP < 10 % • 10 mg de Konakion en i.v. le 03.12.2018 • Sous Metoprolol 50 mg 1-0-1-0 • 04.12.2018 : INR 1.4, TP 52 % • Eliquis dès le 10.12.2018 Cardiopathie dilatée d'origine indéterminée, rythmique et hypertensive • ETT 10.11.2016 : FEVG 30 %, fonction systolique globale sévèrement diminuée sur hypokinésie diffuse marquée. • FA paroxystique ST sous-décalée latérale V5 V6 connue Insuffisance rénale AKIN I d'origine probable pré-rénale • Créatinine 148 mmol/l • eGFR 45 ml/min/m2 Hydratation 1500 ml/j Traitement en soins palliatifs • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 60 % • Problématique principale démence • Orientation planifiée : retour à domicile avec Voltigo, soins à domicile le plus long possible et éventuellement courts séjours Villa St. François. Le patient n'est pas informé du diagnostic. D'accord avec sa référente, Mme. Y, pas de diagnostic poussé sur le cancer du poumon ne sera entrepris, mise en place d'un traitement symptomatique et palliatif uniquement. Suivi par Dr. X Médecin référent Voltigo : Dr. X Protocole urgence pour dyspnée et angoisse Chute avec état confusionnel sous Eliquis le 10.12.2018 CT crâne natif (11.12) : pas de saignement Suivi biologique S/p varicectomie genou G S/p probable TVP S/p probable spasme oesophagien sur hernie hiatale en 05/2018 S/p varicelle S/P 1 Accouchement par voie basse en 1997 S/P 1 Accouchement par voie basse en 1999 S/P 2 accouchements par voie basse S/P fausse couche avec curetage à 8 2/7 semaines d'aménorrhée S/p 2 césariennes S/p ablation de la matrice et de l'ovaire G en 1992 BAV Mobitz II transitoire durant la coronarographie du 06.11.2018 Hématome inguinal droit post-coronarographie le 06.11.2018 S/p 2 CS pour PE sans HTA chronique S/P 2 cycles de chimiothérapie par Carboplatine et Taxol du 09.08 au 13.09.2018. S/P 3 cycles de chimiothérapie par Paraplatine, Taxol et Avastin du 17.05 au 17.07.2018 S/P 3 cycles supplémentaires par Paraplatine, Taxol et Avastin du 08.03 au 03.05.2018 S/P Epanchement pleural droit exsudatif d'origine néoplasique, ponctionné le 25.01.18 S/P Hystérectomie le 11.12.17 • Prolapsus utérin et cystocèle degré III • Pas de lésion histologique notable S/P Hématochézie sur diverticulite, traitée par antibiotique en août 2013. S/P Hématochézie d'origine probablement sur diverticule sous anticoagulation en décembre 2012. S/P AVC en 1997. (Diplopie. Maintenant symptomatique seulement si fatigue). S/P Sarcoïdose pulmonaire en 1982. S/P Opération pour kyste au sein en 1972. S/P Appendicectomie 1957. S/P 3 AVB (1964,1967, 1970) S/P 2 cycles de chimiothérapie par Carboplatine et Taxol du 09.08 au 13.09.2018. S/P 3 cycles de chimiothérapie par Paraplatine, Taxol et Avastin du 17.05 au 17.07.2018 S/P 3 cycles supplémentaires par Paraplatine, Taxol et Avastin du 08.03 au 03.05.2018 S/P Epanchement pleural droit exsudatif d'origine néoplasique, ponctionné le 25.01.2018 S/P Hystérectomie le 11.12.17 (Dr. X) • Prolapsus utérin et cystocèle degré III • Pas de lésion histologique notable (pathologie externe) S/P Hématochézie sur diverticulite, traitée par antibiotique en août 2013. S/P Hématochézie d'origine probablement sur diverticule sous anticoagulation en décembre 2012. S/P AVC en 1997. (Diplopie. Maintenant symptomatique seulement si fatigue). S/P Sarcoïdose pulmonaire en 1982. S/P Opération pour kyste au sein en 1972. S/P Appendicectomie 1957. S/P 3 Accouchements par voie basse (1964, 1967, 1970) S/P 2 fausses couches curettées S/P 3 accouchements par voie basse en 2004, 2009, 2011. S/P hystérectomie totale avec annexectomie bilatérale il y a 30 ans. S/P 3 césariennes avec stérilisation tubaire S/P 5 fausses couches dont 3 curetées Spasme oesophagien. Spasmes coronariens d'origine indéterminée avec : • hypokinésie inférieure à l’écho de stress 10.12.2018 isolée Spasticité à l'auscultation dans un contexte de virose anamnestique. 2 aérosols : Atrovent et Ventolin. Attitude : • traitement par Symbicort durant 1 semaine. • organiser fonctions respiratoires à distance de l'événement. SPECT CT du 27.11.2018 (PACS) : Absence de pseudarthrose ou d'inflammation sacro-iliaque D. SPECT CT le 12.12.2018 Ostéodensitométrie en rhumatologie (merci de convoquer le patient) Prochain contrôle le 18.12.2018 Speculum à l'entrée : présence de bouchon muqueux, pas de liquide, Actim Prom positif US à l'entrée : présentation céphalique, dos à droite, placenta antérieur, bonne vitalité Laboratoire du 22.12.2018 : CRP < 5 mg/l, Lc 9.8 G/l, Hb 121 g/l, Tc 161 G/l Hb post-partale : 88 g/l Streptocoques du groupe B négatif le 19.12.2018 Sérologies : Toxo non immune ; CMV non immune ; Rubéole immune ; VDRL négatif ; HBS négatif ; HCV négatif ; HIV négatif ; Varicelle faite. Boostrix inconnu Speculum : col long post, écoulement de pertes brunâtres depuis le col, pas de saignement actif CTG : R-NP, pas de CU US abdominale 04.12.18 : Présentation céphalique d'un foetus eutrophique avec PFE 804 g (P32), placenta post latéral D à 18 mm de l'OI, pas de signe de décollement ou hématome, Manning 8/8, IR omb 0.75, vit ACM 32 cm/sec US trans-vaginale 04.12.18 : col 50 mm stable au valsalva US abdominale 05.12.18 : Présentation transverse d'un foetus eutrophique avec PFE 902 g, placenta antérieur haut sans signe de décollement, Doppler ombilical et cérébraux en ordre, V ACM < 1.29 MoM Hb foetale du 04.12.18 : 9 Hb foetale du 05.12.18 : 0 Laboratoire du 04.12.18 : Leucocytes 13.8 G/l, Hémoglobine 104 g/l, Thrombocytes 255 G/l, CRP < 5 mg/l, Crase en ordre. Groupe sanguin : O +, AC irréguliers négatifs le 04.12.18 Sérologie : Rubéole immune, AC syphilis négatif, HBV : vaccinée, HCV négatif, HIV négatif, Varicelle faite Recherche thalassémies : en cours Spirométrie Suivi pneumologique dans 6 mois (patiente sera convoquée) Spirométries les 28.08, 09.10 et 16.10.2018 Spiriva 18 mcg dès le 11.10.2018 Majoration du Seretide 500 ug à 1 dose 2x/jour Évolution favorable (cf spirométrie du 16.10.2018) Spirométrique : 230 avant et 250 après aérosol (technique insuffisante) Splénectomie en 2003 • vaccin contre le Pneumocoque en 2010 Status après laparoscopie diagnostique + EBM + kystectomie paratubaire droit en 2016 Status après hystéroscopie opératoire avec cure de synéchie et résection de 2 polypes (cystadénofibrome séreux sans atypie) en 2016 Splénectomie en 2006 Ancienne consommation à risque d'alcool Appendicectomie Abcès P1D1 main D sur une plaie avec suspicion de corps étranger le 19.12.2017 Stérilisation par laparotomie de Pfannenstiel en 1986 env. Curetage pour fausse couche en 1984 Cholécystectomie en 1975 Splénectomie 2006 Ancienne consommation à risque d'alcool Stérilisation par laparotomie de Pfannenstiel en 1986 env. Curetage pour fausse couche en 1984 Cholécystectomie en 1975 Abcès P1D1 main D sur une plaie avec suspicion de corps étranger, le 19.12.2017 • Exploration, Débridement, Prélèvement microbiologique, rinçage et suture primaire (OP le 20.12.2017) Spondylarthrite ankylosante Spondylarthrite ankylosante axiale et périphérique : • Début des symptômes à 18 ans • Réorientation du diagnostic, précédemment polyarthrite rhumatoïde séronégative • Bonne efficacité mais effets secondaires psychiatriques du Remicade et du Simponi • Réaction allergique sous Enbrel • Xeljanz non toléré avec céphalées et nausées, peu d'effet sur les enthésites • Actuellement sous Cosentyx Spondylarthrite ankylosante axiale et périphérique : Hernie discale L4-L5 avec compression de la racine L5 à droite le 08.08.2018 : • lombosciatalgie et hypoesthésie du territoire L5 à droite. • cure hernie discale L4-L5 à droite (OP le 17.08.2018). Spondylarthrite ankylosante sous Simponi (introduit le 03.10.2018) • Suivie par Dr. X (St-Imier) Spondylarthrite ankylosante. Syndrome de Sjögren. Cervicarthrose avec pincement C2-C3, C5-C6. Lipome para facial gauche. Insuffisance veineuse des membres inférieurs. Spondylarthrite diagnostiquée en novembre 2016 à prédominance axiale sous anti-facteur de nécrose tumorale (dernière dose en mai 2017) Hypertension artérielle traitée Migraine avec et sans aura (depuis l'âge de 3 ans) Spondylarthrite traitée par Embrel 50 actuellement sans traitement (diagnostic en 2012) Spondylarthropathie axiale et périphérique • Psoriasis cutané connu Spondylarthropathie HLA-B27 négative, pas d'enthésite aux IRM effectuées • traitée par Humira (2013 : stop pour toxidermie), Simponi 2014-2015, Enbrel 2016 (manque d'efficacité) • bonne réponse à Remicade, stoppé pour diminution de l'efficacité depuis sept. 2018 • actuellement : pas de ttt de fond, en attente de colonoscopie pour évaluation d'une colopathie sous-jacente (calprotectine augmentée avec syndrome inflammatoire chronique), avant une éventuelle introduction du Cosentyx Spondylarthrose multi-étagée avec canal lombaire étroit avec occlusion complète du canal lombaire à la hauteur L3-L4 et L4-L5 pour une spondylarthrose et hypertrophie du ligament jaune ainsi qu'une protrusion discale diffuse. Spondylarthrose sévère avec hernie de type extrusion L5-S1 paramédiane gauche : • Décompensation de l'articulation sacro-iliaque G chez une patiente connue pour une spondylarthrose sévère Myélographie dorso-lombaire fonctionnelle et myélo-CT dorso-lombaire, CT sacrum et bassin du 30.10.2018 (Centre d'imagerie médicale de Fribourg) : sténose serrée du canal central à l'étage L3/L4, multiples bulging discs à tous les niveaux entre L1 et S1 ainsi qu'à l'étage D11/D12, sténose serrée à la sortie du tour de conjugaison L5/S1 à gauche. • Infiltration sous guidage CT le 03.11.2017 par le Dr. X au niveau L5 gauche. • Décompression par laminectomie L5 et microdiscectomie L4-L5 gauche le 05.07.2010 (Dr. X) pour sténose dégénérative L4-L5, L5-S1 associée à une hernie discale L4-L5 gauche. • Discectomie antérieure et mise en place d'une cage Mosaïk C6-C7 après décompression d'une hernie discale gauche le 02.08.2007. • Scoliose à convexité gauche centrée sur L3-L4 avec discopathie sévère de L3-S1. • Spondylarthrose sévère. • Petite hernie de type extrusion L5-S1 paramédiane gauche. • Infiltration sous guidage CT le 03.11.2017 par le Dr. X au niveau L5 gauche. • Colite microscopique lymphocytaire et à collagène : • Colonoscopie avec biopsies le 31.01.2017. • Ostéoporose fracturaire : • FRAX Score : probabilité (10 ans) de fracture ostéoporotique majeure 52 %, col du fémur 22 %. • Facteurs de risque : traitement par Entocort pour une colite microscopique, multiples infiltrations épidurales. • Fracture de l'aileron sacré à droite le 16.10.2017. • Spondylodèse L2-L3 à la fin des années 1990. • PTH D en juillet 2017 (Dr. X). • Bursite septique genou D à Staph. aureus S à l'Augmentin : • bursectomie, lavage le 08.10.2016 (Dr. X, HFR Riaz). • Spondylodèse L4-L5 à la fin des années 1990. • PTH D le 19.07.2017. • Bursite septique du genou D à Staphylocoques aureus sensible à l'Augmentin en octobre 2016. • Brèche durale le 23.11.2018 avec colmatage per-opératoire par tampon neurochirurgical et lit strict 48h. • Spondylodèse L4-L5 par système Romeo MIS (vis 6.0/50). • Discectomie L4-L5 et mise en place d'une cage TLIF Juliet hauteur 12, pré-remplie au Ceracell (OP le 23.11.2018). • Spondylodèse L4-S1 et décompression par laminectomie L5 le 01.06.2015. • Multiples embolies pulmonaires bilatérales le 22.09.2014. • Cure d'hernie inguinale gauche en 2009. • Mastectomie gauche pour cancer du sein gauche en 1985. • TVP post-partum. • Stripping MI. • Neuronitis vestibulaire gauche. • Bornholm Syndrom à Coxsackie en 2005. • Tendinite de de Quervain pouce G. • Tachycardies supraventriculaires à ré-entrées en 2005 avec cardioversion par adénosine. • Hallux valgus pied G. • Cure de hallux valgus en mini-invasive (OP le 15.11.2016). • Spondylodèse postérieure L4-L5 pour discopathie dégénérative L4-L5 associée à une volumineuse hernie discale médiane et paramédiane bilatérale. • Spondylodiscite. • Spondylodiscite à germe indéterminé 17.11.2017. • Spondylodiscite D6-D7 à E. faecalis consécutive à la dissémination d'une ancienne infection urinaire (2014) : • Antibiothérapie par Vancomycine, Rocéphine, Clamoxyl durant 6 semaines. • Probable endocardite associée. • Spondylodiscite niveau L4-L5 : • contexte de canal lombaire étroit dégénératif. • Spondylodiscite tuberculeuse T8-T9. • Nodules pulmonaires apicaux supérieurs à droite d'une maladie tuberculaire. • Spondylodiscite T6-T7 à E. coli (PCR positive) avec abcès péri-vertébral le 19.11.2018 : • lésion abcédée des corps vertébraux T6-T7 et du disque intervertébral. • Paraplégie aiguë d'origine incertaine (infectieuse/ischémique) sur atteinte spinale antérieure au niveau D3-4 (atteinte sensitive touché-piquer, froid) depuis le 22.11.2018. • Spondylodiscite T6-T7 à E. coli (PCR positive) avec abcès péri-vertébral le 19.11.2018 : • lésion abcédée des corps vertébraux T6-T7 et du disque intervertébral. • Paraplégie aiguë d'origine incertaine (infectieuse/ischémique) sur atteinte spinale antérieure au niveau D3-4 (atteinte sensitive touché-piquer, froid) depuis le 22.11.2018. • Spondylodiscite T6-T7 avec abcès péri-vertébral à E. coli (PCR positive) le 19.11.2018 : • lésion corps vertébral T6-T7 et disque intervertébral; abcès au contact de l'aorte descendante. • Paraplégie aiguë d'origine vasculaire-ischémique versus infectieuse le 22.11.2018 : Atteinte spinale antérieure au niveau du D3-4 (atteinte sensitive touché-piquer, froid). • Spondylolisthésis L5-S1. • Endométriose. • Mycose vaginale. • Spondylolyse L5 (complète d'un côté, incomplète de l'autre) traitée par un corset. • Sportusal crème. • Antalgiques. • Explication de consignes de surveillance / signes de gravité. • Spot à pister. • Suspension des diurétiques. • US rénal : pas de dilatation pyélo calicielle ni de signes de souffrance rénale. • Hydratation, suivi biologique. • Spot : FeNa <0.1%. • Sédiment : plusieurs cylindres hyalins. Attitude : • Hydratation intraveineuse. • Stop médicament néphrotoxique (sartan). • Adaptation des traitements à la fonction rénale. • Spot. • Laboratoire. • Hydratation 1000 ml NaCl 0.9 % aux urgences. • Spot urinaire. • Spot urinaire. • Spot urinaire. • Spot urinaire : à pister. Attitude : • Hydratation (FEVG à 58 % en 2013). • Surveillance créatinine. • Spot urinaire / contrôle labo. • Spot urinaire : Fe urée à 47 %. • GFR selon MDRD 32 ml/min, et selon CKD EPI à 29 ml/min. • Hydratation orale. • Suivi biologique. • Adaptation posologie Xarelto. • Spot urinaire : fe Urée 50 %. • Contrôle de la créatinine en fin de semaine chez son médecin traitant. • Spot urinaire : osmolalité urinaire 340 mosmol/kg, natriurie à 21 mmol/l. • Restriction hydrique 1 L / 24 heures. • Suivi biologique. • Spot urinaire à faire. • Hydratation. • Contrôle biologique le lendemain. • Spot urinaire à pister. • Spot urinaire à pister. • Sédiment urinaire : à pister. • US vésical (Dr. X) : vessie 200 ml. Attitude : • Sédiment urinaire à pister. • Suivi biologique au secteur ambulatoire des urgences le 23.12.2018. • Pas de modification des traitements habituels : à revoir selon évolution. • Hydratation per os. • Spot urinaire : ATT : • Mise en suspens Esidrex (contenu dans le co-aprovel). • Spot urinaire : en cours. • Spot urinaire : en cours. La patiente reçoit du gluconate de calcium avant son transfert aux SI. L'insuline glucose est débutée aux SI. • Spot urinaire en cours. Thérapie : • Hydratation i.v. • Spot urinaire : FE, Na 0.2 % Fe urée 30 %. • Spot urinaire : Fe Urée . • Hydratation IV. • Spot urinaire : Fe Urée 39.8 %. • Losartan à reprendre dès le 27.12.2018. • Spot urinaire : Fe Urée à 21.6 % (possible composante prérénale aiguë). • Adaptation du traitement médicamenteux. • Suivi biologique. • Spot urinaire : Fe Urée à 21.6 % (prérénale). • Adaptation du traitement médicamenteux : diminution de Januvia à 50 mg/j. • Adaptation diurétiques. Merci d'effectuer un contrôle biologique début janvier 2019. • Spot urinaire Fe Urée 26 %. • Sédiment urinaire : pas de protéine, quelques cylindres hyalins. • US aux urgences (Dr. X) : pas de dilatation des voies urinaires. Mr. Y urine spontanément. Attitude : • Néphrotrans à l'étage. • Spot urinaire : fraction d'éjection de l'urée 4 %. • Réhydratation et contrôle de la créatinine. • SPOT urinaire. • Hydratation. • Spot urinaire. • Hydratation i.v. • Contrôle biologique à 1 semaine chez le médecin traitant. • Spot urinaire le 13.12.2018 : restriction hydrique à 1000 ml / 24 h. • Spot urinaire 07.12.18 : mise en suspens Esidrex. • Spot urinaire. • Hydratation. • Spot urinaire. • Hydratation. • Spot urinaire : • Hydratation IV. • NaCl caps. • Spot urinaire. • Sédiment urinaire : protéines +, pas de cylindre. • Spot urinaire. • Sédiment urinaire.ATT • contacter MT pour avoir info dernières créat • Spot urinaire • Suivi biologique • Bactrim forte pour 3 jours • spotting à 10 SA • Spotting sur atrophie endométriale dans contexte de contraception par dépôt-Provera le 04.06.2018. • Hospitalisation à caractère psycho-social dans le contexte de suspicion d'abus sexuel le 03.06.2018. • Lithiase urinaire droite en juin 2016, status post-sonde double JJ à l'Hôpital Daler. • Condylomes vaginaux et anaux traités par vaporisation au laser le 12.06.2015. • Cholécystectomie pour cholécystite en 2015. • Appendicectomie en 1997. • Spot-urinaire le 13.10.2018 : macroalbuminurie (1102 mg/urine 24h) • Laboratoire le 26.11.2018 : créatinine 404 mcmol/l, urée 40 mmol/l • Avis néphrologique : Pas d'indication à une dialyse • St. n. analer Blutung am ehesten im Rahmen von Hämorrhoiden • Hexagon-Test 09.11.2016 : Positiv • Gastro-/Kolonoskopie 11.11.2016 : Divertikel, 3 Polypen, Hämorrhoiden. Eine aktuelle Blutung konnte nicht nachgewiesen werden. Histologie (P12121.16 promed) : Die 3 Polypen (2 von Colon ascendens, 1 vom Sigma) sind tubuläre Adenome der Kolonschleimhaut mit leichter Epitheldysplasie. • St. n. totaler Hüftprothese rechts 2006 • Zona thoracique droit sur dermatome T3-T4 en décembre 2017 • traité par 7 jours de Valaciclovir • St. n. Appendektomie, wahrscheinlich im Rahmen einer Peritonitis 1989 • St. n. Appendektomie • St. n. Tonsillektomie • St. n. OSG-Fraktur links 1975 • St. n. Lungenembolie 2007 • Clexane pour 6 mois, Marivarin pour 1 an, ensuite Aspirin sans restriction temporelle • Schwindel mit Erbrechen DD muskulär-nuchal, benigner paroxysmaler Lagerungsschwindel • Epley-Manöver auf der NFS : sans Nystagmus, sans Schwindelauslösung • Symptomatische thérapie • Anamnèse de thrombophilie • St. n. douleurs du pied droit 04.12.2012, Genese unklar. • St. n. naissance spontanée 2010 2013. • St. n. Appendektomie 2011 • Lumbago gauche sans déficit moteur et avec hypesthésie L4-S1 • St. n. Tonsillitis • Hémisyndromes gauches sensitifs-moteurs DD fonctionnels, psychogènes • v.a. lésion du tendon rotulien genou gauche • Rx genou : pas de lésion osseuse • Analgésie • Échographie le 16.07.2018 • Contrôle chez Dr. X • St. après gonarthrose, insuffisance rénale nécessitant dialyse • St. après fracture supracondylienne du coude droit (avec traitement conservateur : plâtre de bras) 2015 • St. p. PTH droite en février 2012 • St. p. hémilaminectomie D3/4 en 1990 • St. p. ulcus cruris bilatéral insuffisance veineuse chronique • St. p. prothèse gléno-humérale droite • St. p. CCK et APP • St. p. hystérectomie • St. p. cure de varices bilatérale et TVP gauche • St. p. opération de la cataracte bilatérale • St. p. crise hypertensive en 2012 • St post-cholecystectomie • St. post-fracture costale 7 et 8 re 27.03.2016 • Lombalgie non déficitaire • St. post-trépanation des hématomes sous-duraux chroniques bilatéraux (2007) • St. post-opération de la vessie pour incontinence urinaire et fécale • St. post-polyarthrite symétrique • d'origine probablement microcristalline • pseudoméningite suite à une inflammation sous-ligamentaire C2 • Insuffisance rénale (chronique stade IIIb) en 01/17 • Possible nodule scissure pulmonaire gauche • découverte radiologique fortuite le 10.01.2017 • St post-cure d'hernie inguinale droite • État confusionnel à prédominance nocturne dans le contexte de l'hospitalisation le 25.05.2018 • Hypotension orthostatique d'origine multifactorielle (chimiothérapie, dysautonomie végétative de la maladie de Parkinson, déshydratation, alitement) en juin 2018 • ST sous-décalée latérale V5 V6 connue • Stabilisation par clou PFNA long fémur gauche à but prophylactique • OP le 04.12.2018 • Stagnation de la saturation à 92% après la prise de Betnesol. • surveillance 3h aux urgences avec légère amélioration de la saturation et amélioration de la toux. • Syndrome cutané de l'échelle staphylococcique • Traumatisme abdominal • Bilan biologique : aligné hormis LDH à 601 • Sédiment urinaire : pas d'hématurie • Urotube en cours • Staphylococcus hominis 10^4 • Stase veineuse le 26.12.2018 : • dans le contexte de fracture du radius distal droit non déplacée extra-articulaire le 23.12.2018 • Statine • Statine pour LDL-cholestérol < 1.8 mmol/l • Statistiques ResScan du 04.12.2017 au 03.12.2018 • 119 jours de non-utilisation sur 365 au total • Utilisation moyenne quotidienne 4h04 • 57% des jours employés >4h • Fuites médianes 4.8 l/min, fuites au 95ème centile 36 l/min • Polygraphie nocturne sous ASV le 03.12.2018 • Index d'apnées/hypopnées du sommeil : 16.8 /h avec 9.4 /h hypopnées, 2.1 /h apnées obstructives, 1.7 /h apnées mixtes, 3.7 /h apnées centrales • Index de désaturation en oxygène 13.3 /h • Ronflements 0.4 % • SpO2 moyenne 94.6 %, durée SpO2 < 90 % = 0.4 % • Pouls moyen 54.3 bpm • Statistiques ResScan du 03.12.2018 • Durée de l'enregistrement 8h55min • Fuites médianes 2.4 l/min, fuites au 95ème centile 25.2 l/min • Capnographie sous ASV du 03.12.2018 : SaO2 moy 98 %, tcpCO2 moyenne 5.7 kPa • Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil : pH 7.45, PaCO2 4.6 kPa, PaO2 9.4 kPa, HCO3- 24 mmol/l • Fonctions pulmonaires complètes du 04.12.2018 : pas de trouble ventilatoire obstructif ni restrictif (VEMS 3.39l, 116% du prédit), DLCOc normal (93 % du prédit) • Commentaire : Examen de bonne qualité technique. • Statistiques ResScan sous CPAP à pression fixe à 10 cmH20 du 17.10. au 11.12.2018 • 32 jours de non-utilisation sur 56 au total • Utilisation moyenne quotidienne 3h14 (jours utilisées) • 12.5 % des jours employés >4h • Durée moyenne journalière des fuites importantes : 0s • Paramètres de ventilation : • BiPAP autoSV, EPAP 5 cmH2O, AI 8 à 15 cmH2O, fréquence respiratoire 15/min • Polygraphie nocturne sous ASV du 12.12. au 13.12.2018 • Index d'apnées/hypopnées du sommeil : 28.1 /h avec 2015 événements (190 hypopnées, 2 apnées obstructives, 13 apnées centrales) • Index de désaturation en oxygène 32.9 /h • Ronflements 2.8 % • SpO2 moyenne 94.1 %, durée SpO2 < 90 % = 0.9 % • Pouls moyen 65 bpm • Statistiques ResScan sous ASV du 12.12. au 13.12.2018 • Durée de l'enregistrement 9h50 min • Pourcentage moyen de fuites importantes : 0% • Ventilation minute moyenne 8.5 l/min, fréquence respiratoire moyenne 15.4/min • Capnographie sous ASV du 12.12. au 13.12.2018 : SaO2 moy 96.1%, pCO2 moyenne 6.6 kPa • Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil le 13.12.2018 : pH 7.47, PaCO2 4.6 kPa, PaO2 14.5 kPa, HCO3- 24 mmol/l • Commentaire : Examen de bonne qualité technique. • Statut post-prothèse totale de la hanche gauche non datée • Status post-empyème pleural droit à Bactéroïdes en 2016 : • status post-thoracoscopie, mini-thoracotomie, décortication pleurale du lobe supérieur et inférieur droit le 03.06.2016 (Inselspital Bern) • Status post-sepsis sévère sur pneumonie bilobaire communautaire avec défaillance d'organes (insuffisance rénale et hépatique) le 05.03.2012 • Status post-bactériémie à Staphylocoque doré (MSSA) à point de départ cutané (panaris pouce gauche) versus contamination le 05.03.2012 • Status post-méningite en 1999 • Status post-perforation sigmoïdienne avec péritonite stercorale des 4 quadrants avec • status post-laparotomie exploratrice avec résection sigmoïdienne selon Hartmann le 08.06.2017 • Rétablissement de continuité le 12.01.2018 • Statut • Statut : pas de signes infectieux, fibrine en quantité modérée, bonne évolution clinique • Curetage de la brûlure avec ablation fibrineuse et désinfection • Pansement gras avec Bepanthène à changer tous les 2 jours • Contrôle chez le MT début semaine prochaine et en policlinique chirurgie le 27.12.2018 à 15h • Statut : pas de signes infectieux • Pansement gras avec Bepanthène à changer tous les 2 jours • Contrôle clinique FUA à 10h30 le 19.12 • Statut / sédiment urinaire : négatif (pas de nitrites, pas de leucocytes ni globules rouges) Status abdominal Laboratoire Sédiment urinaire: Ad buscopan aux urgences Hydratation IV RAD avec ttt symptomatique et hydrat per os +++ Status abdominal sp Buscopan, Primperan Status après abcès pubien drainé sous anesthésie générale en 2016 Status après occlusion chronique de l'artère centrale de la rétine droite découverte en 2015 (bilan chez le Dr. X et avis du Dr. X: recherche thrombophilie négative, dopplers nx des art carotides, vert et sous-clavières) Status après accouchement par voie basse, garçon de 3200 g à 38 4/7 semaines d'aménorrhée en 2011 Status après interruption volontaire de grossesse par curetage à 8 semaines d'aménorrhée en 2009 Status après accouchement par voie basse, garçon de 3220 g à 39 semaines d'aménorrhée en 2009 Status après accouchement par voie basse, fille en 2005 Status après accouchement par voie basse, garçon en 2004 Status après accident de la voie publique à haute cinétique le 06.02.2014 avec: • fracture du sinus maxillaire gauche avec hématosinus; fracture du plancher orbitaire gauche; fracture de l'arc zygomatique gauche avec repositionnement de la fracture et ostéosynthèse le 07.03.2014 • fracture du plateau tibial droit avec atteinte intra-articulaire avec réduction fermée et ostéosynthèse en mini-invasif par plaque LISS du tibia le 13.02.2014 • fracture ouverte de degré I selon Gustilo du fémur distal gauche avec débridement de la plaie ouverte, rinçage, fermeture et mise en place d'un fixateur externe fémoro-tibial gauche le 07.02.2014 • réduction sanglante ostéosynthèse du bloc fémoral par vis et plaque du fémur gauche le 13.02.2014 • fracture non déplacée postéro-inférieure du cotyle gauche avec saignement intramusculaire • traumatisme de décélération cervicale. Volumineux goitre nodulo-kystique avec fonction euthyroïdienne. Thyroïdectomie totale bilatérale avec neurostimulation 23.11.2016. Status après accident de moto il y a 10 ans avec le 06.05.2012: • fractures multiples (petit trochanter, fémur droit et branche ilio-pubienne) • fractures des côtes 6 à 10 à droite, avec contusion pulmonaire basale droite • fracture Neer type I de la clavicule droite • traumatisme crânien • contusion rénale et hépatique avec élévation des enzymes de cytolyse et micro-hématurie. Status après accouchement par voie basse en 2007 Status après accouchement par voie basse en 2003 Status après 3x laparoscopie pour endométriose Status après adénocarcinome de la prostate traité par radiothérapie (2006) Récidive de FA paroxystique et décompensation cardiaque gauche le 04.11.2017 sur arrêt des traitements Pneumopathie interstitielle d'origine probablement médicamenteuse (Amiodarone) le 28.02.2018 Status post-pneumopathie interstitielle d'origine probablement médicamenteuse (Amiodarone) le 28.02.2018 • CT thoracique injecté le 09.05.2018: altération du parenchyme pulmonaire évoquant une fibrose, avec des bronchectasies Dilatation anévrismale de l'aorte et des artères iliaques • CT thoracique le 14.05.2018: disparition de l'infiltrat pulmonaire en verre dépoli mais persistance d'une distorsion parenchymateuse principalement dans la région sous-pleurale évoquant une fibrose. Quelques petites adénopathies médiastinales (cf. commentaires) Hépatite aiguë le 05.03.2018 d'origine médicamenteuse (Co-Amoxicilline) Insuffisance rénale aiguë le 28.02.2018 d'origine pré-rénale Bradycardie sous bêta-bloquant le 28.02.2018 Suspicion de rebond à l'arrêt des corticoïdes le 27.03.2018 Traumatisme simple le 24.05.2018 avec: • plaie pariéto-occipitale • CT cérébral natif (Dr. X): pas de saignement, pas de fracture au niveau crânien ou cervical; rachis cervical d'allure très dégénérative Haute suspicion d'une mycose oesophagienne le 02.05.2018 • DD immunosuppression haute dose sous Prednisone, néoplasie Suspicion de pneumonie le 12.06.2018 Lésion de la coiffe des rotateurs épaule gauche (suspicion fracture Bankart ancienne) Status après amnésie globale transitoire le 06.09.2014 avec: • amnésie antérograde sur environ 6 heures, avec phénomène de questions répétitives. Status après cures d'hémorroïdes à 4 reprises (ligatures). Status après opérations itératives de deux genoux. Présence d'iléostomie à double canon en fosse iliaque droite. Eviscération couverte médiane sus-ombilicale. Status après hémicolectomie gauche et anastomose transverso-rectale latéro-terminale à l'agrafeuse par laparotomie le 28.04.2017 pour dolicho-côlon sigmoïdien, diverticulose sigmoïdienne et reprise à J3 pour fuite anastomotique avec confection d'une iléostomie de protection. Status après résection d'un polype de l'angle splénique avec haut degré de dysplasie en juin 2016. Status après fermeture d'iléostomie, cure d'éviscération couverte par adhésiolyse et pose d'un filet Progrip rétro-musculaire (sublay) le 24.08.2017. Infection urinaire à Klebsiella Pneumoniae le 03.09.2017 avec rétention urinaire à 900 ml le 04.09.2017, résidu post-mictionnel à 200 ml après ablation de la sonde vésicale. Episode de tachycardie supraventriculaire à 150/minute le 26.08.2017. Status après cure d'éventration sus-ombilicale avec filet le 24.08.2017. Status après hémicolectomie gauche par laparotomie le 28.04.2017, avec reprise le 01.05.2017 pour fuite anastomotique. Status après anémie ferriprive IVRS le 17.04.2017 DD: bronchite asthmatiforme débutante Status après annexite sur infection à Chlamydia il y a 20 ans Status après salpingectomie gauche lors du bilan pré-FIV. Status après césarienne en 2009 sur une pré-éclampsie à 34 semaines d'aménorrhée d'une grossesse gémellaire sur fécondation in vitro. Status après conisation pour dysplasie en 1999. Status après fracture de la tête radiale et de l'olécrâne gauches. Status après appendicectomie en 1957. Status après amygdalectomie et végétations en 1958 et 1959. Status après cure de hernie inguinale gauche en 1971. Status après alcoolisme chronique entre 1995 et 1996, sevrage alcoolique en 2001. Status après cure d'hémorroïdes en 1998. Status après turbinectomie bilatérale en 2000. Status après cure de hernie inguinale gauche en 2006. Status après rectocoliques. Status après TURP pour hyperplasie bénigne de la prostate de grade 2 le 06.09.2017. Status après prostatite chronique récidivante. Status après appendicectomie en 1965. Status après hystérectomie en 2000. Status après cure d'hallux droit il y a 30 ans, gauche en 2010. Lésion complexe du coude gauche avec : • fracture du processus coronoïde type III • arrachement du ligament collatéral interne • arrachement huméral du ligament collatéral latéral. Le 19.08.2016, Dr. X : ostéosynthèse du processus coronoïde par plaque LCP 2.0 en T. Réinsertion du ligament collatéral interne avec deux ancres Twin-Fix 1.5 mm. Réinsertion du ligament collatéral latéral. Status après appendicectomie en 1997. Pancolite à Campylobacter Coli positif. Réaction allergique sous morphine/Rocéphine. Gastro-entérite virale le 04.09.2016. Status après appendicectomie en 2001. Status après 2 IVG (mai et octobre 2017). Gastrite le 26.10.2017. Status après appendicectomie. Fracture Weber B de la malléole externe et fracture peu déplacée de la malléole postérieure, cheville gauche. Le 01.03.2012, Dr. X, Dr. X : réduction à ciel ouvert et ostéosynthèse. Status après arthrodèse four corner poignet G en 2006. Status post APP et cure HID dans l'enfance. Status après arthroplastie de la hanche droite et du genou droit. Status après phakectomie bilatérale sur cataracte congénitale. Status après fracture sous-capitale de l'humérus droit ostéosynthésée en 2009. Status après cure de hernie discale cervicale. Status après arthroscopie du genou droit en décembre 2011. Status après méniscectomie subtotale interne du genou droit sur genu varum. Le 27.03.2012, Dr. X : ostéotomie de valgisation par ouverture du tibia proximal. Status après arthroscopie du genou gauche en 2007. Status après arthroscopie du genou gauche. Status après curetage en 2013. Status après prothèse unicompartimentale médiale du genou droit le 31.01.2014. Status après AVC en 2008. CA de la vessie, opéré avec un replacement de la vessie en 1996. Status après AIT probable en 2016 (aphasie nominale, troubles de l'équilibre). Suspicion d'une sténose urétrale. Status après brûlure sur haut du ventre (grande cicatrice) dans l'enfance. Status après CCK en 2011, avec reprise chirurgicale pour abcès du site opératoire. Status après laparotomie médiane sus-/sous-ombilicale avec annexectomie bilatérale pour tumeur de la granulosa de l'ovaire gauche FIGO en 2010. Status après arthroscopie du genou droit en 2001. Status après dermohypodermite du membre inférieur droit en 2001. Status après deux accouchements par voie basse eutociques. Status après césarienne pour CTG pathologique, garçon de 3600 g en 2010. Status après IVG par curetage en 2006. Status après IVG par curetage en 2004. Status après fausse couche tardive à 14 SA en 2017. Césarienne en urgence pour CTG suspect le 29.10.2018 à 39 3/7 semaines d'aménorrhée chez une patiente, 5 gestes devenue 2 pares, de 34 ans. Utérotomie isthmique transverse basse. Crise d'asthme post-opératoire le 29.10.2018. • Aérosol d'atrovent et ventolin. Anémie spoliative à 83 g/l. Status après césarienne. Status après cholécystectomie laparoscopique en 2011. Status après cholécystectomie en 1967. Status après hystérectomie en 1980. Status après accident ischémique transitoire en mai 2012. Status après vésicopexie. Status après opération pour arthrose du pouce. Status après entorse du ligament latéral externe de la cheville droite traitée conservativement. Coxarthrose droite invalidante. Le 24.08.2012, Dr. X : arthroplastie totale de la hanche droite par voie minimalement invasive. Troubles mnésiques : • Consilium psychiatrique. Status après cholécystectomie en 2004. Traumatisme cérébral simple sur accident de la voie publique, 13.07.2015. Alcoolisation aiguë à 1,75 pour mille, 13.07.2015. Status après cholécystectomie il y a 50 ans. Perturbations des tests hépatiques et pancréatiques, probablement d'origine médicamenteuse en 2010. Anémie normocytaire normochrome possiblement rénale en 2010. Diarrhées dans le contexte de traitement antibiotique le 15.11.2018 avec : • Déshydratation légère à modérée • Associées à un état de dénutrition protéino-énergétique. Bronchite aiguë infectieuse le 16.11.2018 : • Dans le contexte de bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III sur tabagisme actif. • Sous Co-Amoxicilline 1 g 2x/j par voie orale depuis le 12.11.2018. • Co-amoxicilline 1.2 g intraveineux 3x/j du 15.11.2018 au 16.11.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur insuffisance rénale chronique de stade 3 le 15.11.2018 : • GFR selon Cockcroft-Gault : 13 ml/min. Hydratation par NaCl 0.9 %. Mise en suspens du diurétique. Status après cholécystectomie il y a 50 ans. Perturbations des tests hépatiques et pancréatiques, probablement d'origine médicamenteuse en 2010. Anémie normocytaire normochrome possiblement rénale en 2010. Diarrhées dans le contexte de traitement antibiotique le 15.11.2018 avec : • Déshydratation légère à modérée • Associées à un état de dénutrition protéino-énergétique. Bronchite aiguë infectieuse le 16.11.2018 : • Dans le contexte de bronchopneumopathie chronique obstructive de stade III sur tabagisme actif. • Sous Co-Amoxicilline 1 g 2x/j par voie orale depuis le 12.11.2018. • Co-amoxicilline 1.2 g intraveineux 3x/j du 15.11.2018 au 16.11.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN II sur insuffisance rénale chronique de stade 3 le 15.11.2018 : • GFR selon Cockcroft-Gault : 13 ml/min. Hydratation par NaCl 0.9 %. Mise en suspens du diurétique. Status après cholécystectomie laparoscopique pour s/p cholécystite aiguë lithiasique en octobre 2013. Status après accident ischémique transitoire en 2012. Status après prothèse totale de hanche droite en 2000. Status après fascéite plantaire à droite. Status après prothèses totales des genoux en 2000 et 2004. Status après cure d'éventration de McBurney en juillet 1998 avec prothèse pré-péritonéale. Status après appendicectomie par McBurney en 1994. Status après colique néphrétique gauche sur calcul de 8 mm, pose de sonde double J le 23.08.2017. Accouchement par voie basse après provocation pour rupture prématurée des membranes à 41 2/7 semaines d'aménorrhée le 06.01.2018 chez une patiente de 29 ans, primigeste devenue primipare. Status après correction chirurgicale de l'avant-pied droit. Chirurgie abdominale du 14.12.2015 : • cholécystectomie laparoscopique • cure d'hernie ombilicale par fermeture primaire • hémorroïdectomie (3 paquets) selon Fergusson. Status après cure d'anévrisme cérébral (clippage de l'artère cérébelleuse postéro-inférieure gauche) le 01.03.2012 au CHUV. Status après cholécystectomie en 2012. Lésion du segment hépatique VI, découverte en per-opératoire (légère stéatose hépatique essentiellement macro-vésiculaire ainsi qu'une légère fibrose péri-sinusoïdale et périportale focale). Pancréatite chronique calcifiante probablement d'origine biliaire. Bilan biologique et scannographique. Antalgie. Enseignement diététique pour un régime pauvre en graisse. Macrohématurie sporadique dans un contexte de volumineux kyste rénal de 17 cm de grand axe, associé à de multiples kystes séreux simples. Le patient prendra rendez-vous à la consultation du Dr. X, urologue, pour un avis spécialisé (patient en possession du CD du CT abdominal). Status après cure de hernie discale L4-L5 gauche. Status après cure de varices en septembre 2014. Status après PTH droite en 2008. Status après cure de hernie inguinale. Status après cure de hernie inguinale bilatérale. Status après cure de hernie ombilicale en 2012. Status après urosepsis sévère avec suspicion de prostatite. Status après insuffisance rénale aiguë probablement pré-rénale dans contexte septique. Status après diarrhées non inflammatoires le 29.06.2015. Status après résection transurétrale de la prostate en novembre 2015 pour hypertrophie bénigne de la prostate. Status après cure de varices du membre inférieur gauche. Status après cure d'hallux valgus bilatérale. Hématome spontanée au niveau de la face dorsale de la main gauche de 3 cm de diamètre. Colique néphrétique droite, avec: Dermo-hypodermite pied droit datant du 30.11.2017. Status après cure d'ongle incarné aux deux gros orteils le 15.04.2014. Status après cure d'hémorroïdes en 2004. Nécrose de la tête fémorale gauche. Le 17.06.2014, Dr. X : PTH gauche. Status après deux césariennes. Status après thyroïdectomie du lobe droit. Status après cholécystectomie laparoscopique en 2015. Status après deux infiltrations lombaires pour lombalgies chroniques, la dernière le 13.11.2015 (la première 3 mois auparavant). Status après drainage d'un abcès de la face dorso-radiale de l'avant-bras distal gauche à pasteurella multocida le 17.05.2017. Status après crise d'épilepsie partielle d'origine indéterminée. Status après méniscectomie interne du genou gauche en 2009. Status après résection d'adénome tubuleux du côlon gauche en 2015. Status après subluxation rotulienne bilatérale. Status après toxoplasmose, EBV, CMV. Diverticulite non compliquée chez un patient immunosupprimé, sous Humira pour une arthrite psoriasique en juillet 2018. Bilan et suivi biologiques. CT abdominal. Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour du 06 au 10.07.2018, puis relais per-os par Augmentin et Flagyl jusqu'au 16.07.2018 inclus. Régime pauvre en fibres durant 6 semaines. Rendez-vous à votre consultation pour contrôle et organisation d'une coloscopie pour le courant du mois d'octobre. Rendez-vous à prendre à la consultation du Dr. X après la coloscopie. Status après enclouage centromédullaire d'une fracture sous-trochantérienne de fémur gauche par clou Gamma court le 11.06.2011. Status après césarienne. Status après cystectomie. Status après thyroïdectomie sur goitre, non-substitué. Status après prothèse totale de la hanche gauche. Status après réduction sur table de traction et ostéosynthèse par clou Gamma III court d'une fracture per-trochantéro - per-trochantéro-diaphysaire du fémur proximal gauche le 11.06.2011. Le 19.07.2011, Dr. X : retrait de 10 mm de la vis cervicale. Status après foraminectomie L5/S1 et ablation de kystes synoviaux en octobre 2005 (Dr. X). Status post-arthroscopie épaule gauche, ténotomie du biceps et réinsertion arthroscopique du sous-scapulaire par le Dr. X en 2015. Status post-cure de hernie hiatale en 1992, éventration sus-ombilicale en 1994, compliquée d'un abcès de paroi. Status après fracture de D12 en 2010 (en France), traitée conservativement. Status après fracture du coccyx en 2000. Contusion dorsale. Bilan radiologique, scannographique, puis IRM et urinaire. Hospitalisation en orthopédie pour antalgie et surveillance neurologique. Status après fracture du coude droit. Status après mise en place d'une prothèse partielle de la hanche gauche par voie postérieure le 12.02.2016 pour fracture Garden IV du col fémoral de la hanche gauche. Status après thrombose veineuse profonde en 2012. Status après hospitalisation au RFSM Marsens en 2002 pour épisode dépressif. Anémie normochrome normocytaire à 113 g/l d'hémoglobine le 11.03.2017. Status après fracture ouverte de la phalange distale du pouce gauche en juin 2012. Status après cure de hernie ombilicale en 1965. Hernie inguinale droite symptomatique. Le 19.12.2016, Dr. X : cure de hernie inguinale par Lichtenstein à droite. Status après canal carpien le 22.11.2018. Opération chez Dr. X. Status après fracture péri-opératoire péri-prothétique sur status après implantation de prothèse totale de hanche gauche en juillet 2013. Status après implantation de prothèses totales de hanches. Status après cure de varices des membres inférieurs bilatéraux. Status après cure de cataracte bilatérale. Descellement de la prothèse totale de hanche gauche le 23.07.2013 sur status après mise en place de cette prothèse en 1998. Carcinome basocellulaire cutané de la conque droite le 27.08.2013 Status après hernie inguinale récidivante gauche Sclérose du col vésical avec : • Status après globe vésical sur prostatisme avec Cystofix en 09.2015 • Status après résection transurétrale de la prostate et méatotomie pour hyperplasie de la prostate grade 2 et sténose du méat en 10.2014 • Status après prostato-épididymite chronique gauche • Status après deux cystites • Status après résection transurétrale secondaire le 14.12.2016 (Dr. X) Status après multiples traumatismes crâniens (juin 2015, janvier 2016) Status après polytraumatisme dans un contexte d'accident de la voie publique le 12.09.2015 avec : • Traumatisme crânio-cérébral mineur avec contusion hémorragique frontale supérieure droite • Fracture Le Fort II à droite et hémato-sinus bilatéral • Fracture du plancher orbitaire droit • Fracture sous-capitale déplacée de l'humérus droit traitée par plaque Philos • Plaie superficielle de l'arcade sourcilière droite Status après pneumonie communautaire en 04.2015 Status après fracture de l'acromion droit traitée conservativement en 2014 Status après neuronite vestibulaire Status après appendicectomie Status après cure d'hémorroïdes Status après cure de hernie inguinale bilatérale Status après cure de spermatocèle gauche et hydrocélectomie gauche en décembre 2013 pour spermatocèle symptomatique et hydrocèle gauche Status après hystérectomie. Status après appendicectomie. Status après cholécystectomie. Diverticulite sigmoïdienne. Infection urinaire basse Douleurs abdominales d'origine indéterminée DD : diverticulite Labo Avis Dr. X Antalgie simple CT abdo à 11h puis rdvs en FUA le 17.08 Status après hystérectomie totale et salpingectomie bilatérale par laparoscopie le 19.12.2017 Status après exérèse tumeur cérébrale (méningiome) en 2005 Status après interruption thérapeutique de grossesse à 21 3/7 semaines d'aménorrhée en 2005 Status après laparoscopie avec adhésiolyse en 1997 et 1998 Status après 3 accouchements par voie basse en 1990 / 1993 / 1996 Status après appendicectomie en 1975 Status après infarctus en 2016 Status après hystérectomie Status après infection des voies urinaires à E. Coli le 27.08.2014 Status après hypothyroïdie subclinique induite par l'Amiodarone le 19.08.2014, sous Euthyrox depuis Status après diarrhées aiguës le 13.08.2014 avec status post antibiothérapie du 22.07.2014 au 02.08.2014 Status après fibrillation auriculaire rapide le 06.08.2014 traitée par Diltiazem intraveineux (20 mg), remplissage (750 ml), magnésium intraveineux (5 g), Cordarone intraveineux (300 mg) avec notion anamnestique de deux thermoablations à la clinique Cécil à Lausanne Status après nécrose du 3ème orteil pied gauche le 22.07.2014 dans un contexte d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs bilatérale, gauche plus que droite, associée à : • Escarre du talon de 1cm de diamètre débutant le 22.07.2014 • Ostéomyélite du 3ème orteil pied gauche le 21.08.2014 • Double anti-agrégation (Plavix, aspirine) pour 3 mois, puis relais par Sintrom Trouble de l'adaptation dans un contexte de deuil Cholécystolithiase asymptomatique de découverte fortuite Traumatisme crânien simple : • Chez une patiente anticoagulée par Sintrom pour fibrillation auriculaire QTc à 528ms le 23.03.2018 Insuffisance cardiaque sur sténose aortique hémodynamiquement significative Laboratoires : troponines ECG Beloc ZOK augmenté à 50mg Coversum 2.5mg US cardiaque le 06.06.2018 Refus d'une prise en charge chirurgicale par la patiente Pic hypertensif à 197/91mmHg Deponit TTS 5 aux urgences Adalat aux urgences Coversum et Beloc ZOK Insuffisance rénale chronique avec clairance de la créatinine à 21ml/min selon MDRD Adaptation de traitement néphrotoxique Suivi biologique Déficit vitaminique en folates Substitution par voie orale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Orthostatisme • Déficit vitaminique • Artériopathie des membres inférieurs • Sténose aortique Physiothérapie Ergothérapie Test de Shellong le 09.06.2018 : positif Pas de bandes de contention car artériopathie des membres inférieurs Status après infection urinaire à K. pneumoniae en janvier 2017 Status après décompression par laminectomie L5 et microdiscectomie L4-L5 gauche le 05.07.2010 (Dr. X) pour sténose dégénérative L4-L5, L5-S1 associée à une hernie discale L4-L5 gauche Status après discectomie antérieure et mise en place d'une cage Mosaïk C6-C7 après décompression d'une hernie discale gauche le 02.08.2007 Status après fracture spontanée de l'aileron sacré à droite le 16.10.2017 avec extension à gauche mise en évidence le 21.11.2017 et traitement conservateur Status après iléus grêle sur bride et hernie interne avec sténose inflammatoire du jéjunum distal : • Laparotomie exploratrice, adhésiolyse, section bride, entérectomie segmentaire avec anastomose latéro-latérale mécanique en urgence le 10.07.2010 Status après résection distale de la clavicule, acromioplastie et suture du tendon du muscle sus-épineux pour syndrome sous-acromial et arthrose acromio-claviculaire, 23.11.2006 Status après fundoplicature selon Nissen 1991 Status après cholécystectomie 1991 Status après hémi-thyroïdectomie en 1976 Status après hystérectomie avec annexectomie bilatérale en 1972 Status après mastectomie préventive bilatérale en 1990 : • Soeur décédée d'un cancer du sein à 47 ans et mère ayant eu un cancer du sein Globe vésical le 16.10.2017 d'origine indéterminée : • Pas de syndrome de la queue de cheval Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec risque de chute : • Facteurs de risque de chute : • Ostéoporose fracturaire avec : • Fracture spontanée de l'aileron sacré droit le 16.10.2017 et extension à gauche le 21.11.2017 • Fracture de L2 sans tassement le 21.11.2017 • Spondylarthrose sévère • Petite hernie de type extrusion L5-S1 paramédiane gauche • Scoliose à convexité gauche centrée sur L3-L4 avec discopathie sévère de L3-S1 • Status après cure d'hernie discale en L4-L5 gauche en juillet 2010 • Déficits vitaminiques (B12, B9 et D) objectivés en octobre 2017 et substitués • Etat anxio-dépressif Status après implantation de prothèse de genou gauche en juillet 2016 (Clinique générale Fribourg) Status après insuffisance rénale aiguë anurique stade AKIN 3 sur origine mixte (diarrhées et médicamenteuse) le 12.12.2017 : • Hémodiafiltration continue du 13.12.2017 au 14.12.2017 avec status post troubles électrolytiques Status après pyélonéphrite nosocomiale le 19.12.2017 Candidose oesophagienne le 16.05.2011 Status après mastectomie gauche pour néoplasie du sein avec curage ganglionnaire en 2000 Status après hystérectomie-ovariectomie en 2001 Status après dermo-hypodermite du membre supérieur gauche sur lymphoedème chronique après curage ganglionnaire et mastectomie gauche en 2000 Status après infection urinaire basse à germe indéterminé le 11.09.2018 traité par Ciproxine Status après kyste de Baker à droite, rupturé le 12.09.2018 Anémie à 88g/l normocytaire hypochrome hyporégénérative le 14.09.2018 avec hémofecatests positifs Status après vaginose bactérienne le 28.09.2018 Status après tonsillectomie et adénoïdectomie (date indéterminée) Status après suspicion d'eczéma nummulaire avant-bras gauche le 28.09.2018 Crise de goutte cheville gauche le 25.10.2018 Infection urinaire basse à Enterobacter aerogenes le 25.10.2018 (Rocéphine 2g en intraveineux 1x/jour du 26.10.2018 au 28.10.2018, Bactrim du 28.10.2018 au 7.11.2018) Status après interruption volontaire de grossesse et deux fausses couches. Status post-bypass en 2016 (suivi par Dr. X).Status post-cholécystectomie. Status post-poses multiples de sonde double J, néphrostomie bilatérale. Césarienne pour CTG suspect le 04.09.2018 à 38 5/7 semaines d'aménorrhée après une provocation pour HTA chronique et insuffisance rénale chronique avec protéinurie en péjoration, chez une patiente 4G devenue 1 pare de 39 ans. Status après laminectomie décompressive L4 sur canal lombaire étroit L4-L5 en 2014 avec déficit moteur M4 du quadriceps ainsi que troubles sensitifs résiduels selon documentation en janvier 2014. Status après gastrectomie atypique (Wedge résection) du fundus le 11.01.2017 Dr. X. Status après prostatectomie en 2015. Status après cholécystectomie en 2000. Status après laparotomie pour occlusion intestinale en 2000. Status après AVC cérébelleux en 1991. Status après appendicectomie en 1948. Status après cure de hernie inguinale droite. Plusieurs opérations de la colonne vertébrale. Status après lithiase urinaire droite avec pose de sonde JJ en 2014. Status après fracture du fémur droit et de l'humérus droit sur accident de la voie publique en 1995. Status après lésion hépatique, fracture de la clavicule droite et du poignet droit sur accident de la voie publique en 1985. Status après appendicectomie. Status post cure d'hallux valgus bilatéral par ostéotomie selon Scarf du premier métatarsien et Akin de la première phalange des deux côtés le 04.03.2016, Dr. X. Status après luxation gléno-humérale gauche antéro-inférieure avec fracture du tuberculum majus le 04.03.2012 (premier épisode). Luxation gléno-humérale antéro-inférieure de l'épaule gauche, 2ème épisode, avec déplacement secondaire du trochiter le 08.03.2017. Opération de type Scopolino en 1988 avec reprise en 1996. Amygdalectomie dans l'enfance. TVP il y a plus de 10 ans, membre indéterminé. Epigastralgies probablement sur prise d'AINS. Status après luxation traumatique du genou droit en janvier 2015 avec suspicion d'atteinte du ligament croisé antérieur. Status après mise en place d'une prothèse totale du genou droit en 2011. Status après laparotomie pour cholangite sur empierrement cholédocien avec cholédochotomie transverse, fermeture du cholédoque distal, rétablissement de la continuité bilio-digestive avec anastomose cholédocho-duodénale termino-latérale en 2007. Status après fracture de l'humérus gauche, avec mise en place d'une prothèse, en 2006. Status après ablation d'un fibro-adénome du sein droit en 2001. Status après cholécystectomie en 2001. Status après cure d'éventration sous-costale droite avec mise en place d'un filet en 2001. Status après hystérectomie en 1971. Status après appendicectomie. Status après multiples kératoses actiniques. Episode de lombosciatalgie droite. Hypertension artérielle avec poussées hypertensives. Hypertrophie prostatique. Polymyalgia rheumatica il y a 3 ans, sevrée, puis réintroduction de Calcort 30 mg le 20.01.2015. Bloc atrioventriculaire du 1er degré avec des passages en bloc du 2ème degré type Mobitz I. Hypotension isolée à 68/37 mmHg le 29.11.2018 : • Bilan biologique • Gazométrie le 30.11.2018 : alcalose métabolique avec compensation respiratoire • Bisoprolol, Atrovel, Lasix et Cordarone mis en suspens du 29.11.2018 au 30.11.2018 Status après multiples thromboses veineuses profondes et embolies pulmonaires (3 embolies), dont la dernière datant d'il y a 2 à 3 ans : • Daflon 500 mg • Xarelto 20 mg Status après neuronite vestibulaire en 2008. Status après cure de cataracte. Status après hystérectomie totale et annexectomie bilatérale en juin 2002, pour méno-métrorragies post-ménopausiques. Status après épisodes de paralysie de Bell il y a 50 ans. Status après appendicectomie. Status après pneumonie communautaire basale droite, à germe indéterminé en mai 2018. Status après insuffisance rénale AKIN I (créatinine à 124 µmol/l) le 23.05.2018. Status après hyponatrémie à 131 mmol/l normo-osmolaire 05.2018. Status après décompensation cardiaque dans un contexte infectieux en mai 2018. Status après bradycardie à 29 battements par minute le 11.10.2018 suite à une ponction de moelle. Status après opération de by-pass gastrique le 20.12.2018. Status après opération du tunnel carpien gauche. Status après césarienne. Algurie sans pollakiurie ni hématurie le 25.06.16. Troubles électrolytiques légers multiples le 25.06.16. Vertiges périphériques le 01.10.2017. DD : neuronite vestibulaire, Ménière. Vertige paroxystique positionnel bénin agéotrope du canal latéral droit le 25.06.16. Status après opération hernie cicatricielle inguinale gauche le 17.12.2018. Status après ostéosynthèse d'une fracture de l'olécrâne D. Status après ostéosynthèse d'une fracture tri-malléolaire cheville D le 03.08.2017. Status post AMO, vis de syndesmose le 02.11.2017. Fracture de fatigue 2ème métatarsien pied G. Status après ostéosynthèse pour fracture du radius distal gauche en janvier 2006. Status après thyroïdectomie en 2000. Status après opération des varices. Status après kystectomie mammaire en 1994. Status après AIT en 1992. Suspicion de pneumatose de l'angle splénique du côlon, le 06.06.2017 : • Antibiothérapie intraveineuse par Rocéphine 2 g/jour et Flagyl 3 x 500 mg/jour du 02 au 06.06.2017, puis par Co-Amoxicilline 3 x 1 g per-os/jour jusqu'au 16.06.2017 inclus. Lésion nodulaire bien délimitée du quadrant interne du sein droit de découverte fortuite au CT du 02.06.2017. TVP subaiguë de la veine iliaque externe et de la veine fémorale superficielle, à gauche, le 06.06.2017. • Anticoagulation par Xarelto 2 x 15 mg/jour du 23.05 au 13.06.2017 puis 20 mg/jour dès le 14.06.2017. Status après paracentèses et drains trans-tympaniques bilatéraux en 2001 et 2003. Status après tympanoplasties gauches en 2006 et 2007. Status après tympanoplastie droite en 2007. Status après plastie anti-reflux bilatérale selon Cohen en mai 2005 par le Dr. X. Status après plastie du LCA du genou gauche par tendon quadricipital le 21.8.2018 sur : • Déchirure du LCA associée à une lésion postérieure du ménisque interne du genou G. Status après plastie du ligament croisé antérieur du genou droit en 2002. Abcès axillaire bilatéral à J4 post-exérèse d'hydrosadénite axillaire bilatérale, contenant des petits abcès surtout à droite. Le 03.09.2017, Dr. X : incision-drainage d'abcès axillaire bilatéral. Status après pré-éclampsie en 2008. Status après annexite sur infection à Chlamydia il y a 20 ans avec status post-salpingectomie gauche. Status après césarienne en 2009 sur grossesse fécondation in vitro. Status après conisation pour dysplasie en 1999. Status après fracture de la tête radiale et de l'olécrâne gauches. Status après prélèvement de biopsie, débridement, rinçage abondant, changement du laçage coraco-clavicule droit le 11.10.2018 sur : • status post ostéosynthèse d'une fracture de la clavicule latérale type Neer V droite avec laçage coraco-claviculaire le 1.9.2018. Status après prostatectomie avec curage ganglionnaire pour cancer. Status après traumatisme crânio-cérébral en novembre 2014, avec alcoolisation aiguë à 2,6 pour mille dans un contexte d'OH chronique. Status après opération de la cataracte bilatérale en mars 2003. Status après prothèse totale du genou des deux côtés. Notion de maladie de Lyme • Traitée par Doxycycline et Azithromycine il y a quelques années (sérologie positive et polyarthralgies). Anémie microcytaire hypochrome hyporégénérative (hémoglobine à 74 g/l le 13.08.2018) d'origine mixte probable : • carence en acide folique (1.1 ng/lml le 06.08.2018). • composante inflammatoire dans le contexte néoplasique. • avec transfusion 1 culot érythrocytaire le 13.08.2018 et 1 culot érythrocytaire le 15.08.2018. Asthme d'effort le 10.08.2018 : • diagnostic différentiel : dyspnée sur anémie. Pneumonie basale gauche le 19.08.2018. Compression médullaire métastatique au niveau C7 avec lyse vertébrale et extension intracanalaire ainsi que métastase osseuse C2 : • Parésie du membre supérieur droit. • Traitée par : • Vissage antérieur de l'odontoïde et cimentage C2. • Corpectomie C7, exérèse métastatique et décompression médullaire. • Mise en place d'une cage ECD expandible en C7 et stabilisation antérieure par cage INVIZIA à 4 vis (18mm) C6-T1, le 24.08.2018. Chute de sa hauteur avec traumatisme crânien, sans perte de connaissance le 09.09.2018 à 5h00 du matin avec : • plaie frontale au niveau de l'arcade sourcilière droite de 4 cm. • CT-scan cérébral natif (Dr. X) : pas d'hémorragie ni de fracture. Status après réaction anaphylactique de stade III le 20.08.2016. Anaphylaxie de stade 2 possiblement sur clou de girofle. Réaction allergique avec suspicion d'un œdème de Quincke le 17.01.2017. Abcès inguinal droit le 12.06.2018. Status après réduction et ostéosynthèse d'une fracture-luxation de la cheville droite le 06.08.2015. Status après ablation de la vis de syndesmose le 16.10.2015. Status après appendicectomie en 1982. Status après réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe par plaque tiers tube 8 trous et vis. Pose de vis trans-syndesmotique. (OP le 31.10.2017). Status après réimplantation PTH G sur spacer et infection de la PTH G primaire (16.12.2011). Status après résection transurétrale de la prostate. Status après cure de hernie inguinale droite. Status après opération pour torsion testiculaire. Status après ostéosynthèse d'une fracture de l'épaule gauche. Status après opération au laser pour myopie il y a 30 ans. Névralgies d'Arnold à droite le 01.09.2014. Fracture des côtes 6 et 7 droites, post-traumatisme le 15.08.2014. Status après RTUP vers 2000 pour hypertrophie bénigne de la prostate. Opération d'une fracture de la jambe gauche vers 1980 (accident de ski). Phlegmon de la gaine des tendons extenseurs du 5ème doigt gauche chez un patient en agranulocytose chronique (depuis 1 mois) dans un contexte de AREB II : • Plaies superficielles main gauche le 31.01.2018 en particulier à l'espace inter-métacarpien IV-V. • Germe en cause (03.02.2018) : Staph. aureus. • Débridement de plaie, incision et rinçage phlegmon dos métacarpe V à gauche (OP le 03.02.2018). Insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique sur grippe de type B avec pneumonie lobaire supérieure gauche le 17.03.2018 : • Contexte d'agranulocytose fébrile. Insuffisance rénale aiguë sur sepsis le 17.03.2018. État confusionnel aigu hypoactif d'origine multifactorielle : • Sur démence débutante, sepsis et changement d'entourage. Epistaxis antérieur et postérieur droits le 27.07.2018. Malaise dans le contexte d'une anémie sévère le 02.08.2018 avec : • DD : origine vaso-vagale, orthostatique, hypotensive, troubles du rythme. Pancytopénie dans le cadre du syndrome myélodysplasique avec : • Anémie normocytaire hypochrome à 77 mg/l le 02.08.2018. Erysipèle tibia gauche 27.07.2018. Syncope d'origine orthostatique dans contexte d'anémie le 27.08.2018. • DD : vaso-vagal, trouble du rythme. • Avis hématologique (Dr. X) : prise en charge palliative avec suivi formule sanguine par médecin traitant et transfusion selon cible d'Hb > 70 g/l. Si syndrome inflammatoire et infection : traitement antibiotique empirique avec passage en soin de confort si sepsis. • Transfusion d'un CE et d'une poche de thrombocytes. Agranulocytose fébrile dans le contexte de SMD le 27.08.2018. • Discussion avec la compagne (représentante thérapeutique, confirmé oralement par le médecin traitant) et médecin traitant, qui proposent unanimement un retour au home avec traitement antibiothérapeutique empirique. En cas de non-amélioration ou péjoration clinique, des soins de confort seront initiés au home, sans transfert à l'hôpital. • Co-Amoxicilline 2.2 g IV suivi de 625 mg 3x/j pendant 10 jours. Anémie à 64 g/L dans contexte de syndrome myélodysplasique AREB 2 le 27.08.2018. • Transfusion d'un CE et d'une poche de thrombocytes. Syncope orthostatique dans contexte d'anémie à 65 g/l le 13.10.2018. Pancytopénie dans contexte de syndrome myélodysplasique le 13.10.2018. Hyponatrémie normo-osmolaire à 131 mmol/l le 13.10.2018. Status après sepsis sur arthrite du genou droit à Staphylococcus aureus multisensible le 22.09.2017 (SOFA : 5). Status après fibrillation auriculaire rapide le 22.09.2017 dans le contexte septique. Status après décompensation arthrose genou gauche le 24.03.2017 sur : • probable arthrite microcristalline (Colchicine 0.5 mg dès 05.04.17/Introduction Allopurinol). Status après fracture périprothétique de la hanche gauche, Vancouver B1 le 27.02.2017 traitée conservativement. Status après artériopathie des membres inférieurs avec stent iliaque gauche en 2013. Status après fracture pertrochantérienne gauche en 1992 (ostéosynthèse) puis plaque vis 2007 sur fracture périprothétique. Status après cure d'hernie inguinale droite en 2003 Status après néphrectomie droite en 2001 pour tumeur du rein droit Status après lobectomie hépatique avec gastrectomie partielle en monobloc et anastomose gastro-jéjunale sur hépatocarcinome en 2001 Status après PTG droite Fracture stable des ponts ostéophytaires antérieurs D7-D8 avec extension au niveau D8, non déplacé le 21.08.2018 Traumatisme crânien avec plaie occipitale le 21.08.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN II d'origine intra-rénale. Status après sigmoïdectomie et colostomie terminale en fosse iliaque gauche pour volvulus du sigmoïde le 02.01.2016. Status après rétablissement de continuité colorectale par agrafage circulaire le 12.07.2016. Status après cholécystectomie le 12.07.2016. Varices des deux membres inférieurs dépendant de la veine saphène interne. Le 09.11.2016, Dr. X : crossectomie, stripping et phlébectomies des deux membres inférieurs. Status après splénectomie par laparoscopie pour thrombocytopénie idiopathique auto-immune Status après hystérectomie Pneumonie communautaire du lobe inférieur gauche probable le 01.03.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute et traumatisme crânien sans PC le 28.02.2018 Gonalgie droite post chute Status après opération triade malheureuse du genou droit en 1981 Status après STEMI inférieur sur occlusion de l'artère coronaire droite distale le 12.03.2011 avec fraction d'éjection du ventricule gauche à 50%. Status après cure de hernie ombilicale en 2005. Douleurs thoraciques d'origine pariétales Status après stérilisation tubaire. Infection urinaire basse en octobre 2016. Pancréatite biliaire. Probable léiomyome utérin. Le 24.03.2017, Dr. X : cholécystectomie laparoscopique avec cholangiographie per-opératoire. Irritation radiculaire L4-L5 sur lésions osseuses dégénératives avec déficit sensitif au niveau du coup de pied. Status après suture plaie face palmaire D1 main gauche en regard métacarpo-phalangienne le 15.12.2018. Status après thrombose veine jugulaire interne droite en octobre 2017 Status après hémorragies digestives sous anticoagulation : • Ulcus gastrique (forrest IIa) 08.07.2014 • Fissure anale et hémorroïdes en mars 2014 Status après hernie inguinale opérée en 2005 Status après thromboses veineuses profondes du membre inférieur gauche à 3 reprises (dernier épisode à l'âge de 60 ans). Status après appendicectomie. Status après cholécystectomie. Iléus sur bride avec adhésiolyse en 2008. Douleurs abdominales depuis le 22.11.2014, sur probable constipation. Status après hystérectomie par laparotomie et césariennes. Fracture stable du plateau inférieur de L1 le 01.03.2017. Pyélonéphrite gauche à Klebsiella oxytoca le 07.03.2017 traitée par Rocéphine 2g puis par Ciproxine. Laparotomie pour iléus grêle sur bride le 20.01.2017 par Dr. X. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Status après fracture de la symphyse pubienne et de la branche ischio-pubienne à gauche relativement stable sans fragment libre dans le pelvis le 30.12.2017. • Artériopathie des membres inférieurs stade I. • Tremor essentiel sous traitement antiépileptiques. • Status après fracture stable du plateau inférieur de L1 le 01.03.2017. • Déficit vitaminique. Contusion au niveau du muscle sterno-cléido-mastoïdien le 06.08.2018 Status après thyroïdectomie pour une raison inconnue du patient. Status après APP. Status après cure d'hémorroïdes. Suspicion lésion dégénérative du ménisque interne du genou gauche vs décompensation d'une arthrose débutante. Sp Hémicolectomie droite en 1984 Sp Parathyroidectomie en 1987 Sp Reconstruction de la valve mitrale le 20.05.2016? Status après traitement conservateur lésion partielle LCU MCP 1 main droite. Entorse métacarpo-phalangienne 2ème rayon avec probable lésion partielle de l'interosseux palmaire. Status après traumatisme crânien simple avec plaie fronto-temporale droite de 1cm le 25.03.2013 Status après opération d'un ptérygion de l'œil gauche le 05.03.2013 Status après cure de tunnel carpien droit le 11.10.2006 Status après cure de cataracte de l'œil gauche le 08.07.2008 et de l'œil droit le 26.08.2008 Polymyalgie rhumatica traitée du 25.10.2006 au 08.10.2009 actuellement silencieuse (traitement par prednisolone il y a 2-3 ans en arrière) Probable bronchite virale le 15.10.2018 : • Insuffisance respiratoire partielle • Hypovitaminose D et B9 • Probable bronchite virale le 15.10.2018 Status après trois hernies discales, opérées en 1999 et 2012. Greffe cornée droite en 2016. Ancien syndrome post-ménopausique, traité par Estradot-Matrixpflaster 75µg/24h. Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale et possiblement pré-rénale le 05.01.2017, résolue le 07.01.2018 Infection urinaire basse le 05.01.2018 traitée par : • Ciprofloxacine du 03.01.2018 au 05.01.2018 : • Augmentin intraveineux du 06.01.2018 au 09.01.2018 • Co-Amoxicilline 1g 2x/j du 09.01.2018 au 16.01.2018 (durée prolongée pour indication ophtalmologique - dacryocystite) Décompensation cardiaque légère le 10.01.2018 sur arrêt du traitement diurétique dans un contexte infectieux : • Reprise Torem habituel le 10.01.2018 Appendicectomie en 1941. Status après trois hernies discales, opérées en 1999 et 2012. Greffe cornée droite en 2016. Ancien syndrome post-ménopausique, traité par Estradot-Matrixpflaster 75µg/24h. Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale et possiblement pré-rénale le 05.01.2017, résolue le 07.01.2018 Infection urinaire basse le 05.01.2018 traitée par : • Ciprofloxacine du 03.01.2018 au 05.01.2018 : • Augmentin intraveineux du 06.01.2018 au 09.01.2018 • Co-Amoxicilline 1g 2x/j du 09.01.2018 au 16.01.2018 (durée prolongée pour indication ophtalmologique - dacryocystite) Hypokaliémie à 2.5mmol/l le 05.01.2018 : • Diagnostics différentiels : diminution des apports, diurétique Hyponatrémie hypoosmolaire à 125mmol/l le 05.01.2018 : • Probablement d'origine médicamenteuse (hydrochlorothiazide) Hypomagnésémie 0.67mmol/l le 05.01.2018 : • 2g de sulfate de magnésium en 1h le 05.01.2018 • Magnesiocard par voie orale le 08.01.2017, puis dès le 10.01.2018 Décompensation cardiaque légère le 10.01.2018 sur arrêt du traitement diurétique dans un contexte infectieux : • Reprise Torem habituel le 10.01.2018 Appendicectomie en 1941. Status après trois hernies discales, opérées en 1999 et 2012 Greffe cornée droite en 2016 Ancien syndrome post-ménopausique, traité par Estradot-Matrixpflaster 75µg/24h Insuffisance rénale aiguë d'origine post-rénale et possiblement pré-rénale le 05.01.2017, résolue le 07.01.2018 Infection urinaire basse le 05.01.2018 traitée par Ciprofloxacine puis Augmentin Décompensation cardiaque légère le 10.01.2018 sur arrêt du traitement diurétique dans un contexte infectieux : Reprise Torem habituel le 10.01.2018 Appendicectomie en 1941 Status après 4 accouchements par voie basse. Hystérectomie totale vaginale le 07.09.2017. Status après 4 césariennes en 2003 et 2004 pour siège, itérative en 2006 et 2010. Status articulaire Rx genou G Rapport US faxé par MT Laboratoire Antalgiques, AINS, IPP, tramal et rendez-vous dès que possible chez Dr. X Status avec douleur reproductible à la palpation Constantes bonnes Pas d'allergies alimentaires, pas d'hypoHGT possible car a mangé à 20:00 Suite de la prise en charge par les pédiatres de Fribourg Status clinique Antalgiques + AINS + sirdalud Physiothérapie Conseil d'organiser un RdV orthopédique si persistance des douleurs Status clinique Après avis Dr. X : anesthésie locale, élargissement de l'incision faite par le MT et drainage de la collection. Pas de pose de mèche mais rinçage soigneux et désinfection Reviendra demain en contrôle clinique et pour le pansement à la FUA (MT pas là le weekend) Sera vue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée Status clinique Désinfection à la Bétadine, anesthésie locale, rinçage abondant au NaCl avec retrait d'un bouchon de 2x3 cm de tissus blanc. Avis Dr. X : • Mise en place mèche bétadinée et réfection du pansement • RDV FUA lundi pour ablation de la mèche, rinçage et réfection du pansement RDV chez le médecin traitant déjà prévu le 02.01.2019 Sera vue en consultation par le Dr. X afin d'exciser le kyste dès que l'inflammation sera calmée Status clinique et ORL : pas de saignement visualisé RAD avec conseil de prendre rendez-vous chez un ORL pour rhinoscopie Status clinique et TR Anamnèse Laboratoire : leucocytose 13G/L avec neutrophilie absolue et relative, CRP 21, légère hypoNa, Hb normale Hydratation per os +++ Traitement symptomatique Status clinique par Dr. X Retrait de mèche sous MEOPA en raison de fortes douleurs Poursuite antibiothérapie + arrêt maladie Status clinique Radiographie genou G et bassin : pas de fractures visualisées RAD avec traitement symptomatique Status clinique sp Radiographie thoracique : pas de PNX ni fractures Radiographie colonne dorsale : lésions dégénératives multi-étagées du rachis dorsal avec un aspect cunéiforme des corps vertébraux D8 à D10, évoquant des tassements probablement anciens. Déminéralisation osseuse diffuse. RAD avec traitement symptomatique Si apparition de douleurs nouvelles en regard D7-8 organiser une IRM du rachis dorsal ambulatoire Status clinique Status neuro RAD avec rinçages à l'Hexitril, antalgiques et contrôle chez le pédiatre si pas d'amélioration clinique Status clinique Traitement symptomatique et RAD Status clinique Urotube négatif RAD avec contrôle chez Dr. X prévu le 14.01.19 Status clinique Désinfection par Bétadine et réfection du pansement Avis Dr. X : • Bains de Dakin 3x/j • RDV à la FUA le 30.12.2018 pour avis orthopédique et discuter de l'excision du botryomycome Status clinique RAD avec traitement symptomatique Stimuler à boire po Suivi chez le médecin traitant Status CT cervical 11.12 : Syndesmophytes cervicaux, pouvant évoquer une spondylarthrite ankylosante à corréler avec des examens complémentaires. Laboratoire Traitement symptomatique Contrôle clinique et laboratoire chez le MT début de la semaine prochaine avec HLA-B27 Status cure de hernie inguinale droite indirecte par filet en 2014 Status cure de hernie inguinale droite indirecte par filet en 2014 Infection urinaire 09/2018 Status Désinfection, steristrips Ad rappel DiTe Status du pied normal, pas de signes infectieux ni de troubles neurovasculaires Désinfection + pansement à la Bepanthène Contrôle dans 3 jours chez un médecin en France (rentre en France demain matin) Status et sédiment urinaire sans leucocytes ni nitrites : exclusion d'une infection urinaire Traitement symptomatique (Dafalgan et Algifor) Reconsulte si péjoration des douleurs abdominales malgré antalgie Status Labo normal ECG normal Dix-Hallpike positif à D. nég à G Epley pour déblocage otolithase Feuille VPPB HUG remise au patient Prescription de physio vestibulaire Status Labo normal Sédiment urinaire : pas d'urines disponibles Avis Dr. X : • uro - CT : pas de dilatation pyélo-calicielle, calcul de 3mm non occlusif à la jonction urétéro-vésicale droite Antalgiques par titration de morphine AINS + Buscopan + antalgiques pendant 5 jours Pradif pendant 1 semaine Hydratation +++ Status Labo par la MT Rx par la MT Marquage cutané Avis Dr. X : • co-amoxicilline 625mg 3x/j pendant 7 jours • contrôle clinique et biologique à 48h à la FUA Status Laboratoire ECG Avis Dr. X : • CT thoraco-abdo : normal RAD avec traitement symptomatique Status Labo Rx thorax : Status local Anesthésie locale (patiente très algique qui ne coopère pas sans la locale), exploration péri-verrue sans descellement d'un abcès. Désinfection à la Bétadine après chaque grattage de peau lysée Contrôle dans la semaine chez la dermatologue traitante Status local normal Constantes bonnes RAD avec contrôle en urgence demain chez le dentiste Antalgiques + AINS Amoxicilline 1g 2x/j jusqu'à demain (déjà prescrite par le dentiste mais pas prise par la patiente), durée en fonction de l'avis du dentiste Status Status après appendicectomie il y a 60 ans Goutte en 2008 St.n. opération de hernie inguinale bilatérale en 2009 Opération des yeux en 2011 Saignement gastro-intestinal supérieur à cause d'un ulcère duodénal avec H.pylori en 2013 St.n. syndrome psychotique paranéoplasique ED au 30.05.2017 dans le cadre du diagnostic secondaire 1 DD en cas de suspicion de syndrome d'alcoolisme, en cas d'hypovitaminose D • sous Quetiapine et Haldol • sevrage d'Haldol • substitution en vitamine D St.n. pharyngite aiguë avec mycose du 10.07.2017 dans le cadre de l'antibiothérapie DD reflux gastro-œsophagien • odynophagie marquée • adaptation de la forme alimentaire (au début 4D forme) • évaluation de la déglutition • consultation téléphonique ORL au 10.07.2017 avec le médecin de garde ORL de Fribourg : suspicion de pharyngite avec mycose dans le cadre de l'antibiothérapie. Procédure : Mycostatin p.o., Pantozol Anémie normocytaire, normochrome et hyperrégénérative, a.e. post-opératoire Malnutrition avec hypoalbuminémie et hypoprotéinémie, ainsi qu'hypofolate et hypomagnésémie, a.e. en cas de consommation chronique d'alcool • Albumine 29.5 g/l au 09.08.2017 • Acide folique 3.9 ng/ml au 09.08.2017 • Magnésium 0.80 mmol/L au 25.08.2017 Status après prothèse de hanche droite Status après cholécystectomie Status après appendicectomie Status après ulcères gastriques récurrents Status après opération de hernie inguinale à gauche Status après prothèse de hanche gauche 08/2010 Status après opération de prolapsus rectal en 1997 Status après hystérectomie vers 1990 Status après appendicectomie Status après résection transurétrale de la vessie (urothéliome papillaire de la vessie pT1 G2) • cystoscopie de contrôle au 07.03.2014 : pas de récidive, hyperplasie prostatique Status après neuroborréliose 07.2008 Status après prothèse de hanche gauche en 2007 pour coxarthrose Status après chirurgie ciliaire bilatérale Pneumonie du lobe inférieur gauche en 2016 Status neuro normal Vaccinée tétanos Rinçage, désinfection et exploration stérile de la plaie Suture par 4 points simples Vycril 4-0 Ablation des points à J5 chez le MT Status neuro + ORL Dix-Hallpike négatif ddc Schellong négatif Status neuro dans la norme le 17.12.2018 Physiothérapie Schellong le 20.12.2018 : pas d'anomalies angio IRM c 05/16 : pas d'AVC ni de processus tumoral, sclérose non sténosante a. carotide gauche Holter du 20-21.12.2018 : résultats seront transmis au médecin traitant Status neuro normal Antécédents parfois des paresthésies non invalidantes à l'avant-bras et main D Antalgie + AINS + sirdalud + tramal en RRdV pour contrôle chez le MT le 21.12.2018 pour adapter la thérapie • Status neuro normal • Feuille TC pour surveillance • Désinfection et exploration de la plaie • Suture sous MEOPA de la plaie par 3 points simples ethilon 4-0 • Tétanos à jour • Ablation des points à J10 chez le pédiatre • Status neuro normal • Pas de facteurs de risque sauf quelques verres de vin • GCS 15/15 • Surveillance neurologique 4h aux urgences normale • RAD • Status neuro normal • Tétanos à jour • RAD avec feuille de surveillance TC • Status neuro sans particularité • Labo: électrolytes alignés • Sédiment urinaire: non pathologique Pas d'indication à CT cérébral: patient asymptomatique, sans anticoagulation ni anti-agrégation. Attitude: • Réadaptation générale à Tavel • Simplification de la polymédication, notamment antalgique dès que possible • Status neuro • Surveillance des constantes • Hydratation IV • PLS • Laboratoire • Status neurologique dans la norme • Consignes habituelles • Status neurologique entièrement dans la norme. Attitude: • réassurance, traitement symptomatique sinusite. • Status neurologique et vasculaire sp • Pas de pouce du skieur • Rx pouce: pas de fracture ni luxation • RAD avec RICE, bande élastique pendant 3-4 jours et antalgiques (pas d'AINS car intolérante) • Reconsulter chez le MT ou les urgences si absence d'amélioration d'ici 7 jours • Status neurologique normal • Aucune facteur de risque hémorragique ni de plaie • Suite de la prise en charge par les pédiatres de Fribourg • Status neurologique normal • Fléchisseurs sup et prof et spéciaux normofonctionnels • Extenseurs normofonctionnels • Radiographie D3-4-5 main G: fracture en mot de beurre de la base de P1D5 • Attelle Edimburgh, antalgiques, AINS, RICE • RdV en polyclinique d'ortho le 02.01.2019 • Status neurologique normal • Résolution spontanée • Status neurologique (3 nerfs main + axillaire) normal • Status OA pas fait sur l'épaule au vu de la fracture, normal autrement • Rx faite par le MT: fracture déplacée de la grande tubérosité • Avis Dr. X: • gilet ortho à garder en place • testing des nerfs + nerf axillaire • antalgiques + RAD • le recontactera demain (078 763 91 35) afin de fixer une date pour l'opération • Status neurologique • Consignes de surveillance • Status neurovasc normal, douleurs patellaires diffuses à la palpation. Reste du status sp • Rx genou G ne montre pas de fractures (exostose tibia proximale d'aspect bénin) • Arrêt maladie • RICE et contrôle chez le MT à J7 • Status neurovasc normal • Status OA • Rx cheville et pied: pas de fracture ni luxation • RICE + antalgie + AINS + Aircast • pas de clexane car appuie • Rappel au patient qui est d'accord de prendre le RDV pour le contrôle en polyclinique d'ortho le 19.12. • Status neurovasc sp • Status OA • Radiographie doigt: sans fractures • RICE + syndactylie à visée antalgique + antalgiques (ils en ont déjà à domicile, pas d'ordo nécessaire) • Arrêt de sport 1 semaine • Contrôle si persistance de la douleur chez le pédiatre • Status neurovasculaire et articulaire et musculaire • Rx • Antalgie, glace, repos pendant quelques jours • Status neurovasculaire normal • motricité de la cheville conservée, flexion douloureuse >70° actif et passif, œdème du malléole externe, œdème du malléole interne (ext >>int) douloureux à la palpation • Lisfranc et Chopard indolores • Radiographie sans fracture ni luxation visualisées • RICE, arrêt travail, attelle Aircast, AINS, antalgiques • Rendez-vous en polyclinique d'ortho le 27.12.2018 avec un RX de face de la cheville en charge • Status neurovasculaire normal • Extension et flexion P3 conservées • Pas de suture car >12h • Tétanos à jour • Désinfection • Stéri-strips, pansement pendant 7 jours, RAD • Contrôle chez le MT si mauvaise évolution clinique • Status neurovasculaire normal • Flexo-extension des doigts normale • Squeeze-test négatif • Lisfranc et Chopard négatifs • Rx cheville: fracture péronéale Weber B • Avis Dr. X: • AJP, décharge complète et Clexane prophylactique • indication opératoire dès que la cheville sera moins tuméfiée Le patient décide d'abord de rentrer en France, ensuite discute avec sa femme et décide de rester, mais pas ce soir. Reviendra demain matin à 09:00 pour l'hospitalisation en ortho (étage F appelé, place réservée, dossier d'entrée fait, Clexane du 28.12 faite) • Status neurovasculaire normal • Labo normal • Tétanos fait en 2015 • Rx : pas de signe d'atteinte osseuse • Avis ortho (Dr. X et Dr. X): • ad US: possible collection infracentimétrique touchant la gaine du tendon extenseur du 2ème doigt au niveau de mi-metacarpe 2 • Exploration après anesthésie locale (Dr. X et Dr. X) avec rinçage par NaCl 400mL: pas de collection retrouvée • Frottis envoyé en microbiologie • Pansement tulle bétadinée • Co-amoxicilline 1g 2x/j per os • Attelle Edimburgh • Contrôle en polyclinique d'orthopédie le 21.12.2018 • Status neurovasculaire normal • Rx: pas de fractures D3 • Tétanos à jour • Avis Dr. X: • rinçage et désinfection sous anesth locale • ad stéri-strips + pansement • ad attelle alu jusqu'au contrôle chez le pédiatre traitant ce 21.12 (semaine prochaine c'est Noël) • Co-amox per os pendant une durée totale d'antibiothérapie de 5 jours • status neurovasculaire normal • Saignement actif sans artériole coupée visible: ad 2 points de rapprochement du lambeau (non résorbables 4-0) • Ad pansement compressif • Exploration, rinçage ++ et désinfection soigneuse de la plaie • Tétanos à jour • Contrôle clinique demain à la FUA • Status neurovasculaire normal • Sensibilité et force conservées • Retour à Marsens avec ttt symptomatique et myorelaxant • Status neurovasculaire normal • Status OA • Radio genou G: pas de fractures • RAD avec RICE, antalgiques et contrôle chez le MT si persistance des douleurs au bout de 7 jours • Status neurovasculaire normal • Status OA • Radiographie sans fracture ni luxation visualisée • RAD avec RICE + antalgiques + AINS + syndactylie à visée antalgique • Patiente a été appelée - va venir pour le contrôle à la polyclinique d'orthopédie le 19.12. (décidé colloque d'ortho du matin) • Status neurovasculaire normal • Testing 3 nerfs principaux en ordre • Status OA • Test de Watson sans instabilité • Radio poignet G: pas de fracture ni luxation osseuse visualisée • Antalgiques, glace, surélévation, attelle scratch • Patiente reconvoquée à la FUA le lendemain car une suspicion de fracture est discutée au colloque d'orthopédie • Status neurovasculaire sp • Pas d'entorse • Status local avec Lisfranc négatif, Chopard positif • Rx cheville et pied G: pas de fracture ni luxation • RICE, antalgiques, AINS, cannes anglaises • Contrôle dans 5 jours chez le MT • Status neurovasculaire sp • Radiographie sans fractures • Attelle Aircast • RICE + antalgiques + AINS • Arrêt maladie • Pas d'héparine car charge partielle possible • Contrôle poly d'ortho à J7 (03.01.2019) • Status neurovasculaire sp • Status OA avec douleurs à la palpation basale du 5ème métatarse • Rx cheville et avant-pied: fracture non déplacée de la diaphyse juste en dessus de la jonction diaphyse-épiphysaire proximale • Attelle jambière postérieure, décharge complète et Clexane prophylactique • Antalgie en réserve • Prendra RdV en polyclinique d'ortho entre J5 et J7 selon jours d'ouverture de la poly • Status neurovasculaire • Status OA • Rx épaule G: pas de fractures ni omarthrose visualisées • Repos fonctionnel (arrêt maladie) • Antalgiques + AINS + myorelaxants • Conseil de consultation orthopédique chez Dr. X pour suite de la prise en charge • Status neurovasculaire • Exploration de la plaie • 3 points 4-0 non résorbables à ablater à J7 • Contrôle clinique fait par la mère (MT en Allemagne) • Tétanos à jour • Status normal • ECG: tachycardie sinusale 115 bpm • Score Genève modifié: 5 ---> intermédiaire • D-dimères négatifs (454) • Afébrile, mais frissons ---> 2 paires d'hémocultures Sédiment urinaire normal Laboratoire normal, pas de syndrome inflammatoire RAD, contrôle clinique-biologique chez Mr. Y le 18.12.18 Réévaluer une évaluation cardiologique ambulatoire avec Holter ECG Status normal Avis Dr. X: RAD avec feuille de surveillance Status OA et neurovasculaire normal Rx main + doigt : normale, pas de fractures, plusieurs sésamoïdes au niveau du pouce Désinfection, anesthésie locale, rinçage abondant et exploration à l'aiguille boutonnée Pansement compressif Rappel tétanos Le patient a été rappelé pour le contrôle le 19.12. à la polyclinique d'orthopédie pour ATB, attelle (discuté colloque ortho du matin) Status ophtalmo Pas de red flags ni de corps étranger Continuité du globe préservée RAD avec lacryvisc gel Reconsulter un ophtalmologue si persistance des symptômes Status: pas de troubles de la mobilisation du pouce ni tendineux ni musculaires, sens. normale Anesthésie locale, exploration de la plaie (pas d'exposition de structures nobles), nettoyage de la plaie et rinçage très abondant Suture par 3 points simples Ethilon 4-0 + pansement compressif Co-amoxicilline pendant 3 jours (plaie avec instrument sale, haut risque infectieux) Ablation des fils par son MT au Portugal à J7 Tétanos à jour (<10 ans) Patient a été appelé pour venir au contrôle à la polyclinique d'orthopédie le 19.12. (discuté colloque ortho matin) Status post plastie du LCA par DIDT du genou gauche le 28.6.2016. Neuropathie du nerf saphène à gauche. Hyperesthésie territoire infrapatellaire interne genou G. Status post abcès dentaire Status post ablation carcinome basocellulaire joue gauche en 2012 Status post ostéosynthèse malléole externe cheville gauche en 01.2004, avec AMO en 10.2004 Status post opération cataracte bilatérale en 2003 Status post thyroïdectomie subtotale pour goître nodulaire avec hyperthyroïdie latente en 1998 Status post bursectomie pré-patellaire droite en 1998 Status post sphinctéroplastie pour sténose de Vater en 1997 avec laparotomie exploratrice pour rupture de drain en 1997 Ménopause précoce à 39 ans Status post cholécystectomie en 1968 Status post appendicectomie en 1957 Status post colonoscopie et OGD le 27.10.2016 Fracture ostéoporotique D8 grade III selon Genant bi-concave avec hypersignal STIR. Cimentoplastie bipédiculaire de D8 par Vertecem 3.5 cc. (OP le 07.12.2018) Status post ablation clou PFNA G et arthroplastie céphalique de la hanche G avec ostéosynthèse du grand trochanter par cerclage le 17.10.2018 sur Cut out de lame cervico-céphalique de clou PFNA G. Status post ablation de fixateur externe fémur D le 15.11.2018 sur status post réduction fermée et ostéosynthèse par la mise en place d'un fixateur externe le 21.08.2018 après échec de traitement conservateur par plâtre pelvi-cruro-pédieux d'une fracture diaphysaire spiroïde du fémur D datant du 10.08.2018. Status post ablation de la vis pour la fracture du Chaput cheville D le 23.10.2018. Syndrome du piriforme de la hanche droite. Syndrome fémoro-patellaire du genou droit. Fascéite plantaire du pied gauche. Status post cure de récidive d'un syndrome du tunnel tarsien à gauche le 7.2.2017. Status post ablation de 2 vis trans-syndesmotiques cheville G le 24.10.2018 sur: • Status post réduction fermée et enclouage centro-médullaire tibia G • Fasciotomie des 4 loges jambe G avec une voie d'abord médiale et latérale et mise en place d'un pansement Epigard le 18.08.2018 et status post réduction ouverte, fixation fragment Tillaux-Chaput par vis 2.0 • Transfixation de la syndesmose tibio-péronière par 2 vis 3.5 • Fermeture des fasciotomies jambe G le 23.08.2018 • Fracture du tubercule Tillaux-Chaput et fragment Volkmann cheville G • Syndrome des 4 loges jambe G le 12.08.2018. Fracture extra-articulaire de la base du 1er métacarpe, type Winterstein, main D (traitement conservateur par attelle St-Moritz). Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse de la cheville G le 19.10.2018. • Status post arthrotomie tibio-astragalienne et refixation d'une lésion ostéocartilagineuse, vissage de la fracture malléolaire A et suture du ligament talo-fibulaire antérieur cheville G le 12.9.2017. Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse du calcanéum gauche le 6.11.2018 sur status post ostéosynthèse le 21.7.2017 pour fracture type joint depression. Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse le 19.10.2018 sur status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture du pilon tibial droit le 25.4.2017. Status post ablation de deux pièces d'os libre antéro-latéral de la cheville droite le 28.4.2017. Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse radius distal D le 13.09.2018 sur status post ostéosynthèse d'une nécrose fossa lunata radius distal à droite après fracture intra-articulaire. Status post ablation du matériel d'ostéosynthèse sur statut ostéosynthèse de la clavicule G le 17.10.2017 Status post ablation d'un corps articulaire libre par arthrotomie coude gauche le 05.11.2018. Status post ablation d'un ostéochondrome tibia proximal médial à D le 06.11.2018 Status post ablation d'un périneuriome sclérosant et cure de pouce à ressaut droit le 6.12.2018. Status post ablation d'une exostose sur la partie postéro-inférieure du calcanéum D le 15.05.2018. Status post lavage, mise en place de BonAlive et fermetures des plaies pied D (OP le 31.10.2017) Status post révision plaies, débridement, rinçage des plaies rétro-malléolaires et calcanéum pied D (OP le 27.10.2017) Status post débridement, ablation de corps étrangers métalliques et rinçage abondant pied D (OP le 24.10.2017) Status post drainage, prélèvements bactériologiques, rinçage, ablation du matériel d'OS pied D (OP le 21.10.2017) Ostéomyélite calcanéum D sur status post échec d'ablation du matériel d'OS en septembre 2017 à l'Hôpital Daler puis AMO partielle le 11.10.2017 (Dr. X) post OS d'une fracture complexe calcanéum et talus en 2005 • Germes en cause (21.10.2017) : Staph. epidermidis et Staph. simulans multisensibles. Status post ablation d'une petite tumeur cutanée à la base de la lèvre droite. Appendicectomie. Opération d'une épaule. Status post ablation d'une vis trans-syndesmotique le 04.09.2018. Status post ostéosynthèse trimalléolaire avec plaque Pedus 2.7 en araignée, vis libre du côté interne et vis de positionnement latérale à la cheville D le 19.06.2018. Status post ablation d'une vis le 04.12.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse pilon tibial D et astragale D le 21.11.2017 pour fracture dans un contexte d'un polytraumatisme. Status post ablation matériel d'ostéosynthèse P1 D5 main G le 30.10.2018 sur status post ostéosynthèse P1 D5 main G le 17.07.2017. Status post ablation partielle de la rotule G le 04.12.2018. Déplacement secondaire entre le 12.10.2017 et le 11.12.2017.AMO le 29.8.2017 du cerclage de protection sur : • Status post réduction ouverte, ostéosynthèse de la rotule G par vis libres (1 vis perdue 1.3 Compact hand, 1 vis 1.5 Compact hand, 2 vis 2.0 et 1 vis 2.7 Compact foot), cerclage équatorial et de protection le 07.06.2017. • Luxation antéro-inférieure de l'épaule droite le 6.6.2017. • Status post ablation partielle du matériel d'ostéosynthèse et ablation d'ossification hétérotopique poignet G le 13.09.2018 sur status post ostéosynthèse du radius distal le 02.12.2016 sur fracture ouverte poignet G de type III selon Gustillo et suture d'un arrachement osseux du ligament scapho-lunaire et réinsertion du TFCC sur Galeazzi. • Status post ablation trompe et ovaire. • Status post 2 césariennes. • Status post curetage avec perforation de l'utérus. • Status post éventration. STEMI subaigu antéro-apical sur une sténose subtotale de l'VA moyenne au niveau de la bifurcation avec la 2ème diagonale traitée par 2 stents actifs et sténose significative de l'IVA proximale traitée par PTCA de la branche diagonale 2 et la mise en place d'un stent actif dans le cadre d'une maladie mono-tronculaire avec : • Pic CK à 442 U/l le 26.04.2015 à 442 U/l. • lésion de 50 à 70% sur l'IVA proximale traitée par 1 stent actif. • lésion de 90 à 99% sur l'IVA moyenne traitée par 2 stents actifs. • FEVG à 35%. • Akinésie apicale. Réadaptation cardiovasculaire. Optimisation du traitement cardiovasculaire. Gestion des facteurs de risques cardiovasculaires. Aspirine à vie. Efient pendant 9 mois. ESV polymorphes isolés et en salve le 25.04.2015. Magnesium 2g le 25.04.2015 et le 26.04.2015. Hématome post-cathétérisme au site de ponction de l'artère fémorale D. Marquage de l'hématome et suivi clinique. Bilan biologique avec contrôle des plaquettes et de la crase. Surveillance de l'hémoglobine. Douleurs thoraciques atypiques, ponctiformes rétro-sternales et à D, durant quelques secondes mais récidivantes la nuit du 30.04 au 01.05.2015. DD d'origine pariétale, sur troubles anxieux. ECG le 01.05.2015 : inversion des ondes T en latéral DI et aVL, V5-V6 (V1-V4 déjà connu). 2 trains de troponines. Avis par le Prof. X (cardiologue de garde) : les signes électrocardiographiques et la cinétique des enzymes cardiaques sont compatibles avec l'évolution physiologique post STEMI antéro-apical, pas d'investigation supplémentaire indiquée. Otite externe gauche. Examen clinique. Laboratoire. Antalgie simple. Otipax gouttes auriculaires. Contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures ou aux urgences si péjoration des symptômes. • Status post ablation trompe et ovaire. • Status post 2 césariennes. • Status post curetage avec perforation de l'utérus. • Status post éventration. STEMI subaigu antéro-apical sur une sténose subtotale de l'VA moyenne au niveau de la bifurcation avec la 2ème diagonale traitée par 2 stents actifs et sténose significative de l'IVA proximale traitée par PTCA de la branche diagonale 2 et la mise en place d'un stent actif dans le cadre d'une maladie mono-tronculaire avec : • Pic CK à 442 U/l le 26.04.2015 à 442 U/l. • lésion de 50 à 70% sur l'IVA proximale traitée par 1 stent actif. • lésion de 90 à 99% sur l'IVA moyenne traitée par 2 stents actifs. • FEVG à 35%. • Akinésie apicale. Réadaptation cardiovasculaire. Optimisation du traitement cardiovasculaire. Gestion des facteurs de risques cardiovasculaires. Aspirine à vie. Efient pendant 9 mois. ESV polymorphes isolés et en salve le 25.04.2015. Magnesium 2g le 25.04.2015 et le 26.04.2015. Hématome post-cathétérisme au site de ponction de l'artère fémorale D. Marquage de l'hématome et suivi clinique. Bilan biologique avec contrôle des plaquettes et de la crase. Surveillance de l'hémoglobine. Douleurs thoraciques atypiques, ponctiformes rétro-sternales et à D, durant quelques secondes mais récidivantes la nuit du 30.04 au 01.05.2015. DD d'origine pariétale, sur troubles anxieux. ECG le 01.05.2015 : inversion des ondes T en latéral DI et aVL, V5-V6 (V1-V4 déjà connu). 2 trains de troponines. Avis par le Prof. X (cardiologue de garde) : les signes électrocardiographiques et la cinétique des enzymes cardiaques sont compatibles avec l'évolution physiologique post STEMI antéro-apical, pas d'investigation supplémentaire indiquée. Otite externe gauche. Examen clinique. Laboratoire. Antalgie simple. Otipax gouttes auriculaires. Contrôle chez le médecin traitant dans 48 heures ou aux urgences si péjoration des symptômes. • Status post ablation vis syndesmose cheville G le 18.12.2018. • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque tiers tube 3.5, stabilisation de la syndesmose par une vis péroné tibiale cheville gauche le 5.10.2018 pour une fracture-luxation de la cheville gauche le 30.9.2018 avec une fracture Weber C du péroné, fracture du Volkmann, arrachement du ligament deltoïde. • Status post absence dans le contexte d'épilepsie. • Douleurs abdominales en fosse iliaque droite d'origine indéterminée sans critère de gravité le 04.10.2018. • Status post accident de la voie publique avec : • hémorragie intracrânienne et dérivation péritonéale, multiples fractures, induration de muscle sous-scapulaire droite, le 20.08.2017. • Status post accident de la voie publique avec fracture de côtes en 2011. • Status post accident de la voie publique avec polytraumatisme en 1964 avec multiples fractures du crâne. • Status post hystérectomie totale en 1979. • Crise hypertensive avec céphalées de tension le 15.06.16. • Status post accident de voiture en 1992 avec fracture du bras gauche, fracture de côtes, contusion aux membres inférieurs. • Status post cholécystectomie en 2009. • Status post épisodes de douleurs épigastriques il y a 2-3 ans, investigués par une coronarographie (dans la norme). • Sténose de la VCS post-chirurgie de remplacement de la valve mitrale. • Mise en place d'un stent sur la veine cave supérieure le 28.11.2012. • Tamponnade post-opératoire avec troubles du rythme de type rythme jonctionnel avec alternance rythme auriculaire lent et flutter. • Implantation d'un pacemaker épicardique bicaméral Medtronic Adapta ADDR01 le 30.11.2012. • Status post accouchement par césarienne le 13.06.2018. • Status post accouchement par voie basse en mars 2018. • Status post accouchement par voie basse en 2013, garçon de 3200 g. • Status post accouchement par voie basse en 1996, garçon de 3000 g en Erythrée. • Status post accouchement par voie basse en 2001, fille de 2500 g en Erythrée. • Status post accouchement par voie basse en 2010, compliqué de : • Thyroïdite subaiguë lymphocytaire. • Status post IVG, 2012. • Douleurs abdominales d'origine X en mai 2011. • Status post acromioplastie de l'épaule D en 1998. • Status post enthésite calcifiante du talon G opérée en 1991. • Status post acromioplastie en 2013. • Status post accouchement par voie basse en 2015 à 39 3/7 semaines d'aménorrhée. Naissance d'une fille. • Accouchement par voie basse spontanée après une provocation par Propess pour rupture prolongée des membranes, chez une patiente de 36 ans 2G devenue 2P à 35 4/7 semaines d'aménorrhée le 21.01.2018. • Status post adénocarcinome colique moyennement différencié pT3-4, N0, M0 diagnostiqué en 1999 avec • hémicolectomie droite en 1999, résection dans le même temps d'un carcinoïde appendiculaire et d'un angiomyolipome rénal droit nécessitant une néphrectomie droite. • hépatectomie droite pour 2 métastases d'un adénocarcinome compatible avec une origine colique le 18.06.2002. • chimiothérapie par CPT et 5 FU/Leucovorin de 08/2002 à 01/2013. • Status post-carcinome canaliculaire invasif du sein gauche avec tumorectomie et radiothérapie adjuvante en 1992. • Status après PTG gauche par prothèse Johnson PFC pour gonarthrose tri-compartimentale en 10.2011 (Dr. X). • Status post-PTH droite pour coxarthrose destructrice. • Status post-hystérectomie. • Status post-exérèse d'un terratome coccygien. Status post adénocarcinome colique moyennement différencié pT3-4, N0, M0 diagnostiqué en 1999 avec • hémicolectomie droite en 1999, résection dans le même temps d'un carcinoïde appendiculaire et d'un angiomyolipome rénal droit nécessitant une néphrectomie droite • hépatectomie droite pour 2 métastases d'un adénocarcinome compatible avec une origine colique le 18.06.2002 • chimiothérapie par CPT et 5 FU/Leucovorin de 08/2002 à 01/2013. Status post-carcinome canaliculaire invasif du sein gauche avec tumorectomie et radiothérapie adjuvante en 1992. Status après PTG gauche par prothèse Johnson PFC pour gonarthrose tri-compartimentale en 10.2011 (Dr. X). Status post-PTH droite pour coxarthrose destructrice. Status post-hystérectomie Status post-exérèse d'un tératome coccygien Status post adénocarcinome de la prostate traité par radiothérapie (2006) Hépatite aiguë le 05.03.2018 d'origine médicamenteuse (co-amoxicilline) Traumatisme simple le 24.05.2018 avec : • plaie pariéto-occipitale • CT cérébral natif (Dr. X) : pas de saignement, pas de fracture au niveau crânien ou cervical ; rachis cervical d'allure très dégénérative Dénutrition protéino-énergétique grave sur : • cortico-thérapie • mycose œsophagienne • néoplasie Lésion de la coiffe des rotateurs épaule G (suspicion fracture Bankart ancienne) Status post agression physique, psychologique et sexuelle. Status post AMIC rotule droite avec libération externe du rétinaculum, AMIC facette médiale et latérale rotule droite et ostéophytectomie le 03.07.2018 sur arthrose fémoro-patellaire genou droit. Status après ostéosynthèse de la rotule droite en 1999. Status après multiples opérations suite à fracture du fémur gauche. Status post AMO astragale, résection des fragments libres, ostéotomie de valgisation au niveau du péroné et du calcanéum G le 06.07.2018 pour une arthrose talo-calcanéenne sur une nécrose de déplacement secondaire de la fracture du talus G sur : • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du talus gauche et du sustentaculum tali du calcanéum gauche le 18.8.2017. • Status post révision de déhiscence de plaie latérale gauche et changement de vis calcanéenne gauche le 15.9.2017. • Déplacement secondaire pseudarthrose, effondrement de l'astragale avec un arrière-pied en varus suite à un impingement péronéen-calcanéen. Status post AMO avant-bras distal à droite le 4.12.2018 sur : • Status post ostéosynthèse d'une fracture de l'avant-bras distal D le 19.2.2017 Status post AMO humérus proximal gauche le 20.11.2017 sur : • Status post ostéosynthèse d'une fracture à trois parts de l'humérus proximal G le 19.2.2017 Status post AMO calcanéum G le 07.09.2018. Status post ostéosynthèse du calcanéum G en mini-invasif avec 2 plaques F3 le 7.7.2017 sur une fracture du calcanéum type joint depression le 27.06.2017. Status post AMO cheville G le 30.10.2018. Status post débridement et rinçage abcès cheville G le 01.06.2018 pour un écoulement persistant sur la plaie de la face latérale de la cheville G après incision d'un abcès, rinçage le 01.06.2018 sur infection à propionibacterium acnes. Status post révision de plaie avec débridement et mise en place d'un PICO, AMO partielle d'une vis le 15.06.2018. Status post ostéotomie de la fibula avec ostéosynthèse le 17.04.2018. Status post AMO clavicule D le 5.11.18 après ostéosynthèse tiers moyen clavicule D le 12.8.2017. Status post AMO clou centro-médullaire tibia gauche le 29.11.2018. Status post AMO clous ECMES ulna et radius D le 18.10.2018 sur status réduction fermée et ECMES de l'ulna antérograde et du radius rétrograde D pour une fracture médio-diaphysaire radius/ulna le 24.07.2018 Status post AMO de la base du 5ème métatarse pied G le 09.11.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la base du 5ème métatarsien gauche le 13.7.2018 pour fracture pseudo-Jones le 25.6.2018 avec déplacement secondaire d'une broche. Status post AMO des broches des MTP du 1er et 5ème rayons avec adhésiolyse des tendons extenseurs pied droit le 18.10.2018. Status post réduction ouverte des 1er au 3ème rayons avec plaque Pedus sur la TMT II, embrochage des 1er au 3ème rayons, embrochage percutané des 4ème et 5ème rayons le 26.6.2018 pour une fracture-luxation instable du Lisfranc à droite le 26.6.2018. Status post AMO le 14.12.2018 sur : • Status post ORIF et stabilisation du bloc articulaire par une vis 1,5 mm de traction et une plaque à grille dorsale de 1,5 mm 8 trous le 23.05.2018 sur fracture intra-articulaire de la phalange proximale DIG III main droite. Status post AMO le 29.10.2018 après réduction ouverte et fixation par plaque tier tube d'une fracture Weber B cheville G le 28.08.15. Status post AMO malléole externe et interne avec réduction et OS par plaque de reconstruction tibio-distal 3.5 4.5 et une réduction par OS par plaque d'appui 3.5 tiers tube de la malléole externe le 25.10.2018 d'une fracture trimalléolaire de la cheville gauche. Sur une intervention initiale le 26.07.2018. Status post AMO olécrâne gauche et humérus gauche le 3.7.2018 sur • Status post ostéosynthèse d'une fracture métaphysaire de l'humérus proximal G avec ostéosynthèse de l'olécrâne G le 12.4.2018. Status post AMO pied D le 14.12.2018. Gêne du matériel d'ostéosynthèse pied D. Status post AMO pied D (2 broches de Kirschner 1.6) le 12.12.2017 sur : • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse métatarses 2-3 avec plaques Pedus 2.7 et stabilisation des rayons 4-5 par des broches de Kirschner 1.6 pied D le 18.07.2017 pour lésion de Lisfranc avec fractures de métatarses 2-3 le 13.07.2017. Status post AMO plaque Tomofix, débridement, prélèvements, cimentage avec Cerament-ATB, ré-ostéosynthèse le 23.08.2017. Pseudarthrose tibia proximal G dans le contexte de : • Inflammation genou G d'origine indéterminée avec CRP à 9,3 mg/l et leucocytes à 10,4 G/l le 16.05.2017 • Status post arthroscopie genou G avec plastie de reconstruction LCA par tendon quadricipital contro-latéral (prélevé au genou D) le 13.12.2016 pour déchirure du LCA post-greffe • Status post ponction genou G, ablation de matériel d'ostéotomie, débridement, rinçage par arthroscopie et ré-ostéosynthèse par plaque Tomofix 4.5 le 21.04.2016 et débridement, lavage foyer d'ostéotomie ainsi que des tunnels osseux tibiaux, changement de plaque d'ostéotomie, lavage articulaire arthroscopique genou G le 24.04.2016 sur infection de matériel d'ostéotomie et arthrite septique du genou G à Staph. aureus. • Status post arthroscopie genou G, ablation vis d'interférence fémorale dans l'échancrure, curetage tunnel tibial et greffe d'os spongieux, prélèvement greffe spongieuse à la crête iliaque G et ostéotomie tibiale de valgisation type ouverture interne 11° le 24.02.2016 sur re-rupture d'une greffe du LCA genou G réalisée en 2005, ballonnage du tunnel tibial, gonarthrose fémoro-tibiale interne sur déformation en varus tibial post-méniscectomie en 1994. Status post amputation métatarso-phalangienne en juillet 2018. Status post probable accident vasculaire cérébral sylvien droit en 1993. Status post ulcère gastrique. Status post appendicite dans l'enfance. Status post cure de hernie inguinale droite en 1956. Status post amputation P3 D4 main droite le 13.12.2018 sur : • Status post arthrodèse IPD D4 main D le 14.11.2017 sur : • Status post arthrotomie traumatique IPD D4 main D avec lésion importante du tendon extenseur en zone 1 le 1.11.2017. Status post amputation traumatique D2 main droite. Status post infection débutante paume main gauche avec atteinte du tunnel carpien ; accident du 18.07.2013.status post amputation traumatique D2 main droite. status post infection débutante paume main gauche avec atteinte du tunnel carpien; accident du 18.07.2013. Status post amygdalectomie. Status post appendicectomie. Status post nausées d'origine indéterminée. Status post douleur abdominale d'origine indéterminée, DD : gastro-entérite débutante d'origine virale. Status post appendicectomie à l'âge de 7 ans au Portugal. Status post diverticulite du sigmoïde Hansen Stock IIA le 07.10.2018. • traitement conservateur par antibiothérapie. • Rocéphine + Flagyl intraveineux du 07.10.2018 au 10.10.2018. • Ciproxine + Flagyl per os du 11.10.2018 au 17.10.2018. Status post appendicectomie dans l'enfance. Status post cure de hernie inguinale droite par scopie en 2009. Status post opération du coude droit pour épicondylite. Status post cholécystectomie. Douleurs abdominales d'origine indéterminée, DD: gastrite, gastroentérite. Status post appendicectomie en 2015 • US abdominal le 11.10.2015 • Flagyl 500 mg, Ciproxine 400 mg aux Urgences • Appendicectomie par laparoscopie le 11.10.2015 • Anatomo pathologie: appendicite aigue, pas de suspicion de malignité Status post appendicectomie il y a 12 ans. Status post fracture base métacarpien du 1er rayon de la main droite. Colique néphrétique multiple. Accident de la voie publique en 1975 (fracture face). Arthroscopie du genou en 2012. Anémie normocytaire normochrome hyporégénérative. Pneumonie péri-hilaire droite en 2016. Pancytopénie légère hyporégénérative avec : • Leucocytes à 3.7 G/l • Hémoglobine à 102 g/l • Thrombocytes à 146 G/l Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Chute le 21.12.2016 avec traumatisme crânien et plus ou moins perte de connaissance • Plaie arcade sourcilière gauche suturée avec 3 points le 21.12.2016 chez le médecin traitant Insuffisance respiratoire hypoxémique le 09.07.2018 dans contexte de bactériémie à E. Coli. Epanchement pleural bilatéral léger le 11.07.2018 après remplissage. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement mixte le 10.07.2018 : • Rénale et post-rénale. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Status post bactériémie à E. Coli sur pyélonéphrite obstructive droite le 09.07.2018 • Malnutrition protéino-énergétique sévère • Troubles cognitifs • Hypovitaminose D et déficit acide folique Pyélonéphrite obstructive droite le 09.07.2018 : • Urolithiase obstructive de 11 mm x 7 mm de l'uretère moyen à droite avec dilatation du pyélon à 3 cm Status post PTH G. Status post PTG G. Status post appendicectomie. Lumbago 10/2010. Chute accidentelle d'environ 4 mètres le 23.11.2018 : • pas de traumatisme crânien pas de perte de connaissance, rachis cervical indolore • fractures sérielles des côtes gauches : fractures arc antérieur côtes 3-8, arc postérieur 8-11. Contusion musculaire 23.11.2018. DD: contusion cardiaque. Status post appendicectomie. Status post cholécystectomie en 2015. Accouchement par voie basse, instrumenté par ventouse Kiwi aux épines +1 pour CTG pathologique après provocation par Misoprostol chez une patiente de 31 ans, primigeste devenue primipare à 40 1/7 SA le 05.07.2017. Status post appendicectomie. TCC sévère sur AVP vélo contre voiture le 03.05.2009 avec : • séquelles somatiques : hémorragies intra-parenchymateuses frontales bilatérales, hématome sous-dural inter-hémisphérique, hémorragies intra-ventriculaires dans les cornes occipitales des deux ventricules latéraux, hydrocéphalie discrète, lésions axonales diffuses, contusion hépatique du segment V (test hépatique normalisé), fracture de l'os propre du nez, fracture du styloïde à D, paralysie récurrentielle G, hémiparésie G. MSG 20 ans Status post changement de tige de la PTH et cerclage du fémur à droite le 05.09.2018 sur : • fracture péri-prothétique Vancouver B2 du fémur proximal le 28.08.2018 Status post changement PTG droite en un temps avec ostéotomie de la TTA pour un descellement aseptique de l'implant fémoral le 04.09.2018. Status post changement PTH D par voie transfémorale et ostéosynthèse du fémur par 4 cerclages Dall-Miles, le 07.11.2018 suite à une rupture de fatigue de la tige prothétique PTH D • Implantation PTH D (2000) Status post changement PTH G par voie d'abord transfémorale avec ostéosynthèse par câbles Dall-Miles et ostéotomie du bassin et reconstruction du fond cotyloïdien par impaction grafting le 27.09.2018. Épicondylite latérale coude G. Status post Cheilectomie MTP1 pied droit le 20.12.2016 pour exostose. Douleur MT1 O1 D sur probable conflit mécanique MT1 O1 D.Douleurs dorsales de l'articulation métatarso-phalangienne 1 du pied D. avec suspicion d'exostose. Status post AMO métatarse 1 pied droit le 21.02.2014. Status post ostéosynthèse de Scarf à droite le 18.04.2012. Status post ostéosynthèse de base de varisation et fixation par plaque Low profile 5 mm et OST de Akin avec trans-fixation par broche 1.6 du gros orteil droit le 19.12.2012. Status post ostéosynthèse sous-capitale et de Akin pied gauche le 13.08.2012 pour hallux valgus des deux côtés. Status post choc axial D5 main gauche avec entorse du ligament collatéral radial de lPD de D5, sans laxité. Status post cholangite sur cholélithiase et cholédocholithiase le 24.04.2016 avec s/p ERCP le 26.04.2016 (cholécystectomie n'est pas souhaitée par la patiente). Status post thrombose de l'oeil droit en 2001. Status post cholécystectomie Status post hystérectomie Status post thyroïdectomie partielle Status post pneumonie communautaire du lobe inférieur D en 2014 Status post cholécystectomie en 2011 Status post sigmoïdectomie sur diverticulite en 2006 Status post cure d'hernie inguinale et ombilicale Status post gastrite en avril 2013 Status post décompensation d'ascite Status post cure de cataracte œil droit Status post stérilisation 01.05.2015 Dr. X, Hôpital Daler Douleurs idiopathiques du MIG avec tuméfaction du mollet Arthrite septique radio-carpienne et médio-carpienne G avec phlegmon de la gaine digito-carpienne I-V; injection i.v. de cocaïne le 10.06.2018 • Germe en cause (10.06.2018) : S. dysgalactiae Status post exploration, débridement, prélèvements et lavage articulaire médio-carpien et radio-carpien, ainsi que de la gaine digito-carpienne I à IV et ouverture du tunnel carpien le 11.06.2018 par le Dr. X. 2nd look avec débridement, prises de prélèvements, lavage articulaire radio-carpien et médio-carpien et de la gaine digito-carpienne I et V avec réouverture du tunnel carpien main G. Fermeture cutanée et mise en place d'un VAC face dorsale de la main G. (OP le 15.06.2018) 3rd look avec débridement, lavage articulaire et des gaines et canal carpien de la main gauche, fermeture de la peau et mise en place VAC face dorsale. (OP le 19.06.2018) Prélèvements bactériologiques du 15.06.2018 négatifs à 2 jours. Consilium infectiologie du 15.06.2018 par Dr. X (c.f. en annexe) : Antibiothérapie par co-amoxicilline 2.2 g iv 4x/j du 15.06. au 25.06.2018 puis relais par 1 g 3x/j per os du 25.06.2018 au 13.07.2018. Status post chute à vélo le 09.02.2016 S/p 3 accouchements par voie basse Status post chute avec fissure costale droite en décembre 2010 Fracture de tassement niveau T12 Antalgie (Dafalgan et Tramal) Status post chute avec traumatisme crânien simple le 29.09.2015. Status post réduction et embrochage d'une fracture du poignet gauche en 1997. Fracture Burst de L1 et fracture A1 de L2 avec hématome sous-dural spinal sur chute, le 19.12.2015, traitées conservativement avec : • fractures/tassement anciennes de D5 et D6 avec hypercyphose dorsale • tassement vertébral cunéiforme antérieur de D4 et D7 • cypho-scoliose dorsolombaire sinistro-convexe avec angle de Cobb à 16°. Chutes à répétition probablement sur hypoperfusion cérébrale sur sténose (sténose à 65%-70 % au départ de la carotide interne droite et supérieure à 70% aux départs des carotides externes des deux côtés). Status post chute d'une échelle le 07.11.2018 avec : • fracture arrachement du triquétrum du poignet G • status post contusion du flanc G Status post colique néphrétique droite. Pyélonéphrite droite non compliquée légère le 24.09.2013. Status post contusion de la face latérale de l'épaule gauche. Status post contusion du tubercule majeur de l'épaule G sur chute le 28.01.2018. Cervicarthrose multi-étagée. Status post correction 2ème orteil G en griffe et AMO 3 broches le 11.09.2018. Polytraumatisme sur AVP à moto le 07.05.2018 avec : 1) Luxation antéro-inférieure épaule G avec Bankart osseux et avulsion partielle du trochiter • Omarthrose et rupture de la coiffe des rotateurs stade Hamada III avec déchirure complète sus-épineux, sous-épineux rupture partielle du sous-scapulaire, médialisation du tendon du long chef du biceps 2) Fracture-luxation Lisfranc pied G avec : • Fracture sous-capitale des têtes métatarsiennes III, IV et V • Luxation ouverte Gustilo II de la MTP I et de la MTP II 3) Fracture non déplacée, 3ème métacarpien main G 4) Plaie profonde pré-tibiale jambe D 5) Luxation postérieure de l'ulna distal poignet G 6) Dermabrasions multiples des avant-bras et mains, pré-rotuliennes, visage et abdomen. Status post crise asthmatique allergique (chat) stade IV en 12.2005 Status post appendicite perforée 12.2004 Status post résection nodule thyroïdien bénin 1985 Status post curetage gynécologique 1975 Status post crise épileptique partielle focale, secondairement généralisée, inaugurale. DD: migraine accompagnée en 2006. Gastro-entérite d'origine virale. Traitement symptomatique. Status post cure de tunnel carpien et neurolyse du nerf médian main D le 23.10.2018. Status post cure de doigt à ressaut D3 D le 10.09.2018. Status post cure de doigt à ressaut D3 droit le 13.11.2018. Status post cure de pouce à ressaut gauche et cure de D3 gauche à ressaut le 21.11.2016. Status post cure de doigt à ressaut D4 gauche le 7.12.2015. Status post cure de doigts à ressaut D2, D3 et D5 main droite le 18.9.2018 Status post fracture extra-articulaire non déplacée du radius distal droit le 22.2.2018, traitement conservateur Suspicion d'instabilité du tendon ECU droit. Status post cure de D2 D à ressaut le 13.11.2018 avec un phénomène de doigt à ressaut au niveau de la poulie A2 persisting. D3 G à ressaut du deuxième degré. Dégénérescence des segments cervicaux C5-C6/C7 (IRM 2017). Douleurs d'origine X nocturnes épaule D. Status post cure de hernie de la ligne blanche. Otite externe de l'oreille gauche. Otosporine gouttes 3-4x/j. Dafalgan. Diclofenac. Status post cure de hernie inguinale droite 2010 Status post ostéomyélite 1931 Status post ménisectomie genou D Status post calcul rénal 1975, 2006 Status post volumineux ulcère duodénal circulaire comprenant tout le bulbe Status post cure de hernie inguinale gauche (il y a plus de 20 ans). Colique néphrétique droite sur urolithiase le 28.12.2016. Douleurs thoraciques d'origine pariétale probable le 08.06.2018. Status post cure de pseudarthrose de la diaphyse humérale gauche le 23.10.2018. Status post cure de pseudarthrose le 20.09.2018 sur retard de consolidation d'une fracture plurifragmentaire de la clavicule G le 30.05.2018. Status post cure de tunnel carpien à D le 18.12.2018. Status post cure de tunnel carpien à gauche le 06.11.2018 • avec symptôme résiduel : irritation du nerf ulnaire au niveau du tunnel cubital à gauche Status post cure de tunnel carpien à gauche (opération le 20.12.2018). Status post cure de tunnel carpien D le 05.11.2018. Syndrome de tunnel carpien à G. Status post cure de tunnel carpien droit le 18.12.2018.Status post cure de tunnel carpien droit le 3.12.2018. Status post cure de tunnel carpien et neurolyse du nerf médian gauche le 9.10.2018. Suspicion de syndrome de la loge de Guyon main gauche. Infiltration main gauche en regard de la loge de Guyon le 5.12.2018. Status post cure de tunnel carpien étendue gauche le 26.2.2018. Syndrome de tunnel carpien droit sévère. Status post cure de tunnel carpien G le 05.11.2018. Parésie post opératoire du nerf cubital G. Status post cure de tunnel carpien gauche le 04.09.2018 sur syndrome du tunnel carpien gauche avancé. Syndrome du tunnel carpien droit modéré. Status post cure de tunnel carpien gauche le 19.11.2018. Status post cure de tunnel carpien, neurolyse du nerf médian main G le 09.10.2018. Suspicion de syndrome de la loge de Guyon main G. Status post cure de 2ème orteil en marteau pied D avec système Pip tree à 10° le 13.11.2018. Status post cure d'hallux valgus à gauche en mini invasif le 30.10.2018. Status post cure d'hallux valgus du pied droit le 2.11.2018 en mini-invasif. Hallux valgus à gauche avec un angle MTP 1 à 35° et un angle inter-métatarsien à 10°. Status post cure d'hallux valgus en mini-invasif pied G et cure d'orteils en marteau 2-3 avec système Pip tree le 13.11.2018. Status post cure d'hallux valgus G en mini-invasif le 27.11.2018. Status post cure d'hallux valgus G le 18.12.2018. Status post cure d'hallux valgus gauche en mini invasif le 2.11.2018. Status post cure d'hallux valgus gauche en mini invasif le 9.10.2018. Recul de 1 cm de la broche vers l'extérieur le 22.10.2018. Status post cure d'hernie cicatricielle avec filet le 13.12.2018. Remplacement valvulaire aortique mécanique surgery medical. Status post cure d'hernie ombilicale Hôpital Daler. Status post 2 césariennes. Status post hystérectomie partielle. Status post douleur abdominale en fosse iliaque d'origine indéterminée. Cervicalgies et épistaxis post chute de sa hauteur le 17.03.2018. Status post cure doigt 4 à ressaut en anesthésie locale le 17.09.2015. Status post cure doigts à ressaut IV et V droit le 07.07.2017. Status post cure d'ongle incarné du bord latéral de l'hallux du pied G le 23.11.2018. Status post cure d'ongle incarné face latérale de l'hallux droit le 30.11.2018. Status post cure d'ongle incarné selon Kocher bord latéral hallux G le 23.11.2018. Status post cure d'ongle incarné selon Kocher du bord latéral de l'hallux gauche le 13.11.2018. Status post cure d'orteil en griffe et embrochage temporaire inside out 5ème orteil pied droit le 12.11.2018. Status post cure du tunnel carpien D le 06.11.2018. Status post cure du tunnel carpien G le 31.07.2018. Status post cure D4 à ressaut et plastie de Weilby pour arthrose CMC I avec coalition trapézoïde partielle le 18.09.2017. Ancien tabagisme stoppé il y a 11 ans. Status post cure tunnel carpien D en 2010. Status post cure tunnel carpien G il y a environ 10 ans. Status post cure hallux valgus bilatéral. Status post hystérectomie en 2012. Status post cure hallux valgus D en mini-invasif le 09.10.2018. Status post cure ongle incarné selon Kocher de l'hallux face médiale et latérale des deux côtés le 23.10.2018. Status post cure tunnel carpien main droite. Excision kyste arthro-synovial MCPIV main droite le 14.02.2017. Status post mise à plat d'un kyste arthro-synovial poignet gauche il y a plusieurs années. Status post cystopexie. Status post débridement palmaire et dorsal des tissus mous et osseux, ablation de la phalange distale, prise de prélèvements et rinçage au Lavasept de la phalange distale de l'index D dans le cadre d'une ostéomyélite sévère avec un abcès au niveau de la phalange le 27.11.2018. Status post débridement, rinçage de la gaine des fléchisseurs du pouce G, prélèvements microbiologiques et ouverture des poulies A1 et A3 le 02.11.2018 sur phlegmon de la gaine des fléchisseurs du pouce G. Status post décollement rétinien oeil gauche en 2008. Hypoesthésies, douleurs et paresthésies des extrémités 02.11.2018. Status post décompensation cardiaque globale NYHA IV le 14.05.2018 sur cardiopathie ischémique nouvellement diagnostiquée et fibrillation auriculaire. Status post prothèse de rotule droite. Fracture du radius distal et du processus styloïde de l'ulna, poignet gauche, le 15.03.2018 traitée conservativement. Oedème main G séquellaire. Décompensation cardiaque globale sur FA et cardiopathie ischémique (maladie coronarienne tritronculaire) avec: Status post 2 x cardioversion électrique pour une FA paroxystique le 14.05 et 10.07.2018. CHA2DS2VASc score à 7 le 30.07.2018. Coronarographie du 17.05.2018: subocclusion de l'IVA distale traitée par PCI/1xDES et sténose sévère de l'IVA moyenne avec lésion de bifurcation de la seconde diagonale traitée par PCI/3xDES. Coronarographie du 21.06.2018: subocclusion de la Cx proximale traitée par PCI/DES et lésion significative à 70% de l'artère coronaire droite traitée par stenting direct (1x DES). Status post décompression du tunnel tarsien pied D le 13.11.2018 sur syndrome du tunnel tarsien D. Status post AMO plaque calcanéum, arthrodèse sous-astragalienne et prise de greffe tricorticale au niveau de la crête iliaque calcanéum D le 15.03.16. Status post AMO calcanéum G le 15.03.16 sur status post OS bilatérale de fractures du calcanéum type Joint dépression en janvier 2014. Fasciite plantaire ddc, à D plus qu'à G. Status post décompression nerf cubital à la loge de Guyon gauche le 29.5.2018. Status post décortication pleurale par thoracoscopie le 21.01.2016 à l'Inselspital Berne pour empyème à Streptococcus groupe anginosus/milleri. Probable AIT de la fosse postérieure sur sténose de moyen degré à haut degré du tronc basilaire et portion V4 artère vertébrale droite le 18.05.2015. Quatre thromboses veineuses profondes dont la dernière en 2008. Status post-opération des varices en 2008. Status post cure de hernie inguinale droite en 2006. Suspicion d'état confusionnel aigu, versus symptômes psychiatriques chez un patient connu pour un antécédent d'ECA post-opératoire en janvier 2016. Épanchement, DD empyème pleural parapneumonique gauche le 27.02.2017. Pneumonie communautaire basale gauche à germe indéterminé le 21.01.2017. Status post déhiscence de plaie chirurgicale face antérieure de la cheville G sur status post chrétice tibia distal G le 26.04.2016 dans le contexte d'une gêne mécanique sur: Status post fracture pilon tibial G avec status post mise en place d'un fixateur externe le 02.09.2013. Status post ablation et fixateur externe et ostéosynthèse du pilon tibial gauche le 19.09.2013. Status post greffe de Thiersch face externe de la cheville gauche le 27.09.2013. Status post révision de la plaie malléole externe cheville gauche le 15.01.2013 sur une infection à staphylocoque aureus. Status post AMO tibia gauche le 19.09.2014. • status post fracture pilon tibial G avec status post mise en place d'un fixateur externe le 02.09.2013. • status post ablation et fixateur externe et ostéosynthèse du pilon tibial gauche le 19.09.2013. • status post greffe de Thiersch face externe de la cheville gauche le 27.09.2013. • status post révision de la plaie malléole externe cheville gauche le 15.01.2013 sur une infection à staphylocoque aureus. • status post AMO tibia gauche le 19.09.2014. • Status post désolidarisation du lambeau cross Finger et ablation de broches d'arthrodèse IPP, IPD D5 main gauche sur status post révision de cicatrice, plastie en Z, couverture par river cross Finger, ténolyse et arthrolyse IPP ainsi qu'arthrodèse temporaire, couverture du défect dorsal par point total sur D4. Flexum résiduel avec rétraction cicatricielle post-réinsertion du FTP par ancre micro le 15.02.17 après fracture avulsion le 11.02.17. • Status post deux césariennes et une hystérectomie vaginale. • Status post deux pontages en 1999. • Hypertension artérielle. • Status post diverticulite du sigmoïde avec infiltration péri vésicale phlegmoneuse en août 2013. • Status post gastrite à helicobacter pylori. • Status post cholecystectomie. • Status post appendicectomie. • Status post douleurs musculo-squelettiques, janvier 2011. • Status post thrombose veineuse profonde de la cuisse gauche en 1998 sans FD (traitement chirurgical puis anticoagulation). • Troubles neurologiques d'origine indéterminée sous forme de : • paresthésie et douleurs du membre supérieur gauche. • paresthésie du membre inférieur gauche. • Status post drainage à foyer ouvert et prélèvements hanche G le 26.10.2018 sur arthrite psoriasique de la hanche G avec pustulose palmo-plantaire et atteinte radiologique axiale. • Exclusion d'arthrite septique. • Status post drainage d'un abcès de la paume de la main droite les 7 et 9.3.2018. • Status post dysurie, rétention aiguë d'urine probablement sur hypertrophie bénigne de la prostate. • Status post mise en place d'un pacemaker en 2004. • Status post cure de kyste sacro-coccygien. • Status post cure d'abcès pubien gauche. • Choc anaphylactique péri-anesthésique (11.06.2014) DD : Toradol, Zinacef. • Kyste sacro-coccygien. • Status post embolie pulmonaire en 1998. • Status post opération pied D. • Status post érysipèle MSD en 2012. • Sensation de serrement au niveau de la gorge avec voix enrouée. • TSH dans la norme. • Suivi ambulatoire chez le MT. • Consultation ORL à organiser. • US thyroïdien à organiser. • Status post embrochage de P1 D5 main droite et arthrodèse temporaire de l'interphalangienne proximale de D5 le 6.10.2018 pour fracture condylienne articulaire non déplacée. • Status post embrochage P3 D2 main G le 19.11.2018 pour fracture ouverte. • Status post enclouage centro-médullaire du tibia gauche le 18.12.2017 pour une fracture spiroïde du tiers distal du tibia. • Status post entorse de la cheville D le 08.12.2018. • Status post entorse plaque palmaire dig. III IPP main G. • Status post fracture en bois vert radius distal D le 20.06.2018. • Status post épistaxis unilatéral droite probablement antérieur le 25.11.2013. • Extravasation de Noradrénaline sur la face palmaire de l'avant-bras gauche le 31.10.2018. • Status post érysipèle de la face sur abcès dentaire en regard dent 21-23 le 28.06.2013. • Status post hystéroscopie avec curetage explorateur pour métrorragies post-ménopausiques en 2014. • Status post 4 accouchements par voie basse. • Status post curetage interrupteur avec ablation d'un polype intra-cervical en 1996. • Status post érythème prétibial du pied G subaigu d'origine indéterminée le 24.09.2018, DD eczéma de contact sur crème analgésique. • Fascéite plantaire gauche et tendinite du tendon d'Achille gauche. • Status post AMO plaque LCP et vis de transfixation du Lisfranc le 19.5.2017. • Status post AMO des plaques d'arthrodèse le 11.11.2016. • Status post fasciotomie pied G et loges antérieure et péronière jambe G le 18.05.2016 sur syndrome des loges du pied G et de loges antérieure et péronière de la jambe G. • Status post OS du tibia distal G par plaque LCP et réduction ouverte et arthrodèse temporaire du naviculaire, du cunéiforme médial-MT I et arthrodèse temporaire cunéiforme intermédiaire-MT II et transfixation par 2 vis 3.5 du cunéiforme médial-intermédiaire et fermeture de la fasciotomie médiale du pied le 27.05.2016. • Status post fermeture de la fasciotomie externe et mise en place d'un pansement aspiratif sur la fasciotomie interne du pied G le 03.06.2016. • Status post greffe de Thiersch de la fasciotomie médiale du pied G le 10.06.2016 pour une fracture du Lisfranc du pied G et une fracture métaphysaire intra-articulaire du tibia G non déplacée le 18.05.2016. • Status post état d'agitation d'étiologie multifactorielle (DD : encéphalopathie septique, hypoxémie) le 11.11.2013. • Status post pneumopathie médicamenteuse (Daptomycine), avec OAP sur dysfonction diastolique le 10.11.2013. • Status post Coxite septique probablement chronique post implantation PTH à D le 11.12.2012 DD : infection hématogène du 10.10.2013 avec suspicion de sepsis à S. viridans. • Status post mise en place d'un Spacer (prothèse céphalique provisoire), plombage par Ostéoset avec Vancomycine, ré-ostéosynthèse par cerclages Dall-Miles hanche D le 28.10.2013 pour Coxite septique à Staph. epidermidis post implantation PTH D en décembre 2012. • Status post EP récidivantes en 2007 sous Marcoumar. • Status post confection de fistule de dialyse en 2013. • Saignement plaie gingivale quadrant supéro-latéral droit le 27.06.16. • Status post excision de 2 masses de Morbus Ledderhose sur la face plantaire du pied G le 15.06.2018. • Status post excision des berges de la plaie, débridement, lavage, régularisation de l'os et embrochage rétrograde en croix par 2 broches de Kirschner, révision et suture du lit de l'ongle pour une subamputation de P3 D4 à G le 26.10.2018. • Status post excision d'un carcinome épidermoïde bien différencié face dorso-radiale main droite le 5.11.2018. • Status post excision d'un foyer de lentigo solaire la face dorsale de l'avant-bras distal D le 13.11.2018. • Status post excision d'un kyste dorso-latéral de la malléole droite externe le 30.11.2018. • Tendinite des péroniers. • Status post excision d'un myopéricytome du pied droit le 11.9.2018. • Status post excision d'un ostéochondrome P1 pouce gauche le 20.11.2018. • Status post excision méningiome en 2006. • sous Keppra 500mg. • AVC ischémique aiguë pontique bilatéral (D>G), lésion punctiforme du noyau caudé à droite et dans la substance blanche frontale gauche le 28.11.2017, d'origine probablement cardio-embolique. • Clinique à l'entrée en neuro-réadaptation : Hémisyndrome facio-brachio-crural moteur gauche prédominant en brachial avec héminégligence motrice gauche, légère ataxie cinétique gauche, labilité émotionnelle, apraxie constructive, légères difficultés exécutives, fatigabilité. • R-test du 04 au 06.01.18 : Présence d'une extrasystole ventriculaire simple et d'une extrasystole supraventriculaire complexe, de faible incidence (1 doublet, salves de 3 à 5 complexes). • Poursuite de l'anti-agrégation par Plavix. Status post-excision d'un nodule mammaire gauche bénin en mars 2009 Status post-hystérectomie en 1982 Suspicion d'urosepsis le 29.09.2018 avec: • Labo le 29.09.2018: CRP 116mg/l, leucocytes 11.9G/l • Sédiment urinaire le 29.09.2018: nitrites ++, leucocytes +++, sang +++, bactéries ++ • Urotube le 30.09.2018: E.coli +++ • MMS (29/30), Clock-Test (7/7), GDS (1/15) le 01.10.2018 Traitement complexe de réhabilitation précoce gériatrique Labo, sédiment urinaire, urotube le 29.09.2018 Ceftriaxone 2g i.v. 1x/jour du 30.09. au 02.10.2018 Ciprofloxacin 500mg p.o. 2x/jour du 03.10.-06.10.2018 MMS, Clock-Test, GDS le 01.10.2018 Hypokaliémie • Labo le 29.09.2018: K 3.2mmol/l • Labo le 06.10.2018: K 4.4mmol/l Kalium effervettes Status post excision névrome de Morton intermétatarsien 3-4 pied G le 13.11.2018 pour un névrome de Morton symptomatique après plusieurs infiltrations. Status post exploration, autogreffe du foyer fracturaire, ostéosynthèse par vis HCS 2.4 mm d'une fracture du pôle proximal scaphoïde droit datant du 22.06.2018. Status post exploration et biopsie d'excision P1 D2 main G sur status post ablation d'une hyperplasie endothéliale papillaire intravasculaire de l'index G le 09.01.2018. Status post fasciite nécrosante membre supérieur droit sur bursite olécrânienne surinfectée par S. pyogenes en 2011. Status post embolies pulmonaires bilatérales et thrombose veineuse profonde en 2010 (Sintrom pdt 6 mois). Status post dermohypodermite des membres inférieurs. Status post fasciite nécrosante du coude droit. Status post arthrodèse de la cheville gauche post-accident de moto. Rupture de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche avec tendinopathie du long chef du biceps • contusion épaule gauche le 15.01.2016. AS épaule G. Ténotomie arthroscopique. Ténodèse et suture en mini-open du sus-épineux sur des ancres (OP le 11.04.2016) Plaie de 6 cm sur 3-4 cm sur éminence thénar main droite. Status post fausse route temporaire de quelques secondes Status post fermeture d'une communication interauriculaire de type II en 1967 Status post multiples épisodes de flutter et fibrillation auriculaire Status post thermoablation d'un flutter auriculaire de type I le 29.05.2001 et le 26.11.2002 (récidive) Status post angioplastie et stent de l'artère rénale droite le 3.11.2004 Suspicion de Rickettsiose en juillet 2018 Status post fracture arrachement du trapèze poignet G le 31.07.2018 avec douleurs persistantes. Status post fracture de la malléole interne de la cheville droite. • réduction sanglante, OS malléole interne de la cheville droite par 2 vis (opération le 10.11.2011). Status post fracture du tibia et du péroné droit en 1977. Bursite prépatellaire du genou gauche. Antalgie. Décharge avec des cannes et attelle Jeans. Status post fracture de la rotule gauche (1990) Status post ostéosynthèse d'une fracture 3 parts humérus proximal droit déplacée le 03.07.2018. Status post ostéosynthèse P2 D3 main gauche le 04.07.2018 par embrochage. Status post ostéosynthèse P3 D4 main gauche le 04.07.2018 par embrochage (Ishiguro). Status post fracture de Volkmann à gauche. Status post ostéosynthèse radius distal gauche par plaque palmaire le 04.10.2012. Intoxication alimentaire le 04.11.2018. Status post fracture du bassin Status post fracture du fémur proximal D avec ostéosynthèse Status post AMO fémur D et ostéotomie de dérotation Satus post opération d'une hernie inguinale Consommation OH à risque: anamnestiquement 2-3 bières dans la matinée et alcool fort ou vin à midi Gonarthrose tricompartimentale sévère du genou D le 12.11.2012 Carence sévère en Vitamine D à 14 nmol/l Status post fracture du naviculaire gauche en 2004 environ. S/p césarienne en 2010. S/p APP avec péritonite en 2005. S/p coloscopie (normale) en 2005. Status post fracture du radius distal G en 2014. Status post fracture extra-articulaire peu déplacée du radius distal gauche le 25.9.2018 traitée conservativement. Status post fracture luxation piso-triquétral poignet G le 26.10.2018. Status post fracture non déplacée diaphysaire du 3ème métatarses traitée par décharge avec chaussure avec semelle postérieure rigide. Status post fracture plurifragmentaire du calcanéum pied D le 21.02.2017 avec un traitement conservateur. Status post tendinite des péroniers de la cheville D. Infiltration sous-astragalienne D le 15.03.2018 Status post fracture 3ème orteil. Status post fracture 3 parts de l'humérus proximal gauche sur lésion chronique de la coiffe des rotateurs sus/sous-épineux, implantation d'une prothèse totale inversée le 24.12.2016. Lésion du nerf axillaire à gauche. Névralgie brachiale incessante de la branche supérieure du nerf cutané latéral du bras avec allodynie mécanique. Status post fracture/luxation épaule D avec : • parésie du nerf axillaire • fracture pluri-fragmentaire du trochiter peu déplacée (accident du 20.07.2017) Instabilité du long chef du biceps épaule D post-traumatique Status post gale. Dermohypodermite du coude le 3.4.17. Amoxicilline 2 g/j pendant 10 jours. Antalgie. Contrôle à la consultation ambulatoire des urgences à 48h. Status post gastroentérite en mai 2010 plusieurs OMA Faux croup Status post hémi-colectomie gauche en avril 2006 avec anastomose termino-latérale colo-rectale. Status post iléus grêle avec résection en 2008. Status post excision de cicatrice avec granulome. Status post adhésiolyse, omentectomie partielle et appendicectomie. Status post hystérectomie + colpo-suspension urétrale en 2000. Status post lombosciatalgie droite non déficitaire, le 14.05.2014. Lipothymie dans le cadre probablement d'un malaise orthostatique, le 20.08.2014. Status post hystérectomie en 2005 pour un carcinome épidermoïde in situ Status post érysipèle en 2002 et 2010 Status post appendicectomie dans l'enfance Status post AVB en 1992 à terme. Naissance d'une fille de 3050g. Status post AVB en 1994 à terme. Naissance d'un garçon de 3360 g. Status post AVB en 1995 à terme. Naissance d'une fille de 2400g. Status post hystérectomie en 2010. Status post entorse colonne cervicale fusion C5/C6 avec • lésion du plexus brachial avec hyposensibilité dans le territoire du nerf médial (symptomatologie régressive) • hernie discale C6-C7 D. Status post hystérectomie et opération vessie en 2009 Instabilité sur status post spondylodèse L4-L5 par PAD et PLIF L4-L5 le 17.08.2012. Re-spondylodèse L4-L5 par Facet Wedge (OP le 14.10.2013) OMA droite le 08.12.2014 avec: • actuelle hypoacousie de transmission droite • traitement par co-Amoxicilline 1g 2/j introduit le 08.12 par le MT Examen clinique Status post hystérectomie juillet 2015 à la clinique Daler. Status post abcès de la joue G le 05.09.2014 Status post hystérectomie. Status post appendicectomie. Hépatite C. Status post césarienne. Status post liposuccion. Status post idées suicidaires. Comportement hétéro-agressif. Céphalée migraineuse. Status post iléus mécanique sur adhérence 2016 Status post-fracture sous-capitale humérus droite traitée conservativement en 08.2010 Status post-changement PTG droite en 2007 Status post-ré-ostéosynthèse tubérosité tibiale droite en 2008 Status post-ablation vis d'ostéosynthèse tubérosité tibiale droite en 2008 Status post-hépatectomie droite et cholécystectomie pour échinococcose en 2004 et récidive en 2006 Status post-PTG droite le 14.04.2005 Status post-appendicectomie à 30 ans Status post-hystérectomie à 43 ans Status post implantation de prothèse totale de hanche ddc il y a 20 ans. Status post implantation de prothèse totale hanche gauche le 26.12.2017 pour une fracture du col du fémur gauche Garden II. Status post implantation de PTH D le 07.11.2018 sur coxarthrose sévère. Status post implantation de PTH D le 08.11.2018 pour une coxarthrose invalidante. Status post implantation de PTH D le 14.07.2016 Status post implantation de PTH droite en 1991 par Dr. X. Status post implantation d'une hémiprothèse de l'épaule G et ostéosuture des tubercules (OP le 01.10.2018) sur une fracture luxation postérieure 4 parts de l'humérus G le 27.09.2018. Status post implantation d'une prothèse cervicale en 2016 (Dr. X). Status post-cure hernie inguinale avec filet bilatéral par laparoscopie. Status post implantation d'une prothèse inversée, épaule gauche le 10.9.2019. Status post implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule D le 30.08.2018. Status post implantation d'une prothèse uni-compartimentale interne genou G Zimmer Persona pour une nécrose du condyle fémoral interne genou G le 22.08.2018. Status post implantation d'une PTG à D le 01.12.2017 pour une arthrose fémoro-patellaire et fémoro-tibiale interne sur chondromatose synoviale et corps libre intra-articulaire du genou D. Status post arthroscopie, synovectomie partielle, méniscectomie partielle et ablation de 3 corps libres, ainsi qu'ostéophytectomie du pôle supérieur de la rotule du genou D le 14.02.2017. Status post implantation d'une PTG à droite le 30.10.2018 sur gonarthrose tricompartimentale, essentiellement interne, à droite. Status post implantation d'une PTH à droite le 15.12.2017 sur coxarthrose bilatérale. Status post implantation d'une PTH G par voie transfessière le 08.11.2017 par Dr. X pour une nécrose de la tête fémorale G d'origine idiopathique. Ossifications hétérotopiques Brooker III. Lombalgies basses non déficitaires. Status post implantation prothèse totale genou droit le 13.1.2017. Status post implantation prothèse totale hanche D le 06.06.2018. Syndrome du pyramidal D et lombosciatalgies D non déficitaires avec troubles statiques. Status post implantation PTH D le 08.11.2018. Status post implantation PTH D le 25.10.2018. Status post implantation PTH D 2006. Status post implantation PTG D de type Balansys le 07.01.2015 (Dr. X). • Status post AMO genou D, arthrolyse, ré-ostéosynthèse du condyle fémoral interne et ostéotomie de la TTA le 26.03.2014. • Status post arthrite septique genou D avec staphylocoques dorés sur status post méniscectomie par arthroscopie. Status post implantation PTH G le 19.10.2018 sur fracture du col du fémur type Garden IV. Status post implantation PTH G par voie latérale le 28.03.2018 sur status après débridement du bourrelet cotyloïdien avec diminution de la taille du mur antérieur et reconstruction de l'offset par luxation chirurgicale de la hanche avec ostéotomie trochanter-flip sur impingement antérieur de la hanche G le 23.10.2002. Contracture musculature psoas, et adducteur. Hernie discale médiane et para-médiane à gauche avec luxation d'un fragment au niveau de L3-L4 avec contact de la racine L3. Débordement discal L3-L5. Status post incision cutanée et retrait d'une écharde de bois (érable) de 6 mm de longueur, face palmaire 2e rayon en zone II le 29.11.2018. Status post incision, débridement et rinçage d'un abcès en regard de l'interphalangienne proximale D4 main D le 18.11.2018. Status post infarctus myocardique il y a 2 ans. Status post diarrhées sanguinolentes sur colite hémorragique en mars 2010. Claquage musculaire du mollet gauche 10.11.2011. Status post infection urinaire basse le 23.11.2018. Status post Infection virale des voies respiratoires supérieures le 30.03.2014. Status post contusion ou lésion de la plaque palmaire. Infection lèvre inférieure suite à une plaie profonde suturée le 01.10.2015. Pharyngite. Contusion du poignet et de la main gauche le 22.08.2018. Status post infiltration de la face externe du talon G le 06.12.2018. Talalgie chronique G avec probable irritation du nerf tibial et enthésopathie calcifiante achilléenne. Status post infiltration des doigts à ressaut D4 et D5 main droite du 1er degré le 12.10.2018. Status post cure de tunnel carpien et cure de doigt à ressaut D3 D à ressaut le 1.5.2018. Status post discectomie antérieure C5-C6 C6-C7 et stabilisation par cage le 16.1.2017 (Dr. X). Syndrome du tunnel carpien gauche débutant. Status post infiltration d'une tendinite de De Quervain à G le 09.11.2018. Status post infiltration loco-dolenti de la face externe du calcanéum D le 06.12.2018. Douleurs localisées au niveau de la face externe du calcanéum droit. Status post suture tendon quadricipital droit le 01.12.2017. Arthrose symptomatique de la cheville droite post-ligamentoplastie de stabilisation il y a plus de 30 ans. Status post IRA pré-rénale en mars 2018. Status post PTG D en 2014. Status post cure du tunnel carpien D en 2014. Status post cure d'hernie discale en 2014 et 2010. Status post sigmoïdectomie en 1994. Status post cure d'une hernie hiatale, date non spécifiée. Status post IVG avec curetage en 2005. Status post-AVB par ventouse (garçon, 3400 grammes) en 2011. Accouchement par voie basse le 18.09.2013. Anémie en post-partum, avec hémoglobine à 112 g/l. Contusion au niveau de la tête du 2e métacarpien et de l'articulation métacarpophalangienne, 1e phalange du 2e rayon et tête du 3e métacarpien. RX antalgie, repos. Status post IVG médicamenteuse en 2010. Accouchement par ventouse métallique pour CTG pathologique à 40 5/7 SA chez Mme. Y de 22 ans. 2010: AVB d'un garçon pesant 3360 g à 40 1/7 SA à l'HFR Fribourg, déchirure III, délivrance normale et complète, anesthésie: péridurale, allaitement (mois): 4, particularités: provocation pour RPM fissure haute > 18 heures. Gastrite le 27.10.2017 avec reflux gastro-oesophagien. Trouble anxieux non traité le 27.10.2017. Status post IVG. Colique néphrétique gauche sur lithiase. Status post lambeau de rotation cheville G le 27.11.2018 pour couvrir un défect cutané au niveau du naviculaire médial. Status post débridement des plaies antérieures de la cheville G avec greffe de Thiersch et pansement VAC le 13.02.2018 pour un défect cutané de 12 x 4 cm sur ostéoarthrite septique naviculaire et cunéiforme du pied G sur dermohypodermite à strepto. dysgalactiae le 24.4.2017 avec 8 débridements entre avril et juin 2017.Surinfection à Enterobacter cloacae complexes et acinetobacter baumannii biopsie du 27.11.2018 sous traitement Ciproxine 750 mg 2 fois par jour. Status post débridement des plaies antérieures de la cheville G avec greffe de Thiersch et pansement VAC le 13.02.2018 pour un défect cutané de 12 x 4 cm sur ostéoarthrite septique naviculaire et cunéiforme du pied G sur dermohypodermite à strepto. dysgalactiae le 24.4.2017 avec 8 débridements entre avril et juin 2017. Status post lambeau de rotation cheville G le 27.11.2018 pour couvrir un défect cutané au niveau du naviculaire médial. Surinfection à Enterobacter cloacae complexes et acinetobacter baumannii biopsie du 27.11.2018 sous traitement Ciproxine 750 mg 2 fois par jour. Status post débridement des plaies antérieures de la cheville G avec greffe de Thiersch et pansement VAC le 13.02.2018 pour un défect cutané de 12 x 4 cm sur ostéoarthrite septique naviculaire et cunéiforme du pied G sur dermohypodermite à strepto. dysgalactiae le 24.4.2017 avec 8 débridements entre avril et juin 2017. Status post laparotomie en 2011 pour un iléus à Bienne. Status post appendicectomie il y a 15 ans. Status post cure hernie cicatricielle abdominale et inguinale selon Lichtenstein en 2011. Status post colique néphrétique à droite en 2006 avec mise en place d'une sonde double J, récidive en mars 2012, traitement conservateur. Douleurs thoraciques d'origine musculo-squelettique le 31.08.2012. Iléus mécanique du grêle le 17.02.2014 avec: • status post-laparotomie pour un iléus en 2011 • status post mise en place d'un filet pour hernie cicatricielle abdominale en 2011 Status post lésion Rockwood III articulation AC gauche le 10.08.2017. Arthrose AC gauche post-traumatique. Status post ligature des trompes. Status post appendicectomie dans l'enfance. Anémie normochrome normocytaire à 95 g/L d'origine probablement post-opératoire le 14.11.2018. Hypertension artérielle systolo-diastolique. Status post luxation de l'épaule droite avec raideur post-traumatique importante (26.08.2018). Status post luxation dorsale IPD D4 main droite le 30.10.2018. Status post luxation dorsale IPP D5 main gauche le 28.9.2018. Status post luxation épaule D traumatique le 02.12.2018 sur status post stabilisation de l'épaule D par voie d'abord ouverte (Dr. X) en 2011. Status post luxation postérieure du coude gauche avec fracture du processus coronoïde type I et arrachement ligamentaire. Status post luxation postérieure épaule G. Status post contusion cuisse G le 28.11.2018 traitée par physiothérapie. Status post luxation rotule D spontanée il y a 1 semaine. Status post probable subluxation rotule G il y a 1 an. Status post lymphangite au niveau de la jambe droite en septembre 2009 traitée par antibiotique. Status post pneumonie en 2008. Status post salpingite avec salpingectomie. Douleurs latéro-thoraciques gauches respiro-dépendantes et en parallèle douleurs du membre supérieur gauche en lancées, avec hypoesthésie diffuse du bras gauche d'origine indéterminée avec: origine musculo-squelettique (diagnostic différentiel: origine neurogène). Status post maladie de Perthès fémur gauche en 2011 (opéré). Status post menace d'accouchement prématuré à 33 semaines d'aménorrhée avec un col à 23 mm. Status post méniscectomie partielle du genou gauche le 13.09.2018. Status post arthroscopie du genou gauche et suture du ménisque interne sur lésion type anse de seau du ménisque interne le 05.10.2017. Status post ménisectomie partielle corne antérieure du ménisque interne du genou à G le 02.10.2018. Status post microdissectomie L4-L5 gauche le 29.09.2010. Status post appendicectomie. Status post mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule droite avec fracture de l'acromion péri-opératoire le 03.04.2018. Status post multiples fractures après accident de travail en 2000. Status post multiples opérations genou D pour ligaments. Status post neurolyse du nerf interosseux postérieur coude D le 03.12.2018. Status post neurolyse du nerf interosseux postérieur droit. Status post cure d'épicondylite droite sur épicondylalgie latérale et compression du nerf antéro-postérieur droit le 22.06.2017. Actuellement probable micro-instabilité latérale du coude droit. Status post neurolyse et antéposition intra-musculaire nerf cubital droit le 4.12.2018. Status post neurolyse et antéposition sous-musculaire nerf cubital gauche le 29.01.2018. Status post reconstruction AC par Fiber Tape et tendon long palmaire ipsilatéral le 16.11.2017. Status post neurolyse étendue du nerf médian poignet D le 14.12.2018. Maladie de Sudeck sur status post re-cure de tunnel carpien droit le 5.12.2017 sur status post cure de tunnel carpien droit le 5.12.2016. Status post neurolyse nerf cubital et nerf médian poignet G le 21.8.2018. Dégénérescence cervicale avec discopathie C6-C7 avec pincement inter-somatique sans conflit disco-radiculaire. Antélisthésis dégénératif C7-D1 avec uncarthrose bilatérale avec légère sténose foraminale. Status post névralgie zona 2011. Phlegmon sur bouton au niveau de l'angle de l'arcade sourcilière droite le 13.09.2018. Status post- OAP en 2005. Douleurs thoraciques d'origine musculaire le 09.04.2013. Status post opération d'anévrisme de l'aorte abdominale de plus de 10 cm de diamètre avec composante inflammatoire le 20.03.2017: cure d'anévrisme de l'aorte sous-rénale par tube droit, ligature de la veine cave inférieure per-opératoire et pose de cystofix le 20.03.2017. Hémisyndrome de type dyskinétique gauche sur probable accident vasculaire cérébral ischémique thalamique ou sous-thalamique droit le 16.04.2011. Infiltration lombaire à visée antalgique pour des lombalgies, en 2008 environ. Appendicectomie en 1954. Pneumonie nosocomiale à E. coli le 24.03.2017. Suspicion de cellulite au niveau de la cuisse gauche dans le contexte d'oedèmes des membres inférieurs. Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale sur hypovolémie versus embolisation per-opératoire de l'artère rénale gauche. Anémie normocytaire, normochrome hyporégénérative (84 g/l) le 24.04.2017 d'origine inflammatoire.• Transfusion d'un culot érythrocytaire le 24.04.2017 et le 28.04.2017 • Hémofecatests : 1/3 positif • Status post opération des varices • Status post plusieurs interventions chirurgicales au niveau du pied D • Résection d'une lésion arthroscopique sur le ménisque latéral G du 29.09.2014 • Chirurgie du canal rachidien (hôpital Lindenhof - novembre 2013) • Status post opération du colon • Status post appendicectomie • Status post opération du genou gauche. • Status post opération du poignet G • Status post ligatures des trompes • Status post cure de varices au MIG • Status post opération gynécologique (probablement conisation du col) en juin 2010 à l'hôpital Daler. • Status post APP à l'âge de 14 ans. • Status post IVG en septembre 2007. • Possible tendinite au bras gauche et au genou droit : 2011. • Césarienne 2013 et 2014. • Status post opération hallux valgus en 2015 • Status post hystérectomie en 1995 • Fracture de Jones pied G le 28.07.2017 • Status post opération hernie discale en 1998 • Plaie transverse face dorsale IPD D5 main D avec section tendon extenseur en zone 1 et ouverture traumatique de l'articulation IPD. • Rinçage intra-articulaire, suture tendon extenseur selon Kessler par Prolen 4.0, arthrodèse temporaire par 1 broche axiale 1.4, articulation IPD D5 main D (OP le 15.05.2012) • Status post opération hernie inguinale D en 2010 • Status post fracture doigt V main droite • Contusion facial région sous-orbitaire et malaire D le 25.11.2013 • Plaie linéaire longitudinale d'environ 3cm X 4 mm à 5mm du bord du nez à D le 25.11.2013 • Status post opération pouce G • Contusion 1/3 inférieur face postérieure du MID le 18.09.2013 • Contracture musculaire muscle trapèze le 22.12.2016 • Antalgie : Tramal retard + Tramal en réserve + Irfen • Bretelle • Arrêt de travail • Contrôle chez médecin traitant à 24h • Status post opération prolapsus rectal 1997 • Status post hystérectomie 1990 • Status post appendicectomie • Status post opération sur colonne lombaire accidentelle. • Status post eczéma cimenté. • Status post opération de la cataracte (2014). • Syndrome sérotoninergique • Hyperréflexie, acathisie, agitation, troubles du sommeil, muqueuses sèches • Thérapie psychotique par : SSRI (Trittico, Escitalopram), Mirtazapine, Quetiapine, Lexotanil, Zolpidem • Fatigue psychique et physique avec anxiété • MMS à 30/30, Test de l'horloge 6/6, GDS 1/15 le 25.02.16. • Sepsis sur dermo-hypodermite avec porte d'entrée au talon gauche le 15.03.2016 avec : • Bactériémie à Streptocoque dysgalactiae le 16.03.16 • DD : • TVP (exclue le 16.03.16) • Pneumonie à pneumocoques. • Douleurs abdominales d'origine peu claire avec. • Hypovitaminose D • Vit D à 44 nmol/l le 01.03.2016. • Status post ORIF de l'ulna proximal droit par plaque Aptus coude 2.8, • Révision des plaies bras et avant-bras du 04.06.2018 pour un syndrome de Morel-Lavallé bras D • Fracture Monteggia type IV 1er degré et fracture du noyau d'ossification capitelum après écrasement le 04.06.2018. • Status post ORIF le 06.11.2018, d'une fracture de la malléole externe type Weber B à D du 30.10.2018. • Status post ORIF par plaque Aptus poignet 2.5 et plaque Aptus Hand 2.0 le 21.09.2018 pour une fracture intra-articulaire du radius distal D type Volar Barton le 18.09.2018 • Status post ORIF par plaque APTUS 2.4 du radius distal D le 09.12.2017 sur fracture pluri-fragmentaire type AO 23-C3 le 09.12.2017. • Syndrome tunnel carpien débutant. • Status post ORIF par plaque palmaire Aptus poignet G pour fracture intra-articulaire du radius distal gauche le 26.12.2017. • Status post ORIF par plaque PHILOS pour une fracture à 4 parts avec un valgus impacté à G. • Status post ORIF par 3 plaques Aptus 1.5 d'une fracture intra-articulaire déplacée de la base du métacarpe 1 à droite avec extension métadiaphysaire pluri-fragmentaire. • Status post ORIF radius distal D par plaque Aptus le 27.09.2018 pour fracture extrémité distale radius D, comminutive avec déplacement dorsal, subluxation ulnaire et fracture-arrachement styloïde ulnaire le 26.09.2018. • Status post ORIF radius distal G le 18.10.2018 sur une fracture pluri-fragmentaire radius distal G avec arrachement de la styloïde ulnaire. • Status post ORIF radius distal G le 26.10.2018. • Status post ORIF tibia D avec clou expert tibia (longueur 300, diamètre 9 mm), 4 vis le 26.09.2018 sur fracture diaphysaire tibia distal et péroné proximal D le 25.09.2018. • Status post OS d'une fracture trimalléolaire cheville gauche le 26.10.10. • AMO cheville G (OP le 18.01.2012) • Status post OS fracture humérus distal gauche en 1998. • Status post impétigo. • Intoxication médicamenteuse le 15.02.2015 à 17 heures avec • 11g de Dafalgan, Venlafaxine 75mg (8 comprimés), Tramadol 150mg, Tranxilium (dose pas connue). • Troubles du comportement avec crises clastiques à répétitions le 28.11.2018 avec : • contexte familial difficile • traumatisme main droite avec hématome face dorsale des métacarpiens 3 et 4, dermabrasions. • Radiographie main droite : pas de fracture visualisée. • Concernant le traumatisme de la main, antalgie (Irfen 400mg 3x/j durant 3 jours, + Dafalgan 1g 4x/j si douleurs), application de glace. • Avis psychiatrique (Dr. X) : hospitalisation volontaire à Marsens. • Status post OS par plaque LCP 6 trous 2 broches longitudinales, 1 vis et 1 broche médiale le 03.07.2018 pour une fracture/luxation bi-malléolaire G le 24.06.2018 • Status post ostéosynthèse avec une plaque tiers tube 7 trous et une vis trans-syndesmotique le 02.11.2018 pour fracture Weber C malléole externe D. • Status post ostéosynthèse calcanéum ddc avec plaque F3 et vis 3.5 le 07.08.2018 pour fracture intra-articulaire calcanéum ddc le 29.07.2018. • Status post ostéosynthèse calcanéum G par 2 plaques F3 et une vis libre 3.5 le 12.09.2018 sur fracture type tongue du calcanéum G le 03.09.2018. • Status post ostéosynthèse de la clavicule D sur pseudarthrose le 04.06.2018. • Status post ostéosynthèse de la clavicule droite par plaque VariAx le 22.06.2018. • Status post ostéosynthèse de la clavicule G le 17.10.2018. • Status post ostéosynthèse de la malléole externe pour une fracture trimalléolaire de la cheville D le 18.10.2018. • Status post ostéosynthèse de la malléole latérale droite par plaque tiers tube le 11.7.2018 pour une fracture Weber B de la cheville droite, AO 44B1 avec déplacement secondaire • Status post ostéosynthèse de la tête radiale droite et réinsertion du ligament collatéral externe le 29.4.2018. • Épaule gelée post-traumatique droite avec tendinopathie du sus-épineux. • Flexum des doigts de la main droite post-traumatique, sans atteinte du nerf cubital. • Status post infiltration-test intra-articulaire et sous-acromiale, épaule D le 12.10.18. • Status post ostéosynthèse de la tête radiale gauche pour une fracture Mason II 4 vis HCS le 21.06.2018. • Status post ostéosynthèse de la 2ème phalange du 5ème doigt avec arthrodèse de l'interphalangienne proximale à D il y a 15 ans. • Status post ostéosynthèse de l'humérus distal droit le 25.05.2018. • Status post ostéosynthèse du fémur proximal et diaphysaire à droite par clou PFN long et cerclage Dall-Miles le 9.6.2018 pour une fracture pertrochantérienne du fémur droit type Kyle III et une fracture diaphysaire du fémur droit le 7.6.2018. • Status post ostéosynthèse du radius distal gauche le 18.11.2018. • Status post ostéosynthèse du radius distal gauche le 21.08.2016 et ablation du matériel d'ostéosynthèse le 26.10.2017. • Status post ostéosynthèse du scaphoïde G par vissage Atofix 2.0 le 18.09.2018 sur une re-fracture du scaphoïde la main G. • Status post ostéosynthèse d'une fracture à trois parts de l'humérus proximal G le 20.09.2018. • Status post ostéosynthèse d'une fracture à 3 parts de l'humérus proximal droit avec composante head split le 12 novembre 2018. • Status post ostéosynthèse d'une fracture à 3 parts de l'humérus proximal droite déplacée le 14.4.2018.Status post ostéosynthèse d'une fracture à 4 parts de l'humérus proximal G le 10.09.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture arrachement du trochiter pluri-fragmentaire avec lésion de l'intervalle des rotateurs épaule D le 21.02.2018. Status post réinsertion d'un ligament collatéral cubital de l'articulation MCP 1 main D le 21.02.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture bi-malléolaire type Weber B à G le 19.4.2017. Status post ostéosynthèse d'une fracture de la base de P2 pouce gauche par double vissage et status post embrochage et arthrodèse temporaire IPD D3 main gauche le 16.11.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture de la clavicule latérale droite type Neer V avec stabilisation coraco-claviculaire et double ostéosynthèse de la clavicule latérale le 13.9.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture de l'avant-bras distal gauche le 23.11.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture déplacée sous-capitale du 5ème métacarpien main droite le 2.9.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture du scaphoïde par auto-greffe prélevée du radius distal gauche le 11.12.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture épibasale P1 D5 main gauche le 23.10.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture extra-articulaire de la base du métacarpe I à gauche le 25.09.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire du radius distal G par plaque palmaire Aptus radius 2.5 le 02.10.2018 sur une fracture intra-articulaire du radius distal G et arrachement du processus styloïde ulnaire à G le 30.09.2018, main dominante. Status post ostéosynthèse d'une fracture intra-articulaire pluri-fragmentaire du radius distal droit avec arrachement de la styloïde cubitale le 14.11.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture péri-prothétique Vancouver B1 du fémur D le 24.10.2018 traitée par cerclage du fémur proximal en mini-invasif le 30.10.2018. Status post fracture mono-bloc extra-articulaire du radius distal D le 24.10.2018, traitée conservativement. Status post PTH D 2005. Status post ostéosynthèse d'une fracture péri-prothétique Vancouver B3 fémur droit le 1.11.2018. Status post ostéosynthèse du trochiter épaule droite le 1.11.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture sous-capitale déplacée humérus proximal gauche et ostéosynthèse d'une fracture du radius distal gauche le 1.11.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture sous-capitale humérus proximal gauche le 30.06.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture trimalléolaire gauche et fixation d'une lésion ostéochondrale du talus gauche. AMO malléole interne, malléole externe et tubercule de Chaput cheville gauche. Douleurs cheville gauche le 19.04.2018 - post opératoire en 2014 et 2015. Status post ostéosynthèse d'une fracture Weber B cheville D le 26.09.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture Weber B cheville droite le 13.9.2018. Status post AMO vis de syndesmose le 12.11.2018. Status post ostéosynthèse d'une fracture Weber B de la cheville D le 15.10.18. Status post ostéosynthèse d'une fracture Weber C à D le 3.12.18. Status post ostéosynthèse d'une fracture 3 parts de l'humérus proximal droit le 12.12.2017. Status post ostéosynthèse d'une fracture 3 parts humérus proximal droit déplacée le 03.07.2018. Status post ostéosynthèse P2 D3 main gauche le 04.07.2018 par embrochage. Status post ostéosynthèse P3 D4 main gauche le 04.07.2018 par embrochage. Discopathie avancée L4-L5 avec altération des plateaux vertébraux dans le sens d'un Modic I, discopathie L3-L4 avancée sans hernie discale oppressive traumatisée. Status post ostéosynthèse en MIPO avec plaque métaphysaire LCP 4.5 3.5 le 25.08.2018 pour fracture diaphysaire spiroïde tibio-péroné à droite avec déplacement secondaire. Status post ostéosynthèse humérus proximal droit le 25.9.2018. Status post ostéosynthèse humérus proximal droit le 7.11.2016. Status post révision de plaie le 22 et 25.12.2016 pour déhiscence de plaie et écoulement hématique persistant. Status post ostéosynthèse le 14.09.2018 d'une fracture 3 parts de l'humérus proximal droit du 09.09.2018 par Philos et Aptus 2.0. Status post ostéosynthèse par broche coude G avec AMO effectuée. Status post reconstruction du visage en 2011 à l'hôpital de l'Ile, suite à un AVP en motocross. Cure d'hernie inguinale bilatérale dans l'enfance. Status post ostéosynthèse par clou centro-médullaire d'une fracture médio-diaphysaire transverse du tibia droit le 18.11.2018. Status post ostéosynthèse par clou centro-médullaire Gamma III d'une fracture per-trochantérienne Kyle II du fémur droit le 17.11.2018. Status post ostéosynthèse par clou Gamma long le 09.04.2016 pour fracture pertrochantérienne reverse du fémur proximal droit. Status post cure de hernie discale L5-S1 gauche en 1991. Status post prothèse totale des deux genoux: • PTG droite en 2007. • PTG gauche en 2011. Déconditionnement physique dans les suites d'abcès multiples de la cuisse droite avec: • Germe trouvé : staphylocoque epidermidis multi-sensible. • 09.09.2016, débridement étendu et mise à plat de 3 abcès, prise de multiples biopsies en regard de la cuisse D. • 11.09.2016, second look, mise à plat d'un hématome avec rinçage et biopsies multiples, pose d'un drainage de la cuisse D. Status post ostéosynthèse par PFNA le 05.09.2018 pour fracture pertrochantérienne type Kyle III à gauche. Status post ostéosynthèse par plaque Liss 11 trous et plaque tiers tube 4 trous postéro-médiale du tibia D sur fracture intra-articulaire du tibia proximal et fracture spiroïde tiers moyen de la jambe D le 14.10.2017. Status post ostéosynthèse par plaque PHILOS épaule G le 23.08.2018 sur une fracture en 2 parts 3 fragments datant du 11.08.2018. Syndrome de tunnel cubital G. Syndrome de tunnel carpien débutant G. Doigt à ressaut stade I Dig V main G. Status post ostéosynthèse par plaque Philos humérus proximal D le 23.07.2018. Status post ostéosynthèse par plaque Philos humérus proximal G le 26.12.2016. Status post ostéosynthèse par plaque Variax® Stryker 8 trous technique MIPO le 20.06.2018 pour fracture transverse tiers moyen clavicule droite datant du 15.06.2018. Status post ostéosynthèse par 2 plaques Aptus 2.5 le 22.11.2018 pour une fracture ouverte de type Gustilo 1 du poignet gauche, dominante, le 17.11.2018. Fracture Weber A de la malléole externe cheville droite. Status post ostéosynthèse par 2 vis HCS 1.5 tête radiale ddc le 13.09.2018. Douleur épaule droite, suspicion lésion sous-épineux. Status post ostéosynthèse péroné, malléole interne et Volkmann de la cheville D pour une fracture tri-malléolaire après luxation. Status post ostéosynthèse radius distal droit le 9.10.2018. Status post ostéosynthèse radius distal G par plaque Aptus TriLock le 31.12.2017 sur fracture intra-articulaire radius distal type AO 23-B3. Status post ostéosynthèse rotule G le 08.02.2018. Status post bursectomie et ablation du matériel d'ostéosynthèse rotule G le 05.11.2018. Status post ostéotomie correctrice type condyle radial humérus distal gauche et ostéosynthèse le 9.10.2018. Status post pancolite infectieuse à germe indéterminé le 03.03.2016.Status post hystérectomie avec oophorectomie. Status post appendicectomie. Status post iléus mécanique sur bride opéré (il y a 2 ans, 2 laparotomies). Status post iléus grêle traité conservativement en 2015. Status post stripping de varices membre inférieur gauche. Status post sténose dégénérative centrale avec protrusion récessale des deux côtés et kyste du ligament jaune L4-L5 gauche avec décompression intra-laminaire et foraminale L4-L5 des deux côtés. Ablation du kyste du ligament jaune à gauche. Discectomie L4-L5 par la gauche et mise en place d'une cage RSF 10 mm. Spondylodèse L4-L5 avec système Viper vis 6.0 x 50 ainsi que BGel et os en postéro-latéral aux barres. (OP le 11.05.2016). Pneumonie organisée post-radique le 14.03.18 • avec surinfection bactérienne pulmonaire. Anémie hypochrome microcytaire normo-régénérative le 14.03.2018 • dans un contexte inflammatoire. Hyponatrémie hypoosmolaire Eu/hypovolémique à 128 mmol/L, le 14.03.2018. • DD: SIADH sur pneumonie. Suivi biologique. Etat dépressif réactionnel le 14.03.18. Candidose orale le 23.03.18. Status post perforation duodénale en 2002 sur AVP moto-cross. Status post plaie profonde au niveau de l'articulation métacarpo-phalangienne 4 et 5 à D avec arrachement de 5 à 10% du tendon extenseur rayon 4 et 5 dans la zone 5. Status post appendicectomie. Status post phlegmon plantaire gauche. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Status post pic fébrile à 38,5 avec hypoxémie dans un contexte de réaction toxique à la Cubicine (DD : surcharge cardiaque) (09/2017). Status post oligo-arthrite micro-cristalline de type chondrocalcinose à pyrophosphates de calcium (08/2016). Status post dermo-hypodermite du MIG traitée par co-amoxicilline (08/2016). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale (08/2016) avec : • poids 92 kg, créatinine 126 umol/l, clairance selon Cockroft 49.3 ml/min, selon MDRD 50.2 ml/min. Status post bactériémie à C. jejuni sur gastro-entérite aiguë (12/2015). Status post cholécystectomie partielle en 2013 pour cholangite récidivante sur cholédocholithiase et fistule colo-vésicale symptomatique avec drain percutané en place avec : • contrôle par cholangiographie et ablation du drain à l'Inselspital de Berne le 12/2013. Status post rémission complète d'un lymphome Hodgkin B diagnostiqué en septembre 2009 et traité par chimiothérapie. Status post embolie pulmonaire en décembre 2009. Status post fracture du col fémur D en 2002. Status post PTH D en 2001. Status post cyphoplastie sur fracture-tassement D12 en 2003. Status post fracture col fémur G type Pauwels I traitée conservativement en 2004. Status post cure hernie discale lombaire en 1991. Status post cure hernie inguinale. Arthrite septique du genou gauche à Staphylococcus epidermidis multi-R le 25.08.2017 traité conservativement chez un patient connu pour : • prothèse totale du genou gauche en 1992. • ablation et changement de la prothèse du genou gauche sur descellement avec débridement, biopsie et réimplantation PTG G de révision en 2010. • changement PTG G avec débridement péri-articulaire et implantation d'une prothèse charnière type rotation le 03.12.2013 sur descellement septique de la PTG G à Staph. epidermidis multi-R. Status post pic fébrile à 38,5 avec hypoxémie dans un contexte de réaction toxique à la Cubicine (DD : surcharge cardiaque) (09/2017). Status post oligo-arthrite micro-cristalline de type chondrocalcinose à pyrophosphates de calcium (08/2016). Status post dermo-hypodermite du MIG traitée par co-amoxicilline (08/2016). Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine probablement pré-rénale (08/2016) avec : • poids 92 kg, créatinine 126 umol/l, clairance selon Cockroft 49.3 ml/min, selon MDRD 50.2 ml/min. Status post bactériémie à C. jejuni sur gastro-entérite aiguë (12/2015). Status post cholécystectomie partielle en 2013 pour cholangite récidivante sur cholédocholithiase et fistule colo-vésicale symptomatique avec drain percutané en place avec : • contrôle par cholangiographie et ablation du drain à l'Inselspital de Berne le 12/2013. Status post rémission complète d'un lymphome Hodgkin B diagnostiqué en septembre 2009 et traité par chimiothérapie. Status post embolie pulmonaire en décembre 2009. Status post fracture du col fémur D en 2002. Status post PTH D en 2001. Status post cyphoplastie sur fracture-tassement D12 en 2003. Status post fracture col fémur G type Pauwels I traitée conservativement en 2004. Status post cure hernie discale lombaire en 1991. Status post cure hernie inguinale. Status post plaie profonde avec fracture du lit de l'ongle et fracture de D3, D2 main G. Plaie profonde avec fracture, luxation IPD D3 main G et perte osseuse le 28.08.2018. Révision de plaie. Embrochage D3, D2 et arthrodèse par broches IPD D3 le 28.08.2018. Status post plastie des ligaments croisés antérieurs. Status post cholécystectomie en 2005. Status post cure d'hernie ombilicale en 2005. Notion de gastrectomie partielle (sur ulcères ?) Crise de chondrocalcinose sur gonarthrose en 03.2015. DD : • poussée d'arthrose. • crise de goutte. Probable gastro-entérite virale avec constipation chronique péjorée. Paresthésies MSD sur probable compression mécanique du nerf radial. Status post plastie du LCA par greffon du tendon quadricipital le 8.11.2017 sur insuffisance du LCA post plastie par Ligamys genou droit. Status post plastie du LCA par voie arthroscopique du genou D en juillet 2002. Status post plastie du LCA du genou G en janvier 2001. Status post plastie LCA genou D le 21.11.2017 par tendon quadricipital. Status post plastie ligamentaire du ligament croisé antérieur par une greffe autologue du tendon quadricipital, genou gauche, le 21.8.2018. Status post pleurésie en 1976, 3 mois de cure antibiotique. Notion de pollakiurie avec sondage unique par Dr. X en 2017. Status post entorse du genou D le 02.07.17. Status post chirurgie de varices des membres inférieurs avec infection locale post-op par S. aureus en 2015. Status post ostéosynthèse de la scapula G et chirurgie de la coiffe des rotateurs en 2013. Status post fracture poignet G en 1960. Pneumonie communautaire lobaire inférieure gauche le 16.11.2018. Status post pneumonectomie totale gauche du 01.10.2018. Status post pneumonie lobe supérieur droit communautaire le 14.12.2011. Abcès dentaire n°25 avec drainage en 2013. Status post pontage aorto-coronarien et remplacement de la valve aortique (valve biologique) et mise en place de plusieurs stents coronariens le 25 et 26.09.18 à l'hôpital de l'Ile à Berne. • actuellement sous Marcoumar, Clopidogrel et Aspirine Cardio. Status post pose de drains tympaniques. Status post circoncision. Status post pose de stent en 2016. Hypertrophie bénigne de la prostate. Status post possible début de lithiase rénale à gauche. Status post poussée hypertensive symptomatique avec vertiges, céphalées, diplopie. Status post accident ischémique transitoire sur athérosclérose carotidienne gauche le 04.12.2015 et en 2005. Status post paralysie faciale en janvier 2001. Status post réduction mammaire en 1997. Status post plastie abdominale en 1990. Status post hystérectomie par voie vaginale en 1986. Status post cholécystectomie en 1986. Status post appendicectomie en 1980. Status post probable thyroïdite du post-partum. Status post traumatisme crânien le 01.02.2014 avec : • fracture du plancher de l'orbite sans incarcération musculaire. • plaie de l'arcade sourcilière de 4 cm. Status post probable dermohypodermite mollet droite 08/2018. Chute d'origine indéterminée avec perte de connaissance le 07.09.2018. • diagnostic différentiel : rythmique, orthostatique, vaso-vagal, idiopathique. Avis cardiologie (Dr. X) : FEVG à 25%, syncope très probable sur trouble du rythme. Surveillance aux soins continus pendant 48h, revascularisation dès que possible. Le patient refusant cette prise en charge, un Life Vest pourrait être mis en place. Retour à domicile contre avis médical le 13.09.2018. Status post probable 1ère luxation de l'épaule gauche traumatique le 19.08.2018. Status post PTG à G, Dr. X (date ?). Status post intervention au niveau de la colonne lombaire Dr. X, Bern (date ?). Status post PTG G Status post pose de 2 stents Status post cholécystectomie. Status post PTG le 30.10.2013. Status post fracture styloïde radius G non déplacée le 19.10.2010, traitée conservativement. Status post fracture sous-capitale peu déplacée en varus avec fracture du grand tubercule légèrement déplacée humérus G, le 07.08.2009, traitée conservativement. Status post fracture 3 parts, sous-capitale, et col anatomique humérus proximal D, le 30.12.2004, traitée conservativement. Status post hystérectomie. Status post PTH D en 2006. Status post laminectomie L2-L5 bilatérale sur canal lombaire étroit sévère multiétagé en juin 2012 (Dr. X, Clinique Générale). Ostéoarthrite chronique hanche G sur status post • PTH G de resurfaçage le 01.12.2005 • changement PTH G le 26.11.2011 • remplacement tête PTH G le 03.12.2011 sur luxation récidivante • ablation PTH, implantation d'un espaceur et plombage par Ostéoset avec Vancomycine hanche G le 24.08.2012 • germe en cause : Staph. coag. nég (méthicilline résistant) Débridement, biopsies, résection des ossifications hétérotopiques, ablation espaceur, réimplantation PTH G (cupule Fitmore 64, noyau Durasul 64/36, tête Protasul 36 col L, tige Revitan D 20x140 mm avec embout proximal 65 mm) par abord transfémoral avec réostéosynthèse par cerclages Dall-Miles (OP le 19.10.2012). Coagulopathie intravasculaire disséminée et de dilution sur saignement peropératoire le 19.10.2012. 6 PFC, 8 CE le 19.10.2012. Lésion iatrogène du nerf sciatique G à prédominance péronière sur réimplantation PTH G le 19.10.2012. Consilium neurologique le 23.10.2012 (cf annexe). Attelle de Heidelberg. Contrôle EMG le 13.11.2012 à 18 h. Status post PTH droite en juin 2007 par le Dr. X. Status post arthrodèse de la cheville gauche par le Dr. X. Status post PTG ddc. Status post PTH droite sur coxarthrose le 10.02.2010. Status post PTH gauche sur coxarthrose le 10.07.2008. Status post PTH en 2015. Mélanome joue D en 2017. Status post PTH G en avril 2015 par le Dr. X (système non cimenté, cupule à double mobilité, tige corail, cotyle gyros double mobilité 52). Lombalgies chroniques. Suspicion de syndrome sacro-iliaque du côté gauche. Status post PTH G en 2008 sur nécrose tête fémorale (HIB). • lésion du tronc du nerf sciatique. Status post thyroïdectomie partielle en 1992 pour goître euthyroïdien. Status post TURP sur hyperplasie bénigne de la prostate en 2007. Status post PTH G en 2008. Status post PTG D en 2000. Status post PTH D en 2012. Status post-décompression L2-L3 et L3-L4 en 2016. Status post PTH G en 2010. PTH D sur coxarthrose D le 23.02.2017. • Douleurs cuisse gauche suite à compression per opératoire d'une PTH D le 27.03.2017. • Hypoesthésie face latérale cuisse G sur compression per-opératoire le 26.02.2017. Malaria il y a 10 ans. Status post PTH G en 2010. Status post PTH D sur coxarthrose D le 23.02.2017. • Douleurs cuisse gauche suite à compression per opératoire d'une PTH D le 27.03.2017. • Hypoesthésie face latérale cuisse G sur compression per-opératoire le 26.02.2017. Malaria le 21.10.2010. Status post PTH G le 12.12.2007 sur coxarthrose primaire. Gonarthrose en varus bicompartimentale bilatérale, plus prononcée à droite. Status post PTH G le 15.02.2018. Status post PTH D le 31.08.2017. Syndrome du pyramidal à droite. Scoliose lombaire dégénérative dextro-convexe. Status post PTH G sur coxarthrose primaire le 29.01.2014. Coxarthrose débutante peu symptomatique à droite. Status post PTH G (2006). Status post PTH gauche. Status post fracture poignet droit. Status post cholécystectomie. Status post PTH par voie latérale le 20.12.2017. Lombalgies chroniques avec présence d'une hernie discale L4-L5. Trochantérite G. Status post PUC à droite le 20.08.2014 pour gonarthrose fémoro-tibiale interne du genou droit. Status post pyélonéphrite en 1990. Status post re-arthroscopie diagnostique, bursectomie sous-acromiale, acromioplastie le 10.04.2017 sur status post arthroscopique diagnostique de l'épaule G, décompression sous-acromiale, réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, résection AC le 10.11.2015. Status post reconstruction AC G le 19.12.2017. Status post reconstruction acromio-claviculaire G le 06.11.2018 sur status post lâchage de stabilisation AC G du 08.03.2018. Status post reconstruction capsulaire supérieure épaule droite le 13.11.2018. Status post reconstruction du point d'angle postéro-externe et LCP du genou G. Laxité latérale et postéro-latérale du genou G. Status post réduction et ostéosynthèse du plateau tibial G avec par la suite AMO. Status post amputation de type Burgess de la jambe D post accident de la voie publique en 1990. Status post réduction fermée, embrochage d'une fracture Salter II du radius distal G et fracture de la styloïde ulnaire le 19.10.2018. Status post réduction fermée, embrochage par 2 broches 0.8 P1 Dig I G le 20.11.2018 sur fracture Salter II P1 Dig I G. Status post réduction fermée, embrochage par 2 broches 0.8 P1 Dig I G le 20.11.2018 sur fracture Salter II P1 Dig I G. Status post réduction fermée et embrochage antérograde du 5ème métacarpien D le 23.11.2018 sur fracture sous-capitale, déplacée, col du 5ème métacarpien D; le 22.11.2018. Status post réduction fermée et embrochage du 5ème métacarpien D le 18.10.2018 sur : • fracture sous-capitale de la tête du 5ème métacarpien à D et fracture de la base du 4ème métacarpien D le 05.10.2018. Status post réduction fermée et embrochage d'une fracture Salter Harris II de la base de P1 D4 main D avec 2 broches 1,0 mm le 06.11.2018. Status post réduction fermée et embrochage d'une fracture Salter Harris II de la base de P1 D4 main D avec 2 broches 1,0 mm le 06.11.2018. Status post réduction fermée et embrochage rétrograde selon Kapandji du radius distal le 12.11.2018 pour une fracture de l'extrémité distale du radius, déplacée, type Salter II et une fracture du cubitus distal type Salter III à G. Status post réduction fermée et enclouage par clou TEN 2.5 mm du radius distal D le 10.09.2018 pour une fracture en bois vert. Status post réduction fermée et enclouage par 2 clous Prévot le 13.12.2018 pour une fracture diaphysaire déplacée de l'avant-bras D. Status post réduction fermée et mise en place d'un plâtre pelvi-cruro-pédieux le 11.11.2018 sur fracture diaphysaire spiroïde du fémur G. Status post réduction fermée et mise en place d'un plâtre pelvi-cruro-pédieux le 11.11.2018 sur fracture diaphysaire spiroïde du fémur G. Status post réduction fermée et ostéosynthèse de P1 du pouce G par 2 broches de Kirschner le 28.10.2018 pour une fracture type Salter II P1 pouce G le 26.10.2018. Status post réduction fermée et ostéosynthèse du fémur proximal D par clou PFNA 125°/200 mm de long/10 mm de diamètre, lame PFNA 125 mm, vis de verrouillage statique de 36 mm le 07.08.2018 pour une fracture pertrochantérienne du fémur D le 06.08.2018. Status post réduction fermée et ostéosynthèse du fémur proximal G par PFNA le 22.10.2018 sur une fracture pertrochantérienne G le 20.10.2018. Status post réduction fermée et ostéosynthèse du tibia distal G par un clou centro-médulaire Expert le 29.12.2017 sur fracture spiroïde plurifragmentaire, extra-articulaire, tibia distal G le 28.12.2017. Status post réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA le 19.10.2018 sur une fracture pertrochantérienne G type AO 31-A2 du 18.10.2018.Status post réduction fermée et ostéosynthèse par clou tibial Expert à gauche le 22.7.2018 sur une fracture spiroïde diaphysaire distale du tibia-péroné type AO 42.A1. Status post réduction fermée et ostéosynthèse par clou tibial Expert jambe D le 08.12.2017, nécrose cutanée de la plaie post-traumatique tiers distal jambe D sans syndrome inflammatoire. Status post réduction fermée et ostéosynthèse par enclouage centromédullaire du tibia G et prises de prélèvements osseux le 25.7.2018. Status post réduction ouverte de l'articulation IP hallux G, ablation des fragments libres interposés et arthrodèse temporaire IP hallux G avec une broche de Kirschner 1.6 le 28.11.2018 sur: • status post subluxation supérieure médiale de l'IP hallux G avec des fragments osseux interposés le 28.11.2018. Status post arthrodèse MTP 1 à G. Lésion du Chopart avec arrachement osseux sur le versant dorsal de la tête du talus et du naviculaire à G le 28.11.2018. Status post réduction ouverte et embrochage Lisfranc pied, cerclage haubanage base du 5ème métatarse le 20.03.2011 pour • fracture luxation du Lisfranc pied D divergente complète (type C) • compliquée d'une algoneurodystrophie pied D. Status post réduction ouverte et fixation de la malléole latérale par une plaque tiers tube 5 trous et réduction ouverte et fixation de la malléole médiale par deux vis canulées 2.7 pour une fracture bi-malléolaire de la cheville droite le 5.10.2018. Status post réduction ouverte et fixation par une plaque tiers tube 3.5 3 trous d'une fracture de la malléole latérale type Weber B cheville gauche le 7.7.2016. AMO plaque tiers tube 3.5 et 3 vis cheville gauche (OP le 13.12.2018). Status post réduction ouverte et ostéosynthèse clavicule D le 22.10.2018 sur fracture pluri-fragmentaire clavicule D. Status post réduction ouverte, OS par plaque Aptus radius, abord dorsal à D le 22.10.2018 sur fracture type Chauffeur poignet D. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la clavicule D le 07.11.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la clavicule D par plaque Variax supérieure 3.5 mm à 8 trous le 06.09.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de l'extrémité distale du radius D par plaque Aptus Hand 2,5 mm le 06.09.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe G par plaque LCP tiers tube le 12.09.2018 pour une fracture équivalente bi-malléolaire type Weber B le 05.09.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole externe G par plaque 1/3 tube LCP (6 trous) en position antiglide le 05.09.2018 pour une fracture de la malléole externe G type Weber B le 20.08.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la malléole postérieure, malléole latérale et malléole interne à D le 25.07.2018 pour une fracture tri-malléolaire de la cheville D datant du 16.07.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la tête radiale G par 2 vis HCS 1,5 mm le 27.06.2018 pour une fracture de la tête radiale G type Mason II. Syndrome cervico-brachial G. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de la 1ère phalange du pouce D le 24.10.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de l'épicondyle radiale du coude G par une vis 2.3 et une plaque 2 trous et une broche 1.6 le 11.09.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de l'extrémité distale du radius G le 16.10.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de l'olécrâne et du processus coronoïde le 05.11.2018 pour une fracture luxation trans-olécrânienne à D avec fracture du processus coronoïde Regan-Morrey type III et fracture de la tête radiale type Mason II. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse de P1 D4 main G. Status post suture du tendon extenseur de D2-D3 de la main G sur : • fracture ouverte P1 D4 • section du tendon extenseur zone 3 avec arthrotomie de l'IPP de D2 • lésion partielle du tendon extenseur zone 3 de D3 (Opération le 18.01.2018). Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du fémur D par un clou LFN le 04.11.2018 pour une fracture transverse déplacée du tiers moyen de la diaphyse fémorale à D. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal D avec une plaque Aptus, ostéosynthèse de la styloïde ulnaire D avec une vis autofix 2.0 sur fracture intra-articulaire déplacée du radius distal D et fracture de la styloïde ulnaire D le 13.12.2017. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius distal gauche avec une plaque Aptus le 21.1.2017 pour une fracture extra-articulaire déplacée du radius distal gauche. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du radius et cubitus gauche pour fracture avant-bras gauche le 15.10.2017. Impotence fonctionnelle du muscle flexor pollicis longus gauche. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du tibia D le 09.11.2018 par plaque et ostéosynthèse de la cheville D par vis libre pour fracture diaphysaire du tibia D avec extension articulaire distale sous forme de fracture triplane. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du 1er métatarsien à droite avec une plaque Pedus 2.7 large le 17.12.2017 et fracture ouverte du 1er métatarsien du pied D. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse du 5ème métacarpien droit le 12.11.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture bicondylienne de P1 Dig V D le 09.09.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture complexe du fémur proximal droit avec une composante inter-trochantérienne du col du fémur latéral du 31.10.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture du plateau tibial interne genou droit type Schatzker IV le 11.12.2017. Fracture radius distal main gauche du 16.10.2018 traitée conservativement. Status post traitement conservateur d'une fracture intra-articulaire du radius distal droit avec bascule dorsale (ostéosynthésée par plaque en août 2013 par le Dr X). Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture du plateau tibial interne type Pure Split le 30.10.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture du radius distal D le 23.10.18. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture Tillaux-Chaput G par une plaque Aptus Hand 2,3 mm le 17.09.2018 pour un arrachement osseux de la syndesmose tibia distal G, fracture Tillaux-Chaput. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse d'une fracture trimalléolaire type Weber B le 10.12.2017. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse en MIPO du tibia G par plaque métaphysaire 4,5 - 3,5. sur une fracture spiroïde diaphyse distale tibia G le 25.09.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse malléole interne D le 02.11.2018 sur fracture bimalléolaire de la cheville D type Salter II au niveau du péroné et Salter IV au niveau du tibia. Status post décabossage du plafond tibial et greffe osseuse le 02.11.2018 sur impaction marginale du plafond tibial. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus Hand le 08.11.2018. Fracture du radius distale D intra-articulaire de type AO 23-C3 avec un arrachement de la pointe du styloïde ulnaire. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Aptus palmaire, plaque Aptus 5 trous et plaque Aptus en L 6 trous radius/cubitus G le 06.11.2018.Fracture de la tête radiale type Maison I à G le 04.11.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque dorsale P1 D5 main G le 16.07.2018 sur fracture sous-capitale P1 D5 main G datant du 08.07.2018. Actuellement : raideur capsulaire postopératoire de l'IPP. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque palmaire Aptus 2.5 d'une fracture intra-articulaire déplacée du radius distal gauche le 18.10.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque Philos le 29.05.2015 pour fracture 4 parts de l'humérus proximal D. Status post gastrite et colite le 26.06.2015 avec OGD et colonoscopie. NSTEMI inféro-latéral sur occlusion thrombotique subaiguë de l'artère circonflexe distale traitée par l'implantation d'un stent actif fecit Dr. X (HFR Fribourg) le 10.06.2016 pour maladie mono-tronculaire. • Occlusion subaiguë de l'artère circonflexe distale : PCI/1DES • FEVG à 48% à la ventriculographie du 10.06.2016 Légère anémie normochrome normocytaire arégénérative avec Hb à 135g/l, DD inflammatoire. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par 2 cerclages, clou PFNA long d'une fracture intertrochantérienne fémur G, le 20.10.2018. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse pilon tibial D et astragale D le 21.11.2017 pour fracture dans un contexte d'un polytraumatisme. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse radius distal D par plaque APTUS le 09.11.2017 pour une fracture intra-articulaire datant du 02.11.2017. Status post réduction ouverte et ostéosynthèse trimalléolaire de la cheville D le 16.08.2018 pour fracture trimalléolaire du 09.08.2018. Status post réduction sanglante et ostéosynthèse du radius distal D intra-articulaire le 18.10.2018. Status post réduction sanglante, ostéosynthèse hinge plate d'une fracture 4 part de l'humérus G le 19.10.2018. Status post réduction sanglante, ostéosynthèse par double plaque Aptus 2.0 cerclage Fiberwire doublé sur la clavicule latérale G le 07.09.2018. Status post réduction sanglante, ostéosynthèse par plaque PHILOS et hinge plate le 25.10.2018 d'une fracture quart part de l'humérus D. Status post refixation de la partie type Tong avec 2 fils Ticron 5 et plaque Compact hand 2.0 du calcanéum droit le 1.12.2017 pour un déplacement secondaire d'une fracture type Tong du processus antérieur du calcanéum droit ostéosynthésée le 17.10.2017 avec plaque F3 et système d'ancrage speed bridge. Status post refixation de la plaque palmaire par ancre Mitek le 10.09.2018 sur luxation de l'IP D1 main G. • Status post arthrite septique de l'IPP D4 main G avec phlegmon fléchisseur et lésion traumatique de la bandelette centrale sur accident du 06.09.2016. • Arthrotomie de l'IPP D4 main G par voie d'abord dorsal para-tendineux radial, prélèvement de biopsie pour microbiologie, révision gaine des fléchisseurs et dissection poulie A1 le 10.09.2016. • 2nd look, réinsertion bandelette centrale le 12.09.2016. Status post refixation du tendon du quadriceps selon la technique trans-osseuse ave du FiberWire 5 du genou gauche le 28.10.2018. Status post réimplantation d'une prothèse totale inversée gauche le 12.06.2017 après explantation d'une prothèse totale inversée avec descellement et cerclage d'une fracture péri-prothétique de l'humérus proximal traumatique. Status post implantation d'une prothèse totale inversée le 23.10.2015 par le Dr. X à Lausanne. Status post réinsertion du sus-épineux avec ténotomie et ténodèse de l'épaule gauche le 27.03.2018. Status post réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du LCB épaule droite le 30.10.2018. Status post réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps épaule D le 22.10.2018. Status post réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse, épaule D le 19.09.2018. Status post réinsertion du tendon bicipital distal coude droit le 14.12.2018. Status post réinsertion du tendon quadricipital gauche le 14.06.2018. Gonarthrose droite à prédominance du compartiment fémoro-tibial interne. Status post ponction articulaire genou droit pour volumineux épanchement et infiltration de 80 mg de Dépo-Médrol le 21.11.2018. Status post réinsertion sous-épineux, ténotomie, ténodèse du long chef du biceps épaule G le 05.06.2015. Status post réinsertion sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps épaule D le 06.11.2018. Status post réostéosynthèse d'une fracture de la clavicule G après arrachement latéral de la plaque suite à un AVP le 28.05.2018. 1ère ostéosynthèse le 06.06.2018 et réostéosynthèse le 17.10.2018. Status post résection AC et stabilisation coraco-claviculaire par Fibertape le 24.08.2017. Status post résection d'un adénome pléomorphe, au total 6 interventions pour des récidives. Eczéma atopique. Allergie au nickel. Gêne thoracique sur probable état anxieux. DD : douleurs pariétales. Antalgie. ECG : rythme régulier sinusal, Fréquence 67/min, PQ 160 ms, QRS 100 ms, axe 60°, QTc 423 ms, pas de trouble de la repolarisation hormis inversion des ondes T en V3. Réassurance. Status post résection d'un myélolipome rétropéritonéale à proximité de la glande surrénale en 2013. Puis hématome postopératoire et nouvelle lombotomie. Status post ablation au laser de plusieurs lésions cutanées pré-cancéreuses du front en 2012. Dermohypodermite du MID en 2015. Status post résection d'une masse polykystique intra-articulaire au genou G par arthrotomie para-patellaire externe le 31.10.2018 sur kyste mucoïde à point de départ probable du pied tibial du LCA à G. Status post résection maladie Bowen mollet gauche juillet 2015. Status post pose de bandelette sous-urétrale pour incontinence mixte mars 2010. Status post embolie pulmonaire centrale bilatérale le 20.10.2017. Colpo suspension selon Burch 2004. Varicectomie 1993. Hystérectomie 1995. APP 1995. Status post révision de la hanche gauche sur impingement antérieur le 08.01.2003. Status post révision de la plaie cheville G le 18.12.2018 sur : • Status post ablation des exostoses sur conflit mécanique talo-fibulaire cheville G le 23.10.2018. • Status post infiltration du bord externe de l'arrière-pied G le 24.05.2018. • Ancienne lésion du LTFA de la cheville G datant de janvier 2017. Status post révision de la plaie cheville G le 18.12.2018 sur : • Status post ablation des exostoses sur conflit mécanique talo-fibulaire cheville G le 23.10.2018. • Status post infiltration du bord externe de l'arrière-pied G le 24.05.2018. • Ancienne lésion du LTFA de la cheville G datant de janvier 2017. Status post révision de la plaie, rinçage, suture du tendon d'Achille avec PDS 1 et 2.0, fermeture à la peau du talon le 13.11.2018 pour une plaie profonde au niveau du talon droit avec section traumatique du tendon d'Achille droit le 13.11.2018. Status post révision de la PTH G avec la mise en place d'un anneau de Burch Schneider taille 50, cupule Müller cimentée 50/36, tige Revitan taille 18/140, insert proximal taille 55, tête CrCo 36 M. Plaque à crochet Strycker taille 100 médium et câbles Dall-Miles le 26.09.2018. Status post révision de moignon, excision du versant ulnaire de l'ongle selon Kocher le 12.11.2018. Status post-ablation du matériel d'ostéosynthèse le 12.03.2018 après raccourcissement phalange distale par lambeau pédiculé sur artère digitale ulnaire le 11.05.2017 sur status post ostéosynthèse P2, P3 le 19.01.2017, suture FDP, EDC. Status post révision de plaie Dig IV avec rinçage de la PIP, suture de la bandelette latérale ulnaire le 10.10.2018 sur plaie profonde face ulnaire Div IV D en regard de l'IPP avec lésion de la bandelette latérale ulnaire et arthrotomie traumatique. Status post révision de plaie et suture par 2 Kessler Prolène® 3.0 et surjet au Prolène® 6.0 des tendons extenseurs Dig III et Dig IV droit le 22.09.2018.Rupture complète du tendon extenseur Dig III droit et rupture partielle du tendon extenseur Dig IV main droite en zone 5. Status post révision de plaie, rinçage, réduction ouverte et ostéosynthèse par embrochage avec arthrodèse temporaire de P2 du gros orteil du pied D le 23.10.2018 pour une fracture ouverte diaphysaire oblique de P2. Status post révision de plaie, suture tendon extenseur commun Dig III zone 4 main G sur phlegmon extenseur commun avec arthrotomie MCP III et section complète tendon extenseur zone 5. Status post révision de plaie thénar à gauche avec suture du tendon fléchisseur le long du pouce dans la zone 4. Suture du nerf digital collatéral radial pouce gauche le 23.12.2017. D3 G à ressaut. Status post révision de PTG droite avec ablation de PUC interne et mise en place d'une PTG Balansys le 04.09.2018. Status post révision du point d'angle postéro-interne genou droit le 17.04.2018 avec : • réinsertion du ligament collatéral médial, faisceau profond • réinsertion du ligament collatéral médial faisceau superficiel à son origine fémorale • réinsertion du point d'angle postéro-interne et du ligament postérieur oblique sur luxation genou droit. Déchirures LCP et LCA traitées conservativement. Status post révision et amputation du moignon du 4ème et du 5ème métatarse à D dans le cadre d'une ostéomyélite le 24.04.2018. Status post RTUV par le Dr. X le 08.08.18 avec histologie négative après RTUV le 27.06.18 pour carcinome urothélial après macrohématurie. Carcinome urothélial papillaire de bas grade (G1-G2) et très focalement de haut grade (G2) avec, dans le foyer de haut grade, une invasion du chorion. Cholélithiase avec perturbation des tests hépatiques le 30.04.2018. Status post-révision et suture du tendon sus-épineux, ténolyse, ténodèse du long chef du biceps, acromioplastie et bursectomie sous-acromiale, épaule droite pour rupture transfixiante de la partie antérieure du sus-épineux de l'épaule droite en 2015. Lithiase vésiculaire symptomatique : • status post-migration calculeuse le 30.04.2018 • status post-IRM le 09.05.2018 dans la norme, avec absence d'image lacunaire ou de calcul résiduel. • cholécystectomie laparoscopique le 12.06.2018. Status post rupture du sus-épineux épaule D en 2003. Status post OMI importants sur Amlodipine. Décompensation de BPCO avec pneumonie bi-basale communautaire. Insuffisance rénale aiguë AKIN 2 d'origine cardio-rénale le 20.11.2013. Candidose buccale sur prise de Sérétide. Hypovitaminose D. Status post sacro-iléite il y a environ 20 ans. Status post sacro-ilite infectieuse gauche le 30.08.2018 à Staph. Aureus multisensible, traitée conservativement. Status post salpingite à gauche en 2012. Coup du lapin sans lésion osseuse ou ligamentaire le 14.09.2017. Suspicion de salpingite droite au décours le 13.04.2018. Status post septicémie sur brucellose, rickettsiose et fièvre Q à l'âge de 28 ans. Pneumonie nosocomiale à Haemophilus influenza et Streptococcus pneumoniae, le 19.11.2013 à la Clinique Cécile. Surinfection de la plaie de sternotomie par Peptostreptococcus magnus et Staphylococcus epidermidis • Retard de cicatrisation avec une bulle au niveau proximal depuis le 14.12.2013 à contenu séreux et puis purulent • VAC (thérapie par pression négative) depuis le 26.11 jusqu'au 12.12.2013. Cardiomyopathie dilatée d'origine primitive (idiopathique? OH?) ou post-rickettsiose (fièvre Q). Annuloplastie de la valve mitrale (anneau ATS n°28) et mono-pontage aorto-coronarien (AMID sur CD proximale) le 12.11.2013 (Dr. X, Clinique Cécile), dans le cadre d'une cardiomyopathie dilatée avec une insuffisance mitrale sévère (4/4) et d'une maladie coronarienne monotronculaire. • Dysfonction ventriculaire gauche sévère (FEVG à 30-35 % en post-opératoire). Récidive de décompensation cardiaque globale le 13.08.2018 sur fibrillation auriculaire à conduction variable et mauvaise compliance médicamenteuse avec perturbation des tests hépatiques dans le contexte de foie de stase et insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine cardio-rénale. Hypokaliémie modérée et alcalose métabolique sur traitement diurétique le 18.08.2018. Status post sigmoïdectomie pour carcinome en mars 2016 au Daler (Dr. X). Status post rupture du tendon sus-épineux, tendinopathie du long chef du biceps, épaule droite; accident du 29.11.2013 avec réinsertion du sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, épaule droite (opération le 10.01.2014). Status post opération du ligament externe genou gauche. Erythème cutané généralisé d'origine probablement virale, non prurigineux, avec bicytopénie et lyse hépatique. Status post sinusite 2008, traitée par antibiotiques. Status post opération du ménisque gauche. Sinusite maxillaire gauche débutante. Status post stabilisation coraco-claviculaire le 18.10.2018 d'une luxation AC Tossy III à droite (accident du 07.10.2018). Status post stabilisation de l'anneau pelvien antérieur et postérieur avec une plaque de reconstruction 3.5, 10 trous le 04.06.2018 sur fracture de l'anneau pelvien type C Crescent fracture III. Status post stabilisation de l'articulation AC droite le 11.09.2018. Status post stabilisation de l'épaule droite par stabilisation du bourrelet et du fragment de Bankart, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion trans-osseuse du sus-épineux le 05.11.2018. Status post stabilisation épaule G selon Latarjet le 19.09.2018. Status post stent fémoral sur insuffisance artérielle des MI (IAMI). Ethylisme chronique. Hypercholestérolémie sous Crestor. BPCO. Stéatose hépatique. Tabagisme actif. Hépatopathie chronique sur éthylisme chronique le 13.05.2014. Thrombopénie dans un contexte d'alcoolisme chronique. Trouble de la marche dans le contexte d'alcoolisme chronique. Status post suspicion d'impingement fémoro-acétabulaire. Status post fausse-couche en 2018. Status post ablation de 4 dents de sagesse sous anesthésie générale. Accouchement par voie basse instrumenté par forceps pour non-progression de la présentation après provocation chez une patiente de 23 ans, 2 gestes, devenue 1 pare à 37 3/7 semaines d'aménorrhée le 27.11.2018. Sevrage secondaire de l'allaitement. Status post suture de la veine poplitée et de la veine saphène du MID le 08.12.18. Status post suture du sus-épineux, ténotomie et ténodèse épaule gauche le 15.05.2018. Status post suture du tendon d'Achille droit, en mini-invasif le 15.12.2017. Status post suture du tendon d'Achille G en mini-invasif par système Achillon le 26.10.2018 pour une rupture complète du tendon d'Achille G le 18.10.2018. Status post suture du tendon d'Achille G le 17.07.2018 sur rupture du tendon d'Achille G le 03.07.2018. Status post suture du tendon d'Achille gauche en mini-invasif par Achillon le 27.07.2018 pour une rupture du tendon d'Achille gauche le 18.07.2018. Status post suture sus-épineux, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps épaule D le 12.02.2018. Status post infiltration du sillon bicipital et de la ténodèse du biceps D le 23.11.2018. Status post suture tendon d'Achille G avec système Achillon le 21.09.2018 pour une rupture complète du tendon d'Achille du pied gauche le 09.09.2018.Status post syncope dans l'adolescence Status post • Syndrome des loges avec status post ostéosynthèse par clou tibial Expert 300 mm 8 mm de diamètre et 2 vis statiques proximales et 3 vis distales le 11.7.2018. • Fixation du fragment du Volkmann avec 1 vis libre 3.5 percutanée le 11.7.2018. • Fasciotomies des loges de la jambe droite le 11.7.2018 sur : Fracture de la jambe droite le 11.7.2018 avec fracture spiroïde diaphysaire tibio-fibulaire et fracture sous-capitale fibulaire non déplacée. Fracture non déplacée du Volkmann et fracture intra-articulaire de la base des métatarsiens II et III, probablement du 5ème métatarse. Status post synovectomie partielle des extenseurs radio du carpe, ablation de kyste et révision de la 4ème coulisse avec ouverture du rétinaculum. Extensor indicis pré vismanus Status post TCC mineur (chute de 40 cm le 03.06.2010), consultation à l'hôpital de Riaz. IVRS Status post ténotomie du fléchisseur digitorum longus et embrochage comme arthrodèse temporaire de l'IPD des 2ème et 3ème orteils à gauche le 30.10.2018 pour des orteils en griffe. Pied D : déformation du 3ème orteil en marteau. Status post ténotomie et ténodèse du LCB épaule droite avec réinsertion du sus-épineux sur lésion PASTA le 29.01.2018. Scapula alata droite. Status post ténotomie et ténodèse du long chef du biceps épaule D le 24.4.2018. Status post-révision du site, reténodèse du long chef du biceps le 2.7.2018. Status post thermoablation d'un flutter auriculaire typique, le 20.01.2009 Probable maladie de Bornholm en 2010 Status post ostéotomie de valgisation du genou G PTG D sur gonarthrose bilatérale sévère en varus, le 13.02.2015 PTG Status post thrombose V. jugulaire interne D 10/2017 Status post hémorragie digestive sous anticoagulation • Ulcus gastrique (Forrest IIa) 08.07.2014 • Fissure anale et hémorroïdes 03/2014 Status post hernie inguinale opérée en 2005 Status post méningite en 1972 Status post APP Status post thrombose veineuse profonde au membre inférieur gauche en 2004, traitée par du Sintrom pendant une année. Status post thrombose veineuse profonde en 2010 traitée avec du Sintrom pendant trois mois. Status post thrombose veineuse profonde au membre inférieur gauche diagnostiquée en août 2014. Suspicion de thrombose veineuse profonde membre inférieur droit le 05.04.2015 • patiente avec status après 3 TVP, la dernière diagnostiquée en août 2014 durant la grossesse. Status post tonsillectomie et adénoidectomie Status post cure d'hernie inguinale gauche Status post fracture de rotule gauche opérée en novembre 2014 et en janvier 2015 Status post torsion cheville en 2008. Status post traitement conservateur d'une entorse de l'IPP du dig V main D. Status post traitement conservateur d'une fracture de fatigue métatarsien X pied G. Status post op kyste synovial carpien à G Status post varicectomie à 40 ans. Hystérectomie à 40 ans APP à 18 ans Status post tuberculose dans l'enfance avec traitement antibiotique oral. Status post palpitations en septembre 2010. Gastro-entérite aiguë le 17.03.2015. Entorse du ligament collatéral radial interphalangien proximal du 3ème doigt gauche. Status post ulcère de la petite courbure gastrique en février 2012. Anémie normochrome macrocytaire probablement sur alcoolisme chronique et hépatopathie BPCO stade II C • Fonctions pulmonaires du 31.10.2018 : trouble ventilatoire obstructif avec un rapport VEMS/CVL à 72 % et un VEMS à 50 % Status post vertiges, nausées et vomissements dans le cadre d'une consommation de benzodiazépines et alcool. DD : ORL, vertiges paroxystiques positionnels bénins. Status post virose avec otalgie et arthralgie 04/2017 Status post vissage par vis sur fracture sous-capitale fémur droit sur ostéoporose le 08.05.2008. Status post Zona en 2006 Status post cure de cystocèle en 1990 Status post cure de pied bot ddc en 1973 Status post contusion sacrale en 2012 Ostéosynthèse par plaque PHILOS d'une fracture sous-capitale de l'humérus G sur chute, le 06.05.2014 Réadaptation générale avec physiothérapie et ergothérapie Gilet orthopédique pendant 4 semaines postopératoires Mobilisation pendulaire et active assistée de l'épaule à partir du 20.05.2014 RX épaule G Contrôle clinique avec le Dr. X le 19.05.2014 Adaptation de l'antalgie Contusion de la hanche D, le 01.05.2014, avec bilan radiologique négatif Adaptation de l'antalgie Anémie postopératoire Dosage de l'a. folique, vit B12, et récepteur soluble à la transferrine dans la norme Transferrine augmentée à 425 mcg/l, interruption du Ferro-Gradumet le 16.05.2014 Suivi biologique (Hb à la sortie à 98 g/l) Thrombocytose post-chirurgicale à 856 G/l, le 15.05.2014 ASA du 15 au 19.05.2014 Suivi biologique (thrombocytes à la sortie à 717 G/l) Status post zona thoracique D2-D3-D4 droit en 2009 Status post opération de Weil 2ème et 3ème rayons pied D en 2011 Status post PTH G en 1993 avec descellement en 2010 Status post PTH D en 2007, avec changement du cotyle pour usure d'un couple de frottement en 2014 Status post cure de cataracte D en 2013 AVC ischémique pariéto-occipital droit, d'origine probablement cardioembolique postopératoire, le 10.09.2015, avec hémisyndrome moteur G à prédominance brachiale Probable épilepsie au décours de la phase aiguë de l'AVC Probable état dépressif réactionnel Troubles neuropsychologiques compatibles avec l'AVC ischémique du 10.09.2015 • MMSE 26/30 Status post 1. Débridement de la plaie mollet G au niveau postéro-latéral, prise de prélèvements, rinçage au Lavasept sur : • Ulcère veineux du tiers moyen de la face postéro-latérale du mollet G depuis août 2018 avec dermohypodermite. 2. Débridement de la plaie talon latéral G, prise de prélèvements, rinçage au Lavasept sur : • Plaie chronique sur le face latérale du pied G sur status post ulcère rétro-plantaire suite à une polyneuropathie avec attache du périoste au calcanéum et status post résection du foyer suspect d'ostéomyélite périostale du calcanéum, débridement et reconstruction par un lambeau musculaire plantaire pédiculé par le tibial postérieur le 28.06.2016. 3. Ablation ongle hallux G avec la matrice sur : • Ankylo-mycose surinfectée hallux G. (OP le 27.11.2018) Status post mise en place d'un lambeau micro-vasculaire du muscle gracilis à D le 30.09.2016 sur : • Germe en cause (28.06.2016) : Staph. aureus multisensible • Status post débridement et rinçage talon G le 02.02.2016 • Status post traitement de plaie par asticots talon G du 02 au 07.03., du 10 au 14.03., du 09 au 11.05, du 13 au 16.05.2016 • Dermohypodermite du pied G depuis le 12.12.2017. Érysipèle jambe gauche. Status post 2 césariennes Status post ablation de la matrice et de l'ovaire G en 1992 Status post 2 épisodes de luxation de PTH G. Status post PTH G du 04.07.2013 par le Dr. X type métal métal grosse tête. Status post 2 épisodes de luxation le 18.11 et le 21.11.2018 Status post 2 pancréatites Appendicectomie Foraminotomie L3-L4 des deux côtés par crossforaminotomie par la droite et foraminotomie L4-L5 à droite le 02.05.11 Status post 3 césariennes. Suspicion d'abcès para-anal gauche. Status post 4 accouchements par voie basse à terme. Status post menace d'accouchement prématuré sous Adalat et maturation pulmonaire par Celestone le 07.05.2018 à 19h00 puis le 08.05.2018 à 19h. Rubéole non immune. Ad Priorix au post-partum. Rupture prolongée des membranes. Accouchement par voie basse spontanée, chez une patiente de 41 ans 5 gestes devenue 5 pares à 35 4/7 semaines d'aménorrhée. Status post-abcès de la loge thénarienne de la main gauche à Pasteurella Multocida sur morsure de chat le 30.11.2018. Status post-débridement chirurgical le 04.12.2018 et second look le 05.12.2018 à l'HFR Fribourg. Status post-ablation d'un fibrome dans le sein droit Status post-opération d'un astigmatisme/myopie en 2011 Status post-accident vasculaire cérébral ischémique aigu cérébelleux gauche (bulbaire) et pontique gauche sur une occlusion de l'artère vertébrale gauche, le 25.02.2016, sur un état pro-coagulant dans un contexte néoplasique sous traitement avec Avastin Status post-opération de correction d'une myopie en 1999 Abcès anal dans le contexte d'un adénocarcinome du rectum métastatique le 19.03.2018 • Abcès para-anal récidivant, opéré les 14.12.2016, 10.01.2018, 26.01.2018, 06.03.2017 • Drainage d'abcès périnéal le 01.05.2018 Status post-acromioplastie en 2013. Status post-adénoïdectomie et amygdalotomie. Status post-agression le 07.12.2018 avec traumatisme crânien et hématome péri-orbitaire droit. Status post-agression (pas datable par la patiente) avec hématome de la cuisse et de la jambe gauches. Status post-AMO, résection de la tête radiale et ré-ostéosynthèse du cubitus par double plaque le 16.04.2018 Sur un status post-réduction sanglante et ostéosynthèse d'une fracture plurifragmentaire du cubitus proximal droit et de la tête radiale droite le 20.12.2016 compliquée d'une pseudarthrose la tête radiale et d'une raideur. Rupture partielle du matériel d'ostéosynthèse et probable pseudarthrose du cubitus D Status post-amputation métatarso-phalangienne en juillet 2018. Status post-probable AVC sylvien droit en 1993. Status post-ulcère gastrique. Status post APP dans l'enfance. Status post cure de hernie inguinale droite en 1956. Status post-amputation P3 dig IV à gauche le 16.05.2017 sur traumatisme le même jour. Révision moignon dig IV à gauche le 18.01.2018. Status post-excision kyste dorso-radial au niveau du poignet le 18.01.2018. Status post-amputation traumatique partielle des doigts II et III de la main droite Status post-ulcère gastrique Status post-amygdalectomie bilatérale le 22.05.2014. Fracture de la fibula. Hémorragie (loge amygdalienne droite) à J 16 post-amygdalectomie, le 07.06.2014 (2ème épisode). Status post-amygdalectomie dans l'enfance Status post-augmentation mammaire en 2015 Status post-AVB le 08.12.2011 Status post-circoncision dans l'enfance Status post-cure de hernie inguinale gauche en 1962 Status post-cure de hernie inguinale droite en 1972 Status post-cure de hernie inguinale droite incarcérée avec laparotomie, résection segmentaire du grêle, adhésiolyse et cure sur hernie ombilicale 2009 Status post-opération cataracte ddc (2010 et 2013) Status post-décompression par laminectomie L3 et L4 le 04.03.2013 pour canal lombaire étroit L2-L5 Status post-TEA carotide interne gauche en 2014 Status post-TURP par le Dr X en 2015 Status post-résection diverticulaire caecale ischémique et appendicectomie le 11.07.2017 (Dr X) pour appendicite aiguë avec diverticule caecale ischémique Status post-amputation 3ème orteil droit le 24.08.2018 Status post-lymphocèle plaie inguinal gauche 05.09.2018 Fissure anale le 11.12.2018 Status post-amygdalectomie et ablation des végétations dans l'enfance. Status post-amygdalectomie Status post-opération des hémorroïdes Status post-opération de la cataracte Status post-prothèse totale de hanche en 1990 Dépression traitée en 2005 par le Dr X Infection urinaire en 10/2018 Iléus paralytique le 30.11.2018 • ASP chez le MT avec dilatation et niveaux hydro-aériques • Traitement laxatif et lavements Status post-anneau gastrique en 2008 à Lyon Status post-cholécystectomie il y a 3 ans Status post-abdominoplastie en octobre de 2017 Carcinome indifférencié de l'angle colique gauche pT4b N2b (11/59) L1 V1 G3 R0 M0 le 26.08.2018 • Colectomie droite étendue avec anastomose iléo-colique descendante manuelle le 29.08.2018 • Histopathologie Promed P2018.9805: pT4b N2b (11/59) L1 V1 G3 R0 M0 carcinome indifférencié du côlon Status post-appendicectomie. Status post-appendicectomie à l'âge de 18 ans. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine rénale et pré-rénale (néphropathie diabétique ou hypertensive aiguë ou chronique ?) le 17.01.2018. Traumatisme crânien occipital et plaie occipitale superficielle. Status post-appendicectomie à l'âge de 7 ans Status post-appendicectomie dans l'enfance Kyste sacro-coccygien Status post-appendicectomie dans l'enfance. Status post-polypectomie. Status post-opération au niveau de l'épaule. Douleurs rétrosternales au repos le 25.05.2014, DD : • douleurs musculo-squelettiques, angor instable. Résection arthroscopique du centimètre distal de la clavicule de l'épaule G, acromioplastie, synovectomie sous-acromiale D, ténodèse du long chef du biceps D dans sa gouttière novembre 2018. Status post-appendicectomie il y a 10 ans. Calcul rénal de 4x3 mm à la jonction urétéro-vésicale D, avec dilatation du pyélon à 19 mm et infiltration de la graisse péri-rénale. Status post-appendicectomie laparoscopique le 22.01.2014. Otite externe en septembre 2018. Status post-appendicectomie, lavage et drainage péritonéaux par laparoscopie le 10.03.2018 pour une appendicite gangréneuse avec péritonite localisée en fosse iliaque droite et dans le pelvis. Status post-lavage et drainage péritonéaux par laparoscopie converti en laparotomie médiane sus et sous-ombilicale le 15.03.2018 pour hématome infecté de la gouttière pariéto-colique droite et abcès de la paroi de la fosse iliaque gauche sur orifice de trocart. Abcès de la région du bas-fond cæcal. Le 17.06.2018, Dr. X, Dr. X : laparotomie exploratrice, lavage avec 8 litres et drainage par un drain au niveau du flanc droit. Abcès péri-anale gauche incisé le 15.06.2015. Status post-appendicectomie par McBurney. Infection de plaie le 18.09.2013 sur status post-fermeture d'iléostomie le 11.09.2013 avec : • adénocarcinome moyennement différencié de la jonction du sigmoïde-descendant pT4a pN1c (0/22) Pn1 R0 G3 stade 3b, • status post-hémicolectomie gauche et résection segmentaire du grêle le 22.02.2012, • status post-10 cures de chimiothérapie adjuvante par Folfox du 02.04 au 06.08.2012. Adénocarcinome au minimum pTis dans un adénome tubuleux du côlon à 20 cm en amont de l'anastomose colorectale (40 cm de la marge anale) avec : • status post-résection in toto lors de la colonoscopie du 04.10.2012. Adénocarcinome invasif dans la sous-muqueuse en profondeur d'un adénome tubuleux du côlon T1 R1, sur polype de l'anastomose colorectale, post-résection endoscopique avec : • status post-colectomie sub-totale et iléostomie de protection avec anastomose colorectale (ascendo-rectale) basse, latéro-terminale, le 03.04.2013. Status post-appendicectomie. Status post-cure d'une hernie probablement diaphragmatique dans l'enfance. Status post-appendicectomie. Status post-hystérectomie. Status post-laparotomie pour endométriose. Pneumonie bibasale non compliquée le 24.01.2013 traitée par Co-Amoxicilline. Status post-appendicectomie 1990. Status post-appendicectomie 1990. Anémie normocytaire normochrome • Hb 130 g/l (04.11.2018). Status post-appendicectomie. Status post-cholecystectomie. Status post-2 césariennes. Status post-appendicectomie. Status post-cure de varices aux membres inférieurs. Status post-tonsillectomie. Status post-appendicectomie. Status post-cure de varices aux membres inférieurs. Status post-tonsillectomie. Status post-appendicite compliquée avec un phlegmon et une iléite terminale le 29.10.2018 avec : • traitement conservateur par antibiothérapie. • CT-scan de contrôle du 12.11.18 : nette diminution de l'inflammation de l'iléon terminal et de la collection au contact de l'appendice, qui n'est pratiquement plus visible, en lieu et place on note un résidu inflammatoire. Persistance d'une image d'appendicite avec dilatation à 9 mm. Status post-arrachement osseux et ligamentaire du LCU coude droit le 23.08.2017 avec irritation du nerf cubital droit. Status post-arthroplastie totale de la hanche droite le 19.10.2018. Status post-arthroscopie, ablation de la corne postérieure du ménisque interne, shaving sur le ligament croisé antérieur et la corne antérieure du ménisque externe. Résection ouverte de 5 nœuds dans l'ancienne cicatrice genou droit le 02.08.2007 sur status après plastie du ligament croisé antérieur et refixation arthroscopique ouverte du ménisque interne avec des douleurs résiduelles et irritation du genou avec formation d'un kyste de Baker et formation d'un kyste méniscal récidivant. Status post-suture du ménisque interne du genou droit le 26.08.2003. Status post-libération du nerf saphène et plastie du ligament croisé antérieur utilisant le tiers moyen du ligament rotulien ipsilatéral le 10.09.2003. Status post-arthroscopie de l'épaule droite, ténodèse du long chef du biceps et réinsertion du sus-épineux le 23.11.2017. Status post-arthroscopie du genou gauche le 04.09.2018 avec : • résection-régularisation de la corne antérieure du ménisque externe. Status post-arthroscopie épaule droite et suture du sus-épineux le 12.04.2018. Status post-excision de lipome au niveau de l'aisselle à droite le 12.04.2018. Status post-arthroscopie genou droit le 02.10.2018 avec : • plastie de reconstruction du LCA par tendon quadricipital. Status post-arthroscopie genou gauche le 09.10.18 avec : • mise à plat nodule fibreux (cyclope) pied plastie LCA. Entorse de la cheville droite. Status post-arthroscopie genou gauche le 12.10.16 avec : • plastie du ligament croisé antérieur du genou gauche par tendon quadricipital controlatéral. Status post-arthroscopie genou gauche le 13.05.15 : • plastie de reconstruction du LCP au détriment du tendon quadricipital, double brins. Status post-révision plan interne genou gauche le 20.05.15 : • plastie-reconstruction du LLI et POL avec le semi-tendineux. Lymphoedème post-opératoire de la jambe et du genou gauche sur probable lésion de la veine saphène. Status post-arthroscopie genou gauche le 18.09.2018 avec : • plastie du LCA par DIDT. Status post-arthroscopie méniscectomie du genou gauche en 2002. Status post-hystérectomie. PTG à droite le 25.02.11 pour gonarthrose. Status post-AVB (fille, 2410 grammes) en 2009. Accouchement par voie basse dans l'eau le 17.03.2013 chez une patiente 2G-2P de 29 ans, à 40 SA 2/7. Status post-AVB. Récidive névrome de Morton inter-MT 3-4 pied D. Excision névrome de Morton inter-MT 3-4 pied D. Status post-AVC du tronc cérébral en 2013. Status post-AVP en 1989 avec fractures multiples. Urolithiase droite. Status post-biopsie extemporanée, orchidectomie et pose de prothèse pour tumeur testiculaire droite pT1, Nx, Mx, pL0, pN0, R0 (R local), pTis le 13.04.2016. Status post-boursite récidivante du genou gauche. Status post-bypass gastrique. Status post-candidose oesophagienne avec biopsie, 2014. Status post-lame d'épanchement péricardique, 2014. Status post-carence sévère en vitamine D, 2015. Status post-érythème chronique migrant, 2016. Status post-césarienne. Status post-opération cloison nasale. Status post-cure varices bilatérales. Status post-césarienne en urgence pour CTG suspect le 29.10.2018 à 39 3/7 SA. Status post-fausse couche tardive à 14 SA en 2017. Status post-césarienne pour CTG pathologique en 2010. Status post-IVG par curetage en 2006 et 2004. Status post-césarienne en 1987. Status post-embolie pulmonaire. Status post-cure de tunnel carpien. Status post-intervention X sur le côlon. Status post-césarienne, 2002, Portugal, M, 3620 g, échec de provocation à terme, enfant avec syndrome d'Asperger. Status post-césarienne, 2004, Portugal, M, 2500 g. Status post-césarienne élective bi-itérative chez une patiente de 43 ans, 3-gestes devenue 3-pares à 38 4/7 semaines d'aménorrhée le 27.07.2017. Cholécystectomie laparoscopique et cholangiographie peropératoire le 22.10.2018. Status post-chirurgie du genou.Pneumonie basale droite à Pneumocoque le 30.12.2016 Probable hyalinose segmentaire et focale secondaire à la néphropathie diabétique avec : • acutisation d'une insuffisance rénale d'origine pré-rénale le 30.12.2016 (FE urée à 27%) • insuffisance rénale stade III connue Décompensation d'un diabète type II insulino-requérant dans un contexte infectieux Crise de goutte au niveau du hallux gauche le 06.01.2017 Status post-cholécysectomie Status post-3 bypass aorto-coronaire (2007) Status post-cholécystectomie et appendicectomie en 1973 Cancer de la prostate cT3b cNo cMo, Gleason 9 (4+5) avec radiothérapie du 07.01.2015 au 27.02.2015 avec hormonothérapie débutée en novembre 2014 Iléo-colonoscopie 4.01.2017 pour rectorragie importante : résection polype côlon ascendant (Adénome tubuleux avec dysplasie épithéliale/néoplasie intra-épithéliale de bas grade), résection polype colon descendant (Adénome tubuleux avec dysplasie épithéliale/néoplasie intra-épithéliale de bas grade), légère inflammation au niveau du sigmoïde, hémorroïde stade 1 à 2 Iléus grêle mécanique avec saut de calibre sur brides et status adhérentiel important Laparotomie exploratrice, résection brides, adhésiolyse étendue, lavage abdominal en urgence le 23.07.2017 Insuffisance rénale aiguë AKIN III d'origine post-rénale le 16.11.2018. • sur progression de cancer de prostate. • Ultrason des voies urinaires le 16.11.2018 : dilatation pyélo-calicielle bilatérale. • Sonde vésicale triple voie dès le 16.11.2018. • Pose de sonde double J bilatérales et résection prostatique partielle trigone droit le 17.11.2018. Status post-cholécystectomie laparoscopique le 13.10.2017 sur cholécystite chronique • ERCP du 26.05.2017 : ablation de débris lithiasiques intra-cholédociens, échec de papillotomie • Drainage percutané des voies biliaires le 04.06.2017 • ERCP du 04.06.2017 • Cholangiographie le 04.06.2017 et le 20.06.2017 : voies biliaires libres • Status post-choc septique sur cholangite obstructive sur caillot sanguin et cholécystite le 03.07.2017 avec abcès hépatique du segment II (bactériologie : E. Faecium et E. Cloacae) • Status post-cholécystectomie laparoscopique le 13.10.2017 • Status post-cholangite débutante le 15.10.2017 post cholécystectomie • Rocéphine et Métronidazole / Ciproxine et Flagyl du 15 au 24.10.2017 • Cholangio-IRM du 05.02.2018 : dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques prédominant au niveau du lobe hépatique droit et du cholédoque avec des images endoluminales irrégulières correspondant à des septas. Possibles calculs biliaires débutants. La dilatation s'étend jusqu'à la papille, sans dilatation du Wirsung qui pourrait s'expliquer par un abouchement séparé ou une sténose du cholédoque en amont de l'abouchement avec le Wirsung • Actuellement : status post cholangite sur cholédocholithiase avec : • Hospitalisation du 12.09 au 16.09.2018 et ERCP du 13.09.2018 avec extraction de 2 calculs et pose d'un stent cholédocien Status post-cholécystectomie Polyarthralgies Status post-spondylodèse avec cage inter-corporelle et release antérieur C4-Th1 le 03.07.2018 sur : • Kyphose cervicale, signes de spasticité débutante • Status post-iléus paralytique en post-opératoire 07/2018 • Status post-reprise au bloc opératoire (08/2018) pour infection de plaie suite à l'opération Anémie régénérative normocytaire normochrome sur possible hémorragie digestive le 28.09.2018 • Hb à 73 g/l le 29.10.2018 • 2 CE le 18.09.2018 • Sang occulte dans les selles : 2x négatif • OGD le 02.10.18 : pas de saignement Status post-AVP avec contusion sternale. Lombalgies non déficitaires le 23.09.2013 sur probable canal lombaire étroit en L5-S1. Troubles anxio-dépressifs Status post-cholécystite sur cholédocholithiase le 29.09.2018 • Status post-ERCP avec extraction de calculs le 08.10.2018 Status post-chondrocalcinose malléole gauche le 23.10.2015 Status post-diverticulite sigmoïdienne, 1er épisode, le 05.08.2015 Pneumothorax gauche post-biopsie percutanée Mise en place d'un drain thoracique du 12.03.2017 au 14.03.2017 avec hospitalisation en Chirurgie Abcès mandibule à droite d'origine dentaire avec phlegmon cervical et au niveau mandibulaire à droite (Incision et drainage d'abcès le 05.11.2017; extraction dentaire 43, 44, 45 le 06.11.2017) Status post-coelioscopie exploratrice en 2007. 2002-2009 : intervention du genou pour luxation rotule bilatérale. 2007 : laparoscopie exploratrice pour suspicion hernie inguinale. 1993 : intervention des poignets, fracture. 25.07.2012 : AVB, lésion génitale : éraillure suturée, délivrance : normale et complète, anesthésie : péridurale, lieu : HFR Riaz, sexe : F, Prénom : Camille, SA : T + 5, poids (g) : 3460, allaitement : 10 jours. Accouchement spontané chez une patiente de 28 ans, 2G devenue 2P, à 40 3/7 SA. Entorse de Chopart en mai 2015 Douleur abdominale d'origine indéterminée DD : infection urinaire, appendicite Fausse couche en février. Status post-comportement boulimique. Status post-multiples opérations orthopédiques. Status post-ovariectomie et hystérectomie pour polypes. Le 12.06.2014 : pied tombant bilatéral avec • neuropathie sciatique (tibiale et péronière) démyélinisante à droite d'origine compressive probable • neuropathie compressive péronière à gauche. QT long à 530 ms sur Méthadone et hypokaliémie 2.9 mmol/L. Syncopes à répétition sur hyperventilation. • dans un contexte de crise d'angoisse. Rhabdomyolyse sur décubitus prolongé. Douleurs costales droites musculo-squelettiques • contexte de chute. Eczéma d'origine probablement allergique le 02.05.2015. Status post-confection d'une fistule artério-veineuse humérale proximale selon Brescia-Cimino/proximalisation au niveau du membre supérieur gauche (opération le 07.10.2014) Status post-néphrectomie droite totale le 08.08.2014 Status post-néphrectomie totale gauche pour cancer rein Fuhrman 2 pT3a V2 R0 avec conservation de la surrénale Status post-mise en place d'une bandelette sous-urétrale pour incontinence urinaire d'effort Thrombose d'une fistule artério-veineuse selon Brescia-Cimino du membre supérieur gauche, le 19.06.2015 Confection d'une nouvelle fistule artério-veineuse avec Omniflow à gauche le 19.06.2015 Status post-confection moignon épibasal P3 D3 main gauche sur sub-amputation phalange distale D3 le 03.04.2012. Status post-fracture pathologique tiers moyen radius gauche sur ostéomyélite chronique en octobre 1999. Fracture trimalléolaire cheville gauche, non déplacée, stable. Status post-hémorragie digestive haute. Décompensation psychotique le 20.01.2014. Alcoolisation aiguë 3.1 pour mille le 19.01.2014. Status post-contusion des côtes à gauche Status post-plastie LCA et ménisque genou gauche.Status post-ostéosynthèse par vis et cerclage rotule gauche Tabagisme ancien (20 UPA) Probable mucite digestive sur chimiothérapie palliative le 11.08.2018 avec : • nausées, vomissements, diarrhées et douleurs abdominales • post 1ère chimiothérapie le 06.08.2018 (Leucovorin, Oxaliplatin, Docetaxel, 5-fluorouracil) • progression tumorale (adénocarcinome gastrique) Laboratoire : légère augmentation de la cytolyse hépatique et cholestase Coprocultures : C. difficile et PCR multiplex négatif Traitement symptomatique avec Primpéran, Imodium, ondansétron Malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence, une dysgueusie et des nausées • perte de poids de 10 % en 4 mois • ingestas estimés à 25 % de ses apports habituels • Nutritional Risk Score à 4 Ressource arrêtée en raison d'une mauvaise tolérance Suivi diététique en ambulatoire Risque de syndrome de renutrition • Troubles électrolytiques Substitution orale et intraveineuse Status post-contusion des côtes à gauche Status post-plastie LCA et ménisque genou gauche Status post-ostéosynthèse par vis et cerclage rotule gauche Tabagisme ancien (20 UPA) Probable mucite digestive sur chimiothérapie palliative le 11.08.2018 avec : • nausées, vomissements, diarrhées et douleurs abdominales • post 1ère chimiothérapie le 06.08.2018 (Leucovorin, Oxaliplatin, Docetaxel, 5-fluorouracil) • progression tumorale (adénocarcinome gastrique) Laboratoire : légère augmentation de la cytolyse hépatique et cholestase Coprocultures : C. difficile et PCR multiplex négatif Traitement symptomatique avec Primpéran, Imodium, ondansétron Malnutrition protéino-énergétique modérée en lien avec une inappétence, une dysgueusie et des nausées • perte de poids de 10 % en 4 mois • ingestas estimés à 25 % de ses apports habituels • Nutritional Risk Score à 4 Ressource arrêtée en raison d'une mauvaise tolérance Suivi diététique en ambulatoire Status post-crise hypertensive en avril 2013 Probable prostatite en août 2018 Status post-TURP pour hyperplasie de la prostate sans mise en évidence d'une malignité 10/2018 par Dr. X Status post-crise tonico-clonique à l'HFR Tafers le 13.02.2018 Hyponatrémie symptomatique sévère sur polydipsie (Na+ 113 mmol/l) le 10/2014 Diminution de l'état de conscience d'origine indéterminée le 07/2017 avec récupération spontanée DD prise spontanée de Targin Pneumonie apicale droite 09/2017 Réduction des fonctions cognitives d'origine indéterminée, légère ataxie des membres inférieurs • MMS 25/30, test de la montre 4/7 (10/2017) Status post-crossectomie de la saphène externe droite et phlébectomie ainsi que ligature d'une perforante 01.2014. Status post-crossectomie et stripping court de la veine saphène interne et de la veine saphène externe du membre inférieur droit, excision des perforantes 02.2009. Status post-mise en place d'une prothèse uni-compartimentale interne gauche type Oxford non cimentée, arthroscopie du genou droit avec résection partielle des deux ménisques pour gonarthrose fémoro-tibiale interne gauche, déchirure de la corne postérieure du ménisque interne et segment intermédiaire ME genou droit 03.2009. Status post-révision de la prothèse uni-compartimentale interne gauche, changement de l'embase tibiale avec un insert mobile, résection d'une exostose de l'éminence tibiale interne 06.2011. Status post-embolie pulmonaire segmentaire inférieure gauche sur thrombose vasculaire profonde musculaire au mollet droit. Sous Sintrom du 21.02.2012 au 23.08.2012. Status post-accident ischémique transitoire/crise comitiale avec déficit neurologique focal transitoire (5-10 min) le 25.02.2012. Hernies cicatricielles le long de laparotomie médiane. Status post-mise à plat d'un anévrisme de l'aorte abdominale par pontage aorto-bi-iliaque le 30.08.2012 • Cure de hernie selon Rives avec un filet Ultra pro le 20.05.2014. Probable gastrite le 31.12.2017. Status post-crossectomie poplitée pour varicosité de la veine saphène externe du membre inférieur droit en 2004. Insuffisance de la veine saphène interne et varices paratronculaires membre inférieur gauche (C2, EP, AS, PR) avec crossectomie fémorale, stripping proximal de la veine saphène intérieure et phlébectomie du membre inférieur gauche (OP le 05.11.2012). Fracture non-déplacée phalange proximale doigt V pied droit. Douleurs retro-sternales d'origine pariétale dans un contexte d'anxiété. Céphalées migraineuses le 31.03.2018. Status post-cure d'anévrisme de l'aorte abdominale infra-rénale par prothèse de péricarde bovin le 28.03.2014 à l'Hôpital de l'Île à Berne pour une aortite infra-rénale à Staphylocoque aureus avec présence d'un anévrisme • contrôle 02/2018 : bonne macro-perfusion, pas de sténose ni d'anévrisme Status post-excision de 2 adénomes tubuleux avec dysplasie/néoplasie de bas grade du sigmoïde Status post-cure de hernie cicatricielle étranglée sur orifice de trocart en fosse iliaque droite le 30.09.2015 par suture directe Status post-rectorragie massive le 19.09.2015 d'origine artérielle de l'anastomose descendo-rectale Status post-résection d'un polype hyperplasique du sigmoïde en 2011 Status post-résection de polypes adénomateux et hyperplasiques du côlon droit en 2008 Status post-thyroïdectomie Status post-cure de hernie discale et décompression (niveau non connu), il y a 25 ans. Status post-appendicectomie. Double hernie inguinale droite. Kyste scrotal droit (au départ de la vaginale testiculaire). Globe vésical post-opératoire dans un contexte d'hyperplasie de la prostate avec syndrome irritatif (suivi par Dr. X) le 24.09 et le 28.09.2015. Prostatite traitée par antibiotique à la Clinique Cécil en juillet 2015. Candidose oro-pharyngée. Hématome de paroi abdominale le 28.09.2015 avec suspicion de surinfection. Status post-cure de hernie discale L5-S1 en août 2010 Status post-pose de neurostimulateur non IRM compatible pour douleur des membres inférieurs en septembre 2016 Status post-arthroscopie du coude gauche dans l'adolescence Status post-plastie ligamentaire cheville gauche dans l'adolescence Hernie inguinale indirecte avec composante directe à droite symptomatiqueCure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein avec mise en place d'un filet ProGrip en électif le 16.06.17. Status post-cure de hernie inguinale et de la ligne blanche, et circoncision. Cystites à répétition. Hyperplasie bénigne de la prostate de grade III. Le 21.02.2018, Dr. X : résection transurétrale de la prostate. DAP : hyperplasie prostatique bénigne et foyers de prostatite chronique non active. Revêtement urothélial de l'urètre prostatique avec des foyers de métaplasie malpighienne, sans autre lésion. Antibiothérapie per-opératoire par une dose de Rocéphine 2 g iv, puis Céfuroxime per os 500 mg - 2 x/jour du 22.02 au 04.03.2018. Sonde vésicale du 21.02 au 26.02.2018. Cataracte. Status post-cure de hernie inguinale G en 1977. Status post-cure de hernie discale D (niveau inconnu) en 1986. Status post-infarctus du myocarde avec pose de 2 stents en 2010. Status post-cure de récidive de hernie inguinale G par TEP en 2015. Status post-contusion de la hanche D le 22.09.2017. Status post-cure de hernie inguinale gauche avec récidive. Status post-cure de hernie inguinale gauche indirecte selon Lichtenstein le 26.11.2013. Status post-cure de hernie ombilicale avec filet intra-péritonéal le 23.01.2018, Spital Aarberg. Status post-cure de varice jambe droite. Status post-PTG G 2003 et D 2008. Status post-2 opérations au niveau lombaire. Status post-PTH droite en 2016. Status post-cure de tunnel carpien en 2015 G et 2016 D. Status post-cure d'éventration avec pose de filet par laparoscopie le 29.08.2011 (avec sérome ombilical). Status post-cholécystectomie pour cholécystolithiase symptomatique en 2010. Status post-laparoscopie à l'âge de 24 ans pour suspicion de grossesse extra-utérine. Status post-amygdalectomie à l'âge de 4 ans. Douleurs non contrôlables à la maison chez Mme. Y avec status post-cure d'éventration avec pose de filet par laparoscopie le 29.08.2011. Coprostase sur traitement dérivés morphiniques. Status post-cure d'hernie en 2006. Status post-cholécystectomie en 2006. Status post-nécrose de la tête fémorale en 1991 avec prothèse totale de la hanche. Status post-arthrite septique de la métacarpo-phalangienne III droite avec S. Aureus (15.05.2018). Status post-cure d'une hernie inguinale gauche. Status post-arthroscopie de l'épaule gauche. Status post-laparotomie pour une diverticulite de Meckel en 2005. Urolithiase le 12.12.2013. Perturbation des tests de cholestase d'origine X le 07.02.2014. Crampes du membre supérieur gauche sur probable hypomagnésémie Glivec induite. • DD : myotoxicité médicamenteuse. Syndrome grippal le 14.03.2015. Leucopénie nouvelle probablement dans le contexte grippal le 14.03.2015. • DD : sur le Glivec. Status post-résection d'un myxome au niveau de la cuisse gauche en 2018. Status post-cure hernie discale L4/L5 1999. Status post-fibrome, utérus myomateux, status post-stérilisation tubaire, kystectomie ovarienne gauche 2002. Status post-sidéropénie symptomatique sur méno-métrorragies sur utérus myomateux. Gastrite sur AINS. Oppression thoracique liée à des tachycardies, sous Concor 5 mg. Status post-curetage pour grossesse non évolutive en Turquie. Status post-débridement à minima des nécroses superficielles et excision de phlyctènes. Ostéosynthèse d'alignement par fixateur externe fémoro-tibial Galaxy pour fracture Schatzker VI des plateaux tibiaux droits le 30.03.2018. Status post-ablation du fixation externe fémori-tibial Galaxy. Réduction et ostéosynthèse externe et interne par montage tour Eiffel (plaque LC/DCP 4.5 externe et plaque antiglide LCP 3.5 interne) le 04.04.2018. Status post-déchirure du biceps à gauche. Plaie profonde du coude gauche, 29.06.2012. Le 29.06.2012 - Dr. X, Dr. X : • révision de plaie. • bursectomie. Chute avec contusions et hématome frontal gauche, thoracique gauche, épaule gauche, hanche gauche le 29.06.2012. Désinfection. Rappel antitétanique. Surveillance. Dermabrasions des genoux et des coudes des deux côtés le 29.06.2012. Désinfection. Epistaxis le 29.06.2012. Status post-décollement de la rétine de l'œil gauche, avec cécité totale. AVC ischémique subaigu de la corona radiata droite d'origine indéterminée le 04.11.2017, sans séquelle apparente. Notion de colique néphrétique gauche. Appendicite aiguë nécrotique. Le 19.11.2018, Dr. X : laparoscopie exploratrice, conversion en laparotomie médiane et appendicectomie. Status post-dépose spacer genou gauche - débridement articulation genou gauche + réimplantation PTG à charnière rotatoire type Zimmer RHK, non resurfacée ainsi qu'allogreffe appareil extenseur avec refixation par 3 vis 3.5 tibiales et suture tendon quadricipital par Fibrewire + lambeau gastrocnémien médial de couverture de la TTA et fermeture du défect avec double lambeau épifascial et fermeture avec une greffe de peau mince, méchée. Prélèvement de peau selon Thiersch, prélèvement à la face latérale de la cuisse le 03.07.2018 sur : insuffisance de l'appareil extenseur sur déchirure de la TTA. Status post-dépose PTG pour surinfection chronique à bas bruit à gauche. Status post-mise en place d'un spacer PTG gauche. Status post-deux embolies pulmonaires. • post césarienne en 1968. • sans facteur de risque 2011. • anticoagulé par Xarelto 15 mg. Status post-diverticulite Hansen Stock 2a le 22.10.2017. Colite du sigmoïde et colon ascendant le 23.09.2018. Status post-douleurs abdominales d'origine indéterminée le 09.10.2018 (DD : adhérences). Status post-cholécystectomie. Status post-appendicectomie par laparotomie. Status post-hystérectomie et bi-annexectomie. Status post-thrombose veineuse profonde en 1996 lors d'une grossesse. Status post-drainage thoracique sur pneumothorax gauche le 05.06.2017. Status post-thoracoscopie droite avec 2 résections atypiques cunéiformes (lobe azygos et bullectomie apicale) et abrasion droite le 21.12.2017. Status post pose de PTH gauche le 6 février par Dr. X à Berne. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale. Luxation prothèse totale hanche gauche. Réduction fermée en analgosédation hanche gauche (OP le 08.03.2014). Douleurs hanche G mécaniques d'origine indéterminée le 28.06.2018. • DD déhiscence de prothèse. • DD infection à bas bruit. • s/p PTH gauche 06.02.2014 par Dr. X à Berne. • s/p luxation PTH G et réduction fermée en analgosédation hanche gauche (OP le 08.03.2014). • s/p refixation trochanter majeur avec plaque crochet par Dr. X. Status post tendinopathie de la coiffe des rotateurs de l'épaule gauche. Douleurs basithoraciques gauches d'origine musculaire 15.01.2015. Status post-embolie pulmonaire 2015 et 07/2017. Status post-carcinome mammaire droit traité en 2015 par tumorectomie et radiothérapie, sous Létrozole. Hernie discale opérée en 1996. Adénome du côlon droit et du sigmoïde en novembre 2013. Polype sessile de l'angle droit en juin 2016. Status post-basaliome du menton et de l'épaule gauche opérés. Status post-embolies pulmonaires sur s/p post-opératoire en 1997, 1998. Status post-embolie pulmonaire spontanée le 27.10.2015. Status post-infection urinaire compliquée à E.Coli multisensible et Streptococcus gallolyticus, le 09.10.2018, traitée par : • Rocéphine 2 g IV 1x/24h du 09.10.2018 au 14.10.2018. • Relais per os par Ciproxine 500 mg 2x/24h du 14.10.2018 au 17.10.2018. • Relais per os par Co-Amoxi 625 mg 3x/jour du 17 au 24.10.2018 pour intolérance médicamenteuse. Status post-carcinome spino-cellulaire bien différencié de type serpigineux du menton, opéré en 2003 (greffe cutanée).Status post-ménisectomie droite Status post-appendicectomie Status post-entorse cheville droite. Status post-entorse cheville gauche. Status post-entorse du genou gauche le 29.11.18 avec suspicion de lésion du ménisque. Status post-épididymite droite en 2010. Status post-excision de cicatrice, débridement, lavage et reprise partielle de l'arthrotomie para-patellaire interne pour prélèvements bactériologiques, genou gauche le 18.07.18 sur : • douleurs antérieures genou gauche après PTG gauche le 16.08.2016 (Dr. X) avec abcès au niveau de la partie proximale de la cicatrice. Status post-excision de plaie pour dermohypodermite de l'avant-bras droit distal sur morsure de chat le 17.09.2017, à pasteurella multocida. Infection débutante sur morsure de chat de l'avant-bras distal droit à staphylococcus epidermidis multi-résistant, 01.10.2018 Le 10.04.2018, Dr. X : excision des berges de morsures, prélèvement de biopsies, rinçage, drainage. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline intraveineuse, puis relais per-os à raison de 2 x 1 g/jour jusqu'au 16.04.2018 inclus. Status post-excision d'une tumeur de l'oreille droite avec auto-greffe Status post-ablation d'une vingtaine de polypes hyperplasiques en 2014 avec coloscopie normale le 30 avril 2018 Status post-exérèse d'un crânio-pharyngiome de type adamantinomateux OMS grade 1 le 01.10.18 • Bilan endocrinologique pré-opératoire : hypopituitarisme avec insuffisance thyréotrope débutante et hypogonadisme hypogonadotrope. • Exérèse du crânio-pharyngiome le 01.10.2018 (Dr. X, neurochirurgie, HUG) avec prélèvement biopsique de la tumeur • Bilan endocrinologique postopératoire 08.10.2018 : insuffisance corticotrope, gonadotrope et thyréotrope. • Clinique à l'entrée en neuroréhabilitation : troubles sévères de la mémoire antérograde (oublis à mesure) et de travail, bradypsychie, désorientation temporelle partielle, amputation des champs supérieurs des 2 côtés, hypotension orthostatique Status post-exploration de plaie + suture tendon FPL à droite le 14.07.2018 sur : • Section complète du FPL en zone T2 à D le 13.07.2018. Status post-exploration de plaie interdigitale II et III main droite avec refixation du ligament inter-métacarpien, suture de la plaque palmaire dig II, suture artère digitale le 17.03.218. Status post-intervention de l'épaule gauche (probable Buté) par Dr. X mi-juin 2018. Status post-intervention cure de tunnel carpien par Dr. X en décembre 2018. Status post-fracture clavicule droite non déplacée avec traitement conservateur Status post-fracture humérus distal gauche avec traitement chirurgical en 2012 Fracture clavicule droite déplacée, I selon Neer avec : • status post-fracture clavicule droite non déplacée avec traitement conservateur le 06.05.2013 Status post-fracture costale gauche déplacée en 2005. Prostatite aiguë le 09.03.2017. Status post-fracture de la tête radiale gauche type Mason 1 en 2012. Status post-cholécystectomie en 1995. Diverticulite stade Hinchey IIB. Status post-fracture de Pouteau-Colles avec arrachement de la styloïde cubitale le 15.10.2013 Douleurs abdominales d'origine indéterminée en septembre 2009. Vertige paroxystique positionnel bénin en 2015 Céphalées de tension Crise hypertensive à 210/140 avec céphalées brutales holocrâniennes et vertiges • CT cérébral et pré-cérébral : pas d'hémorragie cérébrale, pas de dissection des artères vertébrales Souffle systolique 2/6 maximal au foyer d'Erb. Status post-fracture du bassin. Contusion de la hanche droite sur status post-fracture du bassin en 2013. Status post-ostéosynthèse par cerclage-haubanage d'une fracture comminutive de l'olécrâne gauche le 04.11.2018. Status post-fracture du poignet gauche en 1995, traitée conservativement Status post-PTH gauche il y a 10 ans Fracture comminutive radius distal gauche et arrachement processus styloïde ulnaire AO type 23 C3 • Ostéosynthèse radius distal gauche par double voie d'abord palmaire dorsal, et cure de tunnel carpien • Implantation d'une plaque palmaire APTUS 2.5 mm, plaque APTUS main 2.0 radialement et plaque APTUS main 2.0 en L dorsalement (OP le 20.10.2015) • Changement de vis et fermeture voie d'abord palmaire poignet gauche (OP le 26.10.2015) Fibrillation auriculaire intermittent à réponse ventriculaire rapide le 10.09.2018 Status post-fracture du radius distal Status post-fracture du scaphoïde droit il y a 6 ans traitée conservativement. Status post-entorse/contusion des carpes du versant ulnaire. Status post-fracture plurifragmentaire sous-trochantérienne fémorale gauche le 27.06.2018 traitée par réduction ouverte et ostéosynthèse par PFNA long et 2 cerclages le 03.07.2018. Status post-gastrite en 2006. Pancolite infectieuse sur Campylobacter Jejuni le 31.05.2016. Arrachement osseux de la plaque palmaire IPP IVème doigt main droite le 27.10.2017. Status post-gastroplastie verticale calibrée (VBG) en 1995 (Dr. X) Status post-mise en place d'un anneau gastrique ajustable en 2000 Status post-appendicectomie Status post-cholécystectomie Status post-thyroïdectomie en 1977 Thrombose veineuse profonde en juillet 2012 Tassement de vertèbres opérées en 2012 à la clinique générale à Fribourg Status post-hallucinations visuelles et auditives Status post-asthme allergique Status post-dyspraxie avec TDAH → suivi par pédopsychiatrie et neuropédiatre (Dr. X) Status post-otite externe droite et gauche Status post-hernie inguinale droite en 2005 Status post-appendicectomie à l'âge de 25 ans Ileus grêle • CT abdominal du 22.11.2017 (CIMF) : ileus grêle avec dilatation des anses à 5 cm, sans signe de souffrance pariétale, probablement secondaire à une sténose iléale terminale sur épaississement pariétal d'allure post-radique des 7 derniers cm de l'iléon. Hypotension en post-opératoire le 27.02.2018 Déconditionnement physique suite à une laparotomie exploratrice avec adhésiolyse et résection segmentaire de l'iléon distal avec anastomose iléo-iléale termino-latérale en 2 plans et lavage abdominal le 27.02.2018 • Adénocarcinome du rectum, ypT1ypN0 (0/12) G2R0 depuis 2016 • Iléus à répétition Physio- et ergothérapie Dénutrition protéino-calorique sévère • Hypoprotéinémie et hypoalbuminémie le 20.03.2018 • Carence en vitamine D • BMI = 18.2 Suivi diététique Régime adapté avec supplémentation Carence en vitamine D : 43 nmol/l (le 20.03.18) Suivi biologique Substitution avec 15000 IE par semaine pendant l'hospitalisation, après avec 5600 IE/semaine Anémie normochrome normocytaire DD : postopératoire • Vitamin B12, acide folique : normal (le 20.03.18) Suivi biologique Dysélectrolytémie : • Hypomagnésiémie le 15.03.18 : Mg 0.72 mmol/l • Hypokaliémie le 27.03.18 : K 3.3 mmol/l Suivi biologique Substitution Mg, K Insuffisance rénale chronique légère Stade G2 • eGFR selon CKD-EPI : 81.9 mL/min/1.73m² (le 20.03.18) Suivi biologique Status post-hospitalisation à Marsens il y a 3 ans pour burn-out + dépression avec idéation suicidaire. Tachycardie supraventriculaire avec rentrée nodale conversée médicamenteuse (Krenosine). Épisode dépressif moyen avec avis du psychiatre de garde : hospitalisation à Marsens en mode volontaire - transfert en taxi. Status post-hystérectomie en 1981 Status post-opération de varices Status post-appendicectomie Status post-hystérectomie et annexectomie en 2004. Coloscopies en 2005, 2010 et 2015. Diverticulite sigmoïdienne proximale de stade Hinchey II. Bilan biologique et CT. Antibiothérapie : • Rocéphine 2 g iv/jour et Flagyl 3 x 500 mg iv/jour du 13 au 15.11.2017 • Ciproxine 2 x 500 mg per-os/jour et Flagyl 3 x 500 mg per-os/jour jusqu'au 22.11.2017 inclus. Consultation diététique. Régime pauvre en fibres pendant 4 semaines. Status post-hystérectomie subtotale conservatrice des annexes par Pfannenstiel compliquée par une hémorragie sur hématome de la paroi le 23.08.2014. Status post-interruption de grossesse volontaire chirurgicale en 2005, 1998 et 1993. Status post-2 césariennes en 2003 et 2011 (hémorragie per-opératoire). Papillome du sinus choroïde du 4e ventricule, OMS grade I. • IRM cérébral du 20.10.2015 : masse mesurant 19 x 15 x 30 mm se situant dans le plancher du 4ème ventricule, avec comblement de la cisterna magna. Craniotomie postérieure avec exérèse in toto tumeur de la fosse postérieure et fermeture durale avec patch de l'épicrâne le 12.02.2016 (Dr. X). Histologie : papillome du sinus choroïde du 4e ventricule, OMS grade I. Status post-hystérectomie totale, annexectomie et curage iliaque bilatéraux, ainsi que cytologie péritonéale avec exérèse d'un nodule de 8 mm de grand axe sur le grêle pour carcinome de l'endomètre le 30.01.2014. Status post-décompression par laminectomie et cure de hernie discale L4-5 gauche, stabilisation par Sténofix 15 pour hernie discale L4-5 gauche luxée vers le haut en 2016. Status post-appendicectomie et adhésiolyse intestinale en 1976. Décompensation BPCO stade II selon GOLD le 25.01.2015. Scarlatine, adénoïdectomie et amygdalectomie dans l'enfance. Hernie inguinale droite incarcérée avec iléus d'amont. Découverte fortuite d'une masse mésentérique à mi-grêle. Status adhérentiel intra-abdominal avec infiltration du mésentère. Le 25.05.2018, Dr. X : révision inguinale droite. Laparotomie sous-ombilicale. Adhésiolyse extensive durant 20 minutes. Résection grêle et de son mésentère pour masse mésentérique à mi-distance de la grêle, avec anastomose jéjuno-iléale latéro-latérale terminalisée anisopéristaltique à l'agrafeuse linéaire ILS 75, agrafes bleues. Cure selon Lichtenstein avec filet de Vicryl 3 couches. DAP : segment d'intestin grêle montrant une dilatation focale de la paroi avec œdème de la sous-muqueuse, un status fibro-adhérentiel marqué de la séreuse ainsi que, à un endroit dans le mésentère, des modifications fibrocicatricielles en partie nodulaires avec foyers de liponécrose, suffusions hémorragiques, dépôts d'hémosidérine, prolifération mésothéliale réactionnelle et sérosite fibrino-hémorragique en surface. Deux ganglions lymphatiques millimétriques représentatifs dans le tissu adipeux mésentérique. Antibiothérapie intraveineuse (Kefzol en per-opératoire) relayée par Rocéphine du 24 au 29.05.2018. Surveillance de l'ELM du 23 au 25.05.2018. Sonde vésicale du 23.05 au 05.06.2018. Péridurale thoracique antalgique D10-11 du 23.05 au 01.06.2018. Ablation des agrafes à J12. Contrôle à la consultation du Dr. X dans 1 mois. Status post-hystérectomie Status post-appendicectomie Cure d'hernie discale en 2002 Cystopexie en octobre 2017 Status post-implantation d'une prothèse totale de l'épaule droite type Affinis short le 19.02.2018 pour une omarthrose droite avec arthrose acromio-claviculaire et coiffe des rotateurs compétente. Omarthrose épaule gauche. Surcharge mécanique coude gauche après transposition antérieure du nerf cubital. Status post-implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule G sur omarthrose avec atrophie du sus-épineux après traitement d'une instabilité. Status post CRPS après cure du tunnel carpien D en 2014. Status post resurfaçage rotule, OST de la TTA par 1 vis 3.5, genou G le 11.02.2015 après • PTG et OST de la TTA le 06.02.2013 • status post OST valgisante tibia proximal G en octobre 2010 ; AMO en juin 2012 • status post évacuation surinfection hématome jambe G avec débridement, biopsie, rinçage en novembre 2011 Status post-implantation d'une PTH D en 2017 (Sonnenhof) pour une nécrose aseptique. Status post-incision complète de ce même abcès le 05.12.2018. Fistule probablement inter-sphinctérienne à 08h00 en position gynécologique, drainé avec fil de Seton (19.04.2018). Status post-drainage selon Seton en juillet 2017 et fistulectomie en octobre 2017 pour une fistule anale chronique à 07h00 en position gynécologique. Prostatite aiguë en 2016. Status post-infarctus en 2016 Status post-hystérectomie Status post-cancer mammaire gauche Status post-infection dentaire, sous traitement par Prednisone et Co-Amoxicilline 2 x 1 g/j pour 5 jours dès le 01.10.2012. Status post-infection dentaire, sous traitement par Prednisone et Co-Amoxicilline 2 x 1 g/j pour 5 jours dès le 01.10.2012. Status post-infection d'une prothèse totale de la hanche gauche en 2011. Status post-résection de l'intestin gauche pour adénocarcinome du sigmoïde pT1 pN0 M0 en 2006. Status post-fracture de L1 en 1996. Status post-résection transurétrale de la prostate pour hyperplasie bénigne en 2001. Status post-résection d'un basaliome du nez en 2006. Status post-fracture pertrochantérienne gauche en 2004. Status post-décompensation cardiaque gauche en 2011. Status post-fracture multi-fragmentaire de la rotule gauche en 2014. Status post-infection urinaire basse le 16.12.2018 • Furandantine 100 mg 2 x/j du 16.12 au 20.12.2018 Status post-infiltration du mur méniscal interne sous US. Déconditionnement du genou G, progression de l'arthrose avec perte d'hauteur du ménisque interne. Status post-ménisectomie interne et externe du genou G par Dr. X le 11.10.2017. Status post-interruption volontaire de grossesse en 2012 et 2013 par curetage Status post-laparoscopie avec kystectomie ovaire gauche en 2013 Status post-césarienne en urgence 2 pour RCIU avec diastole ombilicale nulle à 35 4/7 semaines d'aménorrhée et hypertension artérielle gravidique en 2015. Naissance d'une fille de 1790 g en 2015 Status post-épisode d'hémisyndrome sensitivo-moteur facio-brachio-crurale gauche en février, pendant 5 minutes avec des paresthésies importantes avec résolution spontanée (suivi par le Dr. X sans autres investigations faites en février 2018) Status post-opération du genou gauche : ménisque + Plica post accident en 2012 Césarienne élective en 09/2018 Status post-invagination traitée par laparotomie en août 2014 Status post-hospitalisation au CHUV pour exacerbation de mucoviscidose avec colonisation par S. aureus Status post-hospitalisation au CHUV pour insuffisance respiratoire avec surinfection pulmonaire à S. aureus, H. haemolyticus et Rhinovirus en février 2014 Status post-invagination iléo-caecale réduite par un lavement de NaCl 0.9 % le 12.07.2014 Status post-invagination avec syndrome d'obstruction intestinale incomplète avec laparotomie, désinvagination et appendicectomie en passant en février 2012 Rupture de la plaque palmaire du majeur de la main droite le 07.12.2012 Status post-gastrostomie de 2001 à 2008 Exacerbation pulmonaire par surinfection (colonisation chronique à S. aureus et E. Coli multirésistant) dans le contexte de mucoviscidose Delta F 508 avec bronchectasies 10/2015 Exacerbation mucoviscidose - virose vs bactérienne Exacerbation de mucoviscidose le 07.06.2017, sans signe de gravité Surinfection pulmonaire d'origine probablement virale dans un contexte d'une mucoviscidose Delta F 508 avec bronchectasies le 21.05.2018 Malnutrition protéino-énergétique grave sur insuffisance du pancréas exocrine Avis et suivi diététique (S. X) • 1500 ml Survimed/nuit du 21.05.2018 puis 3000 ml Survimed sur 20h du 25.05 au 04.06.2018. 2000 ml dès le 05.06.2018 • nutrition per os enrichie • adaptation des doses de Creon Anémie ferriprive sur malabsorption • 2 injections de Venofer 05/2018 (Inselspital) • Venofer 150 ml avec préparation (solumedrol 125 mg et Tavegyl 2 mg) Insuffisance pancréatique endocrine • HbA1c 6,3 % début mai à l'Inselspital Douleurs thoraciques apicales droites le 25.05.2018 sur effort de toux • Rx thorax le 25.05.2018 : infiltrats superposables à la radiographie du 21.05.2018 • Dafalgan et Tramadol d'office dès le 25.05.2018 Erythème de la main gauche post-tatouage, le 17.10.2018 • DD : érysipèle Status post-IRA sur déshydratation le 23.08.2018. Hyperglycémie sur probables administration de corticostéroïdes. Insuffisance respiratoire sur pneumonie organisante post-infectieuse • hospitalisation du 23.08 au 04.09.2018 • fonctions pulmonaires le 30.08.2018 : pas de syndrome obstructif, ni de syndrome restrictif, diminution importante et harmonieuse des volumes dynamiques avec un VEMS à 61 %. Status post-laparoscopie (2015 et 2016) pour traitement d'endométriose. Status post-polypectomie par hystéroscopie en mars 2018. Spondylolisthésis L5-S1. Status post-amygdalectomie dans l'enfance. Familiaux : hypertension artérielle, cholestérol chez les 2 parents. Reflux gastro-oesophagien. Status post-laparotomie, adhésiolyse, réduction d'une hernie interne, fermeture d'un orifice au niveau de l'épiploon droit le 20.01.2016. Abcès de la face antérieure du pied droit à S. dysgalactiae et Staph. coag. neg. sur érysipèle du pied/jambe droits sur artériopathie oblitérante en 02/2015. Thrombose veineuse superficielle de la veine grande saphène droite en février 2015. Douleurs neurogènes thoraciques gauches après l'intervention de 2004. Status post-lobectomie supérieure gauche par tomie pour une néoplasie pulmonaire (CA épidermoïde pT3 pN0 cM0) 2004 (HFR). Petit foyer atypique intra-prostatique avec hypertrophie prostatique et PSA élevé depuis 2002. Hernie hiatale avec probable trouble moteur oesophagien en 2002. Status post-cure de hernie inguinale droite 2000. Prolapsus mitral diagnostiqué en 1992 (échocardiographie). Status post-opération tendon d'Achille des deux côtés en 2012 et 1990. Status post-cure tunnel carpien (non daté). Status post-méniscectomie gauche 1960. Status post-amygdalectomie (non daté). Status post-appendicectomie dans l'enfance. Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 23.08.2018 : • sur perte volémique par stomie Abcès parastomial avec drainage spontané à la peau au niveau médian le 18.09.2018 avec : • status post-iléostomie à haut débit (laparotomie avec adhésiolyse le 17.07.2018 + suture colique droite + iléostomie latérale à double canon en para-ombilicale gauche) par le Dr. X Malnutrition protéino-énergétique grave Suivi diététique Cholécystolithiase avec sludge et dilatation des voies biliaires le 05.10.2018 CT thoraco-abdominal le 05.10.2018 Déconditionnement global sur : • possible nécrose tubulaire aiguë avec IRA • malnutrition protéino-énergétique • infection urinaire haute à K. pneumoniae le 04.10.2018 DD pneumonie du lobe moyen • anémie hyporégénérative transfusée le 15.10.2018 • hypotension orthostatique • iléostomie à haut débit • multiples troubles électrolytiques • cholécystolithiase avec sludge et dilatation des voies biliaires le 05.10.2018 • consommation OH à risque Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Adaptation de l'antalgie Suivi du laboratoire Infection urinaire haute à Klebsiella pneumoniae multisensible le 04.10.2018 qui récidive le 22.10.2018 Pipéracilline-Tazobactam du 05. au 11.10.2018 Sédiment urinaire et Uricult le 19.10.2018 : K. pneumoniae multisensible 10E6 multisensible Ciproxine 500 mg 2x/jour du 22. au 28.10.2018 Hypotension orthostatique le 08.10.2018 sur déshydratation • sur iléostomie à haut débit et sur polyurie (NTA, apports excessifs) Schellong le 11.10.2018 : positif sans et avec bas de contention Traitement de Zanidip et de Bisoprolol stoppé le 11.10.2018 avec bonne évolution Test de Schellong positif avec et sans bas de contention Anémie hyporégénérative d'origine indéterminée • avec bilan vitaminique dans la norme, ferritine et TSH dans la norme Suivi biologique Transfusion d'un CE le 15.10.2018 Status post-laparotomie pour occlusion intestinale en 1984. Cholécystectomie le 18 juillet 2010. APP durant la jeunesse. Status post-ligature des trompes. Plusieurs épisodes d'épistaxis sur pics hypertensifs en février 2016. Réadaptation respiratoire post-pleuro-pneumonie gauche à S. aureus compliquée d'un empyème pleural gauche para-pneumonique stade I-II avec décortication par thoracoscopie et biopsies pleurales à gauche, le 09.02.2016 (Inselspital). Syndrome d'apnées du sommeil sévère selon la polygraphie d'avril 2016 (Dr. X) : • échelle de somnolence d'Epworth : 14/24 points • appareillage par CiPAP. Hypoesthésie symétrique avec niveau sensitif à D10. Status post-lithiase rénale traitée par lithotripsie en 2009. Lithiases rénales bilatérales et urétérale droite en 2012. Status post-lombosciatalgies non déficitaires en décembre 2009 Status post-cholécystectomie Status post-amygdalectomie Status post-hystérectomie et annexectomie bilatérale laparoscopique mai 2015 Status post-urosepsis à E. Coli sur pyélonéphrite droite le 27.12.2015 Status post-insuffisance rénale aiguë le 04.01.2016 sur administration de produit de contraste Status post-cure de hernie hiatale le 01.06.2016 (Dr. X) Status post-pyélonéphrite droite le 09.06.2016 Status post-luxation antéro-inférieure de l'épaule droite le 15.07.2018 Lésion partielle de la coiffe des rotateurs sus-épineux avec éventuelle instabilité du long chef du biceps Status post-luxation de la cheville droite il y a 20 ans Erythème généralisé le 06.02.2015 sur réaction allergique liée à la prise de Zyloric Agranulocytose fébrile sur bactériémie à K. pneumoniae et E. Coli probablement sur mucite digestive le 09.03.2015 (J3 agra), J8 du 1er cycle de chimiothérapie de type IAVC Céphalées frontales d'origine probablement médicamenteuse le 12.03.2015 DD : Cytosar, Uromitexan mais terminé depuis le 06.03.2015 Faiblesse des membres inférieurs probablement sur toxicité neurologique du Methotrexate Agranulocytose fébrile sur bactériémie à E. Coli probablement sur mucite digestive le 22.04.2015 (J2 agra) à J10 du 2ème cycle de chimiothérapie de type IVAC Perturbation des tests hépatiques sur méthotrexate à haute dose le 26.02.2015 et le 01.04.2015 Status post-luxation de la cheville droite il y a 20 ans Faiblesse des membres inférieurs probablement sur toxicité neurologique du Methotrexate Erythème généralisé le 06.02.2015 sur réaction allergique liée à la prise de Zyloric Agranulocytose fébrile sur bactériémie à K. pneumoniae et E. Coli probablement sur mucite digestive le 09.03.2015 (J3 agra), J8 du 1er cycle de chimiothérapie de type IAVC Céphalées frontales d'origine probablement médicamenteuse le 12.03.2015 DD : Cytosar, Uromitexan mais terminé depuis le 06.03.2015 Perturbation des tests hépatiques sur méthotrexate à haute dose le 26.02.2015 et le 01.04.2015 Agranulocytose fébrile sur bactériémie à E. Coli probablement sur mucite digestive le 22.04.2015 (J2 agra) à J10 du 2ème cycle de chimiothérapie de type IVAC Status post-luxation du coude gauche. Status post-luxation épaule gauche le 02.11.2018 Status post-maladie Hodgkin en rémission complète depuis 2009. Status post-méniscectomie partielle interne genou droit en 1994. Status post-méniscectomie interne par voie ouverte genou gauche en 1984. Status post-ostéotomie de valgisation du genou gauche en 2008. Status post-AMO plaque de valgisation du genou gauche en 2009. Discopathie L1 à L5. Status post-mise à plat d'un anévrisme aorto-bi-iliaque sous-rénal avec pontage aorto-bi-iliaque externe, ligature de l'artère iliaque interne droite associée à un pontage de l'iliaque externe et interne, le 19.03.2018 (Dr. X). Status post-sigmoïdite, le 21.10.2017, traité conservativement. Thermoablation de foyer d'arythmie en 2010 au CHUV. Remplacement valvulaire aortique mécanique en 1996 au CHUV avec : • dernier contrôle en 2016, sous Sintrom. Appendicectomie dans l'enfance. Status post-mise en place d'une prothèse totale du genou droit en 2011. Status post-laparotomie pour cholangite sur empierrement cholédocien avec cholédochotomie transverse, fermeture du cholédoque distal, rétablissement de la continuité bilio-digestive avec anastomose cholédocho-duodénale termino-latérale en 2007. Status post-fracture de l'humérus gauche, avec mise en place d'une prothèse, en 2006. Status post-ablation d'un fibro-adénome du sein droit en 2001. Status post-cholécystectomie en 2001. Status post-cure d'éventration sous-costale droite avec mise en place d'un filet en 2001. Status post-hystérectomie en 1971. Status post-appendicectomie. Status post-mise en place d'une prothèse totale inversée de l'épaule droite le 24.05.2018. Status post-mononucléose 2005. Conjonctivite. Status post-multiples abcès (axillaires, inguinaux, pré-sternaux et cuisse droite). Status post-excisions in toto des lésions de la maladie de Verneuil inter et sous-mammaires, reconstruction mammaire et greffe de peau (prélèvement sur la cuisse droite), le 27.05.2014. Status post-excision axillaire bilatérale et reconstruction par Mesh Graft (prélèvement de la cuisse droite), en novembre 2012. Status post-abdominoplastie, ombilicoplastie et correction de cicatrice inter-mammaire le 28.02.2017 (Prof. X). Status post-appendicectomie, en 2013. Status post-césarienne, en 2010. Status post-cholécystectomie, en 2010. Abcès axillaire droit de 1 cm en lisière de la greffe cutanée le 23.06.2017. Abcès en sous-mammaire droit le 25.07.2017 - dans le contexte d'une maladie de Verneuil. Abcès joue gauche incisé le 29.03.18. Douleur de la cicatrice après une abdominoplastie probablement sur un granulome sur fil le 28.02.2017. Douleur de la loge rénale gauche le 05.09.2017, passage d'une urolithiase au décours. Tendinite du fléchisseur ulnaire du carpe et extenseurs des doigts, surtout 3ème doigt gauche. Abcès sein gauche le 20.12.17. Abcès pubien le 10.01.18. Abcès inguinal, para vulvaire gauche le 01.02.2018. Abcès inguinal bas droit dans le contexte de maladie de Verneuil le 08.05.2018. Abcès inguinal gauche dans le contexte de maladie de Verneuil le 21.06.2018. Status post-hystérectomie et annexectomie (Daler) septembre 2018. Abcès fessier péri-vaginal droit (base de la cuisse) sans red flag le 26.09.2018. Possible début d'abcès cutané superficiel au niveau de la cicatrice abdominale le 12.10.2018. Abcès péri-mammaire gauche. Status post-multiples opérations abdominales avec résections intestinales dans les années 1970. Suspicion de colite à Campylobacter chez une patiente connue pour un mégacôlon. Tests hépatiques perturbés dans un contexte d'hépatite C. Suivi au HUG. Status post-multiples thromboses veineuses profondes et une embolie pulmonaire en 2001. Status post-cure de hernie cicatricielle avec un filet Parietex composite intra-péritonéal le 29.04.2014. Status post-cure de hernie inguinale gauche selon Lichtenstein le 27.10.2014. Sondage vésical traumatique avec hématurie le 28.04.2016. Tentamen médicamenteux le 21.05.2017. • connu pour dépression et multiples tentatives. • anamnèse d'ingestion de 40 cp de Lisitril 10 mg. Troubles de la vigilance d'origine indéterminée le 08.07.2017 avec : • notion d'hémisyndrome sensitif gauche avec ptose labiale droite à Marsens à 22h. • NIHSS à 2 à l'Inselspital (dysarthrie et somnolence), IRM dans la norme. • NIHSS à 0 à l'HFR. DD : surdosage médicamenteux, AIT, épilepsie. Hypothyroïdie sub-clinique le 08.07.2017. • sous traitement d'Euthyrox. Entérite persistante depuis 10 jours. Hernie inguinale droite non objectivée et non incarcérée opérée au Daler en avril 2018. Prothèse totale de la hanche droite en mai 2018. Excédent cutané abdominal, suite à un bypass gastrique proximal en avril 2016. • Abdominoplastie le 04.09.2018. • Suivi en ambulatoire à la consultation du Prof X. Section de l'artère testiculaire gauche le 04.09.2018 en peropératoire. Status post-néphrectomie totale gauche pour malformation rénale (probable agénésie) en 2001. Status post-neurolyse et transposition sous-musculaire du nerf cubital gauche le 21.06.2018. Status post-ongle incarné orteil. Fracture Maison 1 de la tête radiale droite. Malaise d'origine indéterminée avec hyperventilation, tremblements, désorientation. Status post-opération anamnestique de la prostate. Probable ulcération de l'amygdale gauche dans le cadre d'une pharyngite virale. Suspicion d'uréthrite. Status post-opération de la cataracte. Status post-maladie de Boeck (sarcoïdose) en 1960. Rectorragies d'origine indéterminée dans un contexte de maladie de Crohn. Status post-opération de la mâchoire à 20 ans. Status post-prothèse mammaire en 1996 et 2013. Status post-césarienne en 2005. Status post-stérilisation en 2016. Status post-fundoplicature selon Nissen par laparoscopie le 26.04.2017. Status post-opération des hémorroïdes. Status post-amygdalectomie. Status post-opération de la cataracte. Status post-prothèse totale de hanche en 1990. Dépression traitée en 2005 par Dr. X. Rétention urinaire aiguë le 11.05.2018 post-cautérisation par Dr. X le 09.05.2018 dans un contexte d'adénocarcinome de la vessie diagnostiqué le 23.03.2018. Infection urinaire en 10/2018. Status post-opération des ligaments croisés antérieurs du genou droit. Status post-2 opérations des genoux pour dysplasie du cartilage. Status post-opération des végétations. Contusion costale latérale droite le 07.06.2012 post-accident de la voie publique. Angine à Streptocoques. Status post-opération du fémur gauche + AMO en 1976. Status post-hernie ombilicale en 2010 à Payerne. Status post-opération du ménisque droit en 2013. Status post-pneumothorax spontané droit en 2008. Status post-cure de varices bilatérale en 2000. Status post-opération du ménisque du genou droit. Status post-accident sur choc électrique. Hépatocarcinome moyennement différencié. • Date du diagnostic 03/2017. • Biopsie hépatique le 08.03.2017 (Dr. X). • CT cervico-thoraco-abdominal (16.02.2017) : lésion hautement suspecte d'un hépatocarcinome - segment VII. • Thermoablation sous US le 10.04.2017 (Dr. X). • Thermoablation au niveau du segment VII le 12.06.2017 (Dr. X). • Thermoablation au niveau des segments III et VII le 07.08.2017 (Dr. X). • Thermoablation au niveau du segment VII le 27.11.2017 (Dr. X). Laboratoire de contrôle. Prophylaxie par Ciproxine et Flagyl du 27.11.2017 au 28.11.2017. Status post-opération du tunnel tarsien. Status post-appendicectomie. Status post-amygdalectomie.Status post-appendicectomie vers 18 ans. Status post-opération pour hallux valgus ddc. Status post-ORIF avec plaque LCP 3.5 10 trous le 02.06.2018 pour : • Fracture diaphysaire de l'ulna droit avec fragment en aile de papillon le 01.06.2018. Status post-ostéosynthèse de la grande tubérosité par plaque tiers tubulaire 3.5 LCP. Ténotomie ténodèse du LCB et suture de la coiffe des rotateurs le 13.09.2018. Status post luxation de l'épaule D le 29.07.18 avec fracture du tubercule majeur. Status post-ostéosynthèse de la plaque volaire de P2 dig V main gauche le 19.06.2018. Status post-ostéosynthèse de l'épaule gauche. Status post-ostéosynthèse du genou droit. Status post-ostéosynthèse d'une fracture des plateaux tibiaux interne et externe gauches en 2016. Status post-AMO (deux plaques) des plateaux tibiaux interne et externe, genou gauche le 14.09.2018. Status post-débridement, curetage, lavage et fermeture de la plaie interne du genou gauche le 17.10.2018 pour plaie déhiscente de la face interne du genou gauche. Status post-ostéosynthèse d'une fracture pathologique P1 dig II main gauche sur enchondrome par plaque et broches et status post-traitement conservateur d'une fracture P3 dig V main gauche par attelle Stack (probable arrachement palmaire de la base de P3 Dig V déplacé). Status post-ostéosynthèse d'une fracture 4 parts de l'humérus proximal avec Head Split et ostéosynthèse par clou centro-médullaire le 03.01.2018. Suspicion d'allergie cutanée au pansements collants. Status post-ostéosynthèse olécrane droit par vis perdue et cerclage haubanage le 21.02.2018 sur : • Fracture intra-articulaire pluri-fragmentaire de l'olécrane droit. Status post fracture du radius distal G le 18.03.2018. Status post-ostéosynthèse par clou centro-médullaire tibia gauche avec fasciotomie loge musculaire le 08.04.2018 pour une fracture diaphysaire spiroïde jambe gauche avec syndrome de loge sur un accident de ski du 07.04.2018. Fermeture fasciotomies le 12.04.2018. Status post-ostéosynthèse par double abord tibial proximal le 25.09.18 pour : • fracture plateau tibial bicondylienne (Schatzker V). Status post-ostéosynthèse radius distal gauche le 22.02.2018. Status post-parotidectomie superficielle gauche, panendoscopie, biopsies multiples le 02.03.2016. Status post-résection de la prostate le 08.04.2010. Polypes suspects de l'estomac : • oesogastroduodénoscopie du 09.06.10 : résection endoscopique de 3 polypes de l'estomac, 1 polype sessile de 1 cm de la partie distale du corps gastrique le long de la grande courbure (flacon 4), 1 polype pédiculé de 1 cm le long de la partie médiane de la petite courbure entre l'angulus et le pylore (flacon 2) et 1 polype de 5 à 7 mm au niveau de la paroi postérieure de la petite courbure entre l'angulus et le pylore (flacon 1). • oesogastroduodénoscopie du 28.5.10 : hernie hiatale non compliquée. 2 polypes gastriques. • colonoscopie du 21.05.2010 : diverticules. Dolichocôlon. • oesogastroduodénoscopie avec résection de 3 polypes de l'estomac le 09.06.2010. Status post-phakectomie bilatérale. Rhume chronique. Hernie discale L4-5 (traitement conservateur). Status post-2 césariennes. Status post-hystérectomie et annexectomie. Status post-CCK. Status post-PTG gauche en 10.2010. Gonarthrose genou gauche. Implantation PTG gauche (Tornier Kneetec, tibia 3, fémur 3, Inlay 9 mm rotating, ciment Palacos). (OP le 09.03.2011). Status post-phlébite superficielle en juin 2016, anticoagulée pendant 8 jours. Accident vasculaire cérébral aigu du centre semi-oval droit, le 01.07.2016, d'origine micro-angiopathique probable (DD : embolique) avec : • Parésie et ataxie du membre supérieur gauche en nette récupération. Fracture des branches ischio-ilio-pubiennes gauches. Traumatisme crânio-facial simple en 2015. Luxation antérieure de l'épaule droite en 2015 avec réduction de la luxation sous anesthésie par bloc inter-scalénique. Status post-crossectomie et stripping proximal des deux grandes veines saphènes avec phlébectomies étagées pour varices en 2015. Status post-cholécystectomie 1970. Status post-plaie superficielle nette du bord radial de P3 D2 de la main droite. Status post-plastie en Z avec refixation de la lésion ostéocartilagineuse par mini-vis 1.3 Synthes 6x, genou droit, le 24.09.2018 pour : • luxation rotulienne avec lésion ostéocartilagineuse de 3 x 3 cm. Status post-plusieurs iléus sur intestin grêle radique (résolutions spontanées) 2012. Léiomyosarcome utérin G3 stade selon FIGO IIIA (L1, V2, R1, ER discret et PGR 80%) : • status post-laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale en mai 2008. • status post-radiothérapie à visée curative sur le bassin (54 Gy) en juin 2008. • récidive août 2014 : tumeurs de l'épiploon et une tumeur attachée au sigmoïde, nodule pulmonaire dans la lingula de 8 mm. • status post-résection de trois masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïde et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014 (R0). • status post-sepsis d'origine abdominale sur lâchage d'anastomose sigmoïdienne avec péritonite des 4 quadrants le 28.08.2014. • status post-démontage de l'anastomose colorectale et descendostomie terminale selon Hartmann par laparotomie le 29.08.2014. • status post-laparotomie médiane, adhésiolyse et rétablissement de la continuité avec descendo-recto-stomie latéro-latérale à la main et iléostomie de protection en fosse iliaque gauche le 03.06.2015. • status post-chimiothérapie par Taxotere/Egmzar du 29.10.2014 au 11.02.2015. • status post-fermeture d'iléostomie le 09.09.2015. Status post-pneumonie basale droite le 30.03.2017. Status post-pneumonie basale gauche communautaire de découverte fortuite le 16.10.2018. Status post-pyélonéphrite aiguë compliquée à E. coli multisensible le 23.07.2018 traité par Rocéphine. Prothèse totale du genou le 22.05.2018 par le Dr. X. Status post-pneumonie base droite, juin 2014. Status post-zona thoracique TH5 droit traité par Valtrex, juin 2014. Status post-mise en place d'un port-à-cath, février 2009. Foyer d'alvéolites fibrosantes diagnostiqué en 2004. Psoriasis (pas d'efflorescence, après chimiothérapie). Status post-pneumonie il y a 20 ans. Entorse de cheville fin juin 2014. Lombalgie aiguë non déficitaire le 27.09.2016 chez patient connu pour : • une hernie discale L4-L5 non opérée. Hernie ombilicale symptomatique avec collet de 6 mm. Status post-pneumonie le 26.10.2011 traitée par antibiothérapie. Status post-NSTEMI d'étiologie indéterminée le 17.07.2010 avec coronarographie le 17.07.2010 : pas de lésion significative mais présence d'une plaque sur la coronaire droite. FE 58 %. Statine. Status post-bypass gastrique en 2009. Status post-deux accouchements par voie basse en 2005 et 2007. Status post-cholécystectomie par laparoscopie en 2005. Status post-fracture des deux chevilles à droite opérée en 2006, à gauche en 1996. Status post-thrombocytose. Status post-anémie ferriprive substituée. Status post-amygdalectomie en 1996. Status post-polytraumatisme en septembre 2008 sur chute d'une hauteur de 3 m avec : • Pneumothorax droit drainé le 12.09.08, contusion pulmonaire, emphysème sous-cutané • Fracture sternum et hématome rétrosternal • Cyphoplastie de D12 le 16.09.08 pour colonne dorsale D8, 11 et 12 • Fracture côtes 3 et 4 à droite Status post-réduction ouverte d'une fracture calcanéum D type Sanders 3 le 23.07.2016. Status post-ponction du genou gauche, synovasure, débridement, prélèvements, rinçage et mise en place de Penrose pour abcès prétibial le 24.07.2017. Status post-ponction genou gauche le 02.08.2017. Status post-arthrotomie para-patellaire latérale genou gauche avec 1) plastie en Z du retinaculum externe, 2) ostéotomie de la TTA, 3) changement de polyéthylène et 4) resurfaçage patellaire le 20.06.2017 sur : Laxité ligamentaire gauche sur un status post-PTG gauche implantée en 2014 à la Clinique Générale (Dr. X). Status post-ponction genou gauche le 16.2.2018. Descellement prothèse totale du genou à gauche, posée en 2016 au CHUV. Déconditionnement du genou gauche. Status post-6 changements prothétiques genou gauche. Status post ré-implantation PTG G le 16.01.2018. Status post-pontage membre inférieur droit 1996. Status post-laparotomie suite à tentative de suicide par arme à feu en 1974. Status post-appendicectomie. Bactériémie à Staph. epidermidis le 03.07.2018. Constipation sur colostomie terminale définitive le 26.07.2018. Laboratoire : CRP 44, pas de leucocytose, Creat 61, INR 1.7. Avis Dr. X : toucher stomial, présence de petite quantité de selles après toucher stomial. Au vu présence de selles durant observation aux urgences, RAD, Rdv le 27.07 en stomathérapie. Status post-pose de prothèses mammaires et liposuccion le 05.12.2018. Status post-accouchement par voie basse 2010 et 2013. Status post-appendicectomie en 2011. Lombalgie gauche sans déficit moteur avec hyperesthésie L4-S1. Hémisyndrome à gauche sensitivo-moteur d'origine fonctionnelle vs psychogène. Status post-pose d'un anneau gastrique en 2000 • dislocation de l'anneau gastrique • ablation laparoscopique de l'anneau gastrique en 2009. Entorses des chevilles gauche et droite en 2004. Status post-AVB (garçon, 2890 grammes) en 2007. Status post-AVB (garçon, 3020 grammes) en 2009. Césarienne en urgence le 16.04.2013 pour CTG suspect, sans mise en travail après rupture prématurée des membranes avec liquide amniotique clair, chez une patiente 3G-3P de 33 ans, à 38 SA 2/7. Césarienne isthmique transverse basse. (OP le 16.04.2013) Suivi du post-partum. Status post-prise de greffe crête iliaque et OS par plaque 4.5 au fémur à droite le 10.01.2017 sur Non-union fémur distal droit après enclouage centro-médullaire. Décortication-greffe du foyer de fracture. Status post-ablation du matériel d'ostéosynthèse fémur proximal à droite et dynamisation du clou centromédullaire fémur droit le 19.07.2016 sur : • Status post réduction ouverte et ostéosynthèse par clou LFN de la diaphyse fémur droit sur fracture comminutive diaphysaire, transverse à 2 étages (op le 27.02.2016) Status post-refixation et ostéosynthèse insertion tibiale LCP genou G par vis le 01.03.2016 sur fracture-arrachement. Tendinite du tendon d'Achille à droite. Contracture musculaire des chaînes postérieures à gauche. Status post-prise en charge pour urolithiase droite. PTH à gauche en 2015. Changement PTH G sur mal-orientation de la cupule après PTH gauche en 2015 et impingement du tendon du psoas. Opération du 16.02.2017 : Bursectomie trochantérienne, neurolyse du nerf sciatique, ostéotomie du grand trochanter, ostéotomie péri-acétabulaire, reconstruction du fond du cotyle avec un anneau de Burch, bursectomie ilio-pectinée et débridement du tendon du psoas, ablation d'ostéophyte postéro-inférieur, ostéosynthèse du fémur proximal pour une plaque en crochet 110 mm et un total de 4 Dall-Miles. Anémie spoliative postopératoire avec transfusion de 1 CE le 17.02 et le 18.02.2017. Révision de la PTH gauche le 04.04.2018. Status post-probable AVC sylvien droit en 1993. Status post-ulcère gastrique. Status post-APP dans l'enfance. Status post-cure de hernie inguinale droite en 1956. Status post-problèmes hépatiques dans l'enfance. Status post-prothèse aortique biologique en décembre 2003. Status post-RTUP en mai 2005. Status post-tachycardie supraventriculaire régulière en février 2010. Status post-possible AIT 2011. État confusionnel au décours avec désorientation et troubles phasiques rapidement régressifs le 29.10.2017. Poussées d'oligoarthrite microcristalline (genou D, poignet D, cheville D, coude D) le 06.11.2017. Idées suicidaires le 30.10.2017. • Patient anxieux de longue date avec consommation de Temesta 0.5 mg depuis quelques années. Fracture incomplète non déplacée du grand trochanter D après chute le 10.12.2017 traité conservativement. Abcès aorto-mitral sur endocardite lente à germe indéterminé de la bioprothèse aortique le 31.10.2017. • Hémocultures itératives négatives. (une bouteille positive à J5 pour S. Hominis le 31.10.2017, probable contaminant) • Traitée par Vancomycine et Gentamycine du 31.10 au 03.11.2017 puis Co-Amoxicilline du 03.11 au 11.12.2017. • ETT le 31.10.2017 : valve mitrale dégénérative avec masse 6x 7 mm (DD : fibroélastome, végétation, calcifications, lâchage feuillet) • Cubicine 500 mg i.v. 1x/jour dès 22.12.2017 pour 6 semaines, Rifampicine 450 mg 2x/jour per os dès 22.12.2017 pour 6 semaines. • ETT le 21.12.2017 : progression de l'abcès, non cloisonné, au niveau mitro-aortique par rapport à l'examen précédent. Taille mesurée à 20 x 15 mm. • 3 x hémocultures 21 & 22.12.17 sans antibiothérapie : négatives à J5. • Installation de PICC-Line. Status post-prothèse totale de hanche droite en 2015 par Dr. X à Agoriaz. Status post-prothèse totale de hanche gauche. Status post-fracture du poignet droit. Status post-prothèse totale de hanche droite 2008. Status post-ablation/excision d'un nodule au sein droit en 2001. Status post-appendicectomie. Status post-prothèse totale de la hanche D (Cupule Fitmore 52, noyau Durasul 52/36, tête Protasul 36 col L, tige MS-30/8 standard, centralizer 8/10, bouchon Weber 3.5, Palacos R+G) le 30.05.2012 pour coxarthrose droite. Status post-appendicectomie. Status post-thyroïdectomie. Status post-prothèse totale de la hanche droite en 1994 (Dr. X, Clinique Ste-Anne, Fribourg) avec : • status post-multiples épisodes de luxation postéro-supérieure de la prothèse totale de la hanche droite • 5ème épisode traité par réduction fermée (OP le 14.06.2017). Iléus mécanique sur status adhérentiel le 09.01.2018. Prolapsus stomial avec difficulté d'appareillage de la splitostomie en fosse iliaque droite avec : • résection iléo-caecale et confection d'une splitostomie iléon terminal le 07.11.2017 pour perforation caecale post-colonoscopie • laparotomie exploratrice et cure d'éviscération avec mise en place d'un filet intrapéritonéal le 17.11.2017 pour éviscération de la cicatrice de laparotomie • Infection de la cicatrice de laparotomie avec colonisation à Candida Albicans. Fermeture de splitostomie, débridement de plaie abdominale et pose de VAC sous-cutané le 05.03.2018. Thérapie par pansement à pression négative (VAC) avec changements itératifs du 05.03.2018 au 15.03.2018. Infection urinaire le 07.03.2018. Urotube du 08.03.2018 négatif.Ciproxine du 09.03 au 16.03.2018 Status post-prothèse totale de l'épaule droite en 2010, actuellement mobilité restreinte de l'épaule gauche. Status post-AVC avec hémisyndrome droit et aphasie en 2005. Sténose de la carotide gauche symptomatique avec : • status post-attaque ischémique transitoire avec aphasie le 15.09.2010 • status post-attaque vasculaire cérébrale avec hémisyndrome droit et aphasie régressive en 2005. Thrombendartériectomie de l'artère carotide gauche le 12.10.2010 : • contrôle angiologique du 15.10.2010 : flux carotide interne droit physiologique • pas d'irrégularité aux limites de la TEA. Petit hématome. Status post-prothèse totale du genou droit Status post-EP segments antérieur et supérieur G en 2004 Status post-APP dans l'enfance HTP avec : • sténose aortique de 0,9 cm2 • dilatation et dysfonction biventriculaire avec FEVG à 40% • HTAP 60 mmHg (anciennement 85 mmHg) DD : IC globale sur sténose aortique, cardiomyopathie idiopathique dilatée Fonctions pulmonaires : sp Coronarographie le 05.12.2014 : HTP d'origine mixte Status post-PTH à droite en 2010 Status post-PTH à gauche en 2016 Status post-réduction ouverte et ostéosynthèse sur fracture péri-prothétique du grand trochanter à gauche en 2016 Status post-entorse de la cheville gauche avec fracture-arrachement du naviculaire en 2018 Status post-PTH bilatérale. Status post-reconstruction de la cloison nasale. Traumatisme crânio-cérébral chez un patient sous Xarelto. Status post-arthroscopie diagnostique, ténotomie et ténodèse du long chef du biceps, réinsertion du sous épineux, résection acromio-claviculaire le 26.02.2018. Status post-PTH droite Status post-PTH droite Status post-PTH droite Changement de PTH droite en 2003 à la clinique Garcia, proximalisation de grand trochanter Status post-PTH gauche Status post-PTG gauche Status post-fracture transverse patella à droite avec réduction ouverte et ostéosynthèse par cerclage et ostéosuture Fracture D8 type B reverse Chance sur chute le 10.07.2018 traitée par spondylodèse percutanée D7-D9 par système Viper, cimentée par Vertecem + Cerasorb en postéro-latéral et médial (OP le 11.07.2018) Infection urinaire basse à Proteus mirabilis et Enterococcus faecalis Status post-PTH et PTG bilatérales Status post-PTH gauche Status post-cholécystectomie Status post-appendicectomie Status post-ulcère gastrique récidivant Status post-PUC G le 22.05.2018 pour une gonarthrose mono-compartimentale G Status post-réaction allergique après ingestion de cacahuètes le 12.11.2014 Troubles anxieux traités par Risperdal Status post-reconstruction du LCA par DIDT au genou droit le 10.05.2017 sur : • déchirure complète du LCA genou droit sur traumatisme le 10.11.2016. Status post-réduction fermée et immobilisation par BAB fendu radius G le 11.06.2018 sur : • Fracture méta-diaphysaire en bois vert du radius/cubitus G; le 11.06.2018 Status post-réduction fermée et ostéosynthèse par clou PFNA gauche le 14.06.2018 sur : • fracture pertrochantérienne G le 13.06.2018. Status post-réduction ouverte et ostéosynthèse du tibia distal gauche par 4 vis 3.5 libres et plaque LCP métaphysaire 3.5/4.5 le 23.10.2018. Status post-réduction ouverte et ostéosynthèse extrémité distale du radius gauche et ostéosuture de la cubitale le 07.09.2018. Status post-réduction ouverte et ostéosynthèse plateau tibial externe genou droit le 03.02.15 • mise en place de greffes spongieuses structurelles et fragmentées (allogreffe) • réinsertion-suture ménisque externe. Contracture des ischio-jambiers à D. Status post-réduction sous anesthésie locale et immobilisation d'une fracture déplacée du radius distal gauche (prochain contrôle à la consultation du Dr X le 19.01.2018). Maladie de la jonction pyélo-urétérale décompensée (sténose). 01/2018 Status post-réfection d'une anastomose gastro-jéjunale le 20.03.2017. Status post-bypass gastrique proximal le 26.10.2016. Chirurgie de la vessie. Abdominoplastie. Stérilisation. Emphysème médiastinal en mai 2017 Douleurs thoraciques atypiques pariétales Status post-refixation arthroscopique d'un Bankart osseux le 16.07.2018. Status post-réinsertion distale du LLI du genou droit le 04.10.2018 sur : • status post-entorse du genou droit avec rupture distale du LLI le 23.09.2018. Status post-résection du FCR le 06.07.2017 après lésion partielle sur traumatisme le 15.06.2016. Actuellement : douleurs sur la branche palmaire du nerf médian. Status post spondylodèse L5-S1. Status post-résection iléo-caecale avec anastomose termino-terminale de l'iléon sur côlon le 08.01.2001, pour léiomyome du côlon. Douleurs abdominales d'origine indéterminée 06/2012 Status post-résection pancréatique partielle pour des pancréatites à répétition Status post-résection partielle du ménisque droit. Status post-intoxication médicamenteuse par 300 mg Seroquel le 15.06.2014. Status post-crise d'hyperventilation. Ballonnement abdominal et constipation. Status post-résection transurétrale de la vessie le 28.09.2016 pour carcinome urothélial papillaire non invasif pTa G2. Status post-arthrodèse MTP I à droite par plaque Pedus et cure de deuxième orteil droit en marteau le 20.09.2016 (HFR Fribourg). Carcinome urothélial papillaire non invasif pTa G2. • Résection transurétrale de la vessie le 22.11.2017 (Dr X) Status post-révision de la plaie avant-bras droit, suture de la branche superficielle du nerf radial et suture de plaie le 05.07.2018 avec/sur multiples plaies de l'avant-bras droit et gauche sur tentamen avec section de la branche superficielle du nerf radial. Status post-ROOS malléole externe par plaque tiers tube, cheville droite le 05.06.2018 sur : • fracture type Weber B de la malléole externe et fracture de la malléole postérieure non déplacée cheville D.Status post-sevrage OH. Status post-sigmoïdectomie et iléostomie de protection sur diverticulite récidivante en septembre 2012 avec: • fermeture d'iléostomie le 20.11.2013. • insuffisance anastomose iléo-iléale après status post-fermeture iléostomie le 21.11.2013. • laparotomie exploratrice, pose de VAC sous-cutané le 24.11.2013. • péritonite sur insuffisance du moignon colique au niveau de l'anastomose colorectale le 17.08.2014. • laparotomie exploratrice le 17.08.2014, suture d'une fistule au niveau du moignon colique, lavage abdominal et iléostomie de décharge. Mise en place d'un VAC sur l'incision abdominale du 17 au 25.08.2014. Gastroentérite de probable origine virale le 29.02.2016. Insuffisance rénale aiguë AKIN 1 de probable origine prérénale. Status post-stabilisation AC à gauche par Dr. X. Luxation acromio-claviculaire stade III à droite. Status post-STEMI inférieur sur occlusion de l'artère coronaire droite moyenne le 17.05.2012. Status post-fracture de la cheville droite de type Weber A. Oppression thoracique dans un contexte d'anxiété le 28.10.2018. Status post-STEMI inféro-basal subaigu, 2010. Cure d'une hernie musculaire traumatique dans la loge des péroniers, 2013. Plaie face antéro-latérale tibia droit. Polytoxicomanie à l'héroïne, sous Méthadone. Status post-surinfection tardive d'une plaque LC/DCP 4.5 externe après reconstruction d'une fracture Schatzker VI des plateaux tibiaux droits. Status post-suture de la bandelette centrale zone II de l'extenseur de l'index de la main droite le 03.11.2018. Status post-Syphilis 2009/10 traitée par antibiothérapie. Hernie inguinale directe et indirecte gauche avec cure de l'hernie inguinale gauche selon Lichtenstein le 23.10.2013. Angine à streptocoques. Status post-tachycardie supra-ventriculaire le 01.08.2018 : introduction d'un bêta-bloquant. Status post-dénutrition protéino-énergétique grave avec hypoalbuminémie le 02.08.2018. Status post-insuffisance rénale aiguë AKIN 3 d'origine obstructive avec macrohématurie le 30.07.2018. • sur cystite hémorragique. • status post-cystoscopie avec pose de sondes JJ bilatérales le 30.07.2018 (Dr. X). • sonde vésicale 3 voies avec rinçages en continu dès le 30.07.2018. • soutien transfusionnel (1 CE le 31.07.2018, Cyklokapron 1g le 30.07.2018, Vitamine K le 31.07.2018). • correction volémique. • Rocéphine dès le 30.07.2018 jusqu'à ablation de la sonde vésicale. • Métronidazole dès le 31.07.2018 jusqu'à ablation de la sonde vésicale. • tentative de sevrage de la sonde vésicale le 04.08.2018 avec RAU secondaire, mise en place de sonde vésicale à demeure. Status post-tassement du plateau supérieur L3 traité conservativement. Status post-tassement non traumatique L2 traité par cyphoplastie en février 2013. Fracture du bassin (branches ilio- et ischio-pubiennes gauches) en 2012. PTG droite post-accident. Fracture du plancher orbitaire et paroi latérale de l'orbite gauche en 2010 sur chute. Oesophagite de reflux stade I en 1994. Hyponatrémie hypoosmolaire modérée à 115 mmol/L le 26.07.2017 probablement mixte sur: • SIADH médicamenteux (traitement par Trittico depuis plusieurs mois). • SIADH néoplasique. • déshydratation chez un patient hypovolémique. • valeurs usuelles aux alentours de 130 mmol/L. Thrombopénie le 17.10.2017, DD effet secondaire de la ceftriaxone reçue les 16 et 17.10.2017. Status post-thrombendartériectomie avec plastie d'élargissement de la bifurcation carotidienne à gauche pour sténose symptomatique le 24.06.2011. Status post-accident vasculaire cérébral ischémique sylvien gauche avec aphasie de Broca persistante en mai 2011. Status post-PTA de l'axe fémoro-poplité à gauche en 2004. Status post-thrombophlébite superficielle en 2013. Status post-appendicectomie en 1947. Status post-hystérectomie ancienne. Status post-thrombose veineuse profonde avec insuffisance veineuse du membre inférieur gauche. Status post-hystérectomie en 2009. Status post-cataracte (œil non précisé). Volumineuse hernie para-oesophagienne avec probable volvulus gastrique: • laparoscopie convertie en laparotomie sus-ombilicale, repositionnement de l'estomac et exérèse du sac herniaire, suture des piliers diaphragmatiques, gastropexie le 30.03.2017 (Dr. X). Suspicion d'ingestion de corps étranger le 08.08.2017. • fermeture éclair en plastique. Rx: pas de visualisation. Pas d'indication d'intervention chirurgicale. Surveillance des selles et de l'état clinique, reconsultation en cas d'apparition de symptômes abdominaux ou systémiques. Status post-thrombose veineuse profonde du bras droit sur traumatisme en février 2011. Appendicectomie par laparoscopie. Status post-thrombose veineuse superficielle d'une branche variqueuse à la face interne de la jambe droite diagnostiquée le 18.07.2016, au décours. Contusion thoracique gauche en 2014. Status post-nombreuses interventions de varices au membre inférieur droit au Portugal et la dernière en 2007 sous la forme d'une phlébectomie de veines variqueuses au niveau de la cuisse et de la jambe droite, ainsi que d'un stripping court de la veine saphène externe droite. Tabagisme chronique à environ 30 UPA. Status post-cure de varice le 14.03.2017: • ligature des veines perforantes et multiples phlébectomies du membre inférieur droit. Status post-thyroïdectomie partielle. Hypothyroïdie sub-clinique avec TSH à 8.860 mU/l et T4 libre à 16 pmol/l. Syndactylie doigt I/II pied gauche. Status post-thyroïdectomie pour une raison inconnue du patient. Status post-appendicectomie. Status post-cure d'hémorroïdes. Suspicion lésion dégénérative ménisque interne genou gauche vs décompensation d'une arthrose débutante. Status post-hémicolectomie droite en 1984. Status post-parathyroïdectomie en 1987. Status post-reconstruction de la valve mitrale le 20.05.2016. Status post-traitement d'une anémie ferriprive. Tendinopathie du sous-épineux. TC sans PC ni AC le 25.01.2013 (choc direct de tête/vertex avec une étagère). Status post-lipome fesse droite. Status post-transplantation rénale le 20.10.2017 dans le contexte d'une glomérulonéphrite fibrillaire.• sous Ciclosporine, CellCept, Prednisone. • Status post-transposition sous-cutanée du nerf cubital droit et ablation d'une ostéophytose de la pointe de l'olécrâne du coude droit le 01.12.2014. • Toxicomanie (héroïne) stoppée en 2010. • Angine à streptocoque en avril 2014. • Status post-traumatisme crânio-cérébral sévère le 24.10.2018 sur chute à cheval avec : • HSA fronto-pariétale droite • Hémorragie intraparenchymateuse occipito-cérébelleuse droite • Thrombose du sinus transverse droit • Fracture de la base du crâne à droite, occipitale droite, passant par le tubercule jugulaire et s'étendant dans le condyle occipital, se prolongeant possiblement à travers le canal de l'hypoglosse à droite • Possible activité épileptique sur foyer irritatif temporale gauche • Status post-traumatisme crânio-cervical le 29.11.2018 avec : • fracture non déplacée de l'os frontal D avec hématome épidural fronto-temporal D en regard • contusion hémorragique de contre-coup fronto-operculaire G • fracture de la lame et de la facette C6 G non déplacée • Status post-tuberculose pulmonaire à 20 ans. • Status post-érysipèle du visage. • Status post-insuffisance rénale chronique acutisée sur produit de contraste iodé • Embolie pulmonaire en 2013 • TVP à répétition • Douleurs pariétales • Laboratoire : pas de SDR inflammatoire, CRP < 5 • ECG : bloc du 1er degré et aplatissement onde T en III et AVL connu • RX thorax : pas de foyer, pas d'épanchement • Status post-tunnel carpien droit en 2016 • Status post-néphrolithiase gauche (100% d'acide urique) en décembre 2011 • Status post-ESWL sur lithiase urétérale droite avec stase rénale en 2006 • Status post-vasectomie • Status post-résection péri-anale • Status post-amygdalectomie • Status post-TURV itérative pour uro Ca pTa G1 (06/2011 et 08/2012) avec suivi annuel. • Status post-épididymectomie partielle gauche et biopsie testiculaire gauche juin 2011. • Status post-cure d'hernie inguinale avec hydrocèle à droite en juillet. • Status post-opération de l'œil droit pour lésion de la cornée. • Thrombopénie légère d'origine indéterminée le 03.11.2018 résolue le 08.11.2018. • Insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine indéterminée le 03.11.2018. • Gastrite le 03.11.2018. • Status post-ulcère gastrique il y a 5 ans • Status post-2 césariennes • Status post-2 interventions de transposition du nerf cubital droit. • Status post-3 accouchements par voie basse • Status post-stérilisation par voie ombilicale il y a 30 ans • Thrombopénie de consommation le 20.08.2011. • Insuffisance rénale aiguë sur nécrose tubulaire aiguë le 20.08.2011 avec beta-NAG : 8,6 et lysozyme : 116 (norme < 50) • Saignement intra-abdominal diffus post-opératoire le 20.08.2011 • Petite infection de la plaie de laparotomie • Insuffisance respiratoire partielle d'étiologie plurifactorielle (épanchements pleuraux, atélectases) le 25.08.2011 • Status post-3 AVB. • Status post-hystérectomie abdominale en 1982. • Cure de hernie inguinale en 1970. • Fracture radius distal poignet gauche type Colles, 2012 : réduction fermée avec doigtiers japonais sous contrôle scopie; immobilisation en BAB. • Status post-5 AVB et un curetage. • Status post-stérilisation tubaire en 1981. • Status post-2 AVC en 2010 et 2014. • Status post-fermeture de FOP pour AVC récidivant en mars 2015. • Déchirure tendineuse épaule G en 2004 avec s/p suture coiffe des rotateurs 2003. • Déchirure tendineuse épaule D avec s/p arthroscopie avec suture de la coiffe (sus-épineux) et correction d'une lésion de Bankart le 30.04.2010. • Instabilité ligament collatéral ulnaire MP pouce gauche avec s/p plastie de reconstruction avec palmaris longus pouce gauche. • Status post-cure de varices des MI. • Status post-cure de hernie discale. • Status post-plastie ligamentaire du LCA au niveau du genou droit. • Hypokaliémie à 3.1 mmol asymptomatique le 30.08.2016. • Anémie normochrome normocytaire régénérative à 88 g/l le 01.09.16. • Bilan : ferritine 705, vit. B12 1274, vit. D 72, TSH 8.98, réticulocytes 136. • Status • Radiographie • Antalgie + glace + RAD • Status • Radiographie sans fractures • RICE + tramal en réserve + contrôle chez le MT dès qu'il rentrera à Berne (dans 5 jours) • Status • Radio • RICE • AINS + antalgie • Attelle aircast • Cô chez le MT dans 7 jours • Status rassurant • Labo proposé, mais Mr. Y et sa mère préfèrent un RAD rapide • Avis Dr. X : • ad PCR multiplex dans les selles car symptômes depuis > 7 jours • ttt symptomatique (motilium, buscopan) + perenterol + schéma dégressif de Nexium • contrôle chez le MT dans 72h • Status • Remplissage par NaCl chaud • Couvertures • PLS • Surveillance neuro-paramètres • Laboratoire • Avis Dr. X : ad alcoolémie car troubles de vigilance • OHémie : 1.74 • Status • RX cheville G : ne montre pas de fractures (ostéophyte malléole interne - arthrose débutante) • RICE et contrôle chez le MT à J7 • Status • RX : pas de fractures - aspect lésion bénin de 2ème orteil pied gauche au niveau phalange médiale - contrôle RX dans 6 semaines chez le MT (patient mis au courant) • RICE + arrêt de sport + contrôle chez le pédiatre à 7 jours • Syndactylie pendant 5 jours • Status • RX thoracique • Évaluation pneumologique ambulatoire • Status somatique normal • Becozyme + Benerva • Hydratation ++ per os • Labo • Avis psychiatrique et évaluation psy : RdV avec Dr. X (psy) le 17.12.18 à 08:00 • schéma dégressif seresta 4x15mg/j, retirer 15mg aux 3 jours avec 3x15mg en réserve • Status • Test grossesse • Sédiment urinaire • Status urinaire négatif : cf supra • Poursuite Dafalgan et Algifor • Status urinaire négatif : pas de leucocytes ni nitrites • Bains de Kamillosan • Discuter avec pédiatre d'un éventuel ttt corticoïde local • Status-cure de syndrome du tunnel carpien bilatéral en mars 2018 • S/p AVP il y a 29 ans, avec troubles de la locomotion séquellaires • Status. • ECG : cf. annexes. • Labo : pas de syndrome inflammatoire • Avis Dr. X : ASP sp, CT pas d'hernie interne, sp • RAD avec antalgie et spasmolytique, suivi chez MT avec contrôle biologique en fin de semaine (+/- cholangio-IRM) • Status • ECG : rythme sinusal régulier, normocarde • Labo : leucocytose isolée 14,2 • Massage du sinus avec ECG en continu : négatif • RAD avec suivi MT afin de réaliser un bilan élargi. • Status • ECG : rythme sinusal régulier sans modification du segment ST • Labo : perturbation des tests hépatiques • Adalat retard 25 mg • RAD avec contrôle chez MT en début de semaine. • Status • ECG : sp • Avis Dr. X : ASP +/- US : sans particularité • Labo : Aligné, pas de syndrome inflammatoire • Nexium 40 IV + Ulcar + buscopan • RAD avec traitement anti-inflammatoire + Nexium 40mg + buscopan en R pour 7 jours • Contrôle MT à distance • Status • Labo • RX Cervicale : pas de fracture, pas de spondylolisthésis • RAD avec antalgie + contrôle médecin traitant en début de semaine prochaine (+/- IRM si persistance symptomatologie) • Status-post angine à Streptocoque. • Angine virale. • Status-post entorse du poignet gauche en juillet 2013. • Status-post fausse couche spontanée à 4 semaines d'aménorrhée en 2017. • Kyste ovaire droit 4cm (résorption spontanée) en 2017. • Status-post fracture du tubercule de Lister G le 19.06.2018. • Neuropathie nerf ulnaire à G. • Inflammation à l'insertion du TFCC. • Status-post fracture Salter II non déplacée du tibia distal à D le 22.08.2018 traitée conservativement. • Status-post lithiase pyélo-calicielle (2004) Status-post méniscectomie genou gauche. Status-post pneumonie basale droite et probablement rétro-cardiaque en 2009. Status-post prostatectomie radicale pour tumeur prostatique en 2003. Status-post pneumonie bilobaire (LIG, LSD) acquise en communauté le 25.02.2012. Insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale sur déshydratation. Douleur thoracique pariétale avec composante anxieuse. Status-post suture de la coiffe de l'épaule D en 2005. Comorbidités ostéoporose traitée par Calcimagon. Status-post thyroïdectomie totale bilatérale en 2018, pour nodule toxique avec hyperthyroïdie symptomatique. Status-post fibroscopie oeso-gastro-duodénale en 2017. Status-post cholecystectomie en 2016 pour vésicule lithiasique symptomatique. Status-post appendicectomie par laparoscopie en 2014. Status-post pancréatite biologique avec lipases à 178 U/l en 2008. Status-post pose d'une prothèse inversée de l'épaule à droite en 2007 dans le contexte d'arthrose sévère. Status-post fausse couche spontanée en 1987. Status-post mort foetale in utero en 1988 à 24 SA. Status-post AVB en 1990 à terme. Naissance d'une fille de 3320 g. Infiltration des tissus mous de la paroi abdominale à J10 d'une annexectomie para laparotomie, chez une patiente de 59 ans, 3 gestes 2 pares. Laboratoire : Hb 86, leuco 10, CRP 14, créatinine 80. Scanner : infiltration des tissus mous dès le sus-ombilical jusqu'aux agrafes (environ 20 cm en hauteur) et prenant toute la profondeur et largeur de la paroi (cellulite ?), emphysème sous-cutané en fosse iliaque gauche. Légère quantité de liquide péri-hépatique et au niveau du Douglas. Épanchement péricardique en faible abondance. Status-post annexectomie bilatérale + ablation d'un nodule de l'épiploon + résection de l'appendice épiploïque porteur du reste de la lésion le 18.12.2018. Status-post tonsillectomie à l'âge de 6 ans. Status-post cure de hernie abdominale (fémoral ? inguinale ?) à l'âge de 3 mois. Probable intoxication alimentaire le 19.02.2014 avec : • contexte de décès d'un proche. Status-post AVB avec épisiotomie médio-latérale droite, sexe : garçon, poids : 2990 g, SA : 41, double circulaire du cordon, en 06.2010 (Portugal). Status post-cure d'hernie inguinale droite en 2004. Céphalées de tension. Pyélonéphrite le 19.02.2018. Status Rx Thorax Status TTT anti-inflammatoire Contrôle polyclinique d'orthopédie le 11.12.18 Statuts post cancer prostate traité par radiothérapie, actuellement en rémission. Status neurovasc sp status OA Rx D5 : pas de fracture Avis Dr. X et Dr. X : • Co-amoxicilline 2.2 g IV en OU • retrait de l'ongle avec rinçage et désinfection de l'ongle et du lit unguéal • 2 points de suture simples vycril rapide 4-0 lit unguéal • rattachement de l'ongle par point en croix Ethilon 4-0 • contrôle à la polyclinique d'orthopédie le 21.12.2018 • arrêt maladie STE-ACS antérieur Stéatose hépatique d'origine alcoolique, DD : cirrhose. Stéatose hépatique sur éthylisme chronique. Hypertension artérielle traitée. Lombalgies chroniques avec lombo-sciatalgies non déficitaires. Psoriasis avec arthrite clinique importante déformante aux mains et probable spondylarthropathie. Ostéoporose. Emphysème sans obstruction sous tabagisme actif à environ 40 UPA. Diverticulose sigmoïdienne non compliquée. Surdité de perception bilatérale. Troubles cognitifs probables d'origines indéterminées. STEMI. STEMI. STEMI. STEMI. STEMI. STEMI aigu sur occlusion de l'IVA proximale le 26.11.2018 • Pic de CK 2211 UI/l le 26.11.2018. STEMI antérieur. STEMI antérieur aigu le 09.12.2018 • Occlusion de l'IVA prox. au niveau de la DA (lésion de bifurcation) : • Fraction d'éjection VG 30-35 %. • Pic de CK 3517 U/l le 09.12.2018. S/p opérations hernie discale en 1994 et 2014. S/p opération hernie inguinale droite. S/p opération astigmatisme 2 yeux en 2015. S/p arthroscopie genou droit il y a 25 ans. S/p cautérisation pour épistaxis récidivants. STEMI antérieur aigu • Occlusion de l'IVA prox. au niveau de la DA (lésion de bifurcation) : • Fraction d'éjection VG 30-35 %. • Pic de CK 3517 U/l le 09.12.2018. STEMI antérieur aigu sur occlusion de l'artère interventriculaire antérieure (IVA) proximale, le 09.12.2018 • PIC CK 3517 U/l • Fraction d'éjection du ventricule gauche 30 %. STEMI antérieur aigu sur une : • Occlusion de l'IVA prox. au niveau de la DA (lésion de bifurcation) : • Recanalisation/PTCA/3xDES (bon) • Fraction d'éjection VG 30-35 %. STEMI antérieur compliqué d'un arrêt cardio circulatoire en extra hospitalier le 23.12.2018 avec : • No flow : 3 minutes • ROSC : 15 mn STEMI antérieur dans le contexte d'une coronaropathie tritronculaire le 23.12.2018 avec : • Occlusion de l'interventriculaire antérieure proximale (TIMI à 0) • Sténoses significatives 75 % de la coronaire droite proximale et distale • Sténose significative 75 % de la circonflexe proximale • Akinésie antéro-apicale avec FEVG de 35 % le 23.12.2018, 48 % le 27.12.2018 • Pic des CK à 1'028 U/l (le 24.12.2018). STEMI antérieur le 04.12.2018. STEMI antérieur le 04.12.2018 sur sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • pic de CK à 891 le 05.12.2018. STEMI antérieur le 23.12.2018 : STEMI antérieur sur occlusion IVA moyenne le 17.12.2018 : • Pic de CK à 2283 U/l. STEMI antérieur sur sténoses subocclusives de la bifurcation IVA-diagonale le 21.11.2018. STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'IVA ostiale le 14.12.2018 • Akinésie apicale • Thrombose du stent IVA proximale le 15.11.2018. STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'IVA proximale le 14.12.2018 avec : • akinésie apicale étendue • FEVG 20 %. STEMI antéro-septal le 30.12.2018 sur • sténose significative de l'artère interventriculaire antérieure proximale et de l'IVA moyenne • sténose significative de la première diagonale. STEMI au décours le 27.12.2018. STEMI avec pose d'un stent en novembre 2017. Infarctus myocardique en 2007. TCC à l'âge de 3 ans sur chute. STEMI coronaire droite traité par angioplastie et pose de 1 stent actif. STEMI inférieur. STEMI inférieur. STEMI inférieur. STEMI inférieur. STEMI inférieur aigu sur lésion de la Cx moyenne le 08.12.2018 : • Pic de CK à 288 U/l le 09.12.2018. STEMI inférieur aigu sur subocclusion thrombotique de l'artère coronaire droite ostiale le 12.12.2018. STEMI inférieur le 09.11.2018 sur maladie bitronculaire avec : • occlusion thrombotique ACD proximale : traitée par PCI (avec 1 DES) • sténose significative de l'artère circonflexe proximale • fraction d'éjection du ventricule gauche : 45 % • traitement de l'ACx prévu en 02/18 (Dr. X). Cure de hernie inguinale droite selon Lichtenstein le 22.10.2018. Cure d'hydrocèle en 2003. Cardiopathie ischémique sur maladie coronarienne bitronculaire. Rétention urinaire aiguë à 500 ml sur hyperplasie bénigne de la prostate le 11.11.2018. Douleurs thoraciques pariétales récidivantes le 12.11.2018.Persistance de l'ostéoporose sur le col fémoral. Par rapport à 2006, perte osseuse de 3.4% sur la CL et >7% sur la hanche totale Cervicarthrose Rhizarthrose gauche et droite Côlon irritable IBS et dolichocolon sigmoïdien considérable (coloscopie du 18.08.2015 et coloscopie virtuelle le 07.09.2015) Hernie hiatale non compliquée Etat anxiodépressif avec intolérance aux antidépresseurs STEMI inférieur le 27.11.2017 Coronarographie le 27.11.2017 (Dr. X) : maladie coronarienne monotronculaire avec • lésion non significative de la première diagonale • lésion non significative de l'artère coronaire droite proximale • occlusion aiguë de l'artère coronaire droite moyenne -> stent • lésion non significative de l'artère coronaire droite distale • FEVG à 65% à la ventriculographie • Passage en bloc atrio-ventriculaire type Wenckebach post-coronarographie le 27.11.2017 (Atropine 0.5 mg iv le 27.11.2017) Eczéma des membres inférieurs traité par Protopic Lombalgies sur lombarthrose disco-somatique et inter-facettaire de type inflammatoire en L4-L5 et du côté gauche avec développement d'un kyste arthrosynovial postéro-latéral extra-canalaire (23.10.2014) Ostéoporose du col fémoral Cervicarthrose Rhizarthrose ddc Côlon irritable IBS et dolichocolon sigmoïdien (coloscopie du 18.08.2015 et coloscopie virtuelle le 07.09.2015) Hernie hiatale non compliquée Etat anxiodépressif avec intolérance aux antidépresseurs STEMI inférieur sur cardiopathie ischémique bitronculaire : • Thrombose de stent tardive de la CD distale • Lésion sévère 70-90% de la première diagonale • Lésion intermédiaire < 50% sur l'IVA moyenne • FeVG 35 à la ventriculographie • Pic de CK à 742 U/i STEMI inférieur sur occlusion CD moyenne et distale le 2.12.2018 STEMI inférieur sur occlusion de la coronaire droite STEMI inférieur sur occlusion de la coronaire droite le 22.11.2018 avec : • FRCV : HTA, diabète, tabagisme 30 UAP (sevré depuis 5 ans), antécédents familiaux cardiovasculaires significatifs (frère de 40 ans mort d'un infarctus, sans certitude), dyslipidémie STEMI inférieur sur occlusion de la coronaire droite proximale le 16.12.2018 : • Pic de CK à 1482 U/l STEMI inférieur sur occlusion proximale de la coronaire droite le 17.09.2018 : • coronarographie le 17.09.2018 (Dr. X) : occlusion proximale de la coronaire droite (région collatérale de l'IVA). La fonction systolique du VG est globalement normale (hypokinésie inférieur). Aspirine cardio à vie. Efient 10 mg pendant 12 mois. Bétabloquant, IEC, statine. Contrôle cardiologique dans 1 mois chez le Dr. X, ergométrie dans 3-4 mois. Demande de réadaptation cardiovasculaire à l'HFR Billens. STEMI inférieur sur resténose subocclusive intrastent CD ostiale le 16.12.2018 STEMI inférieur sur subocclusion thrombotique de l'artère coronaire droite le 12.12.2018 STEMI inférieur sur une sub-occlusion de l'artère coronaire droite le 17.12.2018 STEMI inféro-latéral sur occlusion de l'artère circonflexe moyenne le 23.12.2018 • Implantation de 1 stent actif STEMI inféro-latéral le 23.12.2018 STEMI latéral subaigu sur occlusion de l'artère circonflexe proximale, englobant l'origine de la première marginale (lésion de bifurcation) le 27.12.2018 STEMI le 20.12.2018 (Dr. X) • Labo (Dr. X): CK-Mb > 4000, CK > 1000 • 20.12.2018 coronarographie : occlusion artère coronaire gauche avec dissection spiralée, 4 stents • 3 épisodes de fibrillation ventriculaire intra-opératoire • Soins intensifs : catécholamines i.v. (dopamine, adrénaline) 20.12-25.12.2018 • ETT (Dr. X) : FEVG 35% • Sous ticagrélor, aspirine cardio, enalapril, carvedilol, aldactone Sténose aortique légère • Surface aortique à 1,4 cm². Gradient VG-Ao moyen : 12 mmHg • Débit cardiaque à 5,6 l/min (136 % de la théorique) • Index cardiaque à 2,9 l/min/m² Sténose aortique modérée Sténose aortique modérée (AVA 1.07 cm², gradient moyen 15 mm Hg) Sténose aortique modérée • ETT du 03.05.2018 : hypertrophie sévère du ventricule G, FEVG 55%, • suivi par le Dr. X Sténose aortique modérée • ETT du 03.05.2018 : hypertrophie sévère du ventricule gauche, FEVG 55%, • suivi par le Dr. X Sténose aortique modérée (2/3 ; paradoxically low-flow low gradient) selon échocardiographie transthoracique du 08.08.2017 HFR Fribourg - Hôpital cantonal AVC ischémique aigu sylvien droit séquellaire sur occlusion de la carotide interne le 04.08.2017 traité par thrombectomie mécanique (TICI 3) compliqué d'une occlusion de l'artère cérébrale antérieure et d'une thrombose des sinus veineux transverse et sigmoïde gauche le 04.08.2017 Sténose aortique serrée avec : • Surface 0.84 cm² • Low flow-low gradient • Hypertension artérielle pulmonaire Maladie coronarienne tritronculaire avec : • Sténose 70 - 90 % du tronc commun distale/de l'ostium de l'IVA • Sténoses significatives de l'IVA moyenne (in-stent) et distale • Sténose significative de l'ostium RCx, ACD moyenne • EF 25%, LVEDP 25 mmHg Hypovitaminose D avec vitamine D 3.10.2018 : 58 nmol/L Hypertension artérielle Sténose aortique sévère avec : • Surface estimée à 0.54 cm² par Gorlin-Fick • Gradient moyen/PP 50/60 mmHg • Discrète hypertension artérielle pulmonaire • Anneau valvulaire aortique et artères ilio-fémoraux de petits calibres Sténose aortique sévère traitée par remplacement de la valve aortique par une prothèse mécanique le 11.04.2014 Sténose asymptomatique de la carotide interne gauche à 80% diagnostiquée le 10.04.2015 Sténose canalaire L4-L5 avec compression récessale L5 et bombement discal au même étage sur statut post décompression L5-S1 G, facettectomie et foraminotomie ainsi que discectomie L5-S1 partielle le 10.09.2018 pour une récidive de sténose récessale et foraminale L5-S1 G. • Status post décompression foraminale L5-S1 G par foraminotomie le 29.09.2017 sur lombosciatalgie L5 G sur sténose foraminale multi-étagée, surtout en L5-S1 • Status post-décompression sélective L2-L3 G avec undercutting contro-latéral et décompression sélective L3-L4 G ainsi que herniectomie le 08.07.2016 pour un canal lombaire étroit L2-L3 et hernie discale L3-L4 récessale G.• Discopathie L5-S1 avec hernie extra-foraminale et foraminale droite. • Spondylodèse L4-L5 par système NEO (vis 6.0/50, tiges 40 mm) + BGel. • Décompression par laminectomie L4, spinectomie L4, facettectomie partielle L4-L5 et discectomie L4-L5 par voie bilatérale + mise en place d'une cage TLI Juliet 10 mm (OP le 29.05.2017). • Antalgie par PCA du 29 au 30.05.2017. • Dexaméthasone en schéma dégressif dès le 01.06.2017. • Sténose carotidienne gauche connue. • Sténose carotidienne gauche estimée à 40% au CT et 70% neurosonologiquement, asymptomatique. • Diagnostiquée le 10.04.2015. • Sténose de la carotide interne gauche > 90% à son départ à 80% au niveau de la bifurcation carotidienne droite. • Suspicion d'AIT / AVC mineur du territoire vertébro-basilaire le 11.12.2018 d'origine artério-artérielle. • DD sur bas débit dans le contexte de la maladie artériosclérotique sténosante significative sous-jacente. • Sténose significative de l'artère vertébrale droite V2. • Sténose de l'urètre péno-bulbaire. • Sténose foraminale C6/7 gauche, le 01.12.2018. • Avec radiculopathie associée. • Sténose iatrogène non significative de l'artère fémorale droite le 29.11.2018. • Pas de conséquences ischémiques ni hémodynamiques. • Sténose L3-L4 sévère. • Arthrose facettaire sévère multi-étagée. • Dysbalance de l'équilibre sagittal avec syndrome du dos plat. • Spondylodèse de L3 à L5 avec PAD avec arthrodèse L3-L4 avec cage OLIF et décompression par cross-foraminotomie L3-L4 par la G le 24.09.2012. • Reprise le 11.01.2013 pour une révision L3-L4, ablation du PAD, décompression L3-L4 par foraminotomie G et re-spondylodèse L3-L4 par Facet Wedge small. • Lombalgies chroniques sur canal lombaire étroit. • Persistante d'écoulement de LCR au niveau de la plaie lombaire sur status post révision, suture de la dure-mère et patch de TachoSil le 29.03.2018 sur brèche de LCR L3-L4 sur status post-spondylodèse L2-S1 par système Viper (vis 6.0/50 en L2, L3, L4 et L5 et vis 6.0/45 en S1; 2 tiges lordosantes de 11cm), décompression canalaire L3-S1, ablation du système PAD L4-L5 et suture d'une brèche durale le 26.03.2018 pour une sténose L3-L4 et L4-L5 sévère sur hypertrophie ligamentaire et hernie discale paramédiane G, arthrose facettaire sévère multi-étagée et dysbalance de l'équilibre sagittal avec flat back. • Cardiopathie hypertensive et valvulaire. • FEVG 50%, pas de maladie ischémique, sténose valve aortique. • Tabagisme ancien 20 UPA stoppé en 1996. • Hypertension artérielle avec mauvaise adhérence au traitement. • Obésité stade 2 avec BMI à 33.7 kg/m2. • Syndrome d'apnée du sommeil, non appareillé. • Sténose oesophagienne mixte (peptique et infectieuse) récidivante avec : • Pose de stent oesophagien le 12.03.2015 (Dr. X). • Infection à CMV traitée par Ganciclovir intraveineux du 02.02.2015 au 16.02.2015. • Hernie hiatale avec sténose peptique du tiers distal de l'oesophage. • Status après multiples dilatations (12.01.2015; 29.01.2015; 05.03.2015). • OGD le 22.04.2015 (Dr. X) : dilatation d'une sténose en amont du stent en place. • Dilatation oesophagienne le 18.05.2015 (Dr. Y). • Mise en place d'un stent intrastent d'une sténose fibreuse le 01.07.2015 (Dr. X). • Récidive de sténose oesophagienne avec aphagie complète le 12.08.2015 : dilatation au ballon jusqu'à 10mm de la sténose à l'extrémité distale du stent à l'OGD du 13.08.2015. • PEG depuis le 29.09.2015. • Troubles cognitifs, probablement sur démence de type mixte à prédominance vasculaire en avril 2015. • Diabète de type 2 insulino-dépendant. • Hypertension artérielle traitée. • Troubles de l'acuité visuelle. • Hypercholestérolémie. • Obstruction oesophagienne chez Mr. Y connu pour status après 3 stents oesphagiens le 03.10.2018 : • ECG : trigéminisme auriculaire à 86 battements par minute, PR 130ms, QRS fins. Ondes T négatives en D1 isolées. • OGD aux urgences sous sédation par Propofol (Dr. Y) : levée de l'impaction. • Surveillance après sédation aux urgences pendant 1h, puis retour à domicile. • Sténose shunt mésentérico-cave le 29.11.2018. • Sténose sigmoïdienne le 20.12.2018. • Sténose significative de l'artère vertébrale gauche. • Sténose subocclusive de la sous-clavière gauche. • Sténose urétérale distale droite sur récidive d'un cancer ovarien. • Laparotomie avec résection masse pelvienne, résection de 2 segments du grêle. • Résection a. iliaque externe droite et veine iliaque droite, interposition d'un omniflow sur a. iliaque droite. • Résection uretère droit avec anastomose urétéro-urétérale et mise en place d'une sonde double J, anastomose iléo-iléale et iléo-caecale, CCK le 30.01.2015. • Anémie normochrome normocytaire (104 g/l) post-opératoire sur pertes sanguines intra-opératoires et hématurie le 31.01.2015. • Urinome sur insuffisance de l'anastomose urétéro-urétérale à gauche. • Drainage sous CT scan avec un pigtail du 05.02 au 25.02.2015. • Iléus mécanique sur bride et adhérences en postopératoire. • Re-laparotomie et adhésiolyse extensive, lavage le 20.02.2015. • Ablation d'un pansement VAC sur des plaies abdominales (OP le 25.02.2015). • Hystérectomie pour ménorragies en 2003. • Sténose valvulaire aortique modérée à sévère (échocardiographie en avril 2018). • Angor stable sous Isoket. • Hypertension artérielle. • Ostéoporose fracturaire avec tassements vertébraux T6, T12, L1, L3. • Hypoacousie droite. • Démence modérée avec MMSE à 24/30. • Hypothyroïdie substituée. • Scoliose dorso-lombaire. • Dégénérescence maculaire bilatérale de type exsudatif. • Hypertrophie ventriculaire gauche, avec FEVG à 65%. • Anémie normocytaire hypochrome. • Stent suite à un STEMI traité à Lausanne en 2016. • Stenting actif de la Cx en août 2016. • Pontage aortocoronarien (IVA). • Ethylisation aiguë le 07.10.2016 dans un contexte d'état dépressif. • Arthrite septique et dermohypodermite du genou droit à staphylocoque aureus, dans le contexte d'un status après arthroplastie totale du genou droit le 18.12.2012. • Infarctus du myocarde en 1996 et en 1998. • Stenting (Dr. X), 10.12.2018. • Step test : positif. • Steri-strip. • Soins de plaie. • Stick urinaire. Leucocytes + NIT 0 sang 0. • Test de grossesse négatif. • Stick urinaire (triage) : + Hb, sédiment négatif pour sang, il montre leuco et flore bactérienne. • Sticks urinaires. • Culture urinaire à pister. • Antibiothérapie. • Contrôle chez le MT. • Stigmates d'une leucoencéphalopathie vasculaire évoluée. • CT cérébral le 29.08.2018, hôpital de Valais Sion. • Stimulation à l'hydratation. • Antalgie de premier palier. • Stimulation aux boissons. • Stimulation hydratation orale. • Suspension des traitements néphrotoxiques : notamment Oedemex le 01.12.2018. • Adaptation des posologies selon fonction rénale : • Diminution de l'allopurinol de 300mg/j à 100mg/j. • Remplacement de l'Eliquis par de l'Héparine. • Stimulation hydratation. • Suivi laboratoire. • Stimulation hydrique. • Suivi laboratoire. • Stimuler hydratation. • Stimuler hydratation. • Stimuler hydratation. • Conseils d'alimentation donnés. • Stimuler hydratation. • Consignes de surveillance données. • Stimuler hydratation. • Contrôle clinique le 30.12.18. • Stimuler hydratation. • Dafalgan si fièvre. • Stix : leuco +++, nitrites : négatif. • Stix : leuco +++, nitrites -, sang +++. • Stix : sang, leuco, pas de nitrite. • Urotube et sédiment prélevé. • Stix et sédiment : alignés. • Stix et sédiment urinaire : leucocytes 21-40, nitrites négatifs. • Attitude : Monuril 3 g en dose unique. • Stix et sédiment urinaire : pas d'infection. • RX thorax : pas de foyer, pas d'épanchement. • Retour à domicile avec antalgie et traitement symptomatique. • Stix et sédiment urinaire : négatif. • Attitude : • Pas refait de laboratoire car dernière prise de sang du médecin traitant date du jour même. • Au vu du jeune âge, de l'état général conservé et de la pauvreté de signes et symptômes, à contrôler au secteur ambulatoire des urgences à 48 heures avec prise de sang pour suivi du syndrome inflammatoire. • Document du médecin traitant dans le dossier • Considérer comme possible piste un EBV (fatigue importante, fièvre, perte d'appétit, céphalée, adénopathies). • Si fébrile ad hémoculture. Stix et sédiment urinaire: négatifs Stix et sédiment urinaire négatifs (prélèvement au sachet) Dafalgan si fièvre Contrôle clinique +/- labo le 30.12.18 Contrôle 30.12.18: Gastro-entérite virale Stimuler hydratation Dafalgan au besoin Stix et sédiment urinaire: sang ++; leucocytes 21-40 Urotube: en cours PCR pour Chlamydia et Gonocoque: en cours US testiculaire (Dr. X): pas de torsion testiculaire; orchi-épididymite gauche Attitude aux urgences: • antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg x2/j pendant 14 jours, antalgie • explications données à Mr. Y de reconsulter en cas d'apparition de fièvre, frissons, péjoration de la douleur. Stix et sédiment urinaire: sans particularité. Laboratoire: pas d'infection urinaire, pas de prostatite. Mr. Y informé de reconsulter en cas d'apparition de douleur en loge rénale, fièvre. Mr. Y prendra contact en fin de semaine avec son urologue traitant en cas de persistance d'hématospermie Stix et sédiment urinaire Laboratoire US ciblée aux urgences = Dr. X (cf compte rendu) Uro CT = Présence de multiple calcul à gauche avec calcul choraliforme de 30 mm au niveau du pyélon gauche. Avis Urologue = Prise en charge chirurgicale avec montée de double J ce jour CAT : • Hospitalisation en urologie Stix et sédiment urinaire. Nitrofurantoïne 100 mg durant 5 jours. Antalgie. Mme. Y informée des critères qui devraient la pousser à reconsulter les urgences. Stix et sédiment urinaires : négatifs Stix et sédiment urinaires : négatifs Urotube à pister Stix et sédiment urinaires Uriculture Ciproxin 500mg 2x/j du 16.11.2018 au 17.11.2018 Rocéphine 2g intraveineux du 17.11.2018 au 22.11.2018 Stix et sédiment urinaires FSC, CRP Stix et sédiment urinaires FSC, CRP Contrôle clinique et biologique à 48 heures Stix et sédiment urinaire Urotube: E. Coli 10E6 résistant à l'Augmentin Avis Prof. X: ad Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j du 29.10 au 02.11.2018 pour 5 jours au total Stix: Leuco +, nitrites +, sang ++ Urotube. Stix: leuco ++++, sang++ Sédiment urinaire: Leuco incomptables, germe ++ Uricult en cours. Selon germe, Voir avec Dr. X si nécessité de CUM. Podomexef 4mg/kg/d 2x/j pendant 10j (-> 20.12.18) et Dafalgan 4x/j d'office 24-48h US des voies urinaires au HFR dans 48h à 72h Reconsulte si peine à s'alimenter ou EF à 48h du début des antibiotiques Stix négatif stix propre Spot à faire ATT: • NaCl 1000 ml 0.9% iv en cours Stix (sang ++++, pas de leuco) + sédiment (sang ++++, érythro incomptables, leucocytes < 3, pas d'érythrocytes glomérulaires). Urotube envoyé. Stix (sang ++++, pas de leuco) + sédiment (sang ++++, érythro incomptables, leucocytes < 3, pas d'érythrocytes glomérulaires). Urotube envoyé. Antibiothérapie par Ciproxine. Suite de prise en charge chez le médecin traitant, respectivement consultation urologique si persistance d'une hématurie après antibiothérapie. Stix, sédiment et culture d'urine. Rocéphine 2 g iv du 15.07 au 17.07.2018, Ciprofloxacine 500 mg - 2 x/jour du 18.07 au 22.07.2018. Stix, sédiment urinaire et laboratoire. Pas de sport de contact pendant 3 semaines. Reconsultation aux urgences en cas de péjoration de sa symptomatologie. Stix, sédiment: voir annexes Urotube à pister Stix, sédiments, Uro-CT. Antalgie. Signe de gravité expliqués à Mr. Y avec consigne de reconsulter immédiatement. Ultrason des urines avec consultation chez son urologue traitant. Stix urinaire : absence d'érythrocyte Recherche de sang dans les selles : 2 résultats négatifs Ferinject 1000 mg i.v. le 20.11.2018 Suivi biologique (Hb 133 g/l le 03.12.2018) Stix urinaire : Lc +++, pas de nitrite, pas de sang Stix urinaire : leuco ++++, nitrite négative, sang ++++. Traitement par Nitrofurantoïne pendant 5 jours. Recommandation à Mme. Y de consulter son médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Stix urinaire : leuco ++, sang ++++. Urotube et antibiogramme : en cours Dépistage MST : HIV, HCV, HBV, Syphilis, Chlamydia, Gonorrhée en cours. Conseils hygiéno-diététiques. Retour à domicile avec traitement symptomatique par jus de Canneberge et résultats de dépistage à 72h secteur ambulatoire des urgences et ad antibiothérapie en conséquence. Stix urinaire : leuco+++, nitrites pos., sang ++ Sédiment urinaire: Leuco en purée, GR en purée, flore bactérienne +++ Urotube à pister Stix urinaire : négatif à la bandelette, stix sédiment : négatif urotube en cours à pister Stix urinaire : pas de sang, pas de leuco, pas de nitrite, pas de glucose, poids spécifique sans particularité Sang : pas de trouble électrolytique, osmolalité à suivre Stix urinaire : propre Laboratoire : Pas de syndrome inflammatoire Cultures urinaires : en cours Stix urinaire: aligné Stix urinaire Antalgiques en réserve Stix urinaire au vu de l'hydration fréquente mais pas quantifiable et les mictions fréquentes. Pas d'arguments pour infection urinaire ni pour une glucosurie. Au vu du status clinique frottis pharyngien négatif pour le streptocoque A Possible douleur abdominale persistante après l'épisode de gastro-entérite. Conseils d'appliquer de la chaleur, antalgie au besoin, signes d'alarme expliqués. Stix urinaire du 09.12.2018 : négatif. Stix urinaire du 19.12.18 : sale ATT Stix urinaire en ordre Sonde urinaire du 08.12 au 11.12.2018, puis le 13.12.2018 (à demeure) Tamsulosine dès le 13.12.2018 Contrôle urologique à prévoir chez Dr. X à 1-2 semaines Stix urinaire: leuco ++, en nombre 3-5 Stix urinaire: leuco ++, nitrites ++, sang +++, explications données à Mme. Y. Monuril 3g. Antalgique. Mme. Y informée de reconsulter si apparition d'état fébrile, douleurs loges rénales, persistance/péjoration des symptômes. Stix urinaire (leuco +++, nitrites négatif). Sédiment urinaire (sang +++, érythrocytes incomptables, leucocytes: purée, flore bactérienne: ++). Stix urinaire (leuco +++, nitrites négatif). Sédiment urinaire (sang +++, érythrocytes incomptables, leucocytes : purée, flore bactérienne : ++). Antibiothérapie. Stix urinaire: leuco ++, nitrites, sang +. Monuril 3g dose unique. Informée de reconsulter si persistance des douleurs, apparition d'état fébrile ou de douleurs aux loges rénales. Contrôle chez médecin traitant la semaine prochaine. Stix urinaire: leuco ++, sang ++++, nitrite négatif (explication donnée par Dr. X). Nitrofurantoïne pour 5 jours. Stix urinaire: leuco ++, sang ++++. Urotube + Antibiogramme: Escherichia coli +++ multilsensible, quelques S. viridans. Dépistage MST: HIV, HCV, HBV, Syphilis, Chlamydia, Gonorrhée négatif. Conseils hygiéno-diététiques. Fosfomycine 3 g en dose unique. Retour à domicile et proposition de reconsulter chez son médecin traitant en cas de réapparition des symptômes. Stix urinaire négatif Bonne hydratation Algifor 10mg/kg/dose 3x/j si nécessaire Dafalgan 15mg/kg/dose 4x/j si nécessaire mesures hygiéno-diététiques Stix urinaire négatif urotube en cours à pister Stix urinaire: nég Sédiment urinaire: 15-20 Lc Urotube en cours Stix urinaire: nég Sédiment urinaire: 15-20 Lc Urotube: négatif Le 26.12: Gazométrie capillaire: pas d'alcalose métabolique, Chlore normal Stix urinaire: non pathologique. Entretien psycho-social. Pas d'argument pour consultation psychologique. Attitude: • Retour à domicile avec réassurance. Stix urinaire: normal WALA Arnica e planta tota D6 Globuli 3x/j en cas de chute Stix urinaire: pas d'hématurie Rx bassin: pas de fracture Stix urinaire: propre. Radio. Stix urinaire (sachet) : propre, pas de nitrites ni leucocytes ni érythrocites Stix urinaire, Urotube • Antibiothérapie par Ciproxine pendant 5 jours • Suivi biologique Stix urinaire. • Fosfomycine 3 g. • Consignes de surveillance données à la patiente. Stix urinaire • Monuril 3 gr. Stix urinaire • Spot urinaire • Sonde urinaire du 30.09 au 05.12.2018 Stix urinaire. • Traitement antalgique. • Echographie ciblée abdomen. Stix, Urotube : négatif Suivi clinique Stix, Urotube: négatif Suivi clinique Stix, Urotube: négatif Suivi clinique Stix/sédiment : propre Stix/Sédiment: nitrite • Rocéphine 2 g aux urgences • Réévaluation de l'antibiothérapie à l'étage Stix/Sédiment urinaire: leucocytes purés, nitrites présents (sondage urinaire) Stix/Sédiment urinaire: leucocyturie, hématurie microscopique Urotube négatif Stix/Sédiment urinaire: négatif (Examen fait au triage aux urgences vu les ACDs des pyélonéphrites) Stix/sédiment urinaire: pas de glucosurie, pas de corps cétoniques Stix/sédiment urinaire: pas de leucocytes ni de nitrites, 2+ corps cétoniques, glucose négatif, protéines positives avec rapport protéines/créatinine légèrement augmenté à 33 mg/mmol sans œdèmes cliniques Stix/Sédiment urinaire • Urotube en cours • Podomexef 8 mg/kg/j en 2 doses • Antalgiques en réserve • Echo rénale à programmer dans 1 mois Stix/sédiment urinaires: négatifs • Consignes usuelles détresse respiratoire • Traitement symptomatique Stix urinaire: propre hirmos corps cétoniques dans le contexte de baisse de l'appétit St.n. Antrumgastritis 2015 St.n. Rückenoperation 1960 St.n. Appendektomie 1951 St.n. Hysterektomie 1975 St.n. radikaler Varizenoperation 1999 St.n. Cholezystektomie 2010 St.n. Cholecystectomie in 2008 St.n. Coro (CHUV 2004). St.n. Hernien-Op li. St.n. CVI 2000 mit partiell persistierender Aphasie St.n. TIA 1997 St.n. Billroth II-Operation des Magens 1980, Stn. Magenulcus 2007 St.n. Hemikolektomie links bei stenosierendem Prozess unklarer Ätiologie DD ischämisch bei Arteriosklerose 2000 St.n. Hallux valgus-Operation bds. St.n. CVI 2000 mit Subarachnoidalblutung St.n. dislozierter, distaler Ulnafraktur epiphysär droits mit osteosynthese am 31.08.2017 St.n. febriler Episode am 04.08.18 unklare Genese Hypokaliämie 2.8 mmol/l am 30.07.18 • St.n. Fraktur Handgelenk rechts • St.n. Operation Sehnen Handgelenk rechts • St.n. Fraktur radius distal G AO-23 C1 mit durchgeführter Osteosynthese am 28.11.2010 St.n. Hysterektomie St.n. Divertikel-Op 2003 St.n. Interkostal Zona 2017 St.n. Tiefe Venenthrombose Schulter droits 03/2010 St.n. Fraktur ilio-ischio-pubisch droits en 2009 St.n. Rippenfraktur links en 2008 St.n. Fraktur proximaler Humerus links 2016 St.n. Fussfraktur links 2006 St.n. Brustkrebs droits, operiert 1979 St.n. Kniearthroskopie bei Meniskusläsion Knie droits St.n. Magen-Ulkus Op vor 45J St.n. Epidimytis 2004 Vater an Prostat-Ca verstorben (2 Brüder mit BPH) St.n. Mehrfachanschlag versehentlich diagnostiziert im 01/2018 • a.e. mikroangiopathischer Ursache (Diabetes, Tabakkonsum) • akuter ischämischer CVI des rechten halbovalen Zentrums, subakuter Schlag des anterolateralen Teils des rechten Thalamus, ischämische Folgezustände in den Basalganglien auf beiden Seiten • MRI, TTE, Holter 01/2018 St.n. Vd.a. bakterielle Meningitis am 13.12.2017, nicht bewiesen (Tazobac, Rocephin + Clamoxyl) St.n. schrägen extraartikulären Frakturen der Humerusdiaphyse links ohne Verschiebung nach zwei Stürzen am 18.12 und 23.12.17 mit konservativer Behandlung St.n. Olecranonfraktur droits am 23.10.2014 • sekundäre Dislokation von Osteosynthesematerial und frühe Infektion der Operationsstelle mit Corynebacterium amycolatum St.n. pertrochanterischer Fraktur links mit Osteosynthese am 26.07.2010 St.n. Trauma der Hand links mit einer Mediannervenverletzung (Datum unbekannt) St.n. musculoskelettalem thorakalen Rückenschmerz 26.12.2016 • CT Thorax (26.12.201): Ausschluss einer Lungenembolie, St.n. TBC mit ausgedehntem fibrotischen Veränderungen biapikal, überwiegend im rechten Apex, jedoch ohne manifesten Zeichen eines sogenannten Narbenadenokarzinoms. St.n. Kopfkontusion mit intrazerebralem Hämatom und operativer Behandlung im Inselspital Bern (2014) St.n. Tuberkulose St.n. Cholezystektomie (1970er Jahre) St.n. Knietotalprothese links (2001) St.n. Kataraktoperation (vor mehreren Jahren) St.n. Spontangeburten (1949, 1951 & 1953) St.n. Osteosynthese Malleolus lateralis 31.10.2017 St.n. rez. Angitiden (vor 2J. insegsamt 5x innert 5 Monaten) St.n. septischer Arthritis Knie droits (2015) St.n. distale Radiusfraktur links (2014) St.n. Cholezystektomie (2010) St.n. TE • Tetanus 2012 erfolgt • Abscherverletzung Endglied Dig IV re • Oberst-LA, Désinfection und Blutsperre > grosszügige Spülung mit Knopfsonde > Entfernung von Schmutzpartikeln > 3 Adaptationsnähte Novafil 4-0 > Ialugen-Plus Gaze und Verband + Antibiotika Therapie Augmentin 2x1g für 5-7 Tage, Ruhigstellung Dig IV+V mit Edinburg-2-Fingerschiene, Voltaren ret. 75mg bis 2x1/d und Dafalgan 1g bis 3x1/d in Res. St.n. TIA mit sensiblen Ausfällen links fazial, seither unter ASS 100 mg St.n. STEMI St.n. Urosepsis mit E. coli (03/2016) St.n. Glioblastom frontal droits WHO Grad IV, ED 06/2005 • St.n. frontotemporaler osteoplastischer Kraniotomie mit Tumorexzision 06.06.2005 • St.n. Radio- und Chemotherapie • MRI (18.08.2018): stabile Situation, keine Hinweise für eine Rezidiv St.n.Katarakt-Op NR, keine Pille Muskulärer Hartspann thorakolumbal droits Stomatite aphteuse Stomatite aphteuse Stomatite aphteuse (DD: maladie pieds-main bouche débutante) Stomatite et infections virales des voies respiratoires supérieures probablement sur Entéro-virus Stop Aldactone Stop Perindopril Stop amox, départ avec podomexef pour 10 j Uroculture négative, arrêt du podomexef Suivi chez la Pédiatre 31.12.2018 Stop amoxicilline • Ad clarithromycine 7.5 mg/kg 2x/j pendant 10 jours • Feniallerg en réserve Stop Aspirine. • Adaptation selon du Xarelto à 20 mg. Stop Aspirine cardio, ad Xarelto. Stop benzodiazepines et surveillance • Evaluation neuropsychologique le 18.12.2018 • Consilium psychiatrique Stop Bétabloqueur • Ergométrie dans 1 mois. Stop Co-Amoxicilline Stop Colchicine. • Recherche Norovirus dans les selles. • Recherche Clostridium difficile dans les selles. Stop Cymbalta • Restriction hydrique à 1000 ml/24h Stop Floxal Stop folates. Stop Haldol en réserve • Ad Quétiapine fixe et réserve Stop Haldol en réserve. • Ad Quétiapine fixe et réserve. • Ad Distraneurin. • Avis Dr. Vég, psychiatre de liaison. • Avis Dr. Masdea, RFSM Marsens • Reprise Haldol, stop Quétiapine. Stop Haldol en réserve • Ad Quétiapine fixe et réserve • Ad Distraneurin • Avis Dr. Veg • Avis Dr. Masdea Marsens • Reprise Haldol/stop Quétiapine Stop Heparine le 29.11.2018 • Avis hématologie le 29.11.2018 (Dr. Levrat) Stop Metformin Insuline Stop mustela • Dexeryl crème 2x/j • Dexeryl solution lavante • Fucicort derrière les oreilles. Stop Novalgine. Suivi clinique et biologique. Le 13.12.2018, péjoration de la leucopénie à 1,9 G/l avec 42% de neutrophiles : agranulocytose. Avis Dr. Efthymiou, hématologue à l'HFR Fribourg : Neupogen 48 mioU, isolement protecteur, pas de suivi immédiat nécessaire. Contrôle biologique à votre consultation la semaine suivant la sortie. En cas de nouvelle agranulocytose, merci d'organiser une consultation hématologique à l'HFR Fribourg. Stop Sintrom le 13.12.2018 Eliquis dès le 14.12.2018 Stop Telfast et introduction Atarax 1x/j et Xyzal 5 mg 3x/j en réserve Avis dermatologique le 19.12.2018 : lésions eczémateuses en rapport avec dermite de stase. Monovo crème 1x/j pour 1 semaine (20 g/utilisation) puis tous les 2 jours pour 1 semaine, puis 1-2x/semaine jusqu'à guérison. Hydratation de peau avec Excipial ULL Stop Telfast et introduction Xyzal 5 mg per os Suivi évolution Prévoir à distance une consultation allergologique +/- dermatologique St.p. appendicectomie Epigastralgies sur probable gastrite Mr. Y connu pour une hernie hiatale Dyspnée avec oppression thoracique d'origine indéterminée le 26.06.2016 St/p cure doigt 4 à ressaut en anesthésie locale (OP le 17.09.2015) St/p entorse des deux chevilles sur chute le 20.04.2018 St.p. fermeture d'une communication interauriculaire de type II en 1967 St.p. multiples épisodes de flutter et fibrillation auriculaire St.p. thermoablation d'un flutter auriculaire de type I le 29.05.2001 et le 26.11.2002 (récidive) St.p. angioplastie et stent de l'artère rénale droite le 3.11.2004 Suspicion de Rickettsiose en juillet 2018 St/p hématome thalamique droit le 27.05.2017 d'origine probablement hypertensive • Aggravation du syndrome cérébelleux avec apparition d'une composante oculaire, des vertiges et d'une ataxie statique dans le cadre des lésions pontiques basses, prédominant à droite d'origine probablement microangiopathique. • FDRCV: • HTA traitée • Hypercholestérolémie traitée • Holter de 72h, du 21 au 23.11.2018: en attente des résultats • Clinique actuelle: hémi-parésie facio-brachio-crurale gauche spastique avec posture dystonique de la main et du pied gauches, atteinte sensitive hémi-corporelle gauche superficielle et profonde, hémisyndrome cérébelleux cinétique gauche et probablement statique, hémi-négligence gauche légère, hypoacousie gauche. St.post. 2 Curetages Epistaxis droite le 14.11.2018 Contusion du siège gauche avec suspicion d'entésopathie du trochanter droite avec : • Radiographie le 14.11.2018: Pas de signe de fracture Strabisme du nouveau-né Strep test: négatif Strep test: positif Strep test Antalgiques Strep test Antalgiques Consignes alimentaires et réhydratation Strep test Antalgiques en réserve Strep test Antibiothérapie Antalgiques en réserve Strep test + Avis ORL: Dr. X Strep test Collunosol-N Antalgiques en réserve Consignes de réhydratation Strep test Consignes alimentaires et réhydratation Antalgiques en réserve Strep test du 11.12: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test: négatif Strep test négatif Antalgiques en réserve Strep test négatif Algifor 10 mg/kg/dose 3x/j si nécessaire Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire mesure hygiéno-diététique bonne hydratation Strep test: positif Strep test positif Streptest: négatif Streptest: négatif Streptest: positif Streptest négatif Streptest positif Strepto A négatif Strepto A négatif bilan sanguin: CRP 104 mg/l, Leucocytes à 8.9 G/l Strepto A négatif Radio thorax Ventolin 6 push aux urgences, traitement avec 4-6 pushs au besoin Si Ventolin aux 2h ou moins reconsulter Strepto A négatif Rx thorax: pas de signe pour pneumonie, dans la norme Strepto A négatif Traitement symptomatique Reconsulter si persistance de la fièvre > 48h ou signes d'alarme Strepto A positif Amoxicilline 25 mg/kg/12h pendant 7 jours Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre si persistance des symptômes Strepto A positif Amoxicilline 25 mg/kg/12h, soit 425 mg pendant 7 jours Antalgie aux besoins Strepto A test: négatif Strepto A test négatif Strepto A test négatif Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre si persistance des symptômes Strepto A Test négatif Traitement symptomatique Reconsultation si fièvre pendant > 48h Strepto A test: positif Strepto test + Strepto test: négatif Strepto test négatif labo strepto test pos amoxicilline 50 mg/kg/j Dafalgan / Algifor en réserve Strepto test positif Amoxicilline 50 mg/kg/j Dafalgan / Algifor en réserve Strepto test rapide négatif Strepto test rapide positif Strepto test rapide positif Strepto test rapide positif Amoxicilline 50 mg/kg/j en 2 doses pendant 6 jours Strepto test rapide positif Amoxicilline 50 mg/kg/j 2x/j pendant 6 jours strepto test amoxicilline 50 mg/kg/j 10j Streptocoque du groupe B inconnu. Streptokokkenangina: • Strep Schnelltest positif Streptokokkenangina: • Streptest positif • Centor-Kriterien 2/4 Streptokokkentest négatif Labor: Mononucleose-Schnelltest fraglich positif, CRP 26 mg/l, Leucocytes 10.1 G/l, Leberwerte normal Clarithromycine pour 7 jours Keine Kontaktsportarten pour 4 Wochen Nachkontrolle beim Hausarzt bei Bedarf Streptokokken-Tonsillitis: • Strep Schnelltest positif Strepto-test: négatif Streptotest: négatif Streptotest: négatif Streptotest: négatif Strepto-test A: négatif Strepto-test A (score de Centor 2, tuméfaction + exsudat et absence de toux au status): négatif Traitement anti-inflammatoire Consultation chez son pédiatre en cas de péjoration clinique Streptotest: négatif Streptotest: négatif Streptotest: négatif Streptotest: négatif Streptotest négatif Streptotest négatif Streptotest négatif Streptotest négatif Streptotest négatif Streptotest négatif Streptotest négatif. Augmentin 1 g 2x/jour pendant 7 jours. Traitement symptomatique. Critères de gravité expliqués au patient avec consigne de reconsulter le cas échéant. Strepto-test négatif, frottis envoyé en culture en bactério (17.12.18 S.KOLLY: Appel du labo: Strepto A pousse à la culture. Parent informé pour poursuite de l'antibiothérapie) ATB par Amoxicilline 25 mg 2x/j durant 10 jours Streptotest: négatif AINS d'office pendant 48h Contrôle chez le pédiatre à 48-72 h avant si rougeur ou fièvre. Le 11.12: AINS et antalgiques en réserve Contrôle chez le pédiatre Avis ORL Dr. X Streptotest négatif Algifor depuis 48 heures d'office Streptotest négatif Algifor d'office pour 48 heures, à alterner avec Benuron au besoin Contrôle chez pédiatre si persistance état fébrile ou baisse de l'état général Streptotest négatif Algifor d'office 48 heures Médecine anthroposophique pour traitement local Alimentation lisse et froide/tiède Streptotest négatif Algifor et Dafalgan Streptotest négatif Algifor pour 48 heures Dafalgan en réserve Collu-Blache Streptotest négatif. Antalgie. Angina MCC. Streptotest négatif Labo: CRP 7, Leucocytes 13.7 Strepto-test négatif Labo: K 3.6, Na 136, CRP 60, Leucocytes 13.8, reste normal Frottis grippe: négatif streptotest négatif Laboratoire TTT symptomatique Streptotest négatif Stix et sédiment: protéinurie (0.25 g/l) Streptotest négatif Traitement par Dafalgan et Voltarène 48 heures Si persistance état fébrile et odynophagie : Amoxicilline pour suspicion de streptotest négatif, DD Angine de Vincent Strepto-test négatif. Traitement symptomatique. Streptotest négatif. Traitement symptomatique. Streptotest négatif. Traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen et poursuite du sirop pour la gorge acheté en pharmacie. Conseil de reconsulter si péjoration des symptômes et état fébrile persistant à 1 semaine. Streptotest négatif Traitement symptomatique Reconsultation si péjoration Streptotest négatif Traitement symptomatique Si persistance de la fièvre > 48 heures ou péjoration clinique, reconsultation Streptotest négatif Traitement symptomatique avec Dafalgan, Irfen et Mebucaspray Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif. Streptotest positif, explication donnée par le médecin. Co Amoxicilline 2.2 g IV OU + NaCl 0.9 % 1000 ml OU. Co Amoxicilline 1000 mg 3x/j + antalgie. Arrêt de travail 4 jours. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences dans 48h. Streptotest positif Ospen pour 10 jours Dafalgan et Algifor en réserve Streptotest positif Pénicilline V pour 10 jours Algifor et Dafalgan en réserve Streptotest rapide: négatif Streptotest rapide négatif Traitement symptomatique (Dafalgan et Algifor) à poursuivre Sirop antitoussif à base de plantes en réserve Streptotest rapide négatif Dafalgan Algifor Streptotest rapide négatif Poursuite traitement symptomatique (Dafalgan/Algifor/NéoAngine spray) Streptotest négatif Streptotest négatif Avis Dr. X : • Reprise traitement par Pénicilline et traitement symptomatique Streptotest Retour chez la pédiatre Stridor expiratoire de quelques secondes. Stroke unit monitorée à Berne du 15.11.2018 au 20.11.2018 puis soins intensifs de Berne du 20.11 au 24.11.2018. Soins intensifs de Fribourg du 24.11.2018 au ____. CT cérébral le 15.11, 16.11, 17.11, 19.11, 20.11, 22.11.2018 (Inselspital de Berne) IRM cérébrale le 15.11.2018 (Inselspital de Berne) Echocardiographie transthoracique le 04.12.2018 Thrombectomie mécanique inefficace (TICI 0) le 16.11.2018. Hémi-craniectomie droite le 20.11.2018. Aspirine en prophylaxie secondaire. Intubation et ventilation mécanique du 16.11.2018 au 18.11.2018 puis du 20.11.2018 au 21.11.2018. Trachéotomie percutanée le 21.11.2018. • Changement canule le 03.12., 05.12. • Décanulation le 10.12.2018. Catheter artériel radial gauche jusqu'au 28.11.2018. Casque protecteur dès le 26.11.2018. Réimplantation calotte crânienne à 6-9 semaines (début janvier 2019). Neuroréhabilitation : en attente. Stroke unit monitorée à Berne du 15.11.2018 au 20.11.2018 puis soins intensifs de Berne du 20.11 au 24.11.2018. Soins intensifs de Fribourg du 24.11.2018 au 12.12.2018. CT cérébral le 15.11, 16.11, 17.11, 19.11, 20.11, 22.11.2018 (Inselspital de Berne) IRM cérébrale le 15.11.2018 (Inselspital de Berne) Echocardiographie transthoracique le 04.12.2018 Thrombectomie mécanique inefficace (TICI 0) le 16.11.2018. Hémi-craniectomie droite le 20.11.2018. Aspirine en prophylaxie secondaire. Intubation et ventilation mécanique du 16.11.2018 au 18.11.2018 puis du 20.11.2018 au 21.11.2018. Trachéotomie percutanée le 21.11.2018. • Changement canule le 03.12., 05.12. • Décanulation le 10.12.2018. Catheter artériel radial gauche jusqu'au 28.11.2018. Casque protecteur dès le 26.11.2018. Réimplantation calotte crânienne à 6-9 semaines (début janvier 2019). Transfert en neuroréhabilitation le 20.12.2018 à la clinique Bernoise de Cran-Montana en attente d'une place à la Suva à Sion. Stroke Unit monitorée du 09.12 au 12.12.2018. CT scan "Time is Brain" le 09.12.2018. IRM cérébrale le 10.12.2018. Echocardiographie transthoracique le 10.12.2018. Echo-doppler artères pré-cérébrales le 10.12.2018. Thrombolyse iv par Actilyse le 09.12.2018. Aspirine dès le 11.12.2018. Stroke unit monitorée du 26. au 27.12.2018. CT cérébral avec carotides : pas de lésions vasculaires, clip dans l'artère cérébrale moyenne droite, Leucoaraiose, hyperdensité dans les noyaux gris centraux (s/p hémorragie intraparenchymateuse en 2010). IRM cérébral : non effectuée (CONTRAINDIQUÉE en raison du clip cérébral). Echocardiographie transthoracique avec test aux micro-bulles le 27.12.2018. Clopidogrel à vie. Aspirine du 26.12 au 27.12.2018. Atorvastatine. Stroke unit monitorisée du 26.12.2018 au 27.12.2018. CT cérébral le 26.12.2018 : vaisseaux pré-cérébraux perméables, dédifférenciation cortico-sous corticale territoire antérieur droit. IRM cérébrale le 27.12.2018. Echocardiographie transthoracique le 27.12.2018. Poursuite d'Anticoagulation par Sintrom (INR supra-thérapeutique à l'entrée). Stroke unit monitorisée du 26.12.2018 au 28.12.2018. Aspirine, Statine. CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux injectés le 26.12.2018. IRM cérébrale le 27.12.2018. Echocardiographie transthoracique le 27.12.2018. Holter demandé. Test de déglutition le 27.12.2018. Sturz le 01.12.2018. Sub-amputation de la pulpe de D2 à droite, le 22.12.2018. Sub-amputation de la pulpe de D2 à droite le 22.12.2018. Sub-décompensation psychotique dans le cadre d'une probable schizophrénie le 25.01.2018. État dépressif le 26.09.2018 : Pas de délire. Pas d'hallucination. Pas d'auto ni d'hétéroagressivité. Pas de risque de passage à l'acte. Avis psychologique (Dr. X) : Idéation suicidaire légère sans projet, et se distend de la situation. S'engage à poursuivre son suivi psychiatrique en ambulatoire. Pas d'indication pour une hospitalisation en milieu psychiatrique. Temesta 1 mg cpr p.o 1x. Rendez-vous fixé ce jour à 13h au centre psycho-social Fribourg. Décompensation de symptômes négatifs de schizophrénie simple connue le 31.10.2018. • Hospitalisation volontaire à Marsens. Subiléus le 12.12.2018 sur opioïdes : • Diagnostic différentiel : réaction à la douleur. Subiléus mécanique récidivant (juin 2018, août 2018 et septembre 2018) sur maladie de Crohn avec : • Sténose cicatricielle de l'iléon terminal, connue. • Status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 29.03.1995. • Rétablissement de la continuité iléo-sigmoïdienne termino-terminale le 13.06.1995 (Dr. X). Subiléus mécanique récidivant (juin 2018, août 2018 et septembre 2018) sur maladie de Crohn avec : • Sténose cicatricielle de l'iléon terminal, connue. • Status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 29.03.1995. • Rétablissement de la continuité iléo-sigmoïdienne termino-terminale le 13.06.1995 (Dr. X). Abcès para-anal droit et probable fistule en avril 1995. Bactériémie à E.coli et Streptocoque du groupe Bovis le 14.06.2018, dans le contexte de récidive de maladie de Crohn : • Colonoscopie du 24.08.2018 jusqu'à 20 cm de la marge anale où se trouvent 2 sténoses ulcérées de 3-4 cm chacune dans l'iléon terminal directement en amont de l'anastomose iléo-sigmoïdienne, suivi par Dr. X. Sub-iléus mécanique récidivant (06/2018, 08/2018 et 14.09.2018) sur maladie de Crohn avec sténose cicatricielle de l'iléon terminal connue : • Status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 29.03.1995 avec rétablissement de la continuité iléo-sigmoïdienne termino-terminale le 13.06.1995 (Dr. X) sans suivi gastro-entérologique par la suite. • Abcès para-anal droit et probable fistule en avril 1995. • Bactériémie à E.coli et Streptocoque du groupe Bovis le 14.06.2018, dans le contexte de récidive de maladie de Crohn. • Colonoscopie du 24.08.2018 : scopie jusqu'à 20 cm de la marge anale où l'on trouve 2 sténoses ulcérées de 3-4 cm chacune dans l'iléo terminal directement en amont de l'anastomose iléo-sigmoïdienne. • Suivi par Dr. X. CT scan abdominal le 14.09.2018. Prednisone 50 mg du 15.09.2018 au 19.09.2018 puis dosage décroissant. Ciproxine et Flagyl du 15.09.2018 au 25.09.2018.Suivi en ambulatoire avec dosage de la Calprotectine fécale le 24.09.2018 • Sub-iléus mécanique récidivant (06/2018, 08/2018 et 14.09.2018) sur maladie de Crohn avec sténose cicatricielle de l'iléon terminal connue • status post-colectomie totale et iléostomie terminale le 29.03.1995 avec rétablissement de la continuité iléo-sigmoïdienne termino terminale le 13.06.1995 (Dr. X) sans suivi gastro-entérologique par la suite • abcès para-anal droit et probable fistule en avril 1995 • bactériémie à E.coli et Streptocoque du groupe Bovis le 14.06.2018, dans le contexte de récidive de maladie du Crohn • Colonoscopie du 24.08.2018 : scopie jusqu'à 20 cm de la marge anale où on trouve 2 sténoses ulcérées de 3-4 cm chacune dans l'iléo terminal directement en amont de l'anastomose iléo-sigmoïdienne • suivi par Dr. X CT scan abdominal le 14.09.2018 Prednisone 50 mg du 15.09.2018 au 19.09.2018 puis dosage décroissant Ciproxine et Flagyl du 15.09.2018 au 25.09.2018 Suivi en ambulatoire avec dosage de la Calprotectine fécale le 24.09.2018 • Subluxation de la rotule D chez une patiente qui présente une patella alta et une dysplasie de la trochea type A selon Dejour. • Subluxation hanche G sur dysplasie acétabulaire stade IIIa selon Graf. 2015 • Subluxation rotatoire de C1-C2 le 13.06.2013. • Syncope de probable origine orthostatique le 08.06.2014 • Ondes T négatives de V1 à V3 le 08.06.2014. • DD : dysplasie arythmogène du ventricule droit, pré-excitation, Brugada, CMH, repolarisation juvénile persistante. • Subluxation supérieure médiale de l'IP hallux G avec interposition de fragments osseux • Lésion du Chopart avec arrachements osseux versant dorsal de la tête du talus et du naviculaire G • Fracture non déplacée de la partie distale de la MTP I G (accident du 28.11.2018) • Status post arthrodèse de la MTP 1 par 2 vis pied G il y a plusieurs années • Submammäre Mykose • Sub-occlusion intestin grêle sur bride cicatricielle le 13.12.2018 • substition K per os • substitution per os par potassium effervescent 3 fois par jour pendant 2 jours • Control biologique le 12.12.2018 • Substitution potassique • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution • Substitution. • Substitution. • Substitution. • Substitution. • substitution • substitution • Substitution acide folique en ambulatoire Laboratoire: Vitamine B12 164 pg/L, ferritine 336 microgrammes/L, récepteur soluble 8.8 mg/L Attitude: • substitution B12 • poursuite substitution B9 • refaire bilan ferrique à distance • Substitution acide folique • Suivi formule • Substitution avec Potassium effervescent 1xjour dès 21.11.18 jusqu'au 07.12.18 • Substitution avec 40mmol de KCl dans 500ml de NaCl débutée à Tavel Dernier contrôle urgences 21h30 3.1 mol/l ATT • poursuite substitution K iv avec 40 mmol/l de potassium dans 1L NaCl /12h --> switcher NaCl par Ringer le matin si hypernatrémie vu aucun apport eau libre. • Contrôle ECG + K matin 23.12.2018 • Substitution B12 IV puis per os • Substitution Folate per os • Substitution • Contrôle laboratoire du 02.12.2018 • Substitution de 40mmol de potassium pendant 12 heures avec contrôle le 16.12.2018 : 2.7mmol/l Substitution de 80mmol de potassium pendant 24 heures dès le 16.12.2018 avec contrôle à H+6 : 3.2mmol/l Potassium effervescent jusqu'au 17.12.2018 • Substitution du 16.11.2018 au 14.12.2018 • Substitution en acide folique • Substitution en potassium • Substitution en potassium • Substitution en vitamine D • Substitution en vitamine D 1000 UI/jour, durée à définir • Substitution et suivi biologique • Substitution et suivi biologique. • Substitution et suivi biologique. • Substitution et suivi des électrolytes • substitution Euthyrox recommencé le 19.11.2018 • Substitution Folate Recommandation de suivi biologique et dosage Ferritine et B12 à distance de l'évènement infectieux. • Substitution hydrique • Substitution IM 100'000 UI le 13.12.2018 Suivi biologique Substitution à répéter tous les 15 jours pour un total de 3 doses • Substitution intramusculaire (dose de charge 100'000 IU), puis orale • Substitution intramusculaire (dose de charge 100'000 IU), puis orale • Substitution intramusculaire (dose de charge 100'000 IU), puis orale • Substitution intraveineuse • Substitution intraveineuse • Substitution intraveineuse • Substitution i.v. • Substitution i.v. • Substitution i.v. + per os Attitude: • suivi biologique • Substitution IV aux urgences puis PO à l'étage Suivi biologique • substitution iv et orale • Substitution IV et orale avec correction • Substitution i.v. et per os Suivi biologique • Substitution iv et per os Suivi biologique ECG : FA à réponse normocarde, BBD connue, présence d'extrasystole monomorphe • Substitution iv et surveillance biologique. • Substitution iv le 19.12.2018 puis reprise de la substitution per os Bilan complémentaire à discuter • Substitution iv le 26.12.18 • Substitution iv Mg et Ph Substitution per os Mg, Ph, KCl • Substitution i.v. potassium et magnésium Arrêt de l'IPP, au profit de la ranitidine • Substitution IV puis entérale pour le domicile • Substitution IV puis orale Recommandation de consulter prochainement son médecin traitant pour contrôle de la kaliémie • Substitution IV puis orale Suivi à distance • Substitution i.v. puis p.o. • Substitution iv puis relai per os • Substitution i.v. Suivi biologique • Substitution i.v. Suivi biologique • Substitution i.v. suivi biologique • Substitution iv Suivi biologique • Substitution KCl retard • Substitution KCl retard pour 4 jours. • Substitution le 09.11.2018 • Substitution le 17.12.2018 : 16mmol/4h puis 16mmol/8 h • Substitution le 17.12.2018 : 60mEq par voie orale, 40mEq/24h en intraveineux Substitution le 19.12.2018 : 20mEq/24h en intraveineux avec kaliémie à 3.3mmol/l • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale • Substitution orale. • substitution orale • substitution orale • Substitution orale à raison de 24000 unités en dose de charge, puis Calcimagon D3 1x/j à la sortie • Substitution orale avec calcium 1000mg effervescent dès le 22.10.2018 • Substitution orale de vitamine D (dose unique 300'000 UI le 19.12.2018) et folate Injection i.m. vitamine B12 1x/sem dès le 24.12.2018 • Substitution orale et intraveineuse • Substitution orale et suivi biologique • Substitution orale hebdomadaire introduite à l'HFR Fribourg-Hôpital cantonal pour une durée d'un mois Suivi biologique • Substitution orale jusqu'au 29.12.2018 Suivi biologique • Substitution orale par KCL Retard 3x 10 mmol/j dès le 05.12.2018 jusqu'au 07.12.2018 Suivi biologique par le médecin traitant • Substitution orale 3 x 10 mmol/j puis 3 x 30 mmol/j dès le 05.12.2018 • Substitution orale 3 x 30 mmol le 13.12.2018 ECG : pas d'anomalies Kaliémie de contrôle jour même après substitution orale : 3.8 mmol/l • Substitution orale 300000 UI le 22.11.2018 • Substitution orale 300000 UI le 22.11.2018 • Substitution orale Proposition de contrôle prochain chez son médecin traitant avec adaptation thérapeutique en cas de persistance • Substitution orale Suivi biologique • Substitution orale Suivi biologique • Substitution par Calcimagon du 16 au 29.11.2018. • Substitution par effervettes aux urgences Cô chez le MT • Substitution par KCl • Substitution par KCL effervescent. • Substitution par KCL per os 80 mmol/jour (valeur normalisée à 4.0 mmol/l le 20.12.2018). • Substitution par KCL 2x/j jusqu'au 18.12.2018. • Substitution par KCL 40 mmol/24h par voie parentérale Surveillance biologique • Substitution par Potassium Effervette 3 comprimés/j jusqu'au 12.12.2018. • Substitution par potassium et magnésium • Substitution par voie orale • Substitution par voie orale 24000 UI/semaine pendant trois semaines • Substitution par voie orale Suivi biologique • Substitution par 1 effervette de potassium • Substitution par 40 mec/24h • Substitution par 5600 I.E. par semaine • Substitution parentérale puis orale • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os • Substitution per os. • Substitution per os. • Substitution per os. • Substitution per os • Substitution per os à l'étage • Substitution per os avec amélioration • Substitution per os dès que possible • Substitution per os dès que possible • Substitution per os et iv • Substitution per os et iv • Substitution per os. Suivi biologique. • Substitution per os. Adaptation du traitement diurétique. • Substitution per os Suivi biologique (K+ 4.2 mmol/l le 28.11.2018) • Substitution per os Suivi biologique (K+ 4.3 mmol/l le 14.11.2018) • Substitution per os Suivi biologique (K+ 4.5 mmol/l le 10.12.2018) • Substitution per os. Suivi chez le médecin traitant. • Substitution per os Suivi des électrolytes à prévoir en ambulatoire • Substitution per os Surveillance • Substitution per os. Contrôle biologique à votre consultation en fin de semaine. • Substitution phosphate et magnésium per os/iv. • Substitution phosphate p.o. • Substitution PO • Substitution p.o. • Substitution p.o. • Substitution p.o. • Substitution po • Substitution p.o. de vitamine D et folate Substitution i.m. de vitamine B12 pendant l'hospitalisation • Substitution p.o. et i.v., Arrêt diurétiques, restriction hydrique Spot urinaire : FE urée 29.6%, FE Na+ 7% (sous diurétiques) Suivi biologique • Substitution p.o. le 03.11.2018 • Substitution p.o. le 14.11.2018 • Substitution Pose Sonde Nasogastrique 29.11.2018 Pose Sonde Nasogastrique 30.11.2018 Pose Sonde Nasogastrique 02.12.2018 Renutrition par Novasource Substitution électrolytique (K, Mg, Phos, Ca, Vitamine D3, Becozym, Benerva, Supradyn) Suivi clinique et biologique Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement, nutrition entérale • Substitution potassique iv. • Substitution potassique jusqu'au 23.12.2018. Contrôle de la kaliémie par le médecin traitant par la suite Si récidives de méléna, suivi biologique de l'hémoglobine par le médecin traitant Pantozol 2x 40 mg po par jour pendant 6 semaines puis 1x 40 mg à long terme • Substitution potassique par KCl retard 60 mmol/j du 28.11. au 30.11.2018 • Substitution potassique Mise en suspens Fluoxétine • Substitution potassique Sulfate de magnésium • Substitution potassique Surveillance ECG • Substitution potassium Restriction hydrique • Substitution Suivi biologique • Substitution Suivi diététique • Substitution Suivi diététique Nutrition parentérale du 11.12.2018 au 14.12.2018 • Substitution vit. D3 300'000 po Bilan biologique Sédiment urinaire Spot urinaire Physiothérapie Nutrition clinique • Substitution vitamine B9 Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 12.11.2018 au 19.11.2018 (séjour n°1) avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition le 22.11.2018 : MMSE à 14/30 • Evaluation neuropsychologique du 22.11.2018 : cf rapport annexé. • Substitution vitamine D : 24000 UI/semaine pendant 3 semaines. • Substitution vitaminique • Substitution vitaminique • Substitution vitaminique Score CIWA et Cushman Oxazépam Fentanyl du 07.12 Reprise de la Méthadone dès le 09.12.2018 • Substitution vitaminique à poursuivre après l'hospitalisation. • Substitution vitaminique par voie orale • Substitution 20 mmol/2h iv • Substitution Contrôle laboratoire • Substitution Recherche de Clostridium nég le 11.12.2018 • Substitutions iv et per os • Substitutions iv et per os • Sudeck • Suffusion sanguine bas du rectum. Diagnostic différentiel : lésion iatrogène, autres lésions ? • Suicidalité aiguë. • Suite chez le médecin traitant à une semaine. • Suite à cette douleur atypique et aux radiographies, nous prenons l'avis du chirurgien orthopédique de garde, le Dr. X qui nous décrit une ostéophytose entre D12 et L1 qui n'est cependant pas concordante avec la clinique du patient. Nous prenons ensuite un avis chirurgical du Dr. X qui, au vu de la clinique particulière, propose un CT abdominal afin d'éliminer une atteinte d'organes abdominaux. Le CT ne révèle pas d'atteinte osseuse ou des organes internes abdominaux et nous laissons rentrer le patient à domicile avec un traitement antalgique, anti-inflammatoire et myorelaxant. • Suite à la clinique rassurante du patient et à la radiographie qui ne révèle pas de fracture nous concluons à une contusion simple du coude gauche lors de la chute et le patient rentre à domicile avec un traitement antalgique et anti-inflammatoire. Le patient pourra recontrôler à 5 jours chez le médecin traitant si la symptomatologie ne s'améliore pas. • Suite à la mise en évidence d'un hémotympan gauche, nous réprécisons à l'anamnèse qu'il n'y a pas eu de traumatisme crânien récent ni de céphalées pour une fracture du rocher. Au vu du bombement nous décidons de traiter d'emblée par antibiotiques, ne pouvant pas définir avec certitude s'il s'agit d'une inflammation aiguë de l'oreille moyenne d'origine bactérienne au début avec par la suite une contusion mécanique de la membrane tympanique, voire s'il s'agit exclusivement d'une contusion mécanique. Si péjoration des douleurs malgré antalgie ou fièvre nous proposons de reconsulter un médecin. AA : Mr. Y nous est adressé par sa pédiatre pour évacuation d'un hématotympan G par l'ORL en raison de douleurs persistantes. Il a consulté sa pédiatre ce jour en raison d'un vomissement cette nuit et de douleurs abdominales, peut-être en lien avec les antibiotiques. Plus d'otalgies actuellement, pas d'écoulement ces derniers jours. Plus de douleurs abdominales actuellement. Pas de fièvre. Pas de diarrhée. Dernière selles ce la veille, sans particularité. Pas de symptôme urinaire. Notion de contage pour gastro-entérite à l'école. Ce jour au cabinet, ressort une anamnèse de chute à vélo il y a 5 semaines (le 02.11). Lors de la chute, Mr. Y portait un casque. Après la chute, un ami a appelé la mère car il semblait choqué et avait une amnésie circonstancielle. La mère, qui est infirmière, a fait des contrôles neuro et quelques heures plus tard, il a pu expliquer qu'il a chuté sur le côté G avec réception de la tête sur un petit muret. Il a pu manger et s'hydrater sans vomir, elle n'a donc pas vu le besoin de consulter. Depuis, Mr. Y n'a jamais présenté de céphalées ni troubles visuels.Status: Poids: 38.1, pulsations: 98/min, TA: 89/60 Bon état général Cardio: B1, B2 bien frappés, pas de souffle. Pouls périphériques bien frappés, temps de recoloration < 3s. Pulmonaire: Inspirium et Expirium normaux, pas de tirage, murmures respiratoires symétriques, pas de bruit surajouté. Abdominal: Bruits normaux en fréquence et tonalité, abdomen souple et indolore, pas de défense, pas de détente. ORL: Pas d'adénopathie (cou, clavicules, aisselles), fond de gorge calme, tympan droit calme, présence du reflet. Tympan G avec hématotympan et léger bombement. Persistance du reflet. Pour Dr. X, plaie dans le conduit auditif. Possible saignement intra-conduit et sang coagulé sur le tympan sur la partie postéro-inférieure car pas de bombement et présence du reflet. Pas de rhinorrhée. Peau: sans particularité Neuro: Épreuves cérébelleuses (doigt-nez, funambule) bien exécutées, bras tendus tenus, force des membres inférieurs et membres supérieurs dans la norme et symétrique, réflexes ostéo-tendineux des membres inférieurs et supérieurs normovifs et symétriques. Nerfs crâniens III-XII normaux, pupilles iso-iso. Ostéo-articulaire: Pas de douleur ni d'instabilité à la palpation du rachis, des os du visage et du crâne. Attitude: Pas d'indication à trépaner. Pas d'indication à faire une imagerie. Pas d'indication à poursuivre l'antibiothérapie. Retour à domicile et contrôle chez la pédiatre à 10 j pour voir l'évolution et la cicatrisation. Suite à la radiographie de l'épaule qui révèle une luxation antéro-inférieure de l'épaule, l'avis orthopédique est demandé au chirurgien de garde qui tente une première réduction sous dormicum et Fentanyl, qui se révèle trop algique. L'anesthésiste de garde, le Dr. X, est appelé et une première réduction est faite sous anesthésie générale. Lors du réveil, le patient est agité et présente de nombreux mouvements. À la radiographie de contrôle, l'épaule gauche est de nouveau luxée. Une deuxième tentative de réduction est faite sous anesthésie générale avec pose d'un gilet orthopédique par la suite ainsi qu'une surveillance de 1 h 30. Le patient a un CT de l'épaule qui ne révèle pas de fracture. Le patient rentre à domicile et aura une consultation avec le Dr. X à une semaine. Suite à la radiographie, nous demandons un avis orthopédique à Dr. X qui recommande un CT du patient pour une meilleure évaluation du genou. Le CT montre une fracture du plateau tibial externe du genou gauche avec impaction du condyle fémoral en regard de celui-ci. Dr. X recommande un traitement par une attelle jeans à 20° (au confort du patient) pendant 6 semaines, une décharge complète avec cannes anglaises, une thromboprophylaxie par clexane 40 et enfin une antalgie par tramal 50 mg à la demande du patient. Le patient aura une consultation de contrôle à Agoriaz début janvier avec le Dr. X qui reste à planifier. Suite à l'administration d'ondansetron 4 mg à son admission, il ne présente pas de vomissements dans les 2 heures suivantes. S'hydrate avec un minimum de 200 ml d'eau en petites fractions, ne veut pas boire le Normolytoral. Nous proposons de le remplacer par soupes, bouillons, thé sucré. Alimentation légère les prochains jours. Consignes d'hygiène. Suite à l'amélioration clinique avec les anti-émétiques (Itinerol B6 et Odansetron), l'absence de signe de déshydratation, la possibilité de boire sans vomissements. Il rentre à domicile avec un contrôle chez le pédiatre le lendemain. Suite à l'apparition d'un cal osseux sur la radiographie, nous pouvons procéder à l'ablation du plâtre. Charge progressive selon douleurs pour 2 semaines. Prochain contrôle à 3 mois de la fracture pour un contrôle radioclinique. Suite à l'avis du Dr. X, la clinique et le fait que la patiente ne souhaite pas être hospitalisée ce soir, la patiente rentre à domicile avec une antalgie et reviendra le 30.12.2018 pour un US abdominal et une réévaluation clinico-biologique. Suite à l'infiltration, l'évolution est favorable. Nous laissons le soin au Dr. X de suivre la patiente pour le problème de claudication vasculaire. Nous l'informons qu'en cas de recrudescence des douleurs, nous pourrons procéder à une nouvelle infiltration et restons donc à disposition si nécessaire. Suite à l'infiltration, très bonne évolution vu le point de départ. Poursuite de la physiothérapie et arrêt de travail à 50 %. Prochain contrôle chez moi dans six semaines. Suite à un examen clinique abdominal ainsi qu'un US abdominal rassurants, nous proposons un retour à domicile avec prescription de Novalgine pour les douleurs abdominales ainsi que du Duphalac pour 3 jours. Si persistance des douleurs ou péjoration, le patient reconsultera les urgences. Suite à un examen clinique dans la norme, nous proposons un retour à domicile avec antalgie simple et Hextril. La patiente reconsultera en cas de péjoration des symptômes (ex : maux de tête importants, vomissements) ou si signe d'infection de la plaie au niveau buccal. Conseils d'usage de l'antalgie simple donnés. Suite à un examen clinique et une radiographie rassurants, nous proposons un retour à domicile avec un contrôle à 48 h en filière 34. La patiente reconsultera avant en cas de péjoration des symptômes ou si présence à nouveau de sang dans les selles ou hémoptysie. Suite à une anamnèse, un examen clinique et à des urines parlant en faveur d'une cystite simple, nous proposons un retour à domicile avec Nitrofurantoïne pour 5 jours, ainsi qu'une antalgie simple. La patiente reconsultera en cas de péjoration ou de non-amélioration des symptômes après 5 jours, ainsi qu'en cas de fièvre ou de douleurs au niveau des loges rénales. La patiente a reçu des conseils quant à la prévention des cystites. Suite à une évolution clinique favorable, nous proposons de poursuivre l'antibiothérapie telle que prescrite initialement, mais ne recommandons pas de nouveau contrôle. La mère est rendue attentive aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Suite à une surveillance neurologique sans particularités avec disparition des vomissements et des céphalées, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 25.12.18. Suite au consilium orthopédique, nous transférons Mr. Y à l'hôpital de l'Ile, l'anesthésie nécessaire à la pose du plâtre n'étant pas réalisable à l'HFR. Suite au SI pour VNI Suite aux radiographies de la main, nous demandons l'avis de Dr. X, orthopédiste, qui nous conseille de traiter la patiente avec une attelle Scotchcast laissant libre l'articulation interphalangienne du pouce gauche. La patiente rentre à domicile ce jour avec une antalgie par Dafalgan 1 g 3x/jour et un contrôle à la policlinique d'orthopédie à prendre dans 10 jours. Suite aux résultats du stix urinaire et du laboratoire, nous pouvons exclure une infection urinaire ou une pyélonéphrite. Suite à l'examen clinique et à la durée de la symptomatologie, sans péjoration ces dernières heures, une appendicite nous semble peu probable. Nous proposons que la patiente soit vue par un gynécologue afin de clarifier la dyspareunie et d'autres symptômes gynécologiques. La patiente ayant suffisamment de paracétamol et d'Ibuprofen à domicile, mais se plaignant de reflux gastrique, nous lui prescrivons de l'Oméprazole, ainsi que du Buscopan et du Duphalac en cas de constipation persistante. Suite aux SI Suite aux SIC Suite aux soins intensifs Suite chez le dentiste traitant. Suite chez le médecin traitant. Suite chez le médecin traitant. Suite chez le médecin traitant après un traitement d'épreuve. Suite chez le médecin traitant pour la leucémie chronique. Suite chez le médecin traitant avec réévaluation gynécologique en cas de persistance des douleurs. Suite chez le médecin traitant en ambulatoire. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Suite chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. Suite chez le médecin traitant et cardiologue traitant. Suite chez le médecin traitant la semaine prochaine. En cas de persistance des symptômes en raison de la récidive de la plainte, ainsi que la notion de crampe abdominale, nous proposons de poursuivre les investigations afin d'exclure une maladie inflammatoire et une atteinte herpétique de la marge anale. Suite chez le médecin traitant. Suite de cas. Suite de la prise en charge à la consultation du Dr. X le 18.02.2019. Suite de la prise en charge à Marsens. Proposition de sevrer les opiacés et d'effectuer une IRM cérébrale +/- ponction lombaire en fonction de l'évolution. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Suite de l'antibiothérapie iv à l'HFR de Riaz 1x/j. Suite de prise en charge. Suite de prise en charge. Suite de prise en charge. Suite de prise en charge. Suite de prise en charge. Suite de prise en charge. Suite de prise en charge à St-François en réhabilitation palliative. Projet à redéfinir selon évolution clinique : placement en home ? Suite de prise en charge chez Dr. X, sur convocation. Prochain contrôle CPAP dans 1 an en pneumologie. Suite de prise en charge chute d'escarre post-amygdalectomie. Suite de prise en charge d'HSA. Suite de prise en charge d'une pyélonéphrite aiguë à E. Coli compliquée de cholestase. Suite de prise en charge et mise en place de photothérapie. Suite de prise en charge par le Dr. X. Suite de prise en charge post TAVI. Suite de prise en charge pour fracture malléolaire interne Weber B sur entorse en éversion de la cheville D le 28.12.2018. Suite de prise en charge selon protocole prédéfini. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 12 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 14 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 20 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 22 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 4 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 4 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de prise en charge. Prise en charge palliative multidisciplinaire spécialisée apportée pendant 7 jours, à raison de 6 heures documentées par semaine, sous la direction médicale spécialisée du Dr. X, Spécialiste en soins palliatifs, hypnose médicale, médecine interne FMH. Après réalisation d'une évaluation de base standardisée en soins palliatifs (PBA) et définition des résultats visés (ACP), un traitement ciblé et personnalisé défini par les caractéristiques minimales de la CHOP et de palliative.ch a été apporté. Suite de soins. Suite de soins. Suite de Topiramat sur avis Neurologue. Arrêt du Lyrica sur souhait du patient. Schéma régressif de Prednisone. Antalgie selon plan. Consultation chez Dr. X à convenir 026 306 22 60. Consultation chez Dr. X à convenir (invitation suit). Soins à domicile organisés pour pansement de PIC-Line et pour médication. Suite de traitement : traitement ATB iv. Suite de traitement en dialyse le 28.12.2018. Suite du suivi chez le médecin traitant. Suite du traitement antibiotique jusqu'au 12.12.2018, avec evt. réévaluation si persistance de fièvre. Suite du traitement de l'anxiété et des troubles du sommeil. Suite en ambulatoire en psychiatrie en cas d'idée noire. Suite en cardiologie le 03.01.2019. Suite en chirurgie. Suite en coronographie. Suite en gériatrie aiguë à Riaz (transfert en ambulance). Suite en médecine. Suite en médecine. Suite en médecine en stroke non monitorisé. Suite en médecine pour traitement antalgique. Suite en ORL en ambulatoire. Suite en orthopédie. Suite en orthopédie. Suite prise en charge choc hypovolémique. Suite urgences. Suite urgences. Suite urgences. Suite urgences. Suite urgences. Suite UT. Suite UT. Suite UT. Suite UT. Suite UT. Suite UT. Suite UT.Suite UT Suites chez le médecin traitant. Suites: • Controle à 6 semaines à distance de l'épisode aigu pour évaluer l'indication à une substitution. • Evaluer la possibilité de changer le traitement de cordarone. Suites de couches. Suites de prise en charge d'un choc septique sur insuffisance d'anastomose avec péritonite stercorale sur résection du rectum selon Altemeier pour un prolapsus rectal non réductible. Suivi. Suivi clinique. Suivi à domicile par une sage-femme. Contrôle du post-partum dans 4 à 6 semaines chez son gynécologue traitant avec discussion de la contraception. Mme. Y conseillée de faire un régime sans résidu afin d'éviter la constipation. Proposition d'une rééducation périnéale. Suivi à J14 de la pose du pansement occlusif avec réévaluation de la plaie pour poursuite du pansement pour une durée de 3 semaines vs changement de pansement. Réévaluer la prolongation de l'arrêt de travail. Suivi à la policlinique d'orthopédie du 08.11.2018 au 13.12.2018. Suivi à l'Inselspital. Suivi à 1 semaine chez le médecin traitant. Suivi ambulatoire par Dr. X. Suivi antalgique par l'équipe d'anesthésie en division. Suivi oncologique, résultats de pathologie à suivre. Suivi clinique et radiologique post drainage du pneumothorax D. Suivi au team rachis. Suivi auprès du médecin traitant dans une semaine. Suivi avec le MT. Suivi avec MT. Suivi b-HCG et cô US / clinique. Suivi biologie avec correction au laboratoire du 08.12.18. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique. Suivi biologique avec stabilisation des valeurs à environ 130 mmol/L. Suivi biologique • Bilan d'anémie le 22.11.2018. Suivi biologique Bilan étiologique. Spot et sédiment urinaires. Bladder scan le 17.11.2018: 4ml. US des voies uro-génitales le 19.11.2018. Récolte des urines sur 24h le 20.11.2018. Avis en néphrologie (Dr. X). Hydratation parentérale. Solumedrol 125mg du 21.11.2018 au 24.11.2018. Prednisone 1mg/kg du 25.11.2018 au 30.11.2018. Régime pauvre en potassium. Résonium 15g par voie orale 1x/j du 20.11.2018 au 25.11.2018. Acétate de calcium 500mg 3x/j dès le 20.11.2018. Restriction hydrique avec suivi des diurèses. Irbesartan en suspens. Digoxine en suspens. Attitude conservatrice avec traitement médicamenteux optimal, sans geste interventionnel (PBR, dialyse) après discussion avec la famille et la patiente le 21.11.2018. Suivi biologique. Bilan vitaminique chez le médecin traitant si persistance de l'anémie. Suivi biologique !!! CE irradiés vu s/p traitement de Bendamustin (avis Dr. X) !!! Suivi biologique (créatinine 212 umol/l le 10.12.2018). Suivi biologique. CT scan thoraco-abdominal injecté. Suivi biologique de la calcémie le 11.12.2018: Ca corrigé 2.46 mmol/l. Suivi biologique de la calcémie le 13.12.2018: Ca corrigé 2.46 mmol/l. Suivi biologique. ECG. Hydratation par NaCl 0.9% 1500 ml/24 heures. Suivi biologique et clinique chez le médecin traitant durant la semaine du 30.11.2018. Suivi biologique et clinique en néphrologie le 04.01.2018. Suivi biologique et clinique Ferritine à contrôler en ambulatoire. Suivi biologique et diététique. Suppléments oraux. Suivi biologique et substitution. Suivi biologique (Hb à 128 g/l le 28.11.2018). Suivi biologique (Hb 106 g/l le 28.11.2018). Suivi biologique (Hb 117 g/l le 20.12.2018. Surveillance clinique. Suivi biologique (Hb 119 g/l le 10.12.2018). Suivi biologique (Hb 145 g/l le 26.11.2018). Suivi biologique (Hb 97 g/l le 17.12.2018). Substitution en fer p.os. Suivi biologique (Hb 99 g/l le 26.11.2018). Suivi biologique (K+ 3.7 mmol/l le 14.11.2018). Suivi biologique (Lc 4,3 G/l le 17.12.2018). Suivi biologique lors de la consultation le 24.12.2018. Suivi biologique (Na 134 mmol/l le 28.11.2018). Suivi biologique (normalisation). Suivi biologique (normalisation à 4.7 mmol/l le 14.11.2018). Suivi biologique (normalisation spontanée à 3.8 mmol/l le 07.12.2018).Suivi biologique, pas d'autres investigations au vu de l'âge du patient Suivi biologique pour les électrolytes Retrait de la sonde naso-gastrique le 15.11.18 Suivi diététicienne Complément alimentaire avec Fresubin 1 par jour dès le 19.11.18 Rendez-vous ambulatoire le 25.01.19 à 16:00 h à l'HFR Meyriez Suivi biologique, stabilité Suivi biologique, stabilité Pas d'investigation supplémentaire vu contexte global Suivi biologique (58 g/l le 10.12.2018). Suivi biologique Adaptation des diurétiques (poids cible 93 kg) Aranesp augmenté à 60 mcg 1x/semaine (avis néphrologue Inselspital) Acide folique: 1.8 ng/ml Garde de néphrologie atteignable 24h/24 6386 (passer par la centrale de l'Inselspital) Contrôle de la fonction rénale tous les 2 jours environ (créat de base 250 umol/l, urée 27 mmol/l, envisager une dialyse aux environ de 45 mmol/l) Taux résiduel de ciclosporine du 30.11.2018: 159 ng/ml Avis néphrologie Inselspital 03.12.2018: pas de modification du traitement de ciclosporine. Taux résiduel de Sandimmum à prévoir toutes les 3 semaines, prochain contrôle le 21.12.2018 Prévoir un rendez-vous de suivi en Néphrologie à la fin de la réhabilitation Suivi biologique Adaptation du traitement Suivi biologique Arrêt de l'Aldactone Suivi biologique. Arrêt des diurétiques. Hydratation. Suivi biologique, de la diurèse et du poids. Suivi biologique Arrêt Xarelto Rendez-vous chez le Dr. X le 10.01.09 Suivi biologique Aspirine en pause Suivi biologique Bilan à organiser en ambulatoire Suivi biologique Bilan entrée sortie du 23-24.11.2018: - 1900ml Spot urinaire le 24.11.2018 Suivi biologique Bilan vitaminique en cours, à suivre Suivi biologique Bottes antithrombotiques pas d'anticoagulation vu les métastases hémorragiques cérébrales Suivi biologique Carence ferriprive calculée à 1639 mg Ferinject 1000 mg le 11.12.2018 Suivi biologique (cf également lettre de transfert de médecine interne du 02 au 22.11.2018) Suivi biologique Correction spontanée Suivi biologique. FeNa 0.3%. Hydratation au NaCl. Arrêt des diurétiques. Suivi de la diurèse et du poids. Suivi biologique Hb 138g/l le 19.12.2018 Suivi biologique Hydratation intraveineuse Losartan en suspens jusqu'au 16.12.2018 Suivi biologique Hydratation parentérale Suivi biologique Hydratation Rendez-vous chez le MT le 11.12.2018 pour contrôle fonction rénale Suivi biologique. Intervention brève sur la consommation d'alcool. Hospitalisation au CSH Marsens puis projet d'aller au Torry. Suivi biologique Isolement dès le 12.11.2018 Sortie d'agranulocytose le 04.12.2018 Prophylaxies : cf. TIP du diagnostic principal Transfusions et seuils transfusionnels : cf. TIP du diagnostic principal Suivi biologique Isolement protecteur du 26.12.2018 au 28.12.2018 Suivi biologique Lactulose cible 3 selles par jour US abdominal (Dr. X) le 19.11.2018: Tronc porte perméable, de flux hépatopète. CT-abdominal du 21.11.2018: discrète augmentation de l'ascite au comparatif de fin octobre. régression complète de l'encéphalopathie Child B (7 points) en dehors de la phase aiguë le 26.11.2018 Suivi biologique PCR multiplex (selles): négative CT abdomen le 12.12.2018 Aux urgences : • Dafalgan 1 g, NaCl 1000 ml, Ciproxine 500 mg p.o., Flagyl 500 mg p.o. Isolement de contact Traitements. • Ciproxine 2x500 mg/jour du 12-14.12.2018 • Hydratation intraveineuse 1000 ml/24 h du 12.12-14.12.2018, relais par G5 jusqu'au 15.12.2018 • Lacdigest (suspicion d'intolérance au lactose surajoutée) Suivi biologique Potassium effervette du 13.12.2018-15.12.2018 Suivi biologique Poursuite Maltofer Poursuite avec Pantozol 40 mg 1x/j Suivi biologique Prednisone 80 mg 2 semaines, puis diminution 10 mg/semaine jusqu'au prochain contrôle Recherche d'H.pylori dans les selles: négatif Suivi biologique Résolution le 13.12.18 Suivi biologique. Restriction hydrique à 1.5 l/j. Suivi biologique. RX thorax. FeNa : à 4.26%. Mise à jeun. Rocéphine 2 g iv en ordre unique. Suivi biologique Sédiment urinaire le 29.12.2018 Hospitalisation en Médecine Traitement symptomatique dont hydratation iv Suivi biologique Sédiment urinaire: pas leucocyturie, pas de nitriturie Suivi biologique Sérologies le 21.11.2018: HSV type IgG positif, type 2 IgG négatif, type 1 et 2 IgM négatif, VZV IgG 98 mIU/ml ECG Rx thorax le 19.11.2018 Avis oncologiques les 19.11.2018 (Dr. X), 20.11.2018 (Dre X), 22.11.2018 (Prof. X) • le 30.11.2018 (Dre X/Prof. X): durée d'agranulocytose prévue à environ 5-7 jours (donc pas d'indication à prophylaxie noxafil selon avis infectio); 3 cycles de cytosar/mabthera prévus en tout, attendre la sortie d'agranulocytose avant le deuxième cycle Stop Valtrex le 20.11, repris le 23.11.2018 Ivermectine 4x3mg/jour du 23.11-24.11.2018 Poursuite du Bactrim (3x/sem) Pas de prophylaxie par Noxafil vu agra a priori de courte durée Chimiothérapie du 23.11-25.11.2018 (J1-J3) • Mabthera 785mg iv le 23.11 (J1) • Cytosar 1500mg iv le 23.11 22h00 - 24.11 10h00 et 22h00 - 25.11 10h00 • Neulasta le 26.11 à 10h00 • prémédication par fortecortin du 23.11-25.11 et akynzeo le 23.11 • Hydratation 2000 ml/24h + lasix 40mg les 23.11 et 24.11 Suivi biologique Sintrom en pause Suivi biologique Spot à pister Mise en suspens du diurétique, IEC, ADO Suivi biologique Spot urinaire à pister Hydratation après injection de PdC pour CT Suivi biologique Spot urinaire: FE urée 35.4%, Baseline Créatinine 141umol/l Maximum Créatinine 222umol/l Suivi biologique Spot urinaire Mise en pause des médicaments néphrotoxiques (Lisinopril, Xarelto, Allopurinol) Hydratation iv refusée par la patiente, stimulation po Suivi biologique. Stimulation à boire. Suivi biologique. Substitution en acide folique. Suivi biologique. Substitution en vitamine B12. Suivi biologique Substitution orale Suivi biologique. Substitution orale. Suppléments nutritifs oraux. Suivi diététique en ambulatoire organisé. Suivi biologique Substitution par voie orale Suivi biologique. Substitution per os. Suivi biologique Substitution PO Attitude : • rendez-vous chez le médecin traitant pour suivi électrolytes et fonction rénale Suivi biologique. Substitution potassium per os. Suivi biologique Transfusion : 1 CE 05.12.2018, 1 CE le 08.12.2018 Suivi biologique US abdominal le 10.12.2018 Suivi biologique US voie urinaire le 30.1.2018 Mise en suspens du traitement diurétique transitoire Hydratation Suivi biologique Vitamine B12, folate dans la norme Suivi cardiologique auprès de la Dre X Suivi chez Dr. X en Janvier 2019 Suivi chez Dre X pour discussion d'un éventuel autre traitement de fond Suivi chez Dre X et Dr. X Rendez-vous de suivi à la consultation du Dr. X prévu le 10.1.2018 Suivi chez le médecin traitant Suivi chez le médecin traitant Suivi chez le médecin traitant Suivi chez le médecin traitant Suivi chez le médecin traitant Suivi chez le médecin traitant. Suivi chez le médecin traitant à une semaine Suivi chez le médecin traitant avec ablation des fils à J-15 (soit le 19.12.2018) Suivi chez le médecin traitant sera fait dans 24 heures. Suivi chez le médecin traitant si persistance ou péjoration des symptômes. Suivi chez le médecin traitant. Adaptation antalgique avec prescription de Voltarène 75 mg en réserve. Suivi chez le médecin traitant Reconsulte aux urgences en cas de récidive des douleurs Suivi chez le pédiatre Suivi chez le pneumologue traitant Suivi chez le pneumologue traitant dans 6 mois (la patiente sera convoquée) Vaccination contre la grippe saisonnière toutes les années et contre le pneumocoque Poursuivre l'encouragement au sevrage tabagique Suivi chez le médecin traitant Suivi chez le médecin traitant Suivi chez médecin traitant (patient va trouver un, si pas possible, et pas d'amélioration, prendera rendez-vous en policlinique d'orthopédie) Suivi chez pédiatre/urgences HFR si fièvre élevée persistante > 48 heures Suivi chez pédiatre/urgence si fièvre persiste > 48 heures Suivi chez psychologue le 14.12.2018. Suivi chez un allergologue Suivi chez un cardiologue dans 6 mois Suivi chez un médecin traitant Suivi chez un pneumologue à organiser. Suivi chirurgie pédiatrique à Berne Suivi CK et fonction rénale. ECG. Hydratation 1000 ml/24 heures. Suivi clinico-biologique à votre consultation Suivi clinique Suivi clinique, à la recherche de clostridium si récidive Suivi clinique Anciennement traitée par Methotrexate Traitement local avec Diprosalic à continuer Traitement avec Methotrexate à réévaluer après la fermeture de l'auricule le 10.12.18 Suivi clinique avec diminution des doses de lyrica à 2x25 mg Diminution des anti-hypertenseurs (stop labétolol et diminution posologie sartan) Suivi clinique, biologique et diététique Suivi clinique chez le médecin traitant à 72h Si persistance ou péjoration des symptômes, proposition d'effectuer une IRM en ambulatoire pour suspicion d'AVC de la fosse postérieure. Suivi clinique chez son médecin traitant en janvier 2019 Suivi clinique chez son médecin traitant. Consultation médicale à prévoir si évolution de rougeur, tuméfaction ou fièvre, Suivi clinique du souffle cardiaque par le pédiatre Suivi pédopsychiatrique à poursuivre en ambulatoire Suivi clinique et biologique Suivi clinique et biologique Suivi clinique et biologique Suivi clinique et biologique Suivi clinique et biologique Suivi clinique et biologique Suivi clinique et biologique. Suivi clinique et biologique après avis internistique du Dr. X. Contrôle biologique le 13.12.2018 : normalisation (leucocytes à 11,3 G/l). Suivi clinique et biologique avec amélioration spontanée (Hb 93 g/l le 07.12.2018) Suivi clinique et biologique avec créatinine à 108 umol/l à la sortie Suivi clinique et biologique dès le 17.12.2018 chez le médecin traitant. Suivi clinique et biologique en filière 34 le 12.12.2018 +/- US et avis chirurgie. Suivi clinique et biologique Test de restriction hydrique Suivi clinique et biologique. Avis de la Dr. X, assistante du Prof. X, CHUV : mise en suspens de l'Imurek jusqu'à leucocytes >3 G/l. Suivi clinique et biologique Avis endocrinologie (Dr. X) Suivi clinique et biologique Coproculture Hydratation parentérale Suivi clinique et biologique Ergothérapie Physiothérapie Nutrition Suivi clinique et biologique. Ferinject 500 mg iv en ordre unique le 28.11.2018. Acide folique 5 mg - 1 x/24h du 28.11 au 28.12.2018. Suivi clinique et biologique Hydratation Suivi clinique et biologique Nexium 80 mg bolus puis 8 mg/h le 21.12.2018 Transfert au service de médecine HFR Fribourg - Hôpital cantonal le 21.12.2018 Suivi clinique et biologique Physiothérapie Ergothérapie Suivi clinique et biologique Physiothérapie Ergothérapie Bref consilium neuropsychologique le 29.11.2018 Suivi clinique et biologique Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Suivi clinique et biologique Physiothérapie Ergothérapie Nutrition Suivi clinique et biologique Physiothérapie Nutrition Suivi clinique et biologique Recherche de Clostridium Difficile le 28.11.2018 : négatif Recherche Norovirus le 27.11.2018 : positif Suivi clinique et biologique Recherche du sang occulte dans les selles Anticoagulation prophylactique par héparine arrêtée le 22.11.2018 Pantozol 40 mg 2x/j dès le 22.11.2018 Suivi clinique et biologique Sonde urinaire 3 voies du 06. au 07.12.2018 Antalgie Suivi clinique et biologique 2 paires d'hémocultures Frottis de plaie Soins de plaie Antibiothérapie i.v. par Co-Amoxi adaptée à la fonction rénale du 27 au 29.11.2018, relais par Floxapen 2000 mg 6x/j dès le 30.11.2018 Antalgie par Transtec patch et Temgesic en réserve Physio- et ergothérapie Suivi clinique et ECG Suivi clinique et laboratoire chez le médecin traitant à une semaine. Suivi clinique et laboratoire ECG le 22.11.2018 Suivi clinique et organisation d'une ponction articulaire du genou gauche en cas d'apparition d'un épanchement. RDV chez Dr. X le 05.01.2019. Suivi clinique et soins de plaie Suivi clinique par le médecin traitant avec IRM élective du neurocrâne en cas de persistance des symptômes Bilan de la mémoire en ambulatoire Suivi clinique par pédiatre +/- échocardiographie Suivi clinique simple Pas de mouchage pendant 3 semaines Suivi clinique Stix urinaire à distance Suivi clinique Bandage des jambes Sous Beloc Zok, ASS cardio, Atorvastatin, Irbesartan Suivi clinique/biologique Suivi clinique Consilium psychiatrique indisponible pendant les fêtes Suivi ambulatoire Suivi clinique Contrôle à l'Inselspital dans le service de chirurgie vasculaire à 3 mois avec CT de suivi (le patient sera convoqué) Suivi clinique Dafalgan Irfen tramal Avis Dr. X : ad CT scan natif ---> normal Conseil au MT d'organiser une IRM à la recherche d'un anévrisme vasculaire si persistance des symptômes Suivi clinique Discuter stomatothérapie Suivi clinique ECG Suivi clinique ECG le 08.12.2018 Suivi clinique. ECG le 08.12.2018. Suivi clinique ECG le 21.11.2018 Suivi clinique Évaluer l'indication à consilium de stomathérapie Suivi clinique Hydratation orale Suivi clinique IPP Suivi clinique MMS clock test Suivi clinique Morphine en R Suivi clinique Poursuite des soins actuels puis rendez-vous chez dermatologue le 27.12.18 Suivi clinique Poursuite des soins actuels puis rendez-vous chez dermatologue le 27.12.18 Suivi clinique Prise en charge topique Suivi clinique PTH le 08.10.2018 Suivi clinique Sondage urinaire Suivi clinique Suivi nutritionnel Physiothérapie Suivi clinique Training vésical dès le 13.11.18 jusqu'au 5.12.2018, après faire une nouvelle tentative d'ablation de sonde Retrait définitif de la sonde vésicale le jeudi 29.11.2018 Suivi clinique Traitement topique par Pevaryl 2x/j du 19.11.-03.12.2018 Suivi croissance Suivi dans le cadre d'un état fébrile sans foyer Suivi dans 3 jours chez le médecin traitant Suivi dans 48 heures chez pédiatre/urgence si pas d'amélioration Suivi dans 48 heures si pas d'amélioration Suivi de la dépendance à l'alcool par la fondation "Le Torry". Consultation chez le médecin traitant en janvier 2019 pour décision du traitement de l'adénocarcinome prostatique (prévue) Convocation pour ponction de moelle par l'oncologie (le patient n'est pas au courant) Rendez-vous à la consultation des chefs de clinique de chirurgie à prévoir une fois l'adénocarcinome prostatique traité pour traitement de l'hernie inguinale Suivi de la fonction rénale. Suivi de la TA après majoration de l'Amlodipine à 10 mg/j pendant le séjour.Suivi de la natrémie le 04.12.2018 Suivi de la plaie Suivi de la plaie inguinale droite 2x/semaine au centre des plaies CMS pour les plaies 1x/j Nous laissons le soin au médecin traitant d'adapter les anti-hypertenseurs comme mentionnés ci-dessus. Antibiothérapie per os pour une durée de 2 mois et contrôle hebdomadaire des tests hépatiques Coronarographie, le 28.12.2018 à 8h00 Suivi de la prise en charge par le HIB Suivi de la TA avec baisse spontanée Status neuro normal Labo avec déshydratation biologique et légère hyponatrémie Schellong négatif Augmentation ttt habituel, suivi TA à domicile 3x/j et contrôle chez le MT dans 6 jours Suivi de laboratoire Avis nutrition clinique Nutrition parentérale dès le 21.12.2018 avec adaptation progressive (actuellement : Periolimel 1000 ml/24h) Substitution avec Addaven, Cernevit, Benerva, Konakion Suivi de l'anti-X a et adaptation des doses du traitement anticoagulant (prévu le 11.12 à 20h et minuit) Nutrition parentérale à poursuivre et à adapter en fonction de l'évolution de l'iléus Poursuite CPAP 2x/jour et physiothérapie respiratoire Suivi poids quotidien et évaluation de la nécessité à reprendre les diurétiques Sevrage progressif des opiacés VVC à retirer dès que possible Suivi urologique à prévoir, US rénal à discuter avant sortie, retrait sonde vésicale sur avis urologique Suivi de l'INR et reprise du traitement par Sintron par l'équipe de dialyse Suivi de plaie à 7 jours. Suivi de plaies profondes Suivi de suspicion de syphilis tertiaire. Suivi (délimitation dès le 30.11.2018). Antibiothérapie par Co-Amoxi dès 30.11.2018. Suivi des anévrismes chez le Dr. X, chirurgien vasculaire Suivi des électrolytes à prévoir en ambulatoire à une semaine de la sortie CT pulmonaire de suivi (nodule pulmonaire, dx en 2015) à réaliser en ambulatoire si pas de contrôle déjà effectué Réhabilitation pulmonaire en ambulatoire Suivi chez le pneumologue traitant à organiser par le patient dès la sortie Réévaluer indication à une oxygénothérapie au domicile. CAVE patient fumeur actif ainsi que son épouse Suivi des électrolytes Alimentation plaisir Poursuite des diurétiques et de l'anticoagulation Physiothérapie Ergothérapie Suivi des glycémies avec adaptation de l'insulinothérapie. Suivi des glycémies et si nécessaire modification du traitement antidiabétique Suivi de plaie au niveau du testicule et retrait de la sonde vésicale dès que la cicatrisation est bonne Suivi biologique (Hb) et réévaluer la nécessité d'une nouvelle perfusion de Ferinject ou substitution p.os. Suivi des glycémies 4x/jour Avis diabétologique du 30.11.2018 Majoration de l'Insuline Humalog à 6U le matin Suivi des glycémies. Insulinothérapie, schéma correctif. Poursuite du traitement antidiabétique oral. Suivi des glycémies Modification de l'insuline lente Suivi des hormones thyroïdiennes à distance Suivi des plaies 3x/semaine à domicile selon protocole stomathérapie, avec contrôle de la plaie en stomathérapie le 16.01.2019 à 10h00. Contrôle angiologique à 6 mois chez le Dr. X. Contrôle du neurostimulateur à Sion le 15.01.2019. Suivi des résultats hémoccults. Reprise du Duofer. Évaluation d'un pacemaker si la bradycardie devait être symptomatique. Cessation de l'alcool, cessation de la Metformine, suivi MTX, suivi par ultrason de la cirrhose tous les 6 mois, suivi des varices 1/an par OGD. Rendez-vous le 17.12.2018 à 16:00 à la Fondation Le Torry. Rendez-vous chez le Dr. X à prendre. Suivi du Lyrica et éventuelle majoration si douleurs polyneuropathiques persistantes Suivi glycémique, contrôle des pieds réguliers, contrôles ophtalmologiques à continuer Soins à domicile refusés Suivi des TA aux urgences : 160 mmHg TAS à 07:45 Add Adalact 30mg Suivi chez le médecin traitant Suivi des valeurs tensionnelles Poursuite du traitement de Bisoprolol Suivi diabète: • Rétinopathie : suivi 1x/an chez l'ophtalmologue • Contrôles podologiques réguliers • Dépistage de la néphropathie diabétique (rapport micro-albuminurie/créatininurie) à distance de l'épisode aigu, puis 1x/an. • Cardiovasculaire : bilan lipidique avec cible LDL cholestérol <2.6mmol/l et TA <130/80mmHg • Suivi ambulatoire par les infirmières diabétologues à Meyriez (le patient sera convoqué) • Rendez-vous ambulatoire de diabétologie le 22.01.2018 à 8h30 à l'HFR RDV ambulatoire chez le Dr. X le 11.01.2019 à 14h30 Surveiller tachycardie sinusale et au besoin, intro beta-bloquant Investiguer SAOS en ambulatoire Suivi diabétologique ambulatoire Consilium diabétologique le 29.11.2018 (Dr. X) Metformine stoppée Lantus augmentée à 12 IU le soir + schéma de correction Suivi diabétologique, introduction d'une insulino-thérapie Suivi diététicienne Suivi diététique Suivi diététique Suivi diététique Suivi diététique Suivi diététique Suivi diététique Suivi diététique avec SNO 1x/j Suivi et substitution électrolytique Suivi diététique bi-hebdomadaire Ablation des fils le 25.12.2018 Suivi diététique hospitalier puis en ambulatoire Substituts nutritifs oraux Torasémide 5 mg dès le 26.11.2018, avec un relais à 5 mg 1x/j sur 2 dès le 29.11.2018 Suivi diététique spécialisé SNO 1x/j Suivi diététique spécialisé Substitution nutritionnelle orale Collations Possible suivi ambulatoire Suivi diététique Substitution électrolytique intraveineuse Suivi diététique Collations pour compléter les apports Suivi diététique Hypoprotéinémie sans protéinurie le 12.11.2018 Besoin nutritionnels couverts à 90%, perte de poids non expliquée au niveau nutritionnel Suivi diététique Hypoprotéinémie sans protéinurie le 12.11.2018 Besoin nutritionnels couverts à 90%, perte de poids non expliquée au niveau nutritionnel Suivi diététique Nutrition entérale débutée à Berne depuis le 13.11.2018 Sonde naso-gastrique (SNG) posée à Berne. Changement itératif suite à des arrachements de sonde. Suivi diététique Préalbumine 0.18 g/l le 06.12.2018 Suivi diététique Restriction hydrique à 1l/j Suivi diététique Substitution électrolytique intraveineuse du 03.12. au 13.12.2018 Suivi diététique Traitement anti-émétique Sonde nasogastrique le 10.12.2018, ablation spontanée le 10.12.2018 Échantillons de Callshake dès le 13.12.2018 Consultation diététique le 17.12.2018 (C4, HFR Fribourg) Suivi Dr. X (HFR, Fribourg) Chimiothérapie par Folfirinox (LV/Fluorouracil, Irinitecan, Eloxatin) aux 14 jours Traitement de Dexamethasone 4 mg du 11.12.2018 au 14.12.2018 Consultation chirurgicale pré-pose de PAC prévue le 13.12.2018 à 8h30 Pose de PAC prévue le 21.12.2018 (Tavel) Consultation Dr. X prévue le 17.12.2018 avec poursuite de la chimiothérapie dès le 24.12.2018 Suivi Dr. X Radiothérapie d'une métastase abdominale en cours d'évaluation Suivi Dr. X Soins de confort dès le 04.12.2018 Soins de soutien et palliatifs • Facteur de performance: PPS: 20%, ECOG 4 • Problématique principale: baisse de l'état général Décès le 09.12.2018 Suivi Dr. X, prochain contrôle le 28.12.2018 à 16h Suivi Dr. X, actuellement demande 2e avis Dr. X Infiltration enthésitique hanche gauche le 17.12.18 Suivi Dr. X En attente d'une convocation pour colonoscopie Suivi du diabète et de l'insulinothérapie par les infirmières en diabétologie Suivi du sevrage tabagique CT thoracique le 11.02.2019 pour suivi de l'évolution du nodule suspect au niveau du lobe supérieur droit Cathétérisme cardiaque gauche-droite pour bilanter la sténose aortique à effectuer d'ici à 3 mois Contrôle à la consultation du Dr. X le 13.02.2019 à 14h00 à l'HFR Billens • Suivi du poids et adaptation des diurétiques selon tolérance. • Suivi de l'Irbesartan et arrêt du Entresto • Suivi par Voltigo, comme discuté au téléphone pour l'insuffisance cardiaque. Nous proposons un contrôle laboratoire dans les 7 jours après l'installation de l'Aldactone, et Torem. • Suivi du poids et de la fonction rénale • Reconditionnement, rééducation à la marche, antalgie • Rendez-vous en orthopédie le 20.12.2018 à 15.45 heure à l'hôpital cantonal de Fribourg • Suivi du profil glycémique • Metformin 500mg le matin et Metformin 850mg à midi dès le 26.11.2018 • Suivi du profil tensionnel • Bilan de gestose négatif hormis urates à 466 g/l • Suivi du traitement conseillé par Dr. X • Enveloppement d'huile essentielle de lavande • Suivi du transit • Movicol fixe • Suivi d'une suspicion d'infection des voies urinaires basses • Suivi ECG • Suivi échographique pour l'anévrisme de l'aorte abdominale par ultrason à organiser dans 12 mois. Le patient sera convoqué pour un contrôle en dermatologie. Le patient sera convoqué après sa sortie de l'HFR pour un RDV en oncologie. • Suivi électrolytique • Suivi glycémie en collaboration avec les diabétologues • Suivi thrombopénie nouvelle pour exclure HIT • Suivi en ambulatoire à la consultation du Dr. X, urologue • Suivi en ambulatoire chez le médecin traitant. Si persistance des douleurs, ad CT scan de la main gauche. • Suivi en ambulatoire chez un pneumologue à programmer. • Suivi en ambulatoire par le service de nutrition • Prise de sang le 08.01.2018 à 8h00 au laboratoire • Rendez-vous chez le Dr. X le 08.01.2018 à 10h00 • Rendez-vous en néphrologie (Dr. X) le 08.01.2018 à 11h00 avec récolte d'urines de 24h Le patient sera convoqué par le service d'oncologie pour la suite de la prise en charge oncologique • Suivi en collaboration avec la médecine interne • Ablation des fils à J15 • Contrôle radioclinique à 6 semaines • Suivi volémie et électrolytique en accord avec médecine interne • Ablation VVC dès que possible • Anticoagulation thérapeutique par Héparine et par Sintrom dès que possible • Revoir avec l'équipe de psychiatrie si indication à hospitalisation à Marsens après • Suivi en collaboration avec les neurochirurgiens et les oncologues • Pister les résultats de l'EEG et adapter le traitement antiépileptique • Suivi en consultation ORL ambulatoire dès le 13.12.2018. • Suivi en endocrinologie à l'HFR avec prochain rendez-vous le 07.01.2019 à 16h • Rendez-vous en ambulatoire en neurochirurgie à l'Inselspital avec Dr. X dans 3-4 semaines, merci de le convoquer. • Répéter les champs visuels dans 2 mois, une fois que l'état général du patient sera meilleur, pour un examen plus fiable • Suivi en oncologie le 18.12.2018 à la consultation de Dr. X (la patiente sera convoquée en ambulatoire) • Suivi en pneumologie le 04.01.2018 pour le lavage broncho-alvéolaire. • Poursuite de la prophylaxie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j 1 semaine/4 • Présentation si fièvre, frissons ou sudations nocturnes • Suivi en policlinique d'orthopédie du 17.11.2018 au 14.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie 30.11.2018 • Suivi en policlinique d'orthopédie du 02.11.2018 au 06.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 06.11.2018 au 04.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 06.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 07.11.2018 au 11.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 07.11.2018 au 13.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 07.12.2018 au 17.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 08.10.2018 au 11.12.2018 • Suivi en policlinique d'orthopédie du 08.10.2018 au 12.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 10.12.2018 au 13.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 11.10.2018 au 04.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 12.11.2018 au 11.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 13.11.2018 au 11.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 14.09.2018 au 05.12.2018 • Suivi en policlinique d'orthopédie du 15.10.2018 au 17.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 20.09.2018 au 06.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 20.11.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 21.09.2018 au 13.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 23.10.2018 au 07.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 23.11.2018 au 07.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 23.11.2018 au 14.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 24.09.2018 au 04.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 24.10.2018 au 11.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 26.09.2018 au 30.11.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 26.11.2018 au 03.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 29.10.2018 au 06.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 30.10.2018 au 05.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 30.11.2018 au 07.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie du 31.10.2018 au 05.12.2018. • Suivi en policlinique d'orthopédie le 17.10.2018 • Suivi en policlinique d'orthopédie le 17.12.2018 • Suivi en policlinique d'orthopédie le 18.12.2018. • Suivi épanchement pleural et ponction selon évolution • Discussion de la durée totale de l'antibiothérapie selon les PCR définitives • Prophylaxie du Pneumocystis après épisode aigu • Investigations pneumologiques à distance • Suivi et conseil diététique Attitude: • Introduction d'un supplément nutritif oral dès le 18.12.2018 • Poursuite du suivi ambulatoire en nutrition en oncologie. • Suivi et contrôle chez Dr. X. Prise de contact par le patient • Spermogramme prévu le 14.12.2018 • Arrêt de travail pour ~7 jours • Pas de vaccins dans les 12 prochains mois. • Suivi et contrôle de la fonction rénale. • Surveillance diurèse++ • Suivi et évaluation diététique • SNG dès le 03.12.2018 • Suivi global du patient chez son médecin traitant. • Suivi glycémie. • Lantus 28 Unités + schéma de correction Humalog. • Suivi glycémies et adaptation traitement avec accord diabéto HFR • Suivi glycémies. • Jentadueto 2.5mg/500mg, Gliclazid 30mg relayée par Linagliptine et Insuline basale dès le 02.10.2018 afin de simplifier le traitement et d'éviter de donner de la metformine au vu de la fonction rénale limite. • Schéma correcteur • Consilium endocrinologique (Dr. X) le 02.10.2018: vu la fonction rénale limite du patient, sevrage en Metformine recommandé, proposition d'arrêter la Metformine contenue dans le Jentadueto et de poursuivre uniquement la Linagliptine (Trajenta). Parallèlement, commencer une insulinothérapie basale à adapter progressivement. Eventuellement mettre, en plus, 4 unités de rapide fixe le matin.• 4 unités d'insuline rapide dès le 09.10.2018, arrêtées le 21.11.18 après avis diabétologique (Dr. X, HFR Fribourg) • Avis diabeto le 23.11.2018 : Lantus passée à 22 unités le matin • Suivi glycémique • Suivi glycémique 4x/j • Adaptation Insulatard • Suivi diabétologique en ambulatoire (la patiente recevra une convocation) • Suivi glycémique • Insulinothérapie durant la corticothérapie • Suivi glycémique • Reprise de la Levemir 4U puis 5U • Soins de plaie • Antalgie par Palladon, relais par Oxycontin 15 mg le 28.11 puis Palexia 25 mg le 29.11, arrêté le 30.11.2018 • Suivi glycémique • Schéma de correction • Suivi hématologique (Dr. X) • Suivi hémoglobine • Suite de couche • Suivi infectiologique par Dr. X, actuellement interrompu • Virémie Hépatite C le 27.11.2018 : non détectable • Suivi infectiologique par Dr. X mais interrompu par le patient • Virémie Hépatite C le 27.11.2018 : charge ARN virale HCV pas détectable • Suivi INR. • Stop sintrom le 12.12.2018. • Ad 2 mg Konakion. • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Suivi laboratoire • Electrophorèse des protéines • Prégabaline arrêté • Suivi laboratoire • Ferinject prévu au home le 19.12.2018 • Suivi laboratoire • urines • Suivi Natrémie, Kaliémie • Suivi poids • Contrôle radio-clinique à 6 semaines à l'ortho-consulte en début janvier (le patient sera convoqué) • Gilet orthopédique jusqu'au 01.01.2019 • Suivi néphrologique à Berne • Suivi neurologique (Dr. X) le 04.12 • EEG le 04.12 • Radiographie du bassin de face le 05.12 • Physiothérapie Bobath dès le 05.12 • Suivi gastroentérologique (Dr. X) le 04.12 • Suivi neurologique • Physiothérapie, ergothérapie • Biopsie glandes salivaires le 10.12.2018 : résultats en cours (à pister chez Promed) • Neuroréhabilitation intensive à l'HFR Meyriez le 14.12.2018 • Sera convoqué en 02.2019 pour bilan évolution au CHUV • Suivi nutritionnel • Introduction supplément nutritif oral • Suivi nutritionnel • Suivi nutritionnel • Suivi nutritionnel • Compléments nutritionnels oraux • Suivi nutritionnel • St. p. Pose de stent oesophagien le 28.10.2018 • St. p. Nutrition parentérale du 29.11.-7.12.2018 • Pose de sonde nasogastrique : 09.12 avec nutrition dès le 09.12.2018 • Nouvelle pose de SNG le 21.12.2018 • Supplémentation vitaminique orale • Suivi nutritionnel • Substitution orale en vitamine D • SNG et début de la nutrition parentérale du 03.12 au 12.12.2018 • Substitution vitaminique • Suivi nutritionnel • Suivi nutritionnel ambulatoire • Suivi nutritionnel • Suppléments nutritifs oraux du 19.09.2018 au 09.10.2018 • Suivi onco Dr. X • Suivi oncologique discuté avec le service d'oncologie HFR (Dr. X) • Suivi oncologique (Dr. X) • Suivi oncologique (Dr. X) • ETT le 27.11.2018 • IRM colonne totale du 22 et 26.11.2018 • Avis neurologique le 22.11.2018 (Dr. X) • Avis radio-oncologique le 23.11.2018 (Dr. X) • Ergothérapie et physiothérapie • PL soustractive (30cc) le 29.11.2018 • Chimio par Caelyx le 30.11.2018, à continuer 1x par mois • Réhabilitation palliative à Meyrier dès le 6.12.2018 • Poursuite du protocole de chimiothérapie 1x par mois, prochain cycle prévu le 26.12.2018 • Suivi oncologique (Dr. X) • Suivi oncologique (Dr. X) • Suivi oncologique par Dr. X • = Procédure = • Pose de VVC le 17.12.2018, ablation le 21.12.2018 • Rx thorax 17.12.2018 • = Traitements et réponse au traitement = • 1er cycle de chimiothérapie selon protocole ESAP dès le 17.12.2018 • Injection de Neulasta à J6 • = Seuils transfusionnels = • Tc <10 G/L, si EF <20G/L • Hb < 70g/l • = Soutien transfusionnel = • Nihil • = Agranulocytose / Prophylaxies = • Nihil • = Suite prise en charge = • Laboratoire 27.12.2018, HFR Riaz • RDV chez oncologue traitant le 03.01.2019 • 2ème cycle de chimiothérapie selon protocole ESAP le 14.01.2019 (traitement hospitalier) • PET-CT à prévoir après le 2ème cycle • Transplantation de cellules souches autologues, Inselspital, suite aux 2 cycles de chimiothérapie • Suivi oncologique par Dr. X • Chimiothérapie par Revlimid en suspens. • Dexaméthasone 4 mg en suspens dès le 07.12.2018. • Prochaine injection de Zometa annulée. • Suivi oncologique (Dr. X) • Suivi ORL à Berne le 04.12.18 • Suivi orthopédique à Berne • Suivi orthopédique par Spine Team • Pister les PCR et rediscuter avec l'équipe d'infectiologie pour la suite et durée du traitement • Recherche de Clostridium si récidive diarrhées • Contrôles des paramètres hépatiques à 48h et US selon les résultats • Suivi par Dr. X • Entretiens avec soutien pour traduction (Dr. X) • Laboratoire • Consilium oncologie • Chimiothérapie le 06.12.2018 avec Adriblastine 80mg et Endoxan 1200mg. • Décès le 15.12.2018 • Suivi par Dr. X • Ponction biopsie osseuse aile iliaque droite le 13.11.2018 (Dr. X) : métastase d'adénoCA prostate, pas de dédifférenciation, MIB >50% • Avis Dr. X : pas de nouveaux traitements proposés au vu d'une évolution clinique défavorable et d'un indice de performance insuffisant • Suivi par Dr. X • Prochain rendez-vous le ______ • Suivi par Dr. X • Prochain rendez-vous le 03.01.19, prochaine chimio prévue le 10.01.2019 • Suivi par Dr. X : si sevrage aux benzodiazépines réussi, pas de nécessité de retransfert à Marsens • Consilium de psychiatrie demandé le 29.12.2018 • Suivi par Dr. X • Suivi par Dr. X • Consultation chez Dr. X 03.01.2019 13.15 • Suivi par Dr. X (hémato-oncologue) • Traitement habituel par Prednisone 25 mg 1x/j et Prednisone 50 mg 1x/j pendant 2 jours tous les 15 jours. • Contrôle 3x/semaines • Avis Dr. X Hématologue HFR le 24.12.2018 : poursuite Prednisone 25mg/j • Suivi par Dr. X • Biopsie médullaire du 11.11.2009 (pathologie CHUV Lausanne H0915524) : moelle osseuse tri-linéaire légèrement hypercellulaire avec hyperplasie de la série mégacaryocytaire évoquant la possibilité d'un syndrome myéloprolifératif débutant ; JAK-2 négatif • Thrombocytose à 926 G/l le 02.11.2018, à 609 G/l le 14.11.2018 • Suivi biologique • (cf également lettre de transfert de médecine du 02 au 22.11.2018) • Suivi par Dr. X organisé • Suivi par Dr. X • Radiothérapie (Dr. X) : 2 Gy en 28 fractions, du 18.10 au 23.11.2018 • Chimiothérapie par Gemzar (gemcitabine) : 90 mg i.v. sur 30 min à J1, J4, J8, J11, J15, J18, J22, J25, fin le 21.11.2018 • Attitude : • mise en place Voltigo en accord avec la patiente et la famille. Référent : Dr. X • CT scanner de suivi le 07.01.2019 (Dr. X) • suivi par Dr. X à l'HFR • Consultation santé, soutien et palliation le 21.02.19 à 13h15 à l'HFR (Dr. X) • Suivi par Dr. X • Traitement stoppé il y a 2 mois • Consilium psychiatrique le 30.11.2018 • Suivi par Dr. X • Radiothérapie à 08h40 le 27.12.18 (voir avec le radiothérapeute Dr. X si rendez-vous maintenu) • Prochaine chimiothérapie et Rdv le 3.1.2018 • Radiothérapie (27 traitements au total) • Suivi par Dr. X • Colloque multidisciplinaire Tumor-Board du 22.11.2018 : thérapie à but curatif : soit par une résection chirurgicale soit par un traitement combiné de radiothérapie et thérapie antihormonale • Consultation prévue en janvier 2019 chez médecin traitant pour décision du traitement • Suivi par Dr. X • Suivi par Dr. X • rendez-vous mercredi 12.12.2018 à 14h30 pour laboratoire au C4, 15h30 pour la consultation • Suivi par le médecin traitantSuivi par le MT +/- psychologique Suivi par le service de diabétologie Suivi par les diabétologues de l'HFR, rendez-vous de contrôle à la consultation de diabétologie le 06.02.2019 à 16h Infirmière en diabétologie avec rendez-vous de suivi en ambulatoire le 20.12.2018 à 16h Adaptation du traitement Suivi par MT Suivi par pédiatre Suivi par pédiatre +/- suivi cardiologique Suivi par pédiatre, en dehors de l'épisode possiblement infectieux Suivi par Dr. X Suivi par Dr. X Attitude: • Rendez-vous en oncologie le 28.12.2018 pour suite de prise en charge. Suivi par soins à domicile Traitement des états d'agitation par Temesta. Suite de la prise en charge oncologique selon le plan thérapeutique prévu par Dr. X. Éventuelles adaptations des traitements en rapport aux hallucinations: Madopar à diminuer, début de Seroquel ou Leponex. Suivi par spécialiste des plaies Suivi pédiatrique du nouveau-né Placenta calcifié envoyé en anatomo-pathologie Aspirine 100 mg/j lors de la prochaine grossesse Suivi pédo-psychiatrie de liaison (Dr. X) Suivi pédopsychiatrique de liaison (Dr. X) Cadre Poursuite traitement habituel par Stilnox réserve 10 mg 1x/j Suivi physiothérapeutique avec bilan de chutes Suivi plaie CA-15.3 dans la norme le 21.11.2018 US abdominal le 30.11.2018: sous réserve d'un examen de mauvaise qualité technique, pas de lésions suspectes au niveau hépatique, avec un foie stéatosique de 16 cm Suivi poids et glycémies Suivi échocardiographie de la sténose aortique à mettre en place en ambulatoire Suivi post-traitement de la cataracte bilatérale Suivi prévu chez son médecin et psychiatre traitant. Suivi psychiatrique. Suivi psychiatrique ambulatoire Suivi psychiatrique Dr. X (Centre Bertigny) 1x/3 mois, suivi psychologique 1x/mois Reprise du traitement de Lyrica 25 mg 2x/j Avis psychiatrique (Dr. X) : introduction du Brintellix 5 mg/jour avec poursuite du Remeron, suivi psychiatrique à maintenir/reprendre en ambulatoire (séjour à Marsens proposé, refusé par Mr. Y) Suivi psychiatrique et psychologique adapté au trouble fonctionnel à prévoir en ambulatoire Poursuite physiothérapie en ambulatoire Suivi psychologique chez naturopathe +/- médecin traitant. Suivi biologique de l'anémie + magnésium chez médecin traitant. Suivi du VAC en chirurgie. Suivi radio-clinique en policlinique d'orthopédie. Suivi radiologique à discuter à distance, selon évolution clinique Suivi rapproché des profils glycémiques Consilium diabétologique à organiser le 10.12.2018 Consilium urologique à organiser le 10.12.2018 • Suivi rapproché initial clinique et biologique : paleur/ fatigue Hb 95 g/l, 86 respectivement les 28/08, 11/09 puis 103 le 25/09, 107 ce 04/12 (coef sat transferrine corrigé à 15,5% ce 04/12 vs 10,7 le 28/08; ferritine à 320 le 28/08 mais 2 mois post transfusion). • Majoration de la supplémentation en fer (6 mg/kg/J pour Mr. Y et Mme. Y a repris ponctuellement la supplémentation) et conseils alimentaires, brochure remise ce 04/12 • Supplémentation transitoire en acide folique 5 mg/sem 1 mois • Electrophorèse de l'Hb, G6PD et PK, pink test négatifs Suivi rapproché par Dr. X, FMH Psychiatrie, Fribourg Consilium neuropsychologie Discussion avec la Justice de Paix Inscription en EMS Suivi régulier de la plaie par les SAD. Contrôle clinique avec ablation des fils à J14 puis à 6 semaines à la consultation de Dr. X/Dr. X. Suivi régulier de l'hyperthyroïdie et de la fréquence cardiaque Suivi régulier natrémie Suivi rhumatologique à clarifier lors de la consultation de janvier 2019 Suivi rhumatologique (Dr. X/Dr. X) le 23.11., 05.12., 13.12.2018 Ponction coude gauche le 06.11.2018 Ponction genou gauche le 17.11.2018 Ponction articulaire du 5ème doigt de la main gauche et 2ème orteil du pied droit le 19.12.2018 Prednisone du 06.11.2018 au 15.11.2018 Colchicine du 17.11.2018 au 26.11.2018 Anakinra (Kineret) (anti-IL1) depuis le 26.11.2018 (diminuer à 3 injections par semaine à la fin de la phase aiguë) Allopurinol à introduire au décours Suivi signes de déshydratation Contrôle pédiatre selon clinique Suivi Sintrom (cf carnet), avec prochain laboratoire le 06.12.2018. Suivi spécialiste des plaies Cicatrisation Suivi stomatothérapeutique. Suivi team spine dès le 31.12.2018. Suivi tension artérielle Suivi tension artérielle Suivi Tension artérielle au domicile 2x/semaine, traitement antihypertenseur à réévaluer par le médecin traitant selon profil tensionnel. Suivi tensionnel Suivi tensionnel à domicile (cible TAS < 140 mmHg) et télémétrie à distance (Mr. Y sera convoqué) US rénal à réévaluer selon réponse au traitement à moyen terme en ambulatoire Suivi annuel par ETT de la sténose aortique, prochain rendez-vous le 11.12.2019 en cardiologie à 13h au HFR Évaluer gastroscopie/colonoscopie en ambulatoire Mr. Y sera convoqué en rhumatologie pour un contrôle Suivi tensionnel Adaptation de la médication antihypertensive Bas de contention Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15 jours. Consultation neurovasculaire de contrôle le 03.04.2019 à 14h30. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 130/80 mmHg. Pister sédiment urinaire. Pas de conduite pendant 3 mois. Demander un avis ophtalmologique avec CV automatisé jusqu'au prochain contrôle neurovasculaire. Consultation neurovasculaire de contrôle avec EEG le 11.03.2019. Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 140/90 mmHg Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Pas de conduite pendant 15 jours Consultation neurovasculaire de contrôle le 25.03.2019 à 16h00 au HF Fribourg Suivi tensionnel avec valeurs cibles < 140/90 mmHg. Bilan lipidique et des transaminases à 1 mois avec adaptation du traitement hypolipémiant en fonction (cible LDL < 2.6 mmol/l ou réduction > 50 % si la valeur cible ne peut pas être atteinte) Suivi tensionnel Adaptation du traitement antihypertenseur Planifier écho pendant l'hospitalisation Suivi urologique en ambulatoire. Contrôle clinico-biologique à votre consultation à une semaine de la sortie. Suivi d'abcès du pli interfessier. Suivi de plaie. Suivi Logopédie Videofluoroscopie le 24.05.2018: Pas d'aspiration visible. Dysmotilité aspécifique de l'œsophage avec stase de la colonne de contraste et multiples contractions tertiaires Adapté les repas Motilium dès le 31.05.2018 Manométrie le 14.06.2018 chez Dr. X Suivi par Dr. X. DD: gestationnelle précoce vs constitutionnelle idiopathique Prednisone 80 mg/j du 01.12.2018 au 04.12.2018 S/p 2 transfusions plaquettaires le 05.12.18 pour ablation de péridurale Suivi par Dr. X Profil glycémique à J3 HGPO dans 3 mois. Suivi par Dr. X TSH T4 dans la norme le 14.12.2018 Contrôle TSH T4 à J3 dans la norme Dosage Anti-trak au cordon Suivi par Dr. X Surveillance Suivi par Dr. X. Virémie 13.12: indétectable Sous quadrithérapie: Tenofovir 245 mg 1/j, Reyataz 300 mg 1/j, darunavir 600 mg 2/j, Norvir 2/j, Tivicay 50 mg 2/j Suivi par sage-femme conseil Suivi le 29.01.2018 par un pic fébrile à 38.7°C dans le contexte d'une probable virose : • Examen clinique Hémoculture, uroculture, récoltes selles : négatives pour Norovirus • Laboratoires : CRP à 59 mg/l • Bonne résolution spontanée avec traitement symptomatique • Norovirus négatif dans un contexte de contage Suivre en ambulatoire Supplémentation Supplémentation à partir du 04.12.2018 par 24'000 UI 1x/semaine Supplémentation acide folique dès le 06.12.2018 Suivi diététique Supplémentation électrolytique Alimentation par sonde nasogastrique dès le 20.11.2018 Supplémentation en magnésium Supplémentation iv et per os Suivi biologique Supplémentation iv Suivi biologique Supplémentation orale par KCL retard Supplémentation orale par maltofer pour 3 mois Supplémentation orale par Maltofer 100 mg pour 3 mois Supplémentation par acide folique 3.3 ng/ml dès le 15.12.2018 Suivi biologique en ambulatoire Supplémentation potassique iv. Supplémentation vit D Supplémenté à partir du 09.11.2018 Supplémentée à partir du 13.11.2018 Suppléments nutritifs oraux, patient peu compliant Supports plantaires Physiothérapie et stretching Sur avis (téléphone + photo) du Dr. X, nous désinfectons, rinçons et explorons la plaie sous AL. Nous procédons à un point simple à l'Ethilon 5.0 au niveau de la plaie cutanée et de 2 points simples doublés au Vicryl 5.0 au niveau de la plaie muqueuse. Le patient rentre à domicile avec une antibiothérapie par Augmentin 3x/j pour 7 jours et antalgie. Il consultera son médecin traitant en Chine à J 7 pour retrait du fil cutané. Sur avis Dr. X : • poursuite de traitement Prednisone, MST et morphine sans changement Sur avis Dr. X, garde ORL, administration Buscopan 20 mg iv, malheureusement sans effet. Nasofibroscopie ne permet pas de voir le corps étranger. Nécessité d'aller au bloc opératoire. Sur avis du Dr. X, nous mettons en place une attelle BAB à 90° Radiographie de contrôle et rendez-vous en policlinique d'orthopédie le 12.11.2018 chez Dr. X Ablation du plâtre le 12.11.2018 Physiothérapie Rendez-vous de contrôle chez Dr. X le 17.12.2018 à 9h30 en policlinique d'orthopédie HFR Riaz Sur des douleurs sur plusieurs heures parasternales atypiques, on réalise un ECG qui ne montre pas de signe d'ischémie et deux trains de troponines revenant à 5 et 4 ng/l respectivement, sans cinétique, permettant d'exclure un NSTEMI. Sur un score de Genève à risque faible, chez Mme. Y avec un tabagisme actif, on réalise un dosage de d-dimères revenant négatifs qui permettent d'écarter une EP. Le bilan biologique par ailleurs est sans syndrome inflammatoire, on note une hypoK à 3.1 mmol/l et on administre un KCL ret unique. La radiographie du thorax ne montre pas de signes de foyer et la patiente n'a pas une clinique évocatrice d'infection respiratoire. On note une compensation d'anxiété importante chez Mme. Y qui reconnaît des symptômes d'angoisse avec des douleurs similaires sur des mois, avec le décès de son frère cette année. Patiente initialement en larmes, douleurs de résolution sur surveillance aux urgences et après administration d'antalgie simple. Au vu des symptômes sur plusieurs mois, anamnèse familiale posée et tabagisme actif, un avis cardiologique et test d'effort seraient préconisés à distance. Par ailleurs, la patiente reconnaît des crises d'angoisses récurrentes, on laisse au médecin traitant le soin d'introduire un traitement par b-bloquant à but anxiolytique ou SSRI selon indication. Sur le laboratoire, nous retrouvons des leucocytes 10, CRP <5, créat N, beta HCG - 0, sédiment urinaire - propre. Nous obtenons l'avis du Dr. X qui préconise un contrôle FUA le 18.12. pour une évaluation clinique/biologique, US abdominale à 10h30. Discussion avec le père de Mme. Y - il s'inquiète que sa fille puisse avoir des rapports sexuels avec des hommes plus âgés. Il a fait la demande au juge de paix. Il voudrait s'assurer que sa fille n'a pas de maladies sexuellement transmissibles. Nous informons le père qu'au contrôle à la FUA nous réalisons US abdominal +- consultation gynécologique si nécessaire. Sur le plan abdominal et digestif, le lavement baryté se déroule sans complication. L'échographie de contrôle après le lavement ne montre pas de récidive d'invagination mais un oedème de la paroi intestinale attendu, ainsi que des ganglions. Elle reste à jeun durant 12 heures avec une bonne tolérance de la réalimentation par la suite. Son appétit est excellent. Elle présente deux épisodes de selles défaites en lien avec le produit de contraste le lendemain du lavement avec une normalisation du transit avec des selles formées par la suite. Aucun épisode de sang dans les selles. Sur le plan infectieux, elle présente une angine virale pouvant expliquer les ganglions visualisés à l'échographie et l'épisode d'invagination. Au vu de l'évolution clinique tout à fait satisfaisante, elle rentre à domicile le 9.12.2018 Sur le plan biologique, il n'avait pas de syndrome inflammatoire. La formule sanguine a objectivé une anémie hypochrome microcytaire avec un taux d'hémoglobine à 128 g/L. Sur le plan digestif, pas d'évacuation de selles suite à 2 lavements par Freka Clyss et du Movicol. Il a bénéficié le 28.12 d'une sigmoïdoscopie sous anesthésie générale faite par Dr. X qui a objectivé : érythème périanal important + marisque à 12 et 18h. La muqueuse entrevue jusqu'au sigmoïde est érythémateuse, entrevue en une circonférence à peu près d'un quart, le reste étant couvert par des selles formées. À/n rectum on entrevoit une vascularisation normale avec une muqueuse fine par endroit et par endroit juste de l'érythème œdématié sans visibilité des vaisseaux. Pas de lésion superficielle ni fissure visible. Des biopsies sont prises à/n sigmoïde et rectum x 4. Par la suite, extraction digitale de selles dures et formées en boules, taille d'une noix, à peu près 300-400 g. Par la suite, le rectum est vide. En conclusion : proctalgie sur spasme du sphincter sans fissure visible. Sur le plan antalgique, il a reçu Xylocaine crème en périanal et rectogesic avec bonne évolution clinique et exonération non douloureuse. Sur le plan alimentaire, il a bénéficié d'une hydratation intraveineuse initiale pendant 24h puis reprise d'une alimentation orale bien tolérée et un transit rétabli. Sur le plan thérapeutique, nous poursuivons le traitement par Laxipeg à la sortie pour une durée de 3 mois avec un contrôle clinique chez Dr. X dans 2 semaines. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 30.12.18. Sur le plan cardiaque, elle a présenté quelques épisodes de bradycardies lors du sommeil objectivés au monitoring cardiaque. Un ECG réalisé a montré un rythme sinusal avec des battements d'échappement jonctionnels. Nous avons sollicité l'avis de notre cardiopédiatre Dr. X : un ECG est à prévoir dans 2 mois, pas de suivi cardiopédiatrique nécessaire. Sur le plan respiratoire, elle a nécessité de l'oxygénothérapie du 22.12 au 25.12.18. L'évolution était favorable sous Ventolin administré du 22.12 au 26.12.18 avec une nette amélioration de l'encombrement bronchique suite à des séances de physiothérapie. Elle a présenté de la fièvre le 22.12 puis apyrexie stable. Par ailleurs, la radiographie du thorax ne montrait pas de foyer. Sur le plan alimentaire, elle avait une bonne prise alimentaire avec un poids de sortie à 9970 g.Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y le 27.12.18. Sur le plan cardiaque, Mme. Y a présenté pendant son sommeil un épisode de tachycardie le 23.12 à QRS fins, jusqu'à 235 bpm, objectivé au scope avec résolution spontanée. Un ECG réalisé le 24.12 était sans particularités. Pas de récidive de tachycardie pendant le reste de l'hospitalisation. Une consultation en cardiologie pédiatrique a été organisée avec Dr. X. Sur le plan pulmonaire, elle a présenté des épisodes de toux mais non cyanogène sans désaturation concomitante. Le frottis nasal est par ailleurs positif à RSV. Elle n'a pas nécessité d'oxygénothérapie et l'évolution clinique était favorable avec lavages répétés du nez. Elle restait par ailleurs apyrétique. Sur le plan alimentaire, elle avait une bonne prise de sein. Elle a reçu de la Mycostatine pour un muguet buccal avec bonne évolution. La croissance est satisfaisante avec un poids de sortie de 4530 g. Au vu de la bonne évolution, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile le 25.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, elle restait stable. Le monitoring cardiorespiratoire est sans particularités. Sur le plan respiratoire, elle était eupnéique sans besoin d'oxygénothérapie. Elle restait apyrétique. Sur le plan alimentaire, elle prenait ses biberons sans difficultés ni recours à la sonde nasogastrique. Pas de vomissements. Le poids de sortie est de 5915 g. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 28.12.18. Sur le plan cardiopulmonaire, elle restait stable. Le monitoring est sans particularités. Sur le plan thérapeutique, elle a bénéficié d'une photothérapie pendant 12 h avec un contrôle de bilirubinémie en ordre (dernier contrôle le 28.12.18 à 11h à 234 umol/l). Sur le plan alimentaire, on a complété l'allaitement maternel insuffisant avec du lait artificiel (HiPP) avec bonne prise orale et pondérale. Le poids de sortie est de 3270 g. En résumé, Mme. Y a été hospitalisée pour un ictère à bilirubine libre non hémolytique avec bonne évolution sous photothérapie. Au vu de la bonne évolution, nous la laissons rentrer à domicile le 28.12.18. Sur le plan cardiopulmonaire, elle restait stable. Sur le plan infectieux, elle a été mise sous antibiothérapie IV par Co-amoxicilline 100 mg/kg/jr du 23.12.18 au 26.12.18 puis relais per os à 80 mg/kg/jour avec bonne évolution clinique. Sur le plan biologique, elle présentait initialement un syndrome inflammatoire biologique avec une CRP à 160 mg/l sans hyperleucocytose associée, contrôlé à 67 mg/l. Sur le plan clinique, on a objectivé une nette amélioration des signes inflammatoires cutanés en regard du pied droit avec disparition de la douleur à la palpation et diminution des œdèmes. Elle a présenté un dernier pic fébrile le 25.12 puis apyrexie stable. Sur le plan alimentaire, elle avait une bonne prise alimentaire. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 26.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, elle reste stable depuis l'entrée sans soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu sans nécessité de caféine. Sur le plan alimentaire, elle nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 08.12.18, date à laquelle elle prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. Elle a déjà rattrapé son poids de naissance à son arrivée dans notre service. La prise de poids au cours de son hospitalisation est satisfaisante avec un poids de sortie de 2.490 kg. Sur le plan métabolique, elle ne présente pas de complication au cours de son hospitalisation dans notre service. Sur le plan hématologique, elle bénéficie d'une substitution par Maltofer dès J15. Nous prions le pédiatre d'effectuer le contrôle de ferritine et d'adapter la posologie. Sur le plan neurologique, l'US cérébral du 07.12.18 est dans les normes. Sur le plan ophtalmologique, elle ne nécessite pas de suivi particulier. Sur le plan ORL, un suivi en audiométrie est déjà prévu à Berne. Au vu de la bonne évolution, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile le 10.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, elle reste stable depuis l'entrée sans soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire met en évidence de nombreuses bradycardies motivant l'introduction de caféine le 3.12.2108 avec une nette diminution du nombre d'événements. Elle a été sevrée le 09.12.18 avec bonne évolution. Sur le plan alimentaire, elle nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 14.12.18, date à laquelle elle prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de sortie à 2460 g. Sur le plan métabolique, elle bénéficie de 24h de photothérapie en raison d'une hyperbilirubinémie maximale à 215 mmol/L. Sur le plan hématologique, la formule sanguine complète est alignée avec une hémoglobine à la limite inférieure à 150 g/dl. Aucune substitution n'est introduite. Sur le plan neurologique, un US cérébral du 11.12.18 est dans les normes. Sur le plan ophtalmologique, elle ne nécessite pas de suivi ophtalmologique particulier. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 16.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, il a présenté un premier épisode de tachycardie supraventriculaire spontanément résolutif. Une récidive est survenue à J21 de vie, compliquée d'une insuffisance respiratoire transitoire nécessitant la mise sous High Flow pendant 8 heures. Le trouble du rythme est résolu après 2 heures suite à l'introduction d'une sonde nasogastrique. Une échographie cardiaque réalisée par Dr. X le 12.12.18 ne montre pas de signes de dysfonction ni malformation cardiaque. Il a été mis le 17.12.18 sous Sotalol (beta-bloquant) à dose progressive, actuellement à 2.5 mg/kg/j avec bonne évolution ultérieure. Il restait depuis stable sans récidive de TSV. Sur le plan neurologique, une US cérébral révèle un petit kyste temporal médial de 11 x 4.5mm. Un deuxième contrôle le 17.12 était normal sans visualisation du kyste décrit à l'examen précédent. Sur le plan ophtalmologique, un fond d'œil réalisé le 14.12.18 (J24) est sans anomalies. Sur le plan hématologique, il bénéficie d'un traitement par Maltofer. Nous prions le pédiatre d'effectuer un bilan ferrique à l'âge de 4 semaines et d'adapter la posologie. Le dernier bilan fait le 13.12 montre un taux d'hémoglobine à 113 g/L. Sur le plan métabolique, il a présenté une bilirubinémie inférieure au seuil de photothérapie. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 17.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise pondérale est satisfaisante avec un poids de sortie de 2590 g. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 24.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, il présente une détresse respiratoire immédiate avec besoin d'une ventilation non invasive par CPAP max FiO2 à 21% du 27.12 au 28.12.18. La radiographie du thorax montre un bon volume pulmonaire sans infiltrats nodulaires, pas de pneumothorax. Nous retenons le diagnostic de détresse respiratoire transitoire. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 28.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. Le poids de sortie est de 3070 g. Sur le plan métabolique, il n'a pas présenté d'ictère. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 30.12.18. Sur le plan cardiopulmonaire, il restait stable. Le monitoring cardiorespiratoire est sans anomalies. Sur le plan neurologique, pas de récidive de malaise. Sur le plan alimentaire, nous avons objectivé plusieurs épisodes de régurgitations. Mr. Y est sous allaitement exclusif, toutes les 3 heures, avec une prise pondérale importante depuis la naissance d'environ 40 g/j. Nous expliquons ces régurgitations par une suralimentation au sein et nous expliquons à la maman la nécessité de respecter le rythme de 6 tétées par jour avec la possibilité de tirer son lait pour évaluer la quantité administrée. Si Mr. Y garde un reflux gastro-œsophagien avec des apports adéquats, nous proposons l'épaississement du lait maternel.Le poids de sortie est de 4860 gr. Par ailleurs, sur le plan rénal, il a bénéficié d'une antibioprophylaxie par amoxicilline à raison de 10 mg/kg/dose, 2x/j depuis la naissance pour dilatation pyélocalicielle bilatérale anténatale. Le contrôle échographique le 27.12.18 a objectivé la persistance d'une légère dilatation pyélocalicielle à gauche, mesurée aujourd'hui à 5 mm avec vessie vide (8 mm sur le comparatif). Nous avons alors proposé aux parents l'arrêt de l'antibioprophylaxie. Un reflux dû à la prise d'amoxicilline n'est pas d'ailleurs exclu. Au vu de la bonne évolution clinique, nous proposons un retour à domicile le 28.12.18. Sur le plan cardiopulmonaire, il restait stable. Le monitoring cardiorespiratoire est sans particularités. Sur le plan respiratoire, il a nécessité l'oxygénothérapie du 25 au 26.12.18 puis sevrage. L'évolution clinique était favorable avec disparition progressive des signes de lutte respiratoire avec un traitement symptomatique par des lavages répétés du nez. Sur le plan alimentaire, il a nécessité initialement une sonde naso-gastrique d'alimentation jusqu'au 28.12 puis il prenait ses biberons avec des apports adéquats depuis le 26.12.18. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 27.12.18. Sur le plan neurologique, il n'a pas présenté de crises convulsives ou autres mouvements anormaux. Le sommeil, l'alimentation et son comportement sont comme d'habitude pour les parents. Sur le plan biologique, on n'a pas noté de désordre métabolique. Au vu de la bonne évolution clinique, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 30.12.18. Un contrôle en neuropédiatrie est proposé. Sur le plan cardio-pulmonaire, il reste stable depuis l'entrée sans avoir besoin d'un soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu. La caféine débutée à Berne a pu être arrêtée le 05.12.18 avec bonne évolution ultérieure. Sur le plan neurologique, un US cérébral fait le 07.12.18 est dans les normes. Sur le plan néphrologique, il est connu pour une néphromégalie à gauche. Un suivi est prévu à Berne. Sur le plan urologique, il présente un hypospadias coronarien. Dr. X a rencontré la famille et est à disposition pour la prise en charge chirurgicale. Sur le plan métabolique, il a bénéficié à Berne d'une photothérapie pour une hyperbilirubinémie sans incompatibilité. Sur le plan vaccinal, il a reçu une séro-vaccination contre Hépatite B à Berne devant un antécédent d'hépatite B chez la mère. Nous prions le pédiatre de suivre le schéma vaccinal contre Hépatite B à 1 et 6 mois. Un contrôle sérologique est souhaitable à 6 mois. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 13.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de sortie de 2475 gr. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 15.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, il reste stable depuis l'entrée sans avoir besoin d'un soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 11.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de sortie à 2.27 kg. Sur le plan métabolique, la bilirubinémie était en dessous du seuil de photothérapie. Sur le plan neurologique, un US cérébral fait le 07.12.18 est dans les normes. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 12.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, il reste stable depuis l'entrée sans avoir besoin d'un soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-désaturation de prématuré, sans nécessité de stimulation ou de caféine, bien résolu lors de son retour à domicile. Sur le plan alimentaire et pondéral, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 1.12.2018, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. Son poids minimal est de 1860 gr. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de naissance rattrapé à J12 et un poids de sortie de 2600 gr. Il rentre à domicile avec du lait maternel et du lait Beba Stufe 2. Nous laissons le soin au pédiatre d'évaluer la prise pondérale et de changer pour un autre lait dès que la croissance le permet. Sur le plan digestif, Mr. Y présente des selles verdâtres lors du retour à domicile. Une recherche de rotavirus et adénovirus est en cours. Au vu de son état clinique tout à fait rassurant, il peut rentrer à domicile avec les consignes habituelles. Sur le plan métabolique, Mr. Y nécessite 24 heures de photothérapie à 3 jours de vie pour une hyperbilirubinémie à max 257 umol/l, résolue par la suite. Sur le plan hématologique, Mr. Y bénéficie d'une substitution martiale avec du Maltofer à partir de J15 en raison de sa prématurité avec une formule sanguine complète qui est alignée. Le traitement est à poursuivre jusqu'à l'âge de 6 mois. Nous laissons le soin au pédiatre de contrôler la ferritine à 4 semaines de vie et d'adapter la posologie. Sur le plan neurologique, un US cérébral fait le 09.11 révèle une dysgénésie du corps calleux. Une IRM sans sédation, en ambulatoire (juste biberon) est prévue à terme. Le reste des structures anatomiques est normal à l'échographie transfontanellaire. Une consultation en neuropédiatrie aura lieu après l'IRM. Sur le plan ORL, réussite de OEA sur une oreille. Aucun contrôle en audiologie n'est prévu pour l'instant, mais est à réévaluer par la pédiatre et la neurologue en fonction du diagnostic neurologique retenu. Au vu de la bonne évolution, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 3.12.2018. Sur le plan cardio-pulmonaire, il reste stable depuis l'entrée sans soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularité pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu lors du retour à domicile sans nécessité de traitement par caféine. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de sortie de 2800 gr. Sur le plan métabolique, il présente une hypoglycémie asymptomatique au minimum à 2.1 mmol/L, résolue après resucrage per os. Sur le plan hématologique, il bénéficie d'une substitution par Maltofer dès J15. Sur le plan neurologique, un US cérébral fait le 30.11 est dans les normes. Au vu de la bonne évolution, nous laissons Mr. Y rentrer à domicile le 21.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, il reste stable depuis l'entrée sans soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu sans nécessité de caféine.Sur le plan métabolique, il n'a présenté aucune complication. Sur le plan hématologique, il bénéficie d'un traitement par Maltofer dès J15. Nous laissons le soin au pédiatre d'évaluer le taux de ferritine à 4 semaines et d'adapter la posologie. Sur le plan neurologique, l'US cérébral du 28.11 montre une hyperéchogénicité aspécifique qui n'était plus visualisable sur l'US de contrôle du 11.12.18. Sur le plan alimentaire, il a été alimenté initialement (glucose 10%) par voie intraveineuse sur cathéter veineux ombilical du 28.11 au 3.12.18 en raison de son faible poids de naissance, puis par sonde nasogastrique jusqu'au 09.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante, il rattrape son poids de naissance à J9 après un poids minimal à 1635 gr (-6%). Le poids de sortie est de 2215 gr. Sur le plan social, la mère étant suivie pour un diabète insulino-dépendant mal équilibré a présenté une fois dans notre service un épisode d'hypoglycémie sévère à 1 mmol/l avec des signes de neuroglycopénie (agitation, amnésie circonstancielle). Suite à cet incident, nous avons informé la juge de paix que l'état de santé de la mère met en danger Mr. Y. Une décision de retour à domicile a été prise avec désignation de curatrice par la juge de paix. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 19.12.18. Sur le plan cardio-pulmonaire, il reste stable depuis l'entrée sans soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu. Sur le plan métabolique, il présente une hypoglycémie à une heure de vie, asymptomatique, au minimum à 1.6 mmol/L, résolue après resucrage per os. Document AI donné aux parents. Sur le plan neurologique, une US cérébrale faite le 07.12.18 est dans la norme. Sur le plan ostéo-articulaire, l'US hanche est effectué en raison de la position en siège un US des hanches à 40 SA. Sur le plan alimentaire, il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 19.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de sortie à 2365 gr. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 21.12.18. Sur le plan cardiopulmonaire, il restait stable. Le monitoring cardio-respiratoire était sans particularités. Sur le plan infectieux, il restait apyrétique. Il a reçu au total 10 jours d'antibiothérapie IV par Céfotaxime 50 mg/kg/8h soit jusqu'à 28.12 inclus. Sur le plan biologique, un dernier contrôle le 25.12 a montré une bilirubinémie à 34.2 umol/l, Gamma Gt à 326 U/L et une CRP négative. Sur le plan rénal, il a été mis sous antibioprophylaxie par Amoxicilline 10 mg/kg * 2/jour jusqu'à la réalisation de l'uro-cystographie rétrograde le 07.02.19. Sur le plan alimentaire, il avait une bonne prise des biberons avec une croissance satisfaisante depuis le début de l'antibiothérapie. Le poids de sortie est de 4040 gr soit un gain pondéral de 325 gr durant l'hospitalisation. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 28.12.18. Sur le plan cardiorespiratoire, il restait stable. Le monitoring cardiorespiratoire est sans anomalies. Sur le plan neurologique, la surveillance clinique était dans l'ordre. Il avait un comportement habituel. Une IRM cérébrale faite le 11.12.18 devant l'âge et les circonstances du traumatisme était dans les normes. Sur le plan alimentaire, il avait une bonne prise alimentaire. Pas de récidive des vomissements. En résumé, nous avons gardé Mr. Y pour surveillance neurologique pendant 24 heures vu la violence du traumatisme crânien. En raison de la bonne évolution clinique, nous le laissons rentrer à domicile le 12.12.18. Sur le plan cardiorespiratoire, il reste stable depuis l'entrée sans avoir besoin d'un soutien respiratoire. Un monitoring cardio-respiratoire est sans particularités pendant toute l'hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie-apnée de prématuré bien résolu. Sur le plan métabolique, il bénéficie d'une photothérapie de 24 heures en raison d'une hyperbilirubinémie liée à la prématurité à maximum 268 umol/L. Sur le plan de la température, il bénéficie d'un lit chauffant du 5.12 au 16.12.18. Sur le plan pondéral et alimentaire, la perte pondérale atteint les 10% avec un poids minimal à J5 à 2.02 kg. Il est allaité étant donné que l'immunisation a été effectuée à sa naissance. Nous complétons l'allaitement maternel avec du lait HiPP. Il nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 16.12.18, date à laquelle il prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La prise de poids est satisfaisante avec un poids de sortie de 2300 gr. Sur le plan infectieux, il reçoit l'immunisation active et passive contre l'hépatite B à sa naissance. Nous prions la pédiatre d'effectuer les prochaines doses à 1 mois et à 6 mois de vie ainsi que de faire le contrôle sérologique à partir de 7 mois de vie pour évaluer la nécessité de doses supplémentaires. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 19.12.18. Sur le plan cardiorespiratoire, l'ECG est revenu sans anomalies. Le monitoring cardiorespiratoire est sans particularités. Sur le plan neurologique, elle était tonique, bien réactive. Pas de récidive de malaise. Un US cérébral réalisé le 10.12.18 ne retrouve pas d'anomalies. Sur le plan alimentaire, elle est exclusivement allaitée au sein, régulièrement aux 3 heures. On n'a pas objectivé de régurgitations ni de vomissements. La prise pondérale est satisfaisante depuis la naissance. Sur le plan métabolique, la gazométrie, la glycémie, la fonction rénale et hépatique, l'ammoniémie et l'examen des urines sont dans l'ordre. En résumé, nous imputons le malaise survenu chez Mme. Y à une cause digestive, notamment l'épisode de vomissement. Étant donné qu'elle est sous allaitement maternel, nous avons décidé de ne pas épaissir le lait maternel suite à un premier épisode de reflux gastro-oesophagien compliqué et de discuter de cette option thérapeutique en cas de récidive de symptomatologie de reflux. Sur le plan cardiovasculaire, elle a un APGAR à 0 à une minute de vie et nécessite un massage cardiaque d'une durée de 1 minute. Après son transfert en néonatologie, elle est stable durant toute son hospitalisation hormis le syndrome de bradycardie du prématuré, résolu lors de son retour à domicile, sans nécessité de caféine. Le monitoring cardiorespiratoire a été arrêté le 12.12.18. Sur le plan respiratoire, elle bénéficie d'une CPAP dès la naissance jusqu'à 13 minutes de vie. Après une courte pause avec une désaturation progressive jusqu'à 83%, la CPAP est reprise. Elle nécessite la CPAP avec une PEEP maximale à 6 mmHg et une FiO2 maximale à 40% du 18.11 au 23.11.2018 avec une durée d'oxygénothérapie < 72 heures. Par la suite, elle reste tout à fait stable sur le plan respiratoire. Sur le plan alimentaire, elle nécessite une sonde nasogastrique jusqu'au 10.12.18, date à laquelle elle prend toutes ses quantités per os, avec un bon transit et miction. La perte de poids physiologique est rapidement rattrapée avec un poids de naissance rattrapé le 30.11.2018, à J13. Le poids de sortie est satisfaisant à 2410 kg. Sur le plan métabolique, elle présente plusieurs épisodes d'hyperbilirubinémie à max 217 umol/l nécessitant une photothérapie intermittente, du 20.11 au 23.11 (72h) et du 24.11 au 25.11 (24h) et du 26.11 au 29.11 (48h). Sur le plan digestif, elle présente plusieurs épisodes de rectorragies le 1.12 motivant la réalisation d'une radiographie de l'abdomen qui ne montre pas de pneumatose intestinale. En attendant le bilan infectieux, elle a été mise à jeun avec une nutrition parentérale et antibiothérapie intraveineuse durant presque 72 heures. Le diagnostic d'entérocolite nécrosante n'est pas retenu. Nous suspectons une allergie aux protéines de lait de vache.Une consultation en gastroentérologie est prévue le 21.12.18 avec Dr. X. Sur le plan hématologique, elle bénéficie d'une substitution par Maltofer en raison de sa prématurité qui est introduite dès stabilité clinique sur le plan digestif. Sur le plan neurologique, un US cérébral le 20.11 est dans la norme pour l'âge. Sur le plan ophtalmologique, elle ne nécessite pas de screening pour la rétinopathie de la prématurité vu l'oxygénothérapie de moins de 72 heures. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 12.12.18. Sur le plan gastroentérologique, Mr. Y est connu pour une oesophagite à éosinophile, suivi par Dr. X. Nous ne notons pas de péjoration sur ce plan ce jour et maintenons le même suivi déjà en cours. Sur le plan respiratoire, on note une toux sans signe de détresse respiratoire et non évocatrice de pneumonie. Explications à la mère qu'il n'y a pas besoin de ventolin ou d'antibiotiques pour l'instant. Contrôles par la pédiatre pour évaluer cette nécessité par la suite. La mère ne préfère pas attendre l'avis de mes supérieures et éventuellement consultants au vu de son bon état général. Sur le plan hématologique, nous avons sollicité l'avis hématologique CHUV (Dr. X). Un traitement par des IVGD en IV à 1 g/kg lui a été administré le 28.12.18 sans incidents. Le contrôle des plaquettes suite à la première cure d'immunoglobulines initialement à 8 G/L était à 4 G/L, d'où l'administration d'une deuxième cure. Le contrôle de la formule le 31.12 ne montre pas de franche amélioration avec des plaquettes à 5 G/L. Nous réalisons donc un bilan plus extensif à la recherche d'une lyse cellulaire, de schizocytes et d'une atteinte rénale, ce qui nous permet d'exclure un syndrome hémolytique urémique. Le contrôle des thrombocytes du 01.01.2019 à 2 G/L incitant le transfert au CHUV afin de réaliser une ponction de moelle, au vu du reste des examens alignés. Par ailleurs, elle n'a pas présenté durant l'hospitalisation un saignement extériorisé. Nous avons noté une régression progressive des pétéchies. Sur le plan biologique, elle avait une fonction rénale et hépatique en ordre. Le taux d'hémoglobine était à 116 g/l avec des réticulocytes à 81 G/L et absence de schizocytes. Le dosage pondéral des immunoglobulines et du complément étaient sans particularités. Le test de Coombs est également négatif. Sur le plan infectieux, des sérologies d'hépatite (A/B/C) et HIV ont été faites et reviennent négatifs. Un Quantiféron n'est pas réalisable au moment de l'hospitalisation de Mme. Y, et nous vous proposons de réaliser cet examen au CHUV. Elle a présenté un pic fébrile le 29.12 en rapport avec une infection virale des voies respiratoires. Au vu des examens et de la nécessité de poursuivre des investigations, nous transférons Mme. Y le 02.01.2019 au CHUV dans le service d'onco-hématologie. Sur le plan hémodynamique, elle restait stable. Sur le plan infectieux, pas de fièvre. Sur le plan alimentaire, elle a bénéficié d'une hydratation intraveineuse par du Glucosalin aux besoins d'entretien soit 1350 cc/24h, avec reprise d'une alimentation orale le 29.12 bien tolérée sans diarrhée ni vomissements. Selle et urines d'aspect normal. Sur le plan biologique, la gazométrie était dans l'ordre sans troubles électrolytiques. Par ailleurs, elle est sous antibiothérapie par amoxicilline débutée le 27.12.18 par le pédiatre pour otite aiguë. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 29.12.18. Sur le plan hémodynamique, elle restait stable. Sur le plan infectieux, elle était fébrile maximum à 39°C depuis l'admission puis pyrexie stable depuis le 17.12.18. Pas d'antibiothérapie. Sur le plan respiratoire, elle a eu initialement 6 pushs de ventolin sans franche amélioration. Elle a été mise sous High Flow 2 L, FiO2 maximum à 30% pendant 6 heures, puis elle a reçu une oxygénothérapie par lunettes nasales maximum à 0.3 l/min, sevrée le 19.12.18 avec disparition progressive des signes de lutte respiratoire. Elle a bénéficié d'une physiothérapie avec nette amélioration de l'encombrement bronchique. Sur le plan métabolique, la gazométrie était en ordre. Sur le plan alimentaire, une SNG lui a été posée du 14 au 18.12.18, date à laquelle elle prend toutes ses quantités per os. Le poids de sortie est de 5655 g. Sur le plan de sa croissance, elle a une bonne croissance staturo-pondérale et du périmètre crânien. Une légère spasticité a été objectivée à l'examen clinique, nous lui proposons une physiothérapie Bobath. Par ailleurs, nous avons poursuivi son traitement habituel par Maltofer. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile le 21.12.18. Sur le plan hémodynamique, il restait stable. Sur le plan respiratoire, il n'a pas nécessité d'oxygénothérapie. Il a bénéficié de lavages du nez répétés avec bonne évolution clinique. Pas de fièvre. Sur le plan alimentaire, il prenait ses quantités par voie orale sans troubles digestifs. Le poids de sortie est de 5860 g. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 28.12.18. Sur le plan infectieux, il a été mis initialement sous antibiothérapie IV à dose méningée (amoxicilline à 200 mg/kg/j et gentamicine à 4 mg/kg/j), puis à doses simples soit 100 mg/kg/j à partir du 21.12. Il est resté apyrétique dès le 21.12.18 avec une très bonne évolution clinique. La ponction lombaire et l'hémoculture reviennent stériles. La virologie des selles et du frottis nasal (grippe/RSV) sont également négatives. La radio du thorax effectuée en raison d'une tachypnée transitoire ne montre pas de foyer pulmonaire ni de cardiomégalie. Il n'a pas nécessité de soutien respiratoire lors de l'hospitalisation. La culture des urines (sur clean catch) montre une croissance de différents germes, maximale à 10E4, signant une contamination. Sur le plan biologique, il présente à l'entrée un syndrome inflammatoire avec élévation de la CRP à 21 mg/l et de la procalcitonine à 1.25 ug/l sans anomalies à la formule sanguine. On note une ascension de la CRP à 90 mg/l au 4ème jour d'hospitalisation motivant le maintien de l'antibiothérapie jusqu'au 25.12.18 et la normalisation des valeurs de CRP et PCT. Sur le plan cardiaque, il présente un souffle systolique parasternal gauche sans signes d'insuffisance cardiaque. Une échographie cardiaque faite par Dr. X a objectivé une CIV minime. Un contrôle est prévu le 07.02.19. Sur le plan alimentaire, il a montré une bonne prise du sein avec un poids de sortie de 4770 g. Sur le plan métabolique, dans le contexte de l'ictère tardif et de la mauvaise prise pondérale, nous réalisons à l'entrée un bilan sanguin qui met en évidence une hyperbilirubinémie à prédominance conjuguée (bilirubine totale 319 mcmol/l, bilirubine directe 283 mcmol/l) avec une gamma-GT augmentée à 305 U/l. Les tests hépatiques ASAT et ALAT sont dans la norme, nous permettant d'exclure une cytolyse hépatique. Le bilan de crase est normal. Concernant le diagnostic différentiel, une atrésie des voies biliaires reste le premier diagnostic à exclure, raison pour laquelle nous administrons une dose de Konakion IV 0,5 mg. Une origine infectieuse est probable au vu du syndrome inflammatoire élevé, une origine métabolique est possible mais peu probable vu des lactates dans la norme et une gazométrie qui montre une légère acidose métabolique partiellement compensée. Il n'y a pas d'argument pour une infection materno-fœtale type TORCH, ni d'argument pour une incompatibilité ABO/rhésus (groupe O+ bébé et maman et Coombs négatif). La fonction thyroïdienne est dans la norme.Sur le plan infectieux, Nous notons un important syndrome inflammatoire (CRP 114 mg/l, leucocytose à 31 G/l sans déviation gauche). Le sondage urinaire réalisé ne permet pas d'obtenir d'urine dans la vessie car Mr. Y a uriné dans un sachet propre lors de la préparation du sondage, urines qui sont mises en culture. Des hémocultures sont négatives. Nous débutons une antiothérapie par amoxicilline 25 mg/kg/dose et gentamicine 4 mg/kg/j. Sur le plan néphrologique, Le bilan sanguin montre une insuffisance rénale (créatinine 62 mcmol/l, urée 8 mmol/l), d'origine prérénale probable. Il n'y a pas de signe clinique évident pour une déshydratation et Mr. Y s'alimente bien au sein. Néanmoins, nous débutons une perfusion de G10% à 80 ml/kg/j. En accord avec l'équipe de néonatologie du CHUV, nous décidons d'un transfert pour suite de la prise en charge et poursuite des investigations, notamment exclusion d'une atrésie des voies biliaires. Sur le plan neurologique, elle reste stable durant la surveillance intrahospitalière. Son statut neurologique est tout à fait dans la norme le lendemain et permet un retour à domicile. Sur le plan cutané, un hématome important du front et de la racine du nez est visible. Pas de récidive d'épistaxis durant la surveillance. L'évolution favorable permet un retour à domicile le 9.12.2018. Sur le plan orthopédique, l'évolution est favorable. Prescription d'une nouvelle ordonnance de physiothérapie pour travailler le renforcement musculaire et la mobilité. Il peut charger selon tolérance. Contrôle à 3 mois. Sur le plan général, il sera suivi par nos collègues oncologues avec un début de métastases multiples découvert lors du séjour hospitalier. Sur le plan pondéral, on note une cassure de la courbe staturo-pondérale avec une alimentation régulière, dont un biberon la nuit, elle prend 150-160 ml/kg/j soit 110 kcal/kg/jour. Sur le plan statural et ostéo-articulaire, les échographies anténatales démontrent des os longs courts, raison pour laquelle un avis génétique avait déjà été demandé. En effet, au statut, on note des membres courts, des bras en pronation et extension. La radiographie du squelette montre un retard de croissance avec une longueur du fémur correspondant à un âge gestationnel de 40 semaines. Nous effectuons un bilan à la recherche de malformations associées. L'US de la colonne confirme la présence d'un coccyx normal. La radiographie du crâne montre une synostose de la suture sagittale. Nous prions la neuro-pédiatre et la pédiatre d'évaluer la croissance du crâne et de l'adresser à un neurochirurgien pédiatre en ambulatoire. Sur le plan abdominal, une échographie abdominale revient dans la norme. Le transit est régulier. On note sur la radiographie une distension des anses pouvant évoquer une maladie de Hirschsprung. En l'absence de clinique évocatrice d'un Hirschsprung, nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires. En cas de constipation, nous prions la pédiatre de l'adresser en consultation de chirurgie pédiatrique. Un bilan de malabsorption avec une élastase pancréatique fécale est encore en cours. Dans le diagnostic différentiel, nous évoquons une allergie aux protéines de lait de vache, raison pour laquelle le lait Pregomin Pepti est introduit. Une consultation en gastroentérologie aura lieu le 21.12.18 à 11 h. Sur le plan génétique, notre collègue généticien rencontre Mme. Y après une première consultation avec les parents avant l'accouchement. Après le bilan sanguin et urinaire initial, il évaluera la nécessité d'élargir les investigations génétiques. Sur le plan neurologique, on note une nette hypotonie centrale chez Mme. Y. Les mouvements spontanés sont diminués. Notre neuropédiatre évoque des maladies neurométaboliques dans le diagnostic différentiel. Un bilan sanguin et urinaire est encore en cours à Zürich. Elle verra la patiente en consultation ambulatoire pour annoncer les résultats. À noter que l'US cérébral et l'IRM cérébrale sont dans la norme. Sur le plan endocrinologique, la TSH, T4 sont dans les normes. Sur le plan respiratoire, il est stable. Il reçoit la dose unique de Betnesol et les consignes de surveillance sont données. Sur le plan alimentaire, ses apports sont diminués. Il ne présente actuellement pas de signes de déshydratation. Il est expliqué aux parents que, selon les apports et la déshydratation, une hospitalisation et une sonde nasogastrique peuvent être nécessaires. Il souhaite lui donner sa chance avec un contrôle chez le pédiatre le 21.12. dans la journée. Sur le plan ORL, il présente une otite moyenne aiguë droite. Vu son âge et l'impossibilité de donner de l'algifor et son état général plaintif, introduction d'antibiothérapie d'emblée. Sur le plan respiratoire, le frottis naso-pharyngé pour le RSV revient positif. Une oxygénothérapie aux lunettes est débutée aux urgences en raison d'une désaturation à 85 % au sommeil. L'évolution est favorable, permettant un sevrage de l'oxygène dès le 24.12.18. Mme. Y a aussi bénéficié de traitements par aérosols et gouttes anthroposophiques durant son séjour avec bonne réponse clinique. Sur le plan alimentaire, elle conserve une bonne alimentation par biberon durant son séjour. La prise pondérale est bonne au cours du séjour avec un poids de sortie de 4200 g. Sur le plan de sa croissance pondérale, nous constatons que Mme. Y a une prise pondérale insatisfaisante depuis la naissance, à environ 18 g/jour. Elle reçoit 4 biberons par jour de 150 ml de lait HPP soit 140 ml/kg/j. La mère a reçu les instructions adéquates concernant les apports permettant un rattrapage pondéral adéquat. Au vu de l'état clinique rassurant, elle rentre à domicile le 25.12.18. Sur le plan respiratoire, nous avons observé une nette amélioration de l'état respiratoire suite à la mise sous antibiothérapie IV par Zinacef iv 50 mg/kg/dose aux 8 h du 27.12 au 29.12.18 avec relais per os par Zinat à 10 mg/kg*2/jour pour une durée totale de 10 jours. En effet, la radiographie du thorax objectivait un épaississement bronchique avec opacité mal délimitée dans le lobe inférieur droit, devant correspondre à un foyer pulmonaire. Il était eupnéique durant l'hospitalisation sans besoin d'oxygénothérapie. Il restait apyrétique depuis l'admission. Sur le plan biologique, il avait un syndrome inflammatoire biologique à 144 mg/l sans hyperleucocytose. Par ailleurs, il a une anémie (Hb 94 mg/l) hypochrome microcytaire à contrôler à distance de l'épisode inflammatoire. Sur le plan alimentaire, il avait une bonne prise alimentaire orale. Le poids de sortie est de 9485 g. Au vu de la bonne évolution, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile le 29.12.18. Sur le plan respiratoire, oxygénodépendance initiale avec recours aux lunettes nasales du 28.12 au 29.12.18. L'évolution clinique était favorable avec disparition des signes de lutte respiratoire. Sur le plan hémodynamique, elle restait stable. Sur le plan infectieux, le frottis RSV est positif. Pas de fièvre durant l'hospitalisation. Sur le plan alimentaire, elle avait une bonne prise alimentaire au sein sans vomissements ni difficultés. Pas de pose de sonde nasogastrique. Au vu de la bonne évolution, nous laissons Mme. Y rentrer à domicile le 30.12.18. Sur site: Ventolin 5 mg Atrovent 125 mcg. Aux urgences: Peak flow 83%. Surveillance. Ventolin 2 push/j 3x/j durant 2 jours puis en réserve. Sur une clinique évocatrice d'une angine d'origine bactérienne et des critères Centor à 3, on réalise un strep test revenant positif. Le patient est mis sous traitement antibiotique par amoxicilline 750 mg 3x/j pour un total de 10 jours, anti-inflammatoires/antidouleurs.Le patient reconsultera en urgence si changement du caractère de la voix ou dyspnée. Surcharge cardiaque dans un contexte de FA rapide, avec: • Echocardiographie du 18.10.2018: FEVG 50-55% visuellement, cinétique segmentaire non évaluable, VG non dilaté • Torem 10 mg dès le 23.10.2018 • Début de traitement par Beloc Zok 25 mg puis 50 mg • Poursuite de l'anticoagulation par Sintrom • Cardioversion électrique à rediscuter en ambulatoire avec le MT Surcharge cardiaque le 15.10.2018 Surcharge hydrique et anasarque post-réanimation Surcharge hydrique et hypertension liée à la chimiothérapie Amygdalectomie en 1973 Surcharge hydrique probablement dans le contexte de la cirrhose (DD TVP DD compression veineuse abdominale tumorale) • râles sur les deux plages pulmonaires • OMI ddc remontant jusqu'aux cuisses Surcharge hydrique suite à l'expansion volémique dans le contexte du choc septique. Surcharge hydro-sodée sur corticothérapie le 03.12.18 Surcharge pondérale avec BMI à 36.5. Ethylo-tabagisme à 40 UPA. Suspicion de syndrome d'apnée du sommeil. Surcharge pondérale Hernie hiatale sous IPP Tabagisme actif à environ 30 UPA Porteuse d'un stérilet hormonal Notion des chutes accidentelles occasionnelles dont la dernière en mars 2017 Surcharge pondérale. Hypertension artérielle traitée. Accident vasculaire cérébral en 2000 avec hémiparésie gauche résiduelle. Cardiopathie coronarienne bitronculaire 19.08.2018 : NSTEMI antérieur • sténose 80% de l'artère interventriculaire antérieure proximale et 70-90% moyenne : PCI (1DES) : bon • sténose 80% ACD proximale: angioplastie avec un stent actif • FEVG à 65%. Dyslipidémie. Diabète de type II non insulino-requérant mal contrôlé • HbA1c à 8.3% le 19.08.2018. Insuffisance rénale chronique avec : • créatinine à 135 micromol/l le 24.08.2018 • clairance à 49 ml/min le 24.08.2018. Surcharge volémique secondaire Surcharge volémique sur transfusion de concentrés érythrocytaires • Râles crépitants fins • Hypertension Surdité. Surdité brusque bilatérale certainement sur dysfonction tubaire • perte d'audition de 69% à gauche et 16% à droite connue • Weber centré, baisse de la transmission aérienne à droite en comparaison à gauche. Surdité brusque droite d'origine indéterminée. Surdité congénitale avec tympanoplastie bilatérale. Status post opération pour fracture du tibia/péroné. Status post amygdalectomie. Douleur abdominale. Surdité profonde appareillée à D Syndrome sacro-iliaque D sur asymétrie des MI en défaveur de la D • Infiltration de la sacro-iliaque D en septembre 2018 Atteinte du tronc du nerf grand sciatique avec pied tombant G traité par une orthèse depuis 10 ans Artériopathie de stade IV du MIG avec: • status post-ulcère pulpaire du gros orteil G • status post-angioplastie de l'artère fémorale superficielle distale et de l'artère poplitée avec un ballon médicamenteux et court stenting de l'artère poplitée proximale pour une subocclusion, recanalisation de l'artère tibiale postérieure le 22.03.2017 au MI G (participation à l'étude VOYAGER PAD, suivi par le Dr X) • actuellement, absence d'ischémie critique ddc, sténose serrée au départ de l'artère fémorale superficielle G avec plusieurs sténoses modérées des artères fémorales superficielles et poplitée ddc (mars 2018) Adénocarcinome prostatique diagnostiqué en 2011 • Radiothérapie locale Maladie coronarienne tritronculaire • Echocardiographie du 08.05.2018: fonction ventriculaire G systolique normale à 65%, absence de trouble de la cinétique segmentaire, absence d'hypertrophie, VG non dilaté. • Quadruple pontage aorto-coronarien (2003); sténose de la carotide commune G à 40% Surdosage de Magnesium sulfate Surdosage de Magnesium sulfate (14 g sur 1 h) Surdosage en opiacées le 24.12.2018 Surdosage Leponex Surélévation, antalgie, glaçage. Intervention chirurgicale (réduction ouverte, ostéosynthèse cheville D) agendée au 14.12.2018 Surélévation et application de glace. Antalgie Arrêt de sport Aircast avec tolérance de la mobilisation selon clinique Surinfection bronchique à Pseudomonas avec : • colonisation chronique à Mycobacterium avium • fonctions pulmonaires le 23.08.2018 : spirométrie normale ou tendance restrictive. Pléthysmographie : piégeage gazeux et distension. Trouble léger de la DLCO, KCO normale. Absence de réversibilité significative des valeurs après Ventolin. Surinfection de la plaie transfixiante lèvre inférieure gauche Surinfection de PEG-J au niveau de la fistule cutanée le 30.12.2018 • posée le 21.12.2018 (Dr X) Surinfection de plaie chirurgicale à MRSA du poignet droit le 06.12.2018 • status post opération du tunnel carpien le 07.11.2018. Surinfection de plaie chirurgicale à Staph. aureus MRSA main D sur status post • Cure tunnel carpien D le 07.11.2018 en Slovaquie. Surinfection de plaie opératoire du poignet droit, le 01.12.2018 • status post opération du tunnel carpien le 07.11.2018. Surinfection de plaie sur status après morsure de chien le 23.11.2018 à la face latérale de la cuisse gauche. Status post-drainage d'un hématome de la cuisse gauche le 29.11.2018. Surinfection débutante d'un hématome sous-unguéal post-choc axial gros orteil gauche il y a 2 jours. Surinfection du site opératoire de la jambe gauche par Staphylococcus aureus. Status post-exérèse du carcinome basocellulaire pré-tibial gauche avec 5 mm de marges, plaie non fermée compte tenu de sa grande taille le 06.11.2018. Status post-crossectomie et stripping complet de la veine grande saphène gauche avec phlébectomies au membre inférieur gauche, sur insuffisance de la veine grande saphène gauche le 06.11.2018. Surinfection d'ulcères. Surinfection d'une plaie dorsale de P3 D2 gauche avec phlegmon des extenseurs à Staphylococcus aureus. Surinfection pulmonaire le 14.12.2018 Surinfection pulmonaire probablement bactérienne dans un contexte de mucoviscidose Delta 508 le 30.11.2018 • ED inconnu, colonisation avec Staph. aureus MSSA, E. Coli ESBL • Fonctions pulmonaires récentes 10/2018 : troubles ventilatoires obstructifs moyens à modérés, FEV1 2.28l (54 % seuil) FVC 3.96 l (80 % seuil) • Pseudomonas aeruginosa mis en évidence à l'inselspital 08/2018, avec éradication réussie • Scedosporium apiospermum 10/2018 Surpoids. Surrélever dossier du lit Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance Surveillance. Surveillance. Surveillance. Surveillance. Surveillance. surveillance surveillance domicile Contrôle demain déjà prévu Surveillance à domicile Surveillance à domicile Surveillance à domicile, bonne hydratation. Contrôle à 24h. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par amoxicilline pendant 10 jours. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par antibiothérapie. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Si persistance de l'état fébrile à 48h, se présenter chez le pédiatre. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par antibiothérapie 7 jours. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. contrôle prévu le 29.12 aux urgences. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par antibiothérapie 7 jours. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. contrôle prévu le 30.12 aux urgences. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par : • Betnesol 0.5mg 5 co pendant 2 jours • Ventolin 4 push aux 4h ce jour puis selon besoin Contrôle chez le pédiatre dans 48h. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par : • Betnesol 0.5mg 5 co pendant 3 jours • Ventolin 1 train de 6 push en 1 heure, puis 4 push au 4h puis diminution progressive Contrôle chez le pédiatre dans 48h. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par Co-Amoxicilline 80mg/kg/j en 2 doses pendant 7 jours. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par Panotile 3 gouttes 4x/j pour 7 jours et rinçage 1-2 x/jours du conduit auditif externe. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par Pénicilline V pendant 10 jours. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par vermox en 2 doses (10.12 et 20.12). Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement par vermox en 2 doses. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement positionné. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement susmentionné. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Feuille d'explication de surveillance donnée aux parents. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Fractionnement alimentaire pour la journée. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Retrait des fils dans 5 jours chez le pédiatre traitant. Feuille d'explication de surveillance donnée aux parents. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Retrait des fils dans 5-7 jours chez le pédiatre traitant. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si apparition de nouveau symptôme malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation.Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. Antalgie par Novalgine 20 gouttes max 4x/j, RDV chez le pédiatre à prévoir et suivi gynécologique à prévoir. Arrêt de l'école 2 jours, coucher tôt, pas d'écran, pas de lecture intensive. Contrôle à 24h max 36h. Contrôle le 29.12.2018 (Dr. X) : • Anamnèse : Apyrétique, toux stable, le nez a commencé à couler depuis hier soir. Alimentation, hydratation et mictions correctes. • Status : État général excellent, souriante, bonne interaction. Bien hydratée et perfusée. Paramètres e.o. (T 37.2 °C ; FR 48/min ; Sat 100 % sous a.a. ; Pouls 168 bpm). Cardiovasculaire : sp (idem supra). Respiratoire : Eupnéique sans aucun signe de détresse respiratoire ; murmure vésiculaire symétrique sans bruits surajoutés. ORL : rhinorrhée claire, fond de gorge calme, pas de lymphadénopathie cervicale, tympans calmes. Abdominale : sp (idem supra). Cutané : sp (idem supra). Neurologique : sp (idem supra). • Att : reconsulte dans les 24 heures si état fébrile ; voire rapidement si signes de détresse respiratoire. Pas de contrôle d'office prévu. Contrôle dans un mois chez Dr. X. Contrôle dans 48h si persistance de l'état fébrile. Contrôle le 30.12. Fragmentation alimentaire. Contrôle chez le pédiatre dans 3 jours pour évolution du muguet. Réalimentation douce et fragmentée. Compensation des pertes par Normolytoral PO. Réserve de 5mg de primpéran donné aux parents si réapparition des vomissements dans 24h. Si apparition de difficulté respiratoire donner 4 push de ventolin à répéter si besoin à 30min ou 1h et 2 push de sérétide. Si apparition d'un état fébrile se présenter aux urgences.Si vomissement brun se présente à nouveau chez le pédiatre • Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation. • Soin de siège par oxyplastine 2x/j, conseil de soin de siège • Surveillance respiratoire par les parents. Si signe de détresse, se présenter aux urgences. • Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si péjoration de la symptomatologie malgré la bonne conduite du traitement, se présenter chez le pédiatre ou aux urgences pour évaluation ou si apparition de troubles respiratoires. • Surveillance à domicile, bonne hydratation et traitement symptomatique. Si réapparition du saignement lors du rinçage nasal, espacer les rinçages et technique d'arrêt expliquée aux parents. • Surveillance à domicile, feuille de conseils donnée aux parents. Bonne hydratation et traitement antalgique si douleur. • Surveillance à domicile pendant 48-72 h (brochure expliquée et donnée aux parents). Reconsulter en cas de signes d'alarmes. • Surveillance à domicile pendant 48-72 h (brochure donnée et expliquée au père). Reconsulter en cas de signes d'alarmes. • Surveillance alimentaire et respiratoire. • Surveillance aux soins continus du 08.12.18 au 09.12.2018. • CAVE: ne pas augmenter/ajouter de traitement respiro-dépresseur en l'absence de monitorage continu. • Surveillance au stroke Unit aux lits monitorés du 23.12.2018 au 24.12.2018. • Aspirine cardio. Mise en suspens de Sintrom. • CT cérébral le 23.12.2018. IRM cérébrale le 24.12.2018. ETT le 24.12.2018. • Surveillance aux soins intensifs du 03.12 au 06.12.2018. • Diurétiques. Oxygénothérapie. VNI du 03.12 au 06.12.2018. Cathéter artériel radial du 03.12 au 06.12.2018. • Echocardiographie transthoracique le 03.12.2018 : FEVG 30%, pas de troubles de la cinétique, pas de valvulopathie. Interrogation de pacemaker-défibrillateur le 03.12.2018 : pas d'arythmie détectée. • Suivi la semaine prochaine chez le médecin traitant avec bilan rénal et électrolytique. • Surveillance aux soins intensifs du 19.11-21.11.2018. CT thoracique le 19.11.2018. Avis cardiologique et US cardiaques le 19.11, le 20.11 et 22.11.2018. • Tentative de ponction péricardique le 19.11.2018. Fenestration péricardique par voie sous-xyphoïdale (OP le 23.11.2018). • Surveillance aux soins intensifs du 20.11 au 23.11.2018. Angio-CT protocole embolie pulmonaire. ETT le 20.11.2018. • Surveillance aux soins intensifs du 22 au 24.10.2018. CT thoraco-abdominal 22.10.2018. SNG de décharge dès le 22.10.2018. Pantozol du 22 au 23.10.2018. Metronidazole dès le 22.10.2018. • Surveillance aux soins intensifs du 24.11 au 26.11.2018. Lit strict du 24.11 au 26.11.2018. CT scan Total Body le 24.11.2018. Ultrason abdominal 26.11.2018. • Surveillance aux soins intensifs du 28.12 au 29.12.2018. Charbon activé 50 g le 28.12.2018. Avis psychiatre de garde le 29.12.2018. Transfert en mode volontaire à Marsens le 29.12.2018. • Surveillance aux urgences après 1er épisode puis RAD. Hospitalisation après 2ème épisode pour surveillance neurologique. • Surveillance aux urgences de 4 h. • Aux urgences: Solumédrol 125 mg. Tavegyl 2 mg. Lévocétirizine pendant 5 jours 1 comprimé le soir + Prednisone 40 mg pendant 3 jours. • Surveillance aux urgences pendant les six premières heures après la chute sans particularités. Elle n'a plus présenté de vomissements, contrôles neurologiques aux 30 min sans particularités. Après une sieste, elle a pu manger et boire sans vomir. Avec la mère, elle a joué et parlé, comportement comme d'habitude. Elle peut donc rentrer à domicile avec surveillance par les parents pendant les premières 48-72 h et reconsultation si signes d'alarmes, brochure donnée aux parents. • Surveillance biologique.• Surveillance biologique • Surveillance biologique • Surveillance biologique et adaptation traitement • Surveillance biologique • Consilium chirurgie • Consilium gastro-entérologie • US abdominale des voies biliaires intra et extra hépatiques • Surveillance biologique • Créatinine à 110 micromol/L le 26.11.2018 • Surveillance biologique • Konakion du 24.11.2018 au 26.11.2018 • Surveillance biologique • Mise à jeun • Hydratation parentérale • Traitement symptomatique par antiémétique parentérale et prednisolone • Échographie endovaginale • Hospitalisation • Surveillance biologique • Mise à jeun • Hydratation parentérale • Traitement symptomatique par antiémétique parentérale • Échographie endovaginale • Hospitalisation • Surveillance cardio-respiratoire de 4 heures au sein des urgences sans particularité. Valeur clinique à la sortie Fréquence cardiaque 122/min, Tension artérielle 100/54, Fréquence respiratoire 30/min, Saturation 100% Examen clinique de sortie : Neurologique : pupilles iso-cores iso-réactives, pas d'asymétrie faciale, position en flexion, Motricité des 4 membres normale, sensibilité conservée et normale, marche sans particularité Selon les conseils du tox center, retour à domicile avec comme consigne un bon apport alimentaire de carbohydrates. • Surveillance clinico-biologique • Surveillance clinico-biologique • Surveillance clinico-biologique • Surveillance clinico-biologique • Contrôle si sérologies faites auprès du médecin traitant et compléter le bilan • Consilium infectiologie • Consilium pneumologie • Surveillance clinico-biologique • Hb à 118 G/L le 11.12.2018 • Surveillance clinico-biologique • Hb le 10.12.2018 : 114 G/L • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique. • Surveillance clinique • Surveillance clinique • Surveillance clinique à Riaz. Coronarographie HFR Fribourg le 26.11.2018. Recommandation cardiologique (Fribourg) : • Aspirine 100 mg 1-0-0 à vie, Plavix 75 mg 1-0-0 pour 12 mois, reste du traitement inchangé. • Échocardiographie transthoracique le 07.01.2019 (Dr. X) • Ergométrie dans 6 mois Réadaptation cardio-vasculaire en ambulatoire à l'HFR Billens • Surveillance clinique avec évolution favorable • Surveillance clinique avec résolution de l'hématome facial G • Surveillance clinique de la plaie Plaie à l'air libre dès le 12.11.2018 • Surveillance clinique des signes de sevrage alcoolique : tremblements des extrémités, sueurs, nausées/vomissements, troubles neurologiques. • Surveillance clinique et biologique • Surveillance clinique et biologique • Surveillance clinique et biologique • Surveillance clinique et biologique (Hb 101 g/l le 17.12.2018). • Surveillance clinique et biologique (Hb 12.2 g/dl le 27.11.2018) • Surveillance clinique et de la mobilisation • Surveillance clinique et ECG Adaptation du traitement • Surveillance clinique et FSS 26.10.2018 : Duplex artérioveineux pli inguinal D : pas de collection, pas de fistule AV, pas de pseudo-anévrisme • Surveillance clinique et investigation d'état fébrile sans foyer • Surveillance clinique et investigation d'état fébrile sans foyer • Surveillance clinique jusqu'à 6h post-chute aux urgences Surveillance pendant les premières 47-72 h à domicile Conseils pour traumatisme crânien (brochure donnée) Antalgie aux besoins Reconsulter si signes d'alarmes • Surveillance clinique 6h avec évolution favorable • Surveillance clinique/biologique Physiothérapie Antalgie • Surveillance clinique Contrôle Hb • Surveillance clinique ECG de contrôle • Surveillance clinique Retour à domicile avec conseils pour faux croup et poursuite du Betnesol le 24.12 • Surveillance clinique Suivi biologique Motilium changée par Ondansetron 4 mg 3x jours dès 22.11.18 avec bon effet Ondansetron 4 mg 2x jour à partir dès 04.12.2018 Ondansetron dans la Reserve dès 08.12.2018 • Surveillance clinique Surélévation du membre Glace locale • Surveillance clinique • Surveillance CTG 2x/j jusqu'à la césarienne. Aspirine cardio 100 mg 1x/j jusqu'à 35 semaines d'aménorrhée. Aspirine cardio 100 mg 1x/j lors de la prochaine grossesse. • Surveillance de la cicatrice à travers le pansement Comfeel. En cas de perte d'étanchéité du Comfeel, il devra être remplacé par un pansement standard. Ablation du Comfeel et des fils à 15 jours post-opératoires à Billens. Poursuite de la prophylaxie thromboembolique durant 6 semaines post-opératoires. Contrôle radio-clinique à la consultation du Dr. X à 6 semaines post-opératoires. • Surveillance de la prise alimentaire et surtout hydrique, avec fractionnement Reconsulter si prise < 50% ou signes de déshydratation (expliqués, surtout suivi diurèse) Poursuite lait AR, essai de sevrage une fois résolution de la symptomatologie digestive Contrôle chez la pédiatre si persistance des symptômes > 10 j • Surveillance de la saturation durant une heure, bonne saturation qui se maintient entre 98 et 100%. RAD avec surveillance et conseils donnés aux parents • Surveillance de l'hydratation Réassurance parentale Virologie et coproculture des selles négative • Surveillance de 2h dans le cadre d'une prise IM de Rocéphine (avec risque car rash sur Amoxicilline en septembre 2019). Pas de changement de l'état général. Pas d'éruption cutanée, pas de trouble du transit. Paramètres vitaux de sortie : Fréquence cardiaque 146/min (pleurs), Fréquence respiratoire 36/min (pleurs), Saturation 100% à air ambiant, Tension artérielle 104/73 mmHg (pleurs), Température 37.6°C. Le 11.12 : Persistance d'otite bilatérale avec apparition d'une angine virale avec état général bien amélioré. 2e dose de Rocéphine IM ce jour et contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour réévaluation clinique et +/- 3e dose de Rocéphine en fonction de l'évolution clinique auriculaire. • Surveillance de 2h dans le cadre d'une prise IM de Rocéphine (avec risque car rash sur Amoxicilline en septembre 2019). Pas de changement de l'état général. Pas d'éruption cutanée, pas de trouble du transit. Paramètres vitaux de sortie : Fréquence cardiaque 146/min (pleurs), Fréquence respiratoire 36/min (pleurs), Saturation 100% à air ambiant, Tension artérielle 104/73 mmHg (pleurs), Température 37.6°C. Le 11.12 : Persistance d'otite bilatérale avec apparition d'une angine virale avec état général bien amélioré. 2e dose de Rocéphine IM ce jour et contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures pour réévaluation clinique et +/- 3e dose de Rocéphine en fonction de l'évolution clinique auriculaire. • Surveillance de 4h aux urgences Feuille de consignes en cas de traumatisme crânien. • Surveillance des PA Proposition de mesurer les tensions à domicile et de discuter avec le MT la reprise de l'Amlodipine • Surveillance du nouveau-né Profil glycémique à J3 HGPO à 3 mois • Surveillance du score Cushman. Avis internistique • Seresta d'office et en réserve, substitution par Becozyme et Benerva.Avis Dr. X, psychiatre, qui connaît déjà le patient dans le cadre d'un suivi de sa dépendance alcoolique. Surveillance du score de Cushmann Prévention du delirium tremens par oxazepam Surveillance du traitement Prévoir un bilan des organes cibles : • US cardiaque à l'HFR Meyriez pendant réadaptation (proposition du Dr. X) +/- Remler préalable • FO Consilium angiologie avec ultrason des artères rénales le 04.12.2018 : absence de sténose des artères rénales Surveillance d'un ictère hémolytique Surveillance en lit d'observation du 03 au 04.12.2018 puis dans le service de chirurgie. Retour en lit d'observation du 04 au 05.12.2018. Transfusions : • 1 CE le 04.12.2018 à 22h30, H005018023601 • 1 CE le 05.12.2018 à 02h10, H0050118023580 • 1 CE le 05.12.2018 à 06h10, H005018023605. Transfert dans le service de chirurgie de l'HFR Fribourg le 05.12.2018. Surveillance en Stroke unit monitorée du 11.12 au 13.12.2018 Thrombendartériectomie carotide gauche avec plastie d'élargissement le 13.12.2018 Surveillance en Stroke unit monitorée du 11.12.18 au 14.12.2018 Angio-CT cérébral le 11.12.2018 IRM cérébrale le 12.12.2018 ETT le 12.12.2018 Duplex des vaisseaux pré-cérébraux et intra-cérébraux le 12.12.2018 Avis neurologique Beriplex 1000 UI le 13.12.2018 Aspirine en charge et en per-opératoire le 13.12.2018 Poursuite anticoagulation thérapeutique Atorvastatine Surveillance et monitoring cardio-respiratoire pendant 48h Bilan sanguin le 25.11 : FSC, CRP, gazométrie, Na, K, Cl, Ca, Mg, urée, créatinine, acide urique, ASAT, ALAT, lactate, ammoniémie, glycémie Bilan urinaire le 25.11 : Stix + sédiment ECG le 25.11 normal US cérébral le 10.12.18 Surveillance et prise de rendez-vous chez un dermatologue si changement d'aspect / de taille Surveillance et traitement antalgique post-amygdalectomie droite et septoplastie. Surveillance glycémique Surveillance Hémoglobine Anuscopie le 04.12.2018 Avis Chirurgical (Dr. X) : Hospitalisation ECG : normale Hospitalisation en Chirurgie Surveillance jusqu'à 6 heures post-trauma aux urgences Consignes habituelles, fichier explicatif donné Surveillance labo Surveillance laboratoire Surveillance locale Surveillance monitoring respiratoire isolement de type gouttelette Surveillance neuro. Suivi de plaies régulier. Surveillance neurologique Surveillance neurologique Surveillance neurologique Surveillance neurologique. Surveillance neurologique. Surveillance neurologique. Surveillance neurologique à domicile Surveillance neurologique aux 4h Surveillance neurologique aux 4h pour 24h Surveillance neurologique de 24h dans la norme Surveillance neurologique durant 24 heures Surveillance neurologique et radiologique Surveillance neurologique pendant 24h monitoring cardio-respiratoire IRM cérébrale Surveillance neurologique rapprochée Pas de CT en raison du mécanisme de chute et de la clinique rassurante, ainsi que de l'INR infra-thérapeutique Surveillance neurologique sans particularité Surveillance neurologique. Substitution en Thiamine. Surveillance neurologique 4 heures aux urgences Antalgiques en réserve Consignes de surveillance écrites données Surveillance neurologique 6h Antalgie si douleur Conseils donnés aux parents Surveillance neurologique CT cérébral de contrôle le 04.01.2019 à 08h00, puis Mr. Y prendra rendez-vous à votre consultation la semaine suivante pour le résultat. Arrêt de l'Aspirine prophylactique jusqu'au résultat du CT cérébral. Surveillance neurologique. Discuter imagerie par CT cérébral natif. Surveillance neurologiques aux heures pour 1h puis aux 3 h antalgie si douleur (dafalgan 15mg/kg/dose max 4x/j) Surveillance point de ponction Surveillance hémoglobine Surveillance post-opératoire aux soins intensifs du 03.12 au 04.12.2018 Craniotomie sub-occipitale, hémilaminectomie bilatérale C1, durotomie en Y et décompression de la fosse postérieure (Dr. X) le 03.12.2018 Surveillance post-traumatisme crânien pendant 48-72 h Conseils surveillance traumatisme crânien (brochure donnée aux parents) Surveillance post-bronchoscopie Surveillance post-opératoire après rhinoseptoplastie. Surveillance post-trachéotomie chirurgicale en urgence. Surveillance Pour les contacts avec les femmes enceintes : vérifier leur statut vaccinal Surveillance pour traumatisme crânien pendant les premières 48-72 h à domicile (brochure donnée et expliquée aux parents) Reconsulter en cas de signes d'alarme Contrôle chez pédiatre si persistance de l'anisocorie dans 2-3 jours Surveillance pour une durée de 5 heures aux urgences Consignes données à domicile écrites Surveillance prise alimentaire et du poids Radiographie fémur : retard de croissance, âge estimé à 40 SA US colonne vertébrale distale : aspect normal du rachis distal Radiographie du crâne : synostose de la suture sagittale, avec aspect triangulaire des orbites en rapport. Radiographie du rachis normale Radiographie du bassin normale Avis génétique Surveillance profil tensionnel Bilan de gestose Protéinurie sur 24h CTG 2x/j Cure de maturation pulmonaire les 17.12.2018 et 18.12.2018 Rapport SFLT1/PLGF Surveillance rapprochée Adaptation des intervalles des bolus CAD Surveillance respiratoire et éducation médicamenteuse parentale Surveillance respiratoire par les parents Amoxicilline 25mg/kg 2x/j 10 jours Contrôle pédiatre dans la journée Hydratation fractionnée Surveillance respiratoire, signes d'alarme devant motiver une consultation en urgence sont expliqués à la mère Betnesol, Algifor, Dafalgan Surveillance rythmique aux soins intensifs du 18.12.18 au 19.12.2018 Surveillance saturation SNG : minimum 100mg/kg/j (80ml toutes les 3h) à compléter en fonction de la prise orale Oxygénothérapie Surveillance une heure aux urgences. Prise hydrique de 150ml de thé et 50ml de normolytoral. Établissement d'un plan d'action à domicile avec prise de normolytoral 260ml le matin et l'après-midi, et une prise totale de liquide de 1l/jour minimum. Bon état général, humidification des muqueuses buccales et des yeux. Surveillance 6h aux urgences Hospitalisation pour surveillance aux 2h Surveillance Avis diététique Surveillance Consilium psychiatrique Dr. X Envisager un sevrage avec suivi psychiatrique Surveillance Contention MSG jusqu'au 21.12.2018 Surveillance Contrôle biologique et clinique Hb 07.11.2018 : 95 G/L Ferinject 500 mg le 23.11.2018 Surveillance Discussion d'une imagerie Surveillance. Nous vous laissons le soin de réadapter le traitement anti-hypertenseur si nécessaire. Surveillance Physiothérapie Ergothérapie Surveillances si signes de déshydratation par les parents contrôles réguliers chez le pédiatre Consultation aux urgences si signes d'alarme ou fièvre Surveillance Suivi biologique et clinique US hanche D 26.11.2018 Suspension composante thiazidique du ttt anti-hypertenseur Hydratation (500cc NaCl 0.9% aux urgences puis 1000cc/24h), suivi biologique Suspension des médicaments néphrotoxiques Suivi biologique Suspension des traitements diurétiques transitoires Suivi biologique Suspension du Sintrom du 01.12.2018 au 10.12.2018 Relais par Clexane du 02.12.2018 jusqu'à INR thérapeutique Suspension et immobilisation dans un plâtre • att • ad hosp pour prise en charge chirurgicale le 28.12.18 Suspension transitoire des traitements néphrotoxiques Hydratation i.v. 500 ml aux urgences Suspicion AIT avec troubles phasiques résolutifs. Suspicion angine Plaut-Vincent gauche le 11.04.2018 Suspicion angor instable Suspicion angor instable le 01.12.2018. Suspicion angor instable le 27.12.2018 Suspicion arrachement tendon biceps distal G Suspicion arthrite septique de genou gauche (score de Kocher à 72%) Suspicion arthrite septique genou D Suspicion arthrite septique 3ème MCP main G Suspicion atteinte dégénérative ménisque interne droit le 24.12.2018. Suspicion AVC cérébelleux Suspicion céphalées médicamenteuses sur prise chronique d'antalgiques Suspicion clinique de cupulolithiase. Manoeuvre de Semont. Suspicion clinique de fracture extra-articulaire de l'extrémité distale du radius distal D, 16.12.2018 Suspicion clinique de syndrome de Maigne DD: arthrose colonne dorso-lombaire Suspicion clinique de thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit le 26.10.2018 Suspicion clinique haute d'une polyneuropathie à prédominance sensitive prédominant aux membres inférieurs en aggravation clinique avec extension actuelle aux membres supérieurs, d'origine indéterminée • pas de substrat électrophysiologique actuel (ENMG du 05.07.2018) • bilan étiologique: origine infectieuse (HIV, syphilis, borrelia) exclue, origine vitaminique carentielle (vitamine B1, B6, B12, acide folique) exclues, origine endocrinométabolique (diabète, dysthyroïdie) exclue, origine inflammatoire (y compris autoimmune) raisonnablement exclue (CRP, VS, immunofixation des protéines sériques, etc). • origine paranéoplastique (cancer du sein sous traitement) et contribution de statine possibles Suspicion colique biliaire simple vs colique néphrétique Suspicion coliques néphrétiques bilatérales. Suspicion corps étranger oeil gauche Suspicion crise de chondrocalcinose MSG le 03.12.2018 • Epanchement poignet et main du membre supérieur gauche • DD arthrosique, goutte Suspicion d'abcès dentaire Suspicion d'accident ischémique transitoire le 14.12.2018 • NIHSS à 0 à l'entrée • NIHSS aux soins intensifs 2 • NIHSS à 3 à la sortie Suspicion d'adénocarcinome de la prostate le 03.09.2018 (PSA le 04.09.2018 : 25,9 ng/ml) • IRM (CHUV, 14.09.2018): lésion nodulaire basolatérale G de la zone périphérique 18 x 13 mm avec restriction de diffusion, BIRADS V Suspicion d'AIT Suspicion d'AIT le 08.12.2018 DD: microangiopathique, thromboembolique, sur bas débit (bradycardie) Suspicion d'AIT le 12.12.2018 Suspicion d'AIT le 30.12.2018 vers 6 heures • avec troubles d'équilibre nouveaux, marche à petits pas, sensation d'engourdissement du bras gauche • discrète perte de force M4+ à l'opposition pouce-index gauche, régressive • Schellong sp • absence de nystagmus (lunettes de Frenzel, head-impulse) • NYSS à 0 points • FRCV: hypertension artérielle, rhumatisme • patient sous aspirine Suspicion d'allergie aux protéines de lait de vache Suspicion d'allergie aux protéines du lait de vache DD : gastro-entérite virale, bactérienne Suspicion d'amyloïdose systémique sur gammapathie à chaîne légère avec atteinte cardiaque et rénale probable • diagnostic juin 2018 • pas de biopsie effectuée sur décision du patient Suspicion d'angine à Streptocoques le 09.12.2018 • Critères de Centor : 4/4 • Co-Amoxi 1g 2x/j introduit par le médecin traitant le 11.12.2018 Suspicion d'angine ulcéronécrotique bilatérale. Suspicion d'angor instable le 14.12.2018 Suspicion d'apnée de sommeil • pauses respiratoires selon l'époux Suspicion d'APP (DD adénite mésentérique) Suspicion d'appendagite aiguë. Diagnostic différentiel : colique néphrétique. Suspicion d'appendicite le 19.12.2018 Suspicion d'appendicite 24.12.2018 Suspicion d'arrachement musculaire (triceps droit) avec hématome du bras droit le 15.12.2018 Suspicion d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Suspicion de BPCO non stadée. Tabagisme actif. Suspicion d'artériopathie oblitérante du membre inférieur droit versus déchirure musculaire en 02.2018. Pyéloplastie gauche par lombotomie le 07.06.2017. Pose de sonde double J gauche pour dilatation pyélocalicielle sur probable syndrome de la jonction pyélo-urétérale ou sténose cicatricielle post-multiples interventions digestives le 05.04.2017. Pneumonie basale droite en 02.2015. Multiples opérations abdominales pour ingestions volontaires répétées de corps étrangers (cure-pipes, tournevis, montres). Iléus mécanique en 11.2013. Iléus mécanique sur bride en 05.2010 Subiléus sur corps étrangers (cure-pipes) en 2013. Cure de hernie cicatricielle en 06.2007. Insuffisance veineuse chronique stade III (incontinence de la crosse de la grande veine saphène au membre inférieur droit avec varices tronculaires et incontinence de perforante Cockett 2) • crossectomie, stripping 3/4 proximaux de la veine saphène interne droite, ligature de la perforante de Cockett et phlébectomies étagées au membre inférieur droit pour varices symptomatiques en 06.2010. Pneumonie droite en 06.2007. Status post 4 tentatives. Pneumonie basale droite avec leucopénie en juillet 2018 Dilatation grêle et colique avec douleur sus-pubienne le 14.07.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 124 umol/l le 14.07.2018 • clearance de la créatinine à 84 ml/min (Cockroft). Anémie microcytaire normochrome arégénérative d'origine multifactorielle, inflammatoire, carentielle, le 15.07.2018. crossectomie, stripping 3/4 proximaux de la veine saphène interne droite, ligature de la perforante de Cockett et phlébectomies étagées au membre inférieur droit pour varices symptomatiques en 06.2010. Pneumonie droite en 06.2007. Status post 4 tentamens. Pneumonie basale droite avec leucopénie en juillet 2018 Dilatation grêle et colique avec douleur sus-pubienne le 14.07.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 124 umol/l le 14.07.2018 • clearance de la créatinine à 84 ml/min (Cockroft). Anémie microcytaire normochrome arégénérative d'origine multifactorielle, inflammatoire, carentielle, le 15.07.2018. Suspicion d'artériopathie oblitérante du membre inférieur droit versus déchirure musculaire en 02.2018. Pyéloplastie gauche par lombotomie le 07.06.2017. Pose de sonde double J gauche pour dilatation pyélocalicielle sur probable syndrome de la jonction pyélo-urétérale ou sténose cicatricielle post-multiples interventions digestives le 05.04.2017. Pneumonie basale droite en 02.2015. Multiples opérations abdominales pour ingestions volontaires répétées de corps étrangers (cure-pipes, tournevis, montres). Iléus mécanique en 11.2013. Iléus mécanique sur bride en 05.2010. Subiléus sur corps étrangers (cure-pipes) en 2013. Cure de hernie cicatricielle en 06.2007. Insuffisance veineuse chronique stade III (incontinence de la crosse de la grande veine saphène au membre inférieur droit avec varices tronculaires et incontinence de perforante Cockett 2) • crossectomie, stripping 3/4 proximaux de la veine saphène interne droite, ligature de la perforante de Cockett et phlébectomies étagées au membre inférieur droit pour varices symptomatiques en 06.2010. Pneumonie droite en 06.2007. Status post 4 tentamens. Pneumonie basale droite avec leucopénie en juillet 2018 Dilatation grêle et colique avec douleur sus-pubienne le 14.07.2018. Insuffisance rénale aiguë AKIN I avec créatinine à 124 umol/l le 14.07.2018 • clearance de la créatinine à 84 ml/min (Cockroft). Anémie microcytaire normochrome arégénérative d'origine multifactorielle, inflammatoire, carentielle, le 15.07.2018. Suspicion d'arthrite microcristalline du genou gauche. Suspicion d'arthrite ou d'ostéomyélite à Kingella kingae sans foyer clinique mis en évidence, sous traitement par co-amoxicilline depuis le 21.12 avec apparition d'un rash le 30.12 associé à un prurit. Pas d'état fébrile, pas de vomissements, pas de diarrhée, pas de dyspnée. Ce jour contrôle prévu. Selon la mère amélioration du rash. Suspicion d'arthrite ou d'ostéomyélite à Kingella kingae sans foyer clinique mis en évidence DD: • Ortho (pas d'argument à l'IRM du 18.12): ostéomyélite, spondylarthrite infectieuse, spondylodiscite, fracture (exclue au MIG par radiographies) • Dig: invagination (pas d'argument à l'US abdo) • Gynéco: torsion ovarienne (pas d'argument à l'US abdo) • Uro: lithiase rénale • Onco: leucémie, neuroblastome (pas d'argument à l'IRM), lymphome Suspicion d'arthrite ou d'ostéomyélite à Kingella kingae sans foyer clinique mis en évidence DD: • Orthopédique (pas d'argument à l'IRM du 18.12): ostéomyélite, spondylarthrite infectieuse, spondylodiscite, fracture (exclue au MIG par radiographies) • Digestif : invagination (pas d'argument à l'US abdominale) • Gynécologique : torsion ovarienne (pas d'argument à l'US abdominale) • Urologique : lithiase rénale (stix aligné) • Oncologique: leucémie, neuroblastome (pas d'argument à l'IRM), lymphome Suspicion d'arthrite septique du coude D vs arthrite réactionnelle virale. Germe en cause : S. pyogenes. Suspicion d'aspiration. Suspicion d'attaque de panique le 29.11.2018, dans un contexte d'auto-sevrage d'alcool avec : • Ethylisme chronique depuis 1 an et demi, selon la patiente sevrage depuis 3 jours • Anamnèse : tremblements de tout le corps et dyspnée aiguë, pas de sueurs. Hétéroanamnèse fille : pas de tremblements, pas de dyspnée • Contexte socio-professionnel et financier très difficile, rendez-vous prévu à l'office de l'emploi le 30.11.2018 (ne touche plus ses indemnités de chômage depuis plusieurs mois pour cause de papiers non rendus) Suspicion d'atteinte du LLE genou D avec : • Laxité congénitale ddc mais actuellement D>G • douleur insertion proximale LLE Suspicion d'atteinte rétine oeil gauche. Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC Suspicion d'AVC. suspicion d'AVC suspicion d'AVC suspicion d'AVC suspicion d'AVC Suspicion d'AVC dans le territoire gauche : • sténose carotidienne gauche connue • aphasie avec hypoesthésie du membre inférieur droit Suspicion d'AVC dans le territoire vertébro-basilaire. Suspicion d'AVC de la fosse postérieure. Suspicion d'AVC depuis > 24h (DD: migraines ophtalmiques (1er épisode), thrombose veineuse cérébrale sur prise de CO). Suspicion d'AVC ischémique avec • NIHSS initial 5 points • manque de parole transitoire • Hemisyndrome incomplet à droit (ptose labiale, manque de force membre supérieur droit). Suspicion d'AVC ischémique avec • NIHSS initial 5 points • G-Fast 2 points • manque de parole transitoire • Hemisyndrome incomplet à droit (ptose labiale, manque de force membre supérieur droit). Suspicion d'AVC ischémique cérébelleux gauche le 11.12.2018 DD: sur thrombo embolie post coronographie le 11.12.2018 (plaques aortiques). Suspicion d'AVC ischémique sylvien gauche le 24.12.2018 d'origine indéterminée • Parésie du membre inférieur droit, dysarthrie • NIHSS 3 à l'admission. Suspicion d'AVC ischémique sylvien gauche • Parésie du MID, dysarthrie • NIHSS d'entrée à 3. Suspicion d'AVC mineur / Accident ischémique transitoire sylvien gauche le 14.12.2018 d'origine artério-artérielle • dans le contexte d'une sténose de 80% de l'artère carotide interne gauche • Aphasie globale transitoire, héminégligence sensitive en défaveur de la droite aux membres inférieurs • NIHSS à l'entrée: 1 point. Suspicion de boursite olécrânienne inflammatoire G post-traumatique (trauma le 30.11.18). DD: contusion coude. Suspicion de BPCO de stade inconnu avec : • emphysème centro-lobulaire (diagnostic à l'Inselspital en 10.2017) • 45 UPA (1-1.5 paquet par jour pendant 30 ans, depuis 1 an 5-6 cigarettes par jour) • pas de fonction pulmonaire. Suspicion de bronchite spastique: Ventolin 3 x 2 pushs/jour. Suspicion de canal spinal étroit sur spondylarthrite cervicale. Syndrome du tunnel carpien à droite, sous-clinique. Troubles dépressifs récurrents. Obésité. Syndrome de stress post-traumatique. Syndrome douloureux chronique. Suspicion de candidose oropharyngée + aphtes • Aphte chronique de la langue sur lésion dentaire • Haute suspicion d'une mycose oesophagienne le 02.05.2018 • DD : immunosuppression haute dose sous Prednisone, néoplasie. Suspicion de capsulite de l'épaule G dans le contexte d'une déchirure du tendon supra-épineux. Suspicion de choc anaphylactique au Tracrium le 11.12.2018. Suspicion de cholangite vs colite avec état fébrile et diarrhées le 27.11.2018. Suspicion de Cholecystite / Lithiase vésiculaire. Suspicion de cholécystite aiguë débutante le 29.12.2018. Suspicion de cholécystite non compliquée le 11.11.2018 • Flagyl en intraveineux du 11.11 au 13.11.2018 • Rocéphine en intraveineux du 11.11 au 12.11.2018 • Ciproxine par voie orale du 13.11. au 16.11.2018 • Rocéphine en intraveineux du 16.11. au 21.11.2018. Suspicion de chondrocalcinose cheville G le 10.12.2018 • Lc 14.6 G/l et état subfébrile à 37.5° • notion anamnestique de douleurs sporadiques aux niveau des articulations dans le passé.• poignet droit main droit • épaule droite • genou droit • Suspicion de chorioamnionite • Suspicion de chorio-amniotite en per partum. • Suspicion de colique néphrétique gauche. • Suspicion de colique néphrétique gauche le 24.12.2018. • Suspicion de colique néphrotique D • Suspicion de colite transverse, DD abcès profond, diverticulite, gastro-entérite • Suspicion de compression du nerf cubital au niveau du coude D. DD : • status post irritation du plexus brachial suite à l'accident de travail du 07.06.2017 • suspicion d'instabilité du long chef du biceps D. • Suspicion de compression du nerf cubital loge de Guyon D sur status post fracture intra-articulaire P1 D5 main D. • Suspicion de contamination par Vancomycine résistant enterococcus Transfert de l'hôpital de l'Inselspital frottis rectal négatif • Suspicion de corps étranger dans l'œil droit le 14.12.2018. • Suspicion de corps étranger dans l'œil gauche • Suspicion de corps étranger dans l'œil gauche. • Suspicion de crise de chondrocalcinose le 30.11.2018 • Suspicion de crise d'épilepsie • Suspicion de crise d'épilepsie le 15.12.2018 - chez un patient avec antécédent d'une crise d'épilepsie en 2010 avec traitement prophylactique arrêté après 3 mois • Suspicion de crise d'épilepsie partielle focale DD malaise d'origine cardiaque le 30.11.2018 PTH D sur coxarthrose AIT en 2012 (IRM normale selon patient) Plaie pouce G en juin 2014 Angor instable en août 2015 OP péritonite perforée dans l'enfance S/p op décollement de rétine ddc en 1993 et plus tard date inconnue Fracture sous-capitale humérus avec déchirure de la coiffe des rotateurs en 1994 Fracture processus transverse de L3 D; le 06.01.2016 Contusion muscle fessier D • Suspicion de crise épileptique le 15.12.2018 - chez une patiente avec antécédent d'une crise d'épilepsie unique en 2010 avec traitement prophylactique arrêté après 3 mois • Suspicion de cystite afébrile • Suspicion de déchirure du labrum de l'épaule gauche. • Suspicion de déchirure du ligament latéral interne +/- ménisque interne. • Suspicion de décollement de la rétine droite. Diagnostic différentiel : saignement du corps vitré. • Suspicion de décompensation cardiaque légère en octobre 2016 Pancréatite sévère post-ERCP 12.2014 Cholécystectomie 05.2015 Appendicectomie Hystérectomie et ovariectomie pour un carcinome en 1970 - Embolie pulmonaire en postopératoire • Suspicion de décompensation psychotique : - dans un contexte de stress important. • Suspicion de dépression avec tentative de traitement par Mirtazapine le 27.08.2017. Lombosciatalgie non-déficitaire droite. • Suspicion de dépression réactionnelle, DD : dysthyroïdie (voir diagnostique supplémentaire n.1) avec : - Asthénie importante, perte pondérale - Électrolytes alignés le 19.09.2018 • Suspicion de dermite de stase dans le contexte d'une insuffisance cardiaque • Suspicion de dermohypodermite de l'oreille gauche sur probable otite externe. • Suspicion de dermohypodermite débutante pied gauche : - onychomycose gros orteil gauche. • Suspicion de dermohypodermite du membre inférieur droit. • Suspicion de descellement prothèse hanche droite suivi chez Dr. X • Suspicion de douleurs arthrosiques articulation AC droite sur status post : - fracture pluri-fragmentaire de la clavicule latérale droite en novembre 2007. • Suspicion de douleurs arthrosiques articulation AC droite sur status post : - fracture pluri-fragmentaire de la clavicule latérale droite en novembre 2007. • Suspicion de dysfonction du pacemaker le 15.12.2018. • Suspicion de dysgénésie du corps calleux • Suspicion de fascéite plantaire droit • Suspicion de fascéite plantaire droit • Suspicion de fibrillation auriculaire tachycarde paroxystique dans le contexte du diagnostic 1 • Suspicion de fistule anale le 19.12.2018 - contexte d'abcès anal drainé en octobre 2018 • Suspicion de fistule recto-vaginale le 26.11.2018 - s/p résection antérieure basse en 2010 pour un adénocarcinome de la jonction recto-sigmoïdienne • Suspicion de formation phlegmoneuse débutante au niveau de l'espace péri-tonsillaire gauche le 14.12.2018. DD : remaniements inflammatoires post-extraction de 3 dents de sagesse. • Suspicion de fracture A1 au niveau L2 et suspicion de fracture de sacrum • Suspicion de fracture de la glène épaule droite • Suspicion de fracture de la tête du 3ème métacarpe à droite le 18.12.2018 • Suspicion de fracture de la tête radiale D versus fracture non déplacée du condyle interne du coude D du 16.12.18. • Suspicion de fracture de vertèbre Th 8, 9 et L1 • Suspicion de fracture des côtes 8-10 à gauche le 29.10.2018. • Suspicion de fracture des os propres du nez sur traumatisme le 19.12.18. • Suspicion de fracture du coccyx • Suspicion de fracture du scaphoïde droit 16.12.2018. • Suspicion de fracture du scaphoïde main G • Suspicion de fracture ischio-pubienne gauche le 08.12.2018 sur chute de sa hauteur avec TC • Suspicion de fracture maintenue lors du colloque radio-ortho. Pas de CT pour cette indication à cet âge. • Suspicion de fracture non déplacée de la côte 8 à droite. • Suspicion de fracture P2 D1 avec troubles de la sensibilité (DD : contusion de la phalange distale) • Suspicion de fracture Salter II en cours de consolidation de la base de P2D2 droite • Suspicion de fuite biliaire dans un contexte de S/p cholécystectomie le 07.12.2018 pour cholélithiase symptomatique (Dr. X) • Suspicion de gale • Suspicion de gale - DD : eczéma • Suspicion de gale le 01.12.2018. • Suspicion de gastrite • Suspicion de gastrite le 27.12.2018. • Suspicion de gastrite sur Maltofer et AINS 24.12.2018. • Suspicion de gastro-entérite virale. • Suspicion de gastroentérite virale, DD : réaction d'intolérance au lactose ou gluten. • Suspicion de glioblastome multiforme frontal droit - IRM le 27.11.2018 • Suspicion de HCV. • Suspicion de HELLP - DD pré-éclampsie • Suspicion de Korsakow (01/2016) Traumatisme crânien sur chute de sa hauteur dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 18.07.2013 avec : - important hématome sous-galéal frontal droit et hémorragie sous-arachnoïdienne de l'insula à droite, contusion frontale bilatérale, multifocale à droite, hémorragie sous-arachnoïdienne de la citerne basale gauche • Suspicion de Korsakow (01/2016) Traumatisme crânien sur chute de sa hauteur dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 18.07.2013 avec : - important hématome sous-galéal frontal droit et hémorragie sous-arachnoïdienne de l'insula à droite, contusion frontale bilatérale, multifocale à droite, hémorragie sous-arachnoïdienne de la citerne basale gauche Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie de broncho-aspiration, secondaire à l'état de mal le 24.11.2018 - IOT (Cormack 2) et ventilation mécanique du 25.11.2018 au 04.12.2018 - Pipéracilline-Tazobactam du 25.11.2018 au 02.12.2018 Syndrome de renutrition inappropriée dans un contexte de dénutrition protéino-calorique le 26.11.2018 Probable encéphalopathie métabolique chronique DD syndrome de démence débutant ; avec : - Désorientation temporo-spatiale - Hétéroagressivité - Absence de capacité de discernement Bilan neuropsychologique Transfert à l'Hôpital de Marsens Problématique sociale, avec : Encéphalopathie hépatique, confusion, pas de capacité de discernement Pas de proche pour fournir assistance (1 frère en Afrique, 1 frère avec très peu de contact) N° des frères : Thomas : 079 793 55 71, Lukas : 078 803 02 90, +254 729 416 982 - passage de la juge de paix le 28.12 à 14h30 État de mal épileptique partiel tonico-clonique le 24.11.2018 : DD : séquelles d'hémorragie cérébrale sous-corticales frontales bilatérales de 2013/encéphalopathie hépatique/composante de sevrage OH anamnestique Laboratoire: ammoniémie : 45 micromol/l le 29.11.2018, 75 micromol/L le 01.12.2018 • Phénytoïne libre le 13.12.2018: 12%, Phénytoïne totale: 71 micromol/L • Lévétiracétam sanguin 03.12.2018: 36.1 micromol/L • CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux le 24.11.2018: absence d'hémorragie intracrânienne récente, vaisseaux perméables, pas de masse. • IRM cérébrale le 30.11.2018: lésions séquellaires frontales connues. Atrophie cortico-souccorticale généralisée. • EEG le 26.11, le 27.11, le 28.11, le 29.11, le 30.11, le 03.12.2018: disparition des PLEDs et moins d'arguments électroencéphalographiques pour des crises électriques. Il persiste un foyer épileptique gauche à départ fronto-temporal gauche. • EEG le 17.12.2018 (rapport oral Dr. X): difficilement interprétable en raison de mouvement, pas d'état de mal, pas de foyer irritatif, encore quelques signes d'encéphalopathie. • Test de la déglutition anormal le 08.12, en amélioration le 10.12. • Avis neurologue (Dr. X) le 11.12.2018: actuellement composante importante d'encéphalopathie hépatique, diminution du VImpat dès le 17.12 à raison de 100 mg/semaine au vu du risque de troubles du rythme avec la phénytoïne. Poursuite sevrage du Lacosamide 100 mg/semaine débuté le 17.12 et stop Lévétiractam le 25.12.2018 si bonne évolution clinique. Cirrhose d'origine éthylique/HCV CHILD C (10 points)/MELD 12 points le 10.12.2018, avec: • Encéphalopathie hépatique le 25.11.2018: ammonium 83 micromol/L le 06.12.2018, 50 micromol le 12.12.2018 • US abdominal le 28.11.2018: ascite en quantité modérée. Lactulose, Cible: 3 selles molles/jour. Indéral. Xifaxan 2x/j. Suivi ascite (poids et périmètre abdominal). En cas d'agitation, préférer les benzodiazépines. Bicytopénie. • Anémie normochrome, macrocytaire hyporégénérative à 106 g/L le 10.12.2018. • Thrombopénie dans un contexte de cirrhose hépatique à 115 G/L le 10.12.2018. Suivi biologique. Malnutrition protéino-énergétique grave NRS 6/7. • dans un contexte d'éthylisme chronique. • Nutrition entérale du 24.11.2018 au 19.12.2018. Reprise alimentaire per os dès le 19.12.2018 mixée lisse sous surveillance. Conseil et traitement diététique, au moins 2 unités de traitement. Anévrisme de 4x3 mm dans la partie supra-clinoïdienne de l'artère carotide interne droite et anévrisme de 2 mm du segment P4 de la cérébrale postérieure droite. • Découverte fortuite sur IRM du 30.11.2018. Rediscuter prise en charge à distance selon évolution. Troubles électrolytiques: • Hyponatrémie légère. • Hypokaliémie légère. Suivi biologique. Suspicion de kyste cervical latéral à gauche le 22.12.2018. DD: nodule thyroïdien? Suspicion de kyste scapho-lunaire poignet droit symptomatique. Suspicion de kyste scapho-lunaire poignet gauche. Suspicion de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite le 01.12.2018. Suspicion de lésion du ligament collatéral ulnaire MCP 1 G. Suspicion de lésion du ménisque externe du genou droit. Suspicion de lésion du ménisque externe gauche le 13.12.2016. Suspicion de lésion du ménisque interne du genou droit. Suspicion de lésion du ménisque interne gauche, le 30.12.2018. Suspicion de lésion méniscale genou gauche. Suspicion de lésion pivot central genou gauche, le 02.12.2018. Suspicion de lésion SLAP épaule droite. DD troubles fonctionnels. Perte de sensibilité d'origine X en fin de journée suite à des efforts au niveau du membre supérieur droit. Suspicion de lésions ostéo-condensantes au niveau de l'os iliaque et fémoral à droite. DD: métastases. Suspicion de leucémie (69.5% de blastes). Suspicion de luxation PTH gauche. Suspicion de maculopathie pseudo-vitelliforme avec un strabisme des deux côtés, diagnostiqué en 2014. Suspicion de maladie de la jonction pyélo-urétérale droite. Suspicion de maladie psoriasique. Pied pronateur. Morphotype en valgus membres inférieurs. Séquelles d'Osgood-Schlatter. Douleurs antérieures du genou. Suspicion de malnutrition protéino-énergétique. Suspicion de micro-fracture au niveau de la phalange proximale de l'auriculaire gauche, suspicion clinique d'avulsion de la plaque palmaire au niveau de PIPJ. Suspicion de microfracture au niveau de la phalange proximale du doigt 5. Suspicion clinique d'avulsion de la plaque palmaire au niveau de l'IPP. Suspicion de micro-hémorragie du cavernome thalamique G le 03.12.2018. Suspicion de mitochondriopathie indéterminée avec encéphalopathie sous Nervifène, Keppra et Phénobarbital avec: • retard du développement. • crises convulsives. Insuffisance cardiaque sévère avec FeVG à 9% dans le contexte d'une cardiopathie dilatée. Alimentation par PEG. Suspicion de morsure de tique. Suspicion de mycose inguinale. Suspicion de mycose invasive. Suspicion de mycose invasive d'origine peu claire DD abcès dentaire avec: • Radio Thorax: atélectase bibasale. • Labo: CRP: 91, Leuc 18.3 G/L. • S/p AVC ischémique bras postérieur de la capsule interne gauche et thalamus à droite, origine micro-angiopathie probable le 14.01.2015 avec syndrome extra-pyramidal, troubles cognitifs, dysarthrie et troubles de la déglutition. • Résultat du frottis buccal: colonisation par Candida Albicans. • Expectorations: candida albicans ++. • Consilium ORL 23.11.2018: gingivostomatite floride. Aucun argument pour une atteinte fongique invasive. Suspicion de mycose oro-pharyngée-oesophagienne le 13.12.2018. Suspicion de myocardite infirmée. Suspicion de naevi desmoplasique. Suspicion de NASH (hépatite stéatosique non-alcoolique) en 2004. Hernie discale opérée en 1998. Status après cholécystectomie en 1997. Status après pancréatite en 1997. Hépatite A guérie. Hépatite B guérie. Douleurs thoraciques atypiques droites le 26.06.2017. Suspicion de NSTEMI: • Troponines 183 ng/L en pré-dialyse, H1 164, H3 281 ng/L après dialyse. • CK/CK-MB avec cinétique positive. Suspicion de péritonite bactérienne spontanée le 08.12.2018. • syndrome inflammatoire biologique. • élément à 338/mm3 dans la ponction d'ascite, 0% de polynucléaires, 78% mono-macrophages. • douleurs abdominales. Suspicion de phlegmon de la gaine des fléchisseurs de l'index gauche, le 22.12.2018. Suspicion de phlegmon de la gaine des fléchisseurs, index gauche. Suspicion de PID, le 30.12.2018. • Transfert de Riaz pour US abdominal et suite de prise en charge. Suspicion de placenta accreta antérieur chez patiente connue pour utérus bi-cicatriciel. Suspicion de pleurésie infectieuse chez un patient porteur de PleurX, le 04.09.2018: • Tazobac 4.5g 3x/jour du 05.09.2018 au 11.09.2018. Accident vasculaire cérébral ischémique le 21.10.2017: • Territoire de l'artère vertébrale gauche et artère cérébrale moyenne gauche. • Étiologie probablement cardio-embolique sur fibrillation auriculaire. Embolies pulmonaires centrales droite et segmentaires gauche le 24.09.2010. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche le 18.09.2010. Thrombopénie d'étiologie indéterminée le 21.09.2010 Dermohypodermite à staphylocoque du membre inférieur gauche en 2010 Résection transurétrale de la prostate et cholécystectomie en 2009 Status après résection sigmoïdienne pour diverticulites en 2002 Status après rupture du tendon d'Achille après traitement par quinolones Status après résection d'un carcinome spinocellulaire thoracique en 2011 Opération des voies biliaires et cure de hernie diaphragmatique en 1970 Hypercalcémie de probable origine paranéoplasique avec : • Calcium corrigée à 2.76mmol/l le 30.07.2018 • Suspicion de pneumonie • Suspicion de pneumonie • DD : bronchite asthmatiforme. • Suspicion de pneumonie basale à droite. • Suspicion de pneumonie le 28.12.2018 • Suspicion de pneumonie tumorale • afébrile • Suspicion de pneumonie 19.12.2018 • Consolidation pulmonaire en U/S, Pas de foyer clair en radio • DD péricardite (épanchement péricardique) • Suspicion de pneumonies nosocomiales • Suspicion de poussée de SEP r-r : DDx : • Phénomène de Uthoff • Guillain-Barré (peu probable) • Suspicion de premier épisode de migraine le 26.12.2018. • Suspicion de progression de lymphome • Suspicion de pseudo-anévrisme A. fémorale dt avec fistule cutanée, saignement discret en permanence • post pose de Mitraclip par abord fémoral dt le 03.12.2018 • saignement point de ponction avec mise en place de Femostop • Suspicion de pyélonéphrite, DD appendicite rétrosécale • Suspicion de pyélonéphrite gauche débutante. • Suspicion de récidive de fracture de Jones 5ème métatarsien droit. • Suspicion de récidive de thrombose de la veine mésentérique le 27.11.2018 • Suspicion de récidive d'une hémorragie digestive basse vs haute le 22.11.2018 dans le contexte d'anticoagulation prophylactique • s/p hémorragies gastro-intestinales basses en 03 + 06/2018 sur diverticulose et anticoagulation • Hb 77 g/L le 22.11.2018 • Recherche du sang occulte dans les selles : positif le 23.11.2018 • Suspicion de récidive métastatique pulmonaire au niveau du lobe inférieur droit d'un léiomyosarcome utérin FIGO IIIA (L1 V2 R1) • date du diagnostic : mai 2008 • status post-laparotomie médiane avec hystérectomie et annexectomie bilatérale en mai 2008 • status post-radiothérapie à visée curative sur le bassin en juin 2008 (54 Gy) • récidive abdominale en août 2014 : 2 tumeurs de l'épiploon et 1 tumeur fixée sur le côlon sigmoïde • status post-résection de 3 masses tumorales avec résection segmentaire du sigmoïde et anastomose latéro-terminale le 20.08.2014 (1ère récidive tumorale) • status post-laparotomie de révision, démontage de l'anastomose colorectale et descendostomie terminale selon Hartmann, lavage abdominal sur lâchage de l'anastomose sigmoïdienne et péritonite le 28.08.2014 • status post-chimiothérapie par Taxotere/Gemzar du 29.10.2014 au 11.02.2015 (4 cycles complets, dernière cure sans Taxotere) • status post-rétablissement de continuité iléo-colique le 09.09.2015 • status post-résection atypique de la lingula (lobe supérieur gauche) par thoracoscopie le 25.02.2016 pour métastase pulmonaire unique (2ème récidive) • CT thoracique du 14.10.2016 : apparition d'une lésion de 8 mm au niveau du lobe inférieur droit suspecte de métastase • tumor board du 26.10.2016 : ad métastasectomie par thoracoscopie Thoracoscopie droite, Wedge lobe inférieur droit 2x, sampling ganglionnaire 11 et 12 en électif le 17.11.2016 Anti-thrombotique prophylactique • Suspicion de récidive tumorale d'un carcinome ovarien bilatéral stade initial FIGO IIIC opérée en 2007, chez une patiente de 68 ans, 2 gestes 2 pares • Suspicion de reflux gastro-oesophagien le 14.12.2018. • Suspicion de reflux gastro-oesophagien • sur brûlures d'estomac le 06.12.2018 • Suspicion de rupture complète du tendon d'Achille droit, le 16.12.2018. • Suspicion de rupture du ligament collatéral interne genou G. • Suspicion de saignement amygdale gauche d'origine indéterminée • Suspicion de sarcoïdose avec atteinte pulmonaire bilatérale et ganglionnaire médiastinale • PET-CT FDG du 22.10.2018 : multiples hypercaptations pulmonaires bilatérales, hilaires et médiastinales. • Bronchoscopie avec EBUS du 23.10.2018 : absence de lésion endo-bronchique suspecte de tumeur. Présence de multiples adénopathies médiastino-hilaires et inter-lobaires. • Histopathologie (PROMED C2018.1338 + P2018.1283) : lymphocytose alvéolaire (23%) en présence d'agrégats micronodulaires de macrophages épithélioïdes sans cellule tumorale. Biopsies trans-bronchiques du segment latéro-basal du lobe inférieur droit avec fibrose légère et dépôts silico-anthracosiques macro-phagocytaires du tissu péri-bronchiolaire. Station 4,7,11 L et 4 L avec granulome épithélioïde et multinucléé, par endroit agrégé et dépôts silico-anthracosiques macro-phagocytaires jusqu'à modérer du tissu lympho-réticulaire. • Fonctions pulmonaires complètes du 22.10.2018 : dans la norme • Thoracoscopie uni-portale, résection extra-anatomique partielle du lobe inférieur gauche et excision ganglionnaire station 5 et 10 gauche le 22.11.2018 • Suspicion de sarcoïdose avec : • ténosynovite à répétition prédominante aux membres supérieurs ainsi que douleurs lombaires basses possiblement dans le cadre d'une spondylarthropathie. • Polyarthrite d'étiologie indéterminée. • Nodule pulmonaire et hypertrophie ganglionnaire hilaire. • Nécrose testiculaire bilatérale avec status post-biopsie testiculaire le 09.03.2015. Hypertension artérielle probablement primaire : • Élévation de l'enzyme de conversion de l'angiotensine. Hyperparathyroïdisme persistant sur probable hyperplasie des 4 glandes parathyroïdiennes avec : • Status post-exploration cervicale bilatérale avec excision d'adénomes parathyroïdiens inférieurs droits et inférieurs gauches le 16.12.2015. • Recherche de la mutation des gènes MEN-1 et RET négative (01.11.2017). Macro-angiopathie avec : • Occlusion de l'artère ulnaire droite et sténose des artères tibiales antérieures, syndrome de Raynaud à prédominance droite. • Anomalie de l'axe fémoral droit probablement d'origine constitutionnelle. Tabagisme actif. • Suspicion de sarcoïdose stade IV radiologique, avec oxygénothérapie au long cours • non biopsiée • Suspicion de sartorius snapping syndrome DD : plica mediopatellaris Lésion cartilagineuse rotulienne sur le versant interne genou G. • Suspicion de schizophrénie (pas diagnostiqué, Suivi par Psychologue Dr. X) avec péjoration depuis 1 mois avec scarifications, fugue, idées noires. • Suspicion de sclérose tubéreuse de Bourneville Hypertension artérielle dans un contexte de reins polykystiques bilatéraux • Suspicion de SIADH dans contexte de pneumonie • Suspicion de sialolithiase. • Suspicion de sinusite maxillaire sur infection d'origine dentaire au niveau de la canine supérieure droite (dent 13) avec œdème palpébral réactionnel au niveau de l'œil droit • Suspicion de subluxation huméro-ulnaire droite le 24.12.2018. • Suspicion de surinfection cutanée • Suspicion de syndrome d'apnées du sommeil. • Suspicion de syndrome d'apnées du sommeil non appareillé BPCO non stadée Cardiopathie valvulaire et ischémique • FEVG 65 % (2017) • maladie bitronculaire avec double pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, Vx/IVP) le 30.01.2017 • sténose aortique avec remplacement valvulaire par prothèse biologique Magna Ease de 23 mm pour sténose aortique sévère, fait par Dr. X le 30.01.2017 Lipome pré-pectoral droit avec biopsie (bénin) le 30.01.2017 Antrite érosive avec suspicion de sténose duodénale inflammatoire le 19.04.2017 Diverticulose colique avec suspicion de diverticulite sigmoïdienne légère et résection de 8 polypes le 19.04.2017 Suspicion de syndrome de Gilbert Suspicion de syndrome des loges du membre inférieur droit. Suspicion de syndrome du tractus ilio tibialis du genou gauche. Suspicion de syndrome du tunnel carpien G latent. Status post cure de tunnel carpien D en 2015 (Neuchâtel). Suspicion de syndrome du tunnel tarsien à D. Fasciite plantaire à D. Suspicion de syndrome Parkinsonien DD S/p AVC, Parkinson atypique de type (PSP) le 16.05.2018 • hémisyndrome gauche léger avec faiblesse à la jambe D, et trouble de sensibilité dans la main droite. hypomimie, hypophonie, phénomène de la route dentée, paralysie de la verticalité du regard Suspicion de syndrome radiculaire L5 D chez une patiente connue pour une maladie de Scheuermann. DD : tendinite du tensor fascia lata D. Suspicion de syndrome sec • test de Schirmer pathologique DD : sous traitement de fluoxétine Suspicion de tachycardie supraventriculaire jonctionnelle avec réentrée le 18.12.2018 avec: • résolution spontanée Suspicion de tendinopathie du LCB épaule droite. Suspicion de tendinopathie du tendon du LCB épaule droite. Suspicion de ténopathie du long chef du biceps de l'épaule droite avec • lésion transfixiante partielle du tendon du sus-épineux • status post résection AC droite en 2011 (Dr. X) Status post infiltration du sillon bicipital D le 12.10.2018. Élévation amylase et lipase d'origine inconnue. Suspicion de tentative de suicide avec prise OH + médicamenteuse (12 x Novalgine) le 26.12.2018 • s/p 2 tentatives de suicide il y a 20 ans Suspicion de thrombose de la veine ovarienne à D Suspicion de thrombose de la veine ovarienne à droite Suspicion de thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche le 31.12.2018 • DD : Insuffisance veineuse. Suspicion de thrombose veineuse profonde, mollet gauche Suspicion de thrombose veineuse superficielle de l'avant-bras gauche. Kyste arthro-synovial de la face palmaire du poignet droit. Kyste arthro-synovial de la face dorsale du poignet gauche. Suspicion de tinea pedis et unguium pied D Suspicion de torsion ovarienne DD GEU le 10.12.2018 Suspicion de torsion ovarienne gauche DD APP Suspicion de TRALI le 16.10.2018 Suspicion de trouble de la personnalité non spécifié Suspicion de trouble dépressif léger le 30.11.2018 avec: • baisse de l'élan vital, inappétence, labilité émotionnelle Suspicion de trouble neuro-cognitif léger avec • trouble de mémoire, difficulté de concentration évoluant depuis 1 année (hétéro-anamnèse) DD : dans contexte d'hypoxémie chronique Suspicion de troubles cognitifs • BEG depuis juin 2018 selon fille, avec troubles mnésiques et confusion en progression • désorientation Suspicion de troubles cognitifs chroniques. Suspicion de troubles du sommeil REM d'origine à préciser : • contexte familial (génétique ?) de maladie de Parkinson • contribution médicamenteuse (antidépresseur de type sérotoninergique) non exclue Suspicion de tumeur urothéliale sur le CT du 22.12.18 (masse au niveau de l'uretère) Suspicion de TVP poplitée droite le 11.12.2018 Suspicion de varicocèle bilatérale. Eruption papulo pustuleuse le 19/11/18. DD = iatrogénie en lien avec le méthotrexate. Suspicion de vertiges dans le cadre d'hypertension artérielle symptomatique. Suspicion de vertiges paroxystiques positionnels bénins. Suspicion de vessie neurogène. DD : infections à chlamydia, gonocoque. Suspicion d'eczéma d'origine indéterminée Suspicion d'embolie pulmonaire. Suspicion d'embolie pulmonaire (D-Dimères à 1282.99 ng/ml) Suspicion d'embolie pulmonaire le 21/06/18. Décompensation cardiaque globale à prédominance droite le 06.04.2017. AVC cardioembolique en 07.2009. Hernie inguinale 2003. Polymyalgia rheumatica en 1998. Cholecystectomie 1995. Hémangiome hémi-face droite réséqué 1960. S/p PTH à gauche. Infection urinaire basse le 01.02.2018 DD : prostatite aiguë. Déconditionnement physique suite à : • Décompensation cardiaque globale sur insuffisance cardiaque droite et gauche NYHA IV le 01.02.2018 DD : infectieux / Asynchronisme sur pacemaker • fibrillation auriculaire • pose d'un pacemaker Medtronic, modèle Percepta Quad CRT-P MRI SureScan W4TR04 en mode stimulation VVIR (15.02.2018) • carence sévère en Vitamine D 16 nmol/l (20.02.2018) • physio- et ergothérapie • substitution de Vitamine D Décompensation cardiaque globale sur insuffisance cardiaque droite et gauche NYHA IV le 01.02.2018, diagnostic différentiel : infectieux, asynchronisme sur pacemaker : • Pro-BNP 32788 ng/l (le 01.02.18), 6763 ng/l (le 20.02.18) • ECG le 01.02.2018 : FC 64/min, QRS 170 ms, QT 498 ms, QTc 519 ms. Bloc de branche gauche. • Resynchronisation le 15.02.18 : pose d'un pacemaker Medtronic, modèle Percepta Quad CRT-P MRI SureScan W4TR04 en mode stimulation : VVIR • Echocardiographie le 02.02.18 : discrète dilatation du VG d'origine ischémique avec une hypokinésie globale sévère. FEVG à 30% (difficile à estimer). Hypertrophie excentrique. Diminution du débit cardiaque (77% de la théorique). Insuffisance mitrale modérée (grade 2/4). Dysfonction diastolique non stadifiable en raison de FA. Élévation des pressions de remplissage VG. Oreillette gauche très dilatée. Dilatation importante du VD avec la fonction systolique modérément altérée. Dilatation importante des cavités droites. Cinétique paradoxale du septum sur surcharge en volume et pression du VD avec D shaping. HTAP modérée à sévère (PAPs à 59 mmHg). Insuffisance tricuspide moyenne (grade 3/4). • ECG 20.02.2018 : rythme régulier s/p pacemaker, QRS fin, QTc 494ms, ST isoélectrique • RDV de contrôle du pacemaker en cardiologie le 20.03.2018 à 16h00 chez le Dr. X Fibrillation auriculaire dès le 02.2017 • CHA2DS2VASc Score le 19.02.18 : 7 points avec un risque d'AVC à 9.6% • Resynchronisation le 15.02.18 : pose d'un pacemaker Medtronic, modèle Percepta Quad CRT-P MRI SureScan W4TR04 en mode stimulation : VVIR Insuffisance rénale chronique sévère Stade 4 • Acutisation le 01.02.18 avec épisode d'insuffisance rénale aiguë AKIN I d'origine pré-rénale DD : prise d'AINS • Laboratoire 01.02.2018 : Créat 278 mcmol/l, MDRD : 20.4 ml/min/1.73 m², FE urée 19%; • MDRD le 16.02.18 : 29.8 ml/min/1.73 m² • GFR selon CKD EPI 27.2 ml/min/1.73m2, Creat 195 umol/l, Urée 14.6 mmol/l (20.02.2018) • GFR selon CKD EPI 25 ml/min/1.73m2, Creat 209 umol/l, Urée 17.9 mmol/l (26.02.2018) • Suivi biologique • Stimulation à boire Dysélectrolytémie : • hypomagnésiémie : 0.76 mmol/l (le 20.02.18) • suivi biologique • substitution Mg Anémie normocytaire hypochrome ferriprive DD : infectieux / rénale • bilan d'anémie (le 07.02.18) : normal • Ferinject 500 mg 1x/j du 07-09.02.2018 • Hb 90 g/l (20.02.2018), 100 g/l (28.02.2018) • Suivi biologique Douleur au coude gauche. Diagnostic différentiel : arthrite aiguë. Suspicion d'embolie pulmonaire. Score de Genève modifié 5 points (risque modéré). Diagnostic différentiel : parotidite virale. Suspicion d'endocardite à Staphylocoque capitis le 08.12.2018 • 1 critère mineur, pas de critère majeur • consultation de suivi Suspicion d'entorse bénigne du ligament péronéo-astragalien gauche Examen clinique Bilan radiologique Antalgie et AINS Bande élastique Arrêt de travail jusqu'au 22.11.17 Contrôle à 1 semaine chez le médecin traitant Suspicion d'entorse de grade I-II du ligament latéral interne du genou gauche. Suspicion d'EP asymptomatique en juillet 2017 (Payerne) FA non anticoagulée (antécédent hémorragique) Diabète de type 2 non insulino-récurent Tabagisme passif Ectasie de 46 mm de l'aorte ascendante État dépressif Suspicion d'épilepsie focal sous forme d'absence dans un contexte de méningiome frontal • EEG dans les limites de la norme août 2018 • Sous Orfiril depuis août 2018 • Taux médicamenteux infra-thérapeutiques récidivants Suspicion d'épisode hypo-maniaque le 11.01.2015. • avis psychiatrique (par téléphone) : probable épisode hypo-maniaque. Pas de mise en danger nécessitant une hospitalisation en urgence. Poursuivre le suivi en ambulatoire ou hospitalier selon souhait du patient. Calculs rénaux 1992. Douleurs abdominales flanc gauche d'origine indéterminée le 31.10.2015. Suspicion d'épistaxis postérieur DD : RGO Suspicion d'érysipèle. Suspicion d'érythrodermie généralisée d'origine indéterminée avec atteinte systémique le 09.08.2018 : • DD maladie de Still de l'adulte, lymphome, médicamenteux Sinusite maxillaire gauche en 2013 Suspicion déscellement PUC genou D avec suspicion d'infection low-grade sur statut post-imposition d'une PUC médiale genou D par le Dr. X à la Clinique Moncor le 11.10.2017. Suspicion d'état confusionnel hypoactif persistant : • Contexte de syndrome inflammatoire d'origine indéterminée et troubles cognitifs sous-jacents Suspicion d'érythème migrant suite à une piqûre de tique. Suspicion d'hémorragie digestive haute. Suspicion d'hémorragie digestive haute probable le 19.11.2018, DD sur ulcère, DD varices œsophagiennes avec signe d'état de choc. Suspicion d'hémorroïdes internes. Suspicion d'hernie incarcérée • Anamnestiquement, vomissements de couleur noire, 2 fois. Patient qui ne s'alimente plus depuis 2 jours US abdominal du 19.12.2018 : Hernie graisseuse sans liquide dans les tissus mous, pas d'intestin visualisé dans l'hernie. Suspicion d'herpès génital. DD : bactérien. Suspicion d'hyperémèse gravidique, le 17.12.2018. Suspicion d'hyperthyroïdie. Suspicion d'iléus. Suspicion d'iléus. Suspicion d'iléus initial le 19.12.2018 • Motif de consultation : Douleurs hémi-abdomen gauche, bruits métalliques, niveaux hydro-aériques dans l'ASP (MedHome) • Clinique initiale à 19h30 (Dr. X) : Défense, détente hémi-abdomen gauche, bruits métalliques • Résolution complète des symptômes et signes cliniques aux urgences (Dr. X vers 20h30) • DD hernie interne glissante Suspicion d'iléus mécanique sur carcinose péritonéale. Suspicion d'impaction d'un corps étranger au niveau œsophagien haute. Suspicion d'infection des voies respiratoires le 03.12.2018. Suspicion d'infection urinaire. Suspicion d'infection urinaire. Suspicion d'infection urinaire. Suspicion d'infection urinaire basse. Suspicion d'infection urinaire basse persistante avec : • Traitement antibiotique par Co-amoxicilline 1 g 2x/jour du 17 au 23.12 inclus • s/p pose de sonde urinaire le 17.12 par le Dr. X • Chez patient connu pour un adénocarcinome de la prostate et un carcinome urothélial Suspicion d'infection urinaire infirmée. Suspicion d'infection urinaire le 23.12.2018. Suspicion d'ingestion de pile, non confirmée. Suspicion d'ingestion d'un corps étranger. Suspicion d'instabilité du LCB épaule droite. Suspicion d'insuffisance respiratoire sur bronchite obstructive. Suspicion d'intolérance aux protéines bovines sous lait Pregomin AS. Suspicion d'intoxication au CO. Suspicion d'intoxication au CO. Suspicion d'irritation du nerf récurrent G. Suspicion d'occlusion vertébrale gauche V4 (lésion sub-aiguë à chronique) vs asymétrie avec dominance contro-latérale. Suspicion d'oesophagite à Candida le 02.12.2018. Suspicion d'OMA gauche au décours. Suspicion d'orchi-épididymite à droite le 30.11.2018. Suspicion d'ostéite et d'ostéomyélite du tibia gauche sur : Ulcère chronique avec déhiscence d'une plaie face médiale d'une ancienne plaie de fracture ouverte au niveau de la jambe G. Status post cure de pseudarthrose du tibia distal G avec ablation du matériel d'ostéosynthèse antéro-latéral du tibia, greffe osseuse et spongieuse de la crête iliaque et fixation interne par plaque 3.5 mm en médial et latéral du tibia G le 16.02.2018 pour une pseudo-arthrose hypotrophique du tibia G. Status post réduction ouverte par voie d'abord latérale en canne de hockey et ostéosynthèse du tibia distal par plaque antéro-latérale, vissage libre 2.5, ostéosynthèse du péroné par plaque LCB 2.5 au niveau de la jambe G le 28.02.2017. Status post débridement et mise en place d'un pansement VAC au niveau de la jambe G le 21.03.2017. Réduction fermée, maintien par fixation externe, révision et rinçage et adaptation des plaies de la jambe G le 15.02.2017 sur une fracture ouverte postillon 2 du pilon tibial G et fracture du péroné. Suspicion d'ostéomyélite chronique radius D (non dominant). Suspicion d'otite. Suspicion d'otite débutante le 24.12.2018. Suspicion d'otite du conduit auditif externe le 06.12.2018 DD : bouchon de cérumen avec surinfection d'aval. otomycose. Suspicion d'otite virale avec remaniement tympanique le 05.10.2016. • hypoacousie de transmission droite (weber latéralisé, mais Rinné non inversé). Suspicion d'ulcère duodénal/gastrique sur prise d'AINS. Suspicion d'un adénome parathyroïdien inférieur droit avec : • Hypercalcémie sur probable hyperparathyroïdisme d'origine mixte avec : o Très probable hyperparathyroïdisme primaire sur adénome inférieur droit o Hyperparathyroïdisme secondaire sur carence en vitamine D Exploration cervicale avec parathyroïdectomie droite +/- hémi-thyroïdectomie droite prévue le 26.10.2016. Adénome, enlèvement (OP le 26.10.2016). Suspicion d'un trouble de la personnalité avec état dépressif. Suspicion d'un TVP jambe G le 14.02.2014. Entorse moyenne de cheville D le 01.04.2015. Suspicion d'une cholécystite débutante chez la patiente connue pour cholélithiase. Suspicion d'une cholécystite débutante chez la patiente connue pour cholélithiase le 13.12.2018. Suspicion d'une démence d'origine probable vasculaire avec des épisodes de délire d'origine indéterminée en novembre 2017 • MMS 14/30 et Clock test 1/6 (10.11.2017). Suspicion d'une fracture à la base du 1er os métatarsien gauche après une chute le 15.12.2018. Suspicion d'une fracture de scaphoïde gauche. Suspicion d'une fracture du nez. Suspicion d'une fracture des os propres du nez avec une plaie linéaire de 1,5 cm de longueur en regard de la partie proximale du nez. Suspicion d'une lésion du ménisque (anse de seau). Suspicion d'une lésion traumatique de la coiffe des rotateurs épaule G sur chute le 18.10.18. Status post luxation AC Rockwood III dans la jeunesse. Status post bypass coronarien en 2013. Suspicion d'une masse sur la face antérieure du rectum à la colonoscopie virtuelle préopératoire. Suspicion d'une monarthrite rhumatoïde hanche D. DD : Reiter syndrome. Rhume de hanche récidivant. Suspicion d'une motte de beurre du radius distal G le 22.11.2018. Suspicion d'une néoplasie du pancréas DD de l'estomac avec : • date du diagnostic radiologique : 09.05.2018 • histologie : aucune • perte pondérale importante et baisse de l'état général les derniers mois • CT abdominal du 09.05.2018 : masse au niveau de la tête du pancréas touchant la paroi postérieure de l'estomac, adénopathies locorégionales, suspicion de métastases hépatiques • CT thoraco-abdominal du 13.09.2018 : progression au niveau de la masse pancréatique ainsi que des métastases hépatiques • CA 19-9 du 14.05.2018 : 2400 ng/ml • CT thoracique injecté le 14.05.2018 : pas de métastases pulmonaires • CT thoraco-abdominal le 13.09.2018 : discrète majoration en taille de la masse pancréatique envahissant l'estomac et le duodénum. Majoration en taille des adénopathies cervicales, médiastinales et rétropéritonéales • Tumorboard le 16.05.2018 : pas de ponction actuellement. • consultation du 17.10.2018 (Dr. X) : traitement symptomatique, pas de chimiothérapie, mise en place de l'équipe mobile des soins palliatifs Voltigo • actuellement : situation palliative, patient en EMS (épouse aux Martinets), pas de traitement, ni d'imagerie (discuté avec le Dr. X) Suspicion d'une poussée de SEP Suspicion d'urétrite le 03.01.2018. Désunion de suture post posthectomie le 20.05.2018. Accident de la voie publique à faible cinétique le 13.10.2018 avec contusion cervicale et traumatisme crânien mineur. Suspicion entorse stade III cheville D Plaie du talon suite à une phlyctène percée Suspicion entorse stade III de la cheville D Suspicion faible de crise d'épilepsie Suspicion foyer pulmonaire base droite sur la RX thorax Suspicion fracture ligne de croissance tibia distale droite (bi-plan) Suspicion fracture os propre du nez Suspicion fracture phalange moyenne 5ème orteil P2O5 pied G Suspicion fracture Salter I épicondyle latéral coude D, DD : Salter I olécrane D (2014) Tendinopathie de l'insertion de l'épicondyle radial D (2014) Suspicion fracture Salter II P2 D5 à gauche Suspicion fracture scaphoïde G non déplacé Suspicion fracture supracondylienne versus olécrânienne D le 16.12.2018 Suspicion hernie discale L5-S1 gauche Suspicion impétigo paupières œil G Suspicion infection urinaire le 13.12.2018 suspicion ingestion corps étranger Suspicion ingestion corps étranger le 27.12.2018 • Pile électrique AA Suspicion lésion du ménisque interne droit le 10.12.18. Suspicion lésion LCA gauche, le 16.12.2108. Suspicion lésion tendon sub-scapulaire le 01.06.2018 Suspicion ligament croisé antérieur gauche le 26.12.2018. Suspicion lithiase rénale gauche en décembre 2015. Obstruction du rein droit en raison d'un calcul de l'uretère proximal droit, Uro-CT du 21.10.16, Pose de sonde JJ le 23.10.2016. Gastrite aiguë le 05.10.2017 (Pantoprazole 40 mg durant 4 semaines, suite chez le médecin traitant). Douleurs thoraciques atypiques le 05.10.2017. Suspicion névrome inter-métatarsien pied D. Status post résection d'un névrome inter-métatarsien III-IV pied G le 22.08.2017. Suspicion ostéochondrome de la tête de péroné D de découverte fortuite Suspicion otite moyenne gauche Suspicion réaction inflammatoire, DD surinfection, cicatrice MTP 1 à G. Douleurs au niveau de la broche 5ème orteil avec légère surinfection au niveau de l'orifice. Status post arthrodèse MTP1 et ostéotomie de correction en mini-invasif avec ostéotomie sous-capitale du 5ème métatarsien et fixation par broche au niveau du pied G le 16.10.2018 pour hallux rigidus MTP1 à G et digitus quintus varus de la 5ème tête métatarsienne. Status post ablation de l'ongle et de la matrice hallux ddc le 10.07.2018 pour des ongles incarnés et dystrophiés. Status post correction de la position du 5ème orteil il y a plus de 20 ans à gauche en Espagne. Suspicion récidive AIT pontique DDx : crise épilepsie suspicion récidive luxation épaule gauche Suspicion scanographique de fracture non déplacée du condyle humérale externe Suspicion sténose aortique modérée (gradient moyen : 34 mmHg) à la coronarographie le 03.12.2018. • infirmé par ETT du 03.12.2018 Suspicion syndrome de Raynaud des MI Suspicion tumeur de Klatskin le 23.11.2018 avec possible cholangite surinfectée le 07.12.2018 • DD : maladie à IgG4 • lésion hépatique hilaire de 5 cm connue depuis 2013 d'évolution rapide. Biopsie hépatique par CT-scan en 09.2013 (Promed P7622.13) : hyperplasie nodulaire focale du foie • CA19-9 2'244 U/ml , AFP 2.3 ng/ml le 27.11.2018 • ANA ++, Anticorps RP11 ++ le 04.12.2018 Suspicion d'AVC • hémisyndrome brachio-crural moteur droit • pas d'aphasie, pas de dysarthrie, pas de trouble sensitomoteur de la face • HTA, ancien tabagisme, Suspicion de sténose aortique Suspicion d'hernie Suspicion d'infection de la plaie opératoire Anamnèse : douleur au niveau de la cicatrice opératoire, frissons et fièvre Examen clinique : Cicatrice douloureuse à la palpation, température élevée, pas de pus visualisé Membre inférieur droit œdémacié, mobilisation impossible en raison des consignes orthopédiques Labo : CRP 18 / Leuco : 11.1 G/L Suspicion d'obstruction des voies biliaires extrinsèques • St post cholecystectomie • Depuis 15 jours, selles claires, urines foncées, prurit, douleur abdominale sans particularité • Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques Suspicion de fracture du scaphoïde Suspicion de kyste sous-cutané face palmaire tête métacarpe 5 droite Suite de prise en charge de prématurité Suture au bloc opératoire TV TR en ordre Traitement laxatif Physiothérapie périnéale à prévoir Suture avec Prolène 6-0 avec 5 points simples sous anesthésie locale (GelLet) et Meopa Désinfection Antalgie aux besoins Ablation des fils dans 5 jours chez le pédiatre Surveillance pour traumatisme crânien pendant les premiers 48 - 72 h à domicile (brochure donnée aux parents) Reconsulter si signes d'alarmes Suture de la plaie du scalp par 3 agrafes Consignes de surveillance neurologique post-traumatisme crânien transmises (feuille donnée). Antalgie. Suture de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite le 14.11.2018 (Dr. X) avec : • résection labrale antérieure • ténodèse du long chef du biceps • décompression de l'espace sous-acromial Suture de la coiffe des rotateurs épaule G Fracture de fatigue des têtes métatarsiennes III-IV pied D en 2013 AS, résection partielle ménisque interne genou D en 2009 Suture de la déchirure vaginale au bloc opératoire sous anesthésie générale le 27.12.2018 Pertes sanguines estimées à 500 ml. Mèches vaginales retirées avant la sortie Suture de la plaie le 23.11.2018 avec 5 points de fil Ethylon 3-0 sous anesthésie locale Ablation des fils le 02.12.2018 Suture de 4 cm du coude droit avec anesthésie locale Rappel vaccin anti-tétanique. Retour à domicile. Conseils quant à la plaie donnés (ne pas mouiller le pansement pendant 48 h, changer à 48 h et si présence de douleur ou rougeur, reconsulter). Prendre un rendez-vous chez son médecin traitant pour retirer les fils dans 10 jours. Suture d'ulcère probablement prépylorique avec patch épiploïque le 18.12.2018 (Dr. X, Dr. X, Dr. X) Laparotomie exploratrice, adhésiolyse 60', lavage abdominal avec 66 l NaCl, mise en place 1 Axion et 4 Jackson Pratt le 25.12.2018 (OP Dr. X, Dr. X) Mise en place de drain péritonéal sous CT le 26.12.2018 Rinçages abdominaux par le drain axion jusqu'au 29.12.2018 VAC sous-cutanée dès le 25.12 Sonde naso-gastrique du 18.12 au 24.12.2018 puis du 25.12 au 28.12.2018 Voie veineuse centrale jugulaire droite (alimentation parentérale) dès le 17.12 Cathéter artériel radial droit du 17.12 au 26.12.2018 CT thoraco-abdominal le 17.12, le 24.12, le 26.12.2018 Noradrénaline du 17.12 au 18.12.2018 Albumine du 18.12 au 20.12.2018 Pipéracilline/Tazobactam dès le 17.12 Fluconazole du 18.12 au 26.12.2018 Caspofungine dès le 26.12 Suture EPL gauche par 2 Kessler au Prolène 4.0, surjet au Prolène 6.0 (OP le 02.12.2018) Suture nerf phrénique droit le 27.12.2018 Physiothérapie respiratoire et VNI Suture par 2 points Prolène 5-0 Surveillance des signes de surinfection Pas de douche pour 48 heures puis uniquement à l'eau Ablation des fils à 7 jours Suture par 3 points de Prolène 4.0. Anesthésie par rapidocaïne. Antibiothérapie. Mise à jour vaccination antitétanique par médecin de famille. Certificat médical. Suture par 4 points simples d'Ethilon 4-0. Ablation des fils à J10, 13.12.2018. Suture per opératoire en 2 plans et points séparés Antibioprophylaxie par céfuroxime 1.5 g pour 48 heures avec relais per os pour une durée totale de 7 jours Sonde vésicale 3 voies pour 7-10 jours avec rinçage pendant 12 h Cystoscopie à 2 semaines Suture plaie 1x1cm sur nez : champage, désinfection, anesthésie par Lidocaïne 4cc, deux points avec Prolène 4-0. Co-amoxicilline 1 g Proposition : • Co-amoxicilline 1 g 2x/j durant 5 jours • contrôle ORL en ambulatoire • ablation des fils à 10 jours chez le médecin traitant ou au secteur ambulatoire des urgences. Suture sous anesthésie locale Suture sous analgésie locale Suture sous analgésie péridurale Suture vicryl 4 sous cutanée, Ethilon N 4 cutané Fils à retirer dans 7 jours Rappel tétanos Sutures simples plaie D2 avec discrète perte de substance et résection partielle de l'ongle, plaie de 3 cm profonde de 5 cm face médiale avant-bras, plaie superficielle de 0,5 cm face dorsale D3 en regard de l'IPP à G le 09.01.2017 Infection sous-cutanée du dos de la main gauche sur griffures de chat le 30.04.2017. Suivi onco (Dr. X), infectio (Dr. X) et hémato (Dr. X) Radiothérapie splénique palliative (Dr. X) : 15 séances à 2 Gy dès le 28.11.2018 (au 18.12.2018) Transfert à la villa Saint François prévu le 6.12.2018 Suivi laboratoire 3x/semaine SVP confirmer avec radiologue chef demain Si douleurs dans la nuit --> Symbicort, test de la technique d'inhalation : capacité suffisante pour ce type d'appareillage (12/2018). Symbicort 200/6 2 x/j, Dafalgan 1 g 4 x/j, Solmucol 600 mg x/matin Symptômes de sevrage. Symptômes neurologiques dans le cadre d'un trouble anxio-dépressif probable, le 07.12.2018. Symptômes neurologiques d'origine indéterminée. Symptômes neurologiques mal systématisés dans un contexte de canal lombaire étroit. Syncope à l'emporte-pièce le 27.11.2018, avec traumatisme crânien • DD : sur prise de Benzodiazépine, cardiaque, orthostatique Syncope avec TC et PC sans prodrome • DD sur pyélonéphrite, malaise vagal sur les douleurs Syncope d'allure orthostatique le 15.12.2018 avec : • Traumatisme crânio-cérébral de grade I sur chute de sa hauteur • DD vasovagal, rythmique Syncope d'origine indéterminée avec traumatisme crânien le 23.12.2018. DD cardiaque • status post épisode similaire le 05.12.2018 • dans un contexte de trouble conductif nodal diagnostiqué en janvier 2017 (Dr. X) : ECG R-Test avec BAV 2/1 du deuxième degré, bref passage en BAV 3e degré avec échappement ventriculaire • bilan cardiaque effectué chez le Dr. X en 2016 : discrète sténose aortique, FEVG 65 %, bloc de branche droit, test d'effort doublement négatif pour une ischémie • actuellement, implantation d'un Loop Recorder le 19.12.2018.Syncope d'origine indéterminée avec traumatisme crânien le 23.12.2018. DD cardiaque • status post épisode similaire le 05.12.2018 • dans un contexte de trouble conductif nodal diagnostiqué en janvier 2017 (Dr. X) : ECG R-Test avec BAV 2/1 du deuxième degré, bref passage en BAV 3e degré avec échappement ventriculaire • bilan cardiaque effectué chez le Dr. X en 2016 : discrète sténose aortique, FEVG 65 %, bloc de branche droit, test d'effort doublement négatif pour une ischémie • actuellement, implantation d'un Loop Recorder le 19.12.2018. DD : crise épilepsie partielle. Suspicion de crise d'épilepsie partielle focale DD malaise d'origine cardiaque le 30.11.2018. PTH droite sur coxarthrose. AIT en 2012 (IRM normale selon Mr. Y). Plaie pouce gauche en juin 2014. Angor instable en août 2015. Opération d'une péritonite perforée dans l'enfance. Status post op décollement de rétine ddc en 1993 et plus tard date inconnue. Fracture sous-capitale humérus avec déchirure de la coiffe des rotateurs en 1994. Fracture processus transverse de L3 droit, le 06.01.2016. Contusion muscle fessier droit. Syncope d'origine indéterminée, DD : crise tonico-clonique sur hypomagnésémie sévère à 0.29 mmol/l le 04.11.2018. Syncope d'origine indéterminée DD probablement orthostatique dans le contexte infectieux Syncope d'origine indéterminée, le 01.08.2012. Sténose de la carotide interne gauche à 40 %, le 02.06.2012 (introduction de l'Aspirine sous protection d'IPP). Crise épileptique partielle complexe le 30.12.2016 chez un patient connu pour épilepsie traitée : • probable contexte d'état grippal • patient suivi par la Dr. X. Péjoration de la démence le 21.02.17 Syncope d'origine indéterminée le 01.08.2012. Sténose de la carotide interne gauche à 40 %, le 02.06.2012 (introduction de l'Aspirine sous protection d'IPP). Crise épileptique partielle complexe le 30.12.2016 chez un patient connu pour épilepsie traitée (probable contexte d'état grippal). Péjoration de la démence le 21.02.2017. Syncope d'origine indéterminée le 14.11.2018 : • Echocardiographie du 16.11.2018 : Ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 66 %. Hypertrophie concentrique. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Pas d'insuffisance aortique. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Dysfonction diastolique modérée (grade II). HTAP modérée (PAPs à 53 mmHg). Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). • Holter-ECG 14.11.2018 (Résultats à venir) • ECG : troubles de la repolarisation, hypertrophie ventricule gauche Syncope d'origine indéterminée sans traumatisme crânien, DD : • origine cardiaque (trouble du rythme, cardiopathie, valvulopathie) • origine orthostatique (hypovolémie...) • origine réflexe (hypersensibilité sinus carotidiens, vaso-vagale, situationnelle) • origine neurologique (épilepsie partielle) • autres (embolie pulmonaire) • asthénie / anxiété Score de Genève : probabilité basse. Syncope d'origine probablement cardiaque le 05.12.2018 • dans un contexte de trouble conductif nodal diagnostiqué en janvier 2017 (Dr. X) : ECG R-Test avec BAV 2/1 du deuxième degré, bref passage en BAV 3e degré avec échappement ventriculaire • bilan cardiaque effectué chez le Dr. X en 2016 : discrète sténose aortique, FEVG 65 %, bloc de branche D, test d'effort doublement négatif pour une ischémie • actuellement : implantation d'un Loop Recorder prévue le 19.12.2018 DD : crise épilepsie partielle Syncope d'origine probablement vagale avec traumatisme crânien • DD origine cardiaque (trouble du rythme, cardiopathie, valvulopathie) DD orthostatique (hypovolémie...) DD réflexes (hypersensibilité sinus carotidiens, vaso-vagale, situationnelle) DD origine neurologique (épilepsie partielle) DD autres (embolie pulmonaire) Syncope d'origine probablement vasovagale. Syncope d'origine vaso-vagale le 07.06.2016 sur malaise d'origine orthostatique sur diarrhées. Insuffisance rénale pré-rénale sur déshydratation dans le cadre d'une néphropathie diabétique. Opération du ménisque droit. Rupture du quadriceps gauche. Syncope d'origine vaso-vagale sans traumatisme crânien, le 16.12.2018. Syncope d'origine vaso-vagale sur hypotension orthostatique le 09.07.2012. Malaise d'origine orthostatique avec douleurs musculo-squelettiques. AVC subaigu cérébelleux gauche le 30.11.2017 dans le contexte de dissection de l'artère vertébrale gauche • IRM cérébrale et des vaisseaux pré-cérébraux le 30.11.2017 • Avis neurologique (Dr. X) le 01.12.2017 : Stop Aspirine, anticoagulation par Clexane, contrôle clinique et IRM cérébrale dans 3 mois Vertiges et nausées d'origine indéterminée DD sur AVC ischémique cérébelleux gauche : temporalité non concordante • brèche durale provoquée par la dissection avec hypotension intracrânienne : non exclue. • médicamenteux sur traitement opiacé Syncope d'origine X. Syncope d'origine X DD : crise épilepsie partielle, syncope cardiaque Syncope, le 25.12.2018 sur : • Effort de vomissement • ETT juillet 2018 : Sténose aortique non-significative. DD : Sténose aortique, déshydratation Syncope orthostatique DD : vasovagale Syncope orthostatique le 16.12.2018 Syncope post-prandiale d'origine indéterminée le 25.12.18 • dans un contexte de démence avec séquelles cérébrales suite à un AVP avec TCC 2012 DD : vagal, trouble du rythme Syncope récidivante Suspicion d'AIT 12.2011 • IRM cérébrale (2013) : Plusieurs infarctus des ganglions de la base, sténose de haut grade d'artère carotidienne gauche Status post-fracture base 5ème métatarsien gauche le 11.12.2014, traitée conservativement Status post-crise de goutte Status post-spondylodèse C1-C2 Status post-suspicion d'AVC en 2013 Status post-embolie pulmonaire en 1968 et en 2011 sous anticoagulation par Xarelto Hématothorax en 2011 Status post-rupture du long chef du biceps (coiffe partie haute du sous-scapulaire, lésion de la poulie), lésion de l'intervalle des rotateurs épaule droite en 1993 Appendicectomie dans l'enfance Syncope réflexe Syncope sans traumatisme crânien ni perte de connaissance dans un contexte vaso-vagal (suite à un bain chaud des membres inférieurs) : • grossesse 20 semaines d'aménorrhée Syncope sur hypersensibilité du sinus carotidien. Hernie inguinale directe à droite, asymptomatique Maladie coronarienne tri-tronculaire sur • occlusion de l'IVA et status post-plusieurs PTCA et stenting (actif) de la Cx et CD, dernièrement en 2010, sous Aspirine et Plavix • fraction d'éjection diminuée, 35 %, sur dysfonction ventriculaire Status post-implantation d'un défibrillateur en juin 2010. Status post-AVC pariétal à droite avec hémisyndrome brachial gauche régressif en 2004. Sténose carotidienne modérée gauche asymptomatique. Probable AIT/AVC parésie MS gauche régressive en 2007. Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Syncope sur malposition de sonde du pacemaker avec TC et PC le 17.12.2018 • Pose de pacemaker en janvier 2013 pour maladie du sinus et pause sinusale avec syncopes à répétition Syncope vagale • pause sinusal de 10 sec • Absence d'antécédents de malaise/syncope, ni mort subite Syncope vaso-vagale Syncope vaso-vagale avec TC avec PC et AC sur gastroentérite débutante. Syncope vaso-vagale post-mictionnelle le 29.12.2018. Syncope vaso-vagale. Suspicion de prolapsus mitral. Syncopes Syncopes Syncopes à répétition d'origine cardiaque (6 épisodes depuis fin novembre 2018) avec : • trouble conductif nodal: BAV 2/1 du deuxième degré, bref passage en BAV 3e degré avec échappement ventriculaire (R-Test par Dr. X, 01.2017) • mise en évidence d'une pause de 8 secondes au Reveal (implanté le 19.12.2018) le 23.12.2018 concordant avec une syncope • Syncopes à répétition d'origine indéterminée avec: • Reveal en cours depuis septembre 2015, dernier contrôle en 2018 sans arythmie retrouvée. Suspicion de BPCO sur tabagisme chronique actif à 80 UPA avec hypoxémie à pO2 à 9.8 kPa/73.5 mmHg le 10.06.2016. Rhumatismes inflammatoires sur probable spondylarthropathie à prédominance périphérique avec douleurs aux 2 chevilles. Dysélectrolytémies d'origine indéterminée avec hypophosphatémie et hypocalcémie légère sur carence en vitamine D. Reconstruction du ligament collatéral ulnaire de la main droite le 02.06.2016. Consommation de cannabis. • Syncopes à répétition • étiologie rythmique avec pauses • Syncopes d'origine indéterminée (environ 10 épisodes en 10 ans). Contusion cervicale sur syncope d'origine vaso-vagale probable avec perte de connaissance le 09.06.2013. • Syncopes d'origine indéterminée, sans prodrome • avec premier épisode de chute le 29.01.2018 et dernière chute le 18.12.2018. • Syncopes d'origine vaso-vagale probable le 25.12.2018 DD: • rythmique : analyse du Holter en cours • sténose aortique non significative (surface de 1.81 cm2) à l'ETT de juillet 2018 • pas d'argument pour un orthostatisme, ni une origine neurologique • Syncopes récidivantes d'origine rythmique sur BAV III le 21.12.2018 • Syncopes sur hypotension orthostatique sur syndrome de Parkinson et composante orthostatique • Syndactalie pour 2-3 semaines Antalgie selon besoin Charge selon douleurs Contrôle chez pédiatre (pas de radiographie nécessaire) • Syndactylie, application locale de glace, antalgique en réserve Arrêt de sport 1 semaine • Syndactylie Ergothérapie Antalgiques Arrêt du sport Rx doigt Contrôle chez le pédiatre dans 10 jours • syndactylie et mobilité selon douleur antalgie si douleur • Syndactylie et semelle en carbone. Prochain contrôle radio-clinique le 23.01.2019. • Syndrome métabolique • Diabète de type II • HTA • Dyslipidémie • Syndrome adénoïdien avec obstruction nasale et otites moyennes aiguës à répétition sur hypertrophie adénoïdienne. 01.05.2014, Dr. X: adénoïdectomie. Appendicite aiguë le 09.03.2015 Suspicion de fracture tibiale proximale D métaphyso-épiphysaire Salter III Fracture de la base du 5ème métatarse, sans atteinte articulaire Radiographie cheville face/profile Radiographie pied profil/oblique Avis Dr. X Attelle plâtrée postérieure de décharge complète Radiographie de contrôle Cannes anglaises Traitement antalgique simple Rendez-vous en policlinique à 5 jours Certificat de dispense de sport • Syndrome adénoïdien sur volumineuse hypertrophie adénoïdienne. Entorse interphalangienne du 1er orteil droit. • Syndrome anxieux et nucalgies somatoformes en 07.2014 Insomnie d'origine d'angoisse en 02.2014 Conjonctivite et rhinite allergiques. Ancien alcoolisme Plaie horizontale nette de 2.5 cm face dorsale zone VI en regard du 2ème et 3ème rayon main droite, le 16.01.2016, avec: • lésion de 25% côté radiale ECRB • intégrité de l'ECRL et EDC2 et EIP • Syndrome anxieux sévère dans contexte d'agression physique en 2013 (Suivi par Dr. X) Trouble de la personnalité borderline Emétophobie Hernie hiatale depuis l'enfance Hypothyroïdie subclinique connue depuis 2013 • Syndrome anxio-dépressif • Syndrome anxio-dépressif traité Trouble non spécifique du comportement alimentaire Syndrome des apnées obstructives du sommeil de degré léger non appareillé • Syndrome bronchiolaire d'origine atypique le 13.12.2018: • immunosuppression sur Rituximab • asthme modéré sous Sérétide • contexte d'infection pulmonaire traitée par Cefuroxime, Klacid et Prednisone du 22.11.2018 au 6.12.2018 DD: TB miliaire, Pneumonie à germes atypiques, champignons, PCP, toxicité Rituximab • Syndrome carcinoïde dans le contexte du diagnostic de tumeur neuroendocrine • depuis 2010 • actuellement douleurs abdominales (cf. diagnostic principal), flush intermittent et importantes diarrhées • sous traitement de sandostatine LAR 30 mg im 1x/mois • Syndrome carcinoïde dans le contexte d'une tumeur neuroendocrine métastatique • depuis 2010 • actuellement douleurs abdominales (cf. diagnostic principal), flush intermittent et diarrhées connues • sous traitement de sandostatine LAR 30 mg im 1x/mois • Syndrome cérébelleux avec • trouble de l'équilibre avec augmentation du polygone de sustentation • tremor d'intention • vertiges type instabilité • Syndrome coronarien aigu à haut risque avec maladie coronarienne monotronculaire • sténose subtotale IVA moyenne, PCI avec stent actif • lésions 30-50% IVA proximale, RCX distale, IVP • fraction d'éjection 55%, hypokinésie modérée antéro-apicale Episode de tachycardie nodale • Coronarographie en urgence le 30.10.2009 avec mise en place d'un stent actif au IVA moyenne. • Syndrome coronarien avec coronaropathie bitronculaire avec status post-infarctus inférieur en 2005. Coronarographie en novembre 2005 : Occlusion chronique coronarienne droite avec impossibilité de stenter, PTCA + Stent 1ère diagonale et PCTA + stent de l'IVA proximale et moyenne. Coronarographie en 2008 : absence de resténose de l'IVA moyenne, ni de la première diagonale. Sténose significative de l'artère coronarienne droite proximale et distale, ainsi que de la rétro-ventriculaire postérieure sans geste possible. Facteurs de risques cardiovasculaires : dyslipidémie sous Sortis 80 mg par jour. Obésité avec BMI à 32 kg/m2. Tabagisme ancien à 20 UPA. Diabète mellitus de type II sous Metfin 20 mg 1x par jour. Hypertension artérielle sous Metozerok 50 mg et Lisitril 10 mg. • Syndrome d'anorexie-cachexie sur inappétence secondaire dans un contexte de carcinome en progression • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale et dans un contexte d'hypercalcémie maligne • initialement envisagé sur iléus secondaire à une obstruction maligne, finalement retenu comme constipation sur hypercalcémie • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale. • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale. • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale • autres facteurs : complications infectieuses, dysélectrolytémies, inappétence secondaire sur troubles de la déglutition, fatigue sur anémie en partie iatrogène (Méthotrexate) et hypothyroïdie sous substituée • status post cultures (stériles) et antibiothérapie (Augmentin, Valtrex) sur infection endobuccale • status post substitution électrolytique et majoration du traitement d'Euthyrox début novembre 2018 • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale, complications infectieuses, atteinte hépatique tumorale, anémie • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale, secondaire aux douleurs, inflammation chronique, diarrhées • contexte d'insuffisance corticoïdienne avérée • Syndrome d'anorexie-cachexie sur progression tumorale, troubles électrolytiques, anémie probablement spoliative • Syndrome d'apnée du sommeil appareillé. • Syndrome d'apnée du sommeil non appareillé • Syndrome d'apnée du sommeil non appareillé Syndrome d'apnée du sommeil non appareillé Syndrome d'apnée du sommeil sévère • IAH 31/h • Dx posé 2010 Syndrome d'apnée du sommeil sévère à prédominance obstructive avec une composante centrale, diagnostiqué le 27.11.2018 • AHI 63/h, SO2 moyenne 90%, SO2 minimale 61% et SO2 <90% pendant 36% du temps total le 26.11.2018 Syndrome d'apnée hypopnée du sommeil de degré sévère (diagnostic 07/2015) • appareillage CPAP d'août 2015 à mars 2018, interrompu vu la compliance Asthme intrinsèque bronchique avec : • obstruction légère aux fonctions pulmonaires en février 2017 • Peak Flow habituel à 270 ml • Nombreuses décompensations asthmatiques Trouble de la personnalité de type borderline • Avec auto-mutilations chroniques Maladie thrombo-embolique chronique anticoagulée au long cours • Embolies pulmonaires récidivantes, 2 épisodes dans les années 2000 Hypertension artérielle traitée Lombalgies chroniques Enurésie nocturne, sous Minirin (Desmopressine) Gonalgies gauches chroniques invalidantes • IRM genou gauche 24.05.18 : Lésion dégénérative du compartiment fémoro-tibial interne. Lésion dégénérative modérée de l'espace fémoro-rotulien. Épanchement articulaire modéré, kyste poplité à développement postéro-interne. • S/p infiltration du genou G début juin 2018 (HFR Fribourg) Anémie microcytaire hypochrome Syndrome d'apnées du sommeil sous CPAP Arythmie supraventriculaire intermittente Hypertension artérielle non traitée Insuffisance rénale chronique stade 3 • Clairance de la créatinine selon Cockroft-Gault à environ 35 ml/min Fibrose pulmonaire • Suivi pneumologique par le Dr X Consommation d'OH à risque Syndrome d'apnées du sommeil sous CPAP Arythmie supraventriculaire intermittente Hypertension artérielle Pneumopathie interstitielle type NSIP (DD COP, UIP) avec traitement de prednisone 5mg par jour • Suivi pneumologique par le Dr X • oxygénothérapie à domicile Consommation d'OH à risque Syndrome d'apnées du sommeil sous CPAP. Arythmie supraventriculaire intermittente. Hypertension artérielle non traitée. Insuffisance rénale chronique stade 3. • Clairance de la créatinine selon Cockroft-Gault à environ 35 ml/min. Fibrose pulmonaire. • Suivi pneumologique par le Dr X. Consommation d'alcool à risque. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil non appareillé Syndrome d'apnées/hypopnées du sommeil mixte, à prédominance centrale : • Diagnostic en 2007 : IAH 32/h avec événements de nature centrale 10%, obstructive 36%, mixte 8% et hypopnées 47%, IDO 19/h. • Prévention cardiovasculaire secondaire avec statut post arrêt cardio-respiratoire avec défibrillation à 11 reprises pour fibrillation ventriculaire et choc cardiogène sur infarctus antérieur le 19.03.2007. • Mise sous CPAP le 05-06.04.07 : aggravation des apnées, traitement non poursuivi. • Mise sous ASV Autoset CS II le 17.09.2007 : PEEP 5cmH2O, AI min/max 3/10 cmH2O • ResScan du 12.17 au 12.18 : Utilisation moyenne quotidienne 4h04, 57 % des jours employés >4h, fuites au 95ème centile 36 l/min • Polygraphie nocturne sous ASV avec capnographie le 03.12.2018 : IAH 16.8/h (9.4/h hypopnées, 3.7/h apnées centrales), IDO 13.3/h, SaO2 moyenne 94.6% • Capnographie nocturne sous ASV du 03.12.2018 : SaO2 moyenne 98 %, tcpCO2 moyenne 5.7 kPa • Gazométrie artérielle au repos à l'AA au réveil : pH 7.45, PaCO2 4.6 kPa, PaO2 9.4 kPa, HCO3- 24 mmol/l • Fonctions pulmonaires 12.2018 : pas de trouble ventilatoire obstructif ni restrictif (VEMS 116% du prédit), DLCOc normal (93 % du prédit) Syndrome d'apnées/hypopnées obstructif du sommeil, de degré très sévère : • Syndrome d'obésité-hypoventilation (BMI 41 kg/m2) • Score d'Epworth initial 12/24 • Oxymétrie nocturne du 14.11.2006 : SpO2 moyenne nocturne 87%, IAH estimé à 17/h • Oxymétrie nocturne du 09.05.2010 : SpO2 moyenne 84%, IAH estimé à 19/h • Polygraphie nocturne diagnostique avec capnographie 06/2012 : IAH 67.4/h obstructives, IDO 90.5/h, SpO2 moyenne nocturne 78.9%, PCO2 moyenne 7.89 kPa, PO2 9.33 kPa • Polygraphie nocturne respiratoire sous VNI et oxygénothérapie à 1L/min avec capnographie du 27.06.2012 : IAH 4.3/h, SatO2 moyenne nocturne 91%, IDO 4.0/h, PCO2 moyenne nocturne 9.8 kPa, PO2 moyenne nocturne 14.13 kPa • VNI Lumis 150 ST-A et oxygénothérapie nocturne à 2L/min dès 2012 Actuellement : Contrôle à 1 an Syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil de degré modéré avec : • Score de Stop Bang à 5/8, Score d'Epworth à 4/24 • Plaintes somnologiques : fatigue chronique, céphalées matinales, ronchopathie dérangeant l'entourage, gasping, nycturie. • Obésité de classe 3 selon l'OMS avec un BMI à 41.5 kg/m2 • Polygraphie respiratoire nocturne diagnostique : IAH à 26.6/h, IDO à 25.8/h, ronflements à 14%, nombre d'événements 212, 32 apnées obstructives, 2 mixtes, 27 centrales, 151 hypopnées, SpO2 moyenne à 93.3%, fraction passée à une SaO2 >90% 4.3%. • Polygraphie de contrôle sous CPAP du 17.06.2018 (pression 8/13 cmH2O) : IAH à 23.1/h, IDO à 23.1/h, SpO2 moyenne à 95.1%, réapparition des hypopnées et apnées mixtes. Attitude : changement des pressions de 8/13 H2O à une pression fixe à 10 cmH2O. • Polygraphie sous CPAP du 16.10.2018 (pression fixe à 10 cmH2O) : IAH à 15.4/h, IDO à 14.1/h, ronflements à 1.7%, nombre d'événements 80, 10 apnées obstructives, 2 mixtes, 12 centrales, 58 hypopnées, SpO2 moyenne à 95.4% • Polygraphie sous ASV du 12.12.2018 : IAH 28.1/h, IDO à 32.9/h, ronflements à 2.8%, nombre d'événements 205, 2 apnées obstructives, 13 centrales, 190 hypopnées, SpO2 moyenne à 94.1%, fraction passée à une SaO2 >90% 0.9% • Actuellement : malgré bonne tolérance, échec de mise sous ASV avec IAH à 28.1/h (supérieur à polygraphie diagnostique), reprise CPAP avec pression fixe à 10 cmH2O avec masque léger qui avait été bien supporté et contrôle ResScan à 1 mois et demi, encouragement à bien porter la CPAP Syndrome d'apnées/hypopnées obstructives du sommeil, de degré sévère : • Avec hypoventilation alvéolaire nocturne sévère probable • Clinique : somnolence diurne, ronchopathie • ESS 6/24, Stop-Bang 5/8 • Poids : 90 kg, Taille 160 cm, BMI 35.2 kg/m2 • Polygraphie diagnostique (août 2018) : IAH 37.1/h (apnées obstructives 84%), IDO 10.7/h, saturation moyenne en oxygène 83.4%. Actuellement : polygraphie avec capnographie nocturne, mise sous VNI Syndrome d'apnées/hypopnées obstructives et centrales du sommeil de degré sévère : • Somnolence (ESS 11/24), fatigue, arrive tout juste à manœuvrer la voiture, ronchopathie • Poids 93 kg, Taille 178 cm, BMI 29.4 • Oxymétrie nocturne (type ApneaLink) 07.2018 : IDO 55/h, IAH 71/h • Polygraphie nocturne diagnostique du 06.08.2018 : IAH 102/h (27.2/h hypopnées, 51.2/h apnées centrales, 15.4/h apnées obstructives, 7.7/h apnées mixtes), IDO 101.1/h, ronflements 26.5 %, SaO2 moyenne 90.2 % • Polygraphie mise sous CPAP 08.18 (8/16 cmH2O) : IAH 25/h • Polygraphie sous CPAP 09.18 (8/12 cmH2O) : IAH de 21/h (10.4/h hypopnées, 10.1/h apnées centrales), SpO2 moyenne 93% • Polygraphie sous CPAP 12.18 (pression fixe 10 cmH2O) : IAH 21.8/h avec 10/h hypopnées, 1.8/h apnées obstructives, 9.8/h apnées centrales, IDO 22.9/h, SpO2 moyenne 95% • Capnographie nocturne sous CPAP à pression fixe à 10 cmH2O 10.12.2018 : SaO2 moyenne 97 %, pCO2 moyenne 5.4 kPa • Fonctions pulmonaires complètes 10.12.2018 : pas de trouble ventilatoire obstructif et restrictif (VEMS 87 % du prédit), DLCOcor normale à 86 % du prédit) • Actuellement : composante résiduelle complexe, avec comme trigger les mouvements. Prochain contrôle clinique en août 2019 avec polygraphie, ResScan, à avancer selon la prise en charge psychiatrique. Syndrome d'asthénie-cachexie avec inappétence secondaire • sur maladie oncologique avancée, métastases hépatiques, fibrose pulmonaire, alitement prolongé, ischémie vasculairenauseas et vomissements sur prise orale possiblement secondaires aux métastases hépatiques Syndrome d'asthénie-cachexie dans le contexte oncologique en progression avec complications infectieuses Syndrome d'asthénie-cachexie multifactoriel (progression tumorale, troubles électrolytiques, thrombose porte, ascite inaugural) Syndrome d'asthénie-cachexie sur maladie oncologique, alitement récent, post chute • Syndrome de Barakat (hypoparathyroïdisme, surdité neurosensorielle, reflux vésico-rénal) sur anomalie chromosomique • IMC congénitale • Retard psychomoteur global sévère • Status post-épilepsie avec rares crises toniques, dernière en décembre 2010 avec traitement intermédiaire par Orfiril long pendant 3 mois Syndrome de Charles-Bonnet sur baisse de la vision importante bilatérale, avec: • sur thrombose veineuse oculaire droite et dégénérescence maculaire gauche • hallucinations visuelles fréquentes non angoissantes pour Mme. Y (consciente de l'irréalité) Syndrome de chevauchement BPCO/asthme depuis l'âge de 32 ans (ACOS) suivi Dr. X. Hypertension artérielle. Dyslipidémie. Stéatose hépatique avec hépato-splénomégalie. Ostéopénie. Parésie distale du bras et du coude droits post-traumatisme complexe dans l'enfance avec neurolyse du nerf radial au coude et à l'avant-bras droit en mars 2018, sur atteinte neurogène partielle après intervention en 1988 (Dr. X), résection de la coupole radiale, neurolyse et ventralisation du nerf cubital sur irritation du nerf à cause d'une perforation de la coupole radiale après fracture dans l'enfance en 1988 (Dr. X). Syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de dépendance à l'alcool Syndrome de dépendance à l'alcool. Syndrome de dépendance à l'alcool. Syndrome de dépendance à l'alcool. Syndrome de dépendance à l'alcool, aux opiacés et aux benzodiazépines • substitution Méthadone Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • bicytopénie toxique • perturbation des tests hépatiques • 11ème hospitalisation pour problématique liée à l'alcool depuis 01/2017 Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • crise d'épilepsie le 14.12.2017 sur sevrage • pancréatite chronique • cirrhose Child B d'origine éthylique (7pt le 30.11.2018), avec : • varices oesophagiennes de stade I (OGD 05/2016) • AFP le 25.01.2017 : 2.9 ng/L • échec de sevrage à Marsens (hospitalisation 1 semaine en janvier 2018), suivi au CCA jusqu'en mai 2018 Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • Trouble du comportement le 22.06.2018 DD • Bicytopénie toxique • 10ème hospitalisation pour problématique liée à l'alcool depuis 01/2017 Syndrome de dépendance à l'alcool avec alcoolisation aiguë à 2.95 pour mille le 28.08.2015 avec transfert au RFSM CSH Marsens le 29.08.2015. Syndrome anxio-dépressif connu avec majoration des idées noires le 30.05.2016. Syndrome anxio-dépressif le 26.01.2016 avec idéations suicidaires, hospitalisation à Marsens. Intoxication médicamenteuse volontaire le 18.03.2015. Contusion de l'épaule gauche le 28.08.2015. Syndrome de dépendance à l'alcool avec • consommation active • Polyneuropathies Syndrome de dépendance à l'alcool avec dénutrition et cachexie. Polyneuropathie sur éthylisme chronique. Tabagisme actif Séquelles de cataracte congénitale Syndrome de dépendance à l'alcool avec plusieurs tentatives de sevrage. Syndrome de dépendance à l'alcool, avec: • suspicion de syndrome de Korsakow Syndrome de dépendance à l'alcool avec: • Transfert volontairement au réseau fribourgeois de santé mentale à Marsens pour sevrage le 28.11.2017 • Syndrome de sevrage à l'alcool le 26.08.2017. Multiples tentatives de sevrage. Antabuse jusqu'en juillet 2017. Rechute immédiate. Transfert à l'unité Jasmin en mode volontaire. Etat dépressif Hypertension artérielle. Hypercholestérolémie. Syndrome de dépendance à l'alcool, avec: • 20.11.2018 : chute dans le contexte d'éthylisation aiguë (éthanolémie à 1.7) • ultrason hépatique 11.2012 : stéato-fibrose hépatique et même morphologie cirrhotique mais sans lésion focale, ni signe d'hypertension pulmonaire. Syndrome de dépendance à l'alcool débutant dans un contexte de syndrome anxieux Syndrome de dépendance à l'alcool • probable consommation de Dormicum over the counter • ATCD de crise convulsive peu claire durant hospitalisation en 2016 DD sur sevrage Syndrome de dépendance à l'alcool. Syndrome de dépendance aux benzodiazépines (Seresta 30 mg/jour). Syndrome de dépendance à l'alcool. Syndrome de dépendance aux benzodiazépines (Seresta 30 mg/jour). Syndrome de dépendance à l'OH (1-2 l de vin par jour). Anxiété. Syndrome de dépendance • aux benzodiazépines • à l'alcool. Syndrome de dépendance aux morphiniques avec: • traitement par naloxone sur demande de la justice Syndrome de dépendance aux opiacés et aux benzodiazépines Syndrome de détresse respiratoire sur immaturité pulmonaire (manque de surfactant, détresse respiratoire transitoire, infection néonatale : strepto B inconnu) Syndrome de détresse respiratoire sur immaturité pulmonaire (manque de surfactant, détresse respiratoire transitoire, infection néonatale sans/avec pneumonie) Syndrome de détresse respiratoire sur immaturité pulmonaire (manque de surfactant, détresse respiratoire transitoire, infection néonatale sans/avec pneumonie) Syndrome de détresse respiratoire sur wet lung Syndrome de douleurs chroniques lombo-vertébrales. Syndrome de Gilles de la Tourette sous Haldol. Surpoids. Strabisme gauche divergent avec cécité. Lumbago récidivant. Syndrome de glissement avec : • perte d'appétit, refus des soins Syndrome de glissement le 27.11.2018, avec troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle • Troubles cognitifs sévères avec état confusionnel aigu • Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition • Malnutrition protéino-énergétique sévère • Ethylisme chronique • Incontinence urinaire nouvelle, DD dans le cadre de troubles cognitifs Syndrome de Guillain Barré le 06.12.2018 Syndrome de Guillain Barré le 06.12.2018 Risque d'insuffisance respiratoire selon EGRIS à 1 semaine : 3% Risque d'incapacité de marcher mEGOS à 6 mois : 6% Syndrome de Guillain Barré le 12.10.2018 avec atteinte démyélinisante avec • Ponction lombaire le 13.10.2018 : dissociation albumino-cytologique, sinon stérile • ENMG le 15.10.2018 : compatible avec une maladie démyélinisante • Sérologies le 13.10.2018 : HAV, HBV, HCV, HIV : négatifs, Borrelia burgdorferi immune, Syphilis négatif, CMV non-immune, EBV immuneAuto-anticorps: S-GM1/2, S-GD1a/b, S-GQ1b, c/p/-ANCA et facteur rhumatoïde: négatifs • Campylobacter, Mycoplasme, PCR HEV, Hémocultures • Traitement par Immunoglobulines (Kiovig) le 13.10.2018 et par plasmaphérèse (5 séances) du 14.10. au 18.10.2018 Clinique à l'entrée en neuro-réhabilitation: Tétraparésie flasque et hyporéflexique avec atteinte proprioceptive et sensitive superficielle subjective, dysphagie associée Déficit de force aux membres supérieurs avec hyporéflexie et perturbation partielle de la sensibilité profonde. Déficit de force aux membres inférieurs avec hypo-réflexie bilatérale et perturbation de la sensibilité profonde. Syndrome de Guillain-Barré le 12.10.2018 avec tétraparésie flasque et troubles de la déglutition post-intubation, avec: • PL le 13.10.2018: dissociation albumino-cytologique, sinon stérile • ENMG le 15.10.2018: compatible avec une maladie démyélinisante • Sérologies le 13.10.2018: • HAV, HBV, HCV, HIV, CMV et syphilis négatives • B. burgdorferi et EBV immunes • Auto-anticorps: S-GM1/2, S-GD1a/b, S-GQ1b, c/p/-ANCA et FR négatifs • Traitement par Immunoglobulines (Kiovig) le 13.10.2018 et par plasmaphérèse (5 séances) du 14.10. au 18.10.2018 • Clinique en neuro-réhabilitation: tétraparésie flasque et hyporéflexique avec atteinte proprioceptive et sensitive superficielle subjective, dysphagie associée • Vidéofluoroscopie le 05.12.2018: dysphagie légère de la phase pharyngée avec stases valléculaires Syndrome de HELLP chez Mme. Y de 29 ans 2G0P à 30 6/7 SA Syndrome de HELLP (Pré-éclampsie) chez Mme. Y de 29 ans 2G 0P à 30 6/7 semaines d'aménorrhée. Hypertension gestationnelle. Syndrome de la queue de cheval avec syndrome radiculaire L4-S2 post-opératoire: • Status post décompression L4-L5 bilatéral par hémi-laminectomie L4, discectomie par la gauche avec mise en place d'une cage TLIF et spondylodèse L4-L5 avec Dr. X le 01.09.2014 pour des sciatalgies droites sur canal spinal étroit sévère L4-L5 en 2014 Investigations cardiaques en ambulatoire (Dr. X): test d'effort 04/2014: maximal à 175 Watts durant 2' négatif cliniquement et électriquement pour une ischémie myocardique. Adaptation hémodynamique à l'effort satisfaisante. Pas de trouble du rythme notable. Syndrome de l'apnée du sommeil, appareillé par CPAP. Hypertension artérielle traitée. Extra-systoles ventriculaires épisodiques. Nodule surrénalien droit de 18x13cm. Syndrome de Leriche avec AOMI IIb • Pontage aorto-bifémoral avec réimplantation de l'artère mésentérique inférieure (OP le 29.10.2018) • Angio-CT post-opératoire (02.11.2018) • Discussion colloque vasculaire (05.11.2018): pas de reperméabilisation de l'a. mésentérique supérieure car Mme. Y est asymptomatique • Arrêt de l'anticoagulation thérapeutique le 20.12.18 et poursuite du Plavix seul Douleurs neuropathiques du pied gauche, suite à une intervention pour hernie discale. Syndrome de levée d'obstacle dès le 18.11.2018. Syndrome de l'intestin irritable DD: • Intolérance au lactose: non-testé • Gastrite à H. pylori: histologie négative • Néoplasie: OGD et coloscopie dans la norme • Maladie inflammatoire de l'intestin: calprotectine et colonoscopie négatives • Gastrite érosive sur prise d'AINS: OGD négative • Maladie cœliaque: anticorps négatifs. OGD du 08.09.2016: dans la norme Colonoscopie du 08.09.2016: dans la norme Histologie: aucune lésion histopathologique notable; H. pylori négatif. Syndrome de Lynch - mutation MSH2 avec: • Carcinome rectal T1 N0 M0 et résection antérieure basse le 22.05.2002 • Adénocarcinome bien différencié du duodénum pT3 Nx Mx en 2005 avec duodénectomie segmentaire D2 à D3 ainsi que cholécystectomie le 24.03.2005 • Cancer de 4 cm du pôle inférieur du rein droit pT3a pN0 (0/1), V1, R0 avec hydronéphrose modérée du rein droit avec néphrectomie droite totale le 28.11.2014 (Dr. X) • Adénocarcinome du caecum en 2015 • Adénocarcinome du jéjunum en 2006 Suivi oncologique par Dr. X Syndrome de Lynch suivi par Dr. X, gastro-entérologue à Vevey, avec: • Status après nombreuses polypectomies par coloscopie et sigmoïdectomie en février 2004 Hypertension artérielle traitée Hypercholestérolémie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Bloc atrioventriculaire de haut degré avec flutter atrial anticoagulé thérapeutiquement par Sintrom (suivi Dr. X) avec: • Pacemaker en place (Biotronik Eluna non IRM-compatible) • Accident ischémique transitoire en septembre 2012 • Échocardiographie du 18.06.2018: fraction d'éjection ventriculaire gauche à 70%, dysfonction diastolique de stade II; régurgitation mitrale 2/4; dilatation discrète des deux oreillettes; hypertension artérielle pulmonaire à 42mmHg • Prochain contrôle de pacemaker le 11.09.2018 Hyperparathyroïdie primaire le 08.03.2016 Syndrome de malabsorption sur diarrhées répétitives dans le cadre de l'iléite terminale. Syndrome de malnutrition post-opératoire. Syndrome de malnutrition sur trouble de déglutition moteur avec: • Maladie de Parkinson stade Hoehn & Yahr 4, traitée par Madopar. Syndrome de Mowat-Wilson, avec: • Test génétique: mutation hétérozygote exon 8, gène ZFHX1B, c. 1147 G>T • Agénésie complète du corps calleux, colpocéphalie, dysplasie hippocampique bilatérale (dernier IRM cérébral en 02/2015 au CHUV) • Hypsarythmie en 07/2015 (suivi neuropédiatrique, Dr. X) • Néphrocalcinose modeste, hyperoxalurie, hypercalciurie, protéinurie modeste, hypocitraturie (suivi néphrologique par Dr. X) • Cryptorchidisme bilatéral (non corrigé) • Thorax en entonnoir • Échographie cardiaque et électrocardiogramme dans la norme en 10/2015, position cardiaque altérée en raison du thorax en entonnoir • Otites à répétition (suivi par Dr. X) • Microrate détectée récemment selon la mère (vaccin pneumocoque et méningocoque à faire en début 2018) • Reflux gastro-oesophagien (suivi gastro-entérologique, Dr. X) • Constipation (suivi gastro-entérologique, Dr. X) • Lyse isthmique L2 bilatérale Syndrome de Norrie Perte de la vue complète Autisme Syndrome de Pallister Killian (mosaïque: i(12p): 47, XX, + i(12)(p10) [2]/46, XX [50]) Syndrome de renutrition Syndrome de renutrition avec dysélectrolytémie: • Hypophosphatémie • Hypokaliémie • Hypomagnésémie • Hypocalcémie Syndrome de renutrition inapproprié Syndrome de renutrition inapproprié avec malnutrition protéino-énergétique modérée le 29.11.2018 et le 06.12.2018 Syndrome de renutrition inapproprié le 29.11.2018 Syndrome de renutrition inapproprié sous nutrition parentérale le 26.12.2018 • Hypophosphatémie • Hypokaliémie • Hypomagnésiémie Syndrome de renutrition inappropriée dans un contexte de dénutrition protéino-calorique le 26.11.2018 • sur nutrition entérale dès le 24.11.2018 Syndrome de renutrition inappropriée le 20.11.2018 avec: • nutrition entérale/parentérale • hypomagnésémie à 0.46 mmol/L le 20.11.2018 • hypophosphatémie à 0.86 mmol/l le 23.11.2018 Syndrome de sevrage alcoolique Syndrome de sevrage alcoolique le 18.12.20018. Syndrome de sevrage alcoolique le 23.11.2018 Syndrome de sevrage éthylique Syndrome de sevrage OH sans signes de gravité Syndrome de Sjögren • bilan ORL le 11.01.2019 chez Dr. X Rétinopathie hypertensive stade II bilatérale Obésité morbide Prématurité extrême à 6 mois Trouble anxio-dépressif avec idées suicidaires connues depuis 2012 • épisode aigu le 25.07.2017, hospitalisation volontaire à Marsens • PAFA à Marsens en avril 2018 pour rechute dépressive sur un retard mental avec risque de passage à l'acte auto-agressif • institutionnalisation au Foyer Saint-Louis dès février 2019 Lésions cérébrales probablement préexistantes d'origine congénitale dans le contexte d'une prématurité extrême. DD : lésions démyélinisantes (SEP primairement progressive) peu probables. Syndrome de Sprengel (surélévation congénitale de la scapula). Syndrome de Tako-Tsubo le 15.12.2018 Syndrome de tunnel carpien à droite. Status de cure de pouce à ressaut à droite en 2013. Status après arthrodèse four corner poignet gauche en 2006. Syndrome de tunnel carpien bilatéral prédominant à droite Syndrome de tunnel carpien modéré, confirmé par ENMG, en partie répondant au traitement conservateur. Je proposerais de faire de l'ergothérapie, de ne porter l'attelle que la nuit et suivre l'évolution dans le courant des prochains mois. Syndrome de Waardenburg S/p convulsions dans contexte post-traumatique en octobre 2018 (maltraitance) Syndrome de Wieacker-Wolff en situation palliative • retard développement psychomoteur, arthrogrypose • douleurs contrôlées (multifactorielle : ostéoarticulaire, abdominale et probable composante neuropathique) Syndrome démentiel, d'origine probablement mixte Syndrome d'encéphalopathie postérieure réversible (PRES) le 18.10.2018 • Crise d'épilepsie avec phénomène de Todd 18.10.2018 • hémisyndrome facio-brachio-crural droit et héminégligence droite • pic hypertensif avec TAs > 220 DD : microangiopathie thrombotique sur HTA maligne, status épileptique laboratoire • IOT (intubée sur site) et ventilation mécanique du 18.10 au 19.10.2018 • CT cérébral le 18.10.2018 (Dr. X) : Occlusion départ de l'artère vertébrale gauche avec reprise d'une opacification filiforme en distalité dans ses segments V3 et V4 (possiblement rétrograde), associée à une zone de pénombre cérébelleuse gauche, compatible avec un accident vasculaire cérébral ischémique aigu. IRM le 19.10.2018 (Dr. X) : hypersignaux de la substance blanche sous-corticale pariéto-occipital compatible avec un PRES • Lévétiracétam dès le 18.10.2018 Malaise d'origine probablement vasovagale. Pic hypertensif sur malcompliance thérapeutique et sténose de l'artère rénale le 19.10.2018 avec: • début d'un ttt avec Prédnisone 1 mg/j il y a 3 semaines (prescrit par son gynécologue) Doppler de l'artère rénale le 23.10 (Dr. X) : sténose de l'artère rénale gauche avec augmentation des temps d'accélération en intraparenchymateux et rein gauche légèrement plus petit Pyélonéphrite gauche à E.coli multisensible le 01.11.2018 hémocultures 2 paires stix et sédiment urinaire urotube ECG : rythme sinusal régulier sans troubles de la repolarisation, superposable au précédent Radiographie de thorax : pas de foyer Rocéphine 2 g x 1/j dès le 01.11.2018 avec relais po par Ciproxine 2 x 500 mg/jour jusqu'au 07.11.2018 y compris Hyponatrémie hypo-osmolaire chez une patiente hypovolémique • osmolalité calculée : 278 mosm Résolution au cours de l'hospitalisation Insuffisance rénale aiguë sans critères AKIN chez une patiente connue pour une IRC (eGFR à 42 selon CKD-EPI en steady state) • Créatinine à 128 le 01.11 (Créatinine en steady state ca. 100-120 umol/l) • eGFR 34 mL/min selon CKD-EPI Résolution au cours de l'hospitalisation Hypophosphatémie le 01.11.2018 avec: • P 0.76 mmol/l Substitution orale Syndrome dépressif Syndrome dépressif avec intoxication médicamenteuse volontaire avec Trittico le 11/12/18 Syndrome dépressif, avec: • status post automutilations par scarifications. • status post tentamen à 3 reprises en 2010 (pendaison, strangulation et prise de médicaments). • status post tentamen médicamenteux le 13.11.2013 avec hospitalisation à Marsens. • status post tentamen médicamenteux le 01.06.2014 avec (576 mg de Concerta, 200 mg de Fluoxetine, 900 mg d'Abilify). • status post hospitalisation à l'hôpital psychiatrique de Marsens de janvier à mai 2011 pour état dépressif. • status post hospitalisation à la Clinique Belmont à Genève de janvier à février 2014. • status post hospitalisation à Marsens en juin 2014. • tentamen médicamenteux date? Troubles du comportement alimentaire, avec : • comportement anorexique et boulimique. • suivi psychiatrique par Dr. X. • Syndrome dépressif en traitement avec Escitalopram. • Syndrome d'épuisement professionnel avec symptômes anxieux et dépressifs le 01.12.2018. • Syndrome des anticorps anti-phospholipides. • Syndrome des apnées du sommeil appareillé. • Syndrome des apnées du sommeil d'entité très sévère, selon la polygraphie (IAH 80/heure). • Syndrome des apnées du sommeil non appareillée, oxygénothérapie nocturne. • Syndrome des apnées obstructives du sommeil de degré sévère, appareillé par CPAP. • Gonarthrose droite sévère, symptomatique. • Syndrome des jambes sans repos. • Obésité de stade 3 selon OMS (indice de masse corporelle à 43.8 kg/m2). • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. • Diverticulose colique. • Incontinence urinaire mixte traitée par Urispas et Toviaz. Troubles statiques de la colonne cervicale sans hernie avec : • Arthrose pluri-étagée à D avec possible irritation des racines nerveuses C4, C5, C6. • Spondylose C5-C6 et hémangiome en D2. Etat anxio-dépressif (suivi par Dr. X) avec tentamen en 2007. • Syndrome des jambes sans repos sous Prégabaline 50 mg depuis le 22.11.2018. • Syndrome des loges de la jambe droite le 05.09.2018. • Syndrome des loges des jambes à nette prédominance D. • Syndrome des loges jambe D le 12.09.2017 post contusion avec plaie superficielle pré-tibiale le 08.09.2017. • Fasciotomie latérale jambe D le 12.09.2017. • Rinçage, fermeture fasciotomie latérale jambe D le 14.09.2017. • Lombalgies hyperalgiques sur discopathie L5-S1 avec arthrose facettaire. • Infiltration facettaire L5 et S1 sous guidage CT le 14.09.2018. • Syndrome des ovaires polykystiques. • Diabète type 1 insulino-requérant sous pompe à insuline. • Hypothyroïdie Hashimoto. • Porteuse asymptomatique d'E Coli ESBL dans les urines depuis 2016 (suivie par Dr. X). • Pompe à insuline, bien gérée par la patiente, sous instruction de l'endocrinologue (Dr. X). • Sinusite chronique. • Vertige rotatoire avec nystagmus rotatoire et horizontal non épuisable. • Syndrome des restless legs. • Syndrome d'hypersensibilité cutanée et hépatique (érythème polymorphe et hépatite) en décembre 1996 sur prise d'Inflammac et d'Aspirine. Maladie variqueuse chronique avec : • s/p cure de la grande veine saphène du côté gauche par crossectomie et stripping long il y a une trentaine d'années (Dr. X). • s/p cure chirurgicale des varices des 2 côtés le 08.02.2017 (Dr. X) avec thrombose de la grande veine saphène droite et de quelques fragments de veines sur des sites de phlébectomies des 2 côtés mis en évidence en mars 2017. Amputation des doigts 2-5 de la main gauche vers 30 ans (accident professionnel). • Syndrome d'hypoventilation alvéolaire nocturne d'origine mixte (obésité, BPCO) appareillé par VNI depuis le 03.12.2015. • Syndrome d'impingement sous-acromiale à droite. • Syndrome douloureux des deux loges rénales d'origine indéterminée (cf synthèse). • s/p néphrite interstitielle 09/2018. • Syndrome douloureux aigu avec crise d'hypertension artérielle le 21.01.2018. • 1 épisode d'hématémèses le 24.01.2018. • Majoration IPP 5 jours, Pantozol 40 mg 2x/j jusqu'au 29.01, 1x/j dès 30.01. • Pantozol diminué à 20 mg/j le 22.02.2018. • Transfusion de 2 CE aux soins intensifs le 24.09.2018. • Hypokaliémie à 3,5 mmol/l le 28.09.2018. • Hyponatrémie hypoosmolaire à 129 mmol/l le 19.09.2018. • Suspicion de syndrome de sevrage alcoolique le 29.01.2018. • Rupture kyste de Baker en 2016. • PTH G sur fracture du col du fémur déplacée le 23.10.2015 (Dr. X). • Anciennes fractures D12-L1-L3. • Bursite chronique du coude G. • Cholécystite aiguë avec obstruction du canal cholédoque le 15.10.2014. • Ostéosynthèse par clou PFNA fracture fémur proximal D le 24.01.2013. • AMO clou PFNA du fémur D le 16.02.2013. • Hématome frontal et fracture de l'os temporal D en 2007. • Syndrome douloureux chronique exacerbé le 12.09.2018. • Polyarthromyalgies d'allure mixtes. • Fibromyalgie connue. • Composante neuropathique des douleurs type brûlure touchant chevilles, genoux, épaules. • Syndrome douloureux des lombaires sans étiologie claire. • Syndrome douloureux du grand trochanter droit le 02.11.2018 sur : • s/p PTH droite en 1996. • Status post changement complexe de PTH G le 22.05.2014 pour un descellement aseptique avec usure du polyéthylène. • Syndrome douloureux lombaire avec canal lombaire étroit congénital, lipomatose épidurale, scoliose convexe à gauche, grande hernie discale L5/S1 droite avec syndrome radiculaire S1. • Opération le 22.10.2018 : microdécompression de L1-S1 à droite (fénestration et hémilaminectomie). • Radiographie de la colonne lombaire post-op le 04.12.2018 : Bon alignement des murs antérieurs et postérieurs de la colonne lombaire, sans listhésis. Pas de perte de hauteur nouvelle des corps vertébraux. Pas de lésion osseuse suspecte. Progression des discopathies avec majoration des ponts ostéophytaires latéraux, notamment en L3-L4 et L4-L5. • Polyneuropathie dans le cadre de son diabète. • Syndrome douloureux régional complexe CRPS I (Morbus Südeck) jambe et pied gauche suite à une entorse du pied gauche. • Syndrome du canal carpien. • Syndrome du muscle piriforme avec des pseudo-sciatiques à nette prédominance D. • Syndrome du pyramidal de la hanche D. • Syndrome du pyramidal. • Inflammation d'insertion musculaire des abducteurs et des courts rotateurs externes hanche G. • Status post PTH G le 24.09.2008 sur coxarthrose. • Syndrome du tunnel carpien à G très probablement post-opératoire sur status post arthrodèse du poignet G le 17.04.2018 (Dr. X). • Syndrome du tunnel carpien à D. • Syndrome du tunnel carpien à gauche atteinte sensitivo-motrice de la main gauche (territoire nerf médian, Tinnel positif). • Diagnostic en ambulatoire par un neurologue. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral : • Status post cure du tunnel carpien, neurolyse du nerf médian et mise à plat d'un kyste arthro-synovial poignet G le 10.12.2018 compliqués par une lésion iatrogène de l'artère radiale du poignet G nécessitant une suture end-to-end. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance G. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance gauche. • Phénomène de doigt à ressaut majeur droit du 2ème degré. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral à prédominance droite. • Status post kyste téno-synovial du 4ème rayon avec phénomène de doigt à ressaut D4 gauche transitoire. • Syndrome du tunnel carpien bilatéral, prédominant à D. • Syndrome du tunnel carpien D débutant. • Syndrome du tunnel carpien ddc, plus prononcé à G qu'à D. • Syndrome du tunnel carpien de la main gauche. • Syndrome du tunnel carpien droit avancé. • Status post mise en place d'une prothèse totale du genou D le 28.09.2018 (Dr. X et Dr. X). • Status post cure de doigt à ressaut D4 le 21.03.2017. • Status post cure du tunnel carpien gauche. • Status post cure de doigt à ressaut D5 gauche. • Status post bursectomie olécrânienne droite sur bursite goutteuse. • Syndrome du tunnel carpien droit post-traumatique. • Syndrome du tunnel carpien droit. • Status post entorse IPP de D5 et D3 main droite il y a plus de 2 ans. • Syndrome du tunnel carpien gauche sous-clinique. • Rhizarthrose gauche avancée et symptomatique. • Compression du nerf cubital du coude gauche sur status post multiples interventions d'ostéosynthèse coude gauche. • Syndrome du tunnel carpien, main gauche. • Kyste arthro-synovial du poignet gauche. • Syndrome dysmétabolique avec : • excès pondéral avec obésité tronculaire (BMI à 29,4 kg/m2). • hypercholestérolémie. • glycémie à jeun pathologique en 2013 • hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie et hypoparathyroïdie substituée Psoriasis en plaque eczémateuse Hypothymie avec pleurs fréquents Prurit généralisé avec lésions de grattage dans le contexte du myélome • Traitement topique • Prégabaline transitoirement Syndrome dysmétabolique avec : • excès pondéral avec obésité tronculaire (BMI à 29,4 kg/m2) • hypercholestérolémie • glycémie à jeun pathologique en 2013 • hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie et hypoparathyroïdie substituée Psoriasis en plaque eczémateuse Hypothymie avec pleurs fréquents • Réméron dès le 06.04.201 Prurit généralisé avec lésions de grattage dans le contexte du myélome • Traitement topique • Pregabalin transitoirement Syndrome dysmétabolique avec : • excès pondéral avec obésité tronculaire (BMI à 29,4 kg/m2) • hypercholestérolémie • glycémie à jeun pathologique en 2013 • hypertension artérielle traitée Hypothyroïdie et hypoparathyroïdie substituée Psoriasis en plaque eczémateuse Myélome multiple indolent à IgG Lambda, de stade IA selon Durie-Salmon et de stade III selon ISS avec : • hémogramme au diagnostic : Hb 158 g/l, GB 7,8 G/l (PMN 57%, eo 5%, mono 11%, lympho 26,5%), Tc 220 G/l • laboratoire au diagnostic : créatinine 96 mmol/l, LDH 430 U/l, CRP 5 mg/l, calcium 2,41 mmol/l, protéine totale 91,5 g/l, albumine 41,6 g/l, IgG 31,65 g/l, IgA 2,23 g/l, IgM 2,28 g/l, Kappa 15,2 mg/l, Lambda libres 24,3 mg/l, bande monoclonale IgG Lambda à l'immunofixation, bêta-2-microglobulines 7,4 mg/l. • ponction-biopsie de moelle du 30.03.2015 : moelle normocellulaire, trilinéaire, avec infiltration plasmocytaire allant jusqu'à 20% au médullogramme, et à 15% (à par endroits 25%) par des plasmocytes CD38+, MUM1+, CD56+ et cyclines D1+, avec monotypie IgG et Lambda à la biopsie ostéomédullaire, compatible avec un myélome plasmocytaire. • cytométrie en flux médullaire du 30.03.2015 : population plasmocytaire clonale CD38+, CD138+, CD56+, CD19 faible, CD20 partiel, CD27 partiel et CD28 partiel, c-KIT-, Lambda +, représentant 1,8% des éléments nucléés. • bilan radiologique standard (colonne totale, bassin, fémurs, bras et crâne) du 25.03.2015 : pas de lésion lytique évidente hormis une petite lésion lytique d'aspect ovalaire isolée se situant à la jonction métaphyso-diaphysaire distale et proximale du bras droit. • traitement à visée anti-prurigineuse par Deroxat 20 mg par jour le 07.04.2015, stoppé le 10.04.2015 en raison d'une intolérance (vomissements) • traitement anti-myélomateux par un 1er cycle MPT (Melphalan 4 mg/m², Prednisone 40 mg/m², Thalidomide 100 mg par jour) le 03.06.2015, sans prise de Prednisone en raison d'une notion d'intolérance aux stéroïdes, et avec interruption après déjà 4 jours de traitement de Melphalan (en raison d'importantes nausées et vomissements) et après 7 jours de Thalidomide (apparition de paresthésies dans les mains et les pieds, et de douleurs dans les pieds) • traitement anti-myélomateux par 5 cycles de Dexaméthasone haute dose (40 mg par jour J1 - J4) les 22.06.2015, 14.07.2015, 04.08.2015, 24.08.2015 et 14.09.2015, compliqué d'une décompensation diabétique nécessitant une insulinothérapie, avec obtention d'une très bonne réponse hématologique partielle (normalisation du taux d'IgG total, forte diminution du prurit) • progression du myélome dès le 28.01.2015 avec un pic de paraprotéine IgG à 24,43 g/l le 11.01.2016 associée à une aggravation du prurit • traitement : 1er cycle de Dexaméthasone seule (20 mg, J1, J8, J15 et J22) effectué le 11.01.2016, puis traitement combiné par Revlimid (25 mg par jour J1 - J21) et Dexaméthasone (20 mg, J1, J8, J15 et J22) en cycle de 28 jours, avec un 1er cycle débuté le 04.02.2016, un 2ème cycle (avec Revlimid à 50% de la dose totale en raison d'une insuffisance rénale) débuté le 02.03.2016, un 3ème cycle effectué le 30.03.2016, un 4ème cycle effectué le 27.04.2016, un 5ème cycle effectué le 25.05.2016, un 6ème cycle effectué sans Dexaméthasone le 22.06.2016, un 7ème cycle effectué sans Dexaméthasone le 20.07.2016 (avec Revlimid 25 mg 100% DT) avec obtention d'une très bonne réponse hématologique partielle (VGPR) le 17.08.2016 (IgG totales à 14,68 g/l) • reprise d'un traitement par Thalidomide 50 mg 1x/jour le 11.08.2017 (stoppé le 21.08.2017 en raison d'une intolérance sous forme d'un exanthème cutané prurigineux diffus). • situation actuelle (21.08.2017) : lente progression de la paraprotéinémie avec des IgG totales à 24.79 g/l le 21.08.2017 Hypothymie avec pleurs fréquents • Réméron dès le 06.04.201 Prurit généralisé avec lésions de grattage dans le contexte du myélome • Traitement topique • Pregabalin transitoirement Syndrome extra-pyramidal atypique de l'hémicorps droit d'allure parkinsonienne avec tremblement prédominant en mai 2018, traité par Pk-Merz entre juillet et octobre 2018 (suivi Dr. X). Hypertension artérielle. Fibrillation auriculaire anticoagulée. Trouble anxio-dépressif chronique. Carence en vitamine D et acide folique sur malnutrition protéino-énergétique légère. Syndrome extra-pyramidal atypique de l'hémicorps droit d'allure parkinsonienne avec tremblement prédominant en 05.2018, traité par Pk-Merz entre 07 et 10.2018 (suivi Dr. X) Troubles cognitifs non stadés Hypertension artérielle Fibrillation auriculaire anticoagulée Trouble anxio-dépressif chronique Troubles du comportement non connus dans un contexte de troubles cognitifs non stadés Carence en vitamine D et acide folique sur malnutrition protéino-énergétique légère Sonde urinaire à demeure pour une rétention urinaire aiguë à répétition Syndrome fémoro-patellaire droit Syndrome fémoro-patellaire genou G avec lésions ostéochondrales de la trochlée et de la rotule • Fracture de la rotule G à l'âge de 16 ans Syndrome fémoro-patellaire sur chondropathie stade IV de la facette médiale de la rotule D. Syndrome grippal Syndrome grippal Syndrome grippal Syndrome grippal Syndrome grippal Syndrome grippal Syndrome grippal Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal. Syndrome grippal + brûlure mictionnelle avec douleurs abdominales irradiant dans les loges rénales le 31.12.2018. Syndrome grippal (dd troubles anxiogènes avec manifestations somatiques) Syndrome grippal avec angine virale le 30.11.2018 Syndrome grippal avec asthme. Toux sur reflux gastro-oesophagien probablement. Syndrome grippal avec douleurs du pharynx Examen clinique bilan biologique Bilan radiologique Streptotest négatif Hydratation avec 1500 mg i.v. aux Urgences Traitement symptomatique Douleurs abdominales d'origine indéterminée • DD dans le contexte de l'état grippal Examen clinique Bilan radiologique US abdominal Syndrome grippal avec EF jusqu'à 39.2 °C Syndrome grippal avec sinusite frontale d'origine virale, le 16.12.2018. Syndrome grippal avec: • 2 épisodes d'expectoration teintés de sang. Syndrome grippal chez femme enceinte de 8 mois, le 29.12.2018. Syndrome grippal (DD: État fébrile dans le contexte d'un retour de voyage et de traitement immuno-modulateur) Syndrome grippal sur virose ORL Syndrome grippal DD: sinusite. Syndrome grippale Syndrome grippale. Syndrome hémolytique urémique Syndrome infectieux avec: • infection urinaire basse le 20.11.2018 • bronchite virale asthmatiforme le 13.11.2018 Syndrome inflammatoire. Syndrome inflammatoire. Syndrome inflammatoire. Syndrome inflammatoire biologique • CRP à 24 mg/dL, VS à 40 mm/h, leucocytose à 14 G/L • PR séropositive avec s/p rituximab en juin 2018 Syndrome inflammatoire chronique d'origine indéterminée (CRP à 150 mg/l le 04.11.2018) avec: • Diagnostic différentiel: pancolite Syndrome inflammatoire clinique et biologique, d'origine indéterminée • DD: infection cutanée, pneumonie basale gauche, infection urinaire • Labo du 30.11.2018: en cours • Rx Thorax du 30.11.2018: à pister • Hémocultures du 30.11.2018: à pister • Uricult du 30.11.2018: à pister Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 19.11 et 27.11.2018 probablement dans le contexte de syndrome mélodysplasique. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 21.12.2018. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée (dd virose) Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée • Augmentin dès le 04.12.18 (suspicion de bronchite) Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée avec oligoarthrite, odynodysphagie Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, le 13.12.2018 • sans EF Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 17.12.2018 • CRP: 156 mg/l, Leucocytes: 11.8 G/l • Microbiologie cathéter: négatif le 21.12.2018 • culture Cathéter de dialyse le 19.12.2018: négatif • Hémocultures 17.12.2018: négatif à 5 jours • Rx thorax 21.12.2018: idem que comparatif Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 17.12.2018 • sans foyer anamnestique ni clinique Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 21.12.2018 avec: • Laboratoire chez son médecin traitant: CRP 42.5 le 20.12.2018, 130 le 21.12.2018. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 26.10.2018 DD: surinfection épanchement pleural D, infection de cicatrice de drain pleural droit, urinaire Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 26.12.2018 DD: sur infection pulmonaire débutante VS sur problématique oncologique Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, le 29.12.2018 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 30.11.2018 • Avec CRP à 122 sans leucocytose • Abcès péri-aortique sur déhiscence de la bio-prothèse aortique avec endocardite lente à germe indéterminé depuis le 31.10.2017 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée 06.12.2018 Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée 28.12.2018 • DD cholécystite débutante, infection urinaire Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée DD: infectieux, insuffisance rénale terminale, néoplasique Syndrome inflammatoire d'origine probablement pulmonaire le 28.12.2018 • DD: Urinaire Syndrome inflammatoire d'origine probablement virale Syndrome inflammatoire et état fébrile récidivants d'origine indéterminée le 13.12.2018 • agitation psychomotrice en péjoration Syndrome inflammatoire le 21.12.2018 • CRP 176, leuco 19 (dont 16 de neutrophiles) • possiblement associé au diagnostic principal, DD foyer pulmonaire Syndrome inflammatoire modéré probablement sur plaies chroniques des orteils le 10.04.2018 : • Sous Céfépime et Vancomycine en dialyse depuis le 06.04.2018 pour suspicion d'ostéite du 3ème et 4ème orteils à droite • Radiographie du thorax le 09.04.2018: pas de foyer • Radiographie des orteils droits le 06.04.2018: pas de signe d'ostéite • IRM des pieds le 13.04.2018: qualité de l'IRM suboptimale en raison de mouvements, ne permettant pas d'exclure une éventuelle atteinte osseuse; au vu de la bonne clinique du patient, pas d'investigation supplémentaire pour l'instant • Bilan angiologique le 17.04.2018 (Dr. X): perfusion limite pour un patient diabétique et dialysé, avec importante atteinte jambière bilatérale; en cas d'absence d'évolution favorable, le patient sera convoqué pour une angioplastie par accès antégrade • Suite de la prise en charge multidisciplinaire (diabétologues/néphrologues/angiologues) concernant la réalisation d'une nouvelle imagerie et la poursuite de l'antibiothérapie Hydrocystome coin interne œil gauche : • Résection au bloc le 08.01.2018, sans complication MGUS (gammapathies monoclonales de signification indéterminée) possible à l'électrophorèse du 02.08.2017 : • Pas d'investigation supplémentaire d'après avis hématologique (Dr. X) du 02.08.2017 • Stabilité à l'électrophorèse des protéines de contrôle du 11.04.2018 Embolie pulmonaire segmentaire du lobe moyen le 26.04.2017 : • De découverte fortuite à l'angio-CT réalisé suite à la thrombose de la fistule • Anticoagulé par Marcoumar en dialyse • Anticoagulation à vie car ce patient a déjà fait de nombreuses thromboses, ainsi que pour dysfonctionnement du cath sans anticoagulation Otites externes mycotiques gauches les 12.06.2017 et 30.10.2017 Status après pic fébrile à 38.1°C avec céphalées frontales et un épisode de vomissement le 10.05.2017 : • Diagnostics différentiels : infection du cathéter, endocardite, infection urinaire • Frottis cathéter : candida parapsilosis • Vancomycine du 10.05.2017 au 22.05.2017 Status après fracture de la patella gauche après chute le 02.07.2016 Péjoration d'un tremblement de type myoclonie/dyskinésie sévère possiblement d'origine médicamenteuse le 21.05.2018 : Traitement d'épreuve par Madopar depuis mars 2017 pour suspicion de tremblements fonctionnels • Laboratoire en dialyse Aux urgences sur avis Dr. X et Dr. X : arrêt Madopar et Rivotril, relais par Keppra 500 mg 2x/j, poursuite Venlafaxine et Gabapentine Avis neurologique le 23.05.2018 (Dr. X) : poursuivre le traitement de Keppra 500 mg 2x/j jusqu'au prochain contrôle en neurologie vu le bon effet ; probablement peu de contribution de Venlafaxine et Gabapentine vu les faibles doses ; pas d'indication à répéter un EEG Augmentation de Keppra à 750 mg 2x/j selon avis de Dr. X, neurologue Rendez-vous chez Dr. X le 22.06.2018 à 9 h pour suivi et adaptation du traitement Syndrome inflammatoire persistant d'origine oncologique probable 03.12.2018 Syndrome inflammatoire probablement dans le contexte d'iléus le 19.12.2018 • DD : pneumonie lobaire gauche sans équivalent radiologique, infection urinaire basse asymptomatique, péricardite (épanchement péricardique) Syndrome inflammatoire récidivant plurifactoriel • choc septique (suspicion) le 26.10.2018 • pancréatite nécrotique le 22.11.2018 (voir diagnostic spécifique) • crise de goutte tophacée sévère (voir diagnostic spécifique) • pneumonie associée à la ventilation mécanique à Klebsiella pneumoniae le 23.11.2018 Syndrome inflammatoire sans foyer clair Syndrome inflammatoire sur bronchite aiguë. Syndrome jonctionnel avec sténose dynamique L2-L3 • Foraminotomie L2-L3 bilatérale en crossover par la G, le 13.12.2017 par Dr. X Gonarthrose G • kyste de Baker G Syndrome dépressif Syndrome lombo-radiculaire droit chronique actuellement acutisé avec : • déficit moteur M2 transitoire de la flexion du quadriceps droit (présente en consultation chez le médecin traitant le 19.12.18 puis résolue aux urgences) • hypoesthésie du territoire L5 et pied tombant du membre inférieur droit (chronique) Syndrome lombo-radiculaire sensitivo-moteur L4 en 2001, avec : • Status après infiltration facettaire L4-L5 droite et infiltration péridurale, en décembre 2001 Status après phakectomie bilatérale Zona optique en 2012 Status après cholécystectomie par laparoscopie puis conversion en laparotomie suite à une fuite biliaire intra-opératoire avec suture des voies biliaires (cholédoque) le 18.05.2015 Syndrome lombovertébral de type irritatif L4-L5 ou L5-S1 à G, non déficitaire. Syndrome lombo-vertébral et spondylogène avec spondylolisthésis L4/L5, canal lombaire étroit et arthrose inter-facettaire L4 à S1 avec infiltrations itératives Diabète de type 2 non insulino-dépendant avec neuropathie périphérique avec douleurs neuropathiques chroniques des pieds, sous Gabapentine Syndrome des apnées obstructives du sommeil appareillé (2004) Goutte chronique traitée Troubles anxio-dépressifs sévères FRCV : HTA, obésité, dyslipidémie Syndrome lombo-vertébral subaigu avec troubles statiques lombaires et lésions dégénératives modérées avec arthrose modérée des articulaires postérieurs L3-S1. Epigastralgies sur probable reflux gastro-œsophagien. Bloc de branche gauche nouveau de découverte fortuite le 27.10.2018. Syndrome métabolique : • diabète non insulino-requérant avec : polyneuropathie, néphropathie • HTA • hypercholestérolémie Cardiopathie hypertensive et dysrythmique : • anticoagulé par Sintrom Trouble cognitif léger • MMS 25/30 19.12.13, montre 4/6 Coxarthrose sévère hanche droite Dermite ocre des membres inférieurs Discopathie avec petite hernie médiane L5/S1 Syndrome métabolique : • diabète de type 2 insulino-requérant traité par Victoza 1.2 mg et Insuline Lantus 18 U/jour • obésité • dyslipidémie • hypertension artérielle. Hypercholestérolémie (statine arrêtée par médecin traitant car crampes musculaires). Insuffisance rénale diabétique et hypertensive stade 3a selon KDIGO. Maladie thrombo-embolique idiopathique récidivante : • au niveau de la crosse de la GVS et de la VFS moyenne/distale à droite • antécédents embolie pulmonaire en avril 2018 anticoagulée par Xarelto jusqu'au mois d'août. Insuffisance veineuse des membres inférieurs. Anémie ferriprive non compensée par le traitement oral. Glaucome. Suspicion d'ostéoporose. Oesophagite érosive de reflux sur hernie hiatale. Diverticulose colique. Atrophie du pancréas. Syndrome métabolique : • Hypercholestérolémie • Hypertension artérielle • Goutte Tabagisme actif Sténose urétrale, suivi urologique régulier (Dr. X, Peseux) Cardiopathie hypertensive, rythmique et ischémique • décompensation le 22.04.2018 probablement mixte sur insuffisance cardiaque non traitée, FA rapide, hyperdébit sur fistule artério-veineuse confectionnée en octobre 2017 • NSTEMI secondaire le 04.04.2018 (Payerne) • dysfonction systolique sévère, FEVG ~30 % le 05.04.2018, ~15-20 % le 23.04.2018 • décompensation cardiaque dans le contexte d'une pneumonie en août 2018 • coronarographie le 25.04.2018 : maladie coronarienne de 1 vaisseau (2 petites branches marginales de l'artère circonflexe) • pose d'un défibrillateur triple chambre et thérapie de resynchronisation le 12.11.2018 par Dr. X Syndrome métabolique : obésité, hypertension artérielle, dyslipidémie, diabète de type 2. Dyslipidémie (sous Atorvastatine). Etat dépressif (sous Tranxilium et Duloxétine). Syndrome métabolique avec : • diabète type II, NIR • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité de classe II Maladie coronarienne tritronculaire avec : • angioplastie de l'IVA, de la CX et de la CD entre 1987 et 1995 • pontage aorto-coronarien (AMIG-IVA en 1997) • ré-angioplastie de la coronaire droite et de la CX en 2002 • STEMI latéral sur thrombose intra-stent de la CX moyenne le 22.07.2012 • écho de stress 18.02.2014 : cliniquement et électriquement négatif 2014 • NSTEMI postérieur le 22.03.2016 sur restenose in stent subtotale de la CX proximale (PTCA et stent actif, angioplastie pour une resténose in stent de la CX moyenne, angioplastie et mise en place d'un stent actif pour une resténose in stent subtotale de la CX distale, AMIG-IVA perméable • stenting coronaire droite perméable, resténose intermédiaire IVP, FEVG 35 % (coronarographie du 22.03.2016, Dr. X) • coronarographie 26.05.2017 : sténose de nouveau de 87 % de l'artère coronaire droite : angioplastie mise en place d'un stent actif • coronarographie du 23.06.2017 : sub-occlusion de la bifurcation de l'artère coronaire droite distale. Angioplastie mise en place d'un stent actif • FEVG 50 % avec hypokinésie modérée en inférieur 07.2017 • coronarographie du 25.06.18 : angioplastie de l'artère circonflexe distale sans stent. Succès d'angioplastie de l'artère circonflexe moyenne sans stent avec ballon à élution (Dr. X). • résistance au Clopidogrel (test d'agrégation plaquettaire positif) • ETT et Echocardiographie de stress le 11.12.2018 (Dr. X) : hypokinésie latérale et latero-apicale ; sténose aortique légère, insuffisance mitrale minime Artériopathie des membres inférieurs avec : • recanalisation de 2 sub-occlusions poplitées droites par angioplastie au ballon actif et pose de stent le 10.02.2015 • recanalisation de 1 sub-occlusion calcifiée fémorale superficielle gauche et poplitée gauche 03.03.2015. • status post-canalisation d'une occlusion poplitée proximale par thrombectomie du membre inférieur droit 20.04.2016 Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • dyslipidémie • diabète de type 2 non insulino-requérantobésité morbide per magna (BMI 34,3 kg/m2) le 19.08.2015 Tabagisme actif (>60 UPA) SAS, appareillé Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • dyslipidémie • diabète de type 2 non insulino-requérant • obésité morbide per magna (BMI 34,3 kg/m2) le 19.08.2015 Tabagisme actif (>60 UPA) SAS, appareillé Syndrome métabolique avec : • diabète de type II non insulinorequérant • hypercholestérolémie et hypertension artérielle traitées Presbyacousie appareillée Syndrome des apnées du sommeil Quadranopsie supérieure droite dès le 21.10.2018 DD : effet secondaire du Lyrica • Contrôle ophtalmologique à distance • Interdiction de conduire jusqu'au contrôle (patient informé le 23.10.2018) Incidentalome surrénalien droit asymptomatique Insuffisance cardiaque sur cardiopathie ischémique et dysrythmique avec : • s/p STEMI inférieur en 1981 • s/p PTCA et stenting de l'IVA distale et de la coronaire circonflexe moyenne et distale en 2004 • s/p implantation d'un défibrillateur automatique implantable pour tachycardie ventriculaire monomorphe en 2004 : IRM non compatible (dernier contrôle le 10.10.2018, prochain contrôle le 14.01.2019) • s/p PTCA et stenting de la branche intermédiaire en 2007 • s/p PTCA en 2010, 2011 et 2015 • Coronarographie le 24.03.2017 (Prof. X) : état coronarien stable. FEVG 30%. Subocclusion de l'ostium de la RCx. PTCA et stenting de la Cx proximale. Bon résultat final. • ETT le 11.10.2018 dans un contexte de décompensation cardiaque : FEVG 30%. Hypokinésie sévère. Hypertrophie excentrique. Sclérose aortique. Macrohématurie récidivante d'origine tumorale Anémie normocytaire hypochrome arégénérative, d'origine multifactorielle DD : spoliative, tumorale, rénale Syndrome métabolique avec • diabète de type 2 insulino-requérant • dyslipidémie traitée • hypertension artérielle traitée • syndrome des apnées obstructives du sommeil, appareillé Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino-requérant • hypertension artérielle traitée • obésité • dyslipidémie. Bradycardie sinusale depuis 2012 avec extrasystoles supraventriculaires Insuffisance rénale chronique stade 3 (CKD-EPI). Polyalgies avec : • omarthrose droite sur rupture chronique de la coiffe des rotateurs de l'épaule droite • lombalgies chroniques sur hernie discale L4/L5 avec status post-cure de hernie. • syndrome modéré du tunnel carpien. Processus d'apparence invasive du sinus sphénoïdal et empty sella sign (probable sinusite fongique invasive chronique) : • céphalées, vertiges et trouble de la parole depuis le 02.05.2013. Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino-requérant • obésité abdominale • hypertension artérielle • hypercholestérolémie Etat anxio-dépressif. Hernie hiatale. Polymyalgia rhumatica traitée par Prednisone avec prophylaxie par Alendronate diagnostiquée en 6/2014. Carence en vitamine B12 substituée d'origine indéterminée. Maladie coronarienne avec : • excellent résultat après PCI de l'IVA • excellent résultat après PCI de l'ACD le 18.09.2014 • excellent résultat après PCI de la PLA le 23.09.2014 • sténose 70% ACD moyenne : PCI (1DES) : Bon • fraction d'éjection VG 65% Coronarographie le 12.10.2018 (Prof. X) Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois Hypothyroïdie substituée le 19.09.14 avec : Chutes à répétition. Trouble dégénératif C4-C6 Omarthrose gauche Lésion coiffe rotateurs épaule gauche Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 insulino-requérant • obésité abdominale • hypertension artérielle • hypercholestérolémie Etat anxio-dépressif. Hernie hiatale. Polymyalgia rhumatica traitée par Prednisone avec prophylaxie par Alendronate diagnostiquée en 6/2014. Carence en vitamine B12 substituée d'origine indéterminée. Maladie coronarienne avec syndrome coronarien aigu sur sub-occlusion de la coronaire droite le 18.09.2014 et angor instable le 23.09.2014 • légère dysfonction ventriculaire gauche avec hypokinésie antéro-latérale, EFVG 60 % • coronarographie et ventriculographie le 18.09.2014 (Prof. X) : sténose subtotale de la coronaire droite proximale traitée par PTCA/Stents actifs x2 DES. Sténose significative de la première diagonale. • coronarographie du 23.09.2014 : stenting de la coronaire droite distale. Maladie coronarienne avec : • excellent résultat après PCI de l'IVA • excellent résultat après PCI de l'ACD le 18.09.2014 • excellent résultat après PCI de la PLA le 23.09.2014 • sténose 70% ACD moyenne : PCI (1DES) : Bon • fraction d'éjection VG 65% Coronarographie le 12.10.2018 (Prof. X) Surveillance aux soins intensifs sur les lits coronarographie du 12.10.2018 au 13.10.2018 Aspirine cardio à vie Efient pour 6 mois Allergie aux IEC et Sartan. Hypothyroïdie substituée le 19.09.14 avec : Chutes à répétition. Trouble dégénératif C4-C6 Omarthrose gauche Lésion coiffe rotateurs épaule gauche Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 non insulino-requérant • hypertension artérielle traitée • hypercholestérolémie • obésité morbide Syndrome métabolique avec : • diabète de type 2 non insulino-requérant • hypertension artérielle traitée • hypercholestérolémie • obésité Artériopathie des membres inférieurs avec recanalisation et pose de stents en décembre 2013 et le 03.12.2014 Sténose de minimum 80% de l'artère carotide commune sur la portion moyenne gauche, avec une sténose estimée à environ 60% au départ de la carotide interne et externe Athéromatose au départ de la carotide commune droite, sans sténose au niveau de l'artère carotide interne à droite Sténose proximale du tronc brachio-céphalique sur le départ de l'artère sous-clavière droite depuis 2014 Maladie coronarienne tritronculaire avec : • sténose 50-70% du tronc commun avec pose de 2 stents actifs ainsi qu'au départ de la Cx 02/2017 • PTCA d'une re-sténose de l'IVA moyenne 05/2014 • bonne fonction ventriculaire gauche systolique Syndrome métabolique avec : • dyslipidémie • hypertension artérielle • BPCO de stade II selon Gold oxygénodépendante • obésité de stade 3 selon OMS (indice de masse corporelle à 43.8 kg/m2) Syndrome des apnées obstructives du sommeil de degré sévère, appareillé par CPAP Troubles statiques de la colonne cervicale sans hernie avec : • arthrose pluri-étagées à D avec possible irritation des racines nerveuses C4, C5, C6 • spondylose C5-C6 et hémangiome en D2 Gonarthrose droite sévère, symptomatique Syndrome des jambes sans repos Diverticulose colique Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité morbide avec BMI à 40 kg/m2 • diabète de type II non insulino-requérant Sténose carotidienne droite de 60 à 65% Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • status post-quadruple pontage aorto-coronarien veineux en 1999 • PTCA et stenting en 2006 • fraction d'éjection à 63% en avril 2014 Insuffisance rénale chronique d'origine multifactorielle hypertensive et diabétique (post-rénale), stade II, (clearance créatinine à 75 ml/min en novembre 2012 et créatinine sérique habituelle à environ 120 mmol/l) Adénocarcinome de la prostate de stade cT2a cN0 cM0 Gleason score 7 ; hypogonadisme hypogonadotrope post-hormonothérapie Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle. • dyslipidémie. • obésité morbide avec BMI à 40 kg/m2. • diabète de type II non insulino-requérant. Sténose carotidienne droite de 60 à 65%. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • status post-quadruple pontage aorto-coronarien veineux en 1999. • PTCA et stenting en 2006. • fraction d'éjection à 63% en avril 2014. Insuffisance rénale chronique d'origine multifactorielle hypertensive et diabétique (post-rénale), stade II, (clearance créatinine à 75 ml/min en novembre 2012 et créatinine sérique habituelle à environ 120 mmol/l). Adénocarcinome de la prostate de stade cT2a cN0 cM0 Gleason score 7 ; hypogonadisme hypogonadotrope post-hormonothérapie. Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle. • dyslipidémie. • obésité morbide avec BMI à 40 kg/m2. • diabète de type II non insulino-requérant. Sténose carotidienne droite de 60 à 65%. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • status post-quadruple pontage aorto-coronarien veineux en 1999. • PTCA et stenting en 2006. • fraction d'éjection à 63% en avril 2014. Insuffisance rénale chronique d'origine multi-factorielle hypertensive et diabétique (post-rénal), stade II, (clearance créatinine à 75 ml/min en novembre 2012 et créatinine sérique habituelle à environ 120 mmol/l). Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • dyslipidémie • obésité morbide avec BMI à 40 kg/m2 • diabète de type II non insulino-requérant. Sténose carotidienne droite de 60 à 65%. Cardiopathie ischémique et hypertensive avec : • status post-quadruple pontage aorto-coronarien veineux en 1999 • PTCA et stenting en 2006 • fraction d'éjection à 63% en avril 2014. Insuffisance rénale chronique d'origine multi-factorielle hypertensive et diabétique (post-rénal), stade II, (clearance créatinine à 75 ml/min en novembre 2012 et créatinine sérique habituelle à environ 120 mmol/l). Syndrome métabolique avec : • hypertrophie prostatique pauci-symptomatique. • hernie sous-ombilicale de type épigastrique. • probable canal lombaire étroit. • syndrome d'apnée du sommeil. Coronaropathie ischémique avec : • s/p NSTEMI traité par angioplastie et pose de stents actifs pour une occlusion d'une 2ème marginale (16.01.2012). • FEVG à 78% 01/2012. Hydrocéphalie à pression normale : • dérivation ventriculopéritonéale pariétale droite le 23.06.2017 (valve Strata, Medtronic réglée position 2). Syndrome métabolique avec : • dyslipidémie • hypertension artérielle • BPCO de stade II selon Gold oxygénodépendante • obésité de stade 3 selon OMS (indice de masse corporelle à 43.8 kg/m2). Syndrome des apnées obstructives du sommeil de degré sévère, appareillé par CPAP. Troubles statiques de la colonne cervicale sans hernie avec : • arthrose pluri-étagées à droite avec possible irritation des racines nerveuses C4, C5, C6. • spondylose C5-C6 et hémangiome en D2. Gonarthrose droite sévère, symptomatique. Syndrome des jambes sans repos. Diverticulose colique. Trouble de l'adaptation avec anxiété : • connu pour trouble anxio-dépressif avec status post tentamen en 2007. Démangeaisons cutanées sévères d'origine indéterminée. DD : eczéma, dermatose. Xyzal 5 mg/j dès le 13.12.2018, Antidry huile crème. Avis dermatologique le 18.12.2018. Biopsies cutanées pour examen histologique et immunofluorescence directe le 18.12.2018 : en cours. Dermovate crème 20g (corticoïde stade IV) 1x/j le soir pendant 2 semaines puis en schéma dégressif soit 1 jour sur 2 pendant 1 semaine, 1 jour sur 3 pendant 1 semaine puis STOP (dose hebdomadaire maximale max. 50g). Réévaluer un contrôle dermatologique en janvier 2019 selon évolution clinique. Syndrome métabolique avec : • HTA traitée • dyslipidémie traitée • diabète type 2 traité. Syndrome d'apnées obstructives du sommeil de degré léger, diagnostiqué en 2002, abandon de CPAP en mai 2012. Asthme bronchique/bronchite chronique. Reflux gastro-oesophagien. Insuffisance veineuse chronique. Migraines. Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • diabète de type 2 insulino-traité avec polyneuropathie et néphropathie diabétique • dyslipidémie • SAOS sévère appareillée. Anémie normochrome normocytaire. Ancien tabagisme. Hernie hiatale. Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • diabète de type 2 insulino-traité avec polyneuropathie et néphropathie diabétique • dyslipidémie • SAOS sévère appareillée. Insuffisance rénale chronique sur néphropathie diabétique et hypertensive. Ancien tabagisme. Hernie hiatale. Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • diabète de type II non-insulino-requérant. Hypothyroïdie substituée. Lombo-sciatalgie droite non-déficitaire le 11.10.2017. Trouble dépressif récurrent. Trouble de personnalité mixte. Syndrome de dépendance aux benzodiazépines. Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle • hypercholestérolémie • obésité • diabète de type 2 non insulino-requérant. Rhumatisme articulaire. Cancer mammaire droit avec exérèse en 2015 suivi de radiothérapie et chimiothérapie en cours. Nodule thyroïdien non néoplasique. Syndrome métabolique avec : obésité de classe II (BMI 38.6 kg/m2 en 03.2016). Diabète de type II insulino-dépendant. Hypertension artérielle traitée. Sténose carotidienne gauche. Syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil complexe avec : • polygraphie diagnostique 09.03.2016 : IAH 26.3/h (obstructives 57.5%, centrales 42.5%), hypopnées 73.2%), saturation nocturne moyenne en oxygène : 89.2%. • obésité stade II selon OMS (BMI 38,6 kg/m2). • score d'Epworth à 5/24, Stop Bang à 6/8. • échec de mise sous CPAP le 11.4.2016 avec majoration de l'index d'apnées/hypopnées à 56.5/heure (hypopnées et apnées centrales). • échec de mise sous VNI (Resmed CSII) en juin 2016 avec polygraphie sous VNI (réglages ASV EPAP 5 cm H2O, AI min 3 cm H2O, AI max 10 cm H2O) : IAH 45/h, 2ème nuit (réglages ASV auto EPAP min 5 cm H2O, EPAP max 10 cm H2O, AI min 3 cm H2O, AI max 8 cm H2O) : IAH 39.8/h, IDO 40.3/h. • mise sous VNI avec réglages Resmed Aircurve CS (mode ASV auto EPAP min 6 cm H2O, EPAP max 12 cm H2O, AI/min 3 cm H2O, AI/max 10 cm H2O) avec amélioration des index AHI à 14.2 et IDO à 11.8. Syndrome métabolique avec : obésité de classe II (BMI 38.6 kg/m2 en 03.2016). Diabète de type II insulino-dépendant. Hypertension artérielle traitée. Sténose carotidienne gauche.Syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil complexe avec: • Polygraphie diagnostique 09.03.2016: IAH 26.3/h (obstructives 57.5%, centrales 42.5%), hypopnées 73.2%), Saturation nocturne moyenne en oxygène : 89.2% • Obésité stade II selon OMS (BMI 38.6 kg/m2) • score d'Epworth à 5/24, Stop Bang à 6/8 • Échec de mise sous CPAP le 11.4.2016 avec majoration de l'index d'apnées/hypopnées à 56.5/heure (hypopnées et apnées centrales) • Échec de mise sous VNI (Resmed CSII) en juin 2016 avec polygraphie sous VNI (réglages ASV EPAP 5 cm H2O, AI min 3 cm H2O, AI max 10 cm H2O): IAH 45/h, 2ème nuit (réglages ASV auto EPAP min 5 cm H2O, EPAP max 10 cm H2O, AI min 3 cm H2O. AI max 8 cm H2O): IAH 39.8/h, IDO 40.3/h • Mise sous VNI avec réglages Resmed Aircurve CS (mode ASV auto EPAP min 6 cm H2O, EPAP max 12 cm H2O. AI/min 3 cm H2O, AI/max 10 cm H2O) avec amélioration des index AHI à 14.2 et IDO à 11.8 Syndrome métabolique avec : • obésité de classe II (BMI 38.6 kg/m2 en 03.2016) • Diabète de type II insulino-dépendant • Hypertension artérielle traitée Sténose carotidienne gauche Syndrome d'apnée/hypopnée du sommeil complexe avec: • Polygraphie diagnostique 09.03.2016: IAH 26.3/h (obstructives 57.5%, centrales 42.5%), hypopnées 73.2%), Saturation nocturne moyenne en oxygène : 89.2% • Obésité stade II selon OMS (BMI 38.6 kg/m2) • score d'Epworth à 5/24, Stop Bang à 6/8 • Échec de mise sous CPAP le 11.4.2016 avec majoration de l'index d'apnées/hypopnées à 56.5/heure (hypopnées et apnées centrales) • Échec de mise sous VNI (Resmed CSII) en juin 2016 avec polygraphie sous VNI (réglages ASV EPAP 5 cm H2O, AI min 3 cm H2O, AI max 10 cm H2O): IAH 45/h, 2ème nuit (réglages ASV auto EPAP min 5 cm H2O, EPAP max 10 cm H2O, AI min 3 cm H2O. AI max 8 cm H2O): IAH 39.8/h, IDO 40.3/h • Mise sous VNI avec réglages Resmed Aircurve CS (mode ASV auto EPAP min 6 cm H2O, EPAP max 12 cm H2O. AI/min 3 cm H2O, AI/max 10 cm H2O) avec amélioration des index AHI à 14.2 et IDO à 11.8 Syndrome métabolique avec obésité morbide (BMI à 42 kg/m2), hypertension artérielle, dyslipidémie, (HbA1c 10.2014 5.7%) SAS sous CPAP Hypothyroïdie traitée avec status post hémithyroïdectomie et isthmectomie D pour goitre nodulaire en 02.2008 Découverte fortuite histologique de microtumeur papillaire Hyperparathyroïdie sur déficit en vitamine D actuellement substitué Coxarthrose bilatérale État anxio-dépressif non traité Syndrome métabolique: • Diabète non insulino-dépendant. • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. • Obésité. Hypothyroïdie suite à OP goître à l'âge de 24 ans. Syndrome métabolique: • Diabète non insulino-dépendant. • Hypertension artérielle. • Hypothyroïdie suite opération goitre à l'âge de 24 ans. • Dyslipidémie. • Obésité. Syndrome métabolique: diabète type II, hypertension artérielle, obésité, dyslipidémie Asthme (traité par Seretide) Épisode d'hypotonie orthostatique bas de contention dès le 07/2018 Syndrome métabolique • HTA traitée • Dyslipidémie traitée • DM type 2 traitée Syndrome métabolique: • Hypercholestérolémie • Hypertension artérielle • Goutte Tabagisme actif Sténose uréthrale, suivi urologique régulier (Dr. X) Cardiopathie hypertensive, rythmique et ischémique • décompensation le 22.04.2018 probablement mixte sur insuffisance cardiaque non traitée, FA rapide, hyperdébit sur fistule artério-veineuse confectionnée en octobre 2017 • NSTEMI secondaire le 04.04.2018 • dysfonction systolique sévère, FEVG ~30% le 05.04.2018, ~15-20% le 23.04.2018 • Décompensation cardiaque dans le contexte d'une pneumonie en août 2018 • Coronarographie le 25.04.2018: Maladie coronarienne de 1 vaisseau (2 petites branches marginales de l'artère circonflexe). • Pose d'un défibrillateur triple chambre et thérapie de resynchronisation le 12.11.2018 par Dr. X. Syndrome métabolique: obésité, hypertension artérielle, dyslipidémie, diabète de type 2. Dyslipidémie (sous Atorvastatine) État dépressif (sous Tranxilium et Duloxétine) Syndrome métabolique: obésité morbide, HTA, dyslipidémie Goutte Hernie inguinale G Syndrome métabolique • Obésité stade III (BMI 36.3 kg/m2) • Hypertension artérielle Hypothyroïdie iatrogène Insuffisance veineuse profonde avec : • syndrome post-thrombotique du MID sur TVP en 2010 • ulcère variqueux à la face postérieure du mollet en 2016 • ulcère des 2 chevilles en 2012 compliqué d'une dermohypodermite à G • absence d'artériopathie sous-jacente (bilan angiologique du 26.06.2018) Syndrome métabolique • obésité 1 • HTA • Dyslipidémie • Diabète type 2 depuis 2000 PTH D pour coxarthrose D en 2007 compliqué par une arthrite septique État dépressif chronique Urosepsis à E. coli en mars 2010 Hypertrophie bénigne de la prostate Phimosis serré Syndrome myélodysplasique atteignant les 3 lignées, sans anomalie génétique. Infections urinaires à répétition. Hernie hiatale. Atteinte polyradiculaire à prédominance L2-L3 à G et L4-L5 à D dans un contexte post-décompression avec légère polyneuropathie sensitive axono-myélinique. Fibrillation auriculaire normocarde avec: HAS-BLED à 1.02%, CHA2DS2-VASc à 2.2% Syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire selon la classification OMS 2008, de score IPSS-R à 1 point (très bas risque), diagnostiqué le 09.11.2016, avec suivi par le Dr. X. • s/p biopsie de moelle le 09.11.2016: moelle normocellulaire avec de légers signes de dysplasie de la lignée érythroïde avec dysérythropoïèse et une légère fibrose réticulinique diffuse • s/p cytométrie en flux médullaire le 09.11.2016 : pas d'argument pour une néoplasie lympho-proliférative. Pas d'excès de blaste. Score de Ogata à 2 points. • s/p cytogénétique médullaire le 09.11.2016 : caryotype 46, XX [20]; pas d'aneuploïdie totale ou partielle ni perte d'hétérozygotie sans variation dans le nombre de copies à l'analyse par puce ADN. • s/p NGS médullaire le 09.11.2016 (panel TruSight Myeloid): pas de mutation retrouvée sur les 53 gènes analysés Dyslipidémie. Cervicalgies et lombalgies chroniques. État dépressif réactionnel depuis 2000. Ancien tabagisme (stoppé 1995, env. 50 UPA). Syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire selon la classification OMS 2008, de score IPSS-R à 1 point (très bas risque), diagnostiqué le 09.11.2016, avec suivi par le Dr. X. • s/p biopsie de moelle le 09.11.2016: moelle normocellulaire avec de légers signes de dysplasie de la lignée érythroïde avec dysérythropoïèse et une légère fibrose réticulinique diffuse • s/p cytométrie en flux médullaire le 09.11.2016 : pas d'argument pour une néoplasie lympho-proliférative. Pas d'excès de blaste. Score de Ogata à 2 points. • s/p cytogénétique médullaire le 09.11.2016 : caryotype 46, XX [20]; pas d'aneuploïdie totale ou partielle ni perte d'hétérozygotie sans variation dans le nombre de copies à l'analyse par puce ADN. Syndrome myélodysplasique de type anémie réfractaire selon la classification OMS 2008, de score IPSS-R à 1 point (très bas risque), diagnostiqué le 09.11.2016, avec suivi par le Dr. X. • s/p biopsie de moelle le 09.11.2016: moelle normocellulaire avec de légers signes de dysplasie de la lignée érythroïde avec dysérythropoïèse et une légère fibrose réticulinique diffuse • s/p cytométrie en flux médullaire le 09.11.2016 : pas d'argument pour une néoplasie lympho-proliférative. Pas d'excès de blaste. Score de Ogata à 2 points. • s/p cytogénétique médullaire le 09.11.2016 : caryotype 46, XX [20]; pas d'aneuploïdie totale ou partielle ni perte d'hétérozygotie sans variation dans le nombre de copies à l'analyse par puce ADN. s/p NGS médullaire le 09.11.2016 (panel TruSight Myeloid): pas de mutation retrouvée sur les 53 gènes analysés Dyslipidémie Chute à répétition avec instabilité: IRM cérébrale le 02.03.2017: Signes modérés d'atrophie parenchymateuse. Quelques petites lésions de leuco-encéphalopathie au niveau de la substance blanche pré-ventriculaire et sous-corticale d'aspect séquellaire. Petite anomalie veineuse de développement au niveau frontale gauche. Pas de lésion à caractère aigu ni d'anomalie significative au niveau de la fosse postérieur. Cervicalgies et lombalgies chroniques avec: • IRM colonne lombaire le 04.10.2017: Troubles statiques de la colonne lombaire. Dessiccation des disques lombaires. Protrusion discale à large base en L4/5 avec possible irritation de la racine L5 à droite. Petite hernie L5/S1 médiane sans atteinte radiculaire objectivée. Arthrose facettaire L4/5 et spondylose étagée de la colonne lombaire. s/p première infiltration le 04.12.2017 • ENMG le 22.11.2018: irritation de la racine L5 à droite avec petite hernie L5-S1 médiane. Arthrose facettaire L4-L5. Spondylose étagée de la colonne lombaire Polyneuropathie sensitivo-motrice axonale sévère à prédominance sensitive des membres inférieurs avec: • ataxie proprioceptive aux membres inférieurs s/p ENMG le 22.11.2018 DD: complication Hépatite C, carence vitamine B12, MGUS Laboratoire à prévoir avec bilan vitaminique (B1, B6, B12, B9), bilan thyroidien (TSH, T4) et hémoglobine glyquée • traité par Prégabaline 75mg 1x/jour dès fin novembre 2018 Etat dépressif réactionnel depuis 2000. Ancien tabagisme (stoppé 1995, env. 50 UPA). F. 13.2 Trouble mentaux et du comportement liés à l'utilisation des sédatif ou hypnotique avec: • syndrome de dépendance • utilisation continue Syndrome myélodysplasique de type AREB1 (MDS-therapy related) • date du diagnostic : avril 2017. • bicytopénie progressive depuis quelques mois (anémie et leucopénie). • ponction-biopsie médullaire du 19.04.2017 : hypercellularité trilinéaire au niveau de la moelle sans excès de blastes. Les données pourraient être compatibles avec un syndrome myélodysplasique lié au traitement (MDS-therapy related). • biopsie (Promed) : résultat en cours. • cytogénétique : mutation DNMT3A à 39%, RUNX1 dans 8%, ASXL1 à 29%, EZH2 50%. Anomalie complexe avec plus de 3 anomalies (catégorie cytogénétique à haut risque). • colloque Vaud-Genève du 24.05.2017 : SMD avec EB (blastes circulants 5%) therapy related avec caryotype complexe et anomalies NGS défavorables. Indication à une allogreffe de donneur non-apparenté 10/10 ou si RC haploidentique retenue. • sous chimiothérapie par Vidaza depuis le 19.06.2017. • actuellement : 3ème cure de Vidaza débutée le 21.08.2017 en cours, suivie par une allogreffe avec un donneur non-apparenté en octobre (HUG). • Suivi Dr. X. Surinfection d'un corps étranger de l'éminence thénar à droite de type Enterobacter Cloacae avec : • ablation d'un corps étranger de l'éminence thénar droit (opération le 13.09.2017). • Consilium d'infectiologie par Dr. X et par Dr. X le 13.09.2017 (voir annexe) • antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2.2 g 4x/j du 13.09.2017 au 15.09.2017. • antibiothérapie par Céfépime iv du 15.09.2017 au 16.09.2017. • antibiothérapie par Ciproxine 250 mg per os 2x/j du 16.09.2017 au 26.09.2017. Cardiopathie avec bloc de branche gauche et QT long à 0.48 sec connu, non décompensé, probablement post-chimiothérapie. Pose de pacemaker-resynchronisation DDD Edora 8 HF - T QP (IRM compatible 1.5 T) le 19.11.2018 par Dr. X pour : • Cardiopathie d'origine indéterminée (toxique sur chimiothérapie, GVHD) avec hypokinésie globale sévère avec fraction d'éjection du ventricule gauche 32% et bloc de branche gauche. Hémorroïdes stade I. Hypercholestérolémie. Myélopathie post-actinique. Immunodéficience secondaire (déficit en IgA, IgM, IgG) avec : • pneumonie basale droite communautaire à pneumocoques en novembre 2011. Dénutrition avec hypo-protéinémie à 48.5 g/l. Sinusopathie chronique. Hypercholestérolémie. Hypogammaglobulinémie secondaire, substituée par Intratect. Syndrome myélodysplasique diagnostiqué en 10.2018 avec: • Anémie normochrome, normocytaire hyporégénérative • Réticulocyte Production-Index (RPI): 0.4 • Electrophorèse de protéines 24.09.18: IgA, IgG, IgM normal; Kappa- et Lambda augmentés, rapport Kappa/lambda normal. • Immunofixation 24.09.18: négatif • Anticorps-autoimmune: Sp100 augmenté • Sérologies: Syphilis, Hep. B et C, HIV: négatif • Érythropoïétine (31.10.2018): 134 U/L • CT Thorax/Abdomen 27.09.18: Pas de néoplasie ni lymphadénopathie. Kystes rénaux bilatéraux. • ETT/ETO 05.10.18 (Dr. X): Pas d'arguments en faveur d'une endocardite. Sténose aortique sévère au vu de la planimétrie. • Biopsie de la moelle: (11.10.2018): >3 Anomalies au caryotype. Prognostic réservé selon IPSS-R Score, MDS MLD avec des ringsideroblasts. Syndrome myélodysplasique en octobre 2018 avec: • Anémie normochrome normocytaire hyporégénérative • Chute de l'hémoglobine jusqu'à 60 g/l le 29.10.2018 Investigations: CT thoraco-abdominal sans saignement visible, recherche occulte dans les selles positif 1x, ECG montrant une FA Avis hématologique (Dr. X): Chute brutale de l'Hb pouvant être causée par le SMD, ainsi que le syndrome inflammatoire. Doser EPO --> si inférieur à 500 U/ml: add EPO Suivi hebdomadaire. Contrôler réponse du EPO par l'augmentation des réticulocytes. Seul transfusionnel: HB 90 g/l et Thrombocytes 5 g/L. • ATCD de 10 transfusions de culots érythrocytaires : 22.09.2018, 11.10.2018, 2 EC le 29.10.2018, 09.11.2018, 21./22.11.2018, 07.12.2018 et 2 CE le 12.12.2018 • Gastroscopie non-possible sans anesthésiste (avis des Dr. X et X) Syndrome myélodysplasique myéloprolifératif de type LMMC-1, diagnostiqué le 18.05.2009 • cytogénétique du 18.05.2009 : 46 XY normal • monocytose périphérique à 3.7 G/l, absence d'excès de blastes au niveau médullaire, thrombocytopénie (dès fin 2007) • bilan ostéo-médullaire du 19.01.2010 : moelle hypercellulaire, sans excès de blastes • chimiothérapie de type Ara-C 2 g/m2x 2/jour (soit 2140 mg x2 /jour) de J1 à J3 réalisée au CHUV dès le 19.01.2010 • leucocytose de rebond à 62 G/l avec une monocytose à 70% (après le traitement par Ara-C), dès le 08.02.2010 nécessitant un traitement d'hydroxyurée le 12 et 13.02.2010 Syndrome myélodysplasique myéloprolifératif de type LMMC-1, diagnostiqué le 18.05.2009 • cytogénétique du 18.05.2009 : 46 XY normal • monocytose périphérique à 3.7 G/l, absence d'excès de blastes au niveau médullaire, thrombocytopénie (dès fin 2007) • bilan ostéo-médullaire du 19.01.2010 : moelle hypercellulaire, sans excès de blastes • chimiothérapie de type Ara-C 2 g/m2x 2/jour (soit 2140 mg x2 /jour) de J1 à J3 réalisée au CHUV dès le 19.01.2010 • leucocytose de rebond à 62 G/l avec une monocytose à 70% (après le traitement par Ara-C), dès le 08.02.2010 nécessitant un traitement d'hydroxyurée le 12 et 13.02.2010 • récidive de LMMC le 30.03.2016 • transplantation de cellules souches hématopoïétiques périspléniques à partir d'un donneur non apparenté le 20.07.2016, le 12.09.2016 et 14.11.2017 • GVHD de type overlap le 22.12.2017 SAOS Syndrome myélodysplasique type AREB II: • Suivi par Dr. X. • Injection de Vidaza (anti-métabolique) mensuelle. • Si infection au home, pas de retransfert à l'hôpital, traitement antibiotique empirique, si péjoration malgré antibiothérapie, passer en soins de confort. Proposition: suivi FSS 1x/semaine avec soutien transfusionnel si besoin = maximiser le confort du patient.Hypertension artérielle. Troubles mnésiques. Neuropathie ischémique non arthritique de l'œil droit avec: • Antécédents de cécité de l'œil gauche depuis 2015. • Syndrome myéloprolifératif de type thrombocytose essentielle diagnostiqué en 11/2009. • Syndrome myéloprolifératif/myélodysplasique diagnostiqué le 08.10.2018 avec • Suivi par Dr. X • Leucocytose à 184 g/l • Thrombopénie à 37 g/l • Anémie normochrome normocytaire à 71 g/l hyporégénérative • Syndrome de lyse tumorale • BCR-ABL le 09.10.2018: Échantillon négatif pour la présence du transcrit de fusion BCR-ABL (P190, P210 et P230) • PBM refusée par le patient et sa famille. Hypertrophie bénigne de la prostate Leucoencéphalopathie Fazekas III Atrophie cortico-sous-corticale cérébrale liée à l'âge du patient. • Syndrome n.cubital g • Syndrome néphrotique • Syndrome néphrotique d'origine indéterminée • Syndrome néphrotique sur Hyalinose segmentaire et focale évoluant depuis 1999 • PBR novembre 1999 : GN à lésions minimes • PBR en 2003: probable HSF • Récidive en octobre 2018 après réduction de la dose de ciclosporine • Récidive le 03 décembre 2018 Protéinurie 7 g/l ; ne répond pas à la corticothérapie • 28.12.2018 : Syndrome néphrotique cortico-résistant et Cyclodépendant persistant depuis 3 mois à > 7g/24H de protéinurie. • Syndrome néphrotique sur minimal change disease. HTA. • Syndrome obésité/hypoventilation traité par C-PAP (Pmin 8/15) depuis 11 ans • Insuffisance respiratoire globale • Obésité de stade I selon l'OMS • Syndrome obstructif de stade II modéré sur maladie asthmatique non contrôlée en août 2018 • Syndrome obstructif moyennement sévère en 2013 avec : VEMS 56% du prédit, CVF 56% du prédit, Tiffeneau 73% Hypoacousie droite sur status après mastoïdite droite en 1972 environ • Syndrome pieds mains bouche • Syndrome plurimétabolique : obésité, hypertension artérielle, dyslipidémie, diabète type 2. État dépressif. Athérosclérose diffuse touchant les axes carotidiens extra-crâniens avec épargne des membres inférieurs. • Syndrome polymalformatif avec retard de croissance staturo-pondéral et macrocéphalie d'origine indéterminée PEG en place • Syndrome polymyalgiforme atypique avec manifestation systémique sous corticoïde Sclérose en plaques poussée/rémission avec poussée clinique unique en 2007 (suivi neurologique chez Dr. X) Maladie de Lyme Ostéoporose cortico-induite Emphysème pulmonaire le 02.12.2015 Trouble anxio-dépressif Infection urinaire E.faecalis le 27.11.2015 • Syndrome polymyalgique sous Prednisone • Syndrome post-chute dans le cadre de trouble de la marche avec chutes à répétition le 1.12.2018 avec: • TC sans PC ni AC, pas de syncope le 18.11.2018 • 4 chutes au total DD: neuropathique sur diabète, poly-médication, cardiopathie rythmique, toxiques • Syndrome post-chimio-embolisation le 18.12.18 • Syndrome post-chute • Chute en septembre 2018 • Syndrome post-contusion labyrinthique le 19.04.18 • avec vertige positionnels intermittents Diagnostic différentiel: origine fonctionnelle (cf diagnostic principal), origine médicamenteuse (opiacé) • Syndrome post-péricardiotomie le 08.12.2018 • Dans le contexte d'un pontage aorto-coronarien effectué le 23.11.2018 DD: sur pic hypertensif sur diminution du dosage de Zanidip le 23.11.18 • Syndrome post-péricardiotomie le 08.12.2018 DD: sur pic hypertensif sur diminution du dosage de Zanidip le 23.11.18 • Laboratoire: Troponine H0 à 83 ng/l, H1 à 69 ng/l, CK-MB 28 mmol/l, CRP 83 ng/L, leucocytes 16 G/L • CT thoracique le 08.12.18: Absence d'embolie pulmonaire visualisée jusqu'en sous-segmentaire. Épanchement péricardique de faible abondance mais circonférentiel. Épanchements pleuraux de petite abondance avec atélectasie de contact des deux côtés. • ETT 11.12.18: Fonction globale légèrement diminuée avec hypokinésie du septum basal. Présence d'un minime épanchement péricardique sans répercussion hémodynamique. • ETT 13.12: absence d'épanchement péricardique • Syndrome post-ponction lombaire le 26.11.2018 : • PL le 25.11.2018 aux urgences pour investigation de céphalées : pression d'ouverture 18 mmHg, Ery 44, Leuco 2, normoglycorachie, normoproteinorachie, xanthochromie négative • CT cérébral injecté, le 25.11.2018 : pas d'hémorragie sous-arachnoïdienne, pas de TVC, pas de processus expansif • DD céphalées primaires, migraine • Syndrome post-thrombotique et status post cure de varices avec OMI Hypercholestérolémie Hypertension artérielle traitée Scoliose Hernie hiatale avec reflux gastro-oesophagien Goutte Lymphoedème • Syndrome pyramidal, hanche D avec: • coxarthrose débutante • discopathie L1-L2 • discopathie L5-S1 avec arthrose facettaire • syndrome sacro-iliaque à D. • Syndrome radiculaire L4/L5 droit • Syndrome radiculaire non déficitaire • connu de longue date, pas de symptôme nouveau • Syndrome restrictif avec VEMS à 3 litres et restrictive avec CPT à 5,5 litres. Hépatite chronique C avec stéatose hépatique, status post-traitement antiviral par Pegasys et Copegus 24 semaines en 2012 avec une bonne réponse. Ancienne toxicomanie à l'héroïne, stoppée il y a 19 ans. Abstinence d'alcool depuis janvier 2007, récidive fin 2016. Syndrome de sevrage chez patient alcoolo-tabagique majeur. Ostéochondrose sévère entre C5-C6 et sténose des trous de conjugaison. • Syndrome rhizomélique • syndrome rhizomélique • Syndrome rhizomélique avec polyarthrite périphérique le 29.09.18 • Arthrite MCP III-IV-V ddc, IPP's III • Syndrome inflammatoire biologique: CRP à 104 mg/dL, VS à 64 mm/h • 120 UPA, perte de poids de 30 kg sur 3 ans • Absence de signes en faveur d'une artérite gigantocellulaire • Facteur rhumatoïde à 14 UI/L. Anti-CCP à < 7 mmol/L, FAN à 1:1200 DD PMR, polyarthrite rhumatoïde, arthrite à CPPD, paranéoplasique, connectivite • Syndrome rhizomélique sur polymyalgia rheumatica vs PR à début tardif. Avec suspicion d'artérite gigantocellulaire le 25.10.2018, peu probable suite aux investigations • vitesse de sédimentation à 60 mm/h, CRP • paresthésies péri-auriculaires droites DD paranéoplasique • Syndrome sacro-iliaque droit Claudication neurogène avec sciatalgies dans le territoire L5 sur spondylarthrose lombaire sévère avec sténose foraminale L5-S1 bilatérale et CLE L3-S1 • Syndrome sacro-iliaque G avec discopathie L5-S1. Configuration fémur G avec lésion type cam. • Syndrome SIADH chronique Status post-plusieurs AVC Attelle de Heidelberg pour pied tombant à gauche Occlusion complète de l'artère de la carotide interne à droite Status post-AIT main gauche en 2012 Polyneuropathie diabétique Augmentation chronique des paramètres hépatiques et cholestatiques probablement dans le cadre d'une consommation d'OH chronique Anémie chronique hypochrome microcytaire Diabète mellitus type II F1 intermittente, traitement par Marcoumar Probable occlusion chronique de la veine mésentérique, traitement par Marcoumar Insuffisance pancréatique exocrine, traitement par Creon BPCO stade Gold 3C • Syndrome tachycardie-bradycardie avec syncope et fibrillation auriculaire le 11.03.2009 Pose de pace maker AI DDIR le 12.03.2009 (Dr. X) Cardioversion électrique Anticoagulation Traitement d'insuffisance cardiaque Tachycardiomyopathie avec dysfonction ventriculaire gauche et insuffisance mitrale modérées Insuffisance rénale aiguë probablement sur décompensation cardiaque et AINS • Syndrome tunnel carpien G. Arthrose acromio-claviculaire G Omarthrose G • status post-fracture-luxation postérieure épaule G. Cervicarthrose. Arthrose métacarpo-phalangienne du 3ème rayon à droite. • Syndrome viral (DD: État fébrile dans le contexte d'un retour de voyage et de traitement immuno-modulateur) • Syndrome X: diabète, hypertension artérielle, adipositas Asthme (traité par Seretide) Cardiopathie hypertensive et valvulaire avec sténose et insuffisance de la valve aortique épisode d'hypotonie orthostatique bas de contention dès le 07/2018 Syncope Syncope d'étiologie unklar avec DD cardiogène : • EKG : knapp nkSR, HF 98/min, position de Linkslage, LAHB, QRS étroit, R manquant en V1-V3, R-Progression retardée, QTc 464 ms • CT Schädel : blande • unklar neurologische Erkrankung dd Chorea avec Polypsychopharmacy Synostose congénitale Synovite transitoire Synovite villo-nodulaire pigmentée hanche G Syntocinon 20 UI Nalador 2 ampoules de 500 ug Cyclokapron 1 g Syntocinon 5 + 20 UI. Révision des 3 étages négative. Zinacef 1,5 g dose unique. Pertes sanguines estimées à 500 ml. Systolikum avec p.m. 2.ICR à gauche TA à l'arrivée 124/83 puis en milieu de consultation après 5 minutes de repos à D 127/69 à G 122/74. À recontrôler à 24-48h chez le pédiatre TA aux 4 membres symétriques Status avec loge rénale G douloureuse et défense de l'hypocondre droit. Avis Dr. X US abdo : pas de cholécystite, aspect pouvant cadrer avec de multiples angio-myolipomes rénaux bilatéraux, prédominant à droite. RAD avec antalgie et contrôle clinique et biologique à la FUA le lendemain. TA labile le 01.12.2018 TA symétrique aux 2 MS ECG : rythme sinusal régulier, tachycarde à 90, sans modification du segment ST Bilan biologique : leucocytose à 16,3 G, augmentation Bilirubine totale 29,3 Nexium 40 mg iv, Alucol gel po Paracétamol 1000 mg iv. US vésicule + voies biliaires : RAS Traitement Nexium po 1 semaine avec Alucol gel en R si douleurs et motilium lingual si vomissement. Suivi chez le MT à 7 jours. Tabagisme Tabagisme Tabagisme. Tabagisme. Tabagisme à environ 100 UPA sevré en avril 2018 Pontage aorto bi-fémoral pour cure d'anévrisme infra-rénal le 07.07.2004 (Dr. X) Accident de moto avec fracture du talon gauche en 1970, opéré en 1983 Arthrite microcristalline hallux droit • Prednisone 20 mg du 14.12 au 16.12.2018 Tabagisme à environ 100 UPA sevré en avril 2018 Pontage aorto bi-fémoral pour cure d'anévrisme infra-rénal le 07.07.2004 (Dr. X) Accident de moto avec fracture du talon gauche en 1970, opéré en 1983 Tabagisme à 27 UPA. Tabagisme à 40 UPA (stop 01.11.2018). AF négative (père décédé AVC à 75 ans, mère décédée d'IM à 84 ans). OH : 1 verre/jour. Cardiopathie ischémique avec : • STEMI antéro-latéral sur occlusion thrombotique de l'interventriculaire antérieure moyenne le 01.11.2018 avec coronarographie réalisée à Fribourg par Dr. X le 01.11.2018 avec : • thrombo-aspiration, dilatation et mise en place de 2 stents de l'IVA moyenne • pic des CK à 6653 U/l • FEVG 45%, akinésie apicale Polykystose rénale bilatérale suivie par son médecin traitant. Polype du colon sigmoïde de 1 cm. Tabagisme à 7 UPA. Reflux gastriques. Tabagisme à 70 UPA Alcoolisme chronique arrêté en mai 2015 Status post-AVC temporal D Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. Tabagisme actif. tabagisme actif Tabagisme actif : 1 paquet/j depuis 44 ans Handicap mental suite à AVP en 1974 Ptose palpébrale gauche suite à l'AVP en 1974 Éthylisme chronique Lombalgie chronique Arthrose cervicale significative Tabagisme actif (50 UPA) Éthylisme chronique, partiellement sevré durant l'hospitalisation Hypertension artérielle traitée Sténose de 70% à l'origine de l'artère mésentérique supérieure Cholélithiase Tabagisme actif à 1 paquet/jour Tabagisme actif à 10 UPA. Tabagisme actif à 10 UPA Asthme Syndrome d'Arnold-Chiari de type I Tabagisme actif (1/2 paquet/j) Asthme à l'effort Tabagisme actif (120 UPA). Consommation de cannabis. Trouble anxieux. Ancienne toxicomanie sous Méthadone. Tabagisme actif (15 cigarettes/j) Tabagisme actif (15 UPA). • Conseillé d'arrêter Anamnèse familiale positive (père infarctus). Dyslipidémie le 25.10.2018. Diabète de type I. Tabagisme actif (+-15 UPA). Notion d'ulcère duodénale +- Helicobacter pylori traité au Portugal. Migraines. Tabagisme actif (2 paquets/jour). Tabagisme actif 20 UAP. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de dérivés du cannabis, dépendance. Tabagisme actif 20 UAP. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de dérivés du cannabis, dépendance. Tabagisme actif 30 UPA Tabagisme actif (45 UPA) Tabagisme actif (45 UPA) Diabète de type II non insulino-traité HTA traitée Tabagisme actif 60 UPA Dorsalgies chroniques Atteinte du nerf crural droit en mars 2012 en rémission Tabagisme actif 60 UPA. HTA traitée par lisinopril Bloc de branche droit Troubles anxieux traités par temesta Tabagisme actif (7 UPA) Gonalgie gauche chronique sur arthropathie patellaire Tabagisme actif (7 UPA) Gonalgie gauche chronique sur arthropathie patellaire Tabagisme actif 70-80 UPA le 05.12.2018 Tabagisme actif 80 UPA Tabagisme actif. Delirium tremens en mars 2018 à Inselspital, suite à une éthylisation aiguë. Syndrome de dépendance à l'alcool. Tabagisme actif. Endométriose stade I Hypothyroïdie depuis 2014, substituée Tabagisme actif. Épigastralgies intermittentes probablement dues à un reflux gastro-oesophagien (DD : gastrite). Etat dépressif chronique. • Tabagisme actif. • Hypercholestérolémie. • Syndrome obstructif. • VIH sous trithérapie. • Status post infarctus en 2012. • Tabagisme actif. • Migraines. • Tabagisme actif • Obésité morbide. (IMC: 41.4) • Tabagisme actif. • SAOS sévère appareillé • BPCO stade III selon Gold avec emphysème diffus • Syndrome métabolique : • HTA • Hypercholestérolémie • DNIR traitée par mesure diététique Cardiopathie ischémique, valvulaire avec : • Maladie coronarienne des 3 vaisseaux : • Lésion intermédiaire de l'artère interventriculaire antérieure moyenne • Occlusion chronique de l'ostium de la seconde marginale, rétroperfusée par l'IVA • Occlusion chronique de l'artère coronaire droite proximale, rétroperfusée par la CX • Fonction ventriculaire gauche normale (EF 65%) • Insuffisance mitrale Nodule pulmonaire 6 mm périphérique du lobe inférieur G • dx en septembre 2015, stabilité à 6 mois • Tabagisme actif. • Trouble psychiatrique, probablement de type schizophrénie. • Tabagisme actif. • Trouble psychiatrique, probablement de type schizophrénie. • Tabagisme actif • Tabagisme ancien • Tabagisme ancien. • Tabagisme ancien. • Tabagisme ancien. • Tabagisme ancien à 0.5 UPA • BPCO non traitée. • Consommation alcoolique chronique à risque. • Stéatose hépatique. • Tabagisme ancien à 1 UPA • Tabagisme ancien à 45 UPA stoppé en 07.2018 • Tabagisme ancien de 10 UPA. • Hyperuricémie. • Surcharge pondérale avec un BMI de 30.8 kg/m2 (poids 102kg, taille 182cm). • Cardiopathie ischémique, maladie tri-tronculaire avec : • status post pontage aorto-coronarien au CHUV en 1994 • status post-angioplastie avec deux stents en 2004 au CHUV • ergométrie du 02.12.2009 : ischémie silencieuse à l'effort. Fréquence cardiaque maximale à 129 bpm sous bétabloquant. • Oesophagite distale érosive stade I selon Savary sur hernie hiatale axiale avec endobrachy-oesophage, sous IPP. • Tabagisme ancien de 10 UPA. • Hyperuricémie. • Surcharge pondérale avec un BMI de 30.8 kg/m2 (poids 102kg, taille 182cm). • Cardiopathie ischémique, maladie tri-tronculaire avec : • status post pontage aorto-coronarien au CHUV en 1994 • status post-angioplastie avec deux stents en 2004 au CHUV • ergométrie du 02.12.2009 : ischémie silencieuse à l'effort. Fréquence cardiaque maximale à 129 bpm sous bétabloquant. • Oesophagite distale érosive stade I selon Savary sur hernie hiatale axiale avec endobrachy-oesophage, sous IPP. • Tabagisme ancien stoppé en janvier 2017 Possible maladie de Raynaud touchant surtout la main D. Nodule thyroïdien du lobe droit de 8 mm de diamètre - US thyroïde le 06.03.2018. • Tabagisme ancien stoppé en janvier 2017 Possible maladie de Raynaud touchant surtout la main D. Nodule thyroïdien du lobe droit de 8 mm de diamètre - US thyroïde le 06.03.2018. • Tabagisme ancien (20 UPA). • HTA réfractaire le 11.06.2018. • Possible réaction allergique à la Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018. • Vasculite et nécrose cutanée au site d'injection d'Enoxaparine sur les cuisses le 24.06.2018. • Suspicion d'un syndrome de sevrage juin 2018. • Macrocytose d'origine indéterminée, possiblement sur consommation OH. • Thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018. • Consilium angiologie (Dr. X): anticoagulation thérapeutique jusqu'à la sortie de l'hôpital. Epistaxis suite à une pose de sonde nasogastrique traumatique le 08.06.2018. Zona thoracal droit 05/2013. Cure d'une cataracte des deux côtés. Appendicectomie. • Tabagisme ancien (20 UPA). • Hypertension artérielle réfractaire le 11.06.2018. • Possible réaction allergique à la Co-Amoxicilline avec érythrodermie et bronchospasme le 08.06.2018. • Vasculite et nécrose cutanée au site d'injection d'Enoxaparine sur les cuisses le 24.06.2018. • Suspicion d'un syndrome de sevrage juin 2018. • Macrocytose d'origine indéterminée, possiblement sur consommation OH. • Thrombose non-occlusive de la veine jugulaire droite sur voie veineuse centrale le 08.06.2018 • consilium angiologie (Dr. X) : anticoagulation thérapeutique jusqu'à la sortie de l'hôpital. Epistaxis suite à une pose de sonde nasogastrique traumatique le 08.06.2018. Zona thoracal droit 05/2013. Cure de cataracte des deux côtés. Appendicectomie. • Tabagisme ancien (45 UPA) stoppé en novembre 2014 Syndrome métabolique : • Diabète de type 2 insulino-traité • Hypertension artérielle • Dyslipidémie • Obésité stade III selon OMS (BMI 46 kg/m2) • Syndrome cervico-spondylogène important sur troubles statiques modérés à importants (absence de Dropped Head syndrome et absence de cytopathie mitochondriale) • Incidentalome de la glande surrénalienne droite (CT du 29.09.2008), la taille est actuellement de 1.7 cm de diamètre • Syndrome d'apnées et hypopnées obstructives du sommeil et syndrome obésité/hypoventilation • Appareillée par B-PAP depuis le 02.10.2013 Trouble de l'humeur sous Paroxétine • Tabagisme ancien (45 UPA) stoppé en novembre 2014 Syndrome métabolique : • Diabète de type 2 insulino-traité • Hypertension artérielle • Dyslipidémie • Obésité stade III selon OMS (BMI 46 kg/m2) Syndrome cervico-spondylogène important sur troubles statiques modérés à importants (absence de Dropped Head syndrome et absence de cytopathie mitochondriale) Incidentalome de la glande surrénalienne droite (CT du 29.09.2008), la taille est actuellement de 1.7 cm de diamètre Syndrome d'apnées et hypopnées obstructives du sommeil et syndrome obésité/hypoventilation • Appareillée par B-PAP depuis le 02.10.2013 Trouble de l'humeur sous Paroxétine • Tabagisme ancien (45 UPA) stoppé en novembre 2014. Syndrome métabolique : • Diabète de type 2 insulino-traité. • Hypertension artérielle. • Dyslipidémie. • Obésité stade III selon OMS (BMI 46 kg/m2). • Syndrome cervico-spondylogène important sur troubles statiques modérés à importants (absence de Dropped Head syndrome et absence de cytopathie mitochondriale). • Incidentalome de la glande surrénalienne droite (CT du 29.09.2008), la taille est actuellement de 1.7 cm de diamètre. • Syndrome d'apnées et hypopnées obstructives du sommeil et syndrome obésité/hypoventilation. • Appareillée par B-PAP depuis le 02.10.2013. Trouble de l'humeur sous Paroxétine. • Tabagisme ancien 7 UPA (stoppé 06.2016). Probable état dépressif sur stress post-traumatique non traité. • Tabagisme chronique. • Tabagisme chronique et actif • Tabagisme chronique et actif • Tabagisme chronique et actif • Tabagisme chronique 50 UPA • Tabagisme chronique 50 UPA • Tabagisme chronique. • Suspicion non confirmée de syndrome des apnées obstructives du sommeil. • Sinusite 2-3x/année. • Obésité sévère de grade II selon l'OMS avec BMI à 35,1 kg/m2 (98 kg ; 168 cm). • Bypass gastrique proximal et cholécystectomie LS le 05.09.2018. • Tabagisme occasionnel Surpoids (BMI 26.9) • Tabagisme sevré en avril 2018 Pontage aorto-bi-fémoral pour cure d'anévrisme infra-rénal le 07.07.2004 (Dr. X) • Tabagisme sevré il y a deux mois • Tabagisme sevré il y a deux mois Surpoids • Tabagisme sevré (170 UPA) • Tabagisme stoppé x 2 semaines • tabagisme • hypercholestérolémie • S/p syndrome de tunnel carpien ddc • s/p rhizarthrose ddc • s/p amygdalectomie • s/p fracture poignet • Lombalgies non déficitaires sur canal étroit L5-S1 • Table ronde du 27.11.2018 15.00 : Mme. Y, Dr. X, Dr. X, Dr. X • Diagnostic : Adénocarcinome de primaire inconnu, volonté de traitement et diagnostic maximal. • avis oncologiques • Dr. X : nécessité de traitement par chimiothérapie après re-nutrition par sonde. • Port-a-cath D 17.12.2018 • Chimiothérapie prévue par Carbotaxol • Stéréotaxie sur masse lombaire • Table ronde du 27.11.2018 15.00 : Mme. Y, Dr. X, Dr. X, Dr. X • Diagnostic : Adénocarcinome de primaire inconnu, volonté de traitement et diagnostic maximal.• avis oncologiques • Dr. X : nécessité de traitement par chimiothérapie après re-nutrition par sonde. • Port-a-cath D 17.12.2018 • Chimiothérapie prévue par Carbotaxol • Stéréotaxie sur masse lombaire • Tachycardie • Tachycardie • Tachycardie • Tachycardie • Tachycardie • Tachycardie • Tachycardie. • Tachycardie. • Tachycardie. • Tachycardie. • Tachycardie sinusale d'origine X DD iatrogène sur Wollbutrin • Tachycardie à 136 bpm après effort physique. • Tachycardie asymptomatique à 127/min le 17.12.2018 • Tachycardie auriculaire électro-entraînée • DRS atypiques de 24h • Angor stable anamnestique • Tachycardie auriculaires électro entraînée • DRS atypiques de 24h • Tachycardie. • Diagnostic différentiel : dans un contexte de stress. • Tachycardie foetale • Syndrome inflammatoire avec leucocytose à 20 G/l et CRP à 10 mg/l • Antibiothérapie par Clamoxyl IV et gentamycine • Frottis placentaires • Tachycardie irrégulière en per-opératoire le 03.12.2018 • Tachycardie sinusale 05.12.2018 • Régression spontanée. • Embolie pulmonaire exclue. • Tachycardie sinusale 08.12.2018 • Tachycardie sinusale à 128/min asymptomatique le 13.12.2018. • Tachycardie sinusale à 140/min sur déshydratation et consommation de cocaïne. • Intoxication à cocaïne, benzodiazépine et cannabis le 30.05.2015. • Fracture de la malléole interne cheville droite, traitée conservativement le 08.03.2014. • Fracture intra-articulaire du radius distal gauche, traitée par ostéosynthèse le 12.03.2014. • Fracture de l'os triquetrum, fracture-arrachement de l'os lunatum dorsal de la main droite, traitée par ostéosynthèse le 12.03.2014. • Coma sur surdosage en drogues (aussi cocaïne par voie intra-nasale) avec séjour aux soins intensifs et IOT en 2008. • Brûlure 1er degré et 2ème degré superficiel au niveau de l'abdomen inférieur avec de l'eau chaude le 08.09.2017. • Ethylisation aiguë. • Intoxication médicamenteuse à visée suicidaire le 13.07.2018 avec : • épisode dépressif majeur avec risque suicidaire majeur. • hospitalisation psychiatrique à Marsens en volontaire. • Tachycardie sinusale à 140/min sur déshydratation et consommation de cocaïne. • Intoxication à cocaïne, benzodiazépine et cannabis le 30.05.2015. • Fracture de la malléole interne cheville droite, traitée conservativement le 08.03.2014. • Fracture intra-articulaire du radius distal gauche, traitée par ostéosynthèse le 12.03.2014. • Fracture de l'os triquetrum, fracture-arrachement de l'os lunatum dorsal de la main droite, traitée par ostéosynthèse le 12.03.2014. • Coma sur surdosage en drogues (aussi cocaïne par voie intra-nasale) avec séjour aux soins intensifs et IOT en 2008. • Brûlure 1er degré et 2ème degré superficiel au niveau de l'abdomen inférieur avec de l'eau chaude le 08.09.2017. • Ethylisation aiguë. • Tachycardie sinusale asymptomatique • contexte infectieux • Tachycardie sinusale dans contexte de : • pathologie tumorale avancée • anémie • BPCO • Tachycardie sinusale d'origine indéterminée. • Tachycardie sinusale supraventriculaire symptomatique de résolution spontanée, le 04.12.2018. • Tachycardie sinusale sur bêtabloquants • État anxio-dépressif • Diabète type 2 sous antidiabétiques oraux avec : • Polyneuropathie diabétique • Psoriasis • Gastrite érosive à Helicobacter Pylori négatif, avec dernière gastroscopie en avril 2014 objectivant aussi une béance du cardia • Lombalgies chroniques sur troubles dégénératifs et scoliose • Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Lombalgie chronique • Troubles cognitifs débutants • Hypovitaminose B12 et B9 • Tachycardie sinusale sur état d'agitation le 13.12.2018. • Tachycardie sinusale symptomatique le 25.12.2018. • Tachycardie supra-ventriculaire à 130/min (DD : flutter auriculaire, versus tachycardie sinusale, versus tachycardie par réentrée). • Fractures-tassements de D5 et D6, A1 selon l'AO. • Traumatisme crânio-cérébral avec hématome sous-dural en 2015 avec au niveau clinique : aphasie de Wernicke, hyposmie, déficit vestibulo-cochléaire gauche en aigu, résolution en décembre 2015. • Syndrome de dépendance à l'alcool avec : • éthylisations aiguës récidivantes • stéatose hépatique • décompensation psychique avec agressivité physique dans le contexte d'alcoolisation aiguë avec transfert au RSFM Marsens sous PAFA le 28.10.2016 • hypothermie légère à 34.2°C • pancréatite biologique avec lipase à 121/l dans le contexte d'alcoolisation aiguë • aphasie de type Wernicke sur hémorragie intraparenchymateuse polaire temporale gauche d'origine traumatique le 02.09.2015 • crise d'épilepsie sur sevrage à l'alcool • Tachycardie supraventriculaire à 306/min, durant 15 sec, spontanément résolutive • Tachycardie supra-ventriculaire asymptomatique le 04.12.2018 • Tachycardie supra-ventriculaire avec NSTEMI secondaire le 01.02.2018 • Perfusion de Brevibloc au bloc opératoire le 01.02.2018 • Introduction de Metoprolol dès le 01.02.2018, à adapter selon réponse clinique • Poursuite de l'Aspirine • ETT du 01.02.2018 : ventricule gauche non dilaté avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 60 % • Tachycardie nodale par ré-entrée typique (AVNRT) le 10.04.2016 • Thermoablation de la voie lente nodale le 12.05.2016 • Tachycardie nodale par réentrée typique (AVNRT) le 14.12.2015 • Fracture non déplacée de l'arc latéral de la 10ème côte à gauche • Fracture du col du fémur G Garden III le 31.01.2018 traitée par PTH le 01.02.2018 • Insuffisance rénale aiguë pré-rénale AKIN I le 02.02.2018 • Éviction des AINS • Anémie peropératoire le 01.02.2018 • Transfusion de 2 CE et 2 PFC le 01.02.2018 • Transfusion de 2 CE le 03.02.2018 • Pic hypertensif asymptomatique le 18.11.2018 • DD • sur prise AINS • Inflammation articulation inter-phalangienne distale annulaire main D le 18.11.2018 • DD • crise arthrosique • Goutte/chondrocalcinose • Tachycardie supraventriculaire dans contexte infectieux le 19.11.2018 et le 24.11.2018 • Tachycardie supraventriculaire le 07.12.2018 • Tachycardie supraventriculaire le 07.12.2018 dans le contexte d'hyperbilirubinémie • DD septique (cholangite) • Tachycardie supraventriculaire paroxystique asymptomatique le 29.11.2018 sous Tenormin • Proposition de majoration du traitement d'Atenolol en cas de tachycardie récidivante • Tachycardie supraventriculaire paroxystique asymptomatique le 29.11.2018 sous tenormin • Proposition de majoration du traitement de Tenormine en cas de tachycardie récidivante. • Tachycardie supraventriculaire sinusale le 21.11.18 • Tachycardie supra-ventriculaire symptomatique, sans retentissement hémodynamique le 29.12.2018 • Tachycardie traitée. • Contusion pleurale droite. • Tachycardie, troubles du rythme. • Tachycardie ventriculaire de 20 complexes le 21.11.2018 • Tachycardie ventriculaire le 30.05.2018 et le 01.06.2018 avec : • NSTEMI secondaire dans le cadre d'une hypoxémie et sepsis • cardioversion après magnésium • mise en place d'un traitement par Aspirine, Plavix • échocardiographie du 01.06.2018 : FEVG à 40 %. Hypokinésie septale sévère. • Insuffisance respiratoire aiguë globale sur pneumonie basale bilatérale et exacerbation de BPCO le 30.05.2018. • Pneumonie basale droite le 16.03.2017. • Récidive de flutter auriculaire 2:1 à conduction ventriculaire à 140/min le 21.08.2012 : • thermoablation le 06.09.2012 à la clinique Sonnenhof par le Dr. X. • Tachycardie ventriculaire monomorphe mal tolérée le 21.11.2018 DD : Amyloïdose, QT long sur Quétiapine, troubles électrolytiques (hyperkaliémie sur insuffisance rénale) Tachycardie ventriculaire non soutenue le 11.12.2018 • Coeur sain (écho 04.12.2018) • Bloc de branche droit Tachycardie ventriculaire sans étiologie retrouvée le 18.12.2018 • Détection des TV éteint sur défibrillateur • Plusieurs récidives de TV traitées par Cordarone et défibrillation par défibrillateur à 35 J. Tachycardies sinusales paroxystiques à répétition : traitées par thermo-ablation le 24.07.2012. Acouphènes gauche d'origine indéterminée. Hépatite B suivie chez le Dr. X. Diverticulite Hansen-stock IIa le 23.03.17. Paresthésies joue droite et dysesthésies du sommet du crâne fluctuantes sans réelle douleur le 14.04.17. Paresthésie mal systématisée aux MID et MSD et hémi-face droite avec vertiges occasionnels, trouble de la mémoire à court terme. DD : probable trouble somatoforme dans un contexte anxieux chronique. Tachycardies ventriculaires Tachycardiomyopathie sur cardiopathie hypertensive avec : • Dysfonction VG systolique, EF 25% • Maladie coronarienne stable, sténose serrée 80% 2ème diagonale Tachypnée d'origine infectieuse (DD : pneumonie virale, pneumonie bactérienne, péricardite, myocardite) Talalgie chronique G avec probable irritation du nerf tibial et enthésopathie calcifiante achilléenne. Talalgie gauche mécanique sur verrue Talalgies post-traumatiques bilatérales depuis le 25.07.2014. Mr. Y est hospitalisé pour douleurs cervicales post-traumatiques, après discussion avec l'équipe d'orthopédie du rachis. Sur le plan orthopédique, les radiographies du dos effectuées aux urgences ne mettent pas de fracture en évidence, sous réserve d'un examen limité pour les cervicales hautes (notamment la dent de l'axis) sans incidence trans-buccale. Les douleurs de Mr. Y sont soulagées initialement par un traitement antalgique de palier 2 (Fentanyl) puis de palier 1 (Paracétamol, Ibuprofène). La minerve rigide initialement mise en place aux urgences est enlevée dès le 06.12 avec remplacement par une minerve en mousse pour l'antalgie. En raison de la persistance de douleurs à la palpation des apophyses épineuses cervicales ainsi que d'un statut neurologique fluctuant aux membres supérieurs et difficilement évaluable, une IRM cervico-dorsale est organisée sans lésions osseuses/ligamentaires visualisées. Dans ce contexte, le diagnostic de contusion osseuse avec contracture du sterno-cléido-mastoïdien droit est retenu. Les douleurs étant en nette diminution au cours du séjour, après concertation avec l'équipe d'orthopédie du rachis, Mr. Y rentre à domicile le 06.12.18 avec une antalgie de palier 1 en systématique durant 48 heures, la minerve en mousse à porter maximum 24 heures après la sortie ainsi qu'un arrêt de sport de 3 semaines. Un contrôle chez le pédiatre est préconisé dans le courant de la semaine suivant son départ. Tamponade post-coronarographie le 27.11.2018 sur saignement de la branche postéro-latérale de la CD Tamponade sur hémopéricarde suite à une ponction d'un épanchement péricardique chronique le 26.04.2018 (plaie du ventricule droit, embrochage d'une veine sous-sternale) • Fenestration péricardique à l'Inselspital (Dr. X) le 26.04.2018 pour tamponade iatrogène Fistule anale non datée Boursectomie coude droit et exostosectomie à la pointe de l'olécrâne le 26.03.2014 Fractures costales gauches 6-9 postérieures en décembre 2013 Résection de polypes recto-sigmoïdiens adénomateux en 1995 et 2000 Opération de déviation de la cloison nasale en 1999 Cholécystectomie en 1995 Opération bilatérale de contractures de Dupuytren en 1980 et 1995 Rupture partielle de la coiffe des rotateurs droite en 1981 et 1992 Thrombose veineuse porte aiguë probablement idiopathique le 08.06.2015 avec : • élévation des tests hépatiques et de cholestase • DD : état inflammatoire chronique sur connectivite, infection, néoplasie, hémopathie, syndrome anti-phospholipides • Anticoagulation thérapeutique dès le 09.06.2015 pour au moins 6 mois • CT abdominal de contrôle le 22.12.2015 : résolution de la thrombose porte Épanchement péricardique centimétrique circonférentiel sans répercussion hémodynamique stable (échocardiographie du 26.10.2017) Pneumonie communautaire gauche le 02.12.2017 Status post-cure de hernie inguinale droite en 1986 Cure de hernie inguinale bilatérale selon Lichtenstein (Progrip) en électif le 09.03.2018 Malnutrition protéino-énergétique, le 28.06.2018 Opération de la cataracte à gauche (il y a 3 semaines), à droite (il y a 1.5 semaine) Tamsulosine pour 14 jours, jusqu'au 20.12.2018 Filtrer les urines pour 14 jours Tarse D et MCP I G Avis rhumatologique le 31.10.2018 Thérapie par Anakinra 100 mg 1x/j dès 02.11.2018 TAS autour des 200 mmHg aux urgences malgré repos. Asymptomatique. Mme. Y a pris ses traitements du matin. Reçoit aux urgences 5 mg d'Amlodipine avec bon effet. ATT • suivi tensionnel, réadaptation traitement au besoin. Tassement D7 : • s/p vertébroplastie D8 le 10.12.2018 à l'HFR-Fribourg Tassement pluriétagé colonne lombaire : • TH12-L2-L5-S1 Tassement vertébral L5. Fibrillation auriculaire avec tachycardie paroxystique. Contractures musculaires du scalène avec irradiation sur irritation nerveuse. Insuffisance rénale aiguë probablement rénale le 27.03.2017. • Clearance MDRD 58 ml/min (poids env. 70 kg), FENa 1.39%. Tassement vertébral L2-L3 suite à la chute à domicile le 03.09.2018 IRA possiblement sur déshydratation Status après insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 07.12.2011 Status après AVC temporo-occipital droit le 12.12.2011 Status après état confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 07.12.2011 Status après pancréatite aiguë d'origine toxique (éthylisme chronique, DD : passage de calcul, Ranson à 48 h : 2-3) le 07.12.2011 Status après embolie pulmonaire Status après prothèse totale des deux genoux Status après prothèse des deux épaules Status après thrombose veineuse profonde Status après syncope le 08.12.2012 sur embolie pulmonaire bilatérale Status après insuffisance rénale exacerbée, stade IV, le 08.12.2012, probablement sur bas débit et néphropathie hypertensive Status post réduction de fracture pertrochantérienne multi-fragmentaire complexe du fémur proximal droit avec ostéosynthèse par clou gamma le 15.04.2015 Contusion du genou gauche avec épanchement intraarticulaire le 01.08.2017 avec : CT genou gauche : pas de descellement ou de fracture péri-prothétique, épanchement articulaire non ponctionnable Hématome périorbitaire gauche le 01.08.2017 : CT cérébral : anciennes fractures des os propres du nez et du plancher orbitaire droit, pas d'HSD, pas de saignement intracrânien. Tassement vertébrale L2-L3 suite à la chute à domicile le 03.09.2018 IRA possiblement sur déshydratation Status après insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale le 07.12.2011 Status après AVC temporo-occipital droit le 12.12.2011 Status après état confusionnel aigu d'origine multifactorielle le 07.12.2011 Status après pancréatite aiguë d'origine toxique (éthylisme chronique, DD : passage de calcul, Ranson à 48 h : 2-3) le 07.12.2011 Status après embolie pulmonaire Status après prothèse totale des deux genoux Status après prothèse des deux épaules Status après thrombose veineuse profonde Status après syncope le 08.12.2012 sur embolie pulmonaire bilatérale Status après insuffisance rénale exacerbée, stade IV, le 08.12.2012, probablement sur bas débit et néphropathie hypertensive Status post réduction de fracture pertrochantérienne multi-fragmentaire complexe du fémur proximal droit avec ostéosynthèse par clou gamma le 15.04.2015 Contusion du genou gauche avec épanchement intraarticulaire le 01.08.2017 avec : CT genou gauche : pas de descellement ou de fracture péri-prothétique, épanchement articulaire non ponctionnable Hématome périorbitaire gauche le 01.08.2017 : CT cérébral : anciennes fractures des os propres du nez et du plancher orbitaire droit, pas d'HSD, pas de saignement intracrânien. Tassements L2 et L5 sur chute le 08.12.2018 Taumatisme genou G Taux plasmatique de théophylline du 27.12.2018 Taux Valproate 24.11.2018 : 40 ng/ml, 28.11. : 42 ng/ml Valproate dès le 14.11.2018 Avis neuro (Dr. X) : effet du Valproate optimal à 2-4 semaines, laisser à 3x700 mg par jour avec EEG à 6-8 semaines. Dans le cadre des soins de confort, passage à Depakine 3x500 mg par jour. Tavegyl 2 mg iv. Tavégyl 2 mg IV et Solumédrol 125 mg IV. Triptase : à pister Surveillance 4h. Evolution favorable avec diminution de l'oedème, retour à domicile. Traitement par Xyzal 1x/jour pendant 5 jours et Prednisone 40 mg 1x/jour pendant 5 jours. Bilan allergologique à organiser à 6 semaines par le médecin traitant. Tavegyl 2mg, Solumédrol 125 mg iv. Surveillance pendant 6h aux urgences. Retour à domicile avec anti-histaminique et corticoïdes en schéma court; éviction de l'allergène présumé jusqu'à consultation allergologique. Tavegyl Solumedrol Tavegyl Solumedrol Patient informé qu'il doit consulter un allergologue dès que possible TAVI le 07.01.2018 à la Clinique Cecile à Lausanne Tazobac du 16.11 au 20.11.2018 Avis infectiologique Dr. X le 19.11.2018 Ciproxine du 20.11 au 27.11.2018 Fluconazole en pause du 20.11 au 27.11.2018, reprise du 28.11 au 07.12.2018 Tazobac du 28.12 au ... VNI dès le 28.12 Cathéter artériel radial droit du 28.12 au 30.12.2018 TC TC TC TC TC TC TC +/- PC + AC sur OH aiguë TC +/- PC avec AC sur OH aiguë TC avec AC sans PC chez une patiente sous aspirine connue pour démence de type Alzheimer TC avec amnésie circonstancielle avec : • Trauma facial et perte d'une dent • Alcoolémie à 0.13 pour mille aux urgences TC avec PC et AC TC avec PC sans AC > 24h TC avec PC sans AC > 24h le 28.12.2018 avec fracture de l'os occipital avec deux hématomes de contre-coup au niveau frontal TC avec PC sans AC >24h TC avec PC sans AC >24h TC avec PC sur syncope orthostatique TC avec plaie frontale gauche superficielle • patient anticoagulé par Marcoumar Cicatrice rétine - oeil D vision médiale préservée (congénitale) TC avec plaie frontale gauche superficielle • patient anticoagulé par Marcoumar Examen neurologique CT cérébral (Dr. X) Fiche conseil neurologique Cicatrice rétine - oeil D vision médiale préservée (congénitale) TC avec plaie mandibulaire TC chez patient avec troubles mentaux TC mineur • sans PC ni amnésie circonstancielle • sans red flag TC sans AC ou PC TC sans PC TC sans PC TC sans PC TC sans PC TC sans PC non compliqué Dermabrasion frontale TC sans PC avec alcoolémie à 1.69‰ TC sans PC le 20.12.2018 avec : • suspicion atteinte ligamentaire profonde TC sans PC ni AC TC sans PC ni amnésie circonstancielle TC sans PC non compliquée, plaie de l'arcade sourcilière gauche TC simple TC simple TC simple avec dermabrasion du nez TC simple avec plaie frontale d'environ 1.5 cm de longueur TC simple, avec plaie 2mm de diamètre à l'arcade sourcilière G en décembre 2015 Lithiase urétérale intra-méatique G le 24.12.2015 TC simple, avec plaie 2mm de diamètre à l'arcade sourcilière G en décembre 2015 Lithiase urétérale intra-méatique G le 24.12.2015 TC simple le 16.12 à 16:00 TC simple sans AC ou PC TC simple sans AC sans PC TC simple sans PC, avec : • Ecchymose au niveau du front D TC simple sans PC ni AC avec : • plaie occipitale verticale de 2cm de longueur et 0.5 cm de profondeur TC simple sans PC ni AC, avec dermabrasion frontale gauche le 01.12.2018 TC simple sur chute mécanique TCC avec : • Perte de connaissance brève, amnésie circonstancielle et 2 épisodes de vomissement TCC avec : • Perte de connaissance brève, amnésie circonstancielle et 2 épisodes de vomissement TCC léger TCC léger avec PC et AC inconnu TCC mineur dans un contexte OH sur agression le 23.12.2018, avec plaie du scalp occipital droite contuse d'un cm de longueur totale TCC mineur dans un contexte OH sur agression le 23.12.2018 avec plaie du scalp occipital droite contuse d'un cm de longueur totale Entorse LLI des 2 genoux le 27.04.2015 Infection pulpe du pouce droit Fracture post-traumatique de la 6ème côte postérieure à droite le 15.08.2013 Tendinite du sus-épineux D Contusion para-lombaire L2-L4 D TCC mineur dans un contexte OH sur agression le 23.12.2018, avec plaie du scalp occipital droite contuse d'un cm de longueur totale TCC mineur sur chute du 23.12.2018 avec plaie occipitale contuse de 0.8 cm TCC occipital léger TCC pariétal G avec 2 jours de coma en 1969 Cholécystectomie en 1975 Thyroïdite aiguë en 1992 Cure de varices en 1995 Cure du tunnel carpien bilatéral Cupulolithiase en 1996 et 1999 Strumectomie subtotale pour goître multinodulaire en 2004 Opération de diverticule de Zenker Cardiopathie dysrythmique avec thermo-ablation d'un flutter auriculaire en 2005 (CHUV) Hystérectomie et annexectomie pour cystadénome de l'ovaire G en 2006 Cystopexie pour prolapsus utérin en 2006 Accidents vasculaires cérébraux lacunaires en 2006 Fracture des branches ilio- et ischio-pubiennes G le 24.06.2016, traitée conservativement PTH D et ostéophytectomie antérieure et postéro-inférieure sur coxarthrose D le 13.07.2017 PTG D sur gonarthrose tricompartimentale invalidante le 12.10.2016 Fracture de la tête péroné D diagnostiquée le 08.11.2016 probablement dans les suites de la PTG (pas de notion de traumatisme) PTG G sur gonarthrose tricompartimentale le 21.03.2018 Réadaptation musculo-squelettique avec physiothérapie et ergothérapie Marche en charge selon douleurs sous protection de 2 cannes pendant 6 semaines postopératoires Adaptation de l'antalgie Prophylaxie thromboembolique par Xarelto 10 mg durant 6 semaines postopératoires Eczéma de contact allergique sur divers médicaments anesthésiologiques le 22.03.2018 • Xyzal 5 mg 1 cp Suivi clinique Anémie postopératoire normocytaire normochrome Suivi clinique et biologique (Hb à 96 g/l le 03.04.2018) TCC simple avec PC entre 2 et 5 min selon témoin avec comportement inhabituel selon les amis post-chute TCC simple avec plaie de 2 cm au vertex TCC temporal léger TCC 01/2004. • Contusion frontal des deux côtés. • Hématome sous-durale fronto-temporal. • Saignement sous-arachnoïdienne post-traumatique fronto-pariétal gauche. • Fracture occipitale. • Fracture de la base de crâne. Cholecystectomie. Prothèse totale de hanche des deux côtés. Néphrectomie complète gauche. TCS sous Plavix dans un contexte de chute accidentelle à domicile TDAH. TDAH sous Ritaline 40 mg/j TDAH traité par Concerta TDAH traité par Medikinet TDAHA, sous Ritaline. TEA carotidienne gauche avec plastie d'élargissement le 13.12.2018 (Dr. X) TEA élective Tegretol susp 2% 90 mg 3x/j (à noter que la dose n'a pas été changé depuis plusieurs mois, avec l'augmentation du poids cela correspond maintenant à 20 mg/kg/j, non modifié car stable) Rivotril 0,1 mg x 3 Largactil 6 mg 2x/j Mélatonine 1 mg 1x/j au coucher Tel. pharmacie le 05.01.18: Douleurs abdominales depuis le début du traitement avec Magrocol (dosage adulte) 2x 2 sachet/jour. selle molles 4-5x/jour de petite quantité. Attitude: Stop Magrocol, consulter si fortes douleurs abdominales ou fièvre, sinon contrôle chez pédiatre le 07.1. Tel. Pharmacie: Ordonnance pour Nopil 0.75 ml 1x/jour, correction pour le dosage TMP-SMX 5 mg/kg-25 mg/kg, soit TMP 75 mg 2x/jour soit 9 ml 2x/jour pendant 14 jours Temesta arrêté Introduction de Quetiapin 12.5 mg 2x/j et en réserve si anxiété GDS Temesta donné au tri puis 1 comprimé pour le retour à domicile. Suite comme prévu dans 48 h avec psychiatre. Temesta fixe Nozinan en réserve Temesta IV avec bon effet Temesta pour l'anxiolyse et la nausée Approches complémentaires Accompagnement et soutien interdisciplinaire Temesta 1 mg. Temesta 1 mg. Temesta 1 mg, puis 2.5 mg aux urgences. Temesta 1 mg 1x/j + 1 mg en réserve. Organiser suivi psychologique en ambulatoire. Temesta 2,5 mg et Trittico 50 mg. Stop Cortisone étant donné la tolérance à la douleur, actuellement 3/10. Retour aux urgences pour avis psychiatrique si pas d'amélioration. Explications données au patient. Aura une IRM cervicale dans 3 jours Arrêt de travail jusqu'au 07.12.2018. Temgesic en réserve Prise de contact avec Voltigo qui ira évaluer le patient à l'EMS Tendance macrocytaire. Pas d'extériorisation actuellement. ATT • Prévoir bilan vitaminique. • Seuil transfusionnel 90 g/l vu cardiopathie ischémique. Tendinite calcifiante chronique de l'épaule D. Status post needling et infiltration sous-acromiale de l'épaule D le 26.10.18. Tendinite calcifiante du sus-épineux de l'épaule G. Tendinite calcifiante sus-épineux épaule gauche symptomatique. Status post infiltration du sillon bicipital le 18.5.2018. Status post needling de calcifications sus-épineux épaule gauche le 19.9.2018. Tendinite chronique du tendon d'Achille à droite. Tendinite de De Quervain. Tendinite de De Quervain à gauche Bursite sous-acromiale droite. Tendinite de De Quervain débutante au niveau du poignet G. Status post-ostéosynthèse par plaque du radius le 24.08.2017 pour une fracture du radius cubitus distal gauche. Tendinite de De Quervain droite. Status post infiltration du 1er compartiment des extenseurs le 23.11.2018. Tendinite de De Quervain du poignet G. Pouce G à ressaut. Tendinite de la coiffe des rotateurs Tendinite de la patte d'oie à droite. Tendinite de l'abducteur du pouce, le 16.12.2018. Tendinite de l'insertion du tendon du quadriceps droit. Tendinite de Quervain à droite. Tendinite des adducteurs à droite Tendinite des extenseurs doigt 1 main gauche. Tendinite des extenseurs des doigts gauches Tendinite des fibulaires G sur status post entorse du Chopart gauche le 24.5.2018. Synostose talo-calcanéenne. Tendinite des fléchisseurs avec irritation du médian et du nerf cubital versus rupture d'un kyste arthrosynovial palmaire poignet D. Status post probable rupture d'un kyste arthrosynovial dorsal du poignet G sur entorse le 25.11.2017. Tendinite des fléchisseurs dorsaux du pied gauche le 06.11.2013. Tendinite des fléchisseurs du poignet droit le 23.12.2018. Tendinite d'insertion des muscles fessiers et rotateurs externes de la hanche D sur status post PTH D le 09.01.2013. Scoliose avec dysbalance dans le plan coronal. Coxarthrose G. Tendinite du biceps de l'épaule droite, le 03.11.2018. Tendinite du fascia lata gauche, coxarthrose bilatérale. Tendinite du jambier antérieur le 11.01.2014 Tendinite du jambier postérieur G. Fascéite plantaire ddc. Status post AMO plaque LISS et 3 vis sur la TTA du genou gauche le 20.2.2018 sur status post PTG le 5.9.2013 avec status post ostéosynthèse du fémur distal gauche le 12.10.2014 pour fracture péri-prothétique. Surcharge mécanique du ligament collatéral externe de la cheville droite. Tendinite du poignet droit. Toxidermie médicamenteuse retardée probable sur antibiothérapie X avec éosinophilie à 750 G/l. Tendinite du tendon d'Achille à droite. Tendinite du tendon d'Achille à l'insertion du calcanéum à droite. Tendinite du tendon quadricipital du genou droit suite à un accident survenu le 05.09.2018. Tendinite du tendon tibialis postérieur cheville D avec légère inflammation du sinus du tarse peu symptomatique Tendinite du tendon d'Achille à G Insuffisance veineuse chronique avec des œdèmes aux mollets ddc assez importants Tendinite du tensor fascia lata. Tendinite du 3ème doigt de la main gauche. Tendinite, éventuelle instabilité du long chef du biceps et irritation du bord supérieur du sous-scapulaire épaule droite Tendinite fléchisseur avant-bras droit et muscle biceps brachial. Douleur abdominale d'origine musculaire probable le 22.03.2018. DD : déchirure musculaire. Hémorroïdes stade 1 le 26.10.2018. Tendinite pes anserinus genou droit. Tendinite pied gauche. Coupure de 2 cm à l'arcade sourcilière droite. Tendinite tendon d'Achille droit. Tendinopathie. Tendinopathie achilléenne chronique G Tendinopathie de la coiffe des rotateurs à gauche, atraumatique, le 07.12.2018. Tendinopathie de la coiffe des rotateurs épaule G (sus-épineux et sous-scapulaire). Arthrose acromio-claviculaire G. Suspicion de tendinopathie de la coiffe des rotateurs épaule D (sus-épineux). Syndrome de Tunnel carpien de la main D. Status post cure de Tunnel carpien et neurolyse du nerf médian main G le 26.04.2018. Polyarthrite rhumatoïde (suivi en rhumatologie, HFR Fribourg) • Tendinopathie de la coiffe des rotateurs le 03.12.2018. • Tendinopathie de la coiffe des rotateurs (sus-épineux) avec boursite sous-acromiale. • Tendinopathie des adducteurs de la cuisse droite • Tendinopathie des extenseurs poignet droit en 2013. Lombalgies aiguës post-accident de la voie publique le 02.01.2015 avec faiblesse M4 persistante de la musculature des membres inférieurs d'origine indéterminée. Récidive d'instabilité postérieure épaule droite: > sur status post correction de la glène épaule droite le 30.11.2017. Arthroscopie épaule droite, refixation du labrum postérieur et capsuloraphie (OP le 03.05.2018). Douleurs abdominales d'origine indéterminée. DD: cholécystolithiase symptomatique, appendicite, fonctionnelle, gastrite. • Tendinopathie des extenseurs/abducteurs du pouce de la main gauche • Tendinopathie du peroneus brevis à gauche sur > status post fracture pseudo-Jones et fracture de la malléole externe type Weber A le 2.8.2017 traitée conservativement. • Tendinopathie du poignet droit. Amygdalectomie. Scoliose. Maladie de Berger. Contracture para-vertébrale cervicale d'allure musculaire. • Tendinopathie du sus-épineux avec arthrose AC à droite asymptomatique. IRM du 7.12.2018 : découverte fortuite d'une lésion osseuse du trochin d'origine inconnue actuellement en cours d'investigation. • Tendinopathie du sus-épineux avec lésion intra-tendineuse épaule gauche. • Tendinopathie du sus-épineux épaule G post-traumatique avec arthrose AC asymptomatique. Status post infiltration sous-acromiale le 23.11.2018. • Tendinopathie du sus-épineux épaule gauche avec déconditionnement de l'épaule et contractures de la ceinture scapulaire gauche. • Tendinopathie du sus-épineux et sous-épineux épaule D avec arthrose AC asymptomatique et forte suspicion de ténopathie/instabilité du LCB à D. Status post infiltration sous-acromiale épaule D le 09.11.2018. • Tendinopathie pôle distal du tendon rotulien. • Ténesme d'origine indéterminée, le 21.05.2013. Ablation d'un kyste poplité D, en 2010. Status post-AVP avec polytraumatisme, en 1957. Carcinome épidermoïde peu différencié du sinus piriforme gauche, stade cT4a cN2b cM0, diagnostiqué le 16.03.2016 > Radiothérapie (70 Gy) du 28.04 au 20.06.2016 concomitante à de l'Erbitux > Apparition d'adénopathies cervicales à gauche, suspectes à l'US cervical de Follow-up effectué le 02.02.2017 > Cervicotomie exploratrice gauche le 02.03.2017. Histologie : très probables résidus tumoraux nécrosés > Évidement cervical fonctionnel gauche et panendoscopie avec biopsies (Dr. X) le 29.03.2017 • Ténesme d'origine indéterminée, le 21.05.2013. Ablation d'un kyste poplité D, en 2010. Status post-AVP avec polytraumatisme, en 1957. Carcinome épidermoïde peu différencié du sinus piriforme gauche, stade cT4a cN2b cM0, diagnostiqué le 16.03.2016 > Radiothérapie (70 Gy) du 28.04 au 20.06.2016 concomitante à de l'Erbitux. > Apparition d'adénopathies cervicales à gauche, suspectes à l'US cervical de Follow-up effectué le 02.02.2017. > Cervicotomie exploratrice gauche le 02.03.2017. Histologie : très probables résidus tumoraux nécrosés. > Évidement cervical fonctionnel gauche et panendoscopie avec biopsies (Dr. X) le 29.03.2017. • Ténesme d'origine indéterminée, le 21.05.2013. Ablation d'un kyste poplité D, en 2010. Status post-AVP avec polytraumatisme, en 1957. Carcinome épidermoïde peu différencié du sinus piriforme gauche, stade cT4a cN2b cM0, diagnostiqué le 16.03.2016 > Radiothérapie (70 Gy) du 28.04 au 20.06.2016 concomitante à de l'Erbitux. > Apparition d'adénopathies cervicales à gauche, suspectes à l'US cervical de Follow-up effectué le 02.02.2017. > Cervicotomie exploratrice gauche le 02.03.2017. Histologie : très probables résidus tumoraux nécrosés. > Évidement cervical fonctionnel gauche et panendoscopie avec biopsies (Dr. X) le 29.03.2017. • Ténosinovite du tendon extenseur de D2 en regard de la diaphyse du 2ème métacarpe, face dorsale main G secondaire à une morsure de chat du 10.12 traitée par antibiotiques • Ténosynovite de De Quervain droite traitée par Ténosynovectomie en 2009 • Ténosynovite des extenseurs dans le cadre d'une arthropathie à CPPD du poignet gauche. • Ténosynovite des rayons 2-3-4 main droite • Tension artérielle confirmée en 2 reprises aux urgences • Tension artérielle élevée • Tensions artérielles labiles à 37 5/7 SA • Tentamen • Tentamen • Tentamen • Tentamen • Tentamen. • Tentamen. • Tentamen alcoolique en 2012 Opération des sinus en 1998 Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, utilisation nocive pour la santé (dépendance à l'alcool), le 15.04.2018 Erysipèle membre inférieur en octobre 2018 Troubles du comportement alimentaire et probable intoxication éthylique en octobre 2018 Pancytopénie modérée, le 17.04.2018 sur: > myélotoxicité alcoolique, hypersplénisme cirrhotique, effet indésirable médicamenteux (Oxazépam) Cirrhose CHILD-PUGH B (8), le 15.04.2018: > connue pour une stéatose hépatique alcoolique, début de cirrhose CHILD-PUGH 06/2017: B (7), 01/2012: A (5), début d'hypertension portale (US avec histologie hépatique en 2011) > OGD en 2012: pas de varice oesophagienne, gastrite de l'antre, oesophagite inférieure chronique > OGD le 20.04.2018 (Dr. X): atrophie de la muqueuse duodénale, pas de varices, pas de signe de saignement. Possible candida Contusion sacrale, le 15.04.2018 • Tentamen héroïne le 12/12/18 • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux • Tentamen médicamenteux. • Tentamen médicamenteux. • Tentamen médicamenteux. • Tentamen médicamenteux. • Tentamen médicamenteux au Paracétamol • Tentamen médicamenteux au Paracétamol • Tentamen médicamenteux au paracétamol (11 g) • Tentamen médicamenteux au paracétamol (16 grammes). • Tentamen médicamenteux au rivotril et quétiapine > avec tentamen médicamenteux aux benzodiazépines le 12.11.2018. • Tentamen médicamenteux aux benzodiazépines le 12.11.2018 • Tentamen médical avec benzodiazépines le 12.11.2018: > surveillance respiratoire et neurologique aux soins intensifs du 12 au 13.11.2018 > Consilium psychiatrique le 13.11.2018 • Tentamen médicamenteux avec : > 420 mg Escitalopram > 500 mg Trittico. • Tentamen médicamenteux avec benzodiazépines et alcool, le 29.12.2018 • Tentamen médicamenteux avec ingestion 12 g de Dafalgan (paracétamol) à 21 heures le 18.12.2018 > facteurs déclenchants: rupture de couple • Tentamen médicamenteux avec intoxication aux opiacés et à l'alcool le 23.12.2018: > ingestion de 10ml d'Oxynorm de 10mg/ml > Alcoolémie à 2.4 pour mille • Tentamen médicamenteux avec Mirtazapine le 07.11.2018. • Tentamen médicamenteux avec prise de 5 cpr de Perindopril 4 mg le 08.12.18 à 12h (premier épisode) avec: > contexte de conflit de couple > patiente hémodynamiquement stable et asymptomatique sur le plan somatique • Tentamen médicamenteux de 800 mg de Tramal le 23.12.2018 • Tentamen médicamenteux en 2014. • Tentamen médicamenteux le 25.04.2015 Fracture extra articulaire, déplacée de P1, Dig. 5 main D Probable gastrite 22.05.18 • Tentamen médicamenteux le 31.08.2016 : > avec prise de divers médicaments (peu clair: Cymbalta quantité X, Seroquel quantité X, Zolpidem quantité X, autre?). Ethylisation aiguë le 31.08.2016.• Sur problème OH chronique. • Troubles de l'état de conscience sur alcoolisation aiguë le 09.07.2016. • Hospitalisation aux soins continus. Brûlures du 2ème degré profond et du 3ème degré du visage et du cou (4.5% surface corporelle) le 03.03.2015: • Hospitalisation au CHUV du 03.03 au 09.04.2015. • Intubation le 03 au 25.03.2015. • Trachéotomie percutanée le 25.03.2015. • Douche et débridement les 06.03 et 09.03.2015. • Greffes de peau au niveau facial le 13.03.2015. • Greffes cutanées au niveau des oreilles et de la mandibule le 31.03.2015. • Port du masque thermomoulé, avec suivi en ergothérapie. • Suivi régulier par la policlinique de chirurgie plastique du CHUV. Fracture sous-capitale humérus gauche le 08.03.2017: • Traitée en ambulatoire par gilet orthopédique depuis le 04.03.2017. Dépendance OH avec crise d'angoisse et idéation suicidaire (non daté). Suspicion de décompensation BPCO non stadée (non daté) avec: 3/3 critères d'Anthonisen. Intoxication le 04.09.2018: • Alcool 2.13 pour mille. • Tentamen médicamenteux (surdosage des benzodiazépines) le 12.07.2018. Méniscectomie du genou gauche en 2013. Lithotripsie gauche. Ostéosynthèse fracture jambe gauche. Plastie LCE et méniscectomie partielle du genou gauche il y a environ 30 ans. Appendicectomie. Intoxication médicamenteuse volontaire avec: 37.5 mg de Temesta - 1800 mg de Tranxilium - 1.8 g de Quétiapine - 4 cpr de Zaldiar. • Tentamen par ingestion d'environ 1 dl d'eau de Javel et 18 g de Dafalgan le 28.12.2018. • Contexte de rupture relationnelle. • Tentamen par veinosection le 30.10.2018. • Tentamen récidivant • Par immolation • Avec alcoolémie à 1.7 %. • Tentative de veinosection semaine du 01.12.18. • Tentamen sous forme de taillades du poignet gauche dans un contexte de trouble dépressif. • Tentamen sous forme d'éthylisation aiguë le 18.12.2012. • Tentamen suicidaire • Tentamen suicidaire avec prise de 20 à 40 cpr de Temesta 2.5 mg le 29.12.18. • Tentamen sur intoxication à l'héroïne le 12.12.2018. • Tentative d'arrêt du Lodine et Novalgine en réserve. Dafalgan et Oxycontin en fixe. • Tentative de prise orale de glace et de Normolytoral: prise de 1 cuillère puis arrêt spontanée. Décision de retour à domicile avec mise en place de traitement antalgique aux 3h en alternance (novalgine 10 gouttes et dafalgan 150 mg) afin de favoriser la prise alimentaire. Retour aux urgences si apparition d'un état fébrile, augmentation de tuméfaction du cou ou persistance de difficulté alimentaire. • Tentative de strangulation au lendemain d'un épisode d'alcoolisation aiguë, consommation de cannabis et rapports sexuels non protégés. • Fugues à répétition. • Tentative de suicide. • Tentative de suicide par pendaison. • Tentative de suicide. DD : crise de borderline avec: • Scarification de l'avant-bras gauche à 4 reprises avec des ciseaux. • Ingestion de médicaments. Terbinafine. Termes prévus pour le 17.02.2019. Test antigène H. Pylori dans les selles: négatif. Poursuite du traitement par Pantozol et introduction d'Alucol gel. Reconsulter en cas de persistance ou péjoration des symptômes. Test de confirmation HCV: résultats indéterminables. Avis infectiologique de Dr. X: effectuer une virémie HCV. Rendez-vous de contrôle pour suite de la prise en charge par le médecin traitant avec communication des résultats. Test de Coombs le 06.12.18: positif (2). Titre de Coombs spécifique: C3d + (titre 1). Suivi et recherche B-thalassémie à distance. Test de déglutition. Suite de prise en charge selon OM neurochirurgie après lecture de l'IRM. Switch pour anticalciques dès que possible pour traitement de l'HTA. Test de déglutition. Conseils et traitement diététiques. Test de déglutition le 12.12.2018: nette amélioration. Régime mixé lisse po sous surveillance dès le 12.12.2018. Alimentation entérale par sonde naso-gastrique jusqu'au 19.12.2018 avec multiples reposes de SNG. Pose de GPR le 18.12.2018 (Dr. X) - ablation des fils le 25.12.2018. Suivi diététique bi-hebdomadaire. Contrôle gastrotube le 19.03.18 - service de radiologie de Fribourg (Dr. X). Test de grossesse: négatif. Consultation gynécologique, le 27.12.2018: examen gynécologique dans les limites de la norme hormis les métrorragies. Prélèvement vaginal effectué à la recherche de Chlamydia/Gonorrhée: négatif. Test de grossesse dans une semaine le 21.12.18 dans notre consultation. Prescription de Ellaone pilule dose unique. Consultation d'aujourd'hui effectuée en présence de Mme. Y (stagiaire) qui a fait la traduction. Présence en continu pendant la consultation du père de la patiente. Test de grossesse: négatif. Score de Wells 2 pts. Avis angiologique (Dr. X): absence de thrombose. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie et physiothérapie. • Explications données à la patiente. Test de grossesse: négatif. Sédiment urinaire: non pathologique. Laboratoire. US ciblé aux urgences abdomen (Dr. X): pas de liquide libre, pas de lithiase vésiculaire, pas d'argument pour dilatation des voies biliaires, Murphy échographique négatif. Aorte de taille normale (1 cm). Vessie pleine. Bon effet du Pantoprazol aux urgences. RAD avec traitement d'épreuve IPP. Test de grossesse sur les urines: négatif. Rx sacrum et coccyx: pas de signes de fracture ni luxation. Test de grossesse urinaire: négatif. Antalgie par Paracétamol, AINS, Buscopan ok avec allaitement. → Permettent disparition complète des douleurs. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire: sang +++, nitrites +, leuco +++. Uricult: en cours. US abdominal (Dr. X): pas d'appendicite pour le spécialiste, indolore, à la pression de la sonde, diamètre 6.5-7 mm, un peu de liquide libre dans le petit bassin. Reins sans particularité. Ovaire droit pas visualisé. Ovaire gauche d'apparence normale. Nous proposons à Mme. Y une consultation gynécologique pour exclure une pathologie ovarienne, qu'elle refuse. Pas d'argument clinique ou biologique pour examen en urgence (abdomen souple, indolore). La patiente reçoit aux urgences 2 g de ceftriaxone iv pour suspicion de pyélonéphrite. Retour à domicile avec traitement antibiotique et antalgique. Contrôle clinique et résultat de l'uriculture le 17.12.2018 au secteur ambulatoire des urgences. Explications à la patiente et à son mari des symptômes et signes qui devraient de gravité pour une reconsultation dans l'intervalle. Test de grossesse urinaire: négatif. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, bonne fonction rénale. Sédiment urinaire: non pathologique. Attitude: • Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan et Primperan en réserve. Arrêt antibiothérapie. • Contrôle post fécondation prévu le 14.12.2018. • Patiente avertie de reconsulter en cas de fièvre ou de péjoration des douleurs, vomissements. Test de grossesse urines: négatif. Rx épaule, clavicule gauche bretelle, antalgie, suivi poly ortho avec Dr. X la semaine prochaine. Test de la personne source (Mr. Y - 18.09.1990): HIV négatif, Hépatite C négatif, Hépatite B antigène HBs négatifs, anticorps anti-HBc totaux positifs. Patient receveur avec sérologie Hépatite B au-dessus du seuil protecteur. Nouveau contrôle sérologie HIV et hépatite C le 10.12.18: si négatif, procédure close • Mr. Y sera informé par téléphone. Test de Schellong : négatif Test de Schellong à faire Massage du sinus à faire Traitement anti-hypertenseur en suspens Test de Schellong pathologique. ECG: sans particularité Hydratation d'au moins 2 l/jour à domicile et prise de bouillon. Test de Schellong physiologique. Manoeuvre de Dix-Hallpike positif, sans nystagmus. Manoeuvre d'Epley, avec amélioration nette des symptômes. Aux urgences : Primpéran 10 mg, Dafalgan 500 mg. Retour à domicile avec Primpéran en réserve. Explications de la manoeuvre de Semont à effectuer à domicile le lendemain. Test de Schellong: sans anomalies RDV demain pour EEG puis consultation de neuropédiatrie avec Dr. X Test de Schellong sans bas le 28.11.2018 : positif Test de Schellong avec bas le 28.11.2018 : négatif Test d'effort : Mr. Y sera convoqué. Contrôle chez le médecin traitant avec évaluation de l'introduction d'un traitement antihypertenseur. Test d'effort du 28.12.2018 Test d'effort effectué en 2017 à Riaz: • extrasystoles Infection pulmonaire en août 2010 Status post-coxite gauche sur poussée de PR en novembre 2007 Statut post-GEU Status post-opération de varices Status post-amygdalectomie Status post-appendicectomie Status post-vésicopexie Luxation antéro-inférieure épaule droite, premier épisode 2013 Agranulocytose fébrile d'origine indéterminée le 01.04.2018 : • traitement par Rituximab le 09.02.2018 DD : viral Rhinosinusite probablement bactérienne Hyponatrémie hypo-osmolaire Test grossesse urinaire positif à deux reprises Test rapide de Malaria 06.12.18 : négatif Sérologie d'hépatites A (ancienne) C, HIV 06.12.18 : négatif Ultrason abdomen supérieur 06.12.18 Avis infectiologue, Prof. X Information donnée à Mr. Y concernant risque de transmission Contrôle clinique + TP en début de semaine chez Fri-santé Test rapide RSV: négatif Test rapide streptocoque A: négatif Testicule droit ascensionné fixé à l'âge de 2-3 ans Tests cognitifs: MMS, clock test, GDS Tests de la cognition du 30.08.2018 : MMS à 29/30 (test de la montre et GDS refusés par Mr. Y). Contusion de la hanche gauche suite à une chute de sa hauteur le 21.08.2018. Syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 16.06.2017. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et arrêt cardiaque le 16.06.2017. Insuffisance rénale aiguë AKIN I probablement d'origine prérénale le 16.06.2017. Rhabdomyolyse le 16.06.2017. Suspicion d'hémorragie digestive haute le 24.03.2016. Douleurs rétrosternales d'origine indéterminée avec tachycardie sinusale à 127/min le 24.03.2016. Fracture fibulaire et contusion de la jambe gauche le 16.12.2014 Traumatisme crânien sur syncope le 16.12.2014, avec plaie au niveau zygomatique. Fracture de l'omoplate droite et multiples fractures droites suite à une chute de 2.5 m en 2006. Cure d'hernie inguinale gauche en 1992. Cure d'hémorroïdes. Hémorragie cérébrale (hospitalisation au CHUV après malaise en 1990 environ). Erysipèle du tiers distal de la jambe gauche avec porte d'entrée : • sur probable plaie du 1er et 2ème orteil gauche. Tests dépistage MST. Les résultats MST seront transmis téléphoniquement à Mr. Y. Prévention (protection lors de rapport sexuel). Tests hépatiques perturbés • laboratoire le 02.12 avec GGT à 79 U/l, PA à 107 U/l DD: foie de stase, sepsis, médicamenteux Tests hépato-biliaires perturbés d'origine probablement alcoolique le 11.12.2018 • ASAT 409, LDH 778, GGT 1445, Bili tot 32.9 • US abdo 26.07.2018: stéatose hépatique diffuse marquée, pas de signe de cirrhose ni de splénomégalie ou d'ascite Tests VIH et HBV à répéter chez le MT à 2 mois Tétanos à jour Avis Dr. X Désinfection par octenisept champage stérile Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Pansement occlusif Co-amoxicilline 1 g 2x/j pdt 03 j jusqu'à 13.12.2018 AINS et antalgie au besoin. Réfection pansement à 48 h Contrôle chez Dr. X le 12.12.2018 à 08 h Arrêt de travail. Tétanos à jour Désinfection et rinçage (plaies superficielles non suturables) Antalgie Avis psychiatrique de garde: transfert à Marsens Tétanos à jour. Nous prenons l'avis Dr. X et nous effectuons une désinfection par octenisept champage stérile Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Pansement occlusif. Co-amoxicilline 1 g 2x/j pdt 03 j jusqu'à 13.12.2018 AINS et antalgie au besoin. Réfection pansement à 48 h à la FUA Contrôle chez Dr. X le 12.12.2018 à 08 h Arrêt de travail. Tétanos à jour. Désinfection, champage, anesthésie par 3 cc de Lidocaïne, 3 points avec Prolène 4:0. Ablation des fils à 7 jours proposée d'effectuer aux ambulatoires des urgences, mais Mr. Y veut le faire faire par ses amis infirmiers, nous lui déconseillons. Mr. Y insistant, nous lui recommandons de reconsulter si apparition d'état fébrile, signes d'infection. Retour à domicile avec antalgie par Dafalgan. Tétanos à jour. Désinfection par hibidil, champage stérile. Anesthésie en bague par Bicarbonate et Lidocaïne. Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Vu saignement actif: compression avec compresse imbibée par eau oxygénée NaCl puis cautérisation par bipolaire Pansement occlusif AINS et antalgie au besoin. Contrôle à 48 heures chez le médecin traitant. Arrêt de travail. Tétanos à jour. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Anesthésie en bague par Bicarbonate et Lidocaïne. Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Suture par 3 points d'Ethilon 4.0. AINS et antalgie au besoin. Contrôle chez Dr. X le 19.12.2018 Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Tétanos à jour. Désinfection par Bétadine, champage stérile. Anesthésie par Bicarbonate et Lidocaïne. Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Suture par 2 points de rapprochement d'Ethilon 3.0 Antalgie au besoin. Réfection du pansement à 48 heures chez le médecin traitant. Ablation des fils à J7 chez le médecin traitant. Tétanos à jour. Désinfection par Hibidil, champage stérile. Anesthésie par gellette Rinçage au NaCl 0.9%, exploration de la plaie. Suture par 2 points d'Ethilon 5.0. AINS et antalgie au besoin. Réfection du pansement à 48 heures chez le pédiatre Ablation des fils à J7 chez le pédiatre Tétanos le 15.12.2018 Bétadine-Bad Trockener Verband Co Amoxi 1gx3 p.o. pour 5 jours Contrôle clinique dans 3 jours chez Dr. Y Sofortige WV bei Zustandsverschlechterung Thérapiné pour surveillance respiratoire dans le contexte initial d'une infection des voies respiratoires supérieures.Sur le plan respiratoire, une formule sanguine à l'arrivée montre une leucocytose et une thrombocytose. Un test de 6 pushs de Ventolin est réalisé aux urgences sans amélioration de la symptomatologie clinique. Le lendemain, en raison de signes de détresse respiratoire majorés associés à une hypoventilation diffuse des plages pulmonaires et des sibilances inspiro-expiratoires, Mr. Y bénéficie d'un train de Ventolin en aérosol avec réponse clinique efficace. Il reçoit également un traitement de Betnesol à 0.25 mg/kg/jour pour une durée de 3 jours. L'oxygénothérapie débutée aux urgences en raison de désaturation à 87 % au sommeil est sevrée dès le 20.12. Le diagnostic de bronchite obstructive sévère est retenu. Sur le plan cardio-vasculaire, en raison d'une tachycardie à plus de 170 battements par minute (dans contexte fébrile mais sans Ventolin), d'un mauvais état général et d'une acidose métabolique hyperlactatémique à la gazométrie d'entrée, un bilan à la recherche d'une myocardite est effectué le 20.12 avec des troponines qui reviennent négatives, des pro-BNP augmentés à plus de 700 ng/l, une radiographie du thorax alignée mais un électrocardiogramme montrant une inversion des ondes T de V1 à V4. Dans ce contexte et sur avis de notre cardiologue pédiatre, le Dr. X, une échocardiographie est effectuée et ne montre pas de signes de myocardite. Les pro-BNP élevés sont mis sur le compte de l'inflammation et un électrocardiogramme datant de l'année précédente montre la même inversion des ondes T de V1 à V4. Par ailleurs, le bilan inflammatoire est globalement stable, hormis une légère augmentation de la CRP à 69 mg/l. Sur le plan digestif, une perfusion de Glucosalin 2:1 est débutée aux urgences en raison d'une mauvaise prise hydrique. L'évolution clinique favorable dès le 20.12 est accompagnée d'une amélioration progressive des apports per os, permettant un sevrage de la perfusion le 21.12. • Thérapie antalgique par Dafagan 1g 4 x/j, Irfen 400 mg 3 x/j, Ecofenac crème 2-3 x/j • Arrêt de travail du 21.12.2018 au 28.12.2018 • Thérapie au iode 131 • Thérapie avec Movicol 2 x/j + Laxoberon 10 mg 1x/jour + 15mg/j dans la réserve • Thérapie radiothérapie ou chirurgie en cours de discussion • Thermoablation de la veine saphène interne à l'aide de radiofréquence et phlébectomies étagées du MIG le 31.05.2016 sur insuffisance veineuse du MIG sur incontinence de la veine saphène interne, symptomatique • Conjonctivite bactérienne œil G. • Excision tumeur sous-cutanée et bursite olécrânienne coude D en 2005. • Colique néphrétique G en 2015 • Instabilité antérieure genou G sur déchirure LCA post-luxation genou G le 29.12.2014 avec déchirure LLI et point d'angle postéro-interne, déchirure LCP, mi-substance, déchirure partielle LCA, entorse point d'angle postéro-externe et du LLE avec reconstruction LCP le 13.05.2015 et reconstruction LLI et POL le 20.05.2015. • Arthroscopie genou G avec plastie LCA par tendon quadricipital contro-latéral (OP le 12.10.2016). • Crise migraineuse le 16.12.2017. • Thermoablation pour flutter auriculaire typique inversé le 25.02.2016 • Thiamine depuis le 20.10.2018 • Oxazépam en réserve selon score de CIWA dès 20.10.2018 • Thiazide en suspend • Restriction hydrique • Suivi biologique Mr. Y présente un état fébrile sans foyer, notamment nous pouvons exclure un foyer urinaire chez ce petit patient connu pour une histoire de RDV sous antibiothérapie prophylactique par Nopil. Nous proposons un contrôle rapproché chez le pédiatre en cas de persistance de la fièvre. Il a également présenté une première convulsion fébrile simple, avec ATCD familial positif chez la sœur, pour laquelle nous prescrivons des BDZ en cas de récidive. Il reconsulte les urgences si récidive dans <24 heures. • Thoracalgies D et sous-mammaires D d'origine pariétale en 2010 • Thoracalgies gauches hyperalgiques, le 04.12.2018. Probable fracture des côtes 2 et 7 à gauche. • Thoracoscopie droite, biopsie plèvre pariétale, talcage (3g de Steritalc) et pose de drain pleural droit en Y (OP le 18.10.2018) • Retrait drain antérieur le 21.10.2018 • Retrait drain postérieur le 22.10.2018 • US pleural le 25.10.2018 : épanchement de 4cm de hauteur en base pulmonaire droite • Radiographie de contrôle les 21 et 22.10.2018 Suite : Mme. Y refuse toute prise en charge interventionnelle, elle refuse une ponction et refuse la pose d'un pleurix. Nous mettons en place de l'oxygène à domicile et un soutien par l'équipe de soins palliatifs de Voltigo. • Thoracotomie, résection extra-anatomique LID, curage ganglionnaire médiastinal radical, suture nerf phrénique droit le 27.12.2018 • Noradrénaline du 27.12 au 28.12.2018 • Cathéter artériel radial gauche du 27.12 au 29.12.2018 • Thorakodynie DD Angina Pectoris DD musculosquelettal mit/bei : • EKG : bradycardie SR, HF 59/min (bis 44/min), physiologische Herzachse, schmale QRS, keine De- oder Repolarisationstörungen, QTc 418ms • Trop T nég, CK MB 14 U/l, CRP <5; • cvRF : AH, Stress, kein DM, Normalgewicht, Dyslipidämie unklar, FA blande, Nichtraucher • D-Dimères 220 ng/ml • BD re/li gleich • THORAX F DU 08.12.2018 Comparatif CT du 22 novembre 2018. Taille du cœur à la limite supérieure de la norme, sans signe franc de décompensation cardiaque. On retrouve un épanchement pleural cloisonné à droite, difficilement comparable en raison des modalités d'imagerie différentes. Pas de foyer pulmonaire constitué. On retrouve quelques infiltrats réticulaires du poumon droit, d'aspect inchangé. Pas d'épanchement pleural gauche. Reste du status thoracique superposable. • BASSIN DU 08.12.2018 • HANCHE AXIALE GAUCHE DU 08.12.2018 L'examen du bassin montre une fracture de la branche ischio-pubienne gauche non datable. Pas de fracture visible ailleurs. Minime coxarthrose bilatérale. Arthrose des articulations sacro-iliaques. Calcification en popcorn en projection du petit bassin parlant pour un myome. • THORAX F DU 19.11.2018 La sonde naso-gastrique fait une boucle dans l'oesophage. Masse pulmonaire gauche connue. • POSE DE PICC LINE DU 22.11.2018 Mise en place d'une PICC-LinE double lumière Pro-PICC® CT 5F 43 cm dans la veine basilique gauche. NB : le clamp ne doit pas être fermé en présence de la valve anti-reflux. • THORAX FACE/PROFIL DU 27.11.2018 On retrouve la masse pulmonaire para-cardiaque gauche silhouettant partiellement le hile pulmonaire et le bord gauche du cœur. Pas de nouvel infiltrat parenchymateux. Pas d'épanchement pleural. Status post-mise en place d'un cathéter de type PICC-line par le membre supérieur gauche dont l'extrémité se situe dans la veine cave supérieure. • CT THORACIQUE INJECTE DU 29.11.2018 • CT ABDOMEN NATIF ET INJECTE DU 29.11.2018 Masse pulmonaire de la lingula et du lobe inférieur de part et d'autre de la scissure, infiltrant le médiastin inférieur, engainant l'œsophage, la bronche souche et les veines pulmonaires. • THORAX F DU 30.11.2018 Examen superposable au comparatif de la veille avec stent œsophagien s'étendant sur une hauteur allant de D5 à D10. On retrouve la masse tumorale connue s'étendant de la lingula au lobe inférieur gauche et silhouettant le bord gauche du cœur. • Thorax face/profil 05.12.2018 : status post-mise en place d'un drain pleural gauche avec extrémité latéro-postérieure à la hauteur du hile et bonne diminution de l'épanchement pleural par rapport au CT scanner du 30.11.2018. Pas de pneumothorax. Pour mémoire, fractures de côtes en série du côté gauche. Cœur de taille dans les limites de la norme avec un déroulement de l'aorte thoracique. La plage pulmonaire droite est sans particularité. • Thorax face/profil 06.12.2018 : par rapport au comparatif de la veille, on retrouve le status post-mise en place d'un drain pleural gauche avec persistance d'un petit hémothorax du même côté qui paraît stable. Pour le reste, l'examen est également inchangé.Thorax face 07.12.2018, comparatif du 06.12.2018 : drain thoracique en position inchangée en projection de l'arc latéral la 8ème côte gauche. Persistance d'un émoussement du sinus costo-phrénique gauche et d'une hypoventilation basale. Minime lame d'épanchement résiduel postéro-basal non exclu. Le reste du statut est superposable. Thorax Röntgen: kein sichtbare Pneumonie Labor: keine Entzündungzeichen Thorax Röntgen Labor Symptomatique thérapie avec Makatussin et Dafalgan Thoraxcontusion am 27.12.2018 mit/bei: • Rx Thorax: kein Pneumothorax Thrombectomie + réfection anastomose mesentérico-jugulaire le 16.10.2018 Thrombectomie le 03.04.2015 pour thrombose de fistule prothétique Omniflow (membre supérieur gauche). Mal perforant plantaire du pied droit sur ostéomyélite persistante de la base postérieure du 4ème métatarsien • amputation trans-métatarsienne le 21.09.2011 sur nécrose des rayons II, III, IV du pied droit • amputation trans-métatarsienne et débridement du pied droit (opéré le 16.04.2012) Amputation trans-tibiale gauche le 02.08.2010 sur choc septique d'une fascéite nécrosante du pied gauche (piqûre d'araignée) à Streptocoque vagococcus fluvialus et Proteus Mirabilis, le 31.07.10 (en France) • statut post-reprise chirurgicale pour nettoyage du moignon tibial gauche le 06.08.2010 (en France) • statut post-débridement chirurgical le 30.08.10 avec révision de cicatrice du moignon de la jambe gauche (HFR-Fribourg) • statut post-débridement, révision de la cicatrice et mise en place d'un VAC le 02.09.2010 (HFR-Fribourg) Fibrillation auriculaire paroxystique dans un contexte septique (cardioversion sous Cordarone) Thrombendartériectomie artère carotide interne droite et plastie d'élargissement sans patch le 10.12.2018, Dr. X Thrombendartériectomie de l'artère carotide gauche et plastie d'élargissement le 20.12.2018 TEA de la carotide interne gauche + plastie de la bifurcation sans patch. • Aspirine + statine à vie • TA systolique maximale 130 mmHg • Position tête 30-40 degrés pour 24h • Consultation de contrôle chez l'opérateur dans 6 semaines • Fils résorbables - douche possible après 5 jours Contrôle ultrason Doppler dans 30 jours Thrombendartériectomie de l'artère carotide gauche et plastie d'élargissement sans patch le 20.12.2018 Cathéter radial gauche du 20.12.2018 au 21.12.2018 Fils résorbables - douche possible après 5j Aspirine et statine à vie Consultation de contrôle chez l'opérateur dans 6 semaines Contrôle US Doppler dans 30 jours Thrombendartériectomie de l'artère carotide interne droite avec plastie de la bifurcation le 10.12.2018 Thromboangéite oblitérante de Buerger Thrombocytes à 96 G/l le 27.11.2018, à 123 G/L le 30.11.2018 Contrôles chez le nouveau-né assurés par les pédiatres Thrombocytopénie à 38 G/L d'origine indéterminée DD péjorée par l'infection Thrombocytopénie à 4 G/L le 02.12.2018 Thrombocytopénie à 53 G/l le 23.12.2018 : suspicion HIT. Thrombocytopénie à 6 G/l d'origine indéterminée DD purpura thrombocytopénique idiopathique avec : • Epistaxis spontané le 18.12.2018 • Pétéchies aux chevilles bilatérales • Hématome spontané du genou droit Thrombocytopénie à 60 G/l le 11.12.2018 • pas d'hémorragie active • pas d'infection, pas de fièvre DD : alcoolisme, déficit B12/folate, para-infectieux (VIH, HCV), hypersplénisme (cirrhose) Thrombocytopénie à 99 G/l le 26.10.2018 Thrombocytopénie auto-immune • thrombocytes à 16 G/l Thrombocytopénie auto-immune chronique, diagnostiquée en 1998 • splénectomie en 2003 (Portugal) • aggravation dans le contexte d'une grossesse (accouchement en 10.2018) • traitement actuel : prednisone 80 mg Thrombocytopénie chronique acutisée à 112 G/l chez Mme. Y, 28 ans, 6 gestes, 3 pares connue pour un risque de pré-éclampsie élevé sous Aspirine à 27 1/7 semaines d'aménorrhée le 17.12.2018. Thrombocytopénie d'allure chronique probablement dans le contexte de syndrome de Sharp • JAK2 V617F négatif Thrombocytopénie gestationnelle Thrombocytopénie modérée Thrombocytopénie modérée d'origine probablement auto-immune le 08.12.2018 Thrombocytopénie probablement toxique au Keppra Thrombocytopénie sévère Thrombocytose importante d'origine inflammatoire depuis le 23.12.2018 Thrombocytose post-opératoire transitoire. Thrombopénie Thrombopénie Thrombopénie Thrombopénie à 28 G/l, le 30.11.2018, d'origine probablement toxique alcoolique. Thrombopénie à 60 G/L le 11.12.18 • pas d'hémorragie active • pas d'infection, pas de fièvre. DD : • alcoolisme • déficit B12, folate • para-infectieux : VIH, VHC • hypersplénisme (cirrhose) Thrombopénie auto-immune Thrombopénie auto-immune (possiblement sur Roaccutane). Thrombopénie chronique acutisée lors des grossesses Thrombopénie dans un contexte septique le 28.11.2018 Thrombopénie dans un contexte septique le 28.11.2018 • pas d'arguments pour une CIVD Thrombopénie depuis novembre 2012 avec : • anticoagulant lupique positif le 19.02.2013 • cardiolipines IgG négatif, cardiolipines IgM négatif, beta-glycoprotéine IgG négatif, beta-glycoprotéine IgM négatif le 19.02.2013 • Consilium hématologique (Dr. X) le 11.03.2013 : Lupus anticoagulans fortement positif (appel labo à Genève) • Prophylaxie par Aspirine cardio 100 2x/jour : arrêté le 31.03.2013 par la patiente • Bas de contention nr 2 à partir du 11.03.2013 Thrombopénie d'origine indéterminée le 05.12.2018 DD : HIT Type 1 Thrombopénie d'origine indéterminée le 05.12.2018 DD : HIT Thrombopénie d'origine indéterminée (selon patiente) Dyslipidémie HTA Thrombopénie gestationnelle modérée Thrombopénie gravidique vs chronique : présente lors de la première grossesse en 2012 Hernie ombilicale Accouchement par forceps à épines +1 pour décélération prolongée chez une patiente, 2 gestes, devenue 2 pares à 37 3/7 semaines d'aménorrhée. Thrombopénie d'origine indéterminée. Thrombopénie idiopathique. Thrombopénie idiopathique aggravée dans un contexte septique Thrombopénie idiopathique probablement acutisée dans un contexte septique Thrombopénie isolée d'origine auto-immune probable à 40 G/l le 14.12.2018 • patiente connue pour une connectivite mixte Thrombopénie isolée d'origine indéterminée, DD immunologique, DD post-infectieuse, DD médicamenteuse • dans le cadre d'une collagénose mixte Thrombopénie le 21.12.2018 DD sepsis, chimiothérapie Thrombopénie le 24.12.2018 DD sepsis, médicamenteux Thrombopénie légère dès l'admission avec nadir à 98 G/L DD : • Surconsommation dans le cadre de la thrombose • Pas de carence en vitamine B12, ni acide folique. Thrombopénie légère le 06.12.2018 DD: Carentielle, liées à la thrombose, HIT Thrombopénie post-opératoire avec nadir à 97 G/L le 31.10.2018 Thrombopénie progressive Thrombopénie sévère dès le 26.12.2018 Thrombopénie sévère (Plq 8 G/l) avec saignement actif Thrombopénie sévère sur sepsis le 29.11.2018 • 4T: 4 pts, intermediate risk • Anti PF 4 négatif Thrombopénie 90 G/L d'origine toxique • OH chronique avec altération test hépatiques Thrombophlébite membre supérieur gauche le 4.11.2018: Thrombophlébite MID il y a 20 ans Embolie pulmonaire centrale D 2014 PTG D Hémiprothèse G Triple arthrodèse cheville D Thrombophlébite superficielle de la cuisse gauche chez une patiente connue pour des thrombophlébites à répétition. Thrombophlébite superficielle 1/3 inférieure de la cuisse gauche face interne le 22.12.2018 Thrombophlébite superficielle du MIG le 26.11.2018 dans un contexte d'immobilisation prolongée • Clinique : Patient avec œdème unilatéral du mollet gauche, sans douleur spontanée ni changement de couleur, ni différence de température. Pas de douleur à la palpation du mollet, signe de Homan négatif. ATCD de trauma de la cheville avec ostéosynthèse de la cheville gauche. Thromboprophylaxie par clexane durant la grossesse stoppée le 30.11.18 Poursuite de la thromboprophylaxie pour 6 semaines post-partum Thromboprophylaxie + Aspirine 100 mg/j lors de la prochaine grossesse Thrombose artérielle de l'artère optique en 1999 Thrombose au niveau du mollet gauche, 2017 • sous pilule contraceptive Douleur abdominale et constipation sur angle colique non attaché à droite le 06/11/18 Thrombose de la fistule artério-veineuse de type Cimino à droite, sur des sténoses veineuses et artérielles in et out flow, le 28.10.2015. Status post-thrombectomie de la fistule artério-veineuse du membre supérieur droit, le 28.12.2016. Thrombose de la fistule artério-veineuse radio-céphalique prothétique au membre supérieur droit, le 10.04.2017 (5ème récidive). Pose de Permacath à droite, le 10.04.2017 (Dr. X). Status post-pneumonie droite, en 2014. Candidose buccale en mars 2018. Angor stable (dyspnée paroxystique) dans un contexte de cardiopathie mixte, ischémique et hypertensive : • Insuffisance cardiaque avec NT-proBNP le 27'065 ng/l le 21.05.2018 • ETT le 05.06.2018 : VG non dilaté, non hypertrophié, FEVG 49 %, dysfonction diastolique importante (grade III). Élévation des pressions de remplissage du VG, OG discrètement dilatée, HTAP importante à 64 mmHg. Décompensation cardiaque globale le 12.05.2018 dans le contexte de cardiopathie hypertensive et ischémique (maladie coronarienne tri-tronculaire stentée). Thrombose septique du membre supérieur gauche avec bactériémie à S. aureus multisensible le 03.06.2018 avec défaillance multi-organique. Ulcère gastrique Forrest III le 26.04.2018 avec anémie macrocytaire normochrome. Thrombose de la veine cave supérieure 19.08.2016 chez patient sous Marcoumar depuis mai 2017 pour INR trop instable sous Sintrom Syndrome d'apnées du sommeil (SAOS) avec événements respiratoires centraux et quelques événements obstructifs 08.2016 Hypertriglycéridémie sans traitement en raison d'ATCD de myalgies sous statine Urgences mictionnelles Hyperkératose et kératose actinique hyperplasique sur l'avant-bras D Angiographie des membres inférieurs en électif le 13.11.2018 (Dr. X) dans un contexte d'AOMI de stade IV avec plaies chroniques avec reperfusion des 3 artères jambières (péronière, tibial post et ant), hématome sur point de ponction angiographie Thrombose de la veine porte gauche d'origine indéterminée le 30.11.2018 • deux adénopathies paravertébrales thoraciques suspectes • embolisation septique au niveau du foie Thrombose de la veine porte gauche le 30.11.2018 • Clinique: asthénie, sudation, perte de poids Thrombose de la veine splénique avec formation de varices péri-spléniques et péri-gastriques Insuffisance pancréatique endocrine secondaire à la maladie oncologique Thrombose de l'aorte proximale au tube droit avec extension de l'artère rénale gauche Thrombose de l'artère pancréatico-duodénale avec suspicion d'ischémie pancréatique le 06.12.2018 Thrombose du sinus transverse à droite en regard de la fracture Thrombose hémorroïdaire non perforée Thrombose marginale de la veine jugulaire droite 19.11.2018 Aspirations pneumonie am 11.11.2018 St.n. chronischem Alkohol-Konsum St.n. atropher Vulvo-vaginitis St.n. Tremor, medikamentös bedingt durch Keppra und Ventolin Nikotinabusus Thrombose ophtalmique Sepsis d'origine indéterminée le 08.02.2015 Thrombose partielle veine portale 04.12.2018 Thrombose péri-anale PG 3h Hyperextension phalange III main gauche Contusion poignet gauche. Thrombose périanale à 4h en position gynécologique traitée conservativement en juillet 2012. Contusion grand trochanter droit / cuisse droite en 12/2011. Thrombose péri-anale, le 27.12.2018. Thrombose veine axillaire gauche et veine superficielle avant-bras gauche le 02.12.2018. Diagnostic différentiel : sur pose de PM en juillet 2018. Thrombose veine fibulaire droite. Thrombose veine ombilicale (pdt grossesse) TVP MID Thrombose veine porte Thrombose veineuse cérébrale du sinus sagittal supérieur droit le 04.12.2018 avec: • thrombose du golf de la veine jugulaire interne droite s'étendant au sinus latéral droit • veine de Trolard à gauche thrombosée • hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche Thrombose veineuse cérébrale étendue idiopathique le 04.12.2018 avec: • Lésion ischémique secondaire du gyrus post-central G et hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche • Symptomatologie : Syndrome pariétal G avec phénomène de main et jambe D étrangère, astéréognosie, agraphesthésie, héminégligence multimodale D, hypoesthésie brachio-crurale D, apraxie constructive, troubles attentionnels et mnésiques. Thrombose veineuse cérébrale idiopathique (sinus sagittal supérieur droit, sinus latéral droit, veine jugulaire droite, veine de Trolard gauche) le 04.12.2018 avec: • Lésion ischémique secondaire du gyrus post-central G compliquée d'une hémorragie sous-arachnoïdienne pariétale gauche Thrombose veineuse profonde aiguë de la veine fémorale commune jusqu'aux veines jambières le 21.12.2018 Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit avant 20 ans Cures d'hernie discale en 1979 et 1989 Cure de canal lombaire étroit en 2006 Status après implantation d'un neurostimulateur en 2009 (pour les douleurs neurogènes des deux membres inférieurs) Implantations de prothèses totales de hanches bilatérales en 2000 et 2002 Cholécystectomie en 2008 Syncope d'origine indéterminée en 2008 Lithotripsie pour un calcul rénal gauche en 2008 Varices du membre inférieur droit sur insuffisance de la veine saphène interne droite : • Le 03.11.2011, Dr. X : stripping de la veine saphène interne droite, phlébectomies au membre inférieur droit Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit avant 20 ans Cures d'hernie discale en 1979 et 1989 Mise en place d'un anneau de Carpentier pour insuffisance mitrale sur prolapsus en 1993 Implantations de prothèses totales de hanches bilatérales en 2000 et 2002 Cure de canal lombaire étroit en 2006 Cholécystectomie en 2008 Syncope d'origine indéterminée en 2008 Lithotripsie pour un calcul rénal gauche en 2008 Status après implantation d'un neurostimulateur en 2009 (pour les douleurs neurogènes des deux membres inférieurs) Stripping de la veine saphène interne droite, phlébectomies au membre inférieur droit en 2011 Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche le 02.02.2012, sous Sintrom depuis lors. Fibrillation auriculaire avec décompensation cardiaque en janvier 2012. Résection transurétrale de la vessie le 13.09.2010 pour carcinome urothélial. Résection transurétrale de la vessie le 30.08.2010. Résection transurétrale de la vessie le 04.08.2010 pour une petite récidive tumorale papillaire pT1 G3 de la vessie. Résection transurétrale de la vessie en mars et novembre 2009 pour une petite tumeur récidivante de la vessie. Méatotomie pour sténose du méat et résection transurétrale de la vessie en 2003 pour tumeurs papillaires multifocales de la paroi latérale droite pTa G1. Arthroplastie totale de la hanche gauche le 21.11.2011 (Dr. X). Luxation de la prothèse totale de la hanche gauche le 24.12.2011, 30.08.2014. Thrombose veineuse profonde du membre inférieur gauche DD : Thrombose veineuse superficielle avec insuffisance veineuse des membres inférieurs chronique sur un important status variqueux des 2 côtés. Bilan biologique avec D dimères positif (>3000). US veineux de compression demandé et à effectuer en ambulatoire par le Dr. X le 16.08.13, puis reconsulter aux urgences après l'US. Arixtra 7,5 mg 1x/j SC : relai par Sintrom à prévoir si dx de TVP retenu. Antalgie par AINS. Bas de compression classe 2 à porter par la suite. Thrombose veineuse profonde du MID sous Xarelto le 20.11.2018 • US le 21.11.2018 à Payerne • EP centrale D le 5.10.2018, hospitalisation du 5 au 8.10.2018 à Payerne Thrombose veineuse profonde en 2003 Embolies pulmonaires centrale et basale gauche le 02.07.2018 • sous Xarelto pour TVP, hétérozygote facteur V Leiden. • PESI à 3 intermédiaire. • Troponinémie à 50, pro-BNP à 6030 Fracture des processus transverses C6 et C7 02.07.2018 traitée conservativement Accident de la voie publique dans des circonstances peu claires le 02.07.2018 DD : • malaise / syncope, troubles rythmiques, endormissement • troubles visuels Hématome intramusculaire M. trapezius G 05.07.2018 • sous anticoagulation Thrombose veineuse profonde gauche en février 2018. Cure de rectocèle laparoscopique 2016. Vertiges périphériques paroxystiques bénins en 2015. Probable fracture d'une vertèbre cervicale traitée par collerette dure pendant 1 mois en Grèce en 1991. Opération tunnel carpien des deux côtés en 1989. Hépatite A en 1981. Thrombose veineuse profonde le 20.11.2018. Status-post appendicite. Thrombose veineuse profonde proximale gauche le 31.12.18. Thrombose veineuse sinus sagittal supérieur et du sinus transverse le 04.12.2018 avec: • HSA pariétale gauche début de symptômes 12h30 NIHSS à 13h25 : 7 Prise en charge au SIC Avis neurologique (Dr. X) : Clexane 2 x 60 mg s.c./24h, HSA liée à la thrombose Thrombose veineuse superficielle cuisse D en août 2018 sous Xarelto Arthroscopie épaule droite en 2016. Thrombose veineuse superficielle veine saphène interne droite • ATCD de varicectomie G vers 1980 en raison d'une phlébite Thromboses étendues des veines jugulaires bilatérales le 03.11.2018 • Extension jusqu'à veine brachio-céphalique Thromboses péri-anales à 5h et 11h en position gynécologique (+4 jours) le 25.12.2018. • status post incisions de plusieurs thromboses péri-anales dans le passé. Thrombus flottant au niveau de l'artère fémorale G vu au CT-scan du 26.10.2018 Thrombus intraventriculaire gauche le 17.12.2018 Thrombus sessile de 14 mm x 14 mm, immobile et adhérent à l'apex du ventricule droit documenté en juillet 2018 • Echocardiographie transthoracique le 30.10.2018 (Dr. X) Thyroïdectomie pour néoplasie avec substitution Thyroïdectomie sous Euthyrox. Thyroïdectomie totale bilatérale avec neuromonitoring le 27.11.2018 Substitution par Euthyrox 150 mcg 6j/7 dès le 28.11.2018 Thyroïdectomie totale bilatérale avec neurostimulation le 11.12.2018 (Dr. X) Calcémie aux 6h post-opératoires Substitution d'Euthyrox 125 mcg/jour dès J1 Consilium ORL post-opératoire Thyroïdectomie totale bilatérale en 2018, pour nodule toxique avec hyperthyroïdie symptomatique. Fibroscopie oeso gastro-duodénale en 2017 Cholecystectomie en 2016 pour vésicule lithiasique symptomatique Appendicectomie par laparoscopie en 2014 Pancréatite biologique avec lipases à 178 U/l. en 2008 Pose d'une prothèse inversée de l'épaule à D en 2007 dans le contexte d'arthrose sévère Fausse couche spontanée en 1987 Mort fœtale in utero en 1988 à 24 SA AVB en 1990 à terme. Naissance d'une fille de 3320 g Thyroïdectomie totale bilatérale sur goitre multinodulaire avec gros nodule parenchymateux et petit adénome atypique à cellules oxyphiles basal gauche. Appendicectomie, en 1979. Amygdalectomie, en 1956. Plaie superficielle. Epistaxis narine gauche le 23.06.2018. Thyroïdectomie Appendicectomie Pneumonie bilatérale à Légionelle pneumophila le 31.08.2012 Kératite infectieuse / abcès de cornée œil gauche Infiltration ciblée de la racine L4 sous contrôle CT le 15.10.2018 Thyroïdite auto-immune de Hashimoto sans traitement actuellement Thyroïdite de Hashimoto Thyroïdite HASHIMOTO, suivie par le Dr. X et traitée par Eltroxine. Tic oeil gauche connu depuis 2013 (séquellaire sur AVP) Timmy est hospitalisé pour surveillance respiratoire dans le contexte d'une bronchiolite, avec une inquiétude des éducateurs du foyer quant à la survenue de crises convulsives vu le contexte fébrile. Sur le plan respiratoire, le frottis RSV revient négatif. Timmy n'a pas de besoins en oxygène au cours du séjour. La détresse respiratoire reste modérée. Timmy bénéficie de rinçage du nez réguliers. Sur le plan digestif, les prises hydriques sont suffisantes au cours de la surveillance. Au vu de l'évolution clinique rassurante, Timmy rentre au foyer le 23.12.18. Un document expliquant les signes devant motiver à reconsulter en urgences est donné au foyer. Un contrôle clinique sera prévu le 24.12 à 10 heures aux urgences pédiatriques. Tinea cruris bilatérale le 19.11.2018 Tinnitus (dans les hautes fréquences en aggravation actuelle, suivi par l'ORL, Dr. X) post-accident de la voie publique avec coup du lapin il y a plusieurs années Tinoe est hospitalisé pour réhydratation par sonde nasogastrique dans le contexte d'une gastro-entérite probable. Sur le plan digestif, un bilan sanguin à son arrivée ne montre pas de troubles électrolytiques mais un bilan inflammatoire avec une CRP, des leucocytes et des thrombocytes augmentés. Une réhydratation par normolytoral est tentée per os aux urgences sans succès, motivant la pose d'une sonde nasogastrique avec réhydratation sur 4 heures. Tinoe bénéficie de ses besoins d'entretien initialement par Normolytoral puis par son lait habituel, avec compensation des selles le 12.12.18. L'évolution est rapidement favorable avec une diminution des selles, une normalisation de son état d'hydratation et un enfant retrouvant un bon état général. Tinoe maintient un poids globalement stable au cours de son séjour. Sur le plan étiologique, les tests rapides adénovirus et rotavirus reviennent négatifs. Au vu d'une reprise alimentaire per os complète, de l'absence de débâcles de selles et de son état général rassurant, Tinoe rentre à domicile le 13.12.18 avec les consignes habituelles dans le contexte d'une gastro-entérite avec risque de déshydratation. Sur le plan ORL, l'antibiothérapie par Amoxicilline prescrite par son pédiatre dans le contexte d'une otite moyenne aigüe droite perforée est poursuivie à dose de 50 mg/kg/jour, avec une évolution clinique rassurante. Tique incrusté dans le derme après tentative d'extraction le 08.06.2015. Pontage aortocoronarien en 1998, sous Plavix depuis lors. TNT le 20.12.2018 Lisinopril dès le 21.12.2018 Tobradex gouttes. Tobradex 1 gtt, 3x/j (Mr. Y a ses gouttes avec lui) Tobrex collyre Rinçage oculaire Tobrex gouttes. Tobrex ong. Contrôle ophtalmologique demain si non amélioration. Tobrex gouttes Toilettes oculaires Antalgiques Consignes de surveillance à domicile Toc sur probable trichillotomanie traité par Zoloft 50 mg 3x par jour. Tocolyse par Adalat. Groupe sanguin: A Rhésus positif. Hémoglobine foetale: 0. S/p Cure de maturation pulmonaire les 09.11.2018 et 10.11.2018. Incision selon Pfannenstiel sous rachianesthésie. Utérotomie transverse basse. Antibioprophylaxie par Zinacef 1,5 g. Thromboprophylaxie. Surjet intradermique à la peau. Placenta envoyé en anatomopathologie Suite de couches. Tocolyse par Nifédipine puis Tractocyle selon protocole Cure de Celestone débutée à 16h le 12.12.2018 Actim PROM et PARTUS négatifs Bactériologie, SB - nég. du 12.12.2018 Labo Glucose 5.5 mmol/l, CRP <5 mg/l, leucocytes 14.8 G/l, Hb 136 g/l, Thrombocytes 228 G/l Stix négatif Toilette nasale, nasivine, algifor Contrôle chez le pédiatre si pas d'amélioration en fin de semaine Consultation urgences si péjoration clinique Toilette nasale Algifor et dafalgan au besoin Consultation pédiatre si durée de fièvre au-delà de 5 jours Toilette nasale Algifor 3x/jour, dafalgan au besoin Amoxicilline 50 mg/kg/j en deux doses durant 10 jours Contrôle chez le pédiatre Toilette nasale Dafalgan à raison de 15 mg/kg 4x/j Toilette nasale Dafalgan Consultation médecin au Cameroun si fièvre Protection moustiques Toilette nasale Nasivine uniquement si péjoration sur le weekend et pas plus que 5 jours Contrôle pédiatre en fonction de l'évolution Toilette nasale Pas d'antitussif Consulter en cas de signes d'alarme Toilette nasale Surveillance de la respiration Hydratation fractionnée Consultation si signes d'alarme Toilettes nasales Consignes de surveillance à domicile Toilettes nasales Antalgiques Toilettes nasales Antalgiques en réserve Toilettes nasales Consignes alimentaires et réhydratation Explication des signes de gravité Ventolin & Betnesol sans effet Toilettes nasales Consignes de réhydratation Toilettes nasales Consignes de réhydratation Toilettes nasales Consignes de réhydratation Toilettes nasales Consignes de réhydratation Toilettes nasales Contrôle chez le pédiatre si persistance des symptômes Toilettes nasales Contrôle dans 48 heures chez le pédiatre Consignes de surveillance à domicile Toilettes nasales Dafalgan en réserve Collunosol-N en réserve Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Bilan entrée (min 60 ml aux 3h), suivi fréquence diurèse Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Consignes alimentaires Contrôle aux urgences dans 24 heures Toilettes nasales Fractionnement alimentaire Consignes alimentaires Contrôle aux urgences dans 48 heures Le 16.12: Poursuite de consignes Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures Toilettes nasales Médecine anthroposophique Bilan hydrique Monitoring cardiorespiratoire RSV positif Éducation parentale +++ Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Toilettes nasales régulières Antalgiques Toilettes nasales régulières Consignes alimentaires et réhydratation Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures Toilettes nasales régulières Consignes de réhydratation Toilettes nasales régulières Consignes de surveillance à domicile Toilettes nasales régulières Consignes de surveillance à domicile Toilettes nasales régulières Fractionnement alimentaire Consignes de surveillance expliquées en détails Contrôle aux urgences pédiatriques dans 24 heures Toilettes nasales régulières Fractionnement alimentaire Triofan spray Toilettes nasales régulières Suppositoires Camomille Contrôle clinique dans 24 heures Toilettes nasales régulières Triofan rhume Toilettes nasales régulières Triofan spray Toilettes nasales Traitement symptomatique Toilettes nasales Triofan rhume Toilettes nasales Triofan rhume Toilettes nasales Triofan spray Toilettes nasales Ventolin en réserve vu les antécédents d'asthme Toilettes nasales Triofan spray Consignes réhydratation Tonsillectomie dans l'enfance Tonsillectomie dans l'enfance. Hystérectomie en 1970. Suspension vésicale en 2000. Fracture sous-capitale de l'humérus droit multifragmentaire, juin 2009. Infections abdominales traitées au Daler en mai 2014. Déficit modéré en vitamine D à 31 mmol/l septembre 2014. Résection multiples de tumeurs kystiques. Douleurs au niveau du thénar gauche le 11.11.2018 • connu pour arthrose avec infiltration par son rhumatologue • traumatisme le 7.11.2018 avec mécanisme d'origine indéterminé Tonsillectomie dans l'enfance. Hystérectomie en 1970. Suspension vésicale en 2000. Fracture sous-capitale de l'humérus droit multifragmentaire, juin 2009. Infections abdominales traitées au Daler en mai 2014. Déficit modéré en vitamine D à 31 mmol/l septembre 2014. Résection multiples de tumeurs kystiques. Douleurs au niveau du thénar gauche le 11.11.2018 • connu pour arthrose avec infiltration par son rhumatologue • traumatisme le 7.11.2018 avec mécanisme d'origine indéterminé Tonsillectomie dans l'enfance Meningite carcinomateuse Tonsillectomie le 18.12.2018 par le Dr. X à Riaz Laboratoire Co-Amoxiciline 1.2 gr i.v. Avis ORL (Dr. X): • Hospitalisation en ORL pour surveillance • si saignement actif, reprise au bloc opératoire Tonsillitis DD Peripharyngealabszess rechts mit/bei • Strep Schnelltest neg • CRP 48, Leuk 24.9 G/l Tonsillopharyngitis am ehesten viral mit/bei: • Strep-Test neg • Centor Kriterien 1/4 Torasemid mise en suspens Valsartan mise en suspens Augmentation Amlodipine à 10 mg/j Coronarographie du 03.12.2018: Artère rénale gauche : Multiples sténoses distales Merci de contrôler la fonction rénale d'ici une semaine et d'évaluer la reprise médicamenteuse Torasemid 20 mg 1 x/j + Irbesartan 150 mg 1 x/j + Pravastatine 40 mg 1 x/j Mise en place de mesures hygiénodiététiques Torasémide dès le 24.12.2018 Laboratoire: CRP à 14 ng/L, leucocyte 8 G/L, BNP 3364 ECG: RSR, QRS fin, pas de trouble de la repolarisation CT thoracique le 21.12.2018: épanchement pleural gauche US thoracique aux urgences le 21.12.2018: environ 800 ml à gauche Radio de thorax le 27.12.2018: épanchement pleural droit Physiothérapie respiratoire Épaississement des liquides, mixé Torasemide 20 mg dès le 28.11.2018 Torasemide 40 mg Torasémide ETT le 18.12.2018 NTproBNP 8469 ng/l le 18.12.2018 CRP < 5, hémocultures à froid : en cours Torem à 20 mg/j dès demain, consultation chez le Dr. X dès que possible Torem et Nephrotrans en suspens Laboratoire dépistage HIV, HBV, HCV : nég Bilan angio MI le 26.11.2018 : au MSG, la confection d'une radio-céphalique (BC) est possible, sinon une boucle huméro-M-veineux. Au MSD : radio-céphalique proximalisée ou boucle huméro-céphalique Pose de cathéter jugulaire de dialyse le 27.11.2018 Dialyse dès le 28.11.2018 ETT le 27.11.2018 Bilan angio MI le 28.11.2018 : absence de signe d'appel pour une artériopathie des MI Avis chirurgie Dr. X : pose de fistule en ambulatoire Avis néphrologique Dr. X Torsade des pointes le 19.12.2018 Torsion annexielle droite sur kyste ovarien hémorragique, chez une patiente de 39 ans, 2 gestes 2 pares Torsion cheville droite. Torsion de la cheville. Torsion de la cheville droite. Torsion de la cheville droite le 11.01.2017. Torsion de la cheville gauche. Torsion d'hydatide droite Torsion du genou droit. Torsion-détorsion du testicule gauche probable Torticolis Torticolis Torticolis Torticolis. Torticolis à droite. Torticolis à droite le 29.12.2018. Torticolis à gauche le 25.12.2018. Torticolis G Torticolis le 16.07.2016. Probable passage de calcul à gauche le 22.10.2018 Torticolis le 16.07.2016. Probable passage de calcul à gauche le 22.10.2018. Torticolis le 18.12.18. Torticolis post-traumatique Torticolis probablement traumatique Torticolis musculaire à droite avec/chez : • aucune red flag Tortuosité importante des vaisseaux iliaques TOT sous anesthésie générale Résidu post-mictionnel après ablation sonde urinaire Totalgie post-traumatique le 24.12.2018. • accident de la voie publique de basse cinétique. Toucher rectal Procto-Glyvenol 3 x/j dès le 14.12.2018 Colonoscopie à organiser en ambulatoire Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Radiographie hanche F/A : pas de fracture. Consilium orthopédie (Dr. X). Attitude : • Antalgie et AINS • Charge selon douleurs avec cannes anglaises • Ceinture de hanche pour 5 jours. • Suite chez le médecin traitant à 2 semaines. Tous les examens complémentaires sont effectués après explications du médecin : RX 1er doigt f/o : pas de fracture visualisée. Consilium orthopédie (Dr. X). Immobilisation sans un gantelet plâtré fendu et amovible. Ultrason partie molle à la recherche d'un effet de Stener en ambulatoire. Consultation en orthopédie membre supérieur après l'échographie. Arrêt de travail. Antalgie simple, AINS et repos. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Benerva 300 mg en i.v. Seresta en réserve. Hydratation. Avis psychiatrique : surveillance au moniteur, hospitalisation à Riaz dès le 13.12.2018. Transfert Riaz. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. ECG : bradycardie sinusale régulière à 52 bpm, pas de troubles de la repolarisation. Réassurance, rappel des mesures à prendre pour éviter l'hypotension orthostatique. Prescription pour physiothérapie vestibulaire en ambulatoire et ergothérapie. Prescription de bas de contention et canne. Proposition de reprendre contact avec son médecin traitant et éventuellement recontacter son ORL pour un suivi de sa maladie de Ménière. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. ECG. Laboratoire. Adalat 20 mg. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Examen clinique. Antalgie et traitement symptomatique. IRM cérébrale en ambulatoire, la patiente sera convoquée. Test de grossesse négatif. Suite de prise en charge chez le médecin traitant le 28.12.2018. Recommandation de reconsulter les urgences en cas d'état fébrile, frisson, trouble neurologique, céphalées intenses. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Examen clinique. Avis ORL : transfert en ORL pour examen clinique et antibiothérapie. Suite de prise en charge en ORL. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Examen clinique. Radiographie pied droit. Avis orthopédique Dr. X : traitement conservateur. Chaussure semelle rigide pendant 4-6 semaines, cannes anglaises à but antalgique. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane sur la durée de l'immobilisation. Antalgie. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Recommandation de reconsulter en cas de douleurs intenses, trouble neurologique associé. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Examen clinique. Radiographie thorax : pas de fracture visualisée, pas de pneumothorax, pas de foyer. Traitement symptomatologique. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Recommandation de reconsulter les urgences en cas de douleurs oppressives, dyspnée. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Examen clinique. Traitement symptomatique. Suppositoires et crème anesthésiante, AINS et coussin hémorroïdaire, laxatif. Recommandation de consulter en cas d'état fébrile, frisson.Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Hémoculture à froid. Hémocultures à chaud. Urines: sans particularité. Radiographie thorax: sans particularité. Ponction lombaire: sans particularité. Att: • RAM avec traitement symptomatique. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire: H0 27, H1 29. ECG: comparable au précédent. Radiographie thorax. Consilium cardiologique (Dr. X): contrôle du pacemaker le 03.01.2019. Attitude: • Réassurance. • Suite en cardiologie ambulatoire le 03.01.2019. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. • Alcoolémie à 0.35 pour mille. • Pas de cytolyse, g GT à 300U/l, pas de troubles électrolytiques. • Hyperglycémie à 15mmol/l. Consilium psychiatrique (Dr. X, Dr. X). Aux urgences: • Seresta 4x15mg. • Novorapid 4UI. • Primpéran 10mg po. Attitude: • PAFA pour une hospitalisation à Marsens. • Transport en ambulance (attendu). Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire: H0: 7 H1: 7. ECG: rythme sinusal régulier, QRS fins, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax: pas de cardiomégalie, pas de foyer, pas d'élargissement du médiastin. Aux urgences: • Nitro caps 0.8mg. • Aspirine 500mg IV. • Temesta 1mg sublinguale. Attitude: • Réassurance. • Antalgie simple. • Suite chez le médecin traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire: Troponines HS H0 et H1 <4, D Dimère à 1300, pas de syndrome inflammatoire. ECG: rythme sinusal régulier, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax: pas de foyer, pas d'épanchement. CT thoracique: absence d'embolie pulmonaire ou de complication au niveau du site de résection. Majoration de l'antalgie. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Coproculture. Retour à domicile avec antibiothérapie par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 5 jours et traitement symptomatique. Conseils d'usage. Contrôle clinique chez le médecin traitant en cas de péjoration des symptômes. Appeler les urgences pour résultats de la coproculture. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. CT cérébral injecté: sans particularité. Antalgie. Critère de gravité expliqué au patient avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Discussion avec Dr. X, neurologue de garde : au vu de la 2ème crise, indication a posé un traitement. En absence du dossier complet, décision de ne pas introduire de traitement, mais recommandation au patient de contacter un neurologue rapidement pour compléter le bilan et décider du traitement le plus adéquat. Conseils d'usage et ordonnance de Keppra 2x500mg donnée dans l'intervalle en cas de récidive. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Hémocultures. Antalgie et antiémétiques. Hydratation intraveineuse. Antibiothérapie par Co-amoxicilline 2.2 g IV puis poursuite per os. Contrôle au secteur ambulatoire des urgences le 31.12.18. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Radiographie colonne cervicale: pas de fracture. Reconsulter son neurologue et psychiatre traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Retour à domicile avec réassurance. Suite de prise en charge chez le médecin traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Score de Wells: 1.5 pts. Retour à domicile avec réassurance. Traitement symptomatique. Retour aux urgences en cas de péjoration des douleurs, diaphorèse, dyspnée. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Sérologie HIV, HCV, HBV, HAV. Sérologie TPHA VDRL. PCR Chlamydia. PCR Gonocoque. CEFTRIAXONE 500 mg IM. AZYTHROMYCINE 1g PO. Consultation au secteur ambulatoire des urgences pour résultat IST +/- instauration d'un traitement anti-syphilis selon résultat TPHA et VDRL. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Stix et sédiment urinaire: négatif. Test de grossesse: négatif. PCR Chlamydia en cours. PCR Gonocoque en cours. Sérologie HBV, HAV, HCV, HIV en cours. ROCEPHINE 500 mg IM. AZYTHROMYCINE 1g PO. Retour à domicile. Annonce résultat IST le 31/12/18 en secteur ambulatoire des urgences. Discuter d'un traitement par ECONAZOLE lors du contrôle au secteur ambulatoire des urgences si IST négatif et persistance des symptômes. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Traitement symptomatique. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Urines. Radiographie thorax. CT cou tissus mous: pas d'abcès rétropharyngé, masse thyroïdienne à gauche avec un effet de masse sur le larynx, le pharynx, la trachée et l'oesophage avec une légère déviation à droite DD goitre déjà connu chez la patiente, insécurité sur une possible lame de liquide débutante en rétropharyngé à gauche. Avis ORL avec nasofibroscopie: pas d'érythème, pas d'oedème, motilité des cordes vocales en ordre, test de déglutition dans la norme. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Laboratoire. Urines. Consilium gynécologique: examen sans particularité chez une patiente vierge. CT abdominal (Dr. X): signe de néphrite gauche. Retour à domicile avec poursuite du traitement antibiotique par Ciprofloxacine. Suivi chez le médecin traitant. Retour aux urgences en cas de péjoration des symptômes ou apparition d'un état fébrile. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Radiographie genou gauche face/profil: pas de fracture visualisée. Aux urgences: • Paracétamol 1g. • Voltarène 50mg. • Immobilisation dans une attelle jeans à 20° et canne anglaise antalgique. Attitude: • IRM en ambulatoire. • Consultation orthopédique Team genou à 10 jours. • Antalgie simple. • Thromboprophylaxie par Xarelto. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Radiographie: pas de fracture du plateau tibial. Attelle jeans + cannes. Prescription antalgie + clexane pendant immobilisation. IRM dans la semaine. Contrôle ortho à 7 jours. Arrêt de travail jusqu'au 14.01.2019. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Radiographie thoracique. Ultrason ciblé aux urgences (Dr. X): pas de pneumothorax visualisé. Antalgie. Arrêt de travail 7 jours. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Rocéphine 2 grammes IV dose unique. Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 7 jours. Critère de gravité expliqué au patient avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Stable hémodynamiquement. ECG: normocarde à 65/min, rythme sinusal et régulier, PR : QRS : axe normal, pas de sus-décalage, pas de trouble de la repolarisation. Radiographie thorax: pas de foyer, pas d'épanchement. Laboratoire: pas de syndrome inflammatoire, Troponine H0 : 7 ng/l H1 : 7 ng/l. Retour à domicile avec conseil pour antalgie. Consigne de consultation en cas de péjoration des symptômes. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications du médecin. Urines. Ultrason testiculaire (transmission orale Dr. X): épididymite gauche.Aux urgences: • Ciprofloxacine 500 mg Attitude: • Paracétamol et AINS • Ciprofloxacine 500 mg 2x/j pendant 14 jours. Suite de la prise en charge chez le médecin traitant. Tous les examens effectués aux urgences sont avec les explications par le médecin. Laboratoire: éthylisation aiguë à 3.33, reste aligné. Contention physique pour hétéro-agressivité. Contention médicamenteuse: 2 mg Haldol gouttes, Haldol 3 mg im, dormicum 2 mg spray nasal, Dormicum IV titré 2-6 mg, Haldol 4 mg po. Hydratation sur la nuit. Consilium psychiatrie (Dr. X): Pas d'auto-agressivité le matin lors de la consultation psychiatrique. Le patient prendra contact en psychiatrie en cas de symptômes. Tous depuis 2-3 mois. Actuellement nez bouché et douleur pharyngée. Tout de suite, après l'infiltration, le patient devient asymptomatique. Prochain contrôle dans 3 semaines à ma consultation le 16.1.2019. Toute majoration et/ou introduction de traitements respiro-dépresseurs en l'absence de monitorage continu est formellement contre-indiquée, sous réserve du projet thérapeutique global actuellement très limité. Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. Toux. toux toux toux toux Toux depuis 1 mois et éruption depuis 3 jours. Toux - Dyspnée. Toux - Expectorations. Toux aboyante Toux aboyante et difficultés respiratoires Toux, bruits respiratoires Toux chronique. Toux chronique avec hémoptysie d'origine indéterminée Toux chronique depuis 1 mois Toux chronique sur reflux gastro-oesophagien et écoulement postérieur Toux dans le contexte de probable infection virale des voies respiratoires Toux, DD: infection virale des voies respiratoires supérieures Toux depuis 1 mois. Toux depuis 2 semaines. DD: insuffisance cardiaque légère - Bronchite virale au décours. Toux depuis 3 jours. Toux, dysphonie Toux et crachats Toux et difficultés alimentaires Toux et douleurs thoraciques droites Toux et dyspnée. Toux et état fébrile Toux et état grippal. Toux et expectoration chez patient connu pour mucoviscidose Toux et expectorations en augmentation Toux et expectorations hémoptoïques d'étiologie indéterminée. Toux et fièvre. Toux et hémoptysie Toux et mal de gorge. Toux et odynodysphagie. Toux et pyrosis Toux et rhume Toux et vomissements. Toux, état fébrile Toux, expectorations. Toux expectorative Toux fébrile d'origine virale Toux, fièvre et myalgies. Toux grasse depuis 3-4 semaines le 10.12.2018 Toux grasse le 15.12.2018. Toux grasse persistante depuis 2 semaines et demie, le 13.12.2018. Toux irritative dans le cadre d'une angine à streptocoque A Toux persistante depuis 3-4 semaines le 10.12.2018 Toux persistante et fatigue importante. Toux productive. Toux productive et fièvre. Toux quinteuse Toux, rhume, diminution de la prise alimentaire Toux sèche. Toux sèche chronique depuis 10 jours d'origine virale. Toux sèche irritative sur virose probable. Toux sèche persistante depuis novembre Toux sèche sur probable maladie de reflux le 01.12.2018 Toxicomanie à l'héroïne, rechute depuis fin décembre 2014. Toxicomanie ancienne cocaïne & héroïne substituée par Méthadone 250 mg Trouble anxieux paranoïaque THADA diagnostiqué rétrospectivement en 2010 traité par Ritaline Toxicomanie aux opiacés Toxicomanie sous méthadone obésité Toxidermie médicamenteuse Toxidermie médicamenteuse avec DRESS Toxidermie médicamenteuse DRESS le 12.11.2018 avec: • Eosinophilie dès le 17.11.2018 • Atteinte rénale: fraction d'excrétion de l'urée 38%, fraction d'excrétion du sodium 4.23% le 23.11.2018 Toxidermie probablement sur Bactrim (diagnostic différentiel: Aspirine) le 05.09.2017. Pancytopénie sur toxicité de la chimiothérapie le 05.09.2017 avec: • Agranulocytose nécessitant un isolement protecteur du 08.09.2017 au 11.09.2017. • Transfusion de deux culots érythrocytaires le 12.09.2017. Toxiques urinaires: négatifs Glycémie capillaire: normale *CT-scan injecté : DESCRIPTION Absence de comparatif. Examen réalisé avant et après injection de 60 ml de Xénétix 350 i.v. Pas de fracture des os du crâne et du massif facial. Absence d'hémorragie intraparenchymateuse ou sous-arachnoïdienne. Pas de collection sous-durale ou extradurale. Citernes basales et mésencéphaliques et système ventriculaire de morphologie normale. Calcifications physiologiques et structures médianes de position normale. Pas de lésion focale parenchymateuse. Pas d'altération des sillons cérébraux. Pas de prise de contraste pathologique aux étages supra et infra-tentoriels. Opacification conservée des sinus veineux intracrâniens, sans thrombose. Hypoplasie du sinus maxillaire droit. Le sinus para-nasal, les oreilles moyennes et les cellules mastoïdes sont libres.CONCLUSION Pas de lésion traumatique cérébrale, ni de processus expansif intracrânien, pouvant expliquer la symptomatologie de la patiente. • IRM cérébrale : normale (rapport oral, rapport écrit non disponible le 17.12) • Toxiques urinaires le 17.12 • Radiographies cervicales le 18.12 : Rectitude de la colonne cervicale. Alignement des corps vertébraux et des articulaires facettaires conservé. Pas de fracture visible, pas d'anomalie des tissus mous pré-vertébraux. • Bilan sanguin le 18.12 : formule sanguine complète alignée, CRP négative, tests hépatiques/rénaux alignés, gazométrie montrant une acidose respiratoire hypercapnique non compensée sans autre anomalie, sérologies de Lyme négatives • Toxoplasmose dans l'enfance. • TP pathologique à 39 % d'origine indéterminée le 20.12.2018 • TR le 11.12.2018 : prostate agrandie à la taille d'un abricot, surface lisse, indolore, pas de sang sur le doigtier Ferritine 58 ug/l le 13.12.2018 Attitude : • discussion avec Mr. Y et sa Mme. Y le 12.12.2018 : pas d'investigation invasive supplémentaire pour le moment • TR • Pantoprazol 40 mg dès le 07.18 soir • Contrôle le 08.12.18 à la FUA avec laboratoire et décision si coloscopie ambulatoire ou hospitalisation • Trachéo-bronchite probablement virale • Trachéotomie chirurgicale en urgence. • Train de Ventolin sur 1 heure en aérosol 2x puis 1x 6 push et Betnesol 2.5 mg aux urgences Hospitalisation pour surveillance respiratoire et Ventolin aux heures Poursuite du Ventolin 4 push aux 4 heures et Betnesol jusqu'au 17.12 Contrôle chez pédiatre le 17.12 Reconsultation en cas de péjoration • Train de Ventolin 3 x 6 pushs puis espacement progressif aux 4 heures Atrovent 2 pushs aux urgences Betnesol 0.25 mg/kg/jour 1 dose/jour durant 3 jours, du 04.12 (au domicile), prévu jusqu'au 06.12 Test rapide RSV négatif le 04.12 Oxygénothérapie le 04.12 Monitoring respiratoire du 04.12 au 05.12 Traitement antroposophique du 04.12 au 05.12 • Train de Ventolin (3x6 pushs) sur 1 heure, Betnesol 5 comprimés aux urgences Poursuite Ventolin aux 4 heures à domicile et Betnesol pour 2 jours Schéma dégressif de Ventolin jusqu'au contrôle chez pédiatre Si péjoration : reconsultation aux urgences • Train de Ventolin 6 push 3x sur une heure et Betnesol 2.5 mg aux urgences Radiographie de thorax : pas de foyer RSV nég Ventolin aux 4 heures • Trait de fracture avec bascule palmaire de 30° radius distal gauche sur statut post réduction et embrochage per-cutané le 21.7.2018 (Malte), réfracture le 17.9.2018. • Traité par Plaquenil et Prednisone Suivi par Dr. X Hospitalisation durant 3 semaines au HUG (sortie le 30.11.2018) pour investigation du lupus • Traitée par Nitrofurantoïne 100 mg tid du 07.12.2018 au 13.12.2018 Poursuite de Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j Sédiment urinaire Urotube • Traitement terminé • Traitement à partir du 17.12.2018 avec : • Ecofenac gel • Mydocalm : 450 mg/j • Ibuprofen : 1200 mg/j • Traitement Albendazol + conseils hygiéniques + traitement prophylactique de toute la famille (3 personnes). • Traitement antalgique • Traitement antalgique • Traitement antalgique. • Traitement antalgique à adapter et somnolence • Traitement antalgique : AINS, Dafalgan, Sirdalud. Radiographie du thorax : sans particularité. Fiche d'information pour traumatisme crânio-cervical remplie et est dans le dossier du patient. Les critères de gravité ont été expliqués à Mr. Y, avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. • Traitement antalgique aux urgences. Consignes de reconsultation expliquées Laboratoire (examen avec explication donnée par le médecin). Echographie abdominale en ambulatoire. Traitement antalgique en réserve. • traitement antalgique aux 3h en alternance (novalgine 10 gouttes et dafalgan 150 mg) afin de favoriser la prise alimentaire. Fractionnement alimentaire. Retour aux urgences si apparition d'un état fébrile, augmentation de tuméfaction du cou ou persistance de difficulté alimentaire. • Traitement antalgique par Dafalgan et Tramal. Consignes de surveillance. Avis gynécologique : grossesse sans complication. • Traitement antalgique par Dafalgan, Irfen, Tramal et Sirdalud. Mme. Y reconsultera son médecin traitant si nouveaux symptômes ou douleurs persistantes après 5-6 semaines. • Traitement antalgique par Diclofenac 75. Consultation chez son médecin traitant. • Traitement antalgique simple • Traitement antalgique simple et suite de prise en charge chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. • Traitement antalgique Consultation chez son dentiste en cas de péjoration clinique • Traitement antalgique Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance à une semaine ou avant si péjoration Pas de conduite. • Traitement antalgiques en réserve Solution Chuv Consignes de réhydratation Daktarin gel • traitement anthroposophique • Traitement anthroposophique • Traitement anthroposophique RDV Dr. X dans 1 mois • Traitement anti-angineux avec Dancor 10 mg, Nifédipine retard 20 mg/jour et Nitroglycérine en réserve Dancor 10 mg/j mis en suspend dès le 27.09.2018 en raison d'hypotensions matinales • Traitement antibiotique pour 7 jours. • Traitement antibiotique sur 5 jours par Augmentin 3x625 mg. Anti-inflammatoires. Suite de prise en charge chez le médecin traitant selon nécessité. • Traitement anti-émétique IV • Traitement anti-inflammatoire, analgésique et spasmolytique. Physiothérapie. Si besoin consultation chez son médecin traitant. Arrêt de travail. • Traitement anti-inflammatoire et antalgique. Attelle gantelet. Conseils d'ergothérapie que Mr. Y fera lui-même à domicile. Arrêt de travail jusqu'au 19.12.2018. • Traitement anti-inflammatoire. Instruction des mesures de soutien. Si les troubles persistent, consultation de son médecin de famille. • Traitement anti-nauséeux par Itinérol B6, Primpéran, Pantozol RAD avec conseils d'usage pour début de grossesse • Traitement antiphlogistique et analgésique. Immobilisation du 3ème doigt à droite. Présentation chez le médecin traitant si nécessaire. • Traitement antipyrétique (Dafalgan et Algifor alternés) Contrôle déjà prévu chez le pédiatre dans 48 heures • Traitement anti-pyrétique et anti-inflammatoire en réserve Rinçages de nez en réserve Reconsulte le pédiatre si persistance de la fièvre dans 72 heures • Traitement aux urgences : • Morphine 14 mg i.v. Attitude : • Douleurs rapidement maîtrisées avec 14 mg de Morphine iv. • Poursuite d'antalgie habituelle. • Traitement aux urgences : • Tavegyl 4 mg i.v. • Inhalation avec 1 mg d'Adrénaline • 0,3 + 0.2 + 0.5 mg d'Adrénaline en intramusculaire • Surveillance monitorée pendant 24 heures. Propositions : • Prednisone 50 mg pour 5 jours • Set d'urgence avec Epipen prescrit et expliqué à Mme. Y • Eviter du lait de coco et la préparation de protéine • Avis allergologique à prévoir en ambulatoire. • Traitement aux urgences : • Hydratation i.v. 1 l NaCl • 10 IU Actrapid i.v. ATT : • Schéma de correction • Suivi biologique • Traitement aux urgences : Tavegyl 2 mg. Traitement prescrit : Xyzal 5 mg 1x/j pendant 5 jours. Rendez-vous chez Dr. X (allergologue) le 21.12.2018. • Traitement aux urgences : • 0.5 mg Adrénaline i.m. • 125 mg Solumedrol i.v. • 4 mg Tavegyl i.v. • Ventolin aérosol • Surveillance monitorée pendant 10 heures sans particularité. Evolution aux urgences : • Résolution rapide des symptômes après le traitement.Propositions: • Set d'urgence avec Epipen donné et expliqué au patient. • Eviter des fruits exotiques jusqu'à la consultation allergologique. • Avis allergologique dans 4-6 semaines à prévoir. • En cas de nouvelle réaction: prendre le médicament d'urgence et consultation médicale. Traitement avec syndactylie à but antalgique et contrôle clinique à 1 semaine de distance chez le pédiatre. Traitement bêta-bloqueur Anticoagulation thérapeutique Traitement chez un podologue. Traitement: coamixi pour 3 jours, antalgie contrôle chez MT lundi, ablation fils dans 5-7 jours contrôle traumatisme crânien chez fille pour 24 h (feuille expliquée et donnée) Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie Suivi clinique et biologique Infiltration locale sous guidance par CT le 29.11.2018 Antalgie par Dafalgan, Palexia et Pregabaline Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie intensive • mobilisation en charge selon douleurs • MMS 29/30, Clocktest 6/7 et GDS 0/15 points le 28.11.2018 Prophylaxie antithrombotique par Clexane 40 mg/j jusqu'à charge complète Antalgie Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie intensive • stretching, renforcement musculaire, mobilisation antalgique, hydrothérapie, relaxation • MMS 25/28 (exercices écrits et test de l'horloge non réalisable en raison de Mr. Parkinson) • GDS 11/15 Adaptation de l'antalgie • thérapies locales (Flector patch, Fango, glace, massages) • essai d'AINS avec Lodine 900 mg/j du 29.11.-02.12.2018 • rotation d'opiacés • Oxycontin du 20.-22.11.2018 sans amélioration de la symptomatologie • Palexia avec majoration progressive jusqu'à 350 mg/j du 23.-27.11.2018 sans amélioration de la symptomatologie • Fentanyl patch du 27.11.-04.12.2018 arrêtée en raison d'une baisse de vigilance • reprise de Palexia à dose modérée 100 mg 2x/j avec bonne tolérance et amélioration de l'état général • thérapie antidépressive non souhaitée par le patient Rx lombaire et bassin Contrôle laboratoire: pas de syndrome inflammatoire Status urinaire: sans particularité Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce • avec physio- et ergothérapie Protocole parkinsonien Avis neurologique par Dr. X et Dr. X Adaptations thérapeutiques • Stalevo de 06h00 diminué à 100/25/200 (de 150/37.5/200) • introduction de Madopar liq 62.5 mg à 08h00 • introduction de PK-MERZ 100 mg à 08h00 Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie Surveillance clinique Bilan biologique CT cérébral EEG Bladderscan Avis neurologique Quetipain fixe Traitement laxatif Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 03.12.2018 au 13.12.2018, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 05.12.2018 : MMSE à 23/25, test de la montre non réalisable ; GDS à 5/15 Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce du 19.11.2018 au 03.12.2018, avec : • Physiothérapie • Ergothérapie • Nutrition • Tests de la cognition du 26.11.2018 : MMSE à 23/30, test de la montre à 3/7 ; GDS à 6/15 • Bilan neuropsychologique en ambulatoire, le 31.01.2019 à 13h30 à l'HFR Riaz Traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie Adaptation du traitement à la fonction rénale: • Edoxaban 30 mg dès le 20.11.2018 Traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie Bas de contention Traitement complexe de rééducation gériatrique précoce avec physio- et ergothérapie Suivi clinique et biologique ECG le 22.11.2018 Oxygène selon besoin Bilan hydrique, suivi du poids Adaptation du traitement: • diminution du Lisinopril 2.5 mg 1x/j dès le 23.11.2018 • majoration du Carvedilol dès le 24.11.2018 • majoration du Torasemide dès le 26.11.2018 • réintroduction de l'Aldactone 12.5 mg dès le 26.11.2018 Traitement complexe du 05.09.2018 au 12.09.2018 (séjour A) : • Physiothérapie • Ergothérapie • Bilan diététique • Bilan vitaminique • Bilan cognitif du 06.09.2018 : MMS à 13/30, test de la montre à 0/7 ; GDS à 1/15 Colloque social le 18.09.2018 à 14h00 Traitement complexe du 16.10.2018 au 25.10.2018 Bilan cognitif : MMS, GDS, test de la montre non réalisés car patiente germanophone Physiothérapie Ergothérapie Suivi nutritionnel Traitement complexe en médecine palliative dès le 20.11.2018 (Dr. X) • Facteur de performance: ECOG 2 PPS : 70 • MIF (motrice) :54 • Malnutrition protéino-énergétique grave (NRS 6/7) • Problématique principale (selon SENS/ESAS): douleurs et mobilité • Orientation planifiée (Lieu) : RAD ; Alternative : réhabilitation à Tavel Traitement complexe en médecine palliative dès le 4.12.2018 • Facteur de performance: ECOG 3 PPS : 50% • MIF (total/motrice) :75/40 • Nutrition: NRS: 2 • Problématique principale (selon SENS/ESAS): ataxie, mobilité • Orientation planifiée (Lieu) : réhabilitation ; Alternative : hôpital aigu Traitement complexe en médecine palliative dès 27.11.2018 • Facteur de performance : ECOG3 PPS : 40% • MIF (total/motrice) : 122/88 • NRS à 6/7, malnutrition protéino-énergétique sévère • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : fatigue, inappétence • Orientation planifiée (Lieu) : placement en home ; Alternative : retour à domicile avec aide Traitement complexe en unité stroke avec monitoring continu du 18.12.2018 au 20.12.2018 CT cérébral avec perfusion le 18.12.2018 IRM cérébrale le 18.12.2018 : nouvelle lésion capsulo-thalamique gauche Test de déglutition normal. Double antiagrégation par Aspirine et Plavix pour une durée de 3 mois Traitement conservateur Traitement conservateur Traitement conservateur Traitement conservateur : attelle Aircast pour 6 semaines, charge libre, selon douleurs. Traitement conservateur : gilet orthopédique pour 6 semaines. Contrôle rx-clinique à 1 et 6 semaines Traitement conservateur : gilet orthopédique pour 6 semaines Drainage, mobilisation coude, poignet, main en physiothérapie. Mouvements pendulaires épaule D dès la 2ème semaine Mobilisation passive de l'épaule dès la 4ème semaine Traitement conservateur : • immobilisation dans un gilet orthopédique pour 6 semaines Contrôle régulier en policlinique d'orthopédie. Traitement conservateur : immobilisation par plâtre AB Contrôle rx-clinique à la consultation à une semaine Traitement conservateur : immobilisation par plâtre Geisha pour 8 semaines, charge libre Traitement conservateur : minerve mousse Traitement conservateur algifor pendant 48h, Dafalgan suppo 300mg en R Reconsulter si péjoration ou EF > 48h Traitement conservateur avec Aspirine Cardio et Plavix pendant 3 mois, puis Plavix seul au long cours. Atorvastatine 40mg. Traitement conservateur Contrôle radioclinique à une semaine Antalgie adaptée Traitement conservateur Désinfection (Hybidil), protection par Cofix, Bépanthène plus en application locale dès que plaie sèche (cf ordonnance) Traitement conservateur par attelle Edimbourg. Suivi chez Dr. X. Traitement conservateur par immobilisation dans un gilet orthopédique. Antalgie. Traitement conservateur par sonde nasogastrique du 14.11.2018 au 22.11.2018 Nutrition parentérale du 19.11.2018 au 01.12.2018 Laparoscopie + laparotomie sous-ombilicale, résection segmentaire du grêle (anastomose), entéro-entérostomie le 23.11.2018 Traitement conservateur par un gantelet plâtré. Traitement conservateur. Prochain contrôle clinique le 13.03.2019. Traitement conservateur. Prochain contrôle radio-clinique le 08.02.2019. Traitement conservateur. Antalgie. Rééducation à la marche. Traitement conservateur Avis neurologique (Dr. X): pas d'indication opératoire Traitement conservateur Consilium neuropsychologie-aphasiologie 07.12.2018 (en annexe) : examen dans les limites de la norme. Traitement conservateur • Gilet orthopédique 6 semaines • Contrôle radio-clinique 1/6 semaines en ortho consult urgence Traitement conservateur • Plâtre AB 6 semaines • Contrôle radio-clinique 1/6 semaines en ortho consult urgence Traitement conservateur • Rinçage topique et suivi clinique • Ablation des fils le 15.12.2018 Traitement de cataracte, le 11.12.2018 • Probable vertige paroxystique bénin sur canalolithiase du canal vestibulaire latéral gauche le 16.12.2016 • Érythème frontal gauche probablement sur piqûre d'insecte le 31.10.2016 • Abcès para-anal traité conservativement en octobre 2011 • Insuffisance rénale aiguë sur produit de contraste le 02.11.2011 • Ischémie mésentérique sur volvulus grêle sur bride avec résection grêle en 2006 • Hépatite médicamenteuse à éosinophiles sur Pénicilline en 2004 et 2009 • Abcès para-anal drainé en 2001 Traitement de l'ACx prévu en 02/2019 (Dr. X) Traitement de soutien Traitement d'entretien en cours de Rituximab aux 2 mois Traitement d'Insulatard à réadapter selon profil glycémique au Home Traitement diurétique (Hydrochlorothiazide, spironolactone, Furosémide) • Albumine Traitement diurétique par Metolazone. • Tavegyl iv 2x/j jusqu'au 04.12.2018. • Xyzal 5 mg 1x/j du 04 au 06.12.2018. • Rendez-vous à la consultation du Dr. X, allergologue, le 21.12.2018 à 09h15. Traitement en médecine palliative (clinique de la médecine interne HFR Fribourg) • Facteur de performance : ECOG 3, PPS : 50%, NRS : 4 • Réhabilitation palliative complexe avec thérapie de confort, physio-, ergothérapie et art thérapie, psycho-oncologie, aumônerie, service de liaison, diététicienne, colloque interdisciplinaire hebdomadaire (unité de soins palliatifs HFR Meyriez-Murten) • Évaluation selon SENS le 3.12.2018 • Autonomie le 3.12.2018 : ECOG 3, PPS 50% • Nutrition le 3.12.18 : NRS score : 4 • FIM et ESAS le 3.1.2018 : FIM 15 Traitement en médecine palliative et de support • Facteur de performance : ECOG 4 points • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : épuisement du proche aidant (mari), immobilisation • Orientation planifiée (Lieu) : Meyriez pour réhabilitation palliative ; Alternative : VSF Traitement en médecine palliative • Facteur de performance : ECOG 2-3 PPS : (20%)-50% • Problématique principale (selon SENS/ESAS) : iléus • Orientation planifiée (Lieu) : VSF ensuite retour dans EMS ; Alternative : VSF Traitement en médecine palliative • Facteur de performance : ECOG 2 PPS : 60% • NRS 4, nutrition par sonde, malnutrition protéino-énergétique grave • Problématique principale : douleurs, dyspnées, état de faiblesse, isolement • Orientation planifiée : Placement en EMS Traitement en médecine palliative • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 30% • Problématique : Baisse de l'état général. Ataxie, confusion • Orientation planifiée : suite du traitement à la Villa St. François jusqu'à fin de préparation pour retour à domicile Traitement en médecine palliative • Facteur de performance : ECOG 3, PPS : 50%, NRS : 4 • Baisse de l'état général dans le contexte oncologique et de dénutrition • Asthénie et anorexie multifactorielle, hypotension symptomatique, œdèmes périphériques. • Orientation planifiée : retour à domicile, un placement à St. François est exclu Traitement en soins palliatifs • Facteur de performance : ECOG 3 PPS : 60% • Problématique principale démence • Orientation planifiée : retour à domicile avec Voltigo, soins à domicile le plus longtemps possible et éventuellement courts-séjours Villa St. François. • Le patient n'est pas informé du diagnostic. D'accord avec sa référente, Mme. Y, pas de diagnostic poussé sur le cancer du poumon ne sera entrepris, mise en place d'un traitement symptomatique et palliatif uniquement. • Suivi par Dr. X • Médecin référent Voltigo : Dr. X Traitement et bilan d'un lupus érythémateux systémique actif Traitement fonctionnel Traitement fonctionnel. Traitement fonctionnel, antalgie Traitement fonctionnel • Pas de lésion osseuse à la rx ; coxarthrose débutante Traitement intraveineux par Zofran, Haldol, Buscopan, Pantozol et Tavegyl, Itinérol B6 • Adaptation régulière des anti-émétiques • Éducation thérapeutique Traitement laxatif. Traitement laxatif en réserve. Traitement laxatif et lavements Traitement médical : ICE, Aspirine Cardio, BB. • Contrôle échographique dans 3 mois. Traitement oculaire par Tobradex jusqu'au 03.12.2018 Traitement oculaire par Tobradex jusqu'au 19.12.2018 • Contrôle ophtalmologique au HFR le 27.02.2019 à 15h Traitement par Aciclovir pendant 10 jours et traitement topique par EMLA. • Antalgie par Paracétamol, Tramal et Lyrica. • Contrôle en filière 34 jeudi 27.12.2018 pour contrôle antalgie (adaptation Lyrica) et contrôle lésions. Traitement par algifor d'office 3x/j. complément par Dafalgan en alternance si douleur entre les prises d'algifor. Bon rinçage de nez 2-3 fois par jour Traitement par amoxicilline 80 mg/kg/j en 2 doses durant 10 jours. Si persistance de la douleur dans 48h, se présenter aux urgences ou chez le pédiatre traitant pour une évaluation clinique. Bonne hydratation et antalgie si douleur. Traitement par Augmentin pour 7 jours • Recontrôle dans la F34 Traitement par Co-Amoxi 2.2 4x/j du 01.11.18 au 03.11.18 avec relais per os jusqu'au 06.11 • Transfert au HFR Fribourg pour suite de prise en charge • Reprise antibiothérapie intraveineuse du 06.11 au 05.12 • Angio-CT membres inférieurs (06.11.2018) • Drainage de la collection + pose de VAC cuisse gauche, (Opération le 09.11.2018) • Reprise de plaie de prélèvement saphène gauche pour hémostase (Opération le 10.11.2018) • Reprise de plaie de prise de greffe de saphène gauche pour hémostase (Opération le 11.11.2018) • Transfusion de 4 CE • Changement de VAC sous-cutané Ulta membre inférieur gauche et débridement (Opération le 16.11.2018) au 27.11 • Application d'un pansement VAC sur des ulcères propres / des plaies du membre inférieur gauche (93.57) (Opération le 27.11.2018) au 04.12 Traitement par Co-Amoxi 2.2g i/v 3x/jr du 14.12 au 17.12. avec Solumédrol 125mg i/v 1x/jr du 14.12 au 17.12 • Drainage abcès en regard de l'extraction de la dent 38. Traitement par : Dafalgan, Novalgine, MST oral, Effentora, Xylocaine et Voltarène local, Stéréotaxie et stéroïdes Traitement par Gaviscon. • Suite de prise en charge chez le médecin traitant ou le gastro-entérologue, en cas de persistance des symptômes. Traitement par Insulatard 6 UI au coucher • Profil glycémique à J3 • HGPO à 3 mois Traitement par Intratect dès le 28.11 jusqu'au 02.12.2018, pas de complication • Physiothérapie respiratoire, déglutition et marche • CT-thoracique 23.03.2018 : pas de thymome • Avis Dr. X : peu d'amélioration clinique actuellement, amélioration tardive possible dans les semaines suivant la thérapie • Suite de prise en charge chez le Dr. X début janvier 2019 • Suivi biologique de la formule sanguine, bilan rénale et hépatique chez le médecin traitant • Bilan pulmonaire avec spirométrie le 07.12.2018 à 14h30 chez son pneumologue le Dr. X Traitement par Ivermectine à J0 et J10 • Si persistance de l'éruption après le traitement, contrôle chez pédiatre Traitement par les ambulanciers : • Tavegyl 2 mg iv, Ranitidine 50 mg iv, Solumedrol 125 mg iv. • Surveillance monitorée aux urgences 4 heures : bonne régression de l'angioedème. • Éviter des produits aux noix. • Xyzal et Prednisone pour 5 jours. • Avis allergologique à organiser avec le médecin traitant. • Epipen, Xyzal et Prednisone prescrits pour le cas d'une nouvelle réaction. Explications données au patient. Traitement par ocrélizumab avec surveillance hospitalière Traitement par Urbanyl 3 x 5 mg jusqu'à la consultation de neurologie. • Antibiothérapie par Ciproxin 2 x 500 mg per os pendant une semaine. • IRM neurocrâne dans la semaine. • EEG dans la semaine. • Consultation en neurologie après bilan complété par l'IRM et l'EEG. traitement par ventolin 6 push aux 4h et Prednisone 30 mg 1x/j pendant 2 jours. Contrôle chez le pédiatre demain. Retour aux urgences si difficulté respiratoire sous bonne prise du traitement. • Traitement par Viread 245mg/j jusqu'à 8 semaines post-partum. • Traitement progressif de Movicol durant une semaine. Consignes de surveillance données. • traitement proposé : prorhinel 3x/j 2 semaines + triophan 3x/j 5j + drossadin bain de bouche pendant 2 semaines. Si persistance de la symptomatologie consulter à nouveau. • Traitement psychotrope : Mirtazapine. • Traitement quotidien. • Traitement sans cause apparente par Aspirine 100 mg. Anticoagulation sous-thérapeutique par Xarelto dans le cadre du traitement à long terme d'une embolie pulmonaire. • Traitement symptomatique par Dafalgan 500 mg 4 x/j, Solmucol 600 mg le matin, Bexine sirop 10 ml le soir. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • Traitement symptomatique. • traitement symptomatique. • traitement symptomatique. • Traitement symptomatique : AINS, Dafalgan, Solmucol, Nexium 40 mg et Rhinomer. Consigne de reconsulter à 48h si pas d'amélioration ou péjoration des symptômes. Critères de gravité expliqués à Mme. Y avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. • Traitement symptomatique - Conseils d'usage. • Traitement symptomatique : Primpéran, Buscopan, Dafalgan, Bioflorin. Les critères de gravité sont expliqués à Mr. Y avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. • Traitement symptomatique (antidouleurs). • Traitement symptomatique au besoin. • Traitement symptomatique avec Pantoprazol et Buscopan. Nouvelle consultation si mauvaise évolution. • Traitement symptomatique avec Paracétamol et Ibuprofène. Nasivine spray 0.05% 3x/jour. Contrôle chez la pédiatre le 14.02.18. • Traitement symptomatique avec Paracétamol et Ibuprofène. Nasivine spray 0.05%. rinçage du nez. Médecine anthroposophique. Contrôle aux urgences pédiatriques dans 48h. • Traitement symptomatique avec Paracétamol pendant 24h. Nasivine gouttes 0.01% 3x/jour et rinçage du nez. Contrôle chez pédiatre dans 24h. • Traitement symptomatique avec Paracétamol. stop Ibuprofène. Réévaluation du cas avec les orthopédistes le 15.12. • Traitement symptomatique : Buscopan, Primpéran, Dafalgan, Bioflorin. Conseils hygiéno-diététiques. Critères de gravité expliqués à Mr. Y avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. • Traitement symptomatique : Buscopan, Primpéran, Dafalgan. Conseils diététiques donnés à Mr. Y. Explication des critères de gravité et consignes de consulter immédiatement le cas échéant. • Traitement symptomatique : Buscopan, Primpéran, Dafalgan. Conseils diététiques donnés à Mr. Y. Critères de gravité expliqués à Mr. Y avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. • Traitement symptomatique. Conseils d'usage. • Traitement symptomatique, conseils d'usage (hydratation, alimentation, désinfection des surfaces et des mains). Arrêt de travail prolongé au vu de suspicion Norovirus et travail en cuisine d'un home (selon recommandations UPCI, contagion encore 48h après la fin des symptômes). • Traitement symptomatique. Consignes de réhydratation. • Traitement symptomatique. Consignes de réhydratation. Strep test. • Traitement symptomatique Dafalgan / Algifor. • Traitement symptomatique : Dafalgan, AINS, Rhinomer, Pectocalmine. • Traitement symptomatique (Dafalgan, Algifor). Rinçages de nez au besoin. • Traitement symptomatique d'une entorse du coude avec des anti-inflammatoires locaux ainsi que des séances de renforcement musculaire en physiothérapie. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au 28.12.2018 avec reprise à 100% par la suite. Prochain contrôle clinique dans 1 mois. • Traitement symptomatique et suite chez le médecin traitant en cas de persistance des symptômes. • Traitement symptomatique et suivi clinique avec évolution favorable. • Traitement symptomatique par Dafalgan 1 g 4 x/j, Irfen 400 mg 3 x/j, Solmucol 600 mg 1 x/j et Triomer. • Traitement symptomatique par Dafalgan 1 g 4 x/j, Irfen 400 mg 3 x/j, Angina MCC max 1 x/2h. Pantozol 20 mg 1 x/j. • Traitement symptomatique par Dafalgan 1 g 4 x/j, Irfen 600 mg 3 x/j, Makatussin 15 gttes 1 x/soir, Solmucol 600 mg 1 x/matin, Angina MCC max 1 x/2h. • Traitement symptomatique par Dafalgan 1 g 4 x/j, Triomer 4 x/j, Bexine 10 ml le soir, Solmucol 600 mg le matin. • Traitement symptomatique par Triofan, Mebucaliquide, Angina MCC. • Traitement symptomatique pendant 24h, contrôle aux urgences pédiatriques dans 24h. • Traitement symptomatique pendant 48h. Contrôle chez pédiatre dans 48h. • Traitement symptomatique. Rendez-vous pour une gastroscopie + impédances pH-métrie oesophagienne (si possible le 28.12.18 en même temps que la colonoscopie déjà prévue). Mr. Y sera contacté par téléphone au 078 690 98 79. • Traitement symptomatique : Rhinomer, Irfen 400 mg, Dafalgan 1gr et Otrivin. Critères de gravité expliqués à Mr. Y avec consignes de reconsulter immédiatement le cas échéant. Contrôle chez le médecin traitant si persistance ou non amélioration des symptômes pour évaluer la nécessité d'introduction d'une antibiothérapie. • Traitement symptomatique selon douleurs. Conseils de réhydratation. Reconsulter si signes de déshydratation ou si persistance des douleurs après 48h. • Traitement symptomatique : Toplexil, Irfen 400mg, Pantozol 20mg, Ventolin. Contrôle chez le médecin traitant si non amélioration des symptômes. • Traitement symptomatique. Application de glace durant 48 heures, anti-inflammatoires durant 5 jours. Application de crème Sportusal. • Traitement symptomatique. Arrêt de travail. • Traitement symptomatique. Arrêt de travail d'une semaine. Physiothérapie. • Traitement symptomatique. Conseils d'hydratation. Reconsultation si signes de déshydratation. • Traitement symptomatique. Conseils d'usage. • Traitement symptomatique. Conseils faux-croup. Reconsulter si signes de détresse respiratoire ou si pas d'amélioration des symptômes dans 48h. • Traitement symptomatique. Conseils hydratation. Reconsulter si persistance des symptômes dans 48h ou signes de déshydratation. • Traitement symptomatique. Conseils sur l'alimentation prodigués à Mr. Y. Critères de gravité expliqués à Mme. Y avec consigne de reconsulter immédiatement aux urgences le cas échéant.Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Traitement symptomatique Consignes de surveillance données Traitement symptomatique. Consignes de surveillance données à la patiente. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance données au patient. Traitement symptomatique. Consignes de surveillance. Réévaluation à 7 jours chez le médecin traitant. Traitement symptomatique Consignes usuelles déshydratation Contrôle dans 3-7 jours chez pédiatre Traitement symptomatique Consultation aux urgences ou chez son médecin traitant en cas de persistance ou péjoration clinique Traitement symptomatique. Consultation chez le médecin traitant. Traitement symptomatique. Consultation chez le médecin traitant si persistance des symptômes. Traitement symptomatique Consultation chez son médecin traitant en cas de persistance ou péjoration des symptômes Traitement symptomatique Consultation déjà prévue chez son médecin traitant en début de semaine prochaine. Consultation avant chez nous si péjoration clinique. Traitement symptomatique. Contrôle chez le médecin traitant. Traitement symptomatique Contrôle chez le pédiatre ou aux urgences si persistance de la fièvre dans 48h ou si signes de détresse respiratoire ou baisse d'état général Traitement symptomatique contrôle chez pédiatre dans 14h. Traitement symptomatique contrôle chez pédiatre dans 24h. Traitement symptomatique Contrôle chez pédiatre si état fébrile Traitement symptomatique. Contrôle chez son médecin. Traitement symptomatique. Critères de gravité expliqués au patient avec consigne de reconsulter les urgences le cas échéant. Conseils sur l'alimentation prodigués au patient. Traitement symptomatique. Instruction de revenir en consultation si persistance ou augmentation des symptômes. Traitement symptomatique Normolytoral Conseils hydratation Contrôle chez pédiatre dans 24-48h Traitement symptomatique. Nouvelle consultation en cas de péjoration. Traitement symptomatique Pas d'arrêt scolaire car contagion avant éruption Traitement symptomatique. Patient informé de consulter le médecin traitant en cas de persistance des douleurs. Traitement symptomatique. Physiothérapie. Arrêt de travail. Traitement symptomatique. Réassurance et conseils d'hygiène alimentaire/hydratation. Intervention psycho-sociale brève. Traitement symptomatique Reconsultation en cas de péjoration clinique Traitement symptomatique. Reconsultation en cas de péjoration des douleurs ou fièvre. Suivi clinique par le médecin traitant. Traitement symptomatique Reconsultation en cas de signes d'alarmes Traitement symptomatique Reconsultation si péjoration de l'état général ou persistance de la fièvre Traitement symptomatique Reconsulter chez le pédiatre si fièvre pendant plus de 48h Traitement symptomatique Reconsulter en cas de péjoration Traitement symptomatique Reconsulter en cas de signe de surinfection Traitement symptomatique reconsulter en cas de signes de détresse respiratoire Traitement symptomatique Reconsulter si persistance de la fièvre dans 48h ou si signes d'alarmes Traitement symptomatique rinçage du nez Nasivin 0.025% 3x/jour Reconsultation chez pédiatre si persistance de la fièvre après 48h Traitement symptomatique rinçage du nez reconsultation chez pédiatre le 03.12 si persistance des symptômes Traitement symptomatique rinçage du nez Reconsulter chez pédiatre si persistance de la fièvre dans 48h Traitement symptomatique rinçage du nez reconsulter si signes de déshydratation ou si persistance de la fièvre après 48h Traitement symptomatique Streptotest : négatif Traitement symptomatique Triofan spray Traitement symptomatique Trouver rapidement un MT pour assurer le suivi Traitement symptomatique Wala Antimonit/Rosae ou NeoAngine spray Reconsulter en cas de signes de déshydratation ou si persistance de la fièvre dans 48h Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé Traitement terminé. Traitement terminé. Traitement terminé. Traitement terminé. Traitement terminé. Traitement terminé En cas de récidive douloureuse, nouveau contrôle avec IRM cervicale Traitement terminé En cas de récidive douloureuse, nouveau contrôle avec IRM cervicale Traitement. Consignes de surveillance. Traitements : Substitution PO et IV Restriction hydrique Suivi biologique Résolution le 19.12.2018 Tramal. Transaminases hépatiques perturbées asymptomatique sans notion de passage de calcul à l'anamnèse Transaminases perturbées asymptomatique sans notion de passage de calcul à l'anamnèse Transfert Transfert Transfert à l'HFR Fribourg le 09.12.2018. Transfert à l'HFR Fribourg pour exploration de plaie sous sédation en pédiatrie. Transfert à l'HFR Fribourg pour prise en charge chirurgicale. Transfert à l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Transfert à l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Transfert à l'HFR Fribourg pour suite de la prise en charge. Transfert à l'hôpital Daler pour suite de la prise en charge. Transfert à l'hôpital de Marsens en ambulance et sous PLAFA Transfert à l'hôpital de Marsens en ambulance sous PLAFA Transfert à l'hôpital psychiatrique de Marsens en mode volontaire Transfert à l'Inselspital Transfert à l'Inselspital pour suite de prise en charge Transfert à l'UATO le 10.12.18 pour double projet (placement semble cependant le plus probable) Transfert à Marsens Transfert à Marsens. Transfert à Marsens en PAFA. Transfert à Marsens le 31.12.2018 Transfert après Dx d'une atteinte cervicale Transfert au CHUV Lausanne - 12 ème étage Transfert au CHUV pour suite de prise car ponction articulaire non possible aux HFR Discuté avec orthopédistes de garde (Dr X) et CHUV Transfert au service de chirurgie de Fribourg pour suite de la prise en charge Transfert au SI à Fribourg en coronarographie Transfert aux HUG pour suite de prise en charge et discuter d'une IRM pour suite du bilan Transfert aux urgences de Fribourg pour suite de prise en charge. Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg Transfert aux urgences de l'HFR Fribourg le 19.11.2018 Transfert dans le service de gériatrie aiguë pour suite de la prise en charge. Transfert dans le service de réhabilitation gériatrique le 21.12.2018 pour suite de la prise en charge. Transfert dans le service de réhabilitation gériatrique pour suite de la prise en charge. Transfert de Berne pour suite de prise en charge de prématurité. Transfert de Berne suite à hospitalisation pour pneumonie. Transfert de la gériatrie aiguë de l'HFR Meyriez de ce patient de 86 ans qui avait été opéré le 24.09.2018 pour une fracture-distraction de C5-C6 en hyper-extension type B3 selon AO avec déchirure du ligament longitudinal antérieur, du ligament inter-épineux et compression du cordon médullaire (HFR Fribourg du 19.09. au 28.09.2018) puis transféré en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Le 11.10.2018, il nous est réadressé en urgence en raison de l'apparition il y a une semaine d'une réaction inflammatoire autour de la cicatrice cervicale postérieure accompagnée d'un écoulement de liquide séreux, sans vrai pus. À l'examen, pertuis millimétrique à la partie centrale de la cicatrice, inflammatoire, semblant se prolonger jusqu'au niveau des vis avec lâchage du fascia musculaire; à la pression, écoulement de liquide séro-hématique. Absence de syndrome inflammatoire au bilan biologique hors une CRP à 45 mg/l. Dans ce contexte et au vu de la présence de matériel d'OS, l'indication à une révision de la plaie chirurgicale est posée avec prélèvements bactériologiques. L'intervention chirurgicale se déroule le 12.10.2018, sans complications. Poursuite de l'antibiothérapie selon ordre des infectiologues. La bactériologie revient positive pour un Staph. epidermidis qq (plaie sous-musculaire), les autres prélèvements sont négatifs. Adaptation de l'antibiothérapie selon ordre des infectiologues, à savoir Clindamycine p.o. 600 mg 3x/j puis dès plaie fermée Rifampicine 600 mg 2x/j p.o. Cette bi-thérapie est à prévoir pour une durée totale de 3 mois à partir de l'intervention chirurgicale du 12.10.2018. Le 21.10.2018, une pneumonie de broncho-aspiration sur dysphagie postopératoire est diagnostiquée; selon ordre des infectiologues ad antibiothérapie par Tavanic 750 mg du 21 au 29.10.2018. Un consilium ORL est également demandé le 22.10.2018 avec mise en place d'une SNG, physiothérapie de déglutition avec amélioration progressive. La plaie opératoire évolue favorablement, permettant l'ablation des fils à J12. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Le 31.10.2018, Mr. Y est retransféré en gériatrie aiguë à l'HFR Meyriez pour suite de prise en charge. Transfert de la maison de naissance du Petit Prince pour rupture prolongée des membranes. Transfert de l'HFR Tafers aux soins intensifs à Fribourg le 22.10.2018 de ce patient de 87 ans qui avait été admis en urgence à Tafers après une chute de sa hauteur entraînant la fracture du col fémur D pour laquelle l'indication opératoire avait été posée. L'anticoagulation par Eliquis avait été mise en suspens à Tafers en vue de l'intervention chirurgicale. Le 22.10.2018, il est admis aux soins intensifs en raison d'un iléus d'allure paralytique vs un syndrome d'Olgivie dans le contexte du traumatisme et des opiacés. Selon avis chirurgical, un traitement conservateur est décidé. Le 23.10.2018, implantation d'une prothèse bipolaire hanche D, sans incident. Retour à l'étage orthopédique le 24.10.2018. Les suites postopératoires sont simples. Rx postop satisfaisantes. L'Hb est à 111 g/l le 25.10.2018. La plaie opératoire reste propre et calme. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane. Le 26.10.2018, Mr. Y est retransféré en chirurgie à l'HFR Tafers pour suite de prise en charge. Transfert de l'inselspital : trouble de l'état de conscience et pneumonie. Transfert de l'Inselspital avec prise en charge neurologique complexe en lit non monitoré en Stroke Unit du 15.12.2018 au 20.12.2018, date de son transfert en gériatrie aiguë à l'hôpital de Riaz. Laboratoire : LDL cholestérol 2.6 mmol/l, HbA1c 6.1 %. Angio-CT cérébral le 12.12.2018. IRM cérébrale le 12.12.2018 (Inselspital). Angiographie cérébrale avec thrombectomie mécanique le 12.12.2018 (Inselspital). Echographie cardiaque transthoracique le 12.12.2018 (Inselspital). Bilan neuropsychologique du 19.12.2018. Lyse intraveineuse le 12.12.2018. Introduction d'Atorvastatine 40 mg/j. Pas de conduite pendant 15 jours. Consultation neurovasculaire de contrôle le 25.03.2019 à 16h00 au HFR Fribourg. Transfert de l'Inselspital pour traitement de métastases d'un angiosarcome de l'oreillette gauche. Transfert de Macédoine suite à un STEMI. Transfert de Meyriez pour fracture radius distal intra articulaire gauche. Transfert de Meyriez pour hématémèse. Transfert de Riaz pour abcès gaine du tendon. Transfert de Riaz pour une perforation digestive sur ulcère gastrique/duodénale. Transfert de Riaz, transit par les urgences pour surveillance car collègues de gynécologique en césarienne. Transfert depuis l'Hôpital de Zurich pour suite de la prise en charge. Transfert des urgences de l'HFR Riaz de ce patient de 49 ans victime d'une chute de 2 m d'un échafaudage le 28.11.2018 avec hyperflexion cervicale. Les rx standard font suspecter plusieurs fractures cervicales et dorsales. En raison du mécanisme traumatique (hyperflexion), le patient est maintenu au lit strict avec minerve rigide. Une IRM cervico-dorsale réalisée le 29.11.2018 met en évidence les diagnostics susmentionnés, sans signe d'instabilité majeure, raison pour laquelle nous nous décidons pour une thérapie conservatrice. Le status neuro-vasculaire reste sans particularité. Retour à domicile le 30.11.2018. Transfert des urgences de l'HFR Riaz de cette patiente de 68 ans qui est victime d'une chute mécanique de sa hauteur le 17.11.2018. Les investigations mettent en évidence les diagnostics susmentionnés. Surveillance neurologique du TC simple, sans particularité. Traitement fonctionnel de l'épaule G. L'indication opératoire est posée en regard du poignet G avec, dans un 1er temps mise en place d'un fixateur externe puis dans un 2ème temps OS des fractures du radius et cubitus G. Le 17.11.2018, réduction fermée poignet G, maintien par fixateur externe, sans incident. Surélévation du MSG. Le 22.11.2018, ablation du fixateur externe et OS radius et cubitus à G, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Prophylaxie thrombo-embolique par Clexane 40 mg 1x/j sous-cut. pendant l'hospitalisation. Les plaies opératoires ainsi que les orifices des broches du fixateur externe restent propres et calmes. Absence de trouble neuro-vasculaire. Adaptation d'un BAB fendu. Concernant la fracture type Weber A de la cheville D, marche en charge selon douleurs avec Aircast et bâton de marche permettant l'arrêt de la Clexane à la sortie. Retour à domicile avec les SAD le 27.11.2018. Transfert des urgences de l'HFR Tafers de ce patient de 24 ans qui est victime de lésions main D par scie à métaux le 04.12.2018. Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné et l'indication opératoire est posée. L'intervention chirurgicale se déroule le soir du 04.12.2018, sans incident. Les suites postopératoires sont simples. Antalgie standard. Rx postop satisfaisantes. Antibiothérapie par co-amoxicilline i.v. puis p.o. à la sortie. Attelle confectionnée en ergothérapie. Les plaies et orifices des broches évoluent favorablement. Retour à domicile le 05.12.2018. Transfert des urgences de l'HFR Tafers pour prise en charge neuro-chirurgicale de ce patient de 26 ans qui a été victime d'une chute lors d'un match de futsal le soir du 29.11.2018 avec choc de la tête contre un mur. PC de quelques secondes. Les investigations mettent en évidence le diagnostic susmentionné. Une IRM de la colonne cervicale permet d'exclure des atteintes ligamentaires. Absence de déficit au status neurologique. Nous posons l'indication à un traitement conservateur en raison du fait que les lésions intra-crâniennes étaient présentes depuis 72 h, au moment de l'hospitalisation, sans symptômes, dès lors un CT cérébral de contrôle n'a pas été réalisé pendant l'hospitalisation.L'évolution est favorable et les douleurs sont bien gérées par une antalgie standard. Un consilium de neuropsychologie-aphasiologie est demandé le 07.12.2018 (rapport en annexe) qui s'avère dans les limites de la norme. Retour à domicile le 07.12.2018 • Transfert du CHUV pour suite de prise en charge de prématurité • Transfert du CHUV pour suite de prise en charge d'IVRS • Transfert du Daler pour rapprochement mère-enfant • Transfert du FHL sur calcanéum à gauche pour une rupture chronique du tendon d'Achille à gauche le 20.11.2018 • évacuation hématome et mise en place d'un pansement VAC de la cheville gauche sur une déhiscence de la plaie avec hématome post-opératoire le 05.12.2018. Opération pour rupture tendon d'Achille gauche le 20.11.2018 (prise en charge initiale Dr. X à la clinique générale) • Transfert en gériatrie aiguë le 31.12.2018 • Transfert en mode volontaire à la Clinique Santa Croce au Tessin. • Transfert en Néonatologie du CHUV. • Transfert en ophtalmologie pour suspicion d'atteinte rétinienne. • Transfert en pédiatrie de Fribourg (par les urgences) pour suite de la prise en charge • Transfert en urgence de l'orthopédie de l'HFR Tafers le 23.11.2018 en raison de la suspicion d'infection du site opératoire après changement PTH D le 09.11.2018 à l'HFR Fribourg par Dr. X. Suite à cette intervention, la patiente avait été retransférée à l'HFR Tafers en gériatrie le 15.11.2018 pour suite de prise en charge. L'anticoagulation par Sintrom avait été reprise le 14.11.2018. A l'examen clinique, absence de signes locaux d'infection du site opératoire, la plaie est calme avec une sécrétion séreuse minime et la patiente est afébrile. Au laboratoire de contrôle, la CRP est à 44 mg/l et les leucocytes sont à 9,4 G/l le 23.11.2018. Un US de la hanche D est réalisé le 26.11.2018 qui met en évidence une collection polylobulée en regard de la cicatrice de révision de la PTH mesurant 11 cm de long pour une épaisseur maximale de 2,5 cm. Infiltration des tissus mous au pourtour. Absence de franche néo-vascularisation au doppler. Le 26.11.2018, un contrôle du pacemaker est réalisé par Dr. X : les tests sont dans les normes. Un prochain contrôle devra être réalisé dans une année. La patiente reste hospitalisée à l'HFR Fribourg jusqu'au 04.12.2018 pour surveillance clinique et biologique ainsi que mobilisation sous la conduite de la physiothérapie. Les douleurs sont bien gérées par une antalgie standard. Au laboratoire du 29.11.2018, la CRP est à 19 mg/l et les leucocytes à 4,1 G/l. La patiente est stable sur le plan hémodynamique et reste afébrile. Le 04.12.2018, Mme. Y est retransférée en gériatrie à l'HFR Tafers. • Transfert Fribourg directement en gynécologie, attendue. • Transfert Fribourg pour pose d'un pacemaker et monitoring. • transfert hôpital de Ryaz pour suite de PEC, manque de place au bloc op HFR Fribourg. • Transfert Inselspital • Transfert Riaz • Transfert urgences de l'HFR Riaz EEG et avis neurologique à l'HFR Fribourg le 22.11.2018 • Dépakine 500 mg 2x/j dès le 28.11.2018 • Transfert volontairement en ambulance à Marsens le 07.12.2018 • Transferts aux urgences de l'HFR Fribourg après avis spécialisé • Transfusion de deux culots érythrocytaires le 11.11.2018 (lot H005018003515 et H00501800351). recherche de sang occulte dans les selles +. OGD et coloscopie le 20.12.2018, Dr. X. • Transfusion de deux culots érythrocytaires le 17.12.2018 (lots H005018003585 et H005018003588). • Transfusion de 1 CE le 12.11.2018 + Lasix 10 mg i.v. • Transfusion de 1 CE le 15.10.2018 • Transfusion de 1 CE le 16.10.2018 en salle de réveil • Transfusion de 1 CE le 19.10.2018 • Transfusion de 1 concentré érythrocytaire le 17.12.2018 • Transfusion de 1 concentré érythrocytaire le 18.11.2018 Substitution en acide folique • Transfusion de 1 culot érythrocytaire le 12.12.2018. Suivi biologique. • Transfusion de 2 CE le 16.11.2018 • Transfusion de 2 CE le 20.09.2018. Transfusion de 1 CE le 22.09.2018. • Transfusion de 2 CE le 21.11.2018 • Transfusion de 2 CE le 29.11.2018. • Transfusion de 2 CE le 29.11.2018. Transfusion de 1 CE le 30.11.2018. • Transfusion de 2 CE le 03.12.2018. • Transfusion de 2 culots érythrocytaires le 05.12.2018 avec montée des valeurs à 84 g/L puis stabilité des valeurs Pas de signes d'extériorisation à l'hôpital Substitution acide folique Suivi biologique chez le médecin traitant • Transfusion de 2 culots érythrocytaires le 24.11.2018. Suivi biologique. • Transfusion de 2 EC le 07. et 1 EC le 11.12.2018 Hydratation i.v. le 06.12.2018 Eliquis suspendu du 06.-10.12.2018 Suivi laboratoire : Hb 89 g/l le 12.12.2018 ECG le 06. et 08.12.2018 : FA normocarde avec BBD connu Traitement complexe de réhabilitation gériatrique précoce • Transfusion de 3 CE le 24.12.2018 (Bern) • Transfusion d'un CE en attente • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 05.12.2018 à 13h30 (H005018023477). Le Dr. X n'a pas visualisé de lésion importante à L'ERCP du 07.12.2018. Il préconise une OGD en cas de chute de l'hémoglobine au bilan biologique du 13.12.2018. Colonoscopie à distance. • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 07.12.2018 • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 08.12.2018 Suivi biologique • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 09.11.2018 • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 10.12.2018 • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 10.12.2018 et 17.12.2018. Transfusions symptomatiques. • Transfusion d'un culot érythrocytaire le 10.12.2018 Supplémentation par Maltofer pour 3 mois • Transfusion d'un culot érythrocytaire, lot H005018003993. • transfusion d'un culot plaquettaire aux urgences seuil : Tc < 10 G/L ou < 20 G/L si EF ou hémorragie • Transfusion : 1 CE le 28.12.2018 Substitution en fer à introduire Bilan d'anémie (paramètres hémolyse) : à compléter • Transfusion 2 CE le 19.10.2018 TSH à effectuer dans bilan Transfusion bedürftige Anämie, am ehesten blutungsbedingt postoperativ • Hb minimal 73 g/l am 12.11.2016, Transfusion von 2 EK am 12.11.2016 Cholezystektomie 02/2013 Hysterektomie 2008 Akutes Schmerzsyndrom mit sekundärer Gangstörung und Funktionseinschränkung der linken Beines mit/bei : • Osteosynthese mit PFN links am 09.11.2016 bei posttraumatischer pertrochantärer Femurfraktur links am 08.11.2016 guter Lage des PFN et ohne Dislokation in Kontroll-Röntgen vom 10.11. et 27.11.2016 Chronische Niereninsuffizienz Stade G2 Symptomatischer akuter Harnwegsinfekt 18.11.2016 • jusqu'ici aucun Ust ou MiBi • une fois Monuril am 18.11.2016 sans amélioration des symptômes Fortsetzen der Therapie mit Ciproxin 21.11. - 26.11.2016 • Transfusion Suivi biologique Transit oeso-gastro-duodénal le 19.12.2018. Reprise alimentation orale le 20.12.2018, initialement crème puis régime mixé. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2 x 1 g/jour et Clarithromycine 2 x 500 mg/jour jusqu'au 02.01.2019 inclus. Nexium 2 x 40 mg/jour pendant 6 semaines. OGD prévue le 17.01.2019 à l'HFR Riaz, avec consultation pré-anesthésique le 14.01.2019 à 13h30. Transit perturbé sur possible début d'iléus secondaire à une carcinose péritonéale • crampes intestinales intermittentes, pas de vomissement Transitoires, normalisation au bilan du 19.12. Transmission des ambulanciers : mauvaise hygiène du domicile ; mauvaise hygiène corporelle de la patiente Transmission des résultats. Poursuite Céfuroxime pour 7 jours au total. Transplantation rénale en 2014 dans contexte de polykystose hépato-rénale avec • rejet humorale aigu le 16.10.2018 • protéinurie de 0.27 g/24h • albuminurie à 145 mg/24h • ClCr à 57.8 ml.min Transplantation rénale en 2014 dans contexte de polykystose hépato-rénal • Immunosuppression par ciclosporine, Mycophénolate de Mophetil, Prednisone • Rejet humorale aigu en mars 2018 : immunoglobulines IV 1x/mois entre mars et octobre 2018 Cardiomyopathie hypertensive. Diabète de type 2. Céphalées de tension. Trouble dépressif récurrent avec expression somatoforme douloureuse. Fissure anale et hémorroïdes de stade II avec discrètes rectorragies itératives. Syndrome du tunnel carpien bilatéral. Syndrome lombo-spondylogène gauche sur troubles statiques. • hypercyphose thoracique, hyperlordose lombaire, légère scoliose en S et bascule du bassin. • dysbalance et insuffisance musculaire, canal lombaire modérément étroit sans évidence de compression. Cystocèle du 1er degré sans incontinence, rectocèle du 2ème degré avec constipation et troubles de la défécation. Oculopathie avec : • status post uvéite antérieure bilatérale en septembre 2001 (HLA B27 négatif) • cataracte débutante bilatérale, chorio-rétinopathie myopique, remaniement de l'épithélium pigmentaire. • status post opération de la cataracte à droite le 10.09.2008 avec reprise le 18.09.2008. • status post opération de la cataracte à gauche le 24.09.2008. Douleurs basi-thoraciques et du flanc gauche d'étiologie indéterminée. Transposition de la TTA à G avec : • AMIC trochlée latérale • Microfractures de la rotule • Release et plastie en Z du retinaculum externe (OP le 07.11.2018) Transtubation le 14.12.2018 Trapézectomie et plastie de suspension, cure tunnel carpien, synovectomie fléchisseurs D5 main D en 2006 sur : • Rhizarthrose et arthrose STT • Syndrome tunnel carpien • Synovite fléchisseurs D5 main Fracture déplacée phalange proximale Dig III main G ; le 16.01.2017 Réduction fermée P1 Dig III G, attelle (OP le 17.01.2017) Fracture intra-articulaire, non déplacée, type Chauffeur radius distal G ; le 16.01.2017 Traitement conservateur Traumatisme crânien, sans PC avec • plaie occipitale et hématome sous-galéal Surveillance neurologique Rappel AT Rinçage et désinfection plaie, pansement Trapézectomie et plastie de suspension du pouce G. (OP le 03.12.2018) Trauma Trauma Trauma Trauma au pied D lors d'une chute sur sol glissant, douleur au niveau du 1er métatarse, pas de signes de fractures visualisées à la radiographie, on conclut à une entorse de Chopart probable, on met une AJP en place et prophylaxie par Clexane 40 mg SC. Mr. Y sera recontrôlé en polyclinique à 7 j de distance. Trauma au pied D lors d'une chute sur sol glissant, douleur au niveau du 1er métatarse, pas de signes de fractures visualisées à la radiographie, on conclut à une entorse de l'avant-pied D avec protocole RICE et antalgie, AINS et contrôle chez le médecin traitant dans 5 jours. Trauma auriculaire gauche Trauma bras D Trauma cervical Trauma cheville D Trauma cheville droite Trauma cheville droite Trauma cheville droite Trauma cheville droite. Trauma cheville G Trauma cheville G Trauma cheville G Trauma cheville G Trauma cheville G Trauma cheville G Trauma cheville gauche Trauma cheville gauche Trauma cheville gauche. Trauma cheville gauche. Trauma coude droit Trauma coude droit Trauma crânien Trauma crânien Trauma crânien Trauma crânien Trauma crânien Trauma crânien Trauma crânien. Trauma crânien avec perte de connaissance et amnésie globale suite à une chute à cheval le 21.10.2018 avec : • Hémorragies intra-parenchymateuses multiples dont la plus grande mesure 15 mm en para-falcoriel droit • Hémorragies sous-arachnoïdiennes multiples : lobe frontal gauche, scissure sylvienne gauche et région basi-frontale droite • Fracture de l'os propre du nez avec tuméfaction du tissu mou Hospitalisation pour surveillance neurologique Mise en suspens du traitement antiagrégant par Aspirine pour 1 semaine Anévrismes fusiformes de l'aorte abdominale infra-rénale (35 mm) Ultrason de suivi à 6 mois à organiser par le médecin traitant Trauma crânien cérébral simple Trauma crânien sans PC, ni AC Trauma crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle Trauma crânien simple Trauma crânien simple. Trauma crânien simple Trauma crânien simple Trauma crânien simple Trauma crânien simple trauma crânien simple Trauma crânien simple avec : • hématome mou frontal et de la racine du nez Trauma crânien simple le 11.03.2018 ECG Brufen 600 mg RAD avec antalgie simple et mesures de précautions à tenir par écrit Trauma crânien simple • Pas de perte de connaissance, pas d'amnésie circonstancielle • Suite à une chute de sa hauteur, mécanique Trauma crânien simple sans PC Trauma crânien simple, sans perte de connaissance, avec plaie cuir chevelu pariéto-occipitale Trauma crânien simple 08.12.2018. Trauma de la cheville D Trauma de la cheville D Trauma de la hanche D sur chute le 21.12.2018 Trauma de la main Trauma de l'hallux gauche Trauma d'écrasement D5, P2 main gauche. Otite moyenne aiguë le 15.02.2017 Antalgie et décongestion du nez Reconsultation si pas d'amélioration d'ici vendredi 17.02.2017 Trauma doigt Trauma doigt trauma dos Trauma du bras G Trauma du doigt Trauma du genou gauche le 30.12.2018 DD : • lésion des ligaments latéraux / croisés. • lésion ménisque interne. Trauma du pied gauche. Trauma du poignet Trauma d'un membre Trauma d'un membre Trauma d'un membre Trauma D4 main G Trauma en hyper-extension de l'épaule D. trauma épaule trauma épaule Trauma épaule D trauma épaule G Trauma facial avec hématome de la racine du nez trauma genou Trauma genou D Trauma genou D Trauma genou D Trauma genou D trauma genoux G Trauma gros orteil G Trauma hanche Trauma main D trauma main droite Trauma main G Trauma main G Trauma main G Trauma membre inf D Trauma MID Trauma MID Trauma MID Trauma MIG Trauma œil gauche Trauma orteil 4 pied gauche Trauma par écrasement P3D5 main D avec : • arrachement de l'ongle • plaie du lit unguéal longitudinale de 2 cm de longueur Trauma pied Trauma pied Trauma pied D trauma pied D Trauma pied droit Trauma pied G Trauma poignet Trauma poignet D Trauma poignet D Trauma poignet droit Trauma poignet droit Trauma poignet droit. Trauma poignet G Trauma poignet G Trauma poignet gauche Trauma pouce Trauma pouce droit Trauma talon D Trauma tendon rotulien droit. Trauma 2ème orteil pied droit Traumastime. Traumatise facial le 20.12.2018 Traumatise genou droit. Traumatisme. Traumatisme. Traumatisme. Traumatisme. traumatisme Traumatisme abdominal Traumatisme abdominal. Traumatisme abdominale. Traumatisme au niveau du pied gauche suite à accident de travail le 21.05.15 s/p opération ménisque et ligament genou droit 2007 Hématome péri-anal Traumatisme au pouce gauche Traumatisme buccal simple Traumatisme cheville droite Traumatisme cheville gauche le 18.12.2018 avec • suspicion de lésion du Chopart. Traumatisme contusif au niveau sacral Traumatisme contusif du poignet Traumatisme cornéen Traumatisme costal. Traumatisme coud G le 29.12 Traumatisme coude gauche. Traumatisme cranien sans perte de connaissance ni vomissement Traumatisme crânien à haute cinétique Traumatisme crânien avec le 16.12.2018. Traumatisme crânien avec amnésie circonstancielle et possible perte de connaissance le 08.11.2018 • Patiente sous Eliquis (apixaban) pour une FA intermittente Traumatisme crânien avec perte de connaissance. Traumatisme crânien avec perte de connaissance et amnésie circonstancielle. Traumatisme crânien avec perte de connaissance le 18.01.2017 avec: • CT & IRM: petite hémorragie pétéchiale intra-parenchymateuse du centre semi-ovale gauche probablement post-traumatique Troubles dissociatifs avec troubles de la marche mal systématisée avec: • IRM de la colonne normale le 29.05.15 • Avis neurologique (Dr. X) et ENMG le 01.06.2016 : normal et neuroréhabilitation intensive du 08.06.2015 au 18.06.2015 Status post-troubles de l'adaptation avec un séjour en milieu psychiatrique du 30.09 au 13.10.2011 Traumatisme crânien avec plaie de l'arcade gauche le 06.12.2018. Traumatisme crânien avec plaie du scalp: • dans un contexte d'alcoolisation aiguë. Traumatisme crânien avec probable perte de connaissance dans le cadre d'une alcoolisation aiguë en septembre 2018 Fracture non déplacée apophyse transverse droite C7+D1 en 2012 Fracture de la clavicule droite traitée conservativement (gilet orthopédique) Fracture 3 parts humérus proximal D le 14.02.2018 Déplacement secondaire post-ostéosynthèse humérus proximal D traité par: • Ostéosynthèse humérus proximal D - ténotomie LCB le 16.02.2018 • AMO clou et implantation prothèse totale d'épaule D le 23.02.2018 Traumatisme crânien avec probable perte de connaissance et amnésie circonstancielle le 21.11.2018 dans un contexte de: • Suspicion d'accident ischémique transitoire le 20.11.2018 avec introduction de traitement par Aspirine • Troubles cognitifs Traumatisme crânien avec probables perte de connaissance et arrêt cardiaque. Traumatisme crânien avec suspicion de contusion hémorragique fronto-basale gauche vs hémorragie sous-arachnoïdienne. Traumatisme crânien bénin le 11.12.2018 • avec douleurs cervicales. • sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle. Traumatisme crânien de faible vélocité sans signes d'alarme Traumatisme crânien en novembre 2011 sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle Ostéosynthèse de l'humérus droit pour fracture luxation de la tête de l'humérus Cure d'hernie discale L4-L5 Hystérectomie Ovariectomie unilatérale Phakectomie bilatérale Fracture pertrochantérienne gauche le 10.04.2017, traitée par réduction fermée et ostéosynthèse du fémur proximal par enclouage centro-médullaire (opération le 10.04.2017, Dr. X, Dr. X) Pyélonéphrite gauche le 11.01.2018 Subiléus grêle sur hernie fémorale droite incarcérée, sans signe de souffrance digestive le 11.01.2018 Iléus mécanique nécrotique du grêle sur bride le 21.10.2018 : • Désincarcération d'hernies fémorales bilatérales, résection grêle (5cm) par laparotomie le 22.10.2018 • Intubation orotrachéale (Cormack 2) et ventilation mécanique du 22.10.2018 au 23.10.2018 • Sonde nasogastrique de décharge du 21.10.2018 au 26.10.2018 Ceftriaxone du 21.10.2018 au 05.11.2018 Metronidazole du 21.10.2018 au 28.10.2018 Pneumonie nosocomiale 6.11.2018 : • Radiographie thoracique le 07.11.2018 • CT thoraco-abdominal le 07.11.2018 • CT Thoraco-abdominal le 11.11.2018 • Piperacillin/tazobactam du 07.11.2018 au 14.11.2018 Anurie sur insuffisance rénale aiguë d'origine prérénale sur déshydratation et 3ème secteur le 21.10.2018 avec : • Fraction d'excrétion de l'urée à 15% • Créatinine à 256µmol/l • Sondage vésical et hydratation Bronchoaspiration secondaire à un effort de vomissement le 21.10.2018 : • Ceftriaxone du 21.10.2018 au 05.11.2018 Sepsis sévère d'origine indéterminée le 21.10.2018 : • Diagnostics différentiels : translocation bactérienne sur iléus mécanique nécrotique, bronchoaspiration secondaire • Ceftriaxone du 21.10.2018 au 05.11.2018 • Metronidazole du 21.10.2018 au 28.10.2018 Traumatisme crânien et contusions faciales le 04.11.2018 (GCS 15/15) Traumatisme crânien léger Traumatisme crânien léger avec plaie superficielle au scalp. Traumatisme crânien léger le 12.12.2018. Traumatisme crânien léger sur malaise d'origine indéterminée, DD : surdosage du traitement anti-hypertenseur. Traumatisme crânien mineur. Traumatisme crânien mineur le 17.09.2015. Plaie superficielle arcade sourcilière droite le 17.09.2015. Traumatisme crânien mineur sur chute le 01.12.2018 dans un contexte d'alcoolisation aiguë à 2,2 pour mille. Traumatisme crânien mineur le 24.12.2018 Traumatisme crânien occipital avec perte de connaissance. Traumatisme crânien • Perte de connaissance (?) • Hématome péri-orbitaire gauche • Plaie très superficielle d'environ 1.5 cm de long extrémité latérale arcade sourcilière gauche Traumatisme crânien sans PC le 24.10.2017 Périmyocardite d'origine probablement virale le 10.05.2018 • Coronarographie le 10.05.2018 : sclérose coronarienne débutant avec bonne fonction VG, FEVG 60% à la ventriculographie • Echocardiographie transthoracique le 10.05.2018 (PD Dr. X) : FEVG 51%, hypokinésie au niveau de la paroi inférieure et latérale apicale • IRM cardiaque à l'HFR Riaz en ambulatoire Gonalgie droite • DD : lésion ménisque, ligamentaire • Radio du genou droit le 11.05.2018 Traumatisme crânien sans PC le 28.09.2018 Dermabrasions multiples du MSD, nez, bas du dos G, genou D 2018 PTG bilatérale, à D en 2008, à G en 2016 Traumatisme crânien sans perte de connaissance. Traumatisme crânien sans perte de connaissance + douleur basithoracique. Traumatisme crânien sans perte de connaissance avec amnésie circonstancielle Traumatisme crânien sans perte de connaissance, avec cervicalgies le 04.12.2018 dans un contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Traumatisme crânien sans perte de connaissance dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 26.01.2017. Arthroscopie du genou gauche en 2011 (Dr. X). Thrombose veineuse du membre inférieur gauche en 2011. Adhésiolyse d'un iléus sur bride en 2008. Annexectomie droite (salpingite) en 2008. Excision d'un kyste d'une corde vocale 2001. Excision d'un kyste ovarien droit en 2001. Hystérectomie subtotale et annexectomie bilatérale 2000. Conisation du col utérin pour dysplasie. Appendicectomie dans l'enfance. Tonsillectomie dans l'enfance. Syndrome douloureux multi-focal dans un contexte d'anxiété majeure et trouble de la personnalité connus le 15.03.2015. Status post 3 accouchements par voie basse. Lithiase rénale droite avec petit calcul du pelvis rénal 3-4 mm connu depuis 2012. Thrombose veineuse profonde membre inférieur gauche en 2011. Probable IVRS le 07.04.2018 avec : • composant de bronchite spastique chez Mme. Y Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 10.12.18 avec : • Plaie de 3.5 cm au niveau frontal latéral à droite. Traumatisme crânien sans perte de connaissance le 14.12.2018 avec : • plaie profonde frontale à droite de 3 cm. Traumatisme crânien sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle le 09.11.2018 • CT cérébral natif : tuméfaction du tissu fronto-pariétal gauche; sans fracture crânienne ni signe hémorragique cérébral. Traumatisme crânien sans perte de connaissance. Troubles de la marche avec chutes à répétition dans le contexte de : • maladie de Parkinson • troubles cognitifs • déficit vitaminique • malnutrition protéino-énergétique • test cognitif fait le 16.08.2017 : MMSE : 26/30, Test de la montre : 5/7, GDS : 9/15 Substitution orale (vitamine D, vitamine B12, acide folique) Traumatisme crânien simple Traumatisme crânien simple. Traumatisme crânien simple avec vomissements concomitants. Traumatisme crânien simple dans le contexte d'alcoolisation aiguë. Traumatisme crânien simple avec alcoolémie à 1.16%. Traumatisme crânien simple avec amnésie circonstancielle et alcoolémie à 1.16%. Traumatisme crânien simple avec fracture du nez. Traumatisme crânien simple, avec perte de connaissance, sur agression avec : • contusions multiples de la face et dermabrasions du nez. Traumatisme crânien simple chez un patient sous Aspirine. Traumatisme crânien simple chez une patiente sous Sintrom. Traumatisme crânien simple dans un contexte d'éthylisation aiguë. Traumatisme crânien simple le 02.12.2018. Traumatisme crânien simple le 11.03.18. Traumatisme crânien simple le 24.08.16 Plaie superficielle pariétale gauche le 24.08.16. Traumatisme crânien simple le 30.11.2016. S/p VPPB droit 16.09.2014 libéré par manœuvre. Status post entorse cervicale C6-C7, contusion colonne lombaire, genoux ddc et hanche gauche 07/2012. Éventration d'une cicatrice d'hystérectomie à droite (1976). Status post hystérectomie en 1976. Status post appendicectomie. Status post amygdalectomie. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance le 05.12.2015 avec : • petite bosse au niveau frontal. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance le 20.12.2018 • sur inadvertance • INR infra-thérapeutique sous Sintrom avec INR 1. Traumatisme crânien simple sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle, le 03/12/2018. Traumatisme crânien simple sur chute accidentelle. Traumatisme crânien simple sur chute accidentelle : • chez Mme. Y connue pour Méningiome frontal gauche de découverte fortuite le 30.07.2018. Traumatisme crânien simple sur chute de sa hauteur. Traumatisme crânien simple • Sur coups de poing multiples. Traumatisme crânien simple Fracture non-déplacée du tiers externe de la clavicule droite le 10.06.2018. Traumatisme crânien simplet et plaie temporale gauche. Traumatisme crânien sous anticoagulation avec Eliquis le 25.11.2018. Traumatisme crânien sur chute de sa hauteur dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 18.07.2013 avec : • important hématome sous-galéal frontal droit et hémorragie sous-arachnoïdienne de l'insula à droite, contusion frontale bilatérale, multifocale à droite, hémorragie sous-arachnoïdienne de la citerne basale gauche. Traumatisme crânien sur chute de sa hauteur le 15.12.2018 • Mme. Y non anticoagulée. Traumatisme crânien sur chute mécanique. Traumatisme crânien sur syncope secondaire à des passages en tachycardie ventriculaire le 04.10.2014 : • hémorragie sous-arachnoïdienne para-factorielle frontale droite • fracture du plancher inférieur de l'orbite droite avec fracture de la paroi antérieure et latérale du sinus maxillaire droit • hémosinus maxillaire droit.Rectorragies sous aspirine plus Sintrom en juin 2009 • colonoscopie de dépistage en 1999 normale • colonoscopie virtuelle en 2010 normale • résection sigmoïdienne sur diverticulite perforée en décembre 1998 avec hernie cicatricielle sur laparotomie médiane Embolie pulmonaire postopératoire en mai 2009 PTH droite sur coxarthrose bilatérale et nécrose de la tête du fémur droit (Dr. X) en avril 2009 Fracture L1 sur accident de la circulation en 1973 Fracture crânienne sur accident de vélo en 1961 Fracture ménisque interne genou gauche en 1960 Amygdalectomie Cholécystite débutante. Diagnostic différentiel : passage de calcul biliaire le 17.10.2018 Antibiothérapie par Rocéphine et Métronidazole i.v. du 17.10.2018 au 24.10.2018 Épisode de dysarthrie et vertiges dans un contexte de douleur abdominale le 17.10.2018 CT cérébral avec vaisseaux précérébraux injecté le 17.10.2018 : Pas d'AVC. Irrégularité artère vertébrale gauche. Avis neurologique (Dr. X) : NIHSS 0. Un AVC/AIT est peu probable Traumatisme crânien sans PC le 24.10.2017 Périmyocardite d'origine probablement virale le 10.05.2018 • ECG le 10.05 et 11.05.2018 • Radio de thorax le 10.05.2018 • Coronarographie le 10.05.2018 : sclérose coronarienne débutante avec bonne fonction VG, FEVG 60 % à la ventriculographie • Échocardiographie transthoracique le 10.05.2018 (Dr. X) : FEVG 51 %, hypokinésie au niveau de la paroi inférieure et latérale apicale • Lisinopril dès le 12.05.2018 IRM cardiaque à l'HFR Riaz en ambulatoire Gonalgie droite • DD : lésion ménisque, ligamentaire • Radio du genou droit le 11.05.2018 Traumatisme crânio-cérébral avec : • perte de connaissance et amnésie circonstancielle Traumatisme crânio-cérébral avec coma de 3 mois en 1981 Appendicectomie en 1987 Cure de hernies inguinales bilatérales en 1989 Opération du coude en 2005 Opération de l'épaule en 2013 Embolisation par artériographie de l'anévrisme iliaque commune droite le 20.07.2015 Résection d'anévrisme infra-rénal par prothèse bifurquée aorto-bi-iliaque le 29.09.2015 Cure de hernies inguinales droite selon Stoppa le 26.02.2016 Cure d'éventration au niveau de la cicatrice de laparotomie médiane selon Rives le 26.02.2016 Cure selon Shouldice le 18.03.2016 pour récidive d'hernie inguinale droite Iléus grêle le 09.10.2018 dans un contexte oncologique CT abdominal injecté le 09.10.2018 Traumatisme crânio-cérébral avec : • Fracture occipitale gauche non déplacée • Hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite punctiforme et fronto-pariétale droite Traumatisme crânio-cérébral avec hématome sous-galéal pariétal gauche. Traumatisme crânio-cérébral avec plaie du scalp pariétal droit de 10 cm de long et 1.5 cm de profondeur. Traumatisme crânio-cérébral avec plaie superficielle de l'arcade gauche le 06.12.2018. Traumatisme crânio-cérébral avec probable choc centromédullaire. Traumatisme crânio-cérébral, CT de la colonne cervicale. Contusion du genou gauche. Crise de migraine le 07.11.2017 Traumatisme crânio-cérébral dans un contexte d'alcoolisation aiguë le 18.12.2018 dans le cadre du diagnostic 2 Traumatisme crânio-cérébral et cervicalgies chez un patient sous aspirine. Traumatisme crânio-cérébral le 07.11.2018 : • Fracture de l'os frontal D avec atteinte de la partie supéro-interne de l'orbite, pneumorbitie, fracture de la lame papyracée D, hématosinus frontal D, fracture de la partie postéro-supérieure de l'orbite G, fracture des os propres du nez. • Hématome sous-dural para-falciforme D, hématome sous-dural G prenant toute la convexité, hémorragie sous-arachnoïdienne frontale G et vertex D, hématome sous-dural de la tente du cervelet, hémorragie intra-parenchymateuse basi-frontale droite, probable hémorragie du 4e ventricule, pneumencéphale. Traumatisme crânio-cérébral le 11.03.2018 dans un contexte d'alcoolisation aiguë (2.26 pour mille) Septoplastie et turbinoplastie en 2012. Fracture du 4ème métacarpien gauche en 2008. Lésion du ménisque externe du genou droit en 2006. Fracture du 5ème métacarpien droit en 2003. Appendicectomie en 1996. Sinusite chronique et dyspnée nasale post-traumatique. Hépatopathie d'origine alcoolique. Traumatisme crânio-cérébral le 21.03.2018. Traumatisme crânio-cérébral le 21.03.2018 Douleurs péri-ombilicales et en FID DD : Adénite mésentérique, appendicite Examen clinique CRP et FSS capillaires : Pas de syndrome inflammatoire Avis chirurgical (Dr. X) Retour à domicile avec antalgie en réserve par Dafalgan Contrôle clinique et biologique en FUA le 01.06 à 9h30 +/- imagerie abdominale Traumatisme crânio-cérébral le 27.11.2018 avec : • Fracture occipitale gauche non déplacée • Hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite punctiforme et fronto-pariétale droite Traumatisme crânio-cérébral léger. Traumatisme crânio-cérébral léger et cervical le 29.11.2018, lors d'un match de futsal avec • Fracture non déplacée os frontal D et os pariétal G • Hématome épidural fronto-temporal D et pariétal G • Contusion hémorragique circonscrite, liée au contre-coup fronto-pariéto-operculaire G • Fracture de la lame et de la facette C6 G Traumatisme crânio-cérébral léger le 22.02.2018 avec : • hémorragie sous-arachnoïdienne de la scissure sylvienne G de faible abondance Traumatisme crânio-cérébral mineur avec plaie occipitale droite sur chute le 26.11.2018 • troubles de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle Traumatisme crânio-cérébral mineur le 05.12.2018. Commotion cérébrale. Traumatisme crânio-cérébral mineur le 09.12.2018. Traumatisme crânio-cérébral mineur le 21.12.2018 : • avec perte de connaissance de 30 secondes. Traumatisme crânio-cérébral post chute le 08.12.2018 : • Contexte d'anticoagulation thérapeutique pour thrombose veineuse cérébrale idiopathique • Majoration de l'HSA avec élargissement en frontal gauche et sylvien gauche Traumatisme crânio-cérébral sévère sur chute dans les escaliers le 15.07.2018 avec • HSA multiples, HSD multiples, hémorragie épidurale temporale, atteinte du rocher ; fracture périorbitaire bilatérale du toit et de la partie médiale, fracture pariéto-temporale droite transverse jusqu'au rocher avec atteinte de l'oreille interne. • Craniotomie fronto-temporale droite et évacuation de l'hématome sous-dural le 15.07.2018 (Hôpital de l'Ile, Berne) • Complications initiales (aiguës et subaiguës): thrombose du sinus transverse D avec bulles d'air, dissection vertébrale droite, état confusionnel hyperactif. • Clinique actuelle: atteinte cognitive multiples (attentionnelle et exécutives surtout avec anosognosie des troubles), hémisyndrome pyramidal G discret. • Traumatisme cranio-cérébral simple. • Traumatisme cranio-cérébral simple avec amnésie circonstancielle avec alcoolémie à 3.38%. • Traumatisme cranio-cérébral sur chute dans un contexte d'alcoolisation aiguë. • Traumatisme cranio-cérébral sur malaise vaso-vagal probable. • Traumatisme crânio-facial en 8.2017. • Entorse cheville D de grade II en octobre 2018. • Traumatisme crânio-facial le 29.12.2018 avec: • traumatisme crânien compliqué. • plaie péri-orbitaire à gauche. • probable fracture costale gauche. • probable fracture du nez asymptomatique. • Traumatisme crânio-facial mineur le 16.12.18. • Probable fracture nasale. • Traumatisme cuisse. • Traumatisme d'accélération crânio-cervical le 20.03.2018. • Traumatisme de la cheville droite. • Traumatisme de la cheville gauche. • Traumatisme de la hanche droite. • Traumatisme de la hanche le 02.12.2018. • Traumatisme de la lèvre supérieure. • Traumatisme de la main droite. • Traumatisme de la main gauche, du bassin, de la hanche droite. • Traumatisme de la malléole médiale. • Traumatisme de l'auriculaire gauche. • Traumatisme de l'avant-bras gauche. • Traumatisme de l'épaule droite. • Traumatisme de l'épaule et du pied droits. • Traumatisme de l'épaule gauche le 16.06.2018. • DD luxation AC type Tossy I ou II. • Traumatisme de l'œil gauche suite à doigt dans l'œil, plaintes amendées spontanément. • Traumatisme des doigts de la main droite. • Traumatisme des orteils. • Traumatisme direct du pied droit. • Traumatisme doigt. • Traumatisme d'origine indéterminée D4 G sur accident auto-routier sans traumatisme crânien, ni rachis, ni thorax-abdomen. • Traumatisme du bassin. • Traumatisme du bras D. • Traumatisme du bras G. • Traumatisme du coude G. • Traumatisme du genou droit. • Traumatisme du genou gauche. • Traumatisme du majeur. • Traumatisme du membre inférieur gauche. • Traumatisme du nez. • DD: fracture du nez. • Traumatisme du pied droit. • Traumatisme du pied gauche. • Traumatisme du poignet. • Traumatisme du poignet et de la main droite. • Traumatisme du poignet gauche. • Traumatisme du pouce droit. • Traumatisme du pouce gauche. • Traumatisme du rachis avec: • Fracture des plateaux supérieurs de L2 et L3 (classification A.1). • Contusions osseuses de L1 et S3 à S5. • Suspicion de fracture non-déplacée sacro-coccygienne. • Traumatisme du rachis sans déficit. • Traumatisme du siège. • Traumatisme du Vème doigt droit. • Traumatisme du 2ème orteil droit. • Traumatisme du 4ème doigt droit le 16.09.18. • DD : luxation de l'extrémité distale du 4ème rayon droit. • Traumatisme d'un membre. • Traumatisme d'un membre avec amputation partielle. • Traumatisme D5. • Traumatisme en hyperextension de l'articulation métacarpo-phalangienne D5. • pyélonéphrite en juin 2018. • Traumatisme en hyperextension de l'articulation métacarpo-phalangienne D5. • Status post appendicectomie. • Kyste ovarien de 4 cm à gauche, découverte fortuite le 25.12.2018. • Traumatisme en inversion de la cheville D le 02.12.2018 avec: • avulsion de l'origine du ligament du deltoïde in situ. • lésion ostéochondrale du dôme latéral de l'astragale. • Traumatisme épaule D avec: • suspicion de lésion de la coiffe des rotateurs. • suspicion de luxation du tendon du biceps. • Arthrose. • Traumatisme facial avec amnésie circonstancielle et vomissements retardés. • Traumatisme facial avec fracture des dents 15 et 11. • Traumatisme facial avec: • une plaie verticale au niveau de la lèvre inférieure gauche d'environ 0.8 cm de longueur, 2 cm en dessous de la commissure labiale, transfixiante dans la cavité buccale (la plaie côté intra-buccal mesure environ 1.5 cm de longueur), • une plaie verticale de la lèvre supérieure gauche, passant par la jonction cutanéo-muqueuse, d'environ 1 cm de longueur. Traumatisme facial avec : • une plaie verticale au niveau de la lèvre inférieure gauche d'environ 0.8 cm de longueur, 2 cm en dessous de la commissure labiale, transfixiante dans la cavité buccale (la plaie côté intra buccal mesure environ 1.5 cm de longueur), • une plaie verticale de la lèvre supérieure gauche, passant par la jonction cutanéo-muqueuse, d'environ 1 cm de longueur Traumatisme facial bénin avec plaie superficielle Traumatisme facial chez un patient sous Plavix, avec fracture de l'os-propre du nez et du malaire droit, plaie contuse de la base du nez. Traumatisme facial du 20.12.2018 Traumatisme facial et gingival Traumatisme facial et gingival sans signes de gravité. Soins locaux proposés et antalgiques avec consignes de surveillance à domicile. Traumatisme genou. Traumatisme genou droit. Traumatisme gingival léger Traumatisme hanche gauche. Traumatisme index gauche. Traumatisme isolé cheville droite Traumatisme isolé cheville droite du 20.12.2018 Traumatisme laryngé par strangulation, le 08.03.2017. Gastro-entérite le 28.05.2017 Tentamen médicamenteux le 26.08.18 avec prise volontaire de : Tritico 100 mg (environ 18 cp), Seroquel 200 mg (environ 12 cp), Relpax 150 mg (environ 12 cp), Imovane (environ 12 cp) Traumatisme main et poignet G Traumatisme main gauche. Traumatisme maxillaire sur chute de sa hauteur avec abrasion muqueuse gingivale Traumatisme maxillo-facial. Traumatisme membre inférieur. Traumatisme membre inférieur droit. Traumatisme membre supérieur droit. Traumatisme mentonnier avec plaie superficielle Traumatisme mentonnier sans perte de connaissance Traumatisme oculaire, sans signes de gravité • avec éventuel décollement du vitré. Traumatisme oeil droit. Traumatisme ophtalmique. Traumatisme par compression du Vè doigt droit Traumatisme poignet D en hyperextension en 2016 Entorse cheville droite stade II le 08.07.2017 Traumatisme poignet droit. Traumatisme poignet gauche. Traumatisme pouce droit. Traumatisme pouce gauche. Traumatisme sous-mandibulaire Traumatisme sur chute le 18.12.2018 avec : • traumatisme occipital, sans perte de connaissance ni amnésie circonstancielle • douleur cervicale post-chute Traumatisme testiculaire. Traumatisme thoracique le 09.12.2018 Traumatisme thoracique le 30.01.2016, avec : • contusion pulmonaire • petit épanchement pleural G • fracture non déplacée arc moyen 7ème côte G et possiblement 9ème côte Traumatisme thoracique suite à un accident de la voie publique le 11.10.2012 avec : • fracture en série des côtes droites 2 à 12 (double fracture des côtes 2 à 8 droites, 9 à 12 droites) avec hémopneumothorax et lacération pulmonaire, avec : • pneumothorax gauche • déviation du médiastin vers la gauche • atélectase du lobe inférieur et atélectase partielle du lobe supérieur droit • emphysème des tissus mous du flanc à la fesse à droite • hématome rétro-péritonéal avec pénétration du fascia de Gerota droit. Status après stabilisation des côtes 4 à 8 droites par thoracotomie, résection de la base du lobe supérieur droit et suture du poumon droit le 12.10.2012 (Inselspital Berne) • s/p thoracotomie droite le 10.04.2013 avec : résection segment VI et X, adhésiolyse, enlèvement matériel ostéosynthèse côte V et VI. Fracture rénale de degré IV. Épanchement pleural hémorragique compressif droit • sans hémorragie active • avec shift médiastinal • Hb 87 g/l après 2 litres de remplissage • hypotension TA syst 85-90 Status post-luxation épaule droite, 4 épisodes, dont le dernier le 04.11.18. Traumatisme tympanique gauche Traumatisme 1er orteil droit. Traumatisme 3ème doigt main G Travail rapide Travail soutenu par Syntocinon Antalgie par péridurale Suites de couches Travail spontané rapide Antalgie par Kalinox Suites de couches Tremblement des membres inférieurs. Tremblement d'intention. Tremblement essentiel. Anxiété. Consommation régulière de cannabis. Tremblements au repos des 4 membres DD : • hypocalcémie • phéochromocytome • effet secondaire médicamenteux du Dibenzyran (pas décrit dans la littérature) Tremblements d'origine indéterminée DD Tremblement physiologique exagéré, probable polyneuropathie périphérique des 4 membres, prédominant aux membres supérieurs, d'origine toxique sur syndrome de dépendance à l'alcool, d'origine médicamenteuse (Cordarone, sevrage Oxazépam) Tremblements d'origine multifactorielle DD sevrage alcoolique DD encéphalopathie alcoolique DD médicamenteux (Cordarone, sevrage Benzo) DD essentiel Tremblements essentiels du membre supérieur gauche depuis environ deux ans Amygdalectomie à l'âge de 33 ans Méniscectomie bilatérale en 1990 Maladie de Lyme en 2000 Status post-cure de tunnel carpien gauche en 2001 Hernie médiane en 2001 PTG gauche en 2009 Acidité gastrique sur AINS Sub-Ileus wahrscheinlich am 03.12.2014 auf Opiate Linke Rezidivparese mit bilateralem arytenoidalem Ödem Synkope am ehesten vasovagal • Labor vom 19.03.2018 : Kreatinin 109 umol/l, CRP < 5 mg/l, Leukozyten 6.1 G/l • Schellong Test : Negativ • Schädel-CT am 19.03.2018 (HFR-Freiburg) : keine intrakranielle Blutung Trémor essentiel traité par Primidone Trouble anxio-dépressifs Trémor essentiel traité par Primidone Trouble anxio-dépressifs Anémie macrocytaire normochrome chronique Tremor essentiel DD : effet secondaire de la cordarone Trendate iv titré Trépanation avec évacuation hématome sous-dural droit avec 2 trous de trépan le 11.12.2018 Surveillance neurologique aux soins intensifs le 11.12.2018 Très bon résultat clinique à six mois post-opératoires. Fin de traitement. Le patient peut toujours me contacter en cas de réapparition de symptômes. Très bon résultat clinique à six semaines post-ablation du matériel d'ostéosynthèse. Fin de traitement. La patiente peut toujours me recontacter si nécessaire. Très bon résultat radio-clinique à 1 année post-opératoire. Prochain contrôle radio-clinique dans une année le 13.12.2019. Très bonne évolution à trois mois post-opératoires. Arrêt de travail à 100% comme maçon avec poursuite de la physiothérapie jusqu'à rééduction complète de l'épaule. Très bonne évolution. Ablation de l'attelle lorsque le patient est tranquille. Mise en place de l'attelle dans les activités à risque. Contrôle radioclinique dans 1 mois. Prochain rendez-vous 17.01.2019. Très bonne évolution. Ablation des fils à 14 jours, puis initiation d'un traitement d'ergothérapie pour désensibilisation du moignon, et application d'un doigtier en silicone. Prochain contrôle le 07.01.2019 à ma consultation. Très bonne évolution. Auto-mobilisation. J'ai prévu un contrôle final à ma consultation d'ici 4 mois (01.4.18). Très bonne évolution avec la reprise de la marche sp. Pas d'instabilité au niveau du Lisfranc. La patiente peut reprendre le sport selon douleurs. Pas de prochain contrôle prévu mais nous restons à disposition. Très bonne évolution clinique à 6 semaines post-ablation de la vis de syndesmose. Le patient terminera les séances de physiothérapie restantes. Il me recontactera par téléphone en cas de besoin de physiothérapie supplémentaire. Autrement on se revoit à une année post-opératoire le 21.8.2019 pour prévoir l'ablation du matériel d'ostéosynthèse. Très bonne évolution clinique. Au vu de la disparition complète des douleurs, nous ne prévoyons donc pas de nouveau contrôle mais restons à disposition en cas de récidive ou nouveaux symptômes. À noter que si une nouvelle consultation s'avère nécessaire, une IRM de la colonne cervicale sera à prévoir afin de comparer l'évolution du kyste qui peut entre temps réapparaître. Très bonne évolution clinique. Le patient peut arrêter la physiothérapie. Il va lui-même continuer le fitness et entraînera la force du MID. De ma part, fin du traitement. Le patient peut toujours me recontacter en cas de réapparition de problème. Un arrêt de travail n'est pas nécessaire. Le patient a repris son travail déjà à 100% dès le 17.10.2018. Très bonne évolution. Contrôle chez moi dans 6 mois le 13.6.2019 pour programmer l'ablation de la plaque. Très bonne évolution de ma part. Pas de mesure particulière. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition en fonction de l'évolution. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition en cas de besoin. Très bonne évolution. Fin du traitement. Je me tiens toutefois à disposition si nécessaire. Très bonne évolution. Initiation d'un traitement de physiothérapie pour maintenir les amplitudes au niveau du coude et pour limiter l'œdème local. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle. Très bonne évolution. Initiation d'un traitement physiothérapeutique avec une mobilisation active assistée en abduction/élévation ainsi que rotation libre. Physiothérapie en piscine. Poursuite de l'arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain contrôle le 31.01.2019. Très bonne évolution. J'ai programmé un contrôle chez moi dans 3 mois le 21.3.2019 pour juger l'évolution en ce qui concerne la main gauche. Très bonne évolution. Je prévois une AMO pour le 25.02.2018. J'informe Mme. Y du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour l'intervention susmentionnée. Très bonne évolution. Mme. Y peut marcher sans restriction selon les douleurs. Elle peut garder la semelle en carbone pour encore deux semaines. Contrôle rx-clinique avec des rx en charge dans 3 mois. Très bonne évolution. Mme. Y se mobilisera selon les douleurs. En cas de réapparition de douleurs, Mme. Y se réannoncera à la consultation. Très bonne évolution. Le patient n'a aucune douleur. Il arrive à se mobiliser sans problème. Contrôle dans un mois, mais le patient pourra l'annuler si tout va bien. Très bonne évolution. Le patient va nettement mieux. L'ostéotomie n'est pas encore complètement guérie. Par contre, nous avons noté avec la dynamisation, une nette amélioration au niveau de l'ostéotomie. Poursuite de la charge selon douleurs. Physiothérapie. Prolongation de l'incapacité de travail jusqu'au 31.12.2018. Contrôle rx-clinique en mars 2019. Très bonne évolution. Le patient va se rendre chez son chirurgien de la main en Belgique pour se faire enlever la broche au niveau du majeur gauche le 04.01.2019. Je me tiens à disposition. Très bonne évolution. On attend encore avant d'opérer le tunnel carpien à G. Je programme un rendez-vous chez moi pour la mi-janvier 2019 pour refaire le point au niveau de la main G. Très bonne évolution. Pas d'attitude active de ma part. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Très bonne évolution. Pas de mesure particulière pour le moment. Mme. Y reprendra contact avec moi en cas de péjoration. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie. Contrôle final chez moi dans 4 mois le 24.4.2019. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie et de l'ergothérapie pour récupérer les amplitudes articulaires, application d'une attelle à trois points, trois fois par jour ainsi qu'une bande d'enroulement pour travailler la flexion de l'IPP. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie pour stabiliser les acquis. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie sans limitation. Prochain contrôle chez moi dans 2 mois le 13.2.2019. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie. Mobilisation sans restriction. Contrôle à un an de l'intervention. Très bonne évolution. Poursuite de l'incapacité de travail à 20% jusqu'à la fin de la semaine et reprise à 100% dès le 17.12.2018. Très bonne évolution. Poursuite des soins de plaie chez le médecin de famille. Contrôle chez moi le 30.1.2019. Très bonne évolution. Poursuite du traitement. Nous expliquons à la maman d'observer la situation. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition. Très bonne évolution radio-clinique à 3 mois post-opératoires. Mme. Y sera revue à 6 mois post-opératoires le 22.3.2019 pour prévoir une ablation précoce du matériel d'ostéosynthèse. Elle continuera les séances de physiothérapie restantes pour regagner une meilleure mobilité. Très bonne évolution radioclinique à 7 semaines post-opératoires. Mme. Y continue à marcher en charge complète, elle va poursuivre la physiothérapie pour regagner le reste des amplitudes et pour tonifier la musculature et plus tard pour entraîner la proprioception. Pour le moment elle reste en arrêt de travail à 100% jusqu'au prochain rendez-vous qui est prévu pour le 30.01.2019. Très bonne évolution sans douleur. Marche en charge sans restriction. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition.Très bonne évolution sous traitement conservateur. J'encourage la patiente à poursuivre son traitement physiothérapeutique. Je n'ai pas prévu de contrôle chez moi. Je me tiens à disposition si les symptômes devaient réapparaître. Très bonne évolution suite à l'infiltration. Poursuite de la physiothérapie avec recentrage de la tête humérale et renforcement de la coiffe des rotateurs. J'ai programmé un prochain contrôle chez moi dans trois mois. Très bonne évolution vu le point de départ. Auto-mobilisation. Contrôle chez moi en juin 2019 pour discuter de l'AMO. Prochain rendez-vous le 19.06.2019. Très bonne évolution vu le point de départ. Pour le moment fin du traitement chez moi. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Très bonne évolution vu le point de départ. Poursuite de la physiothérapie pour stabiliser le résultat. J'ai programmé un contrôle final dans 3 mois. Pas d'arrêt de travail. Prochain rendez-vous : 13.03.2019. Très bonne évolution vu le point de départ. Poursuite d'un arrêt de travail jusqu'au 24.1.2019. Poursuite de la physiothérapie. Prochain contrôle chez moi le 24.1.2019. Très bonne évolution. Ablation de l'attelle postérieure. Le patient va commencer un traitement physiothérapeutique en actif assisté à partir du début de la semaine prochaine. Je l'ai déjà instruit d'une mobilisation active assistée que le patient pourra faire lui-même afin d'éviter des raideurs du coude. Ablation du Comfeel après 2 semaines. Contrôle chez moi le 30.1.2019. Arrêt de travail jusque là. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je reste toutefois à disposition. Très bonne évolution. Fin du traitement chez moi. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Fin du traitement de ma part. Je me tiens toutefois à disposition. Très bonne évolution. Le syndrome du tunnel carpien gauche est sous-clinique et le patient ne souhaite pas d'attitude active de ma part. Je n'ai donc pas prévu de prochain rendez-vous. Je me tiens à disposition en fonction de l'évolution. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie avec mobilisation active et passive sans limitation. Reprise du travail comme chauffeur poids lourds à 50% alors 8h/jour pour un travail léger. Prochain contrôle chez moi le 13.2.2019. Très bonne évolution. Poursuite de la physiothérapie pour stabiliser le résultat atteint. Prochain contrôle chez moi dans 3 mois le 8.3.2019. Très bonne évolution. Poursuite d'un arrêt de travail à 100%. Contrôle chez moi le 31.1.2019. Très probable retour des couches à 4 semaines post césarienne en urgence pour PE chez patiente 2G 2P. Très probable retour des couches à 4 semaines post-partum chez patiente qui n'allaite pas sans contraception hormonale. Trigéminisme atrial : ECG du 03.12.2018 : rythme sinusal irrégulièrement régulier, chaque deux P-QRS-T présence d'une extrasystole auriculaire suivi d'une pause = trigéminisme auriculaire, axe dans la norme, pas de troubles de la repolarisation. Trin den ventolin 6 pushs aux 20 minutes avec nette amélioration de la détresse respiratoire et des sibilances. Deux heures de surveillance en restant stable sur le plan respiratoire. Triple arthrodèse avec 2 plaques Pedus et 2 vis 3.5, greffe tricorticale de la crête iliaque ipsi-latérale D. (OP le 20.11.2018). Triple hernie discale. Triple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, Vx/IVP, Vx/CD- artère intermédiaire) fecit Dr. X le 07.05.2015 pour maladie tritronculaire avec : • sténose du tronc commun (50-70%) • IVA proximale occluse reprise par des collatérales de la Cx distale • sténose séquentielle de la CD II et III (85%) • FEVG à 45%. Triple pontage 04/2009 à l'hôpital de l'Ile à Berne. Cure de hernie inguinale droite. Bactériémie à E. coli multisensible sur pneumonie d'aspiration basale gauche le 17.10.2017. IRA d'origine pré-rénale sur IRC de stade KDIGO G3b le 17.10.2017. Trisomie 13. Tétraparésie spastique. Epilepsie traitée. Infection urinaire récidivante sur malformation de la vessie. • reflux vésico-urétéral, opérée trois fois • incontinence urinaire • incontinence fécale • dextrocardie. Tristesse. Tristesse le 21.12.2018. • contexte de disparition de son conjoint (exil) le 20.12.2018 • connue pour dépression traitée et suivie par son médecin traitant. Trittico. Stop Mélatonine. Trois hernies discales, opérées en 1999 et 2012. Greffe cornée droite en 2016. Ancien syndrome post-ménopausique, traité par Estradot-Matrixpflaster 75µg/24h. Infection urinaire basse le 05.01.2018 traitée par Ciprofloxacine puis Augmentin. Décompensation cardiaque légère le 10.01.2018 sur arrêt du traitement diurétique dans un contexte infectieux. S/p appendicectomie en 1941. Trombonne objectivée dans l'estomac (< 4cm de grand axe). Rentre à domicile avec surveillance des selles tous les jours, normalement élimination d'ici 3-4 jours, si pas d'élimination attendre jusqu'à 14 jours puis consulter le pédiatre ou les urgences pour réalisation d'une nouvelle Rx +/- organisation d'une endoscopie digestive. Reconsulte tout de suite si douleurs abdominales. Trompe d'Eustache encombrée, traité avec Avamys spray nasale 27.5 mcg/dose. Troponine H0 = 24. Troponine H1 = 24. ECG : pas de trouble de la repolarisation. Attitude : • surveillance clinique. Troponine H0 12, H3 12 ng/l. ECG : superposable au comparatif. Troponinémie le 16.12.2018 sans argument pour un syndrome coronarien aigu. Coronarographie récente en juin 2016 : sténose IVA 50% non stentée, FEVG globalement conservée sous réserve d'un examen de qualité limitée. Troponines. ECG. Troponines négatives. ECG. Lasix 20 mg iv 3x/j. Relais par Torem 20mg 1x/jour le 02.12.2018 puis 10mg/j dès le 05.12.2018. KCl 10 mmol 3x/j du 03.12.2018 au 05.12.2018 puis 3 x 30 mmol/j. Atrovent et Ventolin. Suivi du poids. Rx thorax. Troponines, Pro-BNP, Créatinine kinase. Radiographie du thorax. Électrocardiogramme. Echocardiographie par Dr. X : normale. Trouble anxieux. Trouble anxieux avec probables troubles somatoformes associés. Trouble anxieux avec tendance à faire des crises de panique. Trouble anxieux avec trouble du sommeil suite à l'infarctus du myocarde du 25.11.2018. • S/p Dépression récidivante avec état anxio-dépressif avec hospitalisation à Marsens 05.2018. Trouble anxieux dans un contexte de virose débutante 25.01.2017, 21.08.2017. Épisodes de douleurs thoraciques dans un contexte de crise d'angoisse le 12.04.2017, 07.10.2017. Sensation de malaise sur probable tachycardie non documentée aux urgences dans un contexte anxieux le 10.06.2017. Douleurs thoraciques probablement d'origine anxieuse le 18.05.2018.Douleurs thoraciques d'origine indéterminée le 2.06.2018. Trouble anxieux dépressif. Hernie discale C5-C6 paramédiane droite. Trouble anxieux et dépressif mixte le 30.09.2017 chez un patient connu pour : • Troubles mentaux liés à la consommation de dérivés du cannabis, utilisation nocive pour la santé (F12.1). • Probable PTSD (F43.1). • Réaction à un facteur de stress important (F43.8). Trouble anxieux et dépressif mixte Syndrome de dépendance aux opiacés, nicotine, Antécédents personnels d'abus de substances psychoactives Syndrome obstructif modéré Hypercholestérolémie Hypothyroïdie substituée Syndrome d'apnées du sommeil appareillé Hypertension artérielle Trouble anxieux et humeur dépressive Dyspnée d'origine indéterminée chez une patiente connue pour un possible syndrome de CREST : • Diagnostics différentiels : bronchite virale dans un contexte de toux chronique avec expectorations brunâtres le 23.07.2018 - hyperréactivité bronchique. Trouble anxieux généralisé avec épisodes dépressifs et hospitalisation à Marsens en 06.2016 avec • troubles somatoformes avec épisodes récurrents de malaise, douleurs abdominales basses et vertiges. Douleurs abdominales chroniques : • diverticulose colique. • colite à collagène (diagnostic anatomo-pathologique) • constipation chronique avec faux besoins Hypoacousie bilatérale appareillée Ostéoporose traitée successivement par Calcitonine, Actonel, Tériparatide, puis Bonviva de 2005 à 2007 Malnutrition avec apports insuffisants à domicile Troubles de la marche d'origine mixte sur : • fracture spontanée de tassement de T8 • ostéoporose diffuse • lombalgies chroniques avec arthrose facettaire modérée L3-L4, discopathies L3-L4, L4-L5 et L5-S1, rétrécissements neuro-foraminaux L4-L5 ddc et du canal spinal • trouble anxieux généralisé • carence vitaminique Trouble anxieux nocturne Trouble anxieux traité par Lexotanil en réserve. Nodule pulmonaire compatible avec un hamartome. Hypovitaminose D à 34 mg/ml. Substitution per os à prévoir. Trouble anxieux traité Infections urinaires récidivantes Hypertension artérielle Trouble anxio-dépressif en aggravation avec crise d'angoisse le 13.12.2018. Trouble anxio-dépressif. Trouble anxio-dépressif avec situation à domicile difficile • sous Citalopram Trouble anxio-dépressif avec traitement psychotrope et suivi psychologique 1x/mois Tabagisme actif. Diarrhée en cours d'investigations. Hypercholestérolémie traitée. Syndrome obstructif de degré modéré (VEMS 75 % du prédit, fonctions pulmonaires 2009). Maladie coronarienne des 2 vaisseaux • Sténose significative de l'IVA moyenne, PTCA/DES • Occlusion chronique intra-stent de l'ostium de la 1.DA (2013), lésion coupable du STEMI en 2013 • Bon résultat après stenting de la CX (2013) • Fonction systolique du VG gauche légèrement abaissée avec akinésie antéro-médiane (EF 50%) Trouble anxiodépressif dans le contexte d'une surcharge professionnelle • avec symptômes somatiques de type vertiges Trouble anxio-dépressif mixte. Trouble du sommeil. Trouble anxieux récurrent. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance. Personnalité émotionnellement labile - type borderline. Dépendance aux benzodiazépines et aux opiacés. Trouble anxio-dépressif • sous traitement de Lexotanil 1,5 mg durant la grossesse • sous traitement d'Escitalopram 10 mg hors grossesse Trouble anxio-dépressif • sous Valproat, Sertraline Trouble anxio-dépressif (traité par Valdoxan et Quetiapine). Vertige non vestibulaire d'origine psychogène. Ulcère gastrique. SAOS appareillé. Trouble bipolaire Trouble bipolaire avec statut post • 5 tentatives médicamenteuses, la dernière en décembre 2014 par intoxication médicamenteuse volontaire Hypertension artérielle. SAOS appareillé Glaucome Trouble bipolaire décompensé Bilan somatique : ECG Laboratoire Attitude Avis psychiatre de garde : transfert à Marsens, patient volontaire Trouble cognitif non classifié Trouble cognitif probablement décompensé dans un contexte de dyselectrolitémie Troubles cognitifs diffus compatibles avec une encéphalopathie d'origine toxico-métabolique avec : • 21.11.2018 Bilan Neuropsychologique : MMS : 20/28, limite = 26/30 normes GRECOGVASC), difficultés langagières (évocation, dénomination ralentie), difficultés gnosiques (discriminatives), difficultés en mémoire antérograde, difficultés exécutives (inhibition, programmation, abstraction). Trouble de déficit de l'attention (TDAH), sous traitement de Strattera. Trouble de déglutition sur probable ingestion d'arête de poisson le 22.12.2018. Trouble de l'équilibre Trouble de la cicatrisation sur statut post ablation lipome sinus tarsien pied droit le 02.11.2018. Trouble de la conscience Trouble de la conscience avec myosis sur probable phase post-critique lors d'une crise épileptique le 02.11.2018 : • Suspicion d'état de mal épileptique inaugural provoqué le 26.10.2018 • Introduction Keppra 500 mg 2x/j Leucocytose avec état fébrile d'origine indéterminée le 02.11.2018 Dans un contexte de suspicion d'état de mal épileptique Hypokaliémies dans le contexte de l'insuffisance rénale chronique puis aiguë avec introduction du diurétique thiazidique le 06.11.2018 Cardiopathie hypertensive, valvulaire et dysrythmique : • Suivi par Dr. X • Fibrillation auriculaire anticoagulée par Eliquis • Echocardiographie transthoracique 04/2018 : fraction d'éjection ventriculaire gauche à 60% • Echocardiographie transthoracique 15.11.18 (Dr. X) rapport oral : distension importante des deux oreillettes, fraction d'éjection ventriculaire gauche toujours à 60% Décompensation cardiaque globale le 05.11.2018 : • Importants oedèmes des membres inférieurs bilatéraux, râles crépitants en base droite sans oedème pulmonaire aigu • Diagnostic différentiel étiologique : syndrome inflammatoire d'origine indéterminée le 02.11.18, éventuel pic hypertensif sur douleurs dans le contexte de chute sur probable crise d'épilepsie le 02.11.18 (cf ci-dessous) • Avec cardiopathie hypertensive, valvulaire et dysrythmique (FA) avec une fraction d'éjection ventriculaire gauche à 60% (ETT 11.2018) Diabète type 2 insulino-requérant Insuffisance rénale chronique Démence débutante multifactorielle (vasculaire, dépression, neurodégénérative) : • IRM en juin 2014 : atrophie cérébrale • MMSE le 07.11.2018 : 23/30, atteinte cognitive légère Troubles de la marche et chutes récidivantes avec : • Polyneuropathie post-traumatique • Coxarthrose et arthrose de l'artère ilio-sacrale bilatérale • Maladie de Scheuermann à la jonction thoraco-lombaire • Spondylarthrose L4-L5, antélythésis L4-L5 Arthrite chronique d'origine probablement mixte, sous Allopurinol Anémie normochrome, normocytaire d'origine multifactorielle depuis 2014 Insuffisance rénale chronique, cirrhose Syndrome myéloprolifératif de type thrombocytose essentielle diagnostiqué en novembre 2009 : • Suivi par le Dr. X • Biopsie médullaire du 11.11.2009 (pathologie CHUV Lausanne H0915524) : moelle osseuse tri-linéaire légèrement hypercellulaire avec hyperplasie de la série mégacaryocytaire évoquant la possibilité d'un syndrome myéloprolifératif débutant ; JAK-2 négatif Trouble de la conscience avec myosis sur probable phase post-critique sur crise épileptique le 02.11.2018 • Suspicion d'état de mal épileptique inaugural provoqué le 26.10.2018 • Introduction Keppra 500 mg 2x/j Trouble de la crase, avec : • TP 57%, INR 1.3 Trouble de la crase avec TP spontané à 41 le 4.12.2018 Trouble de la crase avec/sur : • Cirrhose éthylique CHILD C (10 points) le 27.09.2016. • Labo le 26.07.2018 : LDH à 590 U/I, transaminases dans la norme, thrombopénie à 139 g/L, légère cholestase et hyperbilirubinémie, • INR spontanément élevé à 1.2 avec un TP à 67% le 25.09.2018 Trouble de la crase dans contexte septique le 22.12.2018 Trouble de la déglutition avec : • fausse route (eau). Trouble de la déglutition modéré dans un contexte de maladie de Parkinson Trouble de la déglutition post-intubation depuis le 23.11.2018 Trouble de la déglutition sur cancer de l'œsophage Trouble de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle, avec : • Schellong positif en 2017 • ostéoporose fractuaire (DEXA 2009) • s/p fracture L4 • hypovitaminose D 63 mmol/l le 11.12.2018 • échec d'Alendronate en 2009, essai de Bonviva en 2010, sous Prolia depuis 12/2017 • consommation d'alcool chronique (2.2 %o en 03/2018) • hématome sous-dural bilatéral fronto-pariétal chronique (CT cérébral en 03/2018) Trouble de la marche et de l'équilibre dans le cadre d'un syndrome de Guillain-Barré (premier diagnostic fin septembre 2018) • Clinique à l'entrée : parésie aux membres supérieurs, prédominante à gauche avec une chute de la main à l'épreuve des bras tendus, préhension diminuée, prédominante à gauche. Sensibilité superficielle diminuée aux 2 mains. Parésie aux membres inférieurs, avec Mingazzini impossible pour le patient. Boiterie du genou gauche avec recurvatum à la marche. La marche sur les talons, la pointe des pieds et en funambule n'est pas possible pour le patient. Hypo-sensibilité superficielle en chaussettes, mais préservation de la sensibilité profonde. • Évaluation de la sensibilité profonde dans l'évolution, le 26.11.2018 : légers troubles de la pallesthésie au membre supérieur gauche, sans perturbation du sens de la position. Troubles de la pallesthésie plus marqués au niveau des membres inférieurs, légèrement plus marqués au membre inférieur droit. Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • déconditionnement musculaire, douleur m. quadriceps post-traumatique, probable polyneuropathie débutante des membres inférieurs d'origine éthylique avec • chute le 12.11.18 d'origine mécanique Trouble de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • Implantation d'une prothèse inversée à l'épaule D suite à une omarthrose avancée (OP le 24.05.2018) • Maladie de Parkinson Trouble de la marche et troubles cognitifs nouveaux Trouble de la mobilité d'origine multifactorielle : • Implantation d'une prothèse totale inversée de l'épaule gauche avec greffe osseuse sur la glène (Affinis inverse 9.125, glénosphère 39) le 12.11.2018 pour luxation gléno-humérale antérieure invétérée de l'épaule gauche avec fracture de la glène antéro-inférieure • Polyarthrose avancée avec : - status post infiltration de la sacro-iliaque à gauche le 11.10.2018 - coxarthrose bilatérale - arthrose facettaire et ostéophytose de la colonne lombo-sacrée - status post prothèse totale de genou à gauche en 2009 Trouble de la personnalité avec symptômes paranoïdes et risque hétéro-agressif élevé le 22.12.2018. Trouble de la personnalité borderline avec hospitalisations multiples à Marsens (AI 100% depuis 2006) Cirrhose d'origine éthylique/HCV CHILD C (10 points) / MELD 12 points le 10.12.2018 avec : • diagnostic en 01.2016 • varices oesophagiennes grade II-III (2016) • décompensation ascitique en 01.2016 et 10.2018 Trouble de la personnalité borderline avec hospitalisations multiples à Marsens (AI 100% depuis 2006) Cirrhose d'origine éthylique/HCV CHILD C (10 points) / MELD 12 points le 10.12.2018 avec : • diagnostic en 01.2016 • varices oesophagiennes grade II-III (2016) • décompensation ascitique en 01.2016 et 10.2018 Trouble de la personnalité, borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques genou D le 03.09.2018 • chez Mme. Y s/p arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X) • chez Mme. Y avec pathologie psychiatrique rendant suivi ambulatoire difficile (manque beaucoup de RDV) Trouble de la personnalité, borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques genou D le 03.09.2018 • chez Mme. Y s/p arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X) • chez Mme. Y avec pathologie psychiatrique rendant suivi ambulatoire difficile (manque beaucoup de RDV) Trouble de la personnalité borderline Cirrhose CHILD C d'origine alcoolique et virale Hépatite C chronique Trouble de la personnalité de type borderline avec : • hétéro-agressivité • idées suicidaires Trouble dépressif. Syndrome de dépendance à l'alcool. Trouble de la personnalité de type borderline avec auto-mutilations et intoxications médicamenteuses à répétition Hypothyroïdie substituée Obésité Bypass gastrique 2016 Trouble de la personnalité de type borderline Polyarthrite rhumatoïde séronégative anti-CCP négative. • Méthotrexate 20 mg sc 1x/semaine depuis janvier 2005. • Salazopyrine, Chloroquine Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle essentielle. • diabète non insulino-requérant suite à un diabète gestationnel en 1999. • dyslipidémie. • obésité morbide (IMC 55 kg/m2). • syndrome d'apnée obstructive du sommeil sous CPAP depuis juin 2012. Insuffisance veineuse Kyste de Baker genou gauche. Migraines. Trouble de la personnalité dépendant. Trouble de la personnalité émotionnellement labile. Suivi par Dr. X 1x/semaine (pédopsychiatre). Hospitalisations à Marsens par le passé. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation de dérivés du cannabis F12 (actuellement abstinent depuis environ 10 jours) Trouble de la personnalité non spécifié Trouble de la personnalité, type borderline, en foyer à Marsens depuis avril 2018. Trouble de l'adaptation avec réaction dépressive et multiples hospitalisations à Marsens, plusieurs antécédents de tentamen. État anxio-dépressif avec idées suicidaires actives. Obésité grade II selon l'OMS BMI 38.8 kg/m2. Douleurs chroniques genou droit le 03.09.2018. • status post arthroscopie pour lésion méniscale le 11.07.2018 (Dr. X). • pathologie psychiatrique rendant le suivi ambulatoire difficile (manque beaucoup de rendez-vous). Trouble de la repolarisation asymptomatique avec NSTEMI exclu le 08.12.2018. DD : angor? Trouble de la repolarisation le 08.12.2018 • NSTEMI exclu (cinétique troponines négatives) • DD : angor Trouble de la sensibilité du MID. Trouble de la thermorégulation de la prématurité. Trouble de la vision. Trouble de l'adaptation dans un contexte de licenciement, le 20.12.2018. Trouble de l'anxiété. Trouble de l'attention et hyperactivité avec : • idéations suicidaires. Trouble de l'audition sur suspicion d'otite mycotique. Trouble de l'élocution aiguë. Trouble de l'endormissement. Trouble de l'équilibre avec ataxie cérébelleuse sur probable AVC cérébelleux gauche d'origine indéterminée en juillet 2018 • Consultation ORL le 09.08.2018 : pas d'argument pour une atteinte périphérique • IRM cérébrale le 30.10.2018 : AVC séquellaire cérébelleux gauche confirmé Trouble de l'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle : • OH chronique • malnutrition • polyneuropathie DD : encéphalopathie hépatique. Trouble de l'état de conscience. Trouble de l'état de conscience avec GCS 3 sur tentamen médicamenteux le 16.12.2018 : • consommation de Dafalgan, Tramal, Surmontil • contexte de récidive tumorale ORL avec Panendoscopie + biopsie + PEG le 17.12.2018 à Inselspital (famille probablement pas au courant) Trouble de l'état de conscience dans un contexte d'alcoolisation aiguë avec possible intoxication médicamenteuse. • alcoolémie à 2.65 o/oo. Trouble de l'état de conscience d'origine peu claire le 140.07.2016. DD : AIT, état confusionnel, hypoperfusion cérébrale sur troubles du rythme ou crise d'épilepsie peu probable. Status post-embolies pulmonaires centrales à D et lobaires ddc en 2012, sous anticoagulation. Status post-ponte d'une PTH G en 2003. Status post-cystoscopie pour incontinence urinaire en 2003. Status post-foyer du lobe pulmonaire inférieur D avec décompensation d'un asthme en 2002. Status post-ostéosynthèse d'une fracture du tibia D. Status post-ménisectomie du genou D. Status post-cure de descente de vessie. Status post-hystérectomie. Status post APP. Status post cure de varices des MI. Pyélonéphrite aiguë à E. coli en 2012. Status post fracture ouverte de l'extrémité distale du radius G ostéosynthésée en 2009. Status post-changement de PTH G en 2003 pour luxation à répétition d'une PTH posée en 2003. Trouble de l'état de conscience (GCS 13-14) d'origine indéterminée (DD : médicaments sédatifs) le 28.11.2018. Trouble de l'état de conscience (GCS 13-14) d'origine mixte le 28.11.2018 DD : carbonarcose, médicaments sédatifs. Trouble de l'état de conscience le 04.12.2018, probablement dans le cadre infectieux sur pneumonie. • GCS 6. Trouble de l'état de conscience le 16.12.2018 avec : • GCS à 7/15 • contexte d'injection de Dormicum. Trouble de l'état de conscience nouveau atraumatique le 01.12.2018 avec sentiment de dépersonnalisation, ralentissement, chute transitoire de la commissure labiale G. DD : trouble de conversion, AIT, encéphalite à NDMA. Burn-out en 2015. Trouble de l'état de conscience probablement dans le contexte de pneumonie basale droite. Trouble de l'état de conscience sur abus de substances toxiques le 22.12.2018 avec : • alcoolémie à 0.8 pour mille. • Benzodiazépine positif. • THC positif. Trouble de l'état de conscience sur alcoolisation aiguë et médicamenteux. Trouble de l'état de conscience sur intoxication alcoolique. Trouble de l'état de conscience transitoire d'origine indéterminée le 25.12.2018 • S/p opération au niveau maxillaire le 17.12.2018 en Hongrie avec antibiothérapie par Co-Amoxicilline du 17 au 25.12.2018 • NIHSS : 0 points. DD : étiologie médicamenteuse (Co-Amoxicilline), dans un contexte anxieux. Trouble de l'état de conscience transitoire le 15.12.2018 DD : absence, arythmie cardiaque, avec : • NIHSS 0 • facteurs de risque cardio-vasculaires : ancien tabagisme à 30 UPA, s/p AVC ischémique en 2016, suspicion d'hypertension artérielle, hypercholestérolémie, pas de diabète, surpoids pondéral. Trouble de l'humeur. Trouble de l'humeur (bipolaire). Syndrome métabolique avec : • hypertension artérielle essentielle. • diabète non insulino-requérant suite à un diabète gestationnel en 1999. • dyslipidémie. • obésité morbide (IMC 55 kg/m2). • syndrome d'apnée obstructive du sommeil sous CPAP depuis juin 2012. Polyarthrite rhumatoïde séronégative anti-CCP négative. • Méthotrexate 20 mg sc 1x/semaine depuis janvier 2005. • Salazopyrine, Chloroquine. Insuffisance veineuse. Kyste de Baker genou gauche. Migraines. Trouble de l'humeur le 19.12.2018. Trouble de sommeil • depuis plusieurs années. Trouble déficitaire de l'attention. Trouble dépressif. Trouble dépressif avec status post-tentative de suicide en 2013. Trouble anxieux. Abus de substances. Trouble dépressif depuis le décès de son père il y a 2 ans. Trouble dépressif modéré le 13.12.2018 avec : • troubles de l'adaptation. • IRM cérébrale le 30.10.2018 (au CIMF Fribourg) : pas de manifestation de l'échinococcose alvéolaire. Très petit méningiome de la faux postérieur à droite. Pour le reste, IRM cérébrale parfaitement normale. Trouble dépressif réactionnel. Trouble dépressif récurrent. Trouble dépressif récurrent avec : By-pass gastrique depuis 2003 environ avec présence d'un corps étranger au niveau abdominal d'origine indéterminée. Trouble dépressif récurrent avec personnalité labile de type borderline. Situation socio-familiale difficile avec antécédents de nombreux conflits/violences. Douleurs ostéo-articulaires axiales chroniques. Hernie hiatale. Kyste de Baker à gauche. Gonalgies chroniques. Gonalgies gauches chroniques d'origine mixte le 21.12.2015 avec : • lésion chondrale du condyle fémoral interne et lésion de la corne postérieure du ménisque interne. • antécédent d'opération du ménisque médial et de plusieurs arthroscopies.• Acutisation des douleurs d'origine psychosomatique chez Mme. Y connue pour un trouble de la personnalité instable. • Incontinence urinaire à l'effort. • Trouble dépressif récurrent avec personnalité labile de type borderline. • Situation socio-familiale difficile avec antécédents de nombreux conflits/violences. • Douleurs ostéo-articulaires axiales chroniques. • Hernie hiatale. • Kyste de Baker à gauche. • Gonalgies chroniques. • Gonalgies gauches chroniques d'origine mixte le 21.12.2015 avec: • Lésion chondrale du condyle fémoral interne et lésion de la corne postérieure du ménisque interne. • Antécédent d'opération du ménisque médial et de plusieurs arthroscopies (Mme. Y suivie par le Dr. X). • Acutisation des douleurs d'origine psychosomatique chez Mme. Y connue pour un trouble de la personnalité instable. • Incontinence urinaire à l'effort. • Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen. • Trouble dépressif récurrent, épisode actuel moyen • Sous Escitalopram 10 mg récemment arrêté par Mme. Y (Mme. Y peu compliante, oublie souvent de prendre sa médication car alcoolisée). • Pas de suivi psychologique ou psychiatrique actuellement. • Trouble dépressif récurrent, épisode actuel sévère. • Trouble dépressif récurrent sévère et personnalité de type psychotique à trait dépendant, avec hospitalisations à Marsens en 2001, 2000 et 1997. • Syndrome de dyskinésie de type chorée depuis l'enfance. • Trouble cognitif (MMS 20/30, test de la montre 0/7, MOCA 13/30). • État d'anxiété généralisé avec crises de panique (Dr. X). • Hernie hiatale axiale avec reflux gastro-oesophagien chronique et gastropathie réactive sur reflux biliaire. • Presbyacousie bilatérale avec acouphènes (4000 Hz). • Stéatose hépatique (US en 2000, CT en 2014). • Consommation alcoolique à risque. • Hyperplasie bénigne de la prostate avec résection trans-urétrale le 26.06.2018 (Dr. X). • Hypersialorrhée d'origine médicamenteuse. • Trouble dépressif récurrent: • Suivi par psychiatre. • Tendinopathie calcifiante de l'épaule D: • Opérée en 2017 et juin 2018. • Trouble dépressif sous Citalopram et Depakine. • Trouble dépressif traité par Citalopram. • Trouble dépressif. • Hypertension artérielle. • Tabagisme actif. • Dépendance aux opiacés et aux benzodiazépines. • Trouble dépressif. • Schizophrénie. • Tabagisme actif. • Hyperkératose importante des deux pieds. • Suite en podologie. • Trouble du comportement avec agressivité. • Trouble du comportement avec hétéro-agressivité et situation à domicile impossible: • DD: post-résection glioblastome frontale, progression oncologique, saignement, sous corticothérapie, trouble de l'adaptation. • Trouble du comportement et des émotions. • Trouble du rythme. • Trouble du rythme cardiaque. • Trouble du rythme sur extrasystole ventriculaire le 28.12.2018. • Trouble du rythme type AVNRT le 31.12.18. • Trouble du spectre autistique. • Retard mental. • Épilepsie (stable sous traitement, suivi neurologique). • Canal lombaire étroit traité par Fentanyl patch. • Probable syndrome malin des neuroleptiques sur prise de clozapine. • Trouble électrolytique avec hyperkaliémie à 6.4 mmol/l le 12.11.2018, résolue le 13.11.2018: • DD: hyperkaliémie sur hémolyse. • Trouble envahissant du développement, sans précision F84.9. • Trouble état de conscience. • Trouble mictionnel sur HBPN le 13.12.2018. • Trouble mictionnel sur probable hyperplasie bénigne de la prostate le 13.12.2018. • Trouble mixte des conduites et émotionnels. • Trouble modéré de la déglutition dans un contexte de maladie de Parkinson. • Trouble neurocognitif majeur probablement d'origine mixte (vasculaire, neurodégénérative et possible maladie de Parkinson, SMD) avec: • Des difficultés dans les fonctions exécutives tant sur le plan cognitif (programmation motrice, inhibition, abstraction, flexibilité et incitation) et sur le plan du comportement (anosognosie, impulsivité, comportement d'utilisation), • Un syndrome de négligence gauche (évalué au niveau de l'espace péri-personnel), • Des difficultés attentionnelles (ralentissement, distractibilité), • Des troubles praxiques (idéomoteurs et constructifs), • Des troubles gnosiques (discriminatifs et associatifs), • Des difficultés de calcul. • IRM cérébrale (20.09.18): importante leuco-encéphalopathie et une atrophie de la corne temporale D. • Examen neuropsychologique (01.10.18): aggravation des difficultés, notamment au niveau des fonctions exécutives, attentionnelles et instrumentales (en comparaison à la dernière évaluation réalisée en 2009). • Trouble neurologique focal d'origine probablement fonctionnelle le 22.12.2018. • Hémisyndrome sensitif gauche récidivant le 23.12.2018. • Trouble oppositionnel avec provocation, troubles du comportement, troubles mentaux liés à la consommation de dérivés du cannabis. • Trouble psychotique (suivi par Dr. X à Villars-Sur-Glâne). • Syndrome d'apnées obstructives du sommeil, sous CPAP (6-14). • Trouble schizo-affectif avec comportements à risque et possible tentamen médicamenteux dans un contexte de toxicomanie. • Éthylisation aiguë avec notion d'ingestion de médicaments (quantité inconnue de son traitement) le 08.12.2018 vers 16:15 heures. • Alcoolémie à 1.5 pour mille. • Trouble schizo-affectif avec: • Multiples décompensations dépressives. • Tentatives de différents neuroleptiques. • Tentamen médicamenteux en 2016. • Trouble schizo-affectif (28 hospitalisations à Marsens, 12.2018). • Trouble schizophrénique. • Hépatite C chronique, Génotype 1A. • Polytoxicomanie. • Trouble sensitif facio-brachio-crural G, associé à des céphalées fronto-temporales D, fluctuant dans le temps d'origine indéterminée. • DD: Migraine avec aura atypique, trouble d'origine fonctionnelle. • NIHSS à 1 à l'arrivée aux urgences, NIHSS à 24h à 0, NIHSS de sortie à 0. • Trouble sensitif transitoire d'origine indéterminée le 13.06.2016: • Sensitif strict, sans déficit sensitif précis objectivable à l'examen clinique. • Spontanément résolutif aux urgences sans traitement. • Angine probablement virale le 25.05.2018. • Hernie inguinale D opérée dans l'enfance. • Probable atteinte du LCI genou droit, avec suspicion d'atteinte du ménisque interne, le 20.09.2018. • Trouble sensitivo-moteur facio-brachial D transitoire le 03.12.2018. • DD épilepsie. • Trouble sensitivo-moteur facio-brachial gauche transitoire d'étiologie probablement comitiale le 01.12.2018. • Trouble sensitivo-moteur G. • Trouble sensitivo-moteur gauche. • Trouble visuel. • Trouble visuel atypique spontanément régressif, d'origine indéterminée le 21.03.2016. Trouble visuel de l'œil gauche avec céphalées. Troubles alimentaires. Troubles alimentaires sous Sertraline. Troubles amnésiques DD démence débutante • Bilan neurologique et imagerie proposés lors de la dernière hospitalisation à Fribourg en juin 2018. Troubles anxieux. Troubles anxieux. Troubles anxieux connu • Lexotanil à domicile. Troubles anxieux et de l'adaptation, avec : • situation familiale chargée • suicide du père il y a 20 ans • GDS 3/15 le 29.11.2018. Troubles anxieux sévères. Troubles anxieux. Extrasystolie ventriculaire. Troubles anxieux. Lombalgies non déficitaires. Maladie coronarienne monotronculaire avec : • NSTEMI inférieur le 24.12.2014, avec pose de 2 stents nus sur la coronaire droite le 26.12.2014 par Dr. X. • FEVG à 65 % le 16.02.2016. Syndrome d'emphysème et de fibrose pulmonaires combinés modéré (CPFE) avec : • status post-exacerbation le 06.12.2016. Troubles anxieux. Paresthésies du bras gauche d'origine indéterminée DD central, périphérique • Avis neurologique • IRM cérébro-cervicale avec vaisseaux pré-cérébraux en ambulatoire. Dyslipidémie • Début de traitement recommandé. Troubles anxieux Paresthésies du bras gauche d'origine indéterminée en 2012. Appendicectomie. Amygdalectomie. Troubles anxio-dépressifs. Troubles anxio-dépressifs. Troubles anxio-dépressifs. Troubles anxiodépressifs chroniques. Troubles anxio-dépressifs chroniques sévères suite au décès de son époux en 2013 : • suivi psychiatrique Dr. X, les Toises • multiples hospitalisations à l'hôpital de Marsens en psychiatrie et en France (St-Anne) • tic verbal sous forme d'aboiement. Syndrome d'insomnie chronique, DD : syndrome de fatigue chronique ? • actigraphie 06.03.2017 (Inselspital Berne) • laboratoire du sommeil le 16.03.2017 : Inselspital insuffisance sommeil avec phase de sommeil profond fortement réduite sur Diagnostic différentiel : troubles anxio-dépressifs, organique. Méningiome bénin avec refus d'opération par la patiente. • Vd.a. méningiome dans la région de la fosse postérieure (1,8x1,6x1,8 cm) (IRM 1/2017, Inselspital Bern). Hypertension artérielle traitée. Ostéopénie de la colonne vertébrale le 28.02.2017. Carence légère en vitamine D de 61 nmol /2/2017 • substitution par du Calcimagon. Troubles anxio-dépressifs • Diagnostic en juin 2018, dans le cadre de son AVC. • Intolérance au Venlafaxin (aggravation des vertiges). Troubles anxio-dépressifs traités. Tabagisme actif. Asthme non traité avec : • crise d'asthme stade II le 05.07.2012, 25.06.2016 (dans le contexte d'infection pulmonaire), 15.05.2017 modéré. Troubles anxio-dépressifs 10.12.2018 : • status post épisode dépressif modéré le 20.06.2018. Troubles attentionnels dans le contexte d'une hyperactivité (anamnestique, selon patiente). Troubles bipolaires avec : • épisode dépressif moyen le 03.12.2018 • idéation suicidaire le 03.12.2018. Troubles bipolaires. Troubles bipolaires. Troubles bipolaires avec décompensation psychotique et hospitalisation à Marsens. Diverticulose sigmoïdienne. Oesophagite de reflux. Hypercholestérolémie. Cyphoscoliose dorsale. Hypertension artérielle. Troubles bipolaires avec status post-hospitalisation à Marsens en janvier 2010. Diabète gestationnel insulino-requérant (Insulatard 14 U le soir). Troubles bipolaires. Reflux gastro-œsophagien. Constipation, DD : maladie coeliaque. Troubles bipolaires. Reflux gastro-œsophagien. Constipation, DD : maladie coeliaque. Troubles bipolaires traités par Lamotrigine depuis 7 ans avec : • 5 tentatives médicamenteuses (dernier 02.03.2016) • suivi ambulatoire par Dr. X. Trouble de la personnalité émotionnellement labile de type Borderline. Infertilité secondaire d'origine féminine sur ligature tubaire en 2005. Mutation facteur V Leiden. Troubles borderline. Maladie de Verneuil. Kyste ovarien de 36 mm de diamètre. Hémorroïdes de stade II. Troubles cognitifs. Troubles cognitifs. Troubles cognitifs. Troubles cognitifs à domicile avec péjoration rapide depuis hospitalisation. Troubles cognitifs à évaluer en RGER. Contrôle de la fonction rénale. Suivi du poids et adaptation du traitement diurétique. Troubles cognitifs à prédominance mnésique et exécutifs débutants • Suspicion de processus neurodégénératif débutant. Troubles cognitifs avancés sans précision. Troubles cognitifs avec MMS à 20/30 et test de la montre 7/7 le 05.07.2015 • maladie neurodégénérative de type Alzheimer avec dilatation tétra-ventriculaire en évolution • changement de l'Aricept pour de l'Axura le 07.07.2015 • consultation pour une ponction lombaire soustractive le 20.07.2015 • consultation en angiologie sur convocation pour US-doppler des vaisseaux précérébraux • Suivi par Dr. X, RDV le 06.11.2018 • ECA post-opératoire le 21.12.2018. Troubles cognitifs dans un contexte de démence de type mixte à prédominance vasculaire. Troubles cognitifs débutants. Troubles cognitifs débutants • Anamnestiquement baisse de la mémoire à court terme, manque du mot récemment • MMS 24/30, test de l'horloge 0/6, GDS 1/15 le 25.01.2018. Troubles cognitifs débutants. Troubles de la mémoire rapportés par la patiente et sa famille. MMS : 26/30, Clock test 5/6, MMS-Clock test : 7/9, GDS : 13/15. Troubles cognitifs d'origine indéterminée. Troubles cognitifs indéterminés. MOCA 17/30 (06.12.18). Troubles cognitifs légers à modérés • OH chronique. Troubles cognitifs légers le 20.12.2018. Troubles cognitifs sévères et absence de capacité de discernement sur : • syndrome de dépendance à l'alcool, évaluation neuro-psychologique en 2016 • institutionnalisation à la Maison Bourgeoisiale de Bulle. Troubles cognitifs sous-jacents non investigués. Troubles cognitifs sur micro-angiopathie cérébrale • MMS 14/30; test de la montre 3/6 le 05.02.2013 • IRM cérébrale du 22.02.2013 : atrophie cortico-sous-corticale avec de nombreuses lésions de la substance blanche, ces lésions doivent correspondre à des altérations dégénératives vasculaires • CT 14.11.2016 : pas de signes d'AVC ischémique aigu et pas d'hémorragie intracrânienne, séquelles d'un ancien AVC sylvien à gauche • échec de maintien à domicile (retour à domicile le 22.12.16) et placement au home des Bonnesfontaines. Troubles de comportement. Troubles de conversion avec pseudo-crise tonico-clonique le 01.12.2018 • 5 mg de dormicum intranasal donné par les ambulanciers. Troubles de déglutition dans le contexte d'encéphalite le 27.09.2018 • dans un contexte de dénutrition protéino-énergétique de longue durée (depuis le décès de son épouse en 2013) • Nutrition entérale du 30.09 au 09.10.2018 • Bilan diététique le 12.10.2018 : patient couvre 40 % des besoins. SNG refusée par la patiente. • Tests de déglutition. Troubles de la coagulation secondaire à un surdosage en Xarelto. Troubles de la compliance médicamenteuse sans symptomatologie anxieuse ou dépressive franche. Troubles de la conscience sur poly-intoxication le 22.12.2018 (GBL et cristal). Troubles de la crase sur anticoagulation par Sintrom le 28.12.2018 • INR 4.8 le 28.12.2018. Troubles de la crase sur hypovitaminose K le 20.10.2018. Troubles de la déglutition. Troubles de la déglutition. Troubles de la déglutition. Troubles de la déglutition avec résidus alimentaires dans la trachée déjà investigués avec : • Bronchoscopie en 2013 : trachée calme sans lésion suspecte. Présence de quelques sécrétions mousseuses, aspirées • Panendoscopie en 2013 : dysphagie lusoria. Bicytopénie avec hémoglobine à 104 g/l et leucocytes à 3.7 G/l le 29.08.2017. Tuberculose à l'âge de 7 ans avec implication osseuse. Status post PTH gauche en 2008. Status post PTH droite Status post PTG gauche Status post cure tunnel carpien à droite Status post aphtose buccale auto-immune Status post TB hanche gauche en 2000 Thyroïdectomie en 2013 État confusionnel aigu le 10.03.2018 Troubles de la déglutition et inappétence probablement sur une progression tumorale avec • baisse de l'état général Troubles de la déglutition importants dans le contexte d'encéphalite Troubles de la déglutition • Status post diverticule de Zenker symptomatique • Cure de diverticule par voie endoscopique par pince GIA et laser CO2 le 18.03.2013 (Dr. X) Troubles de la marche avec chute le 26.12.2018 • Avec TCC simple le 25.12.2018 Origine probablement mixte, DD: • Sur polyneuropathie induite par chimiothérapie de Xeloda/Tremodal (débutée le 17.12.2018) • Sur sarcopénie • Sur péjoration des douleurs du rachis • Sur hypotension orthostatique anamnestique • Pas d'argument pour compression moelle épinière Troubles de la marche avec chutes à répétition dans le contexte de : • maladie de Parkinson • déficit vitaminique • malnutrition protéino-énergétique • test cognitif fait le 16.08.2017 : MMSE : 26/30, Test de la montre : 5/7, GDS : 9/15 Troubles de la marche d'origine probablement multifactorielle (polyneuropathie, sarcopénie) Troubles de la marche • contexte de syndrome de la queue de cheval en 2016 avec parésie des muscles releveurs des pieds résiduelles • polyneuropathie sur traitement de Thalidomide Troubles de la marche d'origine multifactorielle : • Cardiopathie valvulaire et rythmique • Troubles cognitifs • Trouble anxio-dépressif • Malnutrition protéino-énergétique modérée Troubles de la marche d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Fracture branche ilio et ischio-pubienne droite après une chute mécanique le 07.10.2018 • S/p Fracture non déplacée du grand trochanter à gauche après une chute le 03.01.2018 • S/p Fracture non déplacée du grand trochanter à droite après une chute le 06.11.2017 • Trouble de la vision non exploré • Malnutrition protéino-énergétique grave • RX bassin (15.11.2018) : pas de déplacement secondaire Troubles de la marche et chutes à répétition d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute accidentelle de sa hauteur le 26.12.2018 avec : • s/p vertebroplastie L5 le 12.12.2018 pour fracture tassement spontanée. • Nouvelle fracture tassement L4 avec recul mur postérieur de 5 mm le 26.12.2018 • Fracture arc vertébral L5 D avec fragment déplacé antérieurement touchant la racine L5 D le 26.12.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute le 26.12.2018 avec : • TCC simple le 25.12.2018 Origine probablement mixte DD : • Sur polyneuropathie induite par chimiothérapie de Xeloda/Tremodal (débutée le 17.12.2018) • Sur sarcopénie • Sur péjoration des douleurs du rachis • Pas d'argument pour compression moelle épinière Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes. Troubles de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle : • Polymédication • Cardiopathie • Multiples tassements vertébraux anciens • Sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre avec rétropulsion Troubles de la marche et de l'équilibre, avec : • s/p chute mécanique de sa hauteur avec TC le 13.11.2018 • s/p chute mécanique avec fracture iliopubienne D en 05/2018 • s/p fracture ischio- et iliopubiennes D en 2015 • ostéoporose manifeste avec s/p fractures-tassements L2 et L4 • consommation chronique de benzodiazépines • polyneuropathie des MI (DD diabétique, éthylique) Troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de chute avec traumatisme crânien le 21.11.2018 sur : • Maladie d'Alzheimer • Hypotension orthostatique • Suspicion d'accident ischémique transitoire le 20.11.2018 • Carence vitaminique Troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de chute le 03.11.2018 sur : • Rupture du tendon quadricipital le 01.11.2018 • Entorse de cheville gauche le 01.11.2018 • Anémie • Carence en vitamines • Malnutrition protéino-énergétique légère Troubles de la marche et de l'équilibre dans un contexte de sepsis sévère sur foyer basale gauche avec : • Facteurs de risque de chute : • Sarcopénie sur dénutrition sévère et déconditionnement • Carence vitaminique • Mélanome malin de primitif indéterminé classé cTx cN0 cM1 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine mixte avec : • Cystectomie pour carcinome papillaire en septembre 2018 • Malnutrition protéino-énergétique grave avec troubles électrolytiques • Hypovitaminose D • Anémie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • AVC ischémique fronto-pariétal à gauche de siège cortico-sous-cortical le 01.11.2018 • Anémie • Troubles cognitifs • Hypovitaminose B9 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Fixation percutanée de fracture disco-ligamentaire D9/10 en cadre Diag. 1 le 19.01.2018 • Déficit vitaminique substitué • Malnutrition protéino-énergétique légère • Neuropathie diabétique des membres inférieurs (pallesthésie à 5/8) • Coxarthrose droite Troubles cognitifs sévères avec : • MMSE à 13/30 et comportement de type frontal Diabète de type 2 insulino-dépendant, avec hémoglobine glyquée à 6.5% le 18.01.2018 Hypertension artérielle traitée. Ergométrie et coronarographie en 2010 pour douleurs thoraciques atypiques, avec : • Fraction d'éjection ventriculaire gauche à 66% • Artères coronaires saines • Arythmies ventriculaires complexes à l'effort Syndrome du tunnel carpien gauche suivi par le Dr. X en décembre 2017 : • Opération chirurgicale prévue pour avril 2018 Coxarthrose droite. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Troubles cognitifs subaigus sur hématome subaigu paramédian thalamique gauche en résolution • Dysphorie avec labilité émotionnelle et hétéro-agressivité verbale, dysesthésie du membre inférieur droit • Status après ostéosynthèse de la malléole externe droite • Goutte • État anxio-dépressif Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • coxarthrose bilatérale • dénutrition. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : déconditionnement global, polyneuropathie périphérique, AVC ischémique médio-temporal G. • Rollator Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • état infectieux • sonde urinaire • malnutrition • schizophrénie paranoïde chronique • importante scoliose thoraco-lombaire à convexité droite • ostéochondrose L4-L5. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Facteurs de risque de chute : • Status après colectomie avec alitement prolongé • Hypovitaminose B9 et D • Anémie • Status après AVC ischémique aigu sylvien droit Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Fracture L5 • Hépatopathie chronique CHILD B • Épilepsie • Sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Gastro-entérite à Norovirus • Anémie • Adénocarcinome de la prostate • Malnutrition protéino-énergétique modérée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Plaie pied gauche • Fibrillation auriculaire • Malnutrition protéino-énergétique légèreAnémie • Troubles cognitifs • Corticothérapie pour polyarthrite rhumatoïde • Status après amputation du membre inférieur droit en 2009 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Prothèse totale du genou droit • Problème d'oreille interne (connu) • Déshydratation • Hypoacousie • Anémie • Troubles cognitifs • Hypovitaminose B9 et B12 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Spondylarthrose sévère • Petite hernie de type extrusion L5-S1 paramédiane gauche • Scoliose à convexité gauche centrée sur L3-L4 avec discopathie sévère de L3-S1 • Ostéoporose fracturaire Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • troubles cognitifs • arthrose • ostéoporose fracturaire avec tassements vertébraux T6, T12, L1, L3 • scoliose dorso-lombaire • status post-fracture du bassin non datée • status post-arthroplastie totale de la hanche droite par voie minimalement invasive en 2007 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec : • Facteurs de risque de chutes : polymédication, adénocarcinome de la prostate Gleason 9 (5+4) cT4 cN1 cM0, parésie du membre supérieur droit, diplopie secondaire à une parésie VI gauche Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • chutes récidivantes • hémorragie sous-arachnoïdienne frontale gauche et pariétale droite le 28.11.2018 dans un contexte d'angiopathie amyloïde • vit B12 et folates dans la norme le 20.12.2018, vit B1 en cours (externe) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec : • Facteurs de risque de chute : • troubles cognitifs • déficit vitaminique • état inflammatoire • tassement L2 L5 Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • polyneuropathie périphérique d'origine diabétique • artériopathie des membres inférieurs de stade II (juillet 2017) avec ulcères des membres inférieurs bilatéraux • status post-amputation O1 pied D en 2010 • escarre talonnière en aggravation compliquée par une ostéomyélite du calcanéum gauche en avril 2014 • réinsertion du tendon du quadriceps transpatellaire et réinsertion de l'aileron interne et externe de la rotule gauche en août 2012 • status post-fracture de rotule gauche en 2018. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • traumatisme crânio-cérébral à répétition (2000, 2017) • omarthrose bilatérale • obésité stade III • status après implantation de prothèses totales des genoux bilatérales et prothèses des hanches bilatérales • troubles cognitifs modérés • hypovitaminose D Obésité avec un indice de masse corporelle à 47.5 kg/m² Hypertension artérielle Canal lombaire étroit Ptose palpébrale gauche congénitale Occlusion de l'artère tibiale postérieure des deux côtés Insuffisance rénale chronique Troubles cognitifs légers Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • traumatisme crânio-cérébral à répétition (2000, 2017) • omarthrose bilatérale • obésité stade III • status après prothèse totale des genoux bilatérales et prothèse de hanche bilatérale • troubles cognitifs modérés • hypovitaminose D Obésité avec un indice de masse corporelle à 47.5 kg/m² Hypertension artérielle Canal lombaire étroit Ptose palpébrale gauche congénitale Occlusion de l'artère tibiale postérieure des deux côtés Insuffisance rénale chronique Troubles cognitifs légers Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec : • traumatismes crânio-cérébraux à répétition (2000, 2017, 2018) • omarthrose bilatérale • obésité stade III • status après mise en place de prothèses totales des genoux et prothèses de hanches bilatérales • troubles cognitifs modérés • hypovitaminose D Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute accidentelle sur faiblesse des membres inférieurs le 22.12.2018 avec • orthostatisme • artériopathie des membres inférieurs (ischémie critique du membre inférieur gauche avec occlusion de l'artère fémorale superficielle sur toute sa longueur et atteinte jambière sur probable artériopathie au long cours) • sténose aortique (refus d'une prise en charge chirurgicale par la patiente) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chute dans le cadre d'une fracture de la branche ilio et ischio pubienne gauche Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec chute le 29.11.2018 et traumatisme crânien simple sous Sintrom : • déficit de vitamine D, acide folique • anémie normochrome normocytaire chronique Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition : • Facteurs de risque de chutes : • carence vitaminique (acide folique). • dénutrition. • anémie. • hypovitaminose D. • hypotension orthostatique. • contexte infectieux récent. • troubles cognitifs légers. • dépression traitée. • polymédication. • notion de consommation d'alcool à risque, niée par le patient. Cancer urothélial de la vessie pTa G2 de 4 cm de diamètre. • Diagnostic : 11.06.2015. • TURV en 2015 (Dr. X). • Instillations complémentaires de Farmorubicine en 07/2015. • Récidive avec polype 6 mm du trigone droit superficiel en 2016 non réséqué. Insuffisance respiratoire partielle sur pneumonie basale gauche et exacerbation de BPCO stade II le 05.06.2018. Critère Anthonisen 1/3, CURB-65 3 pts (mortalité 14.5%). Broncho-pneumopathie chronique obstructive (stade II). • FPC 2017 (Dr. X) : VEMS 1.37 (55% du prédit), Tiffeneau 56%. • FPC 2007 : réversibilité douteuse au bêta-2-mimétiques. Facteurs de risques cardio-vasculaires : • tabagisme actif à 105 UPA. • hypertension artérielle traitée. Cardiomyopathie dilatée. • ETT 06/2017 (Dr. X) : FEVG 35%, dysfonction diastolique, pas d'HTAP, pas de valvulopathie. • ETT 06/2018 (Dr. X) : FEVG 56%, dysfonction diastolique, pas d'HTAP, pas de valvulopathie. • Entresto jusqu'en 2017, stoppé pour non-amélioration clinique. • FA paroxystique anticoagulée en 01/2016, stoppée. Troubles de la repolarisation dans le territoire inférieur nouveaux à l'ECG le 05.06.2018. IRC stade KDIGO G3b A1 sur néphropathie hypertensive. • Créatinine habituelle 140 micromol/l. • Cl créat selon MDRD 45 ml/min. • Protéinurie estimée à 0.5 g/24h. Hypotension orthostatique avec syncopes à répétition (6 en 8 ans). Trouble anxio-dépressif avec syndrome de deuil pathologique (décès de son épouse en 2007) traité. Athéromatose carotidienne avec sténose 60% de ACI gauche (duplex des vaisseaux cérébraux du 03.07.2017). Consommation d'alcool à risque, niée par le patient. Soins impossibles à domicile chez un patient avec : • deuil pathologique sans suivi psychiatrique. • polymédication par lexotanil et zolpidem. • domicile insalubre. Avis psychiatrique le 24.09.2018 (Dr. X). Stop zolpidem et lexotanil --> ad zopiclone et distraneurine. Suivi psychogériatrique au CPS. Soins à domicile. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes multiples : • alcoolisme chronique • épilepsie • malvoyance • polyneuropathie des membres inférieurs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec comme facteurs de risque : • polyneuropathie périphérique alcoolique • polymédication • consommation d'alcool à risque • chutes à répétition • obésité stade I selon l'OMS avec indice de masse corporelle à 32.3 kg/m² Troubles de l'adaptation avec humeur dépressive Suspicion d'un syndrome des apnées du sommeil. Syndrome métabolique avec : • obésité stade I selon l'OMS avec indice de masse corporelle à 32.3 kg/m² • hypercholestérolémie traitée • cardiopathie hypertensive et valvulaire. Hypertension artérielle traitée. Tabagisme à 40 unités paquets par an, arrêté il y a 12 ans. Remplacement valvulaire aortique biologique et triple pontage aorto-coronarien (AMIG/IVA, veineux/CD, veineux/Cx), (CHUV) le 12.01.2014, dans le cadre d'une maladie coronarienne tri-tronculaire accompagnée d'un rétrécissement aortique (0.8 cm²) Anévrisme de l'aorte abdominale. Lombalgies sur tassements dans un contexte ostéoporotique probable, au niveau L1 et L3 à L5, non datés. Consommation d'alcool à risque. Trouble de l'adaptation avec humeur dépressive. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec: • dans le cadre du diagnostic principal • s/p évaluation neurologique sans résultat • suspicion d'ostéoporose • syndrome cervical posttraumatique chronique • s/p borréliose en 2010 (anamnestiquement) Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec déconditionnement dans le contexte d'une hospitalisation depuis le 15.11.2018 avec : • Contexte social précaire • Dénutrition protéino-énergétique sévère • Hypovitaminose Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec déconditionnement global sur : • Myélome multiple récemment diagnostiqué • Fracture pathologique avec destruction métastatique de la tête humérale sur myélome multiple le 17.09.2018 • Hypotension orthostatique • Anémie • Polymédication • Surcharge cardiaque • Troubles cognitifs • Surdité appareillée • Tremblement essentiel Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec dernière chute le 21.11.2018 : • Status après traumatisme crânio-cérébral avec hémorragie épidurale pariétale droite, hématomes sous-arachnoïdiens pariétal et occipital droits, et hématome sous-galéal pariéto-temporal et frontal gauche • Facteurs de risque de chute : • Hypovitaminose B9 • Hypotension orthostatique • Status après chute le 21.11.2018 • Status après contusions multiples Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec des chutes à répétition d'origine multifactorielle : • Anémie • Hypotension orthostatique connue Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec risque de chute : • Facteurs de risque de chute : • Vertebra plana récente de D11 en novembre 2018 • Fracture aileron sacré droit non déplacée sur chute accidentelle le 30.07.2017 avec persistance des douleurs • Parkinson sous Madopar • Polyarthrite sous Methotrexate Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • Chutes à répétition • Décompensations cardiaques récidivantes • Goutte • Hernie discale L4/5 • Schellong le 28.05.2018 : négatif • Carence en Vitamine D modérée Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle engendrant des chutes à répétition, avec : • Facteurs de risque de chute : • Sarcopénie • Traitement antihypertenseur • Obésité • Artériopathie oblitérante des membres inférieurs • Cardiopathie ischémique • Hypovitaminose • Hypothyroïdie Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Décompensation cardiaque • Anémie • Hypovitaminose D • Malnutrition protéino-énergétique légère Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle sur : • Maladie d'Alzheimer • Coxarthrose bilatérale • Hypovitaminose D Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle, avec des chutes à répétition : • Facteurs de risque de chutes : • Épilepsie • Hémiparésie droite séquellaire d'accident vasculaire cérébral • Utilisation de moyens auxiliaires • Polymédication • Troubles cognitifs débutants avec bilan cognitif du 12.09.2018 : MMS à 22/30, test de la montre à 2/7 et GDS à 5/15 • État fébrile • Malnutrition Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • malvoyance • dénutrition • carence en vitamine D (à 13 nmol/L) • pas d'argument radiologique ni clinique pour une hydrocéphalie à pression normale Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle : • Diabète mellitus de type 2 • Malvoyance • Œdèmes des membres inférieurs • Arrêt volontaire du traitement cardiologique • Benzodiazépines • Plaies et dermite de stase des membres inférieurs Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes Troubles de la marche et de l'équilibre, facteurs de risque de chute : • Hypovitaminose D • Sarcopénie • Malnutrition protéino-énergétique • Troubles cognitifs Troubles de la marche et de l'équilibre multifactoriels avec : • Facteurs de risque de chute : • Sarcopénie sur dénutrition sévère et déconditionnement • Carence vitaminique • Maladie oncologique Troubles de la marche et de l'équilibre sans chute d'origine multifactoriels : • douleurs lombaires • constipation • malvoyance Troubles de la marche et de l'équilibre sur : • Hypertension artérielle labile • Canal lombaire étroit • Fractures de tassement thoraciques et lombaires sur ostéoporose • Carence en vitamines • Athéromateuse diffuse • Hypotension orthostatique Troubles de la marche et de l'équilibre sur probable sarcopénie Troubles de la marche et de l'équilibre sur probable sarcopénie. Troubles de la marche et de l'équilibre sur probable sarcopénie. Troubles de la marche et d'équilibre avec chute à répétition d'origine multifactorielle : • Tinetti 16 Troubles de la marche et troubles cognitifs nouveaux. Troubles de la marche multifactoriels Dépression Tabagisme sevré en 2011 Troubles du rythme cardiaque, Pacemaker en 2018 Troubles de la marche multifactoriels Dépression Tabagisme sevré en 2011 Troubles du rythme cardiaque, status post-Pacemaker en 2018 Troubles de la marche multifactoriels. Dépression. Tabagisme sevré en 2011. Troubles du rythme cardiaque, status post-Pacemaker en 2018. Troubles de la marche • s/p opération du cerveau à l'âge de 20 ans et instabilité hémicorps gauche résiduelle Troubles de la personnalité de type borderline et trouble dépressif, avec : • plusieurs passages à l'acte, nombreuses hospitalisations à Marsens • suivi psychologique par Mme. Y • réadaptation psychosomatique à la clinique Le Noirmont du 23.10 au 19.11.2017, puis du 13.08 au 02.09.2018 • Consilium psychiatrique le 09.05.2018 (Dr. X) • Taux sérique Trittico (non détecté) et Sycrest (non détecté) le 11.05.2018 : suggèrent une non-adhésion médicamenteuse Troubles de la personnalité type borderline avec plusieurs tentatives médicamenteuses et alcooliques. Migraines. Malnutrition protéino-énergétique modérée. Troubles de la repolarisation à l'ECG (sous-décalage en V6, sus-décalage en V3-V4) le 03.12.2018 avec : • dernier comparatif disponible date de 2011 Troubles de la repolarisation à l'ECG (sous-décalage en V6, sus-décalage en V3-V4) le 03.12.2018 avec : • dernier comparatif disponible date de 2011 Troubles de la sensibilité et faiblesse des 4ème et 5ème doigts à gauche sur status post : Débridement, exploration avec ablation de corps étrangers en regard de la main, du poignet et du coude G, bursectomie, exploration du nerf ulnaire, rinçage le 14.05.2018 pour une plaie profonde sur le membre supérieur G avec des corps étrangers au niveau de la tête du 5ème métacarpe sur la face dorsale, sur le poignet face radiale palmaire, coude ulnaire et latéral avec atteinte de la bourse et multiples dermabrasions sur un AVP du 13.05.2018. Troubles de la statique sur allongement du membre inférieur gauche post mise en place d'une PTH gauche le 09.05.2017 pour coxarthrose gauche (Dr. X). Kyste de Baker genou droit asymptomatique. Troubles de la vigilance d'origine multifactorielle (démence, médicamenteuse, infectieux). Troubles de la vigilance sur accumulation de médicaments psychotropes le 10.12.2018 Troubles de la vision, de l'équilibre et hémiparésie gauche. Troubles de l'adaptation: • en lien avec cancer de l'oesophage avec dysphagie totale • avec composante anxieuse importante • avec perturbations mixtes des émotions (surcharge et sentiment d'insuffisance au travail) et des conduites (forte idéation suicidaire depuis hier avec plan d'action défini puis appel à l'aide). • avec réaction anxieuse au premier plan (F 43.2) A évaluer à distance: • F 41.1 Anxiété généralisée • F 60.7 Personnalité dépendante • Consilium psychiatrique, le 10.12.2018 • Distraneurine 300 mg 3x/24h en réserve si angoisses persistantes ou insomnies • Proposition de suivi ambulatoire au CPS de Fribourg (numéro de téléphone transmis) refusé par Mr. Y. Troubles de l'adaptation de l'enfant et dépassement parental Troubles de l'adaptation (F 43.2) Troubles de l'adaptation massifs avec troubles des conduites majeurs, rupture scolaire Troubles de l'adaptation, réaction mixte, anxieuse et dépressive (chronique) le 26.10.2018. Troubles de l'attention avec hyperactivité Troubles de l'équilibre et de la marche avec chutes à répétition d'origine multifactorielle • lésion ischémique pariétale gauche d'allure ancienne, lésion ischémique fronto-temporelle droite d'allure récente • incontinence urinaire • troubles cognitifs • déconditionnement global DD: hydrocéphalie à pression normale Troubles de l'équilibre Troubles de l'équilibre avec chutes à répétition • Vertiges non-rotatoires sans hypoacousie ni acouphènes • faiblesses musculaires généralisées, augmentation du polygone de sustentation • s/p AVC hémisphérique en 2017 • Absence de lésions cérébelleuses à l'IRM Troubles de l'équilibre (DD: myosite virale, neurodermatite, processus tumoral, arthrite débutante) Troubles de l'équilibre d'origine multifactorielle avec polyneuropathie sensitive des membres inférieurs Troubles de l'équilibre et de la marche avec chutes à répétition d'origine multifactorielle • infection urinaire à répétition • démence mixte vasculaire et dégénérative avancée • malnutrition protéino-énergétique modérée Troubles de l'équilibre et de la marche d'origine mixte • PTH gauche (10.2018) • ancienne fracture astragale pied G avec hypoesthésie pied gauche (2015) Troubles de l'équilibre et de la marche sur consommation d'alcool chronique Tabagisme actif à 85 UPA Hypertension artérielle traitée Insuffisance veineuse chronique stade IV avec dermite ocre Obésité Hernie ombilicale non incarcérée le 12.12.2018 Troubles de l'équilibre et état fébrile Troubles de l'équilibre Hypothyroïdie substituée Troubles de l'état de conscience Troubles de l'état de conscience avec confusion aiguë et amnésie antérograde le 20.11.2018 d'origine indéterminée DD : crise d'épilepsie, abus médicamenteux. Troubles de l'état de conscience avec confusion aiguë et amnésie antérograde le 30.11.2018 d'origine indéterminée Troubles de l'état de conscience avec GSC 4/15 le 10.12.2018 • avec agitation DD sur hypoxémie dans le contexte pneumonie, AVC, encéphalopathie Troubles de l'état de conscience dans un contexte d'intoxication involontaire aux opiacés le 01.12.2018: Troubles de l'état de conscience d'origine indéterminée (coma avec GCS à 7/15) le 16.12.2018 avec: • insuffisance respiratoire globale • acidose respiratoire sur DD: • abus médicamenteux (benzodiazépines + distraneurine retrouvés au domicile) • iatrogène sur excès de sédation au dormicum le 16.12.2018 • infection urinaire basse Troubles de l'état de conscience, douleurs généralisées Troubles de l'état de conscience en péjoration depuis le 28.12.2018 • avec déficit moteur du membre supérieur gauche Troubles de l'état de conscience sur accumulation médicamenteuse (opiacés) le 01.12.2018 Troubles de l'état de conscience sur encéphalopathie hépatique Troubles de l'état de conscience sur encéphalopathie hépatique d'origine mixte: • pneumonie basale droite, hypoglycémie le 13.12.2018, déshydratation • cirrhose hépatique Child B le 14.12.2018 Troubles de l'état de conscience transitoires le 16.12.2018 sur hémorragie sous-arachnoïdienne temporale droite nouvelle et possible crises d'épilepsie dans le contexte d'une encéphalite herpétique DD: • développement d'une encéphalite autoimmune secondaire à l'encéphalite herpétique Troubles de l'humeur et de la personnalité (personnalité borderline, toxicomanie, état anxio-dépresseur vs trouble bipolaire). Troubles de l'humeur et de la personnalité (personnalité borderline, toxicomanie, état anxio-dépressif vs trouble bipolaire). Dépendance à l'alcool. Troubles de marche d'origine multifactorielle: • chute le 09.05.18 avec traumatisme crânien, fracture de l'os nasal et fractures costales sériées (5 à 8 bilatérales) • trouble de la vision • test de Schellong normal en 05.2015, pas d'origine cardiogène retrouvée à l'holter de 06.2015 Cardiopathie rythmique avec décompensation cardiaque sur fibrillation tachycarde rapide en 05.2015 • ETT en 04.2013: FEVG à 69%, dilatation de l'aorte ascendante modérée, insuffisance aortique, mitrale et tricuspidienne minime • CHA2DS2-VASc-Score à 3 points, refus d'une anticoagulation thérapeutique par Mme. Y. • bon rate control sous métoprolol 25mg et digoxine 0.125mg 3x/semaine Insuffisance rénale chronique de stade II/IIIa avec clairance à 51ml/min en 05.2015 Troubles cognitifs légers à modérés d'origine mixte probable (Alzheimer, vasculaire): • 05.2015: MMS à 19/30, test de la montre refusé, MOCA à 20/30 Dénutrition protéino-calorique depuis 2015 Troubles de repolarisation diffus le 16.10.2018 • dans le contexte de la méningo-encéphalite Troubles de déglutition sur probable dé-coordination volontaire dans le contexte de troubles cognitifs post-AVC: • Vidéofluoroscopie le 02.10.2018: Aux liquides, bonne initiation de la déglutition, sans jetage nasal. Bonne élévation du larynx et abaissement de l'épiglotte. Passage passif de produit de contraste resté dans la cavité orale entraînant une stase valléculaire et une stase en amont du sphincter oesophagien supérieur. À ce moment, pénétration laryngée avec épisode de toux satisfaisant. Aux solides et semi-liquides, retard d'initiation de la déglutition avec passage passif du bolus alimentaire dans la cavité pharyngée. Lors de la déglutition, pas de fausse route objectivée. Troubles délirants avec idées délirantes persistantes et insomnie primaire sous Seresta 15 mg depuis octobre 2015. Oeil en verre gauche pour statut post-énucléation traumatique. Hémorroïdes. Troubles dépressifs Troubles dépressifs avec: • épisode modéré à sévère.• trouble de la personnalité de type borderline • consommation d'alcool avec utilisation continue • mutilation de l'avant-bras gauche le 8 septembre et 29 octobre 2013 • hospitalisation à Marsens dans le passé • trois tentatives médicamenteuses par Stilnox, dernier en 2013 • suivi psychiatrique, Dr. X • Témoins de Jehova, ne veut pas de transfusion. • Troubles dépressifs avec manifestations somatiques • Troubles dépressifs récurrents, épisode actuel sévère sans symptôme psychotique : • Décès d'un de ses enfants par suicide • Décès de l'ami suite à un cancer • Pas d'idée suicidaire pour le moment • Troubles dépressifs récurrents • Ostéoporose traitée • Troubles dépressifs récurrents traités (diagnostic depuis les années 1990, sous traitement depuis lors) • Troubles dépressifs. • Syndrome de dépendance à l'alcool chronique. • Hypercholestérolémie. • Troubles d'équilibre • Troubles d'équilibre et de la marche avec risque de la chute d'origine multifactorielle : • Anémie • Carence vitaminique • Maladie d'Alzheimer • Polymédication • Sarcopénie • Troubles d'équilibre et de la marche d'origine multifactorielle : • sarcopénie • lésion genou gauche • cardiopathie • polymédication. • Troubles des conduites avec hétéroagressivité et risque de fugue • Troubles du comportement alimentaire. • Tachycardie supraventriculaire d'étiologie indéterminée 04/2018. • Troubles du comportement sur fond d'état dépressif, traités par Sertraline 50 mg 1x/jour. • Notion de surinfection chronique de l'oreille gauche par Pseudomonas aeruginosa, suivi par Dr. X, ORL à Vevey. • Troubles du comportement sur fond d'état dépressif, traités par Sertraline 50 mg 1x/jour. • Notion de surinfection chronique de l'oreille gauche par Pseudomonas aeruginosa, suivi par Dr. X, ORL à Vevey. • Troubles du comportement alimentaire (TCA) atypique, avec : • Malnutrition protéino-énergétique modérée • Antécédent de perte de poids de 20 kg en 6 mois en 2015 • S/p plusieurs hospitalisations pour alimentation entérale • suivi par Dr. X, HFR Fribourg • Nutrition entérale intermittente, actuellement SNG depuis le 05.09.2018 avec EnergyFibre 500 ml sur 12h • Poids à l'entrée le 05.11.18 : 52.3 kg • Nutrition entérale arrêtée le 07.11.18, poursuite de la nutrition avec Fresubin 1x/jour • Troubles du rythme. • Troubles du rythme cardiaque • Troubles du sommeil • Troubles du sommeil • Troubles du sommeil. • Troubles du sommeil avec insomnie chronique • Troubles du sommeil chroniques • Seresta 15mg 0-0-0-0.75 à la maison • Troubles du sommeil et de l'humeur. • Dépression. • Anorexie. • Syndrome de Raynaud. • Variation de pression avec chute de pression. • Consommation de drogues occasionnelle. • Troubles du sommeil, sensation de chaud • Troubles du transit avec 2 à 3 selles molles par jour • Troubles du transit et reflux gastro-oesophagien chez Mme. Y travaillant de nuit, le 22.12.17. • Céphalées de tension avec probable contracture musculaire cervicale 09.02.18. • Céphalées fronto-pariétales atraumatiques d'origine indéterminée le 25.09.2018. • Troubles du transit et reflux gastro-oesophagien chez Mme. Y travaillant de nuit, le 22.12.17. • Céphalées de tension avec probable contracture musculaire cervicale 09.02.18. • Céphalées fronto-pariétales atraumatiques d'origine indéterminée le 25.09.2018. • Troubles du transit et RGO chez Mme. Y travaillant de nuit, le 22.12.17. • Céphalées de tension avec probable contracture musculaire cervicale 09.02.18. • État anxio-dépressif 15.05.18. • Lombalgies • Troubles du transit sur nourriture parentérale avec constipation • PEJ • Troubles électrolytiques le 30.11.2018 • hypokaliémie à 3.2 mmol/L • hyponatrémie à 131 mmol/l • Troubles électrolytiques dans un contexte de dénutrition et éthylique. • hypomagnésémie • hypokaliémie • hypophosphatémie • Troubles électrolytiques • Hypokaliémie 2.9mmol/l • Hyponatrémie 118mmol/l • Troubles électrolytiques : • Hyponatrémie à 134mmol/l, probablement sur déshydratation • Hyperkaliémie à 5.4mmol/l • Troubles électrolytiques : • hypokaliémie à 2.6 mmol/L le 30.11.2018 • hypomagnésémie à 0.46 mmol/l le 30.11.2018 • Troubles électrolytiques : • hypokaliémie à 3.4 mmol/l • hypomagnésémie à 0.65 mmol/l. • Troubles électrolytiques : • hypokaliémie légère à 3,3 mmol/l • hypomagnésiémie sévère à 0,29 mmol/l. • Troubles électrolytiques • Hypomagnésémie • Hypophosphatémie • Troubles électrolytiques avec : • Hypokaliémie à 2.8 le 11.12.2018 • Hypomagnésémie à 0.66 le 12.12.2018 • Troubles électrolytiques avec : • Hyponatrémie normo-osmolaire euvolémique à 127mmol/l le 08.11.2018 • Hyperkaliémie à 5.5mmol/l le 08.11.2018 • Troubles électrolytiques avec : • hyponatrémie 134 mmol/l • hypokaliémie 3.4 mmol/l. • Troubles électrolytiques avec hyperkaliémie à 6.5 mmol/l et hyponatrémie modérée à 123 mmol/l sur insuffisance cardiaque et rénale • Troubles électrolytiques dans le cadre de l'insuffisance rénale et du traitement diurétique. • hyperkaliémie • hyponatrémie • hyperphosphatémie • Troubles électrolytiques dans le cadre du diagnostic principal • hypokaliémie à 3.5mmol/l • hypomagnésémie à 0.63mmol/l • Troubles électrolytiques • hyponatrémie hyperosmolaire légère • hyperphosphatémie 2.2 mmol/l dans contexte de l'insuffisance rénale aiguë • Troubles électrolytiques • hypophosphatémie • hypokaliémie • Troubles électrolytiques le 03.12.2018 avec : • hypomagnésémie 0.58 mmol/l • hypophosphatémie 0.85 mmol/l • Troubles électrolytiques le 12.12.2018 avec : • hypophosphatémie à 0.62 mmol/l • hypomagnésémie à 0.65 mmol/l • Troubles électrolytiques le 12.12.2018 avec : • hypophosphatémie 0.65 mmol/l • hypomagnésémie 0.79 mmol/l • Troubles électrolytiques le 19.12.2018 • Hypokaliémie à 3.3 mmol/l • Hyponatrémie à 131 mmol/l • Troubles électrolytiques le 20.09.2018 • Hypokaliémie à 3.1 mmol/L • Hypocalcémie • DD Furosemide, arcoxia • Troubles électrolytiques le 21.12.2018 sur dénutrition et insuffisance rénale • Troubles électrolytiques le 25.12.2018 • hyperkaliémie à 5.4 • pseudohyponatrémie à 125 • Troubles électrolytiques le 27.11.2018 • Hypokaliémie à 2.5 mM • Hypocalcémie à 2.01 mM • Hypophosphatémie à 0.61 mM • Hypomagnésémie à 0.45 mM • Troubles électrolytiques le 31.12 • Hypomagnésémie à 0.39mmol/l • Hypocalcémie à 2.03mmol/l • Troubles électrolytiques le 6.12.2018 avec : • hypokaliémie à 3.1 mmol/l • hypophosphatémie à 0.75mmol/l • hypomagnésémie à 0.80mmol/l. • Troubles électrolytiques mineurs avec • hyponatrémie à 134 mmol/l (pseudo-hyponatrémie) • hypokaliémie à 3.3 mmol/l. • Troubles électrolytiques multiples avec : • Hypokaliémie à 2.4 mmol/l le 30.11.2018 • Hypophosphatémie • Hypomagnésémie • Troubles électrolytiques multiples le 04.10.2018 et le 19.10.2018 avec : • hyponatrémie hyperosmolaire à 133 mmol/l dans contexte d'hyperglycémie • hyperkaliémie à 5.6 mmol/l • Troubles électrolytiques multiples le 05.12.2018 • Hyponatrémie hypo-osmolaire sur pertes extra-rénales à 126 mmol/L • Hypophosphatémie à 0.69 mmol/L • Troubles électrolytiques multiples le 19.10.18 • hyponatrémie hypo-osmolaire légère • hypomagnésiémie réfractaire • hypophosphatémie • hypokaliémie • Troubles électrolytiques multiples légers le 25.10.2018 avec : • hypokaliémie à 3.4 mmol/l • Hypomagnésémie à 0.74 mmol/l • Troubles électrolytiques multiples sur traitement diurétique avec : • hypocalcémie corrigée à 2.13 mmol/l • hypophosphatémie à 0.75 mmol/l • hyponatrémie légère à 134 mmol/l. DD : sur déshydratation, malnutrition. Troubles électrolytiques 17.12.2018 • hypernatrémie 151 mmol/l • hypokaliémie 3.4 mmol/l Troubles mentaux et du comportement liés à la consommation d'alcool le 28.08.2016. Avis psychiatrique (28.08.16): Conscience partielle de ces troubles et des conséquences de son attitude. Hospitalisation à Marsens (unité Thalassa) avec PLAFA (document fait au HIB de Payerne). Appel à la police et ambulance pour transport. Troubles mentaux et du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance avec : • Status post plusieurs tentatives de sevrage, dernière au printemps 2017 • Consomme actuellement quotidiennement 1 bouteille de vin • Difficultés de santé : status post chutes sous OH 09/2017, 02/2018 avec fractures de côtes • Difficultés avec l'emploi (sans emploi, au chômage depuis le 01.05.2018) • Difficultés relationnelles (divorcée, vit seule, pas ou peu d'amis, isolement social, a 2 filles qui vivent à Bienne) • Difficultés avec la justice (est convoquée au tribunal le 19.04.2018 pour discussion de la convention de divorce d'il y a 20 ans, interventions de la police pour troubles de la voie publique) Troubles mentaux et troubles du comportement liés à l'utilisation d'alcool, syndrome de dépendance, actuellement abstinent mais dans un environnement protégé. • Suivi par le Dr. X (Psychiatre) • Multiples sevrages d'alcool à Marsens en 2003, 2005, 2010 et 2015 • Dernier sevrage à Marsens en décembre 2015 pour un mois Fracture de la cheville droite. Candidose linguale. Gastrite chronique modérée à Helicobacter pylori le 12.10.2014. • Varices oesophagiennes et ulcères gastro-duodénaux exclus par OGD. Traumatisme crânien dans contexte OH. Troubles mictionnels. Troubles mixtes de la personnalité et schizo-affectif et syndrome de dépendance à l'alcool le 23.10.2015 • hospitalisé à l'hôpital de Marsens. Psoriasis. Troubles mixtes des conduites et des émotions avec état dépressif (risque impulsif et de fugue) Troubles mnésiques débutants Troubles mnésiques d'origine indéterminée Anévrisme de l'aorte ascendante de 52 mm et de l'artère sous-clavière droite de 23 mm Fibrillation auriculaire paroxystique le 28.10.2017 • CHA2DS2-VASC: 5 points / 6.7 %; HES-BLED: 4 points / 8.7 % • Anticoagulation thérapeutique avec Clexane stoppé le 31.10.2017 • Envisager anticoagulation orale par Pradaxa ou Eliquis à distance Maladie de Parkinson traitée Troubles moteurs. Troubles neuro-cognitifs Troubles neurocognitifs majeurs d'allure dégénérative avec : • Début d'incendie dans son appartement le 04.12.2018 • Contexte de chutes à domicile à répétition Troubles neurologiques Troubles obsessionnels compulsifs. Troubles paniques avec : • attaque de panique lors de l'IRM sur claustrophobie et lors du transfert en ambulance (CHUV-Fribourg) Méningite lymphocytaire en juin 2007 (probablement virale) Probable accident ischémique transitoire (AIT) avec : • hémisyndrome sensitivo-moteur brachio-crural gauche totalement régressif G le 20.08.2012 (NIHSS initial 3) • nytagmus multidirectionnel Suspicion de syndrome du tunnel carpien bilatéral Suspicion de syndrome des jambes sans repos Intolérance au glucose (IFG) Plaie superficielle du pouce gauche péri-unguéale en 2013 Troubles psychiatriques sévères avec : • probables composantes dépressives, anxieuses et troubles du comportement alimentaire • début brutal en 2004-2005 par un burn-out professionnel, perte de son emploi • status post-consultation ambulatoire psychiatrique en 09.2009 dans un contexte anxieux avec indication à une hospitalisation que le patient refuse • actuellement : début de suivi par le centre psycho-social de Fribourg (Dr. X) et introduction de Remeron 15 mg depuis la veille Troubles psychiatriques sous forme de : • troubles alimentaires de type anorexie dans un contexte de PTSD (post traumatic stress disorder) • difficultés liées à une dislocation familiale et surtout à l'éloignement de sa mère, dans un pays étranger. Z63. • état anxio-dépressif Suivi psychiatrique rapproché (Dr. X et Dr. X). Malnutrition protéino-énergétique grave, sans précision - NRS > ou = 5 ET BMI 11.9kg/m2 le 19.08.2014 avec état général diminué ou perte de poids involontaire > 5% en 1 mois et état général diminué ou prise alimentaire de 0-25% des besoins dans la semaine précédente indépendamment de sa volonté. Gastrite chronique avec infection à H. pylori. Dysélectrolytémies (hypokaliémie, hypocalcémie, hypomagnésiémie, hypophosphatémie) d'origine mixte : • carence alimentaire • syndrome de renutrition Carence en fer : substitution par Oléovit et Calcium. Kyste annexielle droit de 6 cm Syndrome de réalimentation. • hypomagnésiémie, hypokaliémie, hypophosphatémie. Troubles psychiques aigües Troubles psychotiques actuellement non traités. Troubles psychotiques le 10.12.2018. Troubles psychotiques polymorphes le 18.11.2017. troubles rythmiques Troubles schizo-affectif vs trouble psychotique sur Leponex, avec suivi psychiatrique 1x/sem. Troubles sensitifs avec hypoesthésie de la partie inférieure de la face et du membre supérieur gauche le 23.09.2011. CT scan cérébral. Rectorragie. Contrôle clinique. Troubles sensitifs du membre inférieur gauche d'origine indéterminée Céphalées post-ponction lombaire Troubles sévères de la déglutition avec dysphagie sévère Troubles somatoformes post polytraumatisme le 19.04.18 (cf antécédent) avec : • troubles fonctionnels moteurs (trouble dissociatif moteur et de la marche) • trouble algique (lombaire, costal G) • trouble du sommeil • trouble neurocognitif (mémoire, attention, fonctions exécutives) probablement fonctionnel (bilan neuropsychologique 15.10.18, HFR, 2ème évaluation, IRM cérébral 30.05.18) • présence de signe positif : signe d'incohérence, trouble de la marche avec marche "non économique" et fluctuation, déséquilibre non systématisé et fluctuant. • distractibilité • auto limitation Troubles somatoformes. Troubles urinaires irritatifs sous Tamsulosine et Toviaz • dans un contexte de récidive d'adénome de la prostate à la cystoscopie de 2017, status post RTUP en mars 2009 Troubles visuels. Troubles visuels sur aura migraineuse le 15.12.2018 TSH à la limite supérieure de la norme le 30.11.2018 TSH à 6.55 mU/l ATT : Confirmer avec MT quand/si le traitement a été adapté. Évaluer augmentation de la dose à 75mcg TSH abaissée à 0.165 le 18.12.2018 TSH dans la norme TSH demandé - à pister Discuter avec le cardiologue traitant les alternatives de traitement et l'indication à une anticoagulation TSH et acide folique dans la norme Ferritine abaissée à 18 le 11.10.2018, dosage du 17.12.2018 à pister B12 augmentée à 1847 le 7.12.2018 TSH le 12.12.2018 Reprise Néo-Mercazole TSH, Vit. B12, acide folique dans la norme 07/18 Substitution Ferritine 08/18 Poursuite de bilan selon examens déjà effectués par médecin traitant TSH, Vit. B12, acide folique et ferritine dans la norme TSV non soutenus spontanément résolutives le 24.12.2018 : TT aux urgences : • 1 CE le 08.12.2018 Propositions : • Substitution acide folique p.o. • 1000mg Ferinject i.v. et Vitamin B12 i.m. le 08.12.2018 TT aux urgences : • 2g Magnesium i.v. ATT : • Éviter Primperan • Cave en prescrivant des médicaments TT : surveillance hémoglobine et clinique TT: 1CE le 05.12.2018 TTT ttt symptômatique ttt symptômatique TT: 1 dose de Flucanozole 400 mg i.v. prévu après correction de l'hypokaliémie Tuberculose en 1990 environ. Tuberculose latente Tuberculose traitée en 2014 Cure hallux valgus et névrome Morton à gauche en 2009 Opération de la gouttière cubitale à gauche Opération de la coiffe des rotateurs à gauche en 2004 Tuméfaction Tuméfaction anale. Tuméfaction axillaire. Tuméfaction cervical antérieure indolore Tuméfaction cervicale et torticolis Tuméfaction cou. Tuméfaction coude gauche. Tuméfaction crâne Tuméfaction de la joue droite. Tuméfaction de la lèvre supérieure Tuméfaction de la lèvre supérieure sur possible réaction allergique Tuméfaction de la parotide droite. Tuméfaction de l'index gauche. Tuméfaction d'origine indéterminée du membre supérieur droit le 10.10.2018. • résolution spontanée • DD: extravasation liquidienne Tuméfaction d'origine X face dorsale IPP D5 main droite. Tuméfaction du grand trochanter gauche de 10 x 10 cm avec: • US le 29.10.2018 : collection de 6 x 3,8 x 7,5 cm à contenu hypo-échogène au sein des tissus mous de la hanche gauche entourant une partie du cerclage et venant au contact du grand trochanter et de la partie proximale de la diaphyse fémorale sur le versant externe. Absence d'épanchement au sein de l'articulation coxo-fémorale gauche, parlant en défaveur d'une communication entre ces deux structures. Absence d'hyperémie au sein des parties molles au pourtour de la collection, parlant en défaveur d'une origine infectieuse, bien que celle-ci ne puisse être exclue sur la base de l'échographie. • s/p ablation clour gamma fémur proximal gauche avec cerclage Tuméfaction D2 gauche tuméfaction et liquide purulent paume gauche Tuméfaction genou droit, le 24.12.2018 • Chirurgie du ligament croisé à droite le 05.12.2018 (Dr. X) • Stabilisation intra-ligamentaire dynamique et suture LCA selon la technique de Ligamys Articulation du genou à droite, le 06.05.2014 • Tuméfaction progressive depuis 3 jours associée à des douleurs DD: Hématome intra-capsulaire, Arthrite septique débutante Tuméfaction hanche gauche. Tuméfaction index G Tuméfaction inguinale gauche douloureuse Tuméfaction jugale droite d'origine indéterminée le 22.12 Tuméfaction jugale droite douloureuse Tuméfaction jugale droite probablement d'origine dentaire Tuméfaction labiale. Tuméfaction labiale droite. Tuméfaction mandibulaire. Tuméfaction membre supérieur droit Tuméfaction MID Tuméfaction pharyngée sur probable réaction allergique DD: SAOS Tuméfaction sous-mandibulaire aiguë DD inflammation de la glande sous-mandibulaire (d'origine virale ou lithiasique) ou lymphadénopathie d'origine indéterminée (virale, bactérienne, tumorale,...), mise sous traitement de AINS durant 48 h. Pas d'arguments pour un abcès dentaire. Contrôle clinique dans 48 heures aux urgences. Discuter si nécessaire un US ou une prise de sang (sérologies?), pas de bilan complémentaire réalisé ce jour. Merci de bien vouloir compléter à ce moment la palpation de toutes les aires ganglionnaires. Tuméfaction sous-mandibulaire aiguë DD inflammation de la glande sous-mandibulaire ou lymphadénopathie d'origine indéterminée: • pas d'arguments pour un abcès dentaire Tuméfaction testiculaire. Tumeur de la granulosa de l'ovaire gauche : • status post-hystérectomie avec annexectomie bilatérale (1991) • status post-épliploectomie par laparotomie pour récidive (2002) • récidive avec carcinomatose péritonéale. Hyperthyroïdie avec status post-lobectomie thyroïdienne droite (2008). Hypertension artérielle traitée. Trouble de la marche et équilibre d'origine multifactorielle : • cancer ovarien avec carcinose péritonéale • hypertension artérielle • douleurs articulaires. Tests de la cognition du 02.11.2018 : MMSE à 30/30, test de la montre à 7/7 ; GDS à 4/15. Insuffisance rénale chronique de stade 3a (Clairance à la créatinine selon Cockroft à 47 ml/h le 21.11.2018). Tumeur d'origine inconnue. DD kyste arthro-synovial de la face dorso-radiale de l'IPP de D3 de la main gauche. Tumeur du fémur distal gauche. DD Chondrome. DD Chondrosarcome de bas grade. Découverte fortuite lors d'une IRM du 28.09.2016 pour une recherche de déchirure méniscale. Tumeur du hile hépatique suspect d'une tumeur de Klatskin : • date du diagnostic : 23.10.2017 • CT abdominal du 23.10.2017 : masse du hile hépatique, dilatation des voies biliaires intra-hépatiques en amont de la masse tissulaire • laboratoire du 15.11.2017 : pas de cholestase • ERCP du 27.11.2017 : forte suspicion d'une tumeur envahissant certains nombres de voies biliaires à droite et déformant les voies biliaires à gauche • cytologie (Promed C2017.5491) : absence de cellules suspectes de malignité. • Tumorboard de chirurgie viscérale du 06.12.2017 : pas de sanction chirurgicale, stent si ictère • septembre 2018 : augmentation de la bilirubine à 35 µmol/l • CT thoraco-abdominal du 20.09.2018 : progression de la masse jusque dans le cholédoque, dilatation des voies biliaires intra-hépatiques • endosonographie haute du 02.10.2018 : masse échogène avec prolifération intraductale biliaire, dilatation biliaire intra-hépatique. Proposition d'IRM avec cholangiographie si ictère symptomatique. • Cholangite le 03.11.2018 • ERCP du 05.11.2018 : sphinctérotomie biliaire et introduction d'un stent plastique • actuellement : suivi clinique et biologique (Dr. X) Tumeur du sein gauche de 8 mm découverte fortuitement le 23.11.2018 Tumeur neuroendocrine bien différenciée de grade I de l'intestin grêle cTx cN+ cM1 (foie et carcinose péritonéale) : • date du diagnostic : 13.04.2004 sur un iléus • histologie (Gamba-SMCF 112600/04) : métastases péritonéales et ganglionnaires d'une tumeur neuroendocrine bien différenciée • status post-résection segmentaire iléale et adhésiolyse le 08.04.2004 • récidive métastatique hépatique et mésentérique en 2008 diagnostiquée sur une altération de l'état général • PET-CT 18F-DOPA du 26.03.2008 : multiples métastases hépatiques et adénopathies mésentériques sans tumeur primaire intestinale grêle • métastasectomie hépatique des segments II, V, VI, VIII et thermoablation par radiofréquence des segments III et IV, + résection de 2 adénopathies de la racine du mésentère et cholécystectomie le 12.06.2008 au CHUV • pathologie (CHUV H0808479) : relecture de l'ensemble des prélèvements pathologiques : l'image histologique et le profil immunohistochimique des différentes métastases évoquent en premier lieu un carcinome endocrine bien différencié d'origine intestinale probable, il ne s'agit pas d'un phéochromocytome • poursuite évolutive hépatique depuis 2009 avec surveillance initiale • status post-résection segmentaire iléale le 13.03.2011 pour un iléus • début d'un traitement par analogue de la Somatostatine (Somatuline 120 mg à partir de 2012 jusqu'au 26.05.2018) • progression de la carcinose péritonéale en avril 2018 • CT thoraco-abdomino-pelvien du 12.04.2018 : progression de l'infiltration tumorale du pylore du 1er et du 2ème duodénum avec très discrète progression de la dilatation des voies biliaires intra-hépatiques. Nette progression d'une carcinose péritonéale avec augmentation en taille et en nombre des nodules péritonéaux • CT thoraco-abdomino-pelvien le 04.09.2018 : progression de la masse de la 2ème partie du duodénum et pancréas; augmentation de la carcinomatose péritonéal; augmentation de dilatation gastrique avec diminution de la vidange gastrique; métastase hépatique stable.• traitement de 2ème ligne par Lutathera dès le 31.07.2018, avec mauvaise tolérance • CT abdominal le 05.10.2018 : aspect d'une stabilité tumorale avec lésion connue au niveau du duodénum. Carcinose péritonéale et signe d'hypertension portale segmentaire stable • traitement par DOTATOC au CHUV • suivi par Dr. X. Diabète de type 2 non insulino-requérant, DD pancréatoprive. Hypertension artérielle. Sclérose aortique avec insuffisance aortique discrètes. Baisse de l'acuité visuelle depuis janvier 2015 d'origine peu claire. Choléstase chronique sur obstruction des voies biliaires. Hernie hiatale avec oesophage de Barret (histologie Promed 14.09.2017). • Tumeur neuroendocrine de l'intestin grêle, actuellement métastatique (Suivi par Dr. X) • primodiagnostic en 2002 (G1 à la dernière histologie en 2010) • s/p entérectomie segmentaire en 2002 • s/p laparotomie et adhésiolyse pour iléus grêle sur brides le 26.04.2006 • s/p laparotomie exploratrice, vidange d'ascite hémorragique, hémostase des adhérences épiplo-duodénales, résection de 40 cm d'iléon distal pour iléus 4 jours post-op avec accumulation d'ascite hémorragique en 2006 • métastases hépatiques découvertes en 2008, non résécables, status après-3 séances de chimiothérapie à Bâle en 2008 • séance de curiethérapie au Yttrium90 Dotatoc les 22.09 et 08.12.2008 puis en octobre 2009 et janvier 2010 avec thrombopénie séquellaire persistante en novembre 2010 • syndrome carcinoïde symptomatique et progression hépatique en 2010 (greffe refusée notamment vu thrombose de la veine porte); traitement par sandostatine LAR 20mg 1x/mois depuis le mois de novembre 2010 avec réponse partielle radiologique et diminution des taux circulants de sérotonine et de chromogranine A; bon contrôle des symptômes digestifs • normalisation de la thrombopénie et maladie stable au niveau hépatique en juillet 2012; poursuite de la sandostatine mensuelle • stabilité des lésions hépatiques et du dosage sérique de la chromogranine en janvier 2014; poursuite du traitement de sandostatine 20mg mensuel • majoration du traitement par sandostatine à 30mg 1x/mois depuis 2016 en raison d'une discrète élévation des marqueurs tumoraux • bilan d'extension en septembre 2017: infiltration métastatique hépatique diffuse, métastases osseuses diffuses, thrombose de la veine porte avec varice péri-oesophagienne et adénopathies thoraco-abdominales avec stabilité de la sérotonine sérique; aspect de myosite avec infiltration des muscles rétro-orbitaires bilatérale et exophtalmie • évolution favorable de l'exophtalmie sous stéroïdes (DD orbitopathie dysthyroïdienne) • nouvelle progression hépatique et péritonéale avec élévation de la sérotonine sérique en avril 2018 • introduction d'un traitement d'Afinitor et sandostatine depuis mai 2018 avec stabilisation de l'état général, interruption à plusieurs reprises de l'Afinitor vu importants effets secondaires avec arrêt définitif début octobre 2018 • CT du 05.10.2018: stabilité de la maladie oncologique avec multiples adénopathies thoraco-abdominales, multiples métastases infiltrant les deux lobes hépatiques (apparition de plages nécrotiques hétérogènes dans I, VI et VIII), multiples implants nodulaires tumoraux péritonéaux, multiples métastases osseuses disséminées dans le rachis, le sternum, les côtes et le bassin Thrombocytopénie chronique depuis 2011 Thrombose partielle de la veine porte • connue depuis 2010 • dernier contrôle scannographique le 05.10.2018: on retrouve une thrombose de la veine porte avec développement d'un cavernome porte et de multiples et importantes voies de dérivation en particulier péricardiales • sans anticoagulation • Tumeur neuroendocrine de l'intestin grêle, actuellement métastatique (Suivi par Dr. X) • primodiagnostic en 2002 (G1 à la dernière histologie en 2010) • s/p entérectomie segmentaire en 2002 • s/p laparotomie et adhésiolyse pour iléus grêle sur brides le 26.04.2006 • s/p laparotomie exploratrice, vidange d'ascite hémorragique, hémostase des adhérences épiplo-duodénales, résection de 40 cm d'iléon distal pour iléus 4 jours post-op avec accumulation d'ascite hémorragique en 2006 • métastases hépatiques découvertes en 2008, non résécables, status après-3 séances de chimiothérapie à Bâle en 2008 • séance de curiethérapie au Yttrium90 Dotatoc les 22.09 et 08.12.2008 puis en octobre 2009 et janvier 2010 avec thrombopénie séquellaire persistante en novembre 2010 • syndrome carcinoïde symptomatique et progression hépatique en 2010 (greffe refusée notamment vu thrombose de la veine porte); traitement par sandostatine LAR 20mg 1x/mois depuis le mois de novembre 2010 avec réponse partielle radiologique et diminution des taux circulants de sérotonine et de chromogranine A; bon contrôle des symptômes digestifs • normalisation de la thrombopénie et maladie stable au niveau hépatique en juillet 2012; poursuite de la sandostatine mensuelle • stabilité des lésions hépatiques et du dosage sérique de la chromogranine en janvier 2014; poursuite du traitement de sandostatine 20mg mensuel • majoration du traitement par sandostatine à 30mg 1x/mois depuis 2016 en raison d'une discrète élévation des marqueurs tumoraux • bilan d'extension en septembre 2017: infiltration métastatique hépatique diffuse, métastases osseuses diffuses, thrombose de la veine porte avec varice péri-oesophagienne et adénopathies thoraco-abdominales avec stabilité de la sérotonine sérique; aspect de myosite avec infiltration des muscles rétro-orbitaires bilatérale et exophtalmie • évolution favorable de l'exophtalmie sous stéroïdes (DD orbitopathie dysthyroïdienne) • nouvelle progression hépatique et péritonéale avec élévation de la sérotonine sérique en avril 2018 • introduction d'un traitement d'Afinitor et sandostatine depuis mai 2018 avec stabilisation de l'état général, interruption à plusieurs reprises de l'Afinitor vu importants effets secondaires avec arrêt définitif début octobre 2018 • CT du 05.10.2018: stabilité de la maladie oncologique avec multiples adénopathies thoraco-abdominales, multiples métastases infiltrant les deux lobes hépatiques (apparition de plages nécrotiques hétérogènes dans I, VI et VIII), multiples implants nodulaires tumoraux péritonéaux, multiples métastases osseuses disséminées dans le rachis, le sternum, les côtes et le bassin Thrombocytopénie chronique depuis 2011 Thrombose partielle de la veine porte • connue depuis 2010 • dernier contrôle scannographique le 05.10.2018: on retrouve une thrombose de la veine porte avec développement d'un cavernome porte et de multiples et importantes voies de dérivation en particulier péricardiales • sans anticoagulation • Tumeur stromale gastro-intestinale (GIST) au niveau du petit bassin pT4 cN0 cMx, probablement rectale, risque élevé selon Fletcher: • Date du diagnostic: 28.01.2014 • Histologie • Status post-laparotomie, résection de la tumeur du petit bassin le 28.01.2014 • PET Scan • Sous traitement adjuvant/additif par Glivec (imatinib) dès le 22.02.2014 • Tumeur stromale gastro-intestinale au niveau gastrique pT2 • histologie Promed P2018.71243 : tumeur GIST, CD117+; < de 5 mitoses • status post-OGD le 07.11.2018 : masse d'environ 5cm polypoïde subépithéliale avec un ulcère au niveau de la petite courbure • CT-thoraco-abdominal du 09.11.2018 : masse exophytique au niveau de la petite courbure gastrique au contact d'une boucle de l'artère splénique et de la glande surrénale gauche sans envahissement de ces structures. Pas d'adénopathie ni de lésion à distance • anémie associée • Coloscopie du 07.11.2018 : résection d'un polype colique sessile au niveau du côlon ascendant sans dysplasie, pas d'autre lésion de type GIST Tumorboard chirurgie viscérale du 21.11.2018 : ad résection chirurgicale Tumorectomie + pose de PEG le 19.12.2018 Tumorectomie pulmonaire droite en 2000 au CHUV : tumeur bénigne. Asthme non traité. TURP pour hyperplasie bénigne de la prostate en 2006. Exacerbation de BPCO le 25.12.16. TURV itérative pour uroCa pTa G1 (juin 2011 et août 2012) avec suivi annuel. Epididymectomie partielle G et biopsie testiculaire G juin 2011. Cure d'hernie inguinale avec hydrocèle à droite en juillet 2000. Status post-opération de l'œil D pour lésion de la cornée. Thrombopénie légère d'origine indéterminée le 03.11.2018 résolue le 08.11.2018. TURV pour CA de la vessie en 2014. Bursite genou droit. Appendicectomie. Déchirure tendineuse de l'épaule gauche. Décompression de canal spinal étroit L3-L4 et L4-L5. Tabagisme ancien à 40 UPA, arrêté il y a 40 ans. Arthrite microcristalline de la cheville gauche et de la hanche gauche sur probable récidive d'une chondrocalcinose. Anémie normochrome normocytaire avec hémoglobine à 88 g/l d'origine probablement inflammatoire. TVP à droite • Laboratoire du 10.01.2018 : CRP 33, Lk 7.9, DDimère 681 ng / ml • Xarelto 2x15 mg • Ultrason le 10.01.2018 Cholecystectomie par laparoscopie avec cholangiographie le 28.08.2013 Cholangite sur passage de calcul biliaire S/p cholecystectomie le 27.07.2018 S/p cholangite sur cholédocholithiase le 09.09.2018 TVP à droite prouvée par US le 19.02.2018. Neurotoxicité sur méthadone le 31.07.2018, avec • myoclonies • confusion Xérose buccale avec mucite débutante sur radiothérapie. TVP des membres inférieurs à répétition sous Sintrom. S/p appendicectomie. S/p kyste poplité droit. S/p décompression hématome intra-crânien épidural en 2000. NSTEMI sur subocclusion de l'IVA moyenne le 10.03.2018. ETT le 10.03.2018. Coronarographie le 14.03.2018 : 1 stent actif sur l'IVA moyenne. HIV et HCV négatif. EBV, CMV : IgM négatif, IgG positif. Lisinopril dès le 10.03. Aspirine cardio dès le 14.03 pendant 1 mois, puis 30.08.2018 au 14.02.2018. Efient 5 mg du 14.03 au 30.08.2018. Syphilis : négatif. Beloc Zok dès le 14.03.2018. Atorvastatine 10 mg. Poursuite Sintrom. Clexane dès le 15.03.2018 (tant que Sintrom non thérapeutique). Gastroentérite probablement virale dès le 02.03.2018 avec : • hyponatrémie et hypokaliémie. Substitution K du 10.03 au 12.03.2018. Perturbation des tests hépatiques. DD : médicamenteux (natalizumab) ?, para-infectieux ?, surconsommation chronique d'alcool ? Suivi biologique. Anémie à 120 g/l hypochrome microcytaire probablement inflammatoire le 14.03.2018. Vitamine B12 et folates normaux. TSH normale. TVP jambe droite. Status post cure d'hallux valgus en mini-invasif D, cure du 2ème orteil en griffe D, ostéotomie de raccourcissement du 2ème rayon D le 07.09.2018. Hallux valgus bilatéraux, plus symptomatique à D. 2ème orteil en griffe pied D et surlongueur du 2ème métatarsien. Métatarsalgies des têtes 2-3-4 pied D. Status post cure d'hallux valgus G en 2012 et ostéotomie de Weil des rayons 2-3-4. TVP jambière gauche le 25.02.2015 anticoagulée par Xarelto. Surdité brusque gauche le 24.02.2015 • Prednisone à doses dégressives dès le 25.02.2015. Bronchite infectieuse à germe indéterminé le 16.02.2015 • Co-Amoxicilline iv du 17 au 19.02.2015, puis per os du 20 au 24.02.2015. Epistaxis intermittent avec caillots depuis le 12.02.2015, chez Mme Y anticoagulée par Xarelto • Xarelto en suspens du 16.02.2015 au 25.02.2015. PTH D le 09.11.2012 (Hôpital St. Loup). TVP veine fibulaire droite 15.12.2018. Tympans calmes et pas de perforation mise en évidence, écoulement de cire probable. Reconsultation en cas de récidive. Typhlite. Ulcération cornéenne gauche punctiforme inframillimétrique sur corps étranger métallique le 26.11.2018. Fracture du coccyx le 15.06.2014. Ulcération sur infection bactérienne du gland. Ulcère au niveau du MT5. Ulcère chronique prétibiale à droite avec suspicion d'ostéomyélite sur status post ostéosynthèse d'une fracture ouverte du tibia droit et AMO en 1977. Ulcère chronique sur insuffisance veineuse profonde et superficielle du membre inférieur gauche • apparition en 06/2018 anamnestiquement, en progression depuis • S/p traitement avec Co-Amoxicilline en 08.2018 pour dermo-hypo-dermite du MIG • status post-thrombose veineuse profonde en 2000 • bilan veineux du 26.02.2018 : insuffisance des veines poplitée et jambières gauches avec signes post-thrombotiques, insuffisance d'une tributaire jambière de la grande veine saphène avec des perforantes insuffisantes. Ulcère chronique sur insuffisance veineuse profonde et superficielle du membre inférieur gauche • apparition en 06/2018 anamnestiquement, en progression depuis • status post-traitement avec Co-Amoxicilline en 08.2018 pour dermo-hypo-dermite du membre inférieur gauche • status post-thrombose veineuse profonde en 2000 • bilan veineux du 26.02.2018 : insuffisance des veines poplitée et jambières gauches avec signes post-thrombotiques, insuffisance d'une tributaire jambière de la grande veine saphène avec des perforantes insuffisantes. Ulcère d'allure nécrotique sec au niveau de l'hallux G dans le contexte d'AOMI avec revascularisation incomplète. Macro-adénome hypophysaire non sécrétant de 10 x 11 x 12 mm avec : • insuffisance somatotrope partielle • absence d'altération de la fonction des autres axes antéhypophysaire • probable insuffisance corticotrope partielle • Hydrocortisone 10 mg 1x/j dès le 12.12.2017 arrêté au vu d'intolérance • absence d'insuffisance surrénalienne le 05.07.2018 (Test au Synacthen). Artériopathie oblitérante des membres inférieurs de stade IIb avec : suivi par Dr X (PC prévu le 29.10.2018 à 14h). A droite : • angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle droite avec mise en place d'un stent le 06.12.2007 • angioplastie et pose de stent fémoral superficiel et poplité en 2013 • angioplastie et pose de stent iliaque commun en juillet 2015 • status post-recanalisation de multiples sténoses à l'entrée et à la sortie des stents et intra-stent dans le tiers distal de la cuisse par des angioplasties au ballon nu et au ballon actif et une recanalisation d'une courte occlusion tibiale antérieure par angioplastie le 10.05.16. A gauche : • status post angioplastie périphérique de l'artère fémorale superficielle gauche avec mise en place d'un stent le 17.07.2008 • recanalisation fémorale par athérectomie endovasculaire en juillet 2015 • status post-recanalisation de lésions massivement calcifiées de l'artère fémorale superficielle et de l'artère poplitée gauche par athérectomie endovasculaire, angioplastie sous-endothéliale et pose de 2 stents le 24.05.2016. Cardiopathie ischémique sur maladie bitronculaire avec : • NSTEMI le 08.09.2008 sur sténose significative de l'IVA proximale (associée à une dissection) et sténose significative de la CD • coronarographie 08.09.2008 : PTCA d'une sténose significative de l'IVA, 3 stents actifs sur l'IVA moyenne • coronarographie 09.09.2008 : angioplastie et mise en place de 3 stents sur l'artère coronaire droite • resténose de l'artère coronaire droite aux niveaux proximal, moyen et distal • coronarographie 23.01.2009 : mise en place de 2 stents actifs au niveau de la CD au niveau proximal et moyen, PTCA de l'artère interventriculaire postérieure. FEVG estimée à 60 %. • coronarographie 2011 (suspicion angor instable) : bon résultat après stenting IVA. • mise en place Reveal le 07.07.2015 : dernier contrôle le 27.06.2018 (avec 18,1% épisodes de fibrillation auriculaire en 3 mois). Hypertension artérielle (traitée).Dyslipidémie (traitée) Dégénerescence maculaire liée à l'âge • Suivi ophtalmologique à la Clinique de l'Oeil Thyroïde nodulaire Hernie hiatale (OGD 2006) Diverticulose colique et ectasie veineuse (colonoscopie en 2000) • dernière poussée de diverticulite aiguë en août 2008 • 1er épisode de diverticulite simple à la jonction colo-sigmoïdienne en octobre 2007 Chutes à répétition dans le contexte de troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle • rétropulsion et élargissement du polygone de sustentation • probable hydrocéphalie à pression normale • malnutrition protéino-énergétique légère • hypotension orthostatique Suspicion de mésothéliome : • CT thoracique le 12.11.2015 : péjoration de l'épaississement de la plèvre diaphragmatique gauche touchant actuellement l'ensemble de celle-ci • Avis pneumologique (Dr. X) : probable mésothéliome compte tenu d'une possible exposition professionnelle et des images radiologiques Ulcère diabétique de la base de la phalange proximale du 5ème orteil D Ulcère diabétique du talon droit • Désinfection et Débridement le 03.05.2018 • Soins : Prontosan, Prontosan Gel, Aquacel, Mepilex 3x/semaine Ulcère gastrique en 2013 Kyste synovial L3-L4 gauche avec : • Décompression et foraminotomie L3-L4 gauche, et ablation du kyste (opération le 13.02.2012) Néphrolithiase en 2008 avec expulsion spontanée Salpingo-ovariectomie unilatérale pour fibrome Deux césariennes Dyspnée NYHA IV d'origine indéterminée 16.09.2017 (virose probable) : • Notion d'hyponatrémie chez la médecin traitante, non retrouvée • Sur anémie à 115 g/l • Laboratoire • ECG le 15.09.2017 • Radiographie du thorax le 15.09.2017 • CT scan thoracique le 15.09.2017 • Echocardiographie transthoracique le 18.09.2017 Oxygénothérapie jusqu'au 18.09.2017 Anémie carentielle à 115 g/l normocytaire et normochrome avec déficit en acide folique (2,8 ng/ml) Substitution orale jusqu'au 22.11.2017 Carence en vitamine D (66 mmol/l) Substitution par voie orale Ulcère membre inférieur droit Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec déconditionnement physique global suivant la pose d'une prothèse totale de la hanche droite Fracture Garden IV du col fémoral droit avec mise en place d'une prothèse cervico-céphalique de la hanche droite le 15.11.2017 Traumatisme crânien simple chez un patient sous Aspirine Cardio Fracture du col du 5ème métacarpien à droite Entorse de la cheville droite Hématome fronto-temporal droit Hypertension artérielle Déficit en acide folique Hypovitaminose D Malnutrition protéino-énergétique Ulcère nécrotique infra-malléolaire gauche le 07.12.2018 Ulcère peptique ancien, sous Ranitidine. Surdité bilatérale prédominant à droite. Lombalgies chroniques. Ulcère pré-tibial droit sur insuffisance veineuse des membres inférieurs. Status post plaie chronique infectée en regard du tendon d'Achille droit avec raccourcissement de celui-ci, traitée par multiples débridements et allongement du tendon d'Achille puis mise en place d'un lambeau sural et couverture par une greffe cutanée le 6.7.2018. Ulcère sur insuffisance veineuse chronique membre inférieur droit Ulcère sur membre inférieur droit dans contexte de lympho-lipœdème et insuffisance veineuse chronique stade IV • aucun argument pour une surinfection Ulcère tibial droit, le 14.12.2018 • sur AOMI Stade IV • mauvaise évolution sous Co-Amoxicilline p.o. Ulcère tibial droit post-traumatique dans un contexte d'AOMI de stade IIb avec : • occlusion du tiers moyen de l'artère fémorale superficielle et persistance que d'un axe jambier perméable (a. fibulaire) • surinfection locale avec mauvaise évolution sous Co-Amoxicilline p.o. introduite le 12.12.2018 Ulcère variqueux sur varices de la grande veine saphène droite le 17.12.2018 : • Dans contexte de lipo-lymphoedème d'origine mixte avec éléphantiasis bilatéral et insuffisance veineuse chronique stade IV Ulcère veineux jambe G Ulcères chroniques membres inférieurs Ulcères cutanées sous axillaire ddc, DD psoriasis, DD réaction médicamenteuse Ulcères de l'oesophage suite à une impactation alimentaire • Laryngoscopie du 21.12.2018 : pas de corps étranger Ulcères gastriques Forrest 2b sur prise de Brufen avec : • hémorragie digestive haute • hémoglobine à 91 mg/l le 05.12.2018. Ulcogan glacé Bains de bouche Ultra ciblé : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas d'épanchement spléno-rénal, vessie vide, pas de dilatation des voies pyélocalicielles. Échogénéicité bonne. Conclusion : examen sans particularité dans les limites de la réalisation. Ultrason abdomen supérieur : Pas de signe de cholécystite, pas de lithiase, pas de dilatation des voies biliaires, Murphy radiologique positif Surveillance clinique, antalgie du 15.12.2018 au 16.12.2018 Ultrason abdominal : les deux reins sont de taille normale, de contours réguliers, bien différenciés. Pas de dilatation des cavités rénales. Pas d'infiltration de la graisse péri-rénale. La vascularisation rénale est conservée de façon bilatérale. La vessie est à parois fines, à contenu homogène. Laboratoire : cf. annexes. Pas de syndrome inflammatoire. Sédiment urinaire : cf. annexes. Leucocytes, pas de nitrite, sang +++. Cultures urinaires : à pister. Cf. annexes. Ultrason abdominal : appendicite aiguë Appendicectomie le 27.12.2018 Ultrason abdominal ciblé aux urgences (Dr. X, Dr. X) : calcifications de l'aorte abdominale avec signes d'athérosclérose sans critères d'anévrisme (diamètre < 1 cm) Ultrason abdominal ciblé aux urgences (Dr. X) : Pas de dilatation pyélocalicielle à droite. Ne peut pas se prononcer sur la vésicule biliaire. Laboratoire : cf. annexes Histologie : cf. annexes Ultrason abdominal (Dr. X) : hépatomégalie à 19 cm, rate de taille dans les limites de la norme à 12 cm, pas d'anomalie des vaisseaux hépatiques, pas de remaniement. Ultrason abdominal du 15.12.2018 : Pas de signe de cholécystite, pas de lithiase, pas de dilatation des voies biliaires, Murphy radiologique positif Laboratoire : cf. annexes Ultrason abdominal le 13.12 : examen abdomino-pelvien dans la norme, notamment pas de signe d'obstruction biliaire, d'appendicite ou d'inflammation mésentérique. Bilan sanguin le 13.12 avec FSC, tests hépatiques (ASAT, ALAT, gamma-GT, bilirubine totale et conjugée, phosphatase alcaline), lipase, amylase.Bilan sanguin de constipation le 14.12: TSH, magnésium, calcium, anti-transglutaminase, IgA totaux, RAST (IgE alimentaires) Ultrason abdominal le 13.12 Bilan sanguin le 13.12 avec FSC, tests hépatiques, lipase Avis Dr. X Ultrason abdominal le 17.12: invagination iléo-caecale associée à quelques adénopathies loco-régionales. 2ème ultrason abdominal: sur l'examen actuel, pas d'image d'invagination iléo-caecale mise en évidence. Le côlon est bien rempli, en rapport avec l'opacification colique réalisée 7 heures auparavant. Absence de liquide libre. Bilan coeliaquie: IgA à 1.69 g/l légèrement au-dessus de la norme, anticorps anti-transglutaminase (IgA et IgG) négatifs Virologie des selles le 17.12: négative Coprocultures des selles le 17.12: négative (y compris clostridium) Stix/sédiment urinaire par sondage le 18.12: purée de leucocytes, nitrites positifs, protéines positives à gamme néphrotique (rapport protéines/créatinine 294 mg/mmol), 3+ de sang sans érythrocytes retrouvés au sédiment Culture urinaire par sondage le 18.12: négative Hémocultures: en cours (négatives à 48 heures) Stix/sédiment urinaire de contrôle le 18.12: Ultrason abdominal, le 18.12.2018 (Dr. X): foie de contours bosselés, discrètement hyperéchogène, sans lésion focale visible. Tronc porte perméable. Veines sus-hépatiques perméables. Pas de dilatation des voies biliaires intra- et extra-hépatiques. Rate homogène mesurant 138 mm de grand diamètre. Reins de morphologie normale, aux contours réguliers. Pas de dilatation des voies excrétrices urinaires. Un peu de liquide dans l'espace Morrison. Conclusion : hépatomégalie stéatosique avec signe de cirrhose débutante associée à une splénomégalie débutante. US abdominal ciblé, le 27.12.2018: présence d'une hernie inguinale indirecte droite, s'arrêtant à peu près au milieu du canal inguinal, avec une ouverture de l'anneau externe d'environ 33 mm en position debout. Contenu principalement liquidien, avec un peu de graisse, sans contenu intestinal au moment de l'examen. Par ailleurs, présence de liquide libre intra-abdominal. Ultrason abdominal 17.12.19 Sérologie hépatite B, C, E, HIV, CMV, EBV, 18.12.18: négatif Hépatite A, VSV: infection ancienne Hépatite E en cours Protocole par Fluimicil le 18.12.18 et le 19.12.18 (7 g/16 h) Konakion 10 mg/j iv dès le 18.12.18 Ultrason abdominal 26.11.2018 rapport oral (Dr. X): pas de dilatation des voies biliaires, vésicule biliaire difficile à évaluer, rein droit pas de calculs visibles. Rein gauche pas de dilatation pyélocalicielle, sonde double j en place. CT abdominal 27.11.2018: foyers de néphrite gauche en amélioration sans abcès visible. Présence de deux calculs coralliformes touchant tous les groupes caliciels et s'étendant jusqu'au pyélon à gauche, inchangés. Status post mise en place d'une sonde JJ avec drainage suboptimal du groupe caliciel moyen gauche, pouvant être amélioré par la mise en place d'une néphrostomie à ce niveau. Laboratoire: cf. annexes Ultrason abdominal (Dr. X): Motif: hyperbilirubinémie. Résultats: vésicule biliaire sans calcul. Pas de liquide libre. Pas de cholestase intra-hépatique franche. Pas d'obstruction post-rénale des deux côtés. Ultrason aux urgences (Dr. X): absence d'épanchement intra-abdominal, absence de dilatation pyélocalicielle, dilatation voies biliaires avec paroi 0.3 mm, lithiase vésiculaires multiples 5 mm avec sludge, absence globe vésicale, absence dilatation aorte abdominale. CT abdominal 05.12.2018: vésicule biliaire non distendue, présentant un discret épaississement pariétal non circonférentiel et sans infiltration notable de la graisse au contact (DD: cholécystite débutante ?). Pas de dilatation des voies biliaires. Pas de lithiase biliaire radio-opaque décelée. Fine lame de liquide libre dans le pelvis, aspécifique. Ultrason abdominal: cholécystolithiase avec possible cholécystite débutante. IRM abdominal le 07.12.2018: vésicule biliaire multi-microlithiasique à parois discrètement épaissies en rapport avec une cholécystite débutante. Pas de lithiase cholédocienne, ni d'obstacle sur le trajet du cholédoque. Discrète ectasie des voies biliaires proximales au niveau de la convergence et de la première division (DD: status post passage de calcul). Ultrason cardiaque ciblé aux urgences Dr. X: pas d'épanchement péricardique, pas de dilatation de la cavité droite, veine cave inférieure collabable, bonne fonction ventriculaire gauche visuelle. Ultrason cardiaque (le 09.11.18) Contrôle pacemaker (16.11.2018) Laboratoire: cf. annexes Ultrason ciblé aux urgences Dr. X: pas de liquide libre intra-abdominal, pas de dilatation des cavités pyélocalicielles droite ni gauche, kyste parapyélique connu à gauche, aorte abdominale non dilatée Ultrason ciblé aux urgences (Dr. X): doute sur épaississement vésicule biliaire. Ultrason radiologique (Dr. X): pas de signe de cholécystite à l'ultrason. Hydratation aux urgences. Retour à domicile avec traitement symptomatique. Ultrason ciblé (Dr. X): globe vésicale, volume 600 mL Pose de sonde vésicale (500 mL) du 26.11.2018 au 29.11.18 Ultrason ciblé (Dr. X/Dr. X): Motif: douleurs basithoraciques post-chute mécanique. Résultats: douleurs de la 10ème côte gauche avec suspicion d'interruption de la corticale, sans fracture franche. Pas de pneumothorax. Pas d'épanchement pleural. Pas de liquide libre péri-hépatique ni péri-splénique. Ultrason ciblé: pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de globe vésical, dilatation des voies pyélocalicielles à gauche de 11 mm, pas de lithiase urinaire visible. Laboratoire: cf. annexes Ultrason de débrouillage: présence de liquide intra-abdominal Traitements: • Stop hydratation IV • Aldactone dès le 16.12.2018 • Lasix per os dès le 21.12.2018 Attitude: • Pas de ponction d'ascite effectuée car peu de douleurs • Majoration progressive de l'Aldactone jusqu'à 400 mg si besoin • Majoration du diurétique de l'anse (Lasix jusqu'à 160 mg/j ou Torem jusqu'à 40 mg/j) si besoin • Suivi poids et clinique Ultrason des voies urinaires du 28.12.2018: absence d'obstruction. Créatinine 182 umol/l, Fe urée 42% le 28.12.2018. Contrôles laboratoires quotidiens avec retour progressif dans la norme de la créatinine. Ultrason Doppler veines membre inférieur droite (transmission orale, Dr. X) Propositions: • Anticoagulation à prévoir. • Xarelto 2x15 mg pour 3 semaines et puis 20 mg 1x/jour proposé Ultrason (Dr. X): collection de 4 cm x 3 cm superficielle avec inflammation des tissus adjacents. Incision et drainage aux urgences sous anesthésie locale par Lidocaïne, masque au monoxyde d'azote (20 min.) et Fentanyl 2 ml. Contrôle à 24 heures. Ultrason du 04.12.2018: appendicite aiguë débutante en phase catarrhale au vu d'un appendice épaissi augmenté de taille à 8 mm mais restant compressible et présence de liquide libre intra-abdominal, particulièrement en fosse iliaque droite. Histologie: cf annexe Laboratoire: cf annexes Ultrason le 12.12.2018: image suspecte en faveur d'une appendicite débutante, sans signe de complication. Le reste de l'examen est normal. Laboratoire: cf annexes Histologie: cf annexes Ultrason partie molle et consultation en orthopédie membre supérieur afin d'exclure un effet Stener. Ultrason testiculaire demandé. Ultrason 4 points (Dr. X): veines compressibles Ultrasonographie des voies biliaires le 21.11.2018 Un avis est demandé au Dr. X. Un CT abdominal est effectué aux urgences et met en évidence une importante accumulation de liquide intra-abdominal avec niveau hydroaérique avec forte suspicion d'ulcère perforé gastrique/duodénal avec comme DD: une perforation colique. Épanchement extra-pleural réactionnel G>D. Au vu du résultat, la patiente est mise sous Tazobac 4.5f 3x/j et est transférée à Fribourg en vue d'une intervention chirurgicale en urgence. Un bilan sanguin nous permet d'exclure une embolie pulmonaire et un syndrome coronarien aigu. Le syndrome inflammatoire important est interprété dans un contexte d'une pneumonie. Un traitement antibiotique est débuté. Un complément d'IRM est organisé, en plan sagittal afin d'avoir une vue d'ensemble de la situation. Je revois la patiente le 13.12.2018. Un contrôle à la consultation du Dr. X (Neurologie) est prévu au mois de janvier prochain. En cas de réhospitalisation, protocole : Morphine 2 mg i.v. + Rivotril 0,5 mg i.v. Un contrôle chez le pédiatre est préconisé dans le courant de la semaine suivant son départ. Un contrôle neurologique aux urgences revient normal. Selon l'avis du Dr. X, nous suturons la plaie labiale par 2 points résorbables, avec contrôle prévu chez le MT à J5. Nous remettons le bout de dent à la patiente avec conseil de contacter rapidement un dentiste afin de la reconstruire. Un CT Scan le 28.12.2018 est prévu pour suite des investigations. Le patient rentre à domicile en bon état général. Un deuxième bilan neuropsychologique est à organiser à distance pour une évaluation de la conduite. Un ECG est effectué aux urgences et revient sans particularité. Le laboratoire est sans particularité. Le cadre de garde passe voir le patient. Ce dernier se dit encore angoissé. Compte tenu de la reprise de la consommation d'alcool à la sortie de sa précédente hospitalisation, une intervention brève sur l'alcool est effectuée aux urgences. Nous proposons également à ce dernier une consultation psychiatrique concernant ses angoisses, qu'il refuse. Le patient peut rentrer à domicile avec suite de prise en charge comme prévu après sa sortie d'hospitalisation. Nous proposons à ce dernier une consultation spécialisée en lien avec sa dépendance suscitée. Un épisode d'infection urinaire basse en janvier 2011. Morsure de chien le 19.09.2017. Un FAX aurait été envoyé mais nous ne l'avons pas trouvé aux urgences. Ce dernier est probablement à l'hôpital de jour où le patient sera suivi. Dose ATB iv donnée. Le patient reviendra demain. Un laboratoire effectué aux urgences revient sans particularité. La glycémie est dans la norme. Une cause somatique de la symptomatologie sus-citée étant écartée, la patiente est transférée à Marsens pour suite de prise en charge. Un laboratoire est effectué aux urgences et montre les éléments susmentionnés. Au vu de la clinique, nous prélevons les selles de la patiente qu'il faudra pister. La patiente peut rentrer à domicile avec poursuite du traitement actuel et ajout d'ulcar 1g en R si brûlures épigastriques pendant la journée. Nous proposons une OGD/coloscopie à distance pour compléter le bilan susmentionné. Un laboratoire est effectué aux urgences et revient sans particularité. Un avis psychiatrique est demandé et ce dernier préconise une hospitalisation à Marsens. La toxicologie urinaire est à pister dans 3 jours sur le système. La patiente est transférée ce jour par ambulance à Marsens. Un laboratoire est effectué aux urgences et revient sans particularité. Un CT cérébral est effectué et ne met pas en évidence d'hémorragies intraparenchymateuses, mais montre une déviation de la cloison nasale avec probable fracture os nasal. Au vu de la clinique, l'EMS est contacté et est d'accord d'assurer une surveillance neurologique pour la patiente. Cette dernière rentre à domicile sous antalgie simple. Un laboratoire est effectué et ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire ni de signe de cholestase. Un US abdominal est effectué et met en évidence les éléments susmentionnés. Au vu de la clinique, un avis est demandé au Dr. X qui propose un retour à domicile avec une bonne antalgie et une consultation programmée le lendemain à la FUA pour contrôle clinique et biologique de la fonction hépato-biliaire. La patiente rentre à domicile avec une prescription de Nexium, Buscopan, Tramal et Ulcar. Un laboratoire est effectué et ne met pas en évidence de syndrome inflammatoire. Au vu de cette clinique rassurante, nous posons le diagnostic de douleurs abdominales sur probable constipation. Un conseil diététique lui est prescrit avec hydratation suffisante (2-3l) accompagnée d'une alimentation plus riche en fibres. Si persistance des douleurs, nous proposons à la pédiatrie d'investiguer une éventuelle cause gynécologique. La patiente peut rentrer à domicile avec antalgie simple et suite de suivi chez le pédiatre. Un laboratoire et sédiment urinaire effectués aux urgences montrent les éléments suscités. Au vu de la clinique, un uro-CT natif est demandé et met en évidence les éléments susmentionnés. Nous posons ainsi le diagnostic de lithiase urétérale droite. Le patient peut rentrer à domicile par un traitement antalgique de Dafalgan, Irfen et Tramal en R et d'un traitement par Pradif 400 mcg. Nous lui demandons de filtrer les urines et de se rendre chez son MT une fois le calcul expulsé pour analyse et suite de prise en charge. Un lambeau épidermique avec un pont de peau d'environ 3 mm est enlevé sous MEOPA. Par la suite, rinçage de la plaie et mise en place d'un pansement occlusif. Le pansement doit être changé dans 5 à 7 jours. La patiente souhaite faire la suite à Yverdon et prendra contact avec un service médical là-bas. Après une semaine, nous changeons le protocole par un pansement Jelonet. Arrêt de travail pour une semaine à réévaluer. Un premier essai de sondage revient infructueux, raison pour laquelle nous demandons l'avis d'urologue de garde, le Dr. X, qui nous conseille la mise en place d'une sonde Bequile. Un deuxième essai montre des urines hématuriques, raison pour laquelle nous gardons le patient en surveillance pendant la nuit et organisons un US de la vessie urinaire le matin. L'US met en évidence une malposition de la sonde avec extrémité au niveau de la prostate. La vessie ne comporte pas de calcul et pas d'autres anomalies sont notées. Au vu des résultats, la précédente sonde est retirée et une sonde charnière 16 béquillée tenue par filet. Le patient peut rentrer à Marsens pour suite de prise en charge. Nous proposons au médecin traitant ainsi qu'aux différents intervenants dans sa prise en charge, à la demande de la famille, une réévaluation de son état clinique car ces derniers s'inquiètent de la péjoration rapide mentale et physique rapide. Un prochain contrôle chez moi est prévu le 23.01.2019. Un rendez-vous ambulatoire est prévu à distance pour discuter des résultats du R-test et d'une indication à une coronarographie. Un rendez-vous de suivi à la consultation du Dr. X est fixé au 18.12.2018. Un seul pic fébrile avec excellent état général, pas de foyer clinique, contage de virose chez le frère. Retour à domicile sans examen complémentaire. Contrôle chez pédiatre à 24 heures. Reconsultation aux urgences si péjoration de l'état général. Un strepto test rapide est effectué aux urgences et revient négatif. Au vu de la symptomatologie, nous posons le diagnostic d'angine/pharyngite d'étiologie virale. Un traitement par Dafalgan, Irfen, d'inhalation de Nasobol et gargarisme d'Aspegic 500 lui est prescrit avec arrêt de travail pendant 3 jours. Un contrôle chez le MT est à prévoir dans 3 jours pour suivi du tableau clinique. Un suivi pédopsychiatrique a été proposé. La mère a déjà fixé un premier entretien avec un pédopsychiatre au Jura pour le 13.12. En cas de besoin, elle contactera le cpp ou les urgences. Mr. Y s'engage à demander de l'aide si les idées suicidaires venaient à survenir à nouveau. Le médecin référent a été informé.Un traitement conservateur avec un plâtre immobilisant pour 8 semaines est indiqué. Contrôle rx-clinique dans 7 semaines. Un traitement par morphine iv permet de bien soulager Mme. Y. La séance de radiothérapie est maintenue, avec l'accord de Dr. X, et Mme. Y quitte les urgences à 10h00. Nous proposons une majoration du traitement MST à 30 mg/j selon tolérance clinique, et mettons en garde Mme. Y des possibles complications. Elle reconsultera en cas de forte douleur non soulagée ou autre complication (arrêt du transit). Uncarthrose et discopathie multi-étagée C3 jusqu'à C6 avec un rétrécissement neuro-foraminal significatif d'origine discale en C3-C4-C5 et d'origine ostéophytaire en C5-C6 sans vrai conflit radiculaire. Une allergie à la pénicilline Ig E médiée est probable, un test allergique est souhaitable. Une ampoule de Gluconate calcium en i.v. aux urgences et substitution per os jusqu'au 24.12.2018. Une ENMG au Neurocentre était prévue pour le 19.12.2018 mais au vu de l'aggravation aiguë des douleurs, nous considérons la présence d'une composante aiguë qui peut être améliorée avec une intervention de décompression intra-foraminale L5-S1 gauche et un soulagement de la racine L5 homolatérale. Nous agendons l'intervention pour le 21.12.2018. Mr. Y se présentera quand même au Neurocentre pour son examen et il nous amènera les résultats lors de son hospitalisation. Le consentement éclairé est rempli et donné à Mr. Y pour réflexion et signature après explications des risques et bénéfices. Une épisode de frisson d'origine peu claire. Une exploration par hibidil et NaCl est effectuée aux urgences et ne montre pas de lésion tendineuse suivi d'une désinfection par NaCl bétadinée et fermeture par 2 points de suture ethilon 4-0. Une exploration approfondie vasculo-nerveuse est prévue le lendemain 08.12 en orthopédie. Une IRM réalisée en 2017 avait mis en évidence une hernie discale L5-S1 ainsi qu'un rétrécissement du canal. Vu la nouvelle progression des symptômes, nous organisons une nouvelle imagerie avec séquences myélo au CIF (patient claustrophobe) et le reverrons à la suite de cet examen. Lors du prochain contrôle, nous réaliserons également des radiographies cervicales face/profil. Une nouvelle coronarographie est prévue le 18.12.2018 pour la mise en place d'un stent dans la coronaire droite. Une nouvelle tentative d'administration de l'antibiotique a été faite aux urgences, elle vomit l'antibiotique 2x. Vu que Mme. Y était toujours afébrile, et que la température n'a pas été mesurée à domicile, l'absence d'un tympan bombé n'est pas de signes pour une mastoïdite, nous débutons un traitement avec Ibuprofène et Paracétamol pendant 24h, le rinçage du nez et Nasivine spray et un contrôle chez le pédiatre dans 24h pour réévaluation. La mère va continuer d'essayer d'administrer l'antibiotique. Une prise de sang nous permet d'exclure un syndrome coronarien aigu. Vu que Mme. Y reste toujours symptomatique après l'hydratation, nous posons l'indication pour une hospitalisation. Une radiographie du thorax nous permet d'exclure un pneumothorax traumatique, ainsi qu'une luxation costo-chondrale. Mme. Y est invitée à se représenter aux urgences en cas d'apparition d'une symptomatologie nouvelle de type difficultés respiratoires. Retour à domicile avec antalgie à la demande et arrêt de sport. Contrôle chez le pédiatre si persistance des douleurs. Une radiographie exclut une fracture. Nous en concluons une entorse de stade 2 que nous traitons par pose d'Aircast, AINS et antalgiques, GRACE. Mme. Y prendra RdV en polyclinique d'ortho à J7 pour le suivi. Clexane non nécessaire car appui sur son pied. Une radiographie ne montre pas de fracture. Mme. Y RAD avec syndactilie à visée antalgique, AINS, antalgie, RICE et indication à consulter chez le pédiatre traitant si pas d'amélioration des symptômes d'ici 5 jours. Une radiographie revient sans fracture ni luxation visualisées. Nous retenons comme origine de cette douleur et œdème une réacutisation d'une ancienne entorse par de nombreuses entorses mineures répétées au travail par la suite, la dernière il y a quelques jours. Mr. Y RAD avec RICE, arrêt travail, attelle Aircast, AINS, antalgiques et il prendra RdV en polyclinique d'ortho le 27.12.2018 pour contrôle clinique et pour une radiographie de la cheville en charge. Une semaine avant l'admission, Mr. Y s'est blessé le coude gauche et a développé, par la suite, une rougeur et une tuméfaction à ce niveau. Vous nous adressez Mr. Y pour suite de la prise en charge. Aux urgences, une ponction est effectuée, puis une antibiothérapie par Co-Amoxicilline 2,2 g iv est instaurée. Au laboratoire, présence d'une CRP sans leucocytose. L'indication opératoire est retenue. Mr. Y est pris au bloc opératoire une première fois le 08.12.2018 pour une bursectomie, prélèvements bactériologiques, lavage et drainage, puis une seconde fois le 10.12.2018 avec fermeture de la plaie. L'antibiothérapie intraveineuse par Co-Amoxicilline 3 x 2,2 g/jour est poursuivie jusqu'au 16.12.2018, avant d'être relayée per os à raison de 2 x 1 g/jour à poursuivre jusqu'au 22.12.2018 inclus. Les suites opératoires sont favorables, avec tarissement progressif de l'écoulement séreux sur la partie proximale de la plaie. Le suivi biologique atteste d'une diminution, puis d'une disparition complète du syndrome inflammatoire. Sous antalgie efficace, avec une plaie sèche et calme, Mr. Y peut retourner à domicile le 17.12.2018. Unité stroke monitorée du 27.12.2018 au 28.12.2018. Poursuite Aspirine et Prasugrel. Héparine 15'000 U/24h (à discuter avec les cardiologues suite à prochaine ETT de suivi). IRM cérébrale le 27.12.2018. Bilan angiologique pré-cérébrale le 28.12.2018. Test de déglutition du 28.12.2018 : normal. Unité Stroke monitorisée du 27.12 au 29.12.2018. CT cérébro-cervical injecté le 27.12.2018 : Plage hypodense de la substance blanche au niveau pariétal D avec léger saignement para falcoriel droit, sans engagement. Occlusion de l'artère carotide commune droite avec reprise du flux au niveau de la bifurcation entre artère carotide interne et artère carotide externe droite. IRM cérébrale le 28.12.2018. Doppler précérébral le 28.12.2018. Echocardiographie le 28.12.2018 : fonction ventriculaire conservée, pas de valvulopathie, pas de passage de micro-bulles. IRM des vaisseaux pré-cérébraux à faire le lundi 31.12.2018. Unklares neurologisches Syndrom, transitorische Lähmung beider Beine am 10.12.2018. Une complication HWI avec : - UST : Leuk +++, Eiweiss pos, Blut +++, Bakter pos. Sous Movicol x1, Laxoberon 16 gouttes b. besoin. Valverde Feigensirup 10ml x3 b. besoin. Freka Clyst sur la permanence avec succès. Sous-bas de ventre gauche DD début de diverticulite avec : - CRP <5, Leuk 8.2 G/l, aucune déviation à gauche. - UST banal, pas de sang. Sous-poids (IMC 17.6 du 3.11.2017). État après phases dépressives récidivantes. Uréthrite à germe indéterminé le 04.12.2018.• HIV, HBV, HCV négatifs, syphilis négatif. • Urétrite avec suspicion de maladie sexuellement transmissible. • Urétrite d'origine indéterminée le 05.12.2018. • Urétrite le 07.12.2018. • Urétrotomie le 23.11.2016 pour double sténose serrée de l'urètre péno-bulbaire, hyperplasie de la prostate de grade 2 avec troubles mictionnels irritatifs (Dr. X). • Cholécystectomie en 1990. • Insuffisance rénale aiguë avec sub-iléus mécanique du jéjunum en 2013. • Fracture de la 4ème côte gauche en juillet 2016. • Hémorragie intra-crânienne parenchymateuse occipitale gauche et sous-arachnoïdienne sur une chute le 02.07.2016. • Urgences Tavel: désinfection, exploration, 10 points de suture. • Contrôle de la plaie chez le médecin traitant le 21.12.2018. • Ablation des points de suture à 7 jours (24.12.2018). • Uricult: négatif. • Urinaie: sans particularité sanguine: CRP 28 mg/l, reste aligné. • Urine du 24.12.18 (médecin traitant) : propre. Ad contrôle chez son médecin traitant, si persistance ad rendez-vous en urologie. • Urine: propre, densité dans la norme. • Urine: propre. • Radio Thorax. • Hémocultures 2x2. • Co-Amoxicillin 7.12-12-12.2018. • Pas de signes Phlébite ou d'infection du Port-a-cath. • Urine: sang ++++ • Laboratoire sanguin. • Avis Dr. X, urologue de garde. • Uro-CT: lithiase urétéro-vésicale de 6 x 7 x 8 mm avec dilatation pyélo-calicielle et urétérale en amont. • Urine: sang ++++ • Laboratoire sanguin. • Uro-CT: lithiase urétéro-vésicale de 6 x 7 x 8 mm avec dilatation pyélo-calicielle et urétérale en amont. • Urine: sang ++++ • Laboratoire. • CT Uro: • lithiase urétéro-vésicale de 6 x 7 x 8 mm avec dilatation pyélo-calicielle et urétérale en amont. • Avis chir: • hosp chir. • Att: • Re évaluation JJ en fonction des douleurs, fonction rénale, syndrome inflammatoire et EF. • Urine sédiment positif pour Leuco et sang et bactéries. • Urines. • Urines : bactériurie +++, nitrite positif, leucocyturie 6-10/ champ. • Urines : Lc +, Nitrites -. Fosfomycine. • Urines : présence de nitrites, sans leucocytes, avec flore bactérienne. Une dose de Monuril 3 gr. • Urines : propres. • Urines: alignée. • Urines: sédiment urinaire par deux fois sans signe d'infection. • Recommandation au patient de consulter prochainement son urologue traitant. • Urines stix et sédiment. • Urines troubles. • Urines. • Attitude: • Retour à domicile avec traitement par Nitrofurantoïne 100 mg 2x/j pendant 5 jours. • Contrôle clinique chez le médecin traitant sans amélioration des symptômes dans 72h. • Urines. • Hydratation. • Att: • mise en pause de la Metformine. • Urines. • Nitrofurantoïne 100mg p.o. reçu aux urgences. • Urines. • Urotube. • Laboratoire. • PCR pour gonocoque et chlamydia. • CT abdomino-pelvien: pas de lithiase, pas de signes de souffrance rénale. • Contrôle le 04.01 comme prévu à Meyriez ; réévaluer avis urologique ou gynécologique si pas d'amélioration. • Urines. • US aux urgences (Dr. X): résidu post-mictionnel 80 ml. • Avis Neuro Spine (Dr. X - Dr. X): Ad transfert Inselspital pour IRM en urgence + avis neurochirurgical. • Ad transfert Inselspital sur accord du neurochirurgien de garde de Inselspital. • Uristix : pas de sang dans les urines. • Uristix du 20.12.2018: complètement normal. Sédiment non envoyé. • Uro CT: Discret syndrome obstructif urétéro-pyélocaliciel droit en amont de deux micro-calculs de l'uretère pelvien de 2 et 3mm. Micro-calcul caliciel supérieur droit non obstructif de 2mm. • Uro CT injecté. • Labo, urines. • Hospitalisation en chirurgie pour suite de prise en charge urologique (Dr. X au courant). • Uro CT low dose en ambulatoire. • Rendez-vous de contrôle chez son urologue. • Uro-CT met en évidence la présence d'un calcul 2*2*3 mm de diamètre situé au niveau de jonction urétéro-vésicale droite, pas de dilatation pyélo-calicielle et deux calculs 4*3*2 mm situés au niveau de calice rénale gauche. • Uro CT: pas de calcul visualisé, pas de dilatation des voies urinaires. • US abdominal: présence de multiples lithiases biliaires infra-centimétriques, pas de dilatation du cholédoque, pas de signe de cholécystite. • Uro CT 05.12.2018. • Uro-CT : dilatation pyélo-calicielle droite de 24mm, infiltration péri-urétérale, calcul intravésical de 3mm de grand axe, calcul intra-caliciel droit d'environ 1mm. • Uro-CT: calcul de 13x9mm à la jonction pyélo-urétérale avec dilatation des voies urinaires intra-rénales à droite. Calcul caliciel non obstructif à gauche. • Laboratoire: CRP 7, leucos 10.3, reste sp. • Uro-CT le 18.12.2018 : dilatation pyélocalicielle bilatérale sans obstruction mise en évidence. • CT thoracique non-injecté le 18.12.2018 : pas de foyer de pneumonie. Comblement des bronches distales et épaississement des parois bronchiques. Nodule du segment apical du lobe supérieur droit de taille inchangée. • US des voies urinaires le 19.12.2018 : Dilatation pyélo-calicielle droite persistante, sans changement significatif en taille post vidange de la vessie et sans visualisation d'obstacle, en corrélation avec la clinique (macrohématurie) DD obstruction par des caillots sanguins ? Disparition de la dilatation pyélo-calicielle à gauche. • CT abdominal avec injection de produit de contraste par la sonde vésicale le 20.12.2018 : Les reins sont superposables au précédent examen, avec une dilatation pyélocalicielle bilatérale stable. Pas d'argument pour une perforation des voies urinaires. Contenu dense de l'uretère distal droit évoquant du sang. Anasarque. • Uro-CT le 18.12.2018. • US des voies urinaires le 19.12.2018. • CT abdominal avec injection de produit de contraste par la sonde vésicale le 20.12.2018. • Sonde 3 voies avec rinçage, changée pour sonde vésicale normale le 18.12.2018. • Cystoscopie avec pose de 2 sondes double J (Dr. X) le 20.12.2018. • Uro-CT 03.12.2018: lithiase de 6 x 7 x 8 mm enclavée dans l'uretère distal gauche avec dilatation du système excréteur en amont. • Uro-CT 05.12.2018. • Laboratoire: cf annexes. • Urolithiase droite avec pose d'une sonde double J en 2012. • Lithiase urinaire en 2010. • Suivi au Centre Psychosocial. • Status poste entorse du ligament collatéral médial DII à droite. • Suspicion de fasciite plantaire droite le 23.10.2017. • Amygdalite gauche à germe indéterminé le 12.08.2018. • Crise d'angoisse. • Alcoolisation aiguë le 12.10.2018. • alcoolémie: 1.60 o/oo. • K 2.8 mmol/l. • Urolithiase droite en 2017. • Urolithiase droite le 30.11.2016. • Uro-CT le 22.10.2014. • Urolithiase gauche en 1983, lithotripsie droite en 1987. • Sinusites récidivantes et inflammation chronique nasale. • Urolithiase gauche le 17.12.2017. • Urolithiase droite le 15.04.2018. • Réaction allergique de stade 2 sur piqûre de guêpe/abeille le 27.07.2018. • Urolithiase gauche le 17.12.2017. • Urolithiase droite le 15.04.2018. • Réaction allergique de stade 2 sur piqûre de guêpe/abeille le 27.07.2018. • Urolithiase gauche le 17.12.2017. • Urolithiase droite le 15.04.2018. • Réaction allergique de stade 2 sur piqûre de guêpe/abeille le 27.07.2018. • Brûlures mictionnelles d'origine indéterminée. • DD: lithiase urinaire, infections urinaires, autres. • Urolithiase multiple à gauche. • Urolithiase, 2012. • Opération cervicale. • Urolithiasis G avec calcul de 1 mm dans la vessie. • Fracture multifragmentaire, intra-articulaire, articulation cunéo-métatarsienne I, pied D; le 14.06.2016. • VADOplex du 15 au 24.06.2016. • Réduction ouverte et ostéosynthèse par plaque arthrodèse Pedus 3/5 18° L et 1 vis libre 2.7 1er métatarsien pied D (OP le 24.06.2016). • Urorec dès le 19.09.2018 (hypotension symptomatique sous Pradif le 18.09.2018), stoppé dès le 28.09.2018 sur avis urologique. • 26.09.2018: essai sevrage sonde urinaire, avec résidu post-mictionnel de 800 ml. • Échec repose d'une sonde urinaire le 27.09.2018. • Consilium urologique le 27.09.2018 (Dr. X): consultation urologique en raison d'une rétention urinaire d'origine peu claire. Urorec peut être arrêté.Consilium urologique le 29.10.2018 : pas de complications par rapport à la prostate, plutôt problématique au niveau neurologique : faire de training vésical, après 7 jours essayer de lever la sonde. Si le patient va faire un autre épisode de globe vésical, organiser la sortie à la maison avec la sonde, et un contrôle supplémentaire (urodynamique) par le Dr. X en ambulatoire. Labo le 30.10.18 : PSA 3.7 ng/ml, PSA libre 0.56%, FPSA/PSA 15%. Retrait de la sonde vésical avec bon effet le 06.11.2018. Urosepsis à E. coli en mars 2010. PTH D pour coxarthrose D en 2007 compliqué par une arthrite septique. Urosepsis à E. coli sur pyélonéphrite droite en octobre 2010. Décompensation d'une cardiopathie hypertensive, valvulaire avec composante ischémique probable en octobre 2010. Hernie discale L3-L4. Cholécystectomie en 1978. Hystérectomie non datée. Pyélonéphrite gauche à lactobacillus en 2012. Fracture en H sacrum et fractures branches ischio et iléo-pubiennes G mises en évidence, le 11.07.2015. Urosepsis à E. coli sur pyélonéphrite obstructive le 28.11.18. • calcul de l'uretère proximal gauche. Urosepsis à E. faecalis et M. morganii. Urosepsis à E. coli 12.10.2017. TUR-v pour papillome de la vessie en 2007 pT1 G1. Cholécystectomie en 1994. Rupture de la coiffe des rotateurs en 2002. Hystérectomie et annexectomie. Éradication d'H. pylori par Klacid et Clamoxyl 01/2017. Pancolite d'origine infectieuse le 18.11.17. Infection urinaire basse probable le 17.11.18. Urosepsis, le 08.12.2018. • traité depuis fin novembre pour une infection urinaire sous Bactrim. Urosepsis post-hospitalisation pour macrohématurie avec sondage 3 voies du 25.12 au 29.12.2018. Urosepsis récidivant (3 épisodes) avec bactériémie à E. coli ESBL le 07.12.2016 : • 26.09.16 traité par Ertapénème ; 9.10.16 traité par Méropénème du 19.10 au 28.10 puis Invanz jusqu'au 06.11.16. • Infection urinaire basse en mars 2018 traité par nitrofurantoïne. • Infection urinaire basse à E. coli ESBL en août 2013, résistant à la Rocéphine. Polyneuropathie sur thalidomide en juin 2013. Purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) spontanément prolongé sur anticoagulant lupique/déficit en facteurs en septembre 2016. Déconditionnement post-urosepsis récidivant après laminectomie L3 et L4 avec spondylodèse L2-L5 et vis pédiculaires cimentées en L2 et L5 réalisée le 16.09.2016, pour canal lombaire étroit L4-S1 avec troubles neurologiques et début de syndrome de queue de cheval incomplet le 12.09.2016 avec : • incontinence urinaire postopératoire contrôlée par des mictions régulières. • troubles sévères de la sensibilité plantaire. • parésie des muscles releveurs et des péroniers bilatéralement avec port d'attelles Heidelberg. Hyponatrémie hypoosmolaire à 121 mmol/l. Troubles de la marche et de l'équilibre d'origine multifactorielle avec chutes à répétition dans un contexte de : • lombalgie chroniques dans le cadre d'un syndrome de la queue de cheval sur statut après laminectomie L3 et L4 avec spondylodèse L2-L5 en septembre 2016. • hyponatrémie. • incontinence urinaire postopératoire contrôlée par des mictions régulières. • troubles sévères de la sensibilité plantaire. • parésie des muscles releveurs et des péroniers bilatéralement avec port d'attelles Heidelberg. • polyneuropathie sur thalidomide. • malnutrition légère. • hypovitaminose D. Urosepsis sur calcul coraliforme obstructif au niveau pyéocaliciel gauche le 23.11.2018. • pose de sonde JJ le 02.11 (Dr. X) avec changement de sonde le 23.11.2018 (Dr. X). • antibiothérapie X du 02.11.2018 au 12.11.2018. Urosepsis sur pyélonéphrite bilatérale. Uro-Tbc 1973. Cholecystectomie en 1959. Décompression S1 gauche le 07.12.2005 sur hernie discale L5/S1 G. Urotube. Bilan en ambulatoire chez urologue à prévoir. Urotube : négatif. PCR Chlamydia et Gonorrhée à pister. Sédiment urinaire. Laboratoire. Antibiothérapie par Bactrim forte cpr 800/160 mg 2x/jour pendant 10 jours (pas d'argument pour prostatite) ; contre-indication à la ciprofloxacine (co-médication par amiodarone). Contrôle filière 34 pour évolution clinique à 48h le 25.12.2018 avec consigne d'annuler le rendez-vous si se sent bien. Traitement antalgique. En cas de mauvaise évolution : consignes de se représenter aux urgences. Urotube non réalisé (antibiothérapie pour une autre raison initiée avant que la patiente ne relate la dysurie et la pollakiurie). Uvamine 2 x 100 mg/jour pendant 5 jours. Urotube : pas de germes. Urotube prélevé après mise en place des antibiotiques du 09.12.2018. CT abdominal natif injecté (Dr. X / Dr.sse X). Avis Dr. X le 09.12.2018 (par les urgences) : antibiothérapie par Ceftriaxone, antalgie. Ceftriaxone du 09.12.2018 au _______. Antalgie morphine. Urotube une semaine après l'antibiothérapie et 1x/mois pendant 3 mois. Urotube. PCR Chlamydia et Gonorrhée à pister. Sédiment urinaire. Laboratoire. Attitude : • antibiothérapie par Bactrim forte cpr 800/160 mg 2x/jour pendant 10 jours (pas d'argument pour prostatite) ; contre-indication à la ciprofloxacine (co-médication par amiodarone). • contrôle au secteur ambulatoire des urgences pour évolution clinique à 24h le 23.12.2018 avec laboratoire (prévoir rendez-vous pour résultat uricult et PCR chlamydia/gonorrhée qui ne sera pas disponible le 23.12.2018 +/- chez le médecin traitant si possible). • traitement antalgique. • en cas de mauvaise évolution : consignes de se représenter aux urgences. Urticaire. Urticaire aigu d'origine indéterminée. Urticaire aigu d'origine indéterminée, DD : péri-infectieuse vs allergique (cacahuète). Urticaire aigu d'origine indéterminée, 1er épisode. Urticaire aigu d'origine probablement allergique.Urticaire aigu sur bas du dos et abdomen d'étiologie indéterminée le 30.12.2016 Cholécystite aiguë le 09.11.2015. Entorse cheville droite stade II le 05.01.2015. Colique néphrétique. Urticaire aigue 1er épisode. Urticaire aigue 1er épisode (Urticaire allergique, trigger viral, urticaire du froid, idiopathique). Urticaire allergique (cacahouètes) DD urticaire para-infectieuse. Urticaire allergique le 26.12.2018. Urticaire allergique probable, d'étiologie indéterminée. Urticaire avec angio-œdème bilatéral et symétrique des mains d'origine indéterminée, 05.08.2018. Urticaire chronique. Urticaire de la face d'origine allergique probable. Urticaire diffuse. Urticaire d'origine indéterminée. Urticaire d'origine probablement virale (DD: contact avec nouvelle lessive, allergique peu probable). Urticaire généralisée suite à une réaction allergique aux huîtres. Urticaire le 22.12.2016. Urticaire sur allergie à un aliment inconnu. • la patiente avait déjà consulté le 23.12.18 pour une urticaire après avoir mangé une courge. Urticaire. Status post-pneumonie en mars 2004. Status post-appendicectomie en 1999. Status post-cholécystectomie laparoscopique en 2002. Anaphylaxie stade 2 avec urticaire généralisée, nausées et discret angioedème. Injection de Tavegyl, introduction d'un traitement de Zyrtec et changement de l'antibiothérapie. Entorse de la cheville droite stade II. Diarrhées d'origine indéterminée le 24.07.2018 DD gastro-entérite pullulation bactérienne avec orthostatisme. US ( Dr. X) Petit lavement sans succès aux urgences. Conseils style de vie. Movicol. Freka en R. US : pas de visualisation d'hématome actif en regard de la musculature de la racine de la cuisse. Us abdo du 14.12.2018 : image en cocarde, appendice de 6 mm de diamètre. Labo: aligné. Us abdo : image en cocarde, appendice de 6 mm de diamètre. Labo: aligné. Stick urinaire : leuco +, nitrites neg, sang ++. Test grossesse : neg. US abdomen le 30.11.2018 : pas de lésion suspecte. Dilatation de la veine cave et des veines sus-hépatiques traduisant une surcharge cardiaque droite. Motilium du 27.11 au 29.01.2018. Primperan dès le 29.11.2018. Stop Pantozol, relais par Nexium le 28.11.2018. US abdominal. US abdominal : Invagination colo-colique versus grêlo-grélique, épaississement diffus pariétal des anses digestives (rapport provisoire). US abdominal : pas de dilatation des voies urinaires, cicatrices corticales d'anciennes infections des deux côtés, vessie sp (collègue radiologue signale le ballonnet, patiente avec sonde vésicale en place mais pas signalée au collègue radiologue), voies biliaires non dilatées, pas de signes de cholécystite. US abdominal. Antiémétique. US abdominal aux urgences (Dr. X) : pas de liquide libre visualisé. US abdominal : cf dossier. US abdominal (Dr. X) le 12.12.2018 : pas de thrombose ni hypertension portale. ETT (Dr. X) le 12.12.2018 : absence de HTP. Suivi biologique. US abdominal du 02.12.2018 : voies biliaires non dilatées, pas de signes de cholécystite. Attitude : • suivi biologique. US abdominal du 03.12.2018 : pas de cholécystolithiase, pas de dilatation des voies biliaires intra et extra-hépatique. Pas de lithiase visualisée, pas de liquide libre, pas de liquide libre péritonéal. US abdominal : examen de qualité moyenne, pas d'épanchement dans le Morison, fine lame d'épanchement dans le Douglas, pas d'épanchement spléno-rénal, pas de dilatation pyélocalicielle, anse colique visuellement dilatée. US abdominal le 19.12.2018 : foie stéatosique. Status post-cholécystectomie. Dilatation des voies biliaires extrahépatiques consécutive. Pas de dilatation des voies biliaires intrahépatiques. Pas d'obstacle visualisé sur les voies biliaires. US abdominal le 22.12.2018 : discret épaississement des parois vésiculaires pouvant correspondre à une cholécystite débutante. Pas de dilatation des voies biliaires. CT abdominal le 23.12.2018 : probablement cholécystite lithiasique non compliquée. Pas de dilatation des voies biliaires. US abdominal le 27.12.2018. CT abdominal natif et injecté le 28.12.2018. OGD et ERCP avec biopsies le 28.12.2018 (Dr. X). Sera convoqué par Dr. X pour résultats et suite de prise en charge. US abdominal le 28.11.2018. US abdominal le 28.11.2018 : sp, hormis veines sus-hépatiques dilatées. US abdominal le 28.11.2018 : normal hormis de grosses veines sus-hépatiques. US abdominal le 28.11.2018. Ponction d'ascite le 30.11.2018. US abdominal le 29.12.2018. US abdominal le 30.10.2018 : pas de dilatation des voies biliaires intra- et extrahépatique. US abdominal : pas d'altérations hépatiques. US gynécologique : confirmation de la vacuité utérine. Laboratoire du 07.12.2018 : Hb 109, Plaq 303, pas de syndrome inflammatoire. Fonction hépatique perturbée (ASAT 133, ALAT 186, LDH 848, gama-GT 105). Fonction rénale dans la norme. Spot urinaire négatif. Laboratoire le 09.12.2018 : Hb 123 g/L, électrolytes alignés, pas de syndrome inflammatoire, Fonction hépatique perturbée (ASAT 104, ALAT 210, GGT 96). US abdominal (pas de calcul visualisé, montre une dilatation pyélo-calicielle). US abdominal : pas de lésions rénales. Pas d'accumulation liquidienne dans le Douglas ni dans le Morrisson pouch. US abdominal supérieur (aux urgences, Dr. X) : voies biliaires intra et extra-hépatiques non dilatées, pas de signes de souffrance de la vésicule, pas de lithiase. Prise en charge pb 1. Suivi biologique. US abdominal supérieur le 10.12.2018 : vésicule biliaire lithiasique sans signe de cholécystite. Pas de dilatation des voies biliaires. Deux probables angiomyolipomes des reins gauche et droit. Des lésions tumorales semblent moins probables au vu du signal échographique évoquant de la graisse. Cependant, au vu de la taille, un contrôle à 6 mois est recommandé. Kystes parapyéliques gauches et légère dilatation pyélocalicielle gauche, sans obstacle. US abdominal supérieur 10.12.2018. Suivi laboratoire. US abdominal (03.12.2018). Ceftriaxone et Métronidazole dès le 08.12.2018. ERCP +/- Cholécystectomie à planifier. US abdominale ciblée. Sédiment urinaire + urotube : urines propres avec bactériologie négative. Sondage urinaire du 14.12 au 19.12.2018. Reprise de diurèse normale. US abdominale ciblée. Sédiment urinaire + urotube à pister. Attitude : • sondage urinaire. US Abdominale (Dr. X) : Indication : douleurs abdominales avec saignements chirurgicaux. Résultats : Absence d'épanchement intra-abdominal, absence de dilatation pyélo-calicielle, pas de globe vésical, aorte abdominale non visualisée. US abdominale le 23.11.2018 Suivi biologique et clinique US abdominal Surveillance biologique US aux URG (Dr. X) : Absence d'épanchement intra-abdominal, absence de dilatation pyélo-calicielle, dilatation VB avec paroi 0.3 mm, lithiase vésiculaires multiples 5 mm avec sludge, absence de globe vésical, absence de dilatation aorte abdominale. US aux urgences : à la recherche d'un globe vésical. Pas d'épanchement péritonéal visualisé. Vessie : pas de globe, volume post-mictionnel à 0.72 ml, pas de corps étranger intra-vésical visualisé. US aux urgences (Dr. X) : paroi de la vésicule biliaire fine, pas de dilatation des voies biliaires, doute sur Murphy échographique. US aux urgences (Dr. X) : pas de contraction ventriculaire. US cardiaque post ROSC (Dr. X) : dilatation des cavités droites. US aux urgences par Dr. X : dilatation pyélo-calicielle rein D ; pas d'atteinte des voies biliaires ni de la vésicule ; kyste du rein G (connu selon la patiente) Uro CT injecté : dilatation pyélo-calicielle 20 mm D, avec dilatation de l'ensemble de l'uretère ; opacité intra-vésicale de 3 mm au niveau de la jonction vésico-urétérale (polype ?) ; pas d'adénopathie visualisée. US aux urgences (Dr. X) : Pas de liquide libre visualisé dans le cul-de-sac de Douglas/Morrison. Espace de Koheler mal visualisé. Vésicule biliaire : partiellement visualisée, pas de saisissement de la muqueuse visualisé. Calcul intra-vésiculaire : ne sais pas. Rein droit : Pas de dilatation, Rein gauche : ne sais pas. Pas de globe vésical. US aux urgences : sans particularités. CT abdominale : Diverticulite IIb Hansen, sans perforation associée. Rocéphine et Flagyl du 13.12.2018 au 24.12.2018. Marqueurs tumoraux négatifs. US avec prostate agrandie et présence d'un caillot et vessie de lutte. Labo : CRP 69, sans Lc. Reste aligné. Crase dans la N. Pose de sonde 3V avec rinçage en continu => Bonne évolution avec soulagement des douleurs sus-pubiennes. Urines rosées sans calculs. Avis chir (Dr. X) : • Hospitalisation avec rinçage en continu • ATT contacter urologue • Pister labo FSS, CRP US cardiaque : FEVG préservée visuellement, pas de dilatation des cavités cardiaques, péricarde sec, VCI non dilatée. Aorte vue sans flapping. Échogénéicité moyenne. US cardiaque (Dr. X) : dyspnée et douleurs dorsales. Pas d'épanchement cardiaque, cavité droite non dilatée, fonction du VG conservée, veine cave non dilatée et compliante. Pas de signe d'insuffisance cardiaque. US cardiaque (Dr. X) 11.12.2018 : ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 70 % (évaluation visuelle). Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Aspect de sclérose aortique sans rétrécissement significatif. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Discrète dilatation du ventricule droit. Oreillette droite non dilatée avec une discrète dilatation du ventricule droit. HTAP minime (PAPs à 47 mmHg). Valve tricuspide normale. Insuffisance tricuspide physiologique (grade 0 à 1/4). Valve pulmonaire normale. Absence d'épanchement péricardique. En raison d'une dyspnée nettement péjorée depuis quelques semaines, discuter une coronarographie pour exclure une cardiopathie ischémique sous-jacente associée. CT Scan thoracique 10.12.2018 : à l'étage thoracique : examen réalisé avant et après injection de contraste (Netix 350 i/v). Dans le médiastin, absence d'adénopathie de taille significative. Pas d'embolie pulmonaire visible au niveau segmentaire et sous-segmentaire. Dans le parenchyme pulmonaire, mise en évidence d'un épaississement péri-bronchique avec comblement endo-bronchique du lobe inférieur gauche, infiltrat de type broncho-alvéolaire de la lingula. Dans les parties molles du thorax, absence d'adénopathie axillaire. À l'étage abdominal : syndrome de Chilaïditi. Dysmorphie hépatique avec volumineux lobe gauche sans lésion suspecte. Absence de calcul radio-opaque dans la vésicule biliaire. La rate, les glandes surrénales se présentent normalement. Atrophie graisseuse du pancréas. Reins de taille normale, sans dilatation pyélo-calicielle. Absence d'adénopathie dans le rétro-péritoine. Sur le volume osseux exploré, séquelle de fracture sternale et costale. CONCLUSION : foyer lobaire inférieur gauche associé à un épaississement péri-bronchique. Pas d'argument pour une néoplasie. US cardiaque 15.12.2018 (Dr. X) : Ventricule gauche non dilaté, non hypertrophié avec une fonction contractile segmentaire et globale normale. FEVG à 65 %. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Rétrécissement aortique non serré calcifié, d'origine dégénératif. Surface aortique à 1,23 cm² (0,68 cm²/m²). Gradient moyen VG-Ao à 27 mmHg. Pas d'insuffisance aortique. Valve mitrale normale. Insuffisance mitrale minime (grade 1/4). Oreillette gauche non dilatée. Oreillette droite normale. Ventricule droit normal. Absence de dilatation des cavités droites. Absence d'HTAP. Valve tricuspide normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Valve pulmonaire normale. Minime épanchement péricardique. Scanner cérébral et cervical le 14.12.2018. US cardiaque 28.11.2018. PBM par Dr. X le 28.11.2018. Résection ganglionaire par Dr. X le 29.11.2018 : Contrôle régulier de la plaie à travers le Comfeel. Ablation de Comfeel à J14 (13.12.2018), Matériel de suture résorbable, Ablation de drain à J1. Pose de PICC line le 29.11.2018. PET CT le 5.12.2018. RAD le 5.12.2018 avec PICC-line. Contrôle le 12.12.2018 avec Dr. X avec ablation du Comfeel. US cérébral le 18.12.2018 (S. Y) : Appel Sandro Scherrer Radiologue -> US cérébral normal mais difficile en raison des cheveux et d'une petite fontanelle. Discussion des résultats aux urgences pédiatriques : Au vu de l'examen clinique et de l'US normal, nous laissons le patient rentrer à domicile et laissons la suite de la prise en charge au pédiatre. US cérébral. IRM cérébrale. Bilan métabolique en cours à Zürich. Bilan endocrinologique. Avis neuropédiatrique. US ciblé : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement dans le Douglas, pas d'épanchement spléno-rénal, VCI compliante sans dilatation, vésicule biliaire non dilatée alithiasique. Péricarde sec. Conclusion : examen sans particularité. US ciblé abdominal = Pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement spléno-rénal, pas d'épanchement dans le Douglas, vessie vide, vésicule biliaire alithiasique, kyste rénal droit, aorte visible sans signe de dissection. US ciblé abdominal : pas d'épanchement dans le Morrison, pas d'épanchement spléno-rénal, pas d'épanchement dans le Douglas, vessie vide, vésicule biliaire alithiasique, kyste rénal droit, aorte visible sans signe de dissection. CT abdominal 13.12.18 : Diverticulose pan-colique, associée à un important épaississement pariétal et segmentaire du côlon sigmoïde, avec infiltration de la graisse en regard et vraisemblable perforation couverte, lame de liquide libre dans le pelvis et plusieurs ganglions augmentés en taille et en nombre. Absence de pneumopéritoine ou d'abcès. Sigmoïdite diverticulaire, classée Hansen and Stock IIb. Laboratoire : cf. annexes. US ciblé aux urgences : échogénicité médiocre, coupe petit axe non contributive, fine lame d'épanchement péricardique non circulaire. VCI non dilaté, FEVG visuelle préservée, pas de dilatation des cavités cardiaques. US ciblé aux urgences (Dr. X) : • Indications : douleurs thoraciques. • US thoracique, bonnes conditions. Résultats : pas de pneumothorax, pas d'épanchement pleural ddc. Coeur : pas d'hypertrophie ventriculaire, pas d'épanchement péricardique. Bonne contractilité du myocarde. US ciblé (Dr. X). Nous recommandons d'organiser un CT abdominal en ambulatoire pour évaluer la lésion rénale. U/S ciblé (Dr. X). Motif : Diarrhées avec crampes abdominales. US ciblé (Dr. X) : US ciblé le 27.11.2018 : nodule oblong parallèle au plan cutané, mesurant 1 cm de grand axe pour 4 mm de court axe, avec vascularisation Doppler au niveau du hile, l'ensemble évoquant un ganglion. Suivi clinique. US ciblé, le 27.12.2018 : hernie indirecte droite, contenu liquidien et graisseux, pas de contenu intestinal. Avis chirurgical : opération chirurgicale non indiquée avant le traitement de l'adénocarcinome prostatique (sous réserve d'incarcération). Rendez-vous en ambulatoire à la consultation des chefs de clinique à prévoir par la suite. US ciblée = Pas d'épanchement dans le Morisson, pas d'épanchement dans le Douglas, pas de globe vésical, Dilatation des voies pyélocalicielles à gauche de 11 mm, pas de lithiase urinaire visible. US ciblée thorax le 16.12.2018 : épanchement pleural modéré à gauche, pas de syndrome alvéolo-interstitiel. Rx thorax le 16.12.2018 : Examen réalisé en position couchée, en incidence antéro-postérieure. Comparatif du 15 septembre 2016. Silhouette cardio-médiastinale ininterprétable en raison de l'incidence. Apparition d'une surélévation de la coupole diaphragmatique droite (dépendant de l'incidence ?). Redistribution vasculaire baso-apicale nouvelle avec apparition de réticulations diffuses, le tout compatible avec une insuffisance cardiaque sans signe de décompensation aiguë. Pas d'épanchement pleural visible, sous réserve de la position couchée. Le cadre osseux est superposable. ECG le 17.12.2018 : RSnc, axe QRS 30°, horizontal. V3/V4, intervalle PQ, QRS, QT dans la norme, pas de troubles de la repolarisation. ETT le 18.12.2018. Ventricule gauche non dilaté avec une fonction systolique globale normale. Géométrie normale du ventricule gauche. Aorte normale. Sténose aortique lâche. Gradient moyen VG-Ao à 25 mmHg. Insuffisance aortique légère. Excès tissulaire du feuillet mitral antérieur. Insuffisance mitrale minime (grade 1/3). Fonction diastolique normale. Absence de dilatation des cavités droites. La fonction systolique du ventricule droit est normale. Absence d'insuffisance tricuspide. Aspect échographique d'une frange graisseuse sans épanchement péricardique. Commentaire : L'examen du jour montre une fonction systolique globale conservée sans valvulopathie significative. Sténose aortique lâche. US genou droit le 19.12.2018 : À gauche, présence d'un volumineux kyste de Baker complexe d'échogénicité hétérogène, mesurant 58 mm de grand axe. Présence d'une infiltration liquidienne modérée des tissus mous alentour pouvant éventuellement parler pour une rupture (DD : œdème de stase ?). Faible quantité d'épanchement articulaire. À droite, présence d'un kyste de Baker moins volumineux également d'échogénicité complexe, mesurant 46 mm de grand axe. Il y a une discrète infiltration liquidienne des tissus mous à proximité, moins marquée par rapport au côté controlatéral. Dans les deux kystes, on visualise des petites calcifications pouvant être en rapport avec une chondrocalcinose. Nous recommandons de compléter l'examen par des radiographies standards à la recherche de chondrocalcinose. Rx genou gauche le 20.12.2018 : signes de chondrokalzinose, légère sclérose sous-chondrale avec pincement articulaire. US de ce jour : lésion partielle du ligament collatéral ulnaire à droite au niveau de la MCP I. US de contrôle à 6 mois à prévoir. U/S de débrouillage (Dr. X) : Suspicion de dilatation pyélocalicielle Grade 1 rein gauche. Att : • Hydratation • Suivi biologique • Selon évolution prévoir U/S des voies urinaires. US de l'articulation (Dr. X) : doute sur un épanchement de l'articulation. Consilium orthopédique (Dr. X) : pas d'argument pour une arthrite septique (entorse + virose plus probable). Bilan sanguin : CRP en baisse, pas de leucocytose, neutrophiles > lymphocytes, pas de déviation gauche. US des parties molles : phlegmon, collection liquidienne de 1 ml. Avis chirurgical : poursuite antibiothérapie ad 10 jours, contrôle à 24 heures avec FSC/CRP, +/- nouvel US. US des tissus mous droits. Sérologie oreillons en cours. Clindamycine 10 mg/kg/8h pendant 10 jours. Bonne hydratation, continuer alimentation, alimentation avec provocation de la salivation. Contrôle clinique le 03.12.18. US des tissus mous 05.12.2018 : juste en dessous de la rotule, en regard de la petite plaie, on visualise un petit œdème sous-cutané en avant du tendon rotulien, mais pas d'image d'abcès ni de collection. Un peu plus bas, en regard de la TTA, on visualise un aspect de phlegmon du tissu sous-cutané avec une zone encore plus hypoéchogène à l'intérieur, d'environ 15 mm d'extension cranio-caudale pour 10 mm de largeur et 5 mm d'épaisseur avec mise en évidence de liquide en mouvement à la pression de la sonde. US des vaisseaux précérébraux le 05.12.2018. US des voies rénales, le 11.12.2018 : dilatation pyélocalicielle bilatérale, sonde de néphrostomie gauche suivie uniquement jusqu'en sous-cutané. Révision de la néphrostomie en radiologie (Dr. X), le 12.12.2018 : néphrostomie transcathétée avec bon résultat. Prophylaxie par Co-Amoxicilline 1.2 g iv le 12.12.2018. Suivi biologique. US Doppler carotides. US Doppler le 07.12.2018 : peu contributif (gazs), pas possible d'exclure thrombose veine porte. Attitude : • cinétique à la baisse des tests de manière spontanée. • poursuite du suivi ambulatoire de la cirrhose par médecin traitant. US Doppler membre inférieur droit. Stop Clexane. Bolus Héparine iv 5000 UI. Héparine iv 15000 UI/24 h en continu. Relais de l'Héparine par Eliquis 5 mg 2x/j du 17 au 23.12.2018 puis 5 mg 2x/j dès le 23.12.2018. US Doppler membre inférieur les 29.11.2018 et 03.12.2018. US Doppler membres inférieurs le 05.11.2018 avec thromboses infra-géniculées multiples à droite. Avis angiologique (Dr. X) : anticoagulation thérapeutique indiquée. Avis cardiologique (Dr. X). Héparine thérapeutique du 04.11 au 26.11. Clexane thérapeutique du 27.11 au 21.12. Furosémide le 04.11.2018. US Doppler MI le 17.12.2018 à organiser. US du MIG : pas de TVP (Dr. X). Co-Amoxicilline iv 2.2 g 3x/j du 21.12 au 24.12.2018 puis 1 g po 3x/j du 25.12 au 27.12.2018. Clexane prophylactique dès 21.12.2018. Antalgie. Rendez-vous chez le Dr. X le lundi 31.12.2018. US du mollet droit : montre une structure anéchogène, non compressible, de 1.3 x 0.7 cm, absence de matériel hématogène, (notamment thrombotique) à l'intérieur. Absence de signes évocateurs d'une thrombose. US du mollet droit : montre une structure anéchogène, non compressible, de 1.3 x 0.7 cm, absence de matériel thrombotique à l'intérieur. US du pouce droit prévue le 08.01.2019. Prochain contrôle clinique le 09.01.2019. US du scrotum à envisager. US du 17.12.2018 : rupture complète du tendon d'Achille à 33 mm en aval de la jonction myotendineuse. Gap de 8 mm en position neutre. Contact des moignons en flexion plantaire. US endovaginal. Curetage évacuateur sous rachianesthésie le 29.12.2018. Envoi du contenu du curetage en anatomo-pathologie. US endovaginal : kyste ovarien droit de 5 cm x 3 cm. Laboratoire : pas de syndrome inflammatoire, lactate à 4.1 mmol/L. TG urinaire négatif. Laparoscopie exploratrice en urgence sous anesthésie générale le 10.12.2018 : Détorsion de l'annexe droite, kystectomie droite, biopsie de la coque du kyste, ovariopexie. US hanche à 40 SA. US hanche droite 26.11.2018. Rx du bassin et de la hanche droite du 04.11.2018.US hanche gauche : Fine lame d'épanchement intra-articulaire au niveau de la hanche gauche de 4 mm non ponctionnable. Laboratoire. Avis orthopédique (Dr X) : faible probabilité pour une arthrite septique, contrôle clinico-biologique à 48h. Retour à domicile. Antibiothérapie par Co-Amoxicilline 1 g X3/24. Réévaluation clinico-biologique en F34 à 48h. US hanches DDC le 15.12.2018 (à Riaz) : Pas d'épanchement visualisé au niveau des 2 hanches qui se présentent par ailleurs symétriquement et normalement. US genou fait aux urgences pédiatriques : pas d'épanchement visualisé. Rx hanches, bassin (à Riaz), jambe gauche, cuisse gauche, pieds gauche (Avis radiologue Dr X) : pas d'asymétrie au niveau de la hanche, pas de lésion osseuse visible. Bilans sanguins : CRP 12 mg/l, pas de leucocytose, CK sp. US inguinal : Présence d'une lame de liquide extrapéritonéal coïncidant avec un probable déchirement musculaire du grand droit. Pas de signes en faveur d'une hernie. US LCU et LCR du pouce puis contrôle en orthopédie. US le 17.12.2018 à 14h à la Permanence. US le 23.11.2018 : pas de thrombose, adénopathies inguinales comprimant les veines iliaques. Angio-CT thoraco-abdo-pelvien le 23.11.2018 : pas d'embolie pulmonaire. US le 23.11.2018 Surveillance. US main D le 26.11.2018. Rx main D le 26.11.2018. IRM main D le 26.11.2018. Rx main D post-op le 27.11.2018. US main D le 06.12.2018. US MID : TVS saphène interne droite. Laboratoire : D-dimères 774, reste normal. US obstétrical : Vitalités fœtales bonnes. Croissance du J2 au P5-P8. Mesure du col : 17 mm. ActimPartus négatif. Laboratoire le 28.11.2018 : pas de syndrome inflammatoire. Tocolyse d'urgence par Adalat 10 aux 15 min, puis relais par Adalat CR 30 2x/j. Cure de maturation par Celestone le 28.11.2018 et le 29.11.2018. US : pas de TVP mais présence d'une déchirure du muscle gastrocnémien médial de 6 mm. US poignet le 29.11.2018 : Ténosynovite diffuse avec mise en évidence de liquide au contact des tendons fléchisseurs proximalement au tunnel carpien, ainsi qu'au contact des deux premières loges des tendons extenseurs. Pas de collection sous-cutanée mise en évidence. Pas de liquide articulaire. Ponction de liquide synovial le 30.11.2018 (rhumatologie) : rares cristaux intracellulaires compatibles avec une arthropathie à CPPD, microbiologie négative à 2j. US pouce D de ce jour : rupture complète du ligament collatéral ulnaire sur son tiers distal sans interposition du tendon opposant du pouce non compatible avec une lésion de Stener. US rénal le 04.12, 05.12, 07.12.2018 et 11.12.2018. Mise en place d'une sonde double J à droite le 04.12.2018 (Dr X). Sonde urinaire dès le 03.12.2018, à retirer sur avis urologique. US tendon d'Achille D : gap à 24 mm en flexion plantaire. US testiculaire. US testiculaire du 18.12.2018 : échographie testiculaire dans les limites de la norme, mais à noter une petite hernie inguinale gauche. US testiculaire : examen dans les limites de la norme. US testicules le 13.12.2018 Avis urologique. US thyroïdien le 20.09.2018 (Dr X). Consilium endocrinologique Dr X le 21.09.2018 et le 02.10.2018 : US thyroïde du 20.09.2018 sans particularités, possible phénomène réactionnel à la prise de moyen de contraste pour CT du 29.08.2018, transitoire, DD : thyroïdite transitoire avec relargage hormonal. Faire bilan thyroïdien toutes les 4 semaines ou avant si apparition de symptômes. Attention possible hypothyroïdie réactionnelle à ne pas traiter si asymptomatique. Bilan thyroïdien le 01.11.2018. US tissus mou cou droit (Dr X) : Tuméfaction de la glande parotide droite mesurant 5 x 2,5 x 3,7 cm, présentant de multiples petits nodules hypo-échogènes bien délimités associés à une importante hyperhémie au Doppler et à de multiples adénopathies cervicales locorégionales traduisant une parotidite avec formation de possibles microabcès. Glande parotide gauche et sous-mandibulaires sans particularités. Pas de collection cervicale visualisée. Artère carotide et veine jugulaire interne perméables. Pas d'autre anomalie. Sérologie oreillons : en cours. US urinaire le 29.11.2018 : pas de globe. Haldol le 29.11.2018. US vésical : estimation à 150 cc, pas de globe. CT cérébral injecté : pas d'hémorragie, lésion hypodense superposable au dernier CT. Avis neurologique (Dr X) : • Charge de Keppra 750 mg i.v. • Observation en soins intensifs. • À prévoir PL selon évolution. US vésical (Dr X) : vessie 200 ml. Suivi biologique en filière le 25.12.2018. Pas de modification des traitements habituels : à revoir selon évolution. Hydratation per os. US voies urinaires le 30.11.2018. CT urinaire le 30.11.2018. Pose de sonde double J gauche le 30.11.2018. Cathéter radial du 28.11 au 02.12.2018. Noradrénaline du 28.11 au 29.11.2018. Rocéphine du 28.11 au 30.11.2018, puis du 01.12.2018 au __ (pour 14j). Tazobac du 30.11.2018 au 01.11.2018 (pour une bouteille gram + -> contaminant). US 1er trimestre et contrôle potassium le 11.12.2018. US 22.12.2018 : Bonne vitalité fœtale avec FC à 161/min. Placenta antérieur avec décollement rétro-membranaire postérieur volumineux de 1.5 cm d'épaisseur. Kyste ovarien anéchogène gauche de 39 mm d'aspect bénin. Laboratoire le 22.12.2018 : Hb 113, Lc 7.4, Tc 232, crase en ordre, groupe A+. US 4 points : Veine compressible, infiltration des tissus mous au niveau du membre inférieur gauche. Pas argument pour une. US-Doppler artériel pré-cérébral le 11.12.2018 : perméabilité des artères carotides communes, internes et externes, des deux côtés avec flux physiologique, peu résistifs et antérogrades. Plaque calcifiée au départ de la carotide interne droite, sans sténose supérieure à 50%. Les autres artères précérébrales sont saines. US de repérage veineux des membres inférieurs le 11.12.2018 : la grande saphène gauche est perméable, sans thrombose ni varices. Son diamètre est de 3 à 4 mm sur tout son trajet. Elle peut être prélevée du pli inguinal jusqu'à la cheville. La grande saphène droite a été opérée, elle ne convient pas pour un pontage. Angio-CT cérébral et carotides le 11.12.2018 : suspicion d'AVC ischémique aigu constitué cérébelleux gauche (DD : origine emboligène en la présence de multiples plaques d'athéromatose mixte de la crosse de l'aorte). Pas de saignement cérébral. Absence de lésion sténosante significative des vaisseaux précérébraux qui présentent des altérations athéromateuses notamment à la bifurcation carotidienne droite. IRM neurocrâne le 12.12.2018 : Plusieurs lésions ischémiques aigües constituées de la circulation antérieure et postérieure sans signe de transformation hémorragique. Anévrisme sacciforme de 4 mm de la portion supra-clinoïdienne de l'artère carotide interne droite. Atrophie cortico-sous-corticale modérée et lésions dégénératives d'origine vasculaire Fazekas II/III. À noter : discopathie dégénérative C3-C4 avec empreinte médullaire et rétrécissement canalaire à ce niveau. US-Doppler du point de ponction (07.12.2018) : petit hématome de la paroi de l'AFC sur ponction récente, sans autre complication. US-Doppler veineux du MIG : pas de TVP. Flux conservé dans les artères jambières jusqu'aux pieds. USTV. USTV : masse annexielle droite de 29 mm x 20 mm avec liquide libre dans le Douglas. Laboratoire : b-HCG 1'023 U/L. Laparoscopie exploratrice sous anesthésie générale le 20.12.2018 : Salpingotomie droite. Épreuve au bleu de méthylène positive des deux côtés. Envoi du matériel en analyse anatomopathologique. 1 dose de méthotrexate IM le 21.12.2018. Groupe sanguin : A Rhésus positif. USTV : utérus AVF de 63 x 53 x 62 mm avec 2 SG, J1 LCC 9.2 mm, J2 LCC 8.7 mm, les 2 avec activité cardiaque visualisée, gemellaire bi-bi avec signe du lambda présent, ovaire D 25 x 21 mm avec CJ et ovaire G 17 x 10 mm sp. Pas de liquide libre.stix: propre frottis bacterio vaginale: en cours USTV: utérus AVF de 91x80x97 mm avec SG de 68x36 mm, embryon unique de 36 mm avec activité cardiaque présente, ovaire ddc sp, CJ à gauche, pas de LL. pas de signes US pour décollement trophoblastique. USTV: utérus AVF sp de 64x43x55 mm, endomètre atrophique et régulier de 2 mm, pas de liquide libre au Douglas ni péri-annexiel, ovaire D de 20x19 mm sp, ovaire G de 15x8 mm. stix: sang ++ TG: négatif USTV: utérus AVF sp, endomètre à 6 mm, ovaires ddc sp, pas de liquide libre. USTV: utérus AVF sp, endomètre à 8.6 mm régulier sans signal doppler ni signes US pour rétention de matériel. ovaires ddc sp, pas de liquide libre au Douglas. FSS: Hb 139 g/L, ferritine en cours. USTV: utérus RVF avec SG de 50x25 mm avec embryon unique de 17 mm LCC (8 1/7 SA) sans activité cardiaque. ovaires ddc sp, pas de liquide libre au Douglas. Frottis bacteriologique vaginale: en cours USTV Examen au spéculum USTV examen au spéculum TG Stix urinaire USTV examen au spéculum TV USTV Frottis bacteriologie Ad: Utrogestan USTV: utérus AVF sp, endomètre fin et régulier de 4 mm, ovaire G 22x12 mm sp, ovaire D 25x22 mm avec corps jaune, pas de masse latéro-utérine suspecte, pas de liquide libre au Douglas ni péri-annexiel. b-HCG aujourd'hui: 90 U/L (128 U/L le 05.12, 103 U/L le 07.12) USTV: utérus AVF sp, SG de 11 mm avec image évoquant embryon LCC 3.3 mm (correspond à 6 SA) sans claire activité cardiaque visualisée, annexes ddc sp, pas de liquide libre au Douglas. GS: O Rh positif frottis bacteriologie en cours stix: sang ++, pas de leucocytes ni des nitrites Utérus myomateux. Utérus polymyomateux Utérus polymyomateux, chez une patiente de 48 ans, nulligeste. Utérus polymyomateux, diagnostic le 06.04.2018 Suspicion de nodule mammaire gauche le 06.04.2018, infirmée. Utérus polymyomateux symptomatique, chez une patiente de 43 ans, nulligeste. Uvéite droite. V.a. Arthrose OSG droite. V.a. EBV-Infektion DD bactérienne Superinfection. V.a. virale Bronchite. VAC épicutané du 10.12.2018 au 13.12.2018, puis dès le 18.12.2018. Suivi clinique et traitement conservateur. Vaccin antitétanique à jour (effectué en 2017). Rx pouce G: fracture dernière phalange. Avis Dr. X : • Opération sous AL le 03.12.2018 avec incision et rinçage. Par la suite début de l'antibiothérapie. Demande d'admission remplie. Consentement discuté avec Mr. Y et son père pour la traduction, et signé par Mr. Y. Vaccin anti-tétanique à jour Désinfection (Bétadine), champage, anesthésie en bague (rapidocaïne 1%), exploration à l'aiguille boutonnée et rinçage (NaCl), 3 points Ethilon 4.0, désinfection, pansement simple. Contrôle de plaie à 48 h chez son médecin traitant. Ablation des fils à 14 jours. Consultation avant aux urgences ou chez le médecin traitant en cas de péjoration clinique. Vaccin tétanos non à jour: rappel. Status. Anesthésie locale et nettoyage de la plaie. Rx orteils G: pas de fracture visualisée. Exploration de la plaie par Dr. X: section du tendon fléchi profond, probable exposition osseuse de la 1ère phalange. Rinçage très abondant stérile. Suture de rapprochement par 4 points simples non résorbables 4-0 et pansement. Consentement éclairé signé par Mr. Y + marquage du membre. Sera pris au bloc opératoire ce jour même pour exploration, suture du tendon +/- enclouage de l'orteil. Vaccination antirabique. Vaccination antirabique. Vaccination antitétanique à jour. Désinfection de la plaie. Vaccination antitétanique à jour (en 2014). Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne et exploration de la plaie - pas d'atteinte des structures nobles, plaie superficielle de 1 mm de profondeur. Rinçage au NaCl puis suture par 1 pt d'Ethilon 4-0 et stéristrips. Pansement pour éviter l'abduction du pouce. Réfection du pansement à 48 h chez MT. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Vaccination antitétanique aux urgences. Suture par 3 points d'Ethilon 5.0. Ablation des fils à J5 à votre consultation. Vaccination antitétanique non à jour mais Mr. Y refuse le vaccin malgré les explications. Désinfection par Hibidil, rinçage et exploration, suture par 4 points d'Ethilon 3/0 à gauche et 5 points d'Ethilon 3/0 à droite, sous anesthésie locale. Ablation des fils à J7 à votre consultation. Vaccination antitétanique probablement effectuée au recrutement en automne 2018 - Mr. Y vérifiera ce soir et reconsulte si besoin. Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne et exploration de la plaie - pas d'atteinte des structures nobles, plaie superficielle de 1 à 2 mm de profondeur, pas de corps étranger. Rinçage au NaCl puis suture par 3 pts d'Ethilon 4-0 et stéristrips. Réfection du pansement à 48 h chez le médecin traitant. Ablation des fils à J14 chez le médecin traitant. Vaccination anti-tétanos à jour, Anesthésie locale par Gel-Let, désinfection, anesthésie locale par Rapidocaine, exploration de la plaie et rinçage abondant au NaCl, suture par 3 points d'Ethilon 5-0, pansement, Retour à domicile avec antalgie de réserve, Contrôle de la plaie à 48 h en FUA, ablation des fils de suture à 5 jours chez le pédiatre, Feuille de surveillance post-TC donnée à la mère. Vaccination anti-tétanos à jour, Après désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaïne, exploration de la plaie et rinçage abondant au NaCl puis suture par 3 points d'Ethilon 5-0, pansement Opsite spray, Conseils de glace, antalgie et anti-inflammatoires de réserve, Retour à domicile en taxi (vit avec ses parents), Contrôle clinique de la cicatrice à 48 h à la FUA, ablation des fils de suture à 5 jours chez le médecin traitant, Consultation aux urgences en cas d'apparition de douleurs ou de signes inflammatoires locaux. Vaccination anti-tétanos à jour, Désinfection à l'Hibidil et rinçage au NaCl, puis fermeture secondaire avec contrôle de la cicatrice à 24 h chez le pédiatre, Antalgique et anti-inflammatoires de réserve, Consultation aux urgences en cas d'apparition de nouveau symptôme. Vaccination anti-tétanos à jour, Désinfection, anesthésie locale à la Rapidocaine, exploration de la plaie et rinçage abondant au NaCl, suture par 3 points de Vicryl 5-0, pansement, Le contrôle de la cicatrice à 48 h sera fait par la mère, qui est médecin, Ablation des fils de suture à 5 jours, Antalgiques et anti-inflammatoires de réserve, Consultation aux urgences en cas d'apparition de signes inflammatoires locaux. Vaccination AT (Td-pur 0,5 ml i.m.) le 17.11.2018 Réduction fermée, mise en place d'un fixateur externe poignet G (OP le 17.11.2018) Ablation fixateur externe poignet G Excision fistule cutanée OS radius distal par plaque palmaire Aptus 2.5 et greffe osseuse autologue, OS cubitus par plaque Aptus 2.5 (OP le 22.11.2018) Vaccination du bébé. Vaccination selon schéma. Suture. Contrôle chez le médecin traitant à 48 h et ablation des fils à 5 jours. Dispense de sport. Vacciné grippe en Octobre 18. Status clinique. Labo. Rx thorax. 2 paires d'hémocultures car subfébrile à l'arrivée sur paracétamol. Sédiment urinaire + Ag urinaires: normal. Vaginose bactérienne. Vaginoses à répétition. Valaciclovir 1000 mg 3x/jour pendant 7 jours. Prednisone avec schéma dégressif pendant 3 semaines. Traitement antalgique. Valacyclovir 1000 mg 3x/j pour 7 jours. Valganciclovir 900 mg q24h du 30.10.2018 pendant 3 semaines. PCR CMV le 30.10.2018. Valtrex 500 mg 1x/j au long cours (à stopper si introduction d'un autre anti-viral).Valtrex 500 mg 1x/j au long cours (à stopper si introduction d'un autre anti-viral) Valtrex 500 mg 2x/j pour 10 jours Application locale de gel Xylocain 2% 3-4x/jour. Monuril dose unique Pas de rapports sexuels. Valtrex Xylocain gel Monuril 3gr dose unique Frottis bactério en cours (recherche HSV) Valve aortique mécanique depuis 2001 sous anticoagulation par Marcoumar Valve aortique mécanique depuis 2001 HTA Hypercholestérolémie Valve mécanique mitrale, suivi Dr. X FA chronique sous Sintrom HTA Valve mitrale mécanique Valvuloplastie mitrale chirurgicale le 18.08.2004 (anneau de Seguin) Tuberculose pulmonaire en 1946-50 Crise d'épilepsie tonico-clonique inaugurale le 06.02.2015 : • pas d'argument pour une cause métabolique ou toxique • hémorragie sous-arachnoïdienne, probablement sur traumatisme à la suite de la crise Vancomycine du 17 au 29.11 Angio-CT (19.11.2018) Angiographie (20.11.2018) Amputation supra-géniculée, le 26.11 Vancomycine du 18.12.18 au 20.12.2018 Changement de la VVC le 18.12.2018 et mise en culture Varice du membre inférieur G Varice superficielle de la fosse poplitée gauche le 25.12.2018. DD : thrombose veineuse superficielle. Varice superficielle face postérieure de membre inférieur gauche le 25.12.2018. DD : thrombose veineuse superficielle. Varicectomie des membres inférieurs Varicectomie en 2008. Abcès dentaire de la mandibule inférieure à droite le 28.03.2015. Varicectomie MI Rhabdomyolyse suite à une chute à domicile sur troubles de la marche neuropathie périphérique avec : • (pic de CK à 1925 U/l) Troubles cognitifs légers à modérés, à prédominance mnésique et exécutive, d'origine neurodégénérative Varicectomie. Hystérectomie. Arythmie vaso vagale. Antécédent familial de thrombose. Varicelle Varicelle au décours Varicelle débutante probable Varicelle évoquée sans signes de surinfection. Soins locaux et traitement symptomatique à poursuivre, consignes données en plein détail. Varicelle sans signes de complications Varices douloureuses le 17.12.2018 sur probable insuffisance veineuse. Varices du membre inférieur droit. Varices. Réaction allergique de stade I le 27.03.2017 avec : • Angioedème léger. • Urticaire localisé. • Allergènes possibles : Irfen (AINS), fruits de mer. Varicocèle bilatérale de grade II Arthrite psoriasique axiale et périphérique Varicocèle D > G Vasculite des gros vaisseaux • Diagnostique : 24.04.2017 • Clinique : Syndrome de polymyalgie progressif depuis 09.2016 • IRM Thoraco-abdominal le 24.04.2017 : vasculite de l'Aorte abdominale et des vaisseaux supraaortiques. Enthésite de la musculature de l'épaule, ischio-crurale, inter-épineuse lombaire. Cox-/Omarthrose actives. • Angio-IRM cérébrale et des vaisseaux extra-crâniens le 25.04.2017 : pas d'arguments pour une artérite temporale • Biopsie des Aa. temporales : résultats en cours • Privigen il y a environ 6 semaines • sous thérapie d'Actemra toutes les 4 semaines Ventilation avec O2 100% durant 1 minute résultant en ROSC (return of spontaneous circulation) Oxygénothérapie du 19-20.12 Physiothérapie respiratoire Ventilation non invasive du 25.12.2018 au 28.12.2018 Cathéter artériel radial gauche du 26.12.2018 au 28.12.2018 Ponction pleurale droite (transudat) et drain pleural du 26.12.2018 au 28.12.2018 Echographie transthoracique le 26.12.2018 Contrôle du PM le 27.12.2018 Coronarographie le 28.12.2018 : pas de nouvelle lésion Diurétiques Traitement médicamenteux À discuter avec le Dr. X d'une CRT-D (dispositif de défibrillation et resynchronisation cardiaque) Ventilation non invasive du 28 au 29.10.2018 Furosemide en intraveineux du 28 au 29.2018 Morphine en intraveineux Ventilation non invasive par CPAP FiO2 max à 30% Highflow max 8l/Min (oxygénothérapie moins que 72h) Ventilation non-invasive du 01.12 au 04.12.2018 Aérosols Ventilation non-invasive du 01.12.2018 au 04.12.18 Aérosols Ventilation non-invasive du 09 au 12.12.2018 Physiothérapie respiratoire et mobilisation Ventilation non-invasive du 18.12.2018 au 20.12.2018 Ventilation non-invasive du 26.11 au 27.11.2018 IOT (Cormack 1) et ventilation mécanique du 27.11 au 02.12.2018 Curarisation du 30.11.2018 au 01.12.2018 DV le 30.11.2018, NO du 30.11.2018 au 02.12.2018 Bronchoscopie le 28.11.2018 (Dr. X) Bronchoscopie le 29.11.2018 (Dr. X) Ventilons en réserve Air frais si stridor inspiratoire et toux aboyante 2 pushs de Ventolin si tirage Consultation pédiatre ou urgence si péjoration clinique Ventolin au besoin Ventolin aux 20 minutes Betnesol 0,25 mg/kg/dose x 1 Consignes de surveillance données à domicile Ventolin aux 6h 4push Contrôle chez le pédiatre en début de semaine prochaine Ventolin Betnesol 3 j Ventolin en réserve, maximum 6x/j. Contrôle OGD prévu le 19.12.2018. Discuter la réalisation de fonctions pulmonaires en fonction de l'évolution des symptômes respiratoires. Contrôle chez le médecin traitant en cas d'utilisations fréquentes du Ventolin. Ventolin en réserve Consignes usuelles détresse respiratoire/déshydratation Contrôle dans 3-5 jours chez pédiatre Ventolin et Betnesol aux urgences Hospitalisation pour surveillance respiratoire Oxygénothérapie du 13 au 15.12 Poursuite du Ventolin 4 push aux 6h jusqu'au contrôle chez le pédiatre Betnesol jusqu'au 15.12, reprise de l'Axotide le 16.12 Consultation en pneumologie pédiatrique à évaluer au vu de la répétition des épisodes Ventolin progressivement espacé Betnesol : ajustement de la dose Surveillance clinique Contrôle chez le pédiatre le lendemain Ventolin selon un schéma dégressif Atrovent 1 push 2x/j pendant 3 jours Ventolin : train de 6 push, 4push à la demande si trouble respiratoire Atrovent 2 push : à domicile continuer 2push 3x/j Betnesol 0.5mg, 5co 1x/j pendant 3 jours Contrôle à 36h Surveillance à domicile Ventolin 1 série de x3 6 pushs aux 20' Betnesol 0,25 mg/kg x1 Ventolin 12 pushs x1 Ventolin en réserve à domicile Consignes de surveillance données à domicile Contrôle aux urgences pédiatriques dans 36 heures le 28.12 Ventolin 2 push 4x/jour au minimum, à augmenter selon symptômes Reconsultation si péjoration clinique Ventolin 2 pushs aux 4 heures Ventolin 2push 4x/j Atrovent 2 push Betnesol 0.25mg/kg pendant 2 jours une fois par jour Ventolin, 3 aérosols de 5 mg puis espacement progressif à 3 pushs aux 3 heures Atrovent 250 microgrammes puis espacement de 4 pushs aux 6 heures durant 24 heures Betnesol 0.25 mg/kg/jour durant 3 jours soit du 04.12 au 06.12 Pose de voie veineuse périphérique aux urgences Glucosalin 2:1 besoins complets à 1500ml/24heures les 04-05.12 Bilan sanguin Oxygénothérapie Ventolin 3 x 6 push aux urgences, puis schéma dégressif sur une semaine Betnesol 0.25 mg/kg 1x/j durant 3 jours Ventolin 3 x 6 pushs aux urgences Ventolin 2 pushs selon un schéma dégressif Betnesol 0.25 mg/kg Motifs de reconsultation donnés • Ventolin 3/j • Santasapina • Ventolin 3x 6 push • Betnesol 0.25 mg/kg durant 3 jours • Ventolin 4 push aux 4 heures • Betnesol 4 cpr sur 3 jours • Ventolin 4 push aux 4 heures • Reconsultation si péjoration respiratoire • Ventolin 4 push 4x/jour • A diminuer graduellement selon évolution • Reconsultation si péjoration clinique • Ventolin 4 pushs aux 3 heures le 06.12 puis si besoin • Contrôle pédiatre si persistance de dyspnée/sibilances d'ici 72 heures • Ventolin 4 pushs aux 4 heures le 21.12 puis si dyspnée/tachypnée/signes de détresse respiratoire • Consignes usuelles détresse respiratoire • Information concernant la pesée du Ventolin donnée à la mère • Consignes usuelles quant à la déshydratation • Contrôle chez pédiatre début de semaine prochaine • Ventolin 4 pushs aux 4 heures puis si besoin • Explication de la nécessité de peser le boîtier de Ventolin • Consignes usuelles de détresse respiratoire • Contrôle chez pédiatre dans 48-72 heures • Ventolin 4 pushs aux 6 heures • Consignes de surveillance • Ventolin 4 push aux 4h • Betnesol 14 cpr, 1x/j pendant 3 jours • Contrôle chez le pédiatre le lendemain • Ventolin 5 mg et Atrovent 250 mg en aérosol, puis au domicile • Betnesol 0.25 mg/kg/dose durant 3 jours (1ère dose reçue aux urgences) • Ventolin 6 push aux urgences • Ventolin selon un schéma dégressif • Ventolin 6 push aux 20 minutes répété 3x aux urgences, puis 4 push toutes les 4 à 6 heures • Betnesol 6 cp aux urgences puis 1x/j les 25.12 et 26.12 • Contrôle clinique aux urgences le 26.12 +/- biologique si persistance de la fièvre • Critères de gravité expliqués à la mère Le 26.12: • Evolution favorable • Espacement du Ventolin aux 12 heures et puis en réserve • Toilettes nasales intensives • Ventolin 6 push aux 20 minutes 3x, puis 4 push toutes les 2-3 heures • Betnesol 6 cp (=0.25 mg/kg/j) per os, 1x/j durant 3 jours, 1ère dose aux urgences • Dafalgan et Algifor en réserve • Poursuite rinçages de nez • Contrôle chez le pédiatre dans 24 heures • Ventolin 6 push et Betnesol 6 comprimés aux urgences • Poursuite Ventolin à domicile avec schéma dégressif • Ventolin 6 push puis réévaluation clinique • Rx thoracique : absence de foyer clair Att: • Antibiothérapie par Klaciped 7.5 mg/kg aux 12 heures 7 jours • Poursuite Ventolin selon schéma dégressif • Reconsulte si péjoration respiratoire ou persistance d'un EF dans 48 heures • Ventolin 6 push 3x aux 20 minutes aux urgences, puis au domicile 4 push toutes les 4 à 6 heures (enseignement de l'administration du Ventolin fait) • Poursuite des rinçages de nez • RDV pour contrôle clinique et espacement du Ventolin dans 48 h car pédiatre en vacances • Ventolin 6 pushs aux urgences, Ventolin 4 pushs aux 4h pendant 24h, puis 2-4 pushs aux 6h pendant 24h, puis au besoin 2-4x/jour • Contrôle chez le pédiatre dans 3 jours • Ventolin 6 pushs aux urgences • Ventolin 2 pushs selon un schéma dégressif • Consignes de surveillance donnée • Ventolin 6 pushs aux 20 min pendant une heure • Atrovent 4 pushs x1 • Betnesol 0.25 mg/kg x1 du 02.12 au 04.12 • Gazométrie capillaire: pas d'hypokaliémie • Médecine anthroposophique • Toilettes nasales • Éducation parentale • Ventolin 6 pushs aux 20' pendant une heure • Toilettes nasales • Ventolin 6 pushs série (x3 aux 20 min) • Betnesol 0.25 mg/kg/dose x1 • Consignes de surveillance données et expliquées • Ventolin 6 pushs x 2 aux 20' • Betnesol 0.25 mg/kg x 1 • Toilettes nasales • Ventolin 6 pushs 1 série • Betnesol 0.25 mg/kg x 1 • Toilettes nasales • Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures • Ventolin 6 pushs /20 minutes pendant 1 heure puis espacement progressif aux 6 heures • Betnesol 0.25 mg/kg/j durant 3 jours au total soit du 03.12 au 05.12.18 • Oxygénothérapie aux lunettes • Physiothérapie respiratoire • Monitoring cardiorespiratoire • Ventolin 1-2 push 3x/j jusqu'au contrôle chez le pédiatre • Verdacht auf eine Gi Blutung • Verdacht auf Gastritis • Labor : CRP: 5 mg/l, Leuc: 16 g/l • Verdacht auf virale Angina • Verdacht nach gastritis • Verdacht nach Pneumonie • Verdacht nach Viraler Infekt der oberen Atemwege • Vérifié auprès du médecin traitant et de la pharmacie • Verlaufskontrolle • Verletzung Finger • Vermox à J0 et J15 • Traitement pour toute la famille (ordonnances données) • Vermox 10 mg 2 doses (une ce jour et une dans 14 jours) • Bain de kamilosan • Vermox 10 mg 2 doses (une ce jour et une dans 14 jours) • Bain de kamilosan • Vermox 100 mg à répéter dans 14 jours • Vermox 1000mg 2x/j jusqu'au 14.12.2018, Zentel (Albendazole) 400 mg 1x/j dès le 17.12.2018 • Avis infectiologue (Dr. X) • Suivi clinico-biologique (tests hépatiques) le 27.12.2018 à 11h30 chez le Dr. X • Verrue phalangée distale face dorsale 5ème orteil gauche • Verrue plantaire pied droit. • Verrumal. • Vers intestinaux. • Verschlechterung AZ mit Erbrechen • Vertebra plana récente de D11 et recul du mur postérieur sur 6mm venant au contact de la moelle : • Suivi par Dr. X • Vertébroplastie L5 (OP le 12.12.2018) • Diagnostic anatomopathologique (corps vertébral L5) - Rapport Promed du 18.12.2018 : léger remaniement appositionnel osseux. Pas de composante inflammatoire notoire en particulier aiguë, pas d'abcès, pas de tissu néoplasique malin, pas de métastase (rapport en annexe). • Vertige • Vertige • Vertige. • Vertige. • Vertige atypique avec engourdissement dans la joue gauche et une amélioration spontanée le 21.12.2018. • Vertige atypique d'origine peu claire. • Vomissements à plusieurs reprises. • Vertige dans un contexte post-traumatique • Vertige paroxystique positionnel bénin. • Vertige paroxystique positionnel bénin du canal semi-circulaire gauche • Vertige paroxystique positionnel bénin le 18.12.2018. • Vertige paroxystique positionnel bénin le 24.07.2018 • Manoeuvre de Dix-Hallpike positive et Semont le 24.07.2018 avec résolution de la symptomatologie • Crise hypertensive symptomatique le 22.07.2018 : • CT cérébral le 22.07.2018 • IRM cérébrale le 23.07.2018 • ETT le 23.07.2018 : FEVG à 65-70 % cardiopathie hypertrophique homogène modérée, avec FEVG à 65-70%. Prothèse biologique aortique légèrement sténosante mais non-fuyante. Anneau mitral très calcifié avec sténose mais non serrée. • Majoration Lisinopril à 10 mg • Majoration Atorvastatine à 80 mg Décompensation cardiaque légère droite en décembre 2017 • Connue pour sténose aortique remplacée en 2010 Intoxication alimentaire le 28.12.2017 Dermo-hypodermite jambe gauche en 2012 et 2013 PTG droite pour gonarthrose le 09.01.2013 (Dr. X) PTG gauche en 2001 Cholécystectomie en 2007 Opération d'une hernie ombilicale en 2007 Cystopexie en 1975 Hystérectomie en 1975 avec embolie pulmonaire postopératoire Appendicectomie en 1952 • Vertige positionnel paroxystique bénin • Vertige positionnel paroxystique bénin le 17.11.2015 • Vertige probablement sur Pradif. • DD: orthostatisme, origine cardiaque • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • Vertiges. • vertiges • vertiges • Vertiges avec hypoacousie droite et céphalée diffuse et nystagmus battant vers la droite d'origine indéterminée depuis le 26.12.18 • Vertiges avec symptômes visuels, céphalées et fatigue d'origine indéterminée. DD: Origine médicamenteuse DD: trouble somatisation • Vertiges chroniques. • Vertiges chroniques Ostéoporose État dépressif • Vertiges dans le cadre de manipulations cervicales probablement d'origine irritative (neuro-musculaire) sur mauvaise posture chronique (scoliose, asymétrie épaule D>G) le 29.01.2013. (DD : composante d'angoisse). Vertiges dans le contexte d'hypotension orthostatique. Test de Schellong: Signes d'hypotension orthostatique. Vertiges dans le cadre d'un pré-malaise vaso-vagal le 19.11.2017. DD: Vertiges paroxystiques positionnels bénins. s/p cure de varice membre inférieur droit. s/p appendicectomie s/p hystérectomie et ovariectomie. • Vertiges de type VPPB • Vertiges d'étiologie indéterminée • Vertiges d'origine centrale avec masse cérébelleuse découverte ce jour le 18.12.2018 • Vertiges d'origine indéterminée • Vertiges d'origine indéterminée le 04.12.2018 • NIHSS initial 0 pts • CT cérébral et vaisseaux pré-cérébraux 04.12.2018: Pas d'anomalie, CT dans les limites de la norme. • Avis neurologique (Dr. X + Dr. X) 04.12.2018: débuter aspirine seule, IRM à prévoir en ambulatoire. • IRM 10.12.2018: pas de masse, pas d'AVC, pas de saignement. Pas de signes indirects pour une névrite vestibulaire. Au vu de l'IRM normale, une cause centrale de ce vertige atypique semble improbable et on recommande au Dr. X de cesser l'aspirine (tel du 14.12. Dr. X) • Vertiges d'origine indéterminée, le 16.12.2018 • sur probable orthostatisme. • Vertiges d'origine indéterminée le 30.11.2018. DD: • neuronite vestibulaire. • Vertiges d'origine indéterminée. DD: AVC de la fosse postérieure. • Vertiges d'origine indéterminée Laboratoire Contrôle clinique CT cérébral (Dr. X) • Vertiges d'origine mixte • Hypotension orthostatique d'origine indéterminée (contribution médicamenteuse et de la déshydratation) le 19.11.18 • Origine centrale (diagnostics précédents) • Shellong Test: positif • Vertiges d'origine orthostatique avec fatigue associée 30/01/2012. Appendicectomie durant l'enfance. • Vertiges d'origine orthostatique probable. DD : vertiges paroxystiques bénins. • Vertiges d'origine périphérique. • Vertiges d'origine périphérique diagnostiqués le 27.07.2015 Iléite terminale en avril 2017 Lombalgies d'origine mécanique, non déficitaires • Vertiges et céphalées. • Vertiges et perte de motricité du membre inférieur gauche • Vertiges et perte de motricité MIG • Vertiges et vomissements sur probable cupulolithiases. • Vertiges isolés d'origine indéterminée, probablement orthostatique. • Vertiges orthostatique • Vertiges orthostatique possiblement sur diarrhée • Vertiges orthostatiques • Vertiges orthostatiques avec chute : • contusion du genou gauche, colonne lombaire, orteil 1 gauche • patiente connue pour une maladie de Ménière. • Vertiges paroxystiques positionnels bénins • Vertiges paroxystiques positionnels bénins. • Vertiges paroxystiques positionnels bénins. • Vertiges paroxystiques positionnels bénins. • Vertiges paroxystiques positionnels bénins avec cupulolithiases dans le canal postérieur à droite. • Vertiges paroxystiques positionnels bénins s/p fracture épaule droite et pose de prothèse gléno-humérale droite s/p opération hallux valgus pied droit Fracture récente de la partie antérieure du corps vertébral L3 sur ostéoporose de longue date • CT colonne lombaire le 26.01.2018: anciennes fractures par compression au niveau des corps vertébraux L2, L3 et L5 sur ostéoporose avancée avec exacerbation aiguë au niveau du plateau antérieur de L3; pseudo-spondylolisthésis L4-S1, protrusions des disques L4/5 > L3/4 sans signes d'une compression radiculaire. • Ostéoporose documentée depuis 2004, dernière densitométrie 2011; anciennes radios lombaires montrent déjà un listhesis important au niveau L5/S1 avec L5 fortement comprimé (tél. Dr. X 25.01.2018); • clinique: douleur crampiforme au niveau de la jonction thoracolombaire et le long de la 12ème côte droite, accrue lors de mouvements de rotation et lors de la palpation; contractures musculaires paravertébrales G>D • anamnestiquement mouvement brusque début janvier avec décompensation de lombalgies chroniques 2 semaines avant hospitalisation Suivi biologique Antalgie: Tramadol remplacé par Tapentadol le 25.01.2018 (vertiges) puis adaptation de la posologie, en parallèle au paracétamol déjà en cours Arrêt du traitement de Pantozol (introduit à domicile sur prise d'AINS) Poursuite du traitement de Calcimagon D3 et substitution à la sortie par Calcipos D3 CT colonne lombaire le 26.01.2018 Réhabilitation gériatrique précoce avec prise en charge complexe Sensation d'étourdissement et de faiblesse, en premier lieu sur malnutrition • Test de Schellong le 31.01.2018: négatif (augmentation du pouls et de la pression systolique et diastolique dès le lever; NB interprétation sous réserve de douleurs à la mobilisation) • Otoscopie le 01.02.2018: petite collection de cérumen dans le conduit auditif gauche, tympan ddc sp Test de Schellong le 31.01.2018 Otoscopie le 01.02.2018 Infection urinaire asymptomatique le 24.01.2018 Sédiment urinaire: nitrites + (24.01.2018) Bandelette urinaire: (31.01.2018): propre Poursuite de l'antibiothérapie par nitrofurantoïne du 25.01.2018-31.01.2018 Cholécystolithiases (CT du 26.01.2018) • Clinique le 25.01.2018: douleur à la palpation des quadrants inférieur et supérieur droits, ni défense, ni détente, Murphy négatif • Laboratoire le 05.02.2018: bilirubine directe 4,8umol/l (norme <3.5), totale 11,1umol/l, gGT 40U/l, PA 89U/l, GPT/ALAT 20U/l, GOT/ASAT <30U/l Laboratoire le 05.02.2018 Diverticulose du côlon (CT du 26.01.2018) • Asymptomatique nihil • Vertiges paroxystiques positionnels bénins. Syndrome dépressif dans le cadre d'une séparation avec trouble du sommeil, le 04.02.2015. • Vertiges périphériques avec suspicion maladie de Ménière : • Chez patiente connue depuis longtemps pour des vertiges périphériques • Vertiges rotatoires anti-horaires sans autre trouble neurologique associé • Vertiges périphériques avec suspicion maladie de Ménière DD: • sur HTA • Vertiges périphériques d'origine indéterminée 01.12.2018 • Vertiges périphériques droits Perturbations des tests hépatiques Cure d'une hernie inguinale droite Accident vasculaire cérébral ischémique pontique droit le 10.04.2015 sans confirmation radiologique avec : • ataxie du membre inférieur gauche • parésie du nerf abducens • NIHSS : 10.04.2015 18h15 : 2, 10.04.2015 à 21h00 : 2, 11.04.2015 à 9h00 : 1, 12.04.2015 à 09h00 : 0 Épistaxis chez patient sous double antiagrégation • Vertiges périphériques droits Perturbations des tests hépatiques Cure d'une hernie inguinale droite Accident vasculaire cérébral ischémique pontique droit le 10.04.2015 sans confirmation radiologique avec : • ataxie du membre inférieur gauche • parésie du nerf abducens • NIHSS : 10.04.2015 18h15 : 2, 10.04.2015 à 21h00 : 2, 11.04.2015 à 9h00 : 1, 12.04.2015 à 09h00 : 0 Épistaxis chez patient sous double antiagrégation • Vertiges périphériques sous Arlevert • Vertiges périphériques sous Arlevert • Vertiges périphériques. Gastro-entérite aiguë. • hématochésie de minime abondance d'origine irritative.vertiges positionnels paroxystiques bénins Vertiges positionnels paroxystiques bénins à droite. Vertiges positionnels paroxystiques bénins (cupulolithiase) le 04.02.2011. Lésion de la coiffe des rotateurs (muscle sus-épineux). 1992: status post appendicectomie. 2002: hystérectomie pour utérus myomateux et pose de TVT. 2005: cure d'hémorroïdes. Syndrome sacro-iliaque gauche. 2010: cure de cystocèle et colporraphie postérieure. 2012: vaporisation laser pour VIN II et VAIN II. 2012: status post fissurectomie et sphinctérotomie latérale. Tentamen médicamenteux. • 4 cp de Surmontil de 5 mg. • 3 cp de Cipralex de 5 mg. Vertiges positionnels paroxystiques bénins le 02.12.2018. Vertiges positionnels sans hypoacousie post-traumatique • périphérique. Vertiges post-accident de la voie publique en 2017 multi-investiguées d'origine indéterminée. Vertiges rotatoires d'origine orthostatique DD probablement sur dysautonomie diabétique. Vertiges rotatoires. Vertiges rotatoires avec possible atteinte vestibulaire gauche 11.2016. DD : VPPB, Ménière. AVC en 11/2016 avec hémisyndrome droit. Réaction allergique stade III le 20.02.2018 avec angioedème localisé et dyspnée. Hypertension artérielle. Vertiges rotatoires avec possible atteinte vestibulaire gauche 11.2016 AVC en 11/2016 avec hémisyndrome droit. Réaction allergique stade III le 20.02.2018: • avec angioedème localisé et dyspnée Hypertension artérielle Angiodème le 28/11/18 investigué à l'hôpital de l'Ile (rapport 21.06.2018) • probablement pas d'angio-oedème allergique (pas de réaction systématique sur les allergènes) • réaction allergique toutefois possible sur noix de cajou et wasabi (mais sérologie et test de la peau négatifs) • pas d'angioedème héréditaire Vertiges rotatoires d'origine indéterminée. Vertiges rotatoires d'origine indéterminée • DD: suspicion de syndrome de Ménière. Vertiges rotatoires d'origine indéterminée sans nystagmus. Vertiges rotatoires d'origine indéterminée 31.12.2008 Ischémie aiguë du membre inférieur droit le 14.12.2017 • sur occlusion de l'artère fémorale superficielle supérieure droite • St/p thrombectomie mécanique fémoro-poplitée, thrombo-aspiration du trépied et angioplastie multi-étagée le 14.12.2017 (Dr. X). • Traitement: Xarelto et Aspirine Cardio. Carcinome de la prostate avec status post-radiothérapie. Vertiges rotatoires d'origine orthostatique DD probablement sur dysautonomie diabétique / origine périphérique (cupulolithiase gauche atypique) • S/p vertiges rotatoires de droite à gauche durant quelques minutes mouvement-dépendants d'origine indéterminée le 27.02.2013 avec nausées, céphalées fronto-temporales tensionnelles. Vertiges rotatoires d'origine orthostatique DD : probablement sur dysautonomie diabétique / origine périphérique (cupulolithiase gauche atypique) • status post vertiges rotatoires de droite à gauche durant quelques minutes, mouvement-dépendants, d'origine indéterminée le 27.02.2013 avec nausées, céphalées fronto-temporales tensionnelles. Vertiges rotatoires d'origine périphérique. Vertiges rotatoires d'origine périphérique le 25.12.2018 • status post même symptômes en avril 2018. Vertiges rotatoires, possiblement périphériques. Vertiges rotatoires probablement d'origine périphérique. Vertiges rotatoires sur probable cupulolithiase gauche (2011). Thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit traitée par Xarelto (terminé en juin 2017). Vertiges rotatoires 31.12.2008 • Diagnostic différentiel: fonctionnels, atteinte vestibulaire périphérique atypique Insuffisance rénale aiguë d'origine pré-rénale probablement le 14.12.2017. QTc long à 527 ms le 14.12.2017. Ischémie aiguë du membre inférieur droit le 14.12.2017 • sur occlusion de l'artère fémorale superficielle supérieure droite • St/p thrombectomie mécanique fémoro-poplitée, thrombo-aspiration du trépied et angioplastie multi-étagée le 14.12.2017 (Dr. X). Vertiges sur hypotension orthostatique • dans un contexte d'état anxieux. Vertiges sur hypotension orthostatique et crise de Ménière le 02.12.2018. Vessie dilatée le 11.12.2018 • pas de globe vésical clinique. Vessie hyperactive avec pollakiurie. Vessie neurogène avec : • Sonde urinaire à demeure depuis plusieurs années • Consilium urologique Dr. X 19.11.2018. Vessie neurogène connue dans le contexte d'une SEP (suivi à la consultation de neuro-urologie par Professeure X au CHUV) avec : • vessie hyper-sensible, hypo-capacitive, normo-compliante • hyperréflexie détrusorienne terminale en phase de remplissage • courbe pression-débit en zone équivoque • hypo-contractibilité détrusorienne • dyssynergie vésico-sphinctérienne • résidu post-mictionnel négligeable. Vessie neurogène post AVC 19.11.2018 29.11 02.12. Vessie trabéculée avec pseudo-diverticule et rougeurs pseudo-papillaires au niveau de l'ancien site de résection. Status post-résection transurétrale de la vessie. Mr. Y est hospitalisé pour bronchiolite à RSV oxygéno-dépendante. Sur le plan respiratoire, le test rapide à RSV est positif aux urgences. La gazométrie d'entrée ne montre pas d'acidose ou d'hypercapnie. Une procalcitonine est positive à 0.93 ug/l. Une oxygénothérapie est débutée en raison d'une désaturation à 85 % à l'air ambiant. L'état clinique de Mr. Y se péjore le 14.12 avec une augmentation des signes de détresse respiratoire et une mauvaise entrée d'air bilatérale, sous 1L d'oxygène. Une nouvelle gazométrie montre une acidose respiratoire hypercapnique avec un pH à 7.3, une pCO2 à 7.7 kPa. Dans ce contexte, il est transféré à l'unité de néonatologie pour oxygénation par High Flow. Il s'améliore transitoirement avec correction de l'acidose respiratoire. Par la suite, il présente une péjoration sur la nuit du 14 au 15.12 avec détresse respiratoire en majoration malgré augmentation des paramètres de High Flow et 3 aérosols d'adrénaline. Une gazométrie sur la nuit montre une alcalose métabolique avec une capnie dans la norme. Une radiographie de thorax le 15.12 démontre un infiltrat diffus avec hyperinflation. En raison d'une péjoration respiratoire avec signes de fatigue le matin du 15.12, une CPAP paraît nécessaire et Mr. Y est transféré aux soins intensifs pédiatriques à Bern. Sur le plan digestif, en raison d'une perte pondérale de 150 grammes en 12 heures dans le contexte de son infection respiratoire, une sonde naso-gastrique est posée le 14.12.18. Il vomit 2 fois sur la nuit du 14.12, raison pour laquelle l'alimentation est mise en continue. L'alimentation est mise en suspens pour le transfert. Sur le plan infectieux, il est fébrile durant son séjour, jusqu'à 39.6° le matin du 15.12. Il n'y a pas de leucocytose mais une CPR à la hausse à 117. Mme. Y vient pour contrôle systématique post-hospitalisation de 2 jours pour bronchiolite car son pédiatre est en vacances. Ce jour, elle va très bien sur le plan respiratoire et s'alimente correctement avec une prise pondérale de 100g en 2 jours. VIH sous trithérapie, diagnostiqué en 2008, indétectable suivi par Dr. X. Syndrome obstructif léger à modéré (VEMS à 67% en 2008). Hypercholestérolémie. Tabagisme actif. VIH traité, virémie indétectable. VIH-1 (suivi par Dr. X à Sion). Hypertension artérielle. Mme. Y est hospitalisée pour traitement intraveineux de Fluimicil et surveillance hépatique dans le contexte d'un tentamen médicamenteux au paracétamol. Sur le plan somatique, Mme. Y bénéficie d'un bilan sanguin montrant une acidose métabolique et des ALAT légèrement élevés à 37 U/l, de même qu'un bilan urinaire montrant une leucocyturie transitoire et l'absence de toxiques urinaires. Un traitement par 50 grammes de charbon actif est initié dès son arrivée aux urgences. Selon les recommandations envoyées par le Tox Zentrum et après un dosage de paracétamolémie 4h après l'ingestion à 150 mg/l, un traitement par Fluimicil intraveineux est débuté à doses échelonnées, sur une durée de 20 heures. L'évolution clinique est favorable sans signes d'hépatite aiguë ou d'encéphalopathie, avec des bilans hépatiques rassurants. Le dosage des tests hépatiques 12 heures après l'arrêt du Fluimicil reste satisfaisant (ASAT dans la norme, ALAT légèrement augmentée mais moins de 2 fois la norme, bilan de cholestase aligné). A noter que Mme. Y se plaint de céphalées frontales bilatérales et de maux de ventre au cours de l'hospitalisation, sans signes d'appel et cédant spontanément sans antalgie. Après un second avis du Tox Zentrum, au vu d'un traitement par Fluimicil complet et de l'évolution clinique/biologique rassurante, Mme. Y est retransférée à l'unité de Marsens pour suite de prise en charge psychiatrique.Sur le plan psychiatrique, son traitement anti-psychotique habituel par Abilify est transitoirement suspendu durant 24 heures le 11.12.18, de par le risque d'atteinte hépatique. Mme. Y est évaluée par nos collègues pédopsychiatres, qui mettent en évidence une persistance d'idéations suicidaires avec indication d'une poursuite du suivi psychiatrique en milieu fermé à Marsens. Par ailleurs, le père de Mme. Y explique avoir entrepris des démarches aux autorités compétentes pour demander un transfert dans un hôpital psychiatrique extra-cantonal. Dans l'intervalle, Mme. Y restera hospitalisée à Marsens. Mme. Y est transférée à l'hôpital de Marsens le 12.12.2018 pour suite de prise en charge psychiatrique. Virage maniaque Virale Angina Virémie 12.12.20018: en cours Virologie et coproculture inclus clostridium négatives Virologie et coprocultures: cf annexe Virose au décours avec : • gastro-entérite • IVRS • éruption cutanée Virose avec : • gastro-entérite sans signes de déshydratation • douleurs costales d'origine musculo-squelettique Virose avec atteinte ORL (angine) et digestive probable Virose avec pharyngo-amygdalite débutante et éruption cutanée Virose probablement d'origine intestinale DD: otite moyenne débutante Virose respiratoire supérieure à prédominance pharyngée Virose 10/2016 Viroses à répétition Visite chez le médecin traitant pour le rappel de coqueluche Vissage antérieur de l'odontoïde par une vis de 36 mm et une vis de 34 mm (OP le 26.11.2018) Vissage AP du Volkmann par 2 vis AP 3.5 mm, réduction fermée et enclouage antérograde du tibia par clou tibial Expert, ostéosynthèse de la malléole externe D en MIPO par plaque tiers tube LCP. (OP le 27.10.2018) Vit. A et pansement occlusif. Consultation ophtalmologique le lendemain. Vit avec sa femme, démente, sans soins à domicile Vit K J1, J4 donnée le 21.11, J28 OAE à faire J4 Guthrie fait le 21.11 J8 Vit D J15 Maltofer US cérébral pas de fond d'œil (parce que sous O2 < 72h) Déclaration AI faite par les parents pour les codes 497 (détresse respiratoire) et 498 (hypoglycémie) Vit K J1, J4, J28 J1-3 OAE -Screening J1-3 POX-Screening J4 Guthrie US cérébral, 7.12 normal US hanche à 40 SA (siège) J8 Vit D J 56-60 1.vaccin Vit K J1, J4, J28 J1-3 OAE -Screening J1-3 POX-Screening J1-J7 US cérébral J8 Vit D J 56-60 1.vaccin Vit K J1, J4, J28 OAE - Screening (ou 40SA) J1-3 POX-Screening J4 Guthrie US cérébral le 13.11.18 et 28.11.2018: Suspicion de dysgénésie corps calleux J8 Vit D J 15 Maltofer, introduit le 22.11 J 56-60 1.vaccin Vit K J1, J4, J28 Vaccination HB dans les 12 hrs puis à 1 et à 6 mois J1-3 OAE -Screening (ou 40SA) J1-3 POX-Screening J4 Guthrie J8 vit D Vit K J28 J1-3 OAE -Screening - J14 Guthrie: 1.12.2018 fait J8 Vit D J15 Maltofer, introduit le 2.12.2018 US cérébral 4 semaines: taux de ferritine J 56-60 1.vaccin Vit seule, aide du spitex 1 fois par jour depuis le 15.11.2018 Vitamine A + pansement occlusif. Consultation ophtalmologique. Vitamine A. Pansement occlusif. Vitamine B1 du 18.11.2018 au 22.11.2018 Clonidine du 19.11.2018 au 20.11.2018 Haldol du 19.11.18 au 22.11.18 Quétiapine dès le 22.11.18 Vitamine B12, folates et ferritine dans les normes Vitamine D 300000 unité en dose unique le 17.12.18 Vitamine K du 28.11 au 02.12.2018 Vitamines B9 et B12 à recontrôler à distance. Prise en charge diététique sera poursuivie en ambulatoire. VNI du 01.12.2018 au 04.12.2018 Ceftriaxone IV du 01.12.2018 au 06.12.2018 Noradrénaline le 02.12.2018 CT thoraco-abdominal le 01.12.2018 Cathéter artériel radial gauche du 02.12.2018 au 05.12.2018 VNI du 01.12.2018 Optiflow du 01.12.2018 au 05.12.2018 Drainage pleural du 01.12.2018 au 03.12.2018: 1.9 l VNI du 02.12.2018 au 04.12.2018 ETT le 03.12.2018: normale VNI du 03.12.2018 au Diurétiques KT artériel radial du 03.12.2018 au VNI du 12.12.18 au 13.12.18 Co-Amoxicilline du 12.12 au 17.12.2018 Prednisone 50mg du 12.12 au 16.12.2018 Ultibro à partir du 14.12.2018 Atrovent et ventolin du 12.12.2018 au 14.12.18 puis ad PRN Rx thorax (12.12.18): pas de foyer pulmonaire, pas de signe de redistribution. Lésion néoplasique apicale droite Physiothérapie respiratoire Rendez-vous de contrôle en pneumologie le 16+17.01.2019 VNI du 19.11. au 20.11.2018 Intubation orotrachéale (Cormack I) et ventilation mécanique du 20.11. au 22.11.2018 Intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 22.11. au 23.11.2018 VNI du 23.11.2018 au 28.11.2018 Intubation orotrachéale et ventilation mécanique du 28.11.2018 au 02.12.2018 VNI du 02.12.2018 au 03.12.2018 Bronchoscopie le 29.11.2018 Antibiothérapie: cf. problème spondylodiscite VNI du 24.12.2018 au 25.12.2018 Oxygène à haut débit le 25.12.2018 Aérosols Salbutamol et Ipratropium Corticostéroïdes du 23.12.2018 au 25.12.2018 Co-Amoxicilline du 23.12.2018 au 25.12.2018 Hydratation VNI du 27.12 au 29.12.2018 Cathéter artériel radial droit du 27.12 au 29.12.2018 Ceftriaxone du 23.12 au 30.12.2018 Analyse cytologique à pister VNI et oxygénation à haut débit en alternance du 09.11. au 13.11.2017 Echocardiographie le 09.11.2018 (Dr. X) : pas d'évidence en faveur d'une dysfonction systolique du VG ou d'une valvulopathie gauche significative. La FEVG est conservée à 65% et le VG montre un remodelage concentrique. Antibiothérapie par co-amoxicilline 2,2 g 4x/j i.v. du 08 au 17.11.2018 Séjour aux soins intensifs du 09.11. au 13.11.2018 VNI intermittent du 29.11.2018 au 01.12.2018 IOT du 30.11.2018 au 01.12.2018 pour l'intervention (videolaryngoscopie par anesthésistes) VNI intermittente du 26.12 au 29.12.2018 Drainage épanchement pleural droit le 28.12.2018 VNI le 23.11.2018 (arrêté car mauvaise tolérance) Oxygène à haut débit du 23 au 28.11.2018 Ceftriaxone du 23 au 29.11.2018 Clarithromycine du 23 au 26.11.2018 Voie veineuse centrale jugulaire interne G du 23.11.2018 au 05.12.2018. Cathéter artériel radial droit du 23 au 26.11.2018 VNI personnel nocturne (réglages Stellar 150 VPAP mode ST, IPAP/EPAP 19/8 cm H2O), FR 12/min VNI personnelle nocturne et diurne (2 séances) Oxygénothérapie Physio respiratoire Fonctions pulmonaires à effectuer dans 6 mois VNI 1h aux urgences avec amélioration clinique mais pas gazométrique traitement problème 1 et poursuite VNIVNI Physiothérapie respiratoire Aérosols Co-amoxicilline du 12.12 au 17.12.2018 (5 jours) Prednisone 50 mg du 12.12 au 16.12.2018 (5 jours) Contrôle de la machine oxygène +/- VNI prévue en pneumologie le 13.12.2018 • Voir annexes • Voir avec médecin traitant si investigations déjà effectuées • voir avec MT si bilan vitaminique fait récemment. Demander info concernant cette problématique de trouble de la marche. • (voir également lettre de sortie de transfert de médecine interne du 02 au 22.11.2018) Rx colonne lombaire 29.11.2018 CT colonne lombaire 29.11.2018 • Voir suivi avec médecin traitant • Voix rauque • Volet costal sur fractures de côtes le 16.12.2018 • Voltaren avec amélioration des douleurs. Envisager une IRM. • Voltaren Gel 3x/jour pour application locale • Voltaren ret 75 mg 2 x/j pantoprazole 20 mg 1 x/j • Voltarène mis en suspens. Suivi biologique • Voltigo au besoin • Volumineux épanchement encapsulé dans l'hémithorax gauche dans un contexte oncologique • Volumineux hématome de DII du MSD sur trauma le 8.12.2018 • Volvulus sigmoïdien avec alternance constipation diarrhée le 13.12.2018. • Volvulus sigmoïdien le 25.11.2018 • Vomissement • Vomissement et diarrhée. • Vomissement et mauvaise alimentation • Vomissement sur probable gastroentérite débutante • Vomissements • Vomissements aigus • Vomissements avec déshydratation légère dans un contexte de pharyngite bactérienne bilatérale le 05.12.2018. - hypokaliémie à 3.4 mmol/l, CRP 48 mg/l. • Vomissements avec douleurs abdominales. DD: virose, adénite mésentérique, appendicectomie débutante Appendicite aiguë ulcérative août 2016. • Vomissements, crises douloureuses • Vomissements dans contexte d'angine, DD: début de gastroentérite • Vomissements, diarrhées • Vomissements, diarrhées, BEG • Vomissements diarrhées et douleurs rétrosternales. • Vomissements, diarrhées, réassurance • Vomissements, difficultés alimentaires • Vomissements d'origine indéterminée DD psychogène • Vomissements, douleurs abdominales • Vomissements et diarrhée. • Vomissements et diarrhée le 06.12.2018 sur intolérance au Co-Amoxicilline (connue) • Vomissements et diarrhées probablement sur intoxication alimentaire DD gastroentérite virale débutant, réaction allergique sans anaphylaxie • Vomissements et diarrhées probablement sur gastroentérite virale DD intoxication alimentaire, réaction allergique sans anaphylaxie • Vomissements et diminution de l'état de conscience sur alcoolisation aiguë le 30.11.2018: - 5 verres de vin blanc - alcoolémie à 2 pour mille. • Vomissements et douleurs thoraciques • Vomissements et fièvre • Vomissements et reflux gastro-oesophagien à 11 SA. Accouchement par voie basse le 09.08.2013 chez patiente 1G-1P de 21 ans, à terme +5. Atonie utérine post-délivrance hémorragique, pertes sanguines 1000 ml. Anémie en post-partum. Transfusion 1 CE le 10.08.2013. Suspicion de fracture de la tête de la phalange proximale du 4ème doigt D Angine le 23.03.2017 Contusion de la face dorsale du poignet gauche Lombalgies non déficitaires 08.09.2018 • Vomissements et selle molles • Vomissements le 14.12.2018 avec pyrosis et épigastralgies DD : hématémèse (non objectivé) Pas de méléna • Vomissements le 19.12.2018 DD: - irritation gastrique post pose de gastrotube - médicamenteux sur Brindellix • Vomissements noirâtres d'origine indéterminée. DD : prise de fer orale. • Vomissements post-amygdalectomie bilatérale. • Vomissements post-opératoires. • Vomissements post-reprise de l'alimentation entérale le 19.12.2018. • Vomissements pré-prandiaux (DD: infection urinaire, sténose pylorique, APLV) • Vomissements pré-prandiaux (DD: infection urinaire, syndrome hyper-alimentation, sténose pylorique, APLV, reflux) • Vomissements sanglants sur probable irritation des muqueuses • Vomissements sans signe de déshydratation, DD: gastroentérite • Vomissements sur effort de toux le 26.11.2011 Varicelle à 4 mois. Infection grippale Plaie philtrum nasal Suture 2 points de Prolene 6-0 sous AL Retrait des fils dans 10j Consignes de surveillance à domicile Amoxicilline 50 mg/kg/j pendant 7j • Vomissements sur quinte de toux • Vomissements teintés de sang Votre patient de 60 ans, connu pour une progression tumorale dans le cadre d'un carcinome hépatocellulaire avec actuellement une troisième ligne palliative par Stirvarga, nous est envoyé par son oncologue traitant, Dr. X, pour la gestion antalgique d'une douleur à l'hypochondre droit. A son admission, le patient se présente avec un état général conservé, avec une TA à 122/80 mmHg, une FC à 80 bpm, une T°C à 36.8. Le statut clinique met en évidence un patient ictérique, avec une hépatomégalie et un Murphy négatif. Le laboratoire indique une hépatite aiguë sévère, avec une perturbation majeure des enzymes hépatiques. Un ultrason abdominal met en évidence uniquement une hypertension portale. Nous concluons à une hépatite médicamenteuse du fait que le patient ait déjà subi une perturbation des tests hépatiques sous sa première ligne de chimiothérapie et que le Stivarga et l'Opdivo sont des médicaments connus pour provoquer une hépatite médicamenteuse. De plus, l'ultrason abdominal ne met pas en évidence de cholécystite ou de lithiase. Selon la médecin pharmacologue, la substance incriminée serait plutôt le Stirvaga, car la chronologie des événements correspond bien à ses propriétés, le médicament est très fréquemment impliqué dans les élévations des tests hépatiques avec lésions hépatiques, et le patient a déjà exprimé une hépatotoxicité sous sorafénibe, une substance similaire. Sur avis de son oncologue traitant, un traitement de méthylprednisolone intraveineux est immédiatement débuté, avec évolution favorable. À noter que le Pemzec-Plus est également arrêté, la dose de Pantozol diminuée de 40 mg à 20 mg et la morphine restreinte en raison de l'insuffisance hépatocellulaire. Les douleurs abdominales de Mr. Y, son ictère ainsi que les paramètres biologiques répondent favorablement et rapidement au traitement. Un relais per os est instauré lorsque les enzymes hépatiques diminuent à moins de 5x la norme.A noter qu'une ascite s'est développée, avec prise de 4 kg en autant de jours, probablement suite à l'hydratation intraveineuse instaurée pour traiter une hyponatrémie. Un traitement par aldactone à haute dose est débuté. Les douleurs répondant favorablement à un traitement de morphine, une ponction n'est pas effectuée pour éviter un risque infectieux. Le jour de son départ prévu, une hausse des enzymes hépatiques est observée, ainsi qu'une prise pondérale. Un traitement par Torem est introduit et l'Aldactone majoré. Sur avis du Dr. X, nous décidons de garder le patient hospitalisé. Celui-ci refuse et une permission est octroyée pour la nuit, avec contrôle biologique le lendemain. Lors de celui-ci, une perte pondérale de 2 kg est objectivée mais les enzymes hépatiques continuent à se péjorer. A nouveau, une permission de congé est octroyée par les médecins de garde. Suite au contrôle clinico-biologique du 23.12.2018, la situation est identique, avec ictère, angiomes stellaires et péjoration des enzymes hépatiques mais perte pondérale. Le patient quitte l'hôpital contre avis médical. A noter que l'effet indésirable médicamenteux a été annoncé au Centre régional de pharmacovigilance puis envoyé à Swissmedic. Votre patient, Mr. Y, consulte aux Urgences pour une dyspnée d'apparition brutale, un ballonnement abdominal sans douleurs accompagnées de nausées, vomissements et diarrhées. Le status d'entrée met en évidence des signes de décompensation cardiaque sous forme de léger œdème pré-tibial et de râles crépitants bibasaux au status pulmonaire. Le laboratoire met en évidence une hyperkaliémie sévère. Un traitement d'insuline glucose est mis en place, se révélant peu efficace et le patient nécessite une dialyse en urgence, avec une bonne évolution de l'hyperkaliémie. Le patient est surveillé aux soins intensifs, sans complications. L'origine de la perturbation des électrolytes est l'insuffisance rénale terminale ainsi qu'une possible non-conformité du patient. Concernant la décompensation cardiaque aiguë, les symptômes régressent post-dialyse. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 27.12.2018, avec une prochaine dialyse prévue pour le 28.12.2018. Votre patient, Mr. Y, patient de 58 ans, est admis aux soins intensifs pour une surveillance rythmique après infarctus du myocarde type STEMI le 23.12.2018. Mr. Y présente initialement des douleurs thoraciques oppressives à l'effort, ainsi qu'une dyspnée. Aux Urgences, le status est sans particularité et un ECG met en évidence un infarctus avec élévation des segments ST dans le territoire inférolatéral. La coronarographie en urgence met en évidence une occlusion de la circonflexe moyenne qui est traitée par angioplastie et pose d'un stent actif. La ventriculographie révèle une fraction d'éjection conservée à 60%. Le pic de CK s'élève à 1822 U/l le 24.12.2018 et le temps d'ischémie est inférieur à 3h30. La surveillance aux soins intensifs se déroule sans complications. Une double antiagrégation est introduite pour une année, ainsi qu'un traitement par IEC, bêtabloquants et statine. L'aspirine est à continuer à vie. Une échocardiographie de contrôle montre une FEVG à 65% et une akinésie de la paroi postérieure moyenne. Le bilan des facteurs de risque cardiovasculaire ne met rien en évidence hormis un tabagisme actif à 40 UPA. A noter qu'il demande de poursuivre son séjour à Fribourg malgré une résidence à Genève. Le patient rentre à domicile le 28.12.2018. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 27.12.2018 en raison d'une baisse d'état général dans le cadre de sa tumeur neuroendocrine métastatique. Il est amené aux urgences en ambulance, suite à 3 jours d'asthénie progressive ainsi qu'une chute accidentelle avec perte d'équilibre la veille au soir sur un enchevêtrement, sans perte de connaissance, amnésie circonstancielle ou symptômes neurologiques. L'anamnèse systématique est notable uniquement pour des diarrhées régulières connues, inchangées, ainsi que des faiblesses transitoires des membres inférieurs, d'apparition matinale au lever, spontanément résolutives après quelques minutes. Le patient ne signale ni dysesthésies, vertiges ou céphalées, ni pertes urinaires ou fécales. Le patient indique également de fortes douleurs osseuses, en péjoration malgré l'oxycontin à domicile (10 mg - 0 - 5 mg - 0). Les paramètres vitaux sont dans la norme. Le status tête-aux-pieds est normal, hormis une perte de la sensibilité des pieds à la pallesthésie. Aux urgences, le laboratoire met en évidence une CRP augmentée à 80 ng/L, sans leucocytose. Une perturbation des tests hépatiques est également mise en évidence. Un scanner cérébral n'est pas effectué, vu l'absence de traumatisme crânien et d'anticoagulation ou anti-aggrégation, ainsi qu'un examen physique neurologique sans particularité. Le patient est transféré en médecine interne pour adaptation de l'antalgie et organisation de la suite post-hospitalière. Lorsque sa dose d'Oxycontin est doublée, le patient est confortable et ne prend aucune réserve antalgique. Dès le premier jour, il se mobilise spontanément et de manière indépendante et retrouve un bon état général. Au niveau du laboratoire, au vu d'une absence de piste clinique, des analyses urinaires propres ainsi que du fait que le patient avait déjà en novembre 2018 été investigué pour un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée, nous concluons à une manifestation de sa tumeur. La perturbation des tests hépatiques est également mise sur ce compte. Celle-ci diminue au fil des jours. Sur le plan des troubles de la marche, du fait que la faiblesse soit transitoire et spontanément résolutive, sans aucun symptôme neurologique, et le status neurologique dans la norme hormis une légère diminution de la pallesthésie au niveau des hallux bilatéraux, chez un patient connu pour une pathologie invasive, nous concluons à une étiologie plurifactorielle sur sarcopénie, neuropathie chimio-induite, hypotension orthostatique anamnestique, et péjoration des douleurs, et n'effectuons pas d'investigations plus poussées. Nous vous laissons le soin de doser les vitamines. Le patient et sa famille étant très demandeurs d'un retour à domicile et le patient, se sentant bien, en connaissance du syndrome inflammatoire présent, ayant reçu les conseils de vigilance et bénéficiant d'un rendez-vous chez son oncologue le 07.01.2019, rentre à domicile le 29.12.2018. Il sera convoqué à distance pour une réhabilitation musculo-squelettique à Tavel. Votre patient, Mr. Y, consulte aux Urgences pour des diarrhées sanglantes depuis 12 h. Pour rappel, il a été traité en ambulatoire pour une colite à C. difficile par métronidazole suite à un traitement antibiotique pour une pneumonie au mois de novembre 2018. Aux Urgences, les paramètres sont les suivants : FC 74/min, TA 89/48 mmHg, T 36.7°C, FR 19/min et SpO2 95% à l'air ambiant. Le status met en évidence un état général diminué, un patient déshydraté avec un abdomen souple, douloureux à la palpation en fosse iliaque droite. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire avec une leucocytose marquée, sans troubles électrolytiques associés aux diarrhées. Les examens de selles révèlent une récidive d'une colite à C. difficile. Sur avis de nos collègues infectiologues, un traitement par vancomycine per os est débuté ainsi qu'une réhydratation intraveineuse avec une bonne évolution clinico-biologique et une disparition des diarrhées permettant un retour à domicile. Le patient est également connu pour des troubles de la marche et quelques antécédents de chutes, dont la dernière remonte à juillet 2018, d'origine mécanique anamnestique. Dans ce contexte, en accord avec vous-même, le traitement anticoagulant par acénocoumarol est poursuivi.Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 24.12.2018. Votre patient, Mr. Y, 84 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 03.12.18 en raison d'une baisse d'état général. Adressé par son médecin traitant pour suspicion d'AIT le 01.12.18, il se rend aux urgences le 03.12.18 par ses propres moyens. Il décrit une soudaine baisse de force de l'hémicorps gauche associée à une dysarthrie, le tout durant moins de 5 secondes, spontanément résolutive. De plus, il se plaint de toux productive et d'un état fébrile depuis 3 jours. Des sudations nocturnes et une asthénie depuis quelques mois sont également retrouvées à l'anamnèse. A son admission, le patient affiche un GCS à 15/15, une FC à 93 bpm, une TA à 134/75 mmHg, une FR à 30/min, une SpO2 à 94% à l'air ambiant et une température à 38.8°C. Au status, sont retrouvés uniquement une cachexie et des râles crépitants bibasaux plus prononcés à gauche, sans œdèmes des membres inférieurs ni turgescence jugulaire. Sur le plan neurologique, un CT cérébral effectué aux urgences revient normal. Additionné à l'absence de symptômes et au score NIHSS à 0. Une IRM cérébrale effectuée à l'étage revient normale également. Par conséquent, une suspicion d'AIT devient faible, en vue de l'absence d'argument radiologique, anamnestique et de la symptomatologie extrêmement transitoire associée à un état infectieux. Sur le plan cardio-respiratoire, un laboratoire effectué aux urgences indique un syndrome inflammatoire et une élévation des pro-BNP. Une radiographie du thorax met en évidence une redistribution vasculaire indiquant une surcharge cardiaque, ainsi qu'un foyer infectieux. Nous concluons donc à une pneumonie avec une légère composante de surcharge chez ce patient connu pour une cardiopathie valvulaire, et le patient est mis au bénéfice d'un traitement par Klacid et Rocéphine, relayé par Co-Amoxicilline à sa sortie pour une durée totale de 7 jours. En raison d'un problème logistique, les antigènes urinaires de la legionnelle et du pneumocoque n'ont pas pu être effectués durant le séjour. A l'étage, un ultrason cardiaque revient satisfaisant. Une anémie normochrome normocytaire hyporégénérative est mise en évidence durant le séjour. Nous vous laissons le soin de contrôler la ferritine en ambulatoire. A noter que le patient avait bénéficié d'une colonoscopie demandée par vous-même en juin de cette année et que celle-ci était revenue normale. Sur le plan nutritionnel, le patient, avec un BMI à 15 kg/m2, bénéficie d'un suivi diététique spécialisé sur le séjour. Il reprend l'appétit durant le séjour, mangeant des portions complètes, et tolère bien ses suivis nutritionnels oraux. Nous vous laissons le soin d'évaluer si un suivi diététique est nécessaire en ambulatoire également. Au fil des jours, le patient évolue favorablement tant sur le plan clinique que biologique. Il rentre à domicile le 06.12.2018. Votre patient, Mr. Y, 53 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg en raison d'un STEMI antérieur. Il consulte aux urgences le 04.12.2018 en raison d'une douleur thoracique telle une barre au niveau du thorax, à 7/10, oppressive, non-irradiante, accompagnée de sudations, de nausées et de dyspnée. L'ECG effectué aux urgences montre des changements typiques et les troponines sont élevées. Il bénéficie donc d'une coronarographie, qui met en évidence une sténose subocclusive de l'artère interventriculaire antérieure moyenne, raison pour laquelle il bénéficie d'une dilatation et mise en place d'un stent. Ceci n'engendre aucune complication. La ventriculographie effectuée par la suite montre une dysfonction ventriculaire gauche avec dyskinésie apicale et une FEVG à 35%. Il est adressé aux soins intensifs pour suite de prise en charge. L'évolution aux soins intensifs est simple, sans complication rythmique significative ni récidive d'angor. Une ETT est réalisée le 07.12.2018, montrant une FEVG à 48% avec une akinésie apicale sans signe de thrombus (Sonoview). Le patient est transféré le 05.12.2018 à l'étage de médecine interne. Mr. Y tolère bien son nouveau régime médicamenteux et un suivi physiothérapeutique régulier assure une bonne reprise de la mobilité. En vue de cette évolution favorable tant sur le plan clinique que biologique, Mr. Y débute une réadaptation cardiovasculaire à Billens. Il y sera stationnaire durant 2 semaines, puis il y effectuera une réadaptation ambulatoire durant la dernière semaine. Votre patient, Mr. Y, était hospitalisé du 15.11.2018 au 22.11.2018 à l'HFR pour une pneumonie communautaire du lobe inférieur gauche traitée par antibiothérapie avec une évolution favorable. La persistance des symptômes pulmonaires (toux sèche, dyspnée d'effort) associée à un état fébrile fluctuant depuis le 30.11.2018 dans un contexte de baisse de l'état général avec perte de poids de 4 kg en 10 jours motive le patient à se présenter au cabinet médical le 07.12.2018. La hausse du syndrome inflammatoire et la persistance d'une consolidation mixte (condensation et verre dépolie) dans le lobe inférieur gauche au CT-scan thoracique motive un traitement de Co-Amoxicilline 1g 2x/jour dès le 07.12.2018. L'évolution n'étant pas favorable, Mr. Y se présente aux urgences le 12.12.2018. Le patient est hémodynamiquement stable avec des signes vitaux suivants : TA 145/93 mmHg, FC 90/min, SpO2 à 90% à l'air ambiant, FR 14/min et T°C 35.9. Un traitement par Rocéphine et Klacid est initialement débuté à son arrivée, puis élargi avec Pipéracilline-Tazobactame en raison d'une suspicion de pneumonie nosocomiale VS pneumonie à germe atypique. Sous ce traitement, l'évolution clinique est favorable. Des plages en verre dépoli avec par endroits des foyers de condensation dans le lobe inférieur gauche sont retrouvées au CT scanner du 12.12.2018, ainsi que deux adénomégalies médiastinales et des ganglions médiastinaux dont certains sont partiellement calcifiés. Les imageries sont superposables à celles effectuées le 07.12.2018. Sur avis des pneumologues, les examens sont complétés par une bronchoscopie, qui ne retrouve pas de pathologie pulmonaire active, et en raison d'une évolution clinique favorable sous antibiothérapie, une pneumonie est simplement retenue. Le patient sera revu par le Dr. X à 2 mois, avec un contrôle scannographique pour un suivi. Par ailleurs, une crise de chondrocalcinose du poignet et du genou droit est mise en évidence à son arrivée, pour laquelle un traitement par AINS est introduit, avec une évolution favorable. Sur le plan biologique, Mr. Y présente des signes biologiques de cholestase. Le CT-scanner thoraco-abdominal du 07.12.2018 ne montrait rien de particulier au niveau abdominal. Nous vous laissons le soin de recontrôler les paramètres hépatiques à distance. Mr. Y rentre à domicile le 21.12.2018 avec contrôle scannographique prévu à 2 mois ainsi qu'un rendez-vous en pneumologie afin de discuter des résultats. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé en raison d'un épanchement pleural droit avec dyspnée progressive. Pour rappel, Mr. Y avait été hospitalisé en novembre puis en décembre pour des pneumonies avec une évolution peu favorable entre les épisodes. Lors d'un contrôle oncologique scannographique, un épanchement pleural gauche non cloisonné est mis en évidence. Le patient se plaint d'une asthénie et d'une dyspnée progressive actuellement NYHA III. Le statut d'entrée met en évidence sur le plan respiratoire une tachypnée à 22/min avec un discret tirage et un balancement thoraco-abdominal ainsi que des râles grossiers sur les deux plages pulmonaires et une hypoventilation basale gauche. Un US est effectué révélant la présence d'environ 800ml au niveau du poumon gauche. La radiographie du thorax du 27.12.2018 révèle un épanchement à droite. Au vu de l'épanchement bilatéral, nous ne retenons pas une cause maligne et décidons de ne pas effectuer de ponction, mais d'optimiser le traitement diurétique.Au vu de l'évolution favorable, le patient retourne à l'EMS le 28.12.2018. Votre patient, Mr. Y, 71 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 28.11.2018 en raison d'un état confusionnel aigu d'origine indéterminée. Son épouse l'a retrouvé au milieu de la nuit désorienté, incapable de trouver la porte pour sortir de la salle de bain, aphasique le 28.11.2018. Aux urgences, le patient affiche un GCS à 15/15, une FC à 89/min, une TA à 111/74 mmHg, une FR à 16/min, une SpO2 à 95% à l'air ambiant, une T°C à 36,8. Le status est sans particularité, hormis un rétrécissement du champ latéral visuel de l'œil droit (connu sur décollement de rétine). Le patient se réoriente peu à peu au fil des heures. Au laboratoire sont mises en évidence une leucocytose ainsi qu'une hausse de la CRP, chez ce patient afébrile et sans plaintes. Une radiographie pulmonaire ne montre pas de foyer. Le scanner cérébral ne montre aucune nouvelle lésion. Un EEG effectué le matin même en consultation ambulatoire neurologique revient moins perturbé que celui de juin 2017, avec uniquement une discrète bradydysrythmie diffuse et un foyer connu non irritatif. Sur avis neurologique, une ponction lombaire est effectuée pour exclure une encéphalite. Celle-ci revient normale également. Le patient est transféré à l'étage de médecine interne pour surveillance. Il n'a aucune plainte et le status tête-aux-pieds reste normal. Le syndrome inflammatoire biologique se normalise au fil des jours. Le taux sanguin de Keppra indique que celui-ci est légèrement sous-dosé. Selon avis neurologique et en vue d'un patient se portant bien et ne faisant pas de crises épileptiques, le traitement n'est pas majoré, au profit d'un suivi clinique. Nous concluons donc à un état confusionnel aigu sur simple virose ou sur changement transitoire des habitudes de vie, le patient ayant été bien occupé par des visites sociales et ayant consommé un peu plus d'alcool que normalement la semaine précédant l'hospitalisation. Seule une carence en acide folique est mise en évidence durant l'hospitalisation, raison pour laquelle une substitution vitaminique est entamée. Nous vous laissons le soin de redoser les hormones thyroïdiennes à distance de l'épisode aigu, la TSH étant à la limite supérieure de la norme durant l'hospitalisation. Avec une évolution favorable, le patient rentre à domicile le 03.12.2018. Votre patient, Mr. Y, connu pour une maladie ischémique tritronculaire et un syndrome métabolique, est hospitalisé le 08.12.2018 à l'HFR Fribourg en raison de douleurs thoraciques post-pontage aorto-coronarien effectué le 23.11.2018. Aux urgences, il se plaint de douleurs rétro-sternales oppressives irradiant bilatéralement dans le cou. Les douleurs auraient commencé durant la nuit et sur conseil de son chirurgien cardiaque, le patient aurait pris le matin un comprimé de Zanidip, sans amélioration. Il affiche une FC à 87 bpm, une TA à 179/92 mmHg, une FR à 22/min et une SpO2 à 96% à l'air ambiant. Au status sont retrouvés uniquement des râles crépitants pulmonaires bibasaux. Un ECG effectué aux urgences met en évidence un rythme sinusal à la limite de la tachycardie. Au laboratoire, il y a un syndrome inflammatoire et les troponines sont aux alentours de 100 ng/L. Elles montrent une cinétique descendante au fil des heures, excluant une récidive d'infarctus du myocarde. De plus, un scanner thoracique effectué en raison de la dyspnée et des antécédents du patient permet d'exclure une embolie pulmonaire. En revanche, celui-ci met en évidence des épanchements pleuraux de petite quantité, ainsi qu'un épanchement péricardique de faible abondance mais circonférentiel. Le patient est hospitalisé à l'étage de médecine interne pour surveillance et investigations. Un ultrason transthoracique confirme l'épanchement péricardique, ainsi qu'une légère hypokinésie septable, qui pourraient toutes les deux être mises sur le compte de l'opération à cœur ouvert. En vue de la clinique et du contexte, ainsi que sur avis cardiologique, nous concluons à un syndrome post-péricardiotomie dans le contexte du pontage, et le patient est mis au bénéfice d'un traitement par Ibuprofène. À 48 heures, un ETT de contrôle confirme la résolution de l'épanchement. L'évolution tant clinique que biologique est favorable. Sur le plan rythmologique, des ECG réguliers mettent en évidence une fibrillation auriculaire inaugurale normocarde bien tolérée. Du fait que la date de début de la FA ne soit pas connue et que le score de CHAD-VASC soit élevé, le patient est mis au bénéfice d'un traitement anticoagulant par Clexane plutôt qu'une cardioversion électrique. À la sortie de l'hôpital, il bénéficiera d'un relais par Eliquis. À noter que des ECG ont été effectués de manière journalière pour déterminer si le patient se cardiovérsait spontanément, dans quel cas de la Cordarone aurait été ajoutée pour maintenir le rythme sinusal. Cela n'a pas été le cas. Selon avis cardiologique, nous ne reprenons pas l'Efient du patient, car le montage du pontage en a résolu la nécessité. Au vu d'une évolution favorable, le patient est transféré en réhabilitation cardiovasculaire stationnaire à Billens le 14.12.2018. Nous vous laissons le soin d'organiser un ETT de contrôle à Billens une semaine après son arrivée. Votre patient, Mr. Y, consulte aux Urgences pour une baisse de l'état général, une impossibilité de s'hydrater et de s'alimenter depuis 36 heures ainsi qu'une péjoration de douleurs abdominales connues, dans un contexte de chimiothérapie néo-adjuvante pour un cancer du pancréas, dont la dernière datant du 11.12.2018 par Folfirinox. Lors du transport en ambulance, le patient présente des hypotensions asymptomatiques répondant aux remplissages. Aux Urgences, les paramètres sont les suivants : FC 57 bpm, TA 108/66 mmHg, FR 24/min, SpO2 92%, GCS 15. Le status met en évidence une mucite orale sans signe de candidose et des signes de déshydratation. L'abdomen est souple et indolore sans signe de péritonisme. Le laboratoire met en évidence des perturbations légères des tests de cholestase en lien avec sa maladie de base, et une absence de signes parlants pour une infection ou une pancréatite. Une hydratation intraveineuse est débutée et le traitement antalgique débuté en ambulatoire est poursuivi. Les douleurs abdominales du patient régressent et une reprise de l'alimentation et hydratation per os est rapidement possible. Il est également vu par nos collègues nutritionnistes préconisant l'ajout d'un supplément nutritif oral au vu d'une malnutrition protéino-énergétique modérée. Le suivi diététique sera poursuivi lors des prochaines chimiothérapies. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 20.12.2018, avec un suivi ambulatoire par les soins à domicile. Il sera revu en oncologie le 28.12.2018. Votre patient, Mr. Y, 77 ans, connu pour les antécédents sus-mentionnés, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 29.11.2018 en raison d'une dyspnée progressive. Il est amené aux urgences en ambulance pour une baisse d'état général, marquée par une asthénie. Il se plaint de toux productive et de fatigue. Il aurait consulté un médecin de MedHome le jour même, qui lui aurait prescrit de la co-amoxicilline pour une bronchopneumonie. Le patient se serait péjoré malgré tout. Au status, Mr. est tachypnéique mais le reste des paramètres vitaux est stable. Seuls des râles grossiers au lobe inférieur droit et plus fins bibasaux ainsi que des œdèmes des membres inférieurs connus et légers sont retenus.Aux urgences, une gazométrie et un ECG reviennent dans la norme. Une radiographie des poumons met en évidence des épanchements pleuraux bilatéraux, sans pouvoir exclure de foyer infectieux superposé aux atélectasies de contact. Ainsi, nous concluons à une double étiologie de la dyspnée. Le patient est mis au bénéfice d'un traitement antibiotique pour une pneumonie du lobe inférieur droit, sous lequel il évolue favorablement. Le patient est également surveillé au poids et mis sous Esidrex pour une décompensation cardiaque inaugurale. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement si besoin. En cherchant l'étiologie de la décompensation cardiaque, un ultrason est effectué. Celui-ci revient normal. Le patient ayant arrêté il y a déjà plusieurs mois les AINS pour traiter ses lombalgies, ceux-ci ne peuvent être incriminés par rapport à une rétention hydro-sodée. Une hypothèse quant à la décompensation cardiaque inaugurale serait l'hypertension de Mr. Y, bien que traitée, ou une dysrythmie cardiaque. Nous vous proposons donc d'effectuer un R-test sur 5 jours en ambulatoire et éventuellement un holter. Le patient évolue favorablement tant sur le plan clinique que biologique et rentre à domicile le 06.12.2018, avec des consignes de surveillance de poids et un contrôle chez vous-même. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 06.12.2018 en raison d'omalgie gauche survenue pendant sa séance de dialyse. Il décrit des douleurs au niveau de l'épaule gauche, irradiant dans la nuque. Il est dès lors transféré aux urgences, où un ECG normal, deux trains de troponines avec cinétique descendante et un avis téléphonique cardiologique excluent un infarctus du myocarde. Néanmoins, le laboratoire retrouve un syndrome inflammatoire avec une CRP à plus de 200 mg/L et des leucocytes augmentés, motivant son hospitalisation à l'étage. À l'étage, le patient se plaint d'omalgies gauches, plus intenses que celles qu'il aurait eues ces dernières années, mises sur le compte d'arthrose avec multiples infiltrations. Au status, l'épaule ne montre pas de signes inflammatoires. Une douleur est déclenchée à la palpation du muscle sus-épineux. La flexion de l'épaule est limitée à 90 degrés. L'examen neurologique est normal. Un avis rhumatologique est demandé, en vue du syndrome inflammatoire. Un ultrason de l'épaule ne retrouve pas d'épanchement. Une radiographie est rassurante, le tout excluant une arthrite inflammatoire. Les douleurs répondent favorablement à un traitement de Temgesic en réserve. Le patient n'a pas d'autres plaintes et le reste du status est sans particularité. La radiographie du thorax, les hémocultures et les analyses urinaires effectuées à la recherche d'un foyer reviennent négatifs. Le syndrome inflammatoire diminue au fil des jours, sous réserve de la dialyse qui aurait pu faire une clairance artificielle des éléments. Le patient reste en très bon état général. Nous concluons donc à un syndrome inflammatoire d'origine indéterminée. Au vu d'une évolution favorable tant clinique que biologique, le patient rentre à domicile le 10.12.2018. Votre patient, Mr. Y, consulte le service des urgences pour une diplopie d'apparition brutale. Au service des urgences, les paramètres sont les suivants : FC 76 bpm, TA 114/66 mmHg, SpO2 à 91% à l'air ambiant, afébrile. Au status, une parésie du muscle droit latéral à gauche est mise en évidence, sans autres déficits des nerfs crâniens hormis des paresthésies anamnestiques du territoire V3 à gauche. Le reste de l'examen clinique est sans particularité. Un CT cérébral ne révèle pas de lésion suspecte. Un IRM ne montre pas de lésion ischémique mais, en raison d'une qualité suboptimale, l'examen ne permet pas de trouver la cause de la parésie. Un examen ophtalmologique ne révèle pas d'amputation grossière des champs visuels. L'état clinique de Mr. Y se dégrade avant que les investigations supplémentaires puissent être entreprises. Durant l'hospitalisation, le patient présente un état fébrile avec un foyer clinique pulmonaire. Un traitement antibiotique par Rocéphine pour une pneumonie nosocomiale est débuté avec une évolution défavorable, une persistance d'état fébrile et une péjoration clinique malgré l'élargissement du spectre antibiotique par Cefepime. En raison d'importantes douleurs osseuses sur métastases du squelette, une antalgie par morphine en pompe est débutée. Au vu de la péjoration de l'état clinique général chez un patient très asthénique et de l'absence de nouvelle thérapie oncologique disponible en l'état actuel, des soins de confort à visée palliative sont mis en place, en accord avec le patient, sa famille et son oncologue traitant, Dr. X. Mr. Y décède paisiblement le 30.11.2018 entouré de sa famille. Votre patient, Mr. Y, connu pour des antécédents de pancréatite ainsi qu'un cancer pulmonaire et urothélial, est hospitalisé le 23.12.2018 à l'HFR Fribourg en raison d'épigastralgies réfractaires au traitement antalgique. Il se présente aux urgences se plaignant de douleurs abdominales sus-ombilicales en barre, réfractaires à un traitement bien conduit par Dafalgan et Voltarène, accompagnées d'une asthénie, d'un arrêt du transit, ainsi que d'une absence d'alimentation depuis 5 jours. Il n'a pas de reflux acide ou de pyrosis. Il affiche une TA à 138/72 mmHg, une FC à 100 bpm, 16 de FR, une SpO2 à 99 %, ainsi qu'une T° à 36.6. Le status est sans particularité et le toucher rectal ne met pas en évidence de fécalome. Un lavement est toutefois effectué en raison de la constipation opiniâtre, rendant peu. Le laboratoire indique une légère hausse des lipases, avec l'amylase restant dans la norme. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. Enfin, un scanner abdominal met en évidence uniquement un épaississement circonférentiel du corps gastrique. Une cause chirurgicale telle qu'un iléus, un ulcère gastro-duodénal ou une pancréatite est donc exclue. Mr. Y est hospitalisé en médecine interne pour antalgie et organisation d'une oesogastroduodénoscopie pour identifier une potentielle gastrite. À l'étage, Mr. Y évolue rapidement de façon favorable sous un traitement par Dafalgan et Novalgine ainsi que Tramal en réserve. Ses douleurs diminuent considérablement et les réserves ne sont plus nécessaires dès le 24.12.2018. Il reprend de l'appétit et recommence à se mobiliser. Nous concluons donc à une gastrite simple. Une oesogastroduodénoscopie n'ayant pas pu être organisée en période de fêtes en raison du manque de personnel, Mr. Y rentre à domicile le 26.12.2018 et sera convoqué à domicile par le service de gastro-entérologie de l'HFR. Votre patient, Mr. Y, consulte aux urgences pour une dyspnée d'apparition progressive. Aux urgences, les paramètres sont les suivants : TA 124/83 mmHg, FC 93 bpm, SpO2 87% sous 4L d'oxygène aux lunettes, T°C à 36.0. Le patient se présente en état général diminué, dyspnéique et désaturant, avec une auscultation pulmonaire révélant des ronchis et des sibilances diffuses. Une radiographie de thorax ne met pas en évidence de foyer et un syndrome inflammatoire léger est retrouvé au laboratoire. Un traitement antibiotique par Ceftriaxone, Clarythromycine et Prednisone est débuté, pour une exacerbation de BPCO surinfectée suspectée. À noter que les antigènes urinaires reviennent négatifs pour la Légionelle. En raison d'un patient fragile avec une maladie pulmonaire avancée, le traitement par Clarythromycine est cependant poursuivi pour une durée de 3 jours. En raison d'une persistance de désaturation chez un patient peu mobile, un CT pulmonaire est effectué, ne révélant pas d'embolie pulmonaire, une évolution favorable de la protéinose alvéolaire mais une péjoration d'une atélectase connue du lobe inférieur droite. Un suivi physiothérapeutique avec un traitement par CPAP est mis en place avec une amélioration du point de vue clinique et une oxygén-indépendance. Pour la suite, il est prévu que le patient vienne deux fois par semaine au groupe de physiothérapie de l'HFR pour un entraînement à l'effort.Le patient sera suivi en pneumologie à 6 mois de son contrôle au mois d'octobre. Anamnestiquement, il présenterait une ronchopathie importante ainsi que des céphalées matinales et une oxymétrie à distance de l'événement aigu pourrait être envisagée. A noter que le patient ne désire pas diminuer sa consommation de tabac malgré la mise en place d'une substitution nicotinique intra-hospitalière et une explication des risques encourus au vu des maladies pulmonaires avancées dont il souffre. Du point de vue hépatique, le patient est connu pour une cirrhose alcoolique. Durant l'hospitalisation, une perturbation des tests de cholestase est retrouvée, mise en relation avec une péjoration de son insuffisance hépatocellulaire. Sur le CT abdominal, il n'y a pas de lésion focale, pas de signe pour une cholécystite mais une péjoration radiologique de sa cirrhose sans ascite. Un US Doppler abdominal est effectué, ne permettant pas d'exclure une thrombose de la veine porte. Les tests de cholestases diminuent cependant spontanément durant l'hospitalisation et nous n'effectuons pas d'investigations supplémentaires au vu de l'absence de clinique et une bonne évolution biologique. A noter que selon les valeurs de laboratoire et d'imagerie, la cirrhose est actuellement classée CHILD B (7 points). Le suivi hépatique sera poursuivi par vous-même en ambulatoire. Concernant la consommation d'alcool et au vu d'un risque de sevrage compliqué, un traitement dégressif par benzodiazépine est mis en place avec l'absence de delirium tremens durant l'hospitalisation. Des troubles électrolytiques sont cependant retrouvés au laboratoire sous forme d'hypomagnésémie et d'hypokaliémie qui sont substitués par voie intraveineuse et per os. Malgré plusieurs entretiens et explications des différentes structures existantes, le patient ne désire pas effectuer de sevrage institutionnalisé. Il accepte cependant de reprendre un suivi au CCA (centre cantonal des addictions) où il sera convoqué en ambulatoire. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 12.12.2018. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé pour une dyspnée d'apparition brutale dans un contexte de cancer pulmonaire métastatique, ainsi qu'une sensation de corps étranger au niveau de la gorge. Il décrit une légère toux, sans expectoration, ni état fébrile. Nous n'objectivons au CT et au bilan physiothérapeutique aucun obstacle. Selon l'avis des pneumologues, nous introduisons de la prednisone 20 mg durant 3 jours et vous proposons de poursuivre par une consultation ORL en cas de persistance. Le scanner montre une progression de la maladie oncologique. Il sera revu par la Dr. X pour décider de la suite du traitement. Au vu de l'évolution favorable, le patient peut rentrer à domicile le 29.12.2018. Votre patient, Mr. Y, est amené aux Urgences par le SMUR pour un coma. Pour rappel, le patient était hospitalisé en PLAFA à Marsens pour une péjoration de son état psychique avec des idées suicidaires. Il se serait plaint de dyspnée depuis plusieurs mois tout en refusant de consulter et était sous co-amoxicilline pour une pneumonie lors de la péjoration de son état général. Aux Urgences, les paramètres vitaux sont les suivants : FC 80 bpm, TA 81/58 mmHg, FR 20/min, SpO2 97% sous 15 litres d'oxygène, Glasgow Coma Scale 3, T°C 36.1. Au status, le patient est non réactif et présente des râles grossiers sur toutes les plages pulmonaires. La radiographie de thorax met en évidence un foyer basal gauche. Un essai de ventilation par VNI est effectué sur site, résultant en une baisse de la tension artérielle nécessitant la mise en place d'amines en périphérique. L'origine probable de la détérioration est un sepsis d'origine pulmonaire. En raison d'une mauvaise évolution sous ce traitement, l'attitude générale est rediscutée avec la compagne et le fils du patient. Conformément aux désirs du patient avant l'événement, il est décidé de ne pas poursuivre des soins invasifs et de passer en soins de confort. Concernant le coma d'installation brutale, au vu de la re-discussion de l'attitude, un CT cérébral n'est pas effectué à la recherche de la cause de la baisse de vigilance. A noter qu'un essai de traitement par Anexate avait été tenté sans effet et que la glycémie était dans la norme. Le patient décède paisiblement le 17.12.2018. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé par vous-même pour une péjoration de sa fonction rénale. Pour rappel, le patient a présenté 8 épisodes de diarrhées la journée précédent la consultation, résolues lors de son admission aux Urgences. Aux Urgences, les paramètres sont les suivants : FC 99 bpm, TA 140/89 mmHg, SpO2 94%, FR 24/min et T 37.0°. Le status d'entrée est dans les limites de la norme, ne révélant notamment pas de signe de surcharge, un abdomen souple et indolore sans signe de péritonisme. Au laboratoire, une insuffisance rénale aiguë AKIN 1 d'origine pré-rénale est retrouvée. Les traitements néphrotoxiques de Thiazide et IEC sont suspendus et une hydratation intraveineuse est mise en place. Une hyperkaliémie en relation avec l'insuffisance rénale aiguë est également retrouvée. Les paramètres biologiques se résolvent rapidement durant l'hospitalisation et les traitements peuvent être réintroduits. Pour la suite, il s'agira de majorer le traitement par IEC selon tolérance. L'insuffisance rénale est bilanée par une électrophorèse des protéines ne montrant pas de gammapathie monoclonale. Il n'y a pas de troubles phosphocalciques et d'après les valeurs actuelles de protéinurie et de créatinine, l'insuffisance rénale se classe actuellement KDIGO G2 A2. Sur le plan digestif, le patient présente de nouveaux épisodes de diarrhées en alternance avec de la constipation durant l'hospitalisation sans signes inflammatoires cliniques et biologiques. Une analyse de selles révèle une absence de leucocytes et une calprotectine négative. Une suspicion de diarrhées paradoxales dans un contexte de constipation est retenue. Pour la suite, une colonoscopie à distance est à envisager. Concernant la consommation d'alcool à risque du patient, une substitution vitaminique est effectuée. Il ne présente pas de signe de sevrage durant l'hospitalisation et ne désire pas de suivi en ambulatoire, ce que nous vous laissons le soin de rediscuter avec lui. Au vu de la bonne évolution clinique, le patient rentre à domicile le 28.12.2018. Votre patient, Mr. Y, est hospitalisé le 27.12.2018 à l'HFR Fribourg en raison d'une pneumonie communautaire. A son arrivée aux urgences, il se plaint d'expectorations verdâtres, de toux et de frissons. Il affiche une TA à 165/74 mmHg, une FR à 84/min, une FR à 24/min, ainsi qu'une SpO2 à 95% sous 3L d'oxygène aux lunettes et une T°C à 38.3. Au status sont retrouvés de légers oedèmes des membres inférieurs prenant le godet jusqu'aux genoux, ainsi que quelques râles crépitants fins et grossiers. Au laboratoire sont retrouvés un léger syndrome inflammatoire et des NT-proBNP dans la norme. A la radiographie du thorax, un foyer pulmonaire droit est mis en évidence. Nous concluons donc à une pneumonie et le patient est hospitalisé en médecine interne pour antibiothérapie intraveineuse. Il bénéficie également de physiothérapie respiratoire.Le patient évolue favorablement, tant sur le plan clinique que biologique. En bon état général, il demande de rentrer à domicile le 31.12.2018, après une période afébrile de plus de 48 heures. Nous instaurons une antibiothérapie par Co-Amoxicilline par voie orale. Votre patient, Mr. Y, 72 ans, est transféré à l'HFR de Fribourg depuis l'Inselspital le 03.12.2018 pour suite de prise en charge de son angiosarcome cardiaque métastatique au niveau cérébral et probablement osseux. Pour rappel, le patient se présente le 03.11.2018 aux urgences de l'HFR Fribourg pour des parésthésies de l'hémicorps gauche. Les investigations montrent deux saignements cérébraux. Il est transféré à l'hôpital de Berne pour une suite de prise en charge. Le patient subit d'autres examens qui révèlent, au niveau cérébral, trois saignements intracérébraux avec de multiples saignements périphériques et au niveau thoracique, une masse dans l'oreillette gauche avec partie flottante et infiltration des veines pulmonaires. Une crâniotomie est effectuée le 23.11.18 et la biopsie des tissus cérébraux montre un infiltrat cérébral d'un angiosarcome, avec une masse primaire retrouvée au niveau de l'oreillette gauche. Pour suite de la prise en charge, le patient est ensuite transféré dans le service de médecine interne de l'hôpital de Fribourg le 03.12.2018. A son arrivée, il affiche une TA à 110/70 mmHg, une FC à 78 bpm, une SpO2 à 96% à air ambiant, ainsi qu'une température à 36.6. Au statut, on retrouve une force de l'hémicorps gauche diminuée à 3/5 et une sensibilité superficielle diminuée par rapport au côté droit. Des OMI bilatéraux prenant le godet sont aussi objectivés. Le patient, très au clair sur son pronostic, bénéficie rapidement d'une prise en charge spécialisée par les soins palliatifs, impliquant une équipe pluridisciplinaire avec ergothérapie, physiothérapie, suivi nutritionnel et aumônerie. Au fil des jours, le patient reste cliniquement bien. Lorsqu'à l'ESAS une préposition pour de l'anxiété et une dépression sont mis en évidence, le patient est mis au bénéfice d'un traitement antidépresseur par SSRI, celui-ci augmentant le moins possible le seuil épileptique. Sur le plan digestif, des épisodes de méléna sont rapportés depuis le 14.12.2018. Une chute de l'hémoglobine de plus de 20 points en 4 jours est mise en évidence. Le patient, refusant une OGD en vue du contexte défavorable, un traitement conservateur par Pantozol intraveineux est débuté. Pourtant, le patient devient symptomatique de l'anémie, avec de forts vertiges et sudations à la moindre mobilisation, et nous procédons à une transfusion le 18.12.18. Le patient reste anémique malgré la transfusion, raison pour laquelle une seconde transfusion est effectuée le 19.12.18. En vue de l'hémorragie gastro-intestinale et du manque d'amélioration de l'état fonctionnel, le patient émet à plusieurs reprises le souhait d'arrêter les traitements étiologiques, car la situation actuelle d'immobilité n'est pas en congruence avec une bonne qualité de vie pour lui. Ceci a été discuté lors d'une discussion pluridisciplinaire, et on lui propose dans cette situation que les traitements radiothérapeutiques ne soient pas entamés au vu de la mauvaise évolution de l'état de santé du patient. Des soins de confort uniquement sont débutés. Le patient et la famille sont en accord avec cette décision. L'état clinique du patient se détériore au fil des jours et il décède paisiblement entouré de sa famille le 24.12.2018 dans la nuit. Votre patient, Mr. Y, connu pour un fibrillo-flutter paroxystique et une bradycardie sinusale, est hospitalisé en électif le 20.12.2018 pour la pose d'un pacemaker. A son arrivée dans notre service, le patient présente une TA à 128/86 mmHg, une FC à 96 bpm régulier, une saturation à 94% à l'air ambiant et une température à 36,4°C. Le statut est dans les normes. La pose d'un pacemaker par Dr. X le jour même se déroule sans complications. La radiographie du thorax post-intervention est dans les normes et ne met pas en évidence de pneumothorax. Lors d'un contrôle post-intervention en cardiologie, le patient présente une fibrillation auriculaire à 100 bpm hémodynamiquement bien supportée, raison pour laquelle son traitement de Metoprolol est majoré à 2x 25 mg par jour. Nous vous laissons le soin de suivre la fréquence cardiaque à votre cabinet, et d'adapter le traitement si besoin. Le patient rentre à domicile le 21.12.2018 et sera convoqué par la cardiologie pour un contrôle de plaie à 10 jours et un contrôle du pacemaker à 4-6 semaines. Votre patient, Mr. Y, 69 ans, connu pour une BPCO de stade IV et une maladie coronarienne, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 29.11.18 en raison d'une décompensation BPCO. A son arrivée aux urgences, il présente une dyspnée en péjoration depuis 4 jours, ainsi qu'une toux productive. Au statut, il est diaphorétique, tachypnéique, les bruits cardiaques sont lointains et le murmure vésiculaire diminué sur les deux plages pulmonaires. La radiographie pulmonaire effectuée aux urgences est compatible avec la BPCO connue, sans foyer individualisé. La gazométrie ne met pas en évidence une hypercapnie sévère. Transféré à l'étage, le patient est mis au bénéfice d'un traitement par antibiotiques, d'aérosols d'Atrovent et de Ventolin, de corticoïdes ainsi que de physiothérapie respiratoire. Au fil des jours, son évolution tant clinique que biologique est favorable. Monsieur rentre donc à domicile le 06.12.2018 et en vue du refus de l'assurance de prendre en charge la réhabilitation respiratoire stationnaire à Billens, il effectuera une réhabilitation ambulatoire à l'HFR Fribourg. A noter que lors de la réhabilitation respiratoire, il ne faut pas utiliser de VNI directement, en raison de l'hypercapnie de Monsieur. De plus, nous vous laissons le soin de suivre la microalbuminurie inaugurale. Votre patient, 78 ans, est hospitalisé à l'HFR Fribourg pour une chimio-embolisation élective le 17.12.2018 dans le cadre de son hépatocarcinome cellulaire, précédemment traité par segmentectomie et une première cure de chimio-embolisation. Il nous est adressé par son oncologue traitant, Dr. X. A son arrivée, il affiche une TA à 140/78 mmHg, une FC à 63 bpm, une T° à 36.0, ainsi qu'une SpO2 à 96% à air ambiant. Son état général est bon et le statut d'entrée est dans les normes. L'intervention DEB-TACE, effectuée par Dr. X en radiologie interventionnelle et alliant de la doxorubicine avec de l'embolisation, se déroule sans complications immédiates. Le jour suivant l'intervention, le laboratoire met en évidence une perturbation des tests hépatiques ainsi qu'un syndrome inflammatoire. L'anamnèse et le statut clinique ne retrouvent pas de piste infectieuse. Sur avis oncologique et radiologique, le patient reste en surveillance à l'hôpital. Suite à l'exclusion clinique et biologique d'une infection à point de départ digestif, nous concluons à un syndrome post-chimio-embolisation. Le laboratoire se normalise au fil des jours. Le patient rentre à domicile le 20.12.2018 et bénéficiera d'un suivi biologique et clinique chez son médecin traitant le 21.12.2018. Votre patient, 84 ans, connu pour les antécédents susmentionnés, est hospitalisé à l'HFR Fribourg le 05.12.2018 en raison d'une mucite sur chimiothérapie par 5-fluorouracil. Il nous est adressé par son oncologue traitant, Dr. X, pour une asthénie avec nausées, vomissements et diarrhées ainsi qu'une absence d'alimentation depuis samedi 01.12.2018. Il était programmé pour bénéficier de son dernier cycle de chimiothérapie le 06.12.2018. A son arrivée à l'étage, il affiche une TA à 114/57 mmHg, une FC à 58 bpm, une SpO2 à 90% à air ambiant, ainsi qu'une température à 37.3°. Au statut sont retrouvés des bruits cardiaques réguliers lointains, une douleur diffuse à la palpation abdominale, ainsi que des œdèmes des membres inférieurs prédominant à gauche.Un syndrome inflammatoire est mis en évidence au laboratoire, raison pour laquelle nous débutons un traitement antibiotique bien toléré. Ceux-ci sont arrêtés lorsque les coprocultures reviennent négatives. Les diarrhées deviennent rapidement extrêmement liquides, motivant sur avis des nutritionnistes l'introduction d'un traitement par Optifibre, morphine et Imodium. Mr. Y ne se plaint ni de douleurs ni de nausées, uniquement de pertes liquidiennes par la stomie. Il retrouve l'appétit au fil des jours et son état général s'améliore. Une substitution électrolytique per os et intraveineuse est également débutée au vu des pertes diarrhéiques. Il est suivi quotidiennement tant sur le plan clinique que biologique. Sur le plan cardiaque, Mr. Y présente un épisode de fibrillation auriculaire lente bien tolérée. À noter qu'il est connu pour une fibrillation auriculaire anticoagulée. La substitution par potassium est arrêtée. L'évolution est favorable, nous vous laissons le soin d'organiser éventuellement un Holter en ambulatoire. Sur le plan endocrinologique, Mr. Y bénéficie d'un suivi diabétologique en raison des glycémies continuellement à la limite supérieure de la norme. Il apprend à faire ses auto-contrôles glycémiques. Au vu des valeurs satisfaisantes après reprise normale de l'alimentation, un traitement par insuline ne sera pas nécessaire lors du retour à domicile. Sur le plan oncologique, Mr. Y est informé de la progression de son cancer mise en évidence au scanner. Il convient avec le Dr. X de repousser le prochain cycle de chimiothérapie à l'année 2019 au lieu d'en bénéficier au moment prévu durant l'hospitalisation. Mr. Y quitte l'hôpital pour aller temporairement habiter chez son fils le 25.12.2018, alors qu'une cause infectieuse aux diarrhées a été exclue et que le traitement visant à régulariser le transit a été optimisé. Lors de son départ, Mr. Y a toujours des pertes diarrhéiques par la stomie d'environ 1400 mL par jour, indolores, hémodynamiquement bien supportées, avec un poids stable et sans répercussion sur le laboratoire qui est stable depuis le 19.12.2018 environ. Il bénéficiera d'Optifibre, d'Imodium et de morphine à domicile également. Nous vous laissons le soin de suivre l'évolution en ambulatoire. Votre patiente de 92 ans, Mme. Y, connue pour cardiopathie hypertensive et rythmique avec fibrillation auriculaire sous Eliquis et insuffisance rénale chronique, sortie d'hospitalisation le 16.11.2018 pour une décompensation cardiaque dans un contexte infectieux (syndrome inflammatoire d'origine urinaire ou pulmonaire à K. pneumoniae à l'urotube), consulte à nouveau les urgences le 20.11.2018 en raison d'une dyspnée d'apparition progressive et prise pondérale avec œdème des membres inférieurs. À noter l'arrêt de l'Oedemex à la sortie de sa dernière hospitalisation. À son admission, la patiente se présente avec un état général conservé, TA 178/60 mmHg, FC 82 bpm, SpO2 94% à l'air ambiant, T°C 36.9. Le statut clinique met en évidence des signes de surcharge cardiaque, avec des râles grossiers aux deux bases pulmonaires et des œdèmes des membres inférieurs prenant le godet. Poids d'entrée à 66.200 kg. Le laboratoire d'entrée ne montre pas de syndrome inflammatoire mais un NT-pro BNP élevé. L'ECG retrouve un rythme sinusal régulier normocarde sans signe ischémique aigu. La radiographie de thorax montre des signes de surcharge. Dans le cadre d'une décompensation cardiaque sur insuffisance de traitement, nous débutons un traitement diurétique avec notamment la reprise de l'Oedemex, permettant une évolution favorable avec un poids de sortie à 63.600 kg. Elle bénéficie également de physiothérapie respiratoire. La fonction rénale est en légère amélioration depuis sa sortie de l'hôpital le 16.11.2018. Les valeurs de suivi montrent une stabilité des valeurs le long de l'hospitalisation, aux alentours des 150 mcmol/L de créatinine plasmatique, faisant une GFR aux alentours de 22 mL/min/1.73m2. Le traitement d'Oedemex et de pantozol sont mis en suspens, l'Eliquis est suspendu au profit de l'héparine, l'allopurinol est diminué de 300 mg/j à 100 mg/j, et l'hydratation orale est stimulée. L'évolution reste stable. Nous vous laissons le soin de suivre le poids et d'évaluer la réintroduction progressive de l'Oedemex. Quant à l'Eliquis, nous vous laissons le soin de réévaluer l'indication à le reprendre. La patiente étant colonisée par MRSA avec des frottis positifs le 11.11.2018 (narines et plis inguinaux), après discussion avec l'UPCI et sur avis des infectiologues, une décolonisation est effectuée du 21.11 au 25.11.2018. Pourtant, les frottis de contrôle du 29.11.2018 montrent une colonisation continue et l'isolation est donc poursuivie. Nous laissons le soin à l'EMS Bonnes-Fontaines de débuter une deuxième tentative de décolonisation si nécessaire. Sur le plan infectiologique, la patiente se plaint de diarrhées sous traitement antibiotique. Une recherche des toxines de Clostridium revient positive, raison pour laquelle un traitement de Flagyl est entrepris jusqu'au 06.12.2018. Nous laissons le soin à l'EMS d'entamer une deuxième recherche de Clostridium si les diarrhées devaient continuer malgré le traitement. Durant son séjour, la patiente se rend chez son ophtalmologue à l'extérieur le 28.11.2018 et le 03.12.2018 pour un contrôle ophtalmique qui avait déjà été repoussé à plusieurs reprises. Il n'y a pas de complications. Selon la patiente et sa famille, la situation à domicile devient précaire avec une patiente qui a de la peine à être autonome et demande beaucoup d'aide de la part de son mari, et ce malgré l'aide des soins à domicile. D'entente avec la patiente et sa famille, nous proposons un transfert à l'EMS Bonnes-Fontaines, pour lequel Mme. Y était déjà en liste d'attente. Elle est transférée le 05.12.2018. Votre patiente est hospitalisée pour la prise en charge d'une baisse de l'état général d'origine multifactorielle. Pour rappel, elle présente depuis 2-3 semaines une baisse de l'état général avec asthénie, nausées et myalgies diffuses. Le médecin traitant met en évidence une insuffisance rénale aiguë, une bicytopénie et une hypokaliémie, raison pour laquelle il nous l'adresse. L'insuffisance rénale d'origine pré-rénale, attribuée à une déshydratation sur manque d'apport, péjorée par le traitement diurétique, évolue favorablement après adaptation du traitement et hydratation intraveineuse. L'ultrason réalisé permet d'exclure une origine post-rénale. Les diurétiques sont progressivement réintroduits. Les investigations pour la bicytopénie à la recherche d'un syndrome myélodysplasique sont refusées par la patiente. La recherche de sang occulte dans les selles revient négative. Des sérologies pour CMV et EBV sont négatives. L'électrophorèse des protéines est non spécifique. Au vu d'une carence, nous introduisons de l'acide folique. Un culot érythrocytaire est administré à la patiente. Nous proposons un suivi biologique et une réévaluation du traitement par Eliquis si les thrombocytes diminuent en dessous de 50 G/l. En raison de la situation globale et de l'âge de la patiente, nous ne poursuivons pas les investigations et proposons un soutien transfusionnel de confort au besoin. Au niveau abdominal, des nausées sont traitées par Motilium puis Primpéran avec une légère amélioration. Nous remplaçons le Pantozol par du Nexium au vu de la mauvaise tolérance. Les filles de la patiente auraient observé chez leur mère deux épisodes d'ictère. Au laboratoire, nous ne retrouvons pas de signes de cholestases. Un ultrason de l'abdomen ne montre pas d'atteinte des voies biliaires, du foie ni de liquide libre dans l'abdomen.Une baisse de la thymie est constatée par l'équipe de soins et la famille dans le contexte de l'hospitalisation. Une évaluation psychiatrique conclut à un trouble de l'adaptation et propose un traitement de réserve par Distraneurine. Une légère hypothyroïdie est objectivée. Nous poursuivons le traitement déjà en place et proposons un contrôle dans huit semaines. Du point de vue fonctionnel, la patiente est déconditionnée. Elle nécessite une aide modérée pour les AVQ. Elle se mobilise à l'aide d'un rollator. Elle bénéficie de physiothérapie durant son séjour. Mme. Y est veuve et vit seule à la maison. Elle a 4 enfants qui sont inquiets de la baisse de l'état général de la patiente et d'un retour à domicile qui semble compris. Des démarches pour des inscriptions au Home de Billens sont en cours. La patiente est transférée le 05.12.2018 pour une réadaptation gériatrique à Riaz. Votre patiente, Mme. Y, 21 ans, connue pour un syndrome de Barakat et un retard psychomoteur sévère avec status post-épilepsie en 2010 (1 épisode unique, traitée par anti-épileptique pendant 3 mois), est hospitalisée à l'HFR Fribourg en raison d'une crise épileptique. Elle est amenée aux urgences par ses parents. Vu que celle-ci ne parle pas, ils décrivent qu'elle serait soudainement devenue rigide et aurait écarté les bras, sa maman la rattrapant de justesse avant qu'elle ne tombe par terre. Celle-ci décrit une perte d'urines chez une patiente portant habituellement des couches, ainsi qu'une diminution de la respiration et une rougeur faciale. La patiente aurait été plus fatiguée que d'habitude durant la semaine. Elle affiche un GCS à 11/15 à son arrivée, avec une TA à 99/77 mmHg, une FR à 16 par minute, une SpO2 à 99% à l'air ambiant et une T°C à 36.2. Le status est normal, sous réserve que la patiente ne se laisse pas facilement examiner. Un avis neurologique propose d'administrer à la patiente de l'Urbanyl et d'effectuer un ECG. Celui-ci revient dans les normes. La patiente ne présente plus de symptômes neurologiques par la suite. Au laboratoire, une hausse des troponines ainsi que des CK est mise en évidence. Un ECG met en évidence un bloc atrioventriculaire de premier degré. Un avis cardiologique propose d'administrer à la patiente des anticoagulants, vu qu'une ischémie ne peut pas être exclue. Un ultrason effectué le lendemain de son entrée est dans les normes. Nous concluons donc à une hausse des enzymes cardiaques sur probable cause centrale neurologique. Toutefois, nous vous laissons le soin d'organiser un angio-CT cardiaque à distance afin d'évaluer une potentielle coronaropathie sous-jacente si vous le jugez nécessaire. Au laboratoire sont également retrouvés de discrets troubles électrolytiques, pour lesquels nous substituons la patiente par voie orale. Nous vous laissons le soin de suivre les électrolytes. Les examens paramédicaux revenant dans les normes et la famille étant très insistante pour une rentrée à domicile, la patiente quitte l'hôpital le 17.12.2018, avec des conseils préventifs et proposition d'un suivi ambulatoire chez son médecin traitant. Votre patiente, Mme. Y, connue pour un antécédent d'ischémie grêle sur volvulus et une suspicion de maladie inflammatoire chronique de l'intestin, est hospitalisée le 12.12.2018 en raison d'une entérite à Norovirus probable. Arrivée aux urgences, elle décrit des diarrhées profuses ayant débuté soudainement la veille, avec des douleurs crampiformes en région épigastrique, ainsi que des nausées sans vomissements. Elle affiche un pouls à 123/min, une TAS à 143/77 mmHg, une SpO2 à 95%, et une température à 38.2°C. Au status sont retrouvés des bruits digestifs augmentés en tonalité ainsi qu'une douleur à la palpation profonde épigastrique. Le reste de l'examen physique est dans la norme. Au vu des antécédents, la patiente bénéficie d'un scanner abdominal, celui-ci excluant une récidive de volvulus ou des diverticulites. Un laboratoire ne met pas en évidence de franc syndrome inflammatoire. La patiente est hospitalisée à l'étage de médecine interne pour surveillance. Une hydratation intraveineuse est débutée pour compenser les pertes digestives, ainsi qu'une antibiothérapie par Ciproxine. Celle-ci est arrêtée lorsque la coproculture multiplex revient négative. Un traitement par Lacdigest est également entrepris, en vue de la notion d'intolérance au lactose de Mme. Y, ainsi qu'une substitution électrolytique. L'isolement de contact est maintenu durant l'hospitalisation, au vu du début abrupt des symptômes et de la notion de contage chez le mari, faisant suspecter un Norovirus. Suite à une évolution clinique et biologique favorable, la patiente rentre à domicile le 15.12.2018. Votre patiente, Mme. Y, 76 ans, connue pour un myélome plasmocytaire avec insuffisance rénale chronique et diabète insulino-requérant, est hospitalisée à l'HFR Fribourg en raison d'arrêts cardio-respiratoires sur tachycardies ventriculaires récidivantes. Mme. Y s'adresse aux urgences de Riaz pour deux épisodes de syncopes. Suite à l'arrêt cardio-respiratoire, pour lequel un massage et des chocs électriques ont été effectués, elle est transférée à l'hôpital Cantonal pour surveillance et suite de prise en charge. À son admission aux soins intensifs, en raison des épisodes de TV symptomatiques récidivants de façon rapprochée mais cédant aux chocs externes, une intubation est nécessaire. De plus, la patiente est mise au bénéfice d'un traitement de Cordarone IV continu. Au niveau des étiologies de l'arrêt cardio-respiratoire, une composante de dysélectrolytémie est probable avec une hypokaliémie à 3.2 mM et une hyponatrémie à 126 mM à l'admission. De plus, Mme. Y a bénéficié d'une antibiothérapie par Ciprofloxacine, traitement prolongeant le QTc. La coronarographie réalisée le 22.11.2018 ne retrouve pas de lésion ischémique à l'origine de ses troubles du rythme cardiaque. La fraction d'éjection du ventricule gauche est normale (70%). Le traitement par cordarone et bêta-bloquant est arrêté suite à un passage en bloc atrio-ventriculaire de haut degré, avec une ré-introduction progressive dès le 23.11.2018. Un pacemaker-défibrillateur est posé sans complication le 26.11.2018. Au vu d'une évolution favorable, Mme. Y est transférée au service de Médecine Interne le 26.11.2018. À l'étage, la patiente n'a aucune plainte et ses paramètres vitaux sont stables. Sur le plan cardiaque, au vu de la faible probabilité d'une atteinte amyloïde cardiaque (non présente sur la biopsie rénale, ni sur l'IRM de 2017), nous nous abstenons de poursuivre les investigations. Une IRM cardiaque, initialement prévue, est annulée en raison de l'insuffisance rénale chronique prohibant une injection de contraste. Sur le plan oncologique, au vu des lésions ostéolytiques possiblement provoquées par le myélome plasmocytaire indolent retrouvées au CT-scan cérébral du 02.10.2018, une IRM du corps entier est initialement proposée à 6 semaines à la recherche d'autres lésions osseuses. Cependant, au vu de la fonction rénale sévèrement abaissée, l'examen est jugé trop dangereux en raison du produit de contraste. De plus, des imageries récentes de la colonne et du bassin étaient exemptes de lésions ostéolytiques, et au vu du peu de bénéfice attendu à terme pour un éventuel traitement de myélome, il est acceptable de renoncer à cette IRM pour le moment.Mme. Bosunga présente initialement des valeurs glycémiques élevées qui se stabilisent au fil du séjour. Un suivi diabétologique ambulatoire est prévu. Sur le plan social, la patiente ainsi que son entourage sont convoqués pour une réunion de famille ayant lieu le jeudi 06.12.2018, où le projet de sortie est discuté. Il en résulte une décision commune de retour à domicile le 12.12.2018 avec maintien des soins à domicile en cours, visite quotidienne de la famille et réadaptation gériatrique en ambulatoire à Billens. Au vu de la bonne évolution clinique et biologique, Mme. Bosunga retourne à domicile le 11.12.2018. Votre patiente, Mme. Cantin, nous est adressée par vos soins pour une baisse de l'état général sous forme de troubles de la marche et des troubles cognitifs en péjoration ainsi qu'une inappétence avec perte de 10 kg en 4 mois. Les paramètres aux Urgences sont les suivants: FC 77/min, TA 177/99 mmHg, FR 20/min, SpO2 96% à l'air ambiant, T 36.7°. Le status d'entrée met en évidence une patiente en état général diminué, désorientée aux trois modes et une palpation abdominale douloureuse en sus-pubien. Le laboratoire révèle un léger syndrome inflammatoire et les analyses d'urine reviennent pathologiques. Un traitement antibiotique par Ceftriaxone est réalisé pour un E. Coli multisensible à l'urotube. Du point de vue neurologique, un CT cérébral est effectué révélant une atrophie cérébrale globale et des séquelles ischémiques temporo-pariétales gauche et frontale droite. Un IRM cérébral ne révèle pas de lésion ischémique récente et une leucoaraiose importante parlant pour une démence d'origine mixte vasculaire et dégénérative. En raison d'une association entre des troubles de la marche, troubles cognitifs et incontinence urinaire, la patiente est vue par les neurologues ne retenant pas d'argument parlant pour une hydrocéphalie à pression normale. Un mini mental state revient à 13/30. Sur le plan hématologique, une anémie normocytaire hypochrome est mise en évidence au laboratoire chez une patiente déjà substituée en ambulatoire par de l'acide folique. Une carence en vitamine B12 et une composante ferriprive à l'anémie sont mises en évidence. Une substitution vitaminique B12 per os est mise en place. Du point de vue nutritionnel, la patiente présente une inappétence péjorée depuis quelques mois avec une perte de poids importante. Elle est vue par nos collègues nutritionnistes, préconisant l'introduction d'un supplément nutritif oral. Durant l'hospitalisation, la patiente présente un état confusionnel aigu à tendance hypoactive. Une constipation et une probable infection urinaire sont traitées sans changement de la symptomatologie. Dans ce contexte, la patiente développe une pneumonie d'aspiration sur une probable broncho-aspiration, traitée par Ceftriaxone dans un premier temps, puis par du Tazobactam, malheureusement avec une évolution peu favorable. En raison d'une péjoration clinique globale, et après discussion avec la famille, la décision est prise de passer en soin de confort. Mme. Cantin décède paisiblement le 31.12.2018 à 10h59. Votre patiente, Mme. Dutruit, se présente au service des urgences pour des embolies pulmonaires diagnostiquées par vous-même en ambulatoire le 29.11.2018. Pour rappel, la patiente présentait une dyspnée d'apparition nouvelle depuis trois jours sans autres plaintes. Dans le service des urgences, les paramètres sont les suivants: FC 85 bpm, TA 168/101 mmHg, FR 20/min et SpO2 à 98% sous 2L d'oxygène. Le status clinique met en évidence une patiente déshydratée, avec un status cardiopulmonaire rassurant sans signe de détresse respiratoire. Les examens de laboratoire effectués par vous-même montrent des D-Dimères élevés et le CT-thoracique réalisé en ambulatoire met en évidence des embolies pulmonaires droite centrale et paracentrale gauche. Il n'y a pas de signe de répercussion cardiaque ni hémodynamique des embolies pulmonaires. Un US doppler des membres inférieurs révèle la présence de plusieurs thromboses veineuses profondes du mollet droit d'aspect récent. Concernant l'étiologie des embolies pulmonaires, la patiente décrit un syndrome de glissement depuis la mort de son mari au mois d'août dernier, avec une nette diminution des déplacements, un manque d'alimentation et d'hydratation. À l'anamnèse, à l'examen clinique et au laboratoire, nous n'avons pas de piste pour une étiologie tumorale et nous n'effectuons pas d'analyses supplémentaires. Le traitement de Rivaroxaban débuté par vous-même en ambulatoire est poursuivi et est à continuer pour un total de 6 mois selon les angiologues, au vu de la persistance des facteurs de risques (immobilisation, stress lié au décès de son mari). La patiente a été informée des risques liés à une anticoagulation. Du point de vue psychiatrique, la patiente présente un état dépressif réactionnel à la mort de son mari au mois d'août 2018, pour laquelle un suivi par vous-même a été mis en place en ambulatoire. Elle ne présente pas d'idées suicidaires lors de son hospitalisation et ne désire pas de prise en charge psychiatrique. La suite du suivi psychiatrique sera effectué comme convenu par vous-même en ambulatoire. Du point de vue clinique, la patiente évolue favorablement avec une oxygéno-indépendance et une absence de symptômes respiratoires permettant un retour à domicile le 01.12.2018. Votre patiente, Mme. Morattel, est hospitalisée par vous-même pour une thrombocytopénie isolée évoluant depuis 3 jours. Pour rappel, la patiente a présenté un épisode de gastro-entérite sous forme de diarrhées, vomissements ainsi qu'un état fébrile. Au décours, elle présente des douleurs articulaires des mains, poignets et dorsales motivant une consultation chez vous-même qui met en évidence une thrombocytopénie isolée au laboratoire. La patiente présente également des métrorragies depuis une semaine, abondantes, en amélioration lors de sa consultation aux Urgences. Aux Urgences, les paramètres vitaux sont les suivants: TA 129/79 mmHg, FC 92 bpm, SpO2 98% à l'air ambiant, T 36.7°C. Le status est normal et ne met pas en évidence de signe de saignement, hormis les métrorragies susmentionnées. Au laboratoire, les thrombocytes sont abaissés à 40 G/L, sans autres anomalies, notamment pas de signe pour une anémie hémolytique. Les sérologies reviennent également négatives pour les hépatites virales B et C ainsi que le HIV. Un traitement de Prednisone est débuté sur avis du Dr. X avec une normalisation des thrombocytes lors de sa sortie. L'origine la plus probable de la perturbation est une thrombocytopénie auto-immune, dans le contexte de la connectivite mixte pour laquelle est connue la patiente. À noter qu'une recherche de H. pylori dans les selles, pouvant participer à la thrombopénie, revient négative. Le sevrage de la Prednisone sera effectué en ambulatoire par le Dr. X et le traitement de la connectivite mis en suspens sera repris ultérieurement. Concernant les métrorragies, celles-ci cessent spontanément durant l'hospitalisation. Au vu de la normalisation des thrombocytes et de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 17.12.2018 avec un prochain contrôle le 20.12.2018 chez le Dr. X. Votre patiente, Mme. Peissard, consulte aux Urgences pour une baisse de l'état général, une dyspnée nouvelle et des oedèmes des membres inférieurs évoluant progressivement depuis 10 jours. Aux Urgences, les paramètres sont les suivants: FC 95 bpm, TA 156/83 mmHg, FR 16/min, SpO2 à 94% à l'air ambiant. Au status, des signes de décompensation cardiaque à prédominance droite sont mis en évidence sous forme d'importants oedèmes des membres inférieurs remontant jusqu'à la cuisse, une turgescence jugulaire ainsi que des râles crépitants jusqu'à mi-plage pulmonaire des deux côtés. Au laboratoire, les BNP sont augmentés. Un traitement diurétique intraveineux puis per os est mis en place avec une évolution favorable. À noter que le traitement diurétique peut être stoppé avant la sortie et que le poids sec de la patiente est estimé à 46.5 kg. Une ETT est effectuée révélant une FEVG dans la norme, un rétrécissement aortique non serré connu et une absence de signes typiques pour une infiltration de type amyloïdose. L'origine de la décompensation cardiaque est probablement l'infection au décours au niveau pulmonaire. Du point de vue hématologique, la patiente est connue pour un MGUS diagnostiqué en 2017. Une électrophorèse des protéines révèle une augmentation de la quantité d'immunoglobuline monoclonale par rapport au dernier contrôle avec un rapport Kappa/Lambda dans la norme. Un avis à nos collègues hématologues est demandé, qui préconisent une nouvelle électrophorèse à 3 mois de surveillance au vu de l'absence de critères CRAB actuellement et d'un taux Ig monoclonal à moins de 30 g/l. L'anémie retrouvée au laboratoire est imputable à un état inflammatoire ainsi qu'à une carence. Dans ce contexte, une substitution en acide folique est débutée et nous vous laissons recontrôler la formule sanguine à distance. Du point de vue pulmonaire, hormis une dyspnée d'effort et une orthopnée nouvelle, la patiente ne présente pas de signes infectieux à l'anamnèse. Le status pulmonaire révèle une hypoventilation basale gauche et des signes de décompensation cardiaque. Au laboratoire, un syndrome inflammatoire est mis en évidence avec une neutrophilie à 42G/l et une CRP augmentée de résolution spontanée durant l'hospitalisation. La patiente présente cependant deux épisodes d'état fébrile sans foyer retrouvé à l'anamnèse et au status. Une radiographie de thorax met en évidence une opacité du lobe moyen à droite. Un CT scanner confirme un infiltrat du lobe moyen pulmonaire à droite ainsi qu'un épanchement pleural minime du même côté, d'origine infectieuse en premier lieu. Le diagnostic différentiel reste cependant un lymphome, au vu de la localisation périphérique de l'infiltrat et d'une hypertrophie des amygdales. D'après nos collègues hématologues, un lymphome est peu probable en raison d'une absence d'adénopathies et d'hépatosplénomégalie. Après discussion avec la patiente et vous-même, il est décidé de ne pas effectuer de geste à visée diagnostique supplémentaire au vu d'une probabilité de malignité faible et d'une absence de sanction thérapeutique (patiente ne désirant pas de chimiothérapie). Au vu de la régression du syndrome inflammatoire et de l'absence d'état fébrile ainsi que d'autres symptômes infectieux (fièvre, toux, expectorations) durant le reste de l'hospitalisation, la patiente ne reçoit aucun traitement antibiotique. Au vu de la bonne évolution clinique, la patiente rentre à domicile le 10.12.2018. Votre patiente, Mme. Y, consulte aux urgences pour une asthénie associée à une inapétence. Aux Urgences, les paramètres vitaux sont les suivants : • FC 133 bpm • TA 104/69 mmHg • FR 24/min • Spo2 97% à l'air ambiant • T°C 39.4. Au status, la patiente est désorientée dans le temps et dans l'espace, sans piste clinique infectieuse retrouvée. Le laboratoire montre un syndrome inflammatoire et les analyses d'urines reviennent pathologiques. Au vu du contexte d'infections urinaires à ESBL à répétition, un traitement par Meropenem est débuté. Une hémoculture revient positive pour un E. Coli multissensible et une suite de traitement par Ciprofloxacine est effectuée pour une bactériémie à point de départ urinaire, avec une bonne évolution clinico-biologique. Concernant la prophylaxie des infections urinaires par Nitrofurantoïne, un avis aux infectiologues est demandé, qui proposent un arrêt de celle-ci, que nous vous laissons réévaluer en ambulatoire selon l'évolution. Concernant la confusion et désorientation nouvelle, le status neurologique est dans la norme. Un diagnostic d'état confusionnel aigu dans un contexte infectieux est retenu, avec par la suite une bonne évolution clinique. Sur le plan cardiaque, la patiente était connue pour une insuffisance cardiaque diastolique à FeVG conservée sur une échocardiographie de 2000. En raison d'une prise de poids intra-hospitalière, une nouvelle échocardiographie est effectuée révélant une fonction cardiaque gauche et droite dans la norme ainsi qu'une absence de valvulopathie. Le traitement diurétique est repris avec un poids stable à 72.5kg lors de sa sortie. Pour la suite, nous vous laissons le soin de réintroduire l'aldactone ou un autre antihypertenseur en fonction de la tension artérielle. Du point de vue musculo-squelettique, la patiente présente des troubles de la marche suite à un syndrome de la queue de cheval en 2016 avec une parésie des muscles releveurs des pieds résiduels ainsi qu'en raison d'une polyneuropathie sur Thalidomide. Dans ce contexte, elle bénéficie de physiothérapie et est reclassée en attente d'une place en réadaptation gériatrique à Riaz. La patiente reste hospitalisée au sein de l'HFR, bien que la prise en charge spécifique par notre service soit maintenant terminée. Il en résulte un séjour de reclassement et vous recevrez à sa fin un simple courrier complémentaire vous informant que la patiente a quitté le service. Le courrier contiendra uniquement les éventuelles notes de suite et une copie de l'ordonnance des médicaments à la sortie. Votre patiente, Mme. Y, est admise aux soins intensifs pour un état de mal épileptique. La patiente a été retrouvée inconsciente par son ami dans son lit et aurait présenté des convulsions de l'hémicorps droit de durée inconnue. Aux Urgences, les paramètres vitaux sont les suivants : • FC 94/min • TA 121/77 mmHg • FR 16/min • T 37.5°C. Au status, la patiente présente un Glasgow Coma Scale à 3/15 post-traitement de Dormicum et de Keppra en extra-hospitalier et par la suite une héminégligence droite, sans autres anomalies. Un EEG est réalisé, compatible avec un état de mal épileptique partiel, persistant pendant plusieurs jours sur des EEG sériés. Le bilan radiologique par CT et IRM cérébraux montre des séquelles d'hémorragies cérébrales frontales datant de 2013 et des anévrismes au niveau du polygone de Willis, sans nouveaux éléments. L'origine des convulsions est probablement mixte : sur les séquelles des hémorragies cérébrales, dans le cadre d'une encéphalopathie hépatique avec ammoniémie élevée ainsi qu'un probable sevrage éthylique anamnestique. Une tri-thérapie anti-épileptique est débutée avec un dernier EEG ne montrant plus de foyer irritatif mais une persistance d'atteinte métabolique. À l'étage, afin d'améliorer son état d'éveil, un sevrage des traitements anti-épileptiques est débuté que nous vous laissons poursuivre par la suite. L'évolution neurologique est lentement favorable avec une réorientation spatiale et une reprise d'une participation dans les activités de la vie quotidienne lors de son transfert en neuroréhabilitation. Concernant l'encéphalopathie hépatique, nous ne retrouvons pas de facteur déclenchant. Un US abdominal montre un foie dysmorphique lié à la cirrhose connue, une quantité d'ascite modérée et des veines sus-hépatiques ainsi qu'un tronc porte perméable. Un traitement par lactulose est débuté avec une diminution lentement favorable de l'ammoniémie et de l'évolution neurologique. Une reprise de son traitement pour la cirrhose hépatique est également effectuée par de l'Inderal. À noter que selon les valeurs de laboratoire actuelles, la cirrhose se classe CHILD C (10 points). Pour la suite, nous vous laissons le soin de continuer le traitement de l'encéphalopathie hépatique par traitement laxatif avec une cible de trois selles molles par jour et d'adapter le traitement par Aldactone en fonction de la présence d'ascite.Sur l'IRM cérébral, des anévrismes de l'artère carotide interne droite et de l'artère cérébrale postérieure droite sont mis en évidence, dont la prise en charge est à rediscuter à distance selon l'évolution clinique. Durant l'hospitalisation aux soins intensifs, la patiente développe une insuffisance respiratoire sur pneumonie de broncho-aspiration nécessitant une intubation orotrachéale. Sous traitement antibiotique de Pipéracilline-Tazobactam, l'évolution est favorable et la patiente peut être extubée sans complications. En raison de troubles de la déglutition importants suite à l'état de mal et l'intubation, une nutrition entérale par sonde naso-gastrique est débutée. En raison d'un syndrome de renutrition inapproprié dans un contexte de dénutrition protéino-calorique, une substitution électrolytique est nécessaire. On observe une évolution clinique lentement favorable avec une reprise du réflexe de déglutition et un passage per os possible avec épaississement de l'eau et surveillance lors des repas. Du point de vue social, en présence d'une patiente n'ayant pas sa capacité de discernement et en l'absence de proche ayant la capacité d'aider la patiente, une demande de curatelle est effectuée auprès de la Justice de Paix de la Sarine. Une audience au lit du patient est prévue pour le 28.12.2018 à 14h30 par la Juge de Paix. Le projet après la réhabilitation reste à définir en fonction de l'évolution clinique. • Votum à dose réduite • Votum pausé • Refus d'une hydratation i.v. • Hydratation p.o. Vous adressez cette patiente aux urgences de l'hôpital cantonal de Fribourg pour des douleurs lombaires persistantes depuis le mois d'août, en péjoration depuis trois semaines malgré le traitement de Bactrim, Novalgine, Dafalgan et Targin que vous avez introduit. Lors de la dernière hospitalisation à Riaz, la patiente avait présenté une insuffisance rénale aiguë, imputée au produit de contraste injecté lors du scanner du 22.08 ou aux diverses substances administrées (ie, NSAIDs, antibiotiques). Au vu de la résolution spontanée de la fonction rénale et des différents résultats d'analyse néphrologique, il avait été décidé de ne pas soumettre la patiente à une biopsie rénale. Mme. Y se plaint de douleurs lombaires persistantes à 2/10, crampiformes, avec des pics de douleur à 6-8/10. Elles irradient aux flancs. Elle décrit par ailleurs des règles malodorantes. Elle est actuellement sous progestatif en continu, introduit par son gynécologue traitant, qui a rattaché ces douleurs à une dysménorrhée. Sur le plan sexuel, elle aurait eu un seul et unique rapport sexuel non protégé avec son copain. Elle n'a dès lors pas présenté de leucorrhée. Après discussion avec le gynécologue traitant, la poursuite des douleurs malgré le traitement de progestatif rend le diagnostic de dysménorrhée improbable. Cliniquement, nous objectivons des réflexes ostéo-tendineux hypervifs avec extension de la zone réflexogène. La force est conservée, tout comme la sensibilité. La percussion du rachis est douloureuse, ainsi que celle des articulations sacro-iliaques. Après discussion avec les néphrologues, nous ne retenons pas de piste pour une pathologie rénale. On explique la persistance des LDH élevés au décours de l'insuffisance rénale aiguë. Une angio-IRM rénal avec diffusion pour exclure une atteinte du parenchyme sur ischémie transitoire sur rein mobile pourrait compléter le bilan. En absence de perte pondérale récente, nous ne poursuivons pas les investigations dans ce sens. Un avis rhumatologique est demandé. Toutefois, au vu de l'absence d'indication à une hospitalisation, la consultation est organisée en ambulatoire avec l'adaptation du traitement antalgique avant le retour au domicile. La patiente sera vue en consultation ambulatoire de rhumatologie le 27.12.18 à 11h00. Vous adressez cette patiente aux urgences pour un état infectieux dans un contexte d'asthénie et de syncope avec traumatisme crânien. Mme. Y se plaint d'algurie et de pollakiurie. L'ultrasonographie rénale, ainsi qu'un CT abdominal objectivent une pyélonéphrite gauche, ainsi qu'une dilatation du pyélon gauche, réactionnelle à l'infection selon nos urologues. L'évolution est rapidement favorable sous Rocéphine, permettant un relais po par Ciprofloxacine. Sur le plan de la syncope, Mme. Y décrit un état de déshydratation et d'asthénie. Elle ne décrit pas de prodrome. L'ECG revient sans signe pathologique. Le test de Schellong est positif. Ainsi, nous retenons le diagnostic de syncope orthostatique dans le contexte infectieux. Mme. Y est encouragée à bien s'hydrater. Le traumatisme crânien n'ayant engendré aucune franche répercussion, nous décidons de surveiller la patiente sur le plan neurologique uniquement. La patiente rentre à domicile sans aide le 22.12.2018. Vous nous adressez ce patient avec un diagnostic différentiel de diverticulite, ischémie mésentérique ou gastro-entérite. Ce patient présente une clinique et des examens complémentaires rassurants sans point d'appel ni drapeau rouge. Après un avis du Dr. X, chirurgien, nous excluons pour le moment une cause chirurgicale. Au vu donc du diagnostic suscité, le patient rentre à domicile avec un pot de culture de selles qu'il vous rapportera demain afin d'investiguer cette diarrhée chronique. Vous nous adressez Mme. Y, patiente française en vacances chez son ami en Suisse, en raison de lombosciatalgies avec déficit sensible après avoir taillé des haies il y a 3 semaines, en péjoration ce jour. Elle consulte un ostéopathe une semaine après le début de la symptomatologie. Ce dernier la manipule et le soir même, apparition de sciatalgies nouvelles dans la jambe gauche, jusqu'au genou. Les douleurs sont en progression depuis, avec irradiation jusque dans la malléole latérale gauche. Mme. Y signale également des douleurs de type coup de couteau avec des pics d'intensité à 9/10, aggravées en position debout. À noter que la patiente devait retourner en France le 28.11.2018. À l'aéroport de Genève, elle fait un malaise probablement vaso-vagal/sur douleurs, avec résolution en position couchée, sans perte de connaissance ni traumatisme crânien. Elle consulte alors les urgences de l'hôpital de St-Julien (Haute-Savoie, France), qui prescrivent de la morphine contre les douleurs, puis Mme. Y regagne le domicile de son compagnon. Pas d'autre plainte ni douleur à l'anamnèse par système. L'examen clinique met en évidence un déficit sensitif correspondant au territoire S1 à gauche, un réflexe achilléen absent à gauche, ainsi qu'un déficit moteur (force M4 triceps et fléchisseurs des orteils). Le laboratoire d'entrée montre une légère leucocytose à 11,6 G/l mise sur le compte des douleurs. Le reste du laboratoire est aligné et le sédiment urinaire montre une inflammation urinaire asymptomatique que nous décidons de ne pas traiter. Concernant les lombosciatalgies, au vu de la clinique, nous prenons contact avec Dr. X qui nous conseille de faire une IRM et d'introduire un schéma dégressif de Dexaméthasone pour 10 jours. L'IRM met en évidence une hernie discale L5-S1, comprimant la racine des nerfs et compatible avec la symptomatologie décrite par la patiente. Nous contactons les neurochirurgiens de l'HFR Fribourg qui concluent qu'en raison de douleurs présentes depuis plusieurs semaines et en partie soulagées par la position allongée, il n'y a pas d'indication à une intervention chirurgicale en urgence. Durant le séjour, la patiente bénéficie de fango/physiothérapie. La patiente désire rentrer chez son compagnon en vue d'un retour en France dans quelques jours. Avant son départ, nous lui conseillons de vous reconsulter. Mme. Y quitte donc notre service le 01.12.2018 avec le schéma dégressif de Dexaméthasone ainsi qu'une antalgie par Tramal 50 mg retard 2x/j et Tramal goutte 25 mg maximum 4x/j en réserve. Nous lui recommandons de consulter rapidement son médecin traitant en France pour la suite de la prise en charge. Nous l'informons également de reconsulter les urgences avant son retour en France en cas d'apparition de perte de sensibilité aiguë en selle ou de perte de force nouvelle.Vous nous adressez Mr. Y le 29.11.2018 en raison d'une dyspnée stade NYHA 4 et d'une tachycardie, constatées lors d'un contrôle de santé. Pour rappel, le patient a été hospitalisé dans notre service de médecine du 13 au 17.11.2018 pour une pneumonie lobaire basale gauche et une maladie thromboembolique. Mr. Y décrit une toux en péjoration depuis fin octobre avec expectorations claires. L'ECG d'entrée met en évidence une fibrillation auriculaire nouvelle et les examens cliniques et paracliniques parlent en faveur d'une décompensation cardiaque gauche. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. Sur le plan cardiovasculaire, un traitement par Digoxine est introduit, suivi par un traitement bétabloquant à posologie progressive, au vu du contexte d'insuffisance rénale chronique, qui permet le ralentissement du rythme qui devient sinusal. Un traitement diurétique est également introduit, avec bonne réponse clinique, et pour lequel nous vous laissons le soin d'adapter la posologie selon le poids, avec suivi rapproché de la fonction rénale. Enfin, le traitement habituel par Dinitrate d'Isosorbide est maintenu. Selon l'évolution clinique, une échocardiographie pourrait être organisée afin de déceler une cardiopathie sous-jacente. Sur le plan respiratoire, au vu d'un sevrage de l'oxygénothérapie difficile et de la présence de râles crépitants en base gauche avec matité et hypoventilation à l'auscultation pulmonaire, nous effectuons une radiographie de thorax de contrôle, ainsi qu'un CT scan thoracique injecté. Ce dernier met en évidence une bronchopneumonie résiduelle dans le contexte de la pneumonie basale gauche et de la maladie thromboembolique découvertes en novembre 2018. Il permet d'exclure une embolie pulmonaire nouvelle ainsi qu'un épanchement cloisonné. Au vu de l'absence de fièvre et de syndrome inflammatoire et sur avis du Dr. X, infectiologue de garde, une origine infectieuse aiguë semble très peu probable. Le patient bénéficie ainsi d'une oxygénothérapie avec sevrage progressif et physiothérapie respiratoire associées au traitement diurétique susmentionné, avec PO2 mesurée à 8.8 kPa et dyspnée de stade NYHA 3 à la sortie. Sur le plan hématologique, une anémie normochrome normocytaire régénérative sur origine inflammatoire est mise en évidence. Le bilan étiologique se révèle dans la norme. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 10.12.2018. Des soins à domicile sont mis en place 1x/semaine, pour contrôle de santé et préparation du semainier. Vous nous adressez votre patient, connu notamment pour une fibrillation auriculaire sous Eliquis et Cordarone 200 mg 3x/j avec échec de cardioversion le 13.11.2018, en raison d'une fatigue associée à une fibrillation auriculaire rapide, des diarrhées ainsi qu'un syndrome inflammatoire au laboratoire. Pas de notion d'état fébrile mais Mr. Y est traité par Dafalgan 1g 3x/j et Novalgine 500 mg 8x/j. A l'anamnèse, le patient signale une fatigue depuis quelques jours avec des diarrhées (3 à 4 épisodes/j) depuis le 22.11.2018 et des nausées. Il se plaint également de vertiges orthostatiques ainsi que de palpitations. Au niveau digestif, Mr. Y rapporte une sensation de crampes au niveau du bas ventre. Pas de céphalées. Pas de dyspnée, de toux ni d'expectoration. Pas de dysurie. Pour rappel, le patient est suivi par le Dr. X pour une fibrillation auriculaire et il a bénéficié d'une cardioversion à l'HFR Fribourg le 13.11.2018, sans retour en rythme sinusal. La fibrillation est présente depuis septembre 2018, traitée initialement par Diltiazem et Eliquis. Suite à l'échec de la cardioversion, le Diltiazem est arrêté au profit de la Cordarone 200 mg 3x/j. Mr. Y vous consulte le 26.11.2018 pour contrôle ECG post-cardioversion. Le laboratoire met en évidence un syndrome inflammatoire raison pour laquelle vous l'adressez aux urgences. Au status cardiovasculaire, B1B2 sont bien frappés, irréguliers. Pas de souffle, pas d'oedème des membres inférieurs. Au niveau digestif, sensibilité au niveau des quadrants inférieurs, en particulier au niveau de la fosse iliaque gauche, mais sans défense ni détente. Le reste du status d'entrée est dans la norme. L'ECG effectué aux urgences confirme la fibrillation auriculaire à 130/min. Après hydratation, l'évolution est favorable avec amélioration partielle de la fréquence cardiaque à 110-120/min. Mr. Y est gardé en lit d'observation aux urgences. Le laboratoire met en évidence une CRP à 163 mg/l et des leucocytes à 15,6 G/l sans déviation gauche. Au vu de la symptomatologie digestive, nous effectuons un CT scan abdominal qui met en évidence un colon diffusément épaissi ainsi qu'une collection sous la peau supra-ombilicale à gauche. Nous suspectons une gastro-entérite d'origine infectieuse et nous effectuons une PCR à la recherche de bactéries dans les selles qui revient positive pour Campylobacter. Nous mettons en place un traitement avec Azithromycine 500 mg une fois par jour pendant 5 jours. Le 28 novembre 2018, le patient se sent déjà mieux. Il ne présente plus de douleur thoracique ni de dyspnée mais il se plaint encore de douleurs, connues, au niveau du rachis lombaire et dans le territoire L5-S1. Au vu de la persistance de la fibrillation auriculaire à environ 105/min, nous contactons le Dr. X, qui conseille de poursuivre la Cordarone 200 mg 3x/j pendant trois jours, puis de passer à 200 mg 1x/j et également d'augmenter le Beloc Zok à 50 mg 1x/j dès le 29.11.2018. Elle recommande au patient de fixer un rendez-vous à sa consultation la semaine suivant la sortie. Au contrôle laboratoire du 29.11.2018, les paramètres inflammatoires sont en diminution. Au niveau des paramètres vitaux, le patient est afébrile et la fréquence cardiaque est à 88/min. Mr. Y peut regagner son domicile le 30.11.2018. Nous lui proposons le passage des soins à domicile afin d'améliorer la prise des médicaments, proposition qu'il refuse. Nous lui recommandons également de prendre rendez-vous chez le Dr. X. Vous nous adressez votre patient, connu pour les antécédents et comorbidités susmentionnés, notamment une fibrillation auriculaire sous Sintrom, en raison d'une dyspnée d'aggravation récente et progressive avec orthopnée et prise pondérale de 7 kg depuis deux semaines. De plus, Mr. Y présente des oedèmes des membres inférieurs. A noter qu'il a dû arrêter son traitement d'Aldactone en raison d'une hyperkaliémie. A l'admission aux urgences, le patient est en bon état général. Il est hypertendu à 152/79 mmHg, normocarde à 72/min, afébrile à 36.3°, légèrement dyspnéique à 25/min et sature à 97% à l'air ambiant. Au status cardiovasculaire, nous notons des oedèmes des membres inférieurs bilatéraux jusqu'aux genoux, prenant le godet. Au status pulmonaire, présence de râles crépitants bilatéraux. Le reste de l'examen clinique est dans la norme. Nous effectuons un bilan biologique qui met en évidence une créatinine à 186 umol/l et une urée à 17.9 mmol/l. Il n'y a pas de syndrome inflammatoire. De plus, on note un INR à 3.7. La radiographie du thorax montre de légers signes de surcharge. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge et nous débutons un traitement par Lasix 20 mg iv 4x/j. Le 29.11.2018, le patient présente une réaction allergique cutanée de type urticaire probablement due au traitement par Lasix iv. Au vu de la perte de 3 kg, de la nette diminution des œdèmes des membres inférieurs et de la normalisation de l'auscultation pulmonaire, nous décidons d'oraliser le traitement diurétique par Torem 20 mg 2x/jour. De plus, nous introduisons un traitement par Xyzal pour le prurit. Le 01.12.2018, le patient présente une aggravation de sa réaction cutanée, raison pour laquelle nous remplaçons le Torem par la Metolazone. En plus, nous donnons du Tavegyl iv pour 4 jours, avec amélioration clinique de l'urticaire. Le 04.12.2018, sur avis du Dr. X, allergologue, le Tavegyl est arrêté et le Xyzal est poursuivi pour 3 jours. Un rendez-vous est agendé à sa consultation le 21.12.2018. Mr. Y présente dès le 29.11.2018, une crise de goutte au niveau de l'IPP de D4 à droite. Un traitement avec Colchicine et Prednisone est mis en place avec bonne réponse clinique. La Prednisone est à continuer jusqu'au 06.12.2018, la Colchicine jusqu'au 08.12.2018. L'Allopurinol sera repris dès le 09.12.2018. Nous adaptons le schéma de Sintrom afin d'atteindre un INR thérapeutique. Nous vous laissons le soin de contrôler l'INR et d'adapter le Sintrom lors du rendez-vous agendé à votre consultation pour le 07.12.2018. En présence d'une insuffisance rénale chronique acutisée, la Metformine est mise en pause. Nous associons la péjoration rénale au traitement diurétique intensifié et vous laissons réintroduire la Metformine si nécessaire. L'évolution clinique étant favorable, Mr. Y peut regagner son domicile le 05.12.2018. Vous nous adressez votre patient de 72 ans pour la suspicion de syndrome coronarien aigu, avec des troponines mesurées à votre consultation à <50 ng/l. Mr. Y décrit un serrement au cou à l'effort, des palpitations et des tremblements des membres supérieurs. L'ECG d'entrée montre un sous-décalage du segment ST de 1.5 mm de V3 à V6. Le bilan biologique se révèle sans particularité, hormis des troponines mesurées à 19 ng/l, sans cinétique. La radiographie du thorax est normale. Mr. Y est hospitalisé en médecine pour investigations et surveillance. Au vu de la persistance d'un sous-décalage à l'ECG et d'antécédents de symptômes similaires à l'anamnèse, le patient est adressé à l'HFR Fribourg - Hôpital cantonal pour une coronarographie réalisée le 04.12.2018 par le Dr. X, montrant une maladie coronarienne monotronculaire sur sténose significative de l'artère circonflexe moyenne englobant l'origine de la 2ème marginale, qui est traitée par angioplastie et stent. La fonction ventriculaire est estimée à 50%. Aux soins intensifs, l'évolution clinique et rythmique est favorable permettant un retour dans notre service de médecine le 05.12.2018, où le traitement médicamenteux par Aspirine, IEC et bêtabloquant est poursuivi. Du Clopidogrel est introduit pour une durée de 6 mois, ainsi qu'une statine en prévention secondaire. En raison de signes de surcharge, un traitement diurétique à faible dose est également introduit, que nous vous laissons adapter en fonction du poids et de la fonction rénale. Au vu de l'auscultation d'un souffle systolique au niveau du point de ponction fémoral droit, un US-doppler est réalisé le 06.12.2018, permettant d'exclure un pseudo-anévrisme. Le patient présentant des symptômes d'orthostatisme dans les suites de la coronarographie, nous effectuons un test de Schellong qui se révèle dans la norme. Durant l'hospitalisation, Mr. Y bénéficie d'une physiothérapie de mobilisation. Une demande de réadaptation cardio-vasculaire à l'HFR Billens est faite, en attente. Des mesures d'hygiène diététique lui sont également données, ainsi qu'une intervention brève concernant la consommation d'alcool à risque, actuellement niée par le patient, avec suivi ambulatoire conseillé. Au vu de la coronarographie ayant motivé la suspension du traitement antidiabétique oral, nous constatons une péjoration du contrôle glycémique dans le cadre du diabète de type 2, avec une hyperglycémie qui doit être contrôlée par schéma d'insulines rapides durant le séjour. L'hémoglobine glyquée est mesurée à 6.9%. L'évolution est favorable. Sur le plan électrolytique, une hyponatrémie normo-osmolaire est corrigée après hydratation parentérale. En raison de symptômes de reflux gastro-œsophagien, un traitement empirique par Pantoprazole est introduit, dont nous vous laissons le soin d'évaluer l'indication à distance. Vous nous adressez votre patient le 02.12.2018 en raison d'un INR supérieur à 7. Pour rappel, Mr. Y, porteur d'une valve aortique mécanique, a été hospitalisé dans notre service de médecine du 19 au 27.11.2018 pour un hématome fessier gauche sur anticoagulation supra-thérapeutique par Marcoumar. À noter que le patient a suivi une diète riche en vitamine K ainsi que le schéma de prise de Marcoumar prescrit lors de sa sortie, il n'a juste pas pris de Marcoumar le jour de l'hospitalisation. Aucune source de saignement n'est constatée aux urgences et le patient est hospitalisé pour adaptation du traitement. Le patient bénéficie d'une dose de 2 mg de Konakion iv avec suivi de l'INR, mesuré à 1.9 le 03.12.2018. Un demi-comprimé de Marcoumar est administré au matin avec initiation d'une anticoagulation thérapeutique 2x/j par Clexane, adaptée au poids. Mr. Y peut regagner son domicile le 03.12.2018. Un contrôle de l'INR est prévu à votre consultation le 04.12.2018 et nous vous laissons le soin d'adapter la posologie de l'anticoagulation afin de viser un INR le plus stable possible entre 2.5 et 3.5. Nous vous laissons arrêter la Clexane après 2 INR thérapeutiques à 24 heures d'écart. Un contrôle quotidien de l'INR fait par le patient est recommandé après la sortie, avec un suivi étroit de votre part. Vous nous adressez votre patient le 04.12.2018 en raison d'une baisse de l'état général depuis 4 jours avec douleurs abdominales diffuses et inappétence. Mr. Y rapporte un ralentissement du transit avec l'impression d'être plein. Pas de nausée ni de vomissement. Dernières selles il y a 3 jours, en petite quantité. Pas de sang dans les selles, mais macrohématurie nouvelle associée à une dysurie et pollakiurie. Le patient se plaint également d'une toux productive avec expectorations blanchâtres à verdâtres. Pas de notion d'état fébrile ni de frisson. Pas d'autre plainte systémique. À l'admission aux urgences, le patient est hémodynamiquement stable. Il est normocarde à 73/min, normotendu à 124/87 mmHg, afébrile à 37.2°C et sature à 97% à l'air ambiant. Au status pulmonaire, le murmure vésiculaire est présent sur l'ensemble des plages pulmonaires. La percussion est tympanique et symétrique. Au niveau digestif, l'abdomen est ballonné, sans signe de détente ni de défense, le Murphy est négatif. Les loges rénales sont souples et indolores. Au toucher rectal, hyperplasie de la prostate, sans fécalome, ni douleur. Le reste du status est sans particularité. Le laboratoire montre un important syndrome inflammatoire avec une CRP à 192 mg/l et une leucocytose à 14.4 G/l, une légère hyponatrémie à 132 mmol/l, des LDH à 570 U/l et une anémie normochrome macrocytaire avec hémoglobine à 120 g/l. Nous instaurons un suivi biologique et nous effectuons un bilan vitaminique, qui montre des déficits en vitamine B12 et D qui sont substitués. Un stix et un sédiment urinaires reviennent sales avec la présence de sang dans les urines et de leucocytes. Un uricult est prélevé. L'ECG est sans particularité et la radiographie du thorax ne montre pas de foyer.Sur le plan urinaire, nous suspectons cliniquement un possible globe urinaire chez un patient avec un antécédent d'opération de la prostate. Un bladder scan effectué aux urgences montre une vessie remplie à 400 ml, non pathologique. Nous effectuons un US des voies urinaires le 05.11.2018 pour un bilan plus complet, qui revient dans la norme. Nous suspectons une prostatite et nous instaurons un traitement de Rocéphine 2 g iv 1x/j. A son arrivée à l'étage, Mr. Y présente un pic fébrile motivant le prélèvement d'hémocultures qui reviennent négatives. Sous antibiothérapie iv, l'évolution est favorable, permettant le relais par Ciproxine per os. L'urotube revient positif pour E. coli sensible à la ciprofloxacine et l'antibiothérapie est à poursuivre jusqu'au 18.12.2018. A noter également qu'en raison de l'hypertrophie prostatique, nous introduisons un traitement par Tamsulosine. Nous vous recommandons un suivi urologique en ambulatoire. Durant le séjour, le patient bénéficie également de physiothérapie de mobilisation. L'évolution clinique et biologique est par la suite favorable et Mr. Y, afébrile et asymptomatique, peut regagner son domicile le 10.12.2018. Vous nous adressez votre patient le 06.12.2018 suite à la découverte d'un flutter sur un ECG de contrôle. Pour rappel, Mr. Y a bénéficié d'une opération de la cataracte le 03.12.2018 et le chirurgien a mis en évidence un rythme irrégulier à l'ECG. Lors du contrôle de cette arythmie à votre consultation ce jour, vous mettez en évidence un flutter auriculaire, raison de la consultation aux urgences. A noter que l'ECG effectué en pré-opératoire le 15.11.2018 montrait un rythme régulier. A l'anamnèse par système, le patient ne décrit ni douleur rétrosternale, ni palpitation. Il rapporte une dyspnée qu'il met en lien avec son asthme. A l'admission aux urgences, Mr. Y est en bon état général avec de bonnes tensions artérielles. Il est bien perfusé et bien hydraté. Au status cardio-vasculaire, B1B2 sont bien frappés et irréguliers et la palpation des pouls périphériques est également irrégulière. Pas d'œdème des membres inférieurs. Au status pulmonaire, murmure vésiculaire symétrique, sans bruit surajouté. Au niveau ostéoarticulaire, notons des mains en coup de vent cubital. L'ECG d'entrée montre une fibrillation auriculaire rapide. Le laboratoire montre des D-Dimères augmentés à 2743 ng/ml, raison pour laquelle nous effectuons un angio CT-scan thoracique qui ne montre pas d'embolie pulmonaire, mais deux épanchements pulmonaires avec une opacité en verre dépoli compatible avec une décompensation cardiaque. Nous retenons donc le diagnostic de décompensation cardiaque gauche sur fibrillation auriculaire inaugurale avec présence d'œdème pulmonaire et nous introduisons un traitement de Lasix 20 mg iv 3x/j, Bisoprolol 2.5 mg 1x/j et Xarelto 20 mg 1x/j. Mr. Y est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A l'étage de médecine, il reste hémodynamiquement stable et ne présente pas de dyspnée. Dès le 08.12.2018 au matin, le Lasix iv est relayé par le Torem 20 mg per os 1x/. Sur la demande du patient, nous introduisons également un traitement par Distraneurine afin de traiter une insomnie qu'il relate avoir depuis des années. Le 09.12.2018, nous notons une perte pondérale de 1,8 kg. Le laboratoire est sans particularité et l'ECG montre toujours une fibrillation auriculaire à la sortie. Mr. Y regagne son domicile le 11.12.2018 avec un rendez-vous à la consultation cardiologique du Dr. X, le 17.12.2018 pour une échocardiographie transthoracique afin d'évaluer la fonction cardiaque ainsi que la nécessité d'introduire un traitement par IECA et le patient prendra rendez-vous à votre consultation durant la semaine du 17.12.2018 pour évaluer la réponse au nouveau traitement. Vous nous adressez votre patient le 07.12.2018 en raison d'un état fébrile avec diarrhées, progressant depuis 2 jours et accompagnées d'une inappétence et d'une fatigue. Pour rappel, Mr. Y a été traité pour une pneumonie communautaire droite en novembre 2018 par co-amoxicilline puis Tavanic. Le status abdominal montre des bruits présents mais diminués et un abdomen souple et indolore. Le laboratoire d'entrée met en évidence un syndrome inflammatoire. En présence d'un état fébrile associé aux diarrhées, nous débutons une antibiothérapie empirique par Metronidazole 500 mg per os 3x/j pour suspicion de Clostridium difficile au vu de l'antibiothérapie récente. Le patient est hospitalisé pour la suite de la prise en charge. A l'étage, l'évolution clinique et biologique est favorable. Le patient bénéficie d'une hydratation parentérale, avec remplacement du traitement antibiotique par Azithromycine 500 mg 2x/j, pour une durée totale de 7 jours, en raison de cultures de selles revenant positives pour Campylobacter jejuni le 07.12.2018. Mr. Y regagne son domicile le 10.12.2018 avec recommandation d'un contrôle clinique à votre consultation 5 jours après la sortie. Vous nous adressez votre patient le 11.12.2018 pour suspicion de pneumonie sur broncho-aspiration, avec baisse de l'état général et difficultés à prendre sa médication per os. Mr. Y présente un état subfébrile à 37,6°C depuis 6 jours, que vous traitez par Ciprofloxacine 500 mg 2x/j depuis le 06.12.2018. Le matin de l'admission, le patient fait une broncho-aspiration sur vomissements pour laquelle il reçoit un comprimé de co-amoxicilline per os et présente par la suite une dyspnée. A l'admission, l'anamnèse est difficile en raison des troubles cognitifs connus, mais Mr. Y se plaint de douleurs au niveau de l'hypochondre gauche depuis 3 jours. Au niveau des paramètres vitaux, patient afébrile et saturation à 91% à l'air ambiant, remontant à 95% sous 2 litres d'oxygène. Au status digestif, les bruits abdominaux sont normaux. Notons une sensibilité diffuse à la palpation abdominale, sans défense ni détente. Le Murphy est négatif. Au toucher rectal, présence de selles dans l'ampoule rectale. Le status cardiaque est sans particularité et l'auscultation pulmonaire met en évidence des ronchis diffus au niveau des deux plages pulmonaires. Le bilan biologique montre un syndrome inflammatoire avec une CRP à 164 mg/l et une légère leucocytose et la radiographie du thorax montre un possible foyer en base droite. Nous retenons le diagnostic de pneumonie basale droite sur broncho-aspiration et débutons un traitement par Rocéphine 2 g iv pendant 7 jours avec bonne réponse et une évolution clinique et biologique favorable durant le séjour. En raison des douleurs abdominales, nous effectuons un CT scan qui met en évidence un fécalome d'environ 10 cm que nous retirons partiellement manuellement. Le patient bénéficie également d'un lavement et d'un traitement laxatif. A noter un second fécalome le 14.12.2018, d'environ 5 cm qui est également extrait manuellement. Au vu d'un INR supra-thérapeutique (> 5.5), nous stoppons le Sintrom et nous administrons 2 mg de Konakion le 12.12.2018. Le 13.12.2018, au vu d'un INR dans la fourchette thérapeutique, nous réintroduisons le Sintrom à demi dose et nous reprenons le traitement habituel du patient le 14.12.2018. Le laboratoire du 13.12.2018 met en évidence une hypernatrémie à 151 mmol/l sur déficit d'apport hydrique. Le patient bénéficie d'une perfusion de 1000 ml/24h de G5% jusqu'au 14.12.2018 et nous le stimulons à l'hydratation per os. L'évolution clinique et biologique étant favorable, Mr. Y peut regagner le foyer St-Joseph le 17.12.2018. Vous nous adressez votre patiente le 03.12.2018 pour suspicion d'œdème aigu du poumon sur insuffisance cardiaque gauche sur sténose aortique. En effet, Mme. Y, connue pour une sténose valvulaire aortique sévère, présente une dyspnée d'apparition progressive et en péjoration, aggravée en position déclive (orthopnée) ainsi qu'à l'effort depuis 3 jours, sans toux ni expectoration. Absence de douleur thoracique, palpitation, malaise ou syncope. A l'anamnèse par systèmes, pas de notion de nausée/vomissement, diarrhée/constipation, ni brûlure mictionnelle. La patiente se mobilise avec un tintébin à domicile, avec des soins à domicile en place 1x/semaine. Pour rappel, la patiente a été évaluée par Dr. X en avril 2018 qui ne propose pas de TAVI car la patiente et sa fille ne souhaitent pas d'intervention.A l'admission aux urgences, Mme. Y est légèrement hypotendue. Elle est afébrile. Au status cardio-vasculaire, B1B2 peu audibles. Notons un souffle systolique à 4/6. Pas d'oedème des membres inférieurs, mais status variqueux important. Au niveau pulmonaire, présence de râles crépitants sur l'ensemble des plages pulmonaires. Le reste du status d'entrée est non contributif. Au laboratoire, CRP à 30 mg/l, leucocytes à 11,7 G/l, troponines à 137 ng/l et NT-ProBNP à 11'639 ng/l. L'ECG met en évidence des sus-décalages de V2 à V5 et la radiographie du thorax effectuée à votre consultation montre un oedème pulmonaire. Aux urgences, la patiente est mise sous oxygénothérapie et nous administrons 40 mg de Lasix iv en ordre unique avec une nette amélioration de la symptomatologie et au vu d'une clinique et d'un laboratoire parlant initialement en faveur d'un syndrome coronarien aigu de type 2, nous chargeons Mme. Y en Aspegic et Arixtra. Après discussion avec la patiente et sa fille, il est décidé de limiter l'attitude thérapeutique et de ne pas effectuer d'investigations supplémentaires. La patiente est hospitalisée en médecine pour traitement diurétique. A l'étage, l'évolution est rapidement favorable et nous arrêtons le Lasix iv le 05.12.2018 pour passer au Torem 20 mg avec bonne réponse et perte pondérale de 2,5 kg durant le séjour. A noter qu'un MMSE effectué montre des troubles cognitifs modérés avec un score de 24/30. Mme. Y peut regagner son domicile le 07.12.2018 avec passage des soins à domicile 3x/semaine pour surveillance du poids. Nous vous laissons le soin d'adapter le traitement diurétique selon l'évolution clinique. Vous nous adressez votre patiente le 04.12.2018 pour investigations de 2 épisodes de méléna les 03 et 04.12.2018, ainsi que des nausées et 2 épisodes de vomissements depuis 2 semaines. A l'admission aux urgences, la patiente n'a pas de plainte ni de douleur. Elle est afébrile, les paramètres vitaux sont dans la norme et le status d'entrée est sans particularité. Le laboratoire met en évidence une anémie avec une hémoglobine à 111 g/l ainsi qu'une leucocytose à 47,1 G/l. Nous administrons un bolus de Nexium 80 mg iv aux urgences. Mme. Y est hospitalisée et une OGD est organisée pour le 07.12.2018. L'examen montre 2 ulcères gastriques peptiques (antral et intra-pylorique) sans hémorragie active (Forrest IIb), le test rapide pour Helicobacter Pylori est négatif et des biopsies montrent des signes d'inflammation inactive au niveau de l'antre, active au niveau du corps (une copie du rapport vous a été adressée par courrier séparé). L'IPP double dose est à poursuivre pour une durée totale de six semaines avec un passage à simple dose pour les 4 semaines suivantes. Le Dr. X est informé de l'hospitalisation de sa patiente et au vu d'une augmentation importante des leucocytes (73 G/l le 07.12.2018) nous contactons le Dr. X, hématologue, qui préconise une consultation onco-hématologique en ambulatoire pour discuter la potentielle instauration d'un traitement. Une légère hypokaliémie mise en évidence le 10.12.2018 est substituée. Nous vous laissons le soin de contrôler cette valeur à une semaine de la sortie. Suite à une stabilisation de l'hémoglobine, à l'amélioration des symptômes digestifs et au vu des résultats de l'endoscopie, Mme. Y peut regagner son domicile le 11.12.2018. Vous nous adressez votre patiente le 30.11.2018 en raison de vertiges avec nausées, non gérables à domicile. Mme. Y est connue pour des cervicalgies chroniques et des vertiges positionnels multi-investigués depuis environ 6 semaines. Ces vertiges sont rotatoires, non épuisables, présents aux mouvements de la tête, en particulier avec les yeux fermés. Ils sont péjorés par l'orthostatisme et par la marche, avec une perte d'équilibre et une sensation de chute vers la gauche. Vous adoptez une série de changements du traitement antihypertenseur en pensant à des hypotensions, sans amélioration clinique. Une consultation ORL est effectuée le 27.11.2018 et le Dr. X conclut à une aréflexie vestibulaire gauche. Une IRM cérébrale est réalisée le 29.11.2018 et revient normale. La patiente est mise sous Betaserc, mais au vu de l'absence d'amélioration et même d'une péjoration des symptômes, vous nous l'adressez pour la suite de la prise en charge. A son arrivée, elle présente des nausées aux mouvements de la tête et les vertiges habituels. Pas d'autre symptôme. Au status, les constantes sont dans la norme, tout comme la clinique cardio-pulmonaire et abdominale. Au niveau neurologique, les nerfs crâniens sont testés et normaux, les pupilles sont isocores et isoréactives, la force et la sensibilité sont conservées aux 4 membres, les tests cérébelleux sont normaux, le Mingazzini et Barré sont tenus, les réflexes ostéotendineux sont abolis (connu selon la patiente) aux 4 membres, symétriques. Tests de Romberg et Unterberger avec chute vers la gauche. Au status ORL, l'otoscopie ainsi que la pharyngoscopie sont normales, le dix-Hallpike est négatif des deux côtés. Le laboratoire est aligné, l'ECG est sans particularité. Au vu de la clinique et des examens effectués, nous retenons le diagnostic de neuronite vestibulaire gauche au décours. Durant le séjour, nous augmentons la dose de Betaserc à 16 mg 3x/j, puis 24 mg 3x/j. La patiente bénéficie également de physiothérapie vestibulaire qui sera à poursuivre à domicile. La symptomatologie s'améliore sous Betaserc 24 mg 3x/j. La patiente note une disparition progressive des vertiges ainsi que des nausées associées avec une nette amélioration de l'équilibre lors de la marche avec une disparition de la latéralisation à gauche au Romberg. Mme. Y peut regagner son domicile le 04.12.2018. Une consultation ORL est agendée chez le Dr. X le 07.12.2018. Voussure d'origine X chronique face antérieure avant-bras gauche dd : Ganglions lymphatiques dd : Lipome VPPB droite VPPB du canal semi-circulaire postérieur gauche le 15.12.2018 VPPB le 17.12.2018 • NIHSS 0 • Hallpike négatif, Halmagyi négatif. VPPB premier épisode VPPB Bradycardie à 51 bpm, chez patient non sportif Tendinite probable MI ddc le 08.10.2018 • Laboratoire avec CRP à 89 mg/l et leucocytose à 11,4 G/L CK négatif et D-dimères à 2370 • Consilium angiologie (Dr. X) : US doppler : Pas de thrombose veineuse profonde, pas de phlébite. Vu amélioration clinique avec Zofran et réhydratation bien tolérée, retour à domicile. Probable gastrite aiguë mais au vu des épisodes similaires fréquents, consultation chez pédiatre à prévoir avec diagnostic différentiel : syndrome des vomissements cycliques, migraine abdominale.Vu au tri par Dr. X: Morphine 10 mg PO et 2 cp de Tramal pour la nuit. Vu avec CDC de chirurgie Décollement de l'Acquacel argent de la cuisse sous Méopa, rinçage à l'NaCl 0.9% et débridement fibrine après application de Prontosan, repositionnement Acquacel simple (car moins de risque de décoloration de la peau et plaie superficielle). Aquacel argent au niveau abdominal laissé en place Contrôle dans 48h Vu avec Dr. X Désinfection et débridement sous Méopa Aquacel argent Contrôle dans 48h Vu avec Dr. X, cette lésion est une indication à effectuer une colonoscopie anticipée chez ce patient de 55 ans. A sa demande, consilium faite pour colonoscopie semi-urgente. Merci au service de gastro-entérologie de prendre contact avec le patient ainsi que son médecin traitant pour leur communiquer la date du prochain examen. Vu cette gêne, nous proposons d'enlever le matériel d'ostéosynthèse. Le patient est d'accord avec cette proposition. Le patient est informé du déroulement de l'intervention, de ses risques et bénéfices et un formulaire de consentement est rempli et signé. Vu la bonne évolution avec une enfant rassurante à l'examen clinique, nous laissons rentrer Mme. Y à domicile. Conseils et consignes pour reconsultation donnés en cas de récidive de fièvre et/ou baisse de l'état général. Vu la bonne évolution clinique, le suivi dans notre service prend fin ce jour, néanmoins nous demandons à la patiente de faire tous les jours des exercices de mobilisation de la cheville pour améliorer le range of motion. Elle bénéficie d'un arrêt de travail à 100% jusqu'au 07.12.2018. Reprise complète dès le 08.12.2018. Vu la bonne évolution clinique, le traitement est terminé dans notre service. Cependant, nous restons à disposition en cas de besoin. Vu la bonne évolution clinique, le traitement prend fin ce jour. Le patient ne reçoit pas d'arrêt de travail. Vu la bonne évolution de la plaie, nous décidons de la fin de notre prise en charge dans notre service à J11. La patiente prendra contact avec son médecin traitant pour contrôle du pansement et ablation des fils à J15. La patiente sera revue à 6 semaines post-opératoires chez l'opérateur, Dr. X. Vu la bonne évolution, nous arrêtons le suivi dans notre service. La patiente continuera néanmoins la physio-kiné pour améliorer la mobilité de la cheville et permettre la charge. Elle reçoit une ordonnance pour la Clexane (parfois, la patiente préfère ne pas charger). On préconise un contrôle clinique chez le médecin traitant dans 1 ou 2 semaines pour évaluation clinique. La patiente a reçu un arrêt de travail jusqu'au 31.12.2018. Vu la bonne évolution radioclinique, nous décidons d'une fin de suivi en policlinique d'orthopédie. Le patient a bénéficié d'un arrêt de travail de 100% du 24.10.2018 au 21.11.2018. Il travaille comme couvreur mais effectue principalement des tâches administratives. Il est donc autorisé à reprendre le travail à 100% dès le 22.11.2018, avec cependant l'interdiction de monter sur les toits et d'effectuer du travail en charge et avec des pivots, pour une durée totale de 3 mois à compter de la fracture. La pratique sportive est également contre-indiquée pour une durée de 3 mois. Vu la bonne évolution radioclinique, nous préconisons une fin de traitement dans notre service. La patiente gardera son attelle alu pendant un mois. Elle s'adressera à son médecin traitant à un mois post-traumatique pour un examen clinique et pour commencer la mobilisation. Nous restons cependant à disposition en cas de besoin. Vu la bonne évolution radioclinique, nous concluons à la fin de suivi en policlinique d'orthopédie. La patiente a reçu l'instruction de reconsulter en cas de réapparition de douleurs. La patiente a bénéficié d'un arrêt de travail à 100% du 24.11.2018 au 09.12.2018 avec reprise à 100% le 10.12.2018. Vu la demande de faire un bilan sanguin si présentation de fièvre selon les transmissions, on a effectué un bilan sanguin avec FSC et un sédiment urinaire. Une vitesse de sédimentation n'a pas pu être faite, car échec de ponction veineuse. Le bilan sanguin montre un léger syndrome inflammatoire avec un CRP à 7 mg/l, sans leucocytose, avec une thrombocytose et une lymphocytose relative. L'urine ne montre pas d'argument pour une infection urinaire et pas de corps cétonique. Nous traitons l'angine avec un traitement symptomatique. Reconsulter si persistance de la fièvre dans 48h. Vu la demande d'hospitalisation et en accord avec le médecin psychiatre de garde, le patient est hospitalisé volontairement à l'hôpital de Marsens pour suite de la prise en charge. Le patient va à Marsens avec son épouse. Le patient reçoit un Temesta expidet de 1 mg avant le départ des urgences de Riaz. Vu la déshydratation, Mme. Y reçoit un Bolus de NaCl 0.9 % 360 ml (soit 20 ml/kg) et 4 mg d'Ondansetron. Après le bolus, elle commence à jouer, elle a un bon teint et les lèvres mouillées. A l'ultrason, pas de signes pour une invagination n'a pu être vu, cela qui n'exclut pas une invagination qui s'est résolue spontanément. Vu le bon état général après la réhydratation par voie veineuse et la possibilité de se réhydrater per os sans vomir (elle a bu 200 ml de sirop), elle peut rentrer à domicile. Contrôle chez pédiatre demain (ont déjà un rendez-vous) ou en cas de signes de déshydratation Vu la durée des symptômes, nous effectuons un bilan sanguin (hépatique, gazométrie, électrolytes, thyroïdite) qui ne montre pas de particularités. L'examen clinique reste dans la norme. Nous effectuons des Coprocultures et un Calprotectine fécale qui sont en cours. L'étiologie des symptômes reste inconnue. Vu les difficultés avec un camarade à l'école, une composante fonctionnelle doit être considérée. Vu l'absence de signes d'alarmes, elle peut rentrer à domicile avec suite de prise en charge par le pédiatre. Vu la fracture en motte de beurre, plâtre AB est réalisé. Vu la gêne du patient et vu la bonne évolution concernant la gauche, on opte pour un traitement chirurgical du tunnel carpien et des doigts à ressaut pour le 12.2.2019. Aujourd'hui, j'informe le patient du déroulement intra et post-opératoire. Il me donne son accord oral et signé. Vu la gêne persistante de la patiente et vu l'examen clinique, je préconise tout d'abord une infiltration du sillon bicipital pour calmer les douleurs de la patiente voire influencer les douleurs par cette infiltration. En outre, j'ai prévu d'investiguer les images d'IRM avec notre médecin-chef de radiologie, Dr. X, en vue d'une réaction osseuse du trochiter qui semble être par contre une découverte fortuite. L'infiltration est programmée pour le 14.12.2018. Je la reverrai après l'infiltration le 16.1.2019. Vu la guérison de l'articulation de Chopart, mais avec toutefois la persistance d'une douleur au niveau du talo-fibulaire antérieur, nous prescrivons des séances de physiothérapie de mobilisation et de renforcement de la musculature de la cheville, ainsi que des ultrasons et de la iontophorèse. Poursuite de l'arrêt de travail jusqu'au 21.12.2018. Contrôle clinique dans 6 semaines. Vu la lésion, nous décidons de poursuivre le traitement conservateur avec un Schlupfgips pour deux mois. Le patient doit le garder le jour et la nuit, mais il peut charger selon douleurs. Contrôle clinique dans deux mois et en cas de persistance de douleurs, nous proposons un traitement chirurgical avec suture des tendons péroniers. Vu la mauvaise évolution sous traitement conservateur, je préconise l'indication pour un traitement chirurgical de la lésion de la coiffe des rotateurs. J'informe le patient du déroulement intra et postopératoire d'une réinsertion du sus-épineux avec ténotomie et ténodèse du long chef du biceps. Cette intervention est programmée pour le 26.02.2019.Vu la mobilité pas encore complètement satisfaisante pour la patiente, nous lui prescrivons des séances de physiothérapie dans un but soit de renforcement de la musculature soit antalgique, avec ultrasons et iontophorèse. Pour améliorer la sensibilité du dos du pied, nous prescrivons des séances d'ergothérapie. Contrôle dans 6 semaines pour faire le point. En cas d'amélioration, nous organiserons un contrôle à une année de l'opération pour discuter d'une éventuelle ablation du reste du matériel d'ostéosynthèse. Vu la péjoration de la rotation interne, je préconise une arthro-IRM pour refaire le point, sachant que la dernière arthro-IRM date d'avril 2018. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen. Prochain rendez-vous : le 16.01.2019. Vu la péjoration des douleurs, on peut penser soit à une rupture du sus-épineux, soit à une recrudescence de la tendinite calcifiante. Je préconise une arthro-IRM de l'épaule droite pour faire le point. Je reverrai la patiente à la suite de cet examen. Prochain rendez-vous : 19.12.2018. Vu la persistance de gêne de la patiente, je lui propose une réinsertion du sus-épineux. Je lui explique l'opération ce jour. Elle va réfléchir à cette proposition. J'ai prévu un prochain rendez-vous chez moi le 31.1.2019 pour refaire le point. Vu la persistance des douleurs à 2 mois de l'accident malgré le traitement anti-inflammatoire et la physiothérapie, nous planifions une IRM de l'épaule gauche et nous contacterons le patient par téléphone afin de lui communiquer le résultat et rediscuter l'attitude thérapeutique. Nous prescrivons de nouvelles séances de physiothérapie et un traitement anti-inflammatoire. Vu la persistance des douleurs au niveau du 3ème doigt de la main gauche, nous prescrivons de nouvelles séances d'ergothérapie et nous organisons un contrôle chez le Dr X (spécialiste de la main) pour une évaluation. Vu la persistance des douleurs, nous proposons, comme discuté lors du dernier contrôle, une prise en charge chirurgicale de cure de hernie discale L5-S1 G. Mr. Y est clairement informé des risques, des bénéfices et du déroulement de l'intervention et nous donne son accord. Le formulaire de consentement éclairé est signé. Une date opératoire est fixée au 04.01.2019 en ambulatoire. Prolongation de l'arrêt de travail à 100% jusqu'à cette date. Vu la persistance des symptômes, maintenant à plus d'un mois, je préconise une prise en charge chirurgicale. J'informe la patiente du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 12.2.2018. La patiente va nous confirmer cette date opératoire. Vu la plainte du patient, avec des douleurs surtout présentes le matin, nous tentons un traitement conservateur avec confection d'une attelle thermoformée par les ergothérapeutes en extension du coude pour la nuit. Nous reverrons le patient dans quelques semaines pour juger de l'évolution. Vu la présence d'une fracture sur la radiographie, nous immobilisons le pouce gauche avec plâtre AB + pouce et le patient rentre à domicile avec antalgie en réserve. Contrôle clinique à la polyclinique ortho dans 1-2 semaines. Vu la récidive d'invagination avec l'absence de chirurgien pédiatre sur la nuit, nous prenons contact avec l'Hôpital de l'Ile à Bern et un transfert est organisé pour suite de prise en charge (US, +/- réduction par lavement ou chirurgical). Durant sa surveillance, elle reçoit 1.5mg d'Ondansetron à 00h et ne présente plus de vomissements ni de phases de douleurs. Vu la situation avec une absence d'amélioration des symptômes, nous proposons la réalisation d'une myélographie fonctionnelle avec CT et reverrons la patiente à la suite de cet examen à la recherche d'une sténose. Vu la situation et compte tenu du fait que la patiente nous dit avoir la sensation de marcher sur du coton par moments, nous souhaitons compléter le bilan par une IRM cervicale afin d'exclure une sténose à ce niveau. Prochain contrôle suite à ce niveau pour discuter de la suite de la prise en charge. Dans l'intervalle, adaptation de l'antalgie. Vu la situation et devant la forte suspicion d'une polyneuropathie axonale sensitive, nous souhaiterions que la patiente soit suivie du point de vue neurologique au Neurocentre. Nous laissons le soin à nos collègues neurologues d'introduire un traitement adéquat. Nous restons à disposition si besoin. Vu la situation, le patient doit bénéficier d'un traitement dermatologique en priorité. Nous le reverrons pour notre part dans 3 mois pour juger de l'évolution. Il n'y a pas de signe clair de consolidation osseuse pour l'instant et le patient n'est donc pas encore apte à reprendre le travail. Vu la situation, nous expliquons au patient que les douleurs sont très probablement d'origine musculaire, compte tenu du fait que le segment L5-S1 est consolidé. Nous insistons sur le fait qu'il doit absolument faire les exercices de physiothérapie pour stretching de la musculature abdominale et rebalancement postural. Il est informé que s'il ne fait pas cet effort à long terme, il ne pourra pas aller mieux. Prescription de physiothérapie. Prochain contrôle en mars. Vu la situation, nous proposons à la patiente une prise en charge chirurgicale pour décomprimer le niveau L3-L4 par laminectomie +/- PAD. La patiente va réfléchir à la proposition et sera revue dans une dizaine de jours pour nous donner sa réponse. Nous pré-réservons d'ores et déjà une date opératoire pour le 08.02.2019. Vu la situation, nous proposons la poursuite du traitement conservateur avec prescription de physiothérapie pour hygiène posturale et antalgie par Mydocalm. Pas de nouveau contrôle prévu d'office, nous restons à disposition au besoin. Vu la situation, nous proposons qu'il bénéficie d'une infiltration rétro-malléolaire interne par le Dr X. Nous prions donc le secrétariat de bien vouloir le convoquer. Nous le reverrons suite à ce geste. Vu la situation, nous proposons un traitement conservateur avec physiothérapie, hygiène posturale et prescrivons également un rollator afin d'aider la patiente à se tenir droite. Prochain contrôle dans 6 mois. Vu la situation, nous proposons une infiltration facettaire L4-L5 à gauche que nous organisons sous sédation à la demande de la patiente en ambulatoire pour le 10.12.2018. Vu la situation plutôt calme de l'ongle, nous essayons de traiter ce problème chez le podologue. En cas d'échec, la patiente prendra contact avec nous et nous discuterons de faire la résection de cet ongle selon Kocher. Vu la situation qui semble s'améliorer progressivement, nous proposons la poursuite de la physiothérapie avec hygiène posturale et antalgique. Nous réévaluerons la situation dans 6 semaines. Si la situation devait stagner ou se péjorer, nous proposerions une décompression. Vu la souffrance de la patiente et le temps d'attente de plus de 3 mois pour être vu par un spécialiste, je préconise une prise en charge rapide. J'ai trouvé une petite place dans le bloc opératoire demain. J'informe donc la patiente du déroulement intra et post-opératoire d'une cure de pouce à ressaut avec ablation du kyste téno-synovial. Elle me donne son accord oral et signé. Vu la suspicion de réaction post-ingestion de cacahuètes, nous conseillons d'arrêter la prise de cacahuètes et d'évaluer la nécessité de tests allergiques avec le pédiatre.Vu l'absence de critère pour installation dans un box des urgences à l'évaluation clinique au tri, nous contactons par téléphone son oncle. Celui-ci est compréhensif, connaît bien son neveu. Il envoie son épouse qui a de bons rapports avec le patient le chercher aux admissions des urgences. Départ avec sa tante en voiture sans complication. Vu l'absence de douleurs à la mobilisation articulaire, sans état fébrile, nous ne retenons pas une arthrite septique. Vu l'absence de place au bloc opératoire à Fribourg, nous transférons Mr. Y à Berne. Vu l'absence de fractures sur la radio et présence de douleurs au niveau de la tabatière anatomique et piston positif, nous demandons l'avis de Dr. X et avec son accord effectuons un CT qui met en évidence une fracture métaphysaire du radius distal gauche. Immobilisation par plâtre fondu AB + pouce. Antalgie en réserve par Dafalgan et Irfèn. Contrôle à la polyclinique à la consultation de Dr. X dans 7-10 jours. Vu l'absence de signes de surinfection, nous changeons le pansement et le patient rentre à domicile. Ablation des fils dans 5-7 jours chez Dr. X. Vu l'âge de Mme. Y, on ne peut pas laisser la situation telle quelle. Je suis obligé de proposer une réduction fermée et un embrochage. En cas d'impossibilité, réduction ouverte et ostéosynthèse par vis. J'informe Mme. Y et son papa du déroulement intra et postopératoire. Ils me donnent leur accord oral et signé pour cette intervention qui est programmée pour le 20.12.2018. Vu l'âge de Mr. Y, une réinsertion de la coiffe des rotateurs n'est pas discutable. L'arthrose ne justifie pas la mise en place d'une prothèse inversée de l'épaule. Dans ces conditions, je me concentre sur le LCB qui semble contribuer d'une façon importante aux douleurs du patient. Tout d'abord je prévois une infiltration du sillon bicipital, qui est programmée pour le 14.12.2018. En fonction de cette infiltration, une ténotomie et ténodèse du LCB pourront être discutées. Je le reverrai après l'infiltration le 16.1.2019. Vu l'apparition des diarrhées suite à la prise de l'Amoxicilline avec une dose correctement donnée et dans le contexte d'absence de fièvre depuis 24 heures avec OMA peu franche à l'examen clinique actuellement : décision d'arrêter l'antibiothérapie et surveillance. Si persistance des diarrhées et vomissements : reconsultation en cas de déshydratation. Si récidive de fièvre : contrôle aux urgences. Contrôle chez pédiatre lundi en cas de stabilisation des symptômes. Vu l'attitude scoliotique, il s'agit peut-être d'une inflammation sur traction au niveau de la racine L4 D, ce qui expliquerait les symptômes. À but thérapeutique et diagnostique, nous organisons donc une infiltration péri-radiculaire L4 D et la reverrons à la suite de ce geste. Vu le bas degré d'intensité, je conseille un traitement par infiltration. Ces infiltrations auront lieu le 7.12.2018. Vu le bon état général et le bilan infectieux large rassurant, nous laissons rentrer Mr. Y à domicile avec un traitement symptomatique. Nous gardons une origine virale probable à la fièvre, mais conseillons un contrôle en cas de péjoration de l'état général ou nouveaux symptômes ou persistance de l'état fébrile > 72 heures. Vu le bon état général, pas de signes pour une méningite et un examen neurologique sans particularités, Mr. Y peut rentrer à domicile avec un contrôle chez le pédiatre dans 24h pour réévaluation et la situation hydrique et nutritionnelle. Vu le caractère intermittent et plus défini de ces douleurs ainsi que la présence de discopathies importantes sur plusieurs niveaux sur scoliose dégénérative dextro-convexe, nous proposons la réalisation d'une myélographie fonctionnelle sous sédation et hypnose. Nous reverrons la patiente par la suite. Nous proposons de l'ostéopathie et une prise en charge physiothérapeutique pour le redressement de la colonne et le renforcement de la musculature ventrale et dorsale ainsi que pour l'hygiène posturale. Vu le contexte, il s'agit très probablement d'une arthropathie au niveau de l'AC, suite à une mobilisation très limitée de l'épaule D dans le cadre de la consolidation retardée de la clavicule D. On explique au patient les alternatives thérapeutiques. Vu les comorbidités, on lui propose de continuer le traitement conservateur et on organise une infiltration prochainement. En ce qui concerne le travail, le patient est toujours en arrêt à 100% et pour encore 2 mois. Son dossier est actuellement traité par la SUVA pour une réintégration professionnelle. Vu le foyer clinique avec angine virale et contage chez le frère, pas d'urine prélevée. Vu le jeune âge de Mme. Y et qu'elle n'a pas encore terminé sa croissance, nous lui prescrivons pour l'instant une attelle de protection en silicone Epitact à mettre le jour et de correction à mettre la nuit. Pour l'instant, il est trop tôt pour effectuer une correction de l'hallux valgus. Nous reverrons Mme. Y à la fin de sa croissance pour discuter de l'intervention. Vu le problème de Mme. Y et la réduction en position neutre de l'orteil qui est très douloureuse, nous ne posons pas d'indication pour un traitement par une attelle actuellement ni pour une intervention chirurgicale. Nous conseillons au médecin-traitant d'organiser un contrôle chez un rhumatologue pour commencer à régler le problème de la polyarthrite et une fois le problème réglé, nous reverrons Mme. Y afin d'évaluer la mise en place de l'attelle ou l'option chirurgicale. Vu le statut clinique rassurant, je ne peux pas m'expliquer les douleurs décrites par Mme. Y. Je la rassure. Je n'ai pas de proposition thérapeutique à lui donner. Elle va réfléchir. Elle a prévu un voyage au Brésil où elle veut éventuellement demander une IRM. Personnellement, je n'ai pas d'argument pour demander une IRM d'emblée vu le statut radioclinique rassurant. Mme. Y me recontactera en cas de besoin. Pas de contrôle prévu d'emblée. Pas d'arrêt de travail. Vu le traitement par algifor déjà tenté par la mère, décision d'instaurer un traitement par amoxicilline. Vu l'échec du traitement conservateur, nous proposons un traitement chirurgical avec cure de tunnel carpien à gauche le 20.12.2018 et une cure de tunnel carpien à droite le 17.01.2019. Le formulaire d'information et de consentement est rempli et signé. Vu les douleurs importantes au niveau de l'épaule et le statut clinique qui parle en faveur d'une lésion du muscle sous-scapulaire, on organise une IRM de l'épaule D suivie d'un contrôle clinique à notre consultation. Vu les douleurs récidivantes dans ce contexte de lésion luno-triquétrale, je souhaite adresser Mr. Y à la consultation spécialisée de Dr. X pour avis. Je remercie le secrétariat de Dr. X de convoquer le patient dans les meilleurs délais. Je me tiens à disposition pour tout renseignement. Pas d'arrêt de travail. Vu les images et la clinique, les douleurs sont plutôt à mettre en rapport avec la lésion du tendon peroneus brevis. Ce qui n'est pas compatible avec la clinique, c'est que le patient ne ressent pas de douleur au stress de ce tendon. Nous proposons donc de faire une infiltration chez les anesthésistes. Contrôle après cette infiltration. Vu les symptômes et la demande de Mme. Y d'avoir une solution efficace, j'opte pour un traitement chirurgical. J'informe Mme. Y du déroulement intra et post-opératoire pour cette intervention que j'ai programmée dans les plus brefs délais étant donné la souffrance de Mme. Y pour le 08.01.2019. Vu les symptômes et l'EMG positif pour un syndrome du tunnel carpien, je retiens donc l'indication pour une cure de tunnel carpien G. J'informe Mme. Y du déroulement intra et post-opératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 18.12.2018.Vu les symptômes et l'examen neurologique superposables, je retiens l'indication pour une cure de tunnel carpien droit. J'informe la patiente du déroulement intra et postopératoire. Elle me donne son accord oral et signé pour cette intervention qui est prévue pour le 18.12.2018. Vu l'état inflammatoire aigu, nous reportons l'injection du fer inject à la fin de semaine. Déficit en fer calculé à 900 mg. Avons demandé un rendez-vous à l'hôpital de jour pour l'injection fer inject 1 g iv. Vu l'évolution clinique favorable et sans évidence de péjoration au niveau radiologique, nous procédons à l'ablation de l'attelle avec charge progressive. Si le patient devait ressentir des douleurs au niveau des genoux, il reprendra contact avec le Dr X. Au niveau de l'épaule, les suivis seront faits et sont déjà organisés chez le Dr X. Vu l'évolution favorable à une semaine de l'entorse, le Splintpod est enlevé et remplacé par une attelle Aircast pour 3 semaines avec charge complète sans les cannes selon douleurs et avec arrêt de Clexane et fin de traitement. Nous restons à disposition si nécessaire. Vu l'évolution favorable, nous conseillons de poursuivre la décharge pour encore deux semaines, puis le patient pourra charger selon douleurs dans un Schlupfgips pour deux semaines. Pour la plaie, le patient doit faire les pansements avec de la Bétadine tulle tous les deux jours jusqu'à ce que la plaie soit sèche. Contrôle rx-clinique dans 6 semaines. Vu l'évolution favorable, poursuite du traitement conservateur avec physiothérapie et prochain contrôle clinique dans 3 mois. Vu l'évolution lente mais favorable de l'état clinique et psychologique du patient, nous proposons de continuer les séances d'ergothérapie et physiothérapie ainsi que le suivi par le Dr X. On prolonge l'arrêt de travail à 100% jusqu'au mois de février 2019, date du prochain contrôle clinique. Vu l'évolution plutôt favorable, nous prescrivons encore de la physiothérapie dans un but antalgique. Nous reverrons la patiente d'ici 6 semaines pour faire le point de la situation. Vu l'évolution postopératoire favorable sous ergo et physiothérapie, on poursuit les séances. La symptomatologie présentée par la patiente actuellement est due très probablement à une décompensation de l'arthrose au niveau du coude ainsi qu'à une distension du muscle cubital. On prescrit un traitement avec Miacalcic 100 uu 2X par jour, un traitement anti-inflammatoire Brufen 400 3X par jour. Prochain contrôle clinique dans 2 mois. Vu l'évolution très favorable, nous proposons un nouveau contrôle à une année de l'opération. Pour l'instant, le patient préfère garder le matériel. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, la patiente rentre à domicile avec antalgie en réserve. Vu l'examen clinique et radiologique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement antalgique par Dafalgan et Tramal. Si persistance des douleurs après 5 jours - contrôle chez le Dr X. Vu l'examen clinique, il s'agit d'une entorse du pouce au niveau de l'articulation métacarpo-phalangienne assez sévère vu l'écchymose palmaire. On prévoit la confection d'une attelle St-Maurice en ergothérapie et le port de celle-ci pour les prochaines 6 semaines. On prolonge l'arrêt de travail pour les prochaines 2 semaines et on prescrit un traitement anti-inflammatoire en réserve. On revoit la patiente pour un contrôle clinique dans 6 semaines. Vu l'examen clinique, je préconise une infiltration du sillon bicipital. Je peux dans ces conditions par contre raisonnablement exclure une atteinte de la coiffe des rotateurs nécessitant un geste de ma part. Cette infiltration est programmée pour le 25.1.2019. Je reverrai la patiente après l'infiltration le 18.2.2019. Vu l'examen clinique, nous retenons le diagnostic d'otite moyenne aiguë et la patiente rentre à domicile avec Co-amoxicilline 1 g per os 3 fois par jour pendant 6 jours, Brufen en réserve si douleurs. Contrôle clinique à FUA est prévu le 28.12.2018 à 14h30 vu les vacances du Dr X. Vu l'examen clinique rassurant, l'absence de signes de gravité, le patient rentre à domicile avec le traitement par Xyzal 5 mg per os 1 fois par jour pendant 3-5 jours, Emadine gouttes ophtalmiques 0.5 mg/1ml 2 gouttes dans chaque œil 4 fois par jour pendant 3-5 jours. Le patient a été informé que si l'apparition de nouveaux symptômes, il doit retourner aux urgences. Vu l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile avec le traitement symptomatique par Dafalgan, Irfen, Bioflorin, Benyline à codéine. Contrôle chez le Dr X dans 5 jours. Vu l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile avec les conseils de changer les pansements chaque 24h. Contrôle en chirurgie le mardi 18.12.2018 pour contrôle de plaie et suivi histologie et microbiologie. Vu l'examen clinique rassurant, nous désinfectons la plaie avec Bétadine solution et mettons en place les stéri-strips et la patiente rentre à domicile accompagnée par son père et sa mère. Dafalgan en réserve si douleurs. Vu l'examen clinique rassurant, nous désinfectons la plaie avec Bétadine solution, mettons en place 1 point de suture avec Ethilon 6-0 et le patient rentre à domicile accompagné par son père. Dafalgan en réserve si douleurs. Vu l'examen clinique rassurant, nous désinfectons la plaie avec Bétadine solution, mettons en place 2 points de suture avec Ethilon 6-0 et le patient rentre à domicile accompagné par son père. Dafalgan en réserve si douleurs. Vu l'examen clinique rassurant sans déshydratation avec un enfant s'alimentant comme d'habitude, nous le laissons rentrer à domicile avec contrôle à 24 heures. En cas de péjoration sur la nuit ou difficultés alimentaires, nous conseillons une consultation en urgences. Vu l'examen clinique rassurant, le patient rentre à domicile avec les conseils de continuer la physiothérapie et antalgie en réserve. Contrôle dans le service de rhumatologie CHUV est prévu en janvier 2019. Vu l'excellente évolution, nous mettons un terme au traitement. Une AMO n'est pas souhaitée par le patient et n'est pas nécessaire. Nous ne prévoyons pas de prochain contrôle mais restons à disposition en cas de besoin. Vu l'excellente évolution, nous ne prévoyons pas de contrôle supplémentaire mais nous restons à disposition si besoin. Vu l'excellente évolution, nous ne prévoyons pas de contrôle supplémentaire mais restons à disposition au besoin. Vu par le médecin responsable du tri (Dr X). Vitamine A + pansement ophtalmique. Consultation ophtalmologique à prévoir pour le 13.12.18. Vu que la gêne de la patiente est principalement à gauche, je programme une cure de tunnel carpien gauche le 12.2.2019. En ce qui concerne le doigt à ressaut à droite, je préconise une infiltration le 4.1.2019. La patiente me donne son accord oral et signé pour la cure de tunnel carpien à gauche. Vu que la patiente n'a plus la sensation d'oppression thoracique aux urgences et que l'ECG présente des modifications de repolarisation minimes, nous ne cherchons pas l'augmentation des enzymes cardiaques. Pour la douleur à l'épaule, nous lui conseillons un traitement antalgique, de la physiothérapie et lui donnons la carte du Dr X afin de prendre rendez-vous pour une consultation ambulatoire. Vu que l'arrachement est partiel, le cystofix est remis en place à l'aveugle par le Dr X. Le contrôle US confirme la bonne position du ballonnet du cystofix dans la vessie et le tube est attaché à la peau. Le patient regagne son domicile. Vu que l'endroit de la douleur maximale est bien défini, je préconise une infiltration par cortisone. Celle-ci aura lieu le 25.1.2019. Vu que l'examen clinique est rassurant et que la radiographie met en évidence des modifications génératives du genou D, nous retenons des douleurs dans le contexte d'une gonarthrose. Nous conseillons un traitement anti-inflammatoire et antalgique avec un contrôle chez le Dr X par la suite. Nous recommandons au patient de prendre rendez-vous avec un médecin orthopédiste pour suite de la prise en charge.Vu qu'il y a toujours un écoulement purulent au niveau des anciennes incisions avec expression d'encore plus de pus à l'appui, nous élargissons les incisions avec drainage d'une faible quantité de pus. Rinçage au NaCl. Le Dr. X soupçonne que l'abcès n'est pas drainé et conseille à Mme. Y de revenir le lendemain afin d'être consultée par un chirugien. Le médecin ORL de garde conseille la poursuite de l'antibiothérapie par Augmentin 3*/j pendant 7 à 10j (en fonction de l'évolution) avec des rinçages journaliers au début et après tous les deux jours. La patiente rentre à domicile avec le même traitement et revient le 31.12 à 8h pour suite de la prise en charge. Vu un saignement d'origine amygdalienne probable sans signe d'amygdalite, nous proposons un contrôle ORL pour évaluer la lésion. Dans l'optique d'un contrôle sanguin (FSC, CRP, sérologie EBV/parvovirus/CMV, crase à 10 jours si AINS si pris les dernières 24h prévoir également streptotest) un patch d'EMLA est donné à Mr. Y. Vu une très forte suspicion d'arthrite septique au niveau du genou gauche, nous décidons d'hospitaliser Mr. Y pour pouvoir faire une ponction et très probablement une arthroscopie avec rinçage de l'articulation. Mr. Y sera pris en charge cette semaine par notre équipe, puis par la équipe genou la semaine prochaine. Vue l'absence de pathologie aux bilans sanguins, aux ultrasons et à la radiographie, nous poursuivons un traitement symptomatique avec Paracétamol et discutons le cas avec les orthopédistes le 15.12 pendant la journée. Les parents vont être informés pour la suite. Le 15.12: Discussion du cas avec les orthopédistes qui ne retrouvent pas une pathologie devant le tableau existant et proposent la poursuite du paracétamol et consultation aux urgences si péjoration ou persistance de douleurs à la hanche. Vue l'absence de fièvre ou de signes d'alarme et signes de déshydratation, il peut rentrer à domicile. Reconsulter en cas de persistance de vomissements sans apparition de fièvre ou diarrhée pendant les prochains jours ou si signes de déshydratation. Vue l'amélioration des douleurs aux urgences et l'absence de douleurs lors de l'examen clinique, nous n'avons pas d'argument pour faire d'autres investigations. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une gastro-entérite débutante DD intoxication alimentaire vu les vomissements. Elle peut rentrer à domicile avec traitement symptomatique, reconsulter en cas de signes d'alarme. Vue le bon état général, nous effectuons un rinçage du nez. La respiration avec fréquence variable est considérée comme variabilité physiologique de la respiration du nouveau-né. Les parents ont été rassurés. Sur le plan d'alimentation, nous recommandons des repas plus courts mais plus fréquents. Vue l'absence de la sage-femme pendant les jours fériés, une liste avec des sages-femmes a été donnée aux parents. Nous recommandons de se présenter aussi chez une puéricultrice pour améliorer la prise alimentaire. Une consultation chez le pédiatre est prévue pour le 10.01.19 et un contrôle à l'hôpital à Payerne est prévu pour le 15.01.18. Vue le foyer avec le rhume, la toux et la conjonctivite débutante et le bilan sanguin sans syndrome inflammatoire, Mme. Y peut rentrer à domicile avec un traitement symptomatique et un contrôle chez le pédiatre demain comme prévu. Vue l'évolution des douleurs pendant la journée, avec des épisodes sans douleurs et l'absence de douleurs nocturnes et pas de signes d'alarme dans l'examen clinique, nous n'avons pas de signes d'alarme pour d'autres examens aux urgences. Nous interprétons les symptômes dans le cadre d'une gastrite avec un diagnostic différentiel des douleurs fonctionnelles, vu l'histoire des douleurs et le changement d'école durant l'été. Vue l'évolution stagnante avec des anti-douleurs et la physiothérapie, nous proposons à Mme. Y une infiltration du grand trochanter, planifiée pour le 10.01.2019. Vue l'examen clinique sans particularités et l'histoire avec une réaction avec la fièvre et inconfort après le premier vaccin, nous interprétons la fièvre et l'inconfort dans le cadre des vaccins. Reconsulter en cas de persistance de la fièvre ou d'autres symptômes. Vue par Dr. X à l'accueil des urgences. Coordonnées du CPS données en cas de nécessité de gestion du stress. Vulvite Vulvite débutante Vulvo-vaginite le 25.12.2015. VVC fémorale droite du 23.12.2018 au 24.12.2018. Cathéter artériel radial droit du 23.12.2018 au Intubation oro-trachéale (Payerne) et ventilation mécanique du 23.12.2018 au 24.12.2018. CT thoraco-abdominal le 23.12.2018. Avis chirurgical le 23.12.2018 (Dr. X). Noradrénaline du 23.12.2018 au 24.12.2018. Expansion volémique. Tazobac le 23.12.2018 (Payerne). Imipenem. Amikacine. Solucortef. VVP du 02.12 au 04.12.18. Glucosalin 2:1 du 02.12 au 03.12.18. Wala Apis belladona mercurius 5 granules 3-5x/j. Savon de Marseille 2-3 bains par jour. Contrôle chez le pédiatre à 36h. Wala lavande sur le thorax. Consultation si persistance pour réévaluer corps étranger. WALA Mundbalsam (liquide) : 3-6 x/jour ½ pipette diluée avec de l'eau. Weleda arnica 2 applications par jour. Bande élastique. Contrôle chez le pédiatre si douleur persistante. Weleda Calendula crème protectrice. Weleda Chamomilla supp. Weleda Calendula 1 goutte par œil 5* par jour pendant 5 jours. Consignes de surveillance données aux parents. Weleda collyre Euphrasia. Consultation si conjonctives érythémateuses. Poursuite Podomexef comme prescrit par le pédiatre. Weleda euphrasia gouttes ophtalmiques 1 goutte/œil 4x/j pendant 5 jours. Rinçage oculaire. Weleda euphrasia 1 goutte par œil 4x/j pendant 4 jours. Retour aux urgences si apparition d'un écoulement purulent ou apparition d'une conjonctivite. Weleda euphrasia 1 goutte 4x/j pendant 7 jours. Rinçage NaCl 0.9% (si persistance de la symptomatologie dans 48h: floxal 1 goutte 4x/j pendant 7 jours). Weleda sirop contre la toux. Rinçage du nez. Contrôle chez pédiatre si persistance des symptômes. Mme. Y est hospitalisée dans un contexte d'épuisement parental. Sur le plan psychiatrique, Mme. Y est évaluée par l'équipe de pédopsychiatrie de garde puis par Dr. X qui la suit également en ambulatoire. L'équipe retient un diagnostic de troubles de l'adaptation chez une enfant prise dans un conflit de loyauté, dans un contexte de mésentente globale entre les adultes gravitant autour des enfants. Dans ce contexte, une réunion est organisée le 12.12.18 entre la mère, le beau-père, le père de Mme. Y, Mr. Y, son curateur, et Dr. X et Dr. X. Suite à cette réunion, face à une enfant ne présentant pas de risque hétéro ou auto-agressif, il est décidé que Mme. Y rentre à domicile auprès de sa mère le 12.12 avec un suivi psychiatrique en ambulatoire par Dr. X et un suivi social par le Service de l'Enfance et de la Jeunesse. Mme. Y rentre à domicile le 12.12.18. Sur le plan somatique, un souffle systolique parasternal gauche est mis en évidence au statut de sortie, avec une anamnèse par la mère de souffle cardiaque durant son jeune âge, qui aurait disparu. En l'absence de signes de gravité, nous proposons un suivi clinique par le pédiatre.Whiplash sans fracture sur accident de la voie publique du 14.10.2018. Acutisation d'une hernie discale L4-L5 médiane et paramédiane gauche sur accident de la voie publique du 14.10.2018. Lombalgie non déficitaire le 30.08.2018. Contusion thoracique en 2015. Acutisation de lombalgies chroniques, avec hyposensibilité du territoire L4 à droite, hernies discales L3-L4, L5-S1 connues. Probable pulpite de la première molaire inférieure gauche. Tonsillectomie non datée. Xarelto en suspens dès le 10.12.2018. Metoprolol et Digoxine iv itératif. Majoration du Bilol et reprise du Néomercazole le 12.12.2018. Xarelto PO 20 mg dés le 15.12.2018. Xarelto PO dès le 23.11.2018 pour une durée minimum de 6 mois à réévaluer par médecin traitant. Xarelto stoppé dès le 18.12.18, repris le 21.12.18. Xarelto 15 mg 2x/j du 24.11.2018 au 16.12.2018 puis 20 mg 1x/j. Xérophtalmie avec kératite bilatérale • FR, Anti-CCP négatif (06/2017) • FAN négatif 06/2018 ; SS-A, SS-B négatif 07/2018 (Inselspital) • Anti-RNP/Sm positifs • suivi ophtalmologique par Dr. X • sous Ciclosporine 0,05% gouttes ophtalmiques. Xérostomie sur effet indésirable de la Quétiapine (diminution de la dose le 22.07.2014). Infection compliquée des voies urinaires (traitement par Klacid puis Zinat 6 jours). Reflux gastro-oesophagien avec gastrite érosive à Helicobacter Pylori négatif. QT allongé sur prise de Quétiapine. Bronchite virale avec toux productive en octobre 2018. Hyponatrémie à 133mmol/l le 11.10.2018. Déficit sévère en vitamine D avec vitamine D inférieure à 8nmol/l le 12.10.2018. Hyperthyroïdie le 12.10.2018 avec TSH à 0.162mU/l et T4 libre à 26pmol/l : • Probablement sur état infectieux. Xylométazoline intra-nasale 3x/jour pour 5 jours. Xyzal aux urgences, en réserve. Arrêt prise alimentaire de cacahuètes, évaluer nécessité de tests allergiques avec pédiatre. Xyzal gouttes aux urgences, puis en réserve. Xyzal 10 gouttes. Retour à domicile avec Xyzal 5 gouttes 2x/j pour 72h. Xyzal 10 gouttes 2x/j en réserve pour le prurit. Reconsulter si péjoration. Surveiller signe de surinfection. Xyzal 5 gouttes aux urgences, 2x/jour en réserve. Pas de cause claire déterminée. Xyzal 5 mg pendant 3 jours. Reconsulter en cas de réapparition des symptômes. Xyzal 5 mg, 2 g de Tavegyl, 125 mg de Solumedrol i.v. Surveillance pendant 4 heures aux urgences. Retour à domicile avec Lévocétirizine 5 mg et Prednisone 50 mg 1x/jour pendant 3 jours. Organiser une consultation chez un immuno-allergologue pour tests allergiques et désensibilisation dans les 3 mois. Xyzal 5 mg pendant 5 jours. Critère de gravité expliqué à Mme. Y avec consigne de reconsulter immédiatement le cas échéant. Bilan allergologique à prévoir chez le médecin traitant. Xyzal 10 gouttes. Surveillance à domicile. Yannis présente une bronchite spastique modérée, pour laquelle il reçoit 3 x 6 pushs de Ventolin, permettant une bonne amélioration clinique. Il reçoit aussi du Betnesol à poursuivre pour 3 jours. Nous rendons les parents attentifs aux éléments pour lesquels il faut reconsulter. Z 04.6 Examen psychiatrique général, à la demande des autorités (la police) avec : • expression d'idées suicidaires à des proches. Zane présente une otite moyenne aiguë à gauche, pour laquelle nous débutons une antibiothérapie étant donné le traitement symptomatique reçu depuis plus de 48 h. Zinat 125 mg 2x/j pendant 7 jours. Bonne hydratation. Algifor 10 mg/kg/dose 3x/j si nécessaire. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Zithromax 1 g dose unique. Zithromax 1 g en une prise. Zofran aux urgences, boit par la suite 200 ml de Normolytoral. Réhydratation fractionnée avec Normolytoral, conseils de surveillance donnés. Itinérol en réserve. Zofran aux urgences. Normolytoral et eau, 100 ml sans nouveaux vomissements aux urgences. Réhydratation par Normolytoral en fractionné et Itinérol B6 en réserve. Conseils de surveillance et consignes de reconsultation donnés. Zofran. Bilan urinaire. Bilan myosite. Gazométrie. Zofran. Normolytoral en réserve. Consignes de réhydratation/Consignes alimentaires. Zofran 0.15 mg/kg. Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.15 mg/kg. Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.15 mg/kg. Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.15 mg/kg. Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.15 mg/kg. Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.15 mg/kg 1 dose. Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.15 mg/kg (1 dose hier et une dose ce jour). Bonne hydratation. Dafalgan 15 mg/kg/dose 4x/j si nécessaire. Mesures hygiéno-diététiques. Zofran 0.7 mg. Normolytoral. Conseil de hydratation. Traitement symptomatique. Contrôle chez le pédiatre vers l'après-midi pour contrôle de l'état d'hydratation. Zofran 2 mg aux urgences Normolytoral 100 ml sans nouveaux vomissements. Hydratation fractionnée par Normolytoral. Itinérol B6 Suppo si nausées. Conseils de surveillance donnés. Zofran 2 mg. Normolytoral. Conseils de hydratation. Reconsulter en cas de signes de déshydratation. Zofran 2 mg.Normolytoral Conseils d'hydratation (brochure expliquée et donnée aux parents) Reconsultation en cas de signes de déshydratation • Zofran 2 mg • Normolytoral • Stimuler hydratation • Zofran 2 mg • Normolytoral • Zofran 3 mg per os aux urgences, par la suite bonne prise hydrique sans récidive de vomissement. • Normolytoral à proposer au domicile après chaque vomissement. • Reconsulte si signes de déshydratation (expliqués) ou douleurs abdominales qui ne répondent pas à antalgie simple. • Zofran 3 mg aux urgences • Réhydratation fractionnée par Normolytoral bien tolérée • Contrôle chez pédiatre vu répétition des épisodes (1 fois par mois avec douleurs abdominales fréquentes) • Zofran 4 mg dans la salle d'attente, réhydratation avec Normolytoral • Zofran 4 mg • Conseils d'hydratation • Antalgie et Itinérol B6 au besoin • Reconsulter si signes de déshydratation • Zofran 4 mg • Hydratation avec 200 ml sans vomissement • Gazométrie alignée hormis Bicarbonates à 21 mmol/L, fonction rénale normale • Zofran 4 mg • Normolytoral • conseils d'hydratation • contrôle chez le pédiatre dans 24 h • Zoladex 10.8 mg sous-cutané le 19.12.2018 • Laboratoire le 13.12.2018 : PSA 45.6 ng/ml, testostérone 0.4 nmol/l • Avis Dr. X • Avis oncologie • Zolpidem 1/2 comprimé max. 1 x/jour en réserve. • Zona axillaire droite 01.10.15 • Adénopathie inguinal bilatérale d'origine peu claire en octobre 2015 • Zona début 2018. • PTG droite en 2017. • Opération abdominale d'un iléus en 2012. • Status post-APP. • Cure de varices des 2 côtés. • Hypertension artérielle avec poussée hypertensive dans un contexte de majoration de la consommation d'OH. 06/2018 • Zona dermatome T1-2 droite en 2012 (persistance de douleurs neuropathiques sous forme de paresthésies le 06.11.2012) • Syndrome de sevrage post-éthylisation aiguë à 3 pour mille le 21.11.2011. • Pneumonie du lobe moyen droit le 02.03.2012. • Délirium tremens le 15.05.2014. • Zona dermatome T9-T10 à droite le 26.12.2018. • Zona disséminé le 11.12.2018 dans un contexte de : • traitement par Revlimid et Dexaméthasone pour myélome multiple. • Zona lombaire. • territoire S1. • Zona lombaire, territoire S1, le 27.12.2018. • Zona L1/L2 à droite • Laboratoire : dans la norme • Zona ophtalmique droit le 25.09.18 avec : • Kerato-uvéite droite sans ulcération cornéenne • Hospitalisation en médecine du 25.09 au 04.10, puis du 07.10 au 22.10.2018 puis 15 j en EMS court séjour, pour des douleurs post-zoostériennes importantes • semi-mydriase fixe sur probable synéchies dans le contexte d'une uvéite antérieure • valtrex 1 g 3 x/j du 25.09.18 au 23.10.18 puis 500 mg 3 x/j jusqu'au 06.11.18 • dernier contrôle ophtalmologique le 06.11.18 : chambre antérieure calme, absence de KPS • 12.11.18 : diminution du traitement antalgique par médecin traitant en raison de tremblements importants avec hallucinations -> diminution Oxycontin de 20 mg 2 x/j à 10 mg 2 x/j et prégabaline de 150 mg 2 x/j à 100 mg 2 x/j Disparition des effets indésirables médicamenteux, mais recrudescence des douleurs post-zoostériennes depuis. • re-hospitalisation pour antalgie insuffisante le 18.11.2018 (frailty care) • zona ophtalmique G • Zona territoire T8-9 à gauche le 28.11.2018 • Zona thoracique D2-D3-D4 droit en 2009 PTG droite en 10.2012 Opération de Weil 2ème et 3ème rayons pied D en 2011 PTH G en 1993 avec descellement visualisé sur scintigraphie en 2010 PTH D en 2007, avec changement du cotyle pour usure en 2014 Cure de cataracte D en 2013 et gauche en 2015 et 2016 AVC ischémique pariéto-occipital droit, d'origine probablement cardio-embolique postopératoire, le 10.09.2015, avec hémisyndrome moteur G à prédominance brachiale Probable épilepsie au décours de la phase aiguë de l'AVC Probable état dépressif réactionnel Troubles neuropsychologiques compatibles avec l'AVC ischémique du 10.09.2015 • MMSE 26/30 • Zona thoracique G au dermatome T1 • Zophran 4 mg • Normolytoral si vomissements • Zythromax 1 g en une prise post-opératoire • 01.10.2018 : Pneumonie à éosinophiles avec : • 01.10.2018 : sepsis et insuffisance respiratoire • 05.10.2018 : CT thoracique : infiltrat pulmonaire diffus dans tous les lobes pulmonaires avec retrait du lobe supérieur et inférieur apical G, avec renforcement des lobes supérieurs et inférieurs G • 01.12 : Toilettes nasales régulières Fractionnement alimentaire Suppositoire de Chamomilla TIP du 02.12 : Poursuite de toilettes nasales Toilettes nasales Contrôle chez le pédiatre dans 48 heures • 03.12.2018 : ponction positive à l'aiguille fine. • 04.12.2018 : amygdalectomie bilatérale et drainage de l'abcès rétro-amygdalien gauche. • 04.12.18 Anamnèse : Statu quo. Articulation de certaines lettres modifiée lors de la parole. Mange et boit normalement sans écoulement. Ne ferme pas l'œil D même avec effort. Quand il sourit, le côté D reste figé. Pas de trouble de l'audition. A donné les gouttes pour les yeux. Pas de T°. Pas d'éruption cutanée. Status : • Passif : Disparition du sillon nasogénien D • Actif : D Signe de Bell. Chute de la commissure labiale. Reste des NC III-XII dans la norme. Réflexes dans la norme, force dans la norme. Tympans sans particularité. Pas de lésion cutanée. Labo : sérologie de Lyme négative Attitude : • Pas de traitement par corticoïdes au vu de l'absence d'aggravation des symptômes. • Poursuite de l'onguent vitamine A et occlusion de l'œil pendant la nuit. • Contrôle chez le pédiatre à 7-10 J. • Explication au papa que la symptomatologie peut durer plusieurs semaines. • 05.2011 : Bronchoaspiration pulmonaire d'un morceau de carotte. Non retrouvé lors de la bronchoscopie. • 06.10.2018 : FA rapide à 130 bpm • 07.10.2018 : thrombus flottant au niveau de la veine jugulaire interne D • 09.09.2015 : Fracture temporale et pétreuse D avec hémorragie méningée frontale bilatérale et hématome sous-dural temporal sur TCC sur chute de sa hauteur et sur prise de Xarelto Spondylodiscite L4-L5 et L5-S1 à germe indéterminé, opérée le 19.09.2014, avec discectomie L4-L5 et L5-S1, foraminotomie L5-S1 et L4-L5 avec disque d'aspect caséeux Sepsis sur méningite à Pneumocoque par contiguïté, le 03.03.2014, sur otite moyenne aiguë avec abcès du conduit auditif externe TVP MID 2010 (2 épisodes) avec récidive en décembre 2012 : indication d'anticoagulation à vie Status post foraminotomie L4 et L5 bilatérales et ablation de lipomatose épidurale, le 04.06.2007 Résection partielle du sigmoïde pour diverticulite il y a 20 ans Fracture de l'omoplate il y a 20 ans Traumatisme acoustique il y a 20 ans, appareillé Fracture du scaphoïde il y a 30 ans Fracture de l'humérus D il y a 50 ans Plastie des ligaments croisés du genou ddc • 09.11.2018 : STEMI inférieur • occlusion thrombotique ACD proximale : traitée par PCI (avec 1 DES) • sténose significative de l'artère circonflexe proximale • FEVG : 45 % • 1 aérosol de Ventolin Ventolin en réserve • 1) AMO barres Viper L4-L5 2) Prolongation de la spondylodèse en L3 et S1 par système Viper (vis 6.0/45 en S1 et 6.0/50 en L3) 3) Décompression L5-S1 par la D, discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet 10 mm pré-remplie au Ceracell avec correction de la lordose 4) Décompression L3-L4 par la D, discectomie et mise en place d'une cage TLIF Juliet 10 mm pré-remplie au Ceracell avec correction de la lordose 5) Mise en place de barres Viper 11 cm en L3-S1 + Ceracell en postéro-latéral et postéro-médial (OP le 10.12.2018) • 1) Appendicectomie 2) Trouble de la marche et de l'équilibre avec chutes à répétition d'origine multifactorielle avec : • Status post chute à domicile le 22.03.2018 avec traumatisme crânien léger et plaie doigt 4 et 5 main gauche• Consommation d'alcool chronique (2.2 pour mille le 22.03.2018) • Hématome sous-dural bilatéral fronto-pariétal ancien (CT du 22.03.2018, Inselspital) • Schellong test positif (07.2017) 1. Arthrodèse MTP I à G avec plaque Pedus 2.7. 2. Cure digitus quintus varus avec ostéotomie sous-capitale et fixation avec broche. (OP le 14.12.2018) 1 CE le 11.12.2018 1 CE le 23.10.2018 1 CE le 27.11.2018 Bilan avec Ferritine, saturation transferrine, Vitamine B12, B9, TSH Administration de 500 mg de Ferinject en intraveineux le 14.12.2018 1 CE le 28.12.2018 1 choc externe Massage cardiaque court Amiodarone 1) Echocardiographie trans-oesophagienne à distance (dans la semaine du 03.12 au 07.12.2018) pour bilan de FOP 2) CAVE: troubles de la déglutition en régression lente: hydratation et alimentation tête à 90 degrés sous supervision directe 1 épisode de saignement vaginal post-ménopause indolore 1 g de Magnésium iv aux urgences. KCl 40 mmol iv du 21.12.2018 au 24.12.2018 1 grossesse hypothyroïdie sous Euthyrox 1) Hypertension artérielle et suspicion d'HTA sur blouse blanche 2) Ostéoporose (DEXA 2009), Fracture L4 • Alendronate 2009 échec, Bonviva essayé en 2010 • actuellement sous Prolia 60mg/6mois dès le 19.12.2017 3) Hypothyroïdie substituée • TSH= 1.04 mU/l (normale) le 25.09.2018 4) Dyslipidémie (contrôle le 13.12.2017: cholestérol: 6.48 mmol/l, HDL:3.35 mmol/l, LDL: 2.9 mmol/l, TG: 1.14 mmol/l) 5) Carence en folates: 7.2 mmol/l le 25.09.2018 1. Intolérance aux protéines de lait de vache non-IgE médiée, Pregomin Pepti depuis le 18.08.2017 2. Reflux gastro-oesophagien sur probable hernie hiatale par glissement sous traitement par Motilium 3. Dermatite atopique sous traitement local Vaseline, Amukina Med, Protopic 0,1%, Belmandol pour le bain 4. Souffle cardiaque 3/6 maximal au foyer pulmonaire sur sténose pulmonaire périphérique suivi par Dr. X 5. Hernie ombilicale réductible 1) Laryngo-malacie stade 1 (confirmée par les ORL le 21.10.14) 2) Rétrognathisme congénital 3) Communication intra-atriale de type secundum • légère dilatation du ventricule droit 4) Constipation sous traitement de Movicol 5) Retard d'acquisition du langage, suivi par logopédiste 1. Maladie neurologique : • maladie de Parkinson chez la mère (diagnostic entre 55 et 60 ans), oncle maternel (diagnostic à environ 60 ans) 2. Maladie psychiatrique • dépression (chez la mère) • troubles de l'attention avec hyperactivité : oncle maternel, fils (âgé de 25 ans), possiblement père • syndrome de Diogène : grand-père maternel, oncle maternel et frère 1) Nouveau-né à terme à 38 SG né à Fribourg par césarienne sur CTG restreint. Adaptation difficile avec APGAR de 3/7/9, nécessitant une ventilation par CPAP à 5 minutes avec transfert au CHUV • PN 3450 g, TN 50 cm, PC 35 cm Connu pour un syndrome de Wieacker-Wolf, suite à mutation du gène ZC4H2 avec syndrome polymalformatif (arthrogrypose fente palatine, pied bot en varus ddc, hernies inguinales bilatérales, luxation congénitale des hanches, dilatation pyélo-calicielle D) 2) Hospitalisation en néonatologie au CHUV (3 mois) • Hypoglycémie néonatale à 1 heure de vie et le 30.05.2016 sans orientation diagnostic. • Difficulté alimentaire dans le contexte d'une fente palatine : perfusion pendant les 5e jours de vie, puis SNG avec relais per os à 22 jours de vie. -> mise en place d'une plaque palatine sur trouble respiratoire. • Neurologique : hypertonie et dystonie. IRM cérébro-spinale le 05.08.2016 : Pas de diastématomyélie ni moelle basse fixée (moelle basse implantée en L2 L3 le 12.05.216). EMG : anomalies motrices compatibles avec atteinte myopathique. -> début d'un traitement de rivotril le 26.08.2016. • Ostéo-articulaire : attelle MID, puis plâtre (26/05/16 au 09/09/16) puis attelle cruropédieuse nocturne ; MIG attelle • Génital : le 17.06.2016 : Cure d'hernie inguinale gauche avec orchidopexie gauche. le 29.07.2016 : cure d'hernie inguinale droite. • Pas d'anomalie cardiaque, ni vertébrale ou osseuse (radiographie de total body) 3) Neurologique : crise convulsive à répétition : • 1e crise convulsive généralisée (tonique) avec spasme dystonique et activité électrique anormale -> augmentation rivotril. (Hospitalisation du 09.12.2016-15.12.2016 au CHUV) • 2e crise convulsive le 02.02.17. lors d'hospitalisation à HFR pour bronchite spastique : type focal et généralisation secondaire (45-60 min). Début valproate de Na le 03.02. Transfert au CHUV le 09.02. Pour désaturation et spasmes laryngés post-critique, de résolution spontanée sans traitement. Passage du valproate au keppra. • Etat de mal épileptique inaugural nécessitant une hospitalisation à HFR du 28.02. au 19.04.2017 : Hypoglycémie d'origine indéterminée (min 0.6 mmol/l), douleurs/inconforts multifactoriels, gastrite sur stress le 13.03.2017. • Crise convulsive le 13.11.2017 : nécessitant 2 doses de Stesolid et Phenhydan. 4) Respiratoire : bronchite spastique à répétition : • hospitalisation à HFR du 01.01.-09.02.2017 pour insuffisance respiratoire secondaire à bronchite spastique à RSV • Broncho-aspiration sous régurgitation des liquides gastriques avec du sang digéré (150 ml) dans la nuit du 13 au 14/07/2017, et du 05.11 au 07.11.17 sur possible Gastrite versus Ulcère de paroi post PEG. • 1 épisode en septembre 2018 • hospitalisation à HFR du 13.10 - 30.10.2018 pour insuffisance respiratoire secondaire à bronchite spastique due à broncho-aspiration probable 5) Digestif : • Hospitalisation du 02.06. - 12.07.2017 à HFR : décision de chirurgie (Ténotomie, paracentèse, PEG, vélo plastie), transfusion (déglobulisation post opératoire, probable ulcère avec réintroduction du Nexium) • Hospitalisation pour suspicion de gastroentérite 28.07-01.08.2017 dans l'HFR Fribourg • Hospitalisation dès le 23.11 au 29.11.2017 : Status post hémorragie digestive haute (3ème épisode) • Episodes d'hémorragie digestive haute le 27.10 durant son hospitalisation depuis le 13.10 pour une bronchite obstructive. • Gastroscopie sous anesthésie générale le 01.11.2018 au CHUV (Dr. X) mettant en évidence une oesophagite type 4 sévère et une gastrite, sans saignement actif ni varice ni lésion duodénale. 6) Infectieux : • Pyélonéphrite à E. Coli et E. faecalis (1er épisode) le 10.03.2017 1) Nouveau-né à terme à 38 SG né à Fribourg par césarienne sur CTG restreint. Adaptation difficile avec APGAR de 3/7/9, nécessitant une ventilation par CPAP à 5 minutes avec transfert au CHUV • PN 3450 g, TN 50 cm, PC 35 cm Connu pour un syndrome de Wieacker-Wolf, suite à mutation du gène ZC4H2 avec syndrome polymalformatif (arthrogrypose fente palatine, pied bot en varus ddc, hernies inguinales bilatérales, luxation congénitale des hanches, dilatation pyélo-calicielle D) 2) Hospitalisation en néonatologie au CHUV (3 mois) • Hypoglycémie néonatale à 1 heure de vie et le 30.05.2016 sans orientation diagnostic. • Difficulté alimentaire dans le contexte d'une fente palatine : perfusion pendant les 5e jours de vie, puis SNG avec relais per os à 22 jours de vie. -> mise en place d'une plaque palatine sur trouble respiratoire. • Neurologique : hypertonie et dystonie. IRM cérébro-spinale le 05.08.2016 : Pas de diastématomyélie ni moelle basse fixée (moelle basse implantée en L2 L3 le 12.05.216). EMG : anomalies motrices compatibles avec atteinte myopathique. -> début d'un traitement de rivotril le 26.08.2016. • Ostéo-articulaire : attelle MID, puis plâtre (26/05/16 au 09/09/16) puis attelle cruropédieuse nocturne ; MIG attelle • Génital : le 17.06.2016 : Cure d'hernie inguinale gauche avec orchidopexie gauche. le 29.07.2016 : cure d'hernie inguinale droite. • Pas d'anomalie cardiaque, ni vertébrale ou osseuse (radiographie de total body) 3) Neurologique : crise convulsive à répétition : • 1e crise convulsive généralisée (tonique) avec spasme dystonique et activité électrique anormale : augmentation rivotril. (Hospitalisation du 09.12.2016-15.12.2016 au CHUV) • 2e crise convulsive le 02.02.2017 lors de l'hospitalisation à HFR pour bronchite spastique : type focal et généralisation secondaire (45-60 min). Début valproate de Na le 03.02. Transfert au CHUV le 09.02. Pour désaturation et spasmes laryngés post-critique, de résolution spontanée sans traitement. Passage du valproate au keppra. • Etat de mal épileptique inaugural nécessitant une hospitalisation à HFR du 28.02. au 19.04.2017 : hypoglycémie d'origine indéterminée (min 0.6 mmol/l), douleurs/inconforts multifactoriels, gastrite sur stress le 13.03.2017. • Crise convulsive le 13.11.2017 : nécessitant 2 doses de Stesolid et Phenhydan. 4) Respiratoire : bronchite spastique à répétition : • hospitalisation à HFR du 01.01.-09.02.2017 pour insuffisance respiratoire secondaire à bronchite spastique à RSV • Broncho-aspiration sous régurgitation des liquides gastriques avec du sang digéré (150 ml) dans la nuit du 13 au 14/07/2017, et du 05.11 au 07.11.2017 sur possible gastrite versus ulcère de paroi post PEG. • 1 épisode en septembre 2018 • hospitalisation à HFR du 13.10 au 30.10.2018 pour insuffisance respiratoire secondaire à bronchite spastique due à broncho-aspiration probable 5) Digestif : • Hospitalisation du 02.06. au 12.07.2017 à HFR : décision de chirurgie (Ténotomie, paracentèse, PEG, vélo plastie), transfusion (déglobulisation post-opératoire, probable ulcère avec réintroduction du Nexium) • Hospitalisation pour suspicion de gastroentérite du 28.07 au 01.08.2017 dans l'HFR Fribourg • Hospitalisation dès le 23.11 au 29.11.2017 : status post hémorragie digestive haute (3ème épisode) • Épisodes d'hémorragie digestive haute le 27.10 durant son hospitalisation depuis le 13.10 pour une bronchite obstructive. • Gastroscopie sous anesthésie générale le 01.11.2018 au CHUV (Dr. X) mettant en évidence une oesophagite de type 4 sévère et une gastrite, sans saignement actif ni varice ni lésion duodénale. 6) Infectieux : • Pyélonéphrite à E. Coli et E. faecalis (1er épisode) le 10.03.2017 • 1 paire d'hémoculture le 7.12.2018 : à pister Remplissage Albumine Imipénème du 7.12.2018 au ____ 1 point de suture. Tétanos refait. Retrait des fils dans 10 jours chez son médecin traitant. Instructions pour soin de plaie données au patient. 1) Prématurité à 34 5/7 SG avec PN= 2940 g (P75-90), TN=47 cm (P25-50), PCN=32 cm (P25-50) : • S/p difficultés alimentaires du nouveau-né • S/p hyperbilirubinémie avec incompatibilité groupe et rhésus ; Coombs positif (anticorps anti-B) (Mère O nég, enfant B +) 1) Prématurité 34 3/7 SA, PN 1755 g (P5), PCN 30.8 cm (15), TN 43.5 cm (P10) • Hypoglycémie néonatale • Wetlung • Difficultés alimentaires du prématuré • RCIU 1. Réduction ouverte et ostéosynthèse par deux broches de Kirschner 1.6 et un cerclage 1 mm olécrâne coude G le 29.09.2016 2. Cholécystite aiguë sur cholécystolithiase le 17.03.2014 3. Péritonite bactérienne spontanée le 27.03.2014 4. Rupture de varices oesophagiennes en avril 2011 • OGD (mai 2012) : varices oesophagiennes stade 2 avec ligature et mise en place de 4 élastiques • OGD (février 2013) : pas de varice oesophagienne ni d'oesophagite. Gastrite diffuse • Ponction biopsie hépatique le 26.04.2011 : cirrhose d'activité modérée et hépatite alcoolisme aiguë d'intensité modérée • CT abdominal du 01.03.2013 : nodule hépatique du segment VII et à la jonction des segments V et VIII • Sérologies hépatites, hémochromatose et maladie de Wilson (février 2013) sp 5. Prostatectomie radicale pour cancer de la prostate en 2010 6. Sténose de l'urètre dans sa partie membraneuse avec sténose : • Macrohématurie le 15.03.2013 (traumatique) • Tamponnade vésicale • Tentative de pose d'une sonde transurétrale infructueuse, urétéroscope, puis laparotomie médiane extra-péritonéale, cystostomie, tentative d'intubation du néo-cuvical et mise en place d'une sonde vésicale par voie sus-pubienne (Cystofix), (Dr. X le 15.03.2013) • Déhiscence de point de ponction avec laparotomie de révision, pose d'une cystostomie, suture de vessie, drainage intra-péritonéal 7. Fracture OS radius distal G et fracture humérus G en 2012 8. Thrombose veineuse profonde des MI (thrombus poplité pariétal droit et thrombus occlusif des veines péronières des deux côtés) le 12.03.2013 9. Cure de hernie inguinale bilatérale 10. Cataracte bilatérale 11. Traitement de la maladie de Lyme (2009) 1. Sclérose de la valve aortique sans sténose avec : • absence d'insuffisance cardiaque 2. Cardiopathie hypertensive avec : • possiblement ischémique avec : • hypokinésie inférieure sévère, légère en antérieur et postérieur • FEVG 47 % 3. Syndrome métabolique avec : • hypertension • diabète de type II • dyslipidémie mixte • surcharge pondérale 4. BPCO de degré léger VEMS 83 % en 2015 FRCV : surcharge pondérale, dyslipidémie mixte, hypertension, diabète de type II non insulino-requérant. 1 série du Ventolin 4 pushs 4 pushs Atrovent Betnesol 0.25 mg/kg x 1 Toilettes nasales Consignes de surveillance expliquées 1 SNO par jour Suivi et conseil diététique 1. Spondylodèse L4-L5 par système ROMEO ddc (vis 6.0/50 + Ceracell, tige 40 mm) 2. Décompression L4-L5 gauche + mise en place d'une cage TLIF Juliet taille 10 + Ceracell et reconstruction de la lordose (OP le 19.11.2018) 1. Suspicion d'AIT / AVC mineur du territoire vertébro-basilaire le 11.12.2018 d'origine artério-artérielle • symptomatologie : dysarthrie et syndrome cérébelleux gauche • NIHSS à l'entrée : 2 points 2. Sténose de la carotide interne gauche > 90 % à son départ à 80 % au niveau de la bifurcation carotidienne droite 3. Sténose significative de l'artère vertébrale droite V2 1er épisode de luxation de rotule D le 08.12.2018. Status post un épisode de luxation de rotule G traitée conservativement. 1h de CPAP en postnatal au CHUV 1h post train de Ventolin : murmures vésiculaires symétriques, pas de signe de détresse respiratoire Vue la bonne évolution, Mr. Y peut donc rentrer à domicile avec un traitement avec Ventolin en dosage diminué et Betnesol 0.25 mg/kg/j pendant 3 jours avec un contrôle chez le pédiatre le 14.12.2018. 1 mg de Temesta per os avec bonne évolution. 1 x IVG médicamenteuse. 1 x IVG par curetage. Status post PID à Chlamydia post-curetage interrupteur chez une patiente 2G 0P de 25 ans. 1000 ml IV de NaCl iv à Meyriez Pantozol 80 mg IV Pantozol IV 8 mg/h Laboratoire OGD à organiser Att : Transfert aux soins intensifs pour la suite de la prise en charge 1000 ml de NaCl 0.9 % reçu aux urgences 10.12.2018 : Hb 100 g/l Vitamine B12 et folate normaux Ferritine limite inférieure Suivi laboratoire 10.2018 : porteur du VRE 11.12.2018 : amygdalectomie droite, septoplastie et turbinoplastie inférieure bilatérale, Dr. X. 12ème cycle de chimiothérapie Keytruda pour adénocarcinome pulmonaire multifocal 13.09.2012, Dr. X : exérèse d'une récidive d'adénome pléomorphe parotidien gauche (selon protocole classé séparément). DAP : récidive d'un adénome pléomorphe sous-type cellulaire (excision masse pré-tragienne gauche : 2,5 ml : in toto). Probable eczéma de la paume de la main gauche, DD : dyshidrose, le 01.06.2012, traité par Elocom pommade et bains de Dakin. 13.12 : les analyses urinaires ne parlent pas de manière flagrante pour une infection, mais la clinique ne met pas en évidence d'autre foyer. Dans ce contexte, nous traitons Mr. Y pour une infection urinaire haute. Il reviendra en filière 34 pour un contrôle clinique et biologique dans 48h, ou avant aux urgences si aggravation de l'état général. 14.12 : au vu des cocci gram positifs, Mr. Y rappelé et avis infectio demandé ; décision d'hospitalisation pour ATB iv et réévaluation ETT pour suspicion d'endocardite. 13.12.2018 : Anémie normocytaire hypochrome 139/80, 91/min, 36.6°C, stix ; nég, TG nég Status : abdomen souple et indolore Vulvo-vaginal : érythème vulvaire, fissure de la fourchette postérieure de 1 cm, cystocèle de grade II, rectocèle de grade I, pas de kyste au niveau de la glande de Bartholin Spéc : col MP avec ectropion, fluor liquidien jaunâtre TV : indolore, pas de masse ED : KOH nég, Lc ++, micelles +, pas de clue cell 14.12.18 à 08h30 : consultation en chirurgie. 18.12.18 à 10h00 : consultation du Dr. X. 14.12.18 : contrôle de plaie et ablation des fils Réfection de pansement Contrôle en orthopédie semaine prochaine pour un suivi rapproché de plaie 19 opérations gynécologiques pour infertilité. Césarienne. Appendicectomie. Amygdalectomie. Cure de hernie ombilicale. Opération des deux genoux pour malformation de la rotule. Amputation traumatique du 5ème doigt droit. Cure d'hallux valgus droit. Cure de tunnel carpien droit. Amputation tibiale droite en octobre 2012. Amputation trans-métatarsienne du pied gauche en décembre 2011. Status après résection névrome moignon amputation avril 2014. Status après libération et antéposition sous-cutanée du nerf cubital du coude gauche en mars 2016. Status après excision d'une masse lipomateuse nécrosée en juin 2016. Exostose tibiale distale droite avec bursite réactionnelle. Status après amputation tibiale. Le 24.10.2018, Dr. X : réfection du moignon tibial avec exostosectomie et excision de la bursite réactionnelle. 19.12.2018 : Implantation prothèse totale de la hanche gauche ; Bursectomie trochantérienne ; Ostéotomie du col avec reconstruction du fond du cotyle ; Ostéophytectomie étendue antérieure et postéro-inférieure. 19.12.2018 : tumorectomie (ORL) + pose de PEG (Dr. X). 19.12.2018 : Panendoscopie + biopsie de contrôles cordes vocales bilatéralement Dr. X surveillance au service d'ORL pour la nuit 19.12.2018 : reprise exérèse chirurgicale de la tumeur plancher buccal avec fraisage de l'os + pose de PEG (Dr. X) 1949 : Cure d'hernie inguinale bilatérale avec récidive opérée en 1962. 1959 : Amygdalectomie. 1967 : Appendicectomie. 1972 : FC tardive avec curetage. 1973 : AVB à terme dépassé d'un garçon. 1975 : AVB à terme d'un garçon. 1977 : Césarienne à terme d'une fille suivie d'une première TVP et d'une embolie pulmonaire. 1980 : Hystérectomie totale par Pfannenstiel et colporraphie postérieure avec TVP et embolie pulmonaire à J10. 2002 : Cure d'hémorroïdes. 2002 : Cure de varices et crossectomie suivies d'une opération de Cochet bilatérale. 2004 : Révision arthroscopique de l'épaule gauche. 2004 : Résection d'un anévrisme et vénorraphie poplitée gauche avec TVP. 2008 : Crossectomie et stripping de la grande saphène gauche. 2010 : Arthroscopie et excision partielle du ménisque médial du genou droit. 2012 : Arthroscopie du genou droit avec ablation d'une souris et résection partielle du ménisque interne du genou droit. 2012 : Cure de prolapsus vaginal par LSC avec cure de cystocèle par pose de filet antérieur et de rectocèle par fixation selon Richter. 1991 : accouchement par voie basse à terme d'un enfant pesant 3000 gr 1992 : accouchement par voie basse à terme d'un enfant pesant 3400 gr 1998 : accouchement par voie basse à terme d'un enfant pesant 2790 gr 1999 : stérilisation tubaire, annexectomie gauche pour tératome (kyste dermoïde) par laparoscopie s/p cure de hernie inguinale gauche (il y a plus de 20 ans) 2010 : ménopause sans substitution hormonale Status post-hystérectomie par laparoscopie le 16.03.2012 Colique néphrétique droite sur urolithiase le 28.12.2016 avec : • calcul de 3 mm à la jonction urétéro-vésicale droite • dilatation du pyélon à 13 mm • infiltration de la graisse péri-rénale sans collection Douleurs thoraciques d'origine pariétale probable le 08.06.2018 1997 : AVB, instrumentation : non, sexe : F, poids (g) : 2000, particularités : à 36 SA. 2008 : AVB, instrumentation : non, sexe : F, poids (g) : 2000, particularités : à 36 SA. 1999 : Césarienne. 2002 : Status post-cure d'hernie cicatricielle en 2002. 2005 : Status post-cure du tunnel carpien. 2010 : Status post-laparoscopie pour endométriose. 2014 : status post traumatisme alimentaire. Lésion superficielle muqueuse à 6 cm de la bouche œsophagienne avec biopsie. Ponction ovocytaire le 22.09.2016. 2 accouchements par voie basse Malnutrition et inappétence secondaire à la progression tumorale, vomissements • contexte de multiples interventions durant un séjour hospitalier de 2 mois • prise en charge nutritionnelle avec alimentation entérale, parentérale, suivi diététique rapproché • Poursuite du traitement par Sandostatin en ambulatoire Hémorragie digestive haute le 11.11.2018 2 adénopathies para-vertébrales hauteur D10 d'origine indéterminée le 30.11.2018 2 ATCD de bronchites obstructives, jamais hospitalisé Bonne santé habituelle. 2 AVB (2017 et 2012) Amygdalectomie dans l'enfance 2 AVB Suspicion de colique biliaire chez patiente à 30 SA le 30.05.2016 Malaise sur hypotension avec PC sans TC dans un contexte de déshydratation sur gastroentérite Examen clinique Hydratation par NaCl 1000 ml NaCl ECG Test de Shellong Suspicion de fracture costale gauches 6-7 Examen clinique Bilan radiologique Antalgie 2 bronchites spastiques traitées avec Ventolin sirop, bonne santé habituelle. Pas de traitement habituel 2 césariennes 2 césariennes en 1990 et 1993 Crossectomie bilatérale en 1994 Ablation végétations et amygdales dans l'enfance 2 chutes avec contusions dorsale et occipitale dans la nuit du 30.11. au 01.12.2018 • anamnèse de chutes récidivantes 2 concentrés érythrocytaires commandés à transfuser à Meyriez Contrôle biologique Bilan d'anémie à réaliser 2 CP en peropératoire Bottes antithrombotiques Introduction Héparine prophylactique le 01.12.2018. Augmentation selon indication pour la FA. 2 cystites 2 épisodes d'abcès derrière l'amygdale G, dernier en Janvier 2016 2 épisodes d'angine bactérienne en mai et juin 2017. Pyélonéphrite droite le 19.08.2017. 2 épisodes de bronchite obstructive 2 épisodes de chute mécanique avec traumatisme crânien sans perte de connaissance dans un contexte d'alcoolisation aigüe le 01.12.2018. 2 épisodes de colique néphrétique D en 2012-2013 sur passage de grains de sable 2 épisodes de paralysie faciale périphérique (il y a 30 ans et il y a 2 ans) • 2 épisodes de syncope d'origine indéterminée le 21.12.2018 • 2 épisodes de vomissements aux urgences. Mr. Y est resté stable hémodynamiquement durant toute l'observation. Décision de retour à domicile avec conseils de surveillance donnés à la maman. Examen neurologique de sortie : superposable à l'examen d'entrée, pâleur cutanée disparue • 2 épisodes d'otite externe • 2 fractures costales C6-7 arc latéral sur chute le 21.12.2018 • 2 frottis de plaie effectués : flore mixte CT abdominal le 23.11.2018 (rapport oral Dr. X) : pas de signe d'abcès, pas d'air libre dans l'abdomen, GPR déplacée au niveau sous-cutané post-manipulation le 22.11 Remise en place GPR (Dr. X) le 23.11.2018 Contrôle GPR (Dr. X) le 06.12.2018 Points enlevés le 04.12.2018 • 2 kystes arachnoïdiens antérieurs des lobes temporaux symétriques Agénésie des commissures antérieures des corps calleux Hydrocéphalie ER 0,33 • 2 lésions hémorragiques au niveau du parenchyme cérébral frontal et pariétal profond gauche le 03.11.2018 • NIHSS à 1 point le 03.11.2018 à 17 h • DD : masses tumorales métastatiques hémorragiques, amyloïdose, AVS hémorragiques angio-CT cérébral et carotides le 03.11.2018 (images pacsées à Berne) FA (sans anticoagulation suite aux saignements cérébraux) Syndrome métabolique avec : • HTA • hypercholestérolémie • obésité • notion d'hyperglycémies Insuffisance rénale chronique d'origine indéterminée : créat à 145 SAOS appareillé Hypothyroïdie substituée Hyperplasie prostatique Insuffisance veineuse Kératose séborrhéique bas-ventre droit • 2 luxations épaule D • 2 masses au niveau du pôle supérieur du rein gauche (DD : carcinome à cellules rénales) • Statut après résection du pôle supérieur rénal à droite 06/01 (externe) avec adénome rénal inséré à droite • Abdomen TDM : 23.11.2015 : deux tumeurs rénales à croissance progressive relativement lente, au pôle inférieur gauche (oncocytome ?). • Sous la supervision régulière du Dr. X, médecin-chef en urologie à l'Inselspital, actuellement aucune intervention chirurgicale compte tenu des comorbidités • Dernière inspection 07/2017, prochaine inspection prévue dans 1 an • 2 myomes ant lat droit de 42 et 17 mm indolores à la pression S/p myomectomie en avril 2018 par HSC (Bern, pas de protocole opératoire disponible) • 2 OMA • 2 OMA Balanite • 2 OMA Fracture salter II PII DI pied D • 2 paires hémocultures Urotube CT thoraco-abdominal injecté 01.12 (Dr. X) : foyer apical gauche, atélectasie basale droite au contact de l'épanchement. Infiltration abdominale connue dans le contexte du lymphome et stable selon comparatif du CT du 22.10.2018. Dilatation pyélique des deux côtés avec petite captation de contraste à gauche déjà présente sur le comparatif du CT du 22.10.2018 et donc probablement non infectieuse. Céfépime 2 g et Flagyl 500 mg le 01.12.2018 Imipénem à partir du 01.12.2018 au ___ Amikacine du 01.12.2018 au ___ Remplissage Transfusion de 2 CE irradiés • 2 patchs de Deponit 10 par 24 h Majoration du traitement diurétique Nifédipine 2x/j mise en réserve • 2 plaies délabrantes de 3 cm, transversales, juste en distal de la 1MCP orteil 1 pied G. Profondeur 1 cm avec : • section complète du tendon fléchisseur profond • probable fracture ouverte proximale de la 1ère phalange • 2 plaies superficielles au niveau de la tête : dermoabrasion de 3 mm, plaie linéaire de 1 cm. • 2 plaies superficielles frontales de chacune 1 cm, non suturables • 2 push d'Isoket à 13:20, puis 1 push Isoket à 14:00 Deponit patch 5 débuté vers 14 heures TAS ensuite à 170-190 mmHg • 2 push Isoket à 13:20 → TA 177 mmHg 1 push Isoket à 14:00 → TA 160 mmHg Deponit patch 5 débuté vers 14 heures • 2 TURP en 2015 Cholecystectomie pour lithiase biliaire en 2007 Appendicectomie en 1984 Ablation kyste dermoïde coccygien en 1983 • 2ème épisode de luxation antéro-inférieur de l'épaule gauche • 2ème épisode de luxation de la rotule gauche le 12.12.18 • dysplasie trochléenne • 2ème épisode de luxation de rotule à gauche. • 2ème épisode de luxation postéro-supérieure PTH D le 26.06.2016 • Réduction luxation PTH D le 09.06.2016 • PTH D implantée le 07.04.2016 (Dr. X, Clinique Générale) • 2ème épisode de scarlatine en 2 mois, 3ème angine en 4 mois Contexte de fatigue scolaire probable • 2ème épisode de tachycardie supraventriculaire compliquée d'une insuffisance respiratoire transitoire • 2ème orteil en griffe ddc. Métatarsalgies des 1er et 2ème rayons pied droit. • 2ème orteil en marteau, pied G • 2ème orteil pied D en griffe. Status post AMO fixateur externe Stryker 2.0 mm de la MTP I de l'hallux droit. Prise de greffe au niveau de la crête iliaque à droite. Débridement de la MTP I, prise de biopsie, arthrodèse de la MTP I par plaque Pedus 2,7 mm avec interposition d'une greffe de la crête iliaque à l'hallux droit le 26.06.2018 pour un status post ostéo-arthrite septique prothétique métatarso-phalangienne I du pied droit à staph. dorés suite à l'implantation d'une prothèse de surfaçage le 20.02.2018 par le Dr. X à la Clinique Générale. • 2ème récidive d'un hémisyndrome sensitif facio-brachial gauche d'origine fonctionnelle probable le 23.12.2018 • 2ème vaccin à 1 mois • 2G1P. Douleurs thoraciques et dorsales d'origine musculosquelettique le 01.09.2011. Urolithiase rein droit • 2x AVB 1x Césarienne Abcès tubo-ovarien gauche (infiltrat annexiel de 7 cm de diamètre) en 2015 Hyperbiliuribinémie mixte le 24.08.2015 • 2x Césarienne Pyélonéphrite gauche, à E. Coli en 2016 Bronchopneumonie droite le 15.03.2017 • 2x culot érythrocytaires le 07.12.2018 et 08.12.2018 Colonoscopie prévue le 11.12.2018 à Meyriez • 2x plaie superficielle de l'arcade sourcilière gauche de 0,5 cm • 2x 6 push de Ventolin Surveillance clinique Retour à domicile avec consignes de surveillance et Ventolin en réserve • 20 UI de Syntocinon • 20 h le 25.12.18 : reconsulte car difficulté respiratoire au réveil de la sieste vers 17 h. Le trajet et l'arrivée à l'hôpital ont amélioré la situation. Bon état général. Auscultation pulmonaire sans particularité. Retour à domicile. En cas de difficultés respiratoires sur la nuit, iront sur le balcon. Si pas d'amélioration, appelleront la hotline et reconsulteront. • 2000 : interruption volontaire de grossesse. • 2001 s/p IVG à 8 3/7 SA. 1990 APP. S/p plastie du ligament de la cheville gauche à la clinique Garcia. S/p opération bilatérale du tunnel carpien. Accouchement par voie basse instrumenté par ventouse Kiwi aux épines en 4 tractions pour état fébrile et tachycardie fœtale, sous anesthésie péridurale chez une patiente II G IP de 31 ans à 39 1/7 SA. Naissance, le 20.07.2011 à 3 h 04 en OIDA d'un garçon (Ozan) pesant 2720 g et mesurant 47 cm. • 2002 : AVB d'une fille en Éthiopie, instrumentation : non, particularité : accouchement probablement normal, ne sait pas trop, dit qu'on le lui a pris de suite, n'a pas eu de contact avec son enfant. Dit avoir tout oublié.2013: AVB spontané. DIVG à 6 2/7 SA (le 05.01.16) chez Mme. Y, 4G2P de 27 ans. IVG médicamenteuse: Mifegyne le 09.01.16 puis hospitalisation ambulatoire pour prise de Cytotec le 11.01.16. 2017: Accouchement par voie basse spontané à terme, fille 3610 g. 2003: FCS 1er trimestre traité par curetage. Suspicion d'endométrite. 2004 : AVC. St. p. TUR-P 08/2002 sur adénocarcinome de la prostate pT1b, NX, MX, G2. Pyélonéphrite droite le 16.11.2018. Vessie neurogène avec : • Sonde urinaire à demeure depuis plusieurs années. • Pose d'un cystofix par Dr. X à l'HFR Meyriez le 19.12.2018. 2004 : Cure d'hernie crurale droite. 2004 : Tumeur bénigne au sein gauche. Médicaux: Migraine. Obstétricaux: 2014 césarienne 40 2/7 pour NPD de dilatation à 5 cm, F 3230 g. Accouchement par césarienne en urgences pour stagnation de la dilatation à 7 cm chez Mme. Y, devenue 2 pares à 40 5/7 semaines d'aménorrhée 04/2016. 2005 : Hernie inguinale. 2007 : Récidive hernie inguinale. 2012 : Intervention intestin grêle (?). 2017 : Cure d'éventration. 2007: AVB d'une fille pesant 3120 g à 40 3/7 SA sous péridurale à l'HFR-Fribourg, EMLD, allaitement pendant 4 mois. 2008 : Accouchement par voie basse sous anesthésie péridurale (fille de 2690 g). 2011 : Accouchement par voie basse spontané (garçon 3250 g). 2009 S/p ablation d'un kyste au niveau de l'aine en anesthésie locale. GEU tubaire droite chez Mme. Y, I-geste 0-pare de 26 ans. Groupe sanguin O positif. Salpingotomie droite par laparoscopie le 01.02.2011. Antalgie. 2011: Kystectomie OD par Pfannenstiel au Kosovo. 03.2012: Kystectomie OD par laparoscopie, résection septum par hystéroscopie à l'HFR Riaz. 06.2012: Hystéroscopie: cavité normale à l'HFR Riaz. Accouchement par voie basse instrumenté par ventouse métallique à épine + 1 après provocation pour terme dépassé chez Mme. Y, devenue 1P de 24 ans à 41 2/7 SA. Portage de streptocoques du groupe B. 2011: Syncope avec fatigue persistante depuis 48h et ralentissement psychomoteur. --> Aux urgences: ad EEG de privation de sommeil, US cardiaque, holter en ambulatoire. Coprostase côlon droit. 20.11.2018: Anémie normocytaire hypochrome avec nadir à 103 G/l. 2013 Césarienne en urgence 1 pour suspicion de décollement placentaire suite à une provocation par Misoprostol pour pré-éclampsie à 37 5/7 semaines d'aménorrhée, naissance d'un garçon de 3120 g. 2015 Accouchement spontané par voie basse, chez Mme. Y, 2G devenue 2P à 39 semaines d'aménorrhée. Anémie ferriprive. 2014 Curetage d'une grossesse molaire complète non persistante. 2015 Curetage pour grossesse molaire. 2016 Accouchement par voie basse à terme, lésion génitale : épisiotomie médio-latérale droite, naissance d'un garçon de 3590 g. 2015 : Plastie mammaire. 2016 : Fausse couche avec Cytotec. 2017 : Hystéro-salpingographie dans la norme pour investigation d'infertilité secondaire avec Clinique générale, Dr. X. 2017 : Maladie de Basedow sous traitée par Propycil hors grossesse, suivi par Dr. X. 2015: S/p conisation. 2016: S/p lithiase urinaire. 2017: S/p marsupialisation. 2017: S/p ablation des kystes de Bartholin au Daler. 2016 Accouchement par voie basse (DGIR). Fausse couche spontanée à environ 6 semaines d'aménorrhée. Février 2018 Accouchement par voie basse. 2017 : Fausse couche avec Cytotec sans curetage. 21.11.2018 : Cytolyse hépatique probablement sur embolie pulmonaire. 23.12.2018: Immobilisation pour 6 semaines plâtre AB fendu. Contrôle clinique et radiologique à J10 en ortho urgences. Avis orthopédique (Dr. X): Stase veineuse. Refermer le plâtre avec bande avec suivi le 28.12.2018 avec re circularisation du plâtre par les orthopédistes. 24.12.2018: Laboratoire. Urines: Lc ++. US abdominal (Dr. X): lésion hétérogène 18 x 10 mm de la queue de l'épidydime, canal inguinal droit élargi, pas de varicocèle, pas thrombose, pas de torsion testiculaire. Avis urologique (Dr. X): Traitement antibiotique par Tarivid. • RAD avec traitement antibiotique par Tarivid 200 mg 2x/j, pendant 10 jours. • Contrôle clinique en F34 dans 72h. 27.12.2018: Laboratoire. Stix/Sédiment urinaire. Résultat HIV: négatif. Us testicules. 2.5 L NaCl 0.9% chauffé au Hot-line. 2.5 mg de Beloc i.v. aux urgences. 40 mg de Lasix i.v. 1x/jour dès le 04.12.2018. Reprise Torem 15 mg et Esidrex 12.5 mg le 06.12.2018. ECG. Rx thorax. Sédiment urinaire. 25.01: Adénectomie avec pose de drains (Dr. X) pour otites récidivantes. Otite moyenne chronique gauche avec écoulement clair. Faux-croup léger. 25.12: Incision-drainage abcès par Dr. X au bloc opératoire. RAD le soir-même avec antalgie simple. 26.10.2018 : Thrombose veineuse de la veine jugulaire interne D. 27.10.2018 : Pose de Pigtail thoracique. 31.10.2018 : Bullectomie et talcage thoracique droit par thoracoscopie (Prof. X). 28.01.2012 OP Amygdales et végétations. 11.2011: S/p appendicectomie. OSG Distorsion droite. Rx OSG et pied droit: aucune fracture. • Analgésie. • Stockentlastung. Double fracture de la cheville droite en 2016. 29.11.2018 : Synéchies antérieures de l'œil D. 3 accouchements par voie basse. 3 accouchements par voie basse 1989, 1990, 1995. Fausse couche le 18.05.2013. Ovariectomie. Appendicite aiguë non compliquée le 14.02.2016. Anémie résolue. VPPB le 08.02.2018. • DD: Neuronite vestibulaire. Avis neurologique (Dr. X): au vu du statut neurologique, nous pensons plutôt à une cause périphérique et proposons un avis ORL. Avis ORL (Dr. X): VPPB probable avec initialement possible neuronite vestibulaire (pas actuellement). Traitement symptomatique des nausées, contrôle à distance en ORL. 3 accouchements par voie basse. Ligature hémorroïdaire. CAGE L3 à L5 en 2016 et 01/2018 (Salemspital, Prof. X). 3 agrafes. Désinfection. Antalgie. Ablation de fils dans 5 jours aux urgences pédiatriques. 3 AVB. Cystite. 3 césariennes (2007, 2010, 2013). Grossesse évolutive ectopique de 7 semaines sur cicatrice de césarienne chez Mme. Y, 4G3P sur utérus tri-cicatriciel. • Aspiration endo-utérine échoguidée du matériel de grossesse. Appendicectomie. 3 luxation antéro-inférieures de l'épaule gauche. 3 points Prolene 6-0. Antalgiques. Désinfection. 3 points simples au vicryl 3-0. 3 points 6-0. Mesures désinfection. Antalgiques en réserve. Ablation de fils chez le pédiatre dans 5 jours. 3 x 6 push de Ventolin sur 1 heure, Betnesol 4 mg per os. Surveillance pendant une heure avec amélioration des symptômes. Poursuite du Ventolin aux 4 heures, Betnesol pendant 3 jours. Contrôle chez pédiatre à 24 heures. Reconsultation en cas de péjoration. 3ème cure Levosimendan le 06.12.2018. Cathéter artériel radial droit le 06.12.2018. Suite de suivi à la consultation du Dr. X. 3G3P par césarienne. Idées suicidaires sur alcoolisation aiguë le 07.02.2018 avec hospitalisation à Marsens. Hospitalisation à Marsens en 12.2018. • 3 x resucrage per os sans normalisation. • Glucose 20% intraveineux avec contrôle glyémie toutes les 30 minutes puis chaque heure.31.12.2018: Contrôle de plaie: calme, pas de collection, pas d'écoulement, pas de signes inflammatoires ou infectieux, réfection pansement avec tulle bétadinée et bandage écossais et recontrôle dans 3 jours en policlinique d'orthopédie. le 29.12.2018: Laboratoire Radio coude G Tétanos à jour avis de Dr. X frotti (à pister) Désinfection par Bétadine, champage stérile. Anesthésie par Bicarbonate et Lidocaïne. Exploration de la plaie. eau oxygéné débridement de la plaie Rinçage abondant au NaCl 0.9% et bétadiné Suture par 3 points d'Ethilon 3.0. Antalgie au besoin. Contrôle le 31.12.2018 au policlinique d'orthopédie (un RDV à la FUA est donné si poli est fermé) pansement avec tulle bétadiné et bandage écossais. Une dose ATB co-amoxicilline 2.2 IV est administrée aux urgences puis 1 g 2x/j pendant 3 jours. 39 1/7, PN 2730 gr en voie basse 39 nmol/l le 12.12.2018, supplémentation orale depuis le 15.12.2018 à raison de 24000 UI/semaine Relais par Calcimagon à la sortie 4 de glycémie à l'arrivée aux urgences ATT • 250 ml avec 5% de dextrose rapidement • contrôle de la glycémie à 00h40 : 6.4 de glycémie • insuline en pause pour le moment 4ème récidive de morsure de chien avant-bras et main G avec: • 2 plaies en regard du styloïde ulnaire, superficielles d'environ 0.5 cm chacune. • 5 plaies face dorsale distale avant-bras G d'environ 2-3 mm chacune • 2 plaies (10 et 6 mm) face médiale distale avant-bras G superficielles 4 inhalations d'adrénaline 5 mg Betnesol 9 cpr Hospitalisation pour surveillance clinique 4 x Césariennes Intoxication alimentaire le 12.03.2018 • DD: Gastro-entérite Syndrome grippal 40 meq IV Kcl retard 10 mmol 3x/j du 06.12.18 au ___ Suivi biologique 40 4/7, PN 2995 gr, TN 48 CM, PC 32 cm 41 nmol/l supplémentés à partir du 29.11.2018 494 497 5 ampoules de G 40% le 7.12.2018 puis G 5% en IV continu 5 CE entre le 04.12.2018 et le 05.12.2018 Rectoscopie le 05.12.2018: saignement en amont de la zone visualisée Colonoscopie le 06.12.2018: importante diverticulose sigmoïdienne sans saignement actif avec une muqueuse par ailleurs normale Suivi biologique et clinique 5 OMA Bronchite spastique à RSV février 2018 5ème maladie 50 mcg de Fentanyl par les ambulanciers. Aux urgences: 25 mcg de Fentanyl. 1 g de Novalgine. Lavement par 1000 ml de Practomil. 5-7 j chez le médecin traitant 6 points prolène 6.0 soin de plaie retrait chez le pédiatre dans 5-7 jours 6 push aux urgences avec amélioration nette des symptômes Ventolin 2-4 push 4-6x/jour selon symptômes Betnesol en cas de péjoration 896 Status après splénectomie par laparoscopie pour thrombocytopénie idiopathique auto-immune Status après hystérectomie Pneumonie communautaire du lobe inférieur gauche probable le 01.03.2018 Troubles de la marche et de l'équilibre avec chute et traumatisme crânien sans PC le 28.02.2018 Gonalgie droite post chute Tendinite muscles fessiers droits en juillet 2012 S/p opération triade malheureuse du genou droit en 1981